et le 2c mois de la grossesse. Dentition, parole, marche nulles.
Convulsions
à 5 mois suivies du développement hydrocé- phal
ons à 5 mois suivies du développement hydrocé- phalique. Retour des
convulsions
. Contracture des membres. Vagissements. Persist
ant pendant et après la grossesse.-Pas de consanguinité . Premières
convulsion
* a 6 mois. - Idiotie complète : Lare, balanceme
'un arrêt DE DEVELOP- pement DES circonvolutions. Sommaire. Père,
convulsions
iL 2 tiis ; quelques excès de boisson (absinthe
RURGICAL. 25 Grand-père paternel caractère un peu emporté. Mère
convulsions
de l'enfance; très nerveuse, migraineuse, carac
nité. Inéga- lité d'âge de 4 ans (mari plus âgé). Tète penchée. -
Convulsions
des yeux depuis la naissance jusqu'à 4 ans. Lég
eu une rougeole compliquée de méningite. - Une autre soeur a eu des
convulsions
. Emotion vive durant la grossesse. Parole, atte
re. Po'e et grand père paternel, quelques excès de boisson. - Mère,
convulsions
de l'enfance, nerveuse. Fip.i2.-OBs.IX. TRAIT
dents nerveux. - Émotion vive au 5e mois de la grossesse. Premières
convulsions
à 3 mois; crises fréquentes jusqu'à un an. Roug
ÉNINGITE DE L'HÉ- MtSPHKHE DROIT. ! 50\II : OftI ? Père, nerveux,
convulsions
de l'enfance ; fièvres intermittentes probables
u- sin paternel, excès de boisson, aliénés Oncle paternel mort de
convulsions
. Mère sujette à des névralgies faciales. Grand-
l abo)')'eu.\'. Asphyxie et déformation crânienne à la naissance.
Convulsions
dès le premier jour. Secondes convulsions à -1
crânienne à la naissance. Convulsions dès le premier jour. Secondes
convulsions
à -1 mois. - Début de la parole à 18 mois. - Pr
MÉNÜWO-ENCÉ- PHALITE DE L'HÉMISPHÈRE DROIT. ? 0\IJIAIItI;. - Père,
convulsions
de l'enfance, nerveux,. sujet à des céphalalgie
; mort tuberculeux. - Gra.nd'- tante et cousins paternels, morts de
convulsions
. - Mère : céphalalgies, mélancolie. Arrière-gra
lalgies, mélancolie. Arrière-grand-père maternel, suicidé. - Frère,
convulsions
et méningite. - Soeur, con- vulsions avec hémip
à 4 mois. Dentition complète a 3 ans I J. Peur à six mois suivie de
convulsions
courtes et répétées, prédominant dans tout le c
l aliéné. Pas de consanguinité. - 1 Inégalité d'âge d'un an. Frère,
convulsions
, mort de méningite. - Deux soeurs ont eu de pet
re, convulsions, mort de méningite. - Deux soeurs ont eu de petites
convulsions
et une autre des crises épileptiformes. Chagr
e. Marche il. 4 ans 1/2' Rougeole à 13 mois ( ? ) et iL 7 ans 1/2'-
Convulsions
iL 9 mois. Arrêt de l'intelligence. Scarlatine
négalité d'âge de 5 ans. Enfant petit à la naissance. -. .Jamais de
convulsions
( ? ). - Fièvre à 8 mois dite typhoïde ( ? ) su
envie insurmontable de dormir. ; Asphyxie à la naissance. Premières
convulsions
il 14 mois. lie- ; froidissement et cyanose de
au te degré, morte épileptique. Mère, grande et forte, nez aquilin,
convulsions
légères pen- dant l'enfance (2 fois), migraines
elle, mortes de la poitrine. Tante ma- ternelle, hystérique. Frère,
convulsions
lég1'e ? Pas de consanguinité. -Inégalité d'âge
morte de la rupture d'un anévrysme aortique. Grand-oncle paternel,
convulsions
dans l'enfance avec déformation des pieds, tail
892, p; 173... : - : TRAITEMENT CHIRURGICAL. 61 à la naissance.
Convulsions
probables à 3 jours se répé- tant cinq ou six f
vive et coléreuse. Cousin idiot, ne parlant pas.- Un frère, mort de
convulsions
. - Un autre frère, mort du carreau à 3 ans. Une
particulier. Première dent à 10 mois. Dentition complète à 2 ans.
Convulsions
dites internes à 3 semaines, se reproduisant qu
as de consanguinité. 7nëga- lité d'âge de huit mois. Soeur morte de
convulsions
à 4 mois. Asphyxie complète à la naissance. -
marche à. 8 ans. Accès de cris datant probablement de la naissance.
Convulsions
à huit mois suivies de paralysie incomplète du
oléreux, renseignements insuffisants sur sa famille. - Mère, fortes
convulsions
à 18 mois ; chorée de 7 ans à 14 tits ll'2; ner
ère; qui a renversé une glace sur sa mère et sur lui; le lendemain,
convulsions
qui auraient duré 3 jours et 3 nuits; mort appa
, bègue et aliéné. Un autre oncle est bossu et arriéré. -11 rèï'es,
convulsions
. Bien portant jusqu'à 3 ans; fièvre typhoïde et
as de consanguinité. - Inéga- lité d'âge de 5 ans. - Soeur morte de
convulsions
. - Soeur, colé1'cuse : -¡lut¡'e sceur, vagabond
ité. Inégalité d'âge de 4 ans. Trois frères et une soeur ont eu des
convulsions
. - Conception probable dans l'ivresse. Asphyxie
Marche à 19 mois. - Début de la parole après 2 ans. Propre à 4 ans.
Convulsions
internes de 7 mois à 2 ans. - Strabisme il 2 an
oïde vers 4 ans. Gourme; oplvthal2nie. - Chute du rectum. Jamais de
convulsions
? Accès de colère. Méchant envers les autres en
an, limitée à l'entrée à quelques mots. Marche à 4 ans. - Jamais de
convulsions
. - Coque- luche et bronchite à 5 ans. Onanisme.
euse. - Arrière-grand'mère suicidée. Tante pater- neenerueuse.Mère,
convulsions
de l'enfance. -A1'rièr&- grand'mère, trembl
grand'mère, tremblement de la main attribué à la foudre. - Frère,
convulsions
internes. Soeur morte de méningite- Conception
l'alcoolisme. -Asphyxie très prononcée à . la naissance. Premières
convulsions
à 6 mois : durée 12 - heures; hémiplégie droite
iplégie droite consécutive ; athétose remarquée à 2 ans. - Secondes
convulsions
à bans. Prédominance à droite. - Retour partiel
morts de cancer de l'estomac. 5 oncles ou tantes maternels morts de
convulsions
. Une tante mater- . nette atteinte de sciatique
ceps ; compression du côté droit du front. Asphyxie à la naissance.
Convulsions
à 2 ans. -Début de la marche à 14 mois, de la p
ns. Propre vers 5 ans. - Fièvre scarlatine avec délire à 8 ans 1/2;
convulsions
avec perte de connaissance durant 3 jours; hémi
es. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de sept ans. Pas de
convulsions
. - Parole nulle. Impossibilité de se tenir debo
sont légers, douteux ou nuls. Des accidents graves (para- lysie,
convulsions
, etc.) et même la mort peuvent s'en suivre. (
de boisson. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 3 ans. Sccur,
convulsions
de l'enfance. Renseignements insuffisants sur l
èvre typhoïde, à Lariboisière (19 mars 1892), n'aurait jamais eu de
convulsions
; pas de chorée, ni de rhu- matismes, ni de syp
frère, bien portant, ainsi que ses cinq enfants qui n'ont pas eu de
convulsions
. Dans le reste de la famille on ne trouve aucun
té d'âge de trois ans. Trois enfants : 1° fille, 27 ans, a eu des
convulsions
à l'âge d'un an : elle est intelligente, n'est
l'âge auquel il a marché. Il a parlé tard. Il n'aurait jamais eu de
convulsions
, ni d'attaques de nerfs, ni de chorée. On n'a c
chez le père, certains chez le grand père maternel de l'enfant, des
convulsions
chez l'une de ses soeurs. II. L'enfant était
l, aliéné. Pas de consanguinité : - Inégalité d'âge d'un an. Frère,
convulsions
, mort de méningite. - Deux soeurs ont eu de pet
re, convulsions, mort de méningite. - Deux soeurs ont eu de petites
convulsions
, une autre des crises épilepti formes. Chagri
tisme. Marche à 4 ans et 1/2. Rougeole à 13 mois et à 7 ans 1/2.
Convulsions
à 9 mois. - Arrêt de l'intelli- gence jusqu'à 6
6 juillet 1892). Père, 37 ans, arbustier, sobre, n'a jamais eu de
convulsions
, de fièvre typhoïde, de chorée, de migraines, d
, pas de suicidés, pas de prostituées, etc.] Mère, 37 ans, pas de
convulsions
, de fièvre typhoïde, de chorée, de rhumatisme.
nts : 1° Notre malade ; 2° Un garçon, mort de mé- ningite, à 4 ans,
convulsions
très légères à la dentition ; 3° Fille morte à
ises épileptifor- mes tous les 10 jours (cri initial, chute, écume,
convulsions
, coma) ; 5° Fille, 5 ans, bien portante, intell
ns, coma) ; 5° Fille, 5 ans, bien portante, intelligente, petites
convulsions
à la dentition; - 6° Fille, morte à 3 ans 1/2 de
t il était « noué », traînait les jambes, marchait difficilement.
Convulsions
légères à 9 mois, consistant en balancements de
ents de la tête et en contorsions du bras ; pas de secousses. Ces
convulsions
n'auraient pas modifié son intelligence, très rud
s du malade apportent, l'appui de cette hérédité, la méningite, les
convulsions
, et des crises épileptiformes. II. En ce qui
r des chagrins pendant la gros- sesse, la naissance à 7 mois et des
convulsions
à 9 mois : c'est à celles-ci qu'il nous semble
8° mois de la grossesse, étouffeme21ts avec perte de connaissance.
Convulsions
internes à 2 jours. Secondes convulsions vers l
c perte de connaissance. Convulsions internes à 2 jours. Secondes
convulsions
vers le 3° mois ( ? ). Etat de mal convulsif à
ers le 3° mois ( ? ). Etat de mal convulsif à 2 ans. De là il 5 ans
convulsions
4 à 5 fois par an. De 5 à G ans, accès toutes l
urds- muets dans la famille, etc.]. Mère, 29 ans, modiste. Pas de
convulsions
de l'enfance; céphalalgies depuis son premier a
loroforme, en 2 heures. - A la naissance, pas d'asphyxie. A 2 jours
convulsions
internes. Elevé au sein pendant 10 jours, par s
es. » La nourrice aurait dit que l'enfant avait eu, une fois, des «
convulsions
internes. » Première dent à 14 mois; toutes le=
out comme ses frères ou soeurs. Début delà mn lacl i e. -l12 2 ans,
convulsions
subites à 8 heures du soir, sans prodromes dans
es du soir, sans prodromes dans la journée : secousses cloniques,
convulsions
égales des deux côtés ; constriction des mâchoire
ni d'évacuations involontaires. Durée totale, 2 heures. - Nouvelles
convulsions
à 2 ans et à 4 mois ; durée, une heure ; elles
ILLE, Bicêtre, 1893. 8 114 Antécédents personnels. De là à 5 ans,
convulsions
quatre ou cinq fois par an, durant ordinairemen
ait à peu près l'intelligence des enfants de son âge. De 5 à 6 ans,
convulsions
toutes les six semaines. A partir de 6 ans, cri
heures ; alors, il avait plusieurs accès consécutifs. Dans l'un les
convulsions
étaient plus for- tes à gauche, dans l'autre à
re-grand-père maternel, mort subitement à 87 ans. - Oncle maternel,
convulsions
jusqu'à 11 ans. - Soeur morte de rougeole auec
ots. Premières-convulsions le lendemain de la naissance. Retour des
convulsions
à 2 mois, puis tous les mois. A 8 mois convulsi
ance. Retour des convulsions à 2 mois, puis tous les mois. A 8 mois
convulsions
pendant 10 heures. Vers 6 ans, crises convulsiv
. Vers 6 ans, crises convulsives fréquentes. - Prédomi- nance des
convulsions
à gauche. Otite en 1887. - Accès sériels. Angin
ement cérébral. -, Un frère, aujour- d'hui en bonne santé, a eu des
convulsions
graves jusqu'à 11 ans. Pas d'accidents nerveux
hite à G semaines. Sauf la rubéoli- que, les autres n'ont pas eu de
convulsions
ni d'accidents nerveux. Notre malade est le 7
ni de gêne respiratoire. Le lendemain de la nais- sance, premières
convulsions
. A deux mois, nouvelles convulsions. A partir d
de la nais- sance, premières convulsions. A deux mois, nouvelles
convulsions
. A partir de là les convulsions ont réapparu to
convulsions. A deux mois, nouvelles convulsions. A partir de là les
convulsions
ont réapparu tous les mois. A huit mois, état d
de cri, perte de connaissance, bouche tournée, yeux fixes ; écume,
convulsions
des membres surtout à gauche; pas de morsure de
nis par le père, le 26 février 1892. Père, 52 ans, ajusteur; pas de
convulsions
; ni lièvre typhoïde, ni chorée, ni migraines,
de rensei- gnements sur la dentition. - Il n'aurait jamais eu de
convulsions
. A 2 ans, angines fréquentes, coqueluche à 3 ans.
uis, les accès sont devenus plus forts, avec grimaces, écume, bave,
convulsions
cloniques, sans prédominance d'un côté. Après s
production de l'idiotie. 152 MORT par asphyxie dans UN accès. des
convulsions
. Toutefois, à deux ans, l'enfa,nt ressem- blait
qui a duré deux heures, puis un autre quatre mois plus tard. Les
convulsions
sont revenues 4 ou 5 fois par an, à partir de l
grand'mère paternelle, hémorrhagie et ramollisse- ment du cerveau,
convulsions
du côté maternel. Ajou- tons que la mère a eu d
e d'aliments. Mais comme les assistants, préoccupés sur- tout des
convulsions
, ne songèrent pas immédiatement à extraire la n
écutifs ont longtemps persisté. III. Le malade a eu ses premières
convulsions
le lendemain de la naissance, les secc ndes au
de la naissance, les secc ndes au bout de deux mois ; ensuite, les
convulsions
ont été men- suelles. A huit mois, état de mal.
conception, pendant la grossesse, l'accouchement et à la naissance.
Convulsions
8 heu- res après la naissance. Crises fréquente
). Père, 3(i ans, journa- lier au chemin de fer, n'a jamais eu : de
convulsions
, de cho- rée, de migraines, de maladie de peau,
e malade; 4° fille, 4 ans 1/2, bien portante, intelligente ; pas de
convulsions
. Notre malade. Rien de particulier à la concept
sein par sa mère. Huit heu- res après sa naissance, il fut pris de
convulsions
. Il devint pâle, ses yeux se convulsèrent un pe
- ments se produisirent dans les bras et les jambes : mais pas de
convulsions
proprement dites ni de contracture. A partir de
uit du 22 au 23 il a eu 17 accès. Ces accès se tra- duisent par des
convulsions
bilatérales. La tête est tournée à gauche; la c
un processus inflammatoire a été cause de l'épilepsie et, comme les
convulsions
ont éclaté dès la naissance, que ce processus a
is pas d'asphyxie. - Acci- dents nerveux de 5 à 6 mois. - Premières
convulsions
à huit mois, limitées à droite. - Parésie consé
itonite; elle était assez intelligente; 3° garçon mort à 11 mois de
convulsions
; - 4° garçon, 17 ans, employé d'impri- merie, e
squ'à huit mois (vertiges ? ). A cet âge apparurent les premières
convulsions
localisées à droite. Pendant cinq ou six jours, e
bord normalement dirigés se convulsè- rent le 3e ou le 4e jour. Ces
convulsions
des yeux ont duré cinq jours ( ? ). Le bras et
ralysie persisterait pen- dant 15 à 20 minutes. Dans les accès, les
convulsions
n'exis- teraient que dans les membres du côté d
e de grand-père paternel), les névralgies de la mère, la mort par
convulsions
d'un frère du malade, l'arriération intel- lect
ent se résumer ainsi : de 6 à 8 mois crises syncopales ; à 8 mois
convulsions
intermittentes pendant 5 jours, (1) La poche de
ons. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 3 a ? is. Frère aîné,
convulsions
internes. Grossesse tourmentée par des accès de
bien por- tants. Trois demi-soetLJ's (de mère) mortes jeunes de «
convulsions
». - Dans le reste de la famille aucune tare pat
usqu'à six mois. La nourrice prétendit même qu'il n'avait pas eu de
convulsions
. A six mois, la tête com- mence à grossir et l'
tres de tour. La nour- rice aurait constaté vers 10 mois de légères
convulsions
Hydrocéphalie : description DU malade. 193 as
ors par ses parents, sa mère nous dit qu'elle ne constata jamais de
convulsions
, qu'il commença à marcher, tenu par les mains,
onvul- sions chez des tantes maternelles. Son frère aurait eu des
convulsions
répétées. Normale à la naissance, la tête n'aur
ssance, la tête n'aurait commencé à grossir qu'à (le six mois, sans
convulsions
pré- liminaires ( ? ), mais avec accompagnement
après le début de l'accroissement de la tête sont sur- venues des
convulsions
légères ( ? ), qui se seraient répétées. A 14 m
eur un mois, émotiottsù 2 mois. - Ophtalmie à la naissance, cécité.
Convulsions
à 5 mois. Début de l'hy- drocéphalie à la même
: t fille, morte il 5 ans d'une maladie aiguë, intelligente, pas de
convulsions
; 2" garçon, 6 ans 1/2, intelligent, bien porta
204 Hydrocéphalie. - à 4 ans. Il n'aurait néanmoins jamais eu de
convulsions
et sa maladie n'a' pas laissé de traces. 3° N
à 15 mois. Il n'a pas de dents, ne marche, ni ne parle. - A5 mois,
convulsions
: ni paralysie, ni contractures consécu- tives.
tractures consécu- tives. La nourrice ne donne aucun détail sur ces
convulsions
, mais prétend que l'hydrocéphalie date de cette
. La nourrice écrivit encore trois fois que l'enfant avait eu des
convulsions
sans autres détails. La mère n'en a jamais consta
- des émotions multiples durant les autres mois; à cinq mois, des
convulsions
suivies de l'apparition de l'hydrocéphalie. -Le
s, des convulsions suivies de l'apparition de l'hydrocéphalie. -Les
convulsions
se répétèrent trois autres fois. A 20 mois, out
de consanguinité. Inégalité d'âge d'un an. Frère, mort à 6 jours de
convulsions
internes. Conception probable durant l'ivresse.
mari dont elle a eu trois enfants intelligents n'ayant jamais eu de
convulsions
. Le père de notre malade a eu d'elle deux enfan
deux enfants : 1 Notre malade; - 12° un garçon mort à six jours de
convulsions
internes. . Notre malade. -La conception a peut
oliques. -Grand-oncle pater- nel, excès de boisson. Oncle palernel,
convulsions
de. l'enfance. Mère, convulsions de l'enfance
xcès de boisson. Oncle palernel, convulsions de. l'enfance. Mère,
convulsions
de l'enfance, migraines, gastralgie, très nerve
maternelle, migraines, gastralgie. Grand-oncle mater- nel, mort de
convulsions
. Cousin maternel, convulsions et hémiplégie. -
lgie. Grand-oncle mater- nel, mort de convulsions. Cousin maternel,
convulsions
et hémiplégie. - Pas de consanguinité. - Inégal
du cou. - Muguet à un mots..Her- nie ombilicale à 5 mots. Premières
convulsions
à 5 mots. Début de l'augmentation de la tête à
s, 3 vivants : le Un frère, 23 ans, sobre, bien portant, a eu des
convulsions
de l'enfance; 2" Un autre /Vé7-e, 21 ans, gar-
rnelle, morte il 8 ! t ans.-Un oncle mater- nel est mort à un an de
convulsions
. Un cousin, a été, à la suite de convulsions, a
el est mort à un an de convulsions. Un cousin, a été, à la suite de
convulsions
, atteint d'hémiplégie gauche. - Aucun autre ren
en arrière au point que « la tête touchait presque les pieds. » Ces
convulsions
durèrent une heure ou une heure et demie ; elle
utaussi atteintde contracture. Enfin notons que l'enfant depuis les
convulsions
vomit souvent et a le sommeil moins calme. Il c
ier à noter. ' L'alcoolisme du côté du père, les migraines et les
convulsions
de la mère, les convulsions de deux oncles mate
e du côté du père, les migraines et les convulsions de la mère, les
convulsions
de deux oncles maternels, dont un était hémiplé
. Inégalité d'âge de 8 aiis. - des quatre- 'membres à la suite de
convulsions
, morte phtisique. Premières convulsions iL un a
e- 'membres à la suite de convulsions, morte phtisique. Premières
convulsions
iL un an. Secondes convulsions il. quinze mois
vulsions, morte phtisique. Premières convulsions iL un an. Secondes
convulsions
il. quinze mois (Etalde mal d u7'alzl 8 joul's)
ts : 1° fille, née avant terme et morte à 6 jours, sans avoir eu de
convulsions
; 2° fille, 18 ans, a eu des convulsions, à 2 a
jours, sans avoir eu de convulsions ; 2° fille, 18 ans, a eu des
convulsions
, à 2 ans, qui ont duré 8 jours; elle est depuis
lade; - 4° fille de 11 ans, intelligente, docile, n'a jamais- eu de
convulsions
. W'otre malade. - Rien de particulier à la conc
eron avec du lait de vache ; il fut repris à 15 mois. Les premières
convulsions
eurent lieu à un an et furent insignifiantes. A
ses vingt dents qu'à 6 ans et leur apparition ne pro- voqua pas de
convulsions
. Avant les dernières convulsions l'enfant disai
ur apparition ne pro- voqua pas de convulsions. Avant les dernières
convulsions
l'enfant disait «papa» et « maman», à leur suit
'accroître jusqu'à l'âge de 14' ans. Revit... n'eut jamais d'autres
convulsions
, ne fut sujet ni aux secousses, ni aux vertiges
squ'à un au, rien de bien anormal. A un an et à quinze mois, des.
convulsions
fréquentes surviennent et la tête grossit dans
el, buveur. - Grand-oncte paternel, ivrogne, mort subitement. Mère,
convulsions
à 4 a71s. Grand- père maternel, enfant naturel.
sanguinité. Inégalité d'âge de 9 anus. Frère mort à deux mois /2 de
convulsions
. - Soeur, intelligente. Autre soeur, morte de b
t petite, physionomie régulière, aurait eu à plusieurs reprises des
convulsions
vers l'Age de 4 ans et aurait été atteinte de c
te normale; - 2° fille, 13 ans, bien portante, intelligente, pas de
convulsions
, tête normale; instruite (a son certificat d'ét
certificat d'études) ; 3° fille, morte à 5 ans de bronchite, pas de
convulsions
, tête bien conformée. 4° Notre malade. Rien à n
dents. A la naissance, il avait la tête Hydrocéphalie ; paralysie ;
CONVULSIONS
. 243 allongée, plus grosse que celle des autres
elles et de la distension des sutures. V... n'aurait jamais eu de
convulsions
. A 8 mois, la nourrice le remit à sa mère. L'en
nt fortement déviés. A4 ans, appa- rurent pour la première fois des
convulsions
. Vign... restait pendant une demi-heure environ
ydrocéphalie; cerveau. 253 père et mère de la mère de l'enfant, les
convulsions
1 d'un frère aîné ; mais bien que cette hérédit
le diagnostic. Les accès de colère à 3 ans, la parésie gauche, les
convulsions
apparaissant à 4 ans, les fai- bles progrès qu'
use. Oncle maternel, imbécile. Oncles et tantes maternels, morts de
convulsions
. Emotions durant la grossesse. Tête volumineuse
à la nais- sance; son développement progressif ; ses dimensions.
Convulsions
limitées à gauche (6 mois/ Hémiplégie consécuti
ernels, morts très âgés. - Six oncles ou tantes paternels, morts de
convulsions
. - Une tante et un oncle paternels, morts phtis
Bron- chites répétées durant les trois premières années. -Pas de
convulsions
. Onanisme constant. Premier accès épilep- tique
és et alcooliques. - Cousin germain, idiot. Sept cousins morts de
convulsions
. Grand-oncle maternel, bègue. Pas de consanguin
ue. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge d'un an. Soeur morte de
convulsions
et deux autres de congestion cérébrale. Chute à
usions, sauf 3 bien portants. Une soeur a perdu son premier né de
convulsions
ayant duré 15 jours. Aucune tare, ni indice neu
Différence d'âge d'un an. Onze enfants : I° fille morte à 5 mois de
convulsions
; 2° fille mariée, bien portante ainsi que ses
2 jours ; 4° fille de 19 ans, intelligente, en bonne santé; pas de
convulsions
; 5° garçon, mort à 5 mois de congestion cérébra
brale sans convul- sions ; 6° garçon de 15 ans, intelligent, pas de
convulsions
; 79 autre garçon, mort à 5 mois d'accidents cé
; 79 autre garçon, mort à 5 mois d'accidents cérébraux ( ? ) sans
convulsions
; 8° garçon, 13 ans, 9° garçon de 10 ans, bien
ibles et restait presque continuellement immobile. Il n'avait eu ni
convulsions
, ni paralysie, ni con- tracture. A 4 ans, Che
ns. Début de la marche, 3 ans et demi. Début de la parole, 4 ans.
Convulsions
à 2 ans. Gâtisme. Rougeole. Tics. Etat actuel.
ésentant un léger strabisme, bien que n'ayant jamais eu, dit-on, de
convulsions
. Aucun autre détail sur la famille de la mère.]
- S<112g LL217.1 t . Grossesse : Emotion à G mois. - Premières
convulsions
à 4 mois. - Réapparition des convulsions à 3 an
tion à G mois. - Premières convulsions à 4 mois. - Réapparition des
convulsions
à 3 ans. État de rial. - Accès de colère. Cris.
ans, bien por- tant intelligent, parlant bien, n'ayant jamais eu de
convulsions
. Notre malade. Rien de particulier à la concept
s l'âge de 4 mois, au dire de la nourrice, l'enfant a eu de petites
convulsions
, il pleurait, se roidissait et tournait les yeu
- chait pas, ne disait rien. A partir de cette époque, il eut des
convulsions
quotidiennes, mais ne portant que sur les yeux.
tidiennes, mais ne portant que sur les yeux. A partir de 3 ans, les
convulsions
se généralisèrent, atteigni- rent les membres;
roit. L'enfant remuait sa langue et écumait légèrement. Parfois les
convulsions
se répétaient, devenaient subintrantes et déter
leuse. Pas de co11sa11yuinité. Frère aine, mort tuberculeux. soeur,
convulsions
internes légè- res. Conception probablement d
probablement durant l'ivresse. Frayeur et mélrorrhagie au 7e mois.
Convulsions
fréquentes de 3 mois ci `t alls 1/2. - Disparit
Convulsions fréquentes de 3 mois ci `t alls 1/2. - Disparition des
convulsions
à 5 ans. Début de la marche à un an et demi; de
t à 3 ans, tuberculeux, parais- sant intelligent et normal ; pas de
convulsions
; 2" Une fille, 10 ans, intelligente et bien po
t intelligente. Dans le premier âge, elle avait eu quelques légères
convulsions
internes. - 5° Une fille, chétive, morte à 14 m
e, chétive, morte à 14 mois, on ne sait de quoi. Elle n'a pas eu de
convulsions
et paraissait intelligente. Notre malade. - La
igés de la soutenir au moyen d'ap- pareils. A trois mois, premières
convulsions
durant seulement quelques minutes. Moq ? depuis
301 propre durant la nuit. Depuis l'âge de deux ans et demi, les
convulsions
ont diminué d'intensité et de fréquence. Elles se
e. Peur durant la grossesse. Syphilis vaccinale probable. Jamais de
convulsions
. - Fugues. - Hernie ombilicale. Ophtalmie. Cach
ants touchant les grands- parents. Six frères : 1° un mort jeune de
convulsions
, attri- buées aux dents ; 2° un autre mort noyé
chute de la mère, mort à 7 jours. - Aucun de ces enfants n'a eu de
convulsions
. Notre malade. - Rien de particulier à la conce
pendant ce temps continuait à l'allaiter. L'enfant n'a jamais eu de
convulsions
. Première dent à 7 ou 8 mois ; les autres dents
e ( ? ). Oncle paternel, ivrogne. Tante paternelle, morte enfant de
convulsions
. - Têtes volumineuses dans la famille du père (
vulsions. - Têtes volumineuses dans la famille du père ( ? ). Mère,
convulsions
à 18 mois, fièvre typhoïde avec délire .'c 10 a
demi- (de mère), morte à 3 ans 1/2 d'accidents méningitiques avec
convulsions
. Aucun renseignement sur les grands parents, ni
ménin- gite; 4° un garçon, mort à trois mois, du carreau ; pas de
convulsions
, tête normale; 5° notre malade; Une fille, âgée
rougeole. Cette enfant, qui paraissait intelligente, n'avait eu ni
convulsions
, ni para- lysie. Elle avait la tête grosse, le
de ne pouvoir se maintenir droite. Val... n'eut alors ni fièvre, ni
convulsions
, ni syncopes. Ses yeux, petit à petit, revinrent
ère paternel, excès de boisson. Tante paternelle, suicidée. - Mère,
convulsions
de l'en- fance, suivies de strabisme ; alcoolis
e) où elle a succombé. Dans son enfance, elle avait été atteinte de
convulsions
. Un certain degré de stra- bisme persistant en
à caution, aurait affirmé au père que l'enfant n'avait jamais eu de
convulsions
, ni de maladies graves durant le séjour qu'il f
oit ; - Par nOUJL\'EVlUÆ et Paul FEIUUEU. Sommaire. Père nerveux,
convulsions
de l'enfance ; fièvres intermittentes probables
Cousin paternel, excès de boisson, aliéné. Oncle pater- nel mort de
convulsions
. - Mère sujette à des névralgies faciales. - Gr
ère de l'enfant.) - Père, 29 ans, facteur des postes. Aurait eu des
convulsions
dans l'enfance ; pas de fièvre typhoïde, de mig
insolation. Il faisait des excès de boisson. - Un frère est mort de
convulsions
. Des 5 autres, un a été réformé pour faiblesse
arçon, 18 mois très bien portant, fort, avancé pour son âge; pas de
convulsions
; - 2° notre malade. Notre malade. - Rien de p
ne dent récemment formée encore. A 18 jours, elle fut atteinte de
convulsions
. La face était bleue, les yeux roulaient. On ne
« se raidissaient droits ». On n'a pas remarqué de secousses. La
convulsion
durait une minute, revenait au bout d'une demi-
es ascendants paternels, l'alcoolisme, des accidents cérébraux, des
convulsions
; chez un collatéral, l'alcoolisme et la folie
s accidents surajoutés à l'hérédité ont préparé le terrain pour les
convulsions
qui, surve- nues au 18° jour de la vie, ont per
nous venons d'émettre au sujet de la genèse du pseudo-kyste, les
convulsions
prolongées et l'état concomittant consti- tuera
ent là rieux. - Asphyxie et déformation crânienne à la n sance. -
Convulsions
dès le premier jour. Seconds convulsions à 4 mo
rânienne à la n sance. - Convulsions dès le premier jour. Seconds
convulsions
à 4 mois. - Début de la parole à 18 mo8 Premièr
de chaudière dans une chandellerie de Gentilly, n'aurait pas eu de
convulsions
dans son enfance; ni 24 Antécédents. fièvre t
x sont bien portants ainsi que leurs enfants qui n'ont jamais eu de
convulsions
; 3 sont morts, 2 par accident : l'un écrasé par
t mariée, a 3 enfants en excellente santé et qui n'ont jamais eu de
convulsions
. - Deux autres soeurs sont mortes, l'une à 18 a
riminels, prostituées, etc.] Mère, 37 ans, blanchisseuse, n'a eu ni
convulsions
, ni fièvre typhoïde, ni migraines. Parfois à la
t tous des enfants également en bonne santé; aucun n'aurait eu de
convulsions
dans son jeune âge. - Une soeur, sans antécédents
d'affections fébriles de longue durée et n'ayant jamais présenté de
convulsions
. - Da le reste de la famille, ni aliénés, ni ép
femme qu'après une demi- heure de soins. Presqu'aussitôt il eut des
convulsions
. Elles consistaient, si nous on croyons le père
es du corps portant seulement sur le côté gauche. La durée de ces
convulsions
était de 2 à 3 minutes et une rémission de 10 à 1
mère le 51 jour. Il fut sevré à 22 mois. - A4 4 mois, de nouvelles
convulsions
se manifestèrent; la tête en fut seule le siège
x, et grimaces sans prédominance à droite ou à gauche. Pas d'autres
convulsions
. Début de la parole à 18 mois. - Première dent
uée d'un état convulsif. La situation s'est aggravée, à 6 mois. Les
convulsions
sont susceptibles d'être rattachées. à une sclé
al... vint asphyxié à sa naissance et mourut deux heures après. Les
convulsions
liées sans doute à l'asphyxie, limitées aux mem
onclure que là est la cause du gâtisme. VI. Nous avons vu que les
convulsions
, au dire des parents, siégeaient exclusivement
t à mois. - Marche et parole à 20 mois. Méningite à 2 ans 1/2, auec
convulsions
, suivies de para- lysie du côté droit avec impo
de l'athétose. - Début de l'épilepsie à 3 ans; prédo- minance des
convulsions
dans le côté droit (paralysé). Kleptomanie. - I
e après le sommeil. Elle n'accuse aucun antécédent nerveux tels que
convulsions
de l'enfance, attaques de nerfs etc. Pas de mal
ns. 4 enfants : 1° une fille morte de la variole à 20 jours, sans
convulsions
; - 2° notre malade ; - 3° un garçon de 7 ans, i
malade ; - 3° un garçon de 7 ans, intelligent, bien portant, pas de
convulsions
; - 40 une fille de 4 ans en parfaite santé. N
ger et il resta encore un mois et demi dans le même état. Il eu des
convulsions
dans les 15 derniers jours. Ces 40 Hémiplégie D
15 derniers jours. Ces 40 Hémiplégie DROITE; aphasie transitoire.
convulsions
, sur les caractères desquelles on ne peut fournir
gite qui aurait duré près de deux mois et aurait été accompagnée de
convulsions
fréquentes, suivies d'une paralysie du côté dro
rnel violent; excès de boisson. - Deux frères et une soeur morts de
convulsions
. - Pas de consan- guinité. Inégalité d'âge de 3
e produite par la vue d'un épi- leptique. - Méningite à 4 mois auec
convulsions
( ? ). - Marche, parole, propreté, mastication
mort à deux ans de fièvre typhoïde; - 4o fille, morte à deux ans de
convulsions
prolongées ; la durée et les phénomènes de la m
à deux ans d'angine diphtérique; - 6° garçon, mort à deux ans avec
convulsions
; - 7° fille, morte du croup à 18 mois; - 80 gar
7° fille, morte du croup à 18 mois; - 80 garçon, mort à 13 mois de
convulsions
; - 9° fille, 4 ans, bien portante, intel- ligen
nvulsions; - 9° fille, 4 ans, bien portante, intel- ligente, pas de
convulsions
; - 100 fille, 10 ans et demi, bien portante, p
de convulsions ; - 100 fille, 10 ans et demi, bien portante, pas de
convulsions
. 41 Notre malade. - Au moment de la conception,
tante jusqu'à 4 mois. A cette époque, elle a eu une méningite, avec
convulsions
toniques et cloniques à la 4e semaine de la mal
onvulsions toniques et cloniques à la 4e semaine de la maladie; Ces
convulsions
duraient de 15 à 20 minutes. Elles se répétaien
fois par jour. Depuis lors, l'enfant a toujours présenté les mêmes
convulsions
, et n'a pour ainsi dire fait aucun progrès. Ell
otie méningitique ; Pau BOURNEVILLE et J. NOIR. SOMMAIRE. - Père,
convulsions
, fièvre typhoïde avec délire violent. - Alcooli
que. - G1'and'mère paternelle, aliénée.- Cousin ger- main maternel,
convulsions
, méningite. Cousine mater- nelle, suicidée. - F
l, convulsions, méningite. Cousine mater- nelle, suicidée. - Frère,
convulsions
, mort de méningite. - Demi-soeur paternelle, co
. - Frère, convulsions, mort de méningite. - Demi-soeur paternelle,
convulsions
et tuberculose. Grossesse : vomissements jusqu'
sesse : vomissements jusqu'à 4 mois, chute à G mois, lipothymies. -
Convulsions
répétées à un av, acres de colèî,e . - P),eiiii
t demi. - Mobilité exces- sive. - Coqueluche il 3 ans et demi, avec
convulsions
et probablement méningite ( ? ). - T ic.s. - Ro
e département de la Nièvre. Il aurait eu jusqu'à l'âge de 7 ans des
convulsions
sur le caractère desquelles on ne peut avoir au
ne peut avoir aucun renseignement ; toujours est-il que la dernière
convulsion
fut si violente qu'on le crut mort. A cet âge,
natal, elle y aurait joui d'une santé parfaite, n'aurait pas eu de
convulsions
durant son enfance. Ses premières dents ne sera
porte bien; elle est mariée et a 3 enfants; l'aînée aurait eu des
convulsions
et aurait été atteinte d'une méningite quali- f
qu'un cri » durant toute sa vie. Il a eu conti- > nuellement des
convulsions
; - 2" fille, G ans 1/2, intelligente, douce, as
ille, G ans 1/2, intelligente, douce, assez nerveuse, n'a pas eu de
convulsions
; - 3° Notre malade. Rappelons que le père de l'
des Enfants Mala- des, cle tuberculose. Cette enfant aurait eu des
convulsions
durant toute sa vie. Notre malade. A la conce
on datent de l'époque de la dentition. L'enfant fut alors pris de
convulsions
fréquentes, survenant par attaques portant sur
l'aurait fort éprouvé. Le médecin, effrayé par le nombre cle ses
convulsions
, aurait parlé de méningite et lui aurait fait a
e sur le développement de l'enfant. III. Il est à remarquer que les
convulsions
attribuées à la dentition furent les premiers s
Chute durant la grossesse. - accouchement laborieux. - z Jamais de
convulsions
. - Rougeole à 4 ans ( ? ). Marche, parole, préh
gne de démence ou d'alié- nation.] Mère, 38 ans, nia jamais eu de
convulsions
ou de maladies Antécédents PERSONNELS. 79 ner
amais eu de convul- sions; - 30 tille, 9 ans, bien portante, pas de
convulsions
, intelligente et pas nerveuse ; - 4° garçon, 4
rès bel enfant, très intelligent, parlant bien; il n'a jamais eu de
convulsions
. Notre malade. - Rien de particulier à la conce
succès. Th... pleurait beaucoup étant tout enfant. Il n'a pas eu de
convulsions
. La mère affirme qu'il n'a jamais été malade, q
ui parait dater de la naissance. On ne saurait ici faire entrer les
convulsions
en lignci de compte puisqu'on aflirme qu'il n'e
nr. - Père et grand père paternel, quelques excès de boisson. Mèi'e
convulsions
de l'enfance, nerveuse. Grand oncle paternel nz
nerveux. Emotion vive au cinquième mois de la grossesse. Pre bières
convulsions
à 3 mots ; crises fré z quentes jusqu'à 4 ans.
, de criminels ou de prostituées.] Mère, 38 ans, ménagère, a eu des
convulsions
au moment de la dentition. A onze ans, abcès de
plus que sa femme. Cinq enfants : 1° une fille, 11 ans, jamais de
convulsions
, habituellement bien portante, coléreuse, nerve
nerveuse et irritable, ntelligente; 2° fille, 10 ans, n'a pas eu de
convulsions
, a Antécédents personnels. 91 eu un abcès fro
e, 13 mois, parait vigoureusement constituée pour son âge; pas de
convulsions
. Notre malade. Rien de particulier ne s'est pas
ement un peu sur les jambes, mais il ne marche pas. Les premières
convulsions
se sont montrées vers trois mois; Elles avaient
ées et le côté droit était particulièrf- ment atteint. A 2 ans, ces
convulsions
augmentèrent de fré- quence. Elles diminuèrent
par une sorte d'aura' l'enfant pleurait, rougissait, puis avait des
convulsions
cloniques qui siégeaient surtout dans le bras d
de la crise était annoncée par une pâleur de la face. Durant ses
convulsions
, il avait les poings fermés, le pouce en dedans.
oisson chez le père et. le grand-père paternel de l'enfant et des
convulsions
de la mère durant son enfance, convulsions qui
nel de l'enfant et des convulsions de la mère durant son enfance,
convulsions
qui ont produit un certain degré d'arrié- ratio
n la maladie mentale. Ici, par exemple, nous voyons que ce sont les
convulsions
qui ont attiré l"at- 100 Double porencéphalie v
de développement congénital. Il est juste de recon- naître que les
convulsions
sont venues il 3 mois et que, à moins d'avoir u
ne description psychique com- parative à cet âge. En tout cas ces
convulsions
nous semblent devoir être rattachées aux lésion
cès de boisson, mort de laryngite tuber- culeuse. - Oncle paternel,
convulsions
de l'enfance, mort de phthisie. - Autre oncle-
onvulsions de l'enfance, mort de phthisie. - Autre oncle- paternel,
convulsions
de l'en- fanez Mère, excès de boisson, morte ph
urtout par l'oncle de l'enfant, le 22 avril 1892.) - Père, a eu des
convulsions
dans l'enfance. Pas de chorée, de rhumatis- mes
nite cervicale pour laquelle il a été réformé. Tous deux ont eu des
convulsions
dans l'enfance. Uhe ,'11'111', sans enfants, bi
re, morte phtisique, iL 3G ans, en 1891. On ignore si elle a eu des
convulsions
dans l'enfance ; elle aurait eu une fièvre typh
intelligent, connaissait bien ses parents. On ne sait s'il a eu des
convulsions
. On ne peut donner aucun rensei- gnement sur le
arait bien avoir eu des convulsiuns toniques, puis quelques légères
convulsions
cloniques. Ces phénomènes, accompagnés de pâleu
te se tournait il droite; mais il n'y avait aucune prédominance des
convulsions
d'un côté du corps. L'enfant n'avait pas de ver
vive et coléreuse. - Cousin idiot ne parlant pas. Un frère, mort de
convulsions
. - Un autre frère mort du carreau, à 3 ans. - U
rticulier. Première dent à 10 mois. Dentition complète à 2 ans. -
Convulsions
dites internes à 3 semailles, se reproduisant q
° fausse couche de 3 mois; 3° fille, 21 ans, domes- tietfie, pas de
convulsions
de l'enfance, pas d'accidents nerveux, bien por
e; - 4° garçon, mort à 2 ans avec 118 Antécédents personnels. des
convulsions
, bien portant et intelligent auparavant ; 5° ga
rçon, 16 ans, intelligent, a son certificat d'études, n'a pas eu de
convulsions
; - 7° gar- çon, 14 ans, de bonne santé mais un
nté mais un peu sauvage et n'apprend guère en classe, n'a pas eu de
convulsions
; - 8° fille, 13 ans et 9° garçon, 12 ans, pas
eu de convulsions ; - 8° fille, 13 ans et 9° garçon, 12 ans, pas de
convulsions
, bien portants et intel. ligents ; - 10° garçon
ulsions, intelligent; 11° fille, 6 ans, saine, intelligente, pas de
convulsions
; - 12° notre malade; 13° fille, morte à 2 ans
malade; 13° fille, morte à 2 ans d'une bronchite, sans avoir eu de
convulsions
, intelligente ; - 14° fille, 5 mois, se dévelop
ille, 5 mois, se développe bien. Ces deux dernières n'ont pas eu de
convulsions
. Notre malade. Rien de particulier il laconcept
ant la suture fronto-pa- riétale. - 25 juin : violentes attaques de
convulsions
épileptiques. - 26 juin : nouvelles attaques qu
L'opéra- tion a été faite le 22 juin 1890; elle a été suivie de «
convulsions
épileptiques» , ce qui montre, soit dit en pass
e l'hémisphère droit; , Par BOURNEVILLE et NOIR. SOMMAIRE. Père :
convulsions
de l'enfance, nerveux, sujet à des céphalalgies
rnel mort tuberculeux. - Grand' tante et cousins paternels morts de
convulsions
. - Mère : céphalalgies, mélancolie. - A1Tièl'e
ies, mélancolie. - A1Tièl'e -g¡'and-pè¡'e maternel, suicidé.-Frère,
convulsions
et méningite. - Soelo', con- vulsions auec hémi
à 4 mois. Dentition complète à 3 ans 9/2. Peur à six mois suivie de
convulsions
courtes et répétées. prédominant dans tout le c
2.) - Père, 69 ans, em- ployé à la Compagnie d'Orléans; il a eu des
convulsions
de l'enfance et est sourd à droite depuis sa na
nts, morts à 4 ou 5 ans, un d'eux aurait eu à sa mort de nombreuses
convulsions
. Un second oncle paternel disparut à la guerre
rut à la guerre de Crimée. - Une tante maternelle mourut à 3 ans de
convulsions
Une soeur, 41 ans, est bien portante ainsi que
41 ans, est bien portante ainsi que ses cinq en- fants ; jamais de
convulsions
. Pas d'idiots, d'aliénés; d'épi- leptiques, de
ne). - Egalité d'âge. . Trois enfants : 1° garçon, 12 ans, a eu des
convulsions
très fortes étant petit et à 5 ans, il aurait é
cédé à cette affection, il apprend . à l'école ; - 2° fille, 7 ans,
convulsions
au moment de la den- tition. Elle fut à la suit
ois, époque où il commençait à se tenir seul debout, il fut pris de
convulsions
. Tout le corps fut secoué par une sorte de trem
des mouvements convul- sifs des plus violents. Depuis les premières
convulsions
, la main droite avait de la tendance à se mettr
ois enfants issus de ce mariage. II. A 9 mois, II.. a été pris de
convulsions
prédo- minant dans le cote droit, se reproduisa
ès le début, et d'épilep- sie spinale. Bien que les détails sur les
convulsions
soient incomplets, leur existence, leur prédomi
de consanguinité. I-négà- lité d'âge de huit mois. Soeur, morte de
convulsions
à 4 mois. Asphyxie complète à la naissance. e
rche à Sans. - Accès de cris datant probablement de la naissance. -
Convulsions
à' J huit mois suivies de paralysie incomplète
rère. Mariée, elle a 2 enfants intelligents, qui n'ont jamais eu de
convulsions
. Un frère sobre, non nerveux, a un garçon sain,
idés ni criminels ou prostituées]. Mère, 40 ans. ni migraines, ni
convulsions
, ni dartres, etc. ; - [Père, sobre, mort d'une
ois enfants : 10 notre malade; - 2° fille, 13 ans, n'a jamais eu de
convulsions
, est fort intelligente ; notons pourtant qu'elle
'à 15 mois et parlé qu'à 20 mois; -3^ fille, morte à quatre mois de
convulsions
qui auraient duré deux jours. Notre malade. R
nourrice on prétend ne s'être jamais aperçu que l'enfant ait eu des
convulsions
. La mère a constaté deux fois seule- ment des c
it eu des convulsions. La mère a constaté deux fois seule- ment des
convulsions
: « leur durée maximum n'a jamais excédé deux m
tefois, se tenir sur la réserve au sujet de l'existence ou non de
convulsions
pendant que l'enfant était en nour- rice, car à
induration corroborait les dires de la nourrice sur l'absence de
convulsions
graves. Signalons enfin l'aspect chagriné de qu
morte de la rupture d'un anévrisme aortique. Grand-oncle paternel,
convulsions
dans l'enfance avec déformation des pieds, tail
des pieds, taille exiguë. Deux grand'tantes paternelles, mortes de
convulsions
. Oncle paternel, mort de méningite. Autre oncle
sesse. Accouchement à 7 mois. - Enfant très-petite à ta naissance ;
convulsions
probables à 3 jours, se répétant cinq ou six fo
fant le 28 mai.) - Père, 32 ar.s, imprimeur en taille douce. Pas de
convulsions
, pas de fièvre typhoïde, de rhumatisme, de chor
les dix oncles ou tantes maternels, un seul est vivant; il a eu des
convulsions
à 6 mois, et a porté « des mécaniques aux jambe
ga- les. -- Deux tantes maternelles sont mortes toutes jeunes, de
convulsions
. - De quatre frères, aucun n'est vivant : un d'eu
que la mère prit pour du rire, et que la grand'mère croit être des
convulsions
. L'enfant avait les yeux convulsés en haut, les
1). Nous notons encore dans la famille paternelle, plusieurs cas de
convulsions
, la méningite, l'éclnm2sie, etc. L'état nerveux
avant terme (7 mois). L'enfant n'a survécu que difficilement et les
convulsions
qu'elle a eues, dès le troisième jour, étaient
ce avant terme (8 mois). Allaitement au lait de chèvre. - Premières
convulsions
à 3 jours, ayant duré pendant 4 ou 5 heures Pre
t duré pendant 4 ou 5 heures Premières dents à 6 mois. - Secondes
convulsions
à 6 mois. -Marche des convulsions de 6 mois à 4
mières dents à 6 mois. - Secondes convulsions à 6 mois. -Marche des
convulsions
de 6 mois à 4 ans. - Rémission des convulsions
6 mois. -Marche des convulsions de 6 mois à 4 ans. - Rémission des
convulsions
de 4 ans à 6 ans 1/2 Parole etpropreté précoces
es. - Marche à 18 mois. - Rougeole à 6 ans 1/2 suivie du retour des
convulsions
. - Rémission de 6 ans 1/2 à 7 ans. - A 7 ans, p
n de 6 ans 1/2 à 7 ans. - A 7 ans, peur vive suivie le lendemain de
convulsions
qui ont duré 3/4 d'heure. - A partir de là, éto
ste, au teint rouge, paraissant intelligente. Elle n'a jamais eu de
convulsions
, de fièvre typhoïde, de migraines, de rhumatism
Un frère et ses trois enfants se portent bien et n'ont jamais eu de
convulsions
. - Une soeur sans enfants, est très nerveuse ;
ans 1/2 rien ne se produisit. A 6 ans 1/2' rou- geole compliquée de
convulsions
nouvelles. - A 7 ans, son père rentre ivre, une
rch... ne rendormit, mais dès le lendemain, il avait une série de
convulsions
qui durèrent trois quarts d'heure. Depuis cette
L'enfant, né à huit mois, a eu, trois jours après sa naissance, des
convulsions
. Ce sont elles qu'il faut rendre responsables d
les qu'il faut rendre responsables de l'épilepsie ultérieure. Ces
convulsions
ont été d'emblée généralisées à tout le corps.
iser exactement l'époque où a débuté l'épilepsie et où finirent les
convulsions
. Il nous parait vraisemblable que la « série de
les convulsions. Il nous parait vraisemblable que la « série des
convulsions
» qui succéda à la frayeur nocturne éprou- vée
qu'elle s'élève durant l'état de mal épileptique. Chez March. les
convulsions
ont prédominé tantôt d'un côté tantôt de l'autr
de commerce, ni 208 Antécédents héréditaires. fièvre typhoïde, ni
convulsions
; pas de chorée, de rhumatis- mes, d'affections
utres étaient forts et vigoureux.] Mère, 46 ans, couturière. Pas de
convulsions
; fièvre mu- queuse à l'âge de 5 ans. Pas de cho
» En aoùt 1891, il eut des symptômes méningitiques; il avait des
convulsions
des yeux, se frottait le front continuelle- men
revenant à. 11ttel'iJ lUes de plus en plus éloignés. Rémission des
convulsions
à un an. Parole nulle. Demi-parésie à droite ue
ère, 31 ans, teinturier, très vif de caractère. Il n'a jamais eu de
convulsions
, de fièvre typhoïde, de chorée, de rhumatismes,
en oouc;hcs. E11· n'auraitjawais été malade et n'aurait présenté ni
convulsions
, ni fièvre typhoïde. [Père, mort à 50 ans, on n
dentition. La parole est encore nulle à l'heure présente. Premières
convulsions
à 2 jou-s. Elles ont duré tres-peu et portaient
IPTION DU malade. face). Il tordait peu ses bras et ses jambes. Les
convulsions
se sont de nouveau montrées à intervalles éloig
de consanguinité. Egalié d'âge. -Grossesse tourmentée. - Premières
convulsions
à 14 mois, prédominant à droite, répétées duran
A 14 mois, après l'apparition de sa première dent, survinrent des
convulsions
sans cause apparente. Elles durèrent une Descri
s nettement du côté droit et accompagnées de pâleur de la face. Les
convulsions
se répétèrent très fréquemment durant 3 jours e
celles de 14 mois. Gob ? n'a jamais pu marcher. Av nt ses premières
convulsions
, il prononçait quelques mots, mais depuis il n'
ement des enfants de son âge. A cette époque, plusieurs séries de
convulsions
prédominant à droite ont eu pour con- séquence
au restaurant Duval; auparavant cafe- tier en Bourgogne, n'a eu ni
convulsions
, ni fièvre typhoïde, ni rhumatisme, ni dartres,
ni paralysés, ni suicidés, ni débauchées]. Mère, 27 ans, n'a eu ni
convulsions
dans l'enfance, ni fièvre typhoïde, ni chorée,
- mois. Elle a commencé à parler à 13 mois. Elle n'a jamais eu de
convulsion
? fut très bien portante, très enjouée, jusqu'à
de Marie B. aurait dit à la mère de celle-ci que sa fille avait des
convulsions
. Dans le service où elle a passé, il aurait été
aternel ? mort de congestion cérébrale. - Cou- sin germain, mort de
convulsions
. Soeur convulsions de t'e)tm.ce ? lutresceur, m
ongestion cérébrale. - Cou- sin germain, mort de convulsions. Soeur
convulsions
de t'e)tm.ce ? lutresceur, morte de convulsions
convulsions. Soeur convulsions de t'e)tm.ce ? lutresceur, morte de
convulsions
. Conception durant l'ivresse. - Naissance a 7 m
enu propre et mis en pantalon. Antécédents héréditaires. 259 de
convulsions
». Cette maladie aurait duré deux jours. - La g
es. (vingt-sept ans) n'ayant jamais eu d'accidents nerveux, ni de
convulsions
, toujours bien portante. D'un caractère gai et vi
riée et a eu 2 filles : une de ces dernières est morte en ayant des
convulsions
, l'autre a tou- jours joui d'une bonne santé, e
morts on bas Age, les 2 autres sont bien portants, aucun n'a eu de
convulsions
; 3" un gar- Pire. 14. Antécédents personnels.
1 çon (vingt-quatre ans), sobre et intelligent, n'a jamais eu de
convulsions
; 4° une fille morte à onze mois de méningite av
ines, les ongles commencèrent à pousser. Il fut pris à deux mois de
convulsions
très courtes et très rapi- des se manifestant p
8 ans, voyageur de 294 Antécédents héréditaires. commerce. Pas de
convulsions
, pas de fièvre typhoïde, migrai- neux, assez ne
ébauchés, de criminels. Mère, 40 ans, forte, bien portante ; pas de
convulsions
. Pas de scrofules, de rhumatismes, etc ? elle e
; différence d'Age de 3 ans. 4 enfants : 10 garçon, 23 ans, pas de
convulsions
, n'a jamais été malade, sobre; - 2- fille, 15 a
mais été malade, sobre; - 2- fille, 15 ans, pas de chorée, pas de
convulsions
, etc.; - 30 notre malade ; - 4° garçon, 3 ans,
convulsions, etc.; - 30 notre malade ; - 4° garçon, 3 ans, pas de
convulsions
. Notre malade. - Rien de particulier au moment
E. - Père et grand père paternel quelques excès de boisson. - Mère,
convulsions
de l'enfance, nerveuse. - Grand-oncle paternel,
nts nerveux. - Émotion vive au 5e mois de la grossesse. - Premières
convulsions
à 3 mois; crises fréquentes jusqu'à un an. - Ro
laborieux. - Asphyxie et déformation crânienne à la naissance. -
Convulsions
dès le premier jour. - Secondes convulsions à 4
ienne à la naissance. - Convulsions dès le premier jour. - Secondes
convulsions
à 4 mois. - Début de la parole à 18 mois. - Pre
ve et coléreuse. - Cousin idiot, ne parlant pas.- Un frère, mort de
convulsions
. Un autre frère, mort du carreau à 3 ans. Une s
particulier. Première dent à 10 mois. Dentition complète à 2 ans.
Convulsions
dites internes à 3 semaines, se reproduisant qu
ère paternel, excès de boisson. Tante paternelle, suicidée. - Mère,
convulsions
de l'en- fi212ce, suivies de strabisme ; alcool
sson. - Parole nulle. - Marche à 2 êlns t/2 et incom- plète. Pas de
convulsions
. Affaiblissement paralytique du côté gauche. -
- Grand' tante maternelle, migraineuse. - Soeur de mère, morte de
convulsions
. - Enfant naturel : arrêt de développement et t
issance (microcéphalie très prononcée et prognathisme supérieur). -
Convulsions
répétées à un an. Fugues solitaires. Imitation
mmis ions. Enfant normal jus- qu'à 17 mois époque où ont débuté les
convulsions
. Répétition des convulsions toutes les nuits pe
qu'à 17 mois époque où ont débuté les convulsions. Répétition des
convulsions
toutes les nuits pendant 2 semaines : accès de
t 2 semaines : accès de colère, dur à élever. - il 3 ans, nouvelles
convulsions
, tous les soirs, pendant une semaine. - Aggrava
ternelles, débauchées. Deux oncles et un cousin paternels, morts de
convulsions
. Grand-oncle paternel, excès cle boisson. - Gra
nd-père maternel, excès de tous genres. - Trois frères ont eu des
convulsions
. - Conception probable durant l'ivresse. Premiè
es convulsions. - Conception probable durant l'ivresse. Premières
convulsions
une heure après la naissance, revenant à divers
Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de deux ans. Soeur, morte de
convulsions
. Con- ception durant l'ivresse. - Première dent
défectueuse : ne se sert pas de la cuiller. - N'aurait jamais eu de
convulsions
. - Amélioration très remarquable ; développemen
à ta nais- sance. Première dent et marche à 14 mois. - Premières
convulsions
à un mois. Retour mensuel ou bi-mensuel des con
Premières convulsions à un mois. Retour mensuel ou bi-mensuel des
convulsions
jusqu'à cinq ans. - Crises plus rares à partir
ot, considèrent comme une forme grave de l'hystérie, dans laquelle la
convulsion
à forme épileptique ap-paraîtrait, comme elle app
ance de la névrose, que le même procédé à l'aide duquel on arrête les
convulsions
parvient toujours à en triompher. La compres-sion
'une femme saine d'esprit, mais sujette à des accidents hystériques —
convulsions
avec perte de connaissance, céphalalgies, bourdon
re, tes yeux se ferment, les traits se contractent agités de quelques
convulsions
bioniques. Il se produit à ce moment un bruit lar
les prodromes de l'attaque, les secousses sont comme le prélude de la
convulsion
épileptiforme, et dans les quelques se-condes qui
iforme qui présente les caractères habituels : perte de connaissance,
convulsions
toniques généralisées, puis mouvements cloniques,
ceux dont il s'agit maintenant précèdent immédiatement l'éclosion des
convulsions
dont ils sont pour ainsi dire le prélude obligé.
que de la même région peut, par une action tout opposée,, arrêter les
convulsions
qu'elle a servi à provoquer. L'étude de ce curi
itation ait une influence marquée sur le développement ou l'arrêt des
convulsions
. Tout le monde connaît les recherches si intére
posé, et il suffit de l'attouchement le plus léger pour provoquer les
convulsions
épileptiques. La simple action de souffler amène
e pression exercée sur les apophyses épi-neuses pouvait provoquer des
convulsions
et même des attaques. Dans d'autres cas, c'est un
tion périphérique de certains territoires nerveux donne naissance aux
convulsions
, je me bornerai à constater l'existence chez les
one dorsale inférieure. 3. Zone latérale postérieure de Suz. N...
convulsions
. L'excitation du point symétrique au côté droit d
1'). L'excitation d'un seul de ces points suffit pour déterminer les
convulsions
. Portée sur le milieu du sternum, l'excitation de
le moindre contact va occasionner la décharge. En effet, lorsque les
convulsions
ont eu lieu et que la malade, si l'on veut bien m
arer les coups ou à en porter. Une première excitation occasionne les
convulsions
, une seconde amène l'arrêt immédiat de ces mômes
onne les convulsions, une seconde amène l'arrêt immédiat de ces mômes
convulsions
. Ce fait est déjà connu depuis longtemps pour ce
nt un peu, l'attaque con-vulsive ne tardait pas à suivre. A peine les
convulsions
ont-elles dé-buté, qu'une pression un peu plus fo
Ainsi un léger attouche-ment dans le dos de Bar... amène aussitôt les
convulsions
, qui à peine commencées peuvent être aussitôt enr
s avons parlé. J'ajouterai qu'en général l'excitation qui arrête la
convulsion
doit être plus forte que celle qui la détermine.
s, en même temps que spasmes viscéraux et perte de connaissance; 2°
Convulsion
clonique des muscles tétanisés ; 3° Résolution
un de ces moyens n'a pu non seulement enrayer, mais même atténuer les
convulsions
de l'épilepsie vraie. Afin de préciser autant q
ig, il. — N°l. Grands mouvements N° 2. Tctanismc ou immobilité iNo 3.
Convulsions
cloniques ; N°Î4. Sommeil convulsions toniques.
ctanismc ou immobilité iNo 3. Convulsions cloniques ; N°Î4. Sommeil
convulsions
toniques. tonique, secousses. slertoreux- lè2EP
obilité Tonique ou Tétanisme A.Delahaye et IMecrosnier. étude des
convulsions
externes que nous nous sommes particuliè-rement a
on musculaire pendant les mouvements convulsifs du bras. Et comme les
convulsions
lorsqu'elles sont générales, comme c'est le cas i
es deux épaules, droite ou tournée de côté, les traits sont animés de
convulsions
rapides. La partie supérieure du tronc se soulève
par une nouvelle excitation du point hystérogène, on fait cesser les
convulsions
en même temps que l'on ramène la connaissance, la
nt de rien, ni de l'orage, ni des coups de ton-nerre, ni du début des
convulsions
. Deux de ses compagnes, également hystéro-épilept
trois fois on lui présente la lettre, trois fois elle est reprise de
convulsions
, et, au sortir de chaque accès, elle n'a nulle-me
t. La compression ovarienne permet de faire cesser tout d'un coup les
convulsions
, à quelque moment de l'attaque qu'on la pratique,
e., et qui semble être la marque d'une tétanisation incomplète. Ces
convulsions
toniques ont une physionomie particulière sui-1.
tournant habituellement la face du côté du corps où pré-dominent les
convulsions
, ou bien demeure rectiligne, un peu penchée en av
toujours à peu près de la même façon. Ce sont bien là les véritables
convulsions
toniques. Le plus souvent les bras exécutent de g
t analogue, se fléchissant et s'étendant tour à tour avec lenteur. La
convulsion
se montre quelquefois d'un seul côté, et un seul
b). — Phase tonique avec immobilisation. (Pl. II, p. 41.) Après les
convulsions
toniques, la malade se trouve bientôt im-mobilisé
e de la troisième période. (Fig. 21.) Enfin il semble que la grande
convulsion
tonique du début puisse être immobilisée à un mom
orte la fixer. Marc..., qui présente à un si haut degré les grandes
convulsions
toniques dont nous avons parlé, offre également e
phase clonique dont il s'agit : les muscles de l'abdomen sont pris de
convulsions
cloniques comme celles de tout le corps, et il en
s ioniques; les bras s'élèvent et s'abaissent en se fléchissant. C,
Convulsions
cloniques. L'immobilité tonique fait défaut. S. S
t de leur vitesse. La résolution musculaire s'opère peu à peu, et les
convulsions
cloniques dégénèrent en grandes secousses qui dev
appliqué sur les muscles de la région antérieure do l'avant-bras. T»
Convulsions
toniques. S. Grandes secousses, remarquables pa
assin soulevé, et le tronc tourné sur le côté. 2° Phase clonique. —
Convulsions
cloniques généralisées. hlg. Jd.— iuAocis pm» a
'avanl-bras. S. Secousses du dc'buf, T. Grands mouvements toniques.
Convulsions
cloniques. S. Secousses. prend une importance c
entée par les grands mouvements toniques. Par leur exagération, ces
convulsions
toniques contribuent à donner à la, variété démon
rayant qu'on lui connaît. c) Je n'insisterai pas sur la variété des
convulsions
toniques et des attitudes du tétanisme. Il en a é
a phase épileptoïde (fig. 29, n° 1). e) Dans d'autres cas, quelques
convulsions
cloniques ou quelques secousses rapides peuvent r
les plus variés. Première période. — Tétanisme généralisé suivi de
convulsions
cloniques dans les membres et dans la face. L'écu
iode est représentée par quelques grands mouvements oniques suivis de
convulsions
cloniques : tout d'un coup la respiration s'ar-rê
rases entre-coupées marquer la troisième période. Le plus souvent les
convulsions
toniques décrites plus haut, survenant tout d'un
, les paupières battent, la face rougit, l'écume vient aux lèvres. La
convulsion
de sa face produit une espèce de rictus. Tout le
c'est le début de son attaque, mais elle ne perd pas connaissance. La
convulsion
s'arrête, son bras droit demeure contracture, le
xacerbation de la contracture, les grands mouvements toniques, et les
convulsions
cloniques des membres et des muscles de la face
uche. Elle offre ceci de particulier qu'au moment où vont éclater les
convulsions
, elle voit tout en rouge. 26 septembre 79. —Jul
es membres exécutent les grands mouvements toniques déjà décrits. Les
convulsions
cloniques qui suivent sont plus fortement accentu
ours aux infirmières qui sont chargées de les maintenir pendant leurs
convulsions
. 23 mars 1870. La crise commence à 7 heures. Er
elle exécute des mouvements singuliers, toutes les autres auront des
convulsions
singulières. J'ai eu il y a quelque temps, dans m
eait la durée. Si au début de la crise l'hémorragie reparaissait, les
convulsions
étaient bien plus tôt terminées. Notre première
-ment accusés les phénomènes qui caractérisent la deuxième pé-riode :
convulsions
violentes qu'il est difficile de maîtriser, mou-v
sont parfaitement indiquées: « Elle était en proie à des crises de
convulsions
non précédées d'aura (ou du moins je n'en ai pu s
onds prodigieux ; dans une autre période, c'était un autre genre de
convulsion
; son corps s'arc-boutait sur le sinciput et les t
mois, dans lesquelles, à la perte de connaissance, se joignaient des
convulsions
plus ou moins intenses. » En arrivantàla demeur
s. On me dit que, dans ses crises, cet arc de cercle était précédé de
convulsions
épileptiformes, et cela plusieurs fois par jour.
uer comme une petite fille. » Il était facile, d'après la forme des
convulsions
et d'après ces quelques renseignements, de reconn
s. Le choc électrique ou la douche ont seuls le pouvoir d'enrayer les
convulsions
et de ramener la connaissance. L'insensibilité cu
résolution et le calme. 2° Cet entr'acte est suivi d'une période de
convulsions
et de grands mou-vements. Ce sont des arcs de cer
iration s'entend à peine et s'arrête. Les membres ont de véritables
convulsions
toniques : ce sont de grands mouvements de circum
nt tour à tour fléchir et étendre les bras et les jambes. Après les
convulsions
toniques apparaît le tétanisme. La malade est dan
éorisé est agité de secousses et de saccades. (Phase clonique.) Ces
convulsions
cloniques de tout le corps cessent peu à peu, tou
onnoissance sans gonflements de la poitrine ou du cou, sans spasme ni
convulsions
: elle dura^environ dix minutes; mêmes attaques p
sur l'arrêt des attaques et celle de la musique sur la vio-lence des
convulsions
. TROISIÈME OBSERVATION2. Elisabeth-Pierrette
a jeune malade en avait pris neuf, lorsqu'elle éprouva une attaque de
convulsion
très forte, qui revint tous les huit ou dix jours
ccès de-vinrent plus rares mais plus forts. Ils furent accompagnés de
convulsions
de tous les muscles du tronc et des extrémités.
mèrent insensiblement par l'application de deux sinapismes. Alors les
convulsions
recommencèrent avec la même violence qu'auparavan
incomplète d'hystérie grave. La malade présenta des symptômes variés,
convulsions
, syncopes fréquentes, et de plus d'une heure de d
ours... etc. Au sujet des crises l'auteur s'exprime ainsi : « Les
convulsions
n'avaient lieu qu'cà l'approche des règles : alor
te, dans laquelle les hallucinations et le délire qui succédaient aux
convulsions
présentaient les caractères de la troisième et de
fait tirer la langue : la peau est rouge et pâle alternativement; les
convulsions
et le calme y ramènent tour à tour le froid et la
accès se renouvellent assez souvent, avec perte de connaissance; ses
convulsions
sont très intenses, et parfois précédées de cris
es, inarticulés. Si l'on continuait à la toucher, elle était prise de
convulsions
violentes pendant lesquelles elle exécutait les m
rte de connaissance du monde exté-rieur arrive l'attaque convulsive à
convulsions
larges, étendues, égales ; le tronc se courbe en
le, morte il y a cinq ans; père bien portant; pas de frère ni sœur.
Convulsions
dans la première enfance. A seize ans, n'ayant ja
i avait été indisposée toute la journée, eut une attaque avec grandes
convulsions
hystériques du tronc et des mem-bres. Quoique cam
t à la fois. Notre malade a d'abord une attaque hystérique : spasmes,
convulsions
étendues, les bras s'agitent en tous sens comme c
es; le seul enfant qu'ait eu la malade est mort à huit jours dans des
convulsions
qui avaient com-mencé à l'instant de la naissance
enseignements fournis par la malade sont exacts. La malade a eu des
convulsions
à l'âge de cinq ans. Depuis lors elle a toujours
langue) ; à cet âge ont paru de longues attaques avec cris et grandes
convulsions
. La malade a été traitée par M. Falret, à la Salp
t-Yon. Pendant le travail de l'accouchement (août 1860), elle eut des[
convulsions
que l'on ap-pela de l'éclampsie. Avant sa couche
paraissent la boule, la dysphagie, les spasmes du larynx et enfin les
convulsions
étendues et très fortes du tronc et des membres.
la figure, se tire les cheveux; projection obscénique du bassin; les
convulsions
sont telles qu'il faut quelque fois la camisole d
ut. différents. La mousse avait cessé, mais tout le corps fut pris de
convulsions
violentes, de secousses pro-longées et saccadées
, d'autres fois peu intense et parfois même nul. Ensuite viennent des
convulsions
cloniques pendant lesquelles le malade a de l'écu
attaque sur les-quelles nous reviendrons plus loin. Il y est parlé de
convulsions
consistant en « une série de mouvements rapides »
auche. Enfin l'influence de la com-pression ovarienne sur l'arrêt des
convulsions
est également in-diquée. Le Dr Leidesdorf de Vi
at de sommeil, avec les yeux ouverts. Une fois, elle tomba, mais sans
convulsions
. Elle essayait de résister à ce sommeil, mais en
it perte rapide de conscience et chute. On observait alors de légères
convulsions
clo-niques du côté gauche de la face, du bras et
première ne différait en rien d'un accès épileptique ordinaire, avec
convulsions
unilatérales. Il y avait habituellement perte com
les attaquesde C. s... Le nitrite d'amyle arrêtait immédiatement les
convulsions
, mais celles-ci reparaissaient dès que l'administ
mie sorte d'opislhotonos, d'autres fois c'est un emprosthotonos; ces
convulsions
se prolongent plus ou moins, puis cessent pour re
état de rêvasserie ou de somnam-bulisme. » La distinction entre les
convulsions
de la première et celles de la deuxième période
aissance, et tantôt ils la perdent entièrement. Chez les premiers les
convulsions
sont moins intenses; ce ne sont, pour ainsi dire,
et donnent à la physionomie une simple expression de souffrance; les
convulsions
consistent en de grands mouvements de flexion et
» Mais chez les malades qui perdent complètement la connaissance, les
convulsions
sont ordinairement plus intenses, et se rapproche
sse exister encore lorsque, à une perte subite de connaissance, à des
convulsions
violentes, se trouve jointe la circonstance de la
ce de la lividité de la face, de l'écoulement d'une bave écumeuse, de
convulsions
plus prononcées 1. Dict. de méd. et de chir. pr
le passage de l'air qui est difficile... » Suit la description des
convulsions
qui ont pour caractère dominant la violence et la
t à la flexion ou à l'extension des membres. Chez quelques malades la
convulsion
devient tonique, etc. Gendrin2 signale comme se
nfeld1 après avoir décrit comme symptômes de l'attaque hystérique les
convulsions
qui se rattachent plus particulière-ment à notre
ière-ment à notre deuxième période, ajoute : « Pendant la durée des
convulsions
, il n'est pas rare devoir survenir un délire asse
ue d'hystérie vulgaire, le passage sui-vant a manifestement trait aux
convulsions
épileptiformes de la pre-mière période : ' « La
e temps de l'accès que nous venons de signaler est très court, et des
convulsions
plus ou moins générales (2° période) suc-cèdent i
iption de Bernutz se rapproche beaucoup de celle de Briquet : « Ces
convulsions
, qui ont, lorsqu'elles sont types, une physionomi
passions de l'âme, et celle de toutes les sensations. » Pendant les
convulsions
, les malades sont souvent prises d'un délire plus
térie s'est développée à la suite d'une vive frayeur ont toujours des
convulsions
1res fortes, pendant lesquelles elles se débatten
uet s'exprime comme il suit : ((Après avoir duré quelque temps, les
convulsions
cessent... la connais-sance revient, mais à peine
ême époque, la personne dont il s'agit eut un accès d'hystérie et des
convulsions
qui durèrent huit jours. Il se passa ensuite plus
enstruelles n'ayant pas lieu, elle était prise, de temps en temps, de
convulsions
hystériques accompagnées d'hémorragies peu abonda
e fixaient ses regards; elle fut de nouveau tour-mentée par de fortes
convulsions
et par des suffocations, mais elle ne tarda pas à
nt jusqu'au gosier; alors elle étouffe, perd connaissance et tombe en
convulsion
avec écume à la bouche, etc. Ces considérations
e terreur, elle crut voir un fantôme, et immé-diatement elle tomba en
convulsions
. Ce premier accès dura pendant quarante huit heur
el qu'on la croirait plongée dans un sommeil paisible; puis, quelques
convulsions
se déclarent, et l'éva-nouissement se prolonge en
s yeux, respiration stertoreuse, mélange de raideurs tétaniques et de
convulsions
cloniques; puis à la fin coma ou sanglots et pleu
plus haut degré d'intensité. « Ainsi le 22 janvier, entre autres, les
convulsions
épileptiformes se sont succédées sans interruptio
nes qui pour RICllER 19 tout autre se perdent dans le tumulte des
convulsions
, arriver à un diagnostic également certain. Dan
opisthotoniques, pendant lesquels le corps est extrêmement raide. La
convulsion
pourtant n'est pas semblable à celles que je vien
trois ordres essentiels de symp-tômes d'une attaque d'épilepsie : les
convulsions
externes, les spasmes vis-céraux, les perturbatio
fort (de la commotion épileptique) tout est si-multané : chute, cri,
convulsion
générale, cécité, perte de connaissance, spasme m
en avant comme sous l'action d'une violente décharge électrique; des
convulsions
toniques animent les muscles du visage; la ma-lad
, il n'y a qu'un pas à faire pour arriver aux peintures afFreuses des
convulsions
des pos-sédés. Or l'attaque hystéro-épiîeptique p
s extrêmement variés et que je vais décrire. La malade était prise de
convulsion
de tous les membres et des muscles du cou, de la
attaques chez Gen... La péiiode é[iileptoïde était réduite à quelques
convulsions
partielles de la face; puis les grandes salutatio
ux. Ilammond'î^ rapporte un cas d'hystéro-épilepsie dans lequel les
convulsions
consistaient en mouvements de tout le corps absol
s à l'hôpital de Pensyl-vanie, dnns le service du docteur Pepper, les
convulsions
consistèrent en une série de mouvements rapides,
e qu'elle avait vu ou en-tendu les jours précétlenls*. En oulrc des
convulsions
variées qui composent ordinairement la deuxième p
t précédées par les préludes ordi-naires des attaques de spasme ou de
convulsions
hystériques, de sorte que l'extase n'est qu'un de
un maximum de puissance intellectuelle, comme elles peuvent, dans les
convulsions
, arrivera un maximum de puissance musculaire. »
marquée par l'arrêt de la respiration, la turgescence de la face, la
convulsion
des yeux, le grincement des dents, l'écume à la b
mble-ment général très court et très léger, sans grands mouvements ni
convulsions
; nous n'avons remarqué aucun changement de colora
ouffissure du visage. L'enfant est bien portant et n'a jamais eu de
convulsions
. Le 15 mai dernier, second accouchement qui n'o
vive, le plus léger bruit, suffisaient pour faire naître de violentes
convulsions
, des syncopes, et jetaient parfois la malade dans
succèdent de fortes crises hystériques, elle se débat en proie à des
convulsions
très violentes et très longues. Le spasme a son p
ant deux jours, avec de rares et courtes interrup-tions. Tant que les
convulsions
duraient, l'enfant était sans connaissance, elle
ons d'observer les attaques délirantes complètement dégagées de toute
convulsion
. Cependant nous avons vu, pendant les derniers mo
l'inefficacité des différents procédés qui d'ordinaire enrayaient les
convulsions
. La compression ovarienne ne pouvait être main-te
des et de gestes les plus extravagants. Parfois elle a simplement des
convulsions
. C'est une jeune fdle de 18 ans. Sa mère a eu l
egardait les gens fixement, mais n'avait pas, à proprement parler, de
convulsions
. » A l'âge de dix-huit ans, elle est devenue fo
ité. Ne voit-on pas au miheu du désordre et de la variété infinie des
convulsions
, tm membre immobilisé tout d'un coup par ce fait
provoquée, un frémissement constant de la paupière su- périeure, la
convulsion
des globes oculaires dans diverses direc-tionsS e
és ou demi-clos: fré-missement persistant de la paupière supérieure ;
convulsion
des globes oculaires ; anesthésie totale et absol
e attaque convulsive nous avons plusieurs fois ar-rêté subitement les
convulsions
par la pression sur le sommet de la tête et amené
clignotement qui se rencontre dans la léthargie hysté-rique ; pas de
convulsion
des globes oculaires; quelquefois il y a du trism
signer dans un même tableau ; CATALEPSIE — Yeux ouverts. — Pas de
convulsion
des globes oculaires. — Pas de frémissement des
au membre. ÉTAT CATALEPTJFOUME ue la léthargie — Yeux fermés. ~
Convulsion
des globes oculaires. — Frémissement constant d
de sommeil depuis trente-huit heures environ. Elle aurait eu quelques
convulsions
arrêtées par la com-pression ovarienne exercée su
lgie intense, une grande sensibilité et irritabilité, peu de sommeil,
convulsions
générales, sans écume à la bouche; la force muscu
nerveux et un hoquet, puis des palpitations qui ont terminé avec des
convulsions
; ensuite la léthargie s'est déclarée : elle a dur
(( Le début de la léthargie, dit-il, avait toujours été précédé de
convulsions
ou de contt^action tonique des muscles, dont la d
des muscles, dont la durée avait été variable. — Chez plusieurs, ces
convulsions
s'étaient bornées à du trismus et à un peu de rai
te de cet accès. Monsieur, figurez-vous une hystérique en proie à une
convulsion
violente et supposez que, juste au mo-ment où ell
econd cas d'hystérie bien singulier dans lequel l'attaque composée de
convulsions
et de délire était arrêtée par la production du s
nt même se réduire à une simple agitation qui ne mérite pas le nom de
convulsion
. Nous avons vu aussi la malade à terre se trans
astralgie suraiguë qui persiste pendant toute la durée de la maladie,
convulsions
hystériques presque tous les jours en 1839; 18 se
oniques des membres, accompagnés de petits cris entrecoupés, et d'une
convulsion
des muscles de la face qui rappelle le pleurer à
ffocation utérine, à laquelle on voyait souvent succéder de violentes
convulsions
, et un délire bien plus spirituel que l'état sain
e de l'apoplexie. Le premier accès dura trois jours entiers, avec des
convulsions
si violentes de la mâchoire inférieure, qu'on ne
, dit Jaccoud au sujet de la des-cription de l'attaque hystérique, la
convulsion
fait place à un état d'extase, ou à une syncope,
ps pour simuler la mort réelle; ces phénomènes surviennent aussi sans
convulsions
antérieures (Dugès, Brächet), et ils peuvent donn
ttitudes de la troisième période. L'attaque se termine par quelques
convulsions
. Le 15. On observe pour la première fois de la
ts spasmodiques du larynx et du pharynx ; puis, après deux minutes de
convulsions
pendant lesquelles la malade écartait ses vêtemen
ou 15 minutes plus tard survenaient de la perte de connaissance, des
convulsions
épileptiformes, souvent entre-coupées de hoquets,
té droit de la face et du cou se contractent convulsivement, et cette
convulsion
paraît si douloureuse, qu'elle arrête la malade
Quel est le mode de combinaison du somnambulisme hystérique avec les
convulsions
, et à quel moment de l'attaque survient-il? Nou
grandi avec elle, et déjà ils avaient disparu que l'a-nesthésie et la
convulsion
existaient encore. L'extase, la catalepsie et l
le somnambulisme se reproduisent tou-. jours à la suite de violentes
convulsions
hystériques sans transi-' tion, et, par là même,
les derniers jours d'avril, ils avaient disparu com-plètement. Les
convulsions
étaient très violentes. Je ne relèverai, dans cet
orté cet accès plus haut au chapitre de la catalepsie (p. 466). Les
convulsions
hystériques et la catalepsie continuent à s'entre
omnambulisme du 29 décembre, à trois heures, madame X... est prise de
convulsions
d'une grande violence, puis elle se lève, s'habil
janvier. La scène fut bien diffé-rente : à trois heures du matin, la
convulsion
hystérique apparut beaucoup plus violente encore,
4 janvier commence ainsi. «A trois heures, ma-dame X... est prise de
convulsion
hystérique, d'extase avec hallucination, et entre
ation. Pùen ne put la convaincre; elle eut tout aussitôt une nouvelle
convulsion
, suivie de cata-lepsie, puis d'extase ; c'était u
épon-dait exactement aux périodes de somnambulisme. » Plus tard les
convulsions
hystériques elles-mêmes diminuent, elles sont rem
gea beaucoup. Mademoiselle S..., après les pleurs que terminaient les
convulsions
, ouvrit les yeux; il était minuit. L'épouvante la
t ainsi jusqu'à 9 h. 40 minutes. 9 h. 40 minutes. — Alors nouvelles
convulsions
, surtout du côté droit du corps, spasmes violents
30 minutes. —Début de l'accès, mousse aux lèvres. 10 heures. —Fin des
convulsions
, projections rhythmées du bassin. 10 h. 5 minutes
attaques composées de deux phases distinctes. Dans la première, les
convulsions
tantôt épileptiques, tantôt hys-tériques, réponde
de la connaissance et des sensibilités, cris : «Ma-man ! » maman ! y
convulsions
très fortes et très étendues des bras, du tronc e
ur de la connaissance il s'y mêle des accès épileptiques. Les grandes
convulsions
ayant cessé, les membres supérieurs restent étend
hystériques. Samedi dernier, à cinq heures du soir, il a até pris de
convulsions
avec rires et pleurs. Cet état était accompagné d
tion dans laquelle les crises de somnambulisme se terminaient par des
convulsions
hystériques épileptiformes ^ Lise T..., tempéra
M. Moissenet sous le titre d'Ob-servation de sommation spontanée avec
convulsions
hystériformes^, le début des scènes de somnambuli
à l'état normal spontané ou provoqué était toujours si-gnalé par des
convulsions
cloniques, générales ou partielles, des pleurs et
nque autre que la parente, par sa mère même, l'enfant est prise d'une
convulsion
qui lui fait pousser un cri aigu et se rejeter au
igts que la tante ap-plique sur le bras de l'enfant; immédiatement la
convulsion
commence; elle cesse dès qu'il l'enlève et recomm
érie. On observa également l'a-phonie, le délire, le tremblement, les
convulsions
violentes, et même le somnambulisme naturel. i.
res sont fortement serrées, le corps est comme soulevé au milieu, les
convulsions
toniques durent de quinze à vingt secondes, et so
lsions toniques durent de quinze à vingt secondes, et sont suivies de
convulsions
cloniques très prolongées. L'animal est toujours
res. La température rectale est de 39°8. Il a également pendant les
convulsions
une évacuation d'urine et de ma-tières fécales. L
t les convulsions une évacuation d'urine et de ma-tières fécales. Les
convulsions
cloniques persistent pendant deux minutes et demi
ment rapprochées qu'elles deviennent subintrantes. Dans celles-ci les
convulsions
toniques sont beaucoup moins fortes et remplacées
iques sont beaucoup moins fortes et remplacées immé-diatement par des
convulsions
cloniques. Les yeux sont injectés, les pupilles t
emière attaque, il s'est écoulé environ une demi-heure. Peu à qeu les
convulsions
cessent et on voit apparaître les petites convuls
. Peu à qeu les convulsions cessent et on voit apparaître les petites
convulsions
du début. L'animal paraît revenir un peu à lui. I
e deuxième crise semblable à la première, avec perte de connaissance,
convulsions
, écume à la bouche, et morsure à la langue. La ch
à\Ye, qui ne présente pas au nom-bre de ses symptômes les attaques de
convulsion
même atténuées. On la rencontre souvent chez les
envahir'en quelques instants tout le côté malade. Il survint même des
convulsions
générales et pendant plusieurs jours sa vie fut e
ts névropathiques en rapport avec l'a-nesthésie, l'hypcresthésie, les
convulsions
, les rétrocessions, antéversions de l'u-térus et
es affectés de vertige, ou petit mal, que chez ceux qui n'ont que des
convulsions
violentes, ou grand mal. Morel partage la môme
dit Esquirol, que les vertiges, dont la durée est si courte, dont les
convulsions
sont à peine apercevables, aient une action plus
s funeste sur le cerveau que les accès complets d'épilepsie, dont les
convulsions
sont plus violentes et plus durables? Peu à peu
ns. L'intelligence a considérable-ment baissé depuis l'âge de 29 ans.
Convulsions
de la première enfance ; a eu depuis des vertiges
njections sous-cutanées Ao. chlorhydrate de morphine, font cesser les
convulsions
, amènent la résolution, et plongent la malade dan
erches cliniques et thérapeu-tiques sur Vépilepsie et l'hystérie. Les
convulsions
sont immé-diatement enrayées; et de plus, l'usage
atténuent l'intensité, et éloignent ou même écartent complètement les
convulsions
. La glace agit surtout sur les spasmes viscéraux
ire du côté où siège l'ovarie amène d'or-dinaire l'arrêt immédiat des
convulsions
. Ce procédé employé au-trefois, mais complètement
qu'une première excitation de ces zones d'hyperesthésie provoque les
convulsions
, une nouvelle excitation peut les arrêter. L'im
yen de calmer la surexcitation nerveuse et d'atténuer la violence des
convulsions
. Mesmer avait reconnu les effets de la musique
evue, n" 1. IbbJ. 3. Des rapports entre Vhystérie et les affections
convulsions
épidémiques liées à la folie religieuse, comme la
nde attaque; les contorsions qui se trouvaient mêlées à la danse; les
convulsions
à forme épileptique qui inauguraient parfois les
aladie était complètement développée, les accès commen-çaient par des
convulsions
épileptiques. Les malades tombaient à terre, hale
ons s'adjoindre les longues périodes délirantes. En dehors de leurs
convulsions
les possédés faisaient des discours et pro-féraie
our persister dans leur vaga-bondage. Ils imitaient les gestes et les
convulsions
des malades, et répan-daient la contagion en parc
t voisin de celui de Gertrude tomba la pre-mière dans des attaques de
convulsions
: à la suite des paroxysmes, sa raison parut égar
t délirer sur les matières qui ont trait à la damna-tion. Bientôt les
convulsions
et les idées déraisonnables purent être notées su
loc. cit. t. I, p. 270. RICHER. 40 Les principaux caractères des
convulsions
sont indiqués dans les passages suivants : « Da
ce de ces secousses nerveuses ^. » « Nous pouvons ici rapporter les
convulsions
monstrueuses et innombrables avenues aux nonnains
de reconnaître ceux qui étaient autour d'elles, encore qu'à cause des
convulsions
de la langue et des parties servant à la respirat
e, nommée Jerdith, laquelle j'ai vu tourmentée du diable par étranges
convulsions
, car d lui serrait la gorge tellement qu'elle ne
ronon-ciation du nom de Grandier, étaient surprises de troubles et de
convulsions
et à la confrontation où les médecins ont été pré
pour y voir les possédées. Après avoir examiné très-attentivement les
convulsions
des reli-gieuses, il déclara au capucin Tranquill
la voilà qui pousse des hurlements épouvantables et paraît agitée des
convulsions
les plus violentes *. » 1. « Et ne voyez-vous p
ur la tête, par exemple. Il ressort également du même passage que les
convulsions
une fois développées, se succédaient dans un cert
ion M. le commissaire dresse des procès-verbaux ^ » Les attaques de
convulsion
des religieuses n'attendaient pas toujours pour é
s par la vertu des exorcismes. D'ailleurs, au dire des exorcistes, la
convulsion
était la marque de la présence du démon qui contr
dit autel. Pendant la messe a eu ladite supérieure plu-sieurs grandes
convulsions
, avait les bras tournés et les mains aussi, et le
mandé comment s'appelait le démon qui était là. Et la supérieure avec
convulsions
et résistances l'a enfin nommé Asmodée. Puis il l
eurs fois ; mais la supérieure n'a rien répondu. Etant revenue de ses
convulsions
, avons dit audit Barré qu'il l'interrogeât si ell
l l'interrogeât si elle se souvenait de ce qui s'était passé dans ses
convulsions
. Et lui ayant demandé, a dit ne se souvenir d'auc
venir de ce qui se passait à l'entrée et au commencement de ses dites
convulsions
, pour ce que par le rituel l'exorciste est averti
uvements de l'esprit et du corps de la possédée dans l'instant de ses
convulsions
. Et lors elle a répondu qu'elle avait envie de bl
te sœur laye ayant été piquée fortuitement au bras durant ses grandes
convulsions
, elle aurad dit : « Otez-moi cette épingle, elle
urait demandé si elle se souvenait de ce qui s'était passé durant ses
convulsions
, a dit qu'oui, et que ledit Barré lui avait fait
rnés audit couvent, » A eu ladite supérieure encore plusieurs grandes
convulsions
comme à la ma-tinée de ce jour; en l'une d'icelle
e ladite supérieure aurait eu plusieurs grandes violentes et étranges
convulsions
, et semblables à cedes du jour précédent. Durant
r donner la communion à ladite supérieure, la-quelle a eu beaucoup de
convulsions
, et eu des mouvements très violents, s'est efforc
la connaissance de la vérité... Pen-dant tout ce temps a eu plusieurs
convulsions
, et à l'une d'icelles s'est levée sur sa couche,
sadite couche. Ce qu'avons trouvé de plus étrange en ses plus grandes
convulsions
, est qu'après iceiles elle ne paraissait guère pl
e ne paraissait guère plus haute en couleur ni plus émue. Les grandes
convulsions
étant passées, elle aurait dit d'elle-même par de
es Chauvet, Aubry, Daniel Drouyn, Thibault commis-greffier ^. » Ces
convulsions
qui marquaient le début des exorcismes n'étaient
an é fait plusieurs exorcismes pour faire entrer ladite supérieure en
convulsion
et faire parler son prétendu démon. Et pour cet e
exciter l'autre ainsi qu'il disait 2.,. » Chez une même malade les
convulsions
suivant la forme qu'elles revê-taient étaient att
nt commandé à ce démon d'approcher de la » fille, elle tomba dans une
convulsion
générale de tout son corps : que sa face » change
'il lui avait fait, il mit le corps de la prieure dans une effroyable
convulsion
, tirant une langue horriblement difforme, noirâtr
sa sainte Mère, pendant lesquelles la supérieure ayant eu de grandes
convulsions
, fut déliée, parce qu'on s'imagina que le démon v
ence qu'elle eût été capable de faire fente et contrefente, tomber en
convulsion
et y faire des mouvements, les uns d'une sorte, l
que chansons lascives, mouvements étranges de toute sorte de nature,
convulsions
, concussions, battements des pieds et des mains,
boule, tantôt en d'épouvantables figures! Quelles fréquentes et rudes
convulsions
en de si délicates créatures, et avec tant de réi
e croirai que les hommes sensés et judicieux feront passer toutes ces
convulsions
pour maladie, et tous ces étranges mouvements et
tous les fameux médecins est ceci qu'd est du tout impossible que des
convulsions
, et de si terribles, arrivent naturrellement par
lles sont saines, bien que depuis quatre ans elles aient souffert des
convulsions
de nuit et de jour et que trois ou quatre heures,
es jours, environ l'espace d'un an, des plus horribles contorsions et
convulsions
, et des plus furieux mouvements, de toutes sortes
hèmes par la bouche de la fille » Un autre auteur dépeint ainsi les
convulsions
. « ... Durant ces fureurs et ces rages elles fo
lsions. « ... Durant ces fureurs et ces rages elles font d'étranges
convulsions
et contor-sions de leurs corps, et entre autres s
ssi égal, que si rien ne leur fut arrivé K » A côté des attaques de
convulsion
on observe des attaques de délire, soit que celle
rcle avec des efforts apparemment insupportables à la nature. » Les
convulsions
horribles et universelles par tous les membres, a
orée, les yeux fermés, et les médecins disaient que c'était une égale
convulsion
et distension de toutes les parties du corps, qu'
e; mais, comme eWes,plusieurs eurent des Iiallucinations et enfin des
convulsions
; toutes éprouvèrent la sensation d'un corps qui,
is aussitôt un affreux bouleversement se produit, on ne voit plus que
convulsions
sur tous les points, on n'entend plus que des cri
Voici, au sujet de la vertu qu'ont les objets sacrés de provoquer les
convulsions
, un fait qui se rapproche beaucoup de l'histoire
culier qu'elle n'existait que sur les parties du corps qui étaient en
convulsion
. Si la convulsion était générale, l'aneslhésie l'
xistait que sur les parties du corps qui étaient en convulsion. Si la
convulsion
était générale, l'aneslhésie l'était de même. Mai
e est dans la forme des accès. A Morzines il y avait prédominance des
convulsions
, à Verzegnis les attaques étaient plus particuliè
gnes d'hystérie : boule, gastralgie, etc., auxquels se joignirent des
convulsions
qui bientôt firent croire a la possibilité d'une
rémonie décida définitivement de la forme de la maladie. Les accès de
convulsions
devinrent de véritables crises démoniaques avec r
e; mais, en juillet 1878, plusieurs autres femmes furent atteintes de
convulsions
. Comme à Morzines, l'épidémie fit de rapides pr
é 2. » Pendant cette première période il n'est aucunement question de
convulsions
. 2" époque. — Jusque vers la fin d'août 1731, l
t même la terre qui l'environnait. Mais dans le mois d'août 1731, les
convulsions
apparaissent, et suivant l'ex-pression des ferven
es malades fut de les faire passer par des douleurs très vives et des
convulsions
très extraordinaires et très violentes. » Dans le
olentes. » Dans les récits qui ont été laissés de ces miracles et des
convulsions
qui les accom-pagnaient, il est aisé de reconnaît
avec les caractères qu'elle devait revêtir plus tard. Peu à peu, les
convulsions
devinrent plus fréquentes, et la foule des convul
ns dans tous les quartiers de Paris et jusque dans les provinces. Des
convulsions
bien plus surprenantes que toutes celles qui avai
u jusqu'alors prirent tout à coup une multitude de personnes. » Aux
convulsions
, on vit alors se joindre les prédictions, les dis
acu- 1. « Dès qu'on commença à persécuter les convulsionnaires, les
convulsions
se multi-plièrent plus que jamais, elles prirent
fait porter au tombeau du diacre Paris, elle y est prise de violentes
convulsions
. La même scène se répète cinq jours de suite, pui
les prin-cipaux caractères des accès léthargiques et des attaques de
convulsion
. Il est facile d'y reconnaître les traits de di
t cessé, ma fille reprit un peu ses esprits et sa force. » Dans les
convulsions
qui se déclarent le même jour, pendant qu'elle es
le revint â elle comme si elle sortait d'un songe. » A la suite des
convulsions
de ce jour elle recouvra la voix. Les jours sui
onvulsions de ce jour elle recouvra la voix. Les jours suivants les
convulsions
se répétèrent avec les mêmes caractères; le 18 el
is du haut mal..... (Elle est tombée, dit un des assistants, en des
convulsions
qui lui causaient un tremblement et un raidisseme
personne voulut qu'on me reportât sur le tombeau; il me reprit des
convulsions
encore plus violentes qu'auparavant, mais eUes fu
urcroy, qui fut guérie d'une contracture du pied gauche, fut prise de
convulsions
dans les circonstances suivantes qu'elle rapporte
vements qui firent dire à tous ceux qui étaient auprès de moi que les
convulsions
m'allaient prendre. A ce mot de convulsion me rap
ent auprès de moi que les convulsions m'allaient prendre. A ce mot de
convulsion
me rappelant les cris que j'avais entendus sous l
de la mort que je voyais si proche l'emporta enfin sur la crainte des
convulsions
, et je priai qu'on m'allât chercher de la terre d
r. Dans le cours de ces mouvements violents qui étaient de véritables
convulsions
, je perdis con-naissance. Aussitôt qu'ils furent
ire, quoique je l'aie ressentie très souvent depuis à la suite de mes
convulsions
. » La nature hystérique de semblables attaques
ette malade de nouveaux détails intéressants au sujet de la forme des
convulsions
. On peut reconnaître après la phase épileptoïde l
que, comme sa jambe gauche s'agitait avec une extrême force dans les
convulsion
qui lui prenaient tous les jours, cela lui faisai
modité qu'elle avait à ce pied. J'ai été plusieurs fois témoin de ses
convulsions
: elles commençaient par ^p tremblement universel
emoiselle de Lamaque) la demoiselle Fourcroy étant dans le fort de sa
convulsion
et paraissant évidemment sans connaissance se déc
ait en elle pendant ses accès hystériques, affirmait que toujours ses
convulsions
commençaient au tom-beau de Paris, par un engourd
et dans un lieu trop étroit pour qu'on pût suivre le mouvement de mes
convulsions
, je souf-frais plus qu'à l'ordinaire parce que me
ccidents, aussitôt que je sentais l'engourdissement qui précédait les
convulsions
, et c'est ainsi que souvent je les ai éprouvées s
aise où je perdis la connaissance. Revenue à moi-même, il me prit des
convulsions
si terribles qu'il fallut trois ou quatre personn
e tous les jours sur la tombe, et chaque fois j'éprouvais les mêmes
convulsions
que la première, souvent même plus grandes et en
souvent même plus grandes et en plus grand nombre. Dans le fort de la
convulsion
, je perdais la connaissance qui me revenait après
de la convulsion, je perdais la connaissance qui me revenait après la
convulsion
passée. Je les ai éprouvées aussi à la maison tou
qu'elles me laissaient la connaissance; mais presqu'aus-sitôt que ces
convulsions
étaient cessées, mes douleurs cessaient aussi...
e récit abrégé de l'observation suivante; on y trouvera jointes à des
convulsions
d'une violence extrême des phases de-délire furie
à peu près jusqu'à la hau-teur du plancher. Apres quoi, elle fit des
convulsions
de tête et des bras; et ses mamelles, sortant de
eur habituel. A peine eut-elle commencé à accuser ses péchés, que les
convulsions
devinrent plus intenses, qu'elle perdit l'usage d
les convulsionnaires, a soin de nous faire remarquer que les accès de
convulsion
, tout effrayants qu'ils étaient au dehors, ne lai
ure aux personnes qui en étaient atteintes. Après avoir dit que les
convulsions
avaient au premier abord un extérieur bien ed'ray
on sur la populace qui suivait les convul-sionnaires à la piste. « En
convulsion
, leur âme est bien plus dégagée des sens que dans
up plus d'esprit, de pénétration et d'intelligence lorsqu'ils sont en
convulsion
que dans leur état ordinaire. On voit jusqu'à des
t qu'ignorance, stupidité, basse naissance, qui, dès qu'elles sont en
convulsion
, parlent néanmoins très exacte 1. Carre de Mont
ude de faits qui prouvent invinci-blement que le fait ordinaire de la
convulsion
est de donner à l'âme plus de lu-mière et d'activ
cevoir les choses même les plus élevées... Line jeune enfant, hors de
convulsion
, était d'abord si timide et si farouche, qu'on ne
elle paraissait presque imbécile. Cependant, aussitôt qu'ehe était en
convulsion
, elle répondait à tout avec tant de justesse, ell
is aux fidèles sur te mélange, etc., n» 4. qui élail, poiiée par la
convulsion
à se déchirer le visage avec les ongles et à se j
rps, dans toutes leurs façons d'agir ; et ipioique l'instinct de leur
convulsion
leur fasse faire alors des raisonnements à la man
om de secours, avaient pour but, au dire dos partisans de VOEuvre des
convulsions
, d'apporter du soulagement au milieu des angoisse
convulsions, d'apporter du soulagement au milieu des angoisses de la
convulsion
, et en second lieu, de faire éclater la protectio
a question au point de vue physiologique, l'auteur du Naturalisme des
convulsions
: .....Mais encore, le naturalisme des convulsi
Naturalisme des convulsions : .....Mais encore, le naturalisme des
convulsions
est-il obscurément montré dans ces coups que le
n sont soulagés, au moins n'en sont- 1. Hecquet, Le naturalisme des
convulsions
dans les maladies de répidémie convulsion-naire.
s. Cependant tous les 1. De I..an, Dissertation théologique sur les
convulsions
, p. 70, 71. — Dom Latasie, t. 11, ]). 787, cité p
ieds ou quatre pieds et demi au plus. La jeune soeur Marie entre en
convulsions
. Je séparerai les articles qui la regardent. A
e développer en France, sous l'influence religieuse, des épidémies de
convulsions
parmi lesquelles une des plus remarquables est ce
hodiste en Gornouailles, guaire 7Wi7/e per-soimes tom-bèrent dans des
convulsions
. Un revival américain qui eut lieu vers le mili
avres ^ » Le revival méthodiste de Gornoiiailles se signala par des
convulsions
: (( Lesgens atteints étaient alors si peu préo
de l'agonie ou à ceux poussés dans les douleurs de l'enfantement, des
convulsions
des muscles des paupières, — les yeux fixes et ha
observa des se-cousses générales ou partielles, des aboiements et des
convulsions
bizarres, que l'on peut mettre sur le compte des
près être restés dans cet état quinze à vingt minutes,étaient pris de
convulsions
généralisées qui n'avaient pas chez tous une égal
rmés, et ses mouvemeids n'étaient pas exagérés ; puis elle tombait en
convulsion
. Les uns étaient pris de la manie de sauter, les
ants sur un camp-meeting méthodiste de 1800. On y trouve signalés les
convulsions
, les cris, l'écume aux lèvres, le délire, et la p
entôt ou vit un assez grand nombre des assistants trembler, entrer en
convulsions
, s'a-giter comme des forcenés, se rouler, écumer
eux les marques de l'action divine sur les pécheurs, c'est-à-dire les
convulsions
. Naturellement les jeunes dlles étaient les pre-m
ille. Un grand nombre de ces créatures étaient en proie à d'horribles
convulsions
, et, quand le tumulte fut parvenu à son plus haut
peine au matin de la vie, frappées de terreur, livrées à d'affreuses
convulsions
, affaiblies et énervées pour toujours. Je remarqu
camp-meelings, n'est pas moins intéressant. Mêmes scènes de terreur,
convulsions
, contorsions, délire, cris, etc., tout ce qu'il f
ne violente angoisse morale, elle crie, sanglote, puis tombe dans des
convulsions
plus ou moins longues et plus ou moins violentes;
on haletante, tremble-ment, douleurs dans certaines parties du corps,
convulsions
, secousses, sauts, tournoiements, danse, évanouis
ies centrales de la Suède, une épidémie d'ex-tase religieuse mêlée de
convulsions
, dont les analogies avec les symptômes do la gran
onden, serait l'état oii se trouvent les malades après une attaque de
convulsion
, lorsqu'ils tombent soudain sans connaissance, ou
frir. A dix-huit ans, elle eut une violente maladie, des crampes, des
convulsions
, des hémorrliagies, dont elle guérit im-parfaitem
joues; la langue épaissie semble être collée au palais desséché, les
convulsions
redoublent sans cesse plus profondes et plus fort
Bicêtre. - Arrière grand'mère morte de paralysie. Cousine germaine,
convulsions
dans l'enfance. Mère, rhumatisme articulaire ai
ans. Une tante paternelle, en bonne santé, a un enfant qui a eu des
convulsions
en nourrice. Dans le reste de la famille aucun
, 80 ans, rien il nott;r. Un frère et deux soeurs n'ont pas eu de
convulsions
ni de chorée. Aucun antécédent morbide dans Ant
tour à tour. 1/ëtëuafeu)' de la paupière supérieure est le siège de
convulsions
qui se suivent it des intervalles très rapproch
le coude, l'épaule. C'est au pouce que prédomine l'intensité des
convulsions
. L'abduction, l'adduction, sont les mouvements
nnés. Membres inférieurs. De même qu'aux membres infé- rieurs les
convulsions
dominent surtout au niveau des extré- mités, du
erveux du côté paternel (ataxie locomotrice, paralysie progressive,
convulsions
) et du côté mater- nel des névralgies chez la m
à 2 ans ¡ /2' Parole : quelques mots à 2 ans, très passagèrement. -
Convulsions
à un mois, troubles di- gestifs. - Gâtisme. Rou
e au cou. » Cet enfant n'aurait eu aucun accident nerveux et pas de
convulsions
; - 2° garçon mort né, venu à 8 mois. 3° Notre
uis plus d'un an, . Dès l'âge de quatre mois, l'enfant fut prise de
convulsions
. Elle se raidissait, portait les mains en arriè
ait, portait les mains en arrière et tenait ses yeux.- en haut. Les
convulsions
auraient été assez fréquen- tes et survenaient
n'est pas d'une famille à antécédents pathologiques nombreux. Les
convulsions
qui se sont manifestées à l'âge de 4 mois ne pa
as de consanguinité, inégalité d'âge de un an. Premières et uniques
convulsions
à 4 mois. - 1898. Tuber- culose pulmonaire. - M
âgé). Quatre enfants : 1° Une fille morte à 3 ans et demi, sans
convulsions
. Elle aurait eu des vers intestinaux auxquels ses
résente actuellement une malformation de l'épaule. N'a jamais eu de
convulsions
, est très intelligente ' - /1° notre malade.
l avait 3 dents : c'est à cette époque qu'ont appparu les premières
convulsions
. Elles furent très fortes, durèrent 4 ou 5 heur
ux heures on l'a cru mort. Depuis lors, il n'a jamais cu d'autres
convulsions
. L'enfant n'a jamais su se tenir debout, n'a ja
ir de l'âge de 8 mois, quatre mois par conséquent après la première
convulsion
, des mouvements c/t0 ? 'et/b)'mes sont apparus,
auraient été constatés à l'âge de huit mois, quatre mois après les
convulsions
. Ils sont restés les mêmes, assure-t-on, depuis
gue et aliéné. - Un autre oncle, arriéré et bossu. - Cousin mort de
convulsions
, Frère, convulsions, mort de méningite dite tub
tre oncle, arriéré et bossu. - Cousin mort de convulsions, Frère,
convulsions
, mort de méningite dite tuberculeuse. Pas de co
très nerveux ; elle se met facilement en colère ; n'a jamais eu de
convulsions
ni de migraines. Par- fois céphalalgies violent
ur, en bonne santé, a eu cinq enfants dont un est mort il 9 mois de
convulsions
, - Un oncle maternel, bègue, a été enfermé comm
le âgée de 4 ans, née du mari qui a reconnu notre malade ; pas de
convulsions
, intelligente, est actuellement (1898) âgée de
e 17 ans et se porte bien ; - 3° garçon, 18 mois a été atteint de
convulsions
, à l'Age de deux mois. Dans la même journée il
de deux mois. Dans la même journée il a eu trois crises. Depuis les
convulsions
ne se sont pas reproduites. Il est mort à 5 ans
se ;- lit garçon, mort il 18 d'une congestion pulmonaire ; pas de
convulsions
. 5° garçon, en bonne santé, pas de C nvu sions.
facile qu'avant la maladie. Depuis lors, il n'a pas eu de nouvelles
convulsions
, mais a été sujet aux accidents suivants : Accè
enfant venue en état d'as- phyxie prolongée. Dès le troisième jour,
convulsions
qui se sont renouvelées depuis, plusieurs fois
culaires du cordon ; grossesse conpliquée d'b3- dramnios. A 7 mois,
convulsions
, souvent répétées depuis. En avril 1895, facies
olique. Accouchement facile ; grossesse normale. A un an, début des
convulsions
; établissement des crises épileptiformes, très
alcooliques, cancer probable de l'estomac. - Grand- oncle paternel
convulsions
de l'enfance. - Oncle paternel, - excès de bois
- Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 4 ans. - Frère mort de
convulsions
. Première dent à 6 mois, - Début de la marche -
me pas, grand, fort, a toujours été d'une santé florissante. Pas de
convulsions
dans l'enfance; pas de fièvre typhoïde, ni de m
, on ignore de quelles maladies. Parmi les survivants un a eu des
convulsions
à 3 ans; il s'est marié, a un enfant intelligent,
morts en bas Age, en nourrice. On ne croit pas qu'ils aient eu des
convulsions
. - Une tante pater- nelle, bien portante, sobre
s j'étais déjà aussi grosse que maintenant ». Pas de chorée, pas de
convulsions
ni fièvre typhoïde. Réglée sans accidents à Il
s en bas âge : les uns de rougeole, les autres de diarrhée ; pas de
convulsions
chez aucun d'eux. - Dans le reste de la famille
trente mois après le mariage, sobre, travailleur, n'a jamais eu de
convulsions
; - 2° garçon ; trois jours après sa naissance,
il fut mis en nour- rice où il est mort, -il l'âge de 15 jours, de
convulsions
; - 3° notre malade. Notre malade. - Rien à no
ine, ni de fièvre muqueuse, ni de croup ni oreillons; ni chorée, ni
convulsions
d'aucune sorte ; pas d'attaque d'hys, térie ou
aternelle, morte d'apoplexie. - Autre tante pater- nelle, morte des
convulsions
de l'enfance. Frère mort à dix-sept ans de coxa
attaque d'apoplexie en un jour. - Autre tante paternelle morte des
convulsions
de l'enfance. - Pas d'aliénés, ni de nerveux, n
nelle. Mère, quarante-cinq ans, bien portante, n'aurait pas eu de
convulsions
. - Pas d'autres renseignements sur la famille m
en venant ; 2" un garçon, mort à dix-sept ans de coxalgie, pas de
convulsions
, intelligent, aurait eu une méningite termi- na
n portante ; 5° notre malade ; 6° un garçon, bien por- tant, pas de
convulsions
, apprend convenablement. Notre malade. - A la c
jusqu'à l'âge de quatre ans. . Vers quatre ou cinq ans, premières
convulsions
, consécu- tivement diminution de l'intelligence
autres accidents ner- veux jusqu'à il y a huit mois. A la suite des
convulsions
, bégaiement très prononcé. A huit ans, l'enfa
al jusqu'à quatre ans. Entre quatre et cinq ans sont apparues des
convulsions
suivies d'un affaiblissement de l'in- telligenc
ère paternelle emphysémateuse. z Mère : très nerveuse, migraineuse,
convulsions
clans l'en- fance, dix grossesses dont trois fa
ernel asthmatique. Un frère /¡queux. Syncope durant la grossesse. -
Convulsions
, paralysie des membres inférieurs. Marche à qua
is. 105 père maternel très nerveux mort d'un cancer de l'estomac.
Convulsions
à trois mois; - Céphalées fréquentes et rou- ge
ue. Oncle maternel mort tuberculeux Trois frères et soeurs morts de
convulsions
. Convulsions, rougeole, coqueluche, teigne fond
nel mort tuberculeux Trois frères et soeurs morts de convulsions.
Convulsions
, rougeole, coqueluche, teigne fondante. Gagn...
ctère violent. - Grand'mère maternelle cancéreuse. - Soeur morte de
convulsions
. État syphilitique de la mère pendant la grosse
gi,aiid'pè ? ,e maternel suicidé. - Trois frères et soeurs morts de
convulsions
. Convulsions ; coqueluche, pas de fièvre typhoï
maternel suicidé. - Trois frères et soeurs morts de convulsions.
Convulsions
; coqueluche, pas de fièvre typhoïde ; glossite
and-père maternel interné à Bicêtre. Deux oncles maternels morts de
convulsions
; six morts en bas âge; un autre vivant, imbécil
vulsions; six morts en bas âge; un autre vivant, imbécile, a eu des
convulsions
. - Un frère a eu des convulsions. , . Frayeur
n autre vivant, imbécile, a eu des convulsions. - Un frère a eu des
convulsions
. , . Frayeur très intense dans le cours cle la
très intense dans le cours cle la grossesse. - Accou- chement long.
Convulsions
; rougeole, scarlatine, co- queluche ; pas de f
- Inégalité (le dix ans. Grossesse, vifs ennuis, deux chtîtes, -
Convulsions
, - Ona- nisme à trois ans et demi. - Bronchite;
e maternel alcoolique. Mère, rien de particulier. - Cousin germain,
convulsions
, - Tante maternelle convulsions de l'enfance, a
de particulier. - Cousin germain, convulsions, - Tante maternelle
convulsions
de l'enfance, ainsi qu'un de ses enfants. ' A
blement : céphalée persistante avec insomnie; pas de délire ni de
convulsions
. Langue jaunâtre au centre, rouge sur les bords,
galité d'âge de 32 ans. Le malade : pied bol congénital à gauche, -
Convulsions
. Rougeole, scarlatine, pas de fièvre typhoïde a
898. 8 114 ÉPIDÉMIE DE fièvre typhoïde. Cyanose à la naissance. -
Convulsions
à dix mois. - Rougeole, varicelle, pleurésie dr
xie. Oncle paternel mort alcoolique. - Cousins et cousines morts de
convulsions
, de 1nG''ntn- gite ; un autre a été interné à B
a été interné à Bicêlre à l'âge de 7 ans. (2)- Mère très nerveuse,
convulsions
dans l'enfance, migraines au moment des règles,
pères, grand-oncle maternels alcooliques. - Un grand- oncle mort de
convulsions
. Une tante a eu des convul- sions ; sujette à d
Pas de rapports dans l'ivresse. Frayeur pendant la gros- sesse. -
Convulsions
à six mois. - Vertiges à treize mois. Rougeole
La température oscille autour de 40°. 17 septembre. Dans la journée
convulsions
limitées au côté droit. Le soir la température
septembre. - La prostration devient de jour en jour plus profonde.
Convulsions
épilepli{ormes prédominant du côté droit. - Soi
Quatre frères dont un mort-né ; des trois autres, aucun n'a eu de
convulsions
: l'un est mort à quelques mois après une chiite
, a prononcé les premiers mots vers quatre ans. - iV'a jamais eu de
convulsions
, - Sujet il des accès de faux croup revenant de
e--la naissance a eu lieu avant terme. L'enfant n'a jamais eu. de
convulsions
et son état d'idiotie doit être rattaché à- un
: . père, mère, frère et deux soeu1'S tuberculeux. ' . Premières
convulsions
limitées à la face. - A 8 mois pre- mière crise
peine au chemin de fer du Nord. Toujours très bien portant, pas de
convulsions
durant la première enfance; travailleur, intell
ntellement, avait des enfants bien portants et n'ayant jamais cu de
convulsions
.] Même, 17 ans, femme de ménage, d'apparence ro
mme de ménage, d'apparence robuste, toujours bien portante ; pas de
convulsions
, pas de migraines, pas de bronchites ni de doul
re s'aperçoit qu'il présente du clignotement des paupières et des
convulsions
des globes oculaires ; qu'il a perdu connaissance
les de l'oeil; le Ironc est en exten- sion, les membres offrent des
convulsions
toniques puis cloniques, prédominant du côté ga
issance a duré 4 heures consécutives. Pendant la première heure les
convulsions
toniques ont per- sisté sans discontinuer. A la
e jour, l'après-midi surtout, parfois précédés de vomissements. Les
convulsions
prédominent tantôt d'un côté, tantôt de l'autre
et tombait à terre en perdant connaissance ; alors survenaient des
convulsions
toniques du tronc et des membres, ensuite des c
aient des convulsions toniques du tronc et des membres, ensuite des
convulsions
cloniques d'un seul côté ou dcs deux côtés; enf
le reste de la famille.] Mère, 'il ans, porteuse de pain. Pas de
convulsions
ni de maladies graves durant l'enfance ; il 17
a tête à la naissance ; b) une méningite grave à trois mois, avec
convulsions
répétées et perte prolongée de la connaissance,
sa fièvre typhoïde, alors que la tempé- rature était élevée et des
convulsions
épilepti{o1'mes ( ? ) deux jours avant sa mort,
as agi la première fois d'un véri- table accès d'épilepsie, mais de
convulsions
ordinaires comme il s'en produit chez les enfan
s cas de gémella1'ité dans la famille de la mère. Soeur, morte de
convulsions
. - Frère, mort a Bicêtre de sclérose tubéreuse.
e soeur migraineuse, a un côté plus faible que l'autre. Autre frère
convulsions
de l'enfance. - Autre frère convulsions répétée
le que l'autre. Autre frère convulsions de l'enfance. - Autre frère
convulsions
répétées de l'enfance. Autre soeur morte de con
Autre frère convulsions répétées de l'enfance. Autre soeur morte de
convulsions
. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 6 ans
cier, actuellement en repos; bien portant, pas de migraines, pas de
convulsions
de l'enfance; caractère un peu vif en paroles ;
epuis son deuxième enfant jusqu'à 20 ans ; mariée à 18 ans ; pas de
convulsions
de l'enfance « Je suis jumelle avec une soeur q
e, soeur jumelle de la mère a eu six enfants ; quatre sont morts de
convulsions
ou de méningite, le cinquième est pied-bot, le
une morte à 20 jours, « s'est éteinte l'autre est morte à 2 mois de
convulsions
qui ont duré trois jours ; elles étaient nées à
ns. z 5° garçon mort à 11 mois de la cholérine en nourrice ; pas de
convulsions
; 6° notre malade ; - 7° fille, 16 ans, pas de
; pas de convulsions ; 6° notre malade ; - 7° fille, 16 ans, pas de
convulsions
, intelligente, douce ;dou- ! eu)\'. de tête se re
tre ; élevée par sa mère ; 8° garçon, 12 ans, a eu quelques petites
convulsions
sans que l'on ait recouru au médecin ; intellig
ait pas ce qu'il devrait faire » ; - 9° garçon, a eu trois fois des
convulsions
assez fortes, est mort à 6 mois de la cholérine
es, est mort à 6 mois de la cholérine : - 10° fille morte à 6 mois,
convulsions
chaque semaine ; sa tête était toujours rejetée
e dent il 7 mois, seize à 16 mois ; les vingt il 2 ans. Jamais de
convulsions
. Marche à 15 mois. - Parole : à 19 mois , il pa
ngites, un pied-bot. Tous les frères et soeurs du malade ont eu des
convulsions
; l'un d'eux est mort dans notre service à Bicê
ble. - Enfant normale jusqu'à 6,mois. - De sept ( ? ) z1. dix mois,
convulsions
. - A dix mois, état anormal : , regard fixe, st
x mois, état anormal : , regard fixe, station verticale impossible,
convulsions
qub- tidiennes, de plus en plus répétées jusque
is frères morts dans l'enfance, on ne saurait dire s'ils ont eu des
convulsions
. - Dans le reste de la famille, on ne con- naît
dix mois, elle ne paraissait plus normale, ce qu'on attribue à des
convulsions
qui n'auraient pas été soignées et sur lesquell
e tenait pas debout. Dès le. lendemain de son retour, on a vu des
convulsions
: L'enfant devenait raide ; les yeux étaient to
iotie complète : regard lixe, attention, préhension, parole nulles,
convulsions
répétées, accès de cris, grincements de dents,
a eu pour conséquence une idiotie profonde, doit être rattachée aux
convulsions
que l'enfant a eues de six : r dix mois. V. L
la mère fait une chute de ^voilure huit jours avant l'accouchement.
Convulsions
à . dix-huit mois ( ? ). État actuel. Nystagm
s nerveux, avait trois de ses quatre enfants bien portants ; pas de
convulsions
. Le qua- trième enfant, une fille, est devenue
dents nerveux, a eu deux enfants : une fille morte du croup, pas de
convulsions
, l'autre, garçon, âgé de 8 ans, pas de convulsi
e convulsion-, intelligent; la deuxième soeur, intelligente, pas de
convulsions
, a un enfant turbulent, entêté, qui n'a pas eu
convlllsions. -Un frère, âgé de 21 ans, célibataire, n'a pas eu de
convulsions
, sobre. Dans le reste de la famille, pas d'idio
40 André ; - 5° une fille de 12 ans, forte, intelli- gente, pas de
convulsions
, un peu nerveuse, apprend facilement ; - 6° un
nerveuse, apprend facilement ; - 6° un L'arçon, 4 ans, normal, sans
convulsions
; - 7° un garçon, intelligent, pas de convulsion
ans, normal, sans convulsions; - 7° un garçon, intelligent, pas de
convulsions
; 8° une fausse couche; 9° une fausse couche; 10
sse couche; 9° une fausse couche; 10- garçon, se porte bien, pas de
convulsions
. Histoire de nos malades. René et André. Co
quand il a eu la rougeole ; après, il a cessé tout à fait. Pas de
convulsions
, ni à la rougeole, ni avant, ni après. Parole
momentanément. N'a jamais marché. Vers 18 mois aurait eu des
convulsions
, en l'absence de sa mère qui ne peut en dire
tisme obstétrical, nous ne pouvons être certains de l'absence de
convulsions
ni d'infection méningitique. Celui de nos enfan
ente. Oncle paternel mort de méningite. - Tante paternelle morte de
convulsions
. Malformations. Mère,.très impressionnable, peu
ans ; dentition complète à 9 ans. 21 ' . Idiotie myxoedémateuse.
Convulsions
pendant 5 heures, à 7 ans, provoquées par la de
beaucoup avant son mariage, ne bégaie presque plus depuis. - Pas de
convulsions
de l'enfance, sobre, rangé, caractère violent,
inée est morte étouffée clans le lit, la soeur cadette est morte de
convulsions
. - Dans le reste de la famille, pas d'aliénés,
assez grande, cheveux châtains, nez aquilin, intelligente. Pas de
convulsions
dans l'enfance. Elle a toujours été très peureuse
raineuse, a eu un enfant qui est mort du croup et qui n'a pas eu de
convulsions
, l'autre est en bonne santé, pas nerveuse, a un
alade; 2° un garçon « magnifique » mort du croup à 10 mois z2, sans
convulsions
; était intel- ligent mais criait tout le temps;
avec pertes abondantes; 5° une fille de 8 ans qui n'a jamais eu de
convulsions
; très bien portante jusqu'à 7 ans et depuis es
lligente ; 6° un garçon de 4 ans très intelligent, n'a jamais eu de
convulsions
; 7° une fausse couche de 4 mois 1/2. Notre mal
ans durant laquelle elle aurait été énervée mais n'aurait pas eu de
convulsions
. Elle n'a eu ni scarlatine, ni oreillons, ni fi
cès cérébral. Une autre tante aliénée. Trois frères morts jeunes de
convulsions
. Dix neveux morts de méningite. - Un frère a eu
de convulsions. Dix neveux morts de méningite. - Un frère a eu des
convulsions
, un cousin a un pied bot. Mère, morte de tube
lose pulmonaire, alcoolique. - Un cousin criminel. Notre malade :
Convulsions
à trois mois ; à 4 ans mordu par un chien et, à
ements fournis par sa mère. - Père, 45 ans, maçon, n'a jamais eu de
convulsions
, pas de chorée, pas de rhumatismes, pas de dart
à 08 ans Sept soeurs et cinq frères, presque tous morts en bas de
convulsions
. Parmi les frères et soeurs encore en vie, on not
ose pulmonaire. Elle avait sept ans de moins que le père. Jamais de
convulsions
, ni de chorée; f. typhoïde à 19 ans, sans phéno
1° fille, 18 ans, scrofuleuse, actuellement en bonne santé, pas de
convulsions
; 2° notre malade; 3° fille, 14 ans, jamais de c
é, pas de convulsions; 2° notre malade; 3° fille, 14 ans, jamais de
convulsions
, bien portante, d'une très mé- diocre santé; 4°
ortante, d'une très mé- diocre santé; 4° mort-né; 5° garçon, pas de
convulsions
, peu intelligent; 6° enfant, ayant mal aux yeux
igent; 6° enfant, ayant mal aux yeux, taie sur l'oeil droit, pas de
convulsions
, pisse encore au lit, va à l'école où il n'ap-
re. Antécédents morbides : Vers l'âge de 3 mois l'enfant a eu des
convulsions
, Elles n'intéressaient que la face et ne se son
ptique : chute, perte de connaissance, 48 Antécédents personnels.
convulsions
toniques, puis cloniques des quatre membres, pa
on des médecins qui soutiennent que tous les enfants qui ont eu des
convulsions
sont menacés d'épilepsie et que ces enfants ont
, violentes migraines. - Cousin et cousine, débilité mentale. Mère,
convulsions
, crises de nerfs, fièvre typhoïde grave. Grand-
attaque de paralysie. Bisaïeule aliénée. Un cousin et une cousine,
convulsions
de l'enfance. Deux frères, un demi-oncle et une
tion de la face. - Accouchement difficile. - Asphyxie bleue. Pas de
convulsions
. Broncho-pneu- monie à 7 mois. Diarrhée infanti
début, à 11 ans. Ordinairement bien portante. Elle aurait eu des
convulsions
dans l'enfance, et, de 15 à 19 ans, des crisesde
un épileptique dont elle aurait eu deux enfants, un garçon, mort de
convulsions
à 15 jours, une fille, bien portante, âgée de 2
jours, une fille, bien portante, âgée de 23 ans, qui aurait eu des
convulsions
. Pas d'autres épileptiques dans la famille, etc
âge, 6 ans. (Père plus âgé). Quatre enfants : 1er Garçon, mort de
convulsions
à 5 semaines ; - 2° fausse couche à 6 mois 1/2,
rçon âgé 60 Idiotie profonde. aujourd'hui de 4 ans 1/2 ; a eu des
convulsions
, puis de l'ec- zéma. Notre malade. Rien de pa
26 mois, gâtisme. Gourmand et vorace, mastica- tion bonne. - Pas de
convulsions
. - Broncho-pneumonie à 7 mois ; diarrhée infant
é men- tale, cousin ce loufoque» ayant eu un enfant arriéré; mère
convulsions
de l'enfance, puis crises de nerfs, suspendues
a ponction. Pas de migraines, pas de Antécédents héréditaires. 69
convulsions
, d'indices de syphilis. En 189 ? il la suite de
ux autres frères sont en bonne santé; ils n'au- raient jamais eu de
convulsions
. L'un a eu 8 enfants, dont trois sont morts, on
o le malade, 2° une fille de 15 mois (mars 1901) bien venue, pas de
convulsions
. - Jamais de fausse couche. Notre malade. Au mo
et une, tante paternels, morts de tuberculose. - Tante paternelle,
convulsions
de l'enfance. Mère, traumatisme céphalique vers
multiples. - Somnolence dès la naissance. A quinze jours, premières
convulsions
, prédomi- nant à droite. - A partir de là jusqu
. - Début de la contracture générale cinq jours après les premières
convulsions
. Exercices des jointures, diminution de la cont
par son père. - Père, vingt- six ans, planteur, grand, brun, pas de
convulsions
ni diathèses, ni syphilis, ni migraine, sobre,
violentes. Ses trois enfants sont bien portants et n'ont pas eu de
convulsions
. Quatre oncles maternels, célibataires, sont mo
uberculose, l'autre, dix-neuf ans, jusqu'ici en bonne santé; pas de
convulsions
; un frère, vingt-un ans, aurait eu des convulsi
ne santé; pas de convulsions; un frère, vingt-un ans, aurait eu des
convulsions
jusqu'à deux ans; il est intelligent.] Mère, vi
e appartient à une famille de paysans bretons très robustes. Pas de
convulsions
de l'enfance. Vers six ou sept ans en jouant, ell
x n'aurait eu de manifestations nerveuses, et, en parti- culier, de
convulsions
de l'enfance. Ces frères « très robustes sont d
ipé» (il en a toujours été ainsi), pas d'accès de cris. Premières
convulsions
à quinze jours pendant une heure, les quatre me
gtemps. A partir de là, il aurait eu quotidiennement deux séries de
convulsions
; leur durée était de quarante-cinq minutes : Fa
ns son lit qu'en se renversant la tête en arrière, comme appui. Les
convulsions
ont disparu au bout de six mois. Elles ont tou-
aurait eu une entérite, une pneumonie et une ophtalmie. Avant les
convulsions
les mains étaient naturelles et les bras souple
taient naturelles et les bras souples. C'est peu après le début des
convulsions
, au plus tard au cinquième jour, qu'on a remarq
assure que la situation était la même après la première semaine de
convulsions
, qu'aujourd'hui. Les convulsions ayant cessé, d
même après la première semaine de convulsions, qu'aujourd'hui. Les
convulsions
ayant cessé, dans le septième mois, le père a A
mènent à penser qu'il s'agit là d'un cas d'idiotie congénitale. Les
convulsions
généralisées, avec prédominance adroite, surven
plégie avec contracture et pieds bols remarqués après huit jours de
convulsions
, la trépidation épileptoïde dans les mouvements
extension, et dans un état d'amai- grissement considérable. Pas de
convulsions
, mais mouve- ment continu d'abaissement des pau
de boisson. - Grand-père paternel grand buveur. - Tante paternelle
convulsions
de l'enfance. Mère, rien à noter. - Cousin germ
lle convulsions de l'enfance. Mère, rien à noter. - Cousin germain,
convulsions
, - Tante maternelle, con- vLl1SZ072S ainsi qu'u
s d'as- phyxie à la naissance. - Première dent à 2 ans. Jamais de
convulsions
. Parole et marche nulles. Consti- pation habitu
âgé de 30 ans, a deux filles intelligentes, n'ayant jamais eu de
convulsions
. Une soeur aurait eu des convulsions de l'enfan
ligentes, n'ayant jamais eu de convulsions. Une soeur aurait eu des
convulsions
de l'enfance. Dans le reste de la famille : p
re, 43 ans, née à Ugine (Savoie), mariée à 32 ans, ménagère, pas de
convulsions
, pas de fièvre typhoïde, pas de rhumatismes, pa
Ils ont eu des enfants qui sont en bonne santé. Une soeur a eu des
convulsions
de l'enfance et a un enfant qui a eu également
ère, âgé de 4 ans, deux filles, intelligentes, n'ayant jamais eu de
convulsions
. Reste de la famille, rien il signaler, en part
et-un mois. Elle n'a jamais marché. Elle ne criait jamais. Pas de
convulsions
, pas d'onanisme. Elle a toujours été très const
quelques excès de boisson du père et du grand'père paternel, des
convulsions
de l'enfance chez une tante et deux cousins ; d
, des convulsions de l'enfance chez une tante et deux cousins ; des
convulsions
chez une grand'tante, une tante et une cousine
pendant et après la grossesse. Pas de consan- guinilé. - Premières
convulsions
à six mois. - Idiotie complète : bave, balancem
de renseignements. Mère migrai- neuse, scotomes. - Oncle maternel,
convulsions
de l'en- faT2ce; strabisme double. Pas de consa
e consanguinité. Iné- galité d'âge de 10 ans. Asphyxie prolongée et
convulsions
à la naissance. Sommeil artificiel prolongé pen
coolique et pi1;l'ill ! l tiq lIa géné ¡'at. - Deax frères morts de
convulsions
Émotion au sixième mois de la grossesse. Marche
lsions Émotion au sixième mois de la grossesse. Marche à 11 mois.
Convulsions
ci 1 an. Parole vers 2 ans. Accès d'épilepsie.
isson. Grande tante mater nelle migraineuse. Soeur de mère morte de
convulsions
. Enfant naturel : arrêt de développement et têt
issance (microcéphalie très prononcée et progna- thisme supérieur).
Convulsions
répétées à un an. Fugues solitaires. Imitation
isme supérieur à la naissance. Marche à vingt et un mois. Jamais de
convulsions
, Imbécillité. Fugues. Parole très limitée. Péri
ée. - Pas de consan- guinité. Inégalité d'âge de 7 a ? is. Pas de
convulsions
. - Parole nulle. - Impossibilité de se tenir de
le paternel alcoolique et paralytique général. Deux frères morts de
convulsions
. Emotion au 6e mois de la grossesse. Marche à 4
convulsions. Emotion au 6e mois de la grossesse. Marche à 4 mois.
Convulsions
à 1 an. -Parole vers 2 ans.- Accès d'épi- lepsi
Grande- tante maternelle migraineuse. - Soeur de la mère morte de
convulsions
: - Enfant naturel : arrêt de développement et
ssance (microcéphalie très pro- noncée et' prognathisme supérieur).
Convulsions
répétées à Un an. Fugues solitaires. Imitation
n complète à 22 mois. = Parole et marche nulles. Gâtisme. Jamais de
convulsions
. - A 14 mois crises consistant en mouvements de
e d'aliénés en Belgique. Deux tantes et un oncle maternels morts de
convulsions
en bas âge. Pas de consanguinité. - Inégalité d
Début de la parole, limitée à quelques mots, à deux ans. Jamais de
convulsions
. Onanisme. - Gâtisme intermittent. Écholalie. A
la tête. - Balancement du tronc - Grincement de dents. - Jamais de
convulsions
. - Rougeole et coqueluche à 2 ans. - Améliorati
plète vers 2 ans. Marche à 10 mois. -Gâteux à l'entrée. - Jamais de
convulsions
. Chai.. (Louis), né le 15 juin 1891, est entré
à « papa, maman », à un an. Jamais propre. Accès de cris. Jamais de
convulsions
. - Attention nulle. Peur de l'obscurité. Mastic
nom d'épilepsie partielle une forme de l'épilepsie dans laquelle les
convulsions
sont limitées d'ordinaire à une moitié du corps [
es. Si nous en croyons Bravais(1), Hippocrate aurait remarqué que les
convulsions
épi-leptiques attaquaient tout le corps ou l'une
d'après un autre médecin^ Didier. de la région d'où irradiaient les
convulsions
. Boerhaave regardait l'hémiplégie comme un symptô
9). « La bouche, dit-il, ou l'oeil, ou le cou, ou la main, entrent en
convulsion
: ces parties deviennent plus faibles et supporte
et se faisait sentir très-souvent, quelquefois avec évanouissement et
convulsions
des bras. L'accès était précédé d'une violente pa
rie de malades, les accès étaient caractérisés principalement par des
convulsions
limitées à une moitié du corps et, par-conséquent
eaucoup à ceux de l'épilepsie vulgaire, avec cette différence que les
convulsions
débutent par le côté paralysé et y demeurent souv
une date quelquefois très-rapprochée de la'naissance, ont été pris de
convulsions
suivies d'une hémiplégie et compliquée au bout d'
63. . . 18 1868.... 15 1864____ 23 1869.... 17 Observation II.—
Convulsions
à 41 mois. — Hémiplégie à gauche. — Peur vive sui
a santé aurait été passable jusqu'à 17 mois, époque où ont éclaté des
convulsions
à la suite desquelles on s'est aperçu qu'elle éta
eveux, glandes au cou, (l) Elle ne marchait ni ne parlait quand les
convulsions
sont survenues. ophthalmie qui a duré trois ans
de la face, qui devint pourpre et perte de connaissance, mais pas de
convulsions
. Deux ou trois jours après, les règles apparurent
'ai souvenance, dit-elle, ils ont toujours eu la même position. » Les
convulsions
, ainsi que nous Pavons constaté, prédominent du c
e dort, et tous ces accidents disparaissent sans accès épileptique ni
convulsions
d'aucune nature. En 1869, nous avons été témoin d
erons encore, nous retrouvons toujours la même série d'accidents : 1°
Convulsions
affectant les allures d'un état de mal ; — 2° Hém
quer une affection congénitale, les accidents primitifs, à savoir les
convulsions
, se montreraient dans les premières années de l'e
tement, quelquefois sans prodromes appréciables, l'enfant est pris de
convulsions
. Si l'on s'en tient aux observations régulières
le d'obtenir, de parents intelligents, des renseignements précis, les
convulsions
sont circonscrites à une moitié du corps ; elles
ompagné d'une élévation souvent considérable de la température. Les
convulsions
durent un temps variant de 10, 15 minutes.... à u
nous avons égaré l'observation. Tantôt l'enfant est emporté par les
convulsions
ou succombe quelques jours plus tard sans avoir r
que l'on a l'occasion de voir les enfants atteints de cette sorte de
convulsions
. Succombent-ils au bout de quelques heures, on ne
rdinaires de l'état de mal épileptique, avec limitation toutefois des
convulsions
à un seul côté du corps. Quand les enfants rési
résistent et meurent deux, trois jours ou davantage après la fin des
convulsions
, voici ce qu'on observe : L'enfant est dans le co
élevée ; enfin,, on constate que les membres qui ont été le siège de
convulsions
sont paralysés (1). Un tel état répond évidemme
nes déjà observés se reproduisent : de même que la première fois, les
convulsions
affectent un seul côté du corps, toujours le même
miplégie, qui, cette fois, devient définitive. Observation III. —
Convulsions
à sept ans. — Hémiplégie du côté droit. — Peur vi
n en nourrice, aurait été propre et aurait marché de bonne heure ; ni
convulsions
, ni scrofules. A. sept ans, D... eut une fièvre c
un bain ; ce serait en sortant de ce bain qu'elle aurait été prise de
convulsions
, suivies d'une paralysie du côté droit. Jusqu'à c
raient déviés à droite : ce serait de ce côté que prédomineraient les
convulsions
; fréquemment, les convulsions manqueraient tout
ait de ce côté que prédomineraient les convulsions ; fréquemment, les
convulsions
manqueraient tout à fait dans le côté sain. Pas d
s observations, nous voyons dans celle-ci l'hémiplégie succéder à des
convulsions
et s'établir sans rémission. En quoi consiste cet
'enfant ne s'en sert pas. Puis, les accidents aigus produits parles
convulsions
ayant disparu, si on lève l'enfant, on constate q
de 25 mois, Per... est prise d'un premier état de mal convulsif; les
convulsions
qui ont duré neuf heures n'ont frappé que la moit
, nouvel état de mal convulsif pendant 4 ou 5 heures ; limitation des
convulsions
au côté droit; flaccidité complète, suivie au bou
q ans, troisième état de mal qui dure douze heures et dans lequel les
convulsions
n'envahissent encore que le côté droit du corps.
e nous allons voir dans l'observation suivante. Observation IV. —
Convulsions
épileptiformes à 8 mois, suivies d'hémiplégie gau
, bien portante. Sauf Marguerite, aucun de ces enfants n'aurait eu de
convulsions
. Marguerite est née à terme; l'accouchement a é
là des reproches, une scène vive, etc. —A 6 semaines, Gr... a eu des
convulsions
internes, qui se sont renouvelées plusieurs fois.
sions internes, qui se sont renouvelées plusieurs fois. — A Mit mois,
convulsions
épileptifor-mes, qui ont duré plusieurs heures, e
ie du côté gauche du corps; malgré cela, elle a marché à 16 mois. Les
convulsions
, durant cet état de mal, ensuite pendant les accè
urs occupé le côté gauche et jamais le côté droit. Aussitôt après les
convulsions
la flaccidité était complète ; lorsque, vers la t
sans cause appréciable. Ils n'étaient plus précédés d'épistaxis; les
convulsions
n'intéressaient que le côté paralysé. — Elle a ét
ervation V. — Antécédents : Parents névropathiques et épileptiques. —
Convulsions
à trois ans. — Paralysie progressive des membres
tion de la contracture. — Accès épileptiques : Aura; — Limitation des
convulsions
au côté droit (paralysé). — Etat delà malade en 1
a fit tomber do son berceau. Six mois plus tard (3 ans), elle eut des
convulsions
qui n'ont duré que cinq minutes \ elles étaient l
orrespondante de la face. Ce qu'on assure, c'est que, à partir de ces
convulsions
, l'intelligence baissa, et l'enfant eut, environ
, et l'enfant eut, environ tous les mois, des accès dans lesquels les
convulsions
étaient toujours circonscrites aux membres du côt
n père, avait un tic dans l'œil droit. » Les membres, envahis par les
convulsions
, se paralysèrent progressivement et, petit à peti
ains de mer : aucun résultat. Les accès revenaient tous les mois, les
convulsions
restant toujours limitées au côté droit du corps
pendant des années — et il en était encore ainsi de 9 à 14 ans; — les
convulsions
, affirme-t-on, étaient plus fortes dans la jambe
oit sont plus rigides que ceux du côté gauche. Alors, surviennent des
convulsions
dans les muscles de la moitié droite de la face e
ifférents. Si l'on s'en rapporte au récit du père de la malade, les
convulsions
primitives ont été, dans ce cas, de courte durée,
, époque de la seconde entrée de sa fille à la Sal pêtrière., les
convulsions
étaient plus fortes dans la jambe que dans le bra
ou prédomine à un haut degré dans ce côté. Période clonique. — Les
convulsions
cloniques sont presque toujours limitées au côté
-courte, peu prononcée et manque quelquefois. — Nous avons vu que les
convulsions
étaient parfois plus accusées tantôt au membre in
fournira matière à quelques réflexions nouvelles. Observation VI.—
Convulsions
. — Affaiblissement paralytique des membres du côt
s yeux tournaient. Elle aurait dit n'avoir pas observé de grandes
convulsions
. On s'aperçut bientôt que l'enfant se servait tou
it fermée. La santé générale était bonne. A 16 mois, on constátales
convulsions
pour la première fois. Depuis lors jusqu'à 3 ans
esserait jamais. — Dans les accès, la tète se porterait à droite, les
convulsions
seraient beaucoup plus fortes dans les membres pa
ses parents. Il n'y a pas de consanguinité. A 4 ans, elle a eu des
convulsions
dont elle ignore la durée. Ces convulsions ont la
. A 4 ans, elle a eu des convulsions dont elle ignore la durée. Ces
convulsions
ont laissé une paralysie du côté droit du corps.
rait blessée. —Elle pousserait un cri. — Au dire de l'infirmière, les
convulsions
seraient plus fortes dans les membres paralysés.
etite malade. A 4 ans et demi, Merl... a eu une première attaque de
convulsions
, annoncée par les prodromes suivants: l'enfant se
A peine rendue à la maison, elle perdit connaissance et fut prise de
convulsions
qui durèrent 13 heures. Pendant tout ce temps, le
ise de convulsions qui durèrent 13 heures. Pendant tout ce temps, les
convulsions
ont porté exclusivement sur le côté droit de la f
ps. Les urines et les selles ont été involontaires. A la suite de ces
convulsions
, Merl... « se mit à jouer comme si elle n'avait r
it dans les Bulletins de la Société anatomique, juillet 1875. des
convulsions
qui n'affectèrent^ cette fois encore, que le côté
es mouvements convulsifs, s'étendit au bras correspondant. Enfin, les
convulsions
ont envahi les membres du côté gauche et l'enfant
des habitudes d'onanisme. Relevons, clans ce cas, la limitation des
convulsions
primitives au côté droit du corps; puis, les cara
ives au côté droit du corps; puis, les caractères vibratoires des
convulsions
circonscrites à la jambe droite pendant quelque t
eur extension au membre supérieur droit ; enfin la généralisation des
convulsions
; ce sont là autant de caractères que nous retrou
; elle n'a plus qu'un frère. — Elle ne saurait dire si elle a eu des
convulsions
; ce qu'elle se rappelle c'est qu'elle a eu plusie
ccès incomplet. — L'extension du pied n'arrête pas l'évolution de ces
convulsions
. — La malade passe quelquefois des journées ent
sé par une exagération de la rigidité du membre inférieur gauche avec
convulsions
vibratoires et par une contracture du membre supé
, le membre supérieur gauche s'allonge ; il survient quelques petites
convulsions
dans les muscles de la face ; les grimaces diminu
ssure labiale gauche est tirée ; les muscles du menton sont animés de
convulsions
rapides. Bientôt on observe : a) des mouvements d
état de la face, du cou, des membres restant le même, il survient des
convulsions
cloniques qui soulèvent les deux membres inférieu
la période clonique, la malade ne repose plus que sur les fesses. Ces
convulsions
sont assez fortes; elles durent 30 secondes. Ce
la rigidité d'abord et ensuite par les secousses tétaniformes et les
convulsions
cloniques. Les attitudes des membres, toujours
allures de l'épilepsie vulgaire, c'est-à-dire avec généralisation des
convulsions
quand les accès se succèdent prompte-ment. A. S
Dans une autre variété, la connaissance est entièrement perdue , les
convulsions
de la face, que l'on note déjà dans la première v
tonique, qui est la même, succède une période clonique consistant en
convulsions
circonscrites aux membres du côté gauche et prédo
rtor, en général de courte durée. C. Dans une dernière variété, les
convulsions
se généralisent ; le tétanisme envahit les membre
se généralisent ; le tétanisme envahit les membres du côté droit. Les
convulsions
cloniques, quelquefois limitées au côté gauche, e
ssent ;— les membres inférieurs se fléchissent; enfin il y a quelques
convulsions
dans les muscles de la partie inférieure de la fa
s. se plaignait d'être fatiguée. 2 novembre. — Pas de nouvelles
convulsions
. Rétention d'urine depuis deux jouis; hier V... a
respiration est suspendue. —^Mouvements létaniformes rapides, puis
convulsions
clo-niques. — c) Ecume mousseuse, blanche. Quelqu
sse est creuse. — Trois attaques à 11 heures. Dans l'une d'elles, les
convulsions
cloniques tétaniformes, sont très-marquées dans l
la malade pousse des : oue ! oue ! les muscles du visage sont pris de
convulsions
assez larges, cloniques; les paupières, en partic
il lui avoit fait, il mit le corps de la Prieure dans » une éfroiable
convulsion
, tirant une langue horrible-» ment difforme , noi
use (1). Dans quelques attaques, les paupières sont ouvertes, et la
convulsion
de la face produit (l) Voir la note de la page
b) Phase clonique : Palpitations des paupières, mouvements des yeux,
convulsions
isolées de la face, petites secousses des membres
.. 8 Observation II........................................... 12
Convulsions
............................................ 19
Aura, 8, 10, 17, 26, 32, 35, 48, 54, 60;—Contracture, 28, 43, etc.; —
Convulsions
, 19, 22, 28, 32, 43; —Début, 11, 12, 19, etc.; —
Accès spontanés, 70, 74, 76, 78, 82, 86; — Contracture, 75, 77; —
Convulsions
, 69; — Etat de mal, 84, 88; — Pronostic, 68. — Te
peu intelligent. Mère et bis- aïeule alcooliques. - Soeur morte de
convulsions
. Frère mort de maladie bleue. -- Premières conv
eur morte de convulsions. Frère mort de maladie bleue. -- Premières
convulsions
à 7 mois et demi : symptômes ; - Vertiges et ac
] Pas de consanguinité. Treize grossesses : 1° une fille morte de
convulsions
a 4 mois; bien conformée; 2° garçon, âgé de 13
gent et bien portant; 3° fille morte à 1 mois, de diarrhée, sans
convulsions
; 4° garçon mort à 1 mois, de diarrhée, sans co
ée, sans convulsions ; 4° garçon mort à 1 mois, de diarrhée, sans
convulsions
; 5° fausse couche à 4 mois et 1/2, duo à des é
mmédiatement à la suite, reniant n'eut ni perto de connaissance, ni
convulsions
; mais il perdit la gaieté qu'il avait auparavan
stantes. Deux mois après, à 7 mois 1/2, se montrèrent les premières
convulsions
. Leur durée fut de 15 minutes à la première att
sorte de hoquet. » Dès lors, tous les jours se reproduisirent ces «
convulsions
: » mais ce n'est qu'à 14 mois qu'il commença à
e neurologie t. I, p. 81 et 397. SCLÉROSE TUBÉREUSE DU cerveau. 9
convulsions
si légères d'abord que. au dire contestable des
a famille. - Ac- couchement prématuré. Asphyxie à la naissance. -
Convulsions
internes. - Idiotie congénitale. - Aggra- vatio
Convulsions internes. - Idiotie congénitale. - Aggra- vation des
convulsions
. Etat paré tique. - Améliora- tion. - Balanceme
u'il reprenait quelques secondes après. Vers deux mois et demi, les
convulsions
, plus nettes, commencèrent à se gé- néraliser ;
ort à 1 heure du ma- tin, dans le coma, sans accès épileptoïdes, ni
convulsions
. T. R. post mortem : 43°. Autopsie 30 heures
RVATION. - Idiotie, épilepsie, abcès de la marge de l'anus.- Père :
convulsions
il 6 ans. - Mère : condui- sions dans l'enfance
sives. - Deux cousins aliénés.- Pas de consanguinité. - Premières
convulsions
à trois mois; prédominance à gauche, paralysie
e de syphilis; a chiqué autre- fois dans ses voyages; aurait eu des
convulsions
jusqu'à l'âge de 6 ou 7 ans. [ Son père est mor
es nerveux dans la famille. li Mère. 34 ans, couturière, a eu des
convulsions
jusqu'à l'âge de 7 ou 8 ans; nerveuse, est suje
a été élevé au sein par une nourrice jus- qu'à un an. Les premières
convulsions
sontsurvenues vers 2 ou 3 mois et se sont renou
ans, et, de ce moment jusqu'à l'âge de quatre ans, il n'a pas eu de
convulsions
. Durant cet intervalle, il parlait bien et pron
s les mots; il appre- nait bien à lire, était très caressant. Les
convulsions
reparurent à 4 ans, sous forme d'un état de mal
dura 67 heures, dans lequel on constata encore la prédominance des
convulsions
à gauche. Il dut garder le lit pendant un mois
n'a- vons pu savoir s'il y eut de la paralysie à la suite de ces
convulsions
; seulement, quelque temps après, on remar- qua
,il poussait un cri sourd, plaintif, ', prolongé et était pris de
convulsions
. Un jour la crise débuta par une sorte d'hallur
2 juin 1880 que, après une crise de 6 heures, avec prédominance des
convulsions
à gauche, on nota une paralysie du bras et de l
h. 39°.8. leur mai. T. R. 39°,4. Dans la nuit un frisson suivi de
convulsions
internes ( ? ). Ce matin Dub... est pros- 29 ID
trois phases bien distinctes. a) La première est marquée par des
convulsions
qui se reproduisent presque tous les mois, jusq
est propre, apprend à lire, etc. b) La seconde phase débute par des
convulsions
, revê- tant la forme d'un état de mal et prédom
a moi- tié gauche du corps. A partir de là, on note le retour des
convulsions
mensuelles ; puis un autre état de mal, offrant
elle, a eu la rougeole, la variole et un abcès de l'oreille. Pas de
convulsions
ni de cauchemars, ni d'incontinence nocturne d'
ATION. - Père et grand père paternel nerveux et migraineux.- Mère :
convulsions
et torticolis spasmo- dique dans l'enfance. Tan
dans l'enfance. Tante maternelle idiote. Consanguinité. Frère et de
convulsions
. Convulsions à 9 mois. - Impressionnabilité trè
Tante maternelle idiote. Consanguinité. Frère et de convulsions.
Convulsions
à 9 mois. - Impressionnabilité très vive ; cauc
institutrice ; bien portante, assez impressionnable. Elle a eu des
convulsions
à un an ; un torticolis spasmodique qui s'est r
un jour ou deux ; une fièvre typhoïde grave, à forme ataxique avec
convulsions
à l'âge de 7 ans. Elle s'est mariée à 26 ans ;
raît moins nerveux que le précédent; -5- garçon mortà2 mois l/2de
convulsions
qui avaient débuté dès le deuxième mois. La HI
ers mois, puis au biberon jusqu'à 30 mois. A neuf mois, il a eu des
convulsions
qui se repro-. duisirent pendant deux ou trois
tourdissement. On a constaté alors, la perte de con- naissance, les
convulsions
cloniques, le grand arc de cer- cle ; il y a eu
ment, il perd tout à fait connaissance. Rigidité passagère; puis,
convulsions
cloniques débutant par un petit arc de cercle,
ionnelle ; colère.Veut mordre ceux qui l'environ- nent. Reprise des
convulsions
cloniques; l'enfant veut prendre mon cahier; mo
e sorte doublée par la consanguinité. Après s'être traduite par des
convulsions
, une im- pressionnabilité très vive, des cauche
and'mère maternelle paralysée. - Neuf frères ou soeurs ayant eu des
convulsions
. Tremblement du menton et convulsions dans les
ères ou soeurs ayant eu des convulsions. Tremblement du menton et
convulsions
dans les pre- miers mois. - Epilepsie consécuti
10 enfants, dont 5 sont vivants : 1° no- tre malade; 2° un garçon,
convulsions
dans l'enfance, vivant ; 3° garçon mort de conv
° un garçon, convulsions dans l'enfance, vivant ; 3° garçon mort de
convulsions
tout jeune : 4° gar- çon, convulsions dans l'en
vivant ; 3° garçon mort de convulsions tout jeune : 4° gar- çon,
convulsions
dans l'enfance, vivant, 25 ans; 5° fille, morte
s l'enfance, vivant, 25 ans; 5° fille, morte du croup, avait eu des
convulsions
; 6° fille, 23 ans, bien portante, a eu des conv
avait eu des convulsions; 6° fille, 23 ans, bien portante, a eu des
convulsions
; 8° et 9° filles mortes jeunes, avaient eu des
a eu des convulsions; 8° et 9° filles mortes jeunes, avaient eu des
convulsions
; 10° garçon, 13 ans, con- vulsions dans l'enfan
a naissance, le menton de la petite fille tremblait ; beau- coup de
convulsions
dès les premiers mois. La mère l'a éle- vée au
et épileptiques. Observation I. Idiotie. - Epilepsie. - Premières
convulsions
à 7 semaines. - Rumination. - Rougeole à 4 mois
e. Elevé au sein jusqu'à 26 mois, il a été atteint de ses premières
convulsions
à 7 semaines. Celles-ci consistaient en de peti
auparavant. Observation III. - Idiotie complète consécutive à des
convulsions
. Rougeole. adénites et otite. Charpent..., Jose
six ans, iln'a rien présenté d'anor- mal. Acette époque, premières
convulsions
. A partir de six ans et demi, bien qu'ayant dim
t guéri.- 14 février. Jaus... quitte l'infirmerie. Observation V. -
Convulsions
. - Idiotie.- Epilepsie. - Accidents paralytique
106 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. jumeau de notre malade, a succombé aux
convulsions
le troisième jour après la naissance. Fig.
coup. » Dès la naissance,on remarqua que les yeux se tournaient (
convulsions
internes). A deux mois, Vaut... fut pris de con
urnaient (convulsions internes). A deux mois, Vaut... fut pris de
convulsions
, telles que nous les observons aujourd'hui. Pen
émotions. L'enfant fut élevé au biberon jusqu'à 4 mois. Jamais de
convulsions
, mais fréquents accès de colère avec cris. État
à 4 mois, à la suite d'un effort ; 2° fille morte à deux mois, sans
convulsions
; 3° notre malade; 4° fille intelligente, bien c
3 ans et demi. L'éruption de la dernière dent s'est accompagnée de
convulsions
violentes qui ont duré plusieurs heures. Cl....
nfants : 1° Notre malade; 2° enfant mort d'athrepsie à mois, avec
convulsions
internes. Notre malade. Pendant la grossesse, a
.. a commencé à marcher à deux ans ; jamais il n'a parlé. Début des
convulsions
à trois ans; le premier et le second accès se s
ffection de la poitrine. Mère, morte asthmatique. Un frère a eu des
convulsions
et est resté depuis dans un état d'imbécillité.
ien portant ; 2° gar- çon, mort à 7 ans de « fièvre muqueuse » avec
convulsions
; 3° fille, 11 ans, assez intelligente; - 4° not
ne commença à parler qu'à dater de ce moment. A partir de 3 mois,
convulsions
internes (yeux) revenant presque tous les jours
internes (yeux) revenant presque tous les jours. A 15 mois, grandes
convulsions
, portant sur les deux côtés et revenant tous le
ris par ses parents, à l'âge de 8 ans, a eu une nouvelle attaque de
convulsions
, d'une durée de 10 minutes, le 15 novembre 1880
lle. Grossesse accidentée. Accouchement artificiel. Quatre accès de
convulsions
. Idiotie complète. lmpétiflo persistant du cuir
'a jamais aimé à jouer. A sept mois, il eut une première attaque de
convulsions
qui durèrent 4 heures : celles-ci portaient ((
deux ans 112, nouvel état de mal convulsif qui dura 7 ^heures ; les
convulsions
frappèrent encore le même côté ; - un mois aprè
lusivement sur le côté gauche (epi- lepsie hémiplégique.) Après les
convulsions
, on remar- quait une grande faiblesse du bras e
èse. Observation XIII. Mère très nerveuse, alcoolique.- Premières
convulsions
n un an. - Deuxième attaque A 3 ans. Icliotie c
mille]. Pas de consanguinité. Cinq grossesses : 1° garçon mort do
convulsions
à l'âge de 4 mois; 2° notre malade : 3" fille,
il avait l'appétit bien développé. A trois ans deuxième attaque cle
convulsions
quidurèrent environ une semaine. Dès lors, l'ét
Observation XIV. - Mère très nerveuse, faible d'esprit. - Premières
convulsions
dans la première année. - Début de l'hydrocépha
élevé au biberon; à un an il eut la cuisse gauche fracturée. Les
convulsions
apparurent pendant la ire année pour se conti
an, puis l'ossification se serait effectuée. L'enfant aurait eu des
convulsions
et peut-être des accès d'épilepsie à diverses r
du cordon au moment de la naissance; chute sur le sol. Premières
convulsions
à trois ans. - Apparition des accès d'épilepsie
2° une fille morte à onze mois d'une méningite, après avoir eu des
convulsions
pendant onze heures et une paralysie du côté ga
l était pris parfois d'accès de rire non mo- tivés. Les premières
convulsions
internes ont apparu à trois ans et ont duré dix
anté. , Consanguinité. Peurs de la mère pendant la gros- : ;esse. -
Convulsions
. Idiotie complète. Rougeole. - Convalescence, A
à 5 ou 6 jours en nourrice ; 2° fille, 12 ans, intelligente, pas de
convulsions
; 3° notre malade; 4° fausse couche à 4 ou 5 mo
fausse couche à 4 ou 5 mois; 5° garçon, 8 ans, bien portant; pas de
convulsions
; Go garçon mort à8jours, sans convulsions. No
s, bien portant; pas de convulsions; Go garçon mort à8jours, sans
convulsions
. Notre malade. La grossesse a été accidentée pa
e montrait assez intelligent. De 2 ans et demi à 3 ans, premières
convulsions
. A quatre ans, lors de sa première entrée à Bic
a un cri initial coïncidant avec la chute, mais on ne sait si les
convulsions
prédominent d'un côté. On attribue l'état intel
el du petit malade aux peurs de la mère pendant la grossesse et aux
convulsions
. Sur celles-ci nous n'avons pu avoir de renseig
ère maternel mort paralysé. Tante maternelle hystérique. -Premières
convulsions
à 22 mois pendant 2 heures. - Secondes convulsi
ique. -Premières convulsions à 22 mois pendant 2 heures. - Secondes
convulsions
8 jours plus tard suivies de méningite. - Trois
es convulsions 8 jours plus tard suivies de méningite. - Troisièmes
convulsions
à 4 ans : épilepsie consécutive . - Prédominanc
coxalgie de l'enfance. - Grand-père paternel alcoolique. -7 .Mère,
convulsions
, bègue et migraineuse. - Grand-père et oncle ma
érique. - Inégalité d'âge de quatorze ans. Deux soeurs ont eu des
convulsions
. Un frère, convulsions, rachitisme, pied bot. -
'âge de quatorze ans. Deux soeurs ont eu des convulsions. Un frère,
convulsions
, rachitisme, pied bot. - Convulsions à quatorze
u des convulsions. Un frère, convulsions, rachitisme, pied bot. -
Convulsions
à quatorze mois pendant onze heures. - Parésie
s de convul- sions. - Un cousin- suicidé. Un frère très- nerveux.
Convulsions
, vertiges ayant précédé les accès (13 ans '/2) ,
lcoolique. - Grand'mère maternelle hémiplégique. - Soeur morte de
convulsions
. Accouchement long el difficile. - Brûlures ét
ment long el difficile. - Brûlures étendues à la suite d'un bain. -
Convulsions
à 2 et demi pendant 12 heures. -Helminthiase, D
des tantes maternelles 'sujettes à des tremblements. Soew' morte de
convulsions
. Grossesse gémellaire. - Accouchement à huit mo
à la naissance. - Coqueluche, rougeole, pyro- manie, kleptomanie. -
Convulsions
pendant 8 heures à 5 ans. - Début de l'épilepsi
paralysé. - Deux oncles tuber- culeux. - Frères et soeurs morts de
convulsions
. Traumatisme abdominal durant la grossesse. - A
grossesse. - Asphyxie à la naissance. - Parole et marche tardives.
Convulsions
il un an. - Hémiplégie droite du côté droit. -
mère migrai- neuse, nerveuse, morte de fièvre typhoïde. - Soeur,
convulsions
. Chute durant la grossesse. - Convulsions à 10
èvre typhoïde. - Soeur, convulsions. Chute durant la grossesse. -
Convulsions
à 10 mois pendant t 24 heures : hémiplégie droi
grand'tante paternels migraineux. Grand-père maternel alcoolique.
Convulsions
il deux ans pendant 7 heures. Violents accès de
x, mort de tuberculose. - Tante paternelle très nerveuse. - Mère,
convulsions
, évanouissements', perte intermittente de la mé
rnelle très nerveuse. - Neuf frères et soeurs morts en bas-âge de
convulsions
. Ecrasement par un rouleau de ferme à 4 ans. -
ltat négatif.; OBs. XVL Epilepsie idiopathique. Sommaire. - Père,
convulsions
. Grand-père paternel mort paralysé 8. l'hospice
a deux ans et demi, propreté à deux ans. - Rou- geole. - Premières
convulsions
de huit mois; prcn,ic1' accès à 10 ans.. Itou
, Etat asphyxique à la naissance. - Hémiplégie gauche. Premières
convulsions
il. dix-huit mois, - Cinq ou six autres crises
et demie du remède. Les deux autres, sans être guéris, virent leurs
convulsions
s'éloigner. « Le sedum acre entrait comme éléme
la grossesse. - Accouchement préma- turé. - Pas d'asphyxie. Pas de
convulsions
. - Cons- tatation de l'hémiplégie peu de temps
se, mais caractère boudeur. Elle a eu sept enfants. Aucun n'a eu de
convulsions
ni de maladie nerveuse, - Grands-parents patern
émotive, a souvent peur, emportée, palpitations fréquentes; pas de
convulsions
en bas-âge. Rougeole et coqueluche vers 4 ans.
mois, de mé- 7zizzgite ; - 5° fille, bien portante, 31 ans, pas de
convulsions
; deux de ses enfants sont morts, l'un à 2 ans e
ariage (d'un autre père), mort à 21 jours et qui n'aurait pas eu de
convulsions
; - 2° notre malade, qui naquit 17 mois après l
lle eut un garçon, âgé aujour- d'hui de 4 ans, lequel n'a pas eu de
convulsions
, mais a eu des abcès au cou et a un écoulement
Élevée en nourrice, au lait de vache, chez sa grand'mère. Pas de
convulsions
, mais peu de temps après la naissance, la mère
aibli, mais sans stupeur, l'intelligence n'est pas atteinte. Pas de
convulsions
ni contractures, pas d'iné- galité pupillaire.
ures du soir : même état, avec affai- blissement plus grand. Pas de
convulsions
ni de contracture de la nuque. Dyspnée plus gra
en de particulier. Aucun détail'sur b'évolu- : Monp/n/stque. Pas de
convulsions
. - Intelligence nor- malle. - Début des attaque
sujet à cases vides ; » - -;0 Garçon, mort d'une bronchite, pas de
convulsions
; 3° Notre matade ; li,, Garçon, huit ans, inte
r la têic ( ? ). - A la naissance, rien de particulier. - Jamais de
convulsions
. - Aucun détail sur l'évolution physique et int
une fille âgée de dix sept ans, intelligente, bien-portante, pas de
convulsions
; 2° notre malade. Antécédents personnels. 93
en- tition s'est effectuée régulièrement et sans accident. Pa8 de
convulsions
; pas de fièvre infectieuse, sauf une varicelle à
assagères. - Grand-pèré maternel, alcoolique, mort aliéné. Frère,
convulsions
de l'enfance. Autre frère déséquilibré, ins- ta
ces accidents en six mois. Céphalalgies- Accidents congestifs avec
convulsions
internes il ans. -1 10 ans, absences (Janvier 1
tous bien portants ainsi que leurs enfants qui n'ont jamais eu de
convulsions
. Il n'y aurait aucune tare nerveuse dans le reste
re malade : les trois autres sont bien portants, n'ont jamais ou de
convulsions
; le dernier, mort il 5 mois de broncho-pneumon
use, intelligente; - 8" fille née il 7 mois, morte il. 3 jours sans
convulsions
90 fille, 8 ans, pas de convulsions (ju'¡letI89Î
7 mois, morte il. 3 jours sans convulsions 90 fille, 8 ans, pas de
convulsions
(ju'¡letI89Î J, (2) Le père faisait déjà des ex
1 petit déjeuner. Il poussa un cri, perdit connaissance, puis les
convulsions
apparurent, portant sur les quatre membres et l
début. On dut le faire manger pendant quatre semaines. Après les
convulsions
, la parole était perdue. Le premier mot qu'il p
nota le tremblement de la tête. L'oeil droit, resté dévié après les
convulsions
, reprit sa position normale à mesure que dispar
de 4 ans, menaces de congestion cérébrale (face rouge, céphalalgie,
convulsions
internes : ses yeux se retour- naient). Cet éta
nous a souvent répété que Bé... était tout-à-fait normal avant les
convulsions
et que, après, l'intelligence avait diminué, su
E EN plaques disséminées. elle n'était plus normale comme avant les
convulsions
mais bégayante ; - 2° paralysie des quatre memb
a plus complète, c'est-à-dire la forme cérébro-spinale. Avant les
convulsions
, Bé... était tout-à-fait n01'- mal, suivant les
e la tête, depuis, il s'en plaint souvent. Il n'aurait jamais eu de
convulsions
, mais avait de grandes colères durant lesquelle
' mère paternelle, migraineuse. - Cousin, strabique à la suite de
convulsions
. ? . Mère, rachitique dans l'enfance, rhumatisa
roubles mentaux, - Grand- oncle, aliéné. - Deux cousins atteints de
convulsions
dans l'enfance. - Gétnellarité : l'un des Jumea
ns dans l'enfance. - Gétnellarité : l'un des Jumeaux est. mort de
convulsions
. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de deux
rossesse, accouchement, naissance, rien de particulier. - Premières
convulsions
à 8 mois pendant 4 heures : consécutivement, di
sants. L'enfant de l'un des oncles maternels louche à la suite de
convulsions
. - Treize frères ou soeurs dont quatre seraient
tc., etc., dans le reste de la famille.] Mère, 28 ans, ménagère, ni
convulsions
, ni indices de syphilis; rhumatisante, cardiaqu
ns. - Un frère et une soew' jumeaux morts, le premier il 28 mois de
convulsions
, l'autre d'une maladie à la jambe ( ? ). - Deux
té. - Inégalité d'âge de 2 ans. Deux enfants : in une fille, pas de
convulsions
, intelligente; 2° notre malade. Antécédents p
esta jusqu'à un an. C'est lit qu'elle a eu, à 8 mois, ses premières
convulsions
qui coïncidèrent, dit-on, avec l'apparition des
coïncidèrent, dit-on, avec l'apparition des premières dents. Ces
convulsions
survinrent la nuit, débutèrent par un cri, enva
é gauche du corps était plus malade que le droit. A partir de ces
convulsions
, l'enfant aurait eu presque quotidiennement des
ligence et 3° d'accès convulsifs épilepti formes dans lesquels les
convulsions
étaient plus accusées au bras gauche. Sept mois
erculose. - Oncle eczémateux, alcoolique, cancéreux. Cousin mort de
convulsions
. - Autre cousin idiot. Mère, enfant naturelle
de particulier. - Signes d'idiotie à l'âge de trois mois. Séries de
convulsions
à 3 mois : regard plus obscur; inertie des memb
ice le 8 août 1898, avec un certificat ainsi conçu : « Idiotie avec
convulsions
épileptiformes très fréquentes ; nulle mani- fe
nt trois mois, un tremblement de tout le corps et de la langue ; ni
convulsions
, ni migraines, ni indices de syphilis; poussées
le.] Mère, 35 ans, blanchisseuse, enfant naturelle, sobre, pas de
convulsions
, céphalalgies frontales n'ayant pas le caractère
e côté. Il ne souriait point. » A trois mois l'enfant a été pris de
convulsions
. Les membres étaient affectés également des deu
soirée. Pendant quelques jours, il a eu quoti- diennement plusieurs
convulsions
semblables. Il a eu ensuite lSfi . IDIOTIE symp
evenus inertes. Pendant deux autres mois il aurait eu également des
convulsions
: les membres étaient raides, le corps tressaut
lcoolique, est mort d'un cancer de la bouche. Un cousin est mort de
convulsions
; un autre était idiot. Plusieurs membres de la
la vie, l'enfant ne semblait pas naturel ; à trois mois il eût des
convulsions
qui se répétèrent quotidiennement pendant plusi
reuse existait-elle à la naissance ou a-t-elle été produite par les
convulsions
, nous n'osons nous prononcer, tout en inclinant
e paternelle, alcooliques. - Tante pater- nelle prostituée. - Mère,
convulsions
fréquentes dans l'enfance, hystérique, internée
s, fleuriste et plumassière, aurait eu dans son enfance beaucoup de
convulsions
à la suite desquelles Folie DE l'adolescence. 1
i. Quatre enfants : L'ainée, fille, 16 ans 1/'2, n'a jamais eu de
convulsions
, mais, elle a eu le carreau et est rachitique.
'2" Notre malade; - 3° Garçon, mort à anus, rachitique, beaucoup de
convulsions
, serait mort de méningite 4" Garçon morts à moi
e a présenté de l'incontinence nocturne d'urine. Elle aurait eu des
convulsions
après sa première dent, trois dans la même jour
emps sa mère divague. DÉLIRE MYSTIQUE, EXCITATION MANIAQUE. 207
convulsions
limitées Ù la face ; elle a présenté de l'incon
couchement prématuré à 7 mois. - Enfant du poids d'un kilogramme. -
Convulsions
à 6 mois suivies d'une augmentation du volume d
enfants : 1° Une fille de 16 ans, bien portante, n'ayant pas eu de
convulsions
; - 2° Un garçon mort à 4 ans de la variole ; -
mal n'est relaté à la naissance. A 6 mois, la fillette est prise de
convulsions
et sa tête se met à grossir, jusqu'alors la mèr
e année qu'apparaissent des crises épileptiformes avec cri initial,
convulsions
toniques et cloniques sans morsures de la langu
x minutes. Elle s'endormait après. Jusqu'à 6 ans, elle avait eu des
convulsions
ana- logues presque tous les mois, puis elles s
a eu des crises épileplifonmes bien caractérisées avec cri initial,
convulsions
toniques et cloniques, coma stertoreux. On a re
s mois, la tête de la fillette aurait été normale. - IV. A 6 mois
convulsions
suivies aussitôt d'aug- mentation de volun2e du
vulsions suivies aussitôt d'aug- mentation de volun2e du crâne. Ces
convulsions
se multiplient de 6 à 18 mois, puis elles cesse
is la tête a, depuis, continué à grossir. V. Jusqu'à 8 ans pas de
convulsions
. A cet âge Fig. 15. Squelette crânien d'un hy
sson, aliéné à 26 ans. . Mère, migraineuse, très nerveuse. - Frère,
convulsions
à 6 mois; intelligence médiocre. - Un cousin al
s. 5 Enfants : 10 notre malade ; - '20 garçon de 15 ans, a ou des
convulsions
de si il 10 mois; intelligence médiocre ; il a
béniste; - 3" garçon de 13 ans, apprenti sculpteur sur bois; pas de
convulsions
, intelligent (1); - 4o garçon mort à 17 mois, d
s; - b° fille, G ans, bien portante, intelligente, n'a jamais eu de
convulsions
('2), Notre malade. Grossesse bonne, sans chagr
- viennent brusquement, sans qu'il prévienne. Pas de cri initial.
Convulsions
toniques suivies de convulsions cloniques. Il é
u'il prévienne. Pas de cri initial. Convulsions toniques suivies de
convulsions
cloniques. Il écume un peu, se mord légèrement
e, proba- hlement compliquée de broncho-pneumonie, sans nouvelles
convulsions
. - Lui-même a eau un accès le lendemain de l'en
l ne poussait qu'un cri, au début; naguère il avait eu rarement des
convulsions
cloniques, il en a maintenant des deux côtés du
Blanche), née le 3 novembre 1890. 1892. 16 février. - Elle a eu des
convulsions
à 3 semaines d'intervalles, la dernière le 9 fé
urée d'un quart d'heure chaque fois. 1893. 23 mars. Elle a eu des
convulsions
qui ont duré 3 ? d'heure. Tout le corps était r
ignalé le 23 mars. Deux Descendance. 247 heures avant ses grandes
convulsions
, au moment du lever, elle aurait eu une halluci
e veut plus rester seule : « Le loup va venir » dit-elle. Après ces
convulsions
elle avait peur de tomber et disait que son lit
17 décembre. Elle se porte bien. Elle a un peu de bronchite. Pas de
convulsions
. Elle ne paraît pas nerveuse. 1897. 14 avril. S
ée de 6 ans, brune, physionomie intelligente. Elle n'a jamais eu de
convulsions
. Elle n'est pas nerveuse. 17 août. - La mère am
ueuse », dit sa mère. 7° Renée, morte à un an de cholérine ; pas de
convulsions
. 8° Mun... (Jeanne), née le 6 octobre 1897. C
tard, par athrepsie et aggravation des lésions pulmonaires. Pas de
convulsions
. La femme de Mun... est de nouveau enceinte et
bien le père. Deux sont morts d'athrepsie et une de cholérinc sans
convulsions
. - L'un d'eux (4°) est : très nerveux, sujet à
mmeil : il est, d'ailleurs, intelligent. - Un autre (5°) a eu des
convulsions
iL trois reprises, des hallucinations, des sens
des bronchites pendant les trois premières années, mais jamais de
convulsions
; il a marché à 20 mois, a commencé à parler vers
s bien portantes ; aucun de ses enfants ou petits enfants n'a eu de
convulsions
ou de maladies nerveuses ; 6' notre malade. N
oreillons après sa première sortie de Bicêtre ; il n'a jamais eu de
convulsions
; pas d'autres maladies éruptivcs ou contagieuse
ient le matin au réveil. Observation V. Epilepsie idiopathique. -
Convulsions
de 1-4 aas. -Etourdissements, puis accès à 8 an
Pas de consanguinité. - 11 enfants : 1° Garçon mort en nourrice de
convulsions
au moment de la dentition à 14 mois. - 2° Fille
18 ans, sculpteur sur bois, d'un caractère changeant, a eu quelques
convulsions
; est intelli- gent. - 6° Fille, 17 ans, intell
Fille, 17 ans, intelligente, d'une bonne conduite, a eu beaucoup de
convulsions
à l'époque de la dentition. - 7° Garçon, 15 ans
t, » n'a pu apprendre à lire, sait à peine signer son nom, a eu des
convulsions
(1). - 8° Une fausse couche. - 9° Notre malade.
lade. - 10° Une fille, 6 ans, intelligente, bien portante, a eu des
convulsions
. - 11° Une fille morte en deux jours, à 18 mois
venus plus d'une fois. » L'accouchement normal eut lieu à terme. -
Convulsions
vers un an, puis de temps à autre jusqu'à 4 ans
ique. OBSERVATIONS. 29 Observation VI. Epilesie idiopathique. -
Convulsions
de 3-4 ans. - Début à 4 ans. - Accès nocturnes
oumis aux dou- ches. Observation XIX. Epilepsie idiopathique. -
Convulsions
fréquentes de six mois à un an. - Début à un an
EMENT HYDROTHÉRAPIQUE. Observation XXI. Epilepsie idiopathique. -
Convulsions
. - Début des accès il, 19 mois. - Idiotie. - Gâ
hydro- thérapique. Observation XXIII. Epilepsie idiopathique. -
Convulsions
dans l'enfance. - Début à 12 ans. - Affaiblisse
te dans un escalier), - 5° garçon mort à 18 mois, en un jour, de
convulsions
, - 6° fausse-couche de 3 mois (dispute avec son
lé à 2 ans 1/2; il a été propre de bonne heure ; n'a ja- mais eu de
convulsions
, ni de manifestation scrofuleuse, sauf des enge
is ans son père l'aurait enivré ; il aurait eu la nuit suivante des
convulsions
qui auraient duré de 10 à 20 minutes, on ne sau
t : «maman, je tombe», perdait connais sance, puis sans avoir eu de
convulsions
, s'endormait; - il fut conduit aux enfants mala
e. -Pas de folie après les accès. - Onanisme depuis deux ans. - Les
convulsions
cloniques portent seulement sur le côté droit.
ession, « que paraître tomber; » dans cette caté- gorie d'accès les
convulsions
seraient moins fortes, il n'y aurait pas de stu
ENT HYDROTHÉRAPIQUE. Observation XXXII. Epilepsie idiopathique. -
Convulsions
de 4 riz 7 ans. .Etourdisse- ments à 13 ans. -
traitement hydrothérapique. observations. 59 Observation XXXVI.
Convulsions
depuis la naissance jusqu'à 2 ans. - Cauchemars d
sme. Mère nerveuse, migraineuse. - Cousin germain idiot. - Frères :
convulsions
. Même état. Dog..., Jacques, 17 ans, entré à Bi
q enfants qui, comme lui, sont bien portants, et n'ont jamais eu de
convulsions
. - Trois sceuns : l'aînée a une bonne santé ain
nité. - Trois enfants ; 1° notre malade; 2° et 3° garçons morts de
convulsions
, l'un à deux ans, l'autre à trois mois. [La mèr
n, n'a pas d'attaques de nerfs (deux autres enfants sont morts de
convulsions
)J. Notre malade est né à terme; l'accouchement
ans il était propre, parlait et marchait bien ; il na jamais eu de
convulsions
, du moins on le croit, jamais de manifestations
é que celui de 1881. f Observation L. Epilepsie apoplectiforme. -
Convulsions
d'un seul côté du corps, de 18 mois à 6 ans. -
tement hydrothérapique. Observation LI. Epilepsie idiopathique. -
Convulsions
dans l'enfance. - Congestion cérébrale à 3 ans.
. BOURNEVILLE). 78 traitement hydrothérapique. Observation LUI.
Convulsions
à 48 mois. - Hémiplégie droite ? Accès d'épilepsi
servations. 79 9 80 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. Observation LV.
Convulsions
14 l 5 mois. - 1-lémipte*gie gauche. -Vertiges il
YDROTHÉRAPIQUE. TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. 83 Observation LIX.
Convulsions
. Hémiplégie gauche, trois jours après la naissanc
ervation. Consanguinité . Soeur morte de con- vulsions. - Premières
convulsions
il quatorze -mois, secondes convulsions à trois
on- vulsions. - Premières convulsions il quatorze -mois, secondes
convulsions
à trois ans et denzi. - Et01 ! .7'- dissements.
santé : l'un a eu trois enfants dont deux sont morts à la suite de
convulsions
et le troisième après une fièvre; un autre a eu
morts, l'un d'une bronchite, l'autre on ne sait de quoi , mais sans
convulsions
; le troisième n'a pas d'enfants. Deux soeurs,
en portantes, ont trois enfants intelligents et qui n'ont pas eu de
convulsions
. Ni aliénés, ni épileptiques, hi apoplectiques,
ons, elle éprouve une sensation d'étranglement à la gorge. Pas de
convulsions
, pas de dartres, etc. [Père, 54 ans ; -Mère, 56
orte à un an; elle aurait eu peur d'un orage et aurait été prise de
convulsions
qui auraient duré quatre jours avec des rémissi
est allé que quinze jours, parce qu'il a été pris de ses- secondes
convulsions
; elles ont duré vingt-cinq minutes, elles étaie
endormi, et au bout d'une demi-heure de sommeil, il a été repris de
convulsions
qui ont duré quatre à cinq minutes : sommeil co
ns- durant environ deux heures; à partir de là, il n'a plus eu de
convulsions
. Au bout de quatre à cinq jours, on a con- stat
s'habiller, il ne le pouvait plus. Une quinzaine de jours après les
convulsions
, sont sur- venus les étourdissements. Ils venai
mots qu'il ait conservés) et tout est fini. Depuis les dernières
convulsions
,on aurait remarqué que R... était comparativeme
es, normales d'habitude, se dila- tent légèrement; on note quelques
convulsions
dans la joue gauche et la moitié correspondante
abitude. A quatre heures, à la contre-visite, on s'aperçoit que les
convulsions
ont recommencé : la température qui, jusqu'à pr
vésicatoire sur latête. 5 mai. Le vésicatoire a beaucoup donné. Les
convulsions
ont continué hier pendant toute la soirée avec
a respiration est obscure, surtout en bas. T. R. 40°,8. Soir. Les
convulsions
ont été un peu plus fortes, tout en gardant les
pendant cette crise, qui dure deux ou trois minutes seulement, les
convulsions
n'augmentent pas. Le vésicatoire n'a pas pris ;
tre épileptique. - Mère, enfant trouëe, ? zg'rameusc.Soeur morte de
convulsions
. Convulsions à 4 ans. - Rachitisme. -Secondes c
. - Mère, enfant trouëe, ? zg'rameusc.Soeur morte de convulsions.
Convulsions
à 4 ans. - Rachitisme. -Secondes con- vulsions
d'une fièvre cérébrale : intelligente, bien conformée; avait eu des
convulsions
; - 2°Garçon mort en 1870 étant soldat; 3° Fille
e ; a commencé à parler à 15 mois et à marcher à 18 mois ; à 4 ans,
convulsions
survenues à l'asile et attribuées à une peur ca
porte des traces très accusées au bras droit. A 7 ans, nouvelles
convulsions
ayant duré 15 minutes. A 13 ans. début de l'épi
un peu plus longtemps; la période clonique est caractérisée par des
convulsions
fortes, assez prolon- gées et égales des deux c
paternel aliéné. - Mère migrai- 136 EPILEPSIE. neuse. Pre))nères
convulsions
à 10 mois. - Premier accès vers deux ans et dem
ace ; névralgies den- taires ; érysipèle ; ne croit pas avoir eu de
convulsions
. - [Père, 76 ans, maçon, fait quelques excès al
otre malade; 2° un garçon de 13 ans bien portant, qui n'a pas eu de
convulsions
. Notre malade. - Grossesse rendue pénible jusqu
; repris à 9 mois « il avait la tête pleine de mal.»-Les premières
convulsions
se montrèrent à 10 mois : C... resta 7 à 8 heur
écumante, mais sans secousses : « le mé- decin a appelé cela des «
convulsions
internes. » Le surlen- demain nouvelles convuls
pelé cela des « convulsions internes. » Le surlen- demain nouvelles
convulsions
durant quelques minutes et revenant à plusieurs
s. Pendant les deux mois suivants, rien; puis, troisième attaque de
convulsions
qui a coïncidé avec l'apparition de la première
vec l'apparition de la première dent. A partir de cette époque, les
convulsions
se seraient reproduites très souvent, à chaque
té habituelle ; quelques vers. Rougeole à 4 ans, ho- quet avant les
convulsions
; il eutà diverses reprises, quel- ques manifest
peu faible, mais elle a été malheureuse ; ni attaques de nerfs, ni
convulsions
, etc.; n'a jamais été malade. [Père, mineur, mo
au monde ; « c'était clans la tête »; une autre fille est morte de
convulsions
, à 6 se- maines ; les autres sont sains. Notr
é vers 14 mois, parlé vers 18 mois, a été propre à 2 ans. Jamais de
convulsions
. A 4 ans, oph- talmie qui dura 2 mois ; ni dart
accouchement à 7 mois 1/2; nous constatons de plus chez Give... des
convulsions
dans l'en- fance, le rachitisme, etc., enfin l'
ménagère, santé délicate ; très faible, mais pas de maladie, pas de
convulsions
de l'enfance, pas d'atta- ques de nerfs. Très i
an. Huit enfants, dont un garçon bien portant, qui aurait eu des
convulsions
jusqu'à 2 ans 1/2 ; deux jumelles (1) mortes à
elles (1) mortes à 15 jours, et deux filles dont l'une est morte de
convulsions
à 9 mois, et l'autre bien portante (20 ans) qui
l'autre bien portante (20 ans) qui a eu un enfant mort également de
convulsions
. Notre malade est le septième enfant. Notre m
ut de la maladie. - A 2 ans i/2, le jour de sa rentrée de nourrice,
convulsions
ou mieux un accès de deux ou trois minutes, apr
RVATION VII Epilepsie. Pas d'antécédents névropathiques. - Pas de
convulsions
dans l'enfance. - Premier accès à 7 ans. - Amél
ents névropathiqzzes. - Une soeur morte de mé- ningite. - Premières
convulsions
à 8 mois à la suite d'une maladie ( ? ), avec c
Premières convulsions à 8 mois à la suite d'une maladie ( ? ), avec
convulsions
dans la face et le membre du côté gauche. - Amé
Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 9 ans. - Mère et 9oe/lr,
convulsions
de l'enfance. Plusieurs convulsions à 4 4 mois.
e de 9 ans. - Mère et 9oe/lr, convulsions de l'enfance. Plusieurs
convulsions
à 4 4 mois. - Convulsions Iréqueil- tes pendant
e/lr, convulsions de l'enfance. Plusieurs convulsions à 4 4 mois. -
Convulsions
Iréqueil- tes pendant un an, puis plus rares, j
scieur delong, d'une intelligence au-dessous de la moyenne ; pas de
convulsions
de l'enfance ; fièvre typhoïde à 8 ans. Il y a
is enfants : 1° notre malade ; 2° une fille âgée de 7 ans, chétive,
convulsions
dans la première enfance; - BROMURE DE CAMPHRE.
nfance; - BROMURE DE CAMPHRE. 29 9 3° garçon, 4 ans, intelligent,
convulsions
à l'âge de 4 ou 5 mois. Notre malade.-La conc
nide circulaires du cordon. Nourri au sein par sa mère. Premières
convulsions
à 4 mois, générales, avec déviation des yeux, c
e. Pas d'aura, pas de cris; grimaces de la face, prédominance des
convulsions
dans le côté gauche ; bave mais pas de mic- tio
ès de boissons. - Grand-père maternel : pied bot consécutif ri. des
convulsions
. - Cousinf) germaine morte de méningite . - Pic
au biberon. Muguet à 1 mois. - Coqueluche à18 mois. -Pre- mières
convulsions
à 2 ans. - Accès. - -7'2,ciiie ? ? tent par la
I Pas d'antécédents névropathiqices. - Asphyxie à la naissance. -
Convulsions
à 3 mois. - Picrotoxine. Brouck... Charles, 18
èvre cérébrale. - Grand-père maternel mort paralytique. - Premières
convulsions
à 15 mois. - Accès à 5 ans. - Picrotoxine. La
ernelle épileptique. - Cousine morte de méningite. - Soeur morte de
convulsions
. Premières convulsions à 11 mois. - Picrotoxine
usine morte de méningite. - Soeur morte de convulsions. Premières
convulsions
à 11 mois. - Picrotoxine. Vitr... Louis, 11 ans
n traitement pour une paralysie alcoolique. Un frère, mort dans les
convulsions
, à la suite d'une coqueluche, était bien confor
excès de boisson. - Cousine germaine, paralysie consécutive à des
convulsions
; cousine germaine sujette à des attaques. - Gr
ique ; tante maternelle aliénée. - Consanguinité.- Un frère mort de
convulsions
, un autre idiot et épilepiique; un troisième a
e convulsions, un autre idiot et épilepiique; un troisième a eu des
convulsions
. Accouchement à 10 mois ( ? ). -fl la naissance
nts, sauf une fille qui a une paralysie d'un bras consécutive à des
convulsions
. - 2 soeurs, mortes l'une « à son retour d'âge
troisième est dans une maison de santé comme aliénée, elle a eu des
convulsions
dans l'enfance. Les deux autres se portent bien
an. - Tous deux sont nés à Metz. Sept enfants : 1° garçon, mort de
convulsions
à dix mois ;- 2° garçon, 23 ans; 3° garçon, 21
n, 23 ans; 3° garçon, 21 ans, bien portants, intelli- gents, pas de
convulsions
; 4° garçon, 19 ans, a eu, à deux reprises, des
pas de convulsions ; 4° garçon, 19 ans, a eu, à deux reprises, des
convulsions
attribuées aux vers; 5° fille, intel- ligente,
ttribuées aux vers; 5° fille, intel- ligente, grande, forte, pas do
convulsions
; 6,1 garçon, at- teint d'idiotie à un degré pr
diotie à un degré prononcé et d'épilersie. Il n'aurait jamais eu de
convulsions
. Il est dans notre service et c'est en interrog
notre malade; - 2° garçon, 4 ans, bien portant, intelligent, pas do
convulsions
; - 3° fille, 3 ans, en bonne santé, sans ac- ci
urmontable de dormir, chute. - Asphyxie à ta naissance. - Premières
convulsions
a 14 mois. - Refroidissement et cyanose de la m
Père, 32 ans, garçon de café depuis l'âge de 13 ans. n'a pas eu de
convulsions
de l'enfance, laborieux, sobre, d'une conduite
l'une est sujette à des migraines ; leurs enfants n'ont pas eu de
convulsions
.- Deux cousins germains, âgés l'un de 39 ans, l
l'autre de 22 ans, sont devenus tout à fait idiots à la suite de
convulsions
de l'enfance. - Ni aliénés, ni épileptiques, ni
ne rappelant aucunement celle du malade, sobre, bonne tenue, pas de
convulsions
de l'enfance. Elle a des dou- leurs névralgique
é bien portant jusqu'à 14 mois (Fig. 8), époque où il aurait eu des
convulsions
qui ont duré dix minutes : les membres étaient
âtres. On était obligé de les envelopper dans de l'ouate. Après les
convulsions
, pen- dant six semaines, il aurait eu de la con
du corps à la naissance. - Influence du lait morphine. Premières
convulsions
internes à 5 mois, suivies de 12 à 15 crises jus-
ouveau gonflement de la moitié gauche du corps à 9 mois. - Morle de
convulsions
il 1 mois. - Autopsie : absence de la glande th
; Vers la fin du mois de mai, elle a eu, pour la première fois, des
convulsions
internes : elle se réveillait en frayeur, faisa
, puis secousses générales, écume; durée 4 à 5 minutes. - Nouvelles
convulsions
vers 11 heures du soir, puis, le 30 novembre, à
de sa paralysie générale à l'époque de la- conception. - Premières
convulsions
à huit mois. - Bron- chite. - Symptômes classiq
t d'un caractère violent ; elle a deux enfants bien portants ; sans
convulsions
. - Pas d'autres aliénés, pas d'épileptiques, pa
atre enfants : 10 Fille, dix ans, intelligente, nerveuse; jamais de
convulsions
; - 2° Fille morte de méningite à 2 ans; - 3° Fi
2 ans; - 3° Fille morte à 3 ans d'une fluxion de poitrine; pas de
convulsions
; 4° Pauline. (1) Les renseignements que nous a
le a eu pendant trois jours et chaque jour à diverses reprises, des
convulsions
qui ont duré chaque fois dix minutes; elle deve
s dans les quatre membres, égales des deux côtés. - A partir de ces
convulsions
, l'enfant « n'a plus poussé du tout », dit la m
ers mois de l'existence ; mais ce n'est qu'à huit mois, après des
convulsions
, qu'on a noté la présence d'une hernie ombilica
Souvent, ils ne s'en aperçoivent qu'après une fièvre éruptive, des
convulsions
ou un trau- matisme. Mais, suivant nous, un cei
affection. Maladies lrcltcul3r3rrl·Js.-Nous devons mentionner les
convulsions
, l'érysipèle, la bronchite, les hémor- 1'houles
se traduisent cliniquement par l'idiotie, le gâtisme, les tics, les
convulsions
dans les premières années de la vie et, très so
u couché, ne pouvait manger seul, était gâteux, il présentait des
convulsions
allant jusqu'à un véritable état de mal. 11 mouru
de son observation clinique, qui a été publiée. Il était atteint de
convulsions
et d'épilepsie a accès rapprochés, après avoir
e boisson du père, mère nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de
convulsions
. Premières convulsions à six mois, secondes à n
nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de convulsions. Premières
convulsions
à six mois, secondes à neuf; puis con- vulsions
onvexité sont ici très marquées, l'idiotie était profonde, et les
convulsions
étaient précoces et fréquentes. Notre maître, l
t fils d'un alcoolique, on trouva de l'hydrocéphalie partielle. Les
convulsions
avaient débuté à quatre mois, suivies d'un véri
83; grand-père maternel alcoolique ; mère nerveuse; frères morts de
convulsions
; LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. '
convulsions; LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE. '1 ;-11
convulsions
à six semaines, rougeole, tubercules ; idiotie co
nh., 1868-1885, hérédité alcoolique et nerveuse, a eu ses premières
convulsions
à deux ans. Elles étaient limitées au côté gauc
t, il s'agit d'un enfant de trois ans, Porte ? atteint de premières
convulsions
à trois mois. Parole et démarche nulles, gâtism
vulsions de l'enfance, blésité. Accès de cris de un à cinq mois. -
Convulsions
internes à trois se- maines. Premières dents à
ace de syphilis ; pas d'attaques de nerfs. On ne sait s'il a eu des
convulsions
dans l'enfance. Jamais d'excès de boisson, ne f
e, quarante-huit ans, couturière, petite, brune, n'aurait pas eu de
convulsions
dans l'enfance, pas de migraines ni de névral-
'âge de 5 ans.] Douze enfants : 1° Garçon de vingt-huit ans; pas de
convulsions
, intelligent ; géologue. Marié, pas d'enfants;
Marié, pas d'enfants; très rangé; -2° Fille, vingt-cinq ans, pas de
convulsions
; à dix-huit ans, peur, suspen- sion des règles
rçon, mort à sept ou huit mois 4° Garçon, vingt-quatre ans ; pas de
convulsions
. Accès de somnambulisme la nuit, de dix à vingt
enneuse( ? ), 111 STÎ : ftO-PILEPIC. C. 151 à quatre mois. Pas de
convulsions
; - 6° Fille, vingt ans ; pas de convulsions, p
à quatre mois. Pas de convulsions ; - 6° Fille, vingt ans ; pas de
convulsions
, pas d'attaques de nerfs ni de migraines; intelli
Enfants assistés ; z 8° Notre malade ; 9° Fille, douze ans ; pas de
convulsions
, intel- liâenle' ; 10° Garçon, dix ans, aurait
e convulsions, intel- liâenle' ; 10° Garçon, dix ans, aurait eu des
convulsions
à six semaines et en aurait eu à diverses repri
zotte un peu en parlant » ; - 11° Garçon, huit ans et demi ; pas de
convulsions
, bien portant, intelligent; - 12° Fille,morte d
attribués par le méde- cin aux coliques. A trois semaines, petites
convulsions
internes : immobilité, occlusion des yeux, pâle
coup plus courtes, de dix à quinze minutes au plus. Jamais d'autres
convulsions
. Première dent vers sept ou huit mois, puis ell
et des douleurs dans la tête, surtout au niveau des tempes. Pas de
convulsions
. Nerveuse, mais jamais d'attaques. Appétit médi
malade. II. Dans ses antécédents personnels, nous relevons : des
convulsions
internes se manifestant à six reprises de l'âge d
sionomie régulière, plutôt agréable. Elle a eu dans son enfance des
convulsions
qui ont laissé un léger strabisme. Elle 174 I
xie. - Deux frères et une soeur morts de con- vulsions. Premières
convulsions
à 2 ans. - Convulsions mensuelles de 2 à 7 ans.
ne soeur morts de con- vulsions. Premières convulsions à 2 ans. -
Convulsions
mensuelles de 2 à 7 ans. - Affaiblissement cons
- Affaiblissement consécutif de l'intelli- gence. - Suspension des
convulsions
à partir de 7 ans.- Gâtisme. - Turbulence. - Cl
atre enfants : 1° Notre malade ; - 2° garçon mort à six semaines de
convulsions
internes ; à l'époque de la concep- tion de cet
lorsque le premier enfant a été conçu - 3" garçon mort à 8 jours de
convulsions
; 4° tille morte à 15 jours de convulsions. N
rçon mort à 8 jours de convulsions ; 4° tille morte à 15 jours de
convulsions
. Notre malade. - Rien de particulier lors de la
mal. Ses parents l'ont repris à 2 ans. 15 jours après, premières
convulsions
: l'enfant avait les yeux tournés, les membres
ra une heure environ. - A partir de cette époque jusqu'à 7 ans, les
convulsions
seraient revenues envi- ron tous les mois, avec
6 Description DU malade. L'enfant qui, dit-on, n'aurait pas eu de
convulsions
depuis l'âge de 7 ans, a eu 8 accès en décembre
s voyons tous ses enfants suc- comber peu après, la naissance à des
convulsions
. II. De 2 à 7 ans, l'enfant a eu des convulsion
la naissance à des convulsions. II. De 2 à 7 ans, l'enfant a eu des
convulsions
qui Fig. 1. 12 Idiotie et épilepsie méningiti
ga- lité d'âge de 5 ans. Enfant petit à la naissance. - Jamais de
convulsions
. Fièvre à huit mois dite typhoïde ( ? J, suivie
oyenne, robuste, jouissant, d'une bonne santé ; il n'a jamais eu de
convulsions
, ni de fièvre typhoïde, ni de rhumatismes, ni d
e reste de la famille.] Mère, 31 ans, fait des ménages, n'a eu ni
convulsions
, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dartres
IDIOTIE 1l : : NINGITIQUE. avec du lait de vache. 111 jamais eu de
convulsions
. La dentition aurait été tardive. 8 mois, il au
angue est couverte d'un enduit noir et coagulé. L'enfant meurt sans
convulsions
. MÉNIN60-ENCÊPHAI..ITE ; TUBERCULOSE pulmonaire
3 ans. - Un frère et une soeur sont peu in- telligents. Jamais de
convulsions
. - Marche 15 mois. - Début de la parole à 3 ans
é au sein par une nourrice iL la campagne. Il n'aurait jamais eu de
convulsions
.il a marché à quinze mois, mais n'a commencé à
tures. - Traitement antisyphilitique. - Amélioration. - Mort sans
convulsions
. - Pas d'élévation de température après la mort
croûtes dans les cheveux, qui ont guéri sans traite- ment.- Pas de
convulsions
. Faiblesse de la vue. Elle revint en France ver
oup. 15 mars. - La prostration est complète. Mort le 17 mars sans
convulsions
. - Poicls après décès, 30 kil. 200. 38 IDIOTIE
re de l'enfant). Père, 39 ans, bouc;heur à l'émeri , sobre ; pas de
convulsions
dans l'enfance ; toujours bien portant ; pas d'
llucinations. - Une soeur, bien portante.] Mère, fleuriste ; pas de
convulsions
ni plus tard de crises de nerfs, peu émotionabl
té. - Mère plus âgée de 4 ans. 5 enfants : f garçon, 17 ans, pas de
convulsions
, boucheur à l'émeri, travailleur et intelligent
à l'émeri, travailleur et intelligent; - 2° garçon, 15 ans, pas de
convulsions
, bonne santé habituelle, travailleur et intel-
e, et sevrée à 22 mois. - Dentition normale, marche à un an. Pas de
convulsions
pendant les cinq premières années. Cholérine à
it connaissance. Elle était très pâle, puis elle fût agitée par des
convulsions
cloniques et urina sous elle. Pas de mor- sure
le tronc et les membres inférieurs, et furent secoués par quelques
convulsions
cloniques ; les commissures labiales s'agitèren
légère à la naissance. - Début de la dentition à 6 mois. - Promères
convulsions
à 8 mois, se renouvelant mensuellement. - Faibl
tré à Bicêtre (service de M. Bourneville), le 1 ? décembre 1891.
Convulsions
; hémiplégie gauche; ÉPILEPSIE. 53 Antécédents.
our le faire crier. C'était un enfant assez gros ; il n'a pas eu de
convulsions
au moment de 54 CONVULSIONS; hémiplégie gauche;
enfant assez gros ; il n'a pas eu de convulsions au moment de 54
CONVULSIONS
; hémiplégie gauche; épilepsie. l'accouchement,
bres inférieurs. Cette paralysie parait devoir être rattachée à des
convulsions
survenues à 8 mois, sans que les parents aient
uer à préparer les lésions qui se sont traduites, à 8 mois, par des
convulsions
. III. Les premières convulsions ont éclaté à hu
sont traduites, à 8 mois, par des convulsions. III. Les premières
convulsions
ont éclaté à huit mois. Elles ont été suivies d
15 novembre 1892) : - Père, 44 ans, charpentier, n'a jamais eu de
convulsions
, de fièvre typhoïde, de choréc, de rhumatisme ;
de suicidés, de débauchés]. Mère, 34 ans, femme de ménage ; pas de
convulsions
de l'enfance ; pas de maladies nerveuses ou aut
ois, elle cessa de marcher et de parler. Elle n'aurait jamais eu de
convulsions
. La mastication est défec- tueuse. Pas de salac
qu'elle savait au point de vue de la parole. Toutefois l'absence de
convulsions
, de symptômes cérébraux graves, autorise à mett
ucune difformité physique]. Mère, 51 ans, cuisinière, n'a pas eu de
convulsions
dans l'enfance. Sa santé générale aurait été dé
ernel, mort paralysé. - Cousine maternelle, cho- 7'éiqtte. - Frère,
convulsions
de l'enfance. Emotion violente de la mère au si
, doreur sur métaux (1), fort, de taille ordinaire, sobre. Pas de
convulsions
dans l'enfance. Fièvre typhoïde à 18 ans. Marié
ues, sourds-muets, etc.] -1 Mère, 'il ans, sans profession ; pas de
convulsions
ni de maladies dans l'enf ? ce. A 22 ans, écoul
n'ont rien de particulier ainsi que le plus jeune. Aucun n'a eu de
convulsions
. - Dans le reste de lafamille, une cousizze mat
Deux enfanta : le garçon, 21 ans, employé chez son père, a eu des
convulsions
dans l'enfance au retour de nourrice. Depuis lo
el âge. Parole à 2 an : a. Marche à un an. Il n'aurait jamais eu de
convulsions
, et n'aurait pas fait de maladies jusqu'à 5 ans
is ic 33 mots. - Début de la marche z. la même époque. - Premièl'es
convulsions
à 8 mois ; leur fréquence ; disparition it 3 a
? 2). - Père, enfant naturel, 47 ans, marchand de meu- bles, pas de
convulsions
de l'enfance, ni de migraines, tem- pérament tr
res : deux sont morts l'un à 18 mois d'une affection cérébrale sans
convulsions
, pense-t-on ; l'autre a eu une coxalgie et a su
er aux grandes élèves et les déclamait. Jamais elle n'a- vait eu de
convulsions
(1). (1) La mère du malade, réglée à il ans et
vertébrale ; elle courait très bien, « comme un lapin ». Premières
convulsions
à 8 mois : flexion prononcée de la tête, inclin
L'enfant est revenue vite à elle (2 à 3 minutes). A la suite de ces
convulsions
, sa mère l'a fait venir pendant 3 ou 4 jours du
La sclérose tubéreuse a-t- clle été la cause ou la conséquence des
convulsions
survenues à 8 mois et qui se sont reproduites a
phalangettes du pied droit : cicatrisation au bout de trois mois. -
Convulsions
s ` durant les neufs premiers mois de la vie. -
ion de l'enfant ; la mère ne l'a jamais revu. Il n'aurait pas eu de
convulsions
dans l'enfance. Il était « très sain », dit la
is mois. Pendant les neufs pre- miers jours l'enfant fut atteint de
convulsions
qui se succé- dèrent sans interruption. Il n'y
y a quelques jours augmente ; l'en- fant meurt le matin du 28 sans
convulsions
. - La tempéra- ture prise après la mort est à 3
ance, compliquée d'une grave brûlure de l'un des pieds et enfin des
convulsions
qui auraient persisté pendant huit jours « sans
igent, a bonne mémoire, son caractère est doux. Il n'a jamais eu de
convulsions
, ni présenté d'accidents nerveux (1). De son
en nourrice, parait bien conformé et bien portant et n'a pas eu de
convulsions
(2). Notre malade . - La mère eut une grossesse
ole à 18 mois. Il fut propre à 2 ans envi- ron. Il n'a jamais eu de
convulsions
. Jusqu'à l'âge de 2 ans et 4 mois, R... voyait
ique, mort d'une hémopty- sie foudroyante. - Oncle paternel mort de
convulsions
. - Deux oncles paternels, excès de boisson. M
sson. Mère, rien de particulier. - Une soeur et un frère morts de
convulsions
Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 4 an
nts fournis par sa mère). Père né avec deux autres jumeaux ; pas de
convulsions
dans l'enfance, ni d'accidents nerveux; caractè
lade. Le troisième enfant jumeau était un garçon mort à deux ans de
convulsions
. Mère, 46 ans, journalière, d'apparence chétive
iè- vre typhoïde légère à 16 ans, santé toujours parfaite; pas de
convulsions
, pas de migraines, etc. - [F'atnille de la mère.-
'10 Fille morte des suites d'une chute il 5 ans, n'avait pas eu de
convulsions
; - 2° notre malade ; 3" fille morte à 3 ans de
s eu de convulsions ; - 2° notre malade ; 3" fille morte à 3 ans de
convulsions
; - 4° fille de 8 ans, intelligente, bien porta
ulsions ; - 4° fille de 8 ans, intelligente, bien portante ; pas de
convulsions
;-5° un garçon mort quel- ques heures après la
de la parole à 18 mois, de la marche à un an. Premières et uniques
convulsions
à un an ; elles ont com- mencé vers 10 heures d
nsigner que l'alcoolisme relatif du père et, collatéralement, les
convulsions
chez une soeur et un frère du malade. II. L'enf
- Frère et soeur morts tuberculeux. - Soeur strabique à la suite de
convulsions
de l'enfance, morte tuberculeuse. (1) La malade
excès de boisson. - Cousine germaine, paralysie consécutive à des
convulsions
. - Cousine germaine sujette à des atta- ques. G
e, 1895. 12 '178 Thérapeutique. Consanguinité. Un frère mort de
convulsions
, un autre idiot et épileptique; un troisième a
e convulsions, un autre idiot et épileptique; un troisième a eu des
convulsions
. Accouchement à 10 mois ( ? ). - A la naissance
nel, excès de boisson, mort d'apoplexie. - Oncle- maternel, mort de
convulsions
. -Petit cousin, pieds bots. Pas de consanguinit
Mère, 36 ans, autrefois domestique, maintenant concierge. Pas de
convulsions
de l'enfance, pas de migraines, tempéra- ment a
deux frères sont morts l'un peu après l'accou- chement, l'autre de
convulsions
à 3 ans. - Ses trois soeurs seraient bien porta
4" deux fausses couches ; - 5° une fille qui a dix-sept ans, pas de
convulsions
, très intelligente ; 6° une fille qui a quinze
d'une chute dans l'escalier, bien portante, intelligente, pas de
convulsions
; - 7° notre malade; - 8° un garçon qui a neuf a
ant, a perdu un oeil par l'éclat d'une capsule, intelligent, pas de
convulsions
. Noire malade. - Conception, rien de particulie
pre à deux ans, début de la parole il dix-huit mois. -.JaH1aÍfI de
convulsions
. - C'est vers quatre ou cinq ans qu'on s'a- per
in- quième mois de la grossesse. Jamais, en effet, on n'a noté de
convulsions
. Dès la première année, l'enfant était en retar
ement rien. Il est efficace dans la diarrhée, les névralgies et les
convulsions
provoquées par la dentition. » M. Curryer ajo
consanguinité. Inégalité (1'ilge de 2 ans. - Quatre frères morts de
convulsions
et deux autres de méningite. Marche, parole e
re pateozel alaxiclue. - Grand'mère maternelle aphasique. Soeurs,
convulsions
de l'enfance. Convulsions fréquentes de 18 mois
rand'mère maternelle aphasique. Soeurs, convulsions de l'enfance.
Convulsions
fréquentes de 18 mois à 2 ans. - Peur à -13 ans.
nguinité. Inégalité d'âge de 9 ans. Grossesse tourmentée. Premières
convulsions
à 3 mois, revenues à diverses reprises jusqu'à
père très alcoolique. - Sept tantes et oncles morts en bas-âge de
convulsions
. - Soeur épileptique. - Paralysie passagère (le
; 1 pour angine; 1 pour zona ; 1 pour congestion pulmonaire; 3 pour
convulsions
internes; 1 pour chute du rectum ;4 pour diarrh
e la parole à 6 ans. Gâtisme à l'entrée dans le service. Quel- ques
convulsions
vers l'âge de 6 ans. La mère ne peut préci- ser
propre avant 18 mois, début de la parole avant 18 mois. Jamais de
convulsions
, coléreuse dans l'enfance, chorée à 14 ans, d'a
tres vivent et ne présentent rien de particulier. Aucun n'a eu de
convulsions
. Notre malade : Conception et grossesse, rien à
omplète à ( ? ) mois.Parole nulle. Gâtisme. Antécédents morbides. -
Convulsions
à trois mois, perte de connaissance : yeux conv
cloniques. Pas de paralysie ni de contrac- tures consécutives, Ces
convulsions
se renouvellent à plu- sieurs reprises durant u
1894, accès co2vtalsi/a nocturnes. Début' brusque sans cri initial.
Convulsions
toniques, cloniques durant une on deux minutes,
nerveuse, physique ou morale.] Méhe, 4U ans, cartonnière. Pas de
convulsions
dans l'en- fance, pas de fièvre typhoïde, de rh
d athrepsie ; ilo fille mort-née. Aucun de ces en- fants n'a eu de
convulsions
. XnTiii : mal.miiï. Conception, on ne sait si e
2 ans.Début de la parole vers 18 mois, delà marche, 2 ans. - Pas de
convulsions
, aucune perversion des instincts. L'enfant est
ve, pour la pre- mière fois depuisl'entrée. un accès : cri initial,
convulsions
toniques, puis cloniques. « L'enfant projetait
ncle arriéré. Trois oncles, convul. sions. - Pas de consanguinité -
Convulsions
chez un frère. Emotion vive il 8 mois et demi d
on vive il 8 mois et demi delà grossesse. Accouchement dif- ficile.
Convulsions
à partir de cinq mois. - Marche des con- vulsio
l' enfant). - Père, 3Ô ans,scieur de bois à la méca- nique. Pas de
convulsions
dans l'enfance ; pas de fièvre ty- phoïde, pas
Nanisme avec infantilisme. 55 Mère, 28 ans, mécanicienne. Pas de
convulsions
, pas de fièvre typhoïde. Pas de délire au cours
que leurs enfants. - Dix frères : deux sont morts jeu- nes avec des
convulsions
. Six sont morts en bas-âge. Deux seulement sont
t sont vivants : Tous les deux se portent bien. L'un d'eux a eu des
convulsions
, est arriéré; et il a été incapable d'apprendre
1° un garçon, mort à dix mois des suites d'une rougeole, a eu des
convulsions
; 2° fille, 7 ans, bien portante elintelligen-
vulsions ; 2° fille, 7 ans, bien portante elintelligen- te ; pas de
convulsions
; 3" notre malade ; 4° garçon, 4 ans, pas de co
e ; pas de convulsions ; 3" notre malade ; 4° garçon, 4 ans, pas de
convulsions
, enfant normal ; 5n fille morte à 14 mois de br
apa, maman, attends za. Marche à 13 mois. Antécédents morbides. -
Convulsions
à l'âge de cinq mois. La mère, pendant une abse
es. Il devenait ensuite immobile et pâle pendant dix minutes. Les
convulsions
se reproduisirent ensuite en moyenne une fois p
fortes. A chaque éruption dentaire, il y aurait eu aggravation des
convulsions
. Quelquefois il vomissait après la crise convul
L'enfant n'a pas encore eu d'accès cette année (1892). Avant les
convulsions
, l'enfant se développait bien, prê- tait attent
ion aux agaceries qui lui étaient faites. Depuis l'âge de cinq mois
convulsions
), il est plus endormi,son esprit ne s'éveille p
10 mois. Marche à six ans. Il n'est pas encore propre. Jamais de
convulsions
. Durant toute sa première enfance, le sujet est
tc.) Première dent à 1 an. Parole à 2 ans. Marche à 16 mois. Pas de
convulsions
. Bé- gaiement à la suite d'une peur violente ?
Grand père maternel, alcoolique ; oncle maternel, paralysé ; soeur,
convulsions
dans l'enfance, asphyxie bleue à la naissance,
aissance, accouchement par le siège ; circulaires du cordon. Pas de
convulsions
. Début de la marche à 6 ans, de la parole à 7 a
ortes tuberculeuses . Conception, grossesse, accouchement, normaux,
Convulsions
à 1'(î,le de deux ans. Deux étals de mal convul
ans, bien portante. - Ni les deux frères, ni la soeur, n'ont eu de
convulsions
. Ils Fie. 28. - R..., en 1904. 78 DE QUELQUES
r'IC . 29. - R..., en 104.. Nanisme avec obésité. 79 pas eu de
convulsions
.- D'un second mariage, sont nés trois enfants,
morbides. -- Vers l'âge de deux ans et demi, l'enfant aurait eu des
convulsions
durant deux ou trois jours. Tous les membres au
perte de connaissance aurait duré deux heures. Le len- demain, les
convulsions
auraient recommencé, mais elles auraient duré m
ent recommencé, mais elles auraient duré moins longtemps. Après ces
convulsions
, qui ne se compliquèrent pas de paralysie, l'in
s- se. Mère de petite taille. Grossesse et accouchements normaux.
Convulsions
il. 2 mois. Retard dans la marche et la parole.
.- Père, marchand ambulant, mort il 42 ans d'une pleurésie; pas- de
convulsions
dans l'enfance. Ethylisme avéré; il buvait beau
ns, bien portant, ainsi que ses deux garçons qui n'ont jamais eu de
convulsions
; l'autre 61 ans qui a un bégaiement très marqué
femme de petite taille ? 45. Faciès congestif, adipose moyenne. Ni
convulsions
ni chorée ni crises nerveuses. Pas d'éthylisme,
ches : 10 Une fille, 20 ans, bien portante, intelligente ; pas de
convulsions
, pas névropathe ; 2" Une fille, 17 ans 1/2, en
he ; 2" Une fille, 17 ans 1/2, en bonne santé, intelligente, pas de
convulsions
. Ces deux filles sont plus grandes que leur mèr
âge de huit ou neuf mois; elle s'est mal développée. - A deux mois,
convulsions
: .- L'enfant perdait brusquement connaissance,
e de la tête et des yeux et des mouvements convulsifs toniques. Ces
convulsions
ont persisté depuis Page de deux ans jusqu'à l'
squement, sans prodrome. Perte de connaissance avec chute. Phase de
convulsions
toniques, raideur de la nuque, la tête étant en
tête étant en extension, raideur des membres en extension. Phase de
convulsions
cloniques généralisées. Cyanose de la face ; ba
tuberculeux ( ? ) à 70 ans. Grand'mère nerveuse. - Oncle maternel,
convulsions
de l'enfance, mort des suites d'une coxalgie. -
nelle diabétique, morte de la «poitrine» ? - Un autre frère mort de
convulsions
. Frère, convulsions dans l'enfance. Pas de co
e de la «poitrine» ? - Un autre frère mort de convulsions. Frère,
convulsions
dans l'enfance. Pas de consanguinité. Marche
. Pas de consanguinité. Marche à 5 ans. Propre à 1 an ? Jamais de
convulsions
? Etat actuel de la malade (8 janvier 1891). En
cle et tante, excès de boisson. - Une tante et une de ses filles,
convulsions
; strabiques. Mère, convulsions répétées de 2 an
- Une tante et une de ses filles, convulsions; strabiques. Mère,
convulsions
répétées de 2 ans 1/2 à 4 ans, céphalal- gies,
rte d'un cancer de l'estomac. Plusieurs frères et sceurs ont eu des
convulsions
. Soeur morte de méningite auec convulsions en 1
s et sceurs ont eu des convulsions. Soeur morte de méningite auec
convulsions
en 17 jours. - Grand'tante maternelle morte d'u
it 4 mois. Dentition complète à 3 ans. Marche et propreté à 2 ans.
Convulsions
de 3 mois à 3 ans. Méningite à 3 ans. Obésité.
tre a eu quelques coliques saturnines, jamais de paralysies. Pas de
convulsions
, ni rhumatisme articulaire, ni chorée, aucune m
sions dans l'enfance et louche. De ses deux filles, l'une a eu des
convulsions
et est strabique. Dans la famille tous les suje
morte d'un cancer du rectum. Un frère bien portant n'a pas eu de
convulsions
, marié deux fois, et sans enfants : sa première
ons en 17 jours, à cinq ans, - 4° Garçon mort à 2 ans du croup avec
convulsions
terminales; 5° Garçon 10 ans 1/2, bien portant,
convulsions terminales; 5° Garçon 10 ans 1/2, bien portant, pas de
convulsions
; 60FIlle 7 anse1/2; normale sans convulsions ;
bien portant, pas de convulsions ; 60FIlle 7 anse1/2; normale sans
convulsions
; - 7° Garçon 5 ans et 1/2, chétif aurait eu de
à 2 ans. Début de la parole vers 4 ou 5 ans. Antécédents morbides :
Convulsions
depuis l'âge de 2 ou 3 mois jusqu'à'l'âge de tr
Convulsions depuis l'âge de 2 ou 3 mois jusqu'à'l'âge de trois ans.
Convulsions
épileptiformes - une quinzaine d'accès tous noc
s yeux se retour- naient les membres s'agitaient, on ne sait si les
convulsions
cloniques prédominaient d'un côté ; ni relâchem
, ni bave, ni morsure de la langue. Jamais de para- lysie après les
convulsions
. A trois ans méningite qualifiée de tuberculeus
signaler. Aucun cas de nanisme ni d'obésité. Mère 44 ans. Jamais de
convulsions
aucun accident arthri- tique ou névropathique,
de, une lille âgée de sept ans, en bonne santé, intel- ligente sans
convulsions
, ni obésité. Notre malade. Rien à relever au mo
t aperçue de l'état de son enfant que vers l'âge de 13 à 14 mois.
Convulsions
vers l'âge de 13 mois avec perte de connais- sa
ne tare morale ni intellectuelle. Une soeur aveugle-née, morte de
convulsions
. Pas de consanguinité ; iazégalile d'âge de 2 a
sesse, accouchement normaux. A la nais- sance, enfant très grosse ?
Convulsions
à six semaines. - Retard dans la marche. Gâtism
ois de rougeole; 3° fille née aveugle, morte à six mois au cours de
convulsions
; 4° garçon de 6 ans 1 notre malade; 6° fille de
Absence congéni- tale des globes oculaires. Antécédents morbides.
Convulsions
il l'âge de six semai- nes. L'enfant, dit la mè
- Grand-oncle épileptique. - Plusieurs oncles et tantes morts de
convulsions
en bas-âge. - Tante maternelle myope. Pas de co
uinité. Inégalité d'âge de 20 ans, père plusâgé. Une soeur a eu des
convulsions
; strabique ; n'a marché qu'à 5 ans. - Deuxième
Un autre frère et une autre soew' strabiques.- Autre soew' morte de
convulsions
. - Frère strabique à la nais- sance. Concepti
a naissance. - Première dent à un an. Dentition complète à 4 ans. -
Convulsions
iz 5 mois, généralisées, tous les quarts d'heur
45 ans; marié à 27 ans; boit très-peu ; n'est pas nerveux ; pas de
convulsions
, pas de fièvre typhoïde ; pas d'indices de syph
1G ans, d'abord irrégulièrement puis normalement ; elle n'a eu ni
convulsions
, ni fièvre typhoïde. Elle n'a pas de migraines,
Neuf enfants, pas de fausses couches. Aucun des enfants n'a eu de
convulsions
ni de chorée. 1° une fille, actuelle- ment âgée
lles se seraient fermées comme chez ses frères et soeurs. Jamais de
convulsions
.- C'est vers l'âge de 18 mois que la mère a con
e morte d'un cancer utérin. Soeur arriérée ; autre soew' morte de
convulsions
. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'« ge de
e. - Croup, rougeole, coqueluche, de 2 ans 1/2 à 5 ans. - Jamais de
convulsions
. - Marche, propreté, parole, nulles ci l'entrée
5 mois. Début de la parole à 4 ans. Etat de mal convulsif à 6 mois.
Convulsions
localisées au côté droit, hémiplégie droite con
roite consécutive. - Secondes con- vulsions à 40 mois. - Retour des
convulsions
tous les 6 mois jusqu'à 2 ans. - Rémission, de
Antécédents. - Père, 34 ans, cocher de maison bourgeoise. Pas de
convulsions
. Fièvre typhoïde à 16 ans, à la suite de laquel
aternels, mariés, ont des enfants bien portants; n'ont jamais eu de
convulsions
, sont sobres. - Deux tantes maternelles, ont l'
tes maternelles, ont l'une 6, l'autre 5 enfants qui n'ont pas eu de
convulsions
, pas de chorée; etc. - Deux frères : l'un a 24
res : l'un a 24 ans, l'autre a 20 ans, célibataires, sobres, pas de
convulsions
, bien por- tants. - Pas de soeurs. Dans le rest
cousin germain, de 14 ans, bègue.] Mère, 3G ans, domestique. Pas de
convulsions
, ni fièvre typhoïde, ni chorée, ni rhumatisme,
mariés, en bonne santé ainsi que leurs enfants, qui n'ont pas eu de
convulsions
. - Deux tantes paternelles, Il oncles maternels
ernels, une tante maternelle, ont des enfants bien portants; pas de
convulsions
. - Trois frères, sobres, deux soeurs, et leurs
tivite de l'oeil droit, étant toute jeune. L'enfant a, depuis ses
convulsions
, toujours été en retard au point de vue de l'in
mal convulsif à onze mois, pendant trois jours : - prédominance des
convulsions
à gauche : Hémiplégie gauche con- . sécutive et
six garçons et deux filles, sont en bonne santé et n'ont pas eu de
convulsions
. Une cousine au second degré, du côté maternel,
portant,, sert les maçons; 3 le malade; 4° fille, neuf ans, pas de
convulsions
. Le malade. - Rien de particulier à la concepti
onze mois, l'enfant, qui jusque-là était absolument normal, eut des
convulsions
. Il resta trois jours sans connaissance, « il y a
out de bois »; pas de détails sur les secousses cloniques, mais les
convulsions
prédomi- naient du côté gauche; les yeux n'aura
s; il y eut des évacuations involontaires. Après ces trois jours de
convulsions
, l'enfant resta paralysé du côté gauche; c'est
ls que papa, maman, riait, s'amusait, était cares- sant ; après les
convulsions
, il perdit les quelques mots qu'il pronon- çait
ste. Son sommeil resta bon. On ne sait à quelle cause attribuer ces
convulsions
. Il n'y en aurait, d'ailleurs, jamais eu d'autr
ré trois jours sans retour de la connaissance, et dans lequel les
convulsions
auraient nettement prédominé dans le côté gauch
méningite tuberculeuse. - Autre soeur morte de diarrhée verte avec
convulsions
. - Pas de con- sanguinité. Inégalité d'âge de 3
Père, 41 ans, homme de peine. \ été mineur pen- dant 18 ans. Pas de
convulsions
, ni de maladies infeclieuses. Pas de chorée. Co
Un cousin-ge1'lnain est sourd-muet]. MÈRE, 38 ans, ménagère. Pas de
convulsions
. Pas de maladies infectieuses. Pas de chorée, n
e morte en nourrice à la campagne avec de la diarrhée verte, et des
convulsions
. - 2° Une fille morte à 11 ans de méningite tnb
malade; 4° Un garçon de 6 ans, en bonne santé, n'ayant jamais eu de
convulsions
. - Notre malade - Conception, rien de particuli
l'a envoyé à la campagne chez des parents qui l'élèvent au biberon.
Convulsions
vers l'âge de 9 mois Durée 10 minutes. Pas de r
r. Première dent : 16 mois. Mar- che et parole nulles. - Gâtisme. -
Convulsions
dès le 6a mois et depuis paralysie du côté gauc
ie gauche. Contractures du membre supérieur gauche. Description des
convulsions
. Puberté. - Dentition. Bronchite. Cachexie. Mor
qui parait bien portante quoique fort nerveuse, et n'a jamais eu de
convulsions
. Aucun autre détail intérressant à relever dans
pas et n'est pas propre. Antécédents morbides. La première crise de
convulsions
z qui a frappé l'enfant a eu lieu à 6 mois, il
e n'a jamais constaté d'écume de la bouche. Depuis l'apparition des
convulsions
le côté gauche est paralysé. État actuel (28
galité d'âge du père et de la mère (15 ans ? Gëmettarttë. - Frère :
convulsions
internes. Frère hypospadias et sujet à des mouv
pas d'accidents nerveux; 2° garçon, 21 ans, né à 7 mois, a eu des
convulsions
à l'époque de la dentition; première dent à 19
ue plus difficile. Avant ce traumatisme, l'enfant n'avait pas eu de
convulsions
. Ses parents le reprirent à 5 ans et demi. Il é
e. Grand'mère maternelle hystérique.- Cou- sin choréique. - Soeurs,
convulsions
de l'enfance. Pas de consanguinité. - Inégalité
endant l'accouchement. - A partir de la 2e semaine, cris constants.
Convulsions
à 6 mois auec les premières dents. Jusqu'à 2 an
tants. Convulsions à 6 mois auec les premières dents. Jusqu'à 2 ans
convulsions
toutes les 6 semaines. - Parole à 2 ans. Marche
. - Parole à 2 ans. Marche à 3 ans. Gâtisme. - De 2 à 4 ans 4 à 5
convulsions
par an. Accès convulsifs à début unilatéral à p
ants : 1» Une fille de 9 ans 1/2, scrofuleuse, aurait eu quel- ques
convulsions
légères durant une rougeole; 2° une fille de 8
? IUIIlSiO7lS inte ? -- nes dès sespremiers jours et, à 4 ans, des
convulsions
générali- sées ; l'intelligence serait normale;
pagne où on lui donna du lait de vache au biberon. Les pre- mières
convulsions
survinrent à 6 mois au moment de l'érup- tion d
res dents; depais lors, et jusqu'à la deuxième année, Il... eut des
convulsions
toutes les 6 semaines environ. Ces convulsions
année, Il... eut des convulsions toutes les 6 semaines environ. Ces
convulsions
duraient de 1 à 5 minutes. Lorsque les molaires
aient de 1 à 5 minutes. Lorsque les molaires ont percé, il a eu des
convulsions
tous les jours pendant 6 semaines. Sa santé et
eloppement physique parais- saient normaux, cependant, après chaque
convulsion
, il était souffrant et dépérissait durant un te
A part la rougeole à 2 ans et au début de laquelle il n'a pas eu de
convulsions
, il n'a jamais fait de maladies définies. Il a
re, pourtant il restait quelques jours sans gâter. De 2 à 4 ans les
convulsions
se répétèrent à intervalles irré- guliers. Elle
ituent souvent un des premiers signes de l'idiotie. Les premières
convulsions
apparurent à 6 mois. Elles se répétèrent ensuit
e, les accidents prendre le caractère des accès épileptiques et los
convulsions
prédominer dans les membres du côté droit où l'
t buveur. - Deux oncles et une tante morts de méningite. - Pas de
convulsions
. - Marche et Parole à 4 ans. - Fai- blessedu cô
t, non fumeur, sobre, d'un caractère un peu emporté, n'aurait eu ni
convulsions
dans l'enfance, ni arthritisme, ni affections c
nce. - Un frère bien portant, ainsi que ses 4 enfants. 3 saeurssans
convulsions
. Ni aliénés, ni épileptiques, ni suicidés, ni c
de, forte, mariée à 23 ans, a quitté son mari depuis 2 ani ; pas de
convulsions
ni de fièvre typhoïde. Migraines fréquentes, ca
10 mois; une fillette de 5 an bien portante, intel- ligente, pas de
convulsions
; une fille morte à 7 mois de méningite. w Ant
enfant a été élevé au biberon par sa mère. Il n'aurait jamais eu de
convulsions
et son - développement paraissait se faire norm
à ce qui s'observe fréquemment en pareil cas. Il n'y a jamais eu de
convulsions
ou d'état de mal convulsif, ce qui autorisait à
cédents nerveux dans la famille]. Mère, 37 ans, brocheuse, a eu des
convulsions
à 2 ans, mais depuis lors s'est toujours bien p
fausses couches et 2 enfants; l'un, de ceux-ci est mort à 5 mois de
convulsions
internes, l'autre, une fille de 16 ans, est int
- ans anémique ; pas de convul- sions ; Un garçon mort à 2 jours de
convulsions
internes; Un garçon mort à 7 mois d'athrepsie ;
pé d'une façon nor- male. Sa santé était bonne. Il n'a jamais eu de
convulsions
. Son développement intellectuel était un peu re
éfaillances sans prodromes, sans cri, sans pâleur du visage. Pas de
convulsions
de la face ou des yeux. Les membres sont en rés
san- gtii711té. Inégalité d'âge de 2 ans.- Demi-soeur paternelle,
convulsions
de l'enfance. Frère mort de convulsions. Peur v
ns.- Demi-soeur paternelle, convulsions de l'enfance. Frère mort de
convulsions
. Peur vive au 3° mois de la grossesse, occasion
Dentition complète à 6 ans. Marche à 7 ans. Parole nulle. - Pas de
convulsions
. Tics : grincement des dents; mouvement de rota
a eu de sa première femme une fille de 15 ans qui a étésujetteà des
convulsions
de l'enfance; aujourd'huibien portante et intel
rents du malade ont eu 4 enfants : 1° Un garçon mort à deux mois de
convulsions
; 2o Notre malade; - 3° Un gar- çon mort d'athre
is pendant toute cette période sa santé fut bonne ; il n'eut pas de
convulsions
. On s'aperçut cependant que son développement c
eux fois. Les enfants du premier lit de la mère n'ayant pas eu de
convulsions
, tandis que ceux du premier lit du père en ayan
tout développement intellectuel, l'apparition du stra- bisme sans
convulsions
; les grincements de dents; les mouvements de ba
on note son apparition après un état de mal convulsif ou de simples
convulsions
internes. Dans ce RÉFLEXIONS. 6 : , ) cas là,
nte bossue. Emo- tions pendant la grossesse. Accouchement normal.
Convulsions
du 15" jour de la naissance à 5 mois. -Appa- ri
l'un àdeux filles jouissant d'une bonne santé, n'ayant jamais eu de
convulsions
. Deux SOJ1Jrs l'une, morte on ne sait do quoi,
n mort à 3 ans d'une hernie étranglée ( ? ) avec hydrocèle : pas de
convulsions
; 3e Une fille, âgée de 2 ans, bien conformée, n
sions; 3e Une fille, âgée de 2 ans, bien conformée, n'a pas eu de
convulsions
; 4e Une fille morte en venant au monde proba- b
e Morvan, au biberon. Vers le 10° ou le 15e jour sont survenues des
convulsions
(1) Des auteurs ont attribué une influence t l'
fant restait sans connaissance pendant longtemps. On ne sait si ces
convulsions
prédominaient d'un côté. Elles ont persisté ave
lle. A cette .cause présumée sont venues s'ajouter, chez Jans des
convulsions
qui ont commencé vers le deu- xième jour de la
inte de mal de Pott; une autre morte de méningite tuberculeuse avec
convulsions
. Arriération intellectuelle et bégaiement. - Im
e; 6° une fille morte à 3 ans 1/2 d'une méningite tuberculeuse avec
convulsions
; - 7° une fille morte à 13 mois, en nourrice, d
e autre fois, il au- rait essayé de mettre le feu à sa chambre; les
convulsions
sont parfois diurnes, mais le plus souvent noct
ra- che de l'écume; puis immédiatement il se met à parler. Pas de
convulsions
cloniques, de morsure de la langue. Par- fois l
de consanguinité. Inéga- lité (Lige de 10 ans. - Un frère a eu des
convulsions
. Emotion vive durant la grossesse. Convulsions
- Un frère a eu des convulsions. Emotion vive durant la grossesse.
Convulsions
( ? ) à 7 ans. Peur à 8 ans : crises nerveuses.
morte en nourrice à quelques mois ;- 2° un fils, aurait eu quelques
convulsions
à l'époque de la dentition, bien portant, marié
t, marié : il a. deux filles de 11 et 12 ans qui n'ont jamais eu de
convulsions
; 3° notre malade. ' Antécédents personnels. - P
Il fut bien portant jusqu'à l'âge de 7 ans; alors, il fut pris de
convulsions
qui durèrent deux heures. Il aurait eu ce mo- m
de connaissance aurait duré 3 ou 4 secondes : puis il aurait eu des
convulsions
toniques, avec de l'écume à la bouche, mor- sur
tion des yeux du haut. Au bout de 2 ou 3 minutes, il s'est débattu (
convulsions
cloniques) et se relevant, s'est'mis à marcher
elle avait toujours peur « de voir arriver la folle » ; ; 2° des
convulsions
chez le malade. Dans tous les autres cas, les a
an. : père alcoolique ; oncle maternel aliéné; deux frères morts de
convulsions
; lui-même a eu des convulsions à un an. Pour
ernel aliéné; deux frères morts de convulsions; lui-même a eu des
convulsions
à un an. Pour Mari.. : père suicidé ; grand-pèr
père maternel alcoolique ; grand'tante maternelle mi- graineuse,
convulsions
chez le malade. Pour Nig.. : père alcoolique et
oncle paternel mort fou ; mère et grand'mère maternelles nerveuses.
Convulsions
. Pour Maz.. : grand-père et arrière-grand-père
es recher- ches ont pu être faites, nous avons noté cinq fois les
convulsions
de l'enfance chez les malades eux-mêmes. Au poi
t pendant et après la grossesse. Pas de coasatigui- nité. Premières
convulsions
il six mois.- Idiotie complète : bave, balancem
à Paris après des pertes d'argent; pas d'excès de boisson, pas de
convulsions
de l'enfance, de fièvre typhoïde, de maladie de
vatrice, assez grande, de phy- sionomie régulière, intelligente. Ni
convulsions
, ni ! î0\Te typho- ide, ni migraines, ni névral
gente, tête et traits réguliers; caractère doux; elle n'a pas eu de
convulsions
et n'est pa nerveuse. 4 Notre malade. A la. con
la folle » ; ses craintes ont ensuite disparu peu à peu. Premières
convulsions
à six mois; elles ont été précédées d'un malais
s retournés, les yeux déviés, pas d'écume, pas de vomissements. Les
convulsions
, égales dcsdcux côtés, ontdurô dix à quinze min
lait ou de médicaments. Le tout a duré environ un mois. Avant les
convulsions
, l'enfant était toujours très constipé. Des pér
allaité par une voisine, sa mère n'ayant plus de lait. Après les
convulsions
, Clu..., a été nourri au biberon avec du lait d
ces, de secousses ni d'étour- dissements. Il n'a jamais eu d'autres
convulsions
; mais il est toujours resté « malcndreux ». Ba
ns.- Emotion au sixième mois de la grossesse. Marche à onze mois. -
Convulsions
à un an. - Parole vers deux ans. - Accès d'épil
ts : 1° Garçon mort à trois mois, d'une « inflam- mation » ; pas de
convulsions
; 2° garçon mort à quinze mois de convulsions ;
m- mation » ; pas de convulsions; 2° garçon mort à quinze mois de
convulsions
; 3° garçon mort à dix-huit mois à la suite d'une
luche; 4° fille morte à deux mois d'une «gourme ren- trée» ; pas de
convulsions
; 5° garçon mort à sept ans de con- vulsions; 6°
études primaires, imprimeur; incontinence diurne d'u- rine ; pas de
convulsions
; 8° garçon âgé de six ans, intelligent, pas de
; pas de convulsions; 8° garçon âgé de six ans, intelligent, pas de
convulsions
; 9° notre malade. Notre malade. - La conception
parlé vers deux ans, .a toujours été gâteux. Vers un an il a eu des
convulsions
: pous- sait de petits cris, tournait les yeux.
cutive à une hernie étranglée. Elle assure qu'il 1 n'a jamais eu de
convulsions
ni de fièvre typhoïde. Une de ses soeurs, à ell
ssance (microcéphalie très prononcée et pl'ogna- thisme supérieur).
Convulsions
répétées à un an. Fugues solitaires. Imitation
re, est morte on ne sait pas de quelle maladie ; elle aurait eu des
convulsions
. Notre malade. A la conception, père et mère bi
our ne pas lui faire de peine. On lui a raconté qu'il aurait eu des
convulsions
plusieurs fois, sans pouvoir en fixer les carac
sme supérieur à la naissance. Mar- che à vingtet un mois. Jamais de
convulsions
. Imbécillité. Fugues. Parole très limitée. Répo
trails réguliers, intelligente; fièvre typhoïde à sept ans; pas de
convulsions
dans l'enfance, ni de maladie de peau, ni de cé
progrès ». Première dent à six mois. Rou- geole à trois ans. Pas de
convulsions
. Il a eu la coqueluche alors qu'il tétait encor
en était porteur était atteint d'im- bécillité et d'épilepsie. Les
convulsions
se présentè- rent dès la naissance, mais ce n'e
Chagrins pendant la grossesse. Parole et marche nulles. Gâtisme. -
Convulsions
répétées depuis l'âge de huit mois, plus pronon
; ne parait pas avoir eu d'affections vénériennes. Il aurait eu des
convulsions
dans l'enfance sur lesquelles on n'a pas de dét
eurs rhumatismales; pas de migraines ni de maladies de peau. Pas de
convulsions
dans l'enfance. Assez impressionnable, pleure f
s : les autres dents ont poussé en huit mois. A trois ans premières
convulsions
légères : occupant tout le corps et suivies de
t suivies de grincements de dents qui persistent en- core. Secondes
convulsions
un mois après qui durèrent deux ou trois minute
s qui durèrent deux ou trois minutes. Quatre mois après, troisièmes
convulsions
, de même durée, intéressant surtout le côté dro
faciale. Grand'mère, hémiplégie. - Soeurs, con- vulsions. Premières
convulsions
à trois jours, limitées à un côté; hémiplégie c
sions, sur les caractères desquelles on ne peut pas renseigner. Ces
convulsions
se reproduisirent quotidiennement pendant 15 jo
cas, l'ait par MM. les Drs Philippe et Oberthur. Sommaire. Père,
convulsions
de l'enfance, caractère . emporté; excès -de bo
Pas de consanguinité. - Inégalité d ? lge de 3 ans. Deux frères,
convulsions
de l'enfance. - Demi frère paternel, malformati
5 ans, marinier, a eu de 8 mois à 2 ans une ving- taine de fois des
convulsions
; rhumatisant, excès de bois- sons (absinthe);
de «langueur» ; l'autre en bonne santé, veuve, sans enfant, pas de
convulsions
. Dans le reste de la famille, il n'y aurait eu
criminels, ni mongoliens, ni d'autres tuberculeux.] Mère, pas de
convulsions
, un peu nerveuse, aurait eu des humeurs froides
t paralysé ; dans l'après-midi, elle per- dit connaissance, eut des
convulsions
et mourut en 7 heures. [Famille DE la mère : Pè
ne sait de quoi; un autre serait bien portant et n'aurait pas eu de
convulsions
. Aucun détail sur le reste de la famille. Il n'
enfants : 1° 6 G ans (en 1895), intelligent, bien por- tant, pas de
convulsions
; 2° la malade; - 3° garçon, 6 mois (en 1895), v
en pris, par sa mère jusqu'à 18 mois. Jamais d'accès de cris, ni de
convulsions
. Elle a commencé à avoir ses grosses dents, pui
soeur de sa première femme. trois enfants : 1° fille, G ans, pas de
convulsions
, bonne santé ; 2° garçon avait la verge en vril
duit aux Enfants-Malades, opéré, mort trois jours plus tard par des
convulsions
; 3" garçon bien portant, pas de convulsions.
ours plus tard par des convulsions ; 3" garçon bien portant, pas de
convulsions
. Température et la première entrée. 10 Traite
nelle sujette à des accès d'asthme. Frère, mort de méningite avec
convulsions
à G mois. - Autre frère bien portant. Pas de co
es deux autres, l'un a eu une coxalgie et boite, mais n'a pas eu de
convulsions
, l'autre se porte bien. - Deux soe¡¡.rs : une a
s enfants et une fausse couche : -10 garçon, mort de méningite avec
convulsions
à (i mois ; 2° noire malade; 3° fausse couche à
ension à l'étage supérieur; 4° garçon, 11 ans, bien portant, pas de
convulsions
, apprend bien. Antécédents personnels. Concep
emain une méningite très-grave s'est déclarée chez l'enfant; pas de
convulsions
. Avant la méningite, l'enfant n'avait pas « de
à cause de sa maladie du foie. Il n'a jamais eu de migraine, ni de
convulsions
. Son père, est mort à 40 ans, on ne sait de quo
famille d'aliénés, ou d'épileptiques, etc.. MÈRE, 46 ans, pas de
convulsions
, pas de chorée, a toujours été nerveuse. Pas de
nts manquent ; leurs enfants qui vivent encore n'auraient pas eu de
convulsions
. Du côté maternel, un seul oncle, bien portant.
n bonne santé, mariée, mère de trois enfants qui n'ont jamais eu de
convulsions
. Pas de consanguinité ; le père avait deux ans
s de plus que la mère. Douze enfants : 1° fille de 21 ans, pas de
convulsions
; 2° garçon, 20 ans, pas de convulsions , 3° fi
1° fille de 21 ans, pas de convulsions ; 2° garçon, 20 ans, pas de
convulsions
, 3° fille, morte à dix mois de lluxion de poit
llec- tuel fut absolument normal; il n'avait jamais eu la moindre
convulsion
; jamais un mal de tête, jamais un étourdissement
ls et maternels, nul détail. On ne sait si leurs enfants ont eu des
convulsions
ou des affections nerveuses. - Deux soeurs : l'
r. Elle a eu 2 enfants qui sont bien portants et n'ont jamais eu de
convulsions
. Dans le reste de la famille du père, on ne sig
re cas de dégé- nérescence. Mère, 28 ans, ménagère, sobre. Pas de
convulsions
; fièvre typhoïde grave il 12 ans, avec délire
aineuse, elle est obligée de se coucher à chaque migraine. Pas de
convulsions
dans l'enfance. Aucune maladie infectieuse. 54
maternels en bonne santé. - Trois frères, vivants-, n'ont pas eu de
convulsions
. Dans le reste de la famille de la mère, pas d'
tombé dans une sorte de torpeur qui a duré 8 à 10 jours. Premières
convulsions
le 10^ jour, elles ont continué 3 jours. Les ye
peut rien dire sur ses membres inférieurs. Pendant cette période de
convulsions
, l'enfant ne put prendre le sein : les lèvres n
prendre le sein : les lèvres ne pouvaient se rapprocher. Après les
convulsions
les mouvements auraient - été sinon abolis du m
Frère et soeur morts tuberculeux. - Soeur strabique à la suite de
convulsions
de l'enfance, morte tuberculeuse. Renseignement
sionomie régulière, plutôt agréable. Elle a eu dans son enfance des
convulsions
qui ont laissé un léger strabisme. Elle a eu un
orte d'une congestion céné- braie. - Deux cousins germains morts de
convulsions
. - Soeur, convulsions de l'enfance. Pas de co
né- braie. - Deux cousins germains morts de convulsions. - Soeur,
convulsions
de l'enfance. Pas de consanguinité. - Inégalité
nt, naissance, rien de particu- lier. - Normal jusqu'à neuf mois. -
Convulsions
répétées de neuf mois à trois ans. - Marche à d
nne. Femme de taille élevée, physionomie assez intelligente. Pas de
convulsions
. réglée à quinze ans et demi. A quatorze ans, a
e. Une soeur, en bonne santé ; de ses sept enfants un est mort de
convulsions
; un autre a eu des convulsions. - On ne connaît
de ses sept enfants un est mort de convulsions ; un autre a eu des
convulsions
. - On ne connaît ni aliénés, ni épileptiques, n
Quatre enfants : 1° Garçon mort du croup à deux ans et demi. Pas de
convulsions
, intelligent ; 2° Garçon mort à six mois du cho
ntelligent ; 2° Garçon mort à six mois du choléra infantile. Pas de
convulsions
; -' 3° Fillette de cinq ans, bien portante, bie
en développée pour son âge. Intelligence ordinaire. Trois ou quatre
convulsions
à six semaines qui n'ontjamais reparu depuis. P
es, en un mot paraissait tout à fait normal. A neuf mois, début des
convulsions
. Il en a eu 5 en trois jours, l'une d'elles, vu
jambes. La mère l'a repris et l'a placé à côté de son domicile. Les
convulsions
le prenaient deux ou trois jours de. suite, pui
côtés et duraient trois ou quatre minutes. De deux à trois ans, les
convulsions
se sont espacées, venant toutes les semaines pu
lle de la grand'mère, alcoolique, par une congestion cérébrale, des
convulsions
chez plusieurs cousins. II. Lem..., d'après l
out à fait normal, jusqu'à neuf mois. Surviennent à ce moment des
convulsions
sous forme d'étal de mal (2 heures), qui se F-i
d sans expression, attention nulle, arrêt de la dentition, etc. Les
convulsions
se sont répétées fréquemment de neuf mois à deu
maternel mort de tuberculose. Frère mort de méningite. Autre frère,
convulsions
de l'enfance, mort de tuberculose. Demi-soeur p
ée ; la seconde est bien portante : ni l'une ni l'autre n'ont eu de
convulsions
.- [Son père, âgé de quatre-vingt-deux ans, sobr
e plus âgée). Trois enfants : l°un garçon mort de méningite, sans
convulsions
, en trois jours, à l'âge de neuf mois; 2° garço
u vase à partir de trois mois. V... aurait eu, selon sa mère, des
convulsions
à seize mois. Ces prétendues convulsions parais
ait eu, selon sa mère, des convulsions à seize mois. Ces prétendues
convulsions
paraissent se réduire à des accès de colère. L'
ns perdre connaissance ; elle n'a eu ni contorsions des membres, ni
convulsions
des globes oculaires. On n'aurait observé qu'un
nelle goitreuse. Oncle et grand'oncle paternels, bègues. ? Mère :
convulsions
de l'enfance avec strabisme, céphalalgies, . mi
orte de tuberculose. = Grand'oncle suicidé. Deux oncles' maternels,
convulsions
de l'enfance, strabisme. - Une tante maternelle
rnels, convulsions de l'enfance, strabisme. - Une tante maternelle,
convulsions
, strabisme. Cousin germain strabique. . Pas d
e à 2 ans ? . Marche et propreté à un an. Parole à zig mois. Pas de
convulsions
. Accès de colère. . Turbulence.. , Pneumonie à
empailleur de chaises, né à Vicrzon ; toujours bien portant, pas de
convulsions
, ni fièvre typhoïde, ni chorée, ni rhumatismes,
els. MÈiu;, 31 ans, rempailleuse de chaises, parisienne. Quelques
convulsions
h l'âge de deux ans, léger strabisme consécutif
e a eu 6 enfants, tous bien portants. Trois frères, deux ont eu des
convulsions
de l'enfance et louchent un peu; l'aîné des tro
sions de l'enfance et louchent un peu; l'aîné des trois n'a eu ni
convulsions
, ni strabisme, ainsi que ses deux enfants, le s
nd a G enfants dont l'un serait strabique, on ne sait s'il a eu des
convulsions
. Quatre scetc·.5 : une a eu des convulsions et
ne sait s'il a eu des convulsions. Quatre scetc·.5 : une a eu des
convulsions
et louche un peu; deux ne sont pas mariées; une
âgé). Cinq enfants : 1 notre malade ; 2" un garçon, 7 ans, pas de
convulsions
; 3° garçon mort iL 19 mois de méningite, aurai
ons ; 3° garçon mort iL 19 mois de méningite, aurait eu beaucoup de
convulsions
internes ; lia ? arçO ? 3 ans, pas de convulsio
it eu beaucoup de convulsions internes ; lia ? arçO ? 3 ans, pas de
convulsions
; 5° fille, un an, née à terme avec une imperfo
mois. Marche et propreté il un an. Antécédents morbides : pas de
convulsions
, pas de céphalalgies, pas de cauchemars, fluxio
alade : Irc dent à si.v mois. Dentition complète a ? ans. 'q Pas de
convulsions
. Parole deux ans. Marche à un an. Pèrityphlite
uit. Il ne fume pas; boit très modérément. On ne sait s'il a eu des
convulsions
dans l'enfance. Quelques migraines, surtout dan
e tare ni physique ni mentale. Mère, 44 ans, institutrice; pas de
convulsions
de l'enfance, fièvre typhoïde à 15 ans, compliq
Elle a marché il un an, parlait bien dès l'âge de deux ans. Pas de
convulsions
de l'enfance. - I'érit5-phlite il sept ans et d
a marche à 20 mois, de la parole à 2 ans, de la propreté à 3 ans. -
Convulsions
à un mois et demi à 3 ans et demi. - Parésie co
ite; céphalalgies; a perdu un enfant de 6 mois de la cholérine avec
convulsions
. Rien à noter chez les trois autres oncles mate
parole à 2 ans. Propre à 3 ans. Caractère turbulent. A3 ans et demi
convulsions
débutant dans la nuit; les yeux sont tournés en
ans la nuit; les yeux sont tournés en haut, les membres agités. Ces
convulsions
durent de 8 heures du soir jusqu'à 4 heures du
prédo- minaient d'un côté. - Les parents ont remarqué, après ces
convulsions
, que l'enfant présentait de la parésie des mains.
tous les jours, plusieurs fois par jour. Ils ont augmenté après les
convulsions
, Ler.. se jetait par terre et se cognait la tèt
grincements de dents. Les parents attribuent l'idiotie aux grandes
convulsions
de 3 ans et demi. Elle existait, suivant nous,
(la maladresse paralytique a augmenté après les états de mal). Les
convulsions
de 3 ans et demi n'auraient fait qu'aggraver la
la mar- che, de la parole et de la propreté (1). A 3 ans et demi,
convulsions
qui se sont manifestées sous la forme d'état de
ile un diagnostic précis, au point de vue anatomo-pathologique. Les
convulsions
ont-elles été précédées de prodromes, ont-elles
s consécutifs ? Quel était l'état intellec- tael avant et après les
convulsions
? Ce sont là autant de questions sur les- quell
la mère fait une chute de voiture huit jours avant l'accouchement.
Convulsions
à dix-huit mois ( ? ). - Frère arriéré. État
, ne fume pas, est bien portant et bien constitué. Il n'a pas eu de
convulsions
; marié à 23 ans ; pas d'indices de syphilis. -
cédents héréditaires. 235 ses quatre enfants bien portants ; pas de
convulsions
. Le qua- trième enfant, une fille, est devenue
dents nerveux, a eu deux enfants : une fille morte du croup, pas de
convulsions
, l'autre, garçon, âgé de 8 ans, pas de convulsi
du croup, pas de convulsions, l'autre, garçon, âgé de 8 ans, pas de
convulsions
, intelligent ; la deuxième soeur, intelligente,
convulsions, intelligent ; la deuxième soeur, intelligente, pas de
convulsions
, a un enfant turbulent, entêté, qui n'a pas eu
as de convulsions, a un enfant turbulent, entêté, qui n'a pas eu de
convulsions
. Un frère, âgé de 21 ans, célibataire, n'a pas
de convulsions. Un frère, âgé de 21 ans, célibataire, n'a pas eu de
convulsions
, sobre. Dans le reste de la famille, pas d'idio
2° René ; 3° fille, - la ans, en bonne santé, intelligente, pas de
convulsions
; /1° André; 5° une fille de 12 ans, forte, int
; /1° André; 5° une fille de 12 ans, forte, intelligente, pas de
convulsions
, un peu nerveuse, apprend facilement ; 6° un ga
eu nerveuse, apprend facilement ; 6° un garçon, 4 ans, normal, sans
convulsions
; - 7° un garçon, intelligent, pas de convulsio
ans, normal, sans convulsions ; - 7° un garçon, intelligent, pas de
convulsions
; 8° une fausse couche; 9" une fausse couche; 10
e couche; 9" une fausse couche; 10° garçon, se porte bien, pas de
convulsions
; Depuis l'entrée de René et d'André à Bicétre (
retard, ne marchant, ni ne parlant. Ni l'un, ni l'autre n'ont eu de
convulsions
. Histoire de nos malades. René et André. Co
me momentanément. N'a jamais marché. Vers 18 mois aurait eu des
convulsions
, en l'absence de sa mère qui ne peut en dire
issent aux mêmes échecs. Il importe aussi de se souvenir que si les
convulsions
n'ont en somme de conséquences graves que pour
te, sans indiquer si, au moment de la chute il y avait ou non des
convulsions
. La description des phénomènes pré- sentés par
assa; le sixième, le malade succomba après deux courtes attaques de
convulsions
. Le cadavre ne fut point ouvert. Serres' parle,
ble, fut attaqué dans sa onzième année, d'une forme particulière de
convulsions
, dont les accès avaient lieu tant le jour que l
e 1, M. Nothnagel, après avoir fait remarquer que « quelquefois les
convulsions
manquent entièrement et sont remplacées par des
: un a été tué à Sedan; deux sont morts, l'un d'une méningite avec
convulsions
, l'autre à la naissance : les deux autres sont
te apoplectique; arrière-grand-père maternel, mort aliéné. - Frère,
convulsions
; - frère, convulsions et affaiblissement paraly
re-grand-père maternel, mort aliéné. - Frère, convulsions; - frère,
convulsions
et affaiblissement paralytique du côté droit.
nvulsions et affaiblissement paralytique du côté droit. Premières
convulsions
à dix mois. - Convulsions à chaque poussée dent
ment paralytique du côté droit. Premières convulsions à dix mois. -
Convulsions
à chaque poussée dentaire jusqu'à quatre ans. -
uatre ans. - Peur à onze ans ; premiers accès huit jours plus tard;
convulsions
limitées à 48 de l'épilepsie procursive. gauc
, àun an, la cholé- rine durant le cours de laquelle éclatèrent des
convulsions
pendant quinze minutes qui laissèrent à leur su
ent à leur suite une dé- formation des pieds; à sept ans, nouvelles
convulsions
durant une journée qui auraient corrigé la malf
x mois ; -10° garçon, onze ans, intelligent, a eu à dix' mois des
convulsions
avec hémiplégie droite consécutive; ce côté est r
tait comme les autres enfants ; c'est alors qu'il eut ses premières
convulsions
internes, dit-on, lors de l'éruption d'une mola
onvulsions internes, dit-on, lors de l'éruption d'une molaire ; ces
convulsions
se répétèrent jusqu'à quatre ans à chaque nouve
e et en ouvrant la bouche ; chute, perte de connaissance, rigidité,
convulsions
du côté gauche seule- ment, ni stertor, ni écum
dant la première et la deuxième année, il a eu plusieurs fois des
convulsions
; n'a pas été en retard pour la parole, la marche
quatre-vingts ans d'une hémiplégie droite. Asphyxie à la naissance;
convulsions
ri dix-huit mois,. - parole et marche tardives;
e, onze ans, im- pressionnable, tumeur fibreuse de l'utérus, pas de
convulsions
; - 5° garçon, mort à l'âge de six ans et demi,
t demi, on ne sait de quoi. Il vomissait depuis longtemps. - Pas de
convulsions
. Notre malade. - Lors de la conception, le mari
s, étant encore en nourrice, il aurait eu, à diverses reprises, des
convulsions
assez graves pour qu'un instant on le crût mort
eux enfants : 1° un mort de scrofules à quatre ans sans avoir eu de
convulsions
: il était très intelligent : 2° Notre malade.
, fut précipité en avant comme s'il courait et tomba en proie à des
convulsions
. Pen- dant plusieurs années il courait en hurla
rocéphale dans sa jeunesse, qu'il a eu de nom- breuses et violentes
convulsions
jusqu'à Lie six ans ». DE l'épilepsie PROCURSIV
déshabillée, s'est mise au lit, puis s'est affaissée sans avoir de
convulsions
. : 2ï. - Nouveau vertige ce matin; elle a couru
° Garçon, huit ans, bien portant, intelligent, apprend bien, pas de
convulsions
. Nol1'e malade.- Conception. -Pas dcrapports ha
province, jusqu'à dix-sept mois, repris alors, il n'avait pas eu de
convulsions
, était bien venant quoique chétif. Il a mar- ch
SIE PItOCUIiSIVE. 91 nels migraineux. - Cinq frères morts jeunes de
convulsions
. - En(ant adultérin. Convulsions et dix mois.
x. - Cinq frères morts jeunes de convulsions. - En(ant adultérin.
Convulsions
et dix mois. - Début à sept ans à la suite d'un
venant, il a marché et parlé de bonne heure. A dix mois, il eut des
convulsions
sans cause connue et sans troubles physiques et
e tourne à droite, le bras et la jambe correspondant sont animés de
convulsions
cloniques qui se répètent quatre ou cinq fois ;
deux mois et demi ; 3° garçon, cinq ans, intelligent, n'a pas eu de
convulsions
. Notre malade. A la conception qui a eu lieu pe
ait intelligent. - Sa santé a été bonne jusqu'à onze ans; jamais de
convulsions
. A onze ans, la nuit, indigestion ( ? ) à la su
viol. - Grande différence d'âge entre les père et mère. - Premières
convulsions
ci six mois. - De quinze mois ci quatre ans, ve
gite. - Asphyxie à la naissance - Marche et parole ci quatre ans. -
Convulsions
à treize mois. - Incontinence nocturne d'urine
x congestions dans la famille paternelle. - Oncle paternel, mort de
convulsions
. - Tante paternelle, attaques de nerfs et insuf
maternelle. - Un frère, une soeur, une cousine germaine, morts de
convulsions
. ' Premières convulsions à six semaines portant
ne soeur, une cousine germaine, morts de convulsions. ' Premières
convulsions
à six semaines portant exclusivement sur le côt
1 OBSERVATION la\Il. -Père, mort phtlcisique. - Un frère, mort de
convulsions
.- Un autre : hémiplégie gauche non infantile.- Pe
le hystérique. - Une tante maternelle phthisique. - Soeur, morte de
convulsions
. - Gémellarité. Premières convulsions ci treize
phthisique. - Soeur, morte de convulsions. - Gémellarité. Premières
convulsions
ci treize mois. - Début des accès à vingt- deux
x, mort phthisique. Grand-père maternel alcoolique. Frère mort de
convulsions
. Autre frère, convulsions et tumeurs blanches. -
d-père maternel alcoolique. Frère mort de convulsions. Autre frère,
convulsions
et tumeurs blanches. - Première dent ci sept mo
Ça y est » ; durée : deux minutes ; mais si à la suite, il y a des
convulsions
, cela dure plus longtemps; il s'affaisse, les y
re maternelle, mélancolie, idées de persécution. - Né avant terme :
convulsions
à vingt-deux mois, début de l'épilepsie à trois
on le mit à l'école où il apprenait bien. Il n'aurait jamais eu de
convulsions
. Les vertiges auraient débuté dès l'âge de cinq
s. - Grand-père maternel paralytique et alcoolique. - Frère mort de
convulsions
. - Accou- chement laborieux ; circulaires du co
an- guinité. ' Huit enfants : 1° garçon, mort à trois semaines de
convulsions
; - 2° garçon, mort à quatre mois, en nourrice,
6° et 7° deux filles, huit ans et neuf ans, bien portantes, pas de
convulsions
, intelligentes; - 8° garçon, seize mois, bien p
té soigné pour des accidents cérébraux qui ont duré deux mois, sans
convulsions
, ni paralysie. - Première dent à huit mois. Il a
ne dif- férait pas beaucoup des autres enfants. A celte époque,
convulsions
sans prodromes qui n'ont duré qu'un quart d'h
Ce malade a eu des accidents cérébraux dès l'âge de six mois sans
convulsions
, ni paralysie ; mais à deux ans il eût des conv
ix mois sans convulsions, ni paralysie ; mais à deux ans il eût des
convulsions
qui n'ont porté que sur le côté gauche dont on
ique incomplè- tement la marche. Ces symptômes : prédominance des
convulsions
et paralysie du côté gauche sont en rap- port a
tout les centres moteurs des membres. C'est aussi à la suite de ces
convulsions
que l'intelli- gence a diminué et que survint d
trié. On sait que la galvanisation de la protubérance produit des
convulsions
épileptiformes et que la lésion d'un pédoncule
rir quelque dif- ficulté. Observation I. - Deux frères ont eu des
convulsions
dans l'enfance. - Frère probablement épileptiqu
enfants : 1° un mort-né;- 2° un, mort à trois ans, du choléra, avec
convulsions
; - 3° notre malade;- 4° garçon, trente-un ans,
3° notre malade;- 4° garçon, trente-un ans, aurait eu une fois des
convulsions
dans l'enfance, est bien portant, pas de chorée
rts l'un d'une lluxion de poitrine, l'autre de cholérine, mais sans
convulsions
; - 5° garçon mort à vingt-deux ans et demi d'hé
n mort à vingt-deux ans et demi d'hémoptysies succes- sives, pas de
convulsions
, pas de chorée; - 6° garçon, mort à vingt-deux
t après avoir été vingt mois malade (phthisie); pas de chorée ni de
convulsions
; - 70 fille, celle qui nous renseigne; brune, i
able, non mariée ; bien portante, pas de migraines, de cho- rée, de
convulsions
; - 8° garçon, vingt-un ans, bien portant, in- t
çon, vingt-un ans, bien portant, in- telligent, pas de chorée ni de
convulsions
; mais, depuis trois ans, il serait sujet à de p
de boisson. - Oncle paternel et deux cousins ger- mains maternels,
convulsions
. - Un frère, convulsions, arriére. Deux soeurs
rnel et deux cousins ger- mains maternels, convulsions. - Un frère,
convulsions
, arriére. Deux soeurs mortes de méningite. Co
oeurs mortes de méningite. Conception durant l'ivresse. - Premières
convulsions
prolongées à trois mois, secondes convulsions c
'ivresse. - Premières convulsions prolongées à trois mois, secondes
convulsions
ci trois mois et demi. - Gourmes, élisie, état
n, chez l'autre, à la campagne où je gardais les bestiaux. » Pas de
convulsions
dans son enfance, croit-elle. Réglée it douze o
un de ceux qui sont à Paris est bien portant, mais a eu beaucoup de
convulsions
étant jeune; il a deux enfants qui ont eu des con
1° notre malade; - 1° sar- çon, dix-sept ans, cordonnier ; a eu des
convulsions
internes dans la première enfance; puis, de tro
rte à deux mois «d'une espèce de méningite, en quinze jours », avec
convulsions
internes ; - 5°=arçon, treize ans; pas de convu
jours », avec convulsions internes ; - 5°=arçon, treize ans; pas de
convulsions
; n'est pas fort; mais il est intelligent et trè
çon mort à trois jours on ne sait de quoi, était né à terme; pas de
convulsions
; - 6° fille morte à quatre ans et demi de ménin
nvulsions; - 6° fille morte à quatre ans et demi de méningite, avec
convulsions
, en quatorze jours; - 70 fille, morte du croup
par sa mère jusqu'à dix-hui mois. A trois ou quatre mois, premières
convulsions
; jusque-là il était fort et paraissait bien venir
convulsions; jusque-là il était fort et paraissait bien venir. Les
convulsions
portaient sur les yeux ; on ne peut rien dire des
ent sur les yeux ; on ne peut rien dire des bras ni des jambes. Ces
convulsions
ont duré huit à dix jours avec des intervalles.
e; « les boyaux tombaient tellement il était faible ». Les secondes
convulsions
sont venues environ quinze jours après; elles r
les parents. A partir de l'âge de six mois, il n'aurait plus eu de
convulsions
. Pas de vers; rougeole à cinq ans, pas d'autres
-bots et autres incurvations des membres, 921 ; - Epilepsie, 593; -
Convulsions
, danse de St- Guy, tremblements, catalepsie, /i
té tardives. -'Accès de colère. - Sévices envers sa petite soeur. -
Convulsions
. - Ctastomame. Débilité mentale prononcée. Malp
plaint en outre de gastralgies passagères. Elle n'a jamais ou ni
convulsions
dans l'enfance, ni attaques de nerfs. Pas d'enf
et sa petite soeur une quinzaine de jours. Vers trois ans et demi,
convulsions
, surtout pendant le sommeil : le nez, la bouche
tés de mouvements qui duraient plusieurs minutes. Jamais de grandes
convulsions
, pas de pertes do connaissance. Marie Es... a
. La myopie, le strabisme et le nystagmus sont dus sans doute aux
convulsions
dont la malade a été at- teinte à l'âge de troi
et ses élèves. Pour eux, les érosions seraient toujours dues à des
convulsions
, et les convulsions entraîneraient toujours des
ux, les érosions seraient toujours dues à des convulsions, et les
convulsions
entraîneraient toujours des érosions. Fig. 20.
out la dégénérescence, épilepsie, idiotie, syphilis, et même sans
convulsions
, qui est la seule influence capable de produire
l'auteur présente, on voit que dans le tiers des cas seulement, les
convulsions
s'accompagnent d'érosions, que souvent, d'autre
e souvent, d'autre part, il y a des érosions sans qu'il y ait eu de
convulsions
, et il ressort que les érosions sont plus fréqu
nvulsions, et il ressort que les érosions sont plus fréquentes sans
convulsions
qu'après convulsions. Quant à la théorie hérédo
t que les érosions sont plus fréquentes sans convulsions qu'après
convulsions
. Quant à la théorie hérédo -syphilitique, déjà
qu'elles coïncident bien plus souvent que les érosions, avec les
convulsions
; mais on ne saurait davantage voir entre ces d
ce de l'individu, que cette dégénérescence soit ou non le fait de
convulsions
. Ces trois lésions : sillons, érosions, crénelu
. Grand'mère maternelle : emportée. Soeur morte de méningite avec
convulsions
.- Colères dans l'enfance. Caractère entêté, ins
mie régulière, mais un peu vulgaire. Son fils lui ressemble. Pas de
convulsions
dans l'enfance. Mariée à 23 ans, bien portante.
- 2° fille morte en nour- rice, iL six semaines, d'athropsie, sans
convulsions
; 3° fille morte iL 9 jours, de diarrhée avec v
; 3° fille morte iL 9 jours, de diarrhée avec vomissements, sans
convulsions
; -4° fille morte à 4 ans, d'une méningite consé
à 4 ans, d'une méningite consécutive à la coqueluche. Elle a eu des
convulsions
et est restée huit jours sans connaissance. a
la grand'mère ne s'en préoccupait pas. A aucune époque il n'a eu de
convulsions
. Les premières dents ont paru à sept mois. - A4
t d'une soeur du malade, par le fait d'une méningite accompagnée de
convulsions
. II. - Jusqu'à 15 ans, le malade n'avait rien p
e intelligence médiocre, strabique de nais- sance, n'a jamais eu de
convulsions
, ni de maladies depeau, ni de migraines, etc. D
mit à bégayer et l'intelligence diminua. Peut-être avait- il eu des
convulsions
la nuit où il fut battu. Avant ni depuis, elle
fant ne pouvait supporter l'appareil. Pel.... n'aurait pas eu de
convulsions
; il n'a marché qu'à 3 ans, ne dit que « papa, m
té, - Ren- seignements insuffisants sur les deux familles. Pas de
convulsions
. - Epilepsie iL 3 a ? is à la suite d'une fraye
e disant qu'il voulait l'éventrer avec une fourche. » Le lendemain,
convulsions
égales des deux côtés ; quelquefois c'est du cô
inité. Deux enfants : 1° Une fille, morte à 22 mois à la suite de
convulsions
internes, durant une dentition dillicile. 2° No
l enfant, vif, nerveux, vigoureux, non colérique ; il n'a pas eu de
convulsions
. Rougeole il 5 ans ; légère ophthalmic h G ans
Ses accès revenaient d'une façon très irrégulière. Ni migraines, ni
convulsions
. Avant de partir pour le service, il avait eu d
ophtalmie purulente, qui a guéri promptement. Vers 3 mois et demi,
convulsions
internes. L'enfant tombait 44 Description de l'
naissance avant terme et en état prononcé d'asphyxie ; enfin des
convulsions
dites internes à trois mois et demi. 'Toutes le
misphère cérébral gauche, dont nous avons tracé la description. Les
convulsions
internes survenues à t'roi's mois et demi en so
urtout les maladies infectieuses, les accidents scro- fuleux et les
convulsions
ou autres manifestations nerveuses graves. II
nelle, strabisme intermit- tent. - Gémellarité. - Tante paternelle,
convulsions
de l'enfance, hystérique, déséquilibrée. Mère
deux mois, - Accès de colère à partir de neuf mois. - A huit mois
convulsions
internes. - Mouvements spasmodi- ques au réveil
cerveau un peu fêlé. » Dans son enfance, on note une seule fois des
convulsions
très fortes. Après avoir fait 10 fausses couche
couche : 1° une fille, morte à l'âge de 6 mois, du carreau ; pas de
convulsions
; 2° notre malade, et, il y a 2 ans, une fausse
toute bleue et se mordant les mains avec les gencives. - A 8 mois,
convulsions
internes pendant 5 minutes : « étant à table el
, la grand'mère paternelle strabique. Une tante paternelle a eu des
convulsions
dans l'enfance,1 a été atteinte d'hystérie et s
marche à. '2 ! mois, de la propreté à 2 ans, de la parole à ans, -
Convulsions
de 7 à 10 mois. Début des vertiges à 8 ans, des
sa mère). - Père, 59 ans, menuisier, est un enfant naturel. Pas de
convulsions
, pas de syphilis, pas de rhumatisme, pas d'excè
erculose pulmonaire. Mère, 37 ans, n'a jamais été malade, sobre, ni
convulsions
, ni syphilis, ni maladie de peau. - Elle n'est
ns. Neuf enfants en 13 ans : l'ainé a 13 ans actuellement; pas de
convulsions
; trois sont morts, l'un de méningite tuber- cul
culeuse à 5 ans ; deux autres du croup à G ans et il 20 mois, sans
convulsions
; une fille, de 14 ans, est intelligente pas de
sans convulsions ; une fille, de 14 ans, est intelligente pas de
convulsions
, de même que les autres enfants. Notre malade e
tit malade perdait connais- sance, il se raidissait, n'avait pas de
convulsions
cloniques, il s'endormait immédiatement après.
oids et de la taille. Crâne DES épileptiques. 95 de rattacher les
convulsions
survenues à diverses reprises de 7 à 10 mois.
nité (cousins-germains). Différence d'âge de 13 - atzs. - Premières
convulsions
à 6 mois. - Dentition con- plète à 2 atzs. - Dé
plétés par son père). - Père, 58 ans, garde républicain, n'a eu ni
convulsions
dans l'enfance, ni rhumatisme, ni fièvre typhoï
rnel, bien portant ainsi que ses trois enfants, qui n'ont pas eu de
convulsions
. - Une tante pater- nelle a six enfants, ne pré
res et une sceur, bien portants, de même que leurs enfants ; pas de
convulsions
. Mais les deux frères font des excès de boisson
(vin et eau-de-vie de cerises) (1). ' Mère 24 ans, ménagère, pas de
convulsions
, non nerveuse, bien qu'un peu vive de caractère
ernel et deux tantes sont morts jeunes. On ne sait s'ils ont eu des
convulsions
. La mère de l'enfant est fille unique.] Consa
son frère et sa soeur, au même âge, quand survinrent les premières
convulsions
qui ont coïncidé avec le percement de la premiè
s membres se raidissaient, les yeux restaient grands ouverts. Les
convulsions
se sont reproduites presque toutes les nuits pe
i paralysie, ni différence entre les deux côtés du corps. Après ces
convulsions
, elle n'était plus la même : « son regard n'éta
t jamais fait auparavant. Dans la matinée du jour où survinrent les
convulsions
, on n'aurait rien remarqué d'anormal ( ? ). Apr
s'agite beaucoup : les quatre membres sont secoués par de violentes
convulsions
. La face se conges- tionne, les yeux sont injec
rossesse, semblait tout à fait normale. III. Alors survinrent des
convulsions
qui ont été très fortes et ont revêtu la forme
du cerveau sur lesquels nous reviendrons tout à l'heure. IV. Les
convulsions
ont eu pour conséquence immédiate l'idiotie pro
diaque. Cousine naine et rachi- tique ( ? ). - Soeur morte avec des
convulsions
de l'enfance. - Autre soeur, convulsions de l'e
). - Soeur morte avec des convulsions de l'enfance. - Autre soeur,
convulsions
de l'enfance, intelligente. - Pas de consanguin
inq enfants dont quatre vivants : l'aînée, 9 ans, a été sujette aux
convulsions
dans son enfance; elle se porte bien, est genti
- La seconde est morte à 2 mois du choléra infantile. Elle a eu des
convulsions
au moment de la mort. Elle paraissait devoir bi
Le médecin prétend qu'il est faible de poi- trine. Il n'a pas eu de
convulsions
. - La cinquième, 3 ans, est notre malade. Not
u'à 10 mois. A cette époque, elle eut une bron- chite compliquée de
convulsions
. Durant ces convulsions, qui furent qualifiées
que, elle eut une bron- chite compliquée de convulsions. Durant ces
convulsions
, qui furent qualifiées d'internes, elle ne remu
viron et était suivie d'un sommeil calme. Pendant près d'un an, ces
convulsions
se sont reproduites très fréquemment, parfois p
l'époque de cette crise importante, la tête grossit peu à peu. Des
convulsions
se reproduisirent avec les mêmes caractères mai
urbe à la corne occipitale offre une zone atrophiée de 3 cent. de
CONVULSIONS
SUIVIES d'hydrocéphalie. 121 largeur. T1 est at
ue. normale. A cette époque survient une bronchite, compliquée de
convulsions
, à la suite desquelles la tête se met à grossir
au second mois de la grossesse. -Légère asphyxie à la naissance. -
Convulsions
internes du premier jus- qu'au quatrième mois e
ns internes du premier jus- qu'au quatrième mois et demi. - Grandes
convulsions
à diverses reprises de quatre mois et demi à un
veloppée de bonne heure, elle a toujours été bien portante : pas de
convulsions
dans l'enfance ni de maladies graves à l'âge ad
nfants : 1° Une fille de 4 ans, bien portante, intelli- gente, sans
convulsions
ni tare nerveuse ; 2° Notre malade. Notre mal
er mois et par une nourrice pendant les il mois suivants. Premières
convulsions
dès le premier mois, Elles ont per- sisté jusqu
légères, dit la Antécédents PERSONNELS. 125 mère : c'étaient des
convulsions
internes. Elles n'auraient pas entravé le dével
partir de 4 mois et demi se sont manifestées de fortes crises avec
convulsions
cloniques généralisées qui se reproduisaient pl
oncées au bras droit et surtout au coté droit de la face. Enfin les
convulsions
cloniques terminales paraissent égales des deux
t, dès le premier mois et jusqu'à 4 mois et demi, l'enfant a eu des
convulsions
, dites internes, qui ont été elles-mêmes suivie
mariage.] ' Mère, 41 ans, ménagère, d'un caractère calme : pas de
convulsions
; fièvre typhoïde en 1870. Fréquentes migraines,
aire reconnues par le D1' Trousseau. Très faible de santé. A eu des
convulsions
à Il mois, ne boit pas mais est très violent. '
mois. A parlé il 17 mois ; a marché il 20 mois. N'a jamais eu de
convulsions
. L'enfant aurait eu la variole il trois semaine
ère maternels violents; - oncle maternel buveur ; ;- frère violent,
convulsions
de l'enfance. II. Le père, avons-nous dit, avai
e à un an. - Parole et propreté à 2 ans. - Fièvre typhoïde à 3 ans.
Convulsions
deux mois après. Début consécutif de l'épilepsi
tés par le père). Père, 43 ans, pale- frenier, bien portant; pas de
convulsions
dans l'enfance; fièvre typhoïde à 38 ans ; cara
infectieuse. 153 l\I1;I\E, couturière, caractère tranquille, pas de
convulsions
de l'enfance ( ? ), ni de migraines; elle est m
notre malade. Aucun des frères et soeurs de l'enfant n'aurait eu de
convulsions
. Notre malade. - La conception n'aurait pas eu
nt la nuit, d'un accès convulsif : il se mit à crier et fut pris de
convulsions
gémé- réalisées, avec écume à la bouche. L'accè
L'accès dura dix minutes. - Trois jours après, il eut des nouvelles
convulsions
qui durèrent un quart d'heure. Il aurait eu ens
semaine sans crises. Au début de la crise, il crie, puis tombe. Les
convulsions
sont généralisées. La phase des convulsionf ton
énéralisées. La phase des convulsionf toniques est très courte, les
convulsions
cloniques A-u4reCois, il écumait trou- 154 Desc
as de consanguinité. - Inéga- lité d'âge de 2 ans. - Soeur morte de
convulsions
. Conception dans l'alcoolisme. - Albuminurie du
Balancement du tronc. - Cognemenls de tête (Krouomanie) . - Pas de
convulsions
( ? ). A l'entrée marche et parole nulles. - Gâ
s femmes, rentre ivre presque tous les jours ; n'aurait pas eu de
convulsions
de l'enfance, n'offrirait aucun accident nerveu
urière, en bonne santé, physionomie régulière, peu nerveuse, pas de
convulsions
de l'enfance. - Réglée à 13 ans, mariée il 20 a
ons pendant huit jours ; - 3° fille, sept ans, intelligente, pas de
convulsions
(1) ; - f° notre malade ; - 5° fille, née en z1
postérieurement aux premiers renseignements, intelli- gente, pas de
convulsions
. Notre malade. La mère de l'enfant est convainc
autres enfants quand ils l'approchent. On ne sait pas s'il a eu des
convulsions
en nour- rice. Il n'en aurait pas eu depuis son
'a pas eu de convul- sions (1). III. Dup... n'aurait jamais eu de
convulsions
, croit- on : la nourrice n'en aurait pas signal
mère maternelle morte d'une affection pulmonaire. - Scezvr morte de
convulsions
.- Frère mort d'une imperforation de l'anus. Bro
de con- sanguinité. Cinq enfants : 1° fille morte à trois ans de
convulsions
en trois jours; elle était bien conformée et in
ent huit mois à l'hôpital Lourcine, satteAstruc; elle n'a pas eu de
convulsions
, est moins intelligente que les autres; n'a pas d
is; « ses yeux tournaient presque tout le temps ; c'élait comme des
convulsions
internes» : il ne tombait pas, la figure devena
ccès pen- dant vingt-trois heures sans reprendre connaissance Les
convulsions
prédominaient dans le côté gauche du corps d'une
Pas de manifestations scrofuleuses ; en 1871, varioloïde; pas de
convulsions
ni de vers dans l'enfance; de dix à quatorze ans,
upérieur. Enfin, dans certains accès, surtout les accès isolés, les
convulsions
étaient limitées à la moitié gauche du corps.
accès venaient le jour et la nuit, et étaient caractérisés par des
convulsions
violentes, des cris aigus, le râle guttural, l'
x jours, trois crises seulement t revinrent la nuit, et avec peu de
convulsions
. Amélioration manifeste. Le onzième jour, le
dicament manque ; il survint trois accès dans la nuit suivante. Les
convulsions
ont repris une certaine intensité. Le douzième
communication à la Société médicale de Vienne sur le Traitement des
convulsions
par le curare. Il s'agissait d'une malade qui sou
ros vaisseaux, des pâleurs, des fris- sons, des fourmillements, des
convulsions
d'abord localisées aux orteils et aux doigts de
'autre, en bonne santé, a deux enfants; ceux-ci, n'ont jamais eu de
convulsions
. Cinq soeurs, dont deux mortes jeunes de cause
autres sont bien por- tantes ; une a eu un enfant qui n'a pas eu de
convulsions
. Pas d'aliénés, etc.] - Pas de consanguinité.
nte. Ils ont tous été élevés au sein par leur mère; aucun n'a eu de
convulsions
. Notre malade. - Grossesse moins bonne que les
naturel. L'enfant, élevé au sein par sa mère jusqu'à un an (pas de
convulsions
), a marché à vingt mois (les autres enfants ont
. A cette époque, on constata les accidenls suivants : Il avait une
convulsion
de la face, on croyait « qu'il riait sans bruit
tait régulière, ce n'est que depuis les accès qu'elle a grossi. Les
convulsions
prédomineraient à droite; après les crises, on
ne. Période téta- uniforme : la face devient de plus en plus rouge;
convulsions
téta- niformes de la face à droite, puis dans l
s de colère de la première en- fance h 18S l. - Fièvre cérébrale et
convulsions
ti 7 ans (1876). - Premier accès en août 1851.-
onchites; deux fois on l'a renvoyé de pension parce qu'il avait des
convulsions
, il est moins intelligent que notre ma- lade ;
nt que notre ma- lade ; 3° garçon, mort d'une fièvre cérébrale avec
convulsions
con- sécutives à une chute; - il avait une taie
de 9 ans; elle est intelligente, gentille, très nerveuse; a eu des
convulsions
dans le cours d'une fièvre typhoïde à sept ans.
'un amant, deux enfants : 5- garçon, sept ans, bien portant, pas de
convulsions
; 6° fille, six mois, est bien venante, pas de c
pas de convulsions; 6° fille, six mois, est bien venante, pas de
convulsions
. 1 Afin de vérifier l'exactitude de tous ces re
, attribuée à un coup de soleil et durant laquelle il aurait eu des
convulsions
pendant l 9 jours avec des intervalles; elles é
aternel alcooliques. Salir morte de méningite. - Cousine germaine :
convulsions
. - Premières convulsions à trois ans et demi; d
r morte de méningite. - Cousine germaine : convulsions. - Premières
convulsions
à trois ans et demi; deuxièmes convulsions à qu
convulsions. - Premières convulsions à trois ans et demi; deuxièmes
convulsions
à quatre ans et demi, prédominant à gauche. - D
pt ans, dix il douze états de mal convulsifs. A sept ans, nouvelles
convulsions
presque exclusivement limitées à gauche, suivie
réable, n'a jamais eu aucun accident nerveux; elle n'a jamais eu de
convulsions
dans l'enfance, ni de maladies de peau. [Père,
sans accidents nerveux. Elle a deux filles : l'une d'elles a eu des
convulsions
, mais elle est intelligente, l'autre est bien p
lligente; 3° fille, quinze ans, bien portante, intelligente; pas de
convulsions
, assez nerveuse. Notre malade. A la conception,
sur les deux côtés, mais elles étaient plus fortes à gauche ». Les
convulsions
avaient débuté à quatre heures du matin ; la diar
il n'avait rien eu ». - A quatre ans et demi, il eut de nouveau des
convulsions
qui durèrent environ cinq heures, portèrent sur
atin, comme presque toutes les autres fois, Lef... eut de nouvelles
convulsions
, qui cette fois ont été presque exclusivement l
tait tombant ». Il a recommencé à marcher quatre semaines après les
convulsions
(on lui avait fait prendre quatre bains électri
se seraient montrés vers le deuxième mois après les 52 DU CURARE
convulsions
. On n'a pas remarqué le début précis de la con tr
marqué le début précis de la con trac- ture. Jusqu'à sept ans les
convulsions
ne paraissaient pas avoir touché l'intelligence
ons ne paraissaient pas avoir touché l'intelligence, mais après les
convulsions
dont il vient d'être parlé celle-ci était très
ans, Lef... a habile Montereau, où il aurait eu encore une fois des
convulsions
, attribuées par le médecin à une congestion cér
leurs caractères ; il fut pendant neuf jours très malade. Après ces
convulsions
, l'intelligence aurait encore baissé. Lef... n'
perdu connaissance. Son caractère a toujours été emporté avant les
convulsions
; même étant tout jeune, il se mettait en colère
vons à citer que les excès alcooliques du père et des aïeuls et des
convulsions
chez une cousine, dans les antécédents personne
ers quatre heures, durant quatre à cinq heures et dans lesquels les
convulsions
étaient généralisées, mais plus fortes à gauche
n XVIII. - Epilepsie symptomatique. = Deux soeurs et deux frères. -
Convulsions
dans l'enfance. - Mère absinthique pendant la g
ans l'enfance. - Mère absinthique pendant la grossesse. Premières
convulsions
à trois mois, revenues plusieurs fois jusqu'à d
ale. Grand-oncle maternel, alcoolique et épileptique. Onanisme. -
Convulsions
à dix-huit mois. - Début ci cinq ans. Vertiges tr
. Observation XXII. - Epilepsie. - SOE117' épileptique. Premières
convulsions
à dix- sept mois. - Vertiges à trois ans et demi.
aternels, cancéreux. - Naissance avant terme (version). - Premières
convulsions
à quatre ans. - Hémiplégie gauche consécutive ;
n 4 883. - Grand-père maternel alcoolique, mort aliéné. - Premières
convulsions
à trois ans. - Maux de tête fréquents. - Absenc
ère mort phthi- sique. - Mère migraineuse et colérique. - Premières
convulsions
à deux ans prédominant à gauche. Onanisme. - Ve
oncluant. Observation XXVII. Epilepsie idiopathique. - Coqueluche
Convulsions
prédominant (i droite (ci six ans et demi), suivi
E Observation XXX. - Epilepsie idiopathique. - Père alcoolique. -
Convulsions
à sept ou huit mois. - Vertiges il treize ans. Al
Epilepsie idiopathique. - Cousine germaine (du père) épileptique. -
Convulsions
ci dix-huit mois. - Parésie gauche. - Secousses
ternelle morte de cancer utérin. - Frère jumeau mort à trois jours (
convulsions
). - Grossesse : chuté à cinq mois, peur ti sept
ossesse : chuté à cinq mois, peur ti sept mois et demi. - Premières
convulsions
à deux mois, suivies d'une paralysie gauche. -
chez les enfants très jeunes, souvent en vomissements, diarrhée et
convulsions
. Mais ce qui distingue tout de suite la roséole
it jamais ou do maladies cutanées ni de maladies vénériennes, ni de
convulsions
dans l'enfance; il n'a eu aucune maladie depuis
Elle serait un peu nerveuse, mais n'aurait pas eu d'attaques ni de
convulsions
dans l'enfance; ni migraines, ni syncopes; pas
ixième : 1° garçon, 14 ans, intelligent, bon ouvrier, n'a pas eu de
convulsions
; 2° fille, morte à neuf jours « d'une esquinanc
le, morte à neuf jours « d'une esquinancie dans la gorge » ; pas de
convulsions
; 3° notre malade ; 4° garçon, mort à quatre mo
nts et diarrhée); 5° fille, 19 mois, bien portante, n'a pas eu de
convulsions
; commence à parler et à marcher. Notre malade.
pas les yeux comme les autres en- fants.» Il n'aurait jamais eu de
convulsions
. Première dent à 8 mois 1/2 (les autres auraien
ril. T. R. 39°. L'enfant meurt à deux heures de l'a- près-midi sans
convulsions
. La diarrhée avait cessé depuis dix heures du m
mble des symptômes obser- vés chez cet enfant, joint à l'absence de
convulsions
, nous a fait penser qu'il s'agissait là d'un ca
ique. - Oncle maternel aliéné ; cou- sin germain et scezcn morts de
convulsions
. Allaitement par une nourrice aliénée. - Dévelo
ans un puits); il a eu quatre enfants et en a perdu 3, dont l'un de
convulsions
; le quatrième est en bonne santé.- Une soeur, m
reton, mère marseillaise). 3 enfants : 1° Fille morte à 14 mois, de
convulsions
; 2° notre malade, né dix ans après; 3° une faus
d'une congestion cérébrale. Grand'tante paternelle suicidée. amère,
convulsions
dans l'enfance. - Grand. père maternel alcooliq
père maternel alcoolique. Tante maternelle hémi- plégique. - Sono"
convulsions
. Conception durant l'aliénation du père. Grosse
e acci- dentée par des émotions; perte de connaissance. Premières
convulsions
à 2 ans et demi.- Cauchemars. - Fugues solitair
assisté à plusieurs de ces crises qui auraient consisté en grandes
convulsions
toniques et cloniques, avec congestion de la fa
riste, bien portante, n'a pré- senté comme accident nerveux que des
convulsions
dans l'enfance : sa tenue est convenable ; elle
malade a eu un frère et trois soeurs, dont une seule a présenté des
convulsions
(morte à 6 mois); une autre est morte à 3 ans d
usait guère de désagréments à sa famille. A 2 ans 1/2, il eut des
convulsions
pendant 10 à 15 minutes, avec agitation des mem
uvait indisposé ; puis, subitement, il tomba à terre et fut pris de
convulsions
qui durèrent une heure et un quart. Deux heures
té a eu un accès de folie. Une soeur, née avant lui, a succombé aux
convulsions
. A cet ensemble de mauvaises conditions du fait
idée; une tante a été paralysée; enfin sa mère a été atteinte des
convulsions
durant son enfance. Mais il n'y a pas 176 INFLU
e très pro- noncée, un hypospadias. Dans son enfance, il a eu des
convulsions
, puis, de même que Sim..., des frayeurs nocturn
Antécédents : frères et soeurs morts de con- vulsions ; - premières
convulsions
(19 9 mois); - crises nerveu- ses ; - accidents
une fille, morte à 10 ans, d'une « fièvre cérébrale, » avait eu des
convulsions
très-fortes; - 3° fille, vivante, 28 ans, deven
de 15 jours, qui ÉTAT DE MAI, EPILEPTIQUE. 3 vient d'être pris de
convulsions
; - 4° et o° garçons morts du choléra à 5 ans et
° garçons morts du choléra à 5 ans et à 2 ans ; le dernier a eu des
convulsions
; > 6° notre malade. - Alors que sa mère é
a été propre de bonne heure. - Elle était coléreuse., Les premières
convulsions
sont apparues à 19 mois; elles ont été légères
bait par terre et devenait roide ; elle n'avait pas d'écume ni de
convulsions
. Elle reprenait connaissance au bout d'une mi-
s, s'étendent dans l'adduction et sont très-rigides. c) 5° phase.
Convulsions
très-accusées et très-rapides des muscles de la
la moitié droite de la face , puis, au bout de quel- ques secondes,
convulsions
des paupières et du fronlal gauche seulement. L
er que l'élévation de la température n'est pas unique- ment due aux
convulsions
. ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE. - 13 Dans d'autres
s symptômes et caractérisés par la perte de connais- sance, par des
convulsions
cloniques des membres, par une anesthésie cutan
l..., Louise, 19 ans est entrée à la Salpétrière le 17 juin 1872. -
Convulsions
à 11 et 13 mois. - A 9 ans, absences. Appétit e
ombe le lendemain. 2t RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES. Observation V. -
Convulsions
à 15 mois. Etourdissements à 5 ans et demi. - E
ction nerveuse. Une de ses soeurs aurait offert, de 7 à 10 ans, des
convulsions
avec paralysie d'un côté du corps; ces accident
- Pas de consanguinité. -Diz enfants; sept sont morts, doit l'un de
convulsions
; trois filles sont vivantes : deux, âgées d t
venante jusqu'à 15 mois. Alors elle eut, pendant 5 ou 6 heures, des
convulsions
qui ont précédé la rougeole. Durant la convales
Observation VI. - Lob... Marie, 25 ans, entrée le 11 juillet 1871.
Convulsions
dans l'enfance. - A 23 ans, étant dans la rue,
puis qu'elle prend du bromure de camphre (1). Observation VIII. -
Convulsions
dans l'enfance. - Arrêt de développement conséc
que des renseignements assez vagues. Elle aurait eu, à 6 mois, des
convulsions
qui ont persisté durant trois semaines et ont e
ie. -- Cousin épileptique. - Préoccupations pendant la grossesse. -
Convulsions
répétées. - Accidents bi- zarres probablement d
n enfant ne devint épileptique. De un an à 18 mois, Berthe a eu des
convulsions
à diverses reprises. Puis elle fut atteinte du
ès éclatait avant qu'elle n'eût fini sa phrase. Pas de cri initial;
convulsions
très-violentes; écume non sanglante ; cyanose d
dans l'extension, les membres se raidissent et sont pris ensuite de
convulsions
cloniques, égales des deux côtés. H... écume ;
tion. Elle a été élevée en nourrice. Elle ignore si elle a eu des
convulsions
, mais elle se souvient qu'elle a eu le carreau,
idité, pe- tites secousses tétaniques. T. R. 36", 6. 4 h. 40. Les
convulsions
ont cessé. Respiration à 20. Les pupilles se di-
série de véritables accès d'épilepsie, toujours précédés des mêmes
convulsions
locales. Les accès qui, au début, se produisaie
me suivi, quelques minutes après, de vertige auquel succédaient des
convulsions
des deux côtés du corps, avec morsures de la la
sme violent du pouce de la main droite. - D'une façon générale, les
convulsions
se généra- lisent trop rapidement pour qu'on pu
assisté bien souvent à ces symptômes pré- curseurs, déclara que les
convulsions
et la syncope allaient survenir au bout de deux
personnes qui l'entourent; bientôt il tombe en arrière, est pris de
convulsions
passagères et re- vient ensuite rapidement à so
enus ensuite, disparurent promptement et furent suivis de violentes
convulsions
et enfin d'une insensibilité passagère (1). M
37°, 8. - Le soir, à 5 h., elle meurt sans avoir eu de nou- velles
convulsions
. Le nitrite d'amyle a fait cesser très-promptem
n- tinuer l'inhalation. Aussi, au bout d'une ou deux minutes, les
convulsions
reparurent-elles. Une nouvelle inhalation ayant
rsuivre suffisamment l'inha- lation pour juguler définitivement les
convulsions
/ Cette difficulté dans l'administration réguliè
dix gouttes de nitrite d'amyle. Après quelques inspi- rations, les
convulsions
s'arrêteut, la face rougit, il se produit des m
. - A 11 heures, retour des attaques. A 11 heures trois quarts, les
convulsions
conti- nnant, la température vaginale est à 38"
s, pendant lesquelles la respiration est sus- pendue, succèdent les
convulsions
cloniques. c) Les bras et les jambes se tortill
uit un cyanose très-marquée de la face et des / nausées; alors, les
convulsions
cessent tout-à-fait et la malade, / selon la co
27 décembre. Série d'attaques ; T. R. 37°, 8. Nitrite d'amyle : les
convulsions
cessent. - 1876. 4 jatvie : Nitrite d'amyle. -
cyanose delà langue persistent pendant 3 à 4 minutes; alors que les
convulsions
ont cesse. M... se lève, / ? se plaint d'avoir
nha- lations successives pendant 10 à 12 minutes; disparition des
convulsions
: T. V. 37°,8. Un quart d'heure plus lard : T. V.
e. 100 15 décembre. Attaque. Dix gouttes de nitrite. d'amyle; les
convulsions
s'arrêtent; la face et le' cou deviennent rouges.
mêmes phénomènes du côté de la face; arrêt rapide et définitif des
convulsions
. La face est devenue d'une pâleur extrême qui a
des efforts de ment sans évacuations. ! rn=mMe7rAt).aquH ; , y e. Les
convulsions
n'ont cessé définitivement que quand G... a eu
anvier. Attaque ; compression ovarienne, suspension pas- sagère des
convulsions
. G... est reprise; nitrite d'amyle. Bientôt, fr
'ser- vent à les maintenir. Pour s'opposer au retour des grandes
convulsions
cloniques, il suffit de recommencer l'inhala- t
on secours et la transportèrent chez eux où elle passa la nuit. Les
convulsions
persistèrent jusqu'au matin. Lorsque revint la
placé dans le jardin. Alors survinrent des attaques nerveuses avec
convulsions
si intenses qu'elle défonça deux fois le pied du
ours, étonna le médecin et les religieuses par l'intensité de ses
convulsions
, et fut conduite à la Salpétrière, qu'elle n'a pa
e du chloroforme. » Pendant les intervalles de rémission légère des
convulsions
, la connais- sance revient, mais incomplètement
nes qui ont déjà été décrits et qui peuvent se ré- sumer ainsi : 1°
convulsions
cloniques, exigeant plusieurs personnes pour la
te et en haut ; la tête se porte à droite. Les membres sont pris de
convulsions
. Les jambes sont tantôt fléchies sur la cuisse,
des dents et ce grincement est d'habitude l'indice précurseur d'une
convulsion
tétanique. La 122 IIT5TI;ItO-1 : PILL,P511 ? ..
férieurs sont étendus ; les orteils sont fortement fléchis. A celle
convulsion
tétanique succède un accès d'une sorte de rage
bres sont fixés dans leur position; c'est à peine s'il y a quelques
convulsions
cloniques. A la face, on note quelques contract
s à 8 heures un quart, L... reste ainsi contractu- rée, sans aucune
convulsion
clonique et offrant tout-à-fait l'aspect d'un t
l'aspect d'un tétanique. A 8 heures un quart, surviennent quelques
convulsions
dans les muscles de la mâchoire, déter- minant
ns. Les muscles des membres et du tronc ne sont le siège d'aucune
convulsion
clonique. A un moment, le thorax s'immobilise à
che à droite et tomberait de son lit si on ne la soutenait. Pas de
convulsions
cloniques des membres. Enfin, après un ron- fle
utition ; d'autres fois, la respiration est accélérée et il y a des
convulsions
clo- niques du membre supérieur droit. Les memb
ur l'épaule gauche. Membre supérieur gauche. - Il offre les mêmes
convulsions
dans l'une ou l'autre des crises qui constituen
'il avait déjà fait, mit le corps de la prieure dans une effroyable
convulsion
, tirant une langue horrible, difforme, noirâtre
uf sont morts jeunes; ello croit, qu'aucun d'eux n'a été atteint de
convulsions
. Les quatre survivants (2 garçons et 2 filles)
mé de quelques mouvements convulsifs. La face est aussi le siège de
convulsions
. Les yeux sont fixes, sans aucune déviation, le
t plu- sieurs heures. Elle s'est accompagnée de vomissements. Les
convulsions
ont été identiques à celles que nous avons signa-
sur le pied, on voit au bout d'un instant tout le membre entrer en
convulsion
et s'agiter avec violence. Si on l'abandonne al
éger accroissement de la contracture du membre du côté gauche, sans
convulsions
proprement dites. Ils sont , précédés par un cr
ion (E... s'est jetée à bas de son lit) et qui s'est accompagnée de
convulsions
et môme de mouvements du bassin. A la fin de l'
A cette période en succède une autre, caractérisée surtout par des
convulsions
cloniques : la jambe et le bras du côté droit e
reux et graves, alcoolisme des parents ; antécédents personnels :
convulsions
, méningite, perversion des instincts, manie du
rvation II. Idiotie. Gonflements anormaux de la région cervicale. -
Convulsions
. - Mort. Autopsie.- Composition des gonflements
de quelque temps après, refusa toute nourriture, et mourut dans les
convulsions
le 7 décembre 1849. Autopsie. - Le cerveau ne p
aille élevée, peu in- telligent, employé aux chemins de fer, pas de
convulsions
, a des migraines; - 20 notre malade ; - 3° une
randissant pas, peu intelligente, n'a marché qu'à trois ans, pas de
convulsions
, a pissé au lit jusqu'à neuf ans et y pisse encor
uinze mois, (la nourrice était devenue tuberculeuse), n'a pas eu de
convulsions
; 20 notre ma- lade ; 30 fille, bien développée,
Fig. 5. - Th... à l'âge de 4 ans. aurait eu à cette époque quelques
convulsions
. Quoi qu'il en soit, elle le reprit chez elle e
ent, et rarement sorti dehors. Bien qu'aucune nouvelle atta- que de
convulsions
ne soit survenue, néanmoins, la parole n'avait
la maladie son séjour jusqu'à un an dans un loge- ment humide, les
convulsions
( ? ) et la chute qu'il aurait faite vers quinz
tante maternelle rachi- tique. -- Carie lombaire à cinq mois, puis
convulsions
jusqu'ci onze mois; affaiblissement physique et
. -Ni goitreux ni cré- tins. Deux soeurs du malade mortes jeunes de
convulsions
. Conception à quarante et un ai2s ; dentition t
convulsions. Conception à quarante et un ai2s ; dentition tardive;
convulsions
générales quotidiennes de onze mois à quatre an
la mer, et où n'existent ni goitreux, ni crétins. Il n'a pas eu de
convulsions
dans l'enfance ; il a éprouvé parfois des cépha
ménopause est arrivée à cinquante et un ans sans accidents. Pas de
convulsions
, pas d'attaques de nerfs, pas de névralgies, pa
garçon bien conformé, né à terme, mort à six mois, en nourrice, de
convulsions
; 2° fille, née à terme, bien conformée, intelli
le, née à terme, bien conformée, intelligente, morte à trois ans de
convulsions
; 3° fille mort-née à terme (présentation des pi
'est quelques jours après qu'il survint, pour la première fois, des
convulsions
générales qui durèrent deux à trois heures. A p
u'à quatre ans, il a eu presque quotidiennement, assure-t-on, des
convulsions
générales analogues, d'une durée d'une à deux h
onze mois2, les autres apparurent vite, mais se cassaient dans les
convulsions
. Il a recom- mencé à parler vers deux à trois a
ut complète en trois jours) produit des troubles nerveux généraux :
convulsions
, paralysie fonctionnelle, hébétude mentale et e
Mère névropathe, idées noires. Grand- z° père paraplégique; oncle,
convulsions
; frère, convul- . sio ? is. -Ta7,te cancéreuse.
l- . sio ? is. -Ta7,te cancéreuse.-Grand'mère rhumatisante; tante
convulsions
; cousin aliéné. -Chagrins pendant la grossesse
e : 32 ans, mécanicien, bien portant, très fort. N'a jamais eu de
convulsions
, ne fume que très peu et ne fait jamais d'excès
ans, domestique, ménagère; blonde, r'1Ïn- ce, type lorrain ; pas de
convulsions
dans l'enfance, nas d'accidents nerveux; ni mig
ien portants, ainsi que leurs enfants ; un est mort à vingt mois de
convulsions
de la dentition. Une soeur aînée est morte d'un
nts : 1° Un fils, né avant le mariage, est mort âgé de deux ans, de
convulsions
après dix jours de maladie. Il était très intel
ercé à cinq mois, les autres dents vinrent très vite sans amener de
convulsions
. A4 ans,scarlaline et six mois après, petite vé
ueux et franc, mais il était très turbulent. Pas d'onanisme, pas de
convulsions
, pas de gourmes, d'ophthalmies, ni d'écoulement
gue blanche et sèche, pas de muguet. Ni vomissements, ni fièvre, ni
convulsions
. Pouls toujours fréquent, mais régulier et plus
observé dans le coma. Avait eu huit jours avant de la fièvre et des
convulsions
. Ptosis droit, face non déviée ; constipation,
euse très évidente : des tantes, des oncles, des frères, ont eu des
convulsions
; sa mère est névropathe et mélancolique; un gr
; n'a jamais eu de maladies, a quatre enfants en bonne santé, sans
convulsions
. Ni difformes, ni aliénés, ni criminels, ni sui
en naissant; 2° une SL&U)', âgée de 10 ans, bien portante, sans
convulsions
. 3° Notre malade. Pas de renseignements sur la
it bien, marchait seul, était intelligent. Il n'aurait jamais eu de
convulsions
( ? ). Jusqu'à l'année der- nière, l'enfant s'e
e . Mère, fièvre typhoïde à 19 ans, avec délire.- Soeur, morte de
convulsions
internes consécutives il la coque- luche. - Rac
usqu'à 3 ans. Alcoolisme (vin blanc) à partir de 4 ans. Premières
convulsions
à 4 ans (mai 1885) : affaiblisse- ment consécut
isse- ment consécutif de l'intelligence ; irritabilité. Deuxièmes
convulsions
15 jours après les premières.- Accès d'épilepsi
15 jours après les premières.- Accès d'épilepsie. Prédominance des
convulsions
à gauche. - Nouvelles convulsions (juillet et a
cès d'épilepsie. Prédominance des convulsions à gauche. - Nouvelles
convulsions
(juillet et août). Vertiges (novembre 1885). Pa
telligente. Depuis 4 ou 5 mois, elle a des douleurs de tête. Pas de
convulsions
dans l'enfance, ni de maladies nerveuses, de de
Deux enfants : 1° notre malade ; 2° une fille morte à 9 mois, de
convulsions
internes,à la suite d'une coqueluche accompagné
suite d'une coqueluche accompagnée de l'évolution de 4 dents ; ces
convulsions
ont duré 4 jours. Notre malade. La conception
it intelligent, caressant, très nerveux et n'avait pas eu encore de
convulsions
. Ses parents l'ont repris à 3 ans, en bonne san
ns à 4 ans 1/2. C'est à 4 ans que se sont manifestées les premières
convulsions
qui auraient duré une heure. Entre 144 EXCÈS AL
vulsions qui auraient duré une heure. Entre 144 EXCÈS ALCOOLIQUES :
CONVULSIONS
. les crises, il ne reprenait pas connaissance e
ises, il ne reprenait pas connaissance et paraissait être mort. Ces
convulsions
ont été attribuées à l'abus du vin blanc. Les g
aurait été ivre. La veille du jour où sont survenues les premières
convulsions
, il s'était enivré au point qu'on avait été obl
ce qu'on lui disait (mai 1885). Quinze jours plus tard, nou- velles
convulsions
qui ont duré une demi-heure ; puis, pour la tro
ulsions qui ont duré une demi-heure ; puis, pour la troisième fois,
convulsions
six semaines après les précédentes. En juin, le
ru s'améliorer et l'attention paraissait plus facile à fixer. Les
convulsions
ont reparu à diverses reprises en juillet et ao
nt est devenu incapable de marcher. En novembre et en décembre, les
convulsions
, qui avaient pris l'allure d'accès d'épilepsie,
et leur évolution appartiennent bien à l'alcoolisme. Les premières
convulsions
se mon- trèrent le lendemain d'un jour où l'enf
e à l'influence de l'alcool, peu après l'apparition des premières
convulsions
. Ces particularités sont probablement dues à l'
rvée chez cet enfant (2) et rend bien compte de la prédominance des
convulsions
sur le côté gauche du corps. - (1) Le 15 juin
toire clinique offre encore tant de lacunes. OBSERVATION.- Père :
convulsions
dans l'enfance, peu in- telligent, sujet à un t
ière-grand' mère maternelle, alcoo- liques.- Oncle paternel mort de
convulsions
. Mère : aliénée. - Grand-père maternel : excès
maternel : excès de boissons. Grossesse un peu tourmentée. Pas de
convulsions
dans l'enfance. Impétigo, ophthalmie, strabisme
, grand, peu intelligent, aurait eu dans l'enfance un eczéma et des
convulsions
, n'a jamais pu apprendre à lire, est un peu emp
re maternels, pas de détails. Un frère a été enlevé à 3 ans par des
convulsions
, Une soeur, 26 ans, n'a pas eu de convulsions,
nlevé à 3 ans par des convulsions, Une soeur, 26 ans, n'a pas eu de
convulsions
, a fait des fausses couches et a eu des enfants
omie régulière, est intelligente, bien portante. Elle n'a pas eu de
convulsions
, de migraines ou d'attaques de nerfs, mais elle
ux soeurs, l'une est mariée, a des enfants qui n'ont jamais eu de
convulsions
. Pas d'aliénés, etc., dans la famille]. Pas de
, qui parait intelligente, prononce quelques mots, et n'a pas eu de
convulsions
. Notre malade. A l'époque de la conception, le
mais continue à crier durant le jour. R... n'aurait jamais eu de
convulsions
, ni de chorée, ni devers, etc. ; il n'aurait eu
st exact, comme la mère l'a affirmé, que l'on n'a jamais observé de
convulsions
chez son enfant. Cette opinion s'appuie encore
duré 3 à 4 minutes, d'après la surveillante. On n'a remarqué aucune
convulsion
des membres. Le malade prend du bouillon et du
et épi- leptique. Grand'mère maternelle migraineuse. - Premières
convulsions
à trois mois.- Premières dents à deux ans. - Op
ate et chétive ; physionomie agréable ; sobre, intelligente; pas de
convulsions
; de mi- graines ni d'attaques. [Père, tailleur,
1° notre malade;-2° un garçon mort en nourrice de cholérine; pas de
convulsions
; 3° une fille de 21 mois, bien portante, sans
; pas de convulsions ; 3° une fille de 21 mois, bien portante, sans
convulsions
. Notre malade. A la conception, le père et la m
prendre d'autres aliments que du lait et des panades. A trois mois,
convulsions
sur lesquelles on n'a pas eu de détails, toutef
Première dent seulement à deux ans ; elle a percé sans douleurs ni
convulsions
. L'enfant était d'un caractère très caressant,
voyé à l'infirmerie parce qu'il ne mange pas ; est assoupi et a des
convulsions
et des soubresauts pendant son sommeil.-2 2 jui
onnel, on nous a dit que l'enfant n'aurait eu qu'une seule fois des
convulsions
, à l'âge de trois mois et d'une durée de quinze
d'mère maternelle, 80 ans, en bonne santé. Deux frères ayant eu des
convulsions
dans l'enfance ; l'un infirmier, atteint de tic
muets) dans la famille.] Mère, 30 ans, bien portante, n'a pas eu de
convulsions
dans l'enfance, n'est pas migraineuse, mais a e
raît avoir été atteint d'affections nerveuses graves, en dehors des
convulsions
de l'enfance pour quelques-uns d'entre eux. La
servation. - Hérédité nulle ( ? ). Pas de consan guinilé. Premières
convulsions
à 3 ans. - Accidents convulsifs revenant 4 à 6
squ'à 6 ans, séparés par des intervalles do deux ou trois mois. Les
convulsions
étaient générales; il n'y avait pas d'écume. A
e mois de la grossesse. - Asphyxie légère à la naissance.-Premières
convulsions
à six mois (état de mal).- De six mois à onze a
ents et la parole, dit sa mère, il était intelligent. » Premières
convulsions
à 6 mois, pendant une demi-journée. Les secouss
s remarqué de paralysie consécutive. Deux mois plus tard, nouvelles
convulsions
, qui se sont dissipées au bout de quelques minu
bout de quelques minutes. Après plusieurs mois de répit, troisièmes
convulsions
, également de courte durée. De 1 an à 12 ans, L
lsions, également de courte durée. De 1 an à 12 ans, Le... a eu des
convulsions
une ou deux fois par mois, se présentant tantôt
nt tantôt sous forme do grandes convul- sions, tantôt sous forme de
convulsions
internes, qui ont dé- buté au commencement de l
ée par un état nerveux congénital, ou être ac- quis il la suite (le
convulsions
; alors il faut non-seule- ment traiter l'onani
rile ordinaire, accompagnée ou non d'accidents céré- braux (délire,
convulsions
, etc.), ou il l'occasion d'une croissance préco
ngestion cérébrale. - Autre grand'tante paternelle démente. - Mère,
convulsions
de l'enfance, fièvre cérébrale ci quatorze ans
veux.Durant l'enfance, il n'a eu ni manifestations scrofuleuses, ni
convulsions
, ni fièvres infectieuses, ni syphilis, ni migra
rentes époques. Ils étaient intelligents et n'avaient jamais eu de
convulsions
. Il en est de même du septième qui est soldat dan
u lait de chèvre, il aurait eu, vers deux ans, à trois reprises des
convulsions
, qui, chaque fois, auraient duré deux ou trois
fils a un bras et une jambe qui ressemblent à ceux du mendiant. Les
convulsions
survenues à trois reprises, vers deux ans et qu
s étaient en crochet. III. - Nous croyons donc devoir rattacher aux
convulsions
, probablement symptomatiques d'une sclérose cér
anguinité. - Inégalité d'âge de 4 ans. - Gémellarité. - Un frère,
convulsions
. -Émotions auneuvième mois de la grossesse. - A
uvième mois de la grossesse. - Asphyxie prolongée à la naissance. -
Convulsions
à l'âge de jours limitées au côté droit.-Cécité
s par sa mère). - Père, 31 ans, employé de chemin de fer, n'a eu ni
convulsions
, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dartres
nels, ni prostituées]. Mère, 27 ans, sans profession, n'a pas eu de
convulsions
, BOURNEVILLE, Bicêtre, 1896. 3 34 Antécédents
mois), très ner- veux, très éveillé, se porte bien; a eu de petites
convulsions
intermittentes et localisées à la face de 2 à 6
18 mois ; actuellement la dentition n'est pas encore complète. Les
convulsions
auraient commencé le 13- jour après la naissanc
ant, l'enfant aurait poussé un « cri de bête. » La mère dit que les
convulsions
étaient limitées au bras droit, l'autre bras n'
it, l'autre bras n'avait rien, les jambes n'étaient pas raides. Les
convulsions
durèrent une demi-heure; elles se reproduisiren
angue relevée contre le palais. La ma- lade criait au milieu de ses
convulsions
, qui ont persisté jusqu'à l'entrée de l'enfant
oncée et persistante : c'est à elle qu'il convient de rattacher les
convulsions
qui ont débuté le troisième jour de la vie. I
e ombili- cale constatée au quinzième jour (bandage). - Jamais de
convulsions
. - Élevée au sein par sa mère jusqu'à quinze mo
ixe et d'autres fois ses yeux se retournent comme si elle avait des
convulsions
( ? ). - Le matin, T. R. 38°, 3. Dyspnée, toux
es, épileptiques, pieds-bots, bègues, etc.]. Mère, 28 ans, pas de
convulsions
dans l'enfance, grande, châtain foncé, physiono
te sans hémoptysie, l'autre est bien portant. Aucun d'eux n'a eu de
convulsions
. - Deux soeurs âgées l'une de 30 ans, sans atta
sans attaques de nerfs, a eu deux enfants qui n'auraient pas eu de
convulsions
; l'autre, âgée de 23 ans, a eu la danse de Sai
nt la peau. - Pas d'accès de cris diurnes ou noc- turnes. Jamais de
convulsions
, - Gon... pleure facilement. - Elle n'a pas enc
e bien, a 12 dents, prononce presque tous les mots, n'a pas eu de
convulsions
. ü2 Idiotie avec cachexie pachydermique. Voic
is du croup, se portait jusqu'alors très bien, n'avait jamais eu de
convulsions
; - 2 Garçon, 7 ans 1/2, bien portant, intellig
sions ; - 2 Garçon, 7 ans 1/2, bien portant, intelligent ; pas de
convulsions
. Antécédents personnels. 75 3° Notre malade.
les premières crises conndsives à l'âge de deux ans seulement. Ces
convulsions
se bornaient à quelques grimaces de la bouche s
és. Ce n'est qu'à l'âge de deux ans qu'appa- raissent les premières
convulsions
, qui ont sans doute aggravé la situation de Leb
boisson Tante et cousine, idiotes. ° - Plusieurs frères et soeurs,
convulsions
. Cyanose à la naissance. Premières convulsions
rs frères et soeurs, convulsions. Cyanose à la naissance. Premières
convulsions
sous formé d'état de mal à 5 ans auec prédomina
inance à droite. - H(iiii7 plégie droite et idiotie consécutives. -
Convulsions
pen2- ' "dant trois mois. - Début de l'épilepsi
ier lit : 1° une fille un peu nerveuse dont un des enfants a eu des
convulsions
internes ; - 2° un garçon mort athrepsique à 2
rentrée » à 2 ans ? ; - 5° un garçon « bossu », a eu beaucoup de
convulsions
, est mort à 18 ans, à la suite d'un abcès par c
ès par congestion; - 6° un garçon, 27 ans, bien portant, a eu des
convulsions
internes. Cinq enfants d'un second lit : 1° une
lle, 18 ans t ? médit. crement intelligente et qui a eu beaucoup de
convulsions
; - 2° notre malade ; 3° une fille, 15 ans (/2,
15 ans (/2, nerveuse, peureuse, sujette à des cauchemars, a eu des
convulsions
; elle est in- telligente ;- 4° un garçon, inte
ns ; elle est in- telligente ;- 4° un garçon, intelligent, a eu des
convulsions
;- 5°un garçon, passablement intelligent, a eu d
u des convulsions;- 5°un garçon, passablement intelligent, a eu des
convulsions
, Noire malade. - Pas de rapports sexuels durant
t 5 ans, lorsque, une après-midi, et à peine couché, il fut pris de
convulsions
généralisées aux quatre membres, et qui ne durè
ans la nuit un pure- miel' accès d'épilepsie, auec prédominance des
convulsions
dans le côté paralysé. Nouvel accès dans la nui
s et deux 8(ptij-.s, dont l'une est arriérée, qui ont eu tous des
convulsions
. II. L'enfant est né cyanose. Est-ce il cette c
cet état de mal, les malades de cette catégorie ont un répit, les
convulsions
, soit isolées, soit srcbinloa ? te.s, ne réappa
affectant toujours, exclusi- vement, la moitié droite du corps. Les
convulsions
ont eu pour conséquence immédiate l'hémiplégie
gie occupait les membres du cûtédooil, qui avaient été le siège des
convulsions
. Elle était complète pour le membre supérieur,
ar l'état de mal convulsif, débuté l'épilepsie. Dans les accès, les
convulsions
prédominaient du côté paralysé. Selon la règle
ère, bronchite ' chronique, rhumatisant, caractère emporté. - Mère,
convulsions
de l'enfance, phénomènes d'hystérie. Renseignem
tres renseignements sur la famille du père]. Mère, 27 ans, a eu des
convulsions
fréquentes en bas âge. Elle aurait été atteinte
Début de la marche à 18 mois, de la propreté à 8 mois. Premières
convulsions
a 11 mois : durée 29 heures. -Secondes convulsi
ois. Premières convulsions a 11 mois : durée 29 heures. -Secondes
convulsions
après une rémission de deux jours : durée 4S he
ie droite transitoire. - Ecolage à peu près normal. - A onze ans,
convulsions
et hémiplégie droite consécutive. - Nouvelle cr
(Renseignements fournis par lanière). - Péri ? 45 ans, forgeron, ni
convulsions
, ni accidents nerveux; rhu- matisant, pas de da
e méningite, les cinq autres sont bien portants, n'ont jamais eu de
convulsions
, ni d'affections nerveuses . Notre malade. -
mois, de la propreté à 6 mois. A l'âge de 18 mois, Per... a eu des
convulsions
, occupant tout le corps. Il s'est produit deux
i a eu lieu deux jours après le premier a duré 48 heures. Avant ces
convulsions
, l'enfant était normale et ressemblait aux autr
role, bien qu'elle pronon- çât un certain nombre de mots. Après ces
convulsions
, l'en- fant resta 15 jours au lit, ayant de la
réjusqu'àl'entrée, aumois demai.-On attribue l'état de l'enfant aux
convulsions
. État actuel (17 mai 1895). - Aspect général. P
bre. - Pern... décline de plus en plus. Dans la nuit, elle a eu une
convulsion
. Au milieu de râles stridents, la face s'est co
fournis indiquent que l'enfant était normale. Alors surviennent des
convulsions
, dues à une mé- nitrite (lièvre, délire, grince
ns, homme de peine ; taille un peu au-dessus de la moyenne ; pas de
convulsions
, ni de migraines ou de rhumatismes ; aucun stig
ique de corsets; brune, taille petite sans exagération. Jamais dé
convulsions
dans l'enfance, parait intelligente et dit qu'ell
outurière, nez aquilin, cheveux châtains, nerveuse, migraineuse, ni
convulsions
, ni fièvres intermit- tentes. Elle est originai
ait de chèvre. Elle a toujours dormi beaucoup et n'a jamais eu de
convulsions
ni d'accès de cris. Première dent il 8 mois. Elle
seconde, saine. - Cette dernière, âgée de 13 mois, n'a jamais eu de
convulsions
, a marché à 11 mois, prononce quelques mots, para
t normal jusqu'à t ans. Excès alcooliques. - 1 ()l'esse. complète :
convulsions
avec perte de connaissance pen- dant trois jour
vec perte de connaissance pen- dant trois jours. - Prédominance des
convulsions
aï gauche. - Hémiplégie gauche consécutive. - R
chauffeur mécani- cien, bonne santé, ne boit pas, n'a jamais eu de
convulsions
, ni aucune maladie, syphilis, etc. ; caractère
et bien portants, ainsi que leurs enfants qui n'auraient pas eu de
convulsions
. - Un cousin issu de germain est bègue. - Pas d
t : , 36 ans, en bonne santé, caractère très calme, ne boit pas; ni
convulsions
, ni migraines. [Famille de la mère. Père; 58 an
ssance et froid, la tète aux pieds du lit. Pondant trois jours, les
convulsions
ont persisté sans retour de la connaissance; el
ans la main. Pendant 14 jours, l'enfant n'a pas quitté le lit ; les
convulsions
reparurent, mais en s'espaçant. Le mé- decin n'
abitude en raison de la fête du pays. Après ces dix-sept jours de
convulsions
, l'intelligence avait diminué ; l'enfant ne par
nq ans, bien portante, grande, forte, lym- phatique, grosse, pas de
convulsions
de l'enfance, 71erceu.se. facile à contrarier.
nts : 1° notre malade; 2" garçon de quatre ans, bien venant, pas de
convulsions
, intelligent. Notre malade, - Conception au dix
sine germaine, crises nerveuses. - Trois petits cou- sins, morts de
convulsions
. - Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 9 a
guinité. Inégalité d'âge de 9 anS.-Cinq frères ou soeurs morts de
convulsions
. Pertes prolongées durant la grossesse. - Pas d
ns; elle a eu quatre enfants, dont trois paraissent être morts de
convulsions
. - Rien iL noter dans le reste de la famille.]
e). H enfants, dont cinq survivants. Cinq d'entre eux sont morts de
convulsions
. Ceux qui survivent sont intelligents et bien p
illes ; l'une de celles-ci a une fille de 19 ans, qui n'a pas eu de
convulsions
). Antécédents personnels.-Notre malade (le -13)
e atlirme qu'on lui a toujours dit que son enfant n'avait pas eu de
convulsions
, mais elle doute de la véracité de la première
tations involontaires des différentes par- ties du corps et par des
convulsions
grimacières du visage ». Si, à la suite du trav
accès venaient le jour et la nuit, et étaient caractérisés par des
convulsions
violentes, des cris aigus, le râle guttural, l'
dix jours, trois crises seulement revinrent la nuit, et avec peu de
convulsions
. Amélioration manifeste. Le onzième jour, le
dicament manque ; il survint trois accès dans la nuit suivante. Les
convulsions
ont repris une certaine intensité. Le douzième
communication à la Société médicale de Vienne sur le Traitement des
convulsions
par le curare. Il s'agissait d'une malade qui sou
ros vaisseaux, des pâleurs, des fris- sons, des fourmillements, des
convulsions
d'abord localisées aux orteils et aux doigts de
alade. - Parmi les accidents de la première dentition, elle eut des
convulsions
longues, coïnci- dant avec destroubles dyspepti
le commencement de ces symp- tômes, ses extrémités sont le siège de
convulsions
, surtout les membres droits et les membres pelv
t les membres pelviens plus encore que les membres thoraciques. Ces
convulsions
sont toniques. Ces der- nières l'emportent de b
plet, mais on entend un peu de stertor à la respiration. Dans les
convulsions
cloniques qui se répètent nombre de fois, on ob
encore marquent le début des attaques, puisqu'il y a à la suite des
convulsions
indubitables. Quelles relations pouvons-nous
les phénomènes précédents peuvent être compris comme il suit : les
convulsions
cloniques décrites ne sont pas suivies de la ré
ernuments ne sont autre chose que le résultat de véritables petites
convulsions
des muscles expirateurs ? REVUE DE PATHOLOGIE
delà sensibilité, exagération des réflexes tendineux, production de
convulsions
et même d'épi- lepsie spinale par les excitatio
de bateaux, etc.). Il s'agit, dans l'espèce, de lipotliviii,es. de
convulsions
«Ioniques avec vomissements, myosis et immobilité
eraient en relation avec les fonctions de la vue. La propension aux
convulsions
est, dans de larges limites, indépendante de l'
durée de l'ac- tion du courant électrique joue, dans la genèse des
convulsions
, un plus grand rôle que la force du courant ? 3
ns, un plus grand rôle que la force du courant ? 30 L'évolution des
convulsions
cor- respond à la disposition topographique des
des centres moteurs dans l'é- corce du cerveau; ainsi n'entrent en
convulsions
, les uns après les autres, que les territoires
ment la mâchoire inférieure; 6" La nuque et le tronc sont, dans les
convulsions
hémitatérales, tirées du côté de l'hémisphère exc
us du côté opposé, auquel s'adjoint une attaque dépitepsie; - 9 Les
convulsions
ne se propagent jamais il la seconde moitié du
Parfois une pause sépare les deux actes; - 10o De l'autre côté, les
convulsions
affectent un ordre sériaire invariable; elles c
d'un pendule; après avoir parcouru la seconde moitié du corps, les
convulsions
cloniques y reviennent en sens inverse, passent d
lures de plus en plus rapides, jusqu'à ce que, se généralisant, les
convulsions
s'emparent de tous les muscles; - 1'-)- Il se p
culaires par- ticipent faiblement ou ne participent pas du tout aux
convulsions
; c'est qu'alors généralement leurs centres cort
èse de l'état de mal; 14" L'anémie n'a d'influence sédative sur les
convulsions
que lorsque, très prononcée, elle met la vie en
ns ce dernier cas, si l'on restitue à temps l'apport d'oxygène, les
convulsions
, qui s'étaient déjà éteintes, reprennent. L'exc
mal; les pupilles deviennent étroites; 15- La morphine ne calme les
convulsions
que lorsqu'on en administre de hautes doses, et
L'écorce du cerveau joue un rôle fondamental dans la production des
convulsions
musculaires. En extirpant certains centres mote
orticale motrice dans l'état domalépileptique réduit au silence les
convulsions
musculaires ; c'est tout au plus si l'on voit s
section complète, on ne trouble pas non plus la marche normale des
convulsions
musculaires, par conséquent l'in- citation semb
ussi que la section du corps calleux n'empêche pas l'in- \asion des
convulsions
sur l'autre moitié du corps; 20° Une hémor- rha
tre moitié du corps; 20° Une hémor- rhagie ventriculaire apaise les
convulsions
de la moitié du corps corres- pondante; 21° L'a
destruction de la région motrice empêche également chez l'homme les
convulsions
dans les territoires musculaires correspondants;
s territoires musculaires correspondants; 240 Quant à la marche des
convulsions
, les acquisitions de la clinique ac- tuelle s'a
er par la loi des mouve- ments associés ; 25° Ce fait que, dans les
convulsions
hémilatérales, certains districts musculaires s
action vasculaireprécoce)entrainantde; lacunes intellectuelles, des
convulsions
, des anomalies vasculo-ré- tinienneset ne uro-v
tement. On a beau dès lors frapper sur lui, il ne se produit pas de
convulsions
réflexes du triceps. Donc le simple contact méca-
OCIÉTÉS SAVANTES. 118 3 dans le fait de M. Otto, c'est l'absence de
convulsions
, malgré l'infiltration des centres moeurs. Il r
trouve à 21 Iiilotii. de iiautzen privé de connaissance et par des
convulsions
. Porté à l'hôpital, il est déclaré hémiplégique
a le temps de le placer sur son lit. Il ne se produit pas de ci Les
convulsions
durent dix minutes; la jambe gauche y participe
tenue par deux de ses proches, précaution nécessitée par les fortes
convulsions
générales dont elle était agitée. Les facultés
evé en nourrice, où il fut, paraît-il, mal soigné. Il n'a pas eu de
convulsions
à aucune époque de son enfance; il a marché à d
r prise accidentelle- ment-. - ? ..» ? ' · ° Toutes les crises de
convulsions
rhythmées se ressemblent, elles sont les mêmes
et au moment où l'incoordination est à son summun, à l'acmé de la
convulsion
, le malade pousse avec force un cri inar- ticul
brusque, instantanée, en coïncidence parfaite avec le summum de la
convulsion
, mais le cri devient articulé et le mot que le
idité son propre nom en accompagnant l'émission du mot d'une de ses
convulsions
ordinaires. Il n'est toutefois pas nécessaire q
x d'un mot, d'une expression obscène, toujours à l'occasion d'une
convulsion
et chez des personnes que leur édu- cation et l
parmi les expressions que le malade peut répé- ter au moment d'une
convulsion
, il en est qui revêtent un caractère tout spéci
contraire pour le choréique, pouvait momenta- nément suspendre ses
convulsions
. Et encore, ne pourrait-on guère confondre les
r préciser les différences. Il est incon- testable qu'il existe des
convulsions
limitées aux muscles innervés par le facial, so
ris, 1884, p. 37. 2 Consulter le mémoire de François. Essai sur les
convulsions
idiopa- tiques de la face. Bruxelles, 180. DE
A l'occasion d'une secousse musculaire, au moment de l'acmé d'une
convulsion
, le malade pousse un cri inar- ticulé ; le diag
face ou des membres, indépendantes les unes des autres, de même ces
convulsions
de la chorée dite diaphragmatique , peuvent exi
l'émission d'un son se produit, celle-ci coïncide toujours avec une
convulsion
muscu- laire. Le malade saute, il pousse un cri
l'autre, en bonne santé, a deux enfants ceux-ci, n'ont jamais eu de
convulsions
. Cinq scetzns, dont deux mortes jeunes de cause
autres sont bien por- tantes ; une a eu un enfant qui n'a pas eu de
convulsions
. Pas d'aliénés, etc.] Pas de consanguinité. H
nte. Ils ont tous été élevés au sein par leur mère; aucun n'a eu de
convulsions
. Notre malade. Grossesse moins bonne que les au
turel. 1.'etifiint, élevé au sein par qa mère jusqu'à un an (pas de
convulsions
), a marché à vingt mois (les autres enfants ont
. A cette époque, on constata les accidents suivants : Il avait une
convulsion
de la face, on croyait « qu'il riait sans bruit
tait régulière, ce n'est que depuis les accès qu'elle a grossi. Les
convulsions
prédomineraient à droite; après les crises, on
ine. Période téta- niforme : la face devient de plus en plus rouge;
convulsions
téta- nitbrmes de la face à droite, puis dans l
s de colère de la première en- fance ci 1881. - Fièvre cérébrale et
convulsions
ci 7 ans (1876). Premier accès en août 1881. De
onchites; deux fois on l'a renvoyé de pension parce qu'il avait des
convulsions
, il est moins intelligent que notre ma- lade ;
nt que notre ma- lade ; 3° garçon, mort d'une fièvre cérébrale avec
convulsions
con- sécutives à une chute ; - il avait une tai
de 9 ans; elle est intelligente, gentille, très nerveuse; a eu des
convulsions
dans le cours d'une fièvre typhoïde à sept ans.
'un amant, deux enfants : 5" garçon, sept ans, bien portant, pas de
convulsions
; 6° fille, six mois, est bien venante, pas de c
pas de convulsions; 6° fille, six mois, est bien venante, pas de
convulsions
. 'Afin de vérifier l'exactitude de tous ces ren
, attribuée à un coup de soleil et durant laquelle il aurait eu des
convulsions
pendant 9 jours avec des intervalles; elles éta
oit, des mouvements incessants dans la langue, de temps à autre des
convulsions
dans lesmuscles de la face, surtout à droite, u
d'abord au moment de la miction. Parésie spas- modique croissante ;
convulsions
spontanées; exagérations des ré- flexes tendine
on provoque souvent avec la contraction du muscle correspondant des
convulsions
légères dans le muscle voisin, ce qui n'a pas l
ité mécanique de ce dernier, des con- tractions aussi fortes ni des
convulsions
successives. De plus, il n'y a pas de rapport d
et, parmi eux, plusieurs étaient en proie jà des vertiges ou à des
convulsions
épileptiques; 212, soit 17,5 p. 100 faisaient d
e ou manie primitive, périodique ou continue souvent accompagnée de
convulsions
). C'est à des lésions traumatiques qu'il faut r
main; le nerf médian fut élongé et broyé sur une sonde cannelée;
convulsions
, mort. Smith (1880) : Homme de cinquante-quatre
PÉRIMENTALE. Schùssller1 (1879, à Brème) : Une femme accusait des
convulsions
des mucles de la face depuis huit ans; élongati
- longation du nerf sciatique amène un soulagement momentané; les
convulsions
revinrent et le malade mourut quinze jours aprè
trent qu'elle provoque surtout des phénomènes d'exci- tation, des
convulsions
et des contractures '. Il est douteux que 1'lié
e, les phénomènes d'excitation, raideur de la nuque, contracture,
convulsions
cloniques et toniques, doivent prédominer. L'
maternel alcooliques. Soeur morte de méningite. Cousine germaine :
convulsions
. Premières convulsions à trois ans et demi; deu
Soeur morte de méningite. Cousine germaine : convulsions. Premières
convulsions
à trois ans et demi; deuxièmes convulsions A qu
: convulsions. Premières convulsions à trois ans et demi; deuxièmes
convulsions
A quatre ans et demi, prédominant à gauche. De
pt ans, dix ci douze états de mal convulsifs. A sept ans, nouvelles
convulsions
presque exclusivement limitées ci gauche, suivi
réable, n'a jamais eu aucun accident nerveux; elle n'a jamais eu de
convulsions
dans l'enfance, ni de maladies de peau. [Père,
sans accidents nerveux. Elle a deux filles : l'une d'elles a eu des
convulsions
, mais elle est intelligente, l'autre est bien p
ligente ; 3° fille, quinze ans, bien portante, intelligente; pas de
convulsions
, assez nerveuse. Notre malade. A la conception,
sur les deux côtés, mais elles étaient plus fortes à gauche ». Les
convulsions
avaient débuté à quatre heures du matin ; la diar
s'il n'avait rien eu ». A quatre ans et demi, il eut de nouveau des
convulsions
qui durèrent environ cinq heures, portèrent sur
atin, comme presque toutes les autres fois, Lef... eut de nouvelles
convulsions
, qui cette fois ont été presque exclusivement l
tait tombant ». Il a recommencé à marcher quatre semaines après les
convulsions
(on lui avait fait prendre quatre bains électri
cl'athétose se seraient montrées vers le deuxième mois après les
convulsions
. On n'a pas remarqué le début précis de la contrc
marqué le début précis de la contrcic- ture. Jusqu'à sept ans les
convulsions
ne paraissaient pas avoir touché l'intelligence
ons ne paraissaient pas avoir touché l'intelligence, mais après les
convulsions
dont il vient d'être parlé celle-ci était très
ans, Lef... a habité Montereau, où il aurait eu encore une fois des
convulsions
, attribuées par le médecin à une congestion cér
leurs caractères ; il fut pendant neuf jours très malade. Après ces
convulsions
, l'intelligence aurait encore baissé. Lef... n'
perdu connaissance. Son caractère a toujours été emporté avant les
convulsions
même étant tout jeune, il se mettait en colère
vons à citer que les excès alcooliques du père et des aïeuls et des
convulsions
chez une cousine, dans les antécédents 'personn
ers quatre heures, durant quatre à cinq heures et dans lesquels les
convulsions
étaient généralisées, mais plus fortes à gauche
e, nouvel état de mal plus long que les précédents, dans lequel les
convulsions
oizi été presque exclusivement limitées à gauch
ation XVIII. Epilepsie symptomatique. Deux soeiii-s et deux frères.
Convulsions
dans l'enfance. Mère absinthique pendant la gro
dans l'enfance. Mère absinthique pendant la grossesse. Premières
convulsions
ci trois mois, revenues plusieurs fois jusqu'A
ment nul. Observation XX. Epilepsie. Soeur épileptique. Premières
convulsions
à dix-sept mois. - Vertiges A trois ans et demi.
le maternels, cancéreux. Naissance avant terme (version). Premières
convulsions
ci quatre ans. Hémiplégie gauche consécutive ;
s en 4883. - Grand-père maternel alcoolique, mort aliéné. Premières
convulsions
cc trois ans. - Maux de tête fréquents. Absence
Père mort hletlei- sique. Mère migraineuse et colérique. Premières
convulsions
à deux ans prédominant ci gauche. Onanisme. Ver
u concluant. Observation XXV. Epilepsie idiopathique. Coqueluche.
Convulsions
prédominant droite (à six ans et demi), suivies d
0 13 S E R V. TI 0l 11. - Epilepsie idiopathique. Père alcoolique
Convulsions
ci sept ou huit mois. Vertiges ét treize ans. Alc
I. E4pilepsie idiopathique. Cousine germaine (du père) épileptique.
Convulsions
à dix-huit mois. Parésie gauche. Secousses de l
maternelle morte de cancer utérin. Frère jumeau mort « trois jours (
convulsions
). Grossesse : chute à cinq mois, peur à sept mo
Grossesse : chute à cinq mois, peur à sept mois et demi. Premières
convulsions
à deux mois, suivies d'une paralysie gauche. -
ÉTÉS SAVANTES. 405 docteur Solivetti, sur un nouveau traitement des
convulsions
hystériques. M. Legrand du SAULLE communique
escaliers; le phénomène du ge- nou n'existe plus. Le 20 septembre,
convulsions
fibrillaires des jambes augmentant à mesure que
ité des nerfs péroniers aux deux sortes de courants. Le 26 octobre,
convulsions
dans les bras; des deux côtés, vestiges du phén
ES. Dans le décubitus dorsal, divers muscles sont visités par des
convulsions
cloniques, qui, sans se suivre d'une façon tout à
rité complète des muscles de la tête et de la face. Disparition des
convulsions
pendant les mouvements inten- tionnels ; le mal
vite, sauter, écrire. Toute émotion, toute excitation augmente les
convulsions
; elles ne cessent cependant pas absolument pen
veuse ou musculaire en général, ni dans les sphères affectées ; les
convulsions
à l'ouverture de l'anode paraissent relativement
homme de cinquante ans ayant été, à la suite de frayeur, atteint de
convulsions
qui rétrocédèrent sous l'influence 1 Voy. Archi
l égoïsme, n'ou- blient que la patrie, la patrie épuisée de tant de
convulsions
qui demande à ses enfants de la stabilité, de l
et l'épilepsie. I. Pour ce qui est de l'éclampsie infantile, des
convulsions
des jeunes enfants, on n'hésite guère à en 38 P
dance des affections céré- bro-spinales. ' L'hérédité directe des
convulsions
de l'enfance a été observée par nombre d'auteur
peu de lumière sur la pathogénie 1 Duclos. Études cliniques sur les
convulsions
de l'enfance. Thèse, 1847. Trousseau. Clin.méd.
., 1873, t. 11, p.l71. 2 De Montgolfier. Contribution à l'étude des
convulsions
de l'enfance considérées spécialement au point
ères de l'épilepsie : cri, pâleur de la face, morsure de la langue,
convulsions
toniques et cloniques, sommeil prolongé. Les ve
ts qui paraissent avoir plus de rapport avec l'éclampsie, comme les
convulsions
sans forme déterminées et l'hystérie '. » ' D
a grossesse et l'ac- couchement. Thèse, 1884. 'Miquel. Traité des
convulsions
chez les femmes enceintes,etc. 1824 P. 16. 3
dont une soeur était épileptique. Chui-toii ' rapporte un cas de
convulsions
puerpérales chez une femme qui avait eu des con
un cas de convulsions puerpérales chez une femme qui avait eu des
convulsions
( ? ) trois ans auparavant. Murchisou2 a observ
Six frères et soeurs sont morts jeunes ( ? ). Deux avaient eu des
convulsions
. A l'âge de six ans, Mle X... étant tombée sur
e blessa au menton. A la suite de cette blessure, elle fut prise de
convulsions
qui se renouvelèrent d'abord tous les jours, pu
rémie s'accompagne toujours d'abaissement de température malgré les
convulsions
. Observation V. -Hé7,édité; nervosisme et longé
un cri initial, la perte de connaissance, la pâleur de la face, des
convulsions
toniques et cloniques ; pas de morsures de la l
hique ; antécédents convulsifs ; éclampsie puerpérale ; f ? 7es;'e;
convulsions
chez l'enfant. NI-, P..., vingt-deux ans ? An
- ternel a uu tic facial, il a deux jeunes enfants qui ont eu des
convulsions
. Un autre oncle maternel a cinquante-deux ans,
charbon, et à laquelle elle a failli succomber. Mm, P... a eu des
convulsions
au moment de la première dentition. Depuis lors
nes absentes et leur répondait), à la suite duquel sur- vinrent des
convulsions
éclamptiques qui persistèrent pendant trois heu
teur et offre tous les phénomènes de la grande attaque d'épilepsie;
convulsions
toniques et clo- niques, morsure delà langue, m
de l'éruption de ses premières dents, l'enfant de M-0 P... a eu des
convulsions
. On le dit bien conformé, mais nous ne l'avons
ampsie. VII. On peut citer telle épileptique qui n'a jamais eu de
convulsions
ni à propos de la dentition, nia propos de la s
ous avons prise la plus complète possible. Observation. Hérédité.
Convulsions
dans l'enfance. Deux accès de mélancolie. H««MC
nts yersonnels. Rien de particulier dans l'enfance, si ce n'est des
convulsions
qui ont duré jusqu'à l'âge de trois ans; on a c
d'une colique de plomb de moyenne intensité, fut pris de délire, de
convulsions
et de coma; il succomba en huitiours à des acci
émoire, d'agitation maniaque furieuse : inconscience des actes. Les
convulsions
res- semblent, vers la fin, aux mouvements invo
ne époque où le système osseux a terminé son évolution. P. K. XV.
Convulsions
IDIOP1TIIIQUES DE la langue; par 0. Berger. (Ne
ant un bruit perceptible ou montrer la pointe entre les lèvres. Ces
convulsions
arythmiques se succè- dent cinquante à soixante
centrale, corticale ou bulbaire de l'hypoglosse. Il en rapproche la
convulsion
idiopathique du crémaster tout aussi inexpliqué
deux circonvolutions centrales du côté droit, ayant déterminé des
convulsions
a gauche et une paralysie de la jambe gauche. 2
(moitié supérieure des circonvolutions ascendantes), produisant des
convulsions
et une paralysie du bras droit et du côté droit
gauche et d'une parésie de la jambe, de la face et de la langue. 6°
Convulsions
et paralysie du côté droit du corps dues à une
fréquentes, une emotivité exagérée, des troubles de la mémoire, des
convulsions
pendant les premières années de la vie, de l'hy
permanents sont constituées par une agitation motrice violente, des
convulsions
continues graves et les débuts du collapsus. P.
ationsjhérédité); en même temps, palpitations de coeur, insom- nie,
convulsions
cloniques des jambes, menstruation irrégulière.
tumeurs cérébrales; tantôt c'est un délire aigu, sans paralysie, ni
convulsions
, donnant l'image du délire alcoo- lique ou de l
s et se démasquerait tout à coup pour aboutir rapidement, après les
convulsions
ou le délire, au coma mortel; 2" la forme délir
essemblaient à ceux de l'épilepsie partielle, avec prédominance des
convulsions
du côté droit ; mais la tempéra- ture resta tou
ent un peu étendus, et un peu raides; mais on n'y observe jamais de
convulsions
cloniques. Bientôt les mouvements convulsif's s
t toujours consécutive à celle du côté droit; d'autre part, que les
convulsions
cloniques se pro- duisent seulement à droite. (
e. , Le 1 le octobre, les attaques deviennent plus complètes; les
convulsions
se généralisent : le côté gauche se prend à son
faiblement qu'à droite; la jambe gauche ne présente pas toujours de
convulsions
. A ce moment donc, et pour la première fois seu
vulsions. A ce moment donc, et pour la première fois seulement, les
convulsions
téta- niques sont généralisées. Toutefois, les
droite. Les visions se montrent toujours du côté où prédominent les
convulsions
, c'est-à-dire'du côté droit. * La malade se déb
une malade dont les attaques étaient, quant. la physiono- mie des
convulsions
, des.attaques à forme d'épilepsie partielle san
portés au plus haut degré d'intensité. Ainsi, le 22 janvier, les
convulsions
épileptiformes se sont succédées sans interrupt
a loi formulée par notre maître est de tous points applicable aux
convulsions
à forme d'épilepsie partielle,* comme elle l'es
convulsions à forme d'épilepsie partielle,* comme elle l'est aux
convulsions
à forme de grand accès comitial,' si bien qu'on
, chez Rosa G..., arrêté les crises, la ques- tion de la nature des
convulsions
eût été par cela même résolue, qu'il eût été pe
utre est somnambule. Trois de ses frères sont morts en bas âge « de
convulsions
». Foisn... a encore un frère et une soeur, qui
ive la troisième phase : les membres gauches sont animés de petites
convulsions
cloni- ques ; les paupières sont agitées de bat
s incomplets. Nous avons; en effet, à différentes reprisesjvu les :
convulsions
se Iiiiii- ter àïla'facePUne>fois^ notammeri
(très manifeste de la moelle ; 2° la paralysie des muscles part aux
convulsions
. ? Ençé qui concerne l'hyperexcitabilité spinale,
.Nous voyons, en effet, que, dans el'uncomlRe'dansU'autrel'cas;'les
convulsions
débutent parJ ! un ! dës côtés du corps (le dro
n des vaso-moteurs. La migraine peut produire des paralysies, des
convulsions
, de l'amnésie, la folie, la perte de connaissance
et très raide. De ce côté, il y a simplement tétanisation ; pas de
convulsion
clo Fig. 9. - Attaque de Rosa G...(Oss.I.) 28
mme ceux que nous allons voir se produire à droite. (Fig. 9). Les
convulsions
des membres droits, bien que plus accusées que
'extension forcée et en tétanisme. (Fig. 10.) Après la période de
convulsions
toniques précédemment indiquées, se produisent
nvulsés; ces secousses constituent comme l'ébauche d'une période de
convulsions
cloniques. L'attaque est alors terminée, la têt
ue les membres, pas plus à gauche qu'à droite, ne prissent part aux
convulsions
. Exceptionnellement nous avons relevé l'apparit
rtielle. Dans les deux observations d'hystérie qui précèdent, les
convulsions
, on l'a vu, se sont présentées avec l'as- 286 c
psie par- tielle revêt la forme monoplégique ou circonscrite, les
convulsions
se limitant soit à un membre, soit à la face, o
ulsif a été remplacé par une sorte de tremblement. D'ordinaire, les
convulsions
du bras ne s'accompagnent pas de perte de conna
cée, la main hermétiquement fermée. A peine le bras est-il entré en
convulsion
, que les muscles du visage sont pris de mouveme
du cerveau, et encore moins l'épilepsie. Le diagnostic d'hystérie à
convulsions
jaksonniennes avait été porté dès les premiers
d'ailleurs que chez cette femme, pas plus que chez les autres, les
convulsions
n'ont été suivies de phénomènes paralytiques.
n'aurait qu'un intérêt secondaire et purement nosographique, si les
convulsions
partielles tenaient, dans la symptomatologie de
mptomatologie de l'hystérie, la place qu'y occupent d'habitude, les
convulsions
à forme de grand mal, et si elles étaient d'ord
iplégique), soit par des monospasmes (forme monoplégique); 5° Ces
convulsions
partielles épileptoïdes consti- tuent souvent t
'mère maternelle morte d'une affection pulmonaire. Soezti- morte de
convulsions
. - Frère mort d'une imperforation de l'anus. Br
de con- sanguinité. Cinq enfants : 10 fille morte à trois ans de
convulsions
en trois jours; elle était bien conformée et in
ent huit mois à l'hôpital Lourcine, salle Astruc; ellen'a pas eu de
convulsions
, est moins intelligente que les autres; n'a pas d
ois; « ses yeux tournaient presque tout le temps; c'était comme des
convulsions
internes» : il ne tombait pas, la figure devena
ccès pen- dant vingt-trois heures sans reprendre connaissance Les
convulsions
prédominaient dans le côté gauche du corps d'une
Pas de manifestations scrofuleuses ; en 1871, varioloïde; pas de
convulsions
ni devers dans l'enfance; de dix à quatorze ans,
périeur. Enfin, dans certains accès, surtout les accès' isolés, les
convulsions
étaient limitées à la moitié gauche du corps.
. Dix semaines après, affaiblissement des extrémités gauches avec
convulsions
toniques par périodes; augmentation très prononcé
ables, qui seront l'objet d'une mention postérieure, sont prises de
convulsions
tétaniques coïncidant avec le courant d'ouvertu
convulsions tétaniques coïncidant avec le courant d'ouverture ; ces
convulsions
prédominent ou se manifestent ex- clusivement s
lysie faciale rhuma- tismale à forme moyenne. Dans tous ces cas, la
convulsion
est lente et tonique ; il en est de même lorsqu
centres trophiques. Jusqu'ici l'autopsie manque. P. K. LI. SUR une
convulsion
réflexe saltatoire; par A. K,ST. (lVC2l7·Jl. Ce
sous-orbitaire gauche ; cette compression arrête une demi-minute la
convulsion
, mais celle-ci reparaît, diminuée il est vrai, bi
la protubérance occipitale et fait tenir la cathode à la main, les
convulsions
disparaissent; elles n'ont plus reparu depuis neu
nation de toutes sortes; ce sont : la parésie du facial gauche, des
convulsions
fibrillaires des muscles de la face, un embarra
l'asile le 12 avril 1883. Les commémoratifs signalent de violentes
convulsions
dans l'enfance, et le peu de développement des
e d'une scène, l'enfant, âgé à cette époque de dix ans, est pris de
convulsions
généralisées avec perte de connaissance; dès lors
k, prétendant avoir, à l'aide de courants d'induction, provoqué des
convulsions
, à l'aide de résec- tions, produit des paralysi
fois sur la localisation. A Schiff, qui a défendu l'opinion que les
convulsions
issues de l'excitation électrique de l'encéphal
de l'incitation des expansions centrales des nerfs du tact, que ces
convulsions
devaieut être confondues avec des mouvements ré
fait ressortir que l'ablation de l'écorce grise n'empêche pas les
convulsions
de se produire. Schiff alors a soustrait le centr
ures. Ce sont : delà lourdeur avec engourdissement des membres; des
convulsions
musculaires, des secousses dans les muscles, de
2 cas), des hémiplagies associées (deux cas, dont un à droite), des
convulsions
dans les muscles de la face du côté droit (1 ca
378 SOCIÉTÉS SAVANTES. à la percussion. Il existe fréquemment des
convulsions
fibrillaires, sous forme ondulatoire, dont la g
° bien qu'il ne s'effectue pas de-réaction dégénérative marquée, la
convulsion
provoquée par le courant faradique direct ou in
de de la clinique de Fribourg était en proie à des accès répétés de
convulsions
tétaniformes dans les deux jambes, accès durant
ine diminuait de masse, la dilution de l'urine augmentant, quand la
convulsion
ré- trocédait. Il s'agissait de convulsions ton
ine augmentant, quand la convulsion ré- trocédait. Il s'agissait de
convulsions
toniques, la plupart du temps, écloses à l'occa
es communications de Kussmaul « sur le tétanos rhu- matismal et les
convulsions
rhumatismales toniques qui entraînent dans leur
. Klin. Woclzezzschr., 1871.) M. Kast explique cette association de
convulsions
intermit- tentes avec l'albuminurie par l'opini
erde connaissance. Dans les premiers temps, tout se bor- nait à des
convulsions
cloniques des muscles droits de l'abdomen ; plu
u processus, et chaque phase res- semble à l'une des périodes de la
convulsion
des nerfs mourants (réaction dégénérative, etc.
ancé du système nerveux; les manifestations observées trahissent la
convulsion
d'un nerf tellement endommagé qu'il est incapab
eurologistes et alié- listes de l'Allemagne du Sud- Ouest, 305.
Convulsion
réflexe saltatoire, 345. Corps restiforme,.79.
phie hémilatérale de la 85, 89, 345; - (traitement électrique des
convulsions
des muscles delà), 346. Faim (influence de la
Jumeaux (folie chez les), 351. TABLE DES MATIERES. 399 Langue (
convulsions
idiopathiques de la), par 0. Berger, 85. Lata
'hJ'pochrondre gauche dont la pression détermine la pro- duction de
convulsions
en arc de cercle, comme on le voit chez les hys
; un troisième, notre malade, s'est développé tardivement, a eu des
convulsions
de l'en- fance. Il est toujours resté faible de
e nom de chorée électrique. Rappelons brièvement la nature de ces
convulsions
: D... était assise, travaillant au crochet, quan
rte de connaissance. La volonté ne pou- vait rien pour empêcher ces
convulsions
. Une fois la secousse passée, D... continuait s
vail sans aucune incoordination motrice, jusqu'à ce qu'une nouvelle
convulsion
vint se produire Ces secousses se reproduisaien
ous nous reportons à l'observation, nous voyons que la violence des
convulsions
et des réactions motrices provoquées par les ha
s services, ils lui ont conféré une sorte d'honorariat. L'étude des
convulsions
partielles déterminées par l'excita- tion de l'
ailleurs très souvent associéesàl'épilepsiejacksonienne. Tantôt les
convulsions
pré- cèdent ces paralysies permanentes (c'est l
entes (c'est le cas ordinaire), tantôt les paralysies précèdent les
convulsions
, tantôt des phé- nomènes convulsifs et paralyti
ce. Quant à la nature des lésions qui, chez l'homme, produisent ces
convulsions
, Seppilli a trouvé, dans les deux tiers des cas
ogénie de l'épilepsie, de la chorée et de l'hémiplégie. L'étude des
convulsions
épileptiformes unilatérales et partielles avait
'ÉPILEPSIE CORTICALE. 99 ou diminue, l'intensité et l'extension des
convulsions
va- rient'. " La propriété épileptogène de l'
détermine l'explosion d'un accès caractérisé : perte de conscience,
convulsions
toniques et cloni- ques, dilatation des pupille
excitations mécaniques sont également capables de déterminer des
convulsions
(Franck et Pitres). Enfin, les irritations pathol
orce.- 100 REVUE CRITIQUE. pables de provoquer bilatéralement les
convulsions
. Albertoni s'était même appuyé sur ces considér
rite à un des centres psycho-moteurs, l'épilepsie peut consister en
convulsions
Influenza del ceraello nella produzione dell' e
particulier la zone motrice, est pour Luciani l'organe central des
convulsions
épileptiques. L'excitation morbide, directe ou
togène, Albertoni conteste que l'écorce soit le centre exclusif des
convulsions
épileptiques, encore que, dans un grand nombre
des vrais centres moteurs, des « véritables organes producteurs des
convulsions
et des agents de leur généralisation », c'est-à
d, et jusqu'à un an et demi après l'opération, épileptiques (écume,
convulsions
cloniques d'abord circonscrites, puis généralis
irpation des centres moteurs préalablement excités peut arrêter les
convulsions
(Heidenhain, Munk, Novi). ' Deux élèves disti
antini, ont publié des études expérimentales et critiques sur les
convulsions
épileptiques d'origine toxique. Instituées dans l
e d'élection de ces poisons expli- quait les formes différentes des
convulsions
, cloniques dans un cas, toniques dans l'autre.
subissaient les premiers l'action convulsivante de ces poisons, les
convulsions
, au lieu d'affecter successivement les différents
expériences : 1° avant de se propager et de devenir générales, les
convulsions
débutent par des fj^vupes musculaires circonscr
expérimentale et la forme clinique de l'épilepsie partielle; 20 ces
convulsions
, accompagnées de perte de connaissance, sont su
nsibilité générale et spé- ciale et de l'intelligence, avec ou sans
convulsions
concomi- tantes, selon le siège et l'étendue de
ion électrique des régions motrices suffisante pour provo- quer des
convulsions
épileptiformes, ne suffit pas lorsqu'on l'appli
isphère excité, les centres moteurs ont été enlevés, Mais comme les
convulsions
se limi- tent, dans ce cas, aux groupes muscula
l'excitation des régions postérieures du cerveau ne provoque pas de
convulsions
. Seule, la déviation latérale des yeux persiste
réflexe patel- laire, toujours exagéré, l'est encore plus après les
convulsions
. Tous les autres réflexes, en général, sont aff
ondes avant chaque accès, en effet, et pendant toute la durée des
convulsions
, Knies a noté un spasme des artères rétiniennes e
l l'image des processus vaso-moteurs de l'écorce cérébrale 3. Les
convulsions
épileptiformes, accompagnées de perte de consci
épilepsie jacksonienne 1. Jusqu'ici, nous avons vu détermimer des
convulsions
épilep- tiques par l'excitation directe des hém
es Hi1'nbalkens (Pflûger's Archiv, vol. XLVII), où il est parlé des
convulsions
générales consécutives à la section du corps ca
es à la section du corps calleux. DE l'épilepsie corticale. 115
convulsions
générales. Or, si l'on excite mécaniquement la
; après des exci- tations plus fortes, toujours périphériques, les
convulsions
s'étendent au membre postérieur droit, puis aux
érieur droit, puis aux extrémités gauches ; enfin se produisent des
convulsions
générales. Des bruits, des excitations lumineus
ence de l'excitation de l'écorce cérébrale, les mouve- ments et les
convulsions
observés dans ces expériences. 111 Tous les s
ères qui servent d'habitude à les différencier. L'unitéralité des
convulsions
n'est pas plus un signe absolu de l'épilepsie p
de l'épilepsie partielle ou jacksonienne que le mode de début des
convulsions
sous forme de spasmes localisés à un groupe mus
é observés. De même pour ce qui a trait à l'invasion simultanée des
convulsions
dans les deux moitiés du corps. « Il existe, di
els, par la répétition fréquente des accès, un moment arrive où les
convulsions
se propagent sur tout le corps, avec tant de ra
e, la différence ne consistant que dans le degré et l'extension des
convulsions
. « Si tous les malades ne réagissent pas de la
ilité des centres cérébraux; la limitation ou la généralisation des
convulsions
dépend de l'intensité et de la diffusion des dé
é cutanée et mus- culaire, implique bien que le point de départ des
convulsions
est, dans ces cas, l'aire sensitivo-motrice de
277. DE L'ÉPILEPSIE CORTICALE. 1'19 soutient que, des périodes de
convulsions
toniques et cloniques qui constituent l'accès d
wanger), si l'intensité et surtout la durée sont suffisantes, des
convulsions
toniques. Si on laisse en place les hémisphères,
xtrémité a été enlevée, l'excitation cérébrale ne détermine plus de
convulsions
cloniques, mais toniques, de ce membre. Ziehen
t, en additionnant les effets de ces contractions, à produire une
convulsion
tonique *. Mendel avait fait d'expresses réserves
dressées à Ziehen par Unverricht. Ce savant, loin de considérer les
convulsions
cloniques et to- niques de l'épilepsie comme fo
e Franck ; il rapporte à l'excitation de la subs- tance blanche les
convulsions
toniques que Ziehen fait ré- sulter de la trans
ingt ans; depuis longtemps hémiplégique du côté gauche, et dont les
convulsions
affectaient en même temps, non successivement c
présentant des contractions muscu- laires, ne participait point aux
convulsions
générales. Au con- traire, les muscles de la fa
avaient été détruits, ne participaient que peu ou point du tout aux
convulsions
épileptiques 1. ' Seppilli demande comment, d
hypothèse ancienne, une irritation du bulbe pourrait déterminer des
convulsions
limitées à un groupe musculaire ou à un seul cô
les doigts de la main gauche; presque en même temps survenaient des
convulsions
cloniques sur le bras gauche tout entier. Puis
évolué, comme il vient d'être dit, sur le côté gauche du corps, les
convulsions
passaient subitement à droite. D'autres fois en
p- togènes, et croit qu'ils peuvent devenir le point de départ de
convulsions
limitées au côté opposé du corps. En somme, pou
xternes et internes du larynx avaient été pen- dant la ne animés de
convulsions
. Dans celui de Wollenberg, on constatait les sy
t l'épilepsie franche. Nous noterons ce qui suit : La plus faible
convulsion
d'origine corticale contient en subs- tance un
artielle plutôt que du type de Jackson; il insiste sur l'absence de
convulsions
musculaires isolées. L'autopsie révéla des lési
s strié, ou sa section transverse, produit du côté opposé, soit une
convulsion
unique, soit une série de convulsions toniques
oduit du côté opposé, soit une convulsion unique, soit une série de
convulsions
toniques qui ne survivent pas il l'excitation. Ce
t fara- dique de la couche optique produit soit une, soit plusieurs
convulsions
toniques du même côté et du côté opposé du corp
s convulsions toniques du même côté et du côté opposé du corps; ces
convulsions
ne survivent pas non plus à l'excitation. La se
; 3" l'excitation du tubercule quadrijumeau postérieur engendre des
convulsions
tétaniques qui survivent de plusieurs minutes a l
sieurs minutes a l'excita- tion, sans mouvements de locomotion. Ces
convulsions
sont plus fortes du côté lésé que du côté oppos
course et de locomotion occupe la bandelette optique. La genèse des
convulsions
tétaniques sans mouvements de locomotion n'a ri
n'a pas pour simple effet d'annihiler les phénomènes d'arrêt. - La
convulsion
tétanique paraît ré- sulter de l'irritation des
sulter de l'irritation des ganglions infra-corticaux, tandis que la
convulsion
clonique est d'origine corticale. -Il est probabl
nvulsion clonique est d'origine corticale. -Il est probable que les
convulsions
clonicotoniques que l'on obtient par fara- disa
e la surface méningienne est congestionnée (congestion motivant les
convulsions
intermittentes remarquées pendant la vie, surto
n et de la respira- tion. - Il nous reste à étudier la genèse des
convulsions
épilepti- formes remarquées dans les dernières
perdre de vue ce grand prin- cipe de pathologie cérébrale, que les
convulsions
correspondent presque toujours à des lésions de
eler brièvement que les hémorrhagies méningées sont accompagnées de
convulsions
, les hémorrhagies centrales rarement, et toujou
s hémorrhagies centrales rarement, et toujours de paralysies. Les
convulsions
infantiles, celles de la paralysie générale, ne
e ces corps étrangers qui déterminent les phénomènes réflexes de la
convulsion
. De là des épilepsies plus ou moins étendues, c
liser. C'est précisément ce que nous avons remarqué chez P... Les
convulsions
existaient le plus souvent du côté gauche ; ell
es plus tard, avant que la connaissance soit revenue en entier, des
convulsions
généralisées qui, d'ordinaire, coïncident avec
t restée station- uaire. A l'abaissement marqué correspondent les
convulsions
les plus intenses ; pendant le stade convulsif
d'urine de fou réduite au tiers, ne font rien ou donnent quelques
convulsions
passagères, 30 ce. d'urine normale tuent, et elle
de la motilité rappelant l'hémi- chorée à gauche : nasonnement avec
convulsions
des muscles de la bouche et de lalanue, respira
chondriaque; plus tard, il présenta des pertes de connaissance, des
convulsions
toniques; il succomba finalement à une pneumoni
- Grand-père paternel , excès de boisson. z Cousin-germain, mort de
convulsions
, Mère, migraineuse. - Soeur hystérique, convuls
ermain, mort de convulsions, Mère, migraineuse. - Soeur hystérique,
convulsions
de l'enfance. - Soeurs 1¡e¡'Veuses. - Frère déb
; il a encore sept ou huit enfants bien por- tants ; un est mort de
convulsions
; quatre SOE ! 0'.s : deux sont mortes de la po
s fausses couches : 1° Garçon, vingt-sept ans, bien portant, pas de
convulsions
, intelligent, a été soldat ; 2° fille, mariée,
fille, mariée, vingt-cinq ans, bien portante, intelligente, pas de
convulsions
, a quatre enfants bien portants sans convulsions
telligente, pas de convulsions, a quatre enfants bien portants sans
convulsions
; 3° garçon, vingt-trois ans, bien portant, pas
sans convulsions ; 3° garçon, vingt-trois ans, bien portant, pas de
convulsions
, intel- ligent, bonne conduite; 4° fille, vingt
uite; 4° fille, vingt-deux ans, bien portante, intelligente, pas de
convulsions
; 5° fille, dix-neuf ans, brune, à l'air effront
fronté, a été atteinte d'hystérie à dix-sept ans, elle avait eu des
convulsions
étant en nourrice. A dix-sept ans, elle a éleà il
merce; pas d'amant, assure- t-on ; - 6° fille, dix-huit ans, pas de
convulsions
, bien portante, nerveuse, intelligente, bonne c
bonne conduite; - 7° notre malade; - 8° garçon, quinze ans, pas de
convulsions
, fort, peu intelligent, on 364 RECUEIL DE FAITS
avec les petites filles, paresseux ; - 9 fille, treize .ans, pas de
convulsions
, bien portante, très nerveuse, intelligente, es
fille, douze ans, bien portante, intelligente, travailleuse, pas de
convulsions
; - 11° fille morle à vin2t-six mois de fièvre
eole ; - i` ? ° garçon, sept ans, bien portant, intelligent, pas de
convulsions
; deux fausses-couches (13° et 14°) et une entr
is, mais on n'a aucun détail sur sa cause. Il n'aurait jamais eu de
convulsions
. A la naissance, il ne présentait rien de parti
que à 7 heures et demie. Quand on arrive, il est pris subitement de
convulsions
cloniques des quatre membres. Un tremblement tr
e malade pousse quelques gémissements faibles, puis surviennent des
convulsions
cloniques identiques aux prcdédentes. A 8 h. 15
gémissement. Il est impossible de saisir une période tonique; les
convulsions
cloniques arrivent presque immédiatement. Elles e
et dans les bras et pas dans le tronc. Au début de chaque accès les
convulsions
sont d'abord légè- res, c'est un tremblement; m
ardent pas à se pro- noncer et à revêtir le caractère de véritables
convulsions
. A 8 h. 17 nouvelle crise. Le corps est fléchi
de la série. - A 8 h. 26, vingt et unième attaque. Arc de cercle et
convulsions
cloniquesdesmembres. 5. L'enfant va bien le mat
ion puisqu'elle existait dès l'enfance. 1 II. Sommaire. - Père,
convulsions
de l'enfance; nerveux et irritable. Grand-père
ille ordinaire, bien portant, pas d'excès de boisson. Aurait eu des
convulsions
dans l'enfance. - Marié à vingt un ans. Pas de
ans la famille. .Mère, quarante ans, s'occupe de son ménage. Pas de
convulsions
dans l'enfance. Réglée à douze ans. - Mariée à
lle, vingt et un ans, petite, bien conformée ; intelligente; pas de
convulsions
dans l'enfance; non mariée; pas d'attaques de n
quatre ans, il apprenait bien, comme les enfants de son âge. Pas de
convulsions
dans l'enfance. A neuf ans chute sur le côté ga
insi trois fois en arrière. Enfin étendu surie dos, il est agité de
convulsions
cloniques. Les poings sont fermés, mais le pouc
384 RECUEIL DE FAITS. minutes secousses dans tout le corps, puis
convulsions
toniques, et petits arcs de cercle. Brusquement
EUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 385 repris de nouvelles
convulsions
cloniques qui durent une demi- miuule environ.
ou trois fois, et retomber enfin sur le dos. Surviennent alors des
convulsions
toniques de tous les membres, avec gonflement du
s d'épilepsie, des symptômes spasmodiques, tels que contractures et
convulsions
cloniques dans les bras et les jambes, surtout
tait depuis l'âge ,de quatorze ans, commençait généralement par des
convulsions
sur le territoire du facial gauche et dans les ex
ux. Grand-père paternel , excès de boisson. Cousin germain, mort de
convulsions
. Mère, migraineuse. Sceur hystérique, convulsio
germain, mort de convulsions. Mère, migraineuse. Sceur hystérique,
convulsions
de l'enfance. Soeurs nerveuses. Frère débile. S
; il a encore sept ou huit enfants bien por- tants ; un est mort de
convulsions
; quatre SOEurs : deux sont mortes de la poitri
s fausses couches : 1° Garçon, vingt-sept ans, bien portant, pas de
convulsions
, intelligent, a été soldat ; 2° fille, mariée,
fille, mariée, vingt-cinq ans, bien portante, intelligente, pas de
convulsions
, a quatre enfants bien portants sans convulsions
telligente, pas de convulsions, a quatre enfants bien portants sans
convulsions
; 3° garçon, vingt-trois ans, bien portant, pas
sans convulsions ; 3° garçon, vingt-trois ans, bien portant, pas de
convulsions
, intel- ligent, bonne conduite; 4° fille, vingt
uite; 4° fille, vingt-deux ans, bien portante, intelligente, pas de
convulsions
; 5° fille, dix-neuf ans, brune, à l'air effron
fronté, a été atteinte d'hystérie à dix-sept ans, elle avait eu des
convulsions
étant en nourrice. A dix-sept ans, elle a été à l
merce; pas d'amant, assure- t-on ; - 6° fille, dix-huit ans, pas de
convulsions
, bien portante, nerveuse, intelligente, bonne c
bonne conduite; - 7° notre malade; - 8° garçon, quinze ans, pas de
convulsions
, fort, peu intelligent, on DEUX NOUVELLES OBSER
avec les petites filles, paresseux ; 9° fille, treize, ans, pas de
convulsions
, bien portante, très nerveuse, intelligente, es
fille, douze ans bien portante, intelligente, travailleuse, pas de
convulsions
; 11° fille morte à vingt-six mois de fièvre cé
rougeole ; 12° garçon, sept ans, bien portant, intelligent, pas de
convulsions
; deux fausses-couches (13° et 14°) et une entr
is, mais on n'a aucun détail sur sa cause. Il n'aurait jamais eu de
convulsions
. A la naissance, il ne présentait rien de parti
que à 7 heures et demie. Quand on arrive, il est pris subitement de
convulsions
cloniques des quatre membres. Un tremblement tr
e malade pousse quelques gémissements faibles, puis surviennent des
convulsions
cloniques identiques aux prédédentes. A 8 h. 15
gémissement. Il est impossible de saisir une période tonique; les
convulsions
cloniques arrivent presque immédiatement. Elles e
et dans les bras et pas dans le tronc. Au début de chaque accès les
convulsions
sont d'abord légè- res, c'est un tremblement; m
ardent pas à se pro- noncer et à revêtir le caractère de véritables
convulsions
. A 8 h. 17 nouvelle crise. Le corps est fléchi
t de la série. A 8 h. 26, vingt et unième attaque. Arc de cercle et
convulsions
cloniques des membres. 5. L'enfant va bien le m
duction puisqu'elle existait dès l'enfance. II. Sommaire. Père,
convulsions
de l'enfance; nerveux et irritable. Grand-père
ille ordinaire, bien portant, pas d'excès de boisson. Aurait eu des
convulsions
dans l'enfance. Marié à vingt-un ans. Pas de sy
dans la famille. Mère, quarante ans, s'occupe de son ménage. Pas de
convulsions
dans l'enfance. Réglée à douze ans. - Mariée à
lle, vingt et un ans, petite, bien conformée ; intelligente; pas de
convulsions
dans l'enfance; non mariée; pas d'attaques de n
quatre ans, il apprenait bien, comme les enfants de son âge. Pas de
convulsions
dans l'enfance. A neuf ans, chute sur le côté g
nsi trois fois en arrière. Enfin étendu sur le dos, il est agité de
convulsions
cloniques. Les poings sont fermés, mais le pouc
IONS D'üYSTÉRIE MALE. 25 minutes secousses dans tout le corps, puis
convulsions
toniques, et petits arcs de cercle. Brusquement
6 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. repris de nouvelles
convulsions
cloniques qui durent une demi- minute environ.
ou trois fois, et retomber enfin sur le dos. Surviennent alors des
convulsions
toniques de tous les membres, avec gonflement du
e partielle,. d'accès.' comme ceux de son malade, dans lesquels les
convulsions
, sont limitées et la conscience conservée, la.
tin 380, 5. Pouls plus lent. Même torpeur. Pas d'excitation, pas de
convulsions
. Respiration suspi- rieuse ; pas de toux, ni vo
onsanguinité Inégalité (-le 12 ans. Asphyxie légère à la naissance.
Convulsions
à S ans. Intel- ligence ordinaire jusqu'à 8 ans
tidienne droite, elle paraît intelligente; ni attaques de nerfs, ni
convulsions
, etc... ; elle n'a jamais été malade. [Père, mi
nt au monde; « c'était dans la tête. » Une autre fille est morte de
convulsions
à 6 semaines; les autres sont sains. Notre ma
rébraux mal déterminés chez des neveux ou nièces de l'enfant et des
convulsions
chez une soeur. II. Signalons, en passant, l'
on. Parole nulle. Marche à trois ans et demi, et incomplète. Pas de
convulsions
. Affai- blissement paralytique du côté gauche,
liénée à Blois. , Mère, 28 ans domestique ; elle n'aurait pas eu de
convulsions
, ni aucune maladie dans l'enfance. Pas nerveuse
rveux. Marié depuis quatre ans : a une fille en bonne santé; pas de
convulsions
. Une soeur, 25 ans, cultivatrice, ja- mais mala
ants, un garçon et une fille, bien portants tous, n'ayant pas eu de
convulsions
. Tante paternelle, morte il y a longtemps, on n
s inarticulés. Pas de constipation, d'inégalité pupillaire, ni de
convulsions
. Les jours suivants les phénomènes d'exci- tati
lle aliénée et alcoolique. Deux frères alcooliques et deux morts de
convulsions
. Inégalité d'âge de 13 ans. Conception durant
heures. Pas de maladies de peau, ni de maladies infectieuses, ni de
convulsions
. Réglée la première fois à 14 ans; règles régul
13 ans bien portant. Les autres enfants sont morts en bas âge, 2 de
convulsions
, les autres à la suite de diarrhée. Notre mal
pour la ranimer. Elle a été élevée au sein en nourrice. Jamais de
convulsions
; variole il 8 ans; ni rougeole, ni scarlatine, ni
lectuel et les migraines de la mère; J'aliénation, l'idiotie et les
convulsions
chez des parents plus ou moins rapprochés. -
ls morts tuberculeux. - Frère peu intelligent : Autre frère mort de
convulsions
. Somr instable et très nerveuse. Gêmellarité. .
Accouchement à 8 mois ? Début tardif de la marche et de la parole.
Convulsions
répétées 4 ou 5 fois à 15 mois.- Rougeole à 8 a
e; peu intelligent et très nerveux; 2° Un garçon mort à Il jours de
convulsions
3° Une fille de 8 ans extrêmement nerveuse : «
Deux jumelles : une mort-née, l'autre 5 ans, bien portante, pas de
convulsions
, très nerveuse; 6o Notre malade. Notre malade
a marche à 20 mois. Elle' a commencé a parler très tard. A In mois,
convulsions
,il. 4 ou 5 reprises en peu de jours. rougeole
paternel cancéreux. Mère nerveuse, tremblement de la tête. Frère,
convulsions
, mort de méningite. Arrêt de dévelop- pement co
s de l'idiotie : retard - de la parole, rire particulier. Premières
convulsions
à 17 mois. En 4 jours, sixétats de mal de : 2 à
à des douleurs de tête revenant une ou deux fois par mois. l'as de
convulsions
dans l'enfance, ni d'attaques de nerfs. Mariée
re malade ; 3° Un garçon mort à 3 ans d'une méningite, avait eu des
convulsions
à 15 mois. - 4 Une fille de 12 ans, intelligent
sonnes qui l'approchaient. C'est à 17 mois qu'il a eu ses premières
convulsions
. Elles étaient générales, égales des deux côtés
terons pas.... II. Dès la première année, avant l'apparition, des
convulsions
, les parents avaient constaté à certains signes
stait donc, chez Gem..., un état pathologique quand, à 17 mois, des
convulsions
se sont. produites à six reprises différentes,
toniques, cloniques, prédominance d'un côté, nombre des attaques de
convulsions
. Etat de l'intelligence arant et après; paralys
e malade : première dent à sept mois. Propre ti dix mois. Premières
convulsions
à sept mois. Tics convulsifs de l'épaule du côt
convulsions à sept mois. Tics convulsifs de l'épaule du côté droit.
Convulsions
fréquentes de sept mois à trois uns. Début de l
trente-huit ans d'une hernie étranglée; pas de rhumatismes, pas de
convulsions
, pas de maladies vénériennes, ni de fièvre typh
té propre à dix mois. Ni bave, ni succion, ni onanisme. Premières
convulsions
à sept mois, avec la première dent, pen- dant t
eux grands ouverts. Depuis lors, jusqu'à trois ans, au moins cent
convulsions
. C'est la première qui a été la plus longue. Les
lsions. C'est la première qui a été la plus longue. Les pre- mières
convulsions
n'ont pas modifié l'intelligence. A la suite des
vulsions n'ont pas modifié l'intelligence. A la suite des premières
convulsions
, à sept mois, l'enfant, au dire de sa mère, aur
urneur de sou métier, mort en décembre 1899 de tuberculose. -Pas de
convulsions
, pas de migraines, pas d'abusd'alcool ni de tab
elle elle-même a une enfant : ni les uns, ni les autres n'ont eu de
convulsions
. EPILEPSIE VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE.
a commencé à causer il un an, à mar- cher à quatorze mois. - Pas de
convulsions
. A six ans, M... fréquente l'école; elle y aura
la prison (belge). - Mère, ouvrière dans une manufacture de tabac,
convulsions
de l'enfance, violente, a voulu tuer son mari,
ntes maternelles déséquili- brées. - Une soew' et un frère morts de
convulsions
. Consanguinité (cousins germains). - Inégalité
dent à six mois. - Début de la parole et de la marche à dix mois. -
Convulsions
internes à sept mois. - A huit ans et demi, chu
rnels suicidés. Tante paternelle nerveuse, morte phtisique. Mère,
convulsions
de l'enfance, morte phtisique. Grand-oncle mate
ption, grossesse, accouchement, naissance, rien de pa1'ticl/- lier.
Convulsions
de l'enfance à plusieurs reprises. - Parole tar
a eu des con- mulsions. Mère morte phtisique à trente-quatre ans;
convulsions
de l'en- fance. - Le seul cas pathologique à re
tardive et aurait toujours présenté du zézaiement et du bégaiement.
Convulsions
de l'enfance, à plusieurs reprises, qui auraien
lée, le 17 août 1890. Père, cinquante-six ans, cordonnier. Pas de
convulsions
de l'en- fance. Fièvre scarlatine à quatre ans;
dans un état de déchéance continue; il a eu il 3 ans une série de
convulsions
il la suite desquelles « il ne recom- mença que
éveloppement à la nais- sance (1500 gr. ; ongles à peine formés). -
Convulsions
dès le 3e jour, se répétant quotidiennement 6 o
s six mois, avant négociant en lainage de velours à Amiens). Pas de
convulsions
dans l'enfance. Chorée à 13 ans. Pas de migrain
soeur bien portante, ainsi que ses deux enfants qui n'ont pas eu de
convulsions
. - Dans le reste de la famille, on ne connait a
d'idiots, etc., etc.] Mère, 31 ans, s'occupe de son ménage ; pas de
convulsions
de l'enfance. Couperose de la face, même avant
Quatre enfants : 1° garçon, 5 ans 1/2, fort, intelligent, pas de
convulsions
, non nerveux, n'a été en retard pour rien; - 2
ux jumeaux, 19 mois, bien portants (un garçon et une fille); pas de
convulsions
; ils ont marché, le garçon à 14 mois, la fille
convenablement. 92 IDIOTIE symptomatique DE sclérose. 11 a eu des
convulsions
le troisième jour : visage bleu, yeux tournés,
crises par jour, durant de cinq minutes à une heure au maximum. Les
convulsions
ont continué jusqu'au 18e jour, toujours à peu
ôtés, pas de secousses cloniques. C'est dans les premiers jours des
convulsions
qu'on a cherché des nourrices, la mère étant fa
uis l'âge de dix-huit mois jusqu'à ce jour, l'enfant n'a plus eu de
convulsions
, ni de vertiges, mais il a été pris d'une agita
des pointes de cataracte. Le strabisme est consécutif aux premières
convulsions
. G... ne distingue pas les odeurs. Bave par mom
re muqueuse, pas d'angine, etc. On s'est aperçu, aussitôt après les
convulsions
qu'il n'était pas comme les autres enfants ; il
cordon. III. Du troisième au dix-huitième jour, l'enfanta eu des
convulsions
généralisées, égales des deux côtés ; Puberté,
environ tous les trois mois des grandes crises dans lesquelles les
convulsions
prédominaient h droite ; enfin, de 18 mois à so
re côté, pourtant, il faut se souvenir que, durant une période, les
convulsions
ont prédominé à droite, ce qui répondrait à la
; tuberculose, mort. Par BOURNEVILLE ET AMBARD. SOMMAIRE. - Père,
convulsions
de l'enfance ; quelques excès, de boisson posté
complétés par le père). Père, 54 ans, marchand colporteur, a eu des
convulsions
au moment de la dentition; pas de fièvre typhoï
é de fi'[ ans, est veuf, 5 enfants, tous très bien portants, pas de
convulsions
. Le frère cadet, âge' de 59 ans, est marié, il
filles est mariée, elle a deux enfants très bien portants,' pas de
convulsions
. Trois soeurs : L'aînée est morte à 55 ans d'un
adie clans le ventre ( ? ), a eu cinq enfants bien portants, pas de
convulsions
. La seconde, âgée de Gl ans, est veuve; elle a
une des filles est mariée, a une fille 1 1 e bien portante, pas de
convulsions
. Dans le reste de la famille, on ne trouve rien
lette de 13 ans, bien purtante. Aucun de ces enfants n'aurait eu de
convulsions
. Notre malade. - Rien à signaler au moment de l
ant la rougeole elle parlait assez bien. l'as de scarlatine, pas de
convulsions
. Propre de bonne heure. Elle a été gardée par s
st pas bifurquée. Réflexions. T. Le père de notre malade a eu des
convulsions
de l'enfance ; il avait un caractère emporte, a
re grand-père paternel mort d'apo- plexie. - Oncle maternel mort de
convulsions
. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 2 ans
ois. Début de la parole, restée incomplète, à 18.mo ? s.. Jamais de
convulsions
. Description de la malade en février 1901 : car
r dans le reste de la famille.] Mère, 47 ans, très nerveuse, pas de
convulsions
de l'enfance, sujette, dès l'âge de 11 ans, à d
e a eu onze grossesses, dont neuf à terme ; un enfant est mort de
convulsions
; les survivants, trois frères et trois soeurs, s
une fille, 23 ans, très intelligente, ainsi que son enfant ; pas de
convulsions
; 2° la malade. Antécédents personnels. - Rien
. Début de la marche à 14 mois, de la parole à 18 mois. Jamais de
convulsions
ni autre accident nerveux. Aucune maladie infec
. divorcé; nombreux excès de boisson; caractère violent. - Tante,
convulsions
de l'enfance. Une cousine aliénée, excès de boi
s. Dentition complète à deux ans ? Parole, marche, propreté nulles.
Convulsions
à 15 jours. Aucune maladie infectieuse avant l'
erce. N'a jamais 's été malade dans son enfance, n'aurait pas eu de
convulsions
(une de ses soeurs en a eu). Engagé volontaire
alenciennes, est sobre, bien portant, pas de renseignements sur les
convulsions
; il est marié et aun garçon, sur lequel il n'e
fièvre typhoïde bénigne, sans délire ni accidents cérébraux. Pas de
convulsions
, pas de chorée, pas de rhuma- tismes, pas de mi
ite de mauvaises affaires. Il a laissé deux enfants normaux, sans
convulsions
. - Pas de tantes maternelles. Pas de consanguin
s scènes que lui faisait constamment son mari toujours ivre. Pas de
convulsions
, peu de vomissements, et seulement pendant le p
qu'on attribua à des coliques. A 15 jours, elle eut ses premières
convulsions
: « ses petits doigts remuaient, ses paupières
ent, et surtout la main droite qui dans la suite fut paralysée. Ces
convulsions
durè- rent dix-huit heures. On put faire boire
s, ne marcha pas et ne fut jamais propre. L'enfant qui, avant les
convulsions
, était grosse, et bien remuante ( ? ) des bras
leuse, ni colère, ne se livrait pas à l'onanisme. A la suite de ses
convulsions
, elle eut aussi des frayeurs survenant par accè
de coloration ; sa mère affirme que la fonta- nelle, qui avant les
convulsions
battait sensiblement, était devenue dure et ne
ent, était devenue dure et ne battait plus après cette crise. Ces
convulsions
du 15° jour furent les seules qu'on observa che
fant dans de mauvaises con- ditions qui expliquent l'apparition des
convulsions
au quinzième jour cle l'existence. Ces convulsi
l'apparition des convulsions au quinzième jour cle l'existence. Ces
convulsions
ont été générales, prédominant toutefois dans l
2° une fille, bien conformée, morte à treize jours, en nourrice, de
convulsions
. Notre malade.- Grossesse bonne; durant son cou
isme; Gr... n'a, d'ailleurs, jamais été propre. 11 n'a jamais eu de
convulsions
, de croûtes, de glandes, de dartres, d'ophthal-
ont quatre et sept enfants tous bien portants, n'ayant jamais eu de
convulsions
.] Mère, quarante-deux ans, lingère, intelligent
pressionnable, pas d'attaques de nerfs. Un frère est mort jeune, de
convulsions
. - Pas d'aliénés, d'épilep- tiques, de difforme
onchite, l'une à sept mois et demi, l'autre à dix-sept mois; pas de
convulsions
, bien con- formées. Deux garçons juozeazex 1 :
otre malade. - Un garçon, bien conformé, mort il treize jours, sans
convulsions
, d'un « épanchement au cerveau ». Une fille de
de trois ans et demi, bien portante, intelli- gente ; n'a pas eu de
convulsions
, est très peureuse. Notre malade. Grossesse acc
tournaient » ; à deux mois, il a eu, pendant vingt et un jours, des
convulsions
semblables à celles qu'il a aujourd'hui et dura
depuis un mois, il n'aurait plus ces habitudes. 11 n'a jamais eu de
convulsions
, ni de vertiges. Pas de fièvres éruptives, pas
e par strangulation (circulaires du cordon); 3° une fille, morte de
convulsions
à treize mois; - 4° une fille, morte de convuls
fille, morte de convulsions à treize mois; - 4° une fille, morte de
convulsions
à un mois; - 5" une fille, âgée de quinze ans, qu
e de quinze ans, qui parait assez intelligente et qui n'a pas eu de
convulsions
infantiles; la parole présente chez elle, comme
marcha à dix mois et demi, fut propre avant un an et n'eut pas de
convulsions
. De trois à quatre ans, teigne traitée à l'hôpita
t » ; il revenait à lui au bout de quelques secondes, sans avoir de
convulsions
et continuait son travail, comme si rien d'anor
ar de grands mouvements des bras et des jambes; l'enfant tombe. Les
convulsions
reparaissent alors sous forme d'une trépidation
s tétaniformes rapides, suivies de rougeur à la face et de quelques
convulsions
cloniques. Après un premier répit de courte dur
t spasmodique des paupières (phase tétaniformes) et, après quelques
convulsions
clo- niques (phase clonique), apparaît la résol
n attaque. On observe la période épileptoïde avec rigidité tonique,
convulsions
cloni- ques et apparition d'écume salivaire aux
pothèse, nous rappellerons que deux soeurs du malade sont mortes de
convulsions
; qu'une autre est atteinte de zézaiement et d'h
alytiquegéné¡'¡tl. - F1'è¡'es et soelll's morts de con- vulsions.
Convulsions
de deux mois ci deux ans, - Méningite à trois ans
et fausses couches : 1° garçon, quatorze ans, intel- ligent, pas de
convulsions
;- 2° fille, morte à neuf ans d'accidents pulmon
le, morte à neuf ans d'accidents pulmonaires ayant duré huit jours;
convulsions
jusqu'à quatre ans, était très intelligente ; 3
e en nourrice à deux mois, on ne sait de quoi; aurait eu de légères
convulsions
; 4° garçon, mort de diarrhée à un mois ; pas d
égères convulsions ; 4° garçon, mort de diarrhée à un mois ; pas de
convulsions
; 5° garçon, bien portant, a eu des convulsions
à un mois ; pas de convulsions ; 5° garçon, bien portant, a eu des
convulsions
jusqu'à trois ans; 6° fausse couche à six mois,
7° fille, morte à deux ans et demi de méningite, avait déjà eu des
convulsions
; - 8° fausse couche : 9° notre malade; - 10° fi
fausse couche : 9° notre malade; - 10° fille, de sept mois, pas de
convulsions
. Notre malade. Rien de particulier lors de la c
au sein par sa mère jusqu'à dix- huit mois. A deux mois, premières
convulsions
ayant duré de cinq à dix minutes. Depuis cette
é quinze jours sans connaissance, délirant, mais n'aurait pas eu de
convulsions
. Dans le cours de la maladie, le bras gauche pe
ir : T. R. 42°,2. 5. - Durant la nuit, quatre accès T.R. 39°,G. Les
convulsions
sont toujours limitées au côté droit. Léger éry
ici, d'un enfant qui, sauf quelques IDIOTIE ET EPILEPSIE. f 11 I
convulsions
légères et éloignées, survenues de deux mois à
s en eux-mêmes, les accès ont présenté des symptômes spéciaux : les
convulsions
étaient limitées au côté droit du corps. Nous a
t avait une paralysie du côté gauche, on pourrait s'étonner que les
convulsions
existassent, au contraire, du côté droit et y f
se. Oncle maternel imbécile ; ? oncles et tantes maternels morts de
convulsions
. Emotions durant la grossesse. Tête volumineuse
la naissance ; son développement progressif ; ses di- mensions. -
Convulsions
limitées à gauche (6 mois). - Hémiplégie conséc
défaut de la parole. Parmi les autres, on signale un garçon mort de
convulsions
à 2 ans ainsi que deux filles jumelles, et enfi
avoir quelque chose dans la tête ». A cet âge, sans cause connue,
convulsions
portant uni- quement sur le côté gauche, et acc
tation de volume de la tête s'est accu- sée davantage. Pas d'autres
convulsions
. L'enfant est calme, ne pleure que quand on veu
es du soir, l'enfant meurt, sans que cette mort ait été précédée de
convulsions
ou de cris. Mais, une heure avant la mort, la t
olisnte; du côté maternel, la migraine, l'insuffisance mentale, les
convulsions
. II. Dès la naissance, on a remarqué le volume
ent, mais avec une certaine lenteur. A cette époque surviennent des
convulsions
intéressant uniquement la moitié gauche du corp
halie a eu une marche progressive, avec accélération à la suite des
convulsions
. On sait que, parfois, elle offre des intermitt
telligente ; 2° notre malade; 3° un garçon, bien conformé, mort de
convulsions
à 18 mois ; 4° un garçon, 7 ans, bien portant,
ns à 18 mois ; 4° un garçon, 7 ans, bien portant, intelligent, sans
convulsions
; 5° une fille bien con- formée, morte à 15 jour
attribuées à une peur; elles ont duré 10 minutes. De 3 à 5 ans, les
convulsions
se sont montrées deux fois par mois; elles étai
âge jusqu'à trois ans, époque où se sont montrées les premiè- res
convulsions
. Elles ont d'ailleurs été de courte durée et no
................ 55 Mort-nés.................................. 26
Convulsions
............................... 61 Méningite....
............Ouvrier chapelier. » 6 1 f. et 1 g. morts de cenvul- 3 g.
convulsions
de l'enfan- » sions. ce. N. m., imbécile et é
iotie. 2 g. morts de ? Welt ........... Mégissier. » 5 4 morts de
convulsions
. JV. m., idiotie, épilepsie. » Léchas..........
arçons morts de ménin- 1 f. 1 g. bien portants. Père gite. 1 garçon
convulsions
. alcoolique. JV. m., imbécile et épilept. Fey
de conuulsions à •15 mois. Jjumeaux morts à i3 mois. i f. morte de
convulsions
à 8 jours. iY. m., mort de tuberculose à 6 an
Peintre » 3 Ihusse couche. N. m., idiot. » en bâtiments. ( mort de
convulsions
. ' Si ces statistiques ne laissent aucun doute
use qui a nécessité des applications de glace ; il n'aurait pas eu de
convulsions
. Ni dartres, ni syphilis, ni rhumatisme. Mort en
, intelligent ; — -4° notre malade ; — 5° garçon mort d'entérite sans
convulsions
; — 6° fille (17 ans en 1905), normale ; — 7° fil
nes; —10° garçon (10 ans en 1905). bien portant. Aucun n'aurait eu de
convulsions
. Notre malade. — On ne sait si la conception a
s bras de sa mère en pleurant. Un mois après, la nuit, il fut pris de
convulsions
: Pas de cri, membres roides, contorsions de la f
— Cousin germain : torticolis, convul-sions de l'enfance. — Cousine :
convulsions
de l'enfance. Renseignements insuffisants sur sa
arole à 14 mois. Début de la marche à 18 mois. Propre à 3 ans. Pas de
convulsions
. Irritabilité et tristesse. Bave intermitente. Vo
illet et en octobre 1899.) — Père : 55 ans ; tourneur sur bois. Pasde
convulsions
dans l'enfance, pas de fièvre typhoïde, pas de rh
sœit?', âgée de 40 ans, non mariée officiellement; elle aurait eu des
convulsions
dans l'enfance; elle est myope : elle a un garçon
l'enfance; elle est myope : elle a un garçon de 19 ans, qui a eu des
convulsions
dans l'enfance, ainsi qu'un torticolis, et qui to
; elle a perdu un enfant de diarrhée infantile; il n'aurait pas eu de
convulsions
. — Un frère, 42 ans, non marié officiellement ; i
non marié officiellement ; il a deux filles ; la plus jeune a eu des
convulsions
étant petite; elles se portent bien, sont intelli
malade. Onze enfants : 1° garçon, mort de méningite à 13 mois, sans
convulsions
;— 2° garçon mort de coqueluche à 21 mois; — 3° fi
ns, bien portante, intelligente; — 4° gar-çon, 21 ans, soldat, pas de
convulsions
; — 5° garçon, 19 ans, pas de maladie nerveuse, in
rtante; — 7° fille, notre malade, 14 ans; — 8° garçon, 12 ans, pas de
convulsions
, intelligent; — 9° fille, 9 ans, — 10° fille, 7 a
ien. Le malade n'a jamais fait de maladie grave; elle n'a pas eu de
convulsions
. — Elle a eu de la blépharite ciliaire, des adéni
sie du grand'pèrc paternel. Peut-être, léger élhylisme de la mère ; —
convulsions
de l'enfance chez une tante maternelle qui est my
te maternelle qui est myope, et chez son fils, qui a un torticolis; —
convulsions
chez un autre cousin; — méningite mortelle chez u
re triste, irritable, semblent indiquer un état congénital. Jamais de
convulsions
. Ecolage convenable. En somme, l'enfant, jusqu'à
plète à 2 ans. — Propreté et mar-che à 10 mois. — Parole à 15 mois. —
Convulsions
de 1 àibmois, intéressant surtout les yeux. — Aff
uis, on ne sait Cfe qu'il est devenu, s'il est mort ou vivant; pas de
convulsions
, pas de fièvre typhoïde, nul indice de maladies v
bénigne, pas de délire, ni de perte de la mémoire à la suite. Pas de
convulsions
dans l'enfance, pas de chorée, pas de rhumatismes
° notre malade ; — 2° un garçon âgé de 12 ans, ne à. terme, n'apas de
convulsions
, expression intelligente. Notre malade. — Conce
dent à 10 mois, a souffert beau-coup à ce moment, mais n'a pas eu de
convulsions
; dentition complète à 2 ans. Propre à 10 mois. Pa
ses yeux dansaient ». Il s'agit probablement de nysta'jmus, et non de
convulsions
, comme le dit la mère. Ces accès reve-naient 2 à
paré pour les accidents ultéri-eurs. III. S., n'aurait jamais eu de
convulsions
; toutefois, de 7 à 15 mois il aurait eu presque c
ents convulsifs des yeux. Etait-ce du. nystag-mus intermittent ou des
convulsions
limitées aux globes oculaires, nous n'oserions no
lcool; mort subitement. — Rien clans le reste de la famille. Mère :
Convulsions
vers l'âge de 6 ans attribuées aux vers. Céphalal
l'âge de 6 ans attribuées aux vers. Céphalalgies. — Un neveu mort de
convulsions
. — Rensei-gnements insuffisants. — Sœur clwréique
s. Normal jusqu'à 4 ans. A cette époque, méningite accompa- gnée de
convulsions
,. — Douleurs cèphaliques. Accès de colè-res terri
eptiques, etc...] Mère, 42 ans, sans profession, a eu, à 6 ans, des
convulsions
qui ont été mises sur le compte dos vers ; elle a
pas de stigmates nerveux. La ?eme a eu un enfant mort à un mois de
convulsions
. — La mère n'ayant connu aucun de ses ascendants
est plus âgé de 4 ans. 7 enfants : 1° Une fille de 20 ans ; pas de
convulsions
, à 14 ans premiers symptômes d'une chovèe qui ne
marche et de la propreté. C'est à 4 ans qu'ont débuté les premières
convulsions
. Le médecin traitant porta le diagnostic de ménin
raitant porta le diagnostic de méningite. Durant la convalescence les
convulsions
ont disparu et ont été rem-placées par de violent
ons l'alcoolisme du père, le mal vertébral de Pott chez une sœur, des
convulsions
chez la mère, une ménin-gite. — Dans les antécéde
t pas été mastiquées. V. Rappelons à ce propos que très souvent les
convulsions
qui apparaissent chez les enfants sont dues à des
it, dans bien des cas, des accidents nerveux plus graves (méningites,
convulsions
, avec leurs conséquences) : l'épilepsie, l'idioti
leurs enfants, il y a dons la soirée des indigestions, des accès, des
convulsions
. qui vient grossir celles recueillies que l'un
t et naissance: rien. — Dentition tardive, marche îi 2 ans. Jamais de
convulsions
. Normal jusqu'à 11 mois Alors chute de la hauteur
mère le 20 décembre 1900). — Père, 38 ans, cocher de fiacre n'a eu ni
convulsions
ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhuma-tismes, n
assez souvent. Les quatre enfants, qu'elle a eus, n'ont jamais eu de
convulsions
, étaient intel-ligents ; l'un d'eux est mort d'un
nels dans le reste de la famille. Mère, 31 ans, ménagère, n'a eu ni
convulsions
, ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, n
ien portants, l'autre paraît être morte d'un coup de soleil. — Pas de
convulsions
parmi les enfants de ces sœurs, pas do tuberculos
gnements sur la propreté et la fermeture des fontanelles. — Jamais de
convulsions
. — Jusqu'à 11 mois l'enfant, un peu chétive, vomi
fait souvent défaut, empêcherait des indigestions, cause fréquente de
convulsions
, fourni- rait des indications précieuses au méd
rquées du côté droit. - Puis, il y eut un arrêt de 15 jours, et les
convulsions
reprirent ensuite à des intervalles variables.
ard éteint; nystagmus à grandes oscilla- tions. T. R. 3G°,4. Pas de
convulsions
, ni de contractures, ni de paralysie. - Mort à
lade est mort à l'âge de 15 mois en nourrice, mais sans avoir eu de
convulsions
; une soeur, actuellement âgée de 18 ans, est b
ment humide, etc.), et la mère soupçonne qu'il aurait eu quelques
convulsions
. - Quoiqu'il en soit, elle le reprit chez elle
oolique ? Frayeur au 5e mois de la grossesse. Dents à la naissance.
Convulsions
fréquentes à partir du 2e jour. Hernie. - Epile
rt à 5 mois, ne semblait pas intelligent; un autre a succombé à des
convulsions
, il avait 15 jours : le dernier est intelligent
mois et demi : - 4° fille, 19 ans, bien por- tante ; elle a eu des
convulsions
à l'époque de la denti- tion ; 5° garçon, 17 an
issance. accès d'abstinence. ` 25 Dès le second jour, il a eu des
convulsions
qui ont duré une heure et demie; pendant deux m
convulsions qui ont duré une heure et demie; pendant deux mois, les
convulsions
ont continué tous les jours, ensuite elles se s
on a constaté une hernie dans l'aine gauche et on l'a attribuée aux
convulsions
. A partir de 10 ou il mois, jusqu'à 2 ans, D...
ions. A partir de 10 ou il mois, jusqu'à 2 ans, D... n'a plus eu de
convulsions
. - A 5 mois, fluxion de poitrine. D... était
ement. (Les 2 premières dents sont tombées à 6 ans). A 2 ans, les
convulsions
ont reparu sous forme d'accès ; il en avait que
ommencement de ce siècle comme le point de départ incontestable des
convulsions
hysté- riques, l'homme devait nécessairement en
multiples. - Description générale des attaques : Prodromes et aura;
Convulsions
présen7 tant les trois périodes : épileptoïde,
levant, elle eut un vertige. CHEZ UN JEUNE GARÇON. 3 jamais eu de
convulsions
; 2° Garçon, 17 ans, intelli- gent ; pas de conv
jamais eu de convulsions; 2° Garçon, 17 ans, intelli- gent ; pas de
convulsions
. Coxalgie double à la suite d'une chute. - 3° G
filles), sont morts au- dessous de deux ans et n'auraient pas eu de
convulsions
. Notre malade. Grossesse bonne, accouchement fa
n. Rougeole à 4 ans, mais pas d'autres fièvres éruptives ; pas de
convulsions
. Cet enfant a toujours été très peureux; il fal
sont à plusieurs reprises violemment attirées en arrière, puis les
convulsions
se propagent aux membres où elles sont ordinair
à environ une demi-minute d'intervalle : 1° Elles débutent par des
convulsions
de la face qui s'étendent bien- tôt au corps en
thésique ne provoquerait pas de toux ; il existerait une période de
convulsions
toniques ; enfin, la résolution musculaire surv
ait pas à chaque inhala- tion. Nous n'avons pas observé de phase de
convulsions
toniques, à moins qu'onne désigne sous ce nom u
série d'attaques hystériques (vagues abdo- minales, strangulation,
convulsions
toniques et cloni- ques, arcs de cercle, etc.);
une nouvelle attaque se produisait avec phase épileptoïde, grandes
convulsions
, etc., qui était enrayée, de nouveau et qui, si
lution musculaire; dans d'autres cas, la durée et l'in- tensité des
convulsions
ont paru diminuer; quelquefois enfin, la médica
jour : le malade tombe ordinairement sur la face; il est agité de
convulsions
qui atteignent tous les membres, écume beau- co
ois plus tard, l'enfant aurait présenté ses pre- mières attaques do
convulsions
, elles auraient été très lé- gères ; cependant,
cès généralement très courts et diurnes sont caractérisés par des
convulsions
survenant sans cri initial et exclusive- ment l
mités au côté paralysé (côté droit). Dans la plupart des accès, les
convulsions
, qui débutent toujours par le membre supérieur,
it pas prédominer spéciale- ment d'un côté. En même temps que les
convulsions
d'abord toniques, puis cloniques, se produisent
par des intervalles de plusieurs secondes et ne sont pas suivies de
convulsions
cloniques proprement dites. Nous n'avons pu sav
plus en plus rapprochés. Le G au matin, les accès continuaient, les
convulsions
tétaniformes et clonillues étant tcujours limit
ur. Dans le courant de la journée un seul accès se produisit avec
convulsions
du côté droit ; il gauche, les secousses, ASYMÉ
la région cérébrale, située en arrière du sillon de Rolando, les
convulsions
débutaient par le membre supérieur auquel elles
ur la distinction qui doit être établie à ce point de vue entre les
convulsions
toniques et les convulsions cloniques. Bro- chu
tre établie à ce point de vue entre les convulsions toniques et les
convulsions
cloniques. Bro- chure in-8. - Prix : GO cent. -
s enfants : Fausses-couches....... 8 Mort-nés............... 17
Convulsions
............ 52 Méningite............... 21 Di
ouche, 4 m. ¦I fille morte de méningite à 9 mois 1 fille morte de
convulsions
à 7 mois N. m. Imbécilité mo-rale, instabilité.
, Fondation Vallée, 1906. I. Idiotie congénitale aggravée par des
convulsions
por-tant sur le côté droit. Signes de méningite.
— Première dent à dix mois ; den-tition complète à 2ans. — Premières
convulsions
à 16mois, durée 2 jours ; avec prédominance à dro
e à droite. — Gâtisme. — Marche et parole nulles. — Deuxième crise de
convulsions
à 28 mois, durée 36 heures ; avec prédominance à
técédents héréditaires. — Père : maçon, âgé de 36 ans ; n'a pas eu de
convulsions
; pas de 'rhumatismes, pas de chorée ; pas de fiè
ais été malades. Xi les frères et sœurs, ni leurs enfants n'ont eu de
convulsions
. — Dans le reste de la famille, on ne relève ni é
pas de criminels. Mère, âgée de 26 ans ; giletière ; n'a pas eu de
convulsions
pas de rhumatismes, pas de chorée, pas de fièvre
A eu sept sœurs toutes mortes jeunes, on no sait si elles ont eu des
convulsions
. Rien à signaler dans le reste de la famille; pas
garçon âgé de 5 ans 1/2. bien portant, intelligent ; n'a jamais eu de
convulsions
; 2° une fdle morte à 14 mois, aux Enfants-malade
nfants-malades, d'une maladie de foie (?). Elle n'aurait jamais eu de
convulsions
; 3° notre malade. — La mère n'a jamais fait de f
N'a jamais été propre. Antécédent morbides. — A 16 mois, premières
convulsions
; elles ont duré deux jours, sans reprise de conn
sions ; elles ont duré deux jours, sans reprise de connaissance ; ces
convulsions
, toniques puis cloniques, étaient limitées au côt
avoir été plus faible depuis la nais-sance, et on ne peut dire si les
convulsions
ont déterminé chez la malade de la paralysie. Il
it bien les jambes, mais ne marchait pas en-core. Deuxième crise de
convulsions
à 2 ans 1/2 ; toujours limi-téesàdroite, mais s'é
peu au côté gauche elles ont duré 36 heures. C'est à la suite de ces
convulsions
que l'enfant aurait eu de la paraplégie , et le m
re très coléreux ; les accès de colère ont débuté après les premières
convulsions
; ils se seraient répétés journelle-ment, et aura
qui la font tressauter. Déjà très agitée la nuit avant ses premières
convulsions
, on remar-que que l'agitation, augmente après la
de maux d'yeux, mais . ;(?';!-bisme qui a débuté après les premières
convulsions
; pas d'otorrhée. a eu de l'impétigo limité à la
emble au père. Comme la malade était arrié- rée avant les premières
convulsions
, il s'agit vraisemblable ment d'un état congénita
ns, il s'agit vraisemblable ment d'un état congénital aggravé par des
convulsions
. Ce n'est que vers un an, quand on a vu qu'elle
eurs, défaut de développement de la parole, le tout con-sécutif à des
convulsions
». — L'enfant entra à la Fondation, le 13 décembr
le service. Les 38 crises accusées en janvier auraient été plutôt des
convulsions
que de l'épilepsie franche, elles ont eu lieu dan
état a été aggravé par des convul-sions à 16 mois et à 2 ans 1/2. Les
convulsions
prédo-minaient à droite ou étaient limitées à ce
llo7is à lu ans. — Bave. — Balancement antèro-postèrieur. — Jamais de
convulsions
. — En amélioration à divers égards. — Descente ta
nte, ainsi que son fils, âgé de 3 ans; ni l'un ni l'autre n'ont eu de
convulsions
. — Dans la famille, pas d'aliénés, pas d'épilepti
céphalalgies, ni névralgies, ni attaques denerfs, ni syncopes, pas de
convulsions
de l'enfance (non plus que son mari); est un peu
28 ans, célibataire, bien portant; il aurait eu dans son enfance des
convulsions
causées par les vers.— Deux sœur .s : l'une jumel
aux mains. 11 n'a jamais Mibi aucun traumatisme. // n'a jamais eu de
convulsions
. — Les parents se sont décidés à le placer parce
âgé de 4 ans (né le 25 juillet 1880), bien portant, n'ayant pas eu de
convulsions
; il a eu sa première dent vers un an au plus tard
uel, âgé de 2 ans ; — 4° un garçon, âgé de G semainesqui n'a pas eude
convulsions
, sa tète est bien conformée : «je le crois bien p
as d'impétigo; pas de rachitisme, pas do météorisme abdominal, pas de
convulsions
. En somme, aucune affection aiguë depuis la naiss
rand' tante paternelle imbécile. - Cousin germain paternel, mort de
convulsions
. Mère : faible d'esprit, sujette ci des alourdi
ont en bonne santé et n'ont jamais eu de DES FAMILLES D'IDIOTS. 9
convulsions
. Ces deux frères sont plus intelligents que le pè
des Enfants-malades, pour la gourme et la teigne ; il n'a pas eu de
convulsions
et ne tombe pas; il est déjà ivrogne; 3° Notre
eptiques. Observation I. - Idiotie; epilepsie nocturne. Premières
convulsions
ci sept mois; - peur ci dix ans : premier accès
x-sept mois, a été propre à deux ans, a parlé vers un an. Premières
convulsions
internes ( ? ) à sept mois : pendant la nuit on
nuit on s'est aperçu qu'il avait les yeux égarés, on n'a pas vu les
convulsions
. A dix ans, il eut peur d'un cheval emporté qui
dire quelques mots à un an, a été propre à dix-huit mois. Jamais de
convulsions
. A six mois « au germe de ses dents n, premier
dans la famille du père qui voit plusieurs de ses neveux mourir de
convulsions
en bas âge et qui lui-même, faible d'esprit, iv
imbéciles; deux frères idiots; deux frères et une S6BM ? ' morts de
convulsions
en bas âge. Antécédents héréditaires. (Renseign
. V);-2° fausse couche de sept mois ; 3° fille morte à sept mois de
convulsions
; 4° Horni... Constant (Obs. VI); - 5° un garço
vulsions ; 4° Horni... Constant (Obs. VI); - 5° un garçon mort de
convulsions
à treize mois; 6° fausse couche de trois mois ;
ortante, d'un caractère doux mais peu intelligente, et qui a eu des
convulsions
à cinq ou six mois, à plusieurs reprises'; 9° u
lsions ; 10° un garçon, mort à cinq mois, d'une méningite, avec des
convulsions
. . Observation V. Imbécillité ; perversion DES
oppement ; premières con- vulsions dans la première année; secondes
convulsions
vers deux ans. Marche ci deux uns et demi; paro
contrariait. Il aurait eu, pour la première fois, en nourrice, des
convulsions
très fortes; puis une seconde fois, de un à tro
I. IDIOTIE complète. "' Athrepsie de la première enfance; premières
convulsions
à huit mois; secondes convulsions à neuf mois,
de la première enfance; premières convulsions à huit mois; secondes
convulsions
à neuf mois, etc. ; marche à sept ans et demi;
chait d'abord elle-même. A huit mois, il a eu une première fois des
convulsions
qui ont duré une heure, et t portaient égalemen
s quatre membres. Un mois plus tard, il a eu une seconde attaque de
convulsions
pendant dix minutes. Il a encore eu des convuls
onde attaque de convulsions pendant dix minutes. Il a encore eu des
convulsions
à deux autres reprises : en tout, elles ont dur
une heure; le médecin qui a été appelé a dit que ce n'était pas des
convulsions
, mais une crise nerveuse. Après, les yeux étaie
lheureux enfants venus à terme, deux meurent, à quel- ques mois, de
convulsions
, deux sont idiots, l'un inéducable, tous deux i
nir placedans lasociété ; une autre, imbé- cile, a eu autrefois des
convulsions
. Une seule fille est bien por- tante et intelli
5; - 80 un garçon, bien portant, assez intelli- gent, a eu quelques
convulsions
internes, il louche; - 9° une fille, huit ans,
nternes, il louche; - 9° une fille, huit ans, bien portante, pas de
convulsions
ni d'affections nerveuses; -- 10° Un garçon de
à Bicêtre. Observation XI. - Idiotie congénitale complète. Pas de
convulsions
. Congestion cérébrale à trois ans ( ? ). Parole
vent sui- vis de violences ; eczéma des mains et du corps. Pas de
convulsions
; gourmes; sujet à des migraines de 14 à 40 ans ;
eau. Intelligence tout iL fait ordinaire, mais non arriérée. Pas de
convulsions
, pas d'attaques. Mariage tardif, à 30 ans. [Père
frère mort à 3 ans, on ne snit de quoi, mais sans avoir présenté de
convulsions
. Do ses quatre soen ? 's, trois sont mortes de
mme : 11° Fille, -'2 ans, bien portante; nerveuse ; colère ; pas de
convulsions
; pas d'enfants. Sa troisième femme, la mère du
- 20 Une fille, âgée de 13 ans, bien portante; céphalalgies, pas de
convulsions
; intelligence mé- diocre; 3" Garçon, 9 ans, bie
s; intelligence mé- diocre; 3" Garçon, 9 ans, bien portant ; pas de
convulsions
; il est lourd et apprend très lentement. Not
hé à quatorze mois et a été propre vers quinze. Il n'a jamais eu de
convulsions
. Envoyé it l'Asile dès 3 ans et à l'école à 6 a
n tel degré qu'au moindre attouchement de l'œil, l'animal est pris de
convulsions
générales. Il se produit sur la cornée une opacit
e la proportion s'est élevée à 12/100 (7 cas) (i). Lepriapisme, les
convulsions
cloniquesplus ou moins inten-ses, survenant dans
aralysés, soit spontanément, soit en conséquence de provocations, les
convulsions
toniques se montrant par accès ; tous ces symptôm
Température dans la paralysie agitante. — Influence de la nature des
convulsions
(stati-ques ou dynamiques). Période terminale. —
rd et moi, dans un travail communiqué à laSociétéde biologie (1), les
convulsions
peuvent être rangées sous deux chefs : les unes s
sur la distinction qui doit être établie à ce point de vue entre les
convulsions
Ioniques et les convulsions cloniques. In Mémoi-r
être établie à ce point de vue entre les convulsions Ioniques et les
convulsions
cloniques. In Mémoi-res de la Soc. de Biologie, 1
profond survenant tout à coup. ^1 s'y adjoint, dans certains cas, des
convulsions
qui rappellent celles de l'épilepsie ordinaire, m
ral, à un côté du corps (attaques épileptiformes). D'au-tres fois,les
convulsions
font défaut [attaques apoplectiformes). Dans les
plus lard, elle s'élevaità40°. Le lende-main malgré la cessation des
convulsions
, la température était de 41 degrés et le surlende
de qui vient d'être frappé d'apoplexie,avec ou sans accompagnement de
convulsions
, de décider, rl'après la seule considération des
ste plus de quatre à cinq jours, les symptômes comateux, avec ou sans
convulsions
,apparaissent inévitablement et sont bientôtsuivis
ent datant dune attaque survenue ii y a deux jours: c'est le trismus,
convulsion
qui empêche l'alimentation natu-relle depuis ce j
mbée rapidement dans un coma plus ou moins profond, précédé ou non de
convulsions
(forme comateuse de l'hystérie"! etchez laquelle
. — La compression ovarienne comme moyen d'arrêter ou de prévenir les
convulsions
hystériques est connue depuis longtemps : son app
a'mt-Médard : Les secours. — Analogies qui existent entre l'arrêt des
convulsions
hysté-riques par la compression de l'ovaire et l'
onnaître la grande névrose pour ce qu'elle est, même en l'absence des
convulsions
. L'hémianesthésie, la paralysie, la contracture
deux poings et les appuyait de toutes ses forces sur le ventre de la
convulsion
naire, et, pour mieux faire encore, il appelait d
re de son avis, lorsque dans son livre in-titulé : Du naturalisme des
convulsions
, il prétend que les secours n'étaient autres que
ment saisi, Messieurs, les analogies qui existent entre cet arrêt des
convulsions
hystériques ou hystéro-épileptiques, déterminé pa
la compression de l'abdomen et l'arrêt qu'on obtient quelquefois des
convulsions
par la com-pression ou la ligature des membres d'
rouve la (in de cette observation et l'autopsie. très évidents. Les
convulsions
, surtout toniques, se compliquent d'accidents épi
rne les attaques elles-mêmes, elles se divisent en trois périodes: 1°
convulsions
épileptiformes, écume et stertor; — 2° puis, gran
par une aura ovarique bien caractérisée, sontmarquées d'abord par des
convulsions
épilep- tiformes et télaniformes; après quoi se
ompression de l'ovaire, chez Ler..., est presque de nul effet sur les
convulsions
(1). Cas V. — Vous connaissez déjà cette malade
e, en octobre 1868, survient une attaque très intense, accompagnée de
convulsions
et suivie 1. C'est là un accident fréquent chez
s l'observateur, témoin de ces attaques, c'est de retrouver parmi les
convulsions
cloniques de l'hystérie certains traits plus ou m
y, l'un des premiers, conviendrait à désigner ces attaques mixtes. La
convulsion
à forme épileptique y apparaîtrait comme elle app
aie, s'il y a lieu d'établir un tel rappro-chement. L'apparition de
convulsions
du type tonique est-elle donc un fait nouveau, in
àfaireintervenir l'élément épilepsie — de voir, dis-je, s'ébaucherdes
convulsions
toniques à carac-tère épileptiforme, particulière
ntau début de l'attaque; tous lesauteurssont d'accord sur cepoint.Ces
convulsions
sont parfois 1. Voir plus haut les Fig. 19, 20
le rapport des modifications imprimées à la température centrale, les
convulsions
toniques épileptiformes des hystériques diffèrent
ques épileptiformes des hystériques diffèrent en quoi que ce soit des
convulsions
de l'attaque épileptique. L'attaque hystérique to
plus qu'à l'intensité des contractions musculaires toniques, car les
convulsions
peuvent cesser com-plètement pendant plusieurs jo
ure est, dans la grande majorité descas, mêmeaprès toute cessation de
convulsions
, un indice du plus fâcheux augure ; elle s'ac-com
éger cri. Alors commence l'accès: les globes oculaires sont animés de
convulsions
très accusées (nystagmus), la face pâtit et se dé
i sont animées, ainsi que les muscles de la même moitié delà face, de
convulsions
rapides. 10 à 15 secondes plus tard, la face et
ir'ouvent et de-meurent à peu près immobiles : mais, en revanche, les
convulsions
s'emparent des paupières droites et des muscles d
ace. La bouche, primitivement tirée à gauche, est tirée à droite, Les
convulsions
cloniques, ap-parues durant cette phase et qui av
a sclérose en plaques (2), et,en-fin, dans les attaques, avec ou sans
convulsions
,qui s'observent dans les cas de foyer cérébral an
u plus haut degré d'intensité. Ainsi le 22 janvier, entre autres, les
convulsions
épileptiformes se sont succédé sans interruption
laquelle M. Charcot fait allusion. Observation. — Huit semaines de
convulsions
hystériformes à marche apy ré-tique et sans dange
t. — Revjjxyienl fâcheux et subit, sans augmen-tation d'intensité des
convulsions
. Mort au bout de quelques heuresjmèc une températ
mière fois, le 13 août 1855, soi-disant après une vive réprimande, de
convulsions
qui se répétèrent le 16 au soir et le 18 au matin
éprouva un sentiment d'angoisse, poussa un léger cri, et éprouva des
convulsions
d'abord dans la moitié gauche de la face, puis da
dans le3 extrémités inférieures et le bassin de violentes et rapides
convulsions
cloniques projetant ces parties en avant, en arri
emande qu'on ne la touche pas, parce que, au-trement, elle aurait des
convulsions
. Cependant elle serre fortement de la main gauche
ures, imposibilité d'avaler : à midi, trismus ; a 1 heure 3/4, fortes
convulsions
respectant la tête ; pouls extrêmement fréquent ;
ppement, se succèdenl avec une régularité remarqua-ble : 10 Phase des
convulsions
épileptiformes généralisées, ter-minée par une co
ans doute aussi pour résultat défaire disparaî-tre définitivement les
convulsions
rythmées. Ceci montre, Mes-sieurs, que, dans les
nus. Si nous réussissons, comme nous l'espérons, à faire cesser les
convulsions
rythmées, nous aurons délivré la malade d'ac-cide
s. M. Briquet, dans le chapitre de son traité (1), qu'il consacre aux
convulsions
sur-venant chez les hystériques hors le temps des
légère excitation des téguments sur cette zone pour faire éclater les
convulsions
. On voit souvent survenir des crampes, du tremble
m-ble le plus souvent à s'y méprendre à l'attaque d'épilepsie vraie :
convulsions
toniques, cloniques, puis stertor. Mais, malgré c
u moins brusquement, bien entendu dans les cas où Yovarie existe, les
convulsions
à quelque moment de la pé-riode épileptoïde qu'on
n de ces moyens n'a pu, non seulement enrayer, mais même atténuer les
convulsions
de l'épilepsie vraie. Il y a lieu de diviser cett
mies, les principaux caractè-res sur lesquels nous avons insisté. Les
convulsions
épileptoïdes sont presque constantes, etnettement
que d'hystérie vulgaire, le passage suivant a manifestement trait aux
convulsions
épileptiformes cle la première période : « La f
temps de l'accès que nous venons de signaler est très court, et des
convulsions
plus ou moins générales (2e pé-riode) succèdent i
de M. Bernutz se rapproche beaucoup de celle de M. Briquet ; « Ces
convulsions
qui ont, lorsqu'elles sont types, une physio-nomi
passions de l'âme, et celle de toutes les sensations. » Pendant les
convulsions
, les malades sont souvent prises d'un délire plus
uet s'exprime comme il suit : « Après avoir duré quelque temps, les
convulsions
cessent... la connaissance revient, mais à peine
moyens usités pour modifier l'attaque d'hystérie fait disparaître ces
convulsions
si effrayantes et vient affirmer la nature hystér
t précédées par les préludes ordinaires des attaques de spasmes ou de
convulsions
hysté-riques, de sorte que l'extase n'est qu'un d
ez les malades qui font l'objet de ces observations, par de violentes
convulsions
hys-tériques. Souvent aussi, la catalepsie ou le
Température dans la paralysie agitante. — Influence de la nature des
convulsions
(stati-ques ou dynamiques). Période terminale. —
. — La compression ovarienne comme moyen d'arrêter ou de prévenir les
convulsions
hystériques est connue depuis longtemps : son app
aint-Médard : Les secours. — Analogies qui existent entre l'arrêt des
convulsions
hysté-riques par la compression de l'ovaire et l'
sionnaires, 303, 394. — Dé-moniaques, 343, 455, 356. (V. Se-cours).
Convulsions
(Arrêt des) chez les hystériques par la compressi
mme âgé de trente-quatre ans. - Antécédents héréditaires nerveux. -
Convulsions
dans l'enfance. - A l'âge de dix-huit ans hémip
aternels seraient morts paralysés. Antécédents personnels. k eu des
convulsions
étant enfant. Masturbation de très bonne heure.
res ou conscients dans des formes psychopathiques où il n'existe ni
convulsions
, ni paralysies, ni ataxies. L'auteur passe en r
tical lui-même). P. K. XXXVIII. Un cas DE folie aiguë MORTELLE avec
CONVULSIONS
localisées; par S. LÉvy '(AlLg. Zeitschr. f. Ps
rompues il y a réplétion des vaisseaux de la pie-mère, de violentes
convulsions
, crampes dans le museau; les oreilles, la queue
joue droite. Le 10, parésie faciale droite. Le 14, trismus. Le 20,
convulsions
tétaniques. Le 21, légère torsion de la face à
travers ses dents serrées. Tout autre examen est impossible. Pas de
convulsions
pharyngo-oesophagiennes. En même temps que cett
el, malgré l'existence d'une paralysie faciale grave, il y a eu des
convulsions
. La plupart des observateurs, en présence de té
analyserons alois. 116 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'opinion de W. Sander (
convulsion
des vaisseaux spinaux d'après les expériences d
psychique et nerveuse; affaiblissement mental et nerveux. Aucune
convulsion
, mais accès de céphalalgie. Depuis longtemps il s
rvation II. Idiotie. Gonflements anormaux de la région cervicale. -
Convulsions
. Mort. Autopsie. Composition des gonflements ce
de quelque temps après, refusa toute nourriture, et mourut dans les
convulsions
le 7 décembre 1849. Autopsie. Le cerveau ne pré
aille élevée, peu in- telligent, employé aux chemins de fer, pas de
convulsions
, a des migraines; - : 1° notre malade; - 3° une
randissant pas, peu intelligente, n'a marché qu'à trois ans, pas de
convulsions
, a pissé au lit jusqu'à neuf ans et y pisse encor
l'intermédiaire de la cavité arachnoïdienne. P. K. XVII. Un cas de
convulsions
réflexes statiques ; par A. I : RLE\llE1'b : R.
. I : RLE\llE1'b : R. (Ceiiti-albl. f. \'erverlheilk., 1885.) Les
convulsions
réflexes statiques sont celles qui surviennent à
saires a certains actes d'ensemble. Bien différentes sont-elles des
convulsions
professionnelles coordonnées qui se manifestent,
ment total, sur des muscles surmenés desquels part l'irritation. La
convulsion
statique part dès l'abord du centre; tantôt ton
laires antagonistes, voire d'un domaine étendu. Les formes pures de
convulsions
statiques sont relative- ment rares. L'exemple
um et l'extension forcée du genou gauche par lequel avait débuté la
convulsion
(rétraction des tendons des triceps, semitendin
er, perte des réflexes, analgésie. Pendant les deux derniers jours,
convulsions
cloniques de la face et des extrémités du côté
connaissance et' fièvre, coma, envahissement du côté gauche par les
convulsions
. Mort après trois semaines de maladie avérée. L
de la localisation de l'atrophie (voir le mémoire), de l'absence de
convulsions
fibrillaires et de réaction dégénérative. Il es
matoire de la lésion se manifestant cliniquement par la fièvre, les
convulsions
et le coma. A l'autopsie on trouve dissé- minés
à peines perceptibles déchaînent à la fermeture des deux pôles des
convulsions
lentes, persistantes, transformant le muscle en
de l'apathie, de la faiblesse accentuée des membres inférieurs, des
convulsions
généralisées l'empêchant de boire et de manger
umeur probable, quoi qu'il n'existe ni accidents épileptiformes, ni
convulsions
quelcon- ques, ni papille étranglée. L'absence
points de repère satisfaisants ; tel est l'avis de l'auteur. II.
Convulsions
dans le territoire du facial droit. Aphasie amn
ne plus pouvoir s'exprimer et à grimacer. Puis, s'installent des
convulsions
clomques de la moitié droite de la face affectant
lui sont néces- saires pour émettre ses,idées.Le troisième jour des
convulsions
, les accidents, qui ont débuté par le facial in
nes 7, 8, 11 d'Exner, et le centre 11 de la première temporale. Les
convulsions
générales du dernier jour sont dues à la méning
à la méningite récente généralisée. III. Tétanie. Observation de
convulsions
toniques symé- triques des extrémités survenant
l'hôpital en octobre 1885. Aucune ten- dance nerveuse héréditaire.
Convulsions
à la première denti- tion. A six ans, il entra
sement, de la fatigue musculaire, et même parfois l'exagération des
convulsions
. Le nombre des remèdes proposés pour les rempla
arie en Russie, a commencé à souffrir d'accès de défaillances et de
convulsions
générales. Du 12/2'k novem- bre au 22 décembre
on- vulsions. Les médecins de service ont pu noter trois accès de
convulsions
du caractère suivant : le malade commence à se
té et l'hétérogénéité des attaques ner- veuses ; ce sont tantôt des
convulsions
, tantôt des symptômes de sténocardie, tantôt de
ne paraît et disparaît sans avoir de cause; il en est de même des
convulsions
; 3° certains dérangements por- taient le caract
° certains dérangements por- taient le caractère de l'hystérie; les
convulsions
, par exemple, se manifestaient sans perdre conn
est pris d'une attaque de vives douleurs dans le dos et de fortes
convulsions
dans les jambes et le bras gauche. Les mêmes cr
ement jusqu'au mois de novembre. Le li te novembre, on constate des
convulsions
toniques de tout le corps, le dos courbé en arr
sie gauche. Il était possible de pro- voquer à volonté les accès de
convulsions
: il suffisait, pour cela, de faire passer un c
s cautérisations au moyen de l'appareil de Paquelin, on amena les
convulsions
toniques, accompagnées d'une perte de connaissa
u'on entonnait l'hymne chérubique, il poussait des cris, tombait en
convulsions
et perdait connaissance. Cela ne dura, du reste
ers ; la mutité s'était alors développée aussi après une attaque de
convulsions
. L'automne précédent, il avait eu aussi de ces
e que quatre serviteurs ont de la peine à le contenir. L'attaque de
convulsions
dura une couple de minutes, après quoi la jambe
de toute sa famille, il n'a qu'une soeur de neuf ans sujette à ces
convulsions
. 11 n'a jamais fait aucun excès de boisson et n
8/20 janvier. Ce jour-là, à six heures du soir, nouvelle attaque de
convulsions
. Le lende- main matin, je lui trouve une anesth
à trois heures de relevée, on amène F... en proie à une attaque de
convulsions
, qui durèrent tout le reste du jour et toute la
valer de l'eau; il crache quand on tente de lui donner à boire. Des
convulsions
continuelles présentent un tel carac- tère : de
qui se fléchissent à toutes les articulations. Pendant les accès de
convulsions
toniques, il pousse des sons inarticulés; il ép
des hallucinations. Une hyperesthésie cutanée de tout le corps; les
convulsions
durent jusqu'à une heure de l'après-midi, mais
sur le sol et balancent les bras en les écartant du torse. 8. Les
convulsions
sous la forme de tiraillements de différents me
us en deux groupes : le premier renfermera les accès accompagnés de
convulsions
hystéro-épilep- tiques, où le diagnostic est ex
quinze mois, la nourrice était devenue tuberculeuse, n'a pas eu de
convulsions
; 3° notre ma- lude; 3° fille, bien développée,
.), et la mère soupçonne qu'il il aurait eu à cette époque quelques
convulsions
. Quoi qu'il en soit, elle le reprit chez elle e
ent, et rarement sorti dehors. Bien qu'aucune nouvelle atta- que de
convulsions
ne soit survenue, néanmoins, la parole n'avait
e la maladie son séjour jusqu'à un an,danswn loge- ment humide, les
convulsions
( ? ) et la chute qu'il aurait faite vers quinz
né; tante maternelle rachi- tique. Carie lombaire à cinq mois, puis
convulsions
jusqu'à onze mois; affaiblissement physique et
-Ni goitreux ni cré- tins. - Deux soeurs du malade mortes jeunes de
convulsions
. Conception à quarante et un ans; dentition tar
de convulsions. Conception à quarante et un ans; dentition tardive;
convulsions
générales quotidiennes de onze mois à quatre an
la mer, et où n'existent ni goitreux, ni crétins. Il n'a pas eu de
convulsions
dans l'enfance; il a éprouvé parfois des céphal
ménopause est arrivée à cinquante et un ans sans accidents. Pas de
convulsions
, pas d'attaques de nerfs, pas de névralgies, pa
garçon bien conformé, né à terme, mort à six mois, en nourrice, de
convulsions
; 2° fille, née à terme, bien conformée, intelli
le, née à terme, bien conformée, intelligente, morte à trois ans de
convulsions
; 3° fille mort-née à terme (présentation des pi
'est quelques jours après qu'il survint, pour la première fois, des
convulsions
générales qui durèrent deux à trois heures. A p
u'à quatre ans, il a eu presque quotidiennement, aosure-t-on, des
convulsions
générales analogues, d'une durée d'une à deux h
ut complète en trois jours) produit des troubles nerveux généraux :
convulsions
, paralysie fonctionnelle, hébétude mentale et e
au, 210. Congrès des naturalistes et mé- decins allemands, 401.
Convulsions
réflexes statiques, 210. Corps calleux (fonct
rs été très ner- veuse. Elle a eu trois enfants, dont deux morts de
convulsions
. L'aînée vit ; c'est une petite fille de treize
rlenmeyer. Dans son travail, l'au- teur différencie, sous le nom de
convulsions
statiques (Statische reflexlcra.nap fe, les con
s le nom de convulsions statiques (Statische reflexlcra.nap fe, les
convulsions
qui sont mises en jeu par les mouvements de loc
on ne repose que sur des considérations d'une valeur discutable. La
convulsion
statique est relative seulement aux mouvements
que est relative seulement aux mouvements du corps, tandis que la
convulsion
fonctionnelle ne concerne pas le corps; de plus
ble en- gendrer l'un et l'autre trouble, serait primitive lors de
convulsion
statique, secondaire lors de convulsion fonctio
e, serait primitive lors de convulsion statique, secondaire lors de
convulsion
fonctionnelle. Erlenmeyer rapproche les convuls
condaire lors de convulsion fonctionnelle. Erlenmeyer rapproche les
convulsions
statiques de la forme décrite par Bamberger sou
enfant, venue à terme, a eu une dentition difficile, accompagnée de
convulsions
. A l'âge de deux ans et demi, elle eut une fièv
de deux ans et demi, elle eut une fièvre typhoïde accompagnée de
convulsions
. A l'âge de cinq ans, elle se plaignait fréquemme
est prise brusquement de perte de la parole avec incons- cience et
convulsions
. Cinq semaines après, se développe la para- plé
a rue et resta plusieurs minutes sans connaissance; il n'eut pas de
convulsions
. On dut l'aider à rentrer chez lui et on le couch
trois oncles mater- nels migraineux. - Cinq frères morts jeunes de
convulsions
. - En fant adultérin. Convulsions à dix mois.
. - Cinq frères morts jeunes de convulsions. - En fant adultérin.
Convulsions
à dix mois. - Début à sept ans à la suite d'une
venant, il a marché et parlé de bonne heure. A dix mois, il eut des
convulsions
sans cause connue et sans troubles physiques et
e tourne à droite, le bras et la jambe correspondant sont animés de
convulsions
cloniques qui se répètent quatre ou cinq fois ;
a plus grave. « A l'agitation nerveuse la plus intense, dit-il, aux
convulsions
les plus violentes, succède le trouble le plus
tte hyperexcita- bilité musculaire qu'il est logique d'attribuer la
convulsion
des yeux en haut qui se produit aussitôt qu'on
p. 416), le sommeil hystérique n'arrive qu'à la fin des attaques de
convulsions
. » « Le sommeil hystérique, dit M. Charcot ', e
les psychoses aiguës sous la forme de semi-rigidités ou de semi-
convulsions
musculaires revêtant l'aspect d'accès n'ayant r
quent bien localisées. Ces rigidités, mouve- ments irrésistibles ou
convulsions
seuls ou associés, de courte durée, qui n'ont r
aque épileptiforme débutant par la rotation de la tète à droite, et
convulsions
de la moitié droite delà face et des deux extré
fant de six mois pris soudain pendant la nuit de vomissements et de
convulsions
du côté droit, nuque indemne. Les con- vulsions
. Enfant issu d'une mère nerveuse. Il est, en pleine santé, pris de
convulsions
qui portent sur le côté droit et se renouvellent
Psych. XI, VIII)1, caractérisés par des troubles intellectuels, des
convulsions
épileptiformes, la lésion des cordons postérieu
ombé; il y a eu de nombreuses récidives; deux présentent encore des
convulsions
épileptiformes, douze sont atteints de la- cune
tions passagères du sensorium, de l'hémianopsie, de l'aphasie, des
convulsions
occupant la moitié droite de la face, une sensa-
cas même, des extrémités gauches, de la perte de connaissance, des
convulsions
généralisées, etc... La dyslexie occuperait, d'
Folie instinctive; Folie des actes; Délire; Dé- mense; Dyhsomatie;
Convulsions
; Convulsions de l'enfance; Manie congestive (18
ctive; Folie des actes; Délire; Dé- mense; Dyhsomatie; Convulsions;
Convulsions
de l'enfance; Manie congestive (1880) : Manie a
s facile avec l'affection dé- crite par M. Bamberger sous le nom de
convulsion
réflexe saltatoire (Saltatorisch Reflexkrampf).
euse. nous occupe de celle qu'a décrite Erlenmeyer sous le nom de
convulsion
statique, si l'on s'en tenait à l'ob- servation
d ne dé- terminent le phénomène. On différenciera enfin les rares
convulsions
fonc- tionnelles dont sont passibles les membre
deux mois et demi ; 3° garçon, cinq ans, intelligent, n'a pas eu de
convulsions
. Notre malade. A la conception qui a eu lieu pe
ait intelligent. - Sa santé a été bonne jusqu'à onze ans; jamais de
convulsions
. A onze ans, la nuit, indigestion ( ? ) à la su
viol. - Grande différence d'âge entre les père et mère. - Premières
convulsions
Ii six mois. - De quinze mois ri quatre ans, ve
ite. - Asphyxie a la naissance'. - Marche et parole à quatre ans. -
Convulsions
à treize mois. - Incontinence nocturne d'urine
x congestions dans la famille paternelle. - Oncle paternel, mort de
convulsions
. - Tante paternelle, attaques de nerfs tt insuf
ternelle. Un frère, une 1>(1HlI', une cousine geimaine, morts de
convulsions
. Premières convulsions à six semaines portant e
>(1HlI', une cousine geimaine, morts de convulsions. Premières
convulsions
à six semaines portant exclusivement sur le côt
E. Observation XLIII. -Père, mort plzllhisique. Un frère, mort de
convulsions
.- Un autre : hémiplégie gauche non infantile.- Pe
elle hystérique. - Une tante maternelle phthisique. Soeur, morte de
convulsions
. - Gémellarité. , Premières convulsions a treiz
phthisique. Soeur, morte de convulsions. - Gémellarité. , Premières
convulsions
a treize mois. Début des accès à vingt- deux an
ort phthisique. - Grand-père maternel alcoolique. - Frère mort de
convulsions
. - Autre frère, convulsions et tumeurs blttliches
re maternel alcoolique. - Frère mort de convulsions. - Autre frère,
convulsions
et tumeurs blttliches. - Première dent « sept m
Ça y est » ; durée : deux minutes ; mais si à la suite, il y a des
convulsions
, cela dure plus longtemps ; il s'affaisse, les
re maternelle, mélancolie, idées de persécution. - Né avant terme :
convulsions
ri vingt-deux mois, début de l'épilepsie ci tro
. 17 -2oS REVUE CRITIQUE. et la verbigération seraient dues à une
convulsion
clonique, le mutisme serait dû, au contraire, à
une convulsion clonique, le mutisme serait dû, au contraire, à une
convulsion
to- nique. Assez souvent pendant la stupeur i
cireuse des membres; on peut trouver aussi et dès le début > des
convulsions
choréiformes, épileptiformes, tétaniformes ; du
lsions choréiformes, épileptiformes, tétaniformes ; du trismus, des
convulsions
généralisées ou partielles. Les convulsions, cl
mes ; du trismus, des convulsions généralisées ou partielles. Les
convulsions
, cloniques ou toniques, doivent être mises sur le
t en somme facile, et voici ce qu'en dit Kahlbaum : Un cas isolé de
convulsions
considéré comme épilepsie, éclampsie, apoplexie
ent. Ces deux phénomènes : frémissement vibratoire des paupières et
convulsion
des globes oculaires s'observent éga- lement et
veux et des hoquets, puis des palpitations qui ont terminé avec des
convulsions
; ensuite la léthargie s'est déclarée; elle a du
la durée absolue comprend la période de sommeil comprise entre deux
convulsions
, car. en somme, lorsqu'il survient une crise, o
lire chronique reconnue par AI. Magnan, chez un malade ayant eu des
convulsions
de Archives, t. XV. 20 306 sociétés savantes.
ssive. Telle demeura la situation jusqu'au 25 mai ; à cette époque,
convulsions
cloniques dans le bras droit et la moitié droit
ce, avaient eu d'autres acci- dents nerveux, tels que des tics, des
convulsions
, des névralgies, des migraines, etc. En ville,
rée ; l'autre enfant, âgé de cinq ans, a déjà eu plusieurs fois des
convulsions
. Il y a deux mois environ, elle a été prise bru
la suite de maladies ner- veuses ( ? ). Antécédents personnels :
Convulsions
dans l'enfance. D... a eu, à plusieurs reprises
personnels : Rougeole et varicelle dans l'enfance, n'a jamais eu de
convulsions
. Depuis deux ans,poussées d'eczéma à la jambe g
e a toujours été très impressionnable, quelle s'emporte facilement;
convulsions
dans l'enfance, névralgies faciales fréquentes.
'est terminée par la guérison. Antécédents personnels : Rougeole et
convulsions
dans l'enfance. D... nous affirme qu'il a toujo
mêmes, nous rencontrons encore la chorée, puis les migraines, les
convulsions
, le tic convulsif, nous nous trouvons en face d
on le mit à l'école où il apprenait bien. Il n'aurait jamais eu de
convulsions
. Les vertiges auraient débuté dès l'âge de cinq
e la règle, se présentant sous forme de secousses, de crampes, de
convulsions
. Nous avons eu encore récemment l'occasion d'ob
de la parole; il en serait de même du mutisme, qui serait dû à une
convulsion
tonique, à l'inverse de la verbigération, due à
une convulsion tonique, à l'inverse de la verbigération, due à une
convulsion
clonique. De même encore les gestes stéréotypés
tives, soit dans les psychoses postépileptiques. Telles les petites
convulsions
cloniques, fibrillaires, limitées, atteignant au
eprises, attaques épilepti- formes avec trouble de la connaissance (
convulsions
cloniques du côté paralysé) ; ces convulsions i
e de la connaissance (convulsions cloniques du côté paralysé) ; ces
convulsions
irradient au côté gauche de la face et l'on con
de l'admission, le pathétique droit est parésié; l'oeil est pris de
convulsions
nyslagmiformes quand il arrive à l'extrémité la
voltige et d'un appareil d'Esmarch). Il traite enfin d'une forme de
convulsion
musculaire idiopathique, rappelant le tétanos,
igine centro-ovalaire; 3° si l'on prolonge l'action, on obtient une
convulsion
épileptiforme et des réactions orga- niques. C'
ue dent qui perçait, elle était à la mort; pourtant elle n'eut pas de
convulsions
; ses dents venaient toutes gâtées. A 3 ans et dem
r, en dinant, elle repoussa brusquement son assiette, et fut prise de
convulsions
. Le lendemain, comme on lui demandait pourquoi el
bes oculaires sont dirigés en haut et à droite, qu'ils sont animés de
convulsions
rapides et que les pupilles sont davantage dilaté
orcismes et la Supérieure commença aussi à être travaillée de grandes
convulsions
, à peu près semblables à celles du matin, hormis
s, le ventre se ballonne démesurément (1). Période de délire. — Aux
convulsions
succèdent des phénomènes délirants : L... divague
rappellent la plupart des caractères assi gnés par les auteurs aux
convulsions
des possédées, justifient tout à fait le nom (Yat
es se livraient les prêtres et les moines, c'était la variabilité des
convulsions
, les attitudes effrayantes que prenaient les malh
qu'il avait déjà fait, mit le corps de la Prieure dans une effroyable
convulsion
, tirant une langue horriblement difforme, noirâtr
nt leurs cris » et leurs rages, avec des désespoirs nompareils, des »
convulsions
fort étranges, et toutes différentes ; per-» sist
impressionnable; — 3° Madeleine; — 4° un garçon mort à un an dans les
convulsions
. Jusqu'à 8 ans, la santé de Madeleine aurait ét
tées. La bouche est fermée (Période tonique). — Surviennent alors des
convulsions
rapides des muscles frontaux et sourciliers ; les
ucifier étaient des hystériques. Nous en avons la preuve, et dans les
convulsions
dont elles étaient atteintes, et dans le récit qu
t foi le passage suivant, emprunté à son livre sur le Naturalisme des
convulsions
, pas sage que nous reproduisons malgré ses inco
a nuit. Le lendemain, on la mena à l'Hôtel-Dieu où sa fille mourut de
convulsions
: elle était âgée de six semaines. Geneviève assu
e vient battre violemment l'oreiller. 3° Période de délire. — Les i
convulsions
cloniques ont j cessé et sont remplacées par I du
elle s'enfuit jusqu'à l'infirmerie générale où éclatent de nouvelles
convulsions
que M. Charcot arrête par la compression ovarienn
essaire pour avoir l'épreuve était-il écoulé, que G.-, était prise de
convulsions
. 6 avril. — Nous venons d'indiquer les modifica
ents rapides, les muscles des joues et des lèvres sont agités par des
convulsions
incessantes. b) Période épileptoïdc.—Alors comm
usquement. Puis, la scène change : mouvements de déglutition, pâleur,
convulsions
de la face ; extension suivie de flexion de la tè
is il survient de l'écume à la bouche. A ces phénomènes succèdent des
convulsions
'grimaces) de la face prédominant à gauche ; une
re visite une malade en accès, elle n'ait, elle aussi, plus tard, des
convulsions
. A un moment, elle mord son bras droit avec une v
'une manière indécente et redoublée le bas-ventre dans leurs accès de
convulsions
. » (Hecquet. — Le naturalisme des convulsions, t.
tre dans leurs accès de convulsions. » (Hecquet. — Le naturalisme des
convulsions
, t. ii, p. 49). là d'un accident qui, s'il est
eorises. M. Briquet ne les décrit pas dans ses articles consacrés aux
convulsions
, à la contracture et aux spasmes. Lan-douzy ne le
ète et hyperesthésie ovarienne du côté droit. — Autres caractères des
convulsions
: Lubricité- — Crises cardiaques. — Cautérisation
reste que Célina. Les autres sont morts en nourrice, quelques-uns des
convulsions
. — Des huit enfants du second lit, deux sont viva
e, sueurs, congestion de la face. Deux fois, nous avons observé des
convulsions
des muscles de l'abdomen, convulsions très-courte
ux fois, nous avons observé des convulsions des muscles de l'abdomen,
convulsions
très-courtes et très-rapprochées. Selon les phase
hases, la respiration est lente ou précipitée. Nous n'avons pas vu de
convulsions
cloniques, sauf celles des muscles du ventre et q
les lèvres. (Pl. XXVI et XXVII.) A cette phase, succèdent les grandes
convulsions
eloni-ques : La malade soulève la tête et le tron
s de la motilité, contractions, crampes, etc., disparaissent avec les
convulsions
. f) Nous ne ferons que rappeler, pour le moment
des cris à la malade. Il s'y joignait aussi de la photophobie et des
convulsions
des paupières. Nous devons ajouter que, suivant l
onfler si étrangement le ventre des hystériques.» (Du naturalisme des
convulsions
, etc., 1733, t. I, p. 60.) Ceci reproduit à titre
Remarquez toutefois, je vous prie, qu'il y a des mo-noplégies et des
convulsions
monoplégiques en dehors de celles qui relèvent d'
deux fois par mois environ. Retenez bien ce fait, qu'à l'origine, ces
convulsions
monoplégiques crurales ne tardaient pas à se géné
évolutions, elle rentre, se couche et termine la scène par de grandes
convulsions
. Dans d'autres crises somnambuliques, toujours
taient et elle tomba sans connaissance. Pendant 1 h. 1/4 elle eut des
convulsions
, des grands mouvements, interrompus de temps en t
lle elle imitait le chat. 2° Des attaques de délire, non précédées de
convulsions
, constituées uniquement par la phase de délire ga
es qui n'ont pas laissé de traces et sont assez anciens. Il n'a eu ni
convulsions
, ni chorée, ni rhumatisme. Il y a huit mois envir
nsi qu'on le verra plus loin. Jamais d'attaques de nerfs simples avec
convulsions
, jamais de pertes de connaissance. Le sommeil e
al? En voilà un drôle de système! » A ce moment, il esquisse quelques
convulsions
et ébauche un petit arc de cercle. Aussitôt après
i, au début du séjour à l'hôpital,n'étaient caractérisées que par des
convulsions
, s'accompagnèrent plus tard d'une phase d'attitud
thésie locale correspondante (contracture hystérique). Elle a. eu des
convulsions
dans son enfance (1). Antécédents personnels. —
depuis 35 ans. Elle a marché et parlé de bonne heure ; n'a pas eu de
convulsions
. Elle se montrait déjà nerveuse dans son enfance,
ère grande attaque hystéro-épileptique (perte de connaissance, chute,
convulsions
) qui dura environ 1/4 d'heure. Dans les premiers
endre. Elle ressentait tous les phénomènes de l'aura, puis tombait en
convulsions
. Tout d'abord on assistait à la phase épileptoïde
pilon qui s'adapte au genou. Pendant son enfance, Poig... a eu des
convulsions
et on a parlé de méningite. Depuis lors il fut bi
fait rapidement, en quelques minutes, d'une manière insensible, sans
convulsions
, sans crises. » Et cependant nous voyons noté che
ux ou trois heures, il se débattit, se roulant sur le plancher et ces
convulsions
étaient entrecoupées de périodes d'assoupissement
en ramenant aussi la malade à l'état de veille, au milieu de quelques
convulsions
représentant un rudiment d'attaque. Il en était d
nation. Enfin elle est passée dans cet état d'hypnose sans la moindre
convulsion
. On pourra même, dans certains cas, comparer ce
se. Sa sœur a des enfants qui sont très nerveux. Elle-même a eu des
convulsions
pendant son enfance; élevée chez les sœurs à Pers
jamais fait partie et qu'on ne saurait lui rapporter. Par exemple les
convulsions
, les grands mouvements, l'arc de cercle de la sec
Ce furent d'abord des attaques de nerfs avec perte de connaissance,
convulsions
, pendant lesquelles elle se renversait en arrière
typique avec cris, grands mouvements, arcs de cercle, etc.. Quand les
convulsions
cessent, elle est en état A, paraplégique, et ne
s pousser plus loin mes investigations : subviennent un cri, quelques
convulsions
et lama lade redevient telle que nous la connai
euse et avait trop mauvaise tête. » Pendant son enfance, elle eut des
convulsions
et fut sujette à de violentes crises gastralgique
rite D..., le passage provoqué se fait par l'intermédiaire de petites
convulsions
d'assez longue durée pour qu'on ne puisse les lai
à l'état second, retour à l'état prime se font par l'intermédiaire de
convulsions
manifestement hystériques. En d'autres termes :
résence d'une attaque marquée à son début et à sa terminaison par des
convulsions
, (1) Gilles de la Tourette. — L'hypnotisme et l
t marqué par des aboiements qui ne sont autre chose que de véritables
convulsions
. Le sujet de M. Vizioli tombe dans l'état vigil
cédents héréditaires nerveux. Début dans l'enfance par des accès de
convulsions
qui n'ont jamais cessé. De 11 à 17 ans, les accès
nt revêtu la forme procursive. Accès caractéristique : cri, pâleur,
convulsions
prédominant à droite, morsure de la langue. Durée
rvation III. Laf... Baptiste, 22 ans, tailleur. Un frère a eu des
convulsions
dans l'enfance. A uriné quelquefois au lit jusq
issance. Observation IV. Lin... Gabrielle, 29 ans, blanchisseuse.
Convulsions
dans l'enfance. Début à l'âge de 13 ans, à la s
e de violence. Observation V. Pott... Louise, 24 ans, couturière.
Convulsions
dans l'enfance. Début à l'âge de 8 ans par un a
ans, tailleuse. Père mort d'une paralysie (?) ayant duré 20 ans.
Convulsions
dans l'enfance. N'a marché et parlé que vers 3 an
que, délirante, plaeée à Villejuif, sur certificat de l'un de nous.
Convulsions
dans l'enfance. Début à l'âge de 14 ans. Pendan
pas encore réglée. Observation IX. Del... Charlotte, couturière.
Convulsions
dans l'enfance, pendant la première dentition. Ém
nditions. Observation X. Lév... Georges, 16 ans. Mère nerveuse.
Convulsions
dans l'enfance. A l'âge de 10 ans, il reçut dans
ation XVII. Roll... Ernestine, 40 ans, couturière. Père diabétique.
Convulsions
dans l'enfance. Début vers 18 ans, pendant les
rir à ce moment pendant sa grossesse. Un frère mort dans l'enfance de
convulsions
Début à l'âge de deux ans. Accès d'abord noctur
jette à des « faiblesses de cœur » (syncopes, attaques de nerfs??).
Convulsions
dans l'enfance. Strabisme interne de l'œil droit.
h... Pauline, 32 ans. Père alcoolique, atteint de crises convulsives.
Convulsions
dans l'enfance. Début à l'âge de 7 ans, par des
une affection cardiaque. Deux frères et une sœur nerveux et violents.
Convulsions
dans l'enfance. Début à 13 ans par de simples a
confuses). Observation XXXII. Lam... Lucie, 30 ans, brunisseuse.
Convulsions
dans l'enfance. Début à 11 ans par des accès de
ntes (vision de bêtes féroces qui se jettent sur elle); enfin cris et
convulsions
des bras. Le3 accès de petit mal sont précédés
es antécédents héréditaires qu'un frère mort en bas âge h la suite de
convulsions
. Début à 17 ans par un grand accès. Pendant les
'ordre alphabétique. NOM sexe age antécédents héréditaires.
convulsions
dans l'enfance. cause provocatrice. age du
aralytique. * Mère suicidée. Père buveur. Famille nerveuse. » » »
Convulsions
chez un neveu. Sœur paraplégique. Méningite chez
euse. Grand-père alcoolique. » Père alcool., attaques dé nerfs.
Convulsions
chez un frère. Père alcool., attaques de nerfs. P
ulsions chez un frère. Père alcool., attaques de nerfs. Père nerveux.
Convulsions
chez un frère. » Père alcoolique. Mère nerveuse
ines épileptiques. » i Père alcoolique. | Fils choréique. » »
Convulsions
chez la mère. » » Grand-mère épileptique. » P
........ 177 Epilepsie Jacksonnienne d'origine non déterminée. 16
Convulsions
de l'enfance.......... 5 Paralysie agitante....
K... L'épilepsie saturnine peut être, il est vrai, constituée par des
convulsions
partielles affectant la face et un côté du corps,
urnine, il semble bien que chez K... la face n'a jamais participé aux
convulsions
. Enfin, voici un dernier argument que je crois pu
pilepsie ne récidive pas. Or, notre malade qui a commencé à avoir des
convulsions
, il y a de cela 18 mois, vit encore, et son état
qui serait bien peu vraisemblable. Quelle est donc la nature de ces
convulsions
, si elles ne sont imputables ni au saturnisme, ni
ore une hypothèse que l'on pourrait émettre. On pourrait dire que les
convulsions
dépendent de l'hystérie et que l'anesthésie doit
t, le matin, assis près de son lit, lorsqu'il fut pris tout à coup de
convulsions
générales, mais manifestes surtout du côté droit
Le malade fut renversé, et il fallut le replacer dans son lit, où les
convulsions
persistèrent encore pendant quelque temps. Il fal
flexion, que le côté droit du corps était principalement le siège des
convulsions
. Cette attaque convulsive ne s'est pas reproduite
rchant.) Antécédents personnels. — Le malade lui-même aurait eu des
convulsions
dans son enfance. A 17 ans, pendant la guerre,
avec aura partant de l'aine droite, céphalalgie, constriction du cou,
convulsions
toniques, puis mouvements de salutation, arc de c
mblablement ataxique, mère hystérique ; le malade lui-même atteint de
convulsions
dans l'enfance. Le rôle de l'alcoolisme a été de
- mènes suivants : chute, morsure à la langue, écume à la bouche,
convulsions
toniques prédominant à droite, émission des uri
ler jusqu'à un véritable délire maniaque et chez l'enfant jusqu'aux
convulsions
. En même temps, survient cette espèce de dyspné
hez l'enfant, par exemple, on constate assez souvent l'existence de
convulsions
(Leroux), qui manquent d'habitude chez l'adulte
les dilatées en général. Le ma- lade s'éteint ainsi peu à peu, sans
convulsions
, en faisant de temps à autre de longues et prof
eprises, le dernier jour, il se produisit de véritables attaques de
convulsions
généralisées. Eu même temps que la gravité de l
e renfermant plus que des traces de sucre, cette femme fut prise de
convulsions
toniques des bras et des jambes. Ces convulsion
femme fut prise de convulsions toniques des bras et des jambes. Ces
convulsions
survenaient par crises qui ne du- raient guère
ivant, les troubles de la sensibilité augmentent, il se produit des
convulsions
clo- niques ininterrompues dans les muscles des
s opiniâtres de l'hystérie, que celle-ci se traduise ou non par des
convulsions
. Nous ferons remarquer à MM. Thoînseiz et Oppen
ture épileptique, car elles s'accompagnaient au début de quel- ques
convulsions
localisées à la face. A l'autopsie, on trouva une
ment de cause particulière. Stade initial : fièvre, vomisse- ments,
convulsions
, pouvant d'ailleurs n'être uue faiblement marqu
ts de Sainte-Anne. Ces petits malades ont tous deux été atteints de
convulsions
cloniques, d'al- lures différentes suivant l'ét
diminué. Un garçon de dix ans était en proie à des alternatives de
convulsions
inspiratoires et expiratoires avec co-participa
notablement plus rares. Une fillette de huit ans mani- festait des
convulsions
choréiquesqui, comme on sait, augmentent notoir
voir avec la chorée. L'association aux mouvements respiratoires de
convulsions
pathologiques plaide en faveur de l'existence d'u
aration de la moelle et du cerveau, aurait continué à présenter des
convulsions
soi-disant choréiques. Abstraction faite de cet
e; pas de symp- tômes oculaires ni moteurs. A la fin de mars fortes
convulsions
revenant fréquemment et constituant le principa
: mère, cinquante-quatre ans, mariée à vingt, eut, en enfance, des
convulsions
externes par entozoaires; jusqu'à trente-six an
air. Grand'mère paternelle, d'un caractère fort variable, eut des
convulsions
épileptiformes par hémorrhagie cérébrale, et meur
partie antérieure de la tête. ~~ Antécédents personnels : pas de
convulsions
en enfance ; à treize mois, fièvres paludéennes
urine inconsciemment dans son lit, elle se mord la langue et a des
convulsions
. En revenant à l'état normal, ou, après avoir p
et veutprendre un remède calmant; la malade venait d'être prise de
convulsions
et était inconsciente ; ces dernières sont reve
rapidement, la figure, les membres, surtout les gauches, entrent en
convulsions
cloniques, le membre supérieur gauche se plaçant
se montre aux lèvres. Au bout de quarante à cinquante secondes, les
convulsions
s'effacent peu à peu pour être substi- tuées pa
ion plus ou moins accusée entre le grand mal et le petit mal où les
convulsions
sont insigni- fiantes quand elles existent et o
quand elles existent et où prédominent des symptômes autres que les
convulsions
. Nous nous rappelons que la première attaque de
nne le compte rendu d'un cas de folie aiguë mortelle accompagnée de
convulsions
localisées. Une jeune fille de dix-neuf ans, ju
du pouls. Dès le septième jour, coma complet; c'est à peine si les
convulsions
de la face et du bras du côté gauche présentent
les cris, évacuation involontaire de l'urine. Le neuvième jour, les
convulsions
s'étendent de temps à autre à toutes les extrém
gné d'un faible trouble de la con- naissance, l'absence complète de
convulsions
oesophagiennes, l'explosion de convulsions bien
e, l'absence complète de convulsions oesophagiennes, l'explosion de
convulsions
bientôt subintrantes, avec perte de connaissanc
en déchiffrer l'origine. L'autopsie ne révèle pas la pathogénie des
convulsions
localisées : intégrité des ascendantes, delà prot
s visqueuses fétides. Dans ses faits à lui on n'a pas eu à noter de
convulsions
. Fiordispini et Solfanelli ont appelé l'attenti
le nystagmus, l'aryth- mie et l'irrégularité de la respiration, des
convulsions
. Désignant comme excitants les agents qui font
normale; absence d'atrophie en masse des muscles paralysés : pas de
convulsions
fibrillaires dans ces muscles. La paralysie des
ans son enfance; présenté des ano- malies psychiques ou somatiques (
convulsions
) et a présenté plus tard des attaques d'épileps
SE. blement, le phénomène du pied, la démarche spas- tique ou des
convulsions
dans 26 cas sur 33. Sur les 7 autres cas, un (n
tait de quatre à six heures ainsi, et elle sortait de cet état sans
convulsions
. En 187o, à la fin de l'année, elle commença à
t, elle perd connaissance et ne sait pas alors si elle a ou non des
convulsions
. M. le professeur Charcot essaie de l'hypnotise
ormales. Bourdonnements d'oreilles et surdité, passagère. , z Les
convulsions
cloniques et toniques généralisées paraissent q
nou- velle injection de 0,01 d'apomorphine pendant la période des
convulsions
toniques; deux minutes après, diminution légère d
s convulsions toniques; deux minutes après, diminution légère des
convulsions
avec nausées, mais pas de vomissements. Quelque
s plus accentué d'un côté que de l'autre bien que quelquefois les
convulsions
eussent été plus fortes à gauche qu'à droite. O
a place dans le décubitus latéral gauche et meurt sans présenter de
convulsions
. t.. Autopsie faite trente heures après la mo
se dégagent de cette observation : -Premièrement l'accentuation des
convulsions
du côté droit; deuxièmement une lésion manifest
cause à effet entre le ramollissement de la corne occipitale et les
convulsions
épileptiques. A ces deux observations nous allo
plusieurs reprises, il fut atteint de crises caractérisées par des
convulsions
cloniques généralisées sans prédominance d'un côt
relâche- ment des sphincters. Il meurt le soir sans présenter de
convulsions
. L'autopsie a été faite le 3 janvier au matin.
ileptiformes sans cri initial, mais avec perte de con- naissance et
convulsions
cloniques et toniques avec prédominance du côté
s cloniques et toniques avec prédominance du côté hémiplégique. Ces
convulsions
débutent par le côté gauche pour se généraliser
agération dans l'hémisphère cérébral opposé au côté du corps où les
convulsions
sont plus marquées. Pareille lésion ne parait
s occipitales des ventri- cules latéraux; 2° Que dans ces cas les
convulsions
cloniques sont propor- tionnelles à l'intensité
ient à expliquer les secousses convulsives du bras droit. Quant aux
convulsions
hémiplégiques, M. Bouveret pense qu'elles doive
quelques points de pratique intéressants : c'est ainsi que dans les
convulsions
épileptiformes, il a réussi à diminuer la tenda
lier et fréquent de lavements simples ou laxatifs. Contre ces mêmes
convulsions
, il a employé avec succès, pour les juguler ou
possibilité de la paralysie générale : toutefois la succession des
convulsions
épileptiformes qui ont rapidement amené la mort
ute l'auteur en terminant, il serait intéressant de savoir « que la
convulsion
épi- leptique alcoolique peut être remplacée pa
r la forme de l'excitation mentale au lieu de se traduire par une
convulsion
physique. a R. M. C. XXVIII. LE cas Hawranek :
out letemps que dura la pa- ralysie consécutive à l'élongation, les
convulsions
cessèrent pour revenir dès que fut guérie la lé
Injection hypodermique DE nitrite d'amyle dans UN cas DE LOMBAGO ;
CONVULSIONS
EPILEPTIFORMES CONSÉCUTIVEMENT A L'INJEC- TION
42 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. gestionnent et que le malade est pris de
convulsions
'violentes qui durent à. peu près une demi-minu
avantage ; on a constaté delà paralysie plus oumoins marquée et des
convulsions
des extrémités, de l'hyperexcitabilité muscu- l
1 ; - (explications physiologi- ques de la), par Lann vieser, 88.
Convulsions
cloniques, par Meynert, 114. Couronne rayonna
grêles et cunéiformes, 234. Folie aiguë mortelle accompagnée de
convulsions
localisées, par Levy, 268. Folie gémellaire,
Lombago (injection hypodermique de nitrite d'amyle dans le), ; - (
convulsions
consécutives), 441. Maniaque (excitation), il9.
o-motrices et trophi- (lues, par Eulenbnrg, 290. Nitrite d amvle (
convulsions
consé- cutives à l'injection de), 441. Oculai
que général; une soeur a eu la chorée. - Antécédents personnels :
Convulsions
lors de la première dentition ; depuis ce moment
ur de la malade a été atteinte de mal de Pott. Mlle D... a eu des
convulsions
dans sa première enfance. Elle jouit d'ailleurs
re a eu la çhorée. Antécédents personnels : Nervosisme très marqué.
Convulsions
dans l'enfance. Paralysie faciale du côté gauch
veuse. - Antécédents personnels : VIm F... a eudansson enfance des
convulsions
; elle a eu également la coqueluche. Depuis l'é
ère. Une soeur du malade est hystérique. Antécédents per- sonnels :
Convulsions
à l'âge de deux ans, rougeole à huit ans. M. P.
ts positifs au point.de vue de l'hérédité. Antécédents personnels :
Convulsions
dans Ja première enfance; à l'âge de dix ans, t
état hysté- rique, les-convulsions. Deux fois, j'ai vu naître des
convulsions
caractérisées chez un adulte, et chez un jeune
ts pendant la danse avait le ventre découvert. Chez l'adulte, les
convulsions
durèrent un peu; chez le jeune garçon, leur dis
tourer le convul- sionnaire, le masquaient au public. Aussitôt la
convulsion
passée, le danseur, par ordre du chef, prit du
e la compression directe des ovaires que l'on fait pour arrêter les
convulsions
, c'est la compression du ventre, du bassin. Les
« Manger comme un Aissaoua. J'aurais voulu savoir si le fait des
convulsions
au cours de la danse se reproduisait souvent, e
me paraît jouer un rôle important, se terminent par des cris, des
convulsions
, de véritables attaques d'hystérie. Ces pra- 46
te, sans indiquer si, au moment de la chute il y avait ou non des
convulsions
. La description des phénomènes pré- sentés par
assa; le sixième, le malade succomba après deux courtes attaques de
convulsions
. Le cadavre ne fut point ouvert. Serres parle,
ble, fut attaqué dans sa onzième année, d'une forme particulière de
convulsions
, dont les accès avaient lieu tant le jour que l
e 1, M. Nothnagel, après avoir fait remarquer que « quelquefois les
convulsions
manquent entièrement et sont remplacées par des
ui ne peut être résolu chez les animaux inférieurs, mais le fait de
convulsions
localisées chez l'homme, lors d'irritation de l
si- tion ; car l'on trouve que dans ces cas, où il se produit des
convulsions
limitées, les mouvements ne sont précédés de, ni
s chutes, qui ne s'accompagnent ni de perte, de connaissance, ni de
convulsions
, mais il est impossible dans l'état actuel de l
e osseuse. Bientôt après cette dernière ouverture, survin- rent des
convulsions
pendant quarante secondes; trois nouveaux accès
parmi lesquels se place Raphaël, ont peint des démoniaques dont les
convulsions
nous n'hésitons pas à le déclarer après Charles
n communion intime avec lui ; mais aussi quels effets opposés : là,
convulsions
atroces de tous les membres, rictus hideux de l
âge adulte, des incidents pathologiques graves, tels que méningite,
convulsions
, fièvre typhoïde, typhus, choléra, fièvres inte
ait plus bien ce qu'on lui disait. Il est mort à la fin de 1880, de
convulsions
épileptiformes. Le second cas se rapporte à u
rté, ou même plus tard, sous l'influence de causes telles que les
convulsions
, la fièvre typhoïde, un traumatisme du crâne, u
tre-vingts ans d'une hémiplégie droite. - Asphyxie à la naissance ;
convulsions
à dix-huit mois; - parole et marche tardives ;
e, onze ans, im- pressionnable, tumeur fibreuse de l'utérus, pas de
convulsions
; 5° garçon, mort à l'àge de six ans et demi, on
s, étant encore en nourrice, il aurait eu, à diverses réprises, des
convulsions
assez graves pour qu'un instant on le crùt mort
eux enfants : 1° un mort de scrofules à quatre ans sans avoir eu de
convulsions
; il était très intelligent; 2° Noire malade. Sa
, fut précipité en avant comme s'il courait et tomba en proie à des
convulsions
. Pen- dant plusieurs années il courait en hurla
céphale dans sa jeunesse, qu'il a eu de noni- 'breuses et violentes
convulsions
jusqu'à l'âge de six ans ». DE l'épilepsie PROC
déshabillée, s'est mise au lit, puis s'est affaissée sans avoir de
convulsions
. 27. - Nouveau vertige ce matin; elle a couru j
phthisz"que. Cousin issu de germain, épileptique. - Consanguinité.
Convulsions
dans l'enfance. Absen- ces [treize ans). Accès
dant la première et la deuxième année, il a eu plusieurs fois des
convulsions
; n'a pas été en retard pour la parole, la marche
° Garçon, huit ans, bien portant, intelligent, apprend bien, pas de
convulsions
. Notre malade.- Conception. -Pas derapportshabi
province, jusqu'à dix-sept mois, repris alors, il n'avait pas eu de
convulsions
, était bien venant quoique chétif. Il a mar- ch
âge de seize mois par suite de méningite; elle eut, à six mois, des
convulsions
auxquelles ses parents attribuent son état d'id
d'élévation de la tem- pérature. On n'a pas assisté à de véritables
convulsions
généra- lisées, mais un matin, au réveil, on a
, perte de connaissance avec pâleur, ronflement, affaissement, sans
convulsions
; durée quelques minutes; puis, plus rien, sicen
eux côtés, le corps est raide et les membres in- flexibles ; pas de
convulsions
; ronflement; P., 80 ; rien à la face; dix minut
80 ; rien à la face; dix minutes après, raideur persistante, fortes
convulsions
du corps entier mais, surtout des extrémités (c
on oeil unique fermé, le pouls et la res- piration calmes, sans une
convulsion
clonique, ni un mouvement. La sensibilité est a
ffrir quelque dif- ficulté. Observation I. Deux frères ont eu des
convulsions
dans l'enfance. Frère probablement épileptique.
enfants : 4° un mort-né ; 2° un, mort à trois ans, du choléra, avec
convulsions
; 3° notre malade ; 4° garçon, trente-un ans, au
3° notre malade ; 4° garçon, trente-un ans, aurait eu une fois des
convulsions
dans l'enfance, est bien portant, pas de chorée
rts l'un d'une fluxion de poitrine, l'autre de cholérine, mais sans
convulsions
; 5° garçon mort à vingt-deux ans et demi d'hémo
n mort à vingt-deux ans et demi d'hémoptysies succes- sives, pas de
convulsions
, pas de chorée; 6° garçon, mort à vingt-deux an
t après avoir été vingt mois malade (phthisie); pas de chorée ni de
convulsions
; - 7° fille, celle qui nous renseigne; brune, i
able, non mariée ; bien portante, pas de migraines, de cho- rée, de
convulsions
; 8° garçon, vingt-un ans, bien portant, in- tel
çon, vingt-un ans, bien portant, in- telligent, pas de chorée ni de
convulsions
; mais, depuis trois ans, il serait sujet à de p
ès de boisson. Oncle paternel et deux cousins ger- mains maternels,
convulsions
. - Un frère, convulsions, arriéré. Deux soeurs
rnel et deux cousins ger- mains maternels, convulsions. - Un frère,
convulsions
, arriéré. Deux soeurs mortes de méningite. Co
soeurs mortes de méningite. Conception durant l'ivresse. Premières
convulsions
prolongées à trois mois, secondes convulsions à
l'ivresse. Premières convulsions prolongées à trois mois, secondes
convulsions
à trois mois et demi. Gourmes, élisie, état par
n, chez l'autre, à la campagne où je gardais les bestiaux. » Pas de
convulsions
dans son enfance, croit-elle. Réglée à douze ou
un de ceux qui sont à Paris est bien portant, mais a eu beaucoup de
convulsions
étant jeune; il a deux enfants qui ont eu des con
: 1° notre malade; -2° gar- çon, dix-sept ans, cordonnier; a eu des
convulsions
internes dans la première enfance; puis, de tro
rte à deux mois «d'une espèce de méningite, en quinze jours », avec
convulsions
internes ; - 5° garçon, treize ans; pas de conv
ours », avec convulsions internes ; - 5° garçon, treize ans; pas de
convulsions
; n'est pas fort; mais il est intelligent et trè
çon mort à trois jours on ne sait de quoi, était né à terme; pas de
convulsions
; 6° fille morte à quatre ans et demi de méningi
convulsions; 6° fille morte à quatre ans et demi de méningite, avec
convulsions
, en quatorze jours; 7° fille, morte du croup à
ar sa mèrejusqu'à dix-huit mois. A trois. ou quatre mois, premières
convulsions
; jusque-là il était fort et paraissait bien venir
convulsions; jusque-là il était fort et paraissait bien venir. Les
convulsions
portaient sur les yeux ; on ne peut rien dire des
ent sur les yeux ; on ne peut rien dire des bras ni des jambes. Ces
convulsions
ont duré huit à dix jours avec des intervalles.
e; « les boyaux tombaient tellement il était faible. » Les secondes
convulsions
sont venues environ quinze jours après; elles r
les parents. A partir de l'âge de six mois, il n'aurait plus eu de
convulsions
. Pas de vers; rougeole à cinq ans, pas d'autres
e consanguinité. 6 enfants et une fausse couche. L'ainé est mort de
convulsions
à 5 mois ; notre malade est la 2°, le 3° est un
-Emotions morales durant la grossesse. - Asphyxie à la naissance :
convulsions
. - Idiotie complète : parole nulle ; - impuissanc
u est venue au monde asphyxiée. Le jour suivant, l'enfant eut des
convulsions
sur lesquelles on ne peut nous renseigner.-Oud...
s ses dents « qui sont venues comme celles des autres enfants, sans
convulsions
. » Elle ne s'en sert pas ; il faut hacher sa vi
eurs du cerveau. Cette lésion s'est traduite, cliniquement, par des
convulsions
survenues dès le lendemain de la naissance et o
ires. Emotions morales et attaqu s de nerfs pendant la grossesse. -
Convulsions
dans la première année. Accès d'épilepsie à par
et 3° deux enfants morts en nourrice ; on ne sait s'ils ont eu des
convulsions
; 4° une fille de 10 ans, et 5° un garçon de 7
0 ans, et 5° un garçon de 7 ans, bien portant, n'ayant jamais eu de
convulsions
. Durant la grossesse, sa mère a éprouvé des émo
u'à 14 mois ; pendant ce temps, elle aurait eu plusieurs fois des
convulsions
limitées aux yeux, assure-t-on. Les accès ont p
rigides, le droit plus que le gauche. Ensuite apparaissent quelques
convulsions
cloniques dans les membres du côté droit, en mê
ons cloniques dans les membres du côté droit, en même temps que des
convulsions
rapides des paupières ; enfin, respiration ster
édominant à droite; paupières ouvertes; yeux dirigés en avant. b)
Convulsions
tétaniformes des paupières et des membres qui,
s. Première période : Pas de cris. On note d'abord quelques petites
convulsions
fibril- laires des muscles du pied et de la jam
période. La face et les yeux se dévient à droite. Il se produit des
convulsions
tétaniformes des muscles de la moitié droite de
èvre inférieure. Au bout de quelques secondes, il survient quelques
convulsions
cloniques modérées du bras et de la jambe du cô
26 aur<7.La malade est prise d'un accès pendant la visite. Les
convulsions
sont toujours limitées à la moitié droite du corp
tat. Nombreuses crises avortées, consis- tant principalement en des
convulsions
de la face. T. R. 37°,8. Soir : T. R. 37°. 28 a
e quantité. L'origine de la maladie est entourée d'obscurité. Des
convulsions
, limitées aux yeux, auraient été les pre- miers
de l'observation, ne laisse aucun doute sur ce point : début des
convulsions
par les muscles du pied et de la jambe du côté
droit et de la moitié correspondante de la face, absence de toute
convulsion
dans la moitié gauche du corps, tel est l'ensem
donc à cette lésion, suivant nous, que l'on doit ratta- cher les
convulsions
qui affectaient les membres du côté droit. NO
.i ? v'ï Observation I ? «<iS' s "'\ )ú.I1111V ij^Tf^'i ex "If
Convulsions
; paralysie infantile. Vertiges. Epilepsie. l3rî
umgarçon sont morts du croup ; un garçon est mort à 3 semaines sans
convulsions
; deux autres âgés, l'un de 25 ans; .le deuxième
ure. Les premiers acci- dents convulsifs ont paru à 2 ans est demi;
convulsions
pendant plus de 12 heures; figure décomposée; à
frayeur causée par un chien, mais qui n'amena pas de nou- velles
convulsions
. L'enfant était âgée de 10 ans, lorsqu'on s'ape
t.'r ? tTr.Tfft' : .)Ofnrmn ! .W1' .*'<' "1 l . "r . ' violentes
convulsions
qui ne paraissent pas prédominer du, côté paral
e"stabien1pôrtante,jiïsqu'à'râge^dé e ')0m'61s"bù'ëlle'fut prise'de
convulsions
qui atteignirent prince- palementlla face et lé
e et lés mérîzbl·cs'gauches';1'le côté droit ne re- muait pas ? les
convulsions
durèrent Í.i.¡ne"dèih'è1Ír1e,'Quatre' ou cinq j
ent .prédomine les .premières ...''... ? "'h n ? f ? tt.tfj 'Illj
convulsions
resta affaibli pendant plus de deux ans. . Jau-,
marcher à 23 mois ; elle a été propre 'de bonne heure. Lorsque les
convulsions
eurent disparu (5 ans) on la mit à ! l'école-où
ouleur^ elle resta ensuite G mois sans rien voir. - : 1 15 ans, les
convulsions
reparurent; elle aurait été prise tout à coup s
attait aussi beaucoup et on n'a pas remarqué de pré-' dominance des
convulsions
d'un côté. Ecume peu abondante au début ; se mo
nombreux foyers de méningo-encéphalite. Observation VI. Premières
convulsions
à 6 mms. - Rémission à 3 ans. - Affai- blisseme
e l'apparition des premières dents, survint une première attaque de
convulsions
. Deux ou .trois mois plus tard, elles reparuren
ents. Rien du côté des parents. Cet enfant n'au- rait jamais'eu ni'
convulsions
, ni fièvres éruptives. Les acci- dents nerveux'
r- 236 CLINIQUE MENTALE. dinaircmcnt sur la face; il est agité de
convulsions
qui attei- gnent tous les membres, écume beauco
e, paraissent devoir être rapportées à cette tumeur, tandis que les
convulsions
du bras droit-auraient.pour origine-la lésion d
'11,1 1. il I;-Iri ? .,i- tant a été pris a 1 âge de le ou 6 ans de
convulsions
qui, ne lais- sent pas de traces apparentes ? v
lique lancée contre Margherita Vidusson, ni l'exa- cerbation de ses
convulsions
à l'église, ni leur aggravation par les exorcis
enfants, il y avait une polyurie excessive et, chez l'un d'eux, des
convulsions
épileptiformes. On dut recourir à l'énucléa- ti
as d'affections mentales. A 8 mois, X... eut sa première attaque de
convulsions
. Jusqu'à l'âge de 3 ans, elle ne put ni marcher
répond à 5 minutes. 380 PATHOLOGIE NERVEUSE. Ni contractures, ni
convulsions
, ni hémiplégie. La malade a un peu repris sa ra
re aurait changé de côté au moment de la mort et il y aurait eu des
convulsions
du côté droit. En présence des accidents de p
OFONDE. SOJIDIJ.1RB. - Antécédents héréditaires négatifs. Premières
convulsions
à six mois. - Parole, marche nulles. Aucune man
normalement constituée au point de vue physique. Elle aurait eu des
convulsions
dans l'enfance. Elle est assez nerveuse, mais n
par sa mère. A 6 mois, ! 7a eu, pendant trois mois consécutifs, des
convulsions
, séparées par quelques intervalles assez courts
, auparavant, il était bien venant, semblait intelligent; après les
convulsions
, on a remarqué qu'il ne profitait ni physiqueme
agne où il est restéjusqu'à 6 ans et demi : dans cette période, les
convulsions
auraient reparu à plusieurs reprises. Depuis so
u à plusieurs reprises. Depuis son retour à Paris, il a eu quelques
convulsions
lé- gères des yeux et des bras, la dernière foi
circonvolutions occipitales. C'est à six mois que sont apparues les
convulsions
symptomatiques des lésions atrophiques des deux
rébraux, dues, selon toute probabilité, à l'alcoolisme du père. Ces
convulsions
ont duré plusieurs jours et auraient été généra
ire. Antécédents héréditaires. Emotions vives pendant la grossesse.
Convulsions
. Maladie bleue. - Idiotie. - Amélioration de la m
: 1° notre malade; 2° un garçon âgé de 2 ans, intelligent ; pas de
convulsions
; 3° une fille de 4 mois, bien venante. Duran
sa mère. A4 mois, il eut quotidiennement, pen- dant huit jours, des
convulsions
qui prédominaient dans le côté droit. 398 CLI
ent dans le côté droit. 398 CLINIQUE MENTALE. 15 jours , et les
convulsions
reprirent ensuite à des inter- valles variables
rd éteint; nystagmus à grandes oscilla- tions. T. R. 38°, 4. Pas de
convulsions
, ni de contractures, ni depamlysie. -Mort à mid
ion particulière qui a dû exercer une action dans la production des
convulsions
. Nous avons vu qu'elles avaient duré huit jours
frontal de l'hémisphère droit, qui n'a occasionné ni paralysie, ni
convulsions
, ni con- tracture, ce qu'explique très bien son
le plus souvent, outre les phénomènes partiels de paralysie, des
convulsions
qui manqueraient au contraire, d'après les autres
ui a duré sept mois.-Peu de temps après, cépha- lalgie persistante,
convulsions
d'abord généralisées et s'accompa- gnant de per
pris un jour, sans aucun phénomène précurseur, de deux attaques de
convulsions
violentes, durant à peu près dix minutes, limit
gauche, revenant ensuite à droite et finalement générali- sées. Ces
convulsions
d'abord toniques, puis cloniques, s'accompa- gn
. 1880, fasc. I et II.) Les auteurs rapportent deux observations de
convulsions
épileptiformes dans les membres du côté droit s
malade de la même salle, atteint de cette affection. H. D'O. LU.
Convulsions
puerpérales ; par ALEX. BECKER. (Boston Met. an
part, sur les expériences de Brown-Séquard, qui a pu déterminer des
convulsions
épilepti- formes chez les animaux, en produisan
ves plus ou moins éloignées des centres, explique la pathogénie des
convulsions
puerpérales par les modifications amenées par l
fit d'abord disparaître le délire et les grandes attaques, puis les
convulsions
, ensuite l'insensibilité générale et spéciale.
urt au bout de deux jours après avoir été pris d'opisthotonos et de
convulsions
toniques des' quatre membres. Les nodosités scl
se classent ainsi par ordre de fréquence : affections cérébrales,
convulsions
, méningite cérébro-spinale, fièvres typhoïdes,
estations cliniques de la sclérose cérébrospi- nale -.tremblements,
convulsions
, parole lente, scandée, mono- tone ; et celles
maternelle atteinte de démence sénile. Un frère a eu à six mois des
convulsions
suivies d'hémiplégie, d'épilepsie et d'imbécill
es deux ovaires dans UNCASD'HYSTÉRO- épilepsie (sans amendement des
convulsions
); amélioration rapide SOUS L'INFLUENCE DE la ga
ion kystique. La malade guérit bientôt de cette opération, mais les
convulsions
n'en persistèrent pas moins. Le docteur Mann pr
ympathique cervical et de chaque côté de la septième cervicale. Les
convulsions
dimi- nuèrent rapidement de fréquence et d'inte
Ils continuèrent jusqu'à 19 ans. Elle fut, à cette époque,'prise de
convulsions
avec apparence hystérique, ce que ne justifiait
ment commença à 8 heures; à midi et demi la malade eut une violente
convulsion
. La dilatation fut lente et l'accou- chement se
ême, sans hémorrhagie. Dès que l'on eut cessé le chloro- forme, les
convulsions
revinrent et furent à deux reprises arrêtées pa
ilepsie hémiplégique, est cette forme d'épilepsie dans laquelle les
convulsions
sont limitées d'ordinaire à une moitié du corps
s l'enfance, quelquefois très près de la naissance, ont été pris de
convulsions
suivies d'une hémiplégie compliquée au bout d'u
arrêt de développement des membres beaucoup plus considérable. Les
convulsions
pré- liminaires débutent souvent' sans prodrome
inutes à plusieurs heures. Quelquefois l'enfant ne survit pas à ces
convulsions
. D'autres fois, il ne survit que quelques jours
ent profond et on constate que les membres qui ont été le siège des
convulsions
restent paralysés. Quand les enfants survivent
! H \ 628 bibliographie. puis, au, bout d'un temps variable, les
convulsions
se repro- duisent et laissent après elles une h
cture prédomine 'ordinairement' au membre supérieur ainsi, Mquç les
convulsions
durant 'l'état 'de'malt Outre la paralvsie avec
e cri initial fait en,général défaut. Dans la périodé'clonique, les
convulsions
sont d'ordinaire limitées au côté paralysé ; quan
us prononcées, à la période tonique succède une période clonique de
convulsions
circonscrites aux membres du côté gauche et pré
une troisième variété, le tétanisme envahit le côté droit, et les
convulsions
cloniques, quelquefois limitées au côté gauche,
la), des hémiplégiques, par Brissaud, 497. TABLE DES MATIERES.
Convulsions
puerpuérales, par Bec- ker, 463. Corde du tym
cool. Amaurose urémique. A la suite d'une attaque urémique grave (
convulsions
, perte de connaissance) ou légère (céphalalgie, l
d il y a paralysie, il regarde ses membres con- vulsés quand il y a
convulsion
. Dans les lésions protubérantiellcs, le malade
alade regarde ses membres s'il y a paralysie, et sa lésion s'il y a
convulsion
. b) Déviations conjuguées d'origine sensorielle
ut brusque avec signes d'irritation méningée, vomissements, délire,
convulsions
, coma : si l'enfant se rétablit, il reste longt
donner lieu à des réflexes spasmodiques graves par eux-mêmes, à des
convulsions
et à des crises épileptiformes : on les a vues
u vertige intense fait suite une attaque épileli- forme. Syncope ou
convulsion
peuvent être soit une conséquence de l'angoisse
contractures unilatérales des muscles du con, d'après Fl'r¡'" ou de
convulsions
partielles des muscles des yeux, d'après Huglin
te et parfois une perle complète de con- naissance et même quelques
convulsions
épileptiformes. L'accès ne dure que quelques mi
la pipe. De plus les membres du côté atteint présentent parfois des
convulsions
, de la contracture pré- coce, du tremblement, d
ucidité, de dépression et d'excitation, de repos et de délire ou de
convulsions
se répètent et se mêlent ; c'est lit le coma vigi
noter le degré de résolution ou de paralysie, les contractures, les
convulsions
. En étudiant les réflexes, il serait du plus haut
gies méningées sont du nombre des affections qui peuvent amener des
convulsions
localisées. Restreintes à un segment du corps o
ions localisées. Restreintes à un segment du corps ou généralisées,
convulsions
et contractures sont précoces et d'un grave pro
ompagne d'une hyperthermie (42° à 45°) et d'une agitation extrêmes (
convulsions
). Certaines maladies infectieuses, variole, typ
uer que l'enfant réagit avec intensité et présente plus souvent des
convulsions
que de la dépression. Chez lui s'observent, en
nte un spectre caractéristique. Le coma est généralement précédé de
convulsions
violentes. La convalescence, si le malade survit,
arquée d'accidents nombreux, polynévrites, troubles trophiques. Des
convulsions
encore précèdent d'ordinaire l'installation du
riforme; le malade est extrêmement cyanose, et le coma est coupé de
convulsions
intenses. , Le myosis caractérise les acciden
s de mots possible dans 1 mt.cnalle de deux spasmes consécutifs. La
convulsion
de la chorée hache la phrase, la coupant subite
PAROLE. ou sans claquement de langue et retournement de la tête. La
convulsion
de la maladie des tics, plus violente encore, p
nfectieuses entraînant les encéphalites qui se tradui- sent par les
convulsions
ou par le délire peuvent être le point de départ
ébut des tumeurs cérébrales que la céphalée, isolée ou associée aux
convulsions
, aux vomissements, à l'affaiblissement intellectu
égique qui peut durer quelques minutes ou quelques heures après les
convulsions
; il peut arriver d'ailleurs que cette paralysie
du larynx et qui doit être décrite avec les convul- sions. C'est la
convulsion
interne à laquelle on a encore donné avec Hérar
sâsser), d'asthme lié à la Manie (Escherich). ™ On sait que cette
convulsion
interne atteint presque exclusivement les enfan
hénomènes asphyxiques et syncopaux. On peut avoir en même temps des
convulsions
épileptiformes généralisées du côté des yeux, d
que. La mortalité est de 40 pour 100. Le traitement est celui des
convulsions
: inhalations d'élher, de chlo- roforme, de bro
le nom de chorée du larynx, toux spé- ciale avec accompagnement de
convulsions
musculaires dans les muscles de la face et des
aux, l'idiotie (Duchenne, Langdon-Down, Mobius, Yizioli, etc.), des
convulsions
et de l'épilepsie (Erb, Virioli, Landouzy et De
ée, de l'hypoacousie. du ralentissement du pouls, des vertiges, des
convulsions
épileptiformes, de l'agoraphobie. Dieulafoy. ch
UL51V S par le Dr Gustave ROUSSY Définition. L'étymologie du mot
convulsion
(convellere) éveille l'idée de secousse et d'éb
bles moteurs convulsifs, il est préférable de parler de spasmes. La
convulsion
dépend donc du système neuro-musculaire céré- b
cette distinction, l'usage attribue encore le nom de spasmes à des
convulsions
de certains muscles volontaires, tels que l'orbic
striés et lisses (spasme du sphincter anal). Ainsi définies, les
convulsions
doivent être divisées en toniques et en cloniqu
gidité est plus durable et plus intense. Toniques ou cloniques, les
convulsions
doivent être soigneusement différenciées d'une
. Douloureux ou non, mais toujours très brusques, les tics sont des
convulsions
(le la face et des membres présentant ceci de p
les sens sans force et sans brusquerie. Les mouvements athétosiqucs
CONVULSIONS
ET CRISES CONVULSIVES. 819 sont encore plus len
aux mouvements des tentacules de poulpes. Rien ici qui rappelle les
convulsions
. Les tremblements, qu'ils soient continus ou su
prêtent pas dès lors à confu- sion. Physiologie pathologique. Les
convulsions
étant des per- turbations de la motilité caract
qu'il faut ici incriminer. Le muscle lui-même ne peut être cause de
convulsions
: aucune maladie musculaire, myopathie, myo- si
es du mouvement musculaire, depuis la contraction simple jusqu'à la
convulsion
clonique et tonique, montre qu'il doit certaine
actions augmente par un phénomène d'addition lente : nous avons des
convulsions
cloniques. - Supposons maintenant qu'au, lieu d
les et plus durables jusqu'à devenir permanentes, et nous aurons la
convulsion
tonique. [ROUSSY.] 820 CONVULSIONS ET CRISES
permanentes, et nous aurons la convulsion tonique. [ROUSSY.] 820
CONVULSIONS
ET CRISES CO\1`ULSIYFS.. L'analogie de ces résu
i agissent sur les cellules de ces centres : ainsi sont causées les
convulsions
des intoxications. dcs auto-intoxications, des in
l des impressions périphériques irritent les centres et amènent les
convulsions
réflexes. Tantôt enfin l'excitation bulbo-spinale
ation élec- trique et suivant les mêmes lois. Description. - Le ?
convulsions
, étant un symptôme commun à un grand -nombre de
lucinations, phénomènes moteurs des épi- septiques. - 5'ne, Ibis la
convulsion
survenue, elle affecte tantôt le tableau de la
er lieu alternativement à l'un ou à l'autre mode convulsif. - Les
convulsions
cloniques réalisent l'aspect typique de la crise
ment aux objets qui l'environnent. Le visage n'est pas épargné : on
CONVULSIONS
ET CRISES CONVULSIVES. R21 voit les globes ocul
ure respiratoire. thoracique et diaphragmatique, n'échappe pas à la
convulsion
. On observe tantôt la rétention, tantôt l'incon
la rétention, tantôt l'incontinence des urines et des matières; les
convulsions
peuvent en effet s'étendre aux muscles abdominaux
ntractent et s'opposent à l'évacuation. Toute autre d'aspect est la
convulsion
tonique, comme on la voit, par exemple, dans le
r place, sans les écarter de. leur altitude première. A la face, la
convulsion
tonique prédomine souvent, d'un côté, entraînan
souvent que dans les formes cloniques. Toniques ou cloniques, les
convulsions
, si elles sont fréquentes, peuvent entraîner pa
t tenir compte, en outre, de certains phénomènes plus généraux. Les
convulsions
très intenses et très généralisées, par exemple
ralisées, par exemple, chassent le sang des muscles - [ROUSSY] 22
CONVULSIONS
ET CRISES CONVULSIVES. vers les viscères et il
es tétaniques, sali- vation dans la rage, débâcles polyuriques. Les
convulsions
peuvent augmenter la température : c'est ce qui
que nombre de ces phénomènes, sinon tous, doivent dépendre non des
convulsions
elles-mêmes mais de la cause de ces convulsions
dépendre non des convulsions elles-mêmes mais de la cause de ces
convulsions
, un même mécanisme pathologique déclenchant en mê
thermiques, etc. Manche, durée, terminaison. Nous avons défini les
convulsions
des accès. C'est dire que leur marche est essen
nt séparées par de longues rémissions. Dans les pyrexies, fièvre et
convulsions
marchent de pair. La durée- dépend de la cause.
nitivement curables. Dans certains cas (méningite tuberculeuse), la
convulsion
est remplacée par la paralysie, l'excitation de
nt en quelque sorte à son stade d'épuisement. Nous avons vu que les
convulsions
peuvent guérir et passer à l'état chronique. El
tante que la marche proprement dite est la notion d'exten- sion des
convulsions
pendant l'accès même. 11 est rare que les convuls
ten- sion des convulsions pendant l'accès même. 11 est rare que les
convulsions
se limitent à un seul muscle ou il \111 groupe
'excitation corticale, partie du centre correspondant à la première
convulsion
limitée, gagnait par contiguïté tous les centre
ont généraliséesdemblée (épilepsie dite essentielle) constituant la
convulsion
généralisée. Lorsqu'elles demeurent, au contrai
lles demeurent, au contraire, partielles ou précèdent nettement une
convulsion
généralisée, elles constituent l'épilepsie par-.
ent une convulsion généralisée, elles constituent l'épilepsie par-.
CONVULSIONS
ET CRISES CONVULS1VES. 825 tielle ou Bravais-ja
niennes et, d'autre part, des lésions cérébrales peuvent donner des
convulsions
généralisées que rien ne distingue de l'épilepsie
ur les paralysies durables consécutives. Valeur séméiologique des
convulsions
. La valeur séméiologique des convulsions est co
Valeur séméiologique des convulsions. La valeur séméiologique des
convulsions
est considérable. Ce sont, en elle[, des nianif
ient chez l'enfant ou apparaît chez l'adulte. A) Chez l'enfant, les
convulsions
tiennent la place appartenant au délire chez l'
rement manifeste, non dans l'hystérie et l'épilepsie, mais dans les
convulsions
symptoma- liyues si fréquentes de lésions céréb
ésions cérébrales et surtout dans l'éclampsie, dans le syndrome des
convulsions
, dites essentielles, de l'enfance. L'hérédité j
nce. L'hérédité joue un rôle considérable aussi : hérédité directe (
convulsions
chez un des parents, chez plusieurs frères et s
nfantile propre à la première enfance, - enfants de [ROUSSY.J 824
CONVULSIONS
ET CUISES CONVULSIVES. 2 moins il 2 ans - n'est
ourrice, des principales causes provocatrices de cette catégorie de
convulsions
. S'il n'y a pas de fièvre, ce peuvent être : le
lures, les vésicatoires, les piqùres d'épingle du maillot, etc. Les
convulsions
sont surtout fréquentes chez les nourris- sons
e soi qu'en ce cas on supprimera tout médicament. Cliniquement, les
convulsions
de l'enfant ne diffèrent de celles de l'adulte
convulsif généralisé, d'abord tonique, puis clonique, apparaît. Les
convulsions
peuvent être partielles; elles se localisent alor
stituer tout le phénomène. Souvent on constate en même temps que la
convulsion
, le spasme de la glotte (convulsion interne), l
n constate en même temps que la convulsion, le spasme de la glotte (
convulsion
interne), lequel peut également constituer un p
atoire, à la recherche de la lièvre, à l'exa- men des urines. Les
convulsions
symptomatiques de lésions cérébrales ou méningées
tuberculeuses, etc. Quand elles surviennent au cours de la maladie
CONVULSIONS
ET CRISES CONVULSIVES. - 825 confirmée, on les
érose cérébrale, hémorragie, ramollissement, qui peuvent amener des
convulsions
; mais ici la maladie est déjà diagnos- tiquée
t déjà diagnos- tiquée antérieurement ou facile à reconnaître et la
convulsion
n'est qu'un épisode. Les tumeurs cérébrales, le
t qu'un épisode. Les tumeurs cérébrales, les abcès occasionnent des
convulsions
le plus souvent partielles, accompagnées des tr
els que stase papillaire, céphalée, torpeur, vomissements, etc. Ces
convulsions
laissent souvent à leur suite des contractures et
ement reconnues par l'examen des urines et les commémoratifs. Les
convulsions
épileptiques (épilepsie vraie) apparaissent surto
précédées par les manifestations du petit mal, absences, vertiges,
convulsions
incomplètes sans perte de connaissance. Après q
à celles de l'adulte : aura le plus souvent motrice, lmis phase de
convulsions
toniques, de convulsions cloniques, de stertor
ura le plus souvent motrice, lmis phase de convulsions toniques, de
convulsions
cloniques, de stertor suivi de sommeil. La torp
e quatre périodes comme chez l'adulte (voir plus loin) : période de
convulsions
, toniques ou cloniques, période de contorsions,
me cause exceptionnelle, il nous reste à signaler la possibilité de
convulsions
, se manifestant comme premier symptôme de la té
ussi IIarvier (Thèse de Paris, 1909), conseille-t-il en présence de
convulsions
d'origine indéterminée, de rechercher les signes
déjil le diagnostic. Hanter a pu ainsi rap- porter à la tétanie des
convulsions
survenues chez des enfants entrés à l'hôpital a
nostic de méningite. Une ponction lombaire - pour [ROUSSY.] 826 -
CONVULSIONS
ET CRISES CO\ ULSt1'h;s. laquelle tout praticie
rait le diagnostic. B) Chez l'adulte, le diagnostic étiologique des
convulsions
est tantôt facile, tantôt très difficile. Les c
, albuminurie. Appelé auprès d'une femme enceinte qui a ou a eu des
convulsions
, le médecin doit d'abord penser à l'éelarrrpsie
blent beaucoup à l'épilepsie : ils sont constitués par une phase de
convulsions
toniques, suivie d'une phase de convulsions clo
titués par une phase de convulsions toniques, suivie d'une phase de
convulsions
cloniques et s'accompagnent de perte de connaissa
phie du coeur, l'hy- pertension artérielle. Puisque nous parlons de
convulsions
auto-toxiques, mentionnons le diabète comme cau
e diabète comme cause possible. On reconnaîtra sans peine aussi les
convulsions
des alcooliques invé- térés (m des nerveux ivre
s vomissements ne laissent pas de doute. On pcutCI1 dire autant des
convulsions
par intoxications : les commémoratifs ne manquero
et l'on aura affaire le plus souvent à une tentative d'empoisonné-
CONVULSIONS
ET CRISES C011'ULSI'Is. 827 ment ou à un empois
ou- vent, la présence du liseré saturnin des gencives. Toutes ces
convulsions
sont plus ou moins apyrétiques ; mais le méde-
lités depuis plusieurs jours et qui ont ou qui viennent d'avoir des
convulsions
généralisées. Dans ce cas, le diagnostic ne dev
pyrexie au début, d'une fièvre typhoïde, d'une fièvre éruptive. Les
convulsions
pourront, il est vrai, marquer tout à fait le d
ertitude après une nouvelle visite faite au malade. Tar- dives, les
convulsions
seront ici facilement rapportées à leur cause. No
que connaissent les médecins des régions à paludisme, ainsi que les
convulsions
de la rage, pour en arriver tout de suite aux m
sence d'un malade qui a un état infectieux grave, de la fièvre, des
convulsions
; on ne trouve pas de signes des grandes py- rex
tuberculeuses évidentes fournit un appoint au diagnostic, quand des
convulsions
partielles ou généralisées auront fait leur appar
ômes cérébraux, céphalée, délire, jactation. agitation des membres,
convulsions
localisées et con- tractures. Mais le pouls res
s reste régulier et. soutenu, hien que rapide et ce [ROUSSY.] 828
CONVULSIONS
ET CRISES CONVULS1VES. qui domine, c'est une so
compliquant bientôt de phénomènes paralytiques. Le diagnostic des
convulsions
est encore facile dans d'autres affections céré
ique général qui vient de compliquer son état déjà si grave par des
convulsions
partielles ou généralisées; si nous ne connaiss
chronique, un hématome. Terminons ce diagnostic en rappelant les
convulsions
qui résultent de l'insolation et celles qui dép
récis et sur. ],'héiiio7,i,agie méningée peut se manifester par des
convulsions
épilep- tiformes survenant au moment de l'ictus
. Mais voici des cas où il faudra faire un diagnostic précis. Des
convulsions
généralisées ou partielles pourront être les prem
quelque lésion otique ou nasale en faveur d'un abcès. Le début des
convulsions
par le membre inférieur, épilepsie partielle cr
ie partielle crurale, doit faire penser, chez un tuberculeux, à une
CONVULSIONS
ET CRISES CONVULSIVES. 829 plaque méningée; l'e
ue de traitement. Dans des éventualités plus rares, l'apparition de
convulsions
chez un malade ne cause pas d'embarras au clini
s. On les examine et on ne trouve rien ou presque. L'apparition des
convulsions
éclaire alors d'une lumière intense cette sympt
permanent. Il nous reste enfin à parler de deux causes capitales de
convulsions
, Y hystérie et l'épilepsie. Nous les rangeons a
ve. Les auras sensorielles sont surtout visuelles : [ROUSSY.] 850
CONVULSIONS
ET CRISES l;0\VULSlI'1 : 5. photophobie, obnubi
, pousse un cri et tombe sans connaissance. Aussitôt commencent les
convulsions
toniques, bientôt suivies par le stade clonique
ous avons signalées plus haut dans notre des- cription générale des
convulsions
. Dans la phase tonique en effet, la tête s'incl
asphyxiante, prouve que la musculature respiratoire participe il la
convulsion
. L'éva- cuation des urines et des mat ières féc
été et las, n'ayant aucun souvenir de ce qui vient de se passer..
CONVULSIONS
ET CRISES CONVULSIVES. 851 Quand le médecin n'a
l de mal, lequel conduira il la mort par collapsus ou au milieu des
convulsions
, quelquefois à la guérison. Enfin l'accès, souv
tions d'un caractère effrayant le pour- suivent. [ROUSSY] ] 852
CONVULSIONS
ET CRISES CONVULSIVES. Dans la période des alti
re sous l'influence exclusive de la persuasion. Cela revient à dire
CONVULSIONS
ET CRISES CONVULSIVES.. > 855 qu'il ne faudr
à forme d'un délire halluci- natoire aigu, d'un état maniaque ou de
convulsions
et d'incohérence dans les idées. D'autre part
ion splanchnique, dans ces cas .on peut observer la disparition des
convulsions
quand la fièvre s'allume (feb1'is accedens spas
cie cette chorée fibrillaire des autres myoclonies est justement la
convulsion
localisée fibrillaire du muscle, alors que les s
us souvent lent, quel- quefois il y a des prndollws très nets : les
convulsions
, la fièvre marquant le début de la maladie, l'e
une forme infantile (Pierre Marie). Elle débute quelquefois par des
convulsions
et les attaques éhilclltiforlllcs peuvent persi
rmES. Congrès de Grenoble, 1902. Cruchet. Idem. TICS. 877 î les
convulsions
, les tics reconnaissent deux variétés : tics clon
s et l'on a signalé chez l'enfant une hémiplégie foudroyante avec
convulsions
par hémorragie mé- ningée provenant d'un noevus
violemment hors de la bouche et fréquemment mordue (épilepsie), la
convulsion
de la langue pouvant être un symptôme isolé, ta
issement des extrémités; puis les membres se prennent. Il s'agit de
convulsions
toniques, quel- clnefois cloniques, rapidement
étanie (Mathieu)]. On a signalé des accès courts, s'accompagnant de
convulsions
béné- ralisées avec perte de connaissance, chez
maux d'yeux, des écoulements d'oreilles, des douleurs osseuses, des
convulsions
, si son développement a été difficile et ce n'est
t aux stigmates nerveux de t liérédo-syphilis. Fournier signale les
convulsions
comme un signe de méningite syphilitique de l'enf
t et Fournier la considèrent comme un bon moyen de traite- ment des
convulsions
éclamptiques. ' . Quoi qu'il en soit, les résul
ts, prennent place, à titre accessoire et bien plus contingent, les
convulsions
généra- lisées ou partielles, rarement subintra
ent une hémiplégie; le coma est pro- agressif. accompagné ou non de
convulsions
mais il est rapide et aboutit en quelques jours
sur 1 exils- tence, fréquente dans, l'inondation ventriculaire, des
convulsions
par- iielles ou généralisées et sur la précocit
ventricule, la scène est encore plus brutalement, dramatique : des
convulsions
généralisées surviennent de suite et précèdent
ade tombe vile dans un coma apoplectique profond avec contractures,
convulsions
, vomissements, respiration de Clreyne-Stol : es
à tomber dans un état de somnolence continuelle. Il peut avoir des
convulsions
. La rigidité de la nuque et des membres, le sig
, mais inconstal\1mcnl, de vomissements, de raideur de la nuque, de
convulsions
généralisées ou partielles et, plus rarement, d
ipation. La raideur de la nuque, le signe de Kel'l11g existent. Les
convulsions
sont fréquentes et généralisées. La stase papilla
atérale avec. parfois, du nystagmus, des vertiges, de l'afaxie. Les
convulsions
peuvent n'appa- ['nitre qu'au lI1olTl : 'nl de
SYNDROMES VENTRICULAIRES. douloureuse que celle du cote sain. Les
convulsions
sont tranche ment unilatérales ou prédominent d
égère ascension fébrile (37U ? ou 58") ; la stase papillaire et les
convulsions
sont plus inconstantes, mais le délire et les t
livide de la face, ralentissement du pouls, trismus, opisthotonos,
convulsions
cloniques du bras droit, convulsions oculaires et
pouls, trismus, opisthotonos, convulsions cloniques du bras droit,
convulsions
oculaires et suivis de cyanose, d'arrêts respir
évidence par la disparition de certains signes cérébraux (céphalée,
convulsions
) et bulbaires (bradycardie), sous l'influence d
la radio- graphie et si son siège correspond il la localisation des
convulsions
, le diagnostic causal est rendu des plus facile
ation. Contractures hystériques, traitement t leclrirlue, 1328.
Convulsions
déterminées par les lésions de l'oreille,' 144.
e pa- thologique, 819. Description : con- vulsions toniques, 820.
Convulsion
tonique, 821. Valeur séméiologique : convulsi
ns toniques, 820. Convulsion tonique, 821. Valeur séméiologique :
convulsions
chez l'enfant, 825. chez l'adulte, 826. Crise c
ésari, interne des hôpitaux de Lyon. ques énergiques; il meurt sans
convulsions
vingt minutes après l'attaque, le 4 Avril 1867.
gidité musculaire ; elle était de plus devenue sujette à des accès de
convulsions
, du côté paralysé. A la suite d'une dernière séri
de convulsions, du côté paralysé. A la suite d'une dernière série de
convulsions
, elle meurt, avec une élévation]considérable cle
sur la distinction qui doit être établie à ce point de vue entre les
convulsions
toniques et les convulsions cloniques (1). La c
être établie à ce point de vue entre les convulsions toniques et les
convulsions
cloniques (1). La contraction musculaire étant
homme dans les cas de tétanos. Dans toutes ces affections, tétanos,
convulsions
épileptiques, choléra, etc., la contraction muscu
a, etc., la contraction musculaire se rapporte à un type spécial : la
convulsion
tonique. En pareil cas, une contraction persistan
ow''s Archiv, Bd. XXVI, p. 538-559.) 3. Loc. eil. dans les cas de
convulsions
Ioniques, paraît donc concorder avec la théorie.
c concorder avec la théorie. Que se passc-t-il, lorsqu'il s'agit de
convulsions
cIoniques, c'est-à-dire dans les cas où les contr
tendus (contractions dynamiques de M. BéciardJ ? Parmi les maladies à
convulsions
cloniques, la chorée et la paralysie agitante peu
z des chats et chez des lapins, à l'aide de divers moyens, tantôt des
convulsions
cloniques, tantôt des convulsions toniques généra
l'aide de divers moyens, tantôt des convulsions cloniques, tantôt des
convulsions
toniques générales, et nous avons recherché ce qu
ercurielle. Charcot. Œuv. comp. t. ix. Hémorragie cérébrale 7 Les
convulsions
étaient déterminées soit par l'injection sous-cut
nce, 35°, 8. Injection de 1 centigramme de sulfate de strychnine. Les
convulsions
commencent cinq minutes après l'injection; clo-ni
eux minutes et se terminent par la mort. Une minute aprèsle début des
convulsions
, la température est montée à 39 degrés ; au bout
ce temps, la température est descendue graduellement à 38 degrés. Les
convulsions
apparaissent, toniques et cloniques d'abord, puis
une demi-heure à 37°, 3. La mort survient à ce moment sans nouvelles
convulsions
. III. Lapin de taille moyenne. Température rect
e de sulfate de strychnine. Une minute et demie après surviennent des
convulsions
cloniques et la température descend à 38°, 2. L
t des convulsions cloniques et la température descend à 38°, 2. Les
convulsions
toniques arrivent quatre minutes après l'injectio
La température descend d'abord, en trois minutes, jusqu'à 37°, 4. La
convulsion
tonique apparaît à ce moment et la température re
que apparaît à ce moment et la température remonte à 37°, 5, mais les
convulsions
prennent immédiatement le type clonique et la tem
ction de 1 centigramme de sulfate de strychnine. Trois minutes après,
convulsions
toniques ;la température monte à 39°, 2 ; une dem
En onze minutes, la température descend à 38 degrés. A ce moment, les
convulsions
commencent, mais elles présentent le type cloniqu
39°, 2. L'animal meurt. Ces expériences tendent à démontrer que les
convulsions
toniques générales provoquées soit par l'action
ée d'une manière appréciable, lorsque les mêmes agents produisent des
convulsions
cloniques (exp. II, IV, VI.) X. Sur les néo-m
du service, il y a eu hier dans la soirée, à plusieurs reprises, des
convulsions
ressemblant à celles de l'épilepsie, mais bornées
e. Du 7 au 10, l'état ne varie point ; il n'y a pas eu de nouvelles
convulsions
. Le 10, pendant la visite, la malade est prise
e devient légèrement violacée, les membres ne participent en rien aux
convulsions
. L'accès dure une ou deux minutes environ, puis i
jour de son admission à l'hôpital. Le lendemain survient un accès de
convulsions
épilep-tiformes bornées aux muscles du cou et de
fixe siégeant au niveau du pariétal gauche ; perte de connaissance et
convulsions
épileptiques dans le côté droit du corps, revenan
quelques minutes: c'est là tout ce que l'on observe. Mais bientôt ces
convulsions
du côté droit cle la face deviennent plus fortes
e flexion et d'extension, de supination et do pronation, et enfin les
convulsions
, qui semblent aller progressivement des parties s
te. Pendant ce temps, le côté gauche reste parfaitement immobile. Les
convulsions
de ia totalité du côté droit cessent au bout de t
ptômes de la néphrite albumineuse, succomba tout à coup à la suite de
convulsions
urémiques. L'examen de l'encéphale fut fait ave
qu'on rapporte généralement à l'encéphalite, tels que le délire, les
convulsions
, les contractures, sont très rares au début du ra
sans traces de contracture. Il n'y a eu ni perte cle connaissance, ni
convulsions
épileptiformes, ni céphalalgie. Les choses rest
nostik), publié en 1778. Il s'agit d'une hystérique chez laquelle les
convulsions
et les contractures étaient calmées instantanémen
e de la ville, qui est venue nous consulter ici et qui, à la suite de
convulsions
hystériques vulgaires, a été prise, il y a quatre
que provoquée, un frémissement constant de la paupière supérieure, la
convulsion
des globes oculaires dans diverses directions (I)
rmés ou demi-clos; frémissement persistant de la paupière supérieure;
convulsion
des globes oculaires; anesthésie totale et absolu
proche d'un aimant consistent dans des variations de température, des
convulsions
, des spasmes ioniques, des anesthésies, des hyp
érapeutique. L'hystérie, chez elle, n'avait jamais été accompagnée de
convulsions
; la malade n'a jamais eu d'attaques; Un jour, son
émoniaque déchire ses vêtements, et ses membres se contracturent ; la
convulsion
de la langue'et des mâchoires est admirablement r
c'est un simple frémissement musculaire, ou bien une série de petites
convulsions
cloniques qui se rapprochent du tremblement. — Un
ieu sans quelque difficulté, à cause du spasme des paupières et de la
convulsion
des globes oculaires. On y arrive cependant, mais
nts : 1° Les yeux sont le plus souvent fermés, s'il sont ouverts la
convulsion
des globes oculaires empêche toute fixité du rega
t il faut la coucher à terre sur des oreillers. Presqu'aussitôt les
convulsions
font place au délire, à la suite duquel la malade
rnés à maintenir la malade et nous n'avons rien fait pour enrayer les
convulsions
qui se sont arrêtées d'elles-mêmes. Après avoir
sur la distinction qui doit être établie à ce point de vue entre les
convulsions
toniques et les convulsions cloniques............
être établie à ce point de vue entre les convulsions toniques et les
convulsions
cloniques.......................„.............. 9
fixe siégeant au niveau du pariétal gauche ; perte de connaissance et
convulsions
épileptiques dans le côté droit du corps revenant
; — somnambulique, p. 419; 150: —par excitalhn des muscles, p. 848.
Convulsions
toniques, p. 96 ; — cloniques, p. 97;— par inject
on IX. Mlle E. 8..., treize ans. - Un frère et une soeur ont eu des
convulsions
. - Oncle paternel, mort fou ù Bicêtre. Observ
Grand-père paternel pendu. Mère hys- térique. Un frère est mort de
convulsions
. Une soeur et deux autres frères ont eu des con
est mort de convulsions. Une soeur et deux autres frères ont eu des
convulsions
. Observation XI. M"° D..., douze ans. Contractu
M. Moreau (de Tours) reconnaît que la folie a des rapports avec les
convulsions
, l'hystérie, l'idiotie, l'épilepsie, le strabis
des lèvres d'une manière prédominante. On a noté la fréquence des
convulsions
chez les enfants nés d'une mère éclamptique 2.
fils nerveux et daltonien qui a sept enfants, dont six eurent des
convulsions
, et l'un d'eux eut des 1 Gallard. Crampe des éc
77, p. 546.) = Duelos. Eludes cliniques pour servira l'histoire des
convulsions
de l'enfance, 1847, p. 75. 3 Trousseau. Clin.
es et secousses) ? Oncles maternels originaux.- Une soeur, morte de
convulsions
. Une autre soeur et deux frères ont eu des conv
ur, morte de convulsions. Une autre soeur et deux frères ont eu des
convulsions
. - Elle seule n'a pas eu de convul- sions étant
neuf ans, sujette à de violentes migraines. Il faut rapprocher des
convulsions
de l'enfance le spasme de la glotte, l'asthme d
sous le nom de spasmus J1utans, de tic de Salaam, une variété de
convulsion
du cou. On voit les jeunes enfants qui en sont
alade observé par Ord'' avait été choréique, une soeur avait eu des
convulsions
et un frère commençait à être pris de paralysie
vent être édifié sur les maladies de la moelle, les paralysies, les
convulsions
de l'en- fance, etc., un certain nombre d'affec
ar strangulation (circulaires du cordon) ; - 3° une fille, morte de
convulsions
à treize mois; 4° une fille, morte de convulsio
e fille, morte de convulsions à treize mois; 4° une fille, morte de
convulsions
à un mois; 5° une fille, âgée de quinze ans, qui
e de quinze ans, qui paraît assez intelligente et qui n'a pas eu de
convulsions
infantiles; la parole présente chez elle, comme
marcha à dix mois et demi, fut propre avant un an et n'eut pas de
convulsions
. De trois à quatre ans, teigne traitée à l'hôpita
t » ; il revenait à lui au bout de quelques secondes, sans a\oir de
convulsions
et continuait son travail, comme si rien d'anor
ar de grands mouvements des bras et des jambes; l'enfant tombe. Les
convulsions
reparaissent alors sous forme d'une trépidation
s tétaniformes rapides, suivies de rougeur à la face et de quelques
convulsions
clomques. Après un premier répit de courte duré
nt spasmodiqur des paupières (phase tétaniforme) et, après quelques
convulsions
clo- niques (phase clonique), apparaît la résol
n attaque. On observe la période épiieptoide avec rigidité Ionique,
convulsions
cloni- ques et apparition d'écume salivaire aux
pothèse, nous rappellerons que deux soeurs du malade sont mortes de
convulsions
; qu'une autre est atteinte de zézaiement et d'h
essionnable, pas d'attaques de nerfs. - Un frère est mort jeune, de
convulsions
. Pas d'aliénés, d'épilep- tiques, de difformes]
onchite, l'une à sept mois et demi, l'autre à dix-sept mois; pas de
convulsions
, bien con- formées. Deux garçons jumeaux 1 : l'
t notre malade. Un garçon, bien conformé. mort à treize jours, sans
convulsions
, d'un « épanchement au cerveau. » - Une fille d
de trois ans et demi, bien portante, intelli- gente ; n'a pas eu de
convulsions
, est très peureuse. Notre malade. Grossesse acc
tournaient » ; à deux mois, il a eu, pendant vingt et un jours, des
convulsions
semblables à celles qu'il a aujourd'hui et dura
depuis un mois, il n'aurait plus ces habitudes. Il n'a jamais eu de
convulsions
, ni de vertiges. Pas de fièvres éruptives, pas
semblaient à ceux de l'épilepsie partielle avec prédominance des
convulsions
du côté droit; mais la température restait toujou
se prend qu'un peu plus tard et d'une fdçon très peu marquée. Les
convulsions
cloniques se montrent presque immédiatement à l
la résolution musculaire, qu'une nouvelle attaque se produit. Cette
convulsion
, on le voit, ressemble à l'épilepsie jacksonien
légèrement qu'à droite. La jambe gauche ne présente pas toujours de
convulsions
La tête est constamment tournée à droite, du cô
elle que je viens designaler à la Société établissent enfin que les
convulsions
dans l'hystérie peuvent aussi revêtir les carac
Psychiatrie, B. III, p. 231.) Après un traumatisme, accès subit de
convulsions
cloniques, principalement dans le domaine du fa
sure de Sylvius '. 1 Nous avons rassemblé un grand nombre de cas de
convulsions
des muscles delà face avec lésions de l'extrémi
f.Ui \L;It'I : UJli. de salivation. Hémiplégie flasque gauche, puis
convulsions
, albuminurie et mort. Autopsie (par le profes
ement de 1 intellience, perté de la'(lnie"m'oitr'é.,lfletc.) ou des
convulsions
, des attaques épile¡jiijor'n'es : ' I\1ÿPa, la'
logues, dont l'un d'eux, le trouble de la parole, s'accompagnait de
convulsions
momen- tanées du côté droit de la face. Garro
e voix et l'a u n agiter convulsivement les bras et les jambes. Les
convulsions
pas- sées, Fauv.. s'est levé de son lit sans av
ui se caractérisent par une agitation plus ou moins intense, ou des
convulsions
soit cloniques soit toniques. On l'a signalée d
e a commencé par une période d'excitation de son état mental et des
convulsions
générales, dont 1 F. Guyon. - Leçons cliniques
e bruit ou contact pro- voque une attaque qui se manifeste avec des
convulsions
toniques, commençant par la face, le membre sup
s entraîner une dégénérescence descendante. Les contractures et les
convulsions
épileptiformes n'accompa- gnent que très except
en géné- rue dans les 'muscles qui étaient les plus agités par les
convulsions
. Dans tous lés cas,'le pronostic est bénin; cet
On constatait, en revanche, en tant que phénomènes irritatifs, des
convulsions
affectant la forme de tensions musculaires passa-
nfant de six mois ayant présenté pendant la vie : du strabisme, des
convulsions
musculaires, un érythème cutané circonscrit, de
résie droite y compris le fa- cial inférieur, blépharoptose gauche,
convulsions
cloniques légères dans le bras droit, absence d
omberg, de la paralysie vésico- rectale, enfin des élancements avec
convulsions
des membres supérieurs. On constate presque au
lées : Observation I. Paralysie des extrémités du côté droit avec
convulsions
des mêmes extrémités dans le cours de la méningit
du noyau lenticulaire. Observation III. Céphalalgie. Vomissements.
Convulsions
(emprostl1otonos). Puis, paralysie de l'oculo-m
te; par CUVOSTECK (Jcchr61ccla f. Psych., IV, 1.) Symptomatologie :
convulsions
épileptiformes et phénomènes parétiques consécu
é droit, dila- tation passagère de la pupille de ce côté. Puis, les
convulsions
se généralisent, elles sont accompagnées ou sui
ns de la digestion sur l'encé- SOCIETES SAVANTES. 351 phale ; les
convulsions
ducs à la présence de vers inteslinaw sont auss
le étranglée ; mais alors des vomissements, de l'hémiparésie, des
convulsions
hémilatérales s'opposaient à ce qu'on rattachât l
nvulsives jusqu'à l'âge de dix-huit ans; il a présenté lui-même des
convulsions
dans son enfance jusqu'à dix ans. Laborieux, in
e est accouchée de Constant sur une route. P... (Constant) a eu des
convulsions
dans son enfance et a uriné au lit jusqu'à dix
né qui fait partie de la crise hystérique et dont elle sort par des
convulsions
. Elle n'a jamais su au réveil ce qui se passe p
qu'elle est malade. Cette dernière période se termine par quelques
convulsions
et la malade se réveille dans son état normal a
s'est effectue facilement.- A huit mois, Ser... a eu, une fois, des
convulsions
. Cet accident est resté isolé et il a eu une tr
est hypothétique), mais ayant cependant une certaine tendance aux
convulsions
(la preuve en est dans l'unique convulsion de l
e certaine tendance aux convulsions (la preuve en est dans l'unique
convulsion
de l'enfance signalée), éprouve à l'âge de quat
le facteur étiologique de l'épilepsie. La prédisposition native aux
convulsions
, signalée, ne milite pas contre notre diagnos-
époque sur des oreillers. Il a eu, en bas âge, le carreau^) et des
convulsions
. Vers sept ans, on l'a misen classe. Il apprena
est l'espérance d'une parfaite guérison. Phénomènes paralytiques et
convulsions
sont des complications défavorables. Plusieurs
s de 0,0025 et 0,003, on produit des accidents toxiques (agitation,
convulsions
cloniques des extrémités, pouls et respiration
ère opération eut lieu quelques semaines après la chute à cause des
convulsions
qui se déclarèrent; les fontanelles étaient for
arçon de deux ans et demi, qui, âgé de dix jours, avait été pris de
convulsions
, et à trois mois et demi présentait un développ
itions, la première urine amenait la mort rapidement avec de fortes
convulsions
; la seconde plus lente- ment et avec peu de con
c de fortes convulsions; la seconde plus lente- ment et avec peu de
convulsions
.' Aussi l'auteur concluait-il : « Sauf certaine
le poil est hérissé, l'oeil terne, il ne cherche pas à fuir. Pas de
convulsions
nettes. L'animal meurt à 7 heures du soir, quat
es. Arrêt des mouvements respiratoires à 65 c. c. sans la moindre
convulsion
. T. 32°,6. Les deux expériences précédentes sem
njections en dix minutes de 75 c. c. d'urines. Mort à 75 c. c. avec
convulsions
toniques répétées. Pas de réaction. Par une erreu
c. c., l'animal se raidit en arrière, tout le corps est raide sans
convulsions
cloniques, les mouvements res- piratoires sont
de 34 c. c. d'urine filtrée et alca- linisée ; à 30, secousses sans
convulsions
franches. Pas de miction ni de défécation. Au
cobaye, sur la plan- chette. Elles ne sont pas albumineuses. A 80,
convulsions
toniques généralisées à plusieurs reprises. Sal
rain postérieur; -à 90, cris prolongés, nouvelles secousses; à 105,
convulsions
toniques, très intenses (type déjà décrit). Que
irrégularités respira- toires ; ',à 62, 'rejet brusque en arrière,^
convulsion
tonique, franche et intense. Exophtalmie brusqu
et superficielle; à 50, première attaque de secousses. Ce sont des
convulsions
toniques de tout'le corps, plus marquées cepend
ze minutes environ. (Cette description peut servir de type pour les
convulsions
toniques analogues à celles que produit l'empoi
solées, agitation; A 196 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. 72, attaque de
convulsions
toniques. Exophtalmie intense etbrusque. Perte
nettement accélérée qu'à ce moment. Mort à 77, dans une attaque de
convulsions
toxiques avec exor- bitisme brusque. Une mictio
e1ophlaJmie s'accentue brusquement. On abandonne l'animal qui a une
convulsion
tonique nette mais peu intense et qui dure peu.
c., perte des réflexes cornéens; A 235 c. c., mort sans nouvelles
convulsions
. Une seule miction d'urines, troubles au début de
ers 140, exophtalmie légère. A 176, mouvements convulsifs intenses.
Convulsions
toniques de la face et des muscles des. yeux à
sans bouger. Il meurt cinq minutes après la fin de l'injection sans
convulsions
. 4 mictions abondantes d'urines claires pendant
faible, disparait. La mort n'est pas sur- venue à l'occasion d'une
convulsion
. L'animal a eu une miction abondante d'urines c
derniers moments de l'infection. La mort survient dans l'une de ces
convulsions
. Plusieurs mictions et plusieurs défécations pe
l- mie commence vers 110 c. c.; la mort survient à 140, après des
convulsions
toniques répétées et très intenses. Coefficient u
st tirée à droite, il s'ensuit parfois la perte de connaissance, la
convulsion
des yeux, la généralisation des mouvements conv
. Pas d'aura à ses accès : la compression de la main au début des
convulsions
du membre peut seulement suspendre pendant quel-
de dit que cette dernière se raidit un peu sans avoir de véritables
convulsions
dansles membres, ni déviation de la bouche, ni
désespérait quand on ne le comprenait pas. Pas de paralysie, pas de
convulsions
, pas de perte de connais- sance. Mémoire très a
ructure ou de nutrition des mêmes tissus, comme les paralysies, les
convulsions
, les anomalies de la sensation. Nous sommes mai
es caractères et sa position, peut entraîner de la paralysie ou des
convulsions
limitées à la face, aux mains, aux pieds. Toutes
ent, et autres perturbations mentales, auxquelles s'associaient des
convulsions
, étaient considérées comme le résultat indirect
ur l'origine corticale des monospasmes, et, par généralisation, des
convulsions
unilatérales épileptiformes, mais elles ont enc
reproduire les phases cliniques de l'accès d'épilepsie, telles que
convulsions
toniques et cloniques, dilatation des pupilles, s
les centres du bras. Lorsque, ce qui arrive assez fréquemment, les
convulsions
s'étendent à l'autre côté, l'ordre suivi va inv
centres de la jambe à ceux de la face, chose qui se traduit par des
convulsions
ascendantes de la jambe à la face. En même te
tiques, et il a été, je crois, établi d'une façon certaine, que les
convulsions
du véritable type touico-clouique de l'épilepsi
assez bien en apparence ; mais le sixième jour il eut une série de
convulsions
commençant dans le côté gauche de la face, enva-
de ces membres. Ces attaques commençaient et se terminaient par des
convulsions
géné- rales. Macewen conclut avec raison, que c
ouverte aux recherches. ' 254 THÉRAPEUTIQUE. L'épilepsie et les
convulsions
épileptiformes ne sont pas seule- ment les affe
uer que lorsque l'excitabilité de l'écorce a baissé, on obtient des
convulsions
motrices (surtout toniques) des plus vives ; il
otrices (surtout toniques) des plus vives ; il est à croire que les
convulsions
ont pour point de départ les centres sous-cortica
e). Actuellement atrophie des muscles des deux bras et des épaules;
convulsions
fibrillaires. Rien du côté de la sensibilité; p
, vertiges, etc.) ; troubles de la motilité (contractures, crampes,
convulsions
, spasmes, paralysies de divers ordres); trouble
ffectée de dysménorrhée, et les apparences décelaient chez elle des
convulsions
hystériques. Avec l'aide des remèdes ordinaires
ralysie infantile ordinaire constituant la forme grave (hémiplégie,
convulsions
, arrêt de déve- loppement, contractures), tandi
ment l'usage de la parole. Il y a deux ans, elle eut vingt-quatre
convulsions
durant la même journée, probablement à la suite d
uite delà dentition, qui était tardive; mais ce sont là les. seules
convulsions
qu'elle a eues. Rougeole et coqueluche vers un
semaines, six semaines, trois mois, il eut plu- sieurs attaques de
convulsions
. A l'âge de douze mois, il était très DU TRAITE
un moment et qu'il eut en même temps une légère attaque visible de
convulsions
. On constata un tremblement des extrémités pend
A treize mois, rougeole. A quinze mois, deux attaques distinctes de
convulsions
, sans paralysie. D'autres attaques se déclarère
d'une femme de trente-quatre ans chez laquelle- pendant six ans des
convulsions
limitées au bras gauche furent l'unique symptôm
ira en dehors, après les deux membres successivement furent pris de
convulsions
cloniques très rapides, ayant commencé par la j
li- mente mal et dort peu; ainsi après quatre mois d'accalmie les
convulsions
reprennent avec une intensité plus grande; dans u
on de froid qui gagne rapidement toute une moitié du corps, ensuite
convulsions
toniques et chroniques des deux membres, débuta
re que l'irritation morbide des centres psycho-moteurs provoque les
convulsions
jackso- niennes. Westphal, à l'autopsie d'un
ible ce cas, l'hémianopsie devrait s'accompagner d'hémiplégie et de
convulsions
hémichoréiques, par lésion concomittante de la
verbale, disparition totale des hallucinatious. Quatre jours après,
convulsions
, mort. Ainsi que le fait remarquer l'auteur, po
pendant près d'un an a eu toutes les semaines ou tous les mois des
convulsions
toniques et cloniques de la main droite. L'autops
ce, et présentant une marche aiguë, le plus souvent accompagnées de
convulsions
, mais dont' les symp- tômes rétrocèdent, au moi
ment du bras ou de la jambe, hémiplégies ou monoplégies passagères,
convulsions
; quand il y a fracture du crâne, avec enfoncem
ilepsie d'origine cor- ticale. L'irritation qui, ici, détermine des
convulsions
, évoque là de fausses sensations, ressuscite de
rée et d'intensité, détermine, appliquée aux centres moteurs, des
convulsions
épileptiformes, appliquée aux cen- tres sensori
udition, ils déterminaient une attaque d'épilepsie générale : les
convulsions
débutaient par le pavillon de l'oreille du côté
là leur inégale influence dans les muscles, ce qui était cause des
convulsions
et retardait la .mort. » Ce passage remarquable
mbraneuses par ces distensions forcées : irritation qui produit les
convulsions
et occasionne une mort plus prompte que n'aurai
l'injection d'air dans le système aortique produit la syncope, des
convulsions
, symptômes résultant de l'arrêt de l'ondée aort
ternelle et arrière-grand-père aliénés. Frères et soeurs morts de
convulsions
. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge d'un a
après avoir eu quelques convulsions-; 2° fille morte à trois ans de
convulsions
; - 3° notre malade ; - 4° garçon né à terme, ch
° fille bien portante, intelligente, âgée de six ans et demi pas du
convulsions
. Notre malade. - La grossesse a été accompagnée
le ner- vosisme et l'aliénation mentale. Notons aussi la mort par
convulsions
de plusieurs frères et soeurs. II. - Dans les a
niques du peaucier du cou. - Son originalité consiste en ce que les
convulsions
ne sont pas limitées aux extrémités des membres
limite rigoureusement aux deux tiers inférieurs de son étendue; les
convulsions
tantôt cloniques, tantôt'toniques, y demeurent
eurs bien portants; un frère plus âgé mort à l'âge de huit jours de
convulsions
. Depuis l'âge de deux ans, ces jeunes gar- çons
se traduisent cliniquement par l'idiotie, le gâtisme, les tics, les
convulsions
dans les premières années de la vie et, très so
u couché, ne pouvait manger seul, était gâteux, il présentait des
convulsions
allant jusqu'à un véritable état de mal. Il mouru
forme démente. Entré en janvier 1879, mort au bout de huit mois, de
convulsions
épilep- tiformes. B... avait deux ans, quand sa
h. 48 m., Décompression 1 minute. A 4 h. 33 ni.. l'animal tombe en
convulsions
suivies bientôt de coma. Mort à 5 heures, fiaz
ournois et taciturne. Vers l'âge de quatre ans, il a été atteint de
convulsions
qui ont marqué le début de l'épilepsie; les acc
ement, des mouvements convulsifs, des contractures temporaires, des
convulsions
et une altération des fonctions des organes en
rfois à des accès d'excitation et d'irrita- tion qui s'expriment en
convulsions
des différents groupes de muscles. Dans quelque
nvulsions des différents groupes de muscles. Dans quelques cas, ces
convulsions
se localisent, dans d'autres elles passent même
ouva que cette opération provoque des spasmes fibrillaires et des
convulsions
toniques et cloniques. Quant au myxoedème et à
ulsive de la grande attaque. Elles se terminent quelquefois par des
convulsions
, d'autres fois par une attaque de sommeil. Le s
nstater la disparition de la conscience, la flexibilitas cerea, les
convulsions
générales ou locales, l'anal- gésie, l'amnésie
de son observation clinique, qui a été publiée. Il était atteint de
convulsions
et d'épilepsie a accès rapprochés, après avoir
boisson du père , mère nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de
convulsions
. Premières convulsions à six mois, secondes à n
nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de convulsions. Premières
convulsions
à six mois, secondes à neuf; puis con- vulsions
vexité sont ici très marquées, l'idiotie était profonde, et les s
convulsions
étaient précoces et fréquentes. Notre maître, l
t fils d'un alcoolique, on trouva de l'hydrocéphalie partielle. Les
convulsions
avaient débuté à quatre mois, suivies d'un véri
83; grand'père maternel alcoolique ; mère nerveuse; frères morts de
convulsions
; .7342 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. convulsions à s
rveuse; frères morts de convulsions; .7342 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
convulsions
à six semaines, rougeole, -tubercules ; idiotie c
nh., 1868-1885, hérédité alcoolique et nerveuse, a eu ses premières
convulsions
à deux ans. Elles étaient limitées au côté gauc
t, il s'agit d'un enfant de trois ans, Porte ? atteint de premières
convulsions
à trois mois. Parole et démarche nulles, gâtism
itabilité des zones environnant l'aire motrice, la localisation des
convulsions
et des paraly- sies d'origine corticale, plaida
uffisantes : si l'on excite la zone de l'audition, par exemple, les
convulsions
débuteront par le pavillon de l'oreille du côté
pulsions de l'enfance, blésité. Accès de cris de un à cinq mois.
Convulsions
internes ci trois se- maines. - Premières dents
ace de syphilis ; pas d'attaques de nerfs. On ne sait s'il a en des
convulsions
dans l'enfance. Jamais d'excès de boisson, ne f
e, quarante-huit ans, couturière, petite, brune, n'aurait pas eu de
convulsions
dans l'enfance, pas de migraines ni de névral-
e de 5 ans.] - Douze enfants : 1° Garçon de vingt-huit ans ; pas de
convulsions
, intelligent ; géologue. Marié, pas d'enfants;
Marié, pas d'enfants; très rangé; 2° Fille, vingt-cinq ans, pas de
convulsions
; à dix-huit ans, peur, suspen- sion des règles,
, mort à sept ou huit mois ; - 4° Garçon, vingt-quatre ans ; pas de
convulsions
. Accès de somnambulisme la nuit, de dix à vingt
5° Fille, morte d'une angine couenneuse( ? ), à quatre mois. Pas de
convulsions
; 6° Fille, vingt ans ; pas de convulsions, pas
à quatre mois. Pas de convulsions ; 6° Fille, vingt ans ; pas de
convulsions
, pas d'attaques de nerfs ni de migraines ; intell
nfants assistés ; - 8° Moire malade; - 9° Fille, douze ans ; pas de
convulsions
, intel- ligenle 1 - 10° Garçon, dix ans, aurait
convulsions, intel- ligenle 1 - 10° Garçon, dix ans, aurait eu des
convulsions
à six semaines et en aurait eu à diverses repri
zozotte un peu en parlant » ; 11° Garçon, huit ans et demi ; pas de
convulsions
, bien portant, intelligent; - '12° Fille, morte
attribués par le méde- cin aux coliques. A trois semaines, petites
convulsions
internes : immobilité, occlusion des yeux, pâle
coup plus courtes, de dix à quinze minutes au plus. Jamais d'autres
convulsions
. Première dent vers sept ou huit mois, puis ell
te, une coordination altérée et de l'ataxie (Hammond) ainsi que des
convulsions
et des attaques épilepti- formes. Dans presqu
droit. Atteint bientôt après de paralysie générale, il présente des
convulsions
épilepliformes localisées dans le côté droit, p
demeurèrent rétrécis pendant la phase convulsive et reprirent, les
convulsions
terminées, leur allure normale, tandis que les
diminution considérable et brutale de l'image ophthaLnoscopique par
convulsions
cloniques du muscle ciliaire. On en rapprochera
Elle survit de plusieurs minutes à l'excitation. Souvent aussi une
convulsion
tonique termine la scène. Nothnagel a signalé d
sfixion des tubercules quadrijumeaux postérieurs se traduit par une
convulsion
tétanique extrême, qui survit longtemps à l'exc
dernière enfant; les autres sont en bonne santé. Elle n'a pas eu de
convulsions
et on ne sait à quoi attribuer la maladie. Sa t
ois. - [/10 Gordi... Epilcpsie. Parents : cousins germains. Père,
convulsions
. Mère, attaques d'hystérie. Grand'mère mater- n
a- ternello traitée dans un asile. Huit oncles ou tantes morts de
convulsions
. Ennuis et troubles intellectuels de la mère dura
. Père, caractère em- porté, tentatives de suicide. Oncle paternel,
convulsions
. Cou- sin paternel suicidé. Mère très nerveuse.
6° Pigne... Méningite. Parents : cousins issus de ger- mains. Père,
convulsions
dans l'enfance. Grand-père /paternel alcoolique
me chez les autres parents par ces mêmes accidents, l'asthme, les
convulsions
,l'aliénation -n-tei-ttaleil'idiotiel'épilepsie,
il pouvait être constaté exactement, c'est de savoir le rapport des
convulsions
épileptiques, au point de vue de leur siège ou
ès à G ans, sans cause connue. Il n'y avait pas de prédominance des
convulsions
dans un des côtés du corps. A l'autopsie, pas d
lle, attaques de nerf ; frère mort à 3 ans de fièvre cérébrale avec
convulsions
; un neveu idiot. Quant lui, il a parlé et marc
araplégique. Dans ses antéoédents personnels, on trouve : premières
convulsions
à 5 mois, jusqu'à 2 ans. Premier accès à 5 ans
4 anis : c'est un garçbn très- régulier. » On ne sait s'il a eu des
convulsions
dans l'enfance. Père, anglais, cocher de maison
umassière, bien portante, petite, brune, assez intelligente; pas de
convulsions
dans l'enfance; réglée à 14 ans, l'est encore;
.) Huit enfants : 10 Garçon né à 8 mois, mort à 4(i jours; pas de
convulsions
. 2° Fille née à 7 mois, morte au bout d'une heu
nvulsions. 2° Fille née à 7 mois, morte au bout d'une heure; pas de
convulsions
. 3° Fille née à terme, morte en naissant. 4° Fi
mois, d'accidents cérébraux comateux, qui ont duré 8 jours ; pas de
convulsions
. 5° Gar- çon, 17 ans, bien portant, intelligenc
çon, 17 ans, bien portant, intelligence ordinaire; violent; pas de
convulsions
. 6° Fille morte à 1S ans, cette année, de la fi
s, cette année, de la fièvre typhoïde, à l'hôpital Beaujon ; pas de
convulsions
, pas d'attaques ; intelligente. 7° Garçon mort
BUT DES ACCÈS. 41 7 mois; était né avant terme ; n'aurait pas eu de
convulsions
. 8° Notre malade. A la conception, les deux épo
phalalgie, surtout quand elle est de forme congestive, et calme les
convulsions
, etc. En ce qui concerne l'épilepsie, M. Da Cos
ternelle et arrière-grand-père aliénés. - Frères et sreurs morts de
convulsions
. - Pets de consanguinité. - Inégalité d'(tge d'un
né avant terme (forceps), mort à deux jours après avoir eu quelques
convulsions
; 2° fille morte à trois ans de convulsions; 3°
après avoir eu quelques convulsions ; 2° fille morte à trois ans de
convulsions
; 3° notre malade ; 4° garçon né à terme, chétif
° fille bien portante, intelligente, âgée de six ans et demi pas de
convulsions
. Notre malade. La grossesse a été accompagnée d
le ne ? vosisme et l'aliénation mentale. Notons aussi la mort par
convulsions
de plusieurs frères et soeurs. IL Dans les anté
t hystérique, a eu dans sa plus tendre enfance la coqueluche et des
convulsions
suivies d'un strabisme interne dont elle s'est
cet accès disparaissait sans parésie consécutive; quelque- fois des
convulsions
épileptiformes s'y ajoutaient. La fréquence quo
aigrissement considérabe des deux jambes avec douleurs lancinantes,
convulsions
de la jambe droite, paralysie complète de la ve
Milan appliquées sur les memhres où se produit l'aura, prodrome des
convulsions
limitées. Sous l'influence de cette excitation
Sous l'influence de cette excitation locale de la peau, on voit les
convulsions
changer de côté. Ces cas, la plupart relatifs a
lcoolique. Neuf frères et soeurs de la ma- lade sont morts dans des
convulsions
. Un frère survivant a uriné au lit jusqu'à l'âg
préalablement dans du café. Clotilde a eu dans son enfance quelques
convulsions
. Vers dix ans, elle était prise par moments de
saire à déchaîner par son application sur le centre psychomoteur la
convulsion
la plus faible du membre opposé correspondant.
voquera tout à coup, sous l'inflence d'un faible renforcement, des
convulsions
épileptiformes généralisées. - Symptomatologie, C
u champ visuel. Depuis l'âge de treize ans, le patient présente des
convulsions
épileptiques à retours irréguliers, consécutifs
rtantes, mais trop petites pour leur âge, une autre serait morte de
convulsions
. Le malade en question a mar- ché tard, sa dent
appris à parler et à marcher, jamais il n'a eu de rhumatisme ni de
convulsions
. 11 y a sept ans, scarlatine bénigne; cette ann
de la portion comprise entre les deux omoplates ; lordose lombaire;
convulsions
cloniques des extrémités, des muscles de la nuq
vec les muscles du visage et de la langue quand il veut parler; les
convulsions
reprennent de plus belle à l'occasion des mouve
igna, après une ingestion de 0,10, d'une sensation de lourdeur avec
convulsions
cloniques, de vertiges, de troubles de la parol
tétaniser à J'aide de courants faradiques intenses sans amener les
convulsions
. Il est probable que le point de départ est dans
entifique internationale, 1885). Case of hysterical hemianesthesia,
convulsions
and motor paraly- sis ; par WALTON. (Boston med
; grand'tante paternelle imbécile. Cousin germain paternel, mort de
convulsions
. Mère : faible d'esprit, sujette à des élourdis
re a quatre enfants qui sont en bonne santé et n'ont jamais eu de
convulsions
. Ces deux frères sont plus intelligents que le pè
des Enfants-malades, pour la gourme et la teigne ; il n'a pas eu de
convulsions
et ne tombe pas; il est déjà ivrogne; 3° Notre
IOTS. 193 Observation 1. - Idiotie; épilepsie nocturne. Premières
convulsions
à sept mois; - peur à dix ans : premier accès d
x-sept mois, a été propre à deux ans, a parlé vers un an. Premières
convulsions
internes ( ? ) à sept mois : pendant la nuit on
nuit on s'est aperçu qu'il avait les yeux égarés, on n'a pas vu les
convulsions
. A dix ans, il eut peur d'un cheval emporté qui
dire quelques mots à un an, a été propre à dix-huit mois. Jamais de
convulsions
. A six' mois a au germe de ses idents », premie
a été bien portant pen- dantsapremière enfance. Il n'ajamais eu'de
convulsions
d'aucune sorte ni de symptômes méningitiques. c
eurement d'accidents hystériques, si ce n'est une légère attaque de
convulsions
survenue deux jours avant son opération à la suit
ques avec d'autres troubles nerveux, souvent tout à fait passagers (
convulsions
, paralysies, sopor, vertiges, hyperes- thésies,
en élevant la pression artérielle, engendrera de l'apoplexie avec
convulsions
générales, parce que le liquide céphalo-rachidien
ses voies d'écoulement) comprimera la surface du cerveau. Quant aux
convulsions
partielles, elles sont dues à la formation de p
, tels ces troubles intellectuels chez deux fillettes, atteintes de
convulsions
hvste- . - nl t' ! ^ r z ? rr ! t .trtn(1 fll-J
'octobre 1 S70; débile dès sa naissance'; depuis sa première année,
convulsions
du côté gauche avec perte complète de connaissa
seule espèce de plainte pour exprimer ses besoins. Il est àlteintde
convulsions
tôutesspéciàles qui surviennent fréquemment au
àqünel grande partie' de I*encé- phale; à ce moment'se montrent les
convulsions
, le' trouble"'de' la' connaissance', etc ? par
imbéciles ; deux frères idiots ; deux frères et une soeur morts de
convulsions
en bas Qge. Antécédents héréditaires. (Renseign
; -°2° fausse couche de sept mois ; - 3° fille morte à sept mois de
convulsions
; - 4° Horni... Constant (OBs. VI); 5° un garço
vulsions ; - 4° Horni... Constant (OBs. VI); 5° un garçon mort de
convulsions
à treize mois; - 6° fausse couche de trois mois
ortante, d'un caractère doux mais peu intelligente, et qui a eu des
convulsions
à cinq ou six mois, à plusieurs reprises ' ; -
lsions ; 10° un garçon, mort à cinq mois, d'une méningite, avec des
convulsions
. Observation V. Imbécillité ; perversion DES in
oppement ; premières con- vulsions dans la première année; secondes
convulsions
vers deux uns. - Marche ci deux uns et demi; pa
contrariait. 11 aurait eu, pour la première- fois, en nourrice, des
convulsions
très fortes; puis une seconde fois, de un à tro
n VI. IDIOTIE complète. Athrepsie de la première enfance; premières
convulsions
à huit mois; secondes convulsions à neuf mois,
de la première enfance; premières convulsions à huit mois; secondes
convulsions
à neuf mois, etc. ; marche à sept ans et demi;
chait d'abord elle-même. A huit mois, il a eu une première fois des
convulsions
qui ont dure une heure, et portaient également
quatres membres. Un moi» plus tard, il a eu une seconde attaque de
convulsions
pendant dix minutes. Il a encore eu des convuls
onde attaque de convulsions pendant dix minutes. Il a encore eu des
convulsions
à deux autres reprises : en tout, elles ont dur
une heure; le médecin qui a été appelé a dit que ce n'était pas des
convulsions
, mais une crise nerveuse. Après, les yeux étaie
lheureux enfants venus à terme, deux meurent, à quel- ques mois, de
convulsions
, deux sont idiots, l'un inéducable, tous deux i
ir place dans lasociété ; une autre, imbé- cile, a eu autrefois des
convulsions
. Une seule fille est bien por- tante et intelli
; - 8° un garçon, bien portant, assez intelli- gent, a eu quelques
convulsions
internes, il ¡louche; - 9° une fille, huit ans,
ternes, il ¡louche; - 9° une fille, huit ans, bien portante, pas de
convulsions
ni d'affections nerveuses; -- 100 Un garçon de
s à Bicêtre. Observation XI. IDIOTIE congénitale complète. Pas de
convulsions
. Congestion cérébrale à trois ans ( ? ). - Parole
elle a eu des céphalalgies, des syncopes, des crises nerveuses sans
convulsions
, pendant une grossesse. En 1883. à propos d'une
résultant d'une autosuggestion de la part de la malade effrayée des
convulsions
épileptiques de sa compagne. 29. Hier, un phéno
st-à-dire des cas de pachyménin- gite ou d'hémorragie méningée avec
convulsions
suivies de coma, nous n'avons observé chez la f
rtaine mesure, et cependant on ne constata ni spasmes localisés, ni
convulsions
, ni paralysie; l'impossibilité de se tenir debo
hystérogène. La compression du testicule droit arrête l'attaque de
convulsion
. V... est bavard, violent, arrogant dans sa phy
transfert, dans ce cas, est des plus laborieux; il s'accompagne de
convulsions
, d'hallucinations, de grandes salutations rhyth-
ntinuellement abstenu de nourriture, pui·, une nuit, il fut pris de
convulsions
généralisées, dépourvues de cause qui, accompag
'au mois d'août 1885, après quelques jours de malaise indéfini, des
convulsions
franche- (1) Diction. Encyclop. des Sci. Méd. a
alifier sa névrose de grande hystérie. A la fin du mois d'août, les
convulsions
générales cessèrenl : et la contrac- ture des m
racture des membres supérieurs disparut immédiatement, sans que les
convulsions
revinssent. Le médecin traitant crut que cette fi
et il était de la même nature que celui de la dernière période des
convulsions
: elle voyait des hommes et leur parlait. Qua
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L'A SALPÊTRIÈRE. yeux ; ils présentent des
convulsions
, des tremblements, la langue sèche avec perte d
un traumatisme à l'épigastre qui dans l'année suivante fut suivi de
convulsions
. Un an s'é- coula et elle fut attaquée alors de
ervation personnelle n° 1). C'est précisément en s'appuyant sur les
convulsions
initiales accompa- gnées de délire et de fièvre
ttes à cet égard. Clay Scllaw (2) a fort bien observé et étudié ces
convulsions
faciales : « Les mouvements de la face, dit-il,
ade est ué : à terme, la grossesse a été bonne, Il n'a jamais eu de
convulsions
, pas de chorée, ni coqueluche. Il a marché avan
e, capri- cieux, pleurnicheur. En même temps sans cause comme, sans
convulsions
(la mère ne se rappelle même pas qu'il eût de l
es impressions morales, les émotions qui augmentent l'intensité des
convulsions
n'accroissent cependant pas toujours la vitesse
ents volontaires produisent également une augmentation no- table de
convulsions
athétosiques. Ainsi dans l'acte de se lever de sa
ts volon- ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATUÉTOSE DOUBLE. 71 taires sur les
convulsions
athétosiques ; on conçoit facilement quelle peut
ons athétosiques ; on conçoit facilement quelle peut être celle des
convulsions
sur les acles ou gestes volontaires. En général l
delà démarche ferme qui s'applique sans doute à l'augmentation des
convulsions
athétosiques occasionnées par la maladie. Mais
lement. Notre malade est l'aînée de cinq enfants : un frère mort de
convulsions
il l'âge de quatorze mois. Un autre frère âgé d
anger ou même s'as- seoir. A deux ans et demi première attaque de
convulsions
; durée de neuf heures du matin à quatre heures
ication de sa maladie antérieure. A l'âge de neuf ans les crises de
convulsions
cessent et on envoie Virginie a l'école chez le
oduite par l'exer- cice exagéré des muscles qui sont les sièges des
convulsions
athétosiques. Audry fait la môme remarque. El
par l'émotion, celle-ci développant à peu près régulière- ment des
convulsions
et dos spasmes musculaires plus marqués. Dans c
». Des actes que les malades peuvent exécuter. L'imbécillité, les
convulsions
athétosiques, les spasmes et les contractures ent
e et le matières fécales. Attaques épileptiques et apoplectiformes.
Convulsions
. Les convulsions sont presque toujours constant
cales. Attaques épileptiques et apoplectiformes. Convulsions. Les
convulsions
sont presque toujours constantes, surtout si l'at
si l'athétose double date de la première enfance ; quelquefois les
convulsions
sont pas- sagères ; ailleurs elles se répètent
hétose double ; à ce propos n'oublions pas que pour Massalongo, les
convulsions
sont presque constantes, lorsque l'athétose dou
hez les enfants aussi, mais comme la plupart se confondent avec les
convulsions
de l'enfance et qu'on ne ÉTUDE CLINIQUE SUR L'A
âgéede28 ans bien constituée, qui a deux filles dont l'une a eu des
convulsions
: un frère âgé de 23 ans est aussi bien constit
en avant, deux démoniaques, un homme et une femme sont en proie aux
convulsions
. Ces deux figures offrent de nombreux points de
n. 10 frères et soeurs sont morts ; 9 ont succombé en bas âge à des
convulsions
. Le malade ne connaît parmi ses proches, aucun
ouble, propose dans les cas d'accouchements difficiles, lorsque les
convulsions
suivent pendant des jours entiers, d'ou- vrir l
u'il avait une exstrophie viscérale. Deux autres ont succombé à des
convulsions
dans leur première année. Quatre sont vivants, bi
ns ses antécédents héréditaires. Pendant son enfance, elle a eu des
convulsions
à deux reprises différentes. Mariée à 19 ans, e
52 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ressemblent en rien aux
convulsions
athétosiques qui sont tantôt en exten- sion et
affecté dans l'un et l'autre cas, l'âge du début de la maladie, les
convulsions
qui en ont marqué l'éclosion, peuvent certainem
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. trémités inférieures où la
convulsion
atteint aussi tout d'abord les orteils. Les deu
ujours atteintes d'une manière symétrique. La plupart du temps la
convulsion
s'empare de préférence des fléchis- seurs, de f
t le diaphragme sont assez rarement convulsés. L'intensité de ces
convulsions
Ioniques est très considérable. La durée de l'a
ui consiste en ce qu'on peut, dans la plupart des cas, produire les
convulsions
artificiellement pendant la période intercalaire,
Chez le malade de Greidenberg, douze frères et soeurs sont morts de
convulsions
, de semblables accidents sont signalés chez les p
s processus morbides de nature infectieuse, ces états fébriles avec
convulsions
et délire fréquents, qui surviennent assez souv
ble. Chez un de nos malades (obs. n°2), la maladie a débuté par des
convulsions
. Ollivier rapporte un cas, dans lequel un en- f
i-dessus n'ont pas cessé d'exister un seul ins- tant. N'a pas eu de
convulsions
, ni d'attaques d'épilepsie. Pas de causes occa-
Assez grande, brune, physionomie régulière plutôt agréable, pas de
convulsions
de l'enfance (ni son mari), assez nerveuse, pas
sans aucun accident nerveux, 3 ont des enfants bien portants, sans
convulsions
. Pas d'aliénés. Les consanguinités (cousins ger
s'appellent,'Poupart) : Quatre enfants. , 1° Fille 11 ans, pas de
convulsions
, intelligente, apprend bien. . 20 Fille morte à
morte à 13 ans. . 30 Notre malade. - 4° Garçon 8 ans 1/2, pas de
convulsions
. Les parents intelligents. Notre malade. A la
entr'autres faits, le cas particulier d'une para- plégie, suite de
convulsions
, ayant persisté six mois chez un enfant de 2 an
e infantile. Nous voulons bien faire la part de l'hystérie dans les
convulsions
de l'enfance ; mais de là à exclure toutes les
que éclamptique. L'hémiplégie hystérique peut aussi débuter par des
convulsions
et l'apoplexie exister clans un cas comme dans l'
naissance ; l'aîné est mort de diph- térie à 4 ans, le troisième de
convulsions
à 16 mois ; le quatrième, âgé mainte- nant de 7
ux, ont été des phénomènes capricieux : paralysies, con- tractures,
convulsions
hystériques ou hystéro-épileptiques, etc., et son
" il paraît que j'étais tout noir, » écume à la bouche. A-t-il eu des
convulsions
? Il ne le sait. Celte attaque aurait été précédé
ertaine influence. Les cas dans lesquels le tsenia donne lieu à des
convulsions
, à des symptômes nerveux, s'ils sont peu communs
ies auxquelles on inclinait à les rattacher. Les accidents nerveux,
convulsions
, paralysies, vertiges, etc., ne sont pas les seul
h30: injection de dix gouttes de la solution d'atropine. — 10h35: les
convulsions
sont plus intenses. Paralysie complète du mouveme
pine Eau distillée. . . 0*',30 50 grammes. plus régulière ; les
convulsions
diminuent. L'animal urine. — 10M5-55: les convuls
régulière ; les convulsions diminuent. L'animal urine. — 10M5-55: les
convulsions
persistent. Le cochon d'Inde est couché sur le ve
nt a diminué peu à peu, l'animal essaye démarcher. Parfois de petites
convulsions
. Le trem¬blement continue. — llh15 à midi : a uri
es dans les pattes de derrière; parésie du train postérieur. — 10h25:
convulsions
généralisées ; urines abon¬dantes, blanchâtres ;j
— 10h30-35 : augmentation de la paralysie du train postérieur, où les
convulsions
paraissent avoir leur maxi¬mum. Larmoiement très-
côté gauche. Bésolution com¬plète. Parfois, efforts de déglutition. —
Convulsions
des muscles abdominaux et du diaphragme. La respi
ement. — 10M5-30 : le trem¬blement et la parésie sont plus accentués.
Convulsions
cloniques. — 10h40-ll heures: le tremblement s'af
ésie du train postérieur. — 9h40 : l'animal est couché sur le ventre;
convulsions
cloniques fréquentes, parfois si violentes qu'ell
e côté gauche. —10 heures : état grave; strabisme en bas.— Î0h5 : les
convulsions
sont moins fortes; cependant l'ani¬mal ne peut en
ir sur ses pattes : sitôt qu'il essaye de se relever, il tombe et les
convulsions
deviennent plus énergiques. — Ni selles, ni uri
9 mai. 5h15 : Injection de 60 gouttes de la solution de fève.—5hl 2 :
convulsions
; selles, urines.—5M5 : convulsions générales; l'a
es de la solution de fève.—5hl 2 : convulsions; selles, urines.—5M5 :
convulsions
générales; l'animal tombe sur le côté. —5h20-25 :
ion ; bruit laryngien. — 5h40 : salivation; urine en petite quantité;
convulsions
presque nulles. Respiration lente. — Six heures :
'atropine); parésie du train postérieur. — 10b20 : après avoir eu des
convulsions
dans les pattes de derrière, l'animal est tombé s
côté droit, puis s'est relevé sur les pattes de devant. — 10h25 : les
convulsions
s'étendent. Même faiblesse du train pos¬térieur.
gouttes d'atropine.— 5h55 : tremblement général ; se traîne. — 6h5 :
convulsions
; décubitus abdominal ; selles solides. — 6h 10-2
ns ; décubitus abdominal ; selles solides. — 6h 10-20 : urine un peu,
convulsions
généralisées, rapides plutôt tôtaniformes que clo
sur le sol ; selles, urines. — 6h45 -.même état grave, toutefois les
convulsions
sont moins fré¬quentes. — 7 heures : immobile ; n
uvement spontané ou pro¬voqué. — 7b20: lorsqu'on excite l'animal, les
convulsions
augmen¬tent. — 7h35 ; se soulève, mais retombe. —
gmen¬tent. — 7h35 ; se soulève, mais retombe. — 8 heures : encore des
convulsions
par moments ou si on l'excite. — 8h30 : marche av
inquiétude; tremblement; fai¬blesse du train postérieur. — 5h30 : les
convulsions
ont une inten¬sité de plus en plus grande, marche
le ; décubitus sur le ventre, les pattes éearlées ; selles. —5U40 :
convulsions
très-fortes e! générales; selles solides. — 5h50
5U40 : convulsions très-fortes e! générales; selles solides. — 5h50 :
convulsions
plus rares, ten¬dance à tomber sur le côté gauche
sur le côté gauche.— Gh 10 : larmoiement assez abondant ; strabisme ;
convulsions
. — 61130 : les convulsions dimi¬nuent ; essaye de
: larmoiement assez abondant ; strabisme ; convulsions. — 61130 : les
convulsions
dimi¬nuent ; essaye de se traîner et parait beauc
artie sur le sol. — 7b10 : Y hémiplégie droite est très-nette. Pas de
convulsions
. — 8h30 : même état. — 9 à 10 heures : se déplace
bé dans une sorte d'immobilité et est mort sans avoir eu de nouvelles
convulsions
. Autopsie le 10 mai. -— Rigidité cadavérique tr
éphalalgie. Mariée à 18 ans, elle a eu deux enfants qui sont morts de
convulsions
et une fausse couche à la suite d'une chute. Le p
, 8 grammes. Bains prolongés. — Soir. A la sortie du bain, véritables
convulsions
cloniques; le corps décrit un arc de cercle. —
quence. P. 128 ; chloral, 8 grammes. 12 juillet. Nuit sans sommeil.
Convulsions
répétées. P. 136; chlo¬ral, 12 grammes. —A midi,
taques ressemblant à celles du petit mal. Il fut pris subitement de
convulsions
intermit- tentes limitées aux jambes, aux bras
ation, les auteurs émettent les réflexions suivantes : 1° Outre les
convulsions
précoces qui accompagnent parfois les hémiplégi
oit contenir que ce qui est constant dans l'objet défini, et si les
convulsions
sont fré- quentes dans l'épilepsie elles ne son
tif (vomissements, diarrhée) des troubles nerveux : con- tractures,
convulsions
épileptiformes, tétanie, par la toxicité du sér
ues consécutifs à la commotion cérébrale. . P. KERAVAL. XLVI. Des
convulsions
rhythmiques et des mouvements automati- ques ch
taques d'hystérie habituelles. Il est des cas où l'on observe des
convulsions
rhythmiques pres- que isolées dont le décours e
fforts d'inspirations avec bruits laryngés, et une phase clonique :
convulsions
thoraciques et abdominales avec expirations 330
différences marquées dans le trajet des fibres. P. KERAVAL. III.
Convulsions
myocloniques dans la paralysie générale pro gre
ann. (Neurolog. Centralb. XX. 1901). Il s'agit d'une observation de
convulsions
myocloniques qui n'étaient associées ni avec de
ressort et du tableau clinique, et des lésions macroscopiques. Les
convulsions
portèrent plus fréquemment sur des muscles isol
ouvemenls choréiques. La volonté et les émotions agissaient sur les
convulsions
de la même manière que sur la chorée. Ce n'étai
es contorsions de^la physionomie. Chez ce malade, au contraire, les
convulsions
occupaient surtout des muscles isolés qui, par
certaines paities des muscles de l'abdomen, des tendons à part. Les
convulsions
étaient rapides comme des éclairs, tandis que l
choréiques sont beaucoup plus lents. Ce n'étaient pas non plus des
convulsions
post-apoplectiques. La soudaineté de ces convul
non plus des convulsions post-apoplectiques. La soudaineté de ces
convulsions
, leur individualisation muscu- laire, les rappr
existait une dégénérescence kystique du rein gaucho. Etaient-ce des
convulsions
urémiques ? Elles n'étaient pas épilepliformes, n
ifications du pouls et de la respiration. La longue persistance des
convulsions
d'un côté exclusivement, leur extension en rapp
la localisation des centres des membres dans l'écorce, l'absence de
convulsions
faciales, plaident contre un trouble moteur tox
eurs, tels tendons de tels doigts et de tels orteils. C'étaient des
convulsions
rapides, soudaines ; même quand le malade était
pides, soudaines ; même quand le malade était au repos, les faibles
convulsions
, qui survenaient alors, étaient, de temps à aut
toute une série desecousses successives d'un muscle déterminé. Les
convulsions
faibles ne produisaient pas d'effet moteur; seu
convulsions faibles ne produisaient pas d'effet moteur; seules les
convulsions
fortes, s'étendant simul- tanément à beaucoup d
te particularité nous ramène au tic généralisé, et nous éloigne des
convulsions
choréiques. Les muscles de la face étant épargnés
es muscles homonymes, il y avait entre elles un certain retard. Des
convulsions
croisées et autres combinaisons ont été observé
propre à la myoclonie, ce sont : les contrac- tions en éclair, les
convulsions
de muscles isolés, de portions iso- lées de mus
myoclonie pure où les réflexes palellaires faisaient défaut. Les
convulsions
myocloniques ont été signalées en qualité d'épi-
obablement d'origine cérébrale. En effet, d'abord unilatérales, les
convulsions
n'ont envahi l'autre côte que longtemps après;
u la mère sont épileptiques. Cet enfant est évidemment menacé des
convulsions
qui éclatent peu après la naissance et qui font-
les nourrissons. On voit ainsi avec quelle facilité éclateront les
convulsions
infantiles chez un sujet né avec une tare épile
dans les campagnes au moins), on expose non seulement l'enfant aux
convulsions
infan- tiles, à l'épilepsie précoce, mais la mè
à propos de la pathogénie des épilepsies dites secondaires, que les
convulsions
infantiles, dont le nombre des victimes est col
mère ou de la nourrice, ou en prenant une nourrice au hasard. Les
convulsions
de l'enfance ne sont pas autre chose que de l'é
le mérycisme. Elle-même était atteinte d'idiotie consécutive à des
convulsions
de l'enfance, elle était, en outre, sujette à d
'est-à-dire aux centres sous-corticaux, la faculté de provoquer des
convulsions
isolées de certains groupes de muscles, et de c
lsions isolées de certains groupes de muscles, et de croire que ces
convulsions
, parties de ces cen- tres, se puissent propager
dire si l'excitation de ces centres donne directement naissance aux
convulsions
de groupes musculaires isolés, ou si elle actio
ci. On sait que l'excitation des centres de l'écorce engendre des
convulsions
qui surviennent par accès et se généralisent selo
accès et se généralisent selon des lois déterminées, taudis que les
convulsions
permanentes, la chorée, 1 athétose, les différe
moteurs qui occupent celle région est susceptible de déchaîner des
convulsions
de muscles et groupes muscu- laires isolés à fo
oupes muscu- laires isolés à forme d'accès ou continues, et que ces
convulsions
se peuvent généraliser sous l'action directe de
ire à l'intervention réflexe de l'écorce dans la généralisation des
convulsions
quand les accès, procédant exacte- ment d'après
t, en l'absence de tout foyer cortical, d'appliquer l'apparition de
convulsions
musculaires isolées au diagnostic d'un foyer sié-
de vingt-sept ans chez laquelle se sont développées à son insu des
convulsions
fibrillaires des muscles du côté gauche de la f
aucune trace notamment de réaction dégénérative), par l'absence des
convulsions
brillaires dans les muscles de la langue paraly
lus mince, plus molle que la moitié droite, n'est le siège d'aucune
convulsion
librillaire ; -d'abord il'semble y avoir hypere
s, sans antécédents héréditaires ni personnels et qui n'a pas eu de
convulsions
dans son enfance. Aucun signe physique de dégén
e céphalalgie, de fièvre, de vomissements avec raideur de la nuque,
convulsions
localisées au bras et à la jambe droites, etc.
ous la peau de l'abdomen. Dès le lendemain, les vomissements et les
convulsions
cessèrent et, un mois après, le malade était co
jouissant toutes d'une bonne santé, mais la seconde a présenté des
convulsions
. Emilienne naquit à terme lorsque son père avai
e mal convulsif à onze mois, pendant trois jours : prédominance des
convulsions
à gauche : Hémiplégie gauche con- sécutiue et a
six garçons et deux filles, sont en bonne santé et n'ont pas eu de
convulsions
. Une cousine au second degré, du côté maternel,
oup à un an, pas de con- vulsions ; 2° garçon, dix-huit ans. pas de
convulsions
, bien portant, sert les maçons; 3° le malade; 4
portant, sert les maçons; 3° le malade; 4° fille, neuf ans, pas de
convulsions
. Le malade. - Rien de particulier à la concepti
onze mois, l'enfant, qui jusque-là était absolument normal, eut des
convulsions
. Il resta trois jours sans connaissance, « il y a
ut de bois » ; pas de détails sur les secousses cloniques, mais les
convulsions
Précloml- nuient du côté gauche; les yeux n'aur
s; il y eut des évacuations involontaires. Après ces trois jours de
convulsions
, l'enfant resta paralysé du côté gauche; c'est
ls que papa, maman, riait, s'amusait, était cares- sant ; après les
convulsions
, il perdit les quelques mots qu'il pronon- çait
te. Son sommeil resta bon.. On ne sait à quelle cause attribuer ces
convulsions
. Il n'y en aurait, d'ailleurs, jamais eu d'autr
ost-hémiplégique, par Devic et Gallavardia, 52. Voir Paralysie.
Convulsions
. Des rythmiques et des mouvements automatiques
' par Young, 423. Hystérique Voir Chorée. - Voir Anesthésie. Voir
Convulsions
. Les états d'obnubilation psychi- que des - e
et des localisations médullaires, par Parhon et l'api- nian, 279.
Convulsions
myocloni- ques dans la générale progres- sive
ai la tête à 111. le Dr G... Petit à petit j'exposai les prétendues
convulsions
hystériques, mais en ayant soin de ne jamais to
atation d'un trouble fonctionnel du cerveau, anesthésie, paralysie,
convulsions
, qui, de par sa persistance doit être' élevé à
outefois le bras et la jambe du côté droit demeurent immobiles. Les
convulsions
s'accompagnent de vomissements et d'une diminut
ue capable de rendre compte de l'état convulsif, alors même que les
convulsions
se sont répétées plusieurs centaines de fois pe
symptômes graves tels que les vomissemenis, la cépha- talgie et les
convulsions
; 4° les crises d'épilepsie jacksonienne; 5° enf
Le malade se cyanose et se refroidit; il s'éteint sans sueurs ni
convulsions
le 4 juillet 1899 à sept heures du soir. Nous d
rolonge la pression pendant quelques minutes, apparaissent quelques
convulsions
dans l'aire du sillon et la sensation devient p
et Tenner ont montré que l'anémie cérébrale brusque provoquait des
convulsions
généralisées. Marie a le premier sug- géré l'id
aniectomie nous renvoyons le lecteur à l'observation suivante. B.
Convulsions
post-traumatiques. - Épilepsie essentielle. Cra
1 La leçon a été publiée dans la Gaz. méd. de Nantes, 1899, p. 218.
CONVULSIONS
POST-TRAUMATIQUES. 227 1 matisme grave en 188
scope montre d'autre part une atrophie double des nerfs optiques.
CONVULSIONS
POST-TRAUMATIQUES : CRANIECTOMIE. 229 Quand on
rons l'inanité du traitement interne ; nous lui dirons que l'inter-
CONVULSIONS
POST-TRAUMATIQUES : CRANIECTOMIE. 331 vention e
r l'alcool éthylique, sur 113 lapins : 1 a eu de l'épilepsie; 4 des
convulsions
générales non épileptiques; 83 des convulsions
e l'épilepsie; 4 des convulsions générales non épileptiques; 83 des
convulsions
localisées. Les autres, des accidents non con-
r le même poison sur 33 chiens : 1 a eu la grande épilepsie ; 2 des
convulsions
localisées non épileptiques ; 29 des accidents
Ot : sur 83 lapins ; 19 ont présenté la grande épi- lepsie ; 18 des
convulsions
généralisées non épileptiques; ` ? des convulsi
lepsie ; 18 des convulsions généralisées non épileptiques; ` ? des
convulsions
localisées ; 23 des accidents non convulsifs. P
convulsifs. Pour l'aldéhyde : sur 38 lapins ; 8 grande épilepsie, 9
convulsions
généraliséesnon épileptiques ; 22 convulsions l
8 grande épilepsie, 9 convulsions généraliséesnon épileptiques ; 22
convulsions
localisées ; 19 acci- dents non convulsifs. \
mort survienne; sur 10 lapins : 1 a eu la grande épilepsie ; 2 des
convulsions
généralisées non épileptiques; 4 des convulsion
épilepsie ; 2 des convulsions généralisées non épileptiques; 4 des
convulsions
localisées ; 3 sont morts sans convulsions. Pou
non épileptiques; 4 des convulsions localisées ; 3 sont morts sans
convulsions
. Pour la morphine : sur 38 lapins; 11 ont eu la
r la morphine : sur 38 lapins; 11 ont eu la grande hystérie ; 9 des
convulsions
généralisées sans épilepsie ; 10 des convulsions
e hystérie ; 9 des convulsions généralisées sans épilepsie ; 10 des
convulsions
localisées ; 8 des accidents non convulsifs.
r l'urine : sur 42 lapins : 3 ont eu de la grande épilepsie ; 8 des
convulsions
localisées, 31 n'ont pas eu de convulsions. Dan
grande épilepsie ; 8 des convulsions localisées, 31 n'ont pas eu de
convulsions
. Dans tous les cas la dose toxique mortelle est
veugle. Elle a une nièce propre aliénée. y... a eu à deux ans des
convulsions
qui ont menacé sa vie. A OBJETS DE PIÉTÉ COMME
TS. Antécédents personnels. Rien dans la première enfance, pas de
convulsions
. Pas d'alcoolisme, ni syphilis. Pas d'excès vénér
de signe de tumeurs ou de trace bien nette de localisation dans la
convulsion
, cette opération pro- cure quelquefois une amél
ctuées à ce sujet, l'auteur lire les conclusions suivantes : i° Les
convulsions
exclusivement toniques des accès de petit mal é
vaillait pas, dit-elle, car le travail l'ennuyait. N'a jamais eu de
convulsions
, mais un caractère irritable. A quinze ans, e
ditaire : mère buveuse d'absinthe ; grand-père matel'wl alcoolique.
Convulsions
dans l'enfance. - Habitudes d'alcoolisme depuis
dissipé actuellement. Pas d'autres enfants. Antécédents personnels.
Convulsions
pendant sa jeunesse. Fièvre typhoïde à l'àge de
supérieur et du tiers inférieur des ascendantes, que trahissent les
convulsions
et la paralysie du membre inférieur et de la fa
ènes peuvent être observés dans l'alcoolisme aigu. A la vérité, les
convulsions
accompagnent le coma épileptique, mais, si elles
a conscience, pouvant ou non être « précédé, accompagné ou suivi de
convulsions
musculaires per- « ceptibles ou non. » On peu
la conscience puisse exister chez un épileptique sans être suivi de
convulsions
apparentes. Dans cet état le malade peut se liv
mal, et dans certaines crises psy- chiques totalement dépouvues de
convulsions
. La mémoire se perd progressivement, toujours p
que, quels sont les muscles qui sont impliqués les premiers dans la
convulsion
, et de mesurer, au moyen d'appareils de précisi
de mesurer, au moyen d'appareils de précision, l'énergie de cette
convulsion
. Les troubles de la conscience, et leurs déplorab
arotides, qui produit une anémie subite du cerveau et qui amène des
convulsions
(face grimaçante, langue mordue, émission d'uri
'insomnie, et ensuite elle eut des accès d'épilepsie corticale. Les
convulsions
commençaient toujours par la jambe gauche, se r
montré que l'absinthine pure, même à dose élevée, ne produit aucune
convulsion
, et que ce sont les impuretés qui amènent la cr
d'mère paternelle, migrai- netcse. - Cousin strabique à la suite de
convulsions
. Mère, rachitique dans l'enfance, rhumatisante,
troubles mentaux. - Grand-oncle, aliéné. - Deux cousins atteints de
convulsions
dans l'enfance. - Gémellclrité : l'un des jumea
sions dans l'enfance. - Gémellclrité : l'un des jumeaux est mort de
convulsions
. ' , Pas de consanguinité. Inégalité d'tige de
ssesse, accouchement, naissance, rien de particu- lier. - Premières
convulsions
à huit mois pendant quatre heures : consécutive
fisants. L'enfant de l'un des oncles maternels louche à la suite de
convulsions
. -- Treize frères ou soeurs dont quatre seraien
., dans le reste de la famille.) Hère, vingt-huit ans, ménagère, ni
convulsions
, ni indices de syphilis; rhumatisante, cardiaqu
aternelles n'avant rien à noter. Deux de . leurs enfants ont eu des
convulsions
. Un frère et une suceur jumeaux morts le premie
n frère et une suceur jumeaux morts le premier à vingt-huit mois de
convulsions
; l'autre d'une maladie à la jambe ( ? ). - Deu
- Inégalité d'âge de deux ans. Deux enfants : 1° une fille, pas de
convulsions
, intelligente; 2° notre malade. IDIOTIE SYMPT
ta jusqu'à un an. C'est là qu'elle a eu, à huit mois, ses premières
convulsions
qui coïncidèrent, dit-on, avec l'appa- rition d
coïncidèrent, dit-on, avec l'appa- rition des premières dents. Ces
convulsions
survinrent la nuit, débutèrent par un cri, enva
é gauche du corps était plus malade que le droit. A partir de ces
convulsions
, l'enfant aurait eu presque quoti- diennement d
très lentes. 11 aurait eu pendant l'année des attaques répétées de
convulsions
cloni- ques du côté gauche. A l'ophtalmoscope,
irritation cérébrale : Céphalée, délire, suivis de stupeur et coma.
Convulsions
générales fréquentes; raideur du cou et des jam
meur cérébrale : Névrite optique, céphalée, vomissements, vertiges,
convulsions
, paralysie des nerfs crâniens, même faiblesse e
cinquième jour de son arrivée à l'hôpital, le malade meurt dans les
convulsions
cloniques et une perte de connaissance. A l'autop
t logique d'admettre qu'elles peuvent déterminer la produc- tion de
convulsions
épileptiques. Quand on considère la disposi- ti
nique hérédi- taire de Huntington, par Kéraval et Raviart, 466.
Convulsions
post traumatiques avec énilepsie essentielle. p
93. Courant. Dosage du - induit, par Kurella, 149. Chamectomie.
Convulsions
post traumatiques. Epilepsie essen- tielle. ,
Cousin germain : torticolis, convul- sions de l'enfance. Cousine :
convulsions
de l'enfance. Renseignements insuffisants sur s
le à 14 mois. Début de la marche à 18 mois. Propre il 3 ans. Pas de
convulsions
. Irritabilité et tristesse. Bave intermittente.
llet et en octobre 1899. ) Père : 55 ans ; tourneur sur bois. Pasde
convulsions
dans l'enfance, pas de fièvre typhoïde, pas de
r, a"'éo de 40 ans, non mariée officiellement; elle aurait eu des
convulsions
dans l'enfance; elle est myope : elle a un garçon
'enfance; elle est myope : elle a un garçon de 19 ans, qui a eu des
convulsions
dans l'enfance, ainsi qu'un torticolis, et qui
elle a perdu un enfant de diarrhée infantile; il n'aurait pas eu de
convulsions
. Un frère, 42 ans, non marié officiellement ; i
on marié officiellement ; il a deux filles ; la plus jeune a eu des
convulsions
étant petite ; elles se portent bien, sont inte
lade. Onze enfants : 1° garçon, mort de méningite à 13 mois, sans
convulsions
: - 2° garçon mort de coqueluche à 21 mois;-3°
, bien portante, intelligente; -4° gar- çon, 21 ans, soldat, pas de
convulsions
; 5° garçon, 19 ans, pas de maladie nerveuse, in
ante; - 7° fille, notre malade, 14 ans; - 8" garçon. 12 ans, pas de
convulsions
, intelligent; - 9° fille, 9 ans, 90° fille, 7 a
E. La malade n'a jamais fait de maladie grave; clic n'a pas eu de
convulsions
. Elle a eu de la blépharite ciliaire, des adéni
ue de la base. MÉNINGITE CHRONIQUE ; CRANIECTOMIE. 13 la mère ;
convulsions
de l'enfance chez une tante maternelle qui est
maternelle qui est myope, et chez son fils, qui a un torticolis;
convulsions
chez un autre cousin; méningite mortelle chez u
triste, irritable, semblent indiquer un état congénital. Jamais de
convulsions
. Ecolage convenable. En somme, l'enfant, jusqu'
mplète à 2 ans. Propreté et mar- che à 10 mois. Parole a 15 mois. -
Convulsions
de 7 à15 mois, intéressant surtout les yeux. -
is, on ne sait ce qu'il est devenu, s'il est mort ou vivant; pas de
convulsions
, pas de fièvre typhoïde, nul indice de maladies
énigne, pas de délire, ni de perte de la mémoire à la suite. Pas de
convulsions
dans l'enfance, pas de chorée, pas de rhumatism
° notre malade ; 2° un garçon âgé de 12 ans, né à terme, n'a pas de
convulsions
, expression intelligente. Notre malade. Conce
nt à 10 mois, a souffert beau- coup à ce moment, mais n'a pas eu de
convulsions
; dentition complète à 2 ans. Propre à 10 mois.
yeux dansaient ». Il s'agit probablement de nystagmus, et non de
convulsions
, comme le dit la mère. Ces accès reve- naient 2
débarrasser de l'idée morbide de la douleur, de la paralysie, de la
convulsion
, etc., qui l'a envahi en lui substituant l'idée
guës ; parfois ceux de la méningite tuberculeuse ; plus souvent les
convulsions
éclamptiques. Les formes subaiguë et éclamptiqu
fant, jusque-là intelligente et d'apparence normale, fut « prise de
convulsions
à V occasion d'une rougeole ». Elle présenta alor
emeura impossible. Les accès épileptiques, très fréquents après les
convulsions
, de la 7 année, devinrent peu à peu moins nombr
es crises sont accompagnées de chute avec urines in- volontaires et
convulsions
très violente* ; elles sont très longues, plus
ontracture permanente, il est difficile de comparer l'intensité des
convulsions
des deux côtés du corps, cependant on remarque
e membre supérieur gauche s'écarte alors de la poitrine avant toute
convulsion
à droite. Ces accidents co- mitiaux sont suivis
par les courants magnéto-électriques ou sinusoïdaux détermine une
convulsion
paresseuse du muscle dégénéré dans tous les cas
n faradique iL raisondtf nombre des interruptions de l'appareil. La
convulsion
lente consécutive à l'excitation galvanique d'u
ger dans les réflexes cutanés : cela doit tenir à la brièveté de la
convulsion
musculaire. Les muscles raccourcis par suite d'
péciale, des neu- rones du système nerveux central, de produire des
convulsions
l1lyocloni(IUeS pendant fespériodesdagitatiun.
ysie à l'âge de trois ans, au milieu de phé- nomènes fébriles et de
convulsions
déterminées par une ménin- gite ou une poly-onc
pousse un cri rauque soit en tombant, soit au moment des premières
convulsions
, puis se relève au bout de quinze à trente minu
, douleur épigastrique, et sensation violente d'étouffement. Chute.
Convulsions
toniques. Les convulsions clo- niques sont inte
sensation violente d'étouffement. Chute. Convulsions toniques. Les
convulsions
clo- niques sont intenses, mais courtes. Stento
es se convulsent en haut; la malade bave. Cet état dure peu, et les
convulsions
cloniques succèdent rapidement à la phase toniq
ccèdent rapidement à la phase tonique. Les membres sont le siège de
convulsions
généralisées et violentes, et le tableau cli- n
système nerveux est presqueahsolu. De loin en loin, quelques rares
convulsions
musculaires de faible intensité. L'agitation mo-
vec les caractères habi- tuels : la crise se compose d'une phase de
convulsions
Ioniques soudaine avec perte de connaissance, é
s'est pas ajoutée l'hyperexcitabilité nécessaire pour provoquer la
convulsion
éclamptique. L'on ne peut admettre ici que la c
s de supposer que, réagissant à une toxi-infection passagère par la
convulsion
choréi- que, les centres nerveux, affaiblis déj
issement ; elle tombe à lerre et perd connaissance. Elle n'a pas du
convulsions
des membres, pas d'incontinence d'urine, seulem
le souvent au secours et dit « arrêtez-les. » Jeune, avait eu des
convulsions
. La première crise se serait pro- duite au lieu
res, sensation de frisson, tiraillements, parésies, blépharospasme,
convulsions
locales et générales, paralysie passagère, obsc
principal de la migraine n'est pas uniquement l'hémi- cranie ; la
convulsion
n'est pas davantage le seul fait clinique de l'
pasme du cou, de la nuque, l'engourdissement des mains, du tronc,
convulsions
de certaines parties du corps ou même con- vuls
lepsie avec migraine, la migraine toute seule et la migraine avec
convulsions
. Les choses se compliquent encore da- vantage,
mère a eu trois avortements et, six enfants vivants, tous morts en
convulsions
en bas âge. Les enfants des deux autrcsfem- mes
s attaques. A l'épo- que de la dentition, notre malade fut prise de
convulsions
(éclampsie). Celles-ci apparaissaient encore en
uvait vers la fin une jouissance excessive qui se terminait par des
convulsions
accusées dans tout le corps. La migraine contin
75 nomène partiel en un phénomène plus général et plus vaste. Une
convulsion
locale de l'estomac et de l'oeso- phage était r
ion locale de l'estomac et de l'oeso- phage était remplacée par une
convulsion
générale de tout l'organisme qui comprenait les
malade a une hérédité nerveuse très accusée. Elle avait souvent des
convulsions
dans l'enfance. Par consé- quent, la convulsivi
nt confirmé les craintes que l'on doit tou- jours avoir lorsque des
convulsions
se déclarent chez les enfants. 2. L'on a rema
ractéristique chez les pseudencéphaliens, est le produit direct des
convulsions
d'o- rigine méningitique et des destructions an
perte momentanée de connaissance, relâchement des sphincters, et
convulsions
toujours limitées à la face. Alors, malgré tous l
ns ; en 1903, attaques d'épilepsie jacksonnienne commençant par des
convulsions
des 4e et 5e doigts de la main droite, qui s'ét
perte de connaissance, des maux de tête, des verti- ges, etc. : les
convulsions
restaient localisées au membre supérieur droit
ents passifs on ne perçoit pas de résistance. Jusqu'en décembre les
convulsions
du membre supé- rieur droit persistèrent, limit
lables : Parésie persistante et limitée du membre supérieur droit ;
convulsions
toujours limitées à ce mem- bre ; dan le cas de
urs limitées à ce mem- bre ; dan le cas de Dieulafoy, en effet, les
convulsions
commen- çaient tantôt par le bras, tantôt par l
, successivement, tous les centres voisins. Dans le cas de l'A. les
convulsions
commencèrent d'abord par les doigts, puis par R
s attaques furent de simples monospames du bras droit ; quand les
convulsions
ne s'étendaient pas immédiatement à tout le membr
ement la sous-clavière gauche et le tronc innominé, on provoque des
convulsions
généralisées dans un délai de 3 à 45 secondes.
épileptiformes. L. Pierce Clark dit que Joffroy a pu provoquer des
convulsions
chez le lapin, au moyen d'injections de furfuro
fois sur 97 lapins injectés. L'auteur lui-même a vu se produire des
convulsions
épileptifor. mes bien accusées chez un lapin de
euse d'essence de girofle. Toutes ces expériencosdémontrent que des
convulsions
simulant les convulsions de l'épilepsie peuvent
. Toutes ces expériencosdémontrent que des convulsions simulant les
convulsions
de l'épilepsie peuvent être provoquées par une
at du sang capable d'agir à la manière d'un facteur déterminant des
convulsions
. Si l'on ad- met provisoirement l'exactitude de
pour lui faire prendre de la nourriture. Elle a eu ses règles. 2°
Convulsions
, somnambulisme, délire. A partir du second mois
ISTES ET NEUROLOQISTES. Chez les lapins et les cobayes le siège des
convulsions
clo- niques est l'isthme de l'encéphale. L'exci
elle, ne provoque chez tous les mammifères et les oiseaux que des
convulsions
toniques. Chez les grenouilles, l'excitation de l
iques. Chez les grenouilles, l'excitation de la moelle provoque des
convulsions
tonico-cloniques, tandis que chez les crapauds,
auds, les tortues, les orvets, les couleuvres, on n'observe que des
convulsions
toniques.La durée des convul- sions est variabl
imales, et selon l'éner- gie du courant et la durée du contact. Les
convulsions
pure- ment toniques n'atteignent jamais la duré
es convulsions pure- ment toniques n'atteignent jamais la durée des
convulsions
tonico-cloniques : c'est l'addition d'une phase
gne on attribue à la lune, sur l'éclosion de certaines maladies :
convulsions
, fièvre, etc. En entendant ce langage je déchir
de le dire M. le Professeui Bernheim, réserver à l'hystérie que les
convulsions
,n'accepter que l'hystérie convulsive, s'il en é
coup d'épilepsie expérimentale et ai pu me convaincre que, lors des
convulsions
toniques, le ccivcau présentait un aspect rosât
LES auras VISUELLES 'DES ÉPILEPTIQÙES, 179 me, bientôt suivi par la
convulsion
généralisée. D'autres fois, le blepharospasme e
peut être mise en regard d'une hyperesthésie, etc. Les crises ou
convulsions
hystériques peuvent être considérées comme des
DE PSYCHIATRIE. progressivement et aboutit à son maximum quand les
convulsions
cloniques sont à leur maximum d'intensité. Puis
e la pression sanguine, qui descend à son niveau nor- mal quand les
convulsions
cloniques cessent. Pression sanguine cérébrale.
mentés de deux ou trois fois leur volume normal au moment où les
convulsions
cloniques sont au maximum de leur intensité. Co
les vaisseaux cérébraux se dilatent progressivement pendant que les
convulsions
d'abord toniques et puis cloniques se manifeste
le maximum de cette hernie correspond au maximum de l'intensité des
convulsions
cloniques. 2° La hernie cérébrale commence à di
commence à diminuer de volume avec la diminution de l'intensité des
convulsions
cloniques, et la masse cérébrale rentre dans la
ébrale rentre dans la boîte crânienne à sa place normale, quand les
convulsions
cloniques cessent. 3° Dans l'épilepsie électriq
218, p. 600 et 601, 1er août 1906.) Femme; épilepsie génuine sans
convulsions
jacksoniennes, sans paralysies postparoxystique
De l'état de mal épileptique ? Idiotie congénitale aggravée par des
convulsions
por- tant sur lecôté droit. Signes de méningite
Première dent à dix mois ; denti- tion complète rl 2 ans. Premières
convulsions
ci 16 mois, durée 2 jours ; avec prédominance à
nance à droite. Gâtisme. Marche et parole nulles. Deuxième crise de
convulsions
à 28 mois, durée 36 heures ; avec prédominance
DFNT.'3 héréditaires. Père : maçon, âgé de 36 ans ; n'a pas eu de
convulsions
; pas de rhumatismes, pas de chorée ; pas de 4'
été malades. Ni les frères et soeurs, ni leurs enfants n'ont eu de
convulsions
. Dans le reste de la fa- mille, on ne relève ni
pas de criminels. Mère, âgée de 26 ans ; giletière ; n'a pas eu de
convulsions
; pas de rhumatismes, pas de chorée, pas de fiè
sept soeurs, ï toutes mortes jeunes, on ne sait si elles ont eu'des
convulsions
. f Rien à signaler dans le reste de la famille
çon âgé de 5 ans 1 /2, bien portant, intelligent ; n'a jamais eu de
convulsions
; 2° une fille morte à 1-1 mois, aux Enfants-ma
ts-malades, d'une maladie de foie ( ? ). Elle n'aurait jamais eu de
convulsions
; 3° notre malade. La mère n'a jamais fait de f
ons ; elles ont duré deux jours, sans reprise de connaissance ; ces
convulsions
, toniques puis cloniques, étaient limitées au c
ir été plus faible depuis la nais- sance, et on ne peut dire si les
convulsions
ont déterminé chez la malade de la paralysie. I
bien les jambes, mais ne marchait pas en core. Deuxième crise de
convulsions
à 2 ans 1 /2 ; toujours limi- tées à droite, ma
eu au côté gauche elles ont duré 36 heures. C'est à la suite de ces
convulsions
que li 22 CLINIQUE NERVEUSE. l'enfant aurait
très coléreux ; les accès de colère ont débuté après les premières
convulsions
; ils se seraient répétés journelle- ment, et a
ui la font tressauter. Déjà très agitée la nuit avant ses premières
convulsions
, on remar- que que l'agitation augmente après l
s de maux d'yeux, mais stra- bisme qui a débuté après les premières
convulsions
; pas d'otorrhée, a eu de l'impétigo limité à l
emble au père. Comme la malade était arrié- rée avant les premières
convulsions
, il s'agit vraisemblable- ment d'un état congén
il s'agit vraisemblable- ment d'un état congénital aggravé par des
convulsions
. Ce n'est que vers un an, quand on a vu qu'elle
rs, défaut de développement de la parole, le "tout consécutif à des
convulsions
». 1.'enfant entra à la Fondation, le 13 décemb
service. Les 38 crises accusées en janvier auraient été plutôt des
convulsions
que de l'épilepsic franche, elles ont eu lieu d
a été aggravé par des convul- sions à 16 mois et Ii 2 ans 1/2. Les
convulsions
prédo- minaient droite ou étaient limitées à ce
pour but de 'prévenir ou de guérir les maladies,en particulier les
convulsions
, les rhumatismes, la toux, l'asthme, la petite
S MATIERES. - 18G meyer, p. 361. - congénitale aggravée par des
convulsions
portant sur le côté droit. Signes de méningit
unesse et jusqu'à 18 ans des crises auec perte de connaissance sans
convulsion
. Grand-père paternel migraineux et èpileptique
sité morale. Cousins arriérés. Pas de consanguinité. Soeur morte de
convulsions
. Frère, convulsions suivies d'idiotie avec athé
rriérés. Pas de consanguinité. Soeur morte de convulsions. Frère,
convulsions
suivies d'idiotie avec athétose double, mort à
envers les animaux. Actes obscènes. Tendances à boire. Jamais de
convulsions
. Strabisme divergent ; myopie. Acrocéphalie.
meurt de maladie de l'esto- mac et du foie. » Mère nerveuse, sans
convulsions
; lymphatique. Son père fait de nombreux excès
de quatre ans. [Cinq enfants : 1° Une fille morte à 3 semaines des
convulsions
; 2° notre malade ; 3° fausse couche à 3 mois 1
couche à 3 mois 1/2, de cause inconnue ; 4° un garçon qui a eu des
convulsions
à 7 mois : il ne parle pas, a les jambes tordue
tition s'est faite sans accidents, on assure qu'il n'a jamais eu de
convulsions
. Il aurait été propre de bonne heure (4), aurai
intellectuel que nous voyons à Bicêtre. Jamais Et., n'aurait eu de
convulsions
. Dès l'âge de quatre ans, on a noté chez lui la
toniques, cloniques, prédominance d'un côté, nombre des attaques de
convulsions
. État de l'intelligence avant et après; paralys
t ? 72 Description des accès d'épilepsie. Première période ou des
convulsions
Ioniques : Rigidité générale ou prédominance d'
formes ou non ; générales ou localisées ? Deuxième période ou des
convulsions
cloniques : mouve- ments des bras et des jambes
ois, pre- mières dents, dont la poussée douloureuse détermina des
convulsions
internes. Ces convulsions, qui consistaient en
dont la poussée douloureuse détermina des convulsions internes. Ces
convulsions
, qui consistaient en pâleur de la face, rotatio
ssage font presque tout à fait défaut. ' RÉFLEXIONS. 91 IV. Les
convulsions
dites internes notées durant l'évolution dentai
u 4° degré, morte èpileptique. Mère, grande et forte, ne : aquilin,
convulsions
légères peu- plant l'enfance (2 fois), migraine
(4) Ibidem, tome XII, 1891. p. : ». -94 IDIOTIE jkxoedêmateuse.
convulsions
légères. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge
mittentes. Aucun excès de boisson. On ne pense pas qu'il ait eu des
convulsions
de l'enfance. C'était un homme, grand, fort, un
é d'âge de ans. îi enfants : 1" Fille, 31 ans, en bonne sauté, sans
convulsions
de l'enfance, grande, forte, non ncrvpuse ; ell
ande, forte, non ncrvpuse ; elle a deux enfants qui n'ont pas eu de
convulsions
; 2" Garçon, 32 ans, a eu deux fois des convuls
n'ont pas eu de convulsions ; 2" Garçon, 32 ans, a eu deux fois des
convulsions
très légères à l'âge de G mois ; caractère un p
nerveux ; 4° notre malade ; 5g Garçon mort à 4 ans du croup, sans
convulsions
. Antécédents personnels. 97 Notre malade. A l
ulose, des accidents nerveux variés. La mère de Marie B... a eu des
convulsions
infantiles légères. Elle a été sujette à des mi
e muscle qui, par l'ex- tension continue-, dégénèrent en véritables
convulsions
cloniques; la rotule est agitée de trépidations
s formes rares du tremblement clonique de l'extrémité supé- rieure (
convulsions
de la main par exlension des fléchisseurs profo
paralysie par compression de radical, Tableaux. Tracés. Lenteur des
convulsions
directes et indirectes, tandis que l'excitabili
ée de KOZ et KSTe. Observation III. Survenance en temps voulu de la
convulsion
minima par KS et faible diminulion de l'excitab
convexité, les phéno- mènes d'excitation dominent : délire bruyant,
convulsions
répétées, hallucinations. Le coma survient plus
endant la première les symptômes sont légers et fugaces : c'est une
convulsion
épileptiforme isolée , sans autres symptômes; u
ise couvulsive, avec écume à la bouche et incontinence d'urine. Ces
convulsions
ne prédominaient pas d'un côté. Céphalalgie trè
xamen du 3 septembre. Dans ses crises la malade n'a pas d'aura. Les
convulsions
commencent par la main, la perte de connaissanc
n, la perte de connaissance se produit quand la face est prise; les
convulsions
sont restées localisées à la face et au bras dr
e même en face de divers phénomènes donnés comme compli- cations,
convulsions
épileptiformes , contractures muscu- laires, et
ues complications signalées dans le cours des paralysies générales,
convulsions
épileptiformes, contrac- tures, etc., troubles
entraînant des actes volontaires imposés; tels : le mutacisme, la
convulsion
hystérique, l'hypnose hystérique, la folie hystér
ent la perte plus ou moins complète de la connaissance avec ou sans
convulsions
motrices. Ces phénomènes sont dus à des toxines
de méningite tuberculeuse, tan- dis que d'autres ont simplement des
convulsions
et deviennent plus tard (puberté) des névropath
ut à fait idiots; une soeur, née deux ans plus tard, a succombé aux
convulsions
à t'àge de six mois. La mère est morte d'accide
fille avait eu [deux soeurs ainées : la première avait succombé aux
convulsions
au sixième mois; la seconde, qui s'est suicidée
la seconde, qui s'est suicidée en novembre 1895, avait eu aussi des
convulsions
dans l'enfance à plusieurs reprises; elle avait
te mère invertie a donné naissance à une fille qui a succombé aux
convulsions
, à une autre névropathe suicidée, et à une autre
a- que. Cousine naine et rachilique ( ? ). Scezc1· morte avec des
convulsions
de l'enfance. Azetre oe«)', convulsions de l'enfa
? ). Scezc1· morte avec des convulsions de l'enfance. Azetre oe«)',
convulsions
de l'enfance, intelligente. Pas de consanguinit
quatorze mois. Parole ci deux ans. Marche à dix mois. Bronchite et
convulsions
t't dix mois. Glaucome probable et perle de 1'o
enfants dont quatre vivants : l'aînée, neuf ans, a été sujette aux
convulsions
dans son enfance : elle se porte bien, est gentil
a seconde est morte à deux mois du choléra infantile. Elle a eu des
convulsions
au moment de la mort. Elle paraissait devoir bi
est bien développée, intelli- gente, en bonne santé, n'a pas eu de
convulsions
.-Le quatrième, cinq ans, bien portant, normalem
que, elle eut une bronchite compliquée de con- vulsions. Durant ces
convulsions
, qni furent qualifiées d'internes, elle ne remu
l'époque de cette crise importante, la tête grossit peu à peu. Des
convulsions
se reproduisirent avec les mêmes carac- tères m
mmevingt-troisans, imbécillité, microcéphatie, parents sains ( ? ),
convulsions
épileptiformes à trois ans ; premiers signes de
n portante, n'ayant REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 331 jamais eu de
convulsions
ni d'accidents nerveux, n'ayant pas l'ha- bitud
environ, la scène change, et l'en- fant présente alors de violentes
convulsions
tétaniques. Bientôt les convulsions cessent, et
ant présente alors de violentes convulsions tétaniques. Bientôt les
convulsions
cessent, et on observe alors des troubles circula
ue l'absinthe, prise à forte dose, produit parfois chez l'homme des
convulsions
épilepliformes et, injectée aux animaux, leur d
sions épilepliformes et, injectée aux animaux, leur donne aussi des
convulsions
. Mais on n'a pas signalé les pro- priétés convu
enfants sont sujets, beaucoup plus que les adultes, à présenter des
convulsions
à la moindre cause, et il peut se faire que le
les noyaux de la base avec le cervelet (Bonhoëffer, l'auteur) ; 30
convulsions
corticales de caractère clonique, résultant de
cérébelleuses pourrait pro- jeter quelque clarté sur la genèse des
convulsions
posthémiplé- giques. Une observation est faite
nger, d'observer chez les malades atteints de démono-mélancolie des
convulsions
des muscles soumis à la volonté, des contractio
comme pour les attaques convulsives toxhé- miques. Pour qu'il y ait
convulsions
cloniques, il faut agir sur l'écorce. Les attaq
tion des zones corticales motrices. Cela ne veut pas dire que les
convulsions
cloniques soient exclu- sivement et toujours du
vase des segments supérieurs de la moelle. Cela veut dire que les
convulsions
cloniques à succession ra- pide, caractéristiqu
obliques. Il. Citaaov. CI. Contribution : 1 l'analyse critique DES
convulsions
qui succèdent au rappel A la vite des pendus; p
observation. Or, tous les cas publiés' frappent par l'apparition de
convulsions
, avant que ces ressuscités aient repris connais
connaissance, mais après que la respiration a été réta- blie ; ces
convulsions
, épileptoïdes, hystéroïdes, tétanoïdes et clo-
activité cardiaque. Or,. l'asphyxie par stase veineuse entraîne des
convulsions
par excitation du bulbe parce que les troubles
ls et la circulation ont été rétablis. Cette hyperémie entraîne des
convulsions
. La compression du pneumogastrique enserré dans
Epilepsies et les Epileptiques. Paris 1890. Nous verrons que les
convulsions
partielles indiquent seulement que l'écorce mot
stence d'un point de départ bien circonscrit, souvent cortical, des
convulsions
a une signification thérapeutique consi- dérabl
a décharge. On a attribué une valeur diagnos- tique trop grande aux
convulsions
partielles, qui indiqueraient, outre la décharg
me lorsque les décharges partielles se rapprochent de très près des
convulsions
corticales. On connaît des épilepsies réflexes pa
côté que le trauma- tisme. ' ' Peut-être le caractère tonique des
convulsions
prédominant dans s les spasmes, peut-il aussi c
n'importe quelle partie, peut provoquer un accès épileptique, avec
convulsions
localisées pourvu que la prédisposition épilept
uperficielle, on ne trouva pas de lésion, ce qui arrive lorsque les
convulsions
partielles seules guident le chirurgien. Seuls
ls les symptômes initiaux de l'accès, non pas seulement la première
convulsion
, mais toute sensation précé- dant le spasme, l'
partie postérieure de la zone motrice, l'aura sensitive précède les
convulsions
unilatérales et partielles. Lorsqu'une aura int
lésion du lobe temporo-sphénoïdal. Si donc l'aura, qui précède les
convulsions
, peut et doit servir de point de repère, elle p
onvulsive unilatérale gauche, partant du petit doigt, identique aux
convulsions
sponta- nées. Ce point de l'écorce cérébrale es
son). Sur la sciatique double. Lamandé (Ernest-René). Étude sur les
convulsions
épileptiformes produites par les injections d'a
elques considérations sur le - (le Genève, par Zarew- ski, 257.
Convulsions
qui succèdent au rap- pel de la vie chez les pe
e plus souvent par une fièvre intense, avec ou sans accompagnement de
convulsions
, ou d'autres sym-ptômes cérébraux et quelquefois
grands, forts et vigoureux. D'autres, au contraire, seraient morts de
convulsions
à des âges différents, 2, 4, 6 ans. Lui, aurait é
quand il fut pris d'une affection où l'on aurait remarqué surtout des
convulsions
, — à ce qu'on lui a raconté souvent. Combien de
tre caractérisée? Il ne le sait; mais, à partir de là (en sortant des
convulsions
, dit-il), il serait devenu infirme. Voilà le débu
H par f. villard, interne des hopitaux — suite — iv. épilepsie. —
convulsions
infantiles. M. Moreau (de Tours) a employé le H
chirurg. prat., t. XIII.) — Nous ne trouvons qu'un seul exemple de
convulsions
infantiles traitées par le Hachisch. Dans ce fait
te époque, à la suite d'une émotion vive, elle fut prise de violentes
convulsions
dans les mus-cles de toute la partie latérale dro
e. Trois ans après, elle retomba malade ; comme la première fois, les
convulsions
étaient limitées au côté gauche du corps, mais el
règles parurent pour la première fois. A 16 ans, elle eut encore des
convulsions
, mais elles durèrent peu de temps. Il y a trois a
l. Enfin, le 20 mai 1871, pour la cinquième fois, elle fut reprise de
convulsions
qui coïncidèrent avec la suppression des règles.
le plus souvent chez les enfants, pendant une maladie accompagnée de
convulsions
, la méningite, par exemple, que se développe ce t
salles a eu probablement dans son enfance une affection fébrile avec
convulsions
. Nous écar- tons le rhumatisme musculaire, comm
rès l'opération et le redressement delà tête, le malade a été pris de
convulsions
clo-niques, qui ont duré à peine quelques minutes
la chose était bien peu vraisemblable, et la véritable nature de ces
convulsions
passagères ne pouvait rester longtemps douteuse.
aspect. Les symptômes principaux étaient le trismus des mâchoires, la
convulsion
des muscles de la face et même des membres chez l
5 ou 18 centimètres de mercure, on voit l'animal bondir, être pris de
convulsions
et succomber rapide-ment, avec une écume sanguino
te plus de quatre à cinq jours, les symptômes coma-teux, avec ou sans
convulsions
, apparaissent inévitablement et sont bientôt suiv
nt datant d'une attaque survenue il y a deux jours; c'est le trismus,
convulsion
qui empêche l'alimentation naturelle depuis ce jo
s et bien portants. Un seul de ses frères a eu, dans son enfance, des
convulsions
qui ont disparu avec l'ado-lescence ; aujourd'hui
, l'un des premiers, convien-drait à désigner ces attaques mixtes. La
convulsion
à forme épilep- tique y apparaîtrait comme elle
raie, s'il y a lieu d'élablir un tel rapprochement. L'apparition de
convulsions
du type clonique est-elle donc un fait nouveau, i
aire intervenir l'élément épilepsie — de voir, dis-je, s'ébaucher des
convulsions
toniques à caractère épileptiforme, particulièrem
début de l'attaque; tous les au-teurs sont d'accord sur ce point. Ces
convulsions
sont parfois même tellement accentuées, que M. Br
le rapport des modifications imprimées à la température centrale, les
convulsions
toniques, épileptiformes, des hystériques, diffèr
s, épileptiformes, des hystériques, diffèrent en quoi que ce soit des
convulsions
de l'attaque épileptique. L'attaque hystérique to
plus qu'à l'intensité des contractions mus-culaires toniques, car les
convulsions
peuvent cesser complètement pendant plusieurs jou
est, dans la grande majorité des cas, même après toute cessation des
convulsions
, un indice du plus fâcheux augure ; elle s'accomp
que vulgaire clonique, il n'y a pas, quelle que soit l'in-tensité des
convulsions
d'élévation notable de la température centrale.
e la sclérose en plaques2, et, enfin, dans les attaques, avec ou sans
convulsions
, qui s'observent dans les cas de foyer cérébral a
u plus haut degré d'intensité. Ainsi, le 22 janvier entre autres, les
convulsions
épileptiformes se sont succédé sans inter-ruption
laquelle M. Charcot a fait allusion. Observation. —Huit semaines de
convulsions
hystériformes à marche apy-rêtique et sans danger
nt. — Revirement fâcheux et subit, sans aug-mentation d'intensité des
convulsions
. — Mort au bout de quelques heures avec une tempé
r Heilkunde, t. V, p. 210. soi-disant après une vive réprimande, de
convulsions
qui se répétèrent le 17 au soir et le 18 au matin
éprouva un sentiment d'angoisse, poussa un léger cri, et éprouva des
convulsions
d'abord dans la moitié gauche de la face, puis da
dans les extrémités inférieures et le bassin de vio-lentes et rapides
convulsions
cloniques projetant ces parties en avant, en arri
demande qu'on ne le touche pas, parce que, autrement, elle aurait des
convulsions
. Cependant elle serre fortement de la main gauche
s impossibilité d'avaler ; à 12 heures trismus ; à 1 heure 3/4 fortes
convulsions
respectant la tête ; pouls extrêmement fréquent,
la face un peu tom-bant. Côté gauche un peu contracture. Par moments
convulsions
cloniques des muscles de la face. Délire la nuit,
s celui de M. Auguste Voisin. Le père a eu jusqu'à l'âge de 4 ans des
convulsions
; il est très-nerveux, sobre. La mère est grande,
mentation du chlorure de sodium. La malade succombe le lendemain sans
convulsions
. Autopsie. — Aucune lésion des méninges cérébra
ervical est surtout intéressant à ce point de vue. Indépendamment des
convulsions
épileptiformes, des troubles pupillaii es, de ceu
ch (Emploi thérapeutique du), par F. Villard; dans l'épilepsie et les
convulsions
infantiles, 11 ; — dans la 12 ** chorée, 12;
mouvement ; il m'est arrivé plus d'une fois d'avoir l'érection, la
convulsion
amoureuse et la perte de sperme à la seule vue
serie, d'un écran, d'un plafond, d'une décoration quelconque. Les
convulsions
ne semblent pas exercer d'influence sur les tro
onditions hygiéniques déplorables. A cette époque, on note quelques
convulsions
. A 15 mois, l'enfant commence à marcher et ne d
rapport des enfants de son âge. Depuis, sans nouvelle attaque de
convulsions
, il se produit un arrêt de déve- loppement, l'e
très profond j datant tout a ,, 'la maladie.1'^' ! "M^ Jii-ith
Convulsions
fréquentes. '<H f1u''ir Contracture fréquent
contracture est très commune ? t >" ? - -> . '. </9, Les
convulsions
existent souvent, mais elles sont moins commune
u sans quelque difficulté, à cause du spasme des paupières et de la
convulsion
des globes oculaires. On y arrive cependant, ma
s les premiers jours qui ont suivi sa naissance, V... aurait eu des
convulsions
(pas de sillons dentaires). Elle aurait eu, tou
, et IL'a jamais remarqué qu'ils eussent aucune in- Iluence sur ses
convulsions
; pendant sa dernière aventure, les attaques n'
e qu'elles peuvent donner l'explication de certaines épidémies de
convulsions
en apparence bizarres que l'on ne peut rattache
matisant. Antécédents personnels. A trois ans, elle aurait eu des
convulsions
. Etant enfant, elle a eu des douleurs de croissan
e qui aurait duré une demi-heure, elle ne sait pas si elle a eu des
convulsions
, elle ne parait pas s'être mordu la langue, ni
remonte du ventre au cou, batte- ments dans la tempe gauche, chute,
convulsions
, etc. ; et dès cette époque on aurait constaté
complètement ; - une petite fille, qui avait eu à dix-huit mois des
convulsions
, à six ans une toux spasmodique avec sensibilit
st prise de dyspha- gie avec symptômes d'hydrophobie nerveuse et de
convulsions
générales, accidents dont un traitement moral e
rte croissante de l'appétit qu'il manifesta et bientôt de violentes
convulsions
suivies d'agitation, de dyspnée, d'oedème entra
ssement général de toutes les fonctions psychiques, l'apparition de
convulsions
épileptiformes permettent de les ranger sous le
; 2° on peut observer des attaques épileptiformes avortées, sans
convulsions
, sans perte complète de connaissance, sortes de
iple par M. le professeur Friedreich. Il s'agit d'un cas spécial de
convulsions
cloniques de certains muscles symétriques des e
lèrent en s'accentuant, s'accompagnant bientôt d'opis- thotonos, de
convulsions
généralisées, jusqu'au moment de la mort surven
nute; la crise passée on lui remettait le bras. Une seule fois, les
convulsions
se montrèrent tandis qu'on tirait sur le membre
de la table d'opération, et doit être placé à terre en proie aux
convulsions
les plus violentes pendant quatre minutes. Absenc
rchives de Neurologie, aux Revues analytiques. 244 BIBLIOGRAPHIE.
convulsions
sont à peine exagérées quand les malades font eff
empyème ; en 1875, M. Raymond fit connaître un fait dans lequel des
convulsions
épileptiformes étaient survenues dans les mêmes
grande difficulté, en raison des batte- ments des paupières, de la
convulsion
des yeux qui se portent souvent vers un des ang
E. 1° Les yeux sont le plus souvent fermés, s'ils sont ouverts la
convulsion
des globes oculaires empêche toute fixité du re
VATIO,N. - 1(liOtiC, épilepsie. Abcès de la marge de l'anus. Mère :
convulsions
dans l'enfance, migraines. Grand-père ma- terne
ves. Dc : <a; coïMM.f : aliénés. Pas de consanguinité. Premières
convulsions
ci trois mois; prédominance à gauche, paralysie
taires nerveux dans la famille.] Mère, 34 ans, couturière, a eu des
convulsions
jusqu'à l'âge de sept ou huit ans; elle est ner
? a été élevé au sein par une nourrice jusqu'à un an. Les premières
convulsions
sont sur- venues vers ou 3 mois et se sont reno
Sa mère le reprit avec elle à l'âge de quatre ans. Il n'a pas eu de
convulsions
, durant cet intervalle (18 mois-2 ans); il parl
ts; il apprenait convenablement à lire, était très caressant. Les
convulsions
reparurent à quatre ans, sous forme d'Linét(it de
dura 67 heures, dans lequel on constata encore la prédominance des
convulsions
v gauche. Il dut garder le lit pendant un mois
nous n'avons pu savoir s'il y eut de la paralysie à la suite de ces
convulsions
; seulement, quelque temps après, on remarqua «q
me. il poussait un cri sourd, plaintif, pro- longé et était pris de
convulsions
. Un jour la crise débuta par une sorte d'halluc
uin 1880, que, après une crise de six heures, avec prédominance des
convulsions
à gauche, on nota une paralysie du bras et de l
rois phases bien distinctes. - a) La première est marquée par des
convulsions
qui se reproduisent presque tous les mois, jusq
est propre, apprend à lire, etc. b) La seconde phase débute par des
convulsions
, revêtant la forme d'un état de mal et prédomin
ns la moitié gauche du corps. A partir de là, on note le retour des
convulsions
mensuelles; puis un autre état de mal, offrant
Frère et sceur morts tuber- culeux. BlEU1' strabique à la suite de
convulsions
de l'enfance, morte tuberculeuse. Renseigneme
Cousine germaine '12 THÉRAPEUTIQUE. ^paralysie consécutive à des
convulsions
. Cousine germaine su- jette à des attaques. Gra
que. 缭 Tante maternelle, aliénée. Consan- guinité. Un frère mort de
convulsions
, un autre idiot et épilep- lique; un troisième
convulsions, un autre idiot et épilep- lique; un troisième a eu des
convulsions
. Accouchement à dix mois ( ? ). A la naissance,
rnel, excès de boisson, mort d'apo- plexie. Oncle maternel, mort de
convulsions
. Petit cousin, pieds bots. - Pas de consanguini
trente-six ans, autrefois domestique, maintenant concierge. Pas de
convulsions
de l'enfance, pas de migraines, tempérament ass
deux frères sont morts l'un peu après l'accouchement, l'autre de
convulsions
à trois ans. Ses trois soeurs seraient bien porta
s de réflexes. A. M. XVIII. Traumatisme du front SUIVI d'aphasie,
convulsions
ET mono- PLÉGIE brachiale droite; par RUSSE et
e ou de pseudo-hypertrophie des muscles. On constate, en outre, des
convulsions
fibrillaires, du tremblement des doigts, des ac
deux ou trois verres de whisky), il est repris de céphalalgie et de
convulsions
: celles-ci, toutefois, sont beaucoup plus faible
faibles que dans les crises anlé-opératoires. La réapparition des
convulsions
chez ce malade nous enseigne que, lors même que
ant les centres du bras et de la main. Le malade ayant présenté des
convulsions
et de la céphalalgie avant tout autre symptôme
otale. Trois heures après l'opé- ration, le malade eut une crise de
convulsions
généralisées. Fermée par les procédés ordinaire
depuis l'âge de douze ans. En outre Merc..., notre malade a eu des
convulsions
en bas âge. '. ' Il est intelligent, a exercé d
très forte dans le pariétal droit ; le lendemain il présenta des
convulsions
épileptiformes dans le bras gauche ; et consécuti
ces cas les faits d'aura sensorielle uni- latérale accompagnant les
convulsions
épileptiformes ; souvent on observe des impress
omiques du rapport que nous cherchons à établir. Dans un cas où des
convulsions
épileptiformes débutaient par une aura auditive
ion ou à une perversion de la fonction : à de la contracture, à des
convulsions
, à des mouvements choréiques s'il s'agit d'un c
l'on observe à la suite des paralysies passagères qui succèdent aux
convulsions
épileptiformes : l'état manifeste de parésie es
inesco et Sérieux, à l'exci- tation des neurones de réception ; les
convulsions
relèvent de l'ex- 170 varia. citation des neu
tale, la seconde mourut de phtisie, la troisième décéda pendant des
convulsions
, quant à la quatrième, c'est une personne déséq
nq ans, bien portante, grande, forte, lympha- tique, grosse, pas de
convulsions
de l'enfance, nerveuse, facile à conlrarier. Mi
nts : 1° notre malade; 2° garçon de quatre ans, bien venant, pas de
convulsions
, intelligent. Notre malade. - Conception au dix
, et qui fait défaut dans l'hémorrhagie et dans la contu- sion. Les
convulsions
, particulièrement lorsque la lésion intéresse l
n frappe sur la tête des cochons d'Inde jusqu'à produire de petites
convulsions
épileptiformes, soit REVUE D'ANATOMIE ET DE PHY
ne extrême maladresse dans les mouve- ments, soit des parésies avec
convulsions
tono-cloniques persis- tantes. Quelques semaine
lle a manqué dans 14 cas, et dans 38 elle n'est pas mentionnée. Les
convulsions
partielles ou générales ont été notées dans 30
le, la tendance de la démarche à incliner du côté de la lésion, les
convulsion
*, - et, parmi les symptômes secondaires, les pa
érêt de l'observation qu'il publie réside surtout dans l'absence de
convulsions
motrices, et dans la présence de convulsions ps
tout dans l'absence de convulsions motrices, et dans la présence de
convulsions
psychiques très manifestes, précédées d'une aur
nisme. P. Keraval. Lll, AYYOTAXI8 cérébrale ; différentes SORTES DE
convulsions
d'origine cérébrale; fonds dégénératif; par G.
geste d'écrire dans le vide. Pendant toute la durée de la maladie,
convulsions
fibrillaires et fasciculaires. M. Rossolimo éta
se du membre est tel que tout mouvement est impossible. Parfois des
convulsions
se montrent au membre atteint. A l'examen du
ue l'écorce inter- vienne, car c'est son excitation qui imprime aux
convulsions
le caractère épileptiforme. P. KERA\'AL, L. O
e 4° il persiste pendant que cessent le trouble respiratoire et les
convulsions
des muscles de la face - 5° il s'accompagne d'a
e série, t. I. 24 370 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tuberculeuse.
Convulsions
cloniques de la face et des extrémités, hémiplé
acksonienne a permis de localiser exactement le corps du délit, les
convulsions
commençant par le facial, mais il était impossibl
nfluence mutuelle ; 4° anorexie, aggravation de tous les accidents,
convulsions
cloniques précédées de tremblements et suivies
njections de suc thyroïdien et notamment de leur propre glande. Les
convulsions
sont suivies de parésies musculaires. Deux fois
estion cérébrale. - Autre grand' 'tante paternelle démente. - Mère,
convulsions
de l'enfance, fièvre cérébrale a quatorze ans a
eux. Durant l'enfance, il n'a eu ni manifestations scrofuleuses, ni
convulsions
, ni fièvres infectieuses, ni syphilis, ni migra
rentes époques. Ils étaient intelligents et n'avaient jamais eu de
convulsions
. Il en est de même du septième qui est soldat dan
u lait de chèvre, il aurait eu, vers deux ans, à trois reprises des
convulsions
, qui, chaque fois, auraient duré deux ou trois
fils a un bras et une jambe qui ressemblent à ceux du mendiant. Les
convulsions
survenues à trois reprises, vers deux ans et qu
ins étaient en crochet. III. Nous croyons donc devoir rattacher aux
convulsions
, probablement symptomatiques d'une sclérose cér
tête et du tronc autour de l'axe du corps vers le côté excité, avec
convulsions
bilatérales. Excitez les deux éminences du tube
motrice, du ralentissement de la respiration, parésie et mort par
convulsions
diffuses toniques et cloniques. La toxicité est p
avec la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 485 violence et la durée des
convulsions
. Il en résulte qu'entre autres méthodes, les la
ent. L'astasie-abasie peut être continue ou survenir par accès. Les
convulsions
hystéro-épileptiques généralisées sont rares; o
o-épileptiques généralisées sont rares; on observe plus souvent des
convulsions
limitées (cho- rée rythmique, mouvements de sal
rme convulsive. Il a constaté aussi des cas de gué- rison rapide de
convulsions
hystériques chez l'enfant et chez l'adulte. M
ie de - , par Clarke, 14. Front. Trauma du - suivi d'apha- sie,
convulsions
et monoplégie brachiale droite, par Russel et
me a toujours eu une bonne santé; dans son enfance, on ne relève ni
convulsions
, ni fièvre éruptive. Réglée à -. quatorze ans,
ments ganglionnaires, ainsi que des croûtes du cuir chevelu. Pas de
convulsions
. Réglée à quatorze ans, les menstrues sont touj
i a laissé une toux sèche, nerveuse; à quatre ans, rougeole; pas de
convulsions
, pas de rhu- matisme. Agée de six ans, J... est
- ment dilatation énorme de la pupille, exophtalmie énorme, cris,
convulsions
toniques du type ordinaire répétées. Mort. Auto
t portés à reconnaître que la guérison subite des paralysies ou des
convulsions
n'a rien qui sorte du domaine des lois naturell
t je parlais tout à l'heure. La guérison plus ou moins soudaine des
convulsions
et des paralysies était autrefois considérée co
hystérique, justiciables eux aussi de la même faith-healing que les
convulsions
et les paralysies, c'en serait donc fini du mir
un ensemble frappant leur pouvoir miraculeux pour faire cesser des
convulsions
dont l'origine hystérique est indubitable. Ma
Mais l'influence de la faith-healing ne s'exerce-t-elle que sur les
convulsions
hystériques ? Certainement non. Les autres mani
iracles opérés dans les sanctuaires, prétendent que la guérison des
convulsions
, des contractures et des paralysies d'origine h
ans environ après une infection syphilitique certaine, amaurose et
convulsions
faisant supposer une lésion de la base et de l'
n organique de l'encéphale, il pourrait subsister des doutes si les
convulsions
n'avaient été suivies de parésie et d'atrophie.
a moindre excitation, bruit, attouchement, suffit pour produire des
convulsions
généralisées. Les chiens, injectés avec de l'ur
tteint d'accès épileptiformes (aura, perte brusque de connaissance,
convulsions
). 138 SOCIÉTÉS SAVANTES. Il existait chez lui
sa première enfance, elle était superbe. A l'âge de dix-huit mois,
convulsions
internes; à l'âge de cinq ou six ans, elle a eu
maternel, mort de conges- tion cérébrale. - Cousin germain, mort de
convulsions
. Soell1', con- vulsions de l'enfance. - Autre s
lsions. Soell1', con- vulsions de l'enfance. - Autre saur, morte de
convulsions
. Conception durant l'ivresse. Naissance à 7 mo
Conception durant l'ivresse. Naissance à 7 mois; absence d'ongles.
Convulsions
à 2 mois. - Chorée ( ? ) de 4 à G ans. Tics mul
dont un mort à treize ans de « congestion cérébrale accompagnée de
convulsions
». Cette maladie aurait duré deux jours. La grand
lle (vingt- sept ans), n'ayant jamais eu d'accidents nerveux, ni de
convulsions
, toujours bien portante. D'un caractère gai et
ariée et a eu 2 filles, une de ces dernières est morte en ayant des
convulsions
, l'autre a toujours joui d'une bonne santé, est
morts en bas âge, les 2 autres sont bien portants, aucun n'a eu de
convulsions
; Fig. 22. Ros... devenu propre et mis en pantal
Un garçon (vingt-quatre ans),sobre et intelligent, n'a jamais eu de
convulsions
; 4° une fille morte à onze mois de méningite avec
ines, les ongles commencèrent à pousser. Il fut pris à deux mois de
convulsions
très courtes et très rapides, se manifestantpar
n'a pas été soumis à l'examen microscopique. P. K. XXV. ! UN cas DE
CONVULSIONS
CLONIQUES du bras A la SUITE DE trau- MATISME,
albl., 1892.) De cette observation se dégagent : 1° l'occurrence de
convulsions
cloniques affectant la forme de névrose général
traumatisme et associée à la parésie ; - 2° la proche parenté des
convulsions
cloniques et toniques; 3° la localisation central
3° la localisation centrale des premières; 4° la disparition de ces
convulsions
, dès la phase d'excitation de la narcose chloro
us tard, déviation de la bouche adroite. Deux jours après, trismus,
convulsions
cloniques du masséter gauche, paralysie du faci
moitié gauche de la face, pas de fièvre, mais pouls fréquent. Puis,
convulsions
de la branche buccale du facial à gauche, hyper
cou. Les courants faradiques faibles déterminent des deux côtés des
convulsions
. Hyperexcitabilité mécanique à gauche, exagérat
. Hyperexcitabilité mécanique à gauche, exagération des réflexes.
Convulsions
pharyngées, dysphagie, dyspnée, phénomènes inten-
lieu. Récidive huit ou neuf mois plus tard, nouvelles attaques de
convulsions
cloniques monoplégiques, augmentation de la parés
ies motrices peuvent être akinétiques (paralysies), parakinétiques (
convulsions
), hyperkiné- tiques (contractures, spasmes). Le
sauf la dernière qui est souffrante. Les deux dernières ont eu des
convulsions
dans l'enfance. Antécédents personnels. Jamais
e. Pas d'in- continence nocturne. Il ne peut pas dire s'il a eu des
convulsions
. Boit environ deux litres de vin par jour et de
mporté, émotif; marié, il a cinq enfants dont quatre sont morts des
convulsions
en bas âge. Début. Dans les premiers jours de m
utre part, on retrouve dans l'enfance de la plupart des malades des
convulsions
, de l'incontinence d'urine, des perver- sions d
lepsie, on se rappellera que la catalepsie ne s'accom- pagne pas de
convulsions
hideuses, mais d'une immobilité rigide. Les som
ébral, qui se manifeste plus ou moins brusquement par des crises de
convulsions
cloniques géné- ? ,ales et par la sensation d'un
e développe en plein jour sous forme d'attaque précédée ou non de
convulsions
. Quelquefois, il grandit d'une manière éton- na
des phénomènes psychologiques de la crise pour amener l'attaque de
convulsions
, de même qu'il suffit d'appeler quelques-uns de
D'autres ne semblent pas être de cette nature : ce sont de simples
convulsions
, des cris, des efforts respiratoires sans signi
t histoire de la maladie. M... n'a pré- senté dans son jeune âge ni
convulsions
, ni fièvre éruptive; fré- quentant très peu l'é
sont la céphalalgie, les vomissements, les troubles du langage, les
convulsions
et les lésions de la sensibilité. It faut-remar
ée plus ou moins de la légère imbécillité à l'idiotie complète. Les
convulsions
sont aussi très fréquentes au début de l'affect
5 mois. Début de la parole à 4 ans. Etat de mal convulsif à 6 mois.
Convulsions
localisées au côté droit, hémiplégie droite con
droite consécutive. - Secondes con- vulsions à 10 mois. Retour des
convulsions
tous les 6 mois jusqu'à 2 ans. - Rémission, de
4. Antécédents. Père, 34 ans, cocher de maison bourgeoise. Pas de
convulsions
. Fièvre typhoide à 16 ans, à la suite de laquel
aternels, mariés, ont des enfants bien portants; n'ont jamais eu de
convulsions
, sont sobres. - Deux tantes maternelles, ont l'
tes maternelles, ont l'une 6, l'autre 5 enfants qui n'ont pas eu de
convulsions
, 20 RECUEIL de faits. pas de chorée; etc. - D
res : l'un a 21 ans, l'autre a 20 ans, célibataires, sobres, pas de
convulsions
, bien por- tants. - Pas de soeurs. Dans le rest
cousin germain, de 14 ans, bègue.] Mère, 3G ans, domestique. Pas de
convulsions
, ni fièvre typhoïde, ni chorée, ni rhumatisme,
mariés, en bonne santé ainsi que leurs enfants, qui n'ont pas eu de
convulsions
. - Deux tantes paternelles, li oncles maternels
ernels, une tante maternelle, ont des enfants bien portants; pas de
convulsions
. - Trois frères, sobres, deux soeurs, et leurs
arche à 9 mois, propre à 15 mois. J S A 6 mois, première attaque de
convulsions
; l'enfant sem- \blait normale auparavant. Ces
taque de convulsions ; l'enfant sem- \blait normale auparavant. Ces
convulsions
durèrent huit heures, et restèrent localisées a
rent paralysés après cet état de mal. A 10 mois, seconde attaque de
convulsions
, é- galement limitées au côté droit, et durant
9 mois, ne remarcha plus jusqu'à 14 mois, De 10 mois à2 ans, les
convulsions
se répétèrent tous les 6 mois, toujours localisée
tivite de l'oeil droit, étant toute jeune. L'enfant a, depuis ses
convulsions
, toujours été en retard au point de vue de l'in
ui éclatent à l'improviste et à des intervalles variables comme des
convulsions
, enfin de la rareté excessive du passage à l'ac
lacer l'épileptique,au début de son accès, sur le côté gauche : les
convulsions
cessent immédia- tement. « ,JUSqU'il IH'éSl'lI(
ins six mois. C'est une femme qui, bien que d'aspecl normal, Bouder
convulsions
dans son enfance, de la dv-ménorrhée au moment
ix en- l'titi est mort iiii autre de scrofule, une lille a eu des
convulsions
, la malade a eu elle-même des convulsions et pr
ofule, une lille a eu des convulsions, la malade a eu elle-même des
convulsions
et présente des stigmates de dégél'esl'encc. As
iation fonctionnelle du Cl'J'\eau..l, 8ÉGL.\S. ,. X. Le siège des
convulsions
épileptiformes toniques et cloniques ; par Nino
ns suivantes : La zone corticale motrice est le centre exclusif des
convulsions
cloniques chez le chien el chez le chat adultes
isthme de l'encéphale, chez le col)a)eet.te1a]th), sont le siège de
convulsions
cloniques. Chez le cobaye et ladre- nouille ver
ège, d'un centre exclusivement tonique ; elle ne provoque jamais de
convulsions
cloniques. Chez la grenouille verte, la moelle
ques. Chez la grenouille verte, la moelle provoque au contraire des
convulsions
cloniques. On voit donc que le centre convulsif
ortical chez le chien el le chat adulte. Chez l'homme, le siège des
convulsions
toniques est exlusivement basilaire ; celui des
ège des convulsions toniques est exlusivement basilaire ; celui des
convulsions
cloniques est cortical. (. 1)svv. XL Contribu
n mentionne relativement peu qu'elle ait été précédée d'attaques ou
convulsions
hystériques : peu de cas aussi où les émotions
un père de constitution morlide. ll suulfre de fréquents ac- cès de
convulsions
qui, chaque fois, déterminent un état de fai- b
mais il prenait toutes les ull'cclions conta- gicuscs ; il cuL des
convulsions
au cours de toutes les fièvres éruptives qu'il
uptions dentaires. Après ses dernières dents il a cessé d'avoir des
convulsions
, mais il avait des (1) II. DitENOr.De 1'¡'llj/u
tation, puis, si l'on renforce le courant, aussi du même côté ; les
convulsions
débutent par les membres, le plus souvent par l
ermine pas d'acci- dents moteurs ; sous l'action d'un fort courant,
convulsions
toniques, plus rarement cloniques, d'ailleurs i
dernier plan, ne prédomine plus comme dans la tétanie, se modilie :
convulsions
- clolliques intermittentes, ou spasme en exten
jours de durée, présentaient, à l'acmé d'une confusion mentale, des
convulsions
graves et. persistantes. Parfois une con- fusio
suit un spasme relativement court. Cas de mélange de psychose cl de
convulsions
comme dans l'epi- lepsie. Durée, de un jour i
mouvement des paupières, qui constituent le ré- flexe. Les grosses
convulsions
palpébrales ou l'occlusion convul- sine de l'oe
oprement dite s'observe de Li il GO ans. Go : f«ct ? en ? [nr< ?
Convulsions
, névralgies, epistaxis, spasme de la glotte, dy
ades et d'ailleurs terminés par guérison.' L. W, LI1. - Crises de
convulsions
après l'opération du phi- mosis ; pal' IlEGNAUL
HOLOGIE NERVEUSE. 317 diatement l'opération du phimosis, il Y a des
convulsions
épilep- tiformcsquil attribue à une irritation
résente du râle laryngé ; de la flexion de la tète en arrière ; des
convulsions
t,e),anoïdes générales; une éruption pemphigoide.
lciatnü, YI, 1901.) Ils'agit d'un malade atteint dès l'enfance de
convulsions
exces- ? Ï\ell1ent rr¡"qUl'ntes en divers endroit
ts morceaux de l'écorce a presque absolument fait disparaî- tre les
convulsions
choréiques, ce qui [trouve que les mouvements c
tion qui lui a étéfaile à 13 ans. Elle affirme n'avoir jamais eu de
convulsions
. Elle aLLri- bue son strabisme à ce qu'elle fix
pneumonie grave à '.) mois; pas de 11-astio-eiitéiiL( ? Iaiiiais de
convulsions
jusqu'à4ans. A par- tir de cet âge, jusqu'à 5 a
aye, 323. fami- liales, par Gilbert-l3allet et D reyfus,4.ï0. ,
Convulsions
. Le siège des épileptiformes toniques et clo-
e ou fausse reconnais- sance, par Ballet, 73. Phimosis. Crises de
convulsions
après l'opération du -, par Hégnault. 316.
court vertige. La perte de conscience n'était accompagnée d'aucune
convulsion
, mais seulement d'un relâche- ment complet de t
ts (isodynamiques) et chez lesquels ne survenaient pas toujours des
convulsions
comme il ressort des observations ci-dessous, é
observations ci-dessous, était suivie immédiatement chez les uns de
convulsions
généralisées, chez les autres de convulsions lo
tement chez les uns de convulsions généralisées, chez les autres de
convulsions
localisées sur une moitié seulement du corps av
on participation plus ou moins complète des muscles de la face. Ces
convulsions
étaient pour la plupart semblables à celles qu'on
emblables à celles qu'on observe chez les animaux à l'abattoir. Les
convulsions
, qui duraient de dix à trente et tout au plus q
e la moitié du corps, dès la perte de conscience sont survenues des
convulsions
très prononcées de la moitié du corps, analogues
tent bien. Dans sa première enfance a eu à différentes reprises des
convulsions
, depuis il se porta bien jusqu'à l'âge de 45 an
des carotides, il perd connaissance immédiatement et il est pris de
convulsions
générales. Puis le malade se promène sans but d
pression des carotides, il perd immédiatement connaissance et a des
convulsions
instantanées généralisées comme cela se passe che
ge. A la pression des. carotides, perte de conscience, puis légères
convulsions
des doigts des deux membres supérieurs, ainsi q
insi que deux soeurs hystériques. Antécédents personnels : a eu des
convulsions
en bas-fige. Depuis son enfance jus- qu'à sa di
es ca- rotides, il perd immédiatement conscience, puis présente des
convulsions
géné- rales. Ensuite il revient à lui, se plaig
on lui donnait toujours du vin à boire pendant les repas. A eu des
convulsions
en bas âge. A l'âge de 9 ans, a eu la fièvre ty
ssion des carotides, perte de cons- cience immédiate accompagnée de
convulsions
généralisées, mais instantanées, puis tombe sur
suite, surtout coprologiques et quelquefois même elle présente des
convulsions
des muscles de la face. Puis elle tombe comme une
née. A la pression des carotides, perte immédiate de conscience et
convulsions
des muscles de la face. Puis pâlit, elle a des
injurie et menace une personne imaginaire. En même temps elle a des
convulsions
des muscles de l'épaule. Après 4 minutes enviro
ssion des carotides, immédiatement perte de cons- cience, suivie de
convulsions
, durant une minute environ. Pendant l'état con-
ssion des carotides, immédiatement perte de connaissance suivie des
convulsions
instantanées des muscles de la face et des extrém
le raconte, en prononçant des mots sans suite; aussitôt il a eu des
convulsions
, la mousse aux lèvres ; il s'est mordu la langue.
environ, à des intervalles variant de 2 à 20 jours, il est pris de
convulsions
instantanées du membre supérieur gauche. Ces co
st pris de convulsions instantanées du membre supérieur gauche. Ces
convulsions
sont suivies d'engourdissement et de légère fatig
des éblouissements et enfin survient la perte de connaissance avec
convulsions
, de la mousse aux lèvres et morsure de la langu
com- pression des carotides, immédiatement perte de conscience avec
convulsions
généralisées, puis obnubilation caractéristique
es accès commencent par un grand cri, puis perte de conscience avec
convulsions
générales, mousse à la bouche et enfin profond
l'extension. A la pression des carotides, perte de conscience avec
convulsions
instantanées, LA COMPRESSION DES CAROTIDES DANS
il y avait stomatite, de tremblement très intense jusqu'aux grandes
convulsions
, puis des symptômes de psychose et où est venue p
e névrosique. Antécédents personnels. Ni éthylisme, ni spécificité.
Convulsions
à l'âge de deux ans. Bronchites légères. Mari
ammes. La première dent a paru à 4 mois. L'enfant a eu une crise de
convulsions
à cette époque. Elle n'a pu se tenir assise qu'
été comprimé par le cordon ombilical. Elle n'a jamais été prise de
convulsions
et n'a pas présenté de trou- bles de la circula
ne parvient pas il répondre aux questions qu'on lui adresse. Pas de
convulsions
. Température : 37°o. - Est entrée à la cliniq
e tête. Au bout de quelques minutes, elle a perdu connaissance. Des
convulsions
dans un des bras ont été observées. Du reste, e
10 mi- nutes. Durant l'attaque, il a eu, d'après son entourage, des
convulsions
dans le corps. Pas de morsure de la langue. En
et a eu, pendant le trajet, une attaque de forme épileptique avec des
convulsions
dans les mains et dans la partie gauche du visa
nutes sans connaissance. Le jour suivant, il a eu de* continuelles
convulsions
cloniques à l'épaule et au coin gauche de la bo
u lit pour saisir un objet. Immédiatement après, il a été repris de
convulsions
soudaines dans les deux bras, est retombé dans
respiration : 21 à la minute. Le pouls : 80. De temps en temps des
convulsions
isolées dans le bras et l'épaule gauches. Tout
e d'épilepsie typique (raideur du corps, après quelques minutes des
convulsions
, morsure de la lan- gue). A 18 ans, il a eu une
lancher et l'on a observé qu'il était raide, mais il n'avait pas de
convulsions
ni de vomissements. ' Conduit par la police à l
s. Par- fois le patient est pris d'un tremblement aussi bien que de
convulsions
géné- rales. Le malade n'a rien pu déglutir. Il
iculaire. Le tableau clinique dé contractures généralisées avec des
convulsions
est aussi en conformité complète avec les const
s et à la suite d'un effort musculaire il a eu une attaque avec des
convulsions
et un coma profond, suivi par la mort. A l'auto
épuisable activité des muscles, la rapidité avec laquelle certaines
convulsions
apparaissent .et dispa- raissent, la lenteur et
dans l'histoire antérieure de notre ma- lade d'autres formes de ses
convulsions
cloniques ; mais jamais l'apparition et la disp
cune affection cérébrale, elle est bien idiopathique. 11 a eu des
convulsions
jusqu'à l'âge de quatre ans, elles ont cessé à
es attaques habituelles du malade : cri initial, pâleur de la face,
convulsion
de ses muscles. Raideur de tout le système musc
culaire avec secousses rythmées. Puis teinte cyanosée de la face et
convulsions
cloniques violentes des membres, du bassin et d
avant l'attaque. Donc, sous l'influence de l'ictus épileptique, une
convulsion
épileptique, c'est-à-dire une convulsion toniqu
e l'ictus épileptique, une convulsion épileptique, c'est-à-dire une
convulsion
tonique et après clonique, et ensuite une résol
aussitôt que le tétanos a eu commencé à décroitre d'intensité, les
convulsions
épileptiques ont réapparu. Comment expliquer la
moins, puisqu'au lieu de les tétaniser elle pro- voque chez eux des
convulsions
cloniques qu'on caractérise de l'appellation ép
vulsion, absences, vertiges, somnambulisme comitial, prouve que la
convulsion
n'est pas tout dans l'épilepsie et que le bulbe
bulbe et de la moelle l'incitation à leur fonctionnement : d'où la
convulsion
. Chez notre malade, quand la décharge épileptiq
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 71 opisthotonos, pleurosthotonos),
convulsions
épilepliformes ou trem- hlement choréiforme, tr
s les muscles du cou et de la face, c'est presque exclusivement une
convulsion
tonique ; dans les sphincters oculaires et bucc
légèrement immobile; les muscles de la déglutition sont atteints de
convulsions
toniques douloureuses mais rapidement passagère
teux atteint d'hypertrophie cardiaque avec emphysème et bronchite :
convulsions
cloniques surtout pronon- cées dans les paupièr
des extrémités droites; parésie faciale gauche interrompue par des
convulsions
cloniques fugi- tives mais peu prononcées ; int
électrique et qui simulent dehors les symp- tômes les plus variés,
convulsions
tremblement, etc. Leur nombre est grand en Amér
qui concerne la maladie actuelle. Rougeole dans l'enfance ; pas de
convulsions
; pas de coqueluche. Il a fait son service mili-
jours été bien por- tante. Pas de coqueluche, pas de chorée, pas de
convulsions
. Pas de maladies infectieuses, sauf la rougeole
ait semblable amélioré par la faradisa- tion. P. K. LU. UN cas DE
convulsion
DE la langue idiopathique; par A. ERLEN- MBYIOE
convulsion DE la langue idiopathique; par A. ERLEN- MBYIOE, - DE la
convulsion
idiopathique DE la langue ; pal' M. IERNH : 111
demi. En 1882, à des intervalles de dix à quatorze jours, accès de
convulsions
linguales caractérisés par rétraction de la lan
é droite de la face se con- vulse en même temps; dix, vingt, trente
convulsions
semblables ont lieu successivement en dix, ving
tate, pendant un certain temps auparavant, avant de s'endormir, des
convulsions
dans les jambes. Traitement recons- tituant; KB
Centralbl., 1887.) L'enfant avait été blessé à la tête ; il eut des
convulsions
pen- dant trois jours. On l'a observé continuel
ain, le pied, la face du côté gauche ; accidents pro- gressifs sans
convulsions
, ni syncopes, ni vomissements, ni fièvre, ni cé
ayant produit l'appareil symptoma- tique de la paralysie générale (
convulsions
, troubles somatiques) ; la pie-mère, transformé
E D'ÉLECTROTHÉRAPIE ET DE THÉRAPEUTIQUE. malades traités à l'asile (
convulsions
épileptiformes, affaiblis- sement intellectuel,
térieurs avec disparition du phénomène du genou), 9 sont morts, les
convulsions
étant revenues, et, avec elles, la démence et l
le marasme. Des 20 sur- vivants, l'auteur a pu en examiner 15. Les
convulsions
ont reparu, et les lacunes intellectuelles ont
tait surveuu à l'âge de onze mois, à la suite de plusieurs accès de
convulsions
qui furent suivies d'une paralysie avec atrophi
st en outre très fréquent de voir l'influenza suivie de névralgies,
convulsions
et crampes musculaires, ou autres troubles du s
e perte de connaissance qui s'est prolongée plus d'une heure, et de
convulsions
sur les caractères desquels la malade ne peut d
tem. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 41Ô 0 lutions produisaient des
convulsions
localisées et généralement unilatérales du côté
ifier par l'expérience les'vues d'Hughlins Jackson sur la cause des
convulsions
épileptiformes unilatérales. Tout en confirmant
spasmes toniques, puis cloniques du véritable type épileptique. Ces
convulsions
tendent à s'étendre et se généralisent dans l'o
les jusqu'aux angles antéro-latéraux. Leur exci- tation produit des
convulsions
toniques du tronc, de la tète, des extrémi- tés
nes. - L'excitation électrique de la surface de section produit des
convulsions
généralisées au moment où les lames de la calotte
sont plutôt des collecteurs que des centres convulsifs. - Aussi la
convulsion
est-elle tétanoïde et englobe-t-elle tout un mond
ÈRE, par Hitzig, 433. Langage réflexe, par Robertson, 94. Langue,
convulsion
idiopathique de la , par par Bern- hardt, 245
SoMmaibe. — Antécédents. — Père aliéné ; — mère et sœur nerveuses. —
Convulsions
dans l'enfance ; — colères; — attaques syncopales
Pas de consanguinité. Neuf enfants, dont cinq sont morts, quatre de
convulsions
, une d'épilepsie (?) à douze ans. Des survivants,
it marché de bonne heure; mais, à vingt-deux mois, elle aurait eu des
convulsions
à la suite desquelles elle serait devenue paralyt
le épileptique et alcoolique. — Pas de consanguinité. — Sœur morte de
convulsions
. — Une autre mise en correction jusqu'à vingt et
u bout d'une heure et demie, P... est revenue à elle sans avoir eu de
convulsions
ni de délire. On voit que ces sortes d'attaques s
M... a d'abord des se- Fig. 1. cousses, change de couleur et les
convulsions
n'éclatent que 10 à 15 minutes après l'excitation
se congestionne, les muscles des joues et des lèvres sont le siège de
convulsions
ainsi que ceux des paupières qui se ferment. La b
; * Dans quelques attaques, le bras gauche est seul le siège de ces
convulsions
cloniques. * Nous préférons cette dénomination
chétive ; — 6° fille âgée de 10 ans, bien portante, a eu beaucoup de
convulsions
dans l'enfance et une paralysie des paupières fpt
quatre ans ; des écoulements d'oreille, des ophtalmies graves; pas de
convulsions
. — Elle est allée à l'école jusqu'à 14 ans, mais
mbres supérieurs, des mouvements de latéralité de la tête et quelques
convulsions
cloniques courtes. c) Phase destertor. — La res
sthésie. — Une pression vigoureuse ne nous a point paru suspendre les
convulsions
(?). 3° Zone latéro-mammaire droite. — Elle siè
rnelle hystérique. — Oncle paternel aliéné. — Pas de consanguinité.
Convulsions
jusqu'à cinq ans. — Emotions vives à onze ans : p
ér. sur l'épilepsie et l'hystérie, 1876, p. 104, 144, etc. sion des
convulsions
comme un soulagement et il n'est pas rare de les
ant un temps assez long. OBSERVATION X Sommaire . — Antécédents :
convulsions
de l'enfance suivies de paralysie du côté gauche.
nerveuse. —Une autre est sourde. —Vers un ou deux mois, D... a eu des
convulsions
suivies d'une paralysie du côté gauche. D... es
ments qui duraient une ou deux heures sans être précédés ni suivis de
convulsions
. Enfin, elle a une attaque de sommeil qui persist
té. H... ne sait rien de son enfance ; elle ignore si elle a eu des
convulsions
; ce qu'elle se rappelle seulement, c'est qu'elle
ts, deux du croup, un d'une méningite à 10 ans, deux en bas-âge, sans
convulsions
. Des trois vivants, l'un, un garçon de 20 ans, es
peu nerveux; l'autre, une fille, âgée de 12 ans, est délicate; pas de
convulsions
; le troisième est la malade. Pendant qu'elle ét
trophk). — Du sphincter vésical, 36. — Du sterno-mastoïdien, 9, 36.
Convulsions
, 5,108. Corps étranger du sein, 69. Crucifiem
e signes de scrofule dans l'enfance; à deux mois et demi, il a eu des
convulsions
qui ont duré environ cinq heures. Il est sujet à
un blessé qui avait une plaie de la cuisse par éclat d'obus : pris de
convulsions
tétaniques le sixième jour, il mourut le neu-vièm
les cas ordinaires, qu'il s'agisse du tétanos ou de l'épilepsie, les
convulsions
les plus intenses ne produisent qu'une élévation
art, dans les cas où l'on note cette grande élévation termi-nale, les
convulsions
ont parfois cessé depuis longtemps, et ont fait p
profond 1. » Ainsi, nous voyons, d'une part des cas accompagnés de
convulsions
qui, en se multipliant, suffisent pour amener la
part, des cas dans lesquels le coma vient compliquer ou remplacer les
convulsions
. Dans la première catégorie, température peu élev
contracture d'un grand nombre de muscles, surtout de ceux delà face ;
convulsions
réflexes, spontanées et multiples. En même temps,
lin, simultanément, contracture d'un grand nombre d'autres muscles;
convulsions
réflexes, spontanées et multiples; éruption milia
faible-ment accéléré. Une pneumonie intercurrente ne modifie pas les
convulsions
, mais elle élève un peu la température (38°,5 à 3
une façon spéciale. Tout d'abord voyons les faits. Observation IX.—
Convulsions
à 17 mois. — Hémiplégie à gauche. — Peur vive s
santé aurait été passable jusqu'à 17 mois, épo-que où ont éclaté des
convulsions
à la suite desquelles on s'est aperçu qu'elle éta
, p. 89-90; Paris, 1808. 2 Elle ne marchait ni ne parlait avant les
convulsions
. {• a duré 5 ans, engelures aux pieds) et à 7 a
de la face, qui devint pourpre et perte de connaissance, mais pas de
convulsions
. Deux ou trois jours plus tard, les règles appara
'ai souvenance, dit-elle, ils ont toujours eu la même position. — Les
convulsions
, ainsi que nous l'avons constaté, prédominent du
ogie, des mots état de mal éclamptique pour désigner à la fois et les
convulsions
et le coma qui leur succède1. Quand cetle malad
En moins d'un quart d'heure, nous assistons à deux autres accès, avec
convulsions
, cyanose, déviation de la face à droite, torsion
eu quatre attaques. Nous assistons alors à une véri-table série. Les
convulsions
affectent surtout la forme tonique; la cyanose es
i, la température était déjà descendue à 40°,1, lorsque de nou-velles
convulsions
l'ont fait revenir à 40°,2. — Traitement : saigné
, qui donna 58°,8, a été pratiquée huit heures après l'apparition des
convulsions
, lesquelles1 pendant ce laps de temps ont d'aille
te lacune. rature se maintient à un chiffre élevé et, au moment des
convulsions
, on enregistre une légère ascension de la colonne
bservation non moins intéressante que la première. Observation X. —
Convulsions
à sept ans. — Hémiplégie du côté droit. — Peur vi
in en nourrice aurait été propre3et au rait marché de bonne heure; ni
convulsions
, ni scrofules. — A sept ans, D... eut une fièvre
un bain ; ce serait en sortant de ce bain qu'elle aurait été prise de
convulsions
suivies d'une paralysie du côté droit. Jusqu'à ce
e époque, ses membres étaient normaux. A sept ans, elle aurait eu des
convulsions
et peu après ses membres se sont recourbés. La ma
e, en octobre 1868, survient une attaque très-intense, accompagnée de
convulsions
et suivie d'un état apoplectiforme avec respirati
M. Delasiauve), est devenue hémiplégique dujcôté droit à la suite de
convulsions
(avant l'âge de 13 mois). La main paralysée est à
lysé est moins développé que l'autre. — Gra..., M. Pauline, 26 ans;
convulsions
à l'âge de 8 mois, suivies d'une paralysie du côt
it. Le malade fut bientôt obligé de garder le lit. Le troisième jour,
convulsions
violentes et perte de connaissance. Le malade ne
'hypochondre gau-che ; cette douleur peut être suivie de syncopes, de
convulsions
légères ; bientôt la face pâlit, le pouls devient
et avait acquis cette infirmité à l'âge de deux ans, à la suite de
convulsions
; toujours suivant ses parents, il n'avait même pa
au monde en état d'asphyxie. Dès l'âge de deux mois se montrent des
convulsions
et plus tard des crises épileptiques avec micti
er à la cathédrale, rencontra un jour un de ces malheureux tordu de
convulsions
, et qu'une foule cruelle prenait grand plaisir
arque, que la con- traction volontaire des muscles passe bientôt en
convulsions
involontaires de ces mêmes muscles ; 2° les omo
ut de la sensibilité musculaire. Démence avec délire de gran- deur.
Convulsions
cloniques continuelles dans tous les muscles du
nt été décrits par d'autres auteurs chez les paralytiques, mais ces
convulsions
sont rythmiques; et cette dernière particularité,
e décrite par l' M. le professeur Kojewnikoff. L'auteur signale les
convulsions
cloniques incessantes chez les paralytiques aux
nosologique, décrite par lui, consiste en une connexion intime des
convulsions
continuelles avec les accès épileptiques, ce qu
e la tumeur ou de son in- fluence atrophique à la zone motrice ; 5°
convulsions
fréquentes mais de natures et d'intensité varia
éreuses. Les pous- sées congestives initiales se traduisent par des
convulsions
épilepti- formes, des paralysies à la première
ituelle, la mort par ictus apoplectique, par accidents .congestifs,
convulsions
épilepti- formes, etc., et il s'étonne que l'on
sein; la dentition s'est effectuée sans trop de fatigue, jamais de
convulsions
, de diarrhée et de constipation. La mère dit que
rs intesti- naux' ? Nous n'avons eu ici ni perte de connaissance ni
convulsions
cloniques, mais une contracture permanente s'in
s, ayant toujours eu une santé excel- lente, n'a jamais présenté de
convulsions
. A l'époque de la denti- tion a eu pendant quel
fant semblait dormir d'un sommeil profond et calme. A-t-elle eu des
convulsions
? On ne peut le savoir. Le matin, au réveil, on
le linge du berceau. L'insensibilité est toujours complète, pas de
convulsions
, toujours le même coma, le même masque immobile
il pleurait lors- qu'on lui refusait ce qu'il demandait. Jamais de
convulsions
, santé excellente. Quant on le conduisit pour l
diminuer l'importance des pro- duits excrétoires comme cause de la
convulsion
épileptique. Sans les éliminer entièrement de l
ptique. (The alienist and neuro- logist, avril 1897.) E. B. XXII.
Convulsions
épileptiformes réflexes d'origine PRÉPUTI : 1LE
es plus riches en terminai- sons nerveuses, il peut arriver que des
convulsions
épileptiformes REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3
té auditive, du goût ; absence presque complète de l'odorat; 4° des
convulsions
généralisées avec perte incomplète de connais-
r M. EDEL. (Cent1'albl. f. Nervenheilk., XVIII, N. F., vi, 1895.)
Convulsions
généralisées rappelant l'hystérie, à la suite de
. (LYo1'llwndie médicale, 6. 4ScJG.) 330 SOCIÉTÉS SAVANTES. XXIX.
Convulsions
partielles ET aphasies; par DESIL1YES. (No1'llw
. Accès épileptiques très fréquents avec perte de cons- cience. Les
convulsions
débutent du côté gauche et passent facile- ment
roit. Phénomènes post-épileptiques d'assez longue durée en forme de
convulsions
cloniques bilatérales. Idiotisme. La sphère psy
les boissons alcooliques; accès de fureur épileptique; parfois des
convulsions
en forme d'épilepsie générale. Mort après l'âge
ompagnent d'une perte de conscience de courte durée. On observe des
convulsions
cloniques continuelles dans la branche inférieu
à la région des articulations du genou et un idiotisme complet. Les
convulsions
débutaient ordinairement du côté droit. Les réf
ises d'hystérie. Observation XV. Enfant d'un an. Crises d'hystérie.
Convulsions
toniques, cloniques sans aura, sans sommeil con
nt, les yeux sont convulsés en haut, la face est violacée. Puis les
convulsions
cloniques apparaissent, au bout de deux minutes
er et de Magitot), ne doit pas être rayée comme entité morbide; les
convulsions
dues à la den- tition, aux vers intestinaux son
es convulsions dues à la den- tition, aux vers intestinaux sont des
convulsions
dues à une action rellexe, convulsions qui ne r
ux vers intestinaux sont des convulsions dues à une action rellexe,
convulsions
qui ne relèvent en rien de la névrose ; tout ce
ne demi-heure après cette chute, il a présenté sa première crise de
convulsions
. Les crises convulsives se sont répétées depuis
ôté gauche. La pression y est douloureuse, mais ne détermine pas de
convulsions
. On opéra en ce point ; après excision de la ci
. 11 sortait bientôt, complètement guéri de son aphasie et de ses
convulsions
. Depuis quinze mois que l'intervention a eu lieu,
convulsions. Depuis quinze mois que l'intervention a eu lieu, les
convulsions
n'ont pas reparu. P. RELLAY. XXIV. LE TRIONAL d
ie qui lui rendait l'exis- tence malheureuse. Elle a eu un accès de
convulsions
, unique dans toute sa maladie. - Jusqu'ici no
alcooliques et tuberculeux. Fièvre typhoïde à quinze ans. Début des
convulsions
à quatorze ans, à la suite d'une frayeur (attaq
ela... A., seize ans (épilepsie). Pas d'anté- cédents héréditaires.
Convulsions
dès les premiers jours de la vie. Les attaques
tout de ceux des épaules, de la face, du dos, des jambes; pas de
convulsions
fibriltaires ; pas de grandes modifications de l'
ion de cris qui rappellent l'oie. Un état psy- chique préside à ces
convulsions
faciales dont la cause a d'ailleurs été une sec
l'oie est la caricature d'une interjection phonétique, comme les
convulsions
sont la caricature des jeux de physionomie. La co
conservation du goût, de la sensibilité. Pas de contractures pas de
convulsions
fibrillaires; pas de mouvements associés ; faible
ériphériques à siège élevé. Les commémoratifs laissent supposer des
convulsions
qui indiqueraient qu'il y a eu hémorrhagie de l
bout de quelque temps on constate de l'hyperexcilabililé, voire des
convulsions
spasmodiques de certains groupes musculaires, et
e déterminante de l'attaque épileptique, perte de connaissance et
convulsions
, est encore soutenue par un grand nombre de neuro
normaux. Education des - , par llemoor, 114. EprLEI"IIFOR : IIF.,
Convulsions
d'ori- gine préputiale, pai llodgdon,326. EI'
sommes trompés. « Je le savais bien dit-elle, c'étaient encore des
convulsions
. » Elle est alors ré- veillée et c'est au bout
e femme de vingt-deux ans, d'un tempérament nerveux, ayant eu des
convulsions
dans l'enfance. Depuis plusieurs mois la couleur
paru, lorsque; à la mort de son mari, cette femme a eu de violentes
convulsions
suivies d'un délire ner- veux. Les doigts ont r
e : il jouissait au premier chef de la propriété convulsivante. Des
convulsions
généralisées ont été reproduites chez trois lap
R. - Le dernier paralytique général que j'ai sai- gné a été pris de
convulsions
épileptoïdes au cours même de l'opé- ration. Si
Les unes, c'est le cas le plus fréquent, sont caractérisées par des
convulsions
des orteils du côté droit et du pied du même côté
s perte de connaissance. Les autres débutent par le pied droit, les
convulsions
montentdans la jambe, le tronc s'infléchit à droi
nimaux et à voir couler leur sang. Il éprouve, en assistant à leurs
convulsions
, une âpre jouissance et cherche chaque jopr une
Je ne sais si, dans l'intervalle et durant mes absences, il eut des
convulsions
et des mouvements automatiques de la marche ; je
et l'atrophie de l'hémisphère opposé au côté où prédomi- naient les
convulsions
, Lissauer pensait à une lésion cellulaire aiguë
nnées l'épilepsie s'est vu arracher une partie de son domaine : les
convulsions
épileptiformes des femmes en couches, des enfan
es à certaines circonvolutions céré- brales pouvaient provoquer des
convulsions
partielles ' où générales des membres. Enfin le
e des centres vaso-mo- teurs généraux bulbaires et produiraient les
convulsions
en excitant le centre convulsit' du bulbe surto
qu'on ne le pense et nous croyons que dans bon nombre de cas, les
convulsions
essentielles de l'enfance dont la pathogénie rest
nous avons pu nous convaincre qu'il y avait eu anté- rieurement des
convulsions
de l'enfance. Sans doute il serait exagéré de d
s de l'enfance. Sans doute il serait exagéré de dire que toutes les
convulsions
infantiles annoncent fatalement l'épilepsie, ma
ui et non. Le 8 janvier, vers le soir, elle eut le premier accès de
convulsions
. Mais à cette époque le bras droit s'était déjà m
ble. Alors la connaissance se perdait et la malade entrait dans des
convulsions
générales, suivies d'un état comateux. Quand el
sous le coup d'une attaque épileptique bien caracté- risée par des
convulsions
généralisées d'emblée, d'abord toniques puis cl
musculaires localisées au bras droit. Souvent il se produisait des
convulsions
localisées, sans qu'une attaque épileptique sui
jamais il ne se produisit d'attaque épileptique non précédée de ces
convulsions
localisées. Le diagnostic ne pouvait donc pas ê
n avant, flexion du coude. Ce mouvement, qui répond exactement à la
convulsion
initiale de notre malade, fut provoqué par irri
la surface convexe. Que cette lésion fût la cause non seulement des
convulsions
localisées, mais aussi des attaques classiques
malade n'ayant jamais eu d'attaques qui ne débutassent pas par les
convulsions
localisées du bras droit. Comme le traitement i
'opération la malade avait dans son cerveau, au point de départ des
convulsions
, un kyste hémorragique, lésion à coup sûr irrit
e intéressant de noter la relation exis- tant dans ce cas entre les
convulsions
localisées, l'attaque d'e7eeyac/i'soMtetM ? e,
ns ne nont pas rares où les attaques d'un malade commencent par des
convulsions
localisées. Mais il est très rare qu'on trouve
e généralisation a eu lieu'. Or, dans ce cas il est certain que les
convulsions
ne se généralisaient pas en s'étendant successi
sivement sur tous les muscles du corps. Après une courte période de
convulsions
localisées, une attaque classique d'épilepsie s
connaissance, toute la musculature entra d'emblée dans un stade de
convulsions
toniques, suivies ensuite d'un stade clonique.
our à l'asile, survinrent d'abord de violents maux de tête puis des
convulsions
localisées, caracté- risées par une série de sp
fois le phénomène deRumpf, c'est une con- traction longue suivie de
convulsions
et vibrations persistantes. Il y a quatre ans c
Soeur de la malade a des secousses nerveuses. Un frère est mort de
convulsions
à sept ans. Antécédents personnels. A marché et
ans. Antécédents personnels. A marché et a parlé de bonne heure.
Convulsions
au moment de la dentition. Les accès ont paru ens
aît bientôt de ce même côté, puis du gauche. La malade a quelques
convulsions
cloniques,à gauche surtout, puis entre dans le st
tion conjuguée de la tête et des yeux du côté opposé à celui où les
convulsions
ont été prédominantes. Enfin, d'après Sée et pl
Le côté hémiplégie est complètement flasque, mais il prend part aux
convulsions
comme le gauche dans les accès. Le 10 mars les
e du père. Ac- couchement normal à terme. Antécédents personnels.
Convulsions
à dix-huit mois. Vertiges épileptiques à six an
s opinions ont été soutenues : L'opinion allemande qui attribue les
convulsions
à des accidents urémiques ; l'opinion gé- néral
là-haut avec Dieu à qui je vais t'offrir. Bientôt, il eut quelques
convulsions
dernières, écuma du sang et ne bougea plus. Je
ans son jeune âge ; nous n'avons pu savoir si cette malade a eu des
convulsions
; réglée à seize ans, elle eut sa première atta
culaires qui sont sous la dépendance de ce centre n'entrent plus en
convulsion
, ce qui est d'ailleurs rationnel. D'après ses r
établir que la scopolanine agit bien dans les différentes formes de
convulsions
, car dans ses onze expériences avec cette subst
oisse, douleur précordiale, conges- tion céphalique) et il tombe en
convulsions
; ou bien l'angoisse s'exagère, la dépression ap
oumons. Injecté à l'a- nimal, il provoque à faible dose la mort par
convulsion
, et d'une manière générale, et fait naître des
e la moitié gauche, l'organe est en continuelle agitation, animé de
convulsions
fibrillaires et fasciculaires. A droite, existe
nt au courant galvanique. La cause doit être périphérique, mais les
convulsions
fibrillaires indiquent REVUE pi PATHOLOGIE NERV
- lente douleur dans le membre affecté, puis de tremblement et de
convulsions
généralisées suivies d'exagération de la contract
articulier peut-être par les toxines du microbe, qui occasionne les
convulsions
éclamptiques par son action normale sur le systèm
de boisson. Tante et cousine, idiotes. Plusieurs frères et soeurs,
convulsions
. ? Cyanose à la naissance. Premières convulsions
rs frères et soeurs, convulsions. ? Cyanose à la naissance. Premières
convulsions
sous forme d'état de mal à 5 ans avec prédomina
c prédominance à droite. Hémiplégie droite et idiotie consécutives.
Convulsions
pendant trois mois. Début de l'épilepsie à 13 a
ier lit : 1° une fille un peu nerveuse dont un des enfants a eu des
convulsions
internes; - 2° un garçon mort athrepsique à deu
ée » à deux ans et demi; - 5° un garçon t bossu », a eu beaucoup de
convulsions
, est mort à dix-huit ans, à la suite d'un abcès
ar congestion; 6° un garçon, vingt-sept ans, bien portant, a eu des
convulsions
internes. Cinq enfants d'un second lit : 1° u
huit ans et demi, médiocrement intelligente et qui a eu beaucoup de
convulsions
; 2° notre malade ; 3° une fille, quinze ans et
ans et demi, nerveuse, peureuse, sujette à des cauchemars, a eu des
convulsions
; elle est intelligente; 4° un garçon, intellige
ulsions; elle est intelligente; 4° un garçon, intelligent, a eu des
convulsions
; - 5° un garçon, passablement intelligent, a eu
des convulsions; - 5° un garçon, passablement intelligent, a eu des
convulsions
. Notre malade. Pas de rapports sexuels durant l
cinq ans lorsque, une après-midi, et à peine couché, il fut pris de
convulsions
généralisées aux quatre membres, et qui ne durè
ut dans la nuit un premier accès d'épilepsie, avec prédominance des
convulsions
dans le côté para- lysé. Nouvel accès dans la n
frères et deux soeurs, dont l'une est arriérée, qui ont eu tous des
convulsions
. II. L'enfant est né cyanose. Est-ce à cette co
s nous reviendrons tout à l'heure, ont eu pour symptôme capital les
convulsions
qui se sont pré- sentées sous la forme d'un éta
s cet état de mal, les malades de cette catégorie ont un répit, les
convulsions
soit isolées, soit subintrantes, ne réapparaiss
, affectant toujours, exclusivement, la moitié droite du corps. Les
convulsions
ont eu pour conséquence 202 RECUEIL DE FAITS.
ie occupait les membres du côté droit, qui avaient été le siège des
convulsions
. Elle était complète pour le membre supérieur,
l'hydrocé. phalie primitive : il insiste sur les paralysies et les
convulsions
épi- leptoïdes, telles que nous les connaissons
e. L'observation ne révèle aucune cause ordinaire, non plus que les
convulsions
ou la paralysie sou- daine qui sont ordinaireme
ble pour la mère, la tendance, à des inter- valles irréguliers, aux
convulsions
locales, aboutissant à l'âge de quatre ans à de
s, aux convulsions locales, aboutissant à l'âge de quatre ans à des
convulsions
épileptiformes bien nettes, sans para- lysie co
ive est, puisqu'il a toute sa force, coupable de ne pas arrêter ses
convulsions
; c'est confondre la conscience d'un acte avec
jusqu'à 18 ans; à cet âge elle eut une maladie de trois mois, avec
convulsions
, maladie qui paraît avoir été assez obscure d'a
XLV. UN cas d'intoxication alcoolique aiguë CHEZ UN JEUNE enfant :
CONVULSIONS
ET PARALYSIE D'ORIGINE CÉRÉBRALE ; NÉVRITE MULTIP
(Féré-Voisin-Régis), l'analogie qui existe entre beaucoup de cas de
convulsions
urémiques et l'épilepsie rapprochée des notions
appliqué au médian et au cubital du bras droit, produit surtout des
convulsions
téta- niques qui diffèrent des contractions nor
a infantile se termine souvent par des accidents céré- braux (coma,
convulsions
, rythme de Cheyne-Stokes). La dépres- sion de l
autres formes, on voit parfois les accès se présenter sous forme de
convulsions
tétaniques avec persistance de la conscience; l
l'ictère avec élévation de température. La mort survient après des
convulsions
coniques loca- lisées au côté gauche du corps,
système nerveux ne fait pas excep- tion : « le délire, le coma, les
convulsions
indiquent l'intoxica- tion des circonvolutions
la circulation cérébrale provoque la perte de con- naissance et des
convulsions
toniques et cloniques. Ce, premier 422 bibliogr
e la nutrition du cerveau, provoque la perte de connaissance et les
convulsions
toniques et ces dernières entraînent une stase ve
es et ces dernières entraînent une stase vei- neuse qui prolonge la
convulsion
sous la forme clonique. La pâleur de la face au
: 1° par marasme et thrombose marastique ; 2° par pneumonie; 3° par
convulsions
; 4° enfin par une maladie intercurrente, pneumo
u'il présente aujourd'hui. A l'âge de trois mois, il a eu de fortes
convulsions
qui se répétèrent pendant une durée d'une heure
taques régulières, et dans les attaques frustes constituées par des
convulsions
toniques et cloniques du type épileptoïde, la c
la tête diminua jusqu'à Om,605. Quelque temps après survinrent des
convulsions
générales et l'enfant succomba. Autopsie. - Hyd
cas des hémorragies sous-ménin- gées et il explique la variété des
convulsions
par le degré et non par la localisation de la l
ète, frappant plus particulièrement les jambes ; 2° la tendance aux
convulsions
toniques et cloniques ; 3° le mutisme ; 4° l'in
dité congénitale et la réti- nite pigmentaire, par Sambuc, 153.
Convulsions
d'origine cérébrale, par Versiloff, 483. Conv
HO mai 1881. La mère de la malade était hystérique avec violentes
convulsions
. Mariée deux fois, elle a mené une vie très irrég
e dans les livres. Elle s'accompagne de perte de connaissance et de
convulsions
épileptiformes, et ce n'est que dans ce dernier
éantis- sement qui ressemble au sommeil. Bientôt apparaissent des
convulsions
dans les yeux et dans les muscles de la face, pui
cou, d'où elles se propagent sur le tronc et les extré- mités. Ces
convulsions
sont d'une grande intensité et se suc- cèdent d
rrière, tantôt sur les côtés. Les bras et les jambes sont animés de
convulsions
toniques et cloniques. En outre, il y a un ress
piration deviennent très difficiles. « Souvent aussi on voit des
convulsions
dans les parois abdo- minales et dans les intes
ui ressemblent à des cris de souris ou de petits oiseaux. Quand les
convulsions
cessent , tout le corps parait légèrement tétan
rapport avec des visions. Puis le délire fait de nouveau place aux
convulsions
, à la toux, à la difficulté de la déglutition.
r se terminer par la mort. Cet état dure de une à trois heures. Des
convulsions
, du délire lui succèdent. Après quoi, la malade
u froide, qui lui fut jetée au visage, suspendit pour un moment les
convulsions
. A peine la malade était-elle mise sur son lit,
ique. Enfin l'influence de la compression ovarienne sur l'arrêt des
convulsions
, est des plus remarquables. Mais ce n'est pas t
la région ovarienne produit un double résultat opposé : l'arrêt des
convulsions
pendant l'état de crise et au contraire le déve
lsions pendant l'état de crise et au contraire le développement des
convulsions
en dehors de l'état de crise. C'est ce que le m
connaissance. Mais en levant aussitôt le pouce avant l'éclosion des
convulsions
, la malade revint rapidement à elle et jeta de
es deux heures qui sui- virent son admission, elle eut une série de
convulsions
; depuis elle a toujours eu de semblables attaqu
et la respiration sembla s'arrêter. Suivit une série de violentes
convulsions
. Son corps entier était projeté de bas en haut,
en opisthotonos. Tout son corps fut de nouveau tour- menté par les
convulsions
les plus violentes. Le calme se fit quelques in
e du crucifiement 1 décrite par les auteurs français. Bientôt les
convulsions
recommencèrent sans perdre de leur violence, le
de sauts dans les- quels le corps s'arquait pareillement. Quand les
convulsions
ces- sèrent, elle se mit sur son séant et regar
la région des ovaires ne parvenait pas générale- ment à arrêter les
convulsions
. On pouvait toulefoisy mettre fin par l'étbéris
ve faradisation des membres et du tronc. La période qui suivait les
convulsions
n'était pas toujours semblable à celle que j'ai
r d'un sommeil \ profond qui durait plusieurs heures. Pendant les
convulsions
elle semblait perdre entièrement la cons- cienc
l'immobilisation tétanique dans des attitudes variées on voyait les
convulsions
cloniques et la résolution. Tout ceci se rattac
t composée des phénomènes de la deuxième période de l'attaque type,
convulsions
étranges, contorsions violentes, arc de cercle
d'une maladie fébrile indo- lente, caractérisée par des attaques de
convulsions
cloniques, persistant pendant cinq jours et lai
n même temps que des étourdissements, des vertiges, et présenté des
convulsions
, était anosmique quelque temps après. L'autopsi
emarquer, comme une anomalie, l'absence de phénomènes d'irritation (
convulsions
ou tressaillements) des masses musculaires au d
e cou- rants aussi faibles que possible ; sous celle influence, les
convulsions
, les vomissements, les contractures diminuèrent
[·vI`rtlll n 1f''r 1 irm,l '·r ? ., irp· f. lrestlu'alussitôt, les,
convulsions
font place au délire, a la suite duquel la mala
s a'maintenir la malade et iiotis n avons rien ait pour enrayer les
convulsions
qui. se, sont arrêtées d elles-mêmes, n . ? , ,
une émotion, morale, un accès de céphalalgie angiospastique,yune
convulsion
hysténv-épileptiquo entraîne en, effet l'augmenta
oelle allongée, on observe des palpitations, anhélations, aphonies,
convulsions
diaphragmatiques ; le plus ou moins de vaisseau
note aussi des hallucinations de la vue et de l'ouïe, ainsi que des
convulsions
épileptiformes soit au début, soit au cours, so
érébrale ce que les vésanies épileptiques et hysté- riques sont aux
convulsions
et troubles sensitifs de ces affections. Un pre
té et l'intensité des processus, un délire aigu ou l'équivalent des
convulsions
urémiques, sous la -forme de lypémanie et manie
tel sujet, ou de leur alternance chez certains indi- vidus avec les
convulsions
urémiques, autant faudrait élucider d'abord l'e
cune trace de paralysie. Le 17 mai, les mêmes phénomènes, moins les
convulsions
et le coma, reparurent pendant une demi- heure.
il puisse être épileptique, il faudrait en donner de-, preuves. Les
convulsions
se rencontrent dans plusieurs états diffé- rent
de dépression mélanco- lique, avec angoisses et insomnie. Jamais de
convulsions
, ni de pa- ralysies. De mars en décembre 1878,
ler. La maladie avait débuté par des attaques épilepti- formes avec
convulsions
localisées au bras et à la jambe gauches ; ,; c
100 des idiots et imbéciles et 7,7 p. 100 des filles avaient eu des
convulsions
infantiles, mais celles-ci n'avaient point, en
est mauvaise, où on trouve beaucoup d'en- fants rachitiques, où les
convulsions
infantiles sont fréquentes, et Ja mortalité des
dans l'hérédité. Comme antécédents personnels, il y a à noter : des
convulsions
dans l'enfance; des excès alcooliques fréquents
eu deux fières : l'un plus âgé que lui est mort à six mois dans des
convulsions
, l'autre plus jeune est bien constitué, on ne l
ge de dix-huit mois. A cette époque, il a eu une maladie grave, des
convulsions
qui ont laissé après elles une paralysie incomp
té. En 1896, Chen.. a souffert d'une « fluxion de poitrine ». Des
convulsions
se sont produites à cette occasion et la convales
rieur gauche jusqu'à la maladie convulsive indiquée par Chen... Ces
convulsions
rai- dissaient tous le corps de l'enfant, surto
- rites. hydrocéphalies aiguës, apoplexie, épilepsie, hémicranif,
convulsions
, maladies de la moelle, mélancolie, manie, démenc
e de soixante-six cas, il tire les conclu- sions suivantes : 1° Les
convulsions
infantiles du premier âge sont 160 SOCIÉTÉS SAV
oxication pour éviter cette réaction épi- leptique. L'absence des
convulsions
infantiles dans le passé des hystéri- ques, mêm
sont en partie légitimes : 75 à 80 p. 100 des épileptiques ont des
convulsions
pendant leur première enfance. Mais M. Dufour c
à de nature épileptique. M. Marie ne partage pas cette opinion. Ces
convulsions
résultent d'une infection ou d'une intoxication
e le cas suivant : un enfant ayant subi une infection grave eut des
convulsions
, puis mourut. On trouva, à l'autopsie, des lési
fusion, paralysies, la terminaison fatale dans le coma avec ou sans
convulsions
. - Cette symptomato- logie correspondrait à une
nt de la peau et un pouls faible. Il peut apparaître aussi quelques
convulsions
. Parfois le malade ne tombe pas, la douleur de
ERVEUSE. Le 4, la tête et les yeux tournent brusquement à droite;
convulsions
; mort à 8 heures du matin. A l'autopsie, méning
ture 40°,8 il à gauche, 40°,0 à droite. Elle meurt à 7 heures, sans
convulsions
. Autopsie. Bras droit contracturé, fléchi dans
auche flasque, de la déviation de la tête et des yeux à gauche, des
convulsions
à droite, des pupilles ponc- tiformes et un éta
n IV de Broadbent, et surtout dans l'observa- tion V de Gull où ces
convulsions
persistèrent pendant plusieurs heures. - Lors
gauche, se déplaça brusquement du côté droit peu de temps avant les
convulsions
terminales. Les pupilles sont ordinairement éga
réveil ; enfin le malade tombe dans le coma et meurt, avec ou sans
convulsions
, La mort est, en effet, la terminaison dans tou
x formes différentes : la dépressive (stupeur intense) et l'agitée (
convulsions
, puis coma). Les troubles lointains de l'impalu
urs et la région du cubitus. Les os sont aussi un peu épaissis. Une
convulsion
tonique permanente tend les interosseux, les lo
minuer dans l'organisme le pouvoir de destruction du sucre ; 2° Les
convulsions
épilep- tiques, si intimes et répétées qu'elles
lendemain, para- lysie brusque des jambes et de la langue; ensuite,
convulsions
avec perte de connaissance durant deux à trois
se répétant à intervalles éloignés. Depuis peu de temps accès de
convulsions
partielles au bras droit, à la face et à la langu
ucune spécificité. Accouche- ments prématurés ou laborieux, simples
convulsions
, intoxications héréditaires (syphilis ou alcool
rien de particulier. Aucun détail sur révolution physique. Pas de
convulsions
. - Intelligence normale. Début des attaques en
t un sujet à cases vides. » 2° Garçon, mort d'une bronchite, pas de
convulsions
. - 3° Notre malade. 4° Garçon, huit ans, intell
, par la tête ( ? ). A la naissance, rien de particulier. Jamais de
convulsions
. - Aucun détail sur l'évolution physique et int
le succès du traitement consiste dans le ménagement rationnel de la
convulsion
, tandis que c'est une faute de recher- cher uni
e blanche que dans ceux où la substance grise était intéressée. Ces
convulsions
épilepti- formes se sont surtout montrées fréqu
eut une enfance délicate, se développa tardivement et présenta des
convulsions
à plusieurs reprises. Il contracta la syphilis
à la période clonique de l'attaque, un peu après la cessation des
convulsions
des muscles striés; 1» celles de l'intestin grêle
essie par la compression abdominale ; 100 II y a analogie entre les
convulsions
épileptiques des muscles striés et les contract
nerveux ait perdu sa résis- tance, comme chez le buveur, et que les
convulsions
musculaires se succèdent dans le bras. Il faut,
'engourdit peu à peu, le soir à 6 heures et demie elle est prise de
convulsions
de la moitié gauche du corps comprenant le bras
ite; conservation cependant de la réaction à la lumière. A 8 heures
convulsions
dans le bras et la face du côté droit, coeur ex
erthermie. Toute la nuit, sauf intervalles, la malade est agitée de
convulsions
; elle ne reprend pas connais- sance. Le lendem
e d'épilepsie corticale; brusque rotation de la tête à gauche, avec
convulsions
cloniques violentes des extré- mités et de la f
frontale ? ' ? Près des ascendantes' ? Non pas, car il n'y a pas de
convulsion
, car l'hémiplégie droite varie en étendue et en
otalement. A ce sujet, il est intéressant de noter : l'existence de
convulsions
fibrillaires et fasciculaires dans les deux moiti
yeux. Aucun autre sens n'est atteint. Il n'existe ni paralysie ni
convulsions
localisées. Le néoplasme occupe donc la base et l
ur cérébrale peuvent produire : céphalalgies, vomissements, délire,
convulsions
, épilepsie jacksonienne, hémiplégie, hémianopsi
lus que son cadet. Antécédents personnels . - Cet enfant a eu des
convulsions
dès sa plus ten- dre enfance. Au cours d'une cr
é- but par rougeur subite et cris ; puis, fixité du regard ; enfin,
convulsions
plus ou moins prolongées, suivies d'hypnose pos
eur parésie primitive. Tout cela s'est fait progressivement, et les
convulsions
ont cessé au sur et à me- sure que s'établissai
uent surtout des phénomènes passagers et inter- mittents, comme les
convulsions
épileptiformes et les contractures. Ce sont là
l'hystérie qui les pourrait simuler. -1. Lésions irritatives a).
Convulsions
Il ne saurait être question ici des convulsions
s irritatives a). Convulsions Il ne saurait être question ici des
convulsions
de l'épilepsie vraie, mais seulement des convul
estion ici des convulsions de l'épilepsie vraie, mais seulement des
convulsions
épileptiformes (épilepsie partielle, jacksonienne
u à un seul groupe musculaire (monospas- me). La généralisation des
convulsions
peut se produire avec une lésion très limitée d
es moteurs soient directement intéressés. On peut même dire que les
convulsions
épileptiformes, généralisées ou partielles, ind
ace était marquée dans le cours de ce chapitre. Parlons d'abord des
convulsions
généralisées. Elles peuvent exister dans l'hyst
'est dans ce cas surtout qu'on peut douter si on est en présence de
convulsions
épileptiformes ou simplement de convul- sions d
ficultés sont autrement sérieuses quand on se trouve en présence de
convulsions
par- tielles. (1) Charcot. Leçons du mardi, 1
'affection grave. M. IIu- chard (3) en 1882 avait décrit « quelques
convulsions
partielles hystéri- ques ». Mais c'est à M. G
rie peut s'approprier le masque de l'épilepsie partielle et que ces
convulsions
partielles épileptiformes constituent souvent t
parents, pas de renseignements. Antécédents personnels . A 4 mois,
convulsions
qui ont laissé une mono- plégie brachiale droit
ébut se fait par le bras droit. Ce n'est que depuis un mois que les
convulsions
, d'abord localisées au bras droit, se sont étendu
ord l'hémiplégie avec contracture survenue à l'âge de 18 mois ? Les
convulsions
initiales provoquées par l'administra- tion d'u
s, transitoires et variables. Elles s'accompa- gnent fréquemment de
convulsions
dans le membre ». - Autres analo- gies. Il y a
toujours joui d'une santé robuste et n'a jamais eu d'attaques ni de
convulsions
. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES EN
nts, des parents ou des collatéraux. Antécédents personnels. Pas de
convulsions
dans la première enfance, mais tempérament nerv
naissance et pouvait se relever seule au bout de 1 il 2 minutes, de
convulsions
; elle ne se mordait pas la langue, mais après ch
es auxquelles nous n'avons pas assisté. A cet âge de l'enfance, les
convulsions
sont suspectes et peut-être faut-il con- fier a
en joignent souvent d'au- tres, tels que la fièvre, l'adynamie, les
convulsions
, le délire, etc., etc. Toute la question pour n
condaires de la mé- ningite aiguë : délire, adynamie ou somnolence,
convulsions
, etc. Leur sim- ple énumération indique déjà qu
n retour en France, l'un est mort du croup, deux ont succombé à des
convulsions
, un autre à des brûlures étendues. Le seul en-
est né il terme et facilement. Il a marché à 18 mois, n'a pas eu de
convulsions
. Variole et rougeole. Premier accès d'épilepsie
lade. Antécédents personnels. - Le malade est fils unique. Pas de
convulsions
dans l'enfance, élevé au sein par sa mère. Roug
ant quelques secondes. Cyanose pendant Ja durée de l'ictus ; pas de
convulsions
. A la suite, vomissements et violente congestio
lade a toujours été chétive, mais d'une santé satisfaisante. Pas de
convulsions
dans l'enfance, jamais de crises de nerfs. Régl
réflexes cutanés. Au passage du moindre courant, il se produit des
convulsions
toniques dans tous les muscles du membre. Il en
en avant, deux démoniaques, un homme et une femme sont en proie aux
convulsions
. Ces deux figures offrent de nom- breux points
es devanciers dans ces paroxysmes à formes si changeantes, dans les
convulsions
de ce Protée comme on ap- pelait alors l'hystér
iques, analogues il celles, que nous observons pour l'évolution des
convulsions
dans l'épilepsie Jacksonienne. Quel est le sort
fier l'affection, toutefois elle affirme que l'enfant n'a pas eu de
convulsions
. Il a été considéré comme très intelligent jusq
idienne. Avant l'ouverture de ces abcès, la ma- lade a été prise de
convulsion
^; les abcès ouverts, les convulsions ont dispar
cès, la ma- lade a été prise de convulsion^; les abcès ouverts, les
convulsions
ont disparu, mais lesjpaupièrees sont tombées e
PATHOLOGIE NERVEUSE. 47 tuel normal, est atteint depuis deux ans de
convulsions
épileptiques généralisées d'emblée. Les convuls
uis deux ans de convulsions épileptiques généralisées d'emblée. Les
convulsions
sont précédées d'un aura de la sensibilité musc
se d'accident. Cinqaus plus tard, contractions de divers muscles et
convulsions
fibrillaires, symptômes listé- ruides ; clou hy
e le paramyoclonus multiple, avec tous les signes de Frie- dreich :
convulsions
cloniques d'une catégorie de muscles des deux c
d'un extrémité se réfféchissent sur l'autre sous la forme de vives
convulsions
musculaires. P. IER : 1V1L. REVUE DE THÉRAPEUTI
pnolismus, t. V, fasc. 5.) XVI. EMPLOI DE la douche FROIDE dans LES
convulsions
alcooliques; i par Alex. Robertson. (Edin6urg M
'agit d'un homme de quarante-cinq ans, alcoolique invétéré, pris de
convulsions
dans les rues de Glasgow après des excès de boi
es de Glasgow après des excès de boissons et amené à l'hôpital. Les
convulsions
sont intenses, et plus marquées dans les membre
la face avaient disparu et le visage était moins cyanosé. Mais les
convulsions
per- sistaient aussi fortes dans les membres du
bsinthe. Mais il n'est pas très rare d'observer des buveurs pris de
convulsions
nou- épileptiformes, qui guérissent pour repara
té la saignée. Mais la saignée du bras était impossible à cause des
convulsions
. Comment a agi l'eau froide ? Probablement en s
e affecter davantage une portion de ce système. La prédominance des
convulsions
d'un côlé du corps indique, en effet, qu'un hém
ressentit autour de cet oeil une vibration scintillante, espèce de
convulsion
qui se répandit à toute la moitié gauche de la
e, une ondula- tion légère de quelques trousseaux musculaires ; les
convulsions
affectent parfois la forme tonique, surtout à l
s, mais elle est devenue continue. Les commémoratifs révèlent des
convulsions
, des soucis, des excès alcooliques. En 1878, ictu
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 119 des extrémités droites, puis des
convulsions
spontanées, isolées enfin une alhélose nette de
ge et symptômes aspllyxi- ques. L'hystéiique présente seulement des
convulsions
toniques et ne fléchit jamais les pouces sous l
ouces sous les index. - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 121 1 Les
convulsions
cloniques consécutives sont saccadées et vio- l
luenza. Au cinquième jour d'une attaque d'influenza, délire, sopor,
convulsions
toniques répétées et prolongées, raideur de la
x accès), ce qui semblerait indiquer que cette anurie est due à une
convulsion
tonique des tuniques musculaires des vaisseaux
ce fait remarquable que les membres inférieurs tendent à entrer en
convulsions
lorsque les neurones qui commandent à leurs mou
centrifuges sont altérés ou si les muscles ne sont plus normaux, la
convulsion
fait défaut, en, vertu d'un mécanisme sur leque
ent et se développent suivant un ordre régulier ; l'enfant a eu des
convulsions
peudautl'allaitemenf, les commémoratifs mention-
mbre, 30 attaques. Toutes sont violentes, avec écume à la bouche et
convulsions
. Parfois dans l'intervalle surgissent des idées
rition de l'hystérie, de l'épi- lepsie, d'une hémiplégie droite, de
convulsions
localisées, de névralgies intercostales, iléo-l
tre, après une attaque épileptiforme, dans le côté où ont siégé les
convulsions
; elle peut aussi survenir localement 382 PAT
ion complète. Il s'agit d'une femme de trente-six ans, ayant eu des
convulsions
dans l'enfance, suivies d'hémiplégie transitoire
s accélé- rée par comparaison avec l'état normal. Par l'effet de la
convulsion
épileptique, il y a un retard très notable des
ratiquer la respiration artificielle. Vers sept heures du soir, des
convulsions
tétaniformes se manifestent et constituent bien
u bout de neuf heures la scène change et ce sont alors de violentes
convulsions
comme dans le tétanos. A cette phase convulsive
e au cours de cet état ? 1 Elle est due en partie à l'intensité des
convulsions
. Un certain degré d'inhibition paralytique bulb
rapportent les cas dans lesquels la fureur épileptique s'ajoute aux
convulsions
; à la seconde ceux dans lesquels la fureur épil
pas encore assez avancée. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. VI. Des
convulsions
COl\TICILES prolongées dans la PWi.ILY511's gén
épileptiformes des parai} tiques généraux se compliquent parfois de
convulsions
corticales prolongées incitant continuellement di
olongées incitant continuellement divers groupes de muscles. 2° Ces
convulsions
d'ordinaire s'associent aux attaques apoplectif
syphilitique secon- daire mort après plusieurs jours de délire avec
convulsions
, les cellules montrent une disparition complète
par liourneville, 527. i. ALCOOl JOUES. Douche froide dans les
convulsions
-, pai, Itobertsori, 62. Alcoolisme et ses cons
crise avec sensation de boule, étouffements, perte de connaissance,
convulsions
; au réveil, légère contraction du côté droit, d
alade à la gorge, l'empêchant de respi- rer, et détermine enfin des
convulsions
avec perte de connaissance, tantôt elle s'irrad
otre malade; le troisième est mort à vingt et un mois à la suite de
convulsions
; le quatrième, quinze ans, bien portant ; le ci
est morte à cinq mois d'une méningite (trois semaines malade, cris,
convulsions
); le huitième, sept ans, bien por- tant, si ce
la langue, la face est complètement tournée de côté, comme dans une
convulsion
. C'est ici le lieu de rappeler le masque de Kla
l a un caractère doux, facile à vivre. A aucune époque il n'a eu de
convulsions
ni d'attaques de nerfs. État actuel (août 1887)
mourut subitement au bout de quelques jours, sans avoir présenté ni
convulsions
ni coma; sa température était toujours restée n
ce de toute espèce de symptômes de foyer, paralysies, contractures,
convulsions
. D'après Cossy, les phénomènes convulsifs font
éveloppe lentement, etc.,111. Jaccoud soutient au contraire que les
convulsions
manquent lorsque l'épanchement est d'emblée trè
soeurs plus jeunes que lui. Le frère a quinze ans, il n'a pas eu de
convulsions
dans l'enfance et se porte assez bien, mais il
re ans, ne présente rien d'anormal. St... a eu plusieurs fois des
convulsions
dans le cours de sa pre- mière année. Dans sa p
é opposé à l'atrophie faciale et à la localisation prédominante des
convulsions
. S'il y a un rapport entre le développement du
se coucher. Parfois ces phénomènes prémonitoires fout défaut et les
convulsions
se montrent d'emblée. Les membres supérieurs et
prennent toute la durée de l'accès rendent compte du.trouble que la
convulsion
musculaire jette dans l'étude des changements d
portent bien. Un frère de son père a eu, à l'âge de sept ans, des
convulsions
à la suite desquelles il a gardé un écartement
es enfon- cements dans sa surface, et ces mouvements et ces petites
convulsions
se succèdent, se mêlent et se répètent d'une fa
venait à frapper ses oreilles, de pâlir et d'être pris de sortes de
convulsions
qui le laissaientsouffrant pendant plusieurs jour
morts en basane : un seul était né avant terme, ils n'ont pas eu de
convulsions
; puis vint notre malade; ensuite deux filles qu
n; et enfin ,un garçon enfant du siège, qui a eu une seule crise de
convulsions
pendant l'allaitement et se porte bien depuis.
Il a commencé à avoir des con- vulsions à l'âge de quatre mois; ces
convulsions
étaient fréquentes et vio- lentes, il criait, s
Les autres sont morts en bas âge; l'un d'eux aurait succombé à des
convulsions
. Pas de maladies ner- veuses dans la famille.
ses dans la famille. L... lui-même, dans son enfance, aurait eu des
convulsions
; du moins on le lui a raconté. Depuis, sa santé
ravé sur tout son corps d'une façon indéniable. Il se tord dans des
convulsions
indiquant d'affreuses douleurs; la face est ron
né des pâlies d'oiseau palmées, enfin il le fait se tordre dans les
convulsions
et lui fait déchirer le voile qui recouvre un l
moelle. Alors on voit les membres paralysés se soulever et entrer en
convulsion
aux moindres attouchements ou encore quand le mal
s fois déjà appelé votre attention dans le cours de ces leçons 2. Les
convulsions
toniques ou cloniques sont, dans ce dernier cas,
visage. C'est dans ces mêmes conditions que se montrent par-fois les
convulsions
épileptiformes. L'ensemble symptomatique reste
e plus souvent par une fièvre intense, avec ou sans accompagnement de
convulsions
, ou d'autres symptômes cérébraux et quelquefois d
le dans ses antécédents aucune maladie digne d'être re-levée ; pas de
convulsions
. Il n'a éprouvé ni émotions morales vives, ni ref
fants 2. — Gr... âgée de 29 ans, a éprouvé à l'âge de huit mois des
convulsions
qualifiées d'épileptiformes et suivies d'une hémi
même temps que le côté droit de la face était grimaçant ; puis les
convulsions
s'étendirent au corps tout entier, prédomi-nant c
convulsive attacks,it generally pre-cedes the out break in syphilitic
convulsion
, and is often localised in one parti-cular spot.
t pris de rigidité et en même temps secoué, en quelque sorte, par des
convulsions
rhytmiques précipitées et violentes. Presque auss
ais, l'a été plus explicitement encore par M. H. Jackson (.1 studg on
convulsion
. In Tvans. of the St Andrews médical graduâtes As
à coup d'un accès d'épilepsie avec perte immédiate de la con-science,
convulsions
généralisées, d'emblée, écume à la bou-che, urine
es crises dans lesquelles la connaissance persis-tait. Le début des
convulsions
est constamment annoncé par une exaspération de l
i pu vérifier l'exactitude de ses assertions à cet égard— lorsque les
convulsions
, dans l'épi-lepsie partielle débutant par le memb
ez lui, sur les parties du côté gauche. Cette disposition alterne des
convulsions
et de la douleur de tête, ainsi que la localisati
pas vous attendre toutefois à rencontrer toujours une répartition des
convulsions
et de la céphalalgie aussi exactement conforme à
s notre première ob-servation, la douleur de tête prémonitoire et les
convulsions
1 Voir enlre autres les observations du Dr Todd
ariétale occupait toujours, dans ces cas, le côté opposé au siège des
convulsions
. (J.-M. G.) 2 Les bons effets des préparations
embre, survenant tout à coup, sans être précédée de contracture ou de
convulsions
toniques et se reprodui-sant à plusieurs reprises
hébété. D'ailleurs rien qui ressemblât à de l'aphasie; pas traces de
convulsions
sur aucun point au début de la crise. Le malade n
ent qu'à aucun moment il ne s'était produit rien qui ressemblât à des
convulsions
. 11 n'exis- Les lésions de la pachyméningite go
rtielle, dans les parties même, qui(Trît été le siège principal des
convulsions
. Si ce n'est pas là, à proprement parler, une thé
que temps étourdi. L'accès se borne à ces seuls phénomènes, jamais de
convulsions
, de cris, etc. » Ce malade a été successivement
se relever presque aussitôt, sans avoir présenté la moindre trace de
convulsions
. Le malade qui, au sortir de cette crise, assurai
ombé très rapidement, en pleine connais-sance, sans avoir présenté de
convulsions
, pendant le cours d'un accès d'asthme, le 12 janv
tose. Observation 1. — Gr..., âgée actuellement de 32 ans, a eu des
convulsions
à 8 mois qui ont été suivies d'une paralysie du c
tion III. — P..., âgée aujourd'hui de 19 ans, a été prise à 5 ans, de
convulsions
qui ont duré quatre heures et ont été suivies d'u
té gauche. La para-lysie aurait disparu deux mois plus tard. A 6 ans,
convulsions
pendant cinq heures : paralysie incomplète des me
: paralysie incomplète des membres du côté gauche. — A 7 ans et demi,
convulsions
durant six heures, para-lysie complète. Dès que P
elle, a eu la rougeole, la variole et un abcès de l'oreille. Pas de
convulsions
ni de cauchemars, ni d'incontinence nocturne d'
iques de la période d'état. Les symp- tômes défavorables sont : les
convulsions
et le trismus qui indiquent toujours l'intensit
Pour le prouver, il a observé que certaines substances donnent des
convulsions
épileptiques en agissant, les unes sur l'écorce
is, après leur avoir enlevé un lobe cérébral, il n'a plus obtenu de
convulsions
épileptiques que dans la moitié du corps corres
e les deux lobes cérébraux, on ne peut plus détermi- ner du tout de
convulsions
. Avec la picrotoxine, au contraire, l'auteur a
de l'accès d'épilepsie; on l'observe souvent lorsqu'on provoque des
convulsions
épileptiformes chez les animaux; souvent aussi
chez les animaux; souvent aussi chez les hystériques à la suite des
convulsions
. Il a de plus observé une hystérique qui, at- t
effet, on peut observer dès le dé- but : 1° la mort rapide; 2° les
convulsions
; 3° la paralysie sans perte de connaissance ;
28 REVUE DE pathologie nerveuse. 2° Troubles moteurs. Contractures,
convulsions
, paralysies, chacun de ces symptômes est étudié
charges motrices commençant aux actes et aboutissant au délire, aux
convulsions
, suivant la résistance apportée inlus et extra
le et des mouvements volontaires. Une attaque apoplec- tiforme avec
convulsions
de l'épaule et du bras gauche, (janvier 1881) s
appée à ce moment d'apoplexie cérébrale : hémiplégie droite totale,
convulsions
éIlCtll'01'InCS, aphasie, sur- dité droite, déc
s l'innervation du facial également à gauche. On notait en juin des
convulsions
cloniques dans les deux extrémités gauches avec
ale. Il est facile d'expliquer en un cas de démence paralytique les
convulsions
qui se montrent à la fin de la vie. La méningit
symétrie et leur marche ascendante vers la racine des membres. Les
convulsions
généralisées sont un symptôme de l'absinthisme
la joindre à notre étude. Observation III. Hérédité névropalhique.
Convulsions
dans l'enfance ; à six ans obsession pour la re
nerveuse et mentale. * Dans sa première enfance, M. X... a eu des
convulsions
très violentes auxquelles il a failli succomber
organes de la locomotion, on- doit encore ranger les crampes et les
convulsions
. ' Cité par Marchai (le Cal·i), loc. cil., p. 2
brale et peut être l'avant-courcur de phénomènes plus graves. Les
convulsions
peuvent se montrer isolément ou associées au co
'origine corticale de la lésion, d'autant mieux que quelquefois les
convulsions
présentent très nettement les caractères de l'é
trémités se refroidissent et enfin la mort arrive dans le coma sans
convulsions
. Quelquefois, au bout d'une heure ou deux2 ou m
itable, et de nombreuses causes périphériques peuvent provoquer des
convulsions
qui n'ont rien à faire avec l'épilep- sie ; mai
, l'irritabilité décroît, et on a beaucoup exagéré la fréquence des
convulsions
réflexes. Chez les enfants au-dessous de trois
âne, des maladies organiques du cerveau, de la microcéphalie, les
convulsions
sont presque toujours d'origine réflexe; surtout
sujets de trois à quinze ans, en dehors des affections rénales, les
convulsions
sont presque toujours épileptiques, il est exce
ents et les adultes, en dehors de la syphilis et des néphrites, les
convulsions
, surtout si elles constituent une attaque isolé
devint complètement paraplégique. Ni douleurs dans les membres, ni
convulsions
. C'était au moment de son entrée un garçon parf
n, l'anxiété, le marmottement; un pouls petit, dépres- sible et des
convulsions
fibrillaires à la langue, accompagnées d'état s
lit pour éviter une chute. Jamais il ne s'est produit à ce moment de
convulsions
. Après ces vertiges prend naissance un violent ma
eulement par une aura suivie d'une courte perte de connaissance, sans
convulsions
d'aucune sorte. Arrivons maintenant à l'étude d
vaient transporté des passants. Ceux-ci lui dirent qu'il avait eu des
convulsions
et qu'on avait eu grancl'peine à le maintenir. A
escription plus haut, d'après le malade lui-même. Elles consistent en
convulsions
désordonnées, grands mouvements, cris, etc., et s
dans lesquelles l'aura aboutit seulement à une crise de larmes, sans
convulsions
ni perte de connaissance. Pas de morsure de la
les autres membres de la famille. Antécédents personnels. — Pas de
convulsions
dans l'enfance. Plusieurs fluxions de poitrine (?
e-même. Son père, le grand-père de notre malade, avait été atteint de
convulsions
. De plus, un des frères de ce dernier, grand-oncl
nce il faut attacher à une pareille hérédité. Notre malade a eu des
convulsions
dans l'enfance, et les fièvres intermittentes ver
ce qui concerne la maladie actuelle. Rougeole dans l'enfance; pas de
convulsions
; pas de coqueluche. Il a fait son service militai
toujours été bien portante. Pas de coqueluche, pas de chorée, pas de
convulsions
. Pas de maladies infectieuses, sauf la rougeole.
e sixième et dernier enfant ; trois enfants sont morts du croup ou de
convulsions
. Il est marbrier et travaille moitié debout, mo
t sur l'hypocondre gauche dont la pression détermine la production de
convulsions
en arc de cercle, comme on le voit chez les hysté
ée, jeune fille de dix-neuf ans, est chétive, délicate, elle a eu des
convulsions
dans son enfance, et reste aujourd'hui très émoti
ngulation au cou et alors elle pâlissait et se « trouvait mal », sans
convulsions
d'aucune sorle. On la mettait immédiatement sur s
galement négatifs sous le rapport des accidents nerveux. Il n'a eu ni
convulsions
, ni évanouissements, ni vertiges, ni chorée ; il
ins, sa mère est hystérique. Lui-même, à l'âge de trois ans, a eu des
convulsions
; jusqu'à treize ans, il urina au lit; enfin, pen
, il fut pris d'une attaque avec perte de connaissance. A-t-il eu des
convulsions
? Nous ne pouvons le dire ; tout ce qu'il a pu nou
a été soumise, dès sa rentrée, au traitement antisyphilitique. Les
convulsions
que présente cette malade sont celles de l'épil
u'elle existe, car, si cela était, si la syphilis était enjeu, si les
convulsions
épileptiformes qu'elle produit se présentaient cl
un trouble permanent du mouvement dans les membres mis en jeu par les
convulsions
épileptiformes. Il y a peut-être bien une légère
s rappeler plusieurs exemples dans lesquels, après la cessation des
convulsions
facilement obtenue, il resta un état de déchéance
emière d'ailleurs, de monoplégie brachiale, et dans l'une d'elles les
convulsions
ont envahi le membre inférieur. Dans ce laps de t
dents personnels ne dénote rien de particulier dans l'enfance. Pas do
convulsions
; pas de coqueluche. Rougeole en 1871. Elle n'a fa
bourdonnements dans les oreilles, puis elle perd connaissance. Des
convulsions
cloniques assez étendues apparaissent alors, puis
d'hui. Pendant cette première attaque, il y eut une courte période de
convulsions
avec perte de connaissance, puis les bâillements
t souffre la malade et de savoir si elles sont ou non accompagnées de
convulsions
ou de bâillements. On apprend cependant qu'elles
istent aussi des phénomènes, des troubles moteurs avec caractère de
convulsions
. » Au nombre des phénomènes caractéristiques de
mps la tumeur augmente sensiblement de volume et de tension. Pas de
convulsions
même quand on comprime la tumeur. Au bout de vi
E ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 103 Il s'agit plus probablement de
convulsions
liées à quel- ques-unes de ces altérations si m
à la thyroïdectomie. Peu après l'opération peuvent apparaître des
convulsions
toniques, constituant le syndrôme de la tétanie
s de sang favorisent la pro- duction des mouvements réflexes et des
convulsions
». A-t-on, du reste, cité un seul cas d'épileps
psie et non causes de celle-ci; importance de cette constatation. -
Convulsions
du bas âge et épilepsie. - Intoxi- cations seco
phali- ques que l'on considérait jusqu'à ce jour comme causes des
convulsions
infantiles, de l'épilepsie infantile. ' La glan
s ou bien manifestes, confusion mentale, irritabilité, vertige ou
convulsions
, ou par l'association de tous ces troubles. On
observe habituellement chez des individus qui présentent, outre les
convulsions
, une altération plus ou moins profonde des facu
coup, près des deux tiers d'après Echeverria, meurent en bas âge de
convulsions
, l'autre tiers restant comme épilep- tiques. Ma
ions, l'autre tiers restant comme épilep- tiques. Mais pourquoi ces
convulsions
qui emportent dès l'âge le plus tendre les deux
tion que je donne de la pathogénie de l'idiotie avec épilepsie. Les
convulsions
de l'enfance sont générale- ment convulsions ép
avec épilepsie. Les convulsions de l'enfance sont générale- ment
convulsions
épileptiques ; c'est l'épilepsie qui tue les en
s qui succombent en bas âge par suite de convul- sions, ce sont les
convulsions
(l'épilepsie) ou plutôt les excitences qui les
z beaucoup des enfants idiots, imbéciles ou arriérés qui ont eu des
convulsions
peu après la naissance et qui sont restés ensui
ie. L'erreur vient évidemment de ce que l'on omet de rapprocher ces
convulsions
tardives de celles de . la première enfance qui
hylaxie à instituer contre l'éclosion de l'épilepsie infantile, des
convulsions
de la première enfance. Cette première classe
troubles gastro-intestinaux qui trahissent, en même temps que les
convulsions
, la présence de corps étrangers, de lombrics, e
lombrics, etc... ? troubles gastro-intestinaux qui précèdent les
convulsions
. 1 1 EPILEPSIES DITES partielles. - Il nous res
ie ? ' De ce qui se produit dans certaines épilepsies partielles,
convulsions
localisées à la suite d'une irritation très limit
ant une sorte d'aura, parfois d'assez longue durée, par rapport aux
convulsions
, donnent évidemment le premier rôle à l'impress
is, pendant la marche, le chien tombe soudainement à terre dans une
convulsion
épilep- tiforme, les jambe rigides, la tête dan
térialisé par agitation à l'air.) Puis l'épuisement sur- vient, les
convulsions
deviennent moins violentes et la respiration mo
rimental : le tremblement de la première est représenté par les-
convulsions
du second; l'exophtalmie de l'une n'est approchée
ement, faiblesse, maux de tête, vomissements, vertiges, dysarthrie,
convulsions
, paralysie de l'oculomoteur commun, neurorétini
médicale, 25 octobre 1902). 1 Il est reconnu aujourd'hui que les
convulsions
éclamptiques sont l'expression d'une imprégnati
bi l'extirpation partielle de la glande thyroïde, chez laquelle des
convulsions
écla- tèrent sept jours après l'opération, au p
es troubles aigus (troubles convul- sirs), que les accidents aigus (
convulsions
) sont dus à l'ablation des parathyroïdes, mais
pinément la nouvelle de la mort de son père le voilà en proie à des
convulsions
épileptiformes généralisées, qui rapidement se
, il était malpropre, destructeur bruyant, et avait fréquemment des
convulsions
épileptiformes, unilatérales, mais ; non toujou
ux qui consistent en perte de connaissance immé- diate, paralysies,
convulsions
et tremblements, troubles de la sen- sibilité e
d'une tumeur céré- brale. D'abord, il n'y avait ni céphalalgie, ni
convulsions
, et la névrite optique, dont l'autopsie a démon
lules nerveuses efférentes ou tout simplement comme déterminant des
convulsions
par l'intermédiaire des systèmes sous-corticaux
plique la double supposition : 1° que les décharges qui causent les
convulsions
ont leur point de départ dans les centres corti
rande liberté d'action, aboutissant à des mouvements, ou même à des
convulsions
; mais REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
dra pas trop s'étonner si on ne trouve rien. Dans les cas, où aux
convulsions
jacksoniennes simples, on voit se joindre une p
ngue.'Bientôt après cela subitement, sans aura, survint un accès de
convulsions
générales avec perte de conscience; l'accès déb
o- coccus dans les veines des lapins, BnA provoquait chez eux des
convulsions
cloniques et toniques et parfois différentes paré
on de réfuter apriori la possibilité de l'ori- gine infectieuse des
convulsions
épileptiques. N'étant pas bactério- logue, M. M
ls ont pu la précéder de plusieurs années. Ainsi, nous trouvons des
convulsions
toniques en opistothonos au cours d'attaques co
grossesse sont fréquents. Un grand nombre de faits d'idiotie, de
convulsions
, de paralysies, de chorée semblent concorder avec
t on ne doit pas hésiter devant la trépanation quand le début des
convulsions
est nettement déterminé. Travail utile à consulte
t, ou d'autres fois se contractent ..en produisant des spasmes, des
convulsions
, ou au contraire sont paralysés. Même étude pou
t été suivis d'une perte de con- naissance subite, complète et sans
convulsions
. Deux heures après, le malade revenu à lui se s
iques. Grand-père maternel paralytique et alcoolique. Frère mort de
convulsions
. Accoit- cément laborieux ; circulaires du cord
6° et 7° deux filles, huit ans et neuf ans, bien portantes, pas de
convulsions
, intelligentes; 8° garçon, seize mois, bien por
té soigné pour des accidents cérébraux qui ont duré deux mois, sans
convulsions
, ni paralysie. Première dent à huit mois. Il a
ne dif- férait pas beaucoup des autres enfants. A cette époque,
convulsions
sans prodromes qui n'ont t duré qu'un quart d
Ce malade a eu des accidents cérébraux dès l'âge de six mois sans
convulsions
, ni paralysie ; mais à deux ans il eût des conv
ix mois sans convulsions, ni paralysie ; mais à deux ans il eût des
convulsions
qui n'ont porté que sur le côté gauche dont on
ique incomplè- tement la marche. Ces symptômes : prédominance des
convulsions
et paralysie du côté gauche sont en rap- port a
tout les centres moteurs des membres. C'est aussi à la suite de ces
convulsions
que l'intelli- gence a diminué et que survint d
aumilieu de décembre,bouil- lonnements congestifs, tremblements et
convulsions
des membres, angoisse, brûlure épigastrique, na
t et chez l'homme taré au point de vue céré- bral. Les épidémies de
convulsions
, dont l'histoire est aujourd'hui trop connue po
ui donnera une juste idée de ce qu'ont dû être les épi- démies de
convulsions
. Observation 1. Délire communiqué. Mère débil
outons, pour compléter son histoire pathologique, que J... a eu des
convulsions
dans l'enfance et qu'elle est épileptique. La m
une perte de connaissance complète, qui a duré huit heures; pas de
convulsions
. Le malade revenu à lui, se plaignait d'une dys
ymptôme, que la perte de connaissance n'a jamais été accompagnée de
convulsions
. b). Vertiges. Ce symptôme, qui a figuré à l'On
trié. On sait que la galvanisation de la protubérance produit des
convulsions
épileptiformes et que la lésion d'un pédoncule
ernière enfant ; les autres sont en bonne santé. Elle n'a pas eu de
convulsions
et on ne sait à quoi attribuer la maladie. Sa t
l'idiotie crelinoïde '. IlEiVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XVII. Des
convulsions
provoquées far l'excitation électrique DE l'éco
.) C'est à l'écorce qu'il faut rattacher l'élément clonique de la
convulsion
épileptique artificielle. C'est dans les centres
de la confusion des contractions cloniques n'est qu'une erreur. La
convulsion
clonique n'est pas davantage le fait d'une acti
... REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 435 centres inférieurs, car les
convulsions
cloniques d'un groupe musculaire, produites par
lité des régionsde l'animal. En ce qui concerne la transmission des
convulsions
à la moitié du corps du côté opposé, on note de
tique ; hémiparésie droite ; aphasie ; attaques épileptiformes avec
convulsions
cloniques de la moitié droite du corps, de la cha
survenant de temps en temps dans les doigts du côté droit, ct à des
convulsions
unilaté- rales à droite, sans abolition de la s
mouvements volontaires, avec faible amplitude de l'excursion des
convulsions
) mériteraient nom de.IYOCLO-.\I[-S : on appellera
deux cas d'ataxie locomotrice au cours desquels sont survenues des
convulsions
jaksonniennes. Malheureusement, quoique la term
ussi de tous les troubles nerveux qu'ils peuvent présenter tels que
convulsions
, tics, bâillements et rires nerveux, hoquet, et
de la faculté du), par Savage, 444, 49 i TABLE DES MATIERES.
Convulsions
par l'excitation élec- trique de l'écorce du ce
l'infériorité intellectuelle; mais elle révélera aussi parfois des
convulsions
dans l'enfance, comme dans notre Observation IV
bles physiques et modifications psychiques concomitants des crimes;
convulsions
à trois ans ; parents à intelligence bornée; pu
aysans très peu doués au point de vue intellectuel, il avait eu des
convulsions
à trois ans et passait pour faible d'esprit, mais
analogues aux autres maladies cérébrales. De même qu'au milieu de
convulsions
et de douleurs plus ou moins violentes, on voit s
nt d'une grande tristesse, se lamentant et se tordant dans dételles
convulsions
que, même loin de sa chambre, ses cris et ses g
Ces paroles la calmaient un instant ; mais bientôt les cris et les
convulsions
recommençaient et elle réclamait sa mère avec p
es pleurs abondants, les syncopes, les suffocations, le délire, les
convulsions
, l'ischurie, l'absence de selles, nous paraisse
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2.39 en même temps, tension musculaire, et
convulsions
toniques interrompant brusquement la folie chor
ie avec amaigrissement, delà rétention d'urine, du tremblement, des
convulsions
épilep- tiques, des perturbations cardiaques (b
t psychique. Il n'a jamais présenté de vertiges, de lipothymies, de
convulsions
. Conclusion- Traumatisme grave de la calotte cr
appartient, lorsque ses ressourses sont insuf- fisantes. » P. K.
Convulsions
chez un JEUNE enfant par OBSTRUCTION intestinale
quelle il fut appelé en toute hâte ; il trouva l'enfant atteinte de
convulsions
avec secousses musculaires, pouces fléchis dans
a mère avertit en outre le Dr Schramm que la nuit qui pré- céda les
convulsions
l'enfant avait eu une attaque de faux croup, qu
: un a été tué à Sedan ; deux sont morts, l'un d'une méningite avec
convulsions
,l'autre à la naissance : les deux autres sont b
e apoplectique ; arrière-grand-père maternel, mort aliéné. - Frère,
convulsions
; - frère, convulsions et affaiblissement paraly
re-grand-père maternel, mort aliéné. - Frère, convulsions; - frère,
convulsions
et affaiblissement paralytique du côté droit.
nvulsions et affaiblissement paralytique du côté droit. Premières
convulsions
à dix mois. Convulsions à chaque poussée dentai
sement paralytique du côté droit. Premières convulsions à dix mois.
Convulsions
à chaque poussée dentaire jusqu'à quatre ans. P
quatre ans. Peur à onze ans ; premiers accès huit jours plus tard;
convulsions
limitées à 344 CLINIQUE NERVEUSE. gauche. Exc
eu,àun an,lacholé- rine durant le cours de laquelle éclatèrent des
convulsions
pendant quinze minutes qui laissèrent à leur su
ent à leur suite une dé- formation des pieds; à sept ans, nouvelles
convulsions
durant une journée qui auraient corrigé la malf
ux mois ; -10° garçon, onze ans, intelligent, a eu à dix mois des
convulsions
avec hémiplégie droite consécutive; ce côté est r
tait comme les autres enfants ; c'est alors qu'il eut ses premières
convulsions
internes, dit-on, lors de l'éruption d'une mola
onvulsions internes, dit-on, lors de l'éruption d'une molaire ; ces
convulsions
se répétèrent jusqu'à quatre ans à chaque nouve
e et en ouvrant la bouche ; chute, perte de connaissance, rigidité,
convulsions
du côté gauche sezcle- ment, ni stertor, ni écu
colères, était alors pris de tremblement très intense. Jamais de
convulsions
, pas de porte de connaissance. N'aurait jamais fa
estiques décèlent de l'hérédité neuropsychopathique (im- bécillité,
convulsions
, épilepsie, accidents tabétiques avec amau- ros
Sa soeur est mélancolique. Quant à lui, venu à terme, il a eu des
convulsions
dans l'enfance; d'une intelligence au-dessous de
, t. XIII. 27 418 SOCIÉTÉS SAVANTES. eu, à diverses reprises, des
convulsions
(de sept mois à sept ans). 11 n'a commencé à ma
pisie. Mais à vingt-deux mois, l'enfant mourut subitement, avec des
convulsions
survenues brusquement. (Médical Record, New-Yor
doigts de la main droite chez une fleuriste, par Ozen- ne, 214.
Convulsions
chez un jeune en- fant par obstruction intesti-
sives caractérisées par : frissons, tremblements généraux, agitation,
convulsions
cloniques, mouvements désordonnés consistant à dé
1891, d'accidents nerveux, états de sommeil, vertiges, maux de têtes,
convulsions
. Ces symptômes se produisirent, sans exception, p
ra psychique) et une sensation de strangulation. Puis surviennent des
convulsions
épileptoïdes très courtes, suivies, pendant cinq
oïdes très courtes, suivies, pendant cinq minutes environ, de grandes
convulsions
classiques. Enfin, le délire éclate. Il a toujour
malade. En même temps, les attaques devenaient moins fréquentes, les
convulsions
moins violentes ; il y avait, en somme, une améli
bitent notre globe. On retrouve la triade des attaques hystériques,
convulsions
, catalepsie et léthargie, chez les prêtres et les
nées, la malade, il est vrai, étant alimentée par son entourage. 2°
Convulsions
et catalepsie. — Plus universel est le rôle joué
toujours, nous a-t-on dit, quelques hommes et femmes tombent alors en
convulsions
. Ce sont les coupables désignés par le Dieu. Et s
on, amaigri par le jeûne, est secoué à chaque instant par d'horribles
convulsions
et assiste à d'effroyables scènes : il voit avec
e, des jeûnes après lesquels ils finissent par avoir des visions, des
convulsions
. 2° Hérédité. — D'autres fois la charge de sorc
fs, le mal de tête et des yeux, le tremblement du corps entier et les
convulsions
, excepté quand elle demande la lumière elle-même,
que les animaux, le sauvage fut frappé de terreur par l'inusité. Les
convulsions
hystériques, la léthargie, les rêves furent les p
q ans, à la suite, nous dit-on, d'une frayeur, elle a été atteinte de
convulsions
qui ont duré plusieurs jours. Elle eut à la suite
its, dans le début, s'étendant aux autres membres. Par intervalles,
convulsions
toniques. Pas de morsure de la langue. Laideur de
à chaque instant, sur le point de se rompre ; puis, c'est le tour des
convulsions
et des balancements qui portent le buste de droit
rvalle de mes visites. Ce signe n'existe pas dans l'hystérie. Les
convulsions
présentent en outre des caractères différentiels.
des caractères différentiels. L'attaque d'épilepsie débute par des
convulsions
toniques qui portent sur les quatre membres et le
ons des individus morts en état de grand mal. L'hystérique a bien des
convulsions
toniques, mais les pouces ne sont jamais chez ell
e pas d'asphyxie, de piqueté, on ne constate que de la rougeur. Les
convulsions
toniques sont suivies de convulsions cloniques qu
onstate que de la rougeur. Les convulsions toniques sont suivies de
convulsions
cloniques qui sont aussi bien différentes chez l'
elles sont composées de secousses fortes, rapides, bientôt suivies de
convulsions
qui agitent le corps et prédominent le plus ordin
és par bonds et se retournaient complètement. La face participe à ces
convulsions
et prend une expression hideuse, repoussante, qu'
la tuméfaction des lèvres, à l'écume buccale, à la teinte livide. Les
convulsions
des yeux qui sont portés en tous sens et roulent
rvèrent leur caractère purement hystérique: aura, sensation de boule,
convulsions
, cris, arc de cercle et sommeil assez prolongé ap
aperçut d'un détail singulier de ses attaques : elle interrompait ses
convulsions
pour jouer avec un verre qu'elle cachait sous son
ns les membres et quelquefois même (je les-ai vues une fois) quelques
convulsions
. Mais la malade se relevait aussitôt, la figure s
long des côtes où l'on a la sensation de petites aspérités. Pas de
convulsions
, — aucun trouble urinaire. — Intégrité cérébrale
par son usage prudemment réglé, on pourrait quelquefois prévenir des
convulsions
; 4° On ne doit pas administrer le bromure de p
affection débute par une paralysie, avec ou sans fièvre, avec ou sans
convulsions
, à un âge en général moins avancé que l'atrophie
s : La malade étant assise sur son lit, on a noté en premier lieu des
convulsions
des muscles de la moitié droite de la face, une i
érieurs, après une courte période de tonicité, sont également pris de
convulsions
cloniques, égales des deux côtés et d'ailleurs lé
urant cette attaque, les pupilles étaient dilatées au même degré. Les
convulsions
toniques des membres inférieurs ont été très marq
es, le thermomètre est resté à 3g°4, puis a monté à 400 sitôt que les
convulsions
ont cessé. Dans un accès qui suit presque immédia
médiatement, outre les phénomènes déjà indiqués, on remarque quelques
convulsions
du muscle orbiculaire gauche survenant après l'ap
ulsions du muscle orbiculaire gauche survenant après l'apparition des
convulsions
de la moitié droite de la face; enfin on remarque
ainsi dire sans relâche. Us présentent les mêmes particularités ; les
convulsions
, semblables à de petites secousses tétaniques, pr
pendant quelque temps, puis est montée à 40°3 sitôt la cessation des
convulsions
. Légère injection de la face, pupilles égales, di
clate une crise, la colonne mercu-rielle monte rapidement à 3g°5; les
convulsions
cessent et la colonne s'élève lentement à 40°7. U
oite, comme précédemment, une occlusion rhythmique des paupières, des
convulsions
des muscles de la joue, de la commissure labiale,
dinaires. Nous ferons remarquer seulement que, chez notre malade, les
convulsions
commençaient et prédominaient à droite, c'est-à-d
Notons enfin que la température atteignait son maximum sitôt que les
convulsions
cessaient. Cette élévation de la température so
s cessaient. Cette élévation de la température sous l'influence des
convulsions
épileptiques nous semble être la règle. Plusieurs
stérie d'une violence extrême éclate avec son cortège clas- sique :
convulsions
, arc de cercle, projection rythmée du bas- sin,
crise apparaît et la mort survient une demi-heure après en pleines
convulsions
épileptiques. Autopsie. A l'autopsie, les viscè
deux derniers symptômes persistent ; il n'est pas rare de voir les
convulsions
peu fréquentes ; en revanche, les vomissements
la perte de la vision, avec cécité complète six semaines après les
convulsions
. Cette perte rapide de la vision indique une lé
il a eue à l'âge de dix-huit mois (1). Jamais on n'avait observé de
convulsions
. Ses antécédents héréditaires ne sont point ano
te. Début de la contracture générale cinq jours «près les premières
convulsions
. Exercices des jointures, diminution de la cont
ar son père.-1- Père, vingt- six ans, planteur, grand, brun, pas de
convulsions
ni diatheses, ni syphilis, ni migraine, sobre,
violentes. Ses trois enfants sont bien portants et n'ont pas eu de
convulsions
. Quatre oncles maternels, célibataires, sont mo
uberculose, l'autre, dix-neuf ans, jusqu'ici en bonne santé; pas de
convulsions
; un frère, vingt-un ans, aurait eu des convulsi
ne santé; pas de convulsions; un frère, vingt-un ans, aurait eu des
convulsions
jusqu'à deux ans; il est intelligent.] ,1/ére,
e appartient à une famille de paysans bretons très robustes. Pas de
convulsions
de l'enfance. Vers six. ou sept ans en jouant, el
x n'aurait eu de manifestations nerveuses, et, en parti- culier, de
convulsions
de l'enfance. Ces frères « très robustes sont d
ipé» {il en a toujours été ainsi), pas d'accès de cris. Premières
convulsions
à quinze jours pendant une heure, les quatre me
gtemps. A partir de là, il aurait eu quotidiennement deux séries de
convulsions
; leur durée était de quarante-cinq minutes : Fa
ns son lit qu'en se renversant la tête en arrière, comme appui. Les
convulsions
ont disparu au bout de six mois. Elles ont tou-
taient naturelles et les bras souples. C'est peu après le début des
convulsions
, au plus tard au cinquième jour, qu'on a remarq
s assure que la situation était lamême après la première semaine de
convulsions
, qu'aujourd'hui. * Les convulsions ayant cessé,
ême après la première semaine de convulsions, qu'aujourd'hui. * Les
convulsions
ayant cessé, dans le septième mois, le père a 1
amènent à penser qu'il s'agitià d'un cas d'idiotie congénitale. Les
convulsions
généralisées, avec prédominance à droite, surve
plégie avec contracture et pieds bols remarqués après huit jours de
convulsions
, la trépidation épileptoïde clans les mouvement
lisé à tout le corps, le tout ayant duré à peine une minute sans
convulsion
des muscles' masticateurs, sans incontinence. Lor
tes doses d'alcool, l'enfant tomba ivre-mort; il succomba après des
convulsions
épouvantables. (Le Journal, 1'='' mars 1901.) R
débuta par une dévia- tion de la tête vers le côté droit, puis des
convulsions
agitèrent successivement la main droite, le mem
dirigé vers ce même côté. Après cette phase tonique éclataient des
convulsions
cloniques généralisées, de courte durée; elles
16, au moment où on changea le pansement, on assista à un accès de
convulsions
cloniques; les spasmes débutaient par le pouce
bras gauche et la moitié gauche de la face étaient envahis par. des
convulsions
cloniques. Les pupilles se dila- taient. La con
ans était sujet, depuis l'âge de vingt-cinq ans, à des attaques de
convulsions
généralisées qui débutaient - par des secousses
conservation des sensibilités, pas d'atro- phie musculaire, pas de
convulsions
. Cet état dure sept mois et se termine par la m
n surviennent des nausées, et le soir le malade meurt à la suite de
convulsions
généralisées. On porta le diagnostic d'hémorr
cervicale, tandis qu'ici elle sié- geait à la région lombaire. La
convulsion
finale a probablement été le résultat de l'irrita
arqua que l'enfant ne donnait pas des signes d'intelligence, et les
convulsions
se répétaient fréquem- ment. Vers les onze à do
ion, lajambe sur la cuisse. Il ne pouvait pas se mettre debout. Les
convulsions
étaient très fréquentes. C'est dans ces condition
30 d 466 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. l'âge de trois ans par des
convulsions
épilepliformes qui se reproduisirent jusqu'à l'
ose d'un quart de centimètre cube en injection intra-cérébrale, des
convulsions
généralisées- intenses et se reproduisant parfois
atégories : y 1° Maladies des nerfs périfériques : a) névralgie, b)
convulsions
, c) paralysies, d) névrite simple, e) poli-névr
a\ec des caractères similaires. Les troubles moteurs : paralysies,
convulsions
, incoordination, trem- blements, se retrouvent
eu huit frères ou soeurs. Quatre sont morts : trois en bas âge, de
convulsions
; une de ses soell1'S est morte à vingt- six an
ème, âgé actuellement de trente-sept ans, a eu dans son enfance des
convulsions
et de la paralysie infantile qui lui a laissé d
ze enfants. Tous, à l'exception dc deux, sont morts, en bas âge, de
convulsions
. Parmi les deux survivants, l'un a aujourd'hui
attaques d'hystérie. L'autre qui est née en juillet 1890 a déjà des
convulsions
. Début de la maladieactuelle.-En septembre 1887
e, la rigidité, la trémulation des membres inférieurs, les accès de
convulsions
toniques déterminés par une excitation de la pe
sixième et dernier enfant; trois enfants sont morts du croup ou de
convulsions
. Il est marbrier et travaille moitié debout, mo
où des passants l'avaient transporté. On lui dit qu'il avait eu des
convulsions
, qu'il s'était débattu très fort et qu'on avait e
particulier à noter. Son frère et sa soeur sont morts en bas âge de
convulsions
. Le malade eu question est un jeune homme de vi
unes, 2 avec ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 181 des
convulsions
. 4 sont vivants; une soeur atteinte d'eczéma chro
cédents héréditaires. Antécédents personnels . Elle aurait eu des
convulsions
à l'âge de deux ans; elle a, uriné dans son ]¡t
ent; elle perd connaissance et l'attaque com- mence. Après quelques
convulsions
épileptiformes de courte durée, elle exécute en
emain, le lit n'était pas en désordre. Elle ignora si elle a eu des
convulsions
. Elle ne s'était pas mordu la langue, elle n'avai
le mois de juillet de la même année d'une atlaque apoplectique avec
convulsions
généralisées. C'est alors qu'il entra à la clin
de quatre. Deux sont morts en bas âge ; l'un du croup, l'autre des
convulsions
. Il lui reste un frère et une soeur. Le frère,
sa vie, elle 3M NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. a eu des
convulsions
; une fois, à la suite de ces convulsions, elle a
LA SALPÊTRIÈRE. a eu des convulsions ; une fois, à la suite de ces
convulsions
, elle aurait eu les pieds tournés en dedans, et
connue, de vomissements. Ces vomissements, que n'accompagnaient ni
convulsions
, ni fièvre, ni céphalalgie, se faisaient sans e
e jour, ce sont des soupirs et des bâillements. Jamais il n'a eu de
convulsions
ni de céphalalgie; il se plaint uniquement, dit
omyélie, débutent brusquement, s'accom- pagnent de contractures, de
convulsions
, d'excitations. Le diagnostic, au début, peut ê
t il reste encore une petite cicatrice. A quatre ans, elle a eu des
convulsions
. Pas d'autre maladie infantile. A dix ans, fièv
la deuxième cuillerée d'un vomitif que lui administrait samère. Ces
convulsions
ont élé très violentes; l'enfant « se tordait com
névrose hystérique ? Nous ne le croyons pas, et voici pourquoi. Les
convulsions
survenues à l'Age de huit mois et suivies d'une
moins, il ne nous paraît pas qu'ici l'hystérie puisse expliquer les
convulsions
, l'hémi- plégie du début et l'épilepsie partiel
ielle, d'une sclérose du cerveau qui tient sous sa dépen- dance les
convulsions
, l'hémiplégie, l'épilepsie symptomatique et l'a
issance avait été subite et totale et ne s'était pas accompagnée de
convulsions
. Dans sa chute, il ne s'est pas fait de trauma-
NE ANOMALIE MUSCULAIRE UNILATÉRALE , CHEZ UN ÉPILEPTIQUE DONT LES
CONVULSIONS
PRÉDOMINAIENT DU COTÉ DE L'ANOMALIE ( -' Parm
ée avant terme, morte à un mois; 3° notre malade; 4° fille morte de
convulsions
à dix-sept mois; 5° fils mort phthisique à ving
attaque convulsive ou plutôt sa première série d'attaques, car les
convulsions
auraient duré quatre heures. Jusqu'à l'âge de sep
plus souvent, les mouvements giratoires sont suivis de chute et de
convulsions
générales. Quelquefois seulement la chute coïnc
ébut partiel que nous avons décrit, le malade, au lieu de tomber en
convulsions
générales, se met si courir, monte ou descend u
,- et depuis le 24 au matin il n'avait pas repris connaissance. Les
convulsions
ont cessé le 25 à 4 heures du soir. Autopsie. D
riée à vingt et un- ans, elle a eu sept enfants, dont deux morts de
convulsions
dans la pre- RECHERCHES SURIL41,FOLIE avec, con
Une soeur du père.a été aliénée,, une soeurGde, la malade,morte de
convulsions
dans la première enfance. Cette demoiselle) a t
rois morts-avec RECHERCHES SURI LAI FOLIE AVEC CONSCIENCE. 55 des
convulsions
dans la première' enfance ? Chagrins dômes ? ti
eur de la seconde frontale. Ç'est,il lui que M. Knecht attribue les
convulsions
céphaliques ; il rattache celles de la jambe ga
l'épaule gauche et suit ce bras jusqu'aux extrémités digitales. Les
convulsions
commencent par le bras gauche : les doigts se f
nel paralytiquegénéral.-Fréres et soew's morts de con- vulsiozzs.
Convulsions
de deux mois ci deux ans. - Méningite à trois ans
et fausses couches : 1° garçon, quatorze ans, intel- ligent, pas de
convulsions
;- 2° fille, morte à neuf ans d'accidents pulmon
le, morte à neuf ans d'accidents pulmonaires ayant duré huit jours;
convulsions
jusqu'à quatre ans; était très intelligente ; 3
e en nourrice à deux mois, on ne sait de quoi; aurait eu de légères
convulsions
; -4° garçon, mort de diarrhée à un mois ; pas
gères convulsions ; -4° garçon, mort de diarrhée à un mois ; pas de
convulsions
; S" garçon, bien portant, a eu des convulsions
à un mois ; pas de convulsions ; S" garçon, bien portant, a eu des
convulsions
jusqu'à trois ans; 6° fausse couche à six mois,
-io fille, morte à deux ans et demi de méningite, avait déjà eu des
convulsions
; - 8° fausse couche; 9° notre malade; - 10° fi
° fausse couche; 9° notre malade; - 10° fille, de sept mois, pas de
convulsions
. 2 ! o RECUEIL DE FAITS. 1'uU,; ttt tlode. Hi
au sein par sa mère jusqu'à dix- huit mois. A deux mois, premières
convulsions
ayant duré de cinq il dix minutes. Depuis cette
é quinze jours sans connaissance, délirant, mais n'aurait pas eu de
convulsions
. Dans le cours de la maladie, le bras gauche pe
- Soir : T. R. 42°,2. 5. Durant la nuit, quatre accèsT.R.39°,6. Les
convulsions
sont toujours limitées au côté droit. Léger éry
. RÉFLEXIONS. - 1. Il s'agit, ici, d'un enfant qui, sauf quelques
convulsions
légères et éloignées, survenues de deux mois à
en eux-mêmes, les accès ont présenté des symptômes spéciaux' : les
convulsions
étaient limitées au côté droit du corps. Nous a
t avait une paralysie du côté gauche, on pourrait s'étonner que les
convulsions
existassent, au contraire, du côté droit et y f
de courants, sans qu'il existât de modi- fication dans la forme des
convulsions
.1' ' > " UJ Inl ? M ? , , ? IH, 4)11'1 ? Itl
asques en apparence, au début, peuvent plus tard' se transformer en
convulsions
spasmodiques (Westphal). La tonicité est un réf
2° une fille, bien conformée, morte à treize jours, en nourrice, de
convulsions
. Notre malade. Grossesse bonne; durant son cour
isme; Gr... n'a, d'ailleurs, jamais été propre. Il n'a jamais eu de
convulsions
, de croûtes, de glandes, de dartres, d'opthal-
ont quatre et sept enfants tous bien portants, n'ayant jamais eu de
convulsions
.] Mère, quarante-deux ans, lingère, intelligent
emblements, la raideur de la colonne vertébrale et des membres, les
convulsions
cloniques des membres et du tronc; les contract
et s'accompagnent, à une époque bien plus avancée de la maladie, de
convulsions
cloniques des muscles de la face. L'au- topsie
myosis maxima qui très promptement se transforme, dès la période de
convulsions
toniques, en mydriase maxima. A la phase d'acmé
lus ou moins promptement à suspendre le médicament. Les voici : 4
Convulsion
spasmodique de l'oesophage et sécheresse du phary
e prodromique ; phénomènes d'excitation ou de dépression, douleurs,
convulsions
chez l'enfant, et surtout odeur slli(Jene1'is.
: 1° il s'accompagne d'hypothermie; 2° il ne s'accompagne pas de
convulsions
, ni de contractures. Dans l'étiologie,, du coma
tation maniaque, dyspnée, cyanose, irrégularité du pouls, délire et
convulsions
. Le lendemain, céphalalgie, vertige, confusion
cles épargnés jusqu'ici ne s'atrophient à leur tour. L'existence de
convulsions
fibrillaires de plus en plus nettes fait penser
fait normal jusqu'à l'Age de trois ans; à cette époque il a eu des
convulsions
à la suite desquelles il est resté trois ans co
; a eu neuf enfants, dont quatre sont morts en bas âge," dans les
convulsions
. Du côté maternel, deux oncles, une tante et. deu
nt eu plusieurs fausses couclies. Morte à vingt- deux ans après des
convulsions
. Lésions avancées; poids : 8j5 grammes. Obser
de quelques fanatiques ; hallucinations, extases, flagel- lations,
convulsions
(danse), etc., en étaient les symptômes, abo- y
e; par MOTS et DUNATT. Télangiectasie du lobe frontal gauche avec
convulsions
épilepti- formes ; par BrADLEs. Trois cas dif
re plus tard, il perdit connaissance, entra en délire, eut quelques
convulsions
rapides et mourut six heures après, des blessur
rnels suicidés. Tante paternelle nerveuse, morte phtisique. Mère,
convulsions
de l'enfance, morte phtisique. Grand-oncle mate
nt (Bulletin, no 5, p. 120. 1901). 288 RECUEIL DE FAITS. lie¡',
Convulsions
de, l'enfance à plusieurs reprises. Parole tard
eu des con- vulsions. Mère .morte phtisique à trente-quatre ans;
convulsions
de l'en- fance. Le seul cas pathologique à rele
tardive et aurait toujours présenté du zézaiement et du bégaiement.
Convulsions
de l'enfance, à plusieurs reprises, qui auraien
es suivants ; mouve- ments pupillaires, clignotement des paupières,
convulsion
des globes oculaires en haut, mouvement des mus
psie partielle débutant par la jambe gauche et se terminant par des
convulsions
généralisées avec perte de connaissance. Après
itation avec alaxie et amaurose. de la catalepsie et finalement des
convulsions
cloniques et toniques l'our Krainsky, qui a rep
sie. Le carbaminate d'ammonium est donc susceptible de causer des
convulsions
: est-il réellement l'agent de l'épilepsie ? Il e
sanglante s'échappait des lèvres. Après une dizaine de minutes, les
convulsions
cessèrent, mais la malade resta encore près d'u
al à son aise; elle se couche et, à peine au lit, elle est prise de
convulsions
, toniques d'abord, puis cloniques. Au bout de deu
2 h. 1/2 de l'après-midi, elle est prise d'une violente attaque de
convulsions
, sans perdre toutefois entièrement connaissance :
é que jusqu'à ce matin. 8. Cette nuit, la malade a eu un accès de
convulsions
pendant son sommeil; elle ne se souvient plus d
gauche ; face très pâle, mâchoires serrées, écume à la bouche. Puis
convulsions
cloniques des bras et des jambes, mouvements de
de l'autre. Dans le premier, le début brusque avec cri initial, les
convulsions
toniques d'abord, puis cloniques, l'écume à la
ctérise le mal comitial. Le 5 janvier, nous avons, il est vrai, des
convulsions
qui rappelent celles de l'épilepsie, mais elles
r suite d'une excitabilité morbide des centres thermogènes, que des
convulsions
, des paralysies et des contractures par suite d
a Tourette de fièvre (jusqu'à 38-38°5,) lorsqu'il est accompagné de
convulsions
toniques. (Cf. Cliarcot. Leçons sur les maladie
r à la selle sans malaise apparent : puis un soir elle fut prise de
convulsions
hystériques avec état spasmodi- que, généralisé
plus ou moins d'intensité l'une ou l'autre des formes suivantes :
convulsions
motrices, sensorielles ou psychiques (intellectue
hémiparésie gauche, coma, fièvre élevée, mort. Il n'y eut jumais ni
convulsion
, ni phénomènes méningés, ni délire, ni hallucin
ent par une perte subite de la connaissance, avec chute, et par des
convulsions
généralisées. Elles s'accom- pagnent de morsure
s centres nerveux, des attaques de grand mal, caractérisées par des
convulsions
généralisées, avec cri initial, perte subite de
voir eu la syphilis au cours de sa jeunesse. C ? n'a jamais eu ni
convulsions
, ni autres troubles ner- veux. Elle a été réglé
de comprendre et celle de parler. Cette fois encore, elle n'a eu ni
convulsions
, ni paralysie. 444 CLINIQUE NERVEUSE. Le lend
avait eus précédemment. Elle n'est pas tombée; elle n'a pas eu de
convulsions
, elle a simplement perdu la faculté de comprend
que les psychoses, les diverses formes du délire, l'épilepsie, les
convulsions
, le strabisme et la débilité mentale. Dans le
a mère, et chez les collatéraux la dégénérescence, l'idiotie et les
convulsions
. Si nous cherchons à dégager, à l'aide du petit
névropathiques auxquels ils sont sujets débutent sou- vent par les
convulsions
de l'enfance, les accidents pseudo- méningitiqu
ux. Il urine au lit depuis la première en- fance ; n'a jamais eu de
convulsions
, ni d'accidents cérébraux. Sa mère me l'amène p
rique ; frère d'une santé passable, autre frère idiot à la suite de
convulsions
. ' Enfant grande et forte, d'aspect florissant,
développé, strabique : d'une bonne santé habituelle; n'ayant eu ni
convulsions
, ni maladies graves, il pisse au lit depuis sa
garçons atteints d'incontinence complète; une fille qui a eu des
convulsions
. Les autres enfants, en bas âge, se portent bien.
fluette, non réglée, d'aspect assez intelligent. Elle n'a pas eu de
convulsions
, n'a fait aucune maladie. Elle pisse au lit dep
ur de l'oeil. Mère normale. Soeur bien portante, frère ayant eu des
convulsions
. Enfant assez développé, mais pâle et d'aspect
ditaires, bien portante jusqu'à un an et qui eut à cette époque des
convulsions
dont la cause resta ignorée. Jusqu'à l'âge de s
ans, à antécédents nerveux hérédi- taires et personnels prononcés,
convulsions
fréquentes jusqu'à l'âge de trois ans ; à la pu
uleurs dans les mains puis céphaliquesou abdominales, et finalement
convulsions
cloniques des membres supérieurs, zones hystéro
ultats. La cautérisation de la colonne vertébrale a fait cesser les
convulsions
, diminué les douleurs, amé- lioré les mouvement
ire, « Cette dernière, ajoute-t-il, s'accom- pagne moins souvent de
convulsions
et de contractures » ; mais que de fois ne voit
épileptique, mais le père est sourd et ivrogne. Quant à Roberto,
convulsions
dans l'enfance, incontinence noc- turne d'urine
uisent guère que deux fois par semaine maintenant. Chute, avec cri,
convulsions
toniques et cloniques, arc de cercle, puis phase
fait que les mouvements volontaires font cesser immédiate- ment les
convulsions
dans les groupes musculaires qui y prennent par
crétinisme, de surdi-mutité, ou morts subitement d'apoplexie ou de
convulsions
, ou présentant des anomalies ou des irrégularit
L'enfant a-t-il été blessé pendant l'accouchement ? A-t-il eu des
convulsions
? Si oui, quelles en ont été les consé- quences
les céphaliques, etc., et enfin viennent parfois, non toujours, les
convulsions
. La tuméfaction ne se borne pas toujours à la d
s incoercibles avec éructations, spasmes cloniques du diaphragme et
convulsions
hystériques. Guérison rapide et défi- nitive au
, n'ayant pas eu la syphilis, chez lequel s'établit lentement, sans
convulsions
, une hémianopsie droite puis une hémiparésie dr
ans tous les cas, l'atrophie des fibres et cellules. P. K. XIV. DES
CONVULSIONS
ET DE l'amnésie observées chez LES pendus ramen
Après le retour à la vie de sujets pendus on observe parfois des
convulsions
, de l'amnésie, des troubles psychiques passagers,
emagne par J. Wagner, V. Hofmann, Moebius. Wagner pré- tend que les
convulsions
et l'amnésie sont dues aux modifications Archiv
onnels. Un des sujets fut pris, après sa tentative de pendaison, de
convulsions
généralisées qui durèrent environ une heure et
sorte de gelée. On applique le courant faradique qui détermine des
convulsions
des groupes musculaires correspondants. A la suit
gauche. C'est alors que, sans prodromes, soudain, il se produit des
convulsions
épileptiformes de la moitié droite du visage, la
de ses frères sont morts de méningite en bas âge. Lui-même a eu des
convulsions
dans son enfance. Il est d'une intelligence trè
gardien chef, qu'on dut protéger à son tour. Peu après il tomba en
convulsions
et présenta une attaque typique d'épilepsie con
' Meige, 406. Pelade lost-élilelique, par l'éré, 317. Pendus.
Convulsions
et amnésie olter les -, par l.uhrnan, 321. PE
ant ? D'autre part dans l'épilepsie Jacksonnienne de la face, les
convulsions
se montrent sur le facial supérieur comme sur le
paternelle, morte d'apoplexie. - Autre tante paternelle, morte des
convulsions
de l'enfance- Frère mort ci dix-sept ans de cox
éningite terminale. Conception : graves ennuis du père. Premières
convulsions
ci quatre, ans. Diminution de l'intelligence. -
mère). Père, soixante et un ans, asthmatique, très nerveux, pas de
convulsions
de l'enfance, démangeaisons de la peau vers qua
attaque d'apoplexie en un jour. Autre tante pater- nelle morte des
convulsions
de l'enfance. Pas d'aliénés ni de nerveux, ni d
nelle. Nèra, quarante-cinq ans, bien portante, n'aurait pas eu de
convulsions
. -Pas d'autres renseignements sur la famille mate
ien venant ; 21, un garçon, mort a dix-sept ans de coxalgie, pas de
convulsions
, intelligent, aurait eu une méningite terminale
ien portante ; 5° notre malade ; 6° un garçon, bien portant, pas de
convulsions
, apprend convenable- ment. Notre malade. A la
ier jusqu'à l'âge de quatre ans. Vers quatre ou cinq ans, premières
convulsions
, consécutivement diminution de l'intelligence.
d'autres accidents nerveux jusqu'à il y a huit mois. A la suite des
convulsions
, bégaiement très pro- noncé. A huit ans, l'en
rmal jusqu'à quatre ans. Entre quatre et cinq ans sont apparues des
convulsions
suivies d'un affaiblissement de l'intelligence
te pendant plusieurs secondes, puis se ramollit sous l'influence de
convulsions
cloniques répétées s'affaiblissant graduellemen
jambe progressa rapidement. Il eut ensuite des vomissements et des
convulsions
du côté gauche. Depuis deux ans il éprouvait
de syphilis dans ses anté- cédents. Réflexes parcellaires exagérés,
convulsion
clonique du pied gauche. Névrite optique bien c
nguin, dans les névroses paroxys- tiques, la crise épileptique, les
convulsions
. Tout dernièrement, MM. Mairet et Vires 3, dans
n cas, le sérum sanguin d'épileptique a provo- qué la mort dans des
convulsions
, et dans un autre cas, un grand malaise qui a d
des arrêts momentanés. La température est descendue à 3G°6'. Pas de
convulsions
. Le lendemain l'animal se porte bien. Nous n'av
ns une demi-heure après. Quelques 184 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
convulsions
très courtes dans les membres à 4 h. 50'. Grande
rès courtes dans les membres à 4 h. 50'. Grande faiblesse après ces
convulsions
. Température 36°5'. Anesthésie des quatre membr
ort à 7 heures (3 heures après l'injection) dans le coma : A eu des
convulsions
généralisées avant la mort. A ce moment la tem-
ques. La tête est renversée, tout le corps fait un demi-cercle. Les
convulsions
durent une minute ; pendant cette attaque la te
ration s'arrête. Deux à trois minutes après, une seconde attaque de
convulsions
épileptiformes qui n'a pas duré plus d'une minu
QUE. sisent à intoxiquer un lapin de 900 grammes, à provoquer des
convulsions
et la mort (exp. XIII). Ainsi, d'après ces quel
es mêmes conditions de dose, de poids, provoque-t-elle ici quelques
convulsions
iso- lées, et là de vraies attaques épileptique
, lui aussi, est constitué par l'existence d'attaques, avec ou sans
convulsions
. Ces attaques peuvent présenter tous les degrés
- ment que celle de l'intelligence ou de la sensibilité; tels les
convulsions
, les tics, les troubles de la marche, les paralys
érie. Pendcmt l'enfance et l'adolescence : santé excellente; pas de
convulsions
ni de manifestations hystériques ' Cette questi
emi est bien portant. Pendant l'enfance, P... n'a été atteint ni de
convulsions
ni d'au- cune maladie grave, il s'est seulement
férieurs, abolition presque complète des réflexes rotuliens, pas de
convulsions
, pas de con- tracture, contractilité musculaire
e ; les muscles du cou n'étaient pas capables delà soutenir. Pas de
convulsions
. Fonctions normales et régulières Excellent éta
osé. Pas de fièvre. Le lendemain, paralysie complète, flasque, sans
convulsions
, ni contractures des quatre membres ; face resp
s une thèse de Paris déjà ancienne affirmait au contraire que des
convulsions
épileptiformes survenant sans cause connue et se
ention avait été agitée, celle-ci, même guidée par l'exis- tence de
convulsions
à type jaclaonicn et à point de départ facial n
eux, al- 30 RECUEIL DE FAITS. eoo ? M6, cancéreux. Cousin mort de
convulsions
. Autre cou- sin idiot. ' Mère, enfant naturel
de particulier. Signes d'idiotie à l'âge de trois mois. Séries de
convulsions
il trois mois : regard plus obscur; inertie des m
ant trois mois, un tremblement de tout le corps et de la langue; ni
convulsions
, ni migraines, ni indices de syphilis; poussées
die. Une autre SOEUI', bien portante, a eu un enfant enlevé par des
convulsions
. Un frère, eczémateux, décédé à quarante ans d'
re, trente-cinq ans, blanchisseuse, enfant naturelle, sobre, pas de
convulsions
, céphalalgies frontales n'ayant pas le caractère
côté. Il ne souriait point. » A trois mois l'enfant si. été pris de
convulsions
. Les membres étaient affectés également des deu
ues jours, il a eu quotidiennement plusieurs 32 RECUEIL DE FAITS.
convulsions
semblables. Il a eu ensuite une rémission d'une o
evenus inertes. Pendant deux autres mois il aurait eu également des
convulsions
: les membres étaient raides, le corps tressaut
e convulsive », 96 THÉRAPEUTIQUE. restait et sept mois après, les
convulsions
reparaissaient à la moindre excitation toxique
constituée à la suite d'un accouchement normal, elle n'a pas eu de
convulsions
dans la pre- mière enfance, l'évolution dentair
e d'antécédents héréditaires. Le malade né à terme, n'a pas eu de
convulsions
; a été atteint de fièvre typhoïde à l'âge de quin
'mère paternelle, alcooliques. Tante paternelle prostituée. - Mère,
convulsions
fréquentes dans l'enfance, hystérique, internée
s trois premiers mois. - Première dent à dix mois; ci cette époque,
convulsions
. De dix à douze ans incon- tinence nocturne d'u
s, fleuriste et plumassière, aurait eu dans son enfance beaucoup de
convulsions
à la suite desquelles elle se- rait restée sour
rveux ; elle a deux-filles, l'ainée, âgée de six ans, aurait eu des
convulsions
. Dans le reste de la famille, on n'a pas connu
re enfants : 1° L'ainée, fille, seize ans et demi, n'a jamais eu de
convulsions
, mais, elle a eu le carreau et est rachitique. Ac
Notre malade 3° Garçon, mort à deux ans, rachitique, beaucoup de
convulsions
, serait mort de méningite; - 4° Garçon mort-né à
e a présenté de l'incontinence nocturne d'urine. Elle aurait eu des
convulsions
après sa première dent, trois dans la même jour
ativement plus grande ; en faveur de la dernière, on a le début des
convulsions
sans attaque épileptiforme et le retard dans l'ap
ue la lésion remonte au moment de la naissance, et l'apparition des
convulsions
neuf mois plus tard n'est pas incom- patible av
mes dans l'ordre suivant de fréquence : a) affections spasmodiques (
convulsions
, spasme des muscles du la- rynx, croup, contrac
produisant alors l'hémianopsie, ou le dépasser jusqu'à produire des
convulsions
unilatérales sans perte de connaissance ou même
née comme dans la migraine. Elle peut enfin souvent accompagner les
convulsions
unilatérales dans la paralysie générale et se m
acrée à l'étude de deux cas de tu- meurs de la zone rolandique. Les
convulsions
jacksonniennes in- diquaient le siège de la lés
a depuis l'âge de douze ans des accès nettement épileptiques avec
convulsions
et perte de connaissance. 11 est réformé l'année
de cette manière de voir à l'inter- prétation des tremblements, des
convulsions
, des paralysies. De ce dernier point de vue, je
ait probable qu'il ne pourrait jamais voir, et il eut de fréquentes
convulsions
depuis l'âge de onze mois. Jamais il ne parla n
lésions pathologiques dans les cas éclamptiques, ceux associés aux
convulsions
graves de la dentition, semblent être localisés
té des cas appartiennent à la dernière catégorie. S'il n'y a pas de
convulsions
, et si la lésion du cerveau est peu étendue, un
n semblent plus forte- ment atteinte par les courants continus. Les
convulsions
sont surtout provoquées par la secousse de rupt
s de l'aicra, il se développe en quelque sorte au lieu et place des
convulsions
de l'attaque vulgaire et l'on a affaire en pareil
gression d'autant que les coups ont déterminé chez elle « après des
convulsions
qui lui firent perdre connaissance, un état de
Richer, Bonrneville et Regnard, ne commence pas uniquement avec les
convulsions
. La période prodromique peutêtre assez longue,
chiques entrecoupés de quelques contractions des bras, de quelques
convulsions
des globes oculaires, placées lu pour ainsi dire
des passionnelles des attaques, car ce sont ces malades qui ont des
convulsions
. L'allure générale peut être dite efféminée, un
ection intestinale à trois semaines. P... a eu, à l'âge de ans, des
convulsions
à la suite desquelles il lui est resté une hémi
insensible, jusqu'à trois heures après-midi ; alors il fut pris de
convulsions
; il se tordait sur son lit, mordait les draps,
urnis par la femme du malade). Les cris, les grands mouvements, les
convulsions
continuèrent jusqu'à sept heures du soir. A ce
ourdonnements dans les oreilles, puis elle perd connaissance. Des
convulsions
cloniques assez étendues apparaissent alors, puis
hui. Pendant cette première attaque, il y eut une courte période de
convulsions
avec perte de connaissance, puis les buille- me
souffre la malade et de savoir si elles sont ou non accompagnées de
convulsions
ou de bâillements. On apprend cepen- dant qu'el
utefois les phénomènes moteurs caractéristiques, soit sous forme de
convulsions
toniques ou cloniques, soit plus souvent sous f
e la diarrhée. Quatre jours après, elle était prise de délire et de
convulsions
et était transportée dans cet état à l'hôpital
nts personnels ne dénote rien de particulier dans l'enfance. Pas de
convulsions
; pas de coqueluche. Rougeole en 1871. Elle n'a
t ans, enfant naturel; la mère avait [quatorze ans quand il est ne.
Convulsions
de l'enfance. Début il six ans. Grands accès et
ans. Nombreux enfants convulsifs dans sa famille; a eu lui-même des
convulsions
de l'enfance jusqu'à sept ans. Depuis l'âge de
ie en général avec fièvre, ou quelquefois sans fièvre, avec ou sans
convulsions
(fièvre ne durant guère que trois à huit jours)
forme de délire intense plus ou moins prolongé, de paralysies et de
convulsions
. Etant données alors, d'une part la notion du r
lévation de température vespérale, vomissements, toux, céphalalgie,
convulsions
et vertiges le soir. Le matin les aliments pass
vait indiqué par écrit les parties qu’elle désirait qui entrassent en
convulsion
. Muni de cette instruction , il dirigea d’abord l
ur une hystérie parvenue àson summum d’intensité. File présentait des
convulsions
effrayantes et un tel trouble des facultés intell
vingt-quatre heures une fille de vingt et un ans était en proie à des
convulsions
tétaniformes telles qu’on lui aurait plutôt brisé
la parole , la rigidité des membres, et même, dans certains cas, les
convulsions
ne doivent point vous empêcher de tenter la guéri
vitalité; ceci obtenu, produire des crises-, je ne veux pas parler de
convulsions
, mais de mouvements dans les fluides. Il faut que
étiser une personne incrédule, une autre, placée auprès, fut prise de
convulsions
, quoi qu’il n’ait eu aucune intention d’agir sur
de vous pénétrer des vérités que ce peu de paroles renferme. « Mes
convulsions
ont été un peu fortes, c’est un « peu votre faute
e expérience, une dame, assise au bout du salon, est prise de légères
convulsions
qui sont promptement calmées. Séance du 24 avri
rigoureuse; votre science va se trouver en défaut ; le délire, les
convulsions
seront plus forts après vos remèdes ; vous pouvez
suivre, il retourne à celui que j'ai quitté. Mais déjà je domine; les
convulsions
en ma présence sont peu durables; tant que je res
par l’autre malade , et bientôt on vient nous avertir de son état de
convulsion
. Je laisse cellè ei calme; mai$ nu moment où, t
s curieux que les précédents captivent l'attention générale. D’abord,
convulsions
du globe oculaire; la pupille dirigée en haut el
qu’aucun médicament n’était nécessaire, car l’enfant allait bien; ses
convulsions
étaient apaisées. Il s’éleva une discussion à ce
force ù l’enfant le contenu de la fiole dont il s’était muni, et les
convulsions
reviennent. Qu’avais-je à faire en pareil cas? me
t. Une dame avait élé décapitée par la pensée; cet enfant fui pris de
convulsions
à la vue du corps sans tôle el du sang qui l’inon
douleur, l’impossibilité de locomotion, l’occlusion des paupières, la
convulsion
du globe oculaire et l’attraction magnétique. A p
e imite au parlait toutes les souffrances des malades; elle imite les
convulsions
, les contorsions des épileptiques et des hystériq
où elle se trouvait, sans aucun pressentiment, sc débattait dans des
convulsions
pendant quelques minutes; ensuite son corps entie
(pie les inciter davantage à continuer, et ce n’est que lorsque des
convulsions
effroyables avaient li>'ii que la crainte remp
dans l’hvpogastre et la cavité pelvienne. Elleavaitdes tranchées, des
convulsions
, des syncopes, le hoquet etlerûle. Malgré l’immin
contre, deux dames, placées assez près des opérateurs, sont prises de
convulsions
qui ne sc calment que par l'éloignement. On peut
leurs. 417 Congestions nerveuses. 169 Congestion cérébrale. 133
Convulsions
tétaniformes. 68 — magnétiques. 187 Comment m
que. Mariée à vingt- sept ans, a eu six enfants, dont quatre morts (
convulsions
), deux bien por- tants. Pas d'alcoolisme ni de
u moins, un affaiblissement musculaire qui prédomine du côté où les
convulsions
ont été le plus marquées. Cet affaiblissement s
magnétisme animal, s'ef- forçait de mettre en lumière le danger des
convulsions
, des crises qui formaient le fond du traitement
onvulsions, des crises qui formaient le fond du traitement. « Ces
convulsions
, disaient en 1784 les commissaires du roi, sont
atelassée et destinée primitive- ment aux malades tourmentés de ces
convulsions
, une salle nommée des crises... » Quelle meille
'on rencontre les phénomènes moteurs caractéristiques sous forme de
convulsions
toniques ou cloniques, ou sous forme de raideur
E... a un frère âgé de '12 ans qui n'a jamais eu aucune maladie, ni
convulsions
. A. V. E... a eu de fréquentes et violentes con
maladie, ni convulsions. A. V. E... a eu de fréquentes et violentes
convulsions
au moment de la première dentition. A 7 ans il
aissance, les yeux sont fermés, les membres raidis; il n'y a pas de
convulsion
, pas de mouvement. La respiration est pénible,
, le seul survivant est le malade qui nous occupe ; tous ont eu des
convulsions
dans leur enfance. Antécédents personnels. - A
convulsions dans leur enfance. Antécédents personnels. - A part des
convulsions
Arthur U... a toujours joui d'une santé excelle
ngs intervalles. 11 a eu trois enfants qui sont morts en bas âge de
convulsions
; mais sa femme est une hystérique ovarienne. En
ée de l'état de mal, le côté droit n'avait pas semblé paralysé, les
convulsions
épileptoïdes prédominant à gauche d'une façon p
ilieu d'un mot ». Les douleurs de tête augmentent, il est pris de
convulsions
qui durent 24 heures jusqu'à samortqui arrive l
rne; les hémorragies de la dure-mère occasionnèrent t peut-être ces
convulsions
ultimes qui ne le quittèrent pas pendant les 24
es; six enfants sont morts presque tous en bas âge, deux ont eu des
convulsions
, et l'un des deux est resté hémiplégique droit; t
trois autres enfants sont bien portants. Antécédents personnels.
Convulsions
dans l'enfance. Devenu très peureux à l'âge de
cette époque; pas d'aura, chute et perte de connaissance, rigidité,
convulsions
du côté gauche seulement, ni stertor, ni écume,
es suivantes : 1° Epilepto'ide, raideur (phase tonique) brève, puis
convulsions
cloniques généralisées, écume aux lèvres, conge
furent plus que des accès rudimentaires : troubles de connaissance,
convulsions
toniques passagères, quelques secousses. En j
neasiness,a sensation,as if the head were too lare,loss of spirits,
convulsions
, loss of memory of récent events, idiotism, insen
placer au milieu de ces figures gracieuses une forme tourmentée de
convulsions
et c'est volontairement qu'il a choisi pour le
couches et a eu deux enfants à terme : l'un est mort à deux ans de
convulsions
et l'autre à dix-huit ans de l'influenza.Le seul
quents. A l'âge de 26 ans, il fut pris, un soir, dans son lit, de
convulsions
des mem- bres ; il se leva pour demander du sec
ses occupations habituelles. Le malade ne se rap- pelle pas si les
convulsions
étaient localisées un côté du corps. . A 29 ans
débattant des deux bras et des deux jambes, l'écume à la bouche. La
convulsion
dura environ 20 minu- tes. Lorsqu'il revint à l
il a des enfants. Silas n'a pas les « jambes enflées ». Il a eu des
convulsions
dans son enfance. Il est lent dans sa parole et
a paralysie des quatre membres, on nota des troubles de l'ouïe, des
convulsions
, de l'aphasie passagère ; dans l'autre, la part
ée au biberon par une grand'mère ; à l'âge de 14 mois, elle eut des
convulsions
pour la première fois ; ces convul- sions durèr
ée légèrement paralysée ( ? ). Un mois après, elle eut de nouvelles
convulsions
pendant 4 jours. En général, l'enfant est diffi
sa mort survenue en juin 1907. Durant ce temps, elle est prise de
convulsions
du côté paralysé, une fois, au début d'une bron
ôté paralysé, une fois, au début d'une bronchite, une autre fois de
convulsions
généralisées après avoir été vaccinée, une autr
juin 1907, l'enfant est atteinte de broncho-pneumonie, est prise de
convulsions
au cours desquelles elle succombe. Autopsie.
spepsie et de fréquentes céphalées ; à ('fige critique elle eut des
convulsions
de nature certainement hysté- rique. A l'examen
opie, ni bourdonnements d'oreilles ; jamais d'évanouissements ni de
convulsions
. Les règles étaient toujours absentes. KOUVELLL
de céphalées violentes accompagnées de vertiges. Il n'eut jamais ni
convulsions
ni troubles de la vue. En même temps il s'aperç
dents familiaux. Lui-même est né à terme dans de bonnes conditions.
Convulsions
dans le jeune âge, .scarlatine. Erysipèle à l'â
acilement passer inaperçus. Le second de nos malades a présenté des
convulsions
dans l'enfance. Ce phé- nomène a été noté par P
l y en eut une dizaine en tout, mais sans localisation spéciale des
convulsions
. Depuis la première crise, la malade fut sujett
appelle son infirmière et lui dit qu'elle sent venir la crise. Les
convulsions
débutent au bras et à la jambe gau- ches. Dévia
gine des crises convulsives ? Entre le calme le' plus complet et la
convulsion
la mieux caractérisée n'observe-t-on pas toute
unifient ? L'émotivité exagérée n'est-elle déjà pas une ébauche de
convulsion
? Toute impression subie par l'organisme marque
ent à la folie et l'idée inoffensive que l'on chasse à volonté ! La
convulsion
n'est qu'un paroxysme de l'émotion et la généal
d'ataxie, ni d'asynergie ni de tremblement intentionnel ; jamais de
convulsions
, ni de .vertiges ; rien du côté de la sensibili
combé, l'un à 22 jours au croup, un - autre à 18 mois à la suite de
convulsions
, le dernier à 32 mois à une fièvre typhoïde.
énérale. En juillet 1907, elle entre à l'hôpital Trousseau pour des
convulsions
épilep- tiformes. Après la crise, on constate e
t atteinte de paralysie générale. Celle-ci est caractérisée par des
convulsions
et des modifications de caractère. Il n'y a pas
derniers jours, ne s'était révélée à nous par aucun symptôme : les
convulsions
étaient, pourrait-on presque dire, le seul signe
u une dotbié- nentérie peuvent n'avoir ni vertige, ni secousses, ni
convulsions
. L'excitabilité accrue ou diminuée de l'encépha
rès nerveuse aussi, très excitable ; elle n'a pourtant jamais eu de
convulsions
; elle n'a jamais présenté non plus de manifesta-
monaire, n'ajamais eu de crises de nerfs. Un frère mort à un an de
convulsions
. ASTASIE-ABASIE A TYPE CHORÉIQUE. 89 Trois so
on du blanc provoque dans les extrémités supé- rieures une sorte de
convulsion
fulgurante. Ce dernier phénomène se produit éga
puissante d'abord, à raison de conditions spéciales, à produire des
convulsions
parce qu'elle n'irradie pas sur les centres sou
és en ce qui concerne l'atrophie, ni dans les douleurs, ni dans les
convulsions
fibrillaires, ni dans la réaction dégénérative; l
mène exceptionnel qui, dans l'observation en question, a simulé les
convulsions
de la troi- sième période du quinisme ordinaire
d'autre maladie antérieure à l'affection actuelle. Il n'a pas eu de
convulsions
dans le cours de ses premières an- nées. Il a m
n allaitement durant déjà depuis dix mois. Son enfant eut alors des
convulsions
qui l'effrayèrent beaucoup. Au début, période d
sée complète ; on observe aussi sur la moitié du corps atteinte des
convulsions
clo- niques ; la connaissance n'est pas abolie.
eux, assuré- ment de nature hystérique, bien qu'elle n'ait point de
convulsions
, tels que : . Affaiblissement de la sensibili
nt des souffrances et compensent- elles leur rétrécissement par des
convulsions
du globe oculaire ? Dimanche dernier, en venant
gré 80, que le malade poussa un cri 0[ au feu ! » et se renversa en
convulsions
. Rien d'étonnant sans doute, puisque vous savez
tement après l'attaque, quinze minutes au plus après le début des
convulsions
; la période de trouble mental ayant été extra-
c'est la phase tonique, tantôt la phase clonique. Non seulement les
convulsions
peu- vent manquer dans ces accès avortés, mais
l'accès. Sans doute, la gêne des mouvements respira- toires due aux
convulsions
les accentue; cela paraît indis- cutable. Mais
e pour l'albuminurie qui suit les accès isolés. La répétition des
convulsions
amène à la longue une congestion des reins qui
seconde observation est plus particulièrement caractérisée par des
convulsions
fibrillaires, la réaction dégénérative et des s
n, elle est dans le plus profond coma; on constate les signes d'une
convulsion
épileptiforme, des troubles vaso-moteurs, une tem
sifs du même côté) ; l'affaiblissement alla en augmentant, mais les
convulsions
ces- sèrent. Trois mois après le début, survint
rd, attaque convul- sive de quelques minutes, avec prédominance des
convulsions
à droite; léger strabisme; le tout suivi d'un é
ar monosyllabes. Tout rentre à peu près dans l'ordre. Le lendemain,
convulsions
généralisées. La sensibilité est intacte sur le
, par suite, parle mécanisme que l'on connaît, se sont manifestées,
convulsions
unilatérales croisées et localisées et trouble
hilome, un tubercule solitaire, une esquille osseuse engendrent des
convulsions
sur un membre normalement développé. De là à pe
e balle dans le crâne), puis de mélancolie anxieuse avec quelques
convulsions
cloniques dans les extrémités, hallucinations de
gne, 431;- des aliénistes de Basse- Saxe et de Westphalie, 426.
Convulsions
, par Sall1sburg, 219. Diabète sucré ET tabès, p
l’action nerveuse, comme l'aphonie, le délire, le tremblement, les
convulsions
, parurent à diverses époques, et presque toujours
cheur; les attaques étaient simplement hystériques et accompagnées de
convulsions
violentes; il y avait entre Icsaccès un intervall
erveuse compliquée. Dès que je lui eus imposé les mains, elle eut des
convulsions
si fortes, si violentes, que son mari, qui lui te
« 1° Trois migraines, un tic douloureux, une colique spasmodique, des
convulsions
, un sentiment d’insectes rampant sur Ta peau, gué
traité, elle n’a eu qu’une seule fois sa crise, qui n’a pas reparu en
convulsions
, mais en migraine; elle touche à Ja fin de son tr
; et de fait c’était vrai. Mais voici qu'au bout de quelque temps des
convulsions
atteignent cette enfant, lui contournent les memb
reprocher. Mais voici que justement à la même époque que sa sœur les
convulsions
la mettent dans un état pareil ; et toutes (1)
de poivre de Cayenne. La jenne fille ressentit aussitôt de violentes
convulsions
, et, s’élançant à la figure du doctçur, elle lui
a chez qui tout se borne à des saisissements d’esprit, accompagnés de
convulsions
qui se communiquent quelquefois aux assistants, e
passage, jusqu’au rlpaire mystérieux où sa vie s’est épuisée dans les
convulsions
de la plus épou-vantable lutte. Le lieu témoin de
t des accès de suffocation avec perte de connaissance et de violentes
convulsions
. Cette première attaque d’hystérie dura une demi-
dont le premier degré se traduit par : se trouver mal ; la cime, par
convulsion
. Considéré d’une manière générale, on lui donne l
idiens et ganglionnaires, prenant diverses formes qu'on désigne par :
convulsions
, hystérie, êclampsie, épilepsie, etc. Les médic
telle partie et produire tel ou tel elïet. Avez-vous des crampes, des
convulsions
? L’utérus fait des siennes, paralysez-le. Le flui
pasmodique à cause indéterminée était de l’épilepsie. Aujourd’hui les
convulsions
accidentelles, durassent-elles quinze jours, ne s
truire, on administra l’éther sulfurique à haute dose, et des crises,
convulsions
et douleurs nerveuses dans la tète, qui furent le
landes autour du cou très-grandes.) 23. Pauline Mirande, de Pau. (
Convulsion
ncrvcu.»e à la tète, continuité de migraine, mala
parcourait tous mes membres, mes dents claquaient avec force, et les
convulsions
de ma bouche m’empêchaient de parler; en vain je
nt un certain temps, s’était de nouveau augmentée; je n’avais plus ni
convulsions
brusques, ni catalepsie, et, dans mon état normal
l'eau magnétisée seulement.) 11). Fille Micoclas, h. de Pau. (Des
convulsions
tr. s-forl’s et spasmes, qui n’ont cesse qu’après
ie du talion de cœur, des éblouissements a perdre connaissance el
convulsions
nerveuses ) S1. Marie-Magdelaine, épouse Changé
aine permanente, insomnie.) 73. Jean Sùguinoite fils, d’Artagua. (
Convulsions
nerveuses à perdre connaissance, très-fréquentes,
0. Jean Pon, domestique chez Cazenave, de Pau. (Fièvre nt-rveuse et
convulsions
nerveuses, surdité, migraine et mal d’orcdlcs.)
aladie d’yeux.) 88. Marie, fille Cuardies, dit Frances, d'Arbus. (
Convulsions
nerveuses très-violentes.) 89. Jeanne Balade, d
sans appétit.) 166. Bernard Malarpe fils, premier né, d’Assat. . (
Convulsions
nerveuses.) 167. Pauline, fille Callet, de Pau.
195. Jean Caussade, dit Laborde fils, neuvième né, h. de Gélos. (
Convulsions
nerveuses, insomnie, etc.) 190. Jeanne Cray, ve
s, surdités, gouttes, sciatiques, céphalalgies rebelles, rhumatismes,
convulsions
, épilepsies, frénésies, etc. En outre, profitant
; il ne m’en reste qu’un souvenir vague et confus ; j’avais de fortes
convulsions
; mes bras, mes jambes se raidissaient ; mon corps
che. » Et cinq religieuses ne tardèrent pas à ressentir d’effrayantes
convulsions
. Gela fut un trait de lumière pour des imaginatio
se rendirent au sein du monastère Saint-Louis; et, présumant que les
convulsions
et contorsions extraordinaires, les cris et agita
hors de libelles sont ignorantes. 3° 'Qu’après leurs plus violentes
convulsions
, extases et autres plus curieuses agitations de l
t la langue tirée hors d’icelle. 3° Que dedans leurs plus violentes
convulsions
et accès, elles parlent, ce qui est contre la nat
des crampons en pieds de chapon rosty. 6° Qu’ayant demeuré ainsi en
convulsion
universelle et extraordinaire, elles se relèvent
es; la malade manifestaitnft vive souffrance, et éprouvait de légères
convulsions
penuajjf que ses sens reprenaient leur activité.
a un fils de dix-sept ans, qui, depuis son enfance était sujet à des
convulsions
quand il éprouvait quelqu contrariété. Les accès
institut, et que deux de ces malades, deux femmes atteintes d’accès,
convulsions
périodiques , n’ont éprouvé d’abord de changement
la moelle à une égale distance des deux renflements, il provoque des
convulsions
égales aux jambes et aux ailes. Tohe XVII.— No 38
de dix-sept ans, eut à souffrir, en 1857, d'une névrose sous forme de
convulsions
cio- niques et de catalepsie. Les accès se pr
ne grande violence, le corps tout entier est soulevé en l’air par des
convulsions
, la respiration est haletante, précipitée ; la su
hacun des trois assistants, fatigué lui-même par l’attente et par les
convulsions
qu’il avait sous les yeux, éprouvait une insuppor
alement immobile , si ce n’est qu’il était de temps en temps agité de
convulsions
spasmodiques, assez fortes pour que le corps fût
anlement singulier ; parfois encore les muscles de la face entrent en
convulsion
, les mâchoires se serrent, les paupières sont agi
s très-fréquent. Pendant que nous dînions, l’enfant éprouva une forte
convulsion
, qui fut suivie par d’autres crises toutes les vi
e nous put suggérer pour dégager les voies inférieures et arrêter les
convulsions
, qui prenaient plus d’intensité et se prolongaien
prises différentes, dans la journée du jieudi, fut atteinte des mômes
convulsions
à la place de l'enfant. L’Esprit qui la contrôlai
, insensible , et semblable à un cadavre ; tantôt elle éprouvait des
convulsions
extrêmement violentes ; tantôt elle paraissait êt
avait magnétisé M. Beals. Au bout de sept minutes, il y eut de fortes
convulsions
des muscles sur tout le corps, semblables en appa
ns cette séance, ruais qu’auparavant il avait encore éprouvé quelques
convulsions
, beaucoup moins fortes qu’avant d’avoir été magné
tre notée, bien que la magnétisation de Frédéric et la survenance des
convulsions
pendant cette opération pussent n’avoir aucune co
up plus agité.La sous-commission fut invitée à donner un avis sur les
convulsions
musculaires de Frédéric, qui avaient continué pen
s n’avaient pu déterminer de sa part aucun mouvement, si ce n’est les
convulsions
dont il a été parlé : et cependant, quand on avai
l’effrayante immobilité de la paralysie et des non moins effrayantes
convulsions
de l’épilepsie. Il avait beaucoup de succès, comp
it, me dit-on, en danger, elle avait été toute la nuit en proie à des
convulsions
. Je cours chez elle, sa mère me reçoit les larmes
it les larmes aux yeux : — « Ma fille est daas un état désespéré, les
convulsions
n’ont pas cessé un instani, durant cette nuit; el
; mais, hélas ! en m’approchant d’elle et lui serrant les mains, des
convulsions
musculaires éclatent, une espèce Je tarantisme lu
237. Constipation, 227. Contractions musculaires, 86, 343, 630.
Convulsions
périodiques et autres, 82, 228, 459, 630. Crisp
. 25 de ceux-ci moururent pendant la première semaine de faiblesse,
convulsions
. oedème cérébral, etc. 6 étaient idiots, 5 étai
e, elle a eu trois enfants dont deux sont morts en bas âge, l'un de
convulsions
, l'autre de gastro-entérite; le troisième, âgé
douze mois de variole, un a quinze mois et un autre à huit jours de
convulsions
. Le quatrième est l'agent actif de cette observ
int. Dans les antécédents personnels de la malade on ne trouve ni
convulsions
, ni maladie fébrile, ni trouble mental nettement
nte pendant son enfance. Elle n'a jamais eu de fièvres graves ni de
convulsions
. Seulement à .l'âge de vingt ans, elle fit une
ent, elle était 172 -) PATHOLOGIE MENTALE. prise par une sorte de
convulsion
génitale, des sensations volup- tueuses suivaie
èvre typhoïde. Mariée, elle a eu trois enfants, dont un est mort de
convulsions
. Toujours elle a eu des migraines et a présenté
0.) Observation très détaillée d'un dégénéré. Tares héréditaires,
convulsions
dans l'enfance, signes de dégénérescence physique
terminée. M. Marie montre un jeune homme qui eut à quatre ans des
convulsions
suivies de paralysie des quatre membre, A huit an
perte de connaissance, pâleur, chute., puis rougeur de la face sans
convulsions
; au bout de quelques instants, elle revient à ell
petite était tout à fait bien portante. Depuis mai appa- rurent des
convulsions
cloniques, avant tout dans la moitié gauche de
bientôt après dans les membres supérieur et inférieur gauches. Les
convulsions
apparaissaient en forme d'accès qui étaient tan
issent bien. Le fond de l'oeil est normal. Souvent apparaissent des
convulsions
cloniques du muscle orbiculaire des paupières;
onvulsions cloniques du muscle orbiculaire des paupières; outre ces
convulsions
, paraissant plu- sieurs fois par heure, survien
ions, paraissant plu- sieurs fois par heure, surviennent encore des
convulsions
plus répandues après l'intervalle de un ou deux
vulsions plus répandues après l'intervalle de un ou deux jours; ces
convulsions
débutent ordinairement par la contraction cloni
tiraillements du coin gauche de la bouche ; bientôt s'associent les
convulsions
cloniques du membre supérieur et ensuite du mem
déjà les muscles faciaux sont en repos. Vers la fin de l'accès les
convulsions
cloniques des membres se transforment en spasme
étaient devenus plus forts et ont changé de caractère; l'ordre des
convulsions
n'était pas toujours constant : le plus souvent
des convulsions n'était pas toujours constant : le plus souvent les
convulsions
commençaient de l'extré- mité supérieure gauche
tère organique de la maladie par le caractère et la propagation des
convulsions
, le trouble nutritif dans les muscles, la modif
e le cas II très compliqué et porte l'attention sur ce fait que les
convulsions
se propageaient d'une manière non spéciale à l'
ation de la deuxième malade, a observé chez elle plusieurs accès de
convulsions
, trouve que le début de ces dernières n'est pas
tition le malade avale souvent de travers. Point de paralysie, de
convulsions
, ni de contractures. Dans les mouvements passifs,
guë de poitrine. Deux enfants nés avant elle avaient succombé à des
convulsions
dans leur première année. Elle avait eu elle-mê
s convulsions dans leur première année. Elle avait eu elle-même des
convulsions
à plusieurs reprises dans son enfance, et elle
s toujours. L'enfant était chétif, croissait lentement; il prit des
convulsions
, qui se répétèrent. et auxquelles il succomba a
ut pas allaiter. Elevée par une nourrice l'enfant eut cependant des
convulsions
à plusieurs reprises au cours de l'allaitement.
ond enfant élevé par une nourrice normale, a cependant eu aussi des
convulsions
et a donné naissance à des enfants tarés. REV
re malade : première dent à sept mois. Propre à dix mois. Premières
convulsions
à sept mois. Tics convulsifs de l'épaule du côt
convulsions à sept mois. Tics convulsifs de l'épaule du côté droit.
Convulsions
fréquentes de sept mois à trois ans. Début de l
trente-huit ans d'une hernie étranglée; pas de rhumatismes, pas de
convulsions
, pas de maladies vénériennes, ni de lièvre typh
té propre à dix mois. Ni bave, ni succion, ni onanisme. Premières
convulsions
à sept mois, avec la première dent, pen- dant t
eux grands ouverts. Depuis lors, jusqu'à trois ans, au moins cent
convulsions
. C'est la première qui a été la plus longue. Les
lsions. C'est la première qui a été la plus longue. Les pre- mières
convulsions
n'ont pas modifié l'intelligence. A la suite des
vulsions n'ont pas modifié l'intelligence. A la suite des premières
convulsions
, à sept mois, l'enfant, au dire de sa mère, 'au
urneur de son métier, mort en décembre 1899 de tuberculose. -Pas de
convulsions
, pas de migraines, pas d'abusd'alcool ni de tab
elle elle-même a une enfant : ni les uns, ni les autres n'ont eu de
convulsions
^ ÉPILEPSIE VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE.
le a commencé à causer à un an, à mar- cher à quatorze mois. Pas de
convulsions
. A six ans, M... fréquente l'école; elle y aura
tantes maternelles déséquili- brées. Une soeur et un frère morts de
convulsions
. Consanguinité (cousins germains). Inégalité d'
dent ci six mois. Début de la parole , et de la marche à dix mois.
Convulsions
internes à sept mois. - A huit ans et demi, chu
ge, Emma M..., âgée de trente ans, qui se tordait dans de terribles
convulsions
. Effrayés, les voisins crurent à un empoisonnem
itation du centre auditif, n'a pas lieu d'étonner davantage que les
convulsions
qui se sont succédé au niveau du même membre.
ans sa troisième année, elle eut un accès avec perte de conscience,
convulsions
et écume aux lèvres; ensuite, elle n'eut plus d
TIQUE ET ÉTATS ENCÉPHALOPATHIQUES. 309 Le 16 février, apparition de
convulsions
épilepliformes intéres- sant le côté droit et p
rminées. Aucun des enfants, morts ou encore vivants, n'aurait eu de
convulsions
. D'après les renseignements qui nous sont fourn
onnels de notre malade n'offrent rien de particulier. On ne note ni
convulsions
dans l'enfance, ni maladie infectieuse grave. A
es conclusions suivantes : 11, le tic est une variété dans le genre
convulsion
; 2° il est essentiellement clonique et caracté
acte physiologique déterminé. On peut le classer dans le groupe des
convulsions
cloniques sys- lématisées, en opposition avec l
e des convulsions cloniques sys- lématisées, en opposition avec les
convulsions
cloniques asystéma- tisées, dans lesquelles on
e l'inhibition. Certains tics psychiques. véritables équivalents de
convulsions
musculaires, des lubies tou- jours les mêmes, d
odique ; à vrai dire, quand nous employons ces mots de spasme ou de
convulsion
, nous savons bien ce que nous désignons, mais n
sance : le bras gauche en extension forcée, le bras droit secoué de
convulsions
, la tète et les yeux tournés à droite. Obtu- si
ais non accompagnée de délire, une explosion subite a heu, sorte de
convulsion
mentale qui se traduit par une fureur destructi
lée, le 17 août 1896. Père, cinquante-six ans, cordonnier. Pas de
convulsions
de l'en- IDIOTIE MORALE : MENSONGE. 419 fance
après une violente céphalalgie à droite. Attaque d'apoplexie avec
convulsions
très accusées à gauche. Mort. A l'autopsie, on tr
ys. Comme « l'hystérie desservantes» » ou comme certaines formes de
convulsions
, ainsi qu'on les appelle, qui existent ou ont e
est un simple frémissement musculaire, ou bien une série de petites
convulsions
cloniques qui se rap- prochent du tremblement.
ous ne saurions trop attirer l'attention du lecteur. ; Observation.
Convulsions
générales avec perte de connaissance a seize an
cause connue, il fut pris un jour subitement de ma- laises, puis de
convulsions
généralisées avec perte de connaissance. , Ces
puis de convulsions généralisées avec perte de connaissance. , Ces
convulsions
furent suivies d'un sommeil comateux qui persista
fut pris de vertiges, puis de perte de connaissance. (Y eut-il des
convulsions
? On ne sait pas bien.) Le malade eut ensuite u
onsista qu'en douleurs excessivement vives avec vomissements ? sans
convulsions
, ni délire, ni perte de connaissance..Après deux
En 1872, à l'âge de seize ans, première crise caractérisée par des
convulsions
généralisées, avec perte de connaissance et som
nt cette fois d'une façon formi- dable, avec perte de connaissance,
convulsions
, contracture et troubles passagers de l 'intell
a pathogénie ^serait bien,plus large, en ce qui a trait à certaines
convulsions
isolées qui hantent parfois les paralysies spas
se- ment et de marasme, la mort arrive dans le sopor au milieu de
convulsions
du tronc, répétées. Durée de l'affection : neuf m
mouvements du bras gauche. Jamais elle n'avait vomi, n'avait eu de
convulsions
ou d'attaques d'aucune sorte. JJn samedi, elle1 f
f nrW t v4, i 1 . par instants, leqeres contractions fibrulaires et
convulsions
dans les doiqts et le bras droits : Tout en aya
ëîri'én Il r 1. .11 Ct ? )) ? I ? \/.) ? -il 1,.t- qu'un rappel (
convulsions
fibnllaires du, coté droite hémi- crânie fréque
laire avec incoordina- tion (folie musculaire) et. des 1 crises (de
convulsions
toniques et- cloniques; un collapsus mortel ^co
le varié entremet'5'livres'dan's les vingt-quatre heures ? 7° Les
convulsions
épileptiquesj'(grand Inal), qui représentent' tou
néanmoins, se .développa une manie furieuse qui se termina par des
convulsions
cloniques et laimort. Aucune lésion ne fut cons
Observation Aura de la sensibilité musculaire dans la jambe gauche.
Convulsions
épileptiques généralisées d'emblée. Phénomènes
s. -- Pas d'excès alcooliques. Pas de syphilis. Il n'a jamais eu de
convulsions
, ni fait aucune maladie. Etat actuel. - Le mala
des, la face devenait vultueuse et cyanique ; puis commençaient les
convulsions
cloniques qui se développaient très régu- lière
e membre. (1) Brain, vol. ier, p. G7. 30 11L1GALIIAÈS LEMOS Les
convulsions
, qui étaient d'emblée généralisées, ne peuvent pa
cusait plusieurs fois dans la jambe gauche, immédiatement après les
convulsions
, et qui peut être comparée à la sensation de fa
rges de la substance grise de cette région, dont le résultat est la
convulsion
épileptique. Il s'agit donc d'une êp\\e^s\e sym
, pendant huit ans, étaient tellement caractéristiques du grand mal
convulsions
d'emblée généralisées et perte de connaissance
extrêmes. Mieux encore : tout le monde connaît des malades dont les
convulsions
étaient d'abord localisées dans un groupe de mu
électrique de l'écorce cérébrale chez les animaux peut produire des
convulsions
partielles ou générales : « Prova évidente, dit
fférences individuelles : elles permettront d'expliquer comment les
convulsions
produites par une pe- tite lésion en foyer rest
it, d'une crise épileptiforme; elle dura environ trois heures, avec
convulsions
et perte de connaissance. Lorsqu'il révint à lu
a nuit K... a deux crises d'une durée de deux heures et demie, avec
convulsions
, vomissements, écume aux lèvres. Les jours suiv
la mâchoire (ibid . , p. 663). (2) L. Landouzy, Cotit. il l'él. des
convulsions
et paralysies liées aux méningo-en- céphaliles
ob- servation suivante pourrait présenter quelque intérêt. Oss. -
Convulsions
de l'enfance; hémiplégie transitoire consécutives
ce, l'enfant qui était bien conformée et ve- nait bien fut prise de
convulsions
avec fièvre et qui lui laissèrent une paraly- s
LITIQUES 247 A eu une enfance très chétive; dans la première année,
convulsions
fré- quentes, qui ont donné de grandes inquiétu
, bien constitué, ayant la tête un peu forte. A trois semaines, des
convulsions
se manifestent, et la tète de l'en- fant commen
chiv., 1883, vol xci.) Un jeune garçon de 4 ans, hydrocéphale, avec
convulsions
fréquentes, très retardé au point de vue du lan
, nous avons appris il guérir des paralysies, des tremblements, des
convulsions
, des douleurs, des désordres du langage, des pe
t des mani- festations de l'hystérie telles que les paralysies, les
convulsions
, les contractu- res, les perversions du sentime
l'emploi des fers. Au dire de sa famille elle n'aurait jamais eu de
convulsions
; mais il trois mois sa soeur aînée la laissa to
e de 20 ans, sans antécédents héréditaires importants, est prise de
convulsions
à l'âge de 5 ans. Huit jours après, une deuxième
nvulsions à l'âge de 5 ans. Huit jours après, une deuxième crise de
convulsions
la laisse hémiplégique du côté droit. A partir de
ttaques hystériques. Elle a eu une soeur qui est morte à 16 mois de
convulsions
, et une plus tard qui a actuellement 8 ans et est
ès le rapport de la soeur et de l'interne Pétrone est en attaque de
convulsions
depuis déjà quelques heures. Cette attaque qui se
ire droit et la négresse ouvre les yeux, subitement délivrée de ses
convulsions
. Le lendemain, l'interne nous raconte que la cr
e spasme laryngé et la malade quiltait l'état de résolution par une
convulsion
tonique suivie d'un léger tremblement particulièr
roduction, paraît-il, de la se- conde crise que nous avons décrite (
convulsions
épileptoïdes, grands mouve- ments, arc de cercl
orte d'une congestion céré- brale. - Deux cousins germains morts de
convulsions
. z convulsions de l'enfance. Pas de consangui
tion céré- brale. - Deux cousins germains morts de convulsions. z
convulsions
de l'enfance. Pas de consanguinité. Inégalité d
ment, naissance, rien de pai-licil- lier. Normal jusqu'à neuf mois.
Convulsions
répétées de neuf mois à trois ans. Marche à deu
nne. Femme de taille élevée,'physionomie assez intelligente. Pas de
convulsions
, réglée à quinze ans et demi. A quatorze ans, a
de ses sept enfants un est mort de convidsions ; un autre a eu des
convulsions
. On ne connaît ni aliénés, ni épileptiques, ni
Quatre enfants : 1° Garçon mort du croup à deux ans et demi. Pas de
convulsions
, intelligent ; 20 Garçon mort à six mois du cho
ntelligent ; 20 Garçon mort à six mois du choléra infantile. Pas de
convulsions
; 3° Fillette de cinq ans, bien portante, bien d
en développée pour son âge. Intelligence ordinaire. Trois ou quatre
convulsions
à six semaines qui n'ontjamais reparu " depuis.
es, en un mot-paraissait tout à fait normal. A neuf mois, début des
convulsions
. Il en a eu 5 en trois jours, l'une d'elles, vu
jambes. La mère l'a repris et l'a placé à côté de son domicile. Les
convulsions
le prenaient deux ou trois jours de suite, puis
côtés et duraient trois ou quatre minutes. De deux à trois ans, les
convulsions
se sont espacées, venant toutes les semaines pu
lle de la grand'mère, alcoolique, par une congestion cérébrale, des
convulsions
chez plusieurs cousins. II. Lem..., d'après l
out à fait normal, jusqu'à neuf mois. Surviennent à ce moment des
convulsions
sous forme d'état de mal (2 heures), qui se 1'i
d sans expression, attention nulle, arrêt de la dentition, etc. Les
convulsions
se sont répétées fréquemment de neuf mois à deu
les genoux; cette dernière sensation persistait après l'accès. Les
convulsions
débutaient par le bras gauche, se propageaient
sion nécessaire siège primitivement dans .le cerveau et non pas des
convulsions
réflexes dont la cause peut siéger en un point
adie de Little. M. 13ris- saud ne le pense pas. Malgré l'absence de
convulsion
» et l'intégrité de l'intelligence, la localisat
maternel mort de tuberculose. Frère mort de méningite. Autre frère,
convulsions
de l'enfance, mort de tuberculose. De ! ? : t-s
hée ; la seconde est bien portante; ni l'une ni l'autre n'ont eu de
convulsions
.- [Son père, âgé de quatre-vingt-deux ans, sobr
IL DE FAITS. 1 Trois enfants : 1° un garçon mort Ae méningite, sans
convulsions
, en trois jours, à l'âge de neuf mois ; 20 garç
u vase à partir de trois mois. V... aurait eu, selon sa mère, des
convulsions
à seize mois. Ces prétendues convulsions parais
ait eu, selon sa mère, des convulsions à seize mois. Ces prétendues
convulsions
paraissent se réduire à des accès de colère. L'
ns perdre connaissance ; elle n'a eu ni contorsions des membres, ni
convulsions
des globes oculaires. On n'aurait observé qu'un
les symptômes de la paralysie générale : suractivité désordonnée,
convulsions
, etc. Au surplus, la clinique ne s'oppose pas à
u'il a fait apparaître parfois comme symp- tôme de suppléance de la
convulsion
disparue. Par analogie avec l'épilepsie on l'a
leçons-conférences ; 4° les 1 Toutes les fois qu'un enfant a eu des
convulsions
, le médecin devrait prendre de temps en temps l
normales aussi les suites de couches. L'aîné de ses enfants eut des
convulsions
infantiles. Vers t'age de trente- cinq ans elle
sance, qui a été d'une demi-heure environ, il ne s'est pas produit de
convulsions
. Enfin, il revint à lui et l'on put le ramener ch
utre des moments de répit, comme des entr'actes, pendant lesquels les
convulsions
et le délire s'interrompent momentanément. Mais j
ie spinale infantile de forme paraplégique développée à la suite de «
convulsions
». Cette paralysie a été la cause que de tous tem
de A et B sont nés quatorze enfants. Six d'entre eux sont morts de «
convulsions
»;Br... notre malade, est le septième ; on sait q
r... notre malade, est le septième ; on sait que lui aussi a eu des «
convulsions
» et qu'il a été frappé de paralysie infantile.
de ses frères et sœurs avaient déjà succombé en bas âge à la suite de
convulsions
. III Nous venons de reconnaître, dans l'histo
ptiforme qui mérite vraiment de porter le nom d'absinthique, mais ces
convulsions
-là ne survivent pas à l'abus de la boisson toxiqu
les aujourd'hui bien connues: d'abord c'est une phase marquée par des
convulsions
épileptiformes, ici peu accentuées ; puis se dess
veuse accentuée. Lui-même est névropathe ; dans l'enfance il a eu des
convulsions
; la nuit il parle, s'agite, gesticule. t. Comm
ans par exemple, quelle que soit l'intensité, souvent effroyable des
convulsions
choréiques, tant qu'il n'y a pas intervention de
38° o, 39°, 40° et au delà, et elle ne s'abaisse guère, alors que les
convulsions
ont cessé ou se sont considérablement affaiblies,
empes, et enfin la perte de connaissance a lieu en même temps que les
convulsions
se déclarent. Celles-ci sont des plus violentes
eu. L'accès épileptique, quelque intenses d'ailleurs que soient les
convulsions
, évolue en effet, je vous le rappelle,lorsque le
a été atteinte de chorée. Plusieurs frères de la malade sont morts de
convulsions
en bas âge ; une de ses sœurs a été sujette à des
voudrait, quand même elle ne le voudrait pas ». Plusieurs crises de
convulsions
toniques s'étaient produites sur ces entrefaites,
rte de connaissance qui dura, paraît-il, à peu près huit heures, sans
convulsions
. A 28 ans, tracas,, chagrins de ménage ; la mis
ire aigu qui l'a tenu au lit pendant six semaines ; d'ailleurs pas de
convulsions
dans l'enfance, pas d'alcoolisme, pas de maladies
onnaissance et plusieurs fois il est tombé à terre, sans présenter de
convulsions
; parfois cependant la chute a été accompagnée de
e de nuit, et fait de tels mouvements que son lit en est ébranlé. Les
convulsions
, d'une façon générale, prédominent du côté gauche
quelques faits relatés par le Dr Erlenmeyer dans son travail sur les
convulsions
statiques réflexes, lesquelles paraissent se rapp
il tombe à terre, tout à coup,comme une masse; alors surviennent les
convulsions
épileptoïdes, toni-quesd'abord, puis cloniques; i
86, — Mouvements de salutation. sens qu'il présente une période de
convulsions
toniques puis de convulsions cloniques, mais il e
on. sens qu'il présente une période de convulsions toniques puis de
convulsions
cloniques, mais il en diffère en général par quel
bsolue, mais le malade ignore si, dans ces circonstances, il a eu des
convulsions
. Il existe d'ailleurs chez notre malade, au desso
uillet,vers cinq heures du soir, sans nouvel orage, awrapuis quelques
convulsions
et, enfin perte de connaissance; après quoi est s
iques , cet éminent psychologue voyait dans ce qu'il appelle « la
convulsion
des idées » ce que (Esquirol avait ap- pelé une
elé une sorte de catalepsie de l'intelligence) l'équiva- lent de la
convulsion
des mouvements. La volonté ne saurait réfréner
on de l'in- telligence, contrairement à ce qu'on observe dans les
convulsions
partielles ou générales de l'épilepsie, dans l'
1887. (Brain, 1889.) LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 75 vaient les
convulsions
du malade, était exactement celui noté au comme
orte émotion, en proie à des hallucinations, à de l'angoisse, à des
convulsions
généralisées; ces dernières ressemblent traits po
ns généralisées; ces dernières ressemblent traits pour traits à des
convulsions
hystériques ; la réaction des pupilles sub- sis
essous de la circonvolution temporale supérieure, déter- minait des
convulsions
qui débutaient par une aura auditive rap- porté
meur atteignant la première circonvolution temporale produisait des
convulsions
unilatérales qui débutaient par un grand bruit
existence. Un second frère est aliéné. Plusieurs enfants ont eu des
convulsions
. - Les mouvements choréiques ont débuté à l'âge
ul immuable du paramyoclonus multiple,c'est la non-coordination des
convulsions
, et leur dissémination en plu- sieuis muscles d
. Ces éléments l'auteur les étudie. Ils lui ser- vent à diviser les
convulsions
musculaires idiopathiques en trois grands group
- chorée électrique - chorée la- ryngée - chorée diaphragmatique -
convulsions
du spinal. 2° Les myospasies impulsives, c'est-
de la jambe du même côté (atrophie, simple parésie), à la suite de
convulsions
. Autopsie : Intégrité de l'écorce (l'intelligen
(Arch. f. Psych., XIX, 3.) Deux observations caractérisées par des
convulsions
fibrillaires, sans aucun symptôme qui témoigne
anche, elles sont continues et se traduisent par une alternative de
convulsions
faibles et fortes, elles ne modifient guère les m
, jeune fille de dix-neuf ans, est chétive, délicate, elle a eu des
convulsions
dans son enfance, et reste aujourd'hui très émo
ulation au cou et alors elle pâlissait et se « trouvait mal », sans
convulsions
d'aucune sorte. On la met- tait immédiatement s
es du bégayement ordinaire, elles sont parfaite- ment connues : des
convulsions
, l'imitation volontaire ou involon- taire, des
é qui est en rap- port avec la plagiocéphatie et où prédominent les
convulsions
. La sensibilité thermique, presque normale est
vec des phénomènes d'hyposmie et d'anosmie plus manifestes après la
convulsion
. La sensibilité auditive est moindre que chez l
E DE PATHOLOGIE MENTALE. est presqu'intacte, peu troublée après les
convulsions
, avec des symptômes de rétrécissement du champ
paroxyslique et apparaît dans le plus grand nombre des cas après la
convulsion
.- Du coté de la motilité, il y a des troubles d
de 7 mois, contracta la variole a la suite de laquelle elle eut des
convulsions
suivies d'une hémiplégie gauche qui ne tarda pa
t fort heureusement disposé pour ajouter en- core à l'impression de
convulsion
violente. Les cheveux longs et abondants sont t
. Les 4 frères et soeurs (y compris le malade) auraient tous eu des
convulsions
pendant l'enfance. ' .4. P. Rougeole dans la
ns pendant l'enfance. ' .4. P. Rougeole dans la première enfance.
Convulsions
dans le bas-âge. S... n'a commencé à marcher qu
ère mort d'une pleurésie.- Mère ( ? ); 3 frères morts en bas-âge de
convulsions
; 1 soeur mort-née avant terme. Grands-parents in
ectueuse et son intelligence assez limitée. Elle n'aurait pas eu de
convulsions
, ni de difficultés de la marche pendant l'enfance
e légère incurvation du tihia droit. Elle aurait eu,vers 3 ans, des
convulsions
dont le strabisme actuel serait un reliquat.
la vessie, étaient si aiguës, qu'elles jettaient la malade dans des
convulsions
; tout ce qui la soulageait dans ces accès, était
pour l'interroger en détail sur son état, j'en fus empêché par ses
convulsions
qui la prirent quelques instants après mon arri
ands battements de coeur qu'elle m'a dit succéder constamment à ces
convulsions
; que les uns et les autres étaient l'effet des
encore sur les onze heures, alors elle avait des défaillances, des
convulsions
: elle battait la campagne. A minuit, dans l'ef
ierre. Dans-la journée -elle souffrit beaucoup, ses douleurs et ses
convulsions
ne la quittèrent point. Je fus frappé particu
supportable. Le 19, la malade a été dans des agitations et dans des
convulsions
presque continuelles, les urines ont été totale
Les douleurs vésicales de Geneviève provoquaient généralement des «
convulsions
». Cette coïncidence est' attestée par maints aut
relate le'fait très singulier d'une jeune demoiselle sujette à des
convulsions
hystériques qui a eu trois ou quatre fois une é
coliques qui la jetaient pendant un quart d'heure environ, dans des
convulsions
et des perles de connaissance ; il y a apparence
; les autres sont morts de maladies diverses : variole, cholérine,
convulsions
... en bas âge. Nous devons signaler cependant q
de mère spécifique. L'enfant meurt deux jours après la naissance de
convulsions
. Organes viscéraux ne présentent pas de lésions
fs, etc.). Antécédents personnels. Etant enfant, la malade a eu des
convulsions
au cours desquelles elle a parfois perdu connai
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