elle de la tenue de campagne de l'armée suisse, le parement qui est à considérer . La meilleure façon de le souligner est encore de

t à l'éducation des arriérés. Très judicieusement, M. le Dr Jacquin considère que ces sections d'asiles doivent être réservées

ivent des soins, à Bicétre, à Epinay ou dans une section d'asile sont considérés comme des aliénés, puisque leur internement néces

des enfants normaux. Dr Jules Voisin. — Lorsqu'il s'agit d'enfants considérés comme anormaux, la tâche du médecin comporte de n

tituent le merveilleux préscientifique : l'occultisme peut ainsi être considéré comme la terre promise de la science. Et, en fa

me la terre promise de la science. Et, en fait, bien des phénomènes considérés hier comme occultes ne le sont plus aujourd'hui.

orte doctrine, dérivée directement des enseignements de Liébeault. Il considère toujours que l'hypnotisme et le sommeil provoqué

il naturel avec, en plus, l'état de rapport avec l'hypnotiseur. Il ne considérait pas que la suggestion, à l'état de veille, puisse

e des fonctions qui entrent en jeu dans la fécondation. Or, si nous considérons l'ensemble des cas de stérilité, nous constatons

ors qu'elle est parfaitement curable. C'est que trop souvent on ne la considère pas comme une maladie et l'on n'en recherche même

de cette ville écrit avec un seul c se prononcerait Maléca.) On te considère comme le meilleur écrivain malais du xixe siècle.

le un acteur devrait entrer en scène avec un parapluie ouvert, serait considérée comme injouable et aucun artiste consciencieux ne

qui ne réussissent pas, quelle que soit d'ailleurs leur valeur, sont considérés comme des vaincus. Ils ne se relèvent jamais de l

i des médecins raisonneurs. En effet, les hypnotiseurs emploient et considèrent la suggestion dans le sens le plus large du mot e

ujet un coefficient de 1 à 5. Le maximum de 100 points peut donc être considéré comme représentant la normale et les enfants arri

celle de criminalité — peut cependant, dans la plupart des cas, être considérée comme contenant en puissance et la folie et la cr

ou bien, d'après le vieux système pédagogique allemand, le débile est considéré comme un simple élève ordinaire un peu en retard,

crânienne, elc.)donne à sa physionomie un aspect un peu anormal, est considéré à l'école comme arriéré, comme une non-valeur qu'

lificatif, en arrive peu à peu à s'habituer à cette appellation, à se considérer lui-même comme un arriéré et il franchit le Rubic

, souteneurs, apaches et autres, ils ne se font pas une gloire d'être considérés comme des individus dangereux, en attendant l'heu

ulisme enfin et les actes souvent graves qu'il détermine peuvent être considérés comme une conséquence du rêve. Dans les faits p

fondateur de l'Islam qui, pour un I public civilisé et instruit, est considéré à juste titre, comme un législateur, un philosoph

tômes analogues persister d'une façon fort inquiétante chez une dame, considérée jusqu'alors comme atteinte de troubles hystérique

ion et son mode de guérison, il semble bien qu'on soit en droit de la considérer comme un véritable accident hystérique. FOLKLOR

. Et, dans nos mœurs, la culpabilité est une notion courante que l'on considère comme corrélative de la responsabilité. Si la res

bien vos phrases n'ont pas de sens, ou bien elles impliquent que vous considérez vos collègues comme libres de faire ou de ne pas

œnesthésique, ou génésique, etc. Il est, en effet, des actes que l'on considère comme mauvais, que l'on réprouve expressément, qu

de la défense sociale. Ce que vous dénoncez comme un mal, d'autres le considèrent comme un grand bien. En demandant de revenir au

ables. c Le principe fondamental de toute rééducation morale est de considérer le malade comme un être raisonnable auquel nous d

santes, cela n'a rien qui puisse surprendre. La Suisse n'est-elle pas considérée par certains comme le conservatoire où l'on doit

Même aujourd'hui, en Egypte, dans la Mos- quée El-Ezher, qui est considérée par la majorité des musulmans comme la plus grand

ule du Coran en arabe. Serait-ce plutôt que la lecture du Coran étant considérée chez les musulmans, comme un acte de dévotion, il

bitation de ses beaux-parents. « Deux phases bien distinctes sont à considérer dans l'existence pathologique de cette malade :

a maladie et les douleurs de viennent intolérables, et il n'est point considéré comme un crime. Leur manière d'en finir avec la v

e la chimie, de la mécanique et des diverses sciences positives, soit considéré comme un crime de lèse-majesté ? La faculté de cu

tels que la chorée, l'épilepsie, l'hystérie confirmée. Elle peut être considérée comme faisant partie du cortège symptomatique de

urs très compétents et très justement estimés. Pour nous, loin de les considérer comme inexistants, nous estimons qu'il convient d

es races. Ainsi, il est des peuples chez lesquels les pleurs seraient considérés comme un signe de démoralisation. Un anglais ne s

es sérieux s'exercent le plus souvent. Les mouvements d'ensemble sont considérés comme très accessoires et, généralement, dédaigné

euvent causer la mort, notre attention ne doit-elle pas s'appliquer à considérer jusqu'à quel point nous sommes influencés par le

e continuer à se rendre utile, adapter son esprit à son entourage, et considérer qu'il peut vivre d'une vie heureuse, active et jo

même dans l'espèce humaine. Il a été reconnu que ce qui avait été considéré comme une manie, comme un véritable pica, pouvait

propre volonté. Le nombre d'impressions et d'auto-suggestions est à considérer . Un cheval tire une lourde charrette. II s'arrê

l'éducation des caractères. C'est avec une légitime fierté que nous considérons notre passé. Le succès a récompensé nos efforts b

e la Turquie. Elle suspendit ses paiements. Cet événement peut être considéré comme le second grand malheur de la Turquie. La p

uement et utilement l'organisme ! D'ailleurs, les sports doivent être considérés comme un moyen et non comme une fin ; lia doivent

astique suédoise ou gymnastique scientifique, créée par Ling. Je la considère comme le meilleur moyen de développement physique

ue XII et XIV.) D'ailleurs, les Hébreux, qui étaient très croyants, considéraient la maladie comme une manifestation de la justice

la nuit, parcourt les lieux solitaires. »' Par cette définition, on considérait les fous comme des êtres incapables d'agir raison

eulement faisaient œuvre de médecins en soignant les malades, mais se considéraient aussi comme les instruments de la colère divine ;

40 0/0. Nous avons démontré les raisons qui nous avaient déterminé à considérer l'onychophagie comme une manifestation de dégénér

séances de spiritisme. Il n'en faut pas davantage pour qu'ils soient considérés comme ayant fait acte d'adhésion aux doctrines sp

cs puissent résider à l'étranger lui est profondément désagréable. Il considère son empire comme une prison, celui qui veut en so

tous les actes de la vie sociale des musulmans devrait être bien plus considérée comme une législation que comme un dogme religieu

du fondateur de l'Islam : Pour tout homme instruit, Mahomet doit être considéré comme un philosophe, comme un législateur. Maho

la famille de Mahomet et on le préféra au gendre du prophète que tous considéraient comme un des plus braves et des plus instruits pa

nd sage. 4* Le Kaloeng-rnerdjan-Arab ou collier de corail rouge est considéré à Java (comme aussi en Hollande), comme un signe

ui nécessite d'urgence l'intervention des pouvoirs publics. Africanus considère ces aliénés comme dépourvus de toute volonté : «

similent l'aliéné à l'enfant (infans) (') ou à l'impubère (2). II est considéré comme « non doli ? ???? ». Dans la loi de injurii

Borne, l'emprisonnement ne constituait pas une pénalité.* ii était considéré comme une mesure de précauUon. Cela résulte d'un

ins se faisaient une idée assez nette de l'aliénation mentale. Ils la considéraient comme une véritable maladie, et ils en avaient pa

ns un intervalle lucide. Oependant les Romains n'allaient pas jusqu'à considérer que dans les intervalles de calme, l'aliéné dût ê

squ'à considérer que dans les intervalles de calme, l'aliéné dût être considéré comme entièrement sain d'esprit. On lit, en eff

bus vacaret, recte sani dicentur. {L. 53. Digeste. De œdU. cdicl. considérer l'individu comme absolument sain d'esprit pendant

, de conclure au maintien de tel demi-fou dans un asile, tandis qu'il considérera que tel autre peut sans inconvénient être laissé

resque son entendement) mais de dire si, en son âme et conscience, il considère quel'individu qu'on soumet à son examenestmalade,

La démonstration est donc complète et M. le docteur Magnan peut donc considérer ce résultat comme le plus grand honneur de sa lon

n'a fait que reprendre les idées de Mœbius et de Strümpell lorsqu'il considère l'hystérie comme « caractérisée par une influence

re psychologique des manifestations hystériques et cependant M. Janet considère la névrose comme une maladie mentale ainsi qu'il

es manifestations de la névrose que M. Grasset se refuse d'ailleurs à considérer comme une maladie mentale ; ne méritent ce nom qu

r de vouloir faire de l'hystérie une maladie mentale ; elle doit être considérée comme « un trouble physique, fonctionnel du cerve

Il y a même un grand nombre de^ cas où la Raison d'Etat pourrait être considérée comme une justification plausible d'actes, dont l

ppréciation échappe à une observation trop sentimentale. Il ne faut considérer comme aliénés que ceux dont les troubles mentaux

pov). Mais, comme toute phobie obsédante, l'érythrophobie peut être considérée au point de vue de ceux qui, comme Raymond, Arnau

oire morbide sont entachés d'hérédité pathologique. Un second point à considérer , c'est qu'ils accusent des troubles de la circula

nés. Mais le malade, oubliant cette origine de sa phobie, pouvait la considérer comme venant on ne sait d'où. Tenant compte d'une

chez les hommes à peau blanche, cette maladie est peu apparente, est considérée comme très anodine en elle-même, et n'ennuie guèr

rester dans sa patrie où il était menacé d'exil pour cause de maladie considérée par les indigènes comme c déshonorante » et ¦ imp

un cheval à taches blanches porte le nom « pièss-at » et sa chair est considérée , comme impropre à la nourriture d'un musulman ; l

uche que Dieu met ses paroles. Il en résulte que la folie n'était pas considérée , chez les Hébreux, comme une maladie, mais comme

étaienttrès souvent apparentés à des dégénérés. Moïse, que l'on peut considérer avec juste raison comme le premier des prophètes,

s'établissait de véritables colloques entre eux etle dieu dont ils se considéraient comme les envoyés, les interprètes. Mais chez eux

en effet, difficile d'admettre qu'il en soit autrement, lorsqu'on se considère comme le confident, l'interprète et l'envoyé de l

violentes colères, au cours desquelles ils menacent tous ceux qu'ils considèrent comme infidèles à la divinité ; et même ils n'hés

que l'admettent nos psycho-patho-logistes modernes qui s'accordent à considérer le mysticisme comme aboutissant fatalement à un é

inhibitoire du malade à l'état de veille. Tous les autres phénomènes considérés jusqu'ici comme hystériques peuvent se rencontrer

t. Or, on disait que les arabes mangeaient la gerboise, petit rongeur considéré par le peuple comme une souris. Cette verve sinis

Un simple citoyen, doué du caractère de Mohammed Toghlah aurait été considéré comme un individu mal équilibré. Ses tendances à

de la Russie Méridionale, Odessa, 1893, ?' 9,10 ct.ll.j également considéré comme « pur ». Et il est clair que les termes imp

des idées sensiblement analogues aux précédentes. Avec M. Babinski il considère la suggestibilité exagérée comme un des principau

grès de Genève-Lausanne M. Schny-der (de Berne) se refuse lui aussi à considérer l'hystérie comme une entité morbide, mais, co

ne sur le terrain de la clinique. « L'hystérie, conclut-il, peut être considérée comme une diathèse prenant, en général, son origi

de Turquie fut successivement occupé par Mahomet IV, universellement considéré comme un souverain équitable et généreux et par A

r insuffisante dans certains cas et nous estimons qu'il vaut mieux la considérer comme un adjuvant nécessaire d'un traitement plus

les enfants. Il s'indigne à la pensée que l'onychophagie puisse être considérée comme un signe de dégénérescence. Il ne s'agit là

ATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'HOMME ET DES PRIMATES CONSIDÉRÉ onus ses Rapports avec l'Intelligence* INTROD

onnent certaines fibres motrices (2). Ainsi les cellules peuvent être considérées comme des intermédiaires complétant (1) Leçons

et des réactions des cellules nerveuses centrales. III. Nous avons considéré un arc simple, mais jamais dans les corps vivants

tes(2). Il nous semble donc que chaque segment de la moelle peut être considéré comme un centre particulier d'action, tout en adm

de Treviranus, en me fondant sur les observations suivantes : si l'on considère par exemple un segment vertébral complet choisi d

, il y a donc un anneau nerveux, et le système nerveux de cet animal, considéré dans son ensemble, est composé d'une suite d'anne

système nerveux supérieur. Nous sommes conduits, en conséquence, à considérer le type du système nerveux {les animaux articulés

nicules? sont-ils une dépendance des cordons postérieurs? doit-on les considérer comme formant un système particulier? Ces 'questi

qui peuvent servir d'éléments à l'histoire de la force excito-motrice considérée dans chaque région de la moelle épinière. Nous re

iés de l'axe médullaire séparent les cordons composants, doivent être considérés avec beaucoup d'attention. C'est en effet aux sil

nt semblables, ou du moins parfaitement symétriques. On peut donc les considérer comme constituant chacune un système dis- tinct

. Leur diamètre est singulièrement variable, non-seulement quand on considère différents animaux ou même les différentes région

de ces racines. Cela peut être dit, il est vrai, d'un même renflement considéré dans tous les animaux d'un même groupe. On peut d

xtaposés. Ce résultat est si constant, qu'il n'est pas possible de le considérer comme purement artificiel. C'est là un problème c

faire une idée assez complète de la face inférieure du noyau cérébral considéré dans son ensemble. Sur les côtés, les deux moit

ues : cette idée est depuis longtemps abandonnée. M. de Blainville le considérait comme une sorte de cerveau du système du grand sy

e, et pour le moment, de même que les libres arciformes du bulbe, les considérerons -nous comme faisant partie de leur écorce. Au de

lobes latéraux des plexus choroïdes du quatrième ventricule. Ainsi considéré , le quatrième ventricule est une cavité fort comp

ourrait passer pour un enfantillage. La plupart des anatomistes ont considéré avec raison les barbes du calamus comme fournissa

ractus gris du quatrième ventricule ? Leurs relations obligent de les considérer comme représentant les tranchants spongieux de l'

roisième nom, celui de faisceaux olivaires. On peut, avec raison, les considérer comme une dépendance des faisceaux antérieurs ou

t immédiatement en arrière de la commissure des habenœ, et qu'on peut considérer comme une dilatation médiane de l'aqueduc de Sylv

nature calcaire et existent constamment dans l'homme. M. Kôlliker les considère , néanmoins, comme l'expression d'un état patholog

rien de ses propriétés et de ses usages, à moins qu'on ne veuille la considérer comme un résidu de la rétraction du couvercle pri

de l'homme de Descartes. Ce traité, purement hypothétique, peut être considéré comme une sorte de roman. Toutefois, il mérite d'

eux sur la détermination duquel nous reviendrons ailleurs, et qu'on a considéré comme la racine principale du nerf optique. Ce qu

bien le type d'organisation de ces êtres. Toutefois, il ne peut être considéré comme un signe (l'élévation, car il est beaucoup

es pièces du crâne sont immobiles et, en conséquence, ne peuvent être considérées comme des vertèbres. Pitoyable jeu de mots ; car

parent, et comme il est irrécusable, il n'y a aucun inconvénient à le considérer comme le nœud de l'explication générale des modif

peut différer suivant les points que dans un même lobe un observateur considère ; à peine est-il permis d'essayer de pareils calc

semilunaire de toutes les autres parties du cervelet, et l'on peut le considérer comme l'élément fondamental du corps des masses

imitant pour ainsi dire, et s'en tenir à l'étude des groupes naturels considérés comme types d'organisation distincts, sans essaye

parties seront-elles les mêmes? L'énergie intrinsèque, qu'on pourrait considérer comme l'esprit recteur, l'archée des matières viv

d'un individu, mais l'on néglige les qualités virtuelles du type. On considère tel noir, on le compare à tel blanc, et l'on ne v

e occipital, extrêmement réduit, n'a plus alors d'opercule. On peut considérer comme des plis de passage, les prolongements qui,

t des plis qui se prolongent vers l'extrémité occipitale. On pourrait considérer les plis du lobe temporo-sphénoïdal comme résulta

ans un mémoire récent, m'a accusé, je ne sais d'après quel indice, de considérer en toutes choses l'homme comme le type de la perf

relative au but qu'il doit accomplir dans la nature. Ainsi pour ne considérer que le membre antérieur, suivant qu'il est roaln,

tin a magnifiquement développé celte thèse; et, en effet, on pourrait considérer l'homme et tous les animaux comme des harmonies d

eau, organe de l'intelligence, quelle pétition de principe y a-t-il à considérer comme exprimant la perfection la plus haute à laq

de leur origine dans l'homme et dans les singes, il faut, avant tout, considérer attentivement cette partie du bord de la grande o

t dans les singes, se prolongent dans les lobes olfactifs, et ont été considérés comme constituant les racines de ces lobes. Les

es éléments à la question si, dans ces recherches où les animaux sont considérés eu égard à la capacité de leur crâne comparée à c

u-nés la sub- (1) C'est cette masse grise qui a conduit M. Longet à considérer la protu« bérance comme un véritable centre. st

elations de la protubérance annulaire, il est impossible de ne pas la considérer comme résultant d'une grande accumulation de fibr

les interstices des fibres de la cupule. Les noyaux gris peuvent être considérés comme le centre de l'enroulement des parties qui

s genouillés externes. Les habenœ de la glande pinéale peuvent être considérées comme une dépendance de l'écorce blanche de la co

un instant, ce pédoncule, processus cerebelli ad cerebrum, et nous le considérions ainsi pour aider au développement des description

insi pour aider au développement des descriptions. Maintenant nous le considérerons dans un autre sens, et pour le même motif, et nou

'on a désignés sous le nom de nerfs longitudinaux de Lancisi. Si nous considérons avec attention l'origine et la marche de ces fibr

ab. anatom., fasc. 1, pl. X, fig. 19, r. r.et fig. 2, m. n. ci : on considérait le corps calleux comme servant de commissure entr

par les anastomoses longitudinales de ses cellules, elle peut être considérée comme un conducteur et, si j'ose le dire, comme u

es par leur origine, et si voisins l'un de l'autre qu'on pourrait les considérer comme le résultat de la division en deux faisceau

ent davantage. En conséquence, y aurait-il une grande imprudence à le considérer comme un multiplicateur d'impressions? N'aurait-i

les oiseaux ne feraient pas aisément partie de cette série. A bien considérer cette proposition de Tiedemann, elle est beaucoup

vue différents. En tant qu'animal vertébré, par exemple, il peut être considéré sous le point de vue des attributs généraux du ty

r les uns des autres et de les connaître dans leur essence propre. Il considérait d'abord les ressemblances ; il doit désormais s'e

onc deux lois : la loi commune et la loi individuelle, l'espèce étant considérée par abstraction comme un individu; et sous le rég

ne encéphalique pris à part. Après quoi nous parlerons de l'encéphale considéré dans son ensemble. Ces comparaisons, en laissant

prétentions premières ; mais acceptons ces conditions nouvelles. A ne considérer que des êtres qui se ressemblent fort, nous pourr

ers rudiments qui préparent les Touffes. Le détail de ces différences considérées dans tous les mammifères remplirait de gros volum

est là une remarque que tous les psychiatres ont pu faire. Si je puis considérer la Vénus Hotlenlotc comme représentant le type no

tre, que depuis Blumembach et Camper, la morphologie de la tête a été considérée comme l'un des points les plus intéressants de l'

is on peut hésiter entre les deux autres cas. En effet, d'une part on considère en général un grand front comme un signe d'intell

que, en conséquence, outre son développement longitudinal, il faut en considérer la largeur. D'ailleurs, quelles que soient les

e de cette courbe, soit qu'à l'exemple de Gall et de Spurzheim, on la considère comme exprimant le développement des facultés les

lexueuse A' B', la couche des circonvolutions. Dans ces conditions, considérons les petits espaces vides *****. De deux choses l'

oncerai ici quelques-uns des résultats qui ont été publiés. Les uns considèrent surtout la dimension du crâne. A cet égard, il y

e que partout, et même dans ses erreurs, il fait penser, et peut être considéré comme un moteur dans l'ordre de l'intelligence. A

frontal crée des conditions meilleures. Peut-on, à cause de cela, le considérer comme le centre d'une activité supérieure? A cela

et, l'un des plus importants à coup sûr parmi ceux que la physiologie considère . Maintenant le crâne peut-il tout dire eu égard

s particulièrement sur les plus inférieurs, démontrent que la moelle, considérée comme centre, a un pouvoir propre et indépendant

te d'écorce. On peut se demander si ces bandes ne pourraient pas être considérées comme les troncs communs des nerfs du corps en ta

à dire qu'on s'accorde aujourd'hui d'une manière à peu près unanime à considérer les cordons antérieurs et postérieurs comme serva

lis, se fondant sur des arguments empruntés à l'anatomie comparée, le considéra comme le point de départ et le principe excitateu

de ces canaux est la cause des phénomènes, en conclut qu'il faut les considérer , non comme des organes qui produisent les phénomè

eut déranger l'équilibre de l'ensemble, sans que ce point puisse être considéré comme un centre véritable. Celte assertion de M.

appareils sont appelés à se suppléer réciproquement, et l'on pourrait considérer les tubercules quadrijumeaux comme le cerveau de

lumière sont les esprits animaux, qu'à la manière d'Empédocle, Willis considère comme formés d'air et de lumière; car, dit-il,

ésident ni dans chacune ni dans aucune des parties qui les composent, considérées en particulier et sans rapport au tout. Et il cho

uissent apercevoir. Elle n'est point du domaine des sens; on l'a donc considérée différente de la matière du monde, et cette subst

s à une émanation. Il parut ainsi naturel à des âmes extatiques de se considérer comme des étincelles, comme des parcelles d'une â

pant parallèlement en Dieu, au moment même où le corps périt en Dieu, considéré comme substance étendue, son idée meurt en même t

en clair que l'enfant a une idée certaine de l'unité de l'objet qu'il considère , cependant il y a deux yeux et par conséquent deu

me point du cerveau qu'un certain filet de l'autre œil. On peut ainsi considérer les fibres des deux nerfs optiques comme formant

appliqué au pinceau deux points d'une couleur opaque a et 6. Si l'on considère avec les deux yeux un objet quelconque au travers

de vibration ou d'oscillation régulière. Si, par exemple, après avoir considéré longtemps une surface en mouvement, comme une nap

, elles supposent une idée plus ou moins distincte de certains objets considérés comme fins ou comme causes. Cette idée de causali

es des qualités sont génératrices des idées que nous avons des choses considérées comme substances. Une chose quelconque est avant

le créer des idées nouvelles. 8° Les idées imaginaires peuvent être considérées comme des sensations très-faibles. Réciproquement

me en m'en- (1) Cela arrive à chaque instant à ceux qui s'amusent à considérer des uuagcs ou d'antres formes indécises. dorm

si semblables à la vie réelle, ont frappé les hommes, au point d'être considérés par eux comme des impressions reçues par l'âme da

ent la rétine pour siège, parce que l'habitude du corps fait que nous considérons comme ayant au-devant de nos yeux toutes les chos

al définie d'ailleurs, était immobile, et pendant que M. Che-vreul la considérait , il était dans un état tout particulier d'angoiss

e simple a des rapports qui expriment toutes les autres, et peut être considérée comme un miroir vivant perpétuel de l'univers (2)

nnages. Le Bokte donne à toutes ces questions « des réponses qui sont considérées comme des oracles par « tout le monde. « Quand

s les hallucinations. Peut-être y aurait-il une véritable utilité à considérer avec attention le système des fibres propres du c

nt de l'attendre quelques minutes. Pour occuper le temps, je me mis à considérer machinalement l'étalage d'un marchand d'estampes

ransforment; et changent d'objet assez souvent, pour qu'on puisse les considérer comme le résultat d'une tendance générale qui che

bide, une lésion matérielle du cerveau. Les premières ne peuvent être considérées que comme un symptôme, bien que la plupart du tem

bien, cette supposition serait absolument fausse. On peut, en effet, considérer avec la plus grande attention un pendule en mouve

ier abord, mais il ne faut point désespérer de la résoudre. On peut considérer en premier lieu qu'il ne s'agit point ici d'un mo

es, une tendance vague, mais irrésistible au mouvement. Maintenant, considérez que plusieurs personnes sont réunies autour de la

s propres, et ces expressions agissantes engendrent dans ceux qui les considèrent des idées corrélatives. Ainsi certaines physionom

uite « de volontés dirigées constamment sur le même objet. Quand « on considère que la volonté remue le bras comme il lui « plaît

ans les bêtes des choses qui surpassent notre intellect. Mais si l'on considère que toute spontanéité semble bannie du domaine de

nce. Un pareil acte, étant individuel, ne pouvait évidemment pas être considéré comme un résultat de l'instinct. Mais voici le cu

xprime comme les attitudes du corps les mouvements l'âme. Les cris, considérés comme expression sympathique des volontés et des

tout signe qui annonce naturellement la présence d'un objet peut être considéré comme son nom primitif. Ce nom est aisément compr

des formes et deles définir (1). (1) Voyez P. Jolly, De l'imitation considérée dans ses rapports avec la philo* il. 43 4. Tout

ébrique, règne dans le temps comme Dieu dans l'éternité. Ainsi nous considérerons comme un simple jeu d'esprit cette proposition de

qu'elles sont quelque chose de plus, et mériteraient plutôt d'être considérées comme des inductions légitimes. Un fait très-re

l'organisation visible du cerveau et ses fonctions, en tant qu'on le considère comme le premier instrument de l'âme. Cette expli

l'écorce grise, suivant les régions de l'encéphale que l'on envisage. Considérons , par exemple, à ce point de vue, l'étage inférieu

erf ordinaire, d'un cylindre de myéline, si bien qu'il y a lieu de le considérer , à son origine, comme un cylindre axile et, à une

lerai seulement que, dans ces derniers temps, plusieurs auteurs l'ont considérée comme constituée par des cellules conjonctives d'

ace des hémisphères. Il est un mode d'agencement susceptible d'être considéré comme représentant le type le plus vulgaire, le p

s de ces grands territoires vasculaires. Ces territoires doivent être considérés , non seulement à la sur-face des hémisphères, mai

une artère terminale. Ils se produisent d'une manière fatale. Si nous considérons , par opposition, une ar-tère à anastomoses, le co

e à la formation dé la capsule interne. Une opinion, déjà ancienne, considérait la capsule interne comme une émanation complète e

e la capsule interne et leurs émanations directes, ne sauraient êtres considérés com- (1) Dans les observations de ramollissemen

es, concernant l'ar-chitecture extérieure des parties que nous devons considérer , me paraissent devoir trouver place ici. Si, ap

aux deux tiers postérieurs, sont divisées en deux tractus qu'on peut considérer comme des racines dont l'une est interne et l'aut

ules nerveuses rudimentaires (Henle) et ne peut être, par conséquent, considéré comme un centre au même titre que le corps genoui

us postérieure du pied de la cou-ronne rayonnante, pourrait donc être considérée , d'après ce qui précède, comme un carrefour où, d

t pas les suivre au-dessus, du côté de l'écorce grise. Il ne faut pas considérer , comme le fait d'une sclérose consécutive, les at

apide de l'ataxie locomotrice et de la sclérose en plaques long-temps considérées comme des névroses. — L'étude des lésions, avec l

ce grand chapitre. Ainsi, il y a sept ans, à propos des inflammations considérées en général, j'ai présenté une esquisse anatomo-pa

ement en eux-mêmes les faits qui composent cette his-toire et de les» considérer dans leur ensemble. Les temps paraissent, du re

stématiques jusqu'ici connues (Fig. 46). Les faisceaux postérieurs, considérés en physiologie comme formant un tout, sont, au co

us voudrez les appeler, sont celles, qu'en bonne logique, nous devons considérer tout d'abord. Mais avant d'en arriver là, Messi

développement, au déve-loppement embryonnaire ; mais qu'il suffit de considérer l'état anatomique des diverses parties du névraxe

Longet qu'une pure hypothèse. En effet, les anatomistes ont toujours considéré l'entrecroisement des pyramides comme une dispo-s

ulaires com-muns. Reconnaissons d'abord les particularités qu'offre à considérer , chez le nouveau-né, une coupe de ce genre. Le

s auxquels il est fait allusion). il nous importe, au contraire, de considérer attentivement l'étage inférieur des pédoncules, l

core pénétrées de matière pig-mentaire à l'époque de la vie, que nous considérons . Quoi qu'il en soit, c'est au-dessous de cette ba

eur de l'hémisphère que nous avons sous les yeux nous offre surtout à considérer les particularités suivantes. En arrière et en

ômisphérique du faisceau pyramidal. Dès l'époquo à laquelle nous le considérons , ce faisceau pourrait être reconnu là, dans le se

pyramidales dans cette dernière parlie de leur trajet, il nous faut considérer une coupe fron-tale. Cette coupe, faite un peu en

hémisphères. Les parties grises, transparentes en effet, peuvent être considérées comme les parties fœtales, embryonnaires, tandis

n du médecin. Si, en effet, ces lésions ont pu pendant longtemps être considérées comme un objet de pure curiosité scientifique, co

et là, plus explicitement, les racines postérieures, qui ont dû être considérées comme le point de départ de la lésion spinale.

les aborderons que par la suite. Pour le moment, je veux me borner à considérer la topogra-phie des dégénérations secondaires, et

côté de la lésion encéphalique primor-diale. 4° Si maintenant nous considérons une série de coupes transversales de la moelle, p

l, — je vous le faisais remarquer dans la dernière séance — peut être considéré d'une façon très gé-nérale comme composé de deux

celles que M. Meynert, dirigé par des considérations d'anatomie pure, considère comme des fibres centripètes, prolongeant les fib

des destructions corticales. Messieurs, Il nous faut actuellement considérer l'écorce du cerveau ou autrement dit, le manteau

iser dans le genre d'études que nous avons entreprises (1). Si l'on considère la surface des hémisphères cérébraux de l'homme e

rons que celle-ci siège dans la région dorsale supérieure. Il y a à considérer , vous le savez, les lésions dégénératives descend

es des faisceaux postérieurs. B. A présent, il nous faut un instant considérer une combi-naison qui se rencontre assez fréquemme

l. Mais, voici une exception à la règle, qu'il n'est pas inutile de considérer , parce qu'elle vous rendra compte peut-être de qu

aires constituant le troisième groupe qu'il nous reste actuellement à considérer . A côté des dégénérations secon-daires de cause c

spinale, peuvent être reproduites expérimentalement chez les animaux. Considérons , d'abord, les dégénérations secondaires de cause

ces de la dégénération secon-daire ontpu être reconnues. Mais il faut considérer , Messieurs, qu'en raison des circonstances, les o

ect clinique des dégénérations secondaires que nous allons maintenant considérer . Mais, avant d'en venir là, il est deux points en

vous ai déjà plusieurs fois renvoyés. La moelle épinière peut être considérée comme constituée essentiellement par un axe gris

isceaux de fibres blanches, qui com-posent le manteau. 11 y a lieu de considérer ici, successive-ment, les faisceaux antéro-latéra

anatomique encore peu connue. II. Gren est assez sur l'anatomie. Considérons maintenant le côté physiologique, et voyons les p

B. Le résultat des hémisections spinales est aussi très im-portant à considérer . Les expériences de Schiff, répétées par M. Vulpi

t nous ont fait reconnaître que les faisceaux pyramidaux doivent être considérés comme de grandes commissures, établissant des rel

érêt pratique de l'étude que nous allons entreprendre, il convient de considérer l'état d'un ma-lade frappé tout à coup d'hémiplég

ppelons-nous quelques-unes des particularités anatomi-ques qu'offre à considérer la région des masses centrales, car c'est dans ce

aines pratiques, d'ailleurs fort simples. En dehors du cas que nous considérons actuellement, dans le cours de nos études sur les

très sérieux à ce même point de vue, mais très importants en outre à considérer pour le côté pratique, sont les effets produits s

intérêt d'établir un rappro-chement au point de vue spécial que nous considérons en ce moment, entre l'hémiplégie permanente, résu

qu'elles reconnaissent une loi. Cependant, il importe avant tout de considérer de près la contracture elle-même et de bien déter

ferai remarquer qu'il en est de même dans l'épilepsie partielle. 1° Considérons d'abord le membre supérieur. C'est, avons-nous di

urd, plus la contracture s'exagère dans le côté droit. Ces faits sont considérés à juste titre comme rentrant dans la catégorie de

e fait de la contracture elle-même est je crois, exagérée, et il faut considérer comme exceptionnels les cas dans lesquels les mem

présent, une solution difinitive. Vous voudrez bien, en conséquence, considérer la plupart des explications que je vais vous prop

e l'hémiplégie durable liée à une lésion organique en foyer, que nous considérons particu-lièrement, les deux systèmes diastaltique

rice et l'hystérie. Au contraire, dans l'hémiplégie, que nous avons considérée spécialement, les deux systèmes paraissent frappé

le fait de la participation de la substance grise. III. Veuillez considérer , Messieurs,que dans la théorie proposée, et c'est

ux latéraux. Le fait ne me paraît pas avoir été dé-montré, mais je le considère comme très possible. En somme, Messieurs, je le r

'il s'agisse d'un mal de Pott avec compression de la moelle épinière. Considérons exclusivement les troubles moteurs et admettons q

portée tout particulièrement sur la myélite transverse, et nous avons considéré les cas dans les-quels la lésion occupe sur un po

nne. Peu importe, d'ailleurs ; qu'il nous suffise, pour le moment, de considérer l'affection exclusivement par le côté clinique.

ue M. Erb et moi nous croyons de- voir, jusqu'à plus ample informé, considérer comme une ma-ladie particulière, le tabès dorsals

r le siège. On est tout naturellement conduit par ce qui précède, à considérer les maladies systématiques, dans le domaine de la

z à explorer. Non seulement vous devrez dans cette étude préparatoire considérer la subs-tance grise elle-même, mais encore les ne

euse motrice, avec ses prolongements multiples, peut être à la vérité considérée comme un petit organe indépendant : elle forme le

-vation, sous le nom de zone de rayonnement. » Si, d'autre part, on considère , non plus dans la moelle épinière, mais dans le b

apide de l'ataxie locomotrice et de la sclérose en plaques long-temps considérées comme des névroses. — L'étude des lésions, avec l

éter- miner dans la suite ; à certains points de vue elle peut être considérée INTRODUCTION A LA SEMIOLOGIE 5 comme un signe

ence d'une affec- tion plus étendue des centres nerveux. Or si l'on considère que les troubles ophtalmoscopiques sont des man

, d'une méningite chronique syphilitique (Babinski et Nageotte). Je considère ce signe comme le plus remarquable de la sémiot

aître la paralysie légitime de l'accommodation, qui peut ainsi être considérée comme un signe objectif précieux. Parles divers

eignements utiles. Supposons qu'on se trouve en présence d'un sujet considéré comme un névropathe, un hystérique, qui a des t

hémiplégie hysté- rique, loc. cit.). Les réflexes cutanés étaient considérés autrefois comme fournissant des signes d'un int

épileptique, que l'émission d'urine pendant l'accès ne pouvait être considérée comme un signe décisif, car c'est un phénomène

es malades de ce genre ne sont pas appréciées à leur valeur et sont considérées comme dues à un état simplement névro- pathique

faisaient sans aucune retenue, à haute voix, l'attaque étant alors considérée comme déterminant une perte de conscience. Aujo

qui « se présente à la vue » ; j'estime pourtant qu'elle peut être considérée plutôt comme un phénomène subjectif parce qu'elle

te du pied provoque normalement l'extension des orteils. Or si l'on considère qu'à la naissance le système pyramidal n'est pas

travail moyen, par exemple des jeunes soldats. Il sera légitime de considérer comme nor- maux les phénomènes qui ne manqueron

l'immense majorité des cas ; l'absence de l'un d'eux doit donc être considérée comme une anomalie. Si une autre opinion a été so

e méthode (pour 44 SEMIOLOGIE rechercher le réflexe achilléen) je considère celle que Babinski a pro- posée. Depuis que j'o

lexe absent chez les sujets normaux que très exceptionnellement. Je considère donc l'absence du réflexe achilléen comme signe d

Quant aux réflexes du membre supérieur, ils ont été généralement considérés comme inconstants. Tel est l'avis d'Oppenheim. C'

t insuffisamment expérimenté, de commettre deux genres d'erreur, de considérer soit comme absent un réflexe simplement faible

sans dire qu'en pareil cas les réflexes du côté malade doivent être considérés comme affaiblis ou exagérés suivant qu'ils sont

ns de tabes, mais on n'y avait attaché aucune valeur parce que l'on considérait l'absence du réflexe achilléen comme très commu

les autres affaiblissent les réflexes tendineux. Névrites. Si l'on considère l'importance relative de l'irréflectivité tendi

en 1878, communément appelée aujourd'hui myasthénie et généralement considérée , depuis les travaux de Goldflam et Joly, comme

lontaire des muscles de la jambe ; alors seulement on a le droit de considérer la trépi- dation comme parfaite et dénotant un

nomène banal qu'on observe chez des sujets dont il y a tout lieu de considérer le système nerveux comme absolument sain. Pou

s'atténuer dans une certaine mesure, mais elle ne disparait pas. Considérons maintenant une hémiplégie organique due à une lés

asynergie, adiadococinésie). Cette élimination faite, il nous faut considérer successivement l'hémi- plégie sans dégénération

s achilléens. I)ans les diverses affections spinales que nous avons considérées jus- qu'à présent et qui d'habitude ont une évo

est d'une interprétation très simple. Dans les faits que nous avons considérés jusqu'à présent, un môme département tendino-ré

ceux que nous allons envisager maintenant, les réflexes tendineux, considérés les uns par rapport aux autres, subiront des in

tomatisme médullaire, Revue Neurologique, n° 10, ! () ! 3). Ils les considèrent comme liés à l'acte complexe de la marche et les

réflexes osso-tendineux, réflexes de défense très forts. Qu'on la considère aux membres inférieurs ou aux membres supérieurs,

ique (voir p. 61), que l'exagé- ration des réflexes tendineux a été considérée comme un caractère com- mun à la paraplégie org

érieurs et du tronc constituent les mouvements essentiels ; on doit considérer comme accessoires les mouvements des membres supé

érie et frappé d'hémiplégie sans cause immédiate apparente; il sera considéré sans plus ample examen par la plupart des médec

mouvement de flexion combiné de la cuisse et du tronc ne peut être considéré comme patholo- gique que quand, ne se produisan

u de l'abolition des réflexes et que, par conséquent, on ne saurait considérer 102 SEMIOLOGIE la perturbation dans ces réfle

ce d'épilepsie spinale vraie dans l'hémiplégie hystérique peut être considérée , sinon comme une loi, du moins comme une règle

citation de la peau de l'abdomen dans un cas d'hémiplégie doit être considéré comme un indice incertain de lésion organique.

reconnaissant que ce signe est un indice de lésion organique, ne le considère pas comme tout à fait caractéris- tique. Seuls

IOLOGIE tion dans l'hémiplégie hystérique avec contracture et je la considère comme un signe tout à fait caractéristique. J'a

oute, en partie à cause de cette conception pathogénique que l'on a considéré l'hystérie comme capable d'engendrer des paraly

les autres manifestations de l'hystérie du . reste, ne saurait être considéré comme la conséquence d'un trouble fonc- tionnel

e point. En effet, dans les deux cas que j'ai relatés, les familles considéraient cette aberration comme providentielle en quelqu

e rapport entre ces deux éléments peut varier notablement lorsqu'on considère les résultats de deux examens pratiqués à quelq

côté paralysé, ce qui n'a pas lieu à l'état physiologique. Schaefer considérait ce phénomène comme un réflexe tendineux et il l

vrai, qu'à l'état normal, ne sont pas nécessairement exagérés. « Considérons maintenant la paraplégie spasmodique en flexion.

e, un mouvement volontaire pourrait faire prendre le change et être considéré à tort pour un réflexe de défense. Chez d'autres

apport entre ces deux éléments peut varier notablement lorsque l'on considère les résultats de deux examens pratiqués à quelque

ndis que je regarde la triple flexion comme de nature défensive, je considère 1' « extensor response » comme un réflexe disti

le, 27 juillet rt3g3. RÉFLEXES DE DÉFENSE 137 de ce genre ont été considérés comme atteints de paraplégie hystérique. Ces er

e, un mouvement volontaire pourrait faire prendre le change et être considéré à tort pour un réflexe de défense. Chez d'autres

une flexion comme l'exci- tation du pied. Par contre, on pourrait considérer , d'après MM. Head et Riddoch, comme caractérist

flexes osso-tendineux, réflexes de défense très forts. « Qu'on la considère aux membres inférieurs ou aux membres supé- rie

i une malade qui présente précisément cette contracture en flexion. Considérons -la un instant. Nous voyons d'abord quelle est son

iques. Il résulte de ce que j'ai dit que les premières peuvent être considérées comme l'exagération des secondes, ou plutôt les

côté opposé. A cet argument, il est vrai, on peut objecter, si l'on considère le malade de l'observation III, que l'absence d

ur bien comprendre la signification de ce phénomène il est utile de considérer au préalable l'acte complexe de la marche chez l'

e ressortir, pour éviter un malentendu. que ce trouble ne peut être considéré comme constitué que quand il se manifeste chez un

revue une série de phénomènes que l'on n'est pas encore en droit de considérer tous comme caractéristiques ; quelques- (') Ext

stituent un acte, le phénomène que nous venons de décrire peut être considéré comme l'effet d'une absence de synergie, d'une

on me paraît donc légitime. Elle semble encore plus fondée quand on considère l'attitude spéciale du malade cherchant à courb

ressortir pour éviter tout malentendu, que ce trouble ne peut être considéré comme constitué que quand il se manifeste chez

yée, que désigne-t-on ' ? Certains expérimentateurs s'en servent. « Considérons , dit Luciani, les effets positifs de déficit ;

ie cérébelleuse, soient plus précises et plus détaillées. Mais, à considérer les matériaux dont on dispose actuellement, les

nétique, nous estimons que la différence s'accroît encore lorsqu'on considère les deux catégories de malades à l'état statiqu

résente au contraire de nombreux crochets. Cette fixité peut être considérée comme la manifestation d'une propriété nouvelle

suffise à lui seul pour établir un diagnostic et qu'il puisse être considéré , même quand il est marqué, comme pathognomoniqu

ance de ces réactions d'hypothermie locale fait courir le risque de considérer comme en voie de dégénérescence des nerfs qui n

n du nerf sciatique poplité externe. Cette réaction pourrait être considérée comme un échelon entre l'hypo- excitabilité far

choc mortel que le plus habile ne peut être sûr d'éviter. Lorsqu'on considère les échecs subis fréquem- ment par les neurolog

int de lourdeur, de douleurs de tête, d'une faiblesse générale, est considéré comme un neurasthénique, un hystérique ou un dy

e, etc., et dont l'acuité visuelle est extrêmement réduite. Si l'on considère que tout délai expose alors à la cécité et qu'en

, parfois, prend un dévelop- pement énorme ; on ne peut d'ailleurs, considérer cette hernie comme une complication de l'opérat

faut attribuer dans ce cas le spasme musculaire. Si maintenant on considère que les caractères cliniques du spasme du cou c

rganique, qu'il fait défaut dans les paralysies psychiques, on peut considérer ce signe comme per- mettant de distinguer, dans

suivi d'accidents secondaires, mais qui paraît toutefois avoir été considéré comme de nature spécifique par le médecin qui t

ruban de Reil, plus ou moins en arrière, suivant le niveau où on le considère . Certainement plus ancien que le précédent, il es

êmes conditions, que deviennent les réflexes vaso-constricteurs : ' Considérons -les d'abord au début de l'expérience, quand le su

de plusieurs heures à droite ; or, il mc parait difficile de ne pas considérer comme pathologique une vaso-constriction réflex

côté lésé ou le plus touché. L'asymétrie, d'ailleurs, ne doit être considérée comme pathologique que lorsqu'elle est notable

her à faire ressortir les notions qui me paraissent s'en dégager. Considérons d'abord le premier de ces trois cas. Je me borner

s du renflement lom- baire de la moelle par le néoplasme. Si l'on considère que, dans mes trois observations, le renflement l

vements réflexes exagérés, du..moins dans un grand nombre de cas. Considérons maintenant la forme de paraplégie spasmodique que

xagération de ces réflexes cutanés à la forme de contracture que je considère est comparable à celui qui rattache l'exagé- ra

tion, ainsi que je vais cher- cher à le démontrer, et qui peut être considéré comme appartenant à une forme particulière de p

arition rapide sous l'influence du traite- ment mixte, doivent être considérés comme liés à une lésion intra- crânienne de nat

ines sacrées; et la sensibilité est d'autant plus parfaite que l'on considère une racine plus bas située ; 4" Ces phénomènes

rouver dans les cas de compression médul- laire à la phase avancée, considérée comme une équivalence à une section complète de

1) Géraudel estime qu'il s'agit d'un chordome, néoformation que l'on considère comme se développant aux dépens des vestiges de

nconti- nence d'urine et des matières fécales a disparu, ce qu'elle considère pour le moment comme le plus grand bénéfice de

é cutanée et tendineuse des membres inférieurs. Ces divers troubles considérés chacun en particulier sont assez banaux, mais si

était pas vivante », etc... Un trouble de ce genre ne doit pas être considéré comme une hypoesthésie légère ; c'est un troubl

nce de la syphilis. Cette idée n'a rien de révolutionnaire quand on considère que dans la paralysie générale progressive et dan

ervations mais il n'avait pas retenu l'attention des cliniciens qui considéraient le réflexe achilléen comme inconstant à l'état

dans telle ou telle région ; mais quelle que soit la forme que l'on considère , lorsqu'une région est envahie, que l'invasion

rs troubles nerveux que l'on est unanime à séparer de l'hystérie. Considérons les grandes manifestations de l'hystérie, les cri

aru après la guérison, que, par conséquent, on n'est pas autorisé à considérer ce phénomène comme un accident hysté- rique sec

les stigmates ; si on les trouve, on n'hésite plus; le trouble est considéré comme hystérique. Beaucoup de médecins ne sont

cié, des maladies mentales de Morel. L'appareil de la vision est considéré comme payant un large tribut à l'hystérie ; out

longtemps et récem- ment encore on en a relaté des cas qui ont été considérés comme indiscu- tables. Vous voyez que cette l

dont il a été question plus haut, que les médecins sont unanimes à considérer comme hystériques, il faut ensuite les comparer

opiniâtreté à la psychothérapie. Vous ne pou- vez donc, me dit-on, considérer comme un caractère spécifique des troubles hyst

ntenterai d'attirer votre atten- tion sur l'un de ces signes que je considère comme tout à fait distinctif, c'est l'exagérati

plusieurs fois ; néanmoins, il y a encore beaucoup de médecins qui considèrent comme un fait incontestable la possibilité de l

s contrôle suffisant, Je me rappelle plu- sieurs malades, longtemps considérés comme atteints d'hémoptysie ou CONCEPTION DE L'

t une émission abondante d'urine consé- cutive d'une polydipsie. Je considère comme une fiction l'anurie hystéri- que, admise

gistes, que beaucoup de ces sujets sont sincères et ne peuvent être considérés comme des simulateurs, mais je dois avouer que

ns d'indiquer, des sujets atteints d'hémiplégie organique, que l'on considérait comme de simples hystériques ; il suffira à ceu

solument rigoureuse et il est certain qu'un grand nombre de sujets, considérés comme des hystériques, se sont simplement joués

fs qui, par parenthèse, existent à l'état normal et ne peuvent être considérés comme pathologiques que quand ils ont une inten

à un de ces accidents, lui seraient subordonnés et pourraient être considérés comme des phénomènes hystériques secondaires. M

mènes pithiatiques qui comprennent les troubles que l'on a toujours considérés comme les plus caractéristiques, les plus impor

i maintenant l'on compare, aux divers points de vue que je viens de considérer , les autres névroses à l'hystérie, on ne peut man

milieu, à des erreurs d'interprétation. Mais, en réalité, lorsqu'on considère ces faits d'une ma- nière globale, on arrive à

une raison de les séparer les uns des autres. Et maintenant si l'on considère que les phénomènes pithiatiques peu- vent imite

qu'un qui l'aurait hypnotisé. Pour les motifs énoncés plus haut, je considérerais même un pareil sujet comme responsable de son a

é d'un hypnotiseur ayant cherché à suggérer un acte coupable, je la considère comme égale à celle de tout individu qui pous-

le pouvoir de la violenter. Le sommeil hypno- tique ne saurait être considéré comme un moyen de commettre un viol. lABINSKI.

naissance; si parmi ces circonstances on relève une émotion, on la considère comme une cause de l'accident produit. Ce sont

in coefficient affectif, si faible soit-il. De plus, dans les faits considérés ici, il n'est pas question d'idées de ce genre

tte comparaison me permettra de faire comprendre ma pensée. Si l'on considère un acte volontaire, on voit qu'il est la réalis

des lésions cérébrales authentiques. Ces troubles sensitifs étaient considérés comme des stigmates pouvant être « perma- nents

henticité. Dans la majorité des observations relatives à des sujets considérés comme hystériques et publiés à cette époque, on t

yons- HYSTÉRIE ET PITHIATISME 525 nous, qu'il y a des phénomènes, considérés autrefois comme cardinaux dans l'hystérie et qu

à la grande attaque hystérique classique avec ses diverses phases, considérée autrefois comme le type de la mani- festation h

ubles nerveux de cet ordre (railway-spine, rail- way-brain) étaient considérés , sans discussion, comme des accidents organique

nombre d'oedèmes traumatiques, que l'on aurait sans doute autrefois considérés comme hystériques. avaient pour cause, ainsi qu

itement du reste, est-il besoin de le faire remarquer, ne peut être considéré comme ayant une action uniquement psychique. Le

une action uniquement psychique. Les troubles vaso-moteurs étaient considérés autrefois comme très com- muns dans l'hystérie.

s devaient être détachés de l'hystérie et elle nous a conduit à les considérer comme des phénomènes d'ordre réflexe dépendant d'

fait là une confusion analogue à celle qui avait consisté, jadis, à considérer comme hystériques des accidents liés à des lésion

concerne les acci- dents hystériques de date ancienne. Certains les considéraient alors comme stabilisés et généralement réfracta

rons plus loin les raisons pour lesquelles il nous semble permis de considérer ces accidents comme étant d'ordre réflexe et nous

diagnostic précis, que l'on avait affaire à un sujet qui avait été considéré par quelques médecins comme un exagérateur ou m

que, dans l'appréciation de l'état d'un réflexe tendineux, il y a à considérer non seulement l'amplitude du mouvement mais aus

re, observée dans les paralysies consécutives au traumatisme, était considérée récemment encore comme pouvant dépendre d'une a

main dans toute son étendue, quel que soit le terri- toire nerveux considéré , est cyanosée et froide. Il s'agit là d'une assoc

hysiopathique et l'autre à lui accorder une importance excessive. Considérons un des cas d'association hystéro-réflexe précédem

appareil sont des qualités contradictoires et nous devons peut-être considérer comme les plus mer- veilleux organes ceux qui,

il ne faudrait pas se fonder sur l'intensité de ces phénomènes pour considérer les troubles de motilité comme étant de nature

endant plusieurs jours. Conclusions. La ponction lombaire doit être considérée comme une méthode de traitement curatif des név

eut à droite des douleurs intercostales très violentes, qui furent considérées par elle et par le médecin qu'elle consulta alors

bâillement régne seul, exclusivement. Pour ce qui est du bâillement considéré en soi, il ne diffère chez la malade, en rien d'e

L'ancienne séméiologie s'attachait beaucoup aux bâillements morbides considérés comme signes pronostiques dans les maladies aiguë

llerai que notre jeune malade est aujourd'hui âgée de dix-sept ans. — Considérons d'abord les antécédents héréditaires, car, ainsi

erveuse l'observation du malade qu'on a sous les yeux ne saurait être considérée que comme un épisode; il faut la compléter, si fa

enus se surajouter aux bâillements et je dois vous prévenir que je ne considère pas cette intervention de l'attaque convulsive co

siologique s'opérant en présence de gens qu'on a de bonnes raisons de considérer comme indemnes de toute tare nerveuse. Eh bien,

pèce une anomalie sur laquelle j'aurai à revenir. Actuellement nous considérerons le sujet vu de face et nous constaterons l.M. l

de spécial, et on peut ajouter d'inattendu pour celui qui ne voudrait considérer dans la névralgie occupant un nerf donné que ce q

ement du moins, aucune trace de réaction dégénérative, peut bien être considéré comme la conséquence des troubles trophiques qui

er, l'hystérie. Mais il y a plus encore : l'attaque, que quelques-uns considèrent bien à tort, encore aujourd'hui, comme un syndrom

ilà pour ce qui concerne le côté relatif à la prédisposition acquise. Considérons actuellement les faits qui concernent la prédispo

ne et indivisible, c'est du moins mon humble avis. Peut-on vraiment considérer la mélancolie, l'hypochondrie, l'aboulie, les rêv

stions de ce genre et ils ne manqueront pas d'en faire leur profit. Considérons maintenant le membre supérieur gauche : il est pe

en particulier chez le malade d'aujourd'hui, c'est qu'on a voulu les considérer comme appartenant à la prétendue névrose traumati

qu'ils marchaient d'une façon incoordonnée. Ces malades-là ont été considérés quelquefois comme des ataxiques (alaxie sulfo-car

ion traumatique ; c'est l'espèce du reste que Brown-Séquard a surtout considérée et ce qu'il en dit d'ailleurs peut s'appliquer, m

la théorie que je soutiens trouve sa vérification alors même que l'on considérera la durée des attaques et il est rendu ainsi au mo

s faits nous pouvons rapprocher l'un de l'autre les deux états et les considérer comme deux modes équivalents d'une même perturbat

sommeil » que vous avez sous les yeux et les « attaques » de sommeil considérées en général. Voici cependant l'énoncé de quelques

jambes et vos cuisses, dépouillez-vous de votre pantalon. Veuillez considérer , Messieurs, les choses d'un peu près : au membre

t l'impression du froid, quand elle a réellement existé, ne peut être considérée que comme une cause occasionnelle. Il ne faut j

rouvent au plus haut degré dans la paralysie alcoolique qui peut être considérée comme un type du genre, et qui, du reste, est cel

de force. Je me réserve de vous parler un peu plus tard de sa famille considérée au point de vue de l'hérédité nerveuse : pour le

linquant et l'autre oncle marchand de vins voyageur pourront-ils être considérés comme des dégénérés, des déséquilibrés. Mais on

rd, après ce que nous vous en avons dit précédemment vous pourriez le considérer peut-être exclusivement comme un être grossier et

conformément aux conclusions de M. Testaz, la paralysie devrait être considérée comme bénigne, facilement guérissable. Eh bien, m

cessation des mouvements qu'on pourrait, dans d'autres circonstances, considérer comme un événement favorable, tout cela ne nous d

en d'autres termes, je ne crois pas que la chorée puisse jamais être considérée comme un « équivalent » dans les centres nerveux,

nerfs et sa mère a été affectée d'hémop-tisie, qu'on a été conduit à considérer comme étant d'origine névropathique. Il n'est p

rt des formes diverses du petit mal. Je suis étonné que M. Reynolds considère les secousses dans l'épilepsie comme chose vulgai

mal et aussi de prendre des mesures en conséquence. L'autre fait à considérer chez notre jeune épileptique, c'est, ainsi que je

Salpêtrière comprend environ 160 épileptique s femmes, non aliénées, considérées comme incurables. 18 Les jours suivants, le c

es premiers symptômes relatifs à la maladie nerveuse que nous avons à considérer actuellement. Celle-ci n'a fait depuis que s'acce

; Réflexes rotuliens conservés, plutôt un peu faibles. Nous n'avons considéré encore, jusqu'ici, messieurs, qu'un des côtés du

çu sommaire de l'histoire symptomatologique de la paralysie infantile considérée dans sa forme classique. Je crois même qu'il conv

— oette leçon date de juillet 1870), la paralysie infantile peut être considérée , pour le commençant qu'on voudrait initier à la c

its de l'évolution normale, si vous voulez, de la paralysie infantile considérée dans son type vulgaire, j'en ai dit assez, je pen

er l'un après l'autre devant vous chronologiquement, même si vous les considérez individuellement, sans tenir compte de leur relat

tteinte de paraplégie consécutive au mal de Pott et son cas avait été considéré comme incurable. De fait, j'ai connu cette malade

n juillet 1870, la malade était sur pied,et,en août,la guérison étant considérée comme complète ou à peu près, elle quittait l'inf

'il porte dans l'épididymedu testicule droit une induration qui a été considérée comme étant de nature tuberculeuse. Il s'est cru

paraîtra incontestablement fort soutenable pour peu que vous vouliez considérer un instant les choses d'un certain point de vue,

téressés poursuivent le « bon motif » il y a toujours deux éléments à considérer , lesquels se mélangent en proportions diverses su

hystéries multiples » pourraient même, peut-être, se voir entraînés à considérer cette hypéresthésie, comme l'étiquette d'une hyst

sembler de peu d'importance ; cependant elles doivent en réalité être considérées comme les véritables régulateurs de la suspension

ls ou tout à fait nuls : dans un de ces cas même, ils pourraient être considères peut-être comme ayant été plutôt défavorables.

s il n'existe pas d'éléments d'appréciation, puisque nous ne saurions considérer comme infructueuses les séances avant la dixième,

er de la suspension. La forme des accidents tabétiques est plutôt à considérer : ainsi,les symptômes céphaliques, tels que paral

bout de quelques jours seulement. Les choses en étaient là et F... se considérait comme très bien portant, lorsqu'il y a quatre moi

. Fraenkel présentait à la Société de médecine de Berlin un cas qu'il considérait comme appartenant à la maladie de Basedow en l'ab

e du désir de quitter son domicile et d'aller retrouver celui qu'elle considérait comme son maître : enfin un beau jour, n'y tenant

é et nourri pour son argent... Je ne vois guère qu'on puisse, si l'on considère les choses d'un peu près,échapper à la nécessité

ésenter rien dans ses allures ou dans sa physionomie qui pût le faire considérer comme un malade, comme un aliéné. Au malade : V

par plus d'un côté ; mais je ne vois là qu'une raison de plus pour le considérer de très près; car, vous le savez, l'étude des cas

, messieurs, plus haut, comment il nous a paru que le cas devait être considéré , et la thérapeutique a été instituée en conséquen

là, en somme, le motif d'une séparation fondamentale. L'état mental, considéré comme syndrome, comme épisode, paraît être essent

te : on peut affirmer qu'il en est quelquefois de même de l'épilepsie considérée dans ses formes les plus variées et telle est l'i

us voyez que, d'après cela, le somnambulisme naturel ne peut pas être considéré encore, à l'heure qu'il est, cmome un type parfai

t, entre les deux cas, tellement étroite que nous sommes portés à les considérer comme étant foncièrement identiques ; nous croyon

ons appelé « les crises gastriques » tabétiques et avoir appris à les considérer non seulement dans leur type vulgaire, classique,

nt aucune connexité—revêtuncachetpresque spécifique aussitôt que l'on considère les choses sousleur véritable jour. J'ai encore v

avec les caractères cliniques si originaux que présentent ces crises considérées en elles-mêmes lorsqu'elle se montrent dans leur

si caractéristiques, pour peu qu'on y eût pris garde et si on les eût considérés soit en eux-mêmes, soit dans leur relation avec l

je ne me trompe, un état psychique particulier qui nous conduit à le considérer comme un anomal, un déséquilibré. Il était import

quelle ils ont été soumis par l'action du poids du corps doivent être considérés ici comme les équivalents d'un agent traumatique

tions (1). 1. A la date du 10 août, on note que le malade peut être considéré comme à peu près complètement guéri. Les troubles

s toujours dans la clinique sous le même aspect; à cet égard il y a à considérer un certain nombre de groupes répondant à autant d

membres supérieurs, et aussi ces mouvements de recul qui peuvent être considérés jusqu'à un certain point comme des actes de compe

se tous les modes possibles de l'abasie et de l'astasie et doive être considérée comme définitivement arrêtée. Loin de là, je ne l

ve être considérée comme définitivement arrêtée. Loin de là, je ne la considère que comme un premier essai, un plan provisoire ;

nscience prolongée pendant une période de trois jours, peut-elle être considérée comme appartenant entièrement au coma qui relève

en revue les diverses affections du système nerveux qui peuvent être considérées comme relevant directement de l'agent toxique oxy

lui, tandis que celui- ci, dans le cas de l'hystérie, ne saurait être considéré que comme une cause occasionnelle qui provoque ac

equel il avait placé toute son affection, toute sa confiance et qu'il considérait comme le plus honnête homme du monde,fut surpris

au moment où le malade, après une période amnésique que nous avons considérée comme relevant de l'intoxication par l'oxyde de c

maladie toxique, que sont apparus les symptômes abasiques qu'il faut considérer maintenant comme relevant non pas de l'intoxicati

alysés, etc.; si cela est, vous avez bien vite reconnu que ces faits, considérés dans leur ensemble suffisent, en grande partie, p

sans doute ; mais vous n'ignorez pas qu'en pareille matière, il y a à considérer le chapitre des récidives. Elles sont, hélas ! pr

ès la description que nous venons d'en donner, ces accès doivent être considérés comme représentant une anomalie prévue et classée

» ni de celle « des attitudes passionnelles ». Vous savez qu'à ne les considérer qu'en elles-mêmes et indépendamment des circonsta

s régions là s'est substitué à la substance grise ne peut-il pas être considéré comme un foyer permanent d'irritation latente où,

stinctes à mon avis, mais bien comme formes cliniques intéressantes à considérer séparément, le type juvénile d'Erb et le type Duc

ons d'indiquer les principaux caractères ; car on ne saurait vraiment considérer comme constituant une différence capitale ce fait

e, au moins comme élément principal, lorsqu'il s'agit du cas que nous considérons particulièrement en ce moment. Là l'amyotrophie p

onique, suivant les circonstances. Si cela est, dans les cas que nous considérons ici et parmi lesquels figure notre malade, la myé

és d'une même histoire pathologique. C'en est assez sur la théorie, considérons maintenant le côté pratique. Je n'ose pas vous di

epté sur le ventre, au-dessous de l'ombilic. Il y a là. deux choses à considérer : la région qui est tout entière hypéresthésique e

uquel on doit une série de travaux intéressants concernant la foudre, considérée principalement au point de vue de l'hygiène publi

cidents pathologiques que la fulguration t. M. Boudin. De la foudre considérée au point de vue de l'histoire, de la médecine lég

eçu d'informations spéciales sur la foudre envisagée comme météore et considérée dans ses diverses formes ; qu'il ne connaît guère

membre constatée lors du réveil ?Tout cela à la rigueur pourrait être considéré , me direz-vous, comme une conséquence fort indire

de ce comple-xus névropathique qu'on a, dans ces derniers temps;voulu considérer comme représentant une névrose à part, dite tra

e je viens d'émettre. En effet, messieurs, vous le reconnaissez, à ne considérer que les mouvements involontaires, incessants, gén

a continuité, de façon à rappeler la chorée chronique, les tics, à ne considérer même que ce qui est relatif aux mouvements, peuve

permettront de différencier le cas de Ch..., de celui que nous allons considérer tout à l'heure. Eh bien, nous ferons valoir à cet

clinique sous le même aspect et, à cet égard, il y a, ajoutais-je, à considérer un certain nombre de groupes répondant à autant d

ache, l'abasie et l'astasie, quelle qu'en soit la forme, doivent être considérées comme se rattachant à la diathèse hystérique ; ma

és très sérieuses et, pour la mener à bien, il faudra le plus souvent considérer les circonstances concomitantes: c'est ainsi que

vés avec soin, à propos de l'observation de Ro... ^16 leçon) que nous considérons comme un type parfait dans l'espèce. Seulement, c

sants qui ne manquent guère pour la plupart, cela va sans dire, de le considérer comme un fou ou, pour le moins, comme un original

mme un original fieffé. A n'envisager que les troubles de la marche considérés en eux-mêmes et indépendamment des autres faits c

ique et l'absorber dans le groupe qui va suivre ; mais cela doit être considéré , jusqu'à plus ample informé, comme une prétention

prévoyez que les symptômes relevant des altérations syringomyéliques considérées dans leurs combinaisons diverses, pourront être r

emiers qui attirent l'attention du malade et des médecins. Ils n'ont, considérés en eux-mêmes, rien de spécial à la syringomyélie,

de la pachyméningite cervicale hypertrophique. Ce serait le lieu de considérer maintenant le rapprochement qui, ainsi que nous l

e (4), que plusieurs cas rattachés à l'hystérie ont dû être plus tard considérés comme des exemples de syringomyélie, il est vrai

car ses « accès de vertiges », comme il les appelle, pourraient être considérés à la rigueur comme des « représentants d'attaques

d bot hystérique (3). Voir la Leçon 17 (2° Malade, pp. 381, 384). « Considéré en soi, le premier sujet sur lequel je vais appel

plus grande analogie avec le corps caverneux de la verge. On peut le considérer en totalité dans le jeune âge, et en partie chez

émur. XXIIlc LIVRAISON. 2 cellules du tissu spongieux, qu'on peut considérer comme un tissu érectile, à parois inflexibles, ne

e de parcelles osseuses et d'une matière pultacée rougeâtre, que j'ai considérée comme de petits caillots sanguins privés de la ma

ssaisur Vanat.pathol. t8i6) que je fus conduit, presque malgré moi, à considérer les muscles, le tissu cellulaire, les tendons , e

la juxtaposition par engrènement de ces fragmens, et je suis porté à considérer avec sir Astley-Coo-per, comme des cas de déforma

nce, du repli fibro-synovial qui revêt le col : et ce repli peut être considéré comme un moyen puissant de communication entre la

, que j'ai si souvent occasion d'observer à la Salpêtrière, et que je considère comme le résultat d'une apoplexie des lamelles du

rs de la maladie, vient à l'appui de l'opinion des physiologistes qui considèrent la moelle épinière j comme le foyer principal de

causes d'irritation ou de destruction qui agissent sur lui, peut être considéré comme n'étant pas doué de la vie. L'usure des c

ique des articulations frappées d'ankylose. Vankylose, cliniquement considérée , est l'abolition absolue ou incomplète des mouvem

raie; l'abolition incomplète, c'est l'ankylose fausse. Anatomiquement considérée , l'ankylose est cette lésion des articulations, d

e présentait avait appartenu à un os. Depuis long-temps, en effet, je considère les os comme un tissu caverneux, ou mieux comme u

appartiennent les tumeurs représentées planches iv et v? Doit-on les considérer comme des dégénérations des os, des ostéo-sarcôme

et en tout semblable aux foyers cancéreux. » Boyer n'hésitait pas à considérer cette altération, qu'il a fait figurer dans son o

ntre l'exostose et l'ostéophyte ? Je pense que l'ostéophyte doit être considéré comme une espèce du genre exostose, espèce qui se

s tumeurs que dans de petites végétations stalactiformes. Lorsqu'on considère combien est grand le nombre de vaisseaux veineux

u périoste et des os, lorsqu'on se rappitelle que les os peuvent être considérés , sous le rapport de leur texture, comme un tissu

ongèniale, avec ou sans atrophie, avec ou sans absence de parties, je considère ces ankyloses non comme des vices de première for

. Plus on étudie les vices de conformation, plus on est porté à les considérer non comme des anomalies ou des jeux de la nature,

sirénie présente plusieurs degrés, et ce sont ces degrés qui ont été considérés par M. Isidore Geoffroy Saint-Hilaire comme autan

rène avec des organes génitaux; mais tous les critiques s'accordent à considérer cette figure comme faite, non d'après nature, mai

rieure,CCD une cavité cotyloide unique, mais considérable, qu'on peut considérer comme formée par la réunion des deux cavités coty

auditifs, ce qui constitue la monotie. M. I. Geoffroy Saint-Hilaire a considéré cette monstruosité comme constituant une classe p

la cyclopie chez les animaux que chez l'homme n'étonnera pas, si l'on considère la prédominance de la face sur le crâne chez les

au confluent des deux uretères, se voit un renflement VR, qu'on peut considérer comme une vessie urinaire rudimentaire VR; car il

et supérieures des tibias,une masse charnue, libre en bas JR , que je considère comme le vestige des muscles jumeaux. Les deux ar

gastrique, du bulbe rachidien ou du cerveau. D'un autre côté, si l'on considère la fréquence des causes de compression et d'atrop

compression et d'atrophie du nerf laryngé inférieur, on sera porté à considérer comme une démonstration rigoureuse ces déductions

moyens dilatateurs dont le malade de M. Cassan avait le vif désir, je considérerais cet emploi comme essentiellement indiqué. Les r

es s'échapper pour ainsi dire de ces plaques de sang qui peuvent être considérées comme un obturateur utile dans le cas d'hémorrhag

e cette figure ; c'est donc comme fait d'anatomie pathologique que je considère ici cette altération ; mais il m'a paru intéressa

istinction entre la couleur ardoisée et la couleur de suie, et que je considérais ces deux colorations comme identiques et apparten

hénomènes encore inaperçus ou des corrélations nouvelles de symptômes considère ces groupes de symptômes comme traduisant à l'ext

l'estomac qui avoisine la grosse tubérosité. xxxive livraison. i Considérée sons le point de vue de sa consistance, la membra

e tous les ordres étaient imperforées, ce qui n'étonnera pas, si l'on considère que, dans l'état normal, les follicules de l'inte

Bretonneau, dans lequel les follicules muqueux du tube digestif sont considérés comme des espèces d'ampoules sans orifice, au tra

pouvaient être des tubercules cancéreux; mais j'ai été conduit à les considérer comme des kystes muqueux, formés par le développe

, le tissu de la rate était devenu blanchâtre , compacte, fragile. Je considère cette altération comme le résultat d'une inflamma

cette description, on ne voit de tissu cancéreux : et je suis porté à considérer la lésion représentée fig. 2, pl. 1, xxvirlivr. c

L'ensemble du produit qui a été l'objet de mon examen doit donc être considéré comme un mélange d'oléine et de margarine , tout-

s v et vi, xxive livraison.) Les hernies ombilicales ou exomphales, considérées sous le point de vue de l'époque de leur formatio

la même catégorie que ceux d'encéphalo-cèle qu'on n'a jamais songé à considérer comme un arrêt de développement du cerveau. La

. ) mées par la ligne blanche distendue et amincie, et sur ce qu'il considère cette hernie lombaire comme produite par la diste

placemens des parties dures. Chacune de ces sous-classes présente à considérer : i° les déplacemens postérieurs a la naissance; i

tres circonstances. Les déplacemens des parties molles présentent à considérer deux ordres bien distincts : i ° les invagination

és et ayant la plus grande analogie avec ce mode de lésion. Ainsi, je considère comme autant d'invaginations les maladies connues

rvent dans une assez forte proportion, ce qui n'étonnera pas, si l'on considère que les causes qui préparent et celles qui produi

focation, d'une suspension immédiate des cris de l'enfant, qui firent considérer cette manœuvre comme imprudente. J'engageai les p

al, les enfans qui naissent avec ce vice de conformation doivent être considérés comme viables; car il suffit qu'un seul enfant, p

soit pour d'autres, « est encore extrêmement volumineuse et peut être considérée comme un prolongement « de l'abdomen.....Vers l

n liée, si bien coordonnée; et dans un temps où l'on est si disposé à considérer comme des attaques de personnes des réfutations o

même catégorie que ceux de l'encéphalocèle, qu'on n'a jamais songé à considérer « comme un arrêt de développement du cerveau. J

bilical; que les cas « dans lesquels elle a été observée peuvent être considérés , sinon comme des cas morbides, au moins comme de

avait été retardé. » (1) Voyez C. F. Burdach, Traité de physiologie considérée comme science d'observations , trad. de l'alleman

on de sangsues et de cataplasmes sur l'abdomen. Ces coliques furent considérées comme nerveuses : une potion calmante, un lavemen

chute du rectum diffère des autres invaginations, i° par l'altération considérée en elle-même. En effet, à raison de l'issue des p

au pus. Ainsi, relativement à la tumeur ombilicale, nous devons la considérer comme tout-à-fait étrangère à la maladie principa

la valvule iléo-cœcale, on voit des pertes de substance C, C, que je considère comme des cicatrices d'ulcérations : on y remarqu

niques, non cicatrisés de l'estomac et des intestins. J'ai cru devoir considérer les cicatrices et taches noires représentées pl.

e, contractent une couleur ardoisée foncée qu'on a assez généralement considérée comme une lésion cadavérique. J'ai rencontré tr

n le sait, offrent si souvent cette coloration qu'on est habitué à la considérer comme un état à-peu-près normal. C'est surtout

a présence de ce pus dans les vaisseaux lymphatiques ne peut pas être considérée comme cause de mort. Un grand nombre de faits m'a

nsidérée comme cause de mort. Un grand nombre de faits m'autorisent à considérer le pus comme inoffensif, lorsqu'il est circonscri

e sur l'économie une lésion aussi superficielle en apparence, si l'on considère que, dans le cas dont il s'agit, cette lésion sur

évidemment que l'inflammation chronique n'est pas dissipée. 10. Je considère la dysenterie, même légère, mais incomplètement g

s fortes , le traitement par l'opium est insuffisant, et ne peut être considéré que comme un moyen palliatif. Les évacuations san

on d'observer quelquefois. Tout praticien prudent devra donc ne pas considérer comme une chose de peu d'importance l'excision de

croissans de la maladie locale. Tel est le cas suivant, qui peut être considéré comme un type de cancer anal. Anne Leblanc, 55

rrhagie abondante ou après de fortes saignées. Le cancer du rectum, considéré sous le rapport du siège, peut envahir tous les p

ssent sous deux points de vue : i° sous celui de la lésion organique, considérée en elle-même, i° sous celui du rétrécissement. Ce

-trophique de l'intestin, suite de phlegmasie chronique,a souvent été considéré par les observateurs comme une dégénération squir

; que la partie inférieure de cet intestin indurée et rétrécie, a été considérée comme frappée de dégénération. Il n'est pas dérai

al alimentaire est sujet au cancer gélatiniforme, que je suis fondé à considérer comme une des formes les plus fréquentes, sinon l

les indurations rouges représentées sur cette coupe, ne doivent être considérés comme le premier degré de foyers purulens qui se

te. Les lésions de la rate peuvent donc jusqu'à un certain point être considérées comme ayant leur siège dans un réseau veineux, et

. Les kystes acéphalocystes de la rate sont assez rares; on a souvent considéré comme tels(i) des kystes développés dans l'épaiss

qui ont amené la mort. La transformation qu'il avait subie peut être considérée comme un mode de guérison. On peut juger par l'am

s fibreux acéphalocystes développés dans l'épaisseur du foie, si l'on considère en outre que si ces conduits et ces vaisseaux son

ne nature particulière, (i) (l\ C. F. BuvAach,Traité de physiologie considérée comme science (Tobservation, trad. par A.-J.-L. J

neuse, pouvait encore être développée. Ce kyste était unique. Je l'ai considéré à juste titre comme l'un des modes de guérison de

s d'un moyen calibre ; que les faits, l'analogie m'autorisaient à les considérer comme siégeant dans le système capillaire veineux

e en Angleterre. Il craignait la faiblesse par dessus toute chose, et considérait comme première indication de soutenir les forces

elle aurait occasionée : par conséquent , cette péritonite aurait été considérée comme idiopathique. Le foie incisé présente sur

leurs assez vives à la région lombaire et à la cuisse droites. Il les considéra comme rhumatismales ; mais n'ayant pas le temps d

hies. Il m'a paru que l'altération de la plèvre était consécutive. Je considère donc ces plaques cireuses comme ayant essentielle

tré à M. Leroux un homme atteint d'une incommodité qui ne peut « être considérée que comme une hernie du poumon d'un genre toutefo

il entièrement constitué par la plèvre déplacée, ou bien doit-il être considéré comme une membrane séreuse de nouvelle formation?

es hernies intercostales abdominales paraîtra toute naturelle, si Ton considère : i° que la partie inférieure de la cage thoraciq

sentait une induration noire avec matière plâtreuse. Je suis tenté de considérer , d'après mes idées actuelles, les tubercules diss

correspondans. On peut se rendre compte de cette séparation , si l'on considère qu'elle a lieu dans le cas où une inflammation ai

imer pour le traitement des tubercules pulmonaires, trop généralement considérés comme marqués au sceau de l'incurabilité. Depuis

pongieux qui se présente sous des états divers, lesquels peuvent être considérés comme les degrés de la même altération. Voici c

euses sur leur trajet. Ces phlébolithes, poches qui ne sauraient être considérées que comme des concrétions calcaires, et nullement

les plus fréquentes du cancer utérin 5 ce qui n'étonnera pas, si l'on considère que, dans cette maladie, les veines utérines, qui

mation, qui joue un rôle si actif dans le cancer, dont elle peut être considérée comme un élément nécessaire , se propage en génér

uelles se divise inférieurement la veine saphène, et qui peuvent être considérées comme les branches d'origine de cette veine, sont

ueillir sur les antécédens d'autres rensei-gnemens, sinon qu'on avait considéré cette femme comme affectée de gangrène sénile. On

us-cutanée , aussi bien qu'hémorrhagie cutanée. La phlébite (car je considère cet état comme une phlébite) était limitée aux ve

remplies de sang concret. Reflexions. Cette observation présente à considérer deux ordres de faits bien distincts : i° la phléb

oblitération des artères. Déjà, dans mon premier ouvrage fi), j'avais considéré l'ossification ou pétrification des petites artèr

dans les grosses artères des caillots si récens qu'on ne saurait les considérer comme cause de la maladie et qu'ils doivent s'êtr

'avec la vie ou avec la délimitation de la gangrène, et qui peut être considérée comme la cause de la mort, au moins chez quelques

l est le peu de développement du cœur chez ce sujet, qu'on ne saurait considérer l'altération des artères comme le résultat d'une

nt sur des débris encore reconnaissables de la membrane moyenne. Je considère comme cicatrices de ces ulcères, des plaques coul

laquelle elles s'ouvrent par un orifice plus ou moins étroit; Nous considérerons comme une variété les ampoules anévrysmales surmo

léger épaississement observé aux valvules sygmoïdes pourrait-il être considéré comme une cause de la dilatation avec hypertrophi

ur consistant dans un changement de couleur avec fragilité, doit être considérée comme la cause formelle de la rupture, dont la ca

adhérent et contenant à son centre une matière sanieuse pourrait être considérée comme l'indice d'un travail inflammatoire survenu

ruptures du cœur, il n'y a pas d'altération de tissu préexistante, et considérait l'hypertrophie du cœur comme pouvant amener ou fa

osse aortique et des principales branches qui en émanent, ont pu être considérées dans un cas particulier comme cause de rupture du

ielles: mais pour que de deux lésions coexistantes, l'une puisse être considérée comme cause, et l'autre comme effet, il faut que

'ossification et par suite du rétrécissement des artères, puisse être considérée comme favorisant la rupture du cœur. Cr, il rés

communication avec la cavité ventriculaire ; apoplexie du cœur que je considère comme le résultat d'une phébite hé morrhagique.

ée que le reste du ventricule droit, ce qui ne surprendra pas si l'on considère que la presque totalité delà cloison appartient a

ale à deux valves : cette dernière disposition n'étonnera pas si l'on considère (Voy. mon Anatomie descriptive, tome ni) que la v

lésions les plus fréquentes du cœur ; ce qui n'étonnera pas, si l'on considère les usages des valvules dans la circulation, leur

ne divers phénomènes; les uns sont relatifs à la circulation du sang, considérée dans le cœur lui-même, et les autres sont relatif

valvules est souvent consécutive à l'inflammation, qu'elle peut être considérée comme une de ses conséquences éloignées, mais qu'

iie livraison. i tenus par les aréoles du tissu propre du cœur : je considère toutefois comme caractère probable d'une endocard

ue le malheureux soldat, qui fait le sujet de cette observation a été considéré par ses chefs comme un homme de mauvaise volonté,

ons. Que si on me demande si cette tumeur de l'oreillette doit être considérée comme un caillot sanguin organisé, je répondrai q

hydropéricardite se présentât sans cesse à mon esprit, je continuai à considérer cette matité péricardique comme une conséquence d

la loupe, elle présente une multitude de très petits vaisseaux. J'ai considéré cette altération comme devant être rapportée au c

ême pas dans leur bord postérieur cette infiltration séreuse que l'on considère généralement comme un effet de l'agonie ou comme

mme un phénomène cadavérique, mais que beaucoup de faits me portent à considérer comme une lésion morbide opérée sous l'empire del

e articulation méta-carpo-phalangienne du gros orteil, maladie que je considère comme le résultat de la pression des couvertures,

qu'au dernier moment. Les urines et les selles sont volontaires. Je considérai cette paralysie comme la suite d'une affection rh

supérieure de la moelle. J'avais même été tenté, dans le principe, de considérer cette maladie comme tenant à une compression du b

traces de phosphate de chaux. Quant à la membrane vésiculaire, je la considère comme n'étant autre chose que de la fibrine,atten

e , s'était condamnée à rester immobile au lit depuis deux ans, était considérée comme paraplégique. On essaya plusieurs fois de l

large au sacrum, mouvement fébrile, toux, et engoûment pulmonaire. Je considère l'escarre au sacrum comme la source des mouvemens

uche, et on se rappelle que l'hémiplégie était à droite; mais si l'on considère que la cicatrice de la moitié gauche de la protub

saine au-dessous et à côté des corps olivaires. Réflexions. Si fou considère que les nerfs grand hypoglosse, glosso-pharyngien

be rachidien doit exercer son influence sur la totalité de la moelle, considérée en tant qu'organe de transmission des ordres de l

au? Cette question a peu occupé les auteurs : l'analogie me porte à considérer comme un mode de terminaison des tubercules céréb

e fibreuse contenant une grosse masse calcaire irrégulière. Si l'on considère que la conversion des tubercules pulmonaires en k

moulé sur le corps strié et la couche optique, lesquels peuvent être considérés comme la racine du cerveau.! (2) Nouvelle Bibli

tre plusieurs de ces cicatrices pelliculaires peau de chamois, que je considère comme la suite du ramollissement de la substance

. L'anatomie pathologique a aussi ses infiniment petits, et, quand on considère la multitude de choses qui échappent à une observ

cerveau enlevée : M, M, M représentent une membrane très mince,que je considère comme constituant le débris du cerveau et du cerv

l'extérieur. III. Ce serait commettre une bien grande erreur que de considérer tous les foetus à petite tête, les microcéphales,

lement participé à l'atrophie des autres parties, en sorte qu'on peut considérer ces diverses parties comme ayant également des co

e de l'encéphale. Quant à la théorie de ce vice de conformation, je considère la microeéphalie avec hydrocéphalie comme le résu

du cerveau. L'ossification précoce des os du crâne pourrait-elle être considérée comme cause de la microeéphalie par rapetissement

état pathologique par quelques auteurs, et que j'ai vu plusieurs fois considérer comme cause de mort dans les autopsies, n'est aut

s résultats suivans : Matière animale fibreuse insoluble qu'on peut considérer comme de l'albumine concrète, la presque totalité

à l'occasion d'une corne présentée par M. Mercier, et qui tendrait à considérer les productions cornées comme un prolongement du

ant de 5 ans. Les détails ultérieurs manquent complètement. Doit-on considérer comme appartenant à un vice général, et non à un

a peaii dans certaines maladies aux productions cornées. On aurait pu considérer comme couvert de ces productions un jeune enfant

dant la guérison a été radicale; ce qu'on expliquera aisément si l'on considère que la scie a été appliquée le plus près possible

de ces renflemens gangliformes. On serait tenté de le croire, si l'on considère que, dans les expériences faites sur les animaux

tructure que présente ce nerf ne s'opposent nullement à ce qu'il soit considéré comme le type de l'atrophie des cordons nerveux.

e la prostate, traitement qui consiste à convertir en méthode un fait considéré comme un accident et comme le résultat d'une mauv

de conformation fort extraordinaire qui,bien qu'il ne puisse pas être considéré comme une lésion morbide, m'a paru digne d'être r

pement vasculaire de la surface de l'organe peut être raisonnablement considéré comme le vestige de cette irritation. Je n'ai d'a

in celle d'une combinaison de chaux et de matières animales, que nous considérons comme une combinaison mélangée « à un savon d'une

Dans l'observation suivante, publiée par Corvisart (i), et qu'on peut considérer comme le type des accidens causés par la rétentio

urulente, peuvent s'ouvrir dans le colon. Cette terminaison, que l'on considère généralement comme favorable, puisqu'elle permet

que des preuves nouvelles et directes nous aient été fournies, je ne considérerai donc la diathèse purulente, cette modification in

sont recouverts par une membrane mince et vasculaire, qu'on pourrait considérer comme la peau amincie ou comme une couche superfi

e substance caséeuse, jaunâtre, granulée à la manière du riz cuit. Je considère cet état comme constituant la suppuration des tis

n de confirmer cette vue à priori. L'observation suivante peut être considérée comme le type des corps lobuleux et fibreux enkys

ibreuse du tissu glanduleux proprement dit; transformation qu'on peut considérer comme une hypertrophie circonscrite d'une portion

Les faits de ce genre ne sont pas assez rares pour qu'on doive les considérer comme des cas exceptionnels (1); ainsi, en compul

a surface, un kyste fibreux contenant une matière boueuse que j'ai pu considérer comme des débris d'acéphalocystes. Après avoir

étique. La présence du cancer mammaire , qui pouvait à bon droit être considéré comme cause de la pleurésie, et l'épanchement ne

e purement locale. La gangrène ou rescarification ne peut donc être considérée que comme un moyen succédané de l'amputation, lor

e siège qu'elle présente. Heureux si l'étude approfondie de la lésion considérée en elle-même pouvait me conduire à la déterminati

uée à des choses indéterminées qui, par conséquent, ne sauraient être considérées comme des unités du même ordre, autant je la croi

u centre d'un caillot sanguin. Réflexions.— Dans ces réflexions, je considérerai le fait qui précède et sous le point de vue clini

infiltré, dans lequel rampaient un grand nombre de vaisseaux. On peut considérer ce ramollissement comme un travail préparatoire p

es artères utérines étaient complètement ossifiées. Je crois devoir considérer ce cas comme un exemple d'atrophie de l'utérus, b

êtrière avec un écoulement d'une horrible fétidité, et que nous avons considérée comme atteinte de cancer utérin. Le col avait é

out-à-fait semblable à celui des invaginations de l'intestin. Si nous considérons la cavité utérine comme faisant suite à la cavité

trière présentent une chute de l'utérus qui doit être raisonnablement considérée comme la cause de l'incontinence dont elles sont

dans les vaisseaux lymphatiques, pus, matières tuberculeuses que j'ai considérées comme formées sinon dans le lieu même où ils ont

ent aux hernies de Futérus,et les hernies de l'ovaire pourraient être considérées comme le premier degré d'un déplacement dont la h

eure ? Le fait représenté planche u , xxxvne livraison , peut-il être considéré comme appartenant à cette catégorie? Je n'ose me

des anciens et des modernes sur les altérations scorbutiques, qu'ils considéraient comme l'effet d'un vice dans le sano;. Enfin, j

dans lesquels toutes les cellules communiquent entre elles. Si l'on considère , d'une autre part, que leshydatides placentaires

pas déterminé aux dépens de quel ordre de vaisseaux), on sera fondé à considérer , sinon comme établie, au moins comme ne sortant p

in8 livraison, planche vi. (2) C. F. Burdach, Traité de physiologie considérée comme science (Vobservation. Paris, i83c;, tomeiv

rendre compte de cette disposition des deux foies; cependant, si l'on considère que la paroi antérieure de l'abdomen commun aux d

s les masses encéphaloïdes en général, ce qui n'étonnera pas, si l'on considère le grand nombre de vaisseaux qui les pénètrent, v

ient le caractère évidemment cancéreux , les autres ne pouvaient être considérés comme cancéreux que par analogie. Dans le petit

capillaire du cervelet. 37e liv., pl. \,p. 6- CHALEUR. De la moelle considérée comme foyer principal de la chaleur animale. 25e

celui du rhumatisme. 40e liv., pl. iv, p. 5. SANDIFORT. Il peut être considéré comme le père de l'iconographie pathologique. = A

x dont j'ai volontairement omis de parlerions sans exception, ont considéré la manie et la mélancolie comme deux en- tités

existe des cas assez nombreux dans les- quels il est impossible de considérer isolément et comme deux affections distinctes,

ralement plus court que les périodes d'excitation et d'affaissement considérées iso- lément. Il résulte clairement de ces tex

, la seule différence consistait dans ce fait que ce dernier auteur considérait comme faisant partie inté- grante des accès un

encore une fois les mêmes errements qui l'avaient déjà empêché de considérer la démence précoce comme une entité distincte,

annoncée et prédite à l'avance, la plupart des états syndromiques, considérés jusqu'alors comme de véri- tables entités. Je n

etc., présentant toutes la même évolution, il était plus logique de considérer tous ces états comme les manifestations, les éq

ir et à grouper sous une seule étiquette, les états psychopathiques considérés avant lui comme autant d'espèces morbides. Al

oepelin sous une seule rubrique (2) ? » Thomsen se redise également considérer la manie simple comme une entité morbide : cet

odiques, de folies ci double forme, circulaires, etc., doivent être considérés désormais commodes manifestations d'une seule e

assification rigoureuse et des formules étroites. Mais déjà on peut considérer comme acquis que les lésions cellulaires sont, au

N L. KtcoLAi (Firenze). Le sommeil physiologique, qu'on ne peut pas considérer comme reflet d'un simple fait vasomotoire ou to

un état d'ivresse volontaire excluant l'imputabililé doivent être considérés non comme actes dolosifs et intentionnels mais co

REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 43 et non volontaire doivent être considérées comme pénalement irresponsables des suites d'un

hréno-cafatoniques. lien con- clut que la démence précoce doit être considérée comme une psychose toxi-infectieaso subaiguë ou

epuis longtemps et d'après laquelle ces malades ne doivent pas être considérés comme des aliénés et internés comme tels. Si l'

au traite- ment est contraire aux faits bien observés et doit être considérée comme inexistante. (Cette proposition est adopt

e caractère même de la mélancolie : le malade soutire. Mais il faut considérer dans cet état deux choses : l'anxiété,paroxysti

, monotone ; 'son analyse, basée sur des observations, conduit à le considérer comme un délire affectif plutôt qu'idéatif ; c'

nomalies de la scissure de Syl- vius, on est porté de prime-abord à considérer comme étantla scissure rolandique le sillon mar

s éloigné du pôle antérieur de l'hémisphère, ne peut cependant être considéré comme la scissure de Rolando à cause de ses rap

rd supérieur de l'hémisphère (feg.9 et 10).On pourrait à la rigueur considérer la portion postérieure de la scis- sure de Sylv

En avant de ce pli, un sillon compliqué et très pro- fond peut être considéré comme le grand sillon métopique (g m) pour lequ

égion des lobules lingual et fusiforme, de sillon que l'on puisse considérer comme le continuant au-delà de l'an- fractuosit

rtie inférieure de cette der- nière (ot. ? ) peut à la rigueur être considérée comme représentant o t. Quant au sillon marqu

de saillie dans le ventri- cule : on ne peut donc, lui non plus, le considérer comme étant le grand sillon occipito-temporal d

ue (R ? ) qui est situé en ar- rière ne peut, il première vue, être considéré comme représentant la scissure de Rolando, à ca

ntral à une dislance anormale de la scissure de Sylvius, au lieu de considérer ce sillon comme se conti- nuant plus bas, après

e limbique. HKMIAGUNESIE CÉRÉBELLEUSE. 83 Ce sillon peut être considéré comme l'extrémité posté- rieure, seule représen

n de l'uncus, ou du moins sa différenciation incomplète (si on le considère comme représenté seulement par le tubercule len

st là le symptôme le plus essen- tiel pour le diagnostic, et i^faut considérer avec Klein (2) que ce seul caractère permet de

a- tion de ces voisins méfiants, qui étaient presque tentés de se considérer comme des rivaux. Aujourd'hui, tout cela est bi

est souvent positive sans qu'aucun des germes trouvés puisse être considéré comme spécifique. Les germes retirés du sang en

tirés du sang en dehors des périodes hyper- thermiques peuvent être considérés comme saprophytes en ce sens qu'ils ne sont pas

éac- tions diastasiques perd son absolutisme et ne doit plus être considérée que comme une adaptation d'une aptitude la- ten

ns son ensemble, la question complexe du cerveau sénile. C'était de considérer d'abord les troubles psychiques qui, lorsqu'il

provenant de maladies cérébrales très différentes, que l'on pouvait considérer la cel- lule nerveuse et la cellule névrogliqùo

à la responsabilité atténuée. Je crois, au contraire, qu'on doit considérer le délinquant comme un malade et conclure à l'ir-

s, qui sont les seuls délires hystériques vrais et qui doivent être considérés comme les équivalents de la crise convulsive. -

tionnelle et dange- reuse : irrationnelle parce que les hystériques considérés comme partiellement responsables sont des anorm

ux suggestions malsaines, et qui, par consé- quent, ne peuvent être considérés ni comme irresponsables au sens absolu du mot,

ie que la suggestibilité, comme élément psychologique intéressant à considérer en médecine légale : et encore une suggestibili

'absence de symptômes physiques de paralysie générale, doivent être considérés comme suspects et faire penser e4 la démence pr

De nombreuses recherches expérimentales ont amené les au- teurs à considérer la dégénération primaire des fibres nerveuses c

veineuses liisto-patliologiques obser- xées ont amené l'auteur à ne considérer ces lésions que comme des modifications seconda

Les recherches de Donaggio, de Golgi, Cajal et Bethe, tendent à le considérer comme de nature névrogliqùe. Plus tard, Cajal,

le considérer comme de nature névrogliqùe. Plus tard, Cajal, loinde considérer comme nerveux les filets du réticulum péricellu

onsidérer comme nerveux les filets du réticulum péricellulaire, les considère commodes produits de coagulation. Les travaux

istologique a été pral iqué en coupes sériées. Cet exa- men amène à considérer trois portions : une dorso-latérale au noyau de

e se produisent, tout se termine par un fait que depuis Lasègue, on considère comme souvent pathognomonique de l'alcoolisme,

e d'un mépris pour les siens ; il les voit trop grossiers, et ne se considère point comme étant 190 CLINIQUE MENTALE. né

ral du congrès suivant. Communications diverses. Les alaxiques, considérés comme atteints de phobie ou d'llslasie- nbasie,

les moyens ordinaires. En dehors de l'intérêt propre à ces faits considérés en eux- mêmes, on en peut tirer les deux enseig

les deux enseignements que voici : 1° Trop souvent, on a tendance à considérer la réédu- cation motrice de l'ataxique comme un

t, à faire naître et à déve- lopper cette opinion : le malade étant considéré comme un névropathe, un phobique,et n'ayant pas

xième réflexion sera celle-ci : Trop souvent aussi, on a tendance à considérer les exercices de Rééducation comme une sorte de

lution lorsque survint le traumatisme. M. DuRE-r. Comment faut-il considérer la paralysie gé- nérale ? Est-ce un syndrome ou

lleux et qu'en som- me il n'y âge les troubles mentaux qu'on puisse considérer comme un symptôme à proprement parler d'origine

tion de la moralité qui fait que, dans ce syndrome, il faut souvent considérer autant l'amoralité que la nymphomanie propremen

les affections suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 225 considérer ni comme étant simplement des lésions du muscle,

iaiivier, qu'il n'y a pas lieu d'instituer un concours pour l'année considérée . Art. G. -- Aucun délai n'est garanti pour la n

cependant les premiers chiffres de ces épreuves mêmes peuvent être considérés comme nor- maux. D'autant plus qu'on y constate

ux recherches ont été telles que seule cette expé- rience doit être considérée comme normale. L'examen des mauvaises réactions

ar elle s'y révèle encore au moyen des mauvaises réactions. Si l'on considère aussi le nombre des mots sans signification, on

ible diminution de la valeur-estimation et cette descente doit être considérée comme une modifica- tion notoire de l'opération

troublée. Le fait confirme aussi l'interprétation de Krmpelin qui considère l'habitude comme une propriété personnelle. Que

onsidérable que le reste de la population . Mais si l'on cesse de considérer la totalité pour entrer dans les comptes rendus

elatives à l'aliéné et détruire les préjugés qui tendent à le faire considérer comme un malade différent des autres et constam

dans leurs familles, à l'expiration du mois de congé, 7 devant être considérés comme guéris et 3 comme amé- liorés seulement.

nt à une lucidité parfaite qui se maintint et put être légitimement considérée comme une guérison qui per- siste encore à l'he

es ou hystériques; Par le Dr Paul GLU ? (U. Doin, édit.) L'auteur considère que l'anesthésie dite hystérique n'est ja- mais

Unîtes ces sorties sont également demeurées définitives f. «Nous considérons que le travail agricole entre pour une part « i

l'interné depuis trois mois qu'il s'est évadé, l'interné doit être considéré comme n'étantpas dangereux, et ne peut plus êtr

, âgé de quarante-quatre ans, que les surveillants avaient toujours considéré comme dangereux, vient de justifier d'une façon

ser. Sept mois après l'accident, on ne fit plus rien; le bras fut considéré comme perdu, et D ? reçut 500 francs de la com-

chique et d'agraphie. Un an après le début, le malade pouvait être considéré comme guéri complètement. Il travaille à présen

l'aphasie irrégulière, survenus après des troubles mentaux que nous considérons comme des équivalents de l'attaque, les trouble

ancées, enfin la radiographie qui n'est qu'un moyen tardif. 2° Il considère comme signes de certitude l'existence du bacill

aisé, semble présenter des difficultés, de l'avis de Dieulafoy, qui considère sa réussite comme un fait exceptionnel (1), et

empérature dans un délai de 8 à 15 heures après l'injection ; il la considère comme un bon moyen de révéler l'infection chez

le est passée, l'époque où la société, aussi bien que les médecins, considéraient l'évolution de la maladie comme inévitablement

de Bouchard, à toutes les périodes et surtout au début. Grancher la considère comme « la plus curable des maladies chroniques

toxiques et antitoxiques. L'élude des principes toxiques l'amène à considérer que : 10 le sérum du sang des épileptiques, au

antitoxiques rencontrés dans le sérum des épileptiques doivent être considérés comme de nature semblable aux principes antitox

es prolongements qui mettent les cellules en rapport réciproque, G. considère les segments de l'intrication où l'excitation p

u- vements brusques de la tôle) dans le deuxième cas, l'auteur ne considère pas comme démontré que ce signe caractérise les c

concept )\roepolinien de la paranoïa est mauvais par ce fait qu'il considère seulement comme rentrant dans la paranoïa un dé

les toxines. J'arrive ainsi à confirmer l'opinion de Pari- sot, qui considère la caféine non comme un aliment,mais comme un e

nique. De plus il montre que les rhumatismes chroniques déformants, considérés par certains auteurs et en particulier par M. T

atteint pas la puissance d'invention des mono- maniaques. Meynert considère ces conceptions morbides, dont il a étudié la g

la pathologie (différentes périodes du délire chronique). On doit considérer la personnalité comme une résultante ; elle naî

idu tantôt dans les asiles, tantôt dans les prisons, selon qu'on le considère comme alors irresponsable ou comme vicieux resp

sistance. Nécessité de 1' - des idiots, p. 158. Ataxiques. Les -, considérés comme atteints de pliobie ou d'astasie-abasie

secondaires et subordonnés aux états intellectuels, tendent à être considérés comme primitifs ou autonomes. D'autre part, l'é

e et intelligente. A ce propos M. Mink réfute les idées enonées qui considèrent comme des critériums de l'état sain de l'esprit

t de vrai. Mais s'il existe des idées prédominantes, il faut encore considérer le terrain. Dans les observations cliniques don

s ces conditions, ce tremblement peut être le plus habituel- lement considéré comme un signe pronostique favorable. (Annales

portion de 61 p. 100 ; cette proportion atteint 83, 5 p. 100 sil'on considère tous ceux qui en réalité avaient été infectés L

REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 53 la pilocarpine et du galvanisme, considère comme de nature fonc- tionnelle la plupart des

nalgésie DU TRONC DU cubital (Bic1'naC/¡i) ET DE CELUI DU PÉRONIER, CONSIDÉRÉES COMME SYMPTÔMES DE TABES; par A. S.aRt3U (Ncuro

marasme constitue une complication ou une phase de la maladie ? On considérait autrefois la paralysie générale comme une compl

res qui sont très rares dans la vraie paraly- sie générale. On peut considérer deux variétés de paralytiques : les uns qui con

issent et présentent cette forme de marasme que les anciens auteurs considéraient comme la règle. La rubrique « ma- rasme » est,

x mêmes formalités que pour un premier internement. § 12. Un malade considéré comme dangereux pour lui-même ou pour autrui, n

onception du traitement à appliquer à la folie, il était logique de considérer les relations avec les parents et les amis, les

les prolonge- ments de la cellule et ces prolongements avaient élé considérés comme analogues aux cylindraxes (Max Schullze,

anche dans l'écorce, mais suivent d'autres directions, doivent être considérées comme servant à relier (Ve1'bindtlngcn) différe

s de la substance grise ? Comment s'établissent entre les cellules, considérées individuellement, et les différentes régions de

eux diffus de l'écorce cérébrale, < elles peuvent désormais être considérées avec plus de fondement comme des cellules de se

à travers les âges, tous les organes des sens. Démocrite avait déjà considéré ceux-ci comme des parties différenciées de l'ép

continuité directe entre fibrilles de provenance diverse doive être considérée comme condition sine qua non de la transmission

différences de fonctions, Golgi constate dans les circonvolutions considérées une organisation histologique « essentiellement i

raient, déclare Golgi, à apporter une révolution dans la manière de considérer la signification des différentes parties consti

alors les renforcer. L'auteur isole ces faisceaux des fibres qu'il considère comme autonomes et les désigne sous les noms de

nètre dans la partie inférieure du corps de Luys. Ce faisceau a été considéré à tort par Stilling comme une racine de la band

ait traité à l'asile, appelé à l'examiner s'y refuse parce qu'il le considère comme responsable. Trois autres médecins civils

A l'étude de l'hystérie; par TEXIER. L'expérience sexuelle précoce, considérée par Freud comme cause spécifique des névroses,

défaut cérébral (qui est déjà une tare importante), le sourd-muet, considéré anthro- pologiquement, est un membre de la gran

n de 11. l3rtl Tuke. L'auteur se prononce en faveur du repos, qu'il considère comme une méthode de traitement d'im- portance

VIENT d'apportée A L'EM- PLOI DES procédés mécaniques DE contention considérés COMME MOYEN DE traitement cuez LES aliénés ; pa

ntatés que très rarement. R. de ! \IUSGRAVE CLAY XI. L'hypnotisme considéré comme agent thérapeutique ; par Louis LICHTSCHE

moyens thé- rapeutiques, à l'égard desquels elle doit être surtout considérée comme un auxiliaire, plus ou moins puissant sui

tre pour cent des opérés. 6° L'ablation d'une cica- trice corticale considérée comme le foyer épileptogène, sera natu- relleme

iot, le fonctionnement des organes senso- riels, organes qu'on peut considérer comme les voies qui conduisent t au développeme

e commune qu'elle soit chez l'idiot, ne peut, en aucune sorte, être considérée comme le caractère de distinction de cet état d

simple coïncidence, et qu'on ne puisse encore, à l'heure actuelle, considérer aucune forme typique de maladie mentale comme s

sujet, nous rappellerons seulement que nous n'avons jamais songé à considérer ces hallucinations comme le résultât d'une simp

trôler ensuite les faits avancés. SOCIÉTÉS SAVANTES. 241 Il ne se considère nullement comme tenu à aucune discrétion pro- f

si par exemple un quérulant peut-être condamné pour vol. M. Weber considérerait comme une faute de condamner un qué- rulent pou

çon correcte pour tout ce qui n'a pas trait à son délire. Doit être considérée comme irrespon- sable. Diagnostic : délire syst

e social, elles sont iniques. M. BOEÜÙtERT. -La société a jusqu'ici considéré le buveur comme un homme normal et l'a puni com

dégénérescence des tumeurs n'est point partagée par l'auteur; il la considère comme devant être plus rarement invoquée qu'il

uisse et sa classification se rap- portent à la conduite criminelle considérée comme l'aboutissement de certains états de ment

elques auteurs TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES. 277 considèrent comme des centres olfactifs et gustatifs ? ), a m

ion de points de contact, disait l'illustre histologiste, doit être considérée comme une condition essentielle de l'action du

octrines anatomiques et physiologiques de S. Ramon y Cajal, on doit considérer d'abord les faits plus simples, quoique essenti

des cellules pyramidales. «Il est, dit Cajal, impossible de ne pas considérer cette singulière disposition, qui certainement se

les épines n'apparaissent point ; on voit des varicosités que Cajal considère comme la production d'une altéra- tion post-mor

ans doute parRetzius, Andriezen et par d'autres, mais elles ont été considérées à tort comme des formes fixes, comme des variétés

ts de l'épithélium épen- dymaire avec la névroglie. Mais au lieu de considérer la névroglie comme épithéliale à cause de son r

elles-ci l'emportant en nombre d'une façon si énorme qu'on les peut considérer comme l'élément essentiel de ce tissu. Quant

sa nature spécifique, excellente pour les fibrilles de la névroglie considérées en elles-mêmes et pour leurs rapports : rien de

aire et des fibrilles de la névroglie ». Ces fibrilles doivent être considérées comme des prolongements véritables de leurs cellu

l au début : mais le tribunal n'a pas tenu compte de son opinion, a considéré le malade comme responsable, et l'a condamné. L

vue de l'aliénation mentale. A. M. IX. Du SOMNAMBULISME ALCOOLIQUE CONSIDÉRÉ SURTOUT AU POINT DE vue médico-légal ; par le D

e totale avait succédé à de très légers troubles de l'articulation, considérés par Oppenheim comme caractéristiques des tumeur

de causes provocatrices de l'inflammation. Les faits histologiques considérés comme caractéristiques des pro- cessus inflamma

rison par la lecture des livres sacrés : les maladies mentales sont considérées comme une punition divine. Le BIBLIOGRAPHIE. 33

une étude anatomique détaillée du sympathique cervical, M. P. Riche considère l'excitation de ce sympathique par un goitre qu

mette, la cellule nerveuse LA THÉORIE DES NEURONES. 339 peut être considérée comme un élément isolé de ses semblables. C'est

ile et des fibres cylindraxiles très fines ; ce mécanisme peut être considéré comme organe supé- rieur de la vie psychique.

nche interne du spinal, d'origine exclusivement bulbaire, doit être considérée comme une racine bulbaire motrice accessoire du

is, sa langue natale. Ce fait prouve- rait que l'hémisphère gauche, considéré comme le siège du lan- gage, n'était pas absolu

entuées chez les paralytiques généraux, et telles qu'on pouvait les considérer comme la base des maladies intercurrentes ayant

fréquents encore aujourd'hui, que le délire de possession doit être considéré comme pouvant faire partie des formes les plus

nomènes d'angine spontanée sans caractères de coronarite, doit être considéré avant tout comme entaché d'hystérie et l'on ne

par certains côtés avec quelques-uns de ses éléments. Et quand on considère que les manies et lypémanies typiques sont très

levés et du jugement. Il est important de savoir que ces actes sont considérés souvent comme la cause de la neurasthénie, alor

jusque-là normal et non névropathe. L'âge est un fait important à considérer , non seulement à lapériode prodromique de la mala

ccès. Dans tous les cas qui précèdent, le premier accès n'a pas été considéré comme relevant de la paralysie générale, surtout

sur la délimitation et le diagnostic différentiel de la paranoïa, a considéré les conceptions délirantes, dans la plus large

les propre- ment dites, aux troubles de la sphère affective. Ziehen considère également les idées délirantes et les hallucina

n laboratoire destiné à la fabrication de la GO tauricine », et qui considère celle-ci comme un remède utile contre l'épileps

ur n'envisage que les psychoses épileptiques transitoires aiguës et considère que le médecin-légiste doit chercher à ré- soud

s travaux de Grie- singer, de Sander (1872), de Samt (1875-7G), qui considère la folie épileptique comme caractérisée surtout

ns moral constatée précédemment en de- hors des accès. Wildermuth considère la folie épileptique comme assez rare par rappo

il est parfois difficile de mettre celle-ci en évidence. Il faut ne considérer comme psychoses épileptiques que celles qui cor

ature ver- bale. M. Wildermuth rappelle que dans son rapport il a considéré la modification spéciale de l'état de conscienc

llectuelle. Contraire- ment à la remarque du rapporteur, Siemerling considère l'épilepsie alcoolique comme très fréquente. La

'une façon violente : ces faits ne sont pas rares, ils doivent être considérés comme de nature pathologique et entraîner l'irr

epsie pourrait être mise en cause. Au point de vue médico-légal, il considère comme indispensable pour le diagnostic l'existenc

vent se produire au cours des psychoses fonctionnelles. Il ne les considère pas toujours comme des signes d'altérations organ

nt surtout sur le pronostic, déclare qu'il est plus en plus porté à considérer la catatonie de Kahlbaum comme une entité clini

ission dont la famille a suivi et noté l'état mental, un seul a été considéré par son entourage comme complètement guéri; les

ystème appliqué à Heppenheim ne serait pas accepté en Saxe où on le considérerait comme arbitraire. La plus grande partie de nos

ils sont des collaborateurs très utiles. M. LUDWIG, au con- traire, considère l'influence des vieux infirmiers comme mauvaise.

émis des vues variées sur la substance chromatophile : 1° Becker la considère comme composée de corpuscules ; 2° un autre auteu

ans le noyau, il se forme une substance qui prend la couleur. Nissl considère que les dessins fournis par Mann sont beaucoup tr

conclusions que cet auteur a formulées. Les points que l'on peut considérer comme scientifiquement établis sont : 1° l'exis

la première solution. bibliographie. 417 M. le Dr Bourneville. Je considère l'intérêt des malades comme primordial, et, sel

ent admises et notamment sur celle des équivalents psy- chiques. On considère trop aisément comme équivalents psychi- ques, c

iénés paralytiques, à leur déclin, ' L.-F. Calmeil. De la paralysie considérée chez les aliénés. Paris, J.-B. Baillière, 1826.

me prononcerai volontiers pour une opinion précisément inverse. Je considère les attaques apoplectiformes ou épilepti- forme

aient tombés foudroyés d'indignation». Qu'il se rassure, ce qu'il considère comme un progrès, une innovation heureuse, était

die qui porte son nom, à l'asphyxie des nouveau-nés, on ne doit pas considérer comme telle l'asphyxie qui disparaît promptemen

primitivement publié par Landry et présente des symptômes qui sont considérés par les auteurs postérieurs à Landry comme cara

énomène du genou. D'après M. Francottc, ce réflexe ne doit pas être considéré comme le résultat d'un ébranlement com- muniqué

tre psychiques ainsi que physiques. Le surmenage intel- lectuel est considéré comme la plus active des causes psychiques et l

ns la pré- sence d'une affection locale, mais elles ne peuvent être considérées comme ayant causé la maladie, mais plutôt comme

yschromatopsie chez les HYSTÉRIQUES ; - par le Dr PLCHrn. Si l'on considère les champs visuels des couleurs chez les hysté-

rtant sur le tronc lombo-sacré au niveau du détroit supérieur et de considérer ce traumatisme comme une cause déterminante de

, v. Hüsslin, v. Kraft-Ebing); 2° L'étude des facteurs étiologiques considérés par les auteurs comme intervenant dans la genès

préoccupation jouent un rôle prédominant. V. Hbsslin, par exemple, considère comme des causes fréquentes de neurasthénie (ch

e, dans le cordon postérieur, une place variable suivant la hauteur considérée ; latéral pour la moelle cervicale et dorsale,

74. Hvdrocephaltique. Idiotie -, par Pélerson, 229. Hypnotisme considéré comme agent thérapeutique, par Lichtschein, 2

e, signalée pour la première fois par BaillaT'ger, est généralement considérée comme un des symptômes les plus fréquents de la

nce à ce signe ; ils font remarquer, avec juste raison que, si l'on considère l'iné- galité pupillaire en tant que symptôme i

us proposant d'y revenir ultérieurement. La vision des hallucinés considérés dans leur ensemble était normale dans la moitié

ner un nom à la couleur qui lui est présentée. L'oeil des aliénés considéré au point de vue de la réfrac- lion. L'oeil des

900. - 3S CLINIQUE MENTALE. SANE NI (de). Nouvelles recherches et considéra Lions sur le champ visuel des fous moraux Riv.

. Je rappelle que je rejetais dès cette époque, les deux caractères considérés comme constants dans les impulsions épileptique

ires toxémlques. R. M. C. V. La dépression mentale et la mélancolie considérées dans leurs rapports avec l'auto-intoxication et

I. Les rapports des symptômes mentaux avec les maladies somatiques, considérés principalement au point de vue de leur traiteme

suivantes. 1° Chez les enfants l'épilepsie per se ne doit pas être considérée comme une disqualification à l'égard de l'éduca

M. Maule SMlTII.(The Journal of Mental Science. Juillet 1905) On considère avec raison comme suspects tous les médicaments

s mentales. Passant ensuite au traitement de l'insomnie,l'auteur la considère comme un des symptômes qu'il est le plus nécess

le. Dans les maladies mentales, au contraire, leur emploi doit être considéré comme un auxiliaire important et nécessaire du

n'a été mal- propre. 14 Bien qu'aucun de ces états ne puisse être considéré comme appartenant au « petit mal » il est impor

s d'un jeune homme de 21 ans qui présentait les symtômes que l'on considère d'ordinaire comme caractéristiques de cette malad

ou de la syphilis infantile ; tabes dorsalis et paralysie générale considérés comme distincts sont connus comme le résultat p

urscas de tabès et de paralysie absolument stériles. Le Dr Ferrier, considère donc comme non encore dé- monstratives les rech

olie confusionnelle aiguë et les états délirants aigus doivent être considérés étiologiquement et clini- quement aussi bien qu

teurs, que la démence ne survient jamais dans cet état, et l'auteur considère comme discutable l'opinion de Kraepelin qui veut

essivement préconisés pour les pervers. Selon lui, ces sujets qu'il considère à la fois comme des anormaux et comme des malad

ur le conduisent à poser les conclu- sions suivantes : 1° Si l'on considère les causes sociales de l'intempérance, qui sont

contraction musculaire ou autre, soit certaines habitudes que l'on considère comme vicieuses. Un tic très fréquent chez le c

ue nom elle, faute déplace : il nous suffira de dire que M. Sano la considère comme la seule élective pour les fibrilles et l

out l'élite des an- ciens élèves dont l'instruction ne saurait être considérée comme terminée, nous maintiendrons et développe

l'auteur fait connaître son point de vue concernant cette maladie, considérée comme une lésion systématisée des voies cérébel

upart d'entre nous ré- pondent non : le mot aliéné est généralement considéré comme ayant une plus large extension que le mot

t : c'est la question de responsabilité.Le Préfet est au- jourd'hui considéré par la jurisprudence comme respon- sable des pl

par aliéné. L'article Ier ne pourrait-il être rédigé ainsi : « Est considéré comme aliéné : 1 tout in- dividu atteint d'un a

qui leur psychose, encore fruste, fait commettre une foule d'actes considérés généralement comme dus à la « déséquilibration,

ociaux des sujets, pousser à l'examen sérieux d'un malade jusque là considéré comme normal. ' Je ne doute pas cependant que

stance an iso- trope et du sarcoplasme. Mlle Yoleyko n'hésite pas à considérer la première comme obéissant à l'influence des c

(Rivui de médecine, avril 1906.) , Les dégénérés obsédés étaient considérés par Falret commj J n'étant pas sujets aux hallu

ppe à forme intestinale, croyait ne plus avoir d'estomac. M. Vallon considère qu'il s'agit plutôt là d'un cas de délire in- f

effet. M. Marcel Briand, qui suit sa malade depuis longtemps, la considère comme frappée d'une démence, déjà accusée, qui n'

c Kraepelin, tous ces délires à la démence précoce, du moins de les considérer comme une espèce psychopathique intermédiaire e

néral seul est un dément type. je, 1 )UPR I ne peut se résoudre à considérer , comme atteints de confusion mentale, les vieux

opsie on trouvera une méningc-corticalite chronique que les auteurs considèrent com- comme étant en rapport avec l'évolution du

au niveau même d'une exostose d'origine cicatricielle. AI. Vallon considère celle observation comme caractéristique, parce

l s'agit bien d'une paralysie générale traumatique. AI. Christian considère le traumatisme comme une cause adjuvante possib

; (les mots soulignés le sont par l'auteur). Combien de psychiatres considèrent au contraire la vocation mo- nacale comme une t

un membre adhérent. Les asiles d'alié- nés inscrits au Congrès sont considérés comme membres adhé- rents. Le prix do cotisatio

trie bilatérale aussi accusée que celle d'un Mammifère, l'Au>ur considère la symétrie bilatérale comme l'indice constant

un perfectionnement de date relativement récente, surtout si l'on considère la portion du névraxe où cette prédominance est

utres, puis à des centres corticaux que l'on tend de plus en plus à considérer comme les agents primordiaux de l'unité fonctio

ronée : c'est l'entrecroisement des voies de conduction que Wundt considère avec raison « comme une des conditions princi-

hèse de Cajal et l'on sait que, pour la vision en particulier, elle considère que l'image de l'objet, est divisée par la visi

ts externes. L'hypothèse de Cajal est insuffisante parce qu'elle ne considère que l'appareil et les impressions sensoriels ;

maux mettent encore mieux en évidence la fausseté de la théorie qui considère chaque blastomère comme représentant un individu.

nt bilatérale. En appliquant ici la théorie de l'auteur, on devrait considérer chaque moitié comme formée de deux/.voire même

ésie on pourrait rattacher celle des sentiments, mais il vaut mieux considérer ceux- ci aveç les sensations, propos des acquis

On a vu grâce à quelle fondamentale erreur anatomique l'Au- teur considère chaque moitié anatomique du névraxe comme prési-

isphères marquent encore chacun le même nombre de points ; que l'on considère en effet la réaction viscérale comme primitive

r des idées et de les travailler indépendamment dé son congénère. Considérons pour finir les notions d'espace et de durée et ad

s arguments de cet auteur, 1906, p. 53). Les uns et les autres sont considérés comme unilatéraux : « Tous les centres de souve

nsabilité atténuée, souvent plus redoutable qu'un aliéné, doit être considéré dans tous les cas comme un malade, et, par suit

articulier et riant de l'asile du canton du .Tcssins, que l'on peut considérer comme un h pe du genre moderne tel qu'on le vou-

communément M'arthritisme.De ce fait, certain arthritisme peut être considéré comme d'essence hypothyroidienne. Dans une comm

'à i'âge de 13 ans. La pathogénie de la microencéphalie permet de considérer deux formes : la vraie et la fausse ; la vraie

le pouvoir toxique du germe est tellement dimi- nué qu'il peut être considéré comme nul. Les toxines élaborées par le germe p

été, stupeur) pendant l'évo- lution de cet étatdépressif, permet de considérer la mé- lancolie comme une forme appartenant à l

ésentent le plus haut degré des troubles cé nesthésiques. Kraepelin considère les idées de posses- sion comme un symptôme de

des groupements de représentations de mouvements ou de sensations, considérées dans le temps : maintenant les mouvements, sens

organiques : on peut encore déceler son rôle dans chaque trouble considéré isolément et, montrer ainsi que ce trouble diffèr

e troublée, à l'hémiplé- gie et hémianesthésie droites que l'Auteur considère comme indiquant d'une façon certaine le trouble

gères- l'une à l'autre. Mais le rôle de l'Auteur était justement de considérer les actes des animaux qui dépassent la vie pure

raissent si on sup- prime la séparation du moi et des co-êtres pour considérer toute la SUR LA SY.MÉIR11Î BILATERALE DU CORPS.

. 357 de l'expliquer psychologiquement. Peut-on raisonnable- ment considérer ces interprétations contradictoir es comme une

Si, maintenant,au lieu d'envisager un seul centre atteint, nous en considérons plusieurs frappés simultanément, comme c'est le

la guérison de tous les accidents. Il y a encore un autre facteur à considérer dans la forme des manifestations hystériques, c

u longue de citations met en pleine lumière la méprise de l'Auteur. Considérons une cons- cience unique ou plutôt l'ensemble de

l'Unité de la conscience ne provient pas des actes psychiques qu'il considère comme étant le par- tage de deux individus acco

ividus accouplés, et que la philosophie 378 PSYCHOLOGIE classique considère comme étant en général relativement simples, qu

permettaient seules sa formation. 1 Enfin,n'a-t-on pas justement considéré pendant long-; temps comme essentiellement priv

rmation de l'influx sensitif en influx moteur se fasse à ce niveau. Considérons ,en effet, les centres corticaux, le modèle de ceu

f ou en historien, on est tenu de faire sa part au hasard. Quand on considère le monde intérieur, en moraliste, en sociologue

t d'au- tant plus clairement, et lorsque, l'acte accompli, le sujet considère le motif qu'il n'a pas suivi, il a d'autant mie

n ne peut savoir à qui appartient la« conscience » à chaque étape considérée . L'Auteur reconnaît deux périodes l'une où la v

ient, à l'hygiène ré- clamée par leur état. » « L'immortel Pinel, considérait un hospice d'aliénés, comme un petit gouverneme

t que, de plus en plus,l'hypothèse de l'étio- logie syphihtique est considérée comme insuffisante. Déjà en 1901, le Dr Bruce a

pement et leurs rapports, des signes physiques morbides que nous ne considérons pas d'ordinaire comme indicateurs de ce que nou

elons la folie. Mais il est nécessaire,dans l'étude de la folie, de considérer séparé- ment la série des phénomènes psychiques

science chez les autres ; nous ne pouvons constater que ce que nous considérons comme l'expression physique des élé- ments nerv

sens inverse du processus de l'évolution. * On croit donc pouvoir considérer ici comme démontré : 1° que les phénomènes psyc

utation des termes. Dans la série physique, il est indispensable de considérer non seulement les différentes sor- tes d'états

iculier a signalé l'importance des aphasies dites transcortica- les considérées comme lien entre les aphasies et les maladies men

l s'agit. Il faut rappeler ici que l'écholalie n'a pas toujours été considérée par elle-même comme un symptôme aphasique : ell

olisme ouvrier, qui plus habituel, ou même tout à fait habituel est considéré par celui qui le pratique comme un adjuvant du

examinant un aliéné au point de vue de la tu- berculose, il faut le considérer dans son ensemble,plulôt que de s'arrêter avec

des papilles sont des signes si fréquents qu'on serait tenté de les considérer comme pathognomoniques. Les modifica- tions de

l'auteur a su en tirer et dont plusieurs sont déjà universellement considérées comme de véritables lois. L'anatomo-pathologist

et subjectivement une manifestation spéciale. D'où la nécessité de considérer encore,pour cette raison, chaque centre fonctio

cru insaississable, de l'hystérie, tout simplement parce qu'on l'a considérée comme une maladie frappant le cerveau dans son

nt le degré auquel ce centre est atteint. Il y a lieu d'ailleurs de considérer deux ordres distincts dans les troubles psychol

rie et du sommeil, dont la conclusion est une théorie de l'hystérie considérée comme une manifesta-- tion de même ordre que le

jet direct de l'observation ne saurait être autre qu' « une nation, considérée isolément dans l'ensemble de la Société humaine

précision telle que de grands philosophes s'y sont trompés et l'ont considérée comme innée, tandis que, en réalité, elle est f

riori n'a donc nulle valeur probante. Nous pouvons main- tenant la considérer en elle-même, c'est-à-dire, puisque l'Auteur la

confond avec le bon sens et, vers la fin du livre, l'Auteur ne la considère plus que comme la preuve de son système, elle-

l'induction et de la déduction : dans l'observation « d'une nation considérée isolément », d'une guerre, d'une révolution, et

misphère : peut-être même cette activité isolée sera-t-elle un jour considérée comme incapable d'alimen- ter la conscience par

ir. Archives, 31 série, 1907, t. I. 31 482 PSYCHOLOGIE Que l'on considère enfin, soit la notion d'espace visuel, tactile

système nerveux et ces fibres à massues de croissance doivent être considérées comme des organes de réparation, des axones de re

avec la couche sagittale externe (ces deux appellations sont à tort considérées comme équivalentes) : il ne constitue en effet

olie sans indoxyl urinaire semble démontrer que nous ne pouvons pas considérer tous les cas de mélancolie comme présentant de l'

e catégorie sont internés dans les asiles d'aliénés et peuvent être considérés comme les plus gravement atteints. Les écoles p

cher, un idiot muet auquel on apprend à parler ne peuvent-ils être considérés comme améliorés Y Nous donnons des exemples de

s; par Grasset, p. 157. Dépression mentale. La et la mélancolie considérées dans clans leurs rapports avec l'auto- iinoxi

dies somatiques. Les rap- ports des symptômes mentaux avec les -, considérés princi- palement au point de vue de leur trai

stes, pas plus à l'étranger qu'en France. Ces faisceaux avaient été considérés par eux comme le résultat d'un processus morbid

uisant dans les muscles dont les nerfs sont dégénérés. Mais si l'on considère que les caractères de la réaction de dégénéresc

xe absent chez les sujets normaux que très exceptionnellement... Je considère l'absence du réflexe achilléen comme signe d'un

sans dire qu'en pareil cas les réflexes du côté malade doivent être considérés comme affaiblis ou exagérés suivant qu'ils sont

lontaire des muscles de la jambe ; alors seulement on a le droit de considérer la trépidation comme parfaite et dénotant un état

nomène banal qu'on observe chez des sujets dont il y a tout lieu de considérer le système nerveux comme absolument sain. « Pou

normalement chez le nouveau-né l'extension des orteils. Or, si l'on considère qu'à lanaissance le système pyramidal n'est pas

exion du BABINSKI. 4 sn SÉMIOLOGIE pied ainsi obtenue peut être considérée , ici encore, comme résultant de l'exagération d

uvent recherché ce réflexe et je me suis convaincu que ce phénomène considéré par lui (par Oppenheim) comme un réflexe partic

i, est cependant tellement lié à la syphilis, que nous avons tenu à considérer tous ces malades comme atteints de syphilis mécon

a été constatée chez des sujets qu'il y avait de bonnes raisons de considérer comme non syphi- litiques. Parmi ces faits il e

adique sont tous deux « distaux ». ' Cette réaction pourrait être considérée comme un échelon entre la subexcitabilité et l'

)iA( : HiD)EK 71 trouvons, dans 5o cas, des états morbides que nous considérons comme le résultat de la syphilis diffuse : tabe

dans telle ou telle région. Mais quelle que soit la forme que l'on considère , lorsqu'une région est envahie, ce sont toujours

namique ; et qu'en définitive les lésions des nerfs ne peuvent être considérées comme constituant tout le substratum anatomique

ections des neRfS n'avait pas retenu l'attention des cliniciens qui considéraient le réflexe achilléen comme inconstant à l'état

vrai, qu'à l'état normal, ne sont pas néces- sairement exagérés. Considérons maintenant la paraplégie spasmodique en flexion.

ns de tabes, mais on n'y avait pas attaché de valeur parce que l'on considérait l'absence de ce réflexe comme assez commune à l

abes conjugal et tabes hérédo-syphilitique. Tabes et syphilis. On considérait autrefois le tabes conjugal comme une rareté. Cel

a syphilis familiale (172). En voici le point de départ : « Si l'on considère que la méningite chronique syphilitique est rar

, je fus amené à exposer les résultats de mes observations : « Je considère aussi le labes, ai-je dit, comme une affection mo

ulièrement l'intérêt du résultat obtenu par la rachicentèse, que je considère comme une arme thérapeutique puissante et dont

Diagnostic. On admettait autrefois que l'hémiplégie organique, à considérer uniquement les troubles de motilité qui la cons

né de la cuisse HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 123 et du tronc ne peut être considéré comme pathologique que lorsque, se produisant d

sensation dans l'hémiplégie hystérique avec con- tracture et je la considère comme un signe tout à fait caractéristique. Sig

Parallélisme entre les divers troubles de la motilité volontaire. Considérons , par exemple, les troubles de motilité à la face.

que se produisent les modifica- tions dans sa physionomie. Quand on considère , dans un laps de temps relativement court, les

érieurs et du tronc constituent les mouvements essentiels ; on doit considérer comme accessoires les mouvements des membres su

Diagnostic. A. J'ai attiré l'attention sur ce fait que les signes considérés comme les plus caractéristiques des néoplasmes

découvrir et à analyser plusieurs phénomènes qu'on est en droit de considérer tout en faisant quel- ques réserves sur certain

L'ENCÉPHALE nouvelles sur la pathologie du cervelet et peuvent être considérés en même temps comme une contribution à la physi

soin, dès l'origine, de faire ressortir que ce trouble ne peut être considéré comme réalisé que lorsqu'il se manifeste chez u

. - Attitude du malade pendant la marche, soutenu par deux aides. Considérons encore le ma- lade dans la station debout, mais

stituent un acte, le phénomène que nous venons de décrire peut être considéré comme l'effet d'une absence de synergie, d'une

n me paraît donc légitime. Elle semble encore mieux fondée quand on considère l'atti- tude spéciale du malade cherchant à cou

e mon travail sur ce sujet » (voir p. 121). Dans les cas que nous considérons ici, on ne peut donner la même interprétation e

nom- breux crochets (voir fig. 21 et 22). Cette fixité peut être considérée comme la manifestation d'une SYNDROME CÉRÉBELLE

t le tableau cli- nique ; aussi cette observation ne peut-elle être considérée sans réserve comme un exemple typique de catale

e, 2g décembre I\) 1 [) signale ce symptôme dans son rapporl. Il le considère comme «un phénomène cérébelleux d'ordre secon-

de plusieurs heures à droite ; or, il me parait difficile de ne pas considérer comme pathologique une vaso- constriction réfle

éningite séreuse de la fosse cérébelleuse. Dans tous les cas que je considère comme guéris, j'ai constaté, après la ponction lo

été ensuite déconseillée par la plupart des neurologistes qui l'ont considérée comme irration- nelle et incapable d'être réell

it capable de produire des troubles de motilité indiscer- nables, à considérer seulement leurs caractères intrinsèques, de ceux

per en l'ab- sence de toute suggestion. L'émotion était unanimement considérée comme un agent étiologique ayant la puissance d

la gorge, rétrécissement du champ visuel, etc.), était généralement considérée comme hysté- rique ; dans les conjonctures inve

naissance ; si parmi ces circonstances on relève une émotion, on la considère comme une cause de l'accident produit. Ce sont

coef- ficient affectif, si faible soit-il. De plus, dans les faits considérés ici, il n'est pas question d'idées de ce genre;

tte comparaison me permettra de faire comprendre ma pensée. Si l'on considère un acte volontaire, on voit qu'il est la réalisa-

entales pour peu important et l'étudiant, par suite, est amené à le considérer comme tout à fait inutile. On devrait exiger un

s délires accaparent toute son attention. Il faut lui ap- prendre à considérer chaque malade comme atteint d'une maladie déter

é bien mise en lumière par les premiers observateurs. Weis Mitchell considère sa méthode comme plus particulièrement indiquée

s pavillons de surveillance, le chiffre proportionnel de 1 p. 5 est considéré comme un minimum. Dans certaines cliniques, les

u sulfonal, survenus tous chez des femmes. R. M. C. V. L'habitude considérée comme un état mental morbide et son traitement;

omparer ne peut pas être avantageuse pour notre esprit, et celle de considérer une idée sous trop d'aspects et sous trop de ra

par ses actes, un homme nuit à lui-même ou aux autres, il doit être considéré comme aliéné : ceci supprime naturellement tout

cas négatifs. Dans près de 80 p. 100 des cas, la syphilis peut être considérée comme certaine, ou du moins comme très probable

de déterminer la méninge encéphalite. Cette -affection devrait être considérée non comme parasyphilitique, mais plutôt comme p

orté (me basant sur 16 cas de M. Sibelius assistant à l'Institut) à considérer les altérations des cordons pos- térieurs propr

combine au tabes. Le phénomène des orteils, au contraire, que je considère comme pathognomonique d'une perturbation dans le

i ces signes n'avaient pas été recherchés, les malades auraient été considérés sans doute comme de simples neurasthéniques. Or

dans la région cervicale et le haut de la région dorsale. M. Marie considère ce cas comme une rareté, sur de très nom- breus

la douleur serait une altération de l'harmonie vivante. Aristote la considéra comme une co-science à l'obstacle, à l'activité

utant de signes qui révèlent la tare dégénératrice. Et, à tout bien considérer , il n'en saurait guère être autrement. L'existe

d'eux pour le service mili- taire, la ferme paternelle. Ils étaient considérés par les membres de leur famille comme des faibl

pe des maladies qu'on a appelées né- V1'oses de développement on ne considère qu'un moment, une période déterminée plus ou mo

e, Schaffer' l'a reconnu, qui. relativement à l'ancienne manière de considérer le tabes comme une affection primaire dégénérat

s tabétiques, il s'en rencontre à peines quelques-unes qu'on puisse considérer comme décidément pathologiques. ' La substanc

que d'un trouble anatomique intracellulaire plus ou moins aigu qui, considéré en soi, ne nous autorise pas encore à en tirer

, Juliusburger et Meyer, évoquant les idées géniales de W. Roux, la considèrent comme une lutte pour l'existence des parties, d

à l'étiologie du tabes dorsalis, encore que la syphilis doive être considérée comme la cause de la plupart des affections tab

érale sous la rubrique mélasyphilis, ni du côté de r' A'ageotte qui considère ces deux maladies comme des manifesta- t[ tions

postérieurs avec la méningite des méninges de la moelle, mais sans considérer cette affection comme la cause du tabes, ce que

s directe, et Striimpell (1890), suivi par Mobius, ltaymond, Mayer, considère à la lettre le tabes comme l'effet d'une intoxi

es internes et externes, sur les temporales (que quel- ques auteurs considèrent comme des centres olfactifs et gustatifs), a mo

ur Klippel les lésions du tabes ? Il se range parmi les auteurs qui considèrent le tabes ordinaire comme « une maladie du télén

dans « plus de la moitié des cas » de 'tabes, la syphilis doit être considérée comme la cause efficiente de l'affection. Les a

'âge, l'excès de pigmentation doit, .comme le dit Bevan Lewis, être considéré dans les psychoses comme le témoignage d'une hy

où la substance chromophile présentait la disposition que l'auteur considère comme nor- male. Dans tous les cas, naturelleme

Quant à l'origine de cette lipomatose par métaplasie, l'auteur la considère comme un trouble ueurolrophique dont la cause pre

ement direct du liquide céphalo- rachidien. Le système lymphatique, considéré comme voie éloignée d'apport canaliculaire, ne

om- breuses, trop nombreuses pour que la loi formulée puisse être considérée comme telle. Voici pourquoi je crois que le rôle

moins restreint. Il existe très peu de réflexes qui pourraient être considérés comme signe pathognomonique de certains états m

tère pathologique. M. Doutrebente a observé des cas analogues. Il considère cet état comme une nouvelle forme de la maladie

ier de Gaillon. Un expert de province, non aliéniste d'ailleurs, le considérait comme responsable. La lecture du rapport donnan

rt de trois médecins de la ville, non spé- cialistes, le malade fut considéré comme responsable, condamné à la peine capitale

me attribue son trépas à de puissants ennemis. L'auteur en arrive à considérer le délire des négations, non point comme le sta

c arlhropatbie de l'épaule. AI. Babinski a vu autrefois ue malade considérée comme atteinte de pachymeningite cervicale avec

dire, et lorsque le malade ne s'observe pas suffisamment. On'peut considérer le père comme absolument et totalement guéri ;

malade ne permettent pas un seul instant de penser que l'on puisse considérer comme s'y rattachant les sujets de nos observat

uement à l'heure actuelle. Enfin, il ne nous semble pas possible de considérer nos malades comme entachés d'hystérie, car aucu

divante observée chez deux enfants de la même famille; l'auteur les considère comme hérédo-syphilitiques. Goldflamm' a publié

cts ? -Cousot en fait une inhibition des centres spinaux..Donath la considère . comme. une. affection des- racines- motrices;

liquer l'intermittence des phénomènes observés'' qu'il croit devoir considérer comme l'effet d'une manifesta- tion toxique sur

réter leur histoire morbide, et qu'on doit, en dernier ressort, les considérer comme un type spécial de paralysie spasmodique

ment que les objections faites au début par des médecins aliénistes considérés , contre les asiles urbains de Griesinger, manqu

térêt des malades aussi bien que dans celui de l'enseignement. Il considère l'inauguration des cliniques urbaines comme le dé

orte proportion, sortir guéris ou améliorés, prennent l'habitude de considérer l'établissement d'aliénés, non point comme un a

evue de médecine, janvier 1900.) . L'intolérance des bromures a été considérée comme plus à craindre chez les vieillards attei

et c'est là la pseudo- hypertrophie musculaire que quelques auteurs considèrent comme une maladie distincte. Au point de vue du

ection sans 256 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'éclairer : on l'a considérée comme- un trouble vaso-moteur, comme une affect

équard qui, le premier, l'a bien décrite a attaché son nom et qu'il considérait comme ne pouvant se rattacher qu'à une lésion u

nu, est intéressant si l'on se souvient que beaucoup d'auteurs les considèrent comme le siège de la maladie. La pig- mentation

e telle sorte que la position favorite de la tête, que nous pouvons considérer suivant les lois ordinaires comme position de moi

grise est molle et d'un rouge sombre, dans tous les points où on la considère . Sur les coupes, la surface de section est pars

la corne d'Ammon ont exactement le même poids spécifique. Si l'on considère l'influence du sexe, on voit que chez les homme

r conclut que l'abolition ou la diminution de l'olfaction peut être considérée comme un des signes de la paralysie générale. S

e l'auteur sur le même sujet est celui du D'' Whitmore Sfeelle, qui considère tous les mélancoliques comme présentant une dim

nts, que ce soit en ligne directe ou en ligne collatérale doit être considérée comme une preuve suffisante de prédisposition h

MENTALE. 331 catatonie, mélancolie « attonita » et certains malades considérés autrefois comme atteints de manie, de mélancoli

lligents. Sprague a constaté l'hérédité dans 3 p. 100 des cas, mais considère cette proportion comme inférieure à la réalité.

, le malade, devenu indoient et irritable, n'est pas interné et est considéré par l'entourage comme ayant simplement changé d

agile ; le .succès a dépassé toutes les espérances, surtout si l'on considère qu'il n'y a pas encore dix ans que ce système f

ondes. Cette proportion n'est pas exagérée pour les hommes, si l'un considère que sur les 87 décès, 23 aliénés étaient atteints

nte le territoire de la zone rolandique, qu'il y avait tout lieu de considérer comme le point de départ des atta- ques. Chez d

gine de la névroglie, on constate que, seules, les tumeurs que l'on considère comme carcinomateuses tirent leur origine de la

r; 4° l'absence dans le reste du corps de toute tumeur pouvant être considérée soit comme primitive, soit comme consé- 412 REV

ments respectifs de la névroglie. On voit par là que l'épendyme est considéré comme le point de départ de deux néoplasmes dis

toute'autre cause reconnue, l'exsudat inflammatoire aigu doit être considéré comme de nature tuberculeuse. La tumeur est par

donc en raison de son état d'infiltra- tion et son étendue limitée, considérer la tuberculose comme secon- daire par rapport à

Médical Journal, 27 mai 1899 ) , La paralysie de Landry peut être considérée comme une mala- die infectieuse du système nerv

e celui qui constitue le système nerveux. Deux autres points sont à considérer , l'arrêt du processus et la dégénérescence prog

Le premier chapitre de ce long travail est consacré à la phtisie considérée comme cause de mort dans les asiles : voici les p

générale comme l'argument le plus fort en faveur de la doctrine qui considère la syphilis comme le facteur étiologique le plu

à tous les ins- tables d'esprit : bien des points importants sont à considérer avant de prendre ou de conseiller une détermina

s quatre-vingt-quinze cas observés sept seulement ont guéri ou sont considérés comme guérissables, Elles paraissent plus fréqu

s qui lui ont été communiqués par le D Urquhart. En somme si l'on considère la situation très secondaire, tant au point de

une méningo-encéphalite corticale aiguë ; c'est pourquoi il faut le considérer comme une forme d'eiicéplia- lite de Strumpell

es se tournent en toilettes stimulantes de l'instinct sexuel. Ellis considère que le sentiment de la pudeur repose sur le dég

stérie, en tant que névrose sexuelle, est défendue par l'auteur qui considère les théories de Charcot comme devant être compl

tablissement, peut seul faire mettre en liberté les personnes qu'il considère comme ayant été enfermées en vertu de certifica

teinte de mal de Pott avec des plaies de mauvais aspect et fétides, considérées par les divers médecins qui l'ont soignée comme

que la seconde avait trait à un jeune homme qui, étant enfant, fut considéré et traité comme ayant été contaminé, .par sa no

simple affaissement du corps de sa seule hauteur, permettent de la considérer comme une fracture à peu près spontanée. Je n

it lieu. Et il est utile de rappeler que lorsque le phénomène élait considéré comme un facteur important dans la genèse de l'

uelle, à ma manière de voir, a rendu ce cas plus intéressant, je ne considère pas prématurée sa publication sans préjudice de

ils ne se produisaient qu'au moment des évacuations, me porte à les considérer comme étant des réflexes intestinaux vulgaires.

cilement distinguée. Les malades de l'asile peuvent évidemment être considérés comme sobres, car il n'est alloué à chacun d'eu

lcoolisme. Disparais- sant rapidement après le sevrage il peut être considéré comme un signe d'alcoolisme entretenu. Quelle

me âgée chez laquelle on avait signalé des excès alcooliques, était considère comme atteinte de trou- bles dus à la fois à l'

on de cette différence est inconnue. 30° Même dans les cas que l'on considère comme désespérés, la médication thyroïdienne pr

sont pratiquement nulles. Il. de Musgrave CLAY. XIII. La punition considérée comme conséquence douloureuse de la conduite; p

la douleur; mais on peut l'envisager à un autre point de vue et la considérer comme le résul- tat d'un antagonisme entre l'im

'ordre de subordination des alté- rations pathologiques, on peut la considérer comme une lésion inflammatoire à étiologie mult

laquelle les troubles oculaires dont il est atteint devraient être considérés comme un « tic d'élévation des yeux », analogue

a parésie.de l'abaissement. Dès lors il est tout au moins permis de considérer le spasme comme un phénomène secondaire à la pa

eint d'hémiplégie droite ancienne avec aphasie, l'examen des signes considérés en eux mêmes feraient'diagnostiquer l'hémiplégi

traire ont diminué. 11 y a un état manifeste de démence. L'auteur considère son cas comme paranoïa chronique d'origine épil

nt du côté de l'ouïe. M. Tokarsky ne croit pas que ce cas doit être considéré comme un type autonome, méritant un nom à part.

nifestes des centres et fibres pupillaires, il existe des troubles, considérés comme fonc- tionnels, signalés dans les intoxic

s pupilles que dans 2,1 p. 100 des cas. Seuls, Verga et Casliglioni considèrent que les troubles pupillaires ne sont spéciaux à

i. 313. Grossesse. Fausse -. par Finrllay. H)0 ? ILIItITLDE. L' considérée comme un état mental morbide, par K.es- teven

239. avec anesthésie de la 1' pacre, par fla311es, 212. Punition considérée comme consé- quence douloureuse de la con- du

l'acte si difficile de l'attention volontaire peut être légitimement considéré comme un procédé des plus capables d'aboutir à la

rectifier formellement. Les critiques des auteurs susnommés, je les considère comme inexistantes et ne méritant pas, en somme.

rnières résistances du corps médical vont tomber, où le jurisconsulte considérera l'hypnotisme comme un phénomène naturel pouvant a

un état hypnoïde ou dans un des premiers degrés de l'hypnotisme. Je considère comme inexacte l'expression de suggestion à l'éta

psychonévroses confirmées, a aucune réalité tangible. Bien mieux, je considère que la doctrine de la suggestion, jetée naguère e

ui se rapporte à cette question. J'ajouterai en terminant que si je considère l'hypnotisme simplement comme adjuvant dans le tr

intoxications artificielles. La cure de l'alcoolisme ne peut être considérée comme définitive que lorsque les buveurs ont été

boissons alcooliques. L'emploi de l'hypnotisme et de la suggestion, considérés comme procédés de rééducation du caractère et de

ns le cerveau de tout alcoolique. Dr Le Menant des Chesnais.— Je ne considère un alcoolique comme guéri que quand il se transfo

articularités sur lesquelles il convient d'insister. L'enfant y est considéré comme un objet dont la conservation peut imposer

son et diminue la durée du traitement. 5° La guérison ne devra être considérée comme définitive que lorsque la malade aura recou

ussions passionnées ; aux yeux de quelques-uns les conclusions furent considérées comme un scandale et ils s'efforcèrent de tourner

mots se conforme toujours à l'acception la plus généralement adoptée, considère la suggestion comme une insinuation mauvaise. Son

t rare que la recherche soit sans résultat. Le recul du soleil, jadis considéré par les théologiens comme un miracle de premier o

cine légale ». L'œuvre, enrichie d'expériences nouvelles, peut être considérée comme le traité le plus complet et le plus remarq

vides de merveilleux et se défiant trop peu d'elles-mêmes, a toujours considéré l'hypnotisme comme une science naturelle, basée e

ent, en parlant de l'organe désigné sous le nom de cerveau, que de le considérer comme un réceptacle dans lequel on va pouvoir int

e la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui

page 144. Alean. éditeur. Paris, 1008. encore pins claire si nous considérons que la tendance à graviter, comme il le dit « ver

ncipales étapes de l'optimisme et de la conscience universelles. 3° Considérées objectivement, les deux fondions de sélection et

le nom de transformisme, domine aujourd'hui toutes les sciences. 3° Considérées dans leurs effets subjectifs, ces mêmes fonctions

e conscience, etc., à aucun moment je ne les ai rencontrées :. je les considère donc comme des chimères et je les nie. » Ce que l

e et la solidarité de toute l'économie. En thérapeutique, l'on doit considérer l'action d'un traitement sur l'ensemble de l'orga

les'actions humaines. A ce compte. Esope ne mériterait-il pas d'être considéré comme le véritable inventeur de la suggestion.

essortir l'accumulation des sophismes contenus dans la définition qui considère « la suggestion comme l'état par lequel nue idée

quelle notre auteur revient avec une complaisance telle qu'on doit la considérer comme la clef de voûte d'où dépend la solidité de

e de faits qui échappent encore à toute mesure et n'en sont pas moins considérés comme scientifiques. Pourtant, même les faits de

plus difficile : décider le malade a se corriger. Il devra l'amener à considérer la question alimentaire comme très importante et

ès ; elle n'avait montré aucun signe de snggesti-bilité et de plus se considérait comme tout à fait rebelle, à l'hypnotisme-Pendant

n'ont jamais entendu parler d'hypnotisme. Or, il est inadmissible de considérer comme étant en état de veille complète un être qu

à l'étal de veille (1), en 1897, le Dr Paloque ne va-t-il pas jusqu'à considérer comme étant dans l'état de veille, les nombreux s

n de la Salpêtrière. Lundi 21 février, à cinq heures : L'hypnotisme considéré comme moyen d'investigation psychologique, par 31

ne tirait d'ailleurs aucun orgueil de son esprit d'indépendance qu'il considérait comme un devoir naturel. Un jour qne je lui expri

e d'élite attiré par l'autorité de sou nom. Il tenait sa parole. Sous considérerons toujours les félicitations qu'il ndresa. ce jour-

aboré par une série de générations de paysans qui se sont habituées à considérer la ¦« demi-ration » comme la règle, la satiété uu

mémoire sur les paratonnerres, personne ne le prit au sérieux^ on le considéra comme un rêveur, et son travail ne fut pas inséré

réglée. Ils ont cette sorte d'imagination que l'observation populaire considère avec raison, de même qu'elle fait pour certaines

tre milieu social, tient à leur défaut d'esprit de suite On peut donc considérer ces Imaginatifs comme des êtres inutilisables et

Académie. « Le médecin arrive nécessairement à être moraliste et a. considérer la morale comme étant en grande partie de son dom

e s'efforce de les interpréter dans un sens restrictif et s'attache à considérer comme faits nouveaux ceux-là seulement que les pr

tice ; ils pourront vivre tranquilles, sachant l'entêtement du juge à considérer comme coupable celui qu'il a définitivement conda

r aucun rôle dans l'amendement du coupable. Le criminel, qu'il soit considéré comme un pei-vers, un dévoyé, un incomplet, un dé

estation émouvante. L'opinion en est satisfaite parce que l'humanité, considérée dans son ensemble, est simpliste. Elle ne se rend

n naturelle de ces états. C'est par ce moyen que j'ai été conduit à considérer les états hypnoïdes pathologiques dans leurs rapp

gènes et hypnogènes et des attaques de sommeil, il déclarait qu'il se considérerait fondé » affirmer « que le sommeil pathologique sp

tisme et malgré certaines théories qui ont été récemment exposées, je considère que les conclusions auxquelles il est arrivé dans

llent bien nous Indiquer les remèdes ou les procédés originaux qu'ils considèrent de réelle efficacité dans le traitement de l'inso

ué du phénomène en rend l'explication très laborieuse ; mais quand on considère les faits dans leur ensemble, on reconnaît que la

dont sont affectés ces intéressants malades que le professeur Grasset considère comme des demi-fous. Le grand romancier P. Bourge

is, caractérisés par des stigmates spéciaux que les auteurs mo dernes considèrent comme les attributs fondamentaux de certaines for

er à ses nerfs une vibration excessive qu'on peut légiti- mentent considérer coiuuie une image exacte de la période excitante

changements périodiques si marqués dans leur mentalité qu'on peut les considérer comme ayant présenté dans leur vie deux ou plusie

llement en rapport avec l'intensité et la gravité du choc. Charcot. considérait l'émotion morale comme le principal agent provoca

la méthode que je préconise pour les morphinisés d'habitude peut être considérée comme de la psychothérapie par persuasion ; mais

llusion à ces sortes de sensations. Chez l'homme, l'acte sexuel est considéré surtout an point de vue de la satisfaction égoïst

qui escortent les véritables psychoses et qui autorisent le médecin a considérer ces malades comme des fous ou des demi-fous. «

euphonique de psychasthé-nie et que les professeurs Janet et Raymond considèrent , peut-être incorrectement, comme une maladie auto

les mélancoliques et les dégénérés. Il n'est donc par légitime de les considérer comme formant l'apanage exclusif des psychasténiq

était la victime. Dès la première visite je ne fus pas disposé à les considérer comme le résultat d'une simple psychasthénie. J'e

rmellement déclaré que la dégénérescence de notre espèce pouvait être considérée comme le résultat d'une déviation maladive du typ

Il peut même craindre, s'il le compare a ceux qui l'entourent, d'être considéré comme le dégénéré de quelqu'un. Ces auteurs un pe

es accumulées dans l'esprit de l'homme, cet être complexe que Carlyle considère comme le plus étonnant des miracles. Et, j'ai ajo

en plus ! Alors avec beaucoup de difficulté la malade me dit qu'elle considère son ami comme * impuissant », parce qu'il n'arriv

ion qui est dévergondée, qu'elle même trompe son mari mentalement, se considère comme hypocrite, indigne de confiance ; elle dout

t une opinion partagée par un grand nombre d'auteurs, c'est celle qui considère l'hypnotisme comme un moyen d'entrer en rapport a

de suicide le hantait d'autant plus qu'il était arrivé à l'âge qu'il considérait comme fatal pour lui. Pendant les périodes de c

le même homme tant au physique qu'au moral : ses compatriotes qui le considéraient comme fou sont frappés du changement survenu dans

Cardinal Joseph Mezzofnnti, qui fut, à une époque rapprochée de nous, considéré comme un phénomène pour la prodigieuse mémoire do

ions du dehors, demeure toujours béante. C'est très justement qu'on considère l'ouïe comme l'organe de la protection chez les a

. « attendu qu'une certaine sympathie le porte vers ces femmes, qu'il considère , elles aussi, comme des malheureuses, et que l'at

des actes d'initiative exécutés par des chevaux. M. Gustave Le Bon le considère comme plus intelligent qu'on le croit généralemen

ui aurait hypnotisé les autres. Je serais personnellement disposé à considérer que la suggestion hypnotique n'a rien à voir avec

'admettre certains dogmes, d'accepter certaines superstitions, serait considéré par beaucoup comme la marque d'une faiblesse d'es

m ne réclame pas un renoncement complet et, si la vie d'ici-bas y est considérée comme un lieu de passage, il est bon que le croya

protection des lois et celle de ses proches. Il n'est pas juste de la considérer comme un être opprimé, inférieur et sans influenc

ement là ce qui aurait été intéressnat a connaître. Le Conseil a-t-il considéré qne l'homosexualité ne pouvait être envisagée com

mine et qui régit l'évolution physique de la matière. Mais au lieu de considérer cette vue d'ensemble comme une hypothèse, plus co

enons de relater. 4° Le résultat thérapeutique (le plus important à considérer ) a été assez satisfaisant, en ce sens que le mati

ance poursuit de coups mortels ; la femme séduite étant, en principe, considérée comme à. demi irresponsable en raison de sa faibl

ifférences évolutives, on comprend que des auteurs aient volontiers considéré la spondylose rhizomélique comme une simple var

nt, mais déséquilibré, excentrique, un type d'originalité, il était considéré par tous comme « maniaque ». Etant possesseur d'u

stic d'infantilisme, l'accroissement normal de la taille, tout bien considéré , ne saurait l'ex- clure. Encore un fait à men

ssemblance superficielle et tant de différences essentielles, qu'on considère à présent les deux maladies comme étant à peine

produits inflammatoires de cavernes broncbiectasiques, tandis qu'on considère les altérations de crois- sance dans l'acroméga

s d'une acromégalie partielle, et c'est comme telle que je voudrais considérer la ma- ladie do notre garçon. Quoiqu'il paraiss

e n'existe pas. J'appuie sur ces faits négatifs, parce que ceux qui considèrent l'acromégalie simplement comme la conséquence d'u

LLE AVEC INFANTILISME 93 pas, me semble-t-il, l'opinion de ceux qui considèrent les changements de la glande pituitaire comme u

le pulvinar et dans le corps quadrijumeau antérieur. Meynert (4) considère que le faisceau longitudinal ne constitue pas un

eur (qu'il identifie avec la « couche sagittale ») ne doit pas être considéré comme une entité anatomi- que. Grâce au resserr

ces fibres constituent le faisceau cortico-tectal. Ecdinger (` ? ) considère que le faisceau longitudinal inférieur est un lon

de la circonvolution du crochet et du noyau amygdalien. L'auteur considère que, d'une façon générale,la couche sagittale ext

e bonne partie de la couche externe. Quoi qu'il en soit, l'auteur considère que la presque totalité du faisceau lon- gitudi

que le faisceau longitudinal renferme des fibres d'association, il considère que cette question n'est pas encore tranchée ; il

lques personnes sont dans le même état d'esprit et sont capables de considérer quelques faits relatifs à la physiologie de l'oei

l'enfant ; les autres, par- mi lesquels Lannelongue, Kirmisson (1), considèrent cette scoliose essen'" tielle, comme relevant d

absence de quelques-uns des caractères typiques qu'on est habitué à considérer comme la signature non discutable de cette affe

l- les », t. II, p. 490). Cette suractivité fonctionnelle peut être considérée comme un signe de vigueur physique ; 4° L'ich

alors on constate leur ininterruption. Au sur et à mesure que l'on considère les régions postérieures, de multiples prolonge

onde. Au niveau du carrefour ventriculaire (Planche XXXIII,20),nous considérons à peu près les mêmes circonvolutions que sur la

la section directe des couches sagittales profondes, nous n'avons à considérer que les altérations qui relèvent des lésions pu

couche sagittale externe, mais nous ne croyons pas que l'on doit la considérer dégénérée. La couche externe contient encore un

eurs clas- siques) se confond avec le cingulum, dr, le cas que nous considérons , pré- sente à cet égard le plus grand intérêt ;

capa- ble de reproduire ou de rendre avec une netteté suffisante. Considérons d'abord la couche sagittale interne, nous nous en

le lobe occipital et par conséquent nous n'admettons pas qu'il soit considéré propre à ce dernier lobe ; nous croyons même que

roisement devient extrêmement net (coupes fron- tales) dès que l'on considère les plans antérieurs et que l'on aborde le segmen

couche sagittale interne : c'est peut-être ce qui a porté Flechig à considérer ce faisceau de Türck comme partie des radiations

rritoire. Si, pour des raisons de simplicité, l'usage veut que l'on considère comme faisant partie d'un faisceau tout ce qui ne

tent une vive lumière sur le processus anatomique du tabes, et qui, considérés à un point de vue général, jouent un rôle impor

uatre observations précédentes, où la névrite radiculaire peut être considérée comme étant de nature syphilitique et où les él

es, avec multiplication des cellules de la capsule péri-cellulaire, considérées par Ramon y Cajal comme des cellules séniles, s

nom de « maladie des jeunes chiens » ; M. Cajal, qui avait d'abord considéré cette formation comme normale, m'a écrit derniè

ons I et II, on en trouve moins ; dans des moelles que l'on pouvait considérer comme sensiblement normales je les ai constamme

asme. ' B... fut interné comme éthylique et dément. A l'asile on le considéra d'abord comme paralytique général, ce qui parai

se dirige vers les ventricules. 4. Il serait sans doute erroné de considérer les grosses cellules araignées comme le produit

rtant parmi les facteurs étiologiques, mais qu'il doit être non pas considéré comme une cause efficiente et suffisante, mais se

e dans toutes les manifestations de sénilité, l'âge ne saurait être considéré comme une cause efficiente, mais plutôt comme une

ui accompagnent la sénilité dite phy- siologique et ne peuvent être considérées somme la cause de la maladie. Les nerfs périphé

t-elle de façon assez variée. Avec la majorité des auteurs, on peut considérer l'atrophie de la fibre comme résultant de deux pr

ualité de secrétaire d'un syndicat. Dans son milieu politique on le considérait comme un bon propagandiste, mais comme un « sale

aintenant insister. La maladie de Recklinghausen5 est généralement] considérée comme une dystrophie portant sur les tissus d'o

n corps a toujours été plus fort que le côté droit. On peut donc le considérer comme gaucher au moins d'une façon relative. So

ation, se refuse à tout repos et à tout traite- ment régulier qu'il considère comme une perte de temps. Il ne la traite que p

production du tabes qu'un rôle accessoire. Il faudrait en arriver à considérer le tabes comme une affection portant une atteinte

ne présentaient que des al- térations que cet auteur n'hésita pas à considérer comme artificielles, dues à l'action des réacti

se glissent jusqu'entre les éléments normaux. Comme Kleist, Koster considère le ganglion comme de volume réduit dans son ensem

à l'exception de quelques-unes qui dégénéraient rapidement et qu'il considéra comme fibres centrifuges venues de la moelle. En

res fines qui n'existaient pas (ou très rares) au 9e jour, et qu'il considérait comme des fibres régénérées. A cette époque les f

I, X) des racines sectionnées, s'expliquent très aisément si on les considère comme appartenant aux fibres centrifuges. La' rar

anormalement augmenté. Dans un article récent enfin, Marinesco (6) considère qu'il n'y a pas de cas de tabes sans lésion des

ère affection, lésions névritiques et ganglion- naires doivent être considérées comme étant sous la dépendance d'une dégé- nére

oncs nerveux, un nombre assez considérable pour qu'on ne puisse les considérer comme accidentelles et négligeables. Les cordon

de raréfaction des fibres. Le splanchnique droit pouvait donc être considéré comme normal, ce qui s'explique facilement, le ne

érose en plaques pro- prement dite, pourrait être dans certains cas considérée comme la cause de cette seconde variété. Il m'a

n'en constitue pas nécessairement une preuve ; au contraire on peut considérer comme certain que la syphilis n'a aucune valeur

. Ces lésions au contraire ont été rencontrées dans certains cas et considérées comme primitives par beaucoup d'autres auteurs,

artère ou une veine altérée ou thrombosée. ' Pour les auteurs qui considèrent la sclérose en plaques comme une gliose dissémi

lie congénitale de développement La seconde, au contraire, serait à considérer comme une forme acquise ; elle aurait pour orig

es caractères histologiques que fait Müller en séparant celle qu'il considère comme liée à une anomalie congénitale de dévelo

existence de la sclérose multiple avec la syphilis spinale. Il ne considère pas cette association comme rigoureusement certai

pour en dé- montrer la réalité clinique. » Dans sa critique Ladame considère ce cas comme un cas d'affection syphilitique ra

s dans la sclérose en plaques classique (Borst et d'autres). Cela considéré , il ne nous semble pas entièrement justifié d'éli

dame semble le reconnaître, on ne conçoit t pas pourquoi on la doit considérer comme une forme rare de syphilis ner- veuse. Ca

travailler. En 1875 le malade entre de nouveau à l'hôpital où on le considère comme un ataxique. Il demeure quatre mois dans

is mais à un degré moindre que les in- férieurs. Il faut d'ailleurs considérer qu'on a affaire avec un amaigrissement générali

t toutes absolument intactes. Voilà donc un autre caractère qu'on a considéré comme spécifique pour les foyers de la sclé- ro

é. Plus tard,paralysie de la jambe gauche et troubles moteurs qu'on considère comme de l'ataxie. Exagération de tous les réflex

n est visible en tous. les cas ; ce fait devient plus évident si on considère les nombreux 37C INGEGNIEROS aphasiques chez

de la colonne cervicale et n'est pas enfoncée entre les épaules. Considéré dans son ensemble, hormis les dimensions exagérée

e du malade et son développement gigantesque qui permettaient de le considérer comme le plus jeune des géants connus dans la lit

ce de 7 millimètres est tellement minime que je ne pou- vais pas la considérer comme une conséquence thérapeutique. Le second

e trajet des fibres de nouvelle formation varient suivant la région considérée . Les vaisseaux situés tout près de la périphéri

de discuter chez ce sujet sont la syringomyélie et la lèpre. A ne considérer que les troubles de la sensibilité, l'amyotrophie

0. Ainsi, les lésions que nous décrirons plus loin ne pourront être considérées comme des lésions surajoutées. De plus, ce fait

s éparses au milieu du tissu cancéreux. Les cel- lules pyramidales, considérées généralement comme des cellules peu ré- sistant

llules peu ré- sistantes, ont ici conservé une apparence qu'on peut considérer comme nor- male chez quelques-unes d'entre elle

a tumeur et celles qui ont persisté sont si altérées qu'on peut les considérer comme n'ayant plus aucun rôle physio- logique.

mes lois anatomiques, physiologiques et embryogéniques. II faut les considérer comme faisant partie d'un même système anatomique

ogique et les symptômes qu'elle présente actuellement permettent de considérer les lésions de l'appareil respiratoire comme ét

térienne des voies respiratoires. Elle nous semble donc devoir être considérée comme un type de dystrophie d'origine à la fois

dans les parties terminales et vont en diminuant à mesure que l'on considère des points plus voisins de leur origine ; cepen

sensiblement épaissi (PI. LXXVB). Dans chaque fascicule il y a à considérer les fibres nerveuses et le périnèvre. Les fibre

d'une fibre à myéline au centre de ces éléments ne permet guère de considérer les autres comme des fibres régénérées. Quand

mbaultetl\Iallet(1) qui en ont publié la première observation : ils considéraient en effet leur cas « comme un exemple d'ataxie l

n est des plus manifestes. Cette diminu- tion ne doit-elle pas être considérée à son tour comme le début du signe d'Argyll et

e 1903, Raymond,se ralliant aux idées de Bernhardt et de Marinesco, considère lui aussi la névrite intterstitielle hypertroph

e l'augmentation de volume et de consistance des nerfs ne peut être considérée comme telle, les faits cliniques montrent qu'el

C'est cependant en s'appuyant sur ces observations que Hoffmann (5) considère l'atrophie musculaire type Charcot-Marie comme un

de Pott, en dehors bien entendu du mal sous-occipital, généralement considéré comme une variété à part. Beaucoup moins souven

ations nous empêchent donc d'admettre l'opinion de Kôlliker (3) qui considère le faisceau olivaire du corps restiforme comme

tte affection est due à des lésions périphé- riques, enfin elle est considérée comme la manifestation demaladies cons- titutio

e lésions dans la substance grise médullaire; cependant, on ne peut considérer toutes ces démonstrations comme suffisantes car,

de sorte que la maladie de Dupuytren, d'après ces faits, peut être considérée comme une manifestation clinique de la syringom

rès normal. L'irrégularité de la distribution n'est pas seulement à considérer pour le niveau, mais aussi pour son extension à

re obtenue par aucun déséquilibre dynamique muscu- laire. Si nous considérons la connexion qui existe entre la rétraction palma

à un petit nombre de cas. , Le cas que j'ai étudié doit encore être considéré au point de vue des résultats qu'il ajoute à la

. 1905) et dans notre mémoire (Revue Neurol., n° 22,il905), n'avons considéré que la couche sagittale externe (en insistant s

t adversaire n'a pas réussi, nous semble-t-il, à établir qu'on doit considérer comme des faits d'ordre ancien, les vues que no

er ordre d'idées, on a voulu établir l'ancienneté de faits que nous considérons comme nouveaux. Or, les renvois qu'on nous a indi

tituées, à un niveau incon- testablement antérieur à celui que nous considérons . Quant à la dégénérescence de l'écorce temporal

ence que dans le territoire de la couche sagittale externe. Reste à considérer : les lésions profondes du lobe pariétal ainsi qu

sous forme de trait d'union, entre le contingent inférieur que l'on considérait autrefois comme étant « ex- clusivement un fais

onc en sens exactement opposé qu'il faut établir le parallèle. Nous considérons , pour ainsi dire, le revers de la médaille. 578

avec le nerf olfactif dans une catégorie à part, et en plus, si l'on considère que nous n'avons qu'un seul faisceau et non deu

sitif (ganglion cérébro-rachidien). Nous n'avons pas l'intention de considérer ici l'histologie de la rétine, mais nous ferons r

du premier neurone ». A un point de vue pratique ne pourrait-on pas considérer que l'entrecroisement moteur est lui-même extra

savons que le pulvinar et le tubercule quadrijumeau antérieur sont considérés par certains auteurs comme point de départ d'un f

chich et aussi la pellagre. Les médecins de l'asile d'Abassieh ne considèrent pas l'intoxication chronique parle haschich com

eux groupes : processus phy- siologiques et processus psychiques. Considérons d'abord les processus biologiques de l'organisme

l'exclure ensuite tour à lour de chacune. L'erreur consistait à ne considérer que tels ou tels points donnés des lobes cérébr

els ou tels points donnés des lobes cérébraux, quand il fallait les considérer tous. » En outre il ajoute que toutes ces lésio

et qui sont en même temps impairs ? Comme tels sont avant tout à considérer les masses grises du corpus fornicis puis les emb

ychique inconscient déterminé. Par conséquent nous sommes forcés de considérer les masses grises du corpus fornicis impair, le

). Quant au centre qui produitces mouvements, cet auteur parait le considérer comme médullaire, l'intervention des cen- tres

an, mais avec une certaine modification. Le neurologiste de Louvain considère que la contracture de la paraplégie spasmodique

diques. Dans le cas particu- lier la circonvolution Pa ne peut être considérée comme indemne et, d'autre part, la lésion de Fa

rojection. (1) Nous ne pensons pas que l'absence de FPyD doive être considérée autrement que comme un exemple des nombreuses v

ment toléré pendant une grande partie de la vie, où l'on pouvait le considérer comme tout à fait indolore; il est dur, limité,

e depuis sa vieillesse. A parcourir l'his- toire de sa vie, loin de considérer ce cas comme un cas de trophoedème douloureux,

ue les mélancoliques se parent de quelque ornement que ce soit : je considérerai donc seulement ici la pé- riode exaltative de l

à ces esprits mobiles ou faibles qui ne 78 GAETANO BOSCHI peuvent considérer , sentir fin des choses, l'évolution des temps el

es rubans, de ses boutons, de ses colifichets. Une chose encore à considérer au sujet des ornements symboliques, c'est le te

t disparaît sans laisser jamais de traces. J'en arrive maintenant à considérer les accessoires de l'habillement que le malade

onsidérations relatives aux caractères de chaque infirmité. Il faut considérer que dans la maladie, il y a une exa- gération o

cueillir peu de notes, les résultats, qu'il est mieux maintenant de considérer tels qu'ils se présentent, accomplis, comme des

a figure 19, qui ne peut se distinguer, quant au caractère que nous considérons , des objets analogues cités ci-dessus. Un signe

ssoires du vêtement et la gravité de la maladie : Deny et Camus (1) considèrent les bizarreries du costume comme des caractéris

epré- senté dans une figure de Tanzi (1) : et la paranoïa peut être considérée comme une forme très légère de la démence paran

le délire est enraciné. Il résulte donc de tout ce que nous avons considéré que les accessoires de l'habillement constituen

des crânes m'ont montré nettement qu'il en est ainsi. Soit que l'on considère la largeur de l'occipital (mesuré à la limite de

ns les phénomènes du déve- loppement des dysostosiques. 1 Si l'on considère toutes les altérations crâniennes qui apparaissen

ment constant, mais tous sont assez fréquents pour qu'on puisse les considérer comme caractéristiques de la dysostose cléidocr

aire, au Pal, montre des lésions un peu différentes, selon que l'on considère les coupes supérieures ou inférieures. Les coup

nie. Elle n'avait ni hallucinations ni pseudo-hallucinations. On la considéra comme une Lipémaniaque. L'évolution ultérieure

rvation est intéressante à plusieurs points de vue Il y a d'abord à considérer le début brusque de la paralysie qui se développa

lement quelques granulations très fines que nous ne pourrions guère considérer comme un fait de dégénérescence pathologique du m

liniques noires est relativement moins élevé. On peut, en effet, le considérer comme réduit à la moitié de ce qu'il était au n

t très nombreuses au niveau des zones radiculaires postérieures. Il considéra cette altération comme l'expression d'un troubl

ine correspon- dante avec gliose légère des cordons postérieurs. Il considéra les deux pro- cessus comme deux faits indépenda

faisceaux pyramidaux latéraux et dans le faisceau de Flechsig. Ils considérèrent ces lésions centrales comme une xxi 10 142 G.

le second il reste intact. Il faut encore ajouter que pour ceux qui considèrent les nerfs périphériques comme des lobules (théo

s entourées encore par un mince liseré de protoplasma, peuvent être considérées comme définitivement perdues. Dans cette valu-

ent coordonné (2).' (1) CLAVEV, Thèse de Paris, 1897. (2) Quant à considérer les muscles qui ne sont pas contractés, comme éta

vaso-mo- OEDÈME PERSISTANT HÉRÉDITAIRE 195 trice est généralement considérée comme étant à l'origine de l'affection : C'est

tre un argument nouveau contre l'obstruc- tion lymphatique veineuse considérée comme cause; c'est, par conséquent, une preuve

comprendre la physiologie encore obscure de la thyroïde, il faut la considérer , avec Garnier, comme une glande à sécrétion ext

nique des troubles psychiques des basedowiens peut être aujourd'hui considérée comme complète et terminée. 214 LATGNFL-LAVASTI

me de Basedow pour que le fait plaide en faveur de l'hyperthyroïdie considérée comme condi- tion pathogénique de ce syndrome.

ns, Féré, Debove, Béclère, Pader, Robinson, etc... Il y a lieu de considérer deux cas dans les rapports qui existent entre l

Dans le premier cas, certains auteurs, comme L. N. Robinson, Pader, considèrent le syndrome de Basedow comme une manifestation de

aliser les idées de persécution. » Le professeur Raymond et Sérieux considèrent la folie des basedowiens comme une association

es physiques. L'état mental redevint normal et la guérison put être considérée comme com- plète. De même, l'observation de T

tes disparu- rent en même temps qu'au point de vue somatique on put considérer la malade comme guérie. Cependant il est dans

sur pareille remarque qu'on peut, avec L. Lévi et H. de Rothschild, considérer des cas analogues comme des types du carac- tèr

1875. Roi31-,soN (L.-N.). Eludes sur le syndrome de Graues-Basedow considéré comme manifestation de l'hystérie. Th. 1899.

inion, est caractéristique de l'affec- tion hystérique. « Si vous considérez une personne souffrant d'une hémiplégie ordinaire

est pas légal, mais que sa conscience est tranquille parce qu'il se considère comme INVOLUTION PRÉSÉNILE 251 un justicier.

strictement cette épithète, il nous semble tout au moins permis de considérer que cette seconde phase se relie à un état d'af

est relativement récente, et cela se conçoit aisément lorsque l'on considère depuis combien peu d'années nous connaissons le

qui tout à l'heure s'étendait. Ce paraplégique, en somme, peut être considéré au point de vue moteur, comme un hémiplégique d

ui vient encore à l'appui des idées de Pierre Marie et de Léri, qui considèrent l'ossification comme un processus de défense dest

ébauche de mobilité. Telle est cette curieuse observation. Faut-il considérer T... comme atteint de spondylose rhyzomélique,

s forts ; elle a toujours mené une vie très active (surtout si l'on considère sa cécité absolue), prenant normale- ment part

Résumons ce qu'il y a de remarquable dans mes trois cas. Je vais considérer : 1° l'hérédité acromégalique ; 2° le développeme

normaux qui se dilatent et par une néoformation vasculaire que l'on considère généralement comme un étal inflammatoire. M. Ha

rivé. En raison des habitudes éthy- liques de B ? ces crises furent considérées comme épilepsie alcoolique ; cela d'autant plus

Ce néoplasme cérébral a fait si peu de symptômes que le malade fut considéré comme épileptique par alcoolisme.Pendant uneannée

point de vue. Un phénomène n'est anormal que par rapport à un autre considéré comme normal. Mais c'est l'homme qui établit ce

s, cette ère d'abondance et de suracti- vité ne peut nullement être considérée comme étant de nature morbide. Celui qui consid

nullement être considérée comme étant de nature morbide. Celui qui considère cette lutte sans prendre le parti de l'homme ou c

ous soit pas encore en- tièrement connue, les milieux scientifiques considèrent actuellement la vie comme un équilibre physico-

peu en ce moment. Si nous supposons un élément de vie, nous devons considérer d'une part DE LA PATHOGÉNIE DES NÉVROSES 375

action des quelques trillons de cellules dont elle est formée et la considérer comme étant, soit une grosse cellule^ soit une

haque excitation ayant son empreinte spécifique, celle-ci peut être considérée comme étant une photographie organique ou un éq

ations qui l'entourent, n'importent donc qu'au point de vue humain. Considérés dans la nature, sans parli-pris et sans faibles

re et globalement dans l'être complexe ne change pas, soit qu'on le considère comme for- mant atmosphère aulour de l'organism

ste et, pour plus de simplicité encore,nous supposerons que l'objet considéré n'impressionne pas d'autre sens que celui de la

ine somme de vibrations lumineuses absolument personnelles au geste considéré et qui en constituent, par conséquent, un équiv

e mouvement de propagation ne s'arrête pas là ; nous n'avons encore considéré que la première partie de l'arc réflexe, son extr

de sensibilité, d'impressionnabilité la distingue des autres états considérés comme normaux. Certains enfants sont vifs et tu

mettreen rapport avec la nature des excitations nouvelles. Quand on considère la diversité des milieux et la multiplicité des

x cas, il y a attouchement médiat ou immédiat de la matière vivante considérée dans son unité ou dans ses états d'agglo- mérat

, les matrones gardent encore intacts leurs vieux privilèges, et on considère assez généralement que « c'est une indécence au

'enfance chez lui par des signes multiples, qui l'ont toujours fait considérer comme un anormal, inférieur mentalement aux aut

le fonds primitif de faiblesse mentale. Le cas de Pierre peut être considéré comme caractéristique de ce se- cond type clini

s idées de Hertoghe acceptées par Apert, Fausset et Breton, ont été considérées comme excessives par certains auteurs tels que Th

s d'infantilisme dystrophique dans lesquels la pathogénie doit être considérée comme indépendante de toute lésion primitive et p

nfantilisme de Vigoltroux et Dehnas, qui, pendant la vie, avait été considéré comme d'origine hypothyroïdienne, on trouva au

eloppement est excessif, comparé à celui du tronc ; ce fait qui est considéré par plusieurs auteurs comme un carac- tère eunu

phique un développement de l'ossification très avancé qui doit être considéré comme physiologique pour son âge ; en tout cas

étaient] manifestes. Nous ne croyons pas non plus être autorisé à considérer l'arrêt d'os.st- fication du squelette comme un

trois exemples et qui prend son nom de celui de Lo- rain, doit être considérée comme un infantilisme vrai ou plutôt, ainsi que

veloppement général à laquelle Lorain a donné son nom, doivent être considérés comme de faux infantiles et qu'on ne doive leur c

squelette. Quelques auteurs (Richon et Jeaiidelize,Schüsteî,, etc.) considèrent même la persistance des cartilages de conjugais

blation graduelle des capsules surrénales (111arenglai). ' Lusena considère l'hypophyse comme faisant partie de l'appareil pa

e possibilité et dans leurs trois observa- tions d'infantilisme ils considèrent rallongement des membres inférieurs et la persi

ion entre les faits physiologiques expérimentaux nous obligent à ne considérer qu'avec la plus grande prudence la pathogénie d

tiques de la mentalité in- fantile. Même les phénomènes psychiques, considérés , quantitativement ont des dimensions puériles :

deux soeurs on peut dire en effet que les phénomènes psychi- ques, considérés à un point de vue quantitatif, ont des dimensions

phie papillaire, mais aussi toute la cohorte des symptômes que nous considérons comme propres aux néoformations endocrâniennes.

i est fourni par l'observation de VigOU1'OltX et Delmas, ce cas fut considéré pendant la vie comme un exemple d'infantilisme

missions et intermissions qui durent des années et qui doivent être considérées au moins comme rares dans le cas de tumeur cé-

e vrai et que la soudure précoce des épi- physes n'est aucunement à considérer comme une de ses caractéristiques cliniques. '

». Ni la mère ni la fille ne me parlent des complications qu'elles considéraient , toutes les deux, comme des conséquences nature

démontré assez bien que la gangrène spontanée de la peau doit être considérée d'iniquement comme ayant un rapport très étroit

par suggestion dans une Société médicale, ne peuvént-elles pas être considérées comme une phase initiale d'une gangrène qui est,

er 3, Raymond 4, Max Lueur 5. Brissaud y est revenu récemment et la considère comme très fréquente dans la syphilis spinale (

auxquels les paralytiques sont soumis ». 1 Calmeil. De la paralysie considérée chez les aliénés, 1826. . Magnan. - Gazette des

eurs années l'éclosion de la paralysie géné- rale. Krafft-Ebing 2 considère l'amblyopie, l'amaurose comme des conséquences

sie générale ? On sait que les troubles trophiques sont aujourd'hui considérés comme des névrites, et qu'on a trouvé des névri

iématome a été décrit pour la première fois par Bird (1833). On l'a considéré depuis-comme trouble trophique. Il nous serait

ultat des troubles trophiques de la peau. Purpura. - Le purpura est considéré comme trouble circu- latoire dans la paralysie

t les lésions corticales. Axenfeld, d'après M. Rendu, déjà en 1868, considérait comme très probable la nature cen- trale du zon

calibre des gros vaisseaux. Il faut y ajouter l'anémie des régions considérées comme centres due aux mêmes modifications de le

l'épilepsie jacksonienne sont assez démonstratifs, et permettent de considérer le système nerveux central comme un réservoir d

nsidérations cliniques et sur des faits thérapeutiques, est amené à considérer comme fausse la théorie qui place le point de d

che, et son but tout particulier, qui ne peuvent nullement la faire considérer comme partie d'aucune autre science ; . 2° Qu

deux sujets, tous deux bien portants, menant une vie que l'on peut considérer comme agréable, et qui ont eu et ont encore à c

est arrivé, même au cours de la crise, à se tranquilliser et à les considérer comme un état transitoire, à réagir, par conséq

er, sans stade inflammatoire prémonitoire. Cette atrophie doit être considérée aujourd'hui comme une dégénérescence rétrograde

dent à peu près aux zones que Flechsig', contrairement à Déjerine2, considère comme dépourvues de fibres de projection, et qu

présenté tout d'abord des accidents psychiques qui les fai- saient considérer comme atteints de folie alcoolique ou de folie

rement dite, décrite comme type. Et nous sommes amené, par suite, à considérer ce type comme la résultante d'une association d

els, et n'en aurait-elle pas qu'il ne serait pas plus logique de la considérer comme une maladie qu'il ne serait logique de co

gique de la considérer comme une maladie qu'il ne serait logique de considérer l'anasarque, phase ultime com- mune à diverses

. IL Intempérance, mariages consanguins et surmenage intellectuel CONSIDÉRÉS COMME FACTEURS DANS LA PRODUCTION DES MALADIES

r 359 idiots, un quart à peine étaient nés de parents qu'on pouvait considérer comme tempérants, et les statistiques abondent

comme facteur dans la production de la folie, et que, dans les cas considérés , d'autres facteurs importants avaient concurrem

ublier les choses précédentes pour l'occuper tout entier, peut être considéré comme un petit accès épileptique avec trouble m

permet à l'auteur de conclure qu'il y a des rêves qui doivent être considérés comme des accès d'épilepsie. (Revue neurologiqu

e. L'atrophie cérébrale chronique est le type le plus important à considérer : elle est le plus souvent classée comme démence

rritable. A un degré plus avancé, quand déjà le vieillard peut être considéré comme aliéné, les facultés émotionnelles et mot

ent et des traits généraux des formes, confusionnelles et stupides, considère cependant qu'il y a intérêt à leur attribuer un

ames RUSSEL. (Rrit. aned. OUT7t., 25 septembre 1897.) L'auteur ne considère pas les affections pelviennes comme une cause d

les en distinguer d'une façon essentielle, et qu'elles doivent être considérées comme des formes aiguës, atténuées ou de début,

yroïde dont il a expérimenté les tablettes sur 50 malades, et qu'il considère comme un médicament actif. A son avis on ne doi

ion du suc thyroïdien. Le 0'' Bruce a expérimenté la cervelle qu'il considère comme un aliment plutôt que comme un médicament

la période d'excitation dans celle de calme. Le Dr Campbell Clarke considère ce traitement comme présentant un certain dan-

n PARTHER (de Keudal). (Brit. ined. jourzz., juin 1896.) L'auteur considère ce cas comme intéressant à cause de la rareté d

s, atteinte de méningo- encéphalite spécifique et dont l'état était considéré comme déses- péré. Des injections hypodermiques

iomatose avec syringomyélie, et la sarcomatose, ne doivent pas être considérés comme une coïnci- dence fortuite, d'autant plus

x cellules de Deiters dans le cerveau un rôle phagocytique : il les considère comme de véritables écu- meurs du cerveau qui a

sions ouvrières, elle est toujours plus fine chez la femme. 111. Considéré dans les deux sexes, la sensibilité à la douleur

elle renferme des fibrilles, des stries que la plupart des auteurs considèrent comme ayant des relations de continuité avec le

Une des thèses les plus intéressantes est, à coup sûr. celle qui considère l'alcoolisme comme un phénomène de biologie socia

président et fondateur : le pasteur Rochat, de Genève. L'idée de considérer le buveur comme un être en détresse morale étai

'éthérisé ? Et ne doit-on pas tenter pour l'alcoo- lisé ce que l'on considère comme tout simple pour les autres vic- times de

de vieillards indemnes de mala- dies ? Il est vrai qu'on peut alors considérer l'alcool comme un médicament. C'est un expédien

de médecin-adjoint à Villejuif me parait-elle nécessaire ; et je la considère comme le complémentindispensable de la réforme

s arrestations et ses condamnations. Le malade avait sans doute été considéré jusqu'alors comme sain, puisqu'on l'avait conda

en rangé les hypermnésies d'après leurs causes, voulant surtout les considérer comme symp- tôme morbide, mais nous n'avons pas

alades présentent quelques stigmates hystériques. 13. La bicyclette considérée au point de vie hygiénique et moral; ' par G.-l

, comme cela arrive souvent chez les simulateurs. M. SGLAS n'a pu considérer M... comme un débile : il était très VARIA. 271

en- timentale ou intellectuelle pour un individu du même sexe est considérée par la plupart des médecins comme un stig- mate

tre de quelque secours. Mais il lui répugnait de découvrir ce qu'il considérait lui-même comme une tare. Il avait renoncé à la

e, mais ne manifeste pas de répulsion anormale comme sa soeur. J'ai considéré les absences et les accès mélancoliquescomme ap

son enfance elle n'avait présenté aucune particularité qui pût être considérée comme un signe pré- curseur d'anomalies sexuell

le affirme qu'elle aurait pu continuer à résister aux actes qu'elle considère comme coupables, puisqu'elle ne s'était jamais

» Début de la marche à dix mois. L'enfant se porta fort bien et fut considérée comme très belle jusqu'à dix mois. A cette époq

x qui n'ont pas assez analysé leurs effets. Le vin pur ne peut être considéré que comme une friandise; il n'est jamais ni uti

e. Mesure politique pour ne pas effaroucher les producteurs du vin, considéré comme une richesse française ? Con- viction inc

ans la voie de la prophylaxie du crime. Scientifiquement, on doit considérer l'esprit uniquement comme la résultante de l'ac

nnés et irréguliers. L'irrégularité des mou- vements a toujours été considérée comme caractéristique de la maladie, si bien qu

athologiques de la neurasthénie, les théo- ries les plus plausibles considèrent cette affection comme la résul- tante d'une con

mptomatique ; par le D1' DcRCUM. Trop souvent la neurasthénie est considérée comme une affection vague, composée de facteurs

nique est une fatigue nerveuse dont les symptômes, suivant l'organe considéré , se groupent et s'unissent entre eux pour forme

es primaires de la maladie seront tous, quelle que soit la fonction considérée , caractérisés par la fatigue, à laquelle se joi

ses qui restent indemnes de manifesta ! ion psychosique devant être considérées comme n'ayant pas atteint leur complet développ

iagnostic entre la démence paralytique et les autres psychopathies. Considérée en elle-même, elle ne peut ni dans le tabes, ni

es divers récits doivent se corres- pondre exactement, avant d'être considérés comme une significa- tion neurologique. Après

aliénés sont mieux surveillés. Le traumatisme peut, en effet, être considéré comme un des fac- teurs principaux, bien qu'il

influence universelle, la profession médicale n'est plus maintenant considérée que comme un commerce, un trafic. Les temps ne

rche de l'avenir. A toutes les époques, le délire prophétique a été considéré par la grande masse des peuples comme un phénom

ie, ou gymnastique thérapeutique et la psychothérapie, que l'auteur considère comme le substratum thérapique de la neurothéra

uvant aussi se montrer successivement chez le même sujet. On peut considérer comme le plus simple de ces états mélancoliques

é d'action des nerfs sensibles et, par suite, chaque nerf peut être considéré comme possédant une certaine fonc- tion psychiq

6 PATHOLOGIE MENTALE. manie, et ce n'est pas sans raison que Fodéré considérait la syphilomanie comme en étroite connexion avec

ation anxieuse, les malades passent souvent de l'un à l'autre et se considèrent tantôt comme cri- minels, tantôt comme damnés e

ile se présente, celle de lama ? ture des collatérales : 1° On peut considérer les branches latérales du prolongement nerveux

indraxe et dans ses bila- térales (axone et pn·axones). Or, si nous considérons commejr9. trices, pour la plupart, les cellules

nerveuse, et en particu- lier des nerfs périphériques, v. Lenhossék considère comme invrai- semblable que ces cylindraxes tir

est sans doute une condition d'existence pour l'élément nerveux, considéré comme un petit organisme. Scloifer, Strümpell, vo

es des ganglions spinaux, l'hypothèse des excitations périphériques considérées comme nécessaires aux fonctions normales de la

externes. Les fonctions de l'élément nerveux doivent toujours être considérées comme de simples réactions à des actions extéri

courants nerveux dans la nou- velle école, alors qu'il continuait à considérer les dendrites comme des organes trophiques de l

une « révolution », disait expressé- ment Golgi, dans la manière de considérer la signification des différentes parties du neu

de la rétine, les prolongements dendritiformes ne doivent pas être considérés comme des prolongements protoplas- miques typiq

istinctes'des deux névroses, hystéro-épilepsie à crises distinctes, considérées dans les deux sexes et en particulier chez l'ho

Il parait donc que la zone limitante latérale doit être dès lors considérée comme se composant de deux symptômes presque com-

tion. (Revue neurologique, décembre 1896.) E. B. LXX. L'automatisme considéré comme une DES MA111PEST.aLIOYS DE la syphilis c

chronique. Cet automatisme observé dans l'alcoolisme chronique est considéré par plusieurs auteurs comme une manifestation d

de l'automatisme épileptique déterminé par la syphilis, ou faut-il considérer ces cas comme un état morbide développé indépen

dépendamment sur le terrain de la syphilis cérébrale ? M. Bechterew considère cette dernière manière de voir comme plus justi

igu hémorrhagique répond toujours à cette forme clinique qu'on peut considérer comme bien définie et bien autonome, et qui s'ap-

la tige cérébrale (couche optique et noyau lenticulaire), l'auteur considère les mou- vements forcés qui apparaissent à la s

r et ce qui subsiste de la moelle. On peut très vraisemblablement considérer que la néoplasie est née de la moitié gauche de

puisse permettre, comme dans le cas de M. le professeur Raymond, de considérer que nous avions affaire à des névromés de régén

omme perd la conscience de son unité intellectuelle ; il continue à considérer comme lui appartenant une partie des idées qui

appartient à la commissure poslé- térieure et que Daikscliewitscli considérait comme le noyau supé- rieur du moteur commun. Le

- nues par M. P. Marie dans un article sur l'évolution du langage considérée au point de vue de l'aphasie », paru dans le numé

diffamations injurieuses, de leurs menaces les personnes qu'elles considéraient comme leurs persécuteurs. Elles étaient très inte

ur les chirurgiens et semblait, étant donné qu'on tend de plus à ne considérer l'épi- lepsie que comme un syndrome, dont les c

gendre les range au nombre des symptômes essentiels de la- maladie, considéraient que les contractures doivent être rapportées d'

acquiert, croyons-nous, une importante valeur diagnostique, Si nous considérons par exemple le malade dont nous venons de rappo

nsolites ; elles font alors des confidences incroyables. Cet auteur considère comme bien plus rare la frigidité prématurée qu

r objet de traiter quelques points du rôle de l'alcoolisme maternel considéré comme agent de dégénérescence de la race. Il se

suré le crâne avant l'opération, mais à l'heure actuelle on ne peut considérer l'enfant comme un microcéphale ; il faut voir là

nt aux objections que posent les adversaires des colonies, l'auteur considère cette forme d'assistance comme la meilleure pou

sant sur le chiffre des admissions, réadmissions comprises. Il faut considérer ce chiffre comme une donnée absolue, mais non c

une aliénée. Le nombre des évasions est très faible surtout si l'on considère la somme de liberté dont jouissent les malades.

estre peut requérir l'admission à l'infirmerie de tout malade qu'il considère comme dangereux ou comme pouvant offenser la mo

rez. On voit que la suggestion pendant le sommeil naturel peut être considéré comme le succédané de la suggestion hypnotique

ou qui même n'ont jamais été hypnotisés. Or, il est inadmissible de considérer comme étant en état de veille complète un être

, et sa conservation. Dans la reproduction il y a lieu également de considérer deux stades : l'évocation de l'image conservée

ertit ses lecteurs qu'il ne juge pas le temps écoulé suffisant pour considérer ses malades comme guéris. Dans l'histoire qui v

re part, nos 110 0 PATHOLOGIE NERVEUSE. malades ne sauraient être considérés comme des paralytiques généraux de par l'évolut

là encore que l'exagération des réflexes tendineux ne peut pas être considérée comme un état d'imminence ou d'op- portunité de

) ou d'infections généralisées et qu'au- cune cl'elles ne peut être considérée comme caractéristique de l'intoxication cocaïui

tres sur différents mammifères. Toutes concordent pour permettre de considérer comme certain que le nerf accessoire de Willis

se pas se prononcer sur les cellules d'où émanent ce faisceau qu'il considère comme probable- ment destiné aux réflexes des o

. Dans la majorité des cas le diagnostic de tuberculome avait été considéré comme très probable, soit à cause des anamnestiqu

L'auteur rapporte deux faits qui prouvent que l'on aurait tort de considérer le diagnostic de l'apoplexie hystérique comme -fa

ne sur la microcéphalie. Il partage les conclusions de l'auteur qui considère la cranieclomie comme une opération reposant su

dentique, il n'en serait pas de même pour deux frères ou soeurs; il considère ces faits comme beaucoup plus fréquents qu'on n

ons de l'oreille observées chez les lutteurs de Tokio. M. Christian considère l'existence de l'hématome de l'oreille chez les

t bon il rappeler. Il s'agit d'une réponse de Leuret à Heinroth qui considérait la folie, non pas comme une maladie du corps, «

question des quartiers d'agités et de l'isolement en cellule, qu'il considère à juste titre comme une des plus importantes de

le de surveil-- temps, par d'éminents aliénistes français. Renaudin considère la cellule « comme une cause permanente d'excit

000 francs. La constitution matérielle n'est qu'uu des éléments il considérer . M. Rieger a complété cette installation par un

e l'importance ou par un caprice déréglé. La cécité peut alors être considéré comme une manifestation d'une certaine forme de

1'/1. de Neurologie, 1 (¡OO, 110 II.) Le traumatisme peut-il être considéré comme une cause suffi- sante du développement d

le est loin d'avoir réellement. Selon lui, la congestion cérébrale, considérée en tant qu'affection autonome, est un de ces fa

à un mauvais état de l'estomac ou à des maladies de l'oreille, sont considérés à tort comme des congestions de l'encéphale. »

constant avec le défaut de sécrétion thyroï- dienne, on est amené à considérer comme impossible la coexis- tence de ces deux m

issances spéciales de la médecine; 2° Les magistrats devraient donc considérer comme un devoir de leur charge, d'ordonner l'ex

a- lyse, mais il comporte quelques réflexions qui peuvent en être considérées comme.les véritables conclusions. Après avoir c

motif d'excuse, au point de vue pénal' ? Voici un malade ayant été considéré par tel spécialiste comme atteint de folie syst

ans, avec des antécédents de folie dans sa famille et pouvait être considéré comme un cas type de stupeur mentale. 11 eut pl

ésister et si elle avait tué son enfant, Sir James Stephen l'aurait considérée comme responsable et l'aurait punie pour ce meu

leur laissant une plus grande liberté. Pendant longtemps l'asile, considéré comme le seul instrument de traitement de la fo

connait pas la capacité civile avant vingt et un ans. 11 n'y a qu'à considérer les cas concernant la responsabilité criminelle,

la paralysie générale. M. GREIDENllEIIG. - La syphilis ne peut être considérée comme la seule cause de la paralysie générale.

ar P. Hartenberg, de Paris. Eu 1895, Freud, de Vienne, proposait de considérer comme une affection autonome et distincte de la

'anatomie, la physiologie et la pathologie du système nerveux. A ne considérer que l'étude des maladies nerveuses, nous la voy

éphale, on ne connaissait que l'anatomie grossière. La moelle était considérée comme un prolongement du cerveau, quelque chose

rd au congrès, ont fait ressortir le fait que les aliénistes russes considèrent ce régime comme une mesure très importante qui

sédatifs puissants tels que la duboisine, l'hyos- cine, les autres considéraient tout cela barbare ; enfin les uns voyaient dans

système » dans l'organisation géné- rale de l'asile, d'autres ne le considéraient que comme un procédé thérapeutique dans les cas

e ce système comprend principalement ceci : 1° l'u- sage du lit est considéré comme un élément essentiel du trai- tement, et

durée du séjour an lit pour chaque individu et que la nécessité de considérer l'élat du malade sous ce rapport pénètre tout l

es maladies aiguës et tous ceux qui venaient d'entrer à l'asile. Je considère également l'orga- nisation spéciale de la surve

ations de la maladie, les psychiques entre autres, bien entendu. Je considère comme faux de concentrer les soins de ce genre

s'en servent il côté du régime au lit. C'est pourquoi je renonce à considérer le non-usage des cellules comme un élément indi

en général être utile ou nuisible, et cependant plu- sieurs de nous considèrent comme élément principal de ce régime le séjour

u système de l'alitement sont les suivantes : a) l'usage du lit est considéré comme un élément essentiel du traitement ; b) l

voir eu de goitre antécédent. On sait que cette particularité a été considérée comme très im- portante dans la pathogénie des

ASEDOW POST-TYPIIOÏDIQUE. 295 dite, de la paresthésie des mains. Il considère ce signe comme l'indice d'un trouble fonctionne

rrivé à penser que certaines parties du cerveau seules doivent être considérées comme un accumulateur. Ce sont les centres perc

a façon de penser moderne au point de vue des vices mentaux, est de considérer la pathologie et la classification comme mutuel

pileptiques qui étaient éga- lement des imbéciles. Le D' Echeverria considère les états mor- bides comme étant de caractère a

us simple, le plus naturel et le plus général, à des aliénés, a été considérée comme un système presque nouveau et spécial ; o

t de vue de la curabilité : 1° L'alitement est loin de pouvoir être considéré comme une méthode de traitement devant être gén

, l'observation de cas analogues prouve qu'il ne faut pas seulement considérer les fonctions auditives du centre auditif dans

is, en général, ce fait, significatif en principe, n'est pas encore considéré comme suffisant. Or, on peut montrer que non se

peut-être par l'excitation des autres centres d'association. 11 les considère donc comme les vrais organes de l'esprit et de

ieuses morbides de la période avancée de la vie qui ne peuvent être considérées comme des phases d'autres formes de la folie. E

inest une ma- ladie du début de la sénescence. Peut-être faut-il la considérer comme l'expression maladive de ce sentiment spé

us grande que chez les parents. Un certain nombre de sujets étaient considérés comme des originaux, des inquiets, des minutieu

la capitale que de la province est encore à la vieille routine, qui considère l'hémiplégie comme un pis-aller de la situation e

ge plus vite qu'un hémiplégique. La vue d'un membre immobile, qu'il considère avec tous les siens comme mort, l'effraie. On e

s les cas des hémiplégiques, nous la laissons souvent de côté et la considérons comme un agent peu utile, lorsqu'on masse les r

t située à proximité des autres cliniques universitaires, peut être considérée comme un établissement modèle au point de vue h

Avec la plupart des aliénistes contemporains, M. Hitzig a toujours considéré l'influence des barreaux aux fenêtres comme fâche

r l'examen des questions médico-légales qu'elle soulève2. M. Hitzig considère la folie des quérulants comme une forme du déli

général. M. Grashey admet l'existence de l'épi- lepsie alcoolique, considère les équivalents psychiques comme plus fréquents

es). Tous les phénomènes de cette première catégorie peuvent être considérés comme de véritables hallucinations. A part la not

er 404 REVUE d'électrophysiologie ET d'électrothérapie. peut être considérée comme un signe certain de l'envahissement du mu

e et que jusqu'à présent la réaction de dégénérescence ne peut être considérée comme un signe apparte- nant aux atrophies musc

s d'une manière uniforme. La. division adoptée par Flechsig, qui ne considère que- les fibres de- projection des voies sensor

gement ; par le professeur Gras- SET (de Montpellier). M. Grasset considère l'appareil nerveux kinesthésique et les modes d

est enterré dans un rapport d'asile. L'essentiel reste toujours de considérer ce syndrome SECTION DE NEUROLOGIE. 421 comme

inférieure du noyau lenticulaire; 4° Etat « fromage de gruyère » considéré par certains auteurs comme une lésion véritable

génération psy- chique ordinairement héréditaire. On a droit de les considérer comme des stigmates de cette dégénérescence. La

parente d'obsession de même que de perversion sexuelle ne peut être considérée préliminaire- ment que comme l'indice d'une dég

ins, vu sa dégénérescence psychique, dont le pré- venu ne peut être considéré coupable, sa culpabilité devrait être atténuée

ificat de placement dans un asile; il serait certainement abusif de considérer comme aliénés tous les épileptiques sans distin

ntes dans le monde et quelques-uns d'entre eux sont universellement considérés comme des grands hommes. D'ailleurs la gratuité

oi du 30 juin 1838 doit, à notre sens, être revisée pour qu'elle ne considère plus simplement comme des aliénés à enfermer le

en 1897 : 280 malades (153 hommes, 127 femmes). M. Kraepelin, qui considère les quartiers de surveillance continue LES CLIN

nt remplir dans l'assistance des aliénés les asiles urbains, et les considérait comme une nécessité pour toute ville et pour to

x brûlures graves et étendues, de même que ceux du vernissage, sont considérés comme le résultat d'une auto-intoxication que l

s cutanés ou tendineux et ses recherches nouvelles qui le portent à considérer le noyau rouge comme un centre réflexe importan

fesseur IIITZIG (de Halle). -- S'il en est ainsi, il sera permis de considérer cette augmentation du réflexe non pas comme un

royait le temps perdu du réflexe patellaire trop court, parce qu'on considérait les réflexes cutanés comme des réflexes spinaux

r disparaître. Je crois donc que le phénomène de Brissaud doit être considéré comme le minimum de réaction du réflexe cutané

et cervicale y entrent obliquement. Les zones de Flechsig seront considérées . 510 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE.- II.

chez les paralytiques généraux,, organes qui ont tout récemment été considérés par quelques, auteurs comme des organes de cont

un véritable coude bien apparent sur notre seconde figure. Si nous considérons maintenant les fibres optiques au niveau de la

est également vrai, quel que soit le point du nerf optique que l'on considère . Les figures 8 et 9 représentant du reste ce ne

t placées au premier plan. Elles ont fini par amener la malade à se considérer comme un être privilégié éprouvé par le martyre

ue-là, avait eu pleine conscience de ses obses- sions, arrive à les considérer comme le fait d'un mauvais esprit. Elle qui dis

ts troubles psychologiques sont plus faciles à saisir lorsqu'on les considère dans leurs rapports directs avec l'obsession, i

nt étaient alors confondues sous le nom de paralysies, c'est-à-dire considérées comme des phéno- mènes de déficit dus à la dest

tous les cas dans lesquels les contractions musculaires volontaires considérées isolément sont conser- vées et sensiblement nor

la pathogénie : alors seulement on pourra décider si, dans l'espèce considérée , la rééducation trouve ses indications, parmi s

, nous espérons en avoir fait justice et nous estimons qu'on peut considérer comme bien établies désormais les proposi- tion

de traitement. LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 67 Enfin plusieurs auteurs considèrent Mortimer Granville comme l'initiateur de la mét

tion tonique à des déplace- ments intempestifs du segment de membre considéré , on comprend que le rétablissement des associat

rééducation. Depuis que nous savons mieux traiter le tabes, nous ne considérons plus cette maladie comme une affection à évolut

les malades et instructif pour les médecins, il ne faudrait pas le considérer comme don- nant la mesure de l'amélioration que

peu d'années encore, le tabes était, pourlagrande majorité des cas, considéré comme une maladie sans appel, presque fatalemen

uses sur toute la hauteur du névraxe. En résumé, ce cas « peut être considéré comme une expérience de laboratoire qui prouver

t d'affirmer l'existence d'un tabes'fruste. Ce cas permet donc de considérer comme tabétiques avérés un certain nombre de mala

nologique, pour se limiter à l'Etho- lologie individuelle, qu'il va considérer au point de vue métaphy- sique, physiologique e

ances organiques plus ou moins nettement localisées ; les autres ne considèrent que l'activité particulière du système nerveux. M

ilité variable du système nerveux : Kant, Seeland, Wundt paraissent considérer ce dernier comme isolé dans l'organisme.'Le tem

lictueux qu'il a pu commettre. Ils montrent que trop souvent il est considéré par les tribunaux comme responsable de ses acte

Maran- don, rattache la folie imposée à la folie communiquée. Il considère la première comme une forme de transition avec la

tranchés. M. Jeerger divise les conta- minés en deux catégories, et considère la transmission de la maladie d'une part, de l'

Lasègue Falret, sous le nom de folie communiquée ; M. Pro- nier la considère comme la première étape de la folie par communi

mais où nous nous éloignons de sa manière de voir, c'est lorsqu'il considère que le sujet passif ne peut jamais avoir d'hall

s du sujet actif, sans jamais rien créer par lui-même. Il doit être considéré pendant ce laps de temps comme étant en dépenda

ui viennent se surajouter aux premiers. Il y a donc deux éléments à considérer dans le délire du sujet passif : les idées déli

imposée. Tous les auteurs, sauf récemment M. Nina Rodriguès'. les considèrent comme responsables de leurs actes. Com- Nina Ro

Nina Rodriguès. Loc. cil. 154 CLINIQUE MENTALE. ment, cependant, considérer comme responsables de leurs actes des individus

ffet, que dans les folies imposées, les sujets passifs doivent être considérés comme étant en état suggestif, état qui aliène

t ce laps de temps, ils doivent être, au point de vue médico-légal, considérés comme absolument irresponsables. ' Dans les f

s toutes les formes de folie par contagion ; 3° il y a nécessité de considérer , au point de vue médico-légal, les sujets passi

point les avis des aliénistes sont encore partagés ; quel- ques-uns considèrent ces phénomènes morbides comme des troubles liés

emander, si jamais, commettant quelque acte délictueux, elle serait considérée comme responsable. Ces idées envahissent totale

: la dégénérescence. Relativement au terrain, jamais on ne pourrait considérer ces troubles comme trois maladies distinctes ad

s et appartiennent au domaine de la psychiatrie. Seuls doivent être considérés comme des criminels proprement dits les individ

qui consiste à ne pas réserver toute son atten- tion au crime, et à considérer non moins soigneusement le crimi- nel; l'adopti

ide céphalo-rachidien ne contenait pas de lymphocytes. M. Joefroy considère l'examen du liquide rachidien, par ponction lom

ymptomatologie de la syringomyélie qui, pour tous les médecins, est considérée exclusivement comme une affection de la moelle

s'harmoniser avec l'idée d'une morale absolue. Aussi le Dr Bordier considère-t -il la morale comme tou- jours en devenir; elle

a exercé la sagacité des observateurs et qui- aujourd'hui peut être considéré comme définitive- ment tranché. A part Ollier e

écoule des considérations qui précèdent. On ne se contentera pas de considérer comme psychose post-opératoire tout trouble de

T-OPÉRATOIRES. 219 De la sorte, on se trouve amené à n'avoir plus à considérer que deux délires post-opératoires : le délire s

, hormis les cas de.septicémie généralisée, la guéri- son peut être considérée comme la règle. Il en est tout autrement dans l

l'opinion des auteurs qui, pour des raisons exposées ailleurs, les considèrent encore comme produites de toutes pièces et dire

qu'on a abusé de cette forme, car les auteurs ont ici bien souvent considéré comme du tic la grimace que fait le malade lors

, causes de différentes variétés de névralgie faciale, peuvent être considérés également comme un véri- table traitement spéci

it thé- baïque a donné d'assez bons résultats pour qu'on l'ait pu considérer comme un traitement de choix. Toutefois, il faut

ication des élec- trodes est, suivant certains auteurs, également à considérer , Bordier rejette absolument le cuivre, le laito

éralement qu'une durée de dix minutes est suffisante; elle est même considérée par certains auteurs comme une application long

accès délirant précédent d'angoisse et d'hypochondrie, on les avait considérés comme des actes impulsifs probablement commis d

: 1NDOUZY et M. Labbé {Presse médicale, 19 août 1899). Les auteurs considèrent comme insuffisamment justifiée la dis- tinction

signalent les analogies qui existent et les cas qui pourraient être considérés comme une transition entre les deux formes. il.

de cas et qu'il n'y a jusqu'à ce jour que deux cas qui peuvent être considérés comme indiscutables, celui de Monnesco (1889) e

ée pour l'alcoolisme, la malaria, le saturnisme. Enfin, lorsqu'on considère la fréquence des altérations vascu- laires et p

urtout de néphrites aiguës. 292 ) sociétés savantes. M. 1'nLncL considère qu'il est important de distinguer les symp- tôm

M. Dejerine. Ce n'est pas la première fois que la méningite a été considérée comme l'accident primitif du tabes. Cette idée av

e par Vulpian, mais après plus ample étude il y avait renoncé et il considérai les lésions méningitiques comme consécutives au

éningitiques comme consécutives aux lésions des racines. M. Marie considère que la r.»gion postérieure de la moelle forme n

oint de vue mental qu'au point de vue physique. 1 M. Bérillon. Je considère comme très inexacte l'expression de : suggestio

il est juste de défalquer ces ma- lades du chiffre des décès et de considérer 54 décès sur une popu- lation traitée de 700 ma

supérieur, mais la plupart se sont arrêtés à la névrectomie qui est considérée actuellement comme une intervention simple et b

de type aux interventions péri- phériques. On y a recours lorsqu'on considère comme témé- raire d'aborder le tronc lui-même d

toires du côté de l'appareil oculaire, complications, qui, bien que considérées par Krause comme secondaires, ont pu aboutir à

leur médiocre inten- sité, de leur courte durée. Aussi la malade se considère-t -elle comme guérie. Notons comme époques les plu

e, maladie tenue comme la plus accidentelle des psychopathies, et considérée généralement comme se développant ordinai- nair

tement marqués, les autres sont simple- ment esquissés. - . Il faut considérer comme symptômes cons- tants : la diminution de

sident annonce ensuite la mort de M. Febvré ; ce collègue doit être considéré comme le prototype du médecin d'asile auquel ri

physionomie bien définie et bien particulière, qui porte à la faire considérer comme l'image motrice la plus intense et la plu

ièrement le chapitre cousacré au torticolis mental, que les auteurs considèrent comme l'un des tics les plus fixes et les plus

ode thérapeutique, et MM. Meige et Feindel ont absolument raison de considérer le traitement rééducateur et psychothérapique q

ques, ni épileptiques, ne doivent pas nécessairement pour cela être considérés comme neurasthéniques et que dans l'observation

des publications successives, sur l'intérêt de la névrose anxieuse considérée comme terrain d'éclosion des obsessions et des

dans son dernier et remarquable ouvrage, M. Pierre Janet propose de considérer comme autonome, sous lenomdepsychasthénie, un t

ptômes que son opinion diffère de la nôtre. On peut donc, en somme, considérer le syndrome clinique de la névrose d'angoisse c

une fille, la maison se tenoit heureuse de pouvoir l'admettre, sans considérer si elle avoit de l'argent ou si elle n'en avoit

s actifs qui n'ont rien de perma- nent, le foetus peut et doit être considéré dans l'utérus, non seu- lement comme un être vi

cadente des Osmanlis. Ce qui autorise encore, ajoute M. Porak, à ne considérer que comme étant de pures coïncidences les cas d

ux vibrations du diapason : ni la peau ni le muscle ne peuvent être considérés comme les organes percep- teurs des vibrations

de telle sorte que ces malheureux sont dénués de tout, maltraités, considérés comme des bêtes curieuses, inventoriés comme de

En tout cas, une fois le système en vigueur, l'objection peut être considérée comme négli- geable, les preuves se manifestant

la nuit pour faciliter la surveillance. Leur usage est généralement considéré comme une faveur accordée à des malades tranqui

traversa plusieurs pièces et alla ouvrirje coffret. La guérison fut considérée comme obtenue car elle se leva, depuis, tous le

a conception psyoho-pathotogique de l'obsession : avec Morel, ils considèrent l'émotion comme l'élément primitif et fondamental

leur place en nosographie. Notons seulement que MM. Pitres et Régis considèrent l'obsession comme un état mixte, neuro-psycho-

aissant que Mussy a des tares héréditaires sérieuses, il ne peut le considérer comme un irresponsable. C'est à coup sur, dit-i

2· série, t. XV. 32 498 CLINIQUE NERVEUSE. On est très porté à la considérer comme une perversion instinctive congénitale :

a tenu une grande place dans le début de la déchéance : on peut la considérer comme un symptôme. La grand'mère y voit une cau

parla simple représentation. Cette circonstance peut per- mettre de considérer la perversion comme acquise. L'on peut admettre

mple important pour bien montrer que l'auteur, depuis dix ans déjà, considère l'hystérie comme un état psychique particulier,

tinées à des malades bruyants (ronfleurs), mais ne doivent pas être considérées comme des cellules pour sujets dangereux : les

dins servent seulement de limite au domaine, mais ne sauraient être considérées comme pouvant em- pécher les évasions. Un seul

rapt, et décidées à faire un mau- vais parti aux inspecteurs qu'ils considéraient comme d'odieux ravisseurs. L'agent en umforme q

me avec l'arme qu'il tenait toujours à la main. L'état de Navel est considéré comme déses- péré. Lautier pourra être sauvé. L

savez, le nom de signe de Romberg. 1 Classiquement, ce symptôme est considéré comme une dépen- dance et une conséquence de la

des caractères communs aux tics généralisés; aussi, convient-il de considérer les uns et les autres comme relevant d'une même

c; ces derniers sont de beaucoup les plus fréquents, aussi nous les considérerons dans les diverses positions prises par la malad

'attribuer les mouvements de J... à l'hystérie, et par suite de les considérer comme des spasmes hystériques ? Ici, cette hypo

reconnue de la tuberculose et de l'arthritisme qui, cependant, sont considérés comme deux des principaux facteurs des maladies

ques instants avant, de donner un tour de clef; mais on ne saurait considérer ces allées et venues comme des obsessions patho

e hystérique à l'attaque de sommeil hystérique; elle doit donc être considérée comme une attaque hystéro-épileptique modifiée

est de l'exagération des réflexes, bien que rare- ' Il ne faut pas considérer ceci comme un argument absolu. Non seulement la

lysie dans le membre infé- rieur ; donc il n'y a pas de raison pour considérer la monoplé- . gie brachiale comme de nature dif

la série n'est pas finie et que certains cas quotidiens qui étaient considérés comme étant des cas isolés, doivent être consid

ens qui étaient considérés comme étant des cas isolés, doivent être considérés comme faisant partie d'une série durant plusieu

rmis de prédire un nouvel accès convulsif chez une malade qui était considérée jusqu'à ce jour comme présentant des accès isol

isolé et qui tout de suite a de l'hypertoxicité urinaire peut être considéré comme guéri et indemne d'un retour offensif ass

g des éclamptiques, c'est-à-dire à ces malades que certains auteurs considèrent comme atteints d'épilepsie aiguë, on ne peut qu

ou moins soudaine des convulsions et des paralysies était autrefois considérée comme un miracle théra- peutique du meilleur al

e veulent pas se déplacer. Laissons là ces intermédiaires pour ne considérer que les seuls suppliants venus pour eux-mêmes.

alades consultèrent des chirurgiens célèbres; la plupart de ceux-ci considérèrent , parait-il, l'affection du sein comme étant de

t il n'y a pas long- temps encore, de leur nature véritable faisait considérer comme incurables. Tels ces faits de troubles tr

ts sur la méthode orientale d'élongation de la moelle. Nous pouvons considérer trois temps dans l'application de cette méthode

toute autre cause susceptible d'expliquer leur développement, à les considérer comme subordonnés à des perturbations physiques

de l'ouïe. L'hallucination ne peut donc pas être dans tous les cas considérée comme caractère différentiel absolu entre les p

és les uns des autres par des intervalles de santé. Quant à vouloir considérer cette affection comme un cas de « paranoïa seco

ion : M. le Dr Netchaiew rappelle à ce propos l'opinion de Roux qui considère la paralysie de Landry comme une forme de la ra

des troubles, simulant la gliomatose médullaire, par l'hystérie, il considère ce cas, comme appartenant au groupe des trouble

gie et la pathologie des émotions. Toutefois, une émotion peut être considérée comme morbide, lorsque ses accompagnements phys

ervateurs. Au point de vue physiologique, la manie est généralement considérée comme l'antithèse de la mélancolie. Pour M. Fér

ère au' système nerveux ou un état dépressif curable de ce système, Considérer tous les états émotifs comme des stigmates de d

que le traitement comporte deux points de vue, celui de l'individu considéré seul, ou comme membre d'une collectivité. Aussi

es aliénés incurables, c) examiner les' individus que les autorités considèrent comme donnant des signes d'aliénation mentale,

Varsovie est fixée à 420 malades, hommes bu femmes, lOi d'entre eux considérés comme incurables, mais capables de travailler,

'ignorez pas que ce grand groupe que Duchenne, il y a trente ans, considérait comme constituant une unité homogène, s'est auj

écrit une forme juvénile d'atro- phie musculaire progressive, qu'il considère comme analogue, ou pour mieux dire, comme franc

e fut décrite, en premier lieu, par Duchenne (de Boulogne) qui la considérait comme étant de même nature que l'atrophie mus-

335.) . 202 PATHOLOGIE NERVEUSE. merlin ? et que ces auteurs les considéraient comme des vaisseaux oblitérés, opinion que lui-

llement, il nous paraisse légi- time jusqu'à plus ample informé, de considérer , ces formations comme normales, nous devons néa

héréditaire. Aussi l'hérédité des myopathies ne saurait- elle être considérée comme une preuve en faveur de leur ori- gine ne

eux des impulsions à proférer des injures, qu'on pourrait peut-être considérer comme une variété de la coprolalie. Larro... pa

D'autre part, quelques conditions mentales qui sont universellement considérées comme caractéristiques d'une maladie sont, en f

us de ce que de- mande le monde qui nous entoure, qu'on ne peut les considérer que comme rudimentaires. D'autre part des cen

e comme rudimentaires. D'autre part des centaines de personnes sont considérées comme malades, dont les esprits sont plus que l

trict avec la réalité, et cependant, à cause de cela même, nous les considérons comme aliénés : par exemple, REVUE DE PATHOLOGI

est encore pas mal de régions au Japon où l'aliénation mentale est considérée comme, soit le châtiment d'une haute divinité,

plus une maladie est ancienne, plus rare en est la guérison. Mais, considérée en soi, l'augmentation du poids dans les maladi

ent jusqu'à la deux cent quatre- vingtième séance et put alors être considérée comme définitive, car la continuation du traite

REVUE DU PATHOLOGIE NERVEUSE. paralysie spasmodique peut-elle être considérée comme un type symptomatique concret. C'est à vo

bilité), tous 80 SOCIÉTÉS SAVANTES. - phénomènes qui doivent être considérés comme des phénomènes d'excitation d'ordre moleu

coup de ressemblance avec celle de certains animaux, et peut être considérée comme un exemple d'atavisme par les évolutionisle

t bien certain de guérir de l'opération; mais ce qu'il faut le plus considérer , ce sont les conséquences futures, l'amélioration

elque doute au sujet du.diagnostic, il l'aurait exposé et se serait considéré simplement comme un instrument en faisant le tr

tte décision déclare que « les exhibitions de jeûneurs doivent être considérées comme immorales et criminelles ' et devraient ê

l'avenir. - (Progrès médical.) . SCAPULAIIiE anticholérique. Nous considérons comme un devoir de reproduire la réclame suivan

cette pathogénie, on conçoit fort bien pourquoi il est légitime de considérer les divers types 1 HaUion.J ? oct</Ke primit

ucune particularité qui, d'elle-même, nous donnerait le droit de le considérer catégoriquement comme une variété à part. Dans

it là d'un trouble primordial et très général de l'activité mentale considérée surtout dans ses manifestations volontaires. .

EVUE DE PATHOLOGIE MENTALE . ON 1 fréquent chez la femme, peut être considéré comme une psychose tardive, ne se montrant souv

, mais il ne leur attribue qu'un rôle tout à fait secondaire et les considère simplement comme des auxiliaires de la syphilis

une autre forme, à caractères un peu spéciaux, et que Krafl,-Ebing considère comme rare, c'est la paranoïa alcoo- lique ; su

ul une malade se rappro- chant beaucoup de celle de M. Voisin qu'il considère comme une dégénérée. Son délire n'est qu'un des

me si vers la quarantaine ils perdent leurs cheveux. M. A. Voisin considère aussi la syphilis comme une cause peu fréquente

lus étendue, décrit et développe les diverses formes de l'inversion considérées dans leurs causes directes, leurs manifestation

possédera un système d'alarme convenable, on ne peut pas encore le considérer comme parfaitement protégé tant qu'on n'y aura

ts, mais il y a là un devoir évident pour les autorités qui devront considérer comme un avertissement ces morts inutiles, et f

la plus riche collection de documents relatifs^ l'hys- térie, mais considérait comme plus scientifique de ne pas donner, au mo

s inconnus, en outre, pour donner quelque unité à cette étude, nous considérons surtout les auteurs qui ont examiné le côté men

it calme et indifférent ? Néan- moins, l'étude de Briquet peut être considérée comme le point de départ des recherches psychol

Moebius pour formuler une défini- tion de cette maladie : « On peut considérer , dit-il 2, comme hystériques toutes les modific

rps, l'ovaire ou l'épigastre pour que la décharge se produise. 3° Considérons des accidents plus précisément moraux, des déli

sorte deux personnalités. Le somnambulisme le plus simple doit être considéré comme identique à ces grands phénomènes de doub

s loin, et M. Charcot a établi depuis longtemps une notion que nous considérons comme essentielle pour l'interprétation de l'hy

que et du somnambulisme peut se poursuivre jusque dans les détails. Considérons , en effet, le début de l'attaque ou les procédé

piratoires sans signification précise. Il nous semble que l'on peut considérer ces attitudes et ces contorsions comme des mani

arée de la première. Ces remarques nous avaient conduit autrefois à considérer ces dissociations des phénomènes psychologiques

ni ictus apoplectique, ni paralysie motrice ; aussi, pouvons- nous considérer les uns et les autres comme l'expression d'une

fesseur Iioaevrrmor. croit que beaucoup de symptômes qu'on pourrait considérer comme centraux, dans les névrites aiguës, dépen

ph1'cnicus. Quant aux modifications destructives, M. Kojevnikof les considère comme possibles, quoique peu fréquentes. Dans n

e mineure, lui à refusé son consentement. Son idée fixe l'a amené à considérer le père de la jeune fille comme son ennemi et à

, c'est-à-dire à l'existence d'un état psychopathique qui doit être considéré non comme une affection psychique acquise par u

ant quelconque pour une jeune fille et je ne sache pas qu'on puisse considérer ces passions comme morbides. Quant à la Verrù

agnostic. Il se pourrait très bien que le même moteur pathologique, considéré , dans son action physio- logique, dans des cond

lla barbue. Bien qu'il ne le dise pas expressément, Hippocrate semble considérer la continence forcée, à laquelle elle était conda

t d'ailleurs les autres portraits de.la reine, permettent-elles de la considérer comme une femme à barbe? Pour nous cela n'est pas

d'hypersuggestibilité excessif; étant hypersuggestibles, on doit les considérer comme justiciables de la psychothérapie. Les joue

de la Logique sociale et de dix autres ouvrages définitifs doit être considéré comme l'un des précurseurs, de la Science sociale

rtance à l'existence de la barbe chez leurs prêtresses, puisqu'ils la considéraient comme un présage de malheur. Les femmes à barbe

inin, a reçu cet attribut, cela tendrait à prouver que la barbe était considérée comme un attrait par les Assyriens et plus tard p

ributs, la nature mâle et femelle, c'est-à-dire la terre nourricière, considérée comme créatrice et aussi comme une force puissant

g. 65). Le caducée que le personnage tient à la main a d'ailleurs été considéré par divers auteurs et en particulier par Félix La

l, réuni dans cette effigie les attributs des deux sexes, en tant que considérée comme à la fois mâle et femelle (1)- Macrobe

our trouver, dans la nécropole d'Ama-ihonte, une figure qui peut être considérée comme une des représentations de l'Aphrodite barb

héologues se sont rangés à son opinion et en particulier M. Dcell qui considère qu'il s'agit bien là de l'Aphrodite barbue d'Ama-

ssives, la tète de la Gorgone est devenue un simple masque grimaçant, considéré par les anciens comme une amulette douée de la pr

s, admettaient l'extase dans leur théorie, et l'Ecole d'Alexandrie la considérait comme le fond de son dogme. (') Mais la science

te. Marie-Louise nous en offre un bel exemple. En effet, nous pouvons considérer cette jeune fille comme complètement guérie de sa

rendus de l'Association française pour l'avancement des sciences. considérait comme le plus indispensable à l'être humain dont

amenées dans notre conception des facultés intellectuelles de l'homme considéré comme le terme le plus élevé d'une série animale

eau. Beaucoup d'individus redoutent les bains de rivière ou de mer et considèrent leur usage comme un véritable supplice. C'était p

t ne voulut pas se baigner. En réalité, le soldat Boisset doit être considéré comme la victime d'une véritable erreur judiciair

e et des attributs des deux sexes. Codin nous apprend que les Romains considéraient Vénus comme chargée de présider à la génération u

eptée dans l'antiquité et que le fait de leur existence n'était pas considéré comme invraisemblable. » • # Xous avons eu so

ristianisme, obéissant au besoin de se soustraire à des règles qu'ils considéraient comme tropétroites,lesgnostiquesdonnèrent libre c

elle-même. Chaque éon ayant la puissance créatrice en lui-même était considéré et représenté comme androgyne, ce qui est constat

le D* Pamart, assistant à l'Institut psycho-physiologique. Si nous considérons l'hypnose à ses différents degrés, depuis le simp

ndu, un grand nombre d'habitants ne partagent pas cette opinion et ne considèrent l'usage de la roue à carillon que comme un vestig

veux rouges : c'est peut-être à ces particularités qu'elle doitd'étre considérée comme un fétiche. Avant le départ, on lui demande

sorcier. Combien de ces femmes n'ont dû qu'à leur menton barbu d'être considérées comme sorcières et livrées au bûcher. Chez cell

otion de femmes pieuses, chez lesquelles l'apparition de la barbe fut considérée comme se rattachant à des manifestations d'ordre

une très intéressante discussion. Celui du D'Cuylitz, sur le Travail considéré comme agent thérapeutique, contenait également de

n menton (fig. 94). Les femmes à barbe sont, on le voit, très mal considérées par le clergé, même quand elles sont vierges et m

faire sa crédulité. Chez les sorcières, l'existence de la barbe était considérée comme un signe de demonisme, chez les pieuses fem

eille, lui avait consacré un article dans le Marseille médical. Il le considérait comme une victime de la syphilis héréditaire. Un

ulant honorer la mémoire du regretté docteur Liébeault, qui peut être considéré comme le créateur de la psychothérapie, l'Ecole d

t qu'Astarté est Aphrodite ». Or, Baal et Astarté étaient tellement considérés comme inséparables qu'ils en arrivaient à se conf

sses, démontrant par là que la barbe ne doit pas être, chez une femme considérée comme un signe de stérilité. Trois de ses enfan

ue dans lequel vit l'individu normal. Le trauma seul ne doit pas être considéré comme une cause efficiente; la constitution de la

nt disposée à exagérer plus ou moins dans la crainte de voir son état considéré comme meilleur qu'il n'est. Ce dernier cas se pré

intéresse seul ici, les secours et le traitement initial peuvent être considérés comme un trouble psychique. Le traitement psychiq

réflexes rotuliens, un effort pendant lequel les groupes musculaires considérés restent à l'état de relâchement complet. A. C.

lupart des oiseaux. La barbe est donc l'apanage de l'homme et on la considère comme l'ornement naturel d'un visage visage viril

aut-il leur accorder dans l'évolution des races humaines. Doit-on les considérer , d'après la théorie de Brandt, comme des pionnier

par le développement des lettres, des sciences et des arts peut être considérée comme un des peuples dont l'évolution semble la p

mages mentales. Que faut-il entendre par là? A titre d'exemple, considérons ce qui se passe chez les jeunes élèves, quand ils

juste, le professeur lui marque une mauvaise note et finit par le considérer comme un paresseux. Voyant ses efforts si peu cou

dord le Traité des névroses, dans lequel il exposait toutes les idées considérées il y a peu de temps comme des nouveautés. Puis tr

; ne pas faire de la lésion le substratum de la maladie, mais bien la considérer comme une étape, un incident de celle-ci, et par

. Cette dernière façon d'envisager les choses a amené M. Babinsky à considérer que l'hystérie doit être définie par le fait que

eu près égale à zéro et chez lesquels la suggestibilité est énorme. Considérer le sommeil provoqué uniquement comme un moyen d'a

é, sans surveillance, en tête-à-tête avec la pièce de monnaie ; il la considéra , mais ne la prit point. A la séance suivante ce

Martial Vergnolle. Dans la fatigue musculaire deux éléments sont à considérer : 1 ° L'élément subjectif. La contraction muscul

eillard) la force de se soustraire à son attaque ne doivent plus être considérés comme des suggestions, mais comme des chocs psych

ressive de la thérapeutique suggestive à l'abus des drogues peut être considérée comme un immense service rendu à l'humanité. Il

ume remarquable ayant pour titre : Du sommeil et des états analogues, considérés surtout au point de vue de l'action du moral sur

e en matière dans son livre sur le Sommeil paru en 1866 : « Si l'on considère , écrit-il, l'un après l'autre, les signes de la f

t sa vaillante plume et nous adressa la lettre suivante que l'on peut considérer comme l'expression de son testament scientifique

s ainsi ; mais il vivait dans un pays où les fonctionnaires sont plus considérés par les pouvoirs publics, que les inventeurs et q

es phénomènes décrits sous le nom de grand hypnotisme ne doivent être considérés que comme la signature de l'hystérie. Chaque ma

ans de ces crises. Enfin sa famille résolut d'avoir recours au remède considéré comme souverain et de la conduire auprès du père

ai déjà entretenus il y a un an. Elève du Conservatoire, M. X. est considéré par son professeur et par ses camarades comme un

s les « non officiels ». C'est relever le prestige d'un ordre qu'on a considéré pendant longtemps comme réservé uniquement à l'an

ion. Dès celle époque, de nombreuses observations m'avaient amené à considérer les divers étais d'intimidation comme des étals a

e là, !a timidité, envisagée dans son sens le plus général, peut être considérée comme (1) L'une portant des reliques 'La Fontai

ennent d'eux-mêmes recourir à la psychothérapie méthodique. Ils ne se considèrent pas comme des malades. Us demandent simplement au

mentale que par ï'éloignement de celui qui les a intimidés. Si nous considérons comme une Umidite normale, celle que tout homme p

té d'agir conformément à son intention, on est tout à fait fondé à la considérer comme la manifestation d'un état pathologique.

nt, la logique et toutes les forces de la nature employées. Plus on considère le mécanisme complexe qui pousse un malade chez s

ois a paraphrasé. Tout a été dit avant lui sur ce sujet. Et l'on peut considérer son livre comme une contribution à l'action de la

a psychothérapie et il écrit dans son livre : s Aucun de ceux qui ont considéré la suggestion hypnotique comme rejetabîe et super

ses maisons, mais elle était renvoyée de partout parce que les uns la considéraient comme une ivrogne, les autres comme une somnambul

en compagnie de gens ivres on lui proposait de boire, parce qu'on le considérait comme un buveur, et il avait honte de refuser. II

uels est venu se joindre le physiologiste Brown-Séquart, ont toujours considéré le sommeil nerveux comme le résultat de l'inhibit

invertis sexuels avec leurs-semblables et avec les hétérosexuels ? Considérons d'abord le moment où l'homme ou la femme homosexu

ngles ei aussi l'opinion qui en fait un signe de dégénérescence. Il considère qu'il y a là une exagération manifeste. Pour lui,

de se dévorer les ongles, depuis le matin jusqu'au soir, devrait être considéré comme un signe de supériorité intellectuelle II a

ognates inférieurs se sont indignés à la pensée qu'ils pouvaient être considérés comme des dégénérés. De plus, le D' Galippe n'a

le de nature essentielle, sans cause apparente : on est autorisé à la considérer comme une manifestation de la dégénérescence héré

ûter et aimer le beau. C'est de cette façon que le compositeur doit considérer le public pour lequel il écrit et qui sera appelé

u avec lui. Si La Bruyère voit dans la jalousie un vice honteux, il considère l'émulation comme une vertu, a un sentiment volon

n symptôme révélateur d'autres anomalies, et cela de façon constante. Considérer ce symptôme comme négligeable, ou comme digne de

ure à susciter quelques doutes à l'égard de propositions actuellement considérées comme des dogmes intangibles. Des expériences a

Qu'un spectacle soit terrifiant par lui-même ou qu'il soit simplement considéré comme tel. l'effet peut être également néfaste.

sieurs autres personnes. La deuxième séance de la section peut-être considérée comme une synthèse de toutes les activités qui on

leur est familier. Le phénomène de la prise du regard pourrait être considéré comme une polarisation momentanée de l'attention

n'arrive que parce qu'ils généralisent trop vite. Ainsi, après avoir considéré longtemps les distributions de prix comme le pins

unales, au Lycée de jeunes filles de Lyon, etc) et on va même jusqu'à considérer les distributions comme immorales ! Une consult

e. Chez eux. les premiers étaient exaltés, comblés d'honneurs. On les considérait comme les princes, les ducs d'une nouvelle féodal

AKSPEABE Mon cher directeur, Il y a longtemps que Fonychophagie est considérée comme un symptôme névropathique. Shakspeare dont

la faculté, pendant la durée de l'épreuve, d'user du régime qu'elles considéraient comme le meilleur. Le premier qui renonça » l

utant de répugnance pour un uraniste que parce qu'on est habitué à le considérer comme un maie ; qu'on le considère comme une feme

que parce qu'on est habitué à le considérer comme un maie ; qu'on le considère comme une femelle, et alors tout préjugé disparaî

elle meurt en Quelques minutes. Pour ce qui concerne les émotions, considérées comme facteurs de troubles ou de lésions de l'app

est deux caractères, la simulation et le mensonge, qu'on s'est plu à considérer comme des stigmates particuliers à l'hystérie, et

une détermination soudaine, irréfléchie mais que rien n'autorise à la considérer comme une comédie grossière jouée par des simulat

re qu'elle, honnête femme, puisse être atteinte d'une maladie qu'elle considère comme infamante. Déjà ces crises avaient éveillé

ées, elle en a assez, elle aspire au repos absolu. Ses crises qu'elle considère comme un stigmate d'une maladie infamante, ne lui

se psychologique de la malade dans la période de sa vie qui peut être considérée comme l'état de santé. Dans cette période la pers

pter par certains maîtres que deux ou plusieurs copies pouvaient être considérées comme d'égale valeur. Beaucoup s'ingéniaient à re

t insuffisante. Beaucoup d'excellents esprits ont encore le tort de considérer certaines, matières de l'enseignement comme infér

es, dont le titre était : * Autour d'un jardin », peut être justement considérée comme un des modèles du genre. Point de palmarès

des impubères), ou qui n'encourage pas la prostitution mâle, peut se considérer comme utile à la marche de la civilisation, ou du

pousse vraiment un peu loin la mystification. Le professeur Noecke considère le syndicat des invertis comme une œuvre belle et

ui ont leur valeur. On peut dire que toute idée de suicide, doit être considérée en dehors de la névrose qui l'accompagne, que c'e

éaliser. Bans l'appréciation du devenir de ces malades, il faut moins considérer la névrose et l'idée de suicide en présence desqu

ès grande part, de Vhumbug ; quant à 'hypnose chez les enfants, je la considère , dans tous les cas, comme un méfait ». (Compte-re

à rendre l'hypnose thérapeutique tout à fait sans danger. Mais Ziehen considère comme une plaisanterie ces efforts pour obtenir d

mbien le traitement hypnotique est favorable aux enfants, Kraepelin considère que les cas les plus justiciables du traitement h

e nouvelle hypnose au besoin du morphinomane pour la morphine ; il la considère comme aussi dangereuse. Janet montre clairement

la considère comme aussi dangereuse. Janet montre clairement qu'il considère cette passion somnambulique comme quelque chose d

onc le désir qu'a le malade d'être hypnotisé, à moins qu'on ne puisse considérer comme spécifique son désespoir en face de la rech

gument contre les suites spécifiques nuisibles de l'hypnose lorsqu'il considère la passion somnambulique comme analogue à ce qu'i

onnaître son intention de changer le programme de la revue. Il semble considérer que l'hypnotisme est maintenant aussi accepté qu'

'est Justement lorsqu'il se trouve apppelé k raser une personne qu'il considère comme un bon client qne son anxiété apparaît et d

ant, puisque mon confrère M. le Dr Rollin. qui me l'avait adressé, le considère comme guéri. « Personne ne sera surpris du cara

les distinguer des tésanies véritables. Il est en effet difficile de considérer comme un symptôme d'alié' nation mentale des sens

l on doit tant d'ingénieuses observations sur la physiologie du goût, considère que sans la participation de l'odorat, il n'y a p

Il en résulte que le parfait dégustateur devra par ce seul fait être considéré comme doué d'une acuité olfactive très développée

tiseur se tenir par exemple une heure dans une passivité complète. Je considère que le travail de l'hypnotiseur est, dans cet

les détails (1). Xous n'y reviendrons pas, car les résultats que nous considérons comme acquis peuvent tenir dans les quelques prop

e qui devait être vigilante pour assurer son salut immédiat, l'animal considéré laissait dormir ses principales fonctions psychiq

p l'un de l'autre ; mais le vide est comblé entre les deux, si on les considère , comme on doit le faire à la suite de notre analy

et de son érudition psychologique. Plusieurs d'entre eux peuvent être considérés comme des maîtres de l'hypnotisme, car ils ont pu

ent été touchés par une personne autre qu'elle (3). Cette hyperosmie. considérée alors comme une simple singularité physiologie;ue

Gomorrho. Chez les Grecs, au contraire, l'amour homosexuel n'est pas considéré comme anormal. ? est même une source d'actions be

que l'individu normal apparaît complètement insensible. Lorsque nous considérons combien faible et passagère est l'excitation prod

ologique. Le fait est certainement encore plus démonstratif si l'on considère que chez beaucoup d'individus l'action de l'aiman

l, proclament une conception toute moderne et scientifique de la vie. Considérons de plus près ces entités religieuses. Nous y voyo

e qui doit être admis sans conteste en thérapeutique, c'est celui qui considère que toute méthode de traitement qui ne repose que

orce de les ressusciter. Ces soi-disant visions et promesses firent considérer Dorothée Boiler aux yeux de sa communauté comme u

ur la guerre, Tous les hommes d'esprit réfléchi sont d'accord pour la considérer comme un terrible fléau. Elle est assurément un m

bien connu, écrit-il. de tous ceux qui ont voyagé que les blancs sont considérés comme ayant une odeur fade : les Annamites, les C

influence curative snr la nicotinomanie. L'abus du tabac doit être considéré comme une maladie et traité comme telle. L'hypnot

s saisissons l'hypnotisme en son entier, et je crois que quiconque ne considère pas l'hypnotisme au point de vue du sommeil et du

ent en honneur c à cause de la certitude des résultats * et on ne les considérait pas alors comme des sciences expérimentales. Jans