s (Marguerite), 91 ans. — Attaque d'apoplexie, hémiplégie gauche avec
contracture
, retour de l'intelligence. Mort neuf jours après
st amené à l'hôpital le 4 mars 1867 avec une hémiplégie droite et une
contracture
des membres du côté gauche; on n'a sur lui aucun
légie gauche de la face et des membres. Les membres paralysés sont en
contracture
. Le 2 mars, une eschare commence à se former sur
on (Catherine), 58 ans. — Attaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche,
contracture
et analgésie des membres paraysés. Agitation, dél
t. Moreau (Marie-Eugénie), 70 ans. —Ancienne hémiplégie droite avec
contracture
permanente ; mort le 30 juillet 1866. A Vautops
nviron avant la mort. L'hémiplégie s'était tardivement accompagnée de
contracture
permanente. La démence était devenue complète ave
tte femme, qui présentait depuis longtemps une hémiplégie gauche avec
contracture
, meurt sans cause connue le 17 août 1867. A Yau
igence est fort abaissée, est gâteuse et présente une hémiplégie avec
contracture
du côté droit; la face est assez fortement déviée
lée (Julie-Sophie), 75 ans. — Présentant une hémiplégie ancienne avec
contracture
du côté gauche qui datait de 9 ans environ, cette
le se plaignait d'étouffements, elle avait une hémiplégie gauche avec
contracture
, et elle est morte avec une eschare, le 31 mars 1
e. — Vulpian. Boulé (Anne), 65 ans. Ancienne hémiplégie gauche avec
contracture
permanente des membres paralysés. La malade meurt
it ; pas d'oblitération artérielle. Hémiplégie gauche incomplète avec
contracture
. Début le 20 décembre 1800; sans état apoplecti
e avec état apoplectique le 31 octobre 1807. — Hémiplégie droite sans
contracture
. Premier jour, érythème rosé à .la fesse droite
le 13 Avril 1867. — Brusque, non apoplectique, Hémiplégie gauche avec
contracture
puis flaccidité. Deuxième jour, érythème de la
latéral correspondant. Début apoplectique. — Hémiplégie gauche avec
contracture
, puis flaccidité. Le quatrième jour, érythème e
cule. Début apoplectique le 15 avril 1867. — Hémiplégie gauche avec
contracture
. Le sixième jour, érythème de la fesse. Le se
rvelet. Début apoplectique le 22 mai 1867. — Hémiplégie droite sans
contracture
. Le troisième jour, plaque violacée de la fesse
tœniforme droit. Début le 28 octobre 1866. — Hémiplégie gauche sans
contracture
, début apoplectique. Le troisième jour, tache v
Début le 7 juillet 1807. — Etat apoplectique. Hémiplégie droite sans
contracture
. Le deuxième jour, érythème de la fesse. T. R.
oit. Début apoplectique le 0 janvier 1800. — Hémiplégie gauche sans
contracture
. Le dixième jour, plaque violacée, puis eschare
sance. — Hémiplégie faciale, puis hémiplégie des membres droits, sans
contracture
. Troisième jour, érythème et plaque ecchymotiqu
ulaire. Début 26 février 1867, apoplectique. Hémiplégie gauche avec
contracture
, puis flaccidité. Le quatrième jour, érythème,
er octobre 1867, sans perte de connaissance. —Hémiplégie gauche, sans
contracture
. Le cinquième jour, une large plaque violette s
le corps strié. — Perforation ventriculaire. — Hémiplégie droite avec
contracture
, puis flaccidité. — Mort le sixième jour. TR. 39°
rforation ventriculaire. — Début apoplectique, hémiplégie droite sans
contracture
; mort le sixième jour. TR. 10°, 0. Obs. XXVIII.
iculaire. — Analgésie des membres paralysés. — Hémiplégie gauche avec
contracture
. — Début apoplectique. — Mort le troisième jour.
les parties où plonge le thermomètre et les muscles échauffés par la
contracture
(2). 1. En collaboration, avec M. Ch. Bouchard.
orps ; à gauche le membre supérieur est roide, demi-fléchi, fortement
contracture
; on ne peut l'étendre qu'avec peine, et aussitôt
primitive. Le membre inférieur gauche est également demi-fléchi et
contracture
, mais d'une manière moins prononcée. Sur les memb
i et contracture, mais d'une manière moins prononcée. Sur les membres
contractures
, la sensibilité de la peau n'est pas complètement
reparaît, et enfin il survient un coma profond. Pendant ce temps, la
contracture
persiste sans modification dans les membres du cô
surtout par une perte complète de connaissance et une paralysie avec
contracture
des membres du côté gauche. C'est dans cet état q
e, soit de l'état des fonctions cérébrales, soit de la paralysie avec
contracture
des membres du côté gauche. Le 15 septembre, aprè
eures seulement, et n'a pas été suivie d'accidents de paralysie ou de
contracture
, car, après que la malade eut été transférée dans
énéralement à l'encéphalite, tels que le délire, les convulsions, les
contractures
, sont très rares au début du ramollissement. Lors
s, ils peuvent être rapportés toujours à une complication. Quant à la
contracture
tardive, si fréquente dans les membres paralysés
demi-flexion ; mais il n'y a pas de rigidité proprement dite, pas de
contracture
. La douleur articulaire paraît être d'ailleurs à
nne après l'avoir soulevé; il est d'ailleurs flaque et sans traces de
contracture
. Il n'y a eu ni perte cle connaissance, ni convul
a cure de certains phénomènes hystériques, notamment l'anesthésie, la
contracture
, parce qu'il a appelé la métallothérapie. « L'a
rieur. « J'ai mis entre les mains de M. Burq une malade atteinte de
contracture
hystérique qui ne datait que de quinze jours. Sur
de M. Burq, on lui déposa sur son membre environ 1000 francs d'or.|La
contracture
, bien que très récente,persista. « En résumé, l
cas parfaitement établis. Une femme qui reste huit ans avec un membre
contracture
n'est pas une femme qui simule ; une femme qui se
1778. Il s'agit d'une hystérique chez laquelle les convulsions et les
contractures
étaient calmées instantanément par l'application
oici maintenant la nommée B..., qui vous a présenté un bel exemple de
contracture
hystérique. 11 y a onze ans qu'elle est malade. E
a eu l'autre jour une crise, à la suite de laquelle est survenue une
contracture
. Seulement, cette contracture n'a duré que sept à
à la suite de laquelle est survenue une contracture. Seulement, cette
contracture
n'a duré que sept à huit jours, tandis qu'autrefo
ontrée à la suite de cette attaque qu'au membre inférieur droit où la
contracture
s'était développée. Voilà les quatre malades tr
soit un peu forte et un peu prolongée, et se transforme facilement en
contracture
permanente; l'excitation d'un nerf provoque la co
urne inversement. Sur un bras, l'excitation des fléchisseurs amène la
contracture
du membre dans la flexion, laquelle cesse par l'e
tensité de l'excitation, on obtient à \rolonté une contraction ou une
contracture
. A cet état des muscles, se joignent pour carac
uation qu'on leur donne, en dehors de celle que peut leur imprimer la
contracture
provoquée : carus ou sommeil (première phase), so
e peuvent indifféremment occuper l'un ou l'autre côté du corps. Les
contractures
variées que l'état de léthargie permet de donner
arienne. Mais si au lieu de la réveiller, on la rend cataleptique, la
contracture
persiste tout le temps que dure la catalepsie pou
é l'aite pour la première fois par M. Dcscourtis, élève du service.
contracture
persiste alors indéfiniment et la malade, complèt
enue à elle, offre toutes les apparences d'une hystérique atteinte de
contracture
permanente. Il n'est alors possible de la débarra
manente. Il n'est alors possible de la débarrasser complètement de la
contracture
, qu'en la plongeant de nouveau dans l'état de som
ouveau dans l'état de sommation (1). L'hystérique ainsi affectée de
contractures
permanentes artificielles, par le procédé que nou
écial du système musculaire, que l'on pourrait appeler la diathèse de
contracture
, c'est-à-dire que les muscles sont susceptibles d
er sous l'action d'agents très-divers, de l'aimant par exemple, et la
contracture
ainsi attirée, en quelque sorte, sur un autre poi
ait primitivement atteints. Ainsi, supposons notre malade affectée de
contracture
permanente artificielle du bras droit ; si l'on f
de distance de la peau, le bras gauche, au bout de peu d'instants se
contracture
en môme temps que le bras droit retrouve sa soupl
droit retrouve sa souplesse normale. Ce procédé de déplacement de la
contracture
sous l'influence de l'aimant a été utilisé pour l
e sous l'influence de l'aimant a été utilisé pour le traitement d'une
contracture
permanente hystérique, survenue spontanément chez
de la métalloscopie qui semblent tout d'abord si mystérieux. VI.
Contracture
hystérique et aimants ; phénomènes curieux de tra
y a quatre ou cinq mois, pour se faire traiter à la Salpêtrière d'une
contracture
hystérique du membre supérieur droit dont elle ét
us demandâmes alors si, en agissant sur le membre du côté opposé à la
contracture
, c'est-à-dire sur le br;is gauche, nous n'obtiend
Et, en effet, l'application d'un aimant du côté gauche produisit une
contracture
du côté gauche et, en outre, une insensibilité in
s deux ou trois jours, pendant un mois, nous avons ainsi provoqué une
contracture
artificielle du côté sain, par une espèce de révu
artificielle du côté sain, par une espèce de révulsion. Cependant la
contracture
du côté droit s'amendait, et peu à peu, la malade
représente cette malade au moment où elle était atteinte d'une double
contracture
, survenue à la suite de notre traitement. Enfin,
elle. Nous allons placer un aimant près du bras droit, primitivement
contracture
et qui aujourd'hui ne l'est plus. Après quelques
l'est plus. Après quelques instants, vous allez voir se reproduire la
contracture
du membre droit, telle qu'elle était au moment de
nt, sous l'influence de cet aimant, la main se fermer et le membre se
contracture
!*. Si maintenant nous plaçons l'aimant près du
maintenant nous plaçons l'aimant près du bras gauche de la malade, la
contracture
disparaît progressivement à droite, et envahit le
oit. Une séance d'électrothérapie fera, d'ailleurs, disparaître cette
contracture
gauche dans le cours de la journée, et enlèvera à
ée, et enlèvera à cette malade la crainte de se voir affligée d'une
contracture
gauche à la suite du traitement de sa contracture
voir affligée d'une contracture gauche à la suite du traitement de sa
contracture
droite. Pour terminer, je vous présente une aut
présente une autre malade hystérique, à laquelle nous avons donné une
contracture
du membre inférieur droit par un artifice particu
urités qui l'entourent encore). Voilà donc une fille atteinte d'une
contracture
artificielle du membre supérieur droit. Si nous p
imant près de la main gauche, nous faisons promptement disparaître la
contracture
du côté droit, mais elle est remplacée par une co
araître la contracture du côté droit, mais elle est remplacée par une
contracture
du côté gauche. Nous pouvons de môme faire pass
ne contracture du côté gauche. Nous pouvons de môme faire passer la
contracture
du bras gauche à la jambe, gauche ou droite, en y
ppliquant l'aimant. En un mot, nous sommes maîtres de faire passer la
contracture
, artificiellement produite, d'un membre à l'autre
embre ou à une région quelconque du corps. Mais il reste toujours une
contracture
: pour la faire disparaître, il faut faire repass
de préparations qui nous a servi à la mettre primitivement en état de
contracture
hystérique artificielle. Les phénomènes du côté
ènes du côté de la sensibilité (hémianesthésie hystérique) suivent la
contracture
. Dès que notre malade sera délivrée de l'état d
Dès que notre malade sera délivrée de l'état diathésique spécial de
contracture
dans lequel nous l'avons mise, elle ne pourra plu
dans lequel nous l'avons mise, elle ne pourra plus être hystérique à
contractures
comme vous venez de la voir, à moins de passer pa
vous ferai connaître ultérieurement. On ne pourra plus reproduire la
contracture
par l'application d'un aimant sur le membre, ni l
endre insensible. Celle curieuse expérience vous montre donc que la
contracture
hystérique peut être provoquée artificiellement c
sans doute en tirer dans la suite de nos recherches, pour traiter les
contractures
hystériques proprement dites. La découverte de
si qu'apparaîtront les divers autres phénomènes de l'hystérie : aura,
contractures
, douleur ovarienne, etc. Si l'hystérique est droi
, battements à la tempe droite, troubles de la vision de l'œil droit,
contractures
du côté droit, douleur dans la région ovarienne d
e est atteinte d'achromatopsie, du côté où encore elle présentera des
contractures
hystériques, si ce phénomène se manifeste. Dans u
ement les couleurs reparaissent et sont perçues régulièrement. III.
Contracture
hystérique artificielle. —Catalepsie artificielle
mment le simple voisinage d'un aimant nous permet de faire passer une
contracture
hystérique naturelle dans un autre membre et d'un
le, nous pouvons, chez une hystérique, provoquer artificiellement une
contracture
dans le membre que nous voulons, et que désormais
contracture dans le membre que nous voulons, et que désormais, cette
contracture
se comporte comme une contracture hystérique natu
us voulons, et que désormais, cette contracture se comporte comme une
contracture
hystérique naturelle. Vous avez vu, d'ailleurs, q
avez vu, d'ailleurs, qu'après avoir affligé notre hystérique de cette
contracture
momentanée, nous avons pu l'en débarrasser aussit
ême point, je produirai, non plus une contraction passagère, mais une
contracture
. Je touche plusieurs fois les muscles du bras dro
urs fois les muscles du bras droit, et vous voyez que la malade a une
contracture
du membre supérieur droit. Pendant que notre ma
e ou en lui comprimant la région ovarienne), nous la trouvons avec sa
contracture
; sa contracture du bras peut passer d'un côté à
imant la région ovarienne), nous la trouvons avec sa contracture ; sa
contracture
du bras peut passer d'un côté à l'autre, et dans
vous l'avez vu dans la séance précédente. Pour faire disparaître la
contracture
, il faut de nouveau faire tomber notre malade dan
existe : je fais une excitation légère des extenseurs du bras, et la
contracture
des fléchisseurs disparaît. Je réveille la malade
us venons d'étudier. Alors la surexcitabilité des muscles existe ; la
contracture
pourrait être produite, etc., comme nous l'avons
phénomènes ; ils nous découvrent quelques points de la pathologie des
contractures
hystériques ; espérons qu'un jour nous arriverons
tous les détails inconnus et à les utiliser pour le traitement de ces
contractures
. Vili. Episodes nouveaux de l'hystéro-épileps
hystéro-épilepsie. — Zoopsie. — Catalepsie chez les animaux (1). I.
Contracture
hystérique; disparition subite. —On sait que la c
(1). I. Contracture hystérique; disparition subite. —On sait que la
contracture
hystérique est d'une ténacité extrême, et persist
lquefois pendant plusieurs années. J'ai vu ici une malade atteinte de
contracture
hystérique permanente pendant huit années consécu
manente pendant huit années consécutives. Mais il peut arriver que la
contracture
disparaisse tout à coup sous l'influence d'une ém
t entrée à la Salpêtrière comme incurable : elle était atteinte d'une
contracture
du côté gauche qui durait depuis huit ans : quelq
l'impressionne vivement ; tout à coup, ses membres se détendent et sa
contracture
cesse immédiatement. Ce n'est pourtant que les jo
iagnostic. — La paralysie est le phénomène précurseur ordinaire de la
contracture
: un membre se paralyse d'abord, puis survient la
e de la contracture : un membre se paralyse d'abord, puis survient la
contracture
. C'est, par exemple, ce qui est arrivé chez la re
oins violente, un membre est paralysé, puis il devient le siège d'une
contracture
. Je vous présente aujourd'hui une jeune fille a
main ayant touché légèrement l'autre membre inférieur que je croyais
contracture
, la malade poussa un cri; il y avait donc hypéres
erveuse que vous connaissez ; je puis provoquer de ce côté gauche les
contractures
hystériques, de la langue par exemple. Je la re
e, et je la réveille en lui soufflant sur la figure. Elle a gardé ses
contractures
du côté gauche et de la langue. Je les fais dispa
, au cou ; les excitations un peu intenses et plongées déterminent la
contracture
des muscles mis en jeu ; à la face, au contraire,
contractions sont passagères, elles ne s'établissent pas à l'état de
contracture
durable. Les contractures se produisent encore su
ères, elles ne s'établissent pas à l'état de contracture durable. Les
contractures
se produisent encore sur les membres, par le fait
ur les membres, par le fait de la percussion répétée des tendons. Ces
contractures
, produites soit par l'excitation des nerfs ou des
es eux-mêmes, ou encore la percussion des tendons ne détermine pas la
contracture
. Par contre, on peut, par diverses manœuvres, ent
sur la peau, développer dans ce membre une rigidité qui diifôre de la
contracture
liée à l'hyperexcitabilité musculaire en ce qu'el
ement en une aptitude spéciale que présente le muscle (2) à entrer en
contracture
sous l'influence d'une simple excitation mécaniqu
ille de quelques phénomènes produits pendant l'état hypnotique. — Les
contractures
produites par excitation mécanique des muscles pe
'excitation des antagonistes. Pour amener la résolution rapide de ces
contractures
artificiellement produites, il suffit, le sujet é
ilité musculaire pour agir sur les antagonistes. Malheureusement, les
contractures
spontanées des hystériques ne se comportent pas c
ontractures spontanées des hystériques ne se comportent pas comme les
contractures
artificielles ; alors môme que le sujet a été plo
ce phénomène qui consiste en une aptitude particulière du muscle à la
contracture
sous l'influence de l'excitation mécanique et qui
met si facilement en relief, on arrive bientôt à se convaincre que la
contracture
musculaire n'est pas due seulement à l'excitation
ions intimes qui font de l'exaltation des réflexes tendineux et de la
contracture
musculaire des faits de même ordre, on ne sera pa
e décrit par l'un de nous sous le nom 1. Dans ces recherches sur la
contracture
provoquée pendant l'hypnotisme, nous avons tenu à
. Nous savons en effet que ces derniers agents font souvent naître la
contracture
chez les hystériques sans qu'il soit nécessaire d
es réflexes tendineux, dont il devient, dans le cas particulier où la
contracture
suit l'excitation du tendon, comme une nouvelle m
us longue, elle marche vers le téta-nisme et tend à se transformer en
contracture
; y) La contraction devient permanente. Le choc
cture ; y) La contraction devient permanente. Le choc a provoqué la
contracture
. Rarement un seul choc amène ce résultat ; mais,
. Rarement un seul choc amène ce résultat ; mais, le plus souvent, la
contracture
est facilement obtenue à la suite de plusieurs ch
forme en plateau ; c'est un tétanos de courte durée, l'esquisse de la
contracture
. Mais ces deux modes de l'exaltation des réflexes
tion des réflexes tendineux — irradiation du réflexe et tendance à la
contracture
— qui, dans certains cas, se montrent à la fois c
ontraction prolongée. b) Un choc un peu violent produit d'emblée la
contracture
permanente. c) La contracture permanente est ég
oc un peu violent produit d'emblée la contracture permanente. c) La
contracture
permanente est également provoquée par la répétit
sieurs chocs légers, et elle se développe alors progressivement. La
contracture
ainsi produite ne subit pas un accroissement exac
stfaible et répétée. Tous deux conduisent au même résultat qui est la
contracture
permanente, mais par des procédés un peu différen
, de la contraction réflexe qui suit le choc du tendon. Tendance à la
contracture
. Tracé I. Pendant la veille, choc sur les tendo
érience nous trouvons la malade plus excitable que le 7 lévrier. — La
contracture
à peine produite devient du même coup contracture
le 7 lévrier. — La contracture à peine produite devient du même coup
contracture
permanente. Un choc, même modéré, produit d'emblé
oup contracture permanente. Un choc, même modéré, produit d'emblée la
contracture
. i'ig» 3« - Contracture pcr choc tendineux pend
. Un choc, même modéré, produit d'emblée la contracture. i'ig» 3« -
Contracture
pcr choc tendineux pendant la léthargie E, Exte
es excitations très légères, on arrive également très rapidement à la
contracture
ainsi que le prouvent les tracés des fig. 3 et h.
ypnotisme : a) irradiation du réflexe, chez Cail...; b) tendance à la
contracture
et contracture confirmée, chez Witt... Mais, ains
irradiation du réflexe, chez Cail...; b) tendance à la contracture et
contracture
confirmée, chez Witt... Mais, ainsi que nous l'av
ême que celle du muscle éloigné du point d'excitation) tendre vers la
contracture
. C'est ce que démontrent les tracés suivants ob
drons pas sur la disposition des appareils enregistreurs. Fig. 5. —
Contracture
par choc tendineux pendant la léthargie. B b.,
i bien que celle du triceps crural, offre une tendance manifeste à la
contracture
. Dans une autre expérience, sur la nommée Cail.
nous avons vu à la suite de chocs répétés sur le tendon rotulien, la
contracture
se confirmer peu à peu et finalement s'établir au
it été directement portée. — En même temps que le membre inférieur se
contracture
dans l'extension forcée, on voit le membre supéri
début de la grande attaque hystérique. Dans le cas qui précède, la
contracture
qui a suivi la percussion du tendon rotulien est
, la propagation de l'excitation peut dépasser la ligne médiane et la
contracture
, qui en est la conséquence, s'étendre aux quatre
e, quelques détails Fig. 6. — Diffusion du réflexe et tendance à la
contracture
pendant la léthargie. B b, Biceps brachial gauche
ation con-vulsive. En répétant les chocs sur le tendon rotulien, la
contracture
permanente de la jambe ne tarde pas à s'établir.
obilisation dans l'extension complète. Nous remarquons alors que la
contracture
n'est pas demeurée localisée au seul membre direc
e localisée au seul membre directement intéressé ; les deux bras sont
contractures
dans l'extension et la pronation, l'autre jambe e
es de la nuque. En résumé, il s'est produit là une sorte d'attaque de
contracture
généralisée. Cette contracture disparaît facile
st produit là une sorte d'attaque de contracture généralisée. Cette
contracture
disparaît facilement par la friction des parties
leur souplesse. Dans une seconde expérience de généralisation de la
contracture
à la suite du choc répété sur le tendon rotulien,
uite du choc répété sur le tendon rotulien, nous avons fait cesser la
contracture
d'un même coup partout à la fois, au moyen d'une
choc répété sur les tendons de la face palmaire du poignet amène la "
contracture
des deux bras dans la demi-flexion. Les membres i
i-flexion. Les membres inférieurs dans ce cas ne participent pas à la
contracture
. Les recherches faites au sujet de l'état des r
nséquence du choc sur le tendon présente une tendance marquée vers la
contracture
. La contracture permanente est le plus souvent
sur le tendon présente une tendance marquée vers la contracture. La
contracture
permanente est le plus souvent obtenue à la suite
énomènes de l'hyperexci-tabilité neuro-musculaire, c'est-à-dire de la
contracture
musculaire obtenue à l'aide d'une simple excitati
tation des réflexes tendineux : diffusion du réflexe et tendance à la
contracture
. La diffusion des réflexes se rencontre souvent
toute l'étendue des centres et la contraction réflexe, de même que la
contracture
, se généralise. Au contraire, chez les malades qu
il suffit du plus léger choc tendineux pour produire immédiatement la
contracture
localisée et dans ce cas l'excitation nrest pas a
tion. Au résumé, le choc est un mauvais procédé de localisation. La
contracture
suit également d'autres procédés d'excitation méc
que nous allons étudier maintenant, ont pour résultat de produire la
contracture
plus sûrement que l'excitation par choc et d'évit
u'une série de secousses musculaires, sans tendance manifeste vers la
contracture
, la malaxation ou la friction un peu prolongée de
un peu prolongée de ces mêmes tendons, provoquer assez facilement la
contracture
permanente. D'autre part, dans certains cas où
tains cas où le choc tendineux était suivi de la généralisation de la
contracture
, la malaxation du tendon a produit la contracture
énéralisation de la contracture, la malaxation du tendon a produit la
contracture
locale. Mais c'est principalement sur les sujets
choc, au double point de vue de la précision et de l'intensité de la
contracture
. Chez ces sortes de malades on réussit à provoq
si peu prolongée qu'elle soit, ne saurait produire autre chose qu'une
contracture
. 11 en résulte que, pour la production de la cont
chose qu'une contracture. 11 en résulte que, pour la production de la
contracture
réflexe par excitation tendineuse, non seulemen
t avec l'extrémité mousse d'un porte-plume, par exemple, pour voir la
contracture
se développer instantanément, les tendons faire s
lequel elle a été maintenue. On voit par la courbe (Fig. 7) que la
contracture
met plus de temps à se produire que par le choc e
uire que par le choc et qu'elle débute moins brusquement. Fig. 7. —
Contracture
par pression légère exercée sur le tendon pendant
celui-là seulement — s'étende, maintenu dans cette situation par une
contracture
permanente des fibres musculaires qui font suite
ion. Le tracé suivant (Fig. 8) montre en effet que, dans ce cas, la
contracture
se produit plus rapidement et plus brusquement. I
urée de la pression. Nous pouvons conclure de ce qui précède que la
contracture
qui suit le choc sur le tendon et celle qui est o
point, sont des phénomènes de même ordre. Nous avons montré que la
contracture
qui suit le choc tendineux n'est qu'une modalité
ée. Nous verrons plus loin les relations quipeuventexister entre la
contracture
obtenue par l'exilation du tendon et celle qui su
it l'excitation des nerfs ou le corps du muscle lui-même. Fig. 8. —
Contracture
par pression brusque sur le tendon pendant la lét
L Excitation des nerfs. L'excitation mécanique des nerfs produit la
contracture
des muscles auxquels ils fournissent des rameaux.
de la physiologie. Sous l'influence de cette excitation, la main se
contracture
dans une attitude spéciale, se rapprochant de l'a
la malaxation ou la simple pression des masses musculaires amenait la
contracture
des muscles excités. Mais, dans ce cas, la contra
res amenait la contracture des muscles excités. Mais, dans ce cas, la
contracture
est-elle la cotisé Fig. 13. — Griffe radiale.
raisons que nous exposerons plus loin, nous inclinons à penser que la
contracture
est ici, comme ailleurs, le résultat d'une excita
d'une excitation nerveuse de nature réflexe. Quoi qu'il en soit, la
contracture
qui suit l'excitation mécanique du muscle est fac
mple pression sur un point de ses fibres, pour que ce muscle entre en
contracture
, imprimant à la tête le mouvement de rotation pré
ment, sur cette photographie, la corde saillante formée par le muscle
contracture
dont les deux extrémités, en se rapprochant, tend
u côté opposé au muscle directement excité. Pour faire cesser cette
contracture
, il suffit de porter une semblable excitation sur
) L'excitation portée sur un point, même limité, du muscle produit sa
contracture
en masse (tandis qu'à l'aide de la faradisation i
tracter isolément les différents faisceaux d'un même muscle.) b) La
contracture
d'un muscle, provoquée dans ces conditions, entra
localisée au deltoïde, ne se produit pas lorsque ce même muscle est
contracture
par l'excitation mécanique dans l'état de l'hy-pe
contraire, prend alors l'attitude physiologique, trahissant ainsi la
contracture
simultanée des muscles synergiques, trapèze et gr
ettte différence toutefois que la contraction était remplacée par une
contracture
. Tantôt, nous faisions l'expérience inverse, et
la non-similitude du résultat obtenu: contraction avec l'électricité,
contracture
dans les cas d'hyperexcitabilité. Mais, ceci n'es
yperexcitabilité, ne donne lieu qu'aune contraction et non plus à une
contracture
; b) Du degré de localisation de l'excitant dan
iste pas d'ordinaire après l'excitation et ne se transforme jamais en
contracture
permanente. Ce mode de réaction des muscles de
, surtout si l'on a peu insisté, mais elle ne se transforme jamais en
contracture
. Le muscle peaussier est celui dont la contractio
nuire àl'expression de la physionomie. Nous savons d'ailleurs que la
contracture
des muscles des membres obtenue par les mômes pro
e parfois un certain temps après l'excitation, de façon à rappeler la
contracture
des membres ;mais, le plus souvent, les plis de l
ue le rameau temporal du facial. II. DE QUELQUES CARACTÈRES DE LA
CONTRACTURE
PROVOQUÉE DANS L'ÉTAT DTIYPEREXCITABILITË NEURO-M
TURE PROVOQUÉE DANS L'ÉTAT DTIYPEREXCITABILITË NEURO-MUSCULAIRE. La
contracture
musculaire provoquée par l'excitation mécanique p
rs, en n'insistant que sur quelques particularités de détail. a) La
contracture
cède à l'excitation des antagonistes.— La contrac
détail. a) La contracture cède à l'excitation des antagonistes.— La
contracture
ainsi provoquée pendant l'état hypnotique, cède t
tion précise. Portée sur la masse des extenseurs, elle fait cesser la
contracture
partielle de n'importe quel muscle fléchisseur
ocale et ne s'adresse pas directement au muscle antagoniste du muscle
contracture
, au lieu de faire cesser la contracture première,
muscle antagoniste du muscle contracture, au lieu de faire cesser la
contracture
première, elle peut donner naissance à une second
ser la contracture première, elle peut donner naissance à une seconde
contracture
localisée. Cette action d'arrêt de l'excitation
tes n'a lieu que pendant la léthargie, elle est impuissante contre la
contracture
qui persiste pendant l'état cataleptique ou après
re du poignet amènent la flexion forcée de ce segment du membre, avec
contracture
permanente des muscles excités. En F, friction de
ente des muscles excités. En F, friction des muscles antagonistes, la
contracture
cède rapidement, et le membre reprend l'attitude
mbre reprend l'attitude qu'il avait au début de l'expérience. b) La
contracture
persiste après le réveil. — Trois cas peuvent se
rsiste après le réveil. — Trois cas peuvent se montrer : Fig. 26. —
Contracture
par choc tendineux pendant la léthargie. C , 1, 2
— F, friction des muscles antagonistes. — (Mouvement lent.) 1° La
contracture
provoquée persiste tant que dure le sommeil, elle
ouit ; 2° Si la malade est réveillée pendant l'état léthargique, la
contracture
disparaît aussitôt. Mais, si avant de réveiller l
avant de réveiller la malade, on a soin de la rendre cataleptique, la
contracture
persiste pendant l'état de veille, avec la même f
saire. Réveillée, même pendant l'état léthargique, la malade garde sa
contracture
. Les contractures artificielles, ainsi provoqué
ême pendant l'état léthargique, la malade garde sa contracture. Les
contractures
artificielles, ainsi provoquées, présentent la pl
cielles, ainsi provoquées, présentent la plus grande analogie avec la
contracture
permanente hystérique. Elles pourraient persister
é l'expérience au-delà de quelques heures. Pour faire disparaître ces
contractures
, il faut endormir de nouveau le sujet, et, pendan
nistes dont l'effet est instantané. c) Transfert par l'aimant de la
contracture
localisée. — La malade une fois endormie et ses m
décrite plus haut, la main, sous l'influence de cette excitation, se
contracture
, immobilisée dans une attitude caractéristique qu
malade toujours endormie est assise près d'une table; son bras droit
contracture
pend sur le côté; nous avons soin, une fois la gr
, et comme par degrés, l'attitude spéciale que leur avait imprimée la
contracture
, le pouce s'écarte, l'annulaire et le petit doigt
et le médius demeurent étendus. Bientôt, le transfert s'est opéré, la
contracture
musculaire a cédé à droite pour envahir le côté g
la main droite est redevenue flaccide, et la main gauche, entrant en
contracture
, a pris l'attitude de la griffe cubitale, telle q
mais en sens inverse en quelque sorte, et après avoir fait passer la
contracture
de la main droite à la main gauche, nous plaçons
ons l'aimant à proximité de la main droite dans le but d'y ramener la
contracture
en délivrant la main gauche. Ce retour s'opère av
ur la figure 15, 9, l'index seul s'élève et demeure immobilisé par la
contracture
en extension forcée. L'attitude demi-fléchie des
u à peu pendant que l'index droit quitte par degrés l'attitude que la
contracture
lui avait imprimée et finit par retomber flaccide
ture lui avait imprimée et finit par retomber flaccide. En résumé, la
contracture
localisée, en vertu de laquelle l'index droit éta
'extension des doigts et de la main. Cette attitude, maintenue par la
contracture
simultanée d'un certain nombre de muscles, se dép
déplace de la même façon que dans les expériences précédentes, et la
contracture
plus complexe est transférée sans rien perdre de
alisation. Nous venons de constater le transfert par l'aimant de la
contracture
localisée due à l'excitation mécanique du nerf ou
du nerf ou du corps musculaire lui-même. Il en est de même lorsque la
contracture
a été la conséquence d'une excitation tendineuse.
cée. L'aimant est appliqué près de la main gauche. Le transfert de la
contracture
s'opère très rapidement. La main gauche est immob
mplète, le relâchement à gauche ne laissait plus rien à désirer. d)
Contracture
localisée latente. — Transfert de la contracture
rien à désirer. d) Contracture localisée latente. — Transfert de la
contracture
latente. — MM. Brissaud et Ch. Richet (1) ont déj
Brissaud et Ch. Richet (1) ont déjà montré,dans des recherches sur la
contracture
provoquée chez les hystériques, que l'anémie d'un
es. La malaxation d'un membre ainsi anémié ne détermine plus aucune
contracture
; mais, si l'on enlève la bande qui comprimait la
lève la bande qui comprimait la racine du membre, on voit aussitôt la
contracture
se produire d'elle-même, sans nouvelle excitation
xpérience est importante au point de vue delà nature de ces sortes de
contractures
, et nous y reviendrons plus loin. Pour le moment,
ation mécanique portée sur un muscle anémié ne saurait y provoquer de
contracture
, mais n'en détermine pas moins dans ce muscle une
n'en détermine pas moins dans ce muscle une disposition spéciale à la
contracture
, que MM. Brissaud et Ch. Richet désignent sous le
contracture, que MM. Brissaud et Ch. Richet désignent sous le nom de
contracture
latente, et qui ne demande pour se manifester que
'anémie et le retour avec la circulation de l'aptitude du muscle à la
contracture
. 1. Progrès Médical, n°* 19, 23 et 24,1880. O
19, 23 et 24,1880. On connaît l'action spéciale de l'aimant sur les
contractures
unilatérales et le déplacement de ces contracture
e l'aimant sur les contractures unilatérales et le déplacement de ces
contractures
, connu sous le nom de transfert. MM. Brissaud et
rissaud et Ch. Richet ont observé, sur le membre anémié et en état de
contracture
latente, les mêmes phénomènes que sur le membre c
n état de contracture latente, les mêmes phénomènes que sur le membre
contracture
. On voit, par exemple, la contracture latente du
es phénomènes que sur le membre contracture. On voit, par exemple, la
contracture
latente du bras droit transférée, par l'applicati
ant, au bras gauche. Nous avons répété ces expériences au sujet de la
contracture
localisée et nous sommes arrivés à des résultats
ment pour faire apparaître la contrac-. ture. Dans la recherche de la
contracture
latente localisée, -c'est là une cause d'erreur q
actéristique de la griffe cubitale est manifeste et maintenue par une
contracture
musculaire intense. Comme dans les expériences
ne sont pas anémiés et n'ont pas, par là même, perdu l'aptitude à la
contracture
. Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 25
face (il n'est pas question ici de la différence du résultat obtenu :
contracture
aux membres, contraction à la face). Mais il arri
il consiste en une tendance des réflexes tendineux à provoquer une
contracture
plus ou moins généralisée. Puis la localisation d
une contracture plus ou moins généralisée. Puis la localisation de la
contracture
s'établit; il est possible d'obtenir la contractu
ocalisation de la contracture s'établit; il est possible d'obtenir la
contracture
partielle des différents muscles des membres, et
malaxation des masses musculaires de l'avant-bras peut être suivie de
contracture
, mais le résultat est complètement négatif. Nous
rès étendu, il est brusque et rapide, il n'y a aucune tendance à la
contracture
. Mais bientôt, en répétant les chocs sur le tendo
re. Mais bientôt, en répétant les chocs sur le tendon, nous voyons la
contracture
se développer; il suffit d'unedizaine de coups po
sur le tendon pour immobiliser le membre dans une attitude forcée de
contracture
permanente. Cette contracture se détruit facileme
r le membre dans une attitude forcée de contracture permanente. Cette
contracture
se détruit facilement par la friction des muscles
muscles antagonistes. Nous tentons alors de nouveau de produire la
contracture
par lamalaxation des muscles, et, cette fois, non
éflexes tendineux ; — 2e degré : le réflexe tendineux donne lieu à la
contracture
— contracture réflexe par excitation tendineuse;
eux ; — 2e degré : le réflexe tendineux donne lieu à la contracture —
contracture
réflexe par excitation tendineuse; —3e degré : co
tracture — contracture réflexe par excitation tendineuse; —3e degré :
contracture
réflexe par excitation directe des masses muscula
lendemain, nous constatons une aptitude plus grande des muscles à la
contracture
, se traduisant même pendant la veille. Pendant l'
les tendons de la face antérieure du poignet gauche amène bientôt la
contracture
, ce qui n'a pas lieu pour le côté droit. La matad
squ'à son insu, pendant que son attention est attirée ailleurs. Cette
contracture
disparait comme celle du sommeil par la friction
st endormie rapidement par la fixité du regard. Sur le bras gauche,
contracture
facile par l'excitation des tendons, par la malax
on des nerfs. La pression du nerf cubital en arrière de l'épitrochléc
contracture
la main dans l'attitude régulière de la griffe cu
xcitation du nerf cubital au lieu d'élection n'est point suivie de la
contracture
habituelle. A chaque froissement du nerf cubital
oigts, mais aucune contraction nettement localisée, aucune ébauche de
contracture
. Sur le bras gauche au contraire la griffe cubi
. Le bras droit garde sa flaccidité, et l'on note, par contre, que la
contracture
de gauche, au lieu de se détendre s'est accusée d
présentait, le SJOjanvier 1881, les particularités suivantes: 1° La
contracture
demande pour se produire une malaxation assez éne
ion tendineuse. Mais il faut alors répéter les chocs, et l'on voit la
contracture
s'accentuer graduellement. La simple pression sur
, on n'obtient qu'une contraction plus ou moins prolongée ou bien une
contracture
qni se résout d'elle-même bientôt. 5° La contra
ée ou bien une contracture qni se résout d'elle-même bientôt. 5° La
contracture
une fois bien établie persiste après le réveil.
citation mécanique directe ou indirecte des muscles n'amène plus leur
contracture
. Les réflexes tendineux n'en sont pas moins conse
e. En effet, l'excitation mécanique des nerfs et des muscles amène la
contracture
de la façon que l'on sait, mais cela au bras gauc
on et généralisation des réflexes tendineux, mais nulle tendance à la
contracture
. La contracture n'est produite ni par la percussi
tion des réflexes tendineux, mais nulle tendance à la contracture. La
contracture
n'est produite ni par la percussion répétée des t
d'une façon très manifeste. Il n'y a aucune aptitude des muscles à la
contracture
quand les yeux sont fermés, et lorsqu'ils sont ou
agération des réflexes tendineux, s'ajoute une certaine tendance à la
contracture
, bien qu'aucune localisation précise soit possibl
st étendu. La malaxation des masses musculaires ne détermine aucune
contracture
. Il en est de même aux poignets poiu' l'excitatio
oups portés successivement, la jambe se roidit dans l'extension et la
contracture
envahit en même temps les quatre membres. Cette c
ion et la contracture envahit en même temps les quatre membres. Cette
contracture
cède facilement par la friction. Le spasme des
t cataleptique n'existe pas, pas plus que l'aptitude des muscles à la
contracture
localisée. En outre de la sommation et de la pert
tation des réflexes tendineux, simple ou accompagnée de tendance à la
contracture
, est le lien qui rattache ces faits incomplets à
a percussion répétée ou la friction des tendons du poignet amènent la
contracture
de la main soit en flexion, soit en extension, su
alaxation des masses musculaires de l'avant-bras produit également la
contracture
; la même chose se produit aux cuisses. Le stern
ture; la même chose se produit aux cuisses. Le sterno-mastoïdien se
contracture
aussi sous l'influence de l'excitation mécanique,
L'excitation du nerf cubital en arrière de l'épitro-chée provoque la
contracture
du poignet et de la main dans la flexion; la grif
et de la main dans la flexion; la griffe cubitale est imparfaite. Ces
contractures
diverses cèdent par la friction des muscles antag
niquées, c'est avec les mômes caractères que précédemment. De plus la
contracture
par excitation mécanique directe est toujours pos
rver les attitudes communiquées augmentait, sans que la tendance à la
contracture
provoquée fut pour cela diminuée. En résumé, le
re. Le membre qui paraît cataleptique n'est, en somme, qu'un membre
contracture
. La contracture s'y développe sous l'influence de
qui paraît cataleptique n'est, en somme, qu'un membre contracture. La
contracture
s'y développe sous l'influence des manœuvres de l
fier l'attitude du membre, on constate une roideur, indice certain de
contracture
. Enfin cette contracture cède sous l'influence de
, on constate une roideur, indice certain de contracture. Enfin cette
contracture
cède sous l'influence de la malaxation du membre.
exaltation des réflexes tendineux et par la tendance des muscles à la
contracture
, sous l'influence de l'excitation mécanique soit
toute la surface de ce segment de membre, pour obtenir, au lieu d'une
contracture
localisée, une sorte de roideur généralisée, qui
observe alors. Cela se borne, le plus souvent, à la transformation en
contracture
du réflexe tendineux. Mais parfois le phénomène p
xe tendineux. Mais parfois le phénomène peut devenir plus complet; la
contracture
localisée peut être obtenue par la malaxa-tion de
tiques, et telle qui, pendant la veille, n'offre aucune tendance à la
contracture
musculaire, peut n'en présenter pas moins, pendan
cèdent. 11 nous suffira de les rappeler ici. a) La production d'une
contracture
musculaire consécutive à une excitation mécanique
euromusculaire. Ce simple fait de la production, en pareil cas, d'une
contracture
, et non d'une contraction, montre que, outre l'ex
héorie, aujourd'hui bien établie, qui fait d'une certaine forme de la
contracture
musculaire une exaltation du tonus physiologique,
les muscles de la face, où nous avons vu la contraction remplacer la
contracture
; mais il existe bien d'autres raisons qui nous f
e dans le reste du corps, le phénomène est de nature réflexe. b) La
contracture
, ainsi obtenue, cède à la friction des antagonist
le du centre nerveux premièrement produite et en vertu de laquelle la
contracture
était maintenue. On n'ignore pas les connexions
nomène de nature réflexe. d) L'excitation mécanique, qui produit la
contracture
dans les cas d'hyperexcitabilité neuro-musculaire
se propage que suivant certaines lois physiologiques. Par exemple, la
contracture
du deltoïde n'existe jamais isolée. Elle est touj
u deltoïde n'existe jamais isolée. Elle est toujours complétée par la
contracture
du grand dentelé qui lui est synergique. (Voy. p.
e) Le transfert par l'aimant et autres agents aesfhésiogônes de la
contracture
localisée (voy. p. 379J, les diverses expériences
expériences faites avec la bande d'Esmarch (production tardive de la
contracture
latente, voy. p. 383) ne peuvent s'expliquer qu'e
oit pendant l'état cataleptique, soit même alors qu'il est en état de
contracture
. Ce qui nous paraît indiquer que ces divers troub
'excitation mécanique la plus légère portée sur un membre en amène la
contracture
d'une façon brusque et énergique. Il est possible
façon brusque et énergique. Il est possible cependant de localiser la
contracture
, en touchant avec précaution et légèrement un poi
à un nerf. Mais si l'excitation même limitée est un peu intense, la
contracture
se généralise aussitôt au membre tout entier. N
e moindre attouchement d'un bras provoque une vive secousse suivie de
contracture
de tout le membre. La secousse retentit sur le me
le membre. La secousse retentit sur le membre du côté opposé, mais la
contracture
reste toujours localisée au seul membre directeme
cture reste toujours localisée au seul membre directement excité. Ces
contractures
très intenses cèdent par l'excitation des antagon
itude, les muscles de la face se contracturent. 11 est vrai que cette
contracture
ne dure pas longtemps et cède bientôt d'elle-même
nous observons ce qui va se passer. Au bout de quelques minutes une
contracture
généralisée se déclare, le corps s'étend, les bra
ait, jusqu'à un certain point, rendre compte de la localisation de la
contracture
dans les expériences sur lesquelles nous avons in
le, un tendon ou un nerf, détermine immédiatement la production de la
contracture
localisée d'après les lois que nous avons fait co
u'à la suite de la pression du nerf cubital au coude, par exemple, la
contracture
se produit à la main et à l'avant-bras dans le do
s parlé, il est possible de provoquer, par des moyens appropriés, des
contractures
plus ou moins localisées qui se rapprochent de ce
s sous le nom d'hyperexcitabilité neuro-musculaire. Sans faire de ces
contractures
l'objet d'une étude spéciale, nous voulons au moi
, pour produire immédiatement ou le plus souvent progressivement, une
contracture
intense de tout le membre intéressé. — L'action d
t de léthargie et qui a fait l'objet du présent mémoire. Ces faits de
contracture
pendant l'état somnambulique ont été cependant si
lier a tout particulièrement attiré l'attention sur des phénomènes de
contracture
hypnotique qui nous paraissent devoir rentrer dan
e hypnotique qui nous paraissent devoir rentrer dans la catégorie des
contractures
de l'état somnambulique; il les obtient par l'exc
nt d'un soufflet capillaire, etc., etc. Cliniquement, ces sortes de
contractures
doivent se distinguer de celles dont il a été que
caractères distinctifs sont les suivants : Pour la production de la
contracture
de l'état léthargique, les excitations cutanées s
malaxation qui intéresse les parties sous-cutanées. Au contraire, la
contracture
de l'état somnambulique ne survient crue sous l'i
. Nous avons vu de quelle localisation précise était susceptible la
contracture
de l'état léthargique. Pendant l'état somnambuliq
a contracture de l'état léthargique. Pendant l'état somnambulique, la
contracture
est plus diffuse, elle envahit habituellement tou
tendineux sont exaltés, et le choc sur les tendons produit bientôt la
contracture
. Dans l'état somnambulique, les réflexes tendineu
p. 408, noie. lement exaltés, mais ils ne donnent jamais lieu à la
contracture
. Enfin la contracture de l'état léthargique ne
exaltés, mais ils ne donnent jamais lieu à la contracture. Enfin la
contracture
de l'état léthargique ne se résout que par un seu
citation mécanique portée sur les muscles antagonistes; tandis que la
contracture
somnambulique cède sous l'influence d'une nouvell
remière, quel que soit son point d'application à la surface du membre
contracture
. Nous rappellerons que l'état léthargique est p
ès incomplets, tandis que l'état somnambulique, en outre des faits de
contracture
musculaire, offre la plupart des phénomènes attri
que. Au point de vue du mécanisme physiologique, les deux sortes de
contracture
dont il est question rentrent dans la catégorie
difficultés qui existent encore au sujet du mode de production de la
contracture
somnambulique, nous serions assez tentés d'admett
és d'admettre, du moins provisoirement, les différences suivantes: La
contracture
léthargique, celle qui mérite de conserver le nom
e, ainsi que nous avons essayé de le prouver plus haut, tandis que la
contracture
somnambulique suivrait la voie de l'arc diastalti
'esprit humain. Trad. de Peisse, t. III, p. 141. XIV. Diathèse de
contracture
chez les hystériques (1). Il n'est pas rare de
n'est pas rare de pouvoir provoquer, chez les sujets hystériques, des
contractures
musculaires plus ou moins durables sous l'influen
s variées. C'est cettejjrédispo-sition spéciale du muscle à entrer en
contracture
que l'un de nous a désigné depuis longtemps déjà
eurs en dehors de l'hystérie, et elle a reçu diverses dénominations :
Contracture
latente (Brissaud) (3), excitabilité musculaire (
(3), excitabilité musculaire (Ch. Ri-chet) (4), état d'opportunité de
contracture
(Ballet et Delanef) (5), Brunet (6), hyperexcitab
), Brunet (6), hyperexcitabilité musculaire hors l'état d'hypnotisme,
contractures
passagères, etc., etc. 1. Communication faite o
e la Salpétrière. (Gazette des Hôpitaux, 1878. 3. Recherches sur la
contracture
permanente des hémiplégiques. Thèse de Paris, 188
e la Société de Biologie, 1882, p 21. 5. De l'état d'opportunité de
contracture
. ( Gaz. Méd., 23 juillet 1882). 6. Etude cliniq
2). 6. Etude clinique et physiolologiqUe de l'état d'opportunité de
contracture
, Thèse de Paris, 1883, Chez les hystériques la
tracture, Thèse de Paris, 1883, Chez les hystériques la diathèse de
contracture
se rencontre sous deux formes répondant chacune à
tre sous deux formes répondant chacune à Tune des deux variétés de la
contracture
provoquée pendant les diverses phases de l'hypnot
s nerveux de l'hypnotisme (état léthargique et état somnambulique) la
contracture
musculaire peut être obtenue, mais par des procéd
t propres à chacun de ces deux états. Ainsi, pendant la léthargie, la
contracture
succède aux excitations mécaniques profondes port
s. En dehors de toute influence hypnotique, nous retrouvons dans la
contracture
provoquée chez les hystériques les mêmes différen
Chez certains malades, et c'est le plus grand nombre, la diathèse de
contracture
présente les plus grandes analogies avec le phéno
e l'hyperexcitabilité neuro-musculaire de la léthargie hypnotique. La
contracture
succède au choc répété des tendons, à la malaxati
ire, au froissement des troncs nerveux. On peut également produire la
contracture
par l'application des courants induits ou par le
brusque de leurs divers segments suffisent parfois pour provoquer la
contracture
. Un effort musculaire violent de la maladie elle-
appelé l'attention (1). Nous avons vu, dans un cas, la diathèse de
contracture
s'étendre jusqu'aux muscles du visage. La faradis
muscles, lorsqu'elle était un peu intense et prolongée, en amenait la
contracture
, et nous avions ce spectacle d'un visage conserva
l faut dire cependant que, dans la généralité des cas, la diathèse de
contracture
ne présente pas ce degré d'intensité. Son existen
différents procédés que nous avons énumérés. En somme, la diathèse de
contracture
représente à l'état de veille, le phénomène de l'
s certains cas exceptionnels, il existait peu de différence entre les
contractures
provoquées pendant la veille et celles que nous a
e nom de variété léthar-gique% cette forme spéciale de la diathèse de
contracture
. B. Dans d'autres circonstances, la diathèse de
hèse de contracture. B. Dans d'autres circonstances, la diathèse de
contracture
1. Progrès médical, n°" 23 et 24, 1880. Gharcot
s superficielles et présente alors les plus grandes analogies avec la
contracture
provoquée de la phase somnambulique de l'hypnotis
alade de 20 ans, présentant des crises hystériques convulsives et des
contractures
spontanées temporaires des diverses parties du co
t, chez cette malade, de frôler la surface cutanée pour provoquer une
contracture
énergique, qui disparaissait soit d'elle-même, so
muscles, demeurait sans résultat. Cette forme spéciale de diathèse de
contracture
mérite donc le nom de variété somnambulique. En
En dehors des procédés nécessaires pour la révéler, la diathèse de
contracture
chez les hystériques présente les principaux cara
es, ou qui même ne sont peut-être pas hypnofisables. La diathèse de
contracture
est générale ou partielle. Elle existe à un égal
. Les parties anesthésiées sont seules parfois en état de diathèse de
contracture
. D'autres fois, il est vrai, la diathèse de con
diathèse de contracture. D'autres fois, il est vrai, la diathèse de
contracture
existe sans anesthésie, en dépasse les limites. A
ites. Ainsi chez une de nos malades hémianesthésiques, la diathèse de
contracture
était générale et on observa les coïncidences sui
idences suivantes : lorsque l'hémianesthésie disparut, la diathèse de
contracture
générale devint hémiplégique et se localisa au cô
lus tard, la malade étant redevenue hémianestliésique, la diathèse de
contracture
envahit de nouveau les deux côtés du corps. Les
de nouveau les deux côtés du corps. Les relations de la diathèse de
contracture
avec l'amyosthé-nie sont les mêmes qu'avec l'anes
ellement de pair. Il n'est donc pas rare de rencontrer la diathèse de
contracture
sur des membres considérablement affaiblis, et do
tes qui relient ces deux états musculaires si opposés en apparence la
contracture
et la paralysie. La diathèse de contracture, lo
opposés en apparence la contracture et la paralysie. La diathèse de
contracture
, lorsqu'elle est générale, esi rarement également
férieurs. D'un jour à l'autre, chez une môme malade, la diathèse de
contracture
peut présenter des variations d'intensité. Elle s
constitue une aggravation de la maladie. Elle prépare le terrain à la
contracture
permanente et hystérique, dont elle est en quelqu
joue parfois le traumatisme dans la pathogénie de certaines formes de
contracture
. De même, après la guérison de la contracture p
e certaines formes de contracture. De même, après la guérison de la
contracture
permanente, la diathèse de contracLure persiste
a disparition est le signe de la guérison difmitive. La diathèse de
contracture
, au même titre que les autres symptômes dits perm
s du corps, le plus souvent, sous la forme hémiplégique du côté de la
contracture
préexistante. XV. Sur un phénomène musculaire
l'interprète différemment. Il croit que dans le cas particulier de la
contracture
du tibial antérieur, l'excitation réside dans la
; il s'agit dans le phénomène musculaire, décrit par Westphal, d'une
contracture
réflexe d'un muscle à la suite d'une excitation p
z les hystériques et que nous avons décrit sous le nom de diathèse de
contracture
. 11 s'agit là d'une disposition particulière du m
re. 11 s'agit là d'une disposition particulière du muscle à entrer en
contracture
sous l'influence d'excitations variées et parfois
et parfois môme des plus légères. Suivant le mode de production de la
contracture
, nous avons distingué deux formes principales de
cture, nous avons distingué deux formes principales de la diathèse de
contracture
: la forme léthargique et la forme somnambulique.
nt leur raison d'être dans les analogies avec les deux variétés de la
contracture
provoquée pendant l'hypnotisme, suivant que le su
d'attirer l'attention sur ce fait que dans la forme de la diathèse de
contracture
la plus fréquemment observée—celle que nous désig
ointe du pied d'une malade, sous le coup de la variété de diathèse de
contracture
sus-indiquée, on provoque instantanément une cont
diathèse de contracture sus-indiquée, on provoque instantanément une
contracture
qui maintient le pied dans la flexion dorsale.
l'avant-bras ; une flexion brusque du poignet détermine aussitôt une
contracture
qui immobilise le poignet en flexion. Cette contr
aussitôt une contracture qui immobilise le poignet en flexion. Cette
contracture
se résout au bout d'un temps plus ou moins long ;
rons insister ici sur le mécanisme de sa production. Pour nous, cette
contracture
n'offre rien de paradoxal. Elle n'est point comme
lesquelles s'appuient notre assertion : a) Dans ce phénomène de la
contracture
provoquée par flexion brusque d'un segméntele mem
musculaires antagonistes. Dans le phénomène du pied par exemple, la
contracture
n'existe pas seulement dans le jambier antérieur
s'il est impossible d'étendre le pied, ce qui est dû évidemment à la
contracture
du jambier antérieur, il est aussi difficile d'ex
e d'exagérer l'altitude de flexion, ce qui ne saurait être dû qu'à la
contracture
des muscles antagonistes, jumeaux et soléaire.
x et soléaire. b) L'on sait que chez les malades dont il s'agit, la
contracture
pouvait être obtenue par des manœuvres diverses.
une de ces manœuvres, si donc nous malaxons le jambier antérieur, la
contracture
ne tarde pas à se produire, immobilisant le pied
a flexion dorsale. Si la malaxation porte sur les muscles jumeaux, la
contracture
se produira également mais le pied sera mis en fl
usivement portée sur l'un d'eux. L'attitude imprimée au membre par la
contracture
ne dépend pas uniquement du lieu de l'excitation
de la synergie musculaire les choses peuvent s'expliquer ainsi : La
contracture
étant toujours réflexe dans ce cas, l'excitation
ce qui suit : A part la forme du début qui est plus brusque dans la
contracture
par flexion d'un segment de membre, les caractère
n segment de membre, les caractères graphiques sont les mômes, que la
contracture
succède à la flexion brusque où à la malaxation d
flexion brusque où à la malaxation des antagonistes. La durée de la
contracture
est très variable, depuis 10 à 15 minutes jusqu'à
correspondant à une décontraction limitée plus rapide. La durée de la
contracture
diminue avec Fig.dO. — Dispositif de l'expérien
oxale obtenue chez Cad..., hystéro-épileptique en état de diathèse de
contracture
, par redressement brusque de la pointe du pied. —
la flèche. — A, Début de l'expérience. — B, Fin de l'expérience : la
contracture
a complètement disparu. — X, ligne horizontale.
effet, la Fig. 32. — Expériences du 12 avril chez la même malade. —
Contracture
du jambier antérieur obtenue par le massage des m
que nous avons observés, et qui tous se rapportaient à la diathèse de
contracture
des hystériques — trouve sa cause non dans le r
en commençant. XVI. L'hypnotisme en thérapeutique. Guérison d'une
contracture
hystérique (1); Messieurs, C'est encore de la
n d'une contracture hystérique (1); Messieurs, C'est encore de la
contracture
hystérique spasmodique, sous forme de pied bot, q
ndant de longs mois, de pied bot hystérique*, comme chez celle-ci, la
contracture
spasmodique a disparu sous l'influence du traitem
ssaire de vous remettre en mémoire quelques faits de l'histoire de la
contracture
spasmodiquc hystérique considérée surtout au poin
pourra compter comme un traumatisme et déterminera l'apparition de la
contracture
. Ce ne sont pas là deux espèces distinctes ; pa
ordre pratique. Vous pouvez défaire ce que vous avez fait. Mais si la
contracture
est de date ancienne, vous n'y pourrez plus rien,
est ici remarquable. Nous connaissons assez bien la production de ces
contractures
, grâce à l'étude des contractures artificielles q
ons assez bien la production de ces contractures, grâce à l'étude des
contractures
artificielles que nous pouvons faire et défaire à
souvent, nous ne savons comment nous y prendre pour en finir avec les
contractures
spontanées qui peuvent se perpétuer des mois et d
e, nous ne sommes pas tout à fait 1. On pourrait encore les appeler
contractures
artificielles. désarmés, car en outre du traite
rite, nous avons plusieurs procédés qui peuvent réussir. Ainsi, si la
contracture
est unilatérale, on peut obtenir le transfert rép
par l'application de l'aimant ou de plaques métalliques ; mais si la
contracture
est bi-latérale, on n'a pas cette ressource. On p
nous avions parlé dans la dernière leçon et où, après guérison de la
contracture
spasmodique musculaire, reste la complication de
Mais quels sont donc les caractères cliniques et physiologiques des
contractures
hystériques artificielles qui doivent nous cond
rtificielles qui doivent nous conduire à comprendre ce que sont les
contractures
spontanées ? On peut, chez beaucoup d'hystériques
grand hypnotisme, provoquer, dans l'état léthargique, l'apparition de
contractures
, avec la plus grande facilité. On peut les réalis
ant ces opérations, les caractères cliniques et physiologiques de ces
contractures
peuvent être facilement étudiés. Mais, en dehors
notisme, chez beaucoup d'hystériques, la plupart peut-être, ces mômes
contractures
peuvent être provoquées à l'aide des mêmes agents
t connus et nous avons proposé de désigner sous le nom de diathèse de
contracture
, la tendance à la production de ces rigidités spa
nde d'Esmarch, par exemple. C'est ainsi que nous avons reconnu que la
contracture
provoquée, en raison de sa fréquence, peut être c
ie, rétrécissement du champ visuel, etc. Etudions chez G. R..., ces
contractures
provoquées, des hystériques, afin de bien nous me
s malades hommes, le nommé C. L... Chez cet homme, nous n'obtenons la
contracture
qu'à l'aide de la bande d'Esmarch. tandis que che
citations musculaires chez un sujet disposé a pour effet de rendre la
contracture
de plus en plus intense et de plus en plus facile
une participation des centres nerveux peut seule rendre comple. Ces
contractures
, une fois produites, ne disparaissent jamais spon
l du muscle, une légère pression sur les tendons. Si, malgré cela, la
contracture
résiste, on en viendra à bout par une série de tr
te, on en viendra à bout par une série de transferts successifs de la
contracture
, ou encore par i'hypnotisation dans l'état léthar
aine action psychique peut donc avoir pour effet la disparition d'une
contracture
. Mais quelle est la théorie que l'on peut donne
emier lieu ce qu'il y a, en apparence, de paradoxal dans le phénomène
contracture
. — Voilà une action musculaire intense, exagérée,
pendant des mois, voire même des années. Ici, je fais allusion à des
contractures
spontanées, car jamais, bien entendu, nous n'avon
s spontanées, car jamais, bien entendu, nous n'avons laissé durer les
contractures
artificielles ; cela je le répète, paraît paradox
te physiologie. Nous avons cependant un paradigme physiologique de la
contracture
, c'est la tonicité musculaire qui persiste telle
sque la moelle est détruite ou les nerfs musculaires sectionnés. La
contracture
serait donc, d'après cela, une sorte de tonicité
, l'excitabilité des cellules motrices est représentée par 1, dans la
contracture
hystérique, cette excitabilité sera représentée p
ante et déterminer une action tonique exagérée qui n'est autre que la
contracture
spasmodique. L'excitabilité étant supposée répa
à tout le corps. On comprend plus difficilement la disparition des
contractures
sous l'excitation des antagonistes, ou des fricti
ons, celles des émotions qui, dans le domaine de la thérapeutique des
contractures
spontanées, jouent un rôle si important ? Ici, il
, privées de l'action inhibitrice cérébrale, la tonicité se change en
contracture
par l'action, la moindre excitation provocatrice.
ovocatrice. D'abord, les réflexes sont exaltés, il y a opportunité de
contracture
. Mais un choc, un traumatisme, une faradisation e
Mais un choc, un traumatisme, une faradisation exagérée produiront la
contracture
. Eh bien ! on peut admettre que, dans l'hystérie,
dans le cas de lésion organique, et plus encore dans la première, les
contractures
se produisent. Vous voyez qu'il n'y a pas un ab
ctures se produisent. Vous voyez qu'il n'y a pas un abîme entre les
contractures
spasmodiques de cause organique et les contractur
n abîme entre les contractures spasmodiques de cause organique et les
contractures
spas-modiques hystériques. Le siège et le mécanis
nostiques sont, en effet, pour l'hystérie : 1° L'intensité même de la
contracture
, rarement aussi prononcée dans les cas organiques
ndre compte, physiologiquement, des divers épisodes de l'histoire des
contractures
hystériques. Personne, mieux que moi, ne reconnaî
ous les présenter. Ce serait le moment d'entrer dans l'histoire des
contractures
hystériques naturelles, mais nous n'aurions qu'à
pas à déclarer que, dans mon opinion, cela tient surtout à ce que les
contractures
artificielles sont traitées et guéries à peu près
tôt qu'elles ont été produites, ou peu de temps après, tandis que les
contractures
dites spontanées sont, en général, abandonnées lo
notre service, où, à la suite d'accèsconvulsifs, de chutes, etc., les
contractures
naissent fréquemment,, nous ne les voyons jamais
us les yeux, qui est relatif, ainsi que je vous l'ai dit, à un cas de
contracture
hystérique spasmodigue, sous forme de pied-bot xr
hésie, pas de rétrécissement du champ visuel. Mais il y a diathèse de
contracture
, ainsi une constriction du poignet ou du membre i
érieur, et, soit dit en passant, cela montre que si la guérison de la
contracture
a été obtenue, cepen- Fio. 34. — Altitude de la
ade Ch..., vue de face (pied-bot varus droit). dant la tendance aux
contractures
n'a pas disparu. C'est une guérison de l'accide
ine médicale (mai 1886), un cas de ce genre relatif, lui aussi, à une
contracture
hystérique datant de six mois, et tout récemment,
1. Aujourd'hui 27 avril 1887, il n'est plus possible de produire la
contracture
artificielle. La malade peut être considérée comm
et, quant au somnambulisme, il n'est pas marqué par l'existence de la
contracture
spéciale déterminée par le souffle ou le frôlemen
délivrer la seconde malade, celle sur laquelle nous avons produit une
contracture
artificielle. Ce sera facile, car en cette matièr
sur la partie déformée du membre suffisent pour faire disparaître la
contracture
. Vous voyez par le cas de Ch..., que l'hypnotis
n enfant, hypnotisé par un de ses camarades, a été pris d'attaques de
contracture
qui durèrent plusieurs heures et qui se renouvelè
ue je vous ai montrée il y a deux ans et que nous avions guérie d'une
contracture
hystérique par la méthode du transfert. Une récid
t libre. Je dis : qui était, car ce temps a suffi pour développer une
contracture
du poignet avec paralysie de la sensibilité et du
ouvement de tout le membre supérieur. Vous pouvez constater que cette
contracture
artificielle ne le cède en rien à l'autre, qui du
s, le traitement consiste à provoquer le plus fréquemment possible la
contracture
du côté sain. 11 se fait à chaque fois un transfe
, mais dont la répétition affaiblit et finit par faire disparaître la
contracture
pathologique. C'est du moins de cette façon que n
par la faradisation et la galvanisation, à cause de l'imminence de la
contracture
. En pareille circonstance, l'électricité statique
la cure à bonne fin, et même, ce qui est fort remarquable, lorsque la
contracture
existait déjà, elle l'a fait disparaître. Une aut
tains sujets prédisposés, un état nerveux spécial caractérisé par des
contractures
, des paralysies, des troubles divers de l'intelli
d'un sujet qui n'est pas très versé dans l'étude de l'ana-tomie. La
contracture
léthargique présente des caractères qui la distin
éthargique présente des caractères qui la distinguent nettement d'une
contracture
volontaire et qui permettent de s'assurer que le
, qui prenaient volontairement des attitudes semblables à celle de la
contracture
léthargique, et voici ce qui résulte de la compar
e la comparaison. Sous l'influence d'une traction continue, le membre
contracture
d'un sujet léthargique cède par degrés, comme le
ypnotique le rythme respiratoire ne varie pas et la détente du membre
contracture
s'opère lentement, sans la moindre secousse. Et
aphiques semblables à ceux que nous venons de signaler à propos de la
contracture
léthargique, la catalepsie légitime de la catalep
a main à distance, produisant un léger courant d'air, on provoque une
contracture
des muscles soumis à cette action. Cette contract
on provoque une contracture des muscles soumis à cette action. Cette
contracture
, dite somnambulique, ne pourrait du reste, pas pl
ontracture, dite somnambulique, ne pourrait du reste, pas plus que la
contracture
léthargique être simulée, et les preuves que nous
ontrer l'impossibilité de la simulation, s'appliquent aussi bien à la
contracture
somnambulique. En même temps que M. Charcot rel
d'expériences. C'est ainsi par exemple, que le développement de la
contracture
léthargique peut nécessiter au commencement une p
a formation de périodes distinctes ; lorsque les yeux sont fermés, la
contracture
léthargique se développe plus faci-ment que la co
fermés, la contracture léthargique se développe plus faci-ment que la
contracture
somnambulique et la plasticité cataleptique; inve
l'hypnotisme? Tous les caractères somatiques de l'attaque hystérique,
contractures
, mouvements convulsifs, grands mouvements, etc.,
pour lui, que l'œuvre de la suggestion. Il ne fait que mentionner la
contracture
et la plasticité cataleptiques, sans en indiquer
psychiques ne sont pas non plus l'œuvre de la simulation (1). Si la
contracture
léthargique, si la catalepsie, si la contracture
ulation (1). Si la contracture léthargique, si la catalepsie, si la
contracture
somnambulique étaient, comme le prétend M. Bernhe
ujets, sans le secours de la suggestion, les phénomènes somatiques de
contracture
, de catalepsie, etc., observés par M, Gharcot et
s ces phénomènes. C'est ce qu'il n'a pas fait. Prenons un exemple. La
contracture
léthargique provoquée est sans contredit un des f
périences correctes, qu'il est possible de suggérer à un individu une
contracture
du type léthargique, présentant les mêmes caractè
s ont démontré que l'on peut, avec la suggestion seule, provoquer une
contracture
léthargique chez un sujet hyperexci table ; la su
venir de l'excitation cutanée qui a donné lieu une première fois à la
contracture
. Il faut aussi remarquer que l'élimination des su
ains sujets on peut, par la suggestion, amener le développement d'une
contracture
, alors que les excitations périphériques sont inc
e, dès qu'on est arrivé à l'hypnotiser, présente les phénomèues de la
contracture
léthargique; il suffît de presser sur les muscles
ec une bande élastique, de presser sur un tronc nerveux, pour voir la
contracture
se développer. Si ce phénomène est obtenu, alors
ont souvent observer à l'assistance, il est possible que la vue de la
contracture
ait laissé un souvenir dans l'esprit de l'individ
rent de celles que l'on emploie à la Salpêtrière pour faire naître la
contracture
, et que par suite, la suggestion ne peut pas être
élastique ou celle d'un tronc nerveux peut-elle éveiller l'idée d'une
contracture
? Du reste, s'il restait encore un doute dans l'
, tous les muscles desservis par ce nerf entrent en contraction ou en
contracture
, et communiquent au membre sur lequel on opère un
ite un point de la peau, quels sont les muscles qui doivent entrer en
contracture
. Inutile d'insister sur ce point. C'est pour ce m
t dans l'excitation périphérique des muscles et des nerfs, et que les
contractures
hypnotiques peuvent se développer indépendamment
n plus active que les excitations mécaniques sur le développement des
contractures
. Sous l'influence de la répétition des mêmes manœ
ans le Progrès médical la relation de l'expérience du transfert d'une
contracture
opérée par M. Charcot chez une hystérique, au moy
mant, en octobre 1878. Comme on pouvait très facilement provoquer des
contractures
chez mon sujet, soit à l'état de veille, soit pen
de suggestion. « Bien plus, j'ai fait l'expérience de transfert des
contractures
de la même manière, au moyen d'un électro-aimant,
» J'ai cité dans cet extrait ce qui se rapporte au transfert de la
contracture
au moyen de l'aimant, quoique je ne me sois pas o
r à propos d'une expérience que la suggestion fait défaut. Si déjà la
contracture
hypnotique s'est manifestée une fois seulement so
as que l'hystérie se traduit parfois par une manifestation unique, la
contracture
d'un membre, le mutisme par exemple ? c'est là l'
Un des caractères somatiques de l'hypnotisme les plus importants, la
contracture
léthargique appartient aussi à l'hystérie. Bien s
t on peut, en effet, chez un hystérique, provoquer l'apparition de la
contracture
par les manœuvres que nous avons déjà signalées (
, etc.) ; cette propriété a été appelée par M. Charcot la diathèse de
contracture
. Mais chez les hypnotiques, elle est beaucoup plu
e. Fig. 1. — Excitation du muscle sterno-mastoïdien du côté gauche.
Contracture
du muscle. Fto. 2. — Excitation du nerf facial
action physiologique de l'aimant et des solénoïdes......... 265 IV.
Contracture
hystérique etaimants; phénomènes curieux de trans
ée........................... 355 § 2. De quelques caractères de la
contracture
provoquée dans l'état d'hyperexcitabilité neuro
ens musculaire................................ 434 XIV. Diathèse de
contracture
chez les hystériques................. 447 XV. S
............ 453 XVI. L'hypnotisme en thérapeutiqne. Guérison d'une
contracture
hysté- rique .....................»............
—, p. 265; — historique, p. 266; — effets, p. 268; — transfert de la
contracture
hystérique par 1' —, p. 271; — transfert de î'a
périences, p. 458; — combinées expressives et impressi ves, p. 362.
Contracture
(Diathèse ile —), p. 261, 447, 453, 465; — hystér
disation localisée, p. 355; — de la face, p. 359: —? caractères de la
contracture
provoquée dans l'état d'—, p. 375, 407, 409; —
stérique, p. 215; — sur rachromatopsie hystérique, p. 215. Musclus,
contracture
par excitation des —, p. 348; —expériences, p. 35
uggestion, p.255 ; — par le sens musculaire, p. 806; — guérison d'une
contracture
hystérique par—, p. 474,522. T Température ce
p. 95. Tendon (Excitation du —), p. 313; — expériences, p. 321 ; —
contracture
permanente par —, p.321,325,329 ; — effet de 1' —
s le cas où le malade survit, il persiste toujours une paralysie avec
contracture
indélébile. L'importance d'une élude exacte et
x et qui se traduisent par une parésie des membres avec tendance à la
contracture
. Vous n'ignorez.pas que les faisceaux de Goll peu
on, dans une cavité ventriculaire. Des symptômes graves, à savoir: la
contracture
précoce, des convulsions épileptiformes, sur-vien
nent une paralysie motrice qu'accompagne à peu près nécessairement la
contracture
tardive, symptôme d'un fâcheux augure dans l'espè
aut également, à mon avis, leur rapporter, pour la majeure partie, la
contracture
perma-nente, dite tardive (1), qui, dans ces même
omme on le sait, au B"' Todd, d'avoir établi une dislinclion entre la
contracture
précoce et la contracture tardive des membres che
dd, d'avoir établi une dislinclion entre la contracture précoce et la
contracture
tardive des membres chez les apoplectiques. La pr
in de la clinique. On sait, en effet, que l'impuis-sance motrice, une
contracture
passagère d'abord, puis per-manente, des membres,
ujourd'hui qu'entre la lésion « sclérose latérale » et le phénomène «
contracture
permanente », il existe une rela-tion dont, à la
en-nent actuellement encore beaucoup d'auteurs, qui pourront (1) La
contracture
permanente des membres, comme le montre entre aut
de sclérose spi-nale latérale ; mais, lorsque cette lésion existe, la
contracture
permanente est un de ses symptômes habituels. r
st un de ses symptômes habituels. rendre compte de l'apparition des
contractures
dites tardives, chez les hémiplégiques ; c'est au
plus ou moins rapide, en même temps que la rigidité déterminée par la
contracture
fait place de nouveau à la flaccidité. Dans plu-s
te sans doute du fait que, contrairement à l'obser-vation commune, la
contracture
prédomine quelquefois con-sidérablement, à un mom
embres du côté paralysé qui, de très bonne heure, avaient été pris de
contracture
, commencèrent à diminuer de volume deux mois aprè
aire insolite, survenant dans le cours de l'hémiplégie cérébrale avec
contracture
secondaire, trou-verait son explication dans une
nt de vue de la symp-tomatologié en ce qu'elle ne s'accompagne pas de
contracture
musculaire ». Progrès médical, 18S0. p. 147.) V
, est-elle suivie — comme c'est le cas lorsqu'il s'agit des nerfs -de
contractures
musculaires ? Il est parfaitement établi aujour-d
condition sine qua non de la guérison. Symptômes précurseurs de la
contracture
secondaire. — Epilepsie spinale, clonus du pied.
uelle de l'attaque apoplectique se sont déjà dissipés. La fièvre, les
contractures
dites précoces, l'érythème des régions fessières,
t ensemble de phénomènes que l'on désigne vulgairement sous le nom de
contracture
tardive des hémiplégiques. Il nous faudra donc po
sions spi-nales consécutives? En réalité, Messieurs, la période des
contractures
tardives dans l'hômiplôgie incurable est précédée
dans les paralysies de cause cérébrale ou spinale dans lesquelles la
contracture
existe ou tend à s'établir (1). Voici, au demeu
des fais-ceaux pyramidaux appartiennent à cette catégorie. Quand la
contracture
tardive s'est produite, il esta peu près constant
. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 20 DOUZIÈME LEÇON De la
contracture
tardive des hémiplégiques et de ses variétés clin
ariétés cliniques. Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent la
contracture
ou même la pro-voquent prématurément. — Strychnin
traumatisme. — Con-tracture traumatiquc (observation). — Analogie des
contractures
hémiplégi-ques par traumatisme et des contracture
n). — Analogie des contractures hémiplégi-ques par traumatisme et des
contractures
hystériques. A quelle époque survient la contra
atisme et des contractures hystériques. A quelle époque survient la
contracture
secondaire des hémiplégiques.— Attitude des membr
contracture secondaire des hémiplégiques.— Attitude des membres. — La
contracture
affecte tous les groupes antagonis-tes. — Attitud
ture affecte tous les groupes antagonis-tes. — Attitudes vicieuses.
Contractures
paralytiques, par adaptation, myopathiques. — La
uses. Contractures paralytiques, par adaptation, myopathiques. — La
contracture
des hémiplégiques n'est pas une rigidité passive.
ion réflexe permanente. Types et variétés des attitudes des membres
contractures
. — Contracture de la face. — Terminaisons diverse
anente. Types et variétés des attitudes des membres contractures. —
Contracture
de la face. — Terminaisons diverses de la contrac
contractures. — Contracture de la face. — Terminaisons diverses de la
contracture
hémiplégique. I. Messieurs, Je vous disais,
, que dans l'hémiplégie permanente de cause cérébrale, la période des
contractures
tardives est précédée d'une période prodromique p
ion des faisceaux pyramidaux appartiennent à ce groupe. Une fois la
contracture
tardive établie, la trépidation spi-nale est, à m
e jours après, c'est-à-dire au bout de trois semaines environ, que la
contracture
a commencé à paraître. Chez une autre malade, l
trépidation provoquée. Il n'est pas rare même, en pareil cas, que la
contracture
permanente s'em-pare de ce membre, de telle sorte
dans les paralysies spasmodiques. Chez les hémiplé-giques menacés de
contracture
, il précède même assez géné-ralement l'apparition
onditions-là, c'est-à-dire lorsque existe une cer-taine tendance à la
contracture
dans le membre supérieur, ou lorsque cette contra
tendance à la contracture dans le membre supérieur, ou lorsque cette
contracture
s'est déjà établie, la percussion du tendon du bi
coup la différence qui Fig. 82. — Rétlexe rotulien (hémiplégie avec
contracture
), côté sain. Le temps-du réflexe est de 40 milliè
ue de 36 millièmes de seconde du côté sain et de 32 millièmes du côté
contracture
; Tous les caractères de ces tracés concourent à
réflexe du centre spinal dans la Fig. 83. — Réflexe rotulien. Côté
contracture
. Le temps perdu du réflexe est de 36 millièmes de
du côté demeuré sain, l'acte réflexe a Fig. 84. — Exagération de la
contracture
du triceps crural à la suite de la percussion du
ien que l'on a alors, en quelque sorte, sous les yeux, une ébauche de
contracture
. V Tels sont, Messieurs, les phénomènes qu'il
tait sur-tout de relever dans la phase prémonitoire de la période des
contractures
tardives chez les hémiplégiques. Nous les retrou-
. Actuellement, j'en reviens encore à la période prémonitoire de la
contracture
. Cette période peut être marquée par quel-ques au
fets produits sur les membres paralysés des hémi-plégiques frappés de
contracture
, par l'usage de certains mé-dicaments, et, en par
sorte les événements et déterminer l'apparition des phénomènes de la
contracture
. Vous n'êtes pas assurément sans avoir entendu
ment soit depuis longtemps suspendu. » Ainsi, vous le voyez,voilà une
contracture
durable déterminée parla strychnine,ce même mé-di
e circonstance déjà propre à montrer que les réflexes tendineux et la
contracture
sont des phénomènes connexes. J'aurai l'occasion
de revenir très prochainement sur ce point. TREIZIÈME LEÇON De la
contracture
tardive des hémiplégiques et de ses variétés clin
ariétés cliniques. Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent la
contracture
. — Strychnine. — Traumatisme. La contracture es
erses qui exagèrent la contracture. — Strychnine. — Traumatisme. La
contracture
est toujours imminente chez les hystériques. — El
provoque également, dans ces mêmes circonstances, l'apparition de la
contracture
tardive, alors que celle-ci est en quelque sorte
t qui mérite d'être mis en relief, parce qu'il semble indiquer que la
contracture
tardive et l'exaltation des réflexes tendineux so
cependant déterminer, elles aussi, prématurément, j'apparition de la
contracture
chez les hémiplégiques, ou la rendre plus intense
te catégorie, peut avoir pour résultat de provoquer ou d'exagérer les
contractures
permanentes. Ce qu'on sait moins, c'est qu'un tra
d avait pris l'attitude de l'équin varus, bref il s'agissait là d'une
contracture
vraie,aussi caractérisée que possible. Déplus, la
à d'une contracture vraie,aussi caractérisée que possible. Déplus, la
contracture
s'était consi-dérablement accrue dans le membre s
dans le membre supérieur ou elle était auparavant à peine accentuée,
contracture
en flexion, rendant fort douloureux les mouvement
nés ou provoqués. Au-jourd'hui, six semaines après le traumatisme, la
contracture
des membres s'est amendée, mais elle persiste à u
éterminer dans les membres frappés d'impuissance, l'ap-parition d'une
contracture
plus ou moins intense et plus ou moins permanen
d'un aimant. Ce résultat permet peut-être de comprendre pour-quoi la
contracture
se développe très souvent, en apparence d'emblée,
ins sujets, presque immédiatement, dans le membre cor-respondant, une
contracture
qui ensuite a persisté à l'état per-manent, penda
lusieurs semaines et même pendant plu-sieurs mois. L'apparition de la
contracture
ainsi produite est souvent la première révélation
nt d'un peu près, on reconnait presque toujours que, du côté où cette
contracture
s'est développée, il existe une anesthésie plus o
énins mais qui, tout porte aie croire, ont précédé l'apparition de la
contracture
. Le terrain était donc en quelque sorte déjà pré-
Je me borne, pour l'instant, à indiquer ce rapprochement entre les
contractures
des hystériques et les contractures des hémiplégi
diquer ce rapprochement entre les contractures des hystériques et les
contractures
des hémiplégiques. J'aurai sans doute l'occasion
. II A. Il est temps, en effet, de revenir à la description de la
contracture
hémiplégique dont je ne vous ai donné encore qu'u
,vous reconnaîtrez qu'avant de s'installer d'une façon définitive, la
contracture
apparaît d'abord, de temps à autre, d'une façon p
mi-flexion, et l'avant-bras dans la pronation. Successive-ment, cette
contracture
peut affecter toutes les parties para-lysées, et
une loi. Cependant, il importe avant tout de considérer de près la
contracture
elle-même et de bien déterminer les caractères qu
l'on acquiert ainsi la conviction que les muscles antagonis-tes sont
contractures
à peu près au môme degré. Les attitudes vicieus
es à certaines paralysies et qu'on désigne quelquefois sous le nom de
contractures
paralytiques, contractures par adaptation (Daily)
t qu'on désigne quelquefois sous le nom de contractures paralytiques,
contractures
par adaptation (Daily). Les déviations qui se voi
nt survenir ultérieurement, offre le type le mieux caractérisé de ces
contractures
dites paralyti-ques. Supposons qu'il s'agisse d'u
vements volontaires. 2° Il serait également facile de distinguer la
contracture
per-manente des hémiplégies des contractures dite
t facile de distinguer la contracture per-manente des hémiplégies des
contractures
dites myopathiques, c'est-à-dire de celles qui ti
nt la vie, l'exci-tation faradique révèle d'ailleurs dans ces muscles
contractures
une excitabilité normale, quelquefois même un peu
é normale, quelquefois même un peu exaltée. En somme, Messieurs, la
contracture
des hémiplégiques n'est pas une rigidité passive.
te des pieds par la contraction des muscles jumeaux. Au contraire, la
contracture
dont il s'agit maintient les membres inférieurs i
orcées, parfois presque violentes. Ce caractère de permanence de la
contracture
ne paraît pas moins singulier, si l'on songe à l'
orcer les analogies, semble pouvoir être rapproché du phénomène de la
contracture
permanente des hémiplégiques. Je veux par-ler de
uit rotatoire), constant dans le chiffre de ses vibrations, le muscle
contracture
ne produit qu'un bruit sourd, irrégulier, saccadé
t à établir que la contraction permanente des muscles, dans le cas de
contracture
, reconnaît une ori-gine analogue, c'est-à-dire qu
logiques. Ainsi, les phénomènes qui précèdent le déve-loppement de la
contracture
et l'accompagnent se rattachent, vous l'avez devi
ent l'activité réflexe spinale diminuent également l'intensité de ces
contractures
. C'est de la sorte qu'agit le bromure de potassiu
eprendrons plus tard, et je reviens au côté descriptif. III A. La
contracture
est dite permanente ; cependant, Messieurs, dans
quier avait déjà montré que le même phénomène se manifeste lorsque la
contracture
temporaire est déterminée chez les hé-miplégiques
e bras en tout cas est accolé à la paroi thoracique par le fait de la
contracture
du muscle pectoral. Nous venons de voir également
alors l'attitude du varus équin. Toutes choses égales d'ailleurs, la
contracture
est là habituellement moins accusée que dans le m
e membre supérieur. Un degré même Fig. 85. — Hémiplégie ancienne. —
Contracture
en flexion des deux membres inférieurs (1). a
un cas heureusement rare et très fâcheux que le dé-veloppement de la
contracture
dans les groupes fléchisseurs du membre inférieur
nt impossible {Fig. 85). 3. Enfin, il n'est pas exceptionnel que la
contracture
des muscles s'établisse à la face, du côté paraly
té paralysé, dans le domai-ne du facial inférieur bien entendu. Cette
contracture
ne se produit d'abord que de temps à autre, tempo
, on peut croire à une paralysie alterne. 4° Je vous ai présenté la
contracture
tardive des hémiplé-giques comme un état particul
spasme musculaire cesse d'exister; il n'y a plus à proprement parler
contracture
. Ce-pendant les attitudes trop longtemps gardées
mités. Cette terminaison, Messieurs, est-elle la seule possible? La
contracture
ne disparaît-elle jamais avant l'époque où survie
e, mais bien obscure encore et dont je vous dirai un mot à propos des
contractures
permanentes de cause spinale où le même phénomène
— Atrophie des membres, du thorax, du bassin. Intermittences de la
contracture
hémiplégique. — Influence des mouve-ments volonta
égique. — Influence des mouve-ments volontaires sur l'intensité de la
contracture
. — Syncinésies. — Rôle des mouvements associés da
Syncinésies. — Rôle des mouvements associés dans les variations de la
contracture
. — Pronostic de la contracture. Raison physiolo
nts associés dans les variations de la contracture. — Pronostic de la
contracture
. Raison physiologique de ce phénomène. -- A la
qu'affectent les membres paralysés chez les hémiplégiques atteints de
contracture
per-manente, je vous faisais remarquer que les va
nom d'hémiplégie spasmodique infantile (Heine). C'est qu'en effet la
contracture
permanente se montre là très prononcée. Les défor
° Dans la description cependant assez détaillée que j'ai donnée de la
contracture
permanente des hémiplégiques, il (1) Voy. les o
e impor-tance au point de vue de la théorie. ^/Je vous ai présenté la
contracture
tardive des hémiplégi-ques comme étant un phénomè
je, dans le sommeil comme dans la veille, les membres sont rigides et
contractures
. Il en est réellement ainsi dans la règle, aumoin
relief si, comme le conseillent MM. Seguin et Hitzig, le malade étant
contracture
à droite, on l'invite à soulever un poids de la m
soulever un poids de la main gauche. Plus le poids est lourd, plus la
contracture
s'exagère dans le côté droit. Ces faits sont cons
ment volontaire, soit un mouvement spasmodique qui n'est autre que la
contracture
, laquelle persiste pendant quelque temps après ce
is, sont exacts ; mais la part qu'il leur attribue dans le fait de la
contracture
elle-même est je crois, exagérée, et il faut cons
faut considérer comme exceptionnels les cas dans lesquels les membres
contractures
des hémiplégiques présentent, sous l'influence du
. Hitzig a imaginé un mécanisme qui peut faire comprendre pourquoi la
contracture
s'aggrave sous l'inflence des mouvements volontai
nts volontaires, mais il ne nous a pas fait comprendre pourquoi cette
contracture
, ainsi que cela a lieu dans la majorité des cas,
.^- 3° Il importe, en dernier lieu, de rechercher ce que devient la
contracture
avec le temps. Souvent, très souvent, une fois co
cette condition est évidemment insuffisante pour ren-dre compte de la
contracture
. La contracture n'existe pas chez le nouveau-né,
est évidemment insuffisante pour ren-dre compte de la contracture. La
contracture
n'existe pas chez le nouveau-né, et vous savez qu
encore développés; il faut donc cher-cher ailleurs. b) Du reste, la
contracture
ne se manifeste qu' à l'époque où le faisceau pyr
s, nous sommes en mesure d'interpréter aisément l'aggravation de la
contracture
sous l'influence des mouvements volontaires im-pr
rine a appelé l'attention, et dans lesquels la trépidation ou même la
contracture
se montrent sur le côté resté sain. J0T L'inten
régions sur lesquelles elle se propagera. Ceci fait comprendre que la
contracture
permanente liée à la sclérose consécutive du fais
fasse défaut alors même que la sclérose latérale n'existe pas (1). La
contracture
permanente, en d'autres termes, n'est pas, si Von
te dans le cas d'hémorrhagie cérébrale en foyer, (1) Dans Je cas de
contracture
hystérique, par exemple. à moins qu'on ne veuil
la sclérose primitive des faisceaux pyramidaux donner naissance à la
contracture
, alors qu'il n'existe aucune lésion encéphalique.
qu'il n'existe aucune lésion encéphalique. On a admis aussi que la
contracture
résulte de l'irritation des tubes médullaires res
t rares et quelquefois même faisant complètement défaut, alors que la
contracture
existe, je ne vois pas bien comment l'irritation
vois pas bien comment l'irritation de ces tubes pourrait pro-duire la
contracture
. Il faut donc, ici encore, invoquer l'affec-tion
QUINZIÈME LEÇON Rôle physiologique du faisceau pyramidal dans la
contracture
permanente ; hémiplégie, myélite par compression,
iniques : actes réflexes. — Théo-ries relatives à la pathogénie de la
contracture
. Théorie de l'encéphalite. — Théorie de l'irrit
ux mélan gés à ceux du faisceau pyramidal. La cause immédiate de la
contracture
est dans la substance grise elle-même. — Preuves
re que la théorie proposée pour rendre compte physiologiquement de la
contracture
per, manente des hémiplégiques n'a pas été saisie
upposé l'existence est éminemment durable, aussi durable que l'est la
contracture
permanente elle-même. Cet état irritatif une fo
s cli-niques, relevés chemin faisant dans notre étude descriptive des
contractures
permanentes, trouvent une interprétation facile d
soit un mou-vement homologue involontaire, soit une aggravation de la
contracture
. On comprendra aussi pourquoi l'exaltation des ré
re. On comprendra aussi pourquoi l'exaltation des réflexes et même la
contracture
pourront, à un moment donné, se produire sur le c
icatrices ; et, d'un autre côté, jamais les foyers ne déter-minent la
contracture
permanente que lorque, en raison de leur localisa
tion notable des réflexes tendineux, et même à ut certain moment, une
contracture
parfois considérable dea membres. La contracture
certain moment, une contracture parfois considérable dea membres. La
contracture
et, à son défaut, l'exagération des réflexes musc
éclatante confirmation. 2° Une autre explication pathogénique de la
contracture
permanente est la suivante : on suppose qu'elle r
e C'est là une remarque importante, car elle fait comprendre que la
contracture
permanente, bien qu'elle se rattache à la scléros
un symptôme nécessaire, patho-gnomonique. Ainsi, quoique sclérose et
contracture
s'obser-vent, en général, simultanément, on peut
'obser-vent, en général, simultanément, on peut voir la sclérose sans
contracture
et la contracture sans sclérose comme, par exempl
néral, simultanément, on peut voir la sclérose sans contracture et la
contracture
sans sclérose comme, par exemple, dans le cas de
On conçoit, en effet, que l'irritation ganglionnaire qui provoque la
contracture
s'établisse primitivement, ou en conséquence de l
le répète à dessein, la situation peut être résu^ mée en un mot : la
contracture
permanente n'est pas une fonction du faisceau pyr
la sclérose des faisceaux pyramidaux existe à un titre quelconque, la
contracture
permanente figure parmi les symptômes habituels.
s, ce fait que la paralysie en question n'a rien d'une paralysie avec
contracture
. Mais au bout de quelques jours ou de quelques
involontaires dans les membres paralysés. — d) Enfin, tôt ou tard la
contracture
se manifeste et il est bien, rare qu'elle fasse c
la plus inférieure du renfle-ment lombaire. Dans la règle, c'est une
contracture
en exten-sion qui se produit ; et cependant, il n
uand il s'agit d'une lésion transverse totale. 2° Que devient cette
contracture
? Tantôt les sujets s'affai-blissent, des eschares
fièvre hectique se déclare, et simultanément le pouvoir réflexe et la
contracture
dis-paraissent. Tantôt, au contraire, une amélior
ons de Kolliker, Gerlach, Krause, Schiff, Vulpian, Schiefferdecker.
Contracture
permanente et démarche spasmodique dans la myélit
rd'hui la revue des affections spinales organiques dans lesquelles la
contracture
permanente des membres paralysés est un symp-tôme
énements les réflexes cutanés, tendineux ou autres, la rigidité et la
contracture
doivent apparaître en pareil cas, absolument comm
peut présenter la paralysie en semblable occurence, alors que déjà la
contracture
perma-nente s'est établie. Je vous ai fait remarq
nt particulier des membres supérieurs, quelquefois remplacé par de la
contracture
, une paraplégie spasmodique, etc. ; je laisse de
hain. Vous voyez donc, Messieurs, par l'exposé qui précède, que. la
contracture
permanente est un symptôme commun aux affections
es faisceaux latéraux. Il importe toute-fois de ne pas oublier que la
contracture
permanente n'est pas l'indice certain d'une lésio
ement abolis. Vous avez prévu que l'épilepsie spinale non plus que la
contracture
n'appartiennent pas aux affections de ce groupe,
Dès le début de l'étude que M. Gharcot a consacrée à l'his-toire des
contractures
, dans ses dernières conférences de la Salpêtrière
para-lysies se traduisent principalement par de la rigidité ou de la
contracture
spasmodique des masses musculaires ; tandis que d
ntrer l'intérêt pratique qui s'attache à l'interprétation du symptôme
contracture
. Depuis quelques années, les observateurs ont,
que. Or, dans l'état actuel de nos connaissances physiologiques, la
contracture
spasmodique permanente des muscles passe, à juste
ger, tendent à établir que l'exaltation des réflexes tendi-neux et la
contracture
sont des faits connexes, pour ainsi dire équivale
: secousses continuelles dans les membres, tremblements fibrillaires,
contracture
des fléchisseurs, trépi-dation spinale intense, à
n an et demi, une foule d'accidents spasmodiques permanents, tels que
contractures
partielles, contractures de la totalité d'une rég
'accidents spasmodiques permanents, tels que contractures partielles,
contractures
de la totalité d'une région musculaire, soubre-sa
est dire qu'il s'agit là de faits irrécusables. Dans tous ces cas, la
contracture
a été l'objet d'une mention spéciale. Pour sa par
autopsies (1) ; et une fois seulement (cas de la femme Pic... (2), la
contracture
ne figure pas au nombre des symptômes consignés d
d'hui, que ce phénomène est en quelque sorte de la même espèce que la
contracture
elle-même. Quant aux six autres observations acco
pagnées d'autopsie, elles sont également affirmatives à l'égard de la
contracture
(Seguin, Worms, Hum Kussmaul, Rigal, Pick et Kahl
ne s'y implantent pas. Quand on veut modifier la résistance de cette
contracture
on détermine une exagération de la flexion, avec
res sont encore possibles. Les membres inférieurs sont paralysés et
contractures
, mais le malade peut encore marcher : — toutefois
vembre 1876, c'est-à-dire onze mois après le début de l'affection, la
contracture
a diminué dans les membres supérieurs; mais les m
en avril 1879. Faciès caractéristique ; rides transversales du front,
contracture
de la partie inférieure de la face, soulèvement d
uatre cas sont péremptoires au sujet des manifestations spasmodiques (
contractures
, etc.), il ne subsiste sur un total de 15 observa
ons classiques, qu'un seul cas où il n'ait pas été fait mention de la
contracture
en propres termes, bien que l'exagération des réf
it-on, des cas contradictoires ? On a cité des faits dans lesquels la
contracture
n'a pas été observée ? — Si l'on fait appel encor
ze ; 2° Dans l'un de ces cas contradictoires (Shaw, de Broklyn), la
contracture
, prétend-on, n'a pas été observée. Mais a-t-elle
3° Dans un autre des cas du même groupe (Pick), s'il n'y avait pas de
contracture
, la malade était sujette à des secousses involont
es phénomènes analo-gues ou de la même origine, et qui confinent à la
contracture
. Quant aux réflexes, il n'en est pas plus questio
orhanden (Arch. f. Pysc/i. 1878, VIII, Bd ; 3. Heft ; P. 675.) à Ja
contracture
, elle n'existerait jamais ; tout au plus pour-rai
ment plus naturel d'envisager cette rigidité comme un faible degré de
contracture
, comme cet état caractéristique du muscle malade
s, M. Leyden ne s'en est pas tenu là. 11 a énuméré d'autres signes de
contracture
, comme la flexion des doigts avec impossibilité d
nt provo-qué (1). Il s'agit là d'un phénomène vulgaire dans l'état de
contracture
permanente, et relevé depuis longtemps dans la co
l'état de contracture permanente, et relevé depuis longtemps dans la
contracture
des hémiplégiques. Dans le même genre, M. Leyden
s de para-lysie spasmodique, où l'ensemble des symptômes propres à la
contracture
peut être modifié, à un moment donné, par l'appar
nsensus des phénomènes qui constituent par leur groupement, l'état de
contracture
. Mais, si l'un de ces phénomènes disparaît, un au
ubsister longtemps encore : c'est pour cela que les caractè-res de la
contracture
, qui assurément, sont très variés, demandaient à
dans les observations de Pick etdeKahler, invoquées par M. Leyden, la
contracture
proprement dite n'a pas été observée, on eût été
des réflexes tendineux du côté malade; refroi-dissement du même côté;
contracture
de la main (les doigts fermés) ; mouvements assoc
condition sine qua non de la guérison. Symptômes précurseurs de la
contracture
secondaire. — Epilepsie spinale, clonus du pied.
n. — Réflexes tendineux................ 294 DOUZIÈME LEÇON. DE la
contracture
tardive des hémiplégiques et de ses variétés cl
iétés cliniques. Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent la
contracture
ou même la pro-voquent prématurément, — Strychnin
umatisme. — Con- tracture traumatique (observation). — Analogie des
contractures
hémiplégi-ques par traumatisme et dos contracture
n). — Analogie des contractures hémiplégi-ques par traumatisme et dos
contractures
hystériques. A quelle époque survient la contra
atisme et dos contractures hystériques. A quelle époque survient la
contracture
secondaire des hémiplégiques. — Attitude des memb
ontracture secondaire des hémiplégiques. — Attitude des membres. — La
contracture
affecte tous les groupes antagonis-tes. — Attitud
ture affecte tous les groupes antagonis-tes. — Attitudes vicieuses.
Contractures
paralytiques, par adaptation, myopathiques. — La
uses. Contractures paralytiques, par adaptation, myopathiques. — La
contracture
des hémiplégiques n'est pas une rigidité passive.
ion réflexe permanente. Types et variétés des attitudes des membres
contractures
. — Contracture de la face. — Terminaisons diverse
anente. Types et variétés des attitudes des membres contractures. —
Contracture
de la face. — Terminaisons diverses de la contrac
contractures. — Contracture de la face. — Terminaisons diverses de la
contracture
hémiplégique... 306 TREIZIÈME LEÇON. De la co
rses de la contracture hémiplégique... 306 TREIZIÈME LEÇON. De la
contracture
tardive des hémiplégiques et de ses variétés cl
iétés cliniques. Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent la
contracture
. — Strychnine. — Traumatisme. La contracture es
erses qui exagèrent la contracture. — Strychnine. — Traumatisme. La
contracture
est toujours imminente chez les hystériques) — El
— Atrophie des membres, du thorax, du bassin. Intermittences de la
contracture
hémiplégique. — Influence des mouve-ments volonta
égique. — Influence des mouve-ments volontaires sur l'intensité de la
contracture
. — Syncinésies. — Rôle des mouvements associés da
Syncinésies. — Rôle des mouvements associés dans les variations de la
contracture
. — Pronostic de la contracture. Raison physiolo
nts associés dans les variations de la contracture. — Pronostic de la
contracture
. Raison physiologique de ce phénomène. -- A la
QUINZIÈME LEÇON. RÔLE physiologique du faisceau pyramidal dans la
contracture
per-manente ; hémiplégie, myélite par compression
iniques : actes réflexes. — Théo-ries relatives à la pathogenic de la
contracture
. Théorie de l'encéphalite. — Théorie de l'irrit
ux mélan-gés à ceux du faisceau pyramidal. La cause immédiate de la
contracture
est dans la substance grise elle-même. — Preuves
ons de Kolliker, Gerlach, Krause, Schiff, Vulpian. Schiefferdecker.
Contracture
permanente et démarche spasmodique dans la myélit
morrhagie cérébrale, 99, 300. Anse rolandique, 213. Antagonistes (
Contractures
des —), 325. Aphasie, 9; — dans la migraine, 14
397 ; — progressive, 307, 383. Attitude des membres dans le cas de
contracture
permanente, 324, 329 ; — Variétés et types, 330 e
du genou.) Colline de Doyère, 387. Conduction différente, 296.
Contracture
précoce, 99, 289 ; — permanente, 102 ; — ses rapp
Troubles trophi-qnes dans 1' —, 245 ; — post-hémor-rhagique, 296 ; —¦
Contracture
tar-dive de 1' —, 302 et suiv. ; — dans l'hystéri
, 335. Histoire naturelle des lésions en-céphaliques, 45. Hystérie (
Contracture
dans 1'), 323. I Ictus appoplectique, 296. In
nts, théorie de Hitzig, 338,346; — secondaire, 358. Myopathiques. (V.
Contractures
.) Nates, 143. (V. Tubercules quadri- jumeaux.
vomique (V. Strychnine.) Nouveau-né (Cerveau du), 192; — Absence de
contracture
chez le —, 340. Noyau caudé, 6; — sa circulat
es, 181 ; — Ab-sence des dégénérations secondaires dans la —, 278 ; -
Contracture
dans la —, 359 ; — Paralysie spas-modique dans la
plégie et Tabès.) Splenium, 139. Strychnine. Son influence sur la
contracture
, 308 ; — Expériences thérapeutiques de Fouquier,
iques. (V. Bandelettes optiques.) Traumatisme (Influence du) sur la
contracture
permanente, 321, 345, 352. Trépidation spinale,
Romain Yicounoux. laires produisent encore, par action réflexe, une
contracture
limitée aux muscles de la jointure ou s'étendant
s l'emportant sur les extenseurs. Dans d'autres cas, l'atrophie et la
contracture
se combinent. Ces variétés d'affections spinale
qui se trouvent actuellement dans le service. TROISIÈME LEGÓN I.
Contracture
d'origine traumatique. — II. Tic non douloureux d
tisme sur la localisation de certaines déterminations diathésiques. —
Contracture
d'origine traumatique chez les sujets qui présent
chez les hystériques. II. Tic non douloureux de la face typique. —
Contracture
des muscles de la face chez une hystérique. — Sim
ement des phénomènes de l'hystérie locale, sur le développement de la
contracture
, en particulier. On sait depuis longtemps que c
que certains phénomènes locaux de l'hystérie, et, en particulier, la
contracture
d'un membre, se manifestent quelquefois de la mêm
ous le voyez seulement, ainsi que cela est habituel, dans ce genre de
contracture
, en ce qui concerne le membre inférieur, c'est l'
'est là, ainsi que je l'ai fait ressortir déjà, un des apanages de la
contracture
spasmodique des hystériques, par opposition aux c
ges de la contracture spasmodique des hystériques, par opposition aux
contractures
de cause organique. Ainsi, dans la paraplégie spa
s barres inflexibles. Un des caractères les plus intéressants de la
contracture
hystérique, c'est, vous le voyez, qu'elle peut
le peut arriver à son ^maximum tout d'un coup. L'apparition de la
contracture
dans les circonstances qui viennent d'être racont
affecté d'hystérie à un haut degré et pour avoir été déjà atteint de
contracture
, devait nous conduire tout naturelle- ¦* ment à
festés chez elle à la suite du choc traumatique, en même temps que la
contracture
. C'est ce qui est arrivé en effet : l'hémianeslhé
ccupe le côté gauche, le côté où a porté le choc et où s'est faite la
contracture
. L'aneslhésie occupe tout le côté gauche, les m
ssisterons à une manifestation de ce genre, à la suite de laquelle la
contracture
pourra disparaître comme elle est venue, c'est-à-
me aujourd'hui même ; car l'occasion de vous mettre sous les yeux une
contracture
hystérique d'origine traumatique pourrait ne pas
t du faisceau pyramidal, les membres peuvent rester flasques; mais la
contracture
existe là, pour ainsi dire à l'état latent, comme
sistant, en répétant les chocs sur le tendon rotulien, on produit une
contracture
temporaire qui dure quelques minutes. Eh bien I d
ues minutes. Eh bien I dans de telles conditions, il y a imminence de
contracture
, et celle-ci pourra se développer si une lésion t
e dont l'histoire a été rapportée par M. Terrier, il se produisit une
contracture
qui persista plusieurs mois. On pourrait citer d'
que sous l'influence d'un traumatisme. D'ailleurs, pour déterminer la
contracture
dans un membre atteint de paralysie flasque, un t
as, à la suite d'une chute sur le dos de la main, on vit survenir une
contracture
du poignet qui dura plusieurs mois; j'ai encore o
d fortement pressé contre le barreau d'une chaise, fut atteinte d'une
contracture
du pied, etc. Brodie, qui connaissait parfaitemen
dans son livre sur certaines affections nerveuses locales, cite des
contractures
du membre supérieur, à la suite de piqûres du doi
piqûres du doigt. Ces faits sont d'autant plus intéressants que la
contracture
déterminée par le traumatisme est souvent la prem
tion de la dialhùse-hyslérique. Ainsi, un traumatisme banal amène une
contracture
chez un jeune sujet qui, jusqu'à ce jour, n'a pré
nre. Je puis, d'ailleurs, vous rendre témoin de cette tendance à la
contracture
, qui existe souvent au plus haut degré chez certa
des offre une anesthésie par plaques et une ovarie gauche; elle a des
contractures
spontanées à la suite de ses attaques ; l'autre e
n mouvement ni d'extension, ni de flexion ; il s'agit en un mot d'une
contracture
des mieux ca-ractérisées, qui pourra durer plusie
et les doigts se placer dans une flexion exagérée et rester fixés en
contracture
. Je pense en avoir assez dit pour mettre en évi
dence l'influence des lestons traumatiques sur le développement de la
contracture
chez les hystériques, et, en dehors de l'hystérie
ertains phénomènes autrement inexplicables. Mais, j'en reviens à la
contracture
de 13... Qu'allons-nous en faire? Attendre d'abor
peut-être y mettra fin. Mais, si elle persiste? Comme il s'agit d'une
contracture
unilatérale, nous avons sur elle quelque prise ;
l'action d'autres agents du même ordre, provoquer un transfert de la
contracture
du côté opposé, et il peut se faire qu'à la suite
t se faire qu'à la suite d'un très grand nombre de ces transferts, la
contracture
s'épuise. Il vient actuellement à notre consult
sultat ne manque jamais ; repos aussitôt que le coussin est en place,
contracture
tant qu'il n'est pas appliqué. Ainsi, il existe
t, on a fait presque tous les jours usage de l'aimant à distance ; la
contracture
de la partie inférieure de la face a disparu inse
agération des réflexes tendineux. — Avec l'amyotrophie, il existe une
contracture
à l'état latent. — Contracture spasmodique, réfle
x. — Avec l'amyotrophie, il existe une contracture à l'état latent. —
Contracture
spasmodique, réflexe d'origine articulaire. Mes
s éléments qui constituent la paraplégie spasmodique à l'époque où la
contracture
permanente, ne s'étant pas encore développée, est
ce qui précède, dans le cas où la parésie amyotrophique prédomine, la
contracture
existe pour ainsi dire en puissance, à l'état lat
s de même dans d'autres affections articulaires, où, au contraire, la
contracture
spasmodique tient le premier plan. On enseigne
l faut souvent, pour atténuer la douleur, s'opposer justement à cette
contracture
, en déterminant l'extension forcée. M. Masse2 a f
r, 1878, p. 104. remarque intéressante que, pendant le sommeil, ces
contractures
s'exagèrent souvent énormément, tandis qu'elles s
fluence des causes accessoires, on est donc conduit à admettre que la
contracture
spasmodique réflexe est, en pareil cas, l'agent p
ôté des paralysies amyotrophiques de cause articulaire, il existe des
contractures
spasmodiques qui se rattachent également à une al
ment à une altération des jointures ; que ces amyotrophies, comme ces
contractures
, relèvent d'une affection spinale déterminée par
ce si éloignés l'un de l'autre. CINQUIÈME LEÇON I. Amyotrophie et
contracture
réflexes d'origine articulaire. — II. Migraine op
alysie générale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire chronique. —
Contracture
réflexe d'origine articulaire. — Déformations dan
étails aux documents q,ue je vous ai présentés déjà, relativement aux
contractures
spasmodiques qui se produisent souvent, en conséq
i essayé d'éta- blir que, conformément à la doctrine de Hunter, ces
contractures
s'établissent par le fait d'un acte réflexe dével
es, tant extenseurs que fléchisseurs de la jointure. En général, la
contracture
spasmodique se limite aux seuls muscles extenseur
ie, autant qu'on en peut juger d'après les observations publiées, ces
contractures
généralisées à toute l'étendue d'un membre, à la
ar Duchenne (de Boulogne) d'abord, et décrits par lui, sous le nom de
contracture
réflexe dorigine articulaire, puis par M. Dubruei
était fait une entorse tibio-tarsienne gauche ; trois jours après, la
contracture
occupait non seulement les muscles du pied qui ét
euvent le genou et la hanche. Évidemment, h s sujets chez lesquels la
contracture
d'origine arthropathique se généralise ainsi sont
ssif, du rhumatisme noueux, reconnaissent pour cause, elles aussi, la
contracture
spasmo-dique des muscles, développée par action r
aux autres jointures de ces mêmes malades, genoux, coudes, etc., à la
contracture
spasmodique des muscles. Chàrcot. Œuvres complè
uvres complètes, t. m, Système nerveux. 5 Veuillez remarquer que la
contracture
spasmodique a cessé depuis longtemps chez ces mal
ces attitudes forcées, ils luttent le plus qu'ils peuvent contre les
contractures
spasmodiques, les crampes, comme ils les appellen
nner plus de mobilité aux jointures et favoriser l'action des muscles
contractures
; mais cet élément ne peut être invoqué comme cau
gie spasmodi-que infantile : la malade que je vous présente offre une
contracture
spasmodique de tous les muscles des membres supér
l'attitude d'une main qui tient une plume à écrire, et ici, c'est la
contracture
des interosseux qui est en jeu. Mais, dans certai
une exaltation des propriétés des cellules nerveuses, d'où dérive la
contracture
musculaire ; tantôt, au contraire, une dépression
, dans le rhumatisme noueux, par exemple, dans le temps même où les
contractures
occupent les muscles, on voit la plupart d'entre
servations que je vous ai présentées, les conditions qui préparent la
contracture
musculaire et y prédisposent, à savoir l'exaltati
ni surtout contradiction entre les deux ordres de faits. Qu'il y ait
contracture
ou, au contraire, amyotrophie consécutive à une l
terminant, que cette même combinaison, et cette même succession de la
contracture
et de l'amyotrophie ne sont pas, tant s'en faut,
(fig. 40). Un élève de la clinique de la II. C'en est assez sur les
contractures
spasmodiques et sur Fig. 10. —Attitude vicieuse
SIXIÈME LEÇON De l'hystérie chez les jeunes garçons. Sommaire. —
Contracture
hystérique. — Amblyopie. — Zones hystérogènes. Ph
a offert, Messieurs, vous ne l'avez pas oublié, un bel exemple de
contracture
hystérique développée sous l'influence d'un traum
ue développée sous l'influence d'un traumatisme1. Pendant 5 jours, la
contracture
a occupé toutes les articulations du membre infér
nérale. L'hé-mianesthésie persiste encore à un certain degré, mais la
contracture
a disparu. Qu'est-il arrivé depuis le moment où n
crises hystériques sur lesquelles nous comptions pour mettre fin à la
contracture
ne sont pas survenues ; les seules crises qui se
idés alors à essayer l'application de l'aimant au voisinage du membre
contracture
. Divers incidents se produisirent, à la suite des
he est presque complètement libre. J'ajouterai que la tendance à la
contracture
paraît ne plus exister chez notre malade, car l'a
depuis bientôt trois semaines ; vous vous rappelez que, chez elle, la
contracture
occupait les 4 extrémités depuis six mois. Soit s
ricité statique, soit spontanément, la situation s'est simplifiée. La
contracture
a disparu, d'abord aux membres supérieurs, puis a
ur gauche, persistant dans le droit, et l'a-nesthésie qui, pendant la
contracture
, occupait les 4 membres, ne persiste qu'à droite.
qui ne cessent pas après l'excitation, mais s'établissent à l'état de
contractures
. Yoici, en effet, la griffe cubitale déterminée p
d-bot produit par la faradisation des jumeaux. Vous voyez donc que la
contracture
existe toujours ici à l'état latent, et qu'il suf
des traces de l'amblyopie. Ch. F. SEPTIÈME LEÇON o Deux cas de
contracture
hystérique d'origine traumatique Sommaire. —Olj
tique Sommaire. —Oljiitérje larvéer..s,anb.jxise:? coin uisive.s. —
Contracture
spas-modique permanente "d'origine traumatique. —
s, en commun, un autre trait particulier, à savoir, l'existence d'une
contracture
spasmodique limitée à l'une des mains, et dévelop
e la marque, en quelque sorte classique, de l'attaque convulsive ; 2°
Contracture
spasmodique permanente développée à la suite d'un
Parmi les antécédents personnels de la malade, nous ne Fig. 17. —
Contracture
hystérique de la main gauche. Dessin de M. 1'. Ri
te déformation. Nous retrouvons d'ailleurs ici les caractères de la
contracture
spasmodique : si, en effet, les fléchisseurs sont
Cette action simultanée des antagonistes est un des caractères de la
contracture
spasmodique, sur lesquels je reviendrai. Chemin
du côté de la déformation. Il s'agit ici, remarquez-le bien, d'une
contracture
,pjerma-jiejxLe^dans l'acception rigoureuse du mot
rêt d'entrer dans quelques détails relatifs à la physiologie de cette
contracture
. Quels sont les muscles qui entrent surtout en
, la main contracturée en flexion, présente tous les caractères de la
contracture
spas-modique ; l'attitude est fixe, les fléchisse
en revenir à notre malade. Nous venons d'établir qu'il s'agit d'une
contracture
spas-modique ; mais il faut montrer maintenant qu
proprié. Ce diagnostic peut être basé: 1° sur Vintensitè même de la
contracture
qui se présente rarement à ce degré, quand elle e
nence absolue au même degré, nuit et jour. Chez les hémiplégiques, la
contracture
se relâche ordinairement en partie sous l'influen
u bout de 4 ou 5 jours. C'est ce traumatisme léger qui a déterminé la
contracture
; c'est là un caractère d'une grande valeur. De p
un traumatisme ; mais dans ce dernier cas, en général, le début de la
contracture
n'est pas brusque, il n'y a pas la même dispropor
e disproportion entre la légèreté du traumatisme et l'intensité de la
contracture
, qui n'a pas non plus la même persistance, après
ion à la contraclure chez les hystériques, cette sorte de diathèse de
contracture
, qui peut être mise en jeu par un traumatisme ban
brusque, en jetant une pierre, par exemple, restaient avec le bras en
contracture
. Nous pouvons reproduire le même phénomène sur la
bot équin qui ne cédera qu'à un massage prolongé. Remarquez que cette
contracture
se produit à l'état de veille, et qu'elle se prés
e cette étude à notre prochaine leçon. HUITIÈME LEÇON Deux cas de
contracture
hystérique d'origine trauraa- tique (suite).
). Sommaire. — Recherche de la simulation de la catalepsie et de la
contracture
. — Hystérie chez l'homme, fréquence, hérédité, âg
ie chez l'homme, fréquence, hérédité, âge adulte. — Formes frustes. —
Contracture
d'origine traumatique. Messieurs, Vous n'avez
ntés en même temps à notre observation, et dans lesquels il s'agit de
contracture
de nature hystérique, survenue à la suite d'une a
ci, mis en œuvre un dispositif analogue pour soumettre à l'épreuve la
contracture
de notre jeune Fig. 10. — Expérience destinée à
re jeune Fig. 10. — Expérience destinée à vérifier la réalité de la
contracture
de la main. malade. L'avant-bras est appliqué s
onnaître, dans un instant, que ce qui vient d'être dit à propos de la
contracture
de notre jeune malade, nous pensons l'appliquer p
1. La malade a été soumise à l'application répétée de l'aimant et la
contracture
a lini par disparaître; dans sa leçon du 12 janvi
'observe quelquefois, beaucoup plus fréquemment, on peut dire, que la
contracture
, qui paraît avoir été rarement rencontrée. Mais
L'accident n'a pas causé trop d'émotion, paraît-il. D'autre part, la
contracture
n'a pas suivi immédiatement l'action traumatique;
se remarquable, que d'une manière graduelle; et dans l'histoire de la
contracture
hystérique de cause traumatique, c'est là une cir
ts difficiles à remuer, comme engourdis ; mais, pour ce qui est de la
contracture
, c'est sans intervention d'une cause nouvelle qu'
e plus près cette remarquable déformation de la main, résultant d'une
contracture
permanente de certains muscles, contracture telle
la main, résultant d'une contracture permanente de certains muscles,
contracture
tellement prononcée qu'elle résiste à toute tenta
s uns contre les autres, et le pouce lui-même est forte- Fig. 21. —
Contracture
delà main gauche. (Dessin de M. P. Richer.) men
seux. Ajoutons que les extenseurs sont aussi en jeu, comme dans toute
contracture
spasmodique. Remarquez cette attitude du poing
eil chlorofor-mique, on n'a obtenu qu'une résolution incomplète de la
contracture
; cette résolution, toutefois, avait été obtenue
er, du saturnisme, de l'alcoolisme, et en raison de la présence d'une
contracture
, d'une déformation de la main, qui, considérée en
se sont légèrement modifiées. Un aimant a été appliqué du côté de la
contracture
, la sensibilité est revenue sans transfert au mem
dont il savait que je désirais vous rendre témoins. Aujourd'hui,la
contracture
persiste seule chez notre homme, l'hémianesthésie
eu d'autre résultat que de rame jier la sensibilité dans le membre
contracture
. Le malade fut dès lors en proie à des souffrance
des ongles dans les chairs, mais aussi dans une certaine mesure à la
contracture
elle-même ; car les muscles fléchisseurs surtout
'avant-bras et la main des fourmillements accompagnés de douleurs, la
contracture
semble persister.. Après un sommeil de trois ou q
eures, il se réveille sans douleurs dans l'avant-bras et la main ; la
contracture
a à peu près complètement disparu, cependant les
qui semble dû à une rétraction des parties fibreuses ; d'ailleurs, la
contracture
est remplacée par une paré-sie des muscles primit
ction des parties fibreuses qu'on observe quelquefois, à la suite des
contractures
hystériques de longue durée, il existe un état li
xes tendineux a disparu, la rigidité musculaire ou, aufrement dit, la
contracture
s'est effacée, les mouvements sont devenus libres
d'une flexion à angle obtus ; et cette flexion n'était plus due à la
contracture
, car on pouvait produire dans la jointure les mou
'il y a absence complète de l'élément spasmodi-que et plus tard de la
contracture
. Autrefois, cette catégorie d'amyolrophies était
ures, puis une crise convulsive, grande attaque hystérique, suivie de
contracture
des membres du côté droit, puis d'aboiement. C'es
rand mal hystérique : le premier se trouve constitué chez lui par une
contracture
des deux orbiculaires des yeux qui peut durer de
eurs accidents spasmodiques ou autres, tels que la toux nerveuse, les
contractures
permanentes, certaines arthralgies, certaines par
absolue. Il n'y a pas trace d'un mouvement volontaire ; pas trace de
contracture
. Les masses musculaires ont conservé leur volume
lusieurs mois après le début, par un certain degré, tout au moins, de
contracture
et par l'exagération nettement accusée des réflex
l n'existe, vous le constatez, pas la moindre trace de rigidité ni de
contracture
. Cela rappelle la flaccidité de la monoplégie dan
pendant, flasque, sans traces de rigidité articulaire, sans traces de
contracture
; mais voici la différence : chez P..., les muscle
pinale, s'accusant cliniquement par l'existence d'un certain degré de
contracture
dans le membre paralysé, tandis qu'il est parfait
dans la paralysie de l'accommodation produite par l'atropine, dans la
contracture
de l'accommodation déterminée par l'action de l'é
raisemblablement à cause du myosis concomitant. C'est d'ailleurs à la
contracture
du muscle de Biûke 2, sans myosis, que devrait êt
tc. (Extrait des Annales d'oculistique, Gand, mai-juin 1878). 2. La
contracture
du muscle de l'accommodation, dans l'hysLérie, a
promenés à leur surface, ou même de mouvements effectués à distance (
contracture
somnambulique), est un caractère somatique qui, v
conséquent, à l'état de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la
contracture
par la pression exercée sur les masses musculaire
xercée sur les masses musculaires, les tendons ou les troncs nerveux (
contracture
des léthargiques), et l'immobilité cataleptique d
et aussi à l'aide de légers frôlements ou de mouvements à distance la
contracture
somnambulique. Tous ces phénomènes somatiques se
ement locale en apparence, telle que, par exemple, la paralysie ou la
contracture
d'un membre. Chez le malade que je vous présent
résente aujourd'hui, il ne s'agit, à la vérité, ni de paralysie ni de
contracture
, mais bien — c'est du moins l'avis que je vais es
^e membre inférieur du côté affecté paraît raccourci, par suite de la
contracture
musculaire qui élève le bassin du côté correspond
la cuisse est immédiatement communiqué au bassin ; là encore c'est la
contracture
musculaire qui est en jeu. Comme vous le savez,
ère a de nombreuses attaques d'hystérie. Le membre du côté malade est
contracture
non-seulement au niveau de la hanche, mais encore
des attaques hystériques, jusqu'à l'âge de 30 ans. A l'âge de 7 ans,
contracture
douloureuse du pied droit. A 9 ans, crises nerveu
r un membre peut-elle devenir alors l'occasion d'une paralysie, d'une
contracture
ou d'une arlhral-gie. C'est pourquoi, si souvent,
rappellerai de plus que cette douleur articulaire est accompagnée de
contracture
des muscles qui meuvent la hanche, le genou et mê
douleur. Enfin, et ceci est d'un intérêt plus considérable encore, la
contracture
a disparu et l'on peut mouvoir toutes les jointur
urs, que nous avons, à proprement parler, transformé la coxalgie avec
contracture
en une paralysie hystérique flasque, répondant vé
ntensité qu'elle avait auparavant et alors apparaîtront de nouveau la
contracture
et le raccourcissement apparent du membre. C'est
it pas sensiblement modifiée. VINGT-CINQUIÈME LEÇON Sur un cas de
contracture
spasmodique d'un membre supérieur survenue, chez
ture ; la monoplégie avec flaccidité se transforme en monoplégie avec
contracture
. Celle-ci présente tous les caractères de la cont
oplégie avec contracture. Celle-ci présente tous les caractères de la
contracture
hystérique. — La tendance à la contracture spasmo
tous les caractères de la contracture hystérique. — La tendance à la
contracture
spasmodique est chose fréquente, chez les hystéri
r des membres, d'un lien circulaire. — La production artificielle des
contractures
constitue un véritable stigmate révélateur de l'é
n grand intérêt pratique. Cet homme offre, comme vous le voyez, une
contracture
du membre supérieur gauche qui, depuis plusieurs
e qui, depuis plusieurs mois, prive ce membre de tout mouvement. La
contracture
s'est développée chez lui, pendant le temps où le
as une paralysie llaccide que nous avons sous les yeux, mais bien une
contracture
spasmodique, et c'est là justement un fait que no
mps, l'appareil fut enlevé, on constata que le membre supérieur était
contracture
, le coude et les doigts dans la flexion, exacteme
re, aucune rétraction fibreuse et qu'il s'agissait là d'une véritable
contracture
spasmodique. On profita de la résolution produi
réaction de dégénération. Il s'agit donc là, bien évidemment, d'une
contracture
spas-modique, d'origine neuro-musculaire. Il es
oupe musculaire, des extenseurs, par exemple, et, en conséquence, une
contracture
paralytique déterminée par la prédominance d'acti
c'est là, précisément, vous le savez, un des grands caractères de la
contracture
spasmodique. Dans ces derniers temps, M. le pro
'abord, puis, après lui, M. Léser1 ont décrit un genre particulier de
contracture
qui s'observe dans le cas de fracture, surtout au
ite et en conséquence de l'application d'un bandage trop serré. Cette
contracture
serait une conséquence de l'ischémie produite dan
ermittente produite chez l'homme par oblitération artérielle2, que la
contracture
1. R. Volkmann, Die ischaemischen Muskellaehmun
contracture 1. R. Volkmann, Die ischaemischen Muskellaehmungen unrt
Contracture
». Cbl. f. Chir, 1881, n° 51. — Cbl. f. die med. W
ment à relever que, parmi les caractères cliniques qui distinguent la
contracture
signalée par M. Yolkmann, il faut placer, d'après
osés, et il est rendu bien clair, d'après cela, qu'entre les faits de
contracture
décrits par M. Yolkmann et celui que nous avons s
a déformation du membre est bien, chez notre sujet, le résultat d'une
contracture
spasmodique; il nous faut maintenant jnontrer enc
nsi que nous l'avons fait pressentir, dès le début de cette leçon, la
contracture
en question est de nature hystérique. On peut d
e. On peut dire qu'il existe chez les hystériques tout un groupe de
contractures
spasmodiques — et le malade dont nous nous occupo
l'action du chloroforme portée suffisamment loin, la résolution de la
contracture
devient complète. Tels sont les liens de ressembl
ent des particularités cherchées en dehors de l'état du membre, les
contractures
hystériques pourront être distinguées souvent des
les contractures hystériques pourront être distinguées souvent des
contractures
reconnaissant pour point de départ une lésion mat
t le sommeil même le plus profond ; tandis que, dans les secondes, la
contracture
, en général moins accentuée, se montre, dans la r
sie, en général très peu prononcée ou tout à fait nulle sur le membre
contracture
quand il s'agit d'une lésion organique, peut, au
lorsqu'il s'agit de l'hystérie. Or, ces caractères dislinctifs de la
contracture
hystérique, nous les rencontrons très nettement a
ériques. Il existe du côté gauche, c'est-à-dire du côté où se voit la
contracture
, une hémianalgésie totale, et de plus, du même cô
ées ainsi qu'il suit : De temps à autre, il se produit dans le membre
contracture
une sensation d'aura qui remonte vers le pharynx
malade est sous le coup de la diathèse hystérique, mais encore que la
contracture
qu'il présente au membre supérieur gauche n'est p
e du début s'est elle transformée par la suite en une monoplégie avec
contracture
? Dans mon opinion, Messieurs, c'est le fait même
non pas une monoplégie avec flaccidité, mais bien une monoplégie avec
contracture
comparable à celle que nous observons chez Dum...
uelques tours de la bande d'Esmarch et presque aussitôt vous voyez la
contracture
spasmodique se produire au poignet et aux doigts
e se produire au poignet et aux doigts de la main. A la vérité, celte
contracture
se dissipe peu de temps après que la bande a été
re attention dans un instant, il me paraît légitime d'admettre que la
contracture
en question pourrait devenir durable, comme elle
que, chez lui, il a existé dans le membre paralysé une tendance à la
contracture
analogue à celle qui vient de se révéler chez Mou
ous pourrons invoquer encore que chez ce même Dum... la tendance à la
contracture
existe, à l'heure qu'il est, de la façon la plus
, dans le membre inférieur gauche, c'est-à-dire du côté où se voit la
contracture
du membre supérieur. Vous constatez, en effet, qu
u bandage à fracture ait pu, chez notre ma lade Dum..., déterminer la
contracture
musculaire durable que nous avons sous les yeux.
ulaire durable que nous avons sous les yeux. Ce développement d'une
contracture
spasmodique sous l'influence d'une compression ci
rconstances, sur l'existence fréquente chez les sujets hystériques de
contractures
survenant sous l'influence de causes traumatiques
nes manœuvres Pour ce qui concerne ce dernier cas, c'est-à-dire les
contractures
artificiellement provoquées à l'état de veille, l
sur un grand nombre de sujets, que la production artificielle de ces
contractures
est chose fréquente chez les hystériques des deux
ie de médecine, 1883. (Prix Ci-vrieux.) — P. Descubes. Eludes sur les
contractures
provoquées chez les hystériques à l'état de veill
e hystérique. Les procédés que l'on peut employer pour déterminer ces
contractures
sont très divers ; nous nous bornerons à signaler
otrice sur le membre mis à l'épreuve n'est pas nécessaire pour que la
contracture
s'y produise ; chez les sujets hémianesthésiés, l
que la contracture s'y produise ; chez les sujets hémianesthésiés, la
contracture
s'obtient le plus souvent exclusivement sur les m
z certains sujets également du côté resté sensible; en pareil cas, la
contracture
se montre toujours beaucoup plus prononcée et plu
ié. Nous avons observé, sur un assez grand nombre d'individus, que la
contracture
provoquée est, dans un membre, dautant plus accen
oir, pour plus de détails sur ce sujet: P. Berbès. Sur la diathèse de
contracture
et en particulier sur la contracture produite sur
t: P. Berbès. Sur la diathèse de contracture et en particulier sur la
contracture
produite sur les sujets hystériques (hommes et fe
nstances qui viennent d'être relevées montrent bien, je crois, que la
contracture
dont il s'agit n'est pas la conséquence de l'isch
ce côté, comme, du reste, par l'ensemble des caractères cliniques, la
contracture
provoquée chez les hystériques à l'état de veille
ériques à l'état de veille ne diffère peut-être, vous le voyez, de la
contracture
provoquée dans la période léthargique du grand hy
hénomènes, beaucoup plus grande, dans le dernier cas. D'ailleurs, les
contractures
provoquées des hystériques, comme celles des hypn
ne faudrait pas trop s'y fier cependant, et, pour ne parler que de la
contracture
des hystériques éveillées, il importe de ne pas o
t absolument quitter le service. Le jour même de sa sortie, le membre
contracture
fut soumis à un massage méthodique : sur les dive
le avait été suivie en somme, d'un résultat très satisfaisant, car la
contracture
s'était très manifestement atténuée, les doigts s
ieurs mois. Nous l'avons revu ces jours-ci et il nous a appris que la
contracture
ayant reparu en partie, peu de jours après sa sor
e qui met obstacle à l'extension des doigts ne soit plus seulement la
contracture
spasmodique des muscles, mais bien, ainsi que nou
contribuera singulièrement à affirmer votre diagnostic. J'y ajoute la
contracture
d'un membre provoquée expérimentalement par l'app
ire produit sur les membres supérieurs ou inférieurs de Mouill... des
contractures
très prononcées et durables (dialhèse de contract
e Mouill... des contractures très prononcées et durables (dialhèse de
contracture
). 11 n'est pas nécessaire de s'étendre longueme
simple l. 1. L'existence de l'amyotrophie sur un membre affecté de
contracture
hystérique a été signalée très explicitement par
Parinaud, montre un rétrécissement très prononcé du champ visuel avec
contracture
de l'accommodation. Le membre supérieur droit e
de l'année 1884. Au commencement de février 1885, crises convulsives,
contracture
, etc.. La voix s'affaiblit graduellement à partir
le testicule. A la suite d'une de ces attaques, le malade fut pris de
contracture
occupant tout Je côté droit du corps; en même t
quelques jours cependant, et progressivement, la parole revint et la
contracture
cessa. Obs. XIII. — (Sevestre, ibid). — Chez un
L'examen laryngoscopique ne révèle aucune lésion, ni paralysie, ni
contractures
. L'application du miroir est facile ; les cordes
.......................................... 23 TROISIÈME LEÇON. 1.
contractures
d'origine traumatique. — 2. tic non douloureux de
tisme sur la localisation de certaines déterminations diathésiques. —
Contracture
d'origine traumatique chez les sujets qui prése
ux chez les hystériques. II. Tic non douloureux de la face typique. —
Contracture
des muscles de la face chez une hystérique. — Sim
agération des réflexes tendineux. — Avec l'amyotrophie, il existe une
contracture
à l'état latent. — Contracture spasmodique, réfle
x. — Avec l'amyotrophie, il existe une contracture à l'état latent. —
Contracture
spasmodique, réflexe d'origine articulaire.......
........................... ül CINQUIÈME LEÇON. I. amyotrophie et
contracture
réflexes d'origine articulaire. — II. migraine op
alysie générale. Sommaire. — I. Rhumatisme articulaire chronique. —
Contracture
réflexe d'origine articulaire. — Déformations dan
SIXIÈME LEÇON. de l'hystérie chez les jeunes garçons. Sommaire. —
Contracture
hystérique. — Amblyopie. — Zones hystérogènes.
................................. 8(3 SEPTIÈME LEÇON. deux cas de
contracture
hystérique d'origine traumatique. Sommaire. — H
raumatique. Sommaire. — Hystérie larvée, sans crises convulsivos. —
Contracture
spasmodique permanente d'origine traumatique. — D
ro-musculaire..................... 91 HUITIÈME LEÇON. deux cas de
contracture
hystérique d'origine traumatique (Suile). Somma
). Sommaire. — Recherche de la simulation de la catalepsie et de la
contracture
. — Hystérie chez l'homme, fréquence, hérédité, âg
rie chez l'homme, fréquence, hérédité, âge adulte.— Formes frustes. —
Contractures
d'origine traumatique..................... 108
NEUVIÈME LEÇON. exemple d'une affection spinale consécutive a une
contracture
du nerf sciatique. Sommaire. — Contusion de l
........................ 386 VINGT-CINQUIÈME LEÇON. sur un cas de
contracture
spasmodique d'un membre supérieur survenue chez l
cture; la monoplégie avec flaccidité se transforme en monoplégie avec
contracture
. Celle-ci présente tous les caractères de la cont
oplégie avec contracture. Celle-ci présente tous les caractères de la
contracture
hystérique. — La tendance à la contracture spasmo
tous les caractères de la contracture hystérique. — La tendance à la
contracture
spasmodique est chose fréquente chez les hystériq
r des membres, d'un lien circulaire. — La production artificielle des
contractures
constitue un véritable stigmate révélateur de l'é
QUE A Affection hystérique des jointures, 371. Aimant contre la
contracture
hystérique, 122. Amblyopie hystérique, 83. Am
Chloroforme (Action du) dans la coxalgie hystérique, 387; — dans la
contracture
hystérique suivie de rétraction fibreuse, 420.
rébrale, 443. Compression, son influence sur le développement de la
contracture
hystérique, 414. Consultation externe de la Sal
e hystérique, 414. Consultation externe de la Salpê- trière, 4.
Contracture
d'origine traumatique, 39, 97; — réflexe d'origin
ralytique, 72. Diabète (Sciatique double dans le), 143. Diathèse de
contracture
, 104, 415. E Electriques (Réactions — des muscl
eloppée l'hystérie, 240. Elongation du nerf médian dans un cas de
contracture
traumati- que, 1^2. Epidémie d'hystérie, 229. E
— Diilérences d'avec l'hystérie chez l'homme fait, 281. Hystérique (
Contracture
), 37, 80, 97, 108, 399; — Amblyopie, 83; — Affe
hystérique, 395,— ses résultats, 396; — ses résultats dans un cas de
contracture
hys-téro-traumatique, 419. Méthode nosologique,
ux chez les hystériques), 43. Rétraction fibreuse consécutive à une
contracture
hystéro-trauma-tique, 4 0. Rhumatisme articulai
ock nerveux, 355, 392, 403; — local, 402. Simulation, 1620; — de la
contracture
et de la catalepsie, 109; — du blépharospasme. 48
calisées. (Pl. I-VI) ; ^ 2° \ ' Epilepsie partielle tonique on avec
contracture
[Fig. L et 2); 3° L'Epilepsie partielle vibrato
gauche. Gela nous paraît tenir à ce qu'il existe un certain degré de
contracture
des muscles de la joue gauche, comme le représent
lus loin que ne l'indique la Planche II. — Il existe, au poignet, une
contracture
qui rend à peu près tout mouvement impossible.
cute assez bien, mais l'extension est très-incomplète en raison de la
contracture
très-modérée, d'ailleurs, des muscles fléchisseur
état de mal ; — 2° Hémiplégie consécutive compliquée généralement de
contracture
et très-souvent àliémichorée (athétose) ; — 3° Ep
grandes gelées, elle souffrirait plus qu'à toute autre époque. — — La
contracture
de la main serait aussi plus prononcée lorsqu'il
; l'index, le médius et l'annulaire sont presque toujours fléchis et
contractures
. L'influence du froid extérieur est la même. Au p
out d'un temps qu'il nous a été impossible de faire préciser, à de la
contracture
. Nous avons vu qu'elle existait dans les trois ob
e plus accusée, puis roicleur qui persiste, sans atteindre jusqu'à la
contracture
. L'hémiplégie est compliquée cYathétose. Chez L
L'hémiplégie est compliquée cYathétose. Chez Lefè..., Augustine, la
contracture
a débuté vers le troisième mois. — Chez Dabonne..
), la paralysie s'est installée progressivement et l'apparition de la
contracture
a été tardive. On voit donc que, après une péri
i augmente plus ou moins lentement. Dans tous les cas, d'ailleurs, la
contracture
impose au membre supérieur une attitude particuli
uin, tantôt à un léger degré, tantôt à un degré très-accentué. La
contracture
prédomine en général au membre supérieur, de même
croyons-nous, il en est ainsi; mais, à cet égard, de même que pour la
contracture
, des renseignements précis font défaut. Les mou
ès leurs accès, soit sous l'action des variations atmosphériques, une
contracture
passagère, cette contracture n'est pas invincible
ction des variations atmosphériques, une contracture passagère, cette
contracture
n'est pas invincible comme la contracture permane
ontracture passagère, cette contracture n'est pas invincible comme la
contracture
permanente (Obs. I, etc.). Pour terminer l'expo
Paralysie progressive des membres du côté droit. — Apparition de la
contracture
. — Accès épileptiques : Aura; — Limitation des co
ui. C'est pendant ce premier séjour à l'hospice ( 1859 — 1868) que la
contracture
serait survenue; que la boiterie aurait augmenté
e la main à angle droit. Les fléchisseurs des doigts sont extrêmement
contractures
. La malade, qui tient d'ordi- Planche VI.
e droit sur le bras et un peu dans la pronation. Le muscle biceps est
contracture
. On parvient à fléchir un peu l'avant-bras sur le
épilepsie classique. II. — De l'épilepsie partielle tonique ou avec
contracture
. Nous ne possédons que deux exemples de cette v
ce ; voyons ce qui se passe du côté des membres. Le bras droit se
contracture
clans l'extension et la pronation (Fig. 2) ; la
re et l'annulaire demi-fléchis. Le membre inférieur droit est souvent
contracture
, dans l'extension, mais la contracture est bien m
re inférieur droit est souvent contracture, dans l'extension, mais la
contracture
est bien moins intense qu'au bras; dans certains
te se redresse; la main, qui était fléchie, s'allonge entièrement. La
contracture
des mâchoires disparaît. La pâleur de la face, l'
x verres d'eau ; les dents, souvent, claquent sur le verre. Enfin, la
contracture
disparaît dans le membre supérieur droit. Br...
ntend tout ce qu'on dit et, si elle ne répond pas, c'est parce que la
contracture
des mâchoires s'y oppose. Quelquefois, il se prod
e. En général,les membres du côté gauche ne sont pas envahis par la
contracture
; toutefois, depuis 1876, on aurait vu quelquefoi
des accès en 1871 et 187%. — Hallucinations de la vue et de l'ouïe. —
Contracture
intermittente des membres dît côté gauche. — Phén
même temps, le membre supérieur qui, lui, était souple auparavant, se
contracture
dans la demi-flexion.L'avant-bras est dans la pro
des. — Le membre inférieur gauche est dans l'extension et moyennement
contracture
; le pied, rigide, est en varus équin. D'abord,
2 février. — Depuis le commencement de l'année, P... a conservé une
contracture
des membres du côté gauche. En voici la descripti
té du membre inférieur gauche avec convulsions vibratoires et par une
contracture
du membre supérieur correspondant, la malade se m
q minutes. Consécutivement, nous notons la disparition totale de la
contracture
du membre inférieur gauche. Le coude est libre ;
eure plus tard, le bras et la jambe du côté gauche étaient de nouveau
contractures
et avaient repris l'attitude qu'elles avaient ava
la moitié droite. 17 février-?, mars. — Durant ce laps de temps, la
contracture
a subi des modifications : diminuant au point de
ur disparaître de nouveau, etc. 4 mars. — Depuis quelques jours, la
contracture
est moins prononcée et cela d'une manière permane
, et ne sont pas suivies de la moindre stupeur. Du S au 24 mars, la
contracture
a varié, tantôt plus, tantôt moins intense. P...
aucunement rigides; ils étaient tous absolument souples. 30 nov. —
Contracture
habituelle de la jambe gauche. Quand on la soulèv
ante. La tète est à peu près constamment penchée sur l'épaule droite (
contracture
du sterno-mastoïdien gauche). Lesmembresducôté dr
t elle membre inférieur gauche sont libres. — Le membre supérieur est
contracture
(attitude ordinaire). Interrogée, P... répond à
P... se masturbe. — Elle ne prend que du bouillon et des potages.— La
contracture
du bras varie fréquemment ; quelquefois elle disp
tuation de la malade n'a pas subi de modification appréciable. La
contracture
va et vient persistant un temps plus ou moins lon
e saute, danse, rit. Malgré les mouvements spontanés ou provoqués, la
contracture
n'envahit pas les membres du côté gauche. P... se
ieuse. Le plus souvent, elle ne paraît pas être à ce qu'on lui dit. —
Contracture
habituelle des membres du côté gauche. Les mouvem
ntent. Elle ne veut pas allonger la langue, serre les dents. — Pas de
contracture
des membres. — La malade gâte toujours dans ses a
econdes. Entre les accès, tantôt \ flaccidité est générale; tantôt,
contracture
dans l'attitude habituelle (Pl. VIII), et secouss
ntôt les membres du côté gauche sont souples ; tantôt, ils offrent la
contracture
décrite à maintes reprises. On note des craquemen
uche sont libres. La marche est à peine gênée lorsque P... n'a pas de
contracture
; elle l'est au contraire, assez notablement lors
e contracture ; elle l'est au contraire, assez notablement lorsque la
contracture
existe. (Pl. VIII). P... aide un peu l'infirmiè
vement prédominaient danj lo côté gauche. De plus, V... avait une
contracture
des membres inférieurs, contracture plus accusée
é gauche. De plus, V... avait une contracture des membres inférieurs,
contracture
plus accusée à gauche, où la flexion était imposs
6 jours. — Constipation depuis le début de la série. — Toute trace de
contracture
a disparu. — Les règles ont commencé ce matin. —
V. 38°,2. Dans l'intervalle des attaques, tétanisme permanent, avec
contracture
desmâchoires, exulcération des lèvres (la malade
ncipalement sur les cuisses. Après un court repos, durant lequel la
contracture
générale ne diminue pas, V... soulève brusqueme
ion d'urine. — T. R. 38°. Soir.— V... a été tranquille ; il y a des
contractures
passagères des bras, avec contorsions de la face.
H dite et la rétention d'urine persistent ; il en est de même des
contractures
passagères, qui constituent, en réalité, des atta
sont succédé de 5 en 5 minutes environ durant la nuit. T. R. 37°,9. —
Contracture
passagère des mâchoires. — A 10 heures, les attaq
mes sensations ; il semblerait que, à un moment, la sonde est pincée (
contracture
du col de la vessie). 10 sept. — La malade trav
été fait lors de son séjour à Lariboisière, et était dirigé contre la
contracture
des membres inférieurs, qui, on se le rappelle, p
Ce matin, à la suite d'une attaque, V... est restée dans un état de
contracture
modérée des quatre membres, prédominant aux bras
l'é-pigastre. Inappétence, parfois dysphagie, comme s'il y avait une
contracture
des muscles du pharynx et de l'œsophage. V... n'a
une attaque pendant la nuit ; mais, ce matin, on l'a trouvée avecune
contracture
des quatre membres dans l'extension, laquelle a d
aques (l).V... a pleuré, (l) On voit que, à côté des gué— risons de
contractures
hystériques sous l'influence des attaques ou des
st également douloureuse et donne lieu à une sensation d'arrachement (
contracture
du col de la vessie et de Vurèthre). On retire en
lication, de l'aimant : 1° à la face interne du cou-de-pied droit; ni
contracture
, ni retour de la sensibilité; — à la face interne
à la face interne du cou-de-pied gauche ; au bout de 5 ou 6 minutes,
contracture
du pied et du genou. La malade dit avoir éprouvé
e l'aimant n'a déterminé aucune sensation particulière. 14 nov. —La
contracture
du pied et du genou gauches persiste. V... dit qu
e l'aimant :.1° à droite, retour incomplet de la sensibilité ; pas de
contracture
; — 2° à gauche, disparition de la contracture au
a sensibilité ; pas de contracture ; — 2° à gauche, disparition de la
contracture
au bout de 7 à 8 minutes (engourdissement, fourmi
i : ' a) Phase de rigidité : Cri plus ou moins prolongé et modulé ;
contracture
des membres dans l'extension, puis demi-rotation
tiques ont laissé après eux des troiibles de l'ouïe très-accusés une
contracture
des mâchoires, une contracture du col de la vessi
s troiibles de l'ouïe très-accusés une contracture des mâchoires, une
contracture
du col de la vessie et de Yurèthre, donnant lieu,
s modifications de la sensibilité ; 4° l'influence de Y aimant sur la
contracture
; 5° le rire spasmodique ; 6° la paraplégie ; 7°
ur la contracture ; 5° le rire spasmodique ; 6° la paraplégie ; 7° la
contracture
artificielle, etc. IV. — Nous avons vu que chez
istoire des quatre malades ci-dessus : Bourneville et Voulet. — De la
contracture
hystérique permanente. (3) Voir, pour l'observa
es , nous avons vu survenir une amaurose et une surdité doubles, avec
contracture
des mâchoires. La compression ovarienne droite f
aques en juillet 1873. — Secousse?. — Tremblements, sauf-, paralysie,
contracture
de la jambe droite ; — contracture dit bras droit
— Tremblements, sauf-, paralysie, contracture de la jambe droite ; —
contracture
dit bras droit ; — disparition de ces accidents.
alliques et d'un courant électrique faible. Ane-4liésie générale. —
Contracture
des membi es inférieurs. — Rétention d'urine. — C
nérale. — Contracture des membi es inférieurs. — Rétention d'urine. —
Contracture
des mâchoires et de la langue. — Influence de la
ires et de la langue. — Influence de la comp, ession ovarienne sur la
contracture
récente. — Contracture du bras droit. — Modificat
Influence de la comp, ession ovarienne sur la contracture récente. —
Contracture
du bras droit. — Modifications des attaques : cru
er comme si elle n'avait rien éprouvé ; elle ne conserve qu'un peu de
contracture
. Après ses attaques, elle a des visions, se fai
heures, attaques incomplètes. Dans la troisième, le bras droit s'est
contracture
dans la demi-flexion, Pavant-bras étant placé e
dans la demi-flexion, Pavant-bras étant placé eu travers du dos. La
contracture
a disparu à la septième attaque. La compression,
attaques, l'avant-bras droit se place en travers du dos et y demeure
contracture
entre les crises. Ces deux accidents: torsion e
s crises. Ces deux accidents: torsion exagérée du cou et delà tête,
contracture
du bras,reparaissent et disparaissent à plusieurs
nterrompu toutefois par des douleurs dans la jambe droite. Au réveil,
contracture
très-prononcée du membre inférieur droit, dans l'
. — Diarrhée très-abondante. 9 décembre. — Ce matin, à 4 heures, la
contracture
persistait. — La jambe droite a commencé à sauter
nt à 10 heures, 22 attaques: compression ovarienne, disparition de la
contracture
qui laisse QnvbseWexanQparalysie. 10 décembre.
de la vulve et de la hanche droite. On s'est aperçu qu'elle avait une
contracture
des deux membres inférieurs. Le membre inférieu
peu écartée ; le pied est en équin. Le membre inférieur gauche est
contracture
dans la flexion forcée, à un degré tel que le tal
uer contre le périnée. Inhalation d'éther, puis de chloroforme : la
contracture
disparait, mais pour revenir, an réveil, rapideme
20 février. — De minuit à 2 heures, dix attaques durant lesquelles la
contracture
de la jambe gauche s'est dissipée. — Constipation
A la suite de cinq attaques qui se sont succédé sans interruption, la
contracture
de la langue a disparu et le bras droit s'est con
ruption, la contracture de la langue a disparu et le bras droit s'est
contracture
dans l'extension : toutes les jointures sont rigi
re l'annulaire et le médius. — Le membre inférieur droit est toujours
contracture
. (Pl. XXIX et XXX.) 24 fév. — Depuis le 22 jusq
s ont paru hier. — De 8 à onze heures, 30 attaques. Disparition de la
contracture
du bras après la quatrième attaque et de la j
(I). 26 fév. — Les règles continuent. L... est remise, n'a plus de
contracture
. — Hé-mianeslhésie droite complète; —hémianalgési
lement de la jambe droite remplacé une demi - heure plus lard par une
contracture
. A la suite de trois attaques épïlepti formes, on
A la suite de trois attaques épïlepti formes, on note, en outre, une
contracture
du bras droit. Membre inférieur droit : la hanc
ntervalle des crises convulsives et la malade ayant sa connaissance :
contracture
de la mâchoire et de la langue. On ne peut déplac
erré, « qu'il veut aller rejoindre l'œil gauehe. » S'agit-il là d'une
contracture
du muscle droit interne, cela est fort probable.
ez long, comme on le voit, L... a une attaque qui laisse une nouvelle
contracture
de la mâchoire et de la langue. — La compression
sont en désordre, 4. le cou est tendu, les bras sont allongés et
contractures
. Après avoir gardé cette position — que nous avon
de à boire. La douleur de la jambe droite reste aussi intense et la
contracture
des membres du côté droit est aussi complète que
la langue. 9 juillet.— L... a été tranquille hier et cette nuit; la
contracture
n'a pas reparu; mais les attaques ont recommencé
usion de la langue, et les membres du côté droit sont envahis par une
contracture
très-intense. Dès que « la compression est sus
racture très-intense. Dès que « la compression est sus pendue, la
contracture
disparaît et les mouvements rhythmés du tronc et
V. 38°. Puis, X... a eu trois attaques qui ont laissé après elles une
contracture
des membres du côté droit. Enfin, après avoir eu
de nitrite d'ample la suspend encore une fois. La malade conserve une
contracture
des membres du côté droit. — La chorée reparaît à
a été souvent interrompu. Ce matin, en se réveillant, X... avait une
contracture
du membre inférieur droit, dans l'extension, une
vait une contracture du membre inférieur droit, dans l'extension, une
contracture
des mâchoires et de la langue. La compression ova
oires et de la langue. La compression ovarienne droite fait cesser la
contracture
des mâchoires et de la jambe, mais le bras droit
er la contracture des mâchoires et de la jambe, mais le bras droit se
contracture
et la langue reste con-tracturée, recourbée, la p
pointe reportée vers la luette. — La compression étant abandonnée, la
contracture
disparaît au bras et revient à la jambe. Les mâch
r liberté. Inhalations successives de nitrite d'ample. Les diverses
contractures
disparaissent, puis reviennent, et enfin cessent
e se ferme, les mâchoires se contractent, les muscles de la face sont
contractures
, immobiles; les globes oculaires se dirigent en h
ACE Planche XXVIII. DEBUT D'UNE ATTAQUE CRI déterminé une
contracture
du iras droit demi fléchi en travers du dos ; — d
a compression des zones hys-térogènes latéro-mammaires fait cesser la
contracture
. — X... a toujours une hémianes-thésie du côté dr
(hyperexcitabilité musculaire durant la sommation). On fait cesser la
contracture
de la langue, mais on ne parvient pas à détruire
électricité ; — 3° de Yhypnotisme ; — 4° de Yéther : Y aphonie et la
contracture
des muscles du larynx persistent. Le compresseur
és dans ce cas : secousses, tremblement, cho-rée, paralysie, crampes,
contractures
. a) Nous avons trop souvent parlé des secousses
l'hospice, X... avait une dimi- Planche XXIX. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE
CONTRACTURE
Planche XXX. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE CONTRACTUR
YSTÉRO-ÉPILEPSIE CONTRACTURE Planche XXX. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE
CONTRACTURE
nution de la force musculaire dans les membre
e. e) Vanestkésie, \d.parésie, ]a.paralysie précèdent en général la
contracture
et cela parait vrai non-seulement pour la contrac
t en général la contracture et cela parait vrai non-seulement pour la
contracture
des membres, mais aussi pour les contractures qui
ai non-seulement pour la contracture des membres, mais aussi pour les
contractures
qui affectent soit les muscles du pharynx, soit l
lle, nous avons eu une simple rétention d'urine, sans aucune trace de
contracture
. GhezV... (Observation I), il y avait habituellem
d'urine) et sous l'influence des séries convulsives, il survenait une
contracture
du col de la vessie et probablement des muscles d
se le rappelle, le cathé-térisme était difficile et douloureux. La
contracture
de la langue, elle aussi, est précédée d'une anes
bservation qui précède. Nous ne rappellerons pas les caractères de la
contracture
des membres qui a revêtu la forme hémiplégique. (
Iconographie. En octobre 1877, nous la trouvons, un matin, avec une
contracture
des quatre membres (forme diplé-gique) : les memb
la pronation ; les inférieurs dans l'extension et l'adduction. Cette
contracture
durait depuis plus d'une heure lorsque nous l'avo
hyperesthésie ovarienne et latéro-mam-maire droites. — Hematémèse. —
Contractures
. Description des attaques .-périodes, variétés,
attaques .-périodes, variétés, attitude du crucifiement, extases. —
Contracture
de la jambe droite. — Hallucinations de la vue et
ois ou même davantage. Après une série, la malade assure avoir eu une
contracture
de la jambe droite, puis et successivement du bra
l'alimenter à l'aide de la sonde œsophagienne pendant trois jours. La
contracture
aurait duréune semaine. A sa sortie de Sainte-A
'autres fois, il y a un intervalle pendant lequel la malade offre une
contracture
, tantôt de tous les membres, tantôt des membres d
. — A la suite d'attaques, A... conserve, pendant une demi-heure, une
contracture
de la jambe droite. 23 juin. — La malade a vu,
, l'étouffé, etc. Août-Décembre (1).— On pro- (t) Le 25 novembre,
contracture
du pied droit, qui a disparu par le chloroforme.
ntion chirurgicale dans les accidents de ce genre, en particulier les
contractures
hystériques, etc. M. P. Briquet a noté chez cin
é malade hier : De 4 à 9 heures, attaques épileptiformes, attaques de
contracture
, attaque de crucifiement. Ce matin, elle est allé
.. Moi, je ne sers qu'à donner de mauvais exemples. » 23 octobre. —
Contractures
, agitation, cris dans l'après-midi du 22. Ce mati
r dans la cour. Elle était triste, ne voulait pas parler et avait une
contracture
du poignet gauche. Planche XXXIX. HYSTÉROÊPIL
liqué auprès du poignet droit ; au bout d'une douzaine de minutes, la
contracture
disparaît à gauche et s'empare du poignet droit.
On les arrête par la compression ; G... revient à elle, conservant sa
contracture
artificielle; elle divague, raconte que Camille e
ique, 111, 191. Consanguinité, 72, 196. Constipation, 102, etc.
Contracture
hystérique : de la langue, 149, 159, 165; — du la
ie des membres, 45,57,etc. ;—Aura, 8, 10, 17, 26, 32, 35, 48, 54, 60;—
Contracture
, 28, 43, etc.; — Convulsions, 19, 22, 28, 32, 43;
— Accès provoqués, 82; — Accès spontanés, 70, 74, 76, 78, 82, 86; —
Contracture
, 75, 77; — Convulsions, 69; — Etat de mal, 84,
s ^atropine, 103; — Accidents, 105; — de morphine, 141. L Langue (
Contracture
de la), 138, 142, 159, 165. — Protraction de la —
aciale, 160. Nicole Obry, 110. Nitrite d'amyle,78 (V. Attaques,
Contractures
, etc.). Notion de pos'tion (Perte de la) dans l
roupes : d'une part, les troubles transitoires (crises, paralysies,
contractures
, mutisme, etc.) ; d'autre part, précédant ceux-ci
; de plus, la chloroformisation amène la résolution complète de la
contracture
et montre que les articulations sont absolument l
les articulations sont absolument libres. Je porte le diagnostic de
contracture
et coxalgie hystériques. M. Charcot veut bien,
je vous ai montrés il s'agissait d'hémiplégie de date ancienne avec
contracture
et exagération des réflexes tendineux. Mais j'ai
; chez ces deux malades, les membres inférieurs étaient atteints de
contracture
, d'exagération des réflexes tendineux et de trépi
e ou à forme paraplégique, par de la paralysie flasque ou par de la
contracture
. Il n'existait pas dans les cas de myopathie pr
s symptômes : RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 65 paralysie,
contracture
, etc., mais elle peut se présenter aussi comme
igo6, p. 6g3). (2) Voir à ce sujet : Sur l'absence fréquente de la
contracture
permanente dans l'hémiplégie infan- tile, par E
ue, et il est possible quelquefois de déterminer ainsi une sorte de
contracture
transitoire. Quant à la zone réflexogène, qui, à
1 1. t. Il, p. t5 i) que chez des sujets atteints de paralysie avec
contracture
liée à des lésions du système pyramidal, et prése
e reviendrai sur ce point dans le chapitre consacré à l'étude de la
contracture
dans ses rapports avec les réflexes tendineux.
uand elle atteint un degré élevé, elle est suivie générale- ment de
contracture
. Le lien entre la surréflectivité et la contrac
rale- ment de contracture. Le lien entre la surréflectivité et la
contracture
se manifeste nettement dans la paraplégie spast
spastique d'Erb. Dans l'hémiplégie vulgaire d'origine cérébrale la
contracture
apparaît ordinairement quand l'exagération des
éflectivité (voir p. 70). Or, en pareille occurrence, le sort de la
contracture
est principa- lement lié à celui des réflexes t
épartements dont les réflexes sont exagérés il y a d'habitude de la
contracture
; celle-ci, au contraire, fait toujours défaut
uvent demandé, en présence de malades atteints de para- plégie avec
contracture
intense, chez lesquels la force musculaire parais
'irréflectivité, qui bientôt fait place à de la subréflectivité. La
contracture
cède, conformément aux prévisions. C'est surtou
action préjudiciable. Il résulte de ce qui vient d'être dit que la
contracture
vulgaire, celle qu'on observe d'habitude dans l
sceaux pyramidaux sont intéressés, quelque autre espèce ou forme de
contracture
qui ne dépende pas de la surréflectivité tendineu
oique je n'aie pas l'intention de faire une étude détail- lée de la
contracture
, je chercherai à préciser le sens de ce terme, ce
uable pendant toute sa durée ; il s'agit d'une fixité relative : la
contracture
, dans les exemples que nous avons choisis précéde
sacrée par l'usage, étant appliquée à une forme de paraplégie où la
contracture
est remarquable par sa fixité. Il y a là un man
ariétés de rigidité musculaire. L'une ressemble complè- tement à la
contracture
de l'hémiplégie de l'adulte : elle est stable,
a maladie de Wilson(') ; elle se rapproche plus du spasme que de la
contracture
; il est fort possible qu'elle soit causée par un
Je dois, au contraire, m'occuper, en y insistant, d'une variété de
contracture
sur laquelle j'ai appelé l'attention (2) et qui,
x de Paris, 1899, p. 342). 6) Paraplégie spasmodique organique avec
contracture
en flexion et contractions musculaires invo- lo
r J. Babinski (Société de neurologie de Paris, 12 janvier if)n). c)
Contracture
tendino-réflexe et contracture cutanéo-réflexe, p
logie de Paris, 12 janvier if)n). c) Contracture tendino-réflexe et
contracture
cutanéo-réflexe, par J. Babinski (Ibid., g mai 19
gidité musculaire de cette forme de para- plégie constitue bien une
contracture
; elle est, en effet, pathologique, due à un mo
us venons de le voir, cette sta- bilité est moindre que celle de la
contracture
de la paraplégie spastique d'Erb ; elle est ent
ut, les troubles méritent moins d'être rangés dans la catégorie des
contractures
que dans celle des spasmes. Il en résulte que l'é
araplégie qu'au syndrome dénommé « tabes dorsal spasmodique ». La
contracture
dont nous nous occupons a poursubstratum anatomiq
de répondre à la question que j'ai posée après avoir montré que la
contracture
vulgaire, liée à une altération de la voie pyra
surréflectivité tendineuse. Je peux affirmer qu'il existe aussi une
contracture
différente, il est vrai, de la précédente par s
r tous les points par plusieurs neurologistes ('). Cette forme de
contracture
, surtout commune aux membres inférieurs, peut a
défense dont elle parait dépendre, comme la forme habituelle de la
contracture
dépend de la surréflectivité tendineuse. Pour met
re ces traits en évidence et pour donner à chacune de ces formes de
contracture
qui peuvent d'ailleurs s'associer une dénominat
tendineux dans des membres qu'elle avait frappés de paralysie ou de
contracture
. C'était une donnée classique que l'hémiplégie et
ellement, au (') a) Souques. Paraplégie spasmodique organique, avec
contracture
en flexion et exagération des réflexes cutanés
evue neurologique, 1911, p. 376). b) Claude. Sur la paraplégie avec
contracture
en flexion (Revue neurologie, 1()l 1, p. 249).
Il semestre, p. 8f3). e) Klippel et Monier-Vinard. Paraplégie avec
contracture
en flexion et exaltation des réflexes de défens
de défense (Revue neurologique. 1912, 2e semestre, p. i 3y). (2)
Contractures
organique et hystérique, par J. Babinski (Bulleti
oit du reste fort bien, si l'on se rappelle ce que j'ai dit, que la
contracture
hystérique en réalité simple contraction volont
à celle des lésions nerveuses qui engendrent des paralysies ou des
contractures
; cette conclusion, d'ailleurs, était acceptée
siques, l'asymétrie faciale à l'état de repos et dans la période de
contracture
serait l'inverse de celle qui vient d'être décr
ints d'hémiplégie depuis plusieurs années, et dont les membres sont
contractures
, un abaissement de la commissure du côté de la pa
, que l'hémiplégie soit à la période de flaccidité ou dans celle de
contracture
. L'action prédominante des muscles de la face d
i, et que parfois le rire ne fait qu'accentuer l'asymétrie due à la
contracture
. La langue, tirée hors de la cavité buccale, es
, que cette paralysie est soumise à des règles sinon à des lois, la
contracture
succédant à la paralysie flasque et les trouble
1896, p. 17f. z (2) Voir à ce sujet : ce L'état des réflexes et la
contracture
dans l'hémiplégie organique», par Van Gehuchten
tendineux légitime, soit parce que le temps perdu entre la per- (1)
Contractures
organique et hystérique, par J. Babinski, Bail de
fficultés de dia- gnostic qui tiennent à ce qu'une paralysie ou une
contracture
hystérique est susceptible de s'associer il une
psie spi- nale ; cette lésion a été aussi l'agent provocateur d'une
contracture
hysté- rique du membre inférieur ; un observate
définitive l'épilepsie spinale n'était qu'indirecte- ment liée à la
contracture
hystérique. Quoi qu'il en soit, l'absence d'épi
ontre lesquelles j'ai cependant mis en garde les observateurs. La
contracture
de l'hémiplégie organique a un aspect propre, dif
ie organique a un aspect propre, différent de celui que présente la
contracture
de l'hémiplégie hystérique et là encore on trou
hystérique et là encore on trouve des éléments de diagnostic. Cette
contracture
donne lieu ordi- nairement à un mode de déambul
en des cas d'hémiplégie orga- nique et qui est la conséquence de la
contracture
. Remarquez d'abord que, même lorsque la contrac
nséquence de la contracture. Remarquez d'abord que, même lorsque la
contracture
est intense et que la flexion des doigts est tr
ette sensa- loo SEMIOLOGIE tion dans l'hémiplégie hystérique avec
contracture
et je la considère comme un signe tout à fait c
première fois dans mon travail que je vous ai déjà mentionné sur la
contracture
organique et la contracture hystérique. J'ajoute
il que je vous ai déjà mentionné sur la contracture organique et la
contracture
hystérique. J'ajoute que la contrac- ture hysté
ct avec la paume de la main. Pour donner une idée de la forme de la
contracture
hystérique, je dirai qu'une contrac- tion volon
volontaire des muscles peut la reproduire exactement, tandis que la
contracture
organique ne pourrait être que très imparfaitemen
s l'hémiplégie organique, la marche de la maladie est régulière, la
contracture
succède à la flaccidité, l'amélioration est pro
réalité ni les abolir ni les exa- gérer. On conçoit aussi que la
contracture
de l'hémiplégie organique, qui est sous la dépe
n'observe jamais dans l'hystérie, que, d'autre part, l'aspect de la
contracture
hystérique puisse être reproduit d'une manière
partient à toutes les périodes de l'hémiplégie. 8" La forme de la
contracture
a un aspect particulier et ne peut être repro-
forme. Le phé- nomène des orteils fait défaut. 8° La forme de la
contracture
peut être reproduite par une contraction volont
avec l'abolition des réflexes tendineux et une absence complète de
contracture
. Nous arrivons à l'étude des réflexes de défens
r l'attitude des membres para- lysés, mais sur la nature même de la
contracture
. Qu'il me soit permis d'entrer dans quelques dé
la moelle ou du bulbe, elle semble liée, particulièrement quand la
contracture
en flexion est très prononcée, à une lésion non d
r chez une malade atteinte de paraplégie spasmodique en flexion une
contracture
du membre supérieur avec abo- lition des réflex
défense. Je suis arrivé ainsi à cette idée que, dans le groupe des
contractures
liées à une perturbation de la voie pyramidale,
ssocient l'une à l'autre. L'une de ces formes est constituée par la
contracture
vulgaire en rela- tion, comme on le sait depuis
emps, avec l'exagération des réflexes tendineux ; on peut l'appeler
contracture
tendino-ré flexe . La deuxième forme de contrac
peut l'appeler contracture tendino-ré flexe . La deuxième forme de
contracture
se différencie principalement de la précédente
nommer, par opposition à la contrac- ture telicliiio- ? -élie.7,,e,
contracture
CUlaîléO-i'éllex(-,(,). Avant de terminer je ti
ne apparence : l'attitude vicieuse des membres et l'intensité de la
contracture
rendraient impossible la manifestation du phéno
, ce qui est la règle à une certaine période de la maladie. Mais la
contracture
cutanéo-réflexe est sujette à des variations ; el
sse mieux ressortir le contraste essentiel entre les deux formes de
contracture
en question. Elle remplit d'ailleurs les condi-
OLOGIE blit d'une manière frappante le lien qui unit cette forme de
contracture
à l'exagération des réflexes de défense. Je v
ue, et il est possible quelquefois de déterminer ainsi une sorte de
contracture
transitoire. Ce mode de réaction (triple flex
que, t. ;XXI, p. 132), te décris « la para- plégie spasmodique avec
contracture
en flexion et contractions muscu- laires involo
aible ou même fait défaut, ce qui, à la vérité, pourrait tenir à la
contracture
en extension qui entrave la manifestation des r
ressant les faisceaux pyramidaux est incontestable, on observe une
contracture
associée à une abolition à peu près complète des
relatif à l'histoire de la paraplégie organique spasmo- dique avec
contracture
en flexion et contractions musculaires involontai
s motifs d'attirer l'attention. « Tandis que, chez les sujets où la
contracture
en flexion estpermanente et a acquis une grande
des examens plusieurs fois renouvelés ; dans le cas particulier, la
contracture
en flexion étant intermittente, on est à même,
es réflexes de défense sont exagérés est relativement courte, et la
contracture
qui se lie à ces réflexes dans la paraplégie que
ogénisants (faradisation, application de la bande d'Esmarch). Cette
contracture
ne peut être vaincue que par un très grand effo
-même et peut être diminuée par des mouvements passifs. De plus, la
contracture
en exten- (1) Voir Thèse de Paris, ici4- La par
te supérieure des réflexes de défense) : Paraplégie incomplète avec
contracture
en extension d'intensité moyenne. Hypoes- thési
e revient à sa position de départ qu'au bout de 5 à io secondes. La
contracture
s'atténue progressivement. Peu de temps après
s rapports avec les troubles moteurs, la paraplégie spasmodique, la
contracture
. Mes observations m'ont conduit à assigner à ch
es suivants : « Je dois m'occuper, en y insistant, d'une variété de
contracture
sur laquelle j'ai appelé l'attention et qui, ét
gidité musculaire de cette forme de para- plégie constitue bien une
contracture
; elle est, en effet, pathologique, due à un mo
nous venons de le voir, cette stabilité est moindre que celle de la
contracture
de la paraplégie spastique d'Erb ; elle est ent
ut, les troubles méritent moins d'être rangés dans la catégorie des
contractures
que dans celle des spasmes. Il en résulte que l'é
aplégie qu'au syndrome dénommé « tabes dorsal spasmodique ». « La
contracture
dont nous nous occupons a pour substratum anato-
de répondre à la question que j'ai posée après avoir montré que la
contracture
vulgaire, liée à une altération de la voie pyra
rréflectivité ten- dineuse. Je peux affirmer qu'il existe aussi une
contracture
différente, il est vrai, de la précédente par s
sur tous les points par plusieurs neurologistes. « Cette forme de
contracture
, surtout commune aux membres inférieurs, peut a
défense dont elle parait dépendre, comme la forme habituelle de la
contracture
dépend de la surréflectivité tendineuse. Pour met
ler inter- médiaires où l'on trouve les principaux caractères de la
contracture
cutanéo-réflexe (motricité volontaire très trou
nt acceptée, et dans un article récent M. Foix (') écrit ceci : «
Contracture
d'automatisme médullaire. C'est à mon maître Bris
ogie française, que revient l'honneur d'avoir étudié en premier les
contractures
en flexion ; mais c'est M. Babinski qui le prem
ologie, une signification pathologique complètement différentes des
contractures
en extension. « C'est en effet au sujet des par
égies en flexion que M. Babinski a établi une distinction entre les
contractures
tendino et cutanéo-réflexes qui marque une date
tendino et cutanéo-réflexes qui marque une date dans l'histoire des
contractures
. « Nous ne chicanerons pas ici M. Babinski sur
ns heureusement choisi de cutanéo-réflexe. Il est évident que cette
contracture
n'a rien de cutané, puisque les réflexes qui la
de la sensibilité superficielle. Il n'en est pas moins vrai que la
contracture
en extension est avant tout caractérisée par l'ex
des réflexes d'automatisme appelés encore de défense. Tandis que la
contracture
en flexion est caractérisée non seulement par l
15o SÉMIOLOGIE « Voici une malade qui présente précisément cette
contracture
en flexion. Considérons-la un instant. Nous voy
général des lésions plus profondes que celles qui s'accompagnent de
contractures
en extension. On voit assez souvent la contract
accompagnent de contractures en extension. On voit assez souvent la
contracture
en flexion se substituer à la contracture en exte
On voit assez souvent la contracture en flexion se substituer à la
contracture
en extension. Pendant quelque temps alors, il y
crois, mais il est difficile d'en donner la preuve... « Quant à la
contracture
en flexion elle-même, son aspect indique quelle
de la moelle est plus complète. Mais, pour qu'il se développe de la
contracture
, il faut que les muscles aient un certain degré
cas de paraplégie consécutive à une section totale de la moelle la
contracture
implique la persistance de quelques connexions
ai que dans mon travail de igi 1 sur la Paraplégie spasmodique avec
contracture
en flexion, j'écrivais ceci, p. 135 : « Des lés
mme cela a lieu quand ces muscles sont en état de contraction ou de
contracture
, ou lorsqu'il y a des rétractions fibro-tendineus
les mêmes dispositions anatomiques. Ajoutons que, dans le cas où la
contracture
est forte, les mouvements conjugués peuvent êtr
lièrement apparents dans les affections de la voie pyramidale. La
contracture
permanente parait être la cause la plus important
mouvements conjugués peuvent se manifester aussi dans les cas où la
contracture
fait défaut. Ils sont dus alors à la diffusion de
re transitoire des conditions comparables à celles que détermine la
contracture
. Enfin, il faut tenir compte de la parésie musc
périences que j'ai faites sur des sujets atteints de paralysie avec
contracture
liée à des lésions du système pyramidal, et prése
longtemps immobiles, comme s'ils étaient figés, sans être pourtant
contractures
, dans certaines positions où l'équilibre voliti
ibrations continuent à se faire sentir. » Dans de nombreux cas de
contractures
, de paralysies ou de parésies d'ordre réflexe s
ver, des réactions électriques d'hypothermie locale dans les cas de
contractures
ou de paralysies dites fonctionnelles et plus par
ont étudié, il y a déjà longtemps, dans des cas de paralysies et de
contractures
consécutives à des traumatismes, et rangé dans
e provoquée par la percussion peut être tout aussi marquée dans les
contractures
et parésies d'ordre réflexe que dans bien des c
ui par la plupart des neurolo- gistes, entre diverses paralysies et
contractures
réunies antérieurement dans le cadre des troubl
s le cadre des troubles dits fonctionnels : parmi ces paralysies et
contractures
, les unes, qui ne s'accompagnent d'aucun des cara
ie ont conservé de la souplesse, et on ne note aucune tendance à la
contracture
. (') J. Babinski et J. Clunet, Société de Neuro
lades, qui remarqua que cette scoliose était sous la dépendance d'une
contracture
, et que cette attitude, qui n'était pas constan
e contracter énergique- ment sous l'influence de la volonté et leur
contracture
électrique est très normale. La portion clavicu
E viens faire part à la Société médicale de quelques observations
contracture
des membres inférieurs, de paraplégie spasmodique
lit, la malade est en mesure de mouvoir ses membres qui ne sont ni
contractures
ni atrophiés , les muscles réagissent normalement
ambe et les orteils sont étendus sur le pied. La Fig. 22. (Obs. I).
Contracture
des membres inférieurs, du membre supérieur droit
e aucun mouvement réflexe, ce qui paraît dû à l'intensité de la
contracture
. Il se développe de nouvelles phlyctènes. Dan
es eschares se forment au sacrum et au niveau des trochanters. La
contracture
des membres supérieurs s'accentue, surtout à
s jambes sont en état de flexion forcée sur les cuisses. Il y a une
contracture
telle des membres inférieurs qu'on ne peut parv
est que les membres inférieurs sont complètement paralysés, se sont
contractures
; des deux côtés la cuisse est fléchie sur le b
dant plusieurs mois, état stationnaire. Au commencement de 1897, la
contracture
des membres inférieurs s'accentue. Elle devient
E DE PARAPLÉGIE SPASMODIQUE 323 dans ce cas entre l'intensité de la
contracture
et l'état des réflexes ten- dineux qui n'ont ja
de trépi- dation épileptoïde ; cette observation montre donc qu'une
contracture
très forte, d'origine organique il n'est pas qu
te, d'origine organique il n'est pas question ici, bien entendu, de
contracture
hystérique n'est pas nécessairement accompagnée
dégénérescence secondaire ; il prouve de plus qu'en pareil cas, la
contracture
peut même atteindre un degré exceptionnel d'int
forme de paralysie crurale caractérisée à sa période d'état par une
contracture
très intense amenant une flexion permanente et
éminent maître Charcot, qui avait été frappé par l'intensité de la
contracture
permanente et la contracture avec flexion dans ce
avait été frappé par l'intensité de la contracture permanente et la
contracture
avec flexion dans certains cas de paraplégie, s
on lente de la moelle, de la manière suivante : « Enfin survient la
contracture
permanente des membres, qui ne manque à peu prè
x dans le segment inférieur de la moelle. Il est de règle que cette
contracture
impose d'abord pendant quelque temps aux membre
ssant travail du pr van Gehuchten sur : « L'état des réflexes et la
contracture
de l'hémiplégie organique ». Semaine médicale, 21
XIII Band, p. 343. 2° Etal du faisceau pyramidal dans quatre cas de
contracture
spasmodique infantile, par MM. Cl. Philippe et
lgaire. Je me bornerai à vous faire remarquer que l'intensité de la
contracture
permanente des membres, et surtout de la contra
et extrait, Charcot déclare qu'il ignore la raison pour laquelle la
contracture
est très intense et provoque l'attitude de la f
es rachidiennes, dont les membres inférieurs avaient pré- senté une
contracture
en flexion et en adduction poussée au maximum d
est vrai, mais catégorique. Ce qui vient d'être dit au sujet de la
contracture
des membres infé- rieurs doit s'appliquer aussi
la contracture des membres infé- rieurs doit s'appliquer aussi à la
contracture
des membres supérieurs ; dans l'observation I,
à la contracture des membres supérieurs ; dans l'observation I, la
contracture
de la main droite était extrême- ment forte.
é parésié pré- sentent un peu de raideur, ils sont comme légèrement
contractures
. Mais pour le reste sa situation n'est pas modi
meurs cérébrales étaient capables de produire des para- lysies avec
contracture
intense ayant pour caractère particulier de n'êtr
ce genre peut produire des paralysies s'accompagnant d'une sorte de
contracture
susceptible même d'atteindre un degré très élev
subissent la moindre perturbation. Mais comme les paralysies et les
contractures
hystériques ont aussi pour caractère de laisser
compression du faisceau pyramidal peut engendrer une paralysie avec
contracture
plus ou moins prononcée, durant fort longtemps, s
- tion chirurgicale. IV PARAPLÉGIE SPASMODIQUE ORGANIQUE AVEC
CONTRACTURE
EN FLEXION ET CONTRACTIONS MUSCULAIRES INVOLONT
cliniquement par quelques traits distinctifs, entre autres par une
contracture
en flexion et par des mouvements involontaires
appel- lerai seulement qu'il se distingue par les signes suivants :
contracture
en (') Sur une forme de paraplégie spasmodique
noncée, suivant les cas, et n'est pas nécessairement symétrique. La
contracture
en flexion, il est vrai, a été signalée depuis lo
n'était pas encore contracturée, jusqu'à la période terminale où la
contracture
en flexion avait atteint le maximum d'intensité
) Voir à ce sujet le travail de l. Noïca, ayant pour titre : « Sur la
contracture
des membres inférieurs en flexion » (Revue Neur
it, ce qui est incontestable, et c'est là un point essentiel, cette
contracture
n'est pas, comme celle de la paralysie spastiqu
e lien qui unit l'exagération de ces réflexes cutanés à la forme de
contracture
que je considère est comparable à celui qui ratta
le à celui qui rattache l'exagé- ration des réflexes tendineux à la
contracture
du tabes dorsal spasmodi- (') Voir à ce sujet u
RAPLÉGIE SPASMODIQUE ORGANIQUE 335 que : de part et d'autre, pas de
contracture
sans exagération des réflexes, mais les réflexe
t tendineux soit cutanés peuvent être exagérés, sans qu'il y ait de
contracture
. Dans la paraplégie spasmodique dont je viens d
és jusqu'à présent, c'est dans le cas où l'anesthésie manque que la
contracture
en flexion parait atteindre l'intensité la plus
exion parait atteindre l'intensité la plus grande. Cette forme de
contracture
se complique presque inévitablement de rétracti
plégie flasque liée à une myélite aiguë; elle est alors fruste,' la
contracture
en flexion n'étant pas très prononcée. Le plus
elle à ce propos que dans l'observation déjà citée deux fois, où la
contracture
en flexion avec contractions involontaires avai
me ce que j'ai toujours constaté jusqu'à présent dans les cas où la
contracture
en flexion avait été très prononcée. Ces dégénéra
sujets chez lesquels je les ai trouvées n'avaient pré- senté qu'une
contracture
relativement modérée. En résumé, la forme de pa
l spasmodique ». Il y a tout lieu d'admettre que ces deux formes de
contracture
, qui sou- vent s'associent partiellement, ont c
partiellement, ont chacune un mécanisme différent : tan- dis que la
contracture
en extension du tabes dorsal spasmodique ne peut
eut se réaliser sans que les réflexes tendineux soient exagérés, la
contracture
en flexion, avec contractions involontaires pré
défense). 1 Avant de terminer, je répète que quand cette forme de
contracture
en flexion est très intense, ce qui a lieu seul
là une notion éta- blie depuis longtemps par les physiologistes.
CONTRACTURE
LIÉE A UNE IRRITATION DES CORNES ANTÉRIEURES DE
t même un cas assez banal ne méritant pas d'être relaté, n'était la
contracture
du membre supérieur gauche sur laquelle je désire
éri-articulaires, il y a incontestablement une rigi- dité due à une
contracture
vraie ; cela ressort nettement des détails de l
e vraie ; cela ressort nettement des détails de l'observation. La
contracture
, à la vérité, est un phénomène très commun dans l
o. 34a PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE De plus, tandis que la
contracture
liée à une irritation des faisceaux pyramidaux
xagérés, mais sont même abolis. Il existe, sans doute, une forme de
contracture
sur laquelle j'ai appelé l'attention, qui dépen
abolis ; mais alors les réflexes cutanés de défense sont exagérés (
contracture
cutanéo-réflexe). Ici les réflexes de défense fon
éflexes de défense font défaut. Je suppose que, dans l'espèce, la
contracture
est la conséquence d'une irritation des cellule
e nécessitant une vérification anatomique. On peut rapprocher cette
contracture
des spasmes que déterminent parfois des lésions
DE LA MOELLE bras (les fléchisseurs surtout), ceux de la main, sont
contractures
à des degrés divers. Les mêmes troubles : atrop
contractures à des degrés divers. Les mêmes troubles : atrophie et
contracture
, existent aussi au membre supérieur gauche, mai
aissent (') Voir à ce sujet : Paraplégie spasmodique organique avec
contracture
en flexion et contractions musculaires involont
sont étendus complètement inertes et présentent un certain degré de
contracture
qui augmente durant les jours qui suivent l'entré
flexes tendineux avec clonus du pied. Les troubles parétiques et la
contracture
prédominent nettement à gauche ; de temps en te
ants (') (faradisation, application de la bande d'Esmarch). Cette
contracture
ne peut être vaincue que par un très grand effort
-même et peut être diminuée par des mouvements passifs. De plus, la
contracture
en extension est entrecoupée de temps à autre par
aris, 9 novembre 1\11 I. L'élément spasmodique est très marqué. Une
contracture
extrêmement forte fixe les deux membres inférie
mpression de la moelle peut déterminer une paralysie complète, avec
contracture
, d'une très longue durée, sans que les éléments n
t de disparaître totalement ; 3° La régression d'une paralysie avec
contracture
après extraction de la néoplasie peut être très
statons l'existence d'une paraplégie spasmodique en extension, avec
contracture
extrêmement accentuée. Pour fléchir la jambe sur
à droite, une diminution notable de la motilité volitionnelle avec
contracture
en extension, très marquée. La contracture est
ilité volitionnelle avec contracture en extension, très marquée. La
contracture
est telle qu'elle rend impossible tout mouve- m
vahi à son tour. A la fin de décembre 1925 on note, de ce côté, une
contracture
très forte ayant les caractères d'une contracture
te, de ce côté, une contracture très forte ayant les caractères d'une
contracture
en flexion et liée manifestement à l'exagératio
it siéger du même côté que la lésion. Autre singularité : à droite,
contracture
qui ne s'accompagne pas des modifications qu'on
exes de défense, sans troubles nets de la motilité volontaire, sans
contracture
. Mais, si au lieu de rapprocher les phénomènes
que, dans une période plus avancée de l'évolution de la maladie, la
contracture
a apparu, réali- sant du côté gauche le tableau
s arrivons ainsi au point le plus déli- cat, comment interpréter la
contracture
, quel en est le mécanisme ? La contracture, au
, comment interpréter la contracture, quel en est le mécanisme ? La
contracture
, au moins celle du quadriceps crural, ne peut êtr
s réflexes de défense, car contrairement à ce qu'on observe dans la
contracture
cutanéo-réflexe, la triple flexion spontanée ou p
selon 4al, PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE nous, que cette
contracture
dépend de l'irritation des cellules des cornes
ndineux et les réflexes de défense fissent défaut, il y avait de la
contracture
, accompagnée de quelques se- cousses fibrillair
elques se- cousses fibrillaires. On pourrait appliquer à ce mode de
contracture
l'épi- thète de « nucléaire ». Quelle que soi
uniquement aux lésions intramédullaires. , (1) Voir J. Babinski.
Contracture
liée à une irritation des cornes antérieures de l
permanente que l'un de nous a décrite et dont voici les éléments :
contracture
permanente en flexion avec exagération très forte
tte conclusion que la paraplégie crurale qui se caractérise par une
contracture
très intense des membres inférieurs, accompagné
stations de l'hystérie, les crises ner- veuses, les paralysies, les
contractures
, les anesthésies. Quels en sont les attributs c
grands accidents hystériques, toutes les variétés de paralysies, de
contractures
, d'anesthésies, toutes les formes d'attaques pe
les plus importants, du reste, les anesthésies, les paralysies, les
contractures
, les crises, etc., qui sont susceptibles d'appara
tion ne peut la faire naître ; elle est liée à la paralysie ou à la
contracture
hysté- rique qu'elle ne précède jamais, dont el
troubles présentant les caractères sur lesquels je viens (') Voir :
Contracture
organique cl hystérique, par J. Babinski, Société
yperesthésie ovarienne. Les crises ou attaques, les paralysies, les
contractures
, l'aphonie, le mutisme, etc., constitueraient l
eau- coup les plus importants, les anesthésies, les paralysies, les
contractures
, les crises, le mutisme, etc., qui sont suscept
tion ne peut la faire naître ; elle est liée à la paralysie ou à la
contracture
hystérique qu'elle ne précède jamais, dont elle
s inférieurs, et qui sont tan- tôt flasques, tantôt accompagnées de
contractures
; elle peut engendrer des anesthésies généralis
rmir, on a développé certains troubles nerveux, des paralysies, des
contractures
, des anesthésies que l'on peut ensuite, au comm
Ce sont des accidents tels que certaines espèces de paralysies, de
contractures
, d'anesthésies, etc., rangés, de l'avis unanime
x d'entre eux ; ce sont des crises convulsives, des paralysies, des
contractures
très variées quant à leur mode de localisation
fléchisseur commun superficiel des doigts par exemple), celui-ci se
contracture
. Les doigts se fléchissent et, pour les ouvrir
oniste (l'exten- seur commun en l'espèce) pour faire disparaître la
contracture
. De même, l'excitation mécanique d'un nerf mote
un nerf moteur (facial, radial, cubital, etc.) devait développer la
contracture
des muscles innervés par ce nerf et de ceux-là
disparaître par persuasion à l'état de veille une paralysie ou une
contracture
hystérique que d'hypnotiser un individu présentan
ive; il affirme n'avoir pas constaté un seul cas de paralysie ou de
contracture
. Des enquêtes du même ordre ont été faites aupr
essés, je n'ai jamais vu de phénomènes hystériques tels que crises,
contractures
, paralysie d'un ou plusieurs membres..le n'ai v
ement à une plaie par balle, qu'elle s'associait à un léger état de
contracture
et que les résultats de la psycho- thérapie fur
complètement l'existence de ces paralysies amyotrophiques et de ces
contractures
dites réflexes qui avaient été si bien décrites p
bien décrites par Charcot et par Vulpian. Toute paralysie ou toute
contracture
ne présen- tant aucun des signes des affections
des accidents, mais le blessé est atteint de mutisme complet et de
contracture
des membres inférieurs. La ponction lombaire do
quide franchement hémorragique. Cependant, à un examen attentil, la
contracture
se présente avec tous les caractères d'une cont
attentil, la contracture se présente avec tous les caractères d'une
contracture
d'ordre psychique ; on parvient à la faire dispar
ralysies systématiques ne sont pas rares en neurologie de guerre.
Contractures
HYSTÉRIQUES. - On admettait, il est vrai, autrefo
actures HYSTÉRIQUES. - On admettait, il est vrai, autrefois que les
contractures
hystériques et les contractures hypnotiques, ce q
ait, il est vrai, autrefois que les contractures hystériques et les
contractures
hypnotiques, ce qui est tout un, se distinguaie
ours dans ce dernier cas. Quelques auteurs ont même soutenu que les
contractures
hystériques pouvaient se maintenir dans le somm
apprend à cet égard la neurologie de guerre ? Dans tous les cas de
contracture
hystérique qu'il nous a été donné d'observer et q
tourné l'attention du sujet, on saisissait à l'improviste le membre
contracture
, on parvenait souvent, sans aucun effort, à vai
contracture, on parvenait souvent, sans aucun effort, à vaincre une
contracture
qui un instant auparavant résistait aux plus vi
icularités. Voici en effet l'opinion qu'exprimait A. Souques : « La
contracture
ou pseudo-contracture névropathique n'est accom
ration de Roussy, Mme Grut- zhaenler-Judelson écrivait à propos des
contractures
hystériques : « On peut rencontrer toutes sorte
i comment il procéda dans un cas où il avait porté le diagnostic de
contracture
hystérique : « J'ai placé, dit-il, le long de la
nde de papier au matin est la démonstration de la persistance de la
contracture
pendant le sommeil : or, dans notre cas, la ban
s de rapporter, conclut-il, concourt donc à démontrer que certaines
contractures
hystériques au moins persistent durant le somme
là, à des sujets traumatisés ; dans l'observation de G. Ballet, la
contracture
s'est développée consécutive- ment à une opérat
remier métacarpien. Il est pos- sible dès lors qu'il se soit agi de
contracture
d'ordre réflexe. De telles contractures peuvent
ès lors qu'il se soit agi de contracture d'ordre réflexe. De telles
contractures
peuvent ne pas se modifier pendant le sommeil nat
moins à une certaine période de leur évolution, aussi fixes que les
contractures
liées aux lésions des 'centres nervenx. Or, le
ctures liées aux lésions des 'centres nervenx. Or, le diagnostic de
contracture
réflexe n'a même pas été envisagé dans les trav
nt il vient d'être question n'autorisent donc pas à admettre que la
contracture
hystérique proprement dite se comporte autrement
ale n'est pas réalisée, tant s'en faut, puisqu'ils sont atteints de
contracture
, sur l'intensité de laquelle M. Déjerine insist
lantaire paraissait aboli, les muscles étaient également en état de
contracture
. En résumé, sur les cinq cas relatés par M. Déjer
jerine où le réflexe serait aboli, il y en a quatre où il y a de la
contracture
; dans le cinquième, où la contracture des orte
en a quatre où il y a de la contracture ; dans le cinquième, où la
contracture
des orteils fait défaut et qui s'accompagne cep
ontraire et à montrer qu'il y a là seulement une apparence due à la
contracture
hystérique, capable, comme la contracture muscula
nt une apparence due à la contracture hystérique, capable, comme la
contracture
musculaire volontaire, de masquer les mouvement
gnostic n'a même pas été discuté. Or, dans les parésies et dans les
contractures
dites réflexes, nous l'avons souvent noté, la réf
our l'un de ces faits à propos de la question de la persistance des
contractures
pendant le sommeil. Ajoutons que, dans aucun de
e résultat positif. Si, dans l'observation de Lebar, l'oedème et la
contracture
s'atténuèrent après l'application de moucheture
ent le résultat de l'immobilisation produite par la paralysie ou la
contracture
et rentraient dans ce groupe d'attente que l'un d
st vrai, l'existence des troubles trophiques osseux dans six cas de
contractures
dites névropathiques qui s'étaient dévelop- pée
à ceux que nous avons réunis sous la dénomination de parésie et de
contracture
d'ordre réflexe. De ce qui précède nous nous
pas rare d'observer des accidents hystériques, des paralysies, des
contractures
, diverses formes d'astasie-abasie, des convulsion
ques particuliers, et qui ont une véritable autonomie. Il s'agit de
contractures
ou d'hypertonies, de paralysies ou plutôt d'éta
miologiques qui, il est vrai, ne sont pas toujours réunis. Outre la
contracture
et la parésie, qui peuvent s'associer, tout en se
is des états parétiques du pied. On peut observer en pareil cas des
contractures
associées ou non à l'amyotrophie ou à la paraly
s : l'atrophie musculaire avec l'absence de R. D., la parésie et la
contracture
à l'état isolé ou à l'état associé, les modificat
discrédit dans lequel étaient tombées les observations anciennes de
contracture
et de paralysies amyotrophiques, dites réflexes,
e affection organique. » Dès nos premières communications sur les
contractures
et les paralysies réflexes, nous insistions à n
ion à laquelle nous nous sommes déjà reportés, un malade atteint de
contracture
du pied droit immobilisé en varus équin et disa
malade a vu son pied se mettre en adduction et assez rapidement la
contracture
s'est établie au degré que vous la voyez. On a
du pied et à la jambe. «Il s'agit bien ici, concluait Ballet, d'une
contracture
d'origine psychique n'ayant que des rapports loin
ogie, igi5, pp. 1225-1226. (vj) G. Ballet, OEdème blanc associé aux
contractures
d'origine psychique. Société de Neurologie, Ier
: celle-ci a porté, je le rappelle, sur le 11r méta- tarsien et la
contracture
est une contracture qui intéresse les muscles m
je le rappelle, sur le 11r méta- tarsien et la contracture est une
contracture
qui intéresse les muscles moteurs de l'articula
muscles moteurs de l'articulation tibio-tarsienne... Voilà donc une
contracture
d'origine psychique avec oedème et troubles vas
s associés. » Il est à remarquer que bien qu'il se fut agi là d'une
contracture
consé- cutive à un traumatisme s'accompagnant d
Ballet ne discutait pas et n'envisageait même pas l'hypothèse d'une
contracture
d'ordre réflexe. Ce n'était pas là un fait isol
ient, pour la plus grande part au moins, sous la dépendance d'une
contracture
. De plus, en pleine phase de résolution muscula
défaut, mais on en constatait d'autres non moins significatifs : La
contracture
ne cédait que dans le sommeil jirofond ; elle sub
des membres sains ne provoquaient aucune réaction ; le retour de la
contracture
, contemporain de celui des réflexes tendineux,
vicieuse ; il en était ainsi, en particulier, dans plusieurs cas de
contracture
de la jambe en flexion. , Ces recherches, ave
ions similaires qu'il est très difficile de classer » ; ce sont des
contractures
douloureuses assez localisées et très tenaces.
actures douloureuses assez localisées et très tenaces. S'agit-il de
contractures
hystériques ou de contractures réflexes ? « Nous
lisées et très tenaces. S'agit-il de contractures hystériques ou de
contractures
réflexes ? « Nous pensons, écrit-il, qu'à l'ori
contractures réflexes ? « Nous pensons, écrit-il, qu'à l'origine la
contracture
est réflexe, provoquée par une lésion nerveuse
m d'acro-contractures ou d'acromyotonies du membre supérieur, des
contractures
de la main en attitudes variées rebelles à la thé
de manoeuvres très douces. « Le méca- nisme pathogénique de telles
contractures
, ajoute-t-il, reste obscur... L'hystérie n'est
» Mentionnons encore les publications de Duvernay relatives à des «
contractures
psychopathiques ou réflexes » post-traumatiques
t avec les mêmes caractères ; de Léri et Roger ; de Ducosté sur les
contractures
consécutives aux lésions des nerfs périphérique
té frappé par la fré- quence de certains états, attitudes figées ou
contractures
, différant des faits habituellement observés et
retrouvait de même chez plusieurs malades présentant ces types de
contractures
, si particuliers, qui avaient un peu partout rete
. Le rapprochement de ces diverses catégories de paralysies et de
contractures
, ayant toutes pour caractères communs d'être d'or
phique (3). Il résulte de ce qui précède que ces formes diverses de
contractures
et de paralysies observées pendant la guerre, s
terminer la valeur. Nous les avons décrites sous la dénomination de
contractures
et de paralysies ou de parésies d'ordre réflexe
parce qu'elles se rapprochent des paralysies amyotrophiques et des
contractures
, dites réflexes, si bien étudiées par Charcot e
bles moteurs dits fonctionnels. Les (') .J. Babinski et J. Froment,
Contractures
et paralysies traumatiques d'ordre réflexe. Press
Des troubles vaso-moteurs et thermiques dans les paralysies et les
contractures
d'ordre réflexe. Annales de Médecine, octobre-nov
de motilité d'ordre réflexe se présentent sous des aspects divers :
contractures
ou hypertonies, états paralytiques et hypotonique
s ou simples méiopragies et, fréquemment, mélange de parésies et de
contractures
. Mais, quelle qu'en soit la forme, le trouble m
rémité; il diffère par ces caractères de la paralysie ('-) ou de la
contracture
pithiatique qui est généralement moins discrète
ssion générale sur les caractères des troubles moteurs (paralysies et
contractures
) dits « fonctionnels et la conduite à tenir à l
posent à l'attention : la paralysie amyotrophique du quadriceps, la
contracture
des muscles pelvi-trochantériens associée à la
des muscles pelvi-trochantériens associée à la parésie du pied, la
contracture
en flexion de la jambe, les pieds bots et les g
s pieds bots et les greffes des orteils ; la main d'accoucheur, les
contractures
et les parésies hypotoniques de la main et des
tractures et les parésies hypotoniques de la main et des doigts, la
contracture
de l'avant-bras avec parésie des extenseurs et
igts, la contracture de l'avant-bras avec parésie des extenseurs et
contracture
des fléchisseurs. TROUBLES VASO-MOTEURS ET THER
vant : Des troubles vaso-moteurs et thermiques dans les paralysies ou
contractures
d'ordre réflexe. Babinski, Froment et Heitz, An
e provoquée par la percussion peut être tout aussi marquée dans les
contractures
et parésies d'ordre réflexe que dans bien des cas
lorsque l'hypotonie de certaines masses masculaires s'associe à la
contracture
de leurs antagonistes, ce qui est fréquent, elle
e accompagnée de laxité articulaire. (') J. Babinski et J. Froment,
Contractures
et paralysies traumatiques d'ordre réflexe. Press
es soient très prononcés. Par contre, les troubles parétiques et la
contracture
peuvent être relativement marqués et l'amyotrop
rne les qualités de la raideur musculaire. Toutefois, même dans les
contractures
réflexes du membre inférieur, la surréflectivit
ie psychique. » Troubles de la sensibilité. Les malades atteints de
contractures
réflexes se plaignent parfois de sensations dou
Guillain et Barré (') et par Tinel(''). Chez les sujets atteints de
contracture
ou d'hypertonie réflexe de la main, la compress
aires déterminées par des mécanismes divers. Suivant le siège de la
contracture
ou de l'hypertonie, on les observe aux articula-
eurologie, novembre 19 16. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 5Í[ 1
contractures
et parésies d'ordre réflexe, mais elles sont d'in
sont exceptionnelles, au contraire, dans les cas de paralysie ou de
contracture
pithiatique et encore leur réalité dans les cas
bservée non seulement dans les névrites, mais aussi dans les cas de
contractures
ou de parésies d'ordre réflexe. Elle fait défau
tractures ou de parésies d'ordre réflexe. Elle fait défaut dans les
contractures
et paralysies hystériques pures. Les ongles a
oroformique. Nous avons indiqué les particularités que l'examen des
contractures
d'ordre réflexe pendant la narcose permettait d
tout effort de correction de l'attitude vicieuse, persistance de la
contracture
jusqu'à une phase avancée du sommeil chloroform
ommeil chloroformique ('). La plupart de ces faits concer- nent des
contractures
du membre inférieur. Dans quelques cas de contrac
périeur (main d'accoucheur), examinés dans les mêmes conditions, la
contracture
ne se maintint pas jusqu'à une phase avancée de
itation de la narcose chloroformique ; chez deux sujets atteints de
contracture
en flexion du coude ce phénomène était d'autant
estaient immobiles. Ces diverses observations établissent entre les
contractures
dites réflexes et les contractures hystériques
servations établissent entre les contractures dites réflexes et les
contractures
hystériques une distinction qui nous semble fonda
maintes fois une atténuation progres- sive et même considérable des
contractures
et des parésies à la suite de divers modes de t
lIYSTÉRO-RÉFLEXES ET 013G : 1 ? '0-ILI'LEXES Les paralysies et les
contractures
liées à des lésions du système ner- veux se dis
us. Si les diverses affections qui produisent des paralysies et des
contractures
se présentaient toujours à l'état de pureté, le
excitabilité mécanique, de l'exagération du réflexe rotulien et une
contracture
en flexion du genou persistant jusqu'à une phase
lysie hystérique intense mais pouvant rétrocéder promp- tement, une
contracture
hystérique forte mais rapidement curable peut s
ujet atteint, à la suite d'une blessure à la région du genou, d'une
contracture
en exten- sion de la jambe avec contracture du
région du genou, d'une contracture en exten- sion de la jambe avec
contracture
du pied en varus équin et atrophie du mollet. C
idération non seulement l'amyotrophie et la parésie, mais encore la
contracture
et l'exagération des réflexes tendi- neux, d'ap
une exaltation des propriétés des cellules nerveuses d'où dérive la
contracture
musculaire, tantôt au contraire une dépression
ations que je vous ai présen- tées, les conditions qui préparent la
contracture
musculaire et y prédis- posent, à savoir l'exag
e processus morbide. » L'exagération des réflexes tendineux et la
contracture
témoignent, en effet, de l'existence de cette i
III, 883. l3numsm. i . 37 578 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES ou de
contracture
avec surréflectivité tendineuse, l'existence d'un
e doit être au moins exceptionnel. En effet, dans les paralysies et
contractures
que nous étudions, mis à part les cas d'associati
fait observer que les phénomènes décrits sous le nom de paralysies et
contractures
réflexes ne répondaient pas dans la grande majo
clairent : on conçoit mieux la téna- cité de ces parésies et de ces
contractures
ou hypertonies réflexes, on comprend mieux leur
d'origine réflexe. Au premier mécanisme répondent, sans doute, les
contractures
qui ne cèdent que dans le sommeil chloroformiqu
tures qui ne cèdent que dans le sommeil chloroformique profond, les
contractures
avec surréflectivité tendineuse manifeste ou la
ente et sans troubles vaso- moteurs notables, par exemple certaines
contractures
en flexion de la jambe sur la cuisse. Au deuxiè
ts, association que nous avons observée par exemple dans des cas de
contracture
des mus- cles pelvi-trochantériens avec état pa
es-unes des formes cliniques : main figée, main d'accoucheur, acro-
contracture
, présentent, nous l'avons vu, une très grande ana
entent, nous l'avons vu, une très grande analogie avec les types de
contracture
observés dans les accès de tétanie. De plus, co
racture observés dans les accès de tétanie. De plus, comme dans les
contractures
et dans les paralysies réflexes, on a observé d
s vaso-moteurs et de l'atrophie musculaire. Ces analogies entre les
contractures
dites réflexes et les contractures de la tétani
culaire. Ces analogies entre les contractures dites réflexes et les
contractures
de la tétanie qui, de l'avis unanime, dépendent
d'une simple immobilisation. Elles tendent aussi à montrer que ces
contractures
ne sont pas la conséquence directe de lésions pér
ssion générale sur les caractères des troubles moteurs (paralysies et
contractures
) dits fonctionnels et sur la conduite à tenir à
euxième catégorie se pré- sentent sous l'aspect de paralysies ou de
contractures
, plus ou moins complètes, de types variés. Ils
ires troubles trophiques ostéo-articulaires et parfois cutanés. Les
contractures
appartenant à ce groupe se caractérisent encore p
complète de tous les mouvements volitionnels aux memhres inférieurs ;
contracture
en flexion des membres inférieurs, plus prononc
t pénibles, se renouvelant presque sans interruption jour et nuit ;
contracture
et mouvements spasmodiques des muscles de la pa
que les mouvements volontaires restent complètement abolis, que la
contracture
est toujours très forte, et qu'il y a encore de
la malade s'est consi- dérablement amélioré depuis l'opération. La
contracture
a disparu sauf dans les adduc- teurs où il y en
Abolition complète de la motilité volontaire des membres inférieurs.
Contracture
en extension. De temps en temps, pendant la nui
té, méthode inoffensive et parfois remarquablement efficace. VI
CONTRACTURE
GÉNÉRALISÉE DUE A UNE COMPRESSION DE LA MOELLE
igence parait tout à fait normale. Le membre inférieur gauche est
contracture
en extension et en adduction ; les mou- vements
; les réflexes tendineux sont très forts ; il y a de la trépidation
CONTRACTURE
GÉNÉRALISÉE 607 épileptoïde parfaite, le signe
s sont étendus, en adduction, serrés l'un contre l'autre, fortement
contractures
. Il arrive spontanément à fléchir un peu la jam
al; le membre supérieur gauche est celui où l'amélioration a été le
CONTRACTURE
GÉNÉRALISÉE 6og moins marquée ; elle est pourta
uent progressivement, et six mois après leur début, on constate une
contracture
généralisée au cou, au tronc et aux quatre memb
inze ans atteint, consécutivement à un accident d'automobile, d'une
contracture
généralisée au cou, au tronc, ainsi qu'aux quatre
é à s'atténuer et les progrès ont été rapides. Depuis deux mois, la
contracture
du cou, du tronc et du côté droit du corps a co
e dégénérescence secondaire, tandis qu'à droite, l'apparition de la
contracture
n'a été que tardive, il n'y a eu que de la compre
'a été que tardive, il n'y a eu que de la compression et (') Voir :
Contracture
généralisée duc à une compression de la moelle ce
des réflexes rotuliens n'est pas aisé, à cause du degré élevé de la
contracture
, mais à certains moments quand, ainsi que cela
oque une réaction extrêmement forte suivie d'une augmentation de la
contracture
. Des deux côtés épilepsie spinale parfaite, ext
à gauche et à droite ; le membre inférieur droit est toujours très
contracture
. Au commencement de janvier 1907, du côté gauch
qu'une perturbation très légère et de très courte durée, et que la
contracture
a été extrêmement intense. Plaque de sclérose o
s névrites (Traité de médecine Charcot- Bouchard, chez Masson). 40.
Contractures
organique et hystérique (Société médicale des Hôp
secondaire (Id.). 13ADlSKl. 40 626 INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 128.
Contracture
généralisée due à une compression de la moelle ce
taux, iti octobre (910). 177. Paraplégie spasmodique organique avec
contracture
en flexion et contractions musculaires involont
uérison (en collaboration avec Chaillous et de Martel. Ici). 194.
Contracture
tendino-réflexe et contracture cutanéo-réflexe (I
Chaillous et de Martel. Ici). 194. Contracture tendino-réflexe et
contracture
cutanéo-réflexe (Id., 9 mai 1912). 195. Contrib
ouvelle Iconographie de la Salpêtrière, janvier-février rgr3). 199.
Contracture
liée à une irritation des cornes antérieures de l
. Académie de Méde- cine, 19 octobre 1915). 227. Sur une forme de
contracture
organique d'origine périphérique, sans exagé- r
ration avec Froment. Académie de Médecine, 11 janvier 1916). 93o.
Contractures
et paraplégies traumatiques d'ordre réflexe (en c
Sociélé de Neurologie, li mai 1916). 235. Névrites irradiantes ou
contracture
d'ordre réflexe (en collaboration avec Froment,
on avec Froment, Société médicale des Hôpitaux, 5 mai 1916). 236.
Contractures
et paralysies d'ordre réflexe (en collaboration a
1 24 1 Des troubles moteurs et thermiques dans les paralysies et la
contracture
d'ordre réflexe (en collaboration avec Froment
nération secondaire 326 IV. Paraplégie spasmodique organique avec
contracture
en flexion et contractions musculaires involont
faciale par les courants voltaïques à inten- sité élevée 6o3 VI.
Contracture
généralisée due à une compression de la moelle ce
ique, de Fhyperesthésie ovarienne, de la compression ovarienne, de la
contracture
hystérique, de l'hystéro-épilepsie, etc., etc.
s sur l'épilepsie et l'hys-térie, 1876. —Bourneville et Voulet, De la
contracture
hystérique permanente, 1872. — Bourneville, Louis
auparavant, l'intégrité de la sensibilité. PRODROMES Agitation et
contractures
o partielles A Delahaye et E.Lecrosmer §
bout de quel-ques secondes, elle reprend sa course désordonnée. La
contracture
passagère d'un membre vient souvent imprimer à
er au délire furieux des épileptiques, ou à l'excitation maniaque, la
contracture
qui vient subitement pour disparaître de même, im
tantôt un autre, est comme le sceau de la grande névrose. Fig. 3. —
Contracture
du bras gauche. Un brasse trouve tout à coup co
Fig. 3. — Contracture du bras gauche. Un brasse trouve tout à coup
contracture
, le poing fixé dans le dos (fig.3), etGen.., dans
tinue sa course. Il n'est pasrare de voir les deux membres supérieurs
contractures
de la même façon, 1 un en avant, l'autre en arriè
orce irrésistible, ne saurait s'arrêter; elle saute sur un pied. La
contracture
est souvent croisée, le membre supérieur gauche e
opposer,passe par la fenêtre. Elle court en chemise jus- FiG. 4. —
Contracture
des deux bras. qu'à la porte de sortie de l'hôp
taque commence. Le 24 juin, les attaques Fig. 5. — Hallucination et
contracture
. ont changé de caractère et l'hallucination est
t elle tient sa main gauche avec sa main droite pour s'endormir. La
contracture
est très souvent un phénomène précurseur des accè
membres quelques instants avant l'at-taque. L'attitude des membres
contractures
est des plus variables ; tou-tefois, chez une mêm
se reproduit presque toujours d'une façon identique. Chez Gen..., la
contracture
commence ha-bituellement par le bras gauche, enva
in au niveau de l'épaule et les doigts étendus, (fig. 5.) Fig. 6. —
Contractures
. Comme je l'ai déjà dit, la contracture survien
dus, (fig. 5.) Fig. 6. — Contractures. Comme je l'ai déjà dit, la
contracture
survient soudainement; en voici un exemple entre
ques-tions. Au bout de peu d'instants, elle y est immobilisée par la
contracture
qui envahit tous ses membres (fig. 7). Elle conse
ttaque convulsive ne tarde pas à éclater. J'ai déjà insisté sur les
contractures
partielles ou générales, qui peuvent survenir pen
'elle, mais elle ne peut parler ni faire aucun mouvement. Fig. 7. —
Contractures
. Marthe Lesp... n'est prévenue qu'un quart d'he
er ses membres, on éprouve une résistance presque invincible due à la
contracture
généralisée qui les a envahis. En même temps elle
dent les grandes attaques, il convient peut-être de ranger à côté des
contractures
et des secousses les petits accès épileptoïdes,
nose, ainsi que la face, devenue bouffie et dont tous les traits sont
contractures
et immobiles. L'écume apparaît aux lèvres. Les
re persister clans tout le corps ou seulement dans un membre. Cette
contracture
imprime à la malade, pendant la période du sterto
titudes variées. (Fig. 28.) Fig. 28. l'hase de résolution. Quelques
contractures
partielles persistent. Le sommeil est parfois i
t ouverte, et la langue, sortie, se tord de diverses façons. Les bras
contractures
, passent alternativement devant la face en faisan
deux épaules, la gorge se gonfle. Les brasse redres-sent, fléchis et
contractures
, les jambes se fléchissent, le tronc se contourne
ux qui d'ordinaire composent la période épileptoïde, par exemple : la
contracture
permanente et plus rare-ment l'hallucination. L
cune de ces variétés peut être complète ou incomplète. milieu de la
contracture
généralisée des muscles par la prédo-minance d'ac
la suite d'une blessure à la tête. On remarquera particulièrement la
contracture
de la face et le rictus spécial sur lequel tous l
contre l'autre, les traits sont le plus sou-vent sans expression. La
contracture
de la face et la distorsion des lignes du visage
40, 41, 42 et 43). Lorsque les muscles de la face participent à la
contracture
géné-rale, on voit se produire les expressions le
tanisation. Ils ne sont pas compatibles avec un degré quelconque de
contracture
, et une des conditions de leur produc-tion est le
s se contracturent, s'élèvent et se croisent, les bras sont également
contractures
, la face est congestionnée, les traits contractés
ce beau discours. — Ensuite elle se redresse, son bras gauche demeure
contracture
. Elle cherche dans son lit, soulève ses draps ; t
les « pés » (les pieds) ; cette dernière sensation s'explique par la
contracture
qui existe durant l'attaque. Elle détire ses memb
les, par A. Fouquier, cahier 4.6. § 3. — TROUBLES DU MOUVEMENT La
contracture
générale ou partielle persiste souvent après l'at
elle persiste souvent après l'at-taque. Fig. 84. Quatrième période.
Contractures
généralisées. A. — Contracture généralisée. La
aque. Fig. 84. Quatrième période. Contractures généralisées. A. —
Contracture
généralisée. La contracture généralisée peut être
ériode. Contractures généralisées. A. — Contracture généralisée. La
contracture
généralisée peut être douloureuse au point d'arra
ts. Gen... à la fin de ses attaques voit souvent ses quatre membres
contractures
dans des situations variables. Le plus souvent il
scle demeure peu de temps dans Te même état de contraction. Tantôt la
contracture
s'exagère successivement sur les différents segme
ent sous la peau en sail-lies vigoureuses, et ces exacerbations de la
contracture
arrachent des cris à la patiente. Fig. 85. Quat
cture arrachent des cris à la patiente. Fig. 85. Quatrième période.
Contractures
généralisées. La contraction des muscles abdomi
à la pratiquer, le relâchement musculaire se produit peu à peu et la
contracture
peut cesser complètement pour reprendre aussitôt
e. Les interversions des courants électriques sont sans effet sur ces
contractures
. Cet état de contraction musculaire sfénéralisé
rfaitement conscience de son état; elle Fig. 86. Quatrième période.
Contractures
généralisées. souffre horriblement et demande à
voit souvent ses attaques se terminer comme celles de Gen... par ces
contractures
généralisées (fig. 86). Nous aurons à examiner
appellent du nom de tortillements, un caractère particulier. B. —¦
Contracture
partielle. La contracture partielle, qui par-fois
llements, un caractère particulier. B. —¦ Contracture partielle. La
contracture
partielle, qui par-fois succède aux attaques et s
la face, la langue..., etc. Elle peut porter sur les viscères : la
contracture
de l'œsophage peut empêcher pendant un certain te
œsophage peut empêcher pendant un certain temps l'alimentation, et la
contracture
du sphincter de l'urètre nécessiter le sondage.
t : a J'ai des crampes!... Ah! mes pieds!... mon pied se tortille... (
Contracture
de-pieds.) Qui vient là?... Je ne vois pas clair.
pper aux étreintes des infirmières qui la maintiennent.) » Bientôt la
contracture
des jambes cesse. Elle fait de grands gestes avec
perd pas connaissance. La convulsion s'arrête, son bras droit demeure
contracture
, le poing fermé et fixé dans le dos entre les deu
fixé dans le dos entre les deux omoplates. En même temps la langue se
contracture
, la pointe en l'air, appuyée contre le palais. El
t à peu de distance de la jambe gauche qui est libre, en détermine la
contracture
, pendant que la jambe droite, qui était contractu
par la compression ovarienne droite, maintenue quelques minutes. Les
contractures
disparaissent, la parole revient, elle entend.
avec rétention d'urine nécessitant le cathétérisme, et, le 22, d'une
contracture
de la langue exigeant l'alimentation par la sonde
gue, qui fait gros dos. Lespiliers antérieurs du voile du palais sont
contractures
, insensibles au contact. La base de la langue obt
ical. A la rétention d'urine succède une incontinence. D'habitude les
contractures
disparaissent en deux temps!. » Il n'est pas ra
» Il n'est pas rare de voir au contraire des troubles musculaires,
contractures
ou paralysies, qui existaient parfois depuis plus
accidents variés de la quatrième période. Le délire se prolonge, les
contractures
générales ou partielles surviennent et arrachent
e période marquée par un délire triste, accom-pagné de plaintes et de
contractures
généra-lisées; la connaissance revient en partie.
période marquée par un délire plus calme. Elle pleure abondamment. La
contracture
per-s;ste néanmoins......................... 4'
........................... 55" 4e période avec pleurs, plaintes et
contracture
gé-néralisée.........¦..................... 3'
.................. 50" 4e période se prolonge. Marc... pleure, la
contracture
se détend peu à peu, et les douleurs sont moins v
ouvements, ni les attitudes passionnelles. Par contre surviennent les
contractures
généralisées, et le délire triste de la 4e périod
........................ 40" 3° Pas d'attitudes passionnelles. 4°
Contracture
généralisée, avec plaintes et retour de la conn
23e attaque.—4° Période épileptoïde courte.................. j 4°
Contracture
généralisée, plaintes............ | 24e attaque
et phase clo- j nique.................................. 2'30" 4°
Contracture
généralisée.................... V Délire triste
— 1° Période épileptoïde....................... j ^ 4° Plaintes et
contractures
.................... j 26e attaque. — 1° Période
éduite aux grands mouvements toniques..................... 15" 4°
Contractures
généralisées. Plaintes. Retour de la connaissance
3' 28e attaque. —¦ 1° Période épileptoïde marquée, au milieu de la
contracture
généralisée qui persiste, par la perte de connais
isée qui persiste, par la perte de connaissance, l'exacerbation de la
contracture
, les grands mouvements toniques, et les convulsio
face................... 45" 4° Retour de la connaissance. Plaintes.
Contracture
généralisée............................ 2'15"
29e attaque. — 1° Période épileptoïde comme précédemment..... 30 4°
Contracture
généralisée, plaintes............. 5' 30e attaq
30e attaque. — 1° Période épileptoïde incomplète. 2° Plaintes et
contracture
généralisée. Délire. Enfin, l'attaque se trouve
énéralisée. Délire. Enfin, l'attaque se trouve réduite à un état de
contracture
généralisée avec retour de la connaissance et sen
e la connaissance et sensation douloureuse très vive dans les membres
contractures
. De temps à autre surviennent quelques phénomènes
uffrance. Elle a aussitôt recouvré sa connaissance, et fses bras sont
contractures
. 11. h. 22. Nouvelle attaque. Nous quittons la
omentané de la connaissance entre les attaques, et l'apparition de la
contracture
partielle. TROISIÈME OBSERVATION. Juliette Du
ent stertorcuse. Vers la fin des séries, cette phase sterloreuse avec
contracture
généralisée se prolonge parfois fort longtemps. E
lentes secousses. 10 h. 28 m. La respiration devient calme; mais la
contracture
géné-rale persiste. — Ernestine est dans le décub
épileptoïdes, Ernestine PU... des attaques de grands mouvements et de
contracture
, Del... des attaques de sommeil. La conception
scription de la grande attaque hystérique. PREMIÈRE OBSERVATION1.
Contracture
de la jambe gauche. Hemianesthésie du même côté.
professeur Charcot avait prescrit le traitement hydrothérapique. la
contracture
et promit laguérison, si l'on voulait suivre le t
le bras de sa garde, mais le genou gauche est toujours douloureux, la
contracture
est toujours là, la jambe toujours rigide et légè
elques manipulations sur tout le corps, et spécialement sur le membre
contracture
. Le 23 septembre, c'est-à-dire deux mois et demi
pplications électriques (courants continus très légers) sur le membre
contracture
. Nous marchons ainsi pendant cinq mois, la mala
ls étrangers au point de vue spécial qui nous occupe en ce moment. La
contracture
permanente de la jambe gauche dont la nature a ét
e docteur Bouyer a observé, à Saintes, un exemple fort intéressant de
contracture
hystérique de la jambe droite, survenue à la suit
enta dans la suite les signes les plus variés de la grande hystérie :
contracture
de l'œsophage qui nécessita pendant sept mois l'u
laquelle les règles s'établirent, la malade ne conservait plus que la
contracture
de la jambe qui ne céda que bien plus tard, vers
plus tard, vers l'âge de dix-sept ans. La guérison fut spontanée; la
contracture
avait duré environ six ans. Cette malade fut ex
s de toutes sortes; perte absolue de l'ouïe; perte absolue de la vue;
contractures
en arc de cercle sur le dos, sur le côté et le de
ode de la grande attaque. DIXIÈME OBSERVATION. Hystéro-êpilepsie.
Contracture
de l'œsophage. Crises périodiques revenant tous l
tanée per-siste encore lorsque la malade est revenue à elle-même. Les
contractures
de la main gauche ne cèdent qu'assez longtemps
uns des troubles qui rentrent dans la quatrième période : anesthésie,
contracture
de la main gauche, amaurose passagère, etc. DOU
e est complète : position en cerceau, visions, extase, bras en croix,
contractures
d'un côté, le plus souvent à gauche, hyperesthési
uis la malade demeure 29 jours contracturée de tout le côté droit. La
contracture
est douloureuse et s'ac-compagne d'une vive hyper
x. Le 29e jour je donne le chloroforme qui amène une détente, mais la
contracture
reparaît aussitôt que cesse l'influence de l'agen
lus loin et je provoque une crise simple à la suite de laquelle toute
contracture
disparaît. Au bout de huit jours la malade pou-va
selle X... est confinée au lit depuis une quin-zaine de jours par une
contracture
qui a envahi le bras et la jambe gauches. La main
anée existe dans tout le côté gauche, mais principalement aux membres
contractures
. On ne peut toucher même légèrement au bras contr
aux membres contractures. On ne peut toucher même légèrement au bras
contracture
sans que la malade pousse des cris. Elle ressent
malade. (La douleur ovarienne était à droite autrefois; depuis que la
contracture
a envahi le côté gauche, l'ovarie existe des deux
édo-minance marquée à gauche.) Depuis ce matin les douleurs du côté
contracture
ont été plus vives qu'à l'ordinaire. La malade s'
l'application d'un aimant près de l'avant-bras droit, de modifier la
contracture
qui existe à gauche. A 5 heures, la malade semb
étouffements et l'attaque éclate. Le bras droit quitte l'aimant, se
contracture
dans l'extension, le poing fermé, l'avant-bras en
tendant tour à tour. Pendant ce temps, les membres à gauche demeurent
contractures
dans la situation qu'ils occupaient avant la cris
relâchement musculaire incomplet, car le côté gauche demeure toujours
contracture
. La tête exécute un mouvement de rotation rapide,
car la malade est toujours maintenue dans le décubitus dorsal par la
contracture
du côté gauche ; mais l'expression de la physiono
ment en étendant les deux bras; pour la première fois, le bras gauche
contracture
change de position. Mais au bout de peu d'in-stan
e à une surexcitation nerveuse qui la rend très irascible. Elle a des
contractures
, des pandiculations, des envies de pleurer; elle
lquefois sous le coup d'une tétanisation musculaire géné-ralisée avec
contracture
des quatre membres. La langue est dans un état de
. D'autres fois elle pousse un cri de terreur, et les quatre membres,
contractures
subite-ment, sont projetés en avant comme pour co
cartement complets, l'annu-laire et le petit doigt dans la flexion et
contractures
. La rage semble alors portée à son comble. Elle d
ant que dure cette période elle ne peut pas supporter la lumière. Des
contractures
des muscles postérieurs du cou lui arrachent des
ses vêtements et de sa chevelure. — Le regard perd de sa fixité, les
contractures
partielles cessent, les réponses ne sont plus éva
ppelé auprès de ma cliente je l'ai toujours trouvée dans un état de
contracture
et de tétanisation géné-rales, la tête entre les
hésie gauche. Ovarie gauche. Dyschromatopsie, Parésie des extrémités.
Contractures
passagères des membres, etc. Mademoiselle X., â
ésie ovarienne gauche. Parésie des membres supé-rieurs et inférieurs.
Contracture
passagère des pieds. Hémianesthésie gauche. Dysch
e pas, elle n'entend pas ; il lui est im-possible de se lever, il y a
contracture
des extrémités inférieures, ou bien, si elle se l
nflé, la face plus congestionnée, sans être cyanosée, avec les traits
contractures
; une écume plus abondante baigne les lèvres. L
'elle reconnaît les personnes qui l'entou-rent; de plus, il reste une
contracture
partielle du pied gauche (varus équin), avec paré
ubitus dorsal et semble dormir; elle est en résolution complète, sans
contracture
. Deuxième période. —Elle est souvent nette, mai
rimaces qui semblent adressées à un être imaginaire. Les membres sont
contractures
. Quatrième période. — Cette contracture, accomp
aginaire. Les membres sont contractures. Quatrième période. — Cette
contracture
, accompagnée de crampes dou-loureuses, fait reven
ue, des palpi-tations cardiaques et de l'amyosthénie. Il n'y a pas de
contractures
; l'on constate de Yanalgésie, ni achromatopsie, n
s'accompagne de boule hystérique, de constriction pharyngienne et de
contracture
des muscles du com, la malade souffre beaucoup ju
auche les membres sont, après quelques-unes des atta-ques, en état de
contracture
et agités de secousses rythmiques choréiformes pe
convulsés en strabisme convergent, mâchoire déviée à gauche et fixe,
contracture
fibril-laire des muscles de la face; perte absolu
ures et qui laisse après elle, dans les membres du côté gauche, de la
contracture
, suivie le lende-main de paralysie avec anesthési
de-main de paralysie avec anesthésie. 14 avril. — On constate de la
contracture
de la face; la mâchoire infé-rieure, entraînée en
ouche, les élé-vateurs des ailes du nez et de la lèvre sont également
contractures
. 16 avril. — La contracture de la face a fait p
s du nez et de la lèvre sont également contractures. 16 avril. — La
contracture
de la face a fait place à des contractions cho-ré
L'éther en inhalations procure un sommeil paisible avec cessation des
contractures
. 31 mai. — Les hallucinations variées et passag
e et de l'ouïe, les attaques hystériformes, les accès d'épilepsie, la
contracture
ou les con-vulsions de la face alternent entre el
ais ne peut parler. La face rougit, le corps se raidit, les bras sont
contractures
et très fortement fléchis, les pouces sont plies
nous avons nous-même observés, de nombreux points de rapprochement :
contractures
partielles, paralysies partielles avec anesthésie
éfinitivement, ou jusqu'à un nouveau paroxysme; tantôt il reste de la
contracture
et des secousses peu étendues dans les mem-bres,
n'étant prévenue du moment où elle va perdre connaissance que par des
contractures
, lorsqu'elle en a. Ce coma, variable dans sa duré
être localisées dans tout le membre inférieur droit (c'était le côté
contracture
depuis l'enfance) et dans le bras du même côté. C
utre côté. Elles sont accompagnées d'un cri su-bit; puis survient une
contracture
des membres en flexion, ainsi que du trismus. Écu
tièrement abolie; elles s'accompagnent de contorsions violentes et de
contractures
hystériques. Dans ces attaques, il y avait fréque
re très tranché et offraient les contorsions les plus bizarres et des
contractures
. Cette période des atta-ques correspond à ce que
es deux côtés du corps présentaient les mouvements convul-sifs et les
contractures
, tandis que dans la première phase (épileptiforme
ets ; c. Attaque de spasme viscéral ; d. Attaque épileptoïde avec
contracture
généralisée et perma-nente. § 1. — ÉTAT DE MAL
de résolution, la persistance du frémissement des paupières, ou de la
contracture
générale ou partielle, sont autant de signes en f
la phalan-gette entre le troisième et le quatrième doigt. La jambe se
contracture
dans l'extension, le pied se place dans la positi
oici ce que nous constatons. Gen... est au lit, elle a le côté gauche
contracture
; mais la contracture est instable, elle quitte le
tatons. Gen... est au lit, elle a le côté gauche contracture; mais la
contracture
est instable, elle quitte le bras pour reparaître
équin. Peu à peu les trois autres membres se raidissent et bientôt la
contracture
est devenue générale. Quand on la découvre, on pr
devenue générale. Quand on la découvre, on provoque dans les membres
contractures
quelques secousses de peu d'amplitude. Il survien
tout le corps qui dure peu. La compression ovarienne fait cesser la
contracture
au bout de quelques instants, mais, aussitôt qu'o
t interrompue et la malade perd le fil de la conversation. Bientôt la
contracture
reparaît. La même manœuvre, consistant en une com
s et le bras gauche sont dans l'extension, le bras droit FiG. S7. —
Contractures
généralisées. fléchi et la main crispée reposen
és par des moments de calme plus ou moins longs, pendant les-quels la
contracture
générale persiste. De quatre heures à six heures
l'accès épileptoïdc complet évoluer sans modi-fier en aucune façon la
contracture
. — L'attitude des membres contractures est toujou
ns modi-fier en aucune façon la contracture. — L'attitude des membres
contractures
est toujours la même avant comme après l'accès. E
a résolution musculaire ne se pro-duit pas. — Cette persistance de la
contracture
, même pendant la phase de résolution, ne se renco
e du service. faire rentrer la langue dans la bouche. Les bras sont
contractures
, le gauche dans l'extension, le droit demi-fléchi
e retombe sur l'oreiller, et la malade se retrouve dans l'altitude de
contracture
généralisée qu'elle avait au moment où l'accès a
on n'est pas ici en présence d'une attaque léthargique accompagnée de
contracture
générale, comme il arrive parfois, et de quelques
ou est marqué par la prédominance de l'élément douloureux, comme les
contractures
généralisées de la fin, ou quelques hallucination
résentées (Fig. 91, 92,93, 94 et 95) en donnent une idée. Les membres
contractures
dans l'exten-sion s'élèvent perpendiculairement a
ement. Quatrième Période. — Alors la malade revient à elle, mais la
contracture
ne disparaît pas; des crampes coutournent ses mem
taques sont particulière-ment caractérisées par la prédominance de la
contracture
doulou-reuse, par le développement des attitudes
u d'altitudes passionnelles; enfin quatrième période mar-quée par les
contractures
généralisées et douloureuses. Mais l'attaque de
mmobiles, portés en haut et en dedans. Les muscles des mâchoires sont
contractures
et les arcades den-taires, distantes d'un centimè
Les muscles du cou sont durs, tendus. Lq?, membres supérieurs, très
contractures
et étendus perpendiculaire-ment au tronc, sont en
ourceau!... » Ce tableau dure peu; elle revient à ses chansons. Les
contractures
ont cessé, « Si tu veux tous les deux,., etc, » T
.. soulagez-moi,,, » L'attaque continue ainsi offrant un mélange de
contracture
, de délire de paroles, de chansons, et de retours
, et de retours momentanés à la raison, jusqu'à 4 heures du soir. Les
contractures
devenant alors de plus en plus doulou-reuses et p
. 9 juillet iSll. — L... \ a été tranquille liier et cette nuit; la
contracture
n'a pas reparu ; mais les attaques ont commencé à
membre immobilisé tout d'un coup par ce fait encore inexpliqué de la
contracture
permanente, et cela pendant un quart d'heure, une
soit un peu forte et un peu prolongée, et se transforme facilement en
contracture
permanente; l'excitation d'un nerf provoque la co
ourne inversement. Sur un bras l'excitation des fléchisseurs amène la
contracture
du membre dans la flexion, qui cesse par l'excita
ntensité de l'excitation,on obtient à volonté une contrac-tion ou une
contracture
. Il existe à ce sujet une petite différence ent
que très facilement la contraction des muscles, mais difficilement la
contracture
. Il faut insister, et encore ne réussit-on pas ch
a-tion qu'on leur donne, en dehors de celle que peut leur imprimer la
contracture
provoquée : canw ou sommet/(première phase), som-
x membres, l'excitation mécanique des muscles et des nerfs produit la
contracture
. L'excitation d'un tronc nerveux fait contracte
thargie provoquée^ avec cette différence toutefois, qu'aux membres la
contracture
remplace la contraction. Dans ce dernier état, le
e est telle qu'il sufllt de plus léger attouchement pour provoquer la
contracture
muscu-laire ; de plus, si l'excitation portée est
ne, dans les muscles qui en dépendent, une con-traction permanente ou
contracture
qui place le membre dans une attitude qui est la
xcitation du nerf médian le long du bord interne du biceps produit la
contracture
en flexion de tous les segments du membre, avant-
maintient quelques instants, mais elle ne se transforme jamais en une
contracture
comparable à celle des membres. Nous avons ains
ent occuper l'un ou l'autre côté du corps. TROISIÈME OBSERVATION. —
CONTRACTURE
PERMANENTE ARTIFICIELLE. Les contractures varié
TROISIÈME OBSERVATION. — CONTRACTURE PERMANENTE ARTIFICIELLE. Les
contractures
variées que l'état de léthargie permet de don-ner
ovoque le réveil pendant qu'elle est cataleptique et contracturée, la
contracture
persiste alors indéfiniment et la malade, complèt
enue à elle, offre toutes les apparences d'une hystérique atteinte de
contracture
permanente \ Il n'est alors possible de la débarr
anente \ Il n'est alors possible de la débarrasser complètement de la
contracture
qu'en la plongeant de nouveau dans fétat de somni
nouveau dans fétat de somniation"^ . L'hystérique ainsi affectée de
contractures
permanentes artifi-cielles, par les procédés que
cial du système musculaire, que l'on pourrait ap-peler la diathèse de
contracture
; c'est-à-dire que les muscles sont susceptibles d
urer sous l'action d'agents très divers, defaimant par exemple, et la
contracture
ainsi attirée, en quelque sorte, sur un autre poi
ait primitivement atteints. Ainsi, supposons notre malade affectée de
contracture
permanente artificielle du bras droit; si Ton fai
de distance de la peau, le bras gauche, au bout de peu d'instants, se
contracture
en même temps que le bras droit retrouve sa sou-p
droit retrouve sa sou-plesse normale. Ce procédé de déplacement de la
contracture
sous 1. Nous avons pu nous assurer depuis ces p
e n'était pas toujours nécessaire au maintien, après le réveil, de la
contracture
provoquée. En réveillant directement la malade lé
rigidité disparaît facilement par une légère friction sur les membres
contractures
. La résolution peut être obtenue com-plète, et il
re obtenue com-plète, et il n'est plus possible alors de provoquer la
contracture
, en pressant sur les masses musculaires. L'hypere
quelque forte qu'elle soit, n'a jamais pu mettre le muscle en état de
contracture
per-manente et n'a jamais produit qu'une contract
e pas ici. Le massage, la pression laissent le muscle inerte; mais la
contracture
musculaire peut être provoquée par d'autres procé
l'excitation mécanique même légère des muscles ou des nerfs amène la
contracture
des mus-cles sur lesquels on agit directement ou
ain temps après le réveil de la malade, se rappro-chant en cela de la
contracture
qui survit à l'état léthargique pen-dant lequel e
: 1. Le même phénomène d'action élective se produit au sujet de la
contracture
provoquée dans cet état. L'observateur dont le co
ade peut à son gré, par l'excitation légère de la peau, provoquer des
contractures
in-tenses qu'il détruit aussi facilement, mais qu
ssible de provoquer par une excitation mécanique la contraction ou la
contracture
permanente du muscle. La friction ou le massage s
musculaire le plus souvent. Quelquefois légère rai-deur des membres.
Contractures
partielles. La contracture cède à la friction. Pa
Quelquefois légère rai-deur des membres. Contractures partielles. La
contracture
cède à la friction. Parfois un certain degré de c
, 1'" série). Pos-sibilité par l'excitation mécanique de provoquer la
contracture
du muscle, laquelle disparaît par la friction ou
idérable qu'à l'état ordinaire. » (p. 5). Nous avons vu comment les
contractures
hystériques artificielles cédaient aux frictions
nous trouvâmes notre malade, tes mains et les doigts douloureu-sement
contractures
; depuis déjà 20 minutes, elle était dans cet état
quelques minutes, le sommeil provoqué était obtenu, et cependant les
contractures
persistaient. Nous lui prîmes alors les deux main
excités, et en vertu de la propriété dont ils sont doués, ils se sont
contractures
. Le membre qui paraît catalep-tique est un membre
e sont contractures. Le membre qui paraît catalep-tique est un membre
contracture
. En effet, si l'on veut ensuite dé-placer le memb
er le membre, on éprouve une certaine résistance, évidemment due à la
contracture
musculaire. Nous atons dit que la léthargie s'a
citabilité musculaire n'existe pas. Il est impossible de provoquer la
contracture
du muscle, par la pression ou le massage. Mais il
du muscle, par la pression ou le massage. Mais il existe un ordre de
contractures
d'une autre na-ture qui se rattachent à l'état d'
gie avec mort apparente. 3" Attaque de léthargie compliquée : a. De
contractures
partielles ou générahsées. — L'attaque de coma, d
s : la tête se renverse en arrière, se conges-tionne; les traits sont
contractures
. Les bras s'élèvent et se fléchissent, les jambes
ie. — Paris, 1833, p. H. I 3. — ATTAQUES DE LÉTHARGIE COMPLIQUÉE DE
CONTRACTURES
GÉNÉRALES OU PARTIELLES ET DE PHÉNOMÈNES É P ILE
rexcitabilité musculaire^ tel qu'il a été décrit, se sura-joutent des
contractures
générales ou partielles persistantes ^ et des phé
éussit également bien. C'est le phénomène 1. On se souvient que les
contractures
de l'état léthargique provoqué se ré-solvent par
vraisemblablement la production du phénomène. Les muscles du cou sont
contractures
et la tète est immobilisée dans la situation que
rs, tantôt dans la paume de la main. Quand on essaye de les soulever,
contracture
s'exagère, ai fon n'y arrive qu'avec peine. Ils n
sie. On peut lui transpercer les bras sans provoquer un mouvement. La
contracture
des membres cède un instant sous l'influence du m
cela va se passer. » Et en effet au bout de dix à quinze secondes la
contracture
cesse et la malade se sert de la main et du pied
de la main et du pied gauches. Une minute après, le même phénomène de
contracture
se reproduit, dure quinze secondes et se passe po
ortement la pression du doigt, pour voir si je n'arriverais pas à une
contracture
per-manente, je vis la malade tourner plusieurs f
x ou trois minutes avec elle, et je vis reparaître plusieurs fois les
contractures
passagères des deux membres gauches. Comme la mal
as plus tôt étendue sur son oreiller que j'avais un deuxième accès de
contracture
générale tétanique sous les yeux. Pendant ce de
mière, pour voir si je n'obtiendrais pas l'état cataleptique; mais la
contracture
tétanique resta ce qu'elle était. En outre, je ne
pupilles n'étaient ni élargies, ni contractées. Pendant l'accès de
contracture
, la raideur est générale, il y a du tris-fflus, e
ris-fflus, et le cou est fortement rejeté en arrière, maintenu par la
contracture
de tous les muscles ceryico-dorsaux. A son réveil
eurs, la pression sur la partie antérieure de l'avant-bras, amène une
contracture
manifeste de la main dans la flexion. Mais la con
u sommeil. Les yeux sont fermés, les paupières clignotantes. Souvent,
contracture
partielle ou rigidité générale. Le membre garde p
les mouvements convulsifs sont plutôt toniques, tantôt bornés à la
contracture
d'un ou de plusieurs membres, tantôt étendus atou
es muscles se contracturaient avec plus de violence, et ce-pendant la
contracture
cessait sous l'influence des frictions. Voici u
t amené fortuitement à découvrir un moyen de faire cesser cet état de
contracture
et de catalepsie. La friction sur un muscle, qu
sentiment d'anxiété, qu'il fallait abaisser le membre pour éviter la
contracture
tétanique des muscles de la poitrine. c( Les mu
sse elle-même, les phénomènes magnétiques après avoir déterminé de la
contracture
musculaire, et avoir catalepsie le membre touché,
, ne permet pas le doute, il est inutile de dire que la simulation de
contractures
localisées non seulement dans un groupe muscu-lai
re était remplacée par des contractions tétaniques, par une véritable
contracture
qui durait autant que le déplacement du membre; a
mobile pendant un temps fort appréciable et qui sont marquées par une
contracture
extrême et généralisée, par la conges-tion extrêm
oniaque de ses narines. L'hyperexcitabilité musculaire existe. — On
contracture
par la pression les muscles des bras. A la face o
. — On contracture par la pression les muscles des bras. A la face on
contracture
les masséters. Les autres muscles de la face sont
les masséters. Les autres muscles de la face sont peu excitables. Ces
contractures
provoquées cèdent à la friction. Frémissement c
té musculaire, c'est-à-dire que l'excitation mécanique n'amène pas la
contracture
permanente du muscle sur lequel elle est portée.
emi-cercle rigide (opisthotonos). Au bout d'une à deux minutes, cette
contracture
exagérée cesse pour recom-mencer aussitôt, il en
s'est montré un accès produisant fixité du regard, pâleur de la face,
contracture
, raideur des membres, puis con-vulsions cloniques
sensibilité (anesthésie,hyperesthésie...), delà motilité (paralysie,
contracture
, choree vulgaire, choree rhytmique...), des sécré
ontré l'action de la glace et de reau froide sur l'hémianesthésie, la
contracture
partielle et l'achromatopsie, •action analogue à
dont ils sont en quelque sorte les précurseurs, je veux parler de la
contracture
permanente. ANALOGIES ENTRE L ' II É M I P l É
ou la présence d'un symptôme important et facilement appréciable, la
contracture
permanente. Ainsi, d'après ces auteurs, il convie
vient de ranger dans la première classe tous les cas dans lesquels la
contracture
fait défaut (hémiplégies per-manentes flaccides)
nde classe doivent être réu-nies toutes les formes très variées de la
contracture
permanente unilatérale. Notre excellent ami E.
mique peut paraître arbitraire, attendu qu'il existe entre les cas de
contracture
forcée et les cas où la contracture est infinimen
ndu qu'il existe entre les cas de contracture forcée et les cas où la
contracture
est infiniment légère des différences si prononcé
r l'ensemble des signes qui servent à caracté- 1. Recherches sur la
contracture
permanente des hémiplégiques. Thèse de Paris, 188
permanente des hémiplégiques. Thèse de Paris, 1880. riser l'état de
contracture
, et parmi lesquels il convient déranger l'exagéra
de l'ancienne classification, il substitue celle des hémiplégies avec
contracture
latente. Il base son opinion sur la rareté reco
ernière catégorie désignée par Brissaud sous le nom d'hémiplégie avec
contracture
latente. Nous trouvons là une nouvelle confirmati
aire constatée par le dy-namonètre, une disposition particulière à la
contracture
perma-nente, révélée par les phénomènes spéciaux
résen-tent à un assez haut degré les caractères des hémiparésies avec
contracture
latente, l'étude graphique de la contraction musc
corps est le plus souvent plus profondément lésé que l'autre. §2. —
contracture
p e r m a n e i^t e La contracture permanente h
dément lésé que l'autre. §2. — contracture p e r m a n e i^t e La
contracture
permanente hystérique a été, de la part de MM. Ch
Dans ses rapports avec l'attaque hystéro-épileptique régulière, la
contracture
se rencontre dans la première période (période ép
période (contorsions), et parfois aussi dans la quatrième période. La
contracture
hystérique estalorsgé-nérale et transitoire. Parm
s de la grande attaque, nous avons vu qu'il en est dans lesquelles la
contracture
géné-ralisée joue un rôle prédominant. Après l'
e joue un rôle prédominant. Après l'attaque convulsive ordinaire la
contracture
partielle qui subsiste quelquefois est transitoir
artielle qui subsiste quelquefois est transitoire ou permanente. La
contracture
hystérique permanente, dont il s'agit spéciale-me
immédiat. Bien mieux, et j'insiste particuliè-rement sur ce point, la
contracture
permanente est un symptôme de Vhjstérie non convu
d'une hystérie qui s'en tiendra toujours aux symptômes locaux variés (
contractures
, paralysies, choree rhythmique, etc.), ou qui, pr
lle-même ou ses diverses variétés. D'après Bourneville etVoulet, la
contracture
partielle intéresse 1. De la contracture hystér
s Bourneville etVoulet, la contracture partielle intéresse 1. De la
contracture
hystérique permanente, Paris 1872. plus particu
ion d'urine et la néces-sité du sondage; — f) enfin les membres. La
contracture
des membres revêt la forme hémiplégique ou parapl
t cervicale ou lombaire. Enfin un seul membre peut être atteint. La
contracture
permanente hystérique s'accompagne toujours d'un
'un trouble dans l'état de la sensibilité. Le plus souvent, le membre
contracture
est en même temps frappé d'anesthésie. Nous verro
préférence au côté du corps anesthésié. D'autres fois cependant la
contracture
s'accompagne d'une hyperesthésie intense de la pe
e fréquente de son début, un des ca-ractères les plus saillants de la
contracture
hystérique perma-nente réside dans le degré de so
rts les plus énergiques n'arrivent pas à en modifier la situation. La
contracture
persiste pendant le sommeil et ne cède, momentané
réjudice des variétés que peut offrir la pratique de cha-que jour, la
contracture
hystérique permanente donne auxmem-bres une attit
ception à la règle. Il était dans la flexion forcée. Quelquefois la
contracture
est limitée au pied. La contracture permanente
lexion forcée. Quelquefois la contracture est limitée au pied. La
contracture
permanente limitée au membre supérieur est un fai
er à la Salpêtrière, au moins un cas bien caracté-risé. Associée à la
contracture
du membre inférieur du même côté, la contracture
-risé. Associée à la contracture du membre inférieur du même côté, la
contracture
du membre supérieur estbeaucoupplus fréquente, t
-trière nous ont permis d'étudier quelques points de l'histoire de la
contracture
hystérique, sur lesquels je vais insister plus pa
hystérique, sur lesquels je vais insister plus parti-cuhèrement. LA
CONTRACTURE
LATENTE DE l'hÉMIPLÉGIE HYSTÉRIQUE PEUT ÊTRE MISE
hystériques, les membres atteints de parésie étaient en imminence de
contracture
. Cette conclusion découle naturellement des ana
lexes tendineux, est encore confirmé par la facilité avec laquelle la
contracture
elle-même apparaît dans les membres parésiés sous
ent des doigts et qui ne tarde pas à se trans-former en une véritable
contracture
qui immobilise la main dans la flexion. Cette con
e véritable contracture qui immobilise la main dans la flexion. Cette
contracture
ainsi obtenue est extrêmement intense et résiste
notre présence sur une malade hémiplégique par lésion cérébrale avec
contracture
latente du service de M. Charcot. Nous avons vu a
ifeste dans les muscles au niveau desquels elle était portée, mais la
contracture
n'a pas été obtenue. Ces expériences demanderaien
é obtenue. Ces expériences demanderaient à être généralisées. Cette
contracture
obtenue sous l'influence du diapason pré-sente to
enue sous l'influence du diapason pré-sente tous les caractères de la
contracture
hystérique perma-nente ; ellenecesse point sponta
ulièrement du côté hémianesthésique que s'observent ces phénomènes de
contracture
provoquée. Mais ils peuvent se produire, bien que
s atteint par contre coup. Il en est de même des autres variétés de
contracture
provo-quée. Les vibrations du diapason qui produi
contracture provo-quée. Les vibrations du diapason qui produisent la
contracture
, ainsi que je viens de le dire, n'agissent qu'en
on forcée. Les muscles du tronc, du cou, de la face même peuvent être
contractures
d'une façon analogue. Il suffit d'opposer une rés
une résistance à un mouvement volontaire de la malade pour amener la
contracture
des mus-cles mis en jeu pour opérer ce mouvement.
recherches au laboratoire de la Salpê-trière sur cette variété de la
contracture
provoquée K Un effort musculaire un peu violent
'un mouvement un peu forcé, de voir un de leurs membres atteint d'une
contracture
dont elles ne parviennent que difficilement à se
fluence la plus fâcheuse sur les muscles paralysés et en imminence de
contracture
. Le fait est connu depuis longtemps pour ce qui
cérébrale, etDuchenne de Boulogne trouve dans le plus léger degré de
contracture
des membres paralysés, une contre-indication form
intéressant d'un étudiant en médecine qui, atteint d'hémiplégie avec
contracture
légère du membre supérieur, vit sous l'influence
us l'influence de l'emploi intempestif de l'élec-tricité faradique la
contracture
envahir'en quelques instants tout le côté malade.
lsions générales et pendant plusieurs jours sa vie fut en danger. Les
contractures
douloureuses et comme tétaniques persistèrent plu
ce sujet. Une fara-disation, même légère, déterminait constamment une
contracture
permanente du membre électrisé. En augmentant l'i
re des interruptions, on pouvait provoquer la généralisation de cette
contracture
, non seulement dans le côté malade, mais jusque d
onstater que les applications ai-mantées amenaient infailliblement la
contracture
musculaire, lorsqu'elles portaient sur le membre
ore plus digne d'intérêt, c'est que la même aptitude des muscles à la
contracture
provoquée par l'aimant s'étendait à tout le côté
t le côté gauche ; le bras gauche, le cou du même côté pouvaient être
contractures
sous la même influence; tandis que, du côté droit
sans résultat. Le massage avait d'ordinaire facile-ment raison de ces
contractures
provoquées. DE LA CONTRACTURE TRAUMATIQUE. Le
'ordinaire facile-ment raison de ces contractures provoquées. DE LA
CONTRACTURE
TRAUMATIQUE. Les faits qui précèdent nous condu
duisent tout naturellement à l'étude des cas dans lesquels on a vu la
contracture
se déve-lopper à la suite d'un traumatisme ; et c
ntracture se déve-lopper à la suite d'un traumatisme ; et cet état de
contracture
latente, dont il vient d'être question, rend parf
re question, rend parfaitement compte de la facilité avec laquelle la
contracture
elle-même apparaît sous l'influence d'une cause t
pour la même raison l'inefficacité et même le danger, dans les cas de
contracture
hystérique,du traitement chirurgical dont les div
péciales des muscles. Je rappellerai ici les nombreuses variétés de
contracture
suc-cédant, par voix réflexe, à des lésions varié
s des os ou des parties molles et que l'on a désignées sous le nom de
contractures
réflexes. Il me suffira de citer les contractur
es sous le nom de contractures réflexes. Il me suffira de citer les
contractures
qui accompagnent sou-vent les lésions articulaire
membre ; Duchenne de Boulogne en a décrit une variété sous le nom de
contracture
réflexe ascendante par traumatisme arti-culaire.
re. Les contusions des parties molles ont pu également dé-terminer la
contracture
des muscles au voisinage desquels elles avaient p
les cas qui précèdent le traumatisme a pu provoquer et entretenir la
contracture
musculaire chez des sujets qui n'y étaient en auc
ie droite. Aphasie. Chute et contusion de la jambe droite, suivies de
contracture
douloureuse du membre pa-ralysé. 2. Il n'est pa
ois siéger plus spécialement dans une ou plusieurs articulations, une
contracture
permanente plus ou moins accentuée, tels sont les
rôlement, le moindre mouvement provoqué exaspèrent les douleurs et la
contracture
... Il arrive, en général, que l'hyperesthésie et
ce, tôt ou tard, à une anesthésie plus ou moins absolue; cependant la
contracture
mus-culaire persiste encore néanmoins au même deg
rie infantile... » On voit que dans Vhystérie locale traumatique la
contracture
permanente joue un grand rôle, et les détails dan
res d'une hystérique ou d'une hémiplégique céré-brale en imminence de
contracture
, nous permet d'en saisir le mécanisme et d'en mie
fois suivis des plus fâcheux effets. » INFLUENCE DE l'AIMANT SUR LA
CONTRACTURE
PERMANENTE ARTIFICIELLE. — TRANSFERT DE LA CONTRA
'AIMANT SUR LA CONTRACTURE PERMANENTE ARTIFICIELLE. — TRANSFERT DE LA
CONTRACTURE
. J'ai indiqué plus haut (p. 371) comment il éta
s soumises aux pratiques variées de l'hypnotisation, de provoquer une
contracture
artificielle qui présente tous les caractères de
r une contracture artificielle qui présente tous les caractères de la
contracture
permanente. L'hypnotisme peut donc rentrer dans l
. L'hypnotisme peut donc rentrer dans les causes occasionnelles de la
contracture
hystérique à côté de celles dont nous avons déjà
r ici l'influence des applications aimantées sur le déplacement de la
contracture
hystérique. La facilité avec laquelle il est poss
hystérique. La facilité avec laquelle il est possible de provoquer la
contracture
chez les hysté-riques nous a permis de répéter l'
ous avons obtenu les mêmes résultats. L'aimant appliqué sur un membre
contracture
artificiellement a toujours eu pour effet d'augme
artificiellement a toujours eu pour effet d'augmenter le degré de la
contracture
; mais ap- pliquc du côté opposé du corps, sur l
é du corps, sur la région symétrique à celle qui était occupée par la
contracture
, il s'est produit un efTet inat-tendu, et qui s'e
caractères toutes les fois que nous l'avons cherché. Supposons que la
contracture
artifi-cielle porte sur l'avant-bras droit, le po
l'étendre on constate un peu de roideur musculaire. En même temps la
contracture
du bras droit paraît moins intense. Peu à peu les
. Peu à peu les mêmes phénomènes s'accusent da-vantage, et bientôt la
contracture
du membre droit cède complè-tement, pendant que l
eur du membre gauche s'est exagérée au point de devenir une véritable
contracture
analogue à celle qui existait d'abord du côté opp
st opéré, sous l'influence de l'aimant un véritable déplacement de la
contracture
qui a passé d'une région du corps à la région sym
rt de la contrac-ture, se reproduit exactement de la même façon et la
contracture
revient au bras droit en même temps qu'elle quitt
and nombre de fois. En résumé, l'aimant, dans ces cas, ne résout la
contracture
d'une partie qu'à la condition d'en provoquer une
quer une autre analogue dans une autre partie du corps. Il déplace la
contracture
, mais ne la détruit pas. Pour faire disparaître c
cture, mais ne la détruit pas. Pour faire disparaître complètement la
contracture
artificielle il faut avoir recours à d'autres pro
cours à d'autres procédés sur lesquels je ne reviendrai pas ici. LA
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE EST DUE A UNE MODIFICATION SPÉCIALE DY
on-sidérer comme unemodification dynamique. Il en est de même de la
contracture
hystérique, dont la cause ne saurait résider dans
e dynamique spécial des centres médul-laires. Qu'est-ce donc que la
contracture
permanente? et quelle défi-nition physiologique p
qu'il existait dans la physiologie un fait qui est le paradigme de la
contracture
, c'est le tonus musculaire. Les muscles môme au r
lexe ; il existe également de nom-breuses raisons pour établir que la
contracture
est un fait de même ordre. Je me contenterai d'en
assagère dans les muscles du membre, amène parfois un commencement de
contracture
. (Voir la Thèse de Brissaud, p. 108). b) L'acti
sur les muscles ; or on a vu dans les cas de paralysie spasmodique la
contracture
musculaire succéder à son emploi. c) Nous avons
loi. c) Nous avons vu une faradisation intempestive faire naître la
contracture
sur des membres prédisposés. d) L'action reconn
posés. d) L'action reconnue du traumatisme sur le développement des
contractures
plaide dans le même sens. é) Je rappellerai les
s. é) Je rappellerai les faits, dont nous avons parlé plus haut, de
contracture
provoquée sur les hystériques. Il semble donc q
ériques. Il semble donc que nous soyons en droit de conclure que la
contracture
n'est qu'une exagération de la tonicité musculair
nature réflexe? Comment expliquer ces phénomènes de déplacement de la
contracture
sous l'influence de l'aimant? D'ailleurs cette
us l'influence de l'aimant? D'ailleurs cette origine centrale de la
contracture
n'est point un fait isolé ne s'appliquant qu'aux
a contracture n'est point un fait isolé ne s'appliquant qu'aux cas de
contracture
hystérique. Notre ami E. Brissaud assigne le même
ystérique. Notre ami E. Brissaud assigne le même siège médullaire aux
contractures
secondaires de l'hémiplégie d'origine cérébrale.
reuse du faisceau pyramidal ne saurait être la cause efficiente de la
contracture
permanente; cette cause immédiate doit être reche
ne des circonstances nécessaires à la production et au maintien de la
contracture
réside dans l'état d'intégrité organique des cell
essus inflammatoire, celles-ci sont altérées dans leur struc-ture, la
contracture
musculaire cesse, pour être remplacée par l'atrop
uence inévitable de leur destruction. « La condition nécessaire des
contractures
de ce genre, dit Brissaud, est l'état d'opportuni
côté des troubles variés de la con-tractilité musculaire (paralysies,
contractures
) qui se rencontrent fréquemment chez les hystériq
montrer dans les cas d'hys-térie non convulsive. Au même titre que la
contracture
, elle est une des manifestations de l'hystérie lo
t revêtu les formes les plus variées (attaques convulsives, ischurie,
contracture
permanente, dysphagie, crises névralgiques, etc.)
cation reposait sur la propriété de transfert ou de déplacement de la
contracture
sous l'influence de l'aimant (voy. p. 566) et les
hémianes-thésies accompagnées d'hémiplégie motrice, d'hémicJiorée, de
contracture
, et sur leur curabilitépar les agents œstliésiogè
ment plus tenace, surtout lorsqu'elle accompagne une paralysie ou une
contracture
. Il se présente souvent dans ce cas une particula
érie et sur ce point nous pouvons être plus affirmatif. Paralysies.
Contractures
. —Si ces accidents coexistent avecdes attaques il
e la méthode indirecte de déplace-ment est plus sûre. Dans les cas de
contracture
, l'excitation, à l'aide d'étin-celles, des tendon
'après la disparition de l'anesthésie. A propos de ce transfert des
contractures
, rappelons un passage de l'abbé Sans, un électric
lus tard des troubles variés de la motilité (soubresauts, se-cousses,
contracture
de l'œsophage, attaques convulsives) et de la sen
rands mouvements». Dans l'intervalle des attaques, on peut relever la
contracture
de l'œsophage, des troubles variés de la motilité
s mouvements » nous trouvons signalées des attaques de léthargie avec
contracture
généralisée. « Le 20 janvier, Magdaleine se con
que nous avions constatés chez elle, les attaques, l'anesthésie, les
contractures
et le reste, n'étaient que le résultat d'une simu
ubles cérébraux s'accompagnaient parfois de mouvements convulsifs, de
contractures
, de secousses de tout le corps, de chutes, de per
sion K » Le passage suivant a bien trait à une véritable attaque de
contracture
géné-ralisée : «... Cependant celle qui avait d
Paris, le 2 août 1731. La demoiselle Fourcroy, qui fut guérie d'une
contracture
du pied gauche, fut prise de convulsions dans les
ed-bot hystérique. La demoiselle Fourcroy était donc atteinte d'une
contracture
hystérique du pied gauche. La demoiselle Fourcr
e qu'elle aurait dù naturellement se la casser plusieurs fois. » La
contracture
guérit subitement pendant une attaque. Le 14 av
.............................. 296 5^ 4. — Attaque épileptoïde avec
contracture
généralisée et permanente. . 297 Ghap. II. — Va
sujet................................ «^71 Troisième observation. —
Contracture
permanente artificielle......... 372 Quatrième
....................' 436 § 3. — Attaque de léthargie compliquée de
contractures
générales ou partielles et de phénomènes épilep
— L'hémiplégie hystérique rentre dans la classe des hémi-plégies avec
contracture
latente................................ 553 § 2
vec contracture latente................................ 553 § 2. -—
Contracture
permanente................................. .. 55
— Contracture permanente................................. .. 557 La
contracture
latente de l'hémiplégie hystérique peut être mise
ar plusieurs procédés................................... 5 GO De la
contracture
traumatiquc.................................... 5
.................................. 563 Influence de l'aimant sur la
contracture
permanente arlificielle. — Transfert de la contra
'aimant sur la contracture permanente arlificielle. — Transfert de la
contracture
.................................... 566 La cont
nsfert de la contracture.................................... 566 La
contracture
hystérique est due à une modification spéciale dy
es, parfaitement appréciable à la main, et occasionné par l'état de
contracture
dans lequel se trouvaient ces muscles. 3U NOU
nomène secondaire, une conséquence nécessaire pour ainsi dire de la
contracture
des muscles extenseurs du cou et de la tête. Il
au niveau de la septième vertèbre cervicale remontant à neuf mois.-
Contracture
en voie de diminution. - Déformation des mains.
ain de l'accident, les membres supérieurs et inférieurs se seraient
contractures
, ceux-ci en extension, ceux-là en flexion. Les ma
rachis. Toutefois, elle permet de voir comment les phéno- mènes de
contracture
, si intenses pourtant dans les premiers temps q
tinées à persister indéfiniment. Il est pro- bable que, tenant à la
contracture
musculaire, elles tendront, comme cette dernièr
t de matières, puis incontinence d'urine, sont nuls aujourd'hui. La
contracture
, qui avait succédé à la paraplégie flasque, per
M. Gilles de la Tourette, il s'est développé, consécutivement à la
contracture
spasmodique des muscles et à l'attitude vicieus
t le cou et d'une partie de la poi- trine. 10 décembre. Un peu de
contracture
de la jambe droite. La motilité volontaire revi
e cas le plus récent, datant de huit mois, nous avons observé de la
contracture
, mais cette contracture était en voie de décroiss
tant de huit mois, nous avons observé de la contracture, mais cette
contracture
était en voie de décroissance. Elle avait déter
ce fait intéressant d'une subluxation de la hanche consécutive à la
contracture
qu'avait amenée le traumatisme médullaire. Ains
hériques les tendances spas- modiques latentes et en particulier la
contracture
latente'. Ce ne sont 1. Ch. Féré, Note sur un c
eu il peu, sans secousse, ni tremblement. Il n'existe d'ailleurs ni
contracture
, ni raideur. L'attention paraît jouer dans le phé
ez plusieurs malades atteints de paralysie agitante, en calmant les
contractures
, la sensation de chaleur nocturne, en procurant
-50); pas de dysclroma- lopsie. La malade présente la diathèse de
contracture
, caractérisée par ce fail, que l'application de
par ce fail, que l'application de la bande d'Esmarch sur le poignet
contracture
la main en flexion; de même, si l'on étend brus
lètement fermé par une contraction active de l'orbicu- laire. Cette
contracture
plisse fortement la paupière supérieure, ainsi qu
ue, l'aphonie el le blépharospasme reparaissent, ainsi que d'autres
contractures
des muscles des membres supérieurs et inférieur
e l'épaule droite et du membre supérieur droit sont en imminence de
contracture
: celle-ci est provoquée par une très faible ex
ésie persiste toujours sans modifications : ce jour-là, à midi, des
contractures
se produisent spontanément dans le membre supér
ume de la main. La malade étant hypnotisée, on peut lui enlever ces
contractures
par suggestion et par des frictions sur les mus
e, de son blépharos- pasme avec amaurose et de ses arlbralgies avec
contracture
du membre supérieur droit. Tous les matins, on
certain temps après que la suggestion les a fait disparaître : les
contractures
des muscles entourant les articulations douloureu
ont maintenant complè- tement disparu; mais les arthralgies et les
contractures
du membre supé- rieur droit persistent toujours
reproduite depuis. Les arthralgies du membre supérieur droit et les
contractures
qui les accom- pagnent n'ont subi aucune modifi
ensibilité dans ses rapports particuliers avecles arthralgies elles
contractures
consécutives. Mais nous ne pouvons nous étendre
dans l'hystérie. Dans son mémoire inédit sur les Paralysies et les
contractures
hytériques couronné par l'Acadé- mie de médecin
st tonique et se caractérise, comme dans notre observation, par une
contracture
énergique et permanente des paupières ; dans ce
peut exister, ce qui n'avait pas lieu chez notre malade. De plus la
contracture
de l'orbiculaire s'accompagne 1Z0 NOUVELLE ICON
serve sur la paupière supérieure ne peuvent être attribués qu'à une
contracture
de l'orbiculaire. De plus, il s'ac- compagnait
nt perdre tout caractère de spécificité; enfin il est des cas où la
contracture
de l'orbiculaire n'apparaît qu'accessoirement p
us limitant pour le moment à l'étude du blépharospasme isolé, de la
contracture
unique de l'orbiculaire des paupières. En raiso
Dans ses leçons des deux dernières années sur les paralysies elles
contractures
hystériques, notre maître a montré qu'on pouvai
RPOSITION DES TROUBLES. 123 L'oeil gauche reste alors fermé par une
contracture
énergique et permanente de l'orbiculaire', à te
omnambulisme, l'idée de ne pouvoir ouvrir l'oeil, il se produit une
contracture
do l'orbiculaire, mais non une paralysie du relev
nt de même ordre, de superposition des troubles de sensibilité à la
contracture
des muscles sous-jacents. Faisons remarquer,
ttine d'une construction tout il rait spéciale. En effet, outre une
contracture
toute parti- culière du gros orteil qui est for
CONOGRAPHIE T. 11. PL. XX CLICHÉ A. towne PHOTOTYPIE BERTHAUD
CONTRACTURE
HYSTERIQUE DU GROS ORTEIL LECROSNtEPETBABt, ÉDI
t de 8 ou 10 centimètres du membre inférieur gauche par suite d'une
contracture
très appréciable des fessiers (coxalgie hystéri
muscles du cou il gauche paraissent raides et tendus sans que cette
contracture
occasionne toutefois de déviation notable. 'l'o
est particulièrement très marquée : 1° à l'extrémité du gros orteil
contracture
dont il est impossible de vaincre la contractur
ité du gros orteil contracture dont il est impossible de vaincre la
contracture
; 2° au pourtour de la hanche gauche (signe de l
gauche (signe de l3rolie). De pins, les yeux sont fermés par une
contracture
spasmodique des orbicu- 1-28 NOUVELLE ICONOGRAP
S 'f no II Il L Il ? lit) dernier étant situé en dehors. Toutes ces
contractures
cèdent pendant le som- meil chloroformique qui
au point que nous avons indiqué, peut aller et venir sans canne. La
contracture
du gros orteil gauche a cédé; le talon touche pre
alon touche presque la terre mais il y a encore un certain degré de
contracture
des muscles qui entourent l'articulation de la
du pied a la façon des sujets atteints d'hémiplégie cérébrale avec
contracture
secondaire. Les réflexes tendineux ne 'sont nul
BILITÉ. 171 la langue, nous voyions bientôt, par généralisation, la
contracture
se produire également du côté de l'orbiculaire.
cornée et de la conjonctive s'observent parfois sans coïncidence de
contracture
de l'orbiculaire, du côté anesthésique. Toute
une Russe admise dans le service de la Clinique, en 18882, pour une
contracture
des muscles de la face accompagnée de blépharo-
POSITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 175 et qui consiste en une
contracture
de tous les muscles de la face el du cou, à dro
des aimants du côté de la con- tracture (deux heures par jour). La
contracture
du cou a disparu dès le début. Le spasme de la
rareté des paralysies oculaires dans l'hystérie, et d'attiré part la
contracture
dont cet oeil avait été atteint, je rapportai l
apportai la diplopie non il la paralysie du droit externe mais à la
contracture
du droit interne ou à une simple rétrac- tion d
terne ou à une simple rétrac- tion de ce muscle consécutive à cette
contracture
et à l'occlusion permanente de l'oeil pendant p
? Il est vrai qu'il est dit dans l'observation de M. Richer que la
contracture
envahissait égale- ment les muscles du coït à d
ait nous engager à rechercher s'il n'existait pas chez Lelog... une
contracture
des muscles du cou, et nous n'avons pas été peu
peu surpris de reconnaî- tre qu'en effet, chez lui, il existait une
contracture
très manifeste du peaucier, contracture très vi
, chez lui, il existait une contracture très manifeste du peaucier,
contracture
très visible surtout au moment des efforts faits
en un mot les muscles peauciers de la région, à droite, étaient en
contracture
. Pour le premier, la vérification n'est pas dif
ramassé vers le côté droit de la bouche, dur au toucher, évidemment
contracture
, et bien qu'il soit attiré en masse vers la dro
nant l'orbi- culaire des paupières et le peaucier qui est nettement
contracture
(l'aspect de la malade esl identiyuc à celui d'
r enlever le spasme des muscles de la face et du cou. Au réveil, là
contracture
a disparu et avec elle la zone d'anesthésie circo
nesthésie revenant toujours en fin de compte se fixer il gauche. La
contracture
de la langue est permanente. 1. M. Charcot a pr
secousses qui se répètent fré- quemment : de plus, il existe là une
contracture
permanente, car la lèvre est tirée en haut en d
ore la mettre en dôme. Les deux bords étant égale- ment relevés, la
contracture
semble donc envahir toute sa musculature, à dro
iel, un intérêt de premier ordre. Ces observations ont trait à la
contracture
hystérique du sterno- 182 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
cervicale du trapèze d'autre part (Obs. X) associée ou non avec la
contracture
du sterno-mastoïdien. Dans ce dernier cas l'app
acture du sterno-mastoïdien. Dans ce dernier cas l'apparition de la
contracture
avait été précédée de douleurs qui eussent pu f
bande d'anesthésie se superposant exactement au muscle sous-jaccnt
contracture
. Phéno- mène accessoire, mais qui se montre sou
acture. Phéno- mène accessoire, mais qui se montre souvent dans les
contractures
hystériques, dans les deux cas il s'était fait
ites identiques à celles de la bande d'anesthé- sie superposée à la
contracture
. L'anesthésie limitée était bien sous la dépend
riode somnam- bulique, tant par suggestion que par production d'une
contracture
du côté opposé que nous faisons ensuite dispara
nous faisons ensuite disparaître, nous obtenons la résolution de la
contracture
du sterno-mastoidien, résolution qui persiste au
SITION DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. 183 plusieurs reprises ces
contractures
le plus souvent douloureuses et avons alors con
deux côtés; le 11, les douleurs se localisent à gauche; le 1` ? , la
contracture
se produit; le 13, au matin, nous l'examinons.
e est en rotation à droite : le sterno-cléido-mastoïdien gauche est
contracture
et forme une, corde rigide sous la peau. Il exi
ée à base triangu- laire se limitant en avant par le bord antérieur
contracture
du steruo-mastoï- dieu, en bas par la clavicule
l'état sonlnaul- Indique pendant lequel nous faisons disparaître la
contracture
. Au réveil, la sensibilité a reparu dans la zon
côté anesthésique) dans les régions correspondantes. Guérison de la
contracture
par suggestion, retour de la sensibilité à gauc
DE LA S.\ L l' t T n 1 È It g, Le 31 mai, se plaint au réveil d'un
contracture
du cou du côté gauche. La portion cervicale du
s les mêmes régions. Une séance d'hypnotisation fait disparaître la
contracture
et avec elle les troubles de la sensibilité. Le
ée (ou l'hyperesthésie, phénomène de même nature) dans les diverses
contractures
que nous avons décrites. Rappelons-nous que les
e les autres muscles du corps d'une individualité qui fait que leur
contracture
isolée est envisagée, pour ainsi dire, sous autan
avons observés. Aussi, étant donné l'importance qui s'attache à la
contracture
des muscles delà face et du cou et au diagnosti
là face et du cou et au diagnostic pathogénique différentiel de ces
contractures
, pensons-nous qu'il importe désormais de mettre
est du torticolis, en présence de sa ténacité - et l'on sait si les
contractures
hystériques sont parfois tenaces - si l'on ne com
ais encore sont dangereux, car ils entretiennent singulièrement les
contractures
. M. Charcot n'a-t-il pas montré, en effet, que
'a-t-il pas montré, en effet, que le meilleur moyen d'éterniser les
contractures
hystériques était de placer les parties du corp
n appareil, mème lorsque l'appareil est posé après résolution de la
contracture
et pendant le sommeil chloro- formique. A peine
e sommeil chloro- formique. A peine l'appareil est-il enlevé que la
contracture
se montre il nouveau et plus tenace encore qu'a
diffèrent en aucune façon de ceux qui ont été notés pour les autres
contractures
hystériques, en particulier par Brodie dans la
e ou l'hyperesthésie au niveau d'une articulation immu- bilisée par
contracture
hystérique ont des limites précises, indépen- d
, B, rua Mignon, 2. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DES
CONTRACTURES
SPONTANÉES '" ET PROVOQUÉES DE LA LANGUE 1 CH
ériques, quechezces malades la langue est assez souvent le siège de
contractures
spontanées transitoires ou à caractère permanen
ontractures spontanées transitoires ou à caractère permanent. Ces
contractures
peuvent être reproduites pendant l'état hypnotiqu
ères années, j'ai eu l'occasion à plusieurs reprises d'observer des
contractures
des muscles de la face, du cou et de la muscula
llement employés pour déterminer la mise en oeuvre de la diathèsede
contracture
si fréquente 1. Spasme ¡(losso-lauié unilatéral
iques, l'exposé succinct de mes expériences permettra d'étudier ces
contractures
provoquées cc l'état de veille, alors qu'en deh
recours à l'hypnotisme pour les déterminer expérimentalement. Les
contractures
de la langue chez les hystériques peuvent être
trac- ture de la langue, lorsque, par l'excitation, on détermine la
contracture
d'un autre muscle de la face ou du cou. Si chez
ace ou du cou. Si chez une hystérique qui pré- sente la diathèse de
contracture
, on provoque il l'aide de l'excitation directe
cle est souvent suffisante : de plus on peut également provoquer la
contracture
sous l'influence du diapason par réflexe auricu
e influence psychique déterminant le réflexe central qui produit la
contracture
. C'est en faisant des expériences avecle diapas
s que les autres muscles de la face et du cou partici- passent à la
contracture
. Je dois ajouter que les contractures que l'on
t du cou partici- passent à la contracture. Je dois ajouter que les
contractures
que l'on produit ainsi sont le plus souvent pas
NOUVELLE ICONOGRAPHIE. T. 11, PL. XXXIII. Phototype Berthoud
CONTRACTURE
DE LA LANGUE PROVOQUEE A L'ETAT DE VEILLI CHEZ
SNIER tT BABI, ÉDITEUR» NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. TI. PL. XXXIV.
CONTRACTURE
DE LA LANGUE PROVOQUEE A L'ETAT DE V CHEZ UNE H
1 NOUVELLE ICONOGRAPHIE. T. II. PL. XXXV. Phototypie Berthaud
CONTRACTURE
DE LA LANGUE PROVOQUEE A L'ÉTAT DE VEILLE CHEZ
YSTÉRIQUE PAR EXCITATION DIRECTE LECROSNIER ET Bayé, EDITEURS DES
CONTRACTURES
SPONTANÉES, 203 Chez R. L..., on peut produire
gue normalement tirée hors de la bouche se dévie vers la droite, se
contracture
et reste dans cet état pendant 55 à 80 secondes;
e temps passé, les phénomènes disparaissent d'eux-mêmes. Pendant la
contracture
, la malade ne peut pas spontanément rentrer la
ermet de noter que les muscles oculaires participent eux aussi à la
contracture
. En effet, concurremment avec la langue, les ye
la langue se replie sur elle-même et la pointe se porte en haut, en
contracture
, venant toucher la voûte osseuse (pl. XXXIV). L
yant toujours donné les mêmes résultats, on peut en conclure que la
contracture
survient par suite d'un réflexe de l'excitation
nomènes, j'ai essayé avec succès de produire chez la même malade la
contracture
de la langue par excitation directe. Par la sim
le bord droit de la langue, faire dévier celle-ci du même côté, en
contracture
(pl. XXXV). En touchant de la même façon le bor
a face inférieure, la face supérieure de la langue, j'ai obtenu des
contractures
dans ces différents sens. Dans ces cas, les yeu
facilement hypnotisable. Chez cette malade on peut déterminer des
contractures
de la langue absolument analogues à celles que
alogues à celles que l'on provoque chez le premier sujet. Les mêmes
contractures
et déviations se montrent sous l'influence du d
rexcita- bilité neuro-musculaire était singulièrement exagérée, les
contractures
semontraient simultanément dans les muscles de
'ai même pu, pendant une expérience avec le diapason-, produire des
contractures
de la langue telles qu'il ne m'a pas été donné d'
rotation tel que la langue se plaça de champ dans une situation de
contracture
telle qu'un hommebien portant ne pourrait spontan
la réaliser (pl. XXXVII). - Du reste, je l'ai dit, la diathèse de
contracture
est si accentuée chez cette malade qu'elle ne p
es minutes sans qu'il se contracte immédiatement. Si je romps celte
contracture
du bras par une friction et une malaxation des mu
en le plaçant dans diverses positions. En même temps, la langue se
contracture
et se dévie vers le bras contracture; les contr
En même temps, la langue se contracture et se dévie vers le bras
contracture
; les contractures du bras et de la langue s'assoc
la langue se contracture et se dévie vers le bras contracture; les
contractures
du bras et de la langue s'associent donc chez c
elques conclusions : ' a) On peut chez les hystériques produire des
contractures
typiques de la langue, soit à l'état de veille,
pendant l'état hypnotique, par l'excitation du nerf acoustique. Ces
contractures
sont le produit d'un réflexe central. NOUVELL
uit d'un réflexe central. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T II. PL. XXXVI
CONTRACTURE
DE LA LANGUE PROVOQUEE A L'ETAT DE VEILLE CHEZ
NOUVELLE ICONOGRAPHIE. T. II. PL. XXXVII. Phototypie Berthaud
CONTRACTURE
DE LA LANGUE PROVOQUEE A L'ETAT DE VEILLE CHEZ
DE VEILLE CHEZ UNE HYSTERIQUE LECROSNIER ET EASÉ, EDITEURS DES
CONTRACTURES
SPONTANÉES. 207 b.) Ces contractures se produis
OSNIER ET EASÉ, EDITEURS DES CONTRACTURES SPONTANÉES. 207 b.) Ces
contractures
se produisent aussi par voie périphérique, par
phérique, par excitation directe des muscles de la langue. c) Les
contractures
de la langue peuvent s'associer avec les contrac-
res des muscles de la face, du cou, du tronc ou des membres. d) Les
contractures
provoquées de la langue ne diffèrent pas de cel
NAUEH, , Professeur à l'Université de Buda-Pestli. OBSERVATION DE
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE GUÉRIE SUBITEMENT APRÈS UNE DURÉE
mon maître, M. le professeur Charcot, une jeune malade atteinte de
contracture
hystérique du membre inférieur droit, remarquab
vers 1884. Voici l'observation détaillée. Ons. I. - A onze ans,
contracture
des deux membres du côté droit; guérison du bra
it au bout de dix-huit mois. Le membre inférieur droit seul demeure
contracture
. Attitude d'extension. Disparaît la nuit. Insta
mps après, le bras droit se raidit aussi. Le membre supérieur était
contracture
en flexion, les doigts fléchis dans la main, la m
urs semaines) et il n'y reste plus rien d'anormal. OBSERVATION DE
CONTRACTURE
HYSTERIQUE. 209 La contracture du membre inféri
lus rien d'anormal. OBSERVATION DE CONTRACTURE HYSTERIQUE. 209 La
contracture
du membre inférieur persiste, il est impossible i
gues d'instabilité musculaire s'observent au membre inférieur droit
contracture
et sur lequel elle porte par instant tout le poid
'un titre, est consignée dans mon mé- moire, encore inédit, sur les
contractures
et les paralysies hysté- riques qui a remporté
que j'appuyais les bases d'une description d'une forme nouvelle de
contracture
hystérique, forme que je désignais sous le Fie.
e contracture hystérique, forme que je désignais sous le Fie. 50.
Contracture
du membre inférieur droit. OBSERVATION DE CONTR
Fie. 50. Contracture du membre inférieur droit. OBSERVATION DE
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE. 211 nom de forme cérébrale, pendant
CONTRACTURE HYSTÉRIQUE. 211 nom de forme cérébrale, pendant que la
contracture
hystérique vul- gaire prenait le nom de forme s
iscussion sur le mécanisme et la pathogé- nie de ces deux formes de
contracture
, je rappellerai qu'elles trouvent leurs analogu
iques longue- ment décrits par M. Charcot et par moi sous le nom de
contracture
léthargique et contracture somnambulique, et je
par M. Charcot et par moi sous le nom de contracture léthargique et
contracture
somnambulique, et je me contenterai de donner l
rébrale dans le travail cité plus haut. FiG. 00. - Altitude du pied
contracture
. 212 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
alement pas. e) Elle résiste aux esthésiogènes. f) La diathèse de
contracture
qui l'accompagne est la forme som- nambulique,
ue la diathèse qui accompagne la forme spi- nale est la diathèse de
contracture
léthargique. g) Elle offre des analogies avec l
èse de contracture léthargique. g) Elle offre des analogies avec la
contracture
somnambulique, 'et la forme spinale avec la con
ies avec la contracture somnambulique, 'et la forme spinale avec la
contracture
léthargique. La forme cérébrale de la contractu
e spinale avec la contracture léthargique. La forme cérébrale de la
contracture
hystérique, ainsi que nous l'entendons ici, se
acture hystérique, ainsi que nous l'entendons ici, se rapproche des
contractures
que M. Dally désigne sous le nom de contracture
, se rapproche des contractures que M. Dally désigne sous le nom de
contractures
d'appréhension ou d'adaptation. Peut-être au po
malaxé, d'où équilibre musculaire rompu, sans qu'il y ait pour cela
contracture
: prédominance tonique de certains muscles et p
ique de certains muscles et à la parésie des autres; OBSERVATION DE
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE. 213 enfin, un des grands caractères
udo-contracture est de céder pendant le sommeil. Suivant nous, la
contracture
de forme cérébrale n'est pas néces- sairement l
vrai, ont pour influence de l'accroître ; enfin c'est une véritable
contracture
dans laquelle les antagonistes sont pris au même
ctuer, le membre inférieur était déjà, devenu raide par suite de la
contracture
fonction de cette dégénérescence. C'est à cette
on le comprend, dans le spasme glosso- labié hystérique, car ici la
contracture
, le mouvement actif, a fait place à la paralysi
, p. 338). ' " i. Des rétractions fibro-tendineuscs compliquant les
contractures
spasmodiques. Obs. 111, p. 35, fig. 19 {Nouvell
ar s'endormir. Mais le lendemain en se réveillant il se trouva tout
contracture
. Il raconte qu'il avait le cou tout raide; il ne
re membres étaient aussi rigides et immobilisés en extension par la
contracture
; les avant-bras étaient fixés en pronation forc
ce; il mangeait, buvait et dormait comme à l'ordinaire. Cet état de
contracture
persista pendant trois mois. Un jour, la rigidi
t, tantôt à la suite de contrariétés'. En 1887, deuxième attaque de
contracture
généralisée semblable à la première mais qui ne
ut se lever et marcher. Quelques jours plus tard, la guérison de la
contracture
des bras survint plus brusquement encore. Pen
ontracturé, les cinq doigts fléchis dans la paume de la main. Cette
contracture
est devenue définitive les jours suivants après d
rieur droit. La malade étant endormie à l'aide du chloroforme, la
contracture
des muscles du membre inférieur se résont, le r
icipent pas à l'atrophie. Pas de (roubles de sensibilité locale. La
contracture
qui est très prononcée se résout pendant le som
'atrophie a toujours porté sur un membre atteint de paralysie ou de
contracture
; c'est également ce que nous voyons exister dans
on atrophie. L'atrophie, si elle ne se superpose pas toujours à une
contracture
ou à une paralysie, semble donc, au moins, se l
ue peut quelquefois envahir des membres indemnes de paralysie ou de
contracture
. Géné- ralement alors, elle semble envahir de p
nt l'observation III, que le membre inféj rieur gauche, siège de la
contracture
, avait été envahi à diverses reprises par un oe
tit doigt et de l'index. La pa- ralysie est flasque ; pas tracés de
contracture
ou de raideur.. ' ' : ' Sensibilité. Analgésie
ment sur les membres, parti- culièrement lorsqu'ils sont en état de
contracture
ou de paralysie. lien a été ainsi dans l'une de
rcot, a bien voulu nous communiquer. Ons. III. - OEdème, cyanose et
contracture
hystérique du membre inférieur gauche. (Observa
s, après avoir présenté une série d'accidents de nature hystérique (
contracture
du bras droit, 276 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
symptômes que voici : Le 7 mai, le gros orteil du pied gauche se
contracture
en extension et abduction forcée. Le jour suiva
vec coloration violacée des téguments. Le troisième jour, 9 mai, la
contracture
d'abord localisée au gros orteil se généralise
bles : oedème, cyanose, sensations douloureuses, hy- peresthésie et
contracture
ont persisté pendant un mois. Le 9 juin, après
ersisté pendant un mois. Le 9 juin, après une séance de massage, la
contracture
a commencé ü céder, et dès lors, l'oedème, les
ébétude. Quelques mois plus tard, hémiplégie hystérique droite avec
contracture
du membre inférieur droit; certain degré de par
en septembre 1889 il l'hôpital Laënnec; au bout de quelques jours,
contracture
du membre inférieur gauche : paraplégie complète;
e dur persiste des deux côtés. Les jours suivants il domine avec la
contracture
; il est plus mou et se localise particulièremen
mbe droite. On le voit, feedème se superpose presque toujours à une
contracture
ou à une paralysie d'un membre. L'aspect de l
symptômes. Son début est variable; généralement il apparaît avec la
contracture
ou la paralysie qu'il peut toutefois précéder ;
lle paraît surtout subordonnée à la marche de la paralysie ou de la
contracture
sous-jacente. Quand à sa nature réelle elle e
ale, superposition habituelle de l'oedème il une paralysie ou à une
contracture
avec troubles de sensibilité. Dans un cas, roug
. Le pouls était ce matin, au début de mon examen, à 120. L'état de
contracture
est toujours le même, avec anesthésie géné- ral
r. De plus, depuis 4 à 5 ans, sont survenues, dans les muscles, des
contractures
douloureuses. Le malade prétend avoir eu pend
piration profonde, un peu accélérée. Pas de tension muscu- laire ni
contractures
; aucuns phénomènes de paralysie; pas deinorsuire
4.7. Hystérique <blépharospasme -). 17, 19 ; id., guéri 18 ; (
contracture
- du gros orteil), ? 0 ; (gonflement du cou chez
1'01'Î- inc -), 30 ; (sommeil -), i i, .15. llystéro-épileptique (
contracture
provoquée de li langue chez une -), 33, 31, 35,
main), 72, 73, 74, 75. 76; attaque - 8 ? 86, 87, 88, 89, 90, 91 ;
contracture
- 59, 60; courbe des excrétions dans le sommeil
), par Gilles de la Tourette et Cathelineau, 290 (observation de
contracture
- guérie subi- tement après une durée de deux a
par Gilles de la Tourette, 107, 170. 7 ? s<en)-eep<tUM (des
contractures
spon- tanées et provoquées de la langue chez
spasmodique infantile ; crises convulsives, hémiplégie droite avec
contracture
et atrophie; guérison complète. A. H. âgé de 3
aticable dans cette famille de névropathes. Au mois de mars 1887,
contracture
brusque des muscles de la nuque qui force l'enf
renversée en arrière, la poitrine projetée en avant. Bientôt, cette
contracture
gagne le muscle sterno-cléido-mastoïdien du côté
n et de l'incontinence des matières fécales. Au mois d'avril, les
contractures
signalées précédemment ont à peu près dis- paru
hémiplégie, tout le côté droit paralysé est envahi peu à peu par la
contracture
. Le bras se plie à angle droit sur le devant de
. Pas de chorée, ni d'athétose. Rien à la face ni à la langue. La
contracture
des membres du côté droit ne tarde pas à s'accomp
au mois d'avril 1888 qu'on constate une légère diminu- tion île la
contracture
des membres paralysés, en même temps qu'une plus
ndre les ha- bitudes et les exercices de son âge ; l'hémiplégie, la
contracture
et l'atrophie du côté droit ne tardent pas à di
eurs il cette hémiplégie pour être réputée de nature organique ? La
contracture
avait suivi la paralysie flasque des membres, e
alysie flasque des membres, el l'atrophie musculaire avait suivi la
contracture
. N'est-ce pas ta le processus classique de tout
doute que l'hémiplégie hystérique peut elle aussi s'accompagner de
contracture
secondaire et, plus rarement même, à'amyotrophie
aient les caractères nettement hystériques de l'hémiplégie et de la
contracture
qui avaient précédé l'amyotrophie. Ici, rien de
tendu que M. le professeur Charcot put saisir son origine, quand la
contracture
commençait à céder et que les mouvements dispar
n I l'hémichorée et la pseudo-athétose, et dans l'observation II la
contracture
avec atrophie musculaire. Mais il existe des ty
e provocatrice d'après seu- lement la forme de l'épilepsie ou de la
contracture
partielle. On peut en effet rencontrer ces symp
ers et inter- mittents, comme les convulsions épileptiformes et les
contractures
. Ce sont là des raisons suffisantes pour distin
les difficultés (1). Comment caractériser d'abord l'hémiplégie avec
contracture
survenue à l'âge de 18 mois ? Les convulsions i
lsions initiales provoquées par l'administra- tion d'un vomitif, la
contracture
contemporaine du début de l'hémiplégie, la disp
du début de l'hémiplégie, la disparition assez rapide de cette même
contracture
, sinon de l'hémiplé- gie, puis, son retour brus
alysie consécutive et de toute déchéance cérébrale ou vitale. b).
Contractures
. Dans quelles conditions les contractures peuve
ébrale ou vitale. b). Contractures. Dans quelles conditions les
contractures
peuvent-elles être rapportées à des lésions lim
onditions sont évidemment très restreintes, et la signification des
contractures
partielles est rarement absolue au point de vue d
a précision topographique des lésions corticales. En présence d'une
contracture
par- tielle, il y a d'abord à s'enquérir si ell
pasmodiques, à éliminer par conséquent les pseudo-con- tractures ou
contractures
myoha(lciques qui sont causées par des altération
ées ni par l'ischémie locale ni par les anesthésiques généraux. Une
contracture
qui est alors reconnue spasmo- dique ou névropa
rveux ou de lésions des nerfs périphériques. En ce qui concerne les
contractures
d'origine nerveuse organique, si l'on met à par
s contractures d'origine nerveuse organique, si l'on met à part les
contractures
dites réflexes par lésions des nerfs : traumatis-
aplégique, il reste à imputer aux lésions organiques du cerveau les
contractures
permanentes à forme hémiplégique ou monoplégique.
res permanentes à forme hémiplégique ou monoplégique. Le type de la
contracture
tardive des hémiplégiques est trop connu pour q
amidal. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 33 La
contracture
peut suivre encore les monoplégies d'origine cort
nairement localisées dans la zone motrice du bras. C'est même celle
contracture
tardive, jointe à l'exagération des réflexes te
s n'en parlons que pour arriver à établir une première catégorie de
contractures
, les contractures tardives ou secondaires aux par
pour arriver à établir une première catégorie de contractures, les
contractures
tardives ou secondaires aux paralysies par- tie
les seules que nous ayons à signaler ici. On peut voir en effet des
contractures
accompagner ou suivre des attaques convulsives qu
corce ; pour cette rai- son, on donne à cette deuxième catégorie de
contractures
le nom de con- tractures post-convulsives, quan
la paralysie d'un temps plus ou moins long, elles sont dites alors
contractures
précoces. Cela se voit surtout au début et dans
é, une lésion circonscrite de l'écorce cérébrale peut provoquer des
contractures
partielles de deux ordres : les contractures tard
ale peut provoquer des contractures partielles de deux ordres : les
contractures
tardives dont le début est lent, la marche grad
, la marche graduelle comme celle de la paralysie primi- tive ; les
contractures
précoces à début brusque, suivant ordinairement d
écéder la paralysie complète des parties primitivement atteintes de
contracture
. L'hystérie peut-elle simuler ces deux ordres d
tes de contracture. L'hystérie peut-elle simuler ces deux ordres de
contractures
? Pour les contractures tardives qui résultent
stérie peut-elle simuler ces deux ordres de contractures ? Pour les
contractures
tardives qui résultent de la transformation en co
rique) est souvent un terrain favorable pour le développement de la
contracture
, et de même que cela se rencontre dans les cas
re dans les cas de paralysie organique, il n'est pas rare devoir la
contracture
envahir les membres atteints de paralysie hysté
s atteints de paralysie hystérique. Mais le mode d'in- vasion de la
contracture
se présente sous deux formes différentes. Le plus
cause appréciable, le membre paralysé devient contracturé. Mais la
contracture
peut aussi s'établir par degrés et n'enva- hir
rogressivement les membres paralysés. Ce second mode de début de la
contracture
est plus rare, mais il offre les plus grandes ana
s plus grandes analogies avec les cas de paralysies organiques avec
contractures
tardives ». Quant aux contractures précoces, il
as de paralysies organiques avec contractures tardives ». Quant aux
contractures
précoces, il n'est pas rare de les voir s'install
s'installer en permanence après une attaque d'hystérie. Lorsque ces
contractures
sont (1) Charcot, Leçons sur les mal. du syst.
simulation par l'hystérie ? Il existe presque toujours au début des
contractures
de cause organique et dans les attaques convuls
es causes ou quel- quefois leur absence totale qui est au début des
contractures
hystériques : les traumatismes les plus insigni
pris les travaux de l'E- cole de la Salpêtrière sur la diallièse de
contracture
chez les hystériques. Nous savons encore que ce
e de contracture chez les hystériques. Nous savons encore que cette
contracture
atteint d'emblée son maximum d'intensité et que
intensité elle-même est plus considérable que n'est d'habitude une
contracture
de cause organique. Le plus souvent d'ailleurs
de sensibilité et autres stigmates d'hystérie se surajou- tent à la
contracture
primitive, tandis que les troubles trophiques son
s que les troubles trophiques sont rares. Enfin, la marche de cette
contracture
est capricieuse, sa durée va- riable et la term
si aisé. Chez les enfants en par- ticulier il arrive souvent que la
contracture
est la première manifestation de l'hystérie et
vations particulières à présenter qui concerneraient uniquement les
contractures
hystériques pouvant simuler les maladies organi
ra réunis en plus grand nombre el qu'ils sont le mieux étudiés. Les
contractures
sont en effet le type de ces « affections nerveus
rtielles Ce qui a été dit dans le paragraphe précédent au sujet des
contractures
est en grande partie applicable aux paralysies
pour les be- soins de l'analyse et de la description, une forme de
contractures
post- paralytiques et une forme de contractures
ption, une forme de contractures post- paralytiques et une forme de
contractures
pne-paralytiques, les rapports qui unissent la
orme de contractures pne-paralytiques, les rapports qui unissent la
contracture
il la paralysie peuvent encore devenir plus étr
ela ressort plus évidemment encore du parallèle physiologique de la
contracture
et de la paralysie qui, obéissant aux mêmes cause
exigences plus sévères et de même qu'elle rat- tache en général les
contractures
à des lésions irritatives des centres ner- veux
distinguer pour les paralysies partielles, bien mieux que pour les
contractures
, des formes qui correspondent direc- tement aux
pas à être suivie d'une exagération des réflexes tendineux et de la
contracture
des muscles para- lysés. Ces caractères essen
il est possible à la rigueur de rencontrer de ces monoplégies avec
contracture
et exagération des réflexes tendineux, où le dé
ionnels et qui rentrent parfois dans une classe à part (diathèse de
contracture
). Nous préférons insister sur les formes vulgaire
tructeurs de l'écorce. D'autres fois, les monoplégies, avec ou sans
contracture
, sont surtout chez les enfants les premières ma
tic on était exposé chez les enfants pour qui les paralysies et les
contractures
sont souvent les premières, les seules manifestat
ntraînent jamais de perte de connaissance. Pas de paralysies, ni de
contractures
. Le mutisme est absolu. Quand on la presse de r
qu'on ne saurait préciser souvent celui des deux états qui domine,
contracture
ou paralysie, et qu'enfin, ces deux états peuve
la paupière est simulée dans le pto- sis pseudo-paralytique par la
contracture
de l'orbiculaire, contracture qui n'est pas ass
le pto- sis pseudo-paralytique par la contracture de l'orbiculaire,
contracture
qui n'est pas assez caractérisée pour aller jus
font encore douter de sa nature paralytique : 1° un léger degré de
contracture
des muscles de la face il gauche et principalem
ement élevée par rapport au côté droit. Dans la mimique faciale, la
contracture
labiale peut s'effacer tandis que le ptosis ne va
plissé à droite dans le domaine du muscle frontal et cette nouvelle
contracture
qu'on peut constater facilement à la vue et au to
tives de rougeur ni de pâleur du visage. Pas d'opistllotonos, ni de
contracture
des membres supérieurs : mais quand on soulève le
e sur toute l'étendue do la peau. Pas de crises convulsives, pas de
contractures
ni de paralysies. Pupilles éga- les ; regard un
mulant une méningo-ezcéplcalite chronique ; cépha- lée persistante,
contracture
des deux membres inférieurs el du membre su- pé
simulent l'hémiplégie spasmodique infantile, les con- vulsions, les
contractures
et les monoplégies d'origine corticale, l'aphasie
HOSE CHEZ UN ÉPILEPTIQUE 148 sieurs fois le malade a conservé de la
contracture
dans le membre su- périeur gauche à la suite de
aucune déformation notable. Il n'a aucune trace de paralysie, ni de
contracture
, ni de phénomènes spasmodi- ques quelconque, pa
ie complète développée en 7 jours : paralysie flasque d'abord, puis
contracture
au bout de 3 mois. - Rétention d'urine. scltare
890. La paralysie, qui avait été llasque jusqu'ici, s'accompagne de
contracture
: les jambes se fléchissent par instant sur les c
l'instant d'autres phénomènes producteurs. Schüle parle aussi de la
contracture
des muscles; Kraft-Ebing l'affirme également (2
, qui étaient restés flasques jusqu'ici sont maintenant le siège de
contractures
intermittentes, qui se produi- sent indépendamm
e la nuque ont disparu. Mais la paraplégie n'est pas modifiée : les
contractures
musculaires continuent se produire d'une façon
de remarquable, c'est que la tonicité permanente des mus- cles, la
contracture
est rarement portée à un haut degré, tandis que l
e point de 262 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. vue. A la
contracture
très accentuée des membres inférieurs s'ajoute un
e.. Les lésions du système nerveux constituent tous les symptômes :
Contracture
spasmodique du bras droit de l'avant-bras et de
membre supérieur droit limitée en gigot. Au membre inférieur droit,
contracture
analogue au niveau de la hanche et du genou, an
uation. Evi- demment il s'agit d'un cas d'hystérie traumatique avec
contracture
. « Il était d'ailleurs, antérieurement peut-êtr
e tout le côté gau- che. Les membres supérieur et inférieur raidis,
contractures
, et couverts d'ecchy- moses multiples. La face
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE DE LA MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTRAHYPNOTIQUES ET DE L'ACTION DE LA
S RÉFLEXES INTRAHYPNOTIQUES ET DE L'ACTION DE LA SUGGESTION SUR CES
CONTRACTURES
Les expériences de M. le professeur Charcot et
ction de la peau chez des sujets hystériques hypnotisés produit une
contracture
dans les muscles du corps. Si l'on pratique d
de de somnambulisme, les muscles sous-jacents se contractent; cette
contracture
peut disparaître par les mêmes excitations. M. Ch
ien de quoi il s'agit, mais ne peut empêcher le dévelop- pement des
contractures
. Nous ne trouvons aucune autre explication dans
tsurtoutM. le professeur Hogyes se sont occupé particulièrement des
contractures
réflexes des hystériques somnambules. Ils ont d
M. IIogyes et Laurc- ta2aer. Ces auteurs éminents ont produit des
contractures
musculaires chez différents sujets hypnotisés,
décrits par M. Ilogyes, nous voyons deux types dans l'évolution des
contractures
, chez plusieurs mala- des il s'agit d'une hémi-
la moitié du corps du côté où l'excitation a été por- tée, entre en
contracture
; dans une autre série de malades les contractu-
ôté excité et sur le mem- bre inférieur du côté opposé. Ce sont les
contractures
croisées. Si l'exci- tation porte sur les deux
l'exci- tation porte sur les deux côtés du corps en même temps, la
contracture
est bilatérale, généralisée. M. Horpes est au
rpes est aussi de l'avis de M. Charcot sur la natnre réflexe de ces
contractures
. Je ne veux pas détailler les expériences si inté
des excitations sensorielles quelconques peu- vent faire naître des
contractures
réflexes chez des sujets hystériques hyp- notis
it; si je faisais retentir le diapason près de l'oreille gauche, la
contracture
se présentait sur le côté gauche. En faisant ag
he. En faisant agir des excitations sur les deux côtés du corps, la
contracture
devenait bilatérale ou généralisée. J'avais don
très pratique pour étudier les circonstances morphologiques de ces
contractures
, puisqu'elles se manifes- MORPHOLOGIE DES CONTR
iques de ces contractures, puisqu'elles se manifes- MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTRAIIYPNOTIQUES 307 taient constamme
estion ; j'en signalerai une seulement. C'est que je croyais que la
contracture
,' apparaissant toujours d'une manière prompte e
nnée précise de l'effet de celle sug- gestion. J'avais donc dans la
contracture
un phénomène physiologique per- mettant de mesu
iapason vibrant forte- ment, et, comme preuve, je constatais que la
contracture
ne s'effectuait pas; du même si je suggérais un
uche de la langue, le sel appliqué sur ce côté ne produisait pas de
contracture
, mais au moment où j'ordonnais au malade, de se
contracture, mais au moment où j'ordonnais au malade, de sentir, la
contracture
, jusqu'ici absente, apparais- sait tout de suit
je suggérais au malade qu'il sente du sel sur toute la langue, une
contracture
bilatérale se produisait, etc. Telles sont à gr
et la nature de 308 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ces
contractures
intrahypnotiques et d'envisager de près la nature
echerches, je crois la trouver dans la possibilité de provoquer des
contractures
par la suggestion, puisque nous avons dans ces
uer des contractures par la suggestion, puisque nous avons dans ces
contractures
un index palpable des suggestions psychi- ques.
es recherches, je veux rappeler les caractères mor- phologiques des
contractures
qui forment la base des expériences sugges- tiv
a base des expériences sugges- tives. Notamment, je veux parler des
contractures
réflexes produites par des excitations acoustiq
les autres. Alors seulement en m'appuyant sur la morphologie de ces
contractures
, j'étudierai l'effet de la suggestion sur leur
n bouton brillant ; le début de cet état se trahit toujours par une
contracture
généralisée. Le corps est entiè- rement tétaniq
contracture généralisée. Le corps est entiè- rement tétanique ; la
contracture
s'efface, si on pratique, par exemple, des fric
la peau. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière T VI, PL XLI.
CONTRACTURES
PRODUITES PAR LES EXCITATIONS VISUELLES. MORPHO
NTRACTURES PRODUITES PAR LES EXCITATIONS VISUELLES. MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTRAIIYPNOTIQUES 309 si Morphologie
ES CONTRACTURES RÉFLEXES INTRAIIYPNOTIQUES 309 si Morphologie des
contractures
hypnotiques. J'ai déjà mentionné, que chez le s
tracture si l'excitation est appliquée sur un côté du corps, et une
contracture
généralisée si l'excitation porte sur les deux cô
eau du côté droit de la face, malgré l'anesthésie qui siège là, une
contracture
survient au bout de quelques secondes. Ce sont
l s'accen- tue et les lèvres se disposent comme pour sifller. Cette
contracture
de la face est suivie de mouvements des doigts
n métacarpienne. Les muscles du cou du côté droit sont eux aussi en
contracture
, et la tête est tournée du côté droit. Après la c
ussi en contracture, et la tête est tournée du côté droit. Après la
contracture
du bras survient la rigidité du membre inférieu
produire aux doigts. La position du membre inférieur droit après la
contracture
est la suivante : le pied est en flexion plantair
t plié et tout le membre est en adduction. Nous voyons donc, que la
contracture
débute par des mouvements dans les petits mus-
J'insiste aussi sur le fait qu'avant l'é- - volution complète de la
contracture
les muscles sont flasques. Pendant que la contr
omplète de la contracture les muscles sont flasques. Pendant que la
contracture
se manifeste toujours de la même façon à la fac
qui tiennent à la situation du corps. Si la' malade est assise ? la
contracture
survient de la façon précédemment décrite ; mai
ent de la façon précédemment décrite ; mais si elle est couchée, la
contracture
s'ef- fectue de la même façon qu'au bras, que l
en totalité. ' 310 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. b. La
contracture
siège au côté gauche, si l'excitation tactile est
quée à la face gauche. c. Si je frictionne le milieu du crâne, une
contracture
généralisée se produit. L'évolution est toujour
est toujours la même, comme pour l'hémicontractu- re, seulement la
contracture
survient à la fois des. deux côtés. Les contrac
e, seulement la contracture survient à la fois des. deux côtés. Les
contractures
s'effectuent en 15-20 secondes. Les photographies
. XLII et XLIII). En variant le point d'excitation, l'évolution des
contractures
varie aussi, mais ce sont toujours les muscles
mière; puis le membre inférieur se contractait, bientôt suivi de la
contracture
des muscles du bras et de la face. Si l'excitatio
xcitation était appliquée sur la main, l'ordre du développement des
contractures
était le suivant : la main, le bras, la face, e
faits expérimentaux il la conclusion, que le déve- loppement de la
contracture
suit la propriété fonctionnelle; par exemple :
lle; par exemple : l'excitation du bras produit en premier lieu une
contracture
du bras, l'ex- citation du membre inférieur, la
ieu une contracture du bras, l'ex- citation du membre inférieur, la
contracture
de celui-ci. La propagation des contractures se
du membre inférieur, la contracture de celui-ci. La propagation des
contractures
se produit vraisemblablementd'aprèsdes règles a
convulsions dans l'épilepsie Jacksonienne. Quel est le sort de ces
contractures
? . Elles persistent sans se modifier, mais si
t de la peau soit de l'ouïe ou des autres appareils sensoriels, les
contractures
disparaissent. Par exemple, si je fais des fricti
et d'extension, que nous venons de décrire pour l'apparition de la
contracture
, el se pro- page dans le même ordre. Avant la d
que les muscles respiratoires étaient eux aussi con- tracturés. Les
contractures
peuvent être détruites par des excitations quel-
que, près de l'oreille du même côté du corps, faire disparaître une
contracture
occasionnée par une excitation ladite. La dis
EXCITATIONS TACTILES ET GUSTATIVES UNILATÉRALES. MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTRAIIYPNOTIQUES 311 « glabella ») do
RÉFLEXES INTRAIIYPNOTIQUES 311 « glabella ») donne naissance à une
contracture
bilatérale, c'est-à-dire que nous voyons surven
e contracture bilatérale, c'est-à-dire que nous voyons survenir une
contracture
généralisée. 3. La contracture produite peut êt
-dire que nous voyons survenir une contracture généralisée. 3. La
contracture
produite peut être effacée par une excitation sen
droite, et si je frictionne des points de ce côté du corps, l'hémi-
contracture
droite se dissipe, mais le côté gauche qui était
appliquant la kathode au côté droit et l'anode au côté gauche, une
contracture
droite se manifeste, et inversement, si l'appli
électrodes est renversée. Si j'emploie des courants alternatifs, la
contracture
survient toujours du côté où se trouve la katho
vient toujours du côté où se trouve la kathode ; la variabilité des
contractures
est très rapide ; si le courant est de 5-6 mill
. Le son du diapason, appliqué à l'oreille droite produit une hémi-
contracture
droite : appliqué à l'oreille gauche, une hémicon
gau- che. 2. Si le diapason est posé sur le milieu du cràne, une
contracture
gé- néralisée se produit. Nous voyons donc, q
es sont conformes à ceux des excitations tactiles ; l'évolution des
contractures
est aussi la même. 312 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
musculature du corps est en résolution, mais après 4 mi- nutes une
contracture
généralisée se manifeste spontanément, laquelle
e, il y a une résolution complète ; . , 4. Au bout de 4 minutes une
contracture
bilatérale survient ; 5. Après 2 1/3 minutes, r
s- tiques et des excitations tactiles, en ce sens, que le début des
contractures
acoustiques suit aussi la projection fonctionne
e trouve la plus proche du diapason vibrant, entre la pre- mière en
contracture
. Ainsi : . 1. Si le diaparon sonne à l'oreille
osé au-dessus de la main, c'est le'bras qui com- mence la série des
contractures
, et bientôt suivent les coiiti,.tc[Lti-esdLt moii
coiiti,.tc[Lti-esdLt moiii- bre inférieur et de la face. ' 3. La
contracture
débuté dans le membre inférieur et gagne aussitôt
olution le premier pour être bientôt suivi par' la résolution de la
contracture
du bras et de la face. Je constate, que le suje
de la Salpêtrière T. VI, PL XLIV & XLV. PHOTOTYPIE B1 ? THAUD
CONTRACTURES
PRODUITES PAR DES EXCITATIONS AUDITIVES ET VISU
UITES PAR DES EXCITATIONS AUDITIVES ET VISUELLES. MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTRADI PNOTIQUES 313 si même nous fer
rmillement à cet endroit. Ces sensations subjectives expliquent les
contractures
acoustiques ; ce sont des sensations de la peau a
uit du diapason. Le bruit cessant brusquement, ils restent fixés en
contracture
dans la direction prise. Ce fait intéressant fût
ssant fût découvert par M. liogyes. Excitations gustatives. Les
contractures
provoquées par des excitations gustatives se mani
sel sur le bout de la langue, c'est-à-dire sur les deux côtés, une
contracture
généralisée apparaît. Excitations olfactives.
nt avec le sel la moitié droite de la langue, nous avions une hémi-
contracture
droite, etc. Seulement l'excitation bilatérale pr
cture droite, etc. Seulement l'excitation bilatérale produisait une
contracture
bilatérale. Très différents sont les réflexes q
ale de l'un quelconque des appareils sensoriels corres- pondait une
contracture
unilatérale (hémicontracture), l'irritation de la
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. rétine unilatérale donne au contraire une
contracture
bilatérale. Si par ex- emple l'oeil gauche fixe
a macule jaune se tourne vers ce point brillant, alors apparaît une
contracture
totale ou bilatérale. Donc, il faut admettre que
t admettre que l'excitation unilatérale du nerf optique produit une
contracture
bilatérale. Le réflexe rétinien produit-il donc
acture bilatérale. Le réflexe rétinien produit-il donc toujours une
contracture
bilatérale ? Mes expériences ont démontré, qu'o
Mes expériences ont démontré, qu'on peut provoquer aussi une hémi-
contracture
en excitant la rétine, de la manière suivante :
rtée dans le plan vertical passant par la macule jaune) produit une
contracture
bilatérale. 2. L'excitation du côté nasal de la
te donne une hémicon- tracture gauche. Fig. 47. MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTRAnYPNOTIQUES 315 Examinons mainten
L'excitation de la macule jaune, dans le plan vertical, produit une
contracture
bilatérale. Ce qui s'accorde avec le résultat, qu
ptiques, nous pouvons les grouper de la manière suivante : 1. Une
contracture
bilatérale apparaît chaque fois que nous excitons
ontractures trouve son explication. Mais comment expliquons-nous la
contracture
bilatérale, qui se présente lors de l'excitatio
mps les deux faisceaux pyramidaux : le résultat ne peut être qu'une
contracture
bila- térale. Les réflexes du nerf optique no
constatons très simple- ment, en déterminant avec le campimètre les
contractures
de la manière suivante. Expérimentons avec, l
roit regarde le bouton du campimètre à 78 degrés, il se produit une
contracture
bilaté- rale. Un fait caractéristique de cett
it une contracture bilaté- rale. Un fait caractéristique de cette
contracture
, c'est qu'elle apparaît dans la musculature des
a carte excitante jusqu'au point 0, nous ne pouvons pas modifier la
contracture
déjà développée ni dans son extension, ni dans
à la périphérie de l'arc c'est-à-dire dans le sens cen- trifuge, la
contracture
bilatérale se résout au même point où les membres
t devenus tétaniques, savoir à 780. Après avoir fait disparaître la
contracture
bilatérale, dirigeons l'arc du campimètre à 30 de
à l'excitation delà rétine vers le centre. Nous voyons qu'à 87° la
contracture
bilatérale se présente tout d'un coup, mais non p
onio notable. En conduisant la carte excitante vers MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTRAUYPNOTIQUES 317 le centre, à 70-6
é droite. La marche de l'excitation vers le centre ne change pas la
contracture
bilatérale déjà égale. Maintenant, éloignons-no
50°. En procédant vers le centre, nous ne pouvons pas mo- difier la
contracture
bilatérale; mais si nous amenons la carte irritan
u plan médian, plus s'approche le point de la rétine qui produit la
contracture
gauche, du point de la rétine qui donne une catal
ion étant portée en haut du méridien vertical, nous avons à 78° une
contracture
bilatérale. Pour nous expliquer en peu de mots no
faut, qu'à l'ex- citation faite en ces deux points, corresponde une
contracture
bilatérale, ce que démontrent mes expériences s
e le lieu des points de la rétine dont l'irritation donne une hémi-
contracture
droite, tandis que la série de points plus centra
un siège plus central, et ceux, dont l'irritation produit une hémi-
contracture
gauche, situés à la périphérie. Maintenant nous
de l'irrita- tion des deux points d'intersection résulte aussi une
contracture
bilatérale. Ces deux arcs se comportent, comme
nasale de l'oeil gauche : l'arc périphérique donne MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTIIAII1PNOTIQUES 319 une hémicontrac
hémicontracture gauche, pendant que l'arc central produit une hémi-
contracture
gauche ; ce fait coïncide avec les observations d
a lutea et des deux côtés de celle-ci, nous produirons toujours une
contracture
bilatérale. 2. Sur la rétine il y a deux lieux
faut pas oublier, que dans mes recher- ches il s'agit seulement des
contractures
réflexes ; la vision ne joue aucun rôle en prod
; la vision ne joue aucun rôle en produisant ces réflexes, car ces
contractures
mêmes apparaissent avec l'excitation des partie
les parties de la réline qui produisent Fig. 48. MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTR.1U1'PNOTIQUES 3 : H seulement des
rs la périphérie. Et nous avons vu, que nous obtenons justement les
contractures
réflexes des parties les plus périphériques de la
limités pour les bras par une dou- leur dans l'épaule ; mais pas de
contracture
, pas de paralysie. La pression des mains est fo
de fatigue extrême, parfois hémiplégie généralement accompagnée de
contractures
. llémianesthésies limitées à la racine des memb
r P. Londe, 145. Chm'cot..1. M. par Gilles de la Tourette, 241.
Contractures
réflexes. (Sur la morphologie des) par Schaffer
Bienheu- reux, dans laquelle on guérissait les pos- sédés, VII.
Contractures
réflexes, XLII à XLVI. Danse macabre du Bar, XV
VIII. TABLE DES FIGURES Champ visuel dans : lèpre nerveuse, 6.
contractures
réflexes, 47. Juif-Errant à la Salpêtrière, 20,
e objectivement quelque intérêt- ce qui arrive souvent : atrophies,
contractures
diverses, attitudes spéciales, déformations, et
ite desquelles les membres supérieur et inférieur gauches restaient
contractures
; après une vive émo- tion, l'hémiplégie s'attén
n entourage constate que le bras et la jambe droite sont inertes et
contractures
. Sabouche ne présente qu'une légère déviation ver
dernier endroit. Pendant la première semaine qui suit l'attaque, la
contracture
reste com- plète ; pendant la deuxième, le mala
s est du reste la même que la première fois. Au mois de décembre la
contracture
a disparu et le malade peut marcher facilement
s et perd connaissance. Lorsqu'il revient à lui, son bras droit est
contracture
en demi-flexion et porté en arrière; la jambe d
ue dans les attaques précédentes est projetée hors de la bouche. La
contracture
du côté droit cesse peu à peu et, quelques mois
nt il lui, le bras et la jambe droite sont contracturés, mais cette
contracture
cesse complètement au bout de quelques heures.
int qu'on est obligé de le lier sur son lit. Après l'attaque légère
contracture
du côté droit pendant une heure. Le malade re
contraction du côté droit, durant une heure. Après ces crises, la
contracture
une fois passée, il ne restait pas de paralysie
co : itracturée en extension ; lors- qu'on cherche à la fléchir, la
contracture
, augmente : cette contracture n'est pas assez f
lors- qu'on cherche à la fléchir, la contracture, augmente : cette
contracture
n'est pas assez forte toutefois pour empêcher l
mouvements de flexion et d'extension. S... présente la diathèse de
contracture
, le côté droit étant plus contrac- tuable que l
système nerveux. DES RÉTRACTIONS FIBRO-TENDINEUSES COMPLIQUANT LA
CONTRACTURE
SPASMODIQUE La préoccupation si évidente des pa
er aussi catégoriquement que possible les rétractions fibreuses des
contractures
musculaires, est sans doute le motif pour lequel
t des auteurs, dit M. Straus', mentionnent comme terme ultime de la
contracture
des muscles, leur transformation fibreuse. Ce m
aus émettait l'hypothèse de l'altération des tissus fibreux lors de
contracture
pour expliquer la non-disparition des déformati
aide du procédé de la bande d'Esmarch. « On sait, dit-il, que les
contractures
permanentes les plus invétérées peuvent céder à
te de ce qui appartient à la rétraction dans les déformations de la
contracture
. Ce moyen consiste à rendre le membre exsangue pa
te, autrement sur cette complication rare mais non moins réelle des
contractures
. M. Charcot avait observé depuis longtemps, à l
e de mal de Pott et de paraplégie spasmodique consé- cutive, que la
contracture
pouvait s'accompagner de rétraction des tissus
t rencontrer ces rétractions fibro-tendineuses dans tous les cas de
contracture
spasmo- dique et notamment lors de contracture
dans tous les cas de contracture spasmo- dique et notamment lors de
contracture
hystérique. Ainsi, que la contracture soit de c
dique et notamment lors de contracture hystérique. Ainsi, que la
contracture
soit de cause organique ou de cause dyna- mique
lis depuis et dont l'intérêt consiste surtout en ce qu'il s'agit de
contractures
hystériques, cas où cette complication est assez
t d'une malade entrée dans son service de la Salpê- trière pour une
contracture
hystérique des deux pieds qui avaient l'attitud
pieds qui avaient l'attitude du pied bot varus équin. Au début, la
contracture
disparais- sait complètement pendant la narcose
iagnostic rétrospectif dont la malade a bénéficié. Observation I. -
Contracture
spasmodique de nature hystérique. - Guérison du
trois jours. Le dernier jour, où elle eut quatre crises, apparut la
contracture
des membres inférieurs; dès ce moment les sympt
dèrent, les vomissements disparurent et l'ap- pétit revint; mais la
contracture
persista et obligea la malade à conserver le li
parlant. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. I PL. V YHOTOTfP117 BLRTHAUD
Contracture
Hystérique RETRACTIONS FIBRO-TENDINEUSES (.\"
x divers points de vue : des causes, des manifestations, du mode de
contracture
, de son évolution, etc., une identité tout fait r
teur Babinski et publiée dans le Bulletin médical du 23 mars 1887.)
Contracture
hystérique des deux pieds. Disparition des phénom
t percevoir la sensation de résistance élastique qui est propre aux
contractures
. Nous avons reconnu enfin l'absence, à cette ép
nstaté qu'il était impossible de produire aux membres supérieurs la
contracture
artificielle : enfin les attaques avaient compl
était épuisée et que l'on viendrait bientôt sans doute à bout de la
contracture
spasmodique du pied. Les tentatives d'hypnotism
en avant, en arrière, ce qui n'arrive jamais au même degré dans la
contracture
hystérique où les choses sont toujours poussées à
que qui donne la sensation d'un ressort tendu qui appar- tient à la
contracture
spasmodique. Au contraire, quand on veut produire
à la suite de cette opération. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. I PL. VI
Contracture
HYSTÉRIQUE RETRACTIONS FIBRO-TENDINEUSES (Ava
ervation III. Recueillie par M. Blin, externe du service. (Résumé.)
Contracture
hystérique de la jambe gauche. - Intervention chi
on chirurgicale pendant la période spasmodique. - Persistance de la
contracture
. - Complications, rétractions fibreuses et trou
ère les deux bras sont restés contracturés pendant trois mois. La
contracture
a disparu lors d'une attaque. Depuis le mois de j
disparu lors d'une attaque. Depuis le mois de juillet der- nier la
contracture
est demeurée définitive. Anna est alors rentrée d
n hôpital où, après l'avoir chloroformisée, on immobilisa le membre
contracture
par l'application d'un appareil plâtré. A la su
te légèrement fléchie : ce der- nier membre est souple et n'est pas
contracture
. La jambe gauche contrac- turée dans l'extensio
rmine la trépidation spinale. Pendant le sommeil chloroformique, la
contracture
disparaît complètement à la hanche et au genou,
tres appareils ne présentent rien de particulier. L'examen Fig. 19.
Contracture
hystérique. 3S NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
rtune et n'a-t-elle pas été tentée, quoiqu'il existe dans le membre
contracture
des rétractions fibreuses qui per- mettent de p
effet, le redressement et l'immobilisation n'ont rien pu contre la
contracture
, mais encore la jambe malade offre depuis ce temp
sont contrefaits; Le Poussin a pris pour modèle un homme atteint de
contracture
du pied droit. Le malade mis en scène par Alber
Institut). PAUL RICITER. NOUVELLE ICONOGRA PHIE , T. I. PL. IX.
CONTRACTURE
HYSTERIQUE RÉTRACTIONS FIBRO-TENDINEUSES (Ava
le réflexe cutané abdominal persistent également. Il n'y a aucune
contracture
, pas de rigidité musculaire, pas de phénomène d
/ ? schématique. DES RÉTRACTIONS FIBRO-TENDINEUSES compliquant la
contracture
spasmodique . (Suile et fin'). Observation IV
icale hypertrophique. - Paraplégie spasmodique. Dis- parition de la
contracture
. Persistance des déformations maintenue ! par d
es tendineux a disparu. La rigidité musculaire, ou autrement dit la
contracture
, s'est effacée, le; mouvements sont devenus lib
d'une flexion à angle obtus, et cette flexion n'était plus due à la
contracture
, car on pouvait produire dans la jointure des m
t la maladie. Dans le cas qu'on vient de lire, il ne s'agit plus de
contracture
hysté- rique, mais de paraplégie spasmodique or
me motif, la production de rétractions fibreuses consécutives à des
contractures
spasmodiques, avait nécessité une intervention
la plupart des cas de ce genre que j'ai observés, la résolution des
contractures
etla guérison se sontfaites absolument sans int
oit, de savoir différencier les rétractions fibro-tendineuses de la
contracture
spasmodique, et mieux, d'être au fait de la pos
a possibilité de cette terminaison. Comment reconnaîtra-t-on que la
contracture
spasmodique a aban- donné la place, qui n'est p
oir recours à la narcose chloroformique qui résout complètement les
contractures
spasmodiques pures non compliquées. Les mouveme
ées. Les mouvements spontanés sont totalement impossibles lors de
contractures
; on peut les exécuter dans des limites déterminée
dans certains sens dans le second. Lorsqu'on les imprime au membre
contracture
, on éprouve une sorte de résistance élastique «
qui sub- sistent malgré la constriction à des lésions autres que la
contracture
. Quoi qu'il en soit, dans les cas difficiles, l
tes lèvera tous les doutes en faisant dis- paraître complètement la
contracture
spasmodique, en restant sans au- cune action su
productions fibro-tendineuses sont rares, dit M. Charcot,, dans les
contractures
hystériques, alors même qu'elles ont duré de long
lors même qu'elles ont duré de longues années; la disparition de la
contracture
spasmodique peut se faire progressivement ou mê
ucune trace de rigidité articulaire, alors même que la rigidité par
contracture
a duré plusieurs mois, voire plusieurs années;
faut savoir que les ré- tractions fibreuses peuvent compliquer les
contractures
hystériques comme elles compliquent les paralys
it même invoquer l'extrême fréquence de cette complication dans les
contractures
d'origine articulaire. Mais il existe aussi à l
susceptibles de s'enflammer, et l'on concevrait malaisément qu'une
contracture
spasmodique laissât tous les tissus indemnes et
plus rares dans le cours des con- tractures hystériques que lors de
contractures
organiques, alors que les premières sont d'ordi
compte de la rareté de celte complication chez elles. Lorsque la
contracture
spasmodique se complique de rétraction fibro-te
ns ces cas, les moyens de redresser l'attitude vicieuse et, lors de
contracture
, c'est, selon l'indi- cation nettement formulée
it l'origine, hysté- rique, ou organique. Lorsque, dans un cas de
contracture
, l'élément spasmodique aura dis- paru et qu'on
iquer avec certitude si la cause de la déforma- tion réside dans la
contracture
musculaire, ou dans la rétraction fibro- tendin
tion ne permet guère de supposer que les saccades soient dues à des
contractures
spasmodiques des 1 Fic, 29. Tracé respiratoire
ICALE BANS CERTAINS CAS DE RÉTRACTIONS MUSCULAIRES SUCCÉDANT A LA
CONTRACTURE
SPASMODIQUE. I 1. - Un certain nombre de mala
stème nerveux central pro- voquent dans les muscles des membres des
contractures
plus ou moins rebelles auxquelles on a donné le
contractures plus ou moins rebelles auxquelles on a donné le nom de
contractures
spasmodiques. Celles-ci occasionnent des attitu
ostérieurs de la jambe sur ceux de la région antérieure. Lorsque la
contracture
occupe les muscles de la cuisse, la jambe est f
une position inter- médiaire entre la flexion et l'extension. La
contracture
des muscles de la hanche (coxalgie hystérique) me
in l'épaule est aplatie, et le bras collé contre le tronc, dans les
contractures
des muscles de cette région. , Telles sont les
rtaines circonstances et occuper également d'autres régions. z La
contracture
spasmodique est un phénomène ayant une durée 7
aucune trace. Cet heureux résultat est fréquent, surtout dans les
contractures
d'origine hystérique; les exemples nombreux et
. On a même cru pendant longtemps que, après la disparition de la
contracture
spasmodique de nature hystérique, il ne persistai
uelques malades a montré que chez un certain nombre d'entre eux, la
contracture
pouvait cesser complètement (nous verrons plus
rrons plus tard comment onpeut s'assurer de cette disparition de la
contracture
) mais que, après elle, persistait une rétractio
pposent au mouvement des articulations une gène assez marquée. La
contracture
hystérique n'a pas seule ce privilège, car d'autr
, etc., peuvent également occasionner des troubles musculaires avec
contractures
, et' laisser à' leur suite une rétraction fibre
fibreuse indélébile. Dans ces conditions, c'est-à-dire quand, la
contracture
ayant cessé, l'attitude .vicieuse persiste, les
sa persis- tance. Cctte nouvelledispositiondumuscle qui succèdeàla
contracture
devient immuable; elle n'a aucune tendance à ch
olumineux, on peut, au moyen NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. I PL. 1 7
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE EN EXTENSION (Avant l'Opération) D
igine intime de cette rétraction musculaire qui succède à certaines
contractures
. Cependant je signalerai les principales théori
se par tous les auteurs et nous voyons Blocq, dans sa thèse sur les
contractures
(1888), admettre une autre opinion. .Pour lui,
déformation produite par la relrac- lion des muscles succédant à la
contracture
spasmodique, il existe un 1. Comptes rendus de
ion des tissus péri-articulaires. Nous avons vu, en parlant de la
contracture
spasmodique en général, quel'immobilité dans la
ou ne les gênent que temporairement. i Or, ce qui est vrai pour les
contractures
spasmodiques, qui laissent intacts les muscles
; ainsi, ils nous ont semblé moins accentués dans les reliquats des
contractures
hystériques spasmodidues d'autre origine. En
VELLE ICONOGRAPHIE T. I PL. -18 PHOTOTYPÏhBERTHAUD CLICHt A LONDh
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE (Après l'Opération) DELAHAYE &
s lorsqu'il s'agit d'intervenir pour des déformations résultant des
contractures
, c'est d'attendre que le phénomène actif, la cont
core une autre raison, qui force à s'abstenir pendant la période de
contracture
, c'est que les muscles antagonistes également c
ériode de contracture, c'est que les muscles antagonistes également
contractures
, libres de leur action, reproduiraient aussitôt u
t se tenir en pareil cas, je rappellerai en quelques mots un cas de
contracture
hystérique que j'ai observé dernièrement dans l
nov. '1887). Cet homme est atteint, depuis plusieurs années, d'une
contracture
des muscles de l'avant-bras gauche, avec prédom
chis dans la paume de la main menacent de perforer la peau. Cette
contracture
, probablement de nature hystérique, persiste au
s avoir le droit de le priver ainsi de son membre supérieur, car la
contracture
peut disparaître d'un jour à l'autre et permett
titude vicieuse. La réponse à cette question était facile. Comme la
contracture
persiste et est encore en pleine activité, ce que
ent combien ce précepte de l'abstention pendant toute la période de
contracture
active est impor- 1. Bulletin médical. 1887, p.
INTERVENTION CHIRURGICALE. 9J tant à connaître et à observer. Si la
contracture
vient à cesser chez cet homme et que les fléchi
noter l'absence de toute espèce de symptômes de foyer, paralysies,
contractures
, convulsions. D'après Cossy, les phénomènes con
ALE DANS CERTAINS CAS DE RÉTRACTIONS MUSCULAIRES SUCCÉDAIT T A LA
CONTRACTURE
SPASMODIQUE (Suite et fin'.) III. - Etudions
us per- mettront de savoir si l'on pcut intervenir, en un mot si la
contracture
a disparu. En général, celle constatation est
a, dans la plupart des cas, démontrer assez facilement l'absence de
contracture
. Chez mes malades, après la disparition de la c
bsence de contracture. Chez mes malades, après la disparition de la
contracture
, on pou- vait imprimer à la jointure quelques m
taient assez faciles etnon douloureux. Au contraire, dans le cas de
contracture
en activité, ces mouvements, ou bien sont impos
s, de faire souffrir les malades et d'augmenter secon- dairement la
contracture
musculaire. En effet, les réflexes tendineux so
aire. En effet, les réflexes tendineux sont exagérés dans le cas de
contracture
. Ils diminuent et redeviennent normaux, quand l
cas de contracture. Ils diminuent et redeviennent normaux, quand la
contracture
cesse et fait place à la simple rétrac- tion. C
st profondément endormi, et que ses muscles sont en relâchement, la
contracture
spasmodique s'amoindrit, dis- paraît même compl
u moment du réveil, ou plutôt à mesure qu'il se produit, on voit la
contracture
renaître et l'atti- tude vicieuse se montrer de
t)8, 1>E L'1\Tl : ll1'lii\'l'i(I\ CllIHUH(;I(;,\LII. 143 toute
contracture
à peu près complètement et les doigts pouvaient s
er entièrement. Dans le cas de rétraction secondaire succédant à la
contracture
, ce résultat n'existe pas; malgré l'anesthésie
e ce fait, que la rétraction vraie est un phénomène différent de la
contracture
et qu'elle ne peul céder que par les moyens méc
autour de lui une bande d'Esmarch. Sous cette influence, on voit la
contracture
spasmodique disparaître; tandis que la rétracti
APHIE T. I, PL. XXXII Cliché A. LONDE £ PkIOTOTYt IF BERTHAUD
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE (Avant l'Opération) LECROSNIER &am
NOGRAPHIE ' T 1, PL. XXXIII j Cliché A. LONDE PHOTORYFIE BERTHAUD
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE (Après l'Opération; LECROSNIER HAB
stincts, la rétraction musculaire indélébile précédée ou non par la
contracture
étant le résultat de causes différentes : la pa
le résultat de causes différentes : la pachméniytcile cervicale, la
contracture
hystérique, L'alcoolisme cl ironique. I. Prem
e avait persisté autant de temps que la paraplégie spasmodique avec
contracture
des muscles postérieurs de la cuisse. Après la
cuisse. Après la guérison, c'est-à-dire après la disparition de la
contracture
, la flexion était moins prononcée; elle atteignai
leur induration a disparu. II. Deuxième groupe. Dans le groupe des
contractures
hystériques se trouvent trois femmes, deux appa
ntaient un double pied-bot varus-équin accidentel, , résultat d'une
contracture
spasmodique hystérique qui avait cessé, mais av
I. Double pied-bot équin par rétraction musculaire succédant ri une
contracture
hystérique. - Section sous-cutanée des tendons d'
jambe* immobilisant les pieds dans l'altitude de l'équinisme. Celle
contracture
per- sista jusqu'en janvier 1887. Quand elle eu
e la région postérieure, était entretenue, depuis la guérison de la
contracture
, par un raccourcissement des muscles extenseurs
s devenu permanent et indélébile. Ce raccourcissement des muscles
contractures
est rare dans l'hys- térie, mais on en connaît
II. Double pied-bot équin par rétraction musculaire succédant à une
contracture
hystérique. Section sous-cutanée des tendon d'A
on dorso-lombaire. En même temps, les deux jambes sont atteintes de
contractures
qui immobilisent les pieds dans la position de
cessèrent, et bientôt la santé fut complètement rétablie, mais les
contractures
des membres inférieurs résistèrent à tous les m
sistèrent à tous les moyens de traitement. , Cependant le phénomène
contracture
alla en diminuant, et disparut vers le mois de
n de décembre et, actuellement, la marche est parfaite. Cas. III.
Contracture
hystérique suivie de rétraction. Pieds-bots qzc
avril 1885 était suivant (pl.1VII) : Les deux pieds sont fortement
contractures
en équinisme. Elle ne peut se lenir seule debou
out un peu prolongée, les douleurs deviennent in- tolérables, et la
contracture
augmente. A cette époque, la malade ne présenta
complète de l'articulation tibio-tarsienne et la disparition de la
contracture
qu ireparaît au réveil. En décembre 1886, on
ne différence dans les symptômes; les douleurs sont moins vives, la
contracture
semble avoir disparu et n'est plus exagérée par
nesthésique, on constate que l'équinisme est permanent et que, à la
contracture
, s'est substituée une rétraction mus- culaire p
cussion qui les accompagne, tirer les conclusions suivantes : 1° La
contracture
hystérique, les contractures spasmodiques d'ori
tirer les conclusions suivantes : 1° La contracture hystérique, les
contractures
spasmodiques d'origine nerveuse ou médul- laire
ents des membres. 2° Les altérations des muscles qui succèdent à la
contracture
portent sur leur partie fibreuse et principalem
les sections tendineuses, il est indispensable de s'assurer que la
contracture
mus- culaire a disparu et qu'il s'agit d'une ré
aminer sous l'in- fluence du sommeil anesthésique. Dans ces cas, la
contracture
dispa- raît pour reparaître après le réveil; la
our faire image, nystag- 11 ! US de la tête et de la face. Pas de
contractures
manifestes : quelques crampes cependant, dont j'a
ié des cas avant douze ans de maladie. Si une parésie simple ou une
contracture
n'était pas à peu près constante dans la maladi
actitude qui me paraissent considérables. Du reste, la notion de la
contracture
ou de la parésie habituelle dans la maladie de
seul que le pied bot de la maladie de Friedreich est un pied bot de
contracture
. Comment, en effet, expliquer cette flexion dor
nt pas à l'équinisme ni à l'in- curvation du pied ? En dehors de la
contracture
, il n'y aurait, je crois, qu'une hypothèse, cel
culaire, une sorte de cypho-scoliose, causée, croyons- nous, par la
contracture
de certainsmuscles. Bien que persistant depuis
te pas de défor- mation osseuse, la gibbosité est le résultai d'une
contracture
musculaire. Nous devons nous demander maintenan
Nous devons nous demander maintenant quels sont les agents de la
contracture
? . Les muscles carrés des lombes, d'après M. S
versaires, il incline la colonne de son côté. Chez notre malade, la
contracture
du carré des lombes gauche pourrait donc expliq
dépression dont ils étaient creusés, montre qu'ils n'étaient pas en
contracture
; et, d'autre part, il n'exis- tait aucune gêne
i s'imposait dans notre cas était la suivante : il s'agissait d'une
contracture
hystérique des muscles du plan profond de la ré
caractérisées par l'absence de rides. C'est un 1. Voir : Blocq, Des
contractures
, 1888, obs. XXII. Fic. 82. - Attitude de la par
; physionomie dans la - , 12; scoliose dans la -, 11. Hystérique (
contracture
et rétractions fibro-tendineuses), 5, 6, 9, 32,
on du à la porte du Temple), 34. Rétractions fibro-tendineuses et
contracture
hystérique, 5, 6, 9, 32, 33. Statue de Jason
. 1;-combinéeulamaladiederriedreich 22, 23, 45, 46. Hystérique (
contracture
), 19; tracés de marche dans l'hémiplégie -, 7,
3, 198. Aveugles (les - dans l'art), par Charcot et Richer,211.
Contracture
spasmodique (des rétractions fibro-tendineuses
ssion ovarienne. — Attaques ne comprenant que la période de délire. —
Contracture
partielle du sterno-mas-toïdien droit. — Attaques
taques. Variétés des attaques : A. de dyspnée, A. syncopales, A. de
contracture
, A. épilepti-formes, A. hystéro-épileptiques comp
ion de ces divers agents; délire. Périodes d'excitation maniaque. —
Contractures
des membres inférieurs et du membre supérieur gau
quemment des crampes dans le côté droit du cou, présente ce matin une
contracture
partielle du sterno-mastoïdien droit. Ce muscle e
ent souple. Applications de compresses de chloroforme. 27 mai. — La
contracture
, sans avoir tout à fait disparu a notablement dim
n ait observé, assure-t-on, rien d'insolite, la malade présentait une
contracture
générale : les membres inférieurs auraient été en
mplètes, tout se borne à la rigidité : c'est une véritable attaque de
contracture
. Parfois, il se produit des secousses des épaules
. Les règles, parues ce matin, cessent le 20. Ce jour-là, attaques de
contracture
: éther et chloroforme. — Quelques heures plus ta
ègles qui s'arrêtent le 24. Pas d'attaques le 23. — Le 24, attaques ;
contractures
. W... donne un coup de pied à l'interne de garde
qu'elle a encore ce matin, au moment de la visite. Alors, elle a une
contracture
des deux membres inférieurs dans l'extension et
: avec le retour de la connaissance, on constate la disparition de la
contracture
. Le compresseur est remis en place. 27 août. —
u doigt le nerf facial au-devant de l'oreille droite, on détermine la
contracture
des muscles de la moitié correspondante de la fac
s les muscles fléchisseurs des doigts et des avant-bras, on amène une
contracture
dans la flexion des mains et des avant-bras. (Pl.
sous le nom d[hyper'excitabilité musculaire. Pour faire cesser les
contractures
artificielles, il faut exciter, dans une certaine
ux côtés. Dans une autre expérience, les paupières étant closes, on
contracture
le membre supérieur droit dans la demi-flexion, o
comprime la région ovarienne. La malade se réveille en conservant sa
contracture
. Vingt minutes plus tard, W... est endormie de
excite les extenseurs des doigts et de l'avant-bras pour détruire la
contracture
. On réveille la malade en lui soufflant au visage
mie, ce matin, par le regard. On a produit successivement différentes
contractures
qu'on a fait disparaître, sauf une contracture de
ssivement différentes contractures qu'on a fait disparaître, sauf une
contracture
des muscles de la langue et du larynx : elle ne
ule, la langue est débarrassée. Sous l'influence du chloroforme, la
contracture
se dissipe très promptement. W... revient à elle
noncée. En frictionnant le sterno-mastoïdien gauche, on détermine une
contracture
de ce muscle, et la tête se porte à droite. Pour
ppelé l'attention ('); — les attaques de dyspnée; — les attaques de
contracture
, constituées presque uniquement par la rigidité;
ux heures au plus. L'une des complications des attaques de W..., la
contracture
, doit être relevée en quelques mots. Elle a affec
cles sterno-mastoïdiens et produit un torticolis hystérique : cette
contracture
, que nous avons déjà mentionnée dans plusieurs ob
fet, une portion seulement du muscle était rigide. Rappelons enfin la
contracture
du sphincter de la vessie déterminant une rétenti
re du sphincter de la vessie déterminant une rétention d'urine; — une
contracture
artificielle des muscles du larynx qui a disparu,
par la compression ovarienne gauche, par l'éther, etc. Attaques de
contracture
. — Régions hystérogènes. — Sommeil. — Somnambulis
, avec hallucinations (P... voit des rats, etc.) Parfois, attaques de
contracture
: après avoir ressenti les prodromes ordinaires
. muscles fléchisseurs des doigts et de l'avant-hras produisent une
contracture
artificielle dans la flexion, que l'on fait dispa
ue dans son état primitif. Sommation. — Alors, on peut provoquer la
contracture
des muscles (hyperexcilabilité musculaire). Nous
ture des muscles (hyperexcilabilité musculaire). Nous déterminons une
contracture
du bras droit dans la demi-flexion. —• On écarte
—• On écarte les paupières, il s'écoule des larmes en abondance ; la
contracture
persiste. On réveille P... en lui soufflant brusq
éveille P... en lui soufflant brusquement au visage. Elle conserve sa
contracture
. P. 108. 4 h. 56. P... est réendormie par surpr
xtenseurs des doigts et de l'avant-bras droit, on fait disparaître la
contracture
. Des questions sont posées à la malade ; elle y
s cataleptiques et la présence de l'hyperexcitabilité musculaire, des
contractures
artificielles, etc. Catalepsie; suggestion. — L
mmaire gauche. — Depuis quelques mois, P..., dans ses attaques, a une
contracture
de la langue qui devient toute noire, ou une cont
aques, a une contracture de la langue qui devient toute noire, ou une
contracture
des mâchoires : l'une et l'autre disparaissent en
ienne gauche. Attaques complètes, classiques. —A. syncopales. — A. de
contracture
. — A. épilep-tiformes , etc. Contractures des m
s. —A. syncopales. — A. de contracture. — A. épilep-tiformes , etc.
Contractures
des mâchoires ; de la langue ; des membres supéri
res fois, les hystéro-épileptiques sortent de leurs attaques avec une
contracture
des mâchoires, de la langue, etc., ou avec un hoq
psie. — Hémi-anesthésie gauche, etc. — Disparition de l'anesthésie. —
Contractures
passagères. — Phénomènes vaso-moteurs. Abus des
à la dose de 2, 4 ou 6 centigrammes. — De temps en temps, elle a des
contractures
passagères, très douloureuses qui sont calmées pa
Mai. — Ni règles, ni attaques. M... a fréquemment des spasmes, des
contractures
, des tortillements. Elle s'excite tant qu'on ne]
ès-midi, il lui était impossible de parler, bien qu'elle n'eût pas de
contracture
. Une de ses compagnes a provoqué deux attaques pa
. Etat de la malade en 1866 : Douleurs abdominales. — Paraplégie. —
Contracture
. — Déformation des pieds. — Secousses, -r— Ançsdi
s. — Pouls, respiration et température. — Phénomènes cataleptiques. —
Contracture
. — Signes qui annoncent la fin des attaques de so
normal ; le gauche est en varus équin et les orteils de ce côté sont
contractures
dans la flexion. — La notion de position paraît a
e suivi de pleurs. — Bâillements fréquents. Les membres sont toujours
contractures
, ne conservent pas la position qu'on leur impose,
submatité, autrefois constatée. 19 mai. — P. 84; T. V. 37°, 6. — La
contracture
générale persiste; elle est plus marquée aux bras
n n'a pas sensiblement changé. Alternatives de rires et de pleurs ; —
contracture
des membres qui conservent l'attitude qu'on leur
e, une soif vive, mais ne désire pas manger; les membres ne sont plus
contractures
; la main gauche tremble légèrement; l'anesthésie
e façon précise aux questions qui lui sont adressées. Il n'y a pas de
contractures
. 27 mars. — P. 88, régulier; R. 20; T. V. 36°,
s qu'après lavement ; les selles et les urines sont involontaires. La
contracture
et Y état cataleptique n'ont pas changé. P. 88; T
'écartement des paupières laisse pénétrer suffisamment la lumière. La
contracture
est générale ; toutefois, elle est moins accusée
des fois, et qui surviennent fréquemment chez les épileptiques. La
contracture
permanente a laissé des lésions du côté des genou
s. Le deuxième point sur lequel nous avons à nous arrêter, c'est la
contracture
réllexe qu'on peut obtenir sur les sujets hypnoti
it-elle pas? Simplement parce que, au bout d'un instant, son bras est
contracture
et hors d'état de semou-voir. Vous en avez facile
facilement la preuve en la retirant vous-même ; vous trouvez son bras
contracture
et il vous faut peser vivement dessus'pour le fai
t peser vivement dessus'pour le faire retomber. Il y a là un cas de
contracture
réflexe, d'autant moins dû à l'hypnotisme que, da
vivement le bras de presque toutes les hystériques pour le mettre en
contracture
* 24 Nous devrions, pour en finir avec ce manu
: une fois que ce dernier phénomène se Planche XIII. LÉTHARGIE
contracture
artificielle Manifeste, l'attaque est fatale, l
s muscles fléchisseurs des doigts et des avant-bras, on détermine une
contracture
artificielle des deux membres supérieurs (Pl. XII
s de la face, ou le nerf facial en avant de l'oreille, etc., on a les
contractures
les plus variées et, de la sorte, il est facile d
n des muscles et des nerfs moteurs de la face. Pour faire cesser la
contracture
, il suffit de malaxer les muscles contractures ou
Pour faire cesser la contracture, il suffit de malaxer les muscles
contractures
ou de frictionner légèrement les muscles antagoni
s exciter au delà d'une certaine mesure, afin de ne pas remplacer une
contracture
dans la flexion par une contracture dans l'extens
ure, afin de ne pas remplacer une contracture dans la flexion par une
contracture
dans l'extension. Par ce procédé, on fait dispa
ontracture dans l'extension. Par ce procédé, on fait disparaître la
contracture
du bras gauche, et on réveille la malade : elle e
t on réveille la malade : elle est toute surprise de se voir avec une
contracture
du bras droit. Cette expérience a été renouvelée
ette expérience a été renouvelée bien des fois et on a laissé le bras
contracture
et dans la flexion et dans l'extension. X... dit
mêmes dans les deux cas : elle resterait bien plus longtemps avec une
contracture
dans l'extension qu'avec une contracture dans la
bien plus longtemps avec une contracture dans l'extension qu'avec une
contracture
dans la flexion. Dans celle-ci, elle souffre « co
i des sentiments de haine. Quand la malade a été réveillée avec une
contracture
dans l'extension, si on appuie sa main contre un
re un effort amenant la flexion du bras. Or, l'hystérique ayant cette
contracture
dans l'extension est incapable de faire cet effor
le ventre sans faire fléchir le corps. Dans la somniation, si l'on
contracture
les muscles du dos, la malade étant appuyée sur l
yperexcitabilité musculaire y est présente et on met le bras droit en
contracture
. — A gauche, les paupières sont demeurées ouverte
t une hémi-catalepsie gauche (Pl. XVI). Nous faisons disparaître la
contracture
et nous fermons les paupières : la malade tombe e
ni les expériences que nous avons rapportées, soit qu'il s'agisse des
contractures
artificielles qui, comme le répète souvent M. Cha
ras droit de B..., éveillée, avec le diapason vibrant, on produit une
contracture
. 17 novembre.— B... est endormie par le regard.
bilité musculaire : en frictionnant le sterno-mastoïdien droit, on le
contracture
; par une friction modérée du sterno-mastoïdien g
friction modérée du sterno-mastoïdien gauche, on fait disparaître la
contracture
du muscle sterno-mastoïdien du côté droit. - Nous
léchisseurs des doigts et des avant-bras, et nous obtenons une double
contracture
des membres supérieurs. (Pl. XIX.) Les paupière
B... passe de la sommation dans Vétat cataleptique. Elle conserve sa
contracture
des membres supérieurs. On donne au corps des att
tc. M. Charcot réveille la malade en lui soufflant à la figure ; la
contracture
persiste. Pour la faire cesser, il rendort B... p
Planche XIX. LÉTHARGIE SOMNIATION : HYPEREXCITABILITÉ sont plus
contractures
; la malade est réveillée par la compression ovar
ssion ovarienne droite. — Dans une autre expérience, les bras étant
contractures
, par la même manœuvre, nous réveillons la malade
la même manœuvre, nous réveillons la malade et faisons disparaître la
contracture
. 1879. 22 janvier.— B... était toujours considé
du diapason, B... tombe en léthargie et il est aisé de provoquer des
contractures
artificielles comme dans la léthargie déterminée
rs des doigts et du pouce, des avant-bras, etc.. ; — on détermine des
contractures
variées des muscles des jambes, des pieds, etc. (
ant différents nerfs (nerf facial, nerf cubital, etc.) on produit une
contracture
des muscles correspondants. 31 mars. — Nous enf
ÉE PAR LE BRUIT DU DIAPASON Planche XXI. LÉTHARGIE SOMNIATION :
CONTRACTURE
ARTIFICIELLE Planche XXII. CATALEPSIE PROVO
éthargie : hyperexcitabilité neuro-musculaire. — Aphasie provoquée. —
Contractures
artificielles. —Catalepsie. Suggestion; hallucina
-ÉPILEPSIE SOMMEIL HYPNOTIQUE Planche XXXI. HYSTERO-EPILEPSIE
CONTRACTURES
PROVOQUÉES ment; Yéther, et le chloroforme, et
les muscles et tous les nerfs moteurs. Il est facile de produire des
contractures
variées. Dans la Planche XXXI, les bras sont co
duire des contractures variées. Dans la Planche XXXI, les bras sont
contractures
, l'un en anse, l'autre en flexion. La malade, rév
l'un en anse, l'autre en flexion. La malade, réveillée, conserve ses
contractures
et on a ainsi une contracture permanente artifici
on. La malade, réveillée, conserve ses contractures et on a ainsi une
contracture
permanente artificielle, dont on pourrait prolong
on pourrait prolonger la durée. S... est endormie de nouveau ; les
contractures
sont détruites par le tapotement des muscles cont
uveau ; les contractures sont détruites par le tapotement des muscles
contractures
. L'anesthésie est générale et complète pour la do
... est en catalepsie; toutes les tentatives faites pour produire des
contractures
, en excitant soit les nerfs, soit les muscles, de
her, Iodure d'éthyle, Nitrtte d'amyle.j — Composées, 29; 32, 33. — De
contracture
, 12, 14, 41. — De délire, 9, 14, 29, etc. —Épil
. — Lointaine, 9, 47, 55,213. Atrophie musculaire consécutive, à la
contracture
permanente, 123, 132. B Boulimie, 3. Braidism
gastrique, 121. Consanguinité, 5,59, 108,209. Constipation, 67.
Contractures
artificielles, 20, 191, 204, 219. —Hémiplégique,
ervant leur rigidité, et s'entre-croisent. Les pieds participent à la
contracture
et les orteils sont vigoureusement fléchis (1).
mée, s'applique sur la colonne vertébrale. Quelquefois, le bras ainsi
contracture
un cri aigu et prolongé ; la bouche s'ouvre large
, L... pousse pointe descend jusqu'au menton et, en conséquence de la
contracture
, les papilles sont plus saillantes et la muqueuse
par l'ensemble des symptômes qui les composent, peuvent succéder des
contractures
plus ou moins persistantes, affectant soit la fac
és en haut et en dedans (Planche VII). Les muscles des mâchoires sont
contractures
et les arcades dentaires, distantes d'un centimèt
Les muscles du cou sont durs, tendus. Les membres supérieurs, très
contractures
et étendus perpendiculairement au tronc, sont en
arre de fer. Planche VI. ATTAQUE : CRUCIFIEMENT Planche VIII.
CONTRACTURE
DE LA FACE Planche IX. ATTAQUE : CRUCIFIEMENT
les le principal symptôme de la période tonique des attaques, est une
contracture
générale qui revêt la forme du crucifiement. ..
secousses- — Double hyperesthésie ovarienne. — Anesthésie générale. —
Contracture
du ¦membre inférieur droit ; — prodromes, symptôm
ablissement. A cette date, elle aurait eu, à la suite d'attaques, une
contracture
du côté gauche du cou, si prononcée que le menton
— Rien le 29 et le 30 novembre, ni le 1er décembre. — Le 2 décembre,
contracture
du membre inférieur droit dans l'extension. 7 d
acture du membre inférieur droit dans l'extension. 7 décembre. — La
contracture
est la même. — Inhalation d'éther mais non jusqu'
on jusqu'à résolution. Quelques instants après, G. a une attaque : la
contracture
disparaît complé*-iement. — Le lendemain, elle en
e du gros orteil détermine une trépidation générale du membre. — La
contracture
se dissipe le 30 décembre consécutivement à une e
infirmerie générale.— 25 fév. — Contorsions. Mars. — Le pied droit,
contracture
après des attaques survenues le 4, redevient libr
nses dans les deux côtés du ventre, douleurs auxquelles a succédé une
contracture
de la jambe droite: la jambe est dans l'extension
eaux. — Les règles ont commencé le 6 et fini le 9. 13 janvier. — La
contracture
du membre inférieur droit persiste. La malade mar
les 2 et3, pas d'attaques.Aujourd'hui, 4 février, on remarque que la
contracture
a diminué-dans la hanche et le genou. Le pied con
a plus qu'un léger affaiblissement (parésie). La disparition de la
contracture
a coïncidé avec l'apparition des règles et avec d
. — Hier, dans la journée, le membre supérieur droit a été pris d'une
contracture
très-intense : le bras était collé contre le thor
pâleur extrême; enfin, elle avait de temps à autre des secousses. La
contracture
et les troubles vaso-moteurs ont disparu vers min
quelle est la relation qui a pu exister entre ces traumatismes et les
contractures
des membres supérieur et inférieur du côté droit
le était en proie à une de ses attaques, avec ballonnement du ventre,
contractures
intermittentes, délire raisonnant, hallucinations
; extension suivie de flexion de la tète; déviation des yeux en bas;
contracture
des muscles du cou dont les veines sont gonflées.
ougit, les secousses cessent ; le bras droit qui avait été de nouveau
contracture
, se relâche ; le gauche conserve la même position
au bout de 5 à 10 minutes. 23 mai. — Le membre supérieur gauche est
contracture
dans la demi-flexion et on note des secousses dan
-flexion et on note des secousses dans le membre supérieur droit avec
contracture
passagère des doigts. M mai. — Hier soir, G...
est soulevé, rigide; la main et les doigts sont souples. A gauche, la
contracture
occupe le bras, la main et les doigts qui sont fl
u reste assez courte. Bientôt, la physionomie devient immobile ; la
contracture
diminue dans les bras ; G... soupire, s'assied, r
eures du matin, le 17. Lorsqu'elles ont été finies, on a constaté une
contracture
du membre inférieur droit et une rétention d'urin
du membre inférieur droit et une rétention d'urine. 18 juillet.— La
contracture
et la rétention persistaient encore à 7 heures du
ée. Au bout d'une heure etdemie,G... s'est endormie: à son réveil, la
contracture
et la rétention n'existaient plus. Du 19 au 22
ète est inclinée, le bras droit est étendu, horizontal; le gauche est
contracture
, à demi-fléchi. Au bout de quelques minutes, G...
4, 72, etc.). Maintes fois, les attaques ont laissé après elles des
contractures
d'une durée qui variait entre quelques heures et
r lieu, ce fut un torticolis du côté gauche (p. 53), et plus tard des
contractures
des membres (p. 59, 62, 65, 74); elles étaient le
hésie ovarienne. A diverses reprises aussi, le col de la vessie a été
contracture
: de là, des retentions d'urine qui obligeaient d
nt de recourir à la sonde (p. 53, 83). — Quel que fût leur siège, ces
contractures
ont en général disparu comme elles étaient venues
concerne l'influence de la compression ovarienne sur le mutisme et la
contracture
récente, de nature hystérique, voir : Debove et L
t ne les décrit pas dans ses articles consacrés aux convulsions, à la
contracture
et aux spasmes. Lan-douzy ne les mentionne pa = .
es ont encore ce qu'elles appellent à la Salpétrière, des attaques de
contracture
. Voici en quoi elles consistent : Tout d'un coup,
t la pronation ; lesinférieurs.dans l'extension et l'adduction. Cette
contracture
générale disparaît au bout de 15 à 30 secondes :
ardiaques. — Cautérisation du col utérin au fer rouge ; son action. —
Contracture
passagère du membre inférieur gauche.— Torticol
— Usage de l'éther, de la glace, du nitrite d aw y le. — Erythème. —
Contracture
des membres dît côté gauche (Forme hémiplégiqtie)
hine : Accidents locaux et généraux. — Hallucinations terrifiantes. —
Contracture
des membres du côté gauche. — Ovarie double ; ane
le ; anesthésie générale ¦ —Modifications des attaqua ; leur cause- —
Contracture
du bras droit. — Troubles de la vision. — Irrégul
u sans ordre, accompagnés ou suivis d'une très-grande agitation, avec
contracture
des membres, grincements des dents, écume, sueurs
, avec prédominance des phénomènes cardiaques, M... a été prise d'une
contracture
de la jambe et du pied gauches. La marche était i
che était impossible tant le pied était dévié et la jambe pesante. La
contracture
a disparu au bout d'une demi-heure : la malade
dirigée vers la gauche et inclinée sur l'épaule correspondante. Cette
contracture
n'a persisté que 15 à 20 minutes et s'est dissipé
ors de la dernière friction, on s'est aperçu que le pied gauche était
contracture
; le genou et la hanche avaient conservé la liber
té que les membres supérieur et inférieur gauches étaient entièrement
contractures
. A la visite, nous observons les particularités s
tude du membre, on ne produit qu'un déplacement insignifiant, tant la
contracture
est intense. Aucune des jointures n'est gonflée
ières vertébrales, à gauche des 4° et 5e cervicales. D'après elle, la
contracture
du membre supérieur se serait constituée progress
cerbation des douleurs névralgiques. Le membre inférieur gauche reste
contracture
; par moments, la contracture serait plus prononcé
giques. Le membre inférieur gauche reste contracture; par moments, la
contracture
serait plus prononcée. 3 juillet. —M... se plai
o juillet. — Même état. P. Planche XXVIII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE ;
CONTRACTURE
PERMANENTE 104 ; T. R. 37°,7. — Traitement : Ju
al, 4 gr., 3 pil. de 0 gr. 05 d'extrait thé-baïque. 6 juillet. — La
contracture
du membre inférieur gauche a disparu. M... a pass
e veut « se tuer, se livrer à la boisson. » Ce matin, il existe une
contracture
des membres du côté gauche (forme hémiplégique).
face. Des attaques survenant, nous constatons que, par moments, la
contracture
disparaît dans le membre supérieur gauche. — Nous
au médicament, se dissipent peu à peu et M... ne conserve plus que la
contracture
du membre inférieur gauche dans l'extension. 23
ture du membre inférieur gauche dans l'extension. 23 novembre. — La
contracture
du membre inférieur gauche n'a pas changé. M... a
érieur gauche n'a pas changé. M... a, de temps en temps, des accès de
contracture
ainsi caractérisés : La tête se porte à gauche et
hes cliniques et thérap. sur l'hystérie, etc., p. 116. 24 non. — La
contracture
est permanente au membre inférieur gauche, mais v
n désigne dans le service sous le nom de « contractions ou d'accès de
contracture
. » Quelquefois ces crises se compliquent de conto
cotements; d'engourdissements et de sueurs froides. — A 9 heures 1/2,
contracture
du membre inférieur gauche dans l'extension et du
dans l'extension et du membre supérieur dans la flexion; à 11 heures,
contracture
du membre inférieur gauche dans l'extension; le m
passant par l'appendice xi phoïde et sur le bras droit. 24 nov. —
Contracture
du membre inférieur gauche et du membre supérieur
membre inférieur gauche et du membre supérieur droit. 30 nov. — La
contracture
persiste dans le membre inférieur gauche; dans le
ent reste sans action sérieuse. Inquiétudes, fourmillements, crampes,
contractures
passagères dans les quatre membres, tout cela ne
llements, puis un tremblement du membre inférieur gauche, suivi d'une
contracture
, dans la demi-flexion, qui s'est dissipée au bout
e mamelon. — Soir. T. R. 38°. 28 juillet. — Hier, de 3 à -j heures,
contracture
des membres inférieurs (forme paraplégique). T. R
fois (page 126), a toujours mis fin à la série d'attaques. 22 nov.—
Contractures
passagères dans les mains et dans la langue : c'e
r droit; et, à partir de 1874, uñe série d'autres manifestations : a)
contractures
, b) crampes, c) contorsions, d) tremblements , e)
s. Un mot sur chacune d'elles. o) En 1874, M... a présenté : 1° une
contracture
du membre inférieur g anche (forme hémiparaplégiq
, les segments du membre étant redevenus libres en deux temps; 2° une
contracture
des muscles du cou (torticolis hystérique), qui s
est dissipée en vingt minutes. En 1875, nous avons observé : 3° une
contracture
du pied gauche, puis de tout le membre inférieur,
du membre supérieur du même côté (forme hémiplégique). Cette fois, la
contracture
a été annoncée par des secousses et s'est constit
consécutivement à des crampes, exacerbations, pour ainsi dire, de la
contracture
. Nous avons noté ensuite : 4° une contracture d
our ainsi dire, de la contracture. Nous avons noté ensuite : 4° une
contracture
des membres du côté gauche (forme hémiplégique),
côté gauche (forme hémiplégique), qui a duré quelques heures ; 5° une
contracture
du membre inférieur gauche (forme hémiparaplégiqu
forme hémiparaplégique), qui a duré une dizaine de jours (1) ; 6° une
contracture
du bras droit (forme monoplégique), qui a duré ci
re du bras droit (forme monoplégique), qui a duré cinq jours ; 7° une
contracture
du membre inférieur gauche (l) Voir p. 128. La
; 7° une contracture du membre inférieur gauche (l) Voir p. 128. La
contracture
, apparue le 22 novembre, aguérile2 décembre (date
e non indiquée plus haut). (forme hémiparaplégique) ; 8° enfin, une
contracture
des deux membres inférieurs (forme paraplégique),
c., immobilisant ces organes dans la position qu'ils avaient quand la
contracture
les a envahis. c) Les contractions ne sont autr
ture les a envahis. c) Les contractions ne sont autre chose que des
contractures
passagères, changeant de place à chaque instant,
124. — Tableau des —, 144. — démoniaques, 20, 21, 24, 125, 127. — de
contracture
ou épileptiformes, 108, 124, 127. Attitudes (De
65. Contorsions, 18, 60, 143, 148. Contractions, 138 140, 148.
Contracture
, 93, 146. C. du membre supérieur gauche, 74, 122,
anesthésié, 116, 117. — dans les attaques épileptilbrmes (attaques de
contractures
), 127.— dans la contracture hystérique, 122,123.
les attaques épileptilbrmes (attaques de contractures), 127.— dans la
contracture
hystérique, 122,123. — dans l'anesthésie par l'
grands mouvements, durant d'habi- tude 3 heures environ, suivis de
contractures
généralisées se prolongeant sou- vent plus d'un
s sont lents et pénibles, rendus difficiles par un certain degré de
contracture
dont le malade se rend compte et contre laquell
lui fait exécuter un mouvement qui demande un effort énergique, la
contracture
est encore plus marquée et persiste plus longte
cin de la division psychiatrique de l'hôpital municipal d'Odessa.
CONTRACTURE
FACIALE BILATÉRALE HYSTÉRIQUE. Mademoiselle X.,
le côté gauche de la face était contracturé de temps en temps. Ces
contractures
temporaires, dont la durée variait d'une demi-heu
vateur commun de la lèvre supérieure droite et de l'aile du nez est
contracture
, de sorte que cette narine est plus élevée que ce
il contracté, les rides de la peau sont très marquées et souvent la
contracture
est si prononcée que l'on voit les dents supéri
'oeil droit est plus petit que l'oeil gauche à cause d'une lé- gère
contracture
de l'orbiculaire palpébral droit, que l'on reconn
le frontal et le sourciller de ce côté sont absolument normaux, la
contracture
affec- tant principalement le facial inférieur
té, tandis que le facial su- périeur ne participe que très peu à la
contracture
. Quand on lui demande de montrer ses dents, on
totype NÉGATIF Y. Haren Noman fHOTOCOLLOGEtAPHIE Chêne ET Longuet
Contracture
faciale bilatérale HYSTÉRIQUE y..e j3AB¿ et FIE
ototype négatif P h otocollo graphie V. HAREN NOMAN C.È. Longuet.
Contracture
faciale bilatérale HYSTERIQUE YTC .J3ABÉ ET Cie
acture faciale bilatérale HYSTERIQUE YTC .J3ABÉ ET Cie éditeurs
contracture
faciale bilatérale hystérique. 39 lévateur de l
ervir d'une expression de M. Charcot - un point d'exclamation. La
contracture
du facial inférieur droit ne suffit pourtant pas
tre malade. L'examen attentif du côté gauche nous apprend qu'il y a
contracture
là aussi. L'abaissement de la commissure labial
roit le muscle élévateur commun de la lèvre et de l'aile du nez est
contracture
, du côté gauche l'aile du nez est tirée activemen
du nez est tirée activement en bas et l'orbiculaire des lèvres est
contracture
dans sa partie supérieure gauche, de sorte que
épasse la ligne médiane. Le muscle élévateur gauche du menton étant
contracture
, celui-ci fait une saillie ri- gide et la peau
petites fossettes sur soi-même en élevant le menton avec force. La
contracture
est donc évidente, aussi à gauche on la reconnaît
mal iclue droite; chaque secousse laissant après soi un peu plus de
contracture
, le muscle est enfin en contraction perma- nent
s de la supérieure. Tout cela ne durait qu'une à deux minutes et la
contracture
une fois éta- blie on ne voyait plus de secouss
sa bizarre expression. D'après les communications de la famille la
contracture
persistait pen- dant le sommeil. L'examen min
plutôt que les maux de dents aient provoqué, par action réflexe, la
contracture
chez notre hystéri- NOUVELLE Iconographie de la
Phototype Y. J- ! AREN OMAN fHOTOC01.LOGl\.APHIE Chêne ET Longuet
Contracture
faciale bilatérale HYSTERIQUE PHYSIONOMIE NORMA
E NORMALE APRÈ, GUERIJON RIANTE - ? - ... ? ? ... y"' Babé et Fi.
CONTRACTURE
FACIALE BILATÉRALE HYSTÉRIQUE. 41 que, aussi bi
up de douleur,les mou- vements disparurent pour ne plus revenir. La
contracture
faciale restait. Quoiqu'il n'y eût pas de rétré
r les couleurs, et que les extrémités fussent tout à fait libres de
contracture
et de parésie, je crois que la diagnose d'hystéri
pas voir s'il s'agissait d'un tic convulsif des deux côtés ou d'une
contracture
permanente, comme dans notre cas. Notre malade
que ces spasmes légers ne devinssent le com- mencement de nouvelles
contractures
après sa sortie, je lui montrais le fer rouge d
s apparut alors. Dans cette situation, la fièvre se présenta, et la
contracture
des membres supérieurs disparut immédiatement,
phénomènes peuvent devenir permanents. Ils se transforment alors en
contractures
et Unissent par immobiliser les mem- . bres sup
els peut disparaître l'athétose. Des mouvements, des spasmes et des
contractures
dépendent les attitu- des des membres ; dans le
titudes particulières qui persistent pendant longtemps, lorsque les
contractures
sont extrêmes. Le type le plus commun c'est la
s réflexes sont très souvent exagérés, toujours lorsqu'il y a de la
contracture
. Un grand nombre d'auteurs déclarent à cause du d
mon compte j'ai pu constater chez la plupart de mes malades que les
contractures
rendent l'examen très difficile ; le phénomène du
éritables défor- mations articulaires produites à la longue par les
contractures
permanen- tes. Nous reviendrons plus loin sur c
e. « C'est une hypertrophie vraie, dit-il, toujours associée ci des
contractures
». L'hypertrophie s'explique très facilement, c
s habituellement au niveau des muscles, qui ont à lutter contre les
contractures
et les spasmes violents de leurs antagonistes.
pinion d' Audry, parce que dans ces derniers cas les spasmes et les
contractures
font défaut et ne trou- vent pas là pour lutter
es lèvres, du voile du palais, autrement dit par suite de l'étal de
contracture
des muscles de l'articulation. - Clay Schaw déc
er. L'imbécillité, les convulsions athétosiques, les spasmes et les
contractures
entravent né- cessairement les mouvements volon
excessivement 3. - Symptômes accessoires. I. TROUBLES MOTEURS.
Contractures
. Nous avons vu qu'on observe des contractions par
es quelquefois, au lieu d'être passagers, peuvent se transformer en
contractures
et finissent alors par immobiliser les membres
s supérieurs, au niveau desquels peut disparaître l'athétose. Ces
contractures
offrent des degrés d'intensité variable : dans le
nt-bras sont raides, Massa- longo les mains sont contracturées. Ces
contractures
, qui ne dépendent pas de la paralysie des muscl
ieurs d'après Massalongo. On sait que dans la maladie de Little, la
contracture
des membres infé- rieurs est constante, qu'elle
cou; immobilisés par le spasme, quelquefois deviennent le siège de
contractures
permanentes. Paralysie. La véritable paralysie
ment une légère impo- tence motrice par l'effet de l'inertie, de la
contracture
ou des déformations articulaires. Dans le seul
ysie généralisée. Hughes a vu la paralysie brachiale accompagnée de
contracture
et qui est guérie avec les restes d'une paralysie
bilisation de la partie correspondante du rachis par une sorte de «
contracture
réflexe qui entraînerait une attitude un peu sp
plus faible mesure : ils sont maintenus dans celte position par une
contracture
des fléchisseurs, contracture qu'il faut un assez
maintenus dans celte position par une contracture des fléchisseurs,
contracture
qu'il faut un assez grand effort pour vaincre.
ainsi que le poignet : on redresse ( les doigts sans peine, aucune
contracture
ne s'y oppose. 1 Membres inférieurs. Force très
favorisée sans doute par l'atrophie musculaire et peut-être par la
contracture
, à laquelle on a voulu faire jouer un rôle impo
x est prédominant » ; le poids du corps fait ployer le rachis : les
contractures
musculaires constituent une cause adjuvante. Un
conduit à les rapprocher du pied-bot et t à les faire relever de la
contracture
. Mais les conditions ne sont pas tout à fait le
re. Mais les conditions ne sont pas tout à fait les mêmes, et si la
contracture
pouvait bien en être la cause, ce dont je ne sa
cas bien nets. CHAPITRE II 1)I : W1'l'IO\S l'.11t PARALYSIE OU
CONTRACTURE
DES MUSCLES .MOTEURS OU RACHIS. Nous étudiero
rales manifeste- ment et exclusivement liées à la paralysie ou à la
contracture
de certains muscles moteurs du rachis. Nous éca
ralytiques, la scoliose, au contraire, est plutôt le résultat d'une
contracture
. Il existe pourtant des scolioses par paralysie
. Il existe pourtant des scolioses par paralysie. A. Scoliose par
contracture
. Il s'agit toujours ou presque toujours de cont
Scoliose par contracture. Il s'agit toujours ou presque toujours de
contractures
hystériques. Du- chenne (1), qui en a observé e
t, suivant le mode habituel des accidenls hystéro-traumatiques, une
contracture
musculaire qui infléchit le rachis. Nous dirons
caractères de la déviation ; indi- quons pour le moment ceux de la
contracture
. Tantôt elle se montre exclu- sivement pendant
TIONS VERTÉBRALES N É V R O PAT H I OU ES. 163 couchée. Les muscles
contractures
peuvent être douloureux il la pression ou à la
le malade de Grancher. Le sommeil chlorofor- mique a triomphé de la
contracture
dans le cas de Durel, et la guérison s'est main
econnaît dans ces différents caractères les allures habituelles des
contractures
hystéro-traumatiques. Il serait intéres- sant d
déviations rachidiennes consécutives, varient suivant le siège des
contractures
. a. Celles-ci affectent une prédilection partic
aisait également défaut dans le cas de Duret. Il semble donc que la
contracture
épargne d'ordi- naire les muscles de la masse s
le sujet de Grancher, diminuer beaucoup p dans celle position. La
contracture
résiste à tous les ell'orls qu'on lente pour redr
dans la position couchée ; fait important, on voit dispa- raître la
contracture
dans le sommeil ebloroformique (Duret). Outre c
hose coïncidant avec la déviation la- térale avait pour origine une
contracture
du psoas iliaque, associée à celle du carré lom
lée une double déviation rachidienne, attribuée par l'auteur il des
contractures
. Il s'agit d'un jeune sujet affecté depuis 4 an
nts choréiformes dans le membre supérieur gau- che et la face, avec
contracture
de divers muscles, particulièrement aux membres
de rapprocher une observation rapportée par Pravaz. Il s'agil d'une
contracture
du trapèze du côté droit, ayant déter- miné une
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Résumé. Les paralysies et
contractures
des muscles moteurs du rachis détermi- nent des
peuvent se produire rapidement el même brusquement dans les cas de
contracture
forte. Le traitement comme le pronostic sont su
ils, la face et parfois certains muscles du tronc. Par suite de ces
contractures
il est souvent très difficile d'examiner les ré
). La démarche particulière est un autre élément de diagnostic. Ces
contractures
sont difficiles parfois même complètement impos
é- tose double. La parole aussi est Iroublée par suite de l'état de
contracture
des muscles de l'articulation; elle se rapproch
ompagnent de raideur, de rigidité des parties affectées, il y a une
contracture
plus ou moins pro- noncée de tous les muscles.
ou moins pro- noncée de tous les muscles. Ces mêmes raideurs, ces
contractures
existent dans l'accomplissement des mouvements
scles de la face, surtout lorsque les malades parlent. Au repos les
contractures
diminuent, mais lorsqu'on examine les ma- lades
t possible à l'observateur de changer la position de ceux-ci. Ces
contractures
finissent quelquefois par déterminer du côté des
roprié à leurs attitudes ; chez d'autres il faut essayer contre les
contractures
et les positions vicieuses certains appareils ort
n'est d'ailleurs de mise que lorsqu'oll essaie de lutter contre les
contractures
; elle ne s'adresse pas directement ni à l'athé
athétosiques sont lents, ils s'accompagnent de raideur, il y a une
contracture
plus ou moins prononcée de tous les muscles. Ce
us ou moins prononcée de tous les muscles. Cette même rigidité, ces
contractures
existent dans l'accomplissement des mouvements
elles sont très appréciables aussi dans les muscles de la face. Ces
contractures
finissent par déterminer du côté des membres, p
oubles de l'intelligence datent de l'enfance (imbécillité). ' Les
contractures
très fréquentes chez les athétosiques, manquent c
lorsque l'on parle de chorée chronique et d'athétose. Il y a une
contracture
plus ou moins prononcée de tous les muscles. Ce
lus ou moins prononcée de tous les muscles. Ces mêmes raideurs, ces
contractures
existent dans l'accomplissement des mouvements
ut lorsque les sujets parlent. Quand les malades sont au repos, les
contractures
diminuent, mais aussitôt qu'on veut exami- ner
oit possible à l'observateur de changer la position de ceux-ci. Ces
contractures
finissent par déterminer du côté des membres, p
à des rétractions fibreuses telles qu'il s'en produit à la suite de
contractures
prolongées (2). M. Babinski pense avec raison q
qui maintient celle attitude devient à la longue très voisine de la
contracture
; les muscles fléchisseurs latéraux de la colonn
dation épileptoïde, l'exagération du réflexe rotulien et un état de
contracture
des muscles périarticulaires déterminant une pseu
uleur elle-même. Il est légitime de penser qu'ici, comme dans toute
contracture
, des modifications définitives peuvent survenir
montrer notamment chez les hémiplégiques et dans les divers cas de
contracture
des muscles fléchisseurs latéraux du rachis lomba
vrose, de l'hyper- esthésie des téguments, du degré plus fort de la
contracture
, de son ex- tension à tout le membre, autant de
e certaine participation des fléchisseurs latéraux lom- baires à la
contracture
consécutive aux hémiplégies anciennes. M. Ter-
aux hémiplégies anciennes. M. Ter- rier (1) a observé un cas où une
contracture
de ce genre, exagérée par un traumatisme, avait
que, dans les cas du moins que nous avons eus sous les yeux, cette
contracture
n'était pas appréciable, et les muscles en ques
y rattacherions volon- tiers ; dans cette hypothèse ce n'est pas la
contracture
, mais la paralysie des muscles fléchisseurs lat
cles du côté sain peut théori- quement provoquer, aussi bien que la
contracture
des muscles du côté op- posé, la déviation que
ue, M. Marie distingue deux types d'hémiplégie infantile, l'un avec
contracture
et déformation prononcée des membres, l'autre all
DES DÉVIATIONS VERTÉBRALES NÉVROPATIIIQUES. 217 b) Scolioses par
contracture
. La contracture est habituellement, sinon toujo
S VERTÉBRALES NÉVROPATIIIQUES. 217 b) Scolioses par contracture. La
contracture
est habituellement, sinon toujours, de nature h
se, articulaire, ligamenteuse) ; 2° Théorie musculaire (paralysies,
contractures
). Il serait superflu de discuter longuement ces
antile, avec la période de développement du rachis. S'agit-il d'une
contracture
? Dans certains cas, nous avons vu la contrac-
ue siège habituellement la courbure prin- cipale dans les cas où la
contracture
est en cause. Pour toutes ces raisons, l'action
t. Déformation DE la main dans la maladie DE Parkinson simulant UNE
contracture
. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPI2THIERE. 1. V
première vue tendance à le croire atteint d'hémiplégie droite avec
contracture
... Il s'a- vance le corps penché en avant, la t
ient se placer sur la face pal- maire de la seconde phalange. Cette
contracture
des fléchisseurs n'est qu'ap- parente, car on a
nature de l'affection, et l'on s'explique aisément les soupçons de
contracture
hysté- rique et d'hémiplégie vulgaire, mis en a
s exagérés dans la sclérose, le.sont rarement chez nos malades. Les
contractures
et la marche spasmodique sont communs aux deux
ol » et sont lentement entraînés en avant, en même temps que, parla
contracture
qui se produit dans les mus- cles du mollet, il
ne tendance manifeste à marcher sur la pointe des pieds. Lorsque la
contracture
des membres inférieurs atteint son maxi- mum, l
ilité complète de s'asseoir. Aux membres supérieurs il n'y a pas de
contracture
manifeste, mais il est bien rare qu'il n'y ait
tre avec prédilection, au point que Trousseau lui a donné le nom de
contracture
des nourrices. Or, on observe chez les tétaniqu
uvements involontaires. Mais ceux-ci ne sont que la conséquence des
contractures
qui s'établissent dans les extrémités et de plu
préférence des fléchis- seurs, de façon à produire des attitudes en
contracture
caractéristique. (La main de l'accoucheur lorsq
ce, il parvint à faire disparaître l'hémianesthésie et à rompre des
contractures
presque aussi rapidement qu'avec l'aimant ou l'
e en arrière quand il est debout, mais il ne semble pas qu'il y ait
contracture
, car on peut la ra- mener en avant sans difficu
16 1/2 c. du pli du coude 15 1/2 c. du poignet il 1/2 c. Pas de
contracture
du niveau du membre supérieur droit. A gauche l
es neneux, le chirur- gien lui-môme qui doit faire le pronostic des
contractures
et des douleurs locales, tous ceux, en un mot,
e à personne qu'un enfant puisse simuler des mois ou des années une
contracture
permanente, des tremblements, une rémiz plégie
oppement avec atrophie des os et des muscles du côté pa- ralysé, la
contracture
avec déformations prononcées des membres, l'hé-
ne serait pas un signe suffisant pour rejeter l'hystérie (3). La
contracture
, même consécutive aux altérations du faisceau pyr
tuée dans l'hémiplégie hystérique, surtout quand il s'y joint de la
contracture
. Il n'y a pas encore d'observation qui signale
ni entorse; mais il s'était produit, sous l'influence du choc, une
contracture
de tout le côté droit du corps qui était primit
i la préhension, ni la marche n'était plus possible du côté droit, la
contracture
avec déformation des membres s'étant surajoutée
droit repose sur le cou-de-pied gauche où il marque son empreinte.
Contracture
. Ces différentes particularités dans l'attitude d
ités dans l'attitude du malade à l'é- tat de repos, résultent de la
contracture
permanente des membres du côté droit. En effet,
is dans le creux de la main droite. Mais quand on vient à forcer la
contracture
des divers segments du bras droit, en le sépara
, il n'est pas, nous l'avons vu, de position de re- repos ; mais la
contracture
existe comme au membre supérieur. On peut en ef
it est en varus-équin ; les orteils en flexion légère. Ces diverses
contractures
ne cèdent que sous l'effort. Au membre inférieu
ffort. Au membre inférieur gauche, il existe aussi un léger état de
contracture
, beaucoup moins marqué que du côté droit et qu'
out et la marche sont complètement impossibles, tant il cause de la
contracture
que des mouvements liémicloréiques du cote droit.
er, de paralysie des mouvements volontaires, correspondant à l'hémi
contracture
et à l'hémichorée du côté droit. C'est bien plu
me que les réflexes', il est impossible de l'évaluer, à cause de la
contracture
des muscles et de leur instabilité. Les réfle
e du côté droit. Ce n'est là qu'une fausse apparence qui tient à la
contracture
de la hanche droite et il n'y a pas de différen
ar l'applica- tion prolongée d'un courant faradique faire cesser la
contracture
du pied droit, qui est en varus équin, en agiss
rnant sans doute l'attention du malade, diminue et supprime même la
contracture
du pied droit qui tombe ballant le long du tabo
icité faradique eût encore ce ré- sultat de diminuer notablement la
contracture
du côté droit, mais sans permet- tre encore la
ications indiquées plus haut dans la forme de l'hé- michorée, de la
contracture
, et le retour -de la sensibilité générale sous l'
s'accompagnant de phénomènes spasmodiques tels que l'hémichorée, la
contracture
, les décor- mations prononcées des membres et m
t ordre pouvant le plus souvent s'aider de leurs membres, malgré la
contracture
et l'hémichorée. Venaient ensuite l'attitude pa
. L'hémichorée qui dure depuis 7 ans a suivi une grande frayeur; la
contracture
n'est aperçue elle-même que fort tard, subiteme
mière application d'électricité faradique n'a-t-elle pas diminué la
contracture
et modifié la forme de l'hémichorée ? Aux mou-
devient dans certains cas insurmontable; on dit alors que c'est la
contracture
tardive. Les auteurs ont émis plusieurs hypothè
dive. Les auteurs ont émis plusieurs hypothèses sur la nature de la
contracture
(1) Grâce il cette inquiétude des malades, la f
illustre maître que je m'occu- perai ici. D'après M. Charcot, la
contracture
tardive et due à la sclérose descen- dante du f
accord avec l'hypothèse de l'illustre maître. M. Charcot dit que la
contracture
tardive indique l'incurabilité de l'hé- miplégi
ibres nerveuses) le retour des mouve- ments volontaires sans que la
contracture
tardive s'établisse; mais il y a d'autres cas o
st saccadé, ralenti, limité ou même impossible. On peut apaiser les
contractures
antagonistes par le massage ou par la gymnastiq
faiblis. Les faits qne je viens de mentionner me font penser que la
contracture
tardive ne dépend pas de la sclérose descendant
roces- sus morbide s'est achevé, et qu'il y a une relation entre la
contracture
de l'hémiplégie et la tendance régénératrice na
acture de l'hémiplégie et la tendance régénératrice naturelle. La
contracture
tardive est moins prononcée le matin que le soir;
du faisceau pyrami- dal est toujours la môme. On voit enfin dans la
contracture
tardive des manifestations d'une force musculai
par une arthrite du coude concomitante. Chez une de mes malades la
contracture
disparut comme par enchante- ment, à la suite d
sibles avant ce second ictus. M. Charcot cherche la source de la
contracture
de l'hémiplégie dans l'ex- citation des cellule
'excitation des cellules motrices en question doit être épuisée. La
contracture
des hémiplégiques est néanmoins, on le sait, per-
iques est néanmoins, on le sait, per- manente. Je crois que toute
contracture
de l'hémiplégie cérébrale est due à un ef- fort
smodiques qu'on observe dans l'hé- miplégie et la persistance de la
contracture
tardive. Ce travail régénérateur doit se produi
position est d'accord avec les faits cliniques. On voit en effet la
contracture
tardive dans les cas graves presque toujours, qu'
supposer que la fluxion est un moyen de la nature pour provoquer la
contracture
et la restitution de la conductibilité des fibres
ymnastique passive habile ont plus de succès que dans les cas où la
contracture
tardive est moins ancienne. C'est que l'effort
alysie de tel ou tel groupe musculaire. Dans les cas plus graves la
contracture
peut disparaître sans que le malade recouvre le
er- vée, mais elle est obtuse ; il y a incontinence de l'urine, des
contractures
, des paresthésies. Dans les cas les plus favora
lontaires qui gagnent en facilité et en étendue, la disparition des
contractures
et du tremblement. Dans le 1 cas où le malade p
Luco, 339. Hystérique (Deux cas d'anorexie -), par Wallet, 276. (
Contracture
faciale bilaté- rale -), par Delprat, 38 ; (Fiè
gitante, 33. Hermaphrodites, 43, 44, 45, 46, 47, 'rE. Hystérique (
Contracture
faciale bilatérale - ), 3, 4, 5 ; Emaciation da
a marche dans la - ), 29 ; (Déformation de la main simu- lant une
contracture
dans la -), 30, 31. Mesmer (Documents satirique
is cette hémiplégie qui dure depuis trois ans ne s'accompagne ni de
contracture
ni d'exaltation des réflexes, au contraire. La
me à ses membres, on sent une résistance, une raideur, une sorte de
contracture
. La parole est un peu bredouilles, mais elle n'
tendance ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS». 33 à la
contracture
, altérations de la parole et de la vue, exagérati
-pied, le tibia, les cuisses, le long de la colonne vertébrale; une
contracture
permanente des muscles fléchisseurs du pied, un
taient les caractères suivants : chute, sans perte de connaissance,
contracture
des quatre membres, avec flexion des doigts dan
e espèce d'aura, qui permettait de les prévoir. La trépidation avec
contracture
qu'il était toujours très facile de faire appar
qui était apparu vers l'époque où le malade entra à l'hôpital, une
contracture
douloureuse des divers muscles de l'abdomen ave
guéri. L'abolition de l'odorat et du goût est toujours complète. La
contracture
des extenseurs des pieds n'a pas diminué, les L
éanmoins constatées à plusieurs reprises. Il n'y a pas la moindre
contracture
ni le moindre phénomène spasmodique. Les modifi
malade n'était pas endormi. On en conclut qu'il ne s'agit pas d'une
contracture
, mais d'un raccourcisse- ment des tendons fléch
rquer de plus la coïncidence, sur une même main, de l'oedème, de la
contracture
et du tremblement. Ceci corrobore la propositio
Tourette et Dutil : « L'oedème se superpose presque toujours à une
contracture
ou à une paralysie d'un membre. » Nous eussio
e hystérique, avec grandes attaques à trois périodes, atta- ques de
contracture
, et portant tous les stigmates de la névrose, rét
am-tam. Immédiatement, la malade tombe dans une violente attaque de
contracture
. Nous lui faisons reprendre ses sens en comprim
ous lui faisons reprendre ses sens en comprimant l'ovaire, mais les
contractures
persistent, ainsi que nous l'avions déjà mainte
dant qu'elle nous faisaitce récit, conservant toujours les diverses
contractures
qui lui restaient de son attaque, la malade, ceci
e-même toute drôle, comme ivre. Quelques massages eurent raison des
contractures
qui persistaient. La malade revient alors progr
rhythmée, attaques de délire durant jusqu'à dix jours, paralysies,
contractures
, etc. Le 16 mars 1890, nous l'hypnotisons par l
is on voit peu à peu son pied droit se placer dans l'altitude d'une
contracture
du muscle tibial antérieur (Pl. VI, fig. 3).
chloroforme sont réservées généralement pour faire disparaître les
contractures
plus ou moins persistantes). Alcool. - Elle fai
int de vue mental, fut sllrprising and grali ? ig. (.V. D. L. R.)
CONTRACTURE
VOLONTAIRE CHEZ . UN HYSTÉRIQUE La contracture,
ig. (.V. D. L. R.) CONTRACTURE VOLONTAIRE CHEZ . UN HYSTÉRIQUE La
contracture
, qu'elle soit, vraie; organique, ou provoquée par
emblé intéressant de rapporter le cas suivant qui est un exemple de
contracture
provoquée volontairement, et qui présentait que
. PL. X PHOTOTYPE Négatif HUREL Photocollographi CHÊNE ET Longuet
CONTRACTURE
VOLONTAIRE CHEZ UN HYSTÉRIQUE TEMPS DE PRÉPARAT
. PL..1 PHOTOTYPE Négatif HUEL PHOTOVOLLOGRAPHIH Chêne ET LONGUET
CONTRACTURE
VOLONTAIRE CHEZ UN HYSTÉRIQUE LECROSNIER &
RE VOLONTAIRE CHEZ UN HYSTÉRIQUE LECROSNIER & BABÉ ÉDITEURS
CONTRACTURE
VOLONTAIRE CHEZ UN HYSTÉRIQUE. 101 façon à ce q
a main forme la griffe (PI. XI). Le temps nécessaire pour que celte
contracture
se produise est de dix à quinze secondes. , D
tate que les muscles de la main et de l'avanl- bras sont absolument
contractures
et que la contracture va en dimi- nuant de l'ex
la main et de l'avanl- bras sont absolument contractures et que la
contracture
va en dimi- nuant de l'extrémité du membre à sa
ent libres des deux côtés. Les fléchisseurs des doigts sont durs,
contractures
, mais moins que les extenseurs. Ils ont une con
s du pli du coude on note en effet, E ! 6 cent. 11-2 à gauche (bras
contracture
) et 25 centimètres à droite. Le biceps et le
imètres à droite. Le biceps et le brachial antérieur sont nettement
contractures
, mais le triceps, est tout à fait normal. Le de
faisceau clavicnlairc du grand pectoral sont. également légèrement
contractures
. /La contracture à l'avant bras est telle qu'on
rc du grand pectoral sont. également légèrement contractures. /La
contracture
à l'avant bras est telle qu'on ne peut, détermine
tendons. Mais le tremblement alcoolique est augmenté. Cet état de.
contracture
peut être maintenu aussi longtemps que l'on veu
igue, pendant plus d'une heure par exemple. Pour faire cesser cette
contracture
il place son avant-bras en prona- lion forcée,
rable du côté qui a été contracturé. Le sujet peut reproduire la
contracture
aussi souvent qu'on le lui demande, et indiffér
de 'quelque temps des crampes qui l'empêchent de continuer. Cette
contracture
, qui se développe dès qu'il fait un effort assez
e les plus forts gymnasiarques. Dans cette situation en effet il se
contracture
et se maintient dès lors sans effort. Le faible d
alents et voici encore un autre exercice du même genre. Mais ici la
contracture
porte sur les muscles abdominaux. Il contracte
, %ti HOTOTYPE NfGATii* HTJREL ? HOTOCOLLOGRPHJE Chêne ET LONGUET
CONTRACTURE
VOLONTAIRE DU DIAPHRAGME CHEZ UN HYSTÉRIQUE L
DIAPHRAGME CHEZ UN HYSTÉRIQUE LECROSNIER & BABÉ ÉDITEURS
CONTRACTURE
VOLONTAIRE 1 : 111;7. UN ILYS'fI;NIQUE. 108 ces
TURE VOLONTAIRE 1 : 111;7. UN ILYS'fI;NIQUE. 108 cesser cet état de
contracture
, il agit lentement. La masse intestinale redesc
ant une fois que l'intestin est ainsi remonté on n'observe guère de
contracture
que dans les droits antérieurs, tandis que les
e spéciale. Il était intéressant de rechercher aussi la diathèse de
contracture
. Mais contre notre attente, malgré les divers p
e rapportée à plu- sieurs points de vue. Tout d'abord à cause de la
contracture
qu'il FiG. ? Tracé pneumographiquc de la respir
ion du thorax. Tracé pneumograpliiquo de la respiration abdominale.
CONTRACTURE
VOLONTAIRE CHEZ UN HYSTÉRIQUE. 105 peut détermi
e soit en quelque sorte volontaire : c'est celui dans lequel cette-
contracture
et le relâchement des muscles antagonistes sont u
nuer une douleur amenée par une lésion, par exemple dans le' cas de
contracture
en flexion du genou dans les inflammations de cet
ement parler,' n'est-elle pas volontaire.' Chez les hystériques les
contractures
surviennent spontanément ou sont' provoquées pa
abituels n'a réussi chez lui à mettre en évidence cette diathèse de
contracture
et c'est l'effort volontaire seul qui la révèle.
fortement un objet ou font un effort brusque. Mais dans ces cas la
contracture
survient involontairement, et disparait plus ou
effort d'une certaine durée (10 à 15 secon- des) pour provoquer la
contracture
, mais elle disparaissait brusque- ment. L'auto-
r une partie de son corps, cette partie change de volume. » .. La
contracture
qu'il présentait offre aussi d'autres particulari
antagonistes étaient peu pris comparativement aux extenseurs où la
contracture
était au maximum. Enfin il n'y avait aucune ten
ximum. Enfin il n'y avait aucune tendance à la généralisation de la
contracture
et si longtemps que le sujet la fit durer, les
sujet la fit durer, les muscles du bras ne se prenaient pas, et la
contracture
atteignait d'emblée son maximum. Elle présentai
t donc des'différences notables avec les caractères classiques delà
contracture
spasmodique des hystériques, et se rappor- chai
xiii. PHOTOTYPE Négatif- HURLL. PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne LONOUE7.
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE LECROSNIER & BASÉ ÉDITEURS C
en dehors ou dans la bouche. Elle participe d'ailleurs il l'élat dc
contracture
, carie malade la projette à peine en avant. Il.ne
s organiques de la moelle ». « J'ai vu, dit I-Iammond \ souvent des
contractures
hystériques qui duraient plusieurs mois, et j'en
ouia-Leite, Contribution (t l'élude de la paiulysie hystérique sans
contracture
(Revue de Médecine, 18b5). ÉTUDE DES SYNDROMES
ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 130 '1° Type de
contracture
au maximum; , 2° Type spasmodique vulgaire; 3
Au bout de ce temps, anesthésie dans le domaine du trijumeau droit,
contracture
intermittente des muscles de la face. Six mois
e phénomène du pied fait complètement défaut. Il n'y a pas trace de
contracture
. Aux membres supérieurs les réflexes tendineux
té. Il n'avait pas du tout de fièvre ; il dormait bien. Cet état de
contracture
persista sans se modi- fier pendant près de tro
eurs accidents intéressants : Eu 1887 il eut une seconde attaque de
contracture
généralisée qui dura huit jours et prit fin sub
izaine de jours. En novembre de la même année, troisième attaque de
contracture
qui dura quinze jours. En février 1889, à la su
sitent les actes de coudre, d'écrire, etc. Il n'y a pas de trace de
contracture
; les réflexes tendineux du poignet et du coude
. L'autre, sans jamais avoir présenté d'attaques, a eu une fois une
contracture
(forme hémiplégique gauche), contracture qui a du
ttaques, a eu une fois une contracture (forme hémiplégique gauche),
contracture
qui a duré deux mois et qui a disparu brusqueme
ndormir. Mais le lendemain, en se réveillant, il était complètement
contracture
. Son cou était raide, nous dit-il, il ne pouvait
n sens; ses membres étaient rigides, immobilisés en extension parla
contracture
, les avant-bras en pronation forcée, les poings
La perte des réflexes, l'absence de douleurs, de tremblement, de
contracture
, de troubles de la sensibilité, complètent le tab
e, caractérisée, d'autre part, par l'exagération des réflexes et la
contracture
; elle peut se rencontrer dans la polioencéphalite
TRAITEMENT CHIRURGICAL DES RÉTRACTIONS MUSCULAIRES succédant aux
contractures
spasmodiques J'ai déjà publié sur ce sujet en 1
urgicale- dans certains cas de rétraction musculaire succédant à la
contracture
spasmodique. Dans cette première publication
raction des muscles de la jambe et de la cuisse ayant succédé à une
contracture
due à une myélite transverse. La seconde obse
mbes, sont actuel- lement guéries et marchent facilement. UNS. I.
Contracture
des muscles postérieurs de la cuisse succédant
est complètement guérie (fig. z , OBs. II. Myélite transverse avec
contracture
des muscles de la cuisse. Rétraction musculaire
gauche et gagna la région des reins. En même temps apparaissait une
contracture
très prononcée des muscles des deux jambes et d
on. Les pieds étaient dans l'extension. Cet état de douleur et de
contracture
se prolongea jusqu'en juin 1889. A cette époque
, cause de ces accidents, était guérie; il admit aussi que, à cette
contracture
des mus- cles avait succédé un certain degré de
n, la déviation possible d'une commis- sure (asymétrie congénitale,
contractures
on paralysies de causes diverses), la saillie t
s antérieures ou coexistantes (paralysie infantile, amyotrophies ou
contractures
de causes diverses, coxalgie), vous pourrez tro
e bientôt confinée au lit. Au mois de mars se produit lentement une
contracture
de tous les muscles du membre inférieur gauche,
ntale. Le sommeil chloroformique fait entièrement disparaître cette
contracture
, qui se reproduit aussitôt après le réveil. Malgr
ésie, sur- viennent de la tympanite, de la rétention d'urine et une
contracture
du membre inférieur. Les caractères, le mode de
caractères, le mode de début de ces accidents, la présence de cette
contracture
sur un côté du corps qui est le siège des stigm
ant à l'accident initial, survient une paraplégie bientôt suivie de
contracture
. Vingt mois après, elle se complique d'une para
re on observe des différences notables dans l'impotence motrice; la
contracture
a disparu brusquement après avoir été absolue p
légie datant de dix-1kuf ans, compliquée de rétention d'urine et de
contracture
tardive. Guérison. Ces. XLI (inédite) (Due il l
ie spasmo- dique et bien que contrairement à ce qui a lieu dans les
contractures
hysté- riques, il n'y ait pas rigidité au maxim
semaines. Vue à cette époque par mon ami Poulalion, elle avait une
contracture
du genou gauche avec hyperesthésie cutanée et név
où, quand tout se fut calmé, on constata, outre une paraplégie avec
contracture
et douleurs vives au niveau des genoux, des tro
rie infantile. La planche XIV donne une repro- duction exacte de la
contracture
du jeune D.... Elle est la reproduction photograp
. i, PHOTOTYPE Négatif A. LONGE. PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne LONGUET.
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE LECROSNIER & BABÉ ÉDITEURS É
ation thoracique. A vingt-cinq ans, accès épileptiques. Pieds bots.
Contracture
de la jambe gauche. Thorax aplati dans sa parti
tion d'un désordre neuro-musculaire qui n'est ni la paralysie ni la
contracture
et qui cependant lient de l'une et de l'autre.
uvent avec un affaiblissement marqué de la motilité; il tient de la
contracture
en ce qu'il la renferme en puissance pour ainsi
e apparaître. J'ajouterai qu'elle disparaît de même. La diathèse de
contracture
existe en dehors de l'hystérie. Elle a été dési
uvrage de notre collaborateur Paul Richer sur les Paralysies et les
contractures
hystériques qui doit paraître très prochainemen
iques (1878), a le premier employé la dénomina- tion de diathèse de
contracture
pour désigner, l'état nerveux dont il s'agit et d
ants : Brissaud et Ch. nichet, Faits pour servir à l'histoire de la
contracture
, in Prog. méd. 1880. · Ballet et Delanef, De
Prog. méd. 1880. · Ballet et Delanef, De l'état d'opportunité de
contracture
, in Gaz-, méd. de Paris, °-9 juillet 1882. Br
Brunet, Elude clinique et physiologique de l'état d'opportunité de
contracture
. Th. Paris, 1883. Charcot et Richer, Diathèse
é de contracture. Th. Paris, 1883. Charcot et Richer, Diathèse de
contracture
chez les hystériques, Société de Biologie et Pr
ologie et Progr. met., déc. 1883. Pierre Descubes, Eludes sur les
contractures
provoquées chez les hystériques à l'état de vei
état de veille. Th. Bordeaux, 1885. P. Berbez, Sur la diathèse de
contracture
, in Progr. méd ? 188G, p. 835. Pitres, Leçons c
sur l'hystérie, 1891, t. 1", p. 377. DIATHÈSE DE CONTRACTURE. 345
contracture
. C'est elle que M. Brissaud a décrite chez les hé
décrite chez les hémiplégiques d'origine organique sous le nom de «
contracture
latente ». Ce qui suit s'applique particulièrem
latente ». Ce qui suit s'applique particulièrement à la diathèse de
contracture
de nature hystérique. Ses principaux caractèr
ineux. C'est là un signe constant. Je n'ai jamais vu la diathèse de
contracture
coïncider avec la perte des réflexes tendineux.
exes tendineux ne comporte pas nécessairement l'état de diathèse de
contracture
. 2° Trépidation épileptoïde (Phénomène du pied)
du pied). Ce phénomène existe, mais il est rare dans la diathèse de
contracture
hystérique. Il acquiert une importance beaucoup
acquiert une importance beaucoup plus considérable dans l'état de
contracture
latente des hémiplégiques organiques. Dans l'hyst
et puis l'avant-bras se fléchir. D'ailleurs, il ne s'agit pas là de
contracture
permanente, car toute action musculaire dispara
a secousse musculaire montrent que chez les sujets prédisposés à la
contracture
on observe souvent une défor- m. 23 346 NOUVE
b. Quelquefois une seule secousse faradique suffit pour produire la
contracture
permanente. Dans ce cas, la descente de la courbe
répéter un certain nombre de fois les chocs faradiques pour voir la
contracture
perma- nente se développer progressivement. La
voir la contracture perma- nente se développer progressivement. La
contracture
ne commence à lm. G6. se produire qu'après qu
que le représente le schéma (fig. 65). Dans cette circonstance, la
contracture
ne se limite pas au muscle directement excité :
tout ce membre par l'extrémité duquel elle débute d'ordinaire. 4°
Contractures
provoquées. La contracture peut être provoquée
té duquel elle débute d'ordinaire. 4° Contractures provoquées. La
contracture
peut être provoquée par les procédés les plus v
SALPÊTRIÈRE. moi, pour désigner ces deux variétés de la diathèse de
contracture
*. La variété de diathèse de contracture dans la
variétés de la diathèse de contracture*. La variété de diathèse de
contracture
dans laquelle les procédés de la première catég
st la variété léthargique. Le mélange des deux n'est pas rare. La
contracture
une fois produite revêt tous les caractères de la
Il ne diffère qu'avec le degré de développement de la dia- thèse de
contracture
elle-même. C'est ainsi que dans les cas légers ou
elle-même. C'est ainsi que dans les cas légers ou rudimentaires la
contracture
est peu intense, elle cesse bientôt d'elle- mêm
at cata- leptoïde ou fausse catalepsie. Mais lorsque la diathèse de
contracture
existe bien accentuée, les contractures provoqu
Mais lorsque la diathèse de contracture existe bien accentuée, les
contractures
provoquées sont fort tenaces, très intenses et
à l'exci- tant diffère suivant les cas. C'est ainsi que parfois la
contracture
ne se localise pas à la région directement exci
contre, on observe d'autres fois une localisation remarquable de la
contracture
aux muscles directement excités, comme cela se
traction paradoxale=. Enfin sur des sujets récemment délivrés d'une
contracture
spontanée et étant encore en état de diathèse d
d'une contracture spontanée et étant encore en état de diathèse de
contracture
, nous avons observé d'une façon constante que l
et d'immobi- liser les parties dans l'attitude exacte de l'ancienne
contracture
. On ne 1. Communication à la Société de biologi
démonstration de la nature réflexe de tous ces phénomènes. Cette
contracture
, de même que celle provoquée pendant l'état hyp
la main par exemple, pouvait cesser sous l'influence d'une nouvelle
contracture
produite du côté opposé, à l'autre main, à la c
ois qu'elle intéressât .exactement le même domaine musculaire. La
contracture
produite par un procédé peut céder sous l'influen
massage en ont souvent raison. Mais il n'est pas rare de voir 'une
contracture
ne pouvoir être résolue que par un procédé de m
procédé de même ordre que celui qui l'a produite. Par exemple, une
contracture
par massage musculaire ne sera réduite que par
re ne sera réduite que par le massage des muscles antagonistes, une
contracture
par souffle sur la peau ne sera réduite que par
le souffle appliqué de nou- veau sur la face opposée du membre, la
contracture
par suggestion ne cédera que sous l'influence d
tique qui nous offre au plus haut degré cette prédispo- sition à la
contracture
dans deux de ses phases, la phase léthargique et
s de cette sorte de spécificité du procédé employé pour détruire la
contracture
provoquée. J'en rapporterai ici un exemple bien
affirmant à haute voix, que ses doigts se ferment et que sa main se
contracture
. En même temps que cette affirmation impression
ataleptique, et l'on peut constater qu'il s'agit là d'une véritable
contracture
qui immobilise tous les doigts dans la flexion fo
ifi- cation dans la motilité et dans la sensibilité des parties. La
contracture
per- siste toujours dans les mêmes conditions.
tions. L'aimant est retiré. , La malade est endormie de nouveau. La
contracture
persiste toujours. Pendant l'état léthargique,
es doigts restent toujours fermés de la même façon et les nouvelles
contractures
provoquées en vertu de l'hypcr- excitabilité ne
sculaire, spéciale de l'état léthargique sont sans influence sur la
contracture
existante, et produite par impression psychique
ique a disparu, mais les excitations cutanées légères produisent la
contracture
qui peut être détruite par des excitations de m
de même nature. Les nouveaux procédés pour provoquer ou détruire la
contracture
demeurent sans efficacité contre la contracture d
quer ou détruire la contracture demeurent sans efficacité contre la
contracture
du poing fermé de notre sujet. Enfin, le suje
sur sa main fermée et on affirme que les doigts s'ouvrent et que la
contracture
disparait. En même temps on voit les doigts s'éte
emps on voit les doigts s'étendre peu à peu, la main s'ouvrir et la
contracture
cesser complètement. La malade est réveillée, i
esser complètement. La malade est réveillée, il n'y a plus trace de
contracture
: les ongles ont marqué fortement leur empreint
que la malade dit être douloureuse. Pendant l'état léthargique, la
contracture
de la main en flexion est pro- duite par l'exci
l'état cataleptique. La suggestion est impuissante a résoudre cette
contracture
. Le regard du sujet a beau être attiré sur sa mai
tiré sur sa main fermée, on a beau suggérer que la main s'ouvre, la
contracture
ne bouge pas. La malade est réveillée et la c
ouvre, la contracture ne bouge pas. La malade est réveillée et la
contracture
persiste. L'application de l'aimant près de la
main non contraclurée produit très rapidement le trans- fert de la
contracture
. Ensuite la contracture est détruite par le retou
roduit très rapidement le trans- fert de la contracture. Ensuite la
contracture
est détruite par le retour à l'état léthargique
t l'excitation des antagonistes. Pendant la phase somnambulique, la
contracture
de la main en flexion est obtenue par des passe
ure de la main en flexion est obtenue par des passes. Au réveil, la
contracture
persiste. Essai infructueux de transfert par l'
t léthargique, l'excitation mécanique des muscles ne détruit pas la
contracture
. Le poignet comme précédemment se- fléchit ou s
gard est attiré sur la main et la suggestion vient il bout de cette
contracture
obtenue par les passes pendant l'état som- DIAT
ue sa main s'ouvre et en même temps les doigts se défléchissent, la
contracture
disparaît. Je sais que les cas aussi nets et au
ls éclairent les autres. Dans l'état de veille, dans la diathèse de
contracture
, des phéno- mènes analogues à ceux que je viens
e compte, pour une part toutefois, de la résistance qu'opposent les
contractures
spontanées aux différents procédés qu'on leur o
ntanées aux différents procédés qu'on leur oppose. La diathèse de
contracture
n'existe pas dans tous les cas d'hystérie, tant
proportion suivante. Sur 70 sujets, dont 97 hommes et 43 femmes, la
contracture
s'est manifestée sur 19 hommes et sur 33 femmes,
ficace dans un cas où nous avons vu en quelque sorte la diathèse de
contracture
se déve- lopper sous nos yeux ; après la contra
la diathèse de contracture se déve- lopper sous nos yeux ; après la
contracture
par massage musculaire est survenue la contract
yeux ; après la contracture par massage musculaire est survenue la
contracture
par froissement des nerfs, et ce n'est qu'ensuite
ontracture par froissement des nerfs, et ce n'est qu'ensuite que la
contracture
a suivi le choc répété des tendons. La diathèse
e la contracture a suivi le choc répété des tendons. La diathèse de
contracture
est générale ou partielle. Elle existe il un ég
Les parties anesthésiées sont seules parfois en état de diathèse de
contracture
. D'autres fois, il est vrai, la diathèse de con-
es. Ainsi, chez une de nos malades hémianesthésique, la diathèse de
contracture
était générale et on observales coïncidences su
ces suivantes : lorsque l'hémi- anesthésie disparut, la diathèse de
contracture
de générale devint hémilatérale et se localisa
s tard, lorsque la malade redevint hémianesthésique, la diathèse de
contracture
envahit de nouveau les deux côtés du corps. J'a
ALPÊTRIÈRE. parle d'un état de parésie hystérique s'accompagnant de
contracture
temporaire provoquée par une émotion, une excit
ière réflexe, et qui se rapporte évidemment à l'état de diathèse de
contracture
. Il cite l'observation d'une malade dont le mem
plusieurs heures. Chez elle il existait depuis plus d'une année une
contracture
des muscles extenseurs du pied sur la jambe.
cture des muscles extenseurs du pied sur la jambe. La diathèse de
contracture
, lorsqu'elle est générale, est rarement égaleme
et les inférieurs. Dans les cas où les deux variétés de diathèse de
contracture
coexis- tent, il peut arriver qu'elles ne sont
profondément avec perte du sens du tact et du sens musculaire : la
contracture
pouvait être provoquée par tous les procédés en
is que du côté gauche, qui avait conservé sasensibilité normale, la
contracture
, variété léthar- gique, pouvait seule être prov
'auparavant. M. Pitres a signalé des cas analogues dans lesquels la
contracture
par souffle était obtenue sur des membres compl
singuliers que ceux dans lesquels le massage musculaire produit la
contracture
sur un membre qui a perdu toute trace de sensibil
ralisée et absolue, dans lesquels les deux formes de la diathèse de
contracture
étaient développées au plus haut point. D'un
développées au plus haut point. D'un jour à l'autre, la diathèse de
contracture
peut subir des varia- tions d'intensité. La con
diathèse de contracture peut subir des varia- tions d'intensité. La
contracture
n'est pas toujours provoquée avec une égale fac
nstitue une aggravation de la maladie. Elle prépare le terrain à la
contracture
spontanée qui se montre fréquem- ment et consti
ment et constitue en quelque sorte un phénomène avant-coureur de la
contracture
permanente. De même après la guérison de la contr
me après la guérison de la contrac- ture permanente, la diathèse de
contracture
persiste encore quelque temps et sa présence re
pa- rition est le signe de la guérison définitive. La diathèse de
contracture
se développe spontanément sans cause appréciabl
ment sans cause appréciable. Parfois au contraire l'existence d'une
contracture
localisée à un membre suffit pour la faire appa
émiplégique du côté de la con- tracture primitive. La diathèse de
contracture
, au même titre que l'amyosthénie et l'anesthési
et de douleur dans la nuque. Le 25, vomissements, cris de douleur,
contractures
, fièvre, 40°, durant plusieurs jours. On diagno
lorachis, l'hématomyélie, débutent brusquement, s'accom- pagnent de
contractures
, de convulsions, d'excitations. Le diagnostic,
, signalé incidemment l'atrophie musculaire sur un membre frappé de
contracture
hystérique. Dans son remarquable mémoire, M. Ba
ue peut quelquefois envahir des membres indemnes de paralysie ou de
contracture
. Géné- ralement alors elle semble envahir de pr
t conlracturées et toutes les frictions n'ont pu triompher de cette
contracture
. Le lendemain, les mains étaient dans le même é
ièrement fermés, les poignets inflexibles. Au bout de deux mois, la
contracture
à cédé peu à peu, plus tôt et plus faci- lement
été obligée de cesser, sous peine d'avoir des attaques de nerfs. La
contracture
était accompagnée de quelques troubles vaso-mot
la nuit, peut-être à la suite d'une attaque, elle a été prise d'une
contracture
des deux mains qui, au bout de quelques jours,
z étrange, dans ces trois cas, l'amyotrophie a été précédée par une
contracture
des territoires musculaires des- 424 NOUVELLE I
me une possédée ». - Le lendemain on a constaté une hémiplégie avec
contracture
du côlé droit : l'avant-bras était fléchi sur l
, àl'àe de seize mois, lorsque sa fille a com- mencé il marcher, la
contracture
n'existait pas et que, dans la première enfance
ents d'oreilles, de palpitations et dc nausées. z Ces attaques de
contracture
précédées d'aura et généralisées ne res- semble
ons survenues à l'Age de huit mois et suivies d'une hémiplégie avec
contracture
en semblent bien indépendantes; les accès d'épi
ées d'une aura et caractérisées par la perte de connaissance et les
contractures
passagères. Elle reven- dique, et c'est là le p
court adducteur du pouce. d. Membre inférieur droit. -Abolition des
contractures
faradiques dans tous les -muscles, sauf le vast
e la névrose. C'est tantôt sur un membre affecté de paralysie ou de
contracture
, tan- tôt sur une région anesthésique ou hypel'
en, général, dit M. Charcot, avec les phénomènes locaux vulgaires,
contractures
, paralysies, qu'il accom- pagne.» Le massage, l
e d'évêque guérissant les -, par Gilles de la Tou- rette, lui7.
Contracture
(Diathèse de -), par P. Richer, 331,L. Epilep
ulique du grand - ), par G. Guinon et S. \Yoltke, 77. Hystérique (
Contracture
volontaire chez un - ), 17;rSollier et lIalaper
Hystérique (Amyotrophie -), -10, 41; con- tractnrc-, 14 (p. 324);
contracture
volon- taire chez un -, 10, 11, 12, 13; hémis-
echerches sur les lésions du centre ovale. Paris, 1877. 2 Brissaud.
Contracture
permanente des hémiplégiques. Paris, 1880, p. 2
no- mène qui consiste on une aptitude particulière du muscle à la
contracture
sous l'influence de l'excita- tion mécanique et
intimes qui font de l'exaltation des réflexes tendineux et de la
contracture
musculaire des faits de même ordre, on ne sera
e l'hypnotisme, les réflexes tendineux 1 Dans ces recherches sur la
contracture
provoquée pendant l'hypnotisme, nous avons tenu
réflexes tendineux, dont il devient, dans le cas particulier où la
contracture
suit l'excitation du tendon, comme une nouvelle
s longue, elle marche vers le tétanisme et tend à se transformer en
contracture
. y) La contraction devient permanente. Le choc
ture. y) La contraction devient permanente. Le choc a provoqué la
contracture
. Rarement un seul choc amène ce résultat; mais,
Rarement un seul choc amène ce résultat; mais, le plus souvent, la
contracture
est facilement obtenue à la suite de plusieurs
orme en plateau; c'est un tétanos de courte durée, l'esquisse de la
contracture
. Mais ces deux modes de l'exaltation des réflex
-peu violent produit d'emblée la con- tracture permanente. y) La
contracture
permanente est également provo- quée par la rép
eurs chocs légers, et elle se développe alors progressivement. La
contracture
ainsi produite ne subit pas un accrois- sement
ible et répétée. Tous deux conduisent au même résul- tat qui est la
contracture
permanente, mais par des procédés un peu différ
de la contraction réflexe qui suit le choc du tendon. Tendance 6 la
contracture
. Tracé I. Pendant la veil'e, choc sur les tendo
ture permanente. Un choc, même mo- déré, produit d'em- blée la
contracture
. Pour obtenir une simple contraction, il fa
Z LES HYSTÉRIQUES. 49 res, on arrive également très rapidemont à la
contracture
ainsi que le prouvent les tracés de la Fig. 3 e
) irradiation du réflexe, chez Cail... ; b) tendance à la 4 Fi. ?
Contracture
par choc tendineux pendant la léthargie. Ii b.,
(Vitesse moyenne) ÉTUDE LL LHII'\OI'IIt. CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 51
contracture
et contracture confirmée, chez Witt... Mais, ai
e) ÉTUDE LL LHII'\OI'IIt. CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 51 contracture et
contracture
confirmée, chez Witt... Mais, ainsi que nous l'
que celle du triceps crural, offre une tendance mani- feste à la
contracture
. " Dans une autre expérience, sur la nommée Cai
avons vu, à la suite de chocs répétés sur le ten- don rotulien, la
contracture
se confirmer peu à peu et finalement, s'établir
été directement portée. En même temps que le membre inférieur se
contracture
dans l'extention forcée, on voit le membre supé
légèrement, le poing rig. 6- Diffusion du réflexe et tendance ii la
contracture
pendant la léthargie . J9&.,Bice))S brachia
début de la grande attaque hystérique. Dans le cas qui précède, la
contracture
qui a suivi la percussion du tendon rotulien es
propagation de l'exci- tation peut dépasser la ligue médiane et la
contracture
, qui en est la conséquence, s'étendre aux quatr
OGIE PATHOLOGIQUE. En répétant les chocs sur le tendon rotulien, la
contracture
permanente de la jambe ne tarde pas à s'établir
isa- tion dans l'extension complète. Nous remarquons alors que la
contracture
n'est pas demeu- rée localisée au seul membre d
de la nuque. En résumé, il s'est produit là une sorte d'attaque de
contracture
généralisée. Cette contracture disparait facile
produit là une sorte d'attaque de contracture généralisée. Cette
contracture
disparait facilement par la friction des partie
te du choc répété sur le tendon rotulien, nous avons fait cesser la
contracture
d'un même coup partout à la ibis, au moyen d'un
oc répété sur les tendons de la face palmaire du poi- gnet amène la
contracture
des deux bras dans la demi-flexion. Les membres
uence du choc sur le tendon présente une tendance marquée vers la
contracture
. La contracturepermanente estle plus souvent ob
on des réflexes tendi- neux : diffusion du réflexe et tendance à la
contracture
. La diffusion des réflexes se rencontre souvent
ute l'étendue des centres et la contraction réflexe, de même que la
contracture
, se généralise. Au con- traire, chez les malade
uffit du plus léger choc tendineux pour produire immédiatement la
contracture
localisée, et dans ce cas l'excitation n'est pa
. Au résumé, le choc est un mauvais procédé de loca- lisation. La
contracture
suit également d'autres procédés d'excitation m
ue nous allons étudier maintenant, ont pour résultat de produire la
contracture
plus sûrement que l'excita- tion par choc et d'
une série de secousses musculaires, sans tendance manifeste vers la
contracture
, la malaxation ou la friction un peu prolongée
peu prolongée de ces mêmes tendons, pro- voquer assez facilement la
contracture
permanente. ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYST
s cas où le choc tendi- neux était suivi de la généralisation de la
contracture
, la malaxation du tendon a produit la contractu
éralisation de la contracture, la malaxation du tendon a produit la
contracture
locale. Mais c'est principalement sur les sujet
hoc, au double point de vue de la précision et de l'intensité de la
contracture
. Chez ces sortes de malades on réussit à provoq
eu prolongée qu'elle soit, ne saurait produire autre chose qu'une
contracture
. Il en résulte que, pour la pro- duction de la
qu'une contracture. Il en résulte que, pour la pro- duction de la
contracture
réflexe par excitation tendi- neuse, non seulem
el elle Été maintenue. On voit par la courbe (I1'a. 7) que la
contracture
met plus de temps à se produire que par le ch
ui-là seulement s'étende, maintenu dans cette situation par une
contracture
ÉTUDE DE ciilz LES HYSTÉRIQUES. -)9 permanent
n. Le tracé suivant (Fig. 8) montre en effet que, dans ce cas, sa
contracture
se produit plus rapidement et plus brusquement.
ée de la pression. Nous pouvons conclure de ce qui précède que la
contracture
qui suit le choc sur le tendon et celle qui est
point, sont des phénomènes de même ordre. Nous avons montré que la
contracture
qui suit le choc tendineux n'est qu'une modalit
nouvelles méthodes thérapeutiques (déplacement des paralysies, des
contractures
, etc.). Elle a permis d'étendre considérablemen
Nozcveaze procédé de métallothérapie externe (Progrés nzc'd., 4878.
Contracture
traitée par l'aimant, l'électricité statique et
phénomène que l'auteur a quali- fié de paradoxale cette variété de
contracture
provoquée. Erlenmeyer ' n'admet pas que le relâ
ement d'un muscle puisse jamais être une cause de contraction ou de
contracture
. Il croit que dans le cas particulier de la con
ction ou de contracture. Il croit que dans le cas particulier de la
contracture
du tibial antérieur, l'excitation réside dans l
s deux symptômes appartiennent, avec les réflexes tendi- neux et la
contracture
, à une catégorie de manifestations morbides imp
alaxation ou la simple pression des masses musculaires amenait la
contracture
des muscles excités. Mais, dans ce cas, la cont
amenait la contracture des muscles excités. Mais, dans ce cas, la
contracture
est-elle la conséquence de l'excitation di- rec
sons que nous exposerons plus loin, nous inclinons .à penser que la
contracture
est ici, comme ailleurs, le résultat d'une exci
e excitation nerveuse de nature réflexe. . Quoi qu'il en soit, la
contracture
qui suit l'excitation mécanique du muscle est f
pression sur un point de ses fibres, pour que ce muscle entre en
contracture
, imprimant à la tête le mouve- ment de rotation
côté opposé au muscle directement excité. Pour faire cesser cette
contracture
, il suffit de porter une semblable excitation s
L'excitation portée sur un point, même limité, du muscle produit sa
contracture
en masse (tandis qu'à l'aide de la faradisation
cter isolément les différents faisceaux d'un même muscle). b). La
contracture
d'un muscle, provoquée dans ces conditions, ent
traire, prend alors l'attitude physiologique, trahissant ainsi la
contracture
simultanée des muscles synergiques, trapèze et
e différence toutefois que la contrac- tion était remplacée par une
contracture
. Tantôt, nous faisions l'expérience inverse, et
n-similitude du résultat obtenu : contrac- tion avec l'électricité,
contracture
dans les cas d'hyper- excitabilité. Mais, ceci
rexcitabilité, ne donne lieu qu'à une contraction et non plus à une
contracture
; b) Du degré de localisation de l'excitant dan
te pas d'ordinaire après l'excitation et ne se transforme jamais en
contracture
permanente. Ce mode de réaction des muscles de
tout si l'on a un peu insisté, mais elle ne se transforme jamais en
contracture
. Le muscle peaussier est celui dont la contract
e à l'expression de la physionomie. Nous savons d'ailleurs que la
contracture
des muscles des membres obtenue par les mêmes p
y.. IJ'iw i'1 r,i w(I,LÎ1 ? i.} Il. DE QUELQUES CARACTÈRES ' DE L'A
CONTRACTURE
'PRO- YUQUÉE DANS' L'ÉTAT >D'HYPEREXCITABIL1
111 r ! i ? 1,11''3(,ni It· 1., 1 it UIIy ,1 1, *1 '1 111, J'' . La
contracture
musculaire -provoquée par l'excita- tion mécani
insistant que-sur quelques; particularités de détail. ' ? ' a) La
contracture
cède à l'excitation des antagonistes. 206 PHYSI
1 1 o i /H i * à %Is 'l'iljj 'I' V , P7 ' « 'il 11 La
contracture
ainsi pro- voquée pendant l'état hyp- notique
écise. Portée sur la masse des extenseurs, elle fait cesser nia
contracture
partielle de n'importe quel muscle né- chisse
e ^ s'adresse' pas directement au,hmuscle antagoniste du muscle
contracture
, au lieu de -faire cesser la'contrac- ture pr
c- ture première ? elle peut don- iiernaissancelà une seconde '
contracture
localisée.' '' Cette ' action - d'arrêt de ! l'
que-pendant la ' léthargie, elle''est'impuis- i santé' contre la
contracture
.qui persiste 'pendant l'état i cataleptiquem
u poignet amènent la flexion forcée de ce segment du membre, avec
contracture
permanente des muscles excités. En F,, friction
des muscles excités. En F,, friction des muscles antagonistes, la
contracture
cède, rapidement, et le membre reprend l'attitu
re reprend l'attitude qu'il avait au début de l'expérience. b) La
contracture
persiste après le réveil. Trois cas peuvent se
re persiste après le réveil. Trois cas peuvent se montrer : 1° La
contracture
provoquée persiste tant que dure le sommeil, el
, 2° Si la malade est' réveillée pendant l'état léthar- gique, la
contracture
disparaît aussitôt. Mais, si avant de réveiller
de réveiller la malade, on a-soin de la rendre catalep- tique, la
contracture
persiste pendant l'état de veille, avec la même
. Réveillée, même pendant l'état léthargique, la malade garde sa-
contracture
. - .. 1 Les contractures artificielles ainsi pr
t l'état léthargique, la malade garde sa- contracture. - .. 1 Les
contractures
artificielles ainsi provoquées, pré- sentent la
lles ainsi provoquées, pré- sentent la plus grande analogie avec la
contracture
permanente 'hystérique. Elles pourraient, persi
l'expérience au-delà de quelques heures. Pour faire disparate t ces
contractures
, il faut endormir de nouveau le sujet, et, pend
* ? 208 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. c) Transfert par l'aimant de la
contracture
localisée. La malade une fois endormie et ses m
écrite plus haut, la main, sous l'influence de cette excitation, se
contracture
, immobilisée dans une attitude caractéristique
et comme par degrés, l'attitude spéciale que leur avait imprimée la
contracture
, le pouce s'écarte, l'an- nulaire et le petit d
le médius demeurent étendus. Bientôt, le transfert s'est opéré, la
contracture
mus- culaire a cédé à droite pour envahir le cô
main droite est redevenue flaccide, et la main gauche, entrant en
contracture
, a pris l'attitude de la griffe cubitale, telle
en sens in- verse en quelque sorte, et après avoir fait passer la
contracture
de la main droite à la main gauche, nous plaçon
s l'aimant à proximité de la main droite dans le but d'y ramener la
contracture
en délivrant la main gauche. Ce retour s'opère
a figure 15, 7, l'index seul s'élève et demeure immobilisé par la
contracture
en extension forcée. L'attitude demi-fléchie de
peu pendant que l'index droit quitte par degrés l'atti- tude que la
contracture
lui avait imprimée et finit par retomber flacci
re lui avait imprimée et finit par retomber flaccide. En résumé, la
contracture
localisée, en vertu de laquelle l'index droit é
QUES. 21 t doigts et de la main. Cette attitude, maintenue par la
contracture
simultanée d'un certain - nombre de muscles, se
ion. - 1 Nous venons de constater le transfert par l'aimant de la
contracture
localisée due à l'excitation mécani- que du ner
nerf ou du corps musculaire lui-même. Il en est de même lorsque la
contracture
a été la consé- quence d'une excitation tendine
L'aimant est appliqué près de' la'màin' gauche., Le transfert de la
contracture
s'opère très*ra pidement. La main gauche est im
te, le relâchement à gauche ne laissait plus rien à désirer. ' d)
Contracture
localisée latente. Transfert de la contracture
en à désirer. ' d) Contracture localisée latente. Transfert de la
contracture
latente. MM. Brissaud et Ch. Richet ont déjà mo
Brissaud et Ch. Richet ont déjà montré, dans des recherches sur la
contracture
provoquée chez les hystériques, que l'anémie d'
' La malaxation d'un membre ainsi anémié ne déter- mine plus aucune
contracture
; mais, si l'on enlève la bande qui comprimait l
la bande qui comprimait la racine du membre, on voit aussitôt la
contracture
se produire d'elle-même, sans 'nouvelle excitat
rience est importante au point de vue de là nature de ces sortes de
contractures
, et nous y re- viendrons plus loin. Pour le mom
n mécanique portée sur un muscle ané- mié ne saurait y provoquer de
contracture
, mais n'en détermine pas moins dans ce muscle u
détermine pas moins dans ce muscle une disposition ''spéciale à la
contracture
, que MM. Brissaud etCh. Richet "désignent sous
ontracture, que MM. Brissaud etCh. Richet "désignent sous le nom de
contracture
latente, et qui ne 'demande pour se manifester
némie'et le retour avec la circulation de l'aptitude du muscle à la
contracture
. · ' -y.j '4 » - , , .. ,1 1 ' Proyrès tv Méd
HYSTÉRIQUES. 213 On connaît l'action spéciale de l'aimant sur les
contractures
, unilatérales et le déplacement de ces contract
imant sur les contractures, unilatérales et le déplacement de ces
contractures
, connu sous le nom de transfert. Bris- saud et
aud et Ch. Richet, ont observé, sur le membre. anémié et en état de
contracture
latente, les mêmes phénomènes que sur le membre
phénomènes que sur le membre contracturé. On voit, par exemple, la
contracture
latente du bras droit transférée, par l'applica
au bras gauche. Nous avons répété ces expériences au sujet de la
contracture
localisée et nous sommes arrivés à des résultat
lité, il suffit du plus léger attouchement pour faire apparaître la
contracture
. Dans la recherche de la contracture latente lo
ent pour faire apparaître la contracture. Dans la recherche de la
contracture
latente localisée, c'est là une cause d'er- reu
téristique de la griffe cubitale est manifeste et maintenue par une
contracture
muscu- laiêintéise ? ' "' " , ,fJ . , Comme d
e sont pas anémiés et n'ont pas, par là même, perdu l'aptitude à la
contracture
. (A suivre.) "t ? REVUE CRITIQUE 1 , 1 . 1
d'une façon formi- dable, avec perte de connaissance, convulsions,
contracture
et troubles passagers de l 'intelligence et de
um, vessie) sous l'influence de cette excitabilité réflexe entre en
contracture
(tunique musculeuse) ; la douleur est ultérieur
même, ordre; ainsi, parmi, les., contractions musculaires et les
contractures
, qui accompagnent, souvent, l'exagération- des r
mbres du côté paralysé, qui, de très bonne heure, avaient été pris de
contracture
, commencèrent à diminuer de volume, deux mois à p
ent. Le membre est dans la flaccidité complète, il n'y a pas trace de
contracture
, de rigidité, il n'est pas de siège de mouvements
admission dans mon service. Les mem-bres paralysés étaient fortement
contractures
; de temps à. autre, les diverses join-tures de ce
l'attaque apoplectique, c'est-à-dire au moment de l'appari-tion de la
contracture
tardive qui s'empare des membres para-lysés, mais
is assez prononcée pour donner l'idée d'une véritable paraplégie avec
contracture
. Chez deux femmes que je vous présentais tout à l
que, en opposition avec ce qui a lieu dans la paraplégie vraie, avec
contracture
, il n'existe pas, chez nos malades, ces tré-mulat
e symptômes insolites : symptômes tabétiques ; atrophie musculaire. —
Contracture
permanente. —Epilepsie-spinale. xWessieurs, N
mmobilisés, à une époque plus ou moins avan-cée de la maladie, par la
contracture
permanente. S'il est vrai que le tremblement se m
point, lorsqu'il s'agit pour elle de se lever ou de marcher. Cette
contracture
des membres inférieurs qui, aujourd'hui, est perm
t d'une lésion irritaiive des grandes cellules dites motrices (1 ).
Contracture
permanente des membres. Epilepsie spi-nale. — Il
embres. Epilepsie spi-nale. — Il est temps de revenir maintenant à la
contracture
des membres inférieurs qui, chez V..., constitue
moins longs. Plus tard, ils se rapprochent et, à un moment donné, la
contracture
permanente se trouve définitivement éta-blie. Lor
motrice progressive et dans quelques autres affections spinales. La
contracture
permanente des membres etl'épilepsie spinale ne d
nt et se prononcent encore pendant la seconde, et il s'y surajoute la
contracture
spasmodique des membres, avec ou sans accompagnem
ès absolue et confinés définitivement à la chambre ou même au lit. La
contracture
qui signale le début de cette période est unphéno
e de la parésie ou de la paralysie des membres, suivis tôt ou tard de
contracture
permanente. Le nystagmus, l'embarras de la parole
ication formelle à l'emploi de ce médicament serait l'existence de la
contracture
permanente, et surtout de l'épilepsie spinale : l
e calculeuse et l'ischurie hystéri-que . Observation. —Paralysie et
contracture
hystériques. — Hémianesthésie com-plète. — Hémiop
a situation actuelle ? Ce qui frappe tout d'abord chez elle, c'est la
contracture
énorme qui affecte les membres supérieur et infér
énorme qui affecte les membres supérieur et inférieur gauches. Cette
contracture
, qui ne cesse ni pendant le sommeil naturel, ni p
re circonstance, jointe à la rapidité avec laquelle s'est produite la
contracture
autorisa à déclarer, dans ce temps-là, qu'on n'av
ns : 1° une hémiplégie gauche, avec flaccidité du membre supérieur et
contracture
du membre inférieur, 2° une hômia-nesthésie et de
ns le même état, si ce n'est qu'une nouvelle attaque est suivie d'une
contracture
du membre supérieur gauche; et, lors de mes leç
ésenté cette malade comme un spécimen de la l'orme hémiplégique de la
contracture
hystérique (1). Dans le mois de mars 1871, une
remplace la flaccidité. En avril, nous avions donc sous les yeux une
contracture
aussi intense que possible des quatre membres, co
s yeux une contracture aussi intense que possible des quatre membres,
contracture
absolue, persistant nuit et jour, pendant le somm
une petite saignée. Pour ce faire, et en raison des obstacles que la
contracture
opposait à l'opération,il fut indispensable d'end
présomption : chez les hystériques, il est assez fréquent de voir des
contractures
de la langue, de l'œso-phage, etc., de longue dur
n entre l'hémianesthésie, l'hyperesthésie ovarienne, la parésie et la
contracture
. — Variabilité des symptômes dans l'hystérie. — V
ste ; elle est aussi très évidente en ce qui concerne laparésie ou la
contracture
des membres. Ainsi, lorsque la parésie ou la cont
arésie ou la contracture des membres. Ainsi, lorsque la parésie ou la
contracture
doivent survenir, c'est toujours du côté de l'hém
me en l'absence des convulsions. L'hémianesthésie, la paralysie, la
contracture
, les points douloureux fixes, siégeant sur dive
me bornerai à faire ressortir que l'hémia-nesthésie, la parésie et la
contracture
des membres occupe-ni le côté gauche, lorsque Yov
à prédominer du côté gauche les symptômes céphaliques de l'aura, la
contracture
des mem-bres, etc., offraient temporairement leur
2. Carré de Montgeron, loc. cil. 3. Bourneville et Voulet. — De la
contracture
hystérique permanente ; appréciation scientifique
irecte sur la plupart des symptômes permanents del'hystérie, tels que
contracture
, paralysie, hémianesthé-sie, etc. ; mais elle a u
ns à observer adroite une hémianesthésie, une dou-leur ovarienne, une
contracture
permanente, avec trépida-tion du membre inférieur
ation complète de cette malade dans: Bourneville et Voulet, — De la
contracture
hystérique permanente, Obs, yju, p, 41, démies
ez elle, d'une hémianesthé-sie,d'ovarie, de parésie et par moments de
contracture
des membres supérieurs et inférieurs, occupant
e paralysie de la vessie ; 3° une paralysie du pharynx ; 4°enfin, une
contracture
permanente plus ou moins prononcée de la langue.
cal, 1881, p. 941) et celui de M. G. Ballet. DOUZIÈME LEÇON De la
contracture
hystérique. Sommaire. — Formes de la contractur
IÈME LEÇON De la contracture hystérique. Sommaire. — Formes de la
contracture
hystérique. — Description de la l'orme hémiplégiq
cription de la l'orme hémiplégique: analogies et différences entre la
contracture
hysté-rique et celle qui dépend d'une lésion en f
ion en foyer du cerveau. — Exemple de la forme pjn^ajD.hégicnie de la
contracture
hystérique. Pronostic. — Soudaineté de la guéri
cientifique de certains fait réputés miraculeux. — Incurabilité de la
contracture
chez un certain nombre d'hystériques. — Exemples.
r l'hystérie, M. Briquet, bien qu'il n'accorde pas à l'histoire de la
contracture
permanente dont un ou plusieurs membres, chez les
elle revêtait la forme paraplégique. Il est parfaitement exact que la
contracture
hystérique peut offrir tous ces aspects. Vous all
nt l'une la forme hémiplégique, l'autre la forme paraplégique de la
contracture
hystérique. Nous sommes ainsi mis à même de vous
à même de vous faire loucher du doigt les particularités Fig. 22. —
Contracture
du membre supérieur gauche. les plus intéressan
outre, les muscles adducteurs de la cuisse sont, eux aussi, fortement
contractures
. En somme, toutes les jointures sont également ri
foyer, et qu'elle est, au contraire, pour ainsi dire la règle dans la
contracture
hysté-rique. Dans ce dernier cas, la flexion perm
servations, est un fait réellement exceptionnel. Il s'agit là d'une
contracture
permanente dans l'acception rigoureuse du mot ; j
xication ait élé poussée un peu loin. Bien que chez notre malade la
contracture
hémiplégique date, je le répète de près de deux a
ue est resiée à peu près normale. 2. Aujourd'hui juillet 1873), la.
contracture
des membres gauches, chez E... se retrouve avec t
rte-ment la pointe du pied, on détermine dans le membre inférieur une
contracture
avec trépidation qui persiste quelquefois peu dan
sclérosés ; mais je l'ai observée également dans nombre de cas où la
contracture
hystérique s'est terminée tout à coup par là guér
que celles, où, plus tardivement que le trem-blement, se produit la,
contracture
permanente. Ainsi, la trépidation spontanée ou pr
la-térale est un trait commun. Toutefois, sa présence dans des cas de
contracture
hystérique, terminée brusquement par laguérison,
Il n'y aurait pas eu chez elle, semble-t-il, d'antécédents que la
contracture
permanente n'est pas trop accentuée, on réussit à
manifeste toujours de préférence dans le membre supérieur. e) La
contracture
, qui, aujourd'hui, occupe le membre supé-rieur, r
'une attaque. Ce n'est pas de la sorte, vous le savez, que procède la
contracture
tardive dans l'hémiplégie due à l'hémorragie ou a
ingt-un ans,enfant trouvée, estatteinte depuis deux ans environ d'une
contracture
permanente des membres inférieurs, qui sont, comm
on, on ne tarderait pas à provoquer une attaque hys-térique ; — é) la
contracture
des membres inférieurs est sur-venue tout d'un co
a-t-ilde ces malades ? Depuis deux ou trois ans, la paralysie avec la
contracture
a persisté, chez elles, sans amen-dement. Cette c
e avec la contracture a persisté, chez elles, sans amen-dement. Cette
contracture
pourra-t-elle se résoudre quelque jour, ou, au co
on catégorique. A. llestpossible que, malgré sa longue durée, cette
contracture
disparaisse sans laisser de trace, demain peut-êt
au lendemain, tout peut rentrer dans l'ordre; et s'il se Fig. 23. —
Contracture
hystérique du membre inférieur droit. trouve qu
n de résumer brièvement. l°Dans le premier cas, il s'agissait de la
contracture
d'un membre inférieur (Fig. 23) datant de quatre
uit : rétention d'urine, avec périodes d'ischurie, depuis neuf ans; —
contracture
du membre inférieur droit ; — contracture des mem
schurie, depuis neuf ans; — contracture du membre inférieur droit ; —
contracture
des membres du côté gauche datant de six ans; — c
droit ; — contracture des membres du côté gauche datant de six ans; —
contracture
des mâchoires nécessitant l'emploi de la sonde œs
à 7 h. 1/4 du soir, attaque marquée surtout par de l'oppression, une
contracture
des muscles du cou à gauche, lesquels portent le
as perdu connais-sance ; elle croit qu'elle va mourir ; elle crie, la
contracture
des mâchoires a disparu. Elle s'agite, on cherche
augmente, et, sous cette influence, on voit cesser successivement la
contracture
de la jambe droite, puis celle de la jambe gauche
bout de quelques jours, et la malade n'a conservé, comme trace de sa
contracture
permanente, que quel-ques craquements dans les jo
ures, principalement celle du membre inférieur Dès le lendemain, la
contracture
avait entièrement cessé. Ce fait est d'autant plu
s que dans les souvenirs de cette femme. Depuis deux ou trois ans, la
contracture
était la seule manifestation de la grande névrose
vrose. 2° Le second cas concerne une femme également atteinte d'une
contracture
limitée à un seul membre. Les crises hystéri-ques
avaient depuis longtemps disparu. Cette femme fût accusée de vol : la
contracture
qui avait duré plus de deux ans se dissipa tout à
moral que produisit cette accusation. 3° Dans le troisième cas, la
contracture
avait pris la forme hémiplégique ; elle affectait
s peu prononcés, se montrant dans les jointures des membres autrefois
contracture
.- (15). (Note de la 2° édition.) 1. La philosophi
Ils se rapportent à des femmes, jeunes encore, frappées subitement de
contracture
de l'un des membres inférieurs ou des deux membre
em-blable même, elle n'est pas nécessaire, et il peut se faire que la
contracture
persiste à titre d'infirmité incurable. Voilà une
fut prise à la suite d'une at-taque hystérique de la paraplégie avec
contracture
, dont vous pouvez encore aujourd'hui rec onnaître
pouvez encore aujourd'hui rec onnaître les principaux caractères. La
contracture
, à l'origine,s'amendait de temps à autre tempo-ra
celle du varus équin, ne s'est point modifiée pendant le Fig. 24. —
Contracture
hystérique des deux membres inférieurs. sommeil
légie avec rigidité des membres ? Évidemment, dans les cas récents de
contracture
hystérique, la modification organique, quelle qu'
e, les cordons latéraux. A diverses reprises, cette femme avait vu la
contracture
céder temporaire-ment, mais après un dernier accè
ier accès, celle-ci était devenue défi-nitive (1). intitulé : De la
contracture
hystérique permanente ou Appréciation scientifiqu
lésion spinale anatomiqucment appré-ciable dans les cas invétérés de
contracture
hystérique, de même aussi les trou-bles de la vis
tirer quelques inductions relatives àla physiologie pathologique delà
contracture
hystérique. D'après les considérations que nous a
ification organiques, d'abord temporaires, et qui donneraient lieu au
contractures
hystériques, A la longue, ces modifications, quel
permet très certainement plus d'espé-rer cette brusque dispariton des
contractures
qui constitue un des caractères les plus frappant
une valeur pronostique absolue. Ltrépidation convulsive desmembres
contractures
, provo-quée ousurvenantspontanément^pz'/ejos/e sp
suite d'une attaque accompagnée de délire pendant 12 heures environ,
contracture
du membre inférieur droit avec pied bot varus équ
contracture du membre inférieur droit avec pied bot varus équin ; la
contracture
se complique d'un tremblement presque constant (é
brusquement sur la cuisse et lorsque la malade est revenue à elle, la
contracture
avait cessé. Chat... a conservé pendant quelques
observé, jusqu'à présent, ces derniers symptômes que dans des cas de
contracture
hystérique de date très ancienne et qui ne laissa
Chez les malades sur lesquels je viens d'appeler votre atten-tion, la
contracture
occupait soit la totalité d'un membre, soit même
e t'ait nous montre une fois de plus que lapar alysie hystérique avec
contracture
peut disparaître subitement sans le secours d'auc
ciété de médecine de Gand (1) un cas de ce genre fort intéressant. La
contracture
axrait donné lieu àladéformationconnuesouslenomde
s ax^oir offert jusque-là de symptômes caractérisés d'hystérie, d'une
contracture
doulou-reuse des muscles de la jambe gauche. Cett
d'une contracture doulou-reuse des muscles de la jambe gauche. Cette
contracture
, qui imprime au pied l'attitude du varus équin le
urajou-tée à quelques-uns des accidents de l'hystérie non convulsive (
contracture
,anesthésie,etc.) Nous possédons, par devers nous,
Fig. 29. — Dessiné par P. Richer. dite musculaire, qui rappelle la
contracture
hystérique. Mais cette ridigité esttransitoire, d
etl'ovarie ; c'est encore du côté droit que se manifeste chez G... la
contracture
des membres lorsqu'elle se produit à la suite des
omme une affection subordonnée, au même titre que les pa-ralysies,les
contractures
, les crises eonvulsives elles-mêmes. Je ferai r
une rigidité musculaire considérable, de tous points compa-rable à la
contracture
qui, ainsi que je vous l'ai fait remarquer plus h
nant, en se fondant sur ce qui précède, rapprocher cette chorée de la
contracture
et les envi-sager comme des accidents de même val
te la compression; aussitôt que celle-ci est suspendue, vous voyez la
contracture
disparaître et les mouvements ryth-més du tronc e
nt plusieurs jours. On peut réussir encore à dissiper brusquement une
contracture
de la mâchoire, de la langue, des membres, lorsqu
affection peut, quelquefois persister, comme le fait trop souvent la
contracture
hystérique, pendant plusieurs an-nées. Je citerai
uspendus. Puis G... a eu trois attaques qui ont laissé après elle une
contracture
des membres du côté droit. Enfin, après avoir eu
vemhre. — G... n'a plus de mouvements choréiques, mais nous offre une
contracture
du membre inférieur droit, des mâchoires et de la
u membre inférieur droit, des mâchoires et de la langue. Ces diverses
contractures
ont disparu sous l'influence du nitrite d'amye et
igide ; les muscles trapèze, sicrno-mastoïdien gauches sont fortement
contractures
. Toutefois la malade peut tourner fa face vers la
issement et cyanose des extré-mités. Sensibilité conservée. —Pas de
contracture
. — Diminution de la vue. —Nystagmus. — Céphalalgi
ntré M. Charcot, dans les pé-riodes de calme. Il s'ajoute parfois des
contractures
généralisées fort douloureuses et qui disparaisse
isées fort douloureuses et qui disparaissent assez rapidement, ou des
contractures
partielles qui ne provoquent aucune douleur, mais
cement de la phase tonique, le gonflement du cou,la persistance de la
contracture
pendant la phase de résolution. Enfin, on voit so
cle marcher ou même de se tenir debout. Par moments, se montrait une
contracture
du diaphragme avec me nace de suffocation, ou enc
, ou encoreunc occlusion permanente de la mâchoire, déferminéepar une
contracture
du muscle masséter. ouenfin une douleur de fête v
plusieurs reprises, ont toujours été suivies d'une aggravation de fa
contracture
. Les choses étaient exactement dans le même état
as, aussi bien en avant qu'en arrière. Le coude ne participe pas à fa
contracture
. Mlle X... n'a jamais éprouvé d'attaque de nerf
nt de piaie. H... assure que, quelques instants après l'accident, une
contracture
dans la demi-flexion commença à se produire dan
trois autres doigts de la même main furent envahis à leur tour par la
contracture
. Sous l'influence des résolutifs, le gonflement e
gonflement et l'ec-chymose disparurent bientôt, mais la douleur et la
contracture
persistant, la malade se décida à entrer à l'hôpi
s reprennent leur attitude première. Tous ces accidents, douleur et
contracture
, avaient persisté jusqu'au commencement du mois d
lorsque, un des premiers jours de ce mois, sans cause appréciable, la
contracture
disparut brusquement en même temps que la douleur
ois siéger plus spécialement dans une ou plusieurs articulations, une
contracture
permanente plus ou moins accentuée, tels sont les
ôlement, le moindre mou-vement provoqué exaspèrent les douleurs et la
contracture
. Celles-ci s'exaspèrent encore de temps à autre,
e, tôt ou lard, à une anesthésie plus ou moins absolue; cependant, la
contracture
musculaire persiste encore, néanmoins, au même de
la suite de ses attaques et dans les intervalles qui les séparent de
contracture
des membres qui persistent pendant plusieurs jour
es fractures n'ont été l'occasion du dé-veloppement de douleurs ou de
contractures
(2). Laconsolida- 1. Voir l'observation, complè
e symptômes insolites : symptômes tabétiques ; atrophie musculaire. —
Contracture
permanente. — Epilepsie spinale..................
ie calculeuse et l'ischurie hystéri-que. Observation. —Paralysie et
contracture
hystériques. — Hémianesthésie com-plète. — Hémiop
n entre l'hémianesthésie, l'hyperesthésie ovarienne, la parésie et la
contracture
. — Variabilité des symptômes dans l'hystérie. — A
rapeutique.— Observations cliniques. . . 320 DOUZIÈME LEÇON de la
contracture
hystérique. Sommaire. — Formes de la contractur
IÈME LEÇON de la contracture hystérique. Sommaire. — Formes de la
contracture
hystérique. — Description de la forme hémiplégiqu
cription de la forme hémiplégique ; analogies et différences entre la
contracture
hysté-rique et celle qui dépend d'une lésion en f
lésion en foyer du cerveau. — Exemple de la forme paraplégique de la
contracture
hystérique. Pronostic. — Soudaineté de la guéri
ntifique cle certains faits réputés miraculeux. — Incurabilité cle la
contracture
chez un certain nombre d'hystériques. — Exemples.
tomiques. — Sclérose des cordons latéraux. — Variétés que présente la
contracture
. —Pied bot hystérique............347 TREIZIÈME
rotopathique ( V . Atrophie musculaire). — symptoma-tique : dans la
contracture
hystéri-que, 365 ; d'un foyer sanguin du cerveau,
. — Lésions des — dans la sclérose en plaques, 244, 245 ; — — dans la
contracture
hystérique, 365. Cerveau ^Notions anatomiques s
ogiques des nerfs et après les lésions expérimentales, 37 ; — dans la
contracture
hysté-rique, 365 ; — dans les fractures et les lu
centrale, 65 ; — dans la sclérose en plaques, 241. (V. Myopathies.)
Contracture
hystérique -permanente 285, 339, 343, 346. — Acti
368, 370. — Des-cription d'un accès d'—, note, 379; — spinale dans la
contracture
hys-térique, 350, 364 ; — dans la sclé-rose en pl
l'ischurie calculeuse, 294. — Mécanisme de 1' —, 296. ii Langue (
Contracture
de la), 346. Latéropulsion dans la paralysie ag
nfluence de la pression sur la production do l'urée, 297. Uretères (
Contracture
spasmodi-que des), 297, (V. Oblitérration.) Urt
lques petits mouvements convulsifs dans les membres. Nulle trace de
contracture
. P. 132 ; R. titi; T. V. 400,i.. -, La malade e
les pattes de devant seroidissent et s'éten- dent. 4 lz. li. - La
contracture
est générale ; la tête est dans l'extension. Mâ
out à l'heure et se met en gouttière. T. R. 38°, 3. 4 la. -I9. La
contracture
a disparu. La bouche reste constamment ouverte
s- sible de décider. III Hystéro - Epilepsie . Variétés de la
contracture
hystérique passagère et perma- nente. - Formes
on plus spéciale, l'hyperesthésie ovarienne, Y hé- mianesthésie, la
contracture
et les rapports qui unissent les uns aux autres
e la première nous offrira des attaques d'une violence extrême, des
contractures
passagères revêtant une forme rare - celle du c
era des attaques, violentes il est vrai, mais très-éloi- gnées, des
contractures
permanentes, des hémorrhagies fréquentes et un
ut retournés. . La parole était difficile, sans doute à cause d'une
contracture
des mâchoires car elle fut pendant trois jours
. Une semaine plus tard les attaques, cessèrent, la paralysie et la
contracture
disparurent. Un filateur, M. Boutard, la retira
ses dans lesquelles prédomi- nent les phénomènes épileptiques; - 3°
contracture
des mem- bres du côté droit, contracture des mu
nomènes épileptiques; - 3° contracture des mem- bres du côté droit,
contracture
des muscles des mâchoires, de la langue et du v
is, nécessitant l'alimentation à l'aide de la sonde oesophagienne ;
contracture
du col de la vessie donnant lieu à une rétentio
, à la suite d'une ou plusieurs attaltces 7t.stéro-épileptilues, la
contracture
disparait complètement, la malade mange seule,
Les membres restent tou- jours contracturés au môme degré. IV.
Contractures
. 27 février, 9 heures. T.R. 37",3. Ce matin on
évrier, 9 heures. T.R. 37",3. Ce matin on trouve la malade avec une
contracture
des membres du côté droit, des muscles de la fa
du côté droit, des muscles de la face à droite, et de la langue.
Contracture
des membres (Forme hémiplégique) . Le membre su
; en le saisissant avec la main, on soulève le corps tout entier.
Contracture
de la face. - La physionomie a une expression 1
rochement est impossible. Le masséter droit est dur, contracturé.
Contracture
de la langue. - Ler... comprend parfaitement to
uite remplacée par une congestion très-accu- sée. Le bras gauche se
contracture
dans l'extension et s'élève au-dessus de la tèt
.. eu deux attaques à forme tonique. La pre- mière avait laissé une
contracture
de l'avant-bras gauche, qui était dans la flexi
titude respective des 'membres ; mais, après une nouvelle crise, la
contracture
cesse au membre supérieur gauche, et l'usage de
qu'au niveau de cette région, la peau a conservé sa sensibilité. La
contracture
de la face et de la langue, l'embarras de la pa
« pés » (les pieds) ; cette dernière sensation s'explique par la
contracture
qui existe durant l'attaque. Elle détire ses mem-
qui succèdent aux attaques, les plus importantes consistent en des
contractures
affectant isolé- ment ou simultanément les musc
nx (aphonie), du col de la vessie (rétention d'urine), des membres (
contractures
va- riées, erz(cilie;7e)it). Toutes ces contrac
, des membres (contractures va- riées, erz(cilie;7e)it). Toutes ces
contractures
, contraire- ment à ce que nous verrons dans la
n, sont passagères, même le crucifiement. Cette dernière forme de
contracture
est moins rare qu'on ne pourrait le supposer et
ont restés inertes pendant plusieurs semaines. - III. Début des
contractures
permanentes. 1870. 12 janvier (1). Etch.... ne
et la jambe corres- pondante offre toujours un exemple frappant de
contracture
dans l'extension. Lorsqu'on applique la main su
membre supérieur gauche qui, jusque-là, était flas- que, est devenu
contracture
. (Fig. 6). \6mai. La contracture persiste dans
-là, était flas- que, est devenu contracture. (Fig. 6). \6mai. La
contracture
persiste dans les membres du côté gauche. L'ava
accompagnent de rougeurs de la face, d'un léger accroissement de la
contracture
du membre du côté gauche, sans convulsions prop
spontanés. On est toujours obligé de sonder la malade. 17 avril. La
contracture
des membres du côté gauche et la paralysie avec
nt et est devenue complète le 23 avril. Les membres inférieurs sont
contractures
et dans l'extension. - Urines rares. 25 avril
st douloureuse. P. 100 T. lt. : 37, ? 28 aoilt. Persistance de la
contracture
dans les membres su- périeurs et inférieurs. Hy
sont les mêmes. - Les membres inférieurs sont redevenus rigides; la
contracture
ne change pas sous l'in- fluence du sommeil : o
r droit est libre. Le membre inférieur gauche qui, jusqu'ici, était
contracture
, est devenu en grande partie ilasque, tout en d
ilasque, tout en demeurant pa- ralysé. Il ne reste donc plus qu'une
contracture
du membre supérieur gauche. - Le vaste externe
tin, on note : rigidité de la jambe droite et du poignet droit (la
contracture
n'a pas changé à gauche) ; ballonnement du vent
n ; hémianesthésie gauche absolue ; léger em- barras de la parole ;
contracture
des mâchoires qui s'oppose à l'allongement de l
toire chez Etch... et Ler..., l'amaurose hystérique, à l'instar des
contractures
, des paralysies, etc., peut être permanente. Mais
bres du côté gauche sont daus la même situation qu'avant l'attaque (
contracture
). Le bras droit est rigide, accolé au tronc ; L
e fait signe qu'elle ne peut avaler. Par instants, le bras droit se
contracture
. Les urines, aujourd'hui, ont été plus abondant
s du bras correspon- dant sont tremblants. 18 mai. Le trismus, la
contracture
des mâchoires, l'aphonie et la dysphagie sont l
Afin de remédier, s'il y a lieu, à la dysphagie occasionnée par la
contracture
. M. Char- cot fait administrer le chloroforme.
n paralysé) : puis, l'inhalation étant continuée, on voit cesser la
contracture
de la jambe gauche et diminuer celle du bras ga
ns prononcé, permet un léger écartement des mâchoires. 25 mai. La
contracture
des mâchoires a diminué. La malade a pu manger
ontanément qu'elle sent au niveau du larynx quelque chose de raide (
contracture
des muscles). A la main, le genou et la cuisse
ure des muscles). A la main, le genou et la cuisse gauches - côté
contracture
- paraissent plus froids que les parties corres-
le encore bas; mais, en novembre, elle re- couvre la voix haute. La
contracture
persiste dans les membres du côté gauche. - ?
membres du côté gauche. - ? 1873. Dans le courant de l'année, la
contracture
du membre inférieur gauche s'amende au point qu
A partir de cette crise, impossibilité d'avaler quoi que ce soit :
contracture
des mâchoires, dysphagie. 2-11 août. Les accès
ement; clignotlement ; éclairs; embarras de la parole. 17 mai. La
contracture
des mâchoires s'est aggravée. Les mâchoires ne
ans cette position pendant trois heures. On a remarqué alors que la
contracture
des mâchoires était encore plus prononcée (l'ar
rcade dentaire supérieure) et que les membres du côté droit étaient
contractures
. Cematin, en raison delà contracture des mâchoi
mbres du côté droit étaient contractures. Cematin, en raison delà
contracture
des mâchoires, la malade ne peut plus parler et
des mâchoires, etc. Nulle trace de roideur du cou. Céphalalgie. La
contracture
a diminué au membre supé- rieur droit. Le coude
es articulations des mâchoires dont il est impossible de vaincre la
contracture
. La langue, que l'on aperçoit par des intervall
droite, qui, jusqu'alors, avait été fléchie, s'était allon- gée. La
contracture
des mâchoires avait disparu complètement t et l
assure ne pas avoir eu d'hallucinations tout le temps qu'a duré la
contracture
des quatre membres et la contracture des mâchoi
ons tout le temps qu'a duré la contracture des quatre membres et la
contracture
des mâchoires. 1.11e raconte que, dès qu'elle s
s, le cathétérisme s'est effectué sans diffi- culté. Plus tard, une
contracture
du col de la vessie étant survenue, l'introduct
tié droite du corps, l'anesthésie.la paralysie du mouvement et la
contracture
. La connaissance de ces accidents et de leur en
breuses et variées ont été, dans ce cas, les formes revêtues par la
contracture
. Limitée à l'origine au membre supérieur gauche
quelques-uns des signes qui annoncent communément l'approche de la
contracture
et qui se sont montrés chez Etch... Ces signes
très-intéressante qui nous arrêtera plus loin (1). - f. Outre les
contractures
des membres, Etch... a été at- teinte d'une con
Outre les contractures des membres, Etch... a été at- teinte d'une
contracture
du col de vessie, des muscles des mâchoires, de
mâchoires, des muscles du pharynx et du larynx,et chacune de ces
contractures
a été suivie elle-même de nouveaux phénomènes h
e détails sur les formes cliniques : Bourneville et Voulet. - De la
contracture
hystérique permanente. (2) Voyez aussi : Ferran
pation s'aggrava ; plus tard encore, dans les premiers temps de la
contracture
, elle n'avait d'évacuations alvines qu'au bout
atique elle n'est jamais réalisée. Or, Etch... était atteinte d'une
contracture
du col de la vessie, qui obligeait à la sonder
nder plusieurs fois par jour : elle était clouée sur son lit par la
contracture
de ses membres inférieurs, et il n'est jamais a
tait plus de même. Depuis plusieurs mois, elle était atteinte d'une
contracture
oesophagienne qui l'empêchait d'avaler quoi que
2 mai, une brusque élévation se produit et persiste; ce jour-là, la
contracture
a cessé et en même temps l'is- churie. ' » Ce
mai survient un fait remarquable. La malade guérit subitement de sa
contracture
, de son aphonie, de son amblyopie, etc. Jusqu'i
la disparition des manifestations de l'hystérie locale. Paralysie,
contracture
, aggravation ou diminution de l'ischurie, etc.,
NEUROLOGIE DE PARIS 4 Séance du 9 janvier 1908 LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
CHEZ LES SPASMODIQUES, HÉMIPLÉGIQUES OU PARAP
'exposer nos idées personnelles sur la physiologie pathologique des
contractures
, nous tenons à résumer en quelques pages les théo
tions. La théorie la plus ancienne est celle de Follin. Pour lui la
contracture
est la déformation des membres provoquée par l'
ies molles. Quoique celle théorie n'explique pas'le mécanisme de la
contracture
, elle est bonne en ce sens qu'elle ex- plique c
bonne en ce sens qu'elle ex- plique comment à la suite d'une longue
contracture
il se produit des déformations définitives dans
s. Ilitzig ajoute encore, comme critique à cette théorie, que si la
contracture
dépendait seulement t d'une masse plus grande d
es pa- ralysies du nerf radical. Duchenne de Boulogne attribue la
contracture
à une excitation ve- nant du cerveau, l'excitat
spond pas à la réalité ( (). Voici la critique de M. Hitzig : Si la
contracture
est la conséquence d'une irritation d'un corps ét
racture est la conséquence d'une irritation d'un corps étranger, la
contracture
se fait lard, trois à quatre mois après l'hémorra
is en admettant que l'inflammation se produise si lard, pourquoi la
contracture
persiste-t-elle des années et même s'aggrave-L-
lle aussi ? et puis s'aggrave-t elle aussi avec les années comme la
contracture
? Sauvages, Lallemand, Cratzeilltier, Andral, D
Cratzeilltier, Andral, Dll1'and-Fa1'del, etc., sou- tiennent que la
contracture
signifie une lésion de la convexité ou des ven-
us ne disons pas qu'une de ces lésions ne puisse pas produire de la
contracture
, surtout de la contracture précoce, mais même d
ces lésions ne puisse pas produire de la contracture, surtout de la
contracture
précoce, mais même dans le cas de contracture t
acture, surtout de la contracture précoce, mais même dans le cas de
contracture
tardive, il ne suffit pas d'ex- pliquer un phén
el puis, comme dit Hitzig, il y a des autopsies très nombreuses de
contractures
sans épan- chement supposé sur les surfaces lib
ces libres du cerveau. Todd (2) distingua le premier deux sortes de
contractures
: la contracture précoce se produisant au momen
eau. Todd (2) distingua le premier deux sortes de contractures : la
contracture
précoce se produisant au moment de l'attaque ou
mbres sont restés à l'état flasque. En résumé jusqu'à Bouchard la
contracture
, qu'elle soit précoce ou qu'elle soit tardive,
e Bouchard (3) sont ve- nues démontrer quedans les hémiplégies avec
contracture
tardive, il existe une dégénérescence des faisc
ntérieures de la moelle du côté correspondant, d'où le phénomène de
contracture
. Que la dégéné- rescence du faisceau pyramidal
au pyramidal existe et joue un grand rôle dans le phé- nomène de la
contracture
, on ne peut pas le contester, mais dire que le
ntendu que par ce mécanisme Duchenne de Boulogne veut expliquer les
contractures
tardives, du moment qu'il parle des parois du kys
la moelle épinière. Arch. gén. de méd., 1866. LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
27 1 que nous devons retenir c'est la découvert
pyramidal) et celle idée physiologique que pour qu'il existe de la
contracture
il faut que les cellules motrices des cornes anté
du faisceau pyramidal a une grande importance dans le phénomène de
contracture
, parce qu'il prive l'organisme de sa fonction,
e, parce qu'il prive l'organisme de sa fonction, d'où production de
contracture
, mais cette dé- générescence n'est pas indispen
e, mais cette dé- générescence n'est pas indispensable parce que la
contracture
peut se pro- duire sans elle. I ! faut seulemen
e très fréquente, et alors ils ont cru expliquer le phénomène de la
contracture
par simple phénomène d'excitation, parce qu'ils
citation, parce qu'ils étaient convaicus des idées anciennes que la
contracture
est la suite d'une excitation; les anciens disa
comme Leubnscher, Luys (1), Cornil l et Charcot (2) attribuaient la
contracture
aux lésions des nerfs qu'ils cons- talaient dan
embres paralysés. Mais Bouchard a répondu à cette théorie que si la
contracture
est la règle dans les hémiplégies anciennes, la
ale amyo- trophique, dans toutes ces maladies qui s'accompagnent de
contracture
, on voit une lésion de dégénérescence des faisc
des faisceaux pyramidaux. On a cru un moment que le phénomène de la
contracture
tardive était expliqué, quand survinrent les ca
nc la dégénérescence du faisceau pyramidal n'est pas la cause de la
contracture
. Faut-il déduire de cela que la théorie n'était p
héorie n'était pas bonne ? quand dans la grande majorité des cas de
contracture
on trouve cette lé- sion du faisceau pyramidal
isse contester son impor- tance ? (1) Contributions à l'étude des
contractures
liées à une altération du système ner- veux pér
e, avec uhebande d'Esmarch, on fait disparaître en vingt minutes la
contracture
existant chez un malade depuis des années. Donc l
trac- ture d'un muscle est un état permanent d'activité, puisque la
contracture
en général est l'exagération du tonus permanent
t M. Brissaud à admettre, d'accord avec son maî- tre Charcot,que la
contracture
est un état de strychnisme permanent delà moell
e strychnisme permanent delà moelle. Charcot (2) a bien vu que la
contracture
, quoique coïncidant avec une dégénérescence du
également que la dégénérescence peut exister sans qu'il y ait de la
contracture
et vice-versa. Mais exposons ici la théorie même
. Mais exposons ici la théorie même de Clarcot(3). Elle rapporte la
contracture
permanente dite tardive surtout à la dégé- nére
rose descendante du faisceau pyramidal. Mais d'après Charcot, cette
contracture
n'est pas, si l'on peut s'exprimer ainsi, fonct
'exprimer ainsi, fonction de la sclérose du faisceau, pyramidal. La
contracture
est un symptôme contingent et non pas un symptô
it Charcot, que l'irritation des cellules nerveuses qui provoque la
contracture
s'établisse primitivement ou comme conséquence
des cordons latéraux. Il en résulte que la cause fondamentale de la
contracture
spasmodique serait l'excitation des cellules mo
'état tétanique des cellules des cornes antérieures dans ces cas de
contracture
. En somme la contracture des hémiplégiques n'es
les des cornes antérieures dans ces cas de contracture. En somme la
contracture
des hémiplégiques n'est pas, pour le célèbre ne
rès Marinesco, Semaine médicale, 1898, p. 408. , LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
29 fracture durable, seulement c'est une contra
contient aussi des fibres inhibitrices, ce qui explique pour eux la
contracture
des hémiplégiques hystériques, par la perte du
on musculaire due à ce fonctionnement est comme lui interrompue, la
contracture
survient et persiste. » Il y a dansja théorie d
existe et que son absence joue un grand rôle dans le phénomène delà
contracture
; mais M. Marie, quoi- qu'il reconnaisse que le
édullaires se trouvent en état d'excitation exagérée au cours de la
contracture
, ne se demande pas d'où vient cette excitation
er les travaux que nous avons exposés en deux mots : au cours de la
contracture
les centres moteurs médullaires sont en état d'
centre est diminuée, enfin dans la très grande majorité des cas de
contracture
tardive on constate à l'autop- sie une dégénére
ortir, lui-même, leur importance, pour expliquer le mécanisme de la
contracture
. La simple disparition de la contracture n'appa
iquer le mécanisme de la contracture. La simple disparition de la
contracture
n'apparaît qu'au bout d'une lon- gue période de
donne des exemples de mouvements associés : Chez un malade avec une
contracture
apoplectique légère du côté droit : « chaque fois
nt dans les membres plus ou moins paralysés el ce que nous appelons
contracture
doit être consi- déré comme mouvements associés
rie und Nervenkraukheiten, 3 Band, 1812, p. 312. LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
31 ce membre, et même des troubles de la motili
us les faits. » En somme Hitzig en vient, après avoir montré que la
contracture
est un mouvement spasmodique associé, à se dire
est des centres dans le système nerveux qui sont excités pendant la
contracture
, d'où un état d'excitation, ce que disaient éga
ne parlent pas, comme Hitzig, du rapport entre ces mouvements et la
contracture
. Mais les mou- vements associés ne pouvaient pa
associés ne pouvaient pas faire comprendre tout le mécanisme de la
contracture
, parce que les mouvements associés se trouvent ch
ents associés se trouvent chez des personnes malades qui n'ontpasde
contracture
et même chez des per- sonnes saines. (1) Soc.
AN, Article Moelle. Dictionnaire Dechambrr, 528. LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
33 idiots, paralysés ou non, aussi bien dans le
la plus évidente que les mouvements associés n'expliquaient pas la
contracture
, et pour l'expliquer on revenait aux idées de C
ait aux idées de Charcot, Vulpian, Bouchard, Brissaud, etc., que la
contracture
était la conséquence de l'irritation du tissu c
e, l'homme est atteint t de paraplégie spasmodique, c'est-à-dire de
contracture
et d'exagération des réflexes tendineux. Les
pas de communication entre le cerveau et la moelle il n'y a pas de
contracture
, d'où les conclusions suivantes de Bastian (2)
sitif : l'exagération des réflexes et la rigidité musculaire, ou la
contracture
, dans les cas où l'influence des hémisphères céré
0. (2) Cité d'après VAN Gehuchten, L'exagération des réflexes el la
contracture
. Journ. de neurologie, 1897. xxi 3 ' 34 N01
certaine modification. Le neurologiste de Louvain considère que la
contracture
de la paraplégie spasmodique est différente comme
méca- nisme de celle de l'hémiplégie. Pour Van Gehuchten (2) : « la
contracture
-de la paraplégie spasmodique, résultat de l'ex
onto- cérébello-spinale. » , 1 Au contraire pour Van Gehuchten la
contracture
post-hémiplégique a une tout autre explication.
nt paralysés, les fléchisseurs l'étant moins que les extenseurs, la
contracture
se fait du côté des fléchisseurs. « Si, en ef
dants : si elle prédomine dans le groupe des muscles extenseurs, la
contracture
amènera le type de flexion ; si, au contraire,
ntraire, elle prédomine dans le groupe des muscles fléchisseurs, la
contracture
amènera le type d'extension. » Faisons ici un p
peu de critique. Quant M. van Gehuchten dit que le mécanisme de la
contracture
chez les hémiplégiques s'explique par la contra
écanisme de la contracture chez les hémiplégiques s'explique par la
contracture
plus forte (prédominante) des muscles fléchisseur
a été la première dans la science pour expliquer le mécanisme de la
contracture
. Mais personnelle ou non, elle ne fait que cons
ou non, elle ne fait que constater un fait : au membre supérieur la
contracture
se fait en flexion parce que les fléchisseurs s
ts même normale- ment que les extenseurs, et au membre inférieur la
contracture
se fait (1) V. VAN GE11UCIiTEN, Anatomie du sys
uvain, 1897, p. 869-874. (2) SOCRY, p. 1131. LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
3 en extension, parce que même à l'état normal
ur les fibres cap- sulaires correspondant aux extenseurs, il y aura
contracture
du bras en flexion, qu'un autre jour elle attei
correspon- dant au groupe des fléchisseurs, on verra se produire la
contracture
en extension. Le même raisonnement peut s'appli
ontracture en extension. Le même raisonnement peut s'appliquer à la
contracture
des membres inférieurs. Nous pouvons encore moi
pliquer pourquoi dans la presque totalité des cas chez l'adulte, la
contracture
se produit en flexion du membre supérieur et en
cervelet reste seul et excite la moelle, d'où le tonus exagéré (la
contracture
), d'où les réflexes tendineux exagérés ; et si to
celles du cervelet, nous avons alors la paraplégie flasque, plus de
contracture
, plus de tonus, plus de réflexes tendineux exag
incipe d'inhi- bition que le cerveau a sur le tonus, et qui dans la
contracture
a dis- paru. C'est ce que les anciens, Charcot,
grande différence que, d'après Jackson et Bastian, pour qu'il y ait
contracture
36 . NOICA il faut absolument que la communic
ncéphale et la moelle. Et avec tous ses progrès, le mécanisme de la
contracture
n'était pas en- core compris, et voilà ce que d
as longtemps (1) : « En résumé presque toutes les théories sur la
contracture
ont le défaut de ne s'appliquer qu'à un certain
tres. Avant de pouvoir expliquer clairement un phénomène tel que la
contracture
, il serait nécessaire d'être mieux renseigné sur
e nous sera que d'un faible secours pour étudier le mécanisme de la
contracture
. plutôt qu'en faveur de telle autre, et il est
prouvent dans l'exercice de cette fonction est due plus encore à la
contracture
post-hémi- plégique qu'au résidu de la paralysi
minution apparente de la motilité ou de la force musculaire. Pas de
contracture
. Réflexes tendineux affaiblis des deux côtés. P
articulier les mouvements fins des doigts ; en ou- tre l'absence de
contracture
permanente ne répond pas à la symptomato- logie
trophiques et sphinctériens, par des escarres, et, parfois, par des
contractures
, symp- tômes qui faisaient complètement défaut
Neurologisches Cen- tralblatt, Nr. 10, 1906. 1 LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
, PAR - D, NOICA.- Considérations analomique
Reproduit d'après Ganault. Thèse de 1898, p. 62. LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
153 tendon et sans qu'il en résulte de mouvemen
s exemples de propagation au membre inférieur. LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
155 La percussion de la tubérosité interne du t
ne change pas la conclusion précédente. Etude du phénomène de la
contracture
spasmodique. Si on regardera position des membr
regardera position des membres qui s'observe chez un hémiplé- gique
contracture
, dans les cas les plus communs, nous voyons qu'au
assons maintenant au membre inférieur. Ici, le type classique de la
contracture
est en extension : le membre entier en adduction,
tension du genou et d'adduction de tout le membre, provoquée par la
contracture
du quadriceps crural et des muscles adducteurs ;
sacré, il s'en suit que le deuxième arc réflexe LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
157 sacré doit correspondre au réflexe osseux q
CTURE 157 sacré doit correspondre au réflexe osseux qui provoque la
contracture
du grand fessier. L'extension du genou et l'add
t sacré. Peut-on reproduire ces attitudes du bras et de la jambe en
contracture
, par percussion périphérique, c'est-à-dire en e
malade, exagéraient ou reproduisaient les attitudes des membres en
contracture
. Mais avant de passer à un autre chapitre, nous
u membre supérieur et du membre inférieur chez des hémiplégiques en
contracture
, est arrivé à ces constatations. Il trouve que, a
tres groupes musculaires qui ne sont pas paralysés sont à l'état de
contracture
. A cette conclusion de Mann, nous ajoutons la s
mêmes termes que la précédente : -. Dans l'hémiplégie organique, la
contracture
ne porte pas sûr un tel ou tel muscle en partic
s dans la production des mouve- ments du pied. LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
15U ' Mouvements associés. Nous n'avons pas l
s membres absolument analogue à celles qu'on voit dans les états de
contracture
. L'importance de ces mouvements pour l'étude du
ure. L'importance de ces mouvements pour l'étude du mécanisme de la
contracture
n'a été comprise, ni par Pitres, ni par Camus,
ique avant eux Hitzig eût émis une théorie sur le phé- nomène de la
contracture
, prenant comme base la présence de mouve- ments
bres et de la face se contractent. » Ces attitudes des membres en
contracture
du côté lésé se reproduisent (1) Camus, Thèse,
es du membre inférieur qui provoquent les ^attitudes des membres en
contracture
: étendre le genou, appuyer avec la plante du pie
l est bien entendu que si le malade n'est pas très paralysé, que là
contracture
n'est pas très forte, les mouvements volontaires
a résistance à ses mouve- ments volontaires. ' Le mécanisme de la
contracture
chez les spasmodiques . Nous avons vu nettement
la moitié gauche du corps, avec une très légère LE MÉCANISME DE LA
CONTRACTURE
161 hémiparésie du même côté. Ces troubles tena
Pitres et Camus, mais il ne présentait aucune trace appréciable de
contracture
. Un fait, qui a éveillé notre attention, c'est qu
tir de leurs cages tous les jours, pour ne pas les laisser faire de
contracture
. Dans la même salle, il y avait un autre malade
lysie au membre supérieur ; par contre le membre inférieur est très
contracture
; en extension les mouvements actifs et pas- si
au membre supérieur et au membre inférieur ; il ne présentait de la
contracture
qu'au membre inférieur, là où il y avait en mêm
membre supérieur il présentait des mouvements associés; mais pas de
contracture
; ce qui coïncidait avec ce fait qu'il n'yavaitpas
n avec le côté sain. Par conséquent, pour qu'il se pro- duise de la
contracture
, il ne suffit pas d'avoir des mouvements associés
s les avons recherchés sur tous les malades présentant ou non de la
contracture
, et leur présence simultanée n'a jamais fait défa
leur présence simultanée n'a jamais fait défaut, dans les cas avec
contracture
. En résumé, pour nous, toute contracture spamos
éfaut, dans les cas avec contracture. En résumé, pour nous, toute
contracture
spamosdique est la conséquence de deux phénomèn
venir sur l'étude des mouvements associés et sur le mécanisme de la
contracture
, en les interprétant d'après nos connaissances
e et la coxalgie hystéri- que, dit : «dans ces deux affections, les
contractures
siégeant sur les muscles pelvilrochantériens pe
ut, vous arriverez en y mettant beaucoup de douceur à triompher des
contractures
dans une certaine mesure et à imprimer de petit
, d'où le nom donné à cet aspect de la main à un stade avancé de la
contracture
. La photographie que nous reproduisons d'après
ades de Guillain ; elle est néanmoins à un stade assez avancé de la
contracture
. Si nous étudions maintenant la main numérotée
PAR H. HOLBEIN ébauche de flexion de l'index. Mais c'est surtout la
contracture
des deux derniers doigts qui est nette ici et e
: réflexes tendineux exagérés au bras et à la jambe gauches. Pas de
contracture
. La sensibilité à la douleur et à la chaleur est
guérison par suggestion des rétractions tendineuses qui suivent les
contractures
hystériques de longue durée. Je crois, au contr
e lorsque son aphonie a disparu, lors- que nous l'avons guéri de sa
contracture
, de sa paralysie. Mais ce qui constitue le pith
une démarche hystérique ? (2 pi.), 231. NoicA. Le mécanisme de la
contracture
chez les spasmodiques hémiplégiques ou parapl
ge des processus psychiques conscients (3 pi.), par TCIIIHOE", 1.
Contracture
Mécanisme de la = chez les spasmodiques hémiplé
ieu-res. Enfin les symptômes parétiques ou paralytiques, avec ou sans
contracture
, qui viennent quelquefois, en général à une époqu
les avait présenté, outre la para-plégie, une paralysie complète avec
contracture
des membres supérieurs. Cependant, à l'autopsie,
a première, il s'agit d'une véritable paralysie motrice, avec ou sans
contracture
, occupant l'un des membres supé-rieurs ou tous le
rmanents tels que sont, soit l'ataxie, soit la paralysie avec ou sans
contracture
des membres supérieurs, dans les cas pathologique
le. Or, la paralysie des membres supérieurs, tôt ou tard suivie d'une
contracture
, est un symptôme lié à la sclérose fasciculée lat
stérieurs, on n'observe dans les membres su-périeurs ni paralysie, ni
contracture
, ni mouvements ataxiques. — Si, au contraire, les
s seront atteints d'incoordination motrice. Enfin, la paralysie et la
contracture
apparaîtraient dans les cas où la sclérose conséc
des nerfs douloureux ; anesthésie cutanée circonscrite ; atrophie et.
contracture
musculaires partielles. — Déformation de la colon
montrée aussi complète que possible, accom-pagnée d'insensibilité, de
contracture
permanente, et avoir persisté sans amendement pen
u côté des muscles, l'atrophie plus ou moins rapide, la paralysie, la
contracture
. Au reste, la nature inflammatoire de la lésion n
Vatrophie plus ou moins prononcée des masses musculaires, et enfin la
contracture
survenant dans un certain nombre de muscles. Je
vulgaire. Je me bornerai à vous faire remarquer que l'intensité de la
contracture
permanente des membres, et surtout de la contract
'intensité de la contracture permanente des membres, et surtout de la
contracture
avec flexion est en général plus prononcée dans l
à la myélite descendante des cordons latéraux. C. Enfin survient la
contracture
permanente des membres qui ne manque à peu près j
aux dans le segment inférieur de la moelle. Il est de règle que cette
contracture
impose d'abord pendant quelque temps aux membres
, les troubles moteurs concomitants — parésie, paralysie avec ou sans
contracture
— se montre-raient, dans ce dernier cas, du côté
elop-pement des scléroses fasciculées descendantes. En pareil cas, la
contracture
permanente ne tarderait pas à se surajouter à la
térieure de la substance grise. Alors, les membres, paralysés déjà et
contractures
, offriraient, en plus, une atrophie plus ou moins
mes de l'épilepsie spinale qui se voient dans certaines myé-lites, la
contracture
permanente qui s'y surajoute — et qui constitue a
tous deux flasques, inertes, amaigris. On n'y observe aucune (race de
contracture
ou de rétraction. L'émaciation est plus prononcée
ns paralytiques qu'il ne faut pas confondre avec les déformations par
contracture
, qui se montrent dans certaines formes deutéropat
s de la parole à peu près à la même époque. — Pas de douleurs, pas de
contracture
dans les membres. — État actuel en juillet 1872 :
x membres supérieurs, surtout le gauche, sont pendants, inertes, sans
contractures
. Les masses musculaires y sont atrophiées à peu p
re à rendre la marche impossible que depuis cinq ou six ans. — Pas de
contractures
, pas de troubles de la sensibilité : contrac-tion
inales motrices et je rappellerai, à ce propos, que l'hémiplégie avec
contracture
qui coexiste avec cette lésion est remarquable pa
est une parésie des membres, des inférieurs surtout, marquée par une
contracture
, plus ou moins intense, des muscles lesquels cons
te rarement sur les membres inférieurs. Ces membres sont paralysés et
contractures
de très bonne heure, ce qu'explique l'existence d
ose latérale amyotrophique. — Prédominance de la paralysie motrice. —
Contracture
permanente spasmodique. — Absence de troubles de
ervicale. — Envahisse-ment des membres inférieurs. — Caractères de la
contracture
. — Phénomè-nes bulbaires : Gêne de la déglutition
le siège d'une rigi-dité habituelle, résultant de ce qu'on appelle la
contracture
per-manente spasmodique. C'est là un phénomène ab
ues à la contraction spasmodique de certains muscles, à une vérilable
contracture
qui rend rigides un grand nombre d'articulations.
rfois, dans la sclérose latérale, les membres supérieurs pa-rétiques,
contractures
et atrophiés, ont néanmoins conservé encore quelq
, consécutivement à une lé-sion cérébrale en foyer, d'hémiplégie avec
contracture
. Cette trémulation, dans les deux derniers cas co
vé récemment, les muscles qui élèvent le maxillaire inférieur étaient
contractures
au point que le mouvement d'écartement des mâchoi
rler de la rigidité temporaire ou permanente ou, autrement dit, de la
contracture
spasmodique des muscles, privés du mou-vement vol
paralysés et atrophiés et détermine des déformations permanentes par
contracture
. 2° Les membres inférieurs sont envahis à leur
les uns aux autres. 1° La parésie qui s'accuse dès l'origine et les
contractures
permanentes, qui lui succèdent à bref délai, sont
vous rappellerai que partout où se rencontre la sclérose latérale, la
contracture
se montre tôt ou tard plus ou moins prononcée. Ai
es faisceaux latéraux sans atrophie musculaire. 2° La parésie et la
contracture
précèdent l'atrophie, cela est j établi clmiqueme
atif aux membres inférieurs : dans ces derniers cas, la parésie et la
contracture
persistent pendant longtemps sans que l'amyotroph
éruptions cuta-nées . — Seconde période (paralysie, atrophie, griffe,
contracture
, plaques d'anesthésie, paralysie et contracture d
ie, atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthésie, paralysie et
contracture
des membres inférieurs.) — Caractères qui dist ng
on symétrique des cordons latéraux, d'où résultent la paralysie et la
contracture
, se mon-tre la première, tandis que l'altération
hémorragique siégeant dans le centre ovale de l'hémisphère droit. La
contracture
survint très rapidement dans les membres paralysé
en dehors du foyer morbide. A ces symptômes viennent se joindre des
contractures
qui s'emparent des membres paralysés et atrophiés
, en opposition à ce qui se produit dans cette dernière affection, la
contracture
des membres inférieurs, dans la pachyméningite, n
rophie musculaire et l'exis-tence, pour ainsi dire obligatoire, de la
contracture
, dans les membres paralysés. La paralysie motrice
entre ces deux affections. — Caractères tirés de la démarche. De la
contracture
et de la trépidation dans le tabès dorsal spasmod
ic et traitement. — Diagnostic: Sclérose en plaques de forme spinale,
contracture
hystérique, myélite trans-verse, sclérose latéral
aire ressortir le phénomène cli-nique dominant : Je veux parler de la
contracture
qui, presque dès l'origine, occupe les membres af
se surtout, en somme, dans son état de complet développement, par une
contracture
permanente qui s'accroît progressivement et en-tr
me des troubles quelque peu accentués de la vessie et du 1 Quand la
contracture
est devenue permanente, elle existe même au lit ;
modique, au contraire, l'impuissance mo-trice dépend évidemment de la
contracture
qui, poussée à l'extrême et devenue absolument pe
uis longtemps, chez ceriains hémiplé-giques, dans le membre supérieur
contracture
, en redressant les phalanges des doigts de la mai
es du tabès spasmodique qui lui appar-tienne réellement en propre. La
contracture
permanente, pré-cédée de parésie aussi bien que l
affections très diverses où les faisceaux en question sont en cause :
contractures
hémiplégiques dura-bles, consécutives à une lésio
des lésions musculaires trophiques, etc., se mon-trent associés à la
contracture
, n'est pas le tabès dorsal spasmodique. Cela étan
étant posé, je laisserai de côté certains états morbides, comme les
contractures
hystériques par exemple, celles des hémiplégiques
d'un exemple de cette dernière affection. 1 Sur le diagnostic de la
contracture
hystérique voir : Charcot. — Leçons sur les malad
nerveux, t. I, pp. 3*4 et suivantes. — Bourneville et Voulet. — De la
contracture
hystérique, etc. Pour vous détromper, il suffir
hose près, à la seule 1 Loc. cit., p. 118. 2 Loc. cit., p. 210.
contracture
des membres inférieurs, avec ou sans rigidité con
laccidité : exaltation, puis abolition de l'ex-citabilité réflexe ; —
contracture
permanente ; —escarres. — Siège etnature dea lési
ire est lui-même envahi par le ramollisse-meni; il est des cas où une
contracture
permanente s'est dé-veloppée à la longue dans les
Voirles Leçons IX-XIV sur les Amy atrophies spinales. laires, ni
contracture
; la dysesthésie, comme l'anesthésie, font toujour
ligature du hile du rein aurait pour effet de déterminer une sorte de
contracture
prolongée des vaisseaux de la moelle épinière et
je puis vous le faire remar-quer de suite, n'offrent ni atrophie, ni
contracture
, ni défor-mation quelconque. Nous allons maintena
t affectés de sclérose à un certain degré, pourvu, toutefois, que, la
contracture
étant peu accentuée, les mouvements vo-lontaires
us faibles et plus grêles que ceux du côté opposé, mais il ne sont ni
contractures
ni anes-thésiés. Ils se montrent sans cesse agité
e, il peut se faire, principalement lorsqu'il y a un certain degré de
contracture
, que les mouvements intentionnels soient trou-blé
uveaux exemples à l'appui. — Succession des accès. — Apparition de la
contracture
per-manente. Relations entre la céphalalgie et
infé-rieur correspondant. Il faut ajouter que la main et l'avant-bras
contractures
étaient devenus, dans le même temps, le siège de
œuvres. Chez une femme de mon service, la nommée P..., présentant une
contracture
des membres supérieur et inférieur du côté gauche
s de l'art ; un seul accès nouveau s'était produit le 30 octobre ; la
contracture
permanente avait disparu comme par enchante-ment,
transitoire d'un membre, survenant tout à coup, sans être précédée de
contracture
ou de convulsions toniques et se reprodui-sant à
fortement portés en dedans. Il y a également de la rigidité, de la
contracture
, dans les ge-noux, qui sont demi fléchis, et dans
pas complète et la malade pouvait encore remuer un peu les doigts. La
contracture
des membres inférieurs a fait également des progr
e. Il semble que tous les muscles de la face soient dans un état de
contracture
permanente, qui s'exagère encore lorsque la malad
lui du côté droit. Cette paralysie s'accompagne d'un certain degré de
contracture
; les doigts sont fléchis dans la paume de la mai
tion des accès à'épilepsie partielle. Actuellement: hémiplégie sans
contracture
, mais avec hémi-chorée et affaiblissement de la s
ose latérale amyotrophique. — Prédominance de la paralysie motrice. —
Contracture
permanente spasmodique. — Absence de troubles de
ervicale. — Envahisse-ment des membres inférieurs. — Caractères de la
contracture
. —Phénomè-nes bulbaires : Gêne de la déglutition
éruptions cuta-nées . — Seconde période (paralysie, atrophie, griffe,
contracture
, plaques d'anesthésie, paralysie et contracture d
ie, atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthésie, paralysie et
contracture
des membres inférieurs.) — Caractères qui disting
entre ces deux affections. — Caractères tirés de la démarche. De la
contracture
et de la trépidation dans le tabes dorsal spasmod
ic et traitement. — Diagnostic: Sclérose en plaques de forme spinale,
contracture
hystérique, myélite trans-verse, sclérose latéral
ccidité ; — exaltation, puis abolition de l'excitabilité réflexe; —
contracture
permanente; eschares. — Siège et nature des lé-si
veaux exemples à l'ap-pui. — Succession des accès. — Apparition de la
contracture
per-manente. Relation entre la céphalalgie et l
alysie infantile, 170. — Dans la. paraplé-gie par compression, 131.
Contracture
, 14, 20, 23, 92, 106, 201. — dans Y hémichorée, 3
iques, 412 ; — ataxic locomotrice, 113 ; — traitement, 413. Vessie (
Contracture
du col de la), 127. — Paralysie, 127. — Théorie d
je vous ai montrés il s'agissait d'hémiplégie de date ancienne avec
contracture
et exagération des réflexes tendineux. RÉFLEXES
au membre inférieur; le membre supé- rieur gauche était légèrement
contracture
; les réflexes rotuliens et les réflexes du ten
x présentaient aux membres infé- RÉFLEXES CUTANÉS 43 rieurs de la
contracture
, de l'exagération des réflexes tendineux et de
D. J ai étudié les réflexes de défense dans leurs relations avec la
contracture
(voir p. 67) et comme moyen de localiser les comp
muscles dont on se propose d'explorer la contractilité et, pendant
CONTRACTURE
I : 61«i cetle exploration, on fait traverser l
escence obtenue par les procédés habituels semble complète (190).
CONTRACTURE
, En l'étudiant dans ses rapports avec les réfle
uer par des caractères intrinsèques diverses espèces ou variétés de
contracture
et a montrer que chacune d'elles doit a\oir un
. J3ABll\KI. ) 66 SÉMIOLOGIE A. Il était admis autrefois que la
contracture
hystérique, consi- déiée en soi (voir pp. 116 e
), pouvait avoir un aspect symplo- maticluc identique à celui de la
contracture
dépendant d'une affection organique de la voie
t d'ailleurs que les fais- ceaux pyramidaux étaient irrités dans la
contracture
hystérique et qu'ils étaient même susceptibles
ations matérielles. J'ai établi que c'était là une erreur, que la
contracture
hystérique pure no s'accompagne d'aucune modifi
(voir p. 196), que par sa nature elle diffère essentiellement de la
contracture
orga- nique et qu'elle peut être assimilée à un
usculaire voli- tionnelle. B. J'ai montré que, dans le groupe des
contractures
liées à une perturbation de la voie pyramidale,
l'une à l'autre (,94). a) L'une de ces formes est constituée par la
contracture
vulgaire en relation, comme on le sait depuis l
emps, avec l'exagération des réflexes tendineux ; on peut l'appeler
contracture
lendino-réjlexe. Cette relation me conduisit à
souvent demandé, en présence de malades atteints de paraplégie avec
contracture
intense chez lesquels, la force musculaire para
», p. 408, chez .1.-B. Baillière et fils). b) La deuxième forme de
contracture
liée à une perturbation de la voie pyramidale a
toujours exagérés. J'ai proposé de la dénommer, par opposition à la
contracture
tendino-réflexe, contmc- lure cutanéo- réflexe.
la contracture tendino-réflexe, contmc- lure cutanéo- réflexe. La
contracture
cutanéo-réflexe peut occuper les membres supé-
ifs des miens. C. Enfin, j'ai attiré l'attention sur une variété de
contracture
, observée dans la syringomyélie et qui, imputab
nique de la moelle, doit cependant être distinguée aussi bien de la
contracture
tendino-réflexe que de la contracture cutanéo-réf
e distinguée aussi bien de la contracture tendino-réflexe que de la
contracture
cutanéo-réflexe, car elle se développe sans qu'
e offre les caractères cliniques qui le dillërencienL du tic et des
contractures
et notamment ceux récemment mis IIÉIISPAS1E FAC
ensité de la con- tracture permanente des membres, et surtout de la
contracture
avec flexion, est en général plus prononcée dan
aplégie spasmodique en flexion de la para- plégie en extension avec
contracture
, décrite par Erb sous la dénomi- mation de para
malades elle est complètement ou presque complètement abolie. La
contracture
en flexion est sujette à des variations fréquente
point que j'ai déjà cherché à mettre en évidence dans le chapitre «
Contracture
» (p. 65) et sur lequel je n'ai plus besoin d'ins
la moelle ou du bulbe, elle semble liée, particulièrement quand la
contracture
en flexion est très prononcée, à une lésion non
onvient guère à la paraplégie du « tabes dorsal spasmodique » où la
contracture
a une stabilité relative, car le mot spasme a é
ation ayant pour titre : « Paraplégie spasmo- dique organique, avec
contracture
en flexion et exagération des réflexes cutanés de
des réflexes cutanés de défense. » Claude (Sur la paraplégie avec
contracture
en flexion. Revue neurologique, 191 1 , p. a4g)
» une observation qui, disent-ils, « est un type de paraplégie avec
contracture
en flexion tel qu'il a été décrit par Babinski»
me ordre dans un travail inti- tulé : « Paraplégie spasmodique avec
contracture
en flexion (type cutanéo-réflexe de Babinski) d
ogue aux miennes, comme le titre seul l'indique : « Paraplégie avec
contracture
en flexion et exaltation des réflexes de défense.
relaté, en i go6, l'observation d'un enfant de 15 ans atteint d'une
contracture
généralisée due à une compression de la moelle ce
ntracture généralisée due à une compression de la moelle cervicale,
contracture
rapidement améliorée, puis guérie à la suite de l
pratiques de radiothérapie. « Son état continue à s'améliorer ; la
contracture
cède peu à peu dans les diverses parties du cor
le due à l'affaiblissement de la tonicité de celle qui dépend d'une
contracture
ou d'une contraction musculaire. b) Voici un mo
ffe de la main avait été décrite dans l'hémi- plégie organique avec
contracture
. Voici les observations faites par moi sur ce p
amen de la plupart des malades atteints d'hémiplégie organique avec
contracture
, à condition que la paralysie du membre supérie
igne de la pronation. Dans l'hémiplégie organique, avantmême que la
contracture
se soit établie, il n'est pas rare que, du côté
1893, m'amenèrent à cette conclusion que dans les paralysies et les
contractures
hystériques pures il n'existe aucune perturbati
groupes appartiennent : des crises convulsives, des paralysies, des
contractures
variées, des tremblements, des mouve- ments cho
qui présentent des accidents du premier groupe : attaques de nerfs,
contractures
, etc. Il n'y a donc aucune raison de réunir ces
ai, une déviation faciale due à une contraction musculaire ou à une
contracture
, un spasme glosso-labié, mais ses caractères se
ôt après la catastrophe, d'en voir un seul atteint de paralysie, de
contracture
ou de crises convulsives. Les études qu'il fit
ve ; il affirme n'avoir pas constaté un seul cas de paralysie ou de
contracture
. Des enquêtes du même ordre ont été faites aupr
une discordance ne s'est manifestée sur la nature pithiatique de la
contracture
, de la paralysie flasque, des anesthésies hystéri
stement les stigmates fondamentaux de l'hystérie traumatique. « Les
contractures
pithiatiqnes,toutcommeles paralysies proprement d
névrites (Traité de médecine Charcol-I3ouclrard, chez Masson). 40.
Contractures
organique et hystérique (Société médicale des Hôp
n du faisceau pyramidal, sans dégénération secondaire (Id.). 128.
Contracture
généralisée due à une compression de la moelle ce
aux, 14 octobre igio). 177. Paraplégie spasmodique organique avec
contracture
en flexion et contrac- tions musculaires involo
érison (en collaboration avec Chaillous et de Martel. Id.). zig4.
Contracture
tendino-réflexe et contracture cutanéo-réllexe (I
haillous et de Martel. Id.). zig4. Contracture tendino-réflexe et
contracture
cutanéo-réllexe (Id., 9 mai 1912). 195. Contr
ouvelle Iconographie de la Salpêtrière, janvier-février igi3). igg.
Contracture
liée à une irritation des cornes antérieures de l
la contractilité électrique 64 Excitabilité faradique latente 64
Contracture
65 Crampes 68 Cytodiagnostic du liquide cépha
sales inférieures ; il envisage les attitudes qui résultent de leur
contracture
, de leur paralysie, de leur atrophie. Gerdy (
e de douleur à la pression des os, d'altérations des extrémités, de
contractures
musculaires, d'hyperos- toses. Nous avons jus
squelette, fractures multiples,excitabilité nerveuse particulière,
contractures
musculaires douloureuses, affaiblissement progr
ses membres » en recouvra l'usage ; une pauvre femme « atteinte de
contractures
musculaires et abandonnée de son mari », retrou
es ataxiques. Les réflexes patellaires restèrent très exagérés ; la
contracture
des adducteurs empêchait l'écartement des jambe
et demeure flasque pendant 4 mois. Petit t à petit surviennent des
contractures
(le malade peut se soutenir sur sa jambe gauche
ur Ham- mond, c'est une paralysie anapeiratique ; Woillez l'appela,
contracture
par abus fonctionnel ; Hirsch la nomma, la mogi
volution ; le spasme s'accompagne bientôt d'un trem- blement, d'une
contracture
: la crampe de la main devient prolongée. L'em-
s locaux du membre, dont les muscles sont atteints de parésie ou de
contracture
, les autres auteurs ont également commis une er
à un accident d'automobile. La paralysie du bras fut complète, avec
contracture
du biceps. En ce moment le malade se sert facilem
ie a, par consé- quent, pour but de transformer ces fléchisseurs en
contractures
en état d'hypo- tonie, d'où il résulte, une aug
mpes professionnelles la paralysie est toujours primitive et que la
contracture
n'est qu'un phénomène secondaire. Pour cet aute
on constate en général que les fléchisseurs se trouvent en état de
contracture
et que leurs antagonistes sont en état de parés
à introduire sous cette voûte spasmodique un ou deux doigts. Cette
contracture
se constate également pendant l'extension du po
ilité de la fibre musculaire, montre que, lors- qu'un muscle est en
contracture
, sa tonicité musculaire est au-dessus de l'état
uent, une augmentation de sa contractilité musculaire augmentera sa
contracture
. Par contre, dans un muscle en hypotonie, l'aug-
es parésiés ou atrophiés et en laissant en repos absolu les muscles
contractures
, nous avons toujours obtenu une augmentation de
uction du pouce ? Dans la majorité des cas le spasme a lieu avec la
contracture
brusque des doigts. Nous avons, cependant, renc
usque des doigts. Nous avons, cependant, rencontré des cas où cette
contracture
s'est accompagnée d'un redressement du petit do
t doigt ou d'une extension brus- que de l'annulaire. Dans un cas la
contracture
du médius et du pouce s'ac- compagnait d'une co
un cas la contracture du médius et du pouce s'ac- compagnait d'une
contracture
des fléchisseurs de l'éminence hypothénar, de t
n inacti- vité. Pour obtenir ce relâchement de l'action des muscles
contractures
nous faisons apprendre à nos malades l'écriture
ôté malade.... « Il est possible que les muscles lombaires soient
contractures
du côté malade sans qu'il en résulte une déviat
e une déviation rachidienne de ce côté.... « Cela tient Ù ce que la
contracture
de ces muscles ne peut pas contre- balancer l'a
s mus- cles du côté sain, la scoliose homologue est produite par la
contracture
des muscles du côté malade... « Le spasme mus
e alors que les douleurs sur le trajet du sciatique ont disparu, la
contracture
des muscles extenseurs du tronc d'un côté ou de
ariations individuelles, ne sont jamais le fait d'une cause unique (
contracture
, étal spasmodique,. paralysie, etc.), mais bien
a bouche ; la parole est incompréhensible. Tous ses membres sont en
contracture
; réflexes rotuliens très exagérés, clonus des r
dans les aires pyramidales croisées. Oss. III (1).- P.G. Démence ;
contracture
en flexion des membres inférieurs ; dégénéresce
le réflexe plantaire est nul des deux côtés, il existe une certaine
contracture
au niveau des membres supérieurs, mais à un deg
. 208 VIGOUROUX ET LAIGNEL-LAVASTINE 1 OBs. IV. P. G. Démence ;
contracture
en flexion des membres, inférieurs ; gomme du m
que le volume d'un petit pois, mais en même temps on constatait une
contracture
des jambes sur les cuisses et des cuisses sur l
TÉ DE MÉDECINE DE MONTPELLIER SERVICE DE M. LE PROFESSEUR GRASSET
CONTRACTURES
PRÉCOCES ET PERMANENTES DANS UN CAS D HÉMIPLÉGI
GAUSSEL Chef de clinique médicale à la Faculté de Montpellier. La
contracture
des hémiplégiques est bien connue au point de vue
ue pathogé- nique. L'hémiplégie de l'adulte peut s'accompagner de
contractures
précoces ou tardives ; précoces, elles survienn
s par suite de rétractions tendineuses. Il est exceptionnel que les
contractures
précoces se transforment, sans rémission, en co
l que les contractures précoces se transforment, sans rémission, en
contractures
permanentes : les deux variétés sont nettement
eux variétés sont nettement différenciées par les classiques. Les
contractures
précoces traduisent habituellement la participati
ninges au processus hémorrhagipare, l'inondation ventriculaire; les
contractures
tardives sont le fait de la dégénérescence descen
ante du fais- ceau pyramidal. L'apparition, avec l'hémiplégie, de
contractures
précoces, qui ne cè- dent pas et se transformen
de contractures précoces, qui ne cè- dent pas et se transforment en
contractures
permanentes, est un événement t rare : cependan
e V), M. Dejerine signale la possibilité de ce mode d'évolution des
contractures
: « Quelle que soit son 242 GAUSSEL intensité
contractures : « Quelle que soit son 242 GAUSSEL intensité, cette
contracture
précoce est en général passagère ; dans certains
dans certains cas cependant elle persiste et se transforme alors en
contracture
perma- nente » (p. 477). L'attitude habituell
ues cas. A côté de l'hémiplégie de l'adulte, il faut mentionner les
contractures
et les attitudes bizarres observées dans l'hémi
ellent en quelque sorte une position athétosique figée. En somme,
contractures
précoces et contractures tardives chez l'adulte,
une position athétosique figée. En somme, contractures précoces et
contractures
tardives chez l'adulte, contractures permanente
omme, contractures précoces et contractures tardives chez l'adulte,
contractures
permanentes de l'hémiplégie infantile ont des car
une malade, atteinte d'hémiplégie droite avec aphasie, chez qui les
contractures
, au niveau du poignet et de la main, faisaient
lysé donnent l'impression d'une hémiplégie cérébrale infantile avec
contractures
. L'histoire de la malade en réalité était bien
ce. Nouvelle Iconographie de la SALPETKtÈRE. T. XVIII. Pl. XXXV
CONTRACTURES
PRÉCOCES ET PERMANENTES DANS UN CAS D'HÉMIPLÉGIE
T PERMANENTES DANS UN CAS D'HÉMIPLÉGIE DE L'ADULTE (A. Gaussel)
CONTRACTURES
PRÉCOCES ET PERMANENTES 243 Dès ce moment le cô
ET PERMANENTES 243 Dès ce moment le côté droit est paralysé et les
contractures
s'installent précoces ; la main droite est cont
naissance, elle paraissait souffrir beaucoup de son côté droit, les
contractures
s'accompagnant de douleurs qui amenaient des cr
quée quand la malade fait des mouvements de la face, et tenant à la
contracture
dans le domaine du facial inférieur droit. Le m
t à sa jambe, à son pied, il ses orteils. Cela tient en partie à la
contracture
très prononcée. La jambe est dans l'extension s
re de la jambe, on voit la cicatrice de son ancienne fracture. La
contracture
au niveau du pied est telle que l'on ne peut corr
ne per- mettent pas de penser 1 autre chose qu'à une hémiplégie.
CONTRACTURES
PRÉCOCES ET PERMANENTES 24S L'examen des divers
s aucun prodrome, est frappée d'hémiplégie droite avec aphasie. Des
contractures
précoces apparaissent, qui, au lieu de céder, se
es précoces apparaissent, qui, au lieu de céder, se transforment en
contractures
permanentes ; il en résulte une attitude par- t
t 3e circonvolutions frontales. Chez notre malade, la précocité des
contractures
, la douleur du début et dans la suite, la perte
éritent d'être mis en lumière. / C'est d'abord la persistance des
contractures
survenues d'une façons précoce, fait qui n'est
pas habituel : tous ceux qui se sont occupés de cette* question des
contractures
chez les hémiplégiques, Bouchard,Strauss,Bris-
chard,Strauss,Bris- saud, etc., ont admis le caractère passager des
contractures
précoces ; leur opinion est aujourd'hui classiq
e an contraire a eu ses mem- bres contracturés dès son ictus et les
contractures
n'ont jamais cédé. Il convient de faire remarqu
leur évolution, par les défor- mations qu'elles ont entraînées, les
contractures
observées chez notre ma- lade présentent un cer
és, leur recherche provo- que une trémulation qui peut amener de la
contracture
. Signe de Babinski. Sphincters intacts. 31 ma
me gagner le membre du côté opposé. Il existe un certain degré de
contracture
qui augmente dans les mouvements passifs, mais
s. Pas de tremblement dans l'acte de porter le verre à la bouche.
Contracture
plus forte à gauche qu'à droite, ayant les mêmes
flexes très forts. Cou. Raideur. Difficulté des mouvements. Face.
Contracture
permanente du facial droit. L'apparence de paré
Se soulève bien dans la phonation. Rejet des liquides par le nez.
Contracture
des muscles élévateurs de la mâchoire. Réflexe ma
et la force musculaire sont conservés. Il existe un léger degré de
contracture
, qui n'apparaît que dans le.¡; mouvements passi
aut développement ; en effet, chez celui-ci elle se traduit par une
contracture
généralisée aux quatre membres, au cou, aux mus
ertains des symptômes qu'on observe chez eux. Au point de vue de la
contracture
que présente le premier malade, nous ferons sim
mlin, et par Miura. D'un autre côté, l'aspect est complété par la
contracture
des muscles faciaux ; en particulier des muscle
la face, déterminant en plus une asymétrie faciale prononcée. Cette
contracture
s'exagère d'ailleurs dans la parole et dans les
parole et dans les mouvements de la mâ- choire, rappelant ainsi la
contracture
qu'on observe dans l'hérédo-ataxie cérébelleuse
rédo-ataxie cérébelleuse sous forme de mouvements associés. Cette
contracture
n'est pas limitée à la musculature de la face, el
erminer à le mettre sur le compte de l'instabilité mentale ou de la
contracture
. Mais il n'est pas impossible que celte der- ni
rotation de la tête, les yeux suivent le mouvement. Peut-être cette
contracture
n'existe- t-elle que dans les mouvemeuts isolés
laires, et non dans les mouvements associés. C'est encore dans la
contracture
de l'appareil phonateur que nous ten- dons à vo
LE FAMILIALE 411 Certains symptômes (parole, tremblement des mains,
contracture
) pourraient à un examen superficiel évoquer l'i
ieu d'être brusque, "explosive, est lente, monotone et nasonnée, la
contracture
, qui est rare dans l'hérédo-ataxie cérébelleuse
aires lents, pas de nystagmus. Pas de troubles sphinctériens. 1873.
Contracture
du cou ; quand le malade regarde en haut, il se p
n conservés dans leur volume, et assez forts pour exagérer par leur
contracture
la courbure de la colonne vertébrale quand le m
gardé une excitabilité électrique normale. ATTITUDES VICIEUSES PAR
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS. par A. BROCA,
nt une étiologie de fantaisie, prenant pour ATTITUDES VICIEUSES PAR
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 445 cause réelle un
e des accidents hystériques dont le diagnostic nous intéresse : les
contractures
et les pa- ralysies motrices. Les contracture
us intéresse : les contractures et les pa- ralysies motrices. Les
contractures
, surtout, doivent nous occuper, en raison des att
e incom- plète ressemblant par quelques côtés au mal de Pott. Les
contractures
hystériques sont aujourd'hui bien connues et il n
diagnostic sera facile lorsqu'existera cette véritable diathése de
contractures
, dont Souques, dans le Manuel de médecine retrace
neuro-musculaire tel qu'une exci- tation souvent légère provoque la
contracture
. On le désigne encore sous les noms d'opportuni
la contracture. On le désigne encore sous les noms d'opportunité de
contracture
et de contracture latente, rien en effet ne la
le désigne encore sous les noms d'opportunité de contracture et de
contracture
latente, rien en effet ne la traduit à l'état n
ttement le rêve. Mais pourquoi, dira-t-on, tel muscle entre-t-il en
contracture
? Le trauma a-t-il déterminé des lésions, des f
saire : quand il existe, il agit simplement ATTITUDES VICIEUSES PAR
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 447 comme cause psy
rôle de provocation, d'excitation sur ce terrain « d'opportunité de
contracture
». Les sensations subjectives concomitantes son
a consultation du médecin que l'atti- tude vicieuse, résultat de la
contracture
. Celle-ci est presque indolore et nous avons al
agnostic, car une lésion ostéo- articulaire ne provoque en somme de
contracture
semblable, rapide et in- tense, que pour parer
r vive. Un autre fait d'observation banale, est l'exagération de la
contracture
pendant l'examen du malade. Plus on attire l'at
ce d'un anesthésique quelconque, produit de merveilleux effets : la
contracture
dis- paraît comme par enchantement, l'articulat
s redevenues souples. Cette disparition est souvent éphémère, et la
contracture
revient au réveil, à moins qu'avant l'anesthési
que les attitudes vicieuses consécu- tives aux arthrites, dues à la
contracture
réflexe destinée à l'immobilisa- tion instincti
éraux, nous serons la plupart du temps en état de soupçonner qu'une
contracture
hystérique est la cause d'une atti- tude vicieu
ne ar- thrite quelconque, et surtout tuberculeuse, est une cause de
contracture
musculaire, et que si presque toujours on obser
mouvements précède de loin l'attitude vicieuse, quel- quefois cette
contracture
se produit brusquement ou tout au moins, qu'il
e la synoviale, puisse provoquer, au même titre qu'un trauma, cette
contracture
brusque et variable, exceptionnelle dans les tu
dolente. Cette remarque s'applique à toutes les localisations de la
contracture
hys- térique,quelle que soit l'attitude vicieus
rendre compte par l'étude individuelle des observations. Cas. I.
Contracture
hystéro-traumatigue du pied en talus valgus. Je
Bilgrain, n 16 bis), le 27 septembre 490 ? ATTITUDES VICIEUSES PAR
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 449 Elle raconte qu
'y avait aucun point gonflé, d'apparence malade, il ce point qu'une
contracture
intense immobilisait le pied en talus-valgus tr
n'ayons jamais encore rencontré de tarsalgie, même invétérée, où la
contracture
fût suffisante pour rendre exclusif l'appui sur
n qui, jointe à l'absence de tout signe appréciable en dehors de la
contracture
, nous fit diagnostiquer l'hystérie. Nous allons
e par une entorse externe, avec torsion du pied en dedans, d'où une
contracture
en talus-valgus, tout à fait comparable à la co
- tusions et entorses. Quelle fut exactement la chronologie de la
contracture
consécutive à l'entorse ? Notre fillette est in
es conditions, avons-nous dit, deux cas sont possibles : ou bien la
contracture
est immédiate, ou bien elle se constitue tout d
, date de la veille. Son enfant jouait avec ATTITUDES VICIEUSES PAR
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 451 des camarades q
eur plus accentuée des muscles de droite, qui s'op- posent par leur
contracture
à tout redressement. Dans l'attitude acquise, les
me est absolument négative, et pensons dès lors à un torticolis par
contracture
hystérique. L'interrogatoire et l'examen faits
évropathiques, on n'en persiste pas moins à porter le diagnostic de
contracture
hystérique, que le traitement d'ailleurs va gué
ement peut être consi- déré comme normal. ATTITUDES VICIEUSES PAR
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 453 La maladie actu
ment est particulièrement douloureuse et semble augmenter encore la
contracture
des masses musculaires. Les mouvements de flexi
olution, on n'hésite pas à porter le diagnostic de tortico- lis par
contracture
hystérique, et on soumet l'enfant à un traitement
pour la même déformation. Il pré- sente à nouveau un torticolis par
contracture
hystérique du côté droit, à la suite d'une nouv
ement douloureuse.Il dîna comme d'habitude, ATTITUDES VICIEUSES PAR
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 455 et les parents
. A la palpation, on sent le muscle sterno-cléido-mastoïdien tendu,
contracture
, nullement douloureux. Aucune saillie osseuse
pareil est enlevé, la tête est tout à fait droite ; aucune trace de
contracture
, plus de douleurs, l'enfant quitte l'hôpital le m
itation » fut observé et nous fûmes en présence d'un torticolis par
contracture
isolée du sterno-cléido- mastoïdien. Quoi qu'
'endroit lésé, et d'ailleurs ces lésions ne sauraient provoquer une
contracture
aussi prononcée des mus- cles atteints. Ici, au
traire, pas de douleur au niveau des membres musculaires, seule une
contracture
immobilisant la tête dans la position de tortic
oureuse et presque impossible. Le phénomène essentiel était donc la
contracture
localisée, deux fois au sterno-mastoïdien, une
ébut, on était amené à songer à l'hystérie. ATTITUDES VICIEUSES PAR
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 457 Nos observation
ncernent une des formes du torticolis hystérique, le torticolis par
contracture
. Ce n'est pas la seule, et il peut se produire
itement symétrique, mais oblique, surtout à attitudes vicieuses par
contracture
hystérique chez LES enfants 459 droite. A la pa
exion du tronc, qu'on lui ordonne avec fer- attitudes VICIEUSES par
contracture
HYSTÉRIQUE CHEZ LES enfants 463 meté de se mieu
canismes diffé- rents, comme je l'ai dit pour le torticolis : d'une
contracture
ou d'une parésie ; que même ces deux causes peu
vent s'associer en proportions variables. 1 Dans bien des cas, la
contracture
est démontrée par la palpation des muscles, que
igeait par la suspension et non par le simple décubitus, on sentait
contractures
le grand dorsal et le grand rond. Divers faits an
its analogues met- tent hors de doute la réalité de la scoliose par
contracture
hystérique. Mais il en est d'autres où l'impres
auches, du côté, par conséquent, où le bassin est élevé, donc où la
contracture
coxo-fémorale en adduction est possible. Mais d
'une incurvation 464 BROCA ET IIERBINET imprimée au rachis par la
contracture
des muscles de la concavité, mais d'une « posit
u'un mé- lange déraisonnable, en doses impossibles à déterminer, de
contracture
et de parésie musculaires : et c'est également
d'Angleterre depuis longtemps déjà pour une ATTITUDES VICIEUSES PAR
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 465 maladie chroniq
ns les jambes. Il est de toute évidence que ATTITUDES VICIEUSES PAR
CONTRACTURE
HYSTERIQUE CHEZ LES ENFANTS 467 l'enfant simule
ubles fonc- tionnels ? Probablement par un mélange d'asthénie et de
contracture
mus- culaire. Le tableau, en tout cas, ne nous
observations, tant au point de vue diagnos- ATTITUDES VICIEUSES PAR
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 469 tique que patho
apparente, si quelques malades se lèvent un beau matin guéris de la
contracture
, si d'autres cas disparaissent à la suite d'une
s, et ces modifications organi- ques peuvent subsister alors que la
contracture
, leur cause première, a cessé. Charcot a insist
crises convulsives, des mouvements provoqués ou spontanés suivis de
contractures
d'abord localisées, puis généra- lisées. Rappro
des lésions, Respiration de Cheynes-Stockes, crises convulsives et
contractures
cadrent trop bien avec l'existence d'une méningit
brillaires, pas de tremblement, pas de spasmes, pas de tics, pas de
contractures
ni de crampes, pas de rétractions tendineuses ;
e syphilitique (2 pl.), par LANNOis, 593. Attitudes vicieuses par
contractures
hyslé- riques chez les enfants (2 fig.), par BR
te de la paralysie faciale périphéri- que (1 pl.), par Lamy, 424.
Contractures
hystériques chez les enfants, attitudes vicieus
nts, attitudes vicieuses (2 fig.), par BROCA et HERIJINBT, 443.
Contractures
précoces el permanentes dans un cas d'hémiplégi
hien) (2 fig.), par Marchand, PETIT et COQUOT, 234. Hémiplégie (
contractures
précoces et per- manentes dans le cas d'- de l'
mentale, 285. BROCA (A.) et I-IER131NFT. Attitudes vicieuses par
contracture
hystérique chez les enfants (2 fig.), 443. CA
PAGNIEZ, Myasthénie hypoto- nique mortelle (1 pl.), 2+7. GAUSSE.
Contractures
précoces et perma- nentes dans un cas d'hémiplé
à la suite de la paralysie faciale périphéri- que (LAMm), XLIX.
Contractures
précoces et permanentes dans un cas d'hemiplégi
ment, car comme disait Charcot, « il ne faut pas laisser flâner les
contractures
hystériques . Comme traitement symptomatique, l
nique dès oies'cëi-él)ro spi- nales (signe de Babinski, parésies et
contractures
montrant le typé d'élec- tion de Wernick'e);' p
cte musculaire est Un' facteur 'favo1'isant le développement de ces
contractures
passagères. Le même malade, qui inconsciemment
mettre le genou en extension sur notre ordre : il se développe une
contracture
en flexion qui persiste pendant toute la dùrée'
direction projetée. Dans certains cas il se développe une véritable
contracture
des muscles. Dans d'autres cas, ce n'est pas t'hy
voies pyramidales. Comme nous le savons, cette lésion provoque les
contractures
qui probablement sont des'fonc. 1 tions statiqu
udié par Wernicke, c'est-à-dire que ce sont les groupes musculaires
contractures
qui sont le plus accessibles à l'impulsion de la
ilité de continuer les actes demandés, sans que le plus souvent une
contracture
bien appréciable des antagonistes puisse être a
nervation qui en partie se rapprochent des positions classiques des
contractures
ou du decerebrate rigidity, les parties lésées
es sont en flexion ; cette flexion est souple, sans aucune trace de
contracture
et on la réduit toujours avec facilité. La chut
profond et sublime, il faille incriminer quelqu'élément surajouté :
contracture
musculaire, rétraction tendineuse, modification
me chronique (pl. XX, fig. F et pl. XXI, fig. D). VI. Paralysies ET
contractures
dites réflexes. Enfin, on peut observer au nive
RES DES NERFS 79 spéciaux formés d'une association de parésie et de
contracture
tout à fait caractéristique. . On peut répart
n que cette division soit très schématique : 1° les paralysies avec
contractures
, qui sont les plus typiques ; 2° les contractur
s paralysies avec contractures, qui sont les plus typiques ; 2° les
contractures
; 3° les paralysies flasques avec hypotonie.
es ; 3° les paralysies flasques avec hypotonie. 1 Paralysies avec
contractures
. - Synonymie : « main figée » de Henry Meige, p
ents physiothératiques qui ordinairement améliorent les raideurs ou
contractures
, séquelles de lésions osté4-articulaires ou mus
iologie. Académie de médecine, 19 octo- bre 1915 ; Sur une forme de
contracture
organique d'origine périphérique et sans exagér
potences parmi les affec- tions organiques et les différencient des
contractures
et paralysies hysté- riques ou pithiatiques. -
es contractures et paralysies hysté- riques ou pithiatiques. - 2°
Contractures
. Il n'y a pas toujours une délimitation bien net
limitation bien nette entre les formes précédemment décrites et les
contractures
pures, le plus souvent un certain degré de paré
qnes muscles s'associe à la con- tracture de certains autres. Les
contractures
du membre supérieur prédominent ordinairement à !
Léri et Edouard Roger, les variétés les plus fré- quentes sont : la
contracture
en extension de la main et des doigts (doigts .
hés, serrés les uns contre les autres (1). Selon M. Sicard (2), les
contractures
réalisent à la main et aux doigts certaines att
de la main est creuse, les doigts à demi fléchis l'encerclent, par
contracture
des interosseux et de l'adduc- teur du pouce ;
teur du pouce ; « main du nerf cubital ». c) La main en fuseau par
contracture
des extenseurs de la main et des 1 doigts et de
e aigu sur le poignet, les doigts allongés. e) La main indicatrice (
contracture
en flexion des deux derniers doigts, l'index re
e et faradique des muscles. Académie de médecine, 11 janvier 1916 ;
Contractures
et paralysies traumatiques d'ordre réflexe. Press
-mai 1916. (1) André Lim et Edouard Roger, Sur quelques variétés de
contractures
posi-trau, matiques et sur leur traitement. Soc
outchouc et l'alcoolisation locale des nerfs dans le traitement des
contractures
par blessures de guerre. Société médicale des hO.
es hypotonies plus que des paralysies, des hypertonies plus que des
contractures
; qui sont plus remarquables par leur qualité qu
Soc. méd. des hôp., 4 février 1916. (2) J. Babinski et P. Froment,
Contractures
et paralysies traumaliques d'ordre réflexe Pres
'un de l'autre. 5. Motilité provoquée actuelle. La réduction de ces
contractures
est indolore, est relativement aisée, mais se p
bande d'Esmarch en application amène la dlsparation cnm- plète des
contractures
, mais ne modifie pas l'excitabilité mécanique.
ste après application de la bande d'Esmarch qui fait disparaître la
contracture
des interosseux. Elle ne peut être attribuée qu
lésion irritative des fibres de la pre- mière dorsale, amenant une
contracture
avec hypertonie des interosseux. 86 LAIGNEL-LAV
supination de l'avant-bras dépend de la luxation du coude et de la
contracture
du biceps. Une radiographie faite à l'hôpital B
MAIN 89 5. Motilité provoquée actuelle. La réduction de toutes ces
contractures
est possible sans effort appréciable, mais l'at
rexcitabilité semble rester au même degré. Il en est de même de la -
contracture
. Le membre, conserve plus longtemps la chaleur.
ure et. l'anesthésie de la main. Elle produisit immé- diatement une
contracture
d'amont, dont l'effet fut combattu par le redre
squerie plus sensible et elle fait disparaître en une demi-heure la
contracture
. ' 9. Excitabilité électrique. - Faradisation.
cubital. M. de Massary discute, pour la rejeter, l'hypothèse d'une
contracture
hystérique. Cette hypothèse se pose avec plus d
l'hypertonie dans celui du médian : hypertonie qui donna lieu à une
contracture
suivie de rétraction. R + P. Observation VII.
es s'est améliorée. ° , R -1- P. Observation X. Main d'écrivain par
contractures
réflexes et psychogènes (PI. XXVI, J). 1. His
est complète. 5. Motilité provoquée actuelle. - La réduction de la
contracture
est pos- sible pour les trois derniers doigts,
ux et adducteurs sont inner- vés par le cubital est en faveur d'une
contracture
organique, compliquée d'une attitude par mécani
ut qu'un but utilitaire. P. Observation XI. - Main DE MEA CULPA par
contracture
fonctionnelle psychogène (PI. XXVI, K). 1. Hi
diatement, dit le blessé, le deuxième et le troisième doigts furent
contractures
en extension, les trois autres fonction- nant b
t alors un certain temps accolés parallèlement (réductibilité de la
contracture
des interosseux), mais on ne peut les redresser
interosseux), mais on ne peut les redresser (irréductibilité de la
contracture
des lombricaux). 6. Sensibilité. Hypoesthésie d
ux dernières). P. Observation XII. Main DU PRÊTEUR DE serment par
contracture
psychogène (PI. XXIV, D). 1. Historique. Blessé
ffement : disparition. 9. Excitabilité électrique. Diminution de la
contracture
faradique des muscles fléchisseurs de la main e
cU, appliquée pendant cinquante minutes, résout incomplè- tement la
contracture
. - 5. Motilité volontaire. - Tous les mouvement
incom- plète du médian avec névrome ») et aussi quand il s'agit de
contracture
ou d'hypertonie par lésion irritative, radicula
action fibro-tendiueuse des trois derniers doigts, secondaire à une
contracture
du fléchisseur superfi- cielle, contracture réa
oigts, secondaire à une contracture du fléchisseur superfi- cielle,
contracture
réactionnelle à une lésion cubitale. Mais ces t
III, paralysie hystérique de la main après fracture de l'humérus et
contracture
réflexe de l'épaule et de l'avant-bras ; X, main
dans les autres cas. b) Sur la tonicité. Il y a eu exagération des
contractures
en général. 2° Conséquences du réchauffement pa
- Influence de la bande d'Esmarch. - Elle fut sans influence sur la
contracture
dans VI et III. Elle la fit disparaître dans X, I
idité de la disparition a une certaine valeur. La disparition de la
contracture
paraît plus rapide quand celle-ci est d'origine
ntracture d'amont du médian ; XI, main de mea culpa, précédée d'une
contracture
des extenseurs des deuxième et troisième doigts.
, peuvent s'expliquer d'une façon organique. Tantôt il s'agit d'une
contracture
d'amont (III) de Ducosté ; tantôt il s'agit d'une
exception d'un très léger mouvement latéral des 4* et 5° doigts. La
contracture
s'oppose à l'extension passive des doigts. La f
lade de l'observation IV, dont la plaie de la main et l'altitude en
contracture
auraient pu faire penser à l'un de ces cas de lés
du nerf radial qui ne s'est manifestée que par un certain degré de
contracture
et par des douleurs très vives, ayant tous les ca
se heurte à une résistance élastique qui ne peut être due qu'à une
contracture
relative des muscles extenseurs des doigts. L
s. Abolition des réflexes. ' XXVIII 14 202 ÉTIENNE 1 Pas de
contracture
de la nuque. ' Faiblesse des membres supérieurs
objective des genoux ou des jambes. Les membres inférieurs sont en
contracture
, les pieds en équinisme. Aucune douleur à la
x pieds indéfini. Pas de Babinski. , La marche est difficile ; en
contracture
avec une sorte de steppage surtout marqué à gau
i. - Même état, mêmes douleurs surtout nocturnes. Toujours fortes
contractures
: le malade ne peut que difficilement fléchir l
Démarche en se dandinant, cherchant un appui. Les jambes sont en
contracture
. Force musculaire amoindrie. Pas d'asté- réogno
Marche de la maladie. 1er juin. Nuit calme, sans aucune douleur. La
contracture
des jambes est moindre, les mouvements de flexion
u service que les modifications des réflexes et un cerlain degré de
contracture
. Dans l'observation XII notamment, l'évolution
issent des trou- bles moteurs spasmodiques, se traduisant par de la
contracture
; l'obser- vation IV a été notamment nette à ce
maines après le début des crises douloureuses, il existe un état de
contracture
des membres inférieurs, le malade ne pouvant que
ÉPIDÉMIQUES. DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES 219 au 34e jour. Un état de
contracture
musculaire permanente a été noté dans l'observa
respiration artificielle. L'enfant présente dès le premier jour des
contractures
des muscles de la face et des membres : « l'enf
traits au tableau habituel de cette affection, en parti- culier la
contracture
des adducteurs' de la cuisse, la marche sur la po
rotuliens sont très exagérés. Les membres présentent un mélange de
contracture
et de parésie. Ainsi, en marchant, l'enfant fau
ienne dans les cordons pyramidaux. Ce même mélange de parésie et de
contracture
se manifeste aussi dans la dysarthrie qui est é
er 1916, présentait un état suhcomateux et une hémiplégie gauche en
contracture
. Les commémoratifs sont de la plus grande impor
rachiale gauche, accentuée surtout dans les flexions. En même temps
contracture
intermittente du bras. Pas de céphalée. On lui
ur. Elle n'aime pas à parler et ne peut pas dormir. Vomissements.
Contracture
du bras plus prononcée. . 19. - Même état. °
lièrement. Doigts de la main gauche flasques. Bras et avant-bras en
contracture
. 23. - Elle se trouve mieux, sans céphalée. Apr
mêmes paralysies, état général meilleur. La céphalée moins intense.
Contracture
du bras gauche augmentée. On lui fait une WR. R
auche, flasque, bien accentuée. Paralysie du bras gauche en forte
contracture
. Paralysie spartique de la jambe du même côté.
st installée progressivement dans 18 jours. Elle a commencé par des
contractures
et la paralysie du bras, la paralysie de la face
e différent, parallèle du développement clinique de la maladie. Les
contractures
généralisées de tout le corps, que l'on a pu obse
à une hémorragie cérébrale. L'absence de raideur dans la nuque, les
contractures
généralisées de tout le corps rendaient plausible
l'épendymé, inonde le système ventriculaire. Le tableau clinique dé
contractures
généralisées avec des convulsions est aussi en
raux : la céphalée, les vomissements, la raideur de la nuque et les
contractures
, le Kernig, l'hyperestésie, etc., parce qu'on les
émorragies ventriculaires. Leur symptôme le plus imposant était les
contractures
généralisées. Celles-ci ne se sont pas produite
hase de la maladie que des symptômes méningi tiques avec torpeur et
contractures
, il doit être plus de l'intérêt du patient de l
à l'épaule, soit la main, qu'elles sont quelquefois compliquées de
contractures
isolées de tel ou tel muscle dumembre supérieur
ations irritatives sont patentes. Outre la douleur, on constate des
contractures
importantes, de l'exagération des réflexes, leur
l'extension atteint à peine l'horizontale; elle est arrêtée'par la
contracture
du grand palmaire; la flexion est bonne et rési
state qu'ils conservent l'attitude donnée. Il ne s'agit donc pas de
contracture
comme il semblait d'abord, mais d'un trouble trop
èze plus saillants. Cette asymétrie est due sans duute à une légère
contracture
de défense des muscles élévateurs contre la doule
i présentait des accidents convulsifs d'hystérie et de la diathèse de
contracture
. Plongée facilement dans un état profond d'hypn
Sur la suggestion Criminelle » (The monist, avril 1892.) Delprat. — «
Contracture
faciale bilatérale hystérique -. (Nouvelle Iconog
é verbale et permet a la malade de lire. La paralysie flasque ou la
contracture
du membre supérieur droit, dans la léthargie, ne
ec l'hyper excitabilité neuro-musculaire, cutano-musculaire, avec les
contractures
, etc., les hystériques dans le sommeil hypnotique
t disparaître, chex une malade by*tériquc qu'il avait hypnotisée, une
contracture
hystérique dont le début remontait à un an. La
troubles physiques, nous avions pu découvrir certaines paralysies ou
contractures
, certains troubles de la sensibilité cutanée ou d
fort gênée pour taire son service. Il s'agissait probablement là de
contracture
d'origine hystérique, un torticolis survenu, comm
près quelques attouchements sur le slerno-clèldo-mastoïdien fortement
contracture
, j'oblins des mouvements de la tèle non douloureu
lit avec l'attitude d'une coxalgie droite avec luxation externe. La
contracture
des adducteurs était telle que la cuisse droite c
ge qui avait bouleversé sa vie : et immédiatement le membre abdominal
contracture
reprit peu a peu sa situation normale. Quatre s
enir la Société d'hypnoIogîe et de psychologie de certaines formes de
contracture
hystérique dont j'ai fait le sujet de ma thèse in
déviation latérale droite ou gauche de la colonne vertébrale due à la
contracture
des muscles du rachis agissant dans le sens de l'
s définis. Et cela est encore la règle, car vous n'ignorez pas que la
contracture
est souvent la première manifestation — le premie
tion, ce que MM. Brissaud et Ch. Richet appellent étal d'imminence de
contracture
; Charcol l'a qualifié diathèse de contracture, t
nt étal d'imminence de contracture ; Charcol l'a qualifié diathèse de
contracture
, terme qui prévaut aujourd'hui. Les attaques co
ives, les émotions, les états morbides sont des causes ordinaires des
contractures
. Ici, c'est surtout le traumatisme qui en agissan
discutée des scolioses. Ce sont la aussi des phénomènes évidents de
contractures
hystéro-trau-matiques. El à ce litre, je les croi
ils gardaient La position que je leur donnais. Celle disposition A la
contracture
acheva de m'éclairer sur la nature de l'affection
Vers la fin de décembre, les membres perdirent leur disposition à la
contracture
et l'œil devint également moins terne. Bientôt je
on attitude extatique, ses membres recouvrèrent leur disposition à la
contracture
, les mains se fermèrent roidies et elle ne voulut
in de janvier, les membres perdirent de nouveau leur disposition à la
contracture
et l'on s'aperçut qu'elle retirait instinctivemen
et j'arrivai a faire prononcer d'une façon assez distincte, malgré la
contracture
de la mâchoire qui persistait encore, les voyelle
gauche qui l'importunait très souvent, et était accompagnée de fortes
contractures
dans tous les membres (sans perte de connaissance
it ou fixe trop longtemps un objet; de temps un temps surviennent des
contractures
des masseters ou des muscles des membres inférieu
udication, nous arrivons sans peine à constater qu'elle est due à une
contracture
des muscles de la hanche droite, et notre attenti
l'enfant nous est ramenée ; mais ce jour-la, elle ne boite pas et la
contracture
de ta hanche a disparu. La mère nous dit du reste
genou gauche (la hanche malade est la droite), sans gonflement. La
contracture
n'existe pas; l'état des poumons est excellent.
tion des phénomènes de la hanche et si elle avait siégé du côté de la
contracture
, la ressemblance avec la coxo-tuberculose aurait
début, mais il parait ne pas avoir été lent, et dans tons les cas. lu
contracture
a atteint dès le premier jour son maximum el n'a
s chez notre malade, mais chaque fois que nous avons voulu vaincre la
contracture
, nous avons provoqué de la douleur. (1) Gazette
nd nous nous demanderons s'il ne s'agit pas de coxalgie simulée. La
contracture
se rencontre ordinairement sur d'autres groupes m
vons à signaler le début brusque, la boiterie paraissant d'emblée, la
contracture
intermittente, les phénomènes négatifs du côté de
superficielle et ne cause pas de soubresauts pendant la nuit, que les
contractures
peuvent occuper d'autres régions que la hanche ;
t et Ba-bînski (2) ont signalé des cas d'atrophies consécutives à des
contractures
hystériques et dues à des troubles trophiques. Gi
. De plus, lorsque nous avons pu l'examiner en dehors des périodes de
contracture
, nous n'avons jamais produit des craquements. C'e
ut, on peut ne pas produire de craquements après avoir fait cesser la
contracture
par le chloroforme. Dans l'espèce nous avons, s
il y a plus d'un an que la maladie a commencé, et en supposant que la
contracture
ait persisté, ce qui n'est pas, l'absence de lési
rie ; mais ne savons-nous pas que chez les enfants en particulier, la
contracture
est souvent la première manifestation de l'hystér
sur lequel elle évoluait? Nous savons, en effet, que non seulement la
contracture
peut siéger au niveau de l'articulation malade, m
r au niveau de l'articulation malade, mais encore Cazin a signalé des
contractures
de la hanche dues à une arthrite du pied. (1) G
adies de l'enfance, septembre 1891, p. (5) P. Richer : Paralysie et
contracture
hystérique, 1892 Pour ce cas encore, l'absence
urtout les phénomènes douloureux. Chez notre malade, il y avait de la
contracture
, et il me parait difficile de simuler une contrac
l y avait de la contracture, et il me parait difficile de simuler une
contracture
de cette région. De plus, l'enfant n'avait aucun
les à la suivante que nous constatons : soupirs, respiration râlante,
contracture
do membre supérieur droit, puis convulsions cloni
supérieur droit, puis convulsions cloniqoes dans ce membre suivies de
contracture
générale des quatre membres. De plus, depuis so
que les veut sont en strabisme convergent. Par instants la malade se
contracture
et fléchit les membres, le tronc présente une ten
res gardent les attitudes imprimées 'catalepsie suggestive;. Enfin la
contracture
suggestive, l'obéissance automatique, l'anesthési
nger l'attitude provoquée Dans le cinquième degré, le sujet peut être
contracture
par suggestion : on le défie de fléchir son avant
est atteinte d'attaque hystériques suivies d'un sommeil comateux avec
contracture
durant fort longtemps en dehors des attaques, ell
itabilité neuro-musculaire telle que la moindre pression provoque une
contracture
très manifeste, enfin les muscules sont dans un é
onfrères â l'essayer avant tout autre mode de traitement. Un cas de
contracture
psychique guérie par la suggestion à l'état de ve
absolue de marcher et de se tenir debout. Sa jambe droite, indemne de
contracture
, exécute des mouvements incoordounés (aslasie-aba
en, sans même traîner sa jambe. Le bras gauche, dont la tendance à la
contracture
a vivement préoccupé son père, s'est également di
insi obtenu ue me satisfaisaisait pas pleinement, sachant combien ces
contractures
hystériques ont une tendance à revenir, et je me
gré la perte de la sensibilité du côté gauche et la persistance de la
contracture
pendant le sommeil de la nuit, je me crois autori
meil de la nuit, je me crois autorisé d'affirmer que c'est bien à une
contracture
psychique ou à une contracture d'appréhension, co
torisé d'affirmer que c'est bien à une contracture psychique ou à une
contracture
d'appréhension, comme l'appellerait Dally, que no
orce cérébrale. C'est à tort, à mon avis, qu'on a voulu diviser les
contractures
hystériques en psychiques et contractures hystéri
, qu'on a voulu diviser les contractures hystériques en psychiques et
contractures
hystériques permanentes et assigner aux lésions d
araissent être de nature psychique, aussi bien les paralysies que les
contractures
, et si j'ai fait suivre dans l'entête de ma commu
ures, et si j'ai fait suivre dans l'entête de ma communication le mot
contracture
de l'adjectif psychique, c'est parce que le mecan
jectif psychique, c'est parce que le mecanisme de la production de la
contracture
dans mon cas est particu-lièrement net au point d
n insu, la cristallisation, et au même instant, le bras de L... s'est
contracture
, lui faisant éprouver de violentes douleurs. C'ét
ons les manifestations d'ordre moteur, telles que les paralysies, les
contractures
diverses et les phénomènes qui sont sous leur dép
on. Une jeune fille de dix-huit ans est amenée à l'hôpital pour une
contracture
des mâchoires. Comme antécédents héréditaires n
Elle fut ensuite atteinte de paralysie du bras droit accompagnée de
contracture
. Le bras était dans la rectitude et ne pouvait ét
la traîne toujours un peu. Depuis quatre mois, elle est atteinte de
contracture
des mâchoires ; elle ne peut manger d'aliments so
jections de morphine pour faciliter l'écartement des mâchoires. Cette
contracture
a persisté depuis quatre mois sans jamais diminue
a malade est bien hystérique; sur ce point pas de difficulté. Mais la
contracture
de la mâchoire est-elle une manifestation de la n
est-elle une manifestation de la névrose ? Il y a-t-il chez elle une
contracture
vraie ou de la simulation? Si l'on se contente
nt impossible d'en faire le diagnostic. Rien, absolument rien dans la
contracture
des mâchoires ne diffère de ce que serait une con
ien dans la contracture des mâchoires ne diffère de ce que serait une
contracture
vraie. Mais, si nous considérons la marche el l
celui pour lequel la malade entre à l'hôpital, mais j'avoue que cette
contracture
du bras, qui dure un mois et demi et qui guérit s
cité, ne m'inspire pas grande créance. Ce n'est pas Là l'allure d'une
contracture
hystérique vraie, ni la manière dont elle guérit.
nt elle guérit. L'éleclrisation peut agir de trois manières sur une
contracture
hystérique Traie. Ou bien elle produira une guéri
s existé. Dans un troisième ordre de faits, l'électricité agit sur la
contracture
hystérique, non plus pour la guérir, mais pour ré
désordres qu'elle a produit. Dans ces cas. la cause qui a produit la
contracture
a déjà disparu, la contracture en elle-même, lors
ans ces cas. la cause qui a produit la contracture a déjà disparu, la
contracture
en elle-même, lorsque l'on fait l'application de
ons de détails nous ne ht jugerons pas. Arrivons maintenant à cette
contracture
de la mâchoire, qui est ici en cause. Au moment o
ment où nous l'examinons, rien, disions-nous, ne la différencie d'une
contracture
vraie ; mais dans les commémorai ifs, nous trouvo
s pour la faire manger. Comment donc agissait celte injection sur une
contracture
hystérique? Par suggestion? Elle eut dû, dans ce
tait ainsi, elle ne devait en aucune façon modifier la violence de la
contracture
. Celte circonstance ne cadre donc pas non plus av
e circonstance ne cadre donc pas non plus avec ce que nous savons des
contractures
hystériques. Il nous restait a . ... la preuve
ous avion* réellement affaire à une hystérique simulatrice, et que la
contracture
de la mâchoire, le phénomène objectif actuel, éta
ns l'aptitude qu'acquièrent les muscles de la vie animale à entrer en
contracture
sous l'influence d'une simple excitation mécaniqu
ntensité de l'excitation, on obtient à volonté une contraction ou une
contracture
. La contracture ainsi provoquée est très énergiqu
citation, on obtient à volonté une contraction ou une contracture. La
contracture
ainsi provoquée est très énergique, elle résiste
tantanément en portant l'excitation sur les antago nistes des membres
contractures
. Il faut encore savoir que ceci s'applique d'un
ux-mêmes, soit sur le trajet du nerf facial, déterminent, non pas une
contracture
durable, mais une simple contraction qui s'efface
nerfs, des muscles, ou la percussion des tendons ne détermine pas de
contracture
. Mais, par contre, on peut, par diverses manœuvre
peu, développer daus ce membre un état de rigidité qui diffère de la
contracture
liée à l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. en c
ntagion hystérique et les crises par imitation par Paul Joire. 149.
Contracture
psychique guérie par la suggestion à l'étal de
signalé une forme particulière du téta-nos qui débute d'emblée par la
contracture
des muscles pharyn-giens et qui rend difficile, s
ral administré parla bouche et par le rectum, le malade a été pris de
contracture
pharyngienne, aux suites de laquelle il a bientôt
r chaque côté du cou et fléchit difficilement la tête en raison de la
contracture
des muscles extenseurs. La soif est vive; la dégl
; en revanche, les muscles de la région postérieure du cou sont plus
contractures
; par instant aussi, on remarque des mouvements sp
eint de tétanos traumatique, à forme très-douloureuse. Opisthotonos ;
contracture
d'un grand nombre de muscles, surtout de ceux del
, d'après le Journal central de méde-cine de Berlin, simultanément,
contracture
d'un grand nombre d'autres muscles; convulsions r
ster plus longuement sur les arthropathies des hémiplégiques, sur les
contractures
qui les affec-tent et l'attitude qui en est la co
es n'af-fectent que les jointures du côté paralysé. VI. ATTITUDE ET
CONTRACTURE
DES MEMBRES. - LÉSIONS ARTICULAIRES QUI s'ORSER
s loin que ne l'indique la planche VIII. — Il existe, au poignet, une
contracture
qui rend à peu près tout mouvement im-possible. —
cute assez bien, mais l'extension est très-incomplète en raison de la
contracture
très -modérée, d'ailleurs, des muscles fléchis-se
un gonflement assez considérable. Le cou est roide. Les membres sont
contractures
; les inférieurs dans l'extension, les supérieurs
MOELLE ET DU CERVEAU par bqubnevii.le 1 — suite — VI. ATTITUDE ET
CONTRACTURE
DES MEMBRES; LÉSIONS ARTICULAIRES qui S'OBSERVENT
s grandes gelées, elle souffrirait plus qu'à toute autre époque. — La
contracture
de la main serait aussi plus prononcée lorsqu'il
es et plus étouffés. Les yeux sont immobiles, non déviés. Il n'y a ni
contracture
ni paralysie. La sensibilité gé-nérale est à peu
n observe des mouvements de flexion des avant-bras sur les bras. La
contracture
varie : tantôt elle est très-accusée, tantôt moin
s. Le Géranta. ce monïméja. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE forme hémiplégique REVUE PHOTOGRAP
UE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX DE PARIS CLINIQUE MÉDICALE DE LA
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE Extrait d'une leçon faite par M. GHA
r l'hystérie, M. Briquet, hien qu'il n'accorde pas à l'histoire de la
contracture
permanente dont un ou plusieurs membres, chez les
e que six fois à l'époque où il a publié son ouvrage. Dans un cas, la
contracture
occupait un seul membre ; dans deux autres, elle
elle revêtait la forme paraplégique. Il est parfaitement exact que la
contracture
hystérique peut offrir tous ces aspects. Vous all
hémiplégique (voy. Planche XXV), l'autre la forme paraplégique de la
contracture
hystérique. Nous sommes ainsi mis à même de vous
outre, les muscles adducteurs de la cuisse sont, eux aussi, fortement
contractures
. En somme, toutes les jointures sont également ri
servations, est un fait réellement exceptionnel. Il s'agit là d'une
contracture
permanente dans l'acception rigou-reuse du mot; j
la fait disparaître instantanément. Bien que, chez notre malade, la
contracture
hémiplégique date, je le répète, de près de deux
trémulation se ren-contre très-habituellement dans la paralysie avec
contracture
, liée à une lésion organique spinale, lorsque les
t sclérosés; mais je l'ai observée également dans nombre de cas où la
contracture
hystérique s'est terminée par la guérisoii; Vous
ant de ces caractères pres-que toujours présents, que de rapporter la
contracture
hystérique à sa véritable origine. 1° Remarquez
R E V U E P H 0 T 0 G R A P HIQ U E DES HOPITAUX Planche XXVI.
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE FORME PARA P I, É G l Q U E ressor
e manifeste toujours de préférence dans le mem-bre supérieur. e. La
contracture
, qui, aujourd'hui, occupe le membre supérieur, da
'une attaque. Ce n'est pas de la sorte, vous le savez, que procède la
contracture
tardive dans l'hémiplégie due à l'hémorrhagie ou
u au ramollissement du cerveau ; constam-ment dans ce dernier cas, la
contracture
s'établit lentement, d'une manière progressive.
de 21 ans, enfant trouvé, est atteinte depuis deux ans environ d'une
contracture
permanente des membres inférieurs (voy. Planche X
ion, on ne tarderait pas à provoquer une attaque hystérique ; — 5e la
contracture
des membres inférieurs est survenue tout d'un cou
u'adviendra-t-il de ces malades? Depuis 2 ou 3 ans, la paralysie avec
contracture
a persisté, chez elles, sans amendement. Cette co
de résumer brièvement. 1° Dans le premier cas, il s'agissait d'une
contracture
d'un mem-bre inférieur datant de quatre ans au mo
se-monce et de lui déclarer que je la renvoyais. Dès le lendemain, la
contracture
avait entièrement cessé. Ce fait est d'autant plu
s que dans les souvenirs de cette femme. Depuis deux ou trois ans, la
contracture
était la seule manifestation de la grande névrose
vrose. 2° Le second cas concerne une femme également atteinte d'une
contracture
limitée à un seul membre. Les crises hystériques
avaient depuis longtemps disparu. Cette femme fut accusée de vol : la
contracture
, qui avait duré plus de deux ans, se dissipa tout
moral que pro-duisit cette accusation. 3° Dans le troisième cas, la
contracture
avait pris la forme hémi-plégique ; elle affectai
. Ils se rapportent à des femme jeunes encore, frappées subitement de
contracture
de l'un des mem-bres inférieurs ou des deux membr
, fut prise à la suite d'une attaque hystérique de la paraplégie avec
contracture
dont vous pouvez encore aujour-d'hui reconnaître
pouvez encore aujour-d'hui reconnaître les principaux caractères. La
contracture
à l'ori-gine s'amendait de temps à autre temporai
plégie avec rigidité des membres? Evidemment, dans les cas récents de
contracture
hystérique, la modification or-ganique, quelle qu
chez une femme hys-térique, atteinte, depuis une dizaine d'années, de
contracture
des quatre membres et dont le début avait été sub
, les cordons latéraux. A diverses reprises, cette femme avait, vu la
contracture
céder temporairement, mais, après un dernier accè
moins leur partie postérieure — celle qui tient sous sa dépendance la
contracture
permanente dans les cas de scléroses en plaques o
ications organiques, d'abord temporaires, et qui donneraient lieu aux
contractures
hystériques. A la longue, ces modifications quell
5 janvier 1805. nement plus d'espérer cette brusque disparition des
contractures
qui constitue un des caractères les plus frappant
valeur pro-nostique absolue. La trémulation convulsive des membres
contractures
, provoquée ou survenant spontanément (épilepsie s
vations qui me sont propres, faire désespérer complètement de voir la
contracture
disparaître sans laisser de traces. Au contraire,
observé, jusqu'à présent, ces derniers symptômes que dans des cas de
contracture
hystérique de date très-ancienne et qui ne laissa
hez les malades sur lesquelles je viens d'appeler votre attention, la
contracture
occupait soit la totalité d'un membre, soit même
a Société de médecine deGand1 un cas de ce genre fort intéressant. La
contracture
avait donné lieu à la défor-mation connue sous le
ns avoir offert jusque-là de symptômes caractérisés d'hystérie, d'une
contracture
douloureuse des muscles de la jambe gauche. Cette
, d'une contracture douloureuse des muscles de la jambe gauche. Cette
contracture
, qui imprime au pied l'attitude du varus équin le
riques. Je crois, par conséquent, qu'il y a peu de chances de voir la
contracture
se résoudre, d'autant plus qu'elle ne s'amende qu
ADIES DE LA MOELLE ET DU CERVEAU par bourneville1 vi. attitude et
contracture
des membres ; — lésions articulaires qui s'observ
sion, mais bientôt il revient à sa position ordinaire, par suite delà
contracture
des mus-cles fléchisseurs et en particulier du bi
s en arrière, déformés, ou bien le poing est complètement fermé. La
contracture
est d'ordinaire beaucoup moins prononcée au membr
ulaire qui est, en effet, le plus fortement fléchi. Chez Lecom..., la
contracture
, très-prononcée au pouce, moins aux deuxième, tro
résente à la main les déformations suivantes : le pouce est fléchi et
contracture
; les autres doigts sont plutôt dans l'extension.
a là une disposition en quelque sorte spéciale, comme chez Vill... La
contracture
est très-marquée au pouce, un peu moins à l'index
antérieure de l'avant-bras. Le biceps est dur, tendu, manifestement
contracture
. L'épaule est évidemment démise : mais la tête hu
le hachisch, par F. Villard,000. Conjonctive (Eschare de la), 101.
Contracture
hystérique: leçon de Char- cot recueillie par B
Planche XXIV. Tracés thermomé-triques...........180 Planche XXY.
Contracture
hysté-rique............193 Planche XXVI. Contra
Planche XXY. Contracture hysté-rique............193 Planche XXVI.
Contracture
, etc. 197 Planche XXVII. Résection de l'é-paule
'un côté à l'autre, quand il n'y a pas de complication telle que la
contracture
. > 1 ' ' M. Pierret a soutenu que l'incoordi
émianesthésies accompagnées d'hémi- plégie motrice, dhémichorée, de
contracture
et sur leur curabilité par les agents esthésiog
tie externe du noyau lenticulaire ; il y eut hémiplégie droite avec
contracture
précoce, et anesthésie d'abord, puis retour de
de la cuisse. 1 " 1 1 . 200 ? <1 PATHOLOGIE ,INTERNE,IOR1A't
contracture
des, membres j inférieurs, Un¡choc"sur, le) ten
mais une série de secousses dont le nombre variera avec l'état de
contracture
du triceps. , Lé tracé ci-dessus (fig. 10, A) é
P ! 1ff' ..... 't ? Fig. 12 phénomène du, pied chez un paraplégique
contracture
. P, tremblement1 provoqué : par. la) traction a
e tremblement spontané' ne survient que chez des sujets atteints de
contracture
; celle-ci n'est pas'forcé- ment ' permanente ;
de voir jouer à la bande élas- tique est alors rempli par un muscle
contracture
? ou dont la tonicité est supérieure à'celle de
trop absolus et que nombre de trembleur's ne présentent' au- cune
contracture
apparente. Mais il faut remarquer que nos moyen
arente. Mais il faut remarquer que nos moyens d'apprécier l'état de
contracture
sont bien imparfaits; nous reconnaissons ce sym
lorsque les oscillations avaient une grande amplitude. R , , , La
contracture
, ou si l'on veut, l'exagération de toni- cité d
due; celle-ci agit alors sur les fléchisseurs dont elle augmente la
contracture
en même temps qu'elle détermine leur tremblemen
` in phénomènes nous semblent identiques ? les muscles palmaires,
contractures
? et par conséquent plus" fortement élastiques,
début'du tremblement, le premier' phénomène que^l'on perçoit est la
contracture
du biceps, puis survient une série de secousses
lus grande. Fig. 14.- Tremblement sénile. B, tremblement du biceps (
contracture
) ; - T, tremblement du triceps. PATHOGÉNIE DE
n courant induit prolongé, c'est-à-dire en faisant équilibre à la
contracture
du biceps par une égale contracture du muscle a
-dire en faisant équilibre à la contracture du biceps par une égale
contracture
du muscle antagoniste, nous pouvions faire cess
s hémiplégiques, c'est- à-dire de celui qui se produit lorsque,, la
contracture
existant, une paralysie incomplète'' permet enc
riceps, et vice versa. il , l .i ` i Dans la paralysie agitante, la
contracture
est un des phénomènes des plus saillants; c'est
'un moment à l'autre. '11' ,Tons, les muscles^ de l'avant-bras sont
contractures
, mais 3 on reconnaît d'une manière bien plus év
ntractures, mais 3 on reconnaît d'une manière bien plus évidente la
contracture
des grands et petits palmaires, dont les tendon
alles, et sous l'influence de la fatigue oudes émotions morales. La
contracture
n'en existe pas moins dans ces cas frustes, mai
tre rapproché de celui que nousavons observé chez les paraplégiques
contractures
. CONCLUSIONS. - 1° L'élongation brusque d'un mu
pour chaque groupe musculaire ;, ,"in' ""\ 4° Un muscle en état de
contracture
joue le rôle de ressort de caoutchouc à tension
limité^, un muscle ou à un groupe musculaire, indique un, état de
contracture
prédominante du muscle^ou du groupe musculaire
vue de la symptomatologie en ce sens qu'elle ne s'accompagne pas de
contracture
musculaire. VIII. DE LA PARALYSIE RÉFLEXE ET DE
able de la chorée pour les membres supérieurs, et en même temps une
contracture
des inférieurs. Celle-ci consis- tait dans une
lexe ro- tulie,n 1 np ? naI. ,Le 11, octobre, il eut Ides)crises de
contracture
'qui durèrent presquetqut le jour., 11, n'y, av
A la fin d'octobre, le malade pouvait marcher; il n'y avait plus de
contractures
ni de raideur ; il gardait toutefois un certain
, février 1880, p. 280.) Homme de 24 ans, malade depuis deux jours;
contracture
des mâchoires; douleurs dans le dos; élancement
Un enfant de trois ans et trois mois présentait une paralysie avec
contracture
du bras et de la jambe droite ; le coude était
près à la clinique du. docteur Seguin ; il marchait sans peine ; la
contracture
de la main avait aussi disparu. L'auteur conclu
onclut de cette observation qu'on peut facile- ment triompher de la
contracture
des muscles dans l'hé- miplégie infantile ; qu'
aun (E.). Recherches anatomo-pathologiques et physiologiques sur la
contracture
permanente des hémiplégiques.Vol. in-8" de 208 p.
aissance, une paralysie musculaire de tous ses membres, jointe à la
contracture
. On trouvait, pour l'articulation du coude, les
oire qui aurait évolué au cours de la vie intra-utérine : quant aux
contractures
, il les explique par les paralysies musculaires
ales s'accompagnaient de paralysie des mouvements volontaires et de
contractures
, sur les deux côtés du corps. Beaucoup plus t
opposé du corps. Observation. Idiotie. ' z- Mutisme. Paraplégie.
Contractures
. Attitude du corps. Erysipèle de l'abdomen. Mor
umatisme articulaire antérieur. - Céphalalgie, délire, agi- tation,
contracture
des muscles de la nuque. -'Souffle cardiaque. A
ion choréique et que, quand elle cherche à marcher, elle n'a pas de
contracture
, même partielle. 11 n'y a toujours aucune plaqu
e ligne verticale répond à 5 minutes. 380 PATHOLOGIE NERVEUSE. Ni
contractures
, ni convulsions, ni hémiplégie. La malade a un
ntractée; les plis naso-labiaux et les rides du front sont accusés.
Contracture
égale des deux pupilles. La malade se plaint de
état comparable à celui de l'avant-veille, il y a une tendance à la
contracture
du côté gauche. Cette contrac- ture est très ac
té gauche en pleurostoto- nos ; la tête est déviée à gauche par une
contracture
prononcée des muscles de la nuque à gauche, mai
ilité est conservée des deux côtés, il n'y a pas de paralysie ni de
contracture
des jambes; les réflexes plantaires sont normau
les réflexes plantaires sont normaux. Le bras gauche parait un peu
contracture
. Un point fort important à noter, c'est que, qu
oint fort important à noter, c'est que, quand on lutte contre cette
contracture
légère, elle s'exagère, tandis qu'à droite on ne
à trois heures du matin (F'g. 20). Au dire des malades voisines, la
contracture
aurait changé de côté au moment de la mort et i
localisée quoique fugace, qui ont été observés, et à cause de la
contracture
et des mouvements du bras gauche, en pré- sence
ès une nouvelle rémission légère et plus courte que la première, la
contracture
de la nuque reparait encore. - La fièvre moins
s à grandes oscilla- tions. T. R. 38°, 4. Pas de convulsions, ni de
contractures
, ni depamlysie. -Mort à midi. Autopsie faite
, et d'une manière plus générale divers symptômes de l'hystérie, la
contracture
entre autres, peuvent être provoqués par les ae
s'il en résulte de l'anesthésie sensitive ou sensorielle, ou de la
contracture
, la malade doit être considérée comme étantenco
clusions formulées par M. Charcot sur la nature et le mécanisme des
contractures
tardives. Il n'envisage d'ailleurs que le côté
que l'auteur admet que la rigidité n'est qu'un moindre degré de la
contracture
proprement dite, peut-être eût-il mieux fait de
es d'articulation; car la seule définition qui puisse convenir à la
contracture
est celle qui a pour base la physiologie pathol
s'est prononcé l'auteur, quant à la raison de la per- manence de la
contracture
, est attaquable sur plusieurs points. Voici, ré
our expliquer comment l'incitation d'un cen- tre isolé détermine la
contracture
généralisée de tous les grou- pes musculaires,
les observations évidemment très nombreuses où l'exagération de la
contracture
est mentionnée comme résultant des mouvements v
ce que les mou- vements du côté sain accroissent l'intensité de la
contracture
dans tout le côté malade, il ne faut pas induir
t le côté malade, il ne faut pas induire qu'ils sont la cause de la
contracture
elle-même. On se heurterait ainsi à plusieurs d
, il est constant que dans la plu- part des hémiplégies totales, la
contracture
persiste pendant le sommeil, c'est-à-dire alors
érer ces cas comme fort loin de constituer la règle. Enfin, si la
contracture
des hémiplégiques résultait d'une excitation cé
ac- ture hémiplégique par association. Du reste, l'histoire de la
contracture
hémiplégique est en quelque sorte dominée par u
t si maintenant on considère l'évolution des cas d'hémiplégie où la
contracture
a frappé également le membre inférieur et le me
r, on assiste presque toujours à la rétrocession partielle de cette
contracture
dans le membre inférieur, et très exception- ne
c- tions du faisceau pyramidal dégénéré. Dans les observations de
contractures
hémiplégiques guéries ou améliorées que M. Lion
l adopte, avait d'autant plus d'importance que la disparition de la
contracture
s'effectue à peu près exclusive- ment dans le m
lleurs, pour cette même raison, à démon- trer que la guérison de la
contracture
secondaire des hémiplé- giques est plus fréquen
e à l'école française. d'avoir désigné ce symptôme sous le titre de
contracture
« permanente », et il affirme la curabi- lité d
contracture « permanente », et il affirme la curabi- lité de cette
contracture
. Selon lui, il serait préférable de dire simple
tte contracture. Selon lui, il serait préférable de dire simplement
contracture
tardive. Les faits sur lesquels s'appuie cette
minent; qu'une excitation un peu violente survienne, et aussitôt la
contracture
se reproduira, aussi intense qu'aux plus mauvai
rtains groupes est au contraire une conséquence presque obligée des
contractures
anciennes. E. BRISSAUD. XLI. SUR la paresthés
te. Vers la fin de juin, tremblement choréiforme de la main droite,
contracture
dans la flexion du membre inférieur gauche; l'i
oubles dans les mouvements de l'oeil; 2° le spasme glottique; 3° la
contracture
des extrémités et particulièrement la flexion d
s conditions des muscles dans les affections articulaires, dans les
contractures
hystériques et dans ce qu'il appelle la contrac
um et au chloral; la contractilité faradique est normale. Dans la
contracture
hystérique, on observe une rigidité mus- culair
éther ou le chloroforme, appliquée au diagnostic différentiel de la
contracture
hystérique et de la contracture des affections
au diagnostic différentiel de la contracture hystérique et de la
contracture
des affections articulaires chroniques, n'a pas d
t d'éminents obser- vateurs. L'éther ou le chloroforme dissipera la
contracture
per- manente dans un cas, et suspendra le spasm
n cas, et suspendra le spasme réflexe dans l'autre. En dehors de la
contracture
absolue, comme celle du pied bot ou du torticol
IE VII. Recherches anatomo-pathologiques et physiologiques sur la
contracture
permanente des hémiplégiques; parle Dr Brissaud.
des études les plus originales qui aient paru non seulement sur la
contracture
hémiplégique, mais sur la physiologie pathologi
ontracture hémiplégique, mais sur la physiologie pathologique de la
contracture
en général. C'est pendant son internat à la S
- chenne (de Boulogne) ; il décrit à leur place l'hémiplégie avec
contracture
latente qui, à la première excitation suffisammen
e qui, à la première excitation suffisamment intense, deviendra une
contracture
réelle. Puis, vient une étude très intéressante
que dès le début, il ne laisse pas de signaler la disparition de la
contracture
faisant place à la flacidité dans les cas où su
étude qui lui servira à édifier la physiologie pathologique de la
contracture
; toute cette partie de son mémoire est basée s
500 bibliographie. ron ; quelquefois nn peut produire une véritable
contracture
par une suite de percussions rapides sur le ten
roisième partie est consacrée à la physiologie patholo- gique de la
contracture
; les limites d'un simple compte rendu ne perme
e du tonus musculaire, M. Brissaud arrive à cette conclusion que la
contracture
est due non pas à une contraction permanente, m
par l'inflammation des cordons postérieurs qu'il faut attribuer les
contractures
observées quelquefois chez les ataxi- ques à la
u'un strychnisme spontané permanent.-Tous les muscles du mem- bre
contracture
sont atteints, et si le membre prend une posi-
s- culaire (les fléchisseurs pour le membre supérieur). Quant aux
contractures
latentes elles peuvent devenir réelles à la suite
ri'Prtl ^nR- e 2 iuuüohilisptUle3 membre 'dàîïslll'extensi6n. Cette
contracture
, ., . 'r , 1 .r,f ? T.f[n ? )rftn-'n8'n'ui ? t
cela doit s'entendre aussi des autres phénomènes de l'hystérie. La
contracture
, la paralysie, la chorée hystériques sont tout
s. Les premiers faits de ce genre ont été observés àla Salpêtrière (
contracture
), puis par M. Millier de Gratz (paralysie). Ils
l'amyosthénie qui accompagne habituellement l'hémianes- thésie ; la
contracture
, la chorée, sont aussi des phénomènes du même o
remarquer M. Charcot, la para- lysie hystérique est une paralysie à
contracture
. L'amaurose est MÉTALLOSCOPIE, METALLOTHÉRAPIE,
t se manifestent l'en-, semble des symptômes d'une lésion en foyer (
contracture
du bras et paralysie de la jambe du même côté),
ués de thromboses veineuses du membre inférieur atteint ; le bras
contracture
, après une série de couvulsions, se paralyse à so
ro-externe des cordons postérieurs ; symptomatologie : paralysie et
contracture
des extrémités inférieures, troubles de la sens
sont : le refroidissement des extrémités infé- rieures, dû soit àla
contracture
des fibres musculaires annulaires des vaisseaux
t des accès separés et tout à fait caractéristiques. L'histoire des
contractures
, de l'llémianestllésie, de l'hyperes- thésie ov
l'hémianesthésie, on trouve quelques détails sur les crampes, les
contractures
, les tremblements, les secousses, les névral- g
'variable, la flaccidité des membres inférieurs fait place "a ! la
contracture
qui'se'pro- duit d'ordinaire lentement.1 Dans t
ure qui'se'pro- duit d'ordinaire lentement.1 Dans tous les cas* la'
contracture
impose au membre supérieur une attitude ' parti
l y a un pied ot"\,'arùs' équifi' plus ou moi1Ís 'pro : nonce., La,
contracture
prédomine 'ordinairement' au membre supérieur a
quç les convulsions durant 'l'état 'de'malt Outre la paralvsie avec
contractures
, il faut' encore noter les arthralgies et l'atr
eptiques. ' 0 ' - lit, Dans l'épilepsie partielle, tonique, ou avec
contracture
, l'accès peut être précédé de douleurs de tète
sont serrées, mais 'la'malade'ne perd pas connaissance, .le bras se
contracture
dans l'extension et la pronation, la main se to
s modifications de la sensibilité, à l'influence de l'aimant sur la
contracture
, au rire spasmodique, à la paraplégie, à la con
mant sur la contracture, au rire spasmodique, à la paraplégie, à la
contracture
artificielle, au sein hystérique, au délire (su
se dissocier pour ainsi dire en attaques épileptiques, attaques de
contractures
, attaques de délire. Vient ensuite une étude de
, les lésions des poils et des glandes, l'état lisse de la peau; la
contracture
accompagne souvent les paralysies limitées; enf
9, 646. - Contraction musculaire paradoxale, par Westphal, 435.
Contracture
(soulier contre la), par Clovis Adam, 332. Co
al, 435. Contracture (soulier contre la), par Clovis Adam, 332.
Contracture
permanente (recherches sur la), des hémiplégiqu
r Ch. Richet, 325. Soulier a extension (emploi d'un), contre la
contracture
des gas- trocnémiens, par Clovis Adam, 332.
cinations de la vue et de l'ouïe. Il y avait rigidité musculaire et
contracture
marquée, la tète était inclinée en avant et fix
97 L'allongement brusque et vigoureux de tout un membre raidi et
contracture
par la mort produit, de même que l'élonga- tion
ins''prolongée, la santé générale se détériorer," l'atrophie et les
contractures
tendineuses survenir dans les membres pâralpsés
maladie.1'^' ! "M^ Jii-ith Convulsions fréquentes. '<H f1u''ir
Contracture
fréquente', il iitp La,paratysiemanque.on\ent;g
déviation.de la bouche et , de, là langue sont plus communes. La
contracture
est très commune ? t >" ? - -> . '. </
(il n'est pas question ici de la différence du résultat obtenu :
contracture
aux membres, contraction à la face). Mais il ar
il consiste en une tendance des réflexes tendineux à provoquer une
contracture
plus ou moins généralisée. Puis la localisation
xation des masses musculaires de l'avant-bras peut être suivie de
contracture
, mais le résultat est complètement négatif. Nous
rès étendu, il est brusque et rapide, il n'y a aucune tendance à la
contracture
. Mais bientôt, en répétant les chocs sur le ten
Mais bientôt, en répétant les chocs sur le tendon, nous voyons la
contracture
se développer ; il suffit d'une dizaine de coups
ur le tendon pour immobiliser le membre dans une attitude forcée de
contracture
permanente. Cette contracture se détruit facile
membre dans une attitude forcée de contracture permanente. Cette
contracture
se détruit facilement par la friction des muscles
uscles antagonistes. Nous tentons alors de nouveau de produire la
contracture
par la malaxation des muscles, et cette fois, n
réflexes tendineux; 3' degré : le réflexe tendineux donne lieu à la
contracture
contracture réflexe par excitation tendineuse;
neux; 3' degré : le réflexe tendineux donne lieu à la contracture
contracture
réflexe par excitation tendineuse; 3° degré : c
racture contracture réflexe par excitation tendineuse; 3° degré :
contracture
réflexe par excitation directe des masses mus-
demain, nous cons- tatons une aptitude plus grande des muscles à la
contracture
, se traduisant même pendant la veille. Pendant
u'à son insu, pendant que son attention est attirée ailleurs. Cette
contracture
disparait comme celle du sommeil par la frictio
st endormie rapidement par la fixité du regard. Sur le bras gauche,
contracture
facile par l'excitation des tendons, par la mal
des nerfs. La pression du nerf cubital en arrière de l'épitroclilée
contracture
la main dans l'attitude régulière de la griffe
itation du nerf cubital au lieu d'élection n'est point suivie de la
contracture
habituelle. A chaque frois- sement du nerf cubi
gts, mais aucune contraction nettement localisée, aucune ébauche de
contracture
. Sur le bras gauche au contraire la griffe cubi
et l'on note, 13 'e PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. par contre, que la
contracture
de gauche, au lieu de se détendre s'est accusée
ntait, le 20 janvier 1881, les particularités sui- vantes : 1° La
contracture
demande pour se produire une malaxation assez é
n tendineuse. Mais il faut alors répéter les chocs, et l'on voit la
contracture
s'accentuer graduellement. La simple pression s
on n'obtient qu'une contraction plus ou moins prolongée ou bien une
contracture
qui se résout d'elle-même bientôt. 5° La cont
ou bien une contracture qui se résout d'elle-même bientôt. 5° La
contracture
une fois bien établie persiste après le réveil.
tation mécanique directe ou indirecte des muscles n'amène plus leur
contracture
. Les réflexes tendineux n'en sont pas moins con
EZ LES HYSTERIQUES. 137 mécanique des nerfs et des muscles amène la
contracture
de la façon que l'on sait, mais cela au bras ga
et généralisation des réflexes tendineux, mais nulle tendance à la
contracture
. La contracture n'est produite ni par la percus
des réflexes tendineux, mais nulle tendance à la contracture. La
contracture
n'est produite ni par la percussion répétée des
e façon très manifeste. Il n'y a aucune aptitude des muscles à la
contracture
quand les yeux sont fermés, et lorsqu'ils sont
s'ajoute une certaine tendance à la 140 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
contracture
, bien qu'aucune localisation précise soit possi
étendu. La malaxation des masses musculaires ne détermine aucune
contracture
. Il en est de même aux poignets pour l'excitation
ups portés successivement la jambe se roidit dans l'extension et la
contracture
envahit en même temps les quatre membres. Cette
n et la contracture envahit en même temps les quatre membres. Cette
contracture
cède facilement par la friction. Le spasme de
cataleptique n'existe pas, pas plus que l'aptitude des muscles à la
contracture
localisée. En DE LA CACHEXIE P.1CIITDEI2\IIqi;R
on des réflexes tendineux, simple ou accom- pagnée de tendance à la
contracture
, est le lien qui rattache ces faits incomplets
l'insula. OBSERVATION. Attaque apoplectique. - Hémiplégie gauche;
Contracture
; Phénomènes réflexes. Alcoolisme. EJt'lepste;
es d'épilepsie spinale, l'exagéra- tion àesréflexes tendineux et la
contracture
. VI. Nous signalerons enfin, comme dernière par
rd deux malades, l'une avec une hémiplégie permanente compliquée de
contracture
due à une lésion, quelconque, des centres nerve
due à une lésion, quelconque, des centres nerveux, l'autre avec une
contracture
hémiplégique de nature hystérique, et l'on comp
s de la sensibilité (tensions, élancements, démangeai- sons), de la
contracture
des fléchisseurs (griffe), de l'analnésie accom
ctions convulsives de la moitié droite du visage et notam- ment des
contractures
de la paupière. Les trois enfants nés pendant c
ui-même, n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé. Dans un cas, une
contracture
de tout le côté opposé à la pleurésie, a rapide
cinq, au moment d'une douleur, la malade est prise d'une attaque de
contracture
avec perte de connaissance et ronflement, les b
trine, les jambes étendues ; la malade ronfle, mousse et geint ; la
contracture
a duré trois minutes, et a cessé encore par le
ons de parler, est suivie d'une 30t clinique nerveuse. attaque de
contracture
analogue aux précédentes et qui dure trois minu
s, vers onze heures un, quart, il survint une nouvelle attaque de
contracture
, le chloroforme fut suspendu. Nous pûmes cons-
s tendons du poignet 314 4 PIIYSIOI,OGIE PATHOLOGIQUE. amènent la
contracture
de la main soit en flexion, soit en extension,
ation des masses musculaires de l'avant-bras pro- duit également la
contracture
; la même chose se produit aux cuisses. Le st
e ; la même chose se produit aux cuisses. Le sterno-mastoïdien se
contracture
aussi sous l'influence de l'excitation mécaniqu
excitation du nerf cubital en arrière de l'épi- trochée provoque la
contracture
du poignet et de la main dans la flexion; la gr
de la main dans la flexion; la griffe cubitale est imparfaite. Ces
contractures
diverses cèdent par la friction des muscles ant
ées, c'est avec les mêmes caractères que précédemment. De plus la
contracture
par excitation mécanique directe est toujours p
. Le membre qui paraît cataleptique n'est, en somme, qu'un membre
contracture
. La contracture s'y déve- loppe sous l'influenc
i paraît cataleptique n'est, en somme, qu'un membre contracture. La
contracture
s'y déve- loppe sous l'influence des manoeuvres
er l'altitude du membre, on constate une roideur, indice certain de
contracture
. Enfin cette contracture cède sous l'influence
on constate une roideur, indice certain de contracture. Enfin cette
contracture
cède sous l'influence de la ma- laxation du mem
altation des réflexes tendineux et par la tendance des muscles à la
contracture
, sous l'influence de l'excitation mécanique soi
te la surface de ce segment de membre, pour obtenir au lieu d'une
contracture
localisée, une sortederoideur généralisée, qui pe
e alors. Cela se borne, le plus souvent, à la transforma- tion en
contracture
du réflexe tendineux. Mais parfois le phénomène
ques, et telle qui, pendant la veille, n'offre aucune tendance à la
contracture
musculaire, peut n'en présenter pas moins, pend
vulsions ci trois mois; prédominance à gauche, paralysie ci gauche,
contracture
. Affaiblissement progressif : mort. Autopsie :
le pied s'est déformé. Vers le même moment, le bras paralysa s'est
contracture
. Durant les trois ou quatre mois qui suivirent
rs, ni aux inférieurs, qui sont longs et grêles. Le bras gauche est
contracture
dans la demi-flexion, le pied gauche est médioc
aire (scléroses du faisceau pyramidal primitives ou con- sécutives,
contracture
hystérique). L'interprétation physiologique de
ubstance blanche '. M. Dally fait ensuite une communication sur les
contractures
qu'il divise en trois espèces, suivant qu'elles
s'étend plus longuement sur les dernières et les désigne du nom de
contracture
par appréhension. Elles surviennent chez les je
Il rapporte l'observation d'une malade non hystérique offrant une
contracture
de la jambe et qui refuse depuis de laisser exami
légiques l'appré- hension devoir examiner leurs membres augmente la
contracture
. 1)1. B. 1 Voir plus haut, p. 336. SOCIÉTÉS
me (de délire), tandis que les hallucinations, les soubresauts, les
contractures
rapprochent celle-ci de la pre- mière, fait imp
e hystérique et des agents oesthésiogènes, de la paralysie et de la
contracture
hystériques. Le phénomène du transfert pour l'a
ologistes et dcaaliémstes de l'Allemagne du sud-ouest, 23'). i.
Contractures
, 361. Corne d'Anunoii (chez 1'lioiiiiiie et q
oisinage immédiat de ce membre, suffit pour déterminer cette forme de
contracture
que nous avons désignée sous le nom de « contract
r cette forme de contracture que nous avons désignée sous le nom de «
contracture
somnambulique ». On ne saurait s'entourer de trop
sensorielles et sensitives, des rétrécissements du champ visuel, des
contractures
, etc., etc., qui se trouvent consignés dans les o
à faire un angle droit avec la paume de la main ; il y a là vraiment
contracture
spasmodique, car on éprouve une résistance élasti
que l'on observe clans les hémiplégies de cause organique suivies de
contracture
, et cette circonstance déjà est bien faite pour é
a boule, les sensations particulières dans les parties sexuelles, des
contractures
, des anesthésies ou des hypéresthésies, des crise
— à un moment donné exagération des réflexes tendineux, ten-danceà la
contracture
; — 2° La peau de ce membre est hypéresthésiée, e
ression sur les muscles, sur les trajets nerveux, ne détermine pas la
contracture
des muscles correspondants dans l'attaque de somm
qui devient pour un temps rigide, le membre entrant ainsi en état de
contracture
spas-modique. Eh bien, messieurs, je dis pour l
us ou moins accentuée. Combien de fois, en effet, n'ai-je pas vu « la
contracture
latente » des membres inférieurs devenir rapideme
« la contracture latente » des membres inférieurs devenir rapidement
contracture
«effective», àla suite d'unechute sur le membre p
uxquelles je vous renvoie pour les détails, sous le nom d'attaques de
contracture
(1) ; je me bornerai à vous eu donner ici une des
esbras, les jambes, le tronc se raidissent alors dans l'extension. La
contracture
est quelquefois assez forte pour que la rigidité
que nous avons pris l'habitude de désigner sous le nom « d'attaque de
contracture
», se rencontre assez rarement dans la pratique.
n emploie si souvent à tort et à travers (1). Fig. 52. — Attaque de
contracture
. Fig. 53. — Arc de cercle. J'ai vu ce genre d
un enfant hypnotisé par un de ses camarades a été pris d'attaques de
contracture
qui durèrent plusieurs heures et qui se renouvelè
it par la compression exercée sur la région ovarienne. 2e Malade. —
Contracture
hystéro-traumatique chez une tabétique. 3e et 4
e sur le genou gauche, a été prise dans le membre correspondant d'une
contracture
spasmodique portant à la fois sur les extenseurs
expulser les urines. A la vérité, sur le membre inférieur droit, non
contracture
, le seul qu'on ne puisse en ce moment explorer à
onvient de déterminer maintenant quelle est la signification de cette
contracture
spasmodique qui,chez elle, s'est produite à la su
point, de bien établir au préalable les caractères cliniques de cette
contracture
et de préciser les circonstances dans lesquelles
a retrouvons aujourd'hui. Voici maintenant la description du membre
contracture
. La rigidité est aussi prononcée que possible dan
astique et telle qu'on doit s'attendre à la recontrer quand c'est une
contracture
musculaire spasmodique qui est en jeu. Le pied es
e coup, dans cette exploration que, pour la majeure partie, le membre
contracture
est complètement privé de sensibilité, aussi bien
ffirmer que l'affection du membre inférieur gauche n'est autre qu'une
contracture
hystérique, ou plus précisément une contracture h
he n'est autre qu'une contracture hystérique, ou plus précisément une
contracture
hystéro-traumatique. Son début, rapide à la suite
rique? Cela certes n'est pas douteux : les caractères cliniques de la
contracture
, survenue épisodiquement parle fait de la chute,s
is. Peu après elle devient sujette à des accès de raideur, « accès de
contracture
» pendant lesquels elle ne perdait connaissance q
du membre inférieur gauche, signalée à propos de la description de la
contracture
, il y a à noter une analgésie portant sur la moit
A propos d'un détail, le cas actuel offre un intérêt particulier : la
contracture
hys-téro-traumatique développée chez notre malade
ur en finir qu'à parler de thérapeutique. Que faire pour combattre la
contracture
, et remettre les choses dans l'ordre premier ? Ce
mporte de le reconnaître, la doctrine, relativement au traitement des
contractures
hystériques, reste à l'heure qu'il est toujours u
ation et prolonger le mal indéfiniment ; c'est encore que, autant les
contractures
sont faciles à résoudre au moment même de leur fo
et si l'on peut ainsi dire, prendre pied dans l'organisme. Enfin les
contractures
hystériques, cela n'est pas douteux, sont, toutes
dit locaux de l'hystérie (hystérie locale), tels que bruits laryngés,
contractures
etc., et les attaques convulsives. - Celles-ci d'
lsives. - Celles-ci d'ailleurs peuvent déterminer la résolution d'une
contracture
établie déjà depuis longtemps à l'état permanent
ints hystérogènes. — Notre malade est une hystérique à attaque, et la
contracture
d'origine traumatique qu'elle présente n'est pas
nne ; on peut donc espérer d'après tout cela que la guérison de cette
contracture
ne sera pas très difficile à obtenir (1). 3e et
la mise enjeu du « Transfert » suivant la méthode de M. Babinski, la
contracture
a disparu. deux cas nouveaux ; nous aurons à co
nsensible, ob-mb. du goût, hemia-mthésie gauche. Hémiplégie gauche,
contracture
de la langue. Aura montant de la fosse iliaque
avec vomissements noirs. 2e Cas. — Chez un israélite : paralysie et
contracture
hystériques développées à la suite d'un repos (so
est-à-dire par des sensations douloureuses semblant dues à un état de
contracture
stomacale, de crampe d'estomac suivant l'expressi
circonstances analogues à celles que nous rencontrons ici (1). Cette
contracture
spasmodique du membre supérieur droit date, paraî
leurs et d'engourdissements qui ont disparu depuis. La peau du membre
contracture
est dans toute son étendue, épaules, bras, avant-
entués, tellement nets, qu'on ne saurait douter qu'il s'agit là d'une
contracture
hystérique. C'est dans l'hystérie, dans l'hystéri
elever à propos du membre supérieur correspondant; c'est là encore la
contracture
spasmodique qui est en jeu. Les troubles de la se
ux de paralysies hystéro-traumatiques, avec ou sans accompagnement de
contracture
, sur lesquels j'ai eu l'occasion d'appeler votre
à la production dans les membres intéressés, de la paralysie et de la
contracture
, et celles-ci ont revêtu, ainsi que cela est de r
e cela est de règle en pareille circonstance, tous les caractères des
contractures
et des paralysies hystériques. 1. 11 est à rema
te exploration paraît être absolument normal. Pas de rigidité, pas de
contracture
, pas traces de troubles quelconques de la sensibi
e la névrose, au même titre que les divers bruits laryngés, certaines
contractures
et tant d'autres phénomènes du même genre. Quoi q
barras de la parole, des paralysies motrices des membres avec ou sans
contracture
; plus tard de la stupeur et enfin le coma précéda
genou. Elle n'est certainement pas le fait, remarquez-le bien, d'une
contracture
spasmodique des muscles, d'origine spinale. L'obs
près égale dans lesdeuxsens, qui est la caractéristique de cegenre de
contracture
de plus les réflexes rotuliens sont complètement
seur commun des orteils et pédieux). surtout la non-existence de la
contracture
spasmOdique, l'absence de réflexes rotuliens et d
rtébral de Pott. On peut les voir aussi survenir dans certains cas de
contracture
hystérique, là où très certainement il n'existe
trer encore dans des paralysies où la déformation ne dépend pas d'une
contracture
spasmodique des muscles ; tel est le cas de la pa
le malade a été frappé d'une hémiplégie gauche incomplète avec légère
contracture
de la main, tandis que le membre inférieur gauche
. Nous avons en effet relevé avec soin chez notre malade l'absence de
contractures
, de rigidité musculaire et aussi d'une exagératio
idité muscu- 50 lai re dans les membres, et àplus forte raison de
contractures
, etc.,etc. ; c'est bien là l'ensemble des faits q
des œdèmes hystériques (2) et j'ai fait voir depuis longtemps que la
contracture
hystérique peut se compliquer de rétractions tend
sions organiques spinales, dans les paralysies alcooliques et dans la
contracture
spasmodique hystérique. (Pied bot hystérique (3).
namique, sans lésions matérielles appréciables ; je veux parler de la
contracture
spasmo-dique hystérique. Mais voici le point comm
Il y a de cela trois ans, Famé lioration commença à apparaître ; la
contracture
des membres inférieurs s'atténua, les réflexes te
r les tentatives de flexion ou d'extension du genou. Dans le cas de
contracture
spasmodique, les muscles d'action contraire, vous
les d'action contraire, vous le savez, sont simultanément en jeu ; la
contracture
occupe, en effet, à peu près au même degré, les f
t dans l'observation présente c'étaient les fléchisseurs. Tant que la
contracture
persiste, la résistance est à peu près aussi gran
ncible. D'ailleurs le chloroforme devait résoudre la question ; toute
contracture
spasmodique se résout absolument sous l'influence
s la plupart des cas de ce genre que j'ai observés, la résolution des
contractures
et la guérison se sont faites absolument sans int
trer encore dans des paralysies où la déformation ne dépend par d'une
contracture
des muscles; tel est le cas de la paralysie alcoo
us l'ai annoncé déjà en commençant, d'une déformation produite par la
contracture
spasmodique hystérique. C'est dire que s'il est v
ble. Actuellement, ainsi que je vous le démontrais tout à l'heure, la
contracture
spasmodique n'existe plus, et à ce point de vue o
n varus, que nous avons sous les yeux, a bien pourpoint de départ une
contracture
spasmodique d'origine hystérique; 2° Aujourd'hu
térique et que le double pied bot qu'elle présente a pour origine une
contracture
hystérique. Il nous suffira pour cela d'indiquer
ied donnaient la sensation de résistance élastique qui est propre aux
contractures
spasmodiques. Nous avons reconnu enfin l'absence,
constaté qu'il était impossible de produire aux membres supérieurs la
contracture
artificielle; enfin, les attaques avaient complèt
e était épuisée et que l'on viendrait sans doute bientôt à bout de la
contracture
spasmodique du pied. Les tentatives d'hypnotisme
u'il ne se faisait plus de progrès, et nous nous sommes demandé si la
contracture
spasmodique n'avait pas disparu, et si la déforma
neuses. Les productions de ce genre sont rares, à la vérité, dans les
contractures
hystériques, alors même qu'elles ont duré de long
alors même qu'elles ont duré de longues années ; la disparition de la
contracture
spasmodique peut se faire progressivement ou même
t il faut savoir que les rétractions fibreuses peuvent compliquer les
contractures
hystériques, comme elles compliquent les paralysi
ncidence, chez des dames russes. Mais pouvons-nous démontrer que la
contracture
spasmodique n'existe plus ? Oui, je le crois. V
, en a\ant, en arrière, ce qui n'arrive jamais au même degré dans les
contractures
hystériques où les choses sont poussées toujours
tique, qui donne la sensation d'un ressort tendu, qui appartient à la
contracture
spasmodique. Au contraire, quand on veut produi
irurgicale dans certains cas de réfactions musculaires succèdent à la
contracture
spasmodique*pa.r Terrillon, chirurgien de la Salp
entif que fût l'examen, on ne découvrait pas trace de paralysie ni de
contracture
. Au repos, les traits étaient bien symétriques; e
roite, elle ne présentait aucune déformation, aucun pii, indice d'une
contracture
partielle. Les mouvements de la tête et du cou
. 69, 70 — — (Sensibilité)........... 295 Fig. 71.-- Hystérie mâle (
Contracture
)............. 350 Fig. 72,73.—Paralysie hystéri
..................... 331 2° cas. — Chez unisraélite : paralysie et
contractures
hystériques développées à la suite d'un repos (so
ésions organiques spinales dans les paralysies alcooliques et dans la
contracture
spas-modique hystérique (Pied bot hystérique)....
ires de l'Epilepsie, H8. Conception (Etat mental pendant la), 93.
Contracture
. — (Attaques de), 251, 252. — Hystérique, 349,
rvention chirurgicale), 542. — (Opportunité de), 178. Spasmodiques et
contractures
retráctiles, 537. (Voy. aussi Hystérie, etc.) C
taques de sommeil, hystérie mâle, hystéro-neurasthénie. Champ visuel,
Contractures
, rêves,etc., etc. Hérédité). — Achro-matopsie, 15
aire, 403. — (Attaques), 7, 195. {Voy. aussi Attaques). — Attaques de
contractures
, 252. (Voy. Contracture).— Attaques de sommeil. (
7, 195. {Voy. aussi Attaques). — Attaques de contractures, 252. (Voy.
Contracture
).— Attaques de sommeil. (Voy.Attaques). —Attaques
, 275, 276. — Contagion des accidents hystériques, 11. Hystérie. ¦—
Contracture
avec rétractions tendineuses, 540 sq. — Contractu
1. Hystérie. ¦— Contracture avec rétractions tendineuses, 540 sq. —
Contracture
avec rétractions flbro-tendi-neuses, opportunité
lbro-tendi-neuses, opportunité de l'intervention chirurgicale, 542- —
Contracture
chez une tabétique, 278, 279. Hystérie. — Crise
ptômes oculaires, 163.— Thermo-anesthésie, 517, 519. — Traitement des
contractures
, 282. — Transfert, 283.— Tremblement, 471, 472. —
s les phénomènes, 375.—Bâillement, 2, 7. (Voy. aussi Bâillement). —
Contracture
, 349, 540 sq. — Dyspnée, 11, — Etat de mal, 68,
e caractérisée par l'inversion spéciale du champ des couleurs ; ,
Contracture
de l'accommodation et contracture de la convergen
ciale du champ des couleurs ; , Contracture de l'accommodation et
contracture
de la convergence, sur- tout chez les enfants;
chez les enfants; Polyopie monoculaire, symptôme qui accompagne la
contracture
de l'accommodation ; ou difficulté d'apprécia
ore un trouble accompagnant la con- tracture de l'accommodation ;
Contracture
primitive des mouvements associés de direction;
ns de la déviation dans les paralysies; il est tout opposé dans les
contractures
. C'est l'occasion de rappeler les lois formulée
, qui paralyse le sphincter, augmente la dilatation; l'ésérine, qui
contracture
le sphincter, la diminue, si, comme cela est de
t, amener une inégalité pu- pillaire : paralysie du constricteur ou
contracture
du dilatateur donnant la dilatation pupillaire;
L'inégale répartition, sur les deux pupilles, de ces paralysies et
contractures
, amène l'inégalité pupillaire. . Cette multip
lC1'lJltl : de L'ACCOMMODATION. Bien plus rare que la paralysie, la
contracture
de l'accommodation, appelée encore spasme de l'
nces que nous avons vues déjà provoquer le myosis donnent aussi une
contracture
de l'accommodation. On la rencontre encore chez
plus gênante du vertige oculaire est la diplopie, par paralysie ou
contracture
des muscles de l'mil d'ori- gine périphérique o
oire de déplacement naîtrait particulièrement sous l'influence : de
contractures
unilatérales des muscles du con, d'après Fl'r¡'
s membres du côté atteint présentent parfois des convulsions, de la
contracture
pré- coce, du tremblement, des secousses. Enfin
oncé, la déviation conjuguée de la tète et des yeux, l'existence de
contractures
généralisées ou localisées il un seul côté. Ce
persiste. la paralysie devient plus nette, mise en évidence par des
contractures
, par une raideur spéciale du côté frappé. 1 P
énumérésplus haut, myosis extrême, déviation conjuguée persistante,
contractures
intenses, rythme de Cheyne- Stokes. La disparit
des pupilles; de noter le degré de résolution ou de paralysie, les
contractures
, les convulsions. En étudiant les réflexes, il
on, plutôt de la dépression dans le second. On constate parfois les
contractures
localisées de l'épilepsie bravais- jacksonnienn
. Restreintes à un segment du corps ou généralisées, convulsions et
contractures
sont précoces et d'un grave pronostic. La ponct
résolution complète; il existe même fréquemment un degré notable de
contracture
. On observe tou- jours un frémissement caractér
ro-musculaire très intense; dans la catalepsie, au contraire, de la
contracture
et la possibilité de garder presque indéfiniment
L'hémiplégie est légère ou complète; elle peut se compliquer d'une
contracture
intense, quelquefois de niouvty ments dhenllcho
ompagne habituellement une hémiplégie motrice très pro- noncée avec
contracture
; elle peut comme cette dernière revêtir la forme
lités profondes ; . 2° Une hémiplégie légère, habituellement sans
contracture
et rapi- dement régressive; 3° De l'hémiataxi
Mais il est des cas où le réflexe n'apparaîtra pas en raison d'une
contracture
du triceps crural ou de rétractions fibre-tendine
on le trouve dans les hémiplégies et paraplé- gies il la période de
contracture
naissante. On peut, grâce il sa constatation d'
'abolition des réflexes au cours d'une hémi- plégie et l'absence de
contracture
seraient l'indice d'une compression cérébrale a
tellaire, par l'existence du clonus du pied. Elle est associée à la
contracture
ou elle en annonce l'apparition; elle s'accompa
clérose latérale ou spasmodique : il y a alors raideur spasmodique,
contracture
musculaire, exagération des réflexes, trépidati
ésion s'il y a paralysie, il regarde ses membres convulsés s'il y a
contracture
; dans les lésions protubérantielles, la règle es
é, ou bien du trainell1ent du pied avec ou sans circumduction. La
contracture
est loin d'être une terminaison fatale de l'hémip
'intensité médiocre ou légère, il est rare de voir se développer la
contracture
(Voir chapitre Conthacture). Les réflexes tendi
ucculente, qui s'observe parfois chez les grands hémiplégiques avec
contracture
, peut être consi- déré aussi comme un trouble t
raxie, l'aphasie de Wernicke, l'épilepsie jacksonienne. Quant il la
contracture
précoce, elle peut se voir dans les cas de lési
de Babinski, et, pour peu que l'hémiplégie soit un peu intense, la
contracture
ne larde pas à survenir. Ce qui l'ait que l'hém
néral flasque ; quand elle est spasmodique, elle l'est d'emblée; la
contracture
ne succède pas à une paralysie flasque. Dans ce
e par un certain nombre de points de l'hémiplégie des adultes. La
contracture
y prend, lorsqu'elle existe, un aspect spécial (p
vaso-moteurs accentués. Dans une autre forme, il ne s'agit plus de
contracture
, mais d'hénn- athétosc ou d hémicborée : les me
sont très rares. Les réflexes tendineux sont très exagérés quand la
contracture
n'est - [CROUZON.] ] 476 . HEMIPLEGIE. pas
1905). Mais, quelles que soient la fréquence et la valeur de cette
contracture
des membres supérieurs dans, les méningites, c'
ernig. Le signe de Kernig, comme nous l'avons vu, consiste dans une
contracture
des fléchisseurs de la jambe. Ce phénomène, com
ion gênante, sinon douloureuse, qu'il survienne la moindre cause de
contracture
latente (Dejerine) le phénomène de demi-flexion p
e par quelques autres faits qui ont pu montrer la disparition de la
contracture
sous l'influence de la ponction lombaire. 2° La
uent une élonga- lion du nerf, de : la douleur et, par suite, de la
contracture
. Dans ce cas, le si"'ne de Kernig ne serait qu'
Wennagel et Abadie, ont montré que le si"11e de Kernig est dû à une
contracture
non douloureuse, et Abadie a pu prouver que rae
du travail inaugural de Roglet, nous voyons que Kernig constate des
contractures
dellexiondansa cas de méningites aiguës, dont 1
(t)ieutafoy). 11 semble que le signe de Kernig suive la phase de la
contracture
et s'accentue avec révolution de la maladie. Il
rce musculaire permet- tront d'apprécier l'état de flaccidité ou de
contracture
. On recherchera soigneusement les. déformations
es aiguës, flaccides ou spas- tiques, elle devient irréalisable. La
contracture
s'accompagne d'exagéra- tion des réflexes tendi
ndu- /([11'e). Dans un dernier degré évolutif rarement atteint, des
contractures
intenses surviennent, accompagnées ou suivies d
t parce que la paralysie l'emporte sur la contrac- ture. Lorsque la
contracture
est très forte, à peine a-t-on découvert le mal
l. Il s'accompagne d'une faible tendance à la spasticité, mais sans
contracture
. La peau de celle région est anesthésique. La z
qué au lit par flexion brusque du pied. Troubles de la marche par
contractures
ou rigidités de nature diverse. Impotences loca
s'observent à la suite de paralysies des exten- seurs du pied ou de
contractures
des fléchisseurs. Le malade se déplace sur la p
es ballerines ». A côté de cette difficulté de progression liée aux
contractures
, se placent les troubles déterminés par la rigi
hilitique d'l,rh. a) Paraplégies avec exagération des réflexes sans
contracture
; atrophie musculaire constante. Le diagnostic d
s d'accidents glosso-Iabio-Iaryngés. Il n'y a donc de phénomènes de
contractures
à aucun moment de l'évolution. On constate seul
le des paraplégies spasmo- diques les plns diverses accompagnées de
contracture
. Dans ces cas, la contracture musculaire cède d
ues les plns diverses accompagnées de contracture. Dans ces cas, la
contracture
musculaire cède devant l'atrophie, mais l'exagéra
agnostic en sem- blable matière. b) Paraplégies spasmodiques avec
contracture
. 1° Le diagnostic éliologique s'impose. II en e
lle de la sclérose latérale amyotrophique. 11 finit par exister une
contracture
très marquée, prononcée surtout aux mains. Cell
est « succu- lente » (Pierre Marie et Marinesco). Enfin, lorsque la
contracture
ferme les doigts, celle flexion est progressive
ier. 5" Paraplégies spasmodiques avec exagération des réflexes et
contracture
au niveau des membres suj>érieui,s. Tétraplégi
flexes aux quatre membres et la démarche spasnm- dique. Mais, si la
contracture
des bras et la griffe des mains sonthabi- tuell
tion des réflexes persiste naturellement pendant ces périodes où la
contracture
diminue, où la marche est facile. Le diagnostic
à la sclérose en plaques. " - 4" Paraplégies shasnirodirjncc ? avec
contracture
intense, troubles sphinclériens prononcés et pr
lasque d'instauration rapide, puis, avec une rapidité semblable des
contractures
empêchant tout déplacement. En même temps s'obs
: il faut des mois pour atteindre l'état définitif. À ce moment, la
contracture
est des plus fortes. Les troubles sphinctériens
uvent réaliser cependant des syndromes spasmodiques. L'existence de
contractures
n'a donc aucune valeur pour infirmer ou confirm
OUTIER.] Mi2 PARAPLÉGIE. ' par exemple. L'instauration rapide des
contractures
, leur degré excessif l'absence d'atrophie seron
x que fort peu de paralysie. Il existe surtout de la raideur et une
contracture
qui va diminuant avec l'âge. Cette raideur sièg
xagérés, le cutané plantaire est en extension, mais il n'y a pas de
contractures
. Ces lacunaires sont fréquemment des 1>scudo
a marche devient impossible. On peut constater un degré variable de
contracture
; la paralysie peut être au contraire absolument
ré de contrac- ture, l'inclinaison de la tête du côté malade; si la
contracture
est plus forte, il y a un léger degré de rotati
mais cette dernière attitude est toujours très peu marquée. Dans la
contracture
du chef superficiel du muscle on observe, au con-
une scoliose paralytique qu'il faut différencier de la scoliose par
contracture
. MUSCLES INTERTRANSVERSAIRES Intertransversai
tés inférieures. Il peut exister des plaques d'hyperesthésie et des
contractures
isolées, mais il s'agit toujours de paralysies fl
ctures isolées, mais il s'agit toujours de paralysies flasques; les
contractures
, quand elles existent, restent localisées sans ja
t facile il reconnaître. Après une période de paralysie flasque les
contractures
se montrent : les réflexes des fléchisseurs, de
ence est incom- plète. La paralysie faciale peut, se terminer par
contracture
, celte contrac- ture s'annonce par des secousse
es mouvements du sourcil sont limités. Chez les hémi- plégiques, la
contracture
s'observc parfois au niveau de la face, mais ce
ritable état névrosiquc spécial, qui a reçu les noms très divers de
contracture
des muscles phonateurs (Elsberg), spasme phonique
s les muscles respirateurs concourrait au trouble fonctionnel et la
contracture
spasmodique du larynx n'est pas un des éléments l
estent lâches. Il. Meu- nier (') a pourtant signalé dans un cas une
contracture
intermittente, passagère et récidivante, des mu
mbre inférieur; nous ne sommes pas renseigné sur la nature de cette
contracture
exceptionnelle. * La contractilité électrique v
récoce des réflexes tendineux, extension des orteils, tendance à la
contracture
. L'évolution est rapide, la inort survient aprè
llaires et jamais de réaction de dégénérescence. La paralysie et la
contracture
se joi- gnent rapidement à l'atrophie ou la p
- gnet, ou celle de la « main en pince » (Marie et Guillain) avec
contracture
surtout des trois derniers doigts. Quand la m
des périodes successives de paralysie flasque et de paralysie avec
contracture
, avec ou sans troubles trophiques variés et tro
érique porte toujours sur un membre paralysé, parfois sur un membre
contracture
; elle atteint généralement, comme la paraly- si
guère être employée que dans les cas où l'on n'a pas à craindre la
contracture
: elle sera tout à fait indi- quée, même de faç
à un mélange de paralysie, d'hypotonie, d'atrophie musculaire et de
contracture
plus qu'à une altération de la nutrition des os.
e série d'autres troubles moteurs, dont voici les princi- paux. Les
contractures
sont des contractions musculaires toniques, il es
citation dépasse une certaine intensité et une certaine durée, il a
contracture
. Enfin, une très forte excitation détermine une
eulement quelques renforcements se dessinant sur ce fond général de
contracture
. Le tétanos amène une raideur maxima; d'au- tre
s de la possibilité de troubles intel- lectuels et paralytiques, de
contractures
qui peuvent être définitifs, d'une transformati
econnaît facilement aux signes cliniques concomitants, céphalalgie,
contracture
, strabisme, mâchonnement, ou aux vomisse- ments
omissements, etc. Ces convulsions laissent souvent à leur suite des
contractures
et dcspara- lysies localisées. Les complication
ra la méningite aiguë, la méningite cérébro-spinale épidémique. aux
contractures
, aux acci- dents délirants et comateux. L'opist
ébrale chro- nique vous constaterez qu'il v a des paralysies ou des
contractures
et on vous aura dit qu'elles dataient de l'enfa
Ce clonus est un véritable tremblement, il apparaît à la période de
contracture
ou le précède et est caractéristique d'une affect
'hémiplégie associée à cette hémi- chorée est légère de même que la
contracture
. Les mouvements généralisés s'observent au cour
nfin il ces mouvements s'ajoute le plus souvent un certain degré de
contracture
avec des raideurs musculaires qui entraînent des
r la maladie de Little, mais cette maladie, si elle s'accompagne de
contractures
, ne -s'accompagne pas de mouvements. Elle est c
s, plus particulièrement au niveau des membres inférieurs, c'est la
contracture
de flexion : le pied est dévié en \'itl'11St·llll
e flexion : le pied est dévié en \'itl'11St·lllllll aux membres, la
contracture
se fait en flexion. L'état spasmodique plus enc
ns riiéniiatliétose, elle se manifeste alors comme un spasme ou une
contracture
intermittente du poignet ou du cou-de-pied et i
rmittente du poignet ou du cou-de-pied et il existe également de la
contracture
du membre inférieur (1'Iotclmnc, Thèse de Paris
e, décembre 'l ! )()0) ont observé un bemispastne il physionomie de
contracture
hémiplégique s'acconipagnant de mouvements athé
au contraire, c'est l'hémiplégie qui domine la scène, le malade est
contracture
, les réflexes sont, exagérés et les mouvements
es de l'audition (Lannois) (^une poussée de rougeur unilatérale. La
contracture
est « frémissante » par suite de la persistance
ée d'une douleur qui est loin d'être constante ('). Les termes de
contractures
, de spasmes, d'impotences, de névroses fonction
s plus exacts, car ils ne répondent pas à la totalité des faits. La
contracture
, le spasme ne sont pas constants, il y a des for-
la traduction défectueuse du mot allemand « krampl' », qui signifie
contracture
. . [A. LÉRI.] 'OO CRAMPES FONCTIONNELLES ET P
ut s'occuper à toutes sortes d'autres actes fonctionnels. Quand les
contractures
sont violentes, elles sont souvent douloureuses
ient avec une dégénérescence évidente), soit comme conséquences des
contractures
mêmes de la crampe (certaines névrites d'après
tude imprimée aux membres, au tronc, il la tête, mais ne sont point
contractures
. Vient-on à changer la position première, ce résu
attitudes données, elle se différencie immédiatement des états. de
contracture
ou de paralysie dans lesquels les membres sont fi
ain de singe ou main de cadavre, soit que l'atrophie musculaire, la
contracture
et les rétractions tendineuses asso- ciées déte
s la douleur, la fréquence des mictions, l'absence de rétention. La
contracture
du col, peu ou pas douloureuse, détermine des tro
ent cérébral. On l'observe rarement dans les méningites aiguës, par
contracture
du sphincter; moins souvent encore dans la méni
on l'observe passagèrement dans la forme léthargique ou lorsque la
contracture
des membres inférieurs persiste : mais beaucoup
es qui ne sont autres que des crises de vaginisme. c'est-à-dire des
contractures
des muscles constricteurs du vagin, rarement ac
Parmi ces troubles se rangent les tremblements, les paralysies, les
contractures
et spasmes. Les tremblements sont associés le p
culaire précoce et considérable au niveau des quatre membres, de la
contracture
avec exagération des réflexes tendineux. Dans la
e du côté où agit le spasme. Cet hémispasme peut coïncider avec une
contracture
des zygomatiques, [tins rarement du territoire
posant à toute déglutition. Ce spasme s'associe habituellement à la
contracture
du voile du palais SÉMÉIOLOGIE DES VOIES DIGEST
iquides sont plus fréquemment détournés vers le larynx que dans les
contractures
. Les solides passent relativement bien, et la suf
tion subjective. Le voile du palais et la langue peuvent, en cas de
contracture
pharyngienne, pré- senter également de la rigid
andulaire. L'idiot; l'enfant atteint de sclérose cérébrale avec ses
contractures
, son strabisme, ses jambes croisées en ciseaux,
ne voit guère que des formes très bénignes, limitées aux mains. La
contracture
y est typique (main d'accoucheur), mais de faib
ts, et alors les douleurs sont faibles, ou bien il peut y avoir des
contractures
généralisées, mais sans atteinte des muscles re
pylorique. Son pronostic et son allure sont extrêmement graves. Les
contractures
débutent par des fourmillements et de l'engourd
it produite rapide- ment, à condition encore qu'il n'y ait point de
contracture
des parois de l'abdomen. Il y a également incon
a voussure se localise en une seule région de l'abdomen, ou bien la
contracture
des grands droits sangle en deux moitiés cet ab
laires s'accompagnent plus ou moins tardivement de paraly- sies, de
contractures
ou de rétractions secondaires, des attitudes vici
syphilitique. ! < ! . Attitudes vicieuses : paralysies, atrophie,
contracture
, accessoirement rétraction : A) De la main su
cnnes, de périarthrites et de synovites, d'ostéites productives, de
contractures
secondaires des muscles et de subluxations. On
des mouvements fonctionnels, sans attitude vicieuse par atropine ou
contracture
musculaire, sans signes d'arthrite, rougeur, ch
le suivant les cas des atrophies musculaires, des para- lysies, des
contractures
, secondairement des rétractions et des déforma-
cile de se rendre compte si c'est J"amyotrophie, la paralysie ou la
contracture
qui a été la cause originelle de l'attitude vic
nt réductible, au moins pendant longtemps, jusqu'à l'apparition des
contractures
et rétractions secondaires ; la main est impotent
pinateurs. Suivant le degré variable d'atrophie, de paralysie ou de
contracture
de ces muscles, les doigts peuvent prendre . un
ou le plus souvent les trois derniers doigts seuls sont fléchis et
contractures
, le pouce et l'index sont relativement indemnes
ique. Dans l'hé- miplégie organique, elle est rarement primitive (
contractures
précoces), généralement consécutive à une pé-
xtension, position plus rare. Cette flexion des doigts est due à la
contracture
des fléchisseurs superficiel et profond, car en e
les phalanges et les phalangines sont lléchies ; enfin alors que la
contracture
hémiplégique persiste dans le sommeil naturel o
e dans le sommeil naturel ou dans le sommeil chlo- roforrniclne, la
contracture
hystérique cède et la main s'étend, à l'excep-
phie des muscles innervés par un des nerfs moteurs des doigts ou la
contracture
de leurs antagonistes détermine une «griffe»; c
au malade un caractère tout il fait particulier. Dans les accès de
contracture
douloureuse de la tétanie, les mains prennent,
cribe », index en flexion forcée, poing fermé, pronation forcée. La
contracture
s'étend généralement aux autres segments du mem
sie ou l'atrophie d'un muscle ou d'un groupe de muscles ou par la
contracture
du muscle ou du groupe de muscles antagoniste.
euses, les atrophies des muscles relâchés ou les hypertro- phies et
contractures
des muscles continuellement tendus rendent les
ent les attitudes les plus variées suivant les muscles paralysés ou
contractures
qui les dé- terminent. La paralysie de tous l
a paralysie ou l'atrophie isolée de certains muscles d'une part, la
contracture
de ces mêmes muscles d'autre part, provoquent d
y a un pied-bol équin paralytique. Si le jambier antérieur est seul
contracture
, il y a un pied-bol talus varus spasmodique; si
un pied-bol talus varus spasmodique; si l'extenseur commun est seul
contracture
, il y a un pied- bol talus valgus; si les deux
racture, il y a un pied- bol talus valgus; si les deux muscles sont
contractures
simultalémenl, il y a un pied-bol talus direct.
mun, il y a un talus pied-creux varus. Si le triceps sural est seul
contracture
, il y a un pied-bot équin val'us : si le long p
ure, il y a un pied-bot équin val'us : si le long péronier est seul
contracture
, il y a un pied-creux valgus : si les deux musc
contracture, il y a un pied-creux valgus : si les deux muscles sont
contractures
simultanément, il se produit un pied- bol équin
on compensatrice de certains muscles fléchisseurs ou extenseurs. La
contracture
isolée du jambier postérieur détermine un varus
hacune d'elles on peut savoir quels sont les muscles para- lysés ou
contractures
; par les caractères généraux des pieds-bots para-
rai au moins dans les lore- miers temps, avant que l'atrophie ou la
contracture
secondaire, les retrac- tions fibreuses ou les
brale infantile ; il est généralement alors en varus équin par la
contracture
prédominante du triceps sural, exceptionnelleme
smodique familiale n'est elle-même pas absolument diffé- rente : la
contracture
envahit souvent secondairement les membres supé-
c) fonctionnelles. o) Dans l'hémiplégie cérébrale de l'adulte avec
contracture
, le pied est en extension modérée sur la jambe,
ils (talus pied-creux val- gus). Le pied-creux valgus est dû à la
contracture
du long péronier. C. PIEDS-PLATS Les pieds-pl
surtout dans l'articulation médio-tarsienne et qui déterminent une
contracture
des muscles voisins, notamment des péroniers la
elin), soit à une paralysie du long péronier (Duchenne), soit à une
contracture
des muscles du pied (« crampe du pied » de soit
orteil, sans paralysie des inter- osseux ; elle peut être due à la
contracture
des interosseux. Elle ne s'ac- compagne pas de
ticulier, sa forme spasmodique dans des cas rares d'hémiplégie avec
contracture
, de l'adulte ou plus souvent de l'enfant. IV.
du pied, d'extension et de flexion des orteils. Dans les accès de
contractures
de la tétanie, le pied se porte en varus équin,
emble aujourd'hui reconnaître quelque avantage pour la sédation des
contractures
douloureuses aux injections de sulfate de magné
es convulsions par- iielles ou généralisées et sur la précocité des
contractures
; suivant Pierre Marie, ces contractures précoce
ées et sur la précocité des contractures; suivant Pierre Marie, ces
contractures
précoces seraient d'ailleurs souvent rem- placé
un peu, le malade tombe vile dans un coma apoplectique profond avec
contractures
, convulsions, vomissements, respiration de Clre
a prédominance ou de l'absence de certains symptômes (hyperthermie,
contractures
, somnolence), de la nature du parasite mor- bif
et de la diminution de l'intensité des crises jusqu'à 1. Babinski.
Contracture
généralisée due à une compression de la moelle ce
ne guérira pas complètement et qui expose au déve- loppement d'une
contracture
secondaire plus ou moins prononcée. La DR parti
emblablement dans l'espace de six mois à un an, et dans laquelle la
contracture
secondaire peut être souvent évitée. L'absence de
nt guérir rapidement en quelques semaines et n'exposant pas à de la
contracture
secondaire. Le même pronostic ne saurait être é
nt douloureuses et pendant leur durée le muscle est très dur, comme
contracture
et en état de crampe véritable; les courants av
ins accusé, depuis la simple exagération des réflexes jusqu'à de la
contracture
parfois très prononcée. Cette sclérose secondai
nte pas d'inconvénients et n'a pas de retentissement fâcheux sur la
contracture
secondaire comme certains autres modes de ti-aite
nt par action réflexe sur les centres nerveux ; elles augmentent la
contracture
qui est une manifestation secondaire fréquente
dans l'hémiplégie, ou elles pro- voquent son apparition lorsque la
contracture
n'est encore que latente. Ces inconvénients son
ce sur les antagonistes des muscles déjà contracturés ou menacés de
contracture
(en général aux membres supérieurs la con- trac
on voit quelque tendance à l'appa- rition ou à l'augmentation de la
contracture
. Les courants galvaniques ont été utilisés auss
re du membre et plutôt du côté des muscles les moins menacés par la
contracture
, par exemple sur la face dorsale du poignet et
roupes musculaires, de préférence sur ceux les moins menacés par la
contracture
, avec des intensités plutôt faillies, de 5 à ni
il faut le diriger, et sur la surveillance à observer du côté de la
contracture
. Les courants galvaniques sont utilisables auss
ations ainsi faites à l'épaule, de retentisse- ment nuisible sur la
contracture
. M. Vigoureux, et après lui quelques électrothé
il faut surveiller aussi les efl'ets possibles du traitement sur la
contracture
, surtout lorsqu'on emploie les étincelles et mê
é avec prudence. Dans beaucoup de cas de paralysies médullaires, la
contracture
est moins à redouter que dans les paralysies cé
tement sur l'état spas- modique et de suspendre le traitement si la
contracture
apparaît lorsqu'elle n'existait pas, ou augment
période de réparation, la paralysie rem- placée peu à peu par de la
contracture
plus ou moins prononcée. Ce mode de terminaison
gé, avec des courants trop intenses, ou trop prolongés, augmente la
contracture
ou même provoque facilemenl 1 son apparition. D
courants à intermittences fréquentes. développement possible de la
contracture
secondaire. Celle-ci ne se v développe que lors
e la galvanisation continue, sur les muscles atteints ou menacés de
contracture
; il peut y avoir avantage il continuer l'élec-
lèvres, les muscles du menton et le triangulaire des lèvres. Si la
contracture
tend néanmoins ;t augmenter, il faut cesser tout
les cou- rants faradiques ou les courants galvano-faradiques; si la
contracture
ne parait pas diminuer et surtout si elle tend
rsque le bain seul est resté insuffisant; contre les spasmes et les
contractures
, le souffle, les effluves, parfois la friction
ndirecte ou spontanée, a joué elle-même un très grand rôle. ' Les
contractures
hystériques, assez faciles souvent à faire dispar
ar exemple, une large anode sur les muscles qui sont le siège de la
contracture
, et la cathode indifférente sur la colonne vertéb
er la faradisation rythmée sur les muscles antagonistes des muscles
contractures
, on bien exciter ces muscles anta- gonistes ave
cer à faire un mouvement dans le sens opposé à l'action des muscles
contractures
. Enfin, on a obtenu parfois des résultats en ex
ositive, plaque ou rouleau, sur les muscles qui sont le siège de la
contracture
ou des spasmes, courant continu faible et prolo
fonctionnels se manifestant surtout sous la forme de spasmes et de
contractures
. Ces troubles se développent plus particulièrem
sur la colonne vertébrale et sur les régions qui sont le siège des
contractures
a donné parfois des résultats favorables. On
utiques à conseiller dans les cas d'hémiplégie, de paralysie. Les
contractures
bénéficient, surtout de la chaleur (bains chauds,
ue, 1550. Contractions rttyosismiques dans l'hémi- plégie, 465.
Contracture
de l'accommodation. Voy. Accommodation. Contr
légie, 465. Contracture de l'accommodation. Voy. Accommodation.
Contractures
hystériques, traitement t leclrirlue, 1328. C
ses, 492. - sautillaules, à petils pas, 405. Trou- bles de la par
contracture
ou rigidité. 494. cérébelleuses, 767. aSY7lC¡'-
adulte, 494. - spasmo- diques, avec exagération des réflexes sans
contracture
, atrophie musculaire constante, 494. - avec con
exes sans contracture, atrophie musculaire constante, 494. - avec
contracture
^ 495. - d'origine traumatique. - avec déforma
e de la Salpêtrière, n 1, 1891. (2) lbid. DE LA MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTRAIll'PNOTIQUIa.S ET DE l'action
EXES INTRAIll'PNOTIQUIa.S ET DE l'action de la suggestion SUR CES
contractures
(1). II L'effet de la suggestion sur les cont
ion SUR CES contractures (1). II L'effet de la suggestion sur les
contractures
intrahypnotiques. J'ai déjà annoncé, que j'ai e
ianesthésie du côté droit je n'arrivai à faire s'effec- tuer aucune
contracture
par des irritations tactiles de ce côté. Si la su
la sug- gestion de l'liémianestllésie concernait le côté gauche, la
contracture
faisait t défaut de ce côté. L'expérience sui
géo- métriques de Charcot) : la partie anesthésique n'entre pas en
contracture
. Au moment où j'ordonne au malade qu'il sente d
e la suggestion (1) Voy. le n° G de l'année 1893. MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTItAHYPNOT1QUES 23 restait active pe
'elle-même. La surdité suggérée à gauche empêche l'apparition de la
contracture
gauche. En appliquant le diapason au milieu du
au milieu du corps, au-dessus de la tête il s'effectue toujours une
contracture
du côté où il n'y a pas eu de surdité suggérée.
ontrac- [Lire droite et celle de la macula lutea faisait naître une
contracture
bila- térale. > 2. Si l'oeil gauche était
: une hémicontraclure' gauche par r l'excitation temporale, et une
contracture
bilatérale par celle delà macula lutea. Les p
Pendant une cécité droite suggérée, ilsurvenait seulement une hémi-
contracture
gauche, provoquée par une excitation quelconque d
sur la langue, une hémicontracture droite vient s'ajouter à l'hémi-
contracture
gauche. .. Par ces expériences, il est prouvé q
es expériences, il est prouvé qu'avec une hallucination négative la
contracture
réflexe fait défaut, autant pour les hallucinatio
OSTÉITE déformante DE PAGET L. BATTAILLE ET Ci. MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTRAiIYPNOTIQUES 25 du corps, l'effet
NOTIQUES 25 du corps, l'effet est une hémicontracture gauche ou une
contracture
bila- térale. Les effets des hallucinations n
gauche; tandis que la suggestion aux deux yeux, faisait naître une
contracture
bilatérale. Je mentionne aussi ce fait, que je
micontracture droite par l'excitation de l'oeil droit et une hé- mi
contracture
gauche par l'excitation de l'oeil gauche. Les r
de la lumière à l'oeil droit, j'étais surpris de voir survenir une
contracture
bilatérale, de même la suggestion à l'oeil gauche
érale, de même la suggestion à l'oeil gauche faisait apparaître une
contracture
bilatérale. Ce fait m'avait rappelé l'expérience,
térale. Ce fait m'avait rappelé l'expérience, où j'avais obtenu une
contracture
totale par l'excitation de la macula lutea. J'e
on et l'effet). 1. « Devant votre oeil droit une lumière brille ! »
contracture
bi- latérale. 2. « Du côté de votre tempe dro
acture gauche. 4. « Devant votre oeil gauche, une lumière brille »,
contracture
bi- latérale. 5. « Du côté de votre tempe gau
a lumière suggérée dans la direction de la macula lutea produit une
contracture
bilatérale ; celle qu'on suggère aux côtés gauche
hémi-contracture droite, et aux côtés droits de la rétine une hémi-
contracture
gauche. Nous devons dire, que cette différence li
nt une suggestion un retard ou même un ar- rêt dans l'évolution des
contractures
. Par exemple, pendant qu'une sur- dité droite e
cide acétique placé sous la narine droite fait développer une hémi-
contracture
droite après une durée de deux minutes, tandis qu
e sel appliqué sur le côté droit de la langue fait naître une hémi-
contracture
droite après un laps de temps d'une minute, tandi
ongtemps-vi- brer, pour produire en premier lieu une hyperlonie; la
contracture
sur- vient seulement plus tard. Pour mettre e
ille droite », alors l'hypertonie droite ne se transforme pas à une
contracture
; si je fais cesser la surdité, l'hypertonie droit
s cesser la surdité, l'hypertonie droite se change tout de suite en
contracture
: si je suggère de nouveau une surdité droite,
Je suggère une surdité droite ; alors il ne se produit qu'une hémi-
contracture
gauche par l'excitation de l'un des deux yeux.
on de l'un des deux yeux. 3. En suggérant une surdité totale aucune
contracture
ne peut être produite. Comment expliquer ces
les expériences par ordre. 1. En suggérant une surdité gauche, la
contracture
réflexe rétinienne Fig. 6. MORPHOLOGIE DES CO
gauche, la contracture réflexe rétinienne Fig. 6. MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTRAHYPNOTIQUES 29 gauche fait défaut
ement considérable du champ des réflexes optiques, déterminé par la
contracture
droite, tandis que le champ des ré- Fit. 7. 3
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. flexes optiques défini par la
contracture
gauche a une étendue normale. b) Quand la sugge
contractures gauches, qui éprouvent le retard, tandis que les hémi-
contractures
droites surviennent promptement, car le champ des
t promptement, car le champ des réflexes optiques déterminés par la
contracture
gauche, est lui aussi plus rétréci. L'explicati
s suggestions hétéronymes, il faut encore Fig. 8. MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
RÉFLEXES INTR AnYPNOTIQUES 31 faire une remarqu
mon opinion sur ce sujet. Le phénomène principal et dominant est la
contracture
réflexe. Pourquoi et comment surviennent ces co
ant est la contracture réflexe. Pourquoi et comment surviennent ces
contractures
il la suite des excitations périphé- riques dan
e. Les associa- tions, transmissions limitées, expliquent aussi les
contractures
réflexes, parce que si un bruit se fait entendr
t et inat- tendu produise un mouvement réflexe clonique, et non une
contracture
to- nique. M le professeur lloegyes donne une
ur lloegyes donne une autre explication ; d'après lui, la cause des
contractures
réflexes est une hyperexcitabilité de la substanc
ntérieurs, et déterminaient par des exci- * talions électriques une
contracture
, laquelle pouvait être effacée par une excitati
, que l'excitation directe de l'écorce suffit pour déter- miner une
contracture
; cette rigidité réflexe peut être obtenue aussi
s expériences démontrent d'une façon très nette, que la cause de la
contracture
ne peut pas être re- cherchée dans une partie c
sait, croisée) le centre cortical acoustique / y MORPHOLOGIE DES
CONTRACTURES
REFLEXES INTRAIIIPNOTIQI : '1;'S. 3S' gauche, d
iminant par une suggestion une partie senso- rielle de l'écorce, la
contracture
réflexe faisait défaut, je pensai à un mé- cani
cination est un procédé cortical, par conséquent son ré- sultat, la
contracture
, ne peut être qu'un phénomène cortical. - Si je
u'il y aitvraiment un diapason, et si je vois s'effectuer la mê- me
contracture
avec cette suggestion qu'après une excitation rée
ue le résultat avec les deux procédés est le même, c est-à-dire une
contracture
. 3° Une hallucination négative ne reste pas lim
c'est l'altération musculaire, l'évolution ou la dissolution d'une
contracture
, et puisque celte altération musculaire est un
de ; on peut donc y voir une tentative pour indiquer une ébauche de
contracture
. Sur la fresque d'Andréa del Sarte, on reconnaî
e temps que beau, a accentué les caractères somatiques tels que les
contractures
du pied el de la main. L'artiste ancien, s'il
la force lui manquant pour le soutenir ; elle est manifestement en
contracture
: les doigts sont crispés sur la paume, et la m
ractère sur la nature duquel il est impossible de se méprendre, une
contracture
, par exemple, la critique médicale s'impose. Ma
te seule. Les bras et les jambes sont repliés sur eux-mêmes par les
contractures
des fléchisseurs. Au point de vue du traitement
E S 233 res épineux. Brubi dit qu'elle est favorisée surtout par la
contracture
. Malgré cette divergence d'opinions, la scolios
ed repose par la pointe sur le sol : on n'y observe aucune trace de
contracture
. Le torse nu est bombé, le ventre un peu en ret
ose latérale amyotrophique. L'absence de douleurs, de rigidités, de
contractures
excluent la pachy- méningite cervicale. L'absen
uvent être ramenées à deux (4) : 1° Théorie musculaire (paralysies,
contractures
) ; 2° Théorie trophique (osseuse, articulaire,
is. Il ne s'agit ni d'une faiblesse des muscles d'un côté, ni d'une
contracture
; nous avons vu que lesmuscles du dos sont intac
n lombaire que siège ordinairement la cour- bure dans les cas où la
contracture
est en cause. Nous avons vu, en outre, que le s
, sachez qu'elles n'ont rien à voir avec celles qui résultent de la
contracture
per- manente. Je crois qu'elles sont plus commu
RACLES DE SAINT IGNACE DE LOYOLA 323 Il s'agissait sans doute d'une
contracture
hystérique. L'image qui repré- sente cette scèn
sont tout à l'ait immobiles. Il est flasque, mais en immi- nence de
contracture
; les réflexes olécrftnien et carpien sont exagér
se soulève un peu moins bien du côté droit que du côté gauche. La
contracture
dans le côté hémiplégique s'est sensiblement acce
uette reste déviée. La voix est toujours nasonnée et monotone. La
contracture
hémiplégique est complète : exagération du réflex
r amputation congénitale, par A. Souques et Henry LECLERC, 242.
Contractures
'réflexes intra - hypnotiques (De la morphologi
tion des réflexes, de la trépidation épileptoïde, de la tendance à la
contracture
. Les paralysies transitoires, post-épi-leptoïdes,
as dans lesquels il y a, à la fois, paralysie permanente avec ou sans
contracture
et attaques d'épilepsie Bravais-Jacksonienne. Ici
rande hystérique, avec grandes attaques à trois périodes, attaques de
contracture
, et portant tous les stigmates de la névrose, rét
n tam-tam. Immédiatement la malade tombe dans une violente attaque de
contracture
. Nous lui faisons reprendre ses sens en compriman
Nous lui faisons reprendre ses sens en comprimant l'ovaire, mais les
contractures
persistent, ainsi que nous l'avions déjà maintes
ndant qu'elle nous faisait ce récit, conservant toujours les diverses
contractures
qui lui restaient de son attaque, la malade, ceci
e-même toute drôle, comme ivre. Quelques massages eurent raison des
contractures
qui persistaient. La malade revient alors progres
ée rhythmée, attaques de délire durant jusqu'à dix jours, paralysies,
contractures
, etc. Le 16 mars 1890, nous l'hypnotisons par l
puis on voit peu à peu son pied droit se placer dans l'attitude d'une
contracture
du muscle tibial antérieur. Ether. — Elle fait
de chloroforme sont réservées généralement pour faire disparaître les
contractures
plus ou moins persistantes. Alcool. — Elle fait
s dans les genoux, qu'il ne peut fléchir. Les muscles des jambes sont
contractures
. Cette contracture qui s'étend aux membres supéri
u'il ne peut fléchir. Les muscles des jambes sont contractures. Cette
contracture
qui s'étend aux membres supérieurs persiste quelq
t employé généralement ici soit pour examiner des malades atteints de
contracture
, soit pour obtenir la résolution des contractures
malades atteints de contracture, soit pour obtenir la résolution des
contractures
persistantes, résultat qui n'est d'ailleurs pas t
enu.) « Pauvre fille, elle s'endort, regarde-là... C'est pourvoir les
contractures
... Je connais tout ça, parbleu; j'ai été à la Sal
les petites choses... Tu vois ? elle s'endort, c'est pour voir si la
contracture
va se défaire... Tu ris? Quoi? Je ne suis pas méd
omie, l'éther le tableau d'attaques de nerfs, le chloroforme celui de
contractures
, et ainsi pour toutes les excitations des sens. C
, etc. De plus, il n'existerait pas chez eux cette prédisposition aux
contractures
musculaires spasmo-diques qui caractérise le somn
dant le malade n'est pas autrement suggestible, et ne présente pas la
contracture
somnam-bulique. Mais son apparence est plus calme
e l'autre. Dans son état n° 2, elle offre les signes somatiques de la
contracture
somnam-bulique qui n'existent pas dans l'état 1 ;
égument externe. Le souffle, ou un frôlement très léger, détermine la
contracture
, que font disparaître des manœuvres de même ordre
e, etc. En outre il avait des attaques et une sorte de paraplégie par
contracture
. Les attaques, qui, au début du séjour à l'hôpi
, pour une déformation congénitale du pied (pied plat) accompagnée de
contracture
avec anes-thésie locale correspondante (contractu
t) accompagnée de contracture avec anes-thésie locale correspondante (
contracture
hystérique). Elle a. eu des convulsions dans son
l'examen, soit dans un but thérapeutique, à obtenir la résolution des
contractures
hystériques) : « Elle s'endort... Pauvre fille !
: « Elle s'endort... Pauvre fille ! Regarde-là... C'est pour voir les
contractures
, l'hystérie... Je connais tout ça, parbleu ! J'ai
, les petites choses... Tu vois, elle s'endort. C'est pour voir si la
contracture
va se défaire... Tu vois, ça se défait... Tu ris
e fleurs, l'éther, celle d'attaque de nerfs, le chloroforme, celle de
contracture
hystérique, etc., etc. Sans vouloir tenter de don
s'agit d'une grande attaque convul-sive violente ou d'une attaque de
contracture
, par exemple. Mais supposons qu'il s'agisse au co
ajorité des cas, il n'existe aucun phénomène somatique semblable à la
contracture
somnam-bulique de l'hypnose. Chez la somnambule
présence, dans les grands cas au moins, des signes somatiques, de la
contracture
cutano-musculaire, il n'y a aucune espèce d'activ
rt « en une minute, et présente dans son sommeil hypnotique les mêmes
contractures
que dans son sommeil somnambulique spontané habit
r conséquent à l'état de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la
contracture
par la pression exercée sur les masses musculaire
ercée sur les masses musculaires, les tendons, ou les troncs nerveux (
contracture
des léthargiques), et l'immobilité cataleptique d
aussi à l'aide de légers frôlements, ou de mouvements à distance, la
contracture
somnambulique. Tous ces phénomènes somatiques se
sionomie des jeux appropriés. On provoque aussi aisément chez elle la
contracture
léthargique par la pression des muscles ou bien d
ture léthargique par la pression des muscles ou bien des nerfs, et la
contracture
somnambuliquepar le simple frôlement de la peau.
des caractères somatiques ou psychiques de l'hypnotisme (catalepsie,
contracture
, suggestibilité) qui se montraient à un si haut d
la phase léthargique de cette attaque, n'ait pas recherché de même la
contracture
somnambulique dans le dernier stade. Peut-être, s
ce peu commune; une paraplégie complète; et, à diverses reprises, des
contractures
variées, du mutisme, de l'aphonie, des vomissemen
t hystériques (attaques convulsives, attaques de sommeil ou plutôt de
contracture
, d'après la description de l'auteur) pour permett
ospice, il fut pris, à partir du 26 janvier 1884, de paralysies et de
contractures
diverses. Le 17 avril, à la suite d'une attaque,
t de contractures diverses. Le 17 avril, à la suite d'une attaque, la
contracture
a disparu et il se croit dans l'état antérieur au
roit dans l'état antérieur au 26 janvier ; il n'a aucune notion de la
contracture
qu'il vient d'avoir et on l'étonné beaucoup en lu
que hyperexcitabilité neuro-musculaire, phé nomènes cataleptiques,
contracture
somnambulique, sug-gestibilité. J'insiste sur c
e, non plus que de phase d'attitudes passionnelles, mais une phase de
contracture
ou de grands mouvements d'une violence modérée, a
culier à signaler, sinon qu'il existe un certain degré de diathèse de
contracture
. La bande d'Esmark appliquée sur un membre le fai
ande d'Esmark appliquée sur un membre le fait entrer immédiatement en
contracture
. Mais point de paralysies, point de contractures
trer immédiatement en contracture. Mais point de paralysies, point de
contractures
spontanées. Si Ton s'adresse à la mémoire, on s
ordinairement les différents états. J'ai déjà parlé de la diathèse de
contracture
que l'on met en évidence à l'aide delà bande d'Es
argiques. Mais en pressant sur un muscle on le fait entrer en état de
contracture
permanente, que l'on peut faire cesser en exerçan
oire à de la catalepsie dans des cas où il n'y a en réalité que de la
contracture
. La catalepsie chez elle n'est pas tout à fait pa
positions habituelles chez les hystériques hypnotisables (diathèse de
contracture
, production de la catalepsie par un bruit subit e
chiques du somnambulisme hypnotique, et non des moins importants : la
contracture
par excitation légère de la peau et la suggestibi
erexcitabilité neuromusculaire, à peine un léger degré de diathèse de
contracture
. Plus d'état cataleptique : on peut frapper de gr
ent développés à un si haut degré dans l'état vigilambulique. Plus de
contracture
des muscles par excitation légère de la peau (sou
r conséquent à l'état de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la
contracture
par la pression exercée sur les masses musculaire
xercée sur les masses musculaires, les tendons ou les troncs nerveux (
contracture
des léthargiques) et l'immobilité cataleptique de
aussi, à l'aide do légers frôlements ou de mouvements à distance, la
contracture
somnambulique. Tous ces phénomènes somatiques se
llement dans le grand hypnotisme : hyperexcitabilité neuromusculaire,
contracture
somnambulique, suggestibilité. Le passage plus ha
citabilité neuro-musculaire ; à peine un certain degré de diathèse de
contracture
. Un bruit, même assez intense, produit auprès d'e
ite les phénomènes hypnotiques constatés chez nos deux vigilam-bules,
contractures
léthargique et somnambulique, catalepsie provoqué
s tous les sens est notablement diminuée. Il n'existe pas de trace de
contracture
. Cette faiblesse était bien connue du malade, q
urdissement douloureux partant du pied et remontant à la cuisse, puis
contracture
des orteils, secousse et raideur des jambes ; enf
s ; rares aussi les autres accidents d'hystérie locale tels que clou,
contractures
, paralysies, etc. Il semble en somme qu'il y ait
es quinze jours. Le malade se plaint, en outre, d'avoir souvent des
contractures
dans le membre supérieur gauche ; sa main se fléc
e d'Esmarch au membre supérieur gauche déterminait l'apparition de la
contracture
spasmodique. L'examen des organes viscéraux n'a
les stigmates de l'hystérie. En effet, on peut provoquer chez lui la
contracture
artificielle ; de plus, il a, comme nous l'avons
mblement hystérique; il présente les carac- tères de la diathèse de
contracture
(contracture provoquée). Enfin il existe chez lui
érique; il présente les carac- tères de la diathèse de contracture (
contracture
provoquée). Enfin il existe chez lui une hémianes
F—, 63. Contagion : dans l'hystérie, 449 ; — dans l'hypnose, 457.
Contracture
(attaque de —), 24. Coprolalie, 455. Crane : dé
ts sont parfaitement sentis. Il a en même temps un certain degré de
contracture
dans les membres du côté droit qui sont dans l'
émiplégie avec aphasie; généralisation des phénomènes paralytiques,
contractures
: tardives, etc., sans troubles sensitivo-sensori
s vers le ler février : l'hémiplégie s'est accrue (côté droit). Des
contractures
surviennent assez rapidement du 9 au 4 0 févrie
ventureuse, en présence de l'impuissance motrice des membres et des
contractures
qui, survenues dans les der- niers temps de la
tés, une nouvelle infirmation à l'hypothèse d'IIitzie, qui fait des
contractures
tardives des hémiplégiques un simple mouvement
laquelle rattache aux dégénérescences secondaires descendantes ces
contractures
, et en fait, quand elles sont permanentes et co
tendineux, du clonus du pied, lequel a précédé, puis accompagne les
contractures
. Quant au réflexe du tendon rotulien, on a vu d
rrespon- dant ; hémiplégie motrice a gauche, sans M;ies</të6';e;
contractures
permanentes, etc.; 2" foyer cortical du lobe fr
mbe et la cuisse gauches; la marche est impossible. Il n'y a pas de
contractures
bien nettes; toutefois, le bras gauche a une te
Les membres supérieur et inférieur gauches sont plus énergiquement
contractures
dans la flexion depuis quelques jours. La trépi
chéance s'accuse : les selles et les urines sont involontaires, les
contractures
s'accentuent dans le sens de la flexion et pers
4° Que l'hémiplégie résultant de ces lésions s'est accompa- gnée de
contractures
tardives et permanentes : ces signes appar- tie
latérale amyotrophique ne peut être confondue (paralysie bulbaire,
contractures
- La paralysie pseudo- hypertrophique s'accompa
'engourdissement des pieds et des mains, bientôt remplacées par des
contractures
vives, de l'atrophie mus- culaire, de la diminu
a une amélioration de la motililé, de l'état des muscles, voire des
contractures
M. Skixigmuller. Sur l'hémiunesthésic. Cas inté
de l'ensemble des fonctions sensorielles et rapide développement de
contractures
dans les extrémités droites. Pas d'hyperesthési
ue, quand il dit, à propos de la symptomatologie du tabès : « Les
contractures
sont tout à fait exception- nelles, elles ne su
France, on était bien moins avancé. Onimus 6 avait bien étudié les
contractures
des tabétiques et en faisait le pivot d'une thé
. ini Rucken ? ? z. (drch. f. Psych ? 1S81, XI, 26. ' Onimus. De la
contracture
dausl'at. loconz. et de son influence sur incoo
uence sur incoordin. des ueouuenz. (Gaz. hebdouz.), 1878, 147. Art.
Contractures
ni Dict. encycl. des se. nzédic. 5 Vull)ian.
taté chez ce malade, pendant une assez longue période de temps, des
contractures
plus ou moins fortes et d'une durée de quelques
let et Minor) sur les scléroses d'origine vasculaire. Les mots de «
contracture
tabétique » em- ployés dans le titre de l'un de
e 1881. Les scier, des vaisseaux s ? zrz. Ibid. janvier 4885. De la
contracture
tabétique progressive ou sclér. diff. d'orig. v
très difficiles ou même impossibles, mais c'est plutôt à cause des
contractures
. Ainsi, depuis l'an dernier, il ne peut plus éc
n'a pas observé jusqu'ici de raideur musculaire dans l'ataxie ; les
contractures
sont tout à fait exception- nelles, elles ne su
ux fermés, le malade porte la main à l'épaule ou au nez, mais les
contractures
rendent les mouvements précis très difficiles,
rire, ce qui le gêne pour tenir sa canne en marchant, c'est que les
contractures
fléchissent tout de suite ses doigts au point d
ble; le sterno-mastoïdien pressé tourne la face du côté droit et se
contracture
; les muscles des extrémités thoracique et pelvi
les muscles des extrémités thoracique et pelvienne n'entrent pas en
contracture
parla pres- sion exercée sur leurs fibres. Les
membres, ils ne les conservent pas. Le frôlement ne produit pas les
contractures
somnambuliques; presque pas de suggestions. Sen
tat ordinaire, le sterno-mastoidien, pressé, ne répond pas, mais se
contracture
par le frottement de son faisceau sternal ou cl
e contracturent pas bien. La pression du médian, du radial donne la
contracture
et la griffe correspondantes; pour le cubital,
ts de la main gauche n'éveillent pas le sourire; 3° somnambulisme :
contractures
par- DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULA
des manifestations somatiques à gauche. Si la malade est debout,
contracture
léthargique un peu tardive du sterno-mastoïdien
contracture léthargique un peu tardive du sterno-mastoïdien droit ;
contracture
somnambulique presque nulle des membres droits,
tures des membres, surtout sur le côté gauche du corps. Léthargie :
contracture
des muscles de la face et du sterno- mastoïdien
mastoïdien normale à gauche, un peu au-dessous du normal à droite;
contracture
des membres thoraciques et pelviens, faible adr
he; absence des suggestions cata- leptiques nettes. Somnambulisme :
contracture
rudimentaire à droite, nulle à gauche; suggesti
du poignet gauche et amélio- ration des jointures du côté droit. La
contracture
léthargique est facile à être obtenue aux membr
possibles à l'aide du bras droit, impossibles à l'aide.,du gauche.
Contracture
somnambulique absente au membre inférieur gauch
s assez notables dans les phénomènes neuro-musculaires : absence de
contracture
léthargique au membre inférieur gauche seul; st
ment du genou gauche, dont les mouvements causent moins de douleur;
contracture
léthargique et somnambulique aux quatre membres
es étaient, hier matin, plus gonflées qu'antérieurement ; aussi les
contractures
et la stabilité se montraient-elles très diminu
nerfs des membres d'une façon presque toujours.pro- portionnelle.)
Contracture
léthargique et somnambulique diffi- ciles et lé
6 de ce mois, légère amélioration du genou gauche. En cherchant les
contractures
du membre inférieur de ce côté, de petits mouve
32 RECUEIL DE FAITS. attaques, la première desquelles est suivie de
contracture
géné- ralisée, qu'on fait cesser parles inspira
jets qui ont des lésions du cerveau chez lesquels les tendances aux
contractures
s'obser- vent dans les fléchisseurs du bras. Un
aussi; tous les fléchis- seurs étaient contractés. Ce phénomène de
contracture
disparut après la mort. Le malade ne pouvait re
e, Duhring, âgé de quarante ans, avait une tendance remarquable aux
contractures
. Tous les quinze jours, il avait des attaques p
-mastoïdien gauche. Après les tiraillements, on voyait survenir une
contracture
passa- gère de ces muscles; il se plaignait aus
la courbe; en effet, le tracé du bras gauche remonte à cause de la
contracture
du biceps ; à droite, il n'y avait aucune alté-
roite et à gauche. On parvient sans grande difficulté à vaincre les
contractures
des membres, mais momentanément, et il semble q
us violents accompagnés de pa- SOCIÉTÉS SAVANTES. 305 ralysic, de
contracture
, de cyanose et de refroidissement excessif des
36 PATHOLOGIE NERVEUSE. pas pourquoi on qualifierait de folie une
contracture
ou une paralysie que l'on peut produire isoléme
it une contraction forte à l'aide d'un courant intense, et si cette
contracture
reste aussi après la rupture du courant à cause
on produit la mémoire d'une action peu intense; en conséquence, la
contracture
diminuera, c'est-à-dire le cerveau comprendra l
suivra cette lésion, et avec la dégénération secondaire la funeste
contracture
s'installera. Presque toutes les actions de l'h
ce réflexe soit élevé, jamais on n'a vu ni une contraction, ni une
contracture
se pro- duire après la seule pression du tendon
à peu cette pression, ce qu'indique le tracé sphygmographique, la
contracture
augmente aussi, c'est en contradiction avec tou
a moelle épinière d'une cause quelconque, on aurait pu produire une
contracture
, pour quelque temps, par une simple malaxation
e vraie exagération de cette activité, toute irritation augmente la
contracture
(comparer la contracture permanente des hémiplé
e activité, toute irritation augmente la contracture (comparer la
contracture
permanente des hémiplégiques, l'empoi- sonnemen
hoc, au double point de vue de la précision et de l'intensité de la
contracture
. Enfin, pourquoi la contracture dure-t-elle enc
précision et de l'intensité de la contracture. Enfin, pourquoi la
contracture
dure-t-elle encore après qu'on a éveillé l'hypn
courant nerveux. On pourrait aussi comprendre le relâchement de la
contracture
après la malaxation des antagonistes. On sait d
direction et la grandeur du mouvement. Cela arrive de même dans les
contractures
pendant la léthargie, et ces contractions sont
des muscles, mis préalablement en contrac- ture, nous provoquons la
contracture
dans ceux-là, et avec cela nous changeons leurs
avec cela nous changeons leurs rôles : les muscles qui i étaient en
contracture
se relâchent à présent à un degré qui est en ra
agération des réflexes rotuliens surtout à gauche. Marche raide, en
contractures
. Mélange de paralysie et de raideur. Marche ren
à côté du syndrome ataxique, dans le tabes combiné. On a noté des
contractures
, des crampes, des se- cousses, des mouvements i
Les réflexes sont exagérés du côté paralysé, mais normaux à droite.
Contractures
épileptoïdes des membres.-Rien au coeur, ni aux
léthargiques, cataleptiques, somnambuliques et en particulier la
contracture
, la secousse musculaire et l'état cataleptoïde. L
e est exacte- ment celle de la sclérose en plaques : paralysie avec
contractures
, tremblement à l'occasion des mouvements volont
t ne se produisait jamais pendant la marche ; en même temps que ces
contractures
passagères il existait quelques douleurs de rei
s membres inférieurs, dans les genoux, dans les épaules, etc... Les
contractures
étaient intermittentes dans la jambe gauche ; i
niveau du poignet, des reliefs très marqués, par suite de l'état de
contracture
des muscles ; les mouvements d'élévation du bra
élongation forcée avait été pratiquée du vivant du malade pour une
contracture
. M. Witkowski entreprit des tractions nerveuses
gie spasmodique par mal de Pott arrivée à sa dernière période, à la
contracture
des membres inférieurs, et nous-mème, nous somm
(Centralbl. f. Nervenheilkunde, etc., 48SU.) Hémiplégie gauche avec
contracture
. Destruction de presque toute la pariétale asce
ki, Greisswald, 1881), il adopte pour son premier fait l'idée d'une
contracture
de l'aponévrose palmaire (épaississements circo
M. F. Krause, qui rattache la plupart de ces cas de paralysie à une
contracture
des adducteurs des cordes vocales. Communicat
ite ou à gauche, comme si j'avais affaire avec un membre en état de
contracture
. Il était évi- dent quelle bras s'était préparé
ssifs, communiqués aux membres sont faciles. Il n'y a pas traces de
contracture
musculaire permanente. Il n'y a pas non plus de
state la paraplégie avec atrophie des mem- bres inférieurs ! ? ) et
contracture
. Le malade a cessé de gâter. On lui fait appren
s manifestations névrosiquess, attaques convul- sives, anesthésies,
contractures
passagères, etc. En résumé, état prime jusqu'en
en mai 1879; de mai 4879 à mai 1880, état second coïncidant avec la
contracture
des membres in- férieurs, et se terminant quand
. Pas d'autre zone hyslé- rogène. 26 janvier et jours suivants. -
Contracture
hémiplégique droite. Elle cède momentanément à
Le malade s'hypnotise par leregardavec une grande facilité, et la
contracture
s'évanouit immédiatement pour reparaître avec la
nt de courir dans la salle, alors qu'il se voit cloué au lit par sa
contracture
. , 10 février. Pour le convaincre, on le fait s
re. 14 février. - Même état. - V... garde toujours le lit pour sa
contracture
. Disparition à peu près complète de la polypnée.
langage impersonnel et enfantin existe depuis l'ap- parition de la
contracture
. Les aimants de nouveau appliqués restent sans
complètement sèches. Dans la soirée, l'infirmier s'aperçoit que la
contracture
du côté droit a disparu, mais qu'en revanche le
e du côté droit a disparu, mais qu'en revanche le côté gauche s'est
contracture
. 20. A la visite, le bras droit a recouvré ses
mouvements et sa sensibilité. Le côté gauche est hémi-anesthésié et
contracture
. Mais la jambe droite est également contracturé
DE GRANDE HYSTERIE CHEZ L'HOMME. 219 21. - Les quatre membres sont
contractures
. Le transfert obtenu par la pilocarpine a donc
res. Le transfert obtenu par la pilocarpine a donc fait place à une
contracture
généralisée. Deux injections de pilocarpine res
effet que de provoquer la diaphorèse et la salivation. 22. -Même
contracture
des quatre membres. Anesthésie géné- ralisée. J
te brusquement la crise et réveille le malade. z Limitation de la
contracture
à droite, comme précédem- ment. Mars, avril.
e précédem- ment. Mars, avril. V... garde toujours le lit avec sa
contracture
du côté droit. Les crises sont toujours assez f
r soir, à 9 heures, le malade a eu une crise légère. A la suite, la
contracture
du côté droit a disparu. Il s'est endormi, le c
ar plaisanterie. Il se croit au 26 janvier (jour d'apparition de sa
contracture
). On l'amène auprès du chef de service. Il rest
ux doigts de piqûres d'aiguilles. Il ne se souvient pas d'avoir été
contracture
du côté droit. Il est faible sur ses jambes et
journée d'hier, le malade a eu une série de crise. A leur suite, la
contracture
du côté droit est revenue. Le malade est resté
17 avril. Il parlait l impersonnellement, comme alors. Ce matin la
contracture
a dis- paru, et V... est dans l'état prime. P
eau. Son caractère est modifié. Il était doux pendant la période de
contracture
; il est indiscipliné, taquin, voleur. Il travai
ille irrégulièrement. Les crises sont toujours assez fréquentes. La
contracture
ne reparaît pas une seule fois, mais l'hémianes
rendant pas compte des symptômes observés, le spasme glottique, la
contracture
du diaphragme, et le syndrome clinique désigné
dans une deuxième période d'état second, coïncidant encore avec une
contracture
, et cette phase dure trois mois. Le 17 avril, l
ec une contracture, et cette phase dure trois mois. Le 17 avril, la
contracture
disparaît, et le malade revient à l'état prime.
ou des quelques mois qui viennent de s'écouler depuis qu'il est en
contracture
. Car, et ceci est le point essentiel de l'obser
vation, ses périodes d'état second ont exactement coïncidé avec des
contractures
éten- UN CAS DE GRANDE HYSTÉRIE CHEZ L'HOMME. 2
NDE HYSTÉRIE CHEZ L'HOMME. 223 3 dues, et il n'a jamais présenté de
contractures
en dehors de cette condition. Nous ferons rem
me les bébés et il possède peu de connaissances générales. Quand la
contracture
disparait, le langage redevient vif, les mots a
ssons plus loin l'analyse de cette observation. Le 20 fé- vrier, la
contracture
et l'hémianesthésie qui étaient à droite passèr
symptôme ? si ce n'est que le malade parle de nouveau pendant cette
contracture
avec son cerveau gauche et. qu'il présente une
nte une polarisation psychique en même temps que le transfert de la
contracture
du membre. De tout ceci il parait résulter que
il parait résulter que les causes qui chez notre malade amènent la
contracture
, provoquent aussi l'arrêt fonc- tionnel de la c
enfin survint une paralysie d'abord des jambes, puis des bras, sans
contractures
et avec affaiblissement rapide des réflexes ten
iDans ces,deux,ca, 'n'y'avait en'même''temps hémiplégie' droite et)
contracture
mo- dérée ; le balbutiement du premier malader
rche spastique, rigidité des muscles, leur tremblement convulsif et
contractures
, affaiblissement des forces musculaires et une
ue. L'examen démontra une absence de parésie, de rigi- dité et de
contractures
des muscles et d'agrandisse- ment des réflexes
roubles fonctionnels si communs chez les hystériques, paralysies ou
contractures
, tics, névralgies diverses... Mais, jusque-là
on voit l'hypnotisme suspendre lès attaques, faire disparaître des
contractures
, des névralgies, constituant en cela ce que M.
nt, syncopes, atta- ques de léthargie très fréquentes, parfois avec
contracture
, attaques convulsives avec délire loquace; puis
ent qu'à gauche. - A trois heures, attaque spontanée de léthargie :
contractures
presque généralisées, plus manifestes à droite
yeux. A ce moment, apparition des phénomènes cataleptiformes et des
contractures
qui disparaissent par la friction des muscles a
spectés. 22. Attaque de léthargie durant depuis trois heures avec
contractures
invincibles des quatre membres : le bras gauche e
angle droit et les doigts dans la flexion forcée. Craignant que ces
contractures
ne persistent pas au réveil et ne déterminent d
e se remue, essaye d'ouvrir les yeux, je fais disparaître alors les
contractures
par l'excitation superficielle au niveau des mu
e sur ce dernier symptôme. 4 septembre. - Attaque de léthargie avec
contracture
des quatre membres de une heure de durée. Arc
nts qu'elle accueille fort bien. Le soir, attaque de léthargie avec
contractures
. Au réveil, paraplégie surtout acceu- tuée dans
tuée dans la jambe gauche. 17. - Nouvelle attaque de léthargie avec
contracture
. Au réveil. disparition de la paraplégie sous l
l'idée du poison n'existe plus. 1° ? . - Attaque de léthargie sans
contracture
: même état, très calme, affectueuse, mais je n
les enterrements, les catacombes. A 8. -Attaques de léthargie avec
contracture
. Même état mental que le 15 durant jusqu'au 24.
t jusqu'au 24. 21. - Ce jour-la, nouvelle attaque de léthargie avec
contracture
. 388 RECUEIL DE FAITS. 22. Réapparition du cl
paru. Ne parle plus de mourir. 27. - Attaque de léthargie suivie de
contractures
. 28. Toute la journée elle est calme, fait de l
eurs de personnalité. , der novembre. - Attaque de léthargie avec
contractures
. 3. Accès de migraine ophlhalmique très-net : d
taque de léthargie de trois heures à onze heures du soir, suivie de
contractures
. 10. - Les deux jambes sont paralysées et insen
és inférieures, anesthé- sie extrêmement marquée, parésie vésicale,
contracture
exces- sive des deux membres inférieurs, exagér
faut noter que les douleurs et de l'amaigrissement ont précédé les
contractures
; celles-ci ont été suivies de dimi- nution de
s fonctions motrices du membre supérieur gauche, et, par contre, la
contracture
du membre supérieur droit (excitation permanent
t cette jambe. Le bras droit est absolument paralysé, flasque, sans
contracture
. Le dynamo- mètre marque 0 à la main droite et
vie, lui est totalement étranger. Quatrième état. - Paraplégie avec
contracture
. Obtenu par l'application de l'aimant sur la nu
plication de l'aimant sur la nuque. La paraplégie est complète avec
contracture
ou extension. L'anesthésie est étendue à toute
vie, à l'exception de la seule époque où il était paralytique avec
contracture
, à Saint-Urbain et Bonneval. Aussi ne se rappel
au quatrième état, et simultanément est apparue la paraplégie avec
contracture
et insensibilité des parties inférieures du cor
par processus dégénératifs; même observation en ce qui concerne les
contractures
. Discussion : M. UNGAR communique l'observati
produit ainsi des anesthésies, mais on ne fait pas disparaître les
contractures
. Ces passes sembleraient réussir dans des névra
ipéuierc le vendredi 19 juin 1891. dans leur sommeil hypnotique des
contractures
, des paralysies, des anes-thésies, tous le» sympt
in. 1891. Maréchal (Dr), de Bruxelles. — Contribution à l'élude des
contractures
post-hémiplégiques, brochure 8 pages. — Presse mé
présence d'un sujet en proie à la crise la plus violente, ayant de la
contracture
, de la catalepsie, j'ai pu faire cesser tous ces
de l'hystérie. Or, 1° les anathésies, les paralysies flasques, les
contractures
, la catalepsie, existent toujours au moins en par
psychologique et la légitimité : la persuation et l'imitation. •
Contracture
spasmodique. — Guérison en une seule séance. Pa
890, j'eus à soigner deux jeunes fillettes atteintes en même temps de
contracture
du bras. Chez l'une, le bras gauche; chez l'autre
douleur dans le coude et à l'épaule et presque immédiatement après la
contracture
s'était déclarée. D'ailleurs pas de lièvre, bon a
, l'une des deux enfants m'a été amenée présentant exactement la même
contracture
. Cette récidive m'a fourni l'occasion de constate
eurol. Centr.-Bl., 15 Juillet.) Maréchal. — Contribution ? rétude des
contractures
post-hémiplégiques. (Presse medi* cale belge, m
hystérique. (Riv. gen. ital. di ctinica, 189U.) Solum el Malapert. —
Contracture
volontaire chez un hystérique, (Nouvelle iconogra
mbre de sujets, je puis d'ailleurs, à l'eut de veille, produire de la
contracture
, de la paralysie, des actes émotifs, de l'anelgés
n'a pas accordé dans ses travaux l'importance qui leur est due. Les
contractures
et la plasticité cataleptique en particulier ont
arantie moins complète. Ils sont intermédiaires à cet égard entre les
contractures
et la catalepsie et les phénomènes psychiques. Co
ît pas à mon esprit avec autant d'évidence que lorsqu'il s'agit d'une
contracture
; dans le premier cas je suis obligé d'ajouter foi
t bien plus facile de développer par suggestion une anesthésie ou une
contracture
que de faire accepter une idée en désaccord avec
nommés toma-tique, de l'hypnose, l'excitabilité neuro-musculaire, les
contractures
dites léthargiques et somnambuliques, la cataleps
laire de la période léthargique, c'est-à-dire les contractions et les
contractures
produites par la simple excitation mécanique des
que, thyperexcitabitité cutanée, c'est-à-dire les contractions et les
contractures
provoquées par la simple excitation de la peau da
erexcilabitité neuro-musculaire, je veux dire les contractions et les
contractures
, on procède à une excitation mécanique sur les mu
s aurons une contraction forte et prolongée sous la forme d'une vraie
contracture
; si enfin la durée et l'intensité de la stimulati
anifeste et s'étend sur d'autres faisceaux de muscles, produisant une
contracture
toujours plus étendue (1). Ce phénomène n'est don
e, mais prolongée, et l'on, a obtenu, comme effet réflexe, une faible
contracture
générait des muscles dans laquelle, selon Ch. Mic
cataleptique; mais à la place de la flexibilité cerea, on a une forte
contracture
et une rigidité générale qui persiste autant que
ession faite sur le sommet de la tète, on observe un élit de médiocre
contracture
générale (résistance des membres quand on veut le
téristique de cette période, Y/iyperexcitabUilé culano~musculaire (la
contracture
des muscles lorsqu'on excite légèrement la peau q
it qu'élever à un plus lu.ut degré dans les muscles correspondants la
contracture
, qui était déjà généralement répandue par l'actio
les observer indifféremment dans n'importe quelle période. Ainsi, la
contracture
dite somnambulique a été rencontrée dans l'état l
ui de l'hypnose, soit un état intermédiaire entre la catalepsie et la
contracture
. Charcot et Richer (2) constatèrent que les con
epsie et la contracture. Charcot et Richer (2) constatèrent que les
contractures
des hystériques à rétat de veille présentent des
e des nerfs et des muscles. Chez une autre, au contraire, G......la
contracture
dite som- nambulique (3); chez Witt..., qui fut
erexcùabilité neuro-musculaire exquise, la contracurc paradoxe et les
contractures
provocables dans les muscles mêmes du visage (4).
ecueillies par le 1> Melotti, offrait à l'état de veille, les deux
contractures
: la léthargique et la somnambulique; et, de mémo
verses périodes de l'hypnotisme, c'est-à-dire les contractions et les
contractures
par excitation mécanique, sur les muscles, sur le
cal. ouiiH-ros 19. tt, U). 1889. (i) Ciawot et Kicher. — DialhHc de
contracture
chez les hyslérioirs iïociïU' de Biologie. 15 dôe
. cit. Pages |ï et 18. (5) Ouvrage dté. — Leçons de Charcot. nerfs (
contracture
léthargique), Fimmobilité cataleptique des extrém
ue des extrémités, placées dans les positions les plus variées, et la
contracture
somnambulique par légères excitations cutanées.
aud et Richet ont observé la facilité avec laquelle se produisent les
contractures
pendant la veille, chez presque tous les hystériq
st même désormais admis que la facilité avec laquelle on provoque les
contractures
dans la veille, avec des moyens simples, tels que
e. De même les phénomènes somaliques. surtout ITryperexcitabilité, la
contracture
, etc., etc., qui, dans la plupart des cas, se ren
ieds et dans les muscles des jambes et des cuisses, se compliquant de
contractures
douloureuses; fourmillements dans la région du co
montrer une autre malade affectée de pied bot valgus hystérique, avec
contracture
des muscles de la jambe, de la cuisse et des musc
tent mieux que pendant la veille. Les membres ne présentent jamais de
contracture
, ils conservent quelque temps la position qu'on l
ceinte, elle avait vu un mendiant dont les bras et les jambes étaient
contractures
. Ce spectacle lui avait fait éprouver un choc, ma
notre homme une sensation de faiblesse, avec agitation, tremblement,
contracture
des mâchoires et impossibilité de parler; ces cri
vre : Hypnotisme, Suggestion, Psychothérapie (p. 395). Elle avait une
contracture
douloureuse des membres d'origine rhumatismale. J
tismale. Je l'ai mis en hypnose profonde, j'étais convaincu que cette
contracture
était en grande partie dynamique et que la restau
aduisent chez les uns par de la paralysie, et chez d'autres par de la
contracture
, bien qu'il y ail là une unité morbide, aujourd'h
les tendons ou les nerfs moteurs des sujets, on voit se produire des
contractures
intenses des muscles excitée. Ces contractures se
n voit se produire des contractures intenses des muscles excitée. Ces
contractures
seraient remarquable* pe leur résistance aux trac
traduit par ce (ait que la plus légère excitation de la peau amène la
contracture
des muscles sous-jaceuts. On aurait dans la pério
ent et la friction des muscles de lavant-bras amenait l'apparition de
contractures
très résistantes, cédant seulement à la malaxatio
ons dit à un sujet qu'un bruit quelconque amènerait successivement la
contracture
des muscles des bras el des jambes, nous avons vu
t la contracture des muscles des bras el des jambes, nous avons vu la
contracture
se produire aussi rapidement sous l'influence de
ion un certain nombre de phénomènes somatiques, tels que ancsihésies,
contractures
, paralysie. On peut aussi provoquer chez ces suje
es. III. Étude physiologique de l'hypnotisme : Les anesthésies, les
contractures
, les paralysies. IV. Les hallucinations suggé
t moral. (Revue de médecine, n° 8, 10 août.) Sollier et Malapert. —
Contracture
volontaire chez un hystérique. (Nouvelle iconogra
mière fois, il a obtenu chez eux, par suggestion à l'état de veille :
contractures
, paralysies, anesthésies, hallucinations sensorie
qui l'on peut suggérer tout ce qu'on veut ; catalepsies, paralysies,
contractures
, hallucinations négatives, ou bleu encore des act
ersistance de notre action et la répétition de nos tentatives, aucune
contracture
ne se produit. Nous ouvrons alors les yeux du s
extenseurs de l'avant-bras gauche, nous amenons la généralisation des
contractures
, d'abord au bras droit, puis à la jambe droite qu
soulève et enfin à la jambe gauche. Les quatre membres du sujet sont
contractures
. Pour défaire cette contracture, nous reproduison
he. Les quatre membres du sujet sont contractures. Pour défaire cette
contracture
, nous reproduisons la même action 'malaxation des
elle la malaxation des extenseurs, et on voit apparaître chez elle la
contracture
des muscles excités. En continuant l'excitation s
muscles excités. En continuant l'excitation sur les mêmes muscles, la
contracture
se généralise comme chez le sujet précédent, les
soulevant successivement, puis les deux jambes. Pour faire cesser ces
contractures
, il suffit de recommencer l'excitation des extens
La suggestion par imitation n'a donc porté que sur la production des
contractures
; mais dans ce cas son action a été des plus manif
n pourra objecter que l'imitation qui a eu pour effet de suggérer des
contractures
, n'a pas eu le pouvoir de suggérer de l'anesthési
obtient facilement l'anesthésie, ne présentent aucune aptitude à la
contracture
. En résumé, nous constatons que chez une sourde
s méd. de Lille, 6.) F au. or. — L'a cas d'hémiplégie hystérique avec
contracture
et atrophie musculaire ». (Marseille méd., 16.
. (Ânn. d'IIyg. et de Méd. légale. 1.) Richer (P.). — » Diathèse de
contracture
». (NouV. Icon. de la Salpétrière, 5.) Seglas et
es bras de dessus son ventre, sur lequel ils estoyent comme attachés (
contracture
hystérique), et dit que elle a dès lors senti ces
les applications thérapeutiques de l'hypnotisme, par Tokarski, 58.
Contracture
spasmodique guérie par suggestion, par David (de
rsiste plus de deux mois avec des alternatives- de flaccidité et de
contracture
; elle s'accompagne d'une amyo- atrophie assez
s du côté du membre inférieur et enfin. l'intégrité de la face ; la
contracture
initiale peut être mise sur le compte de l'irri
t voyons s'ils résistent à une analyse rigoureuse. A propos de la
contracture
, nous venons de dire comment on peut expliquer
e cette paralysie, et échelonnées comme il suit : 1° paralysie avec
contracture
; 2" para- lysie flasque; 3° paralysie avec cont
ralysie avec contracture; 2" para- lysie flasque; 3° paralysie avec
contracture
; enfin, la contracture établie cette dernière f
2" para- lysie flasque; 3° paralysie avec contracture; enfin, la
contracture
établie cette dernière fois, ne devrait plus êt
e début remonte à plus de huit mois, exagération de ces réflexes et
contracture
? Ainsi donc, il nous semble qu'il faut écarter
rincipe. . Le second groupe de symptômes (paralysies et sur- tout
contractures
) veut dire lésions des cordons laté- raux et su
rait plus, comme l'a fait Grasset (de Montpellier), admettre que la
contracture
permanente est le symptôme de la lésion des cor
de sarcome encéphalique et d'hystérie dans lesquelles il y a eu des
contractures
permanentes malgré l'intégrité des cordons laté
oses ou des lésious extra-médullaires puissent aussi produire ces
contractures
. Je crois pouvoir maintenir mon ancienne phrase
es cellules motrices antérieures que la lésion latérale entraîne la
contracture
. Ceci est une autre affaire. - Ce qui nous in
observés le siège probable de la lésion médullaire, c'est que aux
contractures
répond la lésion latérale, comme à l'ataxie rép
des cordons postérieurs et laté- raux, la rigidité musculaire et la
contracture
spastique ne surviennent pas quand la lésion de
abes spasmodique par les symp- tômes du tabes ataxique. Ainsi les
contractures
et plus généralement les divers phénomènes d'ex
r- bides symptomatiques qui varient dans une certaine limite. Les
contractures
, et, d'une manière générale, les phénomènes d'e
symptômes du tabes spasmodique (paralysies ou pa- résies et surtout
contractures
ou autres phénomènes d'excitation motrice) et d
'irritatiou gagnant d'étendue, perde d'intensité : il n'y a plus de
contracture
, et ce ne sont que les poses données pendant l'
ue cette paralysie faciale droite, on note, outre les phénomènes de
contracture
(1/2 droite de l'orbiculaire des lèvres, des de
rès les expériences de Krause, dans un grand nombre de cas, à une
contracture
spasmodique des adducteurs des cordes vocales ; c
quatrième ventricule. Le diagnostic ne pouvait hésiter qu'entre une
contracture
spasmodique ou uue contracture réflexe consé- c
stic ne pouvait hésiter qu'entre une contracture spasmodique ou uue
contracture
réflexe consé- cutive à une lésion du noau du l
dyspnée se montrait subite en pleine rue, et l'on de- couvrait une
contracture
bilatérale des adducteurs. - Tabès : sur trente
s d'excitation spéciaux du larynx; en chaque cas, il existait une
contracture
bilatérale des adducteurs des cordes vocales ; le
Si l'on rapproche l'ob- servation des phénomènes d'excitation avec
contracture
des cordes vocales, du résultat obtenu par l'él
des vocales, dueà une excitation dégénérative du laryngé supérieur,
contracture
susceptible d'être augmentée à l'occasion par d
rs, dans les processus centraux qui se traduisent par des accès. La
contracture
serait, si l'on veut, se- condaire, à peu près
re, acceptable dans certains cas, n'explique ni la soudaineté de la
contracture
des adducteurs, ni la constance des phénomènes.
tiraillement auxquels sont soumises les branches nerveuses dans les
contractures
exagérées du psoas et des muscles des gouttière
monoplégie brachiale qui flasque d'abord, s'ac- compagne ensuite de
contracture
. Il y a en même temps de l'hémianesthésie gauch
ralysie flasque au début se transforme bientôt en paralysie avec
contracture
et les muscles du côté malade s'atrophient . Pu
ec contracture et les muscles du côté malade s'atrophient . Puis la
contracture
disparaît; les mouvements reparaissent progress
ois après le début de la paralysie, commença une nouvelle phase, la
contracture
diminua d'intensité; puis les mouvements sponta
15. - On remarque que l'état du membre supérieur se mo- difie, la
contracture
est moins accentuée. 30. - La contracture qui a
érieur se mo- difie, la contracture est moins accentuée. 30. - La
contracture
qui avait été en s'atténuant sans cesse depuis
rganique de l'encéphale ; dans cette hypothèse, on considérerait la
contracture
développée dans le mem- bre supérieur comme due
cette hypothèse comment pourrait-on comprendre la disparition de la
contracture
et le retour des mouve- ments ? Une semblable é
t examiné à la Salpêtrière quatre mois environ après l'accident; la
contracture
persiste toujours, les mouvements du membre sup
bre paralysé. A la suite d'une séance de massage de dix minutes, la
contracture
s'atténue très notablement, et les mouvements r
renvoyé le malade, qui est retourné chez lui en Dordogne, avec sa
contracture
, à Ribérac, puis à Bordeaux, où il est resté qu
e bras est dans la position normale, le long du corps, légèrement
contracture
; on ne peut l'écarter du tronc que d'une façon
tie, ne s'est guère modifié. En ce qui concerne la paralysie avec
contracture
, pas de changement. L'amyotrophie n'a pas augme
ande à sortir. On essaye, avant de le laisser partir, d'agir sur sa
contracture
au moyen du massage. Voici ce que l'on fait : o
gts, mais elle amène rapidement un résul- tat très satisfaisant; la
contracture
s'atténue en peu de temps, les doigts se redres
droit; quelques jours après une nouvelle attaque avaitproduit de la
contracture
de la main droite et cette contracture avait pe
e attaque avaitproduit de la contracture de la main droite et cette
contracture
avait persisté depuis. La malade, que je dus ex
ts. Le membre supérieur droit était le siège d'une paralysie avec
contracture
rappelant tout à fait comme aspect les paralysies
qu'à provoquer de vives douleurs et semblaient exa- gérer encore la
contracture
. La sensibilité était du reste conservée dans t
doigts avec une facilité rapidement croissante et toute trace de
contracture
a disparu. Les ougles d'une longueur démesurée so
ec la charpente athlétique de leurs muscles; en dehors des accès de
contractures
et de roideurqui formentla maladie deThomsen et
s groupes musculaires, augmen- tation de tension se transformant en
contracture
de quinze à vingt-cinq secondes, si, au lieu de
cent. de diamètre) pressa suffisamment contre la zone motrice, des
contractures
de la main et des Archives, t. XII. 16 234 RE
de paraparésie et presque de paraplégie des quatre extrémités avec
contracture
des mem- bres inférieurs, exagération excessive
RIE DANS LES TROUPES RUSSES. 267 dance à des tiraillements et à des
contractures
dans les jambes. En outre, E... souffre de vomi
ont extrêmement exagérés. Les jambes sont à moitié paralysées;- y a
contracture
des muscles posté- rieurs de la cuisse, qui flé
ançait les jambes sans faire quitter le plan- cher, par suite de la
contracture
des muscles; tantôt ses pieds se déjetaient con
A la mi-mars, le patient commença à marcher avec des béquilles; les
contractures
per- sistaient encore. Au mois de mai, il march
in droite est affaiblie ; le dyna- momètre ne marque que 30; pas de
contractures
; les réflexes tendineux sont exagérés des deux
du genou et du tendon d'Achille sont très exagérés. On remarque une
contracture
dans les deux genoux de manière que les jambes
que le sujet était resté trois mois alité à la maison avec la même
contracture
des jambes et que les douleurs sourdes avaient ét
rivée une fois. Le frère aîné du malade était aussi sujet aux mêmes
contractures
. Prescription : solutio arsenicalis Fowleri, ga
Sous l'influence de ce traitement, au bout de dix-neuf jours, les
contractures
diminuèrent d'abord dans le genou droit; à la fin
ce ou en appli- quant une ligature. En février et en mars 1886, les
contractures
commençaient souvent par la face, mais en avril
uxquelles je vous renvoie pour les détails, sous le nom d'attaques de
contracture
(1) ; je me bornerai à vous en donner ici une des
s bras, les jambes, le tronc se raidissent alors dans l'extension. La
contracture
est quelquefois assez forte pourque la rigidité d
que nous avons pris l'habitude de désigner sous le nom d' «attaque de
contracture
», se rencontre assez rarement dans la pratique.
un enfant hypnotisé par un de ses camarades a été pris d'attaques de
contracture
qui durèrent plusieurs heures et qui se renouvelè
ande hystérie dès le retour de leur apparition (attaques convulsives,
contractures
, anesthésies, aphonie, vomissements, amaurose, an
e, le hoquet, les vomissements, les arthralgies, les monoplégies, les
contractures
, le blépharospasme, etc.. Dans ces cas. l'emplo
. Si certains médecins ne trouvent dignes de leur attention que les
contractures
, les anesthésies, les amauroses, les paralysies,
mptômes qui peuvent persister à la suite de ces attaques (paralysies,
contractures
, spasmes. anesthésies,amaurosestetc.): 20 Dans
se ou spasmodique, qu'elle s'accompagne ou non d'hystéralgie ou de la
contracture
du sphincter de Bennct. C'est la dysménorrhée des
qui sont ics plus suggestibles. Suggestion de motilité (catalepsie,
contracture
, paralysie), suggestion d'actes (obéissance passi
ne peut les changer de place, c'est la catalepsie ; je provoque leur
contracture
. J'y ajoute ensuite 1 analgésie. Puis je provoque
u moins irrésistible, parfois des mouvements automatiques, puis de la
contracture
. J'arrive à un degré plus ou moins avancé de l'hy
ssières suivies de perturbations fonctionnelles: paralysies, aphasie,
contractures
, nettement liées à ces lésions. A priori il sembl
s à condition qu'il n'y ait ni hypéresthésie, ni excès de douleur, ni
contracture
. Si les symptômes d'irritation initiale persisten
racture. Si les symptômes d'irritation initiale persistent, ou si des
contractures
se sont établies par suite de dégénérescences méd
en ceintura comme autrefois — cicatrice sacrée en voie d'ulcération —
contracture
complète des membres inférieurs, les talons étant
les douleurs, et les accès d'étouffé ment, mais ne put rien contre la
contracture
des membres inférieurs. Là encore on peut préci
au moins partielle sur les musdes paralyses, nulle sur les muscle* en
contracture
. Dans un cas d'ataxie locomotrice, j'ai obtenu
s les paralysies périphériques, ou dans les paralysies centrales avec
contractures
. On réussira au contraire dans les paralysies cen
uter qu'elle recouvra tout aussi facilement l'usage de ses jambes. La
contracture
avait duré dix-huit mois. A partir de ce jour, so
equel ne serait pas une névrose mais bien on état physiologique ; les
contractures
, les anesthésies, les phénomènes cataleptiques so
s en plaques, myélites transverses, etc.), voient presque toujours la
contracture
de la paraplégie spasmodique se montrer a la suit
géré à l'un une amélioration, à l'autre une aggravation sous forme de
contracture
: je ne pense pas que cela soit même supposable.
troubles des sens et de la sensibilité générale, aux névralgies, aux
contractures
et aux perturbations intellectuelles et morales q
ombinent avec d'autres manifestations, telles que les paralysies, les
contractures
, etc., tout tomme dans l'histérie proprement dite
ard des phénomènes de différentes sortes, des crises et surtout de la
contracture
des membres. La contracture des bras s'accompag
tes sortes, des crises et surtout de la contracture des membres. La
contracture
des bras s'accompagna d'un certain degré d'asphyx
ntra de nouveau A l'hôpital de la marine, présentant cette lois de la
contracture
de la mâchoire et des muscles du pharynx, à tel p
s. En deux jours, j'ai pu faire disparaître, par la suggestion, cette
contracture
. Je fus très surpris en m'apercevant que la contr
estion, cette contracture. Je fus très surpris en m'apercevant que la
contracture
s'était déplacée et localisée dans le bras, surto
étonné de constater 24°5 il s'était donc produit en même temps que la
contracture
et contrairement à la suggestion, un abaissement
je crois, par des expériences récentes et peut ainsi se formuler: Des
contractures
d'un certain ordre entraînent avec elles le refro
malgré la suggestion, mais celle-ci reprend ses droits en effaçant la
contracture
provoquée. Le malade est sorti de l'hôpital le
ent complètes sur tout le membre. Les muscles de l'avant-bras étaient
contractures
, ceux du bras ne l'étaient pas. Le poul radial ét
aissée de 13 degrés sous l'influence de la suggestion. En outre de la
contracture
de l'avant-bras et de la teinte violette de la ma
de l'asphyxie? Il n'est pas douteux qu'il s'agisse d'un phénomène de
contracture
. On observe, il est vrai, de la contracture des m
'agisse d'un phénomène de contracture. On observe, il est vrai, de la
contracture
des muscles, mais elle parait bien insuffisante p
ait bien insuffisante pour expliquer l'asphyxie ; On voit souvent des
contractures
musculaires très marquées sans que l'asphyxie en
es très marquées sans que l'asphyxie en résulte. C'est plutôt a une
contracture
de vaisseaux qu'il convient d'attribuer l'asphyxi
sphyxie locale. Dans le cas présent, il est possible d'admettre une
contracture
siégeant sur un point de l'arière humérale sous l
lysie complète des membres inférieurs et, à différentes reprises, des
contractures
variées, du mutisme, de l'aphonie, des vomissemen
é d'observer dans quelques attaques appartenant au premier type (avec
contracture
) : c'est le croisement de la contracture. Tandis
tenant au premier type (avec contracture) : c'est le croisement de la
contracture
. Tandis que le bras droit et la jambe gauche étai
e la contracture. Tandis que le bras droit et la jambe gauche étaient
contractures
. la jambe droite et le bras gauche restaient soup
he restaient souples, la tête était inclinée à droite par suite de la
contracture
des muscles du cou. Catalepsie.— Les attaques d
agacement et une exaspération de la douleur ovarienne gauche, par une
contracture
généralisée avec claquement des dents, sifflement
ez elle aucun organe ni aucnne fonction. Nous n'avons rien dit ni des
contractures
variées succédant aux attaques convulsives, ni de
peut le lui permettre l'état de son système musculaire. C'est donc la
contracture
qui, en s'opposant aux mouvements, pouvait de pri
deur musculaire qui est la conséquence de la tendance si marquée à la
contracture
qui caractérise la plupart des manifestations spo
naissance, mais ne s'est jamais fait mal. Dès le début, elle entre en
contracture
, et se place d'abord en opisthotonos, les mains j
es oculaires, suivie de l'ordre d'ouvrir les yeux, la malade entre en
contracture
, avec impossibilité de parler: la face est immobi
e. » A diverses reprises, on a vu survenir, pendant le sommeil, une
contracture
de l'un des membres supérieurs : cette contractur
nt le sommeil, une contracture de l'un des membres supérieurs : cette
contracture
a toujours cédé à la friction des muscles antagon
DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE L'HYPNOTISME ET LES
CONTRACTURES
HYSTÉRIQUES par M. le Docteur DUMONTPALLIER (1}
seur Verneuil, se trouve une jeune fille de dix-huit ans, affectée de
contracture
hystérique des muscles pelvi-trochantériens, des
Il était donc établi que cette jeune malade était hystérique ; les
contractures
des muscles du membre inférieur avaient eu pour c
du genou. C'était donc bien une observation du genou de Brodie, et la
contracture
s'était étendue aux muscles pelvi-trochantériens
térie, ouvrage publié en 1859, «t qui restera classique : « Quant aux
contractures
, je ne sais absolument rien y faire. » I! était d
absolument rien y faire. » I! était donc très difficile de guérir la
contracture
, de l'aveu de Briquet. Aujourd'hui, les différe
, ainsi que l'a démontré M. Charcot, avoir recours au transfert de la
contracture
au moyen de de l' électro-aimant ou de l'aimant o
t, ont publié nombre d'observations où la métallothérapie a guéri des
contractures
hystériques. Mais ces différents modes de trait
'est à cette méthode de traitement que j'ai eu recours pour guérir la
contracture
de notre jeune malade. Avant de vous exposer co
dé dans ce cas, permettez-moi, puisque j'ai parlé du traitement de la
contracture
par le transfert de la contracture d'un côté à l'
que j'ai parlé du traitement de la contracture par le transfert de la
contracture
d'un côté à l'autre du corps, de vous dire commen
peut donner la suggestion, dans les paralysies psychiques et dans les
contractures
. C'est dans ces conditions que je m'approchai d
i demandai si elle voulait être endormie pour guérir rapidement de sa
contracture
. M. Bernheim emploie deux procédés : la suggest
ais j'avais eu soin de dire à la malade : « Vous êtes guérie de votre
contracture
, vous pourrez marcher (ce qu'elle fit les jours s
le aurait pu venir en s'aidant de sa canne, dans cet amphithéâtre. La
contracture
a disparu, mais il reste une atrophie des muscles
u'une intervention intem-pestive complique l'œdème bleu simple, d'une
contracture
beaucoup plus lente à disparaître. Pour revenir
nesthésîes systématisées, les électivités, même les paralysies et les
contractures
. Enfin, cette hypothèse rend fort bien compte d'u
ue légère peut suffire chez l'hystérique a provoquer une paresis, une
contracture
, une névralgie. Il ne s'en suit pas forcément q
), par P. m., 63. Congrès médical international de Ber- lin, 316.
Contractures
hystériques (l'hypnotisme et les), par Dumontpall
Il est probable qu'il existe surtout au moment des vertiges un peu de
contracture
ou de paralysie des muscles droits, internes ou e
nom d'épilepsie spinale. Ces cas-là aboutissent le plus souvent à la
contracture
permanente. (J. M. C). En premier lieu, je fera
ie pour l'oeil gauche, sans dyschromatopsie. Pas de paralysie ni de
contracture
, mais faiblesse générale. Le malado ne peut march
estion. Description de deux cas d'œdème bleu do la main combiné à une
contracture
hystérique du poignet et des doigts, chez une jeu
tion de co symptôme parallèlement à l'accident hystérique (paralysie,
contracture
) qu'il accompagne d'ordinaire. Expériences sur un
hyperesthésie), tantôt avec des troubles du mouvement (paralysies et
contractures
). Il s'agissait presque toujours de sujets marqué
énomènes hystériques variés, lorsqu'un beau jour elle est prise d'une
contracture
qui lui met le pied gauche en talus. En même temp
Œdème bleu du poignet et de la main, cl ez Marg. F..., combiné à une
contracture
de ces parties. On voit les traces des pointes de
mène nouveau avait apparu : les doigts, la main et le poignet étaient
contractures
clans une position intermédiaire à la flexion et
Puis à la suite de l'application malheureuse do l'appareil plâtré une
contracture
est survenue, accompagnée de l'anes-thésie complè
symptômes d'hystérie locale tels que l'anesthésie, la paralysie ou la
contracture
. Dans ce dernier cas, l'œdème bleu marche de pair
qu'il disparaissait en général avec les phénomènes locaux vulgaires,
contractures
, paralysies, qu'il accompagne. C'est donc surtout
erons par tous les moyens en notre pouvoir de faire disparaître cette
contracture
des doigts et du poignet à laquelle s'est surajou
de formuler (1). Il a observé chez des jeunes sujets plusieurs cas de
contracture
hystérique dans lesquels l'application d'un appar
plusieurs fois dans des circonstances analogues, qui a provoqué cette
contracture
. Grâce à lui on a fait d'une simple arthrodynie h
ait d'aucun phénomène soma-tique: hyperexcitabilité neuro-musculaire,
contracture
somnambulique. Néanmoins, il fui possible, dès la
le, dès la première tentative, de faire disparaître par suggestion la
contracture
dont la main droite était atteinte ainsi que le p
t quelques heures, au début. Trois heures environ après le réveil, la
contracture
reparaissait de nouveau et avec elle le gonflemen
c'est-à-dire pendant cinq mois environ, de guérir tous les matins la
contracture
reproduite spontanément la veille, quelques heure
ient vingt-six ou vingt-huit heures, et, dans la journée qui suit, la
contracture
se reproduirait si l'on n'avait eu soin, dans la
. Le premier est un exemple d'œdème bleu hystérique associé à de la
contracture
du poignet et de la main, absolument identique au
raction et dans la Fig. 20. — Œdème bleu hystérique de la main avec
contracture
des doigts chez la nommée Amélie B... façon don
ique l'examen sous le chloroforme. Aussitôt la résolution obtenue, la
contracture
cesse subitement, la mensuration de la circonfére
deux côtés 18 centim. Avant le réveil, la résolution ayant cessé, la
contracture
reprend subitement. La malade, même sous le chlor
me de la chaleur et du froid. Légère perte du sens musculaire. La
contracture
des doigts de la main est exactement ce qu'elle é
ne sont pas libres et en particulier l'abduction est limitée par une
contracture
visible et sensible au toucher des muscles adduct
t faible. S'il y a un certain degré de parésie, il existe aussi de la
contracture
; la jambe, la cuisse, le pied ne pré-, sentent a
s. Il s'agit bien là de rétraction tendineuse ou musculaire et non de
contracture
spasmodique, puisque les réflexes tendineux, loin
néanmoins constatées à plusieurs reprises. Il n'y a pas la moindre
contracture
ni le moindre phénomène spasmodique. Les modifi
que, caractérisée, d'autre part, par l'exagération des réflexes et la
contracture
; elle peut se rencontrer dans la polioencéphalit
bre quand on essaie de l'ouvrir, qu'elle est fortement plissée par la
contracture
, animée de frémissements convulsifs spontanés s'a
jours, la paré-sie fut transformée en hémiplégie droite complète avec
contracture
. Tout mouvement était impossible ; l'avant-bras é
55°; pas de dyschromatopsie. Y = y2. Pas de lésions du fond de l'œil.
Contracture
de l'accommodation; un peu de diplopie monoculair
ie monoculaire. 2° Œil droit. —Champ visuel légèrement rétréci à 80°;
contracture
de l'accommodation. — 3° Ptosis de l'œil gauche :
fossette sus-sourcilière et ces plis verticaux qui semblent dus à une
contracture
du muscle sourcilier, contrastent étrangement ave
1890 : M. X... est atteint d'une hémiplégie gauche spasmodique, La
contracture
est très prononcée au bras et à la jambe, mais da
iège de crampes plus ou moins intenses, rapportées par le malade à la
contracture
de muscles profondément situés, vraisemblablement
araplégie spasmodique du côté gauche, avec faiblesse et tendance à la
contracture
dans le bras gauche. Aujourd'hui cet état spasm
de la commissure grise. La lésion du faisceau pyramidal a produit la
contracture
; l'intégrité de la corne antérieure a préservé l
secondaire s'en est suivie. Le côté gauche est, en effet, atteint de
contracture
, le bras est serré contre la poitrine, l'avant-br
ve. On trouverait alors, dans le côté paralysé, de la rigidité, de la
contracture
, une exaltation des réflexes avec trépidation spi
e trouve clans certains cas réduit, à peu de chose près, à la seule
contracture
des membres inférieurs, avec ou sans rigidité con
assez souvent lieu à des erreurs de diagnostic ; tantôt on croit à lu
contracture
primitive, tantôt on prend l'œil sain pour l'œil
a malade s'endort tout à coup, le corps et les membres sont raides et
contractures
, et elle reste inconsciente pendant un temps vari
phénomènes appartenant à l'attaque ordinaire : raideur des bras avec
contracture
, secousses cloniques des quatre membres, demi-inc
vateurs de la mâchoire sont alternativement dans un véritable état de
contracture
. Puis surviennent quelques mouvements rythmique
ui sont communs, il est fréquent d'observer au début de l'attaque des
contractures
des membres supérieurs ou inférieurs, contracture
t de l'attaque des contractures des membres supérieurs ou inférieurs,
contractures
qui, de toniques, ne tardent pas à devenir cloniq
stion. Description de deux cas d'oedème bleu de la main combiné à une
contracture
hystérique du poignet et des doigts, chez une jeu
tion de ce symptôme parallèlement à l'accident hystérique (paralysie,
contracture
) qu'il accompagne d'ordinaire. Expériences sur un
constate que souvent ce n'est pas le muscle excité lui-même dont la
contracture
se prolonge, mais qu'il se développe une crampe
trouve, dans certains cas, réduit, à peu de chose près, à la seule
contracture
des membres inférieurs, avec ou sans rigidité con
ailleurs ni dans les membres, ni dans la colonne ver- tébrale. La
contracture
fit des progrès rapides et s'accompagna bientôt
ui retombent inertes, aussitôt qu'on ne les retient plus. Malgré la
contracture
, si on déploie une force suffi- sante, on parvi
tions terrifiantes , menaces et langage obcène. Puis une attaque de
contracture
généralisée pendant laquelle le délire continua
our être frappé du caractère éminemment hystérique de l'attitude de
contracture
dans laquelle la malade est figurée. Ce simple
otonos, et l'attitude caractéristique du pied- bot hystérique. La
contracture
ne céda que peu à peu. Cette crise fut accom- p
elle : paralysie totale du tronc et des extrémités, sans raideur ni
contracture
; la tête ne se tenant même pas et le défaut de
e déviation est toute instinctive, elle n'est occasionnée ni par la
contracture
,niparla paralysie des muscles du cou. La paraly
remarquer qu'elle n'était le résultat ni d'une paralysie, ni d'une
contracture
des muscles du cou, que l'on observe assez souv
s, et soulevés au-dessus du lit ils retombent lourdement : pas de
contracture
primitive. Le malade ne peut exécuter aucun mou-
s antérieurs ne se modifient en rien, le malade présente une légère
contracture
du côté droit et retombe dans un coma absolu, a
gitation, stupeur consécutive ; signes de méningite, vomissements ,
contracture
des membres supé- rieurs et de la nuque, mort.
res au sacrum,T. ax. 33° et 33 ? ; P. 92. IL survient bientôt de la
contracture
des membres supérieurs et des muscles du cou, a
phénomène de l'hyperexci- tabilité neuro-musculaire (contraction ou
contracture
des muscles par simple excitation mécanique), l
ion mécanique des muscles ou des nerfs pour la rendre manifeste; la
contracture
produite cède très facile- ment à l'excitation
psie n'est qu'une contraction modérée, mais prolongée ; c'est de la
contracture
permanente à un faible degré. Enfin, la rigidit
nente à un faible degré. Enfin, la rigidité somnambu- lique est une
contracture
très forte qui ne cède plus sous l'influence de
rapide pour la contraction, plus forte et plus pro- longée pour la
contracture
; excitation sensorielle, visuelle, auditive, et
ible ; sous celle influence, les convulsions, les vomissements, les
contractures
diminuèrent sensiblement pen- dant tout un mois
t de se mettre au travail, sans vertiges, ni perte de connaissance.
Contracture
rapide la suite d'un traitement électrique, ame
derniers doigts et l'extension de l'index. Le pouce n'est pas plus
contracture
qu'il n'avait été paralysé et joue comme une pi
t été paralysé et joue comme une pince avec le reste de la main. La
contracture
se dissipe peu à peu eu commen- çant par l'inde
de Paris, 1881. Etude clinique et physiologique de l'opportunité de
contracture
; par Brun et. Thèse de Paris, 1883. Des symp
? M » ? il · (rll,mi 1 Ili : ' Itl II`tll ''a) La production d une
contracture
musculaire con- ' i .d.. , ? t ..fff«.i. - .Mit
'iil-lb /tt'in *'ih - 1 1 1 » i» la'production, en pareil cas, dune
contracture
, et non - ? r , r varm v i·vit '11t't[rtfll ? 1
t ? l utr,o,,n7Vf .rf(W `lnrl'i.·yttihfn, dune certaine forme de la
contracture
musculaire une 1" ? r ? · 1 .( f . r nn : r,a I
xe., , J')uupi')o)6/d yigiMiUil ul itiiibiioq /ii'unbn-u « ^),Lî\
contracture
, ain,si1pblenue.,lcèdëàila, friction des t anta
TISEE CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 309 produite et en vertu de laquelle la
contracture
était maintenue ? ^ ., % >,<> > Il
'.t ? f')f' 1#1 bjel r i d) L'excitation mécanique,1 qui produittia
contracture
dans ! es' cas'd'hyperexcitabilite neuro-muscut
ue suivant certaines lois physiologiques'/ ? Par. J exemple1, la}
contracture
^ du') de.1toïdel,tn'èkigté-)jaiïiaiI.-ii§olée.
avec lajbande d;)Jsmarçh (production tardive de' la/contragtur.eyj
contracture
^ la; tènte, transfert de"I a `contractur.e;1 la
1 L,a secousse 'retentit' sur le membre du1' côté opposé,' mais la
contracture
"reste toujours lôcalisée'âu s'eûrmembreJdire'c
"reste toujours lôcalisée'âu s'eûrmembreJdire'ctemënt excité. Ces'
contractures
très' intenses cèdent pVf l'excitation1 dés'ant
de, les muscles de la face se contracturent. Il est'vrai'que cette'
contracture
'ne' duré'pas longtemps'et cède biëntôt'd'ellé-
ous observons ce qui va se passer ? Au bout de quelques minutes une
contracture
généralisée se déclare, le corps s'étend, les,
; c ' ? i ' 0( ÉTUDE DE 1,'HYPNOTI.)[C CHEZ LES 'HYSTERIQUES. 317
contracture
(dans les "expériences sur" lesquel 1 è"iidus'
ioiii d'hyperexcitabilité liettilo ? aiusculaire. Sans faire de ces
contractures
! ! objet d'une étude .spéciale, ;nous .voulons
IJ )rit ? 't;n. ! ? : ri1 trf'm (t ? , souvent progressivement, une
contracture
intense de ,-^71,'r.fM n ! t. 'rfa7fr r .n , f&
ilir(ifil ftffl(-" i-'>l t ? (tf;It `1'Srt')(i'ltirrt ) faits de
contracture
pendant 1 état somnambuhque ont lçrnftrtf5rv '1
? ImJf7 3) ? r' ')-H)' ! attire 1 attention sur des phénomènes, de
contracture
' rtrt P . n«5lrP"(yi atmp ttr)'t ! t rttrlr :
n..).t. 1 1, qi(n ippr e «llltr;td r ! r-111r1'lI" l3 catégorie des
contractures
de 1 éta somnambuli ue; il , i»J>T ? ir1 : |
'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTERIQUES. 32 ! 1 Cliniquement ces sortes de
contractures
doivent se j i. ? 11 ? i u. z distinguer de c
, - - , t, -» |, . I .. , , ' ? . i ' '. ' Pour la production de la
contracture
de l'état léthar- , i , ' . < ' ' t ' / - 11
'·7 )( tt '. ïï J ' 11 «i.l, . - , , ,am·t ? t'i | contraire, la
contracture
de l'état somnambulique ne -MI' ! Il t m > ?
't' ? t . lit .il - ? l.. ,IL] * ) 0 '« ' Il rit 9 0 susceptible la
contracture
de l'état léthargique. Pendant agit-4 ,tt ...l,
it-4 ,tt ...l, , 1 £ , . . ? , 1 .ni ? - , l'état somnambulique, la
contracture
est plus diffuse, , elle envahit habituellement
ns produit bientôt la - . t ! Il' i : » - . . , .. , i ? . ' - "I
contracture
., Dans l'état somnambulique, les réflexes. I 1
! ' /. - . w .7 . j, . ? y i ? n ? i .lit.» ...j . jamais lieu à la
contracture
. ( ., 1 1 1 . . , l . . Enfin la contracture de
j . jamais lieu à la contracture. ( ., 1 1 1 . . , l . . Enfin la
contracture
de l'état léthargique ne se résout ,. ! > Hl
' ? quel que soit son point d'application à la surface du membre
contracture
. , , . t t .. , . ! 1,11' | ,1 ., 1 ., ' , t "
incomplets, tandis que l'état somnambulique, en outre des faits de
contracture
-n^i IfU191 ',If °ilWljf 1 > i rfilf ''11"If
'I f. n;< ri ny'i 1-=., r ? t)).i ? ft.mf- . . deux sortes, de,
contracture
dont lt, est question rentrent t ? si ? juoUrUh
haut, tandis que, la ? avonsfessaye..de 1 y .- "' taudis 'e que, la
contracture
somnambulique suivrait- la voie dell'arc OTORRH
1 ? Il t - i Il - " - ''i i , ! l7 , ' 7- - - ' 1 deux minutes; la
contracture
semble, le soir, avoir diminue quelque peu'c'ép
;7 'ifcn-j ? i-ii; c11(i',(t'Im,llU'1 9lfyLJl6.9'1f't `'I't > La
contracture
djÇjS, orbiculaires, le l^lepharospasme qui, depu
litCa- - tion pendant1' quelques jours' de' courants continus," la1
contracture
semble diminuer; l'état général est excellent.
entla douleur ,sur,le trajet du pneumo-gastnque, l'exagération des,
contractures
lors de la chute que fit.la.ma- lade Ie.7nanvie
nté de 1411 : Lândoûzy,étBallét;t dbsérvütibri 'dans laquelle ! une
contracture
bystriqu`e anéleunetgnéritzsübitement''apres' l
i des cou- rants faradiques. Il fallut changer le diagnostic. Les
contractures
, les troubles de la sensibilité, l'intégrité de
quel on puisse écrire sans mettre, en jeu les muscles qu'atteint la
contracture
dans la crampe des écrivains, et en se servant,
lace de leurs fléchis- seurs et adducteurs. Les muscles atteints de
contracture
se re- poseront. Leurs antagonistes, au contrai
les muscles nouvellement mis en jeu soient atteints à leur tour de
contracture
, on conçoit que les rechutes, traitées par le s
ntanée que provoquée, les secousses, la dyscampsie articulaire, les
contractures
passagères et enfin la démarche spasmodique. L'
le; un peu plus tard, les secousses, la dyscampsie articulaire, les
contractures
passagères viennent s'ajouter au tableau, enfin
que ancienne date qu'elle soit, dont le syndrome soit arrivé à la
contracture
permanente, au pied bot spasmodique. b). Syndro
e membre para- lytique se dégage de plus en plus, épihpsie spinale,
contractures
passagères. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SC
fatigue et des émotions morales. Plusieurs fois aussi, il avait des
contractures
passagères ; son membre se raidissait en exten-
ousses surviennent parfois à son membre parétique. Il n'y a plus de
contractures
passagères. Il y a une exaltation très marquée
progressif de la paralysie. Secousses. Épilepsic spinale spontanée.
Contractures
passagères. Etat actuel (2 septembre 1884). - P
ieurs fois, son membre se fléchit et s'étend tout d'un coup. Pas de
contractures
passagères. Pas d'allures de démarche spasmodiq
des réflexes. Épilepsic spinale spontanée et provoquée. Secousses,
contractures
passagères. Sensibilité nor- male partout. Néce
lques petits pas à l'aide d'un appui. Epilepsic spinale ^spontanée.
Contractures
passagères. Travail dans l'air comprimé. 10-12
s et rotuliens Epilepsie spinale spontanée et provoquée. Secousses,
contractures
passagères. Sensibilité émoussée sous tous les
ousses surviennent fréquemment à son membre et surtout la nuit. Les
contractures
passagères sont encore assez fréquentes. Quant
ns les quatre observations. Elles surviennent surtout la nuit. 4°
Contractures
passagères. Ce symptôme a existé chez deux mala
arrive parfois que le syndrome se développe un peu plus et que les
contractures
passagères viennent s'ajouter aux autres symptô
x symptômes, exaltation des réflexes, épilepsie spinale, secousses,
contractures
passagères viennent se joindre à la rigidité mu
ssé et soit arrivé à son complet déve- loppement, c'est-à-dire à la
contracture
permanente, au pied-bot spasmodique. Or, de c
s sujets prédisposés, un état ner- veux spécial caractérisé par des
contractures
, des paralysies, des troubles divers de l'intel
'un sujet qui n'est pas très versé dans l'étude de l'anatomie. La
contracture
léthargique présente des caractères qui la dist
hargique présente des caractères qui la distinguent nettement d'une
contracture
volontaire et qui per- mettent de s'assurer que
qui prenaient volontairement des attitudes semblables à celle de la
contracture
léthargique, et voici ce qui résulte de la comp
la comparaison. Sous l'influence d'une traction continue, le membre
contracture
d'un sujet léthargique cède par degrés, comme l
notique le rythme respiratoire ne varie pas et la détente du membre
contracture
s'opère lentement, sans la moindre secousse.
hiques semblables à ceux que nous venons de signaler à propos de la
contracture
léthargique, la catalepsie légitime, de la cata
n à dis- tance produisant un léger courant d'air, on provoque une
contracture
des muscles soumis à cette action. Cette contrac-
c- ture, dite somnambulique, ne pourrait du reste pas plus que la
contracture
léthargique être simulée, et les preuves que nous
etit hypnotisme, Richer. 102 REVUE CRITIQUE. yeux sont fermés, la
contracture
léthargique se développe plus facilement que la
més, la contracture léthargique se développe plus facilement que la
contracture
somnambulique et la plasticité cataleptique; in
lui, que l'oeuvre do la suggestion. « Il ne fait que mentionner la
contracture
et la plasticité cataleptiques, sans en indique
sychiques ne sont pas non plus l'oeuvre de la simulation '. Si la
contracture
léthargique, si la catalepsie, si la contrac- 4
éiques. Peu après, elle se plaignit de crampes dans les mollets, de
contractures
des muscles lom- baires et de fourmillements à
ts, sans le secours de la suggestion, les phénomènes 'somatiques de
contracture
, de catalepsie, etc., observés par M. Charcot e
ce qu'il n'a pas fait. Prenons un exemple. La 256 REVUE CRITIQUE.
contracture
léthargique provoquée est sans contredit un des
ences correctes, qu'il est possible de suggérer à un indi- vidu une
contracture
du type léthargique, présentant les mêmes carac
t démontré que l'on peut, avec la suggestion seule, provoquer une
contracture
léthargique chez un sujet hyperexcitable; la su
nir de l'excitation cutanée qui a donné lieu une première fois à la
contracture
. Il faut aussi remarquer que l'élimination des
sujets on peut, par la suggestion, amener le dévelop- pement d'une
contracture
, alors que les excitations périphé- riques sont
dès qu'on est arrivé à l'hypnotiser, présente les phénomènes de la
contracture
léthargique; il suffit de presser sur les muscl
une bande élastique, de presser sur un tronc nerveux, pour voir la
contracture
se développer. Si ce phéno- mène est obtenu, al
t souvent observer à l'assistance, il est possible que la vue de la
contracture
ait laissé un souvenir dans l'esprit de l'indiv
de celles que l'on emploie à la Salpè- trière pour faire naitre la
contracture
, et que par suite la sug- gestion ne peut pas ê
astique ou celle d'un tronc nerveux peut-elle éveiller l'idée d'une
contracture
? Du reste, s'il restait encore un doute dans l
tous les muscles desservis par ce nerf entrent en contraction ou en
contracture
, et com- muniquent au membre sur lequel on opèr
e un point de la peau, quels sont les muscles qui doivent entrer en
contracture
. Inutile d'insister sur ce point. C'est pour ce
ns l'excitation périphérique des muscles et des tendons, et que les
contractures
hypnotiques peuvent se développer indépendammen
plus active que les excitations mécaniques sur le développement des
contractures
. Sous l'influence de la répétition des mêmes ma
le Progrès médical la relation de l'expé- rience-du transfert d'une
contracture
opérée par M. Charcot chez unejhystérique, au m
nt, en octobre 1878. Comme on pouvait très facilement provoquer des
contractures
chez mon sujet, soit à l'état de veille, soit p
J'ai cité dans cet extrait ce qui se rapporte au transfert de la
contracture
au moyen de l'aimant, quoique je ne me sois pas
propos d'une expé- rience que la suggestion fait défaut. Si déjà la
contracture
hypnotique s'est manifestée une fois seulement
ue l'hystérie se traduit parfois par une manifestation unique, la
contracture
d'un membre, le mutisme, par exemple ? c'est là
n des caractères somatiques de l'hypnotisme les plus importants, la
contracture
léthargique appartient aussi à l'hystérie. Bien
on peut, en effet, chez un hystérique provoquer l'apparition de la
contracture
par les manoeuvres que nous avons déjà signalée
tc.) ; cette propriété a été appelée par 31. Charcot la diathèse de
contracture
. Mais chez les hypno- tiques elle est beaucoup
ment, même pendant le décubitus dorsal tranquille, se produit une
contracture
des orteils et surtout du gros orteil en flexion
r sur le lit, tout disparait ; dès que le malade étend la jambe, la
contracture
reprend, et ainsi de suite cette contracture es
e étend la jambe, la contracture reprend, et ainsi de suite cette
contracture
est donc liée à l'extension volontaire de la jamb
plégie spasmodique depuis dix années et, au lieu de marcher vers la
contracture
permanente, au contraire, il s'est amélioré con
qu'on le rapproche de l'oeil.) La micromégalopsie qui est liée à la
contracture
de l'accom- modation existe presque constamment
a polyopie monocu- laire qui est également sous la dépendance de la
contracture
, mais qui exige pour se produire une contractur
a dépendance de la contracture, mais qui exige pour se produire une
contracture
plus forte et certaines conditions particulière
lobe oculaire, d'une nature particulière, qui tiennent tantôt de la
contracture
, tantôt de la paralysie, sans qu'il soit tou- j
rminer, dansle cas actuel, si le défaut de divergence tient à de la
contracture
du mouvement de convergence ou à une paralysie
ille. Le Médecin, ' n" 30, 1880. Fursteter. Un cas de guérison de
contracture
de trois membres chez un enfant de 12 ans par l
s compte-rendus contemporains- COURS ET CONFÉRENCES Arthralgie et
contracture
hystérique du bras droit simulant un rhumatisme m
ûtrièr*'. serait commettre une grosse erreur, car il s'agit d’une
contracture
hystérique. Celte jeune fille a eu ses première
des de sensibilité et un certain rétrécissement du champ visuel. La
contracture
du bras droit est due à l’immobilisation musculai
jins est atteinte d’hystérie mono-symptomatique caractérisée par une
contracture
des membres inférieurs ; on soumet cette malade à
depuis plusieurs années de coxalgie et de pied-bot, consécutifs à des
contractures
: elle fut endormie quelques instants et, séan
et de leur enlever au plus vite, par la suggestion hypnotique, leurs
contractures
ou leurs paralysies ? M. Font ajoute : « On ne
apeutique, toute opération est contre-indiquée ; c’est la diathèse de
contracture
qu'il faut combattre... et nous savons que son tr
ar ceux qui s'intitulaient les ftuidisies. Ceux-là représentaient les
contractures
comme des marques matérielles de l'action de leur
miracles peuvent même être, non seulement la guérison de paralysies,
contractures
hystériques, mais encore la guérison de plaies, d
vement (Darwin) ; plus rarement il s'agit d'une ruse; — 3° Un état de
contracture
généralisée; les psylles de l’Egypte l'obtenaient
la tète de la vipère rayée; quand on prend l’orvet, celui-ci entre en
contracture
et se brise comme verre. En dehors des manifest
prenaient en pleins champs, puis encore sur une femme atteinte d'une
contracture
des pieds qui la fait marcher sur les pointes. On
uis trois ans. Sous les efforts qu'elle fait pour s’élever ainsi, une
contracture
des muscles, des pieds et de la jambe s'est produ
comme miraculeuses sont expliquées par la suggestion (‘) Convulsions,
contractures
, paralysies, douleurs, et en général toutes les m
nce par des convulsions toniques auxquelles succède le clownisme. Ces
contractures
ne sont pas décrites dans les accès de Flaubert.
r une anesthésie ou apparaître un tic, une chorée, une paralysie, une
contracture
chez un hystérique. Et d'autre part la fatigue de
issent les télodendrones et à l’asphvxie consécutive de ceux-ci. La
contracture
des fibres musculaires vaso-motrices est, au témo
’origine cérébrale, quelle qu’en soit la cause. Dans l’hystérie cette
contracture
a pour effet d’augmenter l'anesthésie (cercle vic
n sait que Parinaud attribue la polyopie monoculaire hystérique à une
contracture
ou à une paralysie des libres musculaires de l’ac
thorax, au ventre, à la hanche, elle présente des douleurs dues à la
contracture
des muscles sous-jacents, puis, de même, une cert
la contracture des muscles sous-jacents, puis, de même, une certaine
contracture
du masseter et en outre de l'hypoesthésie pour to
ge. Ce serait la goutte d’eau qui fait déborder le vase. III. — Les
contractures
hystériques. Les ondulations nerveuses résultan
rébelleuse. De là le tonus musculaire et les réflexes immédiats. La
contracture
n’est que l’exagération du tonus. Alors que dans
dulations centripètes se perdent dans le labyrinthe cérébral, dans la
contracture
toutes ou presque toutes ces ondulations sont imm
los neuro-diélectriques siègent au-dessus du neurone de sensation, la
contracture
est douloureuse. S’ils siègent au-dessus d'un n
uvement complexe, à un acte sont contracturés ; de telle sorte que la
contracture
est systématisée, qu’elle a un caractère expressi
eurones moteurs supérieurs sont isolés du reste de l’écorce, on a une
contracture
généralisée (catalepsie). Les conducteurs qui p
ndulations centripètes, une exagération du tonus des vaisseaux, de la
contracture
vasculaire. La contracture vasculaire des hystéri
exagération du tonus des vaisseaux, de la contracture vasculaire. La
contracture
vasculaire des hystériques détermine chez ces mal
On voit qu’il n’y a pas lieu de faire intervenir, pour expliquer la
contracture
, une prétendue irritation de la cellule nerveuse.
oir cérébral par les neuro-diélcctriques, a pour effet d’augmenter la
contracture
. Mais ce n’est pas là ce qu’on peut appeler une i
quoi il existe souvent chez eux de l’hypertonus et une propension aux
contractures
. On voit par ce qui précède que les paralysie
thésies, les secousses aux décharges esthésiques et mnésiques, et les
contractures
aux hyperes-thésies et aux hypermnésies. (à sui
nsulter. S’il existait de la sensibilité, il n'y avait aucun signe de
contracture
et la femme ne redoutait pas le toucher. Je prati
thésie vulvaire intense, augmentant de jour en jour et provoquant une
contracture
spasmodique rendant désormais le coït impossible.
l’orifice vulvaire réveillera de suite rhyperesthésie et, partant, la
contracture
. Et lorsqu'une tentative antérieure plus heureuse
douloureuse delorilice vulvaire, qui s’accompagne le plus souvent de
contracture
de l’anneau vulvaire et quelquefois de contractur
le plus souvent de contracture de l’anneau vulvaire et quelquefois de
contracture
des muscles profonds du plancher pelvien, et qui
ntent avec leur époux cette singulière affection, et qui n'ont aucune
contracture
pathologique lorsqu’elles se risquent à donner de
particulièrement tenace. De môme on a rapproché du vaginisme cette
contracture
hystérique qui se produit pendant le coit, chez q
ire a servi de porte d’entrée à un germe infectieux, provoquant de la
contracture
spasmodique du constricteur du vagin, sorte de té
ortance de l’élément psychique dans la production de la maladie. La
contracture
spasmodique parait être la caractéristique de la
est donc son mécanisme? Presque tous les auteurs l'ont assimilée à la
contracture
du sphincter anal. C'est évidemment le même mécan
agin, muscle obéissant surtout à des influences cérébrales et dont la
contracture
cesse précisément sous une impression psychique t
cas très rares où cette impression psychique exagère au contraire la
contracture
, ce phénomène résulte uniquement d’une inversion
a guérison spontanée du vaginisme, et nous ne le nions pas, car si la
contracture
dépend uniquement de l’état psychique des malades
contracture dépend uniquement de l’état psychique des malades, celte
contracture
peut disparaître avec l’évolution de cet état psy
au point de vue du traitement, la comparaison établie entre les deux
contractures
anale et vaginale, nous voyons que la fissure à l
ent devenus impossibles, non seulement par les douleurs, mais par les
contractures
qu'ils provoquaient. Un médecin consulté avait
in un examen sous le chloroforme avait abouti à une exagération de la
contracture
qui existait probablement à l’état latent, puisqu
rs minutes en place. Une fois aussi, je voulus me rendre compte de la
contracture
, que je n’avais pu apprécier jusqu’ici, et je con
cher direct. Les douleurs disparurent avec l’excision du polype, la
contracture
céda après quelques séances de massage, mais le c
e (J) » ; 5° Enfin tel trouble de la sensibilité peut être suivi de
contractures
simples ou systématisées. Inversement la réex
tion des troubles de la sensibilité entraîne aussi la disparition des
contractures
. On peut donc poser en loi que, chez les hystér
ogie de l'), p. 159. Arbres (Le culte des), p. 375. Arthralgie et
contracture
hystérique du bras droit simulant un rhumatisme m
le contestons pas : de même que le trauma- tisme peut produire une
contracture
chez l'hystérique, un accès dégoutte chez le go
nomènes isolés ? Il est' même assez commun de rencontrer des cas de
contracture
spasmodique des membres inférieurs, de mutisme,
laquelle on eût pu penser par suite de l'absence de céphalalgie, de
contracture
et d'exagération des réflexes. (Médical Record.
aractérisés tantôt par une douleur fixe articulaire, tantôt par une
contracture
rigide, le plus souvent par une paralysie flasq
t assez fréquentes : il semble même que ce 1 Gilbert Renard.- De la
contracture
hystérique traumatique. Tl.1886. Quinqueton. De
s à cette règle, et la première phase des acci- dents peut être une
contracture
. Ainsi, dans l'obser- vation de Chauffard', une
nelle de plus en plus grande. En moins de huit jours, survient une
contracture
de tout le membre accompa- gnée de rigidité et
une corrélation immédiate ni instantanée entre la paralysie (ou la
contracture
) et le choc. C'est d'ordinaire plusieurs jours
c pas de paralysie, au sens propre du mot. 11 n'y a pas non plus de
contracture
, car les mouvements spon- tanés, de même que le
e hypothèse, la malade n'ait pré- senté ni phénomènes ataxiques, ni
contracture
, ni exagération des réflexes tendineux. Il ne s
hémi-anesthésie est la règle ; l'hémiplégie peut s'accompa- gner de
contracture
d'hémi-chorée et aussi lorsqu'elle atteint le c
ue l'un des symptômes fondamentaux, paralysie, atrophie musculaire,
contracture
, pourra faire défaut. La contracture particuliè
aralysie, atrophie musculaire, contracture, pourra faire défaut. La
contracture
particulièrement -manquera parfois en apparence
ricité sont absolument contre-indiquées lorsqu'on constate déjà une
contracture
commençante annoncée par des raideurs nocturnes
centrale, la trouve, plongée dans un profond sommeil accompagné de
contractures
de tout le corps et d'anes- thésie généralisée,
ie qu'il se creuse des empreintes dans la peau; les membres sont en
contracture
, la jambe gauche est croisée sur la droite, les
croit la donner, mais ne bouge pas, ses membres étant fixés par la
contracture
. Mais ce qu'elle ne peut faire pendant le somme
e bras; mais cette paralysie n'est pas simple, elle s'accompagne de
contracture
et d'anesthésie limitées à ce membre, et souven
e affecte-'alors le type hé- miplégique et s'accompagne toujours de
contracture
et d'anesthésie. HISTOIRE D'UNE HYSTERIQUE HYPN
tion, on lui donne une paralysie du membre supérieur gau- che, avec
contracture
et anesthésie, suivie de l'apparition du Dr Bri
estion d'une paralysie brachiale droite, laquelle s'accompa- gne de
contracture
et d'anesthésie étendue à tout le côté. Pendant
t parfaitement au réveil et s'accompagne pour chacun des membres de
contracture
et d'anesthésie. Nous lui ordon- nons ensuite d
en grande attaque d'hystéro-épi- lepsie, avec phénomènes tantôt de
contracture
, tantôt de grands mouvements; dans ses diverses
rend facilement si l'on se rappelle que dans le sommeil elle est en
contracture
permanente et ne peut remuer aucun membre. M. G
e. M. Grasset lui ordonne alors plu- sieurs fois de s'endormir sans
contractures
; mais on ne peut l'ob- tenir ; une seule fois o
orps, 'au lieu d'être croisés sur la poitrine, mais il y a toujours
contracture
généralisée. On obtient par suggestion qu'elle
abolie dans tous ses modes généraux. Le corps tout entier est en
contracture
généralisée : les mains fortement enlacées et c
qu'une barre rigide. Les muscles de la tête échappent seuls à cette
contracture
. Les sens paraissent éteints ; mais l'ouïe est
ons de Briquet. Ce n'est pas du sommeil simple, puisqu'il y a des
contractures
; ce n'est pas du coma, puisqu'elle entend et c
e. Chez F... le premier caractère de ces crises de sommeil c'est la
contracture
généralisée. Bourneville et Regnard parlent peu
e spécial à ce qu'il appelle l'attaque de léthar- gie compliquée de
contractures
partielles ou généra- HISTOIRE D'UNE HYSTÉRIQUE
ce entre F... et Albertine de Pitres, c'est que celle-ci n'a aucune
contracture
, elle fait ce qu'elle veut de ses muscles; à te
F... en présente d'autres un peu différentes. L'anesthésie et les
contractures
sont les mêmes; l'attitude est différente : dan
que classique reproduit-elle ? Richer, qui étudie les attaques de
contractures
parmi les variétés de la grande attaque, les ra
atrième période de l'attaque complète, il y a quelquefois aussi des
contractures
. Nous trouvons cependant chez notre sujet des o
LE. 343 Du reste, un caractère capital montre que les attaques de
contractures
décrites par Richer ne cor- respondent pas exac
es caractères les plus remarquables de ces sortes d'atta- ques de
contractures
, dit Richer, est la conservation complète de l'
igence chez ses malades qui fait classer par Richer les attaques de
contractures
dans les variétés de la quatrième période de la
i a donc une certaine portée nosologique. En dehors des attaques de
contractures
se rattachant à la quatrième période, il faut a
ttachant à la quatrième période, il faut admettre des attaques de
contractures
se rattachant à la première. C'est à ce type qu
es de F... se ramènent à deux types. Dans les deux, il y a sommeil,
contractures
généralisées et anesthésie sur tout le corps. A
le dort l'oeil fermé, avec une anesthésie de tout le corps et des
contractures
généralisées. Elle n'y voit pas, entend très bi
t à l'état de veille, soit dans le sommeil, obtenir le sommeil sans
contractures
: cela a été impossible. Nous avons obtenu qu'e
Le caractère distinctif essentiel est la présence dans notre cas de
contractures
généralisées au lieu de réso- lution musculaire
vec l'état de somnambulisme pro- voqué sont nombreuses : il y a des
contractures
fixes au lieu de résolution musculaire, il n'y
actures fixes au lieu de résolution musculaire, il n'y a rien des
contractures
déterminées par les passes ou les fric- tions l
tat de la motilité et l'état mental. Pour la motililé, il y a des
contractures
fixes qui im- 350 CLINIQUE NERVEUSE. mobilise
rappellent ni la catalep- sie, ni la résolution musculaire, ni les
contractures
provoquées. Pour l'état mental, il y a une impo
tous les types de Bernheim. D'abord elle a un état de la motilité (
contractures
) très net, tou- jours le même, et qui n'est pas
même, et qui n'est pas le résultat de la sugges- tion : elle a des
contractures
même quand on lui suggère de n'en point avoir.
estion. Or, Bernheim n'ad- met que de la catalepsie suggestive, des
contractures
suggestives. En cela, notre malade permet de ré
ochensclarift (18. X. 1882) existait d'abord de la fai- blesse avec
contractures
dans le bras gauche, suivis d'altération de la
sion, les organes du bassin sont à l'état normal. Il n'y a pas de
contractures
persistantes, mais le muscle sterno- ciéido-mas
uve une sensation de traction dans le dos et le côté, quoi- que les
contractures
franches manquent et que la tension du muscle s
s spasmodiques à l'occasion des gestes et des mouvements spontanés.
Contractures
avec les mouvements provoqués. - Accès de colèr
mbres dans l'extension, même avec une certaine force, à cause de la
contracture
musculaire. Les mouvements, même communiqués, s
isme musculaire. L'équilibre est rompu à peu près toujours z par la
contracture
(Brissaud), et quelquefois par la paralysie (Ri
t de convulsions, ou d'autres sym-ptômes cérébraux et quelquefois des
contractures
passagères. Cette fièvre initiale que nous veno
ras maigres; la force est également conservée des deux côtés ; pas de
contractures
. Chaleur normale. Les mouvements se font bien; la
nésie incomplète sans perte du pouvoir réflexe, sans anesthésie, sans
contracture
; il y avait enfin une tendance marquée à la guér
nommée Mahau, âgée de 75 ans, présentant des phénomènes de coma et de
contracture
. Elle était urémique et succomba vingt-quatre heu
roideur dans le bras et la jambe du côté droit : ces membres étaient
contractures
, la main fléchie sur l'avant-bras, le genou à dem
irurgie, 3e édit., p. 298. CLINIQUE CHIRURGICALE CALCUL VÉSICAL —
CONTRACTURE
DE LA VESSIE SUR LA PIERRE action comparée des
rants électriques continus et de lanesthésie chloroformique sur cette
contracture
de la vessie taille médiane-guérison par le doc
'avais observé cette action immédiate de l'électricité dans un cas de
contracture
vésicale sur une pierre (fait cité plus haut). —
i j'ai pu me rendre un compte exact de l'action du chloroforme sur la
contracture
de la vessie : elle est nulle. Les courants élect
ontinus, au contraire, agissent en faisant cesser immédiatement cette
contracture
. Ce fait, de la non-action du chloroforme sur l
cette contracture. Ce fait, de la non-action du chloroforme sur la
contracture
d'une vessie irritée, est tout à fait en désaccor
— 1° Les courants électriques constants font cesser instantanément la
contracture
delà vessie, permettent de dilater la vessie. Ain
ésie chloroformique poussée jusqu'à résolution est sans action sur la
contracture
de la vessie causée par la pierre. ANATOMIE PAT
sa situation actuelle? Ce qui frappe tout d'abord chez elle, c'est la
contracture
énorme qui affecte les membres supérieur et infér
énorme qui affecte les membres supérieur et inférieur gauches. Cette
contracture
, qui ne cesse ni pendant le sommeil naturel, ni p
re circonstance, jointe à la rapidité avec laquelle s'est produite la
contracture
, au-torisa à déclarer, dans ce temps-là, qu'on n'
malade, c'est une hémianeslhésie complète, occupant les deux membres
contractures
, le tronc et la face du même côté. Non-seulement
ns : 1° une hémiplégie gauche, avec flaccidité du membre supérieur et
contracture
du membre inférieur; 2° une hémianesthésie et de
ns le môme état, si ce n'est qu'une nouvelle attaque est suivie d'une
contracture
du mem-bre supérieur gauche; et, lors de mes leço
résenté cette malade comme un spécimen de la forme hémiplégique de la
contracture
hystérique1. Dans le mois de mars 1871, une att
e lieu à une hémi-plégie flasque du côté droit. Au bout d'un mois, la
contracture
rem-place la flaccidité. En avril, nous avions do
yeux une con-tracture aussi iniense que possible des quatre membres,
contracture
absolue, persistant nuit et jour, pendant le somm
ou, tout au moins, ne se résolvant qu'à la dernière limite. 1 De la
Contracture
hystérique, in Revue photographique des hôpitaux
aison des 1 The Lancet, n°» 1 et 2, t. II, 1808. obstacles que la
contracture
opposait, à l'opération, il fut indispen-sable d'
eut à la suite, pendant plusieurs jours, une incontinence d'urine. La
contracture
disparut à droite : il ne fallait plus songer aux
présomption : chez les hystériques, il est assez fréquent devoir des
contractures
delà lan-gue, de l'œsophage, etc., de longue duré
rès-visibles* — Vers l'âge de REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX
CONTRACTURE
DES MEMBRES INFÉRIEURS g hez une l'hiiiisique
courants continus énergiques et temporaires dans les paralysies, les
contractures
musculaires et les lésions de nutrition. — dails
d'une paraly-sie de l'avant-bras ; dans l'autre, d'une paralysie avec
contracture
des muscles du mollet et de la plante du pied. La
être d'un immense secours dans le traitement des diverses paralysies,
contractures
, lésions de nutrition. Remak l'avait déjà prouvé;
. Ainsi, pendant le passage d'un courant électrique, les spasmes, les
contractures
, les actions réflexes disparaissent et cessent pe
e musculaire par 1 In-8°. Paris, Ad. Delahaye. action réflexe. La
contracture
vaginale ainsi comprise, on ne pourra plus conclu
surajoutée à quelques-uns des accidents de l'hystérie non convulsive (
contracture
, anes-tbésie, etc.). Nous possédons, par devers n
la parole, côté droit de la face un peu tom-bant. Côté gauche un peu
contracture
. Par moments convulsions cloniques des muscles de
des paralysies périphériques, sur des atrophies muscu-laires, sur des
contractures
, sur des anesthésies, et même dans quelques cas d
cher un peu. Quant au bras, il était presque complètement immobile et
contracture
quand nous avons commencé le traitement, il y a c
ni dans des cas d'atrophie, de rhumatisme articulaire chronique ou de
contracture
hystérique, nous n'avons eu de meilleur résultat
t de tempéra- REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche XXIX.
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE AVANT L'ËLECTRI S AT I O N de l'opht
malades nous observons les mêmes phénomènes. Une femme atteinte de
contracture
hystérique, et une autre atteinte de myélite chro
également obtenu des résultats avantageux. Chez la femme atteinte de
contracture
hystérique dans la jambe droite, la contracture é
la femme atteinte de contracture hystérique dans la jambe droite, la
contracture
était tellement forte, que le pied tout entier ét
-mence, dont nous avons publié ailleurs l'observation complète (de la
Contracture
hystérique permanente, par Bourneville et P. Voul
traitement par l'électricité (1871); on voit que, à cette époque, la
contracture
était très-prononcée, et que les pieds, surtout l
très-prononcée, et que les pieds, surtout le droit, étaient fortement
contractures
et déformés. La seconde photo-graphie a été faite
ntestable (R). REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche XXX.
CONTRACTURE
HYSTÉRIQUE APRES L'ELECTRISATION de son bras et
nément et elles peuvent don-ner lieu à deux accidents consécutifs, la
contracture
du muscle sous-scapulaire et la luxation postérie
gra-duellement, s'accompagne d'abord de flaccidité du membre, puis de
contracture
; celle-ci se produit d'abord dans l'extension, ma
urs, l'atrophie musculaire rapide qui leur succède, la paralysie avec
contracture
qui vient compléter le tableau la différencient n
de Lyon, 206. Contraction musculaire (De la), par P. Dupuy, 115.
Contracture
des membres inférieurs, 226. — musculaire, 235. —
e). Verge (voy. Epithélioma). Verrier, 595. Vessie (vny. Calcul). —
Contracture
de la — sur la pierre, par Reliquet, 103. Villa
Planche XX. la même après l'ac-couchement.........215 Planche XXI.
Contracture
des membres inférieurs.....227 Planche XXII. Hy
he XXVIII. Anévrysme cir-soide de l'oreille.......522 Planche XXIX.
Contracture
hys-térique avant l'électrisation. . 357 Planch
gré le plus élevé : — La pression exercée sur le facial, produit la
contracture
de la moitié de la face ; — Il en est de même d
; — Il en est de même de la pression du sterno—mastoïdien, dont la
contracture
porte la face du côté opposé ; — Le moindre sou
Cest d'ailleurs en observant avec soin les états de paralysie ou de
contracture
des divers membres pendant la grande attaque et e
e veux boire, j'ai faim. » Quelques instants après, son bras droit se
contracture
, la jambe droite restant en extension ; il bégaie
Sa mère l'a placé depuis quelque temps â Luysan (il a sept ans). La
contracture
du bras droit vient de se transférer a gauche. Il
up de bois, on va s'y cacher. » Puis il se modifie tout à coup, les
contractures
ont disparu : « J'apprendrai a travailler la vign
mal aux jambes en travaillant a la vigne. » Il est paraplégique, sans
contracture
». V... reste cinq minutes dans une sorte d'état
. par l'excitation directe des muscles et des tendons, provoque telle
contracture
systématique correspondant à un état déterminé. A
miné. Ainsi, pressant les tendons des jambes et des genoux, il met en
contracture
les membres inférieurs; aussitôt les zones sensib
n, la personnalité se transporte à l'époque de la vie où existe cette
contracture
; le mémoire est limitée au temps qu'elle a duré;
paraplégie, état de Bonneval. » Par un procédé analogue, M. Mabille
contracture
la jambe droite seule, le transporte à Bourg, et
vers l'objet menaçant, sont chargés de colère ; le bras gauche reste
contracture
. Il ne faudrait pas insister davantage pour voir
ué à la nuque, du coté gauche, a fait apparaître rapidement de fortes
contractures
bilatérales avec secousses convulsives et raideur
jeu des réactions contradictoires, une disparition des phénomènes de
contracture
d'abord, et, sur la face, une expression de gaiet
ment. Hyperexcitabilité neuro-musculaire ; on provoque facilement les
contractures
musculaires par -le massage des muscles. On con
t pas les mêmes changements que du coté opposé là où il anesthésie ou
contracture
, l'autre pôle de l'aimant, l'autre pôle de la pil
ositif ou N de l'aimant, un métal positif (cuivre, argent, or, etc.),
contracture
le côté externe des membres et le côté gauche du
l'aimant, un métal négatif (zinc, étain, nickel, etc.), anesthésie ou
contracture
le côté droit du buste et le côté interne des mem
ppelé positifs le côté gauche du buste et le côté externe des membres
contractures
par le pôle positif soit de l'aimant, soit de
e, et négatifs le côté droit du buste et le côté interne des membres,
contractures
par le pôle négatif soit de la pile, soit de l'ai
ntracturantes qu'elles produisent le sommeil nerveux (car tout ce qui
contracture
endort) ; elles le font en provoquant la contract
s produisent en outre l'anesthésie, l'anémie locale, le transfert des
contractures
et des anesthésies, la répulsion et la diminution
ce puissant moyen thérapeutique. Toute suggestion d'anesthésie ou de
contracture
est en effet empêchée par une action hétéronome ;
est en effet empêchée par une action hétéronome ; toute suggestion de
contracture
ou d'hyperesthésie est empêchée par une action is
l'expérimentateur appliqués sur le buste ou sur un membre du sujet ne
contractures
en position isonome que lorsque les extrémités de
buste ou da membre sur lequel ils sont appliqués, ils anesthésient ou
contractures
et. s'ils sont portés sur la tête (fig. 1, a, 3),
ant, tantôt résolutif, mais on saura désormais : 1° qu'il provoque la
contracture
en direction descendante quand il est appliqué su
il est de sens inverse de celui du sujet : 2° qu'il est résolutif des
contractures
et des états de même nature en direction ascendan
ns hétéronomes et celles de courant de même sens sont résolutives des
contractures
. Or les actions contrac-turantes augmentent d'abo
'abord l'état physiologique quand elles sont appliquées a la suite de
contractures
ou d'anesthésie. puis, si elles sont trop longtem
s morbides caractérisées pnr l'état spasmodique à tous les degrés, la
contracture
, l'anesthésic et l'omyosthénie qui en est la cons
risons (de névralgie sciatique, de névralgie faciale, de migraine, de
contracture
rhumatismale, de manifestations hystériques diver
que sur le sujet présent, le sommeil, de même que l'anesthésie et la
contracture
, était bien provoqué par les actions polaires iso
érente). Les auteurs ont provoqué des transferts d'anesthésie ou de
contracture
, en se servant soit des actions polaires, soit de
symétrique de celle où Us avaient d'abord produit l'anesthésie ou la
contracture
, ils ont transféré ces troubles dynamiques, tandi
, le sujet reviendra à son état normal. Il résulte de là que si une
contracture
, une nausée, une dilatation des pupilles, etc., p
ndique. Je me suis borné à constater sur deux ou trois sujets que les
contractures
des membres dues à des actions de polarité persis
persistaient malgré l'emploi des moyens qui faisaient disparaître les
contractures
dues à des auto-suggestions. J'espère que d'autre
degré plus profond que cela n'est nécessaire ; qu'il ne provoquera ni
contractures
, [ni hallucinations. En un mot. toutes les sugges
ont été influencés à des degrés divers : la catalepsie suggestive, la
contracture
provoquée, les mouvements automatiques, la suppre
e sont que des phénomènes psychiques; la catalepsie, le transfert, la
contracture
, etc., sont des effets de suggestion. Constater q
re, les téguments répondant a un muscle ou a un groupe de muscles, la
contracture
se montrait dans (1) Communication faite a la S
chement très léger de la face dorsale de l'avant-bras droit sensible.
Contracture
intense des extenseurs de ce côté; rien à gauche.
me excitation de la face dorsale de l'avant-bras gauche anesthésique,
contracture
des extenseurs de lavant-bras droit sensible: rie
s affecté, à la suite d'une frac-turc des deux os de l'avant-bras, de
contracture
musculaire du membre thoracique, d'hémianesthésie
jour. Elle est en résolution musculaire, anesthésique totale. Pas de
contractures
des membres par les frictions ou la malaxation de
e ont été recueillies. L'action du traumatisme dans la production des
contractures
hystériques est un fait dès à présent hors de dou
mps, des phénomènes hystériques, hémiplégie, vomissements, ovaralgie,
contractures
, ont été confondus avec des myélites, dyspepsies,
e sortir les yeux hors de l'orbite, et immédiatement tous les muscles
contractures
se relâchent. Une autre divergence de vues entr
ède trois observations de phénomènes [hystériques variés, gastralgie,
contractures
, etc., guéris par le sommeil prolongé obtenu à l'
e à l'hôpital, il y a quatre mois environ, et il est entré avec de la
contracture
dans tout le côté droit. Si, pendant son séjour i
t notre malade marche en boitant, et par faiblesse, et par une légère
contracture
qui persiste encore dans tout le côté droit et pr
oqués par ce tube vide, on voit que placé à gauche il produisit de la
contracture
de tout le côté gauche, puis une contracture géné
auche il produisit de la contracture de tout le côté gauche, puis une
contracture
généralisée à tout le corps, que mis devant les y
ypnotisme, de la somnolence ou de l'excitation, des paralysies ou des
contractures
, des hallucinations et du délire. Où sont les aut
gré le plus élevé : — La pression exercée sur le facial, produit la
contracture
de la moitié de la face ; — Il en est de même d
; — Il en est de même de la pression du sterno—mastoïdien, dont la
contracture
porte la face du côté opposé ; — Le moindre sou
Cest d'ailleurs en observant avec soin les états de paralysie ou de
contracture
des divers membres pendant la grande attaque et e
e veux boire, j'ai faim. » Quelques instants après, son bras droit se
contracture
, la jambe droite restant en extension ; il bégaie
Sa mère l'a placé depuis quelque temps â Luysan (il a sept ans). La
contracture
du bras droit vient de se transférer a gauche. Il
up de bois, on va s'y cacher. » Puis il se modifie tout à coup, les
contractures
ont disparu : « J'apprendrai a travailler la vign
mal aux jambes en travaillant a la vigne. » Il est paraplégique, sans
contracture
». V... reste cinq minutes dans une sorte d'état
. par l'excitation directe des muscles et des tendons, provoque telle
contracture
systématique correspondant à un état déterminé. A
miné. Ainsi, pressant les tendons des jambes et des genoux, il met en
contracture
les membres inférieurs; aussitôt les zones sensib
n, la personnalité se transporte à l'époque de la vie où existe cette
contracture
; le mémoire est limitée au temps qu'elle a duré;
paraplégie, état de Bonneval. » Par un procédé analogue, M. Mabille
contracture
la jambe droite seule, le transporte à Bourg, et
vers l'objet menaçant, sont chargés de colère ; le bras gauche reste
contracture
. Il ne faudrait pas insister davantage pour voir
ué à la nuque, du coté gauche, a fait apparaître rapidement de fortes
contractures
bilatérales avec secousses convulsives et raideur
jeu des réactions contradictoires, une disparition des phénomènes de
contracture
d'abord, et, sur la face, une expression de gaiet
ment. Hyperexcitabilité neuro-musculaire ; on provoque facilement les
contractures
musculaires par -le massage des muscles. On con
t pas les mêmes changements que du coté opposé là où il anesthésie ou
contracture
, l'autre pôle de l'aimant, l'autre pôle de la pil
ositif ou N de l'aimant, un métal positif (cuivre, argent, or, etc.),
contracture
le côté externe des membres et le côté gauche du
l'aimant, un métal négatif (zinc, étain, nickel, etc.), anesthésie ou
contracture
le côté droit du buste et le côté interne des mem
ppelé positifs le côté gauche du buste et le côté externe des membres
contractures
par le pôle positif soit de l'aimant, soit de
e, et négatifs le côté droit du buste et le côté interne des membres,
contractures
par le pôle négatif soit de la pile, soit de l'ai
ntracturantes qu'elles produisent le sommeil nerveux (car tout ce qui
contracture
endort) ; elles le font en provoquant la contract
s produisent en outre l'anesthésie, l'anémie locale, le transfert des
contractures
et des anesthésies, la répulsion et la diminution
ce puissant moyen thérapeutique. Toute suggestion d'anesthésie ou de
contracture
est en effet empêchée par une action hétéronome ;
est en effet empêchée par une action hétéronome ; toute suggestion de
contracture
ou d'hyperesthésie est empêchée par une action is
l'expérimentateur appliqués sur le buste ou sur un membre du sujet ne
contractures
en position isonome que lorsque les extrémités de
buste ou da membre sur lequel ils sont appliqués, ils anesthésient ou
contractures
et. s'ils sont portés sur la tête (fig. 1, a, 3),
ant, tantôt résolutif, mais on saura désormais : 1° qu'il provoque la
contracture
en direction descendante quand il est appliqué su
il est de sens inverse de celui du sujet : 2° qu'il est résolutif des
contractures
et des états de même nature en direction ascendan
ns hétéronomes et celles de courant de même sens sont résolutives des
contractures
. Or les actions contrac-turantes augmentent d'abo
'abord l'état physiologique quand elles sont appliquées a la suite de
contractures
ou d'anesthésie. puis, si elles sont trop longtem
s morbides caractérisées pnr l'état spasmodique à tous les degrés, la
contracture
, l'anesthésic et l'omyosthénie qui en est la cons
risons (de névralgie sciatique, de névralgie faciale, de migraine, de
contracture
rhumatismale, de manifestations hystériques diver
que sur le sujet présent, le sommeil, de même que l'anesthésie et la
contracture
, était bien provoqué par les actions polaires iso
érente). Les auteurs ont provoqué des transferts d'anesthésie ou de
contracture
, en se servant soit des actions polaires, soit de
symétrique de celle où Us avaient d'abord produit l'anesthésie ou la
contracture
, ils ont transféré ces troubles dynamiques, tandi
, le sujet reviendra à son état normal. Il résulte de là que si une
contracture
, une nausée, une dilatation des pupilles, etc., p
ndique. Je me suis borné à constater sur deux ou trois sujets que les
contractures
des membres dues à des actions de polarité persis
persistaient malgré l'emploi des moyens qui faisaient disparaître les
contractures
dues à des auto-suggestions. J'espère que d'autre
degré plus profond que cela n'est nécessaire ; qu'il ne provoquera ni
contractures
, [ni hallucinations. En un mot. toutes les sugges
ont été influencés à des degrés divers : la catalepsie suggestive, la
contracture
provoquée, les mouvements automatiques, la suppre
e sont que des phénomènes psychiques; la catalepsie, le transfert, la
contracture
, etc., sont des effets de suggestion. Constater q
re, les téguments répondant a un muscle ou a un groupe de muscles, la
contracture
se montrait dans (1) Communication faite a la S
chement très léger de la face dorsale de l'avant-bras droit sensible.
Contracture
intense des extenseurs de ce côté; rien à gauche.
me excitation de la face dorsale de l'avant-bras gauche anesthésique,
contracture
des extenseurs de lavant-bras droit sensible: rie
s affecté, à la suite d'une frac-turc des deux os de l'avant-bras, de
contracture
musculaire du membre thoracique, d'hémianesthésie
jour. Elle est en résolution musculaire, anesthésique totale. Pas de
contractures
des membres par les frictions ou la malaxation de
e ont été recueillies. L'action du traumatisme dans la production des
contractures
hystériques est un fait dès à présent hors de dou
mps, des phénomènes hystériques, hémiplégie, vomissements, ovaralgie,
contractures
, ont été confondus avec des myélites, dyspepsies,
e sortir les yeux hors de l'orbite, et immédiatement tous les muscles
contractures
se relâchent. Une autre divergence de vues entr
ède trois observations de phénomènes [hystériques variés, gastralgie,
contractures
, etc., guéris par le sommeil prolongé obtenu à l'
e à l'hôpital, il y a quatre mois environ, et il est entré avec de la
contracture
dans tout le côté droit. Si, pendant son séjour i
t notre malade marche en boitant, et par faiblesse, et par une légère
contracture
qui persiste encore dans tout le côté droit et pr
oqués par ce tube vide, on voit que placé à gauche il produisit de la
contracture
de tout le côté gauche, puis une contracture géné
auche il produisit de la contracture de tout le côté gauche, puis une
contracture
généralisée à tout le corps, que mis devant les y
ypnotisme, de la somnolence ou de l'excitation, des paralysies ou des
contractures
, des hallucinations et du délire. Où sont les aut
acte quand le malade le veut, et même sans sa volonté; c'est là de la
contracture
et non de la contraction musculaire. Cela se prod
anche il y a une flexion de la cuisse sur le bassin. C'est contre ces
contractures
musculaires que, dans ces derniers temps, on a em
. Les mâchoires peuvent être écartées de quelques millimètres. Aucune
contracture
dans le reste du corps, sauf à la nuque, qui est
drate de morphine. La température reste à 57°,7. Le 1er février, la
contracture
augmente; le malade se plaint de douleurs très-vi
igastrique a disparu, mais les dou¬leurs inguinales continuent, et la
contracture
est revenue assez forte et paraît plus générale.—
lus générale.— Temp. 37°,5—Six grammes de chloral. Le 6 février, la
contracture
est plus forte que jamais. — Huit grammes de chlo
Le lendemain,^ avril, elle est dans un état très-satisfaisant, sans
contracture
aucune. Onlui donne deux grammes de chloral. Vers
ée; l'état d'asphyxie a disparu. La nuit est bonne. Le 10 avril, la
contracture
du cou a reparu. On donne un gramme de chloral, d
mes aune heure du matin. — 11 avril. Elle a à peine quelques accès de
contracture
; elle prend deux grammes de chloral. La nuit est
e; elle prend deux grammes de chloral. La nuit est calme. 12 avril.
Contracture
. — Deux grammes de chloral. On continue le traite
traitement le 13 avril. Dans la soirée, elle a eu plusieurs accès de
contracture
. A six heures, on lui donne un gramme de chloral.
tou¬jours, quoique moins fort que la veille. On ne constate point de
contracture
manifeste des muscles des membres. — On administr
. P. 97; T. Ax, 39°,2; le soir, le trismus est plus prononcé ; il y a
contracture
des muscles du cou et de la nuque, surtout du côt
n; le trismus a diminué. A 3 heures, il a cessé d'être assoupi, et la
contracture
des muscles faciaux se prononce de nouveau. On ré
chloral. A 6 heures, P. 126; T. R. 40°,2. Le malade est somnolent; la
contracture
a dis¬paru. A 9 heures, le malade s'est un peu af
5 à 6 jours, le chloral est administré à la dose de 8 grammes; il y a
contracture
du dos et de l'abdomen. — Le 30, la dose de chlor
. Le 3 mars, il y avait non-seulement du trismus, mais encore de la
contracture
des muscles des régions antérieures du cou, du th
tion considérable du nombre des pulsations et d'une rémission dans la
contracture
. Quant aux courants continus, ils dé¬terminaient,
l fut supprimé. Le soir, le malade eut une crise caractérisée par une
contracture
générale et un arrêt absolu de la circulation et
de chloral en 24 heures ; l'électricité fut continuée. Le 20 mars, la
contracture
diminua, el dans les premiers jours d'avril la gu
onde suspension du médicament provoqua le retour des spasmes et d'une
contracture
généralisée, que 16 grammes de chloral et l'emplo
uelques observations, quelle a été l'influence du chloral, puisque la
contracture
a disparu ou reparu suivant que l'on a donné ou s
on de la mâchoire, douleur qui l'empêchait de desserrer les dents. La
contracture
était telle, que l'introduction d'une spatule ent
al. Enfin, du 22 au 25 mai, l'amélioration se montre franchement ; la
contracture
des extrémités ne se pro¬duit plus qu'à de rares
ifiée. Les membres inférieurs sont dans l'extension, sans traces de
contracture
. La malade remue mieux le pied droit que le gauch
-de-vie en lavement. Une heure après, agitation, malaise, mais pas de
contracture
. Peau chaude. Pouls 150 ; R. 45 ; Temp. 100° (37°
plus remuer le cou ni écarter les mâchoires de plus d'un demi-pouce ;
contracture
musculaire générale; opisthotonos, sans difficult
un centimètre. — 28 avril matin. Même trismus. P. 96. T. 37°.— Soir.
Contracture
des muscles abdominaux. P. 100. T. 38°,2. Chloral
e soit calmé, on donne encore 2 grammes de chloral. 29 avril matin.
Contracture
des muscles abdominaux ; crises assez fréquentes.
l, 4 grammes; morphine, 2 cen¬tigrammes. 1er mai matin. Nuit calme.
Contracture
des muscles abdominaux, presque disparue. Dysphag
malade a dormi 2 heures; le reste de la nuit, il a été très-agité. La
contracture
a envahi la région lombaire. P. 120; chloral, 8 g
19 juillet, même dose. — 'HO juillet. Diminution du trismus; plus de
contracture
dans les muscles sacro-lombaires et abdominaux. P
mmes de chloral dans la journée. 22 juillet. Trismus plus prononcé.
Contracture
des muscles abdo¬minaux. Chloral, grammes dans la
6 grammes de chloral. 24 juillet. Trismus moindre. Diminution de la
contracture
des muscles adducteurs et abdominaux1. A la sui
- niers accompagnée de pied équin des deux côtés, par suite de la
contracture
des muscles du mollet. L'électro-excilabilité des
. Seulement, à une contrac- tion exagérée se produisent parfois des
contractures
spastiques dans les fléchisseurs du genou. En
ou moins tranché 2, les attaques de catalepsie, de léthargie, de
contractures
, d'extase, les mouvements choréiformes, sans co
elle a présenté des états de raideur presque généralisés mais sans
contracture
; on avait de la pleine à vaincre la résistance
ropres à l'auteur. Nous signalerons particulière- ment : l'Oss. I :
contracture
survenues dès le cinquième jour qui suivit l'ap
autonome, car on ne trouve aucun autre accident névropathique. Les
contractures
qui se produisent ne dépendent pas de la paraly
iles ayant duré quarante jours; accidents étendus du décubitus), de
contractures
et atrophies dans les deux jambes. Ces membres
diminué; conservation des réflexes et de la sensibilité. C'est une
contracture
myopathiqiie d'origine ischéînique. Il est pos-
ischéînique. Il est pos- sible que, vu l'étal d'anémie générale, la
contracture
ait été pro- duite par un trouble dans l'irriga
Egalement à la suite d'une fièvre typhoïde, il s'est pro- duit une
contracture
dans une jambe ; pied bot varus-équin ; forte a
ajouter quelques détails analytiques. SOCIÉTÉS SAVANTES. 93 a des
contractures
. A l'autopsie, on trouve des altérations articu-
ne peut-il pas avoir eu lieu dans le cas présent ? L'atrophie et la
contracture
ne peuvent-elles pas être considérées comme des
ervé, tant chez les paralytiques généraux que chez les déments, des
contractures
consécutives à des altéra- tions articulaires,
la prédisposition nerveuse des sujets, tant pour la production des
contractures
et des arthralgies, que pour celle des paralysies
ins fréquent et enfin sa parésie vésicale a cessé complètement. Les
contractures
passagères sont rares. Dès lors, tous les ans,
smodique : démarche spastique; exaltation des réflexes ; secousses;
contractures
passagères ; dyscampsie des articulations ; épi
quelques mi- nutes ; ce qui le gênait beaucoup : avec le temps, ces
contractures
revenaient plus fréquemment et avec plus de for
coups rapides et successifs sur le tendon rotulien, on provoque la
contracture
du membre droit. A gauche un seul coup suffit p
projeter la jambe deux ou trois fois. Le malade est tourmenté de
contractures
, qui durent un temps variable, surtout la nuit,
s à l'aide de deuv béquilles, ayant des secousses fréquentes et des
contractures
passagères, sur- tout la nuit, dès la fin de la
moins fréquent et moins intense : les secousses moins fortes et ses
contractures
également moins fréquentes; la parésie vésicale
orrespondante. Si on multiplie les coups de marteau, on produit une
contracture
du membre percuté, qu'on fait dispa- raître par
ous l'influence de causes morales, émotions, etc. Le malade a des
contractures
passagères, surtout la nuit, et un peu plus for
des émotions morales. Le malade est tourmenté de secousses et de
contractures
passagères, surtout la nuit. La sensibilité exa
ue. Il a des secousses dans les mem- bres paralysés. Il a aussi des
contractures
passagères ; les membres s'étendent et se raidi
membres se fléchissent et s'étendent tout d'un coup. Il a aussi des
contractures
seulement dans le membre gauche, qui se raidit
d'un coup ; ces secousses étaient plus fréquentes la nuit : pas de
contractures
. Quand le malade faisait une longue course, ou
il peut se tenir debout et faire quelques petits pas; se- cousses,
contractures
passagères. Etat actuel (20 juillet 1886). Synd
d'un tremblement involon- taire très fort, et enfin ils avaient des
contractures
passagères ; ils se raidissaient tout d'un coup
ntier. Les secousses sont très fréquentes. Les membres sont pris de
contractures
passagères. A chaque coup du marteau sur les te
açon brusque et spasmodique. Par des coups répétés, on provoque une
contracture
persistante en extension, qu'on peut facilement
'opinion de Schultze, que la fragilité des os ne dépend que de la
contracture
musculaire' démesurée et nous ne sup- posons pa
ns de la position des membres il faut citer la main en griffe et la
contracture
atrophique des articu- lations des doigts. Au d
accidents hypnotiques provoqués par la même méthode (catalep- sie,
contractures
, paralysies, hallucinations). Quant à la sugges-
ble, il est vrai, mais toutefois assez court, quelques minutes. Les
contractures
passagères sont bien plus fréquentes la nuit.
éflexes, épilepsie spinale tant provoquée que spontanée, secousses,
contractures
passagères, dyscampsie des articulations, rigid
pparition. Ce malade dans le cours de sa maladie n'a jamais eu ni
contractures
ni démarche spasmodiques : c'était un syndrome
spasmodique, au lieu d'avorter tend au contraire à se compléter. La
contracture
passagère, la rigidité mus- DES ACCIDENTS PAR L
es; son tremblement bien moins intense et moins fré- quent et les
contractures
rares. L'atténuation de ce syndrome continue le
t extrême- ment légères et bornées seulement au membre droit. Les
contractures
passagères ont disparu. Les autres symptômes so
rtement le sol; tremblement survenant à chaque pas et très intense;
contractures
362 CLINIQUE NERVEUSE. passagères fortes, etc
; son tremblement est moins fréquent et moins intense; secousses et
contractures
passagères atté- nuées. Là s'arrête la rétrogre
as un seul où le syndrome tend à pro- gresser et à aller jusqu'à la
contracture
permanente au pied bot spasmodique. Bref, l'évo
. En outre, il était pris de temps en temps, et surtout la nuit, de
contractures
passagères. Tous les dix ou quinze jours, les d
spasmodique. La dyscampsie articu- laire n'existe presque plus. Les
contractures
passagères ne sur- viennent plus que rarement.
s au membre droit, qui, un grand nombre de fois, est saisi aussi de
contractures
passagères. Ce membre se raidit en extension du
ture. Le 20 mars, clispa- iitio)2 de troubles urinaires et rectaux.
Contractures
passagères. Le 25 mars première crise de douleu
des pieds spontané et provoqué. Secousses. Discampsie articulaire.
Contractures
passagères. Démarche spas- modique. Histoire.
l appui. Amélioration progressive, douleurs fulgurantes, secousses,
contractures
passagères. - Le 19 décembre, possibilité de ma
émarche spas- modique ci droite, exaltation des réflexes rotuliens,
contractures
passagères, secousses, dyscampsie articulaire,
illet et dans la suite, crises de douleurs fulgurantes , secousses,
contractures
passagères, épilepsie spinale, perte de notion de
et de selles, secousses, clonus des 384 CLINIQUE NERVEUSE. pieds,
contractures
passagères, crises de douleurs fulgurantes, per
alternativement. Quand il est au lit, il est pris fréquem- ment de
contractures
passagères : ses jambes se raidissent en extens
ntentionnel. Mais c'est dans l'épilepsie corlicale, dans les cas de
contractures
secondaires avec épilepsie spinale, dans les acci
de la moelle sont : l'affaiblissement progressif des vieillards, la
contracture
tabétique progtessive et les complexus symptoma-
e ce genre, il existe presque toujours des signes de rigidité ou de
contracture
des muscles de la nuque et des alté- rations tr
onctionnelles, dit-il, des affections caractéri- sées, soit par des
contractures
continues, douloureuses ou indolentes, soit par
t ferait une démarche nerveuse trop consi- dérable et produirait la
contracture
de certains muscles; tantôt leur enverrait l'ex
e de Landry. Les phénomènes d'excitation, plus rares, consistent en
contractures
, parfois toniques, jamais cloniques, en mouveme
s'accompa- gner surtout d'accidents paralytiques, plus rarement de
contractures
, sans convulsions cloniques. Ceci vient singuli
supérieur et inférieur gauches présentent aussi un certain degré de
contracture
qui se révèle quand on leur imprime des mouvement
oculo-moteurs communs. Du côté des membres gauches, outre l'état de
contracture
, révélé par l'atti- tude, la démarche et le mou
age les réflexes exa- gérés de la moitié faciale gauche révèlent la
contracture
, mise en' évidence aussi par les traits accentu
uri- naire est normale. A droite, on trouve de l'hémiplégie avec
contracture
prédominante aux membres. L'avant-bras est en f
epliés sur eux-mêmes ; on n'arrive pas à vaincre complètement cette
contracture
. Le malade fauche en marchant, tout son membre in
leurs. . Les troubles paralytiques persistants sont des troubles de
contracture
très atténuée. Les autres appareils ne sont pas
blements, de rétractions tendineuses. C'est encore à la face que la
contracture
est la plus nette du côté malade ; les sillons
centués, la bouche est déviée à droite, l'oeil est à demi-fermé par
contracture
de l'orbiculaire, le nez est déjeté du même côté.
des vocales se rapprochent complètement et restent immobilisées, en
contracture
. Pendant la respiration la glotte prend la posi
andes lignes de cette courte dis-' cussion, il ne paraît pas que la
contracture
intermittente présentée par le malade ait une a
s la veille ou le sommeil, il y a simplement un très léger degré de
contracture
musculaire (Phot. n° 1) qui ne se manifeste nat
ableau le malade doit garder le silence absolu. Lorsqu'il parle, la
contracture
prend une allure spasmodique, progres- sive, qu
e (Ilii,scli), dyskinésie des écrivains profession- nels (Jaccoud),
contracture
par abus fonctionnel (Woi 1 lez), tremble- ment
ces dyskiné- sies. Les douleurs apparaissent en général lorque les
contractures
attei- teignent une grande intensité ; elles pe
bras, on constate que les muscles extenseurs du bras sout fortement
contractures
, ainsi que les fléchisseurs des doigts. La cont
t fortement contractures, ainsi que les fléchisseurs des doigts. La
contracture
sur le porte-plume est très marquée ; elle cesse
ES 219 Crampe des forgerons. Cette névrose se caractérise par une
contracture
des muscles du bras et de l'épaule, avec parfoi
a le premier signalé cette crampe professionnelle; elle consiste en
contractures
passagères des doigts chez les ouvrières des ta
et de l'abducteur du pouce dès qu'il commençait à travailler; et la
contracture
était telle que la cigarette tombait à terre; l
ur de ces trou- bles fonctionnels : les sourcils s'élevaient par la
contracture
de ses mus- cles frontaux, et les paupières se
ure de ses mus- cles frontaux, et les paupières se fermaient par la
contracture
des orbi- culaires, tandis que la face s'inject
uissent encore agir sont l'avant-bras et la main. Il n'y a pas de
contractures
, de tremblements, de mouvements athétosi- forme
d'Odessa se trouve un malade chez lequel se développa peu à peu une
contracture
des deux mains, laquelle ne frappa qu'un doigt
eux mains, laquelle ne frappa qu'un doigt de chaque côté. Ce cas de
contracture
de doigts, connue sous le nom de contracture de
chaque côté. Ce cas de contracture de doigts, connue sous le nom de
contracture
de Dupuytren, parait assez intéressant pour la pa
. Maintenant il présente encore une volonté faible. En somme, une
contracture
commença à se développer peu à peu chez notre m
ntelle, il est nécessaire de cher- cher à préciser le rapport de la
contracture
du fils avec le traumatisme du 268 ROUDNEW pè
par suite de prédisposition transmise par le père qui a agi, et la
contracture
pourrait-elle être conditionnée par l'âge, par
t par hasard que son père s'était blessé au doigt. Chez le fils, la
contracture
du doigt commença à se développer quinze ans ap
la mort du père. Au commencement, il n'y prit pas garde et quand la
contracture
eut atteint un certain degré, il pensa : « mais
'in- fluence héréditaire était vraie. Le père a transmis au fils la
contracture
que lui même a acquise longuement avant la nais
ement avant la naissance du fils à la suite d'un traumatisme. Cette
contracture
ne se manifesta pas immédiatement après la nais
ux fils. On connaît plusieurs cas de transmisston héréditaire de la
contracture
de Dupuytren. La question du transport héréditair
. Mais qu'il y ait, dans ce cas, influence de l'hérédité ou non, la
contracture
elle-même mérite de retenir l'attention comme p
rf cubital droit avec l'atrophie musculaire de la main droite et la
contracture
de trois derniers doigts se développa en huit a
a contracture de trois derniers doigts se développa en huit ans une
contracture
de Du- puytren, à gauche et non pas à droite. C
9 examina le cas d'Eulenbourg où chez une pianiste se développa une
contracture
bi- latérale de Dupuytren avec concomitance de
d avec Eulenbourg, il n'admit pas que la névrite fut la cause de la
contracture
. Remak observa 43 cas de névrite dégénérative d
cubital à étiolo- gies diverses, et seulement chez un diabétique la
contracture
de Dupuy- tren était peut-être en liaison avec
ue de l'inflammation du nerf cubital et plutôt accidentel et que la
contracture
de Dupuytren ne s'en suit pas nécessairement. En
ns du tissu con- jonctif. Nichols, examinant en 1899 le cas de la
contracture
de Dupuytren, trouva que le tissu cellulaire so
randes cellules de tissu conjonc- tif. Pour Janssen, la cause de la
contracture
de Dupuytren est le trau- matisme et il s'appui
que des outils ; la cicatrice qui s'en suit peut à la fin donner la
contracture
. Neutra en 1903, discuta d'une manière détaillée
tra en 1903, discuta d'une manière détaillée la patho- génèse de la
contracture
de Dupuytren. Après avoir rencontré des cas com
cture de Dupuytren. Après avoir rencontré des cas combinés de cette
contracture
avec le tabès dorsalis, la sclérose en plaques,
rose en plaques, la syringomyélie, il arrive à la conclusion que la
contracture
de Dupuytren est un trouble trophique et doit s
bsolument ; mais ce serait une erreur de croire que l'origine de la
contracture
est seulement t le traumatisme. Nichols croit
t aussi que le trouble nerveux ou trophique se trouve au fond de la
contracture
de Dupuytren et il propose l'appeler «sclérose pa
sant sur les données pathologi- co-anatomiques de la moelle dans la
contracture
de Dupuytren, pensent que dans leurs cas, à la
lie), il se fit une solution de continuité de l'arc trophique, d'où
contracture
de Dupuy- tren. Dans les observations de Festi,
d'où contracture de Dupuy- tren. Dans les observations de Festi, la
contracture
de Dupuytren exis- tait chez trois frères. Go
te d'un simple trouble dynamique. On voit que sur la question de la
contracture
de Dupuytren les auteurs ne sont guère d'accord
s de névrite, MALADIE DE DUPUYTREN 271 se développe peu à peu une
contracture
d'un doigt. Il faut repousser la a névrite de m
n pour notre cas, nous n'en excluons pas l'origine médullaire de la
contracture
de Dupuytren dans d'autres cas. D'une façon gén
scerner de quoi il s'agit dans tous les cas donnés. Par exemple, la
contracture
musculaire peut être d'ori- gine cérébrale et d
'un et l'autre cas elle a ses particularités. Si l'apparition de la
contracture
chez notre malade à la main droite peut être ex
xpliquée par l'hérédité ou par l'auto-suggestion, l'existence de la
contracture
à l'autre main parait assez étrange. Elle n'a 2
he est moins frappé que le doigt droit. Quant au traitement de la
contracture
de Dupuytren, jusqu'en ces derniers temps le tr
pression parut plus marquée, les mouvements furent plus limités; la
contracture
du doigt progressa surtout pendant ces trois de
ser le doigt s'accompagna de douleur et de ti- raillement. Enfin la
contracture
a atteint telle intensité que le doigt se pouss
doit dépasser le ten- don, la peau ne doit pas donner une nouvelle
contracture
cicatricielle. En outre, on a proposé un traite
re, on a proposé un traitement médical. Zengemann, dans deux cas de
contracture
de Dupuytren, a appliqué les injections de thiosi
de la malade. Les muscles de la face du côté droit sont légèrement
contractures
. Janvier 1908. - Même état mental ; l'oedème de
aralysie, son groupe antagoniste est en hypertonie : contraction ou
contracture
: Or, le massage, surtout deux de ses manoeuvre
Mitheilungetz.Arch. f. klin. med., fasc. 4et 5. 140. STRAUSS. - Des
contractures
, th. agrég. Paris, 1878. 141. STROMEYER. - Uebe
assez espacés et laissent, dans l'intervalle des crises, le membre
contracture
; pendant l'accès, qui dure quelques minutes, le m
e hémiplégie droite complète s'ac- compagnant d'un certain degré de
contracture
. Le pied droit est en équinisme marqué et ne pe
e toujours un en plus. L'hémiplégie du côté droit est complète avec
contracture
douloureuse du membre supérieur. L'abolition de
être spasmodique ou flasque. Dans le premier cas, la présence des
contractures
, de l'exagération des ré- flexes, du clonus du
s d'irritation caractérisés par les atroces douleurs du début et la
contracture
initiale de la jambe gau- che. Aux lésions inte
St-Louis, la paraplégie était devenue com- plète,spasmodique, avec
contracture
en extension des membres inférieurs, qui ne pou
nt dans le dos et dans la nuque où les muscles sont dans un état de
contracture
, et qu'il peut arriver que les malades tiennent
re respiration abdominale, va être troublée. Cependant, cet état de
contracture
des muscles abdominaux n'a qu'une durée très co
dent que, pendant tout le temps où les mus- cles abdominaux sont en
contracture
, cesse l'inspiration par l'action du diaphragme
rvice, que chez cette malade il existait une hémiplégie droite avec
contracture
, l'avant-bras étant fléchi sur le bras, la main
légère rotation vers la gauche. Le membre supérieur droit est en
contracture
comme lors du premier exa- men ; il en est de m
as et des jambes, pendant les mouvements passifs, un léger dégré de
contracture
. La force musculaire est assez bien conservée d
e malade perd la connaissance pendant deux minutes, et présente une
contracture
tonique généralisée avec une congestion de la fac
es membres, Une heure plus tard, la flaccidité est remplacée par la
contracture
. DEUX CAS D'HYDROC ? I'HALI8 AVEC ADIPOSE GÉNÉR
xation antérieure, renversement de la jambe en avant (Lannelongue),
contracture
de la jambe avec extension, stiff-kull, genou t
e ordinaire révèlent absolument sains. Quant au genu recurvatum par
contracture
du quadriceps fémoral (cas de Gérard Marchand)
rtent à un genu recurvatum fiasque, c'est- à-dire non accompagné de
contracture
du quadriceps fémoral. LE GENU RECURVATUM DANS
il n'y a au début et au cours de l'affection ni paralysie vraie, ni
contracture
; on pourrait sans doute invoquer la fai- blesse
epose sur elle. Le pied présente encore de ce côté cette singulière
contracture
en flexion. En présence de ces déformations, il
emblable que l'infirme présentait du côté droit une hémiplégie avec
contracture
en flexion des deux membres ; quant à la contra
émiplégie avec contracture en flexion des deux membres ; quant à la
contracture
en flexion du pied gau- che, je suis obligé d'a
rrait chicaner l'artiste sur ce point, ainsi que sur l'ab- sence de
contracture
de la main droite, mais, en dehors de ces points
droite, mais, en dehors de ces points de détail, l'hémiplégie avec
contracture
et la béquille du mendiant, le ven- tre de batr
La tête est renversée en arrière, et le bras droit est certainement
contracture
. Le ventre est saillant, tympanisé, chose fréqu
e cou. sont parsemées de petites taches rougeâtres. Il n'y a pas de
contractures
ni de mutilations. Dans la figure K, nous rec
Peut-être s'agit-il d'un lépreux atteint d'une crise démoniaque. La
contracture
de la main droite ne ressemble guère à une contra
moniaque. La contracture de la main droite ne ressemble guère à une
contracture
lé- preuse, mais beaucoup à une contracture hys
e ressemble guère à une contracture lé- preuse, mais beaucoup à une
contracture
hystérique. Cependant, vu l'ab- sence du petit
âgé de 56 ans, ressentit un soir des douleurs lombaires, suivies de
contracture
des membres inférieurs pendant plusieurs jours.
t au mois d'octobre 1898 seulement une amélioration évi- dente ; la
contracture
spasmodique est moins intense, les mouvements des
. - Nouveau-né. Absence totale des deux cubi- tus. - Des deux côtés
contractures
au niveau de l'articulation du coude ; absence
ôté coude ankylose ; le 1° doigt contrac- turé en adduction ; le 3"
contracture
en flexion ; le 4° et le 5° doigts presqu'en- t
par l'épaule, et gagne quelquefois le bras et le cou. Chez elle la
contracture
occupe spécialement les muscles de l'é- paule e
e ci-jointe qu'il n'y a aucune espèce de déformations (mutilations,
contractures
, etc.). Je le répète, la représentation est ent
ies nues couvertes de taches rouges. Ici non plus, aucune espèce de
contracture
ou mutilation. Un peu plus loin, Jésus bénit un
ale n'a rien à voir avec la maladie de Raynaud. Il ne s'agit pas de
contracture
artérielle, mais de paralysie veineuse. L'affecti
eurones de l'accommodation. Il parait exister chez notre malade une
contracture
oscillante des mus- 232 BINET-SANGLÉ ET VANNIER
ET-SANGLÉ ET VANNIER cles ciliaires, plus prononcée à gauche. Cette
contracture
expliquerait, d'une part les modifications obse
nvergence des yeux semble indiquer qu'il existe en outre une légère
contracture
du droit interne à gauche. Ces deux troubles mus-
de deux noyaux contigus de ce groupe. La pathogénie générale de la
contracture
me paraît assez simple. Des ondulations nerveus
ulations se réfléchiront aussi sur les muscles ; d'où hyperto- nus,
contracture
. La contracture du muscle ciliaire et du droit
hiront aussi sur les muscles ; d'où hyperto- nus, contracture. La
contracture
du muscle ciliaire et du droit interne me paraît
ation avec les noyaux sus-indiqués. On conçoit d'ailleurs que cette
contracture
varieavec la résistance des neuro-diélectriques
s mouvements volontaires, et l'interprétation que j'ai donnée de la
contracture
leur est applicable. C'est en effet à la présen
us marqué à gauche). Mais ici,- au rebours de ce qui a lieu dans la
contracture
, la réflexion exagérée des ondulations n'est pas
chromatiques portant ; surtout sur le bleu et le vert. 8° Par une
contracture
oscillante des muscles ciliaires, contracture plu
t le vert. 8° Par une contracture oscillante des muscles ciliaires,
contracture
plus prononcée à gauche. 9° Par une diminutio
ormations plastiques du fcettt.s, eod. loc., 9 mai 1901. SCIIIFFCH,
Contractures
congénitales par insuffisance de liquide amniotiq
ciété de neurologie de. Berlin, 14 janvier 1901. HopFA, Un cas de
contractures
multiples congénitales. Société médicale de Wurz-
la face, prédominant du côté gauche. Du côté droit, hémiplégie avec
contracture
et exagération des réflexes. Du côté gauche exa
ecousses nystagmiformes, signe de Romberg. Aia fin, probablement,
contractures
; forte flexion des doigts dans la paume. Morte
t de pleurs, sans perte de connaissance, avec crispation des mains,
contractures
, etc. Elle se plaint d'un état nerveux tout à f
bleau repré- sentant un sein dont le bout est tombé et une jambe en
contracture
. « Le trou profond d'où sortait depuis douze an
se refermer et à guérir. » Le lende- main aussi la paralysie et la
contracture
disparaissaient. De même Anne Augier, paraplégi
du traitement psychique et suggestif. PARALYSIE DU NERF CUBITAL ET
CONTRACTURE
CONSÉCUTIVE MAIN EN PINCE, PAR le Dr DE LÉO
NSÉCUTIVE MAIN EN PINCE, PAR le Dr DE LÉON, de Montevideo. La
contracture
consécutive à la paralysie du nerf facial, dont p
(2), est bien connue des neu- ropathoiogues : c'est aussi la seule
contracture
postparalytique des nerfs périphériques indiqué
riques indiquée par les auteurs. J'ai cependant observé deux cas de
contracture
consécutive à la paraly- sie du nerf cubital, q
que Bernhardt (3) fait allusion à une observation de Cénas sur une
contracture
bilatérale des deux derniers doigts de la main
LIII A B Phototypie Bertliaud B PARALYSIE DU NERF CUBITAL ET
CONTRACTURES
CONSÉCUTIVES (Jaciuto de Léon) . Masson &
rs des deux dernières phalanges. Cette flexion intense est due à la
contracture
du faisceau interne du fléchisseur profond, par
écris, pour peu que la puissance nerveuse anormale, produite par la
contracture
des deux derniers doigts, y ait contribué, elle
e des deux derniers doigts, y ait contribué, elle aura déterminé la
contracture
du médius, qui n'est pas aussi énergique que ce
montré que la malade souffre actuellement d'une MAIN EN PINCE 413
contracture
consécutive à la paralysie du nerf cubital, analo
, que par analogie je désigne sous le nom de main en pince. Cette
contracture
ne serait-elle pas de nature hystérique ? Plusi
ore comme un stig- mate permanent; 3° l'apparition brusque de cette
contracture
; et 4° enfin, la disparition rapide de la flex
grande névrose est associée à une lésion organique. Mais les cas de
contracture
de la main, de nature hystérique, qui ontété dé
sque l'extension complète avec de légères tractions, comme dans les
contractures
organiques des hémiplégiques ; d'un autre côté, l
tic rétrospectif : paralysie du nerf cubital par blessure de balle,
contracture
consécutive, rétraction fibro-tendi- neuse aprè
it remarquer chez son malade de l'exagération des réflexes et de la
contracture
des adducteurs, et en usait pour conclure à une
re altération profonde de la nutrition cutanée; l'absence encore de
contracture
et de troubles de la sensibilité. Ces divers sy
ependant l'attitude de la malade montre bien la tendance à la semi-
contracture
du bras gauche, l'annulaire reste seul cependanl
e, sur les phénomènes de la paralysie affectant la face gauche avec
contracture
du hras gauche, qui est devenue plus manifeste,
un enfant, par KOLLARITS (2 fig.), H. Paralysie du nerf cubital et
contracture
consécutive. Main en pince, par JACINTO de Lé
hotocollogr.), 128. Jacinto de Léon. Paralysie du nerf cubital et
contracture
consécutive. Main en pince (1 pl. en photocollo
presque toutes les maladies de cet âge; pourquoi les convulsions, les
contractures
, tous les spasmes musculaires , la paralysie, écl
rnières reconnaissent pour cause une action réflexe de la moelle, une
contracture
ou une contraction instinctive du malade pour évi
léger degré de flexion de la cuisse du côté malade. Le muscle psoas,
contracture
par l'irritation que cause le contact du pus, pro
on iliaque, peut être prise pour un effet du psoïtis, pour une simple
contracture
, ou bien être attribuée à une névralgie, à la cox
excitation, tantôt affaiblissement de l'action nerveuse ; on voit des
contractures
(hypersthénie), ou bien de la paralysie (asthénie
est dû à ML Tavignot. La paralysie est quelquefois combinée avec des
contractures
. La paralysie siège dans les parties inférieure
gré ces phénomènes du mouvement réflexe. On observe sur ce malade une
contracture
du triceps de la jambe; le tendon d'Achille est f
n contraction que les extenseurs, à moins que ceux-ci n'éprouvent des
contractures
passagères dont l'excitation cutanée provoque le
ont le siège de fourmillements, d'engour dissements, quelquefois de
contractures
involontaires. Tous le? mouvements qui exigent qu
ve encore, dans ce troisième degré, des différences produites par des
contractures
, qui compliquent quelquefois la paralysie , par l
assin, lesquels peuvent participer aux phénomènes paralytiques. Les
contractures
atteignent les diverses séries de muscles ; ordin
ion morale, ou naissent sous l'influence des efforts des malades. Ces
contractures
, lorsqu'elles sont durables, laissent quelquefois
des phénomènes secondaires des arthrites chroniques, et notamment la
contracture
musculaire, que l'on a voulu présenter comme le d
adie qu'on peut confondre avec l'arthralgie sous-occipitale, c'est la
contracture
des muscles du cou. Deux cas de ce genre sont déc
très-prononcé de la tête en arrière; dans l'autre, un torticolis. La
contracture
, dans le premier cas, était bornée aux muscles de
énérale ; cette circonstance servit à fixer le diagnostic. Quand la
contracture
des muscles du cou existe seule, vous comprenez q
à la marche des deux affections, qu'on peut résoudre ce problème. La
contracture
revient par accès ; il n'en est pas de même du ma
donc un des meilleurs caractères distinctifs des deux maladies. La
contracture
essentielle persiste, quelle que soit l'attitude
ssentielle persiste, quelle que soit l'attitude donnée à la tête ; la
contracture
symptoniatique d'une lésion articulaire ou osseus
qui a laissé à sa suite une ankylose incomplète du fémur, ou bien de
contractures
des muscles qui entourent l'articulation. Dans le
) De l'orthomorphie par rapport à l'espèce humaine. Paris, 1829. La
contracture
produit aussi une attitude vicieuse analogue à ce
darthrose pourrait faire naître cette attitude, causée par une simple
contracture
des adducteurs et des fléchisseurs. Ici, l'ensell
uérissent, il ne reste ordinairement rien de celte attitude. Mais ces
contractures
peuvent se présenter à l'état chronique et amener
également par céder à l'effort des mains; c'est un deuxième degré de
contracture
. Vous remarquerez sur les deux malades une contra
n° 5 offre une paralysie du jambier antérieur à droite seulement; la
contracture
du triceps est légère; l'extenseur du gros orteil
de la salle Saint-Augustin, l'un atteint de paralysie générale, avec
contractures
multiples, l'autre de coxalgie, le triceps sural
ongenial ou acquis. Mais, hors les cas de paralysies partielles et de
contractures
, on a encore peu étudié les causes qui le produis
ion acquiert une nouvelle force quand des difformités semblables, des
contractures
simples ou paralytiques, se répètent dans plusieu
subluxation du cubitus en arrière, conséquence des paralysies et des
contractures
des muscles de l'avant-bras. Les pieds sont deven
alysie porte même sur les muscles qui ont agi avec excès, qui se sont
contractures
. Le pied n'a conservé, lui aussi, aucun mouvement
ment. Le gros orteil est dans une extension continue, par suite de la
contracture
de son long extenseur. Chez cette femme, la mar
tard, nous trouvâmes sur la jeune fille un abcès par congestion. La
contracture
hystérique, la contracture rhumatismale, la contr
jeune fille un abcès par congestion. La contracture hystérique, la
contracture
rhumatismale, la contracture aiguë des enfants, d
gestion. La contracture hystérique, la contracture rhumatismale, la
contracture
aiguë des enfants, des nourrices, etc., pourraien
au pied, et que l'enfant l'apporte en naissant, il peut n'être qu'une
contracture
passagère, comme on le voit après certains accès
. Voici, à mon avis, la conduite à tenir : si les paralysies et les
contractures
sont telles qu'après la ténotomie, la marche doiv
bure antérieure de ses tibias, courbure rachitique qui a succédé à la
contracture
des triceps suraux. Il est rare que la courbure p
e les mentionner, elles produisent plutôt la lordose —; 2° Dans les
contractures
; 3° Dans le rhumatisme. On a cité dans des ou
le rhumatisme. On a cité dans des ouvrages déjà anciens des cas de
contracture
(1) J. Capitolinus, Vie de l'empereur Antorwi.
du tronc, et donnant lieu à une cyphose persistante. On a signalé une
contracture
des muscles abdominaux s'opposant au redressement
ou articulaire : dans le premier cas, il agit tantôt à la manière des
contractures
, tantôt par suite des altitudes du malade pour év
rai ici que trois sortes de lordoses symptomati-ques : la lordose par
contracture
; la lordose de compensation; la lordose paralyti
la tête et des vertèbres ne jouent qu'un rôle très-secondaire. Cette
contracture
se montre-t-elle à l'état chronique sous la forme
ou sont généralement latérales, et non directement postérieures. La
contracture
du dos et des lombes est fort rare, même à l'état
e la produire. J'indiquerai les suivantes : 1° Flexion latérale par
contracture
. — Commune au cou , mais accompagnée de rotation;
très-prompte ou même subite dans la flexion latérale par douleur, par
contracture
, comme on en trouve un exemple remarquable dans u
ans lequel la région cervicale était ainsi tordue sur elle-même. La
contracture
des muscles du tronc, si rare après la naissance,
nerveuse concomitante est sans doute un motif de penser qu'il y a eu
contracture
musculaire primitive, lorsque d'ailleurs on trouv
ure de l'épine. Il ne faut ea excepter que certains cas fort rares de
contracture
rhumatismale, de rétraction primitive par affecti
erveau chez les sujets gibbeux, d'engourdissements, de paralysies, de
contractures
des membres, de vertiges, de cécités, etc., auxqu
tat normal sans qu'il y ait scoliose. C'est ce qu'on observe dans les
contractures
et dans les paralysies des muscles de l'omoplate,
ortement élevée et rapprochée du rachis à son angle inférieur, par la
contracture
du rhomboïde dans un cas, du rhomboïde et de la p
349 IV. Lordose symptomatique................. 350 A. Lordose par
contracture
................ ib. R. Lordose de compensation.
on latérale pathologique............... 365 1° Flexion latérale par
contracture
............. 307 2° Flexion latérale par paraly
ui- même d'une notion inexacte de pathogénie, suivant laquelle la
contracture
serait, par excellence, le symptôme de la dégénér
aussi bien que celle du tabès spasmodique nous enseignent que la
contracture
permanente peut exister indépendamment de toute
pyramidal, et que ce faisceau peut être dégénéré, sans qu'il y ait
contracture
. On ne saurait donc admettre la prétention de c
bsents des deux côtés et la paralysie est tout à fait flasque, sans
contracture
, sans trépidation spinale. Le mouvement associé
es, une hémiplégie cérébrale restera flaccide, sans réflexe et sans
contracture
spastique, surtout que la contrac- ture ne pour
est sans doute parce que l'exagération des réflexes tendineux et la
contracture
, seuls signes que l'on avait à sa disposition jus
taxie tabétique des phénomènes pachyméningitiques notamment par les
contractures
du membre supérieur amenant des déformations qu
ané usuel, la marche lui était impossible. Ses membres étaient en
contracture
, mais étaient susceptibles, après une certaine ré
sivement à la suite des séries d'accès une véritable démence et une
contracture
complète se pro- duisent ; et la malade, enfin,
; dans l'hé- miplégie organique, de plus de trois mois de durée, la
contracture
se manifeste dans les membres paralysés, et ne
ne disparait que pour faire place à de l'atrophie musculaire. Cette
contracture
se développe lentement, et jamais soudainement
subit bientôt une période de dimi- nution d'intensité. III. - Les
contractures
sont caractéristiques dans leur forme et évolut
téristiques et variés dans les deux affections à la période de la
contracture
. Dans la contracture hystérique l'aiguille galv
dans les deux affections à la période de la contracture. Dans la
contracture
hystérique l'aiguille galvanométrique déviée pa
'une ligne de descente très allongée. 11 n'en est pas de même de la
contracture
de l'hémiplégie organique. Dans cette dernière
qui pourrait tenir aux différents mécanismes de la production de la
contracture
dans ces deux affections du système nerveux. Il
membre est contracturée, tandis que dans l'hémiplégie organique la
contracture
attaque isolément les différents muscles et même
athologie nerveuse, et plus par- ticulièrement de son action sur la
contracture
et l'atrophie muscu- laires ; deux exemples de
t présenté à la suite d'émotions du ptosis double intermittent sans
contracture
de l'orbiculaire et semblant dû à une insuffisanc
onsécutive, a elle aussi une intensité variable, et quelquefois des
contractures
. Dans tous les cas d'atrophie on constatait la ré
l- sions quotidiennes toujours prédominant ci droite. Début de la
contracture
générale cinq jours «près les premières convulsio
es premières convulsions. Exercices des jointures, diminution de la
contracture
. - DilUé- vie ; pieds bols. - Trépidation épile
ue les mains se fermaient et que les membres se contracturaient. La
contracture
était la même des deux côtés. Au point de vue d
. Au point de vue de l'extrême limitation des mou- vements et de la
contracture
, on nous assure que la situation était lamême a
es exercices aux membres inférieurs. Il était parvenu à diminuer la
contracture
. Per... remue la tête, mais.seulement dans cert
poignets se relevaient sur les avant-bras. Pas d'accès spontanés de
contracture
. Si on essayait de le faire sauter, les jambes
ricot. Membres supérieurs. IDIOTIE MICROCÉPHALIQUE. " . 281 une
contracture
modérée des fléchisseurs des membres inférieurs.
é la conséquence de l'état congénital. Mentionnons la diplégie avec
contracture
et pieds bols remarqués après huit jours de con
es inférieurs dans la résolution absolue ; les membres supérieurs
contractures
, l'avant-bras est fléchi, la main en pronation
n effet, dans le côté droit, ni d'affaiblisse- ment bien net, ni de
contracture
, ni d'exagération des réflexes tendineux, ni d'
rapide malgré un bon appétit. Bientôt gâtisme com- plet, douleurs,
contractures
, tremblement, escarres, enfin attaques épilepti
nic du tonus mus- culaire, des modificaliotis des réflexes et de la
contracture
dans les lésions du njvraxe. Rapporteur, M. Crô
trice du membre supérieur gauche persistait, elle se compliquait de
contracture
de la main gauche. 4° Sachs et GEItSTER-(10C Ci
t d'une femme frappée à 26 ans d'un ictus apoplecti- forme suivi de
contracture
, puis de paralysie flasque. Croyant à une tumeu
la parésie au lien de la paralysie, la rigidité légère au lieu des
contractures
, l'anesthésie partielle et non générale, l'apha
T DE PSYCHIATRIE DE MOSCOU Séance du 21 janvier 1901. L. Minor.
Contracture
tardive dans le domaine des nerfs facial et hyp
acture tardive dans le domaine des nerfs facial et hypoglosse. La
contracture
faciale tardive organique est admise par tous les
Marie qui donnent une indica- tion précise sur la possibilité d'une
contracture
de la langue. M. Afinorrelate le cas d'une femm
bras et de la jambe, et deux ans après le début de l'hémiplégie la
contracture
apparut également dans la face et dans la langue.
pparut également dans la face et dans la langue. Depuis un an cette
contracture
est très prononcée : la bouche est tirée du côt
4 SOCIÉTÉS SAVANTES. - repos). L'auteur croit que, si l'on admet la
contracture
secondaire de la langue, celle-ci doit notammen
angue, celle-ci doit notamment être déviée du côté sain, grâce à la
contracture
du muscle génioglosse, et non du côté para- lys
ilepsie. Ci,aîiectoî2tie avec éversion durale. Modification de la
contracture
et disparition des accès depuis un an; Par le
six attaques, produites en cette forme : la tête penchée en avant,
contracture
générale en flexion, pâleur, un peu de salive écu
ied droit se llexiontiait davantage sur la cuisse, en augmentant la
contracture
, le membre supérieur s'appliquait en même temps
dans les premiers moments. Je fus surpris par la modification de la
contracture
et par la disparition de l'épilepsie. - Lorsq
trices. En effet, l'hémiplégie se produisit, et six mois après la
contracture
se présentait. Cette manifestation, lorsqu'elle s
possible d'affirmer l'intensité ou la nature de cette lésion. La
contracture
post-hémiplégique chez l'adulte est géné- ralem
pyramidal, mais, de même qu'il existe des cas qui ont présenté la
contracture
sans la dégénération, produite par la simple co
ne dégénération de quelques fibres seulement a produit d'énergique*
contractures
. L'étude de Cestan rapporte beaucoup d'observat
à la Salpétrière avec hémiplégie produite deux ans auparavant. Bras
contracture
en flexion. Paralysie. Jambe légalement rigide.
oduisirent jusqu'à l'âge de six ans1. A cet âge, une para- lysie et
contracture
du côté gauche se produisit avec parti- cipatio
ès les lésions cérébrales et les symptômes présentés par le malade (
contracture
très pro- noncée). Au niveau du faisceau pyrami
nfant, d'un de ces derniers cas ? En tout cas, il est rare qu'une
contracture
, produite dans dentelles circonstances et avec
s où ce phénomène s'est présenté il a été perdurable. Quand cette
contracture
cesse, c'est à cause de l'atrophie des muscles.
être question de ce cas non plus, puisque l'atrophie des muscles
contractures
n'existe pas. Les faits cliniques démontrant qu
niques démontrant que le syndrome, exagéra- tion des réflexes et la
contracture
sont les manifestations d'une lésion pyramidale
conditions pareilles ; il existe aussi exagération des réflexes et
contractures
per- mauentes, avec des lésions cérébrales dest
que des médullaires, je ne sais pas comment la modification * de la
contracture
pourrait être interprétée, dans le petit malade
midal supposée par Marie, peu- vent expliquer la modification de la
contracture
chez cet enfant, parce qu'aucune de ces théorie
ésultat de la petite craniectomie, mais aussi la modification de la
contracture
, laquelle, à ma manière de voir, a rendu ce cas
a position habituelle avant la craniectomie, ce qui démontre que la
contracture
quoique modifiée grandement, n'a pas encore tou
intellectuelle, retard et espèce d'extinc- tion de la vie mentale.
Contracture
des muscles deltoïdes, tra- pèzes ; rigidité du
même pour M. Babînski, les anesthésies, les paralysies flasques, les
contractures
, la catalepsie sont des manifestations communes à
ons fait de la façon laplus claire, la plus nette, la description des
contractures
localisées que nous voulions obtenir; les malades
s et seulement par à peu près. Aucune comparaison à établir entre les
contractures
diffuses obtenues de la sorte et les phénomènes q
ers ; clignotement permanent des paupières, contraction des pupilles,
contracture
des mâchoires qui empêche l'alimentation de la ma
eiller. L'alimentation par la bouche étant rendue impossible par la
contracture
des mâchoires, nous avons recours aux lavements n
s. Communications déjà inscrites Dr Jules Voisin : Traitement des
contractures
spasmodlqucs par l'hypnotisme et la suggestion.
présente un raccourcissement très net; elle est on état permanent de
contracture
et le malade marche tout déhanché-. L'impotence f
sement en masse des régions voisines ; il s'agit donc de paresie avec
contracture
. Notons enfin que le pied est ballant. Or, cett
e avec contracture. Notons enfin que le pied est ballant. Or, cette
contracture
qui n'affecte guère que les muscles périarticu-la
étrécissement considérable du champ visuel agauche. Il s'agit donc de
contracture
hystérique et de rien d'autre. Gomment les chos
our et en rêve la nuit : il crée lui-même sa maladie et entretient sa
contracture
. Lorsque le second médecin lui parle d'ankylosc,
gmentée de volume ; la peau est lisse, rouge, chaude ; le poignet est
contracture
; les doigts sont infléchis au point qu'on a dû g
vais fait jadis ce diagnostic parce que je n'avais pas pu réduire les
contractures
, même après chloroformisation ; chez lui, il y av
abaissement de la température est de quelques degrés; d'autre part la
contracture
est active et il n'y a ni pseudo-contracture, ni
xtrémité et y prédomine ; il est dur, indolore; il se superpose à des
contractures
ou à des paralysies ; il va de pair avec des trou
m l'a décrit comme étant unilatéral, extrêmement dur et associé à des
contractures
. Carré de Montgeron en a rapporté plusieurs cas,
squ'à présent, on ne croyait par l'idée pouvoir guérir que des idées:
contractures
, paralysies, anesthésies, etc., dépendant d'un tr
rendre connaissance. Elle était calme à mon arrivée, et inerte sans
contracture
. Je la pinçai elle était insensible. Je soulevais
ebelles à tout traitement; pour celles-là on a émis l'hypothèse de la
contracture
des muscles antagonistes des adducteurs. L'aphoni
d'accidents hystériques graves, le plus souvent une paralysie ou une
contracture
. Les accidents arrivés depuis quelque temps sur
at., XII, 10 ; Luc, VI, 0 ; Marc, III, 1). Peut-être s'agissait-il de
contracture
et atrophie hystériques. La transfiguration du
le serrement, des plaques d'anesthésie ou d'hypoesthésie, puis, de la
contracture
du diaphragme, des muscles intercostaux et même d
nifestations de l'hystérie, les crises nerveuses, les paralysies, les
contractures
, les anesthé-sies. Quels en sont les attributs co
s grands accidents hystériques, toutes les variétés de paralysies, de
contractures
, d'ancsthésies, toutes les formes d'attaques peuv
les plus importants, du reste, les anes-thésies, les paralysies, les
contractures
, les crises, etc., qui sont susceptibles d'appara
estion ne peut la faire naître ; elle est liée à la paralysie ou à la
contracture
hystérique qu'elle ne précède jamais, dont elle e
fet, si elle dépendait d?une lésion cérébrale, le membre devrait être
contracture
et les réflexes tendineux exagérés ; si elle étai
vations de ce genre qu'on a publiées et qui ont été ran- (1) Voir :
Contracture
organique et hystérique, par J. lî.u..:... . Soc.
t elle est facile à comprendre. Il existe en effet, dans ces cas, des
contractures
circulaires et localisées de l'intestin, délimita
mouvait comme un animal. D'ailleurs il peut exister en même temps des
contractures
des muscles de la paroi abdominale ou du diaphrag
s qu'il soit nécessaire de faire intervenir ici les paralysies et les
contractures
des muscles du larynx, qui ont été constatées dan
l'effet d'une commutation électrique, fait disparaître instantanément
contractures
et paralysies. L'émotion ou mieux la cause émotio
l'état léthargique n'existe plus, mais il est possible d'observer des
contractures
diffuses sous l'influence d'excitations légères d
la flexion de la jambe, car celle-ci présente au niveau du genou une
contracture
, qui s'étend jusqu'à la hanche, laquelle se trouv
e le genou et la hanche soient très pris; en réalité, il n'y a qu'une
contracture
des muscles fonctionnels. Cette contracture est c
réalité, il n'y a qu'une contracture des muscles fonctionnels. Cette
contracture
est causée par la douleur périphérique ou dermalg
eu atrophiés. Chez cet homme il y a immobilisation de la hanche par
contracture
des muscles fonctionnels. Le bassin, en effet, a
formons à fond un malade comme celui-ci, nous parvenons à vaincre les
contractures
, et, lorsque l'action du chloroforme s'éteint, la
vulsions cloniques localisées, tremblements, chorée, tics convulsifs,
contractures
permanentes, crampes, vomissements incoercibles,
sistant en une sorte de spasme du sphincter de l'anus, peut-être avec
contracture
plus ou moins marquée du rectum. Comme cette ma
intempestive à la phlébite ; l'électricité ne mettra plus en état de
contracture
les membres de certains paraplégiques, traités pa
s paupières. 6. Du tremblement, des secousses dans les membres, des
contractures
et des mouvements automatiques, qui peuvent gag
suis appelé chez elle, car elle ne peut marcher; elle présente de la
contracture
permanente des pieds en dedans. Je l'hypnotise, e
t la position normale. Je suggestionne, espérant la suppression de la
contracture
. Mais elle se reproduit quelques instants après m
eux fois. Malgré une longue suggestion et des exercices de marche, la
contracture
se reproduit, avec maux de tète atroces. Je suis
de l'hystérie, était sans doute une des causes de la permanence de la
contracture
. Car, dans l'observation suivante, j'ai obtenu
ent dans leurs bras la fillette ne pouvant se tenir debout, les pieds
contractures
. Je l'endors très facilement et, après un exercic
pratiquer ils envoyèrent le malade consulter à la Salpêtrière où la
contracture
énorme de la main, la dureté de l'oedème, la ne
ième question ; rapport de M. Crocq (Tonus, ré- flexes tendineux et
contractures
). A 2 heures, continuation de la discussion; co
que à début paraplégique et la polynévrite. Finalement l'absence de
contracture
et de contractions fibrillaires dans les muscle
que et accompagnée parfois de phénomènes spasmodiques rappelant les
contractures
précoces* de certains hémiplégiques. La mort su
ictus apoplecti- ques antérieurs. Hémiplégie droite incomplète avec
contracture
, troubles dysarthriques et dysphasiques,écoulem
comme dans la paralysie flasque. On ne constate pas de diathèse de
contracture
ni de contraction idio- musculaire. Les réflexe
et la trépidation épileptoïde font défaut, par suite d'ankylose, de
contracture
ou d'altération musculaire, comme dans la diplé
et sous l'influence de ses idées délirantes, le malade fut pris de
contracture
avec spasmes des muscles du cou. La tête était
hydrothérapie n'avaient fourni 'aucuns résultats. Les phénomènes de
contracture
légère s'étaient développés au niveau des membr
dant frisent la vésanie. Chez le malade présenté par M. Martin, les
contractures
siégeant au niveau du tronc et des membres infé
es siégeant au niveau du tronc et des membres inférieurs sont des
contractures
d'attitude que M. Meige n'hésite pas à assimiler
es hystériques ; 3° Nous avons noté trois fois l'installation d'une
contracture
passa- gère, affectant soit un membre seul, soi
ectant soit un membre seul, soit les deux membres inférieurs. Cette
contracture
a consisté deux fois en une raideur articulaire
rotule; 5° Nous n'avons jamais observé de tremblement spontané, de
contracture
des membres, de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2
e produisent des mouvements forcés, qui changent le caractère de la
contracture
. Mais ce sont toujours des spasmes actifs qui n
s ce sont toujours des spasmes actifs qui n'ont rien à voir avec la
contracture
secon- daire ; ils entraînent l'hypertrophie mu
sion dans la décharge des cellules corticales (ataxie hystérique et
contractures
par distribution imparfaite des impulsions motr
. C'est leur mode d'apparition et leur groupement : par exemple, la
contracture
n'apparaît ni brusquement, ni au début, dans un
Physiologie et pathologie du tonus musculaire des réflexes et de la
contracture
. \I. CROCQ (de Bruxelles), rapporteur. Tonus mu
névrosés et il s'efforce de les expliquer par sa théo- rie. III.
Contracture
. L'orateur expose et critique les théories sui-
traction est indis- solublemeut lié à celui du tonus musculaire, la
contracture
étant l'expression de l'hypertonie. L'expérimen
hypothèse; les lésions irritatives de l'écorce ne provoquent aucune
contracture
chez lés batraciens, le lapin, le chien, le chat,
ntion notable du cor- tex ; elles donnent lieu, au contraire, à des
contractures
chez le singe et chez l'homme, chez lesquels le
ez lesquels le mécanisme du tonus dépend de l'écorce cérébrale. Le=
contractures
particulières que l'on observe chez le singe, à
irritatives de la zone motrice de l'homme. La distinction entre la
contracture
vraie et la pseudo- contracture présente de sér
l'homme. La distinction entre la contracture vraie et la pseudo-
contracture
présente de sérieuses difficultés ; généralement,
x, l'autre de l'altération des neurones moteurs périphériques. La
contracture
vraie e=t produite, d'une part, par les altératio
, par les lois de l'antagonisme musculaire. Le type si constant des
contractures
dépend de raisons histolo- giques ; à l'état no
aladies des névrosés, et il s'efforce d'expliquer la production des
contractures
dans chacune d'entre elles. IV. Dans la grande
en droit d'établir un mécanisme simple du tonus et par suite de la
contracture
. On ne saurait dire, par exemple, que le centre
t de M. Crocq, mais je veux faire quelques remarques au sujet de la
contracture
, de la trépidation épileptoïde et des réflexes
ture, de la trépidation épileptoïde et des réflexes tendineux. La
contracture
ne me semble pas une et toujours identiques à e
pas y trouver une explica- tion de cette variabilité. Ensuite, la
contracture
ne me parait pas une dans sa nature elle-même,
itude, dans mon enseigne- ment, de distinguer plusieurs variétés de
contracture
. L'une, que j'appelle volontiers contracture my
plusieurs variétés de contracture. L'une, que j'appelle volontiers
contracture
myotonique, se trouve réalisée notam- ment chez
nts de maladie de Parkinson. L'autre, à laquelle je donne le nom de
contracture
myotéttmiqllc, est le type de la contracture. C
lle je donne le nom de contracture myotéttmiqllc, est le type de la
contracture
. Ces deux types ne sont pas les seuls et en par-
se rencoutrer chez un même malade, dans l'hémiplégie organique avec
contractures
secondaires ou dans la sclérose latérale amyotr
le matin, au réveil, dans son membre paralysé, un léger degré de
contracture
facile à vaincre ; chez le même malade, observé à
ns la journée, on peut s'apercevoir d'une exagération notable de la
contracture
survenue dans le membre paralysé : il la contra
notable de la contracture survenue dans le membre paralysé : il la
contracture
première, myotonique, est venue se surajouter u
il la contracture première, myotonique, est venue se surajouter une
contracture
myotétanique. Cette dernière peut quelquefois a
ervation courante qu'il serait bon de retenir dans une étude sur la
contracture
. Ils sont peut-être de nature à élucider la pat
t détruit le faisceau pyramidal, et cependant ayant déterminé'une
contracture
spasmodique. D'autre part, les lésions aiguës tra
déterminer une paraplégie spasmodique. La main de l'hémiplégique se
contracture
presque toujours en flexion; si cette contractu
l'hémiplégique se contracture presque toujours en flexion; si cette
contracture
est due à l'irritation des fibres pyramidales i
mblables, à soutenir que nous ne pos- sédions pas une théorie de la
contracture
capable d'en expliquer les modalités cliniques.
s de destruction complète du faisceau pyramidal suivie cependant de
contracture
spasmodique ; or, 111. Crocq attribue la contra
e cependant de contracture spasmodique ; or, 111. Crocq attribue la
contracture
à l'irritation des cylindres-axes de ce faiscea
re épargnés au niveau de la lésion sont capables de déter- miner la
contracture
, mais je puis dire que dans ces deux cas, les f
comparer à l'hypertonicité des maladies spasmodiques. Quant à la
contracture
hystérique, on ne saurait encore l'assimiler à la
la contracture hystérique, on ne saurait encore l'assimiler à la
contracture
organique. M. Babinski a montré au contraire comb
, et c'est là le côté important de la question, des parésies et des
contractures
sys- tématisées dues à une lésion de l'oreille
tentatives de suicide. C'est dans ces conditions qu'il est pris de
contractures
généralisées à tout le corps, mais siégeant de pr
ues tels que mutisme, aphonie, tics, chorée, paralysie, paraplégie,
contracture
, convulsions, dysphagie, po- lyurie, peuvent êt
aitée par l'hypnotisme . M. Jules Voisin. Traitement hypnotique des
contractures
spasmo- diques. .\f. Ci : nILLO\. Pathologie du
)11. Ballet, 236 ; de M. Drouiueau, r6. La punch, 262,312, 415.
Contracture
. Physiologie et patho- logie du tonus musculair
et Paul, 229. Physio- toge et pathologie du tonus, des - et de la
contracture
, par Crocq, 31 4. Mécanisme physiologique des
. Physiologie et pathologie du - musculane, des réflexes et de la
contracture
, par Ctocq, 314. 5S4 TABLE DES AUTEURS ET DES C
pendant que la sciatique est accompagnée très fré- quemment d'une
contracture
marquée d'un ou de plusieurs muscles. Or, depui
aux sciatiques névralgiques simples celles qui se com- pliquent de
contractures
douloureuses, et qu'on pour- rait appeler, par
it le fait de la névrite plutôt que de la névralgie essentielle. La
contracture
est un phénomène accessoire et qui'peut tenir à
de tonicité exagérée, en d'autres termes, ils sont en imminence de
contracture
; ou bien enfin ils agissent par le fait d'une c
t pas à supposer qu'une névralgie du nerf scia- tique détermine une
contracture
dans un groupe du muscles indépendants de ce ne
t sur la moelle pouvait produire une action musculaire, c'est une
contracture
qu'on observerait, et cette bES scolioses dans
t, et cette bES scolioses dans les névralgies SCIA'l'1(;UI·;S. 13
contracture
occuperait les muscles innervés par le sciatiqu
s sciatiques symptomatiques de lésions pelviennes, font naître la
contracture
; mais nous verrons bientôt que l'attitude est
toute différente. Enfin, en admettant, à l'extrême rigueur, qu'une
contracture
réflexe des muscles -du tronc puisse être déter
tronc puisse être déterminée par une scia- tique, ce n'est pas une
contracture
croisée qu'on ob- serverait mais une contractur
, ce n'est pas une contracture croisée qu'on ob- serverait mais une
contracture
homologue. A cet égard, les lois physiologiques
le sol. Tel est, par exemple, le cas de l'hémiplégie, avec ou sans
contracture
, où la jambe du côté paralysé ne peut plus serv
LES NÉVRALGIES SCIATIQUES. 21 laire, mais nous n'avons pas parlé de
contracture
. Si la contracture ne se produit pas d'emblée,
QUES. 21 laire, mais nous n'avons pas parlé de contracture. Si la
contracture
ne se produit pas d'emblée, elle peut cependant
fonctionnel. Ce n'est pas, si l'on veut, à proprement parler de la
contracture
, mais c'est une forme d'acti- vité musculaire q
externe, M. Thévenard. OBSERVATION. - Névrite sciatique avec légère
contracture
spasmo- dique des muscles du membre inférieur.-
ar les mem- bres, quoique amaigris, ont conservé le même degré de
contracture
spasmodique ; et, d'autre part, la crête iliaqu
moment où on sou- lève une jambe fracturée. Les autres signes de
contracture
, et en particulier ceux qui donnent lieu à l'at
ciatique fît exception à une règle aussi géné- rale que celle de la
contracture
survenant à propos des affections douloureuses.
la région endolorie. De même, dans la sciatique spasmo- dique, la
contracture
se produit du côté de la né- vralgie, à l'inver
qui en résultera a été bien décrite par M. Terrier, dans un cas de
contracture
doulou- reuse d'origine traumatique '. Il s'agi
avons observé sur notre troisième malade dans la plupart des cas de
contracture
hémiplégique n'empê- chant pas les malades de m
ous les muscles de l'intervalle costo- illiaque du côté malade sont
contractures
et s'oppo- sent, à ce mouvement. Pour marcher e
côté sain une partie du corps qui ne soit pas immobilisée par la
contracture
(1îq. 17). Il fait alors saillir la hanche du c
as on peut observer aussi des spasmes dou- loureux ou de véritables
contractures
. Le plus souvent ces contractures n'occupent qu
s dou- loureux ou de véritables contractures. Le plus souvent ces
contractures
n'occupent qu'un petit nombre des muscles inner
us encore au fait que la sciatique est ou n'est pas compliquée de
contracture
douloureuse. D'une façon générale, on peut dire
que l'intervalle costo-iliaque soit diminué. Cela tient à ce que la
contracture
de ces muscles ne peut pas contrebalancer l'act
des muscles du côté sain, la scoliose homologue est produite par la
contracture
des mus- cles du côté malade. La contracture, d
ue est produite par la contracture des mus- cles du côté malade. La
contracture
, dans les cas de ce genre, n'est pas limitée au
e hanchée diminue l'intervalle costo- iliaque du côté sain, mais la
contracture
des muscles lombaires diminue encore davantage
es hystériques, syncopale, épileptoïde, démoniaque, de délire, de
contractures
, de sommeil, de catalepsie, etc., il faudra don
sement des différents actes intentionnels ou voulus. Toutefois, la
contracture
du train antérieur et l'im- potence du train po
re correspon- dant, quelquefois aussi combinés et bilatéraux, des
contractures
circonscrites, etc. En somme, les réactions mot
ysie complète du membre inférieur gauche, puis d'une parésie avec
contracture
et arrêt de développement du même mem- bre, une
sements sont revenus tous les jours durant quelques minutes. Pas de
contractures
. 1889. Décembre. - Depuis le mois d'août 1887,
te dès l'âge de huit ans, atteinte aussi d'hémi- plégie droite avec
contracture
. Les première et deuxième frontales gauches pré
te. - V;apoli, 1889. Tipografico. A. Tocco e C. BLOCQ (P.). - Des
contractures
. Contractures en général, la contrac- ture spas
i, 1889. Tipografico. A. Tocco e C. BLOCQ (P.). - Des contractures.
Contractures
en général, la contrac- ture spasmodique, les p
atismales. La rapidité des résultats est surtout frappante dans les
contractures
et paralysies rhumatismales. De là à appliquer
écaniques, finalement tension muscu- laire exagérée et tendance aux
contractures
. Pronostic défavorable; les malades observés pa
aris, 1890. Librairie J.-B. Baillière et Fils. BLOCQ (I'.). - Des
contractures
. Contractures en général, la coretrac- ture spa
brairie J.-B. Baillière et Fils. BLOCQ (I'.). - Des contractures.
Contractures
en général, la coretrac- ture spasmodique, les
le malade reste passif et impuissant; sa dépression est à l'état de
contracture
. Chez l'hypochondriaque, l'humeur varie au gré
es dans le texte. Prix : 5 fr. Pour nos abonnés, 4 fr. BLOCS. - Des
contractures
: Contractures en général, la conctracture spas
e. Prix : 5 fr. Pour nos abonnés, 4 fr. BLOCS. - Des contractures :
Contractures
en général, la conctracture spasmodique, les ps
it s'écouler quelques secondes avant que AU... puisse vaincre cette
contracture
de ses fléchisseurs en étendant les doigts. Réf
modique des muscles para- lysés ; sur la présence de la diathèse de
contracture
qui se décelait par la flexion brusque de l'ava
s'observer dans l'hémi- plégie hystérique lorsque les membres sont
contractures
ou dans l'état d'opportunité de contracture (Ch
rsque les membres sont contractures ou dans l'état d'opportunité de
contracture
(Charcot). Du reste, - dans notre cas, Bo... al
bot. Ce moule reproduisait exactement la figure bien con- nue de la
contracture
hystérique du membre inférieur. La gué- rison s
la jeune fille, droite sur sa jambe, désor- mais débarrassée de sa
contracture
. A part cet exemple parti- culier, l'art du mod
s la Philosophie positive1. Il s'agissait là, très certainement, de
contractures
hystériques. - A une époque plus récente, au xv
ns les sanctuaires, prétendent que la guérison des convulsions, des
contractures
et des paralysies d'origine hystérique, est d'u
e l'atrophie musculaire accompagne assez souvent la paralysie ou la
contracture
hystérique pour qu'il ait été déjà publié plus
son est beaucoup plus apparente que réelle. Prenons pour exemple la
contracture
hystérique. Sous l'in- fluence de la faith-heal
l'exagération des réflexes tendineux, compagnons ordinaires de la
contracture
. C'est une loi physiologique que ces phéno- mèn
eut toujours redouter un retour offensif de la para- lysie ou de la
contracture
. Ces phénomènes, on ne songe pas à les chercher
indemne de toute ulcération en voie de cicatrisation. 1 L'élément
contracture
ou paralysie peut apparaître ou dis- paraitre s
leurs membres atteints quelques jours auparavant de paralysie ou de
contracture
, et j'ai assisté à la disparition graduelle des
rs quelque temps encore après la guérison de l'élément paralysie ou
contracture
1. En résumé, je crois que, pour qu'elle trouve
r dans les ras plus graves, où il y a combinaison de pied plat avec
contracture
musculaire. L'état de la malade s'améliora de b
ns cloniques du masséter gauche, paralysie du facial gauche entier,
contracture
du masséter gauche, hyperexcitabilité faradique
cles, chez un jeune homme ; il en relate une autre concernant une
contracture
des muscles épicondyliens avec hypertrophie extrê
des territoires vasculaires relativement étendus, il se produit une
contracture
des vaisseaux pendant l'angoisse des mélancoliq
raître l'angoisse. Il est donc rationnel d'attribuer l'anxiété à la
contracture
des vaisseaux qui se traduit par l'augmentation d
qu'il n'y avait pas de symptômes de paralysie; il y avait quelques
contractures
des muscles; l'enfant remuait les bras, et il n'y
liénistes, mais encore aux psychologues. P. S. VII. Paralysies et
contractures
hystériques; par Paul RICHER, 9 vol. in-8° de 2
ur yaleur propre. M. Richer ne s'occupe que des paralysies et des
contractures
permanentes, et laisse de côté celles qui se mont
en deux parties : dans la première, il étudie les paralysies et les
contractures
hysté- riques en général; dans la sconde, il le
dineux sont ordinairement exaltés. Comme transition à l'étude des
contractures
, un chapitre est consacré à la diathèse de cont
l'étude des contractures, un chapitre est consacré à la diathèse de
contracture
. D'intéressants graphiques rendent compte de l'
es courants élec- triques sur les muscles contracturés. Quant aux
contractures
proprement dites, M. Richer en dis- tingue deux
actures proprement dites, M. Richer en dis- tingue deux formes : 1°
contracture
hystérique permanente se subdivisant en deux va
tés suivant l'état d'anesthésie ou d'hy- péresthésie de la peau; 2°
contracture
hystérique de forme psy- chique. Il insiste sur
ue, plus apparente que réelle, croyons-nous, de ces deux formes. La
contracture
vul- gaire aurait un caractère d'intensité inva
tractures et des paralysies hystériques, défend l'opinion que la
contracture
n'est qu'une forme de l'activité musculaire, et n
laire. Quant aux preuves du siège cérébral de quelques formes de la
contracture
hystérique, il les range en deux ordres, les un
judicieuses consacrées au traitement, M. Richer aborde l'étude des
contractures
et paralysies localisées, monoplégies, hémiplég
miplégies, paraplégies, quadriplégies, puis celle des paralysies et
contractures
partielles proprement dites, telles que le blép
306 BIBLIOGRAPHIE. ture, la coxalgie hystérique, les paralysies et
contractures
du dia- phragme, celles du larynx, le mutisme (
issements, la tympanitc, le spasme anal, et enfin, les paralysies à
contractures
des organes génito-urinaires. De nombreuses o
ques (paralysies), parakinétiques (convulsions), hyperkiné- tiques (
contractures
, spasmes). Les dysbasies sensitives sont tantôt
ces troubles *. 1 . , ' 1 Nous parlons de monoplégie flasque sans
contracture
. ' Charcot. OEuvres complètes : Leçons sur la m
L'observation de Nomolle (hémianesthésie hystérique anor- male avec
contracture
et tremblement du membre inférieur. Prog. Méd.,
à la suite de la pression sur la région ovarienne pour céder à une
contracture
généralisée après laquelle suivait un état d'af-
urvient presque toujours brusquement ; le malade, immobilisé par la
contracture
qui envahit tous ses membres, ne peut plus boug
en touchant un cataleptique éveillé, on provoque im- médiatement la
contracture
des muscles; un souffle, un bruit, une lumière
III, p. 335. - Id., ibid., t. III, p. 355. 424 REVUE GÉNÉRALE.
contractures
1, des hyperesthésies plus ou moins intenses ?
mécanisme par lequel ces idées amèuent le trouble moteur, chorée ou
contracture
, etc., c'est la répétition constante, la persis
. avait dans le somnambulisme les mêmes strangulations, les mêmes
contractures
que dans l'attaque, enfin les procédés qui term
us expliquions divers accidents de l'hystérie et en particulier les
contractures
par une activité véritable du second groupe d'i
bruit de roulement régulier (bruit rotatoire), tandis que le muscle
contracture
pro- duit un bruit irrégulier, scandé. Or, chez
andé. Or, chez M..., le sterno-mastoidien et le trapèze se trouvant
contractures
, il est tout naturel que le bruit scandé, irrég
, mais qui, selon toute vraisemblance, doivent être rapportées à la
contracture
déjà en voie de déve- loppement ; chez le malad
les du langage chez les aliénés, par Séglas, 302; z paralysies et
contractures
hystéri- ques, par Richer, 304; - troubles de
résie des muscles anté1'o-exte1'1les de la jambe droite, finalement
contracture
en flexion des membres inférieurs. Réflexes tendi
che ; on avait observé durant la vie de la pâleur de la face et une
contracture
des extrémités. Nothnagel8 enregistre une obser
me de quarante-deux ans, présentant une paraplégie douloureuse avec
contractures
. L'affection a débuté il y a deux ans par des s
la queue de cheval. Les suites fureut bonnes; huit jours après, le
contracture
avait disparu, la vessie n'était pius paralysée
dessinés en saillies vigoureuses sous la peau, sont immobilisés en
contracture
: au repos légère flexion des cuisses sur le ba
une valeur plus grande quand Turck, Charcot, Bouchard eurent mis la
contracture
secondaire des hémiplégiques sous la dépendance
açon l'association de quelques symptômes parmi lesquels dominent la
contracture
et la paralysie motrice. Les faits démontrent q
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ss Aux membres supérieurs parésie,
contracture
et atrophie mus- culaire sensible malgré l'adip
flexes du coude et du poignet étaient manifestement exagérés, et la
contracture
, s'accusait par la lenteur et la difficulté des
dans la sclérose latérale, et qui consiste à dire : dans les cas de
contracture
posthémiplégique le faisceau latéral du côté co
au latéral du côté contracturé est en état de dégénération, donc la
contracture
est une conséquence de cette dégénération, et s
r, la possibilité de l'apparition des paralysies hystériques et des
contractures
dans de tels muscles dont la lésion n'a pas encor
ées à l'étude de troubles psychiques. Une extatique est atteinte de
contracture
systématique en rapport avec l'idée de crucifix
sie, ni douleurs, ni fourmille- ments. D'autre part on ne releva ni
contracture
, ni raideur, ni tremblements. Mais la faiblesse
eurs dans le cou ; dévia- tion de la tête et des yeux à gauche avec
contracture
; réflexes patellaire augmentés. Pas de paralysi
e parce que le bien-être le porte à la bonne chère. P. RELLEY. X.
Contracture
HYSTÉRIQUE CHEZ une FILLETTE DE ONZE ANS. INTÉRÊT
ssin, le pied est retourné en varus. 11 y a dans tout ce membre une
contracture
énergique. La hanche est inlacte. Il ne s'agit
es du côté opposé. Encore pareille lésion ne produirait-elle pas de
contracture
et pas d'aneslhésie si limitée. On peut donc ex
On peut donc exclure toute lésion nerveuse organique. Il s'agit de
contracture
hystérique. A ce propos, l'auteur fait observer
out intentionnel - secousses à des degrés variables - tendance à la
contracture
- diminution de la force musculaire sans atroph
boule; fille, cinq ans et demi, clou hystérique; garçon, onze ans,
contracture
; gar- çon, onze ans, attaques épileptoïdes cess
solés, tels que les tics, la chorée hystérique, le tremblement, les
contractures
, les anesthésies, les parésies, le hoquet, l'apho
t le cou avait été serré par un mauvais plai- sant, il existait une
contracture
très marquée du trapèze. L'orateur attire spéci
utant que possible, cette dernière classification. Observation I.
Contracture
hystérique chez un enfant de vingt- six mois. G
reste, se met à crier quand je tente toutes ces manoeuvres. Pas de
contractures
dans les membres, pas de fai- blesse musculaire
de mesurer le champ visuel. En résumé, je me trouvais en face d'une
contracture
survenue subitement, sans con- vulsions, chez u
eu ici ni perte de connaissance ni convulsions cloniques, mais une
contracture
permanente s'installant d'emblée. Par exclusion
l'absence de stigmates, au seul diagnostic d'hystérie. C'était une
contracture
hystérique; les événements, d'ailleurs, m'ont d
hambre et mangeait toujours d'un bon appétit. Le troisième jour, la
contracture
semblait avoir diminué, sa tête était moins incli
peu de valérianate et de bromure. Comment s'était produite cette
contracture
hystérique ? Ya-t-il eu traumalisme ? Chute sur
. Ceci, du reste, n'a qu'une importance rela- tive. On constate une
contracture
, dont le véritable facteur étiolo- gique est év
traumatique doivent être rares. Observation V. Enfant de trois ans.
Contracture
des muscles de la nuque. Tête rejetée en arrièr
crie seulement quand on essaie de vaincre la résistance des muscles
contractures
. Le 2 mai, la contracture a cessé. Elle a donc
aie de vaincre la résistance des muscles contractures. Le 2 mai, la
contracture
a cessé. Elle a donc duré trois jours. 308 CLIN
rque d'atrophie ni de déformation, achève de fixer le diagnostic de
contracture
et de paralysie hystérique. 013SFRVATIO.iVl.-
t eu des crises de nerfs dans sa jeunesse. Soeur ayant présenté une
contracture
hystérique du bras et du cou. Ses frères sont n
usieurs personnes pour pou- voir maintenir la malade dans son lit :
contractures
passagères des mains, contracture dorsale, figu
intenir la malade dans son lit : contractures passagères des mains,
contracture
dorsale, figure grimaçante, écume à la bouche.
nts, de la constipation, perte de connaissance, de la céphalée, des
contractures
, de l'anesthésie, du coma, puis de l'agitation,
s et d'affaiblissement de l'influence de la volonté sur les membres
contractures
, autrement dit de la triade symptomatique qu'on
avec perte incomplète de connais- sance. Libération. P. K. XXIV.
Contracture
réflexe respiratoire; par M. EDEL. (Cent1'albl. f
ien une sorte de bâille- ment, de respiration profonde, parfois des
contractures
de la face, exprimant la douleur. Notons égalem
ire du membre supérieur droit, qui en outre était encore en état de
contracture
; ces phénomènes se développèrent penduat les de
ernière année survinrent une paralysiede toutes les extrémités, des
contractures
à la région des articulations du genou et un idio
vais à propos d'une grande hystérique ayant présenté successivement
contractures
, cécité hystérique, surdité hystérique, raconté
on) la méningite (observations G, 7, 8, 9, '10) ; les paralysies et
contractures
organiques (observations 1, 3,4, 5), lespara- l
phalalgie, vomissements). Une deuxième phase d'excitation : dédire,
contractures
et crises jack- sonniennes. Enfin, une période
troubles vésicaux ni rectaux. Toute idée de myélite fut écartée. La
contracture
indiquait une paraplégie hystérique purement fonc
OGIE NERVEUSE. bras seuls pouvaient se mouvoir. Il n'y avait pas de
contracture
. Pas de troubles vésicaux. Dès le troisième jou
langue nor- maux ; conservation du goût, de la sensibilité. Pas de
contractures
pas de convulsions fibrillaires; pas de mouveme
on revêt l'allure d'un symqtôme cérébral. Râle du spasme et de la
contracture
dans les affections des organes digestifs. Desc
r la voie du système nerveux, en produisant d'abord le spasme et la
contracture
, plus tard, mais plus tard seulement, l'atonie et
mais plus tard seulement, l'atonie et la dégénérescence. Spasme et
contracture
ne sont que la réaction des fibres musculaires
opathie, hystérie) capable d'engendrer à elle seule le spasme et la
contracture
et les phénomènes pathologiques qui en sont la
la conséquence. Quand le tube digestif est affecté de spasme et de
contracture
, que l'affection soit primitive ou secondaire,
qui varient suivant la localisation des phénomènes de spasme et de
contracture
. ASILES D'ALIÉNÉS. Nouvelle réglementation DE
es, 88, 235, 330. - international de Moscou, 90, 175, 415, 509.
Contracture
hystérique chez une fillette, par Bramwel, 226.
mentales, par Arthu : , 144. Digestifs. Rôle du spasme et de la
contracture
dans les affections des organes -, pai@Geofli-o
grès de la guérison ou de la maladie. Dans les cas de paralysie, de
contracture
, d'atrophie, de scia-tique, etc., il sera très im
Pli}. On pourra reproduire ainsi les paralysies, les atrophies, les
contractures
et en un mot toutes les déformations pathologique
étant fréquemment atteintes dans les cas de paralysie, d'atrophie, de
contractures
, de déformations quelconques, on peut donc être a
Dans le domaine de l'hystérie, on aura fréquemment à reproduire des
contractures
de la main, soit qu'il s'agisse de contractures t
ment à reproduire des contractures de la main, soit qu'il s'agisse de
contractures
traumatiques ou de contractures artificielles, pr
es de la main, soit qu'il s'agisse de contractures traumatiques ou de
contractures
artificielles, provoquées dans l'étude des phénom
duire les pieds de malade, Fig. 25. soit qu'il s'agisse encore de
contractures
hystériques (fg. 25) ou de phénomènes quelconques
e supérieure. tographie et l'on obtiendra ainsi la forme exacte des
contractures
obtenues par une simple excitation mécanique. Voi
a pression, mais, à l'inverse de ce qui se passe dans les membres, la
contracture
ne persiste jamais. Ici plus Fig. 36. Fig. 37
ction du grand zygomatique. devient fixe, puis peu à peu le pied se
contracture
(Pl. VII, fig. 6). Si l'on remplace le chlorofo
. Parfois, dans cette période, survient un accès épileptoïde ou une
contracture
(fig- 4°)'i dans ce derniercas,il sera plus facil
isation et qu'ils ne sont pas compatibles avec un degré quelconque de
contracture
, mais qu'ils impliquent, au contraire, un relâche
ent parler terminée, mais il peut encore se produire du délire et des
contractures
partielles ou générales : on opérera suivant les
d'une importance capitale en thérapeutique nerveuse. Une malade a une
contracture
du bras droit, d'origine hystérique. On la plonge
ras malade un aimant (Pl. Peu à peu, sous l'influence de celui-ci, la
contracture
disparaît du bras malade, mais en même temps elle
rouverait guère mieux; mais voici que le phénomène se poursuit, et la
contracture
revient comme elle était au début. A la suite d'u
était au début. A la suite d'une série d'oscillations de ce genre, la
contracture
disparaît des deux côtés à la fois. L'expérience
écessaire. Pl. VIII. Sommeil hystérique. Pl. IX. Transfert de
contracture
chez une hystérique. Dans ce cas particulier, p
le. Nous donnons (PL IX) les deux phases extrêmes d'un transfert de
contracture
chez une hystérique. La lenteur du phénomène perm
tervalles plus ou moins prolongés. — Enregistrement des transferts de
contractures
ou d'attitudes passionnelles, des modifications d
éoscope Projection Épreuves : 2 de chaque cliché. Diagnostic.
Contracture
hystérique. Renseignements. La contracture du
liché. Diagnostic. Contracture hystérique. Renseignements. La
contracture
dure depuis deux mois. Est survenue à la suite
............................................ io4 IX. — Transfert de
contracture
chez une hystérique....................... m X.
s hyperesthésiques sentent en réalité fort mal, et ceux qui ont des
contractures
ne font pas des mouvements aussi puissants qu'o
t aujourd'hui regardés comme psychologiques ; les paraly- sies, les
contractures
, les chorées, les hyperesthésies, les anesthési
tantes, plus ou moins consciemment, ainsi que les paralysies et les
contractures
, expliquées par M. Char- cot. En montrant l'imp
qui ont été quelquefois confondues avec des délires du contact, aux
contractures
des idées fixes, aux attaques convulsives certa
t une hystérique simple avec ses anesthésies, ses attaques et ses
contractures
à un psychasthénique qui ne présente que des do
ue je ne traite que de la paralysie hystérique flasque et non de la
contracture
hystérique. Il me parait im- possible de soumet
stérique. Il me parait im- possible de soumettre la paralysie et la
contracture
hystériques aux mêmes règles. Ce n'est que des
se montre pas seulement dans les paralysies, mais aussi dans les
contractures
et les anesthésies. On sait jusqu'à quel degré de
thésies. On sait jusqu'à quel degré de distorsion peuvent aller les
contractures
hystériques, qui sont presque sans égales dans
ogressive, parole indistincte, accidents spasmodiques et finalement
contracture
, dysphagie, lenteur de la réaction des pupilles
mais au bout de quatre jours des phénomènes d'hyperthermie et de
contracture
généralisée ont emporté le malade. Les particul
x, en particulier ceux de la gouttière vertébrale droite, sont très
contractures
; de même, les muscles de l'abdomen. Il existe,
ormal ; ces muscles sont con- tracturés, surtout les extenseurs. La
contracture
est moins accen- tuée à gauche qu'à droite. D
genou est assez difficile, la flexion, plus facile. Les mol- lets,
contractures
, sont le siège de tiraillements douloureux presqu
en revue les affections de la moelle dans lesquelles le symp- tôme
contracture
est le phénomène dominant. J'écartai immédiatem
eur droit est dans la demi-flexion et la pronation, par suite de la
contracture
du biceps; le malade peut fléchir le bras, mais
immédiatement immobilisé en adduction et rotation en dedans par la
contracture
des muscles de la jambe. Les douleurs en écla
r. De plus, quand il éprouve en marchant une sensation de froid, la
contracture
des muscles rend la marche totalement impossibl
E ÉPINIÈRE. 103 une brusque contraction du biceps. L'avant-bras est
contracture
en pronation. On parvient cependant facilement
rce musculaire est conservée. On constate au membre infé- rieur une
contracture
marquée. La jambe est légèrement tléchie sur la
. Soir. T. 40°,5. P. 120. Le malade se trouve bien. Un peu moins de
contracture
des membres inférieurs et supérieurs, surtout à
°,4. P. liO, 112. L'état général paraît bon. Soif assez intense. La
contracture
a diminué, le malade trouve qu'il remue mieux s
s'agiter dans son lit. T.40°,4, pouls rapide, mais régulier, à 120.
Contracture
des membres infé- rieurs en extension, des supé
rieure par l'infiltration néo-, plasique, explique la'parésie et la
contracture
intense qui a dominé le tableau clinique uri' m
d'inV074 quer une compression extra-médullaire pour expliquer une
contracture
plus marquée qu'elle ne l'est d'habitude dans la
paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales et dans la
contracture
spasmodique hystérique (pied bot hystérique) ;
sie jacksonnienne, une fois dans un cas de méningite chronique avec
contractures
généralisées, enfin quatre fois sur des idiots.
ses épileptiformes démence rapide, sans délire, sans paralysies, ni
contractures
; titu- bation rendant la marche et la station d
existe aucun tremblement de la face ni des membres, aucune trace de
contracture
et les réflexes patellaires sont normaux. Les
naissance, sans grands mouvements convulsifs, sans para- lysies ni
contractures
. Bientôt il survient une démence rapi- dement p
rante-huit heures; au réveil, perte de la parole. Deux jours après,
contracture
généralisée avec perte de connaissance, grande
. Convulsions cloniques des muscles flé- chisseurs des deux médius,
contracture
du genou gauche et vomis- sements répétés penda
Enfin il n'est pas tou- jours possible d'établir s'il s'agit d'une
contracture
hystérique ou d'une parésie de la langue et de
e-ci présente une déviation extrême à droite. Evidemment elle a une
contracture
des muscles de cet organe du côté droit. Les fo
onne ne doute de l'existence d'une hémiplégie gauche véritable avec
contracture
. La, bouche est fortement déviée adroite, la co
. Mais il est évident, comme l'ont démontré Charcot et Féré, que la
contracture
passa- gère des vaisseaux de l'encéphale qui pr
ement lorsqu'on dit au malade de porter la main à sa bouche. Pas de
contractures
, mais les jambes se raidissent par mo- ments. T
tuel très bas. 11 présente à droite de l'atrophie générale et de la
contracture
musculaire des membres : d'après les renseigne-
nte méthode de traitement des accidents hystériques : paralysies,
contractures
, spasmes, etc., chez les sujets hypnotisables;
le chez un jeune garçon de treize ans .' 10 Hyperesthésie, parésie,
contracture
datant de cinq mois. Gué- rison (une séance) ;
ses forces, sans douleurs aucunes. La parésie, l'hyperesthésie, la
contracture
tout avait disparu. Il avait suffi d'une simple
suggestion dans l'éclosion des acci- dents hystériques : paralysie,
contracture
, etc. C'est une loi chez le paysan vendéen que
pour faire cesser certains troubles qu'elle présentait : anorexie,
contractures
, surdité, etc. Il y a trois mois environ elle f
ette jeune fille obéit d'une façon remarquable à la suggestion. Une
contracture
se produit-elle ? et cela a eu lieu il y a quelqu
é, son sterno-mastoïdien 4S4 CLINIQUE MENTALE. s'étant subitement
contracture
. Un autre jour devient-elle sourde ? On l'endor
paraître des acci- dents tels que l'anorexie, les vomissements, les
contractures
, les paralysies, en lui disant que ce liquide l
nne sur elle-même, sug- gestion qui produit si bien les paralysies,
contractures
, peut égale- ment les faire disparaître. Je veu
la Vierge, si cette malade je ne puis la guérir'. Observation IV.
Contracture
spasmodique permanente des md- choires de natur
Neurasthénie. Guérison par hyp- notisme des accidents hystériques.
Contractures
. Persistance des troubles neurasthéniques. G.
ier lieu me consulter. Depuis trois semaines elle était prise d'une
contracture
du sterno-mastoïdien. C'était là une manifestat
érie s'était jusque-là dissimulée; il a fallu l'apparition de cette
contracture
pour me mettre sur la voie. J'avais ainsi devant
érique et une neurasthénique tout à la fois. Pour lui enlever cette
contracture
, la suggestion était tout indi- quée. Je l'endo
était tout indi- quée. Je l'endors et fais disparaître aussitôt sa
contracture
. J'essaie de lutter par le même moyen contre le
'est la myopathie qui domine la scène, supposons une paralysie, une
contracture
survenant subitement et disparaissant par la sug-
par un simple commandement, un hoquet hystérique était arrêté, une
contracture
spasmodique ces- sait, un vomissement hystériqu
isuel; dans une troisième maison, une femme de soixante-seize ans ,
contracture
spas- modique des muscles de la mâchoire, hysté
aladie. Un examen rapide me montra que tout le membre inférieur étais
contracture
. Quant à l'articulation, il ne m'était pas permis
rs sa jambe entre mes mains, il me fut facile de faire disparaître la
contracture
et sans douleur d'exécuter tous les mouvements. P
n'y avait donc pas de doute, cette enfant était seulement atteinte de
contracture
hystérique, d'origine tramnatique. Je l'assurai q
parfaitement et n'aurait plus de douleur et lui défendis d'avoir une
contracture
semblable si jamais elle faisait une nouvelle chu
ute: « Oh, Monsieur, ce n'est pas du même côté », me dit l'enfant. La
contracture
, en effet, occupait le côté droit et s'était prod
fois, à la suite d'une chute. J'hypnotisai et, en quelques minutes,
contracture
et douleurs avaient disparu. Je renouvelai mes as
isolés, tels que les tics, la choréc hystérique, le tremblement, les
contractures
, les anesthésies, les parésies, le hoquet, l'apho
et, actionné par l'affirmation, peut réaliser de la catalepsie, de la
contracture
, de l'analgésie, des actes divers de la docilité
lgies nerveuses, crises de larmes, accès d'angoisse, tics convulsifs,
contractures
durables de la face et des membres. Actuellemen
et on peut obtenir chez eux des hallucinations, des anesthésies, des
contractures
. D'autres ne dorment pas davantage, mais ils
u point de vue pratique, thérapeutique, qu'il s'agisse de spasmes, de
contractures
, de paralysies, de phobies, de certains troubles
me de 37 ans, nerveuse depuis plusieurs années, parêsique droite avec
contracture
des fléchisseurs des doigts de la main droite,
e avec contracture des fléchisseurs des doigts de la main droite,
contracture
si prononcée que la pression des ongles était imp
état d'hypnose lui permit de marcher, de se servir de son bras, et la
contracture
ne tarda pas à disparaître. ' Peut-être sera-t-
ts, des émotions, des sentiments, des volitions, des des actes, de la
contracture
musculaire, des actions inhibiirices se traduisan
cinations et les anesthésies, et, moins aisément, les mouvements, les
contractures
et les paralysies peuvent être obtenus chez des s
senti ies travailleurs à la triste nouvelle de sa mort. Biathèse de
contracture
. — Guérison d'une contracture par le transfert da
iste nouvelle de sa mort. Biathèse de contracture. — Guérison d'une
contracture
par le transfert dans l'état d'hypnotisme. Par
r M. le D' Bérrillon. Charcot a désigné, sous le nom de diatkèse de
contracture
, l'aptitude singulière que présentent certains hy
ude singulière que présentent certains hystériques à être atteints de
contractures
musculaires sous l'influence de causes diverses e
('). II a considéré avec raison que l'existence de cette diathèse de
contracture
constituent un des stigmates les plus sûrs de la
nstituent un des stigmates les plus sûrs de la grande hystérie. Ces
contractures
peuvent êlre localisées à un muscle ou à un group
. On sait avec quelle facilité on peut provoquer artificiellement ces
contractures
chez les sujets hystériques plongés dans l'état d
a bande d'Esmarch, faites sur soixante-dix sujets hystériques, que la
contracture
provoquée est, dans un membre, d'autant plus acce
plus tongtemps prolongée (*). Ce qu'il faut retenir, c'est que les
contractures
provoquées chez les hystériques, soit dans l'état
Mataaies du sysième nerveux. T. 1, p. 449. (2) : Sur la diathèse de
contracture
et sur la contracture produite par l'applicatio
rveux. T. 1, p. 449. (2) : Sur la diathèse de contracture et sur la
contracture
produite par l'application d'une ligature {Prog
ivers et, en particulier, de frictions légères portant sur lesmuscles
contractures
ou sur leurs antagonistes. Le pronostic de la d
tractures ou sur leurs antagonistes. Le pronostic de la diathèse de
contracture
est assez sérieux. Il est l'indice de l'hystérie
lles que les crises d'hystéro-épilepsie. Chez certains malades, les
contractures
ne disparaissent d'un membre que pour reparaître
ité des plus pénibles. Chez une malade que nous avons observée, les
contractures
occupèrent successivement l'orbiculaire des paupi
bligée de rester continuellement dans la station debout. Toutes ces
contractures
cédèrent finalement à des séances répétées d'hypn
on à l'état de veille s'était montrée complètement impuissante. Les
contractures
récidivantes ne cèdent qu'à un traitement psychiq
ant l'éiat de sommeil hypnotique. Dans un cas observé récemment, la
contracture
était localisée aux muscles de la jambe gauche et
be gauche et déterminait un pied-bot varus equin très accentué. Celte
contracture
mettait la malade dans l'impossibilité de marcher
ait obtenu la guérison qu'en suggérant à la malade le transfert de la
contracture
d'une jambe à l'autre, nous eûmes l'idée de recou
le voyait apparaître dane le pied droit. La malade réveillée garda la
contracture
à la jambe droite. Le résultat obtenu était en ré
ns l'état de parallélisme. C'est ce qui fut fait. Après le réveil, la
contracture
ne se roproduisit pas et la guérison s'est mainte
phénomènes observés, expérimenta à l'asile de Maréville et guérît une
contracture
hysteii-que datant de trois ans et des attaques c
a avec exactitude parce que les prolongements neuroniques, en état de
contracture
, seront très fortement influencés. C'est que « de
sur la nature et le traitement des phobies, par le Dr Valentin, 52.
Contracture
(guérison par le transfert), par le Dr Bérillon.
notisme n'est pas), par le P. Coconier, de Fribourg, 7. Diathèse de
contracture
, par le Dr Bériilon, 280. Education dans l'étio
u suivi d'arthrite à quatre ans. - Aggrava- tion de la paralysie et
contracture
des membres inférieurs. - Abcès multiples du ge
uisse sur le lit; abduction presque nulle; adduction assez étendue.
Contracture
très prononcée des adducteurs. Rigidité moyenne
is sur les extrémités des membres et dans un degré très prononcé de
contracture
. Ce n'est que par un effort violent qu'on peut
e de flexion, avec croisement de la jambe droite sur la gauche. Une
contracture
difficile à vaincre les maintient dans cette po
ont amené une cachexie progressive et déterminé en même temps une
contracture
des membres très accusée (Fig. 8). II. Nous avo
éral de l'enfant et donnent aussi une idée exacte des progrès de la
contracture
. VI. Parmi les accidents qui ont compliqué la s
exion est facile, mais l'extension est limitée par les fléchisseurs
contractures
. Pas de craquements dan- les articulations ; pa
articulés. Il n'allonge plus ses jambes, il a un i-ertaiii degré de
contracture
. Quand on veut défléchr la jambe gauche, l'on n
gauche, l'on n'y parvient pas. Le membre supérieur gauche n'est pas
contracture
, les membres du côté droit ont leur ancienne at
e supérieur, incomplète pour l'inférieur. Le membre supérieur était
contracture
, le bras collé contre le tronc, l'avant-bras pr
ce. - Gâtisme, déchéance, amaigrissement, cachexie. - Apparition de
contractures
très prononcées des deux côtés, prédominant aux
pieds et les jambes sont mobilisés très aisément. Ni rai- deur, ni
contracture
, ni déformation. A l'examen fonc- tionnel, les
draps et la toile cirée qui les protège. Fiy, 17. -.1 UIIl 1896.
Contracture
des membres ; ESCHARES. 121 Mai et juin. - La d
9 septembre. - L'enfant décline de plus en plus. On observe de la
contracture
aux membres inférieurs. Ceux-ci sont en flexion
Les cuisses fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuisses. La
contracture
est tenace et très dif- ficile à vaincre. - Les
halique. Elle grince souvent des dents. Le bras droit est fortement
contracture
, l'avant-bras fléchi sur le bras; les doigts re
les fesses. L'enfant est recroquevillée sur elle-même. A droite, la
contracture
de la hanche est si prononcée qu'on ne peut éte
eu au-dessus de l'é- pine iliaque antéro-supérieure. A gauche, la
contracture
est un peu moins prononcée ; on peut davantage
pécimen DE l'écriture. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1896. 9 130 DÉMENCE,
CONTRACTURE
, ESCHARES. fait bien des fois, la disparition c
langue tremble ; on note des périodes d'excitation ; la DÉMENCE,
CONTRACTURE
, ESCHARES. 131 nomie perd son expression; Pern.
es dernières semaines, à la démence, devenue complète, s'ajoute une
contracture
des mem- bres, le corps se recroqueville, des e
s circonvolutions. On avait là des lésions tout-à-fait ? DÉMENCE,
CONTRACTURE
, ESCHARES. 133 comparables, au point de vue mac
l'enfant marche, court même, en trainant la jambe. Il n'y a pas de
contracture
, le -réflexe rotulien parait aboli ( ? ). Les m
3° Athétose double; - 4° chorée générali- sée ; 5° hémiplégie avec
contracture
permanente, accompagnée ou nom d'exacerbation s
le droit. Les mouvements divers sont assez limités, par suite de la
contracture
de certains groupes muscu- laires et de la raid
mme il a posé ses pieds », nous dit sa mère. Tous ces phénomènes de
contracture
, d'exagération clu réflexe rotulien et le clonu
l'étaient certainement il 11 mois et de 2 ans et demi il G ans, la
contracture
s'accompagnait de douleurs qui rendaient très p
ralysies spasmodiques dans lequel l'attitude des membres inférieurs
contractures
est comparable à un X. La contracture l'empor
e des membres inférieurs contractures est comparable à un X. La
contracture
l'emporte en intensité sur la para- lysie, qui
suivies du développement hydrocé- phalique. Retour des convulsions.
Contracture
des membres. Vagissements. Persistance des font
ostérieure ainsi que des sutures. Plagiocé- phalie. Description des
contractures
. Signes de méningite. Cécité. Broncho-pneumonie
arche et parole nulles. ? ll'Lll)1S772e externe; cécité com- plète.
Contractures
des 4 membres. - Mastication nulle; bave, accès
dans tout le côté droit. Hémiplégie droite à 11 mois, compliquée de
contracture
. - Tic particulier des membres du côté droit à
de la face. Succion, bave, cris gutturaux. Hémi- plégie droite avec
contracture
, épilepsie spinale. Tic du pied gauche. - Phimo
bras et les jambes : mais pas de convulsions proprement dites ni de
contracture
. A partir de ce moment il eut tout le reste de
Convulsions à 5 mois. Début de l'hy- drocéphalie à la même époque.
Contractures
des jambes et des bras. Etat actuel : plagiocép
, ne marche, ni ne parle. - A5 mois, convulsions : ni paralysie, ni
contractures
consécu- tives. La nourrice ne donne aucun déta
nourrice, la mère, outre son hydrocéphalie, remarqua à ce moment la
contracture
des jambes et des bras qui, depuis, aurait dimi
déviées, les poings fermés, le pouce en dedans, sont le siège d'une
contracture
, que l'on a peine à vaincre. Les ongles des mai
de l'état général. Abatte- ment, cris plaintifs. Augmentation de la
contracture
des membres. 15 février. L'enfant a maigri lé
ois autres fois. A 20 mois, outre l'hydrocéphalie, on notait, une
contracture
des jambes et des bras. Fig. 44. Hydrocéphali
de la suture métopi- que et de la suture sagittale, accès de cris,
contracture
des quatre membres (Fig. 45), cyphose, cryptorc
sthésique. Le travail ne fut pas long et la tête 228 Hydrocéphalie;
contracture
. passa sans difficulté; elle n'était, du reste,
nt avait les deux membres inférieurs et le membre supérieur droit
contractures
; lorsque sa tète eut pris ce volume anormal, le
le membre supérieur gauche, libre jusqu'alors, futaussi atteintde
contracture
. Enfin notons que l'enfant depuis les convulsions
con- tracture. Membres inférieurs, légèrement incurvés en dedans,
contractures
comme les membres supérieurs. Organes génitaux,
joul's).-Cécitépassagère, . disparition des rudiments de la parole,
contracture
du bras-, ¡ Hydrocéphalie ; observation»' 233
appris que cette soeur est morte phtisique.. , ... Hydrocéphalie;
contracture
; cécité. 533 pas allé à la garde-robe. Le début
un. état d'émaciation extrême, la main et le bras gauches étaient
contractures
et on prétendait qu'il ne voyait plus. La con-
geole à 8 ans, a été vacciné avec. succès, n'ae 236' HYDROCÉPHALIE;
CONTRACTURE
. jamais été atteint de maladie infectieuse, ni
ment égaux. Toutefois le membre droit est le siège d'une certaine
contracture
, rendant l'extension complète difficile et doulou
raccourcissement simplement apparent et dû à une exagération de la
contracture
de ce côté. - La station verti- z cale est diff
ue nous n'avons pas observées. Nous avons constaté un léger état de
contracture
du mem- bre supérieur droit et une certaine rai
nuutsions à 4 ans. État actuel : Description de la tête, dentition,
contracture
des membres. Puberté. - B ? 'OnC110-pnel,L1n07z
mi-heure environ rigide ; on n'a pas remarqué de prédominance de la
contracture
sur l'un des côtés. Il n'avait pas de secousses
'ha- gie méningée; troubles trophiques; fonte purulente des yeux;
contracture
; élévation de la température; diminue- tion sub
à la mensuration sensiblement égaux. Les membres inférieurs sont
contractures
. Les cuisses sont t fléchies sur le bassin dans
trois cas, la paralysie affectait la forme hémiplégique. Parfois la
contracture
se com- plique de' déviations des pieds en varu
oïde à 7 ans. État actuel. Description de la tête. Cyphoscoliose.
Contracture
des jambes. Gâtisme. Puberté. Menstrua- tion. É
iaque du droit antérieur. L'abduction est limitée à droite par la
contracture
du droit interne. Pied bot varus droit. Thorax
vait-elle eu lieu par prédominance' d'action des muscles du mollet,
contractures
et immobilisés dans cette position ? datait-ell
e hypothèse. , Bien qu'il existât de la trépidation spinale, que la
contracture
fut en somme encore active et qu'on pût craindr
es, que les jambes devenaient « plus molles », c'est-à-dire que les
contractures
diminuaient, en particulier pendant les périodes
on de tous ces mouvements provoque des douleurs ainsi qu'un état de
contracture
dû quadriceps crural, accompagné de secousses c
e du pied et du st,ep- page. Soit dit en passant, les phénomènes de
contracture
douloureuse, que je vous ai signalés du côté du
asmodique, l'atrophie étant peu accusée comparativement à l'élément
contracture
; d'ailleurs les accidents sont bilatéraux. En
delà du point où le facial est dissocié du faisceau des membres. La
contracture
des membres, qui était très prononcée el relalive
y a hémiplégie complète des membres supérieurs et inférieurs, avec
contracture
en flexion. L'avant-bras est fléchi à angle droit
enant toucher la partie interne supérieure de la cuisse gauche. Ces
contractures
sont rigides, permanentes, elles résistent aux
deux côtés. A droite on a de la. peine à les obtenir à cause de la
contracture
. A gauche on obtient (2), 5 au genou, fut, à l'
bien conservés. Goitre parenchymateux. Pas d'oedème, Il existe une
contracture
de la jambe sur la cuisse droite et de l'avant-
nt. Arch. de médecine, t. XXVI, 1831, p. 9. (3) L. ConvisAmr. De la
contracture
des extrémités ou tétanie. Th. Paris, 18 : ;2.
, à la- quelle d'ailleurs les patients la comparent ». Lorsque la
contracture
affecte les membres supérieurs, les doigts se ser
sur la cuisse et la cuisse sur le bassin ». Dans la forme grave, la
contracture
se généralise aux muscles du tronc pour gagner
t rapidement; puis, bientôt après, ceux du pied gauche entrèrent en
contracture
. Mais la synergie réflexe ne s'arrêta pas là ;
veux, veines ou artères, est suscep- tible de faire disparaître des
contractures
ou de déterminer des crises (1) WEiss, Beitràge
rtains sujets atteints de ce que M. Charcot appelait la diathèse de
contracture
, on peut déterminer l'apparition de cette dernièr
vant-bras accompagnée d'anesthésie : « Pourrait-on voir, dans cette
contracture
localisée aux extrémités supérieures, dans cett
mités supérieures, dans cette tétanie saturnine, autre chose qu'une
contracture
hystérique ? La rapidité d'action de la thérape
, n'hésite pas à attribuer le signe de Trousseau et celui de Weiss (
contracture
provoquée du facial) à la diathèse de con- trac
observations de la forme grave de la tétanie. Certaines attaques de
contractures
avec spasme de la glotte rentreraient donc dans
l généraliser et attribuer l'hystérie toutes les for- mes graves de
contractures
avec laryngo-spasme ? Il ne semble pas qu'il do
MMES ENCEINTES 281 intoxications, à t'ergotisme par exemple) que la
contracture
hystérique ne puisse simuler. Lorsqu'on relit
isé à conclure : 1° Que l'hystérie revendique une grande partie des
contractures
dites essentielles des extrémités ou tétanie da
ic, en se fondant sur la constatation des stigmates, la diathèse de
contracture
en particulier, sans compter les véritables crise
ENCEINTES ' · 28ü quand on la touchait pour essayer d'empêcher les
contractures
de se produire. Le moindre frôlement des bras e
étouffements, des bâillements, la crise tétaniforme s'esquisse, des
contractures
apparaissent. Diathèse de contracture très mani
étaniforme s'esquisse, des contractures apparaissent. Diathèse de
contracture
très manifeste. Organes des sens. Vue. Pas de d
ements et des bâillements répétés, une agitation continue; puis les
contractures
apparaissent. Tantôt les membres supérieurs son
algré l'intégrité du renflement lombaire il ne s'est pas produit de
contracture
des membres inférieurs paralysés, contrai- reme
s les cas qu'il cite elle était toujours liée aux paralysies ou aux
contractures
des membres inférieurs. Bien qu'il ne soit pas
soit pas facile de démêler ce qui appartient à la paralysie ou à la
contracture
qui peuvent également donner naissance à l'incon-
ous fait penser que l'incontinence est sous la dépendance non d'une
contracture
du corps de la vessie mais d'une paralysie du s
t oedématiés. On constate au niveau des muscles un certain degré de
contracture
, qui entrave les mouvements spontanés et provoq
le sol. Cet état de contraction persistante, ou pour mieux dire de
contracture
du muscle, ne persiste pas toujours égal à lui-
à lui-même; il varie d'intensité. Il semble au contraire que cette
contracture
.soit, il l'instar de ce qui se passe dans cert
ture .soit, il l'instar de ce qui se passe dans certaines formes de
contractures
hystériques, dans- un état instable. Elle dimin
spontanément se reproduisent sous l'influence de causes variées. La
contracture
augmente sous l'influence des émotions et de la
n de nouvelles fibrilles. La théorie que l'on a donnée de certaines
contractures
en disant que les fibres musculaires se contrac
ribue la raideur dans la maladie de Par- kinson à un léger degré de
contracture
, à ('encontre de certaines tendan- ces récentes
t. (A suivre.) CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX UN CAS DE
CONTRACTURE
HISTRO-TRAU1VIATIQUL. DES MUSCLES DU TRONC PA
nique. ET A. SOUQUES Chef du Laboratoire de la clinique. La
contracture
hystérique des muscles du tronc est un'fait assez
en a publié un fort curieux exemple, il y a quelques années (1). La
contracture
siégeait dans les muscles de la paroi postérieu
le service de M. le pro- fesseur Raymond, la Salpètrière, un cas de
contracture
hystérique survenue à la suite d'un traumatisme
s- cles fléchisseurs du tronc. On sait qu'il est de règle, dans les
contractures
hystériques, de voir les groupes musculaires an
é de douleurs d'aucune espèce dans les membres inférieurs UN CAS DE
CONTRACTURE
UYSTÉRO-TRAUiIfATIQUE DES MUSCLES DU TRONC LU n
dorsale et le redressement est rendu totale- ment impossible par la
contracture
des muscles de l'abdomen. Mais si le redresseme
que le tronc se trouve fixé dans l'attitude vicieuse décrite par la
contracture
simultanée des muscles anta- gonistes fléchisse
son ma- lade âgé de 58 ans présentait des réflexes exagérés, de la
contracture
des adducteurs, des envies fréquentes d'uriner.
dullaire. Et d'autre part les réflexes sont normaux, il n'existe ni
contracture
, ni troubles de la sensibilité. Ce fait né- gat
.' ^ Elle me semble applicable en l'espèce. Mais dans quel sens :
contracture
ou paralysie ? Charcot invoquait pour les défor
t je n'insisterai sur celle palhogénie. Pourrait-on supposer que la
contracture
des mains s'est produite sous l'influence d'une
à la difformité congénitale des iertu.x licttas d'Amérique ? Cette
contracture
aurait, après résolution, laissé l'altitude const
l Hérold, salle B, ne 23. Aphasie. Monoplégie brachiale droite avec
contracture
datant du mois d'octobre 1890. Arthrite végétan
e D, n° 28. Hémiplégie gauche spas- modique datant de 1896 ; peu de
contracture
. Demi-ankylose de l'articulation scapulo-huméra
rold, salle E, n° 11. Hé- miplégie droite spasmodique depuis 1891 ;
contracture
marquée. Ankylose douloureuse de l'articulation
salle C, ne 45. En 1892, hémiplégie droite spasmodique et aphasie.
Contracture
intense, avant- bras fléchi sur le bras; poigne
l'aisselle : bras gauche, 25 cent. 1/2 ; bras droit, 27. Avant-bras
contracture
sur l'avant-bras mais en flexion, doigts en griff
se, amyotrophie en masse. Séjour permanent au lit; membre inférieur
contracture
en extension. Demi- ankylose de la hanche droit
masque l'atrophie. Membre inférieur droit. La malade reste couchée.
Contracture
en extension. Articulation coxo-fémorale droite
Chez les 7 malades du deuxième groupe, pour des causes diverses,
contracture
très marquée partout, le membre inférieur du côté
ant encore en partie les mouvements ; exagération des réflexes sans
contracture
. Amaigrissement généralisé des muscles du hras
t son membre paralysé ; pas d'arthrite ni d'atrophie. Toutefois, la
contracture
a prédominé sur le pouce qui s'est fléchi dans
à laquelle sont contraints, du fait de la paralysie ou mieux de la
contracture
, le membre supérieur ou inférieur ou mieux certai
nous pouvons le dire, il ne survient ni arthrite ni atrophie, Si la
contracture
rend le membre inférieur rigide, impotent et conf
r, l'évolution des phénomènes est encore plus constante. Le bras se
contracture
en adduction, se colle le long du tronc d'où, a
ale. Les résultats sont constants, à moins, ce qui est rare, que la
contracture
soit d'emblée assez forte pour empêcher les mob
été survient soit peu de temps après le début, soit au moment de la
contracture
tardive, soit à propos d'un état fébrile qui peut
s hémiplégiques. L'immobi- lité, résultant de la paralysie ou de la
contracture
, la favorise singulière- ment ; aussi n'apparaî
que la détermination périarticulaire ; ce qui est nerveux c'est la
contracture
, l'exagération des réflexes, l'atrophie muscula
infectieuse ou autre) s'adjoignent des phénomènes purement nerveux,
contracture
, atro- (i) Dans un rapport récent sur les « art
s rétractions fibreuses, en produisant les ankyloses vicieuses, les
contractures
et les griffes, créent des anomalies corporelle
lisme de la déformation des mains de cet infirme. Il est atteint de
contractures
dans le sens de la flexion et les doigts sont r
main droite déformée, atrophiée, est déjetée en dehors, comme en
contracture
; les doigts se recroquevillent en griffe, tan-
es de Lépreux. Les pertes de substance de la face, l'atrophie et la
contracture
des membres supérieur et inférieur, la colorati
ade adulte, atteint d'ulcérations, d'atrophies, de paralysies et de
contractures
vraisembla- blement d'origine lépreuse. Le jeun
omme desséchés, offrant un assez bon exemple de ces paralysies avec
contracture
et atrophie musculaire que la Lèpre sait réaliser
L'atrophie musculaire qui prédomine aux extrémités des membres, les
contractures
ayant déterminé aux pieds et aux mains des griffe
uelques linges. Le pied nu offre une apparence squelettique, il est
contracture
et extraordinairement émacié ; on dirait encore
a main semble inerte, flasque, etc. déformée par un commencement de
contracture
, comme on l'observe dans l'hémiplégie. Dans le
ès réalistes de paralysies, d'atrophies musculaires, de griffes, de
contractures
. Mais ces personnages sont de dimensions trop e
neau (un Job moderne), par Targovvla (2 fig., 1 plan- che),414.
Contracture
hystéro-traumatique des muscles du tronc (un ca
olescents (1 planche), 12. RiCHER (PAuL) et A. Souques. Un cas de
contracture
hystéro-traumatique des muscles du tronc (1 pla
use (6 figu- res), 347. Souques (A.) et PAUL ;RICHER. Un cas de
contracture
hystéro-traumatique des muscles du tronc (1 pla
émi- plégiques infantiles, XXIX. Coupes de moelle rabique, XIX.
Contracture
hyst'èro-traumatiquedes mus- cles du tronc, XV.
âtisme complet. - Paraplégie inférieure et Hémiplégie gauche avec
contracture
. - Microcéphalie. - Tuberculose intes- tinale.
qui en fut témoin, en rotation de la tête adroite et à gauche et en
contractures
du corps portant seulement sur le côté gauche.
ut se tenir debout seul. Soutenu, il parvient à faire quelques pas.
Contracture
légère surtout marquée à gauche. Extension et r
un aspect squelettique. Ne pouvant allonger les cuisses à cause des
contractures
qui les maintiennent dans la demi- Sclérose ATR
te qu'à gauche. Ce fait concorde avec la paraplégie complète et les
contractures
observées pendant la vie. A gauche, la lésion e
iscères. III. Le syndrôme imbécillité ou idiotie, hémiplégie avec
contracture
ou athétose et épilepsie est symptoma- tique, c
e, ainsi qu'on l'observe en gén éral dans les cas d'hémiplégie avec
contracture
permanente et l'atrophie musculaire était peu p
mobile dans son 58 DESCRIPTION DE la malade lit, déformée par les
contractures
, ne vivant plus que de la vie végétative, si l'
rait percevoir des sons. Cou court, circonférence 26 centimètres 5.
Contracture
Ses muscles cervicaux maintenant la tête dans l
escription DE la malade. 59 légèrement fléchie sur le thorax. Cette
contracture
peut-être vaincue par un effort assex considéra
chiqueté. Fourchette assez saillante. Les membres supérieurs sont
contractures
. La contracture, qui d'ailleurs peut être vainc
tte assez saillante. Les membres supérieurs sont contractures. La
contracture
, qui d'ailleurs peut être vaincue assez facilem
um sur le bras, les mains légèrement fléchies, plus à droite, où la
contracture
est plus accentuée. Pouce dans l'extension, doi
t a parlé plus ou moins vaguement de méningite. Ici, l'existence de
contracture
des membres conduisait à douter de la réalité d
linique de l'enfant, le trait le plus frappant était la présence de
contractures
très pro- noncées, mais pourtant susceptibles d
geole à 4 ans ( ? ). Marche, parole, préhension nulles.- Gâtisme, -
Contractures
des quatre membres. . 1892. Rubéole. - Tuberc
ns tout le côté droit. - Hémiplégie droite à 11 mois, compliquée de
contracture
. Tic particulier des membres du côté droit à 18
la face. Succion, bave, cris gulturaux. - Hémiplégie droite avec
contracture
, épilepsie spinale. - Tic du pied gauche. - Phi
tre en supination et en demi-flexion. AH mois, la main fut prise de
contracture
, les doigts se fléchirent et on ne pouvait les
é. L'ouïe sem- ble bien développée. Le membre supérieur droit est
contracture
. L'avant-bras est en demi-flexion sur le bras.
lantés aux deux mains. Le membre inférieur droit est le siège d'une
contracture
intense. La cuisse est en demi-flexion sur le b
omène qui, provoqué deux on trois fois, cesse de se manifester.. La
contracture
de ce membre est incomplète car parfois l'enfan
ment la jambe. - Le membre inférieur gauche n'est le siège d'aucune
contracture
. On ne provoque pas sur lui de trémulations épi
qui se serait aggravée progressivement et se serait compliquée de
contracture
, deux mois après le début, et d'épilep- sie spi
ements plaintifs, agitation, grincements de dents. Ni paralysie, ni
contracture
. Irrégularité du pouls, hyperesthésie cutanée.
onvul- sions. Leur durée fut de 30 minutes. Les deux bras étaient
contractures
. Mardi... fut nourri au sein jusqu'à 17 mois et
ificat suivant du Dr Dauchez : a Est atteint depuis sa naissance de
contractures
généralisées des membres supé- rieurs et inféri
ie complète : parole et marche nulles, gâtisme, etc. L'existence de
contractures
, duos à des convul- sions répétées, permettait
ique. II. L'atrophie musculaire des membres droits accompagnée de
contracture
, et la malformation des genoux méritent d'attir
. L'enfant présente une paraplégie spas- modique très marquée, avec
contracture
très prononcée des cuisses, qui font avec l'abd
ments spas- modiques et deviennent le siège d'une paraplégie avec
contracture
; la vue diminue, disparaît bientôt. L'en- fant,
revenues à diverses reprises jusqu'à un an. - Hémiparésie à droite.
Contracture
. - Broncho-pneumonie, mort. Louv... (Paul Mau
Marche et parole nulles. - Strabisme externe ; cécité com- plète. -
Contractures
des 4 membres. - Mastication nulle ; bave, accè
s dans une nomenclature pourtant suggestive : névralgies, paralysies,
contractures
, spasmes, tremblement, vertiges, épilepsie, catal
nifestations hystériques : la crise hystérique la plus violente, avec
contracture
, catalepsie, est justiciable de la plus simple su
. Il y a six ans et demi, un garçon âgé de douze ans présentait une
contracture
de l'articulation du genou gauche. La contracture
ans présentait une contracture de l'articulation du genou gauche. La
contracture
était telle que le talon touchait la peau des cui
veille guérit complètement notre malade de son hyperesthésie et de sa
contracture
. D'un pas ferme, l'enfant retourna chez ses paren
tout nous lancer dans la voie expérimentale. COURS ET CONFÉRENCES
Contracture
hystérique des mâchoires (1) par m. le professe
nte une constriction des mâchoires ; il a les masséters durs, tendus,
contractures
, les joues aplaties, la lèvre inférieure renversé
lus ouvrir la bouche du tout; l'orbiculaire des lèvres est en état de
contracture
, ainsi d'ailleurs que les masséters ; le maxillai
asséters ; le maxillaire inférieur est même projeté en avant. Cette
contracture
est d'origine hystérique ; il y a aussi un léger
contracture est d'origine hystérique ; il y a aussi un léger degré de
contracture
du bras et de la jambe gauches ; il existe, en ou
cissement du champ visuel et des plaques d'anesthésie superposées aux
contractures
. Quand il dort, cette contracture disparait ; ell
aques d'anesthésie superposées aux contractures. Quand il dort, cette
contracture
disparait ; elle disparai-trait aussi pendant le
en résulte une perte au point de vue mécanique. Ce phénomène, appelé
contracture
de Tiegel f3), a été particulièrement étudié auss
iculièrement étudié aussi par Kronecker, AI. Schiff et Ch. Richet. La
contracture
se présente surtout chez les grenouilles ayant sé
atiguées. Elle n'a jamais été observée en été. D'après Schiff (*), la
contracture
est une maladie des grenouilles d'hiver (1) Tra
tion chimique du muscle par ces produits qu'est dû le phénomène de la
contracture
. On sait aussi que la composition chimique des
ours : L'hypnotisme chez les hystériques : Les hyperes-thesies et les
contractures
. Les lundis et les jeudis à cinq h. et demie à pa
de repos. Les muscles présentent une disposition toute spéciale à la
contracture
, à l'occasion du moindre attouchement. Certains m
moindre attouchement. Certains muscles spéciaux sont même le siège de
contractures
permanentes, au moins au moment où l'on s'approch
où l'on s'approche de la malade. Ainsi, les paupières présentent des
contractures
spasmodiques manifestées par un tremblement conti
aliments liquides et le réflexe de la déglutition s'accomplit. Si une
contracture
du pharynx empêche la déglutition, il reste alors
ntracturer les muscles s'ils sont relâchés ou les relâcher s'ils sont
contractures
; de plus, les battements de cœur et les mouvemen
les elle tomba dans un profond sommeil, accompagné d'anesthésie et de
contracture
généralisée. Dans l'impossibilité absolue où l'on
une des modalités de l'attaque. Ce sommeil se caractérise par de la
contracture
et des battements des paupières, du strabisme, un
. ß La nature hystérique de l'affection, révélée par la diathèse de
contracture
, peut laisser espérer que son état s'améliore un
llon sont une garantie du succès de l'œuvre. Hystéro-traumatisme et
contracture
('), par M. le Professeur Raymond. Voici un cas
agération légère des réflexes et une diminution de la sensibilité. La
contracture
du poignet est telle qu'on ne peut faire exécuter
, de pronation, de supination, d'adduction, d'abduction, etc. Cette
contracture
est-elle organique ou névropathique ? Notez que
ou névropathique ? Notez que, malgré l'intensité et la durée de la
contracture
, les ongles ne pénétrent pas dans la peau ; ils n
ymé-ningite ? Nous aurions d'autres signes et, d'ailleurs, jamais les
contractures
organiques ne sont aussi intenses. Dans l'hémiplé
, toujours par des efforts et des malaxations, on arrive à vaincre la
contracture
. La lésion, si elle existe, devrait être limitée
he; or, une semblable dissociation n'est pas dans les habitudes de la
contracture
organique. En réalité, il s'agit ici de contractu
s habitudes de la contracture organique. En réalité, il s'agit ici de
contracture
hystérique, d'hystéro-traumatisme. Ce n'est pas
hélémy et quelques autres. Comme l'a démontré Renaut, il existe de la
contracture
artérielle ; le débit veineux se fait moins bien
ce d'hypnotisme. Léger sommeil sans amnésie. Catalepsie, automatisme,
contracture
et paralysie suggérés, amnésie suggérée, suggesti
ience et la conscience de soi (La), par Wijnaendts Francken, p. 43.
Contracture
hystérique des mâchoires, par Raymond, p. 157.
rison de symptômes), par Stadelmann, p. 124. Hystéro-traumatisme et
contracture
, par Raymond, p. 316. Image visuelle et la puis
bien moins souvent qu'eux, ont représenté les convul- sions et''les
contractures
de la grande névrose. M. Henry Meige, dans ce s
se développe en sept jours, flasque d'abord, elle s'accompagne de.
contracture
au bout de trois mois. Rétention d'urinë."Escha
- réflexes intrahypnotiques et de l'action de la suggestion sur ces
contractures
; par M. Chartes Schaffer. (Nouv. Iconogr. de l
présente d'une façon très nette et invariable les phénomènes de la
contracture
muscu- 126 REVUE DE thérapeutique. ' laire ré
une excitation quelconque de la sensi- bilité produit chez elle une
contracture
musculaire toujours la même, quand les conditio
ce devant l'oeil d'un objet blanc, le résultat est le même : il y a
contracture
de tous les muscles du corps du côté opposé à c
tion a agi. Si l'exci- tation porte sur les deux côtés du corps, la
contracture
est bilaté- rale, généralisée; même résultat si
un point de la perpendiculaire passant par la macule jaune, il y a
contracture
généralisée; si la rétine est impressionnée par-
partie tem- porale, il y a contrature du côté opposé, c'est-à-dire
contracture
gauche. Ce phénomène est sous la dépendance de
le résultat, avec les deux procédés, est le même, c'est-à-dire une
contracture
; 3° une hallucination négative ne reste pas lim
une émotion morale (perte de sa fortune), fut prise d'hystérie avec
contractures
de divers membres. Le traitement actif institué
nt de Benedikt : des pointes de feu dans le dos font disparaître la
contracture
pour deux mois. Par la suggestion, de Krafft-Ebin
is. Par la suggestion, de Krafft-Ebing obtient que, libre de toutes
contractures
, elle puisse revenir à Londres. 11 y a quelques
lques mois une émotion (sa soeur est écrasée par un cab) ramène les
contractures
. Il y a quatre semaines, nous la retrouvons à B
culaires provoquées et non sous la forme douloureuse. Il existe une
contracture
permanente de huit doigts ainsi qu'une forte te
biles qui, sous l'action de la plus faible excitation, peuvent être
contractures
. Toutes les contractures artificielles durent d
de la plus faible excitation, peuvent être contractures. Toutes les
contractures
artificielles durent de dix à vingt minutes. Le
. La suggestion verbale suspend pour quelque temps la reprise de la
contracture
. M. Effertz montre la contracture latente, les
ur quelque temps la reprise de la contracture. M. Effertz montre la
contracture
latente, les contractures musculaires provoquée
se de la contracture. M. Effertz montre la contracture latente, les
contractures
musculaires provoquées par le chatouillement cu
r le nerf correspondant, le heurt des tendons et la disparition des
contractures
par l'action exercée sur les mus- cles antagoni
vité des extenseurs des doigts et du tibial antérieur il produit la
contracture
et en particulier la contracture paradoxale de
du tibial antérieur il produit la contracture et en particulier la
contracture
paradoxale de Westplial. Il commande à la malad
atoires) ; de l'insuffi- sance des sphincters; des épreintes; de la
contracture
pharyngo- oesophagienne; de l'insomnie. Observa
ies ou plaques hyperesthésiques, les désordres moteurs, paralysies,
contractures
, tics et mouvements choréiques, tremblements, c
vers troubles somatiques, les hyperes- thésies, les paralysies, les
contractures
résultent de pareilles idées. 11 en est de même
même mécanisme qui amène chez d'autres malades des paralysies, des
contractures
ou des attaques. Pour en finir avec les trouble
us forte raison aux individus qui sont atteints de paralysies ou de
contractures
hystéri- ques à la suite de fortes commotions p
is au bras gauche, à la grande stupéfaction des assistants. - Les
contractures
diverses qui accompagnent l'attaque hys- tériqu
d'avaler le contenu d'une tasse de liquide, par suite d'abord d'une
contracture
des mâchoires, puis d'une contracture pharyngie
uide, par suite d'abord d'une contracture des mâchoires, puis d'une
contracture
pharyngienne qui s'y opposèrent ; de la difficu
RNE ; par Sommer. (Celztwvlbl. f. Nervealceilk.,1V. F. IV, 1893.)
Contracture
post-hémiptégique plus accentuée dans le domaine
par K. SCUAFFER. (Neurolog. Centwlbl., 1893.) Nouvelle étude des
contractures
réflexes dans l'hysléro-épilepsie sous l'influe
istance de ce plan d'un côté ou de l'autre, on obtient toujours une
contracture
bilatérale. 2° Quand on agit sur la rétine, on
ux champs nettement séparés dont l'excitation provoque de l'hémi-
contracture
. La moitié nasale périphérique de l'oeil droit et
tié temporale périphérique de l'oeil gauche engendrent une hémi-
contracture
du côté droit exclusivement. L'excitation de la m
re par exemple que la suggestion de la surdité à gauche supprime la
contracture
réflexe gauche, c'est-à-dire que par la modific
e sur sa poitrine. A ce moment elle allonge les bras qui entrent en
contracture
, présentent quelques petites secousses clonique
t de cinq minutes la malade reste immobile. Elle présente alors des
contractures
tantôt dans un membre, tantôt dans un autre, su
cédés de sensations de chatouillement dans le coude et le genou ou
contractures
des extrémités supérieures et inférieures. , Et
llant ayant l'éblouissement pour cause occasionnelle. P. K. LXII.
Contracture
réflexe DE la langue, DES LÈVRES et- DU pharynx
que à gauche (tête étendue et tournée à gauche); alalie, anarthrie,
contracture
des lèvres, trismus, troubles de la déglutition
t ans, causée par une hémorrhagie cérébrale; hémiplégie droite avec
contracture
persistant encore après cinq mois d'exis- tence
tumultueuse des replis intestinaux avec incontinence ano-vésicale,
contractures
et étreintes pharyngo-oesophagiennes, insomnies
rasthénie. M. HfECKEU les passe en revue un à un; il insiste sur la
contracture
pharyngo- oesophagienne à l'appui de deux obser
pendant l'autopsie a démontré qu'il existait toujours. A côté des
contractures
que l'on rencontre quelquefois parmi les symptô
422. Contagion mentale morbide, par Ma- randon de Montyel, 409.
Contractures
réflexes intraliypnoti- queset action de lasugg
lourdement. Les membres inférieurs plus ou moins repliés sont aussi
contractures
. Il existe une paralysie du facial inférieur dr
) persiste aussi. 4 CLINIQUE NERVEUSE. Il y a toujours un état de
contracture
de la face et des membres du côté droit. Les
u début : Coma, paralysie faciale droite, paralysie du bras gauche,
contracture
des membres inférieurs, contracture moins forte
te, paralysie du bras gauche, contracture des membres inférieurs,
contracture
moins forte du membre supérieur droit, pupilles
1839, p. 55.) 10 CLINIQUE NERVEUSE. , moitié droite du corps. Ces
contractures
du côté de la lésion ne constituent point une a
loin d'être fait en ce qui concerne les relations qui unissent les
contractures
et l'hémorrhagie sous-arachnoïdienne. Jaccoud1
mbre des symptômes essentiels de la- maladie, considéraient que les
contractures
doivent être rapportées d'unc façon presque exc
des observations de M. le profes- seur Lépine où l'on notait de la
contracture
du membre supérieur du côté de la lésion. Il es
mbre supérieur du côté de la lésion. Il est donc possible que les
contractures
directes soient le fait d'une hémorrhagie intra-
note, dans tello autre aucune trace de para- lysie, ici ce sont des
contractures
, des crises jacksoniennes, la on ne décèle que
la paralysie du facial inférieur droit et du bras gauche, et de la
contracture
des membres inférieurs et du membre supérieur d
Le lendemain nous notions une hémiplegie gauche flasque et de la
contracture
des membres du côté droit. Mêmes varia- tions d
s'y rencontrent et s'y entre- mêlent ; les paralysies flasques, les
contractures
, les crises d'épilepsie jacksonienne s'y trouve
agrave, attribuaient, peut-être avec exagération, les phénomènes de
contracture
à l'épanche- ment secondaire intra-arachnoïdien
uement complète. Avec l'effraction ventriculaire apparaissent les
contractures
précoces. Le ramollissement cérébral a ordinair
. Epilepsie. Etat du malade en 1898 : idiotie complète; diplégie et
contracture
. Cachexie tuberculeuse progressive; mort. - Tem
n de langage articulé; nombreuses malforma- tions ; paraplégie avec
contracture
des pieds; gâtisme. » (dur Garnier). Antécéde
rès maigres. Les avant-bras sont fléchis sur les bras. Paralysie et
contracture
prédominant à gauche. La préhension est nulle.
hémisphères céré- braux, l'état du faisceau pyramidal dans 4 cas de
contracture
spasmodique infantile, un cas de guérisonde man
tendineux, une sclérose du fais- ceau pyramidal n'entraîne pas une
contracture
spasmodique conformément à la loi de Westphal,,
pas être considérée comme un état d'imminence ou d'op- portunité de
contracture
. G. DENY. IV. Les parakinésies; par le Dr de BU
ée; surdité à droite. Le bras droit est atrophié et un peu rigide :
contracture
des 3° et 4' doigts de la main droite. Atro- ph
s spasmodiques (convulsions, spasme des muscles du la- rynx, croup,
contractures
, catalepsie) ; b) symptômes sensoriels (sensati
d'une frayeur, une fillette de douze ans est prise d'une attaque de
contracture
, crises convulsives à caractère jacksonnien, as
224 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XL. Parésie des quatre membres,
contractures
, exagération des réflexes et phénomène de Babin
iennent impotents présentent tous des symp- tômes spasmodiques, des
contractures
, qui sont la vraie cause de la gêne des mouveme
ralysie générale présente donc deux variétés cliniques : l'une avec
contractures
et impotence, d'aulres sans contractures et sans
tés cliniques : l'une avec contractures et impotence, d'aulres sans
contractures
et sans impotence. En ce qui concerne la caus
ésies, hype ? 'esthésies; - les troubles delamotilité : paralysies,
contractures
et spasmes en les considérant suivant leur sièg
dégagé celle qui suppose un rapport de causalité entre le symptôme
contracture
et la sclérose d'une partie des cordons laté- r
. En effet, sa sympto- matologie se résume dans ces deux éléments :
contracture
, atro- phie musculaire, et elle a pour substrat
avec paralysies, monoplégies ou hémiplégies, accès épileptiformes,
contractures
, etc.) Nous devons mentionner une variété parti
st à elle surtout, que l'on devra d'empêcher le déve- loppement des
contractures
et d'obtenir le rétablissement relatif de la mo
compte de l'état tonique des muscles, du degré de l'atrophie, des
contractures
, de l'oedème et de l'épaisseur des couches adip
Les muscles atro- phiés sont massés plus fortement que les muscles
contractures
. Deux des muscles contracturés sont évités par
a plus de mouvements qu'il n'en possède : le bras reste immobile ou
contracture
, malgré les mouvements répé- tés. Les mouvement
e l'emploi des appareils orthopédiques, destinés à lutter contre la
contracture
des hémiplégiques ? essais; que nous avons fait
édiques augmentent l'atrophie et occasionnent une aggravation des
contractures
. Par contre, le massage léger agit parfois utile-
ures. Par contre, le massage léger agit parfois utile- ment sur les
contractures
musculaires. Au début nous évitons de masser de
le massage des masses musculaires pour empêcher l'apparition de la
contracture
ou chez les enfants hémiplégiques (B). ' Un ext
ne puisse plus exécuter aucun mouvement. Uans d'autres cas où la
contracture
naissante accuse un certain degré de l'hvperexcit
e plus long- temps dans la dernière que dans la première. Dans la
contracture
les phénomènes électromoteurs varient suivant l
et l'étendue du mouvement que le bras peut encore exécuter. Dans la
contracture
de l'hémiplégie organique la courbe de la varia
ndant au tracé myographique et qui ne se rencontrent jamais dans la
contracture
hystérique. Il était intéressant aussi de reche
econde phase du courant d'action peut manquer totalement. Dans la
contracture
à la seconde période le caractère diphasique du
t un symptôme géné- ral, dû à une hydromyélie consécutive ou il des
contractures
rigides des muscles. 8° La perte des réflexes
orme différente de celle que la malade était habituée de porter. La
contracture
devint de plus en plus énergique. La malade se
êcher de se rapprocher. Ces manoeuvres ne faisaient qu'augmenter la
contracture
. M ? de X... entra alors dans une nouvelle péri
diatement, les masséters se contractaient avec violence. Cette même
contracture
s'excerçait encore lorsqu'un appareil prothétiq
plaque destinée à les porter, se traduisait immédiatement par de la
contracture
des maxillaires. La conclusion que j'en tirai l
Je fis les plus grands efforts pour persuader à Mme de X.. que la
contracture
spasmodique dont elle se plaignait n'avait pas un
fois 111 ? de X..., toujours poursuivie par son idée fixe et par sa
contracture
. Celle-ci était devenue tellement énergique, qu
plus l'effort était considérable, plus la réaction, c'est-à-dire la
contracture
, était violente. M. Charcot qui m'a appris à co
de choses ne fit qu'aggraver le trouble mental de la ma- lade ; sa
contracture
ou plutôt la contraction automatique ins- tinct
le visage transformé et comme ratatiné. L'extraction des dents, la
contracture
des masséters avait diminué la hauteur de la fa
ses convulsives précédées d'une aura céphalique, avec tendance à la
contracture
générale, persistant depuis quelques minutes. O
ontles membres inférieurs, arrêtés dans leur développement, étaient
contractures
en flexion. La circonfé- rence horizontale de l
dans le texte. Prix : 5 fr. Pour nos abonnés . 4 fr. lB.ocn. - Des
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en général, la contracture spasmodique, les pse
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contracture
spasmodique, les pseudo-contractures. Volume in
et, notez-le bien, elle est surtout accusée dans les muscles où la
contracture
est à son maximum. M. Pitres a eu l'occasion d'
départ de la névrite ? Evidemment la lésion qui avait déterminé la
contracture
, puisque l'atrophie 'et la névrite présentaient
nsité dans les muscles con- tracturés. Or la lésion qui engendre la
contracture
c'est la sclérose dégénérative du faisceau pyra
cependant à l'improviste, et ce n'est certes pas l'intensité de la
contracture
ni la durée de l'impotence fonctionnelle qui en
e hémiplégie de cause cérébrale, où l'impotence fonctionnelle et la
contracture
sont beaucoup moins prononcées, se compli- quer
ufuhren versucht. SUR l'astasie-abasie 217 de la trépidation, des
contractures
cloniques des muscles pou- vant occasionner des
que et raide. Le réflexe patellaire est très, exagéré et il y a une
contracture
marquée du pied. Dans cette jambe, toutes les g
une lésion très profonde des trajets moteurs une hémiplégie avec
contractures
et un développement relativement tardif de l'atro
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contracture
spasmodique, les pseudo-contractures. Volume in
e quand on essaie de l'ouvrir, qu'elle est fortement plissée par la
contracture
, animée de frémissements convulsifs spontanés s
s, la parésie fut transformée en hémiplégie droite complète et avec
contracture
. Tout mouvement était impossible ; l'avant-bras
5°; pas de dyschromatopsie. V = ? Pas de lésions du fond de l'oeil.
Contracture
de l'accommodation; un peu de diplopie monocula
noculaire. 2° OEil droit. Champ visuel légè- rement rétréci à 80° ;
contracture
de l'accommodation. - 3° Ptosis de l'oeil gauch
ssette sus-sourcilière et ces plis verticaux qui semblent dus à une
contracture
du muscle sourciller, contrastent étrangement a
dans les genoux, qu'il ne peut fléchir. Les muscles des jambes sont
contractures
. Cette contracture qui s'étend aux membres supé
ne peut fléchir. Les muscles des jambes sont contractures. Cette
contracture
qui s'étend aux membres supérieurs persiste quelq
employé généralement ici soit pour examiner des malades atteints de
contracture
, soit pour obtenir la résolution des contractur
alades atteints de contracture, soit pour obtenir la résolution des
contractures
persistantes, résultat qui n'est d'ailleurs pas
nu.) Pauvre fille, elle s'endort, regarde-là... C'est pour voir les
contractures
... Je connais tout cà, parbleu ; j'ai été à la
es petites choses... Tu vois ? elle s'endort, c'est pour voir si la
contracture
va se défaire... Tu ris ? Quoi ? Je ne suis pas m
l'éther le ta- bleau d'attaques de nerfs, le chloroforme celui de
contractures
, et ainsi pour toutes les excitations des sens.
dégénérescence descendante des cordons pyramidaux de la moelle avec
contracture
secondaire des membresparalysés. Comme ' Emin,
mal fut montré au Congrès interna- tional de médecine, et alors une
contracture
bien marquée s'est établie dans les membres par
de la malade. Elle a eu des attaques de nerfs, elle est sujette à des
contractures
dans les membres inférieurs, qui s'accusent surto
plus après ses repas et qu'elle n'aura plus de crises nerveuses ni de
contractures
. Le réveil est facile par simple suggestion céréb
vait plus marcher et on l'apportait chez moi : Elle était affectée de
contractures
des deux membres inférieurs avec douleur vive d
s les deux genoux et dans la journée ses membres inférieurs s'étaient
contractures
. Cette contracture n'était pas très forte puisq
ans la journée ses membres inférieurs s'étaient contractures. Cette
contracture
n'était pas très forte puisque la malade voulut s
put marcher assez vite pour l'éviter. La frayeur augmenta le degré de
contracture
et le lendemain on l'apportait chez moi. C'était
suggestion hypnotique réussit à diminuer la douleur des genoux et la
contracture
des membres. Le 24 avril les règles ont apparu
a contracture des membres. Le 24 avril les règles ont apparu et les
contractures
ont presque complètement cessé. Le 25 avril, il n
règles sont revenues le 22 mai, il n'y a plus de vomissements, ni de
contractures
, ni de paralysie. Certes je ne saurais considér
'hystérie. Nous avons eu aussi une observation très intéressante de
contracture
hystérique de l'avant-bras. Le membre était resté
furent nécessaires pour en obtenir la guérison. Il s'agissait d'une
contracture
hystérique de l'avant-bras droit, qui durait depu
n. Le cas de cette malade était multiple ; il y avait chez elle une
contracture
hystérique évidente, qui avait été le phénomène d
de début. De plus, à cause du temps considérable pendant lequel cette
contracture
avait persisté, il y avait atrophie musculaire et
tique de l'hypnotisme. En effet, quelqu'un qui, ayant diagnotisqué la
contracture
hystérique, eût voulu d'emblée, après avoir hypno
notique pouvait parfaitement faire disparaître le symptôme hystérique
contracture
, mais ne pas pour cela ramener les mouvements. La
tions de sommeil. Les suggestions dans le domaine moteur (catalepsie,
contractures
) ou sensitif (analgésie), sont les meilleurs moye
hémicontracture de même nom, et dans le cas d'une action double, une
contracture
bilatérale. Alors les réflexes de la rétine dispa
l'irritation des quelques parties de la rétine on peut provoquer des
contractures
réflexes en divers muscles du corps. Il continue
uton ou de la flamme d'une bougie mise à sa place, il se produira une
contracture
totale. Par conséquent, à la suite d'une irritati
suite d'une irritation unilatérale du nerf optique, il se produit une
contracture
bilatérale. L'auteur a continué ses recherches
ertaine distance de celui-ci, les irritations provoquent toujours une
contracture
bilatérale. 2° Sur la rétine on trouve deux cha
fer ayant été faites sur une hystérique, on pourra se demander si les
contractures
n'ont pas été suggérées d'une façon inconsciente,
l, troubles de la sensation musculaire, de la sensibilité, de la vue,
contracture
traumatique des extrémités inférieures, dipsomani
on l'on obtient tous les phénomènes bien connus : des paralysies, des
contractures
, des anesthésies, des transformations de la perso
j'ai pu, pour ma part, faire disparaître les troubles suivants : a)
Contractures
hystériques (quelques séances suffisent dans la p
mière ou les premières séances, contre certains symptômes tels qu'une
contracture
ou une paralysie psychiques, il est presque inuti
fait disparaître, à l'aide de la suggestion, un phénomène tel que la
contracture
, on peut voir survenir un autre trouble, qui peut
dans sa première jeunesse, elle a eu des troubles hystériformes, des
contractures
passagères, la boule hystérique, qui, d'ailleurs,
ai publié dans la France médicale, du 25 Mai 1894, sous la rubrique :
Contractures
, ankyloses, mystères et miracles, après avoir pro
res et miracles, après avoir prouvé la possibilité de la guérison des
contractures
et des ankyloses par la simple influence du moral
erve, il appliqua la même interprétation à d'autres phénomènes, à des
contractures
, à des mutismes, à des anorexies. Beaucoupd'au-te
ccidents que les hystériques peuvent avoir, somnambulismes spontanés,
contractures
, attaques, délires prolongés pendant plusieurs mo
lysé. L'avant-bras est en privation; les fléchisseurs sont légèrement
contractures
; le biceps et le brachial antérieur sont aussi en
rement contractures; le biceps et le brachial antérieur sont aussi en
contracture
permanente. D'ailleurs, aucune douleur. La petite
et pendant la contraction des muscles frontaux. Si le muscle est en
contracture
la peau du front de ce côté est plus rugueuse,
soixante-cinq aus. Paralysie prédominante sur le membre inférieur ;
contracture
avec exagération des réflexes. Diminution de la
e dans le membre supérieur; diminution et retard de la sensibilité.
Contracture
avec exagération des réflexes. Le facial infé
e gauche depuis sept ans, à prédominance sur le mem- bre supérieur.
Contracture
. Le facial inférieur gauche est paralysé. La co
nte ans. Hémi- plégie droile syphilitique survenue à trenle-un ans.
Contracture
très accentuée. Le facial inférieur droit est
aux membres supérieur et inférieur ; troubles de la sen- sibilité,
contracture
, exagération des réflexes. La paralysie faciale
.., soixante-six ans. Hémiplégie^ droite remontant à dix-huit mois.
Contracture
surtout au membre supérieur qui est de beaucoup
nte ans, d'hémiplégie droite, prédominante sur le membre supérieur.
Contracture
. Pas de troubles de la sensi- bilité. Le faci
miplégie L'ÉTAT DU FACIAL SUPÉRIEUR. 11 gauche en janvier 1896.
Contracture
très accentuée surtout au membre inférieur; par
Amélioration de l'hémi- plégie, qui est encore très accentuée, avec
contracture
, et perver- sion de la sensibilité. Aphasie mot
.., soixante-sept ans. atteint depuis 1888 d'hémiplégie gauche avec
contracture
prédominant sur le membre supérieur. Paralysi
lemment en arrière la commissure buccale droite. Donc tendance à la
contracture
dans le territoire du facial inférieur. Les rid
n XXVII. - M... Louis, soixante-dix ans. Hémiplégie gauche en 1895.
Contracture
très accentuée des membres. Le pli naso-génien
nquante-cinq ans. Début de l'hémiplégie gauche à quarante-sept ans.
Contracture
très accentuée. Mouvements du bras presque tota
che quand le malade parle ou rit. Le facial supérieur gauche semble
contracture
: Les rides sont plus accentuées de ce côté, le
es hallucinations. Les malades caractérisés par leur attitude, leur
contracture
et immobilité générale, leur passivité, ne se m
utile; il peut même être dangereux en favori- sant l'apparition des
contractures
. L'emploi de l'électricité doit être réservé au
nerveuses unilatérales d'origine centrale (hémiplégie avec ou sans
contractures
, sclérose eu plaques disséminées à forme hémipl
eville, puis par la recherche d'éléments d'appréciation tels que la
contracture
précoce, la déviation conjuguée de la tête et d
inuer jusqu'à un certain point l'intensité de la paralysie et de la
contracture
, et éviter complètement l'arthrite si douloureu
hystériques particuliers tels que les attaques, les paralysies, les
contractures
, les troubles tro- phiques et l'hystérie viscér
t de l'hémiplégie infantile qui doit être respecté, sur celui de la
contracture
hystérique, des myélites spasmodiques, de la pa
avec myosites, oedèmes, paralysies et rétractions atrophiques avec
contractures
consécutives ; mortalité de 8,2 p. 100. Une réc
e huit mètres. La maladie a présenté les particularités suivantes :
contracture
des membres inférieurs, lesquels sont croisés e
insi que sont successivement passés en revue, les para- lysies, les
contractures
, les réflexes tendineux, l'astasie et l'abasie,
s beaucoup plus fréquent chez les enfants que les paralysies et les
contractures
, l'aphonie, le blépharospasmc, le tremblement,
ar le plus grand nombre des cas d'hystérie grave, les paralysies et
contractures
, l'astasie-abasie, et surtout les cas types de
peut rapprocher certaines raideurs mus- culaires, des spasmes, des
contractures
, des accidents tétani- ques et catatoniques, et
tales. Paris, 1897. 346 CLINIQUE MENTALE. de connaissance, avec
contracture
généralisée, durant quatre à cinq minutes. Cela
reprises des symptômes d'hystérie (somnambulisme, crises à forme de
contracture
, sensation de boule). Cette dégénérée hystériqu
it pour persister uniquement dans le gauche, en même temps que la
contracture
envahissait de plus en plus le membre du même côt
plètement disparu du côté droit, se maintenait dans le gauche où la
contracture
a envahi le membre correspondant; que dans l'es
ble .'i2 pages. Ferrara, 1899. Z Hridano. Grasset et Giheiit. Les
contractures
el la portion spinale du fais- ceau pyramidal (
à forme aiguë, les autres plus ou moins graves à forme chronique :
contracture
de la tête en opistotonos, tremblement exagéré
enfants bien constitués également à terme. Elle ne s'aperçoit de la
contracture
des deux membres inférieurs que trois semaines
être écartées même sous l'influence d'un effort considérable; cette
contracture
était perma- nente, elle ne s'atténue pas penda
a mémoire est bonne. A deux ans et demi, il présente tou- jours une
contracture
intense des deuxmembres inférieurs, prédo- SO
rt. IL Traumatisme violent de la région temporo-pariélale droite,
contracture
secondaire et permanente des membres supérieur et
r, ni se tenir debout : dès qu'il veut faire exécuter à ses membres
contractures
le moindre mouvement, ils sont pris d'un trembl
crit un mouvement spiroïde, s'appuie à peine sur le talon, est plus
contracture
et présente un tremble- ment marqué. Le côté ga
abolie'au niveau des membres paralysés. Quel- ques jours plus tard,
contracture
du membre inférieur droit avec exagération des
. Le lendemain, paralysie complète, flasque, sans convulsions, ni
contractures
des quatre membres ; face respectée, pas de doule
é trop gênant. (Revue 12etti-ologigtie, mars 1899.) E. B. VI. Les
contractures
et la portion spinale du faisceau pyramidal; pa
éorie que le chapitre du cordon latéral et de ses rapports avec les
contractures
. Tout d'abord, l'auteur démontre la réalité et
tomo-clinique (qui découle des premiers travaux de Charcot) : les
contractures
permanentes et l'état pariéto-spasmodique d'origi
linique se rencontrent dans les huit groupes de faits suivants : 1"
contracture
tardive permanente des hémiplégiques ; 2° sclér
t comme cliniquement démontrée la corrélation cons- tante entre les
contractures
(et l'état spasmodique) d'une part et la lésion
la lésion ou l'absence des faisceaux pyramidaux entraine-t-elle la
contracture
permanente ou l'état pariéto-spasmodique ? Depu
rce cérébrale. Et alors à tous les auteurs on objecte : pourquoi la
contracture
n'apparaît- elle que quand la lésion atteint la
e le professeur Grasset place dans la protubérance. En résumé, la
contracture
d'origine spinale est bien liée à l'alté- ratio
n spinale du faisceau pyrami- dal ; cette altération déterminant la
contracture
par la suppression de l'action inhibitrice du t
uelle succéda bientôt une hémiplégie complète ; des phénomènes de
contracture
ne tardèrent pas à apparaître. Pendant un an envi
présentait une hémiplégie gauche totale avec atrophie musculaire et
contractures
particulièrement accusées au membre supérieur ;
peut, par suggestion, obtenir le transfert d'une paralysie ou d'une
contracture
, comme on peut aussi guérir ces affections par su
x formes : to une forme pure dont les symptômes, la douleur et la
contracture
, oflrent des caractères tout particuliers, sans p
d'eschares et la mort dans le coma profond pouvant s'accompagner de
contractures
des membres para- lysés et de mouvements convul
du membre infé- rieur. Les réflexes tendineux sont exagérés. Pas de
contractures
. Température 38°,3, pouls 80. DE L APOPLEXIE
tant un peu moins atteinte. Les réflexes demeurent exagérés. Pas de
contractures
. Température 3cJ°,5. Poulsl20. Bientôt survient
é droit. Insuffisance aortique d'origine artérielle. Dans la suite,
contracture
du côté hémiplégie. '. - Le 14 février 1894, à'
qu'une légère grimace. Il existe donc une hémiplégie droite avec
contracture
et une hémiplégie gauche flasque avec hémihypos-
traitement de cette affection. L'aspect caractéris- tique c'est la
contracture
de quelques groupes musculaires des 232 REVUE D
ulaires des 232 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. membres inférieurs. Cette
contracture
frappe les adducteurs et fléchisseurs de la cui
ns ces cas une élongation et une myorrhexie. Dans les cas d'extrême
contracture
des muscles adducteurs, il éloigne ce groupe, e
z recourt à son ostéoktast redres- seur et corrige les plus grandes
contractures
en une séance. Après avoir ôté l'appareil Hoffa
membre supérieur gauche, la paralysie estcomplète avec début d'une
contracture
en flexion de l'avant-bras sur le bras et des doi
se un très léger mou- vement de flexion du minime amplitude. Pas de
contractures
. OBSERVATIONS D'HÉMIPLÉGIE AVEC HÉ\fl.ANESTHÉSI
inférieur, l'oedème remonte jusqu'au genou où apparait un début de
contracture
en flexion. Mêmes douleurs arti- culaires sauf
arti- culaires sauf au niveau du cou-de-pied. ,6 janvier 1899. -
Contracture
en flexion du membre supérieur et du membre inf
lante et sur le dos du pied gauche sont de plus en plus vives ; des
contractures
sont nettement établies et l'on note pour la pr
ewart. (British med. Journal, jan- vier 1899.) L'ancienneté de la
contracture
a produit une déformation per- manente de la ma
PATHOLOGIE NERVEUSE. de symptômes (réflexes du genou, anesthésies,
contractures
). Il insiste en terminant sur la valeur du sign
e. Exercices compensateurs de Frenkel. P. Keraval. XLV. Un cas de
contracture
congénitale avec hypertrophie de l'ex- trémité
S. KAUSCHER. (l'eurolo3. Cen- lrulûlcatt, \'I1, 1898.) C'est une
contracture
congénitale et permanente accompagnée U'une aug
phalangettes, les fléchisseurs de la main du côté du cubitus. Cette
contracture
permanente, en entraînant la flexion des doigts
ypothénar, ce qui indique une hypertrophie vraie. En un mot, il y a
contracture
de quel- ques muscles innervés par le cubital e
ation électrique du cubital. C'est une anomalie physiologique. La
contracture
congénitale de ce fait pourrait peut-être être
ec la paralysie infantile cérébrale à forme monoplé- gique, avec la
contracture
tardive post-hémiplégique, avec la dys- trophie
osologiqne du syndrome de Little, et physiologie pathologique de la
contracture
vraie ou organique. Le travail commence par u
servir à la discussion des nombreuses théories pathogéniques de la
contracture
organique. Nous ne saurions entrer dans le déta
plus récentes sur le syndrome de Little et sur la pathogénie de la
contracture
; elle "constitue, avant tout, une oeuvre person
les membres supérieurs également; cette paralysie est flasque, sans
contracture
. Les muscles du tronc et de la ceinture scapulo
ébarrasseraient de ses poisons et par suite de cette tension qui le
contracture
. P. KERAVAL. XXIV. Abus d'éther dans la Prusse
ubles sensoriels péni- bles, particulièrement de la vue et du goût.
Contractures
du côté 438 CLINIQUE NERVEUSE. gauche, suivie
erreur : perte de 490 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. connaissance,
contracture
tonique généralisée, mutisme par para- lysie de
e à la guérison au bout de douze mois de paralysie; -l'absence de
contracture
de la moitié paralysée. Le raphé de la langue ne
. Fenayrou, 257. Congrès des aliénistes et neurolo- gistes, 59.
Contracture
. Un cas de congéni- tale avec hypertrophie de l
frères ont eu des convulsions. Observation XI. M"° D..., douze ans.
Contracture
hysté- rique. Père original. - Mère hystérique.
e rhumatisante, chorée. Observation XIII. - M"0 F..., dix-neuf ans.
Contracture
hystérique. Le père a été atteint plus tard de
érapie. Sa mère, à la suite d'une plaie légère à la fesse, a eu une
contracture
du membre inférieur qui a duré plusieurs mois.
mains. La paralysie des membres est une paralysie spasmodique. La
contracture
n'est pas assez prononcée pour que les membres
téraux, du moins du faisceau pyramidal, par de la paraplégie avec
contracture
, accompagnée de l'exagération de la réflectivit
daient de la lésion du cordon latéral, à savoir : la paralysie avec
contracture
des quatre membres, et l'exagération des réflex
tés inférieures une certaine rigidité, qui allai parfois jusqu'à la
contracture
complète. A peu près en même temps, douleurs de
ire, diminution du sens musculaire, puis paralysie de la vessie; 2°
contracture
en flexion des membres inférieurs; 3° conservat
éflexes est la règle et les membres ordinairement flasques ou peu
contractures
; si, au contraire, cette sclérose laisse intact
postérieurs et latéraux, il ne sur- vient ni rigidité musculaire ni
contracture
, si l'affec- tion des cordons postérieurs s'éte
é que par le passé et. pas plus qu'autrefois, on ne peut obtenir de
contracture
artificielle. On fait marcher l'enfant, les veu
vements étaient pareils des deux côtés ». Le pouce gauche est resté
contracture
dans la paume de la main, pendant six mois. Rien
ent caractérisée; incoordination des mouvements sans paralysie ni
contracture
. A l'entrée du malade à l'hôpital on constate t
d'origine nerveuse peut être détermi- née soit par le spasme ou la
contracture
des sphincters, soit, et le plus souvent, par l
sclérose en plaques et en particulier celles qui s'accompagnent de
contracture
des membres peuvent offrir ce même trouble de l
s'agit d'un homme de vingt et un ans, fils d'alcoolique, atteint de
contracture
permanente des membres inférieurs avec pieds bots
permanente des membres inférieurs avec pieds bots, qui présenta des
contractures
passagères des autres membres, des attaques con
i-cher).qui ne parait pas constante. Une seule fois on a observé la
contracture
tardive en rapport avec une dégénération descen
peuvent comme elles entraîner une dégénérescence descendante. Les
contractures
et les convulsions épileptiformes n'accompa- gn
le ép11 ! ière, p. 221. - 13rissaud. - Rrcla.jZnaf. et phys. sur la
contracture
permanente des hémiplégiques, 1S80, p 3t. 3 F
ous ses modes ainsi que réflexes et contractilité faradique. Pas de
contractures
ni de troubles trophiques. Paralysie complète d
degré de rotation du menton qui est porté à droite, par suite de la
contracture
des muscles de la nuque, sans qu'il y ait rotat
int). Cette paralysie est complète, flasque, sans convul- sions, ni
contractures
. La piqûre de l'épingle n'est pas sentie ni au
tanés et tendineux conservés ; sensibilité diminuée. Du côté droit,
contracture
du bras en flexion et légère griffe de la main;
droit, contracture du bras en flexion et légère griffe de la main;
contracture
en extension de la jambe et impossi- bilité de
la disparition des réflexes tendi- neux, l'absence de rigidités ou
contractures
dans tout le cours de la maladie, la complicati
quent et l'absence de réflexes ten- dineux et celle des raideurs et
contractures
malgré la lésion des cordons latéraux. La doubl
sement et démence graduelle. Plus tard, hémiplégie gauche suivie de
contracture
des muscles du cou et de la face du côté droit.
'à côté elles sont devenues rigides, ankylosées, tordues de par les
contractures
musculaires. Signalons l'atrophie avec rigidité
us compatible avec l'existence de l'indi- vidu, l'amyotrophie et la
contracture
que l'on voit dans l'observa- tion succéder aux
titulée : IlysLéro-épilepsie à crises COI1\ ul- sives ; attaques de
contracture
; sommeil, hallucinations persistant après le ré
ut user de violence. Ce n'est donc pas de la catalepsie, mais de la
contracture
avec rigidité, c'est-à-dire un phénomène couran
r RorERT. Thèse de Pa- ris, 1884. Etude clinique sur une forme de
contracture
infantile intéressant particulièrement les musc
diplégies spasmodiques, sous des aspects variés. La paralysie et la
contracture
, en règle générale, prédominent dans les membre
générale, prédominent dans les membres inférieurs, mais les cas de
contracture
et paralysie généralisées dans lesquels le syndro
e sont pas rares (PI. 1 il V). L'intensité de la paralysie et de la
contracture
est extrêmement variable chez les différents ma
s dysbasies plus ou moins accentuées et par de légers phénomènes de
contracture
, mis en évidence dans la marche, au moment du c
raire de ceux- là, il existe d'autres malades chez qui paralysie el
contracture
atteignent le degré le plus élevé ; certains re
is, chez des malades pré- sentant des phénomènes de paralysie et de
contracture
minimes, les mou- vements anormanx sont extrême
sont étendus complètement inertes et présentent un certain degré de
contracture
qui augmente durant les jours qui suivent l'ent
sse de l'hémiplégie flaccide, soit de l'hémiplégie spasmodique avec
contracture
. Les dimensions des pas, l'attitude que présent
nt ces 47 heures n'a pas bougé ni pour uriner, ni pour s'alimenter.
Contracture
des sourcils, raideur des mem- bres sans catale
e un peu d'un moment à. l'autre, toutefois ou ne remarque jamais ni
contractures
, ni spasmes. La sensibilité si la douleur est c
il survint une paraplégie douloureuse avec des amyotrophies et des
contractures
, accompagnée d'un état de sclé- rose de la peau
. - L'hémi- plégie droite est très intense. Le membre supérieur est
contracture
en flexion très marquée ; la malade peut exécut
econdes. Le réflexe olécranien est très exagéré. La paralysie et la
contracture
sont beaucoup moins marquées au membre inférieu
ales périphériques, d'intensité moyenne, sont souvent suivies de la
contracture
des muscles primitivement para- lysés. Duchenne
avec une remarquable préci- sion les caractères cliniques de cette
contracture
tardive. Les muscles du côté paralysé, dit-il e
eur force tonique la régularité des traits se rétablit. Si alors la
contracture
se développe, elle détermine très vite un entra
une déformation inverse de celle qui existait au début (1). Cette
contracture
tardive des muscles faciaux s'accompagne, dans un
iale quittait la période de flaccidité pour entrer dans la phase de
contracture
. On remarqua plus tard que des contractions ana
ions persistaient quelquefois pendant toute la durée de la phase de
contracture
. Pareilles constatations ont été faites surtout p
intermittentes et rythmiques, survenant dans l'hémiface atteinte de
contracture
post-paralytique, et ana. logues à celles que p
la com- missure labiale que signale Dejerine (1) dans la période de
contracture
de la paralysie faciale périphérique. La répéti
sistance, la grimace disgracieuse qu'elles provoquent, jointes à la
contracture
permanente à laquelle elles se surajoutent, sont
alades, atteints de paralysie faciale ancienne parvenue au stade de
contracture
, le sourcil se relève pendant l'occlusion de l'
s, des mou- vements convulsifs qui peuvent s'observer la période de
contracture
de la paralysie faciale périphérique. Bien que,
aspect fasciculaire ou parcellaire, leur apparition sur un fond de
contracture
permanente, leur brusquerie, leur manque d'adap-
emblables à l'observation précédente, dans lesquels, sur un fond de
contracture
en masse, définitive, réalisant une grimace san
ent physiologique des paupières (2). Pour distinguer ces états de «
contracture
frémissante », peut-on se fier à un signe donné
core les caractères d'une paralysie flasque sans aucune apparence de
contracture
secondaire. - Iluer et Lejonne, Paralysie facia
rquer en passant que notre malade présentait ; comme éléments de la
contracture
de son hémiface anciennement para- lysée, de l'
e cas de paralysies faciales périphériques, parvenues à la phase de
contracture
, dans lesquels exis- taient des contractions fi
'existenced'untabio-btépharospasme intermittent qui accompagnait la
contracture
permanente de t'hémiface anciennement L paralys
ites palpi- tations faciales constantes, sans accès paroxysmique de
contracture
frémis- sante, sans fond de contracture permane
sans accès paroxysmique de contracture frémis- sante, sans fond de
contracture
permanente, et sous lesquelles on décou- vre qu
appréciable, de la fente palpé- 394 PITRES Er ABADIE £ brale, de
contracture
^ passagère frémissante ou non de l'hémiface droit
lysies faciales, du type périphérique, parvenues à la phase dite de
contracture
. Cette contracture se mani- feste en clinique p
type périphérique, parvenues à la phase dite de contracture. Cette
contracture
se mani- feste en clinique par une hypertonicit
ents associés de la face, depuis longtemps décrits dans la phase de
contracture
de la paralysie faciale périphérique. Spasmes syn
Le pied est un peu cambré, les doigts sont légèrement fléchis sans
contracture
: on n'observe pas là de déformation du pied qu
-dessus du plan du lit. La répétition du même mouvement provoque la
contracture
du membre. La jambe gauche est tout à fait immo
fait immobilisée. La motilité passive est difficile, à cause de la
contracture
qui survient lorsque le mouvement est fait un p
ies spasmodiques, avec exagération des réflexes, signe de Babinski,
contracture
musculaire (Babinski, Sicard et Descomps, Blanc
eu- rologique, janvier 1903). E. B. IV. Sur un cas remarquable de
contracture
post-hémiplégique; par les Dr. DEVIC et Gallava
précoces qui accompagnent parfois les hémiplégies avec ictus et les
contractures
tardives, il peut se manifester moins de 24 heu
anifester moins de 24 heures après le début d'une hémi- plégie, une
contracture
hâtive persistante. 2° Cette contracture peut e
ut d'une hémi- plégie, une contracture hâtive persistante. 2° Cette
contracture
peut envahir un membre, alors que l'autre reste
lors que l'autre reste flasque. 3° Dans l'observation rapportée, la
contracture
, localisée au membre infé- rieur était en flexi
envisager. » (Revue neurologique, octobre 1903.) E. B. XV. De la
contracture
secondaire du releveur de la paupière supé- rie
de Biologie, 30 mai 1903) les auteurs ont exposé l'importance de la
contracture
secondaire du releveur palpébral dans le cours de
gie pathologique et le diagnostic différentiel. La présence d'une
contracture
secondaire survenue dans le cours d'une paralys
attaques épilepti- formes, des ictus cérébelleux, des paralysies et
contractures
. L'in- tégrité de la sensibilité générale est c
Latzko et auquel il attribue une grande valeur diagnostique : « la
contracture
des muscles adduc- teurs avec impossibilité de
déterminant une douleur du côté des os du bassin, plutôt que d'une
contracture
des adducteurs. G. C. 70 REVUE D'ANATOMIE ET
ts aigus paralytiques (paralysie surtout) ou con- vulsifs (tétanie,
contractures
permanentes, accès épileptiques gé- néralisés).
gravité et d'une intensité extrêmes, avec '180 SOCIÉTÉS SAVANTES.
contractures
généralisées. Quand l'hystérie atteint de telles
aillées concernant les troubles moteurs (rétractions, amyotrophies,
contractures
, etc.) qui surviennent au cours de psychoses. C
Des rétractions musculaires et de l'amyotrophie consécutives aux .
contractures
et aux attitudes stéréotypées dans les Psychoses.
serve couramment des phénomènes musculaires spasmodiques, raideurs,
contractures
, attitudes sté- réotypées qui, dans un petit no
tre observations détaillées en fournissent des exemples variés. Ces
contractures
et ces atrophies musculaires, chez les stupides
formes à accès (74,60 p. 100), moins encore dans les paralysies et
contractures
(65,38 p. 100). Ce phénomène, se rencontrant da
(84,12 p. 100) elle est moins constante que dans les paralysies et
contractures
(73,07 p. 100), moins encore dans les anesthési
gnées d'anesthésie (63,63 p. 100), puis viennent les paralysies et
contractures
(61,53 p. 100) et enfin les accès (31,74 p. 100).
) elle se rencontre à peu près aussi souvent dans les paralysies et
contractures
(53,73 p. 100), et dans lés accès (57,14 p. 100
cas. Surtout fréquent dans les formes accompagnées de paralysies et
contractures
(11,53 p. 100), le clonus du pied est un peu mo
idit d'une façon spasmodique s'accompagnant d'un cer- tain degré de
contracture
qu'il est difficile de vaincre, ce qui étonne é
aussi grande pour le diagnostic que les con- vulsions toniques, les
contractures
hystériques. - 2° Parfois plus complexes, ils r
ion ancienne de certains centres dont dépen- dent les phénomènes de
contracture
vasculaire; peut-être s'agit-il d'altérations f
is, tous les quinze jours il a les mêmes accès en éprou- vant de la
contracture
dans la région massétérine. Un d'entre eux se b
Newmark qui concerne un étudiant en médecine de vingt-trois ans, la
contracture
est un peu plus pro- noncée, et les palpitation
égèrement fermée, le pouce en dedans. Le membre entier présente une
contracture
presque invincible ; les mouvements spontanés y
extension sur la jambe. Le membre entier est paralysé et en état de
contracture
. La sensibilité y est diminuée au tact, à la te
membre supérieur les mouvements spontanés sont à peu près nuls; la
contracture
très prononcée, dans la flexion pour le coude e
s mêmes particula- rités. La seule différence consiste en ce que la
contracture
s'est faite dans l'extension. Le pied a l'att
signe de Kernig peut se fur- muler ainsi : « Ce signe est dû. à la
contracture
de défense des muscles fléchisseurs de la cuiss
le nom dhé- mispasme facial vrai; les seconds (deux observations),
contractures
anciennes ou récentes de la face, étaient des m
aient des manifestations sur- venant chez des hystériques en mal de
contracture
, ils les appel- lent hémispasme facial hystériq
gnostic' auquel on puisse songer est la paralysie faciale suivie de
contracture
. G. Carrier. LV. De la forme la plus habituelle
de avec le syndrome spasmodique habituel : hypertonie musculaire,
contracture
, exagération des réflexes rotuliens, souvent trép
un besoin incessant de mouvement. Il y avait absence de spasmes, de
contractures
; l'état intellectuel était normal. ' REVUE DE P
ar le malade. Les symptômes nerveux consistaient en une paraplégie (
contracture
douloureuse des adduc- teurs) et de l'exagérati
omme forme psycho-pathologique auto- nome, par Soukhanoff, 414.
Contracture
. Sur un cas remarqua- ble de post-hémiplégique,
Parallélisme. Le moderne, par Moskiewicz, 321. Paralysie. De la
contracture
secon- daire du releveur de la paupière supér
actions musculaires. Des - et de l'amyotrophie consécutives 1 aux
contractures
et aux attitudes stéréotypées dans les psychose
ections nerveuses : chorées, tics, attaques convulsives, anesthésies,
contractures
et parésies hystériques, hoquet hystérique, bléph
nt que c'est grâce à l'état de contraction continue et à une sorte de
contracture
des muscles fléchisseurs des doigts. Donc si le s
gauche opéré pendant le sommeil hypnotique profond. Jules Voisin :
Contracture
hystérique, guérison par la suggestion. Wolf :
bras est raide ; je ne peux pas plier le coude. Le membre est rigide,
contracture
. Je lui dis de tourner les bras, et j'affirme qu'
amener le rétablissement rapide de la sensibilité. Dans les cas de
contracture
hystérique, il est de règle, à notre clinique, de
é disparut sans laisser de traces. » Il s'agissait sans doute d'une
contracture
hystérique. « C'est encore par la vertu du sign
sement de la tête, qui restait encore inclinée à droite à cause de la
contracture
des muscles du cou. Deux autres jours suffirent p
s muscles du cou. Deux autres jours suffirent pour faire cesser cette
contracture
. Il ne restait plus alors que les douleurs dorso-
té spinale se traduisant par de vives douleurs le long du rachis, des
contractures
, la trépidation épileptoïde et les pertes séminal
r soit purement auto-suggestive. Les crises d'hystérie convulsive, la
contracture
hystérique, ne sont pas des phénomènes d'imaginat
un peu forte et prolongée, la contraction se transforme facilement en
contracture
permanente. Dans l'état léthargique, l'anesthés
peau, développer dans ce membre un état de rigidité qui diffère de la
contracture
due à l'excitabilité neuro-musculaire, en ce qu'e
longtemps sans aucune fatigue apparente. Or il n'y a aucune espèce de
contracture
dans ce membre, il n'y a aucune similitude entre
ent l'estomac devient intolérant pour toute nourriture, l'œsophage se
contracture
et l'on est obligé de nourrir la malade à la sond
venir un équivalent somatique ou psychique de la fatigue, tel que des
contractures
musculaires ou des obsessions diverses, qu'on peu
sculaires ou des obsessions diverses, qu'on peut considérer comme des
contractures
psychiques. La fatigue émotionnelle « casse bra
urie. La malade reste huit jours sans uriner. Puis apparaissent des
contractures
qui décident la malade à entrer à la Salpêtrière.
demoiselle de magasin, mais, là, l'hystérie la reprend sous forme de
contractures
. Ces contractures apparaissent subitement, sans
in, mais, là, l'hystérie la reprend sous forme de contractures. Ces
contractures
apparaissent subitement, sans aucun avertissement
on parvint à la guérir à peu près complètement de ces malencontreuses
contractures
. La vie, pour ces malades, peut devenir absolum
t pas en extension, il restait collé contre le corps, immobile. Cette
contracture
durait généralement de cinq à dix minutes. Elle
agnées pour le sujet d'aucune sensation consciente ; 3° Tendance à la
contracture
dans les parties visées cet effet se produit surt
veil. M. de Meissières cite comme exemple une malade qui présenta une
contracture
des mains à la suite d'un réve où elle croyait jo
, lorsqu'elle est bien accentuée, elle s'accompagne aisé- ment de
contracture
. Il suffit chez quelques-uns d'étendre Tavant-bra
n effort plus ou moins considérable. C'est une véritable dia-ihèse de
contracture
. Parfois on peut déterminer, dans les membres s
estion, si je puis dire, à la tendance cataleptique. La diathèse de
contracture
, qui existe à un degré variable dans cet état» s'
plus l'influence cérébrale modératrice, s'exagère et tende à devenir
contracture
. C'est aussi en raison de cette inertie psychiq
suspension qui peut devenir très longue et aboutir à la folie, à des
contractures
, des paralysies ; c'est du reste l'hypothèse émis
sommeil hypnotique suffisant pour permettre de provoquer chez lui des
contractures
artificielles et de lui faire ses premières sugge
u'il est réellement en état d'hypnose en provoquant chez lui diverses
contractures
, et on lui donne uue sugJ gestion-témoin qu'il ex
onférence par des démonstrations expérimentales. Les anesthésies, les
contractures
, les paralysies, les amnésies, les hallucinations
s un laps de temps plus ou moins long, comme dans quelques cas de
contracture
ou de paralysie, des rétractions fibreuses'. S'
paralysies spasmodiques par lésions organiques spinales et dans la
contracture
spasmodique hystérique». Leçon de M Charcot rec
segment de membre. Il n'y a pas de trépidation du pied, ni trace de
contracture
. On fait descendre la malade du lit en l'aidant
ogènes, ni anes- thésies sensorielles, et pharyngée, ni diathèse de
contracture
. Toutefois, il y a un léger rétrécissement du c
ontaire des membres in- férieurs soit impossible. Il n'y a pas de
contracture
, mais l'adaptation musculaire pour la marche et
lers ; elle reste fixe, légèrement courbée en avant par suite de la
contracture
dont les muscles du cou sont le siège. La malad
-là, il est fréquent d'observer, pendant les der- niers stades, des
contractures
des extrémités (exclusivement sur les fléchisse
niens, il n'y a pas d'altérations motrices. Point de crampes, ni de
contractures
. Des mouvements fibrillaires s'observent dans l
is minutes dans les muscles de la main droite alterna- tivement des
contractures
spasmodiques décrites plus haut, mais à un degr
'autre, la para- lysie est avec rigidité. Dans ce dernier cas, la
contracture
est trop facile à distinguer pour que l'erreur
és de ce côté, puis il reporte la tête à gauche; la face rougit, la
contracture
devient générale; le cou est en extension ; le
on ; le tronc raidi se dresse à moitié; les membres supérieurs sont
contractures
dans la flexion ; le pouce est dans la main, le
gauche. Les con- vulsions continuent. La face devient cyanosée. La
contracture
est plus marquée à droite : une écume peu abond
qu'en cherchant bien on trouvera qu'il existe presque toujours une
contracture
de quelques muscles, si même le système muscula
inhérents à ce qu'il a appelé la diathète de 268 REVUE CRITIQUE.
contracture
, et les sujets qui sont en proie aux attaques de
nt de l'observation, on sera presque certain de voir apparaître une
contracture
, tout au moins partielle, le lendemain ou les j
uivants (Boutges, OBS. XI). Il est des cas, avons-nous dit, où la
contracture
est pour ainsi dire totale. Notre malade était
es, jusqu'à ce que la fatigue physiologique des muscles rompit la
contracture
; il présentait ainsi les phénomènes de la fausse
rs un certain groupe musculaire où se localise très spécialement la
contracture
: nous avons nom- mé les muscles masticateurs.
ble d'avoir recours. Nous placerons sur le même plan une sorte de
contracture
intermittente des muscles orbiculaires des paup
frémissement noté dans nombre d'ob- servations. Si l'on rompt cette
contracture
des orbiculaires par l'ouverture forcée des pau
sant pour faire DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 269 entrer en
contracture
les muscles de l'oeil, car, lorsqu'ils n'y sont
ve pas au-desus de38° ,5. Etant donné la disposition constante à la
contracture
que nous avons notée, il ne faut donc pas s'éto
en proie depuis 28 heures à une attaque de sommeil accompagnée de
contractures
généralisées. Le cathétérisme évacua 200 gram-
p. 61. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 283 cependant, sur la
contracture
, phénomène fréquent qui se montre tantôt et à l
e accompagnée d'hémianes- thésie sensitivo-sensorielle et de légère
contracture
principale- ment au bras, paralysie hémiaciale
olution musculaire étant plus ou moins complète, la paralysie ou la
contracture
ne se limitent pas exactement à un côté du corp
hémiplégie hystérique ; le pronostic en est bénin. Au contraire, la
contracture
rapide des membres dans les lésions organiques
de la température, tandis que l'hystérique contracturé vit avec sa
contracture
et une température normale. Supposons donc, a
ents divers (névralgies, vomissements, toux nerveuses, anesthésies,
contractures
, spasmes de 1'urèthre, trou- bles psychiques, e
la plante du pied présenta, un tétanos généralisé avec crises de
contractures
très douloureuses. Le bromure de potassium fut
choréiformes ou tétaniformes. De même que les convul- sions ou les
contractures
, les états cataleptiques sont aussi très fréque
ions qu'auraient pu produire les ongles. Il n'y avait d'ailleurs ni
contractures
, ni rétrac- tions. Les exemples de ce genre son
IN-. ,186 bibliographie. VI. Hystérie et traumatisme (paralysies,
contractures
. arthralgies, hystél'o-traumatiques); par M. B
la flexion, et très rare- ment dans l'extension. Les arthralgies ou
contractures
doulou- reuses se localisent ordinairement à l'
évidence indiscutable. Les manifestations somatiques, telles que les
contractures
, les anesthésies, les paralysies, sont en effet d
ait les mêmes constatations. Il a étendu ses recherches à l'étude des
contractures
musculaires et, en particulier, à celle du phénom
e à la face un phénomène qu'on peut considérer, soit comme un tic par
contracture
des muscles du côté droit, soit comme une paralys
a commissure labiale, on trouve, au lieu d'un relâchement, une légère
contracture
. C'est donc bien de paralysie, ou si l'on veut, d
odifications motrices et sensitives sur tous les membres, paralysies,
contractures
, anesthé-sies, pourquoi ne produirait-elle pas ce
ême sera devenue incapable de la modifier; elle prend alors le nom de
contracture
. Nous trouvons donc pour les phénomènes de motr
a force normale. Le tremblement et les contractions convulsives. La
contracture
. Progression que nous pouvons aussi exprimer et
ée par p; parésie par F—n; tremblement par F+n; paralysie_par F—2n;
contracture
par F+2n, Appliquons maintenant ces données à
eux du corps. Il avait un mauvais estomac, estomac de névropathe avec
contracture
du pylore (clausura pylori). Quand il allait en v
ous décrira dans son mémoire. (A suivre) COURS ET CONFÉRENCES
Contracture
et tic des jambes chez une psychasthénique, par
est, en apparence, tout à fait bien portante. Que sont ces accès de
contracture
, quelle en est la valeur séméiolo-gique? Dans l
acture, quelle en est la valeur séméiolo-gique? Dans la diathèse de
contracture
, décrite par Charcot, il y a bien des raideurs bi
et ne s'accompagnent pas de sensations douloureuses dans les muscles
contractures
; et puis il existe d'autres phénomènes somatiques
fort agitée. Comme elle revient du bain, cette idée la reprend et la
contracture
apparaît. En somme, vous le voyez, l'agitation
ci d'un simple accident hystérique, on appliquerait le traitement des
contractures
et le bromure ne serait nullement indiqué. Mais n
té dans les états délirants d'origine infectieuse. Dr Paul Magnin :
Contractures
et hyperexcitabilité neuro-musculaire chez les
un de ses membres est paralysé, la paralysie se réalise de suite auec
contracture
. Le premier jour où je l'ai hypnotisé, lui ayant
onstaté que sans suggestion visant cet effet, ils s'étaient fortement
contractures
. Fait intéressant, le bras gauche était plus cont
t fortement contractures. Fait intéressant, le bras gauche était plus
contracture
que le bras droit. Comment interpréter ces fa
Ciel ou par l'Enfer. Ce sont toujours les mêmes paralysies, les mêmes
contractures
musculaires, les mêmes névralgies guéries avant-h
nous allons raconter l'histoire, elle avait depuis plusieurs mois une
contracture
de la main. Je lui fis subir une forte friction,
atisée.— Guérison par la suggestion hypnotique. 4. Dr Paul Magnin :
Contractures
et hyperexcitabilité neuro-musculaire chez les hy
e décrire, et qui s'accompagne comme l'a vu Duchartre, d'une sorte de
contracture
, est le sommeil des feuilles au premier degré. El
ient à heurter une feuille de Mimosa pudica endormie dans l'ombre, la
contracture
de cette feuille augmente. Les feuilles de cert
a plasticité (flexibilitas cerea) des muscles dans la catalepsie ; la
contracture
ou le relâchement sans hyperexcitabilité neuromus
a motilité, du relâchement, de l'atonie et de la paralysie jusqu'à la
contracture
, l'hypertonie tendineuse et le tétanos. On ne p
es peuples anciens, les malformations, les stigmates congénitaux, les
contractures
hystériques étaient des signes de la divinité.
main les muscles de fa commissure labiale droite, on y constate de la
contracture
; d'ailleurs celle-ci disparait dans les mouvemen
peux résumer de la façon suivante : par ordre chronologique. Ictus;
contractures
, perte des mouvements et résolution générale; ret
eurologistes, p. 31. Congrès de Madrid (L'Hypnotisme au), p. 319.
Contracture
et tic des jambes chez une psychasthénique, par R
es lombes, et sont surtout appréciables pendant le cathétérisme. La
contracture
des adducteurs signalée la veille persiste. Les
un peu plus étendus au membre supé- rieur gauche, persistance de la
contracture
aux adducteurs des cuisses, une miction volonta
veau des deux ou trois pre- mières dorsales, pas de déformation. La
contracture
des adducteurs de la cuisse persiste. Le cathét
dans toute la région abdominale, les muscles droits sont fortement
contractures
et la pression à leur niveau est très douloureu
mique do six milligrammes de morphine. 122° jour. Persistance de la
contracture
; douleur épigas- trique moins vive. Températur
i- grammes. 14 PATHOLOGIE NERVEUSE. 123° jour. Disparition delà
contracture
dans les muscles droits de l'abdomen. Même impo
membres supérieurs. Douleurs vives à la face antérieure des bras ;
contracture
qui maintient les avant-bras dans la demi-flexi
rnée, il survenait dans l'un ou l'autre des sterno-mastoïdiens, une
contracture
passa- gère, qui néanmoins pouvait durer deux h
es inférieurs par la bande d'Esmarck ne sup- prime avant et avec la
contracture
que la trépidation épileptoïde du pied. Elle es
aisceaux résultant d'une exagération de la tonicité datant de loin (
contracture
). Aucune des autres modalités de la tonicité mu
s font l'objet d'un chapitre particulier, ainsi que les tics et les
contractures
siégeant dans le domaine des différents nerfs.
te suivie ? au"bbut de' huit jours, de douleurs fulgurantes et dé
contractures
. Pendant les six mois que le malade vécut il se
e en bas. La pointe de la langue est un peu déviée à droite. Pas de
contracture
; la face parait flasque dans tous les iiiotive
u membre supérieur droit, avec raideur de toutes les articulations.
Contracture
très pro- noncée de tous les muscles fléchisseu
ité musicale conz- plète. Aphasie partielle. Hémiplégie droite avec
contracture
. Rétrécissement segmentairc du champ visuel. Au
ISION..227 illiplégie droite datant de 1878 : aphasie transitoire ;
contracture
du côté hémiplégique, le membre supérieur dans
athique cervi- cal ; les myosis extrêmes résulteraient encore de la
contracture
du sphincter pupillaire, de par l'altération de
son émergence et amena, à sa grande surprise, un enraie- ment des
contractures
ainsi que des douleurs. Ces deux incidents serv
et le coude gauche. Il souffrait de crampes très douloureuses et de
contractures
des muscles pectoraux ainsi que des muscles du
nt, le plexus brachial à une femme de soixante ans qui accusait des
contractures
douloureuses dans l'extrémité supérieure et une
les exposer ici. Ranke (1882) commu- nique une observation sur une
contracture
congéni- tale qu'il entreprit de combattre en é
radial. Paget6, en 1876, étira avec succès le nerf radial dans une
contracture
doulou- reuse. Blum' : Anesthésie et altération
ille femme de soixante-douze ans, qui, depuis six ans, accusait des
contractures
spasmodiques de la face, en lui étirant le nerf
e, et accusant une disten- sion du pied, un pied varus équin et des
contractures
convulsives. L'élongation du^nerf sciatique ame
nt un amendement. Andrews et Farrer' (Chicago) : Ilaraplé- gie et
contracture
des muscles de l'extrémité infé- rieure, d'orig
voque surtout des phénomènes d'exci- tation, des convulsions et des
contractures
'. Il est douteux que 1'liémorrha-ie sous-arach
qu'ici encore, les phénomènes d'excitation, raideur de la nuque,
contracture
, convulsions cloniques et toniques, doivent pré
de la moelle. Nous devons aussi noter dans cette pé- riode quelques
contractures
dans les muscles des cuisses, traduisant déjà,
ici, que l'observation ne mentionnant pas l'état antérieur de la
contracture
très prononcée des adducteurs des cuisses, cont
La paralysie s'est compliquée d'athétnse au bout de deux mois et de
contracture
. "L'intelligence, qui avait été jusqu'alors res
332 THÉRAPEUTIQUE. e) Nous devons dire encore : 1° que, outre la
contracture
et un certain degré d'alhétose, les membres du
ièvre cérébrale, rémission,- Titubation, divagations, paralysies ft
contractures
, dysphagie, constipation, perte de la parole, c
as sont à demi fléchis. Si on essaie de les étendre on constate une
contracture
manifeste assez facile à vaincre et cette manoe
restreinte. En essayant de les fléchir, on pro- voque aussitôt une
contracture
plus marquée qu'aux bras. La sensibilité cutané
ible, mais les mouvements de la tête semblent toujours pénibles. La
contracture
a notablement diminué. Depuis hier, l'enfant av
n veutl'examiner. Pouls irrégulier, filiforme, incomptable. 19 mai.
Contracture
et raideur des bras très diminuées; strabisme i
n. L'état du malade ne s'est guère modifié : même aspect extérieur.
Contracture
du bras droit, réductible avec peine. Membre in
112 TUBERCULOSE DE LA PROTUBÉRANCE. ralysc, Membre inférieur gauche
contracture
légèrement et d'une fa.çon intermittente. Membr
on met le malade debout, sa tête tombe en arrière. Hémiplégie avec
contracture
du côté gauche du corps. Cinq jours avant le dé
arrhée. Amaigrissement. Accentuation de la paralysie faciale et des
contractures
. Mort. Autopsie. Quelques granulations dans les
s. Six semaines après : Constipation, cris continuels. Céphalalgie.
Contracture
passa- gère des quatre membres. Trois jours apr
latables. Aneathésie. Le lendemain, strabisme, le pouls s'accélère.
Contracture
des quatre membres, stertor, sécheresse de la l
jambe droite : le malade ne pouvait plus marcher. Depuis un mois,
contracture
du bras droit, mastication dif- ficile, pas de
des masticateurs, des muscles du cou et de la nuque; paralysie avec
contracture
et augmentation des réflexes des extrémités dro
thotonos. Tempé- rature du soir 3Sa,5. Pouls 132. Cornées dépolies.
Contracture
des extrémités plus accusée à droite. Coma prof
isit une paralysie complète des membres inférieurs qui entraient en
contracture
dès qu'on voulait les fléchir.. RÉFLEXIONS ; TE
Le réflexe rotulien était exagéré. Les membres supérieurs étaient
contractures
; les mouvements du cou étaient dou- loureux. L
existants : dysphagie,constipation, raideur de la nuque, parésie et
contracture
des membres, s'accentuèrent. La respiration per
BOURNEVILLE et PILLIET. SOMMAIRE. - Idiotie : crises convulsives ;
contractures
; gâtisme; marche, parole, mastication nulles.
nt qui contracte ses sourcils et pousse de légers cris. En plus des
contractures
et des attitudes fixes déjà constatées à l'entr
trop d'efforts à sa situation normale. D'une manière générale, les
contractures
paraissent avoir augmenté, les pupilles réagiss
até. Membres supérieurs ordinaire- ment fixés dans la demi-flexion (
contracture
cédant à une traction faible); il est plus diff
isme. Rougeole. - Coqueluche. - Gourme. - Vaccine. Etat actuel. -
Contractures
des membres inférieurs. - Hy- drocéphalie. Pube
é droit. Du côté gauche, les muscles fléchisseurs de la cuisse sont
contractures
et prennent l'aspect lorsqu'on tire sur la jamb
ais si on cherche à les provoquer, on détermine immédia- tement une
contracture
passagère que l'on parvient du reste à vaincre,
l'intermédiaire de son bord externe et de ses derniers orteils : la
contracture
des mains est moins marquée du côté droit. Le m
itions déjà peu favorables, étant donnés son état intellectuel, ses
contractures
et ses mouvements athétosiques. Malgré cela, no
Etat du faisceau pyramidal (bulbe et moelle) dans qua- tre cas de
contracture
spasmodique infantile (syn- drome de Little) ;
es recherches pour déterminer quel est l'état du faisceau dans la
contracture
sjJi/smodirjuc des encéphalopathies infantile*.
; - cécité dès la naissance. En juin 1895 : aux membres supérieurs,
contractures
prédomi- nant à droite el aux extrémités (doigt
des muscles. Aux membres infé- ' Faisceau pyramidal. 61 rieurs :
contractures
généralisées des deux côtés, avec ilexion et ad
ons, souvent répétées depuis. En avril 1895, facies d'hydrocéphale.
Contracture
spasmodique dans les membres inférieurs, avec g
it eu les bras contour- liés à la naissance ( ? ). - En juin 1897 :
contractures
généralisées aux quatre, membres. Idiotie. Gâti
i- plégie gauche à la suite des premières crises. En juin 189't :
contractures
spasmodiques du bras gauche, avec mouvements at
etits. Ainsi, dans ces quatre cas, le syndrome clinique prédo- 62
Contracture
spasmodique infantile. minant a été la contract
ique prédo- 62 Contracture spasmodique infantile. minant a été la
contracture
spasmodique vraie, comme l'entendait Little. Le
" Raymond a insisté sur l'impossibilité d'expliquer tous les cas de
contracture
spasmodique par la lésion des libres pyramidale
l'usage de ses sens et n'a présenté par la suite ni paralysie, ni
contracture
. - Vacciné à quatre ans. Variole et rougeole lé
li- més. Les mouvements provoqués sont naturels. -I1 n'y a pas de
contracture
. L'enfant ne sait pas se servir de la cuillère,
dû jiscca21.pzlyan21cla-l.l`lmcllm et moelle.) 'dans quatre cas de
contracture
spasmodique ' infantile (syndrome de Lit/lc); p
isme, sujet seulement aux crampes, la nuit, et partant prédisposé aux
contractures
, il éprouve brusquement le troisième jour de sa m
maladie de violentes coliques, est pris de crampes douloureuses et de
contractures
condamnant les mem-: bres pelviens a l'extension
les tient croisés sur la poitrine. Soudain, disparition de l'état de
contracture
, plus lentement toutefois du côte droit qui reste
rise. — Localisation, enfin, les jours suivants, et persistance de la
contracture
ainsi que de l'incapacité de mouvement a la régio
la douleur dans un espace circonscrit affectant la forme d'un gant.
Contracture
, ici: paraplégie, là : Voilà deux manifestations
ie qui n'a d'égale que celle de leur début. Chez le jeune homme, la
contracture
ne saurait être attribuée ni à La sclérose des co
suite et « à plusieurs reprises, il a éprouve de grandes crises avec
contractures
, clownisme et sentiment de strangulation. » La ca
on. » La cause prédisposante a consisté, chez lui, en sa tendance aux
contractures
. La cau'e occasionnelle a été l'affection tébrile
algies invétérées et parmi les antécédents personnels la tendance aux
contractures
. Enfin, la grippe s'est comportée, comme cause oc
mptômes qui peuvent persister â la suite de ces attaques (paralysies,
contractures
, spasmes, tremblements, anesthé-sies, hyperesthés
pouvoir ouvrir la bouche. Elle était complètement devenue muette, par
contracture
des muscles masséters et aussi par impossibilité
nombre de stigmates hystériques (hémianesthésie à gauche, diathése de
contracture
, etc...) Le 26 mars, elle est soumise à l'hypno
rradiant, elle perd complètement connaissance. Les bras se mettent en
contracture
le long du corps; la malade est agitée de secouss
gée de vingt-trois ans, retenu- :au lit pendant de longs mois par des
contractures
hystériques et désespérée de se voir, par suite d
'absence d'initiative intellectuelle; vous ave/vu des para-lysies.des
contractures
, des mouvements suggérés. Nous avons réalisé des
uggestion comme agent thérapeutique ; vous avez vu des hystéries, des
contractures
d'origine psychique, des paralysies fonctionnelle
stérie ; quant aux hystériques avérés si on parvient à transférer une
contracture
ou une paralysie, c'est pour mieux la loger aille
de la retenir. Il en était de même des membres. Il n'y avait donc ni
contracture
, ni état cataleptique des muscles. Toutefois. les
l était placé dans le décubitus dorsal, ses membres étaient raides et
contractures
, sa respiration rapide, plutôt diaphragrnitique q
sujet a présenté, au début de la séance, une attaque d'hystérie avec
contractures
et hallucinations terrifiantes. Pour l'endormir p
é par M. Camuset. Le 26 janvier 18S4, Louis V... se réveilla avec une
contracture
hémiplégique des membres du côté droit, qu'il con
ril de la même année. Ce jour-la, à la suite d'une légère attaque, la
contracture
disparut. Le lendemain ma:in on s'aperçut que le
é tout ce qu'il s'était passé durant les trois mois qu il était resté
contracture
. Il se croyait au 26 janvier : il fut ébahi quand
rbres. De plus, son caractère s'était modifié. Pendant la durée de la
contracture
, il cuit doux et laborieux; depuis sa disparition
L' application Je l'aimant sur la nuque provoque une paraplégie avec
contracture
: le Sujet interrogé se croit a Saint-Urbain, il n
z lui toutes les périodes de l'hypnotisme, et à déterminer toutes les
contractures
spéciales à ses différentes phases. - « Dans l'ét
nt pas souvent d'emblée, même chez les hypnotiques très suggestibles (
contractures
, paralysies, anes-thésies, hallucinations sensori
et, de laisser persister, pendant un certain temps chez un sujet, une
contracture
, une paralysie, une anesthésie. une zone hypnogèn
fflant sur les yeux. Elle présente aussi ce que M. Charcot appelle la
contracture
somnatnbulique, c'est-à-dire qu'en soufflant sur
tnbulique, c'est-à-dire qu'en soufflant sur la peau, on détermine une
contracture
des muscles sous-jacents. Ce caractère, à lui seu
mulation, car il est impossible à un sujet normal de reproduire celte
contracture
. Les caractères psychiques de cet état B sont a
fié ; la catalepsie n'est plus possible à déterminer, non plus que la
contracture
somnambulique. Au point de vue psychique, la mé
e. - Premières con- vulsions à trois ans suivies d'hémiplégie et de
contracture
de la jambe gauche. Début de l'épilepsie à 3 an
. Les réflexes sont très prononcés. Le membre est en imminence de
contracture
. Membres inférieurs. - L'asymétrie est égalemen
a trépidation épileptoïde, difficile à trouver à cause de l'état de
contracture
du membre. On la trouve cependant dans certaine
s stupeur, l'intelligence n'est pas atteinte. Pas de convulsions ni
contractures
, pas d'iné- galité pupillaire. Toux fréquente,
e état, avec affai- blissement plus grand. Pas de convulsions ni de
contracture
de la nuque. Dyspnée plus grande. Vomit tout ce
n. Les réflexes sont très prononcés. Le membre est en imminence cle
contracture
. Le membre inférieur corespondant offre, mais à
varus équin. Réflexes exagérés, trépidation épileptoïde, état de
contracture
du membre. La marche est difficile. Grez.... av
oit, moins accentuée cependant, probablement à cause d'une sorte de
contracture
du tendon correspondant. La peau est fine, un p
devant la face, comme si R... ne voulait pas voir. Les doigts sont
contractures
dans la flexion complète, les mâchoires se ress
e la malade à l'entrée (Novembre 1897). - Asy- métrite crânienne. -
Contracture
des membres du côté 168 Antécédents héréditaire
ative : la diplégie qui pré- dominait à gauche et se compliquait de
contracture
avait rendu la marche impossible et la préhensi
ids de 135 grammes. D'où l'idiotie com- plète et la paralysie. La
contracture
s'explique par les dégéné1"ltions secondaires,
on de langage articulé; nom- breuses malformations; paraplégie avec
contracture
des pieds ; gâtisme. » (Dr Garnier) Antécéden
ès maigres. Les avant- bras sont fléchis sur les bras. Paralysie et
contracture
prédo- minant à gauche. La préhension est nulle
connaissance des personnes, ni pleurs ni rires ; - paralysie avec
contracture
des quatre membres, partant marche impossible,
de la rétraction des muscles de la région postérieure de la cuisse.
Contracture
du psoas-iliaque rendant impossible les mouveme
il- lant, tandis que le maxillaire inférieur est très proéminent.
Contracture
très intense des cuisses et des jambes, la cont
roéminent. Contracture très intense des cuisses et des jambes, la
contracture
est vaincue plus facilement il droite qu'à gauche
ontracture est vaincue plus facilement il droite qu'à gauche. Cette
contracture
existe mais il un moindre degré aux membres sup
s. L'hydrocéphalie a pour conséquence une diplégie cérébrale avec
contractures
, gâtisme, et idiotie complète. VI. Un point int
, l'ians.-In26écilli(. Epilepsie. Hémi- plégie droite compliquée de
contracture
. Fait bien l'addi- tion, la soustraction et la
I. Nous n'avons pas à insister sur le caractère de la diplégie avec
contracture
: ils étaient classiques ainsi que le montrent
et fléchis- seurs du pouce sont dans un état permanent de légère
contracture
qu on arrive il vaincre facilement. Face palm
; convergent chez l'autre. - Chez les deux malades, paralysie avec
contracture
de quatre mem- bres. Exagération des réflexes.
ant atteints, le premier d'idiotie, gâtisme, paraplégie avec légère
contracture
, le second d'idiotie, gâtisme et para- plégie.
lexion complète des genoux, mais l'extension est arrêtée par la
contracture
des fléchisseurs dont on sent la corde sail-
, on ob- tient facilement la flexion complète, mais les tendons
contractures
opposent une énergique résistance à l'ex- ten
. IV. Mentionnons Y hypothermie très notable (3 ! 1°,4) DIPLLGIE;
contracture
. 249 que l'autopsie n'a pas expliquée. Nous avo
inement confirmée. , Suite DE l'observation D'A. LEC.. (1899-1903).
Contracture
, progressive de plus en plus accentuée : recroq
le mois do juin 1900. Températures à l'entrée. Augmentation de la
contracture
. 251 11900. Juin. - L'examen du malade fait con
). Le nanisme est bien évident. (Fig. 3 i J. Juillet. L'enfant se
contracture
de plus en plus. Quand il est assis sur sa chai
avant, ne comprend rien et ne- dit aucun mot. 1902. Ja)it;t'e) ? La
contracture
a augmenté : les cuisses et les jambes sont plu
la pronation des avant- bras, la flexion du corps ont augmenté. La
contracture
est presque irréductible aux membres inférieurs
inférieurs. La recherche des réflexes est difficile il cause de la
contracture
. Le faciès de l'enfant, porte huit ans alors qu
ant se cachectise, geint, sans cesse, s'amaigrit. 254 - Cachexie;
contracture
. . 19 janvier. On constate encore des râles de
et 37°. Le pouls est bien frap- pé ; il oscille autour de 90. La
contracture
en flexion des membres inférieurs s'est encore
ses. Le pied reste en attitude normale. Les membres supérieurs sont
contractures
en flexion. (1,'ig. 38.) Les réflexes plantaire
ain, les quatre : autres doigts fléchis sur le pouce. Il existe une
contracture
très prononcée des épaules et des coudes qu'on
des épaules et des coudes qu'on ne peut étendre complète- ment. La
contracture
du poignet peut être vaincue ainsi que celle de
hanches, la face dorsale regardant un peu en dehors. Il existe une
contracture
très prononcée des pieds, prédominant à droite.
s de résistance. Seulement, les membres et le tronc, incomplètement
contractures
, reprennent d'eux-mêmes l'attitude du décubitus
qué. On conçoit très bien qu'il en soit ainsi quand il existe des
contractures
secondaires qui retardent ou gênent l'exécution
xes tendineux n'est autre chose qu'une manifestation atténuée de la
contracture
, qui elle aussi peut, après un temps plus ou mo
matisme, d'une chute d'une certaine violence, l'apparition d'une
contracture
3 dans le membre paralysé qui a été soumis au c
membre paralysé qui a été soumis au choc. Ici, il s'agit bien d'une
contracture
survenue à propos d'une irritation périphérique
d'une irritation périphérique chez une hémiplégique ; mais cette
contracture
porte sur la jambe saine. OusERvmoN. Hémiplégie
en lumière l'influence du traumatisme sur le développement de la
contracture
, lorsqu'il existe dans la moelle épinière une lés
nt de faire recon- naître une sclérose en plaques au début, a vu la
contracture
des deux membres inférieurs se développer aussi
aumatisme sur le développement des phénomènes spasmodiques et de la
contracture
; est bien mise en évidence par l'incident qui s
e fonctionnel. Il n'est pas très rare de voir chez ces sujets une
contracture
se développer à la suite d'un traumatisme môme
ion ; hyperesthésie et con- tracture du membre supérieur et du cou,
contracture
inter- rompue par des crampes violentes. Après
ntes. Après la levée de l'appareil, qui les avait peu modifiées, la
contracture
et les crampes 88 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
servations de celle d'une malade simplement névropathe, atteinte de
contracture
de la main et de l'avant-bras droit à la suite
7, p. 100. 328 REVUE DE pathologie nerveuse. 2° Troubles moteurs.
Contractures
, convulsions, paralysies, chacun de ces symptôm
en- dantes explique l'absence de dégénérescence descendante et de
contractures
permanentes. Quant à la nature de la lésion, la c
ne, l'angine de poitrine, le vertige, les spasmes fonctionnels, les
contractures
, l'épilepsie, lachorée et l'hystérie. L'histoire
r reprend incomplètement ses fonctions, mais le membre supérieur se
contracture
. \1 ? 11Z... répète constamment les mêmes négat
nt la volonté ne peut pas amener le relâchement '. ,. ' Or, cette
contracture
du tibial antérieur est-elle produite par le ra
xale ne peut'' donc pas être conservée. Erlenmeyer propose celle de
contracture
par distension des antagonistes ; et pour la di
'ajouter les désigna- tions de active et spinale. On aurait donc la
contracture
spinale active par allongement des antagonistes
sur les hystériques, la distension d'un mus- cle produit parfois la
contracture
de son antagoniste parce que tout allongement p
ans l'extension complète. Il n'y avait pas, à proprement parler, de
contracture
, mais la flexion passive du genou s'obtenait av
tendineux ac- cusés. Troubles modérés de la sensibilité. Cystite ;
contracture
. Accidents du décubitus. Mort. Foyers scléreux
s quelques cas d'abolition complète, il y avait en même temps une
contracture
marquée, qui ne dépendait pas de la sclérose la
ie ainsi que de la lésion descendante secondaire. 2° Il y avait des
contractures
rigi- des des membres du côté gauche (le bras é
te-Anne), mentionnant : « est atteint d'idiotie avec para- lysie et
contracture
, atrophie papillaire ». DESCRIPTION DU MALADE
segments, bras, avant-bras, mains, doigts. Il y a un léger degré de
contracture
plus marqué à droite, mais on arrive facilement
ais ne fait aucun mouvement des orteils en flexion ou en extension.
Contracture
plus marquée adroite ; au genou gauche, pointes
es se montrent dans les qua- tre membres qui, en 1905, sont pris de
contractures
. C'est dans cet état que l'enfant est arrivé da
e du côté gauche, en particulier, et présentait une hémiplégie avec
contracture
. Lorsque nous voyons C ? 18 ans après son entré
les traits de la face sontfortemenl déviés. Au membre supérieur, la
contracture
estcomplète, le bras, légèrement écarté du corp
jambe fléchie sur la cuisse, le pied est tlh ié en varus équin. La
contracture
est moindre qu'au mem- bre supérieur, il existe
es crises épileptiques ordinaires de ses compagnes. En raison de la
contracture
permanente, il est difficile de comparer l'inte
acié il l'extrême, incliné surlecôté gauche, qui est le siège d'une
contracture
invincible, plus accentuée au membre supérieur.
ieure des pyramides bulbaires(l). Au niveau des membres gauches, la
contracture
a persisté après la mort. Du côté-hémiplégie, l
arce qu'il n'y a évidemment pas d'innervation volontaire. Un cas de
contracture
hystérique toute récente du bras et de la j'amh
e du bras et de la j'amhe a fourni un son musculaire très net. La
contracture
tardive des muscles hémiplégies ou en état de p
e la moelle en état d'excitation ? Le silence au niveau des muscles
contractures
serait en faveur d'une diffé- rence entre les d
l'absence de son dans Les cas de réflexes profonds, la genèse des
contractures
étant en somme un processus réflexe. P. Keraval
n'observe jamais ni mouvements alhélosiques, ni culte attitude 'de
contracture
en extension exagé- rée que présentent les athé
Cependant on n'observe jamais de cyanose, soit que la durée de la
contracture
soit trop courte, soit que l'occlusion du larynx
utes après environ, nouvelle crise : tous les muscles du corps sont
contractures
, la tête se renverse en arrière, les membres se
. S ? se plaint alors d'une douleur à la nuque. Pendant la phase de
contracture
, les membres supérieurs sont allongés le long d
aux mains réalisaient le type de la « main de l'accoucheur »'. La
contracture
actuelle prédomine au niveau des membres in- fé
e, ce qui explique lu clonus chez les hystériques en crise, ou en
contracture
. Le clonus à l'état de relâchement musculaire res
. Paul FAREZ. L'aneslhésiu généralisée, l'immobilité abso- lue, les
contractures
musculaires, la suspension de l'alimentation et
: d'ailleurs, de loin un loin. Argunlina présentait seulement une
contracture
passagère de la langue Du même, luin de ne mani-
crexcitabilité peut être liée à l'action de poisons physiologiques (
contracture
de fatigue de Mlle .loleyl : o, contracture de Ti
poisons physiologiques (contracture de fatigue de Mlle .loleyl : o,
contracture
de Tiegel) ; (b) Elle peut encore dépendre d'un
ivement à une maladie infectieuse. F. .'l'ISSOT. ŸLL\ ?
Contractures
précoces et permanentes dans un cas d'hémiplégi
tnaére, 1905, n° 3.) Observation d'une femme de G3 ans chez qui les
contractures
des membres ont apparu dès un ictus apoplectiqu
rébrale infantile, de même le pied creux avecéquinisme exagéré. Les
contractures
précoces traduisent habituellement la participa
s'est peu à peu développée. Les pieds sont en adduction forcée ; la
contracture
est telle que quand l'infirmier le porte sur la
ais une fois le pied fléchi,il conserve un moment cette attitude en
contracture
. Démarche difficile, spasmodique, à petits pas. L
OSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 445 de maladresse. 11 y a tendance à la
contracture
des fléchisseurs et à la main en griffe à droit
tion de Chcynes-Stokes, crises convulsives intra et eatra-utérines,
contractures
, attitude et type morphologique cette morpholog
logie et de psy- chiatrie (Bruxelles, 29 au 31 août 1906), 511.
Contractures
précoces et perma- nentes dans un cas d'hémiplé
de la face semble moins développée que la droite). On remarque une
contracture
accentuée de la paupière droite, qui ferme complè
en même temps qu'il était plus soulevé du côté sain par une légère
contracture
du muscle fron- tal. Or, cela n'arrive pas dans
ause de l'abaissement de la paupière supérieure, mais par une vraie
contracture
de l'orbiculaire. Ce fait est démontré par la dis
e Paris, 1899 p. 342. ' ( (2) Paraplégie spasmodique organique avec
contracture
en flexion et contractions musculaires involont
r aucun mouvement volontaire; les muscles sont nettement en état de
contracture
.Les réflexes rotu- liens et achilléens sont exa
droit externe du côté droit, avec diminution de volume du muscle et
contracture
très manifeste du droit interne du côté gauche. T
ils présentent un certain degré d'atrophie, ne sont pas atteints de
contracture
des extenseurs des doigts mettant en hyperexten
ils n'ont pas de signes de dégénération. Dans la lèpre nerveuse les
contractures
sont fréquentes parce qu'elles surviennent pour
erniers de la main correspondant à la figure 34, sont régies par la
contracture
du fléchisseur superficiel ; l'attitude des tro
derniers doigts de la main gauche de la même figure 34 dépend de la
contracture
du fléchisseur profond. 1 Je crois que ces dern
la contracture du fléchisseur profond. 1 Je crois que ces dernières
contractures
ont pour cause la lésion spéci- fique des filet
on spéci- fique des filets nerveux des mêmes muscles qui entrent en
contracture
, et je le crois non seulement parce que chez eu
endue jusqu'aux doigts. Fig. 60 a Fig. 61 162 BARRAQUER Ces
contractures
sont d'origine idio-musculaire, c'est-à-dire que
n intéressée pour l'acte ne sortent point du muscle. Cette forme de
contracture
est le bien propre de la lèpre, ou du moins, c'
, après quelques années, n'ont plus raison d'être par l'effet de la
contracture
. Ces difformités persistent sans hyperaction mu
les mains des figures 2 et 31. Dans certains cas, quand les muscles
contractures
s'atrophient, si la flexion n'est pas main tenu
succède l'extension par l'effet de l'atrophie des premiers et de la
contracture
ultérieure des derniers, et vice versa. C'est
flexe exagérée. Dans la lèpre nerveuse on trouve le phénomène de la
contracture
sans exagération des réllexes tendineux. Dans d
ontracture sans exagération des réllexes tendineux. Dans des cas de
contracture
apparte- nant à l'espèce que je viens d'exposer
entendu que, pour qu'il y ait irréllectivité de la part des muscles
contractures
, il n'est point nécessaire qu'ils en arrivent à
ans les condi- tions normales. Ainsi, l'idée d'une paralysie, d'une
contracture
, d'une anesthésie entraîne la réalisation de ce
on cénesthésique éprouvée par le malade à l'idée delà paralysie; la
contracture
d'un membre implique de même l'image cénesthési
ernheim, loc. cit. (2) JANET, loc. cit. 270 SALMON miplégie, de
contracture
, de bégaîment hystérique, qui n'ont pas cédé à la
e malade ne peut plus continuer, ne permettent pas de constater une
contracture
quelque peu appréciable des muscles intéressés.
es supérieurs sont flasques, mobiles, sans rétraction tendineuse ni
contracture
. Au niveau du cou et de la nuque, tous les mouv
tisfaisant. - Les membres supérieurs sont flasques, sans raideur ni
contracture
; ils restent dans la position où on les met, i
ucide, toutefois il ne peut absolument pas mouvoir les membres très
contractures
du côté gauche. Le réflexe de la plante du pied
ns notables, d'ankyloses, avec atrophie mus- culaire consécutive et
contracture
des membres supérieurs et infé- rieurs. En même
a une atrophie musculaire considérable et un degré très prononcé de
contracture
des avant-bras sur les bras, des jambes sur les c
glissant les pieds sur le parquet ou en sau- tillant légèrement. La
contracture
avait à peu près disparu; tant aux membres supé
ande névrose. » 1. Homélie. Hémianesthésic hystérique anormale avec
contracture
et tremblement du membre inférieur droit; Progr
contre, .dégénérée au maximum. Entrée il la Salpê- trière pour une
contracture
en voie de résolution, elle offrait le type le
son luxe habituel de stigmates, ses attaques, ses paralysies ou ses
contractures
. L'état mental ne se modifie guère, toutefois i
toute la face grimace de ce même côté ; il tombe dans une sorte de
contracture
généralisée, suivie de mouvements cloniques plu
é. L'ouverture palpébrale est moindre à gauche, il existe un peu de
contracture
des muscles de la joue ; le pli naso-génien est p
férieur comme le supérieur est facilement ramené à la rectitude. La
contracture
est peu marquée; toutefois le réflexe patel- la
- Il n'existe chez cet homme, à proprement parler, ni paralysie ni
contracture
. Pas traces d'hémispasme glosso-labié notamment
TUDE DES BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES, 103 naire : raideur des bras avec
contracture
, secousses classiques des quatre membres, demi-
teurs de la mâchoire sont alternativement dans un véritable état de
contracture
. Puis surviennent quelques mouvements rhythmiqu
sont communs, il est fréquent d'observer au début de l'attaque des
contractures
des membres supérieurs ou inférieurs, contractu
de l'attaque des contractures des membres supérieurs ou inférieurs,
contractures
qui, de toniques, ne tardent pas à devenir clon
ille dont il se sert du côté contracturé. Quelle est cette forme de
contracture
? Si l'on tient à un diagnostic, on peut formul
ostic, on peut formuler sans trop de crainte de se tromper celui de
contracture
hystérique. Le pied et le reste du membre ne pa
andement, par un malade atteint d'hémiplégie droite incomplète avec
contracture
légère et hémichorée. Cette figure montre que,
ce cas les caractères de la scoliose vraie, et croyant à une simple
contracture
musculaire, j'ai endormi le malade et constaté
abinski, qu'il se produise à la. longue, comme dans certains cas de
contracture
ou de paralysie spas- modique', des rétractions
bitude, se développe un état spasmodique permanent des muscles, une
contracture
pour ainsi dire, qui immobilise le tronc dans cet
'un; convergent chez l'autre. Chez les deux malades, paralysie avec
contracture
des quatre mem- bres. Exagération des réflexes.
t atteints, le premier d'idiotie, gâtisme, para- plégie avec légère
contracture
, le second d'idiotie, gâtisme et paraplégie.
on com- plète des genoux, mais l'ex- tension est arrêtée par la
contracture
des fléchisseurs dont on sent la corde sail-
ncelle et tombe. Réflexes rotuliens réguliers; pas d'atrophie ni de
contractures
. Thorax normal. Rien à l'auscultation et à la p
con- formés, ne présentant rien de particulier ; ni paralysie, ni
contracture
. Dans la station debout, l'enfant exécute un mo
- sions quotidiennes toujours prédominant à droite. - Début de la
contracture
générale cinq jours après les premières convulsio
es premières convulsions. Exercices des jointures, diminution de la
contracture
. - Diplé- gie ; pieds bots. - Trépidation épile
ue les mains se fermaient et que les membres se contracturaient. La
contracture
était la même des deux cotés. Au point de vue d
. Au point de vue de l'extrême limitation des mou- vements et de la
contracture
, on nous assure que la situation était la même
es exercices aux membres inférieurs. Il était parvenu à diminuer la
contracture
. Per... remue la tête, mais seulement dans cert
poignets se relevaient sur les avant-bras. Pas d'accès spontanés de
contracture
. Si on essayait de le faire sauter, les jambes
grosseur d'un haricot. Membres supérieurs. Autopsie. 89 une
contracture
modérée des fléchisseurs des membres inférieurs.
é la conséquence de l'état congénital. Mentionnons la diplégie avec
contracture
et pieds bols remarqués après huit jours de con
du palais. Impotence fonction- nelle des membres inférieurs. Pas de
contracture
. Intel- ligence nulle : parole presque totaleme
Première dent à 9 mois. - Marche, attention, préhension nulles. -
Contracture
des quatre membres ; strabisme. Labord ? (Emile
forment donc une variété des paralysies hystériques. L'analogie des
contractures
développées sous une influence psychique avec les
ie des contractures développées sous une influence psychique avec les
contractures
hystériques ne semble pas plus douteuse. En outre
voir un motif imaginaire, n'en est pas moins réelle, la paralysie, la
contracture
, l'hallucination, l'impulsion aux actes délictueu
ecin hypnotise un =ujci : c'est, par exemple, un malade affligé d'une
contracture
du bras droit; le médecin lui suggère qu'il a la
amment l'hémiancsihésie à gauche. Il présente aussi assez souvent des
contractures
musculaires. On a aussi pu constater un léger rét
sme animal.) Marcel et marinescu: Un cas de mutisme hystérique avec
contracture
spasmo-dique glosao-laryngée guéri par la augeest
morphinisme. ni l'aphonie nerveuse, ni la paralysie hystérique et les
contractures
ne figurent sur la liste. Quand on voudra bien no
n, les muscles du cou. du tronc, des bras, des jambes sont absolument
contractures
et on ne peut vaincre leur résistance, même en dé
té ncuro' ou cutano-musculaîre. I.. malaxation des muscles diminue la
contracture
et permet alors de donner aux membres une nouvell
uteurs ont décrit des convulsions, des syncope*, des paralysies et de
contractures
persistantes, des accès épileptiques. de la somno
suffira de toucher ou de presser un muscle pour provoquer aussitôt la
contracture
de ce muscle. Un terrain solide était trouvé. On
argique, l'excitation directe des masses musculaires, c'est-i-dire la
contracture
. Du jour où notre éminent collègue, M. le profe
nt, fait entendre quelques gémissements et commence alors à entrer en
contracture
. Elle se tient en opis-thotonos, se couche sur le
oit du corps qui décrit une courbe à concavité postérieure. Les bres,
contractures
aussi, sont en croix, quelquefois élevés au-dessu
e ne réagit pas aux piqûres. La crise se termine naturellement, les
contractures
disparaissent peu à peu et la malade se sent bris
*! ao «a avait fait «tnèae d-agrd«ati..n en 1KH6. sur le» Paralysies,
contracture
^ Stotos,d^re^s McÂJpsrMqm, Dan. ce tr.v.,1. M. Lo
vulsive, des manifestations hypnotiques accompagnées de spasmes et de
contractures
. Je l'avais revue plusieurs fois en 1886. toujo
gts, l'incurvation de la main sur le poignet pouvant aller jusqu'à la
contracture
; la même action sur le trajet des extenseurs rel
t, mais le bras était pris successivement de parésie incomplète et de
contractures
temporaires. Néanmoins, elle était toujours en
els la simulation peut être difficilement objectée : l'analgésie, les
contractures
, les troubles oculo-papillaires rentrent dans cet
pendant l'hypnose, soit à l'état de veille, d'obtenir un sommeil sans
contractures
; cela nous a été impossible. Nous avons seulement
croiser sur le ventre: mais le corps tout entier n'a pas cessé d'être
contracture
. Enfin, nous n'avons ¡amáis pu lui faire exécuter
est un fait fréquent que l'on remarque également djns les attaques et
contractures
. A 20 ans, l'anesthésie totale reparut et avec
ux synonymes. C'est par la suggestion que j'ai fait disparaître une
contracture
avec anesthésie de la main chez une hystérique, d
atteinte depuis deux ans d'accès convulsiti fréquents, accompagnés de
contractures
généralisées, de pertes de connaissance et de dou
is deux ans. Chaque fois qu'il essayait de se lever, il était pris de
contractures
dans les membres, bien que toute* les articulatio
les poses habituelles des catatoniques, il les rapporte plutôt à la
contracture
. ' En 1874, lorsque l'ouvrage de Kahlbaum venai
omènes sont connus de nous dans les maladies locales du cerveau. La
contracture
, la dis-. cénésie, en général l'exagération du
mme de dix-huit ans qui était atteint d'une paraplégie motrice avec
contracture
et trépidation dans les membres inférieurs, exa
it d'un ouvrier peintre, âgé de quarante-sept ans, quia été pris de
contractures
des membres inférieurs d'abord, puis des membre
là de- l'épilepsie, ainsi que cela a été dit simplement à cause des
contractures
? - Ces accidents peu- .vent, comme l'indique M
a douleur. D'autre part, vous ne constatez ni paralysie flasque, ni
contracture
. L'exagération de la reflectivité montre seulem
is de la moelle, sans cependant établir l'existence d'une véritable
contracture
du corps vésical telle qu'elle existait chez sa
de tétanie gastrique individualisée pnr MM, Bouveret et Devic. Les
contractures
avaient REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 331 L dé
- sifs en rapport avec la compression d'un point du ventre, de la
contracture
de la jambe en extension. Ces phénomènes propres
ation du protoneurone moteur. Dans les hémiplégies anciennes avec
contracture
par lésion cérébrale et chez une femme atteinte d
mouvement croissant de force et de vitesse jusqu'à en arriver à une
contracture
qui correspondait, d'après la malade et selon n
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. vements était atteint, moment soit dit de
contracture
, il s'apercevait alors du caprice de ses associ
ns interruption et discontinuité, moment correspondant à un état de
contracture
ou phase tonique à laquelle fait suite une phas
ît et bientôt on arrive à la période que nous pourrions dénommer de
contracture
, les muscles les plus puissants l'emportent, et
lus forts, il en résulte un strabisme : cet état tra- duit ainsi la
contracture
musculaire des muscles de l'oeil qui elle-même
que chez les sujets sains. Cette réaction n'est qu'une variété de
contracture
idiomusculaire; elle est partielle au lieu d'être
de lésions cellulaires pouvant être considérées comme l'origine des
contractures
. Ils constatèrent bien, par le Nissl, des hémor
ites parMarinesco comme spécifiques du tétanos et comme cause de la
contracture
; mais ils arrivèrent; ! a REVUE D'ANATOMIE ET D
ques, sont banales et n'ont aucun rapport ni avec la pathogénie des
contractures
, ni avec leur localisation. Continuant leurs re
n de manifestations hystériques multiples. Di- plopie monoculaire ;
contracture
en flexion de la jambe gauche sur la cuisse ave
chidien. - 4° Par le peu d'action de la ponction de Quincke sur les
contractures
dont elle n'a amené aucune séda- tion passagère
ts, petite plaque méningée. Mort en pleine hémiplégie droite avec
contracture
et hyperthermie finale brusque, onze jours après
durée. Il. DE M-C. XII. De l'action du persulfàte de soude sur les
contractures
dans le tétanos ; A. GÉLIIJERT (Lyon médical, l
gnale l'action du persulfate de soude, oxydant éner- gique, sur les
contractures
et les accès spasmodiques survenant dans le tét
e le persulfate de soude a v une action favorable constante sur les
contractures
tétaniques. Des recherches semblables ont été f
ne lésion détermine la dégénéres- cence des tractus pyramidaux, des
contractures
apparaissent par suite d'une exagération d'acti
jusqu'à la photophobie). Ces cas n'ont jamais présenté les moindres
contractures
ou p £ résies indiquant la méningite confirmée.
une période bien déterminée avant qu'il n'y ait la moindre trace de
contracture
ou de parésie. L'action révulsive des vésicatoi
e force étonnante. Pour ce qui concerne ses zones hystérogènes, ses
contractures
, ses tremblements, ses trépidations localisées,
rd se développa assez rapidement de la paraplégie inférieure avec
contractures
. L.-S. 1llNOa insiste sur ce fait que dans la p
ar la durée anormale de'~ impulsions motrices, qu'il s'agisse de la
contracture
permanente d'un certain nombre de muscles (atti
rites, dans toute une catégorie de désordres musculaires tels que
contractures
, spasmes, crampes, etc. Il ne m'est pas possibl
mais la moindre trace de systématisation. Du côté de la motricité :
contracture
des extenseurs du pied, pins marquée à droite q
urs qui sont toujours parésiés, tandis que les fléchisseurs sont en
contracture
: ce mas- sage électif des seuls muscles hypoto
inésithérapie active et passive pratiquée dans un bain à 28° IL Les
contractures
rétrocèdent en partie ; les pa- ralysies spasmo
cices passifs de mobilisation, pendant laquelle on vicnl à bout des
contractures
, même 30 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
d'un hémisphère ; c'est une hémiplégie durable, qui s'accompagne de
contracture
, respecte ordinairement la face, et qui provoqu
tats. Ils ont aussi injecté le tronc sciatique dans certains cas de
contracture
, tremblement et spasme avec résultats encourage
la mort dans la plupart des cas sans avoir le temps d'aboutir à la
contracture
.Les grosses hémiplé- gies avec contracture des
le temps d'aboutir à la contracture.Les grosses hémiplé- gies avec
contracture
des vieillards sont rares et datent presque tou
tites attaques vulgaires, du somnambu- lisme, des paralysies ou des
contractures
, a certainement un système nerveux plus touché
'hyperesthésie. Des diminutions et des exagéra- tions de la force :
contractures
et paralysies,etc. De même leur état mental a t
s membres inférieurs se font avec difficulté par suite d'un état de
contracture
très exagéré. La résistance musculaire est pres
n" 28, 29 und 30. (4) Etat du faisceau pyramidal dans quatre cas de
contracture
spasmodique infantile, par MM. Ch. Philippe rL
on tous les quinze jours, crises caractérisées par une syncope, des
contractures
de la face et des membres, de l'écume aux lèvre
lable, - lordose considérable. F. T. XIX. Attitudes vicieuses par
contracture
hystérique chez les enfants; par 13ROCA el IIER
usive de la persuasion. En outre de ces deux qualités générales, la
contracture
hystérique en possède d'assez spéciales pour êt
ntre l'intensité du traumatisme et l'apparition ou la gravité de la
contracture
; le trauma lui-même n'est pas nécessaire, agis
mmecause psychique d'excita- lion sur un terrain « d'opportunité de
contracture
» (la diathèse de contracture, rare déjà chez l
ion sur un terrain « d'opportunité de contracture » (la diathèse de
contracture
, rare déjà chez l'adulte, est exceptionnelle chez
ure, rare déjà chez l'adulte, est exceptionnelle chez feulant) ; la
contracture
hystérique, quelquefois douloureuse (et dans ce
bon élément de diagnostic, car dans une lésion osléo-articulaire la
contracture
est le résultat de la douleur, et celle-ci est
use, articulaire ou synoviale. Mais il ne faut point oublier que la
contracture
hystérique peut être provoquée par un point d'o
énomènes aigus de la cachexie strul1liprivc chez le chien (dyspnée,
contracture
mus- culaire, etc.) cessent rapidement et d'une
chr., Leip. u. Berl., 1896, v. 22, 579-JS1. Pic. Etat comateux avec
contracture
de la nuque et des quatre membres ; à l'autopsi
r et ses orbiculaires se contractent éner- giquement ; de plus, des
contractures
de l'orbicul<tire des lèvres et des muscles
la suite de paralysie faciale périphé- rique, par Lamy, p. 222.
Contracture
. Attitudes vicieu- ses par - hystérique chez le
autant que possible. 16 novembre 1893. Hypnose rapide; tendance aux
contractures
cataleptoïdes. Suggestion d'être propre et de s
avec atrophie rapide de la plupart des muscles des extrémités avec
contractures
. Diminution de l'excitabilité électro-faradique,
ère, ajoute-t-il, s'accom- pagne moins souvent de convulsions et de
contractures
» ; mais que de fois ne voit-on pas l'hématome
évoluer avec des accidents convulsifs insignifiants et sans aucune
contracture
S'agit-il d'un cerveau chroniquement malade, on
rer de préférence les cas accompagnés d'attaques épileptiformes, de
contractures
, rigi- dité ou paresies. Le point essentiel s
e, doit vraisemblablement être attribuée à des états passagers de
contracture
musculaire. L'absence du réflexe du genou dans la
er, à moins qu'il ne faille en voir la cause dans une tendance à la
contracture
qui a été méconnue. Quand le réflexe patellaire
ôme comme une manifestation de la parésie musculaire (Pierret), des
contractures
(Ommus), de la diminution du to- nus musculaire
ni l'une ni l'autre dépla- cer l'aiguille du dynamomètre. De plus,
contracture
passagère par intervalles, des fléchisseurs de
t une pression de ce genre sur la face dorsale provoque aussitôt la
contracture
des fléchisseurs des doigts. Deux heures aprè
M. Gilles de la Tourette), qui s'ajoute si souvent aux diathèses de
contracture
ou de paralysie '. Nous prions instamment nos
matisme physique ou moral, par une paralysie, une parésie ou une
contracture
d'un ou de plusieurs membres ; bientôt les part
remarquer que l'oedème estpré- cédé de paralysie, de parésie ou de
contracture
du membre atteint, conditions qui favorisent la
tion aspiratrice du coeur et de la cage thoracique, mais aussi à la
contracture
des muscles qui chassent le sang des veines pou
isparition de l'oedème suit la disparition de la paralysie ou de la
contracture
; dans les cas durables, au contraire, les veines
u de Charcot par l'absence d'oedème, de paralysie, de parésie et de
contracture
. L'état général du malade est excellent, sa tem
nant une 234 Il. SOCIÉTÉS SAVANTES. paralysie, une parésie ou une
contracture
et donnant lieu à des douleurs très intenses; l
ressort des renseigne- ments qu'il n'y a jamais eu de paralysie, de
contracture
ou d'ac- cidents convulsifs autres que ceux don
ied gauche est tombant et en extension forcée, non pas par suite de
contracture
, mais par suite de paralysie, c'est un pied bot
e contraction de l'organe ; donc l'incontinence n'est pas due à une
contracture
du corps de la vessie. Elle est due à la paraly
, laquelle comme le croyait Vulpian, serait due à un léger degré de
contracture
et non à un état myopathique spécial. Les auteu
dans le bras gauche. Les muscles interscapulaires et de la nuque
contractures
. Sensibilité tactile conservée aux membres inféri
moelle. Les cordons médul- laires sont indemnes puisqu'il n'y a ni
contracture
, ni exagération des réflexes tendineux, ni trou
onvulsions, une hémianopsie droite puis une hémiparésie droite avec
contractures
. Du côte parésié les réflexes sont exagérés mai
place à la cyclôpégie; dès le début : excitabilité musculaire sans
contractures
; -embarras de la parole, accès fréquents d'excita
. Cinquième groupe. Pas de symptômes oculaires fixes nets.'Pas de
contractures
ni de trouble de la motilité ni de la sensibilité
t REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 463 d'une sorte de rigidité et de
contracture
de l'index droit qui lui rendait parfois l'écri
Tout disparait moins l'hémiplégie des membres; if s'installe de la
contracture
avec exagération des réflexes. L'aphasie prend
e partielle droite. Atrophie complète des extenseurs des deux bras,
contracture
en flexion au niveau des articulations des extr
éflexes rotuliens), type de ce que l'un de nous a appelé en 1879 la
contracture
latente. Les paraplégies spasmodiques vraies av
cependant sont indéfiniment spasmodiques et caractérisées par une
contracture
permanente avec exagération considé- rable des
endre sa jambe; on arrive pourtant, avec un effort, à vaincre cette
contracture
et à étendre la jambe sur le plan du lit. Fig
perverties surtout à gauche. 8 CLINIQUE NERVEUSE. Le 28 avril, la
contracture
permanente de la jambe droite en flexion a disp
t presque abolie du côté gauche. C'est toujours le côté- le moins
contracture
qui sent moins bien, mais on remarque actuellemen
e la sensibilité, mais pas de troubles objectifs (il existait de la
contracture
, du clonus du pied des deux côtés) ; elle guéri
avec parésie du bras, produite par la pendaison. Morton nota une
contracture
spasmodique à la suite de quelques séances de p
lets, devenant promptement très vives; engourdissement des jambes,
contracture
des muscles, difficulté de marcher, nécessité de
de dégénérescence, mais il ne pré- sente ni caractère familial, ni
contractures
fibrillaires, ni troubles vaso-moteur, ni paral
ps chromatiques portant surtout sur le bleu ou le vert ; 8° par une
contracture
oscillante des muscles ciliaires, con- tracture
l'avant-bras et du bras normaux. La main est en demi-flexion, sans
contracture
. Elle est un peu plus froide que celle du côté
normalement colorée, aussi chaude que la peau du bras droit. Pas de
contractures
. Pas de troubles trophiques ni vaso-moteurs. Le
térisés dura trois semaines. Dans la seconde la fièvre tomba et des
contractures
s'installèrent défini- tives. La troisième, i n
férieurs et supérieurs. Au bout de cinq minutes éclate une crise de
contracture
qui dure deux à trois minutes et pendant laquel
en dehors de la cuisse et du bras + La peau pique un peu + Crise de
contracture
de trente secondes + Ce qui était bloqué à la h
que sorte ? IL y a une boule là- dedans -r-- Louis a deux crises de
contracture
qui durent quelques secondes + Mon estomac est
je crois que vous avez à la main gauche un porte-plume. - Crise de
contracture
après laquelle il ne voit plus ce que j'ai à la
libre + Mouvements de salutation qui se terminent par une crise de
contracture
. 11. Interrogé sur les faits de la veille, Loui
roit) + Le malade incline la tête sur le tronc et fait une crise de
contracture
qui se termine par un soubresaut lormidable -f-
Où êtes-vous ? Je ne sais pas + La tête me fait bien mal - Crise de
contracture
et soubresaut : je suis soulagé -f- J'étais en
- fond qui est encore bloqué. 19. Sentez votre cerveau : crise de
contracture
? Tiens, F... pousse ce baril -1- Je me lève, i
et me levait le souffle + Je ne sais pas l'âge que j'ai + Crise de
contracture
? Le malade porte la main an flanc gauche --f-
l'a levée + M. L... dit que je ne suis pas mort z- Longue crise de
contracture
, dé mouvements toniques avec nombreux craquemen
stauration de la sensibilité de l'abdomen, Louis l'ait une crise de
contracture
qui amène une régression jusqu'à l'âge de douze a
Louis une fois par semaine et, au sur et à mesure, les crises de
contractures
, de mouvements toniques, les soubresauts, la pa
n à dire un mot du dernier accident de février 1901, de la crise de
contracture
que mon malade fit t en récupérant la sensibili
res séances d'hypnotisation, présentait les phé- nomènes suivants :
contractures
, congestion de la face, anxiété, respiration sa
s centres thermogènes, que des convulsions, des paralysies et des
contractures
par suite d'un fonctionnement anormal des centr
ant ie repos ; par les commémoratifs : ictus, hémiplégie flasque et
contractures
précédant le tremblement. Les attitudes spécial
es périphériques de la parole sont intacts, pas de paralysies ni de
contractures
; les stigmates de dégéné- rescence qu'il serait
urs à droite. Deux mois après le début des accidents apparaît de la
contracture
: l'organe se raccourcit et se durcit, la point
ar l'éclosion précose des anesthésies des membres avec paralysie et
contracture
des extrémités. A. M. XIII. Complications NER
masséters, les muscles de la face et du pharynx sont tétanisés. La
contracture
porte surtout sur les avant-bras qui sont forte
s résultant de la rigi- dité des muscles du thorax, mais il y a une
contracture
douloureuse des avant-bras fléchis et des mains
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la face, rigidité des muscles thoraciques,
contracture
en flexion des avant-bras, les mains appliquées
les symptômes, impotence complète, paralysie atro- phique des bras,
contracture
des membres inférieurs, paralysie de la vessie,
ncipalement il des symptômes spasmodiques, pouvant aller jusqu'à la
contracture
et qui sont décrits depuis longtemps dans la pa
de connaissance ayant duré deux heures et suivie de paralysie avec
contracture
douloureuse en flexion forcée de la jambe droit
pied varus équin, et mutisme. Celui-ci dura vingt-quatre heures, la
contracture
deux mois. En mai 189o, effrayée par l'incendie
effrayée par l'incendie de sa maison Thérésa est reprise de la même
contracture
sans attaque. Un mois après, émue par une sépar
mblement et de convulsions généralisées suivies d'exagération de la
contracture
. Quinze jours plus tard, nouvelle attaque et co
tion de la contracture. Quinze jours plus tard, nouvelle attaque et
contracture
du membre supérieur droit en flexion forcée. En
me tonique per- manent. Le moindre effort extérieur pour vaincre la
contracture
détermine une violente attaque. La rigidité per
age des mem- bres amène une crise de huit heures de durée suivie de
contracture
permanente de la langue. Bientôt s'y ajoule un
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 11-) -1 suites de la dénutrition et des
contractures
; il craint de voir s'éta- blir un processus de
e articulés. 11 n'allonge plus ses jambes, il a un certain degré de
contracture
. Quand on veut défléchir la jambe gauche, l'on
supérieur, incomplète pour l'inférieur. Le membre .supérieur était
contracture
, le bras collé contre le tronc, , l'avant-bras
es à des tentatives de suicide, attaques convulsives, para- lysies,
contractures
, incoordination des mouvements etc. ; 3° 1'en-
e. Rémission qui dure quelques mois. En 1890 démence progressive,
contracture
du côté droit. L'année suivante, contracture du c
0 démence progressive, contracture du côté droit. L'année suivante,
contracture
du côté gauche. Ictus fréquents. 1894. Admissio
uche. Ictus fréquents. 1894. Admission à l'asile. Démence profonde;
contracture
des membres du côté gauche et de la jambe du cô
teurs et leur pré- dominance au détriment des symptômes psychiques (
contracture
du côté gauche, puis du côté droit). La physion
avant-bras et les mains, très atrophiés, étaient immobilisés par la
contracture
; les mains étaient dé- formées en griffe. La
usculaires, surtout apparentes dans les mouvements passifs, même de
contractures
plus ou moins étendues. Ces symptômes sont bien
s impotents) de raideurs musculaires, de spasmes très accentués, de
contractures
plus ou moins durables, tandis que, chez les se
d'un seul côté indiquera généralement un état d'hypertonicité ou de
contracture
active commençante. On la rencontre dans les hé
d inlerne de chaque pied ne repose plus sur le sol. Il existe de la
contracture
des adducteurs. La sensibilité est normale. Les
manifestations nerveuses telles que les phé- nomènes vésicaux, les
contractures
des membres inférieurs, les exagérations des ré
onies successives des vieillards affaiblis par l'âge et la misère. La
contracture
obser-vée pendant si longtemps, et d'une manière
urd'hui encore, inexplicable pour nous, si nous ne savions pas que la
contracture
s'observe parfois au milieu des accidents si vari
une remarque à ce sujet : les artères humérale et axillaire du membre
contracture
ont été trouvées, à l'autopsie, remplies d'un cai
st ce que je ne saurais décider actuellement. Encore est-il que si la
contracture
n'a jamais été observée comme conséquence de la f
es paralysies du mouvement, des anesfhésies, phénomènes voisins de la
contracture
et qui fré-quemment la précèdent ou lui succèdent
vigil, urines et selles involontaires. Le mem-bre supérieur droit est
contracture
, porté dans la demi-flexion. Quand on l'étend, ce
toreux; pouls fïfiforme, très irrégufier et extrêmement fré-quent. La
contracture
du membre supérieur droit persiste. A l'auscult
comprendre pourquoi on a observé, dans un cer-tain nombre de cas, des
contractures
auxquelles les modifica-tions du tissu musculaire
phénomènes observés pendant l'acccès de la paralysie du membre et la
contracture
; pour ce qui est de l'abaissement de température
se montrent rigides, résistant aux mouvements passifs, manifestement
contractures
, en un mot. Tels sont, Messieurs, les phénomène
redevenue normale ; en même temps que la douleur, l'anesthésie et la
contracture
ont dis-paru. Le pauvre animal se dresse et son
M. Volkmann et après lui M. Léser ont décrit un genre particulier de
contracture
, surtout aux membres supérieurs, à la chez l'ho
ts qui l'empêchaient de dormir. Le matin, le coude et la main étaient
contractures
, les doigts violacés, tandis que le reste du memb
a partie inférieure de l'humérale. Quelle est donc la nature de cette
contracture
, qui s'est manifestée pendant la vie dans le memb
ite et en conséquence de l'application d'un bandage trop serré. Cette
contracture
serait une conséquence de l'ischémie produite dan
ion de la circulation dans un membre, par ligature, dans lesquels une
contracture
des muscles, analogue à la nridité cadavérique, a
gangrène du membre. 1 Benni, thèse de Paris, 1867 et J. Simon, art.
Contracture
dans le Nou-veau dictionnaire de médecine, t. IX,
ecine, t. IX, p. 1869. de refroidissement du membre, de parésie, de
contracture
enfin, que nous avons relevés dans l'expérience d
t c'est ainsi que je m'explique l'apparition des douleurs, puis de la
contracture
, qui, ici comme dans le cas de l'expérience de St
dité qu'on trouve dans l'accès de la claudication, est, en somme, une
contracture
relevant de l'ischémie du muscle, et qu'on peut c
tre constatés, et jamais on n'a remarqué ni convulsions cloniques, ni
contractures
dans les membres paraly-sés. Toutefois, à plusieu
83; — physiologique pathologique, 584; — douleurs névralgiques, c85;—
contractures
, 585, 596; — dou-leur, 591 ; — sensibilité, 591 ;
1 ; — pathogénie, 594; — expériences, 594; — nature isché-mique de la
contracture
, 597; — observation de — ischémique, chez l'homme
conjonctive, 36; — charpente musculaire,37 ; — embryonnaires, 244.
Contracture
dans les anévrismes partiels du cœur, 382;—? dans
de produc-tion, 381; — symptômes, 382; — phénomènes ataxiques, 382; —
contractures
, 382; — de la sous-clavière, 561 ; — de l'artère
es. II y a 4 an 1/2, le membre supérieur droit est devenu faible et
contracture
, les membres gauches, quoique faibles pouvaient
gauche pour la plupart de temps, reste étendu le long du corps. Les
contractures
de la main et des doigts sont moins marquées que
côté droit. 0 Membres inférieurs : le membre inférieur droit est
contracture
en flexion, la hanche aussi bien que le genou.
ements passifs suffisants. La jambe gauche a les muscles adducteurs
contractures
aussi bien que le genou. Mouvements automatiq
es. Les réflexes patel- laires des deux côtés très vifs (malgré les
contractures
). Les réflexes du tendon d'Achille sont abolis
e, on note alors l'apparition d'herpès, d'atrophie musculaire et de
contractures
(Charcot). Un tableau analogue (paraplégie doul
na en fin de compte des phénomènes spastiques très prononcés et des
contractures
des membres. Notre malade faisait l'im- pressio
flasque ; dans notre cas de même que dans celui de Bielschovsky ces
contractures
ont persisté jusqu'à la mort, ou jusqu'au moment
a mère s'aperçut que l'enfant présentait encore un certain degré de
contracture
aux membres inférieurs. En effet Marguerite traîn
transversal du type myopalhiq ue. Aucune trace de rigidité ni de
contracture
aux membres. - Diminution des réflexes tendineu
les et qu'il n'existe aucune trace ni de rigidité musculaire, ni de
contracture
. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILI
ient la tête toujours du côté droit et se plaint d'une sensation de
contracture
pendant les mou- vements). Nerfs crâniens norma
nous l'avons dit, à part la crise, à quelques paralysies, quelques
contractures
, certains mouvements anormaux, quelques trouble
ciente et volontaire, en partie inconsciente et impulsive. Dans les
contractures
, sur- tout lorsque elles sont extrêmes au point
'intégrité corporelle, il y faut vraiment de l'héroïs- me. Enfin la
contracture
qui enfonce les ongles dans la peau, dont la té
la production, à la longue, de rétractions fihro-tendineuses, cette
contracture
paraît impossible à celui qui ne pré- sente pas
erver à la suite des traumatismes : des crises, des paralysies, des
contractures
, certains mouvements anormaux, des anes- thésie
e s'imagine que les deux troubles doivent aller de pair. , 3° Les
contractures
. Il faut distinguer celles qui sont indolores et
thésies. Indolores, elles ne pourraient Cire confondues qu'avec les
contractures
symptomatiques d'une lésion du Fy. Elles s'en d
existe entre celle absence et l'intensité ou la localisation de la
contracture
, par exemple : une contracture du pied, sans modi
l'intensité ou la localisation de la contracture, par exemple : une
contracture
du pied, sans modifica- tion du réflexe rotulie
contracture du pied, sans modifica- tion du réflexe rotulien ; une
contracture
des deux membres inférieurs sans aucun trouble
des deux membres inférieurs sans aucun trouble des sphincters ; une
contracture
du membre supérieur avec intégrité complète du
upérieur avec intégrité complète du membre inférieur. Lorsque les
contractures
s'accompagnent de douleurs, le diagnostic, plus
pagnent de douleurs, le diagnostic, plus difficile,-se pose avec la
contracture
réflexe, secondaire à une lésion nerveuse, soit
toutes les fois que cela sera possible, il faudra rechercher si la
contracture
disparaît dans le sommeil, soit naturel, soit ane
sibilité. En dehors de ces hyperesthésies ac- compagnant ou non des
contractures
, il y a les anesthésies. Elles ont tenu dans l'
la suite d'un traitement spécifique; .puis vinrent s'y ajouter des
contractures
, des symptômes bulbaires, jus- qu'au moment où,
plantaires sont très faibles. Les abdominaux sont absents. Pas de
contractures
. Le malade souffre de douleurs dans les Ile et
ESCO 20° Leibu H...Notes cliniques.- 64 ans, hémiplégie gauche avec
contracture
intense du membre supérieur. Rire spasmodique.
Notes cliniques. - 5 ans, mal de Pott avec paraplégie spasmodique,
contractures
et atrophies musculaires aux membres inférieurs.
raplégie-spasmodique à la suite d'un*mal de Pott, sans atrophie, ni
contracture
. Réflexes rotuliens exagé- rés, avec absence du
s. - 26 ans, paraplégie spasmodique par com- pression de la moelle.
Contractures
des membres inférieurs, dont la motilité est nu
enait l'impossibilité complète de la marche. On observe ensuite des
contractures
des membres inférieurs, des paresthésies. Quelque
sa face palmaire. Mais il n'y a ni contractions fibril- laires, ni
contracture
; l'examen électrique a montré l'absence de DR : o
exaltés surtout du côté droit. Pas de trépidation spinale et pas de
contracture
très marquée aux membres inférieurs. La sensibi
ularité. Les membres supérieurs sont le siège d'un certain degré de
contracture
prédominant du côté droit. Les bras sont habitu
uns phénomènes anormaux. Pas de différence de développement. Pas de
contracture
. Les réflexes rotuliens sont cependant exagérés
. Nous savons au contraire que dans certains cas, il se produit une
contracture
passa- gère du système musculaire de convergenc
progressif. -Diarrhée. Pas de troubles oculaires, ni paralysies, ni
contractures
. - Accès épilep- tiques. - Coma. Mort. Autops
n. Première attaque en 1881, suivie de bégaiement, d'hémiplégie, de
contracture
hystérique du côté gauche. Attaque apoplectifor
e contracture hystérique du côté gauche. Attaque apoplectiforme :
Contracture
des bras gauche. Déformation du pouce gau- che
s l'attitude que reproduit le malade, était dans la situation de la
contracture
post-hémiplé- gique, ]ajambe étendue. En même t
e gauche. Au bout d'une heure il s'est réveillé avec le bras gauche
contracture
dans la demi- flexion. La contracture aurait pe
réveillé avec le bras gauche contracture dans la demi- flexion. La
contracture
aurait persisté pendant trois semaines, la para
nce; mais après ces attaques le bras gauche et surtout la main sont
contractures
dans la flexion : ces contractures ne persisten
s gauche et surtout la main sont contractures dans la flexion : ces
contractures
ne persistent pas longtemps et ne durent que qu
épilepsie, avec hémiplégie droite v 170 DESCRIPTION DU malade. et
contracture
, dans le second imbécillité, avec épi- lepsie e
nd imbécillité, avec épi- lepsie et hémiplégie droite compliquée de
contracture
mais sans trouble de la parole quoique la 3° fr
e n'est pas plus développée que celle d'un foetus à terme. Pas de
contractures
. Impossibilité de la station assise. L'enfant n
s 2 ans un degré léger de crampe des écrivains quand survinrent des
contractures
des muscles de la nuque qui se répétèrent 6 foi
ts, mais l'écriture fut toujours impossible de la main droite; puis
contractures
qui ,à 16 ans, avaient fixé le bras en adductio
ébut brusque, évolution rapide, myosis' hémiplégie sans anesthésie,
contracture
précoce, hyperthermie. En présence d'hémiplégie
déviation des doigts, sans dou- leurs au niveau des jointures, sans
contractures
ni atrophies mus- culaires. L'étiologie et la p
ralysies considérées com- me hystériques, tant d'astasie-abasie, de
contractures
, d'a- phonie, de cécité hystériques, que je n'a
durée. C'est ce qui a lieu, par exemple, pour les pa- ralysies, les
contractures
, les anesthésies, les attaques dites hystérique
fant né à terme et ayant survécu deux ans, en présentant un état de
contracture
permanente des membres et du tronc, nous avons
daptation, qui ne représente pas non plus, à proprement parler, une
contracture
. La déviation pro- voque ou aggrave dès son app
u'il faut chercher pour expliquer deux phénomènes très bizarres; la
contracture
et le trem- blement.Il y a dans la contracture
es très bizarres; la contracture et le trem- blement.Il y a dans la
contracture
quelque chose qui rappelle l'ac- tion et l'entê
t l'entêtement,je l'ai montré il y a bien longtemps en étudiant les
contractures
systématiques, mais je n'oserais pas conclure bru
ent que la paralysie soit identique à l'immobilité volontaire et la
contracture
identique à la conservation volontaire de l'atti-
forme de la courbe de contraction dans ces membres disposés à la
contracture
me semblent montrer que la fonction du mouvement
l'altération des fonctions dont nous venons de parler à propos des
contractures
. H On devrait faire porter la même analyse non
autre, et nous pouvons trouver leurs troubles combinés ; ainsi, une
contracture
, augmen- talion de la force, peut avoir pour co
e latente. J'ai essayé, au contraire, de donner des paralysies, des
contractures
à des individus non hystériques, jamais je n'ai
odique que l'on constate actuellement. A signaler l'intensité de la
contracture
qui raidit les deux mem' res inférieurs en exte
mbe et de la cuisse. Les membres inférieurs étaient en flexion avec
contracture
que l'on arrivait à vaincre. Les réflexes rotul
e ces manifestations, notamment les paralysies,les anesthésies, les
contractures
, les idées fixes,etc.,sont les résultats de la
lades,l'une appartenant au service du Prof. Déjérine et atteinte de
contractures
multiples, l'autre, un homme, atteint d'astasie
raît exister, on constate même parfois le ré- flexe du paradoxal la
contracture
réflexe des fléchisseurs du pied étant prise po
ncéphale, 1907, n° 7.) Hémiplégique présentant un état permanent de
contracture
ac- tive, d'hypertonisme musculaire que la moin
de cette contraction continue. Cet état s'écarte complètement de la
contracture
post-hémiplégique habituelle, il est d'ailleurs r
tain (2), « le malade présen- ta nausées, vomissements, douleurs et
contractures
dans les membres, hypertrophie de la rate ». Da
ier à l'inspection, ni à la palpation. Impotence fonctionnelle sans
contracture
, ni raideur articulaire. La station et la march
lioration dure 2 ou 3 jours, alors éclate la période méningitique :
contractures
partielles, roideurs de la nuque, injection ocu
dance de vues théoriques alourdit un peu l'étude des spasmes et des
contractures
hystéri- ques et leur comparaison avec certains
s provoquées, et, d'autre part,/page> page n="45"> dans les
contractures
, dans les hallucinations suggérées, dans les hypé
page> page n="48"> pour but de guérir des paralysies ou des
contractures
, d'origine, le plus souvent, hystérique. La gué
mme, voici ce qui se passe : Un malade est atteint de paralysie ou de
contracture
d'un membre, le bras droit, je suppose. On appliq
it le bras gauche. II arrive alors qu'au bout d'un certain temps la
contracture
, non pas disparaît d'emblée, mais se trouve repor
chez certains sujets, on peut, même à l'état de veille, provoquer une
contracture
ou une anesthésie générale ou partielle, comme to
ation de la sensibilité. Chez ces mêmes sujets, si une paralysie, une
contracture
ou un trouble de la sensibilité s'est produit par
multanément ces deux actions ël faire apparaître une paralysie ou une
contracture
d'un côté, en même temps qu'on la fait disparaîtr
pplication de l'aimant la guérison ou le transfert de ces paralysies,
contractures
, etc.. Quand on s'est placé dans des conditions p
as de transfert, quand vous avez un malade atteint de paralysie ou de
contracture
du bras droit, par exemple, qu'arrîvera-t-il si l
l'aimant au milieu de la nuque, très rapidement se montre d'abord une
contracture
des muscles du cou, la tête se renverse légèremen
ssible de quitter son siège. Les membres inférieurs sont complètement
contractures
./page> page n="52"> Je place l'aimant d
ce le tremblement des bras, puis ensuite par une autre application la
contracture
des muscles du cou et le tremblement des membres
as et je ne pouvais même pas prévoir qu'il se produirait paralysie et
contracture
successivement des membres inférieurs. En secon
blement, l'autre du sommeil, le troisième de la paralysie, puis de la
contracture
. Pion plus, si le second sujet avait connaissan
duirait du tremblement ou du sommeil au lieu de la paralysie et de la
contracture
qui ne pouvait que dérouler les prévisions. Cel
s des Chamans (Sibérie) montrent une représentation schématique de la
contracture
hystérique de la face avec leur bouche et leur co
de Ccylan représentent ainsi des maladies. Ce sont principalement la
contracture
faciale et le bec de lièvre. Cette (1) Mat Bart
urs de diagnostic. Dans les cas de paralysies, hémiplégies, névrites,
contractures
, accès convulsifs, mouvements choréiformes, astas
le champ visuel est con-centriquement rétréci, certains muscles sont
contractures
. Tous ces symptômes ont disparu sous l'influence
lles ont comportés. II a eu, d'ailleurs, pendant plusieurs jours, une
contracture
de la jambe gauche qui pourrait bien avoir été hy
et les états profonds de l'hypnotisme. — Les phénomènes somatiques. —
Contractures
. — Anes-Ihésies. — Les paralysies psychiques. — I
l'enfant, en quelques secondes, il peut voir les muscles jusqu'alors
contractures
se relâcher, le membre se mettre en extension et
ait été réellement endormi au chloroforme. A peine y eut-il un peu de
contracture
et de résistance des muscles, pendant la réfectio
on mécanique directe, c'est-à-dire la contraction musculaireetausslla
contracture
. MM. Tamburini et Righi de leurs expériences su
utes d'application fixée, l'œil se ferma rapidement et il survint une
contracture
au muscle orbiculaire qui obligea l'œil à rester
de la paupière droite. TJn léger souffle de mes lèvres interrompit la
contracture
spasmodique et replaça le sujet à l'état normal.
le même M. Guglielmo F. Fedeli pour essayer le « transfert > de la
contracture
: phénomène déjà constaté aussi par MM. Charcot e
. Charcot et Richer. Le sujet ayant déjà le membre supérieur gauche
contracture
par la suggestion, j'ai appliqué l'aimant à quelq
ance du bras droit, et j'ai obtenu tout de suite la disparition de la
contracture
à gauche et tandis que ce membre se relâchait le
mbre se relâchait le membre droit entrait peu à peu dans une complète
contracture
, qui commençait par le groupe musculaire correspo
tiens : anesthésie complète de toute la région cervicale, mais pas de
contracture
; je transporte l'aimant dans la région gauche et
j'obtiens immédiatement le « transfert » de l'anesthésie. mais aucune
contracture
ne se manifeste. 2° Je prie M. De Nicola, l'hyp
opposé et j'obtiens le « transfert » de l'anesthésie,"mais pas de la
contracture
initiale. 3° Le sujet étant plongé dans l'hypno
uggestion verbale le sterno-cleïdo-uiastoïdien droit est complètement
contracture
. Je fais l'application de l'aimant à gauche, aprè
rès quelques secondes les deux muscles sterno-cleïdo-mastoïdiens sont
contractures
et la position de la tête se renverse en arrière
ant à quelque distance à gauche j'obtiens disparition graduelle de la
contracture
à droite Bf j'obtiens la complète contracture à g
arition graduelle de la contracture à droite Bf j'obtiens la complète
contracture
à gauche. 4° Enfin, dans les mêmes conditions,
paule droite (l'épaule est abaissée, le bras est fixé au thorax) ; la
contracture
étant obtenu, j'appuye l'aimant que je montre au
r conséquent à l'état de veille, nous pouvons obtenir à la fois et la
contracture
par la pression exercée sur les masses musculaire
ercée sur les masses musculaires, les tendons, ou les troncs nerveux (
contracture
des léthargiques), et l'immobilité cataleptique d
aussi à l'aide de légers frôlements, ou de mouvements h distance, la
contracture
somnambulique. Tous ces phénomènes somatiques se
aient susceptibles chez certains sujets, de provoquer l'apparition de
contractures
(2). « L'intensité du son peut-être très minime
les muscles ou le muscle sous-jacent à la zone cutanée excitée. Cette
contracture
se produit par mouvements saccadés isochrones au
meil) ; Continence (patliolo- gie), t. VIII, p. 517 à 420. A. 1834;
Contracture
, t. VIII, p. 520 à 526. A. 1834; Delirium treme
ssipa que par l'emploi de la suggestion. Plus tard, il présenta une
contracture
des bras qui s'accompagna d'un cer- tain degré
s, modifiée par sugges- tion par Burot« Le 21 mars 1889 survint une
contracture
de la mâchoire et des muscles du pharynx, telle
aient difficiles. Elle disparut en deux jours par la suggestion. La
contracture
s'était déplacée et localisée dans le bras surt
hystérique : larmes, cris, désespoir sans perte de connaissance.
Contracture
des doigts non seulement du côté électrisé, mais
uelques heures à quelques jours. Cette malade fit plus tard de la
contracture
presque subite , FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHR011f
lées rappelant celle qui accom- pagne la méningite de la base, avec
contracture
de la nuque et paralysie de la sixième paire da
taient réduites à la moitié, et leurs mouvements dimi- nués. Pas de
contractures
. Le réflexe patellaire normal peut être un peu
illaires au niveau des quadriceps cruraux. Crampes musculaires avec
contractures
passagères. Phénomènes d'érythromélalgie qui remo
tics et les mouvements choréiques, comme pour les paralysies et les
contractures
, il faut l'intervention de l'idée fixe, de la p
Il en est de même que chez une malade hystérique qui guérit d'une
contracture
de la mâchoire et qui plusieurs années après re
re de la mâchoire et qui plusieurs années après refait une nouvelle
contracture
de la mâchoire. Ces réflexions sont applicables
eint depuis l'âge de seize ans, auquel il com- mença ce métier, des
contractures
en question avec phénomène de Trousseau, etc.,
sous forme d'attaques extrêmement curieuses, ! de somnambulisme, de
contractures
permanentes, d'écritures subconscientes, etc. '
)t)'i"tt«t ol.siiij ifi pii;,«iwi t\> -ttttit ? gulièrement, des
contractures
» de forme étrangères paresies. "' .- ? Jw u r=
roite; puis le côté droit se contracte à son tour en flexion. Cette
contracture
disparaît bientôt de ce même côté, puis du gauc
cence à l'excitation électrique, mais dès qu'on touche la malade la
contracture
spasmodique s'accuse notable- ment. Les réflexe
mouvements voulus, mais dès qu'on l'examine et qu'on la touche, la
contracture
spasmodique s'exagère. Les réflexes rotuliens s
et les jambes raides. Au lit les cuisses sont rapprochées par la
contracture
spasmodique des adducteurs, les genoux se touchen
hénomènes que nous relations tout à l'heure sont à leur maximum. La
contracture
spasmo- dique toujours plus marquée aux membres
ux non plus. Ce qu'il y a de remarquable c'est que d'une part cette
contracture
spasmodique augmente dès qu'on touche les malad
pièce horizontalement. D'autre part, si l'on parvient à vaincre la
contracture
spas- modique, on fait mouvoir le membre de plu
mais il y ait de manifestations douloureuses, et bientôt on voit la
contracture
faire place à la plus entière souplesse. Ceci r
dans la maladie de Thomsen, mais avec cette différence que cette
contracture
diminue non pas dans les mouvements volontaires
Une hystérique de trente-deux ans était depuis neuf ans atteinle de
contractures
vives dans les mains elles pieds qui jl'empêchaie
- tendue fréquence de l'hémianesthésie dans l'hystérie, contre la
contracture
des muscles animés par le nerf que l'on excite pa
1898) qui a duré deux à trois heures, la malade semble avoir eu une
contracture
des membres inférieurs, elle avait les pieds to
s membres inférieurs, elle avait les pieds tournés en dedans. Cette
contracture
a été attribuée à une longue course à Paris, av
Meunier communique un cas d'atrophie musculaire progres- sive, avec
contractures
transitoires d'un membre. 1 >1111. EGGeR et.
le syndrome des cordons antéro-latéraux : état paréto- spasmodique,
contractures
et tremblement intentionnel ; 3° le syn- drome
r expliquer l'exagération du tonus musculaire et l'apparition de la
contracture
spasmo- dique consécutives aux lésions de la vo
ce proprement dite ni en phénomènes tels que trépidation spinale et
contracture
, signature de la dégénérescence du faisceau pyr
uveau combien est encore lointaine l'explication définitive de la
contracture
spasmodique post-hémiplégique. Nous résumerons
ors que des symptômes simples, comme par exemple, une anorexie, une
contracture
, ou bien une paralysie qui sont présentés à la
ieds jusqu'à la tête, et bientôt je fus en état de mort î. 4a Des
contractures
dont elle vient de nous parler ; elle nous dira
faut encore distinguer une scoliose paralytique et une scoliose par
contracture
. G. D. , IV. Un cas de névrite radiculaire doub
une pachyméningite cervicale hypertrophique, mais, d'une part cette
contracture
n'a été que passagère, et de l'autre, s'il s'ét
ines postérieures lombaires. Il existait en même temps une légère
contracture
avec une exagération des réflexes tendineux au ni
ype Brissaud. Si le cou est fixé dans une attitude vicieuse par une
contracture
permanente du sternomastoïdien, du SOCIÉTÉS SAV
ions diverses. M. Jules Voisin. Incontinence d'urine et hystérie.
M. Paul Contractures
et hyperexcitabilité neuromuscu- laire chez les
, se tient difficilement debout et marche péniblement ; mais pas de
contracture
ni de paralysie dans aucun membre. Le lendemain
ension du gros orteil est, dans les états cérébraux, un accident de
contracture
susceptible de se montrer associé à d'aulres ph
se montrer à l'état isolé et de façon à indiquer la tendance aux
contractures
;- 3° dans cet autre fait que l'extension durable
ivement, en l'espace d'un an, une hémiplégie droite avec aphasie et
contractures
, accompagnée d'obtusion intellectuelle avec gât
s s'exposer à aggraver l'état du patient. Le danger d'augmenter les
contractures
règle V électrothérapie de l'hé- miplégie. En l
pparaître les contractions musculaires normales et voir diminuer la
contracture
; la diffusion du courant aux antago- nistes plu
rant aux antago- nistes plus excitables ne pourrait qu'augmenter la
contracture
. La gymnastique sous la forme de mouvements act
quatre jours après l'apparition d'une hémiplégie droile totale avec
contracture
, exagération des réflexes. L'autopsie montra l'
que l'on peut mettre très facilement dans un état cataieploïde avec
contractures
. Il démontre à nouveau sur ce malade le phénomè
apporter à la seule suggestion tous ces phénomènes de catalepsie de
contracture
. De ce que la suggestion peut les produire, il
ion de M. llaguin. Dans le cas actuel, il s'agit de catalepsie avec
contractures
dif- fuses. Quand on ouvre l'un des yeux, le br
on ouvre l'un des yeux, le bras au côté correspondant cesse d'être
contracture
. Suggestion musicale et psychothérapie. M. He
que chose de très comparable à la disparition des paralysies et des
contractures
hys- tériques. Ce n'est là évidemment qu'une
n- testin, ne sait-on pas également qu'ils peuvent être sujets à la
contracture
de ces organes (14). Dans certaines névroses qu
ais le droit paraît bien le plus faible. A la face, rien. Jamais de
contractures
, jamais de convulsions. Les réflexes tendineux
bier, âgé de 46 ans, est entré à Bicêtre pour une hémi- plégie avec
contracture
. Rien à signaler au point de vue de ses antécéden
nault)..Il y reste neuf mois au cours desquels (4° mois) apparut la
contracture
débutant par les doigts de la main gauche. Le m
main gauche s'étendent d'eux-mêmes, mais ils reviennent ensuite en
contracture
. Le côté gauche du thorax depuis la région clav
gauches qui ont repris.leurs mouvements dans leur in- tégralité, la
contracture
a disparu de la jambe et du pied droits. Le membr
ors que surviennent, sans présenter d'ailleurs rien de spécial, les
contractures
et les atrophies classiques. On les retrouvera me
chi dans l'attitude si fréquente chez les hémiplégiques atteints de
contracture
. Du côté du membre inférieur, on constate une t
ux et parvenait à marcher, quoique avec peine, lorsqu'apparut de la
contracture
dans les membres para- lysés. Cette contracture
orsqu'apparut de la contracture dans les membres para- lysés. Cette
contracture
s'installa peu à peu et finit par le gêner assez
pidation sponta- née. Les réflexes tendineux sont très exagérés. La
contracture
est permanente, mais non absolue : car on peut
résumé nous nous trouvons en présence d'une hémiplégie gauche avec
contracture
consécutive à un coup de fusil chargé de plomb de
gressivement, flasque au début, la paralysie ne s'est compliquée de
contracture
que quatre mois après son début, cette contractur
st compliquée de contracture que quatre mois après son début, cette
contracture
du reste n'est pas complète ; on peut, en déplo
usque- ment, elles sont rarement flasques ; elles s'accompagnent de
contracture
dès le .début. De plus la contracture hystéri
s ; elles s'accompagnent de contracture dès le .début. De plus la
contracture
hystérique est très forte; le membre atteint est
iostée, en six semaines, sans la moindre douleur. A part une légère
contracture
en flexion des quatre derniers doigts de la mai
es jam- bes était exagérée ; dans les derniers temps il y eut de la
contracture
gé- néralisée à tous les muscles ; les mêmes co
eut de la contracture gé- néralisée à tous les muscles ; les mêmes
contractures
sont signalées par Rojet et Collet : chez la ma
l) slagmiques moins brusques et moins amples ; l'état parétique, la
contracture
, l'étal spasmodique des membres supérieurs et inf
se double. Il ne lui restait qu'une parésie de la jambe gauche, une
contracture
des doigts du même côté et des plaques d'anesth
aise, ayant l'avant-bras gauche fléchi à angle droit sur le bras et
contracture
Les mouvements passifs sont encore possibles Le
oudée des parkinsoniens. La palpation ne dénote jamais cependant de
contracture
des muscles para-vertébraux. Enfin signalons, e
ient beaucoup plus prononcés dans le cas premier; il y avait là des
contractures
dans les membres inférieurs, une rigidité dans le
des tiraillements, des accès para- lytiques et une inclination aux
contractures
) ; les phénomènes prédomi- nants de l'hémiparés
rouvent leur cause dans des perturbations musculaires, paralysie ou
contracture
des muscles extenseurs fléchisseurs ou Jatéro-flé
and on se livre à l'examen plus attentif des symptômes. En effet la
contracture
ou la résolution du système musculaire n'avait pa
e celle-ci. Le bras gauche montre à l'épaule et au coude une légère
contracture
qui se laisse vaincre en déployant une force modé
e gauche gît légèrement tournée en dehors, elle est flasque et sans
contracture
. Les membres droits se meuvent à la volonté du ma
droit, la pointe du pied droit regardant en dedans, par suite d'une
contracture
ac- cusée. Le bras droit est complètement paral
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