uis bien des années, provoquant, à l'aide de courants électriques, la
contraction
des muscles de la face, pour leur l'aire parler
erai par la photographie les lignes expressives de la face pendant la
contraction
électrique de ses muscles. En résumé, je ferai
nter au premier anatomiste qui vit un muscle se raccourcir pendant sa
contraction
. » h° Enfin, lorsque do vives controverses s'él
sourcil, on éprouve une sorte de mirage qui fait croire à un état de
contraction
générale de la face. Les vivisections, fussent-
ui croise la direction de cette ride se trouve-t-il nécessairement en
contraction
? Telle semble être l'opinion de Camper; tel a é
EN MOUVEMENT. Tout mouvement volontaire ou instinctif résulte de la
contraction
simultanée (synergique) d'un plus ou moins grand
u fluide nerveux dans tel ou tel muscle, de manière à en provoquer la
contraction
isolée. Ce pouvoir, qui eût été sans utilité pour
siner sous l'instrument les plus petites radiations des muscles. Leur
contraction
révèle leur direction et leur situation mieux que
exercée sur l'expression par les muscles de la face, j'ai provoqué la
contraction
de ces derniers à l'aide de courants électriques,
fois ; puis, allant du simple au composé, j'ai essayé de combiner ces
contractions
musculaires partielles, en les variant autant que
nts, les faits généraux principaux qui ont été mis en lumière par ces
contractions
partielles et par ces contractions combinées des
qui ont été mis en lumière par ces contractions partielles et par ces
contractions
combinées des muscles de la face. contractions
artielles et par ces contractions combinées des muscles de la face.
contractions
partielles des MUSCLES DE LA FACE. L'étude expé
ctions partielles des MUSCLES DE LA FACE. L'étude expérimentale des
contractions
partielles des muscles de la lace apprend qu'elle
expressives, ou expressives complémentaires, ou inexpressives. \. —
Contractions
iMirliclicH complètement expressives. 11 est de
qui représente la souffrance. Eh bien! sitôt (pie j'en provoquais la
contraction
électrique, non-seulement le sourcil prenait la
ette expérience, la région sourcilière seule avait été le siège d'une
contraction
très évidente, et je n'avais pu constater le plus
e des traits que l'on observait alors, paraissait être produite parla
contraction
synergique d'un plus ou moins grand nombre de mus
partie inférieure du visage n'éprouvait plus la moindre apparence de
contraction
! Je renouvelai plusieurs fois cette expérience
Ce fut un trait de lumière ; car il était de toute évidence que cette
contraction
apparente et générale de la face n'était qu'une i
xprimer étant assez nombreuses, il ne fallait pas trop multiplier les
contractions
des muscles qui servent à en tracer les signes et
'est la première impression que l'on reçoit toujours, à la vue de ces
contractions
partielles ; néanmoins on ne tarde pas à sentir q
elquefois appris quels muscles doivent alors entrer synergiquement en
contraction
pour compléter l'expression. Je reviendrai bientô
er l'expression. Je reviendrai bientôt sur ce sujet important. C. —
Contractions
partielles expressives complémentaires. Isoléme
iolentes : la frayeur, l'épouvante, l'effroi, la torture, etc. D. —
Contractions
partielles inexpressives. Il n'est pas un seul
ombre) ne produisent aucune ligne expressive apparente, bien que leur
contraction
partielle produise un mouvement très appréciable.
ces muscles doivent donc être considérés comme inexpressifs. II.
CONTRACTIONS
COMBINÉES DES MUSCLES DE LA FACE. Les combinais
uscles de noms différents, d'un coté ou des deux côtés à la fois. Ces
contractions
combinées sont, ou expressives, ou inexpressives,
u expressives, ou inexpressives, ou expressives discordantes. .*. —
Contractions
combinées expressives. L'étude expérimentale de
.*. — Contractions combinées expressives. L'étude expérimentale des
contractions
musculaires partielles de la face m'a révélé, ain
pressions originelles, on l'a vu, sont parfaitement dessinées par les
contractions
partielles de certains muscles, tandis que d'autr
ressions originelles de la face (qu'elles aient été produites par des
contractions
partielles complètement expressives, ou par la co
exemple pour expliquer ma pensée. L'attention qui est produite par la
contraction
partielle du frontal, et la joie qui est due à la
a condition d'être faites conformément aux lois de la nature? It. —
Contractions
combinées inexprcssives. Il est rationnel de pe
thiser ensemble, et que leur action combinée ne doit produire que des
contractions
inexpressives. En effet, il ne m'a pas été possib
contre un nerf qui anime un plus ou moins grand nombre de muscles. La
contraction
en masse qui en résulte ne produit jamais qu'une
roduit jamais qu'une grimace qui ne rappelle aucune expression. Cette
contraction
en masse ressemble aux spasmes C. — Contraction
e expression. Cette contraction en masse ressemble aux spasmes C. —
Contraction
»* combinées expressives discordantes. Il ne fau
t-on, par exemple, le sourire au pleurer modéré, et encore mieux à la
contraction
légère du muscle de la souffrance, on obtient une
expression de compassion, une expression des plus sympathiques. Ces
contractions
composées, au fond, par des expressions contraire
et qui peignent un sentiment pour ainsi dire forcé, je les appellerai
contractions
combinées expressives discordantes. convulsifs
t physiologique du tronc ou des membres qui ne soit le résultat de la
contraction
synergique d'un plus ou moins grand nombre de mus
nsi l'élévation volontaire du bras (de l'humérus) est produite par la
contraction
d'un muscle (le deltoïde); nous le sentons durcir
ui entre en action, parce que nous n'avons pas la conscience d'autres
contractions
musculaires. Il n'en est cependant pas ainsi; car
'empêcher, la nature fait entrer synergiquement en action, pendant la
contraction
(1) Eleclrisation localisée appliquée à la phys
mouvements qui sont des merveilles de combinaisons mécaniques. Ces
contractions
synergiques sont nécessitées par les lois de la m
main la faculté instinctive d'exprimer toujours ses sentiments par la
contraction
des mêmes muscles. (I) Loc. cil., 2e partie.
core irritable, ont donné des résultats parfaitement identiques. La
contraction
partielle d'un muscle qui préside à une expressio
sympathiqucmont une impression intérieure qui provoquerait d'autres
contractions
involontaires? La face, par exemple, met toujours
ntérieure, et cette impression ne provoque-t-elle pas, à son tour, la
contraction
du second muscle ? C'est ce qu'on appellerait un
lterait ([ue l'on ne pourrait mettre un muscle expressif isolément en
contraction
, sans provoquer l'action synergique d'autres musc
nces que j'ai faites sur des sujets récemment morts, chez lesquels la
contraction
des muscles de la face a produit des mouvements e
chez les vivants. On a môme été jusqu'à admettre la possibilité de
contractions
dites réflexes, provoquées par toute excitation p
ici une des conditions dans lesquelles se produit le phénomène appelé
contraction
musculaire réflexe. Lorsqu'on pique une des extré
excité, de manière à réagir sur certains muscles qui alors entrent en
contraction
. On voit donc que ces contractions, auxquelles la
rtains muscles qui alors entrent en contraction. On voit donc que ces
contractions
, auxquelles la volonté reste entièrement étrangèr
on électrique d'un muscle quelconque fût le résultat d'un ensemble de
contractions
réflexes analogues à celles dont il vient d'être
ogues à celles dont il vient d'être question, et non le produit d'une
contraction
musculaire partielle ? Je compris que cette objec
ujets sains, l'éleclrisa-tion musculaire localisée ne provoque pas de
contractions
réflexes qui viennent compliquer l'action muscula
ions complexes. Les expressions primordiales sont produites par les
contractions
partielles des muscles complètement expressifs ou
..... Douleur ....... Agression., méchanceté ........ 2° Par la
contraction
combinée îles muscles incomplètement expressifs e
palpébral supérieur (portion du muscle dit sphincter des paupières);
contraction
modérée. Môme muscle; contraction forte. Même
cle dit sphincter des paupières); contraction modérée. Môme muscle;
contraction
forte. Même muscle; contraction très forte. S
contraction modérée. Môme muscle; contraction forte. Même muscle;
contraction
très forte. Sourcilier. Pyramidal du nez. É
palpébraux. Grand zygomatique et orbiculaire palpébral inférieur ;
contraction
modérée. Mêmes muscles et palpébraux. Grand z
Frontal et abaisscurs de la mâchoire inférieure, à un degré modéré de
contraction
. Même combinaison musculaire et abaisscurs de l
aire et abaisscurs de la mâchoire inférieure, à un plus haut degré de
contraction
. Même combinaison musculaire, au maximum de con
ut degré de contraction. Même combinaison musculaire, au maximum de
contraction
. Muscles de l'étonnement associés à ceux de la
ntal, peaucier et abaisscurs de la mâchoire inférieure, au maximum de
contraction
. Sourciller, peaucier et abaisseurs de la mâc
u nez, peaucier et abaissement du maxillaire inférieur, au maximum de
contraction
. Orbiculaire palpébral supérieur et triangulair
de facilité sur la physionomie de l'homme, — et cela seulement par la
contraction
partielle de l'un des muscles moteurs du sourcil!
gnes, ou, en d'autres termes, devait être placé sous la dépendance de
contractions
musculaires toujours identiques. Ce que le rais
ur cela que le Créateur a placé la physionomie sous la dépendance des
contractions
musculaires instinctives ou réflexes. On sait a
ment chaque passion est toujours dessinée sur la figure par les mômes
contractions
musculaires, sans (pie ni la mode ni le caprice p
muscles sont donc des espèces de ressorts qui, dans l'intervalle des
contractions
, se font plus ou moins équilibre. (Test ainsi qu'
s utile encore à la face, où, à peu d'exceptions près, les muscles en
contraction
ne font aucun relief sous la peau. Peu importe,
ause physique de tous ses plis, de toutes ses rides, en provoquant la
contraction
de ses muscles partiellement ou par groupes, est
ionomie en mouvement, non-seulement est en raison directe du degré de
contraction
musculaire (ce qui signifie : selon le degré de l
Des artistes habiles ont vainement essayé de les représenter; car les
contractions
provoquées par le courant électrique sont de trop
ments variables auxquels ils donnent naissance, suivant leur degré de
contraction
, selon l'âge du sujet et certaines conditions ana
ent de mes expériences électro-physiologiques............. 7 I. —
Contractions
partielles des muscles de la face.......... 18
Contractions partielles incomplètement expressives.......... 23 C.
Contractions
partielles expressives complémentaires........ 24
Contractions partielles expressives complémentaires........ 24 1).
Contractions
partielles inexpressives.................... 25
Contractions partielles inexpressives.................... 25 II. —
Contractions
combinées des muscles de la face........... 25
B. Contractions combinées inexpressives.................... 28 C.
Contractions
combinées expressives discordantes........... 29
, il est cependant impossible de maintenir longtemps au même degré de
contraction
le muscle, dont l'irritabilité, après quelques se
ne produit qu'une grimace. Électrisation du rameau temporo-facial ;
contraction
de tous les muscles animés par lui; grimace sembl
iné ce choix : 1° Dans la vieillesse, on voit, sous l'influence des
contractions
musculaires, se dessiner toutes les lignes expres
nne une idée du mode d'électrisation que j'ai employé pour obtenir la
contraction
partielle des muscles de la face. On remarque q
égales pour éviter le tremblement du muscle pendant qu'il est mis en
contraction
; la gradation du courant doit être d'une grande
rhéophore placé au niveau du grand zygoma-tique aurait dû produire la
contraction
isolée de ce muscle, ainsi qu'on l'observera dans
temporo-faciale de la septième paire (voy. G, fig. 2), a provoqué la
contraction
en masse des muscles animés par ce tronc nerveux,
ention se réunissent et se continuent sur la ligne médiane pendant la
contraction
des deux muscles frontaux. Excitation électriqu
g. 9.— Destinée à l'étude expressive du muscle frontal, au maximum de
contraction
. A droite, excitation électrique, au maximum, d
lignes, concentriques à la courbe du sourcil. La figure 8 montre la
contraction
électrique, à un degré modéré, des deux muscles f
Dans la figure 9, où le muscle frontal est représenté au maximum de
contraction
, le sourcil et les rides frontales ne décrivent p
randissement de l'ouverture palpébrale, du côté excité, montre que la
contraction
du frontal exerce une action notable sur l'élévat
amentales, pendant le jeu de la physionomie. Toutefois, au maximum de
contraction
du frontal, j'ai vu naître sur ce jeune front une
ée, la prunelle étincelle de lumière, surtout dans la figure 9, où la
contraction
est à son maximum. Et puis voyez la différence
. lu. — Destinée à montrer comparativement, chez le même individu, la
contraction
au maximum de l'orbiculaire palpébral supérieur e
sourcilier. Fig. 15. — Destinée à démontrer que le mécanisme de la
contraction
volontaire de l'orbiculaire palpébral supérieur e
t identiquement le même que sous l'influence du courant électrique.
Contraction
volontaire, forte, des orbiculaires palpé-braux s
ouvrez le côté droit, où l'orbiculaire palpébral supérieur est mis en
contraction
, vous observez : 1° que le sourcil s'est abaissé
el est l'ensemble des mouvements du sourcil, toujours produits par la
contraction
partielle et modérée du frontal. La ligne verti
cé dans l'expérience précédente, parce que je n'avais provoqué qu'une
contraction
modérée de l'orbiculaire palpébral supérieur. S
r. Sur la figure 13, l'orbiculaire palpébral supérieur a été mis en
contraction
de chaque côté plus énergiquement que sur la figu
ns l'expérience précé dente (voyez lafig. 13), a été produit par la
contraction
électrique des orbiculaires palpébraux supérieurs
nt devenus rectilignes et ont ombragé son œil, sous l'influence de la
contraction
de l'orbiculaire palpé-bral supérieur, que cette
ce de la contraction de l'orbiculaire palpé-bral supérieur, que cette
contraction
ait été provoquée par un courant électrique ou pa
cales ont été creusées par les efforts de la méditation. Lorsque la
contraction
de l'orbiculaire palpébral supérieur est à son ma
favorables au développement de cette expression, j'ai toujours vu la
contraction
modérée de ce muscle imprimer sur la face le cach
re 13 à la figure 12. Ces deux figures représentent le môme muscle en
contraction
chez le même individu, mais à des degrés différen
omme je viens de le démontrer, peint la réflexion calme, parce que la
contraction
musculaire est modérée. — Dans l'autre (fig. 13),
rmine supérieurement dans la peau, au niveau de la tête du sourcil.
Contraction
électrique des pyramidaux chez un jeune homme d'u
s'est creusé au niveau de la tête du sourcil, sous l'influence de la
contraction
musculaire électrique. — Ce sillon n'existe pas d
rhéophores n'ont produit aucun mouvement, en d'autres termes, aucune
contraction
musculaire; c'est une nouvelle preuve que ce poin
du front, qui est très mobile, a été considérablement abaissée par la
contraction
électrique de ses pyramidaux, et la peau de la ra
igure 16. Les muscles pyramidaux y sont mis en effet énergiquement en
contraction
, et cependant on observe que l'abaissement de la
anceté, de haine, comme je l'obtiens, en général, facilement par la
contraction
énergique des pyramidaux*. .le mentionnerai ici
s de sa tète. Cet ensemble de mouvements et de lignes résultait de la
contraction
énergique de l'orbiculaire palpébral supérieur. A
ste qui existe entre leurs expressions. A droite, où parle fait de la
contraction
du pyramidal l'extrémité interne du sourcil est a
x pyramidaux du même sujet sont mis simultanément et énergiquement en
contraction
, nous montre une expression de méchanceté, de hai
ligure que l'espace intersourcilier du côté gauche est déformé par la
contraction
du pyramidal du côté droit. Par la môme raison au
i conservé la photographie. Elle est utile, d'ailleurs, à l'étude des
contractions
concordantes, pour ce qui a trait à la contractio
rs, à l'étude des contractions concordantes, pour ce qui a trait à la
contraction
combinée du pyramidal et du triangulaire des lèvr
es lignes expressives, fondamentales et secondaires, produites par la
contraction
électrique modérée du sourcilier, chez un vieilla
nté dans les figures 3, 6, 7, 8, 9, 12,13, là, 17 et 18). A droite,
contraction
électrique du sourcilier à un degré moyen : souff
é opposé était dans cet état au moment de l'expérience). Fig. 20. —
Contraction
électrique, à un degré moyen, des sour- ciliers
te sa longueur, comme du côté gauche de cette figure 21). A droite,
contraction
électrique modérée du sourcilier et regard en hau
ée du sourcilier et regard en haut : souvenir douloureux. A gauche,
contraction
volontaire du frontal et regard en haut : souveni
née à démontrer, chez le même sujet, qu'au delà d'un certain degré de
contraction
, et dans certaines conditions, le sourcilier n'es
certaines conditions, le sourcilier n'est plus expressif. A gauche,
contraction
électrique au maximum du sourcilier : pas d'expre
éré, chez un jeune sujet (représente dans les figures h, 15 et 16).
Contraction
volontaire, à un degré moyen, des sourci-liers et
loureux ou pensée douloureuse. Fig. 2Zi. — Destinée à l'étude de la
contraction
volontaire à un degré plus fort que dans la figur
l'œil est tourné obliquement en haut et de côté, comparativement à la
contraction
du frontal, avec le même mouvement de l'œil. A
contraction du frontal, avec le même mouvement de l'œil. A gauche,
contraction
volontaire du sourcilier à un degré plus fort que
sujet parait succomber à la souffrance : tète de Christ. A droite,
contraction
volontaire du frontal, avec regard un peu oblique
Fig. 25. — Destinée à montrer, chez le même sujet vu de profil, la
contraction
spasmodique du sourcilier. Contraction spasmodi
même sujet vu de profil, la contraction spasmodique du sourcilier.
Contraction
spasmodique très forte des sourciliers, produite
nte, à l'étude des rides frontales médianes qui sont produites par la
contraction
du sourcilier) chez une femme âgée de cinquante-d
nt la peau est line ou brûlée par l'air et par le soleil. A droite,
contraction
électrique moyenne du sourcilier, avec regard lat
r, avec regard latéral; expression attention douloureuse. A gauche,
contraction
volontaire et légère du frontal, avec regard un p
ême expérience que dans la figure précédente; mais, dans celle-ci, la
contraction
électrique du sourcilier gauche est plus forte et
inée à l'étude des lignes expressives fondamentales, produites par la
contraction
légère du sourcilier, chez une petite fille âgée
x ans (représentée antérieurement dans les fig. 5 et 10). A droite,
contraction
électrique légère du sourcilier : douleur. A ga
rcil en masse, occasionné par l'impression de la lumière. Fig. 29. —
Contraction
électrique plus forte du sourcilier, avec regard
figures 26, 27, 28, 29. La figure 28 représente le premier degré de
contraction
du sourcilier droit chez une petite fille âgée de
s et mieux accentués dans la figure 20, où le sourcilier est mis en
contraction
de chaque côté. Ici les sillons médians du front
rtement (voyez la fig. 27). On remarque aussi sur la figure 26, où la
contraction
du sourcilier est moins énergique, que ces rides
25 on en dislingue une troisième, mais très peu marquée, parce que la
contraction
de ce muscle y est plus forte. — La courbe de ces
gées de six à huit ans, et représentées dans les figures 28 et 29, la
contraction
moyenne du sourcilier n'a pas produit de ligne mé
écédentes, la direction du sourcil a été d'aufant plus oblique que la
contraction
du sourcilier a été plus forte. On remarque, en e
ans la figure 29 que dans la figure 28, et cela en raison du degré de
contraction
plus ou moins énergique du sourcilier. Il est cep
pendant des sujets chez lesquels le sourcilier, même à son maximum de
contraction
, ne donne pas une grande obliquité au sourcil, pa
ront n'a pas changé ; mais à un haut degré d'intensité du courant, la
contraction
du sourcilier l'a emporté sur celle du frontal, e
ement des deux côtés. —Mais on observe, à droite, où j'ai provoqué la
contraction
plus énergique du sourcilier, que l'arc du sourci
es à la partie médiane du front. I*. — Expression. La plus légère
contraction
du sourcilier, dans l'enfance, donne à la physion
ive encore dans la figure 24, où l'on voit que sous l'influence de la
contraction
plus énergique du muscle sourcilier, son sourcil
es reliefs et les méplats sont plus accentués. L'association de cette
contraction
puissante du sourcilier avec le regard un peu obl
et les sourcils de cette figure. Mais à l'instant où j'ai provoqué la
contraction
de ses sourciliers, elle a pris une expression de
e. On constate ce fait en regardant l'ensemble de la figure 20, où la
contraction
des sourciliers est assez énergique. C'est bien
ans son ensemble, ils attribuaient son expression de souffrance à une
contraction
générale des traits de la face. La bouche et la l
vement chaque œil, et l'on verra, du côté où le sourcilier est mis en
contraction
, tous les traits de la face se contracter doulour
, en apparence. Les figures 22 et 25 prouvent qu'il est un degré de
contraction
au delà duquel le sourcilier perd, dans certaines
ectrisé partiellement. C'est ce que j'ai toujours observé, lorsque la
contraction
de ce muscle était forcée, comme dans cette figur
i sont gênées par une trop vivo lumière. J'ai voulu représenter cette
contraction
spasmodique naturelle, dans la figure 25. J'avais
des lignes expressives fondamentales et secondaires, produites par la
contraction
du grand zygomatique chez un vieillard (représent
es mêmes lignes fondamentales et secondaires cle la joie, avec légère
contraction
de quelques fibres du muscle dit sphincter des pa
iques et de l'orbiculaire palpébral inférieur. Rire naturel, par la
contraction
volontaire des deux grands zygomatiques et de l'o
binaison du muscle de la joie et de la douleur, à un certain degré de
contraction
, est inexpressive ou ne produit qu'une grimace.
egré de contraction, est inexpressive ou ne produit qu'une grimace.
Contraction
électrique forte des grands zygomatiques et des s
Fig. 35. —Destinée à l'étude des lignes expressives produites par la
contraction
forte et partielle du grand zygomatique chez une
ébraux.) A droite, électrisation du grand zygomatique associée à la
contraction
volontaire, légère des palpébraux : rire méprisan
excitation électrique forte du triangulaire des lèvres, associée à la
contraction
volontaire et modérée des palpébraux : mépris, dé
u point d'immersion du filet moteur du grand zygomatique, afin que la
contraction
musculaire soit égale de chaque côté. Il m'est
ondaires, qui, à un âge avancé, se développent sous l'influence de la
contraction
énergique de ce muscle. J'ai dit ailleurs : 1°
igures 35 et 36, où le grand zygomatique est mis aussi fortement en
contraction
que dans la figure 30, on voit que les lignes sec
ans les figures 30 et 31 : ses grands zygomatiques sont au maximum de
contraction
. Au premier abord, il paraît s'abandonner au rire
ration de ce rire ; car si je vous représentais le sujet souriant, la
contraction
partielle de ses grands zygomatiques serait aussi
te expression est mieux rendue encore dans la figure 36, parce que la
contraction
des palpébraux produite, on le sait, par le spasm
te figure aux figures 38 et 39. Fig. 38. — Destinée à l'étude de la
contraction
partielle du transverse du nez, chez le même suje
la contraction partielle du transverse du nez, chez le même sujet.
Contraction
du transverse du nez; ne se produisant pas partie
dépendent de la forme du nez.) Fig. 39. — Destinée à l'étude de la
contraction
combinée du transverse du nez et du grand zygonia
transverse du nez et du grand zygoniatique, chez le même individu.
Contraction
combinée du transverse du nez, du grand zygomatiq
n qu'il donne à la physionomie, lorsqu'il s'associe aux palpébraux.
Contraction
électrique du transverse du nez et contraction vo
ocie aux palpébraux. Contraction électrique du transverse du nez et
contraction
volontaire, légère des palpébraux, de manière à m
hez le même individu, dont le transverse du nez est très développé.
Contraction
électrique combinée du transverse du nez et du gr
es lignes expressives, fondamentales et secondaires, produites par la
contraction
énergique du transverse du nez chez deux sujets d
figures 38 et 39. B. — Impression. La figure 38 fait voir que la
contraction
partielle du grand zygomatique donne à la physion
ui a refusée. On remarquera que j'ai mis en même temps son frontal en
contraction
, voulant indiquer par là que celte passion vient
4,17, 18,19, 20, 21, 22, 30, 31, 32, 33, 34, 37, 38, 39). A droite,
contraction
électrique forte du triangulaire des lèvres : dég
inée à l'étude expressive des triangulaires des lèvres, au maximum de
contraction
, chez le même sujet. Contraction électrique trè
gulaires des lèvres, au maximum de contraction, chez le même sujet.
Contraction
électrique très forte des triangulaires des lèvre
en dehors. Les figures hk et 45 montrent, en outre, qu'au maximum de
contraction
, le sillon interlabial décrit une courbe à concav
dre abattement des commissures labiales a lieu sous l'influence de la
contraction
des triangulaires des lèvres, et alors cet abaiss
ent de sa commissure labiale gauche; en d'autres termes, à une faible
contraction
du triangulaire des lèvres de ce côté., On peut
présentée sur le côté droit de la figure 36, qu'au plus haut degré de
contraction
, l'action expressive du triangulaire des lèvres c
n, l'a modifiée un peu; j'y reviendrai bientôt. La figure hh, où la
contraction
au maximum du triangulaire des lèvres est parfait
er. Le moindre abaissement des commissures labiales (par une faible
contraction
des triangulaires), associé à un léger rapprochem
Cette expression est rendue sur la moitié gauche de la figure 36. La
contraction
extrême (peut-être un peu exagérée et grimaçante)
attement. La contention d'esprit, exprimée dans la figure lo par la
contraction
assez forte de l'orbiculaire palpébral supérieur,
, devient, dans la figure une expression de pensée sombre par la même
contraction
au maximum de l'orbiculaire palpébral supérieur g
dérable des commissures ajoute à la dureté du regard, produite par la
contraction
du pyramidal du nez, muscle de l'agression. Il es
muscle de l'agression. Il est vrai que sous la seule influence de la
contraction
partielle du pyramidal du nez, le regard est déjà
tristesse qui sied bien à l'expression de souffrance produite par la
contraction
des sourciliers. La même combinaison musculaire
même sujet. A gauche, excitation électrique du petit zygomatique et
contraction
volontaire du sphincter dos paupières : pleurer f
excitation électrique de l'élévateur propre de la lèvre supérieure et
contraction
volontaire des paupières : nuance du même pleurer
et du grand zygoma-tique, chez le même sujet vu de face. A gauche,
contraction
électrique du petit zygomatique : pleurer modéré,
e du petit zygomatique : pleurer modéré, attendrissement. A droite,
contraction
électrique modérée du grand zygomatique: rire fau
vateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. A droite,
contraction
partielle de l'élévateur commun de l'aile du nez
baissement de la lèvre intérieure par les muscles carrés du menton.
Contraction
électrique des élévateurs communs de l'aile du ne
ment à l'expression du grand zygomatique, du côté opposé. A gauche,
contraction
électrique de l'élévateur commun de l'aile du nez
de la lèvre supérieure, et des palpébraux : pleurnicher. A droite,
contraction
du grand zygomatique : rire faits. EXPLICATION
ieure et de la ligne naso-labiale. 11 en est résulté qu'à ce degré de
contraction
, la portion du bord libre des lèvres et le sillon
on de la joie et du rire, est au contraire un muscle du pleurer. La
contraction
bien isolée de ce muscle, telle que je l'ai obten
ns la figure 47. Ici le sujet pleure franchement. Ce n'est pas que la
contraction
du Ipetit zygomatique y soit plus forte, j'ai déj
aire qu'elle était moindre que dans la figure 46 ; c'est parce que la
contraction
du sphincter des paupières y est associée à celle
gne naso-labiale donnait à sa physionomie l'expression du pleurer, la
contraction
du petit zygomatique avait remplacé celle du gran
expression ridicule et niaise. Fig. 50. — Destinée à l'étude de la
contraction
combinée, à un degré modéré, du frontal el. des a
eur. Abaissement volontaire et modéré de la mâchoire inférieure, et
contraction
électrique proportionnelle des frontaux : surpris
nnelle des frontaux : surprise. Fin. 57. — Destinée à l'élude de la
contraction
combinée, au maximum, des frontaux et des abaisse
. Abaissement volontaire, au maximum, de la màcboire inférieure, et
contraction
électrique énergique des frontaux : étonnement, s
combinant l'abaissement volontaire de la mâchoire inférieure avec la
contraction
électrique du frontal. La même combinaison musc
électrique du frontal. La même combinaison musculaire au maximum de
contraction
peint, dans la figure 57, une émotion analogue, m
|5, 46, 47, 48, 49, 51, 52, 53, 54, 55, 5(3, 57). Dans la première,
contraction
électrique du peaucier gauche; dans la seconde, c
première, contraction électrique du peaucier gauche; dans la seconde,
contraction
des deux peauciers : cette contraction partielle
ucier gauche; dans la seconde, contraction des deux peauciers : cette
contraction
partielle du peaucier est inexpressive. Fig. GO
e du peaucier est inexpressive. Fig. GO. — Destinée à l'étude de la
contraction
combinée, expressive, des peauciers et des fronta
née, expressive, des peauciers et des frontaux, chez le même sujet.
Contraction
électrique combinée des peauciers el des frontaux
des frontaux : frayeur. Fig. 01 et 02. — Destinées à l'élude de la
contraction
électrique combinée du peaucier et du frontal, as
ciée à l'abaissement de la mâchoire intérieure, chez le même sujet.
Contraction
électrique des peauciers, des frontaux, avec abai
s : expression d'effroi. Fig. G/i et 05. —Destinées à l'étude de la
contraction
électrique combinée des peauciers et des sourcili
ciée à l'abaissement de la mâchoire inférieure, chez le même sujet.
Contraction
combinée des peauciers et des sourciliers, avec a
nférieure : effroi mêlé de douleur, torture. Dans la figure 6/i, la
contraction
du peaucier est plus énergique à gauche qu'à droi
r et de l'effroi. EXPLICATION DE LA LÉGENDE. A. — Mécanisme. La
contraction
partielle de l'un des peauciers, photographiée fi
ouvre, c'est-à-dire la moitié antérieure du cou. Enfin, au maximum de
contraction
, un grand nombre de fibres de ce muscle forment
édentes, et principalement sur la figure 63. 11. — Impression. La
contraction
partielle du peaucier est inexpressive ; la figur
ec une grande vérité la surprise, l'étonnement, Fébahissement, par la
contraction
combinée des abaisseurs de la mâchoire inférieure
é latéralement. Son muscle frontal étant mis d'abord énergiquement en
contraction
, son œil est devenu attentif, tel qu'il a été pho
maxillaire inférieur. Les figures 56 et 57 ont déjà démontré que la
contraction
combinée des frontaux et des abaisseurs de la mâc
On voit, en effet, malgré l'abaissement de la paupière supérieure, la
contraction
combinée des peauciers, des frontaux et des abais
ui menace cet homme. Il est prouvé par les figures 0/t et 05 que la
contraction
combinée des peauciers, des abaisseurs de la mâch
accord avec le mouvement oblique et sinueux imprimé au sourcil par la
contraction
du sourcilier; mais le modelé des parties latéral
rivît une courbe concentrique à ces sillons; et jamais je n'ai vu une
contraction
volontaire ou expressive donner au sourcil une di
e à ces lignes frontales, comme cela s'observe sous l'influence de la
contraction
énergique du muscle frontal, chez un adulte (voy.
t les lignes, les reliefs et les méplats qui se produisent pendant la
contraction
énergique, soit du frontal, soit du sourcilier. L
une fanlaisie de l'artiste Àgésandre ; il est impossible, car aucune
contraction
musculaire, partielle ou combinée, ne saurait le
r Apollon d'écorcher Marsyas, l'expression de douleur produite par la
contraction
du sourciller, telle qu'elle est photographiée da
e spasmodiquement son sourcil, comme dans les figures 22 et 25, où la
contraction
des sour-ciliers est à son maximum. De toutes c
pas la clef de mes expériences. Aussi je crois devoir répéter que la
contraction
électrique partielle des muscles qui produisent d
e la face, que je provoque, d'un côté ou des deux côtés à la fois, la
contraction
électrique d'un ou de plusieurs muscles dont l'ac
ctil qu'au moment où le muscle électrisé est arrivé juste au degré de
contraction
nécessaire à la vérité parfaite de l'expression q
à la vérité parfaite de l'expression que je veux peindre. Mais cette
contraction
ne se maintient pas toujours assez longtemps à ce
tesse à cette expression. — La bouche entr'ou-verte, combinée avec la
contraction
du sourcilier, clans la figure 76, donne un carac
que ce relief du sourcilier et ces lignes frontales, dessinés par la
contraction
du muscle de la douleur sur un front bien plus je
6, en expressions d'une lubricité provocante, par l'association de la
contraction
forte de ce muscle aux autres traits; j'ai ainsi
mé des figures de vierges en figures de bacchantes. Mais lorsque sa
contraction
est modérée, ce muscle peint, dans certaines circ
hement des paupières n'avait aucune signification expressive. 2° La
contraction
du triangulaire de la figure 36 est très forte et
rs l'expression est commune. — Dans la figure 76, au contraire, où la
contraction
du triangulaire est modérée, on est frappé par la
Je répondrai que c'est avec intention que j'ai légèrement exagéré la
contraction
du triangulaire des lèvres, voulant indiquer par
ternelle, unie à la douleur produite par la mort d'un autre enfant.
Contraction
électrique moyenne du muscle sourciller, associée
sourire d'attendrissement, en cachant la moitié gauche de la face.
Contraction
électrique légère du petit zygomalique, associée
ormi, f aurais fait le coup (1). » Expression modérée de cruauté.
Contraction
électrique faible du pyramidal du nez (P, fig. 1)
ute de la plus atroce cruauté (2). ¦ Expression forte de cruauté.
Contraction
électrique moyenne du pyramidal du nez. Fig. 83
moment d'assassiner le roi lïuncan. Expression de cruauté féroce.
Contraction
électrique, au maximum, du pyramidal du nez. Fi
id et mécontent à droite, en cachant la moitié gauche de la bouche.
Contraction
électrique faible du grand zygomatique gauche, au
. J'ai déjà traité précédemment de ce genre d'expression composé de
contractions
musculaires contraires. C'est ici qu'il convien
où elle pleure la perte d'un être chéri, d'un époux......... » Ces
contractions
composées, au fond, par des expressions » contrai
qui peignent un sentiment pour ainsi dire » forcé, je les appellerai
contractions
combinées expressives » discordantes. » Lorsque
e conflit entre la douleur et la joie, d'où résulte la combinaison de
contractions
expressives que j'ai appelées discordantes, doit
lée de la douleur. Loin de là, il a peint le sourcil à son maximum de
contraction
douloureuse; ce qui contraste d'une manière choqu
est maigre et assez âgée, le front est resté uni, malgré l'énergique
contraction
douloureuse du sourcil. Le Poussin a commis la mê
on, par exemple, le sourire au » pleurer modéré, et encore mieux à la
contraction
légère du (I ) Cette expression excite l'admira
ise par Rubens échappe, de prime abord, à l'observation, parce que la
contraction
douloureuse du sourcil droit, qui est très faible
e ici le mécanisme. J'ai démontré? déjà que, sous l'influence de la
contraction
du grand zygomalique, on voit la commissure des l
ifique de l'album, où le muscle de la joie est montré dans un état de
contraction
électrique, ont mis ces faits en évidence (voyez
le de la joie, il faut, comme dans le sourire mêlé de douleur, que la
contraction
de ces muscles ne dépasse pas certaines limites,
est très difficile, et je n'ai jamais pu maintenir assez longtemps la
contraction
juste au degré convenable pour la reproduire par
r plus terrible et plus enlaidie encore que dans la figure 82, par la
contraction
au maximum de ce petit muscle, que l'on doit cons
ls. La figure 83, où le pyramidal du nez a été mis à son maximum de
contraction
, en est une preuve frappante. Qui reconnaîtra, da
important, au point de vue de l'influence défavorable exercée par la
contraction
plus ou moins forte du pyramidal du nez sur la be
ne expression de méchanceté et même de cruauté (voyez fig. 8), par la
contraction
du pyramidal du nez, j'ai trouvé ce muscle si fai
ales. — Ces mouvements s'obtiennent électro-physiologiquement, par la
contraction
combinée du pyramidal du nez et du triangulaire d
dans l'espace intersourcilier, au niveau de la tête des sourcils, sa
contraction
doit nécessairement tirer la peau de haut en bas,
uscle des passions agressives est puissant au point de tracer, par sa
contraction
électrique isolée, les signes de la méchanceté et
effet, que l'émotion de la joie franche s'exprime sur la face par la
contraction
combinée du grand zygoma-tique (I, fig. 1) et de
enfin, que la joie fausse, le rire menteur, ne sauraient provoquer la
contraction
de ce dernier muscle. (1) Loc. cit., 1er fascic
roduit par l'action isolée du grand zygomatique, à un faible degré de
contraction
, est, de prime abord, plus trompeur que le rire p
bouche et la partie inférieure de la joue). Dès que j'eus produit la
contraction
légère du grand zygomatique gauche (cachez les pa
qui a déjà été faite, dans la partie scientifique, à l'occasion de la
contraction
au maximum du grand zygomatique (voy. les figures
e, l'œil semble s'égayer et les traits s'épanouir un peu, bien que la
contraction
du grand zygomatique soit très légère. Cette illu
l'exécution même de celui-ci, et siégeant dans les muscles dont la
contraction
a été mise enjeu pour le produire. Par la répétit
uscles ont il exécuter un seul mouvement éner- gique et brusque, la
contraction
produite par l'influx volontaire se montre extr
oins long leur souplesse ordinaire. En plus de ces troubles dans la
contraction
volontaire des muscles, la maladie de Thomsen p
ITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 3 cles est augmentée ou modifiée (
contraction
paresseuse, tonique, longue- ment persistante).
des muscles est un peu augmentée et elle est modifiée : ici encore
contraction
paresseuse, to- nique, longuement persistante.
ation des nerfs par de forts courants faradiques, produit aussi une
contraction
durable. Les chocs isolés d'ou- verture ne prod
d'un muscle, les électrodes étant maintenues en place, provoque des
contractions
irrégulières, ondulatoires. L'excitabilité galv
persistance. L'excitation labile des nerfs peut provoquer aussi des
contractions
persistantes. Par contre, les muscles montrent
in on observe ici, avec le courant stable, le phénomène spécial des
contractions
rythmiques, ondulatoires. » Nous avons eu l'occ
ou si on ne vient en ce moment à son aide. A la face, on voit les
contractions
durer un long temps dans les muscles qui entren
Les chocs isolés d'ouverture, même forts, produisent seulement des
contractions
musculaires rapides et sans persistance. Il en
rdivement, mais se montre presque constamment avant NOC. Toutes les
contractions
sont brèves, non per- sistantes, même après NFT
employée, la formation d'un sillon sous le marteau percuteur, ou la
contraction
totale du muscle ; dans les deux cas la contracti
percuteur, ou la contraction totale du muscle ; dans les deux cas la
contraction
produite persiste un temps très appréciable, qu
vec de forts courants, ne produisent encore le plus souvent que des
contractions
semblables à celles des muscles normaux, c'est-
ou en les répétant fréquemment, cette persistance consécutive de la
contraction
diminue et parfois même finit par disparaître. Au
parfois même finit par disparaître. Au début de l'excita- tion les
contractions
se font lentement, paresseusement ; souvent il se
c les mouvements de l'interrupteur il se produit dans le muscle une
contraction
totale, lente, tonique, qui persiste longtemps
ements de l'in- terrupteur ; puis le muscle se tétanise et reste en
contraction
tonique pendant plusieurs secondes (10, 15, 20)
15, 20), les secousses isolées diminuent ou disparaissent; puis, la
contraction
tétaniforme cessant, les secousses isolées repara
our que réapparaisse la dispo- sition du muscle à entrer en état de
contraction
tonique. Cependant, des excitations fréquemment
en pro- duisant, soit plus tôt, soit d'une façon plus marquée, des
contractions
lentes, paresseuses et toniques. De plus PO pro
es et toniques. De plus PO produit le plus souvent aussi une petite
contraction
, lente, tonique et persistante, tandis que NO n'e
e NO n'en produit pas, ou dans les rares cas où il s'en produit, la
contraction
est courte et rapide. - Enfin en faisant passer
cteur, il se produit dans ces conditions, sur un muscle normal, une
contraction
, unique, rapide, instantanée. 2° Ou des coura
nterruptions par seconde) pour que le mus- cle sain réponde par une
contraction
isolée à chaque interruption, étant ou non, sui
67), si fortes même qu'on puisse les choisir, on n'obtient que des
contractions
brèves et instantanées. » C'est, en effet, ce q
ant la force du courant. « Les excitations minimales provoquent des
contractions
qui ressemblent à celles des muscles normaux, s
t que graduellement, suivant la force du courant, cette durée de la
contraction
faradique se prolonge entre 5 et 20 secondes. »
itres et Dallidet CI). Ces tracés n'enregistrent pas directement la
contraction
du muscle, mais l'effet produit par celle-ci, c
poire en caoutchouc tenue dans la paume de la main, par suite de la
contraction
des fléchisseurs. Les résultats sont néan- moin
s à ceux que nous avons obtenus par l'en- registrement direct de la
contraction
musculaire. Les tracés que nous reproduisons pl
idée de la disparition lente et de la longue durée consécutive des
contractions
ainsi produites dans la maladie de Thomsen. L
es et plus prolongées, on peut constater un autre phénomène : « des
contractions
musculaires avec fort gonflement et avec oscillat
ique assez espacées pour produire à chaque ouverture du courant une
contraction
isolée du muscle. Les effets produi ts sur les
ode d'excitation produit, avec des cou- rants de force modérée, une
contraction
à chaque interruption, c'est-à-dire à chaque ou
du muscle, celui-ci continuant à répondre à l'exci- tation par des
contractions
isochrones aux interruptions. Dès que cesse l'e
2 à 15 par se- conde, pendant 1/2 ou 3/4 de minute) il apparaît une
contraction
tonique et totale du muscle, qui disparaît ensu
tions courtes (d'une durée de 1 à 2 ou 3 secondes). Effet produit :
contraction
tonique du muscle et décontraction lente consécu-
rable au trouble des mouvements volontaires dans le cas d'une seule
contraction
énergique et brusque sous l'influence de la vol
s, ou par suite de l'emploi de courants très forts. Effet produit :
contraction
tonique du mus- cle, décontractions très lentes
ommence l'excitation, il se produit dans le muscle exploré quelques
contractions
isochrones avec les mouve- ments de l'interrupt
e l'interrupteur; z au bout d'une, de deux ou de trois secondes ces
contractions
cessent tandis que le muscle tout entier se gonfl
e gonfler et se dessiner sous la peau, comme précédemment, mais les
contractions
isochrones au mouvement du trembleur ne cessent p
dure 10, 15, 20 secondes, quelquefois plus ; 3° on voit t alors les
contractions
isochrones aux mouvements de l'interrupteur réa
l répond comme un muscle normal à chaque excitation du courant; ses
contractions
sont isochrones avec les mouvements du trem- bl
précédents se reproduire seulement à l'état d'ébauche, la phase de
contraction
tonique était beau- coup moins longue et le gon
illon profond sous l'électrode excitatrice, au moment des premières
contractions
du muscle, puis le spasme myotonique se produir
ue l'activité musculaire joue un grand rôle dans la circulation. La
contraction
musculaire chasse le sang des artères et quand ce
contracture. Quand on lui demande de montrer ses dents, on voit la
contraction
de l'é- NOUVELLE Iconographie de la SALPE7R1$Rg
èrement la lèvre in- férieure du môme côté, élevée elle-même par la
contraction
du menton, de sorte que l'on ne voit presque ri
qu'on fa- vorise avec des courants faibles le menton contracté, la
contraction
de tons les muscles cesse presqu'immédiatement
issant après soi un peu plus de contracture, le muscle est enfin en
contraction
perma- nente presque totale. Pendant que ces
que totale. Pendant que ces secousses étaient en pleine action, les
contractions
fibril- se montraient dans l'élévateur du mento
seu- lement le nerf facial droit entrait un peu moins facilement en
contraction
par l'électricité que celui du côté gauche. La
as admettre que l'affection de l'oreille droite soit la cause de la
contraction
que nous venons de décrire, d'autant moins que
articipation de la face aux mouvements involon- taires. Ce sont des
contractions
isolées, indépendantes, de tous les muscles de
OTYPE A. LONDE. PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne B Longuet ATHETOSE DOUBLE
Contraction
DES MUSCLES DE la Face A l'Occasion DE la Parol
t en abduction forcée l'un par rapport l'autre. Dans cette série de
contractions
, les doigta jouissent d'une indépendance complè
ils peuvent se mouvoir chacun séparément ; sou- vent aussi dans ces
contractions
isolées des doigts se produit cette sorte d'ant
que les mouvements peuvent atteindre un degré d'intensité extrême :
contractions
excessivement violentes tordant le tronc dans t
n temps et principalement dans les efforts, rendue sifflante par la
contraction
spasmodique des muscles des lèvres et de la bou
arrivait de temps en temps au malade d'avaler de travers lorsqu'une
contraction
involontaire des muscles qui contribuent à cett
dée, souvent un peu nasonnée et gutturale », elle s'ac- compagne de
contractions
involontaires très prononcées des muscles, des
llongée, par le resserrement spasmodique des commis- sures, dû à la
contraction
involontaire des muscles de la langue et d'une
I. TROUBLES MOTEURS. Contractures. Nous avons vu qu'on observe des
contractions
partout, tantôt clans un groupe musculaire, tan
ns partout, tantôt clans un groupe musculaire, tantôt dans l'autre,
contractions
qui tor- dent, dans les positions les plus biza
articulations phalangiennes. Au niveau des orteils et pieds, mêmes
contractions
se produisent : en abduction et adduc- tion, fl
produisent : en abduction et adduc- tion, flexion et extension. Les
contractions
et les spasmes quelquefois, au lieu d'être pass
ir se produire, comme pour les séries précédentes, des secousses de
contractions
isolées, nous voyons apparaître un tétanos pres
TUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 93 tanos. Pendant la
contraction
tétanique, le muscle est donc plus gonflé que '
uvelle excitation, A 2° ; il n'y a plus de spasme myotonique et les
contractions
musculaires sont normales. Au bout de I 2 secon
d'é- tudier, rappellent de très près les troubles myotoniques de la
contraction
volontaire, dans le cas de répétition successiv
s. Ainsi la l''e ligne A de la ligure 9 représente l'inscription de
contractions
vo- lontaires des fléchisseurs ,'1 t'avant-bras
myonralthe appliqué sur les fléchisseurs recueillait directement la
contraction
du muscle. On voit qu'au début les contractions
llait directement la contraction du muscle. On voit qu'au début les
contractions
sont très espacées, puis elles se rapprochent d
t de plus en plus il mesure qu'elles se répètent. Non seulement les
contractions
deviennent de plus en plus fréquentes, mais ell
en effet, le muscle ne se décontracté pas complètement entre chaque
contraction
, au contraire il reste en partie contracté et les
ction, au contraire il reste en partie contracté et les pre- mières
contractions
ont une faible étendue ; l'étal spasmodique du mu
(Maladie de Thomsen) 21 août 1888. - A. Inscription myographique des
contractions
volontaires des fléchisseurs à l'avant-bras droit
e tracé non seulement par l'espace qui sépare chacune des premières
contractions
, mais encore par le niveau occupé par la courbe
uivant, B. Celui-ci représente non plus l'inscription directe de la
contraction
muscu- laire, mais l'effet de cette contraction
ption directe de la contraction muscu- laire, mais l'effet de cette
contraction
, c'est-à-dire les mouvements de flexion des doi
econdes, au lieu d'être prolongée pendant 30, 40 ou 50 secondes, la
contraction
tonique du muscle se maintient après la cessati
uscle du côté droit, c'est d'une part la fa- çon dont se produit la
contraction
du muscle pendant ces excitations, et d'autre p
l remonte graduellement et dépasse souvent le niveau de la première
contraction
. On peut, croyons- nous, se rendre facilement c
les premiè- res excitations). Mais bientôt le sillon disparaît, la
contraction
du muscle s'étend régulièrement à sa totalité,
acés on voit la courbe se relever graduellement. Ceci montre que la
contraction
peut être lente aussi dans une certaine mesure
tracte lente- ment et de la façon que nous avons déjà indiquée. Ces
contractions
du muscle la fin de l'excitation ne se produise
e la décontraction commence aussitôt et n'est pas précédée de cette
contraction
secondaire. Cette contraction ou ce gonflement
itôt et n'est pas précédée de cette contraction secondaire. Cette
contraction
ou ce gonflement secondaire du muscle sont encore
tra que cette ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 113
contraction
secondaire s'y montre également à la suite de que
moment où cesse l'excitation, que nous avons dési- gnées du nom de
contraction
ou gonflement secondaire du muscle, nous penson
on peut constater dans l'observation III le phénomène snivant : des
contractions
musculaires for tement houleuses et ondulantes,
la station debout, l'équilibre du rachis lombaire est assuré par la
contraction
simultanée de ces deux groupes antagonistes. Su
qui lend il entraîner celui-ci en arrière, l'autre active, c'est la
contraction
des muscles abdominaux. Pour que la verticale a
anos très incomplet et, à chaque ouverture du courant, présente une
contraction
isolée el assez étendue ; à la lin de chaque exci
ible proportion, presqu'aussitôt après il se contracte cle nouveau (
contraction
secondaire, que nous avons déjà signalée précéd
e siège de mouvements ondulatoires pendant tout le temps cle la dé-
contraction
lente. C'est seulement après 22 secondes qu'il re
en A' ; à partir de ce moment apparaissent des oscillations dans la
contraction
du muscle qui continue néanmoins à répondre par
la contraction du muscle qui continue néanmoins à répondre par des
contractions
isolées aux chocs d'ou- verture du courant; les
emment, dans la section B, c'est-à-dire qu'il se produit une petite
contraction
secondaire, puis le muscle se décontracte assez r
n le muscle semble revenir à son état de repos pour recommencer ses
contractions
et ses oscillations quelques secondes après, y' ;
ent, et qu'ensuite le muscle répond à chaque choc faradique par une
contraction
isolée et étendue comme le ferait un muscle norma
uvelle excitation, A' ; il répond à chaque choc fa- radique par des
contractions
distinctes et assez étendues, mais lorsque cess
elle, puis, après que l'excitation a pris fin, la persistance de la
contraction
du muscle avec des alternatives de gonflement et
les mouvements ondulatoires qui parfois accompagnent et suivent la
contraction
des mus- cles dans la maladie de Thomsen. On vo
e par ce fait qu'en excitant un muscle on voit apparaître aussi des
contractions
dans les mus- cles voisins, par propagation du
e durée. Celte lenteur, cette pa- resse et ce caractère tonique des
contractions
se manifestent à PF souvent même avec les faibl
e des courants forts on constate aussi à l'ouverture du courant une
contraction
tonique d'une durée plus ou moins longue et ne
ins longue et ne disparaissant que graduellement. La durée de cette
contraction
d'ouver- ture atteint suivant les cas, et suiva
citabilité galvanique signalée par Erb consiste dans l'existence de
contractions
ondulatoires, sous l'influence de courants stab
; par exemple, si le malade tient dans la main le pôle négatif, les
contractions
ondulatoires courent dant les fléchis- seurs de
e nous reproduisons plus loin, montrent aussi que l'am- plitude des
contractions
reste toujours plus considérable à NF qu'à PF.
jours plus considérable à NF qu'à PF. Relativement à la forme de la
contraction
nous constatons, comme Erb l'a signalé, que PF
s, comme Erb l'a signalé, que PF l'emporte sur NF pour produire des
contractions
lentes, paresseuses et toniques. Non seulement,
'indique sur les tracés la forme arrondie que prend la courbe de la
contraction
. Enfin sur nos tableaux et sur nos tracés on pe
és on peut constater encore la lon- gue durée et la persistance des
contractions
, soit après les secousses de fer- meture, soit
acés, c'est l'in- fluence des secousses répétées sur la forme de la
contraction
. Cette influence se manifeste par la disparitio
rition graduelle de la lenteur, de la paresse et de la tonicité des
contractions
, qui se rapprochent de plus en plus des con- tr
e et l'expira- tion presque sifflante, causées probablement par les
contractions
spasmodi- ques des muscles des lèvres et de la
athétose double, les secousses musculaires sont brusques, comme les
contractions
provoquéespar une décharge électrique. Enoutreell
ent de la peau, percussion des muscles, etc., souvent il existe des
contractions
musculaires incomplètes, fibrillaires ou fascicul
hénomène inverse prouve- rait à coup sûr une lésion surajoutée à la
contraction
musculaire, el le pronostic se trouverait modif
raversent les mas- ses musculaires, pouvaient rendre douloureuse la
contraction
des muscles. C'est ainsi que L. Laquer (1) cher
ées, ce qui est habituel, doivent être attribuées en tous cas à une
contraction
musculaire prolongée des fléchisseurs latéraux
quence de la paralysie d'un membre inférieur. Elles résultent d'une
contraction
musculaire semblable à celle qui se manifeste d
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. et 20 milliampères (1). Elle montre que les
contractions
produites à la fer- meture du courant par le pô
ues. Ces caractères sont en général plus accusés pour les premières
contractions
de chaque ligne, mais se retrouvent aussi aux c
remières contractions de chaque ligne, mais se retrouvent aussi aux
contractions
suivantes pro- voquées après des intervalles de
assez faibles. A chaque ouverture du pôle positif il y a aussi une
contraction
, également lente et tonique, mais plus petite q
e, suivie aussi d'une décontraction lente et paresseuse. Toutes ces
contractions
de PO se ressemblent beaucoup en forme, étendue
, étendue et lenteur. Les fermetures du pôle négatif produisent une
contraction
plus rapide que celles du pôle positif, en outr
te régulièrement et en totalité ; il reste quelque temps en état de
contraction
tonique et se décontracte paresseusement. Lorsq
Lorsqu'on ouvre le courant il n'y a pas à NO comme à PO de nouvelle
contraction
, mais au contraire on constate d'abord une chut
ter lentement. Ces dernières courbes de NF ressemblent beaucoup aux
contractions
tétaniques provoquées sur des muscles normaux a
ositif sont brè- ves, instantanées et sans durée. Aussitôt après la
contraction
le muscle se décontracte brusquement et complèt
Au moment de l'ouverture du courant, en 0, il ne se produit pas de
contraction
. Le pôle négatif, 2°, avec un courant d'une int
raction complète. A l'ouverture du courant il n'y a pas non plus de
contraction
. Lorsqu'on em- ploie des courants plus intenses
es courants plus intenses on voit se produire, à l'état normal, des
contractions
toniques et durables. Ainsi la ligne 3 de la figu
irrégulier. A l'ouverture du cou- rant il se produit de nouveau une
contraction
, mais elle est beaucoup plus brève que dans la
pendant une durée très appréciable et il se produit à PO de petites
contractions
. La ligne suivante, 4°, avec un courant plus fa
t, montre qu'à la fermeture du pôle négatif il se produit une forte
contraction
, plus élevée qu'avec le pôle po- sitif, où cepe
et également de durée persistante ; mais ici nous ne voyons pas de
contraction
à l'ouverture du courant. Il s'en serait produi
existe dans la forme de la contrac- tion, même dans les cas où les
contractions
des muscles normaux devien- nent tétaniques.
SCLES. 235 de l'expérience la fermeture du pôle négatif produit une
contraction
ex- trêmement Ionique et de longue durée. Il es
ontrées sur les tracés précédents. Au moment de la fermeture il y a
contraction
forte et rapide, qui cède en partie, puis le mus-
tion forte et rapide, qui cède en partie, puis le mus- cle reste en
contraction
tonique. Au moment de l'ouverture il n'y a pas de
ementpuislentement. Après la décontraction rapide il y a une petite
contraction
secondaire comme sur plusieurs tracés analogues
emment, aussi, il se produit à chaque ouverture du pôle positif une
contraction
petite, lente et tonique. Nous avons recherché,
son, vraisemblablement, de la tonicité et de la per- sistance de la
contraction
de fermeture il ne se produit pas de secousses à
instantanées, mais longtemps encore elles sont suivies d'un état de
contraction
Ionique du muscle, moins prononcé toutefois pou
tracté pendant toute la durée de l'expérience, mais que cet état de
contraction
tonique diminue à mesure que les excitations se
et rapide du muscle, qui reste longtemps encore ensuite en état de
contraction
tonique. A partir de la 3" minute toutes les seco
IÈRE. se produit dans le muscle, avec le pôle posilif, une première
contraction
de fermeture faible et légèrement Ionique; plus
lement la formation d'un sillon à l'endroit percuté, mais encore la
contraction
totale du muscle; le muscle reste alors longtem
lors longtemps contracté et ne se relâche que très lentement. Cette
contraction
persistait sur certains muscles au delà d'une m
iques plus prononcés de la contractilité électrique, et aussi de la
contraction
volontaire. Le D'' Déléage a étudié dans sa thèse
e. II en rapporte un tracé (/. c. p. 125, lig. 8) qui montre que la
contraction
se fait rapidement au moment du choc, et que la
iques du Dl' Déléage lui ont montré, que, d'une façon générale, les
contractions
musculaires du triceps, par excitation mécani-
itation mécani- que de son tendon, sont brusques, contrairement aux
contractions
volon- taires et aussi aux contractions par exc
brusques, contrairement aux contractions volon- taires et aussi aux
contractions
par excitation directe du muscle lui-même qui s
recte du muscle lui-même qui sont torpides. Parfois, cependant, les
contractions
du triceps fémoral produites par les premières
ge a constaté que le temps perdu entre l'excitation du tendon et la
contraction
du muscle était plus long 242 NOUVELLE ICONOGRA
rachial, et des divers autres troncs nerveux, ne déterminait pas de
contraction
musculaire. L'excitabilité faradiqueneprésentai
ure, alors même qu'elles étaient fortes, produisaient seulement des
contractions
musculaires rapides et sans durée consécutive.
nerfs étaient brè- ves, rapides, instantanées ; même après NFTe la
contraction
musculaire ne persistait pas ; on voyait seulem
a contraction musculaire ne persistait pas ; on voyait seulement la
contraction
devenir durable si l'on faisait glisser l'élect
te normalepour toutes les excitations isolées, c'est-à-dire que les
contractions
produites par de telles excitations, aussi bien
abile, courant faradique à interruptions fréquentes) provoquent des
contractions
Ioniques et persistantes, dont la durée toutefo
t les modifications les plus nombreuses et les plus importantes des
contractions
. Cette façon différente, dont les nerfs et les
le marteau, soit avec le bout du doigt, suffisent pour produire la
contraction
tonique du faisceau musculaire tou- ché, se tra
former sur la peau des reliefs saillants et plus ou moins durs. Les
contractions
toniques ainsi produites sont persistantes et dur
, et, ces modifications consistent d'une part dans la production de
contractions
toniques, dura- bles, persistent plus ou moins
uction de mouve- ments ondulatoires, sans direction déterminée. Les
contractions
toniques, avec durée consécutive, sont provoqué
nts fréquem- ment interrompus, ne produisent, au contraire, que des
contractions
cour- tes, sans durée consécutive. Telles son
réquemment les secousses (de se- conde en seconde, par exemple) les
contractions
manifestaient déjà une tendance à devenir toniq
aible intensité (1/4, 1/2, 1 et 2 milliampères) provoquent déjà des
contractions
musculaires, mais aussi par le fait qu'en excitan
le fait qu'en excitant tel ou tel muscle il se produit souvent des
contractions
dans des muscles voi- sins, par propagation du
gale, parfois même leur prédominance est intervertie. De plus les
contractions
des muscles sont, môme avec de faibles courants,
quer davantage cette lenteur, cette paresse et cette tonicité de la
contraction
; il en était mani- festement ainsi dans le cas
toniques qu'avec des cou- rants plus forts. Ces modifications de la
contraction
musculaire se recon- naissent facilement à la l
recon- naissent facilement à la lenteur avec laquelle se produit la
contraction
, parfois à la formation de dépressions plus ou
durables au-dessous de l'électrode, et enfin à la persistance de la
contraction
qui suivant les cas atteint 5, 10, 30 secondes
ec des èourants forts il reparait régulière- ment à l'ouverture une
contraction
tonique, qui se prolonge plus ou moins longtemp
sont très nettes sur nos tracés. Au contraire, au pôle négatif, les
contractions
d'ouverture font presque toujours défaut, et, l
ourants faradiques, c'est-à-dire que les caractères myotoniques des
contractions
musculaires provoquées s'atténuent t progressiv
membre, la cuisse, la jambe. On voit, alors, bientôt apparaître une
contraction
tonique des muscles, u laquelle succède des mou
s la lenteur, la paresse, la tonicité et surtout la persistance des
contractions
ainsi provoquées. Ces caractères sonl il leur max
iques l'excitation mécanique et électrique des muscles provoque des
contractions
toniques et persistantes, mais celles-ci sont dou
es. Des différences bien tranchées permettent de les distinguer des
contractions
toniques, lentes et persistantes de la réaction
des courants forts et avec interruptions fréquentes) provoquent ces
contractions
toniques et persistantes ; celles-ci sont doulo
n de l'excitabilité faradique et galvanique. Pour cette dernière la
contraction
est plus forte au pôle positif qu'au pôle négatif
t plus forte au pôle positif qu'au pôle négatif. Asz>Isz. Pas de
contraction
appréciable de l'extenseur commun. Péroniers laté
t actuel, 10r mars 1887. Face immobile, seulement de temps en temps
contraction
de la peau du front, front peu élevé, 6 centimè
ns la paralysie de l'accommodation produite par l'atropine, dans la
contraction
de l'accommodation produite par l'esé- rine, on
u'il ne peut la maintenir hors de la bouche et quelle est animée de
contractions
fibrillaires, la pointe se présentant recourbée
irritant les nerfs sensibles de la peau et en provoquant de fortes
contractions
muscu- laires brusques et désagréables. Mais c'
ar des courants faibles et de les augmenter jusqu'à l'apparition de
contractions
musculaires très modérées. La môme expérience d
que regagne le malade est embarrassé presque dès son retour par des
contractions
des muscles dont l'action lui est antagoniste.
musculaire dont le malade était privé. Il y a enfin des cas où les
contractions
antagonistes n'apparaissent qu'a- près que les
avail lui doit être égale. Cette hypothèse explique bien ces fortes
contractions
musculaires spasmodiques qu'on observe dans l'hé-
raisseuse du coeur ne la supportent pas, parce que la fréquence des
contractions
du coeur engendrées par l'excitation du sympathiq
libre, à un appel d'air vers les vésicules pulmonaires vides et aux
contractions
du diaphragme plus vives qu'à l'état ordinaire.
rique. L'évacuation des mucosités ne peut être expliquée que parles
contractions
des muscles des bronchioles. Une diminution de la
des mouvements énergiques d'extension de la jamhe sur la cuisse, la
contraction
des muscles de la cuisse et, quelquefois, la fl
tendon d'Achille aussi très exagérés, la percussion déterminant la
contraction
des muscles de la région postérieure de la jambe
orts mouve- ments de flexion des pieds sur les jambes ; différentes
contractions
sont quel- quefois consécutives à une excitatio
es deux côtés, considérablement exagérés, d'éner- giques et rapides
contractions
étant provoquées par la moindre excitation d'un
aire défaut; la percussion de l'omoplate ne parait pas provoquer de
contraction
du deltoïde mais elle est suivie d'une réaction d
olentes ne cédant pas après le retrait de l'appareil d'exten- sion.
Contractions
rapides, engourdissement douloureux de la plante
urs mois des paresthésies sous forme de fourmillement ainsi que des
contractions
involontaires dans les deux extrémités inférieu
de Médecine de Lisbonne. Les myoclonies sont caractérisées par des
contractions
musculaires spon- tanées, brusques, rapides, il
ôme, nous devons mettre d'autres descriptions dans les- quelles les
contractions
musculaires ne sont également que des symptômes.
Dubini, mais de deux infections dans lesquelles sont ap- parues les
contractions
myocloniques chez une jeune fille de ils. ans et
propos de la classification des myoclonies. Les descriptions des
contractions
musculaires de la maladie de Dubini et celles d
des contractions musculaires de la maladie de Dubini et celles des
contractions
de tous les autres cas sont tout à fait identique
n état de contractilité simultanée de plusieurs mus- cles. A chaque
contraction
la masse musculaire devenaitsaillante et dure,
çon sur les myoclonies, demandait si on devait, étant donné que les
contractions
musculaires de sa malade pro- duisaient des eff
ique dominante : la secousse musculaire. Et ainsi, dans le sens des
contractions
sans déplacement, nous devons rapprocher la mal
kimies et de la dite chorée fibrillaire de Morvan. Dans le sens des
contractions
musculaires avec déplacements, nous devons mett
e symptômes de la maladie. Dans d'autres descriptions on trouve les
contractions
fibrillaires dans des groupes musculaires mais
être rattachés au spasme facial, Henry Meige ayant montré que les «
contractions
parcellaires » sont un des signes caractéristique
nfondent. En effet, la différence consiste simplement en ce que les
contractions
sont fibrillaires et non fasciculaires. Les une
écrite par l'auteur lui-même : «La maladie est caractérisée par des
contractions
fibrillaires apparaissant tout d'abord dans les
a cure ra- pide faite par ce traitement, la façon avec laquelle les
contractions
sont apparues, sa forme spéciale, nous donnent
iption faites par Berland montre bien lescaractères spéciaux de ces
contractions
pseudo-choréiques. « Les symptômes, dit Berland,
s (Trousseau). Or, cet enfant était pris de mouvements bizarres, de
contractions
mus- culaires involontaires, qui le projetaient
pides et brusques, localisés aux quatre mem- bres et à la tête. Ces
contractions
ne l'empêchent pas de marcher et d'exécu- ter l
t debout, assise ou couchée. Ces mouvements sont déterminés par des
contractions
musculaires involontaires, très brusques et rap
roduit souvent dans les muscles des membres inférieurs. En 1909 les
contractions
avaient une prédilection initiale pour le membre
place- ment et l'entraînement du pied gauche. , . Aujourd'hui les
contractions
déterminent des mouvements et des déplace- ment
. Il est difficile de bien préciser tous les muscles qui entrent en
contraction
. Les masséters, les risorius, les orbi- culaire
t ou même seulement s'ébauchent. Les masséters font quelquefois des
contractions
énergiques, et forment des saillies sous la pea
ois ce ne sont que quelques fascicules muscu- laires qui entrent en
contraction
. La tête exécute aussi des mouvements-latéraux,
augmentent. Il en est de même pour le froid. Pendant le sommeil ces
contractions
et ces mouvements involontaires dis- paraissent
jamais d'atlaques nerveuses. A 13 ans elle commence à éprouver des
contractions
dans les muscles orbiculaires des paupières et de
fréquentes jusqu'à l'intensité qu'elles présentent aujourd'hui. Ces
contractions
n'ont pas un siège fixe. Ou elles paraissent aux
igine émotive. La malade n'a pas subi de grands chocs moraux. Les
contractions
ne l'empêchent pas de marcher, ni de faire les ac
iller, manger et vaquer aux petits services domesti- ques. Mais les
contractions
nuisent un tant soit peu à tous ces actes. Elle
côté des appareils digestif, circulatoire et respi- ratoire. Les
contractions
ébranlent tous les segments de son corps comme si
ériodes de plus grande agitation. ' Les mouvements produits par les
contractions
sont les plus divers et les plus bizarres. Néan
à une ou deux exceptions près, quels sont les plus fréquents. Les
contractions
musculaires qui déterminent les mouvements d'élév
a tête, la flexion du tronc et le soulè- vement du bras gauche, les
contractions
des muscles de la face, la flexion des bras, et
de la face, la flexion des bras, etc., sont des formes diverses des
contractions
musculaires de la malade. D'autres fois les con
verses des contractions musculaires de la malade. D'autres fois les
contractions
sont localisées seulement aux membres infé- rie
ière. Le diaphragme et les muscles de la phonation entrent aussi en
contraction
et la malade émet des cris, deux ou trois notes
averser les rues sans grandes diffi- cultés. La malade a moins de
contractions
quand elle est distraite; mais quand on lui dem
ccès pendant quelque temps. G. M... n'a jamais cessé d'éprouver ces
contractions
, depuis le moment où elles ont commencé, avec d
ns le même état qu'il y a un an. Pendant le sommeil elle n'a pas de
contractions
, mais quand elle se couche elles sont violentes
a malade semble, parfois, fatiguée ; mais elle ne se plaint que des
contractions
et des mouvements qui lui rendent la vie insuppor
e nous l'avons dit dans leur définition, sont caractérisées par des
contractions
musculaires spontanées, brusques, rapi- des, il
pas une caractéris- tique à accentuer. Tout dépend du degré de ces
contractions
, qui peuvent être fibrillaires dans un degré mi
upations usuelles, ont, au contraire, une action inhibitoire. Les
contractions
sont brusques. Elles arrivent inopinément sans qu
uavité. - A côté de cette brusquerie on doit noter la rapidité. Les
contractions
musculaires ne se maintiennent pas. Elles se su
ec une telle fréquence qu'elles peuvent produire l'impression d'une
contraction
tétanisante. Nous avons déjà dit que chez une d
observation 2 ont duré moins d'une seconde. La moyenne de durée des
contractions
dans les deux cas ne dépasse pas une demi-secon
ans les deux cas ne dépasse pas une demi-seconde. Cetle rapidité de
contraction
, qu'on ne trouve pas dans les mouvements choréi
et 180 dans le cas de 13echterew. Chez nos malades la fréquence des
contractions
est très inconstante, fait qui a été aussi cons
durée et la quantité de masse masculaire atteinte. Généralement les
contractions
sont cloniques; mais il y des observa- tions pu
ractions sont cloniques; mais il y des observa- tions publiées avec
contractions
toniques. Nikitine, par exemple, a publié un ca
iques. Nikitine, par exemple, a publié un cas de paramyoclonus avec
contractions
cloniques et toniques séparées. Sur la fréquenc
oniques et toniques séparées. Sur la fréquence, l'importance de ces
contractions
toniques il n'y a pas de données précises. En t
précises. En tous cas nous devons retenir que, pour le moment, les
contractions
cloniques sont, seules, caractéristiques de la my
as appréciables. Elles se confondent et ne produisent qu'une unique
contraction
de forme tétanique. Pierre Marie, qui a publié
ourbe d'apparence tétaniforme. Mais elles sont fondamentalement des
contractions
cloniques. Ces contractions ont encore la carac
Mais elles sont fondamentalement des contractions cloniques. Ces
contractions
ont encore la caractéristique d'être illogiques.
d'être illogiques. Par cette dénomination nous voulons dire que les
contractions
myocloniques ne reproduisent pas des mouvements
mation qui a toujours une base psychique. Primitivement ce sont des
contractions
musculaires orientées vers une fin déterminée.
séparer, avec le critérium présenté, les tics des myoclonies. Les
contractions
myocloniques sont involontaires. Elles surviennen
le dans les observatious publiées. Quand la malade est au repos les
contractions
sont plus intenses, au contraire quand elle exé
le exécute quelques mouvements, quand elle marche, par exemple, les
contractions
diminuent. Les distractions ont, comme nous l'a
té des descriptions confirme ce fait. Chez notre seconde malade les
contractions
sont plus fortes quand la malade est au lit et
SeeligmiU 1er (second cas), Bechterew. Venturi, Feletti, etc., les
contractions
persistent pendant le sommeil. Mais ce sont des
malades peuvent marcher, manger, écrire, coudre, etc., sans que les
contractions
leur nuisent. Déjà Trousseau l'avait remar- qué
remar- qué dans ses choréiques saltatorias. L'émotion exagère les
contractions
des myocloniques. Chez la première de nos malad
oid, les courants électriques ont aussi une action exagérative. Les
contractions
myocloniques sont arythmiques. Il y a de très rar
rfaitement rythmiques, mais à côté de ces mouvements il y avait des
contractions
tout à fait arythmiques. Quelques auteurs onl o
sculaires atteints. On l'a même considérée comme un carac- tère des
contractions
myocloniques. Eu effet on trouve souvent la symét
elle signifie que les muscles symétriques sont atteints par la même
contraction
, mais dans divers moments. C'est ce qu'on voit
ns divers moments. C'est ce qu'on voit chez nos deux malades. Les
contractions
sont asynchroniques. Déjà Friedreich l'avait re
t et du côté gauche, mais chacun de ces muscles présentait dans ses
contractions
une indépendance complète, et tantôt l'un, tantôt
tractait isolément et indépendamment des autres. S'il survenait une
contraction
simultanée de plusieurs muscles, ce n'était t q
effet de hasard assez compréhensible, étant donné la fréquence des
contractions
. » MYOCLONIES ESSENTIELLES 103 Les mesures ri
arie montrent que, même quand il semble exister une simultanéité de
contraction
, il y a toujours une petite différence entre un
entre 7/50 et 4/50 de seconde. Quant au siège de préférence de ces
contractions
il est difficile de faire une classification ex
crits surtout chez la seconde malade. Ce n'est que rarement que les
contractions
peuvent atteindre un muscle seul (Hucbard et Fi
pour notre seconde malade chez laquelle on voit de vraies crises de
contractions
suivies et très fortes. Les contractions myoc
voit de vraies crises de contractions suivies et très fortes. Les
contractions
myocloniques ne sont pas douloureuses. Les malade
une nouvelle variété myoclonique dans laquelle le nystagmus est la
contraction
dominante. C'est une maladie héréditaire et fam
Il y a des cas (comme chez notre première malade) dans lesquels les
contractions
surviennent avec intensité après une émotion. Dan
vent avoir des formes diverses : ou elles se réduisent à de petites
contractions
difficilement perceptibles (Russel Raynold), ou
(Sizaret et Havarit, Santenoise et Laignel-Lavastine), ou alors les
contractions
produisent des mouvements similaires à ceux que n
dant que les secousses myocloniques commencent à se développer. Les
contractions
musculaires sont surtout accentuées aux membres e
ibrillaire essentielle dans lesquels le symptôme prin- cipal est la
contraction
fibrillaire. La myokimie de Kny-Schultzeet la cho
iplex de Friedreich ou myoclonie sans déplacements, dans lequel les
contractions
fasciculaires des muscles, par- fois très inten
membres, du tronc, du cou, de la face, etc., comme conséquence des
contractions
spontanées, brusques, involontaires, incohérent
baires sont accompagnés, ou précédés,par des phénomènes irritatifs (
contractions
des muscles mimiques, douleurs névralgiques dan
us réagissent promptement au courant galvanique et faradique, et la
contraction
qui en ré- sulte est la même de chaque côté du
e. Sur les muscles soumis à l'examen, on ne voit ni tremblement, ni
contractions
fibrillaires, ni spasmes, ni atrophie, ni même hy
. Contre ces der- 28 HNATEK nières. on a pu objecter le manque de
contractions
fibrillaires et l'exis- tence de la réaction no
é musculaire spéciale, per- mettant au sujet de modifier le mode de
contraction
des muscles scapulo. huméraux, si bien que le p
ctions uniminusculaires du côté droit, on ne peut pas provoquer des
contractions
bien limitées à un seul muscle. De plus ces con
s fibres qui subsistent encore sont incapables de produire par leur
contraction
une saillie apparente du tendon ou un mouvement c
ssi, il est impos- sible de voir le gonflement du muscle pendant sa
contraction
, gonflement qui serait peut-être encore apparen
hiés est une diminution telle de l'étendue et de la puissance de la
contraction
qu'elle peul paraître (1) Les paralysies cortic
, en rai- son des difficultés matérielles qu'il y a à percevoir des
contractions
aussi diminuées. Malgré tout, nous inclinons pe
s. - Une pareille altération du graphisme a pour cause à la fois la
contraction
dés- ordonnée des muscles moteurs des articulat
violentes, durent une nuit et deux jours. Depuis cette époque, les
contractions
spasmodiques, douloureuses se repro- duisent en
s'installent à nouveau, plus intenses que jamais. A ce moment, les
contractions
spasmodiques douloureuses se rap- Nouvelle Icon
usses qui disparaissent spontané- ment. Quelques jours après, les
contractions
douloureuses reprennent; elles ont leur pqint d
la moue.. Dans tout le côté gauche de la face, il existe de petites
contractions
ou se- cousses apparaissant et disparaissant br
Bernhardt (4), qui en décrivent deux variétés : l'une comprend des
contractions
fibrillaires, survenant brusquement, en éclairs (
(blizartig), quand la face est au repos; l'autre se rapporte à des
contractions
invo- lontaires de certains muscles faciaux se
un plus grand nombre de variétés. L'une d'entre elles a trait aux
contractions
fibrillaires brusques sur- venant quand la face
entrer dans la phase de contracture. On remarqua plus tard que des
contractions
analogues se montraient, dans les mêmes circonsta
les innervés par le nerf facial atteint. On constata encore que ces
contractions
persistaient quelquefois pendant toute la durée d
iété est un peu différente des deux précédentes, en ce sens que les
contractions
musculaires, au lieu de se présenter sous la fo
arler, de rire ou de mouvoir les lèvres ; soit, en général, dans la
contraction
synergique involontaire d'un ou de plu- sieurs
rgique involontaire d'un ou de plu- sieurs muscles provoquée par la
contraction
volontaire ou réflexe d'un ou de plusieurs autr
paralysie faciale périphérique : d'après ce dernier observateur, la
contraction
synergique paradoxale pourrait s'observer même
nergique paradoxale pourrait s'observer même dans les muscles où la
contraction
volontaire est abolie. . Contractions fibrill
même dans les muscles où la contraction volontaire est abolie. .
Contractions
fibrillaires brusques, labio-blépharospasme inter
bio-blépharospasme intermittent, mouvements associés involontaires,
contractions
synergiques paradoxa- les, telles sont les prin
mettre à leur égard des observateurs insuffisamment prévenus. Les
contractions
fibrillaires brusqués dont nous avons fait une pr
ies faciales anciennes, d'origine périphérique, s'accompa- gnant de
contractions
fibrillaires brusques, ces dernières étaient en r
ignement physiologique des paupières et plus généra- lement avec la
contraction
de l'orbiculaire des paupières du côté paralysé,
meture de l'oeil avec battements rapides de la paupière supérieure,
contraction
de l'orbi- culaire des lèvres avec relèvement p
labio-génien, profondeur plus grande des fossettes mentonnières et
contraction
du peaucier lui-même dont les fibres se dessine
la moitié droite. Dans les efforts ainsi faits, on remarque la même
contraction
de l'hémiface gauche avec mêmes mouvements associ
te devient plus saillante, le nez s'incurve davantage, et les mêmes
contractions
se retrouvent dans le territoire du facial infé
sède aucune force, et les efforts qu'elle fait entraînent encore la
contraction
de la plupart des muscles du côté gauche de la fa
s du côté gauche, les mouvements de mastication s'accom- pagnent de
contraction
de l'hémiface gauche, plus particulièrement de l'
le nez. Le peaucier se contracte très bien des deux côtés, mais la
contraction
du peaucier gauche est beaucoup plus apparente
nt 372 PITRES ET ABADIE douloureuses. Elles consistent en petites
contractions
parcellaires occupant tantôt un faisceau, tantô
, disparaissant ensemble pour reparaître en même temps. Ces petites
contractions
fibrillaires ou fasciculaires impriment ainsi à
res de ces secousses musculaires, on constate le fait suivant : ces
contractions
parcellaires sont en rapport étroit avec le clign
ne constate de secousses musculaires que lorsque le doigt sent une
contraction
de l'orbiculaire. Si au contraire on maintient
nement synergique des deux paupières et par suite la troduction des
contractions
fibrillaires de l'hémiface gauche. En règle géné-
règle géné- rale, plus le clignement est brusque et fort, plus les
contractions
sont généra- lisées et intenses. . Les excita
clignement volontaire, dans le clignement réflexe provoqué, dans la
contraction
synergique de l'orbiculaire, enfin dans la cont
qué, dans la contraction synergique de l'orbiculaire, enfin dans la
contraction
forte et volontaire de l'orbiculaire. En poursu
. L'excitabilité des muscles de hémiface gauche ne détermine pas de
contraction
appréciable des muscles du même côté. Mais les
ur la face interne de la joue du même côté n'ont jamais provoqué de
contractions
musculaires ou de secousses dans les muscles de
gauche. Le moindre effort faitpar un groupe de muscles détermine la
contraction
de toute l'hémiface et du peaucier correspondan
ecousses musculaires dans l' hémiface gauche, caractérisées par des
contractions
involontaires, brèves, fibrillaires ou fasciculai
? TIQUES DE LA FACE 375 cette hémiface, y compris le peaucier. Ces
contractions
sont synergiques des mouvements de clignement p
te sa durée. On pourrait, à première vue, prendre pour des tics les
contractions
de la face que présentait la malade précédente.
t pas celte confusion : le caractère d'unilatéralité absolue de ces
contractions
, leur répétition monotone, leur localisation parc
on à un but et leur apparence illogique, leur ressemblance avec les
contractions
provoquées par l'excitation électrique du nerf fa
imace sans expression, s'observent éga- lement, sans rémission, des
contractions
parcellaires, effleurant sans la mo- difier la
comme distinctif du spasme facial essentiel : la per- sistance des
contractions
faciales pendant le sommeil ? Evidemment non, c
phénomènes analogues à ceux que Al. Meige ct décrits sous le nom de
contractions
parcellaires, de petites palpitations faciales »,
'incurvation du nez, des fossettes mentonnières unilatérales, de la
contraction
synergique paradoxale, symptômes que M. Babinski
que, en apparence spontanées, elles sont en réalité associées à la
contraction
de l'orbiculaire des paupières. A la réflexion,
té plus grande à se produire. Il n'est besoin que d'une très légère
contraction
de l'orbiculaire, celle qui suffit au cligne- m
e spontanées, irrégulières, arythmiques, en réalilé synchrones à la
contraction
de l'orbi- culaire des paupières. A un degré
lui-même hyperlonique, exécutera au lieu d'un clignement léger une
contraction
soutenue qui affectera la forme d'un blépharosp
flexe, apparaîtra une brusque occlusion de l'oeil accompagnée d'une
contraction
synergique aussi brusque des muscles de la régi
is, alors que les mouve- ments associés reconnaissent pour cause la
contraction
volontaire d'un ou de plusieurs muscles de la f
fibrillaires et le labio-blépha- rospasme trouvent la leur dans la
contraction
réflexe de l'orbiculaire des paupières dans l'a
ements associés involontaires puisqu'ils sont tous provoqués par la
contraction
, tantôt volontaire, tantôt réflexe, d'un ou de
parvenues à la phase de contracture, dans lesquels exis- taient des
contractions
fibrillaires ou fasciculaires de l']¡émiface para
nement des paupières. Toutes les constatations, faites au sujet des
contractions
fibril- laires et que nous venons de rappeler q
ET ABAD1E viennent donc à l'appui de notre hypothèse, à savoir que,
contractions
fibrillaires brusques, labio-blépharospasme int
s dernières par le clignement palpébral et plus généralement par la
contraction
de l'orbi- culaire des paupières. Ce cas nous l
uches se con- tracter, mais les plis cutanés qui résultent de cette
contraction
sont moins nombreux et moins profonds à gauche
la moitié droite. On remarque aussi que les plis déterminés par la
contraction
des muscles mis en jeu dans ces mouvements sont
x et surtout moins accusés du côté gauche que du côté droit. Pas de
contraction
synergique des autres muscles de la face ; au con
té. L'effort fait pour ouvrir la bouche n'entraîne pas davantage de
contraction
synergique des muscles de l'hémiface gauche; qu
aciale, il n'existe, pi d'un côté de la face, ni de l'autre, aucune
contraction
involontaire des muscles faciaux, aucune secous
nt volontaire, on voit apparaître dans l'hémiface gauche de légères
contractions
musculaires en plusieurs points à la fois. Ces
légères contractions musculaires en plusieurs points à la fois. Ces
contractions
consistent en de petits frémissements sous- cut
s cependant pour plisser légèrement la peau, présentant l'aspect de
contractions
fibrillaires ou fasciculaires ; elles sont brèves
nt pas tou- jours dans tous ces points à la fois (Voir fig. 1). Les
contractions
se montrent aux points 1, 2, 3, 4 dans tous les
est à remarquer en effet que plus le clignement est fort, plus les
contractions
sont nombreuses et accusées. Le contact du glob
otalité des points men- tionnés ci-dessus ; dans ce dernier cas,les
contractions
se montrent sous la forme de frémissements répé
t deux ou trois faisceaux verticaux ou obliques du peaucier ; cette
contraction
est toujours très apparente ; il est à remarquer
est toujours très apparente ; il est à remarquer à ce sujet que ces
contractions
se manifestent toujours à la partie antéro-iutern
es musculaires, quand elles y apparaissent, sont constituées par la
contraction
de deux ou trois faisceaux obliques très apparent
ent très localisé à peine apparent. Le point 8 est constitué par la
contraction
de trois ou quatre faisceaux obliques généralemen
Obs. Il HÉMISPASMES SYNCINÉTIQUES DE LA FACE 385 gique, soit une
contraction
un peu violente de l'orbiculaire provoquent les
rovoquent les mêmes secousses musculaires : il en est de même de la
contraction
volon- taire et soutenue de l'orbiculaire. Il
ue, le voile du palais, la luette, les piliers ne présentent aucune
contraction
musculaire synchrone au clignement des paupières,
e externe de la joue ou sur la surface interne ne provoquent pas de
contractions
volontaires ou de secousses musculaires des mus
u provoqué, des paupières. Ces secousses sont caractérisées par des
contractions
involontaires, brèves, fibrillaires ou fascicul
sont d'autant plus fortes et plus étendues que le clignement ou la
contraction
sont plus énergiques. Toule cause déter- minant
sont plus énergiques. Toule cause déter- minant le clignement ou la
contraction
palpébrale les fait appaiaitre à l'exclusion de
unique. Depuis que notre attention a été attirée sur ce rôle de la
contraction
palpébrale dans la production des secousses fib
té donné de faire apparaître 388 1 PITRES ET ABADIE 1 volonté des
contractions
fibrillaires ou fasciculaires dans )'hémiface p
contrer cons- tituent de véritables spasmes syncinétiques liés à la
contraction
de l'or- biculaire des paupières. Pareille rela
ciale, précisent davantage. Dans leur observation I, on lit : « Les
contractions
spasmodiques de l'orbiculaire des paupières peuve
sont constantes. On les retrouve d'ailleurs non seulement dans ces
contractions
anormales, mais encore dans Ips mouve- ments vo
is encore dans Ips mouve- ments volontaires ou réflexes ou dans les
contractions
électriques... Si on applique la tête d'une épi
Si on applique la tête d'une épingle sur la conjonctive droite, la
contraction
de l'or- (1) RAYMOND et EOGEH, Sur un cas d'ata
ore si on projette un courant d'air froid sur le globe oculaire. La
contraction
de l'orbiculaire droit est constamment associée
a contraction de l'orbiculaire droit est constamment associée à des
contractions
synchrones des autres muscles de la face... En
on déterminée de l'apophyse zygomatique droite produit à la fois la
contraction
de l'orbiculaire et des zygo- matiques... L'exc
es mêmes auteurs signalent que : « Chaque fois qu'il se produit des
contractions
de l'orbiculaire, on observe simultanément un d
tri- que) des filets nerveux de l'orbiculaire palpébral produit des
contractions
non seulement dans l'orbiculaire palpébral, mai
itation électrique la même association des mou- vements que dans la
contraction
volontaire ou même réflexe de l'orbiculaire. »
tanées au niveau de la face : « Il est à remarquer que toutes les
contractions
spontanées, réflexes ou com- mandées de l'orbic
flexes ou com- mandées de l'orbiculaire palpébral s'accompagnent de
contractions
exactement synchrones des muscles zygomatiques
mmun de l'aile du nez et de la lèvre. » Ces auteurs comparent les
contractions
syncinétiques ainsi observées chez leurs malade
malade de l'observation III : « Par intervalles, il existait des
contractions
spasmodiques dans l'orbiculaire des paupières,
e des lèvres et dans les zygomatiques, dans le muscle peaucier; ces
contractions
étaient rigoureusement synchrones. Le retour de
; ces contractions étaient rigoureusement synchrones. Le retour des
contractions
était facilement provoqué par le clignement des y
recte avec le clignement physiologique et plus généralement avec la
contraction
de l'orbiculaire des paupières. Une d'entre ell
s on décou- vre quelques traces de parésie du nerf facial. Ici, les
contractions
involontaires observées constituent à elles seu
ques : même à ce degré, il est facile de mettre en évidence que ces
contractions
sont synergiques des mouvements de clignement phy
contractent plus fortement que les voisines. On constate que cette
contraction
parcellaire de la portion infé- rieure de l'orb
e la portion infé- rieure de l'orbiculaire ne se montre que dans la
contraction
normale de ce muscle pendant l'acte du cligneme
isines sont plus fortes que d'habitude. Elle consiste en une petite
contraction
déplaçant vivement la peau sans la froncer. A
ce, dans la mimique ou volontairement exécutés, n'exagèrent pas les
contractions
musculaires précédentes. Au contraire même, qua
apparition des mouve- ments convulsifs de l'hémiface droite avec la
contraction
de l'orbiculaire des paupières, réflexe ou volo
cousses. Inversement toute cause sans effet sur le clignement ou la
contraction
de l'orbiculaire est incapable de faire apparaîtr
ajouter qu'à aucun moment le malade ne présente et n'a présenté de
contraction
persistante et tonique des muscles de la face, en
l'aspect normal de la fente buccale, la rectitude de la langue, la
contraction
normale du peaucier. Mais à un exa- men plus at
il dénomme ré- .flexe conjonctivo-mentonnier et qui consiste en une
contraction
fibrillaire, plus ou moins évidente, dans la ré
a volonté peut reproduire. Ils consistent au contraire en petites
contractions
parcellaires, fibrillaires ou fasciculaires, is
produit seulement à la clôture ou à l'ouverture des paupières. Les
contractions
fibrillaires ainsi obtenues se montrent dans le
rt sensitif conjonctival, mais de spasmes syncinéti- ques liés à la
contraction
de l'orbiculaire des paupières, en tous points co
en provoquant un clignement plus intense ou en faisant exécuter une
contraction
volontaire de l'orbiculaire plus forte que celle
autres masses musculaires et par l'absence des modifications il la
contraction
; la phy- siologie révèle la diminution de la f
it d'une maladie héréditaire ou familiale ; ;, il n'y avait pas, de
contractions
fibrillaires ; l'examen électrique ne mon- trai
ession par sa masse sur les cellules nerveuses ou en provoquant une
contraction
tonique du gliaspon- gittiti, ou bien encore en
e, elle amène une attaque de convulsions. Pendant l'attaque par les
contractions
musculaires, il se produit des conditions favor
d'habitude de 10-12 respirations, on voit se produire une violente
contraction
des muscles abdominaux et probablement du diaphra
trique, puis commence une inspiration profonde qui coïncide avec la
contraction
mention*' née. A cause de la douleur,' le malad
entre les convulsions toniques et les convulsions cloniques (1). La
contraction
musculaire étant considérée comme une source de c
ntéressant de rechercher si, dans les maladies qui. s'accompagnent de
contractions
musculaires exagérées, la température du corps es
hénomènes sont trop complexes pour qu'on puisse décider si c'est à la
contraction
musculaire seule qu'est due l'augmentation de la
e épinière chez des chiens, MM. Leyden (2) et Fick (3)ont produit des
contractions
musculaires toniques générales, et ils ont observ
ces affections, tétanos, convulsions épileptiques, choléra, etc., la
contraction
musculaire se rapporte à un type spécial : la con
apporte à un type spécial : la convulsion tonique. En pareil cas, une
contraction
persistante détermine de la rigidité avec immobil
on persistante détermine de la rigidité avec immobilité de la partie (
contraction
statique de M. BéclardJ. La contraction ne s'acco
avec immobilité de la partie (contraction statique de M. BéclardJ. La
contraction
ne s'accompagne pas de travail mécanique ; elle p
'il s'agit de convulsions cIoniques, c'est-à-dire dans les cas où les
contractions
musculaires produisent des mouvements alternatifs
culaires produisent des mouvements alternatifs plus ou moins étendus (
contractions
dynamiques de M. BéciardJ ? Parmi les maladies à
empérature remonte en six minutes et demie à 49°, 2. A ce moment, les
contractions
cessent, la température redescend en trois minute
oit en pressant, soit en frottant, même légèrement, pour provoquer sa
contraction
, à la façon de ce qui a lieu, quand on pratique l
on de ce qui a lieu, quand on pratique l'élcc-trisation localisée. La
contraction
du muscle sur les membres persiste après l'excita
ilement en contracture permanente; l'excitation d'un nerf provoque la
contraction
des muscles qu'il innerve. Ainsi, il suffit (l'un
du lobule de l'oreille, au point où émerge le facial, pour amener la
contraction
des muscles du même côté de la face ; chaque musc
nt la durée et l'intensité de l'excitation, on obtient à \rolonté une
contraction
ou une contracture. A cet état des muscles, se
la face se tourner du côté gauche, ce qui est l'effet produit par la
contraction
de ce muscle. Ces résultats ne peuvent être simul
myologie et les travaux de Ch. Bell. Je produis les mêmes effets, la
contraction
, sur tous les muscles que je touche légèrement.
on, si je la renouvelle sur le même point, je produirai, non plus une
contraction
passagère, mais une contracture. Je touche plusie
un nerf: alors les muscles qui sont tributaires de ce nerf entrent en
contraction
. Les muscles eux-mêmes peuvent être directement
la contracture des muscles mis en jeu ; à la face, au contraire, les
contractions
sont passagères, elles ne s'établissent pas à l'é
ses, détermine un ébranlement soudain de toute la masse du muscle. La
contraction
musculaire réflexe ne peut être produite par aucu
ue et assez énergique. La percussion du tendon est suivie alors d'une
contraction
soudaine du muscle qui soulève le segment du me
irecte, mais toujours vive et très courte. Dans l'état de santé, la
contraction
réflexe du triceps crural est facile à obtenir pa
ural est facile à obtenir par la percussion du tendon rotulien. Cette
contraction
, d'intensité moyenne, s'exagère dans certains éta
ifications de l'action musculaire qui en est la conséquence : a) La
contraction
est plus vive sans augmenter de durée ; ¡3) La
a) La contraction est plus vive sans augmenter de durée ; ¡3) La
contraction
est plus longue, elle marche vers le téta-nisme e
vers le téta-nisme et tend à se transformer en contracture ; y) La
contraction
devient permanente. Le choc a provoqué la contrac
ement s'exagérer sur place et le choc sur le tendon donner lieu à une
contraction
plus vive du muscle directement intéressé, mais e
plus vive du muscle directement intéressé, mais encore provoquer des
contractions
réflexes dans les membres éloignés du lieu de la
biceps brachial et traduit les modifications survenues dans l'état de
contraction
de ce muscle. La ligne inférieure offre la même s
oscillations multiples. Ces oscillations paraissent produites par des
contractions
alternatives des muscles extenseurs et des muscle
extenseurs et des muscles fléchisseurs. — La courbe T. c. traduit les
contractions
du muscle extenseur du triceps crural. — On rem
t sur tout le corps. On voit, en effet, sur le tracé II (Fig. 1) la
contraction
du biceps brachial suivre celle du triceps crural
de phénomènes réflexes d'un ordre différent. b) Modification de la
contraction
réflexe qui suit le choc sur le tendon. — En même
le réflexe tendineux tend à se généraliser, il arrive souvent que la
contraction
musculaire à laquelle il donne lieu subit elle-mê
re à laquelle il donne lieu subit elle-même quelques modifications La
contraction
devient plus longue, la courbe du tracé myogra-ph
euro-musculaire, offre d'une façon très nette ces modifications de la
contraction
musculaire réflexe sans tendance à la généralisat
es résultats suivants : a) Le choc tendineux modéré est suivi d'une
contraction
prolongée. b) Un choc un peu violent produit d'
e peu. En efïêt, dans ce dernier cas, on voit la main soulevée par la
contraction
réflexe des extenseurs s'arrêter à mi-chemin dans
spretz marque le Fig. 2.— Modification, pendant la léthargie, de la
contraction
réflexe qui suit le choc du tendon. Tendance à la
es tendons. (Vitesse moyenne du cylindre) Pour obtenir une simple
contraction
, il faut user d'une excitation fort légère. En
5), le biceps demeure également immobile , mais les caractères de la
contraction
réflexe du triceps crural sont considérablement m
crural sont considérablement modifiés. Un premier choc détermine une
contraction
prolongée qui se traduit par une courbe à long pl
e à long plateau. Un deuxième choc donne naissance immédiatement à la
contraction
permanente. Chez les deux malades qui, jusqu'ic
ntrer à la fois, et, en même temps que le réflexe irradié, on voit la
contraction
(du muscle directement excité, de même que celle
tées successivement, et l'on remarque qu'à la troisième excitation la
contraction
réflexe du biceps brachial, aussi bien que celle
, pendant qu'il existe très développé dans le reste du corps. b) La
contraction
musculaire qui est la conséquence du choc sur le
conséquence tend à se propager dans toute l'étendue des centres et la
contraction
réflexe, de même que la contracture, se généralis
lades on réussit à provoquer, à l'aide d'un choc léger et rapide, une
contraction
réflexe qui présente, à peu de chose près, les mê
quelques instants. En second lieu la faradisation ne détermine qu'une
contraction
qui cesse avec elle, tandis que la contraction du
on ne détermine qu'une contraction qui cesse avec elle, tandis que la
contraction
due à l'hyper-excitabilité neuro-musculaire persi
ascule, en vertu duquel son angle inférieur est porté en dehors. La
contraction
isolée du deltoïde au moyen de la faradisation dé
t la veille, l'électrisation, avec cettte différence toutefois que la
contraction
était remplacée par une contracture. Tantôt, no
ifférences proviennent: a) De la non-similitude du résultat obtenu:
contraction
avec l'électricité, contracture dans les cas d'hy
mécanique, pendant l'état d'hyperexcitabilité, ne donne lieu qu'aune
contraction
et non plus à une contracture ; b) Du degré de
e large et fascicule, tandis que, dans l'état d'hyperexcitabilité, la
contraction
totale de ce même muscle suit toujours l'excitati
nerveux qui l'innerve, met les fibres musculaires en action, mais, la
contraction
ainsi provoquée ne persiste pas d'ordinaire après
partie avec une grande précision. Nous avons cherché à produire la
contraction
isolée de chaque muscle par l'excitation des poin
n plus ou moins grand nombre de muscles, ce que l'on reconnaît à leur
contraction
simultanée. 11 suffit, dans ce cas, de déplacer l
, de déplacer le rhéophore d'un ou deux millimètres pour éviter cette
contraction
complexe; 2° De l'emploi d'un courant trop inte
Duchenne, placé au niveau du grand zygomatique, aurait dû produire la
contraction
isolée de ce muscle, ainsi qu'on l'observera dans
usqu'à la branche temporo-faciale de la septième paire, a provoqué la
contraction
en masse des muscles innervés par ce tronc nerveu
on excitée, et parfois sur quelques muscles éloignés. Dans ce cas, la
contraction
musculaire est fugace et peu accusée, c'est un
on trop forte se propage souvent à quelques muscles voisins ; 2° La
contraction
du muscle cesse le plus souvent en môme temps que
ansforme jamais en contracture. Le muscle peaussier est celui dont la
contraction
se maintient le plus longtemps, tenant en quelque
maintenant la pression à un degré égal sur le point qui a provoqué la
contraction
du muscle, on ne tarde pas à voir celle-ci s'effa
ire contracter à la fois plusieurs muscles, de façon à reproduire les
contractions
combinées expressives ou les contractions combiné
, de façon à reproduire les contractions combinées expressives ou les
contractions
combinées inexpressives, pour nous servir des dén
'élection sur lesquels Duchenne appliquait l'électrode pour amener la
contraction
partielle de chacun de ces muscles sont indiqués
1° Frontal : Muscle de l'attention. (Fig. 17). — Sa con- Fig. 17. —
Contraction
du muscle frontal. Muscle de l'attention de Duc
n du muscle frontal. Muscle de l'attention de Duchenne. Fig. 18.—
Contraction
du muscle orbicidaire supérieur. Muscle de la r
3° Sourcillier : Muscle de la douleur (Fig. 19). — La Fig. 19. —
Contraction
du Fig. 20. — Contraction du muscle sourcillier
de la douleur (Fig. 19). — La Fig. 19. — Contraction du Fig. 20. —
Contraction
du muscle sourcillier. pyramidal du nez. Musc
sur les points d'élection, nous a donné les résultats suivants : La
contraction
isolée du Frontal est très facile à obtenir par l
rapproché de la tête du sourcil ou lorsqu'elle est un peu intense, la
contraction
du pyramidal du nez se joint à celle de l'orbicul
ieur (Fig. 2, Pl. VI). Nous n'avons pu obtenir complètement isolée la
contraction
du pyramidal du nez. En cherchant à l'exciter aux
est si saisissante, nous n'avons pu, d'une façon nette, en obtenir la
contraction
. Nous devons ajouter que des recherches faites
ète, en ce sens que l'expression n'est parfaitement rendue que par la
contraction
simultanée d'un autre muscle, les autres n'exprim
tion dans ce muscle... Cette localisation est assez diffi Fig. 21.—
Contraction
du muscle grand zygomatique. Muscle du rire, de
d zygomatique. Muscle du rire, de Duchenne, rire faux. Fig. 22. —
Contraction
simultanée du grand zygomatique et du muscle orbi
59.) Dans nos expériences d'hyper excitabilité neuro-musculaire, la
contraction
isolée du grand zygomatique n'est pas sans présen
ous l'extrémité supérieure du grand zygomatique) entrent également en
contraction
. Cependant, après quelques tâtonnements et si l
e la pommette et une légère élévation de la paupière inférieure. La
contraction
isolée du petit zygomatique peut également être o
s elle se confond avec celle de l'élévateur propre de la Fg . 23. —
Contraction
du petit zygomatique. Muscle du pleurer, de Duc
et la figure 1 de la Planche VIII mettent parfaitement en lumière. La
contraction
partielle de ce muscle est très facilement obtenu
ent obtenue chez notre malade. Dans la figure 4 de la Planche VII, la
contraction
du muscle suit l'excitation du rameau nerveux qui
muscle de Ciiarcot. OEuv. comp. t. ix, Hypnotisme. 24 Fig. 24. —
Contraction
du muscle élévateur commun de l'aile' duhezel de
e' duhezel de la lèvre supérieure. la lubricité, fait subir, par sa
contraction
, à la forme générale du nez, les principales modi
oit les deux lèvres se froncer et l'orbiculaire tout entier entrer en
contraction
. L'action est encore bien plus vive lorsqu'on por
aire des lèvres est le muscle de la tristesse. Sous l'influence de la
contraction
, les commissures des lèvres sont tirées en bas et
t en dehors, la narine est abaissée et moins ouverte. (Fig. 25). La
contraction
partielle des muscles du menton et de la lèvre in
ant à plusieurs muscles soif superposés, soit juxtaposés. Fig.2o. —
Contraction
du muscle triangulaire des lèvres. Pour obtenir
du muscle triangulaire des lèvres. Pour obtenir chez nos malades la
contraction
isolée du triangulaire des lèvres, il faut porter
ig. 16), on obtient un mouvement complexe de la lèvre résultant de la
contraction
simultanée du triangulaire et du carré du menton,
ulaire et du carré du menton, qui, en ce point, sont superposés. La
contraction
isolée du carré du menton qui, d'après Duchenne,
action très faible sur la mâchoire inférieure. Suivant Duchenne, la
contraction
partielle du peaussier est inexpressive et ne pro
en faisant ouvrir les yeux de la malade par un aide, au moment où la
contraction
était obtenue par l'excitation mécanique des poin
la face, nous avons cherché à provoquer, à l'exemple de Duchenne, la
contraction
simultanée de plusieurs muscles, que ces muscles
scles, que ces muscles concourent à l'expression d'un môme sentiment (
contractions
combinées expressives de Duchenne) ou bien, au co
, au contraire, qu'ils expriment des sentiments complètement opposés (
contractions
combinées inexpressives du même auteur). Dans le
malade étant rendue cataleptique pendant l'excitation d'un muscle, la
contraction
de ce muscle persiste parfois un certain temps ap
nu le masque de la frayeur avec la nuance indiquée par Duchenne. La
contraction
simultanée du triangulaire des lèvres et de l'orb
on de méditation mêlée de tristesse ou de dégoût, suivant le degré de
contraction
du triangulaire. Au contraire, la contraction d
, suivant le degré de contraction du triangulaire. Au contraire, la
contraction
du grand zygomatique, associée à l'orbiculaire pa
ors de chaque côté de la physionomie un mouvement un peu complexe, la
contraction
unilatérale n'en conserve pas moins les caractère
à l'excitation. Dans l'état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, la
contraction
des muscles qui sont sous la dépendance de ces ra
a physionomie se contracter, et, suivant le point de l'excitation, la
contraction
s'accuser davantage dans les muscles de l'oeil, d
effet, que tous les muscles de cette moitié du visage sont entrés en
contraction
. Cette expérience de l'excitation mécanique du
on ici de la différence du résultat obtenu : contracture aux membres,
contraction
à la face). Mais il arrive fréquemment qu'à ce po
u nerf cubital répond un léger mouvement dans les doigts, mais aucune
contraction
nettement localisée, aucune ébauche de contractur
ant. -4° Lorsque l'excitation est insuffisante, on n'obtient qu'une
contraction
plus ou moins prolongée ou bien une contracture q
fait de la production, en pareil cas, d'une contracture, et non d'une
contraction
, montre que, outre l'excitation et son résultat,
'y a d'exception que pour les muscles de la face, où nous avons vu la
contraction
remplacer la contracture ; mais il existe bien d'
dans la moelle. Il est probable, en effet, qu'au moment où se fait la
contraction
volontaire, celle des muscles fléchisseurs des do
ême mécanisme. L'opinion de M. Westphal, qui persiste à considérer la
contraction
musculaire consécutive au choc du tendon comme di
Herbert Mayo et Calmeil avaient remarqué ce premier fait : que les
contractions
réflexes, lorsque l'excitation qui porte sur un p
e tronc d'un nerf, tous les muscles tributaires de ce nerf entrent en
contraction
: c'est ainsi que se produisent les griffes radia
Mais ce n'est pas tout, l'expression, ainsi imprimée à la face par la
contraction
d'un seul muscle, se complète d'elle-même. La bou
e qui perd au même moment l'expression première. Nous savons que la
contraction
du muscle orbiculaire palpébral supérieur a pour
complètes, exigent, ainsi que l'a démontré Duchenne (de Boulogne), la
contraction
simultanée de deux muscles de la face. Par exempl
ar exemple, l'exprès sion de l'effroi, de la frayeur s'obtient par la
contraction
simul-tanée du frontal et du peaucier. Cette expr
un phénomène musculaire observé chez les hystériques et analogue à la
contraction
musculaire paradoxale (1). M. Westphal (2) a dé
78, un phénomène musculaire intéressant auquel il a donné le nom de «
contraction
musculaire paradoxale », et qui peut se formuler
eut se formuler ainsi : un muscle est susceptible d'entrer en état de
contraction
permanente par le seul fait du rapprochement de s
ition qu'on vient de lui imprimer, maintenu en flexion dorsale par la
contraction
du muscle tibial antérieur, dont on voit le tendo
e l'on peut attribuer à la fatigue musculaire. Ce phénomène de la «
contraction
musculaire paradoxale » peut être la conséquence
x et du soléaire. Il invoque à l'appui de son opinion, le fait que la
contraction
paradoxale ne peut se produire, lorsque, la jambe
riences, exprime l'opinion, sans se prononcer catégoriquement, que la
contraction
paradoxale consiste en une perte de l'équilibre d
r, devient prédominante lorsqu'une circonstance quelconque entrave la
contraction
des muscles directement excités. Des graphiques
ait ainsi à l'épuisement. Fig. 31. — Expérience du 9 avril [1883. —
Contraction
paradoxale obtenue chez Cad..., hystéro-épileptiq
ces caractères de ceux que M. Wesf-phal attribue au phénomène de la «
contraction
paradoxale » et que nous avons rappelés plus haut
oup plus considérable. Il résulte de ces quelques recherches que la
contraction
paradoxale— du moins dans les cas que nous avons
rfs ou de leurs centres trophiques, le courant galvanique provoque la
contraction
du muscle et môme plus énergïquement que dans l'é
nt que dans l'état normal, alors qu'il est impossible d'obtenir cette
contraction
avec le courant faradique, au moins dans l'explor
rtie découverte, on voit le muscle sous-jacent secoué par une brusque
contraction
. 11 est même très facile de pratiquer au moyen de
es, l'étincelle, avec beaucoup moins de douleur, provoquait de belles
contractions
. J'ajoute que l'étincelle malgré son aspect un pe
sur un nerf moteur, tous les muscles desservis par ce nerf entrent en
contraction
ou en contracture, et communiquent au membre sur
ant après quelques minutes l'avant-bras gauche être agité de quelques
contractions
, puis se raidir dans la position contrac-turée qu
. 2. — Excitation du nerf facial en avant de l'oreille du côté droit.
Contraction
simultanée des muscles de l'œil, du nez et de la
ater, dans le muscle du côté opposé à l'excitation, un léger degré de
contraction
. Fig. 2. — Dans cette figure, à la contraction
n, un léger degré de contraction. Fig. 2. — Dans cette figure, à la
contraction
des deux muscles orbiculaires palpébraux supérieu
tion unilatérale du petit zygomatique. Il s'y joint un léger degré de
contraction
du muscle élévateur de l'aile du nez et de la lèv
un phénomène musculaire observé chez les hystériques et analogue à la
contraction
musculaire paradoxale.................. 453 XVI
Cœur, Hypertrophie du—), cause d'hé-morrhag'ie cérébrale, p. 71.
Contraction
musculaire, modification de la — pendant l'hypnot
; l'action de re- garder un point rapproché provoquant toujours une
contraction
pupillaire. D'ailleurs, pour plus de certitude,
pareil une. pupille très amplifiée', dont il voit Ttvec facilité la
contraction
depuis son début jusqu'à la fin. Ce moyen per
se tourne de façon que le muscle paralysé ait le moins possible de
contraction
à donner. Elle se dirige, de façon à porter l'o
pupille. Le malade, pour voir, essaye de les relever par de fortes
contractions
du frontal, plisse le front, et en même temps p
nt pas par l'action isolée d'un ou de quelques muscles, mais par la
contraction
combinée, inégale et synergique de plusieurs d'en
s mouvements oculaires; les uns, producteurs du mouvement, par leur
contraction
, les autres, antagonistes de ces mouvements har
nistes de ces mouvements harmonieux, par leur tonicité ou même leur
contraction
.' C'est par ce mécanisme que se font les mouvemen
ion donne l'irido-dilatation (mydriase spastique). Le mécanisme des
contractions
et dilatations pupillaires n'est certai- nement
té -réflexe des deux pupilles à la lumière, à l'accommodation, à la
contraction
orbiculaire. Le malade présente un réflexe à la
rstitielle hypertrophique. Réflexe consensuel. A l'état normal, les
contractions
et dilatations de la pupille ont lieu simultané
et elle ne reprend ensuite que lentement son étendue primitive. Sa
contraction
et son relâchement sont ralentis. Ce phénomène
en haut son sourcil, et, par suite, élève un peu ses paupières. La
contraction
du frontal ne dégage TROUBLES DE LA MOTIL1TÉ DE
s incomplet (pro- ptosis), ces symptômes, chute de la paupière,
contractions
frontales, extension de la tête, sont moins a
mais plus souvent il produit une rétraction des paupières due à la
contraction
spasmodique des fibres lisses de Mul- ler. L'ab
s perceptibles pour l'observateur : ils sont déterminés soit par la
contraction
du tenseur du tympan, soit plus souvent par des
par la contraction du tenseur du tympan, soit plus souvent par des
contractions
spasmodiques des muscles tubaires. L'hystérie e
bles de l'ouïe et des bourdonnements, ces derniers notamment par la
contraction
rl'l1exc du muscle du marteau. Inversement, les e
t le même mécanisme, on peut citer de la dysphagie spasmodique, des
contractions
du voile du palais, des troubles respiratoires
piratoires . Du côté des yeux on a signalé le blépharospasme et des
contractions
spasmodiques des muscles du globe oculaire. L
ification que les précédents, tels la toux, le spasme glottique, la
contraction
des petits muscles bron- chiques, le catarrhe d
cca- sionnelles semblent, être des excitations visuelles vives, des
contractions
musculaires violentes ou répétées, la fatigue,
ici de paralysies bulbaires vraies accompagnées d'amyotrophie et de
contractions
librillaires des muscles atteints. L'athrophie
ns librillaires des muscles atteints. L'athrophie musculaire et les
contractions
fibrillaires font défaut dans la paralysie d'or
myoclonies. dans la maladie des lies. Le discours est coupé par les
contractions
musculaires qui secouent le malade. La parole se
mie byperstbénique, certains muscles du visage sont dans un état de
contraction
permanente et déterminent une expression fixe, on
ou le relâ- chement de la capsule, des ligaments, des tendons et la
contraction
des muscles périarticulaires, ainsi que par le
la part du sujet un relâchement musculaire complet, car la moindre
contraction
musculaire fait entrer en ligne de compte les é
représentation mentale. La sensation périphérique subjective de la
contraction
musculaire et de la tension ligamenteuse nous ren
veau. C'est pourquoi, dans un grand nombre d'hémiplégies où soit la
contraction
, soit la paralysie rendent la palpation impossi
on sur les troubles sensitifs, dans les lésions médullaires, et les
contractions
librillaires appartiennent presque exclusivemen
a il remarquer que les muscles masticateurs ne sont pas le siège de
contractions
. Au cours des accès on constate des troubles va
la cuisse. La névralgie s'accompagne de difficulté de la marche, de
contractions
involontaires du cremaster, parfois de mictions
ne sera pas suffisant pour provoquer ce mouvement de propulsion; la
contraction
sera très faible : on pourra néanmoins l'appréc
tout l'existence d'un réflexe quand le malade se raidit et quand la
contraction
permanente de son triceps empêche le réflexe de
anc dans l'attitude du sommeil. Tous ces moyens peuvent vaincre une
contraction
volontaire perma- nente du muscle. . Mais il
ercussion du tendon rotulien ébranle le triceps et fait croire à sa
contraction
. (je Appréciation du réflexe. On constate la pr
n constate la présence du réflexe rotulien, nous l'avons vu, par la
contraction
du triceps ou par la pro- pulsion du pied, par
on du triceps ou par la pro- pulsion du pied, par la violence de la
contraction
du triceps et par la vivacité de la réaction; l
de mesurer l'intensité de la percussion qui produit la plus faible
contraction
; on emploie un percuteur qui, contenu dans un t
lle valeur du réflexe l'énergie du choc, qui produit la plus faible
contraction
. La valeur normale du réflexe est en moyenne de 1
celle du réflexe rotulien. En elle ! , le réflexe consiste dans une
contraction
des adducteurs provoquée par la percussion du t
rotulien du côté opposé. Cependant pour bien mettre en évidence la
contraction
des adduc- teurs, il est préférable de suivre l
cuisse qui se produit du côté percuté, un mouvement produit par la
contraction
des adducteurs qui rapprochent la cuisse de la li
ion sur le plan du lit. Le membre opposé sur lequel on recherche la
contraction
contrataterate des adducteurs sera placé de folle
cuisse et abduction de la cuisse. Dans celle situation, la moindre
contraction
îles adducteurs se traduira par un déplacement-
n détermine dans 47 pour 100 de ces cas, suivant Ganautt, une forte
contraction
des adducteurs de la cuisse ri droite et la per
la percussion rotulienne du côté droit paralysé ne détermine aucune
contraction
des adducteurs à gauche. On dit alors que le ré
au phénomène contralatéral des adducteurs s'associe quelquefois une
contraction
du triceps ou du fascia lata du même côté. Ce f
tendon d'Achille ou tendon du triceps surral : il consiste dans la
contraction
de cette masse musculaire et a pour résultat un
ord supérieur de la rotule et pressant cet os fortement en bas, les
contractions
rythmiques du triceps se pro- duisent alors et
terne du poignet. La percussion de tous ces tendons détermine de la
contraction
des muscles correspondants. Il est nécessaire,
sséter à travers la peau de la joue et on voit alors se produire la
contraction
qui relève l'arcade dentaire inférieure. On peu
taire s'abaisse d'abord sous le choc, puis elle est soulevée par la
contraction
du masséter : c'est lit le réflexe. RÉSULTATS
e, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin et par une
contraction
du muscle tenseur du fascia lata et des abducteur
ion de la plante du pied à un minimum on ne verra apparaître qu'une
contraction
isolée du tenseur du fascia lata. Cette contrac
paraître qu'une contraction isolée du tenseur du fascia lata. Cette
contraction
se manifeste par la production d'une fossette fém
côté correspondant a cette élévation. Cette élévation est due à la
contraction
du erèmaster. On peut provoquer celle même cont
est due à la contraction du erèmaster. On peut provoquer celle même
contraction
en serrant violemment avec la main les masses m
arrière du scrotum, on sentira au même moment le choc rapide de la
contraction
du muscle bulho-can'l'I1eux. Réflexe abdominal
par l'érection de cet organe. Réflexe fessier. II consiste dans la
contraction
des muscles "-rands fessiers par excitation de
tion de la peau qui les recouvre. Réflexe anal. Il consiste dans la
contraction
ou l'élévation du sphincter de l'anus sous l'in
ortent en avant. Réflexe pilo-moteur. - Ce réflexe consiste dans la
contraction
des ar redores pi lorum produits sous l'influen
nsent que le temps qui s'écoule entre la percussion du tendon et la
contraction
du triceps est trop court pour que le réflexe p
rd, très fré- quents au contraire chez l'enfant hémiplégique. Les
contractions
1/1YOSlS1/1lqlles, décrites par Pierre Marie dans
ituent un phénomène assez fréquent, mais non constant, il s'agit de
contractions
fasciculaires des muscles de la rébion antérieu
, qui consiste chez les organiques dans une diminution du relief de
contraction
de ce muscle du côté paralysé, quand on fait ou
Ce phénomène [CROUZON.] Fig. 2. - Hémiplégie gauche organique.
Contraction
du peaucier du cou à droite (Babinski, Gazette de
de Strumpell, ou phénomène du jambier antérieur, consiste dans une
contraction
du mus- clc jambicr antérieur qui se produit da
ement ci-dessus indiqué. v On peut voir encore ce mouvement dû à la
contraction
du jambier anté- rieur se produire quand un hém
imultanée et combinée du-grand dentelé et du deltoïde. En effet, la
contraction
du deltoïde, en même temps qu'elle élève le bra
r cas, il fléchit l'avant- bras sur le bras. Dans le second cas, la
contraction
du muscle amène d'abord la main en supination,
le coraco-brachial sont paraisses, les adducteurs du bras par leur
contraction
peuvent-ils déter- miner une subluxation en bas
eur puissant que lorsque son action pronatrice est annihilée par la
contraction
synergique d'un muscle antagoniste comme le bicep
fléchit la main. Duchenne a insisté sur ce fait qu'au maximum de sa
contraction
il entraine le bord interne de la main avec une
lysé, l'extension directe de la main est encore possible grâce à la
contraction
simultanée des deux MUSCLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR
bord externe du deuxième métacarpien. Quand il est au maximum de sa
contraction
, il fléchit la main et l'incline en dehors. Ce
t est assis. les jambes fléchies, les pieds reposant sur le sol, la
contraction
du grand fessier produit l'abduction de la cuis
PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. la prédominance des fibres antérieures, la
contraction
du moyen fessier dans son ensemble amène l'abdu
, de plus il fléchit la cuisse et produit sa rotation en dedans. La
contraction
simultanée du tenseur du fascia lata et du psoa
eurs, est produite. La contrac- tion totale du quadriceps, comme la
contraction
isolée du vaste externe, tend à déplacer la rot
s'accompagne 'l'un déplacement de la rotule en dehors : pendant une
contraction
violente, une subluxation de cet os peut se pro
gèrement le pied en dehors; c'est donc un fléchisseur adducteur. La
contraction
simultanée de l'extenseur commun et du jambier
t la flexion des deux dernières. Quand le pied repose sur le sol la
contraction
des jumeaux et du soléaire, en élevant le talon,
face du côté opposé. Si la tète est en exten- sion au moment de sa
contraction
, cette extension est exagérée. D'après Duchenne
ax en augmentant les trois principaux diamètres de cette cavité. La
contraction
du muscle tend à donner aux fibres charnues une
porte dans 1 ins- piration favorise la circulation abdominale. La
contraction
du muscle rétrécit l'orifice oesophagien; ainsi s
aorte et de, la veine cave inférieure ne sont pas influencés par la
contraction
du diaphragme. Quand il existe une paralysie bi
nt son point fixe sur les côtes il porte le bas- sin en avant. La
contraction
du grand droit comprime les viscères abdominaux e
tébrale est mobile; de plus il comprime les viscères abdominaux. La
contraction
unilatérale du grand oblique imprime au thorax
ia lata amenant la flexion de la cuisse avec rotation en dedans, la
contraction
simultanée de ce muscle et du psoas iliaque pro
e rotation qui porte la face du côté du muscle qui se contracte. La
contraction
bilatérale des splénius amène l'extension direc
renversent la tête en arrière. Sappcy et Cruveilhier disent que la
contraction
unilatérale du muscle imprime à la tète un mouvem
ui possédait un muscle peaucier plus développé que de cou- tume les
contractions
de ce muscle attirer fortement en haut la glande
it remarquer que l'expression de la frayeur est la résultante de la
contraction
simultanée de plusieurs muscles. La contraction
la résultante de la contraction simultanée de plusieurs muscles. La
contraction
isolée du peaucier est inexpressive. Pour Tleyn
iation habituelle aux sentiments intenses, il résulte que sa simple
contraction
volontaire ou que la tension que l'on peut arti
le action l'élévation du sourcil dont la courbure est augmentée. La
contraction
du frontal en rapprochant ses insertions a pour
cle de l'agression, il donne de la dureté au regard. On constate la
contraction
du pyramidal associée d'ailleurs il celle d'aut
iration a pour conséquence une congestion des veines de la face, la
contraction
de l'or- hiculairc aurait pour but d'empêcher l
point de vue mimique le sourcilier par lui-même est inexpressif, sa
contraction
jointe il celle d'autres muscles indique une ce
que muscle expressif il caractérise soit la volupté délicate par sa
contraction
modérée et mobile, soit l'orgueil, aux narines
SIOLOGIE MUSCULAIRE. sourire jusqu'au rire le plus fou (Charpy). La
contraction
du grand zygomatique combinée avec celle d'autr
u de substances solides ou liquides et fermée par l'orbiculaire, la
contraction
du bucci- nateur comprime le contenu de la bouc
de souffler, déjouer des instruments il vent. D'après Duchenne la
contraction
du buccinateur, associée d'ailleurs à celle d'a
de l'orbiculaire et des incisifs forme un plan rigide qui permet la
contraction
d'avant en arrière du compresseur des lèvres ;
ême racine peut fournir à des muscles antagonistes. Il pense que la
contraction
simultanée de deux muscles d'action opposée est
iculaire un point précis dont l'excitation électrique détermine une
contraction
simultanée des muscles deltoïde, biceps, brachial
r l'excitation du point de Erb, Secrétan a trouvé con- stamment une
contraction
du grand pectoral, Vierordt a observé la contra
stamment une contraction du grand pectoral, Vierordt a observé la
contraction
du sous-scapulairc et du court supinateur, Mlle K
us-scapulairc et du court supinateur, Mlle Klumpkc a toujours vu la
contraction
du grand pectoral. Le cas clinique de Rose a la
est produite, dans les mouvements physiologiques habituels, par la
contraction
du biceps et du court supinateur agissant simulta
mou- vement la paupière supérieure qui n'est plus maintenue par la
contraction
de l'orbiculaire; il l'abaisse quand il se diri
éraux par l'excitation unilatérale de l'écorce, a vu trois fois une
contraction
exclusive de la corde du côté opposé. Bien que ce
chie par le vago-spinal sur le larynx pour mettre les adducteurs en
contraction
tonique. B) Spasme d'origine centrale. Les lési
4° Troubles laryngés dans les névroses. Nous avons déjà signalé la
contraction
des adducteurs dans la crise epiteptique : par-
and pectoral, on fera rap- procher avec force le bras du tronc ; la
contraction
sera plus puissante si en même temps on tente d
e la longueur des fibres sera atrophiée, de sorte que l'on verra la
contraction
porter sur une portion seulement de la longueur d
ent atrophiée, par exemple la portion claviculaire du deltoïde : la
contraction
totale du muscle (dans l'abduction du bras pour
'invaria- bilité de la consistance à l'état de repos et à l'état de
contraction
qui acquiert de l'importance. Cette constatat
que les mêmes muscles de l'un et de l'autre côté soient à l'état de
contraction
ou de relâchement identique; il faut que le cor
nce des muscles, quand ils passent de I l'état de repos à l'état de
contraction
, est un signe d'atrophie bien plus ( [il. LEM.]
er des mouvements appropriés où chaque muscle à explorer entrera en
contraction
. La puissance fonctionnelle d'un muscle ou d'un
ant le mouvement où ce muscle ou ce groupe musculaire entre seul en
contraction
. Un appareil très simple et applicable à un trè
ordinaires de l'atrophie myopathique sont les suivants : absence de
contractions
fibrillaires, mélange en proportions variables
sser rapidement en revue et en indiquer la valeur. . L'absence de
contractions
fibrillaires a été considérée comme un bon sign
, Zimmerlin, Hitzig, Oppenlieimer, etc., ont signalé l'existence de
contractions
fibrillaires dans les muscles des myopathiques. N
de vue dix myopathiques : chez deux malades nous avons constaté des
contractions
très nettes, trois au- tres malades nous en ont
ue nous n'ayons pu les retrouver au moment de notre examen ('). Des
contractions
fibrillaires existent donc assez fréquemment chez
rophiés et former à l'oeil, à l'état de repos ou surtout pendant la
contraction
, des cordes saillantes épaisses ; d'autres faisce
ensation de dureté particulière, de corde tendue, soit pendant la
contraction
active des mus- cles, soit quand on cherche à v
itabilité proportionnelle il l'atrophie des muscles considérés; les
contractions
minium apparaissent pendant long- temps avec de
que dans un cas les réflexes sont absents aux coudes bien que « la
contraction
du triceps soit énergique et résiste très notab
d'autres symptômes (réaction de dégénérescence dans le premier cas,
contractions
fibrillaires dans le second) avaient fait penser
agner il la fois de la raideur musculaire tétanique produite par la
contraction
et de la réaction élec- trique mvotonique qui c
e). Les caractères qui les différencient sont : x) L'existence de
contractions
fibrillaires. Ces contractions sont presque con
fférencient sont : x) L'existence de contractions fibrillaires. Ces
contractions
sont presque constantes dans le type Charcot-Ma
dans les muscles presque complètement atrophiés abolition de toute
contraction
, dans les muscles moyennement atrophiés réactio
ut les caractères de l'atrophie myélopathique. à part la rareté des
contractions
fibrillaires. L'évolution est relativement rapi
le présente tous les caractères' de l'atrophie d'origine nerveuse :
contractions
fibril- laires, pas de pseudo-hypertrophie, pas
x des atrophies myélopathi- ques que nous avons déjà décrits. Les
contractions
fibrillaires ou fasciculaires manquent rarement
s, l'emporte sur le nombre des fibres saines (Erb) ; à ce moment la
contraction
se fait lentement et la secousse de fermeture e
rement abolie. Remak a décrit dans l'atrophie Aran-Duchenne une «
contraction
diplégique », phénomène rare qui consiste en co
enne une « contraction diplégique », phénomène rare qui consiste en
contractions
bilatérales des muscles des membres supérieurs
onc, par l'exagé1Yl- lion des réflexes .tendineux, par l'absence de
contractions
fibrillaires ; son évolution est très variable;
complète sur aucun muscle, elle ne s'accompagne pas en géné- ral de
contractions
fibrillaires et jamais de réaction de dégénéresce
yopathiques entre autres. Les muscles atteints ne présentent pas de
contractions
fibrillaires; l'excitabilité électrique est norma
r un certain nombre de caractères, d'ailleurs tous inconstants. Les
contractions
fibrillaires s'observent rarement; la réaction
ctères ordinaires de l'atrophie d'origine périphérique : absence de
contractions
fibrillaires et de pseudo-hypertrophie, excitab
vant-bras (muscles épitrochléens), exceptionnellement des bras. Les
contractions
fibrillaires sont exceptionnelles. La localisat
rachis : des courants galvaniques juste suffisants pour amener une
contraction
notable des muscles, ou des courants faradiques
a) Myopathie : 1. Caractères de l'atrophie musculaire : Absence de
contractions
fibrillaires; pseudo-hypertrophie fréquente (mo
: 2" enfance. b) Myélopathies : .' 1. Caractères de l'atrophie :
Contractions
fibrillaires (pas dans la forme \\'crdriig- Hof
ies : Type Duchenne-Aran = Syndrome : 1. Caractères du syndrome :
contractions
fibrillaires; pas de pseudo-hypertro- phie ; pa
s : Amyotrophie souvent plus généralisée (mem- bres inférieurs), ni
contractions
fibrillaires, ni R. D; paralysie spasmodique, t
ions des nerfs périphériques : 1. Caractères de l'atrophie : pas de
contractions
fibrillaires ; pas de pseudo-hvper- trophie ; r
cle normal s'accuse plus encore, à l'oeil et à la main, à l'état de
contraction
; quand le muscle se contracte, on sent sous les
ne d'un affaiblissement réel de sa puissance, ou bien les premières
contractions
[A. LÉRI 736 HYPERTROPHIES MUSCULAIRES. son
ement ou exagérément violentes, mais l'épuisement est rapide et les
contractions
suivantes sont affaiblies. Tous ces signes de l
symétrique du côté opposé, soit à l'état de repos, soit à l'etat de
contraction
. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL .^ Ces signes permet
volume et de consistance au passage de l'état de repos à l'état de
contraction
, puissance contractile active et résistance aux m
rocessus, la douleur spontanée et à la pression, la faiblesse de la
contraction
évite- ront toute erreur avec l'hypertrophie vr
tamment de la mala- die de Thomsen par l'absence des troubles de la
contraction
volontaire ou électrique que, à tort ou à raiso
ophie longitu- dinale » (Roth) détermine la formation de ventres de
contraction
for- mant bosses sur le. milieu de la longueur
fois contracté, il ne peut se décontracter immédiatement : chaque
contraction
mus- culaire ressemble ainsi à une véritable co
table con- tracture. Le fait est vrai du moins pour les premières
contractions
d'un muscle; quand les contractions se succèden
i du moins pour les premières contractions d'un muscle; quand les
contractions
se succèdent à peu d'inter- valle, la raideur d
. TU Il HYPERTROPHIES MUSCULAIRES. faire, beaucoup plus que de la
contraction
; ils constituent la réaction myotonique d'Erb.
erme- turc sont égales au pôle positif ou au pôle négatif, mais ces
contractions
sont lentes, torpides, prolongées alors que l'e
u avec les courants galvaniques fixes, on peut produire souvent des
contractions
ondulatoires régulières. L'etci- labilité farad
un courant faradique à interruptions fréquentes, on déter- mine des
contractions
toniques persistantes. Toutes ces modifications d
tonique, etc.) étaient précisément celles que l'on observe dans la
contraction
du sarcoplasma'. On conçoit ainsi par- faitemen
IQUE DE LA COORDINATION A l'état normal, tout mouvement est dù à la
contraction
simultanée et proportionnelle des muscles desti
e la tête, en somme, presque toute la musculature du corps. , Les
contractions
simultanées et synergiques des muscles ont norma-
ement à un ensemble 1'.\TIIUGI.\1E DES tCOOiiU)\AT)0 ? \S. 7 M de
contractions
musculaires. Il doit être assuré aussi dans l'int
eule tonicité musculaire, plus ordinairement il nécessite aussi une
contraction
synergique des muscles (équilibre statique voliti
la position debout immobile ne peut être maintenue que grâce à une
contraction
synergique des muscles des jambes et de la plupar
ppareils sensitifs par lesquels le sujet se rend compte du degré de
contraction
de ses muscles et la situation réciproque de se
giquement un influx moteur proportionné au degré nécessaire de leur
contraction
; 4° l'inté- grité des conducteurs centrifuges
té des muscles puisse altérer considérablement la précision de leur
contraction
. L'hypotonie a d'ailleurs même cause que les tr
mes tout à fait différents. L'ataxique ne sent pas exac- tement les
contractions
de ses muscles et ne se rend compte de ses mou-
dans tout mouvement ataxique. simple ou composé, on constate que la
contraction
des muscles producteurs du mouvement n'est pas
ucteurs du mouvement n'est pas modérée comme il conviendrait par la
contraction
de leurs antagonistes. Cela se conçoit si l'on
ent donc ses muscles se contracter, il a la nolion du degré de leur
contraction
et, par suite, de la position qu'occupe à chaqu
s mouvements les plus simples en apparence sont dùs en réalité à la
contraction
simultanée et propor- tionnelle de certains mus
ers, en même temps qu'il fléchirait le tronc sur les cuisses par la
contraction
de ses fléchisseurs du tronc et en particulier
s psoas iliaques. L'asynergique cérébelleux, ne pouvant associer la
contraction
des muscles de la cuisse à celle des muscles du
à celle des muscles du tronc, fléchira ses cuisses par suite de la
contraction
de ses psoas agissant seuls, élèvera ses pieds
é et parfois même exagéré. Le céré- belleux, qui sent le degré de
contraction
de ses mtiscles, peut, a 1 op- posé de l'ataxiq
a 1 op- posé de l'ataxique, les maintenir à un degré invariahle de
contraction
Fig. 10 et 11. L'équilibre volitionnel sta- t
TAXIQUE Origine : trouble sensitif : perte de la notion du degré de
contraction
des muscles. Caractères : Il Manque de modéra
Caractères : Il Manque de modération des mouvements par défaut de
contraction
des anta- . gonistes. eS.. 2° Influence du co
lle dose de sensi- bilité, pour ainsi dire, répond à telle ou telle
contraction
musculaire; naturellement moindre qu'à l'état n
musculaire; naturellement moindre qu'à l'état normal pour une même
contraction
, puisque d'une façon générale la sensibilité de
jusqu'à un certain point, l'affine en faisant sentir au malade des
contractions
qu il aurait à peine ou pas senties s'il ne les
malade, qui s'est habitué à éprouver une sensation donnée pour une
contraction
musculaire d'une intensité donnée, aura besoin d'
ééducation si la sensation devenait rapidement moindre pour la même
contraction
; d'une façon générale, il faut éviter avec soin p
la vue qui permet au malade de se rendre compte de la force de ses
contractions
et de la sensation qu'il devra éprouver le jour
ce ; on n'oubliera pas que les mouvements qui exigent la plus forte
contraction
musculaire sont les plus faciles, les malades c
es compensant l'insuffisance de leur sensibilité musculaire par des
contractions
plus fortes, mais qu'ils ne sont pas les plus u
deviée, demeure collée au plancher de la bouche. Elle est animée de
contractions
vermiculaires, et la muqueuse plisséc, chiffonnée
nution (pouvant aller jusqu'au zéro) de la durée et de la force des
contractions
à mesure que celles-ci se répètent. Nous ne rev
s de l'activité motrice et se traduit cliniquement par des accès de
contractions
brusques et involon- taires des muscles. Les
en cloniques. Cloniques, elles sont constituées par une série de
contractions
muscu- laires alternatives que séparent des pha
que séparent des phases d'immobilité; toniques, elles consistent en
contractions
plus durables, laissant les muscles raides pour
les moteurs, dont voici les princi- paux. Les contractures sont des
contractions
musculaires toniques, il est vrai, mais permane
nus ou surviennent à l'occasion de mouvements volontaires, sont des
contractions
musculaires de très faible étendue et de remarqua
plutôt l'impression d'un tremblement à oscillations étendues que de
contractions
convulsives véritables. Dans la chorée électrique
ecousses sont intenses et brusques, mais rythmées ; il n'y a pas de
contractions
continuelles comme dans la convul- sion cloniqu
nvul- sion clonique. Dans la chorée fibrillaire de Morvan, dans les
contractions
(ibrillaires des névropathes ou des organiques,
t des per- turbations de la motilité caractérisées par des accès de
contractions
mus- culaires brusques et involontaires, il est
ite, ne s'accompagne de ce phénomène. S'il devient donc le siège de
contractions
anormales par leur intensité, leur nombre ou leur
, en réalisant toutes les formes du mouvement musculaire, depuis la
contraction
simple jusqu'à la convulsion clonique et tonique,
courte : nous aurons une simple secousse musculaire, analogue il la
contraction
musculaire volontaire normale avec, sur le cyli
intense et surtout la répétition des excitations, l'am- plitude des
contractions
augmente par un phénomène d'addition lente : no
tions très rapprochées, atteignant le muscle il toute période de sa
contraction
: il y aura fusion des secousses en secousses p
, dans le tétanos. Ici, même brusquerie du début : mais, au lieu de
contractions
musculaires nombreuses et irrégulières, une raide
sculaires nombreuses et irrégulières, une raideur per- manente, une
contraction
durable des muscles sans intervalle de résolu-
manifester ; mais c'est toujours il une attitude fixe qu'aboutit la
contraction
. Les membres sont étendus ou dans une demi-flex
urs et se caractérisent par les mouvements des globes oculaires, la
contraction
des commissures buc- cales, des secousses dans
in se distinguent par un certain nombre de caractères : ce sont des
contractions
muscu- laires involontaires, incessantes, irrég
REMBLEMENT. S7 spasme qui accompagne la névralgie du trijumeau. Les
contractions
musculaires du spasme occupent un territoire ne
montré Brissaud, ce tremblement est toujours le fait d'une série de
contractions
successives des extenseurs et des fléchis- seur
olu, il existe néanmoins quand les sujets sont dans un mini- mum de
contractions
musculaires, il est d'un rythme lent comme le tre
'inverse de celui-ci, il augmente dès que les muscles exécutent une
contraction
soutenue et cependant ne s'exagère pas à mesure
par le D' CROUZON On appelle chorécs ou mouvements choréiques des
contractions
muscu- laires involontaires donnant lieu à des
(Cadet de Gassinconrt), de même on a pu voir alterna- tivement des
contractions
et. des dilatations pupillaires en présence d'un
bes s'agitent comme par une sorte de piétinement. Quelquefois les
contractions
des muscles thoraciques et du diaphragme amènen
cte initial. Dans la maladie des tics, il s'agit d'une assemblée de
contractions
se reproduisant sur des groupes de muscles diff
peut noter également quelques prodromes moteurs, ce sont alors des
contractions
isolées, des muscles de l'avant-bras ou des mai
ères que nous avons décrits aux mouvements choréiques en. général :
contractions
invo- lontaires, continues, cessant pendant le
e (feb1'is accedens spasmos solvit). Toutefois cette disparition de
contractions
sous l'influence 1. Ollive. Paralysie chez les
té fixées par Germain Sée et Jules Simon. La fièvre fait cesser les
contractions
quand elle sur- vient au moment de leur croissa
ontractions quand elle sur- vient au moment de leur croissance, les
contractions
suivent une marche parallèle à la fièvre quand
On appelle myoclonies, pseudo-chorées, ou chorées électriques, des
contractions
cloniques brusques semblables il celles que produ
les, d'où le nom de chorées électriques qui leur a été donné. Ces
contractions
sont involontaires, non systématisées, plus ou mo
es muscles qui se contractent et se relâchent presque aussitôt. Ces
contractions
siègent quelquefois dans un groupe spécial des mu
ssent pen- dant le sommeil et sont arrêtées par la volonté. ' Les
contractions
tétaniques différent des précédentes par Icur pc
ques différent des précédentes par Icur pc rsis- tance : enfin, les
contractions
tétaniques ne sont qu'une source de secousses t
acoutinuite apparente. Enfin, le dernier type est constitué par les
contractions
si brilla ire s uni, l'io.,rncr .emoi.. ' 55
lt;0 ! f/s s Archiv, 1881). Use rencontre surtout il l'âge mur; ses
contractions
peu- vent cire cloniques, tétaniques, toniques
en général par les membres inférieurs que débute la maladie. Les
contractions
se produisent par accès ou par intervalles qui vo
vont de quelques minutes à '1/2 heure quelquefois. D'autre part les
contractions
sont très rapprochées et semblent continues; ce
des membres dans un certain nombre de cas, quelquefois cependant la
contraction
est insuffisante pour procurer le changement de
nférieurs, de même au niveau de la face et au niveau de la tète. La
contraction
se produit dans les différents mouvements, on l
BRILLAIRE DE MORVÀN La chorée fibrillaire est. caractérisée par des
contractions
librillaires qui apparaissent dans les muscles
s les cas, les muscles du cou et de la face sont respectés. . Les
contractions
apparaissent sous forme de tressaillements dans l
sée par des mouvements brusques qui contrastent avec la lenteur des
contractions
de l'athétose; d'une part, la chorée ne s'accom
iques sont tout aussi indispensables pour constituer le tic que les
contractions
muscu- laires. Les différents termes de cette d
motrices. - Le tic est un mot- vement-convulsi-1, c'est-à-dire une
contraction
musculaire pervertie; elle peut être pervertie
s cas et suivant les moments. Dans chacun de ces accès la série des
contractions
musculaires successives est essentiellement aryth
lusieurs muscles au hasard ; il ne se manifeste pas non plus par la
contraction
simultanée ou successive de muscles innervés par
différent. Les indispositions légères aggravent géné- ralement les
contractions
; les maladies graves, et surtout fébriles, les
febris recédais spaslllos reducit. Un tic donné se manifeste par la
contraction
toujours répétée des mêmes muscles ou de muscle
pements musculaires fonctionnels, physiologiques, qui sont mis en
contraction
anormale, non des groupes anatomiques, Les tics m
mps, chez les tiqueurs, une, tendance à prolon- ger inutilement les
contractions
musculaires et à conserver les positions qu'on
odifier une attitude que dans la tendance à maintenir à l'excès une
contraction
musculaire. Si les atti- tudes catatoniques vra
ans un même accès ou dans des accès successifs, soit qu'au cours de
contractions
toniques des mouvements cloniques exagèrent la dé
la déglutition. Tics dysphagiques, efforts répétés de déglutition,
contractions
brusques ou prolongées des muscles du pha- rynx
u'il importe de dis- tinguer des tics de la face. Il débute par des
contractions
fasciculaires ou parcellaires, brusques et répé
ellaires, brusques et répétées, de certains muscles de la face; ces
contractions
envahissent les muscles voisins, faisceaux par fa
. La contracture est « frémissante » par suite de la persistance de
contractions
fibrillaires. L'accès se termine par une détente
tement t 1 hemispasme facial des tics : telles l'unilatéralité de
contraction
avec répar- tition rigoureuse aux muscles inner
répar- tition rigoureuse aux muscles innervés par le facial, les
contractions
fascicu- laires, leur brusquerie, la production
l'oreille est déplacé, en haut et en arrière, l'oeil se ferme par
contraction
.de l'orhiculaire en même temps que la peau du f
aire en même temps que la peau du front se porte en . haut par la
contraction
de la partie in- terne du frontal, etc.). L'exi
labiale en haut et en arrière, l'occlusion de l'oeil associée à une
contraction
du frontal (plis cutanés il la -partie supéro-int
frontal (plis cutanés il la -partie supéro-interne du sourcil). B).
Contraction
volontaire du côté droit. On ne constate aucun de
ial, les secousses ne sont pas parcel- laires ou fasciculaires, les
contractions
ne- sont pas déformantes ou para- dovales, elle
vulgaires. Les crampes fonctionnelles ou professionnelles sont des
contractions
toniques qui ne se produisent qu'à l'occasion d
plus, on doit s'efforcer de maîtriser les réactions motrices et les
contractions
musculaires excessives, qui se produisent chez le
tes, elles sont souvent douloureuses, mais la douleur cesse avec la
contraction
. Les muscles de la main ne prennent pas toujour
vent se contracter, il y en a qui doivent ne pas se contracter : la
contraction
intempestive des supinateurs. des pronateurs ou
é réflexe intense du système musculaire. Tout contact détermine une
contraction
spasmodique des fléchisseurs, des pronatcurs, e
jamais des extenseurs. Dans la catatonie au contraire, existent des
contractions
toniques intéressant les extenseurs à. l'égal d
e tient non seulement à la douleur propre, à la névralgie, mais aux
contractions
mises en jeu : celles-ci sont de deux ordres, d
, ce qui en imposé pour un rétrécissement. Dans certains cas, cette
contraction
prématurée du sphincter amène une rétention inc
On observe dans la sclérose en plaques les mêmes intermittences des
contractions
vésicales que des autres systèmes musculaires. La
icales que des autres systèmes musculaires. La réten- tion due à la
contraction
du sphincter peut durer plusieurs jours, ce qui
OS.] 9r»2 TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. faire, c'est-à-dire de
contractions
incomplètes et irrégulières ne rencon- trant pl
incomplètes et irrégulières ne rencon- trant plus l'antagonisme des
contractions
sphinctériennes normales, mais laissant netteme
orgement de s'établir très vite. Ce dernier est méconnu lorsque les
contractions
des muscles abdominaux produisent t'evacuation
l se sent mouillé par l'urine évacuée ; c, incontinence vraie ; les
contractions
de l'appareil sphinctérien manquent, l'urine s'
lepsie. L'incontinence est due, dans ce cas, il l'exagération de la
contraction
vésicale liée à l'affaiblissement du sphincter.
arfois efficace, est souvent dangereux; si l'évacuation tient à des
contractions
répétées et violentes du corps vésical, le cathét
s et autres manoeuvres intra-vésicales sont de nature à exciter ces
contractions
. Lorsque, au contraire, les sphincters sont atone
ntraire, les sphincters sont atones. ou paralysés, on provoquera la
contraction
au moyen d'instillations portées dans la prosta
. En permettant au. bas-fond vésical de se relever, on favorise les
contractions
de tout l'appareil vési- cal, corps et col, et
lexe vésical. Tout se contracte, corps et col de la vessie, mais la
contraction
de ce dernier cède la première et la miction a li
era l'existence de la rétention, cette dernière pouvant résulter de
contractions
prématurées du col. 2° Incontinence par atonie.
le bégaie- ment urinaire, premier indice du spasme 1l1'élrai. Cette
contraction
prématurée du sphincter détermine un certain de
ement une issue par le relâchement brusque de ce dernier. Que cette
contraction
antérieure ne cesse pas, et l'éjaculation sera
otub(;1'(l/Ilielles. La langue est flasque, au début du moins, sans
contractions
lihrillail'es, ni R. 11. La gène de la déglutit
écédemment décrits. La boule hystérique n'est ainsi qu'une suite de
contractions
antipéristaltiques anormalement perçues, et l'o
pathes des crises intestinales décrites par Nollmagel. Il s'agil de
contractions
des anses intestinales survenant à l'occasion des
casion des règles ou d'un choc moral, spontanément quelquefois. Ces
contractions
s'accompagnent de sensations plus ou moins désa
ection, mous à la palpation, ne durcis- sant pas par les efforts de
contraction
; l'articulation est plus ou moins lâche, ball
forts courants, cependant, on peut voir les muscles mis en état de
contraction
soutenue plus ou moins prononcée ; c'est ce que
soutenue plus ou moins prononcée ; c'est ce que Hemak a appelé les
contractions
galvano-loniqucs. Il y a lieu de croire que ces
l'intensité du courant est suffisamment élevée, se manifeste par la
contraction
du muscle. Sur un; nerf moteur, cette excitatio
du muscle. Sur un; nerf moteur, cette excitation se traduit par la
contraction
des muscles animés par ce nerf. Sur un nerf sen
on produite peut être résumée par le tableau suivant, indiquant les
contractions
obtenues sur les muscles correspondant au nerf
é. 9` ? IG APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. * obtient seulement une
contraction
des muscles avec le pôle négatif et au moment d
P; la fermeture par F ou S (Sc1¡[ie,SIIIIY); l'ouverture par 0; la
contraction
par C ou Z (Xuckung) ou S ; on la représente auss
uckung) ou S ; on la représente aussi par Te quand elle devient une
contraction
tétanique. Celte notation a d'abord été adoptée e
ION DE L'EXCITABILITÉ GALVANIQUE. 1219 observe alors, au lieu d'une
contraction
, la cessation de la tétanisation du muscle. Au
aussi avec l'in- tensité du courant; à la fermeture, cependant, la
contraction
obtenue PFC ou PFCC reste, plus petite, pour un
PFCC reste, plus petite, pour un courant de même intensité, que la
contraction
à NF; il est rare de la voir devenir tétanique et
nt, même avec des intensités élevées et difficiles à supporter. Les
contractions
à l'ouverture, POC, augmentent également, mais
il propos de l'exploration avec la clef simple, il quel moment les
contractions
provoquées par l'excitation deviennent tétaniqu
ent tétaniques. Il convient de remarquer qu'avec la clef double les
contractions
pro- duites à l'ouverture du courant s'obtienne
manifester du côté des nerfs et des muscles et se traduire par des
contractions
musculaires plus ou moins soutenues. En somme,
on voit ainsi que l'onde induite d'ouverture provoque facilement la
contraction
des muscles ou l'excitation des nerfs, tandis q
nergie convenable, on peut remarquer, en inscrivant la courbe de la
contraction
, musculaire, que la contraction ne commence pas
quer, en inscrivant la courbe de la contraction, musculaire, que la
contraction
ne commence pas au moment même où l'onde induit
induite est produite; il s'écoule entre ce moment et le début de la
contraction
un certain temps variant, suivant la nature des
entième de seconde; c'est la période d'excitation latente; puis, la
contraction
commence, la courbe s'élève progressivement pou
le les excitations dans les mêmes conditions. On provoque ainsi des
contractions
isolées et successives des muscles. Les mêmes r
orrespondant à la période d'excitation latente, entre de nouveau en
contraction
avant d'être revenu à l'état de repos; il recomme
avant que la décontraction ne soit terminée, il entre de nouveau en
contraction
et ainsi de même tant que les excitations sont
uverture 0' B' de rnèmr sens que. le courant inducteur.- rcc. 32.
Contraction
musculaire. 31 Courbe du myographe ; S Temps en '
peut laisser passer le courant librement; il ne se produit que des
contractions
isolées des muscles, séparées par des intervalles
maximum plus ou moins élevé et décroit ensuite graduellement. Les
contractions
ainsi produites se rapprochent davantage des cont
ment. Les contractions ainsi produites se rapprochent davantage des
contractions
physiologiques que les contractions produites e
es se rapprochent davantage des contractions physiologiques que les
contractions
produites en rythmant simplement les courants a
de la même façon que dans la méthode polaire. Si l'on provoque des
contractions
isolées des muscles, on peut tenir les électrod
ace en laissant passer le courant libre- ment. Si l'on provoque des
contractions
avec tétanos plus ou moins complet, il faut, co
distance des nerfs et des muscles restés sains ou peu altérés ; les
contractions
Illllsl'l1- EXPLORATION ET TRAITEMENT FARADIQUE
TEMENT FARADIQUE. 1257 laires ainsi produites prédominent sur les
contractions
des muscles que l'on cherche à obtenir; elles m
chocs faradiques en exci- tant le nerf ou le muscle produisent des
contractions
musculaires avec une énergie modérée. On laisse
courant faradique produisant, lorsque l'énergie est suffisante, des
contractions
musculaires avec tétanisation plus ou moins com
ent également beaucoup plus tôt que dans l'état normal; de plus les
contractions
deviennent facilement tétaniques, d'abord à \h pu
relâchement les muscles sur lesquels l'excitation doit produire des
contractions
. Il faut donc donner au membre ou à la partie du
veiller à ce que les patients ne tiennent pas ces muscles en état de
contraction
volontaire. Pour exciter des muscles contractés
tabilité est parfois plus marquée par la diminution d'amplitude des
contractions
que par les changements dans l'apparition du seui
. Elles sont de deux ordres portant, d'une part, sur la forme de la
contraction
musculaire, et, d'autre part, sur la formule pola
laire, et, d'autre part, sur la formule polaire de l'excitation. La
contraction
, au lieu d'être vive et rapide comme dans l'éta
loppement, puis ne disparaît que lentement ('). Cette lenteur de la
contraction
, très prononcée ;t la période d'état de la DU d
itation se trouve inversée; au lieu que l'exci- 1. La lenteur de la
contraction
des muscles dégénérés est telle qu'elle peut donn
lieu a un phénomène intéressant qu'on a appelé phénomène de la double
contraction
. Si on excite avec des courants galvaniques des
es derniers, on voit d'abord apparaître le mouvement produit par la
contraction
vive et brève des mus- des normaux (flexion des
nt produit par les muscles dégénérés (extension des doigts) dont la
contraction
met plus de temps à se développer et se montre
uivalence polaire (NFC = PFC). Parfois même, mais plus rarement, la
contraction
reste prédominante à la cathode (NFC PFC) alors
uve bien caractérisée encore par les autres caractères, lenteur des
contractions
et altérations quantitatives de l'excitabilité.
moteur; de plus, elle se montre aussi altérée qualitativement,' les
contractions
,' en effet, sont lentes, mais l'excitation 1. I
FC; de plus, on peut remarquer qu'avec l'inversion artificielle, la
contraction
n'est généralement pas modifiée dans sa forme e
2. On voit parfois, dans ces formes de réaction de dégénérescence, la
contraction
rester assez vive et prédominer à la fermeture
u seuil de l'excitation, tandis qu'avec des courants plus forts les
contractions
se montrent lentes et que PFC devient égale ou
que ; cette dernière n'est généralement pas altérée en qualité, les
contractions
produites par l'excitation du nerf restent en eff
diminuée plus tard; elle est, de plus, altérée qualitativement, les
contractions
obtenues sont lentes, et le plus souvent la for
dans le territoire duquel existe de. la DU. on observe parfois des
contractions
lentes produites par l'excitation galvanique sur
res de ce nerf. On commettrait souvent une erreur en rapportant ces
contractions
lentes il l'excitation du nerf : on peut les obse
en étal de dégénérescence, on observe fréquemment l'excitation avec
contractions
lentes du trian- gulaire des lèvres, alors que
t'nOL, 70 [E HUET] ] 1250 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. La lenteur de la
contraction
provoquée par l'excitation galvanique du muscle
; dans des formes atténuées de DR on voit parfois la lenteur de la
contraction
manifeste seulement à l'excitation avec le pôle
ifeste seulement à l'excitation avec le pôle positif, tandis que la
contraction
reste assez vive pour l'excitation avec le pôle
à ce qui existe dans l'état normal. N0C>POC. Cette inversion des
contractions
d'ouverture s'observe plus parti- culièrement q
s'observe plus parti- culièrement quand il y a aussi inversion des
contractions
de fermeture, PFC> NFC. On a voulu il tort l
re s'observe dans des muscles et non dans l'excitation du nerf; les
contractions
ainsi obtenues sont aussi modifiées dans leur f
ellement assez diminuée ; ses altérations qualitatives, lenteur des
contractions
, modifications de l'excitabilité polaire, prédomi
tent encore un certain temps, mais elles s'atténuent peu à peu, les
contractions
deviennent manifestement moins lentes, puis ell
et se rapproche de l'état normal, elle perd sa prédominance, et les
contractions
auxquelles elle donne lieu redeviennent vives.
ralement un certain temps encore la prédominance sur NFC, niais les
contractions
sont tellement faibles que leur lenteur devient m
lement faibles que leur lenteur devient moins appréciable; puis les
contractions
disparaissent à NF et plus tard elles disparais
atives de l'excitabilité galvanique se montrent moins ' nettes, les
contractions
musculaires produites étant devenues très faibles
té galvanique était mieux conservée quoique fortement diminuée, les
contractions
produites étaient peu lentes ou mêmeiasstv, viv
altérations de la DR soit par une lenteur plus ou moins accusée des
contractions
mus- culaires, soit par des modifications de la
énérescence, par les altérations de l'excitabilité des muscles. Les
contractions
provoquées par l'excitation électrique des musc
ariable souvent assez long. De plus, dans certaines conditions, les
contractions
ainsi provoquées ne sont pas régulièrement souten
es oscillations alternativement crois- santes et décroissantes; ces
contractions
ondulatoires des muscles ne semaines parfois, u
xcitabilité galvanique des muscles sont atténuées, la le»- teur des
contractions
n'est pas très prononcée et l'inversion polaire p
itations minimales; en augmentant l'énergie des courants on voit la
contraction
persister un temps appréciable après l'interrup
vec des courants labiles, on peut observer aussi la persistance des
contractions
. Muscles. Dans l'excitation directe des muscles
lés et avec les excitations minimales des courants tétanisants, les
contractions
restent sensiblement normales. Avec des courants
ales. Avec des courants tétani- sants plus forts la persistance des
contractions
apparaît ; au moment où on interrompt le couran
Lorsque les courants tétanisants sont forts et un peu prolongés, la
contraction
tétanique du muscle n'est pas toujours continue
e diminue peu il peu et finit même par disparaître, de sorte que la
contraction
ne persiste plus au delà de l'excitation et la dé
tétanisa- tion incomplète, puis celle-ci se résout peu à peu et les
contractions
deviennent distinctes et séparées les unes des
ntensité, un quart, un demi, un milliampère, provoquent souvent des
contractions
et l'excitation s'étend facilement aux muscles
, avec les excitations un peu plus fortes, pour la produc- tion des
contractions
toniques et persistantes. Les contractions se t
ur la produc- tion des contractions toniques et persistantes. Les
contractions
se trouvent, en effet, modifiées dans leur forme
en effet, modifiées dans leur forme : au seuil de l'excitation, les
contractions
restent quelquefois assez brèves, mais avec des
efois assez brèves, mais avec des courants un peu plus intenses les
contractions
deviennent bientôt toniques, surtout à la ferme
une demi-minute, ou même davantage. La lenteur et la tonicité des
contractions
sont généralement les plus accentuées dans le voi
ve, parfois même la disparition de la lenteur et de la tonicité des
contractions
qui redeviennent brèves et sans persistance, si l
s courants stables, d'intensité assez élevée, peuvent provoquer des
contractions
musculaires rythmiques et ondulatoires, surtout
ain ou sur le dos du pied par exemple; on voit apparaître alors des
contractions
toniques, irrégulièrement soutenues, avec oscil
une direction déterminée et aller de la cathode -il l'anode. Les
contractions
rythmiques ondulatoires, ainsi provoquées, semble
entée et elle se trouve plus ou moins modifiée dans sa qualité. Les
contractions
provoquées par l'excitation mécanique des muscl
rcutés ou s'étendent il la totalité du muscle. La persistance de la
contraction
varie, suivant les cas, de quelques secondes à
estion à propos des modifications de l'excitabilité électrique. Les
contractions
réflexes provoquées par la percussion des tendons
tonique incomplète la tendance à l'apparition de la persistance des
contractions
aussi bien à NF qu'à PF, avec de faibles couran
mme des manifestations de la réaction myotonique la persistance des
contractions
tétaniques que l'on observe parfois, en dehors
es; divers caractères permettent de les distin- guer en général des
contractions
toniques lentes et persistantes de la réaction
rants forts et avec intermittences fréquentes) provoquent seuls ces
contractions
tétaniques persistantes; elles sont douloureuse
e même complètement. Si on augmente alors l'énergie dn courant la
contraction
reparait d'abord, mais faible, puis elle continue
es, assez prolongées, et plus ou moins répétées, l'épuisement de la
contraction
finit cependant par apparaître, au début de chaqu
n voit dans ces conditions les muscles animés par le nerf entrer en
contraction
au moment où on établit l'excitation, et aussit
action au moment où on établit l'excitation, et aussitôt après leur
contraction
diminue ou disparait; si, après avoir interromp
se manifester. Il ne s'agit pas en pareil cas d'uu épuisement de la
contraction
musculaire comme dans la réaction myasthé- niqu
galvaniques assez fréquemment réitérées pro- duire l'épuisement des
contractions
avec la cathode et avec l'anode; cet épuisement
longées peut être complet ; d'autres fois il est moins complet, les
contractions
musculaires s'affaiblissent plus ou moins vite
n des muscles de la chaîne des osselets; les bruits produits par la
contraction
de ces muscles, trop faibles pour être entendus
on donne au courant une intensité voisine de celle qui produit les
contractions
mini- males des muscles, intensité qui il cette
gros fil ou à fil moyen, une énergie modérée ne produisant que des
contractions
faibles ou assez fai- hies sans provoquer de do
es se trouvent donc indiqués pour exciter les nerfs et provoquer la
contraction
des muscles. Pour habituer les malades à suppor
ide. On établit alors un courant assez fort, tel qu'il produise des
contractions
apparentes des fibres du peaucier, ou des contrac
produise des contractions apparentes des fibres du peaucier, ou des
contractions
assez fortes du stcrno-ctéido-mastodicn lorsqu'
rant trop fort ; puis on gradue le courant de façon il produire des
contractions
de l'orhiculairc. On passe ensuite légèrement e
on la pro- mène sur le pourtour de l'orbite de façon il obtenir des
contractions
de l'orbiculaire, du sonrcilier et du frontal,
électrode sur les deux lobes du corps thyroïde et l'on provoque des
contractions
des muscles sterno-hyoïdien et stemo-thyroïdien
utes un courant assez faible pour provoquer tout au plus de légères
contractions
du grand pectoral. Quelques électro-thérapeutes c
calisations aux petits muscles des mains, 698. Griffe, 699, 1059.
Contractions
fibrillaires. Réactions élec- triques, 700. Réf
51. Constipation des hystériques, traitement électrique, 1550.
Contractions
rttyosismiques dans l'hémi- plégie, 465. Cont
- jerine, 687. ' Myopathies, 505, 668. - Symptômes. Absence de.
contractions
fibrillaires, hy- pertrophie, 669. - Pseudo-hyp
détermine un ébranlement soudain de toute la masse du muscle. La
contraction
musculaire réflexe ne peut être produite par au
et assez énergique. La percussion du tendon est suivie alors d'une
contraction
soudaine du muscle qui soulève le segment du me
rote, mais toujours vive et très courte. Dans l'état de santé, la
contraction
réflexe du tri- ceps crural est facile à obteni
al est facile à obtenir par la percussion du tendon rotulien. Cette
contraction
d'intensité moyenne s'exagère dans certains éta
xten- sion, diffusion de l'action réflexe; b) modifications de la
contraction
musculaire qui en est la conséquence : a) La co
ns de la contraction musculaire qui en est la conséquence : a) La
contraction
est -plus vive sans augmenter de durée. 6) La
a) La contraction est -plus vive sans augmenter de durée. 6) La
contraction
est plus longue, elle marche vers le tétanisme
vers le tétanisme et tend à se transformer en contracture. y) La
contraction
devient permanente. Le choc a provoqué la contr
ent s'exagérer sur place et le choc sur le tendon donner lieu à une
contraction
plus vive du muscle directement intéressé, mais
s vive du muscle directement intéressé, mais encore provoquer des
contractions
réflexes dans les membres éloignés du lieu de l
ps brachial et traduit les modifications survenues dans l'état de
contraction
de ce muscle. La ligne inférieure offre la même
llations multiples. Ces oscillations paraissent produites par des
contractions
alternatives des muscles extenseurs et des musc
tenseurs et des muscles fléchisseurs. La courbe T. c. traduit les
contractions
du muscle extenseur du triceps crural. On remar
sur tout le corps.. On voit, en effet, sur le tracé II (Fig. 1) la
contraction
du biceps brachial suivre celle du triceps crur
de phénomènes réflexes d'un ordre différent. b) Modification de la
contraction
réflexe qui suit le choc sur le tendon. En même
e réflexe tendineux tend à se généraliser, il arrive souvent que la
contraction
musculaire à la- quelle il donne lieu subit ell
quelle il donne lieu subit elle-même quelques modifi- cations. La
contraction
devient plus longue, la courbe du tracé myograp
ro-musculaire, offre d'une façon très nette ces modifications de la
contraction
mus- culaire réflexe sans tendance à la général
peu. En effet, dans ce dernier cas, on voit la main soulevée par la
contraction
réflexe des extenseurs s'arrê- ter à mi-chemin
s instants. 1-'ig. ? .Ot ? ca<;oK, pendant la léthargie, de la
contraction
réflexe qui suit le choc du tendon. Tendance 6
éré, produit d'em- blée la contracture. Pour obtenir une simple
contraction
, il faut user d'une excitation fort lé- gèr
, le biceps demeure éga- lement immobile, mais les caractères de la
contraction
réflexe du triceps crural sont considérablement
rural sont considérablement modifiés. Un premier choc détermine une
contraction
prolongée qui se traduit par une courbe à long
à long plateau. Un deuxième choc donne naissance immédiatement à la
contraction
permanente. Chez les deux malades qui jusqu'ici
rer à la fois, et, en même temps que le réflexe irradié, on voit la
contraction
(du muscle directement excité, de même que cell
ucces- sivement, et l'on remarque qu'à la troisième excitation la
contraction
réflexe du biceps brachial, aussi bien que cell
ndant qu'il existe très développé dans le reste du corps. - b) La
contraction
musculaire qui est la conséquence du choc sur l
nséquence tend à se propager dans toute l'étendue des centres et la
contraction
réflexe, de même que la contracture, se général
des on réussit à provoquer, à l'aide d'un choc léger et rapide, une
contraction
réflexe qui présente, à peu de chose près, les
ues instants. En second lieu, la faradisa- tion ne détermine qu'une
contraction
qui cesse avec elle, tandis que la contraction
ne détermine qu'une contraction qui cesse avec elle, tandis que la
contraction
due à l'hyperexcitabilité neuro-musculaire pers
rière, t. 1, II, III, 1876-1880. REVUE DE PHYSIOLOGIE I. SUR la
contraction
musculaire paradoxale; par M. Men- DEL530HN. (S
ue Westphal a consacrée à ce phénomène patholo- gique bizarre de la
contraction
musculaire dite paradoxale, qui consiste en un
pas que le relâchement d'un muscle puisse jamais être une cause de
contraction
ou de contracture. Il croit que dans le cas par
t du soléaire. Il invoque, à l'appui de son opinion, le fait que la
contraction
paradoxale ne peut se produire, lorsque, la jam
2 que ce n'est pas le relâ- chement du mollet qui met obstacle à la
contraction
du tibial antérieur, mais bien la pression que
siologiques du phénomène. Tout ce qu'il a pu observer, c'est que la
contraction
paradoxale affecte, dans ses caractères graphiq
ffecte, dans ses caractères graphiques, une grande analogie avec la
contraction
d'un muscle empoisonné par la vératrine. Quant
ptôme, rien n'est encore plus malaisé. Westphal a vu se produire la
contraction
paradoxale dans le tabes dorsal, dans la scléro
117. REVUE DE PHYSIOLOGIE. 121 Enfin, Mendelssohn a déterminé la
contraction
paradoxale chez deux ataxiques sur dix, chez un
teur, sans se prononcer catégoriquement, exprime l'opi- nion que la
contraction
paradoxale consiste en une perte de l'équilibre
tulien, on obtient, non plus une secousse unique, mais une série de
contractions
; de même, on peut n'avoir à la cheville qu'une
s. Dans tous ces phénomènes, il y a un élément commun : c'est une
contraction
provoquée par l'extension de la fibre musculair
e par l'extension de la fibre musculaire et on peut affirmer que la
contraction
sera d'autant plus forte que l'excitabilité mus
rne à entretenir la tonicité réflexe, sans laquelle il n'y a pas de
contraction
126 revue DE physiologie. possible. Mais son
le, en vertu duquel son angle in- férieur est porté en dehors. La
contraction
isolée du deltoïde au moyen de la, faradisation
que, pen- dant l'état d'hyperexcitabilité, ne donne lieu qu'à une
contraction
et non plus à une contracture ; b) Du degré de
large et fasciculé, tandis que, dans l'état d'hyperexcitabilité, la
contraction
totale de ce même muscle suit toujours l'excita
eux qui l'innerve, met les fibres muscu- laires en action, mais, la
contraction
ainsi provoquée ne persiste pas d'ordinaire apr
partie avec une grande précision. Nous avons cherché à produire la
contraction
isolée 186 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. de chaqu
Plus ou moins grand nombre de muscles, ce que l'on reconnaît à leur
contraction
simultanée. Il suffit, dans ce cas, de déplacer
chenne, placé au niveau du grand zygomatique, aurait dû produire la
contraction
isolée de ce muscle, ainsi qu'on l'observera da
la branche temporo-faciale de la septième paire, a pro- voqué la
contraction
en masse des muscles innervés par ce tronc nerv
excitée, et parfois sur quelques muscles éloignés. Dans ce cas, la
contraction
musculaire est fugace et peu ac- cusée, c'est u
trop forte se propage souvent à quelques muscles voisins ; 2° La
contraction
du muscle cesse le.plus souvent en. même temps
orme jamais en contracture. Le muscle peaussier est celui dont la
contraction
se maintient le plus longtemps, tenant en quelq
tenant la pression à un degré égal sur le point qui a provoqué la
contraction
du muscle, on ne tarde pas à voir celle- ci s'e
e contracter à la fois plusieurs muscles, de façon à reproduire les
contractions
com- binées expressives ou les contractions com
façon à reproduire les contractions com- binées expressives ou les
contractions
combinées inex- pressives, pour nous servir des
lection sur lesquels Duchenne appliquait l'électrode pour amener la
contraction
par- tielle de chacun de ces muscles sont indiq
hémas suivants : 1° Frontal Muscle de l'attention. (Fird. 17). Sa
contraction
produit sur les traits de la face les modifi- c
e- dans en dehors. Il affecte la forme d'une ligne si- Fig. 17.
Contraction
du muscle frontal. Muscle de l'attention, de Du
scle frontal. Muscle de l'attention, de Du- clicnne. Fig. 18.
Contraction
du muscle orbiculaire palpébral supérieur. Mu
d'élection, nous a donné les résultats sui- vants : , rrg. 1 s.
Contraction
du muscle sottrcillier. Muscle de la douleur, d
e sottrcillier. Muscle de la douleur, de Du- uhenne. Fig. 20.
Contraction
du pyramidal du izez. Muscle de l'agression, de
de l'agression, de Du- chennc. 192 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. La
contraction
isolée du Frontal est très facile à obte- nir p
roché de la tête du sourcil ou lorsqu'elle est un peu intense, la
contraction
du pyramidal du nez se joint à celle de l'orbic
eur (Fig. 2, PL. X). Nous n'avons pu obtenir complètement isolée la
contraction
du pyramidal du NEZ. En cherchant à l'exciter a
si sai- sissante, nous n'avons pu d'une façon nette en obtenir la
contraction
. Nous devons ajouter que des recherches faites
e, en ce sens que l'expression n'est parfaitement rendue que par la
contraction
simultanée d'un autre muscle, les autres n'expr
ais, pour que l'expression soit complète, il est 13 Fig. 21. L.
Contraction
du muscle grand zygomatique. Muscle du rire,
zygomatique. Muscle du rire, de Duchenne, rire faux. Fig. 22.
Contraction
simultanée du grand zygomatique et du muscle or
) Dans nos expériences 'd'hyperexcitabilité neuro- musculaire, la
contraction
isolée du grand zygomati- que n'est pas sans pr
l'extrémité supérieure du grand zygomatique) en- trent également en
contraction
.' '' Cependant, après quelques tâtonnements et
mmette 'et une légère élévation de la paupière inférieure. ' ' La
contraction
tisolé6'du petit zygomatique peut éga- lement ê
et la Figure de la Planche XII mettent parfaitement en lumière. La
contraction
par- tielle de ce muscle est très facilement ob
lade. Dans la Figure 4 de la Planche XI, la , ' Fig. 3. t, î 1 19
Contraction
du petit' zygomatique.' ' ' Muscle du pleurer,
pleurer, de Duchenne.' - T t d''f<i 1 ) i, t Fig. 4. ! ,r-t 1
Contraction
' du muscle élévateur ,t commun , de l'aile du
sicérieiü·re. ' ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 197
contraction
du muscle suit l'excitation du rameau ner- veux
' Duchenne appelle le muscle' de- la lubricité, fait subir,t,par sa,
contraction
, à la forme 'générale du nez, '.les principales
les deux lèvres'se froncer et l'orbicu- laire tout entier entrer en
contraction
.' L'action est encore bien plus vive1, lorsqu'o
DES LÈVRES est le muscle, de la tris- tesse. Sous l'influence de la
contraction
, les commis- sures des lèvres'sont tirées'en ba
(Fig. 25). ' ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 199 La
contraction
partielle des muscles du menton et de la lèvre
juxtaposés.* ,I, , z ; " , Pour, obtenir, chez nos ma- lades, la
contraction
isolée du triangulaire .des lèvres, il faut por
), on obtient un mouvement complexe de ladèvre résul- tant de la.
contraction
simultanée. du triangulaire et du carré du ment
aire et du carré du menton, qui, en ce point, sont superposés. La
contraction
isolée du carré, du, menton, qui, d'a- près Duc
rieure.. - prieure ? ,), .j , . lf =y «, ? - Suivant Duchenne, la
contraction
partielle du.peaus- n 11 , ..«Il < te ; M ?
n faisant ouvrir les yeux de la malade par un aide, au moment où la
contraction
était obtenue par l'excitation mécanique des po
ce ! nous avons cherché à pro- voquer,- t'exempte de D'ucheiine, la
contraction
simul- tanée de plusieurs muscles, que ces musc
les, que ces muscles concourent à l'expression d'un même sentiment (
contractions
com- binées expressives'de Duchenne)ou bien, au
contraire, qu'ils expriment des sentiments complètement opposés (
contractions
combinées inexpressives du même auteur). Dans l
le masque de la frayeur avec la nuance indiquée par Duchenne. La
contraction
simultanée du triangulaire des lèvres et de l'o
ade- étant rendue cataleptique pendant l'excitation d'un muscle, la
contraction
de ce muscle persiste parfois un certain temps
de méditation mêlée de tristesse ou de dégoût, suivant le degré de
contraction
du triangulaire. ' i Au contraire, la contrac
ant le degré de contraction du triangulaire. ' i Au contraire, la
contraction
du grand zygomatique, associée à l'orbiculaire
chaque côté, de la physionomie un mouvement un peu com- plexe, la
contraction
unilatérale» n'en nconserve pas moins les. cara
Ration. Dans- l'état i d'hyperexcitabilité neuro-muscu- laire, la
contraction
! des muscles qui . sont sous la 20't- le PHYSI
et, que tous les muscles de cette moitié du visage sont entrés en
contraction
? «o u u»/- 't ' " '" . ' . . Cette expérience
be pendait directement sans pou-j voir être portée en avant par, la
contraction
des triceps cruraux; le, malade était obligé de
il eut, comme au début de sa ma- ladie, une attaque convulsive avec
contraction
de tous les membres, surtout à gauche ; perte d
des manifestations en apparence de même, ordre; ainsi, parmi, les.,
contractions
musculaires et les contractures , qui accompagn
des.vertiges, présentent souvent des alternatives très brusqueside
contraction
et de dilatation, deviennent souvent punctiform
il n ·1 vü I fiT . i· · i ? f nrW t v4, i 1 . par instants, leqeres
contractions
fibrulaires et convulsions dans les doiqts et l
uche (en plein ventre' du muscle), on constatait que la période des
contractions
et raideurs tétaniques excessives et prolongées
crétions provo- quées, lé 1`exââerattoît des`fatïguës`ÿ"èomprislles
contractions
'muscula.ires°simulées ? On ne saurait d'ailleu
illusions), par Morandon de Mon- .4 theil, 128 ? ^ 9"ni'j' ? ut ^
Contraction
musculaire paradoxale, npar \lendelssohn, 149,
es) du, cerveau, par Ragosinet 111endelssohn, 42t., i Musculaire (
contraction
) paradoxa- , le, par,, lllendelssohn, .119 ;
.) Fig. 1. Excitation du muscle sterno-mastoidien du côté gauche.
Contraction
du muscle. Fig. 12. - Excitation du nerf facial
2. - Excitation du nerf facial en avant de l'oreille du côté droit.
Contraction
simultanée des muscles de l'mil, du nez et de la
ans le même muscle du côté opposé à l'excitation, un léger degré de
contraction
. Fig. 2. Dans crtte figure, à la contraction de
n, un léger degré de contraction. Fig. 2. Dans crtte figure, à la
contraction
des deux muscles orbicu- laires palpébraux supé
on unilatérale du petit zygomatique. Il s'y joint un léger degré de
contraction
du muscle élévateur de l'aile du nez et de la l
main de l'observateur, appliquée sur l'épaule, ne percevait aucune
contraction
deltoïdienne. La rotation des humérus en dedans
d'une paralysie dettoïdienne. Vous savez tous, je suppose,. que la
contraction
du deltoïde j'entends de la totalité du muscle
st à peine si, dans l'effort, vous apercevez quelques tentatives de
contraction
du côté des deltoïdes. On ne voit, cependant,
de l'omoplate se trouve porté en dehors et en avant, du fait de la
contraction
du grand dentelé. Si ce muscle est paralysé, le b
externe du scapulum qui se trouve entraîné en avant, du fait de la'
contraction
du grand pectoral. C'est précisément ce qui n'a
t, dans une certaine mesure, l'excitant naturel ; ils provoquent la
contraction
et entre- tiennent ainsi le fonctionnement du m
ndirectement sur la nutrition du muscle, en activant, au moyen, des
contractions
provoquées, la circulation intra- musculaire. I
t homme d'essayer de lever ses bras, on ne sent pas sous la main la
contraction
des muscles deltoï- des. La rotation en dedans
es du deltoïde est très affaiblie ; souvent NFC est < PFC et les
contractions
sont lentes. Lors même que NFC reste > PFC,
les contractions sont lentes. Lors même que NFC reste > PFC, les
contractions
sont lentes. II y a donc de la réaction de dégéné
bituellement, elles s'accompagnent d'une sensation douloureuse. Des
contractions
fibrillaires semblables mais moins fortes agite
te crise de vives souffrances se traduisait par des cris et par les
contractions
du visage de la malade. Le plus petit mouvement
impressions parties de la vessie et du rectum sont transformées en
contractions
réflexes de ces mêmes organes.. , Il en était
ssent particulièrement les artistes. La vivisec- tion du muscle, sa
contraction
expérimentale sur les animaux, ou sur l'homme,
s normales de son fonctionnement, le seul qui permette d'étudier la
contraction
musculaire physiologique, dont la connaissance
t ne saurait se distendre en proportion. Ces sillons, indices de la
contraction
musculaire, sont donc, par op- position a ceux
fibres charnues elles-mêmes. Au gonflement caractéristique de la
contraction
musculaire, il faut donc ajou- ter, pour certai
se raccourcit, et plus l'opposition sera grande avec la forme de sa
contraction
et celle de son relâchement. Par exemple, le bi
é dans le repos du muscle, ne présente guère de différence. Dans la
contraction
, il n'en va plus de même. Et pendant que le tiers
dont il est composé. Mais, en outre du simple relâchement et de la
contraction
avec raccourcisse- ment dont nous venons de par
ué quel- quefois de sillons dans le sens des fibres musculaires. La
contraction
peut survenir dans un muscle distendu, et, dans
issée, mais avec une plus ferme accentuation des divers plans. La
contraction
en rapprochant les attaches musculaires l'une de
on ; le raccourcissement se produit, et, avec lui, les formes de la
contraction
sur lesquelles nous avons insisté tout à l'heur
distinguer trois états physiologiques du muscle, le relâchement, la
contraction
et la distension. 1° Sur l'homme vivant, le rel
t aux cloisons de séparation des faisceaux secondaires. 3° Enfin la
contraction
est l'état actif du muscle ; mais le point sur le
ifférence toutefois que le relâchement cesse par le fait même de la
contraction
, tandis que la distension peut persister à ses
e la distension peut persister à ses divers degrés malgré l'état de
contraction
du muscle. C'est là d'ailleurs un fait générale
on du muscle. C'est là d'ailleurs un fait généralement admis, et la
contraction
musculaire est fort mal définie lorsqu'on dit q
n amincis- sement, Sur l'homme vivant, il faut donc distinguer la
contraction
qui s'accompagne de raccourcissement et celle q
ntracté et distendu participe à la fois aux formes spécia- les à la
contraction
et à la distention, c'est-à-dire qu'il se disting
ou relâchement. On verra presque toujours sur un muscle distendu la
contraction
diminuer le relief au lieu de l'exagérer. Pour
d'appréciation qui consiste dans le modelé spécial de la région.
Contraction
musculaire PHYSIOLOGIQUE. D'après ce qui précèd
ient la puissance, pendant que la résistance est représentée par la
contraction
musculaire. Ceci peut avoir lieu pour un même s
ans l'espace et suivant la direction des mouvements. D'autres fois,
contraction
musculaire et pesanteur, au lieu de se contrari
laire est donc nécessaire, mais elle n'est plus à la même place. La
contraction
n'est plus dans les fléchisseurs, elle est dans
isseurs, elle est dans Y extenseur qui précipite le mouvement. La
contraction
musculaire se présente donc ici sous deux aspects
et ne fait plus office que de modérateur. Dans le pre- mier cas, la
contraction
musculaire est uu véritable moteur ; dans le seco
uvement. Il est encore un troisième cas, c'est celui dans lequel la
contraction
muscu- , laire fait juste équilibre il la pesan
bre immobile dans une position donnée. Cette dernière forme de la
contraction
a été appelée contraction statique. La contract
sition donnée. Cette dernière forme de la contraction a été appelée
contraction
statique. La contraction dynamique est celle qu
ière forme de la contraction a été appelée contraction statique. La
contraction
dynamique est celle qui accomplit un travail méca
n poids il une certaine hauteur. On la désigne aussi sous le nom de
contraction
dynamique avec travail positif. J'appellerai co
e nom de contraction dynamique avec travail positif. J'appellerai
contraction
frénatrice celle qui simplement retarde la chute
ment retarde la chute du membre entraîné par la pesanteur. C'est la
contraction
dynamique avec travail négatif des auteurs . '
ue avec travail négatif des auteurs . ' Cette dernière forme delà
contraction
est d'un usage extrêmement fréquent dans la méc
u'il abaisse lentement les membres après les avoir élevés, c'est la
contraction
frénatrice qui intervient. En un mot, elle exis
e, au point de vue morphologique, sous les mêmes, apparences que la
contraction
dynamique. La forme du muscle est la même dans
la photographie, mais parfaitement appréciable à l'oeil. Dans la
contraction
frénatrice, le muscle est le siège de petites pal
ce fondamentale, car les palpitations peuvent se voir aussi dans la
contraction
dynamique. Mais elles sont moins accentuées et pl
s et plus rares. En tout cas, l'opposition entre les deux formes de
contraction
est très nette, car elles existent constamment,
nette, car elles existent constamment, et en grand nombre, dans la
contraction
frénatrice. La différence est frappante, lorsqu
aleur de l'effort musculaire déployé dans ces diverses formes de la
contraction
. Malheureusement la solution du problème est en
as sur le bras, dans chacun desquels le biceps soit dans un état de
contraction
différent. Dans le premier'cas, le membre est i
rent. Dans le premier'cas, le membre est immobile, le biceps est en
contraction
statique. Dans le deuxième cas, l'avant-bras
ue. Dans le deuxième cas, l'avant-bras se fléchit, le biceps est en
contraction
dy- namique avec travail positif. " Dans le t
sitif. " Dans le troisième cas, le membre s'étend, le biceps est en
contraction
dyna- mique avec travail négatif (contraction f
end, le biceps est en contraction dyna- mique avec travail négatif (
contraction
frénatrice). Dans les trois cas, l'effort muscu
je ne puis comparer directement entre elles ces trois formes de la
contraction
du biceps puisque j'ignore la valeur absolue de c
culire l'emporte sur la pesanteur. ' ." ' ,>' , : . ? . Donc :
Contraction
dynamique avec travail positif > P. Dans le
dynamique avec travail positif > P. Dans le troisième cas', la'
contraction
musculaire cède à la pesanteur puis- qu'il y a
nous, par exemple, sur les photographies comparables 'du' bicp.s en
contraction
dyna- mique ou en contraction 'frénatrice,' des
tographies comparables 'du' bicp.s en contraction dyna- mique ou en
contraction
'frénatrice,' des différences morphologiques corr
s confirmer cet a -priori. J'ai dit, en effet, que les formes de la
contraction
frénatrice' étaient semblables à -celles de la
es de la contraction frénatrice' étaient semblables à -celles de la
contraction
dynamique,' et que l'image d'un membre qui s'éten
ve sur certaines de nos photographies, entre les' deux formes de la
contraction
une petite différence non pas dans' la fôrme gé
ons ;què ces différences de valeur entre les diverses. formes de la
contraction
varient 'certainement avec la,vitesse dû-mouvemen
différences ne peuvent que s'accentuer entre les deux formes de la
contraction
dynamique. Nous pouvons donc conclure que les i
au moment de l'extension et qu'il no saurait plus être question de
contraction
frénatrice. Aussi je ne rappelle ce cas que pou
ppelle ce cas que pour montrer le point extrême vers lequel tend la
contraction
fréna- trice du biceps, alors qu'augmente la vi
ments les plus simples de l'économie. La flexion est obtenue par la
contraction
des muscles biceps, brachial anté- rieur et lon
le biceps apparaît manifestement contracté (PI. XVI, Gj.1 et 2). La
contraction
est plus évidente encore, lorsque la main est c
e encore, lorsque la main est chargée d'un poids. Dans ce cas, à la
contraction
du biceps, on voit manifestement s'ajouter celle
. Si une différence existe, c'est clans l'intensité seulement de la
contraction
qui parait plus forte sur le membre qui se fléchi
mouvement, ce sont toujours les muscles fléchisseurs qui entrent en
contraction
. Dans la flexion, ils font office de mo- teurs
rent en contraction. Dans la flexion, ils font office de mo- teurs (
contraction
dynamique) : dans l'extension, ils agissent à la
ynamique) : dans l'extension, ils agissent à la manière d'un frein (
contraction
frénatrice). Il est bien entendu que ceci n'a l
ressemblerait considérablement au membre qui s'étend..Seulement la
contraction
au"lieu d'être au biceps, se trouve il la partie
ens inverse sont appelés antagonistes. Que se passe-t-il pendant la
contraction
d'un groupe musculaire, dans le groupe antagoni
E LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 131 produit est la résultante' des
contractions
qui se produisent simultanément dans les muscle
l un des muscles reste immobile ; le mouvement étant produit par la
contraction
d'un seul muscle, il n'y a besoin d'aucune expl
contractent simultanément, le mouvement n'aura lieu que si les deux
contractions
ne sont point égales. Il se produira alors dans
tions ne sont point égales. Il se produira alors dans le sens de la
contraction
la plus forte et son étendue sera proportionnel
forte et son étendue sera proportionnelle à la difl'érence des deux
contractions
. Dans le troisième cas, contraction d'un côté e
elle à la difl'érence des deux contractions. Dans le troisième cas,
contraction
d'un côté et relâchement de l'autre, le ré- sul
uscle exteuseur, relief qui peut faire croire à un certain degré de
contraction
de ce muscle qui est le muscle antagoniste. Nou
iste contracté. 132 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Cette
contraction
de l'antagoniste toute faible qu'elle soit paraît
te très facile il répéter, montre de la ma- la la plus évidente, la
contraction
simultanée des muscles antagonistes. Nous prion
le muscle actif dans l'extension est encore le fléchisseur dont la
contraction
n'a plus besoin de la modération de son antagon
on de son antagoniste. On peut constater également que lorsque la
contraction
du biceps augmente d'intensité, la contraction
ement que lorsque la contraction du biceps augmente d'intensité, la
contraction
du triceps augmente également. Sur un membre qui
dans le même mouvement de flexion Ù vide, ce qui indique un état de
contraction
plus marqué dans le premier cas que dans le secon
l est étendu; le biceps se contracte alors fort énergiquement et sa
contraction
persiste encore au moment où le membre passe à
pour ainsi dire lancé dans les deux directions différentes, par la
contraction
; momentanée et alternative des deux muscles ant
'd'un poids ou à vide, la forma du deltoïde ne change guère, et la
contraction
n'existe toujours que dans les deux tiers antér
le tiers postérieur du deltoide qu'on voit alors se contracter. La
contraction
est plus forte, cela va sans dire, dans l'abaisse
e ,ne fait, que retenir ]eoids entraîné par la pesanteur,- c'est la
contraction
frénatriccaliminuée encore par les frottements
les formes.' suivant que le membre monte ou descend. S'il monte, la
contraction
est aux deux- tiers anté- rieurs du deltoïde, s
rons s'il se meut lentement ou rapidement. Dans le premier) cas, la
contraction
de la partie moyenne et antérieure du deltoïde se
t la fin de sa course. C'est encore la un exemple de cette sorte de
contraction
balistique qui lance le membre dans une directi
e est produite par l'extenseur triceps fémoral, qui entre encore en
contraction
dans le mouvement de la jambe en sens inverse,
même manoeuvre pratiquée sur la racine sus- jacente provoqua des
contractions
des muscles intrinsèques de la main, flé- chi
s consécutives à l'ancienne section du nerf cubital : toutefois les
contractions
musculaires, un peu Iremblées, se fai- saient p
s de paralysie consisterait, d'après Schultze, dans ce fait que les
contractions
fibrillaires appartiennent surtout aux lésions sp
dans le cadre des déformations professionnelles occasionnées par la
contraction
exagérée et exclusive de certains groupes muscu
e porte ces mots : T HVIS VA NELS : la maison de Nels (probablement
contraction
du nom de Nelis). (1) Sur un autre tableau de J
cles contracturés, mouvoir et même étendre un peu les doigts. Cette
contraction
involontaire augmente, elle est douloureuse et
dorsale se cambre vigoureusement, le talon est tiré en haut par la
contraction
des muscles de la partie postérieure de la jambe;
ux de comparer le visage de cet homme, défiguré par les cris et les
contractions
douloureuses; celui de la Possédée deRubens du mu
n'en souffre pas moins et sa mimique est des plus expressive : les.
contractions
de son visage, la grimace de sa bouche et de ses
la pointe des pieds, on détermine dans le triceps crural une petite
contraction
, particulièrement à droite. Le volume des muscl
même des soubresauts musculaires qu'on aurait pu pren- dre pour des
contractions
fibrillaires et du tremblement dont la varia- b
ité avec laquelle la vessie se laissa distendre sans réagir par une
contraction
spas- modique nous fait penser que l'incontinen
contractés. Ils offrent les formes spéciales caractéristiques de la
contraction
musculaire (2) et la contraction est per- sista
s spéciales caractéristiques de la contraction musculaire (2) et la
contraction
est per- sistante. Nulle part n' apparaît le re
coude nous ne voyons ai l'étal normal le long supinateur entrer en
contraction
. La corde qu'il forme ici, acquiert presque l'i
. Les formes du genou sont simples comme celles qui résultent de la
contraction
du quadriceps. Sur le dos du pied se dessinent
ons des orteils qui sont recro- quevillés sur le sol. Cet état de
contraction
persistante, ou pour mieux dire de contracture
ace parcourue par de fines ondulations qui sont évidemment dues aux
contractions
isolées et successives des fibril- les musculai
tions isolées et successives des fibril- les musculaires. · - Ces
contractions
fibrillaires sont indépendantes du tremblement do
s un mouvement énergique de flexion de l'avant-bras sur le bras, la
contraction
des muscles de la région antérieure du bras et
rte que les muscles du pied et de la jambe ne soient pas en état de
contraction
, et pour obtenir ce résultat il est bon de ne p
ine la percussion d'un tendon, d'un os, et qui se manifeste par une
contraction
musculaire involontaire, brusque, de courte durée
musculaire ; or, celle-ci est parfois la seule manifestation d'une
contraction
réflexe faible, insuffisante pour provoquer un
rler afin de détourner son attention, ou encore faire accomplir une
contraction
musculaire énergique dans une partie du corps dif
ercute le radius à son extrémité inférieure et on provoque ainsi la
contraction
de tous les muscles qui flé- chissent l'avant-b
généralement moins pro- noncé, peut-être parce que, d'habitude, la
contraction
se limite au seul muscle biceps. On provoque en
Voyons les différences qui existent entre eux. a) Le seuil de la
contraction
est atteint chez le sujet dont les réflexes son
er la percussion de l'extrémité inférieure du radius ne provoque de
contraction
apparente que dans les muscles fléchisseurs de
ividu (aux réflexes forts), outre la réaction des fléchisseurs, des
contractions
dans d'autres muscles plus ou moins éloignés, d
u choc, un mouvement voli- tionnel susceptible d'être pris pour une
contraction
tendino-réflexe. En pareil cas, on est exposé à
et il varie d'une expérience à l'autre ; de plus, l'intensité de la
contraction
musculaire subit aussi de notables variations d
écrâne sur le tendon, s'égare et atteint le muscle, on provoque une
contraction
idio- musculaire qui peut en imposer pour un mo
doit savoir éviter : j'ai déjà indiqué les moyens de discerner les
contractions
produites par un acte de la volonté de celles q
ndon détermine dans le groupe musculaire correspondant une série de
contractions
réflexes ryth- mées. Ce caractère, dont l'abs
ndition suivante : le clonus doit être obtenu en l'absence de toute
contraction
volontaire des muscles de la jambe ; alors seul
emarquer que le phéno- mène ne se manifeste pas toujours dès que la
contraction
volontaire se produit ; il faut que celle-ci s'
plusieurs minutes consécutives, les muscles au degré nécessaire de
contraction
, et par conséquent la trépidation ne présentera
e constance que dans l'épilepsie spinale parfaite. J'ajoute que les
contractions
volontaires gênent plutôt qu'elles ne facilitent
ation provoque une extension des quatre derniers orteils, due à une
contraction
idio-musculaire du pédieux. Voici comment il es
le du pied masquent, s'ils ont une puissance suffisante, ceux de la
contraction
idio-musculaire. 64 SEMIOLOGIE ' ' Toutes ces
rd à la suite du choc, et se soulève ensuite sous l'influence de la
contraction
réflexe du masséter. Contrairement à ce qu'on o
S'il est violent, il produit une excitation osseuse déterminant une
contraction
des fléchisseurs de l'avant-bras qui l'emporte
eu généralement à une flexion des orteils sur le métatarse et à une
contraction
du tenseur du fascia lata sur laquelle Brissaud
core un réflexe cutanéo-muqueux, le réflexe anal, consistant en une
contraction
du sphincter produite par une excitation de la ma
l faut envisager séparément, d'une part les réflexes abdominaux, la
contraction
réflexe du fascia lata, le mouvement réflexe de f
guer : l'am- plitude des mouvements est plus grande, la durée de la
contraction
plus longue, et la zone réflexogène plus étendu
parfois portée à son degré le plus élevé ('). Dans certains cas la
contraction
musculaire se maintient 10, 15 secondes, davant
6) Paraplégie spasmodique organique avec contracture en flexion et
contractions
musculaires invo- lontaires, par J. Babinski (S
e ; elle est sujette à des variations fréquentes qui résul- tent de
contractions
involontaires des muscles des membres inférieurs
contractions involontaires des muscles des membres inférieurs ; ces
contractions
sont habituellement lentes ; elles donnent lieu à
e la paraplégie spastique d'Erb ; elle est entrecoupée en partie de
contractions
involontaires lentes constituant de véritables
re, 1911, n° 5). d) Lion et J. Rolland. Paraplégie spasmodique avec
contraction
en flexion (type cutanéo- réflexe de Babinski)
le ce que j'ai dit, que la contracture hystérique en réalité simple
contraction
volontaire s'accompagne volontiers, quand elle
igine spasmodique de la commissure opposée, soit qu'il est dû à une
contraction
des fibres musculaires qui abaissent la lèvre et
ce que, dans certains actes où le muscle peaucier entre en jeu, la
contraction
de ce muscle est plus énergique du côté sain que
nai. 7 Fig. 3. Hémiplégie gauche organique un an après son début.
Contraction
du peaucier du cou à droite. 98 SÉMIOLOGIE po
lement contre le sol. L'extension du tronc doit être modérée par la
contraction
des flé- chisseurs qui ne se relâchent que prog
es flé- chisseurs qui ne se relâchent que progressivement, et cette
contraction
des fléchisseurs, pour être efficace, nécessite
et la réaction est d'une durée excessive, soit parce que le mode de
contraction
des muscles ou la nature du mouvement ne présente
t je suppose que le mouvement réflexe est simplement masqué par une
contraction
volontaire des muscles de la paroi abdominale.
e hystérique puisse être reproduit d'une manière rigoureuse par une
contraction
musculaire volontaire. Il est encore facile d
ai donnée est juste, est dû à ce que dans les actes en question la
contraction
du peaucier est faible ou nulle du côté paralys
s'agirait probablement d'une simulation de ce signe résultant d'une
contraction
volontaire unilatérale du peaucier, associée au
ture a un aspect particulier et ne peut être repro- duite par une
contraction
volontaire des muscles. go L'évolution est ré
éfaut. 8° La forme de la contracture peut être reproduite par une
contraction
volontaire des muscles. go L'évolution est ca
u, comme cela résulte des recherches faites par mon élève Barré. La
contraction
des muscles de la paroi abdominale provoque un
intestinaux et les muscles vésicaux, peuvent égale- ment entrer en
contraction
en même temps que les muscles des membres ; les
rtout aux mouvements des membres ; il est certain cependant que les
contractions
des muscles du tronc que nous avons envisagées
une certaine lenteur son attitude primitive ; dans certains cas, la
contraction
musculaire dure 10, 15 secondes, davantage même,
ue soit le sens du mouvement, flexion ou extension, on constate des
contractions
dans les muscles de groupes opposés, et l'on pe
ouvement des orteils sur lequel je reviendrai ultérieurement, d'une
contraction
du fascia lata que Brissaud a très bien décrite e
qu'on observe à l'état pathologique. Mais chez le sujet normal, la
contraction
est rapide, de courte durée, tandis que chez les
lexes par les caractères du mouvement, ainsi que par ce fait que la
contraction
spéciale du tenseur du fascia lata signalée plus
ier lorsque ce caractère s'associe au précédent, à la lenteur de la
contraction
et surtout de la décontraction. Au risque de déco
ant un mode semblable ; je viens de dire que dans la triple flexion
contraction
et surtout la décontraction sont lentes ; or, d
ans les cas où il y a une lésion de la voie pyramidale, produit une
contraction
des muscles extenseur propre du gros orteil, ja
décris « la para- plégie spasmodique avec contracture en flexion et
contractions
muscu- laires involontaires » et je fais ressor
a paraplégie organique spasmo- dique avec contracture en flexion et
contractions
musculaires involontaires, et il mérite pour pl
: «Le point où le chatouillement de la peau cesse de provoquer des
contractions
réflexes indique le niveau où existe la compres
lexion du côté opposé; on peut bien observer parfois de ce côté une
contraction
du quadriceps et des muscles du mollet, mais sans
ace antérieure de la cuisse détermine l'extension de la jambe et la
contraction
tonique du quadriceps ; quelquefois, le mou- ve
u, comme cela résulte des recherches faites par mon élève Barré. La
contraction
des muscles de la paroi abdominale provoque un
intestinaux et les muscles vésicaux, peuvent égale- ment entrer en
contraction
en même temps que les muscles des membres; les
eil, la triple flexion du pied, de la jambe et de la cuisse, et une
contraction
du tenseur du fascia lata. Le lendemain de l'op
; elle est sujette à des variations fréquentes qui résul- tent des
contractions
involontaires des muscles des membres inférieurs;
contractions involontaires des muscles des membres inférieurs; ces
contractions
sont habituellement lentes; elles donnent lieu à
e la paraplégie spastique d'Erb ; elle est entrecoupée en partie de
contractions
involontaires lentes constituant de véritables
l'activité des extenseurs du côté opposé, ne donnent lieu qu'à des
contractions
légères sans déplacement des divers segments du
'autre, en effet, on observe le phénomène de la triple flexion avec
contraction
du tenseur du fascia lata ; mais ce qu'il y a d
réflexes de défense ('), que les divers groupes musculaires dont la
contraction
provoque un mouvement conjugué ont dans la moel
in. Cette double flexion pourrait, il est vrai, être attribuée à la
contraction
du couturier, qui est à la fois fléchisseur de
r que la flexion de la jambe ne puisse se produire malgré une forte
contraction
des muscles fléchisseurs, il faut qu'elle soit en
nt fait défaut, comme cela a lieu quand ces muscles sont en état de
contraction
ou de contracture, ou lorsqu'il y a des rétract
fense se traduisent par des mouvements relativement lents et que la
contraction
musculaire persiste généralement quelque temps
e constatais cette fois que l'excitation lumineuse provo- quait une
contraction
pupillaire faible, mais nette. Ces deux examens
temps perdu entre l'incitation volitionnelle et l'apparition de la
contraction
). L'adiadococinésie serait la conséquence d'une p
mouvements ocu- laires est sensiblement plus grande. De plus, à ces
contractions
muscu- laires toniques s'associe du côté du pôl
des et un courant de 13 milliampères P. F. C. N. > F. C., que la
contraction
est lente, paresseuse et que la forme du mouvemen
n des troncs des nerfs médian, cubital et radial ne provoque aucune
contraction
. Muscles de l'avant-bras. - Pas de différence b
itabilité faradique directe des muscles de la face donne lieu à une
contraction
mais celte dernière est bien moins forte qu'à l'é
lte dernière est bien moins forte qu'à l'état de vie, et de plus la
contraction
est lente, paresseuse. L'électrode différente est
le pôle négatif donne lieu du côté électrisé, à la fermeture à une
contraction
de la partie inférieure du muscle orbiculaire d
s, tandis que les lèvres restent immobiles et, à l'ouverture, à une
contraction
analogue mais plus faible ; avec 26 volts et 20 m
pôle positif fait apparaître du côté électrisé, à la fermeture, une
contraction
de la paupière inférieure, comme précédemment,
scle deltoïde droit. Abolition de la contractilite faradique et de la
contraction
voltaïque. 220 , ' SÉMIOLOGIE Muscles de la
' SÉMIOLOGIE Muscles de la région postérieure de lavant-bras droil.
Contraction
faradique très faible. Pas de différence entre.
et N. F. C. Muscles de la région antérieure de l'avant-bras droit.
Contraction
faradique très faible. Avec 41 volts et 29 mill
u bras. Avec 36 volts et 54 milliampères, N. F. provoque une légère
contraction
à quelques centimètres au-dessus du tampon et r
n ; avec 33 volts et 54 rnilltiampères, P. F ne donne lieu à aucune
contraction
au-dessus du tampon, mais en fait apparaître un
t observe ce fait, qui frappe d'ailleurs le sujet lui-même, que les
contractions
obtenues avec les courants faradiques, d'égale in
d'exploration. Il a montré qu'il était nécessaire, pour obtenir une
contraction
visible du côté sain, de pousser la bobine à fil
nd on avait dépassé le seuil de l'excitation, à intensité égale, la
contraction
consécutive de l'excitation du nerf ou des muscle
n, il était t nécessaire d'employer 3 milliampères pour obtenir une
contraction
en excitant le tronc du facial, et de 3 milliam
milliampère et demi et les autres muscles avec 2 milli- ampères. La
contraction
pour tous les muscles était brève et en éclair ;
s'est notablement atténuée. Du côté sain il faut, pour obtenir une
contraction
en excitant le tronc du facial, utiliser T divi
c du facial et sur la branche moyenne au niveau de l'os malaire. La
contraction
musculaire est pour tous les muscles brève, en éc
culaire est pour tous les muscles brève, en éclair; il n'y a pas de
contraction
lente. . Il me parait incontestable que les t
n des membres malades dans de l'eau chaude ou après diathermie : la
contraction
, de lente et prolongée, devient rapide et peu s
la batterie i, et nous notons l'intensité nécessaire pour obtenir des
contractions
musculaires. Dans une deuxième expérience, no
ons que, à la fermeture du courant de la batterie 2, nous avons une
contraction
sensible- ment plus forte si le circuit de la b
du groupe antéro-externe présentent l'inexcitabilité faradique, la
contraction
lente, l'inversion, la réaction longitudinale.
t au faradique; par contre, il est toujours impossible d'obtenir de
contraction
musculaire par. l'excitation du nerf sciatique
ceux qu'on emploie dans la pratique courante, on puisse obtenir la
contraction
des muscles présen- tant cette réaction, sans a
et galvanique ; 2° Pour le muscle : excitabilité faradique latente,
contraction
lente au courant galvanique. La distinction d
issances il est classique de produire dans un but thérapeutique des
contractions
musculaires à l'aide du galvanique toutes les f
les courants galvaniques, suivant la méthode habituelle, de bonnes
contractions
musculaires : on les provoque bien plus aisémen
e du côté gauche des plis de la peau, qui sont la conséquence de la
contraction
du trapèze gauche et en avant la saillie du stern
sterno- mastoïdien gauche. On a noté aussi parfois quelques légères
contractions
des muscles de la face du côté gauche. De plus,
and les mouvements sont très violents, on voit aussi apparaître des
contractions
spasmodiques dans le triceps fémoral gauche. Ces
il est vrai, n'est pas identique à celui qui serait obtenu par une
contraction
exclusive de ces deux muscles et comparable à c
constamment en rotation à gauche, et à tout instant on observe des
contractions
spasmodiques de certains muscles du cou, principa
nuque le sont également. Cette attitude n'est pas permanente : les
contractions
musculaires diminuent ou augmentent sous des in
us l'influence d'émotion ou de surmenage, il s'est produit quelques
contractions
involontaires dans les muscles du cou ; mais ces
fondément troublée : les courants faradiques ne provoquaient aucune
contraction
des sterno-mastoïdiens ; avec les courants volt
'on lui dit, il fait manifestement un effort qui se traduit par une
contraction
des muscles de la face, des peauciers, des musc
vement réflexe. L'excitation de la fosse nasale gauche provoque une
contraction
réflexe des muscles de la face du côté correspo
lexe du tendon rotulien droit est normal ; à gauche, en outre de la
contraction
du triceps crural de ce côté, la percussion du te
rural de ce côté, la percussion du tendon rotulien donne lieu à une
contraction
des adducteurs de la cuisse droite. Les réflexes
la face, le moindre choc avec un marteau à percussion provoque une
contraction
analogue à celle qui résulterait d'une excitation
sion des muscles de la jambe donne lieu, en même temps qu'à une
contraction
de ces muscles, à des secousses dans les musc
ntensité de la contracture permanente des membres, et surtout de la
contraction
avec flexion, est, en général, plus prononcée dan
PARAPLÉGIE SPASMODIQUE ORGANIQUE AVEC CONTRACTURE EN FLEXION ET
CONTRACTIONS
MUSCULAIRES INVOLONTAIRES [J. BABINSKI.] Publ
st qu'elle est sujette à des variations fréquentes qui résultent de
contractions
intermit- tentes, involontaires, souvent doulou
s, involontaires, souvent douloureuses, des membres inférieurs. Ces
contractions
donnent lieu à des mouvements alternatifs de flex
progressivement et tend à . devenir permanente. Si j'ajoute que ces
contractions
sont lentes, on reconnaîtra qu'elles diffèrent
observation déjà citée deux fois, où la contracture en flexion avec
contractions
involontaires avait atteint le summum d'intensi
réflexes tendineux soient exagérés, la contracture en flexion, avec
contractions
involontaires prédominant dans les fléchis- seu
férieur correspondant, avec exagé- ration des réflexes de défense ;
contractions
toniques rythmées de la moi- tié sous-ombilical
e l'abdomen. Durant la crise, il existe un synchronisme parfait des
contractions
des muscles lisses de 34o .UMPLHCS AFFECTIONS D
calme de 12 heures. 2" Chaque crise elle-même est discontinue, les
contractions
toniques des muscles lisses et striés, la sudat
a paroi abdominale présentait son maximum de pâleur par suite de la
contraction
tonique vasomotrice. C'est d'ailleurs là une noti
se du tabes. L'excitation lumineuse de l'oeil gauche ne provoque de
contraction
pupillaire ni à gauche, ni à droite ; au contrair
re en éclairant l'oeil droit on obtient, comme à l'état normal, une
contraction
bilatérale des pupilles. Sous l'influence de la
est inférieure à 1/10. L'éclairage de l'oeil gauche donne lieu à une
contraction
bila- térale des pupilles; mais cette excitabil
ion lumineuse de l'oeil atteint provoque, comme à l'état normal, la
contraction
de la pupille de l'autre oeil et la pupille insen
exes abdominaux manquent, mais leur recherche détermine souvent une
contraction
du quadriceps fémoral du côté correspondant. Le
plus de 6 ou 7 centimètres de la ligne médiane, on n'obtient aucune
contraction
; mais cette contraction existe très nettement
s de la ligne médiane, on n'obtient aucune contraction ; mais cette
contraction
existe très nettement si l'on excite une région p
jet : Paraplégie spasmodique organique avec contracture en flexion et
contractions
musculaires involontaires, par J. Babinski (Soc
« Le point où le chatouillement de la « peau cesse de provoquer des
contractions
réflexes indique le niveau où existe la compressi
urina seule et sans difficulté. Les mouvements involontaires et les
contractions
brusques qui survenaient souvent dans les membr
faire défaut ; la percussion de l'omoplate ne paraît pas provoquer de
contraction
du deltoïde mais elle est suivie d'une réaction
ppléance que réalise le long exten- seur et qui parait impliquer la
contraction
synergique du long fléchisseur. (1) Les signes
ue rarement au repos complet. A tout instant on voit apparaître des
contractions
musculaires qui, d'abord limitées soit au mento
s nous occuper, pour commencer, des troubles concomitants. a) Les
contractions
consistent en des secousses brusques, de très cou
at spasmodique qui persiste plusieurs secondes ; c'est comme si ces
contractions
étaient dues à l'excitation électrique du nerf
it ni retarder leur apparition ni les abréger d'une seconde. c) Ces
contractions
sont rigoureusement unilatérales. d) Elles sont
esquels les mouvements convulsifs restent parfois cantonnés. e) Ces
contractions
sont déformantes. Pour bien faire comprendre ma p
l'espèce, j'attribue à ce mot ; il est évident, en effet, que toute
contraction
musculaire modifie dans une certaine mesure la fo
i l'on veut, la déforme ; mais les déformations pro- duites par des
contractions
volontaires sont normales, ce sont des changement
fossette irrégulière qui apparaît au menton du côté malade. f) Ces
contractions
s'associent les unes aux autres d'une manière con
llaire, leur brusquerie, la ressemblance qu'ils présentent avec les
contractions
provoquées par l'excitation électrique du nerf fa
ore été décrits. Ce sont d'abord les déformations produites par les
contractions
, en particulier l'incurvation du nez et la fos-
, tandis que dans l'hémispasme cette déformation est obtenue par la
contraction
unilaté- rale des muscles faciaux. C'est ensuit
saud avait déjà dit ceci : « Et l'on voit aussi des associations de
contractions
musculaires qui correspondent très exactement a
le plus grand nombre des malades a un point de départ oculaire. La
contraction
débute par l'orbiculaire des paupières, IIH'dII
té lui paraissait impuissante à reproduire la griffe cubitale ou la
contraction
des muscles de la face, surtout si le sujet en ex
ple, devrait développer dans le côté cor- respondant de la face une
contraction
semblable à celle qui résulte de l'électrisatio
ce, identi- que à celle que tout individu peut faire au moyen d'une
contraction
volontaire de ses muscles. Quant aux prétendus
t leurs preuves, il s'agissait d'états rappelant en tous points des
contractions
volontaires. Cherchait-on à les vaincre, on notai
aso-motricité. Aucun signe clinique ne permet de les distinguer des
contractions
voulues. Leur localisation est bien en rapport gr
particulier les orteils ne se raidissent pas sous l'influence d'une
contraction
volontaire des muscles. Or, chez les deux premier
écanique a surtout de la valeur lors- qu'elle est unilatérale. La
contraction
, ainsi obtenue, doit être distinguée d'un mouveme
cusée, la surexcita- bilité mécanique se manifeste par une sorte de
contraction
vermiculaire sans déplacement du segment corres
n légère du gastrocnémien qui, à l'état normal, ne détermine pas de
contraction
nette, provoque un mouvement d'extension de la
mersion du membre malade dans l'eau chaude, ou après diathermie, la
contraction
musculaire déterminée par la percussion change de
musculaires qui répondent alors aux excitations mécaniques par des
contractions
étendues mais très brèves. Certains auteurs ont
e et thermique et lorsque la tempé- rature extérieure est basse, la
contraction
est souvent, chez les sujets dont nous nous occ
ôté sain, toute excitation mécanique, fut-elle légère, provoque une
contraction
du muscle, non seulement lente et prolongée, ma
citabilité du muscle suivant la remarque de Carvallo et Weiss : les
contractions
peuvent devenir six fois plus hautes que normalem
fatigue se retrouve cette « phase préliminaire pendant laquelle les
contractions
augmentent en étendue et en durée ». Puis, elles
ble à celle de certains asynergiques. Il se produit encore quelques
contractions
spasmodiques et douloureuses dans les cuisses pen
s de radiothérapie. Son état continue à s'améliorer rapidement : la
contraction
cède pro- gressivement dans les diverses partie
177. Paraplégie spasmodique organique avec contracture en flexion et
contractions
musculaires involontaires (Société de Neurologi
IV. Paraplégie spasmodique organique avec contracture en flexion et
contractions
musculaires involontaires 332 V. Hémisyndrome
lu- sieurs fois sans résultat. Elle se plaint en outre de raideurs,
contractions
, constrictions, soubresauts, de pressions dans
ion que par le changement des formes extérieures qu'en- traine leur
contraction
. L'inscription directe des mouvements musculaires
es changements de forme du corps dans leurs rapports avec l'état de
contraction
ou de relâchement des muscles. Les muscles des
une façon exacte le moment précis où les muscles spinaux entrent en
contraction
dans le pas ; 2° d'indiquer le changement d'aspec
Je nomme le premier « effort d'élévatiort.»,parceqn'il est dû à la
contraction
des muscles sacro-spinaux qui font effort pour
et décrit le phénomène qui fait l'objet de cette note, savoir : la
contraction
énergique et très évidente de la masse sacro-lo
série. 52 LAMY P. Richer, à ce sujet, dit, après avoir décrit les
contractions
musculai- res des membres inférieurs : « D'autr
reste du corps. Je signalerai seulement les spinaux qui entrent en
contraction
dit côté de la jambe oscillante, et le deltoïde..
raction dit côté de la jambe oscillante, et le deltoïde..... (1). »
Contraction
des muscles sacro-lombaires pendant le pas. - C
du côté du membre oscillant. A quel moment précis se produit cette
contraction
? Combien de temps dure-t-elle ? Quand cesse-t-el
nt précis où le talon frappe lesol,la masse sacro-lombaire entre en
contraction
du côté opposé ; c'est donc au début du double ap
poids du corps se porte d'un pied sur l'autre, que se produit cette
contraction
du côté qui, déportant, va devenir oscillant. Il
ction du côté qui, déportant, va devenir oscillant. Il s'agit d'une
contraction
soudaine et violente, qui fait saillir à ce momen
les vêtements. En faisant cette exploration à nu, on peut sentir la
contraction
musculaire au niveau des gouttières vertébrales,
re du rachis, avec une intensité décroissante, cela va de soi. La
contraction
des spinaux se maintient tout le temps de l'oscil
e sous le nom d'effort d'élévation, parce qu'il supposait que cette
contraction
avait pour effet d'élever le bassin du même côt
bassin du même côté. Nous avons vu que Gerdy parlait d'une nouvelle
contraction
se produi- sant dans les mêmes muscles du côté
ent, ni l'inspection du nu sur les sujets maigres n'y révè- lent de
contraction
. Quant à la méthode graphique, appliquée ici par
appréciable ; mais il s'agit alors d'une démarche particulière. La
contraction
du côté portant est relativement faible, apprécia
fait dans le choix d'un sujet d'expérience. En ce qui concerne la
contraction
croisée de la masse sacro-lombaire par rapport
la région lombaire, où il m'a semblé qu'elle était suppléée par la
contraction
des muscles grands droits de l'abdomen. Configu
illation, à l'instant qu'on appelle « moment de la verticale » : la
contraction
de la masse complétées sur la marche, à la lin
CHE (H Lamy.) A. Moment de la verticale (jambe droite oscillante)
Contraction
des muscles spinaux du côté droit. B. Pas ant
llante) à l'instant qui précède immédiatement le dou- ble appui. La
contraction
des spinaux siège toujours à droite ; le talon dr
r gauche. C. 'Début du pas postérieur (jambe gauche oscillante). Li
contraction
des spinaux a passé au côté gauche. Remarquer
le changement d'aspect que nous constations tout à l'heure dans la
contraction
bilatérale de la masse sacro-lombaire (rig. 2)
intient jusqu'à la chute du talon sur le sol. A ce moment exact, la
contraction
passe au coté opposé, et l'aspect du quadrila-
nant quelle est l'utili- té, dans l'économie de la marche, de cette
contraction
répétée à chaque pas, de la masse sacro-lombair
linée en avant, ascension d'un plan incliné). Il s'agit alors d'une
contraction
(1) Giraud-Teulon, Traité de mécanique animale.
ersaires épineux) que tesacro-tombaire et le long dosai. Quant à la
contraction
de la masse sacro-lombaire croisée par rapport
xtension de la colonne vertébrale ? Cela n'est point vraisem- Celte
contraction
unilatérale n'aurait qu'un effet très peu marqué
légèrement en avant. Ce serait donc seule- ment à ce moment qu'une
contraction
frénatrice des extenseurs serait utile en tout
n, et ceci me parait péremptoire pour démontrer que le phénomène de
contraction
musculaire que j'étudie ici ne se rapporte ni aux
uve- ments du bassin, ni à l'extension de la colonne vertébrale, la
contraction
unilatérale de la masse sacro-lombaire dans la
- livement d'un pied sur l'autre. Dans ces conditions, on voit la
contraction
de la masse sacro-lombaire passer d'un côté à l
e. Le poids du corps porte sur le membre infé- rieur droit,
contraction
des spinaux à gauche, ROLE DES MUSCLES SPIN
êcher la llpxion passive du côté opposé : c'est aussi une véritable
contraction
« frénatrice ». Ainsi en est-il dans la marche.
a de remarquable ici, c'est l'apparition brusque et soudaine de sa
contraction
d'un côté, à l'instant précis où le poids du co
xique très incoordonné. En terminant cette étude, je signalerai les
contractions
des muscles de la nuque pendant la marche. On p
multiplicité des muscles de la région. Mais il semble bien que les
contractions
musculaires aient pour effet de relever la tôle
ue pas dans la marche normale sur un plan horizon- tal ; 2° Cette
contraction
est unilatérale et se produit du côté du membre
is où le talon du membre portant vient rencontrer le sol. C'est une
contraction
soudaine, brusque, se produisant à la façon d'u
sol. Elle dure tout le temps de l'oscillation de la jambe. 4° Cette
contraction
, dans la marche, est liée, non à la progression,
tre de gravité du corps en dehors du pied portant sur le sol. 6° La
contraction
unilatérale de la masse sacro-lombaire s'accuse p
rs la gauche, la langue reste sur la ligne médiane. Il n'y a pas de
contractions
fibrillaires, les muscles du pharynx se contrac-
extenseurs, nous faisons suivre une action des fléchisseurs ; à une
contraction
des extenseurs plus ou moins prolongée suit un
isation des mouvements de l'écriture, l'alterna- tive graduelle des
contractions
des groupes antagonistes et par le rythme plus
liose croisée, quand le malade est guéri, doit être rapportée à une
contraction
permanente des muscles sains, compara- ble, à b
ctionnels... ' « Tandis que la scoliose croisée est produite par la
contraction
des mus- cles du côté sain, la scoliose homolog
fs ne sont nullement intéressés, peuvent pren- dre des habitudes de
contraction
destinées à réaliser des attitudes de défense.
des différents muscles, on voit qu'aucun n'est paralysé ; mais leur
contraction
, très lente et très faible, n'aboutit que très
n ressent au début une résistance, d'ailleurs très minime, due à la
contraction
du biceps, mais celle-ci ne dure (1) Voir une i
puis 15. L'épuisement semble donc très rapide. Cette faiblesse de
contraction
musculaire, absolument généralisée, donne lieu
; le réflexe abdominal un peu lent. Les pupilles sont égales ; leur
contraction
à la lumière est très rapide. Les réactions éle
acement des fragments à la suite de l'excitation de ces muscles. La
contraction
des muscles est normale, il n'y a pas d'atrophie
les lettres sont bien prononcées. La parole est accompagnée de la
contraction
des muscles de la mimique, en particulier des m
peaucier avec déviation de )a commissure ; occlusion de l'oeil avec
contraction
du contât se traduisant par des plis cutanés HÉ
ue rarement au repos complet. A tout instant on voit apparaître des
contractions
mus- culaires qui, d'abord limitées soit au men
s nous occuper, pour commencer, des troubles concomitants. a) Les
contractions
consistent en des secousses brusques, de très cou
it ni retarder leur apparition ni les abréger d'une seconde. c) Ces
contractions
sont rigoureusement unilatérales. d) Elles sont
els les mouvements convulsifs restent par- fois cantonnés. e) Ces
contractions
sont déformantes. Pour bien faire comprendre ma
l'espèce, j'attribue à ce mot ; il est évident, en effet, que toute
contraction
musculaire modifie dans une certaine mesure la
si l'on veut, la déforme ; mais les déformations produites par des
contractions
volon- taires sont normales, ce sont des change
ère qui apparaît au menton du côté malade (Pl. XLVIII, C). f) Ces
contractions
s'associent les unes aux autres d'une manière con
aire, leur brusquerie, la ressemblance qu'ils pré- sentent avec les
contractions
provoquées par l'excitation électrique] du IIÉn
ore été décrits. Ce sont d'abord les déformations produites par les
contractions
, en particulier l'incurvation du nez et la foss
, tandis que dans l'hémispasme cette déformation est obtenue par la
contraction
unilatérale des muscles faciaux. C'est en- suit
saud avait déjà dit ceci : « Et l'on voit aussi des associations de
contractions
musculaires qui correspondent très exactement a
le plus grand nombre des malades a un point de départ oculaire. La
contraction
débute par l'orbiculaire des paupières, phénomè
- de grandes analogies avec l'hémispasme primitif. NOTE SUR LES
CONTRACTIONS
« SYNERGIQUES PARADOXALES » OBSERVÉES A LA SUIT
fois deux ordres de phénomènes, qui vont de pair généralement : des
contractions
spasmodiques involontaires incessantes dans la
modiques involontaires incessantes dans la moitié de la face et des
contractions
involontaires de certains muscles faciaux, qui se
es de certains muscles faciaux, qui se pro- duisent au moment de la
contraction
volontaire d'autres muscles de la face. Si j'en
s muscles de la face. Si j'en crois mon expérience personnelle, ces
contractions
ne sont point différentes de celles qui s'obser
on peut, à la suite de la paralysie faciale, observer isolément ces
contractions
associées pour lesquelles M.Babinski a proposé
s associées pour lesquelles M.Babinski a proposé la dénomination de
contractions
« 'synergiques pa- radoxales ». C'est ce qui
443. NOUVELLE Iconographie de la SALPÊTRIÈRE T. XVIII. PI. XLIX
CONTRACTIONS
SYNERGIQUES PARADOXALES A LA SUITE DE LA PARALY
C. - Même phénomène pendant l'occlusion des deux veux. NOTE SUR LES
CONTRACTIONS
« SYNERGIQUES PARADOXALES » 429 même côté. Les
e des paupières, le frontal et les releveurs de la lèvre entrent en
contraction
du côté droit (fig. C, pi. XLIX) ! Le phénomène
roit isolément (fig. B). Voilà bien la synergie « paradoxale » : la
contraction
de ces muscles est illogique, absurde, comme l'
tion satisfaisante qu'on puisse donner des faits de ce genre, où la
contraction
synergique s'observe précisément dans les mus-
ntraction synergique s'observe précisément dans les mus- cles où la
contraction
volontaire est abolie, me paraît être la suivante
e de celui-ci. On sait que, dans ces condi- tions, on peut voir les
contractions
volontaires de la face s'accompagner de mouveme
orbi- culaires des lèvres, les masséters, les muscles du nez, etc.
contractions
tétani- ques à 150 divisions. - Le nerf facia
ontal, rameau orbiculaire, rameaux moyens et bran- che inférieure],
contractions
fortes à 140 divisions. Point d'Erb et muscle s
0 divisions. Point d'Erb et muscle sterno-cléido-mastoïdien, bonnes
contractions
à 150 di- visions. 9 Le muscle deltoïde de ch
ns vu que l'atrophie de ce muscle est considérable). Les pectoraux,
contractions
très faibles à 250 divisions. Le triceps brachi
s fléchisseurs de l'avant-bras, et les interosseux, de chaque côté,
contractions
nulles. Nerfs médian, radial et cubital, contra
chaque côté, contractions nulles. Nerfs médian, radial et cubital,
contractions
nulles. Muscles de la paroi abdominale, contrac
al et cubital, contractions nulles. Muscles de la paroi abdominale,
contractions
nulles. Grand dentelé, contractions assez forte
Muscles de la paroi abdominale, contractions nulles. Grand dentelé,
contractions
assez fortes à 150 divisions, sur une ligne de 10
entimètres parallèle avec la ligne médio-axillaire. Muscle trapèze,
contractions
très fortes à 150 divisions. Les muscles de la
la masse sacro-lombaire et tous les muscles des membres inférieurs,
contractions
nulles. Tous les nerfs des membres inférieurs,
us les nerfs des membres inférieurs, excités, ne provoquent plus de
contractions
musculaires. Courants galvaniques. Méthode pola
ode polaire. Les mêmes électrodes. Les muscles de la face. 8 m. A.,
contractions
fortes NFC > PFC. Le nerf facial (rameaux su
facial (rameaux supérieurs, moyens et branche inférieure) 6 m. A.,
contractions
nettes NFC > PFC, sterno - cléido - mastoïdien
s NFC > PFC, sterno - cléido - mastoïdien 6 m. A., NFC > PFC,
contractions
fortes. Le point d'Erb, 10 m. A., contractions
A., NFC > PFC, contractions fortes. Le point d'Erb, 10 m. A.,
contractions
nettes NFC > PFC. Deltoïde, 10 m. A., contra
rb, 10 m. A., contractions nettes NFC > PFC. Deltoïde, 10 m. A.,
contractions
très faibles et seulement dans un faisceau des
et seulement dans un faisceau des fibres NFC > PFC. Pectoral,
contractions
fortes 10 m. A., NFC > PFC. Triceps brachial
tractions fortes 10 m. A., NFC > PFC. Triceps brachial 10 m. A.,
contractions
nettes NFC > PFC. Biceps brachial, contracti
achial 10 m. A., contractions nettes NFC > PFC. Biceps brachial,
contractions
nulles. Le long supinateur, les extenseurs des
les fléchisseurs des doigts, les interosseux palmaires et dorsaux,
contractions
vives NFC > PFC. Pendant l'excitation des in
tudinale de Doumer, jusqu'à hauteur du bras. Nerf médian, 10 m. A.,
contractions
musculaires faibles. Nerf radial, 12 m. A., con
10 m. A., contractions musculaires faibles. Nerf radial, 12 m. A.,
contractions
musculaires faibles. DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MY
RÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 441 Nerf cubital,
contractions
nulles. Muscles de la paroi abdominale, contrac
Nerf cubital, contractions nulles. Muscles de la paroi abdominale,
contractions
nulles. Grand dentelé, 8 m. A., contractions vi
e la paroi abdominale, contractions nulles. Grand dentelé, 8 m. A.,
contractions
vives NFC > PFC. Muscles de la gouttière ver
C > PFC. Muscles de la gouttière vertébrale 10 m. A., NFC>PFC
contractions
fortes. Muscles de la masse sacro-lombaire, poi
antérieur, extenseur du gros orteil, extenseur commun des orteils,
contractions
nulles. ' Muscles fessiers, 12 m. A., N.F.C. PF
ils, contractions nulles. ' Muscles fessiers, 12 m. A., N.F.C. PFC,
contractions
fortes. Muscles demi-tendineux, demi-membraneux
, fléchisseurs communs des orteils, muscles de la plante des pieds,
contractions
nulles. Nerf sciatique, tibial, contractions nu
e la plante des pieds, contractions nulles. Nerf sciatique, tibial,
contractions
nulles. , Conclusions. - Diminution quantitativ
xcitation galvanique, aucune modification de la formule normale des
contractions
. La disparition de la contractilité au courant
es à 200 divisions. j . Nerf facial, supérieur, moyen et inférieur,
contractions
tétaniques à 150 di- visions. Point d'Erb et
150 di- visions. Point d'Erb et muscle sterno-cléido-mastoïdien,
contractions
tétaniques à 200 divisions. Deltoïde à 500 di
ontractions tétaniques à 200 divisions. Deltoïde à 500 divisions,
contractions
tétaniques à droite, tandis que le gauche à 800
étaniques à droite, tandis que le gauche à 800 divisions, donne des
contractions
faibles. Pectoraux, contractions faibles à 350
gauche à 800 divisions, donne des contractions faibles. Pectoraux,
contractions
faibles à 350 divisions. Muscles : triceps brac
seur commun des doigts, fléchisseur commun des doigts, interosseux,
contractions
nulles. Nerfs médian, radial et cubital, contra
interosseux, contractions nulles. Nerfs médian, radial et cubital,
contractions
nulles. Grand dentelé à 400 di- visions, contra
l et cubital, contractions nulles. Grand dentelé à 400 di- visions,
contractions
faibles. Trapèze à 500 divisions, contractions
à 400 di- visions, contractions faibles. Trapèze à 500 divisions,
contractions
fortes. Muscles de la paroi abdominale, contrac
500 divisions, contractions fortes. Muscles de la paroi abdominale,
contractions
nulles. Muscles de la gouttière vertébrale, a 4
ctions nulles. Muscles de la gouttière vertébrale, a 400 divisions,
contractions
faibles. JYVIH ' 29 442 NoicA Muscles de la
9 442 NoicA Muscles de la masse sacro-lomhaire, muscles fessiers,
contractions
nulles au maximum de l'excitation. . Tous les
t tous les nerfs des membres inférieurs excités, ne don nent aucune
contraction
muscnlaire. Courants galvaniques : Méthode pola
l, orbiculaire des lèvres, massétérin, nasal, 7 m. A., NEC> PFC,
contractions
fortes. Nerf facial supérieur, moyen, inférieur
rtes. Nerf facial supérieur, moyen, inférieur^ m. A., NFC > PFC,
contractions
fortes. Sterno-cléido-mastoïdien, 6 m. A., NF
ractions fortes. Sterno-cléido-mastoïdien, 6 m. A., NFC > PFC,
contractions
fortes. Point d'Erb, 8 m. A., NFC > PFC, con
> PFC, contractions fortes. Point d'Erb, 8 m. A., NFC > PFC,
contractions
fortes. Deltoïde, 12 m. A., NFC > PFC, contr
FC > PFC, contractions fortes. Deltoïde, 12 m. A., NFC > PFC,
contractions
moyennes, à gauche il faut 16 m. A. Pectoraux
nnes, à gauche il faut 16 m. A. Pectoraux, 8 m. A., NFC > PFC,
contractions
fortes. Triceps, 14 m. A., NFC > PFC, contra
NFC > PFC, contractions fortes. Triceps, 14 m. A., NFC > PFC,
contractions
fortes. Biceps, 15 m. A., NFC> PFC, contract
, NFC > PFC, contractions fortes. Biceps, 15 m. A., NFC> PFC,
contractions
fortes. Long supinateur, 10 m. A., NFC PFG, con
C> PFC, contractions fortes. Long supinateur, 10 m. A., NFC PFG,
contractions
fortes. Extenseur commun des doigts, 10 m. A.,
Fléchisseur commun des doigts, 10 m. A., NFC > PFC. Interosseux,
contractions
nulles. Nerf médian, radial et cubital, 15 m. A
ons nulles. Nerf médian, radial et cubital, 15 m. A., NFC > PFC,
contractions
fortes. Muscles de la paroi abdominale, contrac
NFC > PFC, contractions fortes. Muscles de la paroi abdominale,
contractions
nulles. Grand dentelé, 12 m. A., NFC > NFC,
minale, contractions nulles. Grand dentelé, 12 m. A., NFC > NFC,
contractions
fortes. Trapèze, 10 m. A., NFC > PFC, contra
NFC > NFC, contractions fortes. Trapèze, 10 m. A., NFC > PFC,
contractions
fortes. Muscles de la gouttière vertébrale, 10
fortes. Muscles de la gouttière vertébrale, 10 m. A., NFC > PFC,
contractions
fortes. Masse sacro-lombaire, fessiers et tou
acro-lombaire, fessiers et tous les muscles des membres inférieurs,
contractions
nulles. D'une façon générale on peut résumer :
, les mouvements de flexion sont rendus diffi- ciles par une légère
contraction
des muscles extérieurs de la jambe : les mou- v
i, au cours du développement-, par suite de pressions anormales, de
contractions
musculaires, on plus probablement d'un accroissem
éorie mécanique (anomalies du développement des membranes foetales,
contractions
utérines, traumatismes). 2° Théorie de l'atavis
ras et résiste assez bien aux mouvements d'extension, mais dans ses
contractions
le biceps reste mou et pâteux. Avant-bras. -
ologi- ques en l'état de santé (2). Les crises convulsives et les
contractions
ne persistent pas longtemps en général ; bientô
t, tout l'intérêt se concentre sur les phénomènes convulsifs et les
contractions
. Or, si nous observons ceux-ci chez le nouveau-né
nt que pour recommencer aussitôt, jouent en défi- nitive le rôle de
contractions
permanentes et doivent provoquer, à brève échéa
s seront rendues moins solides. L'envahissement inflammatoire et la
contraction
musculaire suffisent à cette besogne. Pour ce qui
ruction totale de système nerveux ; quand ce processus survient, la
contraction
a déjà produit tout son effet. a) Attitude. Grâ
duit tout son effet. a) Attitude. Grâce au remaniement opéré par la
contraction
muscu- laire, les signes fonctionnels se trouve
la région dorsale. Cette flexion cervicale dérive immédiatementdes
contractions
musculaires de la nuque. Les masses musculaires
gide, cette tendance ne saurait être suivie d'effet permanent et la
contraction
n'a d'autres conséquences que la mise en jeu des
PHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 607 b) Hémicéphalie. Exorbitisme. Si la
contraction
musculaire suffit pour expliquer la raideur per
ions inflammatoires interviennent bien encore, mais pour donner aux
contractions
musculaires tout leur effort utile. Sur le crân
cipital, des attaches qui les maintenaient en place. Dès lors, les
contractions
musculaires qui tendent à rapprocher la tête du
sairement t en dehors ces pièces squelettiques. Sous l'influence de
contractions
violentes et répétées, elles cèdent à la tracti
ives du crâne, tandis que dès son apparition, elle a pro- voqué les
contractions
musculaires qui ont violemment tiré sur les carti
essite le relâchement complet des fibres musculaires. Désormais les
contractions
n'au- ront d'autre effet que de tendre ces fibr
rovoquer aucun mouvement squelettique ; d'ailleurs, la violence des
contractions
va diminuant au sur et à mesure que les inserti
a colonne vertébrale n'est pas encore in- fléchie, de sorte que les
contractions
musculaires déploient toute leur puissance. Cel
refoulé, butte contre l'occipital, ajoutant son effort à celui des
contractions
musculaires. Dès lors, la voûte crânienne éclat
èse qu'en faisant intervenir, ici encore, l'action morphogénique de
contractions
musculaires violentes et répétées. Sous cette a
récédée d'une dégénérescence du tissu nerveux : pour déterminer les
contractions
et, par elles, les modifications morphogéniques
me chez lequel les arcs neuraux sont rela- tivement consolidés ; la
contraction
, quelles que soient sa violence et sa persis- t
Déformations diverses. En outre de ces modifications résultant des
contractions
musculaires et qui donnent à certains cas de pseu
éformations relevant de la même cause. Il est incontestable que les
contractions
des muscles de la face on des membres agissent
n mécani- que purement extérieure et survenant post-mortem qu'à une
contraction
musculaire. Il n'échappera à personne qu'une dé
cation squelettique, la déviation est temporaire, aussi bien que la
contraction
dont elle résulte. Au surplus, le pied est soumis
ullaire, dans sa partie motrice tout au moins. En définitive, les
contractions
musculaires jouent un rôle évident dans la morp
ues. 1. Des difformités congénitales produites sur le foetus par la
contraction
musculaire (Les veaux à tête de chien, ou niatas)
uteur s'est contenté de considérations assez vagues sur l'effet des
contractions
; il s'est à peine attaché aux traits généraux de
la neuvième côte. Le sus-épineux est très apparent et forme par sa
contraction
un boudin transversal volumineux. Le sous-épineux
ès de l'articulation de l'épaule. On constate enfin, au toucher, la
contraction
des rhomboïdes sous la forme d'une barre allant
pour les muscles cor- respondants. Excitabilité galvanique . - La
contraction
négative de fermeture appa- (1) Nous avons cons
SCAPUHE ALAT1E PHYSIOLOGIQUES 671 raît la première, puis vient la
contraction
positive de fermeture pour une intensité un peu
'existe aucun trouble musculaire dans les muscles examinés : pas de
contractions
fibrillaires, pas de tremblement, pas de spasme
nt, en effet, la physiologie normale des muscles intéres- sés, leur
contraction
révélée par l'harmonieuse symétrie des muscles du
ERVEUX ET LA NUTRITION GÉNÉRALE, Les déformations produites par les
contractions
musculaires sont un contre- coup mécanique de l
râne et la colonne vertébrale mettent en évidence la mise en jeu de
contractions
consé- cutives à l'excitation morbide du névrax
contractions consé- cutives à l'excitation morbide du névraxe. Ces
contractions
interviennent d'assez bonne heure, à une périod
r si la réduction des capsules surrénales n'est pas le résultat des
contractions
ré- pétées durant plusieurs semaines avec une t
se traduit par les mêmes signes fonctionnels, touchant surtout aux
contractions
spasmodiques violentes et répétées du système mus
particulière des foetus n'est autre, en effet, que le résultat des
contractions
des muscles de la nuque qui ont, à la longue, pro
présence de tumeur) (4 fig., 3 pl.), par Weber et PAPADAKI, 140.
Contractions
synergiques paradoxales à la suite de la paraly
normale chez l'homme (1 pi., 6 fig.), 49. LAMY (II). Note sur les
contractions
sy- nergiqnes paradoxales observées à la. sui
ran-Du- chenne d'origine syphilitique (LaNNOIS), LXIII et LXIV.
Contractions
synergiques paradoxales à la suite de la paraly
ons morphologiques qui résultent des différents états musculaires :
contraction
, relâchement, distension, au cours des principa
ations apportées aux formes extérieures par les différents modes de
contractions
des mus- cles actifs et de leurs antagonistes.
t certainement le fait de la tonicité ou même d'un certain degré de
contraction
des mus- cles sus-et sous-hyoïdiens (abaissemen
aralysie des massieters. B. Occlusion volontaire de la bouche par
contraction
de l'orbiculaire des lèvres, les mâchoires rest
sivement de la périphérie à la racine des membres ; suppression des
contractions
faradiques ; suppression des gavaniques avec 15
e la plus grande valeur diagnostique ; dans les formes légères, les
contractions
fara- diques sont normales ou à peine diminuées
s pre- miers examens (cas 5), acquérant ensuite la prédominance des
contractions
de la fermeture du pôle négatif - sont diminuée
dans de l'omoplate de fortes saillies boudinées, en dehors de toute
contraction
.Le deltoïde est éga- lement très hypertrophié e
e la cuisse droite et peut-être de la fesse gauche. On n'observe ni
contractions
fibrillaires, ni DR caractérisée. L'aspect du mal
, ni DR caractérisée. L'aspect du malade, sa démarche, l'absence de
contractions
fibrillaires, de DR, de troubles sphinc- térien
ge électrique intense, on constate, à la loupe oculaire, une légère
contraction
d'assez courte durée. Le réflexe à l'accommodat
froide dans l'oeil droit ; le contact de cette goutte provuque une
contraction
énergique de l'iris ; le diamètre pupillaire se
de l'iris ; le diamètre pupillaire se réduit à 2 millimètres. Cette
contraction
est de courte durée et l'iris reprend progressi
tes les minutes une goutte d'eau froide, on provoque chaque fois la
contraction
de l'iris ; mais cette contraction devient de moi
oide, on provoque chaque fois la contraction de l'iris ; mais cette
contraction
devient de moins en moins énergique et son ampl
tion ; avec des courants d'intensité moyenne, nous avons obtenu une
contraction
progressive assez lente : au bout d'une minute
a pupille droite avait les mêmes dimensions que la gau- che ; cette
contraction
n'a pas duré et l'iris a repris peu à peu sa posi
rs contenus dans la IIIe paire ont pour rôle unique de provoquer la
contraction
du diaphragme irien sous l'influence des impres-
D'autre part, la facilité, avec laquelle nous avons pu provoquer la
contraction
de la pupille, suffit à démontrer qu'il ne s'agit
YSTÉRIQUE 249 organique, il nous eût été impossible de provoquer la
contraction
de la pupille, surtout par des moyens aussi sim
s devrait se traduire par du myosis. On pourra nous objecter que la
contraction
longtemps prolongée du sphincter a provoqué simpl
ns l'observation : la facilité avec laquelle nous avons provoqué la
contraction
du sphincter par des moyens qui n'ont normaleme
en premier lieu en une hémiatrophie linguale droite accompagnée de
contractions
fibrillaires des plus nettes ; il ne semble pas
pas que le côté gauche soit tout à fait indemne, il y a quel- ques
contractions
fibrillaires et peut-êlre aussi un peu d'atrophie
ulsation dans les limites de celte zone ; à gauche on peut voir les
contractions
du ventricule gauche du coeur, mais l'on ne peu
les autres ; dans ces conditions on a pu faire jouer un rôle à des
contractions
vives ou prolongées de l'utérus, à des constric
halalgies, de l'apathie, de la peur d'espaces, ainsi que de légères
contractions
musculaires involontaires (tremblement fasciculai
au torticolis primitif fait place un a rétrocolis » permanent avec
contractions
paroxystiques très rapprochées des muscles de l
ient remarquée. Mais un jour vient où cette rotation s'exagère, les
contractions
deviennent t plus fréquentes et plus violentes.
é bien vite à cet ap- pareil, aucune altèle ne pouvant résister aux
contractions
des muscles de son cou, exaspérés par celte rés
te pendant la rotation de la tête à gauche, c'est-à-dire pendant la
contraction
du muscle ; celui-ci acquiert alors une dureté ex
épendre de l'effort que fait le ma- lade pour regarder en face. Ces
contractions
faciales cessent d'ail- leurs instantanément dè
raduit 468 HENRY MEIGE par un excès d'intensité et de durée de la
contraction
, analogue à ce que l'on observe dans le cataton
opportune dans les actes musculaires, chaque mus- cle ébauchant une
contraction
qui avorte et qui est suivie d'une courte pério
riode de relâchement, bientôt remplacée à son tour par une nouvelle
contraction
. De là une .apparence d'état vibratoire, variable
terno-mastoïdien droit peuvent d'ailleurs s'expliquer par l'état de
contraction
violente et presque permanente du muscle : un c
électrique notablement plus fort est nécessaire pour déterminer sa
contraction
. Au point de vue mental, Taurone ne présente au
ppelle à ce propos qu'il avait imaginé autrefois, pour atténuer ses
contractions
, de faire de légers bâillements ; il en éprouva
il a dormi plus calme et plus long- temps. 9 janvier 1903. - Les
contractions
sont encore plus fortes, Taurone fait des effor
us fortes, Taurone fait des efforts violents pour réagir contre ces
contractions
, mais né par- vient pas toujours à ramener sa t
s, la tête très droite, avant de s'endormir, sans aucune raideur ni
contraction
. 12 janvier 1903. - Le repos au lit n'a pas app
rai que Taurone n'a pu rester une journée entière dans son lit; les
contractions
ont reparu dans la position couchée et l'ont obli
assoupissement, à me tordre le cou, poussant jusqu'à la douleur les
contractions
, qui ne sont séparées que par quelques secondes
ètement disparu. L'épaule droite n'accompagne plus le mouvement, la
contraction
du trapèze droit, sauf dans quelques rares mouv
vant devenues assez difficiles à exécuter l' correctement. 5° Les
contractions
du trapèze gauche exercent une influence marquée
trois jours après le début de la crise. N'y aurait-il pas entre la
contraction
et la douleur des relations dont je saisis malle
i, le trapèze droit; ce der- nier a cessé d'agir ; mais ensuite les
contractions
ont apparu dans le tra- pèze gauche. Ainsi, un
ées par certains malades semblent bien être la conséquence de leurs
contractions
musculaires exagérées. Elles ne précè- dent pas
décontracter le sterno-mastoïdien droit ? Ou bien la tendance à la
contraction
est-elle trop violente pour que je puisse la LE
la tête est com- plètement et violemment tournée à gauche, j'ai des
contractions
un peu dou- loureuses de la face avec clignemen
ou non d'agitation des doigts s'observe parfois dans les cas où les
contractions
musculaires sont très violentes. , 3° Il n'es
laires sont très violentes. , 3° Il n'est pas rare d'observer des
contractions
faciales dans les crises violentes. Celles-ci p
t sur son gril, sans pouvoir trouver une position favorable, et les
contractions
musculaires persis- 480 . HENRY MEIGE taient;
'je viens de vous signaler me paraît due à une recru- descence des
contractions
des muscles de la nuque, le trapèze gauche notam-
apo- physe mastoïde des tiraillements douloureux qui ont ramené les
contractions
de la face que je vous avais précédemment signa
a tête bien mieux lorsque je suis absolument tran- quille, mais les
contractions
reparaissent au moindre mouvement, même lorsque
llements à l'extrémité des doigts ; elle s'accentuait au moment des
contractions
et ne disparaissait que lorsque celles-ci avaient
couché depuis le 5 courant. Mais je n'ai pas gagné du terrain : les
contractions
sont extrême- ment violentes et franchement dou
nfin, ce qui me contra- rie le plus, c'est que, depuis 3 jours, les
contractions
se produisent au lit, et ce n'est qu'après de l
je sens, lorsque j'applique ma main sur ce muscle, au moment où les
contractions
se produisent, des sortes de pulsations analogues
HENRY MEIGE épaules et le- haut du buste se soulèvent au moment des
contractions
, le point d'appui se prenant sur la partie post
elquefois deux, rarement plus, soit endormi, soit éveillé; puis les
contractions
reparaissent ; elles débutent par quelques légère
C'est ainsi que je passe et les journées et les nuits. Levé, les
contractions
ne cessent pas et la douleur non plus ; la tête e
violem- ment à gauche et en arrière. Après quelques mouvements, les
contractions
deviennent plus violentes et je suis réduit à l
Ils ne savent qu'imaginer pour se procurer un soulage- ment. Les
contractions
deviennent douloureuses par leur fréquence et leu
radicale s'impose : l'isolement absolu. Il importe de noter ici les
contractions
limitées à de petits faisceaux musculaires que
mon appartement. Je passerai couché tout le temps que l'absence des
contractions
violentes me permettra de conserver cette posit
repos couché. Je reste presque tout le temps en bonne position, les
contractions
sont rares et peu violentes. Une parole ou un m
ment entraînée à gauche ; je ne pouvais pas arriver à dissocier les
contractions
. Suivant vos instructions, je me suis arrêté, e
TICOLIS MENTAL 491 uns résultent de compressions laryngées, par les
contractions
des muscles hyoïdiens ; d'autres fois le diaphr
is longtemps remarqué la participation des muscles respirateurs aux
contractions
. En dehors des exercices, pas de progrès encore
ation à gauche est un peu moins poussée à l'extrême pendant que les
contractions
renversant la tête en arrière sont plus violent
même en marchant. 2* L'écriture n'est pas souvent troublée par les
contractions
, mais depuis une dizaine de jours, je suis très
s très douloureuses qui, dans l'épaule gauche, ac- compagnaient les
contractions
violentes, ont, sauf à de rares moments, cessé,
avec plus de difficulté; lorsque la tête finit par m'échapper, les
contractions
deviennent extrêmement violentes ; le rétrocoli
mmes,comme je devais le faire au moment de mon départ de Paris. Les
contractions
sont violentes dès que je me couche, mais elles d
réation de l'automa- tisme dans la suppression de l'automatisme des
contractions
incorrectes, ce qui est bien le but poursuivi ;
ou établit dans ceux-ci le courant d'énergie destiné à produire les
contractions
musculaires ou le supprime, qui est altéré ou f
s, se produisait, lente et insensible d'abord, puis aboutissait aux
contractions
ordinaires du torticolis. Une semaine après le
c se produisait. 3° Comme vous le signalait ma dernière lettre, les
contractions
, en dehors des moments où je les réfrénais par
té plus augmentée. Depuis une quinzaine de jours cette violence des
contractions
, une fois que je suis démonté, s'est encore acc
ue en s'accompagnant dans toute la face d'une véritable débauche de
contractions
accessoires ; le cuir chevelu, le front, les yeux
ce qui bouge, j'ai plus tôt fait de chercher ce qui ne bouge pas ;
contractions
d'attention, d'anxiété, d'effort, de souffrance
sordres s'accentuent. J'essaye bien d'enrayer l'envahisse- ment des
contractions
de la face, mais je ne puis les surveiller toutes
ze gauche qui est le plus grand coupable; je le sens commençant ses
contractions
, d'abord faibles, puis de plus en plus fortes ;
cultés que j'avais encore dans les mouvements simples ont persisté (
contractions
assez fortes dans la rotation complète à gauche,
e me sers de l'écriture pour me fixer, je ne suis plus gêné par les
contractions
dans cet exercice. Spécimen d'écriture. 2 novem
avec laquelle la tête peut être inclinée à gauche). Par contre, les
contractions
qui ont apparu peu à peu dans le trapèze gauche
es seraient dues à une aggravation de l'excitabilité nerveuse : les
contractions
s'exacerbent alors, les mouvements anormaux augme
ans les muscles ou portions de muscles entrant en contracture ; les
contractions
ne sont pas plus violentes. le sens de l'attitu
rise que je traverse. 3° Je vous avais signalé la recrudescenee des
contractions
du trapèze gau- che, et, au moment où j'ai cons
ovembre : perte à peu près com- plète de tous les progrès réalisés,
contractions
très violentes, impossibilité d'exécuter les ex
tait l'amélioration relative obtenue dans la position couchée ; les
contractions
vers la gauche s'y produisaient peu ; celles en
pouvoir faire quelques changements de position sans pro- voquer de
contractions
. ' Peu à peu l'amélioration gagnait la station
ation debout ou assise en suivant abso- lument la même marche ; les
contractions
ne se produisaient plus, en général, que vers l
ercice devant ou hors miroir, il se produisait des secousses ou des
contractions
nettes qui empêchaient l'exécution des mouvements
j'éprouve même parfois un peu de tremblement de la tête, de petites
contractions
frustes, limitées, n'entraînant jamais de tortico
bilité je remarque que je n'ai pas toujours l'équilibre parfait de
contractions
qui doit la réaliser ; ainsi dans la position d
que signale le malade et qu'il dé- crit très exactement : « petites
contractions
frustes, limitées, n'entraînant jamais de torti
on mieux. 2° Je surprends assez souvent quelques muscles en état de
contraction
légère, non voulue, tantôt la joue gauche, tant
téressante la constatation faite par le malade de la persistance de
contractions
involontaires, non seulement dans les muscles de
biné d'un très grand intérêt, car la paupière en se fermant, par la
contraction
du muscle orbiculaire, devient plus épaisse ; c
lumière. Dans ce cas, la paupière était plus épaisse, à cause de la
contraction
de l'orbiculaire, l'oeil reçoit une moindre quan-
cteur nerveux pour l'élévateur des paupières on aurait dû avoir une
contraction
de l'orbiculaire, quand, avec une paralysie de
ts du corps dans l'attitude debout ne peut être maintenu que par la
contraction
incessante de groupes musculaires antagonistes
tout comme les états physiologiques qui leur donnent naissance, la
contraction
et le relâchement. Il suffit tle regarder un ho
station, l'extension de certains articles peut être maintenue sans
contraction
musculaire et de façon toute mécanique, il n'en e
n toute mécanique, il n'en est pas moins vrai que le concours de la
contraction
musculaire reste nécessaire pour produire cette
t que la tête tomberait en avant si elle n'en était empêchée par la
contraction
des muscles de la nuque, ainsi que je l'ai déjà
istance en avant et la puissance en arrière (Fig. 18). Mais cette
contraction
des muscles de la nuque a pas peson cl être énerg
iers n'ont le volume qu'on leur connaît que pour empêcher, par leur
contraction
permanente, la chute en avant. C'est une erreur
re de l'articula- tion du genou sont obligés de faire intervenir la
contraction
énergique de l'extenseur de cette articulation
icile à établir entre la distension musculaire et l'existence de la
contraction
(1). Néanmoins, si nous songeons que le relâche
nalogue par un même état de distension soit simple, soit un état de
contraction
légère de ses fibres. Il résulte de ce qui préc
cherchée. Si c'est l'insertion au calcanéum qui est rendue fixe, la
contraction
du gasiroc- némien aura pour effet de fléchir l
upérieure du tibia, 84 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE la
contraction
du gastrocnémien n'aura d'autre alternative que d
t que l'insertion supérieure du gastrocnémien se trouvant fixée, la
contraction
ne peut pas ne pas ame- ner l'élévation de l'au
eur. Et l'extrémité supérieure du tibia étant ainsi rendue fixe, la
contraction
du gastrocnémien a pour effet nécessaire de soule
logique réside dans la forme spéciale des mollets par suite de la
contraction
énergique du muscle gaslrocnémien dans son enti
ôté portant, la fesse est plus étroite et saillante par suite de la
contraction
de la moitié supérieure de ses muscles (moyen f
tue encore si DE LA STATION 93 le grand fessier lui-même entre en
contraction
ce qui n'est pas nécessaire au maintien de l'al
re est porté en avant, il y a flexion de la cuisse sur le bassin et
contraction
manifeste des fléchisseurs, tenseur du l'ascia
couturier. Si la jambe est portée en arrière c'est au contraire la
contraction
de l'extenseur qui se produit et qui n'est autr
des formes de toute la région. C'est la fesse opposée qui entre en
contraction
ce qui s'explique par la nécessité de maintenir
n arrière la position devient extrè- mement fatigante à cause de la
contraction
exagérée des extenseurs de la jambe, destinée à
s réflexes rotuliens sont exagérés, surtout à gauche (deux ou trois
contractions
musculaires pour un seul choc du tendon). Le redr
é dans la station droite, et qu'il ne prend son aspect réniforme de
contraction
que si le tronc vient il s'incliner en avant. L
laquelle on ne constate jamais 'les reliefs caractéristiques de la
contraction
du quadriceps. Reste le maintien de l'articulat
articulier du gros muscle gastro-cnémien. Or, chez notre malade, la
contraction
volontaire de ce muscle est près-, que nulle. C
dans la marche est capitale. On voit les moyens fessiers entrer en
contraction
à chaque pas sur la hanche du côté de la jambe
on à chaque pas sur la hanche du côté de la jambe portante et celte
contraction
dure tout le temps de l'appui unilatéral. La ra
n, en outre des réactions électriques similaires et de l'absence de
contractions
fibrillaires qui appartiennent à presque toutes l
impossible à la malade d'esquisser le plissement du front, car les
contractions
du frontal sont presque nulles. Celles des sourci
tion de s'asseoir sur le lit est très difficile. Il n'existe pas de
contractions
fibrillaires visibles et la malade n'en accuse
s est moins caractérisée par l'apparition plus ou moins tardive des
contractions
minima, que par la diminution d'étendue et de p
actions minima, que par la diminution d'étendue et de puissance des
contractions
. Il en est de même pour l'excitabilité galvaniq
ontractions. Il en est de même pour l'excitabilité galvanique : les
contractions
minima se montrent souvent encore avec des cour
core avec des courants d'assez faible intensité, mais l'ampleur des
contractions
provoquées par des courants plus forts est notabl
; pour certains muscles toutefois, ceux des cuisses notamment, les
contractions
minima n'apparaissent que tardivement. Conforméme
ement soulevée à gauche qu'à droite et le gonflement produit par la
contraction
du muscle y est plus accusé. A droite, à 85 C. mi
muscle, tandis que dans les muscles sous- jacents il se produit des
contractions
très nettes. La malade peut cepen- dant rapproc
ablement diminuée : dans la flexion de l'avant-bras sur le bras, la
contraction
du long supinateur est très manifeste, mais la ma
90mm C. assez faibles dans les m. postérieurs de l'avant-bras. (Des
contractions
se produisent aussi par propagation de l'excita
le côté gauche; celles du côté droit sont semblables ; partout les
contractions
obtenues sont vives. DELTOïDE antérieur : A 1 m
: 1 3/4 m A, X, NFC" > PFC" ; 3 m A, XIV, NFC' >PFC". (Des
contractions
sont provoquées en même temps dans des muscles
inateur). (1) Par la lettre C suivie d'un accent nous désignons les
contractions
faibles, elles sont d'autant plus faibles que l
ibles que la lettre est suivie de plus d'accents ; au contraire les
contractions
fortes sont désignées par la lettre C. une ou plu
: i/2 m A, XIV, NFC" > PFCC" ; 4 m A, XVIII, NFC' > PFC" (les
contractions
produites dans ces muscles sont masquées en gra
s produites dans ces muscles sont masquées en grande partie par les
contractions
provo- quées dans les muscles voisins, le long
e pourra être faite quand on saura que pour le jambier antérieur la
contraction
minima se produit avec un écartement des bobines
de 55mm pour le grand et que pour l'extenseur commun des orteils la
contraction
minima a lieu avec un écartement de 50mm pour l
ouvements réflexes qui empêchent dese rendre compte s'il y a ou non
contraction
clans ce muscle). Les cuisses, bien qu'atrophié
la portion claviculaire. Dans la portion claviculaire les premières
contractions
n'apparaissent qu'avec un écartement des bobine
5mm, bien plus tard que pour un muscle nor- mal ; en même temps des
contractions
se montrent dans l'angulaire de l'omo- plate pr
e déplacement du scapulum ; dans ce dernier muscle d'ail- leurs les
contractions
apparaissent déjà il 75mm (à cet écartement des b
ales, sous-jacels, long dorsal, etc., sont plus excitables et leurs
contractions
se produisent déjà à 55 ou 60mm. Les muscles sa
A. NFC>PFC ? (1) La lettre C suivie d'un accent indique que les
contractions
sont faibles ; elles sont d'autant plus faibles
de moyenne étendue ; et la lettre une ou plusieurs fois répétée des
contractions
fortes et d'autant plus fortes que la lettre es
conservés aux membres inférieurs ; il se tend fortement pendant les
contractions
volontaires, et il se contracte éga- lement bie
it en appliquant sur le deltoïde un cou- rant qui ne produit aucune
contraction
dans ce muscle, tandis qu'il pro- voque facilem
e contraction dans ce muscle, tandis qu'il pro- voque facilement la
contraction
des fléchisseurs. (1) Dans la notation anglaise
marquée aux extrémités supérieures, surtout à gauche. En outre, la
contraction
musculaire est très faible; mais elle ne paraît
re est très faible; mais elle ne paraît pas retardée. La force de
contraction
des fléchisseurs des bras et des jambes, bien q
é du courant constant qui donne le premier l'apparence d'une légère
contraction
, est donnée en milliampères : 1 1/2 représentant
su- jets sains avec le courant minimum nécessaire pour produire une
contraction
muscu- laire. Quant aux chiffres de 1 1/2 et 3
ables pour l'emporter sur les extenseurs. Pour tous ces muscles, la
contraction
après le stimulus ne se fait pas aussi rapideme
nts, tous les muscles présentent un fort degré de dégénération ; la
contraction
est lente et faible ; mais avec le pôle po- sit
la contraction est lente et faible ; mais avec le pôle po- sitif la
contraction
se montre plus rapidement qu'avec le pôle négatif
les orbiculaires des paupières n'apportent pas le concours de leurs
contractions
ponr exprimer la joie bienveillante ; le parler b
, par exemple, la dislocation de la jointure pouvait résulter de la
contraction
brusque et désordonnée du groupe musculaire ant
e muscle ne se contracte plus, c'est parce qu'il a, au cours de ses
contractions
réitérées, fa- briqué des produits toxiques exe
tétanisation. Si l'on ex- cite alors le nerf de la patte gauche, la
contraction
est insignifiante ou nulle. Au contraire, l'exc
la patte droite, -celle dont l'artère a été liée provoque de fortes
contractions
dans cette patte. La conclusion à tirer de cette
rique directe des muscles do la patte gauche détermine en- core des
contractions
, alors que l'excitation du nerf n'en produit plus
de Westphal caractérisé par l'absence du réflexe patellaire. Mais la
contraction
pupillaire, en tant que phénomène lié il l'acco
d'une amyotrophie d'origine spinale; elle s'accompagne en effet de
contractions
fibrillaires des plus nettes ». Il n'y a pas là
on très légère du même segment. 13 Adduction plus marquée; légère
contraction
du quadriceps, insuffisante pour soulever le ta
sté. Rien de nouveau du côté des réflexes ou delà vessie. 19. - Les
contractions
du quadriceps ont une force suffisante pour soule
ureux, intermittent, sans que les poussées soient provoquées par la
contraction
des muscles abdominaux. Le passage de l'urine u
es sourciliers, les frontaux, les py- ramtdaux traduisent par leurs
contractions
ordinaires l'attention, l'éton- nement, la tris
nt pour cause une action réflexe de la moelle, une contracture ou une
contraction
instinctive du malade pour éviter la douleur; tel
on le soulève, avant qu'il soit détaché de terre, il crie, il y a des
contractions
musculaires énergiques, peu ou pas de souplesse d
niveau de la fosse iliaque, on rencontre un premier obstacle dans la
contraction
instantanée des muscles abdominaux. Il faut alors
on agit. Généralement, ce sont plutôt les fléchisseurs qui entrent en
contraction
que les extenseurs, à moins que ceux-ci n'éprouve
ée d'acinésie volontaire complète et d'anesthésie incomplète, d'une
contraction
subite des abducteurs de la cuisse au moment où j
temps incertain. Les vives douleurs ressenties par la malade, cette
contraction
musculaire énergique, l'attitude vicieuse exagéré
u : c'est la rétraction des ligaments ; ils se raccourcissent par une
contraction
tonique, et entraînent les os dans un certain sen
tions articulaires. Les coxalgies sont douloureuses et produisent une
contraction
involontaire de certains muscles. Le fémur obéit
cles après la naissance. Rien, dans l'état des muscles, n'indique ces
contractions
énergiques dont il reste ordinairement des traces
yonnaire, d'autres fois d'une influence mécanique, combinée .avec des
contractions
musculaires anormales , etc. (1) Nous avons vu
sistant dans un vice de coordination de l'action musculaire, dans des
contractions
désharmoniques substituées à l'harmonie normale d
a en effet, action coordonnée, harmonique, des muscles des deux yeux,
contraction
simultanée des muscles droits supérieurs, droits
éviation des yeux ? Elle est de deux sortes : il y a un strabisme par
contraction
musculaire, et un strabisme par rétraction. 1°
action musculaire, et un strabisme par rétraction. 1° Strabisme par
contraction
. —Le strabisme par contraction ne laisse pas de t
sme par rétraction. 1° Strabisme par contraction. —Le strabisme par
contraction
ne laisse pas de traces sur le cadavre ; il est d
ction. — Le strabisme par rétraction succède souvent au strabisme par
contraction
. Celui-ci, lorsqu'il a quelque durée, détermine u
oir reconnaître ces deux formes pendant la vie. Dans le strabisme par
contraction
, si l'on vient à fermer le bon œil, l'autre se re
s paupières. IVIais on observe souvent dans le même œil un mélange de
contraction
anormale et de rétraction. Lorsque la pupille se
fin de s'assurer de (1) Quinzième leçon, 24 août 1855. l'étal des
contractions
musculaires dans l'œil affecté. On n'oubliera pas
nt de la longueur du muscle; il peut aussi être l'effet d'un degré de
contraction
spasmodique habituel, que l'opération ne peut pas
'effort continuel des malades pour marcher sur son bord externe. La
contraction
involontaire, incessante, de certains muscles dan
eux. Ces affections ont pour conséquence immédiate l'excitation de la
contraction
musculaire, ou l'affaiblissement, l'abolition de
la contraction musculaire, ou l'affaiblissement, l'abolition de cette
contraction
. Dans les deux cas, si tous les muscles ne sont p
xième degré de contracture. Vous remarquerez sur les deux malades une
contraction
énergique de l'extenseur du gros orteil, lorsqu'i
ent de la saillie sous-métatarsienne. Cette forme résulte d'une forte
contraction
des fléchisseurs des orteils, s'efforçant de supp
s l'action musculaire de la moitié inférieure du corps; plus tard, la
contraction
inégale des muscles détermine peu à peu des pieds
ombilical autour de la jambe a été aussi invoqué comme produisant des
contractions
musculaires irrégulières , et par suite la torsio
né des péroniers latéraux, ce qui prouve qu'à la naissance il y avait
contraction
et non rétraction. De l'autre côté, la déviation
n ou raccourcissement musculaire. Il y a en effet, dès l'origine, une
contraction
plus forte de certains muscles; mais ce n'est pas
ais alors il faudra distinguer deux sortes de rétractions : la simple
contraction
anormale, et la perte de longueur constante des m
s'établit qu'à la longue; il ne précède pas nécessairement, comme la
contraction
simple, les altérations ligamenteuses ou osseuses
les n'ont pas assez distingué les deux sortes de raccourcissement, la
contraction
et la rétraction des muscles. Ces deux états sont
ne force étrangère peut vaincre instantanément la résistance due à la
contraction
; le muscle rétracté se rompt, au contraire, plutô
étracté se rompt, au contraire, plutôt que de céder à l'extension. La
contraction
disparaît par moments; elle cesse pendant le somm
se contractent sous l'influence de l'électricité; dans l'autre, celte
contraction
elle-même n'a plus lieu; toute propriété motrice
en dehors du calcanéum, et l'adduction exagérée paraît résulter de la
contraction
des fléchisseurs des orteils. Presque tous les au
plat. C'est donc un cas de rétraction légère accompagnée d'une forte
contraction
anormale. Ainsi, sur le même pied, nous trouvons
t peu d'adduction volontaire. Remarquez qu'il y a encore ici plutôt
contraction
que rétraction permanente. On fait céder assez fa
ce en grande partie. Elle se reproduit ensuite à un haut degré par la
contraction
involontaire 14. des muscles prédominants, et
deux causes; d'un côté parla volonté, d'un autre côté, parce que leur
contraction
est provoquée par la tension que leur imprime la
difformité peut aussi dépendre de causes pathologiques, d'une simple
contraction
involontaire, temporaire, liée à la circonstance
d'éclampsie. Il faut, dans tous ces cas, s'attacher à distinguer la
contraction
de la rétraction. On déterminera avec soin à qu
nt de sa formation se trouve le pied bot, s'il présente un mélange de
contraction
et de rétraction , à quel degré la rétraction pro
gir qu'en masse, de ne représenter que grossièrement les effets de la
contraction
musculaire, et il s'est efforcé de reproduire ces
demande, l'électricité pourra servir à produire le même effet par la
contraction
du muscle. Les mêmes moyens rendront plus visib
« La compression nous a parfaitement réussi à enlever la rigidité, la
contraction
permanente, qui existaient chez deux personnes qu
ui sont, dit-il, au nombre de quatre, savoir : la mollesse des os, la
contraction
des muscles, le poids du corps et la courbure nat
'action du poids du corps, à laquelle s'ajoute, dans certains cas, la
contraction
des muscles. Chez les enfants qui ne marchent pas
contraction des muscles. Chez les enfants qui ne marchent pas, cette
contraction
doit être le principal agent des courbures. Il fa
vrai, c'est que les muscles, après avoir concouru activement par leur
contraction
à la déformation des os, s'accommodent à la longu
gues produites par la seule action mécanique de la pesanteur et de la
contraction
musculaire. Xe cas. — Je termine en plaçant sou
cées en arrière, la résistance passive ou élastique des ligaments, la
contraction
des extenseurs. Pour être complet, je devrais ajo
poids du corps. D'autres fois, la déformation est active et dépend de
contractions
musculaires. Ceux qui ont la vue courte baissent
, ont donné, dans la cyphose, le conseil très-rationnel d'exciter les
contractions
des extenseurs du cou en leur faisant surmonter l
lors une résistance croissante de manière à augmenter l'intensité des
contractions
, et l'on comprend que cet exercice finisse par a
contractures, tantôt par suite des altitudes du malade pour éviter la
contraction
des muscles douloureux. Le rhumatisme articulaire
emple. Elle peut être due à des causes accidentelles, à un excès de
contraction
des muscles sacro-spinaux, au relâchement des lig
res lombaires du poids des parties supérieures, en faisant cesser les
contractions
musculaires nécessitées par les besoins de l'équi
hose avec rétraction musculaire. Ce moyen ne serait indiqué que si la
contraction
et la tension des muscles paraissaient de nature
l de penser que les muscles postérieurs du tronc contribuent par leur
contraction
tonique, peut-être par un spasme dépendant de la
il diffère du mécanisme de la rotation physiologique produite par les
contractions
musculaires. La rotation partielle n'est qu'un ef
vements physiologiques qui se produisent pendant la vie. L'absence de
contraction
musculaire, dans ce cas, donne lieu à une véritab
té avec l'axe de la poitrine, ce muscle n'exerce plus alors, dans ses
contractions
, un effort dirigé dans le même sens qu'à l'état n
nt. Morgagni (5) complète encore celte théorie, en disant que cette
contraction
des muscles d'un côté peut dépendre de convulsion
déterminer le sens des courbures; dans ce cas, ils agissent par leur
contraction
et non par leur rétraction. Est-il plus nécessa
achitique, point de difficulté : les partisan? mêmes du système de la
contraction
irrégulière des muscles, les partisans du système
acro-spinal droit ne soit plus provoqué à entrer dans une si violente
contraction
, et le fan-Ci) Adversar. med.-pract., t. II, part
dans la station, il vous sera facile d'obtenir la cessation de toute
contraction
, et vous ne trouverez plus de muscles raccourcis,
tance que sur le cadavre ; tant que vous parviendrez à faire taire la
contraction
, aucun ne se présentera sous la forme d'une corde
etc. Voulez-vous vous assurer d'une autre façon que c'est bien une
contraction
passagère, et non une rétraction permanente, qui
ueur en rapport avec celle du squelette. L'influence évidente de la
contraction
musculaire sur les courbures latérales de l'épine
s, — ne peut être complètement déduite des effets ordinaires de cette
contraction
chez les sujets bien conformés. Je vous ai fait v
s, tels que palpitations fréquentes, irrégularité dans le rhythme des
contractions
, disposition à la syncope ; tantôt ce sont de vér
que je viens d'indiquer. Telles sont souvent les flexions dues à une
contraction
involontaire des muscles causée par la douleur, c
as sur le cadavre ? Où serait donc alors cette prétendue inégalité de
contraction
dans des muscles qui ne se contractent plus? Faut
a brièveté de leur action; les muscles se fatiguent promptement d'une
contraction
aussi uniforme, et c'est à peine si ce moyen peut
aible ou même remplacée par une légère distension, à la convexité. La
contraction
musculaire peut bien neutraliser en partie ces ef
périeurs. Je ne reviens pas sur la conséquence qu'on a tirée de cette
contraction
pour nier l'extension du rachis par le poids des
dans ce sens. Le poids se partage entre le rachis et les muscles; les
contractions
de ces derniers les font simplement résister à la
nce. Un vice opposé à l'exagération des mouvements est le défaut de
contraction
suffisante ; les enfants livrent alors le poids d
Nature de la lésion musculaire............... 144 1° Strabisme par
contraction
............... »*• 2° Strabisme par rétraction.
d'après ces renseignements, rien ne s'oppose à ce qu'on admette une
contraction
spasmodique des muscles du larynx analogue à ce
tion, on voit presque toujours survenir une rigidité tétanique, une
contraction
permanente de ces muscles pendant une durée de
il peut monter comme un individu ordinaire. Cette ano- malie do la
contraction
musculaire s'observe non seulement aux membres
on cesse les pressions. (J CLINIQUE NERVEUSE. 20 El.80°. Ka S =
contraction
tétanique. An S = contraction tétanique. 16 l
NIQUE NERVEUSE. 20 El.80°. Ka S = contraction tétanique. An S =
contraction
tétanique. 16 ll. 4o°. Ka S Z = secousse simp
ction tétanique. 16 ll. 4o°. Ka S Z = secousse simple. An S T =
contraction
tétanique. 14 El. - h0°. Ka S, néant. An S
S T = contraction tétanique. 14 El. - h0°. Ka S, néant. An S =
contraction
tétanique légère. Nerf rudial droit. - On'const
e thénar droite. 18 El. 30". Ka S Z = secousse simple. An S E =
contraction
tétanique. (Ce résultat est constaté plusieurs
Ksz. An S, néant. Nerf médian droit'. 18 El. - 700. Ks T =
contraction
tétanique. An S T. Deltoïde droit. Il est i
rait qui s'écarte encore du type normal est l'ab- sence complète de
contraction
d'ouverture. Mais le fait dominant est la facil
u plutôt par l'action de pôles virtuels). Cette persistance de la
contraction
se produit mieux encore lorsqu'on agit faradiqu
1YOGItAPIIIQU1·;. Nous nous sommes préoccupés de savoir si, dans la
contraction
musculaire elle-même, il n'y au- rait pas quelq
sse a durer un peu plus longtemps et à s'élever un peu plus. La
contraction
serait donc deve- nue un peu plus forte et un
Dans une autre série d'ex- périences, nous avons enre- gistré la
contraction
volon- taire du biceps droit. Pour cela, nous
, n'ayant pas eu l'occasion de prendre simultanément le tracé de la
contraction
des deux muscles. Quoi qu'il en soit, nous voyo
que nous venons d'analyser le spasme est sur- venu dès la première
contraction
volontaire ; il n'en est pas toujours ainsi, et
repos, durs comme du bois ; en soufflant sur la peau on amenait des
contractions
musculaires toniques ; de 12 CLINIQUE NERVEUSE.
ERVEUSE. môme avec les excitations mécaniques ou électriques; ces
contractions
persistaient pendant cinq secondes et plus. Sec
ter les particularités suivantes : quelquefois le bour- relet de la
contraction
musculaire persiste un peu après la cessation d
cou- rant appliqué pendant un certain temps, on n'obtient pas une
contraction
tétanique ferme et durable, mais on voit se pro
ets que l'excitation électrique de courte du- rée, c'est-à-dire une
contraction
tonique partielle, per- sistant pendant quelque
te. - Ilieii de spécial dans l'exploration électrique, sinon que la
contraction
persiste après l'excitation, qui, si elle est a
e, produit même de petites on- dulations dans les mucles en état de
contraction
to- nique. Les muscles^des extrémités inférieur
on spéciale à laquelle le malade ne se trompe pas, sensa- tion de
contraction
spasmodique du muscle, mais sans SPASME MUSCULA
xemple, tantôt, comme dans deux cas de Seeligmùller, on obtient une
contraction
nette et persistante; tantôt, comme sur le bice
à la vue, ou même, comme sur ses jumeaux, on obtient une véritable
contraction
, ce qui d'ailleurs peut s'observer aussi chez d
é de la con- traction anodale, ainsi que l'absence complète de la
contraction
d'ouverture. Mais le fait capital, celui que no
e, c'est la persistance, après l'excitation faradique, soit de la
contraction
elle-même, soit de bourrelets ou d'ondes muscul
ation semble aider à com- prendre. C'est ainsi que le spasme, ou la
contraction
brusque réflexe du tenseur du marteau, tout éta
ée en dedans; le labyrinthe se trouve alors com- primé à la moindre
contraction
de l'appareil d'accom- modation. -' Je pourra
couchée, le premier signe fut un clignement des paupières, puis des
contractions
des muscles du front et de la bouche. Elle tour
e douleurs et d'épilepsie spinale quand on prolonge les essais ; la
contraction
musculaire paradoxale du jambier antérieur, qua
ls de la tête et du cou, l'exa- gération des réflexes tendineux, la
contraction
musculaire para- doxale, l'intégrité de tous le
lle l'attention sur trois points : 1° l'accélération à la suite des
contractions
musculaires; 2° leur amplitude; 3° l'accélération
cite cependant quelques cas d'atrophie où l'on 'pouvait obtenir des
contractions
avec l'électricité statique quand toute autre exc
d'eau chaude et aussitôt après une petite portion d'eau froide. La
contraction
de l'estomac qui en résulte est tellement irrés
arque que les plis cutanés sont moins prononcés à droite, et que la
contraction
des muscles 15le CLINIQUE NERVEUSE. s'accompa
d'être atteint d'inaction conjuguée est au contraire le siège d'une
contraction
exagérée. Il y a même des cas que j'ai signalés
- commodation sans mydriase. Les pupilles sont égales, en état de
contraction
modérée. La réaction est faible pour la lumière,
avec un levier enregistreur chargé d'un léger poids, il provoque la
contraction
par une série de secousses électriques qu'il la
ptionnels, il a toujours noté une aug- mentation dans l'énergie des
contractions
après l'ablation du cerveau. D'après lui, cette
. James vient à l'appui de cette opinion ; il a toujours obtenu des
contractions
plus fortes en excitant la moelle entière qu'en
rieurs », qui ne serait autre chose que la différence d'énergie des
contractions
avant et après la décapitation. Toutefois, il y
de l'excitation produite par les centres, excitation qui produitla
contraction
simultanée de plusieurs muscles alors qu'on enr
ction simultanée de plusieurs muscles alors qu'on enregistre que la
contraction
d'un seul. Il faudrait aussi tenir compte des i
térisée par le phénomène de l'hyperexci- tabilité neuro-musculaire (
contraction
ou contracture des muscles par simple excitatio
ment à l'excitation des antagonistes. La catalepsie n'est qu'une
contraction
modérée, mais prolongée ; c'est de la contracture
sont capables de les produire. (Excitation mécanique rapide pour la
contraction
, plus forte et plus pro- longée pour la contrac
n mémoire, étudié les phénomènes qui accompagnent, par rapport à la
contraction
électrique des muscles, la dégénération des ner
sérieux et probants que ceux que peut fournir un simple examen des
contractions
ou des mouvements produits par l'excitation éle
e. Dans une première série d'expériences, l'auteuraenregis- tré les
contractions
des bastrocuémiens de grenouilles, dont les ner
us antérieurement : augmentation du temps perdu, prolongement de la
contraction
et même tétanisme par le simple courant galvani
ès, brusquement, de paraplégie flasque avec abolition des réflexes,
contractions
fibrillaires, rétention urinaire et fécale, et
111..luLt1· (de Strasbourg), sur les irrégula- rités de la loi des
contractions
musculaires chez l'homme vivant, apporte un con
de muscle pauvre en filets nerveux par l'anode provoquera une forte
contraction
à la fermeture du courant à cause de la kathode
oncerne le plus ou moins de force, le plus ou moins de rapidité des
contractions
provoquées par l'anode ou par la kathode. Ces a
n soulèvement de-.la ïambe, tantôt, rau contraireaQliejdetermmcune,
contraction
brusque ou légère TiselonJes moments. Quelqueto
contraction brusque ou légère TiselonJes moments. Quelquetois, la,
contraction
retlexe se pro- 'iiduit avec un retard normal,
r , r varm v i·vit '11t't[rtfll ? 1`II . "rr 'rtllr'l'1lJ f` d une
contraction
, montre que, entre 1 excitation et son - WiHi.
,. i·.r .m,J, n`t11 rl'i911 '.91. `ifll; : ou -' nous 'avons vu' la
contraction
remplacer la con- y r r,a v r ( t(IW t r c,llrt
Il t^w wW wW 1 1' m-'l .j.|l> > i > 1 moment où se fait la
contraction
/volontaire, celle des , |Mf« |,l i»'If"l 11 PMI
écanismes L'opinion' ! Je'M. Westphal; qui,persiste'à considérer la
contraction
musculaire ! consécutive/ au choc du tendon'com
HerbertMaYO et Caluieil'avaient remarqué ce premier fait : que les-
contractions
réflexes, lorsque l'excitation 31 G PHYSIOLOGIE
moments les muscles de, la, face du côté, droit en- la' trént en
contraction
tonique pour donner^ àJa physionomie les. aspec
? 1 '.i.. ? -> ? =s , - rr 1 n ne donne pas seulement lieu a des
contractions
de dilierents 't't'' w w111T t.t y ri' : V.W ?
hysiologistesiqueiiious. venons i de il citer; car.on.sait que, la,
contraction
, d'un- -roupeidp, muscles -l ne peut avoir un e
tion, ou-.la. destruction d'une ci paire nerveuse,, détermine, la-,
contraction
;,ou» la .paralysie de groupes musculaires agis
in pour les deux yeux. D. li. revue de pathologie nerveuse. 355
contraction
idio-musculairc. Trépidation réflexe. Nul chan-
contractilité galvanique et fara- dique, à part le phénomène de la
contraction
secondaire com- mun à toutes les atrophies musc
mais le len- demain le patient raconte qu'il a soudain ressenti une
contraction
convulsive dans la région épigastrique avant de
poche par le vomissement ou le lavage , d'où relâchement brutal et
contraction
réflexe violente de ses parois, ou bien répléti
; Congrès de la Société des médecins aliénistes allemands, 389.
Contractions
musculaires chez l'homme vivant (irrégularités
n de la personne dont il copie instinctivement et avec exactitude les
contractions
muscu laires ». Remarquons que le magnétisé imite
is l'excitation presque délirante, qui survient dans l'intervalle des
contractions
, est calmée par suggestion. L'enfant, arrêté à la
e, qui a pu se reposer avec le plus grand calme dans l'intervalle des
contractions
, au lieu de passer ces instants de répit dans l'a
légère excitation de la peau fait entrer les muscles sous-jaceuts en
contraction
, c'est l'hyperexcitabilité neuromusculaire. Dum
nvolontaire produit des accidents analogues: névralgies, congestions,
contractions
spasmodiques, etc. Les accidents produits par l
Des érections et des pollutions douloureuses dépendant des violentes
contractions
du col de h. vessie ont cédé à la suggestion égal
avons à plusieurs reprises suggestionné à la fille Caffo d'avoir des
contractions
utérines répétées à intervalles réguliers pendant
ers fourmillements : à 10 heures le travail commence franchement, les
contractions
douloureuses s'accentuent. Nous faisons une premi
uite mais les souffrances sont supprimées. A une heure du matin les
contractions
se succèdent régulièrement et trèssoutcnues.a 70U
est donnée pour supprimer les douleurs, pour obtenir l'apparition des
contractions
à intervalle de to minutes, cette suggestion s'ex
miroir, la patiente est de nouveau endormie pour recevoir l'ordre de
contractions
utérines 1res soutenues et renouvelées de deux en
a parturiente est endormie et reçoit la suggestion de n'avoir plus de
contractions
utérines, de cesser le travail de l'enfantement,
ssi a suspendre la marche de l'accouchement pendant trois heures, les
contractions
dernières reparaissent en s'accéicrant progressiv
hée en position horizontale, inconsciente de son état, prend à chaque
contraction
la plus commode et la plus favorable, à chaque po
ffrance des efforts analogues a ceux de la défécation. Après quelques
contractions
expuisives, la tête se présente à la vulve, les p
rçon de 5.100. La délivrance s'est effectuée cinq minutes après. La
contraction
de l'utérus a été si complète que l'écoulement sa
ui une action bien plus précieuse ' encore dans la régularisation des
contractions
. En effet les contractions utérines apparaissan
euse ' encore dans la régularisation des contractions. En effet les
contractions
utérines apparaissant ou dist, araissant à la vol
nt dans bien des circonstances ou il eut été sacrifié sans cela. La
contraction
se produisant sous l'influence de la suggestion,
e; sans compter qu'au moment des tractions, la suggestion aidant, les
contractions
reviennent tenaces et le dégagement se fait avec
Je ne mentionnerai que pour mémoire l'avantage de la suspension des
contractions
lorsqu'il s'agirait de modifier une position vici
, en effet, on observe jamais (sauf dans le sommeil somnambulique) de
contractions
musculaires volontaires. El celles que nous const
.:ge. quelque légères qu'elles lussent, avaient tous lescaracètres de
contractions
commandées par la volonté. Dès lors, nous n'hés
prend, lorsqu'il est découvert, de rejeter les draps sur sa tête, la
contraction
de ses muscles, etc., indiquent suffisamment que
mique, nerveuse, la moindre contrariété la fait sangloter, elle a des
contractions
fréquentes des doigts. Elle est très épuisée, éta
ses yeux se ferment, elle soupire profondément et reste immobile. Les
contractions
se régularisent (chaque 5 m.), elles sont intense
ent, la figure est calme. A 9 h., la dilatation est comme *2 fr., les
contractions
chaque 4-5 m., très inienses, durent 40-50 s., nu
10 h., dilatation comme 5 fr., la femme ne souffre plus. Pendant une
contraction
très forte, elle laisse échapper un cri, je press
e la douleur; elle respire profondément, se calme et demande à chaque
contraction
sa compresse. A II h. la dilalation est complète,
forces, ne veut plus de compresses, mais lient ma main sur ses yeux.
Contractions
chaque 2 m., pas de douleurs. A minuit, pendant u
eux. Contractions chaque 2 m., pas de douleurs. A minuit, pendant une
contraction
qui dure *2 m., la tête balaie le plancher, se mo
pirer une compresse avec quelques goulles d'éther; elle se calme, les
contractions
continuent, la femme s'endort. Quand elle se réve
de ne souffre pas, fixe la montre et respire sa compresse pendant les
contractions
, dort dans les intervalles. La sensibilité cuta
est très bien : € Cela presse, mais ne fait pas mal ». Mais à chaque
contraction
, qui sont très fortes et durent 50-35 s., elle me
vrier. A 3 h. s. la dilatation est comme 2 fr., la tête mobile. Les
contractions
toutes les 5 m, très douloureuses. La patiente de
de '2 m. par fixation d'une montre; elle reste tranquille pendant les
contractions
, gémit légèrement, mais se tranquillise dès que j
ant 1/2 h. elle reste tranquille, se plaignant légèrement pendant les
contractions
, qui se répètent toutes les 5 m. et durent 40-48
coup. Je l'endors de nouveau, elle se tranquillise immédiatement. Les
contractions
toutes les 2 m. durent 50 s. De temps eu temps el
dans le canal, la malade commence à pousser énergiquemeut pendant les
contractions
, mais reste calme. A 6h. 1/2 la poche se rompt et
ontinue â pousser sans gémir. A 6 h. 1/4, la tête se montre et eu eix
contractions
ae dégage sans que la malade pousse un cri. L'e
ite de l'utérus, une présentation du sommet en première position. Les
contractions
utérines se suivaient régulièrement. Un sentait à
vive douleur dans les lombes et immédiatement se produisit une forte
contraction
de la matrice, pendant laquelle je pus constater
surveiller la matrice. La patiente résistait et il survint alors une
contraction
utérine assez forte accompagnée d'agitation et de
à côté de la femme, d'une main placée sur le ventre, j'observais les
contractions
de la matrice, de l'autre, je suivais les progrès
ol et j'aidais même à cette dilatation en le tendant par moments. Les
contractions
revenaient (1) Pour comprendre ces paroles de d
oments : « C'est votre main qui est sur le ventre qui me gône ». La
contraction
finie, elle rentrait dans le calme et avait l'air
Delbœuf d'enjoindre à la parturiente de rester tranquille pendant la
contraction
. A la première qui survint, M. Delbœuf, plaçant l
A partir de ce moment, la patiente n'agita plus le tronc pendant les
contractions
utérines qui continuaient à se suivre avec régula
lus espacées. On commanda à la femme de pousser quand elle aurait des
contractions
. C'est ce qu'elle fit ; elle cherchait un point d
vers onze heures moins le quart. La sage-femme m'apprit alors que les
contractions
tendaient de nouveau à s'espacer et à s'affaiblir
à l'extrémité gauche du diamètre transverse. Cette fois encore les
contractions
utérines, qui languissaient, obéirent à la sugges
recommander à la femme de ne pousser qu'à son injonction. Dès que la
contraction
utérine était en train, je faisais un signe et M.
usieurs reprises, M. Del bœuf put la faire rire pendant les dernières
contractions
, alors que la tète avançait de plus en plus (I).
appeler, alors que la dilatation du col était déjà assez avancée. Les
contractions
utérines étaient très fortes et très rapprochées.
la marche du travail, mais sans faire de suggestion relativement aux
contractions
utérines. Dans l'accouchement le plus naturel,
tiente, et les deux fois il a suffi de la suggestion pour ramener les
contractions
utérines et pour les faire revenir après un laps
ue j'ai rapporté plus haut, qu'on puisse, par suggestion, ranimer des
contractions
utérines qui faiblissent, les faire revenir plus
de l'accouchement. Par suggestion, nous avons pu aussi provoquer dos
contractions
dans les suites do couches et mettre fin à un com
nt environ toutes les quinze ou vingt minutes ; dans l'intervalle des
contractions
, elle se levait et se promenait dans la salle.
euf heures trente. Elle avait dormi durant mon absence, cependant les
contractions
n'avaient cessé d'augmenter de fréquence. Pendant
ontractions n'avaient cessé d'augmenter de fréquence. Pendant chacune
contraction
, on la voyait faire des efforts pour aider la des
s douleurs passeront. (1J V. Revue de CHypnolùme, p. ï74. Mais La
contraction
arrive, elle cric. Alors je lui donne a respirer
garde autour d'elle dans Les intervalles, ferme les yeux cl dort. Les
contractions
se répètent toutes les 3-4 m., elles sont intense
es. A 9 h. 30, la femme commence à pousser très fortement pendant les
contractions
, mais ne souffre pas. A 10 h. m., vu le rétréciss
ralentit, devient plus profonde, les membres sont en résolution. Les
contractions
viennent toutes les 5 m., le ventre se durcit, ma
a malade reste tranquille, fronce à peine les sourcils. A minuit, les
contractions
deviennent plus fréquentes, toutes les 1-2 m., la
ommeil. A minuit 3/4, la tête se montre, fait sa rotation et en trois
contractions
se dégage.Ace moment la femme se réveille et crie
ypnotiques, une seule fut suivie .l'effet avec grande difficulté; les
contractions
de la figure ne se produisirent pas, le sommeil e
ombée en état de sommeil somnambulique. Les bras étaient en état de
contractions
, les globes oculaires convulsés par le haut et le
stion de Nancy, et elle montra, dans le sommeil hypnotique, les mêmes
contractions
que dans le sommeil somnambulique spontané. Je lu
fixée, la femme Fay s'endort tout d'un coup; elle s'allonge avec les
contractions
déjà mentionnées. Le tout rappelait un commenceme
de flexion est généralement moins prononcé, peut-être parce que la
contraction
se limite, d'ha- bitude, au seul muscle biceps.
ndon détermine dans le groupe musculaire correspondant une série de
contractions
réflexes rythmées. « Ce caractère, dont l'absen
ition sui- vante : le clonus doit être obtenu en l'absence de toute
contraction
volontaire des muscles de la jambe ; alors seul
emarquer que le phénomène ne se manifeste pas tou- jours dès que la
contraction
volontaire se produit, il faut que celle-ci s'o
t plusieurs minutes consécutives les muscles au degré nécessaire de
contraction
et, par conséquent, la trépidation ne présenter
e constance que dans l'épilepsie spinale parfaite. J'ajoute que les
contractions
volontaires gênent plutôt qu'elles ne faciliten
rte que les muscles du pied et de la jambe ne soient pas en état de
contraction
, et pour obtenir ce résultat il est bon de ne pas
éflexes tels qu'une flexion brusque de la cuisse sur le bassin, une
contraction
du tenseur du fascia lata, l'extension volontai
ans les cas où il y a une lésion de la voie pyramidale, produit une
contraction
des muscles extenseur propre du gros orteil, jamb
des orteils et parfois des muscles péroniers. En ce qui regarde la
contraction
du jambier antérieur, il s'agit, il est vrai, d
je constatai celle fois que l'excitation lumineuse provo- quait une
contraction
pupillaire faible, mais nette. « Ces deux exame
d'intensité « en monopolaire ou en bipolaire», on n'obtient pas de
contraction
musculaire. Or parfois, l'excitabilité faradiqu
de la contracture orga- nique et qu'elle peut être assimilée à une
contraction
musculaire voli- tionnelle. B. J'ai montré qu
stinction faite par Meige et Brissaud ; je vais les indiquer. Les
contractions
de l'hémispasme facial sont déformantes. Pour bie
si l'on veut, la déforme; mais les défor- mations produites par des
contractions
volontaires sont normales, ce sont des changeme
lière qui apparaît au menton du côté malade (voir fig. 6 et 8). Ces
contractions
s'associent les unes aux autres d'une manière con
le plus grand nombre des malades a un point de départ oculaire. La
contraction
débute par 1 orbiculaire des paupières, phénomè
labiale en haut et en arrière, l'occlusion de l'oeil associée à une
contraction
du frontal qui se manifeste par des plis cutanés
des plis cutanés à la partie supéro-interne du sourcil gauche. g.
Contraction
volontaire du côté droit de la face. On ne trouve
ntionnière irrégulière du côté malade) et la synergie para- doxale (
contraction
de l'orbiculaire et élévation de la partie intern
ents du pavillon de l'oreille du côté où siège le spasme ; enfin la
contraction
simultanée du muscle frontal et de l'orbiculair
mai 191 1) présente un malade atteint d'hémispasme facial, ayant des
contractions
déformantes et de la synergie paradoxale. And
en flexion est sujette à des variations fréquentes qui résultent de
contractions
intermittentes involontaires, souvent dou- lour
involontaires, souvent dou- loureuses, des membres inférieurs. Ces
contractions
provoquent des mouvements alternatifs de flexio
progres- sivement et tend à devenir permanente. Si j'ajoute que ces
contractions
sont lentes, on reconnaîtra qu'elles diffèrent
vu, la raideur est sujette à des variations fréquentes résultant de
contractions
intermittentes, involontaires. Depuis ma deuxiè
ement de la tonicité de celle qui dépend d'une contracture ou d'une
contraction
musculaire. b) Voici un moyen de mettre en évid
que,1 dans certains mouvements auxquels le peaucier participe, la
contraction
de ce muscle est plus énergique du côté sai
héno- FIG. 13. Hémiplégie gauche organique un an après son début.
Contraction
du peaucier du cou à droite. mène sous la déno-
eurter contre le sol. L'extension du tronc doit être modérée par la
contraction
des fléchisseurs qui ne se relâchent que progress
des fléchisseurs qui ne se relâchent que progressivement, et cette
contraction
des fléchisseurs, pour être efficace, nécessite u
s effets, il mettra en jeu les muscles antagonistes de ceux dont la
contraction
a produit le mouvement qu'il faut arrêter. Ce s
du temps perdu entre l'incita- tion volitionnelle et le début de la
contraction
musculaire. Je rappelle à ce propos que les div
e du temps perdu entre l'incitation volitionnelle et le début de la
contraction
). L'adiadococinésie serait la conséquence d'une
st caractérisé par la faculté que présentent les muscles en état de
contraction
volontaire de se maintenir longtemps immobi- le
nstamment en rotation à gauche, était à tout instant agitée par des
contractions
spasmodiques des muscles cervicaux qui accentuaie
pourra obtenir ainsi, il est vrai, une déviation faciale due à une
contraction
musculaire ou à une contracture, un spasme glosso
té un appareil de ce genre 2 qui permet d'entendre'le bruit de la
contraction
musculaire et le bruit des 'muscles 'à l'état d
quer l'incoordination, et 'que cette dernière survienne faute d'une
contraction
simultanée. Elles indiquent seulement que' l'ét
ires- des sphincters, dit ce maître émi- nent, sont dans un état de
contraction
continué, les nerfs moteurs 'qui les innervent
la partie de la moelle qui donne naissance a ces nerfs. Cet état de
contraction
Continué' des muscles a reçu te nom de tonus mu
11 ? 9 .,).il J.j.L J qu'il s'agit aussi dans ce cas, d'un, état de
contraction
jM«V19J}0lY 1111- »- UI"-f"lh-1' )V 'lS6l'to C
ent dé- 1 . 48-11 I PATHOLOGIE. tendu, il pourra donner la même
contraction
, mais l'ex- citation volontaire devra être 20.
ination devra être très marquée pour un mouvement n'exigeant qu'une
contraction
modérée des muscles, moindre pour un mouvement
ction modérée des muscles, moindre pour un mouvement exigeant une
contraction
énergique. Continuons l'hypothèse précé- dente,
travail représenté par 14, les fibres non tonifiées par 10. Si la
contraction
musculaire est très énergique, comme elle ne pe
onicité (c'est-à-dire l'incoordi- nation), sont atténués lorsque la
contraction
muscu- laire est très énergique. C'est là une d
n dcbout, un grand nombre de mus- cles entrent en action, mais leur
contraction
est si peu énergique, que dans l'état de santé
ux cette attitude devient rapidement fatiguante. Si par instants la
contraction
est moins forte, ils sen- tent leurs genoux flé
elle est rigide, contracturée. Comme dans la station, c'est par la
contraction
maximum des muscles que peut être atténuée leur
au membre inférieur sur les rotateurs en dedans; aussi, lorsque la
contraction
des muscles de ce membre est portée à son maxim
inégale tonicité de leurs muscles; ses effets sont atténués par une
contraction
maximum de ces muscles. CLINIQUE MENTALE DE
s fois de suite un mouvement volon- taire, tel, par exemple, que la
contraction
du biceps. On fait continuer ce mouvement penda
des antagonistes et des muscles associés, ne provoque-t-on pas une
contraction
intense de la totalité des muscles du membre ?
fort difficile, sauf par l'électrisation localisée, de provoquer la
contraction
d'un muscle isolé, à cause de l'association des
fibres, en rendant solidaire et synergique l'exercice fonctionnel (
contraction
simultanée des muscles droit externe d'un côté,
s muscles droit externe d'un côté, et droit interne du côté opposé,
contraction
associée des deux obliques) assurent les mouvem
chez le lapin et chez le chien, REVUE DE PHYSIOLOGIE. 131 que des
contractions
rythmiques survenaient dans le sphincter anal à
rs : on choisit des chats de forte taille, car chez ces animaux les
contractions
sont plus évidentes à la suite de la section de
ences de MM. Ott et Smith il résulte que : « Les fibres d'arrêt des
contractions
rythmiques des sphincters prennent naissance da
th ont aussi remarqué que l'électrisation du sciatique arrêtait ces
contractions
anales et que l'injection d'atropine les faisai
e ainsi que le pouvait faire une forte saignée. Le mécanisme de ces
contractions
spasmodiques est rattaché à un réflexe dans leq
. , On sait qu'un muscle soumis à une élongation brusque entre en
contraction
, pourvu qu'il soit encore relié par les nerfs à
on, pourvu qu'il soit encore relié par les nerfs à la moelle. Cette
contraction
réflexe, si bien étudiée par les Allemands sous
du muscle peut encore être ob- tenue par d'autres procédés. , La
contraction
du muscle antagoniste, provoquée par une forte
, chez l'homme sain, la traction brusque d'un muscle exercée par la
contraction
de son antago- niste. Voici comment nous avon
Chaque mouvement de flexion de l'avant-bras, c'est- à-dire chaque
contraction
du biceps, actionnant le tambour explorateur, o
ique du biceps; le second, à l'excitation réflexe produite.par la
contraction
du triceps. Ce dernier muscle, en effet, a été
l'exci- tant, par conséquent, et c'est précisément cette seconde
contraction
réflexe du biceps qui est indiquée ici par le d
définir cette série d'excitations réciproques en disant que : la
contraction
initiale du biceps a produit le phénomène du te
de chaque côté du point d'appui de ce levier, de façon à ce que la
contraction
de chaque groupe musculaire fasse dévier en sen
ntes. Le caoutchouc, brusquement et fortement tendu par la première
contraction
du bi- ceps, exerce à son tour, lorsqu'il revie
. Or, nous savons que l'allongement brusque du muscle provoque sa
contraction
; dans le cas présent, cette contraction ou racc
que du muscle provoque sa contraction; dans le cas présent, cette
contraction
ou raccourcissement secondaire du muscle déterm
c, lequel, en revenant brusquement sur lui-même, provoque une autre
contraction
du biceps, et ainsi de suite. Il se fait de la
anément 1'1..1 '.il; ? Ii... - \.¡ .j \ .)... ? -" .4 ....... les
contractions
,des; muscles, antérieurs,.MA,.et postée rieurs
uement le gastrocnémien, puis est repoussé par le pied, grâce à la'
contraction
réflexe de ces muscles, si i ? l'H11 f . les
"l d'inscrire ? , " , , , ..^t Dans la fig. 11, on peut voir les
contractions
des muscles postérieurs de là jambe; -PJ, et ce
avons faite sur l'homme sain avec la bande de caout- chouc ;'l',la"
contraction
? du' biceps est ici "remplacée par celle des m
s 'des conditions'où le' réflexe tendineux est exagéré, * et chaque
contraction
des muscles antérieurs de la jambe fig.n 1/ ,.
tures (palmaires, M P) ont "une seconde secousse provoquée par la
contraction
de leurs antagonistes. ' Fig. 13. - T,e»2blen ?
ntracture du biceps, puis survient une série de secousses dues à la
contraction
du triceps. Tous ces détails sont d'une observa
. exemple, s'il s'agit de porter la main au visage, fait naître des
contractions
réflexes du triceps, et vice versa. il , l .i `
rieur gauche : des 'mouvements' de totalité- sont' imprimés par des
contractions
rhytlmique1 dut grand ? dorsal ; le.jbiccps et,
s. CONCLUSIONS. - 1° L'élongation brusque d'un muscle provoque sa
contraction
(phénomène du tendon) / et l'énergie de cette c
ovoque sa contraction (phénomène du tendon) / et l'énergie de cette
contraction
est en rapport direct avec la force qui l'a dét
de son point d'attache, ou par une i hni mi ' ' "<) ' z forte
contraction
du muscle antagoniste; ., ...1' 3° Si la tracti
ions d'intensité (bande de caoutchouc), elle détermine une série de
contractions
réflexes, toujours rhythmées, et de nombre à pe
à son antagoniste. Il est d'abord mis en mouvement par une première
contraction
volontaire, par une exci- tation électrique ou
e ; et ses oscillations provo- quent dans le muscle antagoniste des
contractions
, rhythmiques qui constituent le tremblement ; ,
81 duits par la faradisation du cerveau semblent varier comme les
contractions
moins complexes que détermine la faradisa- tion
n r='117ri , , "dit.. muscles de la. région hyoïdienne entraient en
contraction
to- v a 11U n,J .1 Gllt J Jl ? nlll 1 '.n.li.n.
enne ,de la^rèaction de, Jj dégéné1'escence ;" réappal'itionl' des,
contractions
cloniques-toni- 'J,q ? l da,1}s.le,[,Tç.zes de.
ance, mais avec perte de, la parole. L affection icon- siste en une
contraction
tonique et cloniqué intermittente;et, extrêmeme
c de très fo ! ;f,src,C ! .uJ : a ? s" \1 ? A°n,1J,a¡ ? l, ! ucl1}e
contraction
,; excepté -dans les' ' ? r.nt.- ? u.ir. ,; ? -j
th9 : rad)lelement A S Z devint ,V ILS, Z, 'sans que'la forme des
contractions
}ut notablement altérée. ill n.'y.eut pas d'augnie
es de rigi- dité tétanique ; sa tête était tirée en arrière par les
contractions
spasmodiquës des'muscles. Il mourut en janvier
; en général un léger degré de désordre dans les mouvements ou de
contractions
spasmodiques sera un des premiers signes. Lorsq
ruz.. l' 9`vJ.1` âàà ? 3%1 laire devint suffisant pour provoquer la
contraction
"réflexe de la vessie qui ne pouvait encore se
court, une semaine et probablement moins; qu'une fois vaincue, la
contraction
n'a pas de tendance marquée à se reproduire. C.
plancher du quatrième ventricule. CH. F. XXVII. SUR UNE SORTE DE
CONTRACTION
MUSCULAIRE paradoxale; par C. WESTPHAL. (Arch.
e; par C. WESTPHAL. (Arch. für Psychiatrie, t. X.) Sous le nom de
contraction
musculaire paradoxale, Westphal désigne un phén
ns muscles, en rapprochant leurs points d'attache, on détermine une
contraction
de ces muscles. Le relâchement du muscle agit i
stance de la flexion du pied s'ob- serve fréquemment aussi quand la
contraction
musculaire est provoquée par la faradisation,et
s fort remarquable, la narcose chloroformique a fait disparaître la
contraction
musculaire paradoxale. Quant à la nature du phé
serait pré- maturée. Westphal fait remarquer en terminant que la
contraction
musculaire paradoxale est juste l'opposé du phé
phénomène qu'il a décrit antérieurement avec Erb, et dans lequel la
contraction
est provoquée par une extension brusque du musc
un animal à sang chaud, immédiatement après la mort, on obtient des
contractions
manifestes en excitant la moelle. La substance
t avec le courant continu, l'intensité néces- saire pour amener une
contraction
est très faible ; avec les courants induits mêm
en ou presque rien. Sur le vivant, le courant continu ne donne de
contraction
qu'à la fermeture et qu'à l'ouverture; sur le c
e d'affirmer la mort réelle, mais cer- taines modifications dans la
contraction
suffisent pour donner des renseignements précis
ires, dans les contractures hystériques et dans ce qu'il appelle la
contraction
émotive (emotional contraction). 'Dans l'ostéit
tériques et dans ce qu'il appelle la contraction émotive (emotional
contraction
). 'Dans l'ostéite chronique des extré- mités ar
de la contractilité faradique dans les muscles ainsi atteints. La
contraction
émotive détermine seulement l'atrophie par défa
es épaules et les membres étaient ensuite agités de secousses et de
contractions
saccadées et involontaires ; ces divers phénomè
t certains mouvements, tandis que d'autres mouvements, réclamant la
contraction
des mêmes muscles en combinaisons différentes,
égiques le côté sain n'est pas absolument sain. L'amplitude de la
contraction
est plus forte du côté contrac- ture. La durée
la contraction est plus forte du côté contrac- ture. La durée de la
contraction
est de 1/3 à /2 seconde envi- 500 bibliographie
suite de percussions rapides sur le tendon. Quant à la forme de la
contraction
elle est étudiée avec détails et mise sous les
arrive à cette conclusion que la contracture est due non pas à une
contraction
permanente, mais à une exagération du tonus mus
nsidérable de l'excitabilité galvanique cadrant avec la lenteur des
contractions
produites : tels sont les résul- tats obtenus p
laires, atrophie des muscles masticateurs du même côté, parésies et
contractions
convulsives des muscles de la langue, anarthrie
réflexe par excitation cutanée que par excitation lumineuse, à la
contraction
qu'à la dilatation réflexe des pupilles. On peut
avec la conception mentale du fait, la sensa- tion douloureuse des
contractions
. Le pronostic des psychoses puerpérales est, en
i distingue deux formes de migraine : 1° la forme angiolonique avec
contraction
des vaisseaux crâniens, produi- sant une pâleur
8, 509, 510. Congrès. En Italie, 3'.9; a Londres, 349, 646. -
Contraction
musculaire paradoxale, par Westphal, 435. Con
ourdissement, c'était plutôt une sensation motrice de raideur ou de
contraction
, une crainte (receio) comme il l'appelait, qui
eurs ont réunies sous le nom de sens musculaire, et la notion d'une
contraction
des muscles et de la mesure même de celle contr
notion d'une contraction des muscles et de la mesure même de celle
contraction
me paraît indéniable. Il suffit d'avoir recherc
ibilité musculaire proprement dite, uniquement mise en éveil par la
contraction
des muscles, facilement perçue quand on s'oppose
ouwer eût désavoué l'exactitude. Et ces crispations des poings, ces
contractions
des bras, ces mouvements brusques des jambes, q
il se produisait une saillie énorme au devant de la cuisse due à la
contraction
du quadriceps suivie de relâchement brusque et do
rès les mêmes que dans la marche ordinaire. Il en est de même des
contractions
musculaires qui ne diffèrent que par.une plus g
rement aussitôt que le contact avec le sol est bien assuré et la
contraction
du quadriceps se montre alors comme dans le pas
orde par le ta- lon. Ce mouvement d'extension est déterminé par une
contraction
brus- Fig. 18. Démarche sournoise. - Moment du
hot. inst. de M. Londe). 78 PAUL RICHER que du muscle quadriceps,
contraction
dite balistique, et qui se produit explosivemen
pas, ce muscle de la jambe oscillante est tour tour dans un état de
contraction
de courte durée et de complet relâchement. Une
ourte durée et de complet relâchement. Une semblable alternative de
contraction
et de relâchement se produit sur le même muscle
oduit sur le même muscle de la jambe portante ; au début du pas, la
contraction
se manifeste, mais plus soutenue et pro- longée
aire longtemps prolongé, et qui consiste dans des alter- natives de
contraction
et de relâchement, d'activité et de repos. Voyo
écédem- ment dans un état de relâchement complet accentue encore sa
contraction
pour soutenir le poids du corps qui tendrait à
accentuer la flexion du membre qui lui sert alors de soutien. Cette
contraction
est celle que nous avons appelée contraction fr
lors de soutien. Cette contraction est celle que nous avons appelée
contraction
frénatrice, elle dure tout le temps du soutien ;
l pendant toute la durée du pas, bien que le genrede travail varie (
contraction
dynamique pendant l'oscil- lation, contraction
nrede travail varie (contraction dynamique pendant l'oscil- lation,
contraction
frénatrice pendant le soutien). 'Certains carac
is il est un point que les auteurs ont négligé, c'est l'étude de la
contraction
musculaire; or il est facile de démontrer, ains
M. le professeur Marey, est beau- coup plus complexe. Un muscle en
contraction
statique ou frénatrice ne produit pas de travai
et d'une dépense de force en rapport avec le degré et la durée delà
contraction
, C'est le cas du muscle quadriceps dans la marc
nt. Celui-ci montre que toute vie n'est pas éteinte en-lui, par les
contractions
fibrillaires que détermine un courant induit. D
atro- phiés. Senator a trouvé dans notre cas une exagération de la
contraction
idio-musculaire; Pincus a noté, au contact des
anique. Le courant faradique indique l'état du muscle; en. effet la
contraction
132 A. WEIL ET J. NISSIM musculaire est d'aut
s les muscles sains, faible dans les muscles en partie atteints, la
contraction
faradique est nulle dans les muscles fibreux ou
sihle sur le bord antérieur de la fosse temporale, il chacune de leur
contraction
. 11 est impossible de décrire l'état des ptéryg
tout un groupe musculaire siégeant dans le voisinage et montrer des
contractions
fasciculaires et cela bien que l'amaigris- seme
res normales. Le courant induit déter- mine en quelques endroits la
contraction
de quelques fibres dans les muscles atteints. L
du muscle resta fibreuse. Le courant induit,a ce niveau, donne une
contraction
fibrillairc seulement. For- mation de noyaux da
aque antérieure et supérieure et au fémur. Réactions électriques. -
Contractions
faradiques normales dans les por- tions muscula
tions musculaires non ossifiées ; l'excitation galvanique donne une
contraction
dans laquelle An F. C. commence plus tôt que d'
- nifeste sur les deux nerfs accessoires. Un fort courant donne des
contractions
énergiques sur le nerf cubital; les muscles tra
cléido-mastoïdiens ne dounent rien. Un courant très fort donne des
contractions
plus fortes à droite qu'à gauche. L'excitation
itation directe. Le deltoïde gauche se contracte difficilement ; la
contraction
se mon- tre avec un courant très fort. A peine
bles du dos, rhomboï- des et grand dorsaux, donnent une très petite
contraction
faradique. Le sacro- lombaire réagit bien. Les
e grand pectoral : celui-ci, quoique ossifié, donne e cependant des
contractions
fibrillaires au contact. Diminution de la sensi
rosé ; la surface est polie, brillante, oedématiée, anémiée. Pas de
contractions
fibril- laires sur la coupe. .. Examen micros
face, et que l'électrisation de cette zone excitable pro- voque des
contractions
musculaires, suivant un ordre déterminé, Charcot
u- laire considérable; le second temps en particulier nécessite une
contraction
synergique forte et prolongée des muscles grand
, au contraire, conservée, mais sensiblement diminuée ; de plus les
contractions
obtenues sont lentes avec N F C P F C. Donc il
leurs congénères. A notre avis, le point capital réside dans cette
contraction
simultanée du grand dentelé et du trapèze scapu
tion simultanée du grand dentelé et du trapèze scapulaire. Et cette
contraction
simultanée, synergique, se manifeste, en partic
telé et son trapèze scapulaire. Que s'est-il donc passé ? Il y a eu
contraction
violente et brusque de ces deux muscles. Cette
l y a eu contraction violente et brusque de ces deux muscles. Cette
contraction
musculaire a pu produire un tiraillement, une d
scles qu'ils innervent. Le tiraillement des nerfs été le fait de la
contraction
forcée du muscle (1) Duchenne, Physiol. des mou
T P. DUVAL grand dentelé et du trapèze scapulaire, ou le lait de la
contraction
de tout autre muscle. On peut se poser la quest
dis- position favorise-t-elle le traumatisme du nerf au cours de la
contraction
musculaire ? Il est simplement permis de le sup
ire ? Il est simplement permis de le supposer. On a vu en effet des
contractions
musculaires violentes et brusques tirailler, co
son observation et de ses recherches que la paraly- sie radiale par
contraction
violente et soudaine doit ètre beaucoup plus fr
l'acte de pousser devant soi un corps très lourd outrés résistant;
contraction
musculaire simultanée, violente et brusque, pro
muscle, le bras peut être élevé jusqu'à la ligne horizontale par la
contraction
isolée du deltoïde. Notre malade exécute ce mou
st le muscle deltoïde qui se contracte seul. Or le deltoïde, par sa
contraction
isolée, imprime à l'omo- plate un mouvement de
elé, est en effet identique il celle que Duchenne produisait par la
contraction
électro-physiologique isolée du deltoïde. « Dan
n mouvement pathologique semblable à celui qui est pro- duit par la
contraction
du deltoïde. Il ne pourrait en être autrement car
ysie isolée du muscle grand dentelé. Quoi qu'il en soit, c'est la
contraction
isolée du deltoïde qui détermine directement, d
de la moitié droite du thorax semble proportionnelle au degré de la
contraction
des inspirateurs accessoires : plus leur contra
au degré de la contraction des inspirateurs accessoires : plus leur
contraction
est énergique, plus la difformité est accu- 444
lus la difformité est accu- 444 A. SOUQUES ET P. DUVAL sée. Cette
contraction
exagérée est déterminée par le besoin de lutter c
ralytique semble en effet déterminée, dans cer- tains cas, par leur
contraction
simultanée, capable de produire un tirail- leme
entôt surmontées. NOTE SUR - UN CAS DE CHORÉE VARIABLE . AVEC
CONTRACTIONS
FASCICULAIRES DES DELTOÏDES ET CRAQUEMENTS ARTI
ractent de l'autre (1). Un fait qui me paraît moins connu, c'est la
contraction
indépendante des divers faisceaux d'un même muscl
contraction indépendante des divers faisceaux d'un même muscle. Ces
contractions
dissociées peuvent provoquer dans les articulatio
plus sans intérêt. L'observation qui nous fournit un exemple de ces
contractions
mérite d'ailleurs l'attention à d'autres points
es de l'oeil. - Guérison apparente. Rechutes. Chorée partielle avec
contractions
(asciculaires des deltoïdes. E. B., 14 ans, s'e
H o M M- l'1 e > M ? M r l'1 Ut Fio. 1.
Contractions
fasciculaires des Deltoïdes dans un cas de chorée
laires des Deltoïdes dans un cas de chorée variable. A. Courbes des
contractions
du faisceau antérieur du deltoïde droit. - B. Cou
ontractions du faisceau antérieur du deltoïde droit. - B. Courbes des
contractions
du faisceau postérieur du même muscle C. Métron
tambour myographique, on peut se rendre compte de l'alternance des
contractions
de ces deux faisceaux (Fig. 1), qui provoquent de
donnés des muscles intrinsèques de. l'oreille : Ilaug a signalé des
contractions
cloniques des muscles du mar- teau du côté gauc
, dans un dernier accès aux deux deltoïdes, et la discor- dance des
contractions
des faisceaux de ces muscles. On peut trouver l
volontaire du bras dans le cas de paralysie du grand dentelé. La
contraction
, indépendante des différents faisceaux des muscle
s, qui ne se produisent que dans les mouvements provo- qués par une
contraction
partielle, montrent bien qu'une déviation de la
est âgé de 5 ans et 9 mois. Il tient sa tête en torticolis, pas de
contraction
du sterno-cléido-mastoïdien gauche. Dans les mu
on des pe- tites bouchées se fait bien, la déglutition est normale.
Contractions
fibrillaires du masséter droit à la mastication
len- tille a celle d'une noisette, au contact desquels on sent des
contractions
fibrillaires intenses dues sans doute à une irr
lombaire. '^Partout à la limite des masses osseuses on constate des
contractions
fibrillaires. Celles-ci sont surtout marquées d
ne dureté des muscles extenseurs. L'électricité faradique donne une
contraction
à peine sensible dans les mus- cles dégénérés.
ige (22 pliot., 2 planches en couleur), 492. Chorée variable avec
contractions
fascicu- laires des deltoïdes (note sur un cas
gures), 321. Féré (Cu.). Note sur un cas de chorée variable avec
contractions
fasciculaires des deltoïdes et craquements arti
baissé. A gauche, l'oeil est découvert, mais la paupière est aussi en
contraction
, quoique beaucoup moins qu'à droite. Le sourcil
urcil du même côté est un petit peu soulevé. On remarque de légères
contractions
fibrillaires la paupière droite et quelquefois
me intensité ; par moments, il augmente ou il diminue ainsi que les
contractions
fibrillaires elles-mêmes. Le malade affirme d'ê
ce lorsque le malade gonfle les joues ou fait l'acte de siffler. La
contraction
des peauciers est très bonne et égale des deux
xemple, assez fréquents chez les hémiplé- giques, il arrive que les
contractions
musculaires se produisent dans les muscles norm
nheim, dans un cas de paralysie faciale périphérique, a observé des
contractions
qui faisaient dévier à gauche la mâchoire inférie
res de l'oeil gauche. Jolly a remarqué dans la diplégie faciale des
contractions
des muscles zigomatiques parétiques pendant la fe
é que lorsque le malade ferme les yeux, se produit non seulement la
contraction
de l'orbiculaire des paupières, mais aussi cell
t le facial du côté sain,avec le courant électrique, on obtenait la
contraction
des muscles du côté opposé. Plus rarement on a
ans expression, mais les excitations dou- loureuses sont suivies de
contractions
musculaires symétriques, qui se main-; tiennent
(2) Paraplégie spasmodique organique avec contracture en flexion et
contractions
musculaires involontaires. Société de Neurologi
ation de la zone abdominale SUà-ItlârII1111e ne donne liau à aucune
contraction
réflexe visible dans la même région, mais on ob
région, mais on observe à chaque trait de l'aiguille d'un côté une
contraction
des parties moyenne et supérieure du même côté
sont maintenus d'une façon plns ou moins constante dans un état de
contraction
forcée ; de là la douleur dont la malade se plain
it suivi des traitements qui ont soulagé le torticolis, mais non la
contraction
douloureuse des muscles de la main : elle fait
duction d'une assez grande intensité ne réussit pas à provoquer des
contractions
et, par le courant voltaïque, on obtient seulem
l'excitation des fibres sensitives tendino-musculaires pro- duit la
contraction
réflexe exagérée. Dans la lèpre nerveuse on tro
exe, toujours est-il que le résultat est la plus grande facilité de
contraction
. Cette augmentation est plus appareille en cert
très légères et lentes secousses. Il faut, pour obtenir ces petites
contractions
, agir avec des courants d'une intensité plus gr
explique l'indolence à la pression et surtout l'absence complète de
contraction
musculaire, consécutivement à l'électrisation d
devient subordonné aux impulsions de la volonté.' D'autre part, les
contractions
de la musculature faciale demeurent par la suit
déré comme foficlionnellement inactif, préside- rait d'une parla la
contraction
des libres musculaires lisses et d'autre part 2
ce (5). J'ai cons- taté chez beaucoup de sujets sains, qu'après une
contraction
musculaire prolongée, ils sont à même d'accompl
rqué que les mouvements volontaires exécutés tout de suite après la
contraction
musculaire dans la direction même de ce mouveme
musculaires, articulaires et tendineuses qui se produisent après la
contraction
muscu- laire, c'est-à-dire à leurs images cénes
pplication subséquente d'un stimulus faradique n'a déterminé aucune
contraction
musculaire. Moi-même, j'ai appelé l'attention sur
ende Ersr : 1zeinungen, Wiener klin. Wochenschr., 1899) obtient des
contractions
musculaires toniques par l'excitation de partie
toniques par l'excitation de parties caudales du noyau caudé et des
contractions
cloniques par l'ex- citation des parties du mil
t. C'est l'excitation du noyau lenticulaire seul qui provoquait des
contractions
musculaires toniques héléro-latérales. - Ziehen
l'écorce il trouve le noyau lenticulaire du lapin inexcitable. Les
contractions
musculaires, qu'on observe parfois en ce cas, s
pour le noyau lenticulaire, dont la stimulation provoque- rait des
contractions
musculaires de caractère tonique ou clonique chez
volontairement. La figure, quoique sans expression, est le siège de
contractions
musculaires involontaires, le front est parfois
de temps en temps une des épaules est relevée. Quelques-unes de ces
contractions
sont très vives, parfois elles durent quelque tem
ont très vives, parfois elles durent quelque temps (par exemple les
contractions
des muscles frontaux). Ces mouvements involon-
s, il n'atteint pas son but. Je lui demande de siffler, il fait une
contraction
passagère de l'orbiculaire, mais les lèvres ne
e l'index, qui à son tour est mis en flexion et en adduction par la
contraction
intermittente du muscle interosseux externe. Le
resque continue, surtout dans les articulations proximales. Par des
contractions
irrégulières des muscles in- terosseux, les pha
lenteur. De temps en temps, par une secousse vive, entrecoupant les
contractions
des fléchisseurs, la main exécute un mouvement de
donner,des positions excessives aux doigts et à la main, malgré lès
contractions
continuelles des muscles. Les mouvements passifs
rs du bras, nous remarquons que chaque nouvel effort se heurte à la
contraction
de ces muscles. Le même phénomène est constaté qu
quand^le malade veut mettre le bras en extension : c'est encore la
contraction
des anta- - gônistes qui empêche le mouvement p
i opposent les flé- ''cbisseurs insuffisamment relâchés et dont la'
contraction
fait rebondir le ' membre. Au moment où les ava
s remarquons des mouvements associés de l'épaule, des grimaces, des
contractions
de la musculature de l'autre bras. Les mouvemen
e relâche- ment des antagonistes est irrégulier, entrecoupé par des
contractions
. Après avoir exécuté deux ou trois fois ces mou
ement intentionnel est exécuté bilatéralement; pendant l'effort les
contractions
choréo-athétosiques sont arrêtées. Extrémités i
pos il y a - une certaine agitation musculaire. Nous remarquons des
contractions
invo- lontaires des adducteurs, du muscle exlen
as exagérés. Les réflexes plantaires ont le type normal. Malgré les
contractions
sponta- nées du muscle extensor hallucis, les e
ouvement de flexion, souvent le membre est fixé en extension par la
contraction
spasmodique des antagonistes. Après un temps pe
un temps pendant lequel les muscles intéressés sont tour à tour en
contraction
et en relâchement, le mouvement demandé est exé
e d'inner- .vation musculaire, les extenseurs du pied sont en forte
contraction
. Pour mettre le talon sur le genou de l'autre m
des jambes se heurte à des difficultés énormes. Au commencement, la
contraction
des fléchisseurs accentue la position, qui, pré
En palpant les tendons des fléchisseurs, nous avons la sensation de
contractions
et de relâchements alternatifs. Quand, à la fin
tre malade au début du mouvement actif par la force mécanique de la
contraction
dos antago- nistes ? Celle explication ne peut
e; par elle non seulement l'action des m. agissants est arrêtée, la
contraction
involontaire des antagonistes produit également l
détacher sur notre ordre la jambe du plan du lit. On remarquait les
contractions
forcées de plusieurs grou- pes de muscles : les
n du visage qui attire notre attention. Les muscles faciaux sont en
contraction
presque perma- nente, la bouche est enlr'ouvert
ées ; la musculature des extrémités est en légère agitation par des
contractions
cloniques plus du moins fortes. Aux membres infér
inférieurs c'est le muscle extensor hallucis longus 'qui montre les
contractions
les plus prolongées. La présence de ces phéno
are ses im- pressions à celles d'une femme enceinte qui perçoit les
contractions
de sa matrice et les mouvements de l'enfant. A
soulève les parois du ventre, ballon- nement dur, mat ou sonore, en
contraction
tétanique, très sensible au toucher et qui le p
uloureuse. D'autres fois le lavement est gardé, comme happé par une
contraction
anormale, accompagnée d'une recrudescence des s
ement la tête vers la gauche, dirige le regard à gau- che, et a des
contractions
des muscles gauches du visage et des membres ga
taques présentent tous les caractères de l'épilepsie, seulement les
contractions
commencent quel- quefois dans la main droite (c
r des troubles du métabolisme, mais aussi, pour une partie, par les
contractions
musculaires et que, par conséquent, l'intoxicat
rés. En dehors des repas il se produit parfois des nausées, dues à la
contraction
spasmodique du diaphragme, de l'estomac et de l'œ
as. Notre appareil a enregistré les modifications survenues dans la
contraction
musculaire pendant les mouvements convulsifs du b
appliqué le tambour explorateur sont alternativement dans un état de
contraction
et de relâchement relatif. Enfin, on peut remar
es font saillir les sterno-mastoïdiens. Toute la face est agitée de
contractions
qui se succèdent rapide-ment, et l'écume coule en
eux grands ouverts se convulsent. Strabisme en dedans de l'œil droit,
contraction
pupillaire ; la bouche est démesurément ouverte e
mouvement analogue, se fléchissent et s'étendent avec lenteur dans la
contraction
de tous leurs muscles. b) Immobilité tonique (p
fin, comme je l'ai déjà dit, la résolution est souvent incomplète, la
contraction
musculaire persistant d'une façon générale, ou su
ons qui suivent les mouvements de la cage thoracique et sont dus à la
contraction
spasmodique du diaphragme. D'abord lents, ces bru
n (fig. 84), mais ils ne restent pas dans une im-mobilité absolue. La
contraction
semble varier à tout instant, aug-mentant ou se r
nregis-treur, que le muscle demeure peu de temps dans Te même état de
contraction
. Tantôt la contracture s'exagère successivement s
tiente. Fig. 85. Quatrième période. Contractures généralisées. La
contraction
des muscles abdominaux est telle que la com-press
rants électriques sont sans effet sur ces contractures. Cet état de
contraction
musculaire sfénéralisée donne à la ma-lade des at
varie sinon dans son en-semble, au moins partiellement, vu l'état de
contraction
instable du muscle; nous sommes en présence d'une
, qui présente les caractères de l'épilepsie, avec prédominance des
contractions
toniques, dure quelques minutes. Puis les bras
sion, elle paraît dormir. —• On voit encore de temps à autre quelques
contractions
dans les membres; puis bientôt l'attaque recommen
de ce que cette enfant nous a présenté dans les trois mois suivants :
contractions
toniques et cloniques (première période?), crises
t comme accident initial, tantôt — et le plus souvent — de vio-lentes
contractions
utérines, suivies bientôt d'une douleur intense d
u. Il ne restait plus, comme au début de la maladie, que de violentes
contractions
utérines, déterminant encore des malaises, mais n
le (mai 1877) : L'articulation coxo-fémorale gauche est le siège de
contractions
muscu-laires douloureuses; la douleur siège au ni
nt; la face reste légèrement congestionnée, elle est animée de brèves
contractions
, de légères secousses se succédant pour ainsi dir
ion, sentiment de strangulation ; puis, chute, perte de connaissance,
contraction
tétanique des muscles des membres, de la tête qui
he; le pouls est insensible. Après quelques minutes de cet état, la
contraction
tétanique cesse, l'agi-tation devient plus grande
chez nos malades est frappante. La période épileptoïde existe avec la
contraction
tétanique de la phase tonique et les tremblements
tout à coup et resta sans mouvements et sans parole. Il y eut ensuite
contraction
vive des muscles masséler, grincement de dents, r
multueusement, le pouls était plus fréquent, petit et irrégulier. Les
contractions
musculaires étaient si fortes, qu'à peine trois o
ériode épileptoïde est suffisamment indiquée par le début brusque, la
contraction
vive du muscle masséter, le grincement de dents,
tractures. 16 avril. — La contracture de la face a fait place à des
contractions
cho-réiformes qui occasionnent des grimaces conti
mai. — La malade a eu du délire plusieurs fois; ce matin ce sont des
contractions
de la face. Elle prend de la belladone depuis qui
ent : contractures partielles, paralysies partielles avec anesthésie,
contractions
choréiformes, hallucinations variées et passagère
us les membres sont pris d'un trem-blement général,alors arrivent les
contractions
cloniques; la malade s'êgra-tigne la figure, se t
ortement rentrés, et le corps tout entier ne tarde pas à être pris de
contractions
toniques; par moments, la tête seule et les talon
on- 1. Raillif, loc. cit., p. 30. sidérablement distendu, que les
contractions
toniques ou cloniques sont le plus violentes. Ne
drons dans un instant. Cet état, avec une alternative de coma et de
contractions
cloniques et toniques, dure en moyenne trois heur
reprend lentement connaissance. Sa sensibilité revient peu à peu, ses
contractions
disparaissent, mais lentement. Ni les pleurs, ni
ode. « Peu de temps après l'apparition du globe hystérique et de la
contraction
spasmodique des muscles du pharynx, la malade pou
ns cette région. Là aussi, l'on sent et l'on voit un mouvement et une
contraction
ondulatoire irrégulière. De là le spasme, sans ab
et il se contracte, se plie et se con-tourne dans tous les sens. Les
contractions
de la poitrine viennent ajouter à la gêne de la r
sensation d'un cercle qui en serrerait la base. Il en est de même des
contractions
de l'abdo-men, qui resserrent cette capacité très
s clorso-lombaires n'est pas moins vio-lemment agitée. Elle opère ces
contractions
partielles et ces torsions brus-ques qui fléchiss
fermé, et quelquefois dans un étal d'extase ou de somnambulisme. Les
contractions
recommencent bientôt avec la même fureur. Quelque
on seulement dans son intensité, mais dans ses phénomènes. Tantôt les
contractions
alternatives} se succèdent avec rapidité et produ
dent avec rapidité et produisent des mouvements continuels. Tantôt la
contraction
d'un certain nombre de muscles reste permanente p
e ces expressions passionnées, auxquelles coopèrent non seulement les
contractions
des muscles du visage, mais celles des membres et
ssemble beaucoup au vertige épileptique qui s'ac-compagne de quelques
contractions
musculaires rapides et locali-sées à certains gro
e chute, mais certains malades tombent presque toujours... » ... La
contraction
musculaire subite,généralisée ou partielle, avec
tourne, la pointe en haut, l^a parole est coupée net. Puis quelques
contractions
apparaissent dans la face et les membres du côté
ment la main droite est animée de petits frémissements, et de légères
contractions
se montrent dans la face, surtout du côté droit.
rienne, qui est permanente et double, tout en étant plus Fie. 88. —
Contractions
partielles de la face dans le vertige épileptoïde
dirigée un peu en haut et à droite. Les traits grimacent, de petites
contractions
parcourent la face, elles sont plus fréquentes et
t tournée complètement à gauche. La face, cyanosée, est le siège de
contractions
intenses, les paupières battent, les yeux, convul
chaient subitement, les fesses retombaient avec force sur le lit. Ces
contractions
se répétèrent avec ra-pidité et sans interruption
ingt minnles et môme davantage. A la fin, aussi, on ob-sérveles mêmes
contractions
de la face, les mêmes modifications de la phy-sio
ué, analogue à celui qu'on remarque dans les muscles fatigués par des
contractions
pro-longées. Nous mettons sous le nez de la malad
oit en pressant, soit en frottant, même légèrement, pour provoquer sa
contraction
, à la façon de ce qui a lieu quand on pratique l'
ilement en contracture permanente; l'excitation d'un nerf provoque la
contraction
des muscles qu'il innerve. Ainsi, il suffît d'une
du lobule de l'oreille, au point où émerge le facial, pour amener la
contraction
des muscles du même côté de la face; chaque muscl
a face et ceux des membres. A la face, on provoque très facilement la
contraction
des muscles, mais difficilement la contracture. I
A la face, l'excitation mécanique des muscles ou des nerfs amène une
contraction
; aux membres, l'excitation mécanique des muscles
un tronc nerveux fait contracter tous les muscles qu'il innerve. La
contraction
du muscle peut être provoquée par l'excitation mé
cette différence toutefois, qu'aux membres la contracture remplace la
contraction
. Dans ce dernier état, les muscles et les nerfs s
que d'un nerf mixte pro-voque dans tous les muscles qu'il innerve une
contraction
difficile à analyser, parce qu'elle ne peut être
me je l'ai déjà dit, l'excitation mécanique ne donne lieu ici qu'à la
contraction
. Si l'excitation a été profonde et prolongée, la
qu'à la contraction. Si l'excitation a été profonde et prolongée, la
contraction
pro-duite se maintient quelques instants, mais el
rtir de la parotide peuvent être excités sépa-rément et produisent la
contraction
des muscles soit de l'œil, soit du nez, soit de l
uscle en état de contracture per-manente et n'a jamais produit qu'une
contraction
. Cette expérience a été répétée depuis avec suc
s ici. Il est impossible de provoquer par une excitation mécanique la
contraction
ou la contracture permanente du muscle. La fricti
dant, le muscle conserve la propriété de proportionner le degré de sa
contraction
à l'effort qu'il doit vaincre. Ainsi le bras éten
Nous lui prîmes alors les deux mains et fîmes de violents efforts de
contraction
des muscles de l'épaule et du bras, tout en lui p
et du nerf facial au sortir du trou stylo-mastoïdien, on provoque une
contraction
de tous les muscles de la face du même côté : le
x épaules une zone d'hyperesthésie, dont l'at-touchement provoque une
contraction
douloureuse du visage, des plaintes et des tressa
mais il semble, en outre, que l'excitation se propage, et souvent la
contraction
se pro-duit en même temps dans les muscles voisin
Quand la malade revenait à elle et recou-vrait son intelligence, les
contractions
musculaires persistaient encore pen-dant quelque
le; enfin, en touchant légèrement les paupières, on faisait cesser la
contraction
des muscles orbiculaires, et la malade,jusque-là
relâcher les muscles orbiculaires des paupières sans faire cesser les
contractions
des autres muscles. En un mot, il restituait à la
on très pénible, les muscles de l'épaule et du bras, par une suite de
contractions
tétaniques tellement violentes qu'on les voyait s
iciellement imposée : la passivité musculaire était remplacée par des
contractions
tétaniques, par une véritable contracture qui dur
alepsie, et néanmoins quelle opposition dans les symptômes! D'un côté
contraction
violente et soutenue des muscles : de l'autre, le
toujours suivi d'une tuméfaction des parties atteintes et comme d'une
contraction
localisée. Les piqûres, brûlures et autres excita
et épaisse s'échappe des commissures labiales. 9 h. 20. — Quelques
contractions
des muscles de la face et des membres apparaissen
contractions des muscles de la face et des membres apparaissent. Ces
contractions
vont toujours en augmentant. 9 h. 30. — La mala
'un électro-aimant. Si, d'une seule main, on tient un de ses bras, la
contraction
est moitié moindre que si on le tient des deux ma
ndre que si on le tient des deux mains. Le contact se prolongeant, la
contraction
cesse d'avoir lieu et se trouve remplacée par des
uillé. Une heure après, subitement elle a jeté un cri, puis il y a eu
contraction
de tous les muscles extenseurs; les yeux étaient
he qu'elle était. Mes yeux étaient toujours fermés par une sorte de
contraction
nerveuse ; ils me cuisaient beaucoup; j'en cherch
muscles antérieurs de l'avant-bras occasionnent dans les muscles une
contraction
réflexe exagérée. Dans les cas d'hémiparésie cett
es des hémiparésies avec contracture latente, l'étude graphique de la
contraction
muscu-laire permet de constater que, du côté sain
n et promenées sur la peau de la région, produit dans les muscles une
contraction
qui se traduit par un mouvement des doigts et qui
M. Charcot. Nous avons vu alors l'excitation vibra-toire produire une
contraction
manifeste dans les muscles au niveau desquels ell
ompliquée d'une action convulsive des muscles du bras ou encore d'une
contraction
continue des muscles fléchisseurs ou de la partie
a) La percussion du tendon rotulien, qui provoque ordinairement une
contraction
réflexe passagère dans les muscles du membre, amè
ent subitement de cette immobiïité momen-tanée, elimprimaient à leurs
contractions
musculaires un degré d'énergie tel que les assist
oyait que le blanc, les muscles oblique et releveur des yeux étant en
contraction
: le corps s'est agité avec violence, se pliant e
ables : l'un phy-sique, et consistant en une attaque spasmodique, des
contractions
involon- 1. Johu Chaptiian, loc. cit., p. 33.
coulent de grosses larmes qui descendent lentement sur ses joues. Des
contractions
ner-veuses entr'ouvrent insensiblement sa bouche
ronc n'offrent pas de tension anormale; ils ne sont le siège d'aucune
contraction
spas-modique; comme nous l'avons déjà dit, Louise
aire. Or les chirurgiens considèrent les fractures de la rotule par
contraction
musculaire comme exceptionnelles la rotule normal
à gauche en haut et en bas assez vigoureusement. L'élévation et la
contraction
des muscles frontaux et sourcil- liers se fait
ns. Il n'existe aucune atrophie de la langue (V. PI. XII, 3), ni de
contractions
fibrillaires, ni de scialorrée.Tous les muscles s
'hy- potonie dans le domaine des muscles atrophiés. Il existe des
contractions
fibrillaires dans les- muscles de la ceinture sca
la malade, l'absence de tout caractère héréditaire et familial, les
contractions
fibrillaires, les données de l'examen électri-
es contractures continues, douloureuses ou indolentes, soit par des
contractions
cloniques ou des tremblements, soit par une par
ampe au contraire désigne, d'après le Dictionnaire Dechambre, « une
contraction
douloureuse, involontaire et passagère de certa
Or le spasme (de anâu, je con- 68 MACÉ DE LÉPINAY tracte) est une
contraction
involontaire des muscles, notamment de ceux qui
e détesta- ble, lorsque peu à peu il remarqua qu'il écrivait « avec
contraction
», ployant et crispant le pouce et l'index. Lor
. M... chercha d'abord,en chan- geant de porte-plumes, à éviter les
contractions
des doigts mais les troubles augmentèrent encor
joueurs de tambour, avec troubles de la sensibilité, par suite delà
contraction
répétée et exagérée de ces mus- cles dans la mi
ctionnel déterminé, et se traduisant par l'incapacité de régler les
contractions
synergiques néces- saires à la bonne exécution
ndant la parole attentive, produisant des grimaces, alors qu'aucune
contraction
ne survenait lorsque le malade mangeait, souffl
qu'à droite où par le renversement de la tête en arrière et par la
contraction
du muscle frontal la paupière supérieure se rel
plus étroit. La tête est un peu tournée et penchée à gauche par la
contraction
des muscles du cou de ce côté. Les membres su
r la région de l'apophyse coracoïde il se produit un mou- vement de
contraction
du membre entier. Du côté du visage les réflexes
poir. Il ne faut pas songer à l'arrêter, il y a comme un arriéré de
contractions
faciales et de manifestations lacrymales qu'il
que l'on éprouve une forte émotion. En même temps se produisent des
contractions
musculaires dans toute la face et le cou; elles
ront se plisse, les joues se creusent,les lèvres se resserrent, les
contractions
spasmodiques sont plus mar- quées du côté gauch
veur dont les sterno-cléido-mastoïdiens se contracturent pendant la
contraction
instinctive des muscles qui main- tiennent la t
aux photographies ci- jointes, que le malade montre par moment des
contractions
de l'hémi-face gauche, du cou et de la partie s
s étant prononcés nettement et sans fatigue. On assiste alors à une
contraction
d'abord faciale, puis cer- vicale, puis de tout
ette obser- vation. On peut notamment voir sur nos photographies la
contraction
dé- formante par incurvation du nez (Pli. n° 2)
la contraction dé- formante par incurvation du nez (Pli. n° 2), la
contraction
parcellaire du peaucier, la contraction contrad
tion du nez (Pli. n° 2), la contraction parcellaire du peaucier, la
contraction
contradictoire du peaucier et des lèvres (Ph. n°
digitale. Les muscles sont tous très développés et saillants ; leur
contraction
est très énergique ; la mobilité des extrémités
essentir un léger tremblement en écrivant, puis survinrent quelques
contractions
dans les doigts, notamment le pouce ; enfin se co
ain gauche ; le malade se rend d'ailleurs très bien compte de cette
contraction
involontaire. La coexistence de mouvements asso
oduction de l'acte coutumier, vice par excès ou par défaut dans les
contractions
musculai- res ; hyper ou hypokinésie, comme dan
te affection « consiste dans l'impossibilité d'écrire, par suite de
contraction
particulière des muscles fléchisseurs, ou plus ra
tantôt une flexion soudaine, avec opposition, du pouce, parfois une
contraction
de l'extenseur propre du pouce. Dans cerlains c
de la crampe des écrivains ; mais celte forme surtout isolée, sans
contractions
spasmodiques, est tout à fait ex- ceptionnelle.
rbations aussi nombreuses que variées que subit ré- criture par ces
contractions
intempestives. Selon Burckhardt, trois groupes
rire fait intervenir simultanément les deux mains, et nécessite des
contractions
musculaires fort différentes de celles qu'emplo
troubles moteurs de la crampe des écri- vains ; ce sont tantôt des
contractions
toniques ou cloniques, tantôt des phénomènes pa
par exemple un violoniste de 33 ans, neurasthénique, qui avait une
contraction
des doigts de la main gauche dès qu'il voulait
r une plaque de métal, éprouvait dans le bras tenant le marteau une
contraction
douloureuse du deltoïde et du biceps ; ce spasme
teil, et les exten- : seurs du pied et du gros orteil subissent une
contraction
exagérée; la répétition incessante de cet exerc
rgenterie qui mettait une pédale en mouvement.Stürtz (142) a vu une
contraction
des muscles postérieurs de la cuisse chez un tann
a observé en 1855 a un malade dont la tête tournait à droite par la
contraction
des muscles rotateurs, lorsqu'il lisait, jusqu'à
s que ce sujet devait crier les chiffres à haute voix, il avait une
contraction
de l'orbiculaire des lèvres qui l'empêchait d'o
sseur d'une petite mandarine particulière appré- ciables lors de la
contraction
du muscle, et tels d'ailleurs qu'on les a assez
rement de l'orbiculaire des lèvres où l'on signale de la lenteur de
contraction
à l'excitation faradique. Les mouvements se font
h. f. klin. chir., no- 67 s., 761. " 10. Nichols. - Dup¡¡yl1'cn's
contraction
. Amer. Journ. of med. Sciences, 1899. 11. Dober
urent ; ces secousses repré- sentaient la simulation hystérique des
contractions
fibrillaires et fascicu- laires. Selon moi, les
nt l'attention de la malade sur la possibilité de la présence des a
contractions
fibrillai- res ». La malade, en effet, les repr
ésie, atonie, paralysie, son groupe antagoniste est en hypertonie :
contraction
ou contracture : Or, le massage, surtout deux d
ureux 300 MACÉ DE LÉPINAY étaient les premiers à disparaître; les
contractions
musculaires étaient plus rebelles au traitement
e diduction et de mâchon- nement. Puis, surviennent par moments des
contractions
musculaires ininter- rompues, du côté gauche, a
pas ' TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 343 sous l'influence d'une
contraction
; elle reste flasque et immobile. Aucune parole
e grand oblique ne se contracte que très peu à droite ; à gauche la
contraction
de ce muscle est plus prononcée, mais beaucoup
petits obliques) sont assez flasques quand elle essaie de faire la
contraction
des muscles abdominaux ; ce manque de contraction
ssaie de faire la contraction des muscles abdominaux ; ce manque de
contraction
des petits obliques est plus prononcé à droite
e avec le courant induit. Au grand oblique gauche nous obtenons des
contractions
assez vives, mais à droite nous avons seulement
ssez vives, mais à droite nous avons seulement de petites traces de
contractions
. Aux parties inférieures des grands droits nous
ractions. Aux parties inférieures des grands droits nous voyons des
contractions
à peu près normales à gauche, mais à droite seu
tractions à peu près normales à gauche, mais à droite seulement des
contractions
presque insensibles. Dans la région des petits
au-dessus du ligament de Pourpart, nous n'obte- nons que de faibles
contractions
. Dans les régions latérales du tronc entre la c
tronc entre la crête iliaque et le bord du thorax, nous voyons des
contractions
très vives (ici on voit également de vives cont
voyons des contractions très vives (ici on voit également de vives
contractions
de la musculature sous l'influence de la volont
le la peau s'y meut. on serait tenté de conclure qu'il s'agit d'une
contraction
du transverse de l'abdomen, mais nous ne croyon
, mais nous ne croyons pas qu'on puisse éliminer avec certitude une
contraction
de la partie correspondante du grand oblique (et
éveloppée pour les extrémités des membres. On ne peut sentir aucune
contraction
des muscles abdominaux, quand il lève la tête.
différence bien nette. Il est toujours impossible d'observer aucune
contraction
des muscles abdominaux Les réflexes abdominaux
eures des grands droits et aux grands obliques de petites traces de
contraction
qui cependant nous semblent certaines. Aux autr
s. Aux autres parties des muscles abdominaux nous n'avons vu aucune
contraction
. Observation XII. F. J..., fils d'un paysan, 18
les abdominaux sont tout à fait flasques ; on ne peut sentir aucune
contraction
, quand la malade essaie de lever la tête et les
inimes dans les membres inférieurs. On ne peut encore sentir aucune
contraction
des muscles abdominaux, quand on fait essayer à l
clinique depuis plusieurs années). La malade ne peut faire aucune
contraction
des muscles abdominaux. Pas de réflexes abdomin
des muscles abdominaux, la distension rythmique de l'abdomen par la
contraction
du diaphragme, qui caractérise la pure respiratio
exes, clonisme du pied, signe de Ba- binski et apparition de fortes
contractions
sous l'influence d'irritations extérieures. Dan
tre de l'état des muscles du dos) ou l'impos- sibilité de faire une
contraction
quelconque des muscles abdominaux, par exemple,
nt la palpation de la paroi abdominale, on ne peut constater aucune
contraction
tout à fait sûre des muscles abdominaux ; néanm
il était d'environ 3 centimètres. En examinant l'abdomen pendant la
contraction
de ses muscles, on trouve que la cause de ce dé
de ce muscle au-dessous de l'ombilic, on n'y peut sentir la moindre
contraction
. En effet, toute la partie de l'abdomen si- tué
tuée au-dessous du plan de l'ombilic reste tout à fait flasque sans
contraction
perceptible. L'asymétrie de la partie inférieur
c le courant galvanique et avec le courant in- duit, on obtient des
contractions
normales du grand oblique droit et des par- tie
u-dessus de l'ombilic. Au-des- sous de l'ombilic, on ne voit aucune
contraction
et, pour le grand oblique gauche, on ne peut ob
action et, pour le grand oblique gauche, on ne peut obtenir que des
contractions
rudimentaires. Il n'y a aucune autre altération
les ont été pa- ralysées. Dans notre cas, il est remarquable que la
contraction
des parties conservées des grands droits ait ét
ons en juger, normale, tandis que nous ne pouvions constater aucune
contraction
des parties inférieures de ces muscles. Dans ce
ble chez des individus maigres); il se déplace vers le haut pour la
contraction
des parties supérieures de ces muscles et vers
ction des parties supérieures de ces muscles et vers le bas pour la
contraction
des parties inférieures. Comme on le voit, cett
tres observations pouvant nous renseigner sur l'effet qu'exerce une
contraction
partielle des grands droits sur un déplacement
toujours identiquement par le môme mouvement, c'est-à-dire par une
contraction
des parties conservées des grands droits et jam
par ces muscles et qui acquiert une résistance considérable par la
contraction
de ces mus- cles puissants, manque ici de cet a
ste de la portion in- férieure de la colonne vertébrale provoque la
contraction
des muscles redres- seurs ; le même tapotement
alvanique; il n'y a cependant pas inversion delà formule normale de
contraction
pour le courant galvanique. A l'examen ophtalmo
légère insuffisance de l'orbiculaire des lèvres à droite ; quelques
contractions
fibril- laires de la langue qui est tirée droit
une parésie très développée du gauche. On ne peut constater aucune
contraction
des muscles abdominaux. Pas de réflexes abdomin
gme. Depuis que la paraplégie est passée à un type spasmodique, des
contractions
fortes et involontaires des muscles paraly- sés
on qui se fait par l'extension de l'abdomen. Cepen- dant, l'état de
contraction
des muscles abdominaux a une durée si courte qu
elle essaie de tousser, les muscles abdominaux passent à l'état de
contraction
; mais il est très difficile de décider si ces co
la tentative faite par la malade pour tous- ser qui a provoqué ces
contractions
, de la même façon que des irritations extérieur
même façon que des irritations extérieures quelconques causent des
contractions
involontaires des mus- cles atteints par la par
sition correspond à la réalité ; néanmoins, on ne peut nier que ces
contractions
, même si elles sont involontaires, puissent jusqu
du coeur commençait à devenir irrégulière et que le coeur avait des
contractions
sans que le pouls fût appréciable, on a interro
jambes. Aux muscles interosseux des mains on ne peut obtenir aucune
contraction
. Etat le 27 avril. L'état du malade, s'est pend
se. par différents élèves du service, aucun n'a pu y arriver. Les
contractions
volontaires des muscles de la langue ne ressemb
étaient affectés de mouvements spasmodiques évidents et animés de
contractions
irrégulières. Il est clair que ces troubles doi
re analyse très superficielle, ce trouble étant caractérisé par des
contractions
anormales et involontaires se produisant au rep
dans les mouvements volontaires (type sclérose en plaques) ; ;- 3°
contractions
anormales dans les mouvements (type ataxie loco
ions anormales dans les mouvements (type ataxie locomotrice) ; - 4°
contractions
anormales au repos (type chorées). Si on adop
e déplacement, de plus, ne nécessite en rien, pour se produire, une
contraction
volontaire des muscles de la partie mobilisée ;
es de la partie mobilisée ; il se produit au repos ou pendant des
contractions
volontaires de muscles tout différents, durant la
le du Dictionnaire Encyclopédique : « La spontanéité du passage des
contractions
d'un groupe muscu- laire à un autre, l'inépuisa
lle ne présente aucun des traits de ce tableau caractéristique : la
contraction
musculaire anormale qui cons- titue le symptôme
nt limité, toujours identique à lui-même ; il n'y a nul passage des
contractions
d'un groupe musculaire à un autre. Au lieu de v
ndant les inter- valles, quelquefois assez longs, qui séparent deux
contractions
successives. Nous trouverons bien dans l'hist
sentiel : tout est normal dans l'intervalle des brusques et courtes
contractions
pathologiques. - Aucun contraste non plus dans
ystématisée, ce n'est pas une chorée rythmée, en ce sens que chaque
contraction
reste isolée, n'est pas suivie d'une série d'au
t après ce repos, quelquefois assez long, que survient une nouvelle
contraction
pathologique, tou- jours brusque et isolée. M.
) : * Un mouvement convulsif, habituel et conscient, résultat de la
contraction
involontaire d'un ou de plusieurs muscles du co
tain intervalle, et n'est pas immédiatement' suivi par une série de
contractions
du même ordre. En un mot, il s'agit de mouvemen
enfant, la malade a présenté des tics légers se traduisant par des
contractions
brusques et répétées se produisant au niveau de
lsion tonique ; dans les sphincters oculaires et buccaux, c'est une
contraction
très énergique; après le rire, la bouche reste
antéro-latéral ascendant. P. KERAVAL.. XIII. Examen graphique DE la
contraction
musculaire CONVULSIVE dans la réaction dégénéra
hamp le courant, on ferme de nouveau et l'on voit s'il survient une
contraction
. Si, contre toute attente, une contraction se p
n voit s'il survient une contraction. Si, contre toute attente, une
contraction
se produit, on recherche si, en diminuant encore
i, en diminuant encore la force du courant, on obtiendra encore une
contraction
. Si, au contraire, il ne s'en produit pas, on a
de 0,25, 0,50 ; 1 milliampère, et l'on recherche ainsi crescendo la
contraction
obte- nue avec la moindre force électromotrice.
ez l'adulte, aux endroits correspondants, produisent d'assez fortes
contractions
, sont sans action chez cet enfant; de très fort
ion chez cet enfant; de très forts courants ne pro- voquent que des
contractions
relativement faibles. Il en est de même chez le
s continus. L'électricité, galvanique ou fara- dique, détermine des
contractions
fort lentes à se produire et à disparaître et,
himiques, mécaniques, des excitants vaso-moteurs et trophiques, des
contractions
musculaires, le mouvement du pouls, l'entrée en
s muscles de la région antéro-externe de la Jambe ne produit aucune
contraction
. Les muscles du mollet réa- gissent encore, quo
qu'on lui rompit la colonne vertébrale. Ces tractions ainsi que les
contractions
utérines s'accompagnaient de vives douleurs dan
antérieure de la jambe droite. L'électrisation ne provoque aucune
contraction
des muscles jam- bier antérieur, extenseurs com
ensité augmente par instants.- Secousses fibrillaires fréquentes et
contraction
isolée de quelques faisceaux musculaires. - Sen
mble de la tête, il existe des mouvements partiels provoqués par la
contraction
de certains muscles, en particulier un mouvemen
oscillatoire, indépendant, du cuir chevelu et des sourcils, dû à la
contraction
régulièrement intermittente des muscles frontau
t non pas au repos vrai, mais dans un état de tonus provoqué par la
contraction
égale et simultanée des muscles antagonistes. V
atténue dans de notables proportions. Il ne reste plus alors que la
contraction
rythmique du frontal avec mouvement oscillatoir
i, fait donc défaut, apparaît au contraire dès qu'il se produit une
contraction
musculaire, et cela, que la contraction muscula
re dès qu'il se produit une contraction musculaire, et cela, que la
contraction
musculaire soit accom- pagnée de déplacement co
u tremblement se trouvant en résolution parfaite; 2" Au cours de la
contraction
musculaire avec déplacements; 3° Dans l'état de
s de la contraction musculaire avec déplacements; 3° Dans l'état de
contraction
musculaire sans déplacement, autrement dit dura
e. Le tremblement au repos, et seulement au repos, cessant par la
contraction
musculaire, caractérise la paralysie agitante.
e la paralysie agitante. Le tremblement qui se manifeste pendant la
contraction
musculaire avec déplacement, qui ne se produit
oduit qu'alors et s'exagère proportionnellement à l'intensité de la
contraction
, imprime à la sclérose en plaques son cachet sp
ques son cachet spécial. - Enfin, le tremblement provoqué par toute
contraction
musculaire accompagnée ou non de déplacement na
ire accompagnée ou non de déplacement naissant du même fait de la
contraction
musculaire et ne s'exagérant en aucune façon pa
a jambe ont trouvé un point d'appui qui leur permet de cesser toute
contraction
. Une émotion, une attention soutenue, augmenten
U mouvement DE la PUPILLE; par SALGO. (Centr. f. Nervenh., 1886.)
Contraction
inégale du muscle irien prenant ainsi les formes
genou ni de la jambe. Ces mouvements coïncident exactement avec la
contraction
des muscles abdominaux et l'expulsion du couran
la ligne myographique est plus rapide que celle qui appartient à la
contraction
consécutive à une excitation cutanée, car la co
tient à la contraction consécutive à une excitation cutanée, car la
contraction
est résolument localisée à un muscle, car les 1
dé- termine de véritables réflexes, mais la période latente de la
contraction
est alors plus lente que celle du réflexe tendine
888.) La blépharoptose siégeant à gauche sans autre anomalie, les
contractions
des masticateurs s'accompagnent d'une élévation d
xcitations cutanées pour voir par son intermédiaire se produire des
contractions
dela vessie. P,IÜJtAVAL. XXXV. LES altération
obtenir ainsi, il est vrai, ure déviation faciale due, soit aune
contraction
musculaire, soit à une contracture, un spasme g
us brillante cependant ne produisait pas d'autre phé- nomène que la
contraction
de la pupille. - Les animaux excités à marcher
trent aucun signe qu'ils sont influencés par la lumière, excepté la
contraction
ou la dilatation de la pupille. Il pense que c'
t le premier point mentionné. Nous avons obtenu assez souvent des
contractions
des muscles du dos, de la queue et de l'abdomen e
pu déterminer un point circonscrit dont l'excitation produise lenr
contraction
séparée. Nous avons trouvé que toute la convexité
est dans la perte de temps entre l'application de l'excitant et la
contraction
musculaire qui est plus-grande pour l'écorce. C
mées). Quel temps demande cette interrup- tion directe vraie, d'une
contraction
sous l'influence de la volonté ? En étudiant co
masséter et celui que demande l'interrup- tion volontaire de cette
contraction
, l'auteur trouve des chiffres à peu près égaux,
lvanique, équivalence ou inversion polaire et un peu de lenteur des
contractions
. Dans les deltoïdes on ne constate NOUVELLE Ico
IRE RADICULAIRE INFERIEUR DU PLEXUS BRACHIAL (Ceslan et Huet). M,
Contraction
du grand pectoral atrophié dins sa partie inférie
n en tous sens et avec force. Le deltoïde n'est que peu amaigri, la
contraction
volontaire et l'ac- tion de ses trois parties s
ypothénar, et les interosseux ; on peut obtenir encore de fai- bles
contractions
, avec de forts courants, et surtout en employant
pouce. Avec les courants galvaniques on obtient plus facilement des
contractions
entre 2 1 ? et 5 ou 6 milliampères, non seulement
et le court fléchisseur du pouce, l'abducteur du petit doigt ; les
contractions
obtenues sont très faibles en amplitude; elles so
C = < PFC. Dans les trois parties du triceps on n'obtient pas de
contractions
manifestes, même avec 8 et 10 milliampères. A
lité galvanique est également diminuée,avec NFC > PFC, mais avec
contractions
assez vives; la DR, si elle y existe encore, n'
uscles dont le volume est des plus réduits, comme le del- toïde, la
contraction
minimale se produit aux intensités normales. Ce
ourants galvaniques l'inversion polaire et la lenteur manifeste des
contractions
. MM. Babinski ,et Pierre Marie après avoir exam
Si on commande le mouvement de la position assise on ne voitaucune
contraction
des muscles grands droits et obliques de l'abdo
cteurs) sont arrivés à un degré très avancé d'atrophie; les faibles
contractions
musculaires qu'ils peu- vent encore donner sont
nt gardé une consistance normale. Fait important, on ne voit pas de
contractions
fibril- laires. L'examen électrique montre :
l'excitabilité minimale et même au point de vue de l'amplitude des
contractions
. Bien, que chez ce malade, l'affection soit plus
meaux (mais dans ceux-ci surtout au point de vue de l'amplitude des
contractions
) n (huez. 46 CESRAN ET LEJONNE UNE MYOPATHI
l'excitabilité minimale et même au point de vue de l'amplitude des
contractions
» (Muet) : 1 - Mais l'histoire clinique de ce
u pied. En examinant la malade, on surprend de temps en temps des
contractions
fibrillaires. L'examen électrique des muscles
gluti- tion ne sont pas troublées. Pas de crises convulsives,pas de
contractions
fibril- )aires. Nerfs crâniens. En ouvrant le
ation est accompagnée d'un craquement articulaire des mâchoires. La
contraction
vo- lontaire des masseters est faible. La langu
uadriceps gauche. Ici le moindre choc avec le marteau détermine une
contraction
idiomusculaire ; mais une irritation mécanique
muscles orga- nisés. Le choc du tronc du nerf facial produit une
contraction
accentuée des mus- cles de la moitié correspond
t des noyaux des neurones moteurs périphériques : on a découvert la
contraction
fibrillaire, la réaction de dégénérescence, l'aff
ment disparu. Avec les courants faradiques notamment,on obtient des
contractions
dans les divers fais- ceaux costaux sur les cin
s dangers d'irritation in- tempestive et de compression. Dans cette
contraction
continue des segments viscéraux si riches en ne
s devenus dangereux, au sein des mille mouvements articulaires, des
contractions
puissantes et souvent brusques de muscles tassés
sation par laquelle nous acquérons l'idée précise de la quantité de
contraction
de chaque masse musculaire, de chaque muscle et
e est affecté à la connaissance, à l'idée précise de la quantité de
contractions
de chaque masse, de chaque faisceau musculaire, p
e de nos membres, c'est deux. Que le sens musculaire nous révèle la
contraction
de nos muscles, ou même l'attitude de nos muscl
'est pas allé à la selle. Il n'y a aucun trouble respiratoire ; les
contractions
du coeur sont très éner- giques, mais il n'y a
ME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 387 Un peu plus tard, apparaissent des
contractions
spasmodiques de la hanche, dont les secousses s
s, la crampe des écrivains, le torti- colis spasmodique, toutes ces
contractions
toniques ou cloniques qui se manifestent seulem
ents involontaires de la face ; Les troubles de la parole ; . Les
contractions
fibrillaires ; ... De très légers troubles de l
de repos. A 20 ans, survient une boiterie gauche, provoquée par une
contraction
exa- gérée de la jambe sur la cuisse. Nouvell
étrie (Fig. 3). Torticolis. - Le torticolis est le résultat de la
contraction
combinée du splénius et du tra- pèze droit, d'u
et l'a- taxie statique. On observe, dans les muscles au repos, des
contractions
fascicu- laires,que nous retrouverons, d'ailleu
i l'on dit au malade de lever le bras, et de le tenir immobile, ces
contractions
s'exagè- rent, sous forme d'ondulations assez l
evée, et la tête, portée à droite et en arrière, est agitée par des
contractions
lentes et soutenues. Démarche. La démarche est
des plus bizarres et difficile à décrire, c'est un déclanchement de
contractions
variées de la tête, du tronc et des membres, que
e marche du bassin. A chaque pas, le tronc se jette en arrière, des
contractions
spasmodiques des muscles du dos viennent, par ins
l'excitabilité mécanique, à propos de l'explora- tion électrique.
Contractions
fibrillaires ou fasciculaires. -Quand le malade e
te sur tout le corps, avec prédominance dans certaines régions, des
contractions
plutôt fasciculaires que fibrillaires. Ce sont
ablement calée, on ne constate en fait de mouvements, et à part les
contractions
fascicu- laires déjà signalées, que quelques lé
onciation des lettres V et F, la lèvre est abaissée à droite par la
contraction
du carré du menton. Langue. - Quand on fait tir
langue, elle apparaît déviée à droite et animée de quelques légères
contractions
. Voile du palais. Il est attiré en bas vers la
soutenues. Elle est modifiée, d'une façon toute spéciale, par cette
contraction
du carré du menton, lors de la prononciation de
ineux sont abolis, on ob- tient, par la percussion des muscles, une
contraction
assez énergique pour ame- ner un déplacement du
eurs, éminences thénar et hypothénar, interos- seux présentent leur
contraction
minima entre 2 et 5 MA. Quand on explore la mai
lore la main, on voit apparaître, par propagation du courant, ` des
contractions
dans le triceps avec 3 pila. au négatif, alors qu
nce thénar ne se contractent pas encore. Avec le positif, ces mêmes
contractions
apparaissent dans le long supinateur à 2 1/2 MA
ons multiplié l'examen à ce point de vue, les deux pôles donnent la
contraction
minima avec une même force de courant CFP = CFN
de la tête. Le repos n'est souvent qu'apparent, et il subsiste une
contraction
, en quelque sorte latente, qui contrarie la pro
ion trop énergique vient vous avertir que le but est dépassé. Cette
contraction
latente, ou cette hypertonicité, doit exister aus
la preuve. Si nous prenons encore le deltoïde, qui participe à ces
contractions
fasciculaires généralisées que nous avons décri
s à intervalles égaux, nous verrons, par instant, l'amplitude de la
contraction
diminuer, puis disparaître complètement pendant
un certain temps, pour reparaître ensuite. Cette disparition de la
contraction
, toutes les conditions de l'expérience restant
t des intermittences rares, ou constate, comme à l'état normal, des
contractions
isolées, mais avec des intermittences fréquentes,
n effort ou d'une émotion. Il se produit aussi, quand il parle, des
contractions
du carré du- menton qui troublent l'articulatio
roublent l'articulation des lettres V. F. Nous retrouvons les mêmes
contractions
de la face dans le Friedreich et l'hérédo-ataxi
ich et l'hérédo-ataxie : « On constate assez souvent l'existence de
contractions
exagérées des muscles de la face dans les mouve
ue tous les autres modes de sensibilité sont conservés (1). » . Les
contractions
fibrillaires, ou mieux fasciculaires, à peu près
au contraire, brusques et instantanés. z Nous retrouvons ces mêmes
contractions
décrites par M. Marie dans 1,'Iiéi-édo ataxie :
nt à faux et par saccades, par suite du défaut d'harmonie entre les
contractions
et les décontractions des antagonistes, les flé
é des deux pôles ; la téta- nisation persistante au faradique ; des
contractions
ondulatoires, quand un pôle est à la main, l'au
nerveux ne sont pas douloureux à la pression. Il y a, de plus, des
contractions
fibrillaires qui ne font pas partie du tableau cl
'adduction des cuisses paraissent être intacts. Au con- traire, les
contractions
des fessiers sont moins énergiques à droite qu'à
flexe du tendon rotulien droit est normal; à gauche, en outre de la
contraction
du triceps crural de ce côté, la percussion du
rural de ce côté, la percussion du tendon rotulien donne lieu à une
contraction
des adduc- teurs de la cuisse droite. Les réfle
n sans difficulté. De même encore les mouvements qui nécessitent la
contraction
des muscles du tronc et du cou s'exécutaient sa
ugmentée, mais à gauche, il n'y avait plus d'inversion polaire. Les
contractions
étaient assez vives dans le frontal, l'orbicula
laire des lèvres, les muscles du menton; dans les zygomatiques, les
contractions
étaient encore lentes, avecNFC ==- PFC. A dro
ontractions étaient encore lentes, avecNFC ==- PFC. A droite, les
contractions
étaient assez vives, avec NFC = PFC dans l'orbi
a lèvre supérieure et de l'aile du nez, les muscles du menton ; les
contractions
étaient encore lentes avec NFC = PFC dans le fr
n sudorale. Enfin, on voit aussi, pendant l'examen, se dessiner des
contractions
fibrillaires. Les mouvements d'extension du t
ers et le vaste interne. L'excitation faradique des nerfs donne des
contractions
plus fortes que l'ex- citation directe des musc
xemple : , Cuisse droite Cuisse gauche Vaste interne. La première
contraction
- il la fermeture négative apparaît à .. 7 ni.
ction - il la fermeture négative apparaît à .. 7 ni. a. à 5 m. a.
Contraction
à la fermeture positive à . m. a. à 7 m. a. Tét
les du malade à la cuisse, ;1 la jambe ou aux bras, on provoque une
contraction
tonique qui persiste plusieurs secondes et ne dis
isse sur le droit antérieur la percussion donne lieu à une série de
contractions
qui peuvent persister de quelques secondes à un
pes. Elle ne s'accompagne jamais, sauf de très rares exceptions, de
contractions
fibrillaires. C'est une atrophie simple et qu
tion de l'excitabilité électrique et pas autre chose. Le fait de la
contraction
tonique prolongée qui suit, soit l'excitation éle
e atrophiés sans que jamais ils aient été le siège de secousses, de
contractions
fibrillaires, de contracture. Le malade va ensu
ucun point des membres supérieurs et inférieurs il ne se produit de
contractions
fibrillaires. Pas de tremblement. Ces lésions son
d'une très grande amplitude de l'avant-bras et de la main. Pas de
contractions
fibrillaires des muscles dans le membre supérieur
'avant- bras droit, au-dessus du poignet, on détermine une série de
contractions
dans les doigts de la main correspondante ainsi
t objectivement ni subjectivement d'attribuer cette acti- vité à la
contraction
musculaire, si je ne l'ai appris autrement. Les i
la LE TABES LABYRINTHIQUE 163 chaîne des oculomoteurs, soit à la
contraction
momentanée de plusieurs muscles droits, produis
ensible est le point de départ d'un réllexe qui se tra- duit par la
contraction
du sphincter uréthral et l'urine ne pouvant aller
t l'urine ne pouvant aller plus loin rentre dans la vessie dont les
contractions
ont cessé; dès lors, que cette sensibilité de l
tte sensibilité de la muqueuse prostatique vienne à disparaître, la
contraction
du sphincter uréthral ne se l'ait plus et l'urine
s d'écartement des bobi- nes, taudis que, il gauche, on obtient des
contractions
à 135 millimètres d'écar- tement. Réactions gal
nerf dans le creux sus-claviculaire est diminuée à droite : aucune
contraction
apparente '1100 millimètres, tandis que il gauc
ficile à déterminer de son trajet, que ce traumatisme résulte de la
contraction
propre du muscle grand dentelé ou de celle des mu
elques notions de physiologie normale. ~ Duchenne a montré que la
contraction
électro-physiologique isolée du deltoïde suffit
l'horizontale et que « le maxi- mum d'élévation de l'humérus par la
contraction
isolée du deltoïde arrive à peu près à la direc
du scapulum (illalît71t, qui relève, pour le dire en passant, de la
contraction
isolée du muscle deltoïde. Or, à l'état physiol
nt, au niveau du tiers inférieur de l'avant-bras, par suite de leur
contraction
, les extenseurs étant paralysés, sans cepen- 20
pas trop défectueuse, bien qu'il prétende avoir beaucoup maigri. La
contraction
idio-musculaire est peu marquée. La peau est in
uvent par les petits muscles de la main droite ; 2) L'existence des
contractions
fibrillaires ; 3) L'existence de la réaction de
tait des douleurs lancinantes continuelles, mais pas de crampes par
contractions
fibrillaires. En deuxoutrois mois, l'épaule, le
s dorsales sont saillantes. Les muscles intercostaux présentent des
contractions
fibrillaires. Les cuisses sont amaigries, contr
ésentent des contractions fibrillaires. Les cuisses sont amaigries,
contractions
fibrillaires en masse et fréquentes. Partie moy
le malade se fati- gue et est pris de crampes. Du côté gauche la
contraction
se fait mieux et on peut sentir le durcissement
e fait mieux et on peut sentir le durcissement du biceps pendant la
contraction
. A gauche la supination de l'avant-bras se fait
tronc, une série d'ondulations et de frémissements musculaires. La
contraction
idio-musculaire se manifeste nettement dans le
laint de respirer diffici- lement. Le m1-ide se plaint parfois de
contractions
fibrillaires, que l'on ne constate pas actuelle
au, pas de troubles vaso-moteurs. Rien dans les muscles de la face.
Contraction
fibrillaire des muscles, surtout à la cuisse. S
quée dans le faisceau anté- rieur du muscle deltoïde droit dont les
contractions
sont moins brusques. Pas d'inversion de l'actio
s mains, ce n'est pas la forme scapulo-hu- morale de Vulpian où les
contractions
fibrillaires existent, où se voit la réaction d
sait d'une atrophie simple, sans réaction de dégénéres- cence, sans
contractions
fibrillaires. Le réflexe rotulien était notableme
. GUILLAIN ment dans les muscles de la jambe. Atrophie simple, sans
contractions
fibrillaires, sans réaction de dégénérescence.
ur la jambe, la cuisse, la fesse, elle est diffuse. Il n'y a pas de
contractions
fibrillaires, pas de réaction de dégénérescence
ution de l'amyotrophie et sa guérison possible, de par l'absence de
contractions
fibrillaires dans les muscles en voie d'amaigri
nservé l'excitabilité (distance moyenne des bobines = 100 mm.). Les
contractions
sont bonnes et égales des deux côtés, il en est
de l'éminence thénar droite (atrophie). Excitabilité galvanique. -
Contractions
dans les nerfs des membres supé- rieurs, un peu
ion est conservée dans tous les muscles des membres supérieurs, les
contractions
sont assez bonnes, il n'y a pas d'inversion polai
l'éminence thénar droite. A l'éminence hypothénar du même côté les
contractions
sont faibles et lentes et PFC NFC. A l'éminence
sont faibles et lentes et PFC NFC. A l'éminence thénar gauche, les
contractions
existent, quoi- que affaiblies et lentes, et PF
tête brusquement et irrésistiblement entraînée du côté droit. Cette
contraction
spasmodique ne dura qu'un instant et ne produisit
ée, il la redressait par un effort de la volonté, mais une nouvelle
contraction
l'attirail du côté gauche dans la position que
it le spasme du sterno-mastoïdien droit. Après un certain nombre de
contractions
la tête reprenait sa position normale. Mais cel
nouveau. Par un effort de la volonté le malade peut résister à une
contraction
. Dans cette lutte inégale où les contractions d
de peut résister à une contraction. Dans cette lutte inégale où les
contractions
du sterno-mastoïdien et du trapèze droits parai
une plu- sieurs secondes, puis il relève sa tête et de nouveau les
contractions
se reproduisent avec une violence et une rapidi
ais si le malade est distrait ou s'il parle pendant cet exercice la
contraction
spasmodique se reproduit. Enfin il peut complèt
etit appareil très ingénieux qui lui permet également d'arrêter les
contractions
spasmodi- ques. Cet appareil n'est autre chos
ce lorgnon d'un nouveau genre soit placé sur son nez, pour que les
contractions
de son sterno-mastoïdien et de son trapèze disp
ort de la volonté. Mais à peine est-elle redressée que de nouvelles
contractions
spasmodi- ques se produisent et l'entraînent ap
CAS DE TORTICOLIS MENTAL 487 comme puissance faisant équilibre à la
contraction
musculaire. Enfin, si le malade, en appliquant
le lorsqu'elle y a été ramenée on a à lutter contre une énergi- que
contraction
et tout effort l'ail dans ce but est impuissant.
réduits. Les muscles de l'avant-bras et le biceps sont le siège de
contractions
et fibrillaires. On note une ankylose fibreus
, car l'atrophie musculaire semble complète. A peine voit-on quelques
contractions
dans le droit interne à sa partie supérieure, don
difficulté de la parole, des mouvements désordonnés des mem-bres, des
contractions
douloureuses du diaphragme, etc. La bella-done, l
était couché sur le dos, le lit était ébranlé par la violence de ses
contractions
. Il fut traité d'abord par le chloroforme qu'on
on peut observer un arrêt momentané de la respiration résultant de la
contraction
des pectoraux (Schroff). Chez des cobayes, MM. A.
à 12 gouttesde solution. Aussitôt après l'injec-tion, après plusieurs
contractions
violentes, l'animal s'affaissait tout à coup. La
ici les résultats que nous avons obtenus. Aussitôt après l'injection,
contractions
violentes de l'animal, arrêt brusque de la circul
t le temps qui fut consacré à la fixer, s'était livrée à de violentes
contractions
, on ne consîatait que par places des traces d'une
qui se manifeste du côté de l'utérus : cette action se traduit par la
contraction
des fibres musculaires utérines. On a utilisé cet
ble en tous points au réseau vasculaire du tissu osseux. III. De la
contraction
musculaire, par P. Dupuï. — Après plusieurs expér
e, M. Paul Dupuy est arrivé aux conclusions suivantes, relatives à la
contraction
musculaire, ques-tion non encore complètement élu
la vessie, de l'utérus, etc. ; 2° la dilatation de la pupille par la
contraction
de son muscle radié : 5° la contraction des vaiss
latation de la pupille par la contraction de son muscle radié : 5° la
contraction
des vaisseaux artériels en général et de leurs br
resseur du cœur. Lapremière action détermine : 1° L'exagération des
contractions
de l'intestin, de l'estomac, de la vessie, de l'u
survenir, sous l'influence d'une irritation des centres nerveux, une
contraction
très-prononcée de ces mêmes canaux L'analogie, à
deux. S'il préexistait une insuffisance mitrale, la résultante de la
contraction
exagérée du cœur sera une accumulation de sang da
s le premier cas, la lésion s'étendant jusqu'à l'orifice interne, les
contractions
utérines se développent prématurément; dans le se
uction peut être différente ; et l'on constate très-aisé-ment que les
contractions
musculaires sont plus énergiques lorsque le conta
ils se confondent, et c'est pour cela qu'on n'aperçoit qu'une seule
contraction
. Dans les recherches plus délicates, et surtout,
recherches plus délicates, et surtout, lorsqu'on prend le tracé de la
contraction
musculaire, on remarque cependant dans le milieu
rès-facilement cet autre fait que je vous ai indiqué, à savoir que la
contraction
due au courant d'ouverture est plus forte que cel
ons nerveuses ou musculaires, on ne pouvait plus obtenir cette double
contraction
. C'est même là le premier caractère, et souvent l
érébrale par exemple, nous pouvons constater cette différence dans la
contraction
entre les muscles du côté pa-ralysé et ceux du cô
re les muscles du côté pa-ralysé et ceux du côté sain. Cette double
contraction
disparaît éga-lement sur les muscles fatigués, et
nutes de passage d'un courant continu, on n'obtient plus qu'une seule
contraction
; et, fait qui paraîtra étange et qui recevra tout
rants continus, à l'opposé des courants induits, ne détermine-ront de
contraction
que par le courant de fermeture. Vous voyez éga
cés que lorsque le muscle est très-fatigué, on n'ob-tient plus aucune
contraction
dans les mômes conditions d'interruption du coura
De plus, par le rhythme même des excitations, on est certain que les
contractions
électriques que l'on observe sont bien dues à l'e
ubi une diminution si remarquable de volume, ne sont agités d'au-cune
contraction
fibrillaire. L'attitude de la malade a quelque ch
ne produisent rien, tandis que les courants continus y réveillent des
contractions
, alors que les courants induits sont impuissants.
faits, M. du Bois-Reymond a établi toute une théorie dans laquelle la
contraction
musculaire et le fonc-tionnement du système nerve
fection que Marion Sims définit ainsi : hyperesthésie de l'hymen avec
contraction
spasmodique du sphincter du vagin. C'est en s'app
eut pas être ratta-chée à la répétition non plus qu'à l'intensité des
contractions
mus-culaires toniques, car les convulsions peuven
iblement que les muscles sains. Les courants continus déterminent des
contractions
, mais avec un courant assez énergique, et ces con
minent des contractions, mais avec un courant assez énergique, et ces
contractions
sont plus faibles que pour des muscles homologues
ontractilité, on ne considère ni l'énergie, ni la forme normale de la
contraction
, mais bien le simple raccourcis-sement musculaire
lysé comme du côté sain, les courants induits déterminaient de fortes
contractions
, et qu'avec les courants conti-nus, il fallait po
es modifications le sang et la circulation éprouvent-elles pendant la
contraction
du muscle? Il faut noter d'abord « que le muscle
, l'anéantissement est complet. » D'une manière géné-rale, pendant la
contraction
musculaire, la combustion augmente. XVII. La te
s points de l'organisme. « Y a-t-il dans le système capillaire, des
contractions
et des dila-tations réflexes? » Ce qui se passe q
complet, doit compren-dre deux mécanismes, dont « l'un, produisant la
contraction
des capillaires, réalisera la déplétion des viscè
lade, on obtient avec une facilité étonnante ce que Remaka appelé les
contractions
galvano-toniques. Ce phénomène, bien difficile a
oment de l'ouver-ture du courant, tandis que dans ces cas, il y a une
contraction
qui subsiste pendant tout le temps que le courant
ntinu est appliqué sur les muscles ou sur les nerfs des membres. La
contraction
galvano-tonique est un phénomène réflexe, et ne s
t leur action : elles agissent sur Vutérus lui-même en provoquant des
contractions
, en augmentant leur fréquence et leur force. L'
ouchera. — Volume du fœtus, dimensions exactes du bassin, énergie des
contractions
utérines, voilà, dans ces cas, les trois termes i
encore égale qu'au diamètre d'une pièce de cinq francs en argent. Les
contractions
cependant devinrent plus rapprochées, et le trava
eux, font contracter les petits vaisseaux à tunique musculaire; 2° la
contraction
des petites artères fait aug-menter la pression a
urs; 4° elle paraît s'étendre môme aux vaisseaux pulmonaires, dont la
contraction
a pour effet de faire baisser momentanément la pr
e la choroïde, etc, par A. de Montméja, 48. Congrès de Lyon, 206.
Contraction
musculaire (De la), par P. Dupuy, 115. Contract
uscles sans réaction de dégénéres- cence ; néanmoins la forme de la
contraction
se rapproche de celle qu'on observe dans les pa
qui sont un peu anormaux dans la myopathie progressive. Ce sont les
contractions
fibrillai- res qui existaient dans les muscles
'état des réactions élec- tro-musculaires. Bien que l'absence des
contractions
fibrillaires soit un signe distinctif des amyot
rce qu'ils le croient impossible. Les autres semblent regretter les
contractions
musculaires violentes de l'ataxie qui étaient acc
a faradisa- tion du pneumogastrique. La fréquence et la force des
contractions
du coeur sont augmentées, quelle que soit la ré
fort pour le sujet. On voit dans ces trois catégories des cas où la
contraction
des muscles des artérioles doit céder à la haut
urant de temps en temps et peu à peu jusqu'à ce que le pouls et les
contractions
cardiaques se modèrent. Si la faradisation du p
la faradisation du cou parce que celle-ci augmente la violence des
contractions
du coeur, ce qui peut être dangereux. La faradisa
ampons, et j'augmente le courant jusqu'à l'apparition des fai- bles
contractions
des muscles sous-cutanés. La faradisation vaso-co
ont pas humectés suffisamment, ni le sentiment que provo- quent les
contractions
musculaires fortes et inattendues. Chaque sensati
due peut exciter le centre vaso-dilatateur général. Pour éviter ces
contractions
musculaires désagréables, il faut se garder d'e
ndis que pendant la faradisation de la région claviculaire c'est la
contraction
brusque du trapèze qu'il faut éviter. Je pose .
rieure ; la plupart de sa surface est ainsi libre. Pour éviter la
contraction
du trapèze pendant la faradisation de la ré- gi
peut aller chez les personnes qui ne sont pas irritables jusqu'aux
contractions
musculaires évidentes; on doit les éviter chez
e au-des- sous de la clavicule sur le muscle grand pectoral dont la
contraction
est rarement pénible. Ayant posé les rhéophores
e doit pas être abaissé. Le grand pectoral est alors distendu et sa
contraction
n'est possible que si le courant est fort ; on
vrai le malade cherche à suppléer à la paralysie du releveur par la
contraction
du frontal et l'élévation du sourcil correspond
ses, les saillies musculaires sont admirablement conservées; pas de
contractions
fibrillaires. Les seins sont saillants; les artèr
qu'il faut employer un cou- rant faradique intense pour produire la
contraction
des muscles de la face. Mais tous (sans excepti
s nerfs restent très excitables. Le médius et le radial donnent des
contractions
des muscles de l'avant-bras absolument normales.
. Auxavant- bras, la résistance augmente considérablement, mais les
contractions
aux faradiques sont encore normales. Aux deux
agmus vertical de l'oeil gauche, quelquefois associé à de peti- tes
contractions
de l'élévateur de la narine du même côté. B est a
e des extrémités. Par l'exploration électrique, on n'obtient aucuue
contraction
dans les muscles des membres inférieurs ; mais le
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans les conditions normales, la
contraction
de, ce musclé fait prendre à la paupière une po
partie inférieure qui z prend une direction horizontale. Lorsque la
contraction
du muscle orbi- taire inférieur est forte, les
APATHIQUE j peu important des muscles inférieurs de la face, légère
contraction
des muscles frontaux, rudesse dans les traits d
de tous les muscles innervés par la bran- che inférieure du facial,
contraction
modérée des muscles frontaux. PL XXVI-XXIX. Fig
démence disparaît, vu l'ex- pression douloureuse de la physionomie (
contraction
du muscle sourcilier) et vu aussi cette express
IE DE LA SALPÊTRIÈRE. fond, assez large, comme il arrive pendant la
contraction
du muscle éléva- teur du menton ; cependant dan
éléva- teur du menton ; cependant dans le cas donné il n'y a aucune
contraction
dans ce muscle. On peut le voir aussi sur la fi
rs de la paupière supérieure (plus apparente à droite qu'à gauche),
contraction
énergique des muscles frontaux et des muscles s
'affaissement de la paupière est la principale cause de cette forte
contraction
des muscles frontaux dont le rôle est de compense
rce et de vie. C'est ainsi que l'on explique, depuis Mutchinson, la
contraction
considérable des muscles frontaux dans les opht
s. Et en effet, sur la figure n° 11 même, nous voyons que, s'il y a
contraction
des muscles frontaux dont l'action serait indis
ensable pour l'élévation de la paupière, il y a aussi simultanément
contraction
de leurs antagonistes les sourciliers (élévation
cles palpébraux inférieurs et de tous les muscles de la face; forte
contraction
spasmodique du muscle frontal, du muscle élévat
l'affaiblis- sement des muscles orbiculaires des paupières et de la
contraction
considé- rable des muscles frontaux. En sorte
borne pour le moment à cons- tater la différence qui existe dans la
contraction
du système musculaire su- périeur et du système
ssement de tous les muscles innervés par le facial inférieur, forte
contraction
du muscle frontal. Un examen électrique minutie
S INDICES PHYSIONOMIQUES DE LA DÉMENCE APATHIQUE 185 a provoqué une
contraction
compensatrice du muscle frontal plus visible du
A SALPÊTRIÈRE. Cependant, la force de ces muscles, lo degré de leur
contraction
peuvent t être déterminés pendant leur action.
les points intermédiaires restent intacts, peu mobiles, Pendant la
contraction
mimi- que, la peau qui couvre le muscle affaibl
ne, par exemple, le sourire d'un dément, on pourra constater que la
contraction
du grand zy- gomatique, tout en produisant un s
e d'une excitation émotionnelle, un muscle faible peut produire une
contraction
assez forte ; c'est vrai non seulement pour les
d'une façon passive, on éprouve une ré- sistance énergique due à la
contraction
des muscles de la nuque. De plus on provoque de
lexes tendineux, surtout il droite. Au coude, au poignet, violentes
contractions
réflexes des muscles par la moindre percussion
s les deux jambes des douleurs fulgurantes, qui s'ac- compagnent de
contractions
spasmodiques des muscles. Les jambes s'étendent
e de la bouche, enfin le côté droit de la face tout entier entre en
contraction
tonique, pendant que les muscles de la face du
z deux sillons obliquement ascendants sont l'indice de la fréquente
contraction
des sourciliers, les muscles de la douleur. L
I. XIII). On constate que les masses musculaires lombaires en forte
contraction
for- ment une saillie des deux côtés de la colo
si on trouve une raideur passagère au niveau des hanches, due à une
contraction
musculaire. Les réflexes tendineux et cutanés s
u moins analgétique, Ils ont cristallisé, fixé pour ainsi dire leur
contraction
qui esl devenue permanente de même que l'attitu
jours terminés par une secousse de direction inverse, causée par la
contraction
des muscles antagonistes. Hering (Zeits- chrift
lusieurs années, flaccidité mdsculaire; aux membres inférieurs, des"
contractions
toniques ont égal- lemenr notées, catalepsie, a
[obsei-1 vés du côté droit. La tête est renversée en arrière par la
contraction
spas- modique des extenseurs. La figure est pi'
élémentaires n'intéressant qu'un nombre restieint de mus- cles : la
contraction
de l'orbiculaire des lèvres, de la musculature fa
t placé à quelque distance. Après l'effort du malade pour faire une
contraction
de l'orbiculaire des lèvres, nous le suivons de
contre, d'autres groupes musculai- res sont mis en action, dont la
contraction
n'a pas de signification pour l'acte projeté, c
rolaté- raux. Souvent même ce sont les muscles antagonistes dont la
contraction
est observée. En général, ces contractions invo
cles antagonistes dont la contraction est observée. En général, ces
contractions
involontaires n'ont pas un ca- ractère clonique
n appréciable entre les secousses cloniques ordinaires et certaines
contractions
toniques qui surgissent pendant l'effort musculai
tendons, que les efforts du malade se heur- tent tout le temps à la
contraction
de ces muscles qui font rebondir le membre dans
enne. Parfois ce sont certains groupes de muscles qui se mettent en
contraction
simultanée : adducteurs du bras, fléchisseurs d
re main sur ces 'muscles, nous avons bien la sensation d'un état de
contraction
discontinue, tout le temps la tension est inter
la direction projetée. C'est ]a 'mémé chose quand il véut'faire une
contraction
de l'orbi- culaire des lèvres : il remue la mâc
e : puis, tout d'un coup le membre s'élance sans être arrêté par la
contraction
des antagonistes. ' ' ' Il y a un autre phénomè
parenté du premier cas au der- nier se montre non seulement par les
contractions
musculaires associées à caractère tonique, prov
stion : quel est le rôle de la tonicité dans l'or- ganisation de la
contraction
musculaire simple. C'est Sherrington (Quar- ter
auteur a pu étudie ! ! la différence entre le dévelop- pement de la
contraction
d'un muscle isolé, encore, en relation avec le
est en général restreinte, mais sa durée est considérable; ¡ « the
contraction
rises deliberately to a maximum<which is maint
scle still posses- sing afférents. », Nous pouvons conclure que la ¡
contraction
d'un muscle est influencée dès son début par, l
ur musculaire. - (2) En effet, beaucoup de ces malades montrent des
contractions
musculaires à Caractère tonique qui nous rappel
isthotonus se combinant d'une flexion forcée des membres. Quant aux
contractions
toniques des extenseurs des gros orteils, qui che
ros orteils se mettent en extension pendant quelque temps, mais les
contractions
toniques des extenseurs ne sont pas obtenues par
vés. Dans certains cas le malade, en quittant son lit, présente une
contraction
tonique en extension des membres inférieurs mal
substratum anatomique de la secousse clonique, le sarcoplasme de la
contraction
tonique. Bremer le premier, dans ces temps dern
leur signification pour ces fonc- tions. C'est le même cas avec la
contraction
« spontanée » des extenseurs des gros orteils.
oncluons que ces parties exercent une influence considérable sur la
contraction
musculaire, en premier lieu sur l'élément toniq
éces- site un courant d'une intensité considérable pour obtenir une
contraction
de ce muscle suffisante à étendre la deuxième p
plication de la bande d'Esmarcla, qui fait également disparaître la
contraction
du premier interosseux dorsal, mais est sans ef
te est remontée et semble moins large que la gauche par suite de la
contraction
des muscles adducteurs et élévateurs de l'omopl
nisation. Pas de réaction de dégénérescence. La différence entre la
contraction
de fermeture négative et de fermeture positive es
IQUES DE LA MAIN 105 Bande d'Esmarch appliquée jusqu'à cyanose : la
contraction
cède com- plètement, sans douleur. En résumé,
on de la main ne se produit pas, mais on constate très nettement la
contraction
volontaire des antagonis. tes, c'est-à-dire que
nt de l'étendre lui-même, on éprouve un obstacle, et on constate la
contraction
des muscles fléchisseurs. Les mouvements d'abduct
nte. P. : 60. Le malade peut serrer légèrement la main ; on voit la
contraction
des mus- cles fléchisseurs de l'avant-bras. Le
e douleurs à la pression des muscles ; atrophie musculaire ; pas de
contractions
fasciculaires. Respiration facile. Urines r
es inférieurs difficiles du côté gauche, impossibles au côté droit.
Contraction
idio-musculaire. La force musculaire des membre
été appliquée la sérothérapie par le sérum antipoliomyélique. Les
contractions
idiomusculaires nettes ont été observées dans l'o
, puis si l'excitation périphérique était plus forte, extension des
contractions
propagées aux membres supérieurs. Mouvements
térieur et l'extenseur des orteils présentent une série continue de
contractions
et de relâchements. On ne constate pas de contr
continue de contractions et de relâchements. On ne constate pas de
contractions
fibrillaires proprement dites, mais volon- tier
caractères suivants : ils sont symétriques, ne présen- tent pas des
contractions
fibrillaires, et ils sont peu excitables au coura
minution de contractilité faradique et galvanique. Ils n'ont pas de
contractions
fibrillaires. Sensibilité générale normale. R
és, il intervient dans l'acte de siffler comme nous l'avons dit. Sa
contraction
habituelle a créé deux rides concentriques à la
ets. Dans ces conditions, l'excita- tion de la Ve paire produit des
contractions
dans les muscles masticateurs et tout le massif
sur les zygomatiques, et ils donnent ainsi une fausse sensation de
contraction
de ces derniers par simple tension de leurs apo
ptômes insigni- fiants. Tous les muscles du domaine atteint ont des
contractions
vives. On pourrait donc conclure aune atrophie
des pauses de 5 à 10 secondes (voir le tracé). Après la reprise des
contractions
cardiaques et malgré la cessation de la compres
ut à gauche un certain degré d'hypo-excitabilité faradique, mais la
contraction
est obtenue sauf dans les éminences hypothénar et
rands muscles ; tendances à l'égalisation dans ceux de la main avec
contractions
bonnes. Du côté gauche, on constate une tenda
e. C'est donc un type exclusivement cynctique du tremblement. Des
contractions
fasciculaires spontanées s'observent dans les mus
lui commande de plier sa jambe sur la cuisse, ce qui pro- voque la
contraction
des muscles biceps, demi-tendineux et demi-memb
acre à cette affection, il qualifie les mouvements des tiqueux de «
contractions
ins- tantanées, rapides, involontaires », mais
les mouvements convulsifs s'étaient manifestés. Dès le début, les
contractions
ont occupé la partie inférieure du muscle orbicu-
ertical. DE LA MALADIE DES TICS. 13 Le tic est caractérisé par la
contraction
brusque de la partie moyenne de la portion péri
n léger tiraillement en haut de la commissure labiale gauche. Les
contractions
ont la rapidité de l'éclair ; elles se produisent
nnent par accès, à intervalles assez éloignés. On note quatre, cinq
contractions
consécutives, puis un repos d'une ou plusieurs
s ne participent pas aux mouve- ments convulsifs. Chez An..., les
contractions
surviennent par accès séparés par de courts int
demi-fléchies, heurte simplement la partie latérale du front. Ces
contractions
s'accomplissent presque simultanément pour la f
Ainsi, la projection du bras droit sur l'abdomen, qui inaugure les
contractions
de ce membre, Fig. 2. Inscription du mouvement
demeure le plus habituellement immobile. Pen- dant le sommeil, les
contractions
disparaissent complètement. Phénomènes coprolal
e présente. Dans les moments de calme, on peut faire apparaître les
contractions
musculaires par la projection du bras droit sur
as actuel, n'est pas exaète. En effet, elle laisse entendre, que la
contraction
accomplie, le membre, aussitôt, est ramené à sa
est tellement brusque, qu'elle manifeste d'une manière évidente la
contraction
énergique des gastrocnémiens. D'ail- leurs, si
vé, la pointe tournée en dehors, simulant Fig. 3. Inscription de la
contraction
des gastrocnémiens. L'ascension est tout d'abor
uis brusque, de même la descente à laquelle fait suite une nouvelle
contraction
moins étendue, qui se transforme presque aussit
transforme presque aussitôt en ligne ondulée. Ce dernier état de la
contraction
répond à la position du pied en valgus équin. D
e sensation de démangeai- son dans le dos, terminent cette série de
contractions
. Parfois, le mouvement convulsif est précéd de
chaque mouve- ment convulsif. Dans la station debout, en plus des
contractions
de la tête et des membres supérieurs, on observ
ie, la jambe gauche, sur laquelle repose la malade, est le siège de
contractions
intermittentes qui ont pour effet de détacher l
e décharge électrique. Ce caractère ne s'observe guère que pour les
contractions
qui inaugurent la sériation des divers actes mu
moments, la- face et le membre supérieur droit étaient le siège de
contractions
. La coprolalie, l'échocinésie, les troubles psy
chorée. Cependant, à un examen détaillé, aucune des qualités des
contractions
ne justifie cette opinion. Les caractères inhér
La chorée, le plus habituellement, se réclame du rhuma- big. 4. La
contraction
n'offre pas la rapidité de la secousse musculaire
ps relativement court (1 sec. 1/2), et .sans saccades. Fig. 5. La
contraction
, au début, simule l'explosion d'une décharge él
t prend fin d'une manière progressive par saccades. , Fig, 6, 7. La
contraction
, au début et à la fin, est l'analogue de la sec
4) ; les ondulations ne s'observent que tout à fait à la fin de la
contraction
, - c'est là l'exception, (fig. 5), ou bien pend
nstate une ligne en plateau, légèrement accidentée, qui rappelle la
contraction
du muscle en état de tétanie (fig. 6, 7); enfin
ou, lorsque la tête est fléchie sur l'épaule droite. La durée de la
contraction
est à peine d'un quart de seconde. ' . 32 U2
lement, les mouvements de latéralité du tronc sont tout autant de
contractions
qui ne diffèrent de l'acte physiologique que pa
ntrent pendant un temps plus long, les intervalles qui séparent les
contractions
sont toujours régulièrement espacés. De plus, l
antôt plus ou moins localisés ; les inter- valles qui séparent deux
contractions
sont des plus variables '; en outre, ils persis
s fondamentales qui existent entre les spasmes hysté- riques et les
contractions
propres à la maladie des tics : l'un est em- pr
Dans la maladie des tics, au contraire, le rythme n'existe pas, les
contractions
ne présentent ni uniformité ni cadence. ' Ti.
e jeune âge, à la suite d'une vive émotion. Dans le prin- cipe, les
contractions
musculaires ont occupé le bras droit, la face,
ut à fait compa- rable à la décharge d'une étincelle électrique; la
contraction
, au début, offre bien cette analogie, mais ensu
donné par M. Pitres i qui admet que dans la maladie des tics, « les
contractions
sont lentes, graduelles, progressives 2 ». Ar
Aussitôt que la connaissance revenait, le malade se plaignait de
contractions
dans les muscles de la nuque. Il y avait de la pr
ns, l'aplatissement des éminences thénar et hypo- thénar, les mêmes
contractions
fibrillaires que je vous ai fait constater dans
s du mollet. A ces caractères, il convient d'ajouter l'absence de
contractions
fibrillaires, de réaction, de dégéné- rescence,
n trouble de la sensibilité. Les muscles atrophiés sont le siège de
contractions
fibrillaires considérables; elles sont excessiv
de la part du malade, on peut se rendre compte que l'énergie des
contractions
musculaires est un peu moindre du côté lésé.
cas. Ces atrophies souvent considé- rables ne s'accompagnent pas de
contractions
fibril- laires, mais vous pourrez rencontrer da
d'atrophie musculaire hystérique dans lesquels l'exis- tence des
contractions
fibrillaires, le siège de l'amyotrophie (éminen
r. On ne peut non plus retrouver nettement le coraco-brachial. La
contraction
du triceps est énergique et résiste très notablem
s sont absents au coude et au poignet. Pas de phénomène du pied. La
contraction
idéo-musculaire ne peut être retrouvée sur les
semble exiger, entre autres conditions indispensables, une certaine
contraction
musculaire plus marquée que l'état de tonicité
il gêne un peu le centre générateur des mouvements, mais active la
contraction
des muscles par action périphérique. La morphin
se con- tractent faiblement il est vrai, mais enfin, il y a là une
contraction
réelle. Le bras est élevé à l'horizontale sans
gagne par l'exercice chaque jour et on voit très bien maintenant la
contraction
du bi- ceps. Le malade, le 19 mai 1892, sans
it au repos, soit pendant le parler, on note par moments de légères
contractions
en rapport avec le muscle grand zygo- matique.
s émotifs et qui peuvent éventuellement se manifester sous forme de
contraction
musculaire. R. M.-C. LXXX. Un cas DE cocaïnisme
ci-dessus citées. On observe en revanche d'une façon bien nette la
contraction
du quadriceps. En outre, la percussion du tendo
uadriceps. En outre, la percussion du tendon rotulien détermine une
contraction
des adducteurs et du droit interne de deux côté
t une série de trémulations du biceps. On observe en même temps des
contractions
fasciculaires dans le deltoïde. La percussion d
dans le deltoïde. La percussion de la tête du péronée détermine des
contractions
dans le biceps crural. La percussion de la tu
rural. La percussion de la tubérosité interne du tibia détermine la
contraction
des adducteurs. La percussion des différents
ucteurs. La percussion des différents autres muscles détermine leur
contraction
. Le réflexe plantaire ne se produit pas. ' La
as. ' La percussion des différentes branches du facial détermine la
contraction
des muscles des territoires respectifs (signe d
és COYrfiIBUTION A l'étude de la maladie DE madelung 79 foetales,
contractions
utérines, traumatismes), ou par la théorie de l'a
s d'ordre foetal, nous pouvons admettre que dans notre cas, par des
contractions
utérines ou par quelques anomalies de développe
au malade. Pendant l'examen, il présente à plusieurs reprises des
contractions
grima- çantes dans la partie droite du visage ;
vec pareslhésies des memhres supérieurs, parésie des inférieurs, et
contractions
toniques dans les quatre membres. Somnolence le
main droite présentent de temps en temps des secousses, des petites
contractions
, et qu'il voit des contractions fibrillaires da
en temps des secousses, des petites contractions, et qu'il voit des
contractions
fibrillaires dans les muscles du premier espace
imètres sunérieur à celui se la main tranche. 210 BOVERI Quelques
contractions
fibrillaires dans les muscles de l'avant-bras et
s secousses sont normales à droite. A gauche, l'on n'obtient pas de
contractions
aux courants faradique et galva- nique. Ponct
contorsionnait de plus en plus, enfin on voyait survenir une forte
contraction
tonique des muscles de la joue, contraction qui d
yait survenir une forte contraction tonique des muscles de la joue,
contraction
qui durait DÉMENCE PRÉCOCE. - ACROMÉGALIE ATYPI
xagérée. Le pincement de la peau de la rotule provoque une série de
contractions
fibrillaires ou fasciculaires de cer- tains mus
ès l'instant qu'il soulevait la jambe en l'air, il apparaissait des
contractions
muscu- LE MÉCANISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE 347
ascicules des muscles, autour des articulations coxo-fémorales. Ces
contractions
musculaires étaient et si nombreuses qu'elles p
usculaire. C'est alors que nous est venue l'idée d'attribuer, à ces
contractions
, l'ab- sence de fixité de la tête du fémur, qua
es péri-articulaires sont dans un continuel état d'agitation. Ces
contractions
, qui s'observent quand le malade relève en l'air
t ; mais certaine- ment, ce sont les premiers surtout qui,par leurs
contractions
doivent provo- quer les oscillations quand le m
mobile dans tous les sens. De même, ce sonteux aussi qui, par leurs
contractions
, provoquent ces oscillations du bassin et du tr
rts, il intervient rapidement, presque imper- ceptiblement, par des
contractions
volontaires, pour corriger les oscilla- tions.
, pour corriger les oscilla- tions. Par conséquent, dans ce jeu des
contractions
, il doit y avoir deux sortes de contractions, l
quent, dans ce jeu des contractions, il doit y avoir deux sortes de
contractions
, les unes subconscientes ou peut-être inconscient
es, involontaires, et d'autres conscientes, volontaires. Toutes ces
contractions
involontaires et volontaires n'apparaissent que
, par exemple, reposer la jambe sur le lit, ou s'il est couché, les
contractions
cessent M8 8 NOICA complètement. On comprend
ions, surtout dans ses articulations coxo-fémorales, à cause de ces
contractions
et de ces oscilla- tions, il risque à tout mome
urs comme Duchenne de Boulo- gne. En effet cet auteur a bien vu ces
contractions
et nous ne pouvons faire mieux que de reproduir
corde raide : rien n'est plus juste que cette comparaison (1). Les
contractions
musculaires qui, dans la station verticale, pro
brusquement, et pendant un espace de temps très court. Ce sont ces
contractions
qui impriment au tronc ces petits mouvements os
iment au tronc ces petits mouvements oscillatoires, brusques. « Ces
contractions
cependant ne sont pas seulement spasmodiques ; el
e ramènent dans un sens opposé, qui entrent vivement en action. Ces
contractions
sont autant instinctives que volontaires. Il ar
ors aussi elle voyait son corps osciller faiblement. « Mais à ces
contractions
instinctives viennent bientôt se mêler des cont
Mais à ces contractions instinctives viennent bientôt se mêler des
contractions
volontaires. Dès que le malade a conscience de la
tes. Par associations musculaires impulsives, Duchenne comprend les
contractions
musculaires synergiques, destinées à imprimer à
de conclure que les oscillations du membre sont consécutives à ces
contractions
. Mais il n'est pas suffisant de saisir le mécan
ombaires et abdo- minaux ne se contractent pas à l'unisson, que des
contractions
involon- taires et intempestives surviennent, i
tête du fémur est remuée latérale- ment et le tronc aussi, par des
contractions
musculaires désordonnées. En résumé, tous les p
Il est temps maintenant de se demander pourquoi se produisent ces
contractions
? Quel est le premier trouble ataxique, qui est l
e premier trouble ataxique, qui est la cause de l'apparition de ces
contractions
et de ce trouble d'équilibre statique et cinéti
ntérieure de la cuisse que le muscle quadriceps se contracte. Celle
contraction
persiste pendant toute la durée du mouvement, e
ême à le dépasser. Nous pensons qu'au début, la duielé tient à la
contraction
musculaire, et si celle dureté est encore exagé
st près d'arriver sur la surface du lit, alors on sent une nouvelle
contraction
. Cette contraction disparait ensuite rapidement d
ur la surface du lit, alors on sent une nouvelle contraction. Cette
contraction
disparait ensuite rapidement dès que la jambe r
eurs cette fois-ci antagonistes ont été continuellement à l'état de
contraction
. Nous avons vu de même que les muscles adducteu
partout résistante comme chez l'homme normal. Et s'il survient des
contractions
, inconscientes et conscientes, c'est pour corri
rmal, par conséq uent,c'estla flaccidité muscu- laire^ l'absence de
contraction
des muscles postérieurs et des muscles latéraux
aiblit, et que même les muscles perdent une partie de leur force de
contraction
volontaire, nous comprenons alors pourquoi les at
que les muscles se trouvent ordi- nairement dans un état de légère
contraction
, que nous désignons sous le nom de tonus, et qu
lous les mus- cles n'ont pas un tonus égal, parce que pendant leurs
contractions
, le son n'est pas le même pour chaque muscle. D
rpiens correspondants. C'est un mouvement qui doit être fait par la
contraction
des muscles fléchisseurs des doigts, qui fléchiss
ges de chaque doigt. En effet, quand on ouvre la main, par la seule
contraction
des muscles extenseurs des doigts, le poing s'o
temps que les muscles qui vont faire le mouvement de flexion. Cette
contraction
des anta- gonistes doit jouer certainement, com
n côté à la perte du sens profond et d'un autre côté à l'absence de
contraction
des muscles antagonistes et à l'extension passi
e sens qui siège dans le muscle, qui sert à l'accomplissement de la
contraction
musculaire volontaire, et qui, dans l'absence d
t que ce dernier, excité par les ordres de la volonté, provoque des
contractions
musculaires ». Duchenne n'a pas voulu reconnaît
rtrophie cardia- que avec souffle pust-systoliflue à la pointe. Les
contractions
cardiaques sont précipitées, fortes, régulières
de l'excitation de la face interne de la cuisse, il se produit une
contraction
homolatérale du couturier, d'un côté comme de l
dansla résolution musculaire complète, avec de temps à autre des
contractions
partielles, celle de la langue surtout. La sensib
, elle promet de manger du potage. Le 20 août 1902, la sensation de
contraction
dans le creux des'estomac et dans la gorge pers
la musculature des mollets est plus forte que celle des bras. La
contraction
ideo-musculaire provoquée par le pincement et l
ostérieure et moyenne de la cuisse de haut en bas, vous obtenez une
contraction
du biceps à laquelle prennent quelquefois part le
t réflexe due à l'irritation du nei-fya,,ue- ? ). L'inhtbitioîi des
contractions
vésico-urinaires esl peu connue : on sait seule
chaque fois que l'excitation galvanique directe se traduit par une
contraction
paresseuse, lente ; peu importe que, comme dans
esseuse du muscle dégénéré dans tous les cas où cette paresse de la
contraction
se manifeste par l'excitation galvanique direct
uf parfois un son assez 1(- gel' à cause de la faible énergie de la
contraction
. On entend le son musculaire dans la paralysie
e la jambe, ou au moins la main appliquée sur le triceps y sent des
contractions
fort nettes. Pour cela il faut asseoir le patie
articulo-moteurs 'des membres, leur triple action sur les muscles :
contraction
, raccourcis- sement, relâchement, allongement,
ontraction, raccourcis- sement, relâchement, allongement, fixation.
Contraction
stérile de stabilisation. Les nerfs physiologiq
ion en particulier ; b) chaque mouvement simple ; c) la force de la
contraction
;d) la force de résistance et de stabilisation. O
s du côté de l'oreille excitée ne réagissent plus non plus. Celte
contraction
réflexe de l'orbiculaire palpébral exigu le ? c
ysies organiques. 2° Le réflexe du grand trochanter consiste en une
contraction
des adducteurs de la cuisse quand le malade est
bes fléchies ; une extension de la jambesouvent accompa- gnée de la
contraction
fessière quand le malade est couché sur le côté
sez long temps d'arrêt avant qu'il obéisse oubien il est pris d'une
contraction
tonique d3bu- tant parles talons et quile fait
soubresaut généralisé, élève le corps au-dessus du plan du lit, par
contraction
des muscles dans la région dorso-lombairc. Les
re des cuisses sur le bassin, tantôt sont allongés en extension. La
contraction
toni- que semble atteindre les divers groupes m
: si la malade a les mains croisées sur l'abdomen au mo- ment de la
contraction
(altitude habituelle), elles sont violemment di
L'avant-bras exagère sa flexion, les doigts sont épar- gnés par la
contraction
: s'ils étaient allongés, ils restent dans cell
11 a été impossible de savoir par un examen direct, en raison de la
contraction
de ces muscles abdomi- naux, s'il y a durcissem
rrogée, la malade déclare que son ventre est douloureux pendant les
contractions
. Le cou se durcit et se gonfle, par con- tracti
due soit en inspiration, soit en expiration, pendant la durée de la
contraction
. C'est la face qui est la plus atteinte par les
es sont intéressés. Le masque facial est constamment modifié par la
contraction
invo- lontaire des divers muscles de l'expressi
nt d'yeux douloureux. Les lèvres se serrent convulsive- ment, et la
contraction
de l'orbiculaire des lèvres détermine un rictus
veau du larynx; quelquefois un son rauque est émis, par suite de la
contraction
des muscles de la glotte qui se produit brusque-
de tenir .on assiette et de porter les aliments à sa bouche. Les
contractions
choréiques varient d'un jour à l'autre, et quel-
que. Début par une douleur assez vive dans les membres inférieurs ;
contraction
des orteils en flexion, douleur épigastrique, e
ctue très lentement par suite d'un certain degré d'inertie utérine (
contractions
utérines très espacées, tris courtes et à peine
utérines très espacées, tris courtes et à peine douloureuses) : les
contractions
son ! faibles pendant toute la journée du 3 avr
itation mo- trice a cessé, et ne se trahit guère que par de légères
contractions
localisées de la face, qui ressemblent plutôt à
énéral de «fausses chorées», est ainsi définie par P. Blocq : « Des
contractions
musculaires cloniques. semblables aux secousses
es. semblables aux secousses provoquées par le choc élec- trique,
contractions
involontaires non systématisées, lo- calisées o
horée gravidique qui s'exagère au contraire lors du travail, chaque
contraction
utérine augmentant le désordre des mouvements.
'orteil, ce dernier que la tension du tascialatanese produit pas la
contraction
du tenseur su produisant toujours dans Il' sign
e,notamment le maxillaire inférieur. Le choc du marteau produit une
contraction
régulière de l'or- biculaire palpébral, exclusi
er qui supprime toute conductibilité de ce nerf laisse subsister la
contraction
de l'orbi- culaire par ce moyen. Ce n'est donc
n mécanique du muscle ou, réflexe musculaire, qui se traduit par la
contraction
de tout le ventre du muscle ou d'un de Ces fais
es biceps entre le pouce et l'index. Quant au ré- flexe musculaire,
contraction
générale du muscle entier, sans bourrelet visib
laire a peu de relations avec le réflexe tendineux, d'autant que la
contraction
générale du musCle se produit même quand on fra
e sur un muscle sectionné. Mais les conditions de provocation de la
contraction
à l'excita- tion mécanique du muscle sectionné
rve presque constamment l'augmention des réflexes musculaires. La
contraction
est paresseuse ci lente ; ces deux caractères son
ctrique, les réflexes musculaires s'affaiblissent, la lenteur de la
contraction
apparaît dans le muscle franchement atrophié avan
plus ou moins nette des réflexes musculaires, mais la lenteur de la
contraction
n'existe pas, et l'exagération du ré- flexe est
bras, l'épaule, traduisent un accroissement graduel de la force des
contractions
si l'on répète les chocs sur telle ou telle rég
nérale, inconscient par démence. Gâtisme et faiblesse muscu- laire (
contractions
spasmodiques). Déformation du coup de pied droi
mbres inférieurs. La moindre excitation périphérique piovo- que des
contractions
fibrillaires des différents muscles. Exagéra- t
artielles qu'elle revient dans l'axe ; elle est le sujet de petites
contractions
fibrillaires. Le voile du palais pa- raît à peu
face très large, asymétrique. Les muscles du menton sont animés de
contractions
fibrillaires fréquentes, la langue pré- sente u
'inflammation, sur des organismes en voie d'évolution ; ce sont les
contractions
musculaires, en effet,qui,répétées, fixent la têt
action, raccourcissement, re- lâchement, allongement, fixa- tion.
Contraction
stérile de sta- bilisation. Les - physiologique
tives. — Modifications de la contractilité faradique et galvanique. —
Contractions
provoquées par l'étincelle électrique. — Exagérat
t faradique du nerf crural au pli de l'aine ne donnait presque aucune
contraction
; b) sur les points d'élection, la faradisation a
ents, quelle que fût la disposition des pôles, ne donnait pas plus de
contraction
que le courant faradique. Il y avait donc une mod
mécanique portant sur le corps du muscle droit antérieur provoque une
contraction
évidente, et que la percussion du tendon rotulien
bien ne pas se montrer plus efficace que les courants, à provoquer la
contraction
d'un muscle malade. C'est ce que nous avons const
ent. Pour l'une comme pour l'autre, il n'existe usqu'à présent que la
contraction
kathodale de fermeture En d'autres termes, le cou
ale de fermeture En d'autres termes, le courant faradique ne donne de
contraction
que lorsque le muscle est excité avec le pôle nég
fait pour le galvanique). Pour le courant galvanique, on n'a aussi de
contraction
qu'en faisant l'excitation avec le pôle négatif e
contraction qu'en faisant l'excitation avec le pôle négatif et cette
contraction
ne se produit qu'au moment où l'on établit le cou
en aigrette, beaucoup moins fortes et incapables de donner Uni a une
contraction
. C'est le procédé qui nous a déjà réussi, par exe
as toujours sans inconvénient de chercher à provoquer, quand même, la
contraction
d'un muscle malade. Théoriquement nous voyons l
nence protégé par les paupières contracturées, il se produit déjà une
contraction
des muscles de la face à droite. Si nous découvro
e de la nutrition. Certains de ces muscles atrophiés sont le siège de
contractions
fibrillaires très appréciables, le deltoïde, par
appe sur le tendon rotulien, soit à droite, soit à gauche, il y a une
contraction
du deltoïde, du trapèze, du grand pectoral et l'é
quide accumulé dans la cavité articulaire, etc.; mais on reléguait la
contraction
spasmodique, involontaire, sur le second plan. Au
ond plan. Aujourd'hui, au contraire, c'est, si je ne me trompe, cette
contraction
spasmodique, involontaire, réflexe, qui est invoq
insi que Pitha, se rattache à cette théorie. Or, il s'agit là d'une
contraction
spasmodique portant à la fois sur les extenseurs
déterminer le sens de la déviation. Il ne paraît pas s'agir ici d'une
contraction
intentionnelle ou instinctive, destinée à atténue
s la production des déformations, qu'un rôle tout à fait effacé. La
contraction
musculaire, par action réflexe, force aveugle et
les muscles et sur les troncs nerveux, la faradisation détermine des
contractions
musculaires qui ne cessent pas après l'excitation
les nerfs et les muscles, déterminer, sans que la malade souffre, une
contraction
assez prononcée et plus ou moins durable. Il est
a Kathode). Vous n'ignorez pas que, dans les conditions normales, les
contractions
musculaires se produisent seulement soit, à la fe
suivante : Ka S Z. Pour obtenir avecl'autre pôle, le positif, An, une
contraction
, il faudra augmenter le nombre des éléments et le
effet de la faradisation est nul ; la galvanisation ne produit qu'une
contraction
lente et faible. A droite, il y a aussi une réact
tat de repos, une augmentation de consistance notable, et, pendant la
contraction
, ils sont durs comme de la pierre. Les triceps de
. Les triceps de la cuisse sont gros, saillants et noueux pendant les
contractions
. Mais si vous éprouvez la résistance de ces organ
rt habituellement les yeux à demi ouverts, et, à l'état de veille, la
contraction
la plus énergique de l'orbiculaire des Fig. 30.
uvant lever son bras, dans l'acte de se moucher, par exemple, par une
contraction
normale des muscles élévateurs du membre, est obl
ieure comme une sorte de nœud dans la moitié droite, seul point où la
contraction
s'opère. Comme chez sa fille, nous constatons une
se rapprochent l'un de l'autre au-devant de l'abdomen par suite d'une
contraction
con-vulsive des muscles pectoraux. Après cela sur
, soit des troncs nerveux, alors qu'elle provoque cependant de fortes
contractions
musculaires, n'est pas sentie. Les mouvements d
de Boulogne). Si, chez notre sujet, nous déterminons, par exemple, la
contraction
de l'orbiculaire supérieur des paupières (muscle
uvements passifs. Aucun muscle, je le répète, ne manifeste la moindre
contraction
, quels que soient les efforts qu'y emploie le suj
s troncs nerveux et les muscles au point de produire dans ceux-ci les
contractions
les plus énergiques sans déterminer la moindre tr
termine un courant nerveux vers les muscles impliqués et produit leur
contraction
. On sait qu'une intimation soudaine peut avoir qu
buleuse et présente la fossette rétro-trochantérienne résultant de la
contraction
du grand fessier ; la gauche au contraire paraît
doigts qui vient d'être décrite. Evidemment, il ne s'agit plus là de
contraction
musculaire spasmodique. (J.M. G.) VINGT-SIXIÈME
supporter aucun vêlement sur le corps. J'avais l'épiderme en feu, des
contractions
dans tous les membres, et, quand j'essayais de pa
X..., atteint à diverses reprises de crises hystériques avec délire,
contractions
irrégulières de la face, etc.. ; à certains momen
tives. — Modifications de la contractilité faradique et galvanique. —
Contractions
provoquées par l'étincelle électrique. — Exagérat
s ou moins complète de la fibre musculaire, et la non-abolition des
contractions
volontaires, 52 THÉRAPEUTIQUE. affections dan
alysies, caractérisé par l'in- coordination et non par la perte des
contractions
muscu- laires volontaires, plusieurs auteurs av
es volontaires, plusieurs auteurs avaient essayé de discipliner ces
contractions
anormales afin d'en rétablir l'harmonie, mais t
vail d'éducation spéciale des éléments nerveux qui com- mandent aux
contractions
musculaires et en assurent l'har- monie, on peu
ystème moteur neuro-musculaire, toutes les fois, notamment, que les
contractions
volontaires ne sont pas abolies, une éducation
ation nouvelle des centres altérés peut rétablir l'équilibre de ces
contractions
et, par conséquent, les fonctions perdues ; l'e
l'aphasie, et d'une façon générale à tous les cas dans lesquels les
contractions
musculaires volontaires considérées isolément s
ctions musculaires à une fonction donnée sont viciées, -mais où ces
contractions
elles-mêmes sont très diminuées : ainsi en est-
me le tonus est altéré. Enfin, on devra examiner comment se fait la
contraction
volontaire, si elle n'est pas retardée, ou brus
s : c'est ce que Duchenne de Bou- logne exprimait en disant : « Les
contractions
musculaires isolées ne sont pas dans la nature.
provient que du défaut d'association opportune de leurs diverses
contractions
. En réalité, il n'en est rien : dans l'ataxie t
de, elle ne s'applique guère directement aux muscles, puisque leurs
contractions
sont réglées par le système nerveux et que c'es
rétablir : il lui faut connaître exacte- ment les effets de chaque
contraction
musculaire, le méca- nisme de tous les mouvemen
demander : jamais ils n'aideront à rétablir le type nor- mal de la
contraction
volontaire et de la coordination. Celle-ci est
n déductions pratiques, du muscle tabétique au repos, l'étude de sa
contraction
volon- taire est plus instructive encore. Tout
ructive encore. Tout d'abord il existe des malades chez lesquels la
contraction
volontaire de certains muscles n'est pas possib
xer- cice méthodique permet peu à peu aux malades de retrouver la
contraction
volontaire plus ou moins correcte. Mais, ce qui
ire plus ou moins correcte. Mais, ce qui est de règle, c'est que la
contraction
volontaire de chaque muscle envisagé isolément
lie lesquels se rapprochent de ce que M. P. Richer a appelé type de
contraction
balistique pour les muscles nor- maux, remarquo
à un. De même que l'ata- xie est faite de troubles élémentaires des
contractions
de 74 THÉRAPEUTIQUE. chaque muscle, de la dis
s de 74 THÉRAPEUTIQUE. chaque muscle, de la dissociation de leurs
contractions
synergiques, et enfin, du défaut des mouvements
les uns, les plus simples, destinés à rétablir le type normal de la
contraction
musculaire indi- viduelle, les seconds destinés
ction musculaire indi- viduelle, les seconds destinés à grouper ces
contractions
pour obtenir des mouvements à peu près régulier
fférents de cel- Iiiles dont l'un transforme l'excitant lumineux en
contraction
du sphincter, l'autre fait la même besogne pour
groupe cellulaire d'un côté que de celui de l'autre : le défaut de
contraction
irienne à la lumière est plus intense de ce côté
L'union centrale des noyaux sphinctériens ne nuit pas à l'inégale
contraction
des pupilles ; si l'excitant se distribue égaleme
inèrent des symptômes de névrite du sciatique avec douleur intense,
contractions
, parésie, troubles paresthéniques. Un traitem
nce sur l'excitabilité faradique ; inversement les muscles dont les
contractions
ont presque cessé du fait de l'action directe ou
grâce à laquelle de faibles excitations extérieures déterminent des
contractions
musculaires convulsives. Le déplacement de l'un o
a couverture, l'action de l'air frais, provoquent instantanément la
contraction
convulsive dans un des membres ou dans les deux
prime par l'extension en bloc du membre entier, due à une énergique
contraction
des mus- cles de la face antérieure de la cuiss
ns fréquent, le réflexe fléchis- seur de la jambe se traduit par la
contraction
simultanée des fléchisseurs de la cuisse et du
il, dont le tendon se dessine nettement : c'est ce qu'on appelle la
contraction
paradoxale, qui n'a rien de paradoxal, car elle
raction paradoxale, qui n'a rien de paradoxal, car elle émane de la
contraction
réflexe ordinaire sous la dépendance de l'exten
ne parfois le réflexe cortical gustatif, caractérisé par une faible
contraction
des lèvres du côté opposé. Peut-être s'agit-il
illet 1901.) E. B. XXV. Sur la question de la valeur clinique de la
contraction
idio- musculaire dans les maladies mentales; pa
ers tableaux publiés par les auteurs, on voit que l'existence de la
contraction
idio-musculaire n'a pas de valeur diagnostique
on générale est insuffisante, plus la tendance à l'apparition de la
contraction
idio-musculaire est grande; l'exis- tence fréqu
ntraction idio-musculaire est grande; l'exis- tence fréquente de la
contraction
idio-musculaire chez les ma- lades psychiques e
aractères : ataxie des qua- tre membres avec atrophie musculaire et
contractions
fibrillaires ; troubles de la sensibilité cutan
ige la moitié droite ou gauche du voile du palais, ou détermine une
contraction
réflexe bien marquée du facial inférieur du côté
odique. Cliniquement, la maladie de Thomsen, c'est la maladie de la
contraction
musuculaire et le terme de myotonie la définit
de un ou deux jours; ces convulsions débutent ordinairement par la
contraction
clonique du muscle orbiculaire gauche, parfois
es des membres se transforment en spasme tonique s'achevant par des
contractions
isolées très fortes des groupes musculaires iso
pileptique, mais plutôt provoqué par la douleur dans les muscles en
contraction
. La conscience ne disparaissait point. La mal
e paraît difficilement applicable dans la pratique, consiste en une
contraction
simultanée', chez la femme du muscle constricte
ne se contracte plus dans un ordre de succession régulier et où la
contraction
elle-même n'est plus l'effet d'une décharge conti
lui font penser que la contracture hystérique est identique à une
contraction
volontaire prolongée. Nous citons cet exemple i
'hystérie ne fera une paralysie radiale avec con- ' servation de la
contraction
du long supinateur, comme l'intoxication saturn
r Piltz chez le paralytique général mais seulement à la suite de la
contraction
volontaire énergique de l'orbiculaire palpé- br
e seul point commun de la lenteur et de la durée ulté- rieure de la
contraction
: dans la myotonie, l'exercice des mou- vements
tion musculaire idiopathique. M. Saenger insiste sur la durée de la
contraction
et la lenteur de la dilatation finale de la pup
ne. Dans sou observation et celles de Piltz, Strasburger, Nonne, la
contraction
persiste, la dilatation s'effectue infiniment l
uvement de la pupille, une remarquable persistance ultérieure de la
contraction
qui s'est installée. En d'autres termes, la con
ieure de la contraction qui s'est installée. En d'autres termes, la
contraction
de l'iris à la convergence et à l'ac- comodatio
odation, la réaction à la convergence, la réaction des pupilles par
contraction
de l'orbiculaire. 20 L'expres- sion de réaction
ational d'assistance pu- blique et de bienfaisance privée, 400.
Contraction
. V. maladies mentales. Corps calleux. Deux nouv
de l'irritation des racines postérieures de la moelle épinière, des
contractions
musculaires réflexes ; et s'il n'a pas obtenu u
ui-même n'était pas complètement décrit : si au bras nous avons une
contraction
des fléchisseurs, au membre inférieur nous avons
des fléchisseurs, au membre inférieur nous avons habituellement une
contraction
des extenseurs. Ilitzig ajoute encore, comme cr
ÉCANISME DE LA CONTRACTURE 29 fracture durable, seulement c'est une
contraction
durable permanente. Charcot et Vulpian poussent
qui correspondent aux centres de la substance grise, préposés à la
contraction
de tel ou tel muscle, aussitôt ces muscles se c
midal, la machine privée de son frein fonctionne indé- finiment, la
contraction
musculaire due à ce fonctionnement est comme lui
racture post-hémiplégique a une tout autre explication. Elle est la
contraction
des fléchisseurs qui prédomine sur celle des ex
naissons au- jourd'hui d'après les définitions classiques, sont des
contractions
uni-mus- culaires, produites par l'excitation d
Stembe1'g, dans son travail bien connu, a attiré l'attention sur la
contraction
simultanée des muscles avoisinant celui dont le
lti-musculaires (c'est-à-dire qu'une seule excita- tion provoque la
contraction
de plusieurs muscles, et très fréquemment bilat
ain, les réflexes tendineux sont, en général, moins- accentués ; la
contraction
des muscles est plus faible et se borne à un ép
lexes osseux, nous avons été frappé non seulement par le tait de la
contraction
d'un muscle situé loin du point osseux que nous
x que nous frappions, mais aussi par le fait que très souvent cette
contraction
n'était pas unique. Par exemple, au membre supéri
'apophyse styloïde du radius est représenté presque toujours par la
contraction
simultanée de deux muscles, le long supinateur
e l'épi- condyle, le coude étant porté en arrière se traduitpar une
contraction
des fibres antérieures du deltoïde, mais il n'e
toïde, mais il n'est pas extrêmement rare de voir en même temps une
contraction
simultanée des fibres du grand pectoral. La per
coude étant fléchi et'porté en avant, produit t presque toujours la
contraction
du muscle triceps et des fibres postérieurs du
eur, la percussion de la mal- léole interne (en arrière) produit la
contraction
des muscles demi-tendi- neux et demi-membraneux
odiques. Si l'on percute l'apophyse styloïde du radius, on voit une
contraction
dans les muscles long supinateur et biceps brac
examine est exagé- rée, on peut provoquer aussi, en même temps, la
contraction
des fibres antérieures du deltoïde et même du g
percute l'épicondyle, le coude étant porté en arrière, on voit une
contraction
des fibres antérieures du deltoïde et du muscle g
et, si le ré- flexe est exagéré, on peut observer en même temps une
contraction
du triceps brachial et des fibres postérieures
ochlée, le coude étant porté en avant et un peu fléchi, produit une
contraction
du triceps et des fibres postérieures du deltoï
citation a été très forte, il n'est pas rare de remarquer aussi une
contraction
des mus- cles épitrochléens. Le résultat de ces
ntraction des mus- cles épitrochléens. Le résultat de ces multiples
contractions
sera la ferme- ture du poing, l'extension et l'
tibia (réflexe osseux de la 3e racine lombaire), peut provoquer une
contraction
non seulement dans les muscles adducteurs, mais
n de la tubérosité antérieure du tibia qui produit d'habi- tude une
contraction
des muscles demi-tendineux et demi-membraneux,
La percussion de la crête illiaque peut provoquer, non seulement la
contraction
des muscles biceps, demi-tendineux et demi-membra
es correspondant à un seg- ment médullaire se sont contractés, leur
contraction
peut être accompa- gnée de celle d'autres muscl
excitant l'apophyse styloïde du cubitus, au lieu de pro- voquer la
contraction
des muscles épitrochléens, on provoque la contrac
ras en avant et en dedans ; le premier mouvement est produit par la
contraction
des muscles long supinateur et biceps bra- chia
nateur et biceps bra- chial, le second mouvement est produit par la
contraction
des fibres anté- rieures du muscle deltoïde et
hyse styloïde du cubitus, on a alors une fermeture du poing, par la
contraction
des muscles épitrochléens, muscles fléchisseurs
trois : une d'extension de la cuisse sur le bassin, produite par la
contraction
du grand fessier; une autre d'extension du geno
tude d'abaissement et de rotation en dedans du pied produite par la
contraction
du triceps sural. La première attitude, nous ne
la malléole externe avec le marteau, qui provoque habituellement la
contraction
du triceps sural (extension du pied) et par pro
triceps sural (extension du pied) et par propagation de produire la
contraction
du-tri- ceps crural (extension du genou) et la
duire la contraction du-tri- ceps crural (extension du genou) et la
contraction
du grand fessier (exten- sion de la cuisse),car
reproduire l'attitude du membre supérieur ou du membre inférieur en
contraction
, ne peut prove- nir que des centres supérieurs
RENCH seur et à la sécheresse du tégument était si grande qu'aucune
contraction
ne put être obtenue avec les courants, faradiqu
on galva- nique dans laquelle la fermeture de la catode donnait une
contraction
plus facile à obtenir que la contraction de la
e de la catode donnait une contraction plus facile à obtenir que la
contraction
de la fermeture de l'anode. Tant qu'on en peut
une série de secousses, de soubresauts qu'accompagnent en outre des
contractions
fibrillaires très nettes dans les pectoraux émaci
e fois, un réflexe controlatéral. Westphal (1) signale en effet des
contractions
du membre inférieur succédant à l'excitation du m
le, que la percussion de la face du côté sain pouvait provoquer des
contractions
des muscles du côté malade. Thüe (3) et Strümpe
s premiers que la percussion du tendon rotu- lien peut provoquer la
contraction
des muscles adducteurs de la cuisse du côté opp
ions d'apparition. Puis d'autres auteurs essayèrent de provoquer la
contraction
de ces muscles par des excitations autres que cel
la cuisse provoquait'la rétraction des deux testicules, parfois la
contraction
du cré- master était plus énergique du côté opp
é opposé à l'excitation, et pouvait même ne pas s'accompagner de la
contraction
du muscle du côté excité. Il a vu également des
sur la marge supérieure du pubis provo- que en même temps une vive
contraction
des adducteurs des cuisses,également forte des
laires, des troncs nerveux et des sur- laces osseuses. L'énergie de
contraction
est moyenne et égale des deux côtés ; J. dynamo
sse- ment de Du Bois Reymond. On sait qu'avec des sujets normaux la
contraction
tétanique dure longtemps, vingt minutes à une h
itaine de jours, il surprenait constamment son sphincler en état de
contraction
pénible et, bien qu'il le relâchât volon- taire
nts automatiques. 11 n'y a ni état catatonique, ni troubles de la
contraction
musculaire, mais la marche est maladroite et bi
lité galvanique n'est pas augmentée, mais il y a prédominance de la
contraction
à l'anode; en un mot, les muscles présentent le
l supérieur; pas d'accroissement de l'excitabilité galvanique, mais
contraction
plus forte à la fermeture avec l'anode qu'avec
efois il était incapable de prononcer certains mots. On observa des
contractions
de la face; au moindre effort pour les comprime
ans un état de roideur qu'on peut surmonter assez facilement. Cette
contraction
, pen- dant laquelle les bras sont contournés da
les pouces fortement fléchis, n'est pas entièrement permanente. La
contraction
des muscles du cou n'est pas non plus assez éne
agités de mouvements désordonnés, tous les muscles sont le siège de
contractions
irrégulières; la marche est gênée, difficile, s
s. Pour les uns, le sens musculaire nous donne l'appréciation de la
contraction
de nos muscles; pour d'autres, il nous fournit
es mettant automatiquement en rapport avec les différents degrés de
contraction
de tous les muscles qui peuvent être en jeu.
par les impressions qui résultent des états variés de tension ou de
contraction
de nos muscles. Cette faculté est perdue dans c
t. I), comme le plus probable, que les sen- sations accompagnant la
contraction
des muscles naissent dans les fibres nerveuses
D'après cela, la conscience de l'effort serait indé- pendante de la
contraction
musculaire elle-même. Ferrier répond à cela que
moteurs et son siège est du côté moteur, et la conscience de nos
contractions
musculaires est indépendante des impres- sions
ndépendante des impres- sions centripètes nées de l'acte même de la
contraction
mus- culaire. Dans les différentes éditions de
ntres et les nerfs moteurs seraient donc à la fois les agents de la
contraction
musculaire et de la conscience de l'effort musc
blement des différences de poids que les mouvements d'élévation. La
contraction
muscu- laire, le sens musculaire, joue donc un
moteurs des doigts subsistent en tout ou en partie et éprouvent des
contractions
réelles sous l'influence de la volonté. Le sens
des parties que nous voulons faire agir, nous sont fournies par les
contractions
musculaires et les changements de position réel
acte des mouvements volontaires, semble précéder et dé- terminer la
contraction
, avec la sensation qui donne le sentiment de la
Gerdy. Cette dernière sensation est le résultat ou le prodnit de la
contraction
musculaire; l'observation clinique m'a démontré q
LE SENS MUSCULAIRE. 91 t vité musculaire. Elle est nécessaire a la
contraction
musculaire volontaire et à la cessation de cett
e a la contraction musculaire volontaire et à la cessation de cette
contraction
.» » Pour lui la sensibilité musculaire n'est qu
st nécessaire que l'effet de l'excitation centrale, c'est-à-dire la
contraction
, soit produit pour que le cerveau puisse percevoi
non seulement la conception du but à atteindre, l'excitation des
contractions
en groupes fonctionnels et leur coordination, m
e ce que les muscles sont en train de faire, pour que l'énergie des
contractions
musculaires ne dépasse pas ou ne reste pas au-d
son rôle. Par elle, et par elle seule, nous connaissons la force de
contraction
actuelle des muscles, l'étendue, l'énergie, la
par conséquent aussi, la possibilité de rectifier les erreurs de la
contraction
. Cette sensation remplit le rôle de dynamomètre
n de pression de la peau et des parties sous-cutanées, sensation de
contraction
des muscles, et sensations d'innervation centra
connu la part impor- tante prise par le rappel des sensations de la
contraction
musculaire dans l'accomplissement des mouvement
ni associés à aucune sensation autre que celle qui accompagne les
contractions
musculaires violentes. Mais la preuve la plus A
on motrice quitte les centres kinesthé- tiques jusqu'à celui où les
contractions
musculaires arrivent, nous avons seulement affa
visuel; aucun point hystérogène. Il est impossible de provoquer des
contractions
à l'aide de la bande d'Esmarch. Depuis quelques
dans la crampe des écrivains, où ce sont les muscles soumis à une
contraction
incessante pour maintenir la plume, plutôt que
xtension du poignetqui sont atteints. Lesmouvements ryth- miques de
contraction
et de relâchement des muscles faisant . REVUE D
pas le trouble ressenti par les malades. Dans neuf cas, ce sont des
contractions
des extenseurs, au moment où le pianiste fait d
oins accusé ; 3° par de la douleur ou une fatigue rapide pendant la
contraction
musculaire; 4° une sen- sation de faiblesse du
erce le plus. L'excitation faradique des muscles donnait lieu à une
contraction
propagée des muscles voisins. Dans quatre cas
e du crâne derrière l'oreille ne produit pas de con- tracture ni de
contraction
, même passagère des muscles' de la face; mais e
spiratoires réguliers (20), soulevant t les joues. Pupilles égales,
contractions
musculaires faibles, mais pas de paralysie. T.
on essaie de distraire son attention, on exagère, au contraire, la
contraction
des muscles. Dern... peut toucher avec ses pied
droite est croisée sur la gauche. Do temps en temps, on observe des
contractions
des muscles des membres inférieurs qui sont sou
maces de la face : la bouche parait serrée,' comme s'il y avait une
contraction
per- manente des lèvres qui se plissent parfois
La difficulté de la tenir allongée et libre est due peut- être aux
contractions
énergiques des muscles de la face qui accom- pa
ions de la coxalgie reconnaissent une cause générale constante : la
contraction
musculaire réflexe. Désireux de vérifier cette
e notés, à des degrés divers, de l'a- battement, de la stupeur, des
contractions
spasmo- diques, de la raideur de la nuque, de l
t pas notablement doulou- reux à la pression. Si l'on provoque la
contraction
des muscles paralysés, la douleur sus-orbitaire
(biceps) sont souvent dans un état de rétraction très prononcé. Les
contractions
fibrillaires font défaut; plus de contractions
n très prononcé. Les contractions fibrillaires font défaut; plus de
contractions
idio-musculaires. La contractilité électrique n
uscles particuliers, la rétraction de certains autres, l'absence de
contractions
fibrillaires, de réaction de dégénérescence, la
ntes. Au repos, toujours dans le lit, il a, pendant l'examen, des
contractions
spontanées involontaires dans les membres in- f
traits nouveaux. Au repos, il y a dans les membres inférieurs des
contractions
spontanées, involontaires, des crampes. Ce qui
me ont conservé leurs phéno- mènes caractéristiques. A gauche, la
contraction
des muscles faciaux par la pression du nerf fac
ar l'excitation mécanique de ce muscle. Ils se divisent en : 40 une
contraction
totale constituée par une onde contractile qui
E PATHOLOGIE MENTALE. 255 tant la forme 'de bourrelet circonscrit :
contraction
locale, idiomuscttlvire. Ces deux formes de con
rconscrit : contraction locale, idiomuscttlvire. Ces deux formes de
contractions
peuvent être pro- voquées chez les individus do
chez les aliénés dont le système moteur est demeuré intact, mais la
contraction
locale exige l'intervention d'une excitation bi
exige l'intervention d'une excitation bien plus considérable que la
contraction
totale. Les phénomènes musculaires persistent p
arcose chloroformique, une excitation faible suffit à engendrer une
contraction
locale; même réflexion, en ce qui concerne l'ag
ale sera par exemple provoquée une heure après l'is- sue fatale, la
contraction
locale, cinq ou six heures après. Leurs allures
xcitabilité mécanique du muscle est modifiée. En ce qui concerne la
contraction
totale, celle-ci est ordinairement diminuée dans
a paralysie flasque, augmentée dans la paralysie avec rigidité : la
contraction
locale n'est point altérée dans ces états. 3" L
canique des muscles; on constate que le mode de con- vulsions ou de
contractions
normales se pervertit ; le phénomène se produit
nomène se produit et disparaît très lentement, tant à l'égard de la
contraction
locale que de la contraction totale. Pour M.
t très lentement, tant à l'égard de la contraction locale que de la
contraction
totale. Pour M. Reinhard, la contraction totale
raction locale que de la contraction totale. Pour M. Reinhard, la
contraction
totale est un réflexe : elle émane de l'envelop
mane de l'enveloppe et des cloisons sarcolemmatiques du muscle ; la
contraction
locale résulte de l'actionnement direct, sans l'i
ète et l'ictère, un ralentis- sement semblable dans la courbe de la
contraction
. Par consô- 1 On eu trouvera l'analyse aux Revu
es et cyanosées. La peau conduit très peu Je courant élec- trique ;
contractions
et réactions normales des muscles et des nerfs
ion d'un mouvement sans but, ou une durée démesurément longue de la
contraction
musculaire. En second lieu, il est extrê- memen
employer de très forts cou- rants pour ne déterminer que de faibles
contractions
. Absence complète de réflexes patellaires. En d
se précordiale, de l'ary- thmie et un affaiblissement notoire de la
contraction
ventricu- laire : le pouls est irrégulier, inte
qui correspondait à un membre à l'aide d'un courant faradique, la
contraction
du muscle qui s'était subite- ment produite ne
L'expérience suivante est encore plus intéressante. Si, pendant la
contraction
tonique provoquée soit par DE l'hypnotisme. 369
spondante un courant moins fort que celui qui pouvait produire la
contraction
, la contraction diminuait, même elle cessait to
ourant moins fort que celui qui pouvait produire la contraction, la
contraction
diminuait, même elle cessait tout à fait. En fa
aible, au contraire, une image plus petite. Or, si on a produit une
contraction
forte à l'aide d'un courant intense, et si cett
le courant faible sur la zone motrice d'un muscle, qui était mis en
contraction
, le muscle ne fut relâché que pour un moment, e
l'application peut-être un peu plus pro- longée ou plus intense; la
contraction
se reproduisait en raison de la force de cette
A quelque degré que ce réflexe soit élevé, jamais on n'a vu ni une
contraction
, ni une contracture se pro- duire après la seul
il faut appliquer un coup rapide, bien que. doux, pour provoquer la
contraction
du muscle, ce qui est la propriété générale des
i difficile à approuver l'hy- pothèse d'origine réflexe spinale. La
contraction
s'é- tend aussi aux muscles non irrités, ainsi
- tion réflexe de la moelle épinière est fortement accrue, que la
contraction
apparaît aussi dans un muscle qui n'était pas d
commuas de toutes les trois phases de l'état hypnotique est que la
contraction
une fois provoquée devient permanente. Cela pro
a arrive de même dans les contractures pendant la léthargie, et ces
contractions
sont toujours propor- tionnées à la force de l'
lâchent à présent à un degré qui est en raison de l'intensité de la
contraction
provo- quée par cette nouvelle malaxation ; si
en plus intenses au cours d'une même séance jusqu'à production de
contractions
tétaniques des groupesmusculaires de la région ou
t de la réjection, la glotte se ferme et en même temps survient une
contraction
très énergique et très brusque du diaphragme, q
récipitent donc dans l'orifice béant de l'oeso- phage, et alors une
contraction
du pilier droit du diaphragme, séparant les mat
r droit du diaphragme, séparant les matières engagées, provoque une
contraction
antipéristaltique de l'oesophage qui les amène
is en grande quantité. - Suspension momentanée de la rumination par
contraction
de la volonté; mais rejet consécutif des alimen
vant effacé, se bombe fortement. Toutes les vingt secondes environ,
contractions
violentes visibles et tangibles de la région ép
à l'insu du sujet, qui ne s'aperçoit, le plus habituellement, des
contractions
qui font remonter les aliments que lorsque ces de
ès le fait précédent, la flexion de la tête, l'extension du cou, la
contraction
simultanée du diaphragme et des muscles abdomin
ns observés. Entre tous, le plus important est incontestablement la
contraction
du diaphragme et des muscles abdominaux ; aussi
ur but d'abaisser le diaphragme ; en même temps il y a une légère
contraction
des muscles de l'abdomen. L'estomac, qui se trouv
imentaire force le cardia, gagne l'oesophage et le pharynx dont les
contractions
suc- cessives l'amènent dans la cavité buccale.
elle n'existerait que pour la première gorgée après laquelle les
contractions
de l'estomac, que l'auteur localise dans la grand
le- ment déjà signalé ci-dessus. Si l'on ajoute à cela une légère
contraction
des parois abdominales, portant surtout sur les
oquent le retour des aliments dans le pharynx. Ajou- tons que cette
contraction
abdominale est très peu marquée, et qu'il faut
partir du moment où les aliments remontent à l'état de pâte, cette
contraction
devient à peine visible. Disons enfin qu'elle e
bilisation de la cage thoracique et par suite du diaphragme, légère
contraction
des parois abdominales, le tout sans aucun phén
riodes : dans la première, tous les phénomènes sont plus accusés,
contractions
abdominales, éructations, mastication; le nombr
t où les substances qui remontent prennent l'aspect d'une pâte, les
contractions
, les éructations sont à peine sensibles, les bo
'oesopha ! jl ! , etc.. entrent immé- diatement et simultanément en
contraction
. Pendant ce temps, la respiration est suspendue
mais très souvent nous n'avons rien remarqué et, dans le cas où des
contractions
se sont produites, leur peu de durée et d'inten
t dans le vomissement. Dans le dernier phénomène, il semble que les
contractions
partent d'un point plus éloigné de l'oeso- phag
en agissant sur l'estomac pir des pressions exté- rieures, par des
contractions
des muscles abdominaux, en fai- sant de grandes
et d'amplitude jusqu'à ce que le corps tombe immobile et se fixe en
contraction
. Les bras se mettent en croix; les jambes sont
roit ne sont pas atrophiés (mensurations). Cependant, il existe des
contractions
fibrillaires dans toute la mus- culature de la
ainsi dire toute en prodromes psy- chiques entrecoupés de quelques
contractions
des bras, de quelques convulsions des globes oc
IELLE GÉNÉRALISÉE MOUVEMENTS ATII);TOSIQUES DE LA MAIN ET DU PIED
CONTRACTIONS
FASCICULAIRES DES MUSCLES LARGES Les mouvements
. Pl. XIII PHOTOTYPE négatif X. PHOTOCOLLOGRAPHir Chêne LONGUET
Contractions
Fasciculaires DES MUSCLES DE L'EPAULE Lecrosnie
XIV PHOTOTYPE négatif X. PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne & Longuet
Contractions
FASCICULAIRES DES MUSCLES DE l'Epaule LECROSNIE
En outre, de temps en temps, le muscle rhomboïde est le siège de
contractions
fasciculaires lentes : on voit ses divers faiscea
e porte en haut et fait basculer l'os dans- sa totalité. Lorsque la
contraction
du faisceau inférieur du rhomboïde est très éne
fois aussi le faisceau supérieur du grand dorsal gauche s'animer de
contractions
lentes, analogues à celles du rhom- boïde. ,
eau de la fesse gauche. Le muscle grand fessier est animé des mêmes
contractions
fasciculaires que le rhomboïde; mais les contra
imé des mêmes contractions fasciculaires que le rhomboïde; mais les
contractions
, au lieu de se produire comme dans le premier m
solément : les mouvements isolés des doigts trahissent en effet des
contractions
fasciculaires des fléchisseurs et des extenseurs
sont précédées d'une aura analogue à l'aura de l'attaque vulgaire :
contraction
de la gorge, battements dans les tempes, siffle-
nce (examen de Erb) dans les muscles des jambes, et de l'absence de
contraction
dans ceux des cuisses. Les réflexes tendineux s
accusée à gauche qu'à droite. Les muscles atrophiés présentent des
contractions
fibrillaires notables. Les réflexes cutanés son
, elle a souvent pour caractère particulier d'être asso- ciée à une
contraction
énergique du muscle pyramidal, qui amène le sou
ue la résistance à vaincre soit à peu près nulle. Cette lenteur des
contractions
(tracé en escalier) se retrouve dans l'explorat
t-à-dire que le malade éprouve la même difficulté à faire cesser la
contraction
qu'à la commencer. La même lenteur se trouve
les on voitles circonvolutions intestinales se dessiner pendant les
contractions
et former des noeuds, comme un paquet de vers d
stin. Grands droits : contractilité nulle. Grand oblique : quelques
contractions
dans les faisceaux supérieurs. Muscles latéraux
se contracte facile- ment. Pectoraux se contractent bien. Triceps,
contraction
nulle. Biceps, contraction faible. Groupe posté
Pectoraux se contractent bien. Triceps, contraction nulle. Biceps,
contraction
faible. Groupe postérieur de l'avant-bras, contra
lle. Biceps, contraction faible. Groupe postérieur de l'avant-bras,
contraction
nulle. Fléchisseurs se contractent assez bien.
tent assez bien. Fléchisseur du pouce, contrac- tion nulle. Thénar,
contraction
faible (sous l'influence de l'électricité, la p
rique un peu plus considérable qu'à gauche, mais peu de différence.
Contraction
nulle à l'avant-bras à éminence thénar, hypothé
action nulle à l'avant-bras à éminence thénar, hypothénar, triceps.
Contraction
faible biceps, deltoïde. 24 février. Différen
res inférieurs (Fig. 63 et 63). Réflexes rotu- liens abolis. Pas de
contractions
fibrillaires. Pas de troubles vésicaux, ni ocul
us venons de décrire, il faut solliciter plus ou moins fortement la
contraction
du droit externe paralysé en forçant la malade
que ce déplacement se produit sans que l'on provoque directement la
contraction
du droit interne, et que, cependant, à la brusque
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA S,1LPETRI1;R1;. mouvement, il semble que la
contraction
de ce muscle droit interne intervienne. Ce dépl
osé à la sciatique, (généralement mais non toujours) en vertu d'une
contraction
muscu- laire des muscles latéraux du tronc. Plu
ose de la région lombaire de la co- lonne vertébrale, 10, 11, 12.
Contractions
fasciculaires des muscles de l'épaule, 13, 14.
cteurs de champ visuel réagissent à la lumière, mais l'amplitude de
contraction
esl assez faible' pour les faisceaux lumi- neux
mme absent que lorsque l'excitation ne donne jamais ni mouvement ni
contraction
musculaire. Dans un certain nombre de cas, l'ab
qu'il n'admetta.it pas que la propulsion du sang fût causée par la
contraction
du muscle cardiaque, mais qu'il l'attribuait à
iables selon le degré de rétraction qu'elle subit. On dirait que la
contraction
s'accuse de plus en plus et forme un congloméra
face postérieure de l'avant-bras, on voit passer fré- quemment des
contractions
librillaires rapides. Les mouvements du pouce son
que depuis sa sortie de l'hôpital, il a eu presque constamment des
contractions
musculaires brusques dans le bras et l'avant-br
mbe gauche depuis 6 mois, et plus récemment dans Je bras droit. Ces
contractions
sont plus fortes et plus régulières à gauche qu'à
ues. L'usage de la main devint même plus difficile en- core, et les
contractions
fibrillaires augmentaient de fréquence et d'inten
l'état resta encore sans amélioration, et le malade se plaignit de
contractions
douloureuses mus- culaires plus fréquentés. D
e membres. Pas de troubles objectifs de la sensibilité. Quant aux
contractions
fibrillaires, elles existaient encore il y a quel
sie des muscles de la jambe et de la cuisse, prédominante à gauche.
Contractions
fibrillaires fréquentes. Réaction de dégénéresc
es réactions électriques, avec ou sans RD, la présence fréquente de
contractions
fibril- laires, parfois par des phénomènes doul
es, avec extension plus tardive aux mains et aux avant-bras. Pas de
contractions
fibrillaires, mais douleurs dans les mem- bres
de ce ma- lade ne présente d'atrophie qu'aux muscles des mains. Ici
contractions
fibrillaires et douleurs. Chez tous deux, les r
n, avec extension à l'autre main et à l'avant-bras,et apparition de
contractions
fibrillaires; les muscles des jambes n'ont été
les membres inférieurs ont été les premiers atrophiés ; ici, pas de
contractions
fibrillaires. Dans l'une et l'autre observation,
ains n'ont été prises que plus tard. Chez tous deux, on observe des
contractions
fibrillaiies, mais il n'y a pas de phé- nomènes
iblissement des réflexes tendineux et de phénomènes douloureux. Les
contractions
fibrillaires n'ont été observées que sur un sujet
s ; des douleurs ne se manifestèrent que chez deux d'entre eux, les
contractions
fibrillaires firent défaut. (1) l1'eilael' l3ei
t ceux du bras gauche : l'atrophie progressive est accompa- gnée de
contractions
fibrillaires et de douleurs. Les cordons postérie
bien que l'atrophie musculaire fut progressive z et accompagnée de
contractions
fibrillaires, l'auteur pouvait invoquer des bles-
-bras, bras, épaules ; atrophie de l'orbiculaire des lèvres. Pas de
contractions
fibrillaires. Examen histologique : Dans la moell
t supérieurs,puis arrêt de la maladie. Réflexes tendineux faibles ;
contractions
fibrillaires daus la langue ; diminution des ré
hypotonie sans parésie ; abolition des réflexes tendineux ; pas de
contractions
fibrillaires, sensibilité (fi Uebe)-eii2eii Fal
scoliose, parésie de l'orbiculaire des lèvres, paralysie laryngée ;
contractions
fibrillaires dans les muscles des membres et de
ie musculaire, qui a gagné les membres inférieurs et l'existence de
contractions
fibrillaires, permanentes très nettes, et non att
énie de ce symptôme reste donc obscure. lien est de même pour les
contractions
fibrillaires des muscles. Elles ont eu pendant
lésions identiques dans leur structure et leur systématisation, les
contractions
fibrillaires n'avaient eu qu'uneexis- tence pas
xe gris, limitées chez Brandi au renflement cervical, alors que les
contractions
fibrillaires étaient disséminées sur les quatre
t sur une canne, il steppe surtout du pied gauche : on constate des
contractions
fibril- laires dans tous les muscles atteints e
é galvanique. Toutefois plusieurs d'entre eux ré- pondaient par une
contraction
nettement réduite, sans atteindre pour cela à u
pas tant caractérisée par l'apparition plus ou moins tardive de la
contraction
minima, que par la réduction de l'extension et
minima, que par la réduction de l'extension et de la vigueur de la
contraction
. Dans mon cas, ce second élément était présent
xes tendineux et la discordance qu'il y a entre la diminution de la
contraction
réflexe des muscles et la conservation de leur
doigts et de la main est plus faible que la flexion. On observe des
contractions
fibrillaires dans les muscles de l'avant-bras. Le
ulations des hanches et des genoux fortes douleurs pendant la nuit;
contractions
douloureuses des membres inférieurs. 7 avi,il 1
Les réflexes abdominaux manquent. Rétention d'urine ; constipation.
Contractions
spontanées douloureuses des extrémités. 16. L
et au froid (1G avril 190,t). 396 ROTSTADT 13. Douleurs moindres.
Contractions
spontanées très sensibles dans les membres infé
essie et de l'anus ; des douleurs et des phénomènes -douloureux des
contractions
spontanées. Trois mois après son entrée à l'hôp
même à l'o- rigine de la maladie), des troubles sphinctériens, des
contractions
sponta- nées, des parastésies, y ont été égalem
sies fréquentes et dou- loureuses, de chaleur, de fourmillements et
contractions
comme symptômes subjectifs des troubles de la s
s muscles des épaules, du bras et de l'avant-bras du côté droit des
contractions
fibrillai- res. Il n'y a pas de mouvements in
supinateur ne se contractent pas, mais presque toujours on voit une
contraction
partielle et'minime des radiaux et d'autres muscl
e du côté gauche. Quelquefois la percussion donne lieu à une légère
contraction
partielle, non seulement des radiaux et des mus
e l'éminence thénar et hypothénar du côté droit. Du côté gauche, la
contraction
se fait normalement. Les muscles de l'avant-bras
es est très diminuée avec inversion polaire,sans grande lenteur des
contractions
. Sur les interosseux et l'adducteur du pouce l'ex
serve pas de mouvement, mais en regardant attentivement on voit une
contraction
modérée du biceps. A droite nettement conservé.
e- ment du membre supérieur se généralisaient à tout le corps, avec
contraction
des muscles de la face. Cependant la malade, pl
ulsives généralisées, avec participation des muscles de la face, et
contraction
de l'orbiculaire des paupières. Dans l'interval
Du côté gauche ce réflexe est aboli (de temps en temps on voit une
contraction
du vaste interne). Le réflexe du tendon d'Achil
ans la jambe droite. 23. - La marche est toujours la même. La nuit,
contractions
musculaires aux jambes, surtout adroite. Sens
, surtout pendant une profonde respiration et la toux. La nuit, des
contractions
automatiques des muscles des jambes. Les vertèbre
arfois des symptômes du côté des racines antérieures, sous forme de
contractions
spastiques, paralysies et atrophies des différent
et au moment où le tronc s'approche de ¡ la ligne horizontale, une
contraction
du quadriceps. Il y a donc deux conditions néce
léchisseurs de la jambe sur la cuisse ; et dans un second temps une
contraction
normaledes extenseurs de la jambe. i Tout obs
ambe. i Tout obstacle la distension normale des premiers ou à la la
contraction
; ! normale des seconds aura pour effet la flexi
anique est-elle due à une hypertonie des fléchisseurs ou bien à une
contraction
moins valide des extenseurs ? Probablement la
idation de la rotule, qui semble attester l'effort inefficace de la
contraction
du quadriceps pour s'opposer à la fle- xion de
on simienne du pouce. Rétractions tendineuses très accusées. Pas de
contractions
fibrillaires. - Début de l'atrophie par les extré
uction de réactions électriques très altérées avec prévalence de la
contraction
musculaire à la fermeture de l'anode. Aux mai
eurotique Charcot- Marie. Début de l'atrophie par les pieds. Pas de
contractions
fibrillaires. - Aucune trace d'hyper- trophie d
ien que les muscles de cette région soient encore valides : dans leur
contraction
volontaire, les réactions électriques sont consta
e débutant par les mains. Troubles trophiques en train d'évoluer.
Contractions
fibrillaires évidentes. Sleppage des pieds (pied
la réaction dégénérative. Dans la main on peut encore provoquer des
contractions
à la fermeture de l'anode sur les interosseux e
e Lejonne et .Rose, la percussion du tendon rotulien provoquait une
contraction
des adducteurs du même côté. Enfin les réflexes
er de tous côtés. Un an après le début des accidents apparurent des
contractions
cloniques des muscles de. la main qui allèrent
l'âge de 52 ans, les mouve- ments épileptoïdes se compliquèrent de
contractions
musculaires à la tempe droite,' à la joue et au
qui se trouve dans la moelle allongée dont l'excitation produit la
contraction
générale des vaisseaux produite par le jeu des fi
rieures) de faible in- tensité augmentent sa tonicité et partant la
contraction
des vaisseaux sanguins tandis que les irritatio
Si parfois il y abaissement de la commissure des lèvres, c'est par
contraction
des muscles abaisseurs de ce côté, ou élévateur
urs secousses successives, en même temps que se produisent d'autres
contractions
musculaires qui fléchissent la cuisse, et parfo
sant durcir le muscle parésié, celui-ci ne donne ce- pendant qu'une
contraction
sans force, la volonté dispose d'un moyen : le
n sans force, la volonté dispose d'un moyen : le neutraliser par la
contraction
des antagonistes ; l'hystérique l'emploie par-
y a bien asymétrie des traits, moitié relâchement d'un côté, moitié
contraction
de l'autre : ordonnez au malade de regarder le
ser le bassin. Cette immo- bilisation se fait en particulier par la
contraction
des extenseurs du bassin de l'autre côté (Grass
e, permettait de faire le diagnostic de maladie de Dercum. Dans une
contraction
brusque de la paroi, ce lipome était devenu dou
nne vertébrale. Pas d'atrophies musculaires. Le malade se plaint de
contractions
involontaires des jambes pendant la nuit. Il ur
xtension des genoux et de très faibles mouvements des gros orteils.
Contractions
involontaires des jambes. Pour les mouvements p
les membres inférieurs. Les réflexes patellaires étaient très vifs.
Contractions
spontanées des jambes pendant la nuit. Dix jour
ds se réchauffaient difficilement. Dans le membre inférieur gauche,
contractions
spontanées rapides dans le mollet. A Pâques ell
de se plaint des douleurs au sacrum et aux membres inférieurs et de
contractions
douloureuses dans ces membres. Elle a aussi la se
vent il y des ,douleurs en ceinture au-dessous de l'ombilic, et des
contractions
spontanées douloureuses aux membres inférieurs.
t de la sensation de brûlure dans les deux membres inférieurs et de
contractions
spontanées spastiques dans les genoux. La paral
ieurs sont conservés, les autres abolis. La nuit il y a souvent des
contractions
spontanées dans les muscles des jambes, surtout
dans l'hypochondre gauche et dans le bas-ventre des deux côtés. Des
contractions
spontanées dans les deux membres inférieurs les
laires sont très exagérés (la percussion du dos du pied provoque la
contraction
du muscle quadriceps).On obtient le réflexe de
sements. Pouls 120. T. 36° 80. Affaiblissement. Grande soif. Fortes
contractions
dans les jambes. Paralysie complète spastique.
12. Incontinence de l'urine et des matières fécales. De très fortes
contractions
des muscles des jambes. Phénomènes spastiques.
sensations de brûlure des pieds, de ser- rement dans le ventre, des
contractions
spontanées des jambes surtout de la droite. L
urs dans le ventre, surtout à droite ; douleurs sous le sein droit.
Contractions
spontanées dans les deux membres inférieurs la
volution de la maladie, les fortes douleurs revenant par accès, les
contractions
spontanées dans les muscles des jambes, l'affaibl
s des membres inférieurs. Ces symptômes s'accentuaient la nuit. Les
contractions
spontanées dans les muscles lui étaient très péni
jacsonienne. L'excitation faradique de cette portion produisait des
contractions
manifestes dans les doigts et dans la main. Il
rice grossière des doigts et de la main.ainsi que la production des
contractions
à lâ suite de l'excitation faradique, ne dépen-
embre inférieur gauche, dans le côté gauche et dans le sacrum. Puis
contractions
spontanées de la main gauche avec affaiblisseme
passé dans l'hypochondre droit et dans la région droite du sacrum.
Contractions
spontanées de la jambe droite. Paraplégie spas-
tés et le phénomène de Babinski. Trace du réflexe abdominal gauche.
Contractions
spontanées des bouts des membres. Deux mois après
t la marche, les dou- leurs envahissent cette jambe de même que les
contractions
spasmodiques nocturnes. La tête et la moitié su
ble que la droite. Les mouvements de la jambe gauche provoquent des
contractions
spasmodiques. La tonicité musculaire dans le me
t du malade s'aggrave tout d'un coup. La paraplé- gie est complète.
Contractions
spontanées des jambes. Rétention, parfois incon-
. Les réflexes tendineux des membres inférieurs étaient exagérés.
Contractions
spontanées des jambes. Phénomène de Babinski bila
as de symptômes d'atrophie bien accusée. Dans l'un d'eux (XXI°) les
contractions
des muscles des mains dépen- daient de l'irrita
s mains dépen- daient de l'irritation radiculaire. Outre ce cas les
contractions
étaient d'origine médullaire. Généralement elle
ue de cheval (Rehn-Laquer, Warrin ton) : On obser- verait aussi des
contractions
douloureuses au moindre attouchement de la peau
ré la localisation de la tu- meur dans la queue de cheval. 1. Les
contractions
musculaires spontanées appartiennent aux troubles
ble pour les malades, peut-être au même degré que les douleurs. Ces
contractions
apparaissent aussi bien le jour que la nuit. As
ions apparaissent aussi bien le jour que la nuit. Assez souvent les
contractions
de la nuit surpassent par leur intensité celles
r suite d'une excitation de longue» \oies motrices. Dans le cas des
contractions
doulou- reuses il faut prendre eu considération
ilités, l'irritation des cellules motrices (secousses fibrillaires,
contractions
spontanées), le plus souvent une rapide paralysie
lorer le premier métacarpien par sa face palmaire. Mais il n'y a ni
contractions
fibril- laires, ni contracture; l'examen électr
amine l'oeil droit. L'éclairage de la pupille droite estsuivi d'une
contraction
un peu lente et de courte durée de la pupille g
ient à son état de dilatation primitif. A la convergence il y a une
contraction
à peine perceptible de la pupille gauche; la ré
uit des troubles vaso-moteurs, mais y a-t-il rupture vasculairc par
contraction
spasmodiquedes capillaires ou passage du sang par
à la rente réglementaire pour cause d'accident. Cinqaus plus tard,
contractions
de divers muscles et convulsions fibrillaires,
Tout se réduit cependant dans les bras à quelques tremblements; la
contraction
des muscles de la jambe provoque un léger saut.
l'influence d'une cause déprimante quelconque et à l'occa- sion de
contractions
musculaires répétées Le tic est-il « un acte auto
ôt que l'oxygène est revenu, si on excite le muscle, on voit que la
contraction
reprend une valeur assez voisine de sa 1 Al'ch.
similaire malade, se faire une idée assez exacte de la durée de la
contraction
du muscle atteint et voir si celte durée diffèr
manifestée par l'allorythmie et l'arythmie de chacun d'eux dont les
contractions
ne correspon- dent pas. Il en conclut que l'hyp
coeur n'est pas exacte. Les courants induits moyens accélèrent les
contractions
rythmiques du coeur, l'augmentation d'intensité
rmine l'arythmie. Les excitations électriques empêchent l'arrêt des
contractions
du coeur empoisonné par le chloroforme, ce qui
cation avec le sol ou si on approche la main de la préparation, des
contractions
peuvent se manifester. 2° Avec une tension plus
r. 2° Avec une tension plus grande du champ oscillant, il y a des
contractions
spontanées. On en observe aussi, si au lieu d'aug
aration et le pôle de l'électrode libre. Le long d'un fil induit la
contraction
se produit quand on promène la préparation à 20
éparation entre les deux électrodes terminant le fil induit, il y a
contraction
si la position est dissymétrique, repos si elle
ÉLECTROPHYSIOLOGIE ET D'ÉLECTROTHÉRAPIE. de faire entrevoir par une
contraction
forte quelle sera l'attitude du pied après la m
iable, collecteur toujours à zéro, électrode diffé- rente fixe : la
contraction
normale minima, apparaît avec un cou- rant de 2
e minima, apparaît avec un cou- rant de 2 à 2,5 Ma. Pour obtenir la
contraction
avec le pôle positif il faut une intensité de 0
c le pôle néga- tif. Dans la seconde méthode, lorsqu'on a trouvé la
contraction
minima de fermeture avec l'électrode différente
ma de fermeture avec l'électrode différente négative, on cherche la
contraction
minima avec l'électrode différente positive en
n ou deux numéros ou en faisant usage du com- mutateur. Une fois la
contraction
minima trouvée on recherche la contraction téta
mutateur. Une fois la contraction minima trouvée on recherche la
contraction
tétanique soit par l'excitation directe du muscle
elle du nerf, en faisant agir le pôle négatif. On obtient alors les
contractions
à l'ouverture et à la fermeture de l'anode et à
les expériences de M. Charpentier (de Nancy) qui a démontré que la
contraction
musculaire provoquée par l'excitation d'un nerf
é gauche de la face; s'accentuant graduellement, sous la forme de
contraction
tonique, puis décroissant de même, mais forçant l
ise épileptique, tandis que l'hystérique se borne généralement à la
contraction
opisthotonique ; les bras sont fléchis et les j
Examen électrique complet du corps caractérisé par une lenteur de
contraction
qui est l'élément fondamental de la réaction dégé
appréciables, une altération fonc- tionnelle se traduisant par des
contractions
lentes, soit à l'excita- tion directe, soit à l
d'incoordina. tion motrice; elle modifie parfois, en provoquant des
contractions
musculaires, la démarche classique de l'ataxiqu
charné le long du tronc. Cette atrophie était accompagnée de fortes
contractions
SYRINGOMYÉLIE. 27S fibrillaires- dans les m
ons SYRINGOMYÉLIE. 27S fibrillaires- dans les muscles affectés,
contractions
qui aujourd'hui Fi[l, O, 216 6 CLINIQUE NER
ons composées SYRINGOMYÉLIE. ' 279 exclusivement de pus. Il y a
contractions
vésicales et rectales. L'urètre est perméable.
té sous l'influence du courant entre le moment où l'on observe la
contraction
minima et celui où on lit le déplacement de l'aig
ique le muscle se contr cccte lentement ; c'est cette paresse de la
contraction
qui permet de conclure à la dégénérescence des
ou abolie), à la fois ralentie dans sa transmission (lenteur de la
contraction
indirecte de Erb) ; et que l'excitabilité faradiq
ysiologiques à tel ou tel diagnostic, d'autant que la lenteur de la
contraction
elle-même n'a pas encore été distinguée de cert
ction dégénérative partielle accompagnée de lenteur indirecte de la
contraction
{Loewenthal ; paralysie du radial par compressi
d'extension des bras et des jambes. Le rythme et la rapi- dité des
contractions
rappelaient ceux déterminés par un courant élec
égénération secondaire, il ne peuty avoirdecon- tracture ni même de
contraction
. A plus forte raison la para- lysie est-elle fl
out d'un coup, au milieu de la nuit, cet homme est réveillé par des
contractions
spasmodiques 408 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
e de plus près les mouvements du visage, on voit que sur un fond de
contraction
qui semble permanente, viennent se dessiner de
que les accidents, qui offrent tous les caractères objec- tifs des
contractions
spasmodiques franches, ont apparu sur un territ
Adaptation musculaire . Nous trouvons en premier lieu une série de
contractions
des muscles intrinsèques et extrinsèques de l'o
r venir mettre en jeu les noyaux (B) tenant sous leur dépendance la
contraction
de l'iris, l'accommodation, la convergence. De
convergence (M. eÀtl'lns.), l'accommodation (M. accommodât.) et la
contraction
irienne (IRIS). Contrairement aux auteurs class
nous avait déjà placé dans la corticalité le point de départ de la
contraction
menue accompagnant la convergence. Notre opinio
. L'oscillation pendulaire de l'extrémité paralysée indique que les
contractions
musculaires sont bien plus fugitives que celles
ire des lèvres et sur le masséter. Notre malade ne présente pas les
contractions
fibrillaires qu'on a quelquefois notées. La con
x deux courants faradique et galvanique. Aux membres inférieurs, la
contraction
est normale pour tous les mus- cles, sauf le va
urant- faradique, avec le courant galvanique on constate une légère
contraction
avec 30 milliampères pôle négatif. Pas d'inversio
taient des altéra- tions de l'arc réflexe. Même remarque pour les
contractions
fibrillaires qu'on disait toujours absentes des
rien sont normaux. Le réflexe abdominal est très affaibli. Pas de
contractions
fibrillaires. Pas de tremblement. Pas d'incoord
ATROPHIQUB PROGRESSIVE 115 qu'aux membres supérieurs. Alors que les
contractions
par électrisation du radial se produisent à 100
r les muscles de l'épaule et du bras. A l'avant-bras on n'a que des
contractions
peu apparentes, se traduisant surtout par des m
ncent à apparaître vers 120. Aux membres inférieurs, on obtient une
contraction
très nette des jumeaux sous forme de boule décr
ite plus haut avec extension du pied et flexion du gros orteil. Ces
contractions
n'apparaissent qu'entre 150 et 200. ` Diminutio
loration, qu'elle porte sur le nerf ou sur les muscles, produit une
contraction
brusque et énergique qui apparaît déjà à 50. En
disparition des réflexes et des réactions électriques, l'absence de
contractions
fibrillaires forment un faisceau d'arguments cl
êmes difficultés que lorsqu'il s'agit d'ex- pliquer la présence des
contractions
fibrillaires, l'abolition précoce des réflexes
rgiquement. A la face antéro-externe, le jam- bier antérieur par sa
contraction
exagère le valgus. La jambe semble avoir une ce
changent guère ou ne se modifient que dans leur intensité. Quand la
contraction
passe ainsi d'un point à un autre, il s'agit de
le gauche à l'éta t de repos, et plus mou, moins globuleux dans sa
contraction
. Les deux bras étant en croix, la gouttière qui
excités séparément, répondent aux' interruptions fréquentes par une
contraction
indépendante. Aux courants vol- taïques, une él
constantes, quelle que soit l'intensité des courants employés ; les
contractions
musculaires sont brèves et rapides. Le mouvemen
res environ. Dans ce mou- vement comme dans le précédent, une forte
contraction
musculaire est néces- saire pour maintenir le m
and le malade soulève un objet lourd, l'avant-bras droit fléchi, la
contraction
du biceps se fait sans douleur dans l'épaule, mai
côté gauche. Dans la flexion de l'avant-bras en demi-pronation, la
contraction
du long supinateur semble s'effectuer normaleme
grimaces variées. Enfin, il a pris l'habitude de plisser le front,
contraction
mus- culaire des muscles frontaux qui détermine
s musculaires coopèrent à la conservation d'une position » (2). Les
contractions
musculaires sont souvent très fortes, et si les t
nique ou tonique, que présente ce dernier. Dans le tic clonique, la
contraction
est exagérée dans sa vitesse, dans le tic to- n
vitesse, dans le tic to- nique il y a exagération de la durée de la
contraction
musculaire » (S) ; dans les deux variétés, il d
produisent inopportunément, avec excès ; il y a défor- mation de la
contraction
normale en vitesse et le geste revêt de ce fait u
ait une apparence clonique, mais il n'y a pas excès d'intensité des
contractions
musculaires ; les caractères de la contraction
cès d'intensité des contractions musculaires ; les caractères de la
contraction
musculaire ne diffèrent (1) H. MEME et Feindel,
is semblent diminuer de fréquence. Pas d'apparence convulsive de la
contraction
. Impressionnabilité extrême ; nerveux, impatien
e clo- nique ou tonique. Il représente une anomalie par excès de la
contraction
musculaire » (1). D'après cette définition, o
peut dire d'un acte moteur qu'il revêt la forme clonique que si la
contraction
musculaire a des caractères de brus- querie et
c excès, n'est pas un vrai tic, s'il n'y a pas de déformation de la
contraction
musculaire normale, soit en vitesse (clonisme),
dans les deux cas, il doit y avoir, en outre, excès d'intensité des
contractions
musculaires. Sinon, on a affaire à une habitude
l'entourent, mais non pas en intensité puisqu'on ne remarque pas de
contractions
musculaires excessives de la langue. Chez les c
sives de la langue. Chez les chevaux lécheurs les caractères de ces
contractions
musculaires ne dif- fèrent pas de ceux que cell
e distinguera de l'acte vulgaire de lécher par la déformation de la
contraction
normale en vitesse, en fréquence, par sa manifest
qu'il peut entre la joue et la mâchoire. » Malgré sa rapidité, la
contraction
musculaire n'a pas l'apparence convulsive ; le
et qui sont, selon nous, dignes d'attention. Nous avons en vue la
contraction
idio-musculaire (Bernstein) (1) et la lésion de
et S. A. Soukhaiiof (`2), étudiant la signification clinique de la
contraction
idio-musculaire dans les maladies mentales, not
érant qu'une grande partie de nos cas se rapportent au temps, où la
contraction
idio-musculaire n'était pas recherchée, lors de
lucinatoires. (1) A. Bernstein, Sur la signification clinique de la
contraction
idio-musculaire chez les aliénés, Moscou, 1900.
UKHANOFF, Contribution à l'étude de la signification clinique de la
contraction
idio-musculaire dans les maladies mentales, Journ
appelé à donner des soins a de X... après bien d'autres, crut à une
contraction
réflexe des masséters produite par l'affection
la bouche ce volu- mineux appareil, elle était pi ise de violentes
contractions
qui ren- daient douloureuses les arcades alvéol
aver le trouble mental de la ma- lade ; sa contracture ou plutôt la
contraction
automatique ins- tinctive, reprit de plus belle
hique dé- montre que les stimulations successives d'où résulte la
contraction
des muscles volontaires, ce « tétanos physiolog
les tiacés djnamographi- ques d'aliénés paralytiques. La courbe de
contraction
volontaire se pré- sente comme une ligne brisée
l'inconscient. L'apparition fréquente, même à l'état de repos, de
contractions
fugaces, représente, dit-il, chez ces malades,
voix, un bruit, toute espèce d'impression sensible pro- voquent une
contraction
des vaisseaux de l'avant-bras et une augmentati
eu en avant et au-dessous, l'application des électrodes a donné une
contraction
des muscles de la face du côté opposé. Dans q
qui résultent de l'excitation de l'écorce ne sont pas seulement des
contractions
musculaires, mais des mouvements synergiques co
mouvements des pupilles, pas toujours de même caractère, parfois la
contraction
, parfois la dilatation. J'ai trouvé que ces mou
lissement de la vue du côté op- posé, il y a eu un certain degré de
contraction
du champ visuel du même côté. - J'ai moi-même r
Comme le tractus optique est le passage des fibres qui excitent la
contraction
pupillaire à travers les centres oculo-moteurs
ette réaction diminue. Que l'on provo- que la tétanisation du nerf (
contraction
allongée) ou que l'on con- vulsive le muscle en
que l'on con- vulsive le muscle en déterminant la persistance de la
contraction
musculaire par t'excitation directe de ce derni
citation volontaire. Celle-ci, en effet, se traduit d'abord par des
contractions
persistantes, puis par des contractions normale
se traduit d'abord par des contractions persistantes, puis par des
contractions
normales. C'est donc plutôt dans un trouble des
, est assez grand, car il est, au même titre que le relief, dù à la
contraction
musculaire, mais dans un sens opposé, un signe
sie tous les cas, comme nous le disions plus haut, où il existe des
contractions
des muscles, 1 Charcot. Leçons du mardi, 89, 5
Béclard avait établi que, en outre du phénomène résultant de toute
contraction
musculaire, c'est-à-dire de la production de ch
renant la température au travers des téguments, il résultait que la
contraction
muscu- laire statique, c'est-à-dire celle du mu
ou positif. Béclard en tirait dès lors cette conclusion, que « la
contraction
musculaire n'est pas une source de chaleur à la
Ar- chives générales de médecine, XVII, 1861. 252 PHYSIOLOGIE.
contraction
. Quand l'animal est en mouvement, une partie de
sculaire, Solger, Mayerstein, Thiry, Mosso, sont va, au début de la
contraction
, une légère déviation dans le sens du refroidis
voque bien- tôt le dégagement d'un excès de chaleur. Ainsi, toute
contraction
musculaire manifeste deux phénomènes de 1 Rev.
scillation négative de la température qui accompagne le début de la
contraction
musculaire. C'est ce qu'a très bien écrit Tanzi
l, au moins pendant la dernière période d'observation, l'absence de
contraction
des oreilles que j'avais notée dans une expérie
a citation que Ziehen a donnée de son travail. Il conclut que : les
contractions
musculai- res toniques sont la résultante de l'
e spécial de la con- traction volontaire, réaction myotonique de la
contraction
élec- trique, lésions d'hypertrophie fibrillair
sans aucun symptôme qui témoigne d'une altération anatomique. Ces
contractions
fasciculaires n'envahissent jamais tous les élé-
temps, quoique, dans l'une des observations décrites, il existe une
contraction
tonique des mollets, en revanche, elles sont co
ignification CLINIQUE DE la réaction IDIOMUSCULAIRE EN bourrelet ou
contraction
IDIO- musculaire DE SCHIFF; par G. Rudolpuson.
distinguer entre le renflement idiomusculaire vrai, qui tient à la
contraction
du muscle entier et à la tuméfaction qui tient
eur) renforce les rhythmes pyloriques et provoque assez souvent des
contractions
généralisées de l'anneau en question. L'excitat
rrête aussi ces rhythmes pylo- riques et provoque simultanément des
contractions
généralisées de l'estomac en en dilatant l'anne
en dedans une petite fossette arrondie- L'ensemble de toutes ces
contractions
donne à la physionomie l'air triste et chagrin
nx sont affectés de mouvements spasmodiques évidents et animés de
contractions
irrégulières d'où dérive le bégaiement. A plusieu
façon générale tous les vices de l'articulation qui dépendent de
contractions
spasmodiques des muscles phonateurs se développen
mpris dans la catégorie des défauts de prononcia- tion dépendant de
contraction
spasmodique. Le zézaiement est dû simple- ment
lysie de la jambe droite, sans trouble de la sensibilité, suivie de
contraction
dans les muscles paralysés. Cet état per- sista
ui se produit quand ils sont extirpés. Marique prouve que les mêmes
contractions
sont obte- nues par l'excitation électrique des
du pédoncule réunissent ' Voir fig. 122, Fonctions of the Umin, 4
Contraction
permanente des hémiplégiques, 1880. Archives, t
les excitations électriques deviennent impuis-santes à déterminer la
contraction
des muscles, toujours celle-ci se manifeste sous
ppliqués sur les muscles paralysés ne donnaient pas lieu à la moindre
contraction
. Le même phénomène s'observe communément dans l
radiques. Le 30 avril (39° jour), la faradisation ne provoque plus de
contractions
dans les muscles frontal et zygomatique: du côté
degré, l'applica-tion directe serait capable de déterminer encore des
contractions
alors que l'exploration faite à travers la peau s
ntrerait peut-être impuissante à en produire, ou ne donnerait que des
contractions
très affaiblies. L'expérience justifie cette prév
bligé de pratiquer l'amputation, Valentin a vu,après l'opération, des
contractions
, faibles il est vrai, se manifester sous l'influe
ération, ne produisait pas d'effet apparent, tandis qu'il y avait des
contractions
extrêmement fortes lors-qu'on électrisai t les po
nerf avait été coupé, on pouvait y provoquer, par l'électricité, des
contractions
très évi-dentes (1). — Sur un cheval vigoureux, o
ua lesréophores d'une pile, d'abord sur le côté sain : il survint des
contractions
énergiques ; on les appliqua ensuite sur les musc
ensuite sur les muscles du côté opposé et il ne se pro-duisit aucune
contraction
. Alors on mit à nu les muscles para-lysés et on a
ent, les excitateurs, l'instrument étant gradué au minimum : de vives
contractions
se manifestèrent (2). On pourrait sans doute aisé
Un voit d'après cela que le galvanisme pourrait accuser encore des
contractions
dans bien des cas de paralysie, soif rhumatismale
plètes, t. i. 4 au-dessous du point lésé. Il paraît certain que les
contractions
des muscles, déterminées par l'électrisation, son
rès, j'ai essayé de nouveau l'ap-plication de la pile. Il n'y a eu de
contractions
dans les muscles de la jambe ni quand j'excitais
ue dénote,elle aussi, dans les premiers jours, un affaiblissement des
contractions
musculaires ; mais, à partir de la fin de la seco
ation, il se produit dans le membre supérieur de ce côté une sorte de
contraction
spasmodique qui porte momentanément le bras dans
. Le diaphragme parait, lui aussi, être de temps en temps le siège de
contractions
analogues. La respiration, par moments irrégulièr
ce est plus profonde qn'hier : c'est à peine si l'on obtient quelques
contractions
des muscles de la face en pinçant fortement diver
se contracter. L'augmen-tation de la tension du sang consécutive à la
contraction
vei-neuse serait, dans cette hypothèse, la cause
ssion de mouvements contraires, soustraits à la volonté, mais bien en
contractions
et relâchements alternatifs des muscles qui sont
1868. server aux parties leur atf i Lucie naturelles^ 1 ). Ici, les
contractions
musculaires, au lieu de se développer comme dans
e sépare nettement de l'état dans lequel ce ne sont pas seulement les
contractions
commandées par l'attitude du corps ou par la volo
rminent le tremblement. Dans ce dernier cas, i} existe réellement des
contractions
involontaires et sans but, excitées incessamment
es, ce qui tient à une sorte de contrac-tion des muscles sourciliers,
contraction
qui paraît être habituelle et exagère les plis du
ont rapprochées et un peu saillantes en avant, comme s'il y avait une
contraction
qui les maintienne l'une contre l'autre ; il s'en
37°, 5 au rectum). Vous ne serez pas étonnés, Messieurs, devoir des
contractions
musculaires aussi énergiques et aussi générales q
à une accumulation de cha-leur des parties centrales. Il s'agit là de
contractions
musculaires dynamiques. Or, vous le savez, les co
git là de contractions musculaires dynamiques. Or, vous le savez, les
contractions
musculaires statiques seules, ainsi que l'a fait
deux chefs : les unes statiques, c'est-à-dire avec prédomi-nance des
contractions
toniques, font monter la température d'une manièr
si que vous pouvez vous en assurer chez notre malade — par une légère
contraction
, comme convulsive, des lèvres. Quoiqu'il en soi
survenir, sous l'influence d'une irritation des centres nerveux, une
contraction
très prononcée de ces mêmes canaux (1). L'analogi
lezowki, il y a lieu de supposer que tous ces désordres sont dus a la
contraction
spsamodique des artères, par places, et à leur di
ièrement à certains groupes de muscles, surtout s'il s'y joignait des
contractions
fibrillaires, analogues à celles qu'on observe da
a jambe ont subi une atrophie pro-fonde; ils présentent, de plus, des
contractions
fibrillaires très accusées et répondent mal aux e
rattachée exclusi-vementàla répétition non plus qu'à l'intensité des
contractions
musculaires toniques, car les convulsions peuvent
e ces expressions passionnées, auxquelles coopèrent non seulement les
contractions
des muscles du visage mais celles des membres et
us- cles, fourmillements dans les mains, excitation sexuelle avec
contractions
saccadées de la vulve et quelquefois spasme vénér
olutions fronto-parié- tales. Cette observation montre donc que des
contractions
fibril- laires unilatérales et bilatérales peuv
MM. Paviot et Mauriquand pensent qu'il s'agit là d'un phénomène de
contraction
de défense, le mouvement imprimé ou commandé dé
emblement léger intentionnel, surtout net aux mem- bres supérieurs,
contractions
vermiculaires de la langue, parésie du facial i
la limite de l'acqueduc de Sylvius et du 3° ven- tricule. Enfin la
contraction
et la détente du muscle ciliaire s'effectuent l
hes sur le réflexe sca- pulo-huméral il a attiré l'attention sur la
contraction
réflexe du sous-épineux, etc.,etc. Est-ce un ré
st-ce un réflexe semblable aux autres réflexes cérébro-spinaux ? La
contraction
dépend-elle de l'excitation méca- nique du musc
ès de la tubérosité numérale, le même coup de marteau pro- voque la
contraction
de lapo1'lion intérieure du deltoide. Le réflexe
ceinture scapulaire est atteinte. Lorsqu'il est exagéré, souvent la
contraction
du grand pectoral s'accompagne non seulement de
te des pupilles à la lumière. A la suite d'une lésion de l'iris, la
contraction
du sphincter irien d'abord déterminée par l'age
des pupilles à la lumière. Dilatation des pupilles à la lumière et
contraction
des pupilles dans l'ombre. Elle comporte trois
Elle comporte trois espèces : 1° La dilata- tion à la lumière sans
contraction
préalable (Morselli, Leitz, Silex); 2° La dilat
e des pupilles, par la réaction des pupilles sous l'influence de la
contraction
de l'or- biculaire. III. Toutes les causes d'er
3° L'acte sexuel total est caractérisé par une rapide alternance de
contractions
et de dila- tations des vaisseaux du cerveau av
rès accéléré, sur le fond duquel apparaissent de temps en temps des
contractions
tétaniques des faisceaux musculaires isolés, de
econdes ; dans les autres muscles on observe préférenciellement des
contractions
plus lentes, se pro- pageant d'un faisceau musc
chronique. La particularité du cas donné consiste dans cela que les
contractions
variables involontaires des faisceaux musculaires
âcher son verre, son couteau. Quand il descend de son lit, il a une
contraction
dans les fesses et les muscles postérieurs de l
orcé de déterminer : 10 A quel moment précis les spinaux entrent en
contraction
dans le pas; 2° quels rôles -ils sont appelés à
côté opposé se contractent d'une façon soudaine et énergique. Cette
contraction
se maintient du côté oscillant tout le temps de
le centre de gravité du corps en dedans du pied de ce côté; 3° La
contraction
mi-latérale des spinaux s'accuse par un chan- g
s des bras et des jambes, de mou- vements continus de la langue, de
contraction
des sourcils, des oreilles, des téguments de la
autre : ces mouvements de balancier en haut sont en rapport avec la
contraction
rythmique du trapèze et du rhomboïde d'un côté
horée rhythmique de Charcot. 3° En d'autres cas, ils traduisent des
contractions
rhythmiques séparées d'un groupe de muscles dét
nt d'induction ou par la muscarine provoque un ralentisse- ment des
contractions
cardiaques ainsi que l'arrêt du coeur en diastc
ssi bien que mon triceps; si j'accentue ce mouvement de flexion, la
contraction
du biceps augmente tandis que celle du triceps
ment ce mouvement, ni le ré- gulariser avec précision. Désignons la
contraction
du biceps para, celle du triceps par b ; le pro
rt, de certains ten- dons isolément est en sa faveur. On voyait des
contractions
se produire sur le sternocléidomastoïdien, le d
côtoie la myoclonie de Friedreich. Ce sujet a aussi pré- senté des
contractions
spasmodiques en des muscles homonymes, mais ni
t. XV111. ' 23 351 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. simultanéité des
contractions
. L'absence des réflexes patellaires tient à ce
a, par sa petitesse, occa- sionné des phénomènes d'irritation, d'où
contraction
irré- sistible des muscles de la mimique de la
uche optique, quelle qu'en soit la nature, peuvent déterminer des
contractions
des muscles mimiques de la face. A ce titre, ce
mérycisme se produisait. La paroi abdominale ne pré- sentait pas de
contraction
appréciable lors du début du phéno- mène. A. D.
uence de l'écorce du cerveau et des ganglions sons corticaux sur la
contraction
de l'utérus de la lapine; par 1V.J. PLOKl1lNSKY
r introduit dans la matrice l'appareil nécessaire à enregistrer les
contractions
de l'organe (voir le manuel opératoire REVUE D'
quefois un peu en dehors. L'excitation de cette région renforce les
contractions
utérines indépendantes antérieures, en provoque
, juste au moment où les électrodes touchent larégion indiquée, des
contractions
rhyth- miques alternatives. L'excitation réitér
ternatives. L'excitation réitérée peut entretenir l'inten- sité des
contractions
utérines, augmenter la tonicité générale de l'o
and l'organe expé- rimenté est un peu fatigué, et que néanmoins les
contractions
obtenues sont plus énergiques, il s'ensuit que
antérieure de la couche optique l'existence d'un centre d'arrêt des
contractions
utérines. III. L'excitation des tubercules quad
. L'excitation des tubercules quadrijumeaux postérieurs a donné des
contractions
moins vives que celle de la couche optique. Cel
périeurs cérébrospinaux qui peuvent en renforcer ou en entraver les
contractions
, mais par l'intermédiaire des centres pro- pres
des différents pays et ramène son étude à trois points principaux :
contraction
du mariage, an- nulation du mariage, divorce.
élire systématisé. Pas d'affai- blissement intellectuel progressif.
Contractions
idio-musculaires et lésions fréquentes de l'org
242. De l'influence de l'- et des ganglions sous-corticaux sur la
contraction
de l'utérus de la lapine, par Plokhinsky, 394.
ns l'épaule gauche et dans le bras, jamais ailleurs. 11 s'agit t de
contractions
fasciculaires qu'il est facile d'apercevoir quand
ent l'urine il s'échapper sous forme de jets synchrones à ces mêmes
contractions
musculaires. Cette femme est hystérique ; elle
le mouvement de latéralité des yeux à droite, la con- vergence, la
contraction
irienne, la contraction du muscle 1 Dans cet ar
ité des yeux à droite, la con- vergence, la contraction irienne, la
contraction
du muscle 1 Dans cet article nous aurons en vue
i, par l'excitation de cette région, obtinrent chez les animaux des
contractions
de l'orbiculaire du côté opposé. On peut mettre
ts étudiés plus haut (mouvement réflexe de-latéralité, convergence,
contraction
irienne de la vision rapprochée, accommodation)
lète du cerve- let : 1° les tracés de la marche ; 2° les tracés des
contractions
mus- culaires. L'étude de ces tracés, à l'aide
les ligaments larges de fibres musculaires lisses, admettent une
contraction
périodique de ces fibres, entraînant à la fois
aussi la fécondation; d'ailleurs, nous ne voyons pas la cause de la
contraction
des fibres muscu- laires. 11 est certain que
lents possibles de la crise comitiale. XXX. Un cas de spasme avec
contraction
hémiplégique sans paralysie; par Gmnaccn Stewar
que et non sur le manche de l'électrode, sous peine de croire à une
contraction
tandis qu'on déplace presque inévitable- ment l
apparaît déjà nettement dès le douzième jour. On observe alors des
contractions
lentes ; quelques jours plus tard elles se mont
ue directe au point désigné supra. M. W... ajoute avoir observé des
contractions
de l'élévateur dès le seizième jour après la pr
mpère, dans la force duquel on n'est limité que par l'apparition de
contractions
dans l'orbiculaire des paupières. A partir du qua
ourant de 0,03' milliampère, fourni. par trois éléments, produit la
contraction
minima. Fermez à la cathode et vous avez le plu
ima. Fermez à la cathode et vous avez le plus aisément du monde une
contraction
. Des cou- rants plus forts se traduisent par un
de une contraction. Des cou- rants plus forts se traduisent par une
contraction
à l'ouverture à l'anode. Quelques jours plus ta
l'ouverture à l'anode. Quelques jours plus tard apparaît aussi une
contraction
à la fermeture de l'anode; elle est déjà bien p
z longtemps. Au bout de huit mois on parvient encore à produire des
contractions
, mais elles devien- nent graduellement plus fai
c les plus forts courants utilisables de 1,4 milliampère; -' GO Les
contractions
sont toujours d'une lenteur distincte, mais pas
s qu'on le voit dans les para- lysies périphériques. La durée d'une
contraction
maxima est de 0,50 seconde le vingt-cinquième o
e augmente et peut atteindre 3 millimètres. '7° On peut obtenir des
contractions
de l'éléva- teur dans les cas de-moyenne gravit
de l'oculomoteur commun. Dans les cas légers on ne peut produire de
contractions
quand la maladie dans son ensemble a une durée
r une paralysie fasciculaire ou nucléaire, il n'a pu être obtenu de
contraction
de l'élévateur. Pas de contraction non plus dan
léaire, il n'a pu être obtenu de contraction de l'élévateur. Pas de
contraction
non plus dans un cas de blépha- roptose congéni
irecte d'un muscle de l'oeil paralysé. La lenteur indubitable de la
contraction
ne peut vaincre la tonicité des muscles sains.
forme parfois à l'endroit de la percussion, en même temps avec la
contraction
librillaire habituelle ou en dehors de celle-ci,
viculaires à l'inspi- ration pendant laquelle on ne constate pas de
contraction
des muscles respirateurs de la ceinture thoraci
es injures que l'on m'adresse. » Elle ressentait au même moment une
contraction
épigastiique, mais la langue ne remuait pas.
et aussi des mouvements réflexes des membres toutes les fois que la
contraction
musculaire est cause du mouvement ; 2" La notio
'est ici semble-t-il la perception des variations d'intensité de la
contraction
musculaire qu'on doit surtout considérer. Notre m
sidérer. Notre maître le professeur Pitres a dit à ce propos : « La
contraction
d'un muscle est accompagnée d'une sensation tou
rtige paralysant) et le koubisaguira japonais. P. KËRAVAL. LVHL Des
contractions
de l'estomac, de l'intestin et de la vessie pen
strement des phéno- mènes : 1° Pendant l'attaque, il se produit des
contractions
sto- macales, intestinales et vésicales qui, d'
s ; elles se limitent principalement au cardia et au pylore. 3u Les
contractions
de l'intestin grêle, du gros intestin et de la
essie paraissent d'ordinaire au début de la période tonique. 4u Les
contractions
intestinales et vésicales sont très fortes ; el
et vésicales sont très fortes ; elles ont le caractère d'une longue
contraction
spasmodique, surtout en ce qui concerne le pros i
ui concerne le pros intes- tin et la vessie. - 5° Entre deux fortes
contractions
et aussi après la cessation de toutes les contr
deux fortes contractions et aussi après la cessation de toutes les
contractions
produites par l'attaque d'é- pilepsie, a lieu,
s fécales, si fréquente pendant l'attaque, résulte a la fois de ces
contractions
et de la pression exercée sur l'intestin et la
alogie entre les convulsions épileptiques des muscles striés et les
contractions
stomacales, intestinales et vésicales dé l'attaqu
ession pendant le sommeil. Mais Gowers a signalé les paralysies par
contraction
vive du triceps, pendant une extension soudaine e
vert par le ventre musculaire du vaste externe du triceps. A chaque
contraction
de ce muscle, le radial est donc comprimé sur l
le radial peut être comprimé entre l'os et ce muscle. Et bien, les
contractions
violentes et soudaines des mus- cles pendant un
ent dans le bras. Il faut, par exemple, que soudain se produise une
contraction
du triceps pendant que les muscles de l'avant-b
le. Toute préoccupation, surtout chez les prédisposés, entraîne une
contraction
du sphincter. De là, épreinte, lourdeur, douleu
de Bechterew, 423. Trai- tement médical de l' - pai Huches, 425.
Contraction
de l'es. tomac dans l' -, par Ossipow, 488. P
ucoup moins accen-tués quant à la généralisation et à l'intensité des
contractions
. Il, est remarquable aussi que l'excitation physi
intense du membre du côté opposé suffisent pour mettre obstacle à la
contraction
du triceps cru-ral. Vous voyez qu'il s'agit ici d
de vue même de l'interprétation clinique, l'analyse graphique de ces
contractions
musculaires réflexes, qui, dans l'état pathologiq
ain. Le temps-du réflexe est de 40 millièmes de seconde. La courbe de
contraction
a la forme normale. existe entre la contraction
conde. La courbe de contraction a la forme normale. existe entre la
contraction
réflexe du triceps crural du côté de l'hémiplégie
e représente les variations du raccourcis-sement du muscle pendant la
contraction
. La seconde ligne, coudée vers la gauche, indique
lièmes de seconde. La courbe musculaire est beaucoup plus élevée ; la
contraction
est plus brusque, et de forme différente. (Dicrol
ut de^6 millièmes de seconde seulement, En outre, l'amplitude de la
contraction
est de beaucoup supérieure, du côté malade, à ce
« Fait remarquable, dit Fouquier, la noix vomique peut dé-terminer la
contraction
des muscles paralysés, sans atteindre les parties
sculaire. C'est, on n'en saurait douter,un phéno-mène comparable à la
contraction
normale; seulement c'est une contraction durable,
n phéno-mène comparable à la contraction normale; seulement c'est une
contraction
durable, permanente. Cette persistance même de
pendant plus de trente mi-nutes debout sur la pointe des pieds par la
contraction
des muscles jumeaux. Au contraire, la contracture
chimiques de nutrition dont un muscle est le siège pendant l'acte de
contraction
. 3° Il existe cependant un phénomène qui, sans
comme les sphincters par exemple, sont manifestement dans un état de
contraction
permanente, et qu'il en est de même, à un moin-dr
isparaît que lorsque le nerf moteur correspondant a été sectionné. La
contraction
tonique du muscle se traduit encore comme l'a mon
% la quantité contenue dans le sang veineux à la sortie du muscle en
contraction
n'est repré-sentée que par 4, 28 °/0. Quand, le n
rappellerai que, pour expliquer ce fait paradoxal en apparence d'une
contraction
permanente, indéfinie du muscle, M. Onimus a prop
rte que les uns se repo-seraient tandis que les autres entreraient en
contraction
. Cette hypothèse de M. Onimus a été sanctionnée
ois ajouter que, d'après les renseignements de la phy-siologie, cette
contraction
légère mais permanente des mus-cles, qu'on appell
le de relever un certain nombre de faits qui tendent à établir que la
contraction
permanente des muscles, dans le cas de contractur
ode de l'activité réflexe spinale qui, à l'état normal, entretient la
contraction
musculaire permanente connue en physiologie sous
bout de deux ou trois secondes seule-ment. La nature réflexe de cette
contraction
est bien évidente, attendu que tout effort de vol
connu sous le nom de tonus et dont l'expression physiologique est une
contraction
légère et permanente des muscles. Dans l'état pat
ns l'état pathologique, ces mêmes excitations se traduiraient par une
contraction
également permanente, mais très intense, re-prése
cannes, marche littéralement sur la pointe des pieds, par suite de la
contraction
exagérée des gastrocnémiens. Son corps se penche
ingue, en certains points, un frémissement cutané correspondant à des
contractions
fibril-laires spontanées et passagères; en outre,
urs, avec retentissement dans les bras ; elles s'accompagnent d'une
contraction
qui a pour effet de rapprocher les bras du tron
égion antérieure, le courant est senti ; mais il ne provoque pas de
contractions
. Même résultat à la cuisse gauche. Jambe droi
contracte pas; la sensibilité est faible à la région péronière, la
contraction
des muscles y est assez forte pour porter le pi
ant- bras les muscles se contractent assez fortement ; absence de
contractions
aux régions thénar, hypothénar et interosseuso.Le
acte bien. Les muscles de la région postérieure se contractent peu.
Contraction
énergique dans le biceps, assez forte dans le t
le biceps, assez forte dans le triceps. Membre supérieur gauche :
contractions
énergiques aux régions thénar et hypothénar, fa
iables dans le vaste externe et le droit antérieur. Du côté gauche,
contractions
énergiques dans le vaste interne; le vaste exte
intervalles, le siège de douleurs lanci- nantes qui déterminent des
contractions
involontaires. Les membres supérieurs ne présen
égion postérieure de l'avant-bras où la faradisa- tion provoque des
contractions
d'une intensité presque nor- male. Les douleurs
uellement âgée de vingt-six ans, fut, à l'âge de sept ans, prise de
contractions
convulsives dans les muscles des mains et des b
e faire de nou- veaux progrès. Voici quel est son état actuel : les
contractions
spasmodiques sont continuelles, non successives
côté droit, et porte par conséquent la tète à droite; cependant les
contractions
des deux côtés sont assez rapidement alternante
it légèrement de la périphérie au centre ; inversement, il délie la
contraction
musculaire, s'il est conduit du centte à la pér
'aide des points de fixation anatomique, d'où con- sécutivement une
contraction
modérée mais continue, tandis que le réflexe te
aient perdu davantage, se con- tractaient moins, mais cependant les
contractions
y étaient encore manifestes. L'évolution de la
ité des muscles atrophiés n'était pas exagérée; il n'y avait pas de
contractions
librillaires. B. M. Donnel ' communiqua à l'A
dents, la langue est projetée en dehors et même déchirée lorsque la
contraction
des masséters est trop brusque (Obs. IV). Les m
mités comme précédemment à des groupes musculaires iso- lés ; les
contractions
portent le plus souvent sur l'en- semble des mu
l'inner- vation, cet enfant était pris de mouvements bizarres, de
contractions
musculaires involontaires qui le jetaient en av
- plexus assez spécial quoique assez varié, la prédo- minance des
contractions
dans un groupe musculaire donnant à la physiono
ennent de nouvelles secousses. Il faut dire que ce sont surtout les
contractions
musculaires limi- tées, soit à la face, soit à
igence avec leur maladie. N'oublions pas toutefois qu'il existe des
contractions
dans certains groupes musculaires qui peuvent ê
, et, parfois, en même temps que cette projection, il survenait des
contractions
telle- ment brusques des masséters, qu'à plusie
. Mais, de même qu'il peut exister, dans la chorée de Sydenham, des
contractions
des muscles de la face ou des membres, indépend
'il y a dégénérescence, mais son absence ne prouve rien. Quant à la
contraction
paradoxale, il serait pré- maturé de vouloir lu
ssante. Une longue action de ce genre se réfléchit sous la forme de
contraction
du triceps fémoral ; - 3° comme maintenant, d'a
vrais réflexes2, car le heurt d'un tendon provoque souvent avec la
contraction
du muscle correspondant des convulsions légères
cas analogue, en pratiquant l'élon- gation du nerf facial pour des
contractions
delà face. Bernhardt3 (1882, à Berlin) fait par
opéra un vieillard de soixante- dix ans atteint de névralgie et de
contractions
de la face; le nerf sous-orbitaire fut étiré à
ngation du sous-orbitaire chez une femme atteinte de névralgie et
contractions
convulsives de la face; guérison. Quinquaud (18
r considère la traction des nerfs comme inutile. Berridge1 (1881) :
Contractions
douloureuses des muscles de l'extrémité inférie
le droit), sont peu ou point accusées dans les muscles de la jambe;
contractions
irrégulières du droit de l'abdomen. Dans le déc
ans le long supina- teur de l'avant-bras. Il se produit parfois des
contractions
du grand dentelé. Intégrité complète des muscle
sur le carré des lombes et le grand fessier, on ne provoque pas de
contraction
répétée, le phénomène de la hanche ne se produi
l'idée de la chorée électrique, parce que, dans cette maladie, les
contractions
ont la spontanéité de l'éclair, les muscles de
isse et la rotation du pied en dehors, qui sont l'effet naturel de la
contraction
du muscle psoas-iliaque existaient ici d'une mani
é par suite de la rotation du fémur, et consé-quemment sollicité à la
contraction
, d'où, la flexion de la cuisse : la partie de l'a
ureux, des élancemens : je n'ai pas noté s'ils étaient accompagnés de
contractions
spasmodiques ou crampes: cela doit être, d'après
du travail ; mais les eaux ne se sont écoulées que peu-à-peu à chaque
contraction
utérine. C'est le sommet de la tête qui s'est pré
r corps étrangers engagés dans ce conduit; i° par compression; 3° par
contraction
spasmodique ; 4° Par affaiblissement ou paralysie
at d'un vice de conformation, ou bien reconnaîtrait-il pour cause une
contraction
spasmodique permanente, limitée à un anneau ou à
é le mouvement péristaltique et antipéristal-tique de l'estomac et la
contraction
du pylore; il est même probable que cette contrac
l'estomac et la contraction du pylore; il est même probable que cette
contraction
du pylore doit être un des obstacles les plus pui
irconstance peut bien être tenue en ligne de compte dans un cas où la
contraction
péri-staltique de l'intestin est plus ou moins en
venait sortir par l'anus. Des coliques violentes, c'est-à-dire des
contractions
spasmodiques du canal alimentaire ont le plus sou
erises sont devenus extrêmement difficiles à expulser, attendu que la
contraction
de l'intestin avait pour effet de faire glisser c
causes de l'hypertrophie, le fait du déplacement de l'intestin, de la
contraction
du sphincter sur les parties déplacées, de l'irri
, pendant la durée desquelles on sent des bosselures produites par la
contraction
des intestins. Bientôt, pouls petit, hoquets, vom
nt, il y avait en effet une grande analogie entre le caractère de ces
contractions
intestinales destinées à expulser le corps étrang
xpulser le corps étranger formé par les matières fécales et celui des
contractions
utérines. Le seul moyen de remédier à ces horri
é infundibuliforme à base très large, toujours béante et incapable de
contraction
. Aucun suintement purulent n'avait lieu par l'anu
rtériel dans une partie sont cause de gangrène: ainsi la faiblesse de
contraction
du cœur, coïncidant avec un obstacle léger à la c
e contraste qui existait entre la petitesse du pouls, k ^aiblesse des
contractions
du cœur d'une part et la violence de l'impulsion
atouillement de la plante des pieds, quoique non perçu, détermine des
contractions
musculaires ; le malade éprouve souvent des cramp
imultanément pour chasser le sang dans le système artériel, que cette
contraction
s'accompagne d'une percussion ou pression du sang
e plus aréolaire encore que celle du ventricule gauche; la vigueur de
contraction
du ventricule gauche est la raison anatomique et
nts des parois du cœur, la distension dont elle est le siège à chaque
contraction
devient une cause incessante d'irritation, et des
'elle adhère au cœur, cette membrane lutterait efficacement contre la
contraction
si puissante des ventricules, et retiendrait le c
ricarde, la gêne que détermine dans les battemens du cœur adhérent la
contraction
de ce muscle. Mais cette circonstance ne rendrait
ée est efficace dans l'asthme par spasme bronchique, c'est-à-dire par
contraction
spasmodique des fibres musculaires qui entrent da
rendre compte de la déchirure du tissu du cœur sous l'influence d'une
contraction
un peu vive de cet organe , d'une gêne quelconque
les fibres du cœur ne sont pas épuisées chez les vieillards ; non, la
contraction
du cœur n'est pas faible, et sa nutrition n'est p
ison ventriculaire. Quant à la question de savoir si c'est pendant la
contraction
des ventricules, ou pendant la contraction des or
savoir si c'est pendant la contraction des ventricules, ou pendant la
contraction
des oreillettes qu'a lieu la perforation, il impo
tion, il importe peu d'admettre avec M. Pigeaux, que c'est pendant la
contraction
de l'oreillette, c'est-à-dire pendant la diastole
-dire pendant la diastole du ventricule, ou bien que c'est pendant la
contraction
ou systole du ventricule, car la résistance qu'op
on ou systole du ventricule, car la résistance qu'oppose le sang à la
contraction
du ventricule peut entraîner la rupture de la por
plus ou moins étroit, et que ce pédicule a été déchiré par suite des
contractions
du cœur et du mouvement du sang qui les suit : do
eurs bords libres, adhérence qui eût sans doute été complète, sans la
contraction
incessante du ventricule droit, projetant le sang
stacle apporté par le rétrécissement, et s'hypertrophie en raison des
contractions
énergiques qui résultent de l'obstacle : aussi da
être gênée sans être empêchée au moins d'une manière notable, mais la
contraction
de l'oreillette devait être impossible : il résul
oreillette devait être impossible : il résulte donc de ce fait que la
contraction
et la dilatation de l'oreillette droite ne sont p
es du sujet ; il n'exprime plus qu'un état local, savoir, la gêne des
contractions
du cœur étreintpar un liquide incompressible dans
souffrances. Point de paralysie du mouvement. De temps en temps,
contraction
convulsive des muscles de la face, accompagnée de
en fer, A 20 ans, diminution de la vue de l'œil droit. A 21 ans,
contractions
convulsives de la joue gauche, pendant lesquelles
lesquelles la commissure du même côté se rapproche de l'oreille. Ces
contractions
se renouvellent trois fois à de courts intervalle
à de courts intervalles— Saignée au pied. — Un mois après, nouvelles
contractions
à la même joue. — 16 sangsues aux apophyses masto
sont inutilement employés. Son état s'aggrave même sensiblement, les
contractions
xxvie livraison. i spasmodiques de la joue ga
i alternent avec des douleurs non moins vives à la cuisse gauche. Les
contractions
ne sont plus limitées à la face, mais s'accompagn
dité s'explique par la compression du nerf auditif : effet direct. La
contraction
convulsive des muscles de la joue gauche n'a eu l
inférieurs étaient dans un état de rigidité paralytique? pourquoi la
contraction
permanente des muscles fléchisseurs? Ces différen
embarras plutôt qu'un moyen de locomotion. Par contre , il y a des
contractions
involontaires, des sautillemens très douloureux e
sur la région sacrée, et ces eschares firent de rapides progrès. Les
contractions
douloureuses, qui devinrent de plus en plus fréqu
sie du mouvement volontaire; 4° flexion permanente avec rigidité ; 5°
contractions
et sautillemens spasmodiques extrêmement douloure
e i833, et qui avait appartenu à un vieillard mort de paraplégie avec
contraction
. Chez ce sujet, la moelle épinière était comprimé
des nerfs sciatiques. L'immobilité est douloureuse, aussi bien que la
contraction
musculaire. La malade ne peut pas rester en place
rminée par la douleur. En un mot, il n'y a paralysie que parce que la
contraction
musculaire est douloureuse. Cela est si vrai que,
, engourdie, douloureuse à la pression, douloureuse par l'effet de la
contraction
musculaire. Le genou est la limite de la douleur.
s sont douloureux et par le fait de la pression, et par le fait de la
contraction
volontaire ou non volontaire, et par le fait d'un
rt de volonté peut dans la première période de la maladie produire la
contraction
musculaire, mais bientôt la douleur est telle, qu
erreur; car l'action de gratter, le pincement, peuvent déterminer des
contractions
musculaires très prononcées dans la région où s'o
est pas complètement paralysée: tous les muscles sont susceptibles de
contraction
; mais les mouvemens sont extrêmement limités et
leurs dans l'état naturel. Réflexions. Ainsi, rigidité, immobilité,
contraction
musculaire très limitée et pour l'étendue et pour
ieurs, sous peine de recevoir les coups les plus violens. Les mêmes
contractions
spasmodiques involontaires se manifestaient lorsq
nte des pieds, triomphant de la volonté de la malade, déterminait des
contractions
brusques et vives dans ces mêmes membres inférieu
la selle, pour uriner ; ce n'est qu'à grand'peine et à la suite d'une
contraction
volontaire très forte des muscles abdominaux, que
les urines dans l'urinoir: l'expulsion des urines se fait donc par la
contraction
de la vessie, sans l'intervention de la volonté;
violence, que les talons viennent s'appliquer contre les fesses : ces
contractions
ou crampes se font sans douleur; pendant les prem
ie. (1) Quelquefois des douleurs très vives sont développées par la
contraction
spasmodique, involontaire avec ou sans secousses
ques, tantôt un mouvement léger des orteils, d'autres fois une simple
contraction
fibril-laire des muscles, d'un muscle, de quelque
du sentiment, les nerfs du mouvement correspondans produisissent des
contractions
sans l'intervention de la moelle ? Toujours est
jamais la moelle altérée dans son organisation n'a pu perLiettre des
contractions
aussi éner-« giques que celles que présentent vos
u même degré que le mouvement. Je ne mentionne pas la rigidité ou les
contractions
des membres comme un caractère propre au ramollis
e qu'il n'est pas la suite d'une douleur perçue, et les phénomènes de
contraction
paraissent se passer dans le membre par suite d'u
une large base, ne pouvait par conséquent faire soupape, et dans les
contractions
de la vessie s'appliquer contre l'orifice vésical
disposition représentée fig. F, en admettant que dans les efforts de
contraction
vigoureux, nécessaires pour l'expulsion de l'urin
toutes les demi-heures.) La malade tombe dans un profond sommeil. Les
contractions
spasmodiques s'éloignent; elles cessent dans la j
Le 23 novembre, on observe que les membres paralysés sont le siège de
contractions
qui sont extrêmement rapprochées. Les urines et l
seur en même temps qu'elles se ramollissent, et deviennent aptes à la
contraction
. L'hypertrophie de l'utérus est générale lorsqu
e la face est nor- maie. mais la mimique est lente. On constate des
contractions
librillaires de la langue ; le malade vaccillu
autrui me fait une impression désa- uréable, qui provoque une forte
contraction
des paupières et des '10 CLINIQUE MENTALE. mu
res et des '10 CLINIQUE MENTALE. muscles du globe oculaire et des
contractions
cOl/vulsivcs mes //en.c se troublent, ne réagis
i provoque en moi une sensation désa- gréable qui apparaît dans une
contraction
très forte et (1) W. DECUTËREW. -Revue de f'c ?
trémité soit terminée,à une soudaine résistance qui résulte de la
contraction
réflexe des fléchisseurs ; on vainc -cette résist
t par les talons, on percute, les 2e et 3° lombaires, on obtient la
contraction
simultanée des semi-membraneux et semi-tendineu
ompagnée de clonis- me, le réflexe lombo-fémoral se traduit par des
contractions
clo- niques des muscles de la jambe ; ainsi en
t supiné. La pronation qui se manifeste dépend certaine- ment de la
contraction
du carré pronateur. On peut l'obtenir en frappa
rappant sur le condyle in- terne de l'articulation du coude, par la
contraction
du rond pro- nateur, mais ce réflexe a moins d'
; des convulsions toniques continues dans les muscles du cou ; des
contractions
convulsivesdcs muscles des lèvres ; une légère
ant qu'on en puisse grouper toutes les formes dans un même cadre.
Contractions
associées paradoxales dans une ancienne paralysie
auche ; crémastéricn, faible des deux côtés. Pas de clonus, ni de
contractions
fibrillaires. Troubles sphinctériens : Une cert
que celui des moitiés des rétines qui voient, s'ac- compagne d'une
contraction
pupillaire très prompte et très nette. Bien que
la convergence est généralement prompte quoiqu'un peu lente, et la
contraction
présente un degré nor- mal. L'immobilité réfl
EDDOEUS, la triple fonction des yeux, convergence, accommodation et
contraction
pupillaire concomitante, est com- mandée par le
soit des antagonistes, soif d'autres mus- cles plus éloignés. Cette
contraction
se prolonge près d'une minu- te ; on peut l'att
s brachial, le grand pectoral, le trapèze : 1. L'onde musculaire ou
contraction
idiomusculaire, constitue un signe de réaction
ent au-dessus de la surface du muscle en un point limité ; c'est la
contraction
partielle ou raccourcissement des fibres au lie
! Enfin voici deux observations. Celle de Meinertz concerne des.
contractions
librillaires parcourant tout le système musculair
jusqu'à ces derniers temps. Pas de troubles trophiques, quelques
contractions
fibrillaires ; les réflexes ne sont pas sensiblem
u masséter, et un malade atteint de spasme clonique accompagné de
contraction
paradoxale des peauciers et zygomatiques dans l
, arrêter l'éructation bruyante. Le hoquet se traduit alors par des
contractions
douloureuses dans l'épigastre. Après la sixième
; d) dans ces spasmes partiels, lepalpébro-labialpar exemple, la
contraction
volontaire, c'est-à-dire la fermeture voulue de l
à-dire la fermeture voulue de la paupière entraîne immédiatement la
contraction
involontaire de la commissure labiale, qui s'él
ale, qui s'élève malgré la volonté du sujet ; et réciproquement, la
contraction
volontaire, c'est-à- dire l'élévation de la com
issure labiale, entraîne la demi- fermeture de ]'oeil du même côté,
contraction
absolument involontaire, et qui n'existe nullem
du et l'intensitéde l'excitation ; 2° relation entre la force de la
contraction
et l'intensité de l'excitation. C'est sur la pre-
e telle sorte que chaque jambe soit fléchie à 90° sur la cuisse. La
contraction
des quadriceps est enregistrée avec un myograph
bour peu sensible permettant alors de comparer les intensités de la
contraction
. Comme percuteur, nous nous servons de mon réfl
tensité du choc; le temps perdu diminue, depuis le seuil jusqu'à la
contraction
la plus intense ; au contraire, chez un sujet q
ation ; ainsi le supplément d'appel d'air qui peut résul- ter d'une
contraction
normale de ce muscle est supprimé. D'au- tre pa
ion et la miction deviennent plus aisées (par suite de la meilleure
contraction
du diaplirabme).L : nfir, la vie ne tarde pas à
hir la jambe sur la cuisse avec un léger effort, on constate que la
contraction
du jambier anté- rieur produit « un mouvement a
frappe la lèvre supé- rieure ou inférieure, on voit, en outre de la
contraction
lut61 ? 1lIt'lII' de l'orbirulaire des lè\ 1'1"
nt à chaque pas dans la marche normale surun plan horizontal. Cette
contraction
eL unilaLéralc et se produit du côté du membre
e de gravité du corps en dehors du pied 1)4)1-tzlllc sur le '01. La
contraction
unilatérale de la masse aC : l'o-lomhail'e s'accu
essive nnélopalhique avec abolition des rullew·slentlint·us. Pas de
contractions
tibril- lail'es. [)t"huL appal'ellt il J a 3 an
ain. Les muscles ne paraissent pas atrophiés. Il présente aussi une
contraction
des muscles de la partie pn,,(é- rieure de la c
isse qui fléchissent fortement la jambe sur la cuic ? Pa ! 'fuisIes
contractions
de ce genre peuvent se généraliser plus ou moin
. Pre- mier belge de neurologie et de psychiatrie, p. 250, 369.
Contractions
. Voir Purur(sir. Contracture faciale. Voir On
terots, p. 40. alterne hnl- bo-protttbérnntielle, par Sou- ques.
Contractions
associées paradoxales dans une an- cienne fac
n état de spasme permanent. La volonté ne modi-fie pas aisément cette
contraction
permanente, et l'émission involontaire des urines
produit là, en conséquence, un acte qui a pour effet de déterminer la
contraction
permanente des muscles uréthraux, mais qui peut ê
phénomènes se succéder et alors la dilatation spasmodique précède la
contraction
paralytique1. Ce sont là aujourd'hui du même re
t, de temps à auire, sponta-nément, dans les muscles de la îiain, des
contractions
fibril-laires qui communiquent aux doigts de lége
asses musculaires y sont atrophiées à peu près uniformément partout ;
contractions
fibrillaires très prononcées. — fait très régul
— Progressive muscular atrophy accompagned by mus-cular Rigidity and
Contraction
of Joints : examination of the Brain and spinal C
a-trophie progressive, envahissante, des masses musculaires; — b) les
contractions
fibrillaires qui se montrent surtout dans la péri
re partie d'entre elles; les déviations dans la règle, sont dues à la
contraction
spasmodique de certains muscles, à une vérilable
une atrophie profonde et devenaient, sur certains points, le siège de
contractions
fibrillaires très accusées. En dernier lieu, les
istence de douleurs vives et de four-millements dans les membres, les
contractions
fibrillaires, l'embarras de la parole et de la dé
ties du muscle correspondant, qui sons cette influence entreraient en
contraction
. M. Joll'roy (Gazette médicale, 1875, et Société
et une consistance en quelque sorte proportionnés à l'intensité de la
contraction
spasmodique dont ils sont le siège. IL C'en e
sou-levée pour ainsi dire incessamment, d'une façon rythmique, par la
contraction
brusque et involontaire des muscles anté-rieurs d
e muscles, ceux surtout des extrémités su-périeures, sont le siège de
contractions
fibrillaires extrêmement accusées. Ces contractio
sont le siège de contractions fibrillaires extrêmement accusées. Ces
contractions
sont surtout remarquables aux avant-bras et aux m
sur sa face postérieure. L'excitation électrique détermine ces mêmes
contractions
fibrillaires d'une ma-nière plus prononcée encore
s contractions fibrillaires d'une ma-nière plus prononcée encore. Ces
contractions
fibrillaires sponta-nées ou provoquées se remarqu
arquait ni déformations atrophiques des divers groupes de muscles, ni
contractions
fîbrillaires. Les pieds présentaient toujours la
ils sont notés, surtout celui du côté gauche, comme étant le siège de
contractions
fibrillaires remarquables par leur spontanéité, l
che. —Le mouvement de diduction des mâchoires paraît impossible. — La
contraction
des muscles masticateurs est peu énergique, aussi
au même degré que les deltoïdes, le moindre attouchement y ramène des
contractions
fibrillaires, quand elles ne s'y montrent pas spo
Les masses musculai-res, celles des mollets surtout, sont le siège de
contractions
fibril-laires abondantes. — L'examen faradique de
particulier, paraît très sensible à l'excitation électrique. Mais la
contraction
musculaire ne se produit pas partout avec ses car
masses muscu-laires y sont cependant, çà et là, le siège de quelques
contractions
fîbrillaires. Enfin, les mouvements de préhension
la partie antérieure de la cuisse et ceux du mollet sont le siège de
contractions
fîbrillaires. Des contractions fîbrillaires s'o
e et ceux du mollet sont le siège de contractions fîbrillaires. Des
contractions
fîbrillaires s'observent aussi sur la partie cer-
a face dorsale est encore parfaitement lisse et on n'y observe pas de
contractions
fibrillaires. Seuls, ses bords sont en certains p
est à 32. Les inspirations sont très pénibles, et accompagnées d'une
contraction
énergique des sterno-cléido-mastoïdiens et des sc
28. Les inspirations sont de plus en plus pénibles et accompagnées de
contractions
éner-giques des muscles sterno-mastoïdiens, scalè
xistence de douleurs vives et de fourmillements dans les membres, les
contractions
fibril-laires, l'embarras de la parole et de la d
s muscles paralysés qui, à l'état de veille, ne pouvaient être mis en
contraction
par la volonté, pouvaient l'être pendant l'hypnos
tc., réalisent, en dehors de la volonté du sujet, des mouvements, des
contractions
, des altitudes complexes; le corps se met à l'uni
des sensations, des représentations, ou le mouvement des membres, la
contraction
des vaisseaux, la sécrétion de sucs spéciaux, etc
ourant interrompu, de chacun des nerfs sciatiques, provoque de fortes
contractions
tétaniques dans les muscles de la patte correspon
s deux nerfs, l'on verra que ce n'est que la patte B qui sera mise en
contraction
, c'est-à-dire celle dont le nerf a été directemen
endroit où a été faite la ligature, ne provoque plus alors la moindre
contraction
de la patte, tandis que l'excitation du nerf, ent
n du nerf, entre la ligature et les muscles de la patte, provoque une
contraction
nette des muscles. Il est évident que l'excitatio
tique vivant, dont l'excitation par un courant interrompu provoque la
contraction
des muscles de la patte, et que, l'ayant coupé vi
itation du nerf, aa-dessus du point de section, ne provoquera plus de
contraction
, tandis que la môme excitation, appliquée au-dess
excitation, appliquée au-dessous de l'endroit de la section, donne la
contraction
en pleine forme. De tous ces faits résulte avec
gouvernent les muscles des bulbes pileux de la peau et qui, par leur
contraction
, provoquent cet état particulier de l'épiderme.
ue une diminution nette dans le volume du bras ou du pied, grâce à la
contraction
de leurs vaisseaux sanguins. Cette diminution ne
ar exemple, la solution d'un problème d'arithmétique, a pour cause la
contraction
provoquée dans les muscles des parois des vaissea
tabilité neuro-musculaire de la période léthargique, c'est-à-dire les
contractions
et les contractures produites par la simple excit
la période cataleptique, thyperexcitabitité cutanée, c'est-à-dire les
contractions
et les contractures provoquées par la simple exci
ode somnambuliqite. Nous avons nettement constaté ces phénomènes de
contraction
et de catalepsie dans un cas typique d nystéro-ép
cubital, du médian, etc. La rapidité avec laquelle se manifestent les
contractions
et l'intensité qu'elles acquièrent en raison dire
le phénomène de Vhyperexcilabitité neuro-musculaire, je veux dire les
contractions
et les contractures, on procède à une excitation
r les muscles, sur les tendons et sur les nerfs, provoquant ainsi les
contractions
des muscle» ou des faisceaux musculaires, aussi b
n fait agir sur les muscles et sur les nerfs est faible et fugace, la
contraction
musculaire sera de même faible et fugace, à l'ins
ontraction musculaire sera de même faible et fugace, à l'instar d'une
contraction
etotenique ; si, au contraire, elle est lorie et
ique ; si, au contraire, elle est lorie et prolongée, nous aurons une
contraction
forte et prolongée sous la forme d'une vraie cont
timulant mécanique direct : l'hyperexcitabilité cutano-musculaire, la
contraction
musculaire paradoxale dans l'état de veille. Et c
o-musculaires des diverses périodes de l'hypnotisme, c'est-à-dire les
contractions
et les contractures par excitation mécanique, sur
M. le professeur Tillaux, qui était présent, constatait avec moi les
contractions
violentes de l'utérus et les efforts de propulsio
ffrir, qu'elle ne souffrait pas et que bientôt, après Irois ou quatre
contractions
de la matrice et quelques efforts, l'accouchement
expulsion est douloureuse, surtout chez les primipares. Les dernières
contractions
de la matrice et les efforts de la malade furent
l'accouchement, l'utérus se contractait d'une façon continue avec des
contractions
intermittentes plus accusées au palper abdominal;
ntractions intermittentes plus accusées au palper abdominal; mais les
contractions
n'étaient pas douloureuses, au dire de la malade.
sont dues par exemple à un effort de toux, à un faux mouvement, à une
contraction
musculaire pour aller à la selle, et qui de nous
un œil exercé. J'ai eu l'occasion de signaler l'alternance rapide de
contraction
et de dilatation pupillaire chez les personnes hy
ouper trois incisives; mais, dès que j'approchais mon instrument, une
contraction
nerveuse lui fermait la bouche de telle façon que
rir, et malgré toute sa bonne volonté elle ne pouvait combattre cette
contraction
nerveuse spasmodique. Après plusieurs tentatives
l'endors et lui fais la suggestion qu'elle n'a plus de douleurs ni de
contractions
, que tout est arrêté et qu'elle n'accouchera que
suggère qu'elle va accoucher sans douleur et assez promptement. Les
contractions
avec efforts pour l'expulsion ont lieu, en effet,
se fait assez promptement, en moins d'une heure. Au moment des furies
contractions
expullrices « concassantes », elle fait mine de s
voit une foule de petites ouvertures. Trunci ramique, per intervalla
contractions
sunt, mediisque locis capaciores, tanquam si inci
sourds, membres contractés, mouvemens presque nuls, quelques légères
contractions
spasmodiques. 11 n'y a point d'anus, point de tub
our les tendons, c'est la traction qu'exercent sur eux les muscles en
contraction
; pour les aponévroses, c'est la distension opéré
ion ; pour les aponévroses, c'est la distension opérée par cette même
contraction
. Le calcanéum C, la convexité que présente sa f
où les eaux de l'amnios sont peu abondantes, l'utérus puisse, par ses
contractions
toniques et actives, agir d'une manière fâcheuse
n'existe pas, le pied a beau être dévié au moment de la naissance, la
contraction
musculaire rendue à sa véritable direction, soit
u moins les modifier de telle manière qu'elles ne s'opposent pas à la
contraction
musculaire. De l'état graisseux qu'ils acquièrent
uérison en privant les appareils mécaniques de l'utile concours de la
contraction
musculaire ? Je pense donc que l'époque la plus f
le membre est ramené à une bonne direction, le muscle sollicité à la
contraction
commencera à agir: plus de sang, une plus grande
alors que des frictions exercées le long du membre, en sollicitant la
contraction
musculaire et en favorisant la circulation dans l
es et des tendons qui occupent un côté du pied et de la jambe et à la
contraction
de ceux de l'autre côté , de manière à produire u
r : cette poche, sans cesse irritée par l'effort du sang qui à chaque
contraction
est poussé avec une force donnée contre les paroi
ion est augmentée d'un tiers, d'une moitié, du double, alors à chaque
contraction
du ventricule gauche les artères sont portées au-
de l'aorte; car l'élasticité artérielle lutte incessamment contre la
contraction
musculaire; et, cette élasticité une fois vaincue
nt il n'y a dans ce bras, et cela depuis quelques jours, que quelques
contractions
musculaires extrêmement bornées; tout le reste du
ion qui en a été le siège et aux membres correspond ans, peut-être de
contractions
spasmodiques; elle s'est laite graduellement. L'a
récédée et accompagnée de douleurs vives à la tête, souvent encore de
contractions
spasmodiques des membres correspondans; elle se f
gager par fois dans l'ouverture pylorique, et y rester engagée par la
contraction
du pylore. Les longs intervalles de bien-être s'e
ans toute son étendue sans être plus développé et plus douloureux. La
contraction
spasmodique des parois abdominales est telle qu'i
s selles fréquentes, dénotent une affection de plus en plus grave. La
contraction
de l'abdomen, sans douleur notable, répond-elle à
de la plante des pieds et de la paume des mains déterminent quelques
contractions
des orteils et des doigts ; mais ce sont là des m
ns. J'aurais probablement emporté le testicule (qui,par l'effet de la
contraction
spasmodique du dartos, s'était de lui-même échapp
ortement; la malade éprouvait chaque mois pendant plusieurs jours des
contractions
utérines très prononcées et même pendant le derni
actions utérines très prononcées et même pendant le dernier mois, ces
contractions
se renouvelaient tous les jours. i° Pendant F a
s peuvent rendre le travail plus long en diminuant l'efficacité de la
contraction
des fibres utérines. D'une autre part, si, comme
pare la tumeur delà cavité utérine est usée, déchirée par le fait des
contractions
utérines, en sorte que la tumeur passe par une so
exemple lorsque la tumeur étant volumineuse, les premiers efforts de
contraction
déterminent la déchirure de vaisseaux considérabl
t qui résiste quelquefois au resserrement des vaisseaux amené par les
contractions
utérines, est la conséquence des déchirures peu c
la saignée. Il y a sous le rapport des douleurs et par conséquent des
contractions
expultrices, des différences énormes entre les di
Après quoi on donne un lavem. laudanisé, une potion laudanisée. Les
contractions
utérines se déclarent. Accouchement naturel d'un
omposition aussi profonde des traits, mais sans coloration bleue; les
contractions
du cœur projettent le sang jusqu'aux extrémités d
e sont les crampes qui constituent le principal symptôme. On voit des
contractions
excessivement douloureuses, d'une certaine durée,
du corps à une autre, et la mort peut les surprendre au milieu de ces
contractions
. On cite quelques exemples d'individus morts en d
é d'un pas depuis l'invasion de la maladie; il n'y a pas eu une seule
contraction
utérine. Ouverture du cadavre. Estomac sain; in
arnassier (voy. planche I, fig. i, XIV livr. ); dans d'autres cas, la
contraction
était bornée à la portion pylorique; d'autres foi
s, les crampes, et enfin la diminution des battements du cœur dont la
contraction
, réduite à un simple frémissement, ne projette pl
lace sur des points saisis de crampes, ont quelquefois fait cesser la
contraction
douloureuse. 4° Irritants extérieurs. Les sinap
quels la circulation se faisait encore librement sous l'influence des
contractions
du cœur. Il n'est peut-être pas un cas de cholé
est impossible à déterminer,les eaux de l'amnios étant écoulées, des
contractions
utérines continues exerçassent une compression fu
cohérente, sans cesse agitée par les alternatives de dilatation et de
contraction
du cœur, la rupture des couches qui enveloppent l
au malade. Dureté et tension de l'abdomen, manifestement dues à la
contraction
de tous les muscles. Renversement du tronc et d
t la source de l'hémorrhagie; c'était cette même tumeur qui, à chaque
contraction
de la vessie, venait s'appliquer contre le col de
rs se manifestèrent des besoins fréquents et impérieux d'uriner, avec
contraction
douloureuse de la vessie et douleur à l'extrémité
is mois d'agonie ; besoins d'uriner fréquents, pressants, douloureux,
contraction
violente de toutes les puissances expulsatrices,
e circonscrite au pied, dont pourtant le volume est naturel. Parfois,
contractions
spasmodiques extrêmement douloureuses dans le mem
autour des faisceaux de divers ordres des gaines qui facilitent leur
contraction
et leur glissement. Le siège de l'inflammation rh
endue sont le foie, l'estomac, la rate, les reins ; que l'effet de la
contraction
des parois abdominales se porte entièrement en av
orte entièrement en avant et en bas; que d'une autre part, pendant la
contraction
du diaphragme, les poumons sont remplis d'air, et
dans l'espace d'une heure .-l'enfant est venu vivant ; ilayàit a des
contractions
: la tète se renversait en arrière : il n'a vécu
grand nombre de causes de cette fragilité), on conçoit que la moindre
contraction
insolite pourra amener la déchirure de l'organe à
uisses fléchies sous le ventre; tous les muscles sont dans un état de
contraction
tonique. Si l'on essaie de faire asseoir la malad
parties. Le côté droit du corps reste étranger à ces alternatives de
contraction
et de résolution. Si on pince la malade soit à dr
ouvemens convulsifs de la moitié gauche du tronc, les alternatives de
contraction
et de résolution annonçaient assez bien une apopl
u pincement; pouls irrégulier, très faible et très fréquent. Le soir,
contraction
et relâchement alternatifs des muscles des membre
t dans le même état que les supérieures : de temps en temps, quelques
contractions
spontanées du côté gauche. Perte complète de se
, ce qui est dû tantôt au degré de] la raideur, d'autres fois, à la
contraction
simultanée de tous les muscles d'un segment de
le malade exécute une série d'oscillations involontaires dues à des
contractions
spasmodiques des'muscles postérieurs de la cuis
e 20, 30, 50, 6J courants tétanisants finit par ne plus produire de
contraction
musculaire; celle-ci reparait nette et vigoureu
une affection musculaire chronique progressive caractérisée par des
contractions
tétaniques, douloureuses, des groupes musculair
aniques, douloureuses, des groupes musculaires les plus différents,
contractions
presque continuelles, à l'occasion d'excitation
de scléroses en plaques et de scléroses combinées le phéno- mène de
contraction
du jambier antérieur pendant la flexion, phénom
e menton se portant à droite ou à gauche par suite d'une violente
contraction
des sterno-cléido-mastoïdiens. Elle se giffle, el
quement par une intensité et surtout une persistance anormale de la
contraction
muscu- laire, dont les stéréotypies d'attitude,
vers. La seconde se manifeste par la répétition anormale d'une même
contraction
spontanée ou provoquée : telles sont les stéréo
dications sur l'aptitude du sujet à répéter inopportunément la même
contraction
muscu- laire : au moment où les mains servent d
e. A deux ou trois reprises toutefois, on a pu remarquer une légère
contraction
de la face. Le malade, à ce moment-là dans une
on mouvement la paupière supérieure qui n'est plus maintenue par la
contraction
de l'orbiculaire; il l'abaisse quand il se diri
fatigue complète, que la hauteur du tracé exprimant l'énergie de la
contraction
va en s'abaissant progressivement (eryogramme d
e de Mosso). Quand cette hauteur approche de 0, si l'on espace la
contraction
de l'index de dix secondes en dix secondes, on vo
d'action, mais cesse de se fatiguer. Les tracés de chacune de ces
contractions
espacées (ergogramine de Maggiora) sont sensible-
uisement, analogue à celui du sujet sain, t'ergogramme de Maggiora (
contractions
espacées de dix secondes), permet de constater
conçoit, que le niveau du tracé de l'individu normal) le tracé des
contractions
espacées montre que le relèvement de la courbe
cié que la substance fibrillaire, n'est pas ' IOTEYI0. Etudes sur a
contraction
tonique du muscle strié et ses excitants. (Mémo
le passage permanent du courant voltaïque, et ne réagit que par la
contraction
lente, qui lui est particulière. 'Régénération
A deux ou trois reprises toutefois, on a pu remarquer une lé- gère
contraction
de la face. Le malade, à ce moment-là, dans une
lles de l'un, un faisceau de l'autre, un troisième en totalité. Les
contractions
se succèdent en nombre de plus en plus grand ju
s rémission l'état de contracture fré- 7nissctzzle : sur un fond de
contraction
en masse qui semble défini- tive, apparaissent,
fection, selon l'intensité de la crise, on voit prédominer soit les
contractions
parcellaires, soit la contracture. Celle-ci peu
que l'on a décrit dans la myokymie. Mais, dans le spasme facial. la
contraction
musculaire est très variable dans sa vitesse et d
condensateurs. Cette décharge est commode en ce qu'elle produit une
contraction
pure, dénuée de douleur et d'action électrolyti
u côté opposé à celui de la cornée excitée. C'est le résultat de la
contraction
du ptérygoidien externe du côté de la cornée ex
hy, Bechterew, Iludovernig, est connu de tous les neurologistes. La
contraction
de l'orbiculaire des paupières ne survient-elle
ement selon les indivi- dus mais aussi suivant les moments. Cette
contraction
de l'orbiculaire a lieu des deux côtés même che
ale, totale, la percussion du point sus-orbitaire se traduit par la
contraction
en question du côté sain et sa suspension du cô
tion en question du côté sain et sa suspension du côté paralysé. La
contraction
du côté sain a également lieu quand on frappe s
dans la para- lysie faciale totale alors qu'il ne se produit pas de
contraction
de l'orbiculaire. Jamais concurremment le globe
faiblit, a de la peine a s'exprimer. Le 22, insomnie accompagnée de
contraction
convulsive des mains et des pieds : il lui semb
ence de l'écorce du cerveau et des ganglions sous- corticaux sur la
contraction
de la rate, par E -W. Ehiksonn. (oboz ? é ? 71é
est la région de la circonvolution sigmoïde qui agit le plus sur la
contraction
de la rate. 60 Et, de cette région, c'est la pa
tonique, la dilatation de la rate, à la période clonique, une vive
contraction
de longue durée, qui survit encore quelque temp
épileptoïde détermine encore le gonflement à la période tonique, la
contraction
à la période clonique. l'. KEMAVAL. XXSV11. D
termayer a noté 1'liyperexciLabiliLé méca- nique, des phénomènes de
contraction
idiomuculaire, de l'hy- excitabilité galvanique
é de gestes extraordinaires. Tous les muscles de sa face entrent en
contraction
, il secoue la tête de tous côtés, il ressemble
ilité de l'attention rend très difficile cette régulari- sation des
contractions
musculaires. Aussi a-t-on essayé d'appli- quer
e de l'écorce du cerveau et ries ganglions sous- corticaux sur la
contraction
de la - , par Erllaonn, 138. Réactions Voir E
de tous les tendons détermine de LA MALADIE DE PARKINSON 5 vives
contractions
musculaires, malgré l'atrophie musculaire, pourta
z apparaître, dans les mus- cles du bras et de l'épaule gauche, des
contractions
spontanées, qu'il ne faudrait pas prendre pour
des contractions spontanées, qu'il ne faudrait pas prendre pour des
contractions
fibrillaires : elles intéressent une grande par
ivant l'expres- sion de Paul Richer ; Gowers avait déjà signalé ces
contractions
, qui ont un rythme analogue à celui du tremblem
ans certaines hémiplégies anciennes, avec spasmodicité légère, sans
contractions
fibrillaires ; vous savez aussi que l'on peut obs
ut concevoir deux modes de ce dispositif, soit qu'on enregistre les
contractions
musculaires au moyen de myogra- phes directs, s
éflexe plantaire. Pour le premier mode, enregistrement direct de la
contraction
musculaire, il existe deux difficultés qui rest
uscles et à n'appliquer les instruments que sur les muscles dont la
contraction
est suffisamment nette; la seconde n'est qu'un
e l'impossibilité manifeste d'enregistrer au moyen de myographes la
contraction
des fléchisseurs plantaires ou celle de l'extense
s d'usage à chaque expérience ; force est donc ici d'enregistrer la
contraction
des muscles mis en action, et en particulier de
en- seur du fascia lata, au point variable suivant les sujets où la
contraction
de ce muscle est le plus perceptible à la vue e
en communication respectivement avec trois tambours récepteurs. La
contraction
musculaire enregistrée par les myographes se tr
provoque le plus léger mouvement du gros orteil provoque aussi des
contractions
du jambier antérieur et du tenseur du fascia la
ontractions du jambier antérieur et du tenseur du fascia lata ; ces
contractions
, trop faibles pour être constatées directement,
ou sinueuse, les sinuosités traduisantvrai- semblablement plusieurs
contractions
musculaires successives. Le réflexe planti-digi
é antérieure. Le ventre est dur à la palpation et paraît en état de
contraction
permanente. Pendant la respiration, le thorax e
e, les masséters forment comme une corde tendue et l'un observe des
contractions
des muscles de ce côté de la face à l'occasion
. Le spasme est surtout accusé dans le domaine du facial inférieur.
Contraction
des masséters. Spontanément, la malade reste pl
'agit actuellement d'une aryth- mie un peu irrégulière : à quelques
contractions
cardiaques rapprochées succè- dent des contract
re : à quelques contractions cardiaques rapprochées succè- dent des
contractions
plus éloignées, chacune d'elles ayant un timbre s
gauche. On constate quand la ma-t lade ouvre la bouche l'absence de
contraction
du peaucier du côté gauche. Le réflexe pharyngé
. Il n'y a pas, cependant, de diminution de volume des muscles ; ni
contractions
fibrillaires, ni diminution d'excitabilité élec
courant faradique, a été positive seulement aux deux deltoïdes; la
contraction
tétanique, forte au début, devient de plus en p
inutes ; avec des excitations interrompues à la main, les premières
contractions
sont fortes, elle s'affaiblissent ensuite peu à
commence généralement parles petits muscles des mains, présente des
contractions
fibrillaires, des atrophies musculaires, des modi
èze droits se contractent bien, mais ils sont, parfois, le siège de
contractions
fibrillaires rapides. Les muscles adducteurs du
es nystagmiformes. Acuité auditive diminuée. Vers la fin de la vie,
contractions
tendineuses dans les jambes. Pied en équin direct
l était pris de tremblement généralisé en même temps que de légères
contractions
dans les muscles de la face en particulier. Il n'
- gayée, entrecoupée, explosive ; la mastication est maladroite, la
contraction
340 GAUSSEL des masséters se faisant très irr
ituelle ; ce n'est pas davantage un groupement de mus- cles dont la
contraction
soit adaptée à un acte professionnel. Nous n'av
les deux sterno-cléido-mastoïdiens se con- tracturaient, pendant la
contraction
instinctive des muscles qui maintien- nent la t
tion des extenseurs. À la 3e ou 4e application, la permanence de la
contraction
ne s'observe plus. Avec le courant continu, on
r les doigts après vous avoir serré la main. De même ordre sont les
contractions
toniques qui entraînent le malade en arrière lo
peut encore trouver un argument en faveur de celle opinion dans les
contractions
très localisées qu'on peut observer chez certains
e singulier : lorsqu'il se lève de son lit ou de sa chaise il a une
contraction
totale des muscles du mollet qui soulève les ta
dique, par exemple, il faut mettre le chariot à 500 pour avoir des
contractions
des muscles des mollets avec les interruptions
s avec les interruptions lentes : on n'a pas de persis- tance de la
contraction
. Avec le courant à interruptions fréquentes on co
Avec le courant à interruptions fréquentes on commence à avoir des
contractions
à 300 et le muscle reste dur et contracté pendant
rable du ventre, augmenté encore par la tympa-nite et en raison de la
contraction
des muscles abdomi naux. Après plusieurs tentativ
sachant en outre que cette hémianesthésie s'accompagne d'une sorte de
contraction
des vaisseaux, nous nous expliquons sans peine po
mpression ovarienne, il se produit des mouvements de déglutition, des
contractions
de la face ; puis, la malade regarde les assistan
, 20 minutes et même davantage. A la fin, aussi, on observe les mêmes
contractions
de la face, les mêmes modifications de la physion
. Michaud. Planche XXV. HYSTERO-EPILEPSIE il y a quatre ou cinq
contractions
assez brusques des muscles sacro-lombaires et de
; puis, tout à coup, les muscles respirateurs accessoires entrent en
contraction
violente ( sterno-mastoïdiens, trapèzes, etc.) Pe
s signalées hier et que l'on désigne dans le service sous le nom de «
contractions
ou d'accès de contracture. » Quelquefois ces cris
i-flexion, qui s'est dissipée au bout d'un quart d'heure ; enfin, des
contractions
, également passagères, dans la face (grimaces) et
s. Apparition des règles qui cessent le 16 dans la soirée. 19 oct.—
Contractions
passagères dans les membres. 21 oct.— Attaques
6 oct.—Etouffements d'une heure à 5 heures. 28 oct.— Tortillements,
contractions
durant deux heures. 5 novembre. — Etouffements
celles qui apparaissent spontanément. 12 novembre.—Etouffements et
contractions
d'une heure à 4 heures. Apparition des règles qui
et dans la langue : c'est ce qu'on désigne d'habitude sous le nom de
contractions
. 24 nov. — Tortillements de 5 h. à 8 heures du
position qu'ils avaient quand la contracture les a envahis. c) Les
contractions
ne sont autre chose que des contractures passagèr
mme Geneviève ; dans le second cas, ces perturbations de la motilité,
contractions
, crampes, etc., disparaissent avec les convulsion
17, 138. Constipation, 5, 6, 65. Contorsions, 18, 60, 143, 148.
Contractions
, 138 140, 148. Contracture, 93, 146. C. du memb
eut, et même sans sa volonté; c'est là de la contracture et non de la
contraction
musculaire. Cela se produit pour toutes les artic
tœnia. Une céphalagie conti¬nuelle se traduisait également parfois en
contractions
musculaires ' Acad. de méd., séance du 19 avril
ès M. Lortet, il faut : 1° donner une substance qui, sans exciter les
contractions
de l'intestin, lue le ver ou du moins 1 Journal
nnue dans la science, cette théorie attribue la grande impulsion à la
contraction
du ven¬tricule gauche, la petite pulsation au cho
ême, les deux oreillettes, l'examen des tracés nous montre que, si la
contraction
commence simultanément pour les deux ventricules,
pulsation ne serait autre chose que la double expression de la double
contraction
des deux moitiés du cœur. La contraction commen
le expression de la double contraction des deux moitiés du cœur. La
contraction
commencerait par le cœur gauche; elle se conti¬nu
ions secondaires, qui succèdent au choc en re¬tour, seraient dues aux
contractions
des oreillettes, qui se feraient en un ou plusieu
duisent à leur tour une ou deux petites ondulations suivant que leurs
contractions
sont simultanées ou successives. tour droit.
cessives. tour droit. 2° Choc en re¬tour aortique ou gauche. 3"
Contraction
des i oreillettes. Celte théorie semble trouver
t à notre sujet; il a rendu visible aux spectateurs chaque élément de
contraction
du cœur, en plaçant trois plumes sur de légers su
on sang permettait aussi d'apprécier une différence de temps dans les
contractions
val-vulaires, regardées jusqu'à présent comme aya
iration exerce à son tour une action indirecte sur la circulation. La
contraction
du cœur est aidée par la contraction de la poitri
indirecte sur la circulation. La contraction du cœur est aidée par la
contraction
de la poitrine ; elle est affaiblie, par sa dilat
s-douteuse ; dans sa partie postérieure on n'aper¬çoit que de légères
contractions
enlre les deux réophores. L'excita- REVUE PHOTO
atée précédemment (Obs. III), a peu d'efficacité pour faire cesser la
contraction
des muscles respirateurs. Aussi, tout en ayant re
une détente com¬plète qui persistait un certain temps après, puis la
contraction
se reproduisait. L'amélioration obtenue dès les
et l'on continue le chloral. Vers 3 heures, les intervalles entre les
contractions
sont plus longs. Trente sangsues par série de cin
une petite plaie du talon gauche. 2 juillet. Opisthotonos marqué. —
Contraction
dans les muscles abdominaux. — Chloral, 4 grammes
motions, nos volontés, nos pensées n'accompagnent dans les muscles de
contractions
fibrilh'ires imperceptibles dont nous n'avons pas
ts sur un des cotés de la face. Il y eut, comme on le pense bien, une
contraction
énergique des muscles de la face du côté correspo
mme ·. un mouvement convulsif, habituel et conscient, résultant de la
contraction
involontaire d'un ou de plusieurs muscles du corp
vénérien et au moment même où ce spasme survient. C'est qu'alors les
contractions
des muscles droits de l'abdomen agissent directem
orcent l'urine à s'échapper sous forme de jets synchrones à ces mômes
contractions
musculaires. Cette femme est hystérique; elle est
était nécessaire, je reviens à la patiente, qui avait à ce moment une
contraction
assez douloureuse ; la douleur passée, je commenc
aussi persuasif que possible que, dans cinq minutes, elle aurait une
contraction
énergique de la matrice, utile pour l'expulsion,
usque-là ; au bout de cinq minutes,en cÎTct,de cette application, une
contraction
utérine assez/page> page n="180"> forte
lle dit, en effet, qu'elle souffre beaucoup moins, tout en sentant la
contraction
. Je lui affirme encore que les contractions vont
moins, tout en sentant la contraction. Je lui affirme encore que les
contractions
vont revenir toutes les cinq minutes et qu'elles
nt plus de mal. En effet, après cinq minutes écoulées, une nouvelle
contraction
se produit, je la sens sous ma main, mon autre ma
uelques instants dans une pièce voisine, je fais l'expérience que les
contractions
reviennent régulièrement toutes les cinq minutes,
e et se plaint alors beaucoup de ressentir de vives douleurs à chaque
contraction
. Elle me demande instamment de revenir près d'ell
ur le ventre, l'autre sur les yeux, je lui affirme que maintenant les
contractions
vont être plus énergiques et plus fréquentes, qu'
répéter toutes les trois minutes. Au bout de ce temps, en effet, une
contraction
a lieu, forte et prolongée et, à partir de ce mom
contraction a lieu, forte et prolongée et, à partir de ce moment, les
contractions
se succèdent toutes les trois minutes exactement,
nt du passage de la tête à la vulve, sur ma parole, la violence de la
contraction
puisse être maîtrisée et modérée ; on la voit se
moins espacées d'abord, puis, sous l'influence de la suggestion, les
contractions
se sont succédées avec une régularité mathématiqu
e ventre et l'autre sur les yeux, je lui affirme qu'elle va avoir une
contraction
de la matrice avec effet utile pour l'expulsion d
dans les reins, comme elle s'en plaignait jusque-là; j'ajoute que ces
contractions
vont se répéter toutes les trois minutes avec une
rois minutes s'étaient à peine écoulées, que je sens sous ma main une
contraction
se produire, mais sans souffrance visible de la p
estion nouvelle d'analgésie et, avec une régularité mathématique, les
contractions
se succèdent toutes les trois minutes, fortes et
endue au détroit inférieur; comme, au bout d'un temps assez long, les
contractions
paraissent se répéter en vain, malgré leur force
la suggestion, dont le prix se fait sentir à ce moment critique. Les
contractions
énergiques et longues se répètent toutes les troi
, ainsi appliquée, se montre réellement efficace pour régulariser les
contractions
utérines, car il est en effet difficile d'admettr
este ù uotre manière par des modifications de 84 physionomie, par des
contractions
particulières de la face. Vivant dans la familiar
ue complètement de parler et de déglutir ; son abdomen était animé de
contractions
spasmodiques ; elle se plaignait de strangulation
férence de hauteur des deux sourcils pendant le repos et pendant la
contraction
des muscles frontaux. Si le muscle est en contr
es du tronc du côté paralysé. Pour mieux mettre en évidence cette
contraction
du mus- cle par secousses et cette diminution d
ôté paralysé, la fatigue arrive vite, exagérant les à-coups dans la
contraction
, le retard du mus- jRciiivEs, 2° série, t. VII.
des muscles des deux côtés. Quand les sourcils sont au repos ou en
contraction
, si avec le pouce on cherche par une secousse b
uls à forte tension. Chose explicable si on se rap- pelle l'état de
contraction
dans lequel se trouve le système musculaire du
yngien est conservé. Il n'y a pas de tremblements aux lèvres, ni de
contractions
dans les muscles de la face. Les membres supéri
; par 0. BuuEn. · (Neurolog. CenlrulGl., XV1, 1897.) : Il s'agit de
contractions
parfois fugaces, iudoleutes et sans effet moteu
autre, il éprouve des crampes douloureuses, mais générale- ment les
contractions
sont de courte durée. Elles courent en ram- pan
de convulsions cloniques répétées s'affaiblissant graduellement. La
contraction
est-elle exagérée, le malade s'en aperçoit par
action directe ou indirecte ; réaction dégénérative galvanique avec
contraction
lente des deltoïdes, biceps, extenseurs ; inexc
onservé. Il y a des tremblements de la langue, moins des lèvres. La
contraction
idéo-musculaire est un peu augmentée, de même l
s gastriques, etc.; de même des névralgies intercostales amenant la
contraction
du muscle pectoral simulent des tumeurs du sein
ection elle est descendue à 39°3'. Dix minutes après l'injection la
contraction
pupillaire commence. Perte des réflexes palpébr
u lapin : 495. Tempéra- ture : 38°9. Dix minutes après l'injection,
contraction
des pupilles, ralentissement de la respiration.
si à l'aide des deux mains il mettait sa tète en bonne position, la
contraction
du sterno- AncmvES, 2" série, t. VII. la 22
réiformes, de courte durée dans les muscles inférieurs de la face ;
contractions
intentionnelles dans les muscles supérieurs de
paralytique semble en effet déterminée, dans certains cas, par leur
contraction
simultanée, capable de produire un tiraillement
que seule l'irritation des fibres du pneumogastrique produit des
contractions
de l'estomac. D'après M. Battelli, au contraire
paires, du côté où le spinal a été arraché, ne produit jamais de
contractions
stomacales, qui sont au contraire bien nettes qua
la parole et de la déglutition. A noter l'absence d'atrophie et de
contractions
fibrillaires. Depuis le début de la maladie, qu
ques et l'épilepsie. R. C. LVII. Sur un cas de chorée variable avec
contractions
fasciculaires des deltoïdes et craquements arti
lisation stricte des spasmes aux deux deltoïdes et discordance des
contractions
de ces muscles, produisant les craquements arti-
côté de la moelle. Quant à la para- lysie du membre opposé et à la
contraction
qui, plus tard, s'y développa, on peut seulemen
ledit faisceau une dégé- néralioii descendante et, comme suite, la
contraction
du membre du même côté. La théorie de la décu
e 15 à 20 centimètres : punctumproxi- muni, nous n'observons aucune
contraction
de la pupille, leur disant ensuite de regarder
uits par l'excitation de l'écorce cérébrale ; ce sont notamment des
contractions
cloniques ou toniques de divers groupes muscula
s est insigni- fiante. L'excitabilité électrique est diminuée : les
contractions
gal- vaniques sont parfois paresseuses. Les réf
et doit être considéré comme une névrose se caracté- risant par des
contractions
spasmodiques dans l'appareil de l'articulation,
ans les cordes vocales, les muscles des lèvres et de la langue. Ces
contractions
peuvent atteindre les organes de l'articulation
erveux en général, de l'autre, elle cherche à faire disparaître les
contractions
vi- cieuses à l'aide de la gymnastique respirat
ion, de supination, de flexion sur le bras. Le deltoïde droit a des
contractions
spon- tanées, brusques, en masse ; la moitié dr
La jambe droite fléchie sur la cuisse contracturée est le siège de
contractions
rythmiques limitées et d'une hyperesthésie cuta
tômes de paralysie bulbaire augmentent ; voix affaiblie, soufflée,
contraction
difficultueuse, pénible, des muscles inspirateurs
Le coeur dans la-par ha- vier, 172. Sur un cas de-variallle avec
contractions
fasclculaires des deltoïdes et craquements aruc
risés par tous les phénomènes de l'épilepsie grave, y compris les
contractions
du diaphragme, les vomissements, la dyspnée int
nales du rhumatisme ; par B. Mettas (thèse de Paris, 1881). De la
contraction
idio-nztscul(ii),e en clinique ; par D. L B13É, (
ici de la différence du résultat obtenu : contracture aux membres,
contraction
à la face). Mais il arrive fréquemment qu'n ce
nerf cubital répond un léger mouvement dans les doigts, mais aucune
contraction
nettement localisée, aucune ébauche de contract
nt. 4° Lorsque l'excitation est insuffisante, on n'obtient qu'une
contraction
plus ou moins prolongée ou bien une contracture
myosis étant fréquente, l'impression lumineuse fait disparaître la
contraction
pupillaire. Au bout de dix ans, pupilles immobi
e succèdent; ils ne disparaissent que pour être remplacés par des
contractions
convulsives de la moitié droite du visage et nota
le : les piqûres, le chatouillement ne déterminent que de faibles
contractions
musculaires. La trépidation du pied ne peut être
idation commence. Au moment où la face commence a se figer par la
contraction
tonique qui précède la torsion de la tête, on v
fficultés de l'observation de l'état de la pupille, surtout pour la
contraction
du début, qui est souvent extrêmement brève. Ce
é plusieurs fois, avant le début de l'attaque, sans aucune trace de
contraction
tonique, une contraction pupillaire très énergi
début de l'attaque, sans aucune trace de contraction tonique, une
contraction
pupillaire très énergique, constituant une sort
. Chez les malades qui, au début de la période tonique, offrent une
contraction
pupillaire de quelque durée, on peut, par une c
n'avons jamais pu arriver dans les attaques isolées à constater la
contraction
du début que M. Gowers a quelquefois observée ;
un de ces cas, nous avons pu cons- tater, dans quelques accès, une
contraction
de la pu- pille au début de la période tonique
ois, une constatation plus importante a pu être faite au moment des
contractions
utérines. M. Budin a pu nous faire toucher, à p
ment, on chercha, mais en vain, à sentir l'ovaire ; au moment de la
contraction
utérine, on sentait le ligament rond qui formai
riquement à 15 centimètres en dehors de ce point. Pendant une forte
contraction
, j'ai pu sentir, du côté gauche, un petit corps
, dans les couches optiques, des centres inhibiloires empêchant les
contractions
rhythmiques des sphincters anal et vaginal ; le
olution de continuité de ces fibres que serait due l'apparition des
contractions
spasmo- diques des sphincters. MM. Ott et Smith
M. Ott et Smith à conclure que les fibres inhibiloires arrêtant les
contractions
rhythmiques des sphinc- ters, prennent naissanc
pprochent de ces faits, 23 354 REVUE DE pathologie NERVEUSE. la
contraction
du triceps crural qui suit la percussion de son
ze et Furbringer, ayant constaté que la section du crural abolit la
contraction
du côté correspondant, et que la percus- sion d
nt du côté opposé est un mouvement d'ensemble du membre, et non une
contraction
du triceps crural seul. En effet, lorsqu'on a s
la gauche. Par contre, une certaine exaltation s'accom- pagne d'une
contraction
de la pupille droite avec une légère dilatation
s les régions féeriques, ni de la seconde les fortes et permanentes
contractions
musculaires. Sa torpeur est exclusivement de l'
ppe des pressions différentes selon qu'elle est aidée ou non par la
contraction
synergique de la main du côté opposé. Si on fai
droite se contractant isolément donne 7 kilogr ? entraî- née par la
contraction
synergique de la main gauche, elle donne 12 kil
dépassé 1 kilogr. Il n'est peut-être pas inutile d'ajouter que la
contraction
volontaire du côté paralysé n'entraîne pas, en
traction volontaire du côté paralysé n'entraîne pas, en général, de
contractions
synergiques dans le côté non paralysé. Le fai
euxième cas) l'une est dilatée, l'au- tre contractée. Lorsqu'il y a
contraction
égale ou dilatation égale des pupilles, on cons
amment devenait le siège, sous l'influence du courant faradique, de
contractions
qui duraient jusqu'à trente secondes ; les mouv
uin des convulsions cloniques dans les deux extrémités gauches avec
contractions
dans le domaine du facial homologue et torsion
mécanique des muscles est exagérée dos deux côtés où l'on voit des
contractions
fibrillaires. Réflexes nor- maux. Ce n'est qu'a
c.), a une influence psychique des plus utiles. R. V. XXIII. Sur la
contraction
paradoxale; parle Dl ALPRECHT ERLENI4fEYER (d8
s durable, produisant l'adduction du pied qui lui est propre. Cette
contraction
peut durer de une jusqu'à vingt minutes et plus
fois pour les fléchissants du genou. On voit qu'il s'agit là d'une
contraction
provoquée par le relâchement passif du muscle,
la désignation donnée par Westphal. Erlenmeyer a constaté que cette
contraction
paradoxale écliapp6,ç,omplètement au contrôle d
contrtzctccresuivant la défini- tion deMM.Ch.Richet et l3rissaud :
contraction
de plus ou moins REVUE DE pathologie NERVEUSE.
onde hypothèse peut être justifiée par l'expérience : si pendant la
contraction
paradoxale du tibial antérieur, le pied étant p
'Dans les deux cas, il est tout ci fait impos- si )le d'obtenir la
contraction
paradoxale. Westphal était parti de la supposit
ntraction paradoxale. Westphal était parti de la supposition que la
contraction
paradoxale 'est déterminée par le raccourcissem
e phénomène du pied (réflexe du tendon de Erb) qui consiste dans la
contraction
du trijumeau provoquée par l'allongement de ce
'épithète de paradoxale. ' Abstraction faite du mode différent de
contraction
, clonique pour le phénomène du pied, tonique po
de contraction, clonique pour le phénomène du pied, tonique pour la
contraction
para- doxale, Erlenmeyer pense qu'il y a là deu
d'un muscle par son allongement et réaction du même muscle par des
contractions
cloniques; dans la contraotion paradoxale : exc
d'un muscle par allongement de son antagoniste et réaction par une
contraction
tonique ou contrac- ture. ? ' t 1 La désignat
e contraction tonique ou contrac- ture. ? ' t 1 La désignation de
contraction
paradoxale ne peut'' donc pas être conservée. E
arce que tout allongement passif d'un muscle est accompagné d'une
contraction
inconsciente de l'antagoniste, ce qui leur fait s
Sud-Ouest, 131. Connaissance (maladies de la), par Weiss, 234.
Contraction
paradoxale, 372. Côtes fracturées dans les asil
des muscles de la région antéro-externe de la jambe ne produit aucune
contraction
. Les muscles du mollet réagissent encore, quoique
qu'on lui rompit la colonne vertébrale. Ces tractions, ainsi que les
contractions
utérines, s'accompagnaient de vives douleurs dans
e antérieure de la jambe droite. L'électrisation ne provoque aucune
contraction
des muscles jambier antérieur, extenseurs commun
tensité augmente par instants. — Secousses fibrillaires fréquentes et
contraction
isolée de quelques faisceaux musculaires. —• Sens
ampères). Kathode et Anode = 0.—Pédieux. Kathode et Anode très faible
contraction
. — Le triceps sural seul est indemne. Nous croy
cuisses 24°, 28°,4 30», électrique, on obtienne le retour des
contractions
musculaires, le pied n'en restera pas moins fixé
s, Il s'agit bien là de rétraction tendineuse ou musculaire et non de
contraction
spasmodique. Il suffît, en effet, pour l'établir,
anique intense du nerf radial, dans la gouttière, provoque une faible
contraction
dans le long extenseur du pouce, l'extenseur comm
ur, qui est faiblement excitable fara-diquement. Interosseux dorsaux:
contraction
avec le maximum du courant faradique, plus faible
es atrophiques. Il faut un courant d'autant plus fort pour obtenir la
contraction
, que le muscle est plus atrophié, aussi bien avec
65°= KS néant. 60 millim. = néant pour la partie moyenne. 80 — =r
contraction
du faisceau claviculaire. 12 élém., 45o = KS néan
ouce. 60 millim. = néant pour les trois portions. 12 élém.,43° = KS
contraction
très faible. 14 élém., 55° = AS contraction trè
ions. 12 élém.,43° = KS contraction très faible. 14 élém., 55° = AS
contraction
très légère. ~ ~ j néant. Le malade accuse un
à cause de l'atrophie des muscles. Chez les autres, au contraire, la
contraction
constante du frontal qui tend à remédier à l'insu
d'anomalie des réactions, mais une simple diminution de l'énergie des
contractions
, proportionnelle à la diminution supposable du no
mite en dedans une petite fossette arrondie. L'ensemble de toutes ces
contractions
donne à la physionomie l'air triste et chagrin qu
'éminence thénar et de quelques aulres petits muscles de la main; les
contractions
fibrillaires font défaut. Le membre supérieur g
ns énergiques ramenèrent le mouvement. « Depuis lors, dit M. X..., la
contraction
nerveuse dans le flanc gauche et à la partie inte
st un peu exagérée. Quand on sollicite l'abduction, c'est-à-dire la
contraction
du muscle droit externe, l'œil n'exécute qu'un tr
nous venons de décrire, il faut solliciter plus ou moins fortement la
contraction
du droit externe paralysé en forçant la malade à
, que ce déplacement se produit sans que l'on provoque directement la
contraction
du droit interne; et que, cependant, à la brusque
t que, cependant, à la brusquerie de ce mouvement, il semble que la
contraction
de ce muscle droit interne intervienne. Ce déplac
s sont précédées d'une aura analogue à l'aura de l'attaque vulgaire :
contraction
de la gorge, battements dans les tempes, siffleme
édicaments et le mas- sage, sans avoir recours à des exercices, ces
contractions
de la main que nous appelons chez nous crampe d
pour la recherche de l'action physiologique des médicaments sur la
contraction
mus- culaire. Il permet d'obtenir simultanément
contractile (section du nerf), moins intenses là où le tonus et la
contraction
réflexe persistent encore (section de la moelle),
. 100 seulement des individus normaux. Le deuxième phénomène : la
contraction
pupillaire, qui se pro- duit, quand le malade s
pières est un mouvement synergétique de l'iris, qui accom- pagne la
contraction
du muscle orbiculaire et la rotation en haut et
les rayons lumineux sont interceptés et ensuite une tendance à la
contraction
, qui constitue le phénomène que j'étudie devant v
à la dilatation prédomine, aussi n'observons-nous pas en général la
contraction
pupillaire. Chez les SOCIÉTÉS SAVANTES. 167 p
séquent la tendance à la dilatation sont abo- lis, la tendance à la
contraction
existe seule et par conséquent peut se manifest
e secousses pathologiques et d'une parésie ; 4° L'intermittence des
contractions
athétosiques, des se- cousses choréiques et des
s étant applicables aux êtres vivants, la machine nerveuse rend des
contractions
muscu- laires, et des mouvements physiques et c
lIellro-diélectriqlles pathologiques que sont dues, selon moi, les
contractions
athétosiques, les secousses du tremblement, des
les autres; car j'ai été conduit par une étude d'ensemble' sur les
contractions
pathologiques et les paralysies, à poser les lo
décharge, comme dans le con- densateur électrique, et par suite une
contraction
muscu- laire. Puis la pression, tombée à zéro,
décharge se produira, et ainsi de suite. De là l'intermittence des
contractions
du tremblement, de l'athétose, des chorées et d
que la coïncidence fréquente, dans un même territoire musculaire de
contractions
pathologiques et d'une parésie plus ou moins ap
idiotie 8PILEPTlQUE. 210 i) C'est ainsi que les tremblements, les
contractions
atliétu- siques et les secousses choréiques ces
ou tout an moins hâté l'éclosion de la maladie. C. D. XXXVI. Des
contractions
de l'estomac, des intestins et de la vessie dan
scle est sa charge de rupture, car celle-ci se produit avant que la
contraction
cesse de se faire. Pour trouver cette force lim
s, puis revient sur lui-même parle fait de sa seule élasticité. Les
contractions
ryth- miques signalées par Goltz et par Chauvea
ine limite que l'auteur nomme : « seuil de dépression. » Au delà la
contraction
tétanique diminue et la courbe baisse. Ce phéno
émulation des coeurs séparés du corps et privés de circulation à la
contraction
des coronaires, ne suffit pas à l'expliquer pui
t parfaitement démontré et admis par tous les physiologistes que la
contraction
d'un muscle est toujours accompagnée du dégagem
e mouvement du bras. Cette augmentation suif le développement de la
contraction
jusqu'à un certain degré à partir duquel l'inte
naire pendant quelque temps diminue pour disparaître enfin quand la
contraction
atteint son maximum et que tout mouvement devie
? .OL'NTS1QLOCxIE LT D'·L'LECTR,oTHEItAPIE. -403 du côté malade, la
contraction
du bras de ce côté-provoquait un courant dont l
ent donc que les phénomènes électromoteurs sont réellement dus à la
contraction
musculaire et que la sécrétion sudorale ne joue
re les phénomènes .galvaniques et les phénomènes mécani- ques de la
contraction
musculaire chez l'homme il existe un paral- lél
els résultats peut donner en clinique l'expérience d'Hermann sur la
contraction
provoquée artificiellement par le courant élect
les deux secondes pendant un instant suffisant pour provoquer une
contraction
complète. Les six premières expériences démontr
anique interrompu dont on réglera 1 intensité de façon à éviter une
contraction
trop brusque surtout pour les applications à la
pour tenir son bras étendu ? M. le professeur Grasset. C'est une
contraction
stérile en quelque sorte. M. le or PiLTz (de
t d'uue diminution du tonus des extenseurs, soit directement, d'une
contraction
des fléchisseurs. Nous nous trouvons donc ici e
de toute la jambe, mais simplement un mouvement des orteils et une
contraction
du fascia lata. Enfin le phénomène des orteils
e des orteils disparaît à son tour, mais jusqu'à ce jour une faible
contraction
du fascia lata persiste. Ce dernier ves- tige d
jacksonienne guérie par l'opération, par van Gehuchten, 221. Des
contractions
de l'esto- mac dans l ? par Ossipow, 223. Phé
ncon-tinence d'urine. Plusieurs fois on a vu la sonde chassée par les
contractions
de la vessie ; plus rarement on a pu attribuer à
actérisée par ia sensibilitéexcessive de l'hymen et de la vulve et la
contraction
spasmodique du vagin et de son muscle constricteu
la vulve et exerçant des tractions en sens inverse, on triomphe de la
contraction
musculaire et on rompt l'hymen, s'il existe encor
. D'autres fois, la cystocèle se produit par un autre mécanisme ; des
contractions
fortes et fréquentes du corps de la vessie ne par
onc y avoir de réunion spontanée que si l'on parvient à annihiler ces
contractions
et à préserver la plaie du contact de l'urine et
n ; cette membrane moins ex-tensible que le périnée peut résister aux
contractions
utérines même lorsque le périnée est déjà suffisa
même de l'accoucheur. Ainsi la fréquence et la force trop grandes des
contractions
utérines, les efforts vio-lents chassent la tête
du périnée soit assez avancée pour qu'il puisse sup-porter l'effet de
contractions
utérines violentes et rapprochées; soit en laissa
pendant quelques secondes sur l'obstacle, sans même la pous-ser ; la
contraction
se dissipe ainsi d'elle-même : avec de la patienc
réciproque des colonnes médianes delà mu-queuse cervicale, soit à la
contraction
spasmodique du sphinc- ter qui l'entoure, soit
aisse plus longtemps, le mucus qui s'accumule au-dessus d'elle et les
contractions
utérines l'expulsent et elle est inutile. Quand o
et la suppuration. On prévient ces mauvais effets en sollicitant les
contractions
utérines par les moyens connus, en faisant à l'ai
qu'il peut arriver que l'occlusion utérine cesse sous l'influence des
contractions
répétées et qu'alors le liquide fasse brusquement
ne peut être introduite, ou que le seigle ergoté ne peut provoquer de
contractions
qui vident l'utérus comme on a été assez heureux
erminer sans que la vie de la mère soit compromise. D'autres fois les
contractions
sont impuissantes à vaincre ou à rompre l'obstacl
n si on a pu le déterminer. Cette pression doit être faite pendant la
contraction
utérine; l'ou-verture ainsi faite par la sonde ca
, après l'opération, la femme est épuisée au point de n'avoir plus de
contractions
suffisantes, on appliquera le forceps pour termin
par dysménorrhée mécanique l'ensemble des symptômes produits par les
contractions
de l'utérus lorsqu'il s'efforce d'expulser les rè
in sur la tumeur pour la relever; sans [cela la vessie soustraite aux
contractions
abdo-minales ne se viderait pas et ne pourrait va
pour en sortir une résistance diffi-cile à vaincre, l'utérus entre en
contraction
pour s'en débar-rasser ; et si la lutte se prolon
ainsi on l'explique tantôt par l'atonie des intestins, tantôt par une
contraction
spasmodique du sphincter de l'a-nus qui empêche l
pour en retirer les caillots et les membranes, ou pour provoquer des
contractions
, et qu'il rencontre un corps fibreux pédicule, il
e semble être aux genoux; les mollets semblent être dans un état de
contraction
réflexe, de demi-contracture. Pendant la marche,
blement intentionnel. Pas de paralysie dans le do- maine du facial.
Contraction
paradoxale dans le domaine du tibial antérieur
de douleurs exaspérées par la pression sur l'origine des nerfs. La
contraction
paradoxale disparaît. Quelques jours après, amé
l s'agit bien là de rétraction tendineuse ou muscu- laire et aon de
contraction
spasmodique, puisque les réflexes tendi- neux,
ue intense du nerf radial, dans la gout- tière, provoque une faible
contraction
dans le long extenseur du pouce, l'extenseur co
, qui est faiblement excitable faradiquemenl. Inlerosseux dorsaux :
contraction
avec le maximum du courant faradique, plus faib
atrophiques. Il faut un courant d'autant plus fort, pour obtenir la
contraction
, que le muscle est plus atrophié, aussi bien av
tismale. Cette dernière a produit des brides fibreuses causes de la
contraction
dont nous nous sommes assuré pendant le sommeil
lilé neuro-musculaire, mais sous forme de secousses et non point de
contraction
tétanique. Depuis quelques jours seulement, au
t brusquement les extenseurs se détendent. Mais on observe quelques
contractions
102 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
e diaphragme, les intercostaux et les muscles abdominaux en état de
contraction
, n'est pas chose commune. Lorsqu'on essaye de le
tion des zones hystérogènes, aux attaques, aux émo- tions, etc., de
contractions
fibrillaires des muscles et notamment des muscl
ait au repos, dans le décubitus horizontal, on ne constatait aucune
contraction
anormale de ses muscles. Si on le priait de por
tête ne peut elle-même s'accomplir qu'imparfaitement en raison des
contractions
alternantes et saccadées des deux sterno-mastoïdi
atrophiés sont flasques, non douloureux à la pression et animés de
contractions
fibrillaires. Celles-ci n'existent pas partout;
indre en si peu de temps. Les muscles sont le siège de très rares
contractions
fibrillaires et présentent à l'exploration élec
cause de l'atrophie des muscles. Chez les autres, au contraire, la
contraction
constante du frontal qui tend à remédier à l'in
anomalie des réactions, mais une simple diminution de l'énergie des
contractions
, propor- tionnelle à la diminution supposable d
flexe rotuliou conservé. Pas de réaction de dégénérescence. l'as de
contractions
fibrillaires. Les symptômes bulbaires Vs'aggrav
leur con- tractilité au courant induit, malgré la persistance de la
contraction
volontaire, peut être considérée comme abolie,
Au courant continu, avec un nombre égal d'éléments, on obtient des
contractions
du côté malade alors que l'on ne produit rien du
scles sains. En appliquant le pôle sur les muscles, on provoque des
contractions
au moins égales, sinon plus fortes, qu'en emplo
roisième se contracte à peine, et le quatrième un peu seulement. La
contraction
des muscles antéro- externes de l'avant-bras se
de la vessie ou 1 du rectum, la perte des réflexes, la présence de
contractions
fibrillaires ' dans les muscles atrophiés ou en
remplacé par cet autre phénomène décrit par Wetsphal sous le nom de
contraction
paradoxale. 3° Action de l'électricité. - Les m
les sujets sains, mais chez l'hystérique on observe parfois que la
contraction
musculaire ne reste pas localisée aux muscles d
e sur l'autre et ne tardent pas à se confondre dans un même état de
contraction
tonique analogue à la tétanisation pro- duite d
te. Dans une première partie, la descente est brusque comme dans la
contraction
normale, puis s'arrête tout d'un coup pour fair
emblables à propos du phénomène désigné par Westphal sous le nom de
contraction
paradoxale=. Enfin sur des sujets récemment dél
r, et il ajoutait : «Ces atrophies circonscrites survien- nent sans
contractions
fibrillaires, sans particularités au point de vue
oisième est normal, le quatrième aussi, sauf une prédominance de la
contraction
a110(IaIC. 'Thénar : faradiqucment le court abd
ouce se contrac- tent dans tous ces muscles NFC>PFC. De plus, la
contraction
est plus lente et se maintient plus longtemps q
es muscles se contractent inutilement et d’une façon spasmodique; les
contractions
sont même d’autant plus spasmodiques qu’elles son
nsation ainsi provoquée est perçue par le cerveau, car elle amène les
contractions
musculaires qui tiennent le bras élevé. Mais cett
s musculaires qui tiennent le bras élevé. Mais cette sensation et les
contractions
qu’elle détermine restent inconscientes. L’état
ment de la conscience : l’esprit est occupé d’une passion unique; les
contractions
musculaires four- nissent la mimique correspo
fournie par l’objet contemplé, remplit la conscience. Seulement, les
contractions
musculaires, au lieu de se borner à la mimique co
étant relâchés, le sujet n’a plus conscience de l’eiïort causé par la
contraction
musculaire, il ne peut plus être attentif, car l’
sculaire, il ne peut plus être attentif, car l’attention est due à la
contraction
permanente des muscles du globe oculaire fixant l
sement de la conscience que rien n'excite hors la passion unique. Les
contractions
musculaires, attitude et physionomie corresponden
l’activité mentale ; rien ne l'excite en dehors de la passion. Les
contractions
musculaires sont provoquées uniquement par cette
n. Mais ici l’objet passionnel est perçu par les yeux; il est vu. Les
contractions
musculaires, au lieu de se borner à la mimique, c
on ainsi provoquée est donc perçue par le cerveau, car elle amène des
contractions
musculaires qui tiennent le bras élevé. Il y a su
e neurone moteur continue son excitation et amène la permanence de la
contraction
musculaire. L’état cataleptique existe chez cer
t sujette à des extases religieuses, elle se croit crucifiée. Une
contraction
complète des muscles s’est donc produite, et on n
es, dans la seconde partie de l’arc, en mouvements d’un autre ordre :
contractions
musculaires, ondulations électriques (électricité
la dilatation des neurones de sensation visuelle, la micropsie à leur
contraction
, et la déformation des objets à la déformation de
s d’une nouvelle chute, tous ces symptômes se trouvent exaspérés. Les
contractions
s'exagèrent par les émolions ; les convulsions ce
agne de troubles de la nutrition: d’autres fois, elles produisent des
contractions
spasmo-diques de l'utérus et. par contre-coup, de
ination de brûlure ou d’application d'un yésicatoire ; dilatations et
contractions
pupillaires dans le cas d'hallucinations visuelle
ones inférieurs de mouvement. mouvement plus simple ou une simple
contraction
. Suivant le nombre des neurones supérieurs de mou
e manière. La période épileptoïde de l’attaque, qui consiste dans une
contraction
généralisée, correspond à la première et à la plu
acture généralisée (catalepsie). Les conducteurs qui président à la
contraction
des fibres lisses des vaisseaux sont intimement m
nt intimement mélangés du moins à l’origine à ceux qui président à la
contraction
des autres fibres musculaires, et ont comme ceux-
tric-tion spasmodique du sphincter du va gin, qu'il rapprochait de la
contraction
spasmodique du sphincter de l’anus dans le cas de
t), il se produit en même temps des décharges motrices, tremblements,
contractions
athétosiques, secousse choréiques, attaques, qui
liqué aux deux premiers phénomènes est des plus mauvais. En effet les
contractions
des muscles de la parole et de l’écriture résulte
s à gauche. PARAPLEGIE SPASMODIQUE. 1 surviennent brusquement des
contractions
douloureuses qui font plier la jambe droite sur
desquamation furfuracée, En avril 1898, D... ne se lève plus. Les.
contractions
involon- taires se font plus fréquentes ; elles
acture permanente de la jambe droite en flexion a disparu, mais les
contractions
brusques sont fréquentes la nuit, surtout à dro
ture entraine le bassin et le membre inférieur du côté opposé. Les'
contractions
faisant se fléchir les membres inférieurs et les
à penser que l'action synergique du spincter irien provoquée par la
contraction
de l'or- biculaire donne à l'iris une activité
rapport avec l'état d'atrophie des muscles. Il est naturel que les
contractions
soient amples chez le petit malade de M. Brissa
ue chez Gu... aucune sensation, bien que, cependant, on constate la
contraction
des muscles sous la peau. Peu à peu la sensibil
u pied, enfin une lente extension de l'articulation du genou par la
contraction
du triceps fémoral. Ses observations offrent ce
L'examen électrique des muscles a montré l'apparition précoce de la
contraction
tétanique à la suite d'excitations lentes et faib
dans la moitié droite de la partie ventrale de la protubérance. La
contraction
réflexe des deux quadriceps fémoraux était prod
rotulien droit, tandis que celle du tendon gauche ne produisait la
contraction
que du quadriceps droit. ' Au moment où cette c
lume, on voit des cascades blanches, pulsatiles. Il s'agirait de
contractions
vasculaires de l'artère centrale de la rétine a
le centre de la rétine et agissant ainsi comme excitant. Quand ces
contractions
sont d'origine mentale, elles éma- nent des fib
^symptômes prodromiques du glaucome. Le mécanisme en est connu. La
contraction
de l'artère centrale de la rétine produirait de
ire des yeux est un mouve- ment associé de l'iris qui accompagne la
contraction
de l'orbicu- . laire : en même temps le globe s
généralement plus forte que le rétrécissement de la pupille' il la
contraction
de l'orbiculaire : aussi le myosis y est-il excep
les gens bien portants. Le second procédé en revanche produit ' une
contraction
de l'orbiculaire plus énergique, c'est-à'dire une
suite de traumatisme, dans laquelle la réaction des pupilles à la
contraction
simple de l'orbiculaire était seule conservée : l
voltaïque irrite vivement le muscle, car elle y détermine de vives
contractions
fibrillaires, une hyperémie prononcée d'autant
pneumographes de Marey et de Verdin démontre qu'il s'agit ici d'une
contraction
spasmodique très énergique des muscles thoraciq
eure et cubitale de ce membre pour y sentir nettement une puissante
contraction
des muscles qui s'in- sèrent à l'épitrochlée, e
oigts profondément le long du long supinateur inerte, on perçoit la
contraction
évidente du premier radial externe. Il n'est 37
des muscles qui s'attachent à l'épitrochlée, et dont on sentait la
contraction
énergique. Ce mouvement, bien qu'il fût exécuté a
re qu'il existe des symptômes d'excitation tels que contrac- tures,
contractions
convulsives, etc. En un mot une recherche atten
ommence à 2 ou 3 centimètres en dehors : dans ces conditions, toute
contraction
des muscles deltoïde et biceps, éloi- gnés, éma
ité variable et d'une fréquence qui oscille entre cinq et cinquante
contractions
par minute. La nature du tremble- ment, la vari
r minute. La nature du tremble- ment, la variabilité de forme de la
contraction
rendent le diagnostic parfois malaisé. On a dit
s tendineux malgré l'intrégrité des muscles correspondants et des
contractions
librillaires. " En somme, aucun des caractères
tuel, par une lésion du nerf sous-orbitaire, a les caractères de la
contraction
électrique et afflige' le malade, au lieu que l
eux. Chacun varie pour son propre compte. Des mouvements anormaux «
contractions
toniques » se produisent et s'ajoutent aux réfl
version de l'inégalité des pupilles où il existe simultanément : 1°
contraction
bilatérale égale des pupilles à l'occlusion pal
à la lumière, à l'accommodation et à la convergence; ¡ (obs. V); 2°
contraction
bipupillaire égale à l'occlusion palpébrale, in
ère, conservation bilatérale égale de l'accommodation (ohs. VI); 3°
contraction
égale des deux pu- pilles à la fermeture des ye
t devient bleue, ses membres se raidissent dans l'extension par des
contractions
toniques vio'entes, sans clonus. Au bout de que
re qu'à l'état virtuel, la cause en est dans là moindre énergie dès
contractions
muscu-' laires. Un autre fait également signalé
e oit'dans une glace. Cependant'il semble que quelques-unes de ces'
contractions
au moins . soient parfois . volontaires , 'cell
expliquer ce tic que nous, avons décrit, ce mouvement fréquent' dé
contraction
des( muscles frontaux, en prétendant que Our ]l
sition à l'atro- pliie tardive deshemiplégiqués (d'origine spinale,
contractions
)'/ ' Est-elle due aux modifications physiologiq
lt;membre supérieur droite La dou)eur'est''s)nvietdetprès par, des'
Contractions
muscu- laires,'1 'brusques/ instantanées,) inco
'entourent, «pas. même,,sa mère ; crises ficonvqlsivés, fréquentes;
contractions
.presque. généralisées ; cri,s^i.ter3ÏPU.&i
i., cette rapidité du travail. est d'autant plus remarquable'que la
contraction
utérine est g'faible chez les aliénées;[Pour so
toutes ces malades M. Toulouse a constaté : 1° une diminution de la
contraction
musculaire volontaire et 2° une tendance à J'égal
,, ., , ? CLINIQUE- MENTALE....[.<-. , 1 , yetx 51 îje cher ces
contractions
spasmodiques très douloureuses. Pas d'hallu- ci
doigt, appliqué sur les masséters,, en perçoit,très nettement les
contractions
successives...' P... nous communique ensuite ce q
" ? ' 'II. ;jdsociCtûK.es aMCa'o)tsmo'tcese ? '6s'e< des . , v
contractions
spasmodiques des muscles masticateurs ? z j. ,*
glôssô-labié. ' '-I' /a' ' '-r ? J ? 11 Ajoutons', 'i que, ? ces J
contractions
des, muscles5 masticateurs étaient non seulemeh
ilité complète de parler survenant par accès, s'accompa- gnaient de
contractions
toniques du bras gauché étfde crampes des muscl
uler les muscles et les glandes en provoquant chez les premiers, la
contraction
, et chez les secondes l'excrétion'. 3° Cette th
ument, en particulier à la" face ? 1 on n'observe-'passât [ moindre
contraction
fibrillaire ? w .1 ? <*" 1JU0(. 'u ""JI >
LINIQUE) NERVEUSE. : 33 OE18'.IAqAq -'quelques jours de' distance,'
contractions
fibrilIireslocalisées;auz 'muscles;' grand et f
ité, conversité pour con- versibilité, etc. ; quand elle parle, les
contractions
fibrillaires des muscles péri-'buccaux sont plu
sphincter de l'iris et légère parésie du muscle ciliaire; , gauche,
contraction
peu marquée, sous 1 influence de la lumière; ma
I(J 311 période. rPupilles parfaitement égales : à- droite, .toute {
contraction
fait défaut; à gauche, en.plus`dé la paralysie dè
ymnastique électrique'et les liens qui unissent l'excitation' et la
contraction
. Dans' la quatrième et la cinquième sont exposés
ion. ' ' ° am ; .. Les phénomènes circulatoires qui accompagnent la
contraction
musculaire sont identiques dans l'exercice phys
usculaire sont identiques dans l'exercice physiologique 'et dans la
contraction
artificielle provoquée par lés méthodes d'excitat
tion qu'il nomme réaction diffusible.- Cette der- nière diffère des
contractions
musculaires lentes et vermiculaires de la dégén
contre pas dans tous les cas. Elle consiste dans la diffusion de la
contraction
à la totalité -du muscle excité ainsi qu'à cert
radique peut être conservée, il faut seule- = ment pour obtenir des
contractions
musculaires des intensités plus fortes que du c
s. Chaque muscle est également influencé et on laisse cesser chaque
contraction
avant d'en provoquer REVUE d'électrophysiologie
rop énergiques.. Les séances au commencement seront- courtes et les
contractions
douces.' Au début le muscle réagit plus lenteme
ust au.courant faradique et qui réagit moins au courant galvanique (
contractions
lentes), -est encore-assez mobile. Il sort de l
r augmente l'excitabilité des nerfs sensitifs, de la peau, amène la
contraction
des vaisseaux, et accélère. le cours du.sang; l
du muscle, affermit la fibre, en augmente. la, vitalité, rend les ;
contractions
plus rapides i et. plus puissantes, augmente la
contractilité, électrique musculaire.. » Le tapotement provoque la
contraction
puis la dilatation des vais- seaux qui se dilat
l'expérience réussit il est bien évident que c'est grâce à l'état de
contraction
continue et à une sorte de contracture des muscle
ous l'empire de sa volonté. Mais plus il met d'énergie à exciter la
contraction
de ces muscles abducteurs des bras, plus.....autr
cteurs des bras, plus.....autre chose fait effort pour accroître la
contraction
des fléchisseurs des doigts ! Est-ce lut, est-ce
nnelle de l'hypnotisé qui veut, qui commande et qui détermine . cette
contraction
redoublée ; c'est une autre volonté, c'est une au
es du nerf vague qui, transmise au bulbe, produit par acte réflexe la
contraction
des muscles expirateurs. Or l'emphysème pulmona
ns l'aptitude qu'acquièrent les muscles de la vie animale à entrer en
contraction
sous l'influence d'une simple excitation mécaniqu
ant, en percutant ou en frottant, même légèrement, pour provoquer une
contraction
. Si l'excitation est un peu forte et prolongée, l
er une contraction. Si l'excitation est un peu forte et prolongée, la
contraction
se transforme facilement en contracture permanent
s et une sorte de hoquet, qui est quelquefois remplacé par de simples
contractions
du pharynx ; ces phénomènes peuvent être suivis d
ent d'un état de raideur et de forte tension des membres du sujet, de
contractions
presque convulsives des muscles qui déterminent p
est indispensable dont je donnerai tout à l'heure la description ; 2°
Contraction
plus ou moins brusque et violente des masses musc
e l'action est dirigée sur le genou. Le plus souvent, d'ailleurs, les
contractions
ne sont accompagnées pour le sujet d'aucune sensa
us complet. Il n'a pas perdu connaissance. A l'examen on constate des
contractions
fibrillaires dans les régions des muscles tempora
it d'un nerf centripète, cela ne donne lieu péripheriquement ni à une
contraction
musculaire, ni à une sécrétion, puisque le nerf n
à une racine antérieure d'un nerf spinal) donne lieu uniquement à une
contraction
musculaire, et non pas à un effet dans les centre
n est d'une théorie histologique du sommeil comme d'une théorie de la
contraction
musculaire. Son but essentiel est, dans les deux
tomique pendant le phénomène étudié. Les muscles, pendant l'état de
contraction
, sont le siège d'une circulation plus active, ils
s ces parties lorsque, de l'état de repos, la fibre passe à l'état de
contraction
. Lorsque, au contraire, les histologistes, avec K
se musculaire, ils cherchent à établir une théorie histologique de la
contraction
; lorsque ÏÏANviER nous montre que les disques so
nt ici ce que les combustions, production de chaleur, etc., sont à la
contraction
musculaire, tandis que la théorie histologique, a
ons de forme, d'aspect, de rapports des cellules nerveuses. Pour la
contraction
musculaire, l'observation directe a permis à Raxv
gel-µ???, Merkel, il a pu substituer ainsi une théorie positive de la
contraction
musculaire, théorie qui mérite, au premier chef,
é absolue, même état nerveux, pleurs spontanés dès qu'on l'interroge,
contraction
légère des pupilles sous l'influence d'une vive l
elle va accoucher pendant son sommeil, qu'elle continuera à avoir des
contractions
, mais qu'elle ne souffrira pas, qu'elle continuer
muscles affectés. -- Sa mère a du même côté, de temps en temps, des
contractions
spasmodiques des paupières. 1 Ch. Féré. Le ti
pporte le cas d'une dame qui fut at- teinte pendant une année d'une
contraction
spasmo- dique continuelle du sterno-cléido-mast
et d'amplitude jusqu'à ce que le corps tombe immobile et se fixe en
contraction
. Les bras se mettent en croix; les jambes sont
riodes : dans la première, tous les phénomènes sont plus accusés,
contractions
abdominales, éructations, mastication; le nombr
t où les substances qui remontent prennent l'aspect d'une pâte, les
contractions
, les éructations sont à peine sensibles, les bo
, l'oesop/ta[Je, etc... entrent immé- diatement et simultanément en
contraction
. Pendant ce temps, la respiration est suspendue
mais très souvent nous n'avons rien remarqué et, dans le cas où des
contractions
se sont produites, leur peu de durée 2t d'inten
tes, leur peu de durée 2t d'intensité nepeutles faire assimiler aux
contractions
énergiques qui provoquent le vomissement. Pour
t dans le vomissement. Dans le dernier phénomène, il semble que les
contractions
partent d'un point plus éloigné de l'oeso- phag
en agissant sur l'estomac pir des pressions exté- rieures, par des
contractions
des muscles abdominaux, en fai- sant de grandes
RÉCIR LA PUPILLE ET DE LA LOCALISATION DU CE\1'REDE L'IRIS ET DE LA
CONTRACTION
DES MUSCLES moteurs de L'OEIL; par l3ECDTEREFr·
iquer contre le palais. Elle a con- servé son volume normal; pas de
contractions
fibrillaires; pas d'altérations de la sensibili
décrite dans l'atrophie de la langue. On la voit aussi agitée de
contractions
fibrillaires très accusées. Les mouvements de l
courant avec une intensité assez considérable ne détermine . pas de
contractions
dans le muscle deltoïde. Il en est de même pour
e faire en plusieurs temps, parce que la vessie est incapable d'une
contraction
soutenue. Dans tous les cas, lejet est sans vig
lus ou un peu moins, elle se vide d'unefoisetcomplète- ment par une
contraction
réflexe' : c'est une miction incons- ciente, ma
e temps d'arriver jusqu'à l'état de distension moyenne, que déjà la
contraction
réflexe se produit; 2° tantôt le besoin est non
vant effacé, se bombe fortement. Toutes les vingt secondes environ,
contractions
violentes visibles et tangibles de la région ép
à l'insu du sujet, qui ne s'aperçoit, le plus habituellement, des
contractions
qui font remonter les aliments que lorsque ces de
la peau au niveau du tendon patéllaire ou ailleurs, déterminait une
contraction
isolée du triceps fémoral, d'autres muscles ent
provoquer le phéno- mène du genou (heurt du tendon rotulien), ou la
contraction
lente des muscles de la cuisse (pincement de la
s d'une action réflexe, ou doit-on les considérer comme issus d'une
contraction
produite par l'ébranlement des tendons en état
résorption molécule à molécule); les autres, de la paralysie et des
contractions
des muscles périartieutaires (action des antago
cir la pupille et de la localisation du centre de l'iris et de la
contraction
des muscles moteurs de l'), par Bechtereff, 1
uce .. 65 Fléchisseur et opposant ... 85 Abducteur du pouce à 40,
contraction
faible; contraction dans le linter- dorsal et
r et opposant ... 85 Abducteur du pouce à 40, contraction faible;
contraction
dans le linter- dorsal et le court fléchisseur
'op- posant du pouce. Adducteur du petit doigt -Il zéro, pas de
contraction
; mais contraction dans le I interosseux dorsal
uce. Adducteur du petit doigt -Il zéro, pas de contraction ; mais
contraction
dans le I interosseux dorsal, court fléchis-
réside ni dans la paralysie, ni dans l'atrophie des muscles dont la
contraction
favorise la circulation. Ce n'est pas un oedème
soin de s'appuyer sur une canne. Cependant la force déployée par la
contraction
des muscles primitivement paralysés était encore
arcot invoquait pour les déformations du rhumatisme chronique des «
contractions
musculaires spasmodiques et pour ainsi dire convu
atologique, difformités congénitales produites sur le foetus par la
contraction
musculaire : les veaux nialas. Paris, 1885. (2)
physiologique. En effet aucun groupe musculaire ne saurait, par sa
contraction
, déterminer cette inclinaison en masse vers le
s de l'éminence hypothénar gauche ne se contractent plus à zéro. La
contraction
est faible pour les trois der- niers interosseu
rtébrale; 3) torticolis par cicatrice vicieu- se^ 4) torticolis par
contraction
musculaire passagère ou permanente. Point n'est
ase souvent citée de Ziemssen (2) : « la spontanéité du passage des
contractions
d'un groupe musculaire il un autre, l'inépuisable
« un mouvement convulsif, habituel et cons- cient, résultant de la
contraction
involontaire d'un ou de plusieurs mus- cles du
socie toujours les mêmes contrac- tions musculaires, et ce sont des
contractions
musculaires que physiologi- quement on associe
auche. Cette fesse aplatie, à peau flasque, est souvent ani- mée de
contractions
fibrillaires. La Planche XXXI, A, représente le m
tée au membre supérieur droit, mouvements atéthoïdes des doigts par
contractions
fibrillaires. Tuberculose pleuro-pulmonaire.
urs pas la lenteur ni la forme arrondie, sont en rap- port avec des
contractions
fibrillaires plus ou moins accentuées qui sillon-
seurs des doigts, et en particulier l'extenseur du petit doigt. Ces
contractions
ne gênent pas d'habitude le malade, il n'y fait
e, le mouvement de ses doigts quand il sent venir puis augmenter la
contraction
fibrillaire. Le petit doigt en particulier est
s. En réalité, il ne s'agit pas ici d'athé- tose, mais seulement de
contractions
fibrillaires se produisant* au niveau de divers
Médecin de Bicêtre. On sait combien la circulation de la peau et la
contraction
de ses mus- cles sont influencées par les émoti
'est pas question ici avec intention de la naladie de Brodie, où la
contraction
musculaire est le fait essentiel. CLINIQUE DES
des muscles rotateurs de la tête. Secousses musculaires brusques et
contractions
durables diversement entremêlées, produisent la d
me, par une attitude où il ne semble pas lutter contre une violente
contraction
par exemple en apposant comme cela est si fré-
: un terrain préparé, une cause déprimante récente, un pré- texte à
contractions
musculaires répétées. La tare héréditaire est que
tion et d'assouplissement des muscles qui tendent à reprendre leurs
contractions
spasmodiques. Encore, toutes les opérations ne
ras et le bras paraissent diminués de volume. Un jeu très accusé de
contractions
fibrillaires des muscles des avant-bras, des br
de Landry. Au bout de deux mois, il présentait des phénomènes de
contractions
douloureuse empêchant l'extension passive et la
enfant de cinq ans, résistance marquée à l'action excitatrice des
contractions
par la faradisation, pas de réaction de dégénéres
note la force minima du courant nécessaire pour obtenir une faible
contraction
musculaire de l'extrémité du côté opposé; on no
t exagérée; il faut un courant éminemment faible pour provoquer une
contraction
mus- culaire ; un courant à peine suffisant che
à peine suffisant chez l'animal sain pour provoquer une très faible
contraction
musculaire, provoquera un accès d'épilepsie ; f
mécanique, le contact de l'écorce par une éponge, provoquera des
contractions
convulsives dans les membres de la moitié opposée
tait tout à fait insensible au courant électrique, pour obtenir des
contractions
marquées des groupes musculaires du membre en q
sur l'influence de la résistance sur l'apparition et l'étendue des
contractions
et sur le rôle de la polarisation dans la produ
ntractions et sur le rôle de la polarisation dans la production des
contractions
d'ouver- ture. L'exploration de l'excitabilité
Morse associées, elles dépassent le plus souvent en amplitude les
contractions
de fermeture et se montrent avant elles, surtout
pas de résistance supplémentaire inter- calée dans le circuit, les
contractions
d'ouverture, tout en étantplus fortes qu'avec l
ives, avec des représentations ou des impulsions motrices, avec des
contractions
du muscle tenseur du tympan, avec de légers mou
ent assez énergiquement contractés ; il y avait en même temps une
contraction
des muscles du pharynx donnant lieu à du gargouil
me ou irrite les centres qui président au contrôle musculaire : les
contractions
tétaniques sont assez communes, mais les cloniq
. Trois ans avant son entrée à l'hôpital, elle commencé à avoir des
contractions
involon- taires des muscles de la face : puis l
ent sous l'influence de l'excitation mentale ou de l'attention. Les
contractions
muscu- laires sont cloniques et intéressent les
s. Trois ans avant son entrée à l'hôpital, elle a vu apparaître des
contractions
involontaires des muscles de la face, qui se so
oupes musculaires physiologiquement associés. On note également des
contractions
fibrillaires, et des spasmes partiels et isolés
s'aggra- vant. Les auteurs ditièrent d'opinion sur la nature des
contractions
musculaires ; mais il s'agit là d'une différenc
'est pas assez profonde pour rompre le groupement des cellules, les
contractions
musculaires comprendront des groupes de muscles
ices, cette action associée est détruite, et l'on observe alors des
contractions
irrégulières et des tremblements fibrillaires,
des réflexes et l'incoordination. L'absence ou la dimi- nution des
contractions
pendant le sommeil a pour cause l'aboli- tion d
sant bientôt les autres extrémités et le tronc et s'accompagnant de
contractions
musculaires involontaires finissant par contrac
eu. Bientôt cet homme fut atteint d'une paralysie spasmodique, de
contractions
douloureuses et de troubles sensitifs variés dans
tion aspiratrice du coeur et de la cage thoracique, mais aussi à la
contraction
des muscles qui chas- sent le sang des veines p
eu. Bientôt cet homme fut atteint d'une paralysie spasmodique, de
contractions
douloureuses et de troubles sensitifs variés dans
auche, éclairée par un faisceau lumineux réfléchi, provo- quait une
contraction
symétrique des pupilles. La lésion siégeait don
. Exploration galvanique. Pas de modifications du caractère de la
contraction
N F C > PFC > P 0 C. 1V 0 C n'est pas reche
hée à cause de la douleur provoquée par le passage du courant. La
contraction
musculaire est obtenue avec 5 milliampères. MEM
ose d'appeler ataxie statique ou du tonus. Dans le tabès à côté des
contractions
anormales dans les mouvements volontaires, il e
stement à des lésions nerveuses avec réaction de dgé- nérescence et
contractions
librillaires, mais offrant de commun avec les m
ilatées, la tête est fortement étendue en arrière par le fait de la
contraction
des muscles de la nuque. Les muscles des membre
lement exalté, du muscle extenseur de la cuisse que déterminent les
contractions
des muscles fléchisseurs des doigts et des mains,
es tabétiques rentrent dans trois groupes de- mouve- ments : * ..
Contractions
musculaires simples : flexion, extension, abduc-
ent le but de ces exercices. Le malade doit apprendre à dominer ses
contractions
musculaires et par conséquent arriver à pouvoir
on de varo-équin, et impossibilité absolue de les redresser par des
contractions
volontaires. Impossibilité traitement DE l'atax
laire, ils se sentent lourds, les jambes en plomb, ils accusent des
contractions
et des crampes. Chez cette caté- gorie des tabé
mique de Renaut); 2° pour les accès de frissons, au contraire, à la
contraction
brusque, spasmodique, généralisée, de ces mêmes
ements dans les mouvements volontaires (sclérose en pla- ques) ; 3°
contractions
anormales au repos (chorées); 4° contrac- tions
n. Au sujet des malades signalés par M. A. Voisin et présentant des
contractions
mus- culaires bruyantes pouvant aller jusqu'à u
de sifflement s'échappe entre les arcades dentaires serrées par la
contraction
des masséters ; les ailes du nez battent; la la
t le tronc se raidissent ; les sterno-cléido-mastoidiens entrent en
contraction
, puis l'onde convulsive gagnant les pectoraux,
les territoires musculaires, habituellement si prompts à entrer en
contraction
à la moindre manifestation verbale. L'intensité
istendre la vessie au moyen d'une injection d'eau sans provoquer de
contraction
de l'organe ; donc l'incontinence n'est pas due
pe. Chaque muscle est en outre animé de petites vibrations dues aux
contractions
isolées et successives des fibrilles, ces con-
ieurs, sont normaux aux inférieurs. Sur tous les muscles atrophiés,
contractions
fibrillaires très marquées au moindre choc. Sen
ôté gauche, ainsi que le sterno-mas- toidien droit sont atrophiés ;
contractions
fibrillaires sur ces muscles. Réflexe rotulien
ours de cette mala- die, surtout dans les premiers temps, de fortes
contractions
des muscles du membre inférieur gauche, princip
par des efforts de vo- 340 CLINIQUE NERVEUSE. lonté à amener des
contractions
dans les muscles de la jambe gauche. On commenc
e d'un mois la malade a appris a dominer assez convenablement les
contractions
musculaires des jambes. Elle corrige bien la posi
ion sur la position qu'on donne à ses articulations, ni du degré de
contraction
de ses muscles. Si on croise ses jambes, elle n
tion qu'on donne à ses articulations et il n'a aucune notion des
contractions
musculaires. Motilité. Couche. Tout les mouveme
les mêmes difficultés à vaincre pour amener le malade à dominer les
contractions
désordonnées de ses muscles. C'est au prix d'ef
mprime à ses articulations, et il ne sait pas apprécier le degré de
contraction
des muscles des jambes (les yeux fermés naturel
temps, on constate que les muscles du mollet sont agités par des
contractions
fibrillaires. Etant couché la tête basse, si le m
l'appareil musculaire entier de la vessie entre en même temps en
contraction
, les muscles expulseurs (de l'urine), aussi bien
(de l'urine), aussi bien que le sphincter. Il faut, en plus, que la
contraction
s'accomplisse dans le sens péristaltique, sinon
centres réflexes urinaires ont été hyperexc;tés, ils provoquent des
contractions
dans le sens antipéristaltique. Dans le cas act
qui se passe dans un trouble analogue du rectum, dû également à des
contractions
anti- péristaltiques de l'organe, et qu'on dési
nsi à des mouvements associés. -2° Ces mouvements associés dus à la
contraction
simultanée de plusieurs muscles, ou de plusieur
scles de cet organe ne soient pas atrophiés. On n'y remarque pas de
contractions
libril- laires. 1 La luette est déviée à gauc
du développement de la maladie, le manque d'atrophie musculaire, de
contractions
fibril- laires et de réaction de dégénérescence
ie et dysphagie, ensuite une hémiparésie droite sans atrophie, sans
contractions
fibrillaires et sans réaction de dégénérescence.
la déformation tibio-fémorale ; elle serait alors le résultat de la
contraction
exagérée du tenseur du fascia lata, destinée à
n de la flexion de l'avant-bras sur le bras ; il entre également en
contraction
à l'oc- casion des mouvements du poignet. Sur l
s Fis. 2. , 136 HUET ET INFROIT dont on constate facilement les
contractions
volontaires ou les contractions pro- voquées él
OIT dont on constate facilement les contractions volontaires ou les
contractions
pro- voquées électriquement ; ce sont les muscl
ût 1896, p. Il 3. 148 nUET ET INFROIT faire jouer un rôle à des
contractions
vives ou prolongées de l'utérus, à des constric
ndre mouvement de la main. De temps en temps, la malade ressent une
contraction
douloureuse, mais il n'y a aucun trouble objectif
euse, mais il n'y a aucun trouble objectif de la sensibilité, ni de
contractions
toniques, autant qu'on peut s'en assurer. L'étude
sionne la gêne des mouvements. La douleur est probablement due à la
contraction
excessive de la totalité ou seulement d'une parti
ois, la première de ces localisations. Bien que la répétition de la
contraction
musculaire puisse, comme on l'a dit, produire c
e-plume moins serré, plus librement, et de façon à ne pas exiger de
contractions
musculaires. Il est aussi de très bonne pratiqu
ssous de l'angle inférieur de l'omoplate : A gauche : 50 cm. 5 sans
contraction
, 48 centimètres avec contraction. A droite : 48
moplate : A gauche : 50 cm. 5 sans contraction, 48 centimètres avec
contraction
. A droite : 48 cm. 5 et 47 cm. 5. Périmètres
olécrane : droit, 30 cm. 5, sans con- tractions,33 centimètres sans
contractions
: gauche, 31 cm. 5 et 33 cm. 5. Avant-bras, à 9
t dû à une altération des neurones du sympathique qui président aux
contractions
cardiaques (1), neurones qui appartiennent au m
voit s'ajouter aux con- tractions rythmées du triceps brachial des
contractions
fasciculaires et (ibril- laires de tous les mus
t (ibril- laires de tous les muscles de la ceinture scapulaire. Ces
contractions
n'entraî- nent aucun déplacement des épaules ou
roxysmes qui coïncident avec les spasmes. Dans les intervalles, les
contractions
fibrillaires sont moins diffuses et moins nombr
ctoral qu'on dirait excités par une électrode -de faradisation. Ces
contractions
ne gênent en aucune façon le malade qui ne les so
rrégulier dans ses allures et dans sa forme. Il est indépendant des
contractions
rythmées et des contractions fibrillaires auxqu
dans sa forme. Il est indépendant des contractions rythmées et des
contractions
fibrillaires auxquelles il se juxtapose ou se s
ns les bras. Ce matin l'on n'aperçoit ni tremblement ni spasme, les
contractions
fibrillaires du trapèze et des muscles sus et s
is, ni de strabisme, ni de myosis. Par instants, on note de petites
contractions
dans les muscles de la face, prédominant du côté
e ces régions ; sur l'éminence hypothénar on remar- quait aussi des
contractions
fibrillaires. Les réactions électriques donnère
qui en reçoivent l'innervation, leur atrophie consécutive avec des
contractions
fibrillaires et réaction de dégénérescence, les
ant dans les tendons fléchisseurs profonds du 3° et du 4° doigt, la
contraction
de celle-ci fait contracter le 3° lombrical qui
nt peu à peu et affectant principalement la face avec tendance à la
contraction
, en griffe, de la main gauche, impotence fonction
, par rapport aux muscles correspondants du côté droit. En outre la
contraction
est plus lente à apparaître et l'amplitude de la
ume 'le la main et me raidissant il seule fin de faire croire à une
contraction
nerveuse, jetant l'estomac en avant, retenant m
ses, des mouvements des membres ou de la queue, mais encore par des
contractions
particulières de la face et des modifi- cations
intentionnel. Le mouvement intentionnel résulte d'un trouble de la
contraction
intérieure de chaque muscle, tandis REVUE D'ANA
l'hypoglosse. L'exploration faradique en est trou- blée par la vive
contraction
du peaucier du cou ; l'exploration gal- vanique
inence hypothénar. Il s'agit d'un réflexe du petit palmaire, -d'une
contraction
non convulsive, lente, durant à peu près aussi
ien qu'il fut quelquefois éveillé en ce moment par une sensation de
contraction
musculaire locale et de battement. L'ap- pariti
ième dorsale avec cyphose en ligne brisée, atrophie musculaire avec
contractions
fibril- laires de la région cervico-scapulaire
mes vaso-moteurs, incontinence d'urine et parfois encore quel- ques
contractions
toniques (jamais de secousses cloniques). La co
viennent plus rares, les secousses toniques sont remplacées par des
contractions
cloniques et l'évolution ultérieure de l'accès
si) ; par G. Mingazzini. (Neu1'olog. Ceztrnl6l., XVIII, 1899.) La
contraction
énergique de l'orbiculaire détermine un rétrécis-
nce de la lumière et qu'elle ne sera pas rétrécie. Plus l'effort de
contraction
de l'orbi- culaire est vigoureux, et il l'est s
putable à la modification invoquée de la circulation irienne par la
contraction
de la paupière comprimant l'oeil, car, ni chez
rgeur des pu- pilles, qui, au contraire, change quand s'effectue la
contraction
vigoureuse de l'orbiculaire. Ce myosis serait d
ologie expérimentale ont déjà mis en évidence la simultanéité de la
contraction
de l'orbiculaire palpébral et du sphincter pupi
orbiculaire ; de plus, le simple clignotement des yeux provoque une
contraction
très vive et très forte des deux pupilles comme
par la pression déterminée sur le globe au moyen de l'énergie de la
contraction
palpébrale. Voici par exem- ple une malade atte
nte son attention sur la flamme, la pupille est animée de plusieurs
contractions
successives ; ce phénomène correspond à plusieu
et extrémités. Maigre, elle a perdu 47 livres. Pas d'atro- phie ni
contractions
fibrillaires. La force des extrémités semble no
asthénique : ., Etat de la langue pui n'est pas atrophiée, et sans
contractions
fibrillaires. Absence d'atrophie dans tous les
axe oculaire, on remarque (symptôme d'Argyl Robertson) une certaine
contraction
; l'acuité de la vue a souffert, la vue périphé
s considérable. Les réflexes rotu- liens sont absents, la force des
contractions
des muscles est conservée; avec les yeux fermés
nique sous ce nom un phénomène normal appelé par les physiologistes
contraction
locale qui s'exagère dans certains états pathol
que Schiff nomme idio-22111sezilaii@e. Il esta remarquer que cette
contraction
locale s'accentue dans les fièvres grades et qu
nsemble ont diminué ou cessé complète- ment ». Pour rechercher la
contraction
locale on peut frapper le muscle, le biceps de
ar secousses convulsives. La même brusquerie se retrouve dans les
contractions
présen- tées par les muscles du thorax et de l'
a prudence désirable. L'acti- vité corticale se manifestait par des
contractions
nettes des membres, parfois dès le premier jour
auteurs, pour une seule et même espèce animale. Bary a vu aussi les
contractions
lentes et traînantes, il a constaté que la péri
e de cette période latente et le temps que demande à s'effectuer la
contraction
musculaire, quand on pratique l'excitation sous
psie tem- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 517 7 porale complète, et
contraction
du champ visuel pour le 'vert, le bleu et le ro
premiers, ce qui s'explique par l'intensité, pendant l'attaque, des
contractions
mus- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 523 culair
raction horizontale de la commissure labiale, produite surtout par la
contraction
des muscles zygomatiques, s'obtient par l'excitat
ouvements du voile alors même que les muscles de la face entraient en
contraction
violente. En revanche, les mouvements vélo-palati
on, au moment de la fermeture du courant, il put constater une petite
contraction
au niveau des muscles grand et petit zygoma tique
out cela indiquait le retour de la tonicité musculaire. Cependant les
contractions
musculaires volontaires faisaient défaut. Encoura
entuer. Tout d'abord apparurent, pendant l'élévation de l'épaule, des
contractions
fibrillaires dans les muscles du menton. Quelques
fibrillaires dans les muscles du menton. Quelques semaines après, ces
contractions
librillaires se transformaient en de véritables c
rès, ces contractions librillaires se transformaient en de véritables
contractions
cloniques, et on remarquait l'excitabilité faradi
ce de conjonctivite. C'est en levant un poids que l'opéré obtient les
contractions
les plus énergiques. L'élévation brusque, au comm
côté correspondant. Il peut élever cependant l'épaule en évitant ces
contractions
synergiques des muscles de la face, mais pas cell
nt les muscles gauches de la face, il ne peut, par contre, éviter les
contractions
du trapèze, légères, cependant, au point de passe
ter certains muscles isolément. Un examen minutieux fait voir que les
contractions
du risorius, du carré du menton, du triangulaire
au repos ; 3° l'astasie musculaire, ou ensemble des tremblements, des
contractions
discontinues, de la titubation et de l'incertitud
dans un état d'angoisse intense, de souffrance qu'exprime assez la
contraction
des traits de la physionomie ; elle gémit sans
ccès, une à deux minutes ; il est suivi pendant quelques minutes de
contractions
fibrillaires. Répétition à des intervalles vari
crémaster tout aussi inexpliquée qui, elle, cause une sensation de
contraction
locale ex- trêmement pénible. Guérison à l'aide
eux côtés de la charpente musculaire, de façon a provoquer quelques
contractions
dans chaque muscle. On agira de même pour la ré
réclament aussi l'action passagère des courants avec les puissantes
contractions
musculaires généralisées qui en sont la conséqu
nsmetteur, ne dépassera pas la quantité nécessaire pour obtenir des
contractions
moyennes ; pour éviter que le patient se plaign
signe du tendon rotulien dans le tabes. il insiste sur l'absence de
contraction
, et lui oppose la facilité avec laquelle, au co
ilité avec laquelle, au contraire, se produit dans cette maladie la
contraction
idiomusculaire parla percussion du corps même d
et, privé d'antagonisme, agirait seul, et donnerait naissance à une
contraction
continue des muscles (tétanie, athétose, etc.).
ellaire; la percussion du tendon rqtu.lie/ijVdi;qit1j détermine une
contraction
musculaire nette, mai,molléréei; celle du,,tend
liser par un temps humide. M. Joliy préférer 1 sOlil-,Jaq citer les
contractions
musculaires par l'excitation bipoIaire-pluLÔtjfif
es aliénés, il en est qui, tout en ne délirant plus, conservent les
contractions
musculaires accoutumées, et, inverse- uiçnt ? e
particulières résultent de certaines grimaces (exagération dans les
contractions
de plusieurs muscles du nez, des lèvrés ? renil
notable- ment diminuée pour le galvanique. On ne peut obtenir de
contraction
des muscles des membres qu'avec un courant de 1
ns que la percussion d'un muscle avec le marteau ne provoque pas sa
contraction
en masse ; mais, au niveau du point percuté, il
sion de la peau, en forme de sillon étroit et profond, indiquant la
contraction
du faisceau musculaire sous-jacent. Cette dépre
ue dont la mention a été omise plus haut sont les suivantes : toute
contraction
pro- voquée par le courant, soit faradique, soi
taque de Rosa G...(Oss.I.) 282 CLINIQUE NERVEUSE. nique, pas de
contractions
imprimant aux divers segments du membre des mou
comme on n'en voit guère que dans l'hystérie. Sous l'influence des
contractions
du diaphragme, le ventre est bal- lotté de bas
omme ou n'en voit guère que dans l'hystérie. Sous l'influence de la
contraction
du diaphragme, le ventre est ballotté et fait e
irect affecte une marche ondulatoire essentiellement différente des
contractions
librillaires simples et invariablement absente
s forme d'accès, engendrerait etlesconvul- sions tétaniformes et la
contraction
spasmodique de la tunique musculeuse des vaisse
tte région, lesquels étaient suivis d’un bruit sec succédant à chaque
contraction
musculaire. Ce bruit se faisait entendre dans le
it quelquefois à un frottement, à ■un grattement, et cela lorsque les
contractions
offraient moins d’intensité. Ces mêmes phénomènes
du froid? Es-tu serré ou relâché? Ressens-tu des picotements, ou des
contractions
, etc. ? Tout chez lui était conforme à ce que j’é
nnement à penser que les médiums devaient produire ces bruits par des
contractions
musculaires agissant sur une ou plusieurs articul
econd bruit. » L’intensité du son varie en proportion de la force des
contractions
musculaires, et la source apparente des coups peu
ne de ses attaques. Le témoin, ainsi que son confrère, constatent des
contractions
musculaires générales chroniques, point d’insensi
ps au moyen d'un système de canaux ramifiés. Le cœur, à l’aide de ses
contractions
, chasse le sang dans les artères. Celles-ci, en s
du ventricule dans les artères à l’aide de mouvements alternatifs de
contraction
et de relâchement. Le moment de la contraction du
vements alternatifs de contraction et de relâchement. Le moment de la
contraction
du cœur a reçu le nom de systole. Le moment du re
umons pénètre dans l’oreillette gauche : alors survient la systole ou
contraction
auriculaire qui chasse le sang brun dans le ventr
aussitôt que la circulation se trouve interrompue. C’est donc dans la
contraction
et le relâchement alternatif de cet organe qu’il
enfin avec un accent de désespoir : « Mais il reste toujours dans les
contractions
du cœur un inconnu que l'expérience n’a pas encor
. Arrivé dans cette oreillette, il imprime aux libres musculaires une
contraction
qui le chasse dans le ventricule gauche. Le vide
quel le sang est poussé dans l’aorte. Le vide fait aussitôt cesser la
contraction
, et le cœur se trouve au moment du repos : alors
d’elles en certitude. La principale cause qu’on allègue, à part les
contractions
du cœur, c’est la contraction musculaire. Assurém
cipale cause qu’on allègue, à part les contractions du cœur, c’est la
contraction
musculaire. Assurément les mouvements en général,
u cœur. Le sang veineux arrivant dans l’oreillette droite produit une
contraction
semblable à celle qui s’opère dans le môme temps
reconnu en physiologie, c’est que la tension du sang produite par la
contraction
ventriculaire du cœur gauche, est beaucoup plus c
rtu d’une loi générale qui préside à toute constitution organique, la
contraction
du ventricule droit n’est pas moitié moindre que
moins fortes ; mais ces fibres sont moitié moins fortes parce que la
contraction
que doit exercer ce ventricule doit être moitié m
) fortement négatif, produit sur le ventricule gau;;he od positif une
contraction
beaucoup plus puissante que le sang veineux, lequ
polarité, et par conséquent des degrés différents d’attraction et de
contraction
, ce sont les modifications qu'on observe dans la
qui contribuent le plus au retour du sang veineux, à part celle de la
contraction
musculaire, était due aux mouvements d'inspir
qu’elle est destinée à recevoir, et qui lui imprime son mouvement de
contraction
. Le sang qui vient des poumons étant plus riche e
tout le reste que le sang artériel seul est propre à stimuler les
contractions
de l’oreillette et du ventricule gauche, et que p
es mouvements respiratoires soient complètement suspendus, et que les
contractions
du cœur ne consistent plus qu'en un frémissement
uffira de rétablir artificiellement la respiration pour réveiller les
contractions
du cœur, et les voir persister pendant quelques h
entretenue au moment où l'on commence l’expérience que par de faibles
contractions
du cœur, conduit vers cet organe un sang revivifi
et de la marne lui cause une sensation brûlante, celle du plâtre des
contractions
au cœur ; le laurier la magnétise, le coudrier la
on du courant nerveux, amenée, par exemple, par la diminution et la
contraction
du volume d'une dendrite protoplasmique, il nou
xécuter pour exprimer sa pensée par la combinaison pho- nétique des
contractions
des muscles du larynx, de la langue, du palais,
e. L'auteur résume les accidents du shock : pâleur des téguments,
contraction
des traits, asthénie profonde, respiration courte
e malade l'association nor- male de l'occlusion palpébrale et de la
contraction
pupillaire. V. Claudication INTERMITTENTE chez
bougie), après quoi se développa progressivement un sentiment de
contraction
des muscles de la face, une faiblesse de paupière
ffaiblissement du trapèze et du grand dentelé anté- rieur) ; 3° la'
contraction
unilatérale et bilatérale du peaucier du cou es
ela, que M. Eguier, en se courbant préalablement fait paraître, une
contraction
des muscles abdominaux et repousse son intestin
oits sont tendus au plus haut degré; M. Eguier peut faire aussi une
contraction
partielle de ces muscles; tantôt de leur portio
mbres supérieurs. Le myographe démontre aussi un tremble- ment à la
contraction
volontaire du biceps. Lorsque l'expérience est
traction volontaire du biceps. Lorsque l'expérience est achevée les
contractions
cardiaques deviennent très accé - lérées. La
s deviennent très accé - lérées. La capacité extraordinaire de la
contraction
volontaire des muscles isolés (du fléchisseur c
bles une impotence fonctionnelle correspondante. Il n'y a pas de
contractions
fibrillaires. Mais le pouce s'oppose diffi- cil
mple voile musculaire ; on ne sent plus la boule bicipitalc dans la
contraction
de l'avant-bras sur le bras; les muscles de l'a
nt très petite (la malade est une primipare). Le lende- main aucune
contraction
, aucune douleur. Le deuxième jour, le troisième
e, sans que le contact de ce corps étranger produise la plus légère
contraction
, la plus légère douleur, aussi avons-nous été o
nsation de secousse électrique dans l'index et le pouce droit, puis
contractions
de la main suivies de perte de con- naissance e
ue. L'acide urique dissous dans le sang a pour effetde provoquer la
contraction
desarlérioles; il en résulte une hypertension a
est alternativement rythmé *ou irrégulier, et n'aboutit point à la
contraction
paradoxale. Les douleurs mobiles dans le dos, a
hors et en haut. L'oeil droit regarde en bas et en dehors. Quelques
contractions
fibrillaires passent parfois sur les muscles de
montre ses gencives, sa bouche se dévie fortement à droite. Pas de
contractions
, mais pendant les mouvements volontaires l'acti
bien. L'atrophie du peaucier est très marquée et on n'y voit que la
contraction
du faisceau médian. Le changement des con- trac
n des paralysies ; dans tous les muscles paralysés et atrophiés, la
contraction
à deux courants (comme du muscle ainsi que du t
rs mouvements, tous les deux courants électriques donnent une bonne
contraction
. Au moyen de courants très forts on peut encore
très forts on peut encore recevoir tout à fait symétrique- ment des
contractions
du quart inféro-externe du muscle orbicu- laire
issent pas localement au courant, et ne donnent pas non plus aucune
contraction
, tandis que les autres se contractent bien. Le
es qui agitent le pouce, l'annulaire et le petit doigt gauches. Les
contractions
idiomuscu- laires (avant-bras, bras) sont exagé
vertébrale ; elle-même est forcée de garder le" lit. à cause d'une
contraction
permanente des muscles du mollet. Chez la cadet
élasticité et l'éner- qui lui a donné naissance dans les muscles en
contraction
volontaire.; par' M. J. Tissot; Relation de cen
science et à la volonté du sujet, et survenant souvent la nuit. Ces
contractions
myocloniques passent comme des éclairs, sont ir
ur les douleurs de ta parturition ? — Quels sont ses effets sur les
contractions
utérines ? Telles sont les deux questions que j
e Bordeaux. Nous avions encore, d'autre part, à nous préoccuper des
contractions
utérines ; à savoir : si l'action perturbatrice d
e, où on put l'hypnotiser et la guérir. De onze à quatorze ans. les
contractions
se renouvelèrent fréquemment, à la suite de ses a
ait une dilatation égale au diamètre d'une pièce de 2 francs, que les
contractions
étaient énergiques, les douleurs violentes et mal
ression, très supportable, nullement douloureuse, et vous aiderez aux
contractions
en poussant vous-même de toutes vos forces. — V
que pour pousser au moment des douleurs. A une heure du matin, les
contractions
sont de plus en plus énergiques, prolongées, revi
clate brusquement dans le côté droit du ventre en dehors du temps des
contractions
, et disparaît par une légère friction, avec affir
ant d'être en rapport avec nous, nous disant : qu'elle sent venir les
contractions
, mais qu'elle ne souffre pas... qu'elle se trouve
re, a marché régulièrement ; il a duré 6 heures, sans arrêt, avec des
contractions
régulières, efficaces, et progressivement croissa
umons, du corps thyroïde, etc. On note aussi simultanément quelques
contractions
passagères dans les muscles de la face, des veux,
'où la mise en action du muscle sollicité s'accusant aussitôt par une
contraction
dite réflexe. S'il s'agit d'une substance ayant
on de la peau ; 2° Par le pétrissage, on réveille et on augmente la
contraction
musculaire; 3° Le massage agit, non seulement s
our les accouchements, on obtient quatre résultats : 1° on excite les
contractions
de l'utérus ; 2° on rectifie les positions vicieu
nstate que tout le côte gauche du corps est privé de sensibilité. Les
contractions
du diaphragme sont à peu près supprimées. Les mou
(car tout ce qui contracture endort) ; elles le font en provoquant la
contraction
tétanique des artères de la couche corticale du c
s contractures. Or les actions contrac-turantes augmentent d'abord la
contraction
musculaire, puis déterminent l'état tétanique des
closes. Il suffit de souffler légèrement sur la peau pour obtenir la
contraction
des muscles sous-jacents. Peu après la publicat
contenu. Bientôt le sujet se plaint de coliques et il se produit des
contractions
intestinales bruyantes. Sans préciser davantage,
on d'une boule remontant du ventre à la gorge (boule hystérique), des
contractions
con-vulsives et tétaniques des muscles, des hallu
ont que l'exaspérer. Sous l'influence d'un froid intense, l'état de
contraction
du système vasculaire périphérique, en refoulant
ns le réveiller, nous nous apercevons que ses muscles sont en état de
contraction
. 3. Dans le.sommeil nerveux, rien ne réveille,
ou de l'état somnambulique â l'état de veille. En d'autres termes, la
contraction
utérine douloureuse est une cause continuelle de
du travail, si ce n'est peut-être un certain ralentissement dans les
contractions
utérines. » 8° L'hypnotisme n'étant qu'un anest
ur les douleurs de ta parturition ? — Quels sont ses effets sur les
contractions
utérines ? Telles sont les deux questions que j
e Bordeaux. Nous avions encore, d'autre part, à nous préoccuper des
contractions
utérines ; à savoir : si l'action perturbatrice d
e, où on put l'hypnotiser et la guérir. De onze à quatorze ans. les
contractions
se renouvelèrent fréquemment, à la suite de ses a
ait une dilatation égale au diamètre d'une pièce de 2 francs, que les
contractions
étaient énergiques, les douleurs violentes et mal
ression, très supportable, nullement douloureuse, et vous aiderez aux
contractions
en poussant vous-même de toutes vos forces. — V
que pour pousser au moment des douleurs. A une heure du matin, les
contractions
sont de plus en plus énergiques, prolongées, revi
clate brusquement dans le côté droit du ventre en dehors du temps des
contractions
, et disparaît par une légère friction, avec affir
ant d'être en rapport avec nous, nous disant : qu'elle sent venir les
contractions
, mais qu'elle ne souffre pas... qu'elle se trouve
re, a marché régulièrement ; il a duré 6 heures, sans arrêt, avec des
contractions
régulières, efficaces, et progressivement croissa
umons, du corps thyroïde, etc. On note aussi simultanément quelques
contractions
passagères dans les muscles de la face, des veux,
'où la mise en action du muscle sollicité s'accusant aussitôt par une
contraction
dite réflexe. S'il s'agit d'une substance ayant
on de la peau ; 2° Par le pétrissage, on réveille et on augmente la
contraction
musculaire; 3° Le massage agit, non seulement s
our les accouchements, on obtient quatre résultats : 1° on excite les
contractions
de l'utérus ; 2° on rectifie les positions vicieu
nstate que tout le côte gauche du corps est privé de sensibilité. Les
contractions
du diaphragme sont à peu près supprimées. Les mou
(car tout ce qui contracture endort) ; elles le font en provoquant la
contraction
tétanique des artères de la couche corticale du c
s contractures. Or les actions contrac-turantes augmentent d'abord la
contraction
musculaire, puis déterminent l'état tétanique des
closes. Il suffit de souffler légèrement sur la peau pour obtenir la
contraction
des muscles sous-jacents. Peu après la publicat
contenu. Bientôt le sujet se plaint de coliques et il se produit des
contractions
intestinales bruyantes. Sans préciser davantage,
on d'une boule remontant du ventre à la gorge (boule hystérique), des
contractions
con-vulsives et tétaniques des muscles, des hallu
ont que l'exaspérer. Sous l'influence d'un froid intense, l'état de
contraction
du système vasculaire périphérique, en refoulant
ns le réveiller, nous nous apercevons que ses muscles sont en état de
contraction
. 3. Dans le.sommeil nerveux, rien ne réveille,
ou de l'état somnambulique â l'état de veille. En d'autres termes, la
contraction
utérine douloureuse est une cause continuelle de
du travail, si ce n'est peut-être un certain ralentissement dans les
contractions
utérines. » 8° L'hypnotisme n'étant qu'un anest
on galvanique du cubital' au-dessus du poignet détermine une faible
contraction
du court fléchisseur du petit Iloi1 el rien de pl
part qui revient aux masses musculaires de la nuque dont l'état de
contraction
ou de raccourcissement augmente l'épaisseur, elle
remarque, en piquant la jambe et surtout la cuisse gauches, que la
contraction
réflexe se 'produit plus intense, dans le membre
charges des cellules motrices s'éloignent et s'af- faiblissent, les
contractions
musculaires qui en résultent s'affaiblissent et
eille, on remarque que l'ceil gauche est complètement fermé par une
contraction
active de l'orbicu- laire. Cette contracture pl
marque que tous ses efforts n'arrivent qu'à déterminer de lé- gères
contractions
de l'orbiculaire qui accentuent encore l'occlusio
nque, le plus souvent un petit rouleau de bandes, pour faciliter la
contraction
musculaire dont le but est d'acti- ver le cours
uisses et des bras paraissent diminuées de volume, même à l'état de
contraction
, elles présentent un certain degré de mollesse.
onsidérable. Elle est aplatie, et, à moins que le muscle n'entre en
contraction
, elle présente une consis- tance molle et fluct
oule partant du pli de l'aine et remontant à la gorge; sensation de
contraction
à la gorge; suffocation, palpitations, battements
dans les 3° et4' interosseux dorsaux. Pour le 1°r et le 2°, pas de
contraction
faradique ; contraction galvanique très faible. T
sseux dorsaux. Pour le 1°r et le 2°, pas de contraction faradique ;
contraction
galvanique très faible. Thénar, excitabilité fa
inverse de ceux décrits par M. Babinski, offrent tous les trois des
contractions
fibrillaires extrêmement manifestes. C'est un p
ant dépasser 2°. Suivant Gull, il se produirait, concurremment à la
contraction
des fibres lisses du derme et sous l'influence
contraction des fibres lisses du derme et sous l'influence de cette
contraction
, une modification dans les dimensions du tégume
s' follicules pileux, et passant par les deux phases successives de
contraction
et de paralysie. Mais quelle est sa parenté ave
plus courte, de l'attaque proprement dite débute par une période de
contractions
musuculaires toniques, géné- rale, de très cour
e très courte durée, avec perte totale de connaissance et suivie de
contractions
cloniques violentes de tout le système musculaire
ouché, ce qui est dé- montré par la même manoeuvre. Au moment de sa
contraction
, il ne forme plus relief sous la peau et à la p
r un nerf moteur, tous les muscles desservis par ce nerf entrent en
contraction
ou en contracture, et com- muniquent au membre
t après quelques minutes l'avant-bras gauche être agité de quelques
contractions
, puis se raidir dans la position contracturée q
é, il n'existe que trois points excitables qui commandent chacun la
contraction
en masse de tous les mus- cles d'un membre. Aut
yéline, dans les cor- dons postérieurs ; leur excitation produit la
contraction
des muscles innervés par le segment corresponda
fibres à myéline, et le cordon de Goll excité donne naissance à des
contractions
musculaires généralisées, sans douleur. Le fait
ES. REFLEXES. Rapports entre l'excitation et l'excitabilité dans la
contraction
musculaire. « Une impulsion, dit Helmoitz, surv
sion antérieure, ne change en rien ni la forme ni la hauteur de la
contraction
. » Cette loi est fondamentale. Dans un tra- vai
, existent un optimum et un pessimum de l'excitation qui produit la
contraction
. » Si, pendant la contraction, on 1 Voir Progrè
ssimum de l'excitation qui produit la contraction. » Si, pendant la
contraction
, on 1 Voir Progrès médical, p. 135, n° 3, 1889.
d'un certain degré, qui est 1' optimum de l'excitation,' on voit la
contraction
diminuer, puis disparaître : c'est le pessimum
mentation de l'excitation n'est pas suivie d'une augmentation de la
contraction
est dile état de pessimum. (Le professeur Marey
e le point d'application de l'excitation pessimum, on obtient une
contraction
. L'optimum et le pessimum sont fonctions à la f
ation de tension, mais la pupille se rétrécit encore et cet état de
contraction
persiste. La respira- tion et les battements ar
, on a beau rapproche SOCIÉTÉS SAVANTES.. î9o l'objet, absence do
contraction
convergente (fixité, stabilité de l'expérience)
ressemblance de l'élément psychopathique dé- pressif accompagné de
contraction
des fibres musculaires lisses et d'affaiblissem
GIE DU TABES. 377 -i De même il ne se rend absolument pas compte de
contractions
très violentes dans la région du muscle vaste i
plus ou moins général. L'électricité agit très efficacement sur la
contraction
des muscles qui se tendent et font saillie sous
xquels ils aboutissent puisque sensibilités spéciale et générale et
contraction
mus- culaire sont encore faciles à mettre en év
ution à z1000 dans les veines amène l'exagération des réflexes, des
contractions
tétaniques et cloniques. Les réflexes à la doul
s, de secousses ; sa marche est incertaine, enfin survien- nent des
contractions
tétaniques dans les muscles extenseurs des extr
e Maladie de Tliomsez *, et nous a communiqué ses recherches sur la
contraction
mus- culaire dans cette maladie. A Moscou, M.
Wedensky. Des rapports entre l'excitation et l'excitabilifc dans la
contraction
musculaire. Saint-Pétcas6ouy, 1886. XXI. IDIOTI
fs particuliers. L'épaule se tourne dans son articulation et par la
contraction
du grand muscle dorsal, s'approche un peu de la
mènes. différents ; il rapporte les uns aux symptômes d'excitation,
contractions
cloniques et toniques, verbigération ; les autr
tres sous-corticaux, tandis que l'écorce céré- brale réagit par une
contraction
tonique seulement à des excitations très fréque
x des muscles. On peut de cette manière comprendre les innombrables
contractions
réflexes des muscles de tout le corps qui, d'or
ier, détermine un réflexe olfactif cortical, qui se traduit par une
contraction
de la narine correspondante. IX. La région olfa
cle en russe et en allemand. Le réflexe abdominal, constitué par la
contraction
des muscles abdominaux, provoqué par l'excitati
l'extrémité supérieure des doigts. Evidemment ce reflexe tient à la
contraction
du coraco-brachial, et du biceps dont la courte
s, des symptômes d'agitation et d'anxiété, avec ça et là de légères
contractions
des muscles et des tremblements fibrillaires de
e jusqu'à l'incapacité absolue de se tenir avec tous les muscles en
contraction
violente. Il y a alors trismus violent, avec cr
hoires et morsures fré- quentes de la langue, écoulement de salive,
contraction
de tous les muscles de la face, projection des
peut répondre par la négative : en effet, si à un chien en violente
contraction
tétanique à la suite de thyro-parathyroïdectomi
tte jambe, lors- qu'apparut l'état tétanique ne présentèrent aucune
contraction
. Donc l'action du poison ne porte pas sur les m
ient, leurs connexions avec les membres étant restées intactes, les
contractions
de ces membres se seraient produites comme à l'
e du réflexe rotulien était rendue impossible ou contrariée par des
contractions
involontaires antagonistes. Entre ces troubles
éflexes qu'il a décou- verts. Le réflexe oculaire, constitué par la
contraction
de l'orbicu- laire palpébral, par un rapprochem
. C'est le réflexe sus-orbitaire de Mac Carthy, mais avec véritable
contraction
; en réalité il n'émane pas du nerf sus-orbi- ta
du maxillaire inférieur) . Réflexe nasal, ou ratatinement du nez et
contraction
de la joue du même côté, quand on irrite mécani
it spontanée. On relève presque toujours une légère vio- lence, une
contraction
musculaire de moyenne intensité. L'indo- lence
cessation de la narcose : la paturiente est tout à fait calme, ses
contractions
deviennent régulières, elle pousse de toutes se
is des paralysies de la IV,, paire, 5 fois du nystagmus, 2 fois des
contractions
spasmodiques de l'orbiculaire. Il peut bien a
anisme : d'une part, action exercée sur les nerfs de la main par la
contraction
énergique et prolongée des muscles de la main e
joue droite qui durèrent quatre semaines et furent succédés par des
contractions
menues, cloniques, dans le ponce et l'index de
dans le ponce et l'index de la main droite et un mois plus tard ces
contractions
envahirent tous les doigts. Encore un mois plus
e conscience; l'accès débuta 'par une douleur, des picotements et
contractions
dans les doigts de la main droite; après l'accès
avec intervalles de deux semaines. Hors les accès, continuaient les
contractions
menues très varia= oies dans la joue droite, la
ofond. Les couches survinrent avant terme, et vu l'insuffisance des
contractions
utérines on fut obligé d'appliquer l'mtewention
nes pelviens, ce qui n'empêcha pas, pourtant, l développe- ment des
contractions
utérines ; évidemment, ces dernières se sont dé
e cette résistance, mais lentement, vous verrez en quelques cas les
contractions
convulsives de l'orbiculaire palpé- hral qui lu
ne obturation variable du calibre de l'intes- tin. S'agissait-il de
contractions
spasmodiques passagères ou d'une atonie quasi-p
L'absence de douleurs, de irouhlcs delà sensibilité, l'existence de
contractions
librillaires et de réaction de dégénérescence jus
ment des quadriceps et marche difficile. Réflexes tendineux abolis,
contractions
lilrrillai- res, Pas du troubles de la sensibil
supérieures s'élèvent un peu. Toute divergence active exigeai} ! la
contraction
des deux muscles abducteurs, les centres sous-cor
emière temporale. Son exci- tation provoque convergence oculaire et
contraction
des pupilles. Un antre occupe la partie inférie
mouvement associé du re- dressl'lJ1enL des membres inférieurs ; la
contraction
des muscles de la cuisse, tiraillant le nerf sc
horée fibrillaire de Morvan ; la maladie est ca- ractérisée par des
contractions
fibrillaires des paupières,la sensa- tion de pr
l'attrac- tion en haut en arrière du pavillon de l'oreille, par la
contraction
delà portion postérieure du muscle élévateur au
hystériques, etc. 11 n'y a pas cependant identité complète entre la
contraction
tonique, sareoplasmatique telle que la comprend
ko et 29G REVUE D'ANA70D111 : ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la
contraction
idio-musculaire de Schiff.La'contraction Ionique
contraction idio-musculaire de Schiff.La'contraction Ionique est la
contraction
sal'coplasmatique normale, se distinguant par une
l) réflexe qu'il a décrit est non une réaction musculaire, mais une
contraction
Ce sont les contractions des fibrilles musculai
est non une réaction musculaire, mais une contraction Ce sont les
contractions
des fibrilles musculaires de la paupière infé-
» libres du facial fréquente chez les gens normaux qui explique les
contractions
en rapport avec la percussion de l'os mataire.
mÚca- niques successives des muscles paralysés y déterminent des
contractions
toniques survivant considérablement à l'excitatio
il apparaît au bout de 10-14 jours de concert avec la lenteur de la
contraction
musculaire au courant galvanique. Ainsi que le
pé en voyant dans l'état perlé de leurs prolongements l'effet de la
contraction
, bien que ce phénomène et cet état soient manif
rottcndifolia et chez les Rhizopodes. il se peut, en effet, que la
contraction
se produise dans l'intérieur même des prolongem
protéon des neurones est susceptible de se contracter, et que cette
contraction
a pour effet la formation, dans les conducteurs
corce le fait tlisparailre. -6° L'hypersécrétion ne dé- pend pas de
contractions
musculaires : c'est prouvé par la curari- satio
mais il se contracte sous l'influence de l'agent lumi- neux ; cette
contraction
paraît précipitée et fugitive. Le rétré- cissem
ture palpébrale réflexe émanée du nerf optique ou du trijumeau. La
contraction
des pupilles qui survient en l'espèce est généra-
aciale, tandis que les géniospasmes sont unilatéraux et composés de
contractions
parcellaires et frémis- santes que la volonté n
de dormir tranquillement, de ne ressentir aucune douleur pendant les
contractions
utérines et de se réveiller à la première injonct
. » Pendant le cours ultérieur de l'accouchement la malade à chaque
contraction
perdait connaissance mais revenait rapidement à e
oré en rouge ou en bleu, bracelets dessinés sur les membres animés de
contractions
spasmodiques, résultats incertains. Nous avons
r exemple, le muscle fémoral chargé de 20 grammes peut exécuter 2.700
contractions
en octobre, et 250 seulement en janvier. Non se
scles est inférieure à l'époque du jeûne, mais de plus la forme de la
contraction
devient alors anormale; le muscle excité par le c
e Ludwig, 1871.) (3) TiEûsL. Ueber Muskelcontractur im Gegensatz ru
Contraction
. (Pftiiaer's Archiv, iST6(BdXlII.) (*) M. Schif
les oiseaux immobilisés respirent fortement et qu'ils présentent une
contraction
intense de l'iris ; en même temps, de légers trem
bord pour une paralysie que pour un accident nerveux. Il n'y avait ni
contraction
de l'orbiculaire. ni plissement de la paupière in
nt contracter certains muscles de leurs membres et du corps, et cette
contraction
persiste dans l'état d'immobilité qui est survenu
re moins typique. Chez la grenouille, la position de correction et la
contraction
des muscles sont souvent masquées par d'autres ci
e excitation artificielle, les muscles montrent une nouvelle somme de
contraction
surajoutée, et non point de l'inhibition, comme d
lon l'auteur, la fatigue joue un rôle important dans ce phénomène. La
contraction
tonique des muscles est surtout favorisée par ce
là serait le centre pour les réflexes de position du corps et pour la
contraction
tonique des muscles. Quant aux sphères motrices d
nts chez les grenouilles au stade avancé de l'inanition. Les fortes
contractions
des muscles qui apparaissent durant le sommeil hy
. Ces attitudes bizarres, peu commodes et spontanées, accompagnées de
contraction
musculaire, peuvent être appelées phases catalept
es même les plus difficiles à maintenir ; les muscles sont en état de
contraction
partielle. V. — Effets de la perte d'eau sur le
s excitée. On la rendort dans l'eau à 20*. Ses muscles présentent une
contraction
tonique très accentuée. Le sommeil dure depuis di
est spéciale à la sudation obtenue par l'exercice ; il semble que les
contractions
musculaires déchargeant dans le torrent circulato
obstinément de se mettre sur le dos; l'orifice étant mal dirigé, les
contractions
ne portent pas : elles sont irrégulières, doulour
re de calme et d'analgésie. Sous l'influence de cette pratique, les
contractions
deviennent rapidement très régulières.La dilatati
s'est peu préoc- cupé et qu'on décrit en bloc en l'attribuant à la
contraction
du muscle pilaire. Mais il n'y a pas besoin, po
nt une action excitatrice, mais aussi une action inhibitrice sur la
contraction
musculaire et sur le tonus musculaire. Brown-Sé-
droits interne et externe produit en même temps l'inhibition de la
contraction
ou du tonus de leurs antagonistes. Il n'y a, da
tion de la chaleur intérieure d'une région comme par exemple par la
contraction
des vaisseaux sanguins qui irriguent une région
otrophie des membres inférieurs, surtout du membre inférieur droit.
Contractions
(ibrillaires au niveau des quadriceps cruraux.
ion n'est que le résultat de l'anémie cérébrale consécutive à cette
contraction
spasmodique. Il nous faut surtout retenir la co
it donc d'attaques épileptiques classiques, tou- jours prédédées de
contractions
musculaires localisées au bras droit. Souvent i
t de pesanteur dans ces membres. De temps en temps elle sentait des
contractions
muscu- laires dans l'avant-bras droit, mais san
soixante-dix ans qui brusquement, le 9 juillet 1890, ressentait des
contractions
dans les mollets, des douleurs dans le corps et
ctionnel. ' ' ' ' Le jeune homme parvient à arrêter, à son gré, les
contractions
du sphincter vésical externe ; par cet expédien
à certains égards,- toutefois il,n'y, a géné- ralement : pas.de.ces
contractions
fibrillaires si nettes.chez,les paralvtiqueso g
es au lit, on leur trouve les jambes raides légèrement atteintes de
contraction
spasmodique et cette contraction augmente dès q
bes raides légèrement atteintes de contraction spasmodique et cette
contraction
augmente dès qu'on les touche. Les membres infé
s les noms d'alhé- tose, de mouvements athétoïdes ou choréiques, de
contractions
trépidatoires des tabétiques, etc. C'est non se
e à la grande variété de formes sous lesquelles se 'manifestent les
contractions
convulsives chez les labétiques, qu'il faut att
dans la lésion simultanée des cordons postérieurs -et latéraux, les
contractions
involontaires, bien qu'ayant une appa- rence to
ticaux en notant le minimum de courant nécessaire pour provoquer la
contraction
musculaire la plus faible dans l'extrémité oppo
este à mentionner deux travaux importants : l'Elude graphique de la
contraction
mus- culaire produite par l'étincelle statique
d'abord l'influence du signe de l'étincelle et constate : 10 que la
contraction
produite par l'étincelle négative est plus fort
ale, celle du pôle positif s'incline légèrement. La fin du tracé de
contraction
diffère également : avecl'étincelle négative, il
oncerne la longueur de l'étincelle, on voit que l'in- tensité de la
contraction
croit beaucoup plus vite que la longueur de l'é
e la longueur de l'étincelle de telle façon que : la grandeur de la
contraction
musculaire est directement proportionnelle au c
he en troisième lieu dans quelle proportion varie l'intensité de la
contraction
avec le diamètre des excitateurs dans les excit
onstate que de même qu'avec les chocs galvaniques la grandeur de la
contraction
diminue ci mesure que la surface de l'électrode
en même temps que des effets généraux une certaine excitation et la
contraction
musculaire. La douche hydrogalvanique générale
e. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité ni des réflexes ; les
contractions
élec- triques sont normales, si ce n'est au niv
ie, aucune contrac- ture, aucune modification des réflexes ou de la
contraction
électrique, ce qui est parfaitement en rapport
ibles, mais d'étendue restreinte au degré du défaut de longueur. La
contraction
musculaire, les réflexes, la contractilité élec
e plus haut, marche hésitante et faiblesse générale. D'ailleurs, la
contraction
mus- culaire est normale ainsi que les réflexes
du muscle dont on percute le tendon ainsi que de la rapidité de la
contraction
musculaire. L'excitabilité mécanique des muscle
ion de la masse charnue se produit le myoedème ou une onde lente de
contraction
. Dès que l'atrophie est extrême le phéno- mène
ambe gauche. Diminuée dans le droit antérieur et le vaste interne ;
contraction
lente dans le biceps et tous les muscles postér
diminution et contrac- tion lente dans les muscles de la jambe avec
contraction
à distance' du cou- turier, des adducteurs, du
s de la cuisse ; . L'excitation de la plante du pied provoque des
contractions
à distance plus marquées à droite qu'à gauche.
t ou en écrivant. 280 ÉTIENNE ET PERRIN La face présente quelques
contractions
fibrillaires. Les pupilles sont très iné- gales
sentait : ataxie, phé- nomène de Romberg, tremblement intentionnel,
contractions
fibrillaires SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 34
sont également, la respiration est unique- ment diaphragmatique, la
contraction
du diaphragme se fait par saccades, groupées pa
u diaphragme se fait par saccades, groupées par deux, et peudant la
contraction
maximum, on constate que les espaces intercosta
, ainsi que des membres, dont l'amyotrophie était très marquée avec
contractions
fibrillaires et réaction de dégénérescence ; il
e ni adipose muscu- laire, l'abolition des réflexes, l'existence de
contractions
fibrillaires, et comme symptômes négatifs sur l
erts, les pupilles dilatées, les lèvres et les joues tirées par les
contractions
donnent à la face un aspect grimaçant. Une bave
ds-bols équins. Atrophie des muscles des mains, type Aran-Duchenne.
Contractions
fibrillaires dans les muscles des membres et de
es et des jambes est assez développée. Les mus- cles-présentent des
contractions
fibrillaires. Le malade marche en talon- nant,l
. A la face, il existe depuis plus d'un an des symptômes spéciaux :
contractions
fibrillaires très nettes des releveurs des comm
nnant l'apparence d'une bon- che de myopathique. Rire transversal :
contractions
fibrillaires très nettes dans l'ôrbiculairè des
taire. Myosis avec réflexe lumineux très lent. Nystagmus dynamique.
Contractions
fibril- laires dans les muscles des membres ain
en dehors, il existe de plus dans les releveurs des commissures des
contractions
fibrillaires très nettes. Des contractions fibril
eurs des commissures des contractions fibrillaires très nettes. Des
contractions
fibrillaires existent également dans les muscle
iose très accusée. A la face lèvres saillantes et rire transversal.
Contractions
fibrillaires dans les muscles des membres et da
ant l'ictus, la percussion du tendon rotulien gauche provoquait une
contraction
forte du quadriceps droit et aucune contraction
uche provoquait une contraction forte du quadriceps droit et aucune
contraction
du côté gauche, alors que la percussion du tend
côté gauche, alors que la percussion du tendon droit produisait une
contraction
des deux côtés. A l'autopsie, le cerveau et la
s. Les modifications dépendent surtout du degré de dilatation ou de
contraction
ventriculaire. Enfin en arrière du bourrelet du
e au corps humain, lorsque nous sommes en un état lujpervibratoire de
contraction
do resserrement, de condensation FORCE COURBE.
ions de î'Ether nous pénêtrcntalors, nous envahissent en raison de la
contraction
de notre vitalité sur elle-même, lorsque nous dis
a le 27 août à 1 h. du soir ; il se fera sans douleurs et dès que les
contractions
seront plus fortes, l'accouchée s'endormira spont
dernière le 15 août. Le 27 août, à 2 h. de l'après-midi, premières
contractions
sans douleurs. A 5 h., les contractions se font m
h. de l'après-midi, premières contractions sans douleurs. A 5 h., les
contractions
se font mieux sentir, pas de douleurs: l'accouché
h. après-midi, le col laisse passer trois doigts. Nous suggérons des
contractions
. Mme B... pousse du ventre, nous le lui défendons
ntre, nous le lui défendons, et alors, au toucher, on sent de légères
contractions
. Malheureusement, nous sommes obligé de laisser l
leurs qu'une demi-heure avant d'accoucher ; et il nous parait que les
contractions
d'aujourd'hui sont produites par nos suggestions
18 au 24 Février. Cette femme éprouve continuellement la sensation de
contractions
sans douleurs, mais le travail avance fort peu. C
amille ; clic a l'air hypnotisée à un léger degré. Le 24 février, les
contractions
deviennent plus fortes. Pas de douleurs. La tête
souffrirait comme les autres femmes. La téte est à la sortie. Chaque
contraction
est rendue presque indolore par la suggestion. No
le se comportera ; immédiatement elle commence à crier ; encore trois
contractions
douloureuses et l'enfant est né. Les résultats
ntre le siège de quelques petits mouvements successifs. On dirait les
contractions
légères que produirait un faible courant électriq
ant avoir ressenti avant la suggestion, mais il a senti nettement une
contraction
inattendue et involoutaire des muscles anté-
n un certain nombre de mouvements et Chaque mouvement en une série de
contractions
de groupes musculaires. C'est pourquoi j'ai donné
à passer la sonde; mais bientôt l'idée seule d'uriner produisait une
contraction
de la vessie, et un écoulement par la listule. Je
endor- mi ressent, par l'intermédiaire du contact des mains, une
contraction
musculaire qui le prévient du moment où la piqûre
tat, nous lui fîmes sans succès la suggestion de la disparition de la
contraction
. C'est alors que, nous souvenant d'un cas analogu
rivé à réaliser en lui le fusionnement des secousses. Dès lors, cette
contraction
des dendrites périphériques se propage par tout l
quatre-vingt-un ans qui fut atteinte, à la suite d'une frayeur, de
contractions
musculaires répondant à trois types distincts :
l'influence de la volonté ou des mouvements volontaires ; 2° Des
contractions
fibrillaires localisées dans la plupart des mus
sion portée par un nerf sensitif à un ganglion peut provoquer une
contraction
musculaive isolée, quoique plus communé- ment e
e un muscle ou un nerf par un courant faradique apte à produire une
contraction
éner- gique, si on continue l'excitation on pro
es des membres inférieurs est due non à l'hypertonicité, mais à des
contractions
réflexes des muscles dont la contraction cesse
hypertonicité, mais à des contractions réflexes des muscles dont la
contraction
cesse bientôt pour faire place à la flaccidité.
égique et la polynévrite. Finalement l'absence de contracture et de
contractions
fibrillaires dans les muscles atrophiés et auss
nngomyélie, atrophie et paralysie des muscles de l'épaule, avec des
contractions
fibril- laires, et une paraplégie spasmodique s
s avant-bras et presque tous ceux des mains étaient également pris.
Contractions
fibrillaires marquées dans certains muscles att
- trorragies, les aménorrhées, l'avortement, les hémorragies, les
contractions
utérines, les fausses grossesses, etc. M. Jules
alysie flasque. On ne constate pas de diathèse de contracture ni de
contraction
idio- musculaire. Les réflexes musculaires et t
ifiée par le passage d'un courant faradique ou galvanique; et si la
contraction
des muscles existe normalement, elle n'est null
rminant, suivant leur énergie respective, les états de tonicité, de
contraction
ou d'inhibition. Les fonctions des organes non
aient nullement sentis, alors qu'ils provoquaient de très violentes
contractions
musculaires ; 9° La sensibilité profonde s'abol
y eut ictus subit sans prodromes. L'hémitonie, caractérisée par la
contraction
tonique des muscles des membres et même de la f
tique les théories sui- vantes : il démontre que le mécanisme de la
contraction
est indis- solublemeut lié à celui du tonus mus
forme myotétanique soit au contraire la conséquence d'une véritable
contraction
des fibres musculaires. On a tendance à consi
découler les quelques considérations suivantes : il il peut y avoir
contraction
du quadriceps sans projection du pied en SOCIÉT
emarque que le temps écoulé entre la percussion et le début t de la
contraction
musculaire varie suivant chaque sujet et semble
s; 3° le temps écoulé entre le choc du marteau et le début 1. de la
contraction
est le même, que l'on percute le tendon rotulien
rtie inférieure, soit à,a naeGï ? de la cuisse; 1° il semble que la
contraction
qui fjl ! 1"9'u'tie à la secousse musculaire va
sumé, il semble que le temps écoulé entre le choc et ], début de la
contraction
musculaire soit le même que l'on percute « le t
esseux dans un oeil et normal dans l'Autre, une fois; 5° absence de
contraction
à la lumière et de convergence dans un oeil, le
ues. Évidemment la différenciation est facile lorsqu'il s'agit de
contractions
lentes, monotones, régulières, limitées aux mai
e, juillet 1901.) ' On a soutenu à propos du sens musculaire que la
contraction
du muscle et la force dépensée pour déterminer
la contraction du muscle et la force dépensée pour déterminer cette
contraction
étaient les éléments nécessaires de son existen
1° Troubles oculaires. L'oeil gauche est en ptosis paralytique avec
contraction
intense du frontal pour essayer de relever la pau
consensuel montre que : 10 l'excita- tion de l'oeil droit amène une
contraction
de la pupille droite, mais non de la gauche ; 2
que lorsque l'équilibre des segments des membres se modifie par la
contraction
muscu- laire ; enfin ils ne sont pas superposés
ns l'un l'excitation du pied provoquait comme réaction unique une
contraction
réflexe du tenseur du fascia lata ; dans l'autre
ovoqué par une excitation encore plus énergique et constitué par la
contraction
du couturier, des adducteurs, du jambier antéri
se sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, etc. G. DENY. XX. La
contraction
paradoxale de Westphall et le réflexe plan- tai
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ce phénomène connu sous le nom de
contraction
paradoxale de Westphall, que l'auteur a vu surv
perte du sentiment et des mouvements était totale; seules, quelques
contractions
fibril- laires agitaient, de temps à autre, les
oeil reprend sa 218 CLINIQUE NERVEUSE/* dimension habituelle ; la
contraction
peut se montrer dès le début de l'affection. La
on peut se montrer dès le début de l'affection. La dilatation et la
contraction
de la pupille sont moins constantes que l'étran
mène vaso-moteur cérébral. Les troubles respiratoires sont dus à la
contraction
des muscles respiratoires, le rythme est modifi
colis du côté gauche. Sa tête se tournait vers l'épaule' d'abord en
contraction
tonique, puis survenaient des spasmes clo- niqu
taires de la fibre musculaire striée : ils peuvent s'accompagner de
contraction
de la fibre mus- culaire lisse. J'en pourrais c
résentait alors étaient caractérisés par une hémiplégie droite avec
contractions
; paralysie faciale très peu accentuée, secousse
'excitation galvanique ou faradique, on peut faire réapparaître les
contractions
musculaires normales et voir diminuer la contra
s supérieurs (petits muscles de la main droite) ; b. l'existence de
contractions
fibrillaires ; c. la réaction de dégéné- rescen
la cuisse. A 7 h. 15 minutes, en dépit de la force du courant, les
contractions
deviennent vermiculaires, mais un courant qui,
n courant qui, appliqué à la surface de section, n'engendre que des
contractions
lentes et faibles provoque des contractions éner-
ion, n'engendre que des contractions lentes et faibles provoque des
contractions
éner- giques et courtes si l'on enfonce l'élect
parties latérales et antérieures de cette surface, déterminent des
contractions
musculaires dans les régions homolatérales dont
miliale, 2K1. - tinter- national d'assistance aux aliénés, 460.
Contraction
. Voir ll"eslpltal. Cône terminal. Syndrome du -
et Vurpas, 531. Voraces. Voir Troubles mentaux. VESTPHA1.L. La
contraction
parado- xale de et le réflexe plantaire combi
r des muscles du tronc ; les mouvements de déglutition provoquent des
contractions
cloniques excessivement douloureuses. — Les muscl
n ne prouve que cette élévation énorme de la température soit due aux
contractions
musculaires, ainsi que l'établissent les expé-rie
l'établissent les expé-riences de Leyden, puisque l'existence de ces
contractions
n'exclut pas l'apyrexie. Quoique la marche rapi
ES (Télo non) de cet accroissement considérable de la chaleur, la
contraction
musculaire, car, dans les cas ordinaires, qu'il s
res inférieurs furent en partie paralysés. On y voyait, en outre, des
contractions
spasmodiques fréquentes, plus marquées dans le me
gon-flées et érythéinateuses. Pouls à 100. 13 avril : mieux, parfois
contraction
des membres, mais pas de rigidité permanente; mai
e de l'enfant); les autres sont déterminantes (violences extérieures,
contraction
de l'utérus et des muscles abdo-minaux, manœuvres
ènes fréquents en pareille occur-rence. A la suite de l'accident, les
contractions
utérines ont-elles cessé ou continué? Nous ne sau
êt du travail n'est pas la règle. Jolly cite 23 cas dans lesquels les
contractions
utérines ont persisté. (Des ruptures utérines pen
nant pour époque du début de l'accident le jour de la disparition des
contractions
utérines (13 octobre), nous voyons que notre malh
vait serrer la main, ce serre-ment devenant douloureux par la moindre
contraction
musculaire. Outre ces douleurs provoquées, le m
droit, et qu'il ne pouvait continuer longtemps son travail. Les mêmes
contractions
qui le tourmentaient dans le bras gauche s'emparè
tement arqué, relevé, et, au-dessus de lui, des plis cutanés dus à la
contraction
du frontal gauche, plis qui font complètement déf
ors ; s'il est averti par des méprises antérieures, il suppléera à la
contraction
du muscle paralysé, par une rotation en dehors de
cas de rupture : c'est le ramollis-sement. La moindre cause alors, la
contraction
même des muscles abdominaux, suffit pour amener l
hénar des deux côtés. Ces mouvements n'ont pu être constatés. Les
contractions
primitivement localisées dans le membre inférie
oisinage de l'insertion du masséter, on détermine très nettement la
contraction
de ce muscle et avec plus d'in- tensité qu'à l'
abaisse la température sur une large zone. Dans le premier cas, la
contraction
des plus fins vais- seaux, par l'intermédiaire
ion de la glace, que lentement et incomplètement (persistance de la
contraction
des vaisseaux profonds). Conclusion : Chez l'ho
On essaie, à l'aide d'un courant fara- dique fort, de provoquer la
contraction
des muscles en divers endroits du corps. Si l'o
emeure constante pendant trois à cinq miuutes, et l'on détermine la
contraction
du ventre mus- culaire sous-jacent. Si la tempé
continue ou une « indication de volonté)), parce que la force de
contraction
musculaire du suggesteur et la résistance que s
'un pàséga.. 152 PHYSIOLOGIE. 2) Le suggesteur ne perçoit pas ses
contractions
musculaires comme étant actives, comme dépendan
evient une véritable tumeur dure et bombée quand le muscle entre en
contraction
. Le poignet est grêle. La main est courte et pa
le cou presque aussi large que la face. Ces deux muscles, dans leur
contraction
, gênent considérablement les mouvements de la t
c le volume considérable des muscles et l'énergie apparente de leur
contraction
. L'exploration dynamométrique donne les chiffre
de s'assurer que ce ne sont pas à proprement parler les premières
contractions
musculaires qui sont difficiles et pénibles, ma
oeil sur cette figure pour constater l'accélération progressive des
contractions
: la première dure huit secondes, la deuxième q
raccourcissement du muscle est sen- siblement égale dans toutes les
contractions
,- tandis que la période de relâchement (qui cor
nes descendantes) se raccourcit très notablement à mesure que les
contractions
se répètent. , . Des phénomènes analogues se pr
eau appliqués restent sans autre résultat que de provoquer quelques
contractions
dans les muscles de'la face; la commissure labi
ambes lui tremblent. Parfois on observe un léger tremblement et une
contraction
convulsive de quelques muscles des jambes même
0 RECUEIL DE FAITS. de l'estomac; en même temps, il y a des petites
contractions
spas- modiques dans les différents muscles de l
modiques dans les différents muscles de la face du côté gauche. Ces
contractions
se rapprochent, la boule remonte graduellement
on père est simple- ment en voyage. - L'après-midi, à trois henres,
contractions
spasmodiques dans le côté gauche de la face, au
entraîne une aggravation. Deuxième exemple : une femme atteinte de
contraction
spasmodique des vaisseaux cutanés (asphyxie loc
ue doit subir, lorsque les muscles du mem- bre inférieur entrent en
contraction
, est supprimée dans le membre malade par suite
nce, et l'in- clinaison est, par conséquent, due, au début, à une
contraction
musculaire qui doit cesser lorsque le ma- lade
que dans la station debout et pendant la marche; on voit alors des
contractions
in- volontaires troubler. l'équilibre ou interr
idrose était exactement limitée à un côté de la face : il y avait
contraction
pupillaire du même côté. Bartholow rapporte un
ie du droit interne de ce côté, para- lysie de l'hypoglosse gauche.
Contraction
paradoxale. Puis tout disparaît, mais bientôt l
par an par exemple, d'après le dire du malade, il se produisait une
contraction
idio-musculaire du muscle biceps brachial (appa-
de la dernière année com- mencèrent à se produire simultanément aux
contractions
des mouvements fibrillaires : le malade les sen
phiés, 30 éléments avec l'alternative de Volta ne provoquent pas de
contraction
. Main droite. Il n'existe nulle part de l'atrop
ne action exagérée des fléchisseurs à laquelle pourra succéder la
contraction
excessive des extenseurs, con- traction qui pou
le fonctionnement de ce double mécanisme il puisse se produire des
contractions
musculaires là où il faudrait un relâchement, e
faudrait un relâchement, et, dans de certaines cir- constances, des
contractions
et des relâchements qui dépassent de beaucoup l
en avant, lèvres avancées, aucun cri, on le retient dans sa chute,
contraction
générale, figure pourpre. A ces cas nous ajou
deux jambes. , SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 347 L'énergie de la
contraction
des muscles des membres inférieurs est normale.
ons rotuliens. La percus- sion des muscles triceps donne lieu à une
contraction
brusque, comme chez les sujets sains. Il n'y a
ées. Pas d'altérations soit qualificatives soit quantitatives de la
contraction
galvanique. Observation II. G... (Louise), cout
es mouve- ments du diaphragme. Or, Paul Bert a bien montré que la
contraction
du diaphragme a pour double effet d'agrandir le
l Bert a démontré que le tissu pulmonaire est contractile et que sa
contraction
est sous la dépen- dance du nerf pneumo-gastriq
vait nous renseigner sur les changements de la respiration et de la
contraction
diaphragmatique. Nous publierons très prochaine
ffort avant de parler. La parole s'accompagne chez tous les deux de
contractions
et de contorsions des lèvres auxquelles prennen
men- tent lorsqu'ils se mettent debout, ce qui exige une violente
contraction
des muscles, les cuisses se rapprochent, les geno
t : absence du phénomène du genou; clonus podalique des deux côtés.
Contraction
paradoxale du pied gauche. Pas de syphilis. La
ntact aucun, je détermine dans les muscles de cette partie de légères
contractions
. Des mouvements se manifestent dans les doigts si
ce, la respiration devient laborieuse ; la gêne commence sans que les
contractions
déjà signalées cessent de se manifester par insta
n action , m’avertissaient que je les magnétisais, et éprouvaient des
contractions
ou des secousses qui du reste ne laissaient aucun
itation de M. Ribes, dirigea par derrière la main sur son coude; la
contraction
précédemment observée eut lieu de nouveau. Puis,
istez , après quelques instants démagnétisation , vous obtiendrez des
contractions
, toujours des contractions, et souvent aussi, com
ants démagnétisation , vous obtiendrez des contractions, toujours des
contractions
, et souvent aussi, comme je l’ai déjà dit, une so
et de toutes les artères. Le jeu alternatif de la dilatation et de la
contraction
des vaissaux sur la liqueur qu’ils contiennent es
fluide qui avait été retenu, comprimé, emprisonné par les spasmes ou
contractions
des conducteurs où il aurait dû passer pour redes
dirigée; d’ailleurs, le phénomène est visible extérieurement, et les
contractions
remuent bientôt tout le tronc. Les yeux; j’ai o
ions remuent bientôt tout le tronc. Les yeux; j’ai obtenu aussi des
contractions
des muscles du globe oculaire, toujours sans cont
n’ai observé aucun signe de souffrance. Il n’y eut pas la plus légère
contraction
musculaire, soit de la face, soit des membres, pe
e soit manifesté, comme indice de l’action magnétique, que de légères
contractions
dia-phragmatiques, le malade se sentit immédiatem
ec elle. Rien no nous put déceler qu’elle sentait, par la plus petite
contraction
des muscles de la face; un rire naturel qui était
¥ opération dura plus longtemps (/ne d’habitude et t/n il n’y eut de
contractions
musculaires ni sur le membre amputé ni sur les au
ardeau. C'est lui qui donne à nos muscles telle ou telle puissance de
contraction
suivant les résistances que nous devons rencontre
fort long et plus que suffisant pour convaincre les assistants de la
contraction
permanente et artificielle des muscles. Au réveil
dernier effet présente une exception peut-être unique : c’esl que la
contraction
musculaire n’a pas lieu pour l’extenseur commun d
crise. Appelé auprès d'elle, nous la trouvons les quatre membres en
contraction
tonique et agités d'une sorte de trépidation conv
« Les phénomènes morbides résultent ici de la dilata- tion ou de la
contraction
anormale des vaisseaux sanguins et des troubles
situation, on allonge le tendon du triceps fémoral et provoque des
contractions
de ce muscle qui, par l'ex- tension continue-,
de KOZ et KSTe. Dans ces deux dernières observations le décours des
contractions
ne paraîtras modifié. P. KERAVAL. VIII. Contrib
question, sont tou- jours secondaires ; elles résultent de la vive
contraction
du psoas iliaque ou des muscles de l'omoplate,
mou même on parvint à l'aide du courant induit à faire paraître des
contractions
, quoique faibles ; quant aux muscles frontal et
igts de la main droite, puis l'immobilisation de cette main par des
contractions
toniques, enfin les yeux et la face se convulsère
Pourat, en 1899, est la suivante : Des caractères spécifiques de la
contraction
des différents muscles. Voici le relevé des com
tionnel des membres, exagération des réflexes Chez les trois il y a
contraction
, toutefois plus prononcée chez le plus jeune, r
anguinolente, vertiges, céphalée intense, hyperesthésie de la peau.
Contraction
fibrillaire et fasciculaire des muscles au touc
re, la rétention de liquides et surtout l'impulsion résultant d'une
contraction
spas- modique du diaphragme, condition sine ytt
s le nerf optique passent des fibres dont l'excitation détermine la
contraction
des cônes corres- pondants de la rétine. Enfin,
, la disparition des réflexes rotuliens, des grimaces en excès, des
contractions
isolées dans divers muscles du corps, une dénut
nservation des sensibilités profondes et des sensibilités icflexes;
contractions
réflexes très douloureuses des muscles des membre
non seulement dans le membre examiné, mais aussi dans l'autre, des
contractions
musculaires qui fléchissent légèrement les dive
musculaire. La moindre cause suffit quelquefois pour déterminer ces
contractions
douloureuses; par exemple : un contact cutané (
voir d'autres troubles subjectifs delà sensibilité en dehors de ces
contractions
douloureuses. Tronc. - Les troubles de la sensi
ts passifs imprimés à ses membres. Il conserve tou- jours les mêmes
contractions
réflexes douloureuses. Il lui semble parfois se
ain que la lésion n'atteint pas toute la hauteur de la moelle ; les
contractions
réflexes douloureuses qui se produisent quelque-
n cutanée ou profonde de la racine de la cuisse provoque encore des
contractions
réflexes. Il est impossible de pousser plus ava
mouvements passifs imprimés aux mem- bres étaient douloureux ; les
contractions
réflexes se produi- sant sous l'influence des m
ono-mélancolie des convulsions des muscles soumis à la volonté, des
contractions
du larynx qui altèrent la voix d'une façon surp
tale du grand sympathique se traduit sur la glande thyroïde par une
contraction
des vaisseaux thyroïdien ? lorsque l'excitation
s les névroses. gl2 BIBLIOGRAPHIE. Pompillian (11«° Mariette). La
contraction
musculaire et les trans- formations de l'énergi
ngton). Des forces diverses s'op- posent alors au déploiement de la
contraction
musculaire. Dans le tabes, la tension réflexe d
. De cette diminution pathologique de tensions résultent, dans la
contraction
, l'exagération, la direction et la rapidité anorm
e la spondylose rhyzomélique ? Un malade de M. Marie présentait des
contractions
fasciculaires, Il existait des tremblements fib
rés et cinquième lombaire. L'absence de dou- leurs persistantes, de
contractions
fibrillaires, la stabilité des troubles trophiq
livre de Charcot : La /b : qui guérit. 92 BIBLIOGRAPHIE. par les
contractions
du sourcilier et des orbiculaires. Cette con- t
liquée, c'est de l'hémiopie, plutôt que de l'amblyopie croisée avec
contraction
concentrique des champs visuels, comme dans l'h
es modifications que les phénomènes électriques qui accompagnent la
contraction
volontaire des muscles subissent dans ces deux
t dans ces deux affections. Depuis Dubois-Reymond on sait que toute
contraction
volontaire du muscle est accompagnée d'un dégag
la contracture hystérique l'aiguille galvanométrique déviée par la
contraction
volontaire du muscle contracté revient quoique
phique (névralgie scapulo-bracloale très prononcée, exagérée par la
contraction
musculaire et la pression), avec arlhropatbie de
servée aux membres inférieurs, qui, en outre, ne présentent pas de
contractions
fibrillaires. Le malade parle avec une certaine
ous du bord supérie la rotule, 26 centimètres. 11 n'existe pas de
contractions
fibrillaires des muscles de la jambe gauche. 11
lité électrique directe ou indirecte (R. D. partiel^ avec perte des
contractions
indirectes). Les muscles très dév$-5 loppés n'a
inution considérable de la sensibilité testiculaire. Ongles bombés,
contractions
idiomusculaires des biceps. Membres inférieurs
le gauche se contracte; il en est de même de la droite, mais ici la
contraction
est incomplète, et lors- qu'elle est arrivée à
récision, les territoires dont l'excitation électrique détermine la
contraction
d'un groupe isolé de 1 Leçon extraite de la Cli
'excitation avec des inten- sités de courant maxima déterminait des
contractions
du membre supérieur droit. Les attaques convuls
rtion de la zone motrice corticale dont l'excitation produisait des
contractions
du pouce et 376 CLINIQUE NERVEUSE. des mouvem
électrique de la portion de la dure-mère mise à nu fut suivie de la
contraction
successive du pouce, de l'index et des autres doi
t, dans l'hémisphère du côté opposé, et qu'on obtienne encore des
contractions
du pouce, lorsqu'on applique l'excitateur élect
e la main une absence totale de l'exci- tabilité galvanique, ou une
contraction
paresseuse (A = K). Mêmes constatations chez le
la joue que l'on distend le plus possible : on empêche ainsi toute
contraction
de l'orbiculaire des lèvres et du buccinateur e
sa bouche et les avaler. L'une et l'autre éprouvaient une sorte de
contraction
dans le bras parfois assez forte pour que, dans
c, dans ce cas, que les impulsions volontaires ne provoquent pas de
contractions
musculaires et que les réflexes précis et rapid
u cœur faibles mais réguliers ; clignotement permanent des paupières,
contraction
des pupilles, contracture des mâchoires qui empêc
e est soumise à l'action des courants fara* diques; il se produit des
contractions
musculaires énergiques, mais rien ne peut la réve
s de cinq mois. — Dans les jours qui précèdent le réveil, on note des
contractions
fibril-laires dans les muscles du visage où le ny
s modifier par l'exercice. Mais ces cavités sont sous l'influence des
contractions
musculaires et de la circulation, celle-ci agissa
ainsi que le rôve parlé (3). L'aphonie n'est donc que partielle ; les
contractions
volontaires des muscles vocaux sont seules troubl
ndant, cette fugue est à début brusque ; elle commence par de petites
contractions
musculaires ; notre homme sent des coups dans la
yoclonies. Priedreich avait décrit sous le nom de Paramyoclonus des
contractions
rapides, brusques, instantanées de groupes muscul
e fibrillaire de Morvan. Cette maladie des tics comporte, outre les
contractions
musculaires, un terrain de dégénérescence tel que
fondément une épingle dans la peau du visage : je provoque une légère
contraction
des muscles superficiels, mais sans réveiller le
ent obéi à un ordre mental pur; nos muscles digitaux ont présenté des
contractions
librillaires, aussi minimes qu'on voudra, inaperç
port avec la pensée dont nous étions pleinement occupés ; ce sont ces
contractions
musculaires, pour ainsi dire imperceptibles, qui
liseur de muscle et non un liseur de pensée. Or, comment de simples
contractions
fïbrillaires peuvent-elles exprimer un ordre préc
s aucun mouvement spontané ; je supprime consciemment toute espèce de
contraction
musculaire, de tressaillement ou d'acquiescement
Je vais, ajoulé-je, ne plus exercer aucune espèce de contrôle sur les
contractions
musculaires de mes doigts ; je ne m'appliquerai q
méûance, ce sujet sera tenté, non plus seulement d'enregistrer leurs
contractions
musculaires inconscientes, mais, il les appellera
ns la joue que l'on distend le plus possible : on empêche ainsi toute
contraction
de l'orbiculaire des lèvres et du buccinateur et
une selle très abon- dante. Il n'y aura plus aucun spasme, aucune
contraction
; les parois intestinales seront bien lubrifiées;
qui opèrent en public ne sont autres que des sensilifs guidés par les
contractions
fibnllaires du « penseur a. Il faut aussi remarqu
inence de contracture; ou bien enfin ils agissent par le fait d'une
contraction
simple. La première hypothèse est inadmissible.
e l'attitude vicieuse du tronc serait la conséquence d'une simple
contraction
musculaire. C'est à celle-là qu'il faut s'arrêt
que la jambe étant fortement fléchie, le pied soit maintenu par une
contraction
per- manente et instinctive au-dessus du sol (l
ns dit que, dans le principe, la scoliose sciatique résultait d'une
contraction
muscu- Fig. 15. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRAL
ndant survenir à la longue, sous l'influence de la permanence de la
contraction
. Rien n'est plus curieux que l'attitude voulue
ndant, quand le malade s'abandonne complètement, en évi- tant toute
contraction
active de ses muscles, on peut faire exé- cuter
liose croisée, quand le malade est guéri, doit être rapportée à une
contraction
permanente des muscles sains, comparable, àbeau
ATIQUES. 39 9° Tandis que la scoliose croisée est produite par la
contraction
des muscles du côté sain, la scoliose homologue
nspiration abondante. T. 38°,8, mobilitéencore abolie, mais faibles
contractions
du triceps fémoral. Bromure. 29. '- Dyspnée int
tion dégénérative partielle avec lenteur obligée même indirecte des
contractions
convulsives » (Erb). Ce qui, d'après l'auteur, di
b, c'est que, par l'excita- tion indirecte, il se produit aussi des
contractions
, à la fermeture de l'anode, et que, non seuleme
ur le ventre des muscles de sa jambe ne réagit pas par une évidente
contraction
musculaire. Si, en provoquant chez elle une myé
dons anté- rieurs et latéraux de la moelle, on observe encore des
contractions
musculaires, mouvements impliquant, selon ces a
n de la vue qui ne résulte à la fois d'impressions lumineuses et de
contractions
des. muscles de l'oeil. De même pour les centre
z les paralytiques, la conscience d'un effort implique toujours une
contraction
musculaire : si ces malades ne peuvent pas cont
ces malades ne peuvent pas contracter leurs muscles paralysés, la
contraction
d'autres groupes musculaires, des muscles de la
ermi- naisons musculaires, aux muscles qui se contractent ; cette
contraction
détermine des modifications dans les organes mu
ment plus ou moins considérable, en rapport avec l'intensité de la
contraction
. La fibre nerveuse centri- pète qui se termine
es résultats, et encore, en agissant à droite, n'obtient-on que des
contractions
courtes et rapides et seulement des muscles labia
décharge d'étincelles de la machine statique, ne provoquent pas de
contractions
sur le frontal, l'orbiculaire des paupières, le
e, mais pas' tous. En outre il existe des symptômes d'amyotrophie :
contraction
lente des muscles à la suite d'une excitation m
oids. On la fléchit sur la cuisse à un angle de 45 de sorte que les
contractions
produites sur elle par le choc du tendon rotuli
smettront à la corde qui agira sur un levier; celui-ci inscrira ces
contractions
sur un tambour en rota- tion. On a vu par cet
te, l'application du courant au point moteur symétrique, produit la
contraction
normale du triangulaire et du carré du menton,
t s'abaisse en même temps que les mouvements de mastication. Or, la
contraction
des masséters et des temporaux n'influence poin
avant si elle n'était pas maintenue par les muscles de la nuque en
contraction
légère. C'est un levier du pre- mier genre. La
La théorie musculaire trouve là une confirmation complète, c'est la
contraction
musculaire qui maintientl'extension de la tête,
homme sain, M. Paul Richer fait voir successivement : qu'une légère
contraction
des muscles de la nuque suffit pour maintenir l
e l'équilibre du bassin sur les cuisses est main- tenu, non par les
contractions
des fessiers, mais par la pesanteur et l'extens
reint dans la marche. Les moyens fessiers entrent au con- traire en
contraction
à chaque pas du côté de la jambe portante, et c
en contraction à chaque pas du côté de la jambe portante, et cette
contraction
dure tout le temps de l'appui unilatéral. Elle
s qui lui donnaient des soin*, ne s'expri- maient que par une forte
contraction
des muscles de la face et le tremblement nerveu
habituent, à une attitude plus normale. La physionomie échappe à la
contraction
nerveuse qui en dominait toutes les expressions
révèle par l'amyosthénie, l'hypotension artérielle, la mollesse de
contraction
'du coeur, l'instabilité des jambes, la maladress
arole s'accompagne souvent de sifflements, résultant sans doute des
contractions
violentes de la langue qui éprouve quelques dif
'outre l'athétose le malade présente de temps à autre des tics, des
contractions
brusques du frontal figurant un mouvement coor-
si chez R... deux espèces de troubles moteurs : l'athétose avec ses
contractions
excessivement lentes, incoordonnées, et le tic
ontractions excessivement lentes, incoordonnées, et le tic avec ses
contractions
coordonnées et très rapides. Mais ce qui consti
première fois en 1895, et nous constatons les symptômes suivants :
contractions
musculaires de la face exprimant les sentiments l
u passage du sang par ces différentes voies varie selon le degré de
contraction
ou de béance des vaisseaux; la distribution du
e moindre cri, sans faire le moindre mouvement, sans avoir la moindre
contraction
du visage, dans une impassibilité complète. Pourt
s son activité normale . Dans le sommeil normal, il se produirait une
contraction
des vaisseaux, laquelle diminuerait le flux du sa
la motricité ou de la force. La force normale se manifeste par une
contraction
musculaire, qui doit être sous la dépendance de l
iminution anormale de la force, lorsque la volonté ne produira qu'une
contraction
musculaire insuffisante pour effectuer un mouveme
a force, ou production de force en excès, quand nous constaterons des
contractions
musculaires, indépendantes de la volonté et ne pr
effet utile. C'est ce qui se produit dans les tremblements, dans les
contractions
convulsives. La diminution de la force, portée
art, l'exagération de la force également portée à l'extrême, sera une
contraction
musculaire permanente, et telle que la volonté mê
paralysie. La parésie. La force normale. Le tremblement et les
contractions
convulsives. La contracture. Progression que no
leur situation naturelle. Les doigts du pied droit subirent les mêmes
contractions
, s'étant retirés du côté du talon. Voici comment
lité spéciale et complexe de l'amibe. C'est la rétraction ou mieux la
contraction
du bioprotéon de ces cellules qui détermine, dans
euille. Cette inflexion, qui persiste plusieurs heures, résulte de la
contraction
des cellules situées à la face interne de la base
er, le disque épais de la fibre musculaire striée exprime, lors de la
contraction
, le liquide qui! contient. Ce liquide phytocysti-
organes obéir à la pesanteur. Cette théorie, qui fait intervenir la
contraction
du bioprotéon, mais seulement comme cause indirec
mouvements de sommeil des feuilles ne sont que l'effet immédiat de la
contraction
du bioprotéon de leurs phytoblastes moteurs. Le
diminution d'ampli- lude et de vitesse s'accompagne souvent d'une
contraction
manifeste du bioprotéon. 2° Il existe, pour cha
la cessation complète des mouvements bioprotéiques, d'autre part à la
contraction
ou à l'altération du bioprotéon, c'est-à-dire au
— et jusqu'à la dernière note — par les palpitations de son cœur, les
contractions
nerveuses de ses avant-bras, la chaleur de la sal
étouffements, perte de connaissance, convulsions; au réveil, légère
contraction
du côté droit, durant une heure. Après ces cr
soumis le muscle, et que la rétraction est la dernière étape de la
contraction
; l'une est un phénomène actif et vivant par exc
er de la chaise, les muscles des cuisses et du tronc présentent des
contractions
continuelles qui déterminent de petits mouvemen
examine le malade au lit, dans le décubitus dorsal et au repos, les
contractions
musculaires involontaires, que nous avons constat
é- ; rieure du péroné sont de trois ordres : · 1° Arrachement par
contraction
musculaire. - Ce mécanisme est 1 décrit dans l'
éfaction. La fracture, non douteuse, avait eu lieu par une violente
contraction
du biceps crural el cette contraction ayant eu li
vait eu lieu par une violente contraction du biceps crural el cette
contraction
ayant eu lieu dans la position de la jambe fléc
rationnel d'admettre un mécanisme hybride, mélange de [fracture par
contraction
musculaire et de fracture par traumatisme direc
e probable qu'elle tient à l'état des vaisseaux des muscles dont la
contraction
s'accompagne d'une aug- mentation de tension qu
s l'influence de l'électricité, et la malade peut produire quelques
contractions
volontaires qui sont limitées à cause du raccou
érieure à la normale, et se « durcissent » énergiquement pendant la
contraction
. Lorsque le malade reste entièrement au repos (
out, soit dans la marche. Tous les auteurs signalent les effets des
contractions
de ces muscles. Cependant, il existe encore d'a
nouveau cette inégalité pupillaire, qui semblait tenir plutôt il la
contraction
de la pupille gauche qu'à la dilatation de la pup
▲