/ 175
1 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
uis bien des années, provoquant, à l'aide de courants électriques, la contraction des muscles de la face, pour leur l'aire parler
erai par la photographie les lignes expressives de la face pendant la contraction électrique de ses muscles. En résumé, je ferai
nter au premier anatomiste qui vit un muscle se raccourcir pendant sa contraction . » h° Enfin, lorsque do vives controverses s'él
sourcil, on éprouve une sorte de mirage qui fait croire à un état de contraction générale de la face. Les vivisections, fussent-
ui croise la direction de cette ride se trouve-t-il nécessairement en contraction ? Telle semble être l'opinion de Camper; tel a é
EN MOUVEMENT. Tout mouvement volontaire ou instinctif résulte de la contraction simultanée (synergique) d'un plus ou moins grand
u fluide nerveux dans tel ou tel muscle, de manière à en provoquer la contraction isolée. Ce pouvoir, qui eût été sans utilité pour
siner sous l'instrument les plus petites radiations des muscles. Leur contraction révèle leur direction et leur situation mieux que
exercée sur l'expression par les muscles de la face, j'ai provoqué la contraction de ces derniers à l'aide de courants électriques,
fois ; puis, allant du simple au composé, j'ai essayé de combiner ces contractions musculaires partielles, en les variant autant que
nts, les faits généraux principaux qui ont été mis en lumière par ces contractions partielles et par ces contractions combinées des
qui ont été mis en lumière par ces contractions partielles et par ces contractions combinées des muscles de la face. contractions
artielles et par ces contractions combinées des muscles de la face. contractions partielles des MUSCLES DE LA FACE. L'étude expé
ctions partielles des MUSCLES DE LA FACE. L'étude expérimentale des contractions partielles des muscles de la lace apprend qu'elle
expressives, ou expressives complémentaires, ou inexpressives. \. — Contractions iMirliclicH complètement expressives. 11 est de
qui représente la souffrance. Eh bien! sitôt (pie j'en provoquais la contraction électrique, non-seulement le sourcil prenait la
ette expérience, la région sourcilière seule avait été le siège d'une contraction très évidente, et je n'avais pu constater le plus
e des traits que l'on observait alors, paraissait être produite parla contraction synergique d'un plus ou moins grand nombre de mus
partie inférieure du visage n'éprouvait plus la moindre apparence de contraction ! Je renouvelai plusieurs fois cette expérience
Ce fut un trait de lumière ; car il était de toute évidence que cette contraction apparente et générale de la face n'était qu'une i
xprimer étant assez nombreuses, il ne fallait pas trop multiplier les contractions des muscles qui servent à en tracer les signes et
'est la première impression que l'on reçoit toujours, à la vue de ces contractions partielles ; néanmoins on ne tarde pas à sentir q
elquefois appris quels muscles doivent alors entrer synergiquement en contraction pour compléter l'expression. Je reviendrai bientô
er l'expression. Je reviendrai bientôt sur ce sujet important. C. — Contractions partielles expressives complémentaires. Isoléme
iolentes : la frayeur, l'épouvante, l'effroi, la torture, etc. D. — Contractions partielles inexpressives. Il n'est pas un seul
ombre) ne produisent aucune ligne expressive apparente, bien que leur contraction partielle produise un mouvement très appréciable.
ces muscles doivent donc être considérés comme inexpressifs. II. CONTRACTIONS COMBINÉES DES MUSCLES DE LA FACE. Les combinais
uscles de noms différents, d'un coté ou des deux côtés à la fois. Ces contractions combinées sont, ou expressives, ou inexpressives,
u expressives, ou inexpressives, ou expressives discordantes. .*. — Contractions combinées expressives. L'étude expérimentale de
.*. — Contractions combinées expressives. L'étude expérimentale des contractions musculaires partielles de la face m'a révélé, ain
pressions originelles, on l'a vu, sont parfaitement dessinées par les contractions partielles de certains muscles, tandis que d'autr
ressions originelles de la face (qu'elles aient été produites par des contractions partielles complètement expressives, ou par la co
exemple pour expliquer ma pensée. L'attention qui est produite par la contraction partielle du frontal, et la joie qui est due à la
a condition d'être faites conformément aux lois de la nature? It. — Contractions combinées inexprcssives. Il est rationnel de pe
thiser ensemble, et que leur action combinée ne doit produire que des contractions inexpressives. En effet, il ne m'a pas été possib
contre un nerf qui anime un plus ou moins grand nombre de muscles. La contraction en masse qui en résulte ne produit jamais qu'une
roduit jamais qu'une grimace qui ne rappelle aucune expression. Cette contraction en masse ressemble aux spasmes C. — Contraction
e expression. Cette contraction en masse ressemble aux spasmes C. — Contraction »* combinées expressives discordantes. Il ne fau
t-on, par exemple, le sourire au pleurer modéré, et encore mieux à la contraction légère du muscle de la souffrance, on obtient une
expression de compassion, une expression des plus sympathiques. Ces contractions composées, au fond, par des expressions contraire
et qui peignent un sentiment pour ainsi dire forcé, je les appellerai contractions combinées expressives discordantes. convulsifs
t physiologique du tronc ou des membres qui ne soit le résultat de la contraction synergique d'un plus ou moins grand nombre de mus
nsi l'élévation volontaire du bras (de l'humérus) est produite par la contraction d'un muscle (le deltoïde); nous le sentons durcir
ui entre en action, parce que nous n'avons pas la conscience d'autres contractions musculaires. Il n'en est cependant pas ainsi; car
'empêcher, la nature fait entrer synergiquement en action, pendant la contraction (1) Eleclrisation localisée appliquée à la phys
mouvements qui sont des merveilles de combinaisons mécaniques. Ces contractions synergiques sont nécessitées par les lois de la m
main la faculté instinctive d'exprimer toujours ses sentiments par la contraction des mêmes muscles. (I) Loc. cil., 2e partie.
core irritable, ont donné des résultats parfaitement identiques. La contraction partielle d'un muscle qui préside à une expressio
sympathiqucmont une impression intérieure qui provoquerait d'autres contractions involontaires? La face, par exemple, met toujours
ntérieure, et cette impression ne provoque-t-elle pas, à son tour, la contraction du second muscle ? C'est ce qu'on appellerait un
lterait ([ue l'on ne pourrait mettre un muscle expressif isolément en contraction , sans provoquer l'action synergique d'autres musc
nces que j'ai faites sur des sujets récemment morts, chez lesquels la contraction des muscles de la face a produit des mouvements e
chez les vivants. On a môme été jusqu'à admettre la possibilité de contractions dites réflexes, provoquées par toute excitation p
ici une des conditions dans lesquelles se produit le phénomène appelé contraction musculaire réflexe. Lorsqu'on pique une des extré
excité, de manière à réagir sur certains muscles qui alors entrent en contraction . On voit donc que ces contractions, auxquelles la
rtains muscles qui alors entrent en contraction. On voit donc que ces contractions , auxquelles la volonté reste entièrement étrangèr
on électrique d'un muscle quelconque fût le résultat d'un ensemble de contractions réflexes analogues à celles dont il vient d'être
ogues à celles dont il vient d'être question, et non le produit d'une contraction musculaire partielle ? Je compris que cette objec
ujets sains, l'éleclrisa-tion musculaire localisée ne provoque pas de contractions réflexes qui viennent compliquer l'action muscula
ions complexes. Les expressions primordiales sont produites par les contractions partielles des muscles complètement expressifs ou
..... Douleur ....... Agression., méchanceté ........ 2° Par la contraction combinée îles muscles incomplètement expressifs e
palpébral supérieur (portion du muscle dit sphincter des paupières); contraction modérée. Môme muscle; contraction forte. Même
cle dit sphincter des paupières); contraction modérée. Môme muscle; contraction forte. Même muscle; contraction très forte. S
contraction modérée. Môme muscle; contraction forte. Même muscle; contraction très forte. Sourcilier. Pyramidal du nez. É
palpébraux. Grand zygomatique et orbiculaire palpébral inférieur ; contraction modérée. Mêmes muscles et palpébraux. Grand z
Frontal et abaisscurs de la mâchoire inférieure, à un degré modéré de contraction . Même combinaison musculaire et abaisscurs de l
aire et abaisscurs de la mâchoire inférieure, à un plus haut degré de contraction . Même combinaison musculaire, au maximum de con
ut degré de contraction. Même combinaison musculaire, au maximum de contraction . Muscles de l'étonnement associés à ceux de la
ntal, peaucier et abaisscurs de la mâchoire inférieure, au maximum de contraction . Sourciller, peaucier et abaisseurs de la mâc
u nez, peaucier et abaissement du maxillaire inférieur, au maximum de contraction . Orbiculaire palpébral supérieur et triangulair
de facilité sur la physionomie de l'homme, — et cela seulement par la contraction partielle de l'un des muscles moteurs du sourcil!
gnes, ou, en d'autres termes, devait être placé sous la dépendance de contractions musculaires toujours identiques. Ce que le rais
ur cela que le Créateur a placé la physionomie sous la dépendance des contractions musculaires instinctives ou réflexes. On sait a
ment chaque passion est toujours dessinée sur la figure par les mômes contractions musculaires, sans (pie ni la mode ni le caprice p
muscles sont donc des espèces de ressorts qui, dans l'intervalle des contractions , se font plus ou moins équilibre. (Test ainsi qu'
s utile encore à la face, où, à peu d'exceptions près, les muscles en contraction ne font aucun relief sous la peau. Peu importe,
ause physique de tous ses plis, de toutes ses rides, en provoquant la contraction de ses muscles partiellement ou par groupes, est
ionomie en mouvement, non-seulement est en raison directe du degré de contraction musculaire (ce qui signifie : selon le degré de l
Des artistes habiles ont vainement essayé de les représenter; car les contractions provoquées par le courant électrique sont de trop
ments variables auxquels ils donnent naissance, suivant leur degré de contraction , selon l'âge du sujet et certaines conditions ana
ent de mes expériences électro-physiologiques............. 7 I. — Contractions partielles des muscles de la face.......... 18
Contractions partielles incomplètement expressives.......... 23 C. Contractions partielles expressives complémentaires........ 24
Contractions partielles expressives complémentaires........ 24 1). Contractions partielles inexpressives.................... 25
Contractions partielles inexpressives.................... 25 II. — Contractions combinées des muscles de la face........... 25
B. Contractions combinées inexpressives.................... 28 C. Contractions combinées expressives discordantes........... 29
, il est cependant impossible de maintenir longtemps au même degré de contraction le muscle, dont l'irritabilité, après quelques se
ne produit qu'une grimace. Électrisation du rameau temporo-facial ; contraction de tous les muscles animés par lui; grimace sembl
iné ce choix : 1° Dans la vieillesse, on voit, sous l'influence des contractions musculaires, se dessiner toutes les lignes expres
nne une idée du mode d'électrisation que j'ai employé pour obtenir la contraction partielle des muscles de la face. On remarque q
égales pour éviter le tremblement du muscle pendant qu'il est mis en contraction ; la gradation du courant doit être d'une grande
rhéophore placé au niveau du grand zygoma-tique aurait dû produire la contraction isolée de ce muscle, ainsi qu'on l'observera dans
temporo-faciale de la septième paire (voy. G, fig. 2), a provoqué la contraction en masse des muscles animés par ce tronc nerveux,
ention se réunissent et se continuent sur la ligne médiane pendant la contraction des deux muscles frontaux. Excitation électriqu
g. 9.— Destinée à l'étude expressive du muscle frontal, au maximum de contraction . A droite, excitation électrique, au maximum, d
lignes, concentriques à la courbe du sourcil. La figure 8 montre la contraction électrique, à un degré modéré, des deux muscles f
Dans la figure 9, où le muscle frontal est représenté au maximum de contraction , le sourcil et les rides frontales ne décrivent p
randissement de l'ouverture palpébrale, du côté excité, montre que la contraction du frontal exerce une action notable sur l'élévat
amentales, pendant le jeu de la physionomie. Toutefois, au maximum de contraction du frontal, j'ai vu naître sur ce jeune front une
ée, la prunelle étincelle de lumière, surtout dans la figure 9, où la contraction est à son maximum. Et puis voyez la différence
. lu. — Destinée à montrer comparativement, chez le même individu, la contraction au maximum de l'orbiculaire palpébral supérieur e
sourcilier. Fig. 15. — Destinée à démontrer que le mécanisme de la contraction volontaire de l'orbiculaire palpébral supérieur e
t identiquement le même que sous l'influence du courant électrique. Contraction volontaire, forte, des orbiculaires palpé-braux s
ouvrez le côté droit, où l'orbiculaire palpébral supérieur est mis en contraction , vous observez : 1° que le sourcil s'est abaissé
el est l'ensemble des mouvements du sourcil, toujours produits par la contraction partielle et modérée du frontal. La ligne verti
cé dans l'expérience précédente, parce que je n'avais provoqué qu'une contraction modérée de l'orbiculaire palpébral supérieur. S
r. Sur la figure 13, l'orbiculaire palpébral supérieur a été mis en contraction de chaque côté plus énergiquement que sur la figu
ns l'expérience précé dente (voyez lafig. 13), a été produit par la contraction électrique des orbiculaires palpébraux supérieurs
nt devenus rectilignes et ont ombragé son œil, sous l'influence de la contraction de l'orbiculaire palpé-bral supérieur, que cette
ce de la contraction de l'orbiculaire palpé-bral supérieur, que cette contraction ait été provoquée par un courant électrique ou pa
cales ont été creusées par les efforts de la méditation. Lorsque la contraction de l'orbiculaire palpébral supérieur est à son ma
favorables au développement de cette expression, j'ai toujours vu la contraction modérée de ce muscle imprimer sur la face le cach
re 13 à la figure 12. Ces deux figures représentent le môme muscle en contraction chez le même individu, mais à des degrés différen
omme je viens de le démontrer, peint la réflexion calme, parce que la contraction musculaire est modérée. — Dans l'autre (fig. 13),
rmine supérieurement dans la peau, au niveau de la tête du sourcil. Contraction électrique des pyramidaux chez un jeune homme d'u
s'est creusé au niveau de la tête du sourcil, sous l'influence de la contraction musculaire électrique. — Ce sillon n'existe pas d
rhéophores n'ont produit aucun mouvement, en d'autres termes, aucune contraction musculaire; c'est une nouvelle preuve que ce poin
du front, qui est très mobile, a été considérablement abaissée par la contraction électrique de ses pyramidaux, et la peau de la ra
igure 16. Les muscles pyramidaux y sont mis en effet énergiquement en contraction , et cependant on observe que l'abaissement de la
anceté, de haine, comme je l'obtiens, en général, facilement par la contraction énergique des pyramidaux*. .le mentionnerai ici
s de sa tète. Cet ensemble de mouvements et de lignes résultait de la contraction énergique de l'orbiculaire palpébral supérieur. A
ste qui existe entre leurs expressions. A droite, où parle fait de la contraction du pyramidal l'extrémité interne du sourcil est a
x pyramidaux du même sujet sont mis simultanément et énergiquement en contraction , nous montre une expression de méchanceté, de hai
ligure que l'espace intersourcilier du côté gauche est déformé par la contraction du pyramidal du côté droit. Par la môme raison au
i conservé la photographie. Elle est utile, d'ailleurs, à l'étude des contractions concordantes, pour ce qui a trait à la contractio
rs, à l'étude des contractions concordantes, pour ce qui a trait à la contraction combinée du pyramidal et du triangulaire des lèvr
es lignes expressives, fondamentales et secondaires, produites par la contraction électrique modérée du sourcilier, chez un vieilla
nté dans les figures 3, 6, 7, 8, 9, 12,13, là, 17 et 18). A droite, contraction électrique du sourcilier à un degré moyen : souff
é opposé était dans cet état au moment de l'expérience). Fig. 20. — Contraction électrique, à un degré moyen, des sour- ciliers
te sa longueur, comme du côté gauche de cette figure 21). A droite, contraction électrique modérée du sourcilier et regard en hau
ée du sourcilier et regard en haut : souvenir douloureux. A gauche, contraction volontaire du frontal et regard en haut : souveni
née à démontrer, chez le même sujet, qu'au delà d'un certain degré de contraction , et dans certaines conditions, le sourcilier n'es
certaines conditions, le sourcilier n'est plus expressif. A gauche, contraction électrique au maximum du sourcilier : pas d'expre
éré, chez un jeune sujet (représente dans les figures h, 15 et 16). Contraction volontaire, à un degré moyen, des sourci-liers et
loureux ou pensée douloureuse. Fig. 2Zi. — Destinée à l'étude de la contraction volontaire à un degré plus fort que dans la figur
l'œil est tourné obliquement en haut et de côté, comparativement à la contraction du frontal, avec le même mouvement de l'œil. A
contraction du frontal, avec le même mouvement de l'œil. A gauche, contraction volontaire du sourcilier à un degré plus fort que
sujet parait succomber à la souffrance : tète de Christ. A droite, contraction volontaire du frontal, avec regard un peu oblique
Fig. 25. — Destinée à montrer, chez le même sujet vu de profil, la contraction spasmodique du sourcilier. Contraction spasmodi
même sujet vu de profil, la contraction spasmodique du sourcilier. Contraction spasmodique très forte des sourciliers, produite
nte, à l'étude des rides frontales médianes qui sont produites par la contraction du sourcilier) chez une femme âgée de cinquante-d
nt la peau est line ou brûlée par l'air et par le soleil. A droite, contraction électrique moyenne du sourcilier, avec regard lat
r, avec regard latéral; expression attention douloureuse. A gauche, contraction volontaire et légère du frontal, avec regard un p
ême expérience que dans la figure précédente; mais, dans celle-ci, la contraction électrique du sourcilier gauche est plus forte et
inée à l'étude des lignes expressives fondamentales, produites par la contraction légère du sourcilier, chez une petite fille âgée
x ans (représentée antérieurement dans les fig. 5 et 10). A droite, contraction électrique légère du sourcilier : douleur. A ga
rcil en masse, occasionné par l'impression de la lumière. Fig. 29. — Contraction électrique plus forte du sourcilier, avec regard
figures 26, 27, 28, 29. La figure 28 représente le premier degré de contraction du sourcilier droit chez une petite fille âgée de
s et mieux accentués dans la figure 20, où le sourcilier est mis en contraction de chaque côté. Ici les sillons médians du front
rtement (voyez la fig. 27). On remarque aussi sur la figure 26, où la contraction du sourcilier est moins énergique, que ces rides
25 on en dislingue une troisième, mais très peu marquée, parce que la contraction de ce muscle y est plus forte. — La courbe de ces
gées de six à huit ans, et représentées dans les figures 28 et 29, la contraction moyenne du sourcilier n'a pas produit de ligne mé
écédentes, la direction du sourcil a été d'aufant plus oblique que la contraction du sourcilier a été plus forte. On remarque, en e
ans la figure 29 que dans la figure 28, et cela en raison du degré de contraction plus ou moins énergique du sourcilier. Il est cep
pendant des sujets chez lesquels le sourcilier, même à son maximum de contraction , ne donne pas une grande obliquité au sourcil, pa
ront n'a pas changé ; mais à un haut degré d'intensité du courant, la contraction du sourcilier l'a emporté sur celle du frontal, e
ement des deux côtés. —Mais on observe, à droite, où j'ai provoqué la contraction plus énergique du sourcilier, que l'arc du sourci
es à la partie médiane du front. I*. — Expression. La plus légère contraction du sourcilier, dans l'enfance, donne à la physion
ive encore dans la figure 24, où l'on voit que sous l'influence de la contraction plus énergique du muscle sourcilier, son sourcil
es reliefs et les méplats sont plus accentués. L'association de cette contraction puissante du sourcilier avec le regard un peu obl
et les sourcils de cette figure. Mais à l'instant où j'ai provoqué la contraction de ses sourciliers, elle a pris une expression de
e. On constate ce fait en regardant l'ensemble de la figure 20, où la contraction des sourciliers est assez énergique. C'est bien
ans son ensemble, ils attribuaient son expression de souffrance à une contraction générale des traits de la face. La bouche et la l
vement chaque œil, et l'on verra, du côté où le sourcilier est mis en contraction , tous les traits de la face se contracter doulour
, en apparence. Les figures 22 et 25 prouvent qu'il est un degré de contraction au delà duquel le sourcilier perd, dans certaines
ectrisé partiellement. C'est ce que j'ai toujours observé, lorsque la contraction de ce muscle était forcée, comme dans cette figur
i sont gênées par une trop vivo lumière. J'ai voulu représenter cette contraction spasmodique naturelle, dans la figure 25. J'avais
des lignes expressives fondamentales et secondaires, produites par la contraction du grand zygomatique chez un vieillard (représent
es mêmes lignes fondamentales et secondaires cle la joie, avec légère contraction de quelques fibres du muscle dit sphincter des pa
iques et de l'orbiculaire palpébral inférieur. Rire naturel, par la contraction volontaire des deux grands zygomatiques et de l'o
binaison du muscle de la joie et de la douleur, à un certain degré de contraction , est inexpressive ou ne produit qu'une grimace.
egré de contraction, est inexpressive ou ne produit qu'une grimace. Contraction électrique forte des grands zygomatiques et des s
Fig. 35. —Destinée à l'étude des lignes expressives produites par la contraction forte et partielle du grand zygomatique chez une
ébraux.) A droite, électrisation du grand zygomatique associée à la contraction volontaire, légère des palpébraux : rire méprisan
excitation électrique forte du triangulaire des lèvres, associée à la contraction volontaire et modérée des palpébraux : mépris, dé
u point d'immersion du filet moteur du grand zygomatique, afin que la contraction musculaire soit égale de chaque côté. Il m'est
ondaires, qui, à un âge avancé, se développent sous l'influence de la contraction énergique de ce muscle. J'ai dit ailleurs : 1°
igures 35 et 36, où le grand zygomatique est mis aussi fortement en contraction que dans la figure 30, on voit que les lignes sec
ans les figures 30 et 31 : ses grands zygomatiques sont au maximum de contraction . Au premier abord, il paraît s'abandonner au rire
ration de ce rire ; car si je vous représentais le sujet souriant, la contraction partielle de ses grands zygomatiques serait aussi
te expression est mieux rendue encore dans la figure 36, parce que la contraction des palpébraux produite, on le sait, par le spasm
te figure aux figures 38 et 39. Fig. 38. — Destinée à l'étude de la contraction partielle du transverse du nez, chez le même suje
la contraction partielle du transverse du nez, chez le même sujet. Contraction du transverse du nez; ne se produisant pas partie
dépendent de la forme du nez.) Fig. 39. — Destinée à l'étude de la contraction combinée du transverse du nez et du grand zygonia
transverse du nez et du grand zygoniatique, chez le même individu. Contraction combinée du transverse du nez, du grand zygomatiq
n qu'il donne à la physionomie, lorsqu'il s'associe aux palpébraux. Contraction électrique du transverse du nez et contraction vo
ocie aux palpébraux. Contraction électrique du transverse du nez et contraction volontaire, légère des palpébraux, de manière à m
hez le même individu, dont le transverse du nez est très développé. Contraction électrique combinée du transverse du nez et du gr
es lignes expressives, fondamentales et secondaires, produites par la contraction énergique du transverse du nez chez deux sujets d
figures 38 et 39. B. — Impression. La figure 38 fait voir que la contraction partielle du grand zygomatique donne à la physion
ui a refusée. On remarquera que j'ai mis en même temps son frontal en contraction , voulant indiquer par là que celte passion vient
4,17, 18,19, 20, 21, 22, 30, 31, 32, 33, 34, 37, 38, 39). A droite, contraction électrique forte du triangulaire des lèvres : dég
inée à l'étude expressive des triangulaires des lèvres, au maximum de contraction , chez le même sujet. Contraction électrique trè
gulaires des lèvres, au maximum de contraction, chez le même sujet. Contraction électrique très forte des triangulaires des lèvre
en dehors. Les figures hk et 45 montrent, en outre, qu'au maximum de contraction , le sillon interlabial décrit une courbe à concav
dre abattement des commissures labiales a lieu sous l'influence de la contraction des triangulaires des lèvres, et alors cet abaiss
ent de sa commissure labiale gauche; en d'autres termes, à une faible contraction du triangulaire des lèvres de ce côté., On peut
présentée sur le côté droit de la figure 36, qu'au plus haut degré de contraction , l'action expressive du triangulaire des lèvres c
n, l'a modifiée un peu; j'y reviendrai bientôt. La figure hh, où la contraction au maximum du triangulaire des lèvres est parfait
er. Le moindre abaissement des commissures labiales (par une faible contraction des triangulaires), associé à un léger rapprochem
Cette expression est rendue sur la moitié gauche de la figure 36. La contraction extrême (peut-être un peu exagérée et grimaçante)
attement. La contention d'esprit, exprimée dans la figure lo par la contraction assez forte de l'orbiculaire palpébral supérieur,
, devient, dans la figure une expression de pensée sombre par la même contraction au maximum de l'orbiculaire palpébral supérieur g
dérable des commissures ajoute à la dureté du regard, produite par la contraction du pyramidal du nez, muscle de l'agression. Il es
muscle de l'agression. Il est vrai que sous la seule influence de la contraction partielle du pyramidal du nez, le regard est déjà
tristesse qui sied bien à l'expression de souffrance produite par la contraction des sourciliers. La même combinaison musculaire
même sujet. A gauche, excitation électrique du petit zygomatique et contraction volontaire du sphincter dos paupières : pleurer f
excitation électrique de l'élévateur propre de la lèvre supérieure et contraction volontaire des paupières : nuance du même pleurer
et du grand zygoma-tique, chez le même sujet vu de face. A gauche, contraction électrique du petit zygomatique : pleurer modéré,
e du petit zygomatique : pleurer modéré, attendrissement. A droite, contraction électrique modérée du grand zygomatique: rire fau
vateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. A droite, contraction partielle de l'élévateur commun de l'aile du nez
baissement de la lèvre intérieure par les muscles carrés du menton. Contraction électrique des élévateurs communs de l'aile du ne
ment à l'expression du grand zygomatique, du côté opposé. A gauche, contraction électrique de l'élévateur commun de l'aile du nez
de la lèvre supérieure, et des palpébraux : pleurnicher. A droite, contraction du grand zygomatique : rire faits. EXPLICATION
ieure et de la ligne naso-labiale. 11 en est résulté qu'à ce degré de contraction , la portion du bord libre des lèvres et le sillon
on de la joie et du rire, est au contraire un muscle du pleurer. La contraction bien isolée de ce muscle, telle que je l'ai obten
ns la figure 47. Ici le sujet pleure franchement. Ce n'est pas que la contraction du Ipetit zygomatique y soit plus forte, j'ai déj
aire qu'elle était moindre que dans la figure 46 ; c'est parce que la contraction du sphincter des paupières y est associée à celle
gne naso-labiale donnait à sa physionomie l'expression du pleurer, la contraction du petit zygomatique avait remplacé celle du gran
expression ridicule et niaise. Fig. 50. — Destinée à l'étude de la contraction combinée, à un degré modéré, du frontal el. des a
eur. Abaissement volontaire et modéré de la mâchoire inférieure, et contraction électrique proportionnelle des frontaux : surpris
nnelle des frontaux : surprise. Fin. 57. — Destinée à l'élude de la contraction combinée, au maximum, des frontaux et des abaisse
. Abaissement volontaire, au maximum, de la màcboire inférieure, et contraction électrique énergique des frontaux : étonnement, s
combinant l'abaissement volontaire de la mâchoire inférieure avec la contraction électrique du frontal. La même combinaison musc
électrique du frontal. La même combinaison musculaire au maximum de contraction peint, dans la figure 57, une émotion analogue, m
|5, 46, 47, 48, 49, 51, 52, 53, 54, 55, 5(3, 57). Dans la première, contraction électrique du peaucier gauche; dans la seconde, c
première, contraction électrique du peaucier gauche; dans la seconde, contraction des deux peauciers : cette contraction partielle
ucier gauche; dans la seconde, contraction des deux peauciers : cette contraction partielle du peaucier est inexpressive. Fig. GO
e du peaucier est inexpressive. Fig. GO. — Destinée à l'étude de la contraction combinée, expressive, des peauciers et des fronta
née, expressive, des peauciers et des frontaux, chez le même sujet. Contraction électrique combinée des peauciers el des frontaux
des frontaux : frayeur. Fig. 01 et 02. — Destinées à l'élude de la contraction électrique combinée du peaucier et du frontal, as
ciée à l'abaissement de la mâchoire intérieure, chez le même sujet. Contraction électrique des peauciers, des frontaux, avec abai
s : expression d'effroi. Fig. G/i et 05. —Destinées à l'étude de la contraction électrique combinée des peauciers et des sourcili
ciée à l'abaissement de la mâchoire inférieure, chez le même sujet. Contraction combinée des peauciers et des sourciliers, avec a
nférieure : effroi mêlé de douleur, torture. Dans la figure 6/i, la contraction du peaucier est plus énergique à gauche qu'à droi
r et de l'effroi. EXPLICATION DE LA LÉGENDE. A. — Mécanisme. La contraction partielle de l'un des peauciers, photographiée fi
ouvre, c'est-à-dire la moitié antérieure du cou. Enfin, au maximum de contraction , un grand nombre de fibres de ce muscle forment
édentes, et principalement sur la figure 63. 11. — Impression. La contraction partielle du peaucier est inexpressive ; la figur
ec une grande vérité la surprise, l'étonnement, Fébahissement, par la contraction combinée des abaisseurs de la mâchoire inférieure
é latéralement. Son muscle frontal étant mis d'abord énergiquement en contraction , son œil est devenu attentif, tel qu'il a été pho
maxillaire inférieur. Les figures 56 et 57 ont déjà démontré que la contraction combinée des frontaux et des abaisseurs de la mâc
On voit, en effet, malgré l'abaissement de la paupière supérieure, la contraction combinée des peauciers, des frontaux et des abais
ui menace cet homme. Il est prouvé par les figures 0/t et 05 que la contraction combinée des peauciers, des abaisseurs de la mâch
accord avec le mouvement oblique et sinueux imprimé au sourcil par la contraction du sourcilier; mais le modelé des parties latéral
rivît une courbe concentrique à ces sillons; et jamais je n'ai vu une contraction volontaire ou expressive donner au sourcil une di
e à ces lignes frontales, comme cela s'observe sous l'influence de la contraction énergique du muscle frontal, chez un adulte (voy.
t les lignes, les reliefs et les méplats qui se produisent pendant la contraction énergique, soit du frontal, soit du sourcilier. L
une fanlaisie de l'artiste Àgésandre ; il est impossible, car aucune contraction musculaire, partielle ou combinée, ne saurait le
r Apollon d'écorcher Marsyas, l'expression de douleur produite par la contraction du sourciller, telle qu'elle est photographiée da
e spasmodiquement son sourcil, comme dans les figures 22 et 25, où la contraction des sour-ciliers est à son maximum. De toutes c
pas la clef de mes expériences. Aussi je crois devoir répéter que la contraction électrique partielle des muscles qui produisent d
e la face, que je provoque, d'un côté ou des deux côtés à la fois, la contraction électrique d'un ou de plusieurs muscles dont l'ac
ctil qu'au moment où le muscle électrisé est arrivé juste au degré de contraction nécessaire à la vérité parfaite de l'expression q
à la vérité parfaite de l'expression que je veux peindre. Mais cette contraction ne se maintient pas toujours assez longtemps à ce
tesse à cette expression. — La bouche entr'ou-verte, combinée avec la contraction du sourcilier, clans la figure 76, donne un carac
que ce relief du sourcilier et ces lignes frontales, dessinés par la contraction du muscle de la douleur sur un front bien plus je
6, en expressions d'une lubricité provocante, par l'association de la contraction forte de ce muscle aux autres traits; j'ai ainsi
mé des figures de vierges en figures de bacchantes. Mais lorsque sa contraction est modérée, ce muscle peint, dans certaines circ
hement des paupières n'avait aucune signification expressive. 2° La contraction du triangulaire de la figure 36 est très forte et
rs l'expression est commune. — Dans la figure 76, au contraire, où la contraction du triangulaire est modérée, on est frappé par la
Je répondrai que c'est avec intention que j'ai légèrement exagéré la contraction du triangulaire des lèvres, voulant indiquer par
ternelle, unie à la douleur produite par la mort d'un autre enfant. Contraction électrique moyenne du muscle sourciller, associée
sourire d'attendrissement, en cachant la moitié gauche de la face. Contraction électrique légère du petit zygomalique, associée
ormi, f aurais fait le coup (1). » Expression modérée de cruauté. Contraction électrique faible du pyramidal du nez (P, fig. 1)
ute de la plus atroce cruauté (2). ¦ Expression forte de cruauté. Contraction électrique moyenne du pyramidal du nez. Fig. 83
moment d'assassiner le roi lïuncan. Expression de cruauté féroce. Contraction électrique, au maximum, du pyramidal du nez. Fi
id et mécontent à droite, en cachant la moitié gauche de la bouche. Contraction électrique faible du grand zygomatique gauche, au
. J'ai déjà traité précédemment de ce genre d'expression composé de contractions musculaires contraires. C'est ici qu'il convien
où elle pleure la perte d'un être chéri, d'un époux......... » Ces contractions composées, au fond, par des expressions » contrai
qui peignent un sentiment pour ainsi dire » forcé, je les appellerai contractions combinées expressives » discordantes. » Lorsque
e conflit entre la douleur et la joie, d'où résulte la combinaison de contractions expressives que j'ai appelées discordantes, doit
lée de la douleur. Loin de là, il a peint le sourcil à son maximum de contraction douloureuse; ce qui contraste d'une manière choqu
est maigre et assez âgée, le front est resté uni, malgré l'énergique contraction douloureuse du sourcil. Le Poussin a commis la mê
on, par exemple, le sourire au » pleurer modéré, et encore mieux à la contraction légère du (I ) Cette expression excite l'admira
ise par Rubens échappe, de prime abord, à l'observation, parce que la contraction douloureuse du sourcil droit, qui est très faible
e ici le mécanisme. J'ai démontré? déjà que, sous l'influence de la contraction du grand zygomalique, on voit la commissure des l
ifique de l'album, où le muscle de la joie est montré dans un état de contraction électrique, ont mis ces faits en évidence (voyez
le de la joie, il faut, comme dans le sourire mêlé de douleur, que la contraction de ces muscles ne dépasse pas certaines limites,
est très difficile, et je n'ai jamais pu maintenir assez longtemps la contraction juste au degré convenable pour la reproduire par
r plus terrible et plus enlaidie encore que dans la figure 82, par la contraction au maximum de ce petit muscle, que l'on doit cons
ls. La figure 83, où le pyramidal du nez a été mis à son maximum de contraction , en est une preuve frappante. Qui reconnaîtra, da
important, au point de vue de l'influence défavorable exercée par la contraction plus ou moins forte du pyramidal du nez sur la be
ne expression de méchanceté et même de cruauté (voyez fig. 8), par la contraction du pyramidal du nez, j'ai trouvé ce muscle si fai
ales. — Ces mouvements s'obtiennent électro-physiologiquement, par la contraction combinée du pyramidal du nez et du triangulaire d
dans l'espace intersourcilier, au niveau de la tête des sourcils, sa contraction doit nécessairement tirer la peau de haut en bas,
uscle des passions agressives est puissant au point de tracer, par sa contraction électrique isolée, les signes de la méchanceté et
effet, que l'émotion de la joie franche s'exprime sur la face par la contraction combinée du grand zygoma-tique (I, fig. 1) et de
enfin, que la joie fausse, le rire menteur, ne sauraient provoquer la contraction de ce dernier muscle. (1) Loc. cit., 1er fascic
roduit par l'action isolée du grand zygomatique, à un faible degré de contraction , est, de prime abord, plus trompeur que le rire p
bouche et la partie inférieure de la joue). Dès que j'eus produit la contraction légère du grand zygomatique gauche (cachez les pa
qui a déjà été faite, dans la partie scientifique, à l'occasion de la contraction au maximum du grand zygomatique (voy. les figures
e, l'œil semble s'égayer et les traits s'épanouir un peu, bien que la contraction du grand zygomatique soit très légère. Cette illu
2 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
l'exécution même de celui-ci, et siégeant dans les muscles dont la contraction a été mise enjeu pour le produire. Par la répétit
uscles ont il exécuter un seul mouvement éner- gique et brusque, la contraction produite par l'influx volontaire se montre extr
oins long leur souplesse ordinaire. En plus de ces troubles dans la contraction volontaire des muscles, la maladie de Thomsen p
ITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 3 cles est augmentée ou modifiée ( contraction paresseuse, tonique, longue- ment persistante).
des muscles est un peu augmentée et elle est modifiée : ici encore contraction paresseuse, to- nique, longuement persistante.
ation des nerfs par de forts courants faradiques, produit aussi une contraction durable. Les chocs isolés d'ou- verture ne prod
d'un muscle, les électrodes étant maintenues en place, provoque des contractions irrégulières, ondulatoires. L'excitabilité galv
persistance. L'excitation labile des nerfs peut provoquer aussi des contractions persistantes. Par contre, les muscles montrent
in on observe ici, avec le courant stable, le phénomène spécial des contractions rythmiques, ondulatoires. » Nous avons eu l'occ
ou si on ne vient en ce moment à son aide. A la face, on voit les contractions durer un long temps dans les muscles qui entren
Les chocs isolés d'ouverture, même forts, produisent seulement des contractions musculaires rapides et sans persistance. Il en
rdivement, mais se montre presque constamment avant NOC. Toutes les contractions sont brèves, non per- sistantes, même après NFT
employée, la formation d'un sillon sous le marteau percuteur, ou la contraction totale du muscle ; dans les deux cas la contracti
percuteur, ou la contraction totale du muscle ; dans les deux cas la contraction produite persiste un temps très appréciable, qu
vec de forts courants, ne produisent encore le plus souvent que des contractions semblables à celles des muscles normaux, c'est-
ou en les répétant fréquemment, cette persistance consécutive de la contraction diminue et parfois même finit par disparaître. Au
parfois même finit par disparaître. Au début de l'excita- tion les contractions se font lentement, paresseusement ; souvent il se
c les mouvements de l'interrupteur il se produit dans le muscle une contraction totale, lente, tonique, qui persiste longtemps
ements de l'in- terrupteur ; puis le muscle se tétanise et reste en contraction tonique pendant plusieurs secondes (10, 15, 20)
15, 20), les secousses isolées diminuent ou disparaissent; puis, la contraction tétaniforme cessant, les secousses isolées repara
our que réapparaisse la dispo- sition du muscle à entrer en état de contraction tonique. Cependant, des excitations fréquemment
en pro- duisant, soit plus tôt, soit d'une façon plus marquée, des contractions lentes, paresseuses et toniques. De plus PO pro
es et toniques. De plus PO produit le plus souvent aussi une petite contraction , lente, tonique et persistante, tandis que NO n'e
e NO n'en produit pas, ou dans les rares cas où il s'en produit, la contraction est courte et rapide. - Enfin en faisant passer
cteur, il se produit dans ces conditions, sur un muscle normal, une contraction , unique, rapide, instantanée. 2° Ou des coura
nterruptions par seconde) pour que le mus- cle sain réponde par une contraction isolée à chaque interruption, étant ou non, sui
67), si fortes même qu'on puisse les choisir, on n'obtient que des contractions brèves et instantanées. » C'est, en effet, ce q
ant la force du courant. « Les excitations minimales provoquent des contractions qui ressemblent à celles des muscles normaux, s
t que graduellement, suivant la force du courant, cette durée de la contraction faradique se prolonge entre 5 et 20 secondes. »
itres et Dallidet CI). Ces tracés n'enregistrent pas directement la contraction du muscle, mais l'effet produit par celle-ci, c
poire en caoutchouc tenue dans la paume de la main, par suite de la contraction des fléchisseurs. Les résultats sont néan- moin
s à ceux que nous avons obtenus par l'en- registrement direct de la contraction musculaire. Les tracés que nous reproduisons pl
idée de la disparition lente et de la longue durée consécutive des contractions ainsi produites dans la maladie de Thomsen. L
es et plus prolongées, on peut constater un autre phénomène : « des contractions musculaires avec fort gonflement et avec oscillat
ique assez espacées pour produire à chaque ouverture du courant une contraction isolée du muscle. Les effets produi ts sur les
ode d'excitation produit, avec des cou- rants de force modérée, une contraction à chaque interruption, c'est-à-dire à chaque ou
du muscle, celui-ci continuant à répondre à l'exci- tation par des contractions isochrones aux interruptions. Dès que cesse l'e
2 à 15 par se- conde, pendant 1/2 ou 3/4 de minute) il apparaît une contraction tonique et totale du muscle, qui disparaît ensu
tions courtes (d'une durée de 1 à 2 ou 3 secondes). Effet produit : contraction tonique du muscle et décontraction lente consécu-
rable au trouble des mouvements volontaires dans le cas d'une seule contraction énergique et brusque sous l'influence de la vol
s, ou par suite de l'emploi de courants très forts. Effet produit : contraction tonique du mus- cle, décontractions très lentes
ommence l'excitation, il se produit dans le muscle exploré quelques contractions isochrones avec les mouve- ments de l'interrupt
e l'interrupteur; z au bout d'une, de deux ou de trois secondes ces contractions cessent tandis que le muscle tout entier se gonfl
e gonfler et se dessiner sous la peau, comme précédemment, mais les contractions isochrones au mouvement du trembleur ne cessent p
dure 10, 15, 20 secondes, quelquefois plus ; 3° on voit t alors les contractions isochrones aux mouvements de l'interrupteur réa
l répond comme un muscle normal à chaque excitation du courant; ses contractions sont isochrones avec les mouvements du trem- bl
précédents se reproduire seulement à l'état d'ébauche, la phase de contraction tonique était beau- coup moins longue et le gon
illon profond sous l'électrode excitatrice, au moment des premières contractions du muscle, puis le spasme myotonique se produir
ue l'activité musculaire joue un grand rôle dans la circulation. La contraction musculaire chasse le sang des artères et quand ce
contracture. Quand on lui demande de montrer ses dents, on voit la contraction de l'é- NOUVELLE Iconographie de la SALPE7R1$Rg
èrement la lèvre in- férieure du môme côté, élevée elle-même par la contraction du menton, de sorte que l'on ne voit presque ri
qu'on fa- vorise avec des courants faibles le menton contracté, la contraction de tons les muscles cesse presqu'immédiatement
issant après soi un peu plus de contracture, le muscle est enfin en contraction perma- nente presque totale. Pendant que ces
que totale. Pendant que ces secousses étaient en pleine action, les contractions fibril- se montraient dans l'élévateur du mento
seu- lement le nerf facial droit entrait un peu moins facilement en contraction par l'électricité que celui du côté gauche. La
as admettre que l'affection de l'oreille droite soit la cause de la contraction que nous venons de décrire, d'autant moins que
articipation de la face aux mouvements involon- taires. Ce sont des contractions isolées, indépendantes, de tous les muscles de
OTYPE A. LONDE. PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne B Longuet ATHETOSE DOUBLE Contraction DES MUSCLES DE la Face A l'Occasion DE la Parol
t en abduction forcée l'un par rapport l'autre. Dans cette série de contractions , les doigta jouissent d'une indépendance complè
ils peuvent se mouvoir chacun séparément ; sou- vent aussi dans ces contractions isolées des doigts se produit cette sorte d'ant
que les mouvements peuvent atteindre un degré d'intensité extrême : contractions excessivement violentes tordant le tronc dans t
n temps et principalement dans les efforts, rendue sifflante par la contraction spasmodique des muscles des lèvres et de la bou
arrivait de temps en temps au malade d'avaler de travers lorsqu'une contraction involontaire des muscles qui contribuent à cett
dée, souvent un peu nasonnée et gutturale », elle s'ac- compagne de contractions involontaires très prononcées des muscles, des
llongée, par le resserrement spasmodique des commis- sures, dû à la contraction involontaire des muscles de la langue et d'une
I. TROUBLES MOTEURS. Contractures. Nous avons vu qu'on observe des contractions partout, tantôt clans un groupe musculaire, tan
ns partout, tantôt clans un groupe musculaire, tantôt dans l'autre, contractions qui tor- dent, dans les positions les plus biza
articulations phalangiennes. Au niveau des orteils et pieds, mêmes contractions se produisent : en abduction et adduc- tion, fl
produisent : en abduction et adduc- tion, flexion et extension. Les contractions et les spasmes quelquefois, au lieu d'être pass
ir se produire, comme pour les séries précédentes, des secousses de contractions isolées, nous voyons apparaître un tétanos pres
TUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 93 tanos. Pendant la contraction tétanique, le muscle est donc plus gonflé que '
uvelle excitation, A 2° ; il n'y a plus de spasme myotonique et les contractions musculaires sont normales. Au bout de I 2 secon
d'é- tudier, rappellent de très près les troubles myotoniques de la contraction volontaire, dans le cas de répétition successiv
s. Ainsi la l''e ligne A de la ligure 9 représente l'inscription de contractions vo- lontaires des fléchisseurs ,'1 t'avant-bras
myonralthe appliqué sur les fléchisseurs recueillait directement la contraction du muscle. On voit qu'au début les contractions
llait directement la contraction du muscle. On voit qu'au début les contractions sont très espacées, puis elles se rapprochent d
t de plus en plus il mesure qu'elles se répètent. Non seulement les contractions deviennent de plus en plus fréquentes, mais ell
en effet, le muscle ne se décontracté pas complètement entre chaque contraction , au contraire il reste en partie contracté et les
ction, au contraire il reste en partie contracté et les pre- mières contractions ont une faible étendue ; l'étal spasmodique du mu
(Maladie de Thomsen) 21 août 1888. - A. Inscription myographique des contractions volontaires des fléchisseurs à l'avant-bras droit
e tracé non seulement par l'espace qui sépare chacune des premières contractions , mais encore par le niveau occupé par la courbe
uivant, B. Celui-ci représente non plus l'inscription directe de la contraction muscu- laire, mais l'effet de cette contraction
ption directe de la contraction muscu- laire, mais l'effet de cette contraction , c'est-à-dire les mouvements de flexion des doi
econdes, au lieu d'être prolongée pendant 30, 40 ou 50 secondes, la contraction tonique du muscle se maintient après la cessati
uscle du côté droit, c'est d'une part la fa- çon dont se produit la contraction du muscle pendant ces excitations, et d'autre p
l remonte graduellement et dépasse souvent le niveau de la première contraction . On peut, croyons- nous, se rendre facilement c
les premiè- res excitations). Mais bientôt le sillon disparaît, la contraction du muscle s'étend régulièrement à sa totalité,
acés on voit la courbe se relever graduellement. Ceci montre que la contraction peut être lente aussi dans une certaine mesure
tracte lente- ment et de la façon que nous avons déjà indiquée. Ces contractions du muscle la fin de l'excitation ne se produise
e la décontraction commence aussitôt et n'est pas précédée de cette contraction secondaire. Cette contraction ou ce gonflement
itôt et n'est pas précédée de cette contraction secondaire. Cette contraction ou ce gonflement secondaire du muscle sont encore
tra que cette ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 113 contraction secondaire s'y montre également à la suite de que
moment où cesse l'excitation, que nous avons dési- gnées du nom de contraction ou gonflement secondaire du muscle, nous penson
on peut constater dans l'observation III le phénomène snivant : des contractions musculaires for tement houleuses et ondulantes,
la station debout, l'équilibre du rachis lombaire est assuré par la contraction simultanée de ces deux groupes antagonistes. Su
qui lend il entraîner celui-ci en arrière, l'autre active, c'est la contraction des muscles abdominaux. Pour que la verticale a
anos très incomplet et, à chaque ouverture du courant, présente une contraction isolée el assez étendue ; à la lin de chaque exci
ible proportion, presqu'aussitôt après il se contracte cle nouveau ( contraction secondaire, que nous avons déjà signalée précéd
e siège de mouvements ondulatoires pendant tout le temps cle la dé- contraction lente. C'est seulement après 22 secondes qu'il re
en A' ; à partir de ce moment apparaissent des oscillations dans la contraction du muscle qui continue néanmoins à répondre par
la contraction du muscle qui continue néanmoins à répondre par des contractions isolées aux chocs d'ou- verture du courant; les
emment, dans la section B, c'est-à-dire qu'il se produit une petite contraction secondaire, puis le muscle se décontracte assez r
n le muscle semble revenir à son état de repos pour recommencer ses contractions et ses oscillations quelques secondes après, y' ;
ent, et qu'ensuite le muscle répond à chaque choc faradique par une contraction isolée et étendue comme le ferait un muscle norma
uvelle excitation, A' ; il répond à chaque choc fa- radique par des contractions distinctes et assez étendues, mais lorsque cess
elle, puis, après que l'excitation a pris fin, la persistance de la contraction du muscle avec des alternatives de gonflement et
les mouvements ondulatoires qui parfois accompagnent et suivent la contraction des mus- cles dans la maladie de Thomsen. On vo
e par ce fait qu'en excitant un muscle on voit apparaître aussi des contractions dans les mus- cles voisins, par propagation du
e durée. Celte lenteur, cette pa- resse et ce caractère tonique des contractions se manifestent à PF souvent même avec les faibl
e des courants forts on constate aussi à l'ouverture du courant une contraction tonique d'une durée plus ou moins longue et ne
ins longue et ne disparaissant que graduellement. La durée de cette contraction d'ouver- ture atteint suivant les cas, et suiva
citabilité galvanique signalée par Erb consiste dans l'existence de contractions ondulatoires, sous l'influence de courants stab
; par exemple, si le malade tient dans la main le pôle négatif, les contractions ondulatoires courent dant les fléchis- seurs de
e nous reproduisons plus loin, montrent aussi que l'am- plitude des contractions reste toujours plus considérable à NF qu'à PF.
jours plus considérable à NF qu'à PF. Relativement à la forme de la contraction nous constatons, comme Erb l'a signalé, que PF
s, comme Erb l'a signalé, que PF l'emporte sur NF pour produire des contractions lentes, paresseuses et toniques. Non seulement,
'indique sur les tracés la forme arrondie que prend la courbe de la contraction . Enfin sur nos tableaux et sur nos tracés on pe
és on peut constater encore la lon- gue durée et la persistance des contractions , soit après les secousses de fer- meture, soit
acés, c'est l'in- fluence des secousses répétées sur la forme de la contraction . Cette influence se manifeste par la disparitio
rition graduelle de la lenteur, de la paresse et de la tonicité des contractions , qui se rapprochent de plus en plus des con- tr
e et l'expira- tion presque sifflante, causées probablement par les contractions spasmodi- ques des muscles des lèvres et de la
athétose double, les secousses musculaires sont brusques, comme les contractions provoquéespar une décharge électrique. Enoutreell
ent de la peau, percussion des muscles, etc., souvent il existe des contractions musculaires incomplètes, fibrillaires ou fascicul
hénomène inverse prouve- rait à coup sûr une lésion surajoutée à la contraction musculaire, el le pronostic se trouverait modif
raversent les mas- ses musculaires, pouvaient rendre douloureuse la contraction des muscles. C'est ainsi que L. Laquer (1) cher
ées, ce qui est habituel, doivent être attribuées en tous cas à une contraction musculaire prolongée des fléchisseurs latéraux
quence de la paralysie d'un membre inférieur. Elles résultent d'une contraction musculaire semblable à celle qui se manifeste d
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. et 20 milliampères (1). Elle montre que les contractions produites à la fer- meture du courant par le pô
ues. Ces caractères sont en général plus accusés pour les premières contractions de chaque ligne, mais se retrouvent aussi aux c
remières contractions de chaque ligne, mais se retrouvent aussi aux contractions suivantes pro- voquées après des intervalles de
assez faibles. A chaque ouverture du pôle positif il y a aussi une contraction , également lente et tonique, mais plus petite q
e, suivie aussi d'une décontraction lente et paresseuse. Toutes ces contractions de PO se ressemblent beaucoup en forme, étendue
, étendue et lenteur. Les fermetures du pôle négatif produisent une contraction plus rapide que celles du pôle positif, en outr
te régulièrement et en totalité ; il reste quelque temps en état de contraction tonique et se décontracte paresseusement. Lorsq
Lorsqu'on ouvre le courant il n'y a pas à NO comme à PO de nouvelle contraction , mais au contraire on constate d'abord une chut
ter lentement. Ces dernières courbes de NF ressemblent beaucoup aux contractions tétaniques provoquées sur des muscles normaux a
ositif sont brè- ves, instantanées et sans durée. Aussitôt après la contraction le muscle se décontracte brusquement et complèt
Au moment de l'ouverture du courant, en 0, il ne se produit pas de contraction . Le pôle négatif, 2°, avec un courant d'une int
raction complète. A l'ouverture du courant il n'y a pas non plus de contraction . Lorsqu'on em- ploie des courants plus intenses
es courants plus intenses on voit se produire, à l'état normal, des contractions toniques et durables. Ainsi la ligne 3 de la figu
irrégulier. A l'ouverture du cou- rant il se produit de nouveau une contraction , mais elle est beaucoup plus brève que dans la
pendant une durée très appréciable et il se produit à PO de petites contractions . La ligne suivante, 4°, avec un courant plus fa
t, montre qu'à la fermeture du pôle négatif il se produit une forte contraction , plus élevée qu'avec le pôle po- sitif, où cepe
et également de durée persistante ; mais ici nous ne voyons pas de contraction à l'ouverture du courant. Il s'en serait produi
existe dans la forme de la contrac- tion, même dans les cas où les contractions des muscles normaux devien- nent tétaniques.
SCLES. 235 de l'expérience la fermeture du pôle négatif produit une contraction ex- trêmement Ionique et de longue durée. Il es
ontrées sur les tracés précédents. Au moment de la fermeture il y a contraction forte et rapide, qui cède en partie, puis le mus-
tion forte et rapide, qui cède en partie, puis le mus- cle reste en contraction tonique. Au moment de l'ouverture il n'y a pas de
ementpuislentement. Après la décontraction rapide il y a une petite contraction secondaire comme sur plusieurs tracés analogues
emment, aussi, il se produit à chaque ouverture du pôle positif une contraction petite, lente et tonique. Nous avons recherché,
son, vraisemblablement, de la tonicité et de la per- sistance de la contraction de fermeture il ne se produit pas de secousses à
instantanées, mais longtemps encore elles sont suivies d'un état de contraction Ionique du muscle, moins prononcé toutefois pou
tracté pendant toute la durée de l'expérience, mais que cet état de contraction tonique diminue à mesure que les excitations se
et rapide du muscle, qui reste longtemps encore ensuite en état de contraction tonique. A partir de la 3" minute toutes les seco
IÈRE. se produit dans le muscle, avec le pôle posilif, une première contraction de fermeture faible et légèrement Ionique; plus
lement la formation d'un sillon à l'endroit percuté, mais encore la contraction totale du muscle; le muscle reste alors longtem
lors longtemps contracté et ne se relâche que très lentement. Cette contraction persistait sur certains muscles au delà d'une m
iques plus prononcés de la contractilité électrique, et aussi de la contraction volontaire. Le D'' Déléage a étudié dans sa thèse
e. II en rapporte un tracé (/. c. p. 125, lig. 8) qui montre que la contraction se fait rapidement au moment du choc, et que la
iques du Dl' Déléage lui ont montré, que, d'une façon générale, les contractions musculaires du triceps, par excitation mécani-
itation mécani- que de son tendon, sont brusques, contrairement aux contractions volon- taires et aussi aux contractions par exc
brusques, contrairement aux contractions volon- taires et aussi aux contractions par excitation directe du muscle lui-même qui s
recte du muscle lui-même qui sont torpides. Parfois, cependant, les contractions du triceps fémoral produites par les premières
ge a constaté que le temps perdu entre l'excitation du tendon et la contraction du muscle était plus long 242 NOUVELLE ICONOGRA
rachial, et des divers autres troncs nerveux, ne déterminait pas de contraction musculaire. L'excitabilité faradiqueneprésentai
ure, alors même qu'elles étaient fortes, produisaient seulement des contractions musculaires rapides et sans durée consécutive.
nerfs étaient brè- ves, rapides, instantanées ; même après NFTe la contraction musculaire ne persistait pas ; on voyait seulem
a contraction musculaire ne persistait pas ; on voyait seulement la contraction devenir durable si l'on faisait glisser l'élect
te normalepour toutes les excitations isolées, c'est-à-dire que les contractions produites par de telles excitations, aussi bien
abile, courant faradique à interruptions fréquentes) provoquent des contractions Ioniques et persistantes, dont la durée toutefo
t les modifications les plus nombreuses et les plus importantes des contractions . Cette façon différente, dont les nerfs et les
le marteau, soit avec le bout du doigt, suffisent pour produire la contraction tonique du faisceau musculaire tou- ché, se tra
former sur la peau des reliefs saillants et plus ou moins durs. Les contractions toniques ainsi produites sont persistantes et dur
, et, ces modifications consistent d'une part dans la production de contractions toniques, dura- bles, persistent plus ou moins
uction de mouve- ments ondulatoires, sans direction déterminée. Les contractions toniques, avec durée consécutive, sont provoqué
nts fréquem- ment interrompus, ne produisent, au contraire, que des contractions cour- tes, sans durée consécutive. Telles son
réquemment les secousses (de se- conde en seconde, par exemple) les contractions manifestaient déjà une tendance à devenir toniq
aible intensité (1/4, 1/2, 1 et 2 milliampères) provoquent déjà des contractions musculaires, mais aussi par le fait qu'en excitan
le fait qu'en excitant tel ou tel muscle il se produit souvent des contractions dans des muscles voi- sins, par propagation du
gale, parfois même leur prédominance est intervertie. De plus les contractions des muscles sont, môme avec de faibles courants,
quer davantage cette lenteur, cette paresse et cette tonicité de la contraction ; il en était mani- festement ainsi dans le cas
toniques qu'avec des cou- rants plus forts. Ces modifications de la contraction musculaire se recon- naissent facilement à la l
recon- naissent facilement à la lenteur avec laquelle se produit la contraction , parfois à la formation de dépressions plus ou
durables au-dessous de l'électrode, et enfin à la persistance de la contraction qui suivant les cas atteint 5, 10, 30 secondes
ec des èourants forts il reparait régulière- ment à l'ouverture une contraction tonique, qui se prolonge plus ou moins longtemp
sont très nettes sur nos tracés. Au contraire, au pôle négatif, les contractions d'ouverture font presque toujours défaut, et, l
ourants faradiques, c'est-à-dire que les caractères myotoniques des contractions musculaires provoquées s'atténuent t progressiv
membre, la cuisse, la jambe. On voit, alors, bientôt apparaître une contraction tonique des muscles, u laquelle succède des mou
s la lenteur, la paresse, la tonicité et surtout la persistance des contractions ainsi provoquées. Ces caractères sonl il leur max
iques l'excitation mécanique et électrique des muscles provoque des contractions toniques et persistantes, mais celles-ci sont dou
es. Des différences bien tranchées permettent de les distinguer des contractions toniques, lentes et persistantes de la réaction
des courants forts et avec interruptions fréquentes) provoquent ces contractions toniques et persistantes ; celles-ci sont doulo
n de l'excitabilité faradique et galvanique. Pour cette dernière la contraction est plus forte au pôle positif qu'au pôle négatif
t plus forte au pôle positif qu'au pôle négatif. Asz>Isz. Pas de contraction appréciable de l'extenseur commun. Péroniers laté
t actuel, 10r mars 1887. Face immobile, seulement de temps en temps contraction de la peau du front, front peu élevé, 6 centimè
ns la paralysie de l'accommodation produite par l'atropine, dans la contraction de l'accommodation produite par l'esé- rine, on
u'il ne peut la maintenir hors de la bouche et quelle est animée de contractions fibrillaires, la pointe se présentant recourbée
irritant les nerfs sensibles de la peau et en provoquant de fortes contractions muscu- laires brusques et désagréables. Mais c'
ar des courants faibles et de les augmenter jusqu'à l'apparition de contractions musculaires très modérées. La môme expérience d
que regagne le malade est embarrassé presque dès son retour par des contractions des muscles dont l'action lui est antagoniste.
musculaire dont le malade était privé. Il y a enfin des cas où les contractions antagonistes n'apparaissent qu'a- près que les
avail lui doit être égale. Cette hypothèse explique bien ces fortes contractions musculaires spasmodiques qu'on observe dans l'hé-
raisseuse du coeur ne la supportent pas, parce que la fréquence des contractions du coeur engendrées par l'excitation du sympathiq
libre, à un appel d'air vers les vésicules pulmonaires vides et aux contractions du diaphragme plus vives qu'à l'état ordinaire.
rique. L'évacuation des mucosités ne peut être expliquée que parles contractions des muscles des bronchioles. Une diminution de la
3 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
des mouvements énergiques d'extension de la jamhe sur la cuisse, la contraction des muscles de la cuisse et, quelquefois, la fl
tendon d'Achille aussi très exagérés, la percussion déterminant la contraction des muscles de la région postérieure de la jambe
orts mouve- ments de flexion des pieds sur les jambes ; différentes contractions sont quel- quefois consécutives à une excitatio
es deux côtés, considérablement exagérés, d'éner- giques et rapides contractions étant provoquées par la moindre excitation d'un
aire défaut; la percussion de l'omoplate ne parait pas provoquer de contraction du deltoïde mais elle est suivie d'une réaction d
olentes ne cédant pas après le retrait de l'appareil d'exten- sion. Contractions rapides, engourdissement douloureux de la plante
urs mois des paresthésies sous forme de fourmillement ainsi que des contractions involontaires dans les deux extrémités inférieu
de Médecine de Lisbonne. Les myoclonies sont caractérisées par des contractions musculaires spon- tanées, brusques, rapides, il
ôme, nous devons mettre d'autres descriptions dans les- quelles les contractions musculaires ne sont également que des symptômes.
Dubini, mais de deux infections dans lesquelles sont ap- parues les contractions myocloniques chez une jeune fille de ils. ans et
propos de la classification des myoclonies. Les descriptions des contractions musculaires de la maladie de Dubini et celles d
des contractions musculaires de la maladie de Dubini et celles des contractions de tous les autres cas sont tout à fait identique
n état de contractilité simultanée de plusieurs mus- cles. A chaque contraction la masse musculaire devenaitsaillante et dure,
çon sur les myoclonies, demandait si on devait, étant donné que les contractions musculaires de sa malade pro- duisaient des eff
ique dominante : la secousse musculaire. Et ainsi, dans le sens des contractions sans déplacement, nous devons rapprocher la mal
kimies et de la dite chorée fibrillaire de Morvan. Dans le sens des contractions musculaires avec déplacements, nous devons mett
e symptômes de la maladie. Dans d'autres descriptions on trouve les contractions fibrillaires dans des groupes musculaires mais
être rattachés au spasme facial, Henry Meige ayant montré que les « contractions parcellaires » sont un des signes caractéristique
nfondent. En effet, la différence consiste simplement en ce que les contractions sont fibrillaires et non fasciculaires. Les une
écrite par l'auteur lui-même : «La maladie est caractérisée par des contractions fibrillaires apparaissant tout d'abord dans les
a cure ra- pide faite par ce traitement, la façon avec laquelle les contractions sont apparues, sa forme spéciale, nous donnent
iption faites par Berland montre bien lescaractères spéciaux de ces contractions pseudo-choréiques. « Les symptômes, dit Berland,
s (Trousseau). Or, cet enfant était pris de mouvements bizarres, de contractions mus- culaires involontaires, qui le projetaient
pides et brusques, localisés aux quatre mem- bres et à la tête. Ces contractions ne l'empêchent pas de marcher et d'exécu- ter l
t debout, assise ou couchée. Ces mouvements sont déterminés par des contractions musculaires involontaires, très brusques et rap
roduit souvent dans les muscles des membres inférieurs. En 1909 les contractions avaient une prédilection initiale pour le membre
place- ment et l'entraînement du pied gauche. , . Aujourd'hui les contractions déterminent des mouvements et des déplace- ment
. Il est difficile de bien préciser tous les muscles qui entrent en contraction . Les masséters, les risorius, les orbi- culaire
t ou même seulement s'ébauchent. Les masséters font quelquefois des contractions énergiques, et forment des saillies sous la pea
ois ce ne sont que quelques fascicules muscu- laires qui entrent en contraction . La tête exécute aussi des mouvements-latéraux,
augmentent. Il en est de même pour le froid. Pendant le sommeil ces contractions et ces mouvements involontaires dis- paraissent
jamais d'atlaques nerveuses. A 13 ans elle commence à éprouver des contractions dans les muscles orbiculaires des paupières et de
fréquentes jusqu'à l'intensité qu'elles présentent aujourd'hui. Ces contractions n'ont pas un siège fixe. Ou elles paraissent aux
igine émotive. La malade n'a pas subi de grands chocs moraux. Les contractions ne l'empêchent pas de marcher, ni de faire les ac
iller, manger et vaquer aux petits services domesti- ques. Mais les contractions nuisent un tant soit peu à tous ces actes. Elle
côté des appareils digestif, circulatoire et respi- ratoire. Les contractions ébranlent tous les segments de son corps comme si
ériodes de plus grande agitation. ' Les mouvements produits par les contractions sont les plus divers et les plus bizarres. Néan
à une ou deux exceptions près, quels sont les plus fréquents. Les contractions musculaires qui déterminent les mouvements d'élév
a tête, la flexion du tronc et le soulè- vement du bras gauche, les contractions des muscles de la face, la flexion des bras, et
de la face, la flexion des bras, etc., sont des formes diverses des contractions musculaires de la malade. D'autres fois les con
verses des contractions musculaires de la malade. D'autres fois les contractions sont localisées seulement aux membres infé- rie
ière. Le diaphragme et les muscles de la phonation entrent aussi en contraction et la malade émet des cris, deux ou trois notes
averser les rues sans grandes diffi- cultés. La malade a moins de contractions quand elle est distraite; mais quand on lui dem
ccès pendant quelque temps. G. M... n'a jamais cessé d'éprouver ces contractions , depuis le moment où elles ont commencé, avec d
ns le même état qu'il y a un an. Pendant le sommeil elle n'a pas de contractions , mais quand elle se couche elles sont violentes
a malade semble, parfois, fatiguée ; mais elle ne se plaint que des contractions et des mouvements qui lui rendent la vie insuppor
e nous l'avons dit dans leur définition, sont caractérisées par des contractions musculaires spontanées, brusques, rapi- des, il
pas une caractéris- tique à accentuer. Tout dépend du degré de ces contractions , qui peuvent être fibrillaires dans un degré mi
upations usuelles, ont, au contraire, une action inhibitoire. Les contractions sont brusques. Elles arrivent inopinément sans qu
uavité. - A côté de cette brusquerie on doit noter la rapidité. Les contractions musculaires ne se maintiennent pas. Elles se su
ec une telle fréquence qu'elles peuvent produire l'impression d'une contraction tétanisante. Nous avons déjà dit que chez une d
observation 2 ont duré moins d'une seconde. La moyenne de durée des contractions dans les deux cas ne dépasse pas une demi-secon
ans les deux cas ne dépasse pas une demi-seconde. Cetle rapidité de contraction , qu'on ne trouve pas dans les mouvements choréi
et 180 dans le cas de 13echterew. Chez nos malades la fréquence des contractions est très inconstante, fait qui a été aussi cons
durée et la quantité de masse masculaire atteinte. Généralement les contractions sont cloniques; mais il y des observa- tions pu
ractions sont cloniques; mais il y des observa- tions publiées avec contractions toniques. Nikitine, par exemple, a publié un ca
iques. Nikitine, par exemple, a publié un cas de paramyoclonus avec contractions cloniques et toniques séparées. Sur la fréquenc
oniques et toniques séparées. Sur la fréquence, l'importance de ces contractions toniques il n'y a pas de données précises. En t
précises. En tous cas nous devons retenir que, pour le moment, les contractions cloniques sont, seules, caractéristiques de la my
as appréciables. Elles se confondent et ne produisent qu'une unique contraction de forme tétanique. Pierre Marie, qui a publié
ourbe d'apparence tétaniforme. Mais elles sont fondamentalement des contractions cloniques. Ces contractions ont encore la carac
Mais elles sont fondamentalement des contractions cloniques. Ces contractions ont encore la caractéristique d'être illogiques.
d'être illogiques. Par cette dénomination nous voulons dire que les contractions myocloniques ne reproduisent pas des mouvements
mation qui a toujours une base psychique. Primitivement ce sont des contractions musculaires orientées vers une fin déterminée.
séparer, avec le critérium présenté, les tics des myoclonies. Les contractions myocloniques sont involontaires. Elles surviennen
le dans les observatious publiées. Quand la malade est au repos les contractions sont plus intenses, au contraire quand elle exé
le exécute quelques mouvements, quand elle marche, par exemple, les contractions diminuent. Les distractions ont, comme nous l'a
té des descriptions confirme ce fait. Chez notre seconde malade les contractions sont plus fortes quand la malade est au lit et
SeeligmiU 1er (second cas), Bechterew. Venturi, Feletti, etc., les contractions persistent pendant le sommeil. Mais ce sont des
malades peuvent marcher, manger, écrire, coudre, etc., sans que les contractions leur nuisent. Déjà Trousseau l'avait remar- qué
remar- qué dans ses choréiques saltatorias. L'émotion exagère les contractions des myocloniques. Chez la première de nos malad
oid, les courants électriques ont aussi une action exagérative. Les contractions myocloniques sont arythmiques. Il y a de très rar
rfaitement rythmiques, mais à côté de ces mouvements il y avait des contractions tout à fait arythmiques. Quelques auteurs onl o
sculaires atteints. On l'a même considérée comme un carac- tère des contractions myocloniques. Eu effet on trouve souvent la symét
elle signifie que les muscles symétriques sont atteints par la même contraction , mais dans divers moments. C'est ce qu'on voit
ns divers moments. C'est ce qu'on voit chez nos deux malades. Les contractions sont asynchroniques. Déjà Friedreich l'avait re
t et du côté gauche, mais chacun de ces muscles présentait dans ses contractions une indépendance complète, et tantôt l'un, tantôt
tractait isolément et indépendamment des autres. S'il survenait une contraction simultanée de plusieurs muscles, ce n'était t q
effet de hasard assez compréhensible, étant donné la fréquence des contractions . » MYOCLONIES ESSENTIELLES 103 Les mesures ri
arie montrent que, même quand il semble exister une simultanéité de contraction , il y a toujours une petite différence entre un
entre 7/50 et 4/50 de seconde. Quant au siège de préférence de ces contractions il est difficile de faire une classification ex
crits surtout chez la seconde malade. Ce n'est que rarement que les contractions peuvent atteindre un muscle seul (Hucbard et Fi
pour notre seconde malade chez laquelle on voit de vraies crises de contractions suivies et très fortes. Les contractions myoc
voit de vraies crises de contractions suivies et très fortes. Les contractions myocloniques ne sont pas douloureuses. Les malade
une nouvelle variété myoclonique dans laquelle le nystagmus est la contraction dominante. C'est une maladie héréditaire et fam
Il y a des cas (comme chez notre première malade) dans lesquels les contractions surviennent avec intensité après une émotion. Dan
vent avoir des formes diverses : ou elles se réduisent à de petites contractions difficilement perceptibles (Russel Raynold), ou
(Sizaret et Havarit, Santenoise et Laignel-Lavastine), ou alors les contractions produisent des mouvements similaires à ceux que n
dant que les secousses myocloniques commencent à se développer. Les contractions musculaires sont surtout accentuées aux membres e
ibrillaire essentielle dans lesquels le symptôme prin- cipal est la contraction fibrillaire. La myokimie de Kny-Schultzeet la cho
iplex de Friedreich ou myoclonie sans déplacements, dans lequel les contractions fasciculaires des muscles, par- fois très inten
membres, du tronc, du cou, de la face, etc., comme conséquence des contractions spontanées, brusques, involontaires, incohérent
baires sont accompagnés, ou précédés,par des phénomènes irritatifs ( contractions des muscles mimiques, douleurs névralgiques dan
us réagissent promptement au courant galvanique et faradique, et la contraction qui en ré- sulte est la même de chaque côté du
e. Sur les muscles soumis à l'examen, on ne voit ni tremblement, ni contractions fibrillaires, ni spasmes, ni atrophie, ni même hy
. Contre ces der- 28 HNATEK nières. on a pu objecter le manque de contractions fibrillaires et l'exis- tence de la réaction no
é musculaire spéciale, per- mettant au sujet de modifier le mode de contraction des muscles scapulo. huméraux, si bien que le p
ctions uniminusculaires du côté droit, on ne peut pas provoquer des contractions bien limitées à un seul muscle. De plus ces con
s fibres qui subsistent encore sont incapables de produire par leur contraction une saillie apparente du tendon ou un mouvement c
ssi, il est impos- sible de voir le gonflement du muscle pendant sa contraction , gonflement qui serait peut-être encore apparen
hiés est une diminution telle de l'étendue et de la puissance de la contraction qu'elle peul paraître (1) Les paralysies cortic
, en rai- son des difficultés matérielles qu'il y a à percevoir des contractions aussi diminuées. Malgré tout, nous inclinons pe
s. - Une pareille altération du graphisme a pour cause à la fois la contraction dés- ordonnée des muscles moteurs des articulat
violentes, durent une nuit et deux jours. Depuis cette époque, les contractions spasmodiques, douloureuses se repro- duisent en
s'installent à nouveau, plus intenses que jamais. A ce moment, les contractions spasmodiques douloureuses se rap- Nouvelle Icon
usses qui disparaissent spontané- ment. Quelques jours après, les contractions douloureuses reprennent; elles ont leur pqint d
la moue.. Dans tout le côté gauche de la face, il existe de petites contractions ou se- cousses apparaissant et disparaissant br
Bernhardt (4), qui en décrivent deux variétés : l'une comprend des contractions fibrillaires, survenant brusquement, en éclairs (
(blizartig), quand la face est au repos; l'autre se rapporte à des contractions invo- lontaires de certains muscles faciaux se
un plus grand nombre de variétés. L'une d'entre elles a trait aux contractions fibrillaires brusques sur- venant quand la face
entrer dans la phase de contracture. On remarqua plus tard que des contractions analogues se montraient, dans les mêmes circonsta
les innervés par le nerf facial atteint. On constata encore que ces contractions persistaient quelquefois pendant toute la durée d
iété est un peu différente des deux précédentes, en ce sens que les contractions musculaires, au lieu de se présenter sous la fo
arler, de rire ou de mouvoir les lèvres ; soit, en général, dans la contraction synergique involontaire d'un ou de plu- sieurs
rgique involontaire d'un ou de plu- sieurs muscles provoquée par la contraction volontaire ou réflexe d'un ou de plusieurs autr
paralysie faciale périphérique : d'après ce dernier observateur, la contraction synergique paradoxale pourrait s'observer même
nergique paradoxale pourrait s'observer même dans les muscles où la contraction volontaire est abolie. . Contractions fibrill
même dans les muscles où la contraction volontaire est abolie. . Contractions fibrillaires brusques, labio-blépharospasme inter
bio-blépharospasme intermittent, mouvements associés involontaires, contractions synergiques paradoxa- les, telles sont les prin
mettre à leur égard des observateurs insuffisamment prévenus. Les contractions fibrillaires brusqués dont nous avons fait une pr
ies faciales anciennes, d'origine périphérique, s'accompa- gnant de contractions fibrillaires brusques, ces dernières étaient en r
ignement physiologique des paupières et plus généra- lement avec la contraction de l'orbiculaire des paupières du côté paralysé,
meture de l'oeil avec battements rapides de la paupière supérieure, contraction de l'orbi- culaire des lèvres avec relèvement p
labio-génien, profondeur plus grande des fossettes mentonnières et contraction du peaucier lui-même dont les fibres se dessine
la moitié droite. Dans les efforts ainsi faits, on remarque la même contraction de l'hémiface gauche avec mêmes mouvements associ
te devient plus saillante, le nez s'incurve davantage, et les mêmes contractions se retrouvent dans le territoire du facial infé
sède aucune force, et les efforts qu'elle fait entraînent encore la contraction de la plupart des muscles du côté gauche de la fa
s du côté gauche, les mouvements de mastication s'accom- pagnent de contraction de l'hémiface gauche, plus particulièrement de l'
le nez. Le peaucier se contracte très bien des deux côtés, mais la contraction du peaucier gauche est beaucoup plus apparente
nt 372 PITRES ET ABADIE douloureuses. Elles consistent en petites contractions parcellaires occupant tantôt un faisceau, tantô
, disparaissant ensemble pour reparaître en même temps. Ces petites contractions fibrillaires ou fasciculaires impriment ainsi à
res de ces secousses musculaires, on constate le fait suivant : ces contractions parcellaires sont en rapport étroit avec le clign
ne constate de secousses musculaires que lorsque le doigt sent une contraction de l'orbiculaire. Si au contraire on maintient
nement synergique des deux paupières et par suite la troduction des contractions fibrillaires de l'hémiface gauche. En règle géné-
règle géné- rale, plus le clignement est brusque et fort, plus les contractions sont généra- lisées et intenses. . Les excita
clignement volontaire, dans le clignement réflexe provoqué, dans la contraction synergique de l'orbiculaire, enfin dans la cont
qué, dans la contraction synergique de l'orbiculaire, enfin dans la contraction forte et volontaire de l'orbiculaire. En poursu
. L'excitabilité des muscles de hémiface gauche ne détermine pas de contraction appréciable des muscles du même côté. Mais les
ur la face interne de la joue du même côté n'ont jamais provoqué de contractions musculaires ou de secousses dans les muscles de
gauche. Le moindre effort faitpar un groupe de muscles détermine la contraction de toute l'hémiface et du peaucier correspondan
ecousses musculaires dans l' hémiface gauche, caractérisées par des contractions involontaires, brèves, fibrillaires ou fasciculai
? TIQUES DE LA FACE 375 cette hémiface, y compris le peaucier. Ces contractions sont synergiques des mouvements de clignement p
te sa durée. On pourrait, à première vue, prendre pour des tics les contractions de la face que présentait la malade précédente.
t pas celte confusion : le caractère d'unilatéralité absolue de ces contractions , leur répétition monotone, leur localisation parc
on à un but et leur apparence illogique, leur ressemblance avec les contractions provoquées par l'excitation électrique du nerf fa
imace sans expression, s'observent éga- lement, sans rémission, des contractions parcellaires, effleurant sans la mo- difier la
comme distinctif du spasme facial essentiel : la per- sistance des contractions faciales pendant le sommeil ? Evidemment non, c
phénomènes analogues à ceux que Al. Meige ct décrits sous le nom de contractions parcellaires, de petites palpitations faciales »,
'incurvation du nez, des fossettes mentonnières unilatérales, de la contraction synergique paradoxale, symptômes que M. Babinski
que, en apparence spontanées, elles sont en réalité associées à la contraction de l'orbiculaire des paupières. A la réflexion,
té plus grande à se produire. Il n'est besoin que d'une très légère contraction de l'orbiculaire, celle qui suffit au cligne- m
e spontanées, irrégulières, arythmiques, en réalilé synchrones à la contraction de l'orbi- culaire des paupières. A un degré
lui-même hyperlonique, exécutera au lieu d'un clignement léger une contraction soutenue qui affectera la forme d'un blépharosp
flexe, apparaîtra une brusque occlusion de l'oeil accompagnée d'une contraction synergique aussi brusque des muscles de la régi
is, alors que les mouve- ments associés reconnaissent pour cause la contraction volontaire d'un ou de plusieurs muscles de la f
fibrillaires et le labio-blépha- rospasme trouvent la leur dans la contraction réflexe de l'orbiculaire des paupières dans l'a
ements associés involontaires puisqu'ils sont tous provoqués par la contraction , tantôt volontaire, tantôt réflexe, d'un ou de
parvenues à la phase de contracture, dans lesquels exis- taient des contractions fibrillaires ou fasciculaires de l']¡émiface para
nement des paupières. Toutes les constatations, faites au sujet des contractions fibril- laires et que nous venons de rappeler q
ET ABAD1E viennent donc à l'appui de notre hypothèse, à savoir que, contractions fibrillaires brusques, labio-blépharospasme int
s dernières par le clignement palpébral et plus généralement par la contraction de l'orbi- culaire des paupières. Ce cas nous l
uches se con- tracter, mais les plis cutanés qui résultent de cette contraction sont moins nombreux et moins profonds à gauche
la moitié droite. On remarque aussi que les plis déterminés par la contraction des muscles mis en jeu dans ces mouvements sont
x et surtout moins accusés du côté gauche que du côté droit. Pas de contraction synergique des autres muscles de la face ; au con
té. L'effort fait pour ouvrir la bouche n'entraîne pas davantage de contraction synergique des muscles de l'hémiface gauche; qu
aciale, il n'existe, pi d'un côté de la face, ni de l'autre, aucune contraction involontaire des muscles faciaux, aucune secous
nt volontaire, on voit apparaître dans l'hémiface gauche de légères contractions musculaires en plusieurs points à la fois. Ces
légères contractions musculaires en plusieurs points à la fois. Ces contractions consistent en de petits frémissements sous- cut
s cependant pour plisser légèrement la peau, présentant l'aspect de contractions fibrillaires ou fasciculaires ; elles sont brèves
nt pas tou- jours dans tous ces points à la fois (Voir fig. 1). Les contractions se montrent aux points 1, 2, 3, 4 dans tous les
est à remarquer en effet que plus le clignement est fort, plus les contractions sont nombreuses et accusées. Le contact du glob
otalité des points men- tionnés ci-dessus ; dans ce dernier cas,les contractions se montrent sous la forme de frémissements répé
t deux ou trois faisceaux verticaux ou obliques du peaucier ; cette contraction est toujours très apparente ; il est à remarquer
est toujours très apparente ; il est à remarquer à ce sujet que ces contractions se manifestent toujours à la partie antéro-iutern
es musculaires, quand elles y apparaissent, sont constituées par la contraction de deux ou trois faisceaux obliques très apparent
ent très localisé à peine apparent. Le point 8 est constitué par la contraction de trois ou quatre faisceaux obliques généralemen
Obs. Il HÉMISPASMES SYNCINÉTIQUES DE LA FACE 385 gique, soit une contraction un peu violente de l'orbiculaire provoquent les
rovoquent les mêmes secousses musculaires : il en est de même de la contraction volon- taire et soutenue de l'orbiculaire. Il
ue, le voile du palais, la luette, les piliers ne présentent aucune contraction musculaire synchrone au clignement des paupières,
e externe de la joue ou sur la surface interne ne provoquent pas de contractions volontaires ou de secousses musculaires des mus
u provoqué, des paupières. Ces secousses sont caractérisées par des contractions involontaires, brèves, fibrillaires ou fascicul
sont d'autant plus fortes et plus étendues que le clignement ou la contraction sont plus énergiques. Toule cause déter- minant
sont plus énergiques. Toule cause déter- minant le clignement ou la contraction palpébrale les fait appaiaitre à l'exclusion de
unique. Depuis que notre attention a été attirée sur ce rôle de la contraction palpébrale dans la production des secousses fib
té donné de faire apparaître 388 1 PITRES ET ABADIE 1 volonté des contractions fibrillaires ou fasciculaires dans )'hémiface p
contrer cons- tituent de véritables spasmes syncinétiques liés à la contraction de l'or- biculaire des paupières. Pareille rela
ciale, précisent davantage. Dans leur observation I, on lit : « Les contractions spasmodiques de l'orbiculaire des paupières peuve
sont constantes. On les retrouve d'ailleurs non seulement dans ces contractions anormales, mais encore dans Ips mouve- ments vo
is encore dans Ips mouve- ments volontaires ou réflexes ou dans les contractions électriques... Si on applique la tête d'une épi
Si on applique la tête d'une épingle sur la conjonctive droite, la contraction de l'or- (1) RAYMOND et EOGEH, Sur un cas d'ata
ore si on projette un courant d'air froid sur le globe oculaire. La contraction de l'orbiculaire droit est constamment associée
a contraction de l'orbiculaire droit est constamment associée à des contractions synchrones des autres muscles de la face... En
on déterminée de l'apophyse zygomatique droite produit à la fois la contraction de l'orbiculaire et des zygo- matiques... L'exc
es mêmes auteurs signalent que : « Chaque fois qu'il se produit des contractions de l'orbiculaire, on observe simultanément un d
tri- que) des filets nerveux de l'orbiculaire palpébral produit des contractions non seulement dans l'orbiculaire palpébral, mai
itation électrique la même association des mou- vements que dans la contraction volontaire ou même réflexe de l'orbiculaire. »
tanées au niveau de la face : « Il est à remarquer que toutes les contractions spontanées, réflexes ou com- mandées de l'orbic
flexes ou com- mandées de l'orbiculaire palpébral s'accompagnent de contractions exactement synchrones des muscles zygomatiques
mmun de l'aile du nez et de la lèvre. » Ces auteurs comparent les contractions syncinétiques ainsi observées chez leurs malade
malade de l'observation III : « Par intervalles, il existait des contractions spasmodiques dans l'orbiculaire des paupières,
e des lèvres et dans les zygomatiques, dans le muscle peaucier; ces contractions étaient rigoureusement synchrones. Le retour de
; ces contractions étaient rigoureusement synchrones. Le retour des contractions était facilement provoqué par le clignement des y
recte avec le clignement physiologique et plus généralement avec la contraction de l'orbiculaire des paupières. Une d'entre ell
s on décou- vre quelques traces de parésie du nerf facial. Ici, les contractions involontaires observées constituent à elles seu
ques : même à ce degré, il est facile de mettre en évidence que ces contractions sont synergiques des mouvements de clignement phy
contractent plus fortement que les voisines. On constate que cette contraction parcellaire de la portion infé- rieure de l'orb
e la portion infé- rieure de l'orbiculaire ne se montre que dans la contraction normale de ce muscle pendant l'acte du cligneme
isines sont plus fortes que d'habitude. Elle consiste en une petite contraction déplaçant vivement la peau sans la froncer. A
ce, dans la mimique ou volontairement exécutés, n'exagèrent pas les contractions musculaires précédentes. Au contraire même, qua
apparition des mouve- ments convulsifs de l'hémiface droite avec la contraction de l'orbiculaire des paupières, réflexe ou volo
cousses. Inversement toute cause sans effet sur le clignement ou la contraction de l'orbiculaire est incapable de faire apparaîtr
ajouter qu'à aucun moment le malade ne présente et n'a présenté de contraction persistante et tonique des muscles de la face, en
l'aspect normal de la fente buccale, la rectitude de la langue, la contraction normale du peaucier. Mais à un exa- men plus at
il dénomme ré- .flexe conjonctivo-mentonnier et qui consiste en une contraction fibrillaire, plus ou moins évidente, dans la ré
a volonté peut reproduire. Ils consistent au contraire en petites contractions parcellaires, fibrillaires ou fasciculaires, is
produit seulement à la clôture ou à l'ouverture des paupières. Les contractions fibrillaires ainsi obtenues se montrent dans le
rt sensitif conjonctival, mais de spasmes syncinéti- ques liés à la contraction de l'orbiculaire des paupières, en tous points co
en provoquant un clignement plus intense ou en faisant exécuter une contraction volontaire de l'orbiculaire plus forte que celle
autres masses musculaires et par l'absence des modifications il la contraction ; la phy- siologie révèle la diminution de la f
it d'une maladie héréditaire ou familiale ; ;, il n'y avait pas, de contractions fibrillaires ; l'examen électrique ne mon- trai
ession par sa masse sur les cellules nerveuses ou en provoquant une contraction tonique du gliaspon- gittiti, ou bien encore en
e, elle amène une attaque de convulsions. Pendant l'attaque par les contractions musculaires, il se produit des conditions favor
d'habitude de 10-12 respirations, on voit se produire une violente contraction des muscles abdominaux et probablement du diaphra
trique, puis commence une inspiration profonde qui coïncide avec la contraction mention*' née. A cause de la douleur,' le malad
4 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
entre les convulsions toniques et les convulsions cloniques (1). La contraction musculaire étant considérée comme une source de c
ntéressant de rechercher si, dans les maladies qui. s'accompagnent de contractions musculaires exagérées, la température du corps es
hénomènes sont trop complexes pour qu'on puisse décider si c'est à la contraction musculaire seule qu'est due l'augmentation de la
e épinière chez des chiens, MM. Leyden (2) et Fick (3)ont produit des contractions musculaires toniques générales, et ils ont observ
ces affections, tétanos, convulsions épileptiques, choléra, etc., la contraction musculaire se rapporte à un type spécial : la con
apporte à un type spécial : la convulsion tonique. En pareil cas, une contraction persistante détermine de la rigidité avec immobil
on persistante détermine de la rigidité avec immobilité de la partie ( contraction statique de M. BéclardJ. La contraction ne s'acco
avec immobilité de la partie (contraction statique de M. BéclardJ. La contraction ne s'accompagne pas de travail mécanique ; elle p
'il s'agit de convulsions cIoniques, c'est-à-dire dans les cas où les contractions musculaires produisent des mouvements alternatifs
culaires produisent des mouvements alternatifs plus ou moins étendus ( contractions dynamiques de M. BéciardJ ? Parmi les maladies à
empérature remonte en six minutes et demie à 49°, 2. A ce moment, les contractions cessent, la température redescend en trois minute
oit en pressant, soit en frottant, même légèrement, pour provoquer sa contraction , à la façon de ce qui a lieu, quand on pratique l
on de ce qui a lieu, quand on pratique l'élcc-trisation localisée. La contraction du muscle sur les membres persiste après l'excita
ilement en contracture permanente; l'excitation d'un nerf provoque la contraction des muscles qu'il innerve. Ainsi, il suffit (l'un
du lobule de l'oreille, au point où émerge le facial, pour amener la contraction des muscles du même côté de la face ; chaque musc
nt la durée et l'intensité de l'excitation, on obtient à \rolonté une contraction ou une contracture. A cet état des muscles, se
la face se tourner du côté gauche, ce qui est l'effet produit par la contraction de ce muscle. Ces résultats ne peuvent être simul
myologie et les travaux de Ch. Bell. Je produis les mêmes effets, la contraction , sur tous les muscles que je touche légèrement.
on, si je la renouvelle sur le même point, je produirai, non plus une contraction passagère, mais une contracture. Je touche plusie
un nerf: alors les muscles qui sont tributaires de ce nerf entrent en contraction . Les muscles eux-mêmes peuvent être directement
la contracture des muscles mis en jeu ; à la face, au contraire, les contractions sont passagères, elles ne s'établissent pas à l'é
ses, détermine un ébranlement soudain de toute la masse du muscle. La contraction musculaire réflexe ne peut être produite par aucu
ue et assez énergique. La percussion du tendon est suivie alors d'une contraction soudaine du muscle qui soulève le segment du me
irecte, mais toujours vive et très courte. Dans l'état de santé, la contraction réflexe du triceps crural est facile à obtenir pa
ural est facile à obtenir par la percussion du tendon rotulien. Cette contraction , d'intensité moyenne, s'exagère dans certains éta
ifications de l'action musculaire qui en est la conséquence : a) La contraction est plus vive sans augmenter de durée ; ¡3) La
a) La contraction est plus vive sans augmenter de durée ; ¡3) La contraction est plus longue, elle marche vers le téta-nisme e
vers le téta-nisme et tend à se transformer en contracture ; y) La contraction devient permanente. Le choc a provoqué la contrac
ement s'exagérer sur place et le choc sur le tendon donner lieu à une contraction plus vive du muscle directement intéressé, mais e
plus vive du muscle directement intéressé, mais encore provoquer des contractions réflexes dans les membres éloignés du lieu de la
biceps brachial et traduit les modifications survenues dans l'état de contraction de ce muscle. La ligne inférieure offre la même s
oscillations multiples. Ces oscillations paraissent produites par des contractions alternatives des muscles extenseurs et des muscle
extenseurs et des muscles fléchisseurs. — La courbe T. c. traduit les contractions du muscle extenseur du triceps crural. — On rem
t sur tout le corps. On voit, en effet, sur le tracé II (Fig. 1) la contraction du biceps brachial suivre celle du triceps crural
de phénomènes réflexes d'un ordre différent. b) Modification de la contraction réflexe qui suit le choc sur le tendon. — En même
le réflexe tendineux tend à se généraliser, il arrive souvent que la contraction musculaire à laquelle il donne lieu subit elle-mê
re à laquelle il donne lieu subit elle-même quelques modifications La contraction devient plus longue, la courbe du tracé myogra-ph
euro-musculaire, offre d'une façon très nette ces modifications de la contraction musculaire réflexe sans tendance à la généralisat
es résultats suivants : a) Le choc tendineux modéré est suivi d'une contraction prolongée. b) Un choc un peu violent produit d'
e peu. En efïêt, dans ce dernier cas, on voit la main soulevée par la contraction réflexe des extenseurs s'arrêter à mi-chemin dans
spretz marque le Fig. 2.— Modification, pendant la léthargie, de la contraction réflexe qui suit le choc du tendon. Tendance à la
es tendons. (Vitesse moyenne du cylindre) Pour obtenir une simple contraction , il faut user d'une excitation fort légère. En
5), le biceps demeure également immobile , mais les caractères de la contraction réflexe du triceps crural sont considérablement m
crural sont considérablement modifiés. Un premier choc détermine une contraction prolongée qui se traduit par une courbe à long pl
e à long plateau. Un deuxième choc donne naissance immédiatement à la contraction permanente. Chez les deux malades qui, jusqu'ic
ntrer à la fois, et, en même temps que le réflexe irradié, on voit la contraction (du muscle directement excité, de même que celle
tées successivement, et l'on remarque qu'à la troisième excitation la contraction réflexe du biceps brachial, aussi bien que celle
, pendant qu'il existe très développé dans le reste du corps. b) La contraction musculaire qui est la conséquence du choc sur le
conséquence tend à se propager dans toute l'étendue des centres et la contraction réflexe, de même que la contracture, se généralis
lades on réussit à provoquer, à l'aide d'un choc léger et rapide, une contraction réflexe qui présente, à peu de chose près, les mê
quelques instants. En second lieu la faradisation ne détermine qu'une contraction qui cesse avec elle, tandis que la contraction du
on ne détermine qu'une contraction qui cesse avec elle, tandis que la contraction due à l'hyper-excitabilité neuro-musculaire persi
ascule, en vertu duquel son angle inférieur est porté en dehors. La contraction isolée du deltoïde au moyen de la faradisation dé
t la veille, l'électrisation, avec cettte différence toutefois que la contraction était remplacée par une contracture. Tantôt, no
ifférences proviennent: a) De la non-similitude du résultat obtenu: contraction avec l'électricité, contracture dans les cas d'hy
mécanique, pendant l'état d'hyperexcitabilité, ne donne lieu qu'aune contraction et non plus à une contracture ; b) Du degré de
e large et fascicule, tandis que, dans l'état d'hyperexcitabilité, la contraction totale de ce même muscle suit toujours l'excitati
nerveux qui l'innerve, met les fibres musculaires en action, mais, la contraction ainsi provoquée ne persiste pas d'ordinaire après
partie avec une grande précision. Nous avons cherché à produire la contraction isolée de chaque muscle par l'excitation des poin
n plus ou moins grand nombre de muscles, ce que l'on reconnaît à leur contraction simultanée. 11 suffit, dans ce cas, de déplacer l
, de déplacer le rhéophore d'un ou deux millimètres pour éviter cette contraction complexe; 2° De l'emploi d'un courant trop inte
Duchenne, placé au niveau du grand zygomatique, aurait dû produire la contraction isolée de ce muscle, ainsi qu'on l'observera dans
usqu'à la branche temporo-faciale de la septième paire, a provoqué la contraction en masse des muscles innervés par ce tronc nerveu
on excitée, et parfois sur quelques muscles éloignés. Dans ce cas, la contraction musculaire est fugace et peu accusée, c'est un
on trop forte se propage souvent à quelques muscles voisins ; 2° La contraction du muscle cesse le plus souvent en môme temps que
ansforme jamais en contracture. Le muscle peaussier est celui dont la contraction se maintient le plus longtemps, tenant en quelque
maintenant la pression à un degré égal sur le point qui a provoqué la contraction du muscle, on ne tarde pas à voir celle-ci s'effa
ire contracter à la fois plusieurs muscles, de façon à reproduire les contractions combinées expressives ou les contractions combiné
, de façon à reproduire les contractions combinées expressives ou les contractions combinées inexpressives, pour nous servir des dén
'élection sur lesquels Duchenne appliquait l'électrode pour amener la contraction partielle de chacun de ces muscles sont indiqués
1° Frontal : Muscle de l'attention. (Fig. 17). — Sa con- Fig. 17. — Contraction du muscle frontal. Muscle de l'attention de Duc
n du muscle frontal. Muscle de l'attention de Duchenne. Fig. 18.— Contraction du muscle orbicidaire supérieur. Muscle de la r
3° Sourcillier : Muscle de la douleur (Fig. 19). — La Fig. 19. — Contraction du Fig. 20. — Contraction du muscle sourcillier
de la douleur (Fig. 19). — La Fig. 19. — Contraction du Fig. 20. — Contraction du muscle sourcillier. pyramidal du nez. Musc
sur les points d'élection, nous a donné les résultats suivants : La contraction isolée du Frontal est très facile à obtenir par l
rapproché de la tête du sourcil ou lorsqu'elle est un peu intense, la contraction du pyramidal du nez se joint à celle de l'orbicul
ieur (Fig. 2, Pl. VI). Nous n'avons pu obtenir complètement isolée la contraction du pyramidal du nez. En cherchant à l'exciter aux
est si saisissante, nous n'avons pu, d'une façon nette, en obtenir la contraction . Nous devons ajouter que des recherches faites
ète, en ce sens que l'expression n'est parfaitement rendue que par la contraction simultanée d'un autre muscle, les autres n'exprim
tion dans ce muscle... Cette localisation est assez diffi Fig. 21.— Contraction du muscle grand zygomatique. Muscle du rire, de
d zygomatique. Muscle du rire, de Duchenne, rire faux. Fig. 22. — Contraction simultanée du grand zygomatique et du muscle orbi
59.) Dans nos expériences d'hyper excitabilité neuro-musculaire, la contraction isolée du grand zygomatique n'est pas sans présen
ous l'extrémité supérieure du grand zygomatique) entrent également en contraction . Cependant, après quelques tâtonnements et si l
e la pommette et une légère élévation de la paupière inférieure. La contraction isolée du petit zygomatique peut également être o
s elle se confond avec celle de l'élévateur propre de la Fg . 23. — Contraction du petit zygomatique. Muscle du pleurer, de Duc
et la figure 1 de la Planche VIII mettent parfaitement en lumière. La contraction partielle de ce muscle est très facilement obtenu
ent obtenue chez notre malade. Dans la figure 4 de la Planche VII, la contraction du muscle suit l'excitation du rameau nerveux qui
muscle de Ciiarcot. OEuv. comp. t. ix, Hypnotisme. 24 Fig. 24. — Contraction du muscle élévateur commun de l'aile' duhezel de
e' duhezel de la lèvre supérieure. la lubricité, fait subir, par sa contraction , à la forme générale du nez, les principales modi
oit les deux lèvres se froncer et l'orbiculaire tout entier entrer en contraction . L'action est encore bien plus vive lorsqu'on por
aire des lèvres est le muscle de la tristesse. Sous l'influence de la contraction , les commissures des lèvres sont tirées en bas et
t en dehors, la narine est abaissée et moins ouverte. (Fig. 25). La contraction partielle des muscles du menton et de la lèvre in
ant à plusieurs muscles soif superposés, soit juxtaposés. Fig.2o. — Contraction du muscle triangulaire des lèvres. Pour obtenir
du muscle triangulaire des lèvres. Pour obtenir chez nos malades la contraction isolée du triangulaire des lèvres, il faut porter
ig. 16), on obtient un mouvement complexe de la lèvre résultant de la contraction simultanée du triangulaire et du carré du menton,
ulaire et du carré du menton, qui, en ce point, sont superposés. La contraction isolée du carré du menton qui, d'après Duchenne,
action très faible sur la mâchoire inférieure. Suivant Duchenne, la contraction partielle du peaussier est inexpressive et ne pro
en faisant ouvrir les yeux de la malade par un aide, au moment où la contraction était obtenue par l'excitation mécanique des poin
la face, nous avons cherché à provoquer, à l'exemple de Duchenne, la contraction simultanée de plusieurs muscles, que ces muscles
scles, que ces muscles concourent à l'expression d'un môme sentiment ( contractions combinées expressives de Duchenne) ou bien, au co
, au contraire, qu'ils expriment des sentiments complètement opposés ( contractions combinées inexpressives du même auteur). Dans le
malade étant rendue cataleptique pendant l'excitation d'un muscle, la contraction de ce muscle persiste parfois un certain temps ap
nu le masque de la frayeur avec la nuance indiquée par Duchenne. La contraction simultanée du triangulaire des lèvres et de l'orb
on de méditation mêlée de tristesse ou de dégoût, suivant le degré de contraction du triangulaire. Au contraire, la contraction d
, suivant le degré de contraction du triangulaire. Au contraire, la contraction du grand zygomatique, associée à l'orbiculaire pa
ors de chaque côté de la physionomie un mouvement un peu complexe, la contraction unilatérale n'en conserve pas moins les caractère
à l'excitation. Dans l'état d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, la contraction des muscles qui sont sous la dépendance de ces ra
a physionomie se contracter, et, suivant le point de l'excitation, la contraction s'accuser davantage dans les muscles de l'oeil, d
effet, que tous les muscles de cette moitié du visage sont entrés en contraction . Cette expérience de l'excitation mécanique du
on ici de la différence du résultat obtenu : contracture aux membres, contraction à la face). Mais il arrive fréquemment qu'à ce po
u nerf cubital répond un léger mouvement dans les doigts, mais aucune contraction nettement localisée, aucune ébauche de contractur
ant. -4° Lorsque l'excitation est insuffisante, on n'obtient qu'une contraction plus ou moins prolongée ou bien une contracture q
fait de la production, en pareil cas, d'une contracture, et non d'une contraction , montre que, outre l'excitation et son résultat,
'y a d'exception que pour les muscles de la face, où nous avons vu la contraction remplacer la contracture ; mais il existe bien d'
dans la moelle. Il est probable, en effet, qu'au moment où se fait la contraction volontaire, celle des muscles fléchisseurs des do
ême mécanisme. L'opinion de M. Westphal, qui persiste à considérer la contraction musculaire consécutive au choc du tendon comme di
Herbert Mayo et Calmeil avaient remarqué ce premier fait : que les contractions réflexes, lorsque l'excitation qui porte sur un p
e tronc d'un nerf, tous les muscles tributaires de ce nerf entrent en contraction : c'est ainsi que se produisent les griffes radia
Mais ce n'est pas tout, l'expression, ainsi imprimée à la face par la contraction d'un seul muscle, se complète d'elle-même. La bou
e qui perd au même moment l'expression première. Nous savons que la contraction du muscle orbiculaire palpébral supérieur a pour
complètes, exigent, ainsi que l'a démontré Duchenne (de Boulogne), la contraction simultanée de deux muscles de la face. Par exempl
ar exemple, l'exprès sion de l'effroi, de la frayeur s'obtient par la contraction simul-tanée du frontal et du peaucier. Cette expr
un phénomène musculaire observé chez les hystériques et analogue à la contraction musculaire paradoxale (1). M. Westphal (2) a dé
78, un phénomène musculaire intéressant auquel il a donné le nom de « contraction musculaire paradoxale », et qui peut se formuler
eut se formuler ainsi : un muscle est susceptible d'entrer en état de contraction permanente par le seul fait du rapprochement de s
ition qu'on vient de lui imprimer, maintenu en flexion dorsale par la contraction du muscle tibial antérieur, dont on voit le tendo
e l'on peut attribuer à la fatigue musculaire. Ce phénomène de la « contraction musculaire paradoxale » peut être la conséquence
x et du soléaire. Il invoque à l'appui de son opinion, le fait que la contraction paradoxale ne peut se produire, lorsque, la jambe
riences, exprime l'opinion, sans se prononcer catégoriquement, que la contraction paradoxale consiste en une perte de l'équilibre d
r, devient prédominante lorsqu'une circonstance quelconque entrave la contraction des muscles directement excités. Des graphiques
ait ainsi à l'épuisement. Fig. 31. — Expérience du 9 avril [1883. — Contraction paradoxale obtenue chez Cad..., hystéro-épileptiq
ces caractères de ceux que M. Wesf-phal attribue au phénomène de la « contraction paradoxale » et que nous avons rappelés plus haut
oup plus considérable. Il résulte de ces quelques recherches que la contraction paradoxale— du moins dans les cas que nous avons
rfs ou de leurs centres trophiques, le courant galvanique provoque la contraction du muscle et môme plus énergïquement que dans l'é
nt que dans l'état normal, alors qu'il est impossible d'obtenir cette contraction avec le courant faradique, au moins dans l'explor
rtie découverte, on voit le muscle sous-jacent secoué par une brusque contraction . 11 est même très facile de pratiquer au moyen de
es, l'étincelle, avec beaucoup moins de douleur, provoquait de belles contractions . J'ajoute que l'étincelle malgré son aspect un pe
sur un nerf moteur, tous les muscles desservis par ce nerf entrent en contraction ou en contracture, et communiquent au membre sur
ant après quelques minutes l'avant-bras gauche être agité de quelques contractions , puis se raidir dans la position contrac-turée qu
. 2. — Excitation du nerf facial en avant de l'oreille du côté droit. Contraction simultanée des muscles de l'œil, du nez et de la
ater, dans le muscle du côté opposé à l'excitation, un léger degré de contraction . Fig. 2. — Dans cette figure, à la contraction
n, un léger degré de contraction. Fig. 2. — Dans cette figure, à la contraction des deux muscles orbiculaires palpébraux supérieu
tion unilatérale du petit zygomatique. Il s'y joint un léger degré de contraction du muscle élévateur de l'aile du nez et de la lèv
un phénomène musculaire observé chez les hystériques et analogue à la contraction musculaire paradoxale.................. 453 XVI
Cœur, Hypertrophie du—), cause d'hé-morrhag'ie cérébrale, p. 71. Contraction musculaire, modification de la — pendant l'hypnot
5 (1911) La pratique neurologique
; l'action de re- garder un point rapproché provoquant toujours une contraction pupillaire. D'ailleurs, pour plus de certitude,
pareil une. pupille très amplifiée', dont il voit Ttvec facilité la contraction depuis son début jusqu'à la fin. Ce moyen per
se tourne de façon que le muscle paralysé ait le moins possible de contraction à donner. Elle se dirige, de façon à porter l'o
pupille. Le malade, pour voir, essaye de les relever par de fortes contractions du frontal, plisse le front, et en même temps p
nt pas par l'action isolée d'un ou de quelques muscles, mais par la contraction combinée, inégale et synergique de plusieurs d'en
s mouvements oculaires; les uns, producteurs du mouvement, par leur contraction , les autres, antagonistes de ces mouvements har
nistes de ces mouvements harmonieux, par leur tonicité ou même leur contraction .' C'est par ce mécanisme que se font les mouvemen
ion donne l'irido-dilatation (mydriase spastique). Le mécanisme des contractions et dilatations pupillaires n'est certai- nement
té -réflexe des deux pupilles à la lumière, à l'accommodation, à la contraction orbiculaire. Le malade présente un réflexe à la
rstitielle hypertrophique. Réflexe consensuel. A l'état normal, les contractions et dilatations de la pupille ont lieu simultané
et elle ne reprend ensuite que lentement son étendue primitive. Sa contraction et son relâchement sont ralentis. Ce phénomène
en haut son sourcil, et, par suite, élève un peu ses paupières. La contraction du frontal ne dégage TROUBLES DE LA MOTIL1TÉ DE
s incomplet (pro- ptosis), ces symptômes, chute de la paupière, contractions frontales, extension de la tête, sont moins a
mais plus souvent il produit une rétraction des paupières due à la contraction spasmodique des fibres lisses de Mul- ler. L'ab
s perceptibles pour l'observateur : ils sont déterminés soit par la contraction du tenseur du tympan, soit plus souvent par des
par la contraction du tenseur du tympan, soit plus souvent par des contractions spasmodiques des muscles tubaires. L'hystérie e
bles de l'ouïe et des bourdonnements, ces derniers notamment par la contraction rl'l1exc du muscle du marteau. Inversement, les e
t le même mécanisme, on peut citer de la dysphagie spasmodique, des contractions du voile du palais, des troubles respiratoires
piratoires . Du côté des yeux on a signalé le blépharospasme et des contractions spasmodiques des muscles du globe oculaire. L
ification que les précédents, tels la toux, le spasme glottique, la contraction des petits muscles bron- chiques, le catarrhe d
cca- sionnelles semblent, être des excitations visuelles vives, des contractions musculaires violentes ou répétées, la fatigue,
ici de paralysies bulbaires vraies accompagnées d'amyotrophie et de contractions librillaires des muscles atteints. L'athrophie
ns librillaires des muscles atteints. L'athrophie musculaire et les contractions fibrillaires font défaut dans la paralysie d'or
myoclonies. dans la maladie des lies. Le discours est coupé par les contractions musculaires qui secouent le malade. La parole se
mie byperstbénique, certains muscles du visage sont dans un état de contraction permanente et déterminent une expression fixe, on
ou le relâ- chement de la capsule, des ligaments, des tendons et la contraction des muscles périarticulaires, ainsi que par le
la part du sujet un relâchement musculaire complet, car la moindre contraction musculaire fait entrer en ligne de compte les é
représentation mentale. La sensation périphérique subjective de la contraction musculaire et de la tension ligamenteuse nous ren
veau. C'est pourquoi, dans un grand nombre d'hémiplégies où soit la contraction , soit la paralysie rendent la palpation impossi
on sur les troubles sensitifs, dans les lésions médullaires, et les contractions librillaires appartiennent presque exclusivemen
a il remarquer que les muscles masticateurs ne sont pas le siège de contractions . Au cours des accès on constate des troubles va
la cuisse. La névralgie s'accompagne de difficulté de la marche, de contractions involontaires du cremaster, parfois de mictions
ne sera pas suffisant pour provoquer ce mouvement de propulsion; la contraction sera très faible : on pourra néanmoins l'appréc
tout l'existence d'un réflexe quand le malade se raidit et quand la contraction permanente de son triceps empêche le réflexe de
anc dans l'attitude du sommeil. Tous ces moyens peuvent vaincre une contraction volontaire perma- nente du muscle. . Mais il
ercussion du tendon rotulien ébranle le triceps et fait croire à sa contraction . (je Appréciation du réflexe. On constate la pr
n constate la présence du réflexe rotulien, nous l'avons vu, par la contraction du triceps ou par la pro- pulsion du pied, par
on du triceps ou par la pro- pulsion du pied, par la violence de la contraction du triceps et par la vivacité de la réaction; l
de mesurer l'intensité de la percussion qui produit la plus faible contraction ; on emploie un percuteur qui, contenu dans un t
lle valeur du réflexe l'énergie du choc, qui produit la plus faible contraction . La valeur normale du réflexe est en moyenne de 1
celle du réflexe rotulien. En elle ! , le réflexe consiste dans une contraction des adducteurs provoquée par la percussion du t
rotulien du côté opposé. Cependant pour bien mettre en évidence la contraction des adduc- teurs, il est préférable de suivre l
cuisse qui se produit du côté percuté, un mouvement produit par la contraction des adducteurs qui rapprochent la cuisse de la li
ion sur le plan du lit. Le membre opposé sur lequel on recherche la contraction contrataterate des adducteurs sera placé de folle
cuisse et abduction de la cuisse. Dans celle situation, la moindre contraction îles adducteurs se traduira par un déplacement-
n détermine dans 47 pour 100 de ces cas, suivant Ganautt, une forte contraction des adducteurs de la cuisse ri droite et la per
la percussion rotulienne du côté droit paralysé ne détermine aucune contraction des adducteurs à gauche. On dit alors que le ré
au phénomène contralatéral des adducteurs s'associe quelquefois une contraction du triceps ou du fascia lata du même côté. Ce f
tendon d'Achille ou tendon du triceps surral : il consiste dans la contraction de cette masse musculaire et a pour résultat un
ord supérieur de la rotule et pressant cet os fortement en bas, les contractions rythmiques du triceps se pro- duisent alors et
terne du poignet. La percussion de tous ces tendons détermine de la contraction des muscles correspondants. Il est nécessaire,
sséter à travers la peau de la joue et on voit alors se produire la contraction qui relève l'arcade dentaire inférieure. On peu
taire s'abaisse d'abord sous le choc, puis elle est soulevée par la contraction du masséter : c'est lit le réflexe. RÉSULTATS
e, de la jambe sur la cuisse, de la cuisse sur le bassin et par une contraction du muscle tenseur du fascia lata et des abducteur
ion de la plante du pied à un minimum on ne verra apparaître qu'une contraction isolée du tenseur du fascia lata. Cette contrac
paraître qu'une contraction isolée du tenseur du fascia lata. Cette contraction se manifeste par la production d'une fossette fém
côté correspondant a cette élévation. Cette élévation est due à la contraction du erèmaster. On peut provoquer celle même cont
est due à la contraction du erèmaster. On peut provoquer celle même contraction en serrant violemment avec la main les masses m
arrière du scrotum, on sentira au même moment le choc rapide de la contraction du muscle bulho-can'l'I1eux. Réflexe abdominal
par l'érection de cet organe. Réflexe fessier. II consiste dans la contraction des muscles "-rands fessiers par excitation de
tion de la peau qui les recouvre. Réflexe anal. Il consiste dans la contraction ou l'élévation du sphincter de l'anus sous l'in
ortent en avant. Réflexe pilo-moteur. - Ce réflexe consiste dans la contraction des ar redores pi lorum produits sous l'influen
nsent que le temps qui s'écoule entre la percussion du tendon et la contraction du triceps est trop court pour que le réflexe p
rd, très fré- quents au contraire chez l'enfant hémiplégique. Les contractions 1/1YOSlS1/1lqlles, décrites par Pierre Marie dans
ituent un phénomène assez fréquent, mais non constant, il s'agit de contractions fasciculaires des muscles de la rébion antérieu
, qui consiste chez les organiques dans une diminution du relief de contraction de ce muscle du côté paralysé, quand on fait ou
Ce phénomène [CROUZON.] Fig. 2. - Hémiplégie gauche organique. Contraction du peaucier du cou à droite (Babinski, Gazette de
de Strumpell, ou phénomène du jambier antérieur, consiste dans une contraction du mus- clc jambicr antérieur qui se produit da
ement ci-dessus indiqué. v On peut voir encore ce mouvement dû à la contraction du jambier anté- rieur se produire quand un hém
imultanée et combinée du-grand dentelé et du deltoïde. En effet, la contraction du deltoïde, en même temps qu'elle élève le bra
r cas, il fléchit l'avant- bras sur le bras. Dans le second cas, la contraction du muscle amène d'abord la main en supination,
le coraco-brachial sont paraisses, les adducteurs du bras par leur contraction peuvent-ils déter- miner une subluxation en bas
eur puissant que lorsque son action pronatrice est annihilée par la contraction synergique d'un muscle antagoniste comme le bicep
fléchit la main. Duchenne a insisté sur ce fait qu'au maximum de sa contraction il entraine le bord interne de la main avec une
lysé, l'extension directe de la main est encore possible grâce à la contraction simultanée des deux MUSCLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR
bord externe du deuxième métacarpien. Quand il est au maximum de sa contraction , il fléchit la main et l'incline en dehors. Ce
t est assis. les jambes fléchies, les pieds reposant sur le sol, la contraction du grand fessier produit l'abduction de la cuis
PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. la prédominance des fibres antérieures, la contraction du moyen fessier dans son ensemble amène l'abdu
, de plus il fléchit la cuisse et produit sa rotation en dedans. La contraction simultanée du tenseur du fascia lata et du psoa
eurs, est produite. La contrac- tion totale du quadriceps, comme la contraction isolée du vaste externe, tend à déplacer la rot
s'accompagne 'l'un déplacement de la rotule en dehors : pendant une contraction violente, une subluxation de cet os peut se pro
gèrement le pied en dehors; c'est donc un fléchisseur adducteur. La contraction simultanée de l'extenseur commun et du jambier
t la flexion des deux dernières. Quand le pied repose sur le sol la contraction des jumeaux et du soléaire, en élevant le talon,
face du côté opposé. Si la tète est en exten- sion au moment de sa contraction , cette extension est exagérée. D'après Duchenne
ax en augmentant les trois principaux diamètres de cette cavité. La contraction du muscle tend à donner aux fibres charnues une
porte dans 1 ins- piration favorise la circulation abdominale. La contraction du muscle rétrécit l'orifice oesophagien; ainsi s
aorte et de, la veine cave inférieure ne sont pas influencés par la contraction du diaphragme. Quand il existe une paralysie bi
nt son point fixe sur les côtes il porte le bas- sin en avant. La contraction du grand droit comprime les viscères abdominaux e
tébrale est mobile; de plus il comprime les viscères abdominaux. La contraction unilatérale du grand oblique imprime au thorax
ia lata amenant la flexion de la cuisse avec rotation en dedans, la contraction simultanée de ce muscle et du psoas iliaque pro
e rotation qui porte la face du côté du muscle qui se contracte. La contraction bilatérale des splénius amène l'extension direc
renversent la tête en arrière. Sappcy et Cruveilhier disent que la contraction unilatérale du muscle imprime à la tète un mouvem
ui possédait un muscle peaucier plus développé que de cou- tume les contractions de ce muscle attirer fortement en haut la glande
it remarquer que l'expression de la frayeur est la résultante de la contraction simultanée de plusieurs muscles. La contraction
la résultante de la contraction simultanée de plusieurs muscles. La contraction isolée du peaucier est inexpressive. Pour Tleyn
iation habituelle aux sentiments intenses, il résulte que sa simple contraction volontaire ou que la tension que l'on peut arti
le action l'élévation du sourcil dont la courbure est augmentée. La contraction du frontal en rapprochant ses insertions a pour
cle de l'agression, il donne de la dureté au regard. On constate la contraction du pyramidal associée d'ailleurs il celle d'aut
iration a pour conséquence une congestion des veines de la face, la contraction de l'or- hiculairc aurait pour but d'empêcher l
point de vue mimique le sourcilier par lui-même est inexpressif, sa contraction jointe il celle d'autres muscles indique une ce
que muscle expressif il caractérise soit la volupté délicate par sa contraction modérée et mobile, soit l'orgueil, aux narines
SIOLOGIE MUSCULAIRE. sourire jusqu'au rire le plus fou (Charpy). La contraction du grand zygomatique combinée avec celle d'autr
u de substances solides ou liquides et fermée par l'orbiculaire, la contraction du bucci- nateur comprime le contenu de la bouc
de souffler, déjouer des instruments il vent. D'après Duchenne la contraction du buccinateur, associée d'ailleurs à celle d'a
de l'orbiculaire et des incisifs forme un plan rigide qui permet la contraction d'avant en arrière du compresseur des lèvres ;
ême racine peut fournir à des muscles antagonistes. Il pense que la contraction simultanée de deux muscles d'action opposée est
iculaire un point précis dont l'excitation électrique détermine une contraction simultanée des muscles deltoïde, biceps, brachial
r l'excitation du point de Erb, Secrétan a trouvé con- stamment une contraction du grand pectoral, Vierordt a observé la contra
stamment une contraction du grand pectoral, Vierordt a observé la contraction du sous-scapulairc et du court supinateur, Mlle K
us-scapulairc et du court supinateur, Mlle Klumpkc a toujours vu la contraction du grand pectoral. Le cas clinique de Rose a la
est produite, dans les mouvements physiologiques habituels, par la contraction du biceps et du court supinateur agissant simulta
mou- vement la paupière supérieure qui n'est plus maintenue par la contraction de l'orbiculaire; il l'abaisse quand il se diri
éraux par l'excitation unilatérale de l'écorce, a vu trois fois une contraction exclusive de la corde du côté opposé. Bien que ce
chie par le vago-spinal sur le larynx pour mettre les adducteurs en contraction tonique. B) Spasme d'origine centrale. Les lési
4° Troubles laryngés dans les névroses. Nous avons déjà signalé la contraction des adducteurs dans la crise epiteptique : par-
and pectoral, on fera rap- procher avec force le bras du tronc ; la contraction sera plus puissante si en même temps on tente d
e la longueur des fibres sera atrophiée, de sorte que l'on verra la contraction porter sur une portion seulement de la longueur d
ent atrophiée, par exemple la portion claviculaire du deltoïde : la contraction totale du muscle (dans l'abduction du bras pour
'invaria- bilité de la consistance à l'état de repos et à l'état de contraction qui acquiert de l'importance. Cette constatat
que les mêmes muscles de l'un et de l'autre côté soient à l'état de contraction ou de relâchement identique; il faut que le cor
nce des muscles, quand ils passent de I l'état de repos à l'état de contraction , est un signe d'atrophie bien plus ( [il. LEM.]
er des mouvements appropriés où chaque muscle à explorer entrera en contraction . La puissance fonctionnelle d'un muscle ou d'un
ant le mouvement où ce muscle ou ce groupe musculaire entre seul en contraction . Un appareil très simple et applicable à un trè
ordinaires de l'atrophie myopathique sont les suivants : absence de contractions fibrillaires, mélange en proportions variables
sser rapidement en revue et en indiquer la valeur. . L'absence de contractions fibrillaires a été considérée comme un bon sign
, Zimmerlin, Hitzig, Oppenlieimer, etc., ont signalé l'existence de contractions fibrillaires dans les muscles des myopathiques. N
de vue dix myopathiques : chez deux malades nous avons constaté des contractions très nettes, trois au- tres malades nous en ont
ue nous n'ayons pu les retrouver au moment de notre examen ('). Des contractions fibrillaires existent donc assez fréquemment chez
rophiés et former à l'oeil, à l'état de repos ou surtout pendant la contraction , des cordes saillantes épaisses ; d'autres faisce
ensation de dureté particulière, de corde tendue, soit pendant la contraction active des mus- cles, soit quand on cherche à v
itabilité proportionnelle il l'atrophie des muscles considérés; les contractions minium apparaissent pendant long- temps avec de
que dans un cas les réflexes sont absents aux coudes bien que « la contraction du triceps soit énergique et résiste très notab
d'autres symptômes (réaction de dégénérescence dans le premier cas, contractions fibrillaires dans le second) avaient fait penser
agner il la fois de la raideur musculaire tétanique produite par la contraction et de la réaction élec- trique mvotonique qui c
e). Les caractères qui les différencient sont : x) L'existence de contractions fibrillaires. Ces contractions sont presque con
fférencient sont : x) L'existence de contractions fibrillaires. Ces contractions sont presque constantes dans le type Charcot-Ma
dans les muscles presque complètement atrophiés abolition de toute contraction , dans les muscles moyennement atrophiés réactio
ut les caractères de l'atrophie myélopathique. à part la rareté des contractions fibrillaires. L'évolution est relativement rapi
le présente tous les caractères' de l'atrophie d'origine nerveuse : contractions fibril- laires, pas de pseudo-hypertrophie, pas
x des atrophies myélopathi- ques que nous avons déjà décrits. Les contractions fibrillaires ou fasciculaires manquent rarement
s, l'emporte sur le nombre des fibres saines (Erb) ; à ce moment la contraction se fait lentement et la secousse de fermeture e
rement abolie. Remak a décrit dans l'atrophie Aran-Duchenne une « contraction diplégique », phénomène rare qui consiste en co
enne une « contraction diplégique », phénomène rare qui consiste en contractions bilatérales des muscles des membres supérieurs
onc, par l'exagé1Yl- lion des réflexes .tendineux, par l'absence de contractions fibrillaires ; son évolution est très variable;
complète sur aucun muscle, elle ne s'accompagne pas en géné- ral de contractions fibrillaires et jamais de réaction de dégénéresce
yopathiques entre autres. Les muscles atteints ne présentent pas de contractions fibrillaires; l'excitabilité électrique est norma
r un certain nombre de caractères, d'ailleurs tous inconstants. Les contractions fibrillaires s'observent rarement; la réaction
ctères ordinaires de l'atrophie d'origine périphérique : absence de contractions fibrillaires et de pseudo-hypertrophie, excitab
vant-bras (muscles épitrochléens), exceptionnellement des bras. Les contractions fibrillaires sont exceptionnelles. La localisat
rachis : des courants galvaniques juste suffisants pour amener une contraction notable des muscles, ou des courants faradiques
a) Myopathie : 1. Caractères de l'atrophie musculaire : Absence de contractions fibrillaires; pseudo-hypertrophie fréquente (mo
: 2" enfance. b) Myélopathies : .' 1. Caractères de l'atrophie : Contractions fibrillaires (pas dans la forme \\'crdriig- Hof
ies : Type Duchenne-Aran = Syndrome : 1. Caractères du syndrome : contractions fibrillaires; pas de pseudo-hypertro- phie ; pa
s : Amyotrophie souvent plus généralisée (mem- bres inférieurs), ni contractions fibrillaires, ni R. D; paralysie spasmodique, t
ions des nerfs périphériques : 1. Caractères de l'atrophie : pas de contractions fibrillaires ; pas de pseudo-hvper- trophie ; r
cle normal s'accuse plus encore, à l'oeil et à la main, à l'état de contraction ; quand le muscle se contracte, on sent sous les
ne d'un affaiblissement réel de sa puissance, ou bien les premières contractions [A. LÉRI 736 HYPERTROPHIES MUSCULAIRES. son
ement ou exagérément violentes, mais l'épuisement est rapide et les contractions suivantes sont affaiblies. Tous ces signes de l
symétrique du côté opposé, soit à l'état de repos, soit à l'etat de contraction . DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL .^ Ces signes permet
volume et de consistance au passage de l'état de repos à l'état de contraction , puissance contractile active et résistance aux m
rocessus, la douleur spontanée et à la pression, la faiblesse de la contraction évite- ront toute erreur avec l'hypertrophie vr
tamment de la mala- die de Thomsen par l'absence des troubles de la contraction volontaire ou électrique que, à tort ou à raiso
ophie longitu- dinale » (Roth) détermine la formation de ventres de contraction for- mant bosses sur le. milieu de la longueur
fois contracté, il ne peut se décontracter immédiatement : chaque contraction mus- culaire ressemble ainsi à une véritable co
table con- tracture. Le fait est vrai du moins pour les premières contractions d'un muscle; quand les contractions se succèden
i du moins pour les premières contractions d'un muscle; quand les contractions se succèdent à peu d'inter- valle, la raideur d
. TU Il HYPERTROPHIES MUSCULAIRES. faire, beaucoup plus que de la contraction ; ils constituent la réaction myotonique d'Erb.
erme- turc sont égales au pôle positif ou au pôle négatif, mais ces contractions sont lentes, torpides, prolongées alors que l'e
u avec les courants galvaniques fixes, on peut produire souvent des contractions ondulatoires régulières. L'etci- labilité farad
un courant faradique à interruptions fréquentes, on déter- mine des contractions toniques persistantes. Toutes ces modifications d
tonique, etc.) étaient précisément celles que l'on observe dans la contraction du sarcoplasma'. On conçoit ainsi par- faitemen
IQUE DE LA COORDINATION A l'état normal, tout mouvement est dù à la contraction simultanée et proportionnelle des muscles desti
e la tête, en somme, presque toute la musculature du corps. , Les contractions simultanées et synergiques des muscles ont norma-
ement à un ensemble 1'.\TIIUGI.\1E DES tCOOiiU)\AT)0 ? \S. 7 M de contractions musculaires. Il doit être assuré aussi dans l'int
eule tonicité musculaire, plus ordinairement il nécessite aussi une contraction synergique des muscles (équilibre statique voliti
la position debout immobile ne peut être maintenue que grâce à une contraction synergique des muscles des jambes et de la plupar
ppareils sensitifs par lesquels le sujet se rend compte du degré de contraction de ses muscles et la situation réciproque de se
giquement un influx moteur proportionné au degré nécessaire de leur contraction ; 4° l'inté- grité des conducteurs centrifuges
té des muscles puisse altérer considérablement la précision de leur contraction . L'hypotonie a d'ailleurs même cause que les tr
mes tout à fait différents. L'ataxique ne sent pas exac- tement les contractions de ses muscles et ne se rend compte de ses mou-
dans tout mouvement ataxique. simple ou composé, on constate que la contraction des muscles producteurs du mouvement n'est pas
ucteurs du mouvement n'est pas modérée comme il conviendrait par la contraction de leurs antagonistes. Cela se conçoit si l'on
ent donc ses muscles se contracter, il a la nolion du degré de leur contraction et, par suite, de la position qu'occupe à chaqu
s mouvements les plus simples en apparence sont dùs en réalité à la contraction simultanée et propor- tionnelle de certains mus
ers, en même temps qu'il fléchirait le tronc sur les cuisses par la contraction de ses fléchisseurs du tronc et en particulier
s psoas iliaques. L'asynergique cérébelleux, ne pouvant associer la contraction des muscles de la cuisse à celle des muscles du
à celle des muscles du tronc, fléchira ses cuisses par suite de la contraction de ses psoas agissant seuls, élèvera ses pieds
é et parfois même exagéré. Le céré- belleux, qui sent le degré de contraction de ses mtiscles, peut, a 1 op- posé de l'ataxiq
a 1 op- posé de l'ataxique, les maintenir à un degré invariahle de contraction Fig. 10 et 11. L'équilibre volitionnel sta- t
TAXIQUE Origine : trouble sensitif : perte de la notion du degré de contraction des muscles. Caractères : Il Manque de modéra
Caractères : Il Manque de modération des mouvements par défaut de contraction des anta- . gonistes. eS.. 2° Influence du co
lle dose de sensi- bilité, pour ainsi dire, répond à telle ou telle contraction musculaire; naturellement moindre qu'à l'état n
musculaire; naturellement moindre qu'à l'état normal pour une même contraction , puisque d'une façon générale la sensibilité de
jusqu'à un certain point, l'affine en faisant sentir au malade des contractions qu il aurait à peine ou pas senties s'il ne les
malade, qui s'est habitué à éprouver une sensation donnée pour une contraction musculaire d'une intensité donnée, aura besoin d'
ééducation si la sensation devenait rapidement moindre pour la même contraction ; d'une façon générale, il faut éviter avec soin p
la vue qui permet au malade de se rendre compte de la force de ses contractions et de la sensation qu'il devra éprouver le jour
ce ; on n'oubliera pas que les mouvements qui exigent la plus forte contraction musculaire sont les plus faciles, les malades c
es compensant l'insuffisance de leur sensibilité musculaire par des contractions plus fortes, mais qu'ils ne sont pas les plus u
deviée, demeure collée au plancher de la bouche. Elle est animée de contractions vermiculaires, et la muqueuse plisséc, chiffonnée
nution (pouvant aller jusqu'au zéro) de la durée et de la force des contractions à mesure que celles-ci se répètent. Nous ne rev
s de l'activité motrice et se traduit cliniquement par des accès de contractions brusques et involon- taires des muscles. Les
en cloniques. Cloniques, elles sont constituées par une série de contractions muscu- laires alternatives que séparent des pha
que séparent des phases d'immobilité; toniques, elles consistent en contractions plus durables, laissant les muscles raides pour
les moteurs, dont voici les princi- paux. Les contractures sont des contractions musculaires toniques, il est vrai, mais permane
nus ou surviennent à l'occasion de mouvements volontaires, sont des contractions musculaires de très faible étendue et de remarqua
plutôt l'impression d'un tremblement à oscillations étendues que de contractions convulsives véritables. Dans la chorée électrique
ecousses sont intenses et brusques, mais rythmées ; il n'y a pas de contractions continuelles comme dans la convul- sion cloniqu
nvul- sion clonique. Dans la chorée fibrillaire de Morvan, dans les contractions (ibrillaires des névropathes ou des organiques,
t des per- turbations de la motilité caractérisées par des accès de contractions mus- culaires brusques et involontaires, il est
ite, ne s'accompagne de ce phénomène. S'il devient donc le siège de contractions anormales par leur intensité, leur nombre ou leur
, en réalisant toutes les formes du mouvement musculaire, depuis la contraction simple jusqu'à la convulsion clonique et tonique,
courte : nous aurons une simple secousse musculaire, analogue il la contraction musculaire volontaire normale avec, sur le cyli
intense et surtout la répétition des excitations, l'am- plitude des contractions augmente par un phénomène d'addition lente : no
tions très rapprochées, atteignant le muscle il toute période de sa contraction : il y aura fusion des secousses en secousses p
, dans le tétanos. Ici, même brusquerie du début : mais, au lieu de contractions musculaires nombreuses et irrégulières, une raide
sculaires nombreuses et irrégulières, une raideur per- manente, une contraction durable des muscles sans intervalle de résolu-
manifester ; mais c'est toujours il une attitude fixe qu'aboutit la contraction . Les membres sont étendus ou dans une demi-flex
urs et se caractérisent par les mouvements des globes oculaires, la contraction des commissures buc- cales, des secousses dans
in se distinguent par un certain nombre de caractères : ce sont des contractions muscu- laires involontaires, incessantes, irrég
REMBLEMENT. S7 spasme qui accompagne la névralgie du trijumeau. Les contractions musculaires du spasme occupent un territoire ne
montré Brissaud, ce tremblement est toujours le fait d'une série de contractions successives des extenseurs et des fléchis- seur
olu, il existe néanmoins quand les sujets sont dans un mini- mum de contractions musculaires, il est d'un rythme lent comme le tre
'inverse de celui-ci, il augmente dès que les muscles exécutent une contraction soutenue et cependant ne s'exagère pas à mesure
par le D' CROUZON On appelle chorécs ou mouvements choréiques des contractions muscu- laires involontaires donnant lieu à des
(Cadet de Gassinconrt), de même on a pu voir alterna- tivement des contractions et. des dilatations pupillaires en présence d'un
bes s'agitent comme par une sorte de piétinement. Quelquefois les contractions des muscles thoraciques et du diaphragme amènen
cte initial. Dans la maladie des tics, il s'agit d'une assemblée de contractions se reproduisant sur des groupes de muscles diff
peut noter également quelques prodromes moteurs, ce sont alors des contractions isolées, des muscles de l'avant-bras ou des mai
ères que nous avons décrits aux mouvements choréiques en. général : contractions invo- lontaires, continues, cessant pendant le
e (feb1'is accedens spasmos solvit). Toutefois cette disparition de contractions sous l'influence 1. Ollive. Paralysie chez les
té fixées par Germain Sée et Jules Simon. La fièvre fait cesser les contractions quand elle sur- vient au moment de leur croissa
ontractions quand elle sur- vient au moment de leur croissance, les contractions suivent une marche parallèle à la fièvre quand
On appelle myoclonies, pseudo-chorées, ou chorées électriques, des contractions cloniques brusques semblables il celles que produ
les, d'où le nom de chorées électriques qui leur a été donné. Ces contractions sont involontaires, non systématisées, plus ou mo
es muscles qui se contractent et se relâchent presque aussitôt. Ces contractions siègent quelquefois dans un groupe spécial des mu
ssent pen- dant le sommeil et sont arrêtées par la volonté. ' Les contractions tétaniques différent des précédentes par Icur pc
ques différent des précédentes par Icur pc rsis- tance : enfin, les contractions tétaniques ne sont qu'une source de secousses t
acoutinuite apparente. Enfin, le dernier type est constitué par les contractions si brilla ire s uni, l'io.,rncr .emoi.. ' 55
lt;0 ! f/s s Archiv, 1881). Use rencontre surtout il l'âge mur; ses contractions peu- vent cire cloniques, tétaniques, toniques
en général par les membres inférieurs que débute la maladie. Les contractions se produisent par accès ou par intervalles qui vo
vont de quelques minutes à '1/2 heure quelquefois. D'autre part les contractions sont très rapprochées et semblent continues; ce
des membres dans un certain nombre de cas, quelquefois cependant la contraction est insuffisante pour procurer le changement de
nférieurs, de même au niveau de la face et au niveau de la tète. La contraction se produit dans les différents mouvements, on l
BRILLAIRE DE MORVÀN La chorée fibrillaire est. caractérisée par des contractions librillaires qui apparaissent dans les muscles
s les cas, les muscles du cou et de la face sont respectés. . Les contractions apparaissent sous forme de tressaillements dans l
sée par des mouvements brusques qui contrastent avec la lenteur des contractions de l'athétose; d'une part, la chorée ne s'accom
iques sont tout aussi indispensables pour constituer le tic que les contractions muscu- laires. Les différents termes de cette d
motrices. - Le tic est un mot- vement-convulsi-1, c'est-à-dire une contraction musculaire pervertie; elle peut être pervertie
s cas et suivant les moments. Dans chacun de ces accès la série des contractions musculaires successives est essentiellement aryth
lusieurs muscles au hasard ; il ne se manifeste pas non plus par la contraction simultanée ou successive de muscles innervés par
différent. Les indispositions légères aggravent géné- ralement les contractions ; les maladies graves, et surtout fébriles, les
febris recédais spaslllos reducit. Un tic donné se manifeste par la contraction toujours répétée des mêmes muscles ou de muscle
pements musculaires fonctionnels, physiologiques, qui sont mis en contraction anormale, non des groupes anatomiques, Les tics m
mps, chez les tiqueurs, une, tendance à prolon- ger inutilement les contractions musculaires et à conserver les positions qu'on
odifier une attitude que dans la tendance à maintenir à l'excès une contraction musculaire. Si les atti- tudes catatoniques vra
ans un même accès ou dans des accès successifs, soit qu'au cours de contractions toniques des mouvements cloniques exagèrent la dé
la déglutition. Tics dysphagiques, efforts répétés de déglutition, contractions brusques ou prolongées des muscles du pha- rynx
u'il importe de dis- tinguer des tics de la face. Il débute par des contractions fasciculaires ou parcellaires, brusques et répé
ellaires, brusques et répétées, de certains muscles de la face; ces contractions envahissent les muscles voisins, faisceaux par fa
. La contracture est « frémissante » par suite de la persistance de contractions fibrillaires. L'accès se termine par une détente
tement t 1 hemispasme facial des tics : telles l'unilatéralité de contraction avec répar- tition rigoureuse aux muscles inner
répar- tition rigoureuse aux muscles innervés par le facial, les contractions fascicu- laires, leur brusquerie, la production
l'oreille est déplacé, en haut et en arrière, l'oeil se ferme par contraction .de l'orhiculaire en même temps que la peau du f
aire en même temps que la peau du front se porte en . haut par la contraction de la partie in- terne du frontal, etc.). L'exi
labiale en haut et en arrière, l'occlusion de l'oeil associée à une contraction du frontal (plis cutanés il la -partie supéro-int
frontal (plis cutanés il la -partie supéro-interne du sourcil). B). Contraction volontaire du côté droit. On ne constate aucun de
ial, les secousses ne sont pas parcel- laires ou fasciculaires, les contractions ne- sont pas déformantes ou para- dovales, elle
vulgaires. Les crampes fonctionnelles ou professionnelles sont des contractions toniques qui ne se produisent qu'à l'occasion d
plus, on doit s'efforcer de maîtriser les réactions motrices et les contractions musculaires excessives, qui se produisent chez le
tes, elles sont souvent douloureuses, mais la douleur cesse avec la contraction . Les muscles de la main ne prennent pas toujour
vent se contracter, il y en a qui doivent ne pas se contracter : la contraction intempestive des supinateurs. des pronateurs ou
é réflexe intense du système musculaire. Tout contact détermine une contraction spasmodique des fléchisseurs, des pronatcurs, e
jamais des extenseurs. Dans la catatonie au contraire, existent des contractions toniques intéressant les extenseurs à. l'égal d
e tient non seulement à la douleur propre, à la névralgie, mais aux contractions mises en jeu : celles-ci sont de deux ordres, d
, ce qui en imposé pour un rétrécissement. Dans certains cas, cette contraction prématurée du sphincter amène une rétention inc
On observe dans la sclérose en plaques les mêmes intermittences des contractions vésicales que des autres systèmes musculaires. La
icales que des autres systèmes musculaires. La réten- tion due à la contraction du sphincter peut durer plusieurs jours, ce qui
OS.] 9r»2 TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE. faire, c'est-à-dire de contractions incomplètes et irrégulières ne rencon- trant pl
incomplètes et irrégulières ne rencon- trant plus l'antagonisme des contractions sphinctériennes normales, mais laissant netteme
orgement de s'établir très vite. Ce dernier est méconnu lorsque les contractions des muscles abdominaux produisent t'evacuation
l se sent mouillé par l'urine évacuée ; c, incontinence vraie ; les contractions de l'appareil sphinctérien manquent, l'urine s'
lepsie. L'incontinence est due, dans ce cas, il l'exagération de la contraction vésicale liée à l'affaiblissement du sphincter.
arfois efficace, est souvent dangereux; si l'évacuation tient à des contractions répétées et violentes du corps vésical, le cathét
s et autres manoeuvres intra-vésicales sont de nature à exciter ces contractions . Lorsque, au contraire, les sphincters sont atone
ntraire, les sphincters sont atones. ou paralysés, on provoquera la contraction au moyen d'instillations portées dans la prosta
. En permettant au. bas-fond vésical de se relever, on favorise les contractions de tout l'appareil vési- cal, corps et col, et
lexe vésical. Tout se contracte, corps et col de la vessie, mais la contraction de ce dernier cède la première et la miction a li
era l'existence de la rétention, cette dernière pouvant résulter de contractions prématurées du col. 2° Incontinence par atonie.
le bégaie- ment urinaire, premier indice du spasme 1l1'élrai. Cette contraction prématurée du sphincter détermine un certain de
ement une issue par le relâchement brusque de ce dernier. Que cette contraction antérieure ne cesse pas, et l'éjaculation sera
otub(;1'(l/Ilielles. La langue est flasque, au début du moins, sans contractions lihrillail'es, ni R. 11. La gène de la déglutit
écédemment décrits. La boule hystérique n'est ainsi qu'une suite de contractions antipéristaltiques anormalement perçues, et l'o
pathes des crises intestinales décrites par Nollmagel. Il s'agil de contractions des anses intestinales survenant à l'occasion des
casion des règles ou d'un choc moral, spontanément quelquefois. Ces contractions s'accompagnent de sensations plus ou moins désa
ection, mous à la palpation, ne durcis- sant pas par les efforts de contraction ; l'articulation est plus ou moins lâche, ball
forts courants, cependant, on peut voir les muscles mis en état de contraction soutenue plus ou moins prononcée ; c'est ce que
soutenue plus ou moins prononcée ; c'est ce que Hemak a appelé les contractions galvano-loniqucs. Il y a lieu de croire que ces
l'intensité du courant est suffisamment élevée, se manifeste par la contraction du muscle. Sur un; nerf moteur, cette excitatio
du muscle. Sur un; nerf moteur, cette excitation se traduit par la contraction des muscles animés par ce nerf. Sur un nerf sen
on produite peut être résumée par le tableau suivant, indiquant les contractions obtenues sur les muscles correspondant au nerf
é. 9` ? IG APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. * obtient seulement une contraction des muscles avec le pôle négatif et au moment d
P; la fermeture par F ou S (Sc1¡[ie,SIIIIY); l'ouverture par 0; la contraction par C ou Z (Xuckung) ou S ; on la représente auss
uckung) ou S ; on la représente aussi par Te quand elle devient une contraction tétanique. Celte notation a d'abord été adoptée e
ION DE L'EXCITABILITÉ GALVANIQUE. 1219 observe alors, au lieu d'une contraction , la cessation de la tétanisation du muscle. Au
aussi avec l'in- tensité du courant; à la fermeture, cependant, la contraction obtenue PFC ou PFCC reste, plus petite, pour un
PFCC reste, plus petite, pour un courant de même intensité, que la contraction à NF; il est rare de la voir devenir tétanique et
nt, même avec des intensités élevées et difficiles à supporter. Les contractions à l'ouverture, POC, augmentent également, mais
il propos de l'exploration avec la clef simple, il quel moment les contractions provoquées par l'excitation deviennent tétaniqu
ent tétaniques. Il convient de remarquer qu'avec la clef double les contractions pro- duites à l'ouverture du courant s'obtienne
manifester du côté des nerfs et des muscles et se traduire par des contractions musculaires plus ou moins soutenues. En somme,
on voit ainsi que l'onde induite d'ouverture provoque facilement la contraction des muscles ou l'excitation des nerfs, tandis q
nergie convenable, on peut remarquer, en inscrivant la courbe de la contraction , musculaire, que la contraction ne commence pas
quer, en inscrivant la courbe de la contraction, musculaire, que la contraction ne commence pas au moment même où l'onde induit
induite est produite; il s'écoule entre ce moment et le début de la contraction un certain temps variant, suivant la nature des
entième de seconde; c'est la période d'excitation latente; puis, la contraction commence, la courbe s'élève progressivement pou
le les excitations dans les mêmes conditions. On provoque ainsi des contractions isolées et successives des muscles. Les mêmes r
orrespondant à la période d'excitation latente, entre de nouveau en contraction avant d'être revenu à l'état de repos; il recomme
avant que la décontraction ne soit terminée, il entre de nouveau en contraction et ainsi de même tant que les excitations sont
uverture 0' B' de rnèmr sens que. le courant inducteur.- rcc. 32. Contraction musculaire. 31 Courbe du myographe ; S Temps en '
peut laisser passer le courant librement; il ne se produit que des contractions isolées des muscles, séparées par des intervalles
maximum plus ou moins élevé et décroit ensuite graduellement. Les contractions ainsi produites se rapprochent davantage des cont
ment. Les contractions ainsi produites se rapprochent davantage des contractions physiologiques que les contractions produites e
es se rapprochent davantage des contractions physiologiques que les contractions produites en rythmant simplement les courants a
de la même façon que dans la méthode polaire. Si l'on provoque des contractions isolées des muscles, on peut tenir les électrod
ace en laissant passer le courant libre- ment. Si l'on provoque des contractions avec tétanos plus ou moins complet, il faut, co
distance des nerfs et des muscles restés sains ou peu altérés ; les contractions Illllsl'l1- EXPLORATION ET TRAITEMENT FARADIQUE
TEMENT FARADIQUE. 1257 laires ainsi produites prédominent sur les contractions des muscles que l'on cherche à obtenir; elles m
chocs faradiques en exci- tant le nerf ou le muscle produisent des contractions musculaires avec une énergie modérée. On laisse
courant faradique produisant, lorsque l'énergie est suffisante, des contractions musculaires avec tétanisation plus ou moins com
ent également beaucoup plus tôt que dans l'état normal; de plus les contractions deviennent facilement tétaniques, d'abord à \h pu
relâchement les muscles sur lesquels l'excitation doit produire des contractions . Il faut donc donner au membre ou à la partie du
veiller à ce que les patients ne tiennent pas ces muscles en état de contraction volontaire. Pour exciter des muscles contractés
tabilité est parfois plus marquée par la diminution d'amplitude des contractions que par les changements dans l'apparition du seui
. Elles sont de deux ordres portant, d'une part, sur la forme de la contraction musculaire, et, d'autre part, sur la formule pola
laire, et, d'autre part, sur la formule polaire de l'excitation. La contraction , au lieu d'être vive et rapide comme dans l'éta
loppement, puis ne disparaît que lentement ('). Cette lenteur de la contraction , très prononcée ;t la période d'état de la DU d
itation se trouve inversée; au lieu que l'exci- 1. La lenteur de la contraction des muscles dégénérés est telle qu'elle peut donn
lieu a un phénomène intéressant qu'on a appelé phénomène de la double contraction . Si on excite avec des courants galvaniques des
es derniers, on voit d'abord apparaître le mouvement produit par la contraction vive et brève des mus- des normaux (flexion des
nt produit par les muscles dégénérés (extension des doigts) dont la contraction met plus de temps à se développer et se montre
uivalence polaire (NFC = PFC). Parfois même, mais plus rarement, la contraction reste prédominante à la cathode (NFC PFC) alors
uve bien caractérisée encore par les autres caractères, lenteur des contractions et altérations quantitatives de l'excitabilité.
moteur; de plus, elle se montre aussi altérée qualitativement,' les contractions ,' en effet, sont lentes, mais l'excitation 1. I
FC; de plus, on peut remarquer qu'avec l'inversion artificielle, la contraction n'est généralement pas modifiée dans sa forme e
2. On voit parfois, dans ces formes de réaction de dégénérescence, la contraction rester assez vive et prédominer à la fermeture
u seuil de l'excitation, tandis qu'avec des courants plus forts les contractions se montrent lentes et que PFC devient égale ou
que ; cette dernière n'est généralement pas altérée en qualité, les contractions produites par l'excitation du nerf restent en eff
diminuée plus tard; elle est, de plus, altérée qualitativement, les contractions obtenues sont lentes, et le plus souvent la for
dans le territoire duquel existe de. la DU. on observe parfois des contractions lentes produites par l'excitation galvanique sur
res de ce nerf. On commettrait souvent une erreur en rapportant ces contractions lentes il l'excitation du nerf : on peut les obse
en étal de dégénérescence, on observe fréquemment l'excitation avec contractions lentes du trian- gulaire des lèvres, alors que
t'nOL, 70 [E HUET] ] 1250 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. La lenteur de la contraction provoquée par l'excitation galvanique du muscle
; dans des formes atténuées de DR on voit parfois la lenteur de la contraction manifeste seulement à l'excitation avec le pôle
ifeste seulement à l'excitation avec le pôle positif, tandis que la contraction reste assez vive pour l'excitation avec le pôle
à ce qui existe dans l'état normal. N0C>POC. Cette inversion des contractions d'ouverture s'observe plus parti- culièrement q
s'observe plus parti- culièrement quand il y a aussi inversion des contractions de fermeture, PFC> NFC. On a voulu il tort l
re s'observe dans des muscles et non dans l'excitation du nerf; les contractions ainsi obtenues sont aussi modifiées dans leur f
ellement assez diminuée ; ses altérations qualitatives, lenteur des contractions , modifications de l'excitabilité polaire, prédomi
tent encore un certain temps, mais elles s'atténuent peu à peu, les contractions deviennent manifestement moins lentes, puis ell
et se rapproche de l'état normal, elle perd sa prédominance, et les contractions auxquelles elle donne lieu redeviennent vives.
ralement un certain temps encore la prédominance sur NFC, niais les contractions sont tellement faibles que leur lenteur devient m
lement faibles que leur lenteur devient moins appréciable; puis les contractions disparaissent à NF et plus tard elles disparais
atives de l'excitabilité galvanique se montrent moins ' nettes, les contractions musculaires produites étant devenues très faibles
té galvanique était mieux conservée quoique fortement diminuée, les contractions produites étaient peu lentes ou mêmeiasstv, viv
altérations de la DR soit par une lenteur plus ou moins accusée des contractions mus- culaires, soit par des modifications de la
énérescence, par les altérations de l'excitabilité des muscles. Les contractions provoquées par l'excitation électrique des musc
ariable souvent assez long. De plus, dans certaines conditions, les contractions ainsi provoquées ne sont pas régulièrement souten
es oscillations alternativement crois- santes et décroissantes; ces contractions ondulatoires des muscles ne semaines parfois, u
xcitabilité galvanique des muscles sont atténuées, la le»- teur des contractions n'est pas très prononcée et l'inversion polaire p
itations minimales; en augmentant l'énergie des courants on voit la contraction persister un temps appréciable après l'interrup
vec des courants labiles, on peut observer aussi la persistance des contractions . Muscles. Dans l'excitation directe des muscles
lés et avec les excitations minimales des courants tétanisants, les contractions restent sensiblement normales. Avec des courants
ales. Avec des courants tétani- sants plus forts la persistance des contractions apparaît ; au moment où on interrompt le couran
Lorsque les courants tétanisants sont forts et un peu prolongés, la contraction tétanique du muscle n'est pas toujours continue
e diminue peu il peu et finit même par disparaître, de sorte que la contraction ne persiste plus au delà de l'excitation et la dé
tétanisa- tion incomplète, puis celle-ci se résout peu à peu et les contractions deviennent distinctes et séparées les unes des
ntensité, un quart, un demi, un milliampère, provoquent souvent des contractions et l'excitation s'étend facilement aux muscles
, avec les excitations un peu plus fortes, pour la produc- tion des contractions toniques et persistantes. Les contractions se t
ur la produc- tion des contractions toniques et persistantes. Les contractions se trouvent, en effet, modifiées dans leur forme
en effet, modifiées dans leur forme : au seuil de l'excitation, les contractions restent quelquefois assez brèves, mais avec des
efois assez brèves, mais avec des courants un peu plus intenses les contractions deviennent bientôt toniques, surtout à la ferme
une demi-minute, ou même davantage. La lenteur et la tonicité des contractions sont généralement les plus accentuées dans le voi
ve, parfois même la disparition de la lenteur et de la tonicité des contractions qui redeviennent brèves et sans persistance, si l
s courants stables, d'intensité assez élevée, peuvent provoquer des contractions musculaires rythmiques et ondulatoires, surtout
ain ou sur le dos du pied par exemple; on voit apparaître alors des contractions toniques, irrégulièrement soutenues, avec oscil
une direction déterminée et aller de la cathode -il l'anode. Les contractions rythmiques ondulatoires, ainsi provoquées, semble
entée et elle se trouve plus ou moins modifiée dans sa qualité. Les contractions provoquées par l'excitation mécanique des muscl
rcutés ou s'étendent il la totalité du muscle. La persistance de la contraction varie, suivant les cas, de quelques secondes à
estion à propos des modifications de l'excitabilité électrique. Les contractions réflexes provoquées par la percussion des tendons
tonique incomplète la tendance à l'apparition de la persistance des contractions aussi bien à NF qu'à PF, avec de faibles couran
mme des manifestations de la réaction myotonique la persistance des contractions tétaniques que l'on observe parfois, en dehors
es; divers caractères permettent de les distin- guer en général des contractions toniques lentes et persistantes de la réaction
rants forts et avec intermittences fréquentes) provoquent seuls ces contractions tétaniques persistantes; elles sont douloureuse
e même complètement. Si on augmente alors l'énergie dn courant la contraction reparait d'abord, mais faible, puis elle continue
es, assez prolongées, et plus ou moins répétées, l'épuisement de la contraction finit cependant par apparaître, au début de chaqu
n voit dans ces conditions les muscles animés par le nerf entrer en contraction au moment où on établit l'excitation, et aussit
action au moment où on établit l'excitation, et aussitôt après leur contraction diminue ou disparait; si, après avoir interromp
se manifester. Il ne s'agit pas en pareil cas d'uu épuisement de la contraction musculaire comme dans la réaction myasthé- niqu
galvaniques assez fréquemment réitérées pro- duire l'épuisement des contractions avec la cathode et avec l'anode; cet épuisement
longées peut être complet ; d'autres fois il est moins complet, les contractions musculaires s'affaiblissent plus ou moins vite
n des muscles de la chaîne des osselets; les bruits produits par la contraction de ces muscles, trop faibles pour être entendus
on donne au courant une intensité voisine de celle qui produit les contractions mini- males des muscles, intensité qui il cette
gros fil ou à fil moyen, une énergie modérée ne produisant que des contractions faibles ou assez fai- hies sans provoquer de do
es se trouvent donc indiqués pour exciter les nerfs et provoquer la contraction des muscles. Pour habituer les malades à suppor
ide. On établit alors un courant assez fort, tel qu'il produise des contractions apparentes des fibres du peaucier, ou des contrac
produise des contractions apparentes des fibres du peaucier, ou des contractions assez fortes du stcrno-ctéido-mastodicn lorsqu'
rant trop fort ; puis on gradue le courant de façon il produire des contractions de l'orhiculairc. On passe ensuite légèrement e
on la pro- mène sur le pourtour de l'orbite de façon il obtenir des contractions de l'orbiculaire, du sonrcilier et du frontal,
électrode sur les deux lobes du corps thyroïde et l'on provoque des contractions des muscles sterno-hyoïdien et stemo-thyroïdien
utes un courant assez faible pour provoquer tout au plus de légères contractions du grand pectoral. Quelques électro-thérapeutes c
calisations aux petits muscles des mains, 698. Griffe, 699, 1059. Contractions fibrillaires. Réactions élec- triques, 700. Réf
51. Constipation des hystériques, traitement électrique, 1550. Contractions rttyosismiques dans l'hémi- plégie, 465. Cont
- jerine, 687. ' Myopathies, 505, 668. - Symptômes. Absence de. contractions fibrillaires, hy- pertrophie, 669. - Pseudo-hyp
6 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
détermine un ébranlement soudain de toute la masse du muscle. La contraction musculaire réflexe ne peut être produite par au
et assez énergique. La percussion du tendon est suivie alors d'une contraction soudaine du muscle qui soulève le segment du me
rote, mais toujours vive et très courte. Dans l'état de santé, la contraction réflexe du tri- ceps crural est facile à obteni
al est facile à obtenir par la percussion du tendon rotulien. Cette contraction d'intensité moyenne s'exagère dans certains éta
xten- sion, diffusion de l'action réflexe; b) modifications de la contraction musculaire qui en est la conséquence : a) La co
ns de la contraction musculaire qui en est la conséquence : a) La contraction est -plus vive sans augmenter de durée. 6) La
a) La contraction est -plus vive sans augmenter de durée. 6) La contraction est plus longue, elle marche vers le tétanisme
vers le tétanisme et tend à se transformer en contracture. y) La contraction devient permanente. Le choc a provoqué la contr
ent s'exagérer sur place et le choc sur le tendon donner lieu à une contraction plus vive du muscle directement intéressé, mais
s vive du muscle directement intéressé, mais encore provoquer des contractions réflexes dans les membres éloignés du lieu de l
ps brachial et traduit les modifications survenues dans l'état de contraction de ce muscle. La ligne inférieure offre la même
llations multiples. Ces oscillations paraissent produites par des contractions alternatives des muscles extenseurs et des musc
tenseurs et des muscles fléchisseurs. La courbe T. c. traduit les contractions du muscle extenseur du triceps crural. On remar
sur tout le corps.. On voit, en effet, sur le tracé II (Fig. 1) la contraction du biceps brachial suivre celle du triceps crur
de phénomènes réflexes d'un ordre différent. b) Modification de la contraction réflexe qui suit le choc sur le tendon. En même
e réflexe tendineux tend à se généraliser, il arrive souvent que la contraction musculaire à la- quelle il donne lieu subit ell
quelle il donne lieu subit elle-même quelques modifi- cations. La contraction devient plus longue, la courbe du tracé myograp
ro-musculaire, offre d'une façon très nette ces modifications de la contraction mus- culaire réflexe sans tendance à la général
peu. En effet, dans ce dernier cas, on voit la main soulevée par la contraction réflexe des extenseurs s'arrê- ter à mi-chemin
s instants. 1-'ig. ? .Ot ? ca<;oK, pendant la léthargie, de la contraction réflexe qui suit le choc du tendon. Tendance 6
éré, produit d'em- blée la contracture. Pour obtenir une simple contraction , il faut user d'une excitation fort lé- gèr
, le biceps demeure éga- lement immobile, mais les caractères de la contraction réflexe du triceps crural sont considérablement
rural sont considérablement modifiés. Un premier choc détermine une contraction prolongée qui se traduit par une courbe à long
à long plateau. Un deuxième choc donne naissance immédiatement à la contraction permanente. Chez les deux malades qui jusqu'ici
rer à la fois, et, en même temps que le réflexe irradié, on voit la contraction (du muscle directement excité, de même que cell
ucces- sivement, et l'on remarque qu'à la troisième excitation la contraction réflexe du biceps brachial, aussi bien que cell
ndant qu'il existe très développé dans le reste du corps. - b) La contraction musculaire qui est la conséquence du choc sur l
nséquence tend à se propager dans toute l'étendue des centres et la contraction réflexe, de même que la contracture, se général
des on réussit à provoquer, à l'aide d'un choc léger et rapide, une contraction réflexe qui présente, à peu de chose près, les
ues instants. En second lieu, la faradisa- tion ne détermine qu'une contraction qui cesse avec elle, tandis que la contraction
ne détermine qu'une contraction qui cesse avec elle, tandis que la contraction due à l'hyperexcitabilité neuro-musculaire pers
rière, t. 1, II, III, 1876-1880. REVUE DE PHYSIOLOGIE I. SUR la contraction musculaire paradoxale; par M. Men- DEL530HN. (S
ue Westphal a consacrée à ce phénomène patholo- gique bizarre de la contraction musculaire dite paradoxale, qui consiste en un
pas que le relâchement d'un muscle puisse jamais être une cause de contraction ou de contracture. Il croit que dans le cas par
t du soléaire. Il invoque, à l'appui de son opinion, le fait que la contraction paradoxale ne peut se produire, lorsque, la jam
2 que ce n'est pas le relâ- chement du mollet qui met obstacle à la contraction du tibial antérieur, mais bien la pression que
siologiques du phénomène. Tout ce qu'il a pu observer, c'est que la contraction paradoxale affecte, dans ses caractères graphiq
ffecte, dans ses caractères graphiques, une grande analogie avec la contraction d'un muscle empoisonné par la vératrine. Quant
ptôme, rien n'est encore plus malaisé. Westphal a vu se produire la contraction paradoxale dans le tabes dorsal, dans la scléro
117. REVUE DE PHYSIOLOGIE. 121 Enfin, Mendelssohn a déterminé la contraction paradoxale chez deux ataxiques sur dix, chez un
teur, sans se prononcer catégoriquement, exprime l'opi- nion que la contraction paradoxale consiste en une perte de l'équilibre
tulien, on obtient, non plus une secousse unique, mais une série de contractions ; de même, on peut n'avoir à la cheville qu'une
s. Dans tous ces phénomènes, il y a un élément commun : c'est une contraction provoquée par l'extension de la fibre musculair
e par l'extension de la fibre musculaire et on peut affirmer que la contraction sera d'autant plus forte que l'excitabilité mus
rne à entretenir la tonicité réflexe, sans laquelle il n'y a pas de contraction 126 revue DE physiologie. possible. Mais son
le, en vertu duquel son angle in- férieur est porté en dehors. La contraction isolée du deltoïde au moyen de la, faradisation
que, pen- dant l'état d'hyperexcitabilité, ne donne lieu qu'à une contraction et non plus à une contracture ; b) Du degré de
large et fasciculé, tandis que, dans l'état d'hyperexcitabilité, la contraction totale de ce même muscle suit toujours l'excita
eux qui l'innerve, met les fibres muscu- laires en action, mais, la contraction ainsi provoquée ne persiste pas d'ordinaire apr
partie avec une grande précision. Nous avons cherché à produire la contraction isolée 186 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. de chaqu
Plus ou moins grand nombre de muscles, ce que l'on reconnaît à leur contraction simultanée. Il suffit, dans ce cas, de déplacer
chenne, placé au niveau du grand zygomatique, aurait dû produire la contraction isolée de ce muscle, ainsi qu'on l'observera da
la branche temporo-faciale de la septième paire, a pro- voqué la contraction en masse des muscles innervés par ce tronc nerv
excitée, et parfois sur quelques muscles éloignés. Dans ce cas, la contraction musculaire est fugace et peu ac- cusée, c'est u
trop forte se propage souvent à quelques muscles voisins ; 2° La contraction du muscle cesse le.plus souvent en. même temps
orme jamais en contracture. Le muscle peaussier est celui dont la contraction se maintient le plus longtemps, tenant en quelq
tenant la pression à un degré égal sur le point qui a provoqué la contraction du muscle, on ne tarde pas à voir celle- ci s'e
e contracter à la fois plusieurs muscles, de façon à reproduire les contractions com- binées expressives ou les contractions com
façon à reproduire les contractions com- binées expressives ou les contractions combinées inex- pressives, pour nous servir des
lection sur lesquels Duchenne appliquait l'électrode pour amener la contraction par- tielle de chacun de ces muscles sont indiq
hémas suivants : 1° Frontal Muscle de l'attention. (Fird. 17). Sa contraction produit sur les traits de la face les modifi- c
e- dans en dehors. Il affecte la forme d'une ligne si- Fig. 17. Contraction du muscle frontal. Muscle de l'attention, de Du
scle frontal. Muscle de l'attention, de Du- clicnne. Fig. 18. Contraction du muscle orbiculaire palpébral supérieur. Mu
d'élection, nous a donné les résultats sui- vants : , rrg. 1 s. Contraction du muscle sottrcillier. Muscle de la douleur, d
e sottrcillier. Muscle de la douleur, de Du- uhenne. Fig. 20. Contraction du pyramidal du izez. Muscle de l'agression, de
de l'agression, de Du- chennc. 192 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. La contraction isolée du Frontal est très facile à obte- nir p
roché de la tête du sourcil ou lorsqu'elle est un peu intense, la contraction du pyramidal du nez se joint à celle de l'orbic
eur (Fig. 2, PL. X). Nous n'avons pu obtenir complètement isolée la contraction du pyramidal du NEZ. En cherchant à l'exciter a
si sai- sissante, nous n'avons pu d'une façon nette en obtenir la contraction . Nous devons ajouter que des recherches faites
e, en ce sens que l'expression n'est parfaitement rendue que par la contraction simultanée d'un autre muscle, les autres n'expr
ais, pour que l'expression soit complète, il est 13 Fig. 21. L. Contraction du muscle grand zygomatique. Muscle du rire,
zygomatique. Muscle du rire, de Duchenne, rire faux. Fig. 22. Contraction simultanée du grand zygomatique et du muscle or
) Dans nos expériences 'd'hyperexcitabilité neuro- musculaire, la contraction isolée du grand zygomati- que n'est pas sans pr
l'extrémité supérieure du grand zygomatique) en- trent également en contraction .' '' Cependant, après quelques tâtonnements et
mmette 'et une légère élévation de la paupière inférieure. ' ' La contraction tisolé6'du petit zygomatique peut éga- lement ê
et la Figure de la Planche XII mettent parfaitement en lumière. La contraction par- tielle de ce muscle est très facilement ob
lade. Dans la Figure 4 de la Planche XI, la , ' Fig. 3. t, î 1 19 Contraction du petit' zygomatique.' ' ' Muscle du pleurer,
pleurer, de Duchenne.' - T t d''f<i 1 ) i, t Fig. 4. ! ,r-t 1 Contraction ' du muscle élévateur ,t commun , de l'aile du
sicérieiü·re. ' ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 197 contraction du muscle suit l'excitation du rameau ner- veux
' Duchenne appelle le muscle' de- la lubricité, fait subir,t,par sa, contraction , à la forme 'générale du nez, '.les principales
les deux lèvres'se froncer et l'orbicu- laire tout entier entrer en contraction .' L'action est encore bien plus vive1, lorsqu'o
DES LÈVRES est le muscle, de la tris- tesse. Sous l'influence de la contraction , les commis- sures des lèvres'sont tirées'en ba
(Fig. 25). ' ' ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 199 La contraction partielle des muscles du menton et de la lèvre
juxtaposés.* ,I, , z ; " , Pour, obtenir, chez nos ma- lades, la contraction isolée du triangulaire .des lèvres, il faut por
), on obtient un mouvement complexe de ladèvre résul- tant de la. contraction simultanée. du triangulaire et du carré du ment
aire et du carré du menton, qui, en ce point, sont superposés. La contraction isolée du carré, du, menton, qui, d'a- près Duc
rieure.. - prieure ? ,), .j , . lf =y «, ? - Suivant Duchenne, la contraction partielle du.peaus- n 11 , ..«Il < te ; M ?
n faisant ouvrir les yeux de la malade par un aide, au moment où la contraction était obtenue par l'excitation mécanique des po
ce ! nous avons cherché à pro- voquer,- t'exempte de D'ucheiine, la contraction simul- tanée de plusieurs muscles, que ces musc
les, que ces muscles concourent à l'expression d'un même sentiment ( contractions com- binées expressives'de Duchenne)ou bien, au
contraire, qu'ils expriment des sentiments complètement opposés ( contractions combinées inexpressives du même auteur). Dans l
le masque de la frayeur avec la nuance indiquée par Duchenne. La contraction simultanée du triangulaire des lèvres et de l'o
ade- étant rendue cataleptique pendant l'excitation d'un muscle, la contraction de ce muscle persiste parfois un certain temps
de méditation mêlée de tristesse ou de dégoût, suivant le degré de contraction du triangulaire. ' i Au contraire, la contrac
ant le degré de contraction du triangulaire. ' i Au contraire, la contraction du grand zygomatique, associée à l'orbiculaire
chaque côté, de la physionomie un mouvement un peu com- plexe, la contraction unilatérale» n'en nconserve pas moins les. cara
Ration. Dans- l'état i d'hyperexcitabilité neuro-muscu- laire, la contraction ! des muscles qui . sont sous la 20't- le PHYSI
et, que tous les muscles de cette moitié du visage sont entrés en contraction ? «o u u»/- 't ' " '" . ' . . Cette expérience
be pendait directement sans pou-j voir être portée en avant par, la contraction des triceps cruraux; le, malade était obligé de
il eut, comme au début de sa ma- ladie, une attaque convulsive avec contraction de tous les membres, surtout à gauche ; perte d
des manifestations en apparence de même, ordre; ainsi, parmi, les., contractions musculaires et les contractures , qui accompagn
des.vertiges, présentent souvent des alternatives très brusqueside contraction et de dilatation, deviennent souvent punctiform
il n ·1 vü I fiT . i· · i ? f nrW t v4, i 1 . par instants, leqeres contractions fibrulaires et convulsions dans les doiqts et l
uche (en plein ventre' du muscle), on constatait que la période des contractions et raideurs tétaniques excessives et prolongées
crétions provo- quées, lé 1`exââerattoît des`fatïguës`ÿ"èomprislles contractions 'muscula.ires°simulées ? On ne saurait d'ailleu
illusions), par Morandon de Mon- .4 theil, 128 ? ^ 9"ni'j' ? ut ^ Contraction musculaire paradoxale, npar \lendelssohn, 149,
es) du, cerveau, par Ragosinet 111endelssohn, 42t., i Musculaire ( contraction ) paradoxa- , le, par,, lllendelssohn, .119 ;
.) Fig. 1. Excitation du muscle sterno-mastoidien du côté gauche. Contraction du muscle. Fig. 12. - Excitation du nerf facial
2. - Excitation du nerf facial en avant de l'oreille du côté droit. Contraction simultanée des muscles de l'mil, du nez et de la
ans le même muscle du côté opposé à l'excitation, un léger degré de contraction . Fig. 2. Dans crtte figure, à la contraction de
n, un léger degré de contraction. Fig. 2. Dans crtte figure, à la contraction des deux muscles orbicu- laires palpébraux supé
on unilatérale du petit zygomatique. Il s'y joint un léger degré de contraction du muscle élévateur de l'aile du nez et de la l
7 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
main de l'observateur, appliquée sur l'épaule, ne percevait aucune contraction deltoïdienne. La rotation des humérus en dedans
d'une paralysie dettoïdienne. Vous savez tous, je suppose,. que la contraction du deltoïde j'entends de la totalité du muscle
st à peine si, dans l'effort, vous apercevez quelques tentatives de contraction du côté des deltoïdes. On ne voit, cependant,
de l'omoplate se trouve porté en dehors et en avant, du fait de la contraction du grand dentelé. Si ce muscle est paralysé, le b
externe du scapulum qui se trouve entraîné en avant, du fait de la' contraction du grand pectoral. C'est précisément ce qui n'a
t, dans une certaine mesure, l'excitant naturel ; ils provoquent la contraction et entre- tiennent ainsi le fonctionnement du m
ndirectement sur la nutrition du muscle, en activant, au moyen, des contractions provoquées, la circulation intra- musculaire. I
t homme d'essayer de lever ses bras, on ne sent pas sous la main la contraction des muscles deltoï- des. La rotation en dedans
es du deltoïde est très affaiblie ; souvent NFC est < PFC et les contractions sont lentes. Lors même que NFC reste > PFC,
les contractions sont lentes. Lors même que NFC reste > PFC, les contractions sont lentes. II y a donc de la réaction de dégéné
bituellement, elles s'accompagnent d'une sensation douloureuse. Des contractions fibrillaires semblables mais moins fortes agite
te crise de vives souffrances se traduisait par des cris et par les contractions du visage de la malade. Le plus petit mouvement
impressions parties de la vessie et du rectum sont transformées en contractions réflexes de ces mêmes organes.. , Il en était
ssent particulièrement les artistes. La vivisec- tion du muscle, sa contraction expérimentale sur les animaux, ou sur l'homme,
s normales de son fonctionnement, le seul qui permette d'étudier la contraction musculaire physiologique, dont la connaissance
t ne saurait se distendre en proportion. Ces sillons, indices de la contraction musculaire, sont donc, par op- position a ceux
fibres charnues elles-mêmes. Au gonflement caractéristique de la contraction musculaire, il faut donc ajou- ter, pour certai
se raccourcit, et plus l'opposition sera grande avec la forme de sa contraction et celle de son relâchement. Par exemple, le bi
é dans le repos du muscle, ne présente guère de différence. Dans la contraction , il n'en va plus de même. Et pendant que le tiers
dont il est composé. Mais, en outre du simple relâchement et de la contraction avec raccourcisse- ment dont nous venons de par
ué quel- quefois de sillons dans le sens des fibres musculaires. La contraction peut survenir dans un muscle distendu, et, dans
issée, mais avec une plus ferme accentuation des divers plans. La contraction en rapprochant les attaches musculaires l'une de
on ; le raccourcissement se produit, et, avec lui, les formes de la contraction sur lesquelles nous avons insisté tout à l'heur
distinguer trois états physiologiques du muscle, le relâchement, la contraction et la distension. 1° Sur l'homme vivant, le rel
t aux cloisons de séparation des faisceaux secondaires. 3° Enfin la contraction est l'état actif du muscle ; mais le point sur le
ifférence toutefois que le relâchement cesse par le fait même de la contraction , tandis que la distension peut persister à ses
e la distension peut persister à ses divers degrés malgré l'état de contraction du muscle. C'est là d'ailleurs un fait générale
on du muscle. C'est là d'ailleurs un fait généralement admis, et la contraction musculaire est fort mal définie lorsqu'on dit q
n amincis- sement, Sur l'homme vivant, il faut donc distinguer la contraction qui s'accompagne de raccourcissement et celle q
ntracté et distendu participe à la fois aux formes spécia- les à la contraction et à la distention, c'est-à-dire qu'il se disting
ou relâchement. On verra presque toujours sur un muscle distendu la contraction diminuer le relief au lieu de l'exagérer. Pour
d'appréciation qui consiste dans le modelé spécial de la région. Contraction musculaire PHYSIOLOGIQUE. D'après ce qui précèd
ient la puissance, pendant que la résistance est représentée par la contraction musculaire. Ceci peut avoir lieu pour un même s
ans l'espace et suivant la direction des mouvements. D'autres fois, contraction musculaire et pesanteur, au lieu de se contrari
laire est donc nécessaire, mais elle n'est plus à la même place. La contraction n'est plus dans les fléchisseurs, elle est dans
isseurs, elle est dans Y extenseur qui précipite le mouvement. La contraction musculaire se présente donc ici sous deux aspects
et ne fait plus office que de modérateur. Dans le pre- mier cas, la contraction musculaire est uu véritable moteur ; dans le seco
uvement. Il est encore un troisième cas, c'est celui dans lequel la contraction muscu- , laire fait juste équilibre il la pesan
bre immobile dans une position donnée. Cette dernière forme de la contraction a été appelée contraction statique. La contract
sition donnée. Cette dernière forme de la contraction a été appelée contraction statique. La contraction dynamique est celle qu
ière forme de la contraction a été appelée contraction statique. La contraction dynamique est celle qui accomplit un travail méca
n poids il une certaine hauteur. On la désigne aussi sous le nom de contraction dynamique avec travail positif. J'appellerai co
e nom de contraction dynamique avec travail positif. J'appellerai contraction frénatrice celle qui simplement retarde la chute
ment retarde la chute du membre entraîné par la pesanteur. C'est la contraction dynamique avec travail négatif des auteurs . '
ue avec travail négatif des auteurs . ' Cette dernière forme delà contraction est d'un usage extrêmement fréquent dans la méc
u'il abaisse lentement les membres après les avoir élevés, c'est la contraction frénatrice qui intervient. En un mot, elle exis
e, au point de vue morphologique, sous les mêmes, apparences que la contraction dynamique. La forme du muscle est la même dans
la photographie, mais parfaitement appréciable à l'oeil. Dans la contraction frénatrice, le muscle est le siège de petites pal
ce fondamentale, car les palpitations peuvent se voir aussi dans la contraction dynamique. Mais elles sont moins accentuées et pl
s et plus rares. En tout cas, l'opposition entre les deux formes de contraction est très nette, car elles existent constamment,
nette, car elles existent constamment, et en grand nombre, dans la contraction frénatrice. La différence est frappante, lorsqu
aleur de l'effort musculaire déployé dans ces diverses formes de la contraction . Malheureusement la solution du problème est en
as sur le bras, dans chacun desquels le biceps soit dans un état de contraction différent. Dans le premier'cas, le membre est i
rent. Dans le premier'cas, le membre est immobile, le biceps est en contraction statique. Dans le deuxième cas, l'avant-bras
ue. Dans le deuxième cas, l'avant-bras se fléchit, le biceps est en contraction dy- namique avec travail positif. " Dans le t
sitif. " Dans le troisième cas, le membre s'étend, le biceps est en contraction dyna- mique avec travail négatif (contraction f
end, le biceps est en contraction dyna- mique avec travail négatif ( contraction frénatrice). Dans les trois cas, l'effort muscu
je ne puis comparer directement entre elles ces trois formes de la contraction du biceps puisque j'ignore la valeur absolue de c
culire l'emporte sur la pesanteur. ' ." ' ,>' , : . ? . Donc : Contraction dynamique avec travail positif > P. Dans le
dynamique avec travail positif > P. Dans le troisième cas', la' contraction musculaire cède à la pesanteur puis- qu'il y a
nous, par exemple, sur les photographies comparables 'du' bicp.s en contraction dyna- mique ou en contraction 'frénatrice,' des
tographies comparables 'du' bicp.s en contraction dyna- mique ou en contraction 'frénatrice,' des différences morphologiques corr
s confirmer cet a -priori. J'ai dit, en effet, que les formes de la contraction frénatrice' étaient semblables à -celles de la
es de la contraction frénatrice' étaient semblables à -celles de la contraction dynamique,' et que l'image d'un membre qui s'éten
ve sur certaines de nos photographies, entre les' deux formes de la contraction une petite différence non pas dans' la fôrme gé
ons ;què ces différences de valeur entre les diverses. formes de la contraction varient 'certainement avec la,vitesse dû-mouvemen
différences ne peuvent que s'accentuer entre les deux formes de la contraction dynamique. Nous pouvons donc conclure que les i
au moment de l'extension et qu'il no saurait plus être question de contraction frénatrice. Aussi je ne rappelle ce cas que pou
ppelle ce cas que pour montrer le point extrême vers lequel tend la contraction fréna- trice du biceps, alors qu'augmente la vi
ments les plus simples de l'économie. La flexion est obtenue par la contraction des muscles biceps, brachial anté- rieur et lon
le biceps apparaît manifestement contracté (PI. XVI, Gj.1 et 2). La contraction est plus évidente encore, lorsque la main est c
e encore, lorsque la main est chargée d'un poids. Dans ce cas, à la contraction du biceps, on voit manifestement s'ajouter celle
. Si une différence existe, c'est clans l'intensité seulement de la contraction qui parait plus forte sur le membre qui se fléchi
mouvement, ce sont toujours les muscles fléchisseurs qui entrent en contraction . Dans la flexion, ils font office de mo- teurs
rent en contraction. Dans la flexion, ils font office de mo- teurs ( contraction dynamique) : dans l'extension, ils agissent à la
ynamique) : dans l'extension, ils agissent à la manière d'un frein ( contraction frénatrice). Il est bien entendu que ceci n'a l
ressemblerait considérablement au membre qui s'étend..Seulement la contraction au"lieu d'être au biceps, se trouve il la partie
ens inverse sont appelés antagonistes. Que se passe-t-il pendant la contraction d'un groupe musculaire, dans le groupe antagoni
E LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 131 produit est la résultante' des contractions qui se produisent simultanément dans les muscle
l un des muscles reste immobile ; le mouvement étant produit par la contraction d'un seul muscle, il n'y a besoin d'aucune expl
contractent simultanément, le mouvement n'aura lieu que si les deux contractions ne sont point égales. Il se produira alors dans
tions ne sont point égales. Il se produira alors dans le sens de la contraction la plus forte et son étendue sera proportionnel
forte et son étendue sera proportionnelle à la difl'érence des deux contractions . Dans le troisième cas, contraction d'un côté e
elle à la difl'érence des deux contractions. Dans le troisième cas, contraction d'un côté et relâchement de l'autre, le ré- sul
uscle exteuseur, relief qui peut faire croire à un certain degré de contraction de ce muscle qui est le muscle antagoniste. Nou
iste contracté. 132 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Cette contraction de l'antagoniste toute faible qu'elle soit paraît
te très facile il répéter, montre de la ma- la la plus évidente, la contraction simultanée des muscles antagonistes. Nous prion
le muscle actif dans l'extension est encore le fléchisseur dont la contraction n'a plus besoin de la modération de son antagon
on de son antagoniste. On peut constater également que lorsque la contraction du biceps augmente d'intensité, la contraction
ement que lorsque la contraction du biceps augmente d'intensité, la contraction du triceps augmente également. Sur un membre qui
dans le même mouvement de flexion Ù vide, ce qui indique un état de contraction plus marqué dans le premier cas que dans le secon
l est étendu; le biceps se contracte alors fort énergiquement et sa contraction persiste encore au moment où le membre passe à
pour ainsi dire lancé dans les deux directions différentes, par la contraction ; momentanée et alternative des deux muscles ant
'd'un poids ou à vide, la forma du deltoïde ne change guère, et la contraction n'existe toujours que dans les deux tiers antér
le tiers postérieur du deltoide qu'on voit alors se contracter. La contraction est plus forte, cela va sans dire, dans l'abaisse
e ,ne fait, que retenir ]eoids entraîné par la pesanteur,- c'est la contraction frénatriccaliminuée encore par les frottements
les formes.' suivant que le membre monte ou descend. S'il monte, la contraction est aux deux- tiers anté- rieurs du deltoïde, s
rons s'il se meut lentement ou rapidement. Dans le premier) cas, la contraction de la partie moyenne et antérieure du deltoïde se
t la fin de sa course. C'est encore la un exemple de cette sorte de contraction balistique qui lance le membre dans une directi
e est produite par l'extenseur triceps fémoral, qui entre encore en contraction dans le mouvement de la jambe en sens inverse,
même manoeuvre pratiquée sur la racine sus- jacente provoqua des contractions des muscles intrinsèques de la main, flé- chi
s consécutives à l'ancienne section du nerf cubital : toutefois les contractions musculaires, un peu Iremblées, se fai- saient p
s de paralysie consisterait, d'après Schultze, dans ce fait que les contractions fibrillaires appartiennent surtout aux lésions sp
dans le cadre des déformations professionnelles occasionnées par la contraction exagérée et exclusive de certains groupes muscu
e porte ces mots : T HVIS VA NELS : la maison de Nels (probablement contraction du nom de Nelis). (1) Sur un autre tableau de J
cles contracturés, mouvoir et même étendre un peu les doigts. Cette contraction involontaire augmente, elle est douloureuse et
dorsale se cambre vigoureusement, le talon est tiré en haut par la contraction des muscles de la partie postérieure de la jambe;
ux de comparer le visage de cet homme, défiguré par les cris et les contractions douloureuses; celui de la Possédée deRubens du mu
n'en souffre pas moins et sa mimique est des plus expressive : les. contractions de son visage, la grimace de sa bouche et de ses
la pointe des pieds, on détermine dans le triceps crural une petite contraction , particulièrement à droite. Le volume des muscl
même des soubresauts musculaires qu'on aurait pu pren- dre pour des contractions fibrillaires et du tremblement dont la varia- b
ité avec laquelle la vessie se laissa distendre sans réagir par une contraction spas- modique nous fait penser que l'incontinen
contractés. Ils offrent les formes spéciales caractéristiques de la contraction musculaire (2) et la contraction est per- sista
s spéciales caractéristiques de la contraction musculaire (2) et la contraction est per- sistante. Nulle part n' apparaît le re
coude nous ne voyons ai l'étal normal le long supinateur entrer en contraction . La corde qu'il forme ici, acquiert presque l'i
. Les formes du genou sont simples comme celles qui résultent de la contraction du quadriceps. Sur le dos du pied se dessinent
ons des orteils qui sont recro- quevillés sur le sol. Cet état de contraction persistante, ou pour mieux dire de contracture
ace parcourue par de fines ondulations qui sont évidemment dues aux contractions isolées et successives des fibril- les musculai
tions isolées et successives des fibril- les musculaires. · - Ces contractions fibrillaires sont indépendantes du tremblement do
8 (1934) Oeuvre scientifique
s un mouvement énergique de flexion de l'avant-bras sur le bras, la contraction des muscles de la région antérieure du bras et
rte que les muscles du pied et de la jambe ne soient pas en état de contraction , et pour obtenir ce résultat il est bon de ne p
ine la percussion d'un tendon, d'un os, et qui se manifeste par une contraction musculaire involontaire, brusque, de courte durée
musculaire ; or, celle-ci est parfois la seule manifestation d'une contraction réflexe faible, insuffisante pour provoquer un
rler afin de détourner son attention, ou encore faire accomplir une contraction musculaire énergique dans une partie du corps dif
ercute le radius à son extrémité inférieure et on provoque ainsi la contraction de tous les muscles qui flé- chissent l'avant-b
généralement moins pro- noncé, peut-être parce que, d'habitude, la contraction se limite au seul muscle biceps. On provoque en
Voyons les différences qui existent entre eux. a) Le seuil de la contraction est atteint chez le sujet dont les réflexes son
er la percussion de l'extrémité inférieure du radius ne provoque de contraction apparente que dans les muscles fléchisseurs de
ividu (aux réflexes forts), outre la réaction des fléchisseurs, des contractions dans d'autres muscles plus ou moins éloignés, d
u choc, un mouvement voli- tionnel susceptible d'être pris pour une contraction tendino-réflexe. En pareil cas, on est exposé à
et il varie d'une expérience à l'autre ; de plus, l'intensité de la contraction musculaire subit aussi de notables variations d
écrâne sur le tendon, s'égare et atteint le muscle, on provoque une contraction idio- musculaire qui peut en imposer pour un mo
doit savoir éviter : j'ai déjà indiqué les moyens de discerner les contractions produites par un acte de la volonté de celles q
ndon détermine dans le groupe musculaire correspondant une série de contractions réflexes ryth- mées. Ce caractère, dont l'abs
ndition suivante : le clonus doit être obtenu en l'absence de toute contraction volontaire des muscles de la jambe ; alors seul
emarquer que le phéno- mène ne se manifeste pas toujours dès que la contraction volontaire se produit ; il faut que celle-ci s'
plusieurs minutes consécutives, les muscles au degré nécessaire de contraction , et par conséquent la trépidation ne présentera
e constance que dans l'épilepsie spinale parfaite. J'ajoute que les contractions volontaires gênent plutôt qu'elles ne facilitent
ation provoque une extension des quatre derniers orteils, due à une contraction idio-musculaire du pédieux. Voici comment il es
le du pied masquent, s'ils ont une puissance suffisante, ceux de la contraction idio-musculaire. 64 SEMIOLOGIE ' ' Toutes ces
rd à la suite du choc, et se soulève ensuite sous l'influence de la contraction réflexe du masséter. Contrairement à ce qu'on o
S'il est violent, il produit une excitation osseuse déterminant une contraction des fléchisseurs de l'avant-bras qui l'emporte
eu généralement à une flexion des orteils sur le métatarse et à une contraction du tenseur du fascia lata sur laquelle Brissaud
core un réflexe cutanéo-muqueux, le réflexe anal, consistant en une contraction du sphincter produite par une excitation de la ma
l faut envisager séparément, d'une part les réflexes abdominaux, la contraction réflexe du fascia lata, le mouvement réflexe de f
guer : l'am- plitude des mouvements est plus grande, la durée de la contraction plus longue, et la zone réflexogène plus étendu
parfois portée à son degré le plus élevé ('). Dans certains cas la contraction musculaire se maintient 10, 15 secondes, davant
6) Paraplégie spasmodique organique avec contracture en flexion et contractions musculaires invo- lontaires, par J. Babinski (S
e ; elle est sujette à des variations fréquentes qui résul- tent de contractions involontaires des muscles des membres inférieurs
contractions involontaires des muscles des membres inférieurs ; ces contractions sont habituellement lentes ; elles donnent lieu à
e la paraplégie spastique d'Erb ; elle est entrecoupée en partie de contractions involontaires lentes constituant de véritables
re, 1911, n° 5). d) Lion et J. Rolland. Paraplégie spasmodique avec contraction en flexion (type cutanéo- réflexe de Babinski)
le ce que j'ai dit, que la contracture hystérique en réalité simple contraction volontaire s'accompagne volontiers, quand elle
igine spasmodique de la commissure opposée, soit qu'il est dû à une contraction des fibres musculaires qui abaissent la lèvre et
ce que, dans certains actes où le muscle peaucier entre en jeu, la contraction de ce muscle est plus énergique du côté sain que
nai. 7 Fig. 3. Hémiplégie gauche organique un an après son début. Contraction du peaucier du cou à droite. 98 SÉMIOLOGIE po
lement contre le sol. L'extension du tronc doit être modérée par la contraction des flé- chisseurs qui ne se relâchent que prog
es flé- chisseurs qui ne se relâchent que progressivement, et cette contraction des fléchisseurs, pour être efficace, nécessite
et la réaction est d'une durée excessive, soit parce que le mode de contraction des muscles ou la nature du mouvement ne présente
t je suppose que le mouvement réflexe est simplement masqué par une contraction volontaire des muscles de la paroi abdominale.
e hystérique puisse être reproduit d'une manière rigoureuse par une contraction musculaire volontaire. Il est encore facile d
ai donnée est juste, est dû à ce que dans les actes en question la contraction du peaucier est faible ou nulle du côté paralys
s'agirait probablement d'une simulation de ce signe résultant d'une contraction volontaire unilatérale du peaucier, associée au
ture a un aspect particulier et ne peut être repro- duite par une contraction volontaire des muscles. go L'évolution est ré
éfaut. 8° La forme de la contracture peut être reproduite par une contraction volontaire des muscles. go L'évolution est ca
u, comme cela résulte des recherches faites par mon élève Barré. La contraction des muscles de la paroi abdominale provoque un
intestinaux et les muscles vésicaux, peuvent égale- ment entrer en contraction en même temps que les muscles des membres ; les
rtout aux mouvements des membres ; il est certain cependant que les contractions des muscles du tronc que nous avons envisagées
une certaine lenteur son attitude primitive ; dans certains cas, la contraction musculaire dure 10, 15 secondes, davantage même,
ue soit le sens du mouvement, flexion ou extension, on constate des contractions dans les muscles de groupes opposés, et l'on pe
ouvement des orteils sur lequel je reviendrai ultérieurement, d'une contraction du fascia lata que Brissaud a très bien décrite e
qu'on observe à l'état pathologique. Mais chez le sujet normal, la contraction est rapide, de courte durée, tandis que chez les
lexes par les caractères du mouvement, ainsi que par ce fait que la contraction spéciale du tenseur du fascia lata signalée plus
ier lorsque ce caractère s'associe au précédent, à la lenteur de la contraction et surtout de la décontraction. Au risque de déco
ant un mode semblable ; je viens de dire que dans la triple flexion contraction et surtout la décontraction sont lentes ; or, d
ans les cas où il y a une lésion de la voie pyramidale, produit une contraction des muscles extenseur propre du gros orteil, ja
décris « la para- plégie spasmodique avec contracture en flexion et contractions muscu- laires involontaires » et je fais ressor
a paraplégie organique spasmo- dique avec contracture en flexion et contractions musculaires involontaires, et il mérite pour pl
: «Le point où le chatouillement de la peau cesse de provoquer des contractions réflexes indique le niveau où existe la compres
lexion du côté opposé; on peut bien observer parfois de ce côté une contraction du quadriceps et des muscles du mollet, mais sans
ace antérieure de la cuisse détermine l'extension de la jambe et la contraction tonique du quadriceps ; quelquefois, le mou- ve
u, comme cela résulte des recherches faites par mon élève Barré. La contraction des muscles de la paroi abdominale provoque un
intestinaux et les muscles vésicaux, peuvent égale- ment entrer en contraction en même temps que les muscles des membres; les
eil, la triple flexion du pied, de la jambe et de la cuisse, et une contraction du tenseur du fascia lata. Le lendemain de l'op
; elle est sujette à des variations fréquentes qui résul- tent des contractions involontaires des muscles des membres inférieurs;
contractions involontaires des muscles des membres inférieurs; ces contractions sont habituellement lentes; elles donnent lieu à
e la paraplégie spastique d'Erb ; elle est entrecoupée en partie de contractions involontaires lentes constituant de véritables
l'activité des extenseurs du côté opposé, ne donnent lieu qu'à des contractions légères sans déplacement des divers segments du
'autre, en effet, on observe le phénomène de la triple flexion avec contraction du tenseur du fascia lata ; mais ce qu'il y a d
réflexes de défense ('), que les divers groupes musculaires dont la contraction provoque un mouvement conjugué ont dans la moel
in. Cette double flexion pourrait, il est vrai, être attribuée à la contraction du couturier, qui est à la fois fléchisseur de
r que la flexion de la jambe ne puisse se produire malgré une forte contraction des muscles fléchisseurs, il faut qu'elle soit en
nt fait défaut, comme cela a lieu quand ces muscles sont en état de contraction ou de contracture, ou lorsqu'il y a des rétract
fense se traduisent par des mouvements relativement lents et que la contraction musculaire persiste généralement quelque temps
e constatais cette fois que l'excitation lumineuse provo- quait une contraction pupillaire faible, mais nette. Ces deux examens
temps perdu entre l'incitation volitionnelle et l'apparition de la contraction ). L'adiadococinésie serait la conséquence d'une p
mouvements ocu- laires est sensiblement plus grande. De plus, à ces contractions muscu- laires toniques s'associe du côté du pôl
des et un courant de 13 milliampères P. F. C. N. > F. C., que la contraction est lente, paresseuse et que la forme du mouvemen
n des troncs des nerfs médian, cubital et radial ne provoque aucune contraction . Muscles de l'avant-bras. - Pas de différence b
itabilité faradique directe des muscles de la face donne lieu à une contraction mais celte dernière est bien moins forte qu'à l'é
lte dernière est bien moins forte qu'à l'état de vie, et de plus la contraction est lente, paresseuse. L'électrode différente est
le pôle négatif donne lieu du côté électrisé, à la fermeture à une contraction de la partie inférieure du muscle orbiculaire d
s, tandis que les lèvres restent immobiles et, à l'ouverture, à une contraction analogue mais plus faible ; avec 26 volts et 20 m
pôle positif fait apparaître du côté électrisé, à la fermeture, une contraction de la paupière inférieure, comme précédemment,
scle deltoïde droit. Abolition de la contractilite faradique et de la contraction voltaïque. 220 , ' SÉMIOLOGIE Muscles de la
' SÉMIOLOGIE Muscles de la région postérieure de lavant-bras droil. Contraction faradique très faible. Pas de différence entre.
et N. F. C. Muscles de la région antérieure de l'avant-bras droit. Contraction faradique très faible. Avec 41 volts et 29 mill
u bras. Avec 36 volts et 54 milliampères, N. F. provoque une légère contraction à quelques centimètres au-dessus du tampon et r
n ; avec 33 volts et 54 rnilltiampères, P. F ne donne lieu à aucune contraction au-dessus du tampon, mais en fait apparaître un
t observe ce fait, qui frappe d'ailleurs le sujet lui-même, que les contractions obtenues avec les courants faradiques, d'égale in
d'exploration. Il a montré qu'il était nécessaire, pour obtenir une contraction visible du côté sain, de pousser la bobine à fil
nd on avait dépassé le seuil de l'excitation, à intensité égale, la contraction consécutive de l'excitation du nerf ou des muscle
n, il était t nécessaire d'employer 3 milliampères pour obtenir une contraction en excitant le tronc du facial, et de 3 milliam
milliampère et demi et les autres muscles avec 2 milli- ampères. La contraction pour tous les muscles était brève et en éclair ;
s'est notablement atténuée. Du côté sain il faut, pour obtenir une contraction en excitant le tronc du facial, utiliser T divi
c du facial et sur la branche moyenne au niveau de l'os malaire. La contraction musculaire est pour tous les muscles brève, en éc
culaire est pour tous les muscles brève, en éclair; il n'y a pas de contraction lente. . Il me parait incontestable que les t
n des membres malades dans de l'eau chaude ou après diathermie : la contraction , de lente et prolongée, devient rapide et peu s
la batterie i, et nous notons l'intensité nécessaire pour obtenir des contractions musculaires. Dans une deuxième expérience, no
ons que, à la fermeture du courant de la batterie 2, nous avons une contraction sensible- ment plus forte si le circuit de la b
du groupe antéro-externe présentent l'inexcitabilité faradique, la contraction lente, l'inversion, la réaction longitudinale.
t au faradique; par contre, il est toujours impossible d'obtenir de contraction musculaire par. l'excitation du nerf sciatique
ceux qu'on emploie dans la pratique courante, on puisse obtenir la contraction des muscles présen- tant cette réaction, sans a
et galvanique ; 2° Pour le muscle : excitabilité faradique latente, contraction lente au courant galvanique. La distinction d
issances il est classique de produire dans un but thérapeutique des contractions musculaires à l'aide du galvanique toutes les f
les courants galvaniques, suivant la méthode habituelle, de bonnes contractions musculaires : on les provoque bien plus aisémen
e du côté gauche des plis de la peau, qui sont la conséquence de la contraction du trapèze gauche et en avant la saillie du stern
sterno- mastoïdien gauche. On a noté aussi parfois quelques légères contractions des muscles de la face du côté gauche. De plus,
and les mouvements sont très violents, on voit aussi apparaître des contractions spasmodiques dans le triceps fémoral gauche. Ces
il est vrai, n'est pas identique à celui qui serait obtenu par une contraction exclusive de ces deux muscles et comparable à c
constamment en rotation à gauche, et à tout instant on observe des contractions spasmodiques de certains muscles du cou, principa
nuque le sont également. Cette attitude n'est pas permanente : les contractions musculaires diminuent ou augmentent sous des in
us l'influence d'émotion ou de surmenage, il s'est produit quelques contractions involontaires dans les muscles du cou ; mais ces
fondément troublée : les courants faradiques ne provoquaient aucune contraction des sterno-mastoïdiens ; avec les courants volt
'on lui dit, il fait manifestement un effort qui se traduit par une contraction des muscles de la face, des peauciers, des musc
vement réflexe. L'excitation de la fosse nasale gauche provoque une contraction réflexe des muscles de la face du côté correspo
lexe du tendon rotulien droit est normal ; à gauche, en outre de la contraction du triceps crural de ce côté, la percussion du te
rural de ce côté, la percussion du tendon rotulien donne lieu à une contraction des adducteurs de la cuisse droite. Les réflexes
la face, le moindre choc avec un marteau à percussion provoque une contraction analogue à celle qui résulterait d'une excitation
sion des muscles de la jambe donne lieu, en même temps qu'à une contraction de ces muscles, à des secousses dans les musc
ntensité de la contracture permanente des membres, et surtout de la contraction avec flexion, est, en général, plus prononcée dan
PARAPLÉGIE SPASMODIQUE ORGANIQUE AVEC CONTRACTURE EN FLEXION ET CONTRACTIONS MUSCULAIRES INVOLONTAIRES [J. BABINSKI.] Publ
st qu'elle est sujette à des variations fréquentes qui résultent de contractions intermit- tentes, involontaires, souvent doulou
s, involontaires, souvent douloureuses, des membres inférieurs. Ces contractions donnent lieu à des mouvements alternatifs de flex
progressivement et tend à . devenir permanente. Si j'ajoute que ces contractions sont lentes, on reconnaîtra qu'elles diffèrent
observation déjà citée deux fois, où la contracture en flexion avec contractions involontaires avait atteint le summum d'intensi
réflexes tendineux soient exagérés, la contracture en flexion, avec contractions involontaires prédominant dans les fléchis- seu
férieur correspondant, avec exagé- ration des réflexes de défense ; contractions toniques rythmées de la moi- tié sous-ombilical
e l'abdomen. Durant la crise, il existe un synchronisme parfait des contractions des muscles lisses de 34o .UMPLHCS AFFECTIONS D
calme de 12 heures. 2" Chaque crise elle-même est discontinue, les contractions toniques des muscles lisses et striés, la sudat
a paroi abdominale présentait son maximum de pâleur par suite de la contraction tonique vasomotrice. C'est d'ailleurs là une noti
se du tabes. L'excitation lumineuse de l'oeil gauche ne provoque de contraction pupillaire ni à gauche, ni à droite ; au contrair
re en éclairant l'oeil droit on obtient, comme à l'état normal, une contraction bilatérale des pupilles. Sous l'influence de la
est inférieure à 1/10. L'éclairage de l'oeil gauche donne lieu à une contraction bila- térale des pupilles; mais cette excitabil
ion lumineuse de l'oeil atteint provoque, comme à l'état normal, la contraction de la pupille de l'autre oeil et la pupille insen
exes abdominaux manquent, mais leur recherche détermine souvent une contraction du quadriceps fémoral du côté correspondant. Le
plus de 6 ou 7 centimètres de la ligne médiane, on n'obtient aucune contraction ; mais cette contraction existe très nettement
s de la ligne médiane, on n'obtient aucune contraction ; mais cette contraction existe très nettement si l'on excite une région p
jet : Paraplégie spasmodique organique avec contracture en flexion et contractions musculaires involontaires, par J. Babinski (Soc
« Le point où le chatouillement de la « peau cesse de provoquer des contractions réflexes indique le niveau où existe la compressi
urina seule et sans difficulté. Les mouvements involontaires et les contractions brusques qui survenaient souvent dans les membr
faire défaut ; la percussion de l'omoplate ne paraît pas provoquer de contraction du deltoïde mais elle est suivie d'une réaction
ppléance que réalise le long exten- seur et qui parait impliquer la contraction synergique du long fléchisseur. (1) Les signes
ue rarement au repos complet. A tout instant on voit apparaître des contractions musculaires qui, d'abord limitées soit au mento
s nous occuper, pour commencer, des troubles concomitants. a) Les contractions consistent en des secousses brusques, de très cou
at spasmodique qui persiste plusieurs secondes ; c'est comme si ces contractions étaient dues à l'excitation électrique du nerf
it ni retarder leur apparition ni les abréger d'une seconde. c) Ces contractions sont rigoureusement unilatérales. d) Elles sont
esquels les mouvements convulsifs restent parfois cantonnés. e) Ces contractions sont déformantes. Pour bien faire comprendre ma p
l'espèce, j'attribue à ce mot ; il est évident, en effet, que toute contraction musculaire modifie dans une certaine mesure la fo
i l'on veut, la déforme ; mais les déformations pro- duites par des contractions volontaires sont normales, ce sont des changement
fossette irrégulière qui apparaît au menton du côté malade. f) Ces contractions s'associent les unes aux autres d'une manière con
llaire, leur brusquerie, la ressemblance qu'ils présentent avec les contractions provoquées par l'excitation électrique du nerf fa
ore été décrits. Ce sont d'abord les déformations produites par les contractions , en particulier l'incurvation du nez et la fos-
, tandis que dans l'hémispasme cette déformation est obtenue par la contraction unilaté- rale des muscles faciaux. C'est ensuit
saud avait déjà dit ceci : « Et l'on voit aussi des associations de contractions musculaires qui correspondent très exactement a
le plus grand nombre des malades a un point de départ oculaire. La contraction débute par l'orbiculaire des paupières, IIH'dII
té lui paraissait impuissante à reproduire la griffe cubitale ou la contraction des muscles de la face, surtout si le sujet en ex
ple, devrait développer dans le côté cor- respondant de la face une contraction semblable à celle qui résulte de l'électrisatio
ce, identi- que à celle que tout individu peut faire au moyen d'une contraction volontaire de ses muscles. Quant aux prétendus
t leurs preuves, il s'agissait d'états rappelant en tous points des contractions volontaires. Cherchait-on à les vaincre, on notai
aso-motricité. Aucun signe clinique ne permet de les distinguer des contractions voulues. Leur localisation est bien en rapport gr
particulier les orteils ne se raidissent pas sous l'influence d'une contraction volontaire des muscles. Or, chez les deux premier
écanique a surtout de la valeur lors- qu'elle est unilatérale. La contraction , ainsi obtenue, doit être distinguée d'un mouveme
cusée, la surexcita- bilité mécanique se manifeste par une sorte de contraction vermiculaire sans déplacement du segment corres
n légère du gastrocnémien qui, à l'état normal, ne détermine pas de contraction nette, provoque un mouvement d'extension de la
mersion du membre malade dans l'eau chaude, ou après diathermie, la contraction musculaire déterminée par la percussion change de
musculaires qui répondent alors aux excitations mécaniques par des contractions étendues mais très brèves. Certains auteurs ont
e et thermique et lorsque la tempé- rature extérieure est basse, la contraction est souvent, chez les sujets dont nous nous occ
ôté sain, toute excitation mécanique, fut-elle légère, provoque une contraction du muscle, non seulement lente et prolongée, ma
citabilité du muscle suivant la remarque de Carvallo et Weiss : les contractions peuvent devenir six fois plus hautes que normalem
fatigue se retrouve cette « phase préliminaire pendant laquelle les contractions augmentent en étendue et en durée ». Puis, elles
ble à celle de certains asynergiques. Il se produit encore quelques contractions spasmodiques et douloureuses dans les cuisses pen
s de radiothérapie. Son état continue à s'améliorer rapidement : la contraction cède pro- gressivement dans les diverses partie
177. Paraplégie spasmodique organique avec contracture en flexion et contractions musculaires involontaires (Société de Neurologi
IV. Paraplégie spasmodique organique avec contracture en flexion et contractions musculaires involontaires 332 V. Hémisyndrome
9 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
lu- sieurs fois sans résultat. Elle se plaint en outre de raideurs, contractions , constrictions, soubresauts, de pressions dans
ion que par le changement des formes extérieures qu'en- traine leur contraction . L'inscription directe des mouvements musculaires
es changements de forme du corps dans leurs rapports avec l'état de contraction ou de relâchement des muscles. Les muscles des
une façon exacte le moment précis où les muscles spinaux entrent en contraction dans le pas ; 2° d'indiquer le changement d'aspec
Je nomme le premier « effort d'élévatiort.»,parceqn'il est dû à la contraction des muscles sacro-spinaux qui font effort pour
et décrit le phénomène qui fait l'objet de cette note, savoir : la contraction énergique et très évidente de la masse sacro-lo
série. 52 LAMY P. Richer, à ce sujet, dit, après avoir décrit les contractions musculai- res des membres inférieurs : « D'autr
reste du corps. Je signalerai seulement les spinaux qui entrent en contraction dit côté de la jambe oscillante, et le deltoïde..
raction dit côté de la jambe oscillante, et le deltoïde..... (1). » Contraction des muscles sacro-lombaires pendant le pas. - C
du côté du membre oscillant. A quel moment précis se produit cette contraction ? Combien de temps dure-t-elle ? Quand cesse-t-el
nt précis où le talon frappe lesol,la masse sacro-lombaire entre en contraction du côté opposé ; c'est donc au début du double ap
poids du corps se porte d'un pied sur l'autre, que se produit cette contraction du côté qui, déportant, va devenir oscillant. Il
ction du côté qui, déportant, va devenir oscillant. Il s'agit d'une contraction soudaine et violente, qui fait saillir à ce momen
les vêtements. En faisant cette exploration à nu, on peut sentir la contraction musculaire au niveau des gouttières vertébrales,
re du rachis, avec une intensité décroissante, cela va de soi. La contraction des spinaux se maintient tout le temps de l'oscil
e sous le nom d'effort d'élévation, parce qu'il supposait que cette contraction avait pour effet d'élever le bassin du même côt
bassin du même côté. Nous avons vu que Gerdy parlait d'une nouvelle contraction se produi- sant dans les mêmes muscles du côté
ent, ni l'inspection du nu sur les sujets maigres n'y révè- lent de contraction . Quant à la méthode graphique, appliquée ici par
appréciable ; mais il s'agit alors d'une démarche particulière. La contraction du côté portant est relativement faible, apprécia
fait dans le choix d'un sujet d'expérience. En ce qui concerne la contraction croisée de la masse sacro-lombaire par rapport
la région lombaire, où il m'a semblé qu'elle était suppléée par la contraction des muscles grands droits de l'abdomen. Configu
illation, à l'instant qu'on appelle « moment de la verticale » : la contraction de la masse complétées sur la marche, à la lin
CHE (H Lamy.) A. Moment de la verticale (jambe droite oscillante) Contraction des muscles spinaux du côté droit. B. Pas ant
llante) à l'instant qui précède immédiatement le dou- ble appui. La contraction des spinaux siège toujours à droite ; le talon dr
r gauche. C. 'Début du pas postérieur (jambe gauche oscillante). Li contraction des spinaux a passé au côté gauche. Remarquer
le changement d'aspect que nous constations tout à l'heure dans la contraction bilatérale de la masse sacro-lombaire (rig. 2)
intient jusqu'à la chute du talon sur le sol. A ce moment exact, la contraction passe au coté opposé, et l'aspect du quadrila-
nant quelle est l'utili- té, dans l'économie de la marche, de cette contraction répétée à chaque pas, de la masse sacro-lombair
linée en avant, ascension d'un plan incliné). Il s'agit alors d'une contraction (1) Giraud-Teulon, Traité de mécanique animale.
ersaires épineux) que tesacro-tombaire et le long dosai. Quant à la contraction de la masse sacro-lombaire croisée par rapport
xtension de la colonne vertébrale ? Cela n'est point vraisem- Celte contraction unilatérale n'aurait qu'un effet très peu marqué
légèrement en avant. Ce serait donc seule- ment à ce moment qu'une contraction frénatrice des extenseurs serait utile en tout
n, et ceci me parait péremptoire pour démontrer que le phénomène de contraction musculaire que j'étudie ici ne se rapporte ni aux
uve- ments du bassin, ni à l'extension de la colonne vertébrale, la contraction unilatérale de la masse sacro-lombaire dans la
- livement d'un pied sur l'autre. Dans ces conditions, on voit la contraction de la masse sacro-lombaire passer d'un côté à l
e. Le poids du corps porte sur le membre infé- rieur droit, contraction des spinaux à gauche, ROLE DES MUSCLES SPIN
êcher la llpxion passive du côté opposé : c'est aussi une véritable contraction « frénatrice ». Ainsi en est-il dans la marche.
a de remarquable ici, c'est l'apparition brusque et soudaine de sa contraction d'un côté, à l'instant précis où le poids du co
xique très incoordonné. En terminant cette étude, je signalerai les contractions des muscles de la nuque pendant la marche. On p
multiplicité des muscles de la région. Mais il semble bien que les contractions musculaires aient pour effet de relever la tôle
ue pas dans la marche normale sur un plan horizon- tal ; 2° Cette contraction est unilatérale et se produit du côté du membre
is où le talon du membre portant vient rencontrer le sol. C'est une contraction soudaine, brusque, se produisant à la façon d'u
sol. Elle dure tout le temps de l'oscillation de la jambe. 4° Cette contraction , dans la marche, est liée, non à la progression,
tre de gravité du corps en dehors du pied portant sur le sol. 6° La contraction unilatérale de la masse sacro-lombaire s'accuse p
rs la gauche, la langue reste sur la ligne médiane. Il n'y a pas de contractions fibrillaires, les muscles du pharynx se contrac-
extenseurs, nous faisons suivre une action des fléchisseurs ; à une contraction des extenseurs plus ou moins prolongée suit un
isation des mouvements de l'écriture, l'alterna- tive graduelle des contractions des groupes antagonistes et par le rythme plus
liose croisée, quand le malade est guéri, doit être rapportée à une contraction permanente des muscles sains, compara- ble, à b
ctionnels... ' « Tandis que la scoliose croisée est produite par la contraction des mus- cles du côté sain, la scoliose homolog
fs ne sont nullement intéressés, peuvent pren- dre des habitudes de contraction destinées à réaliser des attitudes de défense.
des différents muscles, on voit qu'aucun n'est paralysé ; mais leur contraction , très lente et très faible, n'aboutit que très
n ressent au début une résistance, d'ailleurs très minime, due à la contraction du biceps, mais celle-ci ne dure (1) Voir une i
puis 15. L'épuisement semble donc très rapide. Cette faiblesse de contraction musculaire, absolument généralisée, donne lieu
; le réflexe abdominal un peu lent. Les pupilles sont égales ; leur contraction à la lumière est très rapide. Les réactions éle
acement des fragments à la suite de l'excitation de ces muscles. La contraction des muscles est normale, il n'y a pas d'atrophie
les lettres sont bien prononcées. La parole est accompagnée de la contraction des muscles de la mimique, en particulier des m
peaucier avec déviation de )a commissure ; occlusion de l'oeil avec contraction du contât se traduisant par des plis cutanés HÉ
ue rarement au repos complet. A tout instant on voit apparaître des contractions mus- culaires qui, d'abord limitées soit au men
s nous occuper, pour commencer, des troubles concomitants. a) Les contractions consistent en des secousses brusques, de très cou
it ni retarder leur apparition ni les abréger d'une seconde. c) Ces contractions sont rigoureusement unilatérales. d) Elles sont
els les mouvements convulsifs restent par- fois cantonnés. e) Ces contractions sont déformantes. Pour bien faire comprendre ma
l'espèce, j'attribue à ce mot ; il est évident, en effet, que toute contraction musculaire modifie dans une certaine mesure la
si l'on veut, la déforme ; mais les déformations produites par des contractions volon- taires sont normales, ce sont des change
ère qui apparaît au menton du côté malade (Pl. XLVIII, C). f) Ces contractions s'associent les unes aux autres d'une manière con
aire, leur brusquerie, la ressemblance qu'ils pré- sentent avec les contractions provoquées par l'excitation électrique] du IIÉn
ore été décrits. Ce sont d'abord les déformations produites par les contractions , en particulier l'incurvation du nez et la foss
, tandis que dans l'hémispasme cette déformation est obtenue par la contraction unilatérale des muscles faciaux. C'est en- suit
saud avait déjà dit ceci : « Et l'on voit aussi des associations de contractions musculaires qui correspondent très exactement a
le plus grand nombre des malades a un point de départ oculaire. La contraction débute par l'orbiculaire des paupières, phénomè
- de grandes analogies avec l'hémispasme primitif. NOTE SUR LES CONTRACTIONS « SYNERGIQUES PARADOXALES » OBSERVÉES A LA SUIT
fois deux ordres de phénomènes, qui vont de pair généralement : des contractions spasmodiques involontaires incessantes dans la
modiques involontaires incessantes dans la moitié de la face et des contractions involontaires de certains muscles faciaux, qui se
es de certains muscles faciaux, qui se pro- duisent au moment de la contraction volontaire d'autres muscles de la face. Si j'en
s muscles de la face. Si j'en crois mon expérience personnelle, ces contractions ne sont point différentes de celles qui s'obser
on peut, à la suite de la paralysie faciale, observer isolément ces contractions associées pour lesquelles M.Babinski a proposé
s associées pour lesquelles M.Babinski a proposé la dénomination de contractions « 'synergiques pa- radoxales ». C'est ce qui
443. NOUVELLE Iconographie de la SALPÊTRIÈRE T. XVIII. PI. XLIX CONTRACTIONS SYNERGIQUES PARADOXALES A LA SUITE DE LA PARALY
C. - Même phénomène pendant l'occlusion des deux veux. NOTE SUR LES CONTRACTIONS « SYNERGIQUES PARADOXALES » 429 même côté. Les
e des paupières, le frontal et les releveurs de la lèvre entrent en contraction du côté droit (fig. C, pi. XLIX) ! Le phénomène
roit isolément (fig. B). Voilà bien la synergie « paradoxale » : la contraction de ces muscles est illogique, absurde, comme l'
tion satisfaisante qu'on puisse donner des faits de ce genre, où la contraction synergique s'observe précisément dans les mus-
ntraction synergique s'observe précisément dans les mus- cles où la contraction volontaire est abolie, me paraît être la suivante
e de celui-ci. On sait que, dans ces condi- tions, on peut voir les contractions volontaires de la face s'accompagner de mouveme
orbi- culaires des lèvres, les masséters, les muscles du nez, etc. contractions tétani- ques à 150 divisions. - Le nerf facia
ontal, rameau orbiculaire, rameaux moyens et bran- che inférieure], contractions fortes à 140 divisions. Point d'Erb et muscle s
0 divisions. Point d'Erb et muscle sterno-cléido-mastoïdien, bonnes contractions à 150 di- visions. 9 Le muscle deltoïde de ch
ns vu que l'atrophie de ce muscle est considérable). Les pectoraux, contractions très faibles à 250 divisions. Le triceps brachi
s fléchisseurs de l'avant-bras, et les interosseux, de chaque côté, contractions nulles. Nerfs médian, radial et cubital, contra
chaque côté, contractions nulles. Nerfs médian, radial et cubital, contractions nulles. Muscles de la paroi abdominale, contrac
al et cubital, contractions nulles. Muscles de la paroi abdominale, contractions nulles. Grand dentelé, contractions assez forte
Muscles de la paroi abdominale, contractions nulles. Grand dentelé, contractions assez fortes à 150 divisions, sur une ligne de 10
entimètres parallèle avec la ligne médio-axillaire. Muscle trapèze, contractions très fortes à 150 divisions. Les muscles de la
la masse sacro-lombaire et tous les muscles des membres inférieurs, contractions nulles. Tous les nerfs des membres inférieurs,
us les nerfs des membres inférieurs, excités, ne provoquent plus de contractions musculaires. Courants galvaniques. Méthode pola
ode polaire. Les mêmes électrodes. Les muscles de la face. 8 m. A., contractions fortes NFC > PFC. Le nerf facial (rameaux su
facial (rameaux supérieurs, moyens et branche inférieure) 6 m. A., contractions nettes NFC > PFC, sterno - cléido - mastoïdien
s NFC > PFC, sterno - cléido - mastoïdien 6 m. A., NFC > PFC, contractions fortes. Le point d'Erb, 10 m. A., contractions
A., NFC > PFC, contractions fortes. Le point d'Erb, 10 m. A., contractions nettes NFC > PFC. Deltoïde, 10 m. A., contra
rb, 10 m. A., contractions nettes NFC > PFC. Deltoïde, 10 m. A., contractions très faibles et seulement dans un faisceau des
et seulement dans un faisceau des fibres NFC > PFC. Pectoral, contractions fortes 10 m. A., NFC > PFC. Triceps brachial
tractions fortes 10 m. A., NFC > PFC. Triceps brachial 10 m. A., contractions nettes NFC > PFC. Biceps brachial, contracti
achial 10 m. A., contractions nettes NFC > PFC. Biceps brachial, contractions nulles. Le long supinateur, les extenseurs des
les fléchisseurs des doigts, les interosseux palmaires et dorsaux, contractions vives NFC > PFC. Pendant l'excitation des in
tudinale de Doumer, jusqu'à hauteur du bras. Nerf médian, 10 m. A., contractions musculaires faibles. Nerf radial, 12 m. A., con
10 m. A., contractions musculaires faibles. Nerf radial, 12 m. A., contractions musculaires faibles. DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MY
RÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 441 Nerf cubital, contractions nulles. Muscles de la paroi abdominale, contrac
Nerf cubital, contractions nulles. Muscles de la paroi abdominale, contractions nulles. Grand dentelé, 8 m. A., contractions vi
e la paroi abdominale, contractions nulles. Grand dentelé, 8 m. A., contractions vives NFC > PFC. Muscles de la gouttière ver
C > PFC. Muscles de la gouttière vertébrale 10 m. A., NFC>PFC contractions fortes. Muscles de la masse sacro-lombaire, poi
antérieur, extenseur du gros orteil, extenseur commun des orteils, contractions nulles. ' Muscles fessiers, 12 m. A., N.F.C. PF
ils, contractions nulles. ' Muscles fessiers, 12 m. A., N.F.C. PFC, contractions fortes. Muscles demi-tendineux, demi-membraneux
, fléchisseurs communs des orteils, muscles de la plante des pieds, contractions nulles. Nerf sciatique, tibial, contractions nu
e la plante des pieds, contractions nulles. Nerf sciatique, tibial, contractions nulles. , Conclusions. - Diminution quantitativ
xcitation galvanique, aucune modification de la formule normale des contractions . La disparition de la contractilité au courant
es à 200 divisions. j . Nerf facial, supérieur, moyen et inférieur, contractions tétaniques à 150 di- visions. Point d'Erb et
150 di- visions. Point d'Erb et muscle sterno-cléido-mastoïdien, contractions tétaniques à 200 divisions. Deltoïde à 500 di
ontractions tétaniques à 200 divisions. Deltoïde à 500 divisions, contractions tétaniques à droite, tandis que le gauche à 800
étaniques à droite, tandis que le gauche à 800 divisions, donne des contractions faibles. Pectoraux, contractions faibles à 350
gauche à 800 divisions, donne des contractions faibles. Pectoraux, contractions faibles à 350 divisions. Muscles : triceps brac
seur commun des doigts, fléchisseur commun des doigts, interosseux, contractions nulles. Nerfs médian, radial et cubital, contra
interosseux, contractions nulles. Nerfs médian, radial et cubital, contractions nulles. Grand dentelé à 400 di- visions, contra
l et cubital, contractions nulles. Grand dentelé à 400 di- visions, contractions faibles. Trapèze à 500 divisions, contractions
à 400 di- visions, contractions faibles. Trapèze à 500 divisions, contractions fortes. Muscles de la paroi abdominale, contrac
500 divisions, contractions fortes. Muscles de la paroi abdominale, contractions nulles. Muscles de la gouttière vertébrale, a 4
ctions nulles. Muscles de la gouttière vertébrale, a 400 divisions, contractions faibles. JYVIH ' 29 442 NoicA Muscles de la
9 442 NoicA Muscles de la masse sacro-lomhaire, muscles fessiers, contractions nulles au maximum de l'excitation. . Tous les
t tous les nerfs des membres inférieurs excités, ne don nent aucune contraction muscnlaire. Courants galvaniques : Méthode pola
l, orbiculaire des lèvres, massétérin, nasal, 7 m. A., NEC> PFC, contractions fortes. Nerf facial supérieur, moyen, inférieur
rtes. Nerf facial supérieur, moyen, inférieur^ m. A., NFC > PFC, contractions fortes. Sterno-cléido-mastoïdien, 6 m. A., NF
ractions fortes. Sterno-cléido-mastoïdien, 6 m. A., NFC > PFC, contractions fortes. Point d'Erb, 8 m. A., NFC > PFC, con
> PFC, contractions fortes. Point d'Erb, 8 m. A., NFC > PFC, contractions fortes. Deltoïde, 12 m. A., NFC > PFC, contr
FC > PFC, contractions fortes. Deltoïde, 12 m. A., NFC > PFC, contractions moyennes, à gauche il faut 16 m. A. Pectoraux
nnes, à gauche il faut 16 m. A. Pectoraux, 8 m. A., NFC > PFC, contractions fortes. Triceps, 14 m. A., NFC > PFC, contra
NFC > PFC, contractions fortes. Triceps, 14 m. A., NFC > PFC, contractions fortes. Biceps, 15 m. A., NFC> PFC, contract
, NFC > PFC, contractions fortes. Biceps, 15 m. A., NFC> PFC, contractions fortes. Long supinateur, 10 m. A., NFC PFG, con
C> PFC, contractions fortes. Long supinateur, 10 m. A., NFC PFG, contractions fortes. Extenseur commun des doigts, 10 m. A.,
Fléchisseur commun des doigts, 10 m. A., NFC > PFC. Interosseux, contractions nulles. Nerf médian, radial et cubital, 15 m. A
ons nulles. Nerf médian, radial et cubital, 15 m. A., NFC > PFC, contractions fortes. Muscles de la paroi abdominale, contrac
NFC > PFC, contractions fortes. Muscles de la paroi abdominale, contractions nulles. Grand dentelé, 12 m. A., NFC > NFC,
minale, contractions nulles. Grand dentelé, 12 m. A., NFC > NFC, contractions fortes. Trapèze, 10 m. A., NFC > PFC, contra
NFC > NFC, contractions fortes. Trapèze, 10 m. A., NFC > PFC, contractions fortes. Muscles de la gouttière vertébrale, 10
fortes. Muscles de la gouttière vertébrale, 10 m. A., NFC > PFC, contractions fortes. Masse sacro-lombaire, fessiers et tou
acro-lombaire, fessiers et tous les muscles des membres inférieurs, contractions nulles. D'une façon générale on peut résumer :
, les mouvements de flexion sont rendus diffi- ciles par une légère contraction des muscles extérieurs de la jambe : les mou- v
i, au cours du développement-, par suite de pressions anormales, de contractions musculaires, on plus probablement d'un accroissem
éorie mécanique (anomalies du développement des membranes foetales, contractions utérines, traumatismes). 2° Théorie de l'atavis
ras et résiste assez bien aux mouvements d'extension, mais dans ses contractions le biceps reste mou et pâteux. Avant-bras. -
ologi- ques en l'état de santé (2). Les crises convulsives et les contractions ne persistent pas longtemps en général ; bientô
t, tout l'intérêt se concentre sur les phénomènes convulsifs et les contractions . Or, si nous observons ceux-ci chez le nouveau-né
nt que pour recommencer aussitôt, jouent en défi- nitive le rôle de contractions permanentes et doivent provoquer, à brève échéa
s seront rendues moins solides. L'envahissement inflammatoire et la contraction musculaire suffisent à cette besogne. Pour ce qui
ruction totale de système nerveux ; quand ce processus survient, la contraction a déjà produit tout son effet. a) Attitude. Grâ
duit tout son effet. a) Attitude. Grâce au remaniement opéré par la contraction muscu- laire, les signes fonctionnels se trouve
la région dorsale. Cette flexion cervicale dérive immédiatementdes contractions musculaires de la nuque. Les masses musculaires
gide, cette tendance ne saurait être suivie d'effet permanent et la contraction n'a d'autres conséquences que la mise en jeu des
PHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 607 b) Hémicéphalie. Exorbitisme. Si la contraction musculaire suffit pour expliquer la raideur per
ions inflammatoires interviennent bien encore, mais pour donner aux contractions musculaires tout leur effort utile. Sur le crân
cipital, des attaches qui les maintenaient en place. Dès lors, les contractions musculaires qui tendent à rapprocher la tête du
sairement t en dehors ces pièces squelettiques. Sous l'influence de contractions violentes et répétées, elles cèdent à la tracti
ives du crâne, tandis que dès son apparition, elle a pro- voqué les contractions musculaires qui ont violemment tiré sur les carti
essite le relâchement complet des fibres musculaires. Désormais les contractions n'au- ront d'autre effet que de tendre ces fibr
rovoquer aucun mouvement squelettique ; d'ailleurs, la violence des contractions va diminuant au sur et à mesure que les inserti
a colonne vertébrale n'est pas encore in- fléchie, de sorte que les contractions musculaires déploient toute leur puissance. Cel
refoulé, butte contre l'occipital, ajoutant son effort à celui des contractions musculaires. Dès lors, la voûte crânienne éclat
èse qu'en faisant intervenir, ici encore, l'action morphogénique de contractions musculaires violentes et répétées. Sous cette a
récédée d'une dégénérescence du tissu nerveux : pour déterminer les contractions et, par elles, les modifications morphogéniques
me chez lequel les arcs neuraux sont rela- tivement consolidés ; la contraction , quelles que soient sa violence et sa persis- t
Déformations diverses. En outre de ces modifications résultant des contractions musculaires et qui donnent à certains cas de pseu
éformations relevant de la même cause. Il est incontestable que les contractions des muscles de la face on des membres agissent
n mécani- que purement extérieure et survenant post-mortem qu'à une contraction musculaire. Il n'échappera à personne qu'une dé
cation squelettique, la déviation est temporaire, aussi bien que la contraction dont elle résulte. Au surplus, le pied est soumis
ullaire, dans sa partie motrice tout au moins. En définitive, les contractions musculaires jouent un rôle évident dans la morp
ues. 1. Des difformités congénitales produites sur le foetus par la contraction musculaire (Les veaux à tête de chien, ou niatas)
uteur s'est contenté de considérations assez vagues sur l'effet des contractions ; il s'est à peine attaché aux traits généraux de
la neuvième côte. Le sus-épineux est très apparent et forme par sa contraction un boudin transversal volumineux. Le sous-épineux
ès de l'articulation de l'épaule. On constate enfin, au toucher, la contraction des rhomboïdes sous la forme d'une barre allant
pour les muscles cor- respondants. Excitabilité galvanique . - La contraction négative de fermeture appa- (1) Nous avons cons
SCAPUHE ALAT1E PHYSIOLOGIQUES 671 raît la première, puis vient la contraction positive de fermeture pour une intensité un peu
'existe aucun trouble musculaire dans les muscles examinés : pas de contractions fibrillaires, pas de tremblement, pas de spasme
nt, en effet, la physiologie normale des muscles intéres- sés, leur contraction révélée par l'harmonieuse symétrie des muscles du
ERVEUX ET LA NUTRITION GÉNÉRALE, Les déformations produites par les contractions musculaires sont un contre- coup mécanique de l
râne et la colonne vertébrale mettent en évidence la mise en jeu de contractions consé- cutives à l'excitation morbide du névrax
contractions consé- cutives à l'excitation morbide du névraxe. Ces contractions interviennent d'assez bonne heure, à une périod
r si la réduction des capsules surrénales n'est pas le résultat des contractions ré- pétées durant plusieurs semaines avec une t
se traduit par les mêmes signes fonctionnels, touchant surtout aux contractions spasmodiques violentes et répétées du système mus
particulière des foetus n'est autre, en effet, que le résultat des contractions des muscles de la nuque qui ont, à la longue, pro
présence de tumeur) (4 fig., 3 pl.), par Weber et PAPADAKI, 140. Contractions synergiques paradoxales à la suite de la paraly
normale chez l'homme (1 pi., 6 fig.), 49. LAMY (II). Note sur les contractions sy- nergiqnes paradoxales observées à la. sui
ran-Du- chenne d'origine syphilitique (LaNNOIS), LXIII et LXIV. Contractions synergiques paradoxales à la suite de la paraly
10 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ons morphologiques qui résultent des différents états musculaires : contraction , relâchement, distension, au cours des principa
ations apportées aux formes extérieures par les différents modes de contractions des mus- cles actifs et de leurs antagonistes.
t certainement le fait de la tonicité ou même d'un certain degré de contraction des mus- cles sus-et sous-hyoïdiens (abaissemen
aralysie des massieters. B. Occlusion volontaire de la bouche par contraction de l'orbiculaire des lèvres, les mâchoires rest
sivement de la périphérie à la racine des membres ; suppression des contractions faradiques ; suppression des gavaniques avec 15
e la plus grande valeur diagnostique ; dans les formes légères, les contractions fara- diques sont normales ou à peine diminuées
s pre- miers examens (cas 5), acquérant ensuite la prédominance des contractions de la fermeture du pôle négatif - sont diminuée
dans de l'omoplate de fortes saillies boudinées, en dehors de toute contraction .Le deltoïde est éga- lement très hypertrophié e
e la cuisse droite et peut-être de la fesse gauche. On n'observe ni contractions fibrillaires, ni DR caractérisée. L'aspect du mal
, ni DR caractérisée. L'aspect du malade, sa démarche, l'absence de contractions fibrillaires, de DR, de troubles sphinc- térien
ge électrique intense, on constate, à la loupe oculaire, une légère contraction d'assez courte durée. Le réflexe à l'accommodat
froide dans l'oeil droit ; le contact de cette goutte provuque une contraction énergique de l'iris ; le diamètre pupillaire se
de l'iris ; le diamètre pupillaire se réduit à 2 millimètres. Cette contraction est de courte durée et l'iris reprend progressi
tes les minutes une goutte d'eau froide, on provoque chaque fois la contraction de l'iris ; mais cette contraction devient de moi
oide, on provoque chaque fois la contraction de l'iris ; mais cette contraction devient de moins en moins énergique et son ampl
tion ; avec des courants d'intensité moyenne, nous avons obtenu une contraction progressive assez lente : au bout d'une minute
a pupille droite avait les mêmes dimensions que la gau- che ; cette contraction n'a pas duré et l'iris a repris peu à peu sa posi
rs contenus dans la IIIe paire ont pour rôle unique de provoquer la contraction du diaphragme irien sous l'influence des impres-
D'autre part, la facilité, avec laquelle nous avons pu provoquer la contraction de la pupille, suffit à démontrer qu'il ne s'agit
YSTÉRIQUE 249 organique, il nous eût été impossible de provoquer la contraction de la pupille, surtout par des moyens aussi sim
s devrait se traduire par du myosis. On pourra nous objecter que la contraction longtemps prolongée du sphincter a provoqué simpl
ns l'observation : la facilité avec laquelle nous avons provoqué la contraction du sphincter par des moyens qui n'ont normaleme
en premier lieu en une hémiatrophie linguale droite accompagnée de contractions fibrillaires des plus nettes ; il ne semble pas
pas que le côté gauche soit tout à fait indemne, il y a quel- ques contractions fibrillaires et peut-êlre aussi un peu d'atrophie
ulsation dans les limites de celte zone ; à gauche on peut voir les contractions du ventricule gauche du coeur, mais l'on ne peu
les autres ; dans ces conditions on a pu faire jouer un rôle à des contractions vives ou prolongées de l'utérus, à des constric
halalgies, de l'apathie, de la peur d'espaces, ainsi que de légères contractions musculaires involontaires (tremblement fasciculai
au torticolis primitif fait place un a rétrocolis » permanent avec contractions paroxystiques très rapprochées des muscles de l
ient remarquée. Mais un jour vient où cette rotation s'exagère, les contractions deviennent t plus fréquentes et plus violentes.
é bien vite à cet ap- pareil, aucune altèle ne pouvant résister aux contractions des muscles de son cou, exaspérés par celte rés
te pendant la rotation de la tête à gauche, c'est-à-dire pendant la contraction du muscle ; celui-ci acquiert alors une dureté ex
épendre de l'effort que fait le ma- lade pour regarder en face. Ces contractions faciales cessent d'ail- leurs instantanément dè
raduit 468 HENRY MEIGE par un excès d'intensité et de durée de la contraction , analogue à ce que l'on observe dans le cataton
opportune dans les actes musculaires, chaque mus- cle ébauchant une contraction qui avorte et qui est suivie d'une courte pério
riode de relâchement, bientôt remplacée à son tour par une nouvelle contraction . De là une .apparence d'état vibratoire, variable
terno-mastoïdien droit peuvent d'ailleurs s'expliquer par l'état de contraction violente et presque permanente du muscle : un c
électrique notablement plus fort est nécessaire pour déterminer sa contraction . Au point de vue mental, Taurone ne présente au
ppelle à ce propos qu'il avait imaginé autrefois, pour atténuer ses contractions , de faire de légers bâillements ; il en éprouva
il a dormi plus calme et plus long- temps. 9 janvier 1903. - Les contractions sont encore plus fortes, Taurone fait des effor
us fortes, Taurone fait des efforts violents pour réagir contre ces contractions , mais né par- vient pas toujours à ramener sa t
s, la tête très droite, avant de s'endormir, sans aucune raideur ni contraction . 12 janvier 1903. - Le repos au lit n'a pas app
rai que Taurone n'a pu rester une journée entière dans son lit; les contractions ont reparu dans la position couchée et l'ont obli
assoupissement, à me tordre le cou, poussant jusqu'à la douleur les contractions , qui ne sont séparées que par quelques secondes
ètement disparu. L'épaule droite n'accompagne plus le mouvement, la contraction du trapèze droit, sauf dans quelques rares mouv
vant devenues assez difficiles à exécuter l' correctement. 5° Les contractions du trapèze gauche exercent une influence marquée
trois jours après le début de la crise. N'y aurait-il pas entre la contraction et la douleur des relations dont je saisis malle
i, le trapèze droit; ce der- nier a cessé d'agir ; mais ensuite les contractions ont apparu dans le tra- pèze gauche. Ainsi, un
ées par certains malades semblent bien être la conséquence de leurs contractions musculaires exagérées. Elles ne précè- dent pas
décontracter le sterno-mastoïdien droit ? Ou bien la tendance à la contraction est-elle trop violente pour que je puisse la LE
la tête est com- plètement et violemment tournée à gauche, j'ai des contractions un peu dou- loureuses de la face avec clignemen
ou non d'agitation des doigts s'observe parfois dans les cas où les contractions musculaires sont très violentes. , 3° Il n'es
laires sont très violentes. , 3° Il n'est pas rare d'observer des contractions faciales dans les crises violentes. Celles-ci p
t sur son gril, sans pouvoir trouver une position favorable, et les contractions musculaires persis- 480 . HENRY MEIGE taient;
'je viens de vous signaler me paraît due à une recru- descence des contractions des muscles de la nuque, le trapèze gauche notam-
apo- physe mastoïde des tiraillements douloureux qui ont ramené les contractions de la face que je vous avais précédemment signa
a tête bien mieux lorsque je suis absolument tran- quille, mais les contractions reparaissent au moindre mouvement, même lorsque
llements à l'extrémité des doigts ; elle s'accentuait au moment des contractions et ne disparaissait que lorsque celles-ci avaient
couché depuis le 5 courant. Mais je n'ai pas gagné du terrain : les contractions sont extrême- ment violentes et franchement dou
nfin, ce qui me contra- rie le plus, c'est que, depuis 3 jours, les contractions se produisent au lit, et ce n'est qu'après de l
je sens, lorsque j'applique ma main sur ce muscle, au moment où les contractions se produisent, des sortes de pulsations analogues
HENRY MEIGE épaules et le- haut du buste se soulèvent au moment des contractions , le point d'appui se prenant sur la partie post
elquefois deux, rarement plus, soit endormi, soit éveillé; puis les contractions reparaissent ; elles débutent par quelques légère
C'est ainsi que je passe et les journées et les nuits. Levé, les contractions ne cessent pas et la douleur non plus ; la tête e
violem- ment à gauche et en arrière. Après quelques mouvements, les contractions deviennent plus violentes et je suis réduit à l
Ils ne savent qu'imaginer pour se procurer un soulage- ment. Les contractions deviennent douloureuses par leur fréquence et leu
radicale s'impose : l'isolement absolu. Il importe de noter ici les contractions limitées à de petits faisceaux musculaires que
mon appartement. Je passerai couché tout le temps que l'absence des contractions violentes me permettra de conserver cette posit
repos couché. Je reste presque tout le temps en bonne position, les contractions sont rares et peu violentes. Une parole ou un m
ment entraînée à gauche ; je ne pouvais pas arriver à dissocier les contractions . Suivant vos instructions, je me suis arrêté, e
TICOLIS MENTAL 491 uns résultent de compressions laryngées, par les contractions des muscles hyoïdiens ; d'autres fois le diaphr
is longtemps remarqué la participation des muscles respirateurs aux contractions . En dehors des exercices, pas de progrès encore
ation à gauche est un peu moins poussée à l'extrême pendant que les contractions renversant la tête en arrière sont plus violent
même en marchant. 2* L'écriture n'est pas souvent troublée par les contractions , mais depuis une dizaine de jours, je suis très
s très douloureuses qui, dans l'épaule gauche, ac- compagnaient les contractions violentes, ont, sauf à de rares moments, cessé,
avec plus de difficulté; lorsque la tête finit par m'échapper, les contractions deviennent extrêmement violentes ; le rétrocoli
mmes,comme je devais le faire au moment de mon départ de Paris. Les contractions sont violentes dès que je me couche, mais elles d
réation de l'automa- tisme dans la suppression de l'automatisme des contractions incorrectes, ce qui est bien le but poursuivi ;
ou établit dans ceux-ci le courant d'énergie destiné à produire les contractions musculaires ou le supprime, qui est altéré ou f
s, se produisait, lente et insensible d'abord, puis aboutissait aux contractions ordinaires du torticolis. Une semaine après le
c se produisait. 3° Comme vous le signalait ma dernière lettre, les contractions , en dehors des moments où je les réfrénais par
té plus augmentée. Depuis une quinzaine de jours cette violence des contractions , une fois que je suis démonté, s'est encore acc
ue en s'accompagnant dans toute la face d'une véritable débauche de contractions accessoires ; le cuir chevelu, le front, les yeux
ce qui bouge, j'ai plus tôt fait de chercher ce qui ne bouge pas ; contractions d'attention, d'anxiété, d'effort, de souffrance
sordres s'accentuent. J'essaye bien d'enrayer l'envahisse- ment des contractions de la face, mais je ne puis les surveiller toutes
ze gauche qui est le plus grand coupable; je le sens commençant ses contractions , d'abord faibles, puis de plus en plus fortes ;
cultés que j'avais encore dans les mouvements simples ont persisté ( contractions assez fortes dans la rotation complète à gauche,
e me sers de l'écriture pour me fixer, je ne suis plus gêné par les contractions dans cet exercice. Spécimen d'écriture. 2 novem
avec laquelle la tête peut être inclinée à gauche). Par contre, les contractions qui ont apparu peu à peu dans le trapèze gauche
es seraient dues à une aggravation de l'excitabilité nerveuse : les contractions s'exacerbent alors, les mouvements anormaux augme
ans les muscles ou portions de muscles entrant en contracture ; les contractions ne sont pas plus violentes. le sens de l'attitu
rise que je traverse. 3° Je vous avais signalé la recrudescenee des contractions du trapèze gau- che, et, au moment où j'ai cons
ovembre : perte à peu près com- plète de tous les progrès réalisés, contractions très violentes, impossibilité d'exécuter les ex
tait l'amélioration relative obtenue dans la position couchée ; les contractions vers la gauche s'y produisaient peu ; celles en
pouvoir faire quelques changements de position sans pro- voquer de contractions . ' Peu à peu l'amélioration gagnait la station
ation debout ou assise en suivant abso- lument la même marche ; les contractions ne se produisaient plus, en général, que vers l
ercice devant ou hors miroir, il se produisait des secousses ou des contractions nettes qui empêchaient l'exécution des mouvements
j'éprouve même parfois un peu de tremblement de la tête, de petites contractions frustes, limitées, n'entraînant jamais de tortico
bilité je remarque que je n'ai pas toujours l'équilibre parfait de contractions qui doit la réaliser ; ainsi dans la position d
que signale le malade et qu'il dé- crit très exactement : « petites contractions frustes, limitées, n'entraînant jamais de torti
on mieux. 2° Je surprends assez souvent quelques muscles en état de contraction légère, non voulue, tantôt la joue gauche, tant
téressante la constatation faite par le malade de la persistance de contractions involontaires, non seulement dans les muscles de
biné d'un très grand intérêt, car la paupière en se fermant, par la contraction du muscle orbiculaire, devient plus épaisse ; c
lumière. Dans ce cas, la paupière était plus épaisse, à cause de la contraction de l'orbiculaire, l'oeil reçoit une moindre quan-
cteur nerveux pour l'élévateur des paupières on aurait dû avoir une contraction de l'orbiculaire, quand, avec une paralysie de
11 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
ts du corps dans l'attitude debout ne peut être maintenu que par la contraction incessante de groupes musculaires antagonistes
tout comme les états physiologiques qui leur donnent naissance, la contraction et le relâchement. Il suffit tle regarder un ho
station, l'extension de certains articles peut être maintenue sans contraction musculaire et de façon toute mécanique, il n'en e
n toute mécanique, il n'en est pas moins vrai que le concours de la contraction musculaire reste nécessaire pour produire cette
t que la tête tomberait en avant si elle n'en était empêchée par la contraction des muscles de la nuque, ainsi que je l'ai déjà
istance en avant et la puissance en arrière (Fig. 18). Mais cette contraction des muscles de la nuque a pas peson cl être énerg
iers n'ont le volume qu'on leur connaît que pour empêcher, par leur contraction permanente, la chute en avant. C'est une erreur
re de l'articula- tion du genou sont obligés de faire intervenir la contraction énergique de l'extenseur de cette articulation
icile à établir entre la distension musculaire et l'existence de la contraction (1). Néanmoins, si nous songeons que le relâche
nalogue par un même état de distension soit simple, soit un état de contraction légère de ses fibres. Il résulte de ce qui préc
cherchée. Si c'est l'insertion au calcanéum qui est rendue fixe, la contraction du gasiroc- némien aura pour effet de fléchir l
upérieure du tibia, 84 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE la contraction du gastrocnémien n'aura d'autre alternative que d
t que l'insertion supérieure du gastrocnémien se trouvant fixée, la contraction ne peut pas ne pas ame- ner l'élévation de l'au
eur. Et l'extrémité supérieure du tibia étant ainsi rendue fixe, la contraction du gastrocnémien a pour effet nécessaire de soule
logique réside dans la forme spéciale des mollets par suite de la contraction énergique du muscle gaslrocnémien dans son enti
ôté portant, la fesse est plus étroite et saillante par suite de la contraction de la moitié supérieure de ses muscles (moyen f
tue encore si DE LA STATION 93 le grand fessier lui-même entre en contraction ce qui n'est pas nécessaire au maintien de l'al
re est porté en avant, il y a flexion de la cuisse sur le bassin et contraction manifeste des fléchisseurs, tenseur du l'ascia
couturier. Si la jambe est portée en arrière c'est au contraire la contraction de l'extenseur qui se produit et qui n'est autr
des formes de toute la région. C'est la fesse opposée qui entre en contraction ce qui s'explique par la nécessité de maintenir
n arrière la position devient extrè- mement fatigante à cause de la contraction exagérée des extenseurs de la jambe, destinée à
s réflexes rotuliens sont exagérés, surtout à gauche (deux ou trois contractions musculaires pour un seul choc du tendon). Le redr
é dans la station droite, et qu'il ne prend son aspect réniforme de contraction que si le tronc vient il s'incliner en avant. L
laquelle on ne constate jamais 'les reliefs caractéristiques de la contraction du quadriceps. Reste le maintien de l'articulat
articulier du gros muscle gastro-cnémien. Or, chez notre malade, la contraction volontaire de ce muscle est près-, que nulle. C
dans la marche est capitale. On voit les moyens fessiers entrer en contraction à chaque pas sur la hanche du côté de la jambe
on à chaque pas sur la hanche du côté de la jambe portante et celte contraction dure tout le temps de l'appui unilatéral. La ra
n, en outre des réactions électriques similaires et de l'absence de contractions fibrillaires qui appartiennent à presque toutes l
impossible à la malade d'esquisser le plissement du front, car les contractions du frontal sont presque nulles. Celles des sourci
tion de s'asseoir sur le lit est très difficile. Il n'existe pas de contractions fibrillaires visibles et la malade n'en accuse
s est moins caractérisée par l'apparition plus ou moins tardive des contractions minima, que par la diminution d'étendue et de p
actions minima, que par la diminution d'étendue et de puissance des contractions . Il en est de même pour l'excitabilité galvaniq
ontractions. Il en est de même pour l'excitabilité galvanique : les contractions minima se montrent souvent encore avec des cour
core avec des courants d'assez faible intensité, mais l'ampleur des contractions provoquées par des courants plus forts est notabl
; pour certains muscles toutefois, ceux des cuisses notamment, les contractions minima n'apparaissent que tardivement. Conforméme
ement soulevée à gauche qu'à droite et le gonflement produit par la contraction du muscle y est plus accusé. A droite, à 85 C. mi
muscle, tandis que dans les muscles sous- jacents il se produit des contractions très nettes. La malade peut cepen- dant rapproc
ablement diminuée : dans la flexion de l'avant-bras sur le bras, la contraction du long supinateur est très manifeste, mais la ma
90mm C. assez faibles dans les m. postérieurs de l'avant-bras. (Des contractions se produisent aussi par propagation de l'excita
le côté gauche; celles du côté droit sont semblables ; partout les contractions obtenues sont vives. DELTOïDE antérieur : A 1 m
: 1 3/4 m A, X, NFC" > PFC" ; 3 m A, XIV, NFC' >PFC". (Des contractions sont provoquées en même temps dans des muscles
inateur). (1) Par la lettre C suivie d'un accent nous désignons les contractions faibles, elles sont d'autant plus faibles que l
ibles que la lettre est suivie de plus d'accents ; au contraire les contractions fortes sont désignées par la lettre C. une ou plu
: i/2 m A, XIV, NFC" > PFCC" ; 4 m A, XVIII, NFC' > PFC" (les contractions produites dans ces muscles sont masquées en gra
s produites dans ces muscles sont masquées en grande partie par les contractions provo- quées dans les muscles voisins, le long
e pourra être faite quand on saura que pour le jambier antérieur la contraction minima se produit avec un écartement des bobines
de 55mm pour le grand et que pour l'extenseur commun des orteils la contraction minima a lieu avec un écartement de 50mm pour l
ouvements réflexes qui empêchent dese rendre compte s'il y a ou non contraction clans ce muscle). Les cuisses, bien qu'atrophié
la portion claviculaire. Dans la portion claviculaire les premières contractions n'apparaissent qu'avec un écartement des bobine
5mm, bien plus tard que pour un muscle nor- mal ; en même temps des contractions se montrent dans l'angulaire de l'omo- plate pr
e déplacement du scapulum ; dans ce dernier muscle d'ail- leurs les contractions apparaissent déjà il 75mm (à cet écartement des b
ales, sous-jacels, long dorsal, etc., sont plus excitables et leurs contractions se produisent déjà à 55 ou 60mm. Les muscles sa
A. NFC>PFC ? (1) La lettre C suivie d'un accent indique que les contractions sont faibles ; elles sont d'autant plus faibles
de moyenne étendue ; et la lettre une ou plusieurs fois répétée des contractions fortes et d'autant plus fortes que la lettre es
conservés aux membres inférieurs ; il se tend fortement pendant les contractions volontaires, et il se contracte éga- lement bie
it en appliquant sur le deltoïde un cou- rant qui ne produit aucune contraction dans ce muscle, tandis qu'il pro- voque facilem
e contraction dans ce muscle, tandis qu'il pro- voque facilement la contraction des fléchisseurs. (1) Dans la notation anglaise
marquée aux extrémités supérieures, surtout à gauche. En outre, la contraction musculaire est très faible; mais elle ne paraît
re est très faible; mais elle ne paraît pas retardée. La force de contraction des fléchisseurs des bras et des jambes, bien q
é du courant constant qui donne le premier l'apparence d'une légère contraction , est donnée en milliampères : 1 1/2 représentant
su- jets sains avec le courant minimum nécessaire pour produire une contraction muscu- laire. Quant aux chiffres de 1 1/2 et 3
ables pour l'emporter sur les extenseurs. Pour tous ces muscles, la contraction après le stimulus ne se fait pas aussi rapideme
nts, tous les muscles présentent un fort degré de dégénération ; la contraction est lente et faible ; mais avec le pôle po- sit
la contraction est lente et faible ; mais avec le pôle po- sitif la contraction se montre plus rapidement qu'avec le pôle négatif
les orbiculaires des paupières n'apportent pas le concours de leurs contractions ponr exprimer la joie bienveillante ; le parler b
, par exemple, la dislocation de la jointure pouvait résulter de la contraction brusque et désordonnée du groupe musculaire ant
e muscle ne se contracte plus, c'est parce qu'il a, au cours de ses contractions réitérées, fa- briqué des produits toxiques exe
tétanisation. Si l'on ex- cite alors le nerf de la patte gauche, la contraction est insignifiante ou nulle. Au contraire, l'exc
la patte droite, -celle dont l'artère a été liée provoque de fortes contractions dans cette patte. La conclusion à tirer de cette
rique directe des muscles do la patte gauche détermine en- core des contractions , alors que l'excitation du nerf n'en produit plus
de Westphal caractérisé par l'absence du réflexe patellaire. Mais la contraction pupillaire, en tant que phénomène lié il l'acco
d'une amyotrophie d'origine spinale; elle s'accompagne en effet de contractions fibrillaires des plus nettes ». Il n'y a pas là
on très légère du même segment. 13 Adduction plus marquée; légère contraction du quadriceps, insuffisante pour soulever le ta
sté. Rien de nouveau du côté des réflexes ou delà vessie. 19. - Les contractions du quadriceps ont une force suffisante pour soule
ureux, intermittent, sans que les poussées soient provoquées par la contraction des muscles abdominaux. Le passage de l'urine u
es sourciliers, les frontaux, les py- ramtdaux traduisent par leurs contractions ordinaires l'attention, l'éton- nement, la tris
12 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
nt pour cause une action réflexe de la moelle, une contracture ou une contraction instinctive du malade pour éviter la douleur; tel
on le soulève, avant qu'il soit détaché de terre, il crie, il y a des contractions musculaires énergiques, peu ou pas de souplesse d
niveau de la fosse iliaque, on rencontre un premier obstacle dans la contraction instantanée des muscles abdominaux. Il faut alors
on agit. Généralement, ce sont plutôt les fléchisseurs qui entrent en contraction que les extenseurs, à moins que ceux-ci n'éprouve
ée d'acinésie volontaire complète et d'anesthésie incomplète, d'une contraction subite des abducteurs de la cuisse au moment où j
temps incertain. Les vives douleurs ressenties par la malade, cette contraction musculaire énergique, l'attitude vicieuse exagéré
u : c'est la rétraction des ligaments ; ils se raccourcissent par une contraction tonique, et entraînent les os dans un certain sen
tions articulaires. Les coxalgies sont douloureuses et produisent une contraction involontaire de certains muscles. Le fémur obéit
cles après la naissance. Rien, dans l'état des muscles, n'indique ces contractions énergiques dont il reste ordinairement des traces
yonnaire, d'autres fois d'une influence mécanique, combinée .avec des contractions musculaires anormales , etc. (1) Nous avons vu
sistant dans un vice de coordination de l'action musculaire, dans des contractions désharmoniques substituées à l'harmonie normale d
a en effet, action coordonnée, harmonique, des muscles des deux yeux, contraction simultanée des muscles droits supérieurs, droits
éviation des yeux ? Elle est de deux sortes : il y a un strabisme par contraction musculaire, et un strabisme par rétraction. 1°
action musculaire, et un strabisme par rétraction. 1° Strabisme par contraction . —Le strabisme par contraction ne laisse pas de t
sme par rétraction. 1° Strabisme par contraction. —Le strabisme par contraction ne laisse pas de traces sur le cadavre ; il est d
ction. — Le strabisme par rétraction succède souvent au strabisme par contraction . Celui-ci, lorsqu'il a quelque durée, détermine u
oir reconnaître ces deux formes pendant la vie. Dans le strabisme par contraction , si l'on vient à fermer le bon œil, l'autre se re
s paupières. IVIais on observe souvent dans le même œil un mélange de contraction anormale et de rétraction. Lorsque la pupille se
fin de s'assurer de (1) Quinzième leçon, 24 août 1855. l'étal des contractions musculaires dans l'œil affecté. On n'oubliera pas
nt de la longueur du muscle; il peut aussi être l'effet d'un degré de contraction spasmodique habituel, que l'opération ne peut pas
'effort continuel des malades pour marcher sur son bord externe. La contraction involontaire, incessante, de certains muscles dan
eux. Ces affections ont pour conséquence immédiate l'excitation de la contraction musculaire, ou l'affaiblissement, l'abolition de
la contraction musculaire, ou l'affaiblissement, l'abolition de cette contraction . Dans les deux cas, si tous les muscles ne sont p
xième degré de contracture. Vous remarquerez sur les deux malades une contraction énergique de l'extenseur du gros orteil, lorsqu'i
ent de la saillie sous-métatarsienne. Cette forme résulte d'une forte contraction des fléchisseurs des orteils, s'efforçant de supp
s l'action musculaire de la moitié inférieure du corps; plus tard, la contraction inégale des muscles détermine peu à peu des pieds
ombilical autour de la jambe a été aussi invoqué comme produisant des contractions musculaires irrégulières , et par suite la torsio
né des péroniers latéraux, ce qui prouve qu'à la naissance il y avait contraction et non rétraction. De l'autre côté, la déviation
n ou raccourcissement musculaire. Il y a en effet, dès l'origine, une contraction plus forte de certains muscles; mais ce n'est pas
ais alors il faudra distinguer deux sortes de rétractions : la simple contraction anormale, et la perte de longueur constante des m
s'établit qu'à la longue; il ne précède pas nécessairement, comme la contraction simple, les altérations ligamenteuses ou osseuses
les n'ont pas assez distingué les deux sortes de raccourcissement, la contraction et la rétraction des muscles. Ces deux états sont
ne force étrangère peut vaincre instantanément la résistance due à la contraction ; le muscle rétracté se rompt, au contraire, plutô
étracté se rompt, au contraire, plutôt que de céder à l'extension. La contraction disparaît par moments; elle cesse pendant le somm
se contractent sous l'influence de l'électricité; dans l'autre, celte contraction elle-même n'a plus lieu; toute propriété motrice
en dehors du calcanéum, et l'adduction exagérée paraît résulter de la contraction des fléchisseurs des orteils. Presque tous les au
plat. C'est donc un cas de rétraction légère accompagnée d'une forte contraction anormale. Ainsi, sur le même pied, nous trouvons
t peu d'adduction volontaire. Remarquez qu'il y a encore ici plutôt contraction que rétraction permanente. On fait céder assez fa
ce en grande partie. Elle se reproduit ensuite à un haut degré par la contraction involontaire 14. des muscles prédominants, et
deux causes; d'un côté parla volonté, d'un autre côté, parce que leur contraction est provoquée par la tension que leur imprime la
difformité peut aussi dépendre de causes pathologiques, d'une simple contraction involontaire, temporaire, liée à la circonstance
d'éclampsie. Il faut, dans tous ces cas, s'attacher à distinguer la contraction de la rétraction. On déterminera avec soin à qu
nt de sa formation se trouve le pied bot, s'il présente un mélange de contraction et de rétraction , à quel degré la rétraction pro
gir qu'en masse, de ne représenter que grossièrement les effets de la contraction musculaire, et il s'est efforcé de reproduire ces
demande, l'électricité pourra servir à produire le même effet par la contraction du muscle. Les mêmes moyens rendront plus visib
« La compression nous a parfaitement réussi à enlever la rigidité, la contraction permanente, qui existaient chez deux personnes qu
ui sont, dit-il, au nombre de quatre, savoir : la mollesse des os, la contraction des muscles, le poids du corps et la courbure nat
'action du poids du corps, à laquelle s'ajoute, dans certains cas, la contraction des muscles. Chez les enfants qui ne marchent pas
contraction des muscles. Chez les enfants qui ne marchent pas, cette contraction doit être le principal agent des courbures. Il fa
vrai, c'est que les muscles, après avoir concouru activement par leur contraction à la déformation des os, s'accommodent à la longu
gues produites par la seule action mécanique de la pesanteur et de la contraction musculaire. Xe cas. — Je termine en plaçant sou
cées en arrière, la résistance passive ou élastique des ligaments, la contraction des extenseurs. Pour être complet, je devrais ajo
poids du corps. D'autres fois, la déformation est active et dépend de contractions musculaires. Ceux qui ont la vue courte baissent
, ont donné, dans la cyphose, le conseil très-rationnel d'exciter les contractions des extenseurs du cou en leur faisant surmonter l
lors une résistance croissante de manière à augmenter l'intensité des contractions , et l'on comprend que cet exercice finisse par a
contractures, tantôt par suite des altitudes du malade pour éviter la contraction des muscles douloureux. Le rhumatisme articulaire
emple. Elle peut être due à des causes accidentelles, à un excès de contraction des muscles sacro-spinaux, au relâchement des lig
res lombaires du poids des parties supérieures, en faisant cesser les contractions musculaires nécessitées par les besoins de l'équi
hose avec rétraction musculaire. Ce moyen ne serait indiqué que si la contraction et la tension des muscles paraissaient de nature
l de penser que les muscles postérieurs du tronc contribuent par leur contraction tonique, peut-être par un spasme dépendant de la
il diffère du mécanisme de la rotation physiologique produite par les contractions musculaires. La rotation partielle n'est qu'un ef
vements physiologiques qui se produisent pendant la vie. L'absence de contraction musculaire, dans ce cas, donne lieu à une véritab
té avec l'axe de la poitrine, ce muscle n'exerce plus alors, dans ses contractions , un effort dirigé dans le même sens qu'à l'état n
nt. Morgagni (5) complète encore celte théorie, en disant que cette contraction des muscles d'un côté peut dépendre de convulsion
déterminer le sens des courbures; dans ce cas, ils agissent par leur contraction et non par leur rétraction. Est-il plus nécessa
achitique, point de difficulté : les partisan? mêmes du système de la contraction irrégulière des muscles, les partisans du système
acro-spinal droit ne soit plus provoqué à entrer dans une si violente contraction , et le fan-Ci) Adversar. med.-pract., t. II, part
dans la station, il vous sera facile d'obtenir la cessation de toute contraction , et vous ne trouverez plus de muscles raccourcis,
tance que sur le cadavre ; tant que vous parviendrez à faire taire la contraction , aucun ne se présentera sous la forme d'une corde
etc. Voulez-vous vous assurer d'une autre façon que c'est bien une contraction passagère, et non une rétraction permanente, qui
ueur en rapport avec celle du squelette. L'influence évidente de la contraction musculaire sur les courbures latérales de l'épine
s, — ne peut être complètement déduite des effets ordinaires de cette contraction chez les sujets bien conformés. Je vous ai fait v
s, tels que palpitations fréquentes, irrégularité dans le rhythme des contractions , disposition à la syncope ; tantôt ce sont de vér
que je viens d'indiquer. Telles sont souvent les flexions dues à une contraction involontaire des muscles causée par la douleur, c
as sur le cadavre ? Où serait donc alors cette prétendue inégalité de contraction dans des muscles qui ne se contractent plus? Faut
a brièveté de leur action; les muscles se fatiguent promptement d'une contraction aussi uniforme, et c'est à peine si ce moyen peut
aible ou même remplacée par une légère distension, à la convexité. La contraction musculaire peut bien neutraliser en partie ces ef
périeurs. Je ne reviens pas sur la conséquence qu'on a tirée de cette contraction pour nier l'extension du rachis par le poids des
dans ce sens. Le poids se partage entre le rachis et les muscles; les contractions de ces derniers les font simplement résister à la
nce. Un vice opposé à l'exagération des mouvements est le défaut de contraction suffisante ; les enfants livrent alors le poids d
Nature de la lésion musculaire............... 144 1° Strabisme par contraction ............... »*• 2° Strabisme par rétraction.
13 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d'après ces renseignements, rien ne s'oppose à ce qu'on admette une contraction spasmodique des muscles du larynx analogue à ce
tion, on voit presque toujours survenir une rigidité tétanique, une contraction permanente de ces muscles pendant une durée de
il peut monter comme un individu ordinaire. Cette ano- malie do la contraction musculaire s'observe non seulement aux membres
on cesse les pressions. (J CLINIQUE NERVEUSE. 20 El.80°. Ka S = contraction tétanique. An S = contraction tétanique. 16 l
NIQUE NERVEUSE. 20 El.80°. Ka S = contraction tétanique. An S = contraction tétanique. 16 ll. 4o°. Ka S Z = secousse simp
ction tétanique. 16 ll. 4o°. Ka S Z = secousse simple. An S T = contraction tétanique. 14 El. - h0°. Ka S, néant. An S
S T = contraction tétanique. 14 El. - h0°. Ka S, néant. An S = contraction tétanique légère. Nerf rudial droit. - On'const
e thénar droite. 18 El. 30". Ka S Z = secousse simple. An S E = contraction tétanique. (Ce résultat est constaté plusieurs
Ksz. An S, néant. Nerf médian droit'. 18 El. - 700. Ks T = contraction tétanique. An S T. Deltoïde droit. Il est i
rait qui s'écarte encore du type normal est l'ab- sence complète de contraction d'ouverture. Mais le fait dominant est la facil
u plutôt par l'action de pôles virtuels). Cette persistance de la contraction se produit mieux encore lorsqu'on agit faradiqu
1YOGItAPIIIQU1·;. Nous nous sommes préoccupés de savoir si, dans la contraction musculaire elle-même, il n'y au- rait pas quelq
sse a durer un peu plus longtemps et à s'élever un peu plus. La contraction serait donc deve- nue un peu plus forte et un
Dans une autre série d'ex- périences, nous avons enre- gistré la contraction volon- taire du biceps droit. Pour cela, nous
, n'ayant pas eu l'occasion de prendre simultanément le tracé de la contraction des deux muscles. Quoi qu'il en soit, nous voyo
que nous venons d'analyser le spasme est sur- venu dès la première contraction volontaire ; il n'en est pas toujours ainsi, et
repos, durs comme du bois ; en soufflant sur la peau on amenait des contractions musculaires toniques ; de 12 CLINIQUE NERVEUSE.
ERVEUSE. môme avec les excitations mécaniques ou électriques; ces contractions persistaient pendant cinq secondes et plus. Sec
ter les particularités suivantes : quelquefois le bour- relet de la contraction musculaire persiste un peu après la cessation d
cou- rant appliqué pendant un certain temps, on n'obtient pas une contraction tétanique ferme et durable, mais on voit se pro
ets que l'excitation électrique de courte du- rée, c'est-à-dire une contraction tonique partielle, per- sistant pendant quelque
te. - Ilieii de spécial dans l'exploration électrique, sinon que la contraction persiste après l'excitation, qui, si elle est a
e, produit même de petites on- dulations dans les mucles en état de contraction to- nique. Les muscles^des extrémités inférieur
on spéciale à laquelle le malade ne se trompe pas, sensa- tion de contraction spasmodique du muscle, mais sans SPASME MUSCULA
xemple, tantôt, comme dans deux cas de Seeligmùller, on obtient une contraction nette et persistante; tantôt, comme sur le bice
à la vue, ou même, comme sur ses jumeaux, on obtient une véritable contraction , ce qui d'ailleurs peut s'observer aussi chez d
é de la con- traction anodale, ainsi que l'absence complète de la contraction d'ouverture. Mais le fait capital, celui que no
e, c'est la persistance, après l'excitation faradique, soit de la contraction elle-même, soit de bourrelets ou d'ondes muscul
ation semble aider à com- prendre. C'est ainsi que le spasme, ou la contraction brusque réflexe du tenseur du marteau, tout éta
ée en dedans; le labyrinthe se trouve alors com- primé à la moindre contraction de l'appareil d'accom- modation. -' Je pourra
couchée, le premier signe fut un clignement des paupières, puis des contractions des muscles du front et de la bouche. Elle tour
e douleurs et d'épilepsie spinale quand on prolonge les essais ; la contraction musculaire paradoxale du jambier antérieur, qua
ls de la tête et du cou, l'exa- gération des réflexes tendineux, la contraction musculaire para- doxale, l'intégrité de tous le
lle l'attention sur trois points : 1° l'accélération à la suite des contractions musculaires; 2° leur amplitude; 3° l'accélération
cite cependant quelques cas d'atrophie où l'on 'pouvait obtenir des contractions avec l'électricité statique quand toute autre exc
d'eau chaude et aussitôt après une petite portion d'eau froide. La contraction de l'estomac qui en résulte est tellement irrés
arque que les plis cutanés sont moins prononcés à droite, et que la contraction des muscles 15le CLINIQUE NERVEUSE. s'accompa
d'être atteint d'inaction conjuguée est au contraire le siège d'une contraction exagérée. Il y a même des cas que j'ai signalés
- commodation sans mydriase. Les pupilles sont égales, en état de contraction modérée. La réaction est faible pour la lumière,
avec un levier enregistreur chargé d'un léger poids, il provoque la contraction par une série de secousses électriques qu'il la
ptionnels, il a toujours noté une aug- mentation dans l'énergie des contractions après l'ablation du cerveau. D'après lui, cette
. James vient à l'appui de cette opinion ; il a toujours obtenu des contractions plus fortes en excitant la moelle entière qu'en
rieurs », qui ne serait autre chose que la différence d'énergie des contractions avant et après la décapitation. Toutefois, il y
de l'excitation produite par les centres, excitation qui produitla contraction simultanée de plusieurs muscles alors qu'on enr
ction simultanée de plusieurs muscles alors qu'on enregistre que la contraction d'un seul. Il faudrait aussi tenir compte des i
térisée par le phénomène de l'hyperexci- tabilité neuro-musculaire ( contraction ou contracture des muscles par simple excitatio
ment à l'excitation des antagonistes. La catalepsie n'est qu'une contraction modérée, mais prolongée ; c'est de la contracture
sont capables de les produire. (Excitation mécanique rapide pour la contraction , plus forte et plus pro- longée pour la contrac
n mémoire, étudié les phénomènes qui accompagnent, par rapport à la contraction électrique des muscles, la dégénération des ner
sérieux et probants que ceux que peut fournir un simple examen des contractions ou des mouvements produits par l'excitation éle
e. Dans une première série d'expériences, l'auteuraenregis- tré les contractions des bastrocuémiens de grenouilles, dont les ner
us antérieurement : augmentation du temps perdu, prolongement de la contraction et même tétanisme par le simple courant galvani
ès, brusquement, de paraplégie flasque avec abolition des réflexes, contractions fibrillaires, rétention urinaire et fécale, et
111..luLt1· (de Strasbourg), sur les irrégula- rités de la loi des contractions musculaires chez l'homme vivant, apporte un con
de muscle pauvre en filets nerveux par l'anode provoquera une forte contraction à la fermeture du courant à cause de la kathode
oncerne le plus ou moins de force, le plus ou moins de rapidité des contractions provoquées par l'anode ou par la kathode. Ces a
n soulèvement de-.la ïambe, tantôt, rau contraireaQliejdetermmcune, contraction brusque ou légère TiselonJes moments. Quelqueto
contraction brusque ou légère TiselonJes moments. Quelquetois, la, contraction retlexe se pro- 'iiduit avec un retard normal,
r , r varm v i·vit '11t't[rtfll ? 1`II . "rr 'rtllr'l'1lJ f` d une contraction , montre que, entre 1 excitation et son - WiHi.
,. i·.r .m,J, n`t11 rl'i911 '.91. `ifll; : ou -' nous 'avons vu' la contraction remplacer la con- y r r,a v r ( t(IW t r c,llrt
Il t^w wW wW 1 1' m-'l .j.|l> > i > 1 moment où se fait la contraction /volontaire, celle des , |Mf« |,l i»'If"l 11 PMI
écanismes L'opinion' ! Je'M. Westphal; qui,persiste'à considérer la contraction musculaire ! consécutive/ au choc du tendon'com
HerbertMaYO et Caluieil'avaient remarqué ce premier fait : que les- contractions réflexes, lorsque l'excitation 31 G PHYSIOLOGIE
moments les muscles de, la, face du côté, droit en- la' trént en contraction tonique pour donner^ àJa physionomie les. aspec
? 1 '.i.. ? -> ? =s , - rr 1 n ne donne pas seulement lieu a des contractions de dilierents 't't'' w w111T t.t y ri' : V.W ?
hysiologistesiqueiiious. venons i de il citer; car.on.sait que, la, contraction , d'un- -roupeidp, muscles -l ne peut avoir un e
tion, ou-.la. destruction d'une ci paire nerveuse,, détermine, la-, contraction ;,ou» la .paralysie de groupes musculaires agis
in pour les deux yeux. D. li. revue de pathologie nerveuse. 355 contraction idio-musculairc. Trépidation réflexe. Nul chan-
contractilité galvanique et fara- dique, à part le phénomène de la contraction secondaire com- mun à toutes les atrophies musc
mais le len- demain le patient raconte qu'il a soudain ressenti une contraction convulsive dans la région épigastrique avant de
poche par le vomissement ou le lavage , d'où relâchement brutal et contraction réflexe violente de ses parois, ou bien répléti
; Congrès de la Société des médecins aliénistes allemands, 389. Contractions musculaires chez l'homme vivant (irrégularités
14 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
n de la personne dont il copie instinctivement et avec exactitude les contractions muscu laires ». Remarquons que le magnétisé imite
is l'excitation presque délirante, qui survient dans l'intervalle des contractions , est calmée par suggestion. L'enfant, arrêté à la
e, qui a pu se reposer avec le plus grand calme dans l'intervalle des contractions , au lieu de passer ces instants de répit dans l'a
légère excitation de la peau fait entrer les muscles sous-jaceuts en contraction , c'est l'hyperexcitabilité neuromusculaire. Dum
nvolontaire produit des accidents analogues: névralgies, congestions, contractions spasmodiques, etc. Les accidents produits par l
Des érections et des pollutions douloureuses dépendant des violentes contractions du col de h. vessie ont cédé à la suggestion égal
avons à plusieurs reprises suggestionné à la fille Caffo d'avoir des contractions utérines répétées à intervalles réguliers pendant
ers fourmillements : à 10 heures le travail commence franchement, les contractions douloureuses s'accentuent. Nous faisons une premi
uite mais les souffrances sont supprimées. A une heure du matin les contractions se succèdent régulièrement et trèssoutcnues.a 70U
est donnée pour supprimer les douleurs, pour obtenir l'apparition des contractions à intervalle de to minutes, cette suggestion s'ex
miroir, la patiente est de nouveau endormie pour recevoir l'ordre de contractions utérines 1res soutenues et renouvelées de deux en
a parturiente est endormie et reçoit la suggestion de n'avoir plus de contractions utérines, de cesser le travail de l'enfantement,
ssi a suspendre la marche de l'accouchement pendant trois heures, les contractions dernières reparaissent en s'accéicrant progressiv
hée en position horizontale, inconsciente de son état, prend à chaque contraction la plus commode et la plus favorable, à chaque po
ffrance des efforts analogues a ceux de la défécation. Après quelques contractions expuisives, la tête se présente à la vulve, les p
rçon de 5.100. La délivrance s'est effectuée cinq minutes après. La contraction de l'utérus a été si complète que l'écoulement sa
ui une action bien plus précieuse ' encore dans la régularisation des contractions . En effet les contractions utérines apparaissan
euse ' encore dans la régularisation des contractions. En effet les contractions utérines apparaissant ou dist, araissant à la vol
nt dans bien des circonstances ou il eut été sacrifié sans cela. La contraction se produisant sous l'influence de la suggestion,
e; sans compter qu'au moment des tractions, la suggestion aidant, les contractions reviennent tenaces et le dégagement se fait avec
Je ne mentionnerai que pour mémoire l'avantage de la suspension des contractions lorsqu'il s'agirait de modifier une position vici
, en effet, on observe jamais (sauf dans le sommeil somnambulique) de contractions musculaires volontaires. El celles que nous const
.:ge. quelque légères qu'elles lussent, avaient tous lescaracètres de contractions commandées par la volonté. Dès lors, nous n'hés
prend, lorsqu'il est découvert, de rejeter les draps sur sa tête, la contraction de ses muscles, etc., indiquent suffisamment que
mique, nerveuse, la moindre contrariété la fait sangloter, elle a des contractions fréquentes des doigts. Elle est très épuisée, éta
ses yeux se ferment, elle soupire profondément et reste immobile. Les contractions se régularisent (chaque 5 m.), elles sont intense
ent, la figure est calme. A 9 h., la dilatation est comme *2 fr., les contractions chaque 4-5 m., très inienses, durent 40-50 s., nu
10 h., dilatation comme 5 fr., la femme ne souffre plus. Pendant une contraction très forte, elle laisse échapper un cri, je press
e la douleur; elle respire profondément, se calme et demande à chaque contraction sa compresse. A II h. la dilalation est complète,
forces, ne veut plus de compresses, mais lient ma main sur ses yeux. Contractions chaque 2 m., pas de douleurs. A minuit, pendant u
eux. Contractions chaque 2 m., pas de douleurs. A minuit, pendant une contraction qui dure *2 m., la tête balaie le plancher, se mo
pirer une compresse avec quelques goulles d'éther; elle se calme, les contractions continuent, la femme s'endort. Quand elle se réve
de ne souffre pas, fixe la montre et respire sa compresse pendant les contractions , dort dans les intervalles. La sensibilité cuta
est très bien : € Cela presse, mais ne fait pas mal ». Mais à chaque contraction , qui sont très fortes et durent 50-35 s., elle me
vrier. A 3 h. s. la dilatation est comme 2 fr., la tête mobile. Les contractions toutes les 5 m, très douloureuses. La patiente de
de '2 m. par fixation d'une montre; elle reste tranquille pendant les contractions , gémit légèrement, mais se tranquillise dès que j
ant 1/2 h. elle reste tranquille, se plaignant légèrement pendant les contractions , qui se répètent toutes les 5 m. et durent 40-48
coup. Je l'endors de nouveau, elle se tranquillise immédiatement. Les contractions toutes les 2 m. durent 50 s. De temps eu temps el
dans le canal, la malade commence à pousser énergiquemeut pendant les contractions , mais reste calme. A 6h. 1/2 la poche se rompt et
ontinue â pousser sans gémir. A 6 h. 1/4, la tête se montre et eu eix contractions ae dégage sans que la malade pousse un cri. L'e
ite de l'utérus, une présentation du sommet en première position. Les contractions utérines se suivaient régulièrement. Un sentait à
vive douleur dans les lombes et immédiatement se produisit une forte contraction de la matrice, pendant laquelle je pus constater
surveiller la matrice. La patiente résistait et il survint alors une contraction utérine assez forte accompagnée d'agitation et de
à côté de la femme, d'une main placée sur le ventre, j'observais les contractions de la matrice, de l'autre, je suivais les progrès
ol et j'aidais même à cette dilatation en le tendant par moments. Les contractions revenaient (1) Pour comprendre ces paroles de d
oments : « C'est votre main qui est sur le ventre qui me gône ». La contraction finie, elle rentrait dans le calme et avait l'air
Delbœuf d'enjoindre à la parturiente de rester tranquille pendant la contraction . A la première qui survint, M. Delbœuf, plaçant l
A partir de ce moment, la patiente n'agita plus le tronc pendant les contractions utérines qui continuaient à se suivre avec régula
lus espacées. On commanda à la femme de pousser quand elle aurait des contractions . C'est ce qu'elle fit ; elle cherchait un point d
vers onze heures moins le quart. La sage-femme m'apprit alors que les contractions tendaient de nouveau à s'espacer et à s'affaiblir
à l'extrémité gauche du diamètre transverse. Cette fois encore les contractions utérines, qui languissaient, obéirent à la sugges
recommander à la femme de ne pousser qu'à son injonction. Dès que la contraction utérine était en train, je faisais un signe et M.
usieurs reprises, M. Del bœuf put la faire rire pendant les dernières contractions , alors que la tète avançait de plus en plus (I).
appeler, alors que la dilatation du col était déjà assez avancée. Les contractions utérines étaient très fortes et très rapprochées.
la marche du travail, mais sans faire de suggestion relativement aux contractions utérines. Dans l'accouchement le plus naturel,
tiente, et les deux fois il a suffi de la suggestion pour ramener les contractions utérines et pour les faire revenir après un laps
ue j'ai rapporté plus haut, qu'on puisse, par suggestion, ranimer des contractions utérines qui faiblissent, les faire revenir plus
de l'accouchement. Par suggestion, nous avons pu aussi provoquer dos contractions dans les suites do couches et mettre fin à un com
nt environ toutes les quinze ou vingt minutes ; dans l'intervalle des contractions , elle se levait et se promenait dans la salle.
euf heures trente. Elle avait dormi durant mon absence, cependant les contractions n'avaient cessé d'augmenter de fréquence. Pendant
ontractions n'avaient cessé d'augmenter de fréquence. Pendant chacune contraction , on la voyait faire des efforts pour aider la des
s douleurs passeront. (1J V. Revue de CHypnolùme, p. ï74. Mais La contraction arrive, elle cric. Alors je lui donne a respirer
garde autour d'elle dans Les intervalles, ferme les yeux cl dort. Les contractions se répètent toutes les 3-4 m., elles sont intense
es. A 9 h. 30, la femme commence à pousser très fortement pendant les contractions , mais ne souffre pas. A 10 h. m., vu le rétréciss
ralentit, devient plus profonde, les membres sont en résolution. Les contractions viennent toutes les 5 m., le ventre se durcit, ma
a malade reste tranquille, fronce à peine les sourcils. A minuit, les contractions deviennent plus fréquentes, toutes les 1-2 m., la
ommeil. A minuit 3/4, la tête se montre, fait sa rotation et en trois contractions se dégage.Ace moment la femme se réveille et crie
ypnotiques, une seule fut suivie .l'effet avec grande difficulté; les contractions de la figure ne se produisirent pas, le sommeil e
ombée en état de sommeil somnambulique. Les bras étaient en état de contractions , les globes oculaires convulsés par le haut et le
stion de Nancy, et elle montra, dans le sommeil hypnotique, les mêmes contractions que dans le sommeil somnambulique spontané. Je lu
fixée, la femme Fay s'endort tout d'un coup; elle s'allonge avec les contractions déjà mentionnées. Le tout rappelait un commenceme
15 (1913) Exposé des travaux scientifiques
de flexion est généralement moins prononcé, peut-être parce que la contraction se limite, d'ha- bitude, au seul muscle biceps.
ndon détermine dans le groupe musculaire correspondant une série de contractions réflexes rythmées. « Ce caractère, dont l'absen
ition sui- vante : le clonus doit être obtenu en l'absence de toute contraction volontaire des muscles de la jambe ; alors seul
emarquer que le phénomène ne se manifeste pas tou- jours dès que la contraction volontaire se produit, il faut que celle-ci s'o
t plusieurs minutes consécutives les muscles au degré nécessaire de contraction et, par conséquent, la trépidation ne présenter
e constance que dans l'épilepsie spinale parfaite. J'ajoute que les contractions volontaires gênent plutôt qu'elles ne faciliten
rte que les muscles du pied et de la jambe ne soient pas en état de contraction , et pour obtenir ce résultat il est bon de ne pas
éflexes tels qu'une flexion brusque de la cuisse sur le bassin, une contraction du tenseur du fascia lata, l'extension volontai
ans les cas où il y a une lésion de la voie pyramidale, produit une contraction des muscles extenseur propre du gros orteil, jamb
des orteils et parfois des muscles péroniers. En ce qui regarde la contraction du jambier antérieur, il s'agit, il est vrai, d
je constatai celle fois que l'excitation lumineuse provo- quait une contraction pupillaire faible, mais nette. « Ces deux exame
d'intensité « en monopolaire ou en bipolaire», on n'obtient pas de contraction musculaire. Or parfois, l'excitabilité faradiqu
de la contracture orga- nique et qu'elle peut être assimilée à une contraction musculaire voli- tionnelle. B. J'ai montré qu
stinction faite par Meige et Brissaud ; je vais les indiquer. Les contractions de l'hémispasme facial sont déformantes. Pour bie
si l'on veut, la déforme; mais les défor- mations produites par des contractions volontaires sont normales, ce sont des changeme
lière qui apparaît au menton du côté malade (voir fig. 6 et 8). Ces contractions s'associent les unes aux autres d'une manière con
le plus grand nombre des malades a un point de départ oculaire. La contraction débute par 1 orbiculaire des paupières, phénomè
labiale en haut et en arrière, l'occlusion de l'oeil associée à une contraction du frontal qui se manifeste par des plis cutanés
des plis cutanés à la partie supéro-interne du sourcil gauche. g. Contraction volontaire du côté droit de la face. On ne trouve
ntionnière irrégulière du côté malade) et la synergie para- doxale ( contraction de l'orbiculaire et élévation de la partie intern
ents du pavillon de l'oreille du côté où siège le spasme ; enfin la contraction simultanée du muscle frontal et de l'orbiculair
mai 191 1) présente un malade atteint d'hémispasme facial, ayant des contractions déformantes et de la synergie paradoxale. And
en flexion est sujette à des variations fréquentes qui résultent de contractions intermittentes involontaires, souvent dou- lour
involontaires, souvent dou- loureuses, des membres inférieurs. Ces contractions provoquent des mouvements alternatifs de flexio
progres- sivement et tend à devenir permanente. Si j'ajoute que ces contractions sont lentes, on reconnaîtra qu'elles diffèrent
vu, la raideur est sujette à des variations fréquentes résultant de contractions intermittentes, involontaires. Depuis ma deuxiè
ement de la tonicité de celle qui dépend d'une contracture ou d'une contraction musculaire. b) Voici un moyen de mettre en évid
que,1 dans certains mouvements auxquels le peaucier participe, la contraction de ce muscle est plus énergique du côté sai
héno- FIG. 13. Hémiplégie gauche organique un an après son début. Contraction du peaucier du cou à droite. mène sous la déno-
eurter contre le sol. L'extension du tronc doit être modérée par la contraction des fléchisseurs qui ne se relâchent que progress
des fléchisseurs qui ne se relâchent que progressivement, et cette contraction des fléchisseurs, pour être efficace, nécessite u
s effets, il mettra en jeu les muscles antagonistes de ceux dont la contraction a produit le mouvement qu'il faut arrêter. Ce s
du temps perdu entre l'incita- tion volitionnelle et le début de la contraction musculaire. Je rappelle à ce propos que les div
e du temps perdu entre l'incitation volitionnelle et le début de la contraction ). L'adiadococinésie serait la conséquence d'une
st caractérisé par la faculté que présentent les muscles en état de contraction volontaire de se maintenir longtemps immobi- le
nstamment en rotation à gauche, était à tout instant agitée par des contractions spasmodiques des muscles cervicaux qui accentuaie
pourra obtenir ainsi, il est vrai, une déviation faciale due à une contraction musculaire ou à une contracture, un spasme glosso
16 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
té un appareil de ce genre 2 qui permet d'entendre'le bruit de la contraction musculaire et le bruit des 'muscles 'à l'état d
quer l'incoordination, et 'que cette dernière survienne faute d'une contraction simultanée. Elles indiquent seulement que' l'ét
ires- des sphincters, dit ce maître émi- nent, sont dans un état de contraction continué, les nerfs moteurs 'qui les innervent
la partie de la moelle qui donne naissance a ces nerfs. Cet état de contraction Continué' des muscles a reçu te nom de tonus mu
11 ? 9 .,).il J.j.L J qu'il s'agit aussi dans ce cas, d'un, état de contraction jM«V19J}0lY 1111- »- UI"-f"lh-1' )V 'lS6l'to C
ent dé- 1 . 48-11 I PATHOLOGIE. tendu, il pourra donner la même contraction , mais l'ex- citation volontaire devra être 20.
ination devra être très marquée pour un mouvement n'exigeant qu'une contraction modérée des muscles, moindre pour un mouvement
ction modérée des muscles, moindre pour un mouvement exigeant une contraction énergique. Continuons l'hypothèse précé- dente,
travail représenté par 14, les fibres non tonifiées par 10. Si la contraction musculaire est très énergique, comme elle ne pe
onicité (c'est-à-dire l'incoordi- nation), sont atténués lorsque la contraction muscu- laire est très énergique. C'est là une d
n dcbout, un grand nombre de mus- cles entrent en action, mais leur contraction est si peu énergique, que dans l'état de santé
ux cette attitude devient rapidement fatiguante. Si par instants la contraction est moins forte, ils sen- tent leurs genoux flé
elle est rigide, contracturée. Comme dans la station, c'est par la contraction maximum des muscles que peut être atténuée leur
au membre inférieur sur les rotateurs en dedans; aussi, lorsque la contraction des muscles de ce membre est portée à son maxim
inégale tonicité de leurs muscles; ses effets sont atténués par une contraction maximum de ces muscles. CLINIQUE MENTALE DE
s fois de suite un mouvement volon- taire, tel, par exemple, que la contraction du biceps. On fait continuer ce mouvement penda
des antagonistes et des muscles associés, ne provoque-t-on pas une contraction intense de la totalité des muscles du membre ?
fort difficile, sauf par l'électrisation localisée, de provoquer la contraction d'un muscle isolé, à cause de l'association des
fibres, en rendant solidaire et synergique l'exercice fonctionnel ( contraction simultanée des muscles droit externe d'un côté,
s muscles droit externe d'un côté, et droit interne du côté opposé, contraction associée des deux obliques) assurent les mouvem
chez le lapin et chez le chien, REVUE DE PHYSIOLOGIE. 131 que des contractions rythmiques survenaient dans le sphincter anal à
rs : on choisit des chats de forte taille, car chez ces animaux les contractions sont plus évidentes à la suite de la section de
ences de MM. Ott et Smith il résulte que : « Les fibres d'arrêt des contractions rythmiques des sphincters prennent naissance da
th ont aussi remarqué que l'électrisation du sciatique arrêtait ces contractions anales et que l'injection d'atropine les faisai
e ainsi que le pouvait faire une forte saignée. Le mécanisme de ces contractions spasmodiques est rattaché à un réflexe dans leq
. , On sait qu'un muscle soumis à une élongation brusque entre en contraction , pourvu qu'il soit encore relié par les nerfs à
on, pourvu qu'il soit encore relié par les nerfs à la moelle. Cette contraction réflexe, si bien étudiée par les Allemands sous
du muscle peut encore être ob- tenue par d'autres procédés. , La contraction du muscle antagoniste, provoquée par une forte
, chez l'homme sain, la traction brusque d'un muscle exercée par la contraction de son antago- niste. Voici comment nous avon
Chaque mouvement de flexion de l'avant-bras, c'est- à-dire chaque contraction du biceps, actionnant le tambour explorateur, o
ique du biceps; le second, à l'excitation réflexe produite.par la contraction du triceps. Ce dernier muscle, en effet, a été
l'exci- tant, par conséquent, et c'est précisément cette seconde contraction réflexe du biceps qui est indiquée ici par le d
définir cette série d'excitations réciproques en disant que : la contraction initiale du biceps a produit le phénomène du te
de chaque côté du point d'appui de ce levier, de façon à ce que la contraction de chaque groupe musculaire fasse dévier en sen
ntes. Le caoutchouc, brusquement et fortement tendu par la première contraction du bi- ceps, exerce à son tour, lorsqu'il revie
. Or, nous savons que l'allongement brusque du muscle provoque sa contraction ; dans le cas présent, cette contraction ou racc
que du muscle provoque sa contraction; dans le cas présent, cette contraction ou raccourcissement secondaire du muscle déterm
c, lequel, en revenant brusquement sur lui-même, provoque une autre contraction du biceps, et ainsi de suite. Il se fait de la
anément 1'1..1 '.il; ? Ii... - \.¡ .j \ .)... ? -" .4 ....... les contractions ,des; muscles, antérieurs,.MA,.et postée rieurs
uement le gastrocnémien, puis est repoussé par le pied, grâce à la' contraction réflexe de ces muscles, si i ? l'H11 f . les
"l d'inscrire ? , " , , , ..^t Dans la fig. 11, on peut voir les contractions des muscles postérieurs de là jambe; -PJ, et ce
avons faite sur l'homme sain avec la bande de caout- chouc ;'l',la" contraction ? du' biceps est ici "remplacée par celle des m
s 'des conditions'où le' réflexe tendineux est exagéré, * et chaque contraction des muscles antérieurs de la jambe fig.n 1/ ,.
tures (palmaires, M P) ont "une seconde secousse provoquée par la contraction de leurs antagonistes. ' Fig. 13. - T,e»2blen ?
ntracture du biceps, puis survient une série de secousses dues à la contraction du triceps. Tous ces détails sont d'une observa
. exemple, s'il s'agit de porter la main au visage, fait naître des contractions réflexes du triceps, et vice versa. il , l .i `
rieur gauche : des 'mouvements' de totalité- sont' imprimés par des contractions rhytlmique1 dut grand ? dorsal ; le.jbiccps et,
s. CONCLUSIONS. - 1° L'élongation brusque d'un muscle provoque sa contraction (phénomène du tendon) / et l'énergie de cette c
ovoque sa contraction (phénomène du tendon) / et l'énergie de cette contraction est en rapport direct avec la force qui l'a dét
de son point d'attache, ou par une i hni mi ' ' "<) ' z forte contraction du muscle antagoniste; ., ...1' 3° Si la tracti
ions d'intensité (bande de caoutchouc), elle détermine une série de contractions réflexes, toujours rhythmées, et de nombre à pe
à son antagoniste. Il est d'abord mis en mouvement par une première contraction volontaire, par une exci- tation électrique ou
e ; et ses oscillations provo- quent dans le muscle antagoniste des contractions , rhythmiques qui constituent le tremblement ; ,
81 duits par la faradisation du cerveau semblent varier comme les contractions moins complexes que détermine la faradisa- tion
n r='117ri , , "dit.. muscles de la. région hyoïdienne entraient en contraction to- v a 11U n,J .1 Gllt J Jl ? nlll 1 '.n.li.n.
enne ,de la^rèaction de, Jj dégéné1'escence ;" réappal'itionl' des, contractions cloniques-toni- 'J,q ? l da,1}s.le,[,Tç.zes de.
ance, mais avec perte de, la parole. L affection icon- siste en une contraction tonique et cloniqué intermittente;et, extrêmeme
c de très fo ! ;f,src,C ! .uJ : a ? s" \1 ? A°n,1J,a¡ ? l, ! ucl1}e contraction ,; excepté -dans les' ' ? r.nt.- ? u.ir. ,; ? -j
th9 : rad)lelement A S Z devint ,V ILS, Z, 'sans que'la forme des contractions }ut notablement altérée. ill n.'y.eut pas d'augnie
es de rigi- dité tétanique ; sa tête était tirée en arrière par les contractions spasmodiquës des'muscles. Il mourut en janvier
; en général un léger degré de désordre dans les mouvements ou de contractions spasmodiques sera un des premiers signes. Lorsq
ruz.. l' 9`vJ.1` âàà ? 3%1 laire devint suffisant pour provoquer la contraction "réflexe de la vessie qui ne pouvait encore se
court, une semaine et probablement moins; qu'une fois vaincue, la contraction n'a pas de tendance marquée à se reproduire. C.
plancher du quatrième ventricule. CH. F. XXVII. SUR UNE SORTE DE CONTRACTION MUSCULAIRE paradoxale; par C. WESTPHAL. (Arch.
e; par C. WESTPHAL. (Arch. für Psychiatrie, t. X.) Sous le nom de contraction musculaire paradoxale, Westphal désigne un phén
ns muscles, en rapprochant leurs points d'attache, on détermine une contraction de ces muscles. Le relâchement du muscle agit i
stance de la flexion du pied s'ob- serve fréquemment aussi quand la contraction musculaire est provoquée par la faradisation,et
s fort remarquable, la narcose chloroformique a fait disparaître la contraction musculaire paradoxale. Quant à la nature du phé
serait pré- maturée. Westphal fait remarquer en terminant que la contraction musculaire paradoxale est juste l'opposé du phé
phénomène qu'il a décrit antérieurement avec Erb, et dans lequel la contraction est provoquée par une extension brusque du musc
un animal à sang chaud, immédiatement après la mort, on obtient des contractions manifestes en excitant la moelle. La substance
t avec le courant continu, l'intensité néces- saire pour amener une contraction est très faible ; avec les courants induits mêm
en ou presque rien. Sur le vivant, le courant continu ne donne de contraction qu'à la fermeture et qu'à l'ouverture; sur le c
e d'affirmer la mort réelle, mais cer- taines modifications dans la contraction suffisent pour donner des renseignements précis
ires, dans les contractures hystériques et dans ce qu'il appelle la contraction émotive (emotional contraction). 'Dans l'ostéit
tériques et dans ce qu'il appelle la contraction émotive (emotional contraction ). 'Dans l'ostéite chronique des extré- mités ar
de la contractilité faradique dans les muscles ainsi atteints. La contraction émotive détermine seulement l'atrophie par défa
es épaules et les membres étaient ensuite agités de secousses et de contractions saccadées et involontaires ; ces divers phénomè
t certains mouvements, tandis que d'autres mouvements, réclamant la contraction des mêmes muscles en combinaisons différentes,
égiques le côté sain n'est pas absolument sain. L'amplitude de la contraction est plus forte du côté contrac- ture. La durée
la contraction est plus forte du côté contrac- ture. La durée de la contraction est de 1/3 à /2 seconde envi- 500 bibliographie
suite de percussions rapides sur le tendon. Quant à la forme de la contraction elle est étudiée avec détails et mise sous les
arrive à cette conclusion que la contracture est due non pas à une contraction permanente, mais à une exagération du tonus mus
nsidérable de l'excitabilité galvanique cadrant avec la lenteur des contractions produites : tels sont les résul- tats obtenus p
laires, atrophie des muscles masticateurs du même côté, parésies et contractions convulsives des muscles de la langue, anarthrie
réflexe par excitation cutanée que par excitation lumineuse, à la contraction qu'à la dilatation réflexe des pupilles. On peut
avec la conception mentale du fait, la sensa- tion douloureuse des contractions . Le pronostic des psychoses puerpérales est, en
i distingue deux formes de migraine : 1° la forme angiolonique avec contraction des vaisseaux crâniens, produi- sant une pâleur
8, 509, 510. Congrès. En Italie, 3'.9; a Londres, 349, 646. - Contraction musculaire paradoxale, par Westphal, 435. Con
17 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ourdissement, c'était plutôt une sensation motrice de raideur ou de contraction , une crainte (receio) comme il l'appelait, qui
eurs ont réunies sous le nom de sens musculaire, et la notion d'une contraction des muscles et de la mesure même de celle contr
notion d'une contraction des muscles et de la mesure même de celle contraction me paraît indéniable. Il suffit d'avoir recherc
ibilité musculaire proprement dite, uniquement mise en éveil par la contraction des muscles, facilement perçue quand on s'oppose
ouwer eût désavoué l'exactitude. Et ces crispations des poings, ces contractions des bras, ces mouvements brusques des jambes, q
il se produisait une saillie énorme au devant de la cuisse due à la contraction du quadriceps suivie de relâchement brusque et do
rès les mêmes que dans la marche ordinaire. Il en est de même des contractions musculaires qui ne diffèrent que par.une plus g
rement aussitôt que le contact avec le sol est bien assuré et la contraction du quadriceps se montre alors comme dans le pas
orde par le ta- lon. Ce mouvement d'extension est déterminé par une contraction brus- Fig. 18. Démarche sournoise. - Moment du
hot. inst. de M. Londe). 78 PAUL RICHER que du muscle quadriceps, contraction dite balistique, et qui se produit explosivemen
pas, ce muscle de la jambe oscillante est tour tour dans un état de contraction de courte durée et de complet relâchement. Une
ourte durée et de complet relâchement. Une semblable alternative de contraction et de relâchement se produit sur le même muscle
oduit sur le même muscle de la jambe portante ; au début du pas, la contraction se manifeste, mais plus soutenue et pro- longée
aire longtemps prolongé, et qui consiste dans des alter- natives de contraction et de relâchement, d'activité et de repos. Voyo
écédem- ment dans un état de relâchement complet accentue encore sa contraction pour soutenir le poids du corps qui tendrait à
accentuer la flexion du membre qui lui sert alors de soutien. Cette contraction est celle que nous avons appelée contraction fr
lors de soutien. Cette contraction est celle que nous avons appelée contraction frénatrice, elle dure tout le temps du soutien ;
l pendant toute la durée du pas, bien que le genrede travail varie ( contraction dynamique pendant l'oscil- lation, contraction
nrede travail varie (contraction dynamique pendant l'oscil- lation, contraction frénatrice pendant le soutien). 'Certains carac
is il est un point que les auteurs ont négligé, c'est l'étude de la contraction musculaire; or il est facile de démontrer, ains
M. le professeur Marey, est beau- coup plus complexe. Un muscle en contraction statique ou frénatrice ne produit pas de travai
et d'une dépense de force en rapport avec le degré et la durée delà contraction , C'est le cas du muscle quadriceps dans la marc
nt. Celui-ci montre que toute vie n'est pas éteinte en-lui, par les contractions fibrillaires que détermine un courant induit. D
atro- phiés. Senator a trouvé dans notre cas une exagération de la contraction idio-musculaire; Pincus a noté, au contact des
anique. Le courant faradique indique l'état du muscle; en. effet la contraction 132 A. WEIL ET J. NISSIM musculaire est d'aut
s les muscles sains, faible dans les muscles en partie atteints, la contraction faradique est nulle dans les muscles fibreux ou
sihle sur le bord antérieur de la fosse temporale, il chacune de leur contraction . 11 est impossible de décrire l'état des ptéryg
tout un groupe musculaire siégeant dans le voisinage et montrer des contractions fasciculaires et cela bien que l'amaigris- seme
res normales. Le courant induit déter- mine en quelques endroits la contraction de quelques fibres dans les muscles atteints. L
du muscle resta fibreuse. Le courant induit,a ce niveau, donne une contraction fibrillairc seulement. For- mation de noyaux da
aque antérieure et supérieure et au fémur. Réactions électriques. - Contractions faradiques normales dans les por- tions muscula
tions musculaires non ossifiées ; l'excitation galvanique donne une contraction dans laquelle An F. C. commence plus tôt que d'
- nifeste sur les deux nerfs accessoires. Un fort courant donne des contractions énergiques sur le nerf cubital; les muscles tra
cléido-mastoïdiens ne dounent rien. Un courant très fort donne des contractions plus fortes à droite qu'à gauche. L'excitation
itation directe. Le deltoïde gauche se contracte difficilement ; la contraction se mon- tre avec un courant très fort. A peine
bles du dos, rhomboï- des et grand dorsaux, donnent une très petite contraction faradique. Le sacro- lombaire réagit bien. Les
e grand pectoral : celui-ci, quoique ossifié, donne e cependant des contractions fibrillaires au contact. Diminution de la sensi
rosé ; la surface est polie, brillante, oedématiée, anémiée. Pas de contractions fibril- laires sur la coupe. .. Examen micros
face, et que l'électrisation de cette zone excitable pro- voque des contractions musculaires, suivant un ordre déterminé, Charcot
u- laire considérable; le second temps en particulier nécessite une contraction synergique forte et prolongée des muscles grand
, au contraire, conservée, mais sensiblement diminuée ; de plus les contractions obtenues sont lentes avec N F C P F C. Donc il
leurs congénères. A notre avis, le point capital réside dans cette contraction simultanée du grand dentelé et du trapèze scapu
tion simultanée du grand dentelé et du trapèze scapulaire. Et cette contraction simultanée, synergique, se manifeste, en partic
telé et son trapèze scapulaire. Que s'est-il donc passé ? Il y a eu contraction violente et brusque de ces deux muscles. Cette
l y a eu contraction violente et brusque de ces deux muscles. Cette contraction musculaire a pu produire un tiraillement, une d
scles qu'ils innervent. Le tiraillement des nerfs été le fait de la contraction forcée du muscle (1) Duchenne, Physiol. des mou
T P. DUVAL grand dentelé et du trapèze scapulaire, ou le lait de la contraction de tout autre muscle. On peut se poser la quest
dis- position favorise-t-elle le traumatisme du nerf au cours de la contraction musculaire ? Il est simplement permis de le sup
ire ? Il est simplement permis de le supposer. On a vu en effet des contractions musculaires violentes et brusques tirailler, co
son observation et de ses recherches que la paraly- sie radiale par contraction violente et soudaine doit ètre beaucoup plus fr
l'acte de pousser devant soi un corps très lourd outrés résistant; contraction musculaire simultanée, violente et brusque, pro
muscle, le bras peut être élevé jusqu'à la ligne horizontale par la contraction isolée du deltoïde. Notre malade exécute ce mou
st le muscle deltoïde qui se contracte seul. Or le deltoïde, par sa contraction isolée, imprime à l'omo- plate un mouvement de
elé, est en effet identique il celle que Duchenne produisait par la contraction électro-physiologique isolée du deltoïde. « Dan
n mouvement pathologique semblable à celui qui est pro- duit par la contraction du deltoïde. Il ne pourrait en être autrement car
ysie isolée du muscle grand dentelé. Quoi qu'il en soit, c'est la contraction isolée du deltoïde qui détermine directement, d
de la moitié droite du thorax semble proportionnelle au degré de la contraction des inspirateurs accessoires : plus leur contra
au degré de la contraction des inspirateurs accessoires : plus leur contraction est énergique, plus la difformité est accu- 444
lus la difformité est accu- 444 A. SOUQUES ET P. DUVAL sée. Cette contraction exagérée est déterminée par le besoin de lutter c
ralytique semble en effet déterminée, dans cer- tains cas, par leur contraction simultanée, capable de produire un tirail- leme
entôt surmontées. NOTE SUR - UN CAS DE CHORÉE VARIABLE . AVEC CONTRACTIONS FASCICULAIRES DES DELTOÏDES ET CRAQUEMENTS ARTI
ractent de l'autre (1). Un fait qui me paraît moins connu, c'est la contraction indépendante des divers faisceaux d'un même muscl
contraction indépendante des divers faisceaux d'un même muscle. Ces contractions dissociées peuvent provoquer dans les articulatio
plus sans intérêt. L'observation qui nous fournit un exemple de ces contractions mérite d'ailleurs l'attention à d'autres points
es de l'oeil. - Guérison apparente. Rechutes. Chorée partielle avec contractions (asciculaires des deltoïdes. E. B., 14 ans, s'e
H o M M- l'1 e > M ? M r l'1 Ut Fio. 1. Contractions fasciculaires des Deltoïdes dans un cas de chorée
laires des Deltoïdes dans un cas de chorée variable. A. Courbes des contractions du faisceau antérieur du deltoïde droit. - B. Cou
ontractions du faisceau antérieur du deltoïde droit. - B. Courbes des contractions du faisceau postérieur du même muscle C. Métron
tambour myographique, on peut se rendre compte de l'alternance des contractions de ces deux faisceaux (Fig. 1), qui provoquent de
donnés des muscles intrinsèques de. l'oreille : Ilaug a signalé des contractions cloniques des muscles du mar- teau du côté gauc
, dans un dernier accès aux deux deltoïdes, et la discor- dance des contractions des faisceaux de ces muscles. On peut trouver l
volontaire du bras dans le cas de paralysie du grand dentelé. La contraction , indépendante des différents faisceaux des muscle
s, qui ne se produisent que dans les mouvements provo- qués par une contraction partielle, montrent bien qu'une déviation de la
est âgé de 5 ans et 9 mois. Il tient sa tête en torticolis, pas de contraction du sterno-cléido-mastoïdien gauche. Dans les mu
on des pe- tites bouchées se fait bien, la déglutition est normale. Contractions fibrillaires du masséter droit à la mastication
len- tille a celle d'une noisette, au contact desquels on sent des contractions fibrillaires intenses dues sans doute à une irr
lombaire. '^Partout à la limite des masses osseuses on constate des contractions fibrillaires. Celles-ci sont surtout marquées d
ne dureté des muscles extenseurs. L'électricité faradique donne une contraction à peine sensible dans les mus- cles dégénérés.
ige (22 pliot., 2 planches en couleur), 492. Chorée variable avec contractions fascicu- laires des deltoïdes (note sur un cas
gures), 321. Féré (Cu.). Note sur un cas de chorée variable avec contractions fasciculaires des deltoïdes et craquements arti
18 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
baissé. A gauche, l'oeil est découvert, mais la paupière est aussi en contraction , quoique beaucoup moins qu'à droite. Le sourcil
urcil du même côté est un petit peu soulevé. On remarque de légères contractions fibrillaires la paupière droite et quelquefois
me intensité ; par moments, il augmente ou il diminue ainsi que les contractions fibrillaires elles-mêmes. Le malade affirme d'ê
ce lorsque le malade gonfle les joues ou fait l'acte de siffler. La contraction des peauciers est très bonne et égale des deux
xemple, assez fréquents chez les hémiplé- giques, il arrive que les contractions musculaires se produisent dans les muscles norm
nheim, dans un cas de paralysie faciale périphérique, a observé des contractions qui faisaient dévier à gauche la mâchoire inférie
res de l'oeil gauche. Jolly a remarqué dans la diplégie faciale des contractions des muscles zigomatiques parétiques pendant la fe
é que lorsque le malade ferme les yeux, se produit non seulement la contraction de l'orbiculaire des paupières, mais aussi cell
t le facial du côté sain,avec le courant électrique, on obtenait la contraction des muscles du côté opposé. Plus rarement on a
ans expression, mais les excitations dou- loureuses sont suivies de contractions musculaires symétriques, qui se main-; tiennent
(2) Paraplégie spasmodique organique avec contracture en flexion et contractions musculaires involontaires. Société de Neurologi
ation de la zone abdominale SUà-ItlârII1111e ne donne liau à aucune contraction réflexe visible dans la même région, mais on ob
région, mais on observe à chaque trait de l'aiguille d'un côté une contraction des parties moyenne et supérieure du même côté
sont maintenus d'une façon plns ou moins constante dans un état de contraction forcée ; de là la douleur dont la malade se plain
it suivi des traitements qui ont soulagé le torticolis, mais non la contraction douloureuse des muscles de la main : elle fait
duction d'une assez grande intensité ne réussit pas à provoquer des contractions et, par le courant voltaïque, on obtient seulem
l'excitation des fibres sensitives tendino-musculaires pro- duit la contraction réflexe exagérée. Dans la lèpre nerveuse on tro
exe, toujours est-il que le résultat est la plus grande facilité de contraction . Cette augmentation est plus appareille en cert
très légères et lentes secousses. Il faut, pour obtenir ces petites contractions , agir avec des courants d'une intensité plus gr
explique l'indolence à la pression et surtout l'absence complète de contraction musculaire, consécutivement à l'électrisation d
devient subordonné aux impulsions de la volonté.' D'autre part, les contractions de la musculature faciale demeurent par la suit
déré comme foficlionnellement inactif, préside- rait d'une parla la contraction des libres musculaires lisses et d'autre part 2
ce (5). J'ai cons- taté chez beaucoup de sujets sains, qu'après une contraction musculaire prolongée, ils sont à même d'accompl
rqué que les mouvements volontaires exécutés tout de suite après la contraction musculaire dans la direction même de ce mouveme
musculaires, articulaires et tendineuses qui se produisent après la contraction muscu- laire, c'est-à-dire à leurs images cénes
pplication subséquente d'un stimulus faradique n'a déterminé aucune contraction musculaire. Moi-même, j'ai appelé l'attention sur
ende Ersr : 1zeinungen, Wiener klin. Wochenschr., 1899) obtient des contractions musculaires toniques par l'excitation de partie
toniques par l'excitation de parties caudales du noyau caudé et des contractions cloniques par l'ex- citation des parties du mil
t. C'est l'excitation du noyau lenticulaire seul qui provoquait des contractions musculaires toniques héléro-latérales. - Ziehen
l'écorce il trouve le noyau lenticulaire du lapin inexcitable. Les contractions musculaires, qu'on observe parfois en ce cas, s
pour le noyau lenticulaire, dont la stimulation provoque- rait des contractions musculaires de caractère tonique ou clonique chez
volontairement. La figure, quoique sans expression, est le siège de contractions musculaires involontaires, le front est parfois
de temps en temps une des épaules est relevée. Quelques-unes de ces contractions sont très vives, parfois elles durent quelque tem
ont très vives, parfois elles durent quelque temps (par exemple les contractions des muscles frontaux). Ces mouvements involon-
s, il n'atteint pas son but. Je lui demande de siffler, il fait une contraction passagère de l'orbiculaire, mais les lèvres ne
e l'index, qui à son tour est mis en flexion et en adduction par la contraction intermittente du muscle interosseux externe. Le
resque continue, surtout dans les articulations proximales. Par des contractions irrégulières des muscles in- terosseux, les pha
lenteur. De temps en temps, par une secousse vive, entrecoupant les contractions des fléchisseurs, la main exécute un mouvement de
donner,des positions excessives aux doigts et à la main, malgré lès contractions continuelles des muscles. Les mouvements passifs
rs du bras, nous remarquons que chaque nouvel effort se heurte à la contraction de ces muscles. Le même phénomène est constaté qu
quand^le malade veut mettre le bras en extension : c'est encore la contraction des anta- - gônistes qui empêche le mouvement p
i opposent les flé- ''cbisseurs insuffisamment relâchés et dont la' contraction fait rebondir le ' membre. Au moment où les ava
s remarquons des mouvements associés de l'épaule, des grimaces, des contractions de la musculature de l'autre bras. Les mouvemen
e relâche- ment des antagonistes est irrégulier, entrecoupé par des contractions . Après avoir exécuté deux ou trois fois ces mou
ement intentionnel est exécuté bilatéralement; pendant l'effort les contractions choréo-athétosiques sont arrêtées. Extrémités i
pos il y a - une certaine agitation musculaire. Nous remarquons des contractions invo- lontaires des adducteurs, du muscle exlen
as exagérés. Les réflexes plantaires ont le type normal. Malgré les contractions sponta- nées du muscle extensor hallucis, les e
ouvement de flexion, souvent le membre est fixé en extension par la contraction spasmodique des antagonistes. Après un temps pe
un temps pendant lequel les muscles intéressés sont tour à tour en contraction et en relâchement, le mouvement demandé est exé
e d'inner- .vation musculaire, les extenseurs du pied sont en forte contraction . Pour mettre le talon sur le genou de l'autre m
des jambes se heurte à des difficultés énormes. Au commencement, la contraction des fléchisseurs accentue la position, qui, pré
En palpant les tendons des fléchisseurs, nous avons la sensation de contractions et de relâchements alternatifs. Quand, à la fin
tre malade au début du mouvement actif par la force mécanique de la contraction dos antago- nistes ? Celle explication ne peut
e; par elle non seulement l'action des m. agissants est arrêtée, la contraction involontaire des antagonistes produit également l
détacher sur notre ordre la jambe du plan du lit. On remarquait les contractions forcées de plusieurs grou- pes de muscles : les
n du visage qui attire notre attention. Les muscles faciaux sont en contraction presque perma- nente, la bouche est enlr'ouvert
ées ; la musculature des extrémités est en légère agitation par des contractions cloniques plus du moins fortes. Aux membres infér
inférieurs c'est le muscle extensor hallucis longus 'qui montre les contractions les plus prolongées. La présence de ces phéno
are ses im- pressions à celles d'une femme enceinte qui perçoit les contractions de sa matrice et les mouvements de l'enfant. A
soulève les parois du ventre, ballon- nement dur, mat ou sonore, en contraction tétanique, très sensible au toucher et qui le p
uloureuse. D'autres fois le lavement est gardé, comme happé par une contraction anormale, accompagnée d'une recrudescence des s
ement la tête vers la gauche, dirige le regard à gau- che, et a des contractions des muscles gauches du visage et des membres ga
taques présentent tous les caractères de l'épilepsie, seulement les contractions commencent quel- quefois dans la main droite (c
r des troubles du métabolisme, mais aussi, pour une partie, par les contractions musculaires et que, par conséquent, l'intoxicat
19 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
rés. En dehors des repas il se produit parfois des nausées, dues à la contraction spasmodique du diaphragme, de l'estomac et de l'œ
as. Notre appareil a enregistré les modifications survenues dans la contraction musculaire pendant les mouvements convulsifs du b
appliqué le tambour explorateur sont alternativement dans un état de contraction et de relâchement relatif. Enfin, on peut remar
es font saillir les sterno-mastoïdiens. Toute la face est agitée de contractions qui se succèdent rapide-ment, et l'écume coule en
eux grands ouverts se convulsent. Strabisme en dedans de l'œil droit, contraction pupillaire ; la bouche est démesurément ouverte e
mouvement analogue, se fléchissent et s'étendent avec lenteur dans la contraction de tous leurs muscles. b) Immobilité tonique (p
fin, comme je l'ai déjà dit, la résolution est souvent incomplète, la contraction musculaire persistant d'une façon générale, ou su
ons qui suivent les mouvements de la cage thoracique et sont dus à la contraction spasmodique du diaphragme. D'abord lents, ces bru
n (fig. 84), mais ils ne restent pas dans une im-mobilité absolue. La contraction semble varier à tout instant, aug-mentant ou se r
nregis-treur, que le muscle demeure peu de temps dans Te même état de contraction . Tantôt la contracture s'exagère successivement s
tiente. Fig. 85. Quatrième période. Contractures généralisées. La contraction des muscles abdominaux est telle que la com-press
rants électriques sont sans effet sur ces contractures. Cet état de contraction musculaire sfénéralisée donne à la ma-lade des at
varie sinon dans son en-semble, au moins partiellement, vu l'état de contraction instable du muscle; nous sommes en présence d'une
, qui présente les caractères de l'épilepsie, avec prédominance des contractions toniques, dure quelques minutes. Puis les bras
sion, elle paraît dormir. —• On voit encore de temps à autre quelques contractions dans les membres; puis bientôt l'attaque recommen
de ce que cette enfant nous a présenté dans les trois mois suivants : contractions toniques et cloniques (première période?), crises
t comme accident initial, tantôt — et le plus souvent — de vio-lentes contractions utérines, suivies bientôt d'une douleur intense d
u. Il ne restait plus, comme au début de la maladie, que de violentes contractions utérines, déterminant encore des malaises, mais n
le (mai 1877) : L'articulation coxo-fémorale gauche est le siège de contractions muscu-laires douloureuses; la douleur siège au ni
nt; la face reste légèrement congestionnée, elle est animée de brèves contractions , de légères secousses se succédant pour ainsi dir
ion, sentiment de strangulation ; puis, chute, perte de connaissance, contraction tétanique des muscles des membres, de la tête qui
he; le pouls est insensible. Après quelques minutes de cet état, la contraction tétanique cesse, l'agi-tation devient plus grande
chez nos malades est frappante. La période épileptoïde existe avec la contraction tétanique de la phase tonique et les tremblements
tout à coup et resta sans mouvements et sans parole. Il y eut ensuite contraction vive des muscles masséler, grincement de dents, r
multueusement, le pouls était plus fréquent, petit et irrégulier. Les contractions musculaires étaient si fortes, qu'à peine trois o
ériode épileptoïde est suffisamment indiquée par le début brusque, la contraction vive du muscle masséter, le grincement de dents,
tractures. 16 avril. — La contracture de la face a fait place à des contractions cho-réiformes qui occasionnent des grimaces conti
mai. — La malade a eu du délire plusieurs fois; ce matin ce sont des contractions de la face. Elle prend de la belladone depuis qui
ent : contractures partielles, paralysies partielles avec anesthésie, contractions choréiformes, hallucinations variées et passagère
us les membres sont pris d'un trem-blement général,alors arrivent les contractions cloniques; la malade s'êgra-tigne la figure, se t
ortement rentrés, et le corps tout entier ne tarde pas à être pris de contractions toniques; par moments, la tête seule et les talon
on- 1. Raillif, loc. cit., p. 30. sidérablement distendu, que les contractions toniques ou cloniques sont le plus violentes. Ne
drons dans un instant. Cet état, avec une alternative de coma et de contractions cloniques et toniques, dure en moyenne trois heur
reprend lentement connaissance. Sa sensibilité revient peu à peu, ses contractions disparaissent, mais lentement. Ni les pleurs, ni
ode. « Peu de temps après l'apparition du globe hystérique et de la contraction spasmodique des muscles du pharynx, la malade pou
ns cette région. Là aussi, l'on sent et l'on voit un mouvement et une contraction ondulatoire irrégulière. De là le spasme, sans ab
et il se contracte, se plie et se con-tourne dans tous les sens. Les contractions de la poitrine viennent ajouter à la gêne de la r
sensation d'un cercle qui en serrerait la base. Il en est de même des contractions de l'abdo-men, qui resserrent cette capacité très
s clorso-lombaires n'est pas moins vio-lemment agitée. Elle opère ces contractions partielles et ces torsions brus-ques qui fléchiss
fermé, et quelquefois dans un étal d'extase ou de somnambulisme. Les contractions recommencent bientôt avec la même fureur. Quelque
on seulement dans son intensité, mais dans ses phénomènes. Tantôt les contractions alternatives} se succèdent avec rapidité et produ
dent avec rapidité et produisent des mouvements continuels. Tantôt la contraction d'un certain nombre de muscles reste permanente p
e ces expressions passionnées, auxquelles coopèrent non seulement les contractions des muscles du visage, mais celles des membres et
ssemble beaucoup au vertige épileptique qui s'ac-compagne de quelques contractions musculaires rapides et locali-sées à certains gro
e chute, mais certains malades tombent presque toujours... » ... La contraction musculaire subite,généralisée ou partielle, avec
tourne, la pointe en haut, l^a parole est coupée net. Puis quelques contractions apparaissent dans la face et les membres du côté
ment la main droite est animée de petits frémissements, et de légères contractions se montrent dans la face, surtout du côté droit.
rienne, qui est permanente et double, tout en étant plus Fie. 88. — Contractions partielles de la face dans le vertige épileptoïde
dirigée un peu en haut et à droite. Les traits grimacent, de petites contractions parcourent la face, elles sont plus fréquentes et
t tournée complètement à gauche. La face, cyanosée, est le siège de contractions intenses, les paupières battent, les yeux, convul
chaient subitement, les fesses retombaient avec force sur le lit. Ces contractions se répétèrent avec ra-pidité et sans interruption
ingt minnles et môme davantage. A la fin, aussi, on ob-sérveles mêmes contractions de la face, les mêmes modifications de la phy-sio
ué, analogue à celui qu'on remarque dans les muscles fatigués par des contractions pro-longées. Nous mettons sous le nez de la malad
oit en pressant, soit en frottant, même légèrement, pour provoquer sa contraction , à la façon de ce qui a lieu quand on pratique l'
ilement en contracture permanente; l'excitation d'un nerf provoque la contraction des muscles qu'il innerve. Ainsi, il suffît d'une
du lobule de l'oreille, au point où émerge le facial, pour amener la contraction des muscles du même côté de la face; chaque muscl
a face et ceux des membres. A la face, on provoque très facilement la contraction des muscles, mais difficilement la contracture. I
A la face, l'excitation mécanique des muscles ou des nerfs amène une contraction ; aux membres, l'excitation mécanique des muscles
un tronc nerveux fait contracter tous les muscles qu'il innerve. La contraction du muscle peut être provoquée par l'excitation mé
cette différence toutefois, qu'aux membres la contracture remplace la contraction . Dans ce dernier état, les muscles et les nerfs s
que d'un nerf mixte pro-voque dans tous les muscles qu'il innerve une contraction difficile à analyser, parce qu'elle ne peut être
me je l'ai déjà dit, l'excitation mécanique ne donne lieu ici qu'à la contraction . Si l'excitation a été profonde et prolongée, la
qu'à la contraction. Si l'excitation a été profonde et prolongée, la contraction pro-duite se maintient quelques instants, mais el
rtir de la parotide peuvent être excités sépa-rément et produisent la contraction des muscles soit de l'œil, soit du nez, soit de l
uscle en état de contracture per-manente et n'a jamais produit qu'une contraction . Cette expérience a été répétée depuis avec suc
s ici. Il est impossible de provoquer par une excitation mécanique la contraction ou la contracture permanente du muscle. La fricti
dant, le muscle conserve la propriété de proportionner le degré de sa contraction à l'effort qu'il doit vaincre. Ainsi le bras éten
Nous lui prîmes alors les deux mains et fîmes de violents efforts de contraction des muscles de l'épaule et du bras, tout en lui p
et du nerf facial au sortir du trou stylo-mastoïdien, on provoque une contraction de tous les muscles de la face du même côté : le
x épaules une zone d'hyperesthésie, dont l'at-touchement provoque une contraction douloureuse du visage, des plaintes et des tressa
mais il semble, en outre, que l'excitation se propage, et souvent la contraction se pro-duit en même temps dans les muscles voisin
Quand la malade revenait à elle et recou-vrait son intelligence, les contractions musculaires persistaient encore pen-dant quelque
le; enfin, en touchant légèrement les paupières, on faisait cesser la contraction des muscles orbiculaires, et la malade,jusque-là
relâcher les muscles orbiculaires des paupières sans faire cesser les contractions des autres muscles. En un mot, il restituait à la
on très pénible, les muscles de l'épaule et du bras, par une suite de contractions tétaniques tellement violentes qu'on les voyait s
iciellement imposée : la passivité musculaire était remplacée par des contractions tétaniques, par une véritable contracture qui dur
alepsie, et néanmoins quelle opposition dans les symptômes! D'un côté contraction violente et soutenue des muscles : de l'autre, le
toujours suivi d'une tuméfaction des parties atteintes et comme d'une contraction localisée. Les piqûres, brûlures et autres excita
et épaisse s'échappe des commissures labiales. 9 h. 20. — Quelques contractions des muscles de la face et des membres apparaissen
contractions des muscles de la face et des membres apparaissent. Ces contractions vont toujours en augmentant. 9 h. 30. — La mala
'un électro-aimant. Si, d'une seule main, on tient un de ses bras, la contraction est moitié moindre que si on le tient des deux ma
ndre que si on le tient des deux mains. Le contact se prolongeant, la contraction cesse d'avoir lieu et se trouve remplacée par des
uillé. Une heure après, subitement elle a jeté un cri, puis il y a eu contraction de tous les muscles extenseurs; les yeux étaient
he qu'elle était. Mes yeux étaient toujours fermés par une sorte de contraction nerveuse ; ils me cuisaient beaucoup; j'en cherch
muscles antérieurs de l'avant-bras occasionnent dans les muscles une contraction réflexe exagérée. Dans les cas d'hémiparésie cett
es des hémiparésies avec contracture latente, l'étude graphique de la contraction muscu-laire permet de constater que, du côté sain
n et promenées sur la peau de la région, produit dans les muscles une contraction qui se traduit par un mouvement des doigts et qui
M. Charcot. Nous avons vu alors l'excitation vibra-toire produire une contraction manifeste dans les muscles au niveau desquels ell
ompliquée d'une action convulsive des muscles du bras ou encore d'une contraction continue des muscles fléchisseurs ou de la partie
a) La percussion du tendon rotulien, qui provoque ordinairement une contraction réflexe passagère dans les muscles du membre, amè
ent subitement de cette immobiïité momen-tanée, elimprimaient à leurs contractions musculaires un degré d'énergie tel que les assist
oyait que le blanc, les muscles oblique et releveur des yeux étant en contraction : le corps s'est agité avec violence, se pliant e
ables : l'un phy-sique, et consistant en une attaque spasmodique, des contractions involon- 1. Johu Chaptiian, loc. cit., p. 33.
coulent de grosses larmes qui descendent lentement sur ses joues. Des contractions ner-veuses entr'ouvrent insensiblement sa bouche
ronc n'offrent pas de tension anormale; ils ne sont le siège d'aucune contraction spas-modique; comme nous l'avons déjà dit, Louise
20 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
aire. Or les chirurgiens considèrent les fractures de la rotule par contraction musculaire comme exceptionnelles la rotule normal
à gauche en haut et en bas assez vigoureusement. L'élévation et la contraction des muscles frontaux et sourcil- liers se fait
ns. Il n'existe aucune atrophie de la langue (V. PI. XII, 3), ni de contractions fibrillaires, ni de scialorrée.Tous les muscles s
'hy- potonie dans le domaine des muscles atrophiés. Il existe des contractions fibrillaires dans les- muscles de la ceinture sca
la malade, l'absence de tout caractère héréditaire et familial, les contractions fibrillaires, les données de l'examen électri-
es contractures continues, douloureuses ou indolentes, soit par des contractions cloniques ou des tremblements, soit par une par
ampe au contraire désigne, d'après le Dictionnaire Dechambre, « une contraction douloureuse, involontaire et passagère de certa
Or le spasme (de anâu, je con- 68 MACÉ DE LÉPINAY tracte) est une contraction involontaire des muscles, notamment de ceux qui
e détesta- ble, lorsque peu à peu il remarqua qu'il écrivait « avec contraction », ployant et crispant le pouce et l'index. Lor
. M... chercha d'abord,en chan- geant de porte-plumes, à éviter les contractions des doigts mais les troubles augmentèrent encor
joueurs de tambour, avec troubles de la sensibilité, par suite delà contraction répétée et exagérée de ces mus- cles dans la mi
ctionnel déterminé, et se traduisant par l'incapacité de régler les contractions synergiques néces- saires à la bonne exécution
ndant la parole attentive, produisant des grimaces, alors qu'aucune contraction ne survenait lorsque le malade mangeait, souffl
qu'à droite où par le renversement de la tête en arrière et par la contraction du muscle frontal la paupière supérieure se rel
plus étroit. La tête est un peu tournée et penchée à gauche par la contraction des muscles du cou de ce côté. Les membres su
r la région de l'apophyse coracoïde il se produit un mou- vement de contraction du membre entier. Du côté du visage les réflexes
poir. Il ne faut pas songer à l'arrêter, il y a comme un arriéré de contractions faciales et de manifestations lacrymales qu'il
que l'on éprouve une forte émotion. En même temps se produisent des contractions musculaires dans toute la face et le cou; elles
ront se plisse, les joues se creusent,les lèvres se resserrent, les contractions spasmodiques sont plus mar- quées du côté gauch
veur dont les sterno-cléido-mastoïdiens se contracturent pendant la contraction instinctive des muscles qui main- tiennent la t
aux photographies ci- jointes, que le malade montre par moment des contractions de l'hémi-face gauche, du cou et de la partie s
s étant prononcés nettement et sans fatigue. On assiste alors à une contraction d'abord faciale, puis cer- vicale, puis de tout
ette obser- vation. On peut notamment voir sur nos photographies la contraction dé- formante par incurvation du nez (Pli. n° 2)
la contraction dé- formante par incurvation du nez (Pli. n° 2), la contraction parcellaire du peaucier, la contraction contrad
tion du nez (Pli. n° 2), la contraction parcellaire du peaucier, la contraction contradictoire du peaucier et des lèvres (Ph. n°
digitale. Les muscles sont tous très développés et saillants ; leur contraction est très énergique ; la mobilité des extrémités
essentir un léger tremblement en écrivant, puis survinrent quelques contractions dans les doigts, notamment le pouce ; enfin se co
ain gauche ; le malade se rend d'ailleurs très bien compte de cette contraction involontaire. La coexistence de mouvements asso
oduction de l'acte coutumier, vice par excès ou par défaut dans les contractions musculai- res ; hyper ou hypokinésie, comme dan
te affection « consiste dans l'impossibilité d'écrire, par suite de contraction particulière des muscles fléchisseurs, ou plus ra
tantôt une flexion soudaine, avec opposition, du pouce, parfois une contraction de l'extenseur propre du pouce. Dans cerlains c
de la crampe des écrivains ; mais celte forme surtout isolée, sans contractions spasmodiques, est tout à fait ex- ceptionnelle.
rbations aussi nombreuses que variées que subit ré- criture par ces contractions intempestives. Selon Burckhardt, trois groupes
rire fait intervenir simultanément les deux mains, et nécessite des contractions musculaires fort différentes de celles qu'emplo
troubles moteurs de la crampe des écri- vains ; ce sont tantôt des contractions toniques ou cloniques, tantôt des phénomènes pa
par exemple un violoniste de 33 ans, neurasthénique, qui avait une contraction des doigts de la main gauche dès qu'il voulait
r une plaque de métal, éprouvait dans le bras tenant le marteau une contraction douloureuse du deltoïde et du biceps ; ce spasme
teil, et les exten- : seurs du pied et du gros orteil subissent une contraction exagérée; la répétition incessante de cet exerc
rgenterie qui mettait une pédale en mouvement.Stürtz (142) a vu une contraction des muscles postérieurs de la cuisse chez un tann
a observé en 1855 a un malade dont la tête tournait à droite par la contraction des muscles rotateurs, lorsqu'il lisait, jusqu'à
s que ce sujet devait crier les chiffres à haute voix, il avait une contraction de l'orbiculaire des lèvres qui l'empêchait d'o
sseur d'une petite mandarine particulière appré- ciables lors de la contraction du muscle, et tels d'ailleurs qu'on les a assez
rement de l'orbiculaire des lèvres où l'on signale de la lenteur de contraction à l'excitation faradique. Les mouvements se font
h. f. klin. chir., no- 67 s., 761. " 10. Nichols. - Dup¡¡yl1'cn's contraction . Amer. Journ. of med. Sciences, 1899. 11. Dober
urent ; ces secousses repré- sentaient la simulation hystérique des contractions fibrillaires et fascicu- laires. Selon moi, les
nt l'attention de la malade sur la possibilité de la présence des a contractions fibrillai- res ». La malade, en effet, les repr
ésie, atonie, paralysie, son groupe antagoniste est en hypertonie : contraction ou contracture : Or, le massage, surtout deux d
ureux 300 MACÉ DE LÉPINAY étaient les premiers à disparaître; les contractions musculaires étaient plus rebelles au traitement
e diduction et de mâchon- nement. Puis, surviennent par moments des contractions musculaires ininter- rompues, du côté gauche, a
pas ' TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 343 sous l'influence d'une contraction ; elle reste flasque et immobile. Aucune parole
e grand oblique ne se contracte que très peu à droite ; à gauche la contraction de ce muscle est plus prononcée, mais beaucoup
petits obliques) sont assez flasques quand elle essaie de faire la contraction des muscles abdominaux ; ce manque de contraction
ssaie de faire la contraction des muscles abdominaux ; ce manque de contraction des petits obliques est plus prononcé à droite
e avec le courant induit. Au grand oblique gauche nous obtenons des contractions assez vives, mais à droite nous avons seulement
ssez vives, mais à droite nous avons seulement de petites traces de contractions . Aux parties inférieures des grands droits nous
ractions. Aux parties inférieures des grands droits nous voyons des contractions à peu près normales à gauche, mais à droite seu
tractions à peu près normales à gauche, mais à droite seulement des contractions presque insensibles. Dans la région des petits
au-dessus du ligament de Pourpart, nous n'obte- nons que de faibles contractions . Dans les régions latérales du tronc entre la c
tronc entre la crête iliaque et le bord du thorax, nous voyons des contractions très vives (ici on voit également de vives cont
voyons des contractions très vives (ici on voit également de vives contractions de la musculature sous l'influence de la volont
le la peau s'y meut. on serait tenté de conclure qu'il s'agit d'une contraction du transverse de l'abdomen, mais nous ne croyon
, mais nous ne croyons pas qu'on puisse éliminer avec certitude une contraction de la partie correspondante du grand oblique (et
éveloppée pour les extrémités des membres. On ne peut sentir aucune contraction des muscles abdominaux, quand il lève la tête.
différence bien nette. Il est toujours impossible d'observer aucune contraction des muscles abdominaux Les réflexes abdominaux
eures des grands droits et aux grands obliques de petites traces de contraction qui cependant nous semblent certaines. Aux autr
s. Aux autres parties des muscles abdominaux nous n'avons vu aucune contraction . Observation XII. F. J..., fils d'un paysan, 18
les abdominaux sont tout à fait flasques ; on ne peut sentir aucune contraction , quand la malade essaie de lever la tête et les
inimes dans les membres inférieurs. On ne peut encore sentir aucune contraction des muscles abdominaux, quand on fait essayer à l
clinique depuis plusieurs années). La malade ne peut faire aucune contraction des muscles abdominaux. Pas de réflexes abdomin
des muscles abdominaux, la distension rythmique de l'abdomen par la contraction du diaphragme, qui caractérise la pure respiratio
exes, clonisme du pied, signe de Ba- binski et apparition de fortes contractions sous l'influence d'irritations extérieures. Dan
tre de l'état des muscles du dos) ou l'impos- sibilité de faire une contraction quelconque des muscles abdominaux, par exemple,
nt la palpation de la paroi abdominale, on ne peut constater aucune contraction tout à fait sûre des muscles abdominaux ; néanm
il était d'environ 3 centimètres. En examinant l'abdomen pendant la contraction de ses muscles, on trouve que la cause de ce dé
de ce muscle au-dessous de l'ombilic, on n'y peut sentir la moindre contraction . En effet, toute la partie de l'abdomen si- tué
tuée au-dessous du plan de l'ombilic reste tout à fait flasque sans contraction perceptible. L'asymétrie de la partie inférieur
c le courant galvanique et avec le courant in- duit, on obtient des contractions normales du grand oblique droit et des par- tie
u-dessus de l'ombilic. Au-des- sous de l'ombilic, on ne voit aucune contraction et, pour le grand oblique gauche, on ne peut ob
action et, pour le grand oblique gauche, on ne peut obtenir que des contractions rudimentaires. Il n'y a aucune autre altération
les ont été pa- ralysées. Dans notre cas, il est remarquable que la contraction des parties conservées des grands droits ait ét
ons en juger, normale, tandis que nous ne pouvions constater aucune contraction des parties inférieures de ces muscles. Dans ce
ble chez des individus maigres); il se déplace vers le haut pour la contraction des parties supérieures de ces muscles et vers
ction des parties supérieures de ces muscles et vers le bas pour la contraction des parties inférieures. Comme on le voit, cett
tres observations pouvant nous renseigner sur l'effet qu'exerce une contraction partielle des grands droits sur un déplacement
toujours identiquement par le môme mouvement, c'est-à-dire par une contraction des parties conservées des grands droits et jam
par ces muscles et qui acquiert une résistance considérable par la contraction de ces mus- cles puissants, manque ici de cet a
ste de la portion in- férieure de la colonne vertébrale provoque la contraction des muscles redres- seurs ; le même tapotement
alvanique; il n'y a cependant pas inversion delà formule normale de contraction pour le courant galvanique. A l'examen ophtalmo
légère insuffisance de l'orbiculaire des lèvres à droite ; quelques contractions fibril- laires de la langue qui est tirée droit
une parésie très développée du gauche. On ne peut constater aucune contraction des muscles abdominaux. Pas de réflexes abdomin
gme. Depuis que la paraplégie est passée à un type spasmodique, des contractions fortes et involontaires des muscles paraly- sés
on qui se fait par l'extension de l'abdomen. Cepen- dant, l'état de contraction des muscles abdominaux a une durée si courte qu
elle essaie de tousser, les muscles abdominaux passent à l'état de contraction ; mais il est très difficile de décider si ces co
la tentative faite par la malade pour tous- ser qui a provoqué ces contractions , de la même façon que des irritations extérieur
même façon que des irritations extérieures quelconques causent des contractions involontaires des mus- cles atteints par la par
sition correspond à la réalité ; néanmoins, on ne peut nier que ces contractions , même si elles sont involontaires, puissent jusqu
du coeur commençait à devenir irrégulière et que le coeur avait des contractions sans que le pouls fût appréciable, on a interro
jambes. Aux muscles interosseux des mains on ne peut obtenir aucune contraction . Etat le 27 avril. L'état du malade, s'est pend
21 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
se. par différents élèves du service, aucun n'a pu y arriver. Les contractions volontaires des muscles de la langue ne ressemb
étaient affectés de mouvements spasmodiques évidents et animés de contractions irrégulières. Il est clair que ces troubles doi
re analyse très superficielle, ce trouble étant caractérisé par des contractions anormales et involontaires se produisant au rep
dans les mouvements volontaires (type sclérose en plaques) ; ;- 3° contractions anormales dans les mouvements (type ataxie loco
ions anormales dans les mouvements (type ataxie locomotrice) ; - 4° contractions anormales au repos (type chorées). Si on adop
e déplacement, de plus, ne nécessite en rien, pour se produire, une contraction volontaire des muscles de la partie mobilisée ;
es de la partie mobilisée ; il se produit au repos ou pendant des contractions volontaires de muscles tout différents, durant la
le du Dictionnaire Encyclopédique : « La spontanéité du passage des contractions d'un groupe muscu- laire à un autre, l'inépuisa
lle ne présente aucun des traits de ce tableau caractéristique : la contraction musculaire anormale qui cons- titue le symptôme
nt limité, toujours identique à lui-même ; il n'y a nul passage des contractions d'un groupe musculaire à un autre. Au lieu de v
ndant les inter- valles, quelquefois assez longs, qui séparent deux contractions successives. Nous trouverons bien dans l'hist
sentiel : tout est normal dans l'intervalle des brusques et courtes contractions pathologiques. - Aucun contraste non plus dans
ystématisée, ce n'est pas une chorée rythmée, en ce sens que chaque contraction reste isolée, n'est pas suivie d'une série d'au
t après ce repos, quelquefois assez long, que survient une nouvelle contraction pathologique, tou- jours brusque et isolée. M.
) : * Un mouvement convulsif, habituel et conscient, résultat de la contraction involontaire d'un ou de plusieurs muscles du co
tain intervalle, et n'est pas immédiatement' suivi par une série de contractions du même ordre. En un mot, il s'agit de mouvemen
enfant, la malade a présenté des tics légers se traduisant par des contractions brusques et répétées se produisant au niveau de
lsion tonique ; dans les sphincters oculaires et buccaux, c'est une contraction très énergique; après le rire, la bouche reste
antéro-latéral ascendant. P. KERAVAL.. XIII. Examen graphique DE la contraction musculaire CONVULSIVE dans la réaction dégénéra
hamp le courant, on ferme de nouveau et l'on voit s'il survient une contraction . Si, contre toute attente, une contraction se p
n voit s'il survient une contraction. Si, contre toute attente, une contraction se produit, on recherche si, en diminuant encore
i, en diminuant encore la force du courant, on obtiendra encore une contraction . Si, au contraire, il ne s'en produit pas, on a
de 0,25, 0,50 ; 1 milliampère, et l'on recherche ainsi crescendo la contraction obte- nue avec la moindre force électromotrice.
ez l'adulte, aux endroits correspondants, produisent d'assez fortes contractions , sont sans action chez cet enfant; de très fort
ion chez cet enfant; de très forts courants ne pro- voquent que des contractions relativement faibles. Il en est de même chez le
s continus. L'électricité, galvanique ou fara- dique, détermine des contractions fort lentes à se produire et à disparaître et,
himiques, mécaniques, des excitants vaso-moteurs et trophiques, des contractions musculaires, le mouvement du pouls, l'entrée en
s muscles de la région antéro-externe de la Jambe ne produit aucune contraction . Les muscles du mollet réa- gissent encore, quo
qu'on lui rompit la colonne vertébrale. Ces tractions ainsi que les contractions utérines s'accompagnaient de vives douleurs dan
antérieure de la jambe droite. L'électrisation ne provoque aucune contraction des muscles jam- bier antérieur, extenseurs com
ensité augmente par instants.- Secousses fibrillaires fréquentes et contraction isolée de quelques faisceaux musculaires. - Sen
mble de la tête, il existe des mouvements partiels provoqués par la contraction de certains muscles, en particulier un mouvemen
oscillatoire, indépendant, du cuir chevelu et des sourcils, dû à la contraction régulièrement intermittente des muscles frontau
t non pas au repos vrai, mais dans un état de tonus provoqué par la contraction égale et simultanée des muscles antagonistes. V
atténue dans de notables proportions. Il ne reste plus alors que la contraction rythmique du frontal avec mouvement oscillatoir
i, fait donc défaut, apparaît au contraire dès qu'il se produit une contraction musculaire, et cela, que la contraction muscula
re dès qu'il se produit une contraction musculaire, et cela, que la contraction musculaire soit accom- pagnée de déplacement co
u tremblement se trouvant en résolution parfaite; 2" Au cours de la contraction musculaire avec déplacements; 3° Dans l'état de
s de la contraction musculaire avec déplacements; 3° Dans l'état de contraction musculaire sans déplacement, autrement dit dura
e. Le tremblement au repos, et seulement au repos, cessant par la contraction musculaire, caractérise la paralysie agitante.
e la paralysie agitante. Le tremblement qui se manifeste pendant la contraction musculaire avec déplacement, qui ne se produit
oduit qu'alors et s'exagère proportionnellement à l'intensité de la contraction , imprime à la sclérose en plaques son cachet sp
ques son cachet spécial. - Enfin, le tremblement provoqué par toute contraction musculaire accompagnée ou non de déplacement na
ire accompagnée ou non de déplacement naissant du même fait de la contraction musculaire et ne s'exagérant en aucune façon pa
a jambe ont trouvé un point d'appui qui leur permet de cesser toute contraction . Une émotion, une attention soutenue, augmenten
U mouvement DE la PUPILLE; par SALGO. (Centr. f. Nervenh., 1886.) Contraction inégale du muscle irien prenant ainsi les formes
genou ni de la jambe. Ces mouvements coïncident exactement avec la contraction des muscles abdominaux et l'expulsion du couran
la ligne myographique est plus rapide que celle qui appartient à la contraction consécutive à une excitation cutanée, car la co
tient à la contraction consécutive à une excitation cutanée, car la contraction est résolument localisée à un muscle, car les 1
dé- termine de véritables réflexes, mais la période latente de la contraction est alors plus lente que celle du réflexe tendine
888.) La blépharoptose siégeant à gauche sans autre anomalie, les contractions des masticateurs s'accompagnent d'une élévation d
xcitations cutanées pour voir par son intermédiaire se produire des contractions dela vessie. P,IÜJtAVAL. XXXV. LES altération
obtenir ainsi, il est vrai, ure déviation faciale due, soit aune contraction musculaire, soit à une contracture, un spasme g
us brillante cependant ne produisait pas d'autre phé- nomène que la contraction de la pupille. - Les animaux excités à marcher
trent aucun signe qu'ils sont influencés par la lumière, excepté la contraction ou la dilatation de la pupille. Il pense que c'
t le premier point mentionné. Nous avons obtenu assez souvent des contractions des muscles du dos, de la queue et de l'abdomen e
pu déterminer un point circonscrit dont l'excitation produise lenr contraction séparée. Nous avons trouvé que toute la convexité
est dans la perte de temps entre l'application de l'excitant et la contraction musculaire qui est plus-grande pour l'écorce. C
mées). Quel temps demande cette interrup- tion directe vraie, d'une contraction sous l'influence de la volonté ? En étudiant co
masséter et celui que demande l'interrup- tion volontaire de cette contraction , l'auteur trouve des chiffres à peu près égaux,
22 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
lvanique, équivalence ou inversion polaire et un peu de lenteur des contractions . Dans les deltoïdes on ne constate NOUVELLE Ico
IRE RADICULAIRE INFERIEUR DU PLEXUS BRACHIAL (Ceslan et Huet). M, Contraction du grand pectoral atrophié dins sa partie inférie
n en tous sens et avec force. Le deltoïde n'est que peu amaigri, la contraction volontaire et l'ac- tion de ses trois parties s
ypothénar, et les interosseux ; on peut obtenir encore de fai- bles contractions , avec de forts courants, et surtout en employant
pouce. Avec les courants galvaniques on obtient plus facilement des contractions entre 2 1 ? et 5 ou 6 milliampères, non seulement
et le court fléchisseur du pouce, l'abducteur du petit doigt ; les contractions obtenues sont très faibles en amplitude; elles so
C = < PFC. Dans les trois parties du triceps on n'obtient pas de contractions manifestes, même avec 8 et 10 milliampères. A
lité galvanique est également diminuée,avec NFC > PFC, mais avec contractions assez vives; la DR, si elle y existe encore, n'
uscles dont le volume est des plus réduits, comme le del- toïde, la contraction minimale se produit aux intensités normales. Ce
ourants galvaniques l'inversion polaire et la lenteur manifeste des contractions . MM. Babinski ,et Pierre Marie après avoir exam
Si on commande le mouvement de la position assise on ne voitaucune contraction des muscles grands droits et obliques de l'abdo
cteurs) sont arrivés à un degré très avancé d'atrophie; les faibles contractions musculaires qu'ils peu- vent encore donner sont
nt gardé une consistance normale. Fait important, on ne voit pas de contractions fibril- laires. L'examen électrique montre :
l'excitabilité minimale et même au point de vue de l'amplitude des contractions . Bien, que chez ce malade, l'affection soit plus
meaux (mais dans ceux-ci surtout au point de vue de l'amplitude des contractions ) n (huez. 46 CESRAN ET LEJONNE UNE MYOPATHI
l'excitabilité minimale et même au point de vue de l'amplitude des contractions » (Muet) : 1 - Mais l'histoire clinique de ce
u pied. En examinant la malade, on surprend de temps en temps des contractions fibrillaires. L'examen électrique des muscles
gluti- tion ne sont pas troublées. Pas de crises convulsives,pas de contractions fibril- )aires. Nerfs crâniens. En ouvrant le
ation est accompagnée d'un craquement articulaire des mâchoires. La contraction vo- lontaire des masseters est faible. La langu
uadriceps gauche. Ici le moindre choc avec le marteau détermine une contraction idiomusculaire ; mais une irritation mécanique
muscles orga- nisés. Le choc du tronc du nerf facial produit une contraction accentuée des mus- cles de la moitié correspond
t des noyaux des neurones moteurs périphériques : on a découvert la contraction fibrillaire, la réaction de dégénérescence, l'aff
ment disparu. Avec les courants faradiques notamment,on obtient des contractions dans les divers fais- ceaux costaux sur les cin
s dangers d'irritation in- tempestive et de compression. Dans cette contraction continue des segments viscéraux si riches en ne
s devenus dangereux, au sein des mille mouvements articulaires, des contractions puissantes et souvent brusques de muscles tassés
sation par laquelle nous acquérons l'idée précise de la quantité de contraction de chaque masse musculaire, de chaque muscle et
e est affecté à la connaissance, à l'idée précise de la quantité de contractions de chaque masse, de chaque faisceau musculaire, p
e de nos membres, c'est deux. Que le sens musculaire nous révèle la contraction de nos muscles, ou même l'attitude de nos muscl
'est pas allé à la selle. Il n'y a aucun trouble respiratoire ; les contractions du coeur sont très éner- giques, mais il n'y a
ME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 387 Un peu plus tard, apparaissent des contractions spasmodiques de la hanche, dont les secousses s
s, la crampe des écrivains, le torti- colis spasmodique, toutes ces contractions toniques ou cloniques qui se manifestent seulem
ents involontaires de la face ; Les troubles de la parole ; . Les contractions fibrillaires ; ... De très légers troubles de l
de repos. A 20 ans, survient une boiterie gauche, provoquée par une contraction exa- gérée de la jambe sur la cuisse. Nouvell
étrie (Fig. 3). Torticolis. - Le torticolis est le résultat de la contraction combinée du splénius et du tra- pèze droit, d'u
et l'a- taxie statique. On observe, dans les muscles au repos, des contractions fascicu- laires,que nous retrouverons, d'ailleu
i l'on dit au malade de lever le bras, et de le tenir immobile, ces contractions s'exagè- rent, sous forme d'ondulations assez l
evée, et la tête, portée à droite et en arrière, est agitée par des contractions lentes et soutenues. Démarche. La démarche est
des plus bizarres et difficile à décrire, c'est un déclanchement de contractions variées de la tête, du tronc et des membres, que
e marche du bassin. A chaque pas, le tronc se jette en arrière, des contractions spasmodiques des muscles du dos viennent, par ins
l'excitabilité mécanique, à propos de l'explora- tion électrique. Contractions fibrillaires ou fasciculaires. -Quand le malade e
te sur tout le corps, avec prédominance dans certaines régions, des contractions plutôt fasciculaires que fibrillaires. Ce sont
ablement calée, on ne constate en fait de mouvements, et à part les contractions fascicu- laires déjà signalées, que quelques lé
onciation des lettres V et F, la lèvre est abaissée à droite par la contraction du carré du menton. Langue. - Quand on fait tir
langue, elle apparaît déviée à droite et animée de quelques légères contractions . Voile du palais. Il est attiré en bas vers la
soutenues. Elle est modifiée, d'une façon toute spéciale, par cette contraction du carré du menton, lors de la prononciation de
ineux sont abolis, on ob- tient, par la percussion des muscles, une contraction assez énergique pour ame- ner un déplacement du
eurs, éminences thénar et hypothénar, interos- seux présentent leur contraction minima entre 2 et 5 MA. Quand on explore la mai
lore la main, on voit apparaître, par propagation du courant, ` des contractions dans le triceps avec 3 pila. au négatif, alors qu
nce thénar ne se contractent pas encore. Avec le positif, ces mêmes contractions apparaissent dans le long supinateur à 2 1/2 MA
ons multiplié l'examen à ce point de vue, les deux pôles donnent la contraction minima avec une même force de courant CFP = CFN
de la tête. Le repos n'est souvent qu'apparent, et il subsiste une contraction , en quelque sorte latente, qui contrarie la pro
ion trop énergique vient vous avertir que le but est dépassé. Cette contraction latente, ou cette hypertonicité, doit exister aus
la preuve. Si nous prenons encore le deltoïde, qui participe à ces contractions fasciculaires généralisées que nous avons décri
s à intervalles égaux, nous verrons, par instant, l'amplitude de la contraction diminuer, puis disparaître complètement pendant
un certain temps, pour reparaître ensuite. Cette disparition de la contraction , toutes les conditions de l'expérience restant
t des intermittences rares, ou constate, comme à l'état normal, des contractions isolées, mais avec des intermittences fréquentes,
n effort ou d'une émotion. Il se produit aussi, quand il parle, des contractions du carré du- menton qui troublent l'articulatio
roublent l'articulation des lettres V. F. Nous retrouvons les mêmes contractions de la face dans le Friedreich et l'hérédo-ataxi
ich et l'hérédo-ataxie : « On constate assez souvent l'existence de contractions exagérées des muscles de la face dans les mouve
ue tous les autres modes de sensibilité sont conservés (1). » . Les contractions fibrillaires, ou mieux fasciculaires, à peu près
au contraire, brusques et instantanés. z Nous retrouvons ces mêmes contractions décrites par M. Marie dans 1,'Iiéi-édo ataxie :
nt à faux et par saccades, par suite du défaut d'harmonie entre les contractions et les décontractions des antagonistes, les flé
é des deux pôles ; la téta- nisation persistante au faradique ; des contractions ondulatoires, quand un pôle est à la main, l'au
nerveux ne sont pas douloureux à la pression. Il y a, de plus, des contractions fibrillaires qui ne font pas partie du tableau cl
'adduction des cuisses paraissent être intacts. Au con- traire, les contractions des fessiers sont moins énergiques à droite qu'à
flexe du tendon rotulien droit est normal; à gauche, en outre de la contraction du triceps crural de ce côté, la percussion du
rural de ce côté, la percussion du tendon rotulien donne lieu à une contraction des adduc- teurs de la cuisse droite. Les réfle
23 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
n sans difficulté. De même encore les mouvements qui nécessitent la contraction des muscles du tronc et du cou s'exécutaient sa
ugmentée, mais à gauche, il n'y avait plus d'inversion polaire. Les contractions étaient assez vives dans le frontal, l'orbicula
laire des lèvres, les muscles du menton; dans les zygomatiques, les contractions étaient encore lentes, avecNFC ==- PFC. A dro
ontractions étaient encore lentes, avecNFC ==- PFC. A droite, les contractions étaient assez vives, avec NFC = PFC dans l'orbi
a lèvre supérieure et de l'aile du nez, les muscles du menton ; les contractions étaient encore lentes avec NFC = PFC dans le fr
n sudorale. Enfin, on voit aussi, pendant l'examen, se dessiner des contractions fibrillaires. Les mouvements d'extension du t
ers et le vaste interne. L'excitation faradique des nerfs donne des contractions plus fortes que l'ex- citation directe des musc
xemple : , Cuisse droite Cuisse gauche Vaste interne. La première contraction - il la fermeture négative apparaît à .. 7 ni.
ction - il la fermeture négative apparaît à .. 7 ni. a. à 5 m. a. Contraction à la fermeture positive à . m. a. à 7 m. a. Tét
les du malade à la cuisse, ;1 la jambe ou aux bras, on provoque une contraction tonique qui persiste plusieurs secondes et ne dis
isse sur le droit antérieur la percussion donne lieu à une série de contractions qui peuvent persister de quelques secondes à un
pes. Elle ne s'accompagne jamais, sauf de très rares exceptions, de contractions fibrillaires. C'est une atrophie simple et qu
tion de l'excitabilité électrique et pas autre chose. Le fait de la contraction tonique prolongée qui suit, soit l'excitation éle
e atrophiés sans que jamais ils aient été le siège de secousses, de contractions fibrillaires, de contracture. Le malade va ensu
ucun point des membres supérieurs et inférieurs il ne se produit de contractions fibrillaires. Pas de tremblement. Ces lésions son
d'une très grande amplitude de l'avant-bras et de la main. Pas de contractions fibrillaires des muscles dans le membre supérieur
'avant- bras droit, au-dessus du poignet, on détermine une série de contractions dans les doigts de la main correspondante ainsi
t objectivement ni subjectivement d'attribuer cette acti- vité à la contraction musculaire, si je ne l'ai appris autrement. Les i
la LE TABES LABYRINTHIQUE 163 chaîne des oculomoteurs, soit à la contraction momentanée de plusieurs muscles droits, produis
ensible est le point de départ d'un réllexe qui se tra- duit par la contraction du sphincter uréthral et l'urine ne pouvant aller
t l'urine ne pouvant aller plus loin rentre dans la vessie dont les contractions ont cessé; dès lors, que cette sensibilité de l
tte sensibilité de la muqueuse prostatique vienne à disparaître, la contraction du sphincter uréthral ne se l'ait plus et l'urine
s d'écartement des bobi- nes, taudis que, il gauche, on obtient des contractions à 135 millimètres d'écar- tement. Réactions gal
nerf dans le creux sus-claviculaire est diminuée à droite : aucune contraction apparente '1100 millimètres, tandis que il gauc
ficile à déterminer de son trajet, que ce traumatisme résulte de la contraction propre du muscle grand dentelé ou de celle des mu
elques notions de physiologie normale. ~ Duchenne a montré que la contraction électro-physiologique isolée du deltoïde suffit
l'horizontale et que « le maxi- mum d'élévation de l'humérus par la contraction isolée du deltoïde arrive à peu près à la direc
du scapulum (illalît71t, qui relève, pour le dire en passant, de la contraction isolée du muscle deltoïde. Or, à l'état physiol
nt, au niveau du tiers inférieur de l'avant-bras, par suite de leur contraction , les extenseurs étant paralysés, sans cepen- 20
pas trop défectueuse, bien qu'il prétende avoir beaucoup maigri. La contraction idio-musculaire est peu marquée. La peau est in
uvent par les petits muscles de la main droite ; 2) L'existence des contractions fibrillaires ; 3) L'existence de la réaction de
tait des douleurs lancinantes continuelles, mais pas de crampes par contractions fibrillaires. En deuxoutrois mois, l'épaule, le
s dorsales sont saillantes. Les muscles intercostaux présentent des contractions fibrillaires. Les cuisses sont amaigries, contr
ésentent des contractions fibrillaires. Les cuisses sont amaigries, contractions fibrillaires en masse et fréquentes. Partie moy
le malade se fati- gue et est pris de crampes. Du côté gauche la contraction se fait mieux et on peut sentir le durcissement
e fait mieux et on peut sentir le durcissement du biceps pendant la contraction . A gauche la supination de l'avant-bras se fait
tronc, une série d'ondulations et de frémissements musculaires. La contraction idio-musculaire se manifeste nettement dans le
laint de respirer diffici- lement. Le m1-ide se plaint parfois de contractions fibrillaires, que l'on ne constate pas actuelle
au, pas de troubles vaso-moteurs. Rien dans les muscles de la face. Contraction fibrillaire des muscles, surtout à la cuisse. S
quée dans le faisceau anté- rieur du muscle deltoïde droit dont les contractions sont moins brusques. Pas d'inversion de l'actio
s mains, ce n'est pas la forme scapulo-hu- morale de Vulpian où les contractions fibrillaires existent, où se voit la réaction d
sait d'une atrophie simple, sans réaction de dégénéres- cence, sans contractions fibrillaires. Le réflexe rotulien était notableme
. GUILLAIN ment dans les muscles de la jambe. Atrophie simple, sans contractions fibrillaires, sans réaction de dégénérescence.
ur la jambe, la cuisse, la fesse, elle est diffuse. Il n'y a pas de contractions fibrillaires, pas de réaction de dégénérescence
ution de l'amyotrophie et sa guérison possible, de par l'absence de contractions fibrillaires dans les muscles en voie d'amaigri
nservé l'excitabilité (distance moyenne des bobines = 100 mm.). Les contractions sont bonnes et égales des deux côtés, il en est
de l'éminence thénar droite (atrophie). Excitabilité galvanique. - Contractions dans les nerfs des membres supé- rieurs, un peu
ion est conservée dans tous les muscles des membres supérieurs, les contractions sont assez bonnes, il n'y a pas d'inversion polai
l'éminence thénar droite. A l'éminence hypothénar du même côté les contractions sont faibles et lentes et PFC NFC. A l'éminence
sont faibles et lentes et PFC NFC. A l'éminence thénar gauche, les contractions existent, quoi- que affaiblies et lentes, et PF
tête brusquement et irrésistiblement entraînée du côté droit. Cette contraction spasmodique ne dura qu'un instant et ne produisit
ée, il la redressait par un effort de la volonté, mais une nouvelle contraction l'attirail du côté gauche dans la position que
it le spasme du sterno-mastoïdien droit. Après un certain nombre de contractions la tête reprenait sa position normale. Mais cel
nouveau. Par un effort de la volonté le malade peut résister à une contraction . Dans cette lutte inégale où les contractions d
de peut résister à une contraction. Dans cette lutte inégale où les contractions du sterno-mastoïdien et du trapèze droits parai
une plu- sieurs secondes, puis il relève sa tête et de nouveau les contractions se reproduisent avec une violence et une rapidi
ais si le malade est distrait ou s'il parle pendant cet exercice la contraction spasmodique se reproduit. Enfin il peut complèt
etit appareil très ingénieux qui lui permet également d'arrêter les contractions spasmodi- ques. Cet appareil n'est autre chos
ce lorgnon d'un nouveau genre soit placé sur son nez, pour que les contractions de son sterno-mastoïdien et de son trapèze disp
ort de la volonté. Mais à peine est-elle redressée que de nouvelles contractions spasmodi- ques se produisent et l'entraînent ap
CAS DE TORTICOLIS MENTAL 487 comme puissance faisant équilibre à la contraction musculaire. Enfin, si le malade, en appliquant
le lorsqu'elle y a été ramenée on a à lutter contre une énergi- que contraction et tout effort l'ail dans ce but est impuissant.
réduits. Les muscles de l'avant-bras et le biceps sont le siège de contractions et fibrillaires. On note une ankylose fibreus
24 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
, car l'atrophie musculaire semble complète. A peine voit-on quelques contractions dans le droit interne à sa partie supérieure, don
difficulté de la parole, des mouvements désordonnés des mem-bres, des contractions douloureuses du diaphragme, etc. La bella-done, l
était couché sur le dos, le lit était ébranlé par la violence de ses contractions . Il fut traité d'abord par le chloroforme qu'on
on peut observer un arrêt momentané de la respiration résultant de la contraction des pectoraux (Schroff). Chez des cobayes, MM. A.
à 12 gouttesde solution. Aussitôt après l'injec-tion, après plusieurs contractions violentes, l'animal s'affaissait tout à coup. La
ici les résultats que nous avons obtenus. Aussitôt après l'injection, contractions violentes de l'animal, arrêt brusque de la circul
t le temps qui fut consacré à la fixer, s'était livrée à de violentes contractions , on ne consîatait que par places des traces d'une
qui se manifeste du côté de l'utérus : cette action se traduit par la contraction des fibres musculaires utérines. On a utilisé cet
ble en tous points au réseau vasculaire du tissu osseux. III. De la contraction musculaire, par P. Dupuï. — Après plusieurs expér
e, M. Paul Dupuy est arrivé aux conclusions suivantes, relatives à la contraction musculaire, ques-tion non encore complètement élu
la vessie, de l'utérus, etc. ; 2° la dilatation de la pupille par la contraction de son muscle radié : 5° la contraction des vaiss
latation de la pupille par la contraction de son muscle radié : 5° la contraction des vaisseaux artériels en général et de leurs br
resseur du cœur. Lapremière action détermine : 1° L'exagération des contractions de l'intestin, de l'estomac, de la vessie, de l'u
survenir, sous l'influence d'une irritation des centres nerveux, une contraction très-prononcée de ces mêmes canaux L'analogie, à
deux. S'il préexistait une insuffisance mitrale, la résultante de la contraction exagérée du cœur sera une accumulation de sang da
s le premier cas, la lésion s'étendant jusqu'à l'orifice interne, les contractions utérines se développent prématurément; dans le se
uction peut être différente ; et l'on constate très-aisé-ment que les contractions musculaires sont plus énergiques lorsque le conta
ils se confondent, et c'est pour cela qu'on n'aperçoit qu'une seule contraction . Dans les recherches plus délicates, et surtout,
recherches plus délicates, et surtout, lorsqu'on prend le tracé de la contraction musculaire, on remarque cependant dans le milieu
rès-facilement cet autre fait que je vous ai indiqué, à savoir que la contraction due au courant d'ouverture est plus forte que cel
ons nerveuses ou musculaires, on ne pouvait plus obtenir cette double contraction . C'est même là le premier caractère, et souvent l
érébrale par exemple, nous pouvons constater cette différence dans la contraction entre les muscles du côté pa-ralysé et ceux du cô
re les muscles du côté pa-ralysé et ceux du côté sain. Cette double contraction disparaît éga-lement sur les muscles fatigués, et
nutes de passage d'un courant continu, on n'obtient plus qu'une seule contraction ; et, fait qui paraîtra étange et qui recevra tout
rants continus, à l'opposé des courants induits, ne détermine-ront de contraction que par le courant de fermeture. Vous voyez éga
cés que lorsque le muscle est très-fatigué, on n'ob-tient plus aucune contraction dans les mômes conditions d'interruption du coura
De plus, par le rhythme même des excitations, on est certain que les contractions électriques que l'on observe sont bien dues à l'e
ubi une diminution si remarquable de volume, ne sont agités d'au-cune contraction fibrillaire. L'attitude de la malade a quelque ch
ne produisent rien, tandis que les courants continus y réveillent des contractions , alors que les courants induits sont impuissants.
faits, M. du Bois-Reymond a établi toute une théorie dans laquelle la contraction musculaire et le fonc-tionnement du système nerve
fection que Marion Sims définit ainsi : hyperesthésie de l'hymen avec contraction spasmodique du sphincter du vagin. C'est en s'app
eut pas être ratta-chée à la répétition non plus qu'à l'intensité des contractions mus-culaires toniques, car les convulsions peuven
iblement que les muscles sains. Les courants continus déterminent des contractions , mais avec un courant assez énergique, et ces con
minent des contractions, mais avec un courant assez énergique, et ces contractions sont plus faibles que pour des muscles homologues
ontractilité, on ne considère ni l'énergie, ni la forme normale de la contraction , mais bien le simple raccourcis-sement musculaire
lysé comme du côté sain, les courants induits déterminaient de fortes contractions , et qu'avec les courants conti-nus, il fallait po
es modifications le sang et la circulation éprouvent-elles pendant la contraction du muscle? Il faut noter d'abord « que le muscle
, l'anéantissement est complet. » D'une manière géné-rale, pendant la contraction musculaire, la combustion augmente. XVII. La te
s points de l'organisme. « Y a-t-il dans le système capillaire, des contractions et des dila-tations réflexes? » Ce qui se passe q
complet, doit compren-dre deux mécanismes, dont « l'un, produisant la contraction des capillaires, réalisera la déplétion des viscè
lade, on obtient avec une facilité étonnante ce que Remaka appelé les contractions galvano-toniques. Ce phénomène, bien difficile a
oment de l'ouver-ture du courant, tandis que dans ces cas, il y a une contraction qui subsiste pendant tout le temps que le courant
ntinu est appliqué sur les muscles ou sur les nerfs des membres. La contraction galvano-tonique est un phénomène réflexe, et ne s
t leur action : elles agissent sur Vutérus lui-même en provoquant des contractions , en augmentant leur fréquence et leur force. L'
ouchera. — Volume du fœtus, dimensions exactes du bassin, énergie des contractions utérines, voilà, dans ces cas, les trois termes i
encore égale qu'au diamètre d'une pièce de cinq francs en argent. Les contractions cependant devinrent plus rapprochées, et le trava
eux, font contracter les petits vaisseaux à tunique musculaire; 2° la contraction des petites artères fait aug-menter la pression a
urs; 4° elle paraît s'étendre môme aux vaisseaux pulmonaires, dont la contraction a pour effet de faire baisser momentanément la pr
e la choroïde, etc, par A. de Montméja, 48. Congrès de Lyon, 206. Contraction musculaire (De la), par P. Dupuy, 115. Contract
25 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
uscles sans réaction de dégénéres- cence ; néanmoins la forme de la contraction se rapproche de celle qu'on observe dans les pa
qui sont un peu anormaux dans la myopathie progressive. Ce sont les contractions fibrillai- res qui existaient dans les muscles
'état des réactions élec- tro-musculaires. Bien que l'absence des contractions fibrillaires soit un signe distinctif des amyot
rce qu'ils le croient impossible. Les autres semblent regretter les contractions musculaires violentes de l'ataxie qui étaient acc
a faradisa- tion du pneumogastrique. La fréquence et la force des contractions du coeur sont augmentées, quelle que soit la ré
fort pour le sujet. On voit dans ces trois catégories des cas où la contraction des muscles des artérioles doit céder à la haut
urant de temps en temps et peu à peu jusqu'à ce que le pouls et les contractions cardiaques se modèrent. Si la faradisation du p
la faradisation du cou parce que celle-ci augmente la violence des contractions du coeur, ce qui peut être dangereux. La faradisa
ampons, et j'augmente le courant jusqu'à l'apparition des fai- bles contractions des muscles sous-cutanés. La faradisation vaso-co
ont pas humectés suffisamment, ni le sentiment que provo- quent les contractions musculaires fortes et inattendues. Chaque sensati
due peut exciter le centre vaso-dilatateur général. Pour éviter ces contractions musculaires désagréables, il faut se garder d'e
ndis que pendant la faradisation de la région claviculaire c'est la contraction brusque du trapèze qu'il faut éviter. Je pose .
rieure ; la plupart de sa surface est ainsi libre. Pour éviter la contraction du trapèze pendant la faradisation de la ré- gi
peut aller chez les personnes qui ne sont pas irritables jusqu'aux contractions musculaires évidentes; on doit les éviter chez
e au-des- sous de la clavicule sur le muscle grand pectoral dont la contraction est rarement pénible. Ayant posé les rhéophores
e doit pas être abaissé. Le grand pectoral est alors distendu et sa contraction n'est possible que si le courant est fort ; on
vrai le malade cherche à suppléer à la paralysie du releveur par la contraction du frontal et l'élévation du sourcil correspond
ses, les saillies musculaires sont admirablement conservées; pas de contractions fibrillaires. Les seins sont saillants; les artèr
qu'il faut employer un cou- rant faradique intense pour produire la contraction des muscles de la face. Mais tous (sans excepti
s nerfs restent très excitables. Le médius et le radial donnent des contractions des muscles de l'avant-bras absolument normales.
. Auxavant- bras, la résistance augmente considérablement, mais les contractions aux faradiques sont encore normales. Aux deux
agmus vertical de l'oeil gauche, quelquefois associé à de peti- tes contractions de l'élévateur de la narine du même côté. B est a
e des extrémités. Par l'exploration électrique, on n'obtient aucuue contraction dans les muscles des membres inférieurs ; mais le
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans les conditions normales, la contraction de, ce musclé fait prendre à la paupière une po
partie inférieure qui z prend une direction horizontale. Lorsque la contraction du muscle orbi- taire inférieur est forte, les
APATHIQUE j peu important des muscles inférieurs de la face, légère contraction des muscles frontaux, rudesse dans les traits d
de tous les muscles innervés par la bran- che inférieure du facial, contraction modérée des muscles frontaux. PL XXVI-XXIX. Fig
démence disparaît, vu l'ex- pression douloureuse de la physionomie ( contraction du muscle sourcilier) et vu aussi cette express
IE DE LA SALPÊTRIÈRE. fond, assez large, comme il arrive pendant la contraction du muscle éléva- teur du menton ; cependant dan
éléva- teur du menton ; cependant dans le cas donné il n'y a aucune contraction dans ce muscle. On peut le voir aussi sur la fi
rs de la paupière supérieure (plus apparente à droite qu'à gauche), contraction énergique des muscles frontaux et des muscles s
'affaissement de la paupière est la principale cause de cette forte contraction des muscles frontaux dont le rôle est de compense
rce et de vie. C'est ainsi que l'on explique, depuis Mutchinson, la contraction considérable des muscles frontaux dans les opht
s. Et en effet, sur la figure n° 11 même, nous voyons que, s'il y a contraction des muscles frontaux dont l'action serait indis
ensable pour l'élévation de la paupière, il y a aussi simultanément contraction de leurs antagonistes les sourciliers (élévation
cles palpébraux inférieurs et de tous les muscles de la face; forte contraction spasmodique du muscle frontal, du muscle élévat
l'affaiblis- sement des muscles orbiculaires des paupières et de la contraction considé- rable des muscles frontaux. En sorte
borne pour le moment à cons- tater la différence qui existe dans la contraction du système musculaire su- périeur et du système
ssement de tous les muscles innervés par le facial inférieur, forte contraction du muscle frontal. Un examen électrique minutie
S INDICES PHYSIONOMIQUES DE LA DÉMENCE APATHIQUE 185 a provoqué une contraction compensatrice du muscle frontal plus visible du
A SALPÊTRIÈRE. Cependant, la force de ces muscles, lo degré de leur contraction peuvent t être déterminés pendant leur action.
les points intermédiaires restent intacts, peu mobiles, Pendant la contraction mimi- que, la peau qui couvre le muscle affaibl
ne, par exemple, le sourire d'un dément, on pourra constater que la contraction du grand zy- gomatique, tout en produisant un s
e d'une excitation émotionnelle, un muscle faible peut produire une contraction assez forte ; c'est vrai non seulement pour les
d'une façon passive, on éprouve une ré- sistance énergique due à la contraction des muscles de la nuque. De plus on provoque de
lexes tendineux, surtout il droite. Au coude, au poignet, violentes contractions réflexes des muscles par la moindre percussion
s les deux jambes des douleurs fulgurantes, qui s'ac- compagnent de contractions spasmodiques des muscles. Les jambes s'étendent
e de la bouche, enfin le côté droit de la face tout entier entre en contraction tonique, pendant que les muscles de la face du
z deux sillons obliquement ascendants sont l'indice de la fréquente contraction des sourciliers, les muscles de la douleur. L
26 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
I. XIII). On constate que les masses musculaires lombaires en forte contraction for- ment une saillie des deux côtés de la colo
si on trouve une raideur passagère au niveau des hanches, due à une contraction musculaire. Les réflexes tendineux et cutanés s
u moins analgétique, Ils ont cristallisé, fixé pour ainsi dire leur contraction qui esl devenue permanente de même que l'attitu
jours terminés par une secousse de direction inverse, causée par la contraction des muscles antagonistes. Hering (Zeits- chrift
lusieurs années, flaccidité mdsculaire; aux membres inférieurs, des" contractions toniques ont égal- lemenr notées, catalepsie, a
[obsei-1 vés du côté droit. La tête est renversée en arrière par la contraction spas- modique des extenseurs. La figure est pi'
élémentaires n'intéressant qu'un nombre restieint de mus- cles : la contraction de l'orbiculaire des lèvres, de la musculature fa
t placé à quelque distance. Après l'effort du malade pour faire une contraction de l'orbiculaire des lèvres, nous le suivons de
contre, d'autres groupes musculai- res sont mis en action, dont la contraction n'a pas de signification pour l'acte projeté, c
rolaté- raux. Souvent même ce sont les muscles antagonistes dont la contraction est observée. En général, ces contractions invo
cles antagonistes dont la contraction est observée. En général, ces contractions involontaires n'ont pas un ca- ractère clonique
n appréciable entre les secousses cloniques ordinaires et certaines contractions toniques qui surgissent pendant l'effort musculai
tendons, que les efforts du malade se heur- tent tout le temps à la contraction de ces muscles qui font rebondir le membre dans
enne. Parfois ce sont certains groupes de muscles qui se mettent en contraction simultanée : adducteurs du bras, fléchisseurs d
re main sur ces 'muscles, nous avons bien la sensation d'un état de contraction discontinue, tout le temps la tension est inter
la direction projetée. C'est ]a 'mémé chose quand il véut'faire une contraction de l'orbi- culaire des lèvres : il remue la mâc
e : puis, tout d'un coup le membre s'élance sans être arrêté par la contraction des antagonistes. ' ' ' Il y a un autre phénomè
parenté du premier cas au der- nier se montre non seulement par les contractions musculaires associées à caractère tonique, prov
stion : quel est le rôle de la tonicité dans l'or- ganisation de la contraction musculaire simple. C'est Sherrington (Quar- ter
auteur a pu étudie ! ! la différence entre le dévelop- pement de la contraction d'un muscle isolé, encore, en relation avec le
est en général restreinte, mais sa durée est considérable; ¡ « the contraction rises deliberately to a maximum<which is maint
scle still posses- sing afférents. », Nous pouvons conclure que la ¡ contraction d'un muscle est influencée dès son début par, l
ur musculaire. - (2) En effet, beaucoup de ces malades montrent des contractions musculaires à Caractère tonique qui nous rappel
isthotonus se combinant d'une flexion forcée des membres. Quant aux contractions toniques des extenseurs des gros orteils, qui che
ros orteils se mettent en extension pendant quelque temps, mais les contractions toniques des extenseurs ne sont pas obtenues par
vés. Dans certains cas le malade, en quittant son lit, présente une contraction tonique en extension des membres inférieurs mal
substratum anatomique de la secousse clonique, le sarcoplasme de la contraction tonique. Bremer le premier, dans ces temps dern
leur signification pour ces fonc- tions. C'est le même cas avec la contraction « spontanée » des extenseurs des gros orteils.
oncluons que ces parties exercent une influence considérable sur la contraction musculaire, en premier lieu sur l'élément toniq
éces- site un courant d'une intensité considérable pour obtenir une contraction de ce muscle suffisante à étendre la deuxième p
plication de la bande d'Esmarcla, qui fait également disparaître la contraction du premier interosseux dorsal, mais est sans ef
te est remontée et semble moins large que la gauche par suite de la contraction des muscles adducteurs et élévateurs de l'omopl
nisation. Pas de réaction de dégénérescence. La différence entre la contraction de fermeture négative et de fermeture positive es
IQUES DE LA MAIN 105 Bande d'Esmarch appliquée jusqu'à cyanose : la contraction cède com- plètement, sans douleur. En résumé,
on de la main ne se produit pas, mais on constate très nettement la contraction volontaire des antagonis. tes, c'est-à-dire que
nt de l'étendre lui-même, on éprouve un obstacle, et on constate la contraction des muscles fléchisseurs. Les mouvements d'abduct
nte. P. : 60. Le malade peut serrer légèrement la main ; on voit la contraction des mus- cles fléchisseurs de l'avant-bras. Le
e douleurs à la pression des muscles ; atrophie musculaire ; pas de contractions fasciculaires. Respiration facile. Urines r
es inférieurs difficiles du côté gauche, impossibles au côté droit. Contraction idio-musculaire. La force musculaire des membre
été appliquée la sérothérapie par le sérum antipoliomyélique. Les contractions idiomusculaires nettes ont été observées dans l'o
, puis si l'excitation périphérique était plus forte, extension des contractions propagées aux membres supérieurs. Mouvements
térieur et l'extenseur des orteils présentent une série continue de contractions et de relâchements. On ne constate pas de contr
continue de contractions et de relâchements. On ne constate pas de contractions fibrillaires proprement dites, mais volon- tier
caractères suivants : ils sont symétriques, ne présen- tent pas des contractions fibrillaires, et ils sont peu excitables au coura
minution de contractilité faradique et galvanique. Ils n'ont pas de contractions fibrillaires. Sensibilité générale normale. R
és, il intervient dans l'acte de siffler comme nous l'avons dit. Sa contraction habituelle a créé deux rides concentriques à la
ets. Dans ces conditions, l'excita- tion de la Ve paire produit des contractions dans les muscles masticateurs et tout le massif
sur les zygomatiques, et ils donnent ainsi une fausse sensation de contraction de ces derniers par simple tension de leurs apo
ptômes insigni- fiants. Tous les muscles du domaine atteint ont des contractions vives. On pourrait donc conclure aune atrophie
des pauses de 5 à 10 secondes (voir le tracé). Après la reprise des contractions cardiaques et malgré la cessation de la compres
ut à gauche un certain degré d'hypo-excitabilité faradique, mais la contraction est obtenue sauf dans les éminences hypothénar et
rands muscles ; tendances à l'égalisation dans ceux de la main avec contractions bonnes. Du côté gauche, on constate une tenda
e. C'est donc un type exclusivement cynctique du tremblement. Des contractions fasciculaires spontanées s'observent dans les mus
27 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lui commande de plier sa jambe sur la cuisse, ce qui pro- voque la contraction des muscles biceps, demi-tendineux et demi-memb
acre à cette affection, il qualifie les mouvements des tiqueux de « contractions ins- tantanées, rapides, involontaires », mais
les mouvements convulsifs s'étaient manifestés. Dès le début, les contractions ont occupé la partie inférieure du muscle orbicu-
ertical. DE LA MALADIE DES TICS. 13 Le tic est caractérisé par la contraction brusque de la partie moyenne de la portion péri
n léger tiraillement en haut de la commissure labiale gauche. Les contractions ont la rapidité de l'éclair ; elles se produisent
nnent par accès, à intervalles assez éloignés. On note quatre, cinq contractions consécutives, puis un repos d'une ou plusieurs
s ne participent pas aux mouve- ments convulsifs. Chez An..., les contractions surviennent par accès séparés par de courts int
demi-fléchies, heurte simplement la partie latérale du front. Ces contractions s'accomplissent presque simultanément pour la f
Ainsi, la projection du bras droit sur l'abdomen, qui inaugure les contractions de ce membre, Fig. 2. Inscription du mouvement
demeure le plus habituellement immobile. Pen- dant le sommeil, les contractions disparaissent complètement. Phénomènes coprolal
e présente. Dans les moments de calme, on peut faire apparaître les contractions musculaires par la projection du bras droit sur
as actuel, n'est pas exaète. En effet, elle laisse entendre, que la contraction accomplie, le membre, aussitôt, est ramené à sa
est tellement brusque, qu'elle manifeste d'une manière évidente la contraction énergique des gastrocnémiens. D'ail- leurs, si
vé, la pointe tournée en dehors, simulant Fig. 3. Inscription de la contraction des gastrocnémiens. L'ascension est tout d'abor
uis brusque, de même la descente à laquelle fait suite une nouvelle contraction moins étendue, qui se transforme presque aussit
transforme presque aussitôt en ligne ondulée. Ce dernier état de la contraction répond à la position du pied en valgus équin. D
e sensation de démangeai- son dans le dos, terminent cette série de contractions . Parfois, le mouvement convulsif est précéd de
chaque mouve- ment convulsif. Dans la station debout, en plus des contractions de la tête et des membres supérieurs, on observ
ie, la jambe gauche, sur laquelle repose la malade, est le siège de contractions intermittentes qui ont pour effet de détacher l
e décharge électrique. Ce caractère ne s'observe guère que pour les contractions qui inaugurent la sériation des divers actes mu
moments, la- face et le membre supérieur droit étaient le siège de contractions . La coprolalie, l'échocinésie, les troubles psy
chorée. Cependant, à un examen détaillé, aucune des qualités des contractions ne justifie cette opinion. Les caractères inhér
La chorée, le plus habituellement, se réclame du rhuma- big. 4. La contraction n'offre pas la rapidité de la secousse musculaire
ps relativement court (1 sec. 1/2), et .sans saccades. Fig. 5. La contraction , au début, simule l'explosion d'une décharge él
t prend fin d'une manière progressive par saccades. , Fig, 6, 7. La contraction , au début et à la fin, est l'analogue de la sec
4) ; les ondulations ne s'observent que tout à fait à la fin de la contraction , - c'est là l'exception, (fig. 5), ou bien pend
nstate une ligne en plateau, légèrement accidentée, qui rappelle la contraction du muscle en état de tétanie (fig. 6, 7); enfin
ou, lorsque la tête est fléchie sur l'épaule droite. La durée de la contraction est à peine d'un quart de seconde. ' . 32 U2
lement, les mouvements de latéralité du tronc sont tout autant de contractions qui ne diffèrent de l'acte physiologique que pa
ntrent pendant un temps plus long, les intervalles qui séparent les contractions sont toujours régulièrement espacés. De plus, l
antôt plus ou moins localisés ; les inter- valles qui séparent deux contractions sont des plus variables '; en outre, ils persis
s fondamentales qui existent entre les spasmes hysté- riques et les contractions propres à la maladie des tics : l'un est em- pr
Dans la maladie des tics, au contraire, le rythme n'existe pas, les contractions ne présentent ni uniformité ni cadence. ' Ti.
e jeune âge, à la suite d'une vive émotion. Dans le prin- cipe, les contractions musculaires ont occupé le bras droit, la face,
ut à fait compa- rable à la décharge d'une étincelle électrique; la contraction , au début, offre bien cette analogie, mais ensu
donné par M. Pitres i qui admet que dans la maladie des tics, « les contractions sont lentes, graduelles, progressives 2 ». Ar
Aussitôt que la connaissance revenait, le malade se plaignait de contractions dans les muscles de la nuque. Il y avait de la pr
ns, l'aplatissement des éminences thénar et hypo- thénar, les mêmes contractions fibrillaires que je vous ai fait constater dans
s du mollet. A ces caractères, il convient d'ajouter l'absence de contractions fibrillaires, de réaction, de dégéné- rescence,
n trouble de la sensibilité. Les muscles atrophiés sont le siège de contractions fibrillaires considérables; elles sont excessiv
de la part du malade, on peut se rendre compte que l'énergie des contractions musculaires est un peu moindre du côté lésé.
cas. Ces atrophies souvent considé- rables ne s'accompagnent pas de contractions fibril- laires, mais vous pourrez rencontrer da
d'atrophie musculaire hystérique dans lesquels l'exis- tence des contractions fibrillaires, le siège de l'amyotrophie (éminen
r. On ne peut non plus retrouver nettement le coraco-brachial. La contraction du triceps est énergique et résiste très notablem
s sont absents au coude et au poignet. Pas de phénomène du pied. La contraction idéo-musculaire ne peut être retrouvée sur les
semble exiger, entre autres conditions indispensables, une certaine contraction musculaire plus marquée que l'état de tonicité
il gêne un peu le centre générateur des mouvements, mais active la contraction des muscles par action périphérique. La morphin
se con- tractent faiblement il est vrai, mais enfin, il y a là une contraction réelle. Le bras est élevé à l'horizontale sans
gagne par l'exercice chaque jour et on voit très bien maintenant la contraction du bi- ceps. Le malade, le 19 mai 1892, sans
it au repos, soit pendant le parler, on note par moments de légères contractions en rapport avec le muscle grand zygo- matique.
s émotifs et qui peuvent éventuellement se manifester sous forme de contraction musculaire. R. M.-C. LXXX. Un cas DE cocaïnisme
28 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
ci-dessus citées. On observe en revanche d'une façon bien nette la contraction du quadriceps. En outre, la percussion du tendo
uadriceps. En outre, la percussion du tendon rotulien détermine une contraction des adducteurs et du droit interne de deux côté
t une série de trémulations du biceps. On observe en même temps des contractions fasciculaires dans le deltoïde. La percussion d
dans le deltoïde. La percussion de la tête du péronée détermine des contractions dans le biceps crural. La percussion de la tu
rural. La percussion de la tubérosité interne du tibia détermine la contraction des adducteurs. La percussion des différents
ucteurs. La percussion des différents autres muscles détermine leur contraction . Le réflexe plantaire ne se produit pas. ' La
as. ' La percussion des différentes branches du facial détermine la contraction des muscles des territoires respectifs (signe d
és COYrfiIBUTION A l'étude de la maladie DE madelung 79 foetales, contractions utérines, traumatismes), ou par la théorie de l'a
s d'ordre foetal, nous pouvons admettre que dans notre cas, par des contractions utérines ou par quelques anomalies de développe
au malade. Pendant l'examen, il présente à plusieurs reprises des contractions grima- çantes dans la partie droite du visage ;
vec pareslhésies des memhres supérieurs, parésie des inférieurs, et contractions toniques dans les quatre membres. Somnolence le
main droite présentent de temps en temps des secousses, des petites contractions , et qu'il voit des contractions fibrillaires da
en temps des secousses, des petites contractions, et qu'il voit des contractions fibrillaires dans les muscles du premier espace
imètres sunérieur à celui se la main tranche. 210 BOVERI Quelques contractions fibrillaires dans les muscles de l'avant-bras et
s secousses sont normales à droite. A gauche, l'on n'obtient pas de contractions aux courants faradique et galva- nique. Ponct
contorsionnait de plus en plus, enfin on voyait survenir une forte contraction tonique des muscles de la joue, contraction qui d
yait survenir une forte contraction tonique des muscles de la joue, contraction qui durait DÉMENCE PRÉCOCE. - ACROMÉGALIE ATYPI
xagérée. Le pincement de la peau de la rotule provoque une série de contractions fibrillaires ou fasciculaires de cer- tains mus
ès l'instant qu'il soulevait la jambe en l'air, il apparaissait des contractions muscu- LE MÉCANISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE 347
ascicules des muscles, autour des articulations coxo-fémorales. Ces contractions musculaires étaient et si nombreuses qu'elles p
usculaire. C'est alors que nous est venue l'idée d'attribuer, à ces contractions , l'ab- sence de fixité de la tête du fémur, qua
es péri-articulaires sont dans un continuel état d'agitation. Ces contractions , qui s'observent quand le malade relève en l'air
t ; mais certaine- ment, ce sont les premiers surtout qui,par leurs contractions doivent provo- quer les oscillations quand le m
mobile dans tous les sens. De même, ce sonteux aussi qui, par leurs contractions , provoquent ces oscillations du bassin et du tr
rts, il intervient rapidement, presque imper- ceptiblement, par des contractions volontaires, pour corriger les oscilla- tions.
, pour corriger les oscilla- tions. Par conséquent, dans ce jeu des contractions , il doit y avoir deux sortes de contractions, l
quent, dans ce jeu des contractions, il doit y avoir deux sortes de contractions , les unes subconscientes ou peut-être inconscient
es, involontaires, et d'autres conscientes, volontaires. Toutes ces contractions involontaires et volontaires n'apparaissent que
, par exemple, reposer la jambe sur le lit, ou s'il est couché, les contractions cessent M8 8 NOICA complètement. On comprend
ions, surtout dans ses articulations coxo-fémorales, à cause de ces contractions et de ces oscilla- tions, il risque à tout mome
urs comme Duchenne de Boulo- gne. En effet cet auteur a bien vu ces contractions et nous ne pouvons faire mieux que de reproduir
corde raide : rien n'est plus juste que cette comparaison (1). Les contractions musculaires qui, dans la station verticale, pro
brusquement, et pendant un espace de temps très court. Ce sont ces contractions qui impriment au tronc ces petits mouvements os
iment au tronc ces petits mouvements oscillatoires, brusques. « Ces contractions cependant ne sont pas seulement spasmodiques ; el
e ramènent dans un sens opposé, qui entrent vivement en action. Ces contractions sont autant instinctives que volontaires. Il ar
ors aussi elle voyait son corps osciller faiblement. « Mais à ces contractions instinctives viennent bientôt se mêler des cont
Mais à ces contractions instinctives viennent bientôt se mêler des contractions volontaires. Dès que le malade a conscience de la
tes. Par associations musculaires impulsives, Duchenne comprend les contractions musculaires synergiques, destinées à imprimer à
de conclure que les oscillations du membre sont consécutives à ces contractions . Mais il n'est pas suffisant de saisir le mécan
ombaires et abdo- minaux ne se contractent pas à l'unisson, que des contractions involon- taires et intempestives surviennent, i
tête du fémur est remuée latérale- ment et le tronc aussi, par des contractions musculaires désordonnées. En résumé, tous les p
Il est temps maintenant de se demander pourquoi se produisent ces contractions ? Quel est le premier trouble ataxique, qui est l
e premier trouble ataxique, qui est la cause de l'apparition de ces contractions et de ce trouble d'équilibre statique et cinéti
ntérieure de la cuisse que le muscle quadriceps se contracte. Celle contraction persiste pendant toute la durée du mouvement, e
ême à le dépasser. Nous pensons qu'au début, la duielé tient à la contraction musculaire, et si celle dureté est encore exagé
st près d'arriver sur la surface du lit, alors on sent une nouvelle contraction . Cette contraction disparait ensuite rapidement d
ur la surface du lit, alors on sent une nouvelle contraction. Cette contraction disparait ensuite rapidement dès que la jambe r
eurs cette fois-ci antagonistes ont été continuellement à l'état de contraction . Nous avons vu de même que les muscles adducteu
partout résistante comme chez l'homme normal. Et s'il survient des contractions , inconscientes et conscientes, c'est pour corri
rmal, par conséq uent,c'estla flaccidité muscu- laire^ l'absence de contraction des muscles postérieurs et des muscles latéraux
aiblit, et que même les muscles perdent une partie de leur force de contraction volontaire, nous comprenons alors pourquoi les at
que les muscles se trouvent ordi- nairement dans un état de légère contraction , que nous désignons sous le nom de tonus, et qu
lous les mus- cles n'ont pas un tonus égal, parce que pendant leurs contractions , le son n'est pas le même pour chaque muscle. D
rpiens correspondants. C'est un mouvement qui doit être fait par la contraction des muscles fléchisseurs des doigts, qui fléchiss
ges de chaque doigt. En effet, quand on ouvre la main, par la seule contraction des muscles extenseurs des doigts, le poing s'o
temps que les muscles qui vont faire le mouvement de flexion. Cette contraction des anta- gonistes doit jouer certainement, com
n côté à la perte du sens profond et d'un autre côté à l'absence de contraction des muscles antagonistes et à l'extension passi
e sens qui siège dans le muscle, qui sert à l'accomplissement de la contraction musculaire volontaire, et qui, dans l'absence d
t que ce dernier, excité par les ordres de la volonté, provoque des contractions musculaires ». Duchenne n'a pas voulu reconnaît
29 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rtrophie cardia- que avec souffle pust-systoliflue à la pointe. Les contractions cardiaques sont précipitées, fortes, régulières
de l'excitation de la face interne de la cuisse, il se produit une contraction homolatérale du couturier, d'un côté comme de l
dansla résolution musculaire complète, avec de temps à autre des contractions partielles, celle de la langue surtout. La sensib
, elle promet de manger du potage. Le 20 août 1902, la sensation de contraction dans le creux des'estomac et dans la gorge pers
la musculature des mollets est plus forte que celle des bras. La contraction ideo-musculaire provoquée par le pincement et l
ostérieure et moyenne de la cuisse de haut en bas, vous obtenez une contraction du biceps à laquelle prennent quelquefois part le
t réflexe due à l'irritation du nei-fya,,ue- ? ). L'inhtbitioîi des contractions vésico-urinaires esl peu connue : on sait seule
chaque fois que l'excitation galvanique directe se traduit par une contraction paresseuse, lente ; peu importe que, comme dans
esseuse du muscle dégénéré dans tous les cas où cette paresse de la contraction se manifeste par l'excitation galvanique direct
uf parfois un son assez 1(- gel' à cause de la faible énergie de la contraction . On entend le son musculaire dans la paralysie
e la jambe, ou au moins la main appliquée sur le triceps y sent des contractions fort nettes. Pour cela il faut asseoir le patie
articulo-moteurs 'des membres, leur triple action sur les muscles : contraction , raccourcis- sement, relâchement, allongement,
ontraction, raccourcis- sement, relâchement, allongement, fixation. Contraction stérile de stabilisation. Les nerfs physiologiq
ion en particulier ; b) chaque mouvement simple ; c) la force de la contraction ;d) la force de résistance et de stabilisation. O
s du côté de l'oreille excitée ne réagissent plus non plus. Celte contraction réflexe de l'orbiculaire palpébral exigu le ? c
ysies organiques. 2° Le réflexe du grand trochanter consiste en une contraction des adducteurs de la cuisse quand le malade est
bes fléchies ; une extension de la jambesouvent accompa- gnée de la contraction fessière quand le malade est couché sur le côté
sez long temps d'arrêt avant qu'il obéisse oubien il est pris d'une contraction tonique d3bu- tant parles talons et quile fait
soubresaut généralisé, élève le corps au-dessus du plan du lit, par contraction des muscles dans la région dorso-lombairc. Les
re des cuisses sur le bassin, tantôt sont allongés en extension. La contraction toni- que semble atteindre les divers groupes m
: si la malade a les mains croisées sur l'abdomen au mo- ment de la contraction (altitude habituelle), elles sont violemment di
L'avant-bras exagère sa flexion, les doigts sont épar- gnés par la contraction : s'ils étaient allongés, ils restent dans cell
11 a été impossible de savoir par un examen direct, en raison de la contraction de ces muscles abdomi- naux, s'il y a durcissem
rrogée, la malade déclare que son ventre est douloureux pendant les contractions . Le cou se durcit et se gonfle, par con- tracti
due soit en inspiration, soit en expiration, pendant la durée de la contraction . C'est la face qui est la plus atteinte par les
es sont intéressés. Le masque facial est constamment modifié par la contraction invo- lontaire des divers muscles de l'expressi
nt d'yeux douloureux. Les lèvres se serrent convulsive- ment, et la contraction de l'orbiculaire des lèvres détermine un rictus
veau du larynx; quelquefois un son rauque est émis, par suite de la contraction des muscles de la glotte qui se produit brusque-
de tenir .on assiette et de porter les aliments à sa bouche. Les contractions choréiques varient d'un jour à l'autre, et quel-
que. Début par une douleur assez vive dans les membres inférieurs ; contraction des orteils en flexion, douleur épigastrique, e
ctue très lentement par suite d'un certain degré d'inertie utérine ( contractions utérines très espacées, tris courtes et à peine
utérines très espacées, tris courtes et à peine douloureuses) : les contractions son ! faibles pendant toute la journée du 3 avr
itation mo- trice a cessé, et ne se trahit guère que par de légères contractions localisées de la face, qui ressemblent plutôt à
énéral de «fausses chorées», est ainsi définie par P. Blocq : « Des contractions musculaires cloniques. semblables aux secousses
es. semblables aux secousses provoquées par le choc élec- trique, contractions involontaires non systématisées, lo- calisées o
horée gravidique qui s'exagère au contraire lors du travail, chaque contraction utérine augmentant le désordre des mouvements.
'orteil, ce dernier que la tension du tascialatanese produit pas la contraction du tenseur su produisant toujours dans Il' sign
e,notamment le maxillaire inférieur. Le choc du marteau produit une contraction régulière de l'or- biculaire palpébral, exclusi
er qui supprime toute conductibilité de ce nerf laisse subsister la contraction de l'orbi- culaire par ce moyen. Ce n'est donc
n mécanique du muscle ou, réflexe musculaire, qui se traduit par la contraction de tout le ventre du muscle ou d'un de Ces fais
es biceps entre le pouce et l'index. Quant au ré- flexe musculaire, contraction générale du muscle entier, sans bourrelet visib
laire a peu de relations avec le réflexe tendineux, d'autant que la contraction générale du musCle se produit même quand on fra
e sur un muscle sectionné. Mais les conditions de provocation de la contraction à l'excita- tion mécanique du muscle sectionné
rve presque constamment l'augmention des réflexes musculaires. La contraction est paresseuse ci lente ; ces deux caractères son
ctrique, les réflexes musculaires s'affaiblissent, la lenteur de la contraction apparaît dans le muscle franchement atrophié avan
plus ou moins nette des réflexes musculaires, mais la lenteur de la contraction n'existe pas, et l'exagération du ré- flexe est
bras, l'épaule, traduisent un accroissement graduel de la force des contractions si l'on répète les chocs sur telle ou telle rég
nérale, inconscient par démence. Gâtisme et faiblesse muscu- laire ( contractions spasmodiques). Déformation du coup de pied droi
mbres inférieurs. La moindre excitation périphérique piovo- que des contractions fibrillaires des différents muscles. Exagéra- t
artielles qu'elle revient dans l'axe ; elle est le sujet de petites contractions fibrillaires. Le voile du palais pa- raît à peu
face très large, asymétrique. Les muscles du menton sont animés de contractions fibrillaires fréquentes, la langue pré- sente u
'inflammation, sur des organismes en voie d'évolution ; ce sont les contractions musculaires, en effet,qui,répétées, fixent la têt
action, raccourcissement, re- lâchement, allongement, fixa- tion. Contraction stérile de sta- bilisation. Les - physiologique
30 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
tives. — Modifications de la contractilité faradique et galvanique. — Contractions provoquées par l'étincelle électrique. — Exagérat
t faradique du nerf crural au pli de l'aine ne donnait presque aucune contraction ; b) sur les points d'élection, la faradisation a
ents, quelle que fût la disposition des pôles, ne donnait pas plus de contraction que le courant faradique. Il y avait donc une mod
mécanique portant sur le corps du muscle droit antérieur provoque une contraction évidente, et que la percussion du tendon rotulien
bien ne pas se montrer plus efficace que les courants, à provoquer la contraction d'un muscle malade. C'est ce que nous avons const
ent. Pour l'une comme pour l'autre, il n'existe usqu'à présent que la contraction kathodale de fermeture En d'autres termes, le cou
ale de fermeture En d'autres termes, le courant faradique ne donne de contraction que lorsque le muscle est excité avec le pôle nég
fait pour le galvanique). Pour le courant galvanique, on n'a aussi de contraction qu'en faisant l'excitation avec le pôle négatif e
contraction qu'en faisant l'excitation avec le pôle négatif et cette contraction ne se produit qu'au moment où l'on établit le cou
en aigrette, beaucoup moins fortes et incapables de donner Uni a une contraction . C'est le procédé qui nous a déjà réussi, par exe
as toujours sans inconvénient de chercher à provoquer, quand même, la contraction d'un muscle malade. Théoriquement nous voyons l
nence protégé par les paupières contracturées, il se produit déjà une contraction des muscles de la face à droite. Si nous découvro
e de la nutrition. Certains de ces muscles atrophiés sont le siège de contractions fibrillaires très appréciables, le deltoïde, par
appe sur le tendon rotulien, soit à droite, soit à gauche, il y a une contraction du deltoïde, du trapèze, du grand pectoral et l'é
quide accumulé dans la cavité articulaire, etc.; mais on reléguait la contraction spasmodique, involontaire, sur le second plan. Au
ond plan. Aujourd'hui, au contraire, c'est, si je ne me trompe, cette contraction spasmodique, involontaire, réflexe, qui est invoq
insi que Pitha, se rattache à cette théorie. Or, il s'agit là d'une contraction spasmodique portant à la fois sur les extenseurs
déterminer le sens de la déviation. Il ne paraît pas s'agir ici d'une contraction intentionnelle ou instinctive, destinée à atténue
s la production des déformations, qu'un rôle tout à fait effacé. La contraction musculaire, par action réflexe, force aveugle et
les muscles et sur les troncs nerveux, la faradisation détermine des contractions musculaires qui ne cessent pas après l'excitation
les nerfs et les muscles, déterminer, sans que la malade souffre, une contraction assez prononcée et plus ou moins durable. Il est
a Kathode). Vous n'ignorez pas que, dans les conditions normales, les contractions musculaires se produisent seulement soit, à la fe
suivante : Ka S Z. Pour obtenir avecl'autre pôle, le positif, An, une contraction , il faudra augmenter le nombre des éléments et le
effet de la faradisation est nul ; la galvanisation ne produit qu'une contraction lente et faible. A droite, il y a aussi une réact
tat de repos, une augmentation de consistance notable, et, pendant la contraction , ils sont durs comme de la pierre. Les triceps de
. Les triceps de la cuisse sont gros, saillants et noueux pendant les contractions . Mais si vous éprouvez la résistance de ces organ
rt habituellement les yeux à demi ouverts, et, à l'état de veille, la contraction la plus énergique de l'orbiculaire des Fig. 30.
uvant lever son bras, dans l'acte de se moucher, par exemple, par une contraction normale des muscles élévateurs du membre, est obl
ieure comme une sorte de nœud dans la moitié droite, seul point où la contraction s'opère. Comme chez sa fille, nous constatons une
se rapprochent l'un de l'autre au-devant de l'abdomen par suite d'une contraction con-vulsive des muscles pectoraux. Après cela sur
, soit des troncs nerveux, alors qu'elle provoque cependant de fortes contractions musculaires, n'est pas sentie. Les mouvements d
de Boulogne). Si, chez notre sujet, nous déterminons, par exemple, la contraction de l'orbiculaire supérieur des paupières (muscle
uvements passifs. Aucun muscle, je le répète, ne manifeste la moindre contraction , quels que soient les efforts qu'y emploie le suj
s troncs nerveux et les muscles au point de produire dans ceux-ci les contractions les plus énergiques sans déterminer la moindre tr
termine un courant nerveux vers les muscles impliqués et produit leur contraction . On sait qu'une intimation soudaine peut avoir qu
buleuse et présente la fossette rétro-trochantérienne résultant de la contraction du grand fessier ; la gauche au contraire paraît
doigts qui vient d'être décrite. Evidemment, il ne s'agit plus là de contraction musculaire spasmodique. (J.M. G.) VINGT-SIXIÈME
supporter aucun vêlement sur le corps. J'avais l'épiderme en feu, des contractions dans tous les membres, et, quand j'essayais de pa
X..., atteint à diverses reprises de crises hystériques avec délire, contractions irrégulières de la face, etc.. ; à certains momen
tives. — Modifications de la contractilité faradique et galvanique. — Contractions provoquées par l'étincelle électrique. — Exagérat
31 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s ou moins complète de la fibre musculaire, et la non-abolition des contractions volontaires, 52 THÉRAPEUTIQUE. affections dan
alysies, caractérisé par l'in- coordination et non par la perte des contractions muscu- laires volontaires, plusieurs auteurs av
es volontaires, plusieurs auteurs avaient essayé de discipliner ces contractions anormales afin d'en rétablir l'harmonie, mais t
vail d'éducation spéciale des éléments nerveux qui com- mandent aux contractions musculaires et en assurent l'har- monie, on peu
ystème moteur neuro-musculaire, toutes les fois, notamment, que les contractions volontaires ne sont pas abolies, une éducation
ation nouvelle des centres altérés peut rétablir l'équilibre de ces contractions et, par conséquent, les fonctions perdues ; l'e
l'aphasie, et d'une façon générale à tous les cas dans lesquels les contractions musculaires volontaires considérées isolément s
ctions musculaires à une fonction donnée sont viciées, -mais où ces contractions elles-mêmes sont très diminuées : ainsi en est-
me le tonus est altéré. Enfin, on devra examiner comment se fait la contraction volontaire, si elle n'est pas retardée, ou brus
s : c'est ce que Duchenne de Bou- logne exprimait en disant : « Les contractions musculaires isolées ne sont pas dans la nature.
provient que du défaut d'association opportune de leurs diverses contractions . En réalité, il n'en est rien : dans l'ataxie t
de, elle ne s'applique guère directement aux muscles, puisque leurs contractions sont réglées par le système nerveux et que c'es
rétablir : il lui faut connaître exacte- ment les effets de chaque contraction musculaire, le méca- nisme de tous les mouvemen
demander : jamais ils n'aideront à rétablir le type nor- mal de la contraction volontaire et de la coordination. Celle-ci est
n déductions pratiques, du muscle tabétique au repos, l'étude de sa contraction volon- taire est plus instructive encore. Tout
ructive encore. Tout d'abord il existe des malades chez lesquels la contraction volontaire de certains muscles n'est pas possib
xer- cice méthodique permet peu à peu aux malades de retrouver la contraction volontaire plus ou moins correcte. Mais, ce qui
ire plus ou moins correcte. Mais, ce qui est de règle, c'est que la contraction volontaire de chaque muscle envisagé isolément
lie lesquels se rapprochent de ce que M. P. Richer a appelé type de contraction balistique pour les muscles nor- maux, remarquo
à un. De même que l'ata- xie est faite de troubles élémentaires des contractions de 74 THÉRAPEUTIQUE. chaque muscle, de la dis
s de 74 THÉRAPEUTIQUE. chaque muscle, de la dissociation de leurs contractions synergiques, et enfin, du défaut des mouvements
les uns, les plus simples, destinés à rétablir le type normal de la contraction musculaire indi- viduelle, les seconds destinés
ction musculaire indi- viduelle, les seconds destinés à grouper ces contractions pour obtenir des mouvements à peu près régulier
fférents de cel- Iiiles dont l'un transforme l'excitant lumineux en contraction du sphincter, l'autre fait la même besogne pour
groupe cellulaire d'un côté que de celui de l'autre : le défaut de contraction irienne à la lumière est plus intense de ce côté
L'union centrale des noyaux sphinctériens ne nuit pas à l'inégale contraction des pupilles ; si l'excitant se distribue égaleme
inèrent des symptômes de névrite du sciatique avec douleur intense, contractions , parésie, troubles paresthéniques. Un traitem
nce sur l'excitabilité faradique ; inversement les muscles dont les contractions ont presque cessé du fait de l'action directe ou
grâce à laquelle de faibles excitations extérieures déterminent des contractions musculaires convulsives. Le déplacement de l'un o
a couverture, l'action de l'air frais, provoquent instantanément la contraction convulsive dans un des membres ou dans les deux
prime par l'extension en bloc du membre entier, due à une énergique contraction des mus- cles de la face antérieure de la cuiss
ns fréquent, le réflexe fléchis- seur de la jambe se traduit par la contraction simultanée des fléchisseurs de la cuisse et du
il, dont le tendon se dessine nettement : c'est ce qu'on appelle la contraction paradoxale, qui n'a rien de paradoxal, car elle
raction paradoxale, qui n'a rien de paradoxal, car elle émane de la contraction réflexe ordinaire sous la dépendance de l'exten
ne parfois le réflexe cortical gustatif, caractérisé par une faible contraction des lèvres du côté opposé. Peut-être s'agit-il
illet 1901.) E. B. XXV. Sur la question de la valeur clinique de la contraction idio- musculaire dans les maladies mentales; pa
ers tableaux publiés par les auteurs, on voit que l'existence de la contraction idio-musculaire n'a pas de valeur diagnostique
on générale est insuffisante, plus la tendance à l'apparition de la contraction idio-musculaire est grande; l'exis- tence fréqu
ntraction idio-musculaire est grande; l'exis- tence fréquente de la contraction idio-musculaire chez les ma- lades psychiques e
aractères : ataxie des qua- tre membres avec atrophie musculaire et contractions fibrillaires ; troubles de la sensibilité cutan
ige la moitié droite ou gauche du voile du palais, ou détermine une contraction réflexe bien marquée du facial inférieur du côté
odique. Cliniquement, la maladie de Thomsen, c'est la maladie de la contraction musuculaire et le terme de myotonie la définit
de un ou deux jours; ces convulsions débutent ordinairement par la contraction clonique du muscle orbiculaire gauche, parfois
es des membres se transforment en spasme tonique s'achevant par des contractions isolées très fortes des groupes musculaires iso
pileptique, mais plutôt provoqué par la douleur dans les muscles en contraction . La conscience ne disparaissait point. La mal
e paraît difficilement applicable dans la pratique, consiste en une contraction simultanée', chez la femme du muscle constricte
ne se contracte plus dans un ordre de succession régulier et où la contraction elle-même n'est plus l'effet d'une décharge conti
lui font penser que la contracture hystérique est identique à une contraction volontaire prolongée. Nous citons cet exemple i
'hystérie ne fera une paralysie radiale avec con- ' servation de la contraction du long supinateur, comme l'intoxication saturn
r Piltz chez le paralytique général mais seulement à la suite de la contraction volontaire énergique de l'orbiculaire palpé- br
e seul point commun de la lenteur et de la durée ulté- rieure de la contraction : dans la myotonie, l'exercice des mou- vements
tion musculaire idiopathique. M. Saenger insiste sur la durée de la contraction et la lenteur de la dilatation finale de la pup
ne. Dans sou observation et celles de Piltz, Strasburger, Nonne, la contraction persiste, la dilatation s'effectue infiniment l
uvement de la pupille, une remarquable persistance ultérieure de la contraction qui s'est installée. En d'autres termes, la con
ieure de la contraction qui s'est installée. En d'autres termes, la contraction de l'iris à la convergence et à l'ac- comodatio
odation, la réaction à la convergence, la réaction des pupilles par contraction de l'orbiculaire. 20 L'expres- sion de réaction
ational d'assistance pu- blique et de bienfaisance privée, 400. Contraction . V. maladies mentales. Corps calleux. Deux nouv
32 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
de l'irritation des racines postérieures de la moelle épinière, des contractions musculaires réflexes ; et s'il n'a pas obtenu u
ui-même n'était pas complètement décrit : si au bras nous avons une contraction des fléchisseurs, au membre inférieur nous avons
des fléchisseurs, au membre inférieur nous avons habituellement une contraction des extenseurs. Ilitzig ajoute encore, comme cr
ÉCANISME DE LA CONTRACTURE 29 fracture durable, seulement c'est une contraction durable permanente. Charcot et Vulpian poussent
qui correspondent aux centres de la substance grise, préposés à la contraction de tel ou tel muscle, aussitôt ces muscles se c
midal, la machine privée de son frein fonctionne indé- finiment, la contraction musculaire due à ce fonctionnement est comme lui
racture post-hémiplégique a une tout autre explication. Elle est la contraction des fléchisseurs qui prédomine sur celle des ex
naissons au- jourd'hui d'après les définitions classiques, sont des contractions uni-mus- culaires, produites par l'excitation d
Stembe1'g, dans son travail bien connu, a attiré l'attention sur la contraction simultanée des muscles avoisinant celui dont le
lti-musculaires (c'est-à-dire qu'une seule excita- tion provoque la contraction de plusieurs muscles, et très fréquemment bilat
ain, les réflexes tendineux sont, en général, moins- accentués ; la contraction des muscles est plus faible et se borne à un ép
lexes osseux, nous avons été frappé non seulement par le tait de la contraction d'un muscle situé loin du point osseux que nous
x que nous frappions, mais aussi par le fait que très souvent cette contraction n'était pas unique. Par exemple, au membre supéri
'apophyse styloïde du radius est représenté presque toujours par la contraction simultanée de deux muscles, le long supinateur
e l'épi- condyle, le coude étant porté en arrière se traduitpar une contraction des fibres antérieures du deltoïde, mais il n'e
toïde, mais il n'est pas extrêmement rare de voir en même temps une contraction simultanée des fibres du grand pectoral. La per
coude étant fléchi et'porté en avant, produit t presque toujours la contraction du muscle triceps et des fibres postérieurs du
eur, la percussion de la mal- léole interne (en arrière) produit la contraction des muscles demi-tendi- neux et demi-membraneux
odiques. Si l'on percute l'apophyse styloïde du radius, on voit une contraction dans les muscles long supinateur et biceps brac
examine est exagé- rée, on peut provoquer aussi, en même temps, la contraction des fibres antérieures du deltoïde et même du g
percute l'épicondyle, le coude étant porté en arrière, on voit une contraction des fibres antérieures du deltoïde et du muscle g
et, si le ré- flexe est exagéré, on peut observer en même temps une contraction du triceps brachial et des fibres postérieures
ochlée, le coude étant porté en avant et un peu fléchi, produit une contraction du triceps et des fibres postérieures du deltoï
citation a été très forte, il n'est pas rare de remarquer aussi une contraction des mus- cles épitrochléens. Le résultat de ces
ntraction des mus- cles épitrochléens. Le résultat de ces multiples contractions sera la ferme- ture du poing, l'extension et l'
tibia (réflexe osseux de la 3e racine lombaire), peut provoquer une contraction non seulement dans les muscles adducteurs, mais
n de la tubérosité antérieure du tibia qui produit d'habi- tude une contraction des muscles demi-tendineux et demi-membraneux,
La percussion de la crête illiaque peut provoquer, non seulement la contraction des muscles biceps, demi-tendineux et demi-membra
es correspondant à un seg- ment médullaire se sont contractés, leur contraction peut être accompa- gnée de celle d'autres muscl
excitant l'apophyse styloïde du cubitus, au lieu de pro- voquer la contraction des muscles épitrochléens, on provoque la contrac
ras en avant et en dedans ; le premier mouvement est produit par la contraction des muscles long supinateur et biceps bra- chia
nateur et biceps bra- chial, le second mouvement est produit par la contraction des fibres anté- rieures du muscle deltoïde et
hyse styloïde du cubitus, on a alors une fermeture du poing, par la contraction des muscles épitrochléens, muscles fléchisseurs
trois : une d'extension de la cuisse sur le bassin, produite par la contraction du grand fessier; une autre d'extension du geno
tude d'abaissement et de rotation en dedans du pied produite par la contraction du triceps sural. La première attitude, nous ne
la malléole externe avec le marteau, qui provoque habituellement la contraction du triceps sural (extension du pied) et par pro
triceps sural (extension du pied) et par propagation de produire la contraction du-tri- ceps crural (extension du genou) et la
duire la contraction du-tri- ceps crural (extension du genou) et la contraction du grand fessier (exten- sion de la cuisse),car
reproduire l'attitude du membre supérieur ou du membre inférieur en contraction , ne peut prove- nir que des centres supérieurs
RENCH seur et à la sécheresse du tégument était si grande qu'aucune contraction ne put être obtenue avec les courants, faradiqu
on galva- nique dans laquelle la fermeture de la catode donnait une contraction plus facile à obtenir que la contraction de la
e de la catode donnait une contraction plus facile à obtenir que la contraction de la fermeture de l'anode. Tant qu'on en peut
une série de secousses, de soubresauts qu'accompagnent en outre des contractions fibrillaires très nettes dans les pectoraux émaci
e fois, un réflexe controlatéral. Westphal (1) signale en effet des contractions du membre inférieur succédant à l'excitation du m
le, que la percussion de la face du côté sain pouvait provoquer des contractions des muscles du côté malade. Thüe (3) et Strümpe
s premiers que la percussion du tendon rotu- lien peut provoquer la contraction des muscles adducteurs de la cuisse du côté opp
ions d'apparition. Puis d'autres auteurs essayèrent de provoquer la contraction de ces muscles par des excitations autres que cel
la cuisse provoquait'la rétraction des deux testicules, parfois la contraction du cré- master était plus énergique du côté opp
é opposé à l'excitation, et pouvait même ne pas s'accompagner de la contraction du muscle du côté excité. Il a vu également des
sur la marge supérieure du pubis provo- que en même temps une vive contraction des adducteurs des cuisses,également forte des
laires, des troncs nerveux et des sur- laces osseuses. L'énergie de contraction est moyenne et égale des deux côtés ; J. dynamo
sse- ment de Du Bois Reymond. On sait qu'avec des sujets normaux la contraction tétanique dure longtemps, vingt minutes à une h
itaine de jours, il surprenait constamment son sphincler en état de contraction pénible et, bien qu'il le relâchât volon- taire
nts automatiques. 11 n'y a ni état catatonique, ni troubles de la contraction musculaire, mais la marche est maladroite et bi
33 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lité galvanique n'est pas augmentée, mais il y a prédominance de la contraction à l'anode; en un mot, les muscles présentent le
l supérieur; pas d'accroissement de l'excitabilité galvanique, mais contraction plus forte à la fermeture avec l'anode qu'avec
efois il était incapable de prononcer certains mots. On observa des contractions de la face; au moindre effort pour les comprime
ans un état de roideur qu'on peut surmonter assez facilement. Cette contraction , pen- dant laquelle les bras sont contournés da
les pouces fortement fléchis, n'est pas entièrement permanente. La contraction des muscles du cou n'est pas non plus assez éne
agités de mouvements désordonnés, tous les muscles sont le siège de contractions irrégulières; la marche est gênée, difficile, s
s. Pour les uns, le sens musculaire nous donne l'appréciation de la contraction de nos muscles; pour d'autres, il nous fournit
es mettant automatiquement en rapport avec les différents degrés de contraction de tous les muscles qui peuvent être en jeu.
par les impressions qui résultent des états variés de tension ou de contraction de nos muscles. Cette faculté est perdue dans c
t. I), comme le plus probable, que les sen- sations accompagnant la contraction des muscles naissent dans les fibres nerveuses
D'après cela, la conscience de l'effort serait indé- pendante de la contraction musculaire elle-même. Ferrier répond à cela que
moteurs et son siège est du côté moteur, et la conscience de nos contractions musculaires est indépendante des impres- sions
ndépendante des impres- sions centripètes nées de l'acte même de la contraction mus- culaire. Dans les différentes éditions de
ntres et les nerfs moteurs seraient donc à la fois les agents de la contraction musculaire et de la conscience de l'effort musc
blement des différences de poids que les mouvements d'élévation. La contraction muscu- laire, le sens musculaire, joue donc un
moteurs des doigts subsistent en tout ou en partie et éprouvent des contractions réelles sous l'influence de la volonté. Le sens
des parties que nous voulons faire agir, nous sont fournies par les contractions musculaires et les changements de position réel
acte des mouvements volontaires, semble précéder et dé- terminer la contraction , avec la sensation qui donne le sentiment de la
Gerdy. Cette dernière sensation est le résultat ou le prodnit de la contraction musculaire; l'observation clinique m'a démontré q
LE SENS MUSCULAIRE. 91 t vité musculaire. Elle est nécessaire a la contraction musculaire volontaire et à la cessation de cett
e a la contraction musculaire volontaire et à la cessation de cette contraction .» » Pour lui la sensibilité musculaire n'est qu
st nécessaire que l'effet de l'excitation centrale, c'est-à-dire la contraction , soit produit pour que le cerveau puisse percevoi
non seulement la conception du but à atteindre, l'excitation des contractions en groupes fonctionnels et leur coordination, m
e ce que les muscles sont en train de faire, pour que l'énergie des contractions musculaires ne dépasse pas ou ne reste pas au-d
son rôle. Par elle, et par elle seule, nous connaissons la force de contraction actuelle des muscles, l'étendue, l'énergie, la
par conséquent aussi, la possibilité de rectifier les erreurs de la contraction . Cette sensation remplit le rôle de dynamomètre
n de pression de la peau et des parties sous-cutanées, sensation de contraction des muscles, et sensations d'innervation centra
connu la part impor- tante prise par le rappel des sensations de la contraction musculaire dans l'accomplissement des mouvement
ni associés à aucune sensation autre que celle qui accompagne les contractions musculaires violentes. Mais la preuve la plus A
on motrice quitte les centres kinesthé- tiques jusqu'à celui où les contractions musculaires arrivent, nous avons seulement affa
visuel; aucun point hystérogène. Il est impossible de provoquer des contractions à l'aide de la bande d'Esmarch. Depuis quelques
dans la crampe des écrivains, où ce sont les muscles soumis à une contraction incessante pour maintenir la plume, plutôt que
xtension du poignetqui sont atteints. Lesmouvements ryth- miques de contraction et de relâchement des muscles faisant . REVUE D
pas le trouble ressenti par les malades. Dans neuf cas, ce sont des contractions des extenseurs, au moment où le pianiste fait d
oins accusé ; 3° par de la douleur ou une fatigue rapide pendant la contraction musculaire; 4° une sen- sation de faiblesse du
erce le plus. L'excitation faradique des muscles donnait lieu à une contraction propagée des muscles voisins. Dans quatre cas
e du crâne derrière l'oreille ne produit pas de con- tracture ni de contraction , même passagère des muscles' de la face; mais e
spiratoires réguliers (20), soulevant t les joues. Pupilles égales, contractions musculaires faibles, mais pas de paralysie. T.
on essaie de distraire son attention, on exagère, au contraire, la contraction des muscles. Dern... peut toucher avec ses pied
droite est croisée sur la gauche. Do temps en temps, on observe des contractions des muscles des membres inférieurs qui sont sou
maces de la face : la bouche parait serrée,' comme s'il y avait une contraction per- manente des lèvres qui se plissent parfois
La difficulté de la tenir allongée et libre est due peut- être aux contractions énergiques des muscles de la face qui accom- pa
ions de la coxalgie reconnaissent une cause générale constante : la contraction musculaire réflexe. Désireux de vérifier cette
34 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e notés, à des degrés divers, de l'a- battement, de la stupeur, des contractions spasmo- diques, de la raideur de la nuque, de l
t pas notablement doulou- reux à la pression. Si l'on provoque la contraction des muscles paralysés, la douleur sus-orbitaire
(biceps) sont souvent dans un état de rétraction très prononcé. Les contractions fibrillaires font défaut; plus de contractions
n très prononcé. Les contractions fibrillaires font défaut; plus de contractions idio-musculaires. La contractilité électrique n
uscles particuliers, la rétraction de certains autres, l'absence de contractions fibrillaires, de réaction de dégénérescence, la
ntes. Au repos, toujours dans le lit, il a, pendant l'examen, des contractions spontanées involontaires dans les membres in- f
traits nouveaux. Au repos, il y a dans les membres inférieurs des contractions spontanées, involontaires, des crampes. Ce qui
me ont conservé leurs phéno- mènes caractéristiques. A gauche, la contraction des muscles faciaux par la pression du nerf fac
ar l'excitation mécanique de ce muscle. Ils se divisent en : 40 une contraction totale constituée par une onde contractile qui
E PATHOLOGIE MENTALE. 255 tant la forme 'de bourrelet circonscrit : contraction locale, idiomuscttlvire. Ces deux formes de con
rconscrit : contraction locale, idiomuscttlvire. Ces deux formes de contractions peuvent être pro- voquées chez les individus do
chez les aliénés dont le système moteur est demeuré intact, mais la contraction locale exige l'intervention d'une excitation bi
exige l'intervention d'une excitation bien plus considérable que la contraction totale. Les phénomènes musculaires persistent p
arcose chloroformique, une excitation faible suffit à engendrer une contraction locale; même réflexion, en ce qui concerne l'ag
ale sera par exemple provoquée une heure après l'is- sue fatale, la contraction locale, cinq ou six heures après. Leurs allures
xcitabilité mécanique du muscle est modifiée. En ce qui concerne la contraction totale, celle-ci est ordinairement diminuée dans
a paralysie flasque, augmentée dans la paralysie avec rigidité : la contraction locale n'est point altérée dans ces états. 3" L
canique des muscles; on constate que le mode de con- vulsions ou de contractions normales se pervertit ; le phénomène se produit
nomène se produit et disparaît très lentement, tant à l'égard de la contraction locale que de la contraction totale. Pour M.
t très lentement, tant à l'égard de la contraction locale que de la contraction totale. Pour M. Reinhard, la contraction totale
raction locale que de la contraction totale. Pour M. Reinhard, la contraction totale est un réflexe : elle émane de l'envelop
mane de l'enveloppe et des cloisons sarcolemmatiques du muscle ; la contraction locale résulte de l'actionnement direct, sans l'i
ète et l'ictère, un ralentis- sement semblable dans la courbe de la contraction . Par consô- 1 On eu trouvera l'analyse aux Revu
es et cyanosées. La peau conduit très peu Je courant élec- trique ; contractions et réactions normales des muscles et des nerfs
ion d'un mouvement sans but, ou une durée démesurément longue de la contraction musculaire. En second lieu, il est extrê- memen
employer de très forts cou- rants pour ne déterminer que de faibles contractions . Absence complète de réflexes patellaires. En d
se précordiale, de l'ary- thmie et un affaiblissement notoire de la contraction ventricu- laire : le pouls est irrégulier, inte
qui correspondait à un membre à l'aide d'un courant faradique, la contraction du muscle qui s'était subite- ment produite ne
L'expérience suivante est encore plus intéressante. Si, pendant la contraction tonique provoquée soit par DE l'hypnotisme. 369
spondante un courant moins fort que celui qui pouvait produire la contraction , la contraction diminuait, même elle cessait to
ourant moins fort que celui qui pouvait produire la contraction, la contraction diminuait, même elle cessait tout à fait. En fa
aible, au contraire, une image plus petite. Or, si on a produit une contraction forte à l'aide d'un courant intense, et si cett
le courant faible sur la zone motrice d'un muscle, qui était mis en contraction , le muscle ne fut relâché que pour un moment, e
l'application peut-être un peu plus pro- longée ou plus intense; la contraction se reproduisait en raison de la force de cette
A quelque degré que ce réflexe soit élevé, jamais on n'a vu ni une contraction , ni une contracture se pro- duire après la seul
il faut appliquer un coup rapide, bien que. doux, pour provoquer la contraction du muscle, ce qui est la propriété générale des
i difficile à approuver l'hy- pothèse d'origine réflexe spinale. La contraction s'é- tend aussi aux muscles non irrités, ainsi
- tion réflexe de la moelle épinière est fortement accrue, que la contraction apparaît aussi dans un muscle qui n'était pas d
commuas de toutes les trois phases de l'état hypnotique est que la contraction une fois provoquée devient permanente. Cela pro
a arrive de même dans les contractures pendant la léthargie, et ces contractions sont toujours propor- tionnées à la force de l'
lâchent à présent à un degré qui est en raison de l'intensité de la contraction provo- quée par cette nouvelle malaxation ; si
en plus intenses au cours d'une même séance jusqu'à production de contractions tétaniques des groupesmusculaires de la région ou
35 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
t de la réjection, la glotte se ferme et en même temps survient une contraction très énergique et très brusque du diaphragme, q
récipitent donc dans l'orifice béant de l'oeso- phage, et alors une contraction du pilier droit du diaphragme, séparant les mat
r droit du diaphragme, séparant les matières engagées, provoque une contraction antipéristaltique de l'oesophage qui les amène
is en grande quantité. - Suspension momentanée de la rumination par contraction de la volonté; mais rejet consécutif des alimen
vant effacé, se bombe fortement. Toutes les vingt secondes environ, contractions violentes visibles et tangibles de la région ép
à l'insu du sujet, qui ne s'aperçoit, le plus habituellement, des contractions qui font remonter les aliments que lorsque ces de
ès le fait précédent, la flexion de la tête, l'extension du cou, la contraction simultanée du diaphragme et des muscles abdomin
ns observés. Entre tous, le plus important est incontestablement la contraction du diaphragme et des muscles abdominaux ; aussi
ur but d'abaisser le diaphragme ; en même temps il y a une légère contraction des muscles de l'abdomen. L'estomac, qui se trouv
imentaire force le cardia, gagne l'oesophage et le pharynx dont les contractions suc- cessives l'amènent dans la cavité buccale.
elle n'existerait que pour la première gorgée après laquelle les contractions de l'estomac, que l'auteur localise dans la grand
le- ment déjà signalé ci-dessus. Si l'on ajoute à cela une légère contraction des parois abdominales, portant surtout sur les
oquent le retour des aliments dans le pharynx. Ajou- tons que cette contraction abdominale est très peu marquée, et qu'il faut
partir du moment où les aliments remontent à l'état de pâte, cette contraction devient à peine visible. Disons enfin qu'elle e
bilisation de la cage thoracique et par suite du diaphragme, légère contraction des parois abdominales, le tout sans aucun phén
riodes : dans la première, tous les phénomènes sont plus accusés, contractions abdominales, éructations, mastication; le nombr
t où les substances qui remontent prennent l'aspect d'une pâte, les contractions , les éructations sont à peine sensibles, les bo
'oesopha ! jl ! , etc.. entrent immé- diatement et simultanément en contraction . Pendant ce temps, la respiration est suspendue
mais très souvent nous n'avons rien remarqué et, dans le cas où des contractions se sont produites, leur peu de durée et d'inten
t dans le vomissement. Dans le dernier phénomène, il semble que les contractions partent d'un point plus éloigné de l'oeso- phag
en agissant sur l'estomac pir des pressions exté- rieures, par des contractions des muscles abdominaux, en fai- sant de grandes
et d'amplitude jusqu'à ce que le corps tombe immobile et se fixe en contraction . Les bras se mettent en croix; les jambes sont
36 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
roit ne sont pas atrophiés (mensurations). Cependant, il existe des contractions fibrillaires dans toute la mus- culature de la
ainsi dire toute en prodromes psy- chiques entrecoupés de quelques contractions des bras, de quelques convulsions des globes oc
IELLE GÉNÉRALISÉE MOUVEMENTS ATII);TOSIQUES DE LA MAIN ET DU PIED CONTRACTIONS FASCICULAIRES DES MUSCLES LARGES Les mouvements
. Pl. XIII PHOTOTYPE négatif X. PHOTOCOLLOGRAPHir Chêne LONGUET Contractions Fasciculaires DES MUSCLES DE L'EPAULE Lecrosnie
XIV PHOTOTYPE négatif X. PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne & Longuet Contractions FASCICULAIRES DES MUSCLES DE l'Epaule LECROSNIE
En outre, de temps en temps, le muscle rhomboïde est le siège de contractions fasciculaires lentes : on voit ses divers faiscea
e porte en haut et fait basculer l'os dans- sa totalité. Lorsque la contraction du faisceau inférieur du rhomboïde est très éne
fois aussi le faisceau supérieur du grand dorsal gauche s'animer de contractions lentes, analogues à celles du rhom- boïde. ,
eau de la fesse gauche. Le muscle grand fessier est animé des mêmes contractions fasciculaires que le rhomboïde; mais les contra
imé des mêmes contractions fasciculaires que le rhomboïde; mais les contractions , au lieu de se produire comme dans le premier m
solément : les mouvements isolés des doigts trahissent en effet des contractions fasciculaires des fléchisseurs et des extenseurs
sont précédées d'une aura analogue à l'aura de l'attaque vulgaire : contraction de la gorge, battements dans les tempes, siffle-
nce (examen de Erb) dans les muscles des jambes, et de l'absence de contraction dans ceux des cuisses. Les réflexes tendineux s
accusée à gauche qu'à droite. Les muscles atrophiés présentent des contractions fibrillaires notables. Les réflexes cutanés son
, elle a souvent pour caractère particulier d'être asso- ciée à une contraction énergique du muscle pyramidal, qui amène le sou
ue la résistance à vaincre soit à peu près nulle. Cette lenteur des contractions (tracé en escalier) se retrouve dans l'explorat
t-à-dire que le malade éprouve la même difficulté à faire cesser la contraction qu'à la commencer. La même lenteur se trouve
les on voitles circonvolutions intestinales se dessiner pendant les contractions et former des noeuds, comme un paquet de vers d
stin. Grands droits : contractilité nulle. Grand oblique : quelques contractions dans les faisceaux supérieurs. Muscles latéraux
se contracte facile- ment. Pectoraux se contractent bien. Triceps, contraction nulle. Biceps, contraction faible. Groupe posté
Pectoraux se contractent bien. Triceps, contraction nulle. Biceps, contraction faible. Groupe postérieur de l'avant-bras, contra
lle. Biceps, contraction faible. Groupe postérieur de l'avant-bras, contraction nulle. Fléchisseurs se contractent assez bien.
tent assez bien. Fléchisseur du pouce, contrac- tion nulle. Thénar, contraction faible (sous l'influence de l'électricité, la p
rique un peu plus considérable qu'à gauche, mais peu de différence. Contraction nulle à l'avant-bras à éminence thénar, hypothé
action nulle à l'avant-bras à éminence thénar, hypothénar, triceps. Contraction faible biceps, deltoïde. 24 février. Différen
res inférieurs (Fig. 63 et 63). Réflexes rotu- liens abolis. Pas de contractions fibrillaires. Pas de troubles vésicaux, ni ocul
us venons de décrire, il faut solliciter plus ou moins fortement la contraction du droit externe paralysé en forçant la malade
que ce déplacement se produit sans que l'on provoque directement la contraction du droit interne, et que, cependant, à la brusque
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA S,1LPETRI1;R1;. mouvement, il semble que la contraction de ce muscle droit interne intervienne. Ce dépl
osé à la sciatique, (généralement mais non toujours) en vertu d'une contraction muscu- laire des muscles latéraux du tronc. Plu
ose de la région lombaire de la co- lonne vertébrale, 10, 11, 12. Contractions fasciculaires des muscles de l'épaule, 13, 14.
37 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
cteurs de champ visuel réagissent à la lumière, mais l'amplitude de contraction esl assez faible' pour les faisceaux lumi- neux
mme absent que lorsque l'excitation ne donne jamais ni mouvement ni contraction musculaire. Dans un certain nombre de cas, l'ab
qu'il n'admetta.it pas que la propulsion du sang fût causée par la contraction du muscle cardiaque, mais qu'il l'attribuait à
iables selon le degré de rétraction qu'elle subit. On dirait que la contraction s'accuse de plus en plus et forme un congloméra
face postérieure de l'avant-bras, on voit passer fré- quemment des contractions librillaires rapides. Les mouvements du pouce son
que depuis sa sortie de l'hôpital, il a eu presque constamment des contractions musculaires brusques dans le bras et l'avant-br
mbe gauche depuis 6 mois, et plus récemment dans Je bras droit. Ces contractions sont plus fortes et plus régulières à gauche qu'à
ues. L'usage de la main devint même plus difficile en- core, et les contractions fibrillaires augmentaient de fréquence et d'inten
l'état resta encore sans amélioration, et le malade se plaignit de contractions douloureuses mus- culaires plus fréquentés. D
e membres. Pas de troubles objectifs de la sensibilité. Quant aux contractions fibrillaires, elles existaient encore il y a quel
sie des muscles de la jambe et de la cuisse, prédominante à gauche. Contractions fibrillaires fréquentes. Réaction de dégénéresc
es réactions électriques, avec ou sans RD, la présence fréquente de contractions fibril- laires, parfois par des phénomènes doul
es, avec extension plus tardive aux mains et aux avant-bras. Pas de contractions fibrillaires, mais douleurs dans les mem- bres
de ce ma- lade ne présente d'atrophie qu'aux muscles des mains. Ici contractions fibrillaires et douleurs. Chez tous deux, les r
n, avec extension à l'autre main et à l'avant-bras,et apparition de contractions fibrillaires; les muscles des jambes n'ont été
les membres inférieurs ont été les premiers atrophiés ; ici, pas de contractions fibrillaires. Dans l'une et l'autre observation,
ains n'ont été prises que plus tard. Chez tous deux, on observe des contractions fibrillaiies, mais il n'y a pas de phé- nomènes
iblissement des réflexes tendineux et de phénomènes douloureux. Les contractions fibrillaires n'ont été observées que sur un sujet
s ; des douleurs ne se manifestèrent que chez deux d'entre eux, les contractions fibrillaires firent défaut. (1) l1'eilael' l3ei
t ceux du bras gauche : l'atrophie progressive est accompa- gnée de contractions fibrillaires et de douleurs. Les cordons postérie
bien que l'atrophie musculaire fut progressive z et accompagnée de contractions fibrillaires, l'auteur pouvait invoquer des bles-
-bras, bras, épaules ; atrophie de l'orbiculaire des lèvres. Pas de contractions fibrillaires. Examen histologique : Dans la moell
t supérieurs,puis arrêt de la maladie. Réflexes tendineux faibles ; contractions fibrillaires daus la langue ; diminution des ré
hypotonie sans parésie ; abolition des réflexes tendineux ; pas de contractions fibrillaires, sensibilité (fi Uebe)-eii2eii Fal
scoliose, parésie de l'orbiculaire des lèvres, paralysie laryngée ; contractions fibrillaires dans les muscles des membres et de
ie musculaire, qui a gagné les membres inférieurs et l'existence de contractions fibrillaires, permanentes très nettes, et non att
énie de ce symptôme reste donc obscure. lien est de même pour les contractions fibrillaires des muscles. Elles ont eu pendant
lésions identiques dans leur structure et leur systématisation, les contractions fibrillaires n'avaient eu qu'uneexis- tence pas
xe gris, limitées chez Brandi au renflement cervical, alors que les contractions fibrillaires étaient disséminées sur les quatre
t sur une canne, il steppe surtout du pied gauche : on constate des contractions fibril- laires dans tous les muscles atteints e
é galvanique. Toutefois plusieurs d'entre eux ré- pondaient par une contraction nettement réduite, sans atteindre pour cela à u
pas tant caractérisée par l'apparition plus ou moins tardive de la contraction minima, que par la réduction de l'extension et
minima, que par la réduction de l'extension et de la vigueur de la contraction . Dans mon cas, ce second élément était présent
xes tendineux et la discordance qu'il y a entre la diminution de la contraction réflexe des muscles et la conservation de leur
doigts et de la main est plus faible que la flexion. On observe des contractions fibrillaires dans les muscles de l'avant-bras. Le
ulations des hanches et des genoux fortes douleurs pendant la nuit; contractions douloureuses des membres inférieurs. 7 avi,il 1
Les réflexes abdominaux manquent. Rétention d'urine ; constipation. Contractions spontanées douloureuses des extrémités. 16. L
et au froid (1G avril 190,t). 396 ROTSTADT 13. Douleurs moindres. Contractions spontanées très sensibles dans les membres infé
essie et de l'anus ; des douleurs et des phénomènes -douloureux des contractions spontanées. Trois mois après son entrée à l'hôp
même à l'o- rigine de la maladie), des troubles sphinctériens, des contractions sponta- nées, des parastésies, y ont été égalem
sies fréquentes et dou- loureuses, de chaleur, de fourmillements et contractions comme symptômes subjectifs des troubles de la s
s muscles des épaules, du bras et de l'avant-bras du côté droit des contractions fibrillai- res. Il n'y a pas de mouvements in
supinateur ne se contractent pas, mais presque toujours on voit une contraction partielle et'minime des radiaux et d'autres muscl
e du côté gauche. Quelquefois la percussion donne lieu à une légère contraction partielle, non seulement des radiaux et des mus
e l'éminence thénar et hypothénar du côté droit. Du côté gauche, la contraction se fait normalement. Les muscles de l'avant-bras
es est très diminuée avec inversion polaire,sans grande lenteur des contractions . Sur les interosseux et l'adducteur du pouce l'ex
serve pas de mouvement, mais en regardant attentivement on voit une contraction modérée du biceps. A droite nettement conservé.
e- ment du membre supérieur se généralisaient à tout le corps, avec contraction des muscles de la face. Cependant la malade, pl
ulsives généralisées, avec participation des muscles de la face, et contraction de l'orbiculaire des paupières. Dans l'interval
38 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
Du côté gauche ce réflexe est aboli (de temps en temps on voit une contraction du vaste interne). Le réflexe du tendon d'Achil
ans la jambe droite. 23. - La marche est toujours la même. La nuit, contractions musculaires aux jambes, surtout adroite. Sens
, surtout pendant une profonde respiration et la toux. La nuit, des contractions automatiques des muscles des jambes. Les vertèbre
arfois des symptômes du côté des racines antérieures, sous forme de contractions spastiques, paralysies et atrophies des différent
et au moment où le tronc s'approche de ¡ la ligne horizontale, une contraction du quadriceps. Il y a donc deux conditions néce
léchisseurs de la jambe sur la cuisse ; et dans un second temps une contraction normaledes extenseurs de la jambe. i Tout obs
ambe. i Tout obstacle la distension normale des premiers ou à la la contraction ; ! normale des seconds aura pour effet la flexi
anique est-elle due à une hypertonie des fléchisseurs ou bien à une contraction moins valide des extenseurs ? Probablement la
idation de la rotule, qui semble attester l'effort inefficace de la contraction du quadriceps pour s'opposer à la fle- xion de
on simienne du pouce. Rétractions tendineuses très accusées. Pas de contractions fibrillaires. - Début de l'atrophie par les extré
uction de réactions électriques très altérées avec prévalence de la contraction musculaire à la fermeture de l'anode. Aux mai
eurotique Charcot- Marie. Début de l'atrophie par les pieds. Pas de contractions fibrillaires. - Aucune trace d'hyper- trophie d
ien que les muscles de cette région soient encore valides : dans leur contraction volontaire, les réactions électriques sont consta
e débutant par les mains. Troubles trophiques en train d'évoluer. Contractions fibrillaires évidentes. Sleppage des pieds (pied
la réaction dégénérative. Dans la main on peut encore provoquer des contractions à la fermeture de l'anode sur les interosseux e
e Lejonne et .Rose, la percussion du tendon rotulien provoquait une contraction des adducteurs du même côté. Enfin les réflexes
er de tous côtés. Un an après le début des accidents apparurent des contractions cloniques des muscles de. la main qui allèrent
l'âge de 52 ans, les mouve- ments épileptoïdes se compliquèrent de contractions musculaires à la tempe droite,' à la joue et au
qui se trouve dans la moelle allongée dont l'excitation produit la contraction générale des vaisseaux produite par le jeu des fi
rieures) de faible in- tensité augmentent sa tonicité et partant la contraction des vaisseaux sanguins tandis que les irritatio
Si parfois il y abaissement de la commissure des lèvres, c'est par contraction des muscles abaisseurs de ce côté, ou élévateur
urs secousses successives, en même temps que se produisent d'autres contractions musculaires qui fléchissent la cuisse, et parfo
sant durcir le muscle parésié, celui-ci ne donne ce- pendant qu'une contraction sans force, la volonté dispose d'un moyen : le
n sans force, la volonté dispose d'un moyen : le neutraliser par la contraction des antagonistes ; l'hystérique l'emploie par-
y a bien asymétrie des traits, moitié relâchement d'un côté, moitié contraction de l'autre : ordonnez au malade de regarder le
ser le bassin. Cette immo- bilisation se fait en particulier par la contraction des extenseurs du bassin de l'autre côté (Grass
e, permettait de faire le diagnostic de maladie de Dercum. Dans une contraction brusque de la paroi, ce lipome était devenu dou
nne vertébrale. Pas d'atrophies musculaires. Le malade se plaint de contractions involontaires des jambes pendant la nuit. Il ur
xtension des genoux et de très faibles mouvements des gros orteils. Contractions involontaires des jambes. Pour les mouvements p
les membres inférieurs. Les réflexes patellaires étaient très vifs. Contractions spontanées des jambes pendant la nuit. Dix jour
ds se réchauffaient difficilement. Dans le membre inférieur gauche, contractions spontanées rapides dans le mollet. A Pâques ell
de se plaint des douleurs au sacrum et aux membres inférieurs et de contractions douloureuses dans ces membres. Elle a aussi la se
vent il y des ,douleurs en ceinture au-dessous de l'ombilic, et des contractions spontanées douloureuses aux membres inférieurs.
t de la sensation de brûlure dans les deux membres inférieurs et de contractions spontanées spastiques dans les genoux. La paral
ieurs sont conservés, les autres abolis. La nuit il y a souvent des contractions spontanées dans les muscles des jambes, surtout
dans l'hypochondre gauche et dans le bas-ventre des deux côtés. Des contractions spontanées dans les deux membres inférieurs les
laires sont très exagérés (la percussion du dos du pied provoque la contraction du muscle quadriceps).On obtient le réflexe de
sements. Pouls 120. T. 36° 80. Affaiblissement. Grande soif. Fortes contractions dans les jambes. Paralysie complète spastique.
12. Incontinence de l'urine et des matières fécales. De très fortes contractions des muscles des jambes. Phénomènes spastiques.
sensations de brûlure des pieds, de ser- rement dans le ventre, des contractions spontanées des jambes surtout de la droite. L
urs dans le ventre, surtout à droite ; douleurs sous le sein droit. Contractions spontanées dans les deux membres inférieurs la
volution de la maladie, les fortes douleurs revenant par accès, les contractions spontanées dans les muscles des jambes, l'affaibl
s des membres inférieurs. Ces symptômes s'accentuaient la nuit. Les contractions spontanées dans les muscles lui étaient très péni
jacsonienne. L'excitation faradique de cette portion produisait des contractions manifestes dans les doigts et dans la main. Il
rice grossière des doigts et de la main.ainsi que la production des contractions à lâ suite de l'excitation faradique, ne dépen-
embre inférieur gauche, dans le côté gauche et dans le sacrum. Puis contractions spontanées de la main gauche avec affaiblisseme
passé dans l'hypochondre droit et dans la région droite du sacrum. Contractions spontanées de la jambe droite. Paraplégie spas-
tés et le phénomène de Babinski. Trace du réflexe abdominal gauche. Contractions spontanées des bouts des membres. Deux mois après
t la marche, les dou- leurs envahissent cette jambe de même que les contractions spasmodiques nocturnes. La tête et la moitié su
ble que la droite. Les mouvements de la jambe gauche provoquent des contractions spasmodiques. La tonicité musculaire dans le me
t du malade s'aggrave tout d'un coup. La paraplé- gie est complète. Contractions spontanées des jambes. Rétention, parfois incon-
. Les réflexes tendineux des membres inférieurs étaient exagérés. Contractions spontanées des jambes. Phénomène de Babinski bila
as de symptômes d'atrophie bien accusée. Dans l'un d'eux (XXI°) les contractions des muscles des mains dépen- daient de l'irrita
s mains dépen- daient de l'irritation radiculaire. Outre ce cas les contractions étaient d'origine médullaire. Généralement elle
ue de cheval (Rehn-Laquer, Warrin ton) : On obser- verait aussi des contractions douloureuses au moindre attouchement de la peau
ré la localisation de la tu- meur dans la queue de cheval. 1. Les contractions musculaires spontanées appartiennent aux troubles
ble pour les malades, peut-être au même degré que les douleurs. Ces contractions apparaissent aussi bien le jour que la nuit. As
ions apparaissent aussi bien le jour que la nuit. Assez souvent les contractions de la nuit surpassent par leur intensité celles
r suite d'une excitation de longue» \oies motrices. Dans le cas des contractions doulou- reuses il faut prendre eu considération
ilités, l'irritation des cellules motrices (secousses fibrillaires, contractions spontanées), le plus souvent une rapide paralysie
lorer le premier métacarpien par sa face palmaire. Mais il n'y a ni contractions fibril- laires, ni contracture; l'examen électr
39 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
amine l'oeil droit. L'éclairage de la pupille droite estsuivi d'une contraction un peu lente et de courte durée de la pupille g
ient à son état de dilatation primitif. A la convergence il y a une contraction à peine perceptible de la pupille gauche; la ré
uit des troubles vaso-moteurs, mais y a-t-il rupture vasculairc par contraction spasmodiquedes capillaires ou passage du sang par
à la rente réglementaire pour cause d'accident. Cinqaus plus tard, contractions de divers muscles et convulsions fibrillaires,
Tout se réduit cependant dans les bras à quelques tremblements; la contraction des muscles de la jambe provoque un léger saut.
l'influence d'une cause déprimante quelconque et à l'occa- sion de contractions musculaires répétées Le tic est-il « un acte auto
ôt que l'oxygène est revenu, si on excite le muscle, on voit que la contraction reprend une valeur assez voisine de sa 1 Al'ch.
similaire malade, se faire une idée assez exacte de la durée de la contraction du muscle atteint et voir si celte durée diffèr
manifestée par l'allorythmie et l'arythmie de chacun d'eux dont les contractions ne correspon- dent pas. Il en conclut que l'hyp
coeur n'est pas exacte. Les courants induits moyens accélèrent les contractions rythmiques du coeur, l'augmentation d'intensité
rmine l'arythmie. Les excitations électriques empêchent l'arrêt des contractions du coeur empoisonné par le chloroforme, ce qui
cation avec le sol ou si on approche la main de la préparation, des contractions peuvent se manifester. 2° Avec une tension plus
r. 2° Avec une tension plus grande du champ oscillant, il y a des contractions spontanées. On en observe aussi, si au lieu d'aug
aration et le pôle de l'électrode libre. Le long d'un fil induit la contraction se produit quand on promène la préparation à 20
éparation entre les deux électrodes terminant le fil induit, il y a contraction si la position est dissymétrique, repos si elle
ÉLECTROPHYSIOLOGIE ET D'ÉLECTROTHÉRAPIE. de faire entrevoir par une contraction forte quelle sera l'attitude du pied après la m
iable, collecteur toujours à zéro, électrode diffé- rente fixe : la contraction normale minima, apparaît avec un cou- rant de 2
e minima, apparaît avec un cou- rant de 2 à 2,5 Ma. Pour obtenir la contraction avec le pôle positif il faut une intensité de 0
c le pôle néga- tif. Dans la seconde méthode, lorsqu'on a trouvé la contraction minima de fermeture avec l'électrode différente
ma de fermeture avec l'électrode différente négative, on cherche la contraction minima avec l'électrode différente positive en
n ou deux numéros ou en faisant usage du com- mutateur. Une fois la contraction minima trouvée on recherche la contraction téta
mutateur. Une fois la contraction minima trouvée on recherche la contraction tétanique soit par l'excitation directe du muscle
elle du nerf, en faisant agir le pôle négatif. On obtient alors les contractions à l'ouverture et à la fermeture de l'anode et à
les expériences de M. Charpentier (de Nancy) qui a démontré que la contraction musculaire provoquée par l'excitation d'un nerf
é gauche de la face; s'accentuant graduellement, sous la forme de contraction tonique, puis décroissant de même, mais forçant l
ise épileptique, tandis que l'hystérique se borne généralement à la contraction opisthotonique ; les bras sont fléchis et les j
Examen électrique complet du corps caractérisé par une lenteur de contraction qui est l'élément fondamental de la réaction dégé
appréciables, une altération fonc- tionnelle se traduisant par des contractions lentes, soit à l'excita- tion directe, soit à l
d'incoordina. tion motrice; elle modifie parfois, en provoquant des contractions musculaires, la démarche classique de l'ataxiqu
charné le long du tronc. Cette atrophie était accompagnée de fortes contractions SYRINGOMYÉLIE. 27S fibrillaires- dans les m
ons SYRINGOMYÉLIE. 27S fibrillaires- dans les muscles affectés, contractions qui aujourd'hui Fi[l, O, 216 6 CLINIQUE NER
ons composées SYRINGOMYÉLIE. ' 279 exclusivement de pus. Il y a contractions vésicales et rectales. L'urètre est perméable.
té sous l'influence du courant entre le moment où l'on observe la contraction minima et celui où on lit le déplacement de l'aig
ique le muscle se contr cccte lentement ; c'est cette paresse de la contraction qui permet de conclure à la dégénérescence des
ou abolie), à la fois ralentie dans sa transmission (lenteur de la contraction indirecte de Erb) ; et que l'excitabilité faradiq
ysiologiques à tel ou tel diagnostic, d'autant que la lenteur de la contraction elle-même n'a pas encore été distinguée de cert
ction dégénérative partielle accompagnée de lenteur indirecte de la contraction {Loewenthal ; paralysie du radial par compressi
d'extension des bras et des jambes. Le rythme et la rapi- dité des contractions rappelaient ceux déterminés par un courant élec
égénération secondaire, il ne peuty avoirdecon- tracture ni même de contraction . A plus forte raison la para- lysie est-elle fl
out d'un coup, au milieu de la nuit, cet homme est réveillé par des contractions spasmodiques 408 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
e de plus près les mouvements du visage, on voit que sur un fond de contraction qui semble permanente, viennent se dessiner de
que les accidents, qui offrent tous les caractères objec- tifs des contractions spasmodiques franches, ont apparu sur un territ
Adaptation musculaire . Nous trouvons en premier lieu une série de contractions des muscles intrinsèques et extrinsèques de l'o
r venir mettre en jeu les noyaux (B) tenant sous leur dépendance la contraction de l'iris, l'accommodation, la convergence. De
convergence (M. eÀtl'lns.), l'accommodation (M. accommodât.) et la contraction irienne (IRIS). Contrairement aux auteurs class
nous avait déjà placé dans la corticalité le point de départ de la contraction menue accompagnant la convergence. Notre opinio
. L'oscillation pendulaire de l'extrémité paralysée indique que les contractions musculaires sont bien plus fugitives que celles
40 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ire des lèvres et sur le masséter. Notre malade ne présente pas les contractions fibrillaires qu'on a quelquefois notées. La con
x deux courants faradique et galvanique. Aux membres inférieurs, la contraction est normale pour tous les mus- cles, sauf le va
urant- faradique, avec le courant galvanique on constate une légère contraction avec 30 milliampères pôle négatif. Pas d'inversio
taient des altéra- tions de l'arc réflexe. Même remarque pour les contractions fibrillaires qu'on disait toujours absentes des
rien sont normaux. Le réflexe abdominal est très affaibli. Pas de contractions fibrillaires. Pas de tremblement. Pas d'incoord
ATROPHIQUB PROGRESSIVE 115 qu'aux membres supérieurs. Alors que les contractions par électrisation du radial se produisent à 100
r les muscles de l'épaule et du bras. A l'avant-bras on n'a que des contractions peu apparentes, se traduisant surtout par des m
ncent à apparaître vers 120. Aux membres inférieurs, on obtient une contraction très nette des jumeaux sous forme de boule décr
ite plus haut avec extension du pied et flexion du gros orteil. Ces contractions n'apparaissent qu'entre 150 et 200. ` Diminutio
loration, qu'elle porte sur le nerf ou sur les muscles, produit une contraction brusque et énergique qui apparaît déjà à 50. En
disparition des réflexes et des réactions électriques, l'absence de contractions fibrillaires forment un faisceau d'arguments cl
êmes difficultés que lorsqu'il s'agit d'ex- pliquer la présence des contractions fibrillaires, l'abolition précoce des réflexes
rgiquement. A la face antéro-externe, le jam- bier antérieur par sa contraction exagère le valgus. La jambe semble avoir une ce
changent guère ou ne se modifient que dans leur intensité. Quand la contraction passe ainsi d'un point à un autre, il s'agit de
le gauche à l'éta t de repos, et plus mou, moins globuleux dans sa contraction . Les deux bras étant en croix, la gouttière qui
excités séparément, répondent aux' interruptions fréquentes par une contraction indépendante. Aux courants vol- taïques, une él
constantes, quelle que soit l'intensité des courants employés ; les contractions musculaires sont brèves et rapides. Le mouvemen
res environ. Dans ce mou- vement comme dans le précédent, une forte contraction musculaire est néces- saire pour maintenir le m
and le malade soulève un objet lourd, l'avant-bras droit fléchi, la contraction du biceps se fait sans douleur dans l'épaule, mai
côté gauche. Dans la flexion de l'avant-bras en demi-pronation, la contraction du long supinateur semble s'effectuer normaleme
grimaces variées. Enfin, il a pris l'habitude de plisser le front, contraction mus- culaire des muscles frontaux qui détermine
s musculaires coopèrent à la conservation d'une position » (2). Les contractions musculaires sont souvent très fortes, et si les t
nique ou tonique, que présente ce dernier. Dans le tic clonique, la contraction est exagérée dans sa vitesse, dans le tic to- n
vitesse, dans le tic to- nique il y a exagération de la durée de la contraction musculaire » (S) ; dans les deux variétés, il d
produisent inopportunément, avec excès ; il y a défor- mation de la contraction normale en vitesse et le geste revêt de ce fait u
ait une apparence clonique, mais il n'y a pas excès d'intensité des contractions musculaires ; les caractères de la contraction
cès d'intensité des contractions musculaires ; les caractères de la contraction musculaire ne diffèrent (1) H. MEME et Feindel,
is semblent diminuer de fréquence. Pas d'apparence convulsive de la contraction . Impressionnabilité extrême ; nerveux, impatien
e clo- nique ou tonique. Il représente une anomalie par excès de la contraction musculaire » (1). D'après cette définition, o
peut dire d'un acte moteur qu'il revêt la forme clonique que si la contraction musculaire a des caractères de brus- querie et
c excès, n'est pas un vrai tic, s'il n'y a pas de déformation de la contraction musculaire normale, soit en vitesse (clonisme),
dans les deux cas, il doit y avoir, en outre, excès d'intensité des contractions musculaires. Sinon, on a affaire à une habitude
l'entourent, mais non pas en intensité puisqu'on ne remarque pas de contractions musculaires excessives de la langue. Chez les c
sives de la langue. Chez les chevaux lécheurs les caractères de ces contractions musculaires ne dif- fèrent pas de ceux que cell
e distinguera de l'acte vulgaire de lécher par la déformation de la contraction normale en vitesse, en fréquence, par sa manifest
qu'il peut entre la joue et la mâchoire. » Malgré sa rapidité, la contraction musculaire n'a pas l'apparence convulsive ; le
et qui sont, selon nous, dignes d'attention. Nous avons en vue la contraction idio-musculaire (Bernstein) (1) et la lésion de
et S. A. Soukhaiiof (`2), étudiant la signification clinique de la contraction idio-musculaire dans les maladies mentales, not
érant qu'une grande partie de nos cas se rapportent au temps, où la contraction idio-musculaire n'était pas recherchée, lors de
lucinatoires. (1) A. Bernstein, Sur la signification clinique de la contraction idio-musculaire chez les aliénés, Moscou, 1900.
UKHANOFF, Contribution à l'étude de la signification clinique de la contraction idio-musculaire dans les maladies mentales, Journ
41 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
appelé à donner des soins a de X... après bien d'autres, crut à une contraction réflexe des masséters produite par l'affection
la bouche ce volu- mineux appareil, elle était pi ise de violentes contractions qui ren- daient douloureuses les arcades alvéol
aver le trouble mental de la ma- lade ; sa contracture ou plutôt la contraction automatique ins- tinctive, reprit de plus belle
hique dé- montre que les stimulations successives d'où résulte la contraction des muscles volontaires, ce « tétanos physiolog
les tiacés djnamographi- ques d'aliénés paralytiques. La courbe de contraction volontaire se pré- sente comme une ligne brisée
l'inconscient. L'apparition fréquente, même à l'état de repos, de contractions fugaces, représente, dit-il, chez ces malades,
voix, un bruit, toute espèce d'impression sensible pro- voquent une contraction des vaisseaux de l'avant-bras et une augmentati
eu en avant et au-dessous, l'application des électrodes a donné une contraction des muscles de la face du côté opposé. Dans q
qui résultent de l'excitation de l'écorce ne sont pas seulement des contractions musculaires, mais des mouvements synergiques co
mouvements des pupilles, pas toujours de même caractère, parfois la contraction , parfois la dilatation. J'ai trouvé que ces mou
lissement de la vue du côté op- posé, il y a eu un certain degré de contraction du champ visuel du même côté. - J'ai moi-même r
Comme le tractus optique est le passage des fibres qui excitent la contraction pupillaire à travers les centres oculo-moteurs
ette réaction diminue. Que l'on provo- que la tétanisation du nerf ( contraction allongée) ou que l'on con- vulsive le muscle en
que l'on con- vulsive le muscle en déterminant la persistance de la contraction musculaire par t'excitation directe de ce derni
citation volontaire. Celle-ci, en effet, se traduit d'abord par des contractions persistantes, puis par des contractions normale
se traduit d'abord par des contractions persistantes, puis par des contractions normales. C'est donc plutôt dans un trouble des
, est assez grand, car il est, au même titre que le relief, dù à la contraction musculaire, mais dans un sens opposé, un signe
sie tous les cas, comme nous le disions plus haut, où il existe des contractions des muscles, 1 Charcot. Leçons du mardi, 89, 5
Béclard avait établi que, en outre du phénomène résultant de toute contraction musculaire, c'est-à-dire de la production de ch
renant la température au travers des téguments, il résultait que la contraction muscu- laire statique, c'est-à-dire celle du mu
ou positif. Béclard en tirait dès lors cette conclusion, que « la contraction musculaire n'est pas une source de chaleur à la
Ar- chives générales de médecine, XVII, 1861. 252 PHYSIOLOGIE. contraction . Quand l'animal est en mouvement, une partie de
sculaire, Solger, Mayerstein, Thiry, Mosso, sont va, au début de la contraction , une légère déviation dans le sens du refroidis
voque bien- tôt le dégagement d'un excès de chaleur. Ainsi, toute contraction musculaire manifeste deux phénomènes de 1 Rev.
scillation négative de la température qui accompagne le début de la contraction musculaire. C'est ce qu'a très bien écrit Tanzi
l, au moins pendant la dernière période d'observation, l'absence de contraction des oreilles que j'avais notée dans une expérie
a citation que Ziehen a donnée de son travail. Il conclut que : les contractions musculai- res toniques sont la résultante de l'
e spécial de la con- traction volontaire, réaction myotonique de la contraction élec- trique, lésions d'hypertrophie fibrillair
sans aucun symptôme qui témoigne d'une altération anatomique. Ces contractions fasciculaires n'envahissent jamais tous les élé-
temps, quoique, dans l'une des observations décrites, il existe une contraction tonique des mollets, en revanche, elles sont co
ignification CLINIQUE DE la réaction IDIOMUSCULAIRE EN bourrelet ou contraction IDIO- musculaire DE SCHIFF; par G. Rudolpuson.
distinguer entre le renflement idiomusculaire vrai, qui tient à la contraction du muscle entier et à la tuméfaction qui tient
eur) renforce les rhythmes pyloriques et provoque assez souvent des contractions généralisées de l'anneau en question. L'excitat
rrête aussi ces rhythmes pylo- riques et provoque simultanément des contractions généralisées de l'estomac en en dilatant l'anne
en dedans une petite fossette arrondie- L'ensemble de toutes ces contractions donne à la physionomie l'air triste et chagrin
nx sont affectés de mouvements spasmodiques évidents et animés de contractions irrégulières d'où dérive le bégaiement. A plusieu
façon générale tous les vices de l'articulation qui dépendent de contractions spasmodiques des muscles phonateurs se développen
mpris dans la catégorie des défauts de prononcia- tion dépendant de contraction spasmodique. Le zézaiement est dû simple- ment
lysie de la jambe droite, sans trouble de la sensibilité, suivie de contraction dans les muscles paralysés. Cet état per- sista
ui se produit quand ils sont extirpés. Marique prouve que les mêmes contractions sont obte- nues par l'excitation électrique des
du pédoncule réunissent ' Voir fig. 122, Fonctions of the Umin, 4 Contraction permanente des hémiplégiques, 1880. Archives, t
42 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
les excitations électriques deviennent impuis-santes à déterminer la contraction des muscles, toujours celle-ci se manifeste sous
ppliqués sur les muscles paralysés ne donnaient pas lieu à la moindre contraction . Le même phénomène s'observe communément dans l
radiques. Le 30 avril (39° jour), la faradisation ne provoque plus de contractions dans les muscles frontal et zygomatique: du côté
degré, l'applica-tion directe serait capable de déterminer encore des contractions alors que l'exploration faite à travers la peau s
ntrerait peut-être impuissante à en produire, ou ne donnerait que des contractions très affaiblies. L'expérience justifie cette prév
bligé de pratiquer l'amputation, Valentin a vu,après l'opération, des contractions , faibles il est vrai, se manifester sous l'influe
ération, ne produisait pas d'effet apparent, tandis qu'il y avait des contractions extrêmement fortes lors-qu'on électrisai t les po
nerf avait été coupé, on pouvait y provoquer, par l'électricité, des contractions très évi-dentes (1). — Sur un cheval vigoureux, o
ua lesréophores d'une pile, d'abord sur le côté sain : il survint des contractions énergiques ; on les appliqua ensuite sur les musc
ensuite sur les muscles du côté opposé et il ne se pro-duisit aucune contraction . Alors on mit à nu les muscles para-lysés et on a
ent, les excitateurs, l'instrument étant gradué au minimum : de vives contractions se manifestèrent (2). On pourrait sans doute aisé
Un voit d'après cela que le galvanisme pourrait accuser encore des contractions dans bien des cas de paralysie, soif rhumatismale
plètes, t. i. 4 au-dessous du point lésé. Il paraît certain que les contractions des muscles, déterminées par l'électrisation, son
rès, j'ai essayé de nouveau l'ap-plication de la pile. Il n'y a eu de contractions dans les muscles de la jambe ni quand j'excitais
ue dénote,elle aussi, dans les premiers jours, un affaiblissement des contractions musculaires ; mais, à partir de la fin de la seco
ation, il se produit dans le membre supérieur de ce côté une sorte de contraction spasmodique qui porte momentanément le bras dans
. Le diaphragme parait, lui aussi, être de temps en temps le siège de contractions analogues. La respiration, par moments irrégulièr
ce est plus profonde qn'hier : c'est à peine si l'on obtient quelques contractions des muscles de la face en pinçant fortement diver
se contracter. L'augmen-tation de la tension du sang consécutive à la contraction vei-neuse serait, dans cette hypothèse, la cause
ssion de mouvements contraires, soustraits à la volonté, mais bien en contractions et relâchements alternatifs des muscles qui sont
1868. server aux parties leur atf i Lucie naturelles^ 1 ). Ici, les contractions musculaires, au lieu de se développer comme dans
e sépare nettement de l'état dans lequel ce ne sont pas seulement les contractions commandées par l'attitude du corps ou par la volo
rminent le tremblement. Dans ce dernier cas, i} existe réellement des contractions involontaires et sans but, excitées incessamment
es, ce qui tient à une sorte de contrac-tion des muscles sourciliers, contraction qui paraît être habituelle et exagère les plis du
ont rapprochées et un peu saillantes en avant, comme s'il y avait une contraction qui les maintienne l'une contre l'autre ; il s'en
37°, 5 au rectum). Vous ne serez pas étonnés, Messieurs, devoir des contractions musculaires aussi énergiques et aussi générales q
à une accumulation de cha-leur des parties centrales. Il s'agit là de contractions musculaires dynamiques. Or, vous le savez, les co
git là de contractions musculaires dynamiques. Or, vous le savez, les contractions musculaires statiques seules, ainsi que l'a fait
deux chefs : les unes statiques, c'est-à-dire avec prédomi-nance des contractions toniques, font monter la température d'une manièr
si que vous pouvez vous en assurer chez notre malade — par une légère contraction , comme convulsive, des lèvres. Quoiqu'il en soi
survenir, sous l'influence d'une irritation des centres nerveux, une contraction très prononcée de ces mêmes canaux (1). L'analogi
lezowki, il y a lieu de supposer que tous ces désordres sont dus a la contraction spsamodique des artères, par places, et à leur di
ièrement à certains groupes de muscles, surtout s'il s'y joignait des contractions fibrillaires, analogues à celles qu'on observe da
a jambe ont subi une atrophie pro-fonde; ils présentent, de plus, des contractions fibrillaires très accusées et répondent mal aux e
rattachée exclusi-vementàla répétition non plus qu'à l'intensité des contractions musculaires toniques, car les convulsions peuvent
e ces expressions passionnées, auxquelles coopèrent non seulement les contractions des muscles du visage mais celles des membres et
43 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
us- cles, fourmillements dans les mains, excitation sexuelle avec contractions saccadées de la vulve et quelquefois spasme vénér
olutions fronto-parié- tales. Cette observation montre donc que des contractions fibril- laires unilatérales et bilatérales peuv
MM. Paviot et Mauriquand pensent qu'il s'agit là d'un phénomène de contraction de défense, le mouvement imprimé ou commandé dé
emblement léger intentionnel, surtout net aux mem- bres supérieurs, contractions vermiculaires de la langue, parésie du facial i
la limite de l'acqueduc de Sylvius et du 3° ven- tricule. Enfin la contraction et la détente du muscle ciliaire s'effectuent l
hes sur le réflexe sca- pulo-huméral il a attiré l'attention sur la contraction réflexe du sous-épineux, etc.,etc. Est-ce un ré
st-ce un réflexe semblable aux autres réflexes cérébro-spinaux ? La contraction dépend-elle de l'excitation méca- nique du musc
ès de la tubérosité numérale, le même coup de marteau pro- voque la contraction de lapo1'lion intérieure du deltoide. Le réflexe
ceinture scapulaire est atteinte. Lorsqu'il est exagéré, souvent la contraction du grand pectoral s'accompagne non seulement de
te des pupilles à la lumière. A la suite d'une lésion de l'iris, la contraction du sphincter irien d'abord déterminée par l'age
des pupilles à la lumière. Dilatation des pupilles à la lumière et contraction des pupilles dans l'ombre. Elle comporte trois
Elle comporte trois espèces : 1° La dilata- tion à la lumière sans contraction préalable (Morselli, Leitz, Silex); 2° La dilat
e des pupilles, par la réaction des pupilles sous l'influence de la contraction de l'or- biculaire. III. Toutes les causes d'er
3° L'acte sexuel total est caractérisé par une rapide alternance de contractions et de dila- tations des vaisseaux du cerveau av
rès accéléré, sur le fond duquel apparaissent de temps en temps des contractions tétaniques des faisceaux musculaires isolés, de
econdes ; dans les autres muscles on observe préférenciellement des contractions plus lentes, se pro- pageant d'un faisceau musc
chronique. La particularité du cas donné consiste dans cela que les contractions variables involontaires des faisceaux musculaires
âcher son verre, son couteau. Quand il descend de son lit, il a une contraction dans les fesses et les muscles postérieurs de l
orcé de déterminer : 10 A quel moment précis les spinaux entrent en contraction dans le pas; 2° quels rôles -ils sont appelés à
côté opposé se contractent d'une façon soudaine et énergique. Cette contraction se maintient du côté oscillant tout le temps de
le centre de gravité du corps en dedans du pied de ce côté; 3° La contraction mi-latérale des spinaux s'accuse par un chan- g
s des bras et des jambes, de mou- vements continus de la langue, de contraction des sourcils, des oreilles, des téguments de la
autre : ces mouvements de balancier en haut sont en rapport avec la contraction rythmique du trapèze et du rhomboïde d'un côté
horée rhythmique de Charcot. 3° En d'autres cas, ils traduisent des contractions rhythmiques séparées d'un groupe de muscles dét
nt d'induction ou par la muscarine provoque un ralentisse- ment des contractions cardiaques ainsi que l'arrêt du coeur en diastc
ssi bien que mon triceps; si j'accentue ce mouvement de flexion, la contraction du biceps augmente tandis que celle du triceps
ment ce mouvement, ni le ré- gulariser avec précision. Désignons la contraction du biceps para, celle du triceps par b ; le pro
rt, de certains ten- dons isolément est en sa faveur. On voyait des contractions se produire sur le sternocléidomastoïdien, le d
côtoie la myoclonie de Friedreich. Ce sujet a aussi pré- senté des contractions spasmodiques en des muscles homonymes, mais ni
t. XV111. ' 23 351 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. simultanéité des contractions . L'absence des réflexes patellaires tient à ce
a, par sa petitesse, occa- sionné des phénomènes d'irritation, d'où contraction irré- sistible des muscles de la mimique de la
uche optique, quelle qu'en soit la nature, peuvent déterminer des contractions des muscles mimiques de la face. A ce titre, ce
mérycisme se produisait. La paroi abdominale ne pré- sentait pas de contraction appréciable lors du début du phéno- mène. A. D.
uence de l'écorce du cerveau et des ganglions sons corticaux sur la contraction de l'utérus de la lapine; par 1V.J. PLOKl1lNSKY
r introduit dans la matrice l'appareil nécessaire à enregistrer les contractions de l'organe (voir le manuel opératoire REVUE D'
quefois un peu en dehors. L'excitation de cette région renforce les contractions utérines indépendantes antérieures, en provoque
, juste au moment où les électrodes touchent larégion indiquée, des contractions rhyth- miques alternatives. L'excitation réitér
ternatives. L'excitation réitérée peut entretenir l'inten- sité des contractions utérines, augmenter la tonicité générale de l'o
and l'organe expé- rimenté est un peu fatigué, et que néanmoins les contractions obtenues sont plus énergiques, il s'ensuit que
antérieure de la couche optique l'existence d'un centre d'arrêt des contractions utérines. III. L'excitation des tubercules quad
. L'excitation des tubercules quadrijumeaux postérieurs a donné des contractions moins vives que celle de la couche optique. Cel
périeurs cérébrospinaux qui peuvent en renforcer ou en entraver les contractions , mais par l'intermédiaire des centres pro- pres
des différents pays et ramène son étude à trois points principaux : contraction du mariage, an- nulation du mariage, divorce.
élire systématisé. Pas d'affai- blissement intellectuel progressif. Contractions idio-musculaires et lésions fréquentes de l'org
242. De l'influence de l'- et des ganglions sous-corticaux sur la contraction de l'utérus de la lapine, par Plokhinsky, 394.
44 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns l'épaule gauche et dans le bras, jamais ailleurs. 11 s'agit t de contractions fasciculaires qu'il est facile d'apercevoir quand
ent l'urine il s'échapper sous forme de jets synchrones à ces mêmes contractions musculaires. Cette femme est hystérique ; elle
le mouvement de latéralité des yeux à droite, la con- vergence, la contraction irienne, la contraction du muscle 1 Dans cet ar
ité des yeux à droite, la con- vergence, la contraction irienne, la contraction du muscle 1 Dans cet article nous aurons en vue
i, par l'excitation de cette région, obtinrent chez les animaux des contractions de l'orbiculaire du côté opposé. On peut mettre
ts étudiés plus haut (mouvement réflexe de-latéralité, convergence, contraction irienne de la vision rapprochée, accommodation)
lète du cerve- let : 1° les tracés de la marche ; 2° les tracés des contractions mus- culaires. L'étude de ces tracés, à l'aide
les ligaments larges de fibres musculaires lisses, admettent une contraction périodique de ces fibres, entraînant à la fois
aussi la fécondation; d'ailleurs, nous ne voyons pas la cause de la contraction des fibres muscu- laires. 11 est certain que
lents possibles de la crise comitiale. XXX. Un cas de spasme avec contraction hémiplégique sans paralysie; par Gmnaccn Stewar
que et non sur le manche de l'électrode, sous peine de croire à une contraction tandis qu'on déplace presque inévitable- ment l
apparaît déjà nettement dès le douzième jour. On observe alors des contractions lentes ; quelques jours plus tard elles se mont
ue directe au point désigné supra. M. W... ajoute avoir observé des contractions de l'élévateur dès le seizième jour après la pr
mpère, dans la force duquel on n'est limité que par l'apparition de contractions dans l'orbiculaire des paupières. A partir du qua
ourant de 0,03' milliampère, fourni. par trois éléments, produit la contraction minima. Fermez à la cathode et vous avez le plu
ima. Fermez à la cathode et vous avez le plus aisément du monde une contraction . Des cou- rants plus forts se traduisent par un
de une contraction. Des cou- rants plus forts se traduisent par une contraction à l'ouverture à l'anode. Quelques jours plus ta
l'ouverture à l'anode. Quelques jours plus tard apparaît aussi une contraction à la fermeture de l'anode; elle est déjà bien p
z longtemps. Au bout de huit mois on parvient encore à produire des contractions , mais elles devien- nent graduellement plus fai
c les plus forts courants utilisables de 1,4 milliampère; -' GO Les contractions sont toujours d'une lenteur distincte, mais pas
s qu'on le voit dans les para- lysies périphériques. La durée d'une contraction maxima est de 0,50 seconde le vingt-cinquième o
e augmente et peut atteindre 3 millimètres. '7° On peut obtenir des contractions de l'éléva- teur dans les cas de-moyenne gravit
de l'oculomoteur commun. Dans les cas légers on ne peut produire de contractions quand la maladie dans son ensemble a une durée
r une paralysie fasciculaire ou nucléaire, il n'a pu être obtenu de contraction de l'élévateur. Pas de contraction non plus dan
léaire, il n'a pu être obtenu de contraction de l'élévateur. Pas de contraction non plus dans un cas de blépha- roptose congéni
irecte d'un muscle de l'oeil paralysé. La lenteur indubitable de la contraction ne peut vaincre la tonicité des muscles sains.
forme parfois à l'endroit de la percussion, en même temps avec la contraction librillaire habituelle ou en dehors de celle-ci,
viculaires à l'inspi- ration pendant laquelle on ne constate pas de contraction des muscles respirateurs de la ceinture thoraci
es injures que l'on m'adresse. » Elle ressentait au même moment une contraction épigastiique, mais la langue ne remuait pas.
et aussi des mouvements réflexes des membres toutes les fois que la contraction musculaire est cause du mouvement ; 2" La notio
'est ici semble-t-il la perception des variations d'intensité de la contraction musculaire qu'on doit surtout considérer. Notre m
sidérer. Notre maître le professeur Pitres a dit à ce propos : « La contraction d'un muscle est accompagnée d'une sensation tou
rtige paralysant) et le koubisaguira japonais. P. KËRAVAL. LVHL Des contractions de l'estomac, de l'intestin et de la vessie pen
strement des phéno- mènes : 1° Pendant l'attaque, il se produit des contractions sto- macales, intestinales et vésicales qui, d'
s ; elles se limitent principalement au cardia et au pylore. 3u Les contractions de l'intestin grêle, du gros intestin et de la
essie paraissent d'ordinaire au début de la période tonique. 4u Les contractions intestinales et vésicales sont très fortes ; el
et vésicales sont très fortes ; elles ont le caractère d'une longue contraction spasmodique, surtout en ce qui concerne le pros i
ui concerne le pros intes- tin et la vessie. - 5° Entre deux fortes contractions et aussi après la cessation de toutes les contr
deux fortes contractions et aussi après la cessation de toutes les contractions produites par l'attaque d'é- pilepsie, a lieu,
s fécales, si fréquente pendant l'attaque, résulte a la fois de ces contractions et de la pression exercée sur l'intestin et la
alogie entre les convulsions épileptiques des muscles striés et les contractions stomacales, intestinales et vésicales dé l'attaqu
ession pendant le sommeil. Mais Gowers a signalé les paralysies par contraction vive du triceps, pendant une extension soudaine e
vert par le ventre musculaire du vaste externe du triceps. A chaque contraction de ce muscle, le radial est donc comprimé sur l
le radial peut être comprimé entre l'os et ce muscle. Et bien, les contractions violentes et soudaines des mus- cles pendant un
ent dans le bras. Il faut, par exemple, que soudain se produise une contraction du triceps pendant que les muscles de l'avant-b
le. Toute préoccupation, surtout chez les prédisposés, entraîne une contraction du sphincter. De là, épreinte, lourdeur, douleu
de Bechterew, 423. Trai- tement médical de l' - pai Huches, 425. Contraction de l'es. tomac dans l' -, par Ossipow, 488. P
45 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
ucoup moins accen-tués quant à la généralisation et à l'intensité des contractions . Il, est remarquable aussi que l'excitation physi
intense du membre du côté opposé suffisent pour mettre obstacle à la contraction du triceps cru-ral. Vous voyez qu'il s'agit ici d
de vue même de l'interprétation clinique, l'analyse graphique de ces contractions musculaires réflexes, qui, dans l'état pathologiq
ain. Le temps-du réflexe est de 40 millièmes de seconde. La courbe de contraction a la forme normale. existe entre la contraction
conde. La courbe de contraction a la forme normale. existe entre la contraction réflexe du triceps crural du côté de l'hémiplégie
e représente les variations du raccourcis-sement du muscle pendant la contraction . La seconde ligne, coudée vers la gauche, indique
lièmes de seconde. La courbe musculaire est beaucoup plus élevée ; la contraction est plus brusque, et de forme différente. (Dicrol
ut de^6 millièmes de seconde seulement, En outre, l'amplitude de la contraction est de beaucoup supérieure, du côté malade, à ce
« Fait remarquable, dit Fouquier, la noix vomique peut dé-terminer la contraction des muscles paralysés, sans atteindre les parties
sculaire. C'est, on n'en saurait douter,un phéno-mène comparable à la contraction normale; seulement c'est une contraction durable,
n phéno-mène comparable à la contraction normale; seulement c'est une contraction durable, permanente. Cette persistance même de
pendant plus de trente mi-nutes debout sur la pointe des pieds par la contraction des muscles jumeaux. Au contraire, la contracture
chimiques de nutrition dont un muscle est le siège pendant l'acte de contraction . 3° Il existe cependant un phénomène qui, sans
comme les sphincters par exemple, sont manifestement dans un état de contraction permanente, et qu'il en est de même, à un moin-dr
isparaît que lorsque le nerf moteur correspondant a été sectionné. La contraction tonique du muscle se traduit encore comme l'a mon
% la quantité contenue dans le sang veineux à la sortie du muscle en contraction n'est repré-sentée que par 4, 28 °/0. Quand, le n
rappellerai que, pour expliquer ce fait paradoxal en apparence d'une contraction permanente, indéfinie du muscle, M. Onimus a prop
rte que les uns se repo-seraient tandis que les autres entreraient en contraction . Cette hypothèse de M. Onimus a été sanctionnée
ois ajouter que, d'après les renseignements de la phy-siologie, cette contraction légère mais permanente des mus-cles, qu'on appell
le de relever un certain nombre de faits qui tendent à établir que la contraction permanente des muscles, dans le cas de contractur
ode de l'activité réflexe spinale qui, à l'état normal, entretient la contraction musculaire permanente connue en physiologie sous
bout de deux ou trois secondes seule-ment. La nature réflexe de cette contraction est bien évidente, attendu que tout effort de vol
connu sous le nom de tonus et dont l'expression physiologique est une contraction légère et permanente des muscles. Dans l'état pat
ns l'état pathologique, ces mêmes excitations se traduiraient par une contraction également permanente, mais très intense, re-prése
cannes, marche littéralement sur la pointe des pieds, par suite de la contraction exagérée des gastrocnémiens. Son corps se penche
ingue, en certains points, un frémissement cutané correspondant à des contractions fibril-laires spontanées et passagères; en outre,
46 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
urs, avec retentissement dans les bras ; elles s'accompagnent d'une contraction qui a pour effet de rapprocher les bras du tron
égion antérieure, le courant est senti ; mais il ne provoque pas de contractions . Même résultat à la cuisse gauche. Jambe droi
contracte pas; la sensibilité est faible à la région péronière, la contraction des muscles y est assez forte pour porter le pi
ant- bras les muscles se contractent assez fortement ; absence de contractions aux régions thénar, hypothénar et interosseuso.Le
acte bien. Les muscles de la région postérieure se contractent peu. Contraction énergique dans le biceps, assez forte dans le t
le biceps, assez forte dans le triceps. Membre supérieur gauche : contractions énergiques aux régions thénar et hypothénar, fa
iables dans le vaste externe et le droit antérieur. Du côté gauche, contractions énergiques dans le vaste interne; le vaste exte
intervalles, le siège de douleurs lanci- nantes qui déterminent des contractions involontaires. Les membres supérieurs ne présen
égion postérieure de l'avant-bras où la faradisa- tion provoque des contractions d'une intensité presque nor- male. Les douleurs
uellement âgée de vingt-six ans, fut, à l'âge de sept ans, prise de contractions convulsives dans les muscles des mains et des b
e faire de nou- veaux progrès. Voici quel est son état actuel : les contractions spasmodiques sont continuelles, non successives
côté droit, et porte par conséquent la tète à droite; cependant les contractions des deux côtés sont assez rapidement alternante
it légèrement de la périphérie au centre ; inversement, il délie la contraction musculaire, s'il est conduit du centte à la pér
'aide des points de fixation anatomique, d'où con- sécutivement une contraction modérée mais continue, tandis que le réflexe te
aient perdu davantage, se con- tractaient moins, mais cependant les contractions y étaient encore manifestes. L'évolution de la
ité des muscles atrophiés n'était pas exagérée; il n'y avait pas de contractions librillaires. B. M. Donnel ' communiqua à l'A
dents, la langue est projetée en dehors et même déchirée lorsque la contraction des masséters est trop brusque (Obs. IV). Les m
mités comme précédemment à des groupes musculaires iso- lés ; les contractions portent le plus souvent sur l'en- semble des mu
l'inner- vation, cet enfant était pris de mouvements bizarres, de contractions musculaires involontaires qui le jetaient en av
- plexus assez spécial quoique assez varié, la prédo- minance des contractions dans un groupe musculaire donnant à la physiono
ennent de nouvelles secousses. Il faut dire que ce sont surtout les contractions musculaires limi- tées, soit à la face, soit à
igence avec leur maladie. N'oublions pas toutefois qu'il existe des contractions dans certains groupes musculaires qui peuvent ê
, et, parfois, en même temps que cette projection, il survenait des contractions telle- ment brusques des masséters, qu'à plusie
. Mais, de même qu'il peut exister, dans la chorée de Sydenham, des contractions des muscles de la face ou des membres, indépend
'il y a dégénérescence, mais son absence ne prouve rien. Quant à la contraction paradoxale, il serait pré- maturé de vouloir lu
ssante. Une longue action de ce genre se réfléchit sous la forme de contraction du triceps fémoral ; - 3° comme maintenant, d'a
vrais réflexes2, car le heurt d'un tendon provoque souvent avec la contraction du muscle correspondant des convulsions légères
cas analogue, en pratiquant l'élon- gation du nerf facial pour des contractions delà face. Bernhardt3 (1882, à Berlin) fait par
opéra un vieillard de soixante- dix ans atteint de névralgie et de contractions de la face; le nerf sous-orbitaire fut étiré à
ngation du sous-orbitaire chez une femme atteinte de névralgie et contractions convulsives de la face; guérison. Quinquaud (18
r considère la traction des nerfs comme inutile. Berridge1 (1881) : Contractions douloureuses des muscles de l'extrémité inférie
le droit), sont peu ou point accusées dans les muscles de la jambe; contractions irrégulières du droit de l'abdomen. Dans le déc
ans le long supina- teur de l'avant-bras. Il se produit parfois des contractions du grand dentelé. Intégrité complète des muscle
sur le carré des lombes et le grand fessier, on ne provoque pas de contraction répétée, le phénomène de la hanche ne se produi
l'idée de la chorée électrique, parce que, dans cette maladie, les contractions ont la spontanéité de l'éclair, les muscles de
47 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
isse et la rotation du pied en dehors, qui sont l'effet naturel de la contraction du muscle psoas-iliaque existaient ici d'une mani
é par suite de la rotation du fémur, et consé-quemment sollicité à la contraction , d'où, la flexion de la cuisse : la partie de l'a
ureux, des élancemens : je n'ai pas noté s'ils étaient accompagnés de contractions spasmodiques ou crampes: cela doit être, d'après
du travail ; mais les eaux ne se sont écoulées que peu-à-peu à chaque contraction utérine. C'est le sommet de la tête qui s'est pré
r corps étrangers engagés dans ce conduit; i° par compression; 3° par contraction spasmodique ; 4° Par affaiblissement ou paralysie
at d'un vice de conformation, ou bien reconnaîtrait-il pour cause une contraction spasmodique permanente, limitée à un anneau ou à
é le mouvement péristaltique et antipéristal-tique de l'estomac et la contraction du pylore; il est même probable que cette contrac
l'estomac et la contraction du pylore; il est même probable que cette contraction du pylore doit être un des obstacles les plus pui
irconstance peut bien être tenue en ligne de compte dans un cas où la contraction péri-staltique de l'intestin est plus ou moins en
venait sortir par l'anus. Des coliques violentes, c'est-à-dire des contractions spasmodiques du canal alimentaire ont le plus sou
erises sont devenus extrêmement difficiles à expulser, attendu que la contraction de l'intestin avait pour effet de faire glisser c
causes de l'hypertrophie, le fait du déplacement de l'intestin, de la contraction du sphincter sur les parties déplacées, de l'irri
, pendant la durée desquelles on sent des bosselures produites par la contraction des intestins. Bientôt, pouls petit, hoquets, vom
nt, il y avait en effet une grande analogie entre le caractère de ces contractions intestinales destinées à expulser le corps étrang
xpulser le corps étranger formé par les matières fécales et celui des contractions utérines. Le seul moyen de remédier à ces horri
é infundibuliforme à base très large, toujours béante et incapable de contraction . Aucun suintement purulent n'avait lieu par l'anu
rtériel dans une partie sont cause de gangrène: ainsi la faiblesse de contraction du cœur, coïncidant avec un obstacle léger à la c
e contraste qui existait entre la petitesse du pouls, k ^aiblesse des contractions du cœur d'une part et la violence de l'impulsion
atouillement de la plante des pieds, quoique non perçu, détermine des contractions musculaires ; le malade éprouve souvent des cramp
imultanément pour chasser le sang dans le système artériel, que cette contraction s'accompagne d'une percussion ou pression du sang
e plus aréolaire encore que celle du ventricule gauche; la vigueur de contraction du ventricule gauche est la raison anatomique et
nts des parois du cœur, la distension dont elle est le siège à chaque contraction devient une cause incessante d'irritation, et des
'elle adhère au cœur, cette membrane lutterait efficacement contre la contraction si puissante des ventricules, et retiendrait le c
ricarde, la gêne que détermine dans les battemens du cœur adhérent la contraction de ce muscle. Mais cette circonstance ne rendrait
ée est efficace dans l'asthme par spasme bronchique, c'est-à-dire par contraction spasmodique des fibres musculaires qui entrent da
rendre compte de la déchirure du tissu du cœur sous l'influence d'une contraction un peu vive de cet organe , d'une gêne quelconque
les fibres du cœur ne sont pas épuisées chez les vieillards ; non, la contraction du cœur n'est pas faible, et sa nutrition n'est p
ison ventriculaire. Quant à la question de savoir si c'est pendant la contraction des ventricules, ou pendant la contraction des or
savoir si c'est pendant la contraction des ventricules, ou pendant la contraction des oreillettes qu'a lieu la perforation, il impo
tion, il importe peu d'admettre avec M. Pigeaux, que c'est pendant la contraction de l'oreillette, c'est-à-dire pendant la diastole
-dire pendant la diastole du ventricule, ou bien que c'est pendant la contraction ou systole du ventricule, car la résistance qu'op
on ou systole du ventricule, car la résistance qu'oppose le sang à la contraction du ventricule peut entraîner la rupture de la por
plus ou moins étroit, et que ce pédicule a été déchiré par suite des contractions du cœur et du mouvement du sang qui les suit : do
eurs bords libres, adhérence qui eût sans doute été complète, sans la contraction incessante du ventricule droit, projetant le sang
stacle apporté par le rétrécissement, et s'hypertrophie en raison des contractions énergiques qui résultent de l'obstacle : aussi da
être gênée sans être empêchée au moins d'une manière notable, mais la contraction de l'oreillette devait être impossible : il résul
oreillette devait être impossible : il résulte donc de ce fait que la contraction et la dilatation de l'oreillette droite ne sont p
es du sujet ; il n'exprime plus qu'un état local, savoir, la gêne des contractions du cœur étreintpar un liquide incompressible dans
souffrances. Point de paralysie du mouvement. De temps en temps, contraction convulsive des muscles de la face, accompagnée de
en fer, A 20 ans, diminution de la vue de l'œil droit. A 21 ans, contractions convulsives de la joue gauche, pendant lesquelles
lesquelles la commissure du même côté se rapproche de l'oreille. Ces contractions se renouvellent trois fois à de courts intervalle
à de courts intervalles— Saignée au pied. — Un mois après, nouvelles contractions à la même joue. — 16 sangsues aux apophyses masto
sont inutilement employés. Son état s'aggrave même sensiblement, les contractions xxvie livraison. i spasmodiques de la joue ga
i alternent avec des douleurs non moins vives à la cuisse gauche. Les contractions ne sont plus limitées à la face, mais s'accompagn
dité s'explique par la compression du nerf auditif : effet direct. La contraction convulsive des muscles de la joue gauche n'a eu l
inférieurs étaient dans un état de rigidité paralytique? pourquoi la contraction permanente des muscles fléchisseurs? Ces différen
embarras plutôt qu'un moyen de locomotion. Par contre , il y a des contractions involontaires, des sautillemens très douloureux e
sur la région sacrée, et ces eschares firent de rapides progrès. Les contractions douloureuses, qui devinrent de plus en plus fréqu
sie du mouvement volontaire; 4° flexion permanente avec rigidité ; 5° contractions et sautillemens spasmodiques extrêmement douloure
e i833, et qui avait appartenu à un vieillard mort de paraplégie avec contraction . Chez ce sujet, la moelle épinière était comprimé
des nerfs sciatiques. L'immobilité est douloureuse, aussi bien que la contraction musculaire. La malade ne peut pas rester en place
rminée par la douleur. En un mot, il n'y a paralysie que parce que la contraction musculaire est douloureuse. Cela est si vrai que,
, engourdie, douloureuse à la pression, douloureuse par l'effet de la contraction musculaire. Le genou est la limite de la douleur.
s sont douloureux et par le fait de la pression, et par le fait de la contraction volontaire ou non volontaire, et par le fait d'un
rt de volonté peut dans la première période de la maladie produire la contraction musculaire, mais bientôt la douleur est telle, qu
erreur; car l'action de gratter, le pincement, peuvent déterminer des contractions musculaires très prononcées dans la région où s'o
est pas complètement paralysée: tous les muscles sont susceptibles de contraction ; mais les mouvemens sont extrêmement limités et
leurs dans l'état naturel. Réflexions. Ainsi, rigidité, immobilité, contraction musculaire très limitée et pour l'étendue et pour
ieurs, sous peine de recevoir les coups les plus violens. Les mêmes contractions spasmodiques involontaires se manifestaient lorsq
nte des pieds, triomphant de la volonté de la malade, déterminait des contractions brusques et vives dans ces mêmes membres inférieu
la selle, pour uriner ; ce n'est qu'à grand'peine et à la suite d'une contraction volontaire très forte des muscles abdominaux, que
les urines dans l'urinoir: l'expulsion des urines se fait donc par la contraction de la vessie, sans l'intervention de la volonté;
violence, que les talons viennent s'appliquer contre les fesses : ces contractions ou crampes se font sans douleur; pendant les prem
ie. (1) Quelquefois des douleurs très vives sont développées par la contraction spasmodique, involontaire avec ou sans secousses
ques, tantôt un mouvement léger des orteils, d'autres fois une simple contraction fibril-laire des muscles, d'un muscle, de quelque
du sentiment, les nerfs du mouvement correspondans produisissent des contractions sans l'intervention de la moelle ? Toujours est
jamais la moelle altérée dans son organisation n'a pu perLiettre des contractions aussi éner-« giques que celles que présentent vos
u même degré que le mouvement. Je ne mentionne pas la rigidité ou les contractions des membres comme un caractère propre au ramollis
e qu'il n'est pas la suite d'une douleur perçue, et les phénomènes de contraction paraissent se passer dans le membre par suite d'u
une large base, ne pouvait par conséquent faire soupape, et dans les contractions de la vessie s'appliquer contre l'orifice vésical
disposition représentée fig. F, en admettant que dans les efforts de contraction vigoureux, nécessaires pour l'expulsion de l'urin
toutes les demi-heures.) La malade tombe dans un profond sommeil. Les contractions spasmodiques s'éloignent; elles cessent dans la j
Le 23 novembre, on observe que les membres paralysés sont le siège de contractions qui sont extrêmement rapprochées. Les urines et l
seur en même temps qu'elles se ramollissent, et deviennent aptes à la contraction . L'hypertrophie de l'utérus est générale lorsqu
48 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e la face est nor- maie. mais la mimique est lente. On constate des contractions librillaires de la langue ; le malade vaccillu
autrui me fait une impression désa- uréable, qui provoque une forte contraction des paupières et des '10 CLINIQUE MENTALE. mu
res et des '10 CLINIQUE MENTALE. muscles du globe oculaire et des contractions cOl/vulsivcs mes //en.c se troublent, ne réagis
i provoque en moi une sensation désa- gréable qui apparaît dans une contraction très forte et (1) W. DECUTËREW. -Revue de f'c ?
trémité soit terminée,à une soudaine résistance qui résulte de la contraction réflexe des fléchisseurs ; on vainc -cette résist
t par les talons, on percute, les 2e et 3° lombaires, on obtient la contraction simultanée des semi-membraneux et semi-tendineu
ompagnée de clonis- me, le réflexe lombo-fémoral se traduit par des contractions clo- niques des muscles de la jambe ; ainsi en
t supiné. La pronation qui se manifeste dépend certaine- ment de la contraction du carré pronateur. On peut l'obtenir en frappa
rappant sur le condyle in- terne de l'articulation du coude, par la contraction du rond pro- nateur, mais ce réflexe a moins d'
; des convulsions toniques continues dans les muscles du cou ; des contractions convulsivesdcs muscles des lèvres ; une légère
ant qu'on en puisse grouper toutes les formes dans un même cadre. Contractions associées paradoxales dans une ancienne paralysie
auche ; crémastéricn, faible des deux côtés. Pas de clonus, ni de contractions fibrillaires. Troubles sphinctériens : Une cert
que celui des moitiés des rétines qui voient, s'ac- compagne d'une contraction pupillaire très prompte et très nette. Bien que
la convergence est généralement prompte quoiqu'un peu lente, et la contraction présente un degré nor- mal. L'immobilité réfl
EDDOEUS, la triple fonction des yeux, convergence, accommodation et contraction pupillaire concomitante, est com- mandée par le
soit des antagonistes, soif d'autres mus- cles plus éloignés. Cette contraction se prolonge près d'une minu- te ; on peut l'att
s brachial, le grand pectoral, le trapèze : 1. L'onde musculaire ou contraction idiomusculaire, constitue un signe de réaction
ent au-dessus de la surface du muscle en un point limité ; c'est la contraction partielle ou raccourcissement des fibres au lie
! Enfin voici deux observations. Celle de Meinertz concerne des. contractions librillaires parcourant tout le système musculair
jusqu'à ces derniers temps. Pas de troubles trophiques, quelques contractions fibrillaires ; les réflexes ne sont pas sensiblem
u masséter, et un malade atteint de spasme clonique accompagné de contraction paradoxale des peauciers et zygomatiques dans l
, arrêter l'éructation bruyante. Le hoquet se traduit alors par des contractions douloureuses dans l'épigastre. Après la sixième
; d) dans ces spasmes partiels, lepalpébro-labialpar exemple, la contraction volontaire, c'est-à-dire la fermeture voulue de l
à-dire la fermeture voulue de la paupière entraîne immédiatement la contraction involontaire de la commissure labiale, qui s'él
ale, qui s'élève malgré la volonté du sujet ; et réciproquement, la contraction volontaire, c'est-à- dire l'élévation de la com
issure labiale, entraîne la demi- fermeture de ]'oeil du même côté, contraction absolument involontaire, et qui n'existe nullem
du et l'intensitéde l'excitation ; 2° relation entre la force de la contraction et l'intensité de l'excitation. C'est sur la pre-
e telle sorte que chaque jambe soit fléchie à 90° sur la cuisse. La contraction des quadriceps est enregistrée avec un myograph
bour peu sensible permettant alors de comparer les intensités de la contraction . Comme percuteur, nous nous servons de mon réfl
tensité du choc; le temps perdu diminue, depuis le seuil jusqu'à la contraction la plus intense ; au contraire, chez un sujet q
ation ; ainsi le supplément d'appel d'air qui peut résul- ter d'une contraction normale de ce muscle est supprimé. D'au- tre pa
ion et la miction deviennent plus aisées (par suite de la meilleure contraction du diaplirabme).L : nfir, la vie ne tarde pas à
hir la jambe sur la cuisse avec un léger effort, on constate que la contraction du jambier anté- rieur produit « un mouvement a
frappe la lèvre supé- rieure ou inférieure, on voit, en outre de la contraction lut61 ? 1lIt'lII' de l'orbirulaire des lè\ 1'1"
nt à chaque pas dans la marche normale surun plan horizontal. Cette contraction eL unilaLéralc et se produit du côté du membre
e de gravité du corps en dehors du pied 1)4)1-tzlllc sur le '01. La contraction unilatérale de la masse aC : l'o-lomhail'e s'accu
essive nnélopalhique avec abolition des rullew·slentlint·us. Pas de contractions tibril- lail'es. [)t"huL appal'ellt il J a 3 an
ain. Les muscles ne paraissent pas atrophiés. Il présente aussi une contraction des muscles de la partie pn,,(é- rieure de la c
isse qui fléchissent fortement la jambe sur la cuic ? Pa ! 'fuisIes contractions de ce genre peuvent se généraliser plus ou moin
. Pre- mier belge de neurologie et de psychiatrie, p. 250, 369. Contractions . Voir Purur(sir. Contracture faciale. Voir On
terots, p. 40. alterne hnl- bo-protttbérnntielle, par Sou- ques. Contractions associées paradoxales dans une an- cienne fac
49 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
n état de spasme permanent. La volonté ne modi-fie pas aisément cette contraction permanente, et l'émission involontaire des urines
produit là, en conséquence, un acte qui a pour effet de déterminer la contraction permanente des muscles uréthraux, mais qui peut ê
phénomènes se succéder et alors la dilatation spasmodique précède la contraction paralytique1. Ce sont là aujourd'hui du même re
t, de temps à auire, sponta-nément, dans les muscles de la îiain, des contractions fibril-laires qui communiquent aux doigts de lége
asses musculaires y sont atrophiées à peu près uniformément partout ; contractions fibrillaires très prononcées. — fait très régul
— Progressive muscular atrophy accompagned by mus-cular Rigidity and Contraction of Joints : examination of the Brain and spinal C
a-trophie progressive, envahissante, des masses musculaires; — b) les contractions fibrillaires qui se montrent surtout dans la péri
re partie d'entre elles; les déviations dans la règle, sont dues à la contraction spasmodique de certains muscles, à une vérilable
une atrophie profonde et devenaient, sur certains points, le siège de contractions fibrillaires très accusées. En dernier lieu, les
istence de douleurs vives et de four-millements dans les membres, les contractions fibrillaires, l'embarras de la parole et de la dé
ties du muscle correspondant, qui sons cette influence entreraient en contraction . M. Joll'roy (Gazette médicale, 1875, et Société
et une consistance en quelque sorte proportionnés à l'intensité de la contraction spasmodique dont ils sont le siège. IL C'en e
sou-levée pour ainsi dire incessamment, d'une façon rythmique, par la contraction brusque et involontaire des muscles anté-rieurs d
e muscles, ceux surtout des extrémités su-périeures, sont le siège de contractions fibrillaires extrêmement accusées. Ces contractio
sont le siège de contractions fibrillaires extrêmement accusées. Ces contractions sont surtout remarquables aux avant-bras et aux m
sur sa face postérieure. L'excitation électrique détermine ces mêmes contractions fibrillaires d'une ma-nière plus prononcée encore
s contractions fibrillaires d'une ma-nière plus prononcée encore. Ces contractions fibrillaires sponta-nées ou provoquées se remarqu
arquait ni déformations atrophiques des divers groupes de muscles, ni contractions fîbrillaires. Les pieds présentaient toujours la
ils sont notés, surtout celui du côté gauche, comme étant le siège de contractions fibrillaires remarquables par leur spontanéité, l
che. —Le mouvement de diduction des mâchoires paraît impossible. — La contraction des muscles masticateurs est peu énergique, aussi
au même degré que les deltoïdes, le moindre attouchement y ramène des contractions fibrillaires, quand elles ne s'y montrent pas spo
Les masses musculai-res, celles des mollets surtout, sont le siège de contractions fibril-laires abondantes. — L'examen faradique de
particulier, paraît très sensible à l'excitation électrique. Mais la contraction musculaire ne se produit pas partout avec ses car
masses muscu-laires y sont cependant, çà et là, le siège de quelques contractions fîbrillaires. Enfin, les mouvements de préhension
la partie antérieure de la cuisse et ceux du mollet sont le siège de contractions fîbrillaires. Des contractions fîbrillaires s'o
e et ceux du mollet sont le siège de contractions fîbrillaires. Des contractions fîbrillaires s'observent aussi sur la partie cer-
a face dorsale est encore parfaitement lisse et on n'y observe pas de contractions fibrillaires. Seuls, ses bords sont en certains p
est à 32. Les inspirations sont très pénibles, et accompagnées d'une contraction énergique des sterno-cléido-mastoïdiens et des sc
28. Les inspirations sont de plus en plus pénibles et accompagnées de contractions éner-giques des muscles sterno-mastoïdiens, scalè
xistence de douleurs vives et de fourmillements dans les membres, les contractions fibril-laires, l'embarras de la parole et de la d
50 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
s muscles paralysés qui, à l'état de veille, ne pouvaient être mis en contraction par la volonté, pouvaient l'être pendant l'hypnos
tc., réalisent, en dehors de la volonté du sujet, des mouvements, des contractions , des altitudes complexes; le corps se met à l'uni
des sensations, des représentations, ou le mouvement des membres, la contraction des vaisseaux, la sécrétion de sucs spéciaux, etc
ourant interrompu, de chacun des nerfs sciatiques, provoque de fortes contractions tétaniques dans les muscles de la patte correspon
s deux nerfs, l'on verra que ce n'est que la patte B qui sera mise en contraction , c'est-à-dire celle dont le nerf a été directemen
endroit où a été faite la ligature, ne provoque plus alors la moindre contraction de la patte, tandis que l'excitation du nerf, ent
n du nerf, entre la ligature et les muscles de la patte, provoque une contraction nette des muscles. Il est évident que l'excitatio
tique vivant, dont l'excitation par un courant interrompu provoque la contraction des muscles de la patte, et que, l'ayant coupé vi
itation du nerf, aa-dessus du point de section, ne provoquera plus de contraction , tandis que la môme excitation, appliquée au-dess
excitation, appliquée au-dessous de l'endroit de la section, donne la contraction en pleine forme. De tous ces faits résulte avec
gouvernent les muscles des bulbes pileux de la peau et qui, par leur contraction , provoquent cet état particulier de l'épiderme.
ue une diminution nette dans le volume du bras ou du pied, grâce à la contraction de leurs vaisseaux sanguins. Cette diminution ne
ar exemple, la solution d'un problème d'arithmétique, a pour cause la contraction provoquée dans les muscles des parois des vaissea
tabilité neuro-musculaire de la période léthargique, c'est-à-dire les contractions et les contractures produites par la simple excit
la période cataleptique, thyperexcitabitité cutanée, c'est-à-dire les contractions et les contractures provoquées par la simple exci
ode somnambuliqite. Nous avons nettement constaté ces phénomènes de contraction et de catalepsie dans un cas typique d nystéro-ép
cubital, du médian, etc. La rapidité avec laquelle se manifestent les contractions et l'intensité qu'elles acquièrent en raison dire
le phénomène de Vhyperexcilabitité neuro-musculaire, je veux dire les contractions et les contractures, on procède à une excitation
r les muscles, sur les tendons et sur les nerfs, provoquant ainsi les contractions des muscle» ou des faisceaux musculaires, aussi b
n fait agir sur les muscles et sur les nerfs est faible et fugace, la contraction musculaire sera de même faible et fugace, à l'ins
ontraction musculaire sera de même faible et fugace, à l'instar d'une contraction etotenique ; si, au contraire, elle est lorie et
ique ; si, au contraire, elle est lorie et prolongée, nous aurons une contraction forte et prolongée sous la forme d'une vraie cont
timulant mécanique direct : l'hyperexcitabilité cutano-musculaire, la contraction musculaire paradoxale dans l'état de veille. Et c
o-musculaires des diverses périodes de l'hypnotisme, c'est-à-dire les contractions et les contractures par excitation mécanique, sur
M. le professeur Tillaux, qui était présent, constatait avec moi les contractions violentes de l'utérus et les efforts de propulsio
ffrir, qu'elle ne souffrait pas et que bientôt, après Irois ou quatre contractions de la matrice et quelques efforts, l'accouchement
expulsion est douloureuse, surtout chez les primipares. Les dernières contractions de la matrice et les efforts de la malade furent
l'accouchement, l'utérus se contractait d'une façon continue avec des contractions intermittentes plus accusées au palper abdominal;
ntractions intermittentes plus accusées au palper abdominal; mais les contractions n'étaient pas douloureuses, au dire de la malade.
sont dues par exemple à un effort de toux, à un faux mouvement, à une contraction musculaire pour aller à la selle, et qui de nous
un œil exercé. J'ai eu l'occasion de signaler l'alternance rapide de contraction et de dilatation pupillaire chez les personnes hy
ouper trois incisives; mais, dès que j'approchais mon instrument, une contraction nerveuse lui fermait la bouche de telle façon que
rir, et malgré toute sa bonne volonté elle ne pouvait combattre cette contraction nerveuse spasmodique. Après plusieurs tentatives
l'endors et lui fais la suggestion qu'elle n'a plus de douleurs ni de contractions , que tout est arrêté et qu'elle n'accouchera que
suggère qu'elle va accoucher sans douleur et assez promptement. Les contractions avec efforts pour l'expulsion ont lieu, en effet,
se fait assez promptement, en moins d'une heure. Au moment des furies contractions expullrices « concassantes », elle fait mine de s
51 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
voit une foule de petites ouvertures. Trunci ramique, per intervalla contractions sunt, mediisque locis capaciores, tanquam si inci
sourds, membres contractés, mouvemens presque nuls, quelques légères contractions spasmodiques. 11 n'y a point d'anus, point de tub
our les tendons, c'est la traction qu'exercent sur eux les muscles en contraction ; pour les aponévroses, c'est la distension opéré
ion ; pour les aponévroses, c'est la distension opérée par cette même contraction . Le calcanéum C, la convexité que présente sa f
où les eaux de l'amnios sont peu abondantes, l'utérus puisse, par ses contractions toniques et actives, agir d'une manière fâcheuse
n'existe pas, le pied a beau être dévié au moment de la naissance, la contraction musculaire rendue à sa véritable direction, soit
u moins les modifier de telle manière qu'elles ne s'opposent pas à la contraction musculaire. De l'état graisseux qu'ils acquièrent
uérison en privant les appareils mécaniques de l'utile concours de la contraction musculaire ? Je pense donc que l'époque la plus f
le membre est ramené à une bonne direction, le muscle sollicité à la contraction commencera à agir: plus de sang, une plus grande
alors que des frictions exercées le long du membre, en sollicitant la contraction musculaire et en favorisant la circulation dans l
es et des tendons qui occupent un côté du pied et de la jambe et à la contraction de ceux de l'autre côté , de manière à produire u
r : cette poche, sans cesse irritée par l'effort du sang qui à chaque contraction est poussé avec une force donnée contre les paroi
ion est augmentée d'un tiers, d'une moitié, du double, alors à chaque contraction du ventricule gauche les artères sont portées au-
de l'aorte; car l'élasticité artérielle lutte incessamment contre la contraction musculaire; et, cette élasticité une fois vaincue
nt il n'y a dans ce bras, et cela depuis quelques jours, que quelques contractions musculaires extrêmement bornées; tout le reste du
ion qui en a été le siège et aux membres correspond ans, peut-être de contractions spasmodiques; elle s'est laite graduellement. L'a
récédée et accompagnée de douleurs vives à la tête, souvent encore de contractions spasmodiques des membres correspondans; elle se f
gager par fois dans l'ouverture pylorique, et y rester engagée par la contraction du pylore. Les longs intervalles de bien-être s'e
ans toute son étendue sans être plus développé et plus douloureux. La contraction spasmodique des parois abdominales est telle qu'i
s selles fréquentes, dénotent une affection de plus en plus grave. La contraction de l'abdomen, sans douleur notable, répond-elle à
de la plante des pieds et de la paume des mains déterminent quelques contractions des orteils et des doigts ; mais ce sont là des m
ns. J'aurais probablement emporté le testicule (qui,par l'effet de la contraction spasmodique du dartos, s'était de lui-même échapp
ortement; la malade éprouvait chaque mois pendant plusieurs jours des contractions utérines très prononcées et même pendant le derni
actions utérines très prononcées et même pendant le dernier mois, ces contractions se renouvelaient tous les jours. i° Pendant F a
s peuvent rendre le travail plus long en diminuant l'efficacité de la contraction des fibres utérines. D'une autre part, si, comme
pare la tumeur delà cavité utérine est usée, déchirée par le fait des contractions utérines, en sorte que la tumeur passe par une so
exemple lorsque la tumeur étant volumineuse, les premiers efforts de contraction déterminent la déchirure de vaisseaux considérabl
t qui résiste quelquefois au resserrement des vaisseaux amené par les contractions utérines, est la conséquence des déchirures peu c
la saignée. Il y a sous le rapport des douleurs et par conséquent des contractions expultrices, des différences énormes entre les di
Après quoi on donne un lavem. laudanisé, une potion laudanisée. Les contractions utérines se déclarent. Accouchement naturel d'un
omposition aussi profonde des traits, mais sans coloration bleue; les contractions du cœur projettent le sang jusqu'aux extrémités d
e sont les crampes qui constituent le principal symptôme. On voit des contractions excessivement douloureuses, d'une certaine durée,
du corps à une autre, et la mort peut les surprendre au milieu de ces contractions . On cite quelques exemples d'individus morts en d
é d'un pas depuis l'invasion de la maladie; il n'y a pas eu une seule contraction utérine. Ouverture du cadavre. Estomac sain; in
arnassier (voy. planche I, fig. i, XIV livr. ); dans d'autres cas, la contraction était bornée à la portion pylorique; d'autres foi
s, les crampes, et enfin la diminution des battements du cœur dont la contraction , réduite à un simple frémissement, ne projette pl
lace sur des points saisis de crampes, ont quelquefois fait cesser la contraction douloureuse. 4° Irritants extérieurs. Les sinap
quels la circulation se faisait encore librement sous l'influence des contractions du cœur. Il n'est peut-être pas un cas de cholé
est impossible à déterminer,les eaux de l'amnios étant écoulées, des contractions utérines continues exerçassent une compression fu
cohérente, sans cesse agitée par les alternatives de dilatation et de contraction du cœur, la rupture des couches qui enveloppent l
au malade. Dureté et tension de l'abdomen, manifestement dues à la contraction de tous les muscles. Renversement du tronc et d
t la source de l'hémorrhagie; c'était cette même tumeur qui, à chaque contraction de la vessie, venait s'appliquer contre le col de
rs se manifestèrent des besoins fréquents et impérieux d'uriner, avec contraction douloureuse de la vessie et douleur à l'extrémité
is mois d'agonie ; besoins d'uriner fréquents, pressants, douloureux, contraction violente de toutes les puissances expulsatrices,
e circonscrite au pied, dont pourtant le volume est naturel. Parfois, contractions spasmodiques extrêmement douloureuses dans le mem
autour des faisceaux de divers ordres des gaines qui facilitent leur contraction et leur glissement. Le siège de l'inflammation rh
endue sont le foie, l'estomac, la rate, les reins ; que l'effet de la contraction des parois abdominales se porte entièrement en av
orte entièrement en avant et en bas; que d'une autre part, pendant la contraction du diaphragme, les poumons sont remplis d'air, et
dans l'espace d'une heure .-l'enfant est venu vivant ; ilayàit a des contractions : la tète se renversait en arrière : il n'a vécu
grand nombre de causes de cette fragilité), on conçoit que la moindre contraction insolite pourra amener la déchirure de l'organe à
uisses fléchies sous le ventre; tous les muscles sont dans un état de contraction tonique. Si l'on essaie de faire asseoir la malad
parties. Le côté droit du corps reste étranger à ces alternatives de contraction et de résolution. Si on pince la malade soit à dr
ouvemens convulsifs de la moitié gauche du tronc, les alternatives de contraction et de résolution annonçaient assez bien une apopl
u pincement; pouls irrégulier, très faible et très fréquent. Le soir, contraction et relâchement alternatifs des muscles des membre
t dans le même état que les supérieures : de temps en temps, quelques contractions spontanées du côté gauche. Perte complète de se
52 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, ce qui est dû tantôt au degré de] la raideur, d'autres fois, à la contraction simultanée de tous les muscles d'un segment de
le malade exécute une série d'oscillations involontaires dues à des contractions spasmodiques des'muscles postérieurs de la cuis
e 20, 30, 50, 6J courants tétanisants finit par ne plus produire de contraction musculaire; celle-ci reparait nette et vigoureu
une affection musculaire chronique progressive caractérisée par des contractions tétaniques, douloureuses, des groupes musculair
aniques, douloureuses, des groupes musculaires les plus différents, contractions presque continuelles, à l'occasion d'excitation
de scléroses en plaques et de scléroses combinées le phéno- mène de contraction du jambier antérieur pendant la flexion, phénom
e menton se portant à droite ou à gauche par suite d'une violente contraction des sterno-cléido-mastoïdiens. Elle se giffle, el
quement par une intensité et surtout une persistance anormale de la contraction muscu- laire, dont les stéréotypies d'attitude,
vers. La seconde se manifeste par la répétition anormale d'une même contraction spontanée ou provoquée : telles sont les stéréo
dications sur l'aptitude du sujet à répéter inopportunément la même contraction muscu- laire : au moment où les mains servent d
e. A deux ou trois reprises toutefois, on a pu remarquer une légère contraction de la face. Le malade, à ce moment-là dans une
on mouvement la paupière supérieure qui n'est plus maintenue par la contraction de l'orbiculaire; il l'abaisse quand il se diri
fatigue complète, que la hauteur du tracé exprimant l'énergie de la contraction va en s'abaissant progressivement (eryogramme d
e de Mosso). Quand cette hauteur approche de 0, si l'on espace la contraction de l'index de dix secondes en dix secondes, on vo
d'action, mais cesse de se fatiguer. Les tracés de chacune de ces contractions espacées (ergogramine de Maggiora) sont sensible-
uisement, analogue à celui du sujet sain, t'ergogramme de Maggiora ( contractions espacées de dix secondes), permet de constater
conçoit, que le niveau du tracé de l'individu normal) le tracé des contractions espacées montre que le relèvement de la courbe
cié que la substance fibrillaire, n'est pas ' IOTEYI0. Etudes sur a contraction tonique du muscle strié et ses excitants. (Mémo
le passage permanent du courant voltaïque, et ne réagit que par la contraction lente, qui lui est particulière. 'Régénération
A deux ou trois reprises toutefois, on a pu remarquer une lé- gère contraction de la face. Le malade, à ce moment-là, dans une
lles de l'un, un faisceau de l'autre, un troisième en totalité. Les contractions se succèdent en nombre de plus en plus grand ju
s rémission l'état de contracture fré- 7nissctzzle : sur un fond de contraction en masse qui semble défini- tive, apparaissent,
fection, selon l'intensité de la crise, on voit prédominer soit les contractions parcellaires, soit la contracture. Celle-ci peu
que l'on a décrit dans la myokymie. Mais, dans le spasme facial. la contraction musculaire est très variable dans sa vitesse et d
condensateurs. Cette décharge est commode en ce qu'elle produit une contraction pure, dénuée de douleur et d'action électrolyti
u côté opposé à celui de la cornée excitée. C'est le résultat de la contraction du ptérygoidien externe du côté de la cornée ex
hy, Bechterew, Iludovernig, est connu de tous les neurologistes. La contraction de l'orbiculaire des paupières ne survient-elle
ement selon les indivi- dus mais aussi suivant les moments. Cette contraction de l'orbiculaire a lieu des deux côtés même che
ale, totale, la percussion du point sus-orbitaire se traduit par la contraction en question du côté sain et sa suspension du cô
tion en question du côté sain et sa suspension du côté paralysé. La contraction du côté sain a également lieu quand on frappe s
dans la para- lysie faciale totale alors qu'il ne se produit pas de contraction de l'orbiculaire. Jamais concurremment le globe
faiblit, a de la peine a s'exprimer. Le 22, insomnie accompagnée de contraction convulsive des mains et des pieds : il lui semb
ence de l'écorce du cerveau et des ganglions sous- corticaux sur la contraction de la rate, par E -W. Ehiksonn. (oboz ? é ? 71é
est la région de la circonvolution sigmoïde qui agit le plus sur la contraction de la rate. 60 Et, de cette région, c'est la pa
tonique, la dilatation de la rate, à la période clonique, une vive contraction de longue durée, qui survit encore quelque temp
épileptoïde détermine encore le gonflement à la période tonique, la contraction à la période clonique. l'. KEMAVAL. XXSV11. D
termayer a noté 1'liyperexciLabiliLé méca- nique, des phénomènes de contraction idiomuculaire, de l'hy- excitabilité galvanique
é de gestes extraordinaires. Tous les muscles de sa face entrent en contraction , il secoue la tête de tous côtés, il ressemble
ilité de l'attention rend très difficile cette régulari- sation des contractions musculaires. Aussi a-t-on essayé d'appli- quer
e de l'écorce du cerveau et ries ganglions sous- corticaux sur la contraction de la - , par Erllaonn, 138. Réactions Voir E
53 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
de tous les tendons détermine de LA MALADIE DE PARKINSON 5 vives contractions musculaires, malgré l'atrophie musculaire, pourta
z apparaître, dans les mus- cles du bras et de l'épaule gauche, des contractions spontanées, qu'il ne faudrait pas prendre pour
des contractions spontanées, qu'il ne faudrait pas prendre pour des contractions fibrillaires : elles intéressent une grande par
ivant l'expres- sion de Paul Richer ; Gowers avait déjà signalé ces contractions , qui ont un rythme analogue à celui du tremblem
ans certaines hémiplégies anciennes, avec spasmodicité légère, sans contractions fibrillaires ; vous savez aussi que l'on peut obs
ut concevoir deux modes de ce dispositif, soit qu'on enregistre les contractions musculaires au moyen de myogra- phes directs, s
éflexe plantaire. Pour le premier mode, enregistrement direct de la contraction musculaire, il existe deux difficultés qui rest
uscles et à n'appliquer les instruments que sur les muscles dont la contraction est suffisamment nette; la seconde n'est qu'un
e l'impossibilité manifeste d'enregistrer au moyen de myographes la contraction des fléchisseurs plantaires ou celle de l'extense
s d'usage à chaque expérience ; force est donc ici d'enregistrer la contraction des muscles mis en action, et en particulier de
en- seur du fascia lata, au point variable suivant les sujets où la contraction de ce muscle est le plus perceptible à la vue e
en communication respectivement avec trois tambours récepteurs. La contraction musculaire enregistrée par les myographes se tr
provoque le plus léger mouvement du gros orteil provoque aussi des contractions du jambier antérieur et du tenseur du fascia la
ontractions du jambier antérieur et du tenseur du fascia lata ; ces contractions , trop faibles pour être constatées directement,
ou sinueuse, les sinuosités traduisantvrai- semblablement plusieurs contractions musculaires successives. Le réflexe planti-digi
é antérieure. Le ventre est dur à la palpation et paraît en état de contraction permanente. Pendant la respiration, le thorax e
e, les masséters forment comme une corde tendue et l'un observe des contractions des muscles de ce côté de la face à l'occasion
. Le spasme est surtout accusé dans le domaine du facial inférieur. Contraction des masséters. Spontanément, la malade reste pl
'agit actuellement d'une aryth- mie un peu irrégulière : à quelques contractions cardiaques rapprochées succè- dent des contract
re : à quelques contractions cardiaques rapprochées succè- dent des contractions plus éloignées, chacune d'elles ayant un timbre s
gauche. On constate quand la ma-t lade ouvre la bouche l'absence de contraction du peaucier du côté gauche. Le réflexe pharyngé
. Il n'y a pas, cependant, de diminution de volume des muscles ; ni contractions fibrillaires, ni diminution d'excitabilité élec
courant faradique, a été positive seulement aux deux deltoïdes; la contraction tétanique, forte au début, devient de plus en p
inutes ; avec des excitations interrompues à la main, les premières contractions sont fortes, elle s'affaiblissent ensuite peu à
commence généralement parles petits muscles des mains, présente des contractions fibrillaires, des atrophies musculaires, des modi
èze droits se contractent bien, mais ils sont, parfois, le siège de contractions fibrillaires rapides. Les muscles adducteurs du
es nystagmiformes. Acuité auditive diminuée. Vers la fin de la vie, contractions tendineuses dans les jambes. Pied en équin direct
l était pris de tremblement généralisé en même temps que de légères contractions dans les muscles de la face en particulier. Il n'
- gayée, entrecoupée, explosive ; la mastication est maladroite, la contraction 340 GAUSSEL des masséters se faisant très irr
ituelle ; ce n'est pas davantage un groupement de mus- cles dont la contraction soit adaptée à un acte professionnel. Nous n'av
les deux sterno-cléido-mastoïdiens se con- tracturaient, pendant la contraction instinctive des muscles qui maintien- nent la t
tion des extenseurs. À la 3e ou 4e application, la permanence de la contraction ne s'observe plus. Avec le courant continu, on
r les doigts après vous avoir serré la main. De même ordre sont les contractions toniques qui entraînent le malade en arrière lo
peut encore trouver un argument en faveur de celle opinion dans les contractions très localisées qu'on peut observer chez certains
e singulier : lorsqu'il se lève de son lit ou de sa chaise il a une contraction totale des muscles du mollet qui soulève les ta
dique, par exemple, il faut mettre le chariot à 500 pour avoir des contractions des muscles des mollets avec les interruptions
s avec les interruptions lentes : on n'a pas de persis- tance de la contraction . Avec le courant à interruptions fréquentes on co
Avec le courant à interruptions fréquentes on commence à avoir des contractions à 300 et le muscle reste dur et contracté pendant
54 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
rable du ventre, augmenté encore par la tympa-nite et en raison de la contraction des muscles abdomi naux. Après plusieurs tentativ
sachant en outre que cette hémianesthésie s'accompagne d'une sorte de contraction des vaisseaux, nous nous expliquons sans peine po
mpression ovarienne, il se produit des mouvements de déglutition, des contractions de la face ; puis, la malade regarde les assistan
, 20 minutes et même davantage. A la fin, aussi, on observe les mêmes contractions de la face, les mêmes modifications de la physion
. Michaud. Planche XXV. HYSTERO-EPILEPSIE il y a quatre ou cinq contractions assez brusques des muscles sacro-lombaires et de
; puis, tout à coup, les muscles respirateurs accessoires entrent en contraction violente ( sterno-mastoïdiens, trapèzes, etc.) Pe
s signalées hier et que l'on désigne dans le service sous le nom de « contractions ou d'accès de contracture. » Quelquefois ces cris
i-flexion, qui s'est dissipée au bout d'un quart d'heure ; enfin, des contractions , également passagères, dans la face (grimaces) et
s. Apparition des règles qui cessent le 16 dans la soirée. 19 oct.— Contractions passagères dans les membres. 21 oct.— Attaques
6 oct.—Etouffements d'une heure à 5 heures. 28 oct.— Tortillements, contractions durant deux heures. 5 novembre. — Etouffements
celles qui apparaissent spontanément. 12 novembre.—Etouffements et contractions d'une heure à 4 heures. Apparition des règles qui
et dans la langue : c'est ce qu'on désigne d'habitude sous le nom de contractions . 24 nov. — Tortillements de 5 h. à 8 heures du
position qu'ils avaient quand la contracture les a envahis. c) Les contractions ne sont autre chose que des contractures passagèr
mme Geneviève ; dans le second cas, ces perturbations de la motilité, contractions , crampes, etc., disparaissent avec les convulsion
17, 138. Constipation, 5, 6, 65. Contorsions, 18, 60, 143, 148. Contractions , 138 140, 148. Contracture, 93, 146. C. du memb
55 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
eut, et même sans sa volonté; c'est là de la contracture et non de la contraction musculaire. Cela se produit pour toutes les artic
tœnia. Une céphalagie conti¬nuelle se traduisait également parfois en contractions musculaires ' Acad. de méd., séance du 19 avril
ès M. Lortet, il faut : 1° donner une substance qui, sans exciter les contractions de l'intestin, lue le ver ou du moins 1 Journal
nnue dans la science, cette théorie attribue la grande impulsion à la contraction du ven¬tricule gauche, la petite pulsation au cho
ême, les deux oreillettes, l'examen des tracés nous montre que, si la contraction commence simultanément pour les deux ventricules,
pulsation ne serait autre chose que la double expression de la double contraction des deux moitiés du cœur. La contraction commen
le expression de la double contraction des deux moitiés du cœur. La contraction commencerait par le cœur gauche; elle se conti¬nu
ions secondaires, qui succèdent au choc en re¬tour, seraient dues aux contractions des oreillettes, qui se feraient en un ou plusieu
duisent à leur tour une ou deux petites ondulations suivant que leurs contractions sont simultanées ou successives. tour droit.
cessives. tour droit. 2° Choc en re¬tour aortique ou gauche. 3" Contraction des i oreillettes. Celte théorie semble trouver
t à notre sujet; il a rendu visible aux spectateurs chaque élément de contraction du cœur, en plaçant trois plumes sur de légers su
on sang permettait aussi d'apprécier une différence de temps dans les contractions val-vulaires, regardées jusqu'à présent comme aya
iration exerce à son tour une action indirecte sur la circulation. La contraction du cœur est aidée par la contraction de la poitri
indirecte sur la circulation. La contraction du cœur est aidée par la contraction de la poitrine ; elle est affaiblie, par sa dilat
s-douteuse ; dans sa partie postérieure on n'aper¬çoit que de légères contractions enlre les deux réophores. L'excita- REVUE PHOTO
atée précédemment (Obs. III), a peu d'efficacité pour faire cesser la contraction des muscles respirateurs. Aussi, tout en ayant re
une détente com¬plète qui persistait un certain temps après, puis la contraction se reproduisait. L'amélioration obtenue dès les
et l'on continue le chloral. Vers 3 heures, les intervalles entre les contractions sont plus longs. Trente sangsues par série de cin
une petite plaie du talon gauche. 2 juillet. Opisthotonos marqué. — Contraction dans les muscles abdominaux. — Chloral, 4 grammes
56 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
motions, nos volontés, nos pensées n'accompagnent dans les muscles de contractions fibrilh'ires imperceptibles dont nous n'avons pas
ts sur un des cotés de la face. Il y eut, comme on le pense bien, une contraction énergique des muscles de la face du côté correspo
mme ·. un mouvement convulsif, habituel et conscient, résultant de la contraction involontaire d'un ou de plusieurs muscles du corp
vénérien et au moment même où ce spasme survient. C'est qu'alors les contractions des muscles droits de l'abdomen agissent directem
orcent l'urine à s'échapper sous forme de jets synchrones à ces mômes contractions musculaires. Cette femme est hystérique; elle est
était nécessaire, je reviens à la patiente, qui avait à ce moment une contraction assez douloureuse ; la douleur passée, je commenc
aussi persuasif que possible que, dans cinq minutes, elle aurait une contraction énergique de la matrice, utile pour l'expulsion,
usque-là ; au bout de cinq minutes,en cÎTct,de cette application, une contraction utérine assez/page> page n="180"> forte
lle dit, en effet, qu'elle souffre beaucoup moins, tout en sentant la contraction . Je lui affirme encore que les contractions vont
moins, tout en sentant la contraction. Je lui affirme encore que les contractions vont revenir toutes les cinq minutes et qu'elles
nt plus de mal. En effet, après cinq minutes écoulées, une nouvelle contraction se produit, je la sens sous ma main, mon autre ma
uelques instants dans une pièce voisine, je fais l'expérience que les contractions reviennent régulièrement toutes les cinq minutes,
e et se plaint alors beaucoup de ressentir de vives douleurs à chaque contraction . Elle me demande instamment de revenir près d'ell
ur le ventre, l'autre sur les yeux, je lui affirme que maintenant les contractions vont être plus énergiques et plus fréquentes, qu'
répéter toutes les trois minutes. Au bout de ce temps, en effet, une contraction a lieu, forte et prolongée et, à partir de ce mom
contraction a lieu, forte et prolongée et, à partir de ce moment, les contractions se succèdent toutes les trois minutes exactement,
nt du passage de la tête à la vulve, sur ma parole, la violence de la contraction puisse être maîtrisée et modérée ; on la voit se
moins espacées d'abord, puis, sous l'influence de la suggestion, les contractions se sont succédées avec une régularité mathématiqu
e ventre et l'autre sur les yeux, je lui affirme qu'elle va avoir une contraction de la matrice avec effet utile pour l'expulsion d
dans les reins, comme elle s'en plaignait jusque-là; j'ajoute que ces contractions vont se répéter toutes les trois minutes avec une
rois minutes s'étaient à peine écoulées, que je sens sous ma main une contraction se produire, mais sans souffrance visible de la p
estion nouvelle d'analgésie et, avec une régularité mathématique, les contractions se succèdent toutes les trois minutes, fortes et
endue au détroit inférieur; comme, au bout d'un temps assez long, les contractions paraissent se répéter en vain, malgré leur force
la suggestion, dont le prix se fait sentir à ce moment critique. Les contractions énergiques et longues se répètent toutes les troi
, ainsi appliquée, se montre réellement efficace pour régulariser les contractions utérines, car il est en effet difficile d'admettr
este ù uotre manière par des modifications de 84 physionomie, par des contractions particulières de la face. Vivant dans la familiar
ue complètement de parler et de déglutir ; son abdomen était animé de contractions spasmodiques ; elle se plaignait de strangulation
57 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
férence de hauteur des deux sourcils pendant le repos et pendant la contraction des muscles frontaux. Si le muscle est en contr
es du tronc du côté paralysé. Pour mieux mettre en évidence cette contraction du mus- cle par secousses et cette diminution d
ôté paralysé, la fatigue arrive vite, exagérant les à-coups dans la contraction , le retard du mus- jRciiivEs, 2° série, t. VII.
des muscles des deux côtés. Quand les sourcils sont au repos ou en contraction , si avec le pouce on cherche par une secousse b
uls à forte tension. Chose explicable si on se rap- pelle l'état de contraction dans lequel se trouve le système musculaire du
yngien est conservé. Il n'y a pas de tremblements aux lèvres, ni de contractions dans les muscles de la face. Les membres supéri
; par 0. BuuEn. · (Neurolog. CenlrulGl., XV1, 1897.) : Il s'agit de contractions parfois fugaces, iudoleutes et sans effet moteu
autre, il éprouve des crampes douloureuses, mais générale- ment les contractions sont de courte durée. Elles courent en ram- pan
de convulsions cloniques répétées s'affaiblissant graduellement. La contraction est-elle exagérée, le malade s'en aperçoit par
action directe ou indirecte ; réaction dégénérative galvanique avec contraction lente des deltoïdes, biceps, extenseurs ; inexc
onservé. Il y a des tremblements de la langue, moins des lèvres. La contraction idéo-musculaire est un peu augmentée, de même l
s gastriques, etc.; de même des névralgies intercostales amenant la contraction du muscle pectoral simulent des tumeurs du sein
ection elle est descendue à 39°3'. Dix minutes après l'injection la contraction pupillaire commence. Perte des réflexes palpébr
u lapin : 495. Tempéra- ture : 38°9. Dix minutes après l'injection, contraction des pupilles, ralentissement de la respiration.
si à l'aide des deux mains il mettait sa tète en bonne position, la contraction du sterno- AncmvES, 2" série, t. VII. la 22
réiformes, de courte durée dans les muscles inférieurs de la face ; contractions intentionnelles dans les muscles supérieurs de
paralytique semble en effet déterminée, dans certains cas, par leur contraction simultanée, capable de produire un tiraillement
que seule l'irritation des fibres du pneumogastrique produit des contractions de l'estomac. D'après M. Battelli, au contraire
paires, du côté où le spinal a été arraché, ne produit jamais de contractions stomacales, qui sont au contraire bien nettes qua
la parole et de la déglutition. A noter l'absence d'atrophie et de contractions fibrillaires. Depuis le début de la maladie, qu
ques et l'épilepsie. R. C. LVII. Sur un cas de chorée variable avec contractions fasciculaires des deltoïdes et craquements arti
lisation stricte des spasmes aux deux deltoïdes et discordance des contractions de ces muscles, produisant les craquements arti-
côté de la moelle. Quant à la para- lysie du membre opposé et à la contraction qui, plus tard, s'y développa, on peut seulemen
ledit faisceau une dégé- néralioii descendante et, comme suite, la contraction du membre du même côté. La théorie de la décu
e 15 à 20 centimètres : punctumproxi- muni, nous n'observons aucune contraction de la pupille, leur disant ensuite de regarder
uits par l'excitation de l'écorce cérébrale ; ce sont notamment des contractions cloniques ou toniques de divers groupes muscula
s est insigni- fiante. L'excitabilité électrique est diminuée : les contractions gal- vaniques sont parfois paresseuses. Les réf
et doit être considéré comme une névrose se caracté- risant par des contractions spasmodiques dans l'appareil de l'articulation,
ans les cordes vocales, les muscles des lèvres et de la langue. Ces contractions peuvent atteindre les organes de l'articulation
erveux en général, de l'autre, elle cherche à faire disparaître les contractions vi- cieuses à l'aide de la gymnastique respirat
ion, de supination, de flexion sur le bras. Le deltoïde droit a des contractions spon- tanées, brusques, en masse ; la moitié dr
La jambe droite fléchie sur la cuisse contracturée est le siège de contractions rythmiques limitées et d'une hyperesthésie cuta
tômes de paralysie bulbaire augmentent ; voix affaiblie, soufflée, contraction difficultueuse, pénible, des muscles inspirateurs
Le coeur dans la-par ha- vier, 172. Sur un cas de-variallle avec contractions fasclculaires des deltoïdes et craquements aruc
58 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
risés par tous les phénomènes de l'épilepsie grave, y compris les contractions du diaphragme, les vomissements, la dyspnée int
nales du rhumatisme ; par B. Mettas (thèse de Paris, 1881). De la contraction idio-nztscul(ii),e en clinique ; par D. L B13É, (
ici de la différence du résultat obtenu : contracture aux membres, contraction à la face). Mais il arrive fréquemment qu'n ce
nerf cubital répond un léger mouvement dans les doigts, mais aucune contraction nettement localisée, aucune ébauche de contract
nt. 4° Lorsque l'excitation est insuffisante, on n'obtient qu'une contraction plus ou moins prolongée ou bien une contracture
myosis étant fréquente, l'impression lumineuse fait disparaître la contraction pupillaire. Au bout de dix ans, pupilles immobi
e succèdent; ils ne disparaissent que pour être remplacés par des contractions convulsives de la moitié droite du visage et nota
le : les piqûres, le chatouillement ne déterminent que de faibles contractions musculaires. La trépidation du pied ne peut être
idation commence. Au moment où la face commence a se figer par la contraction tonique qui précède la torsion de la tête, on v
fficultés de l'observation de l'état de la pupille, surtout pour la contraction du début, qui est souvent extrêmement brève. Ce
é plusieurs fois, avant le début de l'attaque, sans aucune trace de contraction tonique, une contraction pupillaire très énergi
début de l'attaque, sans aucune trace de contraction tonique, une contraction pupillaire très énergique, constituant une sort
. Chez les malades qui, au début de la période tonique, offrent une contraction pupillaire de quelque durée, on peut, par une c
n'avons jamais pu arriver dans les attaques isolées à constater la contraction du début que M. Gowers a quelquefois observée ;
un de ces cas, nous avons pu cons- tater, dans quelques accès, une contraction de la pu- pille au début de la période tonique
ois, une constatation plus importante a pu être faite au moment des contractions utérines. M. Budin a pu nous faire toucher, à p
ment, on chercha, mais en vain, à sentir l'ovaire ; au moment de la contraction utérine, on sentait le ligament rond qui formai
riquement à 15 centimètres en dehors de ce point. Pendant une forte contraction , j'ai pu sentir, du côté gauche, un petit corps
, dans les couches optiques, des centres inhibiloires empêchant les contractions rhythmiques des sphincters anal et vaginal ; le
olution de continuité de ces fibres que serait due l'apparition des contractions spasmo- diques des sphincters. MM. Ott et Smith
M. Ott et Smith à conclure que les fibres inhibiloires arrêtant les contractions rhythmiques des sphinc- ters, prennent naissanc
pprochent de ces faits, 23 354 REVUE DE pathologie NERVEUSE. la contraction du triceps crural qui suit la percussion de son
ze et Furbringer, ayant constaté que la section du crural abolit la contraction du côté correspondant, et que la percus- sion d
nt du côté opposé est un mouvement d'ensemble du membre, et non une contraction du triceps crural seul. En effet, lorsqu'on a s
la gauche. Par contre, une certaine exaltation s'accom- pagne d'une contraction de la pupille droite avec une légère dilatation
59 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s les régions féeriques, ni de la seconde les fortes et permanentes contractions musculaires. Sa torpeur est exclusivement de l'
ppe des pressions différentes selon qu'elle est aidée ou non par la contraction synergique de la main du côté opposé. Si on fai
droite se contractant isolément donne 7 kilogr ? entraî- née par la contraction synergique de la main gauche, elle donne 12 kil
dépassé 1 kilogr. Il n'est peut-être pas inutile d'ajouter que la contraction volontaire du côté paralysé n'entraîne pas, en
traction volontaire du côté paralysé n'entraîne pas, en général, de contractions synergiques dans le côté non paralysé. Le fai
euxième cas) l'une est dilatée, l'au- tre contractée. Lorsqu'il y a contraction égale ou dilatation égale des pupilles, on cons
amment devenait le siège, sous l'influence du courant faradique, de contractions qui duraient jusqu'à trente secondes ; les mouv
uin des convulsions cloniques dans les deux extrémités gauches avec contractions dans le domaine du facial homologue et torsion
mécanique des muscles est exagérée dos deux côtés où l'on voit des contractions fibrillaires. Réflexes nor- maux. Ce n'est qu'a
c.), a une influence psychique des plus utiles. R. V. XXIII. Sur la contraction paradoxale; parle Dl ALPRECHT ERLENI4fEYER (d8
s durable, produisant l'adduction du pied qui lui est propre. Cette contraction peut durer de une jusqu'à vingt minutes et plus
fois pour les fléchissants du genou. On voit qu'il s'agit là d'une contraction provoquée par le relâchement passif du muscle,
la désignation donnée par Westphal. Erlenmeyer a constaté que cette contraction paradoxale écliapp6,ç,omplètement au contrôle d
contrtzctccresuivant la défini- tion deMM.Ch.Richet et l3rissaud : contraction de plus ou moins REVUE DE pathologie NERVEUSE.
onde hypothèse peut être justifiée par l'expérience : si pendant la contraction paradoxale du tibial antérieur, le pied étant p
'Dans les deux cas, il est tout ci fait impos- si )le d'obtenir la contraction paradoxale. Westphal était parti de la supposit
ntraction paradoxale. Westphal était parti de la supposition que la contraction paradoxale 'est déterminée par le raccourcissem
e phénomène du pied (réflexe du tendon de Erb) qui consiste dans la contraction du trijumeau provoquée par l'allongement de ce
'épithète de paradoxale. ' Abstraction faite du mode différent de contraction , clonique pour le phénomène du pied, tonique po
de contraction, clonique pour le phénomène du pied, tonique pour la contraction para- doxale, Erlenmeyer pense qu'il y a là deu
d'un muscle par son allongement et réaction du même muscle par des contractions cloniques; dans la contraotion paradoxale : exc
d'un muscle par allongement de son antagoniste et réaction par une contraction tonique ou contrac- ture. ? ' t 1 La désignat
e contraction tonique ou contrac- ture. ? ' t 1 La désignation de contraction paradoxale ne peut'' donc pas être conservée. E
arce que tout allongement passif d'un muscle est accompagné d'une contraction inconsciente de l'antagoniste, ce qui leur fait s
Sud-Ouest, 131. Connaissance (maladies de la), par Weiss, 234. Contraction paradoxale, 372. Côtes fracturées dans les asil
60 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
des muscles de la région antéro-externe de la jambe ne produit aucune contraction . Les muscles du mollet réagissent encore, quoique
qu'on lui rompit la colonne vertébrale. Ces tractions, ainsi que les contractions utérines, s'accompagnaient de vives douleurs dans
e antérieure de la jambe droite. L'électrisation ne provoque aucune contraction des muscles jambier antérieur, extenseurs commun
tensité augmente par instants. — Secousses fibrillaires fréquentes et contraction isolée de quelques faisceaux musculaires. —• Sens
ampères). Kathode et Anode = 0.—Pédieux. Kathode et Anode très faible contraction . — Le triceps sural seul est indemne. Nous croy
cuisses 24°, 28°,4 30», électrique, on obtienne le retour des contractions musculaires, le pied n'en restera pas moins fixé
s, Il s'agit bien là de rétraction tendineuse ou musculaire et non de contraction spasmodique. Il suffît, en effet, pour l'établir,
anique intense du nerf radial, dans la gouttière, provoque une faible contraction dans le long extenseur du pouce, l'extenseur comm
ur, qui est faiblement excitable fara-diquement. Interosseux dorsaux: contraction avec le maximum du courant faradique, plus faible
es atrophiques. Il faut un courant d'autant plus fort pour obtenir la contraction , que le muscle est plus atrophié, aussi bien avec
65°= KS néant. 60 millim. = néant pour la partie moyenne. 80 — =r contraction du faisceau claviculaire. 12 élém., 45o = KS néan
ouce. 60 millim. = néant pour les trois portions. 12 élém.,43° = KS contraction très faible. 14 élém., 55° = AS contraction trè
ions. 12 élém.,43° = KS contraction très faible. 14 élém., 55° = AS contraction très légère. ~ ~ j néant. Le malade accuse un
à cause de l'atrophie des muscles. Chez les autres, au contraire, la contraction constante du frontal qui tend à remédier à l'insu
d'anomalie des réactions, mais une simple diminution de l'énergie des contractions , proportionnelle à la diminution supposable du no
mite en dedans une petite fossette arrondie. L'ensemble de toutes ces contractions donne à la physionomie l'air triste et chagrin qu
'éminence thénar et de quelques aulres petits muscles de la main; les contractions fibrillaires font défaut. Le membre supérieur g
ns énergiques ramenèrent le mouvement. « Depuis lors, dit M. X..., la contraction nerveuse dans le flanc gauche et à la partie inte
st un peu exagérée. Quand on sollicite l'abduction, c'est-à-dire la contraction du muscle droit externe, l'œil n'exécute qu'un tr
nous venons de décrire, il faut solliciter plus ou moins fortement la contraction du droit externe paralysé en forçant la malade à
, que ce déplacement se produit sans que l'on provoque directement la contraction du droit interne; et que, cependant, à la brusque
t que, cependant, à la brusquerie de ce mouvement, il semble que la contraction de ce muscle droit interne intervienne. Ce déplac
s sont précédées d'une aura analogue à l'aura de l'attaque vulgaire : contraction de la gorge, battements dans les tempes, siffleme
61 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
édicaments et le mas- sage, sans avoir recours à des exercices, ces contractions de la main que nous appelons chez nous crampe d
pour la recherche de l'action physiologique des médicaments sur la contraction mus- culaire. Il permet d'obtenir simultanément
contractile (section du nerf), moins intenses là où le tonus et la contraction réflexe persistent encore (section de la moelle),
. 100 seulement des individus normaux. Le deuxième phénomène : la contraction pupillaire, qui se pro- duit, quand le malade s
pières est un mouvement synergétique de l'iris, qui accom- pagne la contraction du muscle orbiculaire et la rotation en haut et
les rayons lumineux sont interceptés et ensuite une tendance à la contraction , qui constitue le phénomène que j'étudie devant v
à la dilatation prédomine, aussi n'observons-nous pas en général la contraction pupillaire. Chez les SOCIÉTÉS SAVANTES. 167 p
séquent la tendance à la dilatation sont abo- lis, la tendance à la contraction existe seule et par conséquent peut se manifest
e secousses pathologiques et d'une parésie ; 4° L'intermittence des contractions athétosiques, des se- cousses choréiques et des
s étant applicables aux êtres vivants, la machine nerveuse rend des contractions muscu- laires, et des mouvements physiques et c
lIellro-diélectriqlles pathologiques que sont dues, selon moi, les contractions athétosiques, les secousses du tremblement, des
les autres; car j'ai été conduit par une étude d'ensemble' sur les contractions pathologiques et les paralysies, à poser les lo
décharge, comme dans le con- densateur électrique, et par suite une contraction muscu- laire. Puis la pression, tombée à zéro,
décharge se produira, et ainsi de suite. De là l'intermittence des contractions du tremblement, de l'athétose, des chorées et d
que la coïncidence fréquente, dans un même territoire musculaire de contractions pathologiques et d'une parésie plus ou moins ap
idiotie 8PILEPTlQUE. 210 i) C'est ainsi que les tremblements, les contractions atliétu- siques et les secousses choréiques ces
ou tout an moins hâté l'éclosion de la maladie. C. D. XXXVI. Des contractions de l'estomac, des intestins et de la vessie dan
scle est sa charge de rupture, car celle-ci se produit avant que la contraction cesse de se faire. Pour trouver cette force lim
s, puis revient sur lui-même parle fait de sa seule élasticité. Les contractions ryth- miques signalées par Goltz et par Chauvea
ine limite que l'auteur nomme : « seuil de dépression. » Au delà la contraction tétanique diminue et la courbe baisse. Ce phéno
émulation des coeurs séparés du corps et privés de circulation à la contraction des coronaires, ne suffit pas à l'expliquer pui
t parfaitement démontré et admis par tous les physiologistes que la contraction d'un muscle est toujours accompagnée du dégagem
e mouvement du bras. Cette augmentation suif le développement de la contraction jusqu'à un certain degré à partir duquel l'inte
naire pendant quelque temps diminue pour disparaître enfin quand la contraction atteint son maximum et que tout mouvement devie
? .OL'NTS1QLOCxIE LT D'·L'LECTR,oTHEItAPIE. -403 du côté malade, la contraction du bras de ce côté-provoquait un courant dont l
ent donc que les phénomènes électromoteurs sont réellement dus à la contraction musculaire et que la sécrétion sudorale ne joue
re les phénomènes .galvaniques et les phénomènes mécani- ques de la contraction musculaire chez l'homme il existe un paral- lél
els résultats peut donner en clinique l'expérience d'Hermann sur la contraction provoquée artificiellement par le courant élect
les deux secondes pendant un instant suffisant pour provoquer une contraction complète. Les six premières expériences démontr
anique interrompu dont on réglera 1 intensité de façon à éviter une contraction trop brusque surtout pour les applications à la
pour tenir son bras étendu ? M. le professeur Grasset. C'est une contraction stérile en quelque sorte. M. le or PiLTz (de
t d'uue diminution du tonus des extenseurs, soit directement, d'une contraction des fléchisseurs. Nous nous trouvons donc ici e
de toute la jambe, mais simplement un mouvement des orteils et une contraction du fascia lata. Enfin le phénomène des orteils
e des orteils disparaît à son tour, mais jusqu'à ce jour une faible contraction du fascia lata persiste. Ce dernier ves- tige d
jacksonienne guérie par l'opération, par van Gehuchten, 221. Des contractions de l'esto- mac dans l ? par Ossipow, 223. Phé
62 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
ncon-tinence d'urine. Plusieurs fois on a vu la sonde chassée par les contractions de la vessie ; plus rarement on a pu attribuer à
actérisée par ia sensibilitéexcessive de l'hymen et de la vulve et la contraction spasmodique du vagin et de son muscle constricteu
la vulve et exerçant des tractions en sens inverse, on triomphe de la contraction musculaire et on rompt l'hymen, s'il existe encor
. D'autres fois, la cystocèle se produit par un autre mécanisme ; des contractions fortes et fréquentes du corps de la vessie ne par
onc y avoir de réunion spontanée que si l'on parvient à annihiler ces contractions et à préserver la plaie du contact de l'urine et
n ; cette membrane moins ex-tensible que le périnée peut résister aux contractions utérines même lorsque le périnée est déjà suffisa
même de l'accoucheur. Ainsi la fréquence et la force trop grandes des contractions utérines, les efforts vio-lents chassent la tête
du périnée soit assez avancée pour qu'il puisse sup-porter l'effet de contractions utérines violentes et rapprochées; soit en laissa
pendant quelques secondes sur l'obstacle, sans même la pous-ser ; la contraction se dissipe ainsi d'elle-même : avec de la patienc
réciproque des colonnes médianes delà mu-queuse cervicale, soit à la contraction spasmodique du sphinc- ter qui l'entoure, soit
aisse plus longtemps, le mucus qui s'accumule au-dessus d'elle et les contractions utérines l'expulsent et elle est inutile. Quand o
et la suppuration. On prévient ces mauvais effets en sollicitant les contractions utérines par les moyens connus, en faisant à l'ai
qu'il peut arriver que l'occlusion utérine cesse sous l'influence des contractions répétées et qu'alors le liquide fasse brusquement
ne peut être introduite, ou que le seigle ergoté ne peut provoquer de contractions qui vident l'utérus comme on a été assez heureux
erminer sans que la vie de la mère soit compromise. D'autres fois les contractions sont impuissantes à vaincre ou à rompre l'obstacl
n si on a pu le déterminer. Cette pression doit être faite pendant la contraction utérine; l'ou-verture ainsi faite par la sonde ca
, après l'opération, la femme est épuisée au point de n'avoir plus de contractions suffisantes, on appliquera le forceps pour termin
par dysménorrhée mécanique l'ensemble des symptômes produits par les contractions de l'utérus lorsqu'il s'efforce d'expulser les rè
in sur la tumeur pour la relever; sans [cela la vessie soustraite aux contractions abdo-minales ne se viderait pas et ne pourrait va
pour en sortir une résistance diffi-cile à vaincre, l'utérus entre en contraction pour s'en débar-rasser ; et si la lutte se prolon
ainsi on l'explique tantôt par l'atonie des intestins, tantôt par une contraction spasmodique du sphincter de l'a-nus qui empêche l
pour en retirer les caillots et les membranes, ou pour provoquer des contractions , et qu'il rencontre un corps fibreux pédicule, il
63 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
e semble être aux genoux; les mollets semblent être dans un état de contraction réflexe, de demi-contracture. Pendant la marche,
blement intentionnel. Pas de paralysie dans le do- maine du facial. Contraction paradoxale dans le domaine du tibial antérieur
de douleurs exaspérées par la pression sur l'origine des nerfs. La contraction paradoxale disparaît. Quelques jours après, amé
l s'agit bien là de rétraction tendineuse ou muscu- laire et aon de contraction spasmodique, puisque les réflexes tendi- neux,
ue intense du nerf radial, dans la gout- tière, provoque une faible contraction dans le long extenseur du pouce, l'extenseur co
, qui est faiblement excitable faradiquemenl. Inlerosseux dorsaux : contraction avec le maximum du courant faradique, plus faib
atrophiques. Il faut un courant d'autant plus fort, pour obtenir la contraction , que le muscle est plus atrophié, aussi bien av
tismale. Cette dernière a produit des brides fibreuses causes de la contraction dont nous nous sommes assuré pendant le sommeil
lilé neuro-musculaire, mais sous forme de secousses et non point de contraction tétanique. Depuis quelques jours seulement, au
t brusquement les extenseurs se détendent. Mais on observe quelques contractions 102 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
e diaphragme, les intercostaux et les muscles abdominaux en état de contraction , n'est pas chose commune. Lorsqu'on essaye de le
tion des zones hystérogènes, aux attaques, aux émo- tions, etc., de contractions fibrillaires des muscles et notamment des muscl
ait au repos, dans le décubitus horizontal, on ne constatait aucune contraction anormale de ses muscles. Si on le priait de por
tête ne peut elle-même s'accomplir qu'imparfaitement en raison des contractions alternantes et saccadées des deux sterno-mastoïdi
atrophiés sont flasques, non douloureux à la pression et animés de contractions fibrillaires. Celles-ci n'existent pas partout;
indre en si peu de temps. Les muscles sont le siège de très rares contractions fibrillaires et présentent à l'exploration élec
cause de l'atrophie des muscles. Chez les autres, au contraire, la contraction constante du frontal qui tend à remédier à l'in
anomalie des réactions, mais une simple diminution de l'énergie des contractions , propor- tionnelle à la diminution supposable d
flexe rotuliou conservé. Pas de réaction de dégénérescence. l'as de contractions fibrillaires. Les symptômes bulbaires Vs'aggrav
leur con- tractilité au courant induit, malgré la persistance de la contraction volontaire, peut être considérée comme abolie,
Au courant continu, avec un nombre égal d'éléments, on obtient des contractions du côté malade alors que l'on ne produit rien du
scles sains. En appliquant le pôle sur les muscles, on provoque des contractions au moins égales, sinon plus fortes, qu'en emplo
roisième se contracte à peine, et le quatrième un peu seulement. La contraction des muscles antéro- externes de l'avant-bras se
de la vessie ou 1 du rectum, la perte des réflexes, la présence de contractions fibrillaires ' dans les muscles atrophiés ou en
remplacé par cet autre phénomène décrit par Wetsphal sous le nom de contraction paradoxale. 3° Action de l'électricité. - Les m
les sujets sains, mais chez l'hystérique on observe parfois que la contraction musculaire ne reste pas localisée aux muscles d
e sur l'autre et ne tardent pas à se confondre dans un même état de contraction tonique analogue à la tétanisation pro- duite d
te. Dans une première partie, la descente est brusque comme dans la contraction normale, puis s'arrête tout d'un coup pour fair
emblables à propos du phénomène désigné par Westphal sous le nom de contraction paradoxale=. Enfin sur des sujets récemment dél
r, et il ajoutait : «Ces atrophies circonscrites survien- nent sans contractions fibrillaires, sans particularités au point de vue
oisième est normal, le quatrième aussi, sauf une prédominance de la contraction a110(IaIC. 'Thénar : faradiqucment le court abd
ouce se contrac- tent dans tous ces muscles NFC>PFC. De plus, la contraction est plus lente et se maintient plus longtemps q
64 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
es muscles se contractent inutilement et d’une façon spasmodique; les contractions sont même d’autant plus spasmodiques qu’elles son
nsation ainsi provoquée est perçue par le cerveau, car elle amène les contractions musculaires qui tiennent le bras élevé. Mais cett
s musculaires qui tiennent le bras élevé. Mais cette sensation et les contractions qu’elle détermine restent inconscientes. L’état
ment de la conscience : l’esprit est occupé d’une passion unique; les contractions musculaires four- nissent la mimique correspo
fournie par l’objet contemplé, remplit la conscience. Seulement, les contractions musculaires, au lieu de se borner à la mimique co
étant relâchés, le sujet n’a plus conscience de l’eiïort causé par la contraction musculaire, il ne peut plus être attentif, car l’
sculaire, il ne peut plus être attentif, car l’attention est due à la contraction permanente des muscles du globe oculaire fixant l
sement de la conscience que rien n'excite hors la passion unique. Les contractions musculaires, attitude et physionomie corresponden
l’activité mentale ; rien ne l'excite en dehors de la passion. Les contractions musculaires sont provoquées uniquement par cette
n. Mais ici l’objet passionnel est perçu par les yeux; il est vu. Les contractions musculaires, au lieu de se borner à la mimique, c
on ainsi provoquée est donc perçue par le cerveau, car elle amène des contractions musculaires qui tiennent le bras élevé. Il y a su
e neurone moteur continue son excitation et amène la permanence de la contraction musculaire. L’état cataleptique existe chez cer
t sujette à des extases religieuses, elle se croit crucifiée. Une contraction complète des muscles s’est donc produite, et on n
es, dans la seconde partie de l’arc, en mouvements d’un autre ordre : contractions musculaires, ondulations électriques (électricité
la dilatation des neurones de sensation visuelle, la micropsie à leur contraction , et la déformation des objets à la déformation de
s d’une nouvelle chute, tous ces symptômes se trouvent exaspérés. Les contractions s'exagèrent par les émolions ; les convulsions ce
agne de troubles de la nutrition: d’autres fois, elles produisent des contractions spasmo-diques de l'utérus et. par contre-coup, de
ination de brûlure ou d’application d'un yésicatoire ; dilatations et contractions pupillaires dans le cas d'hallucinations visuelle
ones inférieurs de mouvement. mouvement plus simple ou une simple contraction . Suivant le nombre des neurones supérieurs de mou
e manière. La période épileptoïde de l’attaque, qui consiste dans une contraction généralisée, correspond à la première et à la plu
acture généralisée (catalepsie). Les conducteurs qui président à la contraction des fibres lisses des vaisseaux sont intimement m
nt intimement mélangés du moins à l’origine à ceux qui président à la contraction des autres fibres musculaires, et ont comme ceux-
tric-tion spasmodique du sphincter du va gin, qu'il rapprochait de la contraction spasmodique du sphincter de l’anus dans le cas de
t), il se produit en même temps des décharges motrices, tremblements, contractions athétosiques, secousse choréiques, attaques, qui
liqué aux deux premiers phénomènes est des plus mauvais. En effet les contractions des muscles de la parole et de l’écriture résulte
65 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s à gauche. PARAPLEGIE SPASMODIQUE. 1 surviennent brusquement des contractions douloureuses qui font plier la jambe droite sur
desquamation furfuracée, En avril 1898, D... ne se lève plus. Les. contractions involon- taires se font plus fréquentes ; elles
acture permanente de la jambe droite en flexion a disparu, mais les contractions brusques sont fréquentes la nuit, surtout à dro
ture entraine le bassin et le membre inférieur du côté opposé. Les' contractions faisant se fléchir les membres inférieurs et les
à penser que l'action synergique du spincter irien provoquée par la contraction de l'or- biculaire donne à l'iris une activité
rapport avec l'état d'atrophie des muscles. Il est naturel que les contractions soient amples chez le petit malade de M. Brissa
ue chez Gu... aucune sensation, bien que, cependant, on constate la contraction des muscles sous la peau. Peu à peu la sensibil
u pied, enfin une lente extension de l'articulation du genou par la contraction du triceps fémoral. Ses observations offrent ce
L'examen électrique des muscles a montré l'apparition précoce de la contraction tétanique à la suite d'excitations lentes et faib
dans la moitié droite de la partie ventrale de la protubérance. La contraction réflexe des deux quadriceps fémoraux était prod
rotulien droit, tandis que celle du tendon gauche ne produisait la contraction que du quadriceps droit. ' Au moment où cette c
lume, on voit des cascades blanches, pulsatiles. Il s'agirait de contractions vasculaires de l'artère centrale de la rétine a
le centre de la rétine et agissant ainsi comme excitant. Quand ces contractions sont d'origine mentale, elles éma- nent des fib
^symptômes prodromiques du glaucome. Le mécanisme en est connu. La contraction de l'artère centrale de la rétine produirait de
ire des yeux est un mouve- ment associé de l'iris qui accompagne la contraction de l'orbicu- . laire : en même temps le globe s
généralement plus forte que le rétrécissement de la pupille' il la contraction de l'orbiculaire : aussi le myosis y est-il excep
les gens bien portants. Le second procédé en revanche produit ' une contraction de l'orbiculaire plus énergique, c'est-à'dire une
suite de traumatisme, dans laquelle la réaction des pupilles à la contraction simple de l'orbiculaire était seule conservée : l
voltaïque irrite vivement le muscle, car elle y détermine de vives contractions fibrillaires, une hyperémie prononcée d'autant
pneumographes de Marey et de Verdin démontre qu'il s'agit ici d'une contraction spasmodique très énergique des muscles thoraciq
eure et cubitale de ce membre pour y sentir nettement une puissante contraction des muscles qui s'in- sèrent à l'épitrochlée, e
oigts profondément le long du long supinateur inerte, on perçoit la contraction évidente du premier radial externe. Il n'est 37
des muscles qui s'attachent à l'épitrochlée, et dont on sentait la contraction énergique. Ce mouvement, bien qu'il fût exécuté a
re qu'il existe des symptômes d'excitation tels que contrac- tures, contractions convulsives, etc. En un mot une recherche atten
ommence à 2 ou 3 centimètres en dehors : dans ces conditions, toute contraction des muscles deltoïde et biceps, éloi- gnés, éma
ité variable et d'une fréquence qui oscille entre cinq et cinquante contractions par minute. La nature du tremble- ment, la vari
r minute. La nature du tremble- ment, la variabilité de forme de la contraction rendent le diagnostic parfois malaisé. On a dit
s tendineux malgré l'intrégrité des muscles correspondants et des contractions librillaires. " En somme, aucun des caractères
tuel, par une lésion du nerf sous-orbitaire, a les caractères de la contraction électrique et afflige' le malade, au lieu que l
eux. Chacun varie pour son propre compte. Des mouvements anormaux « contractions toniques » se produisent et s'ajoutent aux réfl
version de l'inégalité des pupilles où il existe simultanément : 1° contraction bilatérale égale des pupilles à l'occlusion pal
à la lumière, à l'accommodation et à la convergence; ¡ (obs. V); 2° contraction bipupillaire égale à l'occlusion palpébrale, in
ère, conservation bilatérale égale de l'accommodation (ohs. VI); 3° contraction égale des deux pu- pilles à la fermeture des ye
66 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t devient bleue, ses membres se raidissent dans l'extension par des contractions toniques vio'entes, sans clonus. Au bout de que
re qu'à l'état virtuel, la cause en est dans là moindre énergie dès contractions muscu-' laires. Un autre fait également signalé
e oit'dans une glace. Cependant'il semble que quelques-unes de ces' contractions au moins . soient parfois . volontaires , 'cell
expliquer ce tic que nous, avons décrit, ce mouvement fréquent' dé contraction des( muscles frontaux, en prétendant que Our ]l
sition à l'atro- pliie tardive deshemiplégiqués (d'origine spinale, contractions )'/ ' Est-elle due aux modifications physiologiq
lt;membre supérieur droite La dou)eur'est''s)nvietdetprès par, des' Contractions muscu- laires,'1 'brusques/ instantanées,) inco
'entourent, «pas. même,,sa mère ; crises ficonvqlsivés, fréquentes; contractions .presque. généralisées ; cri,s^i.ter3ÏPU.&i
i., cette rapidité du travail. est d'autant plus remarquable'que la contraction utérine est g'faible chez les aliénées;[Pour so
toutes ces malades M. Toulouse a constaté : 1° une diminution de la contraction musculaire volontaire et 2° une tendance à J'égal
,, ., , ? CLINIQUE- MENTALE....[.<-. , 1 , yetx 51 îje cher ces contractions spasmodiques très douloureuses. Pas d'hallu- ci
doigt, appliqué sur les masséters,, en perçoit,très nettement les contractions successives...' P... nous communique ensuite ce q
" ? ' 'II. ;jdsociCtûK.es aMCa'o)tsmo'tcese ? '6s'e< des . , v contractions spasmodiques des muscles masticateurs ? z j. ,*
glôssô-labié. ' '-I' /a' ' '-r ? J ? 11 Ajoutons', 'i que, ? ces J contractions des, muscles5 masticateurs étaient non seulemeh
ilité complète de parler survenant par accès, s'accompa- gnaient de contractions toniques du bras gauché étfde crampes des muscl
uler les muscles et les glandes en provoquant chez les premiers, la contraction , et chez les secondes l'excrétion'. 3° Cette th
ument, en particulier à la" face ? 1 on n'observe-'passât [ moindre contraction fibrillaire ? w .1 ? <*" 1JU0(. 'u ""JI >
LINIQUE) NERVEUSE. : 33 OE18'.IAqAq -'quelques jours de' distance,' contractions fibrilIireslocalisées;auz 'muscles;' grand et f
ité, conversité pour con- versibilité, etc. ; quand elle parle, les contractions fibrillaires des muscles péri-'buccaux sont plu
sphincter de l'iris et légère parésie du muscle ciliaire; , gauche, contraction peu marquée, sous 1 influence de la lumière; ma
I(J 311 période. rPupilles parfaitement égales : à- droite, .toute { contraction fait défaut; à gauche, en.plus`dé la paralysie dè
ymnastique électrique'et les liens qui unissent l'excitation' et la contraction . Dans' la quatrième et la cinquième sont exposés
ion. ' ' ° am ; .. Les phénomènes circulatoires qui accompagnent la contraction musculaire sont identiques dans l'exercice phys
usculaire sont identiques dans l'exercice physiologique 'et dans la contraction artificielle provoquée par lés méthodes d'excitat
tion qu'il nomme réaction diffusible.- Cette der- nière diffère des contractions musculaires lentes et vermiculaires de la dégén
contre pas dans tous les cas. Elle consiste dans la diffusion de la contraction à la totalité -du muscle excité ainsi qu'à cert
radique peut être conservée, il faut seule- = ment pour obtenir des contractions musculaires des intensités plus fortes que du c
s. Chaque muscle est également influencé et on laisse cesser chaque contraction avant d'en provoquer REVUE d'électrophysiologie
rop énergiques.. Les séances au commencement seront- courtes et les contractions douces.' Au début le muscle réagit plus lenteme
ust au.courant faradique et qui réagit moins au courant galvanique ( contractions lentes), -est encore-assez mobile. Il sort de l
r augmente l'excitabilité des nerfs sensitifs, de la peau, amène la contraction des vaisseaux, et accélère. le cours du.sang; l
du muscle, affermit la fibre, en augmente. la, vitalité, rend les ; contractions plus rapides i et. plus puissantes, augmente la
contractilité, électrique musculaire.. » Le tapotement provoque la contraction puis la dilatation des vais- seaux qui se dilat
67 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
l'expérience réussit il est bien évident que c'est grâce à l'état de contraction continue et à une sorte de contracture des muscle
ous l'empire de sa volonté. Mais plus il met d'énergie à exciter la contraction de ces muscles abducteurs des bras, plus.....autr
cteurs des bras, plus.....autre chose fait effort pour accroître la contraction des fléchisseurs des doigts ! Est-ce lut, est-ce
nnelle de l'hypnotisé qui veut, qui commande et qui détermine . cette contraction redoublée ; c'est une autre volonté, c'est une au
es du nerf vague qui, transmise au bulbe, produit par acte réflexe la contraction des muscles expirateurs. Or l'emphysème pulmona
ns l'aptitude qu'acquièrent les muscles de la vie animale à entrer en contraction sous l'influence d'une simple excitation mécaniqu
ant, en percutant ou en frottant, même légèrement, pour provoquer une contraction . Si l'excitation est un peu forte et prolongée, l
er une contraction. Si l'excitation est un peu forte et prolongée, la contraction se transforme facilement en contracture permanent
s et une sorte de hoquet, qui est quelquefois remplacé par de simples contractions du pharynx ; ces phénomènes peuvent être suivis d
ent d'un état de raideur et de forte tension des membres du sujet, de contractions presque convulsives des muscles qui déterminent p
est indispensable dont je donnerai tout à l'heure la description ; 2° Contraction plus ou moins brusque et violente des masses musc
e l'action est dirigée sur le genou. Le plus souvent, d'ailleurs, les contractions ne sont accompagnées pour le sujet d'aucune sensa
us complet. Il n'a pas perdu connaissance. A l'examen on constate des contractions fibrillaires dans les régions des muscles tempora
it d'un nerf centripète, cela ne donne lieu péripheriquement ni à une contraction musculaire, ni à une sécrétion, puisque le nerf n
à une racine antérieure d'un nerf spinal) donne lieu uniquement à une contraction musculaire, et non pas à un effet dans les centre
n est d'une théorie histologique du sommeil comme d'une théorie de la contraction musculaire. Son but essentiel est, dans les deux
tomique pendant le phénomène étudié. Les muscles, pendant l'état de contraction , sont le siège d'une circulation plus active, ils
s ces parties lorsque, de l'état de repos, la fibre passe à l'état de contraction . Lorsque, au contraire, les histologistes, avec K
se musculaire, ils cherchent à établir une théorie histologique de la contraction ; lorsque ÏÏANviER nous montre que les disques so
nt ici ce que les combustions, production de chaleur, etc., sont à la contraction musculaire, tandis que la théorie histologique, a
ons de forme, d'aspect, de rapports des cellules nerveuses. Pour la contraction musculaire, l'observation directe a permis à Raxv
gel-µ???, Merkel, il a pu substituer ainsi une théorie positive de la contraction musculaire, théorie qui mérite, au premier chef,
é absolue, même état nerveux, pleurs spontanés dès qu'on l'interroge, contraction légère des pupilles sous l'influence d'une vive l
elle va accoucher pendant son sommeil, qu'elle continuera à avoir des contractions , mais qu'elle ne souffrira pas, qu'elle continuer
68 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
muscles affectés. -- Sa mère a du même côté, de temps en temps, des contractions spasmodiques des paupières. 1 Ch. Féré. Le ti
pporte le cas d'une dame qui fut at- teinte pendant une année d'une contraction spasmo- dique continuelle du sterno-cléido-mast
et d'amplitude jusqu'à ce que le corps tombe immobile et se fixe en contraction . Les bras se mettent en croix; les jambes sont
riodes : dans la première, tous les phénomènes sont plus accusés, contractions abdominales, éructations, mastication; le nombr
t où les substances qui remontent prennent l'aspect d'une pâte, les contractions , les éructations sont à peine sensibles, les bo
, l'oesop/ta[Je, etc... entrent immé- diatement et simultanément en contraction . Pendant ce temps, la respiration est suspendue
mais très souvent nous n'avons rien remarqué et, dans le cas où des contractions se sont produites, leur peu de durée 2t d'inten
tes, leur peu de durée 2t d'intensité nepeutles faire assimiler aux contractions énergiques qui provoquent le vomissement. Pour
t dans le vomissement. Dans le dernier phénomène, il semble que les contractions partent d'un point plus éloigné de l'oeso- phag
en agissant sur l'estomac pir des pressions exté- rieures, par des contractions des muscles abdominaux, en fai- sant de grandes
RÉCIR LA PUPILLE ET DE LA LOCALISATION DU CE\1'REDE L'IRIS ET DE LA CONTRACTION DES MUSCLES moteurs de L'OEIL; par l3ECDTEREFr·
iquer contre le palais. Elle a con- servé son volume normal; pas de contractions fibrillaires; pas d'altérations de la sensibili
décrite dans l'atrophie de la langue. On la voit aussi agitée de contractions fibrillaires très accusées. Les mouvements de l
courant avec une intensité assez considérable ne détermine . pas de contractions dans le muscle deltoïde. Il en est de même pour
e faire en plusieurs temps, parce que la vessie est incapable d'une contraction soutenue. Dans tous les cas, lejet est sans vig
lus ou un peu moins, elle se vide d'unefoisetcomplète- ment par une contraction réflexe' : c'est une miction incons- ciente, ma
e temps d'arriver jusqu'à l'état de distension moyenne, que déjà la contraction réflexe se produit; 2° tantôt le besoin est non
vant effacé, se bombe fortement. Toutes les vingt secondes environ, contractions violentes visibles et tangibles de la région ép
à l'insu du sujet, qui ne s'aperçoit, le plus habituellement, des contractions qui font remonter les aliments que lorsque ces de
la peau au niveau du tendon patéllaire ou ailleurs, déterminait une contraction isolée du triceps fémoral, d'autres muscles ent
provoquer le phéno- mène du genou (heurt du tendon rotulien), ou la contraction lente des muscles de la cuisse (pincement de la
s d'une action réflexe, ou doit-on les considérer comme issus d'une contraction produite par l'ébranlement des tendons en état
résorption molécule à molécule); les autres, de la paralysie et des contractions des muscles périartieutaires (action des antago
cir la pupille et de la localisation du centre de l'iris et de la contraction des muscles moteurs de l'), par Bechtereff, 1
69 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
uce .. 65 Fléchisseur et opposant ... 85 Abducteur du pouce à 40, contraction faible; contraction dans le linter- dorsal et
r et opposant ... 85 Abducteur du pouce à 40, contraction faible; contraction dans le linter- dorsal et le court fléchisseur
'op- posant du pouce. Adducteur du petit doigt -Il zéro, pas de contraction ; mais contraction dans le I interosseux dorsal
uce. Adducteur du petit doigt -Il zéro, pas de contraction ; mais contraction dans le I interosseux dorsal, court fléchis-
réside ni dans la paralysie, ni dans l'atrophie des muscles dont la contraction favorise la circulation. Ce n'est pas un oedème
soin de s'appuyer sur une canne. Cependant la force déployée par la contraction des muscles primitivement paralysés était encore
arcot invoquait pour les déformations du rhumatisme chronique des « contractions musculaires spasmodiques et pour ainsi dire convu
atologique, difformités congénitales produites sur le foetus par la contraction musculaire : les veaux nialas. Paris, 1885. (2)
physiologique. En effet aucun groupe musculaire ne saurait, par sa contraction , déterminer cette inclinaison en masse vers le
s de l'éminence hypothénar gauche ne se contractent plus à zéro. La contraction est faible pour les trois der- niers interosseu
rtébrale; 3) torticolis par cicatrice vicieu- se^ 4) torticolis par contraction musculaire passagère ou permanente. Point n'est
ase souvent citée de Ziemssen (2) : « la spontanéité du passage des contractions d'un groupe musculaire il un autre, l'inépuisable
« un mouvement convulsif, habituel et cons- cient, résultant de la contraction involontaire d'un ou de plusieurs mus- cles du
socie toujours les mêmes contrac- tions musculaires, et ce sont des contractions musculaires que physiologi- quement on associe
auche. Cette fesse aplatie, à peau flasque, est souvent ani- mée de contractions fibrillaires. La Planche XXXI, A, représente le m
tée au membre supérieur droit, mouvements atéthoïdes des doigts par contractions fibrillaires. Tuberculose pleuro-pulmonaire.
urs pas la lenteur ni la forme arrondie, sont en rap- port avec des contractions fibrillaires plus ou moins accentuées qui sillon-
seurs des doigts, et en particulier l'extenseur du petit doigt. Ces contractions ne gênent pas d'habitude le malade, il n'y fait
e, le mouvement de ses doigts quand il sent venir puis augmenter la contraction fibrillaire. Le petit doigt en particulier est
s. En réalité, il ne s'agit pas ici d'athé- tose, mais seulement de contractions fibrillaires se produisant* au niveau de divers
Médecin de Bicêtre. On sait combien la circulation de la peau et la contraction de ses mus- cles sont influencées par les émoti
'est pas question ici avec intention de la naladie de Brodie, où la contraction musculaire est le fait essentiel. CLINIQUE DES
des muscles rotateurs de la tête. Secousses musculaires brusques et contractions durables diversement entremêlées, produisent la d
me, par une attitude où il ne semble pas lutter contre une violente contraction par exemple en apposant comme cela est si fré-
: un terrain préparé, une cause déprimante récente, un pré- texte à contractions musculaires répétées. La tare héréditaire est que
tion et d'assouplissement des muscles qui tendent à reprendre leurs contractions spasmodiques. Encore, toutes les opérations ne
ras et le bras paraissent diminués de volume. Un jeu très accusé de contractions fibrillaires des muscles des avant-bras, des br
70 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de Landry. Au bout de deux mois, il présentait des phénomènes de contractions douloureuse empêchant l'extension passive et la
enfant de cinq ans, résistance marquée à l'action excitatrice des contractions par la faradisation, pas de réaction de dégénéres
note la force minima du courant nécessaire pour obtenir une faible contraction musculaire de l'extrémité du côté opposé; on no
t exagérée; il faut un courant éminemment faible pour provoquer une contraction mus- culaire ; un courant à peine suffisant che
à peine suffisant chez l'animal sain pour provoquer une très faible contraction musculaire, provoquera un accès d'épilepsie ; f
mécanique, le contact de l'écorce par une éponge, provoquera des contractions convulsives dans les membres de la moitié opposée
tait tout à fait insensible au courant électrique, pour obtenir des contractions marquées des groupes musculaires du membre en q
sur l'influence de la résistance sur l'apparition et l'étendue des contractions et sur le rôle de la polarisation dans la produ
ntractions et sur le rôle de la polarisation dans la production des contractions d'ouver- ture. L'exploration de l'excitabilité
Morse associées, elles dépassent le plus souvent en amplitude les contractions de fermeture et se montrent avant elles, surtout
pas de résistance supplémentaire inter- calée dans le circuit, les contractions d'ouverture, tout en étantplus fortes qu'avec l
ives, avec des représentations ou des impulsions motrices, avec des contractions du muscle tenseur du tympan, avec de légers mou
ent assez énergiquement contractés ; il y avait en même temps une contraction des muscles du pharynx donnant lieu à du gargouil
me ou irrite les centres qui président au contrôle musculaire : les contractions tétaniques sont assez communes, mais les cloniq
. Trois ans avant son entrée à l'hôpital, elle commencé à avoir des contractions involon- taires des muscles de la face : puis l
ent sous l'influence de l'excitation mentale ou de l'attention. Les contractions muscu- laires sont cloniques et intéressent les
s. Trois ans avant son entrée à l'hôpital, elle a vu apparaître des contractions involontaires des muscles de la face, qui se so
oupes musculaires physiologiquement associés. On note également des contractions fibrillaires, et des spasmes partiels et isolés
s'aggra- vant. Les auteurs ditièrent d'opinion sur la nature des contractions musculaires ; mais il s'agit là d'une différenc
'est pas assez profonde pour rompre le groupement des cellules, les contractions musculaires comprendront des groupes de muscles
ices, cette action associée est détruite, et l'on observe alors des contractions irrégulières et des tremblements fibrillaires,
des réflexes et l'incoordination. L'absence ou la dimi- nution des contractions pendant le sommeil a pour cause l'aboli- tion d
sant bientôt les autres extrémités et le tronc et s'accompagnant de contractions musculaires involontaires finissant par contrac
eu. Bientôt cet homme fut atteint d'une paralysie spasmodique, de contractions douloureuses et de troubles sensitifs variés dans
tion aspiratrice du coeur et de la cage thoracique, mais aussi à la contraction des muscles qui chas- sent le sang des veines p
eu. Bientôt cet homme fut atteint d'une paralysie spasmodique, de contractions douloureuses et de troubles sensitifs variés dans
auche, éclairée par un faisceau lumineux réfléchi, provo- quait une contraction symétrique des pupilles. La lésion siégeait don
. Exploration galvanique. Pas de modifications du caractère de la contraction N F C > PFC > P 0 C. 1V 0 C n'est pas reche
hée à cause de la douleur provoquée par le passage du courant. La contraction musculaire est obtenue avec 5 milliampères. MEM
ose d'appeler ataxie statique ou du tonus. Dans le tabès à côté des contractions anormales dans les mouvements volontaires, il e
71 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
stement à des lésions nerveuses avec réaction de dgé- nérescence et contractions librillaires, mais offrant de commun avec les m
ilatées, la tête est fortement étendue en arrière par le fait de la contraction des muscles de la nuque. Les muscles des membre
lement exalté, du muscle extenseur de la cuisse que déterminent les contractions des muscles fléchisseurs des doigts et des mains,
es tabétiques rentrent dans trois groupes de- mouve- ments : * .. Contractions musculaires simples : flexion, extension, abduc-
ent le but de ces exercices. Le malade doit apprendre à dominer ses contractions musculaires et par conséquent arriver à pouvoir
on de varo-équin, et impossibilité absolue de les redresser par des contractions volontaires. Impossibilité traitement DE l'atax
laire, ils se sentent lourds, les jambes en plomb, ils accusent des contractions et des crampes. Chez cette caté- gorie des tabé
mique de Renaut); 2° pour les accès de frissons, au contraire, à la contraction brusque, spasmodique, généralisée, de ces mêmes
ements dans les mouvements volontaires (sclérose en pla- ques) ; 3° contractions anormales au repos (chorées); 4° contrac- tions
n. Au sujet des malades signalés par M. A. Voisin et présentant des contractions mus- culaires bruyantes pouvant aller jusqu'à u
de sifflement s'échappe entre les arcades dentaires serrées par la contraction des masséters ; les ailes du nez battent; la la
t le tronc se raidissent ; les sterno-cléido-mastoidiens entrent en contraction , puis l'onde convulsive gagnant les pectoraux,
les territoires musculaires, habituellement si prompts à entrer en contraction à la moindre manifestation verbale. L'intensité
istendre la vessie au moyen d'une injection d'eau sans provoquer de contraction de l'organe ; donc l'incontinence n'est pas due
pe. Chaque muscle est en outre animé de petites vibrations dues aux contractions isolées et successives des fibrilles, ces con-
ieurs, sont normaux aux inférieurs. Sur tous les muscles atrophiés, contractions fibrillaires très marquées au moindre choc. Sen
ôté gauche, ainsi que le sterno-mas- toidien droit sont atrophiés ; contractions fibrillaires sur ces muscles. Réflexe rotulien
ours de cette mala- die, surtout dans les premiers temps, de fortes contractions des muscles du membre inférieur gauche, princip
par des efforts de vo- 340 CLINIQUE NERVEUSE. lonté à amener des contractions dans les muscles de la jambe gauche. On commenc
e d'un mois la malade a appris a dominer assez convenablement les contractions musculaires des jambes. Elle corrige bien la posi
ion sur la position qu'on donne à ses articulations, ni du degré de contraction de ses muscles. Si on croise ses jambes, elle n
tion qu'on donne à ses articulations et il n'a aucune notion des contractions musculaires. Motilité. Couche. Tout les mouveme
les mêmes difficultés à vaincre pour amener le malade à dominer les contractions désordonnées de ses muscles. C'est au prix d'ef
mprime à ses articulations, et il ne sait pas apprécier le degré de contraction des muscles des jambes (les yeux fermés naturel
temps, on constate que les muscles du mollet sont agités par des contractions fibrillaires. Etant couché la tête basse, si le m
l'appareil musculaire entier de la vessie entre en même temps en contraction , les muscles expulseurs (de l'urine), aussi bien
(de l'urine), aussi bien que le sphincter. Il faut, en plus, que la contraction s'accomplisse dans le sens péristaltique, sinon
centres réflexes urinaires ont été hyperexc;tés, ils provoquent des contractions dans le sens antipéristaltique. Dans le cas act
qui se passe dans un trouble analogue du rectum, dû également à des contractions anti- péristaltiques de l'organe, et qu'on dési
nsi à des mouvements associés. -2° Ces mouvements associés dus à la contraction simultanée de plusieurs muscles, ou de plusieur
72 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
scles de cet organe ne soient pas atrophiés. On n'y remarque pas de contractions libril- laires. 1 La luette est déviée à gauc
du développement de la maladie, le manque d'atrophie musculaire, de contractions fibril- laires et de réaction de dégénérescence
ie et dysphagie, ensuite une hémiparésie droite sans atrophie, sans contractions fibrillaires et sans réaction de dégénérescence.
la déformation tibio-fémorale ; elle serait alors le résultat de la contraction exagérée du tenseur du fascia lata, destinée à
n de la flexion de l'avant-bras sur le bras ; il entre également en contraction à l'oc- casion des mouvements du poignet. Sur l
s Fis. 2. , 136 HUET ET INFROIT dont on constate facilement les contractions volontaires ou les contractions pro- voquées él
OIT dont on constate facilement les contractions volontaires ou les contractions pro- voquées électriquement ; ce sont les muscl
ût 1896, p. Il 3. 148 nUET ET INFROIT faire jouer un rôle à des contractions vives ou prolongées de l'utérus, à des constric
ndre mouvement de la main. De temps en temps, la malade ressent une contraction douloureuse, mais il n'y a aucun trouble objectif
euse, mais il n'y a aucun trouble objectif de la sensibilité, ni de contractions toniques, autant qu'on peut s'en assurer. L'étude
sionne la gêne des mouvements. La douleur est probablement due à la contraction excessive de la totalité ou seulement d'une parti
ois, la première de ces localisations. Bien que la répétition de la contraction musculaire puisse, comme on l'a dit, produire c
e-plume moins serré, plus librement, et de façon à ne pas exiger de contractions musculaires. Il est aussi de très bonne pratiqu
ssous de l'angle inférieur de l'omoplate : A gauche : 50 cm. 5 sans contraction , 48 centimètres avec contraction. A droite : 48
moplate : A gauche : 50 cm. 5 sans contraction, 48 centimètres avec contraction . A droite : 48 cm. 5 et 47 cm. 5. Périmètres
olécrane : droit, 30 cm. 5, sans con- tractions,33 centimètres sans contractions : gauche, 31 cm. 5 et 33 cm. 5. Avant-bras, à 9
t dû à une altération des neurones du sympathique qui président aux contractions cardiaques (1), neurones qui appartiennent au m
voit s'ajouter aux con- tractions rythmées du triceps brachial des contractions fasciculaires et (ibril- laires de tous les mus
t (ibril- laires de tous les muscles de la ceinture scapulaire. Ces contractions n'entraî- nent aucun déplacement des épaules ou
roxysmes qui coïncident avec les spasmes. Dans les intervalles, les contractions fibrillaires sont moins diffuses et moins nombr
ctoral qu'on dirait excités par une électrode -de faradisation. Ces contractions ne gênent en aucune façon le malade qui ne les so
rrégulier dans ses allures et dans sa forme. Il est indépendant des contractions rythmées et des contractions fibrillaires auxqu
dans sa forme. Il est indépendant des contractions rythmées et des contractions fibrillaires auxquelles il se juxtapose ou se s
ns les bras. Ce matin l'on n'aperçoit ni tremblement ni spasme, les contractions fibrillaires du trapèze et des muscles sus et s
is, ni de strabisme, ni de myosis. Par instants, on note de petites contractions dans les muscles de la face, prédominant du côté
e ces régions ; sur l'éminence hypothénar on remar- quait aussi des contractions fibrillaires. Les réactions électriques donnère
qui en reçoivent l'innervation, leur atrophie consécutive avec des contractions fibrillaires et réaction de dégénérescence, les
ant dans les tendons fléchisseurs profonds du 3° et du 4° doigt, la contraction de celle-ci fait contracter le 3° lombrical qui
nt peu à peu et affectant principalement la face avec tendance à la contraction , en griffe, de la main gauche, impotence fonction
, par rapport aux muscles correspondants du côté droit. En outre la contraction est plus lente à apparaître et l'amplitude de la
73 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ume 'le la main et me raidissant il seule fin de faire croire à une contraction nerveuse, jetant l'estomac en avant, retenant m
ses, des mouvements des membres ou de la queue, mais encore par des contractions particulières de la face et des modifi- cations
intentionnel. Le mouvement intentionnel résulte d'un trouble de la contraction intérieure de chaque muscle, tandis REVUE D'ANA
l'hypoglosse. L'exploration faradique en est trou- blée par la vive contraction du peaucier du cou ; l'exploration gal- vanique
inence hypothénar. Il s'agit d'un réflexe du petit palmaire, -d'une contraction non convulsive, lente, durant à peu près aussi
ien qu'il fut quelquefois éveillé en ce moment par une sensation de contraction musculaire locale et de battement. L'ap- pariti
ième dorsale avec cyphose en ligne brisée, atrophie musculaire avec contractions fibril- laires de la région cervico-scapulaire
mes vaso-moteurs, incontinence d'urine et parfois encore quel- ques contractions toniques (jamais de secousses cloniques). La co
viennent plus rares, les secousses toniques sont remplacées par des contractions cloniques et l'évolution ultérieure de l'accès
si) ; par G. Mingazzini. (Neu1'olog. Ceztrnl6l., XVIII, 1899.) La contraction énergique de l'orbiculaire détermine un rétrécis-
nce de la lumière et qu'elle ne sera pas rétrécie. Plus l'effort de contraction de l'orbi- culaire est vigoureux, et il l'est s
putable à la modification invoquée de la circulation irienne par la contraction de la paupière comprimant l'oeil, car, ni chez
rgeur des pu- pilles, qui, au contraire, change quand s'effectue la contraction vigoureuse de l'orbiculaire. Ce myosis serait d
ologie expérimentale ont déjà mis en évidence la simultanéité de la contraction de l'orbiculaire palpébral et du sphincter pupi
orbiculaire ; de plus, le simple clignotement des yeux provoque une contraction très vive et très forte des deux pupilles comme
par la pression déterminée sur le globe au moyen de l'énergie de la contraction palpébrale. Voici par exem- ple une malade atte
nte son attention sur la flamme, la pupille est animée de plusieurs contractions successives ; ce phénomène correspond à plusieu
et extrémités. Maigre, elle a perdu 47 livres. Pas d'atro- phie ni contractions fibrillaires. La force des extrémités semble no
asthénique : ., Etat de la langue pui n'est pas atrophiée, et sans contractions fibrillaires. Absence d'atrophie dans tous les
axe oculaire, on remarque (symptôme d'Argyl Robertson) une certaine contraction ; l'acuité de la vue a souffert, la vue périphé
s considérable. Les réflexes rotu- liens sont absents, la force des contractions des muscles est conservée; avec les yeux fermés
nique sous ce nom un phénomène normal appelé par les physiologistes contraction locale qui s'exagère dans certains états pathol
que Schiff nomme idio-22111sezilaii@e. Il esta remarquer que cette contraction locale s'accentue dans les fièvres grades et qu
nsemble ont diminué ou cessé complète- ment ». Pour rechercher la contraction locale on peut frapper le muscle, le biceps de
ar secousses convulsives. La même brusquerie se retrouve dans les contractions présen- tées par les muscles du thorax et de l'
a prudence désirable. L'acti- vité corticale se manifestait par des contractions nettes des membres, parfois dès le premier jour
auteurs, pour une seule et même espèce animale. Bary a vu aussi les contractions lentes et traînantes, il a constaté que la péri
e de cette période latente et le temps que demande à s'effectuer la contraction musculaire, quand on pratique l'excitation sous
psie tem- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 517 7 porale complète, et contraction du champ visuel pour le 'vert, le bleu et le ro
premiers, ce qui s'explique par l'intensité, pendant l'attaque, des contractions mus- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 523 culair
74 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
raction horizontale de la commissure labiale, produite surtout par la contraction des muscles zygomatiques, s'obtient par l'excitat
ouvements du voile alors même que les muscles de la face entraient en contraction violente. En revanche, les mouvements vélo-palati
on, au moment de la fermeture du courant, il put constater une petite contraction au niveau des muscles grand et petit zygoma tique
out cela indiquait le retour de la tonicité musculaire. Cependant les contractions musculaires volontaires faisaient défaut. Encoura
entuer. Tout d'abord apparurent, pendant l'élévation de l'épaule, des contractions fibrillaires dans les muscles du menton. Quelques
fibrillaires dans les muscles du menton. Quelques semaines après, ces contractions librillaires se transformaient en de véritables c
rès, ces contractions librillaires se transformaient en de véritables contractions cloniques, et on remarquait l'excitabilité faradi
ce de conjonctivite. C'est en levant un poids que l'opéré obtient les contractions les plus énergiques. L'élévation brusque, au comm
côté correspondant. Il peut élever cependant l'épaule en évitant ces contractions synergiques des muscles de la face, mais pas cell
nt les muscles gauches de la face, il ne peut, par contre, éviter les contractions du trapèze, légères, cependant, au point de passe
ter certains muscles isolément. Un examen minutieux fait voir que les contractions du risorius, du carré du menton, du triangulaire
au repos ; 3° l'astasie musculaire, ou ensemble des tremblements, des contractions discontinues, de la titubation et de l'incertitud
75 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
dans un état d'angoisse intense, de souffrance qu'exprime assez la contraction des traits de la physionomie ; elle gémit sans
ccès, une à deux minutes ; il est suivi pendant quelques minutes de contractions fibrillaires. Répétition à des intervalles vari
crémaster tout aussi inexpliquée qui, elle, cause une sensation de contraction locale ex- trêmement pénible. Guérison à l'aide
eux côtés de la charpente musculaire, de façon a provoquer quelques contractions dans chaque muscle. On agira de même pour la ré
réclament aussi l'action passagère des courants avec les puissantes contractions musculaires généralisées qui en sont la conséqu
nsmetteur, ne dépassera pas la quantité nécessaire pour obtenir des contractions moyennes ; pour éviter que le patient se plaign
signe du tendon rotulien dans le tabes. il insiste sur l'absence de contraction , et lui oppose la facilité avec laquelle, au co
ilité avec laquelle, au contraire, se produit dans cette maladie la contraction idiomusculaire parla percussion du corps même d
et, privé d'antagonisme, agirait seul, et donnerait naissance à une contraction continue des muscles (tétanie, athétose, etc.).
ellaire; la percussion du tendon rqtu.lie/ijVdi;qit1j détermine une contraction musculaire nette, mai,molléréei; celle du,,tend
liser par un temps humide. M. Joliy préférer 1 sOlil-,Jaq citer les contractions musculaires par l'excitation bipoIaire-pluLÔtjfif
es aliénés, il en est qui, tout en ne délirant plus, conservent les contractions musculaires accoutumées, et, inverse- uiçnt ? e
particulières résultent de certaines grimaces (exagération dans les contractions de plusieurs muscles du nez, des lèvrés ? renil
notable- ment diminuée pour le galvanique. On ne peut obtenir de contraction des muscles des membres qu'avec un courant de 1
ns que la percussion d'un muscle avec le marteau ne provoque pas sa contraction en masse ; mais, au niveau du point percuté, il
sion de la peau, en forme de sillon étroit et profond, indiquant la contraction du faisceau musculaire sous-jacent. Cette dépre
ue dont la mention a été omise plus haut sont les suivantes : toute contraction pro- voquée par le courant, soit faradique, soi
taque de Rosa G...(Oss.I.) 282 CLINIQUE NERVEUSE. nique, pas de contractions imprimant aux divers segments du membre des mou
comme on n'en voit guère que dans l'hystérie. Sous l'influence des contractions du diaphragme, le ventre est bal- lotté de bas
omme ou n'en voit guère que dans l'hystérie. Sous l'influence de la contraction du diaphragme, le ventre est ballotté et fait e
irect affecte une marche ondulatoire essentiellement différente des contractions librillaires simples et invariablement absente
s forme d'accès, engendrerait etlesconvul- sions tétaniformes et la contraction spasmodique de la tunique musculeuse des vaisse
76 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
tte région, lesquels étaient suivis d’un bruit sec succédant à chaque contraction musculaire. Ce bruit se faisait entendre dans le
it quelquefois à un frottement, à ■un grattement, et cela lorsque les contractions offraient moins d’intensité. Ces mêmes phénomènes
du froid? Es-tu serré ou relâché? Ressens-tu des picotements, ou des contractions , etc. ? Tout chez lui était conforme à ce que j’é
nnement à penser que les médiums devaient produire ces bruits par des contractions musculaires agissant sur une ou plusieurs articul
econd bruit. » L’intensité du son varie en proportion de la force des contractions musculaires, et la source apparente des coups peu
ne de ses attaques. Le témoin, ainsi que son confrère, constatent des contractions musculaires générales chroniques, point d’insensi
ps au moyen d'un système de canaux ramifiés. Le cœur, à l’aide de ses contractions , chasse le sang dans les artères. Celles-ci, en s
du ventricule dans les artères à l’aide de mouvements alternatifs de contraction et de relâchement. Le moment de la contraction du
vements alternatifs de contraction et de relâchement. Le moment de la contraction du cœur a reçu le nom de systole. Le moment du re
umons pénètre dans l’oreillette gauche : alors survient la systole ou contraction auriculaire qui chasse le sang brun dans le ventr
aussitôt que la circulation se trouve interrompue. C’est donc dans la contraction et le relâchement alternatif de cet organe qu’il
enfin avec un accent de désespoir : « Mais il reste toujours dans les contractions du cœur un inconnu que l'expérience n’a pas encor
. Arrivé dans cette oreillette, il imprime aux libres musculaires une contraction qui le chasse dans le ventricule gauche. Le vide
quel le sang est poussé dans l’aorte. Le vide fait aussitôt cesser la contraction , et le cœur se trouve au moment du repos : alors
d’elles en certitude. La principale cause qu’on allègue, à part les contractions du cœur, c’est la contraction musculaire. Assurém
cipale cause qu’on allègue, à part les contractions du cœur, c’est la contraction musculaire. Assurément les mouvements en général,
u cœur. Le sang veineux arrivant dans l’oreillette droite produit une contraction semblable à celle qui s’opère dans le môme temps
reconnu en physiologie, c’est que la tension du sang produite par la contraction ventriculaire du cœur gauche, est beaucoup plus c
rtu d’une loi générale qui préside à toute constitution organique, la contraction du ventricule droit n’est pas moitié moindre que
moins fortes ; mais ces fibres sont moitié moins fortes parce que la contraction que doit exercer ce ventricule doit être moitié m
) fortement négatif, produit sur le ventricule gau;;he od positif une contraction beaucoup plus puissante que le sang veineux, lequ
polarité, et par conséquent des degrés différents d’attraction et de contraction , ce sont les modifications qu'on observe dans la
qui contribuent le plus au retour du sang veineux, à part celle de la contraction musculaire, était due aux mouvements d'inspir
qu’elle est destinée à recevoir, et qui lui imprime son mouvement de contraction . Le sang qui vient des poumons étant plus riche e
tout le reste que le sang artériel seul est propre à stimuler les contractions de l’oreillette et du ventricule gauche, et que p
es mouvements respiratoires soient complètement suspendus, et que les contractions du cœur ne consistent plus qu'en un frémissement
uffira de rétablir artificiellement la respiration pour réveiller les contractions du cœur, et les voir persister pendant quelques h
entretenue au moment où l'on commence l’expérience que par de faibles contractions du cœur, conduit vers cet organe un sang revivifi
et de la marne lui cause une sensation brûlante, celle du plâtre des contractions au cœur ; le laurier la magnétise, le coudrier la
77 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on du courant nerveux, amenée, par exemple, par la diminution et la contraction du volume d'une dendrite protoplasmique, il nou
xécuter pour exprimer sa pensée par la combinaison pho- nétique des contractions des muscles du larynx, de la langue, du palais,
e. L'auteur résume les accidents du shock : pâleur des téguments, contraction des traits, asthénie profonde, respiration courte
e malade l'association nor- male de l'occlusion palpébrale et de la contraction pupillaire. V. Claudication INTERMITTENTE chez
bougie), après quoi se développa progressivement un sentiment de contraction des muscles de la face, une faiblesse de paupière
ffaiblissement du trapèze et du grand dentelé anté- rieur) ; 3° la' contraction unilatérale et bilatérale du peaucier du cou es
ela, que M. Eguier, en se courbant préalablement fait paraître, une contraction des muscles abdominaux et repousse son intestin
oits sont tendus au plus haut degré; M. Eguier peut faire aussi une contraction partielle de ces muscles; tantôt de leur portio
mbres supérieurs. Le myographe démontre aussi un tremble- ment à la contraction volontaire du biceps. Lorsque l'expérience est
traction volontaire du biceps. Lorsque l'expérience est achevée les contractions cardiaques deviennent très accé - lérées. La
s deviennent très accé - lérées. La capacité extraordinaire de la contraction volontaire des muscles isolés (du fléchisseur c
bles une impotence fonctionnelle correspondante. Il n'y a pas de contractions fibrillaires. Mais le pouce s'oppose diffi- cil
mple voile musculaire ; on ne sent plus la boule bicipitalc dans la contraction de l'avant-bras sur le bras; les muscles de l'a
nt très petite (la malade est une primipare). Le lende- main aucune contraction , aucune douleur. Le deuxième jour, le troisième
e, sans que le contact de ce corps étranger produise la plus légère contraction , la plus légère douleur, aussi avons-nous été o
nsation de secousse électrique dans l'index et le pouce droit, puis contractions de la main suivies de perte de con- naissance e
ue. L'acide urique dissous dans le sang a pour effetde provoquer la contraction desarlérioles; il en résulte une hypertension a
est alternativement rythmé *ou irrégulier, et n'aboutit point à la contraction paradoxale. Les douleurs mobiles dans le dos, a
hors et en haut. L'oeil droit regarde en bas et en dehors. Quelques contractions fibrillaires passent parfois sur les muscles de
montre ses gencives, sa bouche se dévie fortement à droite. Pas de contractions , mais pendant les mouvements volontaires l'acti
bien. L'atrophie du peaucier est très marquée et on n'y voit que la contraction du faisceau médian. Le changement des con- trac
n des paralysies ; dans tous les muscles paralysés et atrophiés, la contraction à deux courants (comme du muscle ainsi que du t
rs mouvements, tous les deux courants électriques donnent une bonne contraction . Au moyen de courants très forts on peut encore
très forts on peut encore recevoir tout à fait symétrique- ment des contractions du quart inféro-externe du muscle orbicu- laire
issent pas localement au courant, et ne donnent pas non plus aucune contraction , tandis que les autres se contractent bien. Le
es qui agitent le pouce, l'annulaire et le petit doigt gauches. Les contractions idiomuscu- laires (avant-bras, bras) sont exagé
vertébrale ; elle-même est forcée de garder le" lit. à cause d'une contraction permanente des muscles du mollet. Chez la cadet
élasticité et l'éner- qui lui a donné naissance dans les muscles en contraction volontaire.; par' M. J. Tissot; Relation de cen
science et à la volonté du sujet, et survenant souvent la nuit. Ces contractions myocloniques passent comme des éclairs, sont ir
78 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
ur les douleurs de ta parturition ? — Quels sont ses effets sur les contractions utérines ? Telles sont les deux questions que j
e Bordeaux. Nous avions encore, d'autre part, à nous préoccuper des contractions utérines ; à savoir : si l'action perturbatrice d
e, où on put l'hypnotiser et la guérir. De onze à quatorze ans. les contractions se renouvelèrent fréquemment, à la suite de ses a
ait une dilatation égale au diamètre d'une pièce de 2 francs, que les contractions étaient énergiques, les douleurs violentes et mal
ression, très supportable, nullement douloureuse, et vous aiderez aux contractions en poussant vous-même de toutes vos forces. — V
que pour pousser au moment des douleurs. A une heure du matin, les contractions sont de plus en plus énergiques, prolongées, revi
clate brusquement dans le côté droit du ventre en dehors du temps des contractions , et disparaît par une légère friction, avec affir
ant d'être en rapport avec nous, nous disant : qu'elle sent venir les contractions , mais qu'elle ne souffre pas... qu'elle se trouve
re, a marché régulièrement ; il a duré 6 heures, sans arrêt, avec des contractions régulières, efficaces, et progressivement croissa
umons, du corps thyroïde, etc. On note aussi simultanément quelques contractions passagères dans les muscles de la face, des veux,
'où la mise en action du muscle sollicité s'accusant aussitôt par une contraction dite réflexe. S'il s'agit d'une substance ayant
on de la peau ; 2° Par le pétrissage, on réveille et on augmente la contraction musculaire; 3° Le massage agit, non seulement s
our les accouchements, on obtient quatre résultats : 1° on excite les contractions de l'utérus ; 2° on rectifie les positions vicieu
nstate que tout le côte gauche du corps est privé de sensibilité. Les contractions du diaphragme sont à peu près supprimées. Les mou
(car tout ce qui contracture endort) ; elles le font en provoquant la contraction tétanique des artères de la couche corticale du c
s contractures. Or les actions contrac-turantes augmentent d'abord la contraction musculaire, puis déterminent l'état tétanique des
closes. Il suffit de souffler légèrement sur la peau pour obtenir la contraction des muscles sous-jacents. Peu après la publicat
contenu. Bientôt le sujet se plaint de coliques et il se produit des contractions intestinales bruyantes. Sans préciser davantage,
on d'une boule remontant du ventre à la gorge (boule hystérique), des contractions con-vulsives et tétaniques des muscles, des hallu
ont que l'exaspérer. Sous l'influence d'un froid intense, l'état de contraction du système vasculaire périphérique, en refoulant
ns le réveiller, nous nous apercevons que ses muscles sont en état de contraction . 3. Dans le.sommeil nerveux, rien ne réveille,
ou de l'état somnambulique â l'état de veille. En d'autres termes, la contraction utérine douloureuse est une cause continuelle de
du travail, si ce n'est peut-être un certain ralentissement dans les contractions utérines. » 8° L'hypnotisme n'étant qu'un anest
79 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
ur les douleurs de ta parturition ? — Quels sont ses effets sur les contractions utérines ? Telles sont les deux questions que j
e Bordeaux. Nous avions encore, d'autre part, à nous préoccuper des contractions utérines ; à savoir : si l'action perturbatrice d
e, où on put l'hypnotiser et la guérir. De onze à quatorze ans. les contractions se renouvelèrent fréquemment, à la suite de ses a
ait une dilatation égale au diamètre d'une pièce de 2 francs, que les contractions étaient énergiques, les douleurs violentes et mal
ression, très supportable, nullement douloureuse, et vous aiderez aux contractions en poussant vous-même de toutes vos forces. — V
que pour pousser au moment des douleurs. A une heure du matin, les contractions sont de plus en plus énergiques, prolongées, revi
clate brusquement dans le côté droit du ventre en dehors du temps des contractions , et disparaît par une légère friction, avec affir
ant d'être en rapport avec nous, nous disant : qu'elle sent venir les contractions , mais qu'elle ne souffre pas... qu'elle se trouve
re, a marché régulièrement ; il a duré 6 heures, sans arrêt, avec des contractions régulières, efficaces, et progressivement croissa
umons, du corps thyroïde, etc. On note aussi simultanément quelques contractions passagères dans les muscles de la face, des veux,
'où la mise en action du muscle sollicité s'accusant aussitôt par une contraction dite réflexe. S'il s'agit d'une substance ayant
on de la peau ; 2° Par le pétrissage, on réveille et on augmente la contraction musculaire; 3° Le massage agit, non seulement s
our les accouchements, on obtient quatre résultats : 1° on excite les contractions de l'utérus ; 2° on rectifie les positions vicieu
nstate que tout le côte gauche du corps est privé de sensibilité. Les contractions du diaphragme sont à peu près supprimées. Les mou
(car tout ce qui contracture endort) ; elles le font en provoquant la contraction tétanique des artères de la couche corticale du c
s contractures. Or les actions contrac-turantes augmentent d'abord la contraction musculaire, puis déterminent l'état tétanique des
closes. Il suffit de souffler légèrement sur la peau pour obtenir la contraction des muscles sous-jacents. Peu après la publicat
contenu. Bientôt le sujet se plaint de coliques et il se produit des contractions intestinales bruyantes. Sans préciser davantage,
on d'une boule remontant du ventre à la gorge (boule hystérique), des contractions con-vulsives et tétaniques des muscles, des hallu
ont que l'exaspérer. Sous l'influence d'un froid intense, l'état de contraction du système vasculaire périphérique, en refoulant
ns le réveiller, nous nous apercevons que ses muscles sont en état de contraction . 3. Dans le.sommeil nerveux, rien ne réveille,
ou de l'état somnambulique â l'état de veille. En d'autres termes, la contraction utérine douloureuse est une cause continuelle de
du travail, si ce n'est peut-être un certain ralentissement dans les contractions utérines. » 8° L'hypnotisme n'étant qu'un anest
80 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
on galvanique du cubital' au-dessus du poignet détermine une faible contraction du court fléchisseur du petit Iloi1 el rien de pl
part qui revient aux masses musculaires de la nuque dont l'état de contraction ou de raccourcissement augmente l'épaisseur, elle
remarque, en piquant la jambe et surtout la cuisse gauches, que la contraction réflexe se 'produit plus intense, dans le membre
charges des cellules motrices s'éloignent et s'af- faiblissent, les contractions musculaires qui en résultent s'affaiblissent et
eille, on remarque que l'ceil gauche est complètement fermé par une contraction active de l'orbicu- laire. Cette contracture pl
marque que tous ses efforts n'arrivent qu'à déterminer de lé- gères contractions de l'orbiculaire qui accentuent encore l'occlusio
nque, le plus souvent un petit rouleau de bandes, pour faciliter la contraction musculaire dont le but est d'acti- ver le cours
uisses et des bras paraissent diminuées de volume, même à l'état de contraction , elles présentent un certain degré de mollesse.
onsidérable. Elle est aplatie, et, à moins que le muscle n'entre en contraction , elle présente une consis- tance molle et fluct
oule partant du pli de l'aine et remontant à la gorge; sensation de contraction à la gorge; suffocation, palpitations, battements
dans les 3° et4' interosseux dorsaux. Pour le 1°r et le 2°, pas de contraction faradique ; contraction galvanique très faible. T
sseux dorsaux. Pour le 1°r et le 2°, pas de contraction faradique ; contraction galvanique très faible. Thénar, excitabilité fa
inverse de ceux décrits par M. Babinski, offrent tous les trois des contractions fibrillaires extrêmement manifestes. C'est un p
ant dépasser 2°. Suivant Gull, il se produirait, concurremment à la contraction des fibres lisses du derme et sous l'influence
contraction des fibres lisses du derme et sous l'influence de cette contraction , une modification dans les dimensions du tégume
s' follicules pileux, et passant par les deux phases successives de contraction et de paralysie. Mais quelle est sa parenté ave
plus courte, de l'attaque proprement dite débute par une période de contractions musuculaires toniques, géné- rale, de très cour
e très courte durée, avec perte totale de connaissance et suivie de contractions cloniques violentes de tout le système musculaire
81 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ouché, ce qui est dé- montré par la même manoeuvre. Au moment de sa contraction , il ne forme plus relief sous la peau et à la p
r un nerf moteur, tous les muscles desservis par ce nerf entrent en contraction ou en contracture, et com- muniquent au membre
t après quelques minutes l'avant-bras gauche être agité de quelques contractions , puis se raidir dans la position contracturée q
é, il n'existe que trois points excitables qui commandent chacun la contraction en masse de tous les mus- cles d'un membre. Aut
yéline, dans les cor- dons postérieurs ; leur excitation produit la contraction des muscles innervés par le segment corresponda
fibres à myéline, et le cordon de Goll excité donne naissance à des contractions musculaires généralisées, sans douleur. Le fait
ES. REFLEXES. Rapports entre l'excitation et l'excitabilité dans la contraction musculaire. « Une impulsion, dit Helmoitz, surv
sion antérieure, ne change en rien ni la forme ni la hauteur de la contraction . » Cette loi est fondamentale. Dans un tra- vai
, existent un optimum et un pessimum de l'excitation qui produit la contraction . » Si, pendant la contraction, on 1 Voir Progrè
ssimum de l'excitation qui produit la contraction. » Si, pendant la contraction , on 1 Voir Progrès médical, p. 135, n° 3, 1889.
d'un certain degré, qui est 1' optimum de l'excitation,' on voit la contraction diminuer, puis disparaître : c'est le pessimum
mentation de l'excitation n'est pas suivie d'une augmentation de la contraction est dile état de pessimum. (Le professeur Marey
e le point d'application de l'excitation pessimum, on obtient une contraction . L'optimum et le pessimum sont fonctions à la f
ation de tension, mais la pupille se rétrécit encore et cet état de contraction persiste. La respira- tion et les battements ar
, on a beau rapproche SOCIÉTÉS SAVANTES.. î9o l'objet, absence do contraction convergente (fixité, stabilité de l'expérience)
ressemblance de l'élément psychopathique dé- pressif accompagné de contraction des fibres musculaires lisses et d'affaiblissem
GIE DU TABES. 377 -i De même il ne se rend absolument pas compte de contractions très violentes dans la région du muscle vaste i
plus ou moins général. L'électricité agit très efficacement sur la contraction des muscles qui se tendent et font saillie sous
xquels ils aboutissent puisque sensibilités spéciale et générale et contraction mus- culaire sont encore faciles à mettre en év
ution à z1000 dans les veines amène l'exagération des réflexes, des contractions tétaniques et cloniques. Les réflexes à la doul
s, de secousses ; sa marche est incertaine, enfin survien- nent des contractions tétaniques dans les muscles extenseurs des extr
e Maladie de Tliomsez *, et nous a communiqué ses recherches sur la contraction mus- culaire dans cette maladie. A Moscou, M.
Wedensky. Des rapports entre l'excitation et l'excitabilifc dans la contraction musculaire. Saint-Pétcas6ouy, 1886. XXI. IDIOTI
82 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fs particuliers. L'épaule se tourne dans son articulation et par la contraction du grand muscle dorsal, s'approche un peu de la
mènes. différents ; il rapporte les uns aux symptômes d'excitation, contractions cloniques et toniques, verbigération ; les autr
tres sous-corticaux, tandis que l'écorce céré- brale réagit par une contraction tonique seulement à des excitations très fréque
x des muscles. On peut de cette manière comprendre les innombrables contractions réflexes des muscles de tout le corps qui, d'or
ier, détermine un réflexe olfactif cortical, qui se traduit par une contraction de la narine correspondante. IX. La région olfa
cle en russe et en allemand. Le réflexe abdominal, constitué par la contraction des muscles abdominaux, provoqué par l'excitati
l'extrémité supérieure des doigts. Evidemment ce reflexe tient à la contraction du coraco-brachial, et du biceps dont la courte
s, des symptômes d'agitation et d'anxiété, avec ça et là de légères contractions des muscles et des tremblements fibrillaires de
e jusqu'à l'incapacité absolue de se tenir avec tous les muscles en contraction violente. Il y a alors trismus violent, avec cr
hoires et morsures fré- quentes de la langue, écoulement de salive, contraction de tous les muscles de la face, projection des
peut répondre par la négative : en effet, si à un chien en violente contraction tétanique à la suite de thyro-parathyroïdectomi
tte jambe, lors- qu'apparut l'état tétanique ne présentèrent aucune contraction . Donc l'action du poison ne porte pas sur les m
ient, leurs connexions avec les membres étant restées intactes, les contractions de ces membres se seraient produites comme à l'
e du réflexe rotulien était rendue impossible ou contrariée par des contractions involontaires antagonistes. Entre ces troubles
éflexes qu'il a décou- verts. Le réflexe oculaire, constitué par la contraction de l'orbicu- laire palpébral, par un rapprochem
. C'est le réflexe sus-orbitaire de Mac Carthy, mais avec véritable contraction ; en réalité il n'émane pas du nerf sus-orbi- ta
du maxillaire inférieur) . Réflexe nasal, ou ratatinement du nez et contraction de la joue du même côté, quand on irrite mécani
it spontanée. On relève presque toujours une légère vio- lence, une contraction musculaire de moyenne intensité. L'indo- lence
cessation de la narcose : la paturiente est tout à fait calme, ses contractions deviennent régulières, elle pousse de toutes se
is des paralysies de la IV,, paire, 5 fois du nystagmus, 2 fois des contractions spasmodiques de l'orbiculaire. Il peut bien a
anisme : d'une part, action exercée sur les nerfs de la main par la contraction énergique et prolongée des muscles de la main e
joue droite qui durèrent quatre semaines et furent succédés par des contractions menues, cloniques, dans le ponce et l'index de
dans le ponce et l'index de la main droite et un mois plus tard ces contractions envahirent tous les doigts. Encore un mois plus
e conscience; l'accès débuta 'par une douleur, des picotements et contractions dans les doigts de la main droite; après l'accès
avec intervalles de deux semaines. Hors les accès, continuaient les contractions menues très varia= oies dans la joue droite, la
ofond. Les couches survinrent avant terme, et vu l'insuffisance des contractions utérines on fut obligé d'appliquer l'mtewention
nes pelviens, ce qui n'empêcha pas, pourtant, l développe- ment des contractions utérines ; évidemment, ces dernières se sont dé
83 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e cette résistance, mais lentement, vous verrez en quelques cas les contractions convulsives de l'orbiculaire palpé- hral qui lu
ne obturation variable du calibre de l'intes- tin. S'agissait-il de contractions spasmodiques passagères ou d'une atonie quasi-p
L'absence de douleurs, de irouhlcs delà sensibilité, l'existence de contractions librillaires et de réaction de dégénérescence jus
ment des quadriceps et marche difficile. Réflexes tendineux abolis, contractions lilrrillai- res, Pas du troubles de la sensibil
supérieures s'élèvent un peu. Toute divergence active exigeai} ! la contraction des deux muscles abducteurs, les centres sous-cor
emière temporale. Son exci- tation provoque convergence oculaire et contraction des pupilles. Un antre occupe la partie inférie
mouvement associé du re- dressl'lJ1enL des membres inférieurs ; la contraction des muscles de la cuisse, tiraillant le nerf sc
horée fibrillaire de Morvan ; la maladie est ca- ractérisée par des contractions fibrillaires des paupières,la sensa- tion de pr
l'attrac- tion en haut en arrière du pavillon de l'oreille, par la contraction delà portion postérieure du muscle élévateur au
hystériques, etc. 11 n'y a pas cependant identité complète entre la contraction tonique, sareoplasmatique telle que la comprend
ko et 29G REVUE D'ANA70D111 : ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la contraction idio-musculaire de Schiff.La'contraction Ionique
contraction idio-musculaire de Schiff.La'contraction Ionique est la contraction sal'coplasmatique normale, se distinguant par une
l) réflexe qu'il a décrit est non une réaction musculaire, mais une contraction Ce sont les contractions des fibrilles musculai
est non une réaction musculaire, mais une contraction Ce sont les contractions des fibrilles musculaires de la paupière infé-
» libres du facial fréquente chez les gens normaux qui explique les contractions en rapport avec la percussion de l'os mataire.
mÚca- niques successives des muscles paralysés y déterminent des contractions toniques survivant considérablement à l'excitatio
il apparaît au bout de 10-14 jours de concert avec la lenteur de la contraction musculaire au courant galvanique. Ainsi que le
pé en voyant dans l'état perlé de leurs prolongements l'effet de la contraction , bien que ce phénomène et cet état soient manif
rottcndifolia et chez les Rhizopodes. il se peut, en effet, que la contraction se produise dans l'intérieur même des prolongem
protéon des neurones est susceptible de se contracter, et que cette contraction a pour effet la formation, dans les conducteurs
corce le fait tlisparailre. -6° L'hypersécrétion ne dé- pend pas de contractions musculaires : c'est prouvé par la curari- satio
mais il se contracte sous l'influence de l'agent lumi- neux ; cette contraction paraît précipitée et fugitive. Le rétré- cissem
ture palpébrale réflexe émanée du nerf optique ou du trijumeau. La contraction des pupilles qui survient en l'espèce est généra-
aciale, tandis que les géniospasmes sont unilatéraux et composés de contractions parcellaires et frémis- santes que la volonté n
84 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
de dormir tranquillement, de ne ressentir aucune douleur pendant les contractions utérines et de se réveiller à la première injonct
. » Pendant le cours ultérieur de l'accouchement la malade à chaque contraction perdait connaissance mais revenait rapidement à e
oré en rouge ou en bleu, bracelets dessinés sur les membres animés de contractions spasmodiques, résultats incertains. Nous avons
r exemple, le muscle fémoral chargé de 20 grammes peut exécuter 2.700 contractions en octobre, et 250 seulement en janvier. Non se
scles est inférieure à l'époque du jeûne, mais de plus la forme de la contraction devient alors anormale; le muscle excité par le c
e Ludwig, 1871.) (3) TiEûsL. Ueber Muskelcontractur im Gegensatz ru Contraction . (Pftiiaer's Archiv, iST6(BdXlII.) (*) M. Schif
les oiseaux immobilisés respirent fortement et qu'ils présentent une contraction intense de l'iris ; en même temps, de légers trem
bord pour une paralysie que pour un accident nerveux. Il n'y avait ni contraction de l'orbiculaire. ni plissement de la paupière in
nt contracter certains muscles de leurs membres et du corps, et cette contraction persiste dans l'état d'immobilité qui est survenu
re moins typique. Chez la grenouille, la position de correction et la contraction des muscles sont souvent masquées par d'autres ci
e excitation artificielle, les muscles montrent une nouvelle somme de contraction surajoutée, et non point de l'inhibition, comme d
lon l'auteur, la fatigue joue un rôle important dans ce phénomène. La contraction tonique des muscles est surtout favorisée par ce
là serait le centre pour les réflexes de position du corps et pour la contraction tonique des muscles. Quant aux sphères motrices d
nts chez les grenouilles au stade avancé de l'inanition. Les fortes contractions des muscles qui apparaissent durant le sommeil hy
. Ces attitudes bizarres, peu commodes et spontanées, accompagnées de contraction musculaire, peuvent être appelées phases catalept
es même les plus difficiles à maintenir ; les muscles sont en état de contraction partielle. V. — Effets de la perte d'eau sur le
s excitée. On la rendort dans l'eau à 20*. Ses muscles présentent une contraction tonique très accentuée. Le sommeil dure depuis di
est spéciale à la sudation obtenue par l'exercice ; il semble que les contractions musculaires déchargeant dans le torrent circulato
obstinément de se mettre sur le dos; l'orifice étant mal dirigé, les contractions ne portent pas : elles sont irrégulières, doulour
re de calme et d'analgésie. Sous l'influence de cette pratique, les contractions deviennent rapidement très régulières.La dilatati
85 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s'est peu préoc- cupé et qu'on décrit en bloc en l'attribuant à la contraction du muscle pilaire. Mais il n'y a pas besoin, po
nt une action excitatrice, mais aussi une action inhibitrice sur la contraction musculaire et sur le tonus musculaire. Brown-Sé-
droits interne et externe produit en même temps l'inhibition de la contraction ou du tonus de leurs antagonistes. Il n'y a, da
tion de la chaleur intérieure d'une région comme par exemple par la contraction des vaisseaux sanguins qui irriguent une région
otrophie des membres inférieurs, surtout du membre inférieur droit. Contractions (ibrillaires au niveau des quadriceps cruraux.
ion n'est que le résultat de l'anémie cérébrale consécutive à cette contraction spasmodique. Il nous faut surtout retenir la co
it donc d'attaques épileptiques classiques, tou- jours prédédées de contractions musculaires localisées au bras droit. Souvent i
t de pesanteur dans ces membres. De temps en temps elle sentait des contractions muscu- laires dans l'avant-bras droit, mais san
soixante-dix ans qui brusquement, le 9 juillet 1890, ressentait des contractions dans les mollets, des douleurs dans le corps et
ctionnel. ' ' ' ' Le jeune homme parvient à arrêter, à son gré, les contractions du sphincter vésical externe ; par cet expédien
à certains égards,- toutefois il,n'y, a géné- ralement : pas.de.ces contractions fibrillaires si nettes.chez,les paralvtiqueso g
es au lit, on leur trouve les jambes raides légèrement atteintes de contraction spasmodique et cette contraction augmente dès q
bes raides légèrement atteintes de contraction spasmodique et cette contraction augmente dès qu'on les touche. Les membres infé
s les noms d'alhé- tose, de mouvements athétoïdes ou choréiques, de contractions trépidatoires des tabétiques, etc. C'est non se
e à la grande variété de formes sous lesquelles se 'manifestent les contractions convulsives chez les labétiques, qu'il faut att
dans la lésion simultanée des cordons postérieurs -et latéraux, les contractions involontaires, bien qu'ayant une appa- rence to
ticaux en notant le minimum de courant nécessaire pour provoquer la contraction musculaire la plus faible dans l'extrémité oppo
este à mentionner deux travaux importants : l'Elude graphique de la contraction mus- culaire produite par l'étincelle statique
d'abord l'influence du signe de l'étincelle et constate : 10 que la contraction produite par l'étincelle négative est plus fort
ale, celle du pôle positif s'incline légèrement. La fin du tracé de contraction diffère également : avecl'étincelle négative, il
oncerne la longueur de l'étincelle, on voit que l'in- tensité de la contraction croit beaucoup plus vite que la longueur de l'é
e la longueur de l'étincelle de telle façon que : la grandeur de la contraction musculaire est directement proportionnelle au c
he en troisième lieu dans quelle proportion varie l'intensité de la contraction avec le diamètre des excitateurs dans les excit
onstate que de même qu'avec les chocs galvaniques la grandeur de la contraction diminue ci mesure que la surface de l'électrode
en même temps que des effets généraux une certaine excitation et la contraction musculaire. La douche hydrogalvanique générale
86 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
e. Il n'y a pas de troubles de la sensibilité ni des réflexes ; les contractions élec- triques sont normales, si ce n'est au niv
ie, aucune contrac- ture, aucune modification des réflexes ou de la contraction électrique, ce qui est parfaitement en rapport
ibles, mais d'étendue restreinte au degré du défaut de longueur. La contraction musculaire, les réflexes, la contractilité élec
e plus haut, marche hésitante et faiblesse générale. D'ailleurs, la contraction mus- culaire est normale ainsi que les réflexes
du muscle dont on percute le tendon ainsi que de la rapidité de la contraction musculaire. L'excitabilité mécanique des muscle
ion de la masse charnue se produit le myoedème ou une onde lente de contraction . Dès que l'atrophie est extrême le phéno- mène
ambe gauche. Diminuée dans le droit antérieur et le vaste interne ; contraction lente dans le biceps et tous les muscles postér
diminution et contrac- tion lente dans les muscles de la jambe avec contraction à distance' du cou- turier, des adducteurs, du
s de la cuisse ; . L'excitation de la plante du pied provoque des contractions à distance plus marquées à droite qu'à gauche.
t ou en écrivant. 280 ÉTIENNE ET PERRIN La face présente quelques contractions fibrillaires. Les pupilles sont très iné- gales
sentait : ataxie, phé- nomène de Romberg, tremblement intentionnel, contractions fibrillaires SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 34
sont également, la respiration est unique- ment diaphragmatique, la contraction du diaphragme se fait par saccades, groupées pa
u diaphragme se fait par saccades, groupées par deux, et peudant la contraction maximum, on constate que les espaces intercosta
, ainsi que des membres, dont l'amyotrophie était très marquée avec contractions fibrillaires et réaction de dégénérescence ; il
e ni adipose muscu- laire, l'abolition des réflexes, l'existence de contractions fibrillaires, et comme symptômes négatifs sur l
erts, les pupilles dilatées, les lèvres et les joues tirées par les contractions donnent à la face un aspect grimaçant. Une bave
ds-bols équins. Atrophie des muscles des mains, type Aran-Duchenne. Contractions fibrillaires dans les muscles des membres et de
es et des jambes est assez développée. Les mus- cles-présentent des contractions fibrillaires. Le malade marche en talon- nant,l
. A la face, il existe depuis plus d'un an des symptômes spéciaux : contractions fibrillaires très nettes des releveurs des comm
nnant l'apparence d'une bon- che de myopathique. Rire transversal : contractions fibrillaires très nettes dans l'ôrbiculairè des
taire. Myosis avec réflexe lumineux très lent. Nystagmus dynamique. Contractions fibril- laires dans les muscles des membres ain
en dehors, il existe de plus dans les releveurs des commissures des contractions fibrillaires très nettes. Des contractions fibril
eurs des commissures des contractions fibrillaires très nettes. Des contractions fibrillaires existent également dans les muscle
iose très accusée. A la face lèvres saillantes et rire transversal. Contractions fibrillaires dans les muscles des membres et da
ant l'ictus, la percussion du tendon rotulien gauche provoquait une contraction forte du quadriceps droit et aucune contraction
uche provoquait une contraction forte du quadriceps droit et aucune contraction du côté gauche, alors que la percussion du tend
côté gauche, alors que la percussion du tendon droit produisait une contraction des deux côtés. A l'autopsie, le cerveau et la
s. Les modifications dépendent surtout du degré de dilatation ou de contraction ventriculaire. Enfin en arrière du bourrelet du
87 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
e au corps humain, lorsque nous sommes en un état lujpervibratoire de contraction do resserrement, de condensation FORCE COURBE.
ions de î'Ether nous pénêtrcntalors, nous envahissent en raison de la contraction de notre vitalité sur elle-même, lorsque nous dis
a le 27 août à 1 h. du soir ; il se fera sans douleurs et dès que les contractions seront plus fortes, l'accouchée s'endormira spont
dernière le 15 août. Le 27 août, à 2 h. de l'après-midi, premières contractions sans douleurs. A 5 h., les contractions se font m
h. de l'après-midi, premières contractions sans douleurs. A 5 h., les contractions se font mieux sentir, pas de douleurs: l'accouché
h. après-midi, le col laisse passer trois doigts. Nous suggérons des contractions . Mme B... pousse du ventre, nous le lui défendons
ntre, nous le lui défendons, et alors, au toucher, on sent de légères contractions . Malheureusement, nous sommes obligé de laisser l
leurs qu'une demi-heure avant d'accoucher ; et il nous parait que les contractions d'aujourd'hui sont produites par nos suggestions
18 au 24 Février. Cette femme éprouve continuellement la sensation de contractions sans douleurs, mais le travail avance fort peu. C
amille ; clic a l'air hypnotisée à un léger degré. Le 24 février, les contractions deviennent plus fortes. Pas de douleurs. La tête
souffrirait comme les autres femmes. La téte est à la sortie. Chaque contraction est rendue presque indolore par la suggestion. No
le se comportera ; immédiatement elle commence à crier ; encore trois contractions douloureuses et l'enfant est né. Les résultats
ntre le siège de quelques petits mouvements successifs. On dirait les contractions légères que produirait un faible courant électriq
ant avoir ressenti avant la suggestion, mais il a senti nettement une contraction inattendue et involoutaire des muscles anté-
n un certain nombre de mouvements et Chaque mouvement en une série de contractions de groupes musculaires. C'est pourquoi j'ai donné
à passer la sonde; mais bientôt l'idée seule d'uriner produisait une contraction de la vessie, et un écoulement par la listule. Je
endor- mi ressent, par l'intermédiaire du contact des mains, une contraction musculaire qui le prévient du moment où la piqûre
tat, nous lui fîmes sans succès la suggestion de la disparition de la contraction . C'est alors que, nous souvenant d'un cas analogu
rivé à réaliser en lui le fusionnement des secousses. Dès lors, cette contraction des dendrites périphériques se propage par tout l
88 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
quatre-vingt-un ans qui fut atteinte, à la suite d'une frayeur, de contractions musculaires répondant à trois types distincts :
l'influence de la volonté ou des mouvements volontaires ; 2° Des contractions fibrillaires localisées dans la plupart des mus
sion portée par un nerf sensitif à un ganglion peut provoquer une contraction musculaive isolée, quoique plus communé- ment e
e un muscle ou un nerf par un courant faradique apte à produire une contraction éner- gique, si on continue l'excitation on pro
es des membres inférieurs est due non à l'hypertonicité, mais à des contractions réflexes des muscles dont la contraction cesse
hypertonicité, mais à des contractions réflexes des muscles dont la contraction cesse bientôt pour faire place à la flaccidité.
égique et la polynévrite. Finalement l'absence de contracture et de contractions fibrillaires dans les muscles atrophiés et auss
nngomyélie, atrophie et paralysie des muscles de l'épaule, avec des contractions fibril- laires, et une paraplégie spasmodique s
s avant-bras et presque tous ceux des mains étaient également pris. Contractions fibrillaires marquées dans certains muscles att
- trorragies, les aménorrhées, l'avortement, les hémorragies, les contractions utérines, les fausses grossesses, etc. M. Jules
alysie flasque. On ne constate pas de diathèse de contracture ni de contraction idio- musculaire. Les réflexes musculaires et t
ifiée par le passage d'un courant faradique ou galvanique; et si la contraction des muscles existe normalement, elle n'est null
rminant, suivant leur énergie respective, les états de tonicité, de contraction ou d'inhibition. Les fonctions des organes non
aient nullement sentis, alors qu'ils provoquaient de très violentes contractions musculaires ; 9° La sensibilité profonde s'abol
y eut ictus subit sans prodromes. L'hémitonie, caractérisée par la contraction tonique des muscles des membres et même de la f
tique les théories sui- vantes : il démontre que le mécanisme de la contraction est indis- solublemeut lié à celui du tonus mus
forme myotétanique soit au contraire la conséquence d'une véritable contraction des fibres musculaires. On a tendance à consi
découler les quelques considérations suivantes : il il peut y avoir contraction du quadriceps sans projection du pied en SOCIÉT
emarque que le temps écoulé entre la percussion et le début t de la contraction musculaire varie suivant chaque sujet et semble
s; 3° le temps écoulé entre le choc du marteau et le début 1. de la contraction est le même, que l'on percute le tendon rotulien
rtie inférieure, soit à,a naeGï ? de la cuisse; 1° il semble que la contraction qui fjl ! 1"9'u'tie à la secousse musculaire va
sumé, il semble que le temps écoulé entre le choc et ], début de la contraction musculaire soit le même que l'on percute « le t
esseux dans un oeil et normal dans l'Autre, une fois; 5° absence de contraction à la lumière et de convergence dans un oeil, le
ues. Évidemment la différenciation est facile lorsqu'il s'agit de contractions lentes, monotones, régulières, limitées aux mai
89 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, juillet 1901.) ' On a soutenu à propos du sens musculaire que la contraction du muscle et la force dépensée pour déterminer
la contraction du muscle et la force dépensée pour déterminer cette contraction étaient les éléments nécessaires de son existen
1° Troubles oculaires. L'oeil gauche est en ptosis paralytique avec contraction intense du frontal pour essayer de relever la pau
consensuel montre que : 10 l'excita- tion de l'oeil droit amène une contraction de la pupille droite, mais non de la gauche ; 2
que lorsque l'équilibre des segments des membres se modifie par la contraction muscu- laire ; enfin ils ne sont pas superposés
ns l'un l'excitation du pied provoquait comme réaction unique une contraction réflexe du tenseur du fascia lata ; dans l'autre
ovoqué par une excitation encore plus énergique et constitué par la contraction du couturier, des adducteurs, du jambier antéri
se sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, etc. G. DENY. XX. La contraction paradoxale de Westphall et le réflexe plan- tai
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ce phénomène connu sous le nom de contraction paradoxale de Westphall, que l'auteur a vu surv
perte du sentiment et des mouvements était totale; seules, quelques contractions fibril- laires agitaient, de temps à autre, les
oeil reprend sa 218 CLINIQUE NERVEUSE/* dimension habituelle ; la contraction peut se montrer dès le début de l'affection. La
on peut se montrer dès le début de l'affection. La dilatation et la contraction de la pupille sont moins constantes que l'étran
mène vaso-moteur cérébral. Les troubles respiratoires sont dus à la contraction des muscles respiratoires, le rythme est modifi
colis du côté gauche. Sa tête se tournait vers l'épaule' d'abord en contraction tonique, puis survenaient des spasmes clo- niqu
taires de la fibre musculaire striée : ils peuvent s'accompagner de contraction de la fibre mus- culaire lisse. J'en pourrais c
résentait alors étaient caractérisés par une hémiplégie droite avec contractions ; paralysie faciale très peu accentuée, secousse
'excitation galvanique ou faradique, on peut faire réapparaître les contractions musculaires normales et voir diminuer la contra
s supérieurs (petits muscles de la main droite) ; b. l'existence de contractions fibrillaires ; c. la réaction de dégéné- rescen
la cuisse. A 7 h. 15 minutes, en dépit de la force du courant, les contractions deviennent vermiculaires, mais un courant qui,
n courant qui, appliqué à la surface de section, n'engendre que des contractions lentes et faibles provoque des contractions éner-
ion, n'engendre que des contractions lentes et faibles provoque des contractions éner- giques et courtes si l'on enfonce l'élect
parties latérales et antérieures de cette surface, déterminent des contractions musculaires dans les régions homolatérales dont
miliale, 2K1. - tinter- national d'assistance aux aliénés, 460. Contraction . Voir ll"eslpltal. Cône terminal. Syndrome du -
et Vurpas, 531. Voraces. Voir Troubles mentaux. VESTPHA1.L. La contraction parado- xale de et le réflexe plantaire combi
90 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
r des muscles du tronc ; les mouvements de déglutition provoquent des contractions cloniques excessivement douloureuses. — Les muscl
n ne prouve que cette élévation énorme de la température soit due aux contractions musculaires, ainsi que l'établissent les expé-rie
l'établissent les expé-riences de Leyden, puisque l'existence de ces contractions n'exclut pas l'apyrexie. Quoique la marche rapi
ES (Télo non) de cet accroissement considérable de la chaleur, la contraction musculaire, car, dans les cas ordinaires, qu'il s
res inférieurs furent en partie paralysés. On y voyait, en outre, des contractions spasmodiques fréquentes, plus marquées dans le me
gon-flées et érythéinateuses. Pouls à 100. 13 avril : mieux, parfois contraction des membres, mais pas de rigidité permanente; mai
e de l'enfant); les autres sont déterminantes (violences extérieures, contraction de l'utérus et des muscles abdo-minaux, manœuvres
ènes fréquents en pareille occur-rence. A la suite de l'accident, les contractions utérines ont-elles cessé ou continué? Nous ne sau
êt du travail n'est pas la règle. Jolly cite 23 cas dans lesquels les contractions utérines ont persisté. (Des ruptures utérines pen
nant pour époque du début de l'accident le jour de la disparition des contractions utérines (13 octobre), nous voyons que notre malh
vait serrer la main, ce serre-ment devenant douloureux par la moindre contraction musculaire. Outre ces douleurs provoquées, le m
droit, et qu'il ne pouvait continuer longtemps son travail. Les mêmes contractions qui le tourmentaient dans le bras gauche s'emparè
tement arqué, relevé, et, au-dessus de lui, des plis cutanés dus à la contraction du frontal gauche, plis qui font complètement déf
ors ; s'il est averti par des méprises antérieures, il suppléera à la contraction du muscle paralysé, par une rotation en dehors de
cas de rupture : c'est le ramollis-sement. La moindre cause alors, la contraction même des muscles abdominaux, suffit pour amener l
91 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
hénar des deux côtés. Ces mouvements n'ont pu être constatés. Les contractions primitivement localisées dans le membre inférie
oisinage de l'insertion du masséter, on détermine très nettement la contraction de ce muscle et avec plus d'in- tensité qu'à l'
abaisse la température sur une large zone. Dans le premier cas, la contraction des plus fins vais- seaux, par l'intermédiaire
ion de la glace, que lentement et incomplètement (persistance de la contraction des vaisseaux profonds). Conclusion : Chez l'ho
On essaie, à l'aide d'un courant fara- dique fort, de provoquer la contraction des muscles en divers endroits du corps. Si l'o
emeure constante pendant trois à cinq miuutes, et l'on détermine la contraction du ventre mus- culaire sous-jacent. Si la tempé
continue ou une « indication de volonté)), parce que la force de contraction musculaire du suggesteur et la résistance que s
'un pàséga.. 152 PHYSIOLOGIE. 2) Le suggesteur ne perçoit pas ses contractions musculaires comme étant actives, comme dépendan
evient une véritable tumeur dure et bombée quand le muscle entre en contraction . Le poignet est grêle. La main est courte et pa
le cou presque aussi large que la face. Ces deux muscles, dans leur contraction , gênent considérablement les mouvements de la t
c le volume considérable des muscles et l'énergie apparente de leur contraction . L'exploration dynamométrique donne les chiffre
de s'assurer que ce ne sont pas à proprement parler les premières contractions musculaires qui sont difficiles et pénibles, ma
oeil sur cette figure pour constater l'accélération progressive des contractions : la première dure huit secondes, la deuxième q
raccourcissement du muscle est sen- siblement égale dans toutes les contractions ,- tandis que la période de relâchement (qui cor
nes descendantes) se raccourcit très notablement à mesure que les contractions se répètent. , . Des phénomènes analogues se pr
eau appliqués restent sans autre résultat que de provoquer quelques contractions dans les muscles de'la face; la commissure labi
ambes lui tremblent. Parfois on observe un léger tremblement et une contraction convulsive de quelques muscles des jambes même
0 RECUEIL DE FAITS. de l'estomac; en même temps, il y a des petites contractions spas- modiques dans les différents muscles de l
modiques dans les différents muscles de la face du côté gauche. Ces contractions se rapprochent, la boule remonte graduellement
on père est simple- ment en voyage. - L'après-midi, à trois henres, contractions spasmodiques dans le côté gauche de la face, au
entraîne une aggravation. Deuxième exemple : une femme atteinte de contraction spasmodique des vaisseaux cutanés (asphyxie loc
92 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue doit subir, lorsque les muscles du mem- bre inférieur entrent en contraction , est supprimée dans le membre malade par suite
nce, et l'in- clinaison est, par conséquent, due, au début, à une contraction musculaire qui doit cesser lorsque le ma- lade
que dans la station debout et pendant la marche; on voit alors des contractions in- volontaires troubler. l'équilibre ou interr
idrose était exactement limitée à un côté de la face : il y avait contraction pupillaire du même côté. Bartholow rapporte un
ie du droit interne de ce côté, para- lysie de l'hypoglosse gauche. Contraction paradoxale. Puis tout disparaît, mais bientôt l
par an par exemple, d'après le dire du malade, il se produisait une contraction idio-musculaire du muscle biceps brachial (appa-
de la dernière année com- mencèrent à se produire simultanément aux contractions des mouvements fibrillaires : le malade les sen
phiés, 30 éléments avec l'alternative de Volta ne provoquent pas de contraction . Main droite. Il n'existe nulle part de l'atrop
ne action exagérée des fléchisseurs à laquelle pourra succéder la contraction excessive des extenseurs, con- traction qui pou
le fonctionnement de ce double mécanisme il puisse se produire des contractions musculaires là où il faudrait un relâchement, e
faudrait un relâchement, et, dans de certaines cir- constances, des contractions et des relâchements qui dépassent de beaucoup l
en avant, lèvres avancées, aucun cri, on le retient dans sa chute, contraction générale, figure pourpre. A ces cas nous ajou
deux jambes. , SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 347 L'énergie de la contraction des muscles des membres inférieurs est normale.
ons rotuliens. La percus- sion des muscles triceps donne lieu à une contraction brusque, comme chez les sujets sains. Il n'y a
ées. Pas d'altérations soit qualificatives soit quantitatives de la contraction galvanique. Observation II. G... (Louise), cout
es mouve- ments du diaphragme. Or, Paul Bert a bien montré que la contraction du diaphragme a pour double effet d'agrandir le
l Bert a démontré que le tissu pulmonaire est contractile et que sa contraction est sous la dépen- dance du nerf pneumo-gastriq
vait nous renseigner sur les changements de la respiration et de la contraction diaphragmatique. Nous publierons très prochaine
ffort avant de parler. La parole s'accompagne chez tous les deux de contractions et de contorsions des lèvres auxquelles prennen
men- tent lorsqu'ils se mettent debout, ce qui exige une violente contraction des muscles, les cuisses se rapprochent, les geno
t : absence du phénomène du genou; clonus podalique des deux côtés. Contraction paradoxale du pied gauche. Pas de syphilis. La
93 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
ntact aucun, je détermine dans les muscles de cette partie de légères contractions . Des mouvements se manifestent dans les doigts si
ce, la respiration devient laborieuse ; la gêne commence sans que les contractions déjà signalées cessent de se manifester par insta
n action , m’avertissaient que je les magnétisais, et éprouvaient des contractions ou des secousses qui du reste ne laissaient aucun
itation de M. Ribes, dirigea par derrière la main sur son coude; la contraction précédemment observée eut lieu de nouveau. Puis,
istez , après quelques instants démagnétisation , vous obtiendrez des contractions , toujours des contractions, et souvent aussi, com
ants démagnétisation , vous obtiendrez des contractions, toujours des contractions , et souvent aussi, comme je l’ai déjà dit, une so
et de toutes les artères. Le jeu alternatif de la dilatation et de la contraction des vaissaux sur la liqueur qu’ils contiennent es
fluide qui avait été retenu, comprimé, emprisonné par les spasmes ou contractions des conducteurs où il aurait dû passer pour redes
dirigée; d’ailleurs, le phénomène est visible extérieurement, et les contractions remuent bientôt tout le tronc. Les yeux; j’ai o
ions remuent bientôt tout le tronc. Les yeux; j’ai obtenu aussi des contractions des muscles du globe oculaire, toujours sans cont
n’ai observé aucun signe de souffrance. Il n’y eut pas la plus légère contraction musculaire, soit de la face, soit des membres, pe
e soit manifesté, comme indice de l’action magnétique, que de légères contractions dia-phragmatiques, le malade se sentit immédiatem
ec elle. Rien no nous put déceler qu’elle sentait, par la plus petite contraction des muscles de la face; un rire naturel qui était
¥ opération dura plus longtemps (/ne d’habitude et t/n il n’y eut de contractions musculaires ni sur le membre amputé ni sur les au
ardeau. C'est lui qui donne à nos muscles telle ou telle puissance de contraction suivant les résistances que nous devons rencontre
fort long et plus que suffisant pour convaincre les assistants de la contraction permanente et artificielle des muscles. Au réveil
dernier effet présente une exception peut-être unique : c’esl que la contraction musculaire n’a pas lieu pour l’extenseur commun d
94 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
crise. Appelé auprès d'elle, nous la trouvons les quatre membres en contraction tonique et agités d'une sorte de trépidation conv
« Les phénomènes morbides résultent ici de la dilata- tion ou de la contraction anormale des vaisseaux sanguins et des troubles
situation, on allonge le tendon du triceps fémoral et provoque des contractions de ce muscle qui, par l'ex- tension continue-,
de KOZ et KSTe. Dans ces deux dernières observations le décours des contractions ne paraîtras modifié. P. KERAVAL. VIII. Contrib
question, sont tou- jours secondaires ; elles résultent de la vive contraction du psoas iliaque ou des muscles de l'omoplate,
mou même on parvint à l'aide du courant induit à faire paraître des contractions , quoique faibles ; quant aux muscles frontal et
igts de la main droite, puis l'immobilisation de cette main par des contractions toniques, enfin les yeux et la face se convulsère
Pourat, en 1899, est la suivante : Des caractères spécifiques de la contraction des différents muscles. Voici le relevé des com
tionnel des membres, exagération des réflexes Chez les trois il y a contraction , toutefois plus prononcée chez le plus jeune, r
anguinolente, vertiges, céphalée intense, hyperesthésie de la peau. Contraction fibrillaire et fasciculaire des muscles au touc
re, la rétention de liquides et surtout l'impulsion résultant d'une contraction spas- modique du diaphragme, condition sine ytt
s le nerf optique passent des fibres dont l'excitation détermine la contraction des cônes corres- pondants de la rétine. Enfin,
, la disparition des réflexes rotuliens, des grimaces en excès, des contractions isolées dans divers muscles du corps, une dénut
nservation des sensibilités profondes et des sensibilités icflexes; contractions réflexes très douloureuses des muscles des membre
non seulement dans le membre examiné, mais aussi dans l'autre, des contractions musculaires qui fléchissent légèrement les dive
musculaire. La moindre cause suffit quelquefois pour déterminer ces contractions douloureuses; par exemple : un contact cutané (
voir d'autres troubles subjectifs delà sensibilité en dehors de ces contractions douloureuses. Tronc. - Les troubles de la sensi
ts passifs imprimés à ses membres. Il conserve tou- jours les mêmes contractions réflexes douloureuses. Il lui semble parfois se
ain que la lésion n'atteint pas toute la hauteur de la moelle ; les contractions réflexes douloureuses qui se produisent quelque-
n cutanée ou profonde de la racine de la cuisse provoque encore des contractions réflexes. Il est impossible de pousser plus ava
mouvements passifs imprimés aux mem- bres étaient douloureux ; les contractions réflexes se produi- sant sous l'influence des m
ono-mélancolie des convulsions des muscles soumis à la volonté, des contractions du larynx qui altèrent la voix d'une façon surp
tale du grand sympathique se traduit sur la glande thyroïde par une contraction des vaisseaux thyroïdien ? lorsque l'excitation
s les névroses. gl2 BIBLIOGRAPHIE. Pompillian (11«° Mariette). La contraction musculaire et les trans- formations de l'énergi
95 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ngton). Des forces diverses s'op- posent alors au déploiement de la contraction musculaire. Dans le tabes, la tension réflexe d
. De cette diminution pathologique de tensions résultent, dans la contraction , l'exagération, la direction et la rapidité anorm
e la spondylose rhyzomélique ? Un malade de M. Marie présentait des contractions fasciculaires, Il existait des tremblements fib
rés et cinquième lombaire. L'absence de dou- leurs persistantes, de contractions fibrillaires, la stabilité des troubles trophiq
livre de Charcot : La /b : qui guérit. 92 BIBLIOGRAPHIE. par les contractions du sourcilier et des orbiculaires. Cette con- t
liquée, c'est de l'hémiopie, plutôt que de l'amblyopie croisée avec contraction concentrique des champs visuels, comme dans l'h
es modifications que les phénomènes électriques qui accompagnent la contraction volontaire des muscles subissent dans ces deux
t dans ces deux affections. Depuis Dubois-Reymond on sait que toute contraction volontaire du muscle est accompagnée d'un dégag
la contracture hystérique l'aiguille galvanométrique déviée par la contraction volontaire du muscle contracté revient quoique
phique (névralgie scapulo-bracloale très prononcée, exagérée par la contraction musculaire et la pression), avec arlhropatbie de
servée aux membres inférieurs, qui, en outre, ne présentent pas de contractions fibrillaires. Le malade parle avec une certaine
ous du bord supérie la rotule, 26 centimètres. 11 n'existe pas de contractions fibrillaires des muscles de la jambe gauche. 11
lité électrique directe ou indirecte (R. D. partiel^ avec perte des contractions indirectes). Les muscles très dév$-5 loppés n'a
inution considérable de la sensibilité testiculaire. Ongles bombés, contractions idiomusculaires des biceps. Membres inférieurs
le gauche se contracte; il en est de même de la droite, mais ici la contraction est incomplète, et lors- qu'elle est arrivée à
récision, les territoires dont l'excitation électrique détermine la contraction d'un groupe isolé de 1 Leçon extraite de la Cli
'excitation avec des inten- sités de courant maxima déterminait des contractions du membre supérieur droit. Les attaques convuls
rtion de la zone motrice corticale dont l'excitation produisait des contractions du pouce et 376 CLINIQUE NERVEUSE. des mouvem
électrique de la portion de la dure-mère mise à nu fut suivie de la contraction successive du pouce, de l'index et des autres doi
t, dans l'hémisphère du côté opposé, et qu'on obtienne encore des contractions du pouce, lorsqu'on applique l'excitateur élect
e la main une absence totale de l'exci- tabilité galvanique, ou une contraction paresseuse (A = K). Mêmes constatations chez le
la joue que l'on distend le plus possible : on empêche ainsi toute contraction de l'orbiculaire des lèvres et du buccinateur e
sa bouche et les avaler. L'une et l'autre éprouvaient une sorte de contraction dans le bras parfois assez forte pour que, dans
c, dans ce cas, que les impulsions volontaires ne provoquent pas de contractions musculaires et que les réflexes précis et rapid
96 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
u cœur faibles mais réguliers ; clignotement permanent des paupières, contraction des pupilles, contracture des mâchoires qui empêc
e est soumise à l'action des courants fara* diques; il se produit des contractions musculaires énergiques, mais rien ne peut la réve
s de cinq mois. — Dans les jours qui précèdent le réveil, on note des contractions fibril-laires dans les muscles du visage où le ny
s modifier par l'exercice. Mais ces cavités sont sous l'influence des contractions musculaires et de la circulation, celle-ci agissa
ainsi que le rôve parlé (3). L'aphonie n'est donc que partielle ; les contractions volontaires des muscles vocaux sont seules troubl
ndant, cette fugue est à début brusque ; elle commence par de petites contractions musculaires ; notre homme sent des coups dans la
yoclonies. Priedreich avait décrit sous le nom de Paramyoclonus des contractions rapides, brusques, instantanées de groupes muscul
e fibrillaire de Morvan. Cette maladie des tics comporte, outre les contractions musculaires, un terrain de dégénérescence tel que
fondément une épingle dans la peau du visage : je provoque une légère contraction des muscles superficiels, mais sans réveiller le
ent obéi à un ordre mental pur; nos muscles digitaux ont présenté des contractions librillaires, aussi minimes qu'on voudra, inaperç
port avec la pensée dont nous étions pleinement occupés ; ce sont ces contractions musculaires, pour ainsi dire imperceptibles, qui
liseur de muscle et non un liseur de pensée. Or, comment de simples contractions fïbrillaires peuvent-elles exprimer un ordre préc
s aucun mouvement spontané ; je supprime consciemment toute espèce de contraction musculaire, de tressaillement ou d'acquiescement
Je vais, ajoulé-je, ne plus exercer aucune espèce de contrôle sur les contractions musculaires de mes doigts ; je ne m'appliquerai q
méûance, ce sujet sera tenté, non plus seulement d'enregistrer leurs contractions musculaires inconscientes, mais, il les appellera
ns la joue que l'on distend le plus possible : on empêche ainsi toute contraction de l'orbiculaire des lèvres et du buccinateur et
une selle très abon- dante. Il n'y aura plus aucun spasme, aucune contraction ; les parois intestinales seront bien lubrifiées;
qui opèrent en public ne sont autres que des sensilifs guidés par les contractions fibnllaires du « penseur a. Il faut aussi remarqu
97 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
inence de contracture; ou bien enfin ils agissent par le fait d'une contraction simple. La première hypothèse est inadmissible.
e l'attitude vicieuse du tronc serait la conséquence d'une simple contraction musculaire. C'est à celle-là qu'il faut s'arrêt
que la jambe étant fortement fléchie, le pied soit maintenu par une contraction per- manente et instinctive au-dessus du sol (l
ns dit que, dans le principe, la scoliose sciatique résultait d'une contraction muscu- Fig. 15. DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRAL
ndant survenir à la longue, sous l'influence de la permanence de la contraction . Rien n'est plus curieux que l'attitude voulue
ndant, quand le malade s'abandonne complètement, en évi- tant toute contraction active de ses muscles, on peut faire exé- cuter
liose croisée, quand le malade est guéri, doit être rapportée à une contraction permanente des muscles sains, comparable, àbeau
ATIQUES. 39 9° Tandis que la scoliose croisée est produite par la contraction des muscles du côté sain, la scoliose homologue
nspiration abondante. T. 38°,8, mobilitéencore abolie, mais faibles contractions du triceps fémoral. Bromure. 29. '- Dyspnée int
tion dégénérative partielle avec lenteur obligée même indirecte des contractions convulsives » (Erb). Ce qui, d'après l'auteur, di
b, c'est que, par l'excita- tion indirecte, il se produit aussi des contractions , à la fermeture de l'anode, et que, non seuleme
ur le ventre des muscles de sa jambe ne réagit pas par une évidente contraction musculaire. Si, en provoquant chez elle une myé
dons anté- rieurs et latéraux de la moelle, on observe encore des contractions musculaires, mouvements impliquant, selon ces a
n de la vue qui ne résulte à la fois d'impressions lumineuses et de contractions des. muscles de l'oeil. De même pour les centre
z les paralytiques, la conscience d'un effort implique toujours une contraction musculaire : si ces malades ne peuvent pas cont
ces malades ne peuvent pas contracter leurs muscles paralysés, la contraction d'autres groupes musculaires, des muscles de la
ermi- naisons musculaires, aux muscles qui se contractent ; cette contraction détermine des modifications dans les organes mu
ment plus ou moins considérable, en rapport avec l'intensité de la contraction . La fibre nerveuse centri- pète qui se termine
98 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es résultats, et encore, en agissant à droite, n'obtient-on que des contractions courtes et rapides et seulement des muscles labia
décharge d'étincelles de la machine statique, ne provoquent pas de contractions sur le frontal, l'orbiculaire des paupières, le
e, mais pas' tous. En outre il existe des symptômes d'amyotrophie : contraction lente des muscles à la suite d'une excitation m
oids. On la fléchit sur la cuisse à un angle de 45 de sorte que les contractions produites sur elle par le choc du tendon rotuli
smettront à la corde qui agira sur un levier; celui-ci inscrira ces contractions sur un tambour en rota- tion. On a vu par cet
te, l'application du courant au point moteur symétrique, produit la contraction normale du triangulaire et du carré du menton,
t s'abaisse en même temps que les mouvements de mastication. Or, la contraction des masséters et des temporaux n'influence poin
avant si elle n'était pas maintenue par les muscles de la nuque en contraction légère. C'est un levier du pre- mier genre. La
La théorie musculaire trouve là une confirmation complète, c'est la contraction musculaire qui maintientl'extension de la tête,
homme sain, M. Paul Richer fait voir successivement : qu'une légère contraction des muscles de la nuque suffit pour maintenir l
e l'équilibre du bassin sur les cuisses est main- tenu, non par les contractions des fessiers, mais par la pesanteur et l'extens
reint dans la marche. Les moyens fessiers entrent au con- traire en contraction à chaque pas du côté de la jambe portante, et c
en contraction à chaque pas du côté de la jambe portante, et cette contraction dure tout le temps de l'appui unilatéral. Elle
s qui lui donnaient des soin*, ne s'expri- maient que par une forte contraction des muscles de la face et le tremblement nerveu
habituent, à une attitude plus normale. La physionomie échappe à la contraction nerveuse qui en dominait toutes les expressions
révèle par l'amyosthénie, l'hypotension artérielle, la mollesse de contraction 'du coeur, l'instabilité des jambes, la maladress
arole s'accompagne souvent de sifflements, résultant sans doute des contractions violentes de la langue qui éprouve quelques dif
'outre l'athétose le malade présente de temps à autre des tics, des contractions brusques du frontal figurant un mouvement coor-
si chez R... deux espèces de troubles moteurs : l'athétose avec ses contractions excessivement lentes, incoordonnées, et le tic
ontractions excessivement lentes, incoordonnées, et le tic avec ses contractions coordonnées et très rapides. Mais ce qui consti
première fois en 1895, et nous constatons les symptômes suivants : contractions musculaires de la face exprimant les sentiments l
u passage du sang par ces différentes voies varie selon le degré de contraction ou de béance des vaisseaux; la distribution du
99 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
e moindre cri, sans faire le moindre mouvement, sans avoir la moindre contraction du visage, dans une impassibilité complète. Pourt
s son activité normale . Dans le sommeil normal, il se produirait une contraction des vaisseaux, laquelle diminuerait le flux du sa
la motricité ou de la force. La force normale se manifeste par une contraction musculaire, qui doit être sous la dépendance de l
iminution anormale de la force, lorsque la volonté ne produira qu'une contraction musculaire insuffisante pour effectuer un mouveme
a force, ou production de force en excès, quand nous constaterons des contractions musculaires, indépendantes de la volonté et ne pr
effet utile. C'est ce qui se produit dans les tremblements, dans les contractions convulsives. La diminution de la force, portée
art, l'exagération de la force également portée à l'extrême, sera une contraction musculaire permanente, et telle que la volonté mê
paralysie. La parésie. La force normale. Le tremblement et les contractions convulsives. La contracture. Progression que no
leur situation naturelle. Les doigts du pied droit subirent les mêmes contractions , s'étant retirés du côté du talon. Voici comment
lité spéciale et complexe de l'amibe. C'est la rétraction ou mieux la contraction du bioprotéon de ces cellules qui détermine, dans
euille. Cette inflexion, qui persiste plusieurs heures, résulte de la contraction des cellules situées à la face interne de la base
er, le disque épais de la fibre musculaire striée exprime, lors de la contraction , le liquide qui! contient. Ce liquide phytocysti-
organes obéir à la pesanteur. Cette théorie, qui fait intervenir la contraction du bioprotéon, mais seulement comme cause indirec
mouvements de sommeil des feuilles ne sont que l'effet immédiat de la contraction du bioprotéon de leurs phytoblastes moteurs. Le
diminution d'ampli- lude et de vitesse s'accompagne souvent d'une contraction manifeste du bioprotéon. 2° Il existe, pour cha
la cessation complète des mouvements bioprotéiques, d'autre part à la contraction ou à l'altération du bioprotéon, c'est-à-dire au
— et jusqu'à la dernière note — par les palpitations de son cœur, les contractions nerveuses de ses avant-bras, la chaleur de la sal
100 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
étouffements, perte de connaissance, convulsions; au réveil, légère contraction du côté droit, durant une heure. Après ces cr
soumis le muscle, et que la rétraction est la dernière étape de la contraction ; l'une est un phénomène actif et vivant par exc
er de la chaise, les muscles des cuisses et du tronc présentent des contractions continuelles qui déterminent de petits mouvemen
examine le malade au lit, dans le décubitus dorsal et au repos, les contractions musculaires involontaires, que nous avons constat
é- ; rieure du péroné sont de trois ordres : · 1° Arrachement par contraction musculaire. - Ce mécanisme est 1 décrit dans l'
éfaction. La fracture, non douteuse, avait eu lieu par une violente contraction du biceps crural el cette contraction ayant eu li
vait eu lieu par une violente contraction du biceps crural el cette contraction ayant eu lieu dans la position de la jambe fléc
rationnel d'admettre un mécanisme hybride, mélange de [fracture par contraction musculaire et de fracture par traumatisme direc
e probable qu'elle tient à l'état des vaisseaux des muscles dont la contraction s'accompagne d'une aug- mentation de tension qu
s l'influence de l'électricité, et la malade peut produire quelques contractions volontaires qui sont limitées à cause du raccou
érieure à la normale, et se « durcissent » énergiquement pendant la contraction . Lorsque le malade reste entièrement au repos (
out, soit dans la marche. Tous les auteurs signalent les effets des contractions de ces muscles. Cependant, il existe encore d'a
nouveau cette inégalité pupillaire, qui semblait tenir plutôt il la contraction de la pupille gauche qu'à la dilatation de la pup
/ 175