hystériques. L'alcool, en effet, développe fréquemment des états de
conscience
tout à fait sembla- bles à ceux des épileptique
ne femme de 22 ans présentant des phénomènes très curieux de-double
conscience
, et dont l'observation abrégée a été publiée da
aux de dents et que dans l'état suivant elle n'avait ni souvenir ni
conscience
de la douleur. 11° Sa santé générale variait se
pation du grand cerveau, prouvant qu'ilne peut avoir d'organe de la
conscience
, le travail plastique du grand cerveau, les aut
débarrasseront d'un pa- rent devenu encombrant : mais qui peut, en
conscience
, le leur reprocher, s'il est vrai que tout alié
esponsabilité directe : et les Préfets en ont aujourd'hui tellement
conscience
qu'ils se rangent toujours à l'opinion du médec
. Violences. Délire incohérent. 11 se calme rapidement, a nettement
conscience
de son état mental, présente à nouveau un accès
remords ; il reste imlilférent. L^ fugues sont accomplies en pleine
conscience
. La multiplicité des fugues, qui ne s'accompagn
vrir un appareil photo- graphique perdu la veille il ne sait oit La
conscience
des malades pendant leurs fugues est, sinon abs
circulaires. 2° Fugues de l'état second alcoolique. L'état de la
conscience
n'est pas connu, mais bien que l'amnésie soit c
uir les conséquences d'actes délictueux. IV. Débilité mentale. La
conscience
et la mémoire des fugues sont intactes ou plus
ues du début de la paralysie générale (période mé- dico-légale). La
conscience
et la mémoire sont à peu près nettes ; en elle-
e la démence conf4>;·. 134 RrVlr DE PATHOLOGIE NERVEUSE* mée :
Conscience
et mémoire nulles ou vagues ; la fugue n'a ni b
cessation des forces, sans dormir ni manger. VI. Démence sénile.
Conscience
et mémoire nulles ; les fugues sont faites au h
, sem- blables à celles des alcooliques ; 2" fugues d'impulsion ;
conscience
et mémoire obscurcies. La fugue débute brus- qu
lité des hémisphères avait été opposée à l'unité fondamentale-de la
conscience
et prise pour point de dé- part de l'explicatio
s ou moins complet de ce que nous appellerons la personnalité ou la
conscience
... pour expliquer de la façon la plus nette les
couté : D. négligea la question primordiale de la persistance de la
conscience
, de la connaissance temporaire,par le sujet,des
es,de deux volontés. de deux actions distinctes, l'une dont il a la
conscience
, l'autre dont il n'a pas conscience » ; les rêv
distinctes, l'une dont il a la conscience, l'autre dont il n'a pas
conscience
» ; les rêves ; les« faits d'atten- tion multip
, cité, d'après P. JaneL,1894) rapprocha le dévelop- pement de deux
consciences
parallèles, observé par lui chez les médiums et
s qui s'y rattachent (attribution de chaque personnalité ou état de
conscience
à l'un des hémisphères, etc.) ont été facilemen
de Dumontpallier et de Myers respectent l'unité fondamentale de la
conscience
; de plus, comme elles n'ad- mettent pas la dup
onnées de chaque hé- misphère peuvent occuper seules le champ de la
conscience
pen- dant un certain temps, tout en laissant pa
les Artiozoaires et étend le dualisme à l'organisme entier et à la
conscience
; de cette conscience double fondamentale elle
tend le dualisme à l'organisme entier et à la conscience ; de cette
conscience
double fondamentale elle fait sortir une consci
ence ; de cette conscience double fondamentale elle fait sortir une
conscience
sim- ple. Pour réaliser cet étonnant tour de fo
et surtout pour la vie psychologique : chacun d'eux, en effet, à sa
conscience
, sa sensibilité, sa mémoire, son expérience et
mal, apparaît un principe supérieur qui à la vie des co-êtres, à la
conscience
double fait succéder la conscience unique, la R
ui à la vie des co-êtres, à la conscience double fait succéder la
conscience
unique, la Raison supérieure, là Volonté libre
, se substitue à eux, superpose entièrement ou partielle- ment sa
conscience
aux leurs, ou enfin s'ajoute simple- ment,avec
s, ou enfin s'ajoute simple- ment,avec ou sans soudure des états de
conscience
: les hy- pothèses ne manquent pas. Le Moi qui
rieurs à ceux des co-êtres : le plus important, c'est celui dont la
conscience
elle-même ne permet pas de douter : la liberté.
es enfin les notions de bien et de mal. Donc dans le duplicisme, la
conscience
, au lieu d'être « mobile et fugace », comme la
cisme, la conscience, au lieu d'être « mobile et fugace », comme la
conscience
[proprement dite] du dé- terminisme (sic) conti
nce [proprement dite] du dé- terminisme (sic) contient,en véritable
conscience
[morale] l des données stables, communes à tous
t pas même connue de lui. - 2° 11 est difficile d'admettre que « la
conscience
réside immédiate- ment dans l'écorce» et y perç
l : chez l'adulte, en effet, gouverné par le oc moi supérieur », la
conscience
ne les connaît pas. Chez l'enfant, avant l'appa
con- cepts abstraits ou généraux sans avoir en même temps dans la
conscience
les termes qui les expriment directe- ment ou p
alternative se traduit par l'apparition de deux séries d'états de
conscience
. Il est évident, d'autre part, que la synthèse de
ident, d'autre part, que la synthèse de sensa- tions ou d'états 'de
conscience
qui implique les formes de temps et d'espace et
x sensations et actes de l'autre, niais encore connaît ses états de
conscience
primitivement et à mesure qu'ils se succèdent ;
succèdent ; nous verrons plus loin ce qu'on peut penser de ces deux
consciences
contiguës, mais, dans là seconde hypothèse, que
ssible de dissocier .ces sensations du reste du contenu de Fêtât de
conscience
, et, d'autre part, l'idée d'étendue intervient,
rois ans et ne s'est pas démenti un seul instant. Le retour de la
conscience
après l'évanouissement. M. Lionel 1)aoiunc se d
ent ne comporte pas, tout d'abord, la cons- cience à l'état pur, la
conscience
inhabitée pourrait-on dire, la simple conscienc
e à l'état pur, la conscience inhabitée pourrait-on dire, la simple
conscience
de soi, en dehors de tout état affectif ou intel-
M. Les aboulies sont constituées par une associa- tion d'états de
conscience
parmi lesquels les plus apparents sont l'indéci
n a fort bien formulé : « La douleur mo- rale est le résultat de la
conscience
que le sujet prend de son arrêt mental par suit
Dans ces cas, la douleur morale luit un moment dans le champ de la
conscience
et ne fait place qu'au bout d'un certain temps
coordonnent les associations d'idées ». Dans la démence précoce, la
conscience
est moins claire et le raisonnement moins bien
en synthè- ses partielles qui se détachent de plus en plus de la
conscience
, tendent il devenir autonomes et finissent même
n entier ». ' Il y a donc une invasion progressive du champ de la
conscience
par le sentiment de transformation et « toutes
nt aux troubles des perceptions sen- sorielles et cénesthésiques.La
conscience
est donc atteinte dès le début dans sa source m
e, je sais, que ce que je viens de dire ne partait pas du coeur, ma
conscience
est chargée (le malade avait des idées de suicide
indépendante de la première : le lien de chaque série ou état de
conscience
est représenté par le sentiment que le sujet a de
ent et exclusi- vement associée dans l'esprit du sujet à un état de
conscience
donné. On dit avec raison que dans tous ces c
cience donné. On dit avec raison que dans tous ces cas il y a des
consciences
, voire même des personnalités successives : quo
ive, riche en associa- tions de toutes sortes, survivre à l'état de
conscience
au cours du- quel elle a été reçue et se prolon
t-à-dire de toutes les sensations restées au-dessous du seuil de la
conscience
mais capables de le franchir sous l'action de l
ent classi- ques que l'on désigne sous la rubrique de cas de double
conscience
simultanée, et qui, comme les précédents, ont l
coups de chaque heure en écoutant son mterlocuteur, n'ont pas deux
consciences
, mais deux séries d'associations, séries dont,
bien ne pas l'être du tout, sortir définitivement du domaine de la
conscience
, mais pourtant se manifester à l'extérieur non
nt des associations entre états ou syndromes organiques et états de
conscience
. Dans tous les cas de synthèse mentale défectue
s groupements soit entre eux, soit avec une série donnée d'états de
conscience
, c'est-à-dire une personnalité. Ainsi, le sujet
et pour des causes multiples, avec une série synthétique d'états de
conscience
suc- cessifs, c'est-à-dire une personnalité bie
xemple est aussi bien connu du rappel d'une série donnée d'états de
conscience
par la suggestion de l'in- capaciîé fonctionnel
uefois très difficile. L'alliance entre certaines séries d'états de
conscience
etcertams troubles organiques dépend donc de ci
dit le dupliciste, d'avoir, grâce à Rousseau, cette « cons- cience,
conscience
! voix divine ! »que nous ne savions où placer
avions où placer d'ailleurs. Il nous en faut deux maintenant, une
conscience
. et une subsconscience qui feront même par- foi
e doute l'invraisemblable confusion commise par l'Auteur entre la
conscience
morale et la conscience proprement dite. Quant
ble confusion commise par l'Auteur entre la conscience morale et la
conscience
proprement dite. Quant à la « conscience succes
la conscience morale et la conscience proprement dite. Quant à la «
conscience
successive de M. Ribot [que l'Auteur oppose à l
té » ; de plus « s'il faut que j'admette que l'homme a le don d'une
conscience
protéique (sic), il est logique d'admettre que
personnalités ayant chacune sa mémoire » (p. 30), « d'une double
conscience
simultanée » (p. 29) ; ils ont eux-mêmes décrit
ie et la systématique qui s'adaptaient à la formation directe d'une
conscience
unique condui- sent en réalité à l'existence de
une conscience unique condui- sent en réalité à l'existence de deux
consciences
inter- médiaires, de suivre pas à pas la format
es inter- médiaires, de suivre pas à pas la formation de ces deux
consciences
en partant des organes ou paires d'organes visc
r son « caractère » et régir à lui seul une longue série d'états de
conscience
. Le lien est évident; nul besoin d'explication
t),en même temps que la persistance et la réapparition d'un état de
conscience
donné, des trou- bles (aphasiques) qui relèvent
il faudrait avant tout démontrer que les im- pressions et états de
conscience
anciens, dont le réveil- constitue l'une des pe
e menés à bonne fin malgré l'intervention de la gauche. « L'état de
conscience
correspondant (die aktuelle Psyché) serait dit
phère gauche) n'aurait (halle) aucune influence sur les états de
conscience
dont lesubslratum est dans l'hémisphère droit (au
açons, trop compréhensif. Admettons que, dans les cas envisagés, la
conscience
ait pu avoir pour subs- trat les engrammes et p
substitution d'une «psyché» il une autre. Ce qui fait le fond de la
conscience
et passera partiel- lement au premier plan une
0.> : 301 1 ' PSYCHOLOGIE. leurs même pas à spécifier à quelle
conscience
(un des co-êtres ou le moi) se rattache chaque
eu de l'acteur,peut très bien ne pas occuper tout le cham p de la
conscience
et laisser place non seulement à des juge- ment
on congénère, s'il est d'autre part distinct du moi, qui a pourtant
conscience
et de l'acte et' de la réprobation, si l'acte,
obation, si l'acte, par conséquent, est connu deux fois,si enfin la
conscience
du co-être est connue au moins d'elle-même, san
est fait que de souvenirs et de raisonnements. Mais y-a-t-il deux
consciences
; les deux groupes ne sont ils pas con- tenus d
des d'un côté, les mouvements du même côté. La persis- tance de la
conscience
, ou au moins de certains souvenirs récents de l
ns somatiques,rien ne prouve que chaque excitant soit connu par une
conscience
qui ne connaît pas l'autre,car les impressions
as l'autre,car les impressions peuvent disparaî- tre du champ de la
conscience
lors même que persistent leurs manifestations e
stations extérieures ; inversement, la mani- festation d'un état de
conscience
peut persister alors que la conscience est ocup
ni- festation d'un état de conscience peut persister alors que la
conscience
est ocupée par une représentation différente mê
moteurs ou sensitifs dimidiés et les dédoublements apparents de la
conscience
, d'une part, et l'indépendance fonctionnelle de
de nos deux individua- lités... »;il y aurait à l'état normal deux
consciences
co- existantes pouvant se communiquer leurs imp
pouvant aussi garder leur indépendance. Cha- cune d'elles, puisque
conscience
elle est, apourtant droit à un « sentiment d'id
seule existence et dispenser de toute explication. Si, en effet, la
conscience
devenait une, par exemple, par « subordination
t mis en relief, cette délibération en soi-même, ces hésitations de
conscience
...resteraient inexpliquées malgré les efforts d
sme trans- versal. Mais, quoiqu'il soit très logique de parler de
conscience
et de subconscience, il est évident que le dual
au caractère commun à tous ces ac- tes, celui d'être accompagné de
Conscience
. Cherchons donc, avant de passer aux attributs
ique des co-êtres et à voir si la vie psychique de chacun d'eux, sa
conscience
, peut-on dire par abréviation, peut coexister a
données de l'observation interne, seule bon juge en l'espèce. 2°
Conscience
des co-êtres. L'Auteur ne l'étudié jamais en el
cience de gauche,par exemple, étant remplie par une sen- sation, la
conscience
de droite l'est-elle aussi et simulta- nément p
la même sensation ? Non, d'après les données mêmes du problème. La
conscience
de gauche communi- que t-elle la sensation à ce
Je con- tinue donc : en effet,un fait psychologique commun à deux
consciences
n'est plus un,mais deux faits psychologiques. D
cons- cience du co-être qui la fait,comment est-elle connue de la
conscience
à qui elle est destinée ? Elle ne peut pas l'être
e est destinée ? Elle ne peut pas l'être de la même facon que de la
conscience
de celui qui la fait, sans quoi nous retomberio
tout d'abord, de la lo- caliser, puis dela supposer connue des deux
consciences
, en l'absence, ou plutôt indépendamment du moi
ôt indépendamment du moi ! Concluons donc provisoirement que, si la
conscience
d'un co-être, c'est-à-dire d'un animal simple i
mal simple idéal, est possible, l'Auteur n'a pas su démontrer cette
conscience
chez l'animal conjugué, ce qui revenait uniquem
l conjugué, ce qui revenait uniquement à montrer l'indépendance des
consciences
des deux co-êtres .en se réservant, il est vrai
entent d'une collaboration instinctive et in- consciente : les deux
consciences
ne communiqueraient pas et seraient parfaitemen
a vie purement instinctive et d'y menti er la manifestation de deux
consciences
distinctes, apparte- nant à des êtres à tendanc
s'ensuit » (p. 92). Ré- duisons pour plus de sûreté la donnée de la
conscience
du co-être à sa plus grande simplicité, laissan
, laissant de côté la question de l'indépendance,et voyons si cette
conscience
est justifiée par les nouvelles considérations
prouver que les réactions de chacune de cel- les-ci traduisaient la
conscience
des excitations. En des- cendant jusqu'aux anim
s, il a condamné lui-même son système. Admettons néanmoins que la
conscience
du co-être soit possible : quel peut être son c
r- mer que chez lui, comme chez certains hypnotisés, les états de
conscience
s'intégrassent en deux sériesparallè- les. Le f
hone gardent bien chacune leur existence propre. Chez l'adulte,la
conscience
du co-être ne peut pas être confondue avec cell
du moi, en être, par exemple, le de- gré inférieur, représenter la
conscience
spontanée ou élé- mentaire de la personne : en
sser ses impulsions. Or on a vu que l'Auteur proclame l'unité de la
conscience
: c'est du reste la donnée fondamentale de l'ob
aîtrait que les manifesta- tions lorsqu'elles impressionneraient sa
conscience
pro- pre. Différente de celle du moi, inconnue
pre. Différente de celle du moi, inconnue de la psycholo- ' gie,la
conscience
du co-être se connaîtrait-plie elle-même en d'a
cas qui permettrait d'envi- sager cette possibilité est celui où la
conscience
du moi serait fermée, puisque l'observation int
isque l'observation interne affirme com- me constante l'unité de la
conscience
. Or, ce cas n'existe pas : une intégration, un
e. Or, ce cas n'existe pas : une intégration, un système d'états de
conscience
peut se manifester seul, avons-nous vu, en cas
abituelle, et telles aussi qué leur réintégration avec les états de
conscience
antérieurs soit à jamais impossible. Mais on a
es avec le dup licisme. Il en est de même pour ceux de « dou- ble
conscience
» simultanée. ' Donc en aucun cas, la conscienc
ux de « dou- ble conscience » simultanée. ' Donc en aucun cas, la
conscience
qui est en scène n'est celle du co-êtr'3.Du res
i que l'individu qui agit (en un seul sens ou en deux) manifeste la
conscience
du moi. Inconnue de tout ce qui peut connaître,
ne se manifeste jamais,même d'après les prémisses de l'Auteur, la
conscience
du co-être ne se connaît pas elle-même,car tout
pas à elle seule une négation de la biindividua- lité, puisque une
conscience
unique préside en réalité à l'exercice des facu
our qui n'y % oit pas l'effet d'une double individualité ; les deux
consciences
individuelles se fondraient en une seule ! Mais
que t*ai[, que devient le mui ? 1-t-il cun- naissance des faits de
conscience
des co-êtres ,¡ Uui,puisqu'apr6s la manifestati
au nom de la Personne humaine.» (p. 107). Voilà donc que les trois
consciences
n'en feraient maintenant plus qu'une ; voilà le
voit aussi dans le rêve un effet de l'ab- sence du « contrôle de la
conscience
raisonnante, de la conscience supérieure, la me
et de l'ab- sence du « contrôle de la conscience raisonnante, de la
conscience
supérieure, la mentalité (sic) des deux co-être
lucinations hypnagogi- ques, démontrent particulièrement combien la
conscience
ne peut comprendre d'états divers : le dormeur,
il voit les deux actes à la fois, il les embrasse tous deux dans sa
conscience
: le duplicisme longitudinal n'a rien à voir ic
Si, au contraire, le moi se voit en rêve réellement dédoublé, il a
conscience
du dédouble- ment, et, par cela même, de son un
e de sa thèse : la part de l'individu double, c'est-à-dire des deux
consciences
coexistantes différant par leur contenu, dans les
et Moi sont à la fois en scène,quels sont les rapports de ces trois
consciences
? Le problème n'est même pas posé. Dans les éta
icisme n'a pas songé à expli- quer quels sont les rapports des deux
consciences
en présence ? Comment les co-êtres peuvent-ils
tablissements d'aliénés. ART. 15. Toute personne majeure qui, ayant
conscience
de son état d'aliénation mentale, demande à êtr
ses malades. Il leur doit tous les traitements que lui dic- tent sa
conscience
et la science. La loi respecte, du reste, ce pr
use de la paralysie. Mais cette anesthésie n'est que la perte de la
conscience
des sensations, car dans certains cas le sujet
fait y réagit cependant automatiquement. Mais si ce n'est que la
conscience
des sensations qui est perdue dans l'anesthésie
paralysie devrait être au prorata de la subconscience ou de l'in-
conscience
. Or il n'en est lien. Et puis à quoi tiennent e
lien. Et puis à quoi tiennent eux-mêmes les différents degrés de la
conscience
et de la subconsoience ? Quel en est le substra
interpré- tateur : cela tient à un rétrécissement du champ de la
conscience
qui ne peut plus embrasser dans une seule synth
e de pouvoir de représenta- tion, par rétrécissement du champ de la
conscience
, par amnésie systématisée, etc. Tout se rédui
n des images, tandis que le cerveau psy- chique est le centre de la
conscience
, de la conservation et de l'évocation de ces mê
nt croire à certains observateurs que l'hystérique simule ou que la
conscience
seulement est atteinte, alors que les perceptio
ar aboulie, ou par distraction. le Dire dans ce cas que le champ de
conscience
est dimi- nué, que la synthèse personnelle ne s
ux excitations du dehors, ne les transmet- ' tant plus au centre de
conscience
, de synthèse person- nelle, ne répondant plus à
ne répondant plus à l'évocation partie de ce der- nier, le champ de
conscience
se trouve diminué d'au- 11 Voir le Mécanisme de
tissement quelconque le conduisit à faire une place à l'unité de la
conscience
. Mais le siège était fait : les deux coêtres ét
x coêtres étaient maitres totius .subs- lantiæ ; la dualité de leur
conscience
surnageait définiti- (1) Voiries numéros de mar
e- ment et rigoureusement déduits»(p.91) : lemoi,expression de la
conscience
unique,dominant les coêtres, attendant encore s
té, « de ce concours », et de cela seulement (p. 105) que naît la
conscience
unique « propriété essentielle de la personna-
sonna- lité ». Nous verrons dans un instant les rapports de cette
conscience
avec les deux consciences originelles. Reprenon
rons dans un instant les rapports de cette conscience avec les deux
consciences
originelles. Reprenons les détails de la format
- son, la Volonté de la personne humaine » (p. 58). Pour- tant,la
conscience
du moi reste complètement indépen- dante de cel
es différentes faces sans voir qu'elle contredit son système : « La
Conscience
est l'état de.l'Homme qui se sent en jouissance
ar rap- port à nos deux coêtres » (p. 111). Il se reflète « en sa
conscience
... dans tout le secret de ses organes les plus
on du sentiment de l'unité, de l'identité dans le temps. Dans cette
conscience
, cer- tains processus, l'effort, la perception
identité perçue ou consciente, quand on les met eu présence de deux
consciences
distinctes ? 'Comment peuvent-ils d'abord deven
eule,ou du moins/tout en laissant persister l'indépendance des deux
consciences
,en tirer une conscience ? Il est évident qu'ici
laissant persister l'indépendance des deux consciences,en tirer une
conscience
? Il est évident qu'ici encore l'Auteur a été t
inexpliqué étant donnée la duplicité fon- damentale attribuée à la
conscience
: il est simplement affirmé et reste incompréhe
simplement affirmé et reste incompréhensible. Rapports des trois
consciences
. Les trois consciences sont nécessaires,et quoi
t reste incompréhensible. Rapports des trois consciences. Les trois
consciences
sont nécessaires,et quoique l'Auteur dise souve
tes seulement, le Moi,l'Etre complet, n'en a pas moins besoin d'une
conscience
qui lui soit propre. D'ailleurs,puisque les tro
si l'individualité, l'indépendance de chacun, ne réside pas dans sa
conscience
,où peut-on bien la chercher ? Donc, inéluctable
rmation de la troisième soit restée inexplicable, non pas une seule
conscience
à triple face, d'un modèle particulier, une con
as une seule conscience à triple face, d'un modèle particulier, une
conscience
à trois voies,si l'on veut, simple en haut, bif
en haut, bifide en bas. . Quels sont donc les rapports de ces trois
consciences
, rapports inconnus et rapports connus du sujet
itre consacré au moi, et dans les chapitres suivants la dualité des
consciences
des coêtres : il met ceux-ci en scène, par exem
uvent être connus de plusieurs personnes, c'est-à-dire de plusieurs
consciences
, il n'en est pas de même pour des faits psychol
core qu'un fait psychologique ne peut pas être connu de plusieurs
consciences
? Or,quelle est,dans la délibération, la consci
de plusieurs consciences ? Or,quelle est,dans la délibération, la
conscience
qui a connaissance des arguments pour et contre
nutiles mais ici inadmissibles. Je ne puis admettre en effet que ma
conscience
succède à une autre : cela ne satis- ferait ni
s les actes de la délibération, ni le sentiment de l'identité de la
conscience
ou du moi qui a assisté à la sé- rie de ces act
ette soudure, ce raccord, se répéterait à chaque intervention de la
conscience
du moi : les rap- ports des trois consciences d
que intervention de la conscience du moi : les rap- ports des trois
consciences
deviendraient-ils alors conce- vables ? . La
a prudence dans le tra- vail ». D'autre part, l'Auteur restreint la
conscience
du moi aux faits psychiques les plus élevés, si
ent que le Moi prend de la conformité aux lois de l'Étre que gît la
conscience
» » (p.107).La conscience du moi n'interviendrai
a conformité aux lois de l'Étre que gît la conscience» » (p.107).La
conscience
du moi n'interviendrait-elle donc qu'à de certa
vie psychique ? Il y aurait alors ac- cord immédiat avec celle des
consciences
des coêtres qui était antérieurement en activit
u duplicisme ; les états psychiques dans lesquels interviendrait la
conscience
supérieure ne se soudent pas entre eux comme un
at premier antérieur : ils continuent simplement le dernier état de
conscience
, quel qu'en aît été le con- tenu : ils appartie
quel qu'en aît été le con- tenu : ils appartiennent donc à la même
conscience
. Bien plus, tous les états de conscience ne dif
partiennent donc à la même conscience. Bien plus, tous les états de
conscience
ne diffèrent pas essen- 37li PSYCHOLOGIE. tie
t séparer une volition ou une délibérationdu reste du contenu de la
conscience
: c'est par un moyen semblable que l'Auteur a r
subconscience large et presque constante des faits « inférieurs » ;
conscience
claire réservée aux seuls faits où se révèle 1'
se fasse, autre- ment le «Moi » mourrait d'inanition. Ace moment,la
conscience
du Moi, ou, plus simplement, le Moi connaîtra t
autant que possible leduplicisme, force est bien de le quitter : la
conscience
SUR LA SYMÉTRIE BILATERALE DU CORPS. 377 Î re
.du'moi et des coêtres sont inconciliables avec l'attribution d'une
conscience
propre à chacun de ceux-ci. Le moi pourra être
ait psychologique, un évènement intérieur unique connu de plusieurs
consciences
. Si je supposais, au contraire, que les états s
l'Auteur, la donnée fondamentale et irrécu- sable de l'unité de la
conscience
est incompréhensible dans le duplicisme et inco
c'est rendre plus incroyable ce monstrueux mystère d'une trinité de
consciences
en une seule personne,ou réduire le lecteur à d
ychiques simples,tels que l'impression faite par un mo- tif sur une
conscience
, connus directement, accaparés par trois consci
- tif sur une conscience, connus directement, accaparés par trois
consciences
; ou bien des faits psychiques non seule- ment
plicisme démontre donc lui-même que, dans la réalité, l'Unité de la
conscience
ne provient pas des actes psychiques qu'il cons
t et s'affirme ou peut s'affirmer à l'occasion de tous les faits de
conscience
,contrairement aux assertions du duplicisme, n'e
in- terprétation qui nous aurait échappé. Substrat matériel de la
conscience
unique. Le moi'est un potentat dispensé de tout
ans ses actes les plus simples (je pense, donc je suis), le Moi n'a
conscience
de son existence que « dans l'acte de délibérat
rmées,peuvent prendre naissance, soit un mouvement, soit un état de
conscience
, soit les deux à la fois, et comment, grâce au
ns, ou, plus généralement, des modifications successives de notre
conscience
, c'est-à-dire du monde intérieur. Quand on consi-
plexes : les composants coenes- thésiques et affectifs de l'état de
conscience
,au moment de la déli- bération, participent tou
omme les éléments de pure connais- sance à l'évocation des états de
conscience
antérieurs qui ont con- tenu les divers motifs.
répartissent pres- que toujours et naturellement entre des états de
conscience
de teinte affective opposée. De ces derniers,
é, ou rempli, par une sensation intercurrente ou tout autre état de
conscience
complètement étranger à l'objet de la délibérat
ient.ainsi qu'on l'a vu pour la tentative de retour à l'unité de la
conscience
, pourla description et l'inter- prétation des a
CORPS. 85 quer ou faire admettre leur présence simultanée dans la
conscience
qui va choisir ou concilier. La contribution du
'existence d'une raison inaccessible aux motifs et libre puisque la
conscience
le dit ! ccC'estlerlloi qui évoque les motifs,
caractère qu'il attribue à cette liberté : la Iiiiii- tation : « la
conscience
est le débat incessant entre les deux coêtres.
ne confusion, dont nous au- rons bientôt la démonstration, entre la
conscience
propre- i SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS.
ropre- i SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 387 ment dite et la
conscience
morale. « La conscience ains i comprise, c'est-
IE BILATÉRALE DU CORPS. 387 ment dite et la conscience morale. « La
conscience
ains i comprise, c'est-à-dire libre dans certai
e du développement psychique des coêtres et de la formation de la
conscience
» (chap. V, p. 114 à 141) : il n'est plus quest
e par le contenu du chapitre.on ne peut savoir à qui appartient la«
conscience
» à chaque étape considérée. L'Auteur reconnaît
t ». (p. 114). Les points délicats, la question de la dualité de la
conscience
dans la première période puis dans la seconde,
question de la coopération (su- perposition partielle ! ) des trois
consciences
sont consi- dérés comme suffisamment éclaircis
a personne humaine » (p. 136). Quant au problème de l'unité de la
conscience
dans cette lutte continuelle où trois individus
ois individus psychiques sont en présence, et de l'iden- tité de la
conscience
qui en embrasse les diverses phases, il n'est p
de Jackson sur la con- comitance ou le parallélisme : Les états de
conscience
sont abso- lument différents des états nerveux,
nomènes psychiques : mais nous ne pouvons pas observer les états de
conscience
chez les autres ; nous ne pouvons constater que
s dont les effets sont en corrélation avec le désordre des états de
conscience
, et en faisant la supposition, qui n'est après to
qui n'est après tout ni démontrée, ni démontrable, que les états de
conscience
qui, pour nous-mêmes, sont en corrélation avec
une expression physiologique définie, sont identiques aux états de
conscience
qui chez les autres,sont en corrélation avec des
pect réniforme». Mais il faut se rappeler que la somme des états de
conscience
qui, chez un individu sain d'esprit ou non, const
d'esprit ou non, constitue l'esprit, se compose non seulement de la
conscience
du moment, mais encore de la conscience devenue
compose non seulement de la conscience du moment, mais encore de la
conscience
devenue inconsciente, c'est-à-dire de phénomène
namiques de tous les centres nerveux, ou tout au moins ces états de
conscience
qui accompagnent des états nerveux inférieurs d
t remarquer que, dans la folie progressive, les totaux des états de
conscience
parais- sent se succéder dans un ordre qui n'es
contradiction avec l'ordre ci-dessus énoncé de l'ordre des états de
conscience
, mats qu'elle en est au contraire la conséquenc
ctement les mots image, représentation, suggestion, autosuggestion,
conscience
, personnalité, sur lesquels l'accord est encore
ourdis, mais d'une façoninsuf- fisante pour déterminer le phénomène
conscience
, par un mécanisme que je me suis efforcé de dém
s le dupli- cisme, «la personne humaine, une en sa dualité, prend
conscience
de son autonomie » : la théorie explique la « s
rtaines connaissances, la généralisation de certaines données de la
conscience
, la lutte contre le milieu, « la haute dignité
on erronée repose : 1° sur une confusion entre les deux sens du mot
conscience
, 2° sur l'ignorance de la psycho- logie classiq
u (p. 147) enrichie au besoin par une révélation, c'est-à-dire à la
conscience
mo- 472 PSYCHOLOGIE. raie, l'Auteur oppose la
e à la conscience mo- 472 PSYCHOLOGIE. raie, l'Auteur oppose la «
conscience
des déterministes » (p. 149) qui « évolue... so
es déterminés en dehors de notre libre volonté » (p. 148), 'bref la
conscience
pro- prement dite, connue de tous. D'autre part
ience pro- prement dite, connue de tous. D'autre part, cette même
conscience
«mouvante et fugace» (p.149)." sorte de coenes-
en ses lois les lois d'autrui» (p. 152). est opposée ensuite à la
conscience
morale, « tribunal intérieur » (p. 151) où les
ale, « tribunal intérieur » (p. 151) où les forces aveugles dont la
conscience
déterministe est le jouet sont soumises à la so
oumises à la souveraineté de la Raison. Enfin l'Auteur adresse à la
conscience
proprement dite, la « conscience déterministe »
son. Enfin l'Auteur adresse à la conscience proprement dite, la «
conscience
déterministe », non seulement les reproches inj
il s'agit de généraliser des notions ou des principes donnés par la
conscience
? L'Auteur aurait alors dû en prévenir le lecte
sent et justifient l'exis- tence en chacun de nous, au sein de la «
conscience
mou- vante», d'un groupe permanent de principes
es (ra- tionalistes) en éléments affectifs, et qui constituent la
conscience
morale : conscience dont les ordres peuvent êtr
s) en éléments affectifs, et qui constituent la conscience morale :
conscience
dont les ordres peuvent être d'une précision te
ne tient d'ailleurs aucun compte. Il est facile de voir que dans la
conscience
morale ainsi comprise, se retrouvent tous les p
rien l'autorisât à conclure de son état de cons- cience à l'état de
conscience
d'autrui » (p. 155). De ce que la cons- cience
ent « tous légitimes au même titre, pres- que fatals » (p. 155). La
conscience
ne pourra jamais « amener à la connaissance d'a
i-même repousse de son système tous les modes d'information de la «
conscience
déterministe » : il cherche un critérium absolu
guerres, les révolutions « accomplies par les hommes au cri de leur
conscience
... sans se soucier de ce qu'en pour- raient pen
res prémisses,il il lui a été impossible de revenir à l'unité de la
conscience
et de ratta- cher logiquement la conscience une
revenir à l'unité de la conscience et de ratta- cher logiquement la
conscience
une de ce qu'il appelle la personne complète, à
ent la conscience une de ce qu'il appelle la personne complète, àla
conscience
propre qu'il attribue à chaque moitié de l'orga
e sera-t-elle un jour considérée comme incapable d'alimen- ter la
conscience
par ses équivalents psychiques, au moins pendan
t bientôt cette tendance ne tarde pas à devenir irrésistible quand la
conscience
ne veille pas et quand l'attention n'engage pas u
On ne le voit jamais se ronger les ongles ; il le fait sans en avoir
conscience
. Dès la première séance il est plongé dans un som
t, à appeler l'atteulion du sujet sur «'es mouvemeiits. à éveiller sa
conscience
; en un mot, pour nous servir d'une expression emp
on «l'un autre automatisme agissant en sens contraire : 2°Eveiller la
conscience
et transformer, par des excitations extérieures,
l'hypnotisalion. qui apparaît au début comme un asservissement de la
conscience
, se traduit finalement, grâce à la suggestion, pa
quelques faits passifs de In veille, ainsi que sur les phénomènes de
conscience
inconsciente qu'oïl rencontre à chaque pas dans l
peu la justesse de mon assertion, j'ai écrit ici mon petit examen de
conscience
en tant que rêveur. et à ce dernier propos, j'inv
â son insu, pendant le sommeil, et cela comme dans la pénombre de la
conscience
. Dans le champ mémoriel. le dormeur, par l'attent
x-mêmes avec liberté chez le sujet endormi, mais le plus souvent avec
conscience
et dans un grand désordre Ces quelques générali
u cadre de notre llevue. REVUE BIBLIOGRAPHIQUE Hypnotisme et double
conscience
(1) Par le Docteur Azam. professeur honoraire à
pas de le dire, ces faits psychiques, en tant qu'ils se font avec une
conscience
à pari, ont quelque chose de ressemblant aux fail
ndorineur. fonctionnent encore étroitement comme au grand jour île la
conscience
d'un coté : de 1 autre il y a deux facultés activ
r exemple, lorsque d'habitude nous nous endormons, nous n'avons nulle
conscience
au moment même que c'est par suite d'une concentr
a confirmation, si l'on y réfléchit, que ces dormeurs n'ont nullement
conscience
de cette idée toute existante qu'elle est. On sai
t jamais entendu qu'un même son. quoiqu'il parvint tout le temps à la
conscience
, ou ignorerait ce qu'est le son. Il en est ici de
êves don! les conditions d'existence sont la variabilité des étals de
conscience
: perdant ainsi la conscience de ce qui les préoc
stence sont la variabilité des étals de conscience : perdant ainsi la
conscience
de ce qui les préoccupe, ils ue peuvent en rêver.
si, faute de pouvoir faire effort pour 3. varier leurs étals do
conscience
et sortir dos idées fixes qu'on leur a imposées,
n et L'exécution de eo qui leur a été suggéré, ils n'ont plus même la
conscience
de l'avoir éprouvé ou exécuté : ils oui tout oubl
et à deux pôles opposés: les uns. y ont lieu comme à la clarté de la
conscience
, ce sont les moins communs : et les autres y ont
nce profonde qui, à notre insu et sans notre volonté, veille avec une
conscience
â elle, à la formation, au développement et u la
s. Tous sont malheureux. le riche plus encore que le pauvre, car il a
conscience
de la contradiction, ¡1 se -ait engage dans une i
e ces rêves, qui me paraissaient ell'acés ou obscurs, ont reparu â la
conscience
un peu après, lorsque je faisais des efforts
jà gravées. Est-ce A dire que, admettant ainsi que je l'ai fait, la
conscience
inconsciente comme présente partout dans les fonc
aussi bien que chez l'homme éveillé, une véritable inconscience, une
conscience
abolie ou devenue nulle, non seulement dans le ce
heveu. Comme les grands criminels, j'agissais ici d'un cœur léger; ma
conscience
ne se troubla pas. « Dans les rêves, écrit A. M
jouet de toutes les passions contre lesquelles à l'état de veille, la
conscience
, le sentiment d'honneur. la crainte nous défenden
que les rêveurs profonds du sommeil ordinaire; comme si les états de
conscience
et d'esprit du rêve somnainbulique artificiel éta
que. DufAY. — Observation ds somnambulisme naturel ou spontané avec
conscience
de double personnalité. Brochure in-8 de 32 pag
modifications vaso-motrices et autres, dont nous avons plus ou moins
conscience
.et qui est la tonalité affective de cette sensati
ien que sa main paralysée écrira ce billet sans qu'elle ait elle-même
conscience
de cet actr, et sans que je guide cette main. E
à aucun moment, présentée » son esprit et qu'elle n'avait pas du tout
conscience
de l'avoir écrite. N° 5. — Des préparatifs fure
es soient, de façon permanente, fermées à l'épileptique. parce que la
conscience
de lui-même peut l'abandonner b tout moment et sa
l., 77). Pronier. — De l'anesthésie généralisée. Son influence sur la
conscience
et le mouvement (Rev: de méd.. juillet). Tabcowla
que nous ne connaissons directement que la succession de nos états de
conscience
. Sensation, motifs divers, délibération, choix et
bération, choix et décision, voila exprimée comme états successifs de
conscience
, la chaîne psycho-motrice qui nous apparaît aujou
ues. mais qui n'était connue auparavant que sous la forme de faits de
conscience
, précédant la plupart des actes. Nerfs ou centres
ples et com|tosées. impressions et images, associations et actes sans
conscience
, pouvoir moteur des images, conditions des sensat
s, temps de réaction, conditions d'apparition et de disparition de la
conscience
, analyse des troubles variés de tous ces phénomèn
es cessent d'être parfaitement organisées et automatiques apparaît la
conscience
sous la forme de mémoire, raison, sentiment et vo
ssion intimement unie à la précédente, alors il se produit un état de
conscience
qui. quand il aboutit finalement à l'action, déte
produit dans te cours de ce conflit est une forme faible de Cêtut de
conscience
qui accompagne des phénomènes de mouvement pareil
onsidéré sous sa forme la plus simple, étant mis â pari ces états île
conscience
agrégés qui constituent la plus grande partie du
). La volonté se trouve ainsi définie et classée comme phénomène de
conscience
accompagnant la solution d'un conflit de motifs,
rie ininterrompue de phénomènes mécaniques dans laquelle le phénomène
conscience
apparaît comme attribut sans y rien ajouter mécan
comme exécuté cérébralement. Or la volonté n'étant autre chose que la
conscience
qui accompagne (I) Herbert Spencer (op. cit., p
iques : « La volition. dit-il. n'est pour nous qu'un simple état de
conscience
. Elle n'est qu'un effet de ce travail psycho-phys
travail psycho-physiologique dont une partie seulement entre dans la
conscience
sous la forme d'une délibéralion. De plus, elle n
ycho-physiologique de la délibération aboutit d'une part à un état de
conscience
, la volition. d'autre part à un ensemble de mouve
intérieurs « et cette volonté est considérée comme un simple état de
conscience
. Cet état de conscience est considéré lui-même co
olonté est considérée comme un simple état de conscience. Cet état de
conscience
est considéré lui-même comme un simple elïet d'un
Kl il est aussi clair que. pour les psychologues intérieur; l'étal de
conscience
volonté était considéré ainsi isolément, c'est-à-
l en est encore de même si l'on considère la volonté comme un étal de
conscience
résultant d'un processus physiologique, mais ayan
ontaire, dit M. Ribot. il y a deux éléments bien distincts : Vétal de
conscience
, le « je veux » qui constate une situation, mais
r ou d'empêcher. « /bit/., p. 3.) Suivant celle manière de voir, la
conscience
aurait une existence distincte de celle des proce
e ce sont ces processus eux-mêmes qui peuvent être conscients; que la
conscience
n'est ¦MS un phénomène particulier, isolable. mai
ien, il y aurait deux faits distincts dans la volonté : 1° un état de
conscience
pur et simple traduisant en quelque sorte un cert
iologique lui-même qui aboutit d'une part à la formation de l'état de
conscience
et qui. d'autre part, est la seule elliciente de
utre part, est la seule elliciente de l'acte â accomplir. L'état de
conscience
volonté ainsi envisagé ne pourrait avoir île vale
r île valeur propre que dans un domaine spécial réservé aux faits île
conscience
. Mais son influence sur les mouvements serait nul
appartient, exclusivement aux processus physiologiques dont l'état de
conscience
volonté ne serait lui-même qu'un effet, une simpl
effet, une simple « constatation ». En identifiant au contraire la
conscience
avec les processus physiologiques actifs, les deu
ée, vu que, pendant qu'elle existe. Cimpulsion constitue son état île
conscience
qui n'est autre chose que lui-même... Ainsi il es
nt de vue psychique, il n'est en ce moment rien de plus que l'état de
conscience
composé parlequel l'attention est excitée. Mais
absurde » (1). Suivant In manière de voir qui identifie le fait de
conscience
volonté avec le processus physiologique psyr ho-m
rmet de considérer le je veux comme cxprimant non pas un phénomène de
conscience
pure, mais bien un phénomène de conscience consti
nt non pas un phénomène de conscience pure, mais bien un phénomène de
conscience
constitué par une image prépondérante, une image
physiologiques. Ce qui n'est cause de rien, c'est encore cet élat de
conscience
que l'on suppose separable du processus physiolog
il serait un simple accompagnement. Mais s'il est vrai que l'état de
conscience
et le processus physiologique qui constitue la vo
nté qui ne soit cause de rien. Il reste la volonté à la l'ois fait de
conscience
et processus moteur. L'autre manière de voir so
anière de voir soulève la question de savoir quel est le siège île lu
conscience
qui accompagne les sensations et les déterminatio
un siège unique, mi des sièges multiples, ou une dissémination de la
conscience
A toute la phériphérie du cerveau '.' Tout cela e
(2) Ch. Etichet, Essai de psychologie gémeràle, p. 126 (1887). la
conscience
. On ne voit guère, en effet, dans le manteau céré
un même point que comporterai! L'existence d'un centre unique pour la
conscience
: et pourtant il n'est guère possible d'admettre
sous-jacentes au manteau cérébral. L'hypothèse suivant laquelle la
conscience
serait inhérente aux processus psychiques et psyc
érente aux processus psychiques et psycho-moteurs eux-mêmes dont on a
conscience
aurait l'avantage de simplifier cette question my
omène irréductible. Puisqu'il faut toujours admettre que le phénomène
conscience
possède un substratuni cérébral, on ne simplifie
ant que ce substratum est spécifiquement et exclusivement relui de la
conscience
. Il est plus simple et il n'est pas plus mystérie
e et il n'est pas plus mystérieux de supposer que le substratum de la
conscience
n'est autre que celui des processus physio-psycho
n'est-il pas plus aussi satisfaisant de considérer comme siège de la
conscience
la totalité du manteau cérébral dont les diverses
vue sans être plus e m harassantes aux autres points de vue. Si la
conscience
ici volonté a une existence propre en dehors des,
organiques toute l'activité psychique, y compris la production de la
conscience
; mais elle a l'inconvénient d'admettre l'existenc
en a plus. On pourrait alléguer, en faveur de cette théorie, que la
conscience
est effectivement absente de nombreux processus p
ar l'habitude, toutâ fait automatiquement, sans avoir été précédés de
conscience
. Ils doivent être pourtant déterminés par des pro
tant déterminés par des processus psychomoteurs, et par conséquent la
conscience
est né para b le de tels processus. Mais l'on p
us sensilifs et moteurs se produisent inconsciemment et d'autres avec
conscience
, on peut conclure que certaines conditions existe
qui est habituel, et s'ils sont différenciés uniquement par le terme
conscience
d'après la seule connaissance directe, l'analyse
lyse physiologique n'autorise pas à considérer pour cela le phénomène
conscience
comme séparable de ceux des processus qu'il accom
Suivant cette seconde théorie. la volonté n'est plus un phénomène de
conscience
juxtaposé ou superposé à un point de la chaîne ps
un processus physiologique moteur constituant par lui-même un état de
conscience
. Dès lors la volonté n'est plus inerte, cause de
plicitement l'intervention active, dans les actes d'un animal doué de
conscience
, de cet état de conscience qui n'existe pas dans
active, dans les actes d'un animal doué de conscience, de cet état de
conscience
qui n'existe pas dans la pierre ni dans l'aiguill
ans l'aiguille. D'auire par, la théorie de l'inséparabilité de la
conscience
d'avec les processus actifs constituant eux-mêmes
cience d'avec les processus actifs constituant eux-mêmes les états de
conscience
, théorie que me parait impliquer celle des idées-
ant. Sans qu'il y eut rien de métaphysique, dans cette définition, la
conscience
y était présentée comme un phénomène doublant en
e parut très commode pour classer non métaphysiquemenl un pur état de
conscience
auquel je ne trouvais aucune place, aucun rôle à
pèces d'éléments moteurs : « ceux qui servent à constituer un état de
conscience
et ceux qui servent à le dépenser: les uns intrin
ela est possible : on peut, au moins hypo-thétiquement, identifier la
conscience
, l'idée pure de mouvement avec un processus moteu
stable à un état relativement stable. Considérons d'autre part que la
conscience
ne peut ni naître ni se maintenir sans qu'il se p
les conditions de production de l'activité cérébrale et celles de la
conscience
. Différenciation de leur état, telle est la condi
désintégration ou une dépeuse nouvelle. Si la production d'un état de
conscience
est une dépense d'énergie, ce qui n'est pas doute
ne dépense d'énergie, ce qui n'est pas douteux, il est évident que la
conscience
est exclusivement liée, comme le dit llerzen, à l
s actes nerveux centraux, llerzen ajoute à cela que l'intensité de la
conscience
est en proportion directe de celte désintégration
oins de dépense. H admet en outre que la désintégration ne produit la
conscience
que lorsqu'elle a une certaine intensité. La (1
ale, p. 221. loi ci-dessus implique l'existence de degrés dans la
conscience
comme il y en a dans le désintégration. Il v a de
onscience comme il y en a dans le désintégration. Il v a des états de
conscience
faibles et des forts. Tout se passe comme si la c
s états de conscience faibles et des forts. Tout se passe comme si la
conscience
et la désintégration moléculaire des éléments ner
rois que la distinction admise par cet éminent psychologiste entre la
conscience
et le processus nerveux qui l'accompagne cl s qui
ut devenir la cause de malentendus. « Si l'on s'obstine à faire de la
conscience
une cause, «lit-il. tout reste obscur » (ibidem).
-il. tout reste obscur » (ibidem). Nullement si l'on ne sépare pas la
conscience
(ici volonté du processus nerveux qu'elle accompa
aire. Pourquoi donc imaginer un mouvement moléculaire spécial pour la
conscience
, en dehors des processus physiologiques qui sont,
uvements moléculaires? Si un mouvement moléculaire peut constituer la
conscience
el si un mouvement moléculaire peut se traduire p
nt nerveux, alors il n'y a aucune difficulté a admettre qu'un état de
conscience
et un processus moteur soient un seul et même pro
é de réunir en un seul élément psvcho-phvsiologique les deux éléments
conscience
et processus moteurs communément distingués dans
ervation que j'ai publiée et qui démontre le remords et le trouble de
conscience
d'une femme à qui j'avais suggéré pendant l'hypno
i créa faire une analyse consciencieuse et scientifique. Conçu avec
conscience
, rédige avec cette clarté, cette netteté de style
ce au passage ;"i l'étal actuel du mouvement représenté par l'état de
conscience
résultant de la désintégration du groupe cellulai
pes excités, plusieurs désintégrations naissantes, plusieurs états de
conscience
naissants par là même, plusieurs mouvements repré
ls. Suivant le degré de désintégration atteint dans chaque groupe, la
conscience
sera plus ou moins nette, plus ou moins vive, et
ciation avec des groupes synergiques, alors elle constitue un état de
conscience
prépondérant qui est à la fois la représentation
constitué une volonté faible ou naissante. Ce sont tous ces états île
conscience
naissants à un moment donné, toutes ces volontés
ication (Bull, de la Soc, zool. de France, 1893. Séparer létal de
conscience
appelé volonté de la désintégration moléculaire d
aison de In volonté humaine avec celle qu'aurait une balance douée de
conscience
est altsolumeul juste. Iire que la volonté choisi
st le résultat même de cette cohésion. Dans la série des états de
conscience
qui précèdent les actes. la volonté, se produisan
implement de traduire phvsio-logiquemcnl et mécaniquement cet état de
conscience
appelé volonté donl la distinction résulte de ce
fumer s'est trouvée prédominante. Il v a eu effort parce qu'il y a eu
conscience
d'une lutte entre des forces contraires dout l'un
ussi la force de la volonté est-elle liée à celle des autres états de
conscience
qui la précèdent et qui sont, eux aussi, des dési
ent formés et parce que la désintégration moléculaire d'où résulte la
conscience
est très active : la délibération esl brève parce
se), la volonté, au contraire, esl affaiblie romrae pour les étals de
conscience
qui la précèdent. I-es sensations sonl faibles, l
Quand une volonté est physiologiquement forte, nette au point de vue
conscience
, cette qualité à double face résulte de la quanti
ntégration moléculaire qui est la cause immédiate de la production de
conscience
et de la tension centrifuge. Et cette désintégrat
eux « papillotants s de son interlocuteur la fascinent : elle perd sa
conscience
normale, elle tombe en condition seconde, et. dan
rait porté à les considérer comme des manifestations de la folie avec
conscience
. La qualification d'aliénés ne me parait rependan
ilités imaginaires par l'affaiblissement du pouvoîr de contrôle de la
conscience
sur le cours des idées. En proie à l'angoisse et
mmit. La rapidité avec laquelle, sous l'influence de l'abstinence, la
conscience
se ressaisit, enlève en général toute importunée
l'expression persiste indéfiniment chez le malade, aucun retour de ta
conscience
ne venant la modifier. Heureusement, s'ils parais
e n'est pas assez pour que l'on attribue à la volonté, simple étal de
conscience
, des attributs semblant indiquer chez elle une ac
es peuvent être elles-mêmes contrariées par l'intervention d'états de
conscience
de l'ordre affectif ou même purement rationnels,
re réduite à elle seule, la volonté n'est autre chose que cet état du
conscience
exprimé par le « je veux », consistant en une rep
qu'il veut ou qu'il ne veut pas et que l'effet indiqué suit l'état de
conscience
ainsi exprimé, cet individu fait un acte volontai
er; cependant son « je veux » a été l'expression verbale d'un état de
conscience
qui n'est pas la pure consta- talion d'une im
tée par quelque chose de plus qu'une simple constatation d'un état de
conscience
, s'il est vrai, comme nous l'avons admis, que la
n état de conscience, s'il est vrai, comme nous l'avons admis, que la
conscience
n'est pas un phénomène séparable des processus ph
aisonné. Le « je veux » n'est que l'expression verbale d'un élat de
conscience
qui. le plus souvent, existe sans être exprimé. C
onscience qui. le plus souvent, existe sans être exprimé. Cet élat de
conscience
apparaît au vulgaire exactement ce qu'il apparaît
tion. Pour le physiologiste cette disposition consciente, cet élat de
conscience
résultant de faits île conscience antécédents, c'
disposition consciente, cet élat de conscience résultant de faits île
conscience
antécédents, c'est un état nerveux conscient résu
té au sens physiologique sont une seule et même chose. Si l'état de
conscience
volonté n'est pas l'étal nerveux même qui résulte
la doctrine de l'inséparabi lité (§2 et 3) . on reconnaît à l'état de
conscience
exprimé par le je veux ou le je ne veux pus. la v
Au nombre des phénomènes psychiques figurent : la modification de la
conscience
de soi-même, l'arrêt temporaire de la puissance d
e donne et auquel tout médecin devra s'astreindre pour sauvegarder sa
conscience
et son honneur professionnel. a Ne pas donner a
at voisin du sommeil se manifeste. Si le sujet ne dort pas nu n'a pas
conscience
de dormir, je me contente de lixer dans son cerve
rs se Tout payer pour du travail qu'ils ne font pas : en bas, plus de
conscience
nulle part, (.elle démoralisation est la conséque
t automatiquoment et sont conséquemment incohérentes. D'autre part la
conscience
, qui aperçoit des représentations informes, les i
lequel on doit former des idées à l'aide d'aperceptions qui dupent la
conscience
à la façon des feux follets ou des vapeurs sur le
ements conscients. Avant que nos sens perçoivent quelque chose, notre
conscience
n'a aucune Idée de ce qu'ils percevront ; au cont
ne songe pas à son moi et celui-ci descend nu-dessous du seuil de la
conscience
. « Afin que le non moi l'emporte sur le moi, les
te que l'on se rend à soi-même de ce qui se passe dans l'âme, dans la
conscience
qui est la scène visible de l'Ame, dit Victor Cou
t concentrée et qui n'est autre que le principe intelligent. C'est la
conscience
de nous-méme transformée, et le moyen de transfor
à elle-même, qu'elle peut avoir ; elle a le sentiment d'elle-même ou
conscience
. La psychologie est donc un produit de la réfle
ment qui s'adresse à l'esprit et dont le but est de tenir en éveil la
conscience
du sujet et de redresser une habitude nuisible.
t nos idées, notre éducation, enfin notre caractère psychique. c La
conscience
comporte le même effet d'irrésistible certitude q
ssi difficile de ne « pas croire à ce que nous voyons en dehors. » La
conscience
n'est qu'une forme supérieure de la sensibilité,
au munde physique auquel elle doit s'adapter organiquement : c'est la
conscience
physique, susbratum nécessaire de la conscience p
aniquement : c'est la conscience physique, susbratum nécessaire de la
conscience
psychique proprement dite. « La conscience sens
sbratum nécessaire de la conscience psychique proprement dite. « La
conscience
sensorielle ou physique perçoit le monde exté-
nscience sensorielle ou physique perçoit le monde exté- ¦ rieur; la
conscience
physiologique ou organique perçoit la vie inlra-«
ience physiologique ou organique perçoit la vie inlra-« organique; la
conscience
psychologique prend connaissance des sen-a sation
nisation et l'évolution du règne « végétal et animal, la genèse de la
conscience
, la différenciation et . l'évolution psychiques,
l éternel devenir des choses, ¦ des phénomènes, des existences, des
consciences
et des sociétés, « i-haquo sériation, coordinatio
ux cas de), par J. Delbœuf, 35. Doctorat en droit (le), 315. Double
conscience
et hypnotisme, par le professeur Azam, 28, 62.
rouka- kis, 143 Hypnotisme en Russie (l'), 28. Hypnotisme et double
conscience
, 28, 62. Hypnotisme chez les Annamites, 127.
malade, comme beaucoup de sujets, par cela qu'elle m'entend, n'a pas
conscience
d'être influencée. Alors, comme je fais quelquefo
passé pendant la première semaine, alors que, l'intelligence et la
conscience
étaient conservées. Certains sujets, à la suite d
utes les perturbations nerveuses qui modifient profondément l'état de
conscience
peuvent, dans certaines circonstances mal étudiée
et qui semblent être soumis aux mêmes lois. Quoique le champ de la
conscience
soit d'oriinaire assez large et nous permette de
e. C'est le moment des rêves: chaque image qui nait isolément dans la
conscience
se précise quelque peu, pas assez encore (1) Ex
tale. Nous nous contenterons de signaler de* faits plus connus que la
conscience
personnelle abandonne à leur développement automa
lle est due. comme chez le malade, à un rétrécissement du champ de la
conscience
dù à la fatigue ou à un demi-sommeil : « Journée
on qui, sans rétrécir la pensée véritablement, déplace le champ de la
conscience
. « Je suis presque toujours, écrit encore le même
nt un rôle important chez l'animal. Il est impossible de supprimer la
conscience
dans l'instinct et d'en faire un pur mécanisme, m
ous ne les produisons réellement, qui sont souvent en dehors de notre
conscience
et toujours en dehors de notre volonté. Les phéno
mènes conscients ne sont pas supprimés, ctr nous pouvons retrouver la
conscience
des choses que nous conservons dan» le souvenir,
uvenir et à l'habitude, sont plus nettes quelquefois que celles de la
conscience
même, et pour trouver l'orthographe d'un mot que
ion ; l'idée nouvelle passe et repasse dans les rêveries vagues de la
conscience
affaiblie, puis semble, pendant quelques jours, d
corps et provoquer des mouvements dont l'origine n'est pas dans la
conscience
personnelle. Quelle est la surprise d'un homme d'
trangers, mais que les sens tactiles et musculaires transmettent à la
conscience
; quel doit être alors l'énervement d'un esprit qu
ue, 1882, II, 516. nouvelle qui bouleverse encore les couches de la
conscience
et nous permet de reprendre possession des idées
une suggestion ? Chez eux aussi un état dr faiblesse momentanée de la
conscience
a permis de semer une idée étrangère qui n'est pa
itique, a surtout argumenté le chapitre consacré aux dédoublements de
conscience
. M. Marion, avec sa grande autorité, a fait resso
s une assez grande influence sur sa volonté pour l'amener à mettre sa
conscience
à nu ? Je croirais plutôt le contraire. J'ai be
nces actuelles ne nous permet pas de savoir si l'hypnotisé obéit à sa
conscience
ou à la volonté qui le tient sous sa dépendance.
es phénomènes. L'hémianesthésie, a gauche, dont le malade n'avait pas
conscience
, l'hyperesthésie, à droite, la sensibilité à la p
ales ce qu'on entend par le sens musculaire » : c'est, d'une part, la
conscience
de la situation de notre corps et de ses diverses
motrice centrale, cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas une certaine
conscience
du mouvement a exécuter; mais cette conscience es
n'y a pas une certaine conscience du mouvement a exécuter; mais cette
conscience
est liée à la représentation même du mouvement ,
ions, et. par conséquent, comme ces représentations entrent dans leur
conscience
, ils peuvent prendre conscience des mouvements à
s'agrandit tous les jours de plus en plus. Autrefois, l'absence de
conscience
de son état de maladie était considérée comme le
es médecins spécialistes, depuis le commencement de ce siècle, que la
conscience
de son état excluait nécessairement l'idée de mal
articulières consignées dans les auteurs mentionnaient quelquefois la
conscience
de l'état de maladie comme symptôme de certaines
a publié une observation sous le titre caractéristique de folie avec
conscience
, et, depuis cette époque, tous les auteurs frança
cette époque, tous les auteurs français et étrangers ont admis que la
conscience
de son étal pouvait se rencontrer dans un certain
ns un certain nombre de cas d'aliénation mentale (2). La folie avec
conscience
a donc acquis maintenant droit de cité dans la sc
au Congrès de médecine mentale. _ (2) Delasiauve a même fait de la
conscience
de son état un caractère essentiel de la pseudoma
ne manière pathologique et irrésistible. Les malades ont parfaitement
conscience
de leur état; ils reconnaissent la nature maladiv
otif, de ce que d'autres auteurs ont étudié sous le nom de folie avec
conscience
, de folie du doute, de délire du toucher ou de fo
péciale de maladie mentale, sous le nom d'obsessions ou de folie avec
conscience
? doivent-ils être répartis, comme on le taisait
e et rentre dans la série des faits de délire émotif ou de folie avec
conscience
. Nous voulons parler de tous les faits qui ont
mme l'expression d'une véritable maladie mentale, ou d'une folie avec
conscience
. Mais il n'en est plus de même dans un grand nomb
ont été décrits sous les noms variés de délire émotif, de folie avec
conscience
, de folie du doute, de délire du toucher, et enfi
e l'on peut résumer ainsi : 1° Elles sont toutes accompagnées de la
conscience
de l'état de maladie; 2° Elles sont ordinaireme
ervent aucun souvenir au réveil. Il en est, en second lieu, qui ont
conscience
de dormir et d'avoir dormi, bien qu'ayant conserv
tres enfin, en quatrième lieu, ne dorment pas ou, du moins, n'ont pas
conscience
de dormir. En général, ce sont les dormeurs pro
ns, etc. Les sujets des troisième et quatrième catégorie, qui n'ont
conscience
que de l'engourdissement ou n'ont aucune conscien
égorie, qui n'ont conscience que de l'engourdissement ou n'ont aucune
conscience
de sommeil, ceux qui n'ont pas dormi, présentent
ler plus difficilement. L'hypnose étant moins profonde, ils n'ont pas
conscience
qu'ils sont influencés. L'opérateur surprend dans
pnose, sans sommeil proprement dit, ou du moins sans que ie sujet ait
conscience
du sommeil. Quelquefois dans la même séance j'a
core l'expérience suffisante, se bissent influencer par des signes de
conscience
que présente le sujet, tels que rire, geste, ouve
sérieux, le front plissé avec une expression caractéristique; mais la
conscience
survit toujours ce masque inerte. Chez quelques-u
cilement en hypnose, mais sans dépasser le premier degré : elle avait
conscience
de son sommeil, ne pouvait ouvrir les yeux, mais
er en prison, ne se fait pas criminel aussi vite. Le remords agite sa
conscience
, ou au moins il pleure sa liberté perdue, son ave
ur la débarrasser de cette hallucination dont elle avait une complète
conscience
. Mais, malgré plusieurs séances de sommeil avec s
yaient son mari et aussi les voisins. Elle n'avait elle-même aucune
conscience
de ses cris. Un confrère qu'elle avait consulté e
oches du sommeil, lorsque l'on cherche à dormir tout en conservant la
conscience
du moi, lorsqu'on veut réglementer son propre som
ccompagné parfois de rêves, et on conserve dans certains cas une demi
conscience
de l'état où l'on se trouve. Je citerai, comme
ce suffisant, on arrive à avoir un sommeil très léger. On conserve la
conscience
de soi, et cependant l'on dort, puisque l'on rêve
oût 1888. pratiquant l' auto-hypnotisme, je m'endors en conservant la
conscience
de moi. Je rêve que je vois des hommes noirs, cou
un banc, devant une table. Je me suis réveillé, en ayant conservé la
conscience
de moi avant le rêve et pendant ce rêve qui a dur
Je ne compte plus les rêves que j'ai eus de la sorte, sans perdre la
conscience
de moi. J'en ai au moins un chaque fois que je pr
idement. La pratiqueobtenueavec un exercice prolongé lait que j'ai la
conscience
que je rêve. Une fois, en juin 1889, j'ai cette
j'ai la conscience que je rêve. Une fois, en juin 1889, j'ai cette
conscience
de rêver, je vois une réunion de gens indifférent
Ce que j'ai manifestement constaté, c'est que je rêvais : J'avais la
conscience
de rêver et voulais diriger mon réve. II. AUTO-
dans lequel je me suis trouvé est difficile à définir, je n'avais pas
conscience
de ce que je pensais, je ne raisonnais pas, j'ava
d'auto-suggestion, je pense à avoir des idées et à écrire. J'avais la
conscience
que je pratiquais l'auto-suggestion, d'avoir des
Il semble que leur perversité grandit avec la peine et que, dans leur
conscience
contami, née, la notion du bien et du mal, de plu
éprime ses désirs et les écarts de son imagination. Au-dessus de la
conscience
et du cœur d'un homme, en face de son propre égoï
cience et du cœur d'un homme, en face de son propre égoïsme, sont les
consciences
et les cœurs des autres hommes. Leur désapprobati
e de ce fait, sans aucun doute, serait tué ; mais vous avez vous-même
conscience
de vos propres crimes. » Ses pieds furent liés en
ntons un frisson passer dans tout notre être. Nous avons parfaitement
conscience
de cette vibration intérieure, quand elle est suf
qu'il est inutile, pour obtenir le résultat cherché, de taire perdre
conscience
au malade ; en un mot, le sommeil n'est pas néces
de pour reprendre dès qu'elle va se rendormir. La malade en a à peine
conscience
et si elle s'en aperçoit, elle avale à la hâte qu
ommencement de lutte contre l'entraînement à commettre un acte que la
conscience
juge encore, mais la fatalité morbide est plus pu
de l'éveil cérébral, c'est-à-dire de son excitabilité parfaite, de sa
conscience
, de son tonus ; ce qui semble tout un. » Dr Emi
savoir précisément, nous rêvons d'une façon passive : notre ancienne
conscience
subsiste à côté de la nouvelle. On subit les acte
gestion par l'éducation pourra être assez fortement enracinée dans sa
conscience
pour la prémunir contre les idées criminelles qu'
le. L'être subconscient chez eux annihile l'être conscient : la vraie
conscience
n'existe plus. Ceux-ci vont au crime. N'en est-
Sont-ils sous l'empire d'hallucinations, d'idées délirantes? Ont-ils
conscience
d'un mobile illusoire qui les fait agir? Ou bien
ueront pour le plaisir de tuer. On peut pervertir leurs instincts; la
conscience
morale n'existe pas pour rejeter la suggestion.
mé à son mari qui l'assassine. Aucun remords, aucun regret n'agite sa
conscience
: elle ne parait pas se douter de l'énormilé de s
lle mange de bon cœur ; elle s'étonne qu'on la détienne en prison. Sa
conscience
morale ne lui reproche rien : elle n'existe pas.
assée. 11 s'est oublié lui-même. Cependant, comme il n'a pas perdu la
conscience
, et que, pendant toute Il durée de cette sorte d'
ints suivants : l* Une rupture dans la continuité des phénomènes de
conscience
, et ce, bien que l'individu, pendant cette ruptur
la vie courante. 2" S'il y a discontinuité entre les phénomènes de
conscience
de la période de condition seconde et ceux de la
ie normale, il y a, au contraire continuité entre les phénomènes de
conscience
des périodes de condition seconde. Ainsi, Emile
ous conçumes alors la pensée de faire naître, sans que la mère en eut
conscience
, cette enfant dont la conception avait eu lieu da
été fait ce malin. » Les hystériques en état d'hypnotisme, ont une
conscience
du temps que je ne m explique pas, mais enfin qui
llité d'esprit parfaite. La femme qui écrivait ainsi ne pouvait avoir
conscience
des événements qui se préparaient. Elle ne songea
gissant vivement sûr cette imagination facile, lui imposait une autre
conscience
. Alors elle était suggestible : il lui suggérait
tte folie amoureuse suggestive n'existait qu'à la faveur d'un état de
conscience
nouveau que son ascendant provoquait à son insu s
ne l'aimait pas; l'être subconscient faussé l'aimait. Revenue à sa
conscience
normale, Madame Grille ne se souvenait de rien. A
son déshonneur, c'est le sens moral survivant dans son nouvel état de
conscience
comme une suggestion ancienne, héréditaire ou par
aire ou par éducation, qui ne pouvait être déracinée : c'est sa vraie
conscience
morale indestructible qui pouvait être dominée, m
dire, ce n'est pas le sommeil ; il y a une veille somnambulique : la
conscience
existe : mais c'est un autre état de conscience d
le somnambulique : la conscience existe : mais c'est un autre état de
conscience
dans lequel les facultés de raison sont amoindrie
ients dans l'état de somnambulisme provoqué. Ces états variables de
conscience
sont peut-être plus fréquents qu'on ne s'imagine
eux par intermittences. Tous les degrés peuvent exister d'ailleurs de
conscience
modifiée, depuis un simple changement d'humeur pe
es maladies mentales à répétition ne sont en réalité que des états de
conscience
modifiée. Les degrés extrêmes seulement frappent
ur capricieuse des sujets ce qui peut être dû à un état maladif de la
conscience
. Vous avez vu avec quelle facilité chez certain
abi-tuelle : « L'état spontané d'automatisme et de dédoublement de la
conscience
, dit-il. n'est sans doute pas aussi rare que l'on
ans deux sujets, un jeune homme et une femme, chez lesquels l'état de
conscience
varie avec une rapidité vraiment incroyable. Le
des, les personnalités se succèdent sans qu'elles en aient la moindre
conscience
. Madame X, se double d'une madame Y. et Mesdames
ellement ce qui se fait spontanément dans les faits relatés de double
conscience
ou double personnalité. L'hypnose ne crée rien de
lles peuvent-elles naître ou être provoquées a la faveur de l'état de
conscience
modifiée ? Cela ne me parait pas douteux. Les f
culpabililé réelle d'un criminel, j'avoue que souvent, en mon âme et
conscience
, je ne pourrais formuler un verdict ; les élément
; les représentations mentales s'extériorisent, et le malade dont la
conscience
est depuis longtemps obscurcie, devient non plus
rition non moins rapide, reliées entre elles par une série d'états de
conscience
qui ne diffèrent que bien peu de l'état habituel
tation mentale qui reste à l'état de représentation mentale. Comme la
conscience
est obscurcie, ces représentations s'incorporent
ment incapable de tout réaction personnelle et, comme il a suivi avec
conscience
tous les traitements possibles, il ne veut plus a
logiques. » Et lui même raconte comment, par le seul jeu des états de
conscience
, il a pu faire disparaître des crises et des acci
u'elle depend de la persistance et de la liaison de certains états de
conscience
; 3° qu'ele est une ap-plication de lois générale
s par un certain centre se présentent à nous sous la forme d'états de
conscience
qualitativement différents les uns des autres ( s
ges qu'à celle des perception, puisqu'il n'y entre ces deux formes de
conscience
, qu'une différence d'intensité et non de nature.
nisation et l'évolution du règne « végétal et animal, la genèse de la
conscience
, In différenciation et « l'évolution psychiques
t éternel devenir des choses, « des phénomènes, des existences, des
consciences
et des sociétés, « chaque sériation, coordination
D'où vient cela? De la désagrégation des phénomènes psychiques qu'une
conscience
rétrécie ne peut plus embrasser totalement. Cette
c'est une seconde personnalité formée par l'organisation des états de
conscience
que son premier moi n'avait pas la force de coord
t les mouvements qui doi-» vent être réunis normalement dans une même
conscience
et dans un » même pouvoir. » Tels sont les fait
le prépondérant dans sa formation? Peut-être en principe les états de
conscience
désagrégés restent-ils isolés et ne se concentren
(1). Les médiums sont intéressants à ce point de vue : leurs états de
conscience
désagrégés, ne vont point reformer un second moi
r de se moquer. — El enfin, dans un moi normal le nombre des états de
conscience
perdus est toujours considérable par rapport à ce
ssique, qu'il y a malgré l'apparente antinomie des mots, des états de
conscience
inconscients: c'est-à-dire une infinité d'actions
t un processus cérébral auquel s'est » ajoutée à un certain moment la
conscience
, ou qui est susceptible » de se traduire de nouve
i parle et s'analyse : en eux-mêmes ils n'en renferment pas moins une
conscience
qu'ils peuvent manifester: ce sont bien des états
résultat d'un consensus et d'une organisation entre tous les états de
conscience
élémentaires dont il se compose, et qui sont prim
ont primitivement autant de moi distincts. Suivant qu'il enveloppe la
conscience
d'un nombre plus ou moins grand de ces éléments i
s ou moins grand de ces éléments il est plus fort ou plus faible; Une
conscience
affaiblie est une conscience dispersée. » Ce mot
nts il est plus fort ou plus faible; Une conscience affaiblie est une
conscience
dispersée. » Ce mot par lequel M. Espinas résume
aura été dûment en état d'hypnose. Elle s'est trouvée dans un état de
conscience
autre, duquel on a pu la faire sortir par suggest
énorme : suppression de rapport avec l'extérieur, abolition totale de
conscience
,pas le moindre vestige de suggestibilité exaltée,
tite hypnose. Le grand hypnotisme comprendrait les perturbations de
conscience
profondes qui se produisent chez les névropathes
qu'on peut à loisir feire entrer dans deux, même dans trois états de
conscience
différents — qui possèdent ainsi une personnalité
sans qu'il y ait sommeil ou une modification quelconque de l'état de
conscience
du moment que la suggestibilité est augmentée.
tons les faits les plus invraisemblables, parce que le controle de la
conscience
éveillée nous fait défaut. On conçoit donc que la
ons produites dans notre Compte-rendu se rapportent a des folies avec
conscience
. Nous avons même cru d'abord que la psycho thérap
e changent en illusions et auxquelles se relient des associations, la
conscience
hypnotique n'est presque exclusivement accessible
degré de profondeur du sommeil, ni dans l'état de la mémoire ou de la
conscience
— mais uniquement dans l'état de suggestibilité.
u chloroforme^ Parfois aussi/ les images du rêve surgissent dans la
conscience
d'une manière, en apparence, spontanée, comme pen
pister des idées délirantes ou des idées fixes, tantôt ignorées de la
conscience
vigile, tantôt systématiquement cachées au médeci
ue le rêve à peu près dans son entier. D'autres fois, le sujet a la
conscience
très nette d'avoir révé, mais aucun élément du rê
u; l'état émotionnel subsiste alors même que sa cause a disparu de la
conscience
. Un instant, j'ai espéré que je pourrais guérir s
psychothérapie en Russie. M. Wijnaendts Francken (de La Haye). — La
conscience
et la conscience de soi. M. Binet-Sanglé. — Rel
Russie. M. Wijnaendts Francken (de La Haye). — La conscience et la
conscience
de soi. M. Binet-Sanglé. — Relation de la profe
trophe, une narcose subliminale, pourrait-on dire, (de même qu'on dit
conscience
subliminale); et notre sujet sera dans l'état que
l éprouve de l'engourdissement, de l'inertie, de l'impotence. Mais sa
conscience
subsiste, restreinte sur certains points, exaltée
éveil : ? J'éprouve de la jouissance jusqu'à la douleur, tellement ma
conscience
attend depuis longtemps ce que vous lui donnez...
états d'automatisme ; 3° L'hvponarcose ou narcose subliminale, avec
conscience
, hyperacute sensorielle, hyper-réceptivité centra
que capable de retarder ou même d'empêcher la suspension de la pleine
conscience
. On voit de quelle importance sont ces derniers
formique a pleinement acquis droit de cité en psychothérapie. ÎLa
conscience
et la conscience de soi, r M. le Dr Wijnaexdts Fr
ment acquis droit de cité en psychothérapie. ÎLa conscience et la
conscience
de soi, r M. le Dr Wijnaexdts Fraxcken (de La Hay
n (de La Haye). __La psychologie repose tout entière sur le fait de
conscience
.En prenant pour point de départ son célèbre « cog
re de sa doctrine, la base de son système. Mais la pensée implique la
conscience
; aussi Descartes et son école ont-ils vu dans la
plique la conscience; aussi Descartes et son école ont-ils vu dans la
conscience
la marque distinctive fondamentale des phénomènes
t la raison pour laquelle, considérant les animaux comme dépourvus de
conscience
, ils ne voyaient en eux que des automates sans âm
t que l'utilité et le but de ces actes qui ne parvient pas jusqu'à la
conscience
. L'opinion d'après laquelle tous les phénomènes
cients; par conséquent, d'après eux, tout phénomène non accompagné de
conscience
appartient, non au domaine de la psychologie, mai
psychologie, mais à celui de la physiologie, car, soutiennent-ils, la
conscience
est le seul caractère typique qui dislingue les p
es. Voici une déclaration de Ziehen : « Tout ce qui est donné à notre
conscience
, et cela seul, est psychique... Pour nous les not
eibnitz a dit, à rencontre de Descartes : « Du fait que l'âme n'a pas
conscience
d'une pensée ne découle aucunement qu'elle a cess
ce qu'ils n'ont compté pour rien les représenta-lions dont on n'a pas
conscience
». Des lors d'autres philosophes ont même avancé
rable et que, bîologiquement, elle est plus importante.) Nous n'avons
conscience
que d'une très faible partie de ce qui se passé d
mbre d'impressions reçues par nos organes ne pénètrent pas jusqu'à la
conscience
, n'ayant pas réveillé l'attention/'et ne s'étant
représenter que les processus qui ont lieu en nous n'entrent dans la
conscience
que dans une sphère limitée. C'est un fait reconn
es plus riches et les plus profondes se présentent subitement dans la
conscience
comme une aspiration»Il est peu de gens qui n'aie
certain, c'est qu'il existe de nombreux états intermédiaires entre la
conscience
et l'inconscience ; il y a des états demi et sous
nt la vie psychique est en activité sous des formes inconscientes. La
conscience
est peut-être une question plutôt de quantité que
n instrument dont on joue, et devienne un instrument qui joue ». La
conscience
est un phénomène primaire, qui se refuse à l'anal
e plus loin que sur les faits de notre vie intérieure dont nous avons
conscience
, qui donc sont caractérisés par la conscience que
érieure dont nous avons conscience, qui donc sont caractérisés par la
conscience
que nous en avons, et ne sauraient par conséquent
nous en avons, et ne sauraient par conséquent servira caractériser la
conscience
elle-même. L'essence de sa nature est donc et r
nature est donc et reste obscure ; nous savons cependant ceci, que la
conscience
n'est pas une chose en soi, existant en elle-même
complis consciemment et volontairement ne sont pas produits par cette
conscience
et cette volonté, qui n'en sont pas les causes, m
té, qui n'en sont pas les causes, mais des phénomènes accessoires. La
conscience
en soi n'est la cause de rien; elle n'est pas une
le cerveau, de sorte que, même en l'absence de l'accompagnement de la
conscience
, les mouvements et les actions qui résultent de c
11 est vrai que Jodl a fait remarquer à l'cncontre de ceci, que si la
conscience
n'était rien de plus qu'une annexe subjective des
. Mais justement cette objection est un indice de plus du fait que la
conscience
n'est pas un accompagnement fortuit de certai
à un degré donné de complication, sont nécessairement accompagnées de
conscience
; que ceci ait un effet utile ou non. On voit p
it un effet utile ou non. On voit par là que ce que l'on appelle la
conscience
n'est autre qu'une notion collective, une concept
onné. L'observation interne déjà nous enseigne qu'il n'existe pas une
conscience
absolue, sans contenu, conception qui n'est qu'un
ntielle, mais seulement une série d'actions voulues, il n'y a pas une
conscience
existant en soi, mais une série d'états conscient
en soi, mais une série d'états conscients. Nous ne connaissons pas la
conscience
, mais seulement des phénomènes conscients ; une c
ons pas la conscience, mais seulement des phénomènes conscients ; une
conscience
sans contenu est un concept vide de sens, de même
u de mouvement sans matière, et ce que l'on attribue à l'action de la
conscience
n'est autre qu'une modification du contenu de ce
ccumulation d'impressions et de représentations successives jamais la
conscience
n'est pas une entité permanente, se développant c
nt comme un fil continu à travers la vie. Jl faut donc envisager la
conscience
comme une fonction ou un phénomène concomitant d'
t le théâtre. Nous observons que tels ou tels processus ont lieu avec
conscience
, quoique jusqu'ici il soit impossible de détermin
nsciente ou non. C'est faire fausse route que de vouloir expliquer la
conscience
par le mouvement, car conscience et mouvement son
se route que de vouloir expliquer la conscience par le mouvement, car
conscience
et mouvement sont deux notions hétérogènes ( La c
ement, car conscience et mouvement sont deux notions hétérogènes ( La
conscience
ne représente pas non plus une force spéciale, pu
e, puisqu'elle n'est qu'un état fie mouvement ne se transforme pas en
conscience
, mais certains phénomènes de mouvement dans le sy
ènes de mouvement dans le système nerveux central sont accompagnés de
conscience
. Dans tous les cas, il ressort de ce qui précèd
conscience. Dans tous les cas, il ressort de ce qui précède que la
conscience
n'est pas une chose indépendante, agissant librem
phénomènes, qui justement donnent la preuve du fait que nos prises de
conscience
sont indépendantes de notre volonté. De là vient
là doctrine de l'aperception, attribuent, dans beaucoup de cas, à la
conscience
un rôle considérablement plus actif que nous. C'e
es observations 'séparées, d'autre part, dans la voie conduisant à la
conscience
. A notre époque, le terme d'aperception a surtout
ire par lequel les perceptions sont portées sur le point visuel de la
conscience
. L'ensemble des processus subjectifs qui accompag
ensemble d'un même phénomène psychique, comme aussi la volonté et la
conscience
de soi se trouvent dans un rapport étroit avec la
eures. Quelques brèves remarques, avant de terminer, au sujet de la
conscience
de soi. Notre personnalité, consciente d'elle-m
tout entière; celle-ci reste pour la plus grande part cachée à notre
conscience
; elle dépend, pour une part, de notre constitutio
ariable, mais le complexus composite et changeant du contenu de notre
conscience
, formé d'éléments multiples et sans cesse variant
é d'éléments multiples et sans cesse variant; car le contenu de notre
conscience
, à laquelle se rattache notre personnalité, est i
elle moi toujours identique à lui-même est une pure abstraction. La
conscience
de soi, produit d'un long développement, se manif
ence de soi, produit d'un long développement, se manifeste lorsque la
conscience
se dirig» sur elle-même. La conscience de soi est
ement, se manifeste lorsque la conscience se dirig» sur elle-même. La
conscience
de soi est l'idée de nous-mêmes en qualité de suj
émoire organique est une condition sans la réalisation de laquelle la
conscience
de soi ne saurait se manifester. En effet, l'enfa
dans l'esprit de l'enfant un sentiment de personnalité distincte, de
conscience
de lui, et à lui faire se distinguer de tout ce q
. Le médecin, alors, n'aurait plus qu'à obéir aux suggestions de sa
conscience
et il lui apparliendrait d'apprécier si les circo
lastie : à la faveur de cet anidéisme, la suggestion installe dans la
conscience
ou dans la subconscience suivant les cas, un état
e confirmée répond à une sorte d'automatisme psychologique; la pleine
conscience
est suspendue, mais la subconscience veille; cell
cose devient une hfpemacose, avec engourdissement non seulement de la
conscience
, mais aussi de la subconscience. L'inconscience e
ne le franchit pas; c'est une narcose subliminale. Dans cet état, la
conscience
est restreinte, mais exaltée; elle gagne en inten
qui les rendra hypersuggestionnables, tout en leur laissant la pleine
conscience
de ce qui se passe et la faculté de collaborer ac
l'homme se tient mieux ; il relève la tête ; il semble renaître à la
conscience
du devoir ; il a déjà l'espoir de récompenses éve
ibles, les esprits bornés, avec leur fatal rétrécissement du champ de
conscience
, n'ont pas. tant que cela, besoin de repos. Ce qu
s huiles qu'on devait fulminer contre lui, et avait pour directeur de
conscience
Robert Grossetête, évéque de Lincoln ; Gui, tué e
trospection, il ne peut plus trouver que des preuves objectives de la
conscience
des autres hommes et des animaux supérieurs (car
ontanément un loquet pour ouvrir un garde-manger. L'intelligence ou
conscience
, suppose un classement, des combinaisons multiple
e môme peut se transformer et s'est transformé de très bonne heure en
conscience
. Nous voyons de grandes objections à cette théori
rnest Hæckel qui a toujours douté que les protistes soient doués « de
conscience
, de volonté et de pensée », mais qui leur accorde
n que l'immobilité provoquée chez un animal n'est pas un phénomène de
conscience
, ni un acte de « peur résignée » comme le veut Pr
ni émission involontaire de l'urine ou des matières: au réveil, il a
conscience
d'avoir dormi, il se souvient de ce qui s'est pas
us cas, j'acquis la certitude que si, chez Marguerite B..., la pleine
conscience
était suspendue, la subconscience persistait plei
Dialogues de 3t Grégoire le Grand. D'autres fois, ils ont la pleine
conscience
de ce qui se passe : au milieu de tortures morale
peut être plongé dans un sommeil profond avec suspension de la pleine
conscience
. Je m'ingénie à varier et à multiplier les artifi
s insuffisante pour tout ce qui concerne la sphère psychologique : la
conscience
persiste et mes suggestions s'émoussent devant l'
coup plus sensible à la provocation du sommeil. Cette fois encore, la
conscience
subsiste, l'obsession se dresse et ma suggestion
ctéristiques psychologiques de cet état: à savoir : persistance de la
conscience
, hyperacute sensorielle, hyperréceptivité central
ionne,avec une intensité inaccoutumée; elle occupe toute l'aire de sa
conscience
et lui apparaît comme inéluctable {*). Au momen
nsible, doué d'imagination et de raison, et la manière dont il a pris
conscience
de ces impressions. L'esthétique cependant ne s'a
ister. L'agrément moral est produit par des actes qui satisfont notre
conscience
morale, et l'agrément esthétique, par des sensati
'est point nécessaire que celui qui jouit de I'ceu-vre ait clairement
conscience
de cette utilité biologique, d'où il résulte qu'e
risée par les avantages suivants : Instantanéité et certitude de la
conscience
, suggestion. Persistance du souvenir par la pui
nistes et neurologistes (La psychologie et l'hypnotisme au), p. 65.
Conscience
et la conscience de soi (La), par Wijnaendts Fran
gistes (La psychologie et l'hypnotisme au), p. 65. Conscience et la
conscience
de soi (La), par Wijnaendts Francken, p. 43. Co
prend son point d'appui sur la conviction qu'elle fait naltro dans la
conscience
?ormale du sujet. » rapprocher de l'électrici
il résultat implique comme condition première une participation de la
conscience
et de l'intelligence du sujet ; et ce qui met ce
astique jusqu'à l'acte final des évacuations ! L'intelligence et la
conscience
d'un vulgaire suggestionné restent absolument étr
e prends pour une volonté et une intelligence, ou plus simplement une
conscience
distincte de la conscience proprement dite du suj
t une intelligence, ou plus simplement une conscience distincte de la
conscience
proprement dite du sujet, n'est qu'une apparence"
enir celle du « solipsisme », doctrine qui se base sur ce que JE n'ai
conscience
que de MA conscience, pour dénier pareille consci
sisme », doctrine qui se base sur ce que JE n'ai conscience que de MA
conscience
, pour dénier pareille conscience à tout ce qui n'
ce que JE n'ai conscience que de MA conscience, pour dénier pareille
conscience
à tout ce qui n'est pas MOI, c'est-à-dire non pas
uées de sensibilité, d'intellectualité et de volonté, c'est-à-dire de
conscience
, que l'est un moulin ou une horloge. Cependant l'
res est, de même qu'est le mien, le siège et l'organe d'un moi, d'une
conscience
, d'un quelque chose qui sent, qui juge, qui décid
nisme porte en lui, dis-je, non pas un seul, mais plusieurs sièges de
conscience
, plusieurs centres de subjectivité, plusieurs moi
t sont inconscientes ! ce qui n'est qu'une autre façon de dire qu'une
conscience
peut être inconsciente. Il y a quinze ans, le D
» de M. de Hartmann, la « Subconscience » de M. Pierre Janet, et la «
Conscience
subliminaire » de M. Fr. Mvers. Un événement ac
'automatisme psychique, ce qui veut dire qu'elles résident hors de sa
conscience
, hors de lui-même. Et une simple épreuve comme ce
e cette pensée dirigeante n'est pas de moi, puisque je n'en ai aucune
conscience
, elle émane donc d'un autre moi que le mien, d'un
i obligeamment en cause, je m'arrête d'abord sur cette expression : «
Conscience
normale », dont vous paraissez m'attribuer l'idée
sez m'attribuer l'idée. Permettez-moi de réclamer à ce sujet. Une «
conscience
normale » implique naturellement, comme contre-pa
nscience normale » implique naturellement, comme contre-partie, une «
conscience
anormale ». Or cette caractéri-sation et cette op
pliquer, un peu trop longuement peut-être. Ce que vous désignez par
conscience
normale, c'est, suivant mes vues, la Conscience o
que vous désignez par conscience normale, c'est, suivant mes vues, la
Conscience
ou Moi principal, le moiprimus interpares, le moi
empereur, président de république. Ce qui, par contraste avec cette
conscience
normale, serait la conscience anormale, c'est ce
lique. Ce qui, par contraste avec cette conscience normale, serait la
conscience
anormale, c'est ce que je signale comme les multi
qu'un seul bloc sous l'appellation de « subconscience » ou celle de «
conscience
subliminaire », qui peuvent d'ailleurs être emplo
s certains cas sans inconvénient pour la brièveté du discours. Or ces
consciences
subordonnées ne sont nécessairement ni normales n
nécessairement ni normales ni anormales en soi, et d'un autre côté la
conscience
suprême n'est pas moins sujette que celles-ci à s
la suggestion ne prend pas son appui sur une conviction imprimée à la
conscience
proprement dite du sujet, à sa « superconscience
la conscience proprement dite du sujet, à sa « superconscience » ou «
conscience
su-praliminaire »,— pour compléter la nomenclatur
ionnelle se fait par la superconscience. Une fois ainsi amorcées, les
consciences
inférieures opèrent par elles-mêmes, opèrent seul
osition comme exacte, c'est-à-dire admettons que le miraculé n'ait eu
conscience
d'aucune impression modificatrice faite sur lui ;
rsonnalité à un degré tel qu'il exécute inconsciemment un acte que sa
conscience
réprouverait s'il était libre, est assurément une
ttre, sous l'influence d'une suggestion verbale, sans qu'ils en aient
conscience
et sans qu'ils puissent résister, des faux témoig
de cet ordre se subdivisent en deux catégories ; 1° Le sujet actif a
conscience
de connaître les faits ou les objets racontés ou
ne époque qui peut être très éloignée ; mais il n'a plus actuellement
conscience
de les connaître. C. Dans un troisième ordre de
et ordre, qui se complique de cette circonstance que le sujet n'a pas
conscience
des faits qui sont gravés dans sa mémoire, ils ne
s possédons dans la mémoire une foule de choses dont nous n'avons pas
conscience
; ces images latentes, mais pourtant d'une exacti
fluences diverses et donner lieu à des actes sans môme que nous ayons
conscience
du réveil de la mémoire. Les faits de la troisi
ique actif ou passif et revenir ensuite à l'état normal sans en avoir
conscience
, et sans même que les personnes de leur entourage
La tâche est alors si grave de « responsabilité que j'en appelle à la
conscience
de tous ceux qui ont eu « à se poser et à résoudr
J'aidai le malade pendant quelques semaines encore a reprendre la
conscience
pleine et entière de la bonne santé, dont il avai
ence normale, qui pose des actes relativement complexes, mais n'a pas
conscience
de ce qu'il fait, ou du moins, n'en garde pas le
it au Congrès international d'Anthropologie de Genève. la moindre
conscience
, sans en garder le plus léger souvenir? Cette m
'a trouvé place de Bronckart, qu'on l'a conduit à la Permanence. La
conscience
n'est revenue que mercredi après midi : il se sou
à ses affaires, agissant d'une façon raisonnable et paraissant avoir
conscience
de ce qu'il faisait. Néanmoins, il lui arrivait s
ble, très violent. Il paraissait rester sain d'esprit et avoir pleine
conscience
de ce qu'il faisait et de ce qui se passait autou
endait. Pour sa défense, il soutint qu'il n'avait ni souvenir, ni
conscience
de son acte qu'il avait commis à la suite d'excès
la raison, et cependant, il n'existait à ce moment absolument aucune
conscience
intime. La conduite n'est qu'une suite d'actes to
uite n'est qu'une suite d'actes tout à fait automatiques, auxquels la
conscience
ne participe aucunement, mais qui, comme dans le
ence de la raison, ne puisse pas être essentiellement troublé dans sa
conscience
et dans son libre arbitre et doive être regardé c
servation des faits du sommeil tend à démontrer le contraire. On a la
conscience
d'avoir rêvé et comme une idée vague du sujet du
euse : car, si chez le somnambule alcoolique comme chez le rêveur, la
conscience
persiste, ce n'est qu a un degré tellement faible
quel le sujet agit dune façon apparemment normale, mais sans en avoir
conscience
, ou du moins, sans en garder le souvenir. 2° En
ste, par l'effort de ma volonté. Il renoue immédiatement le fil de sa
conscience
au point où je l'avais interrompu et, comme il s'
éveillé, se disposer à fumer une cigarette, n'ayant évidemment aucune
conscience
de ce court moment de sommeil. Dans une autre s
vait parcouru deux ou trois stations ; et comme il n'avait aucunement
conscience
d'avoir été endormi, il ne parvenait pas à s'expl
e. Les partisans du libre arbitre se fondent sur le sens intime et la
conscience
, qui nous assurent que nous sommes libres. Les dé
es se placent sur un autre terrain : ils récusent le témoignage de la
conscience
, qui peut n'être qu'une illusion ; ils lui oppose
les défenseurs du libre arbitre répondent que les affirmations de la
conscience
ont une certitude supérieure à celles que peut do
être considéré comme irresponsable, et son acquittement s'impose à la
conscience
des juges ou des jurés. Seul, l'auteur de la sugg
arité pour un médecin, qui a charge d'âmes, de rester le directeur de
conscience
de ces malades qui viennent lui demander le soula
osophique qui affecte, comme vous allez le voir, la forme d'un cas de
conscience
. M. Boirac opérait sur un sujet, en qui il avai
ouffrance. Mais — et c'est là que je voulais en venir — lui est-il en
conscience
permis de l'imposer à un brave garçon, qui est dé
mon modeste article de la Repue de l'Hypnotisme pour se poser dans la
conscience
des philosophes et des savants. Il divisait déjà
ypnotisme et de suggestion, l'un de ses juges lui fit aussi un cas de
conscience
d'expérimenter sur des êtres humains. Interdire
faut dormir, tu m'entends bien, dormir, et dans ce sommeil, tu auras
conscience
de m'obéir, tu répondras à mes questions et tu gu
remarqua qu'avec la majorité des sujets, il n'y avait aucune perte de
conscience
, ceux-ci devenaient simplement léthargiques et co
syndrome épisodique, elle présentait, très accusés, les scrupules de
conscience
; elle ruminait sans cesse les moindres actes, le
s déjà employées pour préserver de la douleur par la suspension de la
conscience
cérébrale. C'est un point de départ; il constitue
u traumatisme moral et qui, envahissant peu à peu tout le champ de la
conscience
, a fini par reconstituer de toutes pièces le tabl
e contact dans le réveil de la mémoire. a 5° La condition de double
conscience
et de double personnalité, « 6° L'ardent état d
l'excitation demeure un temps moins court de sorte que nous en ayons
conscience
, qu'une idée s'interpose entre elle et l'acte, la
ui lui succèdent, c'est un réflexe sensitivo-idéo-moteur ; nous avons
conscience
de la personne qui nous a pincé le bras, néanmoin
tantôt massives. Une idée dérivait d'une sensation, elle a pénétré la
conscience
; elle s'inscrit dans la cellule, dans un groupe
stance ni critique, comme s'ils avaient pris naissance dans la propre
conscience
de la foule. Quand ces hommes exceptionnels sug
ns vu que le mode principal de transmission de représentations, d'une
conscience
à une autre, est la parole. Mais celle-ci n'est q
la parole. Mais celle-ci n'est qu'un symbole conventionnel d'états de
conscience
, et, en cela, gît une grande difficulté, parfois
s des représentations tout à fait nouvelles. Un génie élabore dans sa
conscience
une représentation qui, avant lui, n'a jamais été
u. Comment tentera-t-il d'exprimer cet état nouveau et particulier de
conscience
, et de le rendre sensorielle-ment perceptible à d
établie par une convention. Elle rend perceptible aux sens un état de
conscience
connu auparavant. Elle éveille chez l'auditeur se
langue qu'il trouve toute faite, c'est-à-dire des symboles d'états de
conscience
antérieurs d'autres individus, il amène assez sou
les rendre propres tant bien que mal à désigner de nouveaux états de
conscience
, est un puissant obstacle de la transmission de l
notre organisme se développera-t-il encore au point que les états de
conscience
ne s'exprimeront plus par des symboles convention
facilement démoralisé dans l'état de veille que dans l'état de double
conscience
du sommeil nerveux. Durant celui* ci, en effet, l
de d'obtenir justice, puisqu'elles ne peuvent bénifïcier de la double
conscience
qui leur permettrait d'accuser les coupables. »
u'une personne douée des sentiments les plus élevés, conservant toute
conscience
dans l'état som-nambulique, fera preuve d'autant
pendant l'hypnose ; il mentionne seulement que, dans quelques cas, la
conscience
demeurait intacte et les patients se souvenaient
sommeil nerveux ; beaucoup croient à tort que la perte complète de la
conscience
est indispensable ; or, dans les cas les plus reb
uvé complètement soulagé sans qu'il eut perdu, si peu que ce soit, la
conscience
. Observations générales Braid désirait expose
daines transitions, conformément au mode de direction ; et, ainsi, la
conscience
ou l'inconscience, le sommeil profond, le réve ou
à son inertie, l'esprit recouvrait aussitôt sa lucidité, même avait
conscience
des phéno- mènes. Dans le délire partiel, auque
des, qu'il subit ou auxquels il résiste, jouit de la vie commune, a
conscience
de son trouble et souvent l'apprécie. Les convi
r ou à rire avec une expression bêle, bien qu'il ait parfaite- ment
conscience
qu'il n'y a matière ni à pleurer ni a rire. Sa mé
ble, susceptible, méchant, méfiant, en même temps qu'une certaine
conscience
de sa faiblesse et de l'incurabilité de son affec
devenaient hagards, ses paroles incohérentes, et il perdait toute
conscience
de lui-même. Souvent, pour les motifs les plus fu
t qui lie l'action à la folie, la fourberie du sujet et le degré de
conscience
, l'évolu- tion morbide, la périodicité des mani
ainte-Anne [asile clinique). RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
; Par le D E. MARAXDON DE )IONTYEL, Médecin en
l'asile public d'aliénés de )1,tiseille. L'expression « folie avec
conscience
» est une des plus vagues de la pathologie ment
nt rendu la confusion inévitable par l'abus qu'ils ont fait, du mot
conscience
. Aussi est-il indispensable, pour être compris
domaine delà morale ; elle s'applique RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. 189 à cette voix intérieure qui parle à tous,
e a d'intimes et pro- fondes relations avec la précédente, c'est la
conscience
religieuse. Elle s'en distingue pourtant, et j'
enfin une dernière signi- fication : il désigne par abréviation la
conscience
ré/lé- chie, celle qui se replie sur elle-même,
in que je prends, dès le début de ces recherches, de montrer le mot
conscience
dans ses diverses accep- tions. Le médecin ou
psychologue désireux d'étudier dans tous leurs détails les états de
conscience
dans la folie devrait donc, pour seconformeraux
a réalité des choses, rechercher ce que deviennent chez l'aliéné la
conscience
morale, la conscience religieuse, la conscience
rechercher ce que deviennent chez l'aliéné la conscience morale, la
conscience
religieuse, la conscience métaphysique, la cons
chez l'aliéné la conscience morale, la conscience religieuse, la
conscience
métaphysique, la conscience psychique, la 190 P
ce morale, la conscience religieuse, la conscience métaphysique, la
conscience
psychique, la 190 PATHOLOGIE MENTALE. conscie
métaphysique, la conscience psychique, la 190 PATHOLOGIE MENTALE.
conscience
réfléchie. Ce n'est pas ce gigantesque tra- vai
ien observés, de n'être pas sans quelque utilité pour l'étude de la
conscience
réfléchie dans la folie. En nous enfermant dans
sance de cause, se rappeler dans quel sens nous, employons les mots
conscience
et folie avec conscience. Ce travail ne sera
dans quel sens nous, employons les mots conscience et folie avec
conscience
. Ce travail ne sera ni une oeuvre, d'érudition,
l'historique des travaux publiés jusqu'à ce jour sur la folie avec
conscience
que celle d'interpré- ter ce point curieux de p
éralisation et de formuler une théorie RECHERCHES SUR LA POLIE AVEC
CONSCIENCE
. 191 I scientifique des états de conscience dan
RCHES SUR LA POLIE AVEC CONSCIENCE. 191 I scientifique des états de
conscience
dans la folie, mais je ne veux pas pour le mome
te de cette étiologie et de ce mode de début un état ordinaire de
conscience
, à la naissance des vésanies. Les malades se se
le mal qui les enlace ou les agite. Puis la maladie progresse et la
conscience
disparaît. Si telle est l'évolution ordinaire
feu a couvé sous la cendre, qu'ils ont RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. 193 lutté, dissimulé le plus possible, et que
ur résis- tance. Ainsi, en réalité, c'est précisément cet état de
conscience
à la naissance. des vésanies, état de conscienc
ment cet état de conscience à la naissance. des vésanies, état de
conscience
permettant la lutte et la dissimulation qui, ma
. II y a un second groupe de paralytiques chez lesquels l'état de
conscience
au début est un fait constant. La forme expansi
u cerveau est assez violente pour amener l'ictus apoplectique, la
conscience
fait défaut, car en revenant à la vie le malade
e générale progressive à la première période, datant de deux ans.
Conscience
des troubles psychiques et physiques. Idées de
brale. Les troubles intellectuels datent de deux ans. Mme C... a la
conscience
très nette de son état; elle est dominée par un
refusaient leur service, tandis que l'anxiété grandissait et que la
conscience
restait toujours lucide. Les sentiments affecti
conservés, M ? C... réclamait souvent RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. 195 ses enfants et son mari dont la conduite p
la folie progresse et passe à sa période d'état. D'ordi- naire la
conscience
est vaincue à ce moment ; les malades ont une c
leur esprit malade. Il n'en est pas toujours ainsi : quelquefois la
conscience
, en dépit de la violence du mal, conserve tout
il y a durant la période d'état comme des éclaircies de raison ; la
conscience
se fixe durant quelques instants, quelques heur
s troubles sensoriels une systématisation délirante, leretourdela
conscience
n'équivaudrait-il pas à la guérison ? A ce poin
voir chez des malades atteints de paralysie générale des lueurs de
conscience
et, à certains moments, l'appréciation de la ma
générale diminuent à certains moments, de manière à permettre à la
conscience
de se manifester d'une façon plus ou moins inte
l. Paralysie générale progressant sans rémission depuis six mois.
Conscience
nette durant quelques heures des troubles physi
ionner beaucoup. Le lendemain matin nous trouvons le malade avec la
conscience
nette de sa situation. Non seulement il se rend
paralytiques, tels que tremblement des RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. 197 mains, embarras de la parole, non seulemen
affecté de son état, il priait en grâce de le guérir. Le soir toute
conscience
avait disparu et la maladie reprenait son cours
Rémission incomplète après dix-huit mois. Inconscience à l'asile;
conscience
au dehors de l'affaiblissement intellectuel. -
intellectuel. - Idées de suicide.- Retour des aeceHo'a ? Mes. In-
conscience
absolue depuis deux ans. Lydie B..., cinquante-
'avait plus de mémoire, plus de suite dans les idées et elle eut la
conscience
nette de sa déchéance intellectuelle. A l'asile
à un régime et à une discipline, elle ne prenait souci de rien, la
conscience
était 198 PATHOLOGIE MENTALE. restée endormie
vec elle arrivèrent des hallucinations terri- fiantes de l'ouïe. La
conscience
, un moment indécise au début des perversions se
émission, et l'inconscience a été absolue. Par contre, les états de
conscience
sont rares à la terminaison des vésanies par gu
sensorielle, la bonne foi du malade a été complètement surprise, la
conscience
ne devance qu'à titre exceptionnel le retour co
érence radicale. Il"est des cas, avons-nous dit plus haut,* où la
conscience
, en dépit de la violence du mal, conserve tout
doivent désormais nous occuper. , , RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. 199 Tout d'abord, dirons-nous, il y a quatre v
, il y a quatre variétés de folie qui s'accompagnent constamment de
conscience
, ce sont : l'hypochondrie morale de Fairet, l'a
ons mentales n'est pas, comme le croit M. Ritti , la présence de la
conscience
liée à l'irrésistibilité des actes, des sentime
un groupe à part, c'est la présence constante, indispensable de la
conscience
. Sans elle, elles n'exis- teraient pas, particu
se connaissent toujours. Ainsi, en aliénation men- tale, tantôt la
conscience
est un élément coiislittitif, tantôt un élément
ur laquelle j'appelle toute l'attention. Entre ces deux groupes à
conscience
constitutive et à conscience surajoutée, existe
'attention. Entre ces deux groupes à conscience constitutive et à
conscience
surajoutée, existe toutefoisun lien curieux d'é
t est accepté de tous les aliénistes pour les quatre formes où la
conscience
est un élément constitutif. Mes ob- servations
ort pas moins de cette petite statistique que la conservation de la
conscience
dans la folie se rencontre de préférence chez c
ropathiques ou des anomalies intellec- RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. 201 tuelles. Enfin, dans la troisième, se trou
donc des conditions connexes qui favorisent la conservation de la
conscience
. En ce qui concerne l'intelligence, il est faci
rôle. Au début de ce travail, j'ai eu soin de spécifier que le mot
conscience
est employé ici dans son acception réfléchie :
nce est employé ici dans son acception réfléchie : il signifie la
conscience
qui se replie sur elle-même, qui s'étudie, cher
e à comprendre et à expliquer les phénomènes qu'elle reflète. Cette
conscience
n'est pas celle du vul- gaire, c'est surtout la
e. Cette conscience n'est pas celle du vul- gaire, c'est surtout la
conscience
du penseur, de ceux habitués à scruter le pourq
diriger et d'amortir sa chute, qui a lieu toujours du même côté. La
conscience
demeure entière. Nausées et vomis- sements term
délire. Le il, juin, le malade est plus tranquille. Du 2 au 4, la
conscience
et la raison reviennent, on enlève les points de
ce jusqu'au délire, à la stupeur, au collapsus, à la perte de toute
conscience
. 1 Voy. Arch. de Neurologie; n" 7, p. 100. 32
avec délire du toucher, pseudomonomanie, délire partiel, folie avec
conscience
, délire émotif, folie lucide, expressions auxqu
pathologie mentale. 231 conception irrésistible (persistance de la
conscience
) et la con- ception délirante (aberration total
meet lafolie confirmée : celle-ci n'aboutit jamais à la démence. La
conscience
, qui ne cesse jamais d'abandonner 1 Voir Archiv
une place à part dans la nosographie sous le titre de fnr'e arec
conscience
; à ce point de vue la folie systématique et la mé
r se demande quel est le processus physiologique en rapport avec la
conscience
. Un acte cérébral complet se composant de deux
venir à bout d'une invincible frigidité. Tout cela avec une entière
conscience
de l'état maladif. Telle est cette anomalie sex
édérastie, ils ne sauraient échapper ni à la responsa- bilité de la
conscience
, ni à la juste sévérité des lois, ni surtout au
s1 'phénomènes. Ces obsessions, ces impulsions qui, le malade, en a
conscience
, 'affectent -certaines', allures de bénignité,
leptique, par Som- mer, 92. Folies périodiques, 129. Folie avec
conscience
(recherches sur la), par Marandon de Mon- tye
s laboratoires ; c'est celle où l'on a cherché â mesurer les étals de
conscience
et à introduire des chiffres dans la psychologie
lémentaire de l'hystérie paraît être un rétrécissement du champ de ta
conscience
avec conservation des phénomènes subconscients et
attaques, au moins dans les formes typiques, supprime ce qui reste de
conscience
au malade clans l'intervalle des crises, ce qui l
rtaines idées fausses ou délirantes qui pénètrent dans le champ de la
conscience
, la trouble dans une certaine mesure, mais ne la
revue, délire de l'attaque, idées fixes pénétrant dans le champ de la
conscience
, somnambulisme, résultent d'une sorte de conflit
Définition psychologique de l'hystérie. Rôle du rétrécissement de la
conscience
dans la genèse des phénomènes hystériques ; 2°
sont essentiellement favorables à l'école de Nancy et montrent de la
conscience
et de la critique ; cependant la bibliographie ré
e psychologique de la suggestion, la question des modifications de la
conscience
dans les états hypnotiques et somnambu-liques (di
es et somnambu-liques (divison de la personnalité, dédoublement de la
conscience
) et de leurs rappports avec l'hystérie, a provoqu
us ou moins étendu de cellules corticales du cerveau que l'on appelle
conscience
isolée d'une série plus ou moins grande d'idées a
ticale éprouvant une sensation d'idée isolée, ce que l'on appelle une
conscience
isolée : anesthésie systématique, rapport dans l'
laquelle elle devrait se soumettre pour une salpingite, elle perd la
conscience
pendant trois jours, avec des mouvements convulsi
iennent à la mémoire. Il y a une parenté étroite entre les états de
conscience
double et les expériences pour reproduire par la
(sensation de fatigue, véritable demi-sommeil avec conservation de la
conscience
ou amnésie, erreurs dans l'appréciation du temps)
s morbides qui sont causées par l'imagination sans intervention de la
conscience
et de la réflexion. Lowenfeld raconte que tous le
e des idées analogues à celle de Lowenfeld, sur le dédoublement de la
conscience
. Le délire de cet état a lecaractère du monoxdè
ction dans le domaine de la vie animale, celle-ci prête, avec plus de
conscience
, son assistance active à la réception des sensati
oit un amoindrissement des mouvements de la pensée, et partant, de la
conscience
; ou, pour mieux formuler, dans ce qu'il a d'irré
manifestation à propos de ce dont ils ont pourtant toujours gardé une
conscience
réelle. par répondre, sans s'éveiller, à ce qu'
s inconvénient, passer outre. Dans une étude très importante sur la
conscience
, Stadelmann 63 (comme Bebnheim et beaucoup d'autr
regarde l'état hypno- tique comme une modification de l'état de la
conscience
; une pluralité de conscience dans le même indivi
comme une modification de l'état de la conscience ; une pluralité de
conscience
dans le même individu n'est qu'apparente. Son tra
s le nom de « Centre des idées. » La séparation d'une partie de notre
conscience
à l'état de veille et la dissolution des comple
° Par suite de la facilité d'accès des irritations sensitives à cette
conscience
rudimentaire, est fournie la possibilité extérieu
r, les phénomènes cataleptiques sont produits par la limitation de la
conscience
à l'idée de la position des membres. Par conséq
conséquent, le caractère moteur de l'hypnose est une limitation de la
conscience
aux impulsions nerveuses. D'après Sommer, le té
le elle s'amusait précédemment. Elle réclama son enfant ; elle reprit
conscience
. A partir de ce moment, les attaques convulsives
ne se souvient ni de son attaque, ni de son délire, et a parfaitement
conscience
que son enfant est vivant et bien portant. Il e
sont succédé au moment de sa production, en dépit du témoignage de la
conscience
qui en comprend et en apprécie le mal fondé. Le
scient, annihilait le jugement et la volonté et se dérobait devant la
conscience
, momentanément incapable de réaction, en évoquant
st pas encore le sommeil, puisque la personne influencée conserve une
conscience
assez nette du monde extérieur et d'elle-même, et
Eu-sapia, pour la plupart inconsciemment, mais parfois même en toute
conscience
. Pour faire comprendre la possibilité des mouve
sphère de mouvements inconscients, qui sont étroitement liés avec la
conscience
de l'homme, et le fait que, dans l'état mondidêiq
ouver dans le médecin une personne sur laquelle ils puissent en toute
conscience
se fier, qui sache les comprendre et les conduire
onséquences, il se produit évidemment une annulation momentanée de la
conscience
, analogue, sinon identique, à celle que nous avon
uggestion, peut avoir tous ses effets, bien qu'il reste ignoré par la
conscience
des sujets. Bien plus, ce rêve inconscient peut c
moelle épinière (sphère d'automatisme) à celle du cerveau (sphère de
conscience
). Ajoutons un léger état paré-tique de la moitié
rement vigoureux ; je ne sais pas si cette préparation est faite avec
conscience
, ou inconsciemment. On dit que les fakirs indiens
intervalles de temps (de 3-10 minutes et plus), et tantôt laissent la
conscience
intacte, tantôt la troublent et même l'abolissent
sensations agréables, même voluptueuses. La présence d'esprit, et la
conscience
en général, est diminuée ou même abolie; pas de r
distance, observé, outre moi, par le Dr Higier et M. Siemiratzki. La
conscience
n'est pascom-plète. Tout cela dure de cinq à dix
e, car notre insouciance et notre ignorance nous empêchent d'en avoir
conscience
. » Nous terminons ces citations par celles du P
on avertissement suffît à le retenir. Mais, qui plus est, son obscure
conscience
le pousse à épier chez moi un instant de distract
lité dans un état de demi-assoupissement où il y a repos, bien que la
conscience
ne soit pas tout à fail abolie. On est alors so
ète des paroles apprises par cœur et des gestes étudiés, mais avec la
conscience
cependant qu'elle avait à représenter un personna
me soigniez, je n'ai jamais été assoupie, du moins je n'en ai pas eu
conscience
. Dites-moi comment vous avez changé ma condition
seule qui ait été guérie par moi, tout en ayant gardé toujours pleine
conscience
d'elle-même. Beaucoup ont été dans le môme cas, e
roire que mes ongles sont insensibles, car je les ronge sans en avoir
conscience
. Lorsque je m'aperçois que mes mains sont dans ma
ncre ce cran d'arrêt vous donnera le temps de vous ressaisir, d'avoir
conscience
du mouvement que vous alliez exécuter et de faire
forte, — livré au pouvoir dynamique de ses réflexes.Et cependant il a
conscience
de son état puisqu'il sait, et quand l'idée vient
a conscience de son état puisqu'il sait, et quand l'idée vient, il a
conscience
de ne posséder aucun moyen pour empêcher l'acte d
n'a quelquefois pas de durée appréciable; mais, ce sont ces états de
conscience
fugaces qui forment le fond de notre personnalité
le fond de notre personnalité psychique sur lequel s'édifie l'état de
conscience
intensif et prépondérant qui accompagne tout acte
érant qui accompagne tout acte volontaire. Tous ces petits états de
conscience
font mieux comprendre encore la nécessité d'une g
rendre encore la nécessité d'une grande somme d'inconscience ; car la
conscience
constante et adéquate à tous les mouvements ou fr
it toute solution impossible et équivaudrait à la négation même de la
conscience
. — Ainsi se trouve péremptoirement démontré la né
voir. L'acte volontaire serait de plus une concordance de l'état de
conscience
intensif et prépondérant avec tout ce qui constit
otre personnalité psychique. C'est ainsi qu'on peut appeler l'état de
conscience
intensif et prépondérant volonté négative quand l
Examinons dans ce sens le cas de notre sujet. Nous savons qu'il avait
conscience
de son état, il y avait donc dans le processus ps
el arrêt qui constituait chez lui un état conscient plus intense, une
conscience
prépondérante, une volonté négative qui constatai
r une démonstration physique tangible, déterminé un arrêt, un état de
conscience
intensif et prépondérant, une volonté positive en
lité psychique du sujet, qui s'est substitué à un arrêt, à un état de
conscience
intensif et prépondérant, à une volonté négative.
lutte entre des motifs divers dont la plupart n'apparaissent pas à la
conscience
; mais qu'elle est : la conscience intensive d'un
la plupart n'apparaissent pas à la conscience ; mais qu'elle est : la
conscience
intensive d'un arrêt prépondérant, dans un mouvem
ause efficiente; mais qu'elle n'est qu'une prise de possession par la
conscience
d'un état ou d'une succession d'états d'un mouvem
de, les jongleries le jettent dans une sorte d'ivresse, il perd toute
conscience
de son état. Ahuri du tumulte et des scènes étran
on, l'induit par se laisser diriger sans que ni l'un ni l'autre aient
conscience
de leur acte — (cette dernière expérience est fac
du docteur X... en particulier, se développèrent complètement dans la
conscience
de Mme A... L'idée fixe était ici bien analogue à
'hui encore, elle nous déclare qu'elle s'en souvient parfaitement: la
conscience
et le souvenir sont donc complets. Cette malade
arfaitement s nets et visibles, et que les malades de ce genre ont la
conscience
et le souvenir de leur idée fixe. II Les hyst
s idées fixes, mais ne pouvait les décrire, car elle n'en avait ni la
conscience
ni le souvenir. Si nous résumons les observatio
e explication de leurs accidents? Nous savons aujourd'hui que notre
conscience
ne saisit pas tous les phénomènes psychologiques
ve. Eh bien, les hystériques ont aussi des idées dont elles n'ont pas
conscience
et de véritables idées fixes qui restent subconsc
ours les mêmes, et que ces rêves remplissent assez son petit champ de
conscience
pour ne laisser place à aucune autre perception e
dans des états somnambuliques et restaient au-dessous du seuil de la
conscience
, comme sont les sensations dans Panesthésie hysté
supposer, sont toutes imperceptibles pour un homme à l'état normal de
conscience
. Pour qu'il puisse les apprécier, il lui faut res
xpression de psychologie allemande, plonger en dessous du seuil de la
conscience
. C'est ce qu'on constate en effet, mais dans des
bien supérieur, tout en employant les mêmes moyens restrictifs de la
conscience
, me parait en outre se servir d'auto-suggestion p
mais continus et • nécessairement cachés, en dehors des limites de la
conscience
; ce qui le guide c'est, il est vrai, l'état de l
t le contraire d'un liseur cumberlandiste ; loin de faire évanouir sa
conscience
et languir sa volonté, il leur demande des effort
extraordinaire, et non celles qui, inutiles dans la vie basée sur la
conscience
, ont été atrophiées, ou plus exactement repoussée
raisonnement et de la volition et rend superflue l'intervention de la
conscience
, en leur créant des voies de moindre résistance.
ndication. Le cumberlandiste abaisse le niveau du développement de la
conscience
; M. Wassilieff, au contraire, l'élève. Tandis qu
et, par ce mécanisme, celle-ci finira par occuper tout le champ de la
conscience
au détriment de l’exercice des facultés supérieur
e pour lui ce souvenir matériel ait semblé disparaître du champ de la
conscience
, il existait encore à l'état subconscient, et mod
entourage et aussi heureux qu’inespéré. Lui-même, du reste, a pleine
conscience
de cette transformation et je ne puis mieux faire
on de la paralysie psychique chez un sujet est un phénomène dont il a
conscience
. Il en est le témoin passif et indifférent. Il es
recte ? I. — Le sujet analyse les phénomènes qui se passent dans sa
conscience
par l'introspection (recherches psychologiques di
méthodiquement, au moment désiré et sous une forme déterminée dans la
conscience
du sujet (méthode expérimentale). III. — Dans c
rtains cas, on influence aussi expérimentalement l’état général de la
conscience
du sujet. Ad. I. — Conditions que le sujet doit
rder ou retrouver pendant les expériences, le même état général de sa
conscience
afin que les analyses soient égales par conséquen
ale sera parfaite. Ad. III. — On peut modifier l’état général de la
conscience
du sujet afin d’étudier l'influence de ces modifi
hologiques. Plus on pourra modifier exactement cet état général de la
conscience
, plus les résultats donnés par les expériences se
omènes à analyser ; III. — A la modification de l’état général delà
conscience
, qui sertde base à l'expérience. Ad. I. — Par l
III. — Il y a un grand nombre de changements de l’état général de la
conscience
que l’on ne peut produire exactement que par la s
e intensité toute particulière; il accapare à lui seul le champ de la
conscience
, à l’exclusion de tout ce qui n’est pas lui ; il
ans l’état de veille. Or, le sujet lui-méme peut prendre pleinement
conscience
de ce qui se passe à ce moment en lui. Toute l’at
le celte fragmentation de notre vie psychique, avec persistance de la
conscience
à titre de simple spectateur impartial et désinté
onscience du sujet pendant l'intervalle. 3" Il fait revivre dans la
conscience
présente les phénomènes psychologiques, soit norm
il de la marmotte. L'extase est obtenue par un rétrécissement de la
conscience
: l’esprit est occupé d’une passion unique; les c
ase. T’ne sensation unique, fournie par l’objet contemplé, remplit la
conscience
. Seulement, les contractions musculaires, au lieu
anet, que l’anesthésie hystérique fournit de nouvelles données sur la
conscience
: Panesthèsie étant due à un état d'inconscience
le sujet perd, à des degrés divers, sa volonté, son libre arbitre, sa
conscience
, sa mémoire. Dans cet état, qui est le somnambuli
s cas, le sujet accomplira automatiquement. fatalement, sans avoir la
conscience
ni le souvenir de la suggestion qui lui a été fai
dans le troisième degré de somnambulisme, le sujet, dépourvu de toute
conscience
et de toute liberté, a perdu lo sentiment de sa p
’impulsion à voyager qu’éprouvent périodiquement certains malades. La
conscience
de ces fugues persiste néanmoins la poriomanie se
accidents épileptiques peuvent se manifester sans obnubilation de la
conscience
. Un cas d'automatisme ambulatoire (fugues, dr
rteurs se sont acquittés de leur tâche respective avec un soin et une
conscience
des plus louables, faisant preuve d'érudition, de
nnait son pantalon. L’intromission avait eu lieu sans «ju’elle en eut
conscience
. Le domestique fut condamné àdix ans de travaux f
publications comme les « Phantasms of the Living» ont produit dans la
conscience
de notre génération déjà prédisposée aux perturba
ières, le sujet analyse, par l’introspcction, cc qui se passe dans sa
conscience
, et l’exprime par le langage; dans les dernières,
méthodiquement, au moment désiré et sous une forme déterminée dans la
conscience
du sujet. De plus, dans certains cas, on influenc
rtains cas, on influence aussi expérimentalement l’état général de la
conscience
du sujet. Ainsi donc, dans la méthode psychologiq
nomènes qui sont produits méthodiquement et expérimentalement dans sa
conscience
, dont l’état général est aussi déterminé. Pour
der ou retrouver, pendant les expériences, le même état général de sa
conscience
afin que les phénomènes à analyser conservent tou
mentale sera parfaite. Enfin, on peut modifier l’état général de la
conscience
du sujet, afin d’étudier l’influence de ces modif
hologiques. Plus on pourra modifier exactement cet état général de la
conscience
, plus les résultats donnés par les expériences se
nstater en même temps le moindre changement dans l’état général de la
conscience
. Mais, c’est surtout mon maître Forel qui a le mé
’un seul système d’idées; et tout cela, sans que l’état général de la
conscience
soit changé, et par conséquent, sans que le sens
le moment, mais qui influencent, malgré cela, le contenu actuel de sa
conscience
. En voici deux exemples : un sujet agit sous rinl
e balances. Au moment même où cette scène repassait très vite dans ma
conscience
, je pensais que cette jeune fille était la fille
ne relation entre celle image et les idées qui l'ont précédée dans ma
conscience
. » Il s’agit donc ici d’une idée appartenant au g
roupe des idées décrites par Ilerbart comme entrant librement dans la
conscience
: Frei aufstei-gende Ideen. Plongé dans l’hypnose
spect prennent ces idées qui, en apparence, entrent librement dans la
conscience
, après une analyse à l’état hypnotique. Ce sont d
e. Il s’agit donc bien d'un vrai changement de l'état général de la
conscience
. Enfin, on m'a dit : cet état est bien un état
mployer des suggestions spéciales pour modifier l’état général «le la
conscience
, qui sert de base à l’expérience. 11 y a un grand
constamment restée dans la pièce où opérait Lévy, mais, par acquit de
conscience
, il résolut de le l'aire appeler. Dès que celui-c
8, p. 385. tion et sans qu'ensuite la personne endormie ait eu la
conscience
d'avoir respiré des vapeurs plus ou moins odorant
rnuement, le rire, les pleurs le sont à un moindre degré. Le peuple a
conscience
de cette puissance, car il a créé les locutions :
l’expérimentateur; tous les muscles étant relâchés, le sujet n’a plus
conscience
de l’eiïort causé par la contraction musculaire,
plus au cerveau. L’hypnose amène chez les bons sujets la perte de la
conscience
, de la sensibilité et l’amnésie au réveil. En des
celle-ci occupe toute l'activité mentale; il y a rétrécissement de la
conscience
que rien n'excite hors la passion unique. Les con
anet, que l’anesthésie hystérique fournit de nouvelles données sur la
conscience
: l’anesthésie étant due à un état d’inconscience
ore paru. Supposons que la représentation d’un mouvement possède la
conscience
d’une manière intense et exclusive; s’il ne survi
ées ou nulles; elles n’ont pas le pouvoir d’appeler d'autres états de
conscience
pour contrebalancer les entraînements de l’imagin
suite des visions ou hallucinations, à l’aliénation, aux états de la
conscience
où l’imagination, la mémoire, l’attente, les pass
ait de ce qui l’entoure, il est passif, inerte, mais en même temps sa
conscience
est très tendue et très érectile; l’état d’attent
lirantes, les hallucinations, les obsessions ; il fait surgir dans la
conscience
du malade des représentations que celui-ci aurait
Nous n’avons rien à ajouter aux éloges du professeur Déjé-rine. La
conscience
scientifique, l'esprit critique et l’érudition de
otisme toute particulière ; il accapare à lui seul le champ de la
conscience
, à l'exclusion de tout ce qui n’est pas lui ; il
ans l’état de veille. Or, le sujet lui-même peut prendre pleinement
conscience
de ce qui se passe à ce moment en lui. Toute l’at
onscience du sujet pendant l’intervalle. 3° Il fait revivre dans la
conscience
présente les phénomènes psychologiques, soit norm
tomatiques. Le loir, en léthargie sur un arbre, descend sans en avoir
conscience
: une patte lâche, il en fixe une autre ; arrivé
nature de l’excitant et de celle du sujet. De plus, les phénomènes de
conscience
échappent à la loi d'impénétrabilité, les états a
e cervelle un tourbillon d’idées et d’images où il me semblait que ma
conscience
, que mon moi sombrait comme un vaisseau dans la t
ans l’asthénie mentale des infections, sans laisser de traces dans la
conscience
: bien différentes par conséquent de ces monoïdéis
nnalité. Breuer et Freud s'expriment ainsi : « Cette division de la
conscience
que l’on a constatée avec netteté dans quelques c
que de l'hystérie, Paris, 1859. (3) Lasègue : Etudes médicales.
conscience
anormaux, que nous proposons de réunir sous le no
ur Pick, il existe chez l’hystérique un rétrécissement du champ de la
conscience
. Tout cela est assez vague, et l’on peut dire q
i se développent complètement et isolément à l’abri du contrôle de la
conscience
personnelle, et qui se manifestent par les troubl
ures qui sont, suivant les neurones intéressés, perçues ou non par la
conscience
. (Les figures perçues par la conscience sont les
ressés, perçues ou non par la conscience. (Les figures perçues par la
conscience
sont les sensations, les images et les idées.)
uestions scientifiques dont l’examen et la solution sont laissés à la
conscience
et à la capacité des médecins traitants;... » L
t plus nettes et plus précises ; elles sont mieux appréhendées par la
conscience
et se gravent profondément dans la mémoire. Parta
attre les causes de dégénérescence, éclairer l’opinion publique et la
conscience
de chacun, vulgariser les lois et les dangers de
trajet, ne sont pas perçus dans leur ensemble. Nous n’avons en effet
conscience
que de leur trajet in-tracérébral et même que d’u
conjugal. Ce moment est évidemment grave et la femme en a nettement
conscience
: le bonheur de bien des ménages ne dépend-il pas
ions sont depuis longtemps tracées dans le cerveau, les phénomènes de
conscience
qui se produisent alors prennent le nom de jugeme
onnelles depuis longtemps accumulées et organisées qui constituent la
conscience
proprement dite (*) ». C’est aussi ce qu’exprime
p de leur mémoire atténuer l’idée triste ou joyeuse qui passe en leur
conscience
(2). Aussi bien ont-ils vite fait d’oublier leurs
dans la personnalité, et déterminant un rétrécissement du champ de la
conscience
analogue au rétrécissement du champ visuel. Le
On dit alors que l’image ou l’idée principale «envahit le champ de la
conscience
. » Il serait plus juste de dire que le champ de l
p de la conscience. » Il serait plus juste de dire que le champ de la
conscience
se réduit à l’image ou à i'idée fixe. N peut même
ouver dans le médecin une personne sur laquelle ils puissent en toute
conscience
se fier, qui sache les comprendre et les conduire
rend toutes les facultés de raisonnement et toutes les perceptions de
conscience
qui nous viennent par les cinq sens. Le second, c
o la raison et la maîtrise de soi, ni qu'il ait toujours actuellement
conscience
de ce qu'il dit et de ce qu'il fait: nous observo
dans l'après-midi, que sa digestion s'était faite sans qu'elle en eût
conscience
, que son ventre n'était plus douloureux, pesait e
es douloureux dont elles manifestent l'existcnce. Dans leur état de
conscience
, où de prime abord parait régner exclusivement un
la rougeur, la pâleur, la sueur, etc. » L'émotion devient pour eux la
conscience
pure et simple des violentes modifications neuro-
cles se détendre graduellement, la respiration devenir gémissante, la
conscience
disparaître lentement et la résistance des nerfs
érence suivant : « Dans le sommeil ordinaire, dit-ii, aussitôt que la
conscience
est perdue, le sujet est seulement en parenté ave
repose uniquement sur la persuasion employée pour créer des états de
conscience
conformes au besoin manifeste du malade. Lorsqu
s parents eux-mêmes s'en reconnaissaient incapables. J'ai tout â fait
conscience
de la grande responsabilité que j'assume en accep
une estimation plus précise de ce qu'il reconnaissait comme « double
conscience
* et en un développement des idées qu'il avait op
rnée au bien ou au mal. Nous devons donc nous appliquer à éclairer la
conscience
humaine, pour amener le progrès de la justice et
aroles qu'il a entendues; leur sens mémo lui échappe-; il a nettement
conscience
que cette voix revêt un caractère rude et impérie
era tout à fait maître de ses mouvements, il les dirigera avec pleine
conscience
et pourra empêcher ses mains de trembler. En outr
uestionné dans l'hypnose pour découvrir la réalité. Selon Delbœuf, la
conscience
secondaire qui existe dans l'hypnose, et qui est
» a Les somnambules pendant leur sommeil témoignent d'une parfaite
conscience
de leur être ; ils répondent aux questions qui le
veil, on peut toujours s'assurer pendant le sommeil qu'il conserve sa
conscience
; on arrive, en l'excitant, à le faire manifester
ue. • Je le répète: à tous les degrés de l'hypnose, le sujet garde sa
conscience
; le coma hypnotique de Braid n'existe pas. Malg
diagnostic. Et, quand même il n'en serait pas ainsi, pourrait-on, en
conscience
, négliger l'examen du système nerveux dont l'acti
ivement produites par l'écorce du cerveau n'impressionnent en rien la
conscience
du sujet ; pendant le jour, il répond à peu près
ents, je fis traîner un arbre sur le corps de mes deux artilleurs. Ma
conscience
s'étonna de l'acte, loua ma prudence, comme si un
repose invariablement sur cette double base ; le rétrécissement de la
conscience
personnelle et la suggestibilité exagérée. Chez
e et comparée. — M. Ch. Ribct traitera des Conditions générales de la
conscience
et de l'inconscient, les lundis ù 3 h. 1/2; les j
faire varier l'intensité et la modalité des perceptions ; éclairer la
conscience
, nous pouvions aflirmer au Congrès d'Oran qu'il y
ggérés (phénomènes d'arrêt ou d'action) d'éveiller progressivement la
conscience
par la suggestion associée aux diverses excitatio
isme pédagogique, qui apparaît au début comme un asservissement de la
conscience
, se traduit, finalement, par un développement de
; il aura accompli un acte criminel, mais il prétendra n'en avoir pas
conscience
; il dira avoir été privé de son libre arbitre pa
malement on éprouve un sentiment général synthétique qui s'appelle la
conscience
que l'on a de vivre, la conscience de son existen
néral synthétique qui s'appelle la conscience que l'on a de vivre, la
conscience
de son existence, de sa personnalité, de son indi
être considéré comme irresponsable, et son acquittement s'impose à la
conscience
des juges ou des jurés. Seul, l'auteur de la sugg
ts auxquels on fait des suggestions criminelles, ou bien ont assez de
conscience
pour se refuser à les exécuter, ou bien savent qu
., continue Delbœuf, savait donc qu'elle jouait la comédie, avec la «
conscience
cependant qu'elle avait de représenter un personn
i° L'hypnotisme rend impossible l'observation subjective de l'état de
conscience
présent, car le sujet est un automate qui ne se r
2e L'hypnotisme rend impossible l'observation subjective de l'état de
conscience
passé, car l'amnésie existe toujours au réveil.
t ce sommeil, le sujet n'est pas un automate et peut avoir pleinement
conscience
de ce qu'il ressent. Bien plus, à la faveur de l'
diminue en eux l'étendue ou, comme il le dit, ? « ex-tensitc » de la
conscience
, pour accroître du môme coup l'intensité de cette
e nombreuses difficultés surgissent. Tel aliéné, par exemple, n'a pas
conscience
de sa maladie ; il affirme qu'il est en parfaite
rtout à surpasser en intensité les représentations exclusives dont la
conscience
de l'aliéné est à chaque instant la dupe ; — si,
ssié, Les Rêves, thèse de Bordeaux. 1890 images qui ont occupé sa
conscience
en dehors de la veille normale ; comme le dit M.
ans un but directement thérapeutique cette persistance possible de la
conscience
du sommeil au-delà même de la période du sommeil
préciser le côté proprement psychologique de la question. » ». La
conscience
(*) peut, à ce qu'il semble, être considérée par
représentations qui se rapportent à nos séries successives d'états de
conscience
ne possèdent pas un égal degré de clarté, d'inten
eptibles d'être facilement remémorées, demeurent cependant loin de la
conscience
présente; d'autres s'approchent de ce que, par mé
ochent de ce que, par métaphore encore,.on appelle le « seuil » de la
conscience
, mai3 ne le franchissent pas ; d'autres franchiss
hissent pas ; d'autres franchissent ce seuil, abordent le champ de la
conscience
, mais n'en occupent, pour ainsi dire, que le pour
, 11,27- (2) Ai-je besoin de spécifier qu'il ne s'agit pas dô cette
conscience
, dite morale, laquelle serait à ia fois le consei
uge de toutes nos actions, sous lu point de vue du bien et du mal? La
conscience
, dite psychologique, dont il s'agit Ici est celle
oisins d'Outre-Manche et d Oulre-lthin appellent Cunsciousncss(el non
conscience
},-Beiwwsrsffin (et non oewissen). Elle comprend t
gie psychique, à se constituer enfin comme exclusives- Chaque état de
conscience
se ramène donc à une sorte de cbmplexus formé du
nt parvenues à occuper soit la pénombre, soit la pleine lumière de la
conscience
. A vrai dire, toute la vie psychologique s'expliq
systématisé de représentations) a envahi complètement le champ de la
conscience
à l'exclusion de toutes les autres représentation
sentation et que nous l'avons suscitée, maintenue, exaltée dans notre
conscience
; c'est volontairement aussi que, par contre, nous
e représentation qui n'a pas été librement appelée s'installe dans la
conscience
; elle s'hypertrophie, pour ainsi parler, au détri
aquelle nous arrivons, comme le dit Ribot, en ajoutant o des états de
conscience
les uns aux autres ». Infini, éternité, matière é
e aux élans de son cœur, cette femme, restée pure et chaste devant sa
conscience
normale, vit, avec un étonnement et une douleur i
que notre sujet dort profondément sans rêver à quoi que ce soit ; sa
conscience
alors sera, pour ainsi dire, inerte et vide : auc
part, le sujet dont il s'agit est en train de rêver? Dans ce cas, sa
conscience
se trouve accaparée toute par des représentations
rvient, sans soubresaut et sans heurt, à atteindre le « seuil » de la
conscience
. Suivant une progression régulière, je continue à
à peu les aulres états qui auparavant occupaient toute « l'aire de la
conscience
; ceux-ci deviennent alors de plus en plus faibles
uent, se « dégradent », jusqu'à ce qu'ils tombent sous le seuil de la
conscience
et soient ainsi tout à fait écartés. A ce moment,
ul état réducteur des précédents. Ce n'est pas tout. On sait que la
conscience
ne peut rester longtemps identique à elle-même; e
rand lort de considérer la simultanéité comme fondement de l'unité de
conscience
. Par exemple, quand je prononce un mol de trois s
e un mol de trois syllabes, celles-ci ne sont pas simultanées dans la
conscience
et cependant l'on ne j»eut pas dire qu'elles soie
ties non simultanées, autrement dit, l'unité synthétique de l'acte de
conscience
n'exclut pas la non simultanéité. Ainsi, le temps
trois facteurs : 1° et 2° la qualité et la quantité du contenu de la
conscience
, 3° l'intensité de l'énergie psychique du sujet.
rêver uniquement à tout ce que je lui ai prescrit. Occupant ainsi sa
conscience
pendant toute la nuit, mes suggestions deviennent
une fois, accusé d'exagérer à plaisir, mais que je me borne, en toute
conscience
, à montrer tel que je le vois. Heureusement, il
l'homme peut être tournée au bien ou au mal. C'est donc à éclairer la
conscience
humaine que doivent tendre nos efforts. Répandons
la plupart du temps inefficaces... Essayons cependant, par acquît de
conscience
, de donner des douches, p — Or, les douches ne pr
ui comprend, en somme, le tiers de notre vie psychique ; des états de
conscience
pourront être (1) Pour ce qui concerne tes appl
faits et irréprochables. Du Vergier fut le créateur des directeurs de
conscience
. En 1646, au moment où ses ouvrages tombèrent e
is tout ce qui est physiologique ; elle étudie seulement les faits de
conscience
; elle comporte toutefois une expérimentation laqu
ts du couple psycho-physiologique, l'analyse élémentaire des états de
conscience
(*). L'insomnie par idée fixe subsconsciente, —
il est soumis à un déterminisme physiologique très précis, il est la
conscience
d'un étal vasculaire déterminé. Qu'il paraisso
ce qui est une expression impropre. M. Bernheim, lui, affirme que la
conscience
persiste toujours pendant toutes les phases de l'
plongés apparemment dans une hypnose profonde, des manifestations de
conscience
peuvent être obtenues si on stimule ces sujets pa
scient; M. Bernheim, lui-même, affirme que chez le sujet hypnotisé la
conscience
persiste, quelle que soit la phase du sommeil. Le
raisonnable est celle qui cherche à les expliquer par le réveil d'une
conscience
secondaire, subliminale. La suggestion n'est qu'u
re, il ne cessait de voir en secret les religieuses, et, directeur de
conscience
de Madame de Longueville, il allait chez elle sou
l'abbaye. Elle subissait d'ailleurs l'action de divers directeurs de
conscience
. Enfin elle relira sa secur de Saint-Cyr, et la f
n dehors du consentement du malade et à son insu; elle suppose que la
conscience
du sujet qui dort a pu être, au préalable, affran
des états faibles n et conformément aux lois delà n dégradation de la
conscience
, » L'intervention en elle-même devra comporterd
d'augmenter de fréquence'et- d'intensité1.' Au point de vue'de'la
conscience
, qui nous fournit elle.mèII}.eltons.ces .rensei
ade elle-même ne permet-elle pas('de suivre révolution de l'état de
conscience
dans un cas de manie linter- mittente à marche
1 é¡'édil maternelle. l-7t Manie aiguë avec^ , , . ,, ? ,, , , ,- ,
conscience
^ G uérison.iUl ^ ? j J '('1\ 1 -¡¡¡¡,II') '" t.
milieu de ce' bouleversement général 1 de toutes' les facultés;'la
conscience
* demeurait^ ce s point in- tacte que cette part
? ) Et qu'on veuille bien le remarquer, ces -preuves évidentes de
conscience
n'étaient pas données dans des moments de répit,
' .fI' ",....' t l "" ... /. Il . 1 Ytl h..llIlt1 folie morale avec
conscience
. .S'aH/e MAvsMea/ ? 'a<Mc ? ' 1 j 4 ? ? tt ?
if...Açqou.c/¡ement difficile .-^ -ni ¡ lJ1 al¡'e, rémittente, avec
conscience
datant \de trois ans; 1 l, '" qilpi l 9f1 tOt·y
ment-pénible et a- suivi la, marche rémittente. La ma- 'ladre' a'ia
conscience
claire de n'avoir plus été la même à-partir dé
nquillité, t Au mo- ,ment même des paroxysmes la malade ne perd pas
conscience
. 'Sbn'désespoir d'être aliénée croit avec l'agi
tiques ? Troisième' accès '.de'('lypéma11l'e'" anxieuse simple avec
conscience
. Idées de suicide, Ey rysil- l ' pèle pltlyctén
41° de température, 120 au pouls, et avec un dé-'1 lire violent. La
conscience
avait coiiipètement disparu ? c'à la.it 1 le, d
é paternelle. 'e ? '<e'n ? '</eH. J Chagrin. - Stupidité avec
conscience
. i, ? 1 '' - ( 1 1 .,1 ,U "1 -; , i » . ," , 1
Il' se .sentit devenir incapable. ? RECHERCHES SUR LA. FOLIE AVEC .
CONSCIENCE
. 39 t non seulement de continuer ses occupation
Pochez. après cettenouvelleguérisonaffirman i n'avoir jamais perdu
conscience
de sa situation.. Sans doute il - .- était inca
Il 1. 'i ii'-J, , u ' x ' \.1 1 f - 1 j - t La conservation' de la
conscience
dans certains'cas / . - 1 JI' J ¡" 1 H >' \'
u ciel, et réciproqueme'nt : ! J-,e'fait de li conservation1 de'la5
conscience
, ine'paraît'au-contraire àvoir'uhe valeur 'abso
t comme t'la Il. . -t. ' ' u ' ? 1 II/ 't ' < ? jU''J 9T71 I`I
conscience
dont elle dérive ; les, malades. se-tue'n^ alors
11111 'Il il .yl r·,n ? 1(Flf ';) jtov Ainsi, la conservation,de la
conscience
assombrirait n le pronostic. Non seulement elle
,1 '" ' 1 isolément ,coiieilieiit parfois avec l'intégrité de la,
conscience
, il en est ainsi quand ils se succèdent pour su
1 inn 'r3fflfnlfl;ft(j 1'r 2,)Hpd')'JII1;1 ^ Cette intégrité de là'
conscience
'dans{cértàiÚs "chs'rde ? n ,. ffl 1 r;f `7 O ? T
.../1 . 1 Il \ ? 1 j,;1·a f ! f' . t f conservation absolue' de, la
conscience
, 'elles cotisti- a 1 1 1 . 1 ,, 1 't 'n ! 1 1 a
rédité au dire de la'' famille. - 1"31éitoi)ause. ~ Panophobie avec
conscience
? Amélioration" - r 1 fl. us-/ - , u -Il ri" 1
ux morts de convulsions dans la pre- RECHERCHES SURIL41,FOLIE avec,
conscience
. 45 mière enfance. Depuis Ia'fpuberté, J Camill
e hérédité. Ménopause. lypé- manie e ? 'o<o ? ? ! 6f ? KayMeauec
conscience
. n'( ' If' 1 <II Arici-c D .. , , 'quarante-
,6 ri '/il 1 PATHOLOGIE MENTAL ! ! ] ? ""1 I affectifs, dont elle a
conscience
et qu'elle ne peut 'guérir.' Elle a pris en adv
pagne, un endroit isolé, être seule enfin avec son'amour. -Mm0 D à
conscience
de tout ce que cet état a d'anormal. Elle gémit
;; .11 } ? f t.... T.- r. ? Idée' fixe 'd'une mort imminente avec
conscience
. Guérison. " 1 '11 ,. - . " r , , Edmond X...
érédité paternelle. Hallucinations (1c' la' vue'' et de l'ouïe avec
conscience
? Obitiz*o2z intellectuelle ? i,avec, conscience.
'' et de l'ouïe avec conscience ? Obitiz*o2z intellectuelle ? i,avec,
conscience
. - S oumission\auX' troubles sensoriels H(us -
7<{ees'e''sHi'e -'Démence' consécutive CV avec^vagues lueurs de
conscience
: f I\ ? ( ? \1 ? 1 wr z \, .l'l'Il \ \'\>I\
nt' son impuissance à les dominer. -Lors. de; la première crise, la
conscience
paraît , aussi, avoir été conservée, car, d'apr
près de huit mois dans cet état; les' facultés s'affaiblirent," la'
conscience
s'obs- curcit parallèlement. Aujourd'hui, cette
à la démence, elle a pourtant encore, par. instants des, éclairs de
conscience
. ? ,\-\. r * l' v, lrl ., , 1 - ,1 ) Observatio
disproportionné quant et l'âge. Hallucinations - -. de l'ouïe avec
conscience
. Idées lpénaniaques avec cons- cience. Soumissi
ntérieure; pas d'hérédité au dire de la famille. 111 ? Ves... avait
conscience
d'être hallucinée de l'ouïe, d'avoir de l'obtus
ion XX. ? Hérédité paternelle. >j.Idées de t persécu- 1 ion avec
consciences
-· Hallucinations' de l'ouïe' avec \ cons- scie
uels elle passait sous l'influence de ses 'hallucinations et de' sa
conscience
restée saine,qui se combattaient,'ses plaintes
i. n'a pas ,2 ;- yt 8r ' * pathologie- mentale. yl ? itr'1;3. : r
conscience
.de' ses. hallucinations ;» d'ailleurs, Jajdemir
. - upp/'esslOn G ¡¡enZO/T¡tOl es. - 7 ? 'OM<'/M Psychiqâes avec
conscience
. Systématisation par la rage. Idées de - ' sw'c
ité. JVys'cMmc ? Z)e- doublement de la personnalité psychique, avec
conscience
. - ,fi' Systématisation J pa7 zcaepossessioarép
1trouble$psychiques' seumarientaux per-' versions sensorielles,' la
conscience
''des premiers se- J'ir JI -....ll1',lli.. tJ'
XIII. -'Père viveur. Chagrins domestiques. Troubles psychiques avec
conscience
. llallucinations iilc%), \ 11% 4àj 11 ? Y ? ?
)dont un mort-né et trois morts-avec RECHERCHES SURI LAI FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. 55 des convulsions dans la première' enfance ?
gt;4 .t .oV4'JW , ,, ? XJ>'.ix.X ? XXXS 1roubles psychiques avec
conscience
. - Ilallzici22atî*oi ? s iicois- cie ? îl'es de
veut se tuer-pour- en\¡flnir : ,totit de) : ! suite. Yictorinena a
conscience
d'avoir- l'esprit malade;'les.idées troublées, de
e "gosier, d'autres o fois ( d'être» par tropflutin. -L'état' de.là
conscience
est resté"le'J ! llême,'I.intactr quant aux tro
? t 1 .; ., ? ,, ? r,l 1 ils systématisent ! Ici encore, c est la`
conscience
qui lt.O/1- ll'r" (il. -ML Jl i - J .il Il. .1.
' Il Je.) pqilf fi"'i ! \ tJl .. r, i\1 j 'J.u v qne de la perle de
conscience
et de 'la transformation du délire., H du J'Ull
f ? I ? cüÍl £ CiênÉèCfOesi,) ;e"J' D un autre cote, la. folie avec
conscience
est peu /fc.| P1 o ? )it) tnt il il, lU.lr.Jclf
par,icelai iiièr-n6 que .la'c`côiicéption ? délirâiite3'eXélutt la
conscience
.r,ef1ëchje ! "Quand lM : 1¡Billodljdii,J ' : 1({
? m'arjamais- eu de : conceptions dé- lirantes; depersécutions avec,
conscience
," ce. quil sérait une iimpossibiIité;psychol6gi
ONSCIENCE. 65 prouve qu'enréaUté les impuisidnsirrésistibles avec
conscience
(naissent de .droisisourcesUrès-f différentes) E
'z' surprenant. Commentile sens;intimeréfléchi;caest-'a' dire, la
conscience
! unie à... ! la"réf1exion ? se <maintient-ilt
: - -<t Gil 0 , ? iULtt' li4j , Ji' J ? n . J c' ' -* raie la
conscience
n'a duré que quelques, heures et, se liait,,à u
¡si LnoiAbreuses' éf''si'`délicâtésqüL`JSÔU- lève la 'folie avec11
conscience
au point`de vue1'd'e{ l'étiÓ ? ]ogie"de laI sym
ute rcônfüsiôn;edé comprendre, sous' la- désignation' de folie avec
conscience
réfléchie, Ies-maladiès qui 'méditent sur leurs
l"irl' IUP mit) 1) 1. 9')11)1 JrlfIO' ni 'JIG'l 9 J IIl-.lL'étàf'de
conscience
'se renèoll ifè"'dans ? Ie ¡'cbill1 des folies
- turne. "11",1/, n fy., '' >^' '< .r ? Tmrl )r rt VIII. La
conscience
, en' aliénation'mentale;upeut , 'être' complète
aliénation'mentale;upeut , 'être' complète' où' incomplète'. )La ?
conscience
complète, RECHERCHES .SUR"LAFOL1E .AVEC^CONSCIE
complète'. )La ? conscience complète, RECHERCHES .SUR"LAFOL1E .AVEC^
CONSCIENCE
. 69 d'après IÍ1Olrexpérience;leJ,pl.u fréquente
mi-conscients-1 dans..la"proportion, de ,80, p., ,1 qu. ,ci X 1 La,,
conscience
,- parfaite est, plus fréquente,, dans, le 'déli
r. manière- 9 ? ê.t.r : psychique, 2t XIII : La'conservationfde,,la
conscience
dans certains ' '. , ) ,t ? J.. ¡ J J..l ; 1
de cette forme ésanique. fti'>1XIV : >La conservation de, la,
conscience
, dans certains J cas de 'folie¡ circulair-e,<
t,rlnt t>J ? i1 [;" - )fi XV,»-' (Daiisile délire, .partiel,, la
conscience
se trouve --soit' avec : f des (troubles; senso
riels, combinés ? ) Bru,f, 1..1, I ! .q 1no ? - )(lfXVI. Quandi-la,
conscience
parfaite. existe avec, .des troubles sensoriels
ompatibles avec larraison. «rmm^.),) ,1 If 1 . \\'\ XVII. Quand'fla
conscience
, parfaite, exi ? e"aveç, des - 70 0 51'Ï ? I 2t
el chez ,lIes, malades; >»<' jI1Dn'I9 ! b ail XVIII. Quand la
conscience
parfaite existe aveçi,des - troubles : psychiqu
tellectuel)concomita.iit ? 1, rr .7fJ' : \ no XXI : i(Quandtlandemi=
conscience
: existe .avec^des 5 tr systématisation. ! se.,
, base toute entière sur le fait même de la conservation de, la f,
conscience
. il olr ? t"n.,(,1 -)1, p"TOlhL n3 .lI'17 oJ11f
s, '1"Ia}noonsciencel.desj premiers f, se ^combine lavec il'in- -
conscience
des, seçonds,} etndeuxca's se £ ! présenent. To
tous- leurs; troubles psychiques -let ? sensoriels ! et- de, cette ,
conscience
absolucisort la j 1 to i z systématisation. E
bles3 qui<<se`coneilienble mieux-1 avec la conservation de la
conscience
sont, par- ordre de-fré- - quenée : 11 obtusion
H,çi\ ? i9n, e/ ? t, de tous tles-éléments du délire ? celui que la
conscience
`apprécie lé plus difficile ? ; tn ? ièiIo'j(ii
i' 1.11 '\iL ! \ tHP') ! ' rt° : J,1 a. ? IQ"" -i1 ? cipation de la
conscience
lui paraissent être concluantes, au cas même où
nte-cinq) ans,,ressent unlaffaihlissementJ,psyçliique'.dont elle, a
conscience
, puis, de temps à autre; ;des secousses dansées'e
es états d'obnubi- lation< psychique,, l'activité autonome dé la
conscience
n'est pas supprimée; il existe toujours une eer
d'emblée considérée comme une preuve médico-légale à l'appui de la
conscience
de l'individu incriminé. Nasse, qui eut le ma
ne témoigne ni surprise, ni plaisir, ni mécontentement. Il a si peu
conscience
de sa situation et il se préoccupe si peu de so
récier ses rela- tions avec le monde extérieur, comme chez lui la
conscience
du milieu réel et de son contraste avec l'être
l., sixième année). L'intensité plus grande dans les troubles de la
conscience
qui ressortit pour Blus- wanger à la démence ai
térieure, est une décharge centrale, qui du même coup annihile la
conscience
(région antérieure), et stimule au contraire le
llement précédée d'aucun sentiment douloureux, et le malade n'a pas
conscience
de son début. Seulement, depuis l'usage des vom
gulateur de ! a chaleur siégeant dans l'écorce. P. K. XVII. DE la
CONSCIENCE
DE la maladie dans LES affections mentales; par
umé historique des faits cliniques prouvant que les malades avaient
conscience
de leurs anomalies psychiques, M. Pick admet qu
ient conscience de leurs anomalies psychiques, M. Pick admet que la
conscience
de la maladie se décompose en sentiment de l'ét
statent leur médiocrité intellectuelle. La plus grande partie de la
conscience
de la maladie revient encore au discernement da
ochondrie. La plupart des psychoses témoignent de l'existence de la
conscience
qui nous occupe ici; aussi, le groupe des folies
la conscience qui nous occupe ici; aussi, le groupe des folies avec
conscience
doit-il simplement signifier que, dans ces derniè
conscience doit-il simplement signifier que, dans ces dernières, la
conscience
de la maladie est un des phénomènes les plus sail
ons ou as- sociations de conceptions; ce sont elles qui faussent la
conscience
du sujet et exercent sur la façon de sentir et
nsables de leurs déterminations ; car, revenus à eux, ils n'ont pas
conscience
de la sollicitation de leur volonté dans un but
135. Contes des aliénistes de l'Allemagne du sud-ouest, Il-)3.
Conscience
de la maladie dans les maladies mentales, 40 ?
- (circulaire), 407. Folie (simulation de la), 278. Folie avec
conscience
(recherches sur la), par 111arandoll de Mon-
rte d'engourdissement de l'esprit. Le sujet conserve une partie de sa
conscience
, mais il est plus disposé à s'incliner passivemen
second, est un dormeur et un rêveur ; et s'il est des rêveurs qui ont
conscience
qu'ils rêvent — bien qu'ils n'en rêvent pas moins
ète des paroles apprises par cœur et des gestes étudiés, mais avec la
conscience
cependant qu'elle avait à représenter un personna
doigts ! Est-ce lut, est-ce la même volonté, la même pensée, la même
conscience
, qui s'escrime à la fois, en même temps, et à ten
ette contraction redoublée ; c'est une autre volonté, c'est une autre
conscience
, c'est un autre moi qui est ici en action; car l'
nvesti de la balance et du glaive souverains, se sent troublé dans sa
conscience
et se surprend sans voix pour condamner : l'Elect
barre, elle peut sans doute, dit le jugement, être troublante pour la
conscience
des magistrats, elle peut faire naître des doutes
fant était déjà suggestionné, hypnotisé, c'est-à-dire dans un état de
conscience
autre. Il l'aurait, en continuant à l'interroger,
utre. Il l'aurait, en continuant à l'interroger, ramené à son état de
conscience
normal, il aurait passé à côté de l'hypnose, sans
is après quelques secondes, il a pu se resssaisir, il est revenu à sa
conscience
normale et résiste, sans savoir qu'il a été influ
était restée dans son cerveau et qu'une simple allusion a ramené à la
conscience
: « Pourquoi écris-tu sur le tableau ? » — « Je n
déterminé chez lui des douleurs abdominales, à l'état de veille et de
conscience
parfaite ! Je lui ai suggéré un point douloureux
'assassinat ; etc. ! Parce que son organisation native lui donnant la
conscience
du bien et du mal, lui suggère une répugnance ins
ce instinctive pour le mal ! Mais il est des sujets qui sont nés sans
conscience
morale ou avec une conscience morale faible. Il e
ais il est des sujets qui sont nés sans conscience morale ou avec une
conscience
morale faible. Il en est chez lesquels l'éducatio
morale faible. Il en est chez lesquels l'éducation n'a pu créer cette
conscience
, ou qui n'ont pas reçu les bienfaits d'une éducat
i résisteront-ils aux suggestions d'actes qui ne répugnent pas à leur
conscience
. Quelle sera leur part de responsabilité? Et alor
nce. Quelle sera leur part de responsabilité? Et alors même que cette
conscience
existe, une suggestion prolongée et habilement di
vons pu, pendant l'état de sommeil provoqué, à la faveur de l'état de
conscience
nouveau ainsi créé, neutraliser la douleur, tant
ouleur, tant qu'existait cet état. Mais aussitôt le sujet revenu à sa
conscience
normale, il nous échappait ; il redevenait la vic
. Les cas publiés jusqu'ici prétent le flanc à la critique. L'état de
conscience
de ces malades en état de fugue n'a jamais été ob
s difficile, dans l'hypothèse de mal comitial larvé, d'admettre cette
conscience
si lucide et si raisonnable qui permet à ces mala
it pas de doute pour le juge Mac Dougal, qui déclare qu'en son âme et
conscience
, s'il avait eu à juger le cas, il n'aurait pas hé
, sa figure exprime un sentiment de béatitude. Mais petit à petit, la
conscience
disparait, et le corps acquiert une rigidité spéc
ntes de résistance : les uns, tant qu'ils sont dans le nouvel état de
conscience
qu'on appelle hypnose, sont influencés malgré eux
u'ils accusent. Mais lorsqu'ils sont réveillés et revenus à l'état de
conscience
normal, l'effet obtenu ne persiste pas ; l'auto-s
veux d'automatisme sur la sphère des centres nerveux de volonté et de
conscience
. D'autres fois, quand on ne peut trouver chez c
lle- mère, après les jeunes gens ; malgré tout, elle semble avoir
conscience
de son misérable état; elle dit que « c'est plus
, la suggestionnant à l'état de veille, pour ? élargir le champ de sa
conscience
, » lui disant de bonnes paroles pour la relever,
ion d'un autre automatisme agissant en sens contraire. 2° Eveiller la
conscience
et transformer, par des excitations extérieures,
l'hypnotisation, qui apparaît au début comme un asservissement de la
conscience
, se traduit finalement, grâce à la suggestion, pa
nous ayions affaire non pas directementà cet état lui-même, mais à la
conscience
, à la perception de cet état. Il semble quelque p
e peu oiseux et naïf d'établir une distinction entre un trouble et la
conscience
de ce trouble, entre un état nerveux et la percep
si l'attention s'y porte ou si elles s'imposent à l'attention et à la
conscience
par leur intensité et leur spécialité. Telles son
upation attentive, la faim et la soif peuvent ne pas solliciter notre
conscience
et ne se révéler à nous que par l'appétence remar
tats, ces troubles, ces besoins peuvent au contraire solliciter notre
conscience
et notre attention d'une façon très instante et f
ystématisation maladive et éblouir en quelque sorte le champ de notre
conscience
par l'intensité de leurs manifestations. Un hom
suite d'une insuffisance labyrintique d'origine quelconque ; il aura
conscience
de sa susceptibilité plus ou moins vive au vertig
revanche, certains troubles n'entreront jamais dans le champ de notre
conscience
: les troubles vaso-moteurs, secrétoires, moteurs
t bulbaire à ses répondants dans la corticalité, et son image dans la
conscience
. Avoir peur est éprouver, sentir, ce trouble ; av
la craint et s'y livre tout entier, comme on se livre au vertige ; sa
conscience
subit sur ce point une véritable fascination à la
ans moyen d'action, profiter du rétrécissement momentané du champ des
consciences
et de l'absence d'impressions nettement contradic
n n'y était pour rien ; je l'exerçais sur tropde choses graves, et ma
conscience
timorée la gardait trop soigneusement de s'amuser
lui apprit qu'il était au mardi 12 février ! Or, il avait perdu la
conscience
de ses actes, le 3 du même mois. Il avait donc ma
des sens, sensations et idées, mémoire. — Lois de l'association. — La
conscience
et l'inconscient, l'attention, l'habitude, l'atte
espace objet de perception de la vue, du toucher, des autres sens, la
conscience
de l'étendue. Illusions géométriques et optiques,
émotions et les lois de la sensation. — Le système de la volonté, la
conscience
de la volonté, actions volontaires, mouvements ex
olonté, actions volontaires, mouvements expressifs, faits éthiques. —
Conscience
personnelle, développement de la personnalité, va
e des sensations sexuelles. Grandes névroses (hystérie, épilepsie).
Conscience
alternante, contagion psychique, côté pathologiqu
de cette particularité la voici : A cause de la fatigue, le champ de
conscience
, pendant qu'on rêve, est très restreint ; ainsi o
tante : l'exagération qui se trouve dans les rêves. Comme le champ de
conscience
est restreint en rêves, l'attention est très souv
e que la sensation d'une tension musculaire sans mouvement ; donc, la
conscience
fatiguée qui aime à exagérer ce qu'elle sent conç
ire donne souvent naissance à différentes illusions. Celui qui dort a
conscience
de l'état musculaire causé par le fait qu'il a ga
quelque temps la position d'un ou plusieurs membres fléchis; mais sa
conscience
est vague et jusqu'à un certain degré inexacte. C
u à une autre personne (ou à un animal) qui n'est représentée dans la
conscience
de celui qui dort, que par quelques marques senso
ble aux pincements etaux piqûres profondes. Alors, comme paracquit de
conscience
, je lui soulève le bras an-ky loséje le lui rappr
n du sujet sur ses mouvements exécutés automatiquement, à éveiller sa
conscience
, en un mot à trhnsforrner une sensation non perçu
e. qui disparaissent dans l'hypnose simple: fonctions psychiques,
conscience
, motilité volontaire ? Ce siège se trouve, comme
début, après une phase d'excitation préalable, par l'abolition de la
conscience
, le malade perd la notion des personnes qui l'ent
u fâcheux, suivant aussi que le contrôle des centres supérieurs de la
conscience
et du raisonnement siégeant dans l'écorce cérébra
des facultés des centres supérieurs, le retrait des pseudopodes de la
conscience
; et alors ceux des centres subconscients n'étant
xiste normalement chez les animaux des états de sommeil relatif où la
conscience
est moins développée, l'intelligence moins ouvert
sa figure exprime un sentiment de béatitude. Mais, petit à petit, la
conscience
disparaît et le corps acquiert une rigidité spéci
ans un ouvrage récent (') : « Le sommeil est l'état de repos de notre
conscience
. » En effet, le sommeil peut devenir un état abso
ctivité intercommunicante. Est-ce que, dans le rêve, nous n'avons pas
conscience
de notre personnalité ? Est-ce que nous ne nous y
oup commis une faute contre l'ordre moral ; 3° Qu'il ait plainemcnt
conscience
de cet ordre moral ; 4« Qu'il ait en lui les moye
ment, ce n'est pas celui de l'obsédé qui, mû par une impulsion que sa
conscience
réprouve, lutte anxieusement pour résister à sa t
s-à-vis des impulsions. Tantôt l'idée onirique envahit le champ de la
conscience
tout entier; c'est une sorte de monoïdéisme qui,
Bérillon se propose pour but de développer chez ces enfants la pleine
conscience
des actes et surtout de leur créer un pouvoir d'a
tinue, il ne pouvait formuler une opinion ferme et affirmer, en toute
conscience
, si le détenu était réellement aveugle ou simulat
faire modifier sa conviction sérieusement acquise. II doit, en toute
conscience
, dans son rapport discuté et fortement motivé, fo
de sa folie, elle a accouché pendant l'hypnose sans avoir la moindre
conscience
des diverses phases de l'accouchement. JURISPRU
C'est ainsi que les pensées et les sentiments qui s'associent dans la
conscience
de l'homme avec son chagrin, et sur lesquels il f
tique irrésistible, survenue dans un état d'abolition passagère de la
conscience
. Kn effet, lorsque l'inculpé avait été arrêté il
n agent de dissociation, de désorganisation et de désagrégation de la
conscience
. Dès lors, la suggestion est offi-cace cn temps q
laient, disaient le Confileor et le Mes. culpa, faisaient l'examen de
conscience
et allaient déjeuner. Un de ceux qui avaient été
a Vierge, Sub tuurn praesidium, etc.. El après avoir fait l'examen do
conscience
, chacun s'en retournait dans sa chambre en grand
ral, dit-il, est l'ensemble des sommeils particuliers. » Les états de
conscience
que Ton comprend sous le nom d'hypnotisme corresp
aux régions de l'écorce cérébrale dans lesquelles sont localisées la
conscience
, l'attention, le jugement, le raisonnement et la
que dont le caractère est la suppression de la faculté de penser avec
conscience
, nous voyons dépérir, en premier lieu, les idées
lité des centres nerveux, médullaires et cérébraux, correspondent des
consciences
multiples. La suggestion s'adresse à l'un de ces
e aux phosphènes peints. Par réflexe, la paupière s'est close, car la
conscience
de se trouver en présence d'une peinture n'était
, accidentellement: le mémoire de Dubois jaillissait subitement de sa
conscience
. La cure réussit, puis une seconde, et tant d'aut
E PSYCHOLOGIE ET DE NEUROLOGIE I'»r M. le Docteur Pnul Faiiez. La
Conscience
dans l'AkesthéSib CHraunoiCALE. pur M. -lean Phil
'expérimentation véritablement psychologique. Comment s'évanouit la
conscience
, se demande-t-il ? L'étude de l'anesthésie chirur
re. Elle offre en effet sur le vif les dégradations successives de la
conscience
jusqu'à la mort intellectuelle ; de môme que l'hy
antérieures. Pour exposer en une étude magistrale ce que devient la
conscience
dans l'anesthésie chirurgicale, M. Philippe fait,
n et abolition des différentes formes de la sensibilité ; 3° perte de
conscience
; 4° résolution musculaire ou anesthésie de la mo
... On sent vaguement, sans d'ailleurs pouvoir s'y soustraire, que la
conscience
s'en va comme s'en est allé le sens musculaire, e
uit a cessé, et plus rien, rien.... le néant, une mort dont on aurait
conscience
, la personnalité n'ayant pas subi l'effritement d
nulle sensation ni impression *. Mais s'il y a abolition totale de la
conscience
, le retour.de cette dernière serait une véritable
nnent con-me durant la veille, l'imagination conïinue son travail, la
conscience
reparaît brusquement sans que la douleur ni les d
fois qu'on note en cours d'anesthésic une manifestation très nette de
conscience
, l'oubli est complet et profond au réveil ou très
enir de la chose vue. Onainvoqué cette amnésie pour soutenir que la
conscience
étaittota» lement abolie pendant l'anesthésie chi
st h tort que l'on conclut de l'abolition de la mémoire à celle de la
conscience
: c'est une erreur psychologique d'identifier la
cience : c'est une erreur psychologique d'identifier la mémoire et la
conscience
. En effet, on sait que, grace à l'hypnotisme, o
ut, des profondeurs du subconscient faire surgir des souvenirs que la
conscience
présente ignorait totalement. De même, le sommeil
le sommeil hypnotique fait nettement renaître la mémoire des états de
conscience
survenus pendant une anesthésie chirurgicale anté
faux de prétendre que la dégradation de la mémoire mesure celle de la
conscience
. Tel est le résultat auquel, par manière de con
tement à uncccrLainc activité, travaille effectivement, sans en avoir
conscience
, à construire son édifice organique. Nous savons,
ellement sensible qu'il puisse être placé rapidement et sans en avoir
conscience
dans un état de somnambu-lisme profond. Si ce c
rait à une affaire intéressante pour le malade, occupe le règne de la
conscience
générale, l'autre système de phénomènes qui a pro
tement, que trop de spécialistes également dépourvus de diplôme et de
conscience
, font servir à leur détestable industrie. Sans do
l'état normal aucune trace de la mémoire hypnotique, quel avantage la
conscience
normale retire-t-elle de ce fait que la conscienc
, quel avantage la conscience normale retire-t-elle de ce fait que la
conscience
hypnotique se souvient de la suggestion avant la
ue d'autres savent toujours quelle heure il est, que les sauvages ont
conscience
du temps; mais, à l'appui de tout cela, il ne peu
urney, en effet, n'est pas applicable à tous les cas. D'après lui, la
conscience
hypnotique apprécie le temps écoulé de la même fa
onscience hypnotique apprécie le temps écoulé de la même façon que la
conscience
arrive à le faire à l'état de veille. La conscien
même façon que la conscience arrive à le faire à l'état de veille. La
conscience
hypnotique sait exactement quand l'échéance est a
quand l'échéance est arrivée et, laissant pour ainsi dire de côté la
conscience
normale, elle exécute l'ordre. Cette théorie se
en écouler encore. A moins qu'elle n'en eût reçu l'ordre exprès, sa
conscience
hypnotique ne faisait jamais, apparemment, aucun
paraissaient à la date exacte et, cependant, il ne subsistait dans la
conscience
hypnotique aucun souvenir du procédé par lequel l
obscur dans son esprit./page> page n="175"> Apparemment, la
conscience
hypnotique ordinaire de C. n'était responsable ni
près l'opération pratiquée avec anesthésie locale ou générale, il ait
conscience
de n'avoir rien senti. Si nous analysons, en ef
t se souvient de quelques manœuvres au commencement de la perte de la
conscience
et, comme il connaît la marche d'une extraction o
ale, elle se bonifia au contact des faits. Elle nous montra que cette
conscience
, si dédaignée par Taine el son école, cette liber
mmence à s'en dresser aujourd'hui et qui est vraiment nouvelle par la
conscience
, la dignité, le caractère. Ils s'aiment; l'amour
er ? la chose un nom doux ou repoussant et il s'infiltrera dans notre
conscience
en même temps que lu signification qu'on lui prêt
moral et intellectuel n'est aussi qu'un vaste cimetière où gisent nos
consciences
consécutives. Donc, c'est la conception de la m
est complètement oublié. Par ses travaux sur l'hypnotisme etïa double
conscience
, Azam a assuré l'immortalité de sen nom./page>
nésie périodique ou dédoublement de la vie;— Hypothèses sur la double
conscience
;—'¦ Les Altérations de la personnalité; — Le Dédo
nt été groupés depuis sous les titres suivants : Hypnotisme, Double
Conscience
et Altérations de la personnalité, Paris, 1887, B
s la Maladie, Paris, Alcan, 18S7,, 227 pages ; — Hypnotisme et Double
Conscience
; origine de leur étude et divers travaux sur des
ent des Sciences. 11 y Ut des communications remarquées sur la Double
Conscience
, entre autres aux Congrès de 1879 et de 1883. P
ui s'est laissé convaincre par un raisonnement. Dans ce cas il aurait
conscience
d'avoir douté, d'avoir lutté contre son doute, et
sée », que ? la vie intelligente... est un automa-s tisme qui doit sa
conscience
à sa lenteur comme une machine que ses « frotteme
ste, entre l'homme et l'animal, ce trait commun, un certain a état de
conscience
» qui fait que, sous le coup des mêmes sensations
dité, de la sélection, on peut supposer une mentalité supérieure, une
conscience
moins tâtonnante et moins confuse. En fait, l'a
historiquement attaché ? Quand on traitera du caractère, do la double
conscience
, ou dos amnésies réirogrades post-lraumat!ques, o
vons-nous pas eu la primeur de ces curieuses recherches sur la doublo
conscience
et rhypnotissnc? !a confidence de ces essais qui
do sa pensée, ii s'endormit paisiblement au milieu des siens, avec ïa
conscience
du do-voir accompli et les espérances immortelles
n religieuse s'opère au cours des méditations pieuses, des examens de
conscience
et de la prière, dont les tons émotifs, sentiment
er les prières à la vierge, le chapelet, les litanies, les examens de
conscience
et les Saintes Méditations. Les élèves des Peti
la suggestion religieuse par la parole : confesseurs et directeurs de
consciences
, prédicateurs (rabbins, évêques, curés, vicaires,
ggestions inconsciente- de faux temoignageâ, puisque là où il n'y pus
conscience
de l'acte accompli il ne peut par conséquent pas
te. Louis de Pontis avait pour le Maistre de Saci, son directeur de
conscience
, - une soumission d'enfant » (*). Et, s'il faut
ssez facilement je produis l'hypotaxie avec souvent perte complète de
conscience
et amnésie partielle au réveil ; je donne tous me
estion et suggestion aux divers degrés. État de la volonté et de la
conscience
. 9 Mai. — L'analyse hypnotique dans les arts. Leu
, il jeta cet objet ¦si insignifiant. Mais, bien qu'il eût pleinement
conscience
que ce qu'il allait faire était inutile et peu ra
apatriés coloniaux de la Chapelle. C'est le 29 décembre qu'il reprend
conscience
. Ayant, à ce sujet, obtenu un congé d'un an, il
e les animaux. Malgré le ridicule des pareils actes, pouvons-nous, en
conscience
, être fiers des progrès accomplis ? Si l'aberra
du morphinisme, par Bérillon, p. 308. Anesthésie chirurgicale (La
conscience
dans) par Jean Philippe, p. 112. Anesthésie dan
63. Continuité des rêves pendantle sommeil, par Vaschide, p. 58.
Conscience
dans l'anesthésie chirurgicale, par Jean Philippe
les appliquant au traitement des états morbides de ta volonté, de la
conscience
, de l'intelligence et de la pensée. Cet enseignem
e. (3) La profondeur du sommeil, c'est-à-dire le degré d'absence de
conscience
, n'est pas égale à elle-même dorant la durée de l
ssions reçues par les sens. La limite du moment de l'apparition de la
conscience
, le seuil de la conscience, comme on l'a appelé,
La limite du moment de l'apparition de la conscience, le seuil de la
conscience
, comme on l'a appelé, est certainement déplacé da
ne foule de souvenirs, tellement enfouis que l'on n'en avait pas même
conscience
, redeviennent vivants dans le rêve, et mille acci
bsorbés par nos occupations journalières, dépassent le seuil de notre
conscience
, dès que, endormis, éloignés de toute distraction
nt impressionnés par des excitations dont nous n'avons pas la moindre
conscience
; ces sensations subconscientes sont recueillies à
su, s'emmagasinent et s'amoncellent avec la somme énorme des états de
conscience
en apparence oubliés. Ce sont ces souvenirs qui r
it continuant dans la subconscience les travaux entrepris avec pleine
conscience
pendant la veille. Je sais bien qu'il nous rest
n évènement important survienne, cet événement fait surgir dans notre
conscience
le souvenir plus ou moins net et précis d'un rêve
ence est indéniable. Revenons à ces rêves dont nous avons nettement
conscience
au réveil, mais que nous oublions bien vite dès q
uggestion, parce que nous ne savons pour ainsi dire rien de l'état de
conscience
de l'animal et que nous connaissons moins encore
e, « je tombai dans le sommeil et fus enlevé hors des limites de la «
conscience
; il me semble que j'étais dans une cour obscure.
sait que chuchoter est bien plus fatigant que parler à haute voix. La
conscience
de ne pas pouvoir émettre un son provoque dans le
e d'Euripide : Oreste est égaré par le remords, par l'agitation de sa
conscience
. C'est lui-même qui le dit lorsque à la question
« Que ressens-tu ? Quel est le mal dont tu meurs ? » Il répond : « La
conscience
, la conscience qui me reproche mon forfait. » Au
u ? Quel est le mal dont tu meurs ? » Il répond : « La conscience, la
conscience
qui me reproche mon forfait. » Au point de vue de
sa passion. * Il nous faut parler ici de quelques psychoses avec
conscience
qui viennent parfois compliquer la passion du col
D'après les doctrines de,ce dernier, le rétrécissement du champ de la
conscience
, les troubles de la synthèse mentale, le dédouble
s actif et passif. 10 Décembre. — Suggestion post-hypnotique. Etat de
conscience
des sujets. Développement de la suggestion. 17
présentent des dissociations de la personnalité et dont les états de
conscience
se rapprochent par là de ceux des Collectivités e
hénomène physiologique ; mais elle suppose un état très anormal de la
conscience
et des agents moteurs des idées. De même le somna
tion supérieure, mais néanmoins relativement autonome, chacun avec sa
conscience
à lui, Il existerait donc, d'après cette hypothès
de « Einengung des Bewuslseins » (littéralement: rétrécissement de la
conscience
). En outre, pour expliquer les symptômes physiolo
s analogues. Quant à ce rétrécissement psychologique du domaine de la
conscience
, que nous venons de mentionner, par suite duquel
ssive. En tout cas cette notion d'un amoindrissement du domaine de la
conscience
est moins une explication qu'une description, pui
une décision réfléchie. Tel savant, absorbé dans ses pensées, perd la
conscience
de ce qui l'entoure et ne réagit plus qu'automati
la signification de ce qu'il voit et entend ne pénètre pas jusqu'à sa
conscience
, ce qui est surtout visible dans les hallucinatio
résulte que celui qui a été hypnotisé et dont la sphère où se meut sa
conscience
a été limitée très étroitement, n'a pas les moyen
onne qui exécute ce qui lui a été suggéré n'ait pas, en ce moment-là,
conscience
de la cause vraie de son action, mais que, ramené
ssant son optimisme. M. Lionel Dauriac. — Je suis très frappé de la
conscience
avec laquelle les médecins de nos jours se préocc
progrès de la science exercent cette influence sur la moralité et la
conscience
des malades. M. Cazaux (des Eaux-Bonnes). — En
égaré au milieu de psychologues et de biologistes, et j'ai pleinement
conscience
de la faiblesse de mes connaissances en la matièr
omanes. John Lubbock nous a donné un chef-d'œuvre de patience et de
conscience
scientifique. Pendant plus de dix années, il a po
des, car il nous est bien difficile de savoir ce qui se passe dans la
conscience
animale. Et puis pour pénétrer la nature des anim
ue rester prisonnier? C'est une morale bien haute, ce semble pour une
conscience
de moineau. Ont-ils voulu se délivrer du souci de
et qu'il existe au-dessous de cette pensée un nombre infini d'autres
consciences
présentant tous les degrés de perfection depuis l
nt d'aucune attache officielle, n'attendant d'autre récompense que la
conscience
du bien accompli. On ne compte plus les services
rfois, à cette méthode d'observation interne, et à son instrument, la
conscience
, une rigueur infaillible, sous prétexte qu'il n'y
ion entre le sujet et l'objet. Les objets sur lesquels travaille la
conscience
, c'est-à-dire les sensations et les idées qui en
ntôt du trional. Pas une fois il ne dort complètement; il conserve la
conscience
de ce qui se passe ; il sent nettement, me dit-il
intellectualité supérieure, de la personnalité pleine et vraie, de la
conscience
entière et morale, de la liberté et de la respons
es), les autres centrifuges (idéo-motrices). On peut avoir, ou non,
conscience
des actes automatiques, suivant que l'activité au
tomatique est communiquée ou non au centre 0, qui est le centre de la
conscience
personnelle. La conscience ou l'inconscience ne
non au centre 0, qui est le centre de la conscience personnelle. La
conscience
ou l'inconscience ne doit donc pas figurer dans l
nications avec 0 sont complètement interrompues : le sujet n'a aucune
conscience
(1) du rêve que démontrent ses mouvements ou ses c
) ¦ Mme de. Manageïne définit le sommeil : le temps de repos de notre
conscience
» (Duprat, loc. cit., p. 51). les vertigineux
s'endormir. Ma suggestion est ainsi ce qui occupe en dernier lieu la
conscience
du malade : c'est sur elle qu'il s'endort; elle c
tes sortes de représentations variées qui assaillent et distraient la
conscience
; elle offre, une matière au développement de là c
clin. médic.,t.I,p.261. la profondeur du sommeil, ni l'état de la
conscience
ne nous fourniront la caractéristique cherchée.
confond avec l'état de veille. Et si la plupart des sujets n'ont pas
conscience
de leur hypnose, certains y assistent consciemmen
t tout le reste de la nuit (1). cibles, que le médecin se croie, en
conscience
, obligé de commettre un véritable fœticide, c'est
cte et il n'existe aucun signe somatique de l'hystérie. Notre homme a
conscience
de tous les mouve- (1) Présentation de malade f
même titre que ces dernières par nos législateurs si ceux-ci avaient
conscience
de leurs devoirs. Introduire le facteur âme dan
nelles, depuis longtemps accumulées et organisées, qui constituent la
conscience
proprement dite, le moi », c'est-à-dire 0. Mais
conservées : de là, les variétés d'hypnose dans lesquelles le sujet a
conscience
de ses impressions et de ses actes polygonaux ; O
il des grâces qu'elle croyait avoir reçues. C'est un simple compte de
conscience
rendu à son directeur. On y trouve bien le récit
e son lit, et enleva son premier prix de chant, sans presque en avoir
conscience
. Nous revendiquons l'honneur d'avoir le premier
(1). L'éminent psychophysiologiste expose la théorie de « la double
conscience
» qui, dit-il, « a été appliquée d:abord par H. T
L'hypnose ne serait que la reproduction expérimentale de cette double
conscience
normalement propre à l'âme humaine... » D'abord
adies mentales et, à l'occasion, le rêve... » La théorie de la double
conscience
admet un « second moi » qui se révèle « sous la f
r de lui ; mais au contraire de l'habitude de la grande épilepsie, la
conscience
ne lui revient pas. Il ne reconnait personne. Au
la chambre à côté, voit une table de nuit et s'y rend pour uriner. La
conscience
commence à revenir. — Après les mouvements automa
ie droite (marche), retour de la sensibilité (miction) ; retour de la
conscience
; aphasie par paralysie des muscles linguaux ; ré
l, dit-il, est l'ensemble des sommeils particuliers. » Les états de
conscience
que l'on comprend sous le nom d'hypnotisme corres
erre rempli de vin ou d'alcool. Elle dure assez longtemps pour que la
conscience
ait le temps d'intervenir et que la résistance à
parvienne jusqu'à lui et s'ins- ' talle dans la pleine lumière de la
conscience
. Ce double but est rempli grâce à des procédés tr
alle peu à peu, devient de plus en plus nette, atteint le seuil de la
conscience
, passe de la pénombre à la pleine lumière et bien
s autres représentations qui auparavant occupaient toute l'aire de la
conscience
. Ces dernières deviennent de plus en plus faibles
énuent, se dégradent, jusqu'à ce qu'elles tombent sous le seuil de la
conscience
et soient ainsi tout à fait écartées. A ce moment
nt été réduites et sont disparues. Troisième temps On sait que la
conscience
ne peut rester longtemps identique àelle-même; el
, on lui communiquera des mouvements oscillatoires dont on n'aura pas
conscience
. Cette expérience qui nous révèle l'existence d
nts sont communiqués par le sourcier lui-môme bien qu'il n'en ait pas
conscience
. Dans l'expérience des tables tournantes, ce so
constate qu'elle est augmentée. Mais cette piqûre n'affecte point la
conscience
. Notre malade est complètement anesthésique à g
tomatique dont ils sont atteints. En effet, ces sujets, tout en ayant
conscience
des dangers que leur font courir les pratiques d'
nous nous appliquons, par des suggestions appropriées, à éveiller la
conscience
de l'acte répréhensîblc et à faire en sorte qu'il
suicides: 1° Le suicide volontaire, raisonné, accompli avec pleine
conscience
de l'acte que l'on commet ; c'est en réalité le v
hypnotique, il retrouve la mémoire de certains faits dont il n'a pas
conscience
à l'état normal. Il se rappelle, par exemple, qu'
ses centres moteurs et faire appel au malcomitial. D'ailleurs il a eu
conscience
que son métier de marchand de vins était pernicie
lle il est répondu à ces deux doutes : Si on peut suivre en sûreté de
conscience
le parti du roi de Navarre et si l'acte de frère
e Navarre et si l'acte de frère Jacques Clément doit être approuvé en
conscience
, et s'il est louable ou non; l'autre. Avis de Rom
e leur criminalité non seulement pour s'excuser, mais vraiment par la
conscience
. qu'ils ont de mal faire; et plus d'un exprimait
isme pédagogique, qui apparaît au début comme un asservissement de la
conscience
, se traduit finalement, par un développement de l
stèmes psychologiques, produits de l'automatisme, qui s'imposent à la
conscience
et qui l'obsèdent. En résumé, l'obsession morbi
sentation virtuelle. Il en résulte l'apparition d'un nouvel état de
conscience
en rapport avec le besoin du sujet et l'utilisati
ses accès auxquels il ne peut se soustraire et dont il a parfaitement
conscience
; 3° Le changement de caractère, tristesse, dég
éréditaire essentiellement intermittente et paroxystique. La malade a
conscience
de son état, mais elle ne peut faire autrement. E
les appliquant au traitement des états morbides de la volonté, de la
conscience
, de l'intelligence et de la pensée. Cet enseignem
ls tiennent la main : tout se passe à l'insu de leur pleine et claire
conscience
. Mais, au fur et à mesure qu'il multipliera ses e
raffut du moindre tressaillement et il l'interprétera avec la pleine
conscience
de ce qu'il fait. Puis, comme certains conducteur
roitesse et de Vexiguitê de ses pieds. Le malade avait parfaitement
conscience
de son erreur, mais, pour guérir, il a eu besoin
r rebelle que la présence des plus belles filles « n'alarmoit plus sa
conscience
. Il poussa môme sa victoire plus loin 0 en couc
s {de Cambridge) par M. Marcel Mangin. On sait que sous le nom de «
Conscience
subliminale * M. Myers englobe un grand nombre de
commun de ne pas faire partie de l'enchaînement ordinaire d'états de
conscience
que nous identifions avec notre moi. Depuis le
t avec raison dire que tous les hommes — et même les animaux —ont une
conscience
subliminale tout jusqu'à présent nous fait suppos
. Voyons d'abord sa métaphore du spectre. Il compare notre champ de
conscience
habituel au spectre de l'optique dont la physique
r exemple, correspondant aux rayons ultra-rouges, il y aurait dans la
conscience
les phénomènes infraphysiologiques « ces fonction
èn dehors suivant d'un chapitre du travail considérable sur : a La
conscience
subliminale » qu'avait entrepris M. Myers, l'emin
ique. Les images, les sons, les contacts qui restent inaperçus par la
conscience
supraliminale du sujet sont perçus par sa conscie
inaperçus par la conscience supraliminale du sujet sont perçus par sa
conscience
subliminale. Il doit d'une façon ou d'une autre e
e sur un point unique : l'hypnotiseur, comme on le disait d'abord, la
conscience
subliminale du sujet s'applique à une surveillanc
ns le troisième cas, elle parut par suggestion mentale à l'insu de la
conscience
supraliminale du sujet. Il est à mon avis extrê
que la suggestion à l'état de veille, ou plus exactement à l'état de
conscience
parfaite. Ce procédé présente un avantage énorme
ures, une mémoire rudimentaire qui, à l'origine, constituait toute la
conscience
de nos ancêtres inférieurs. Plus tard, dans le co
minale, échappait à l'effort volontaire, disparaissait du champ de la
conscience
supraliminale. Mais comment savons-nous si une
s savons tous que le mi«ux est de ne plus chercher. Laissons faire la
conscience
subliminale et tout d'un coup le souvenir ressusc
et de la résurrection possible de souvenirs dont nous n'avons aucune
conscience
. M.M. Mais cette hypothèse est-elle assez vas
mment une action est exécutée en réponse à une suggestion sans que la
conscience
en ait aucune connaissance ; mais c'est tout, et
'hypothèses que je vous propose la mienne : à savoir qu'un courant de
conscience
passe au fond de nous en dessous du niveau de la
e nous en dessous du niveau de la vie ordinaire éveillée et que cette
conscience
comprend des pouvoirs inconnus dont les phénomène
ns à entrevoir la portée. Ils indiquent une communication entre notre
conscience
supraliminale et une conscience subliminale douée
diquent une communication entre notre conscience supraliminale et une
conscience
subliminale douée de pouvoirs encore inconnus. Il
ent dans un vaste royaume de communications entre état et état, entre
conscience
et conscience, entre personnalité et personnalité
ste royaume de communications entre état et état, entre conscience et
conscience
, entre personnalité et personnalité dans le même
Ils ne sont qu'un chapitre dans l'ensemble de notre étude (')• (1) La
conscience
subliminale. Avant de terminer, M. Myers essa
p trop de différence pour cela. J'admets avec Myers l'existence d'une
conscience
subliminale chez tous les hommes, même chez les a
hez certains individus ! Actuellement chez l'individu normal les deux
consciences
ne sont presque pas dissociables à l'état de veil
ui le prouvent. Car je suis persuadé qu'en ce cas le moi subliminal a
conscience
qu'il exécute une expérience, et ce qui le prouve
nce. Xous l'appellerons Vantèvoyant. L'autre, Y&ntêvu, n'a jamais
conscience
de la sensation qu'il provoque et, déplus, l'anté
état semi-comateux. Au bout de quatre jours, il commence à reprendre
conscience
de lui-même, mais non pas de la situation; il con
espérées ; et pour s'en servir, il faut agir scientifiquement et avec
conscience
. Entre des mains autres que celles du médecin,
n mode spécial de connais-« sance est ce que l'onappelaitautrefois la
conscience
: c'est l'observation t intérieure, l'auto-observa
pas suggestionnables. Pour qu'une série d'idées s'empare de toute la
conscience
, il faut une diminution du champ de la conscience
'empare de toute la conscience, il faut une diminution du champ de la
conscience
, il faut un rétrécissement de la mentalité. Pour
té. Troisième visite le 6 décembre. Désirant me rendre compte si la
conscience
persistait dans cet état, et après avoir averti l
blanc, se confond avec la neige. L'ours blanc, ayant pour ainsi dire
conscience
de cette particularité, cherche un morceau de gla
cachés. » Mais, s'il est ainsi possible de forcer et de violer les
consciences
, quelle résistance opposeront-elles aux suggestio
« Nous tirerons de là cette conséquence, continue Liégeois, que toute
conscience
a disparu chez l'hypnotisé qu'on a poussé à un ac
s aussi dangereuse en matière civile qu'en matière criminelle ? Une
conscience
humaine se refusera souvent au faux témoignage ap
sins.épars sur le tapis, il les ramasse, les exaaiine : il n'a aucune
conscience
de les avoir tracés. En effet « ceux-ci ne valent
Ba haute mission de professenr avec plus de talent, d'autorité et de
conscience
que le professeur Raymond. Son œuvre considérable
les habitudes sociales qui aboutissent nécessairement a de? états de
conscience
analogues a l'état d'hypnose. Dès qu'un certain n
de la réalisation spontanée d'un hypnotisme collectif. Ces états de
conscience
ne nous intéressent ici que parce qu'ils nous fon
seuls d'exercer une action assez profonde pour modifier des états de
conscience
anormaux, en particulier pour effacer les idées f
provisions apportées chez lui étaient exécutées automatiquement, sans
conscience
: c'est du moins ce que la malade répondait aux r
Si voila pourquoi ce savant peut être religieux en pleine sécurité de
conscience
. 11 n'a pas à fermer la porte de son laboratoire
existe, il lui suffit que tel phénomène naturel ait pour lui, pour su
conscience
intime une signification que le monde n'a pas a c
ou plusieurs sens aux excitations du dehors, nous provoquons dans la
conscience
, une inhibition plus ou moins notable, un état de
plication nous permet de diminuer, d'endormir l'activité vitale et la
conscience
de cette activité, nous apportent l'exacte contre
éables émergent de toutes les parties et vien-« nent retentir dans la
conscience
générale, de manière à lui commu-« niquer le timb
it. Si les phénomènes hypnotiques peuvent bouleverser à ce point la
conscience
humaine subissant sous leur influence la plus rad
dance à préférer le premier au second une aptitude signalétique de la
conscience
. Bans le premier essai que nons avons consacré
l'exprimer. L'auteur admet que sur l'échelle qualitative des faits de
conscience
, telle qu'on a l'habitude de l'employer, sans for
ctive de ces tendances est en accord avec le progrès subjectif" de la
conscience
et que l'idée même de hiérarchie transparait dans
s immobiles ne sont pas moins nuisibles au mouvement progressif de la
conscience
que les intransigeances de l'analyse mathématique
ts figurent a nos yeux les principales étapes de l'optimisme et de la
conscience
universelles. 3° Considérées objectivement, les
sont solidaires à tous égards, nous ne pouvons fixer une origine à la
conscience
ni contester sa propension visible à se perfectio
insouciances, de l'inertie. Son intelligence est désorientée ; et sa
conscience
n'aperçoit plus la voie montante qui la rallierai
e. Or, cette façon de parler sépare outre mesure deux fonctions de la
conscience
dont les oscillations sont solidaires. L'individu
tion du rôle qu'ils jouent dans le perfectionnement indivisible de la
conscience
personnelle, familiale et sociale. Car dans l'éta
imiques, la distinction de l'animé et de l'inanimé, les-phénomènes de
conscience
, etc., à aucun moment je ne les ai rencontrées :.
xclusion de l'autre, en maintenant le premier dans le champ de sa
conscience
, en y concentrant tonte son attention, en en fais
ssion transférée au centre psychique crée une idée. Tout phénomène de
conscience
est une suggestion.» C'est par cette phraséologie
re d'en faire à nouveau la démonstration, c'est que tous nos états de
conscience
influeut sur l'organisme et tendent à se traduire
, c'est-à-dire s'il avait pris soin de maintenir, dans le champ de sa
conscience
, telle représentation, de manière à en faire un é
icipent en même temps que le noyau coudé à la production des états de
conscience
effectifs et par suite de l'Emotion ; les phénomè
pent, en même temps que le noyau eau dé. à la production des états de
conscience
affectifs ; c'est dans le sommeil provoqué que no
près-midi, je reçois de lui un pneumatique. Je lis : « Je n'ai pas eu
conscience
d'avoir été, hier, endormi et suggestionné par vo
ée ou hétérosuggestionnée, peu importe. La suggestion a surgi dans la
conscience
du dormeur sous la forme onirique d'une hétérosug
alités, tantôt elles nous apparaissent comme des demi-réalités, notre
conscience
nous avertissant que ce n'est qu'un rêve. Rappelo
lui-même au plus haut degré. Il fut tonte sa vie une de « ces hautes
consciences
inaccessibles a la peur», dont on parlait récemme
e leur ensemble n'est pas ressaisi par le dormeur, celui-ci garde une
conscience
imparfaite des objets du monde et présente une mi
int de vne, l'hypnotisme par lequel se trouvent réalisés les états de
conscience
diamétralement opposés à l'éparpillement. c'est à
'erreur dans la non conformité d'une idée à son objet. Les sens, la
conscience
, la volonté, l'imagination, le raisonnement, la f
vait reconnu l'utilité, et peut-être aussi l'agrément de ces états de
conscience
dans lesquels la sensation du sommeil se mélange
impuissantes à s'arracher, de leur propre initiative, à ces états de
conscience
qui n'ont rien de désagréable, mais dont le princ
n de le voir revenir a la raison et filer comme un brave cheval qui a
conscience
de ses devoirs. * Que s'est-il passé dans sa ce
occupé la veille d'une opération grave et celle-ci terminée, ayant ln
conscience
dn devoir accompli, il ne pense pins a son malade
-dessus des formules traditionnelles qui désagrègent la science et la
conscience
, il apparaît que la subordination graduelle des t
renouvelée produit subjectivement les oscillations solidaires de nos
consciences
. Car un fait général et permanent domine les ré
ent de nos souvenirs. Sous leur fâcheuse influence, le champ dit la
conscience
perd sa limpidité et semble se rétrécir, la mémoi
personnalité se dédouble et semble se composer d'un wo/*dont ils ont
conscience
associé a un autre moi différent du premier, sort
tte que dans l'état de veille. Quant à l'esprit, il cesse d'avoir une
conscience
claire du moi, il est en quelque sorte passif, il
, dès que l'esprit revient à lui, dès que l'attention se rétablit, la
conscience
reprend ses droits. On peut donc dire avec raison
mercier le Pr Albert Robin à qui je les dois, et a lui dire, en toute
conscience
, qu'il est un de ces rares professeurs qui savent
ue analogue à celui que les perturbations psychiques infligent à leur
conscience
. Ces lignes ont des traits plus on moins effacés
s de sa sensibilité avec le calme d'une Ame saine et la loyauté d'une
conscience
tranquille. Elle m'apprit, en donnant à son aveu
aillante, une mémoire accidentellement fragile, des compromissions de
conscience
qui peuvent rendre leur conduite incorrecte et ob
Cette supposition m'autorise à croire que le médecin peut, en toute
conscience
, recourir à la graphologie. Elle l'aidera â compl
r dans les domaines, soit de l'inconscience somnique, soit même de la
conscience
de l'état de veille, et y reproduire, surtout à l
sives, mais inconscience et dépression continues. Le 26, retour de la
conscience
avec amnésie antéro rétrograde ; le malade questi
les faisant émerger à l'état de phénomènes capables de s'imposer à la
conscience
, en des formes qui, par rapport aux circonstances
plus ott moins obsédants, en temps de veille : et aussi ces états de
conscience
insolites, dont nos (1) Improprement, parco que
eproduction de ce qu'il a déjà été. Mais jusqu'à quel point en a-t-il
conscience
*? Cela dépend de son état présent. Le présent et
oustraite à l'action des centres supérieurs qui constituent l'état de
conscience
, plus elle se manifestait snivant des rythmes pér
1004). (3) Pailuas. Périodicité et alternances périodiques. de
conscience
normale et de raison (psychisme supérieur) tend à
s est la réminiscence en cours de rêve. 4° Par contre, les états de
conscience
et de veille tendent à s'opposer à. ces sortes d'
que senties par le malade, et ne sont pas nettement formulées dans sa
conscience
. Posez-lui une question qui le touche'à son point
telligence s'engourdit dans cette contemplation oisive. Notre état de
conscience
se réduit à une suite de sensations sonores. Qu'a
, finissent par l'engourdir ; les sensations sonores auxquelles notre
conscience
se trouvait réduite décroissent, disparaissent :
¡11" provoqué par la vibration d'un diapason (Charcol). n'ont pins
conscience
de ce qui se passe autour d'elles, et leurs membr
actérisé par un accès éclatant subitement sous forme d'obsession avec
conscience
, angoisse et paroxysme. Discussion : DT Voisi
des spirites ou des sauvages. Ils parlent ainsi d'intel- gence, de
conscience
, de volonté, etc., comme les docteurs scholasti
s rudiments de la sensibilité jusqu'aux phénomènes d'idéation et de
conscience
. Mais, à en croire Edinger, il y aurait toujour
peut devenir ou deviendrait conscient. Qu'est-ce d'ailleurs que la
conscience
? Le problème est d'autant plus ardu qu'on ne p
Le problème est d'autant plus ardu qu'on ne peut étudier à part la
conscience
et le monde, les choses ne nous appa- ' Voy. Ju
science, dit Edinger, ne peut que s'orienter dans le domaine de la
conscience
, elle ne saurait étudier le monde lui-même. » L
phique : « On a, dit-il, tacitement admis que ce que nous nommons
conscience
chez l'homme n'a pu apparaître tout à coup et q
les plus inférieurs pourraient bien être l'effet d'un rudiment de
conscience
. Mais il serait également possible que la cons-
rminées des animaux qui pos- sèdent une écorce cérébrale, et que la
conscience
ne se développât que dans la mesure où cette éc
le plus haut développement connu. » Abstraction faite des idées de
conscience
et d'intelligence, le naturaliste doit uniqueme
on, c'est à celui qui soutient que ce mouve- ment est accompagné de
conscience
d'en administrer les preuves. Il n'est pas scie
m- plexès et«qui impliquaient, estimait-on, l'interventioh d'une'
conscience
, d'une volonté, etc., sont réductibles à de purs
g, 1899. 36 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' que la question de la
conscience
soit épuisée. Les phénomènes désignés sous le n
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. et chez certains sujets, sans que la
conscience
fitt profondément troublée (petites attaques av
tain qu'un homme ne peut se sentir responsable qu'au- tant qu'il- a
conscience
de sa personnalité; et cette conscience, il peu
nsable qu'au- tant qu'il- a conscience de sa personnalité; et cette
conscience
, il peut l'avoir en dehors de tout sentiment ne
ains sur les maladies mentales : on y saisit aussi le degré de leur
conscience
et de leur initiative, ainsi que la dose de mor
ar les nouvelles, elles tent dent toujours à revenir au seuil de la
conscience
, sous l'influence d'une nouvelle représentation
quand il s'agit d'opérations urgentes nous ne rele- vonsquede notre
conscience
. Sauver une malade, dontl'exis- tence est menac
s pour le déceler. L'émotivité apparaît un peu émoussée. H... a une
conscience
imparfaite de sa maladie, il ne se rendra pas,
'asile, le jugement est sain, l'affectivité n'est pas émoussée ; la
conscience
de son trouble de mémoire lui est bien vite rev
ses el idées fixes. Dugas. La perle de la mémoire et la perte de la
conscience
. (Revue philosoph., juillet 1899.) UN CAS D'AMN
rentrer dans le moi par un travail de synthèse, fait que le sujet a
conscience
de son souvenir en tant que souvenir personnel.
e limite être réveillées, mais le malade ne paraît pas en avoir une
conscience
nette en tant que souvenirs per- sonnels, témoi
pomorphiques. Lorsque nous disons, écrivait-il, que l'écrevisse a «
conscience
» du danger ou « sait » que la viande est bonne
elon Edinger, peut parfaitement s'entendre sans l'hypothèse d'une
conscience
. L'anatomie et la physiologie expérimentale ont
vent être discutées sans qu'on fasse inter- venir l'hypothèse d'une
conscience
: il suffirait de donner au concept de mémoire
s états que l'on appellerait doulou- reux s'ils étaient perçus avec
conscience
, l'homme n'en garde aucun souvenir s'il les a t
mes anatomiquement connus, et cela sans évoquer l'hypo- thèse d'une
conscience
, qui n'explique rien, et dont l'interpré- tatio
s la série des modes d'activité qui ne seront plus explicables sans
conscience
qu'il sera temps de s'essayer à définir ce qui
nir ce qui demeure encore entouré d'une sorte de nuage mystique, la
conscience
. Certes, « la cons- cience ne saurait apparaîtr
ribuant aux manifestations psychiques des animaux des procédés de
conscience
que l'homme peut seul connaître directement, in
ôt réels, du moins par rapport au siège actuel, cen- tralisé, de la
conscience
générale d'un organisme, de sa cénesthésie, si
xiste encore, comme chez les vertébrés supérieurs, impliquent de la
conscience
antérieure, sinon primitive, de quelque nature
ce que j'avance et pose en principe demeurera toujours possible. La
conscience
, à tous ses degrés, en tant que simple phénomèn
caractérisé en tant que fait individuel par l'obscurcissement de la
conscience
et l'absence de délibération, est pareillement
ar une sorte d'obscurcissement des activités plus complexes de la
conscience
collective. II est probable d'ailleurs que la dif
et la chute de la voix plus accentuée quand le sujet est ému par la
conscience
d'une difficulté de langage à surmonter. De mêm
, pronation, supination ou cir- cumduction, la malade n'a nullement
conscience
de leur exécution ni ne peut apprécier aucuneme
suggesti- bilité 2. f ! . 1 Et alors : 1°ou bien le réveil de la
conscience
visuel le endor- mie sera complet; c'est ce qui
lyope (plusieurs cas de M. Badal) etc. 2° Ou bien le réveil de la
conscience
visuelle n'est qu'un demi réveil; la récupérati
montrer aussi que la suggestion n'est pas suffi- sante, pour que la
conscience
de cette vision dépasse le moment de l'expérien
n de convergence s'éta- blit, chez ces hystériques, même lorsque la
conscience
de la vision binoculaire fait défaut, cela est
s troubles qui peuvent venir rétrécir, plus ou moins, le champ de
conscience
de cette fonction ' ». Mais qu'on se rallie à l
e monoculaire correspondant est perdu (peu importe comment) pour la
conscience
du sujet, et ce dernier possède exclusivement l
Dans le deuxième stade, le sujet peut récupérer tempo- rairement la
conscience
de son centre monoculaire amblyope, et cela ne
ROUBLES PSYCHOLOGIQUES. 209 ment, ce que pouvait provoquer dans une
conscience
,' ne présentant aucun Irouble morbide, l'existe
soit lorsque la nature nous l'offre, des hallucinations dans une
conscience
apparemment normale. Il est alors possible d'ét
sont très intenses; c) le passage du trouble hallucinatoire de la
conscience
à l'état normal. a) La faible intensité de l'ha
essort de ce que nous avons pu, recueillir sur ses- phé- nomènes de
conscience
, que G... est en proie à des hallucina- tions t
sent les premières, mais bientôt toutes disparaissent. Cependant la
conscience
n'est pas encore normale. La malade reste 'plon
es ses sensations, juge 'tous les phénomènes qui se présentent à sa
conscience
et fasse une nouvelle synthèse des sensations p
a -vraie place qu'il y occupe. Ce n'est qu'après ces efforts que la
conscience
du sujet est redevenue normale. VI En. d'au
anément vers l'image et s'y adapte. Cette image im- posée occupe la
conscience
et provoque un état de distraction, lorsque l'h
pensons-nous, à l'etude de la génèse et de l'évolution des états de
conscience
provoqués par des hallucinations. REVUE D'ANA
ces symptomatologiques sont explicables par l'affaiblissement de la
conscience
, conséquence même de la psycho-névrose. . Les
ocheront d'autant plus des délires primitifs que l'altération de la
conscience
aura été moindre. Mais, poussée à un degré suff
L'alcool atteint le pays dans sa grandeur morale : il obscurcit les
consciences
en même temps qu'il diminue nos forces. VARIA
Farges a manifesté tantôt du chagrin en pleurant, tantôt de l'in-
conscience
en plaisantant. Cet individu est un alcoolique, q
es psychologiques, produits de l'automatisme, qui s'impo- sent à la
conscience
et qui l'obsèdent. En résumé, l'obsession morbi
s lequel la suggestion hypnotique a permis à la malade de reprendre
conscience
d'elle-même et a mis fin aux crises convulsives
lissement de l'intelligence. Ses souvenirs sont peu précis, et il a
conscience
, jusqu'à un certain point, de son état démentiel.
ui. Presque toujours il nous fait les mêmes réponses : je n'ai plus
conscience
de rien, c'est malheureux d'être comme cela. Il n
valeur le critérium de responsabilité qui ne serait tiré que de la
conscience
des actes accomplis par le sujet. R. de lI1USGR
le « traitement libre », en traitant en malades les sujets qui ont
conscience
plus ou moins de leur état maladif. 8° Pour les
premières se voient au début des délires systématisés, alors que la
conscience
est encore entière, tandis que les idées de gra
et de défense apparaissent plus tardivement, quand la volonté et la
conscience
commencent à disparaitre. ' A. Marie, loc. cit.
en accentués, leur répé- tition fréquente et le malade a encore une
conscience
suffi- sante pour expliquer la finalité de ses
, présent à la période précédente, vient à faire défaut; c'est la
conscience
personnelle qui ne peut plus subsister dans son
-être pas complètement conscients..., ils sont dépourvus de cette
conscience
personnelle, grâce à laquelle nous nous rendons
Au début des différentes psychoses, les malades peu- vent avoir une
conscience
, une volonté amoindries, ilestvrai, mais encore
ntellectuelle de plus en plus restreinte, ils n'ont plus d'états de
conscience
complète : l'habitude, seconde nature, tient li
orte à ce propos de se rappeler les caractères de la division de la
conscience
telle qu'on l'observe dans l'hystérie Les étude
s physiques, se développent complètement à l'abri du contrôle de la
conscience
personnelle. Elles ne sont pas exprimées, ni mê
de caractère différent, dont l'une seule est enre- gistrée dans la
conscience
personnelle : c'est la manifesta- tion extérieu
temps. Dans un premier temps une idée déterminée, dont le sujet a
conscience
provoque l'exécution d'un mouvement, d'un acte
». Il nous suffira de rappeler en pareil cas l'obnubi- lation de la
conscience
propre à tous les phénomènes de nature comitial
de notre temps, chacun se fait sa morale selon que le lui inspire sa
conscience
; mais, quand il faut trouver quelqu'un qui soit.
en avoir déterminé l'explosion... Or, je ne voudrais pas avoir sur la
conscience
— et j'opine que personne ne peut, de gaîté de cœ
e contraire de ce que vous eussiez écrit alors? Et d'autre part votre
conscience
ne vous dit-elle pas qu'en imposant aujourd'hui c
ssible : elle ne me voit, ni ne m'entend ; au moins n'en a-t-elle pas
conscience
. Je procède alors, Comme je l'ai dit tout à l'h
Voulant m'assurer. une fois de plus, qu'elle me voit sans en avoir
conscience
, je dis : « Camille va prendre dans la poche du g
ière dont il percevait l'ordre mental, a répondu qu'il n'en avait pas
conscience
, mais qu'il sentait ses muscles se raidir peu à p
r lui, il ne me viendrait pas à la pensée de calmer les remords de ma
conscience
et d'étouffer les accusations de mes victimes en
nt quand il y voit. Une disposition mentale qui est indispensable, la
conscience
même du mouvement, lui fait alors défaut. L'hypno
n'achevant jamais ces rudiments, il n'a de fait jamais véritablement
conscience
des impressions qui lui viennent de ce côté, et q
t de combattre la disposition aux crampes tétaniformes (avec perte de
conscience
) qui se déclara après la cure suppressive. La mal
1887, par L.-H. Petit. Tome II. 1er fasc.. — Maison, in-8° 1888. La
conscience
psychologique et morale dans l'individu ot dans l
orte tout le reste; et les actes posés dans cet état échappaient à la
conscience
, a la mémoire et aussi à la liberté. La quatriè
citer! Vous condamnez l'hypnotisme parce qu'il abolit la liberté, la
conscience
et qu'il blesse la dignité humaine en faisant d'u
estion, en laissant dans leur intégrité la volonté, la raison, la
conscience
et la dignité de la personne, et cette expérience
aisse intact le domaine religieux et moral; il respecte la raison, la
conscience
, la liberté morale placée en face de la loi du de
isme de salon, de foire et de carrefour, exploité par des hommes sans
conscience
ou pratiqué par des personnes imprudentes, plus e
e-mier respecte l'auguste dignité de l'àme, la raison, la liberté, la
conscience
, et il n'a jamais été condamné m par l'Eglise ni
ènes qui se produisent trouble notre esprit et alarme quelquesnfl les
consciences
chrétiennes. Qu'on prenne garde aux condamnations
el, « ordonnent », comme de vrai > mimsireavj en toute sécurité de
conscience
. Nous voyons tous les jours île pareils faits, et
dis concevoir et non pas percevoir. La conception est un phénomène d~
conscience
. La perception est un acte physiologique qui peut
La perception est un acte physiologique qui peut ne pas arriver à la
conscience
^ Une impression visuelle affecte la rétine, se pr
vision : là. la sensation est perçue. Mais le sujet peut ne pas avoir
conscience
de cette sensation perçue; il ne la conçoit pas;
stitue l'hallucination négative. L'imagination neutralise, ou bien la
conscience
ignore la sensation réellement perçue : le sujet
perçues par le cerveau, mais qui n émergent pas dans le domaine de la
conscience
. Voici l'expérience démonstrative : Elise B..
lement, convaincue par la suggestion que je ne devais pas être là, sa
conscience
restait fermée aux impressions venant de moi, ou
cerveau où elle a été perçue, et ce qu'une suggestion a effacé de la
conscience
, une nouvelle suggestion peut l'y revivifier. L
egard : jamais, dit-elle, elle n'a dormi et prétend avoir toujours eu
conscience
de ce qui se passait autour d'elle. Au lieu de do
dans un moment où elle était en proie au somnambulisme et n'avait pas
conscience
de ce qu'elle faisait. Du rapport du docteur Au
e, mais elle n'est pas conçue, c'est-à-dire qu'elle n'arrive pas à la
conscience
. Je comprends parfaitement la pensée, quoique j
vi a transmettre sa pensée intime à cette somnambule chez laquelle la
conscience
est endormie, mais dont les »ens sont doués d'une
activité peut être inconsciente. A la suite, se place un phénomène de
conscience
. La cellule nerveuse sensorielle impressionnée, p
n'est pas delà simulation. Le sujet ne me voyait pas; il n'avait pas
conscience
qu'il me voyait ; il était convaincu que je n'éta
inscrivent, par l'apprentissage, à notre insu, sans que nous en ayons
conscience
. Lorsque les cellules de la troisième circonvolut
spondantes y restent enregistrés, sans pénétrer dans le domaine de la
conscience
. Et plus tard, quand je produis par suggestion
onne lieu au phénomène psycho-sensoriel, c'est-à-dire au phénomène de
conscience
. La sensation entre dans le domaine de la conscie
au phénomène de conscience. La sensation entre dans le domaine de la
conscience
: la mémoire organique devient mémoire consciente
, 1S89. (Sera continue a. birct : Recherches sur les altérations de
conscience
cher le» hystériques. Revue philosophique, févrie
il le fait. On doit réserver ce terme à une comédie jouée avec pleine
conscience
, et les annales de la médecine mentale attestent
côté objectif un des faits intellectuels que nous appelons « états de
conscience
» (une pensée abstraite, une perception, une impu
ouvrons bientôt que ce qui nous paraît une unité dans le miroir de la
conscience
est en réalité d'une complication immense, qu'une
pace composent cette résultante qui parait une et indivisible à notre
conscience
. Par cette étude, nous arrivons toujours plus à
est éclairé par ce [miroir subjectif indéfinissable que nous appelons
conscience
ou subjectivisme. Il est vrai qu'une particularit
rement à provoquer l'éclairage objectif et sommaire que nous appelons
conscience
. Les états de conscience successifs sont donc sim
irage objectif et sommaire que nous appelons conscience. Les états de
conscience
successifs sont donc simplement le miroir subject
la moelle cervi- cale, etc.) ont suffisamment démontre que notre
conscience
humaine, qui n'est donc que l'ensemble de notre s
r exemple, le cervelet, la moelle), mais si c'est le cas, ce sont des
consciences
dont nous n'avons pas conscience, c'est-à-dire do
, mais si c'est le cas, ce sont des consciences dont nous n'avons pas
conscience
, c'est-à-dire dont notre conscience cérébrale n'a
consciences dont nous n'avons pas conscience, c'est-à-dire dont notre
conscience
cérébrale n'a pas conscience. Ajoutons à ces la
pas conscience, c'est-à-dire dont notre conscience cérébrale n'a pas
conscience
. Ajoutons à ces laits celui de la mémoire consc
bre d'associations dynamiques, d'images de mémoire du miroir de notre
conscience
. A chaque instant même, divers phénomènes d'inhib
autre; c'est probablement ce qui a lieu dans ce qu'on a appelé double
conscience
(cas de Macnish et d'Azam) ; c'est ce qui a lieu
mêmes images dynamiques qui vibrent tout en étant éclairées par deux
consciences
indépendantes, mais soit leur intensité, soit leu
y a là deux faits : une dissociation dans l'enchaînement des états de
conscience
et un phénomène de dynamogénie cérébrale produit
une façon normale âcûté de la suggestion : nous inhibons seulement la
conscience
ou même souvent seulement le souvenir conscient d
es, comme, par exemple, nous avons souvent dans le rêve plus ou moins
conscience
que les absurdités que nous rêvons sont des r
s, il est certain que l'inhibition est complète, que le sujet n'a pas
conscience
de la douleur et, par conséquent, ne ressent pas
ar, d'après ce que nous avons vu. ressentir de la douleur et en avoir
conscience
c'est tout un. Jusqu'où l'irritation du nerf malm
clair qu'il s'agit ici de l'inhibition d'un souvenir, ou mieux de la
conscience
d'un souvenir, tandis que dans le premier cas la
eux de la conscience d'un souvenir, tandis que dans le premier cas la
conscience
de la perception était inhibée au moment même où
moi évite les objets qu'il voit, le second n'en a pas ou presque pas
conscience
. Mais chez d'autres sujets la cécité, l'inhibitio
qu'on peut ensuite, en quelque sorte, laire revenir la lumière de la
conscience
sur ce souvenir inconscient. Tout cela ne prouve
alisent. Cette expérience démontre que le sujet entend, sans en avoir
conscience
, la voix de la personne qui a été supprimée par s
ou dît, ce qui prouve que le sujet avait vu et entendu sans en avoir
conscience
(3). Ainsi, il semble résulter des faits précéd
dans le champ de vision particulier à chaque œil, tient a ceci que la
conscience
est une fonction du temps, puisque la réalité des
vaccillu quand on le fait se lenir debout avec les yeux fermés ; sa
conscience
est claire, la conversation du malade esl logiq
conversation du malade esl logique, successive ; le contenu de la
conscience
est, bien varié ; on ne constate ni délire, ni ha
ficultés que nous rencontrons sur notre route, et cherché, en toute
conscience
, les moyens de les surmonter ; tout, en effet,
damné pour attentat à la pudeur sur des petites tilles. Cet homme a
conscience
de l'indignité de ses actes; mais il ne peut ré
thode socratique dans l'éducation scien- tifique. - M. Demonchy. La
conscience
du sommeil. J)1' Lux. Médecin major de 11'0 cla
nt parler, tant par ses origines splanchniques que sensorielles, la
conscience
du sympathique. On comprend les liens étroits q
erfs centripètes, M. Roy aeu tort de dire que la cénesthésie est la
conscience
du sympathique. Il faut ad- mettre, avec M. Gra
ue. Il faut ad- mettre, avec M. Grasset, que la cénesthésie est la «
conscience
du moi physique » et qu'elle comprend foutes le
us avons de notre corps et de nos organes. en un mot qu'elle est la
conscience
du corps, la somatopsche des auteurs allemands.
soulagement ». (Garnier et Cololian.) Même dans la mélancolie avec
conscience
, la tension doulou- reuse du système nerveux se
. Une fois, le vertige fut si fort que le malade tomba et perdit la
conscience
. Après son réveil, il constata une faiblesse de
esont en raison de ce sens intime de la vie qu'il faut appeler la
conscience
organique ou vitale, et qui est le fondement de
ul Camus. Sur un cas d'hypocondrie aber- rante due à la perte de la
conscience
du corps. In 7<f. de Ncnrolo- gie, 15 niai 1
; 2° une abolition, une trans- formation ou une métamorphose de la
conscience
de la personnalité ; 3° une représentation inco
ions sensorielles, qui forment ce que l'on désigne sous les noms de
conscience
ou de représentation du corps, de cénesthésie,
s la convalescence de la pneumonie. PSYCHOLOGIE Les phénomènes de
conscience
dans l'ontogenèse; Par J.-M. LaHr. I. La cons
phénomènes de conscience dans l'ontogenèse; Par J.-M. LaHr. I. La
conscience
est une notion de l'introspection, notion ultim
e des organes qui conditionnent les fonctions. Certains refusent la
conscience
aux animaux, la réser- vant à l'homme seul ; d'
définis. Il convient de rechercher s'il existe dans les faits de
conscience
des signes positifs grâce auxquels le problème
eau est contenu comme «tout» dans ses composants, LES PHÉNOMÈNES DE
CONSCIENCE
DANS L'ONTOGENESE. 281 Prenons un exemple. La c
int d'en faire deux enti- tés. Nous pouvons opposer l'instinct à la
conscience
. Des phénomènes simples de l'irritabilité aux p
ce. Des phénomènes simples de l'irritabilité aux phénomènes de la
conscience
, la chaîne est progressivement plus com- plexe
plexe ; il ne s'ensuit pas que l'irritabilité du protoplasma et la
conscience
soient deux phénomènes identiques. Un phénomène
L'obser- vation de l'enfant en révèle de fréquents exemples. La .
conscience
apparaît de cette manière ; pour être rapide da
'en a pas moins été très lente dans laphylogenèse. L'illusion de la
conscience
aux stades inférieurs de la vie humaine est pro
ologiques. Ceci établi, passons à l'étude des signes positifs de la
conscience
et de l'époque de leur apparition dans l'évolut
truction des territoires de l'écorce amène la désagrégation de la
conscience
; au point de vue anatomique, cette maladie est
forment dans l'écorce sont confondues (1). Les altérations de la
conscience
liées à ces troubles organiques sont analogues
s important phénomène qui se présente, c'est l'obnu- bilation de la
conscience
, un état crépusculaire de l'es- (1) Cette confu
ucléaire Revue Neurologique, 1903, p. 685-688). LES PHÉNOMÈNES DE
CONSCIENCE
DANS L'ONTOGENESE. 283 prit qui, au début, perm
pécialement des zones pariétales et frontales, entraîne la perte de
conscience
. Nous devons nous demander si l'existence de ce
i n'en possède pas et observer corré- lativement l'apparition de la
conscience
. Nous pour- rions bien prendre l'exemple des en
l'Académie de Vienne, LX, sept. 1869. ' 284 PSYCHOLOGIE. de la
conscience
. Mais qui dira où commence et finit l'homme rai
y a toute une période d'évolution ana- tomique pendant laquelle la
conscience
se développe parallèlement. Cette période d'évo
d'une période de formation. Au sommet de cette ascension vers la
conscience
claire, est l'homme adulte, au bas se trouve l'
503, pour un l'ait récent sur celle localisation. LES PHÉNOMÈNES DE
CONSCIENCE
DANS L'ONTOGENÈSE. 285 entre ceux du chimpanzé
sensibilité spéciale ne sont pas constituées. Il ne peut y avoir de
conscience
du corps en l'absence de faisceaux moteurs, car
(3) Ibid., p. 80. 286 PSYCHOLOGIE. y ait perception, c'est-à-dire
conscience
à un degré quel- conque, il faut que l'organe e
ieures du névraxe (Munk). Encore Flechsig a-t-il soin de limiter la
conscience
des nouveau-nés à la per- ception unique du cor
se produire. Il faut, dans l'état actuel de nos conceptions sur la
conscience
, que les réactions spéciales, locales, soient a
, nous pouvons avoir un critère certain du moment où l'organe de la
conscience
entre en fonction. Nous devons toutefois observ
inesco a récemment démontré l'exactitude de celte LES PHÉNOMÈNES DE
CONSCIENCE
DANS L'ONTOGENÈSE. 280 Au point de vue de la pr
La'valeur des expériences de Marinesco pour notre conception de la
conscience
est accrue par les troubles de perception que l
race. Trad. fran- çaise, Paris, 1897, p. 74-75. LES PHÉNOMÈNES DE
CONSCIENCE
DANS L'ONTOGENESE. 291 rigidité des articulatio
sont insuffisants pour affirmer qu'à la naissance l'enfant ait une
conscience
, même crépusculaire. Nous possédons, dans des e
ce que l'évolution ontogénique et l'éducation cr- LES PHÉNOMÈNES DE
CONSCIENCE
DANS L'ONTOGENÈSE. 293 activités biologiques pe
psycho-physiologie des monstres humains, p. 3 ? LES PHÉNOMÈNES DE
CONSCIENCE
DANS L'ONTOGENÈSE. 295 lent les auteurs, étaien
u et de /aH ! 0 ? ? f. Lyon 1900,X-s4g p., fig. LES PHÉNOMÈNES DE
CONSCIENCE
DANS L'ONTOGENÈSE. 297 que son tronçon inférieu
- ré, iCl1ce. Trad. frnne. p. 71, 1[6, 408 si,, LES PHÉNOMÈNES DE
CONSCIENCE
DANS L'ONTOGENESE. 299 ganglions rachidiens eu
e des fonctions végétatives, et réserver aux parties supérieures la
conscience
des fonctions. L'analogie observée entre les ré
e Iconographie de la Sal,cctrière, 1898, p. 185.) LES PHÉNOMÈNES DE
CONSCIENCE
DANS L'ONTOGENÈSE. 301 permet de réserver exclu
ité sont réservés les phénomènes supérieurs de l'entendement, de la
conscience
. - V. Nous avons dû, pour discuter les points q
oints qui nous semblent dignes d'être conservés en conclusion. La
conscience
nécessite l'intégrité de la corticalité. Lorsqu
ncéphale ou normal, c'est par un abus de termes que l'on a parlé de
conscience
médullaire. Ce caractère d'un fait de conscienc
ue l'on a parlé de conscience médullaire. Ce caractère d'un fait de
conscience
est d'être connu du sujet. Les phénomènes qui s
re de transformer le réflexe en acte volontaire. Il ne peut y avoir
conscience
avant la première enfance. La conscience se pré
ntaire. Il ne peut y avoir conscience avant la première enfance. La
conscience
se présente comme un fait nouveau lorsque le ce
mes élémentaires des phénomènes, qui, en s'agrégeant, forment la
conscience
. Le développement anatomique con- corde avec la
de l'activité corticale. Le caractère de fait nouveau que revêt la
conscience
lorsqu'elle commence à se manifester est confor
les et non comme une progression conti- \1) Ch. Seinîwick-Mixot. La
conscience
au point de vue bio- logique {Revue se entijiqu
A la plus haute de ces étapes correspond la fonction du cortex, la
conscience
claire. La corlicalité apparaît ainsi comme un
lle des fonc- tions les plus élevées. Chez l'enfant, les états de
conscience
, c'est-a-dire de connaissance de soi, est un fa
décérébrés, on doit ad- mettre qu'il est apte à avoir des états de
conscience
. Ce caractère ne peut marquer que le minimum de
de conscience. Ce caractère ne peut marquer que le minimum de la
conscience
, car il est probable que celle fonction supé- r
uième ou sixième mois après la naissance que l'on peut parler d'une
conscience
élément. taisre chez l'enfant. Hospice de BIC
hysiques iLd('COIII" simullané, synchrones ; l'unité d'action de la
conscience
est le produit de la synergie de processus sync
es troubles fonctionnels de nature, inconnue. Et la décadence de la
conscience
lient dans la dé- mence précoce il l'a 11crgie
tive du malade, de la cachexie ou encore de l'obscurcissement de la
conscience
, mais l'on peut rencontre ! ' des rétentions et.
imitive avec ? par Vitek, p. 128. Ontogenèse. Les phénomènes de
conscience
dans )' par Lahy, p. 280. Opérations cortical
ques.Voir2'c ? N<;. Sur l'étiologie des vitaux, p. 242. Les de
conscience
. Voir Ontogenèse. Phobie. La du regard, par
rôle pathogène de la simulation, par Féré, ' p 389. Sommeil. La
conscience
du -, par Dpl1JondlY, p. 142. 51'.1SJIES. aSS
aut que la sensation en existe bien réellement pour que nous en ayons
conscience
, et alors elle fait plus que d’être perçue, elle
de rêve. L’impression cependant pouvait en être perçue, car j’avais
conscience
de celles de la vue ; il y avait donc pour celles
ter un certain nombre d’actes, sans que pour cela on en ait nullement
conscience
. Mais dès que l’on agit sur un des sens de la deu
es. Pour me résumer, je dirai que, dans l’état de somnambulisme, la
conscience
ou sensorium commune devient incapable de recevoi
successivement le bras qui tenait le poignard, sans paraître avoir la
conscience
de ces mouvements et comme mu par une force étran
irer. — iYest-ce donc rien qu’un verre pour voir plus clair dans ta
conscience
et celle des autres? A ce compte, l’invention d
serait donc un réflecteur parabolique des lumières diffuses de notre
conscience
, qui viennent se rassembler en un point, avec un
leur. Le guéridon : ce miroir magique, dévoile l’état piteux de leur
conscience
. Il me semble que cette explication a plus d’un
aison physique qui s’applique on ne peut mieux à l’exploitation de la
conscience
et donne raison à l’église et motive la prière en
expression d'un homme de génie qui n'avait probablement pas encore la
conscience
qu'en lui il y avait non seulement un poète, mais
ne simple disposition mentale dont nous n’avons pas toujours assez de
conscience
, peut, dans l’irradiation latente de cet effluve
n ; — que M“” Ogier, qui jouait le rôle d’obsesseur, n’en avait ni la
conscience
ni la volonté; — que les relations entre ces deux
pportaient un retard à l’accomplissement de projets dont elle perdait
conscience
pendant la veille ; puis, à cinq heures moins un
li-geinment et du bord des lèvres, mais d'un jet de l’âme, et dans la
conscience
de sa faculté d'aspiration vers le vrai; ce mot a
la ville que de ses cures extraordinaires ; fort du témoignage de sa
conscience
, il paraît avoir prédit son acquittement. Avant d
e il la réveille. Deux ou trois jours après, elle revient, et, sans
conscience
du rôle providentiel qu’elle joue en ces événemen
uffisent pas, ses sentiments doivent s’illuminer, et lui raffermir la
conscience
des causes finales. D’ailleurs, l’âme ne se rév
dans de nous-mêmes, sans que 1 immense généralité des hommes en aient
conscience
. Alors ces forces agissent en eux, — suivant la q
r faire sa prière. On le remit au lit, et, à son réveil, il n'eut pas
conscience
de ce qui s’était passé. Presque tous les matin
endre à l’évidence ? Ne serait-il pas bien plus satisfaisant pour nos
consciences
et bien plus honorable pour le corps médical d’em
malheu-rei^es de ce chef? — Oui, c’est cela qu’on appelle remords de
conscience
. — Est-ce que c’est l’action de la pensée hostile
, un remarquable indice de progrès. La modération convient à qui a la
conscience
de sa propre valeur, et c’est un grand pas de f
obtenir des sujets d’une haute lucidité, et en étudiant avec toute la
conscience
et toutes les lutnières qui sont en moi les innom
eu le plaisir de vous voir, et au regret du cœur se joint celui de la
conscience
, n’ayant pu me rendre à mes devoirs de membre du
son insu. C’était comme un demi-somnambulisme à l’état de veille, la
conscience
des choses extérieures ou de la vie de relation à
remarquable de seconde vue, dans lequel la voyante n’a pas la moindre
conscience
de la manière dont elle voit. Il n’y a qu’un se
dédale de faits; ou nous voyons les somnambules, étant éveillés, sans
conscience
de ce qu’ils ont vu, dit ou fait, sans conscience
tant éveillés, sans conscience de ce qu’ils ont vu, dit ou fait, sans
conscience
aussi des moyens par lesquels ils voient ; ou l’o
seul principe qui puisse expliquer les phéno- mènes multiformes de
conscience
double, ou de conscience divisée, exercées altern
expliquer les phéno- mènes multiformes de conscience double, ou de
conscience
divisée, exercées alternativement ou simultanémen
lucidité. Ceci explique naturellement comment au réveil on n’a pas la
conscience
de ce qui s’est passé pendant le sommeil magnétiq
’on est endormi de nouveau (le ce sommeil-là. 11 est évident que la
conscience
des actes de chaque cerveau doit être séparée de
e la seconde vue, ce n’est que le cerveau ordinairement actif dont la
conscience
est, pour le moment, tout à fait éveillée, tandis
e est, pour le moment, tout à fait éveillée, tandis que l’autre n’a
conscience
que du résultat et non pas de sa propre activité.
u cerveau ordinairement actif, à tout ce qui les entoure, avec pleine
conscience
de leurs actes, tandis qu’au moyen de l’autre cer
s, voient à distance, et enfin dictent les réponses de la table, sans
conscience
de leurs actes, excepté dans la vue à distance, o
e leurs actes, excepté dans la vue à distance, où ils ont quelquefois
conscience
du résultat seulement. Les deux médiums américain
ides, ces réponses viennent de leurs propres intelligences, mais sans
conscience
aucune de ce fait. Il est certain que les réponse
eux. Si les réponses sont dictées par la lucidité spontanée et sans
conscience
du médium , il est probable aussi que le mouvemen
lucidité , le mouvement et les sons, et cela sans en avoir aucunement
conscience
. Au contraire, il croit que tout cela vient d’aut
ys et dans tous les siècles. Jamais les auteurs de ces faits n’ont eu
conscience
de ce qu’ils faisaient. E. Sur les communicatio
rement, et j’ai pu me convaincre que ce médium n’avait pas la moindre
conscience
de ce qu’il écrivait. Mais j’ai vu aussi que les
e médium non seulement est lucide et dicte les réponses sans ea avoir
conscience
, mais aussi qu’il a le pouvoir tant soit peu magi
i aux troupes; qu’elle n’y pense jamais, du moins autant qu’elle a la
conscience
de ses pensées, mais que cependant ses visions, e
e l'énergie dont elle est capable. J’ai déjà dit qu’elle n’a point la
conscience
de la manière dont elle voit, mais qu’elle voit s
int le matérialisme sous la forme d’une psycologie dérisoire. — Si la
conscience
de soi et la personnalité sont indépendantes de 1
donc pas, comme dans le cas de la sensibilité qui n’existe que par la
conscience
de son existence, se préoccuper de la conscience
n’existe que par la conscience de son existence, se préoccuper de la
conscience
de l’activité du système cérébro-spinal sur l’org
e peut nous faire supposer qu’il y ait souvenir là où il n’y a pas eu
conscience
de l’impression, de sorte que nous ne pouvons adm
compagnons. ci Quand ces nombreux individus se réveillèrent avec la
conscience
de leur avènement au nombre des esprits, ils fure
usses qui égarent une génération , ce dont on est responsable dans sa
conscience
. Continuons : « L’enthousiasme public pour ces
ition, parce que le sentiment du devoir et de la vérité étant dans la
conscience
du prêtre, il reconnaîtra la réalité du magnétism
ifier ces fautos; toutefois nous les signalons pour l'acquit de notre
conscience
. Il s'est aussi glissé (page 499) des fautes d'
que sait l’apprécier la science matérialiste ; mais ce corps n’a plus
conscience
de notre approche, comme il l'avait il n’y a que
dans le corps inanimé , la double nature de l’homme est évidente : la
conscience
, l’intelligence, le pouvoir moteur, la vie , sont
utient comme un rhéteur des plus retors. En un mot, elle se forme une
conscience
et une raison à elle avec les matériaux qu’elle t
ntale, c’est à peu près comme si vous étiez seul en présence de votre
conscience
et en conversation intime avec vous-même, sauf qu
ormule ce qui n’était qu’à l’état de chaos ou de nébuleuse dans votre
conscience
. 11 n’est pas une réponse dos oracles anciens qui
un miroir, lequel répercute leurs rêves et quelquefois l’état de leur
conscience
. t L'homme, en se regardant au miroir de la tab
festin de Balthasar ont vu sur les murailles la menace née dans leur
conscience
contre l’auteur de pareilles orgies, et rien de p
partout, et les rayons de la lumière spirituelle éclairent toutes les
consciences
; mais il y a des hiboux qui fuient la lumière ;
s qu’il trouvera relatées plus loin. 11 jugera lui-même en son âme et
conscience
si elle suffit à 1'e.vpli-cation des faits produi
la table en vertu d’une opération magnétique dont aucune d’elles n’a
conscience
. Le phénomène du langage des tables serait alors
e fassent alors, en y apportant un esprit sérieux, un cœur droit, une
conscience
honnête. Et qu'on ne raille pas, si je m’exprime
u mauvais en quoi que ce soit. » Cette solution a de quoi rassurer la
conscience
de ceux qui se livrent à la pratique du magnétism
iole ce qu’il y a de plus sacré en pénétrant dans le sanctuaire de la
conscience
d’autrui (page 36). 'Cette solution nous paraît
ux succès, grâce à la lucidité des somnambules. Quant à pénétrer la
conscience
d’autrui, nous sommes peu touchés de l’inconvénie
tation nerveuse produite par le fluide vital et dont le sujet n’a pas
conscience
. Cette saturation du système nerveux développe la
tibilité instinctive. Le médium , dans cet état mixte dont il n’a pas
conscience
, poussé par cette intuition instinctive qui lui p
eni del pensie7'o (Milan, 1883). Le problème des conditions de la
conscience
, chez l'homme sain d'esprit et chez l'a- ' Albe
et passim ; Revue scientifique, etc. Les conditions physiques de la
conscience
, Genèse; 1886. Grisndlinien enter allgem. Psychop
tou- jours paru très grande, et que Buccola avait admises : 1° La
conscience
, - qui n'est rien de plus, natu- rellement, qu'
tégration fonctionnelle des centres nerveux. 2° L'intensité de la
conscience
est en raison directe de la désintégration fonc
directe de la désintégration fonctionnelle. 3° L'intensité de la
conscience
est en raison inverse de la facilité et de la r
léments nerveux '. 4° Les activités psychiques accompagnées de la
conscience
la plus vive déterminent, avec une désin- tégra
le des centres nerveux. Les fonctions psychiques accompagnées de la
conscience
la moins vive, subconscientes ou inconscientes,
liiff a reconnu que l'on n'a aucun droit de refuser toute espèce de
conscience
à la moelle épinière, et Herzen abonde dans le
simultanée «le tous ces centres.» Les con- disions physiques de la
conscience
, p. 19. LES FONCTIONS DU CERVEAU. ' 3t. nèse
, à la veille, au sommeil, aux rêves, à la perte et au retour de la
conscience
dans la syncope, etc. : elles dominent égalemen
les récents travaux de Steiner, elles expliquent l'évolution de la
conscience
, et, par suite, de l'intelligence, chez les poi
hez les poissons, les reptiles, les oiseaux et les mammifères. La
conscience
, et l'intelligence, « expression sub- jective d
, dans le mésocéphale et l'écorce des hémisphères céré- braux. La
conscience
spinale s'est ainsi peu à peu éva- nouie dans l
à peu éva- nouie dans le rayonnement toujours plus intense de la
conscience
cérébrale. Les centres spinaux, devenus inconsc
ons les plus hautes du cerveau lui-même. L'homme serait-il, sans la
conscience
, une moins bonne machine intellectuelle ? avait
ont été len- tement acquis qu'avec le déploiement de la plus vive
conscience
, ne devient un artiste de talent, un virtuose,
e trouvent pas un mécanisme préformé, elles ne sont acquises avec
conscience
que pour rentrer bientôt dans l'inconscience. «
nimal au premier coup d'oeil, s'il devait chaque fois avoir la vive
conscience
de chaque caractère iso- LES FONCTIONS DU CERVE
ce des problèmes les plus élevés, s'il devait chaque fois avoir une
conscience
nette de la table de multiplication. Et il en e
ute évolution mentale 2. 1 Herzen. - Les conditions physiques de la
conscience
, p. 31. 1 Inutile d'indiquer ce qu'il y aurait
'arbitraire dans l'hypothèse qui projetterait, en quelque sorte, la
conscience
et l'intelligence aux origines mêmes delà vie.
nt différenciés pour qu'un système nerveux central, condition de la
conscience
, ait apparn. V. Juies Soury. La psychologie phy
ée à la perfecti- bilité du cerveau humain. Dans les deux cas, la
conscience
finirait sans aucun doute par abandonner l'acti
l'activité médullaire, si rarement sillonnée par les éclairs d'une
conscience
obscure. En dépit des longs espoirs etdes étr
ions sim- ples, homogènes, continues, diminuerait ou abolirait la
conscience
en suspendant le mouvement de désintégra- tion
ent profond de l'intelligence, l'obscurcissement ou l'éclipse de la
conscience
dérive- rait de la lenteur ou de la cessation d
our désintégrer le tissu nerveux. L'attention subsiste; le malade a
conscience
des événements internes et ex- ternes, et, dans
dividu assiste à ce déchaînement de ses réflexes psychiques avec la
conscience
de son impuis- sance à les modérer. Là aussi éc
sait, un caractère d'organisation supérieure : l'inten- sité de la
conscience
est en raison inverse de la diffusion des mouve
réquent que l'intensité des représentations, et partant celle de la
conscience
, est plus faible, que les associations psychiqu
s, dont quelques-unes seulement at- teignent à peine le seuil de la
conscience
, pour re- tomber bientôt, incohérentes et désor
l'éclatante vision éblouit en quelque sorte, momen- tanément, sa
conscience
, et qui, jusqu'à ce que l'image pâlisse et s'ét
production du mouvement. La sensation d'innertion motrice, c'est la
conscience
de l'excitation fonctionnelle des éléments nerv
les hallucinations des amputés, sans que les images motrices et la
conscience
du mouvement accompli fassent défaut. La phase
articulation véritable, provoqueront une sensation analogue pour la
conscience
, ou des ru- diments d'articulation perceptibles
s, t. XXI. 4 f 50 PHYSIOLOGIE. , existe et persiste sans que la
conscience
en ait la moindre notion'. Quelle influence l
ue cette « perception des états internes » est une définition de la
conscience
, et non de l'activité psy- chique en général, q
pports. » Non, répond Herzen, cette vue intérieure, c'est l'état de
conscience
, comme l'a dit d'ailleurs ex- pressément Spinoz
s yeux sont ouverts et les pupilles dilatées. Il montre son état de
conscience
en tournant la tête quand on l'appelle. « 5 h.
Aucune paralysie musculaire. L'animal semble avoir un trouble de la
conscience
visuelle des images, des objets qui tombent sur
inion de Munck que cette lésion produit un trouble hémiopique de la
conscience
visuelle. Mais la vision imparfaite qui reste a
(voir cas 25 et et 26) fait penser que le centre en rapport avec la
conscience
visuelle n'est pas limité à ces lobes, comme le
irritations, le phénomène de la décharge va plus ou moins vite. La
conscience
participe à ces formes de résonance simultanée
allucinations; de la puberté sur la production de la monomanie avec
conscience
; et de la menstruation sur la trans- formation
ropre au-tabès. L'insécurité de sa démarche, dont il a parfaitement
conscience
en est seule la cause. J'en dirai de même des d
L'astasie-abasie se crée inconsciemment, l'obsession s'impose à la
conscience
. Moebius reconnaît du reste qu'il faut différen
au moment où il me vit, il ne donna aucun signe indiquant qu'il eût
conscience
de ma présence. Quand je répétai la même expéri
A toutes ces épreuves il ne répondit pas, il ne semblait pas avoir
conscience
de ma présence quand je parlais à son oreille e
inférieurs, chez lesquels nous ne pouvons que supposer les états de
conscience
, ne sont pas aussi satisfaisantes à ce point de
thologie nerveuse. antérieure à l'accident et n'a repris réellement
conscience
de ses actes que six heures après l'accident. (
nce (Influence de la puberté sur la production de la monomanie avec
conscience
(1861); quelques consi- dératisons sur monomani
. L'énergie des centres et de l'appareil moteur n'est révélé à la
conscience
que par le fonctionnement des cordons et des cent
s non plus que les impressions, qui ne se répercu- tent pas dans la
conscience
, puissent renaître idéalement et entrer dans la
ports du délire avec les hallucina- tions. Obsessions émotives avec
conscience
. Obsessions psycho-génitales. Délires du touche
aux déductions de son idée fixe qui a pénétré comme telle dans la
conscience
du malade et s'y est incorporée, tandis que l'obs
oute et les obsessions en général forment le groupe des folies avec
conscience
qui appartient à la grande famille de la folie hé
é précéde d'impulsions homicides et suicides dont le malade avait
conscience
et qu'il put réprimer. A l'autopsie on tronva un
actérise par un trouble de l'activité psychique- obnubilation de la
conscience
, affaiblissement très considérable de la mémoir
es : confusion aiguë avec prédomi- nance des troubles du côté de la
conscience
et folie aiguë pro- prement dite (paranoia acut
ntelligence. La confusion aiguë se caractérise par un trouble de la
conscience
, un état affectif, un trouble dans l'asso- ciat
aiguë proprement dite se caractérise par une clarté relative de la
conscience
, un développement subaigu des idées délirantes
uère on nageait en vain, et s'y abandonner bien qu'on ait perdu toute
conscience
de cet aban-don. La timidité est une magnétisatio
uement polarisée. 11 y a sans doute à distinguer le respect dont on a
conscience
, et celui qu'on se dissimule à soi-même sous des
s, qu'ils les aient vu expérimentalement produits, pour garantir leur
conscience
contre de regrettables erreurs? (1) C'est le Dr
reprises pendant huit mois. Dans ces occasions j'ai toujours gardé la
conscience
d'être maître absolu de moi-même, ce qui, passion
inels. La pénalité vient au secours du misérable et lui tient lieu de
conscience
. L'Ecole italienne attache une grande importanc
heureux qui naissent avec le vice dans le sang, ces dalloniqucs de la
conscience
, ces êtres frappés de cécité morale et dont la ré
, et il appartient à l'asile d'aliénés, — ou il est sain, il a pleine
conscience
de ses actes, et il doit en supporter les conséqu
lesuggestion. Pendant l'état d'inconscience apparente de la crise, la
conscience
me parait être en réalité, conservée. Alors même
que sorte fatale, de cette angoisse concomitante si pénible, de cette
conscience
complète de l'état, et enfin ds cette satisfactio
ements ou à des habitudes morbides qu'ils déplorent. Ayant pleinement
conscience
de l'impuissance dans laquelle ils se trouvent de
et de boire ainsi pendant huit jours consécutifs, ayant tellement la
conscience
de sa dégradation qu'il n'osait pas rentrer chez
'en référerai aux prescriptions de la religion, de l'honneur et de la
conscience
. » Je prends en outre rengagement sacré, quelle
siste à une véritable débauche de quelques jours, pendant lesquels la
conscience
est profondément altérée : la lutte a précédé l'a
d, au plus fort de l'impulsion, fuit les regards parce qu'il a encore
conscience
. Chez le premier, l'accès est déterminé et précéd
s ni spéculations psychiques, l'obsession agoraphobique s'impose â la
conscience
, s'accompagne d'angoisse et entraîne des déductio
a sègne « la mélancolie perplexe. » Ball la rattache aux délires avec
conscience
. Dagone!. n'en parle nulle part. Meyner: (1). dit
ie du doute, la lutte constante du malade contre ses obsessions et la
conscience
très nette qu'il a de leur ridicule et de leur ab
les pseudo-monomanies des folies systématisées, en se basant sur la:
conscience
que le pseudo-monomane a de son trouble mental. M
». Balilarger (3) en cite d'autres sous le titre de « monomanie avec
conscience
»,~et signale le premier un fait important, c'est
toutes ses conceptions : pendant quelque temps l'individu peut avoir
conscience
de tout ce que cette idée fixe a d'absurde, de
lequel on trouve les descriptions de plusieurs cas d'obsessions avec
conscience
relatives au délire du toucher. Dans l'étiologi
elle. Griesinger dit en propre termes que c'est « une . bsession avec
conscience
sous forme de question ou de doute.» Il n' y a pa
dont nous avons parlé. Les uns et les autres sont des obsessions avec
conscience
. Ils ne diffèrent que par la forme cli- 1 Achiv
utes les varietés quelles revêtent, forment le groupe des folies avec
conscience
qui appartienent ii la famille considérable de la
vré l'exercice de ses facultés, il raconta qu'il avait agi sans avoir
conscience
de ce qu'il faisait. 11 fut pendu et véritablem
atalepsie a été complètement indolore, la fille Caffo n'a pas eu plus
conscience
de l'un que de l'autre de ces faits. Interrogée a
, l'automatisme n'est pas complet: l'homme n'est jamais automate : la
conscience
est toujours présente, les souvenirs de l'état hy
enirs de l'état hypnotique peuvent toujours être réveillés: c'est une
conscience
modifiée par la prédominenec des facultés d'imagi
accomplissant la suggestion cobv' servent dans une certaine mesure la
conscience
de l'acte accompli ; 3°Ceux qui nient résolumen
dans lequel je les avais mis était cause qu'ils paraissaient n'avoir
conscience
de rien. Que d'abus graves de toutes sortes il pe
ce: en réalité, c'est le résultat d'une perturbation profonde dans la
conscience
de la personnalité. Les personnes qui s'expriment
toute la durée du sommeil, aux opérations de l'intelligence et de la
conscience
. Dans certains cas, l'aliénation de la personna
ne physionomie spéciale,particulière à chacun des nouveaux états de
conscience
. En un mot, le geste du scripteur s'est transfirm
giques qu'on a décrits sous les noms d''amnésie périodique, de double
conscience
ou de dédoublement de la vie. Le plus connu est c
te questîon ont élu réunis en un volume intitulé : Hypnotisme, double
conscience
et altération de la penonnalité, l'aria, 1887.
de la penonnalité, l'aria, 1887. Les autres observations de double
conscience
ont été publiées par MM. Mac Nisli (philosophy of
alternantes de la personnalité. En résumé, les phénomènes de double
conscience
, d'amnésie périodique ou de personnalité alternan
e provoquées, mais aussi naître spontanément à la faveur de l'état de
conscience
modifiée. Nous nous trouvons donc déjà en prése
avec une indifférence complète cl sans remords, elle paraissait sans
conscience
de la valeur morale des actes qui s'étaient passé
énomène. Si l'on conduit, en effet, les expériences avec méthode et
conscience
, on n'est plus exposé à rejeter, comme entachées
ssions de l'Index bibliographique. Arren (V.). — L'Hypnotisme et la
Conscience
, (Bulletin Je la Faculté des lettres de Poitiers,
nalogie entre le phénomène hypno-tique et certaines expériences de la
conscience
normale. (Proc. f. Soc.psych. research. London, 1
ans mon service d'aliénées de la Salpétrière. et que je ne saurais en
conscience
donner à mes malades une affection qu'elles n'ont
onsidère que, chez l'individu plongé dans l'état de somnambulisme, la
conscience
, ce flambeau divin, est non pas étouffée mais sus
nt le caractère à peu près constant d'une impulsion irrésistible avec
conscience
; c'est-à-dire que le sujet parfaitement présent
nscience ; c'est-à-dire que le sujet parfaitement présent et ayant la
conscience
de son identité ne peut lutter contre la force qu
professent que chez certains sujets l'automatisme est absolu, que la
conscience
est complètement annihilée et que l'impulsion à l
on s'est adressé à moi. Jai considéré comme un devoir d'honneur et de
conscience
de venir exposer devant vous les doctrines de l'É
la réveille en soufflant sur ses yeux. Elle se trouve bien et n'a pas
conscience
du temps de son sommeil. 26 septembre, à 8 h. m.,
ciliation entre la responsabilité morale et le déterminisme, entre la
conscience
et la science, que la nolion du libre arbitre ava
Ah! la décision n'a pas été pesée longtemps dans la balance de leur
conscience
. Us distribuent les mois de prison comme des noix
tous nos sujetse. « Dans cet état, qui n'est qu'un état de seconde
conscience
, il m'a paru présenter une certaine exaltation ne
on n'a pas su maintenir, parce que le sujet, suivant dans cet état de
conscience
nouveau l'hésitation de l'opérateur, se ressaisit
d'origine spinale. Mouvements irrésistibles. Intégrité complète de la
conscience
. Peurs morbides. Dépression mélancolique. Tentati
près le réveil, un acte qui lui était désagréable ou qui révoltait sa
conscience
. M. Beaunis a observé chez un de ses sujets un
blissement de Burghûlzli, je témoigne selon mon meilleur savoir et ma
conscience
ce qui suit : À. — PREFACE. D'après les détai
nde personnalité complète, ou, si on peut l'appeler ainsi, une double
conscience
, dont les associations de pensées, par suite d'un
ulement observé que les sujets pouvaient, dans certains cas, avoir la
conscience
do l'acte accompli, tandis que dans d'autres ils
remords de l'acte qu'il avait commis et ne semblait pas- en avoir eu
conscience
. Pour montrer a ses élèves une expérience du mê
ou le mal fondé; c'est lui qui empêche qu'elles ne s'imposent à la
conscience
comme si elles étaient vraies, qui, par conséqu
l'existence antérieure du sujet qu'elle résume. Celui-ci, en pleine
conscience
, la retient parce qu'elle a une relation plus d
l'idée fixe. 9 la hase, il existe une profonde perturbation de la
conscience
, du jugement, de la raison. Le premier argume
mbinaison, soit en interprétant et en élaborant dans le champ de la
conscience
des perceptions sensorielles de toute nature. D
uit cependant, d'après Wernicke, un cer- tain ordre, sans lequel la
conscience
n'est point saisie, n'est point meublée, si l'o
ble à peu près identique. Le monde extérieur s'est gravé dans la
conscience
, s'y est reflété, en conservant aux objets l'ordr
ar l'estimation du pour et du contre. Toutefois, l'acti- vité de la
conscience
, qui nous donne l'appréciation de la valence no
me une intruse, une'étran- gère, ayant pénétré, malgré lui, dans sa
conscience
. Elle lui apparaît comme l'expression de sa pro
au contraire, il éprouve un senti- ment de vide dans le champ de la
conscience
; une agitation L'IDÉE FIXE. 13 intérieure ar
tilité, la déraison de l'idée fixe pathologique sont frappantes. La
conscience
du sujet l'admet l'idée FIXE. 45 malgré cela,
l'idée prévalente physiolo- gique, est immédiatement soumise par la
conscience
à un examen rigoureux à l'aide des moyens de co
en rigoureux à l'aide des moyens de contrôle dont elle dispose ; la
conscience
en vérifie avant tout l'objet, le rap- proche d
e profond de la raison, de la critique, du jugement qui fait que la
conscience
altérée ne reconnaît plus la fausseté de cette
le est due à l'altération du sens critique. L'individu n'en a pas
conscience
; il a au contraire conscience qu'il est dans le
sens critique. L'individu n'en a pas conscience ; il a au contraire
conscience
qu'il est dans le vrai. B. Diagnostic. D'aprè
, qui correspond à la dissociation des éléments du Li contenu de la
conscience
, à la disjonction confirmée de l'ordre préétabl
lidairement associées, et historiquement les mieux établies dans la
conscience
de l'in- dividu, elle est éminemment dangereuse
hallucinations. Elles ont pour origine les changements d'état de la
conscience
, les sensations morbides, et correspondent à l'
l'individu. Mais aussi, par un retour continuel dans le champ de la
conscience
, elle peut, avec le temps, prendre l'importance
élirant, il ne faut pas s'attendre à la présence permanente dans la
conscience
du malade de l'idée fixe génératrice du délire,
ouvelle bien caractéristique qui témoigne de la différence entre sa
conscience
passée et sa conscience présente. Celui-ci, dev
ue qui témoigne de la différence entre sa conscience passée et sa
conscience
présente. Celui-ci, devenu, dit-il, magicien, va
rrom- pant la marche des idées du malade; faire irruption dans la
conscience
; s'imposer à l'attention avec une énergie gê-
ion, comme si elle était une idée vraie, sans que le patient en ail
conscience
. Non, le sujet la voit absurde, déraisonnable,
raver les autres, s'implantant avec obstination dans le champ de la
conscience
, et re- fusant de s'évanouir ? Celle répétition
spontanément et par envahissement brusque, aperçu, du champ de la
conscience
. Les idées obsédantes sont : les unes non-émoti
te épouvantable ; elle pousse une mère au meurtre de son enfant. La
conscience
reste d'abord étrangère à cette pensée qui écla
dans le champ de l'idéalion, troublant le cours normal des états de
conscience
, lui esl , l'idée fixe. , 23 étrangère et pén
ciemment, le ma- lade s'identifie. » (Magnan et LEGR.11N. La pleine
conscience
de l'état représente le grand caractère de l'ob
sion, - résistance inutile du malade, irrésistibilité du phénomène,
conscience
très nette de la manifestation morbide qui s'im
excités, - voilà les signes de l'obsession dont l'état lucide de la
conscience
est à lui seul pathognomonique. Conception s'
insinuant dans l'auto-conscience intacte, sans que le malade en ait
conscience
, par suite de l'affaiblisse- ment du jugement,
progressive. Par suite de corrections subsidiaires du contenu de la
conscience
, de falsifications des souvenirs qui, sous dive
au début de l'accès, il semble que le sujet, qui en a parfaitement
conscience
, soit obligé de diriger chacun des points de la
gnent d'un retentissement psychique : elles incitent le champ de la
conscience
où elles se répercutent comme s'il y avait une
incomplète, le remords d'une mauvaise communion et des scrupules de
conscience
sont les idées qui prédominent au milieu du dél
des facultés intellec- .tuelles qui en effacent toute trace dans la
conscience
. Vienne une perturbation, l'idée délirante peut
associés, mais au contraire libre développement dans le champ de la
conscience
d'une conception erronée par suite de l'absence
- GOI3LOT : Fonc- tion et finalité (le, article). J. PIIILIPPE : La
conscience
dans l'anes- thésie chirurgicale. - IJUGAS : La
octobre au 21 décembre. il conserve la même attitude. Il n'a aucune
conscience
de son état. Parfois, on le surprend dans un co
ue, central ou irradiant la périphérie. Le dernier apparaît dans la
conscience
du sujet d'jjne façon qui l'étonne. I.e sujet n
e, agit, fait différents actes souvent bien combinés, sans en avoir
conscience
. Cet état se rencontre fréquemment : on l'obser
temps variable portant sur la vue ou sur l'ouïe, et le malade en a
conscience
, peut en rendre compte. Ces troubles de la sens
énéraux, des déments avec lésion circonscrite, etc., qui sans nulle
conscience
se livrent à l'étalage génital. Chez notre mala
matique dont ils sont atteints. En effet, ces sujets, tout en ayant
conscience
des dangers que leur font courir les pratiques
quel elle doit être envisagée. - Au moins dans leur ensemble : j'ai
conscience
de regarder droite. 180 PHYSIOLOGIE. de Bruck
tion. Dans la traversée de celui-ci apparaissent les deux faits de
conscience
qui caractérisent le mouvement volontaire : il
est maintenant plus abaissée que la droite. La malade a repris une
conscience
plus marquée; elle montre par sa physionomie et
depuis hier soir vers 10 heures, la malade a perdu progressivement
conscience
du monde extérieur. Elle est actuellement dans
u choc moral, comme agent de dissociation et de désagrégation de la
conscience
. Dès lors, la suggestion est efficace en tant q
s, sans but apparent. C... parait la plupart du temps, ne pas avoir
conscience
de sa situation; en diverses circonstances, cep
lade ne commet plus d'erreurs de personnalité; il a assez nettement
conscience
de sa situation actuelle, et a recouvré la noti
qu'il a été atteint de folie. 11 n'a eu tout d'ahord que vaguement
conscience
de sa situation présente, et n'a entrevu que d'
s explications qu'il a données sur l'état d'esprit dans lequel il a
conscience
de s'être trouvé pendant sa maladie. C... se
ments donnés par le malade sont, à cet égard, des plus nets. C... a
conscience
d'avoir eu des « rêves » plutôt agréables que d
cause, respirent exclusivement par la bouche, souvent sans en avoir
conscience
; ou bien elle est subjective ou fausse, le nez
tible deWestphal. est une idée qui s'impose à l'individu, en pleine
conscience
, son intelligence demeurant d'ailleurs intacte;
ticulation véritable, provoqueront une sensa- tion analogue pour la
conscience
; ou des rudiments d'arti- culation perceptibles
ulaireD qui renseigne sur le mouvement en cours d'exécution et la «
conscience
musculaire » qui entre en fonction au moment d'ex
e par association, mais cette image visuelle apparaît seule dans la
conscience
sans que l'esprit ait à intervenir active- ment
musculaires cutanées et articulaires, le tout se fusionne dans la
conscience
en un sentiment suieaeris, assez vague en réalité
e est secondaire pour la différen- tiation des deux notions dans la
conscience
. La notion de la direc- tion du mouvement est u
con- vaincu des idées de Wundt déclarait être simplement due à la
conscience
que nous avons de notre activité motrice centrale
érie. Paris, 1891, \ol. I, p. 110. 468 REVUE CRITIQUE. entre la
conscience
, d'une représentation mentale et ce que les aut
. Sans doute il peut y avoir mou- vement réflexe en dehors de toute
conscience
, mais chez l'individu normal les mouvements réf
rmés et dont on percute pourla pre- mière fois le tendon rotulien a
conscience
de la projection de sa jambe en avant, encore q
multipliant la répétition des mêmes actes qui le .produisent, la
conscience
devient de moins en moins nette, et finalement di
'un acte succédant à un ordre, 1 obéis- sance se dégage sans que la
conscience
y prenne une part impor- tante. D'ailleurs elle
sychique. Une série de déductions montre ensuite le mécanisme de la
conscience
, de la personnalité et de la volonté. M. Mauric
ses incommodes que prend le malade, il faut penser qu'il a perdu la
conscience
musculaire. Les réflexes tendineux sont très ex
lui, mais seulement une idée délirante passagère. Le degré de la
conscience
du malade, nous aurions défini comme un trouble
ancolie on observe aussi une attonité et parfois un enchaînement de
conscience
(stupeur). Effectivement, au début de la maladi
nde jamais à manger, mais mange avec avidiié ce qu'on lui donne. Sa
conscience
est profondément troublée ; il ne sait pas ni o
encerai par la description de la sphère psychique de la malade : la
conscience
est troublée, elle ne peut s'orienter dans son
qué de la capacité productive du cerveau. Ayant un grand trouble de
conscience
et d'atten- tion, la malade ne fait aucune tent
s objets, etc. Ces mouvements se font sans la parti- cipation de la
conscience
. Quoi qu'on ne puisse pas nier, totalement l'in
négativisme était complet ainsi que l'enchaî- nement général de la
conscience
et l'inhibition de réflexes psychiques pouvant
aux actions impulsives des catatoniques et à la disparition de la
conscience
, on ne parvient pas à provoquer la catalep- sie
t très stable qui ressort nettement dans le tableau de confusion de
conscience
. En évaluant les résultats généraux des travaux
cérébelleux supérieurs transmettent cette impression en partie a la
conscience
mais surtout, à l'insu de la conscience, au noyau
e impression en partie a la conscience mais surtout, à l'insu de la
conscience
, au noyau rouge : cette impression est de là, à
LON. Sous le terme d'aboulie, on englobe un grand nombre d'états de
conscience
dans lesquels on constale, à un degré quelconqu
Paris. bibliographie. 87> IV. L'amnésie et les troubles de la
conscience
dans l'épilepsie; par J. Maxwell, avocat généra
s complet et très inédit sur les trou- bles de' la mémoire et de la
conscience
dans l'épilepsie, prélude. probable d'une étude
die alors la question des relations entre l'amnésie et l'état de la
conscience
: sans doute, dans certains cas, tels les états'
amnésie s'accompagne le plus généralement de troublés marqués de la
conscience
(per- sonnalités secondes épileptiques); mais d
eaucoup d'autres' circonstances les troubles de la mémoire et de la
conscience
peu- vent être dissociés et, du moins, peut-on
' CORRESPONDANCE. nésie n'indique nullement quel a été l'état de la
conscience
, tandis qu'au contraire elle est en rapport ass
CEPTIONS DE L'HYPNOTISME ET DE L'HYSTÉRIE. 121 On peut avoir ou non
conscience
des actes automatiques suivant que l'activité a
matique est communiquée ou non au centre 0, qui est le centre de la
conscience
personnelle. La conscience ou l'inconscience ne
n au centre 0, qui est le centre de la conscience personnelle. La
conscience
ou l'inconscience ne doit donc pas figurer dans
ble activité. A une grande activité physiologique correspondrait la
conscience
nette, et à une certaine torpeur du centre inte
et à une certaine torpeur du centre intellectuel, le sommeil de la
conscience
. Mais, encore une fois, nous pensons que les hy
ses scrupules sont absurdes. Ce malade, souvent fort intelligent, a
conscience
de l'inanité de ses craintes : celles-ci n'en e
ment de l'aptitude à la synthèse et le rétrécissement du champ dela
conscience
. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1S1
u- ridique, qui ne regarde que les juges et ne relève que de leur
conscience
et au point de vue purement médical. C'est le côt
consiste surtout en une obnubilation plus ou moins accentuée de la
conscience
, sans agitation le plus souvent, avec carpholog
xamen, elle est en rémission complète ; aucun trouble intellectuel;
conscience
très nette de son état. Atténuation très grande
rvée. Il n'existe pas d'idées délirantes, mais la malade n'a aucune
conscience
de sa situation. Signes physiques très peu marq
la malade a la mémoire nette des troubles qu'elle a présentés et a
conscience
d'avoir été malade. Elle s'occupe régulièrement
antième ni le jour de la semaine, se trompe sur son âge, n'a qu'une
conscience
très incomplète de sa LE FOND DE L'OEIL CHEZ LE
t d'abandonner la présidence, fait ce. qu'il .appelle son examen de
conscience
et se demande s'il a toujours .,tenu la main à
l'unguentum cinereum (40 frictions; 2 grammes par jour); lorsque la
conscience
s'éclaircit et l'assoupissement di- minua, se m
en aller. Et encore les paysans tâchent de faire cela par acquit de
conscience
parce que les formalités de placement coûtent bea
d'une image mentale motrice. Cette image s'ac- compagne d'une vague
conscience
, mais se dissocie psycho- logiquement et consci
ut une impulsion motrice qui se répète et réapparaît au champ de la
conscience
à des inter- valles de plus en plus rapprochés
ui, arrivée à son summum se traduit par un état vague et flou de la
conscience
, véri- table distraction mentale, se détachant
te note, qu'à la suite d'un ictus apoplectique suivi de perte de la
conscience
et de dysenterie, l'auteur pense (en l'absence
semaine. ' - - . R. de 1\IUSGIU YE-CL\ y, LXIII. Un cas de double
conscience
; par Albert WiLsox. (The Journal of Mental Scie
s à lui, etc.), et plus tard il devient expansif. Tout d'abord il a
conscience
d'un certain détraquement mental. La masturba-
. Il. DE MUSGW 1'E-CLT. LXXX. Etude clinique sur les troubles de la
conscience
dans l'état post-épileptique ; par le Prof. A.
malade étudié par lui. Il y fait remarquer l'obscurcissement de la
conscience
, provenant d'une diminution dans la cohésion de
prendre une part très grande dans le déterminisme de nos états de
conscience
, leslois d'association constituent les lois presq
monde extérieur ; ses idées semblent fuir, et il lui arrive d'avoir
conscience
de son état. ' L'incohérence de ses idées ne do
s qu'à la rapidité avec laquelle se succèdent chez lui les étals de
conscience
. Cette incohérence est réelle, et présente un c
ar l'effondrement soudain de leur intelligence, dans leurs états de
conscience
, qui se succè- dent avec la même «incomplétude
ans l'influx nerveux a pu produire cet affaiblissement des états de
conscience
. L'histologie patho- logie s'est occupée de la
sus psychiques porte chez le maniaque et le débile sur les états de
conscience
; mais tandis que chez le maniaque, l'atlaiblis
nés, mais spontanément il ne peut les évoquer. Il n'a pas alors une
conscience
très exacte du temps écoulé depuis son entrée à
ont plus une vivante assez grande pour apparaître spontanément à la
conscience
, elles ont besoin d'un secours artificiel, seco
est avant tout le résultat d'un trouble affectif, c'est un état de
conscience
doulou- l'eux; la mélancolie est caractérisée e
te desquelles il est resté huit jours sans parler et sans reprendre
conscience
de son état. Il s'est remis ensuite à ses occupat
s qu'est-ce que c'est que cette attention ? Une concentration de la
conscience
sur le stimulus venu du dehors; le siège de la
ion de la conscience sur le stimulus venu du dehors; le siège de la
conscience
est dans l'écorce céré- brale, plate-forme d'ar
t échappera au contrôle de l'attention, malgré la persistance de la
conscience
. Faut-il admettre qu'attention signifie concent
ir pas d'intensité suffisante pour s'élever jusqu'à un phénomène de
conscience
, à l'existence duquel l'attention contribue bea
ur recherche ensuite comment les centres supérieurs con- trôlent la
conscience
dans l'attention; car l'attention, au point de
rocessus à la fois positif et négatif. On ne peut pas concentrer la
conscience
sur un stimulus émané d'un REVUE D'ANATOMIE ET
LOGIE PATHOLOGIQUES. 475 objet extérieur sans fermer la porte de la
conscience
à tous les autres stimulus. Faut-il voir là une
evivre du passé et derrière l'onde d'association qui surgit dans la
conscience
immédiate, il y a un océan non visible, qui, da
an non visible, qui, dans les conditions normales, est écarté de la
conscience
. Dans l'insomnie, dans le délire de la fièvre,
rien à ces impulsions d'être plus intenses et d'arriver jusqu'à la
conscience
; aussi ne pren- nent-elles ce caractère que lor
d'hypnose ou de sommeil hypnotique) il y a trouble à la fois de la
conscience
et de la sensibilité. Il y a donc là trois états
der de confondre. Dans le sommeil naturel, toutes les fonctions, la
conscience
exceptée, conservent leur activité. Dans le som
es : 5 observations. 3e groupe : Intelli- gence redevient complète (
conscience
, attention, mémoire.) Mais persistance de quelq
ans aura, survint un accès de convulsions générales avec perte de
conscience
; l'accès débuta 'par une douleur, des picotements
dical Association, tenu à Manches- ter. Juillet-août 1902, 523.
Conscience
. Un cas de double par Wilson, -100. Corps étr
tz, 148. l'oST-ÉPILFP11QU ? Etude clinique sur les troubles de la
conscience
dans l'état -, par l'IC[¡, 411. PoTT. Cavités
Au début, l'homme qui, dans son ignorance générale, a pris d'abord
conscience
de son activité propre, a cru trouver une explica
ères inférieurs, c'est-à- dire au seuil d'une fonction nouvelle, la
conscience
que je ne crois pas encore devoir leur attribue
cision est tout arbitraire, mais ainsi que nous le verrons tantôt, la
conscience
n'étant que la connaisssance des phénomènes -in
èce. Nos mammi- fères inférieurs sont donc supposés ne pas avoir de
conscience
et, malgré cela, nous remarquons une complicati
e pas- sent absolument comme s'ils agissaient avec réflexion. Si la
conscience
seule permettait la manifestation d'actes intel
s, dis-je, l'apparition de phénomènes nouveaux et intéressants ; la
conscience
, la faculté d'éprouver des sentiments (honte, joi
ition, au cours de l'évolution, des sentiments, des émotions, de la
conscience
et l'augmentation sensible du poids de la matière
int pas son développement complet, chez les idiots par exemple.' La
conscience
ne peut rien expliquer. Elle n'est que la percept
choses qui existaient sans être connues, deviennent conscientes. La
conscience
ne fait pas les raisonnements, elle les perçoit
les qui les dénotent. De même encore on peut être ému sans en avoir
conscience
et même dans les états d'émotion extrême on per
n avoir conscience et même dans les états d'émotion extrême on perd
conscience
. ' L'enfant vient au' monde dans un état d'inco
ants qui croient y découvrir de l'intelligence et de la volonté. La
conscience
apparaît donc à un moment donné du développemen
sent en dessous d'elle. L'homme est' une bonne machine avec ou sans
conscience
, écrivait déjà Maudsley. ' Pour les motifs qu
1° même chez l'homme, dans l'exer- cice des facultés, le rôle de la
conscience
est fort elfacé ; 2°. les opérations in'- ESSAI
renons avec quelques détails ces différents points. Le rôle de la
conscience
est fort effacé dans l'exercice des facultés inte
tuelles. C'est une erreur centrale de la psychologie de considérer la
conscience
comme la clef de voûte des manifestations intel
re qu'en inventant, pour les besoins de la cause, d'autres états de
conscience
dont personne n'a connaissance, pas même les inté
et à peser la valeur des mots et à appro- fondir la question. Si la
conscience
n'est que la connaissance que l'esprit a de lui
ane producteur, mais plutôt un agent de perception. Nous avons bien
conscience
, dans des circonstances favorables, des pensées
comme ce travail, par exemple et dans la réalisation de laquelle la
conscience
joue un rôle capital au dire de tous les psycholo
s choses se passent comme si les pensées élaborées en dessous de la
conscience
par un mécanisme quelconque surgissaient dans sa
i se présentent, il y en a de mauvaises ou d'insuffisantes et si la
conscience
dirigeait leur éclosion autant qu'on veut bien
ppent quelquefois pour toujours. Mais, m'objectera-t-on, c'est à la
conscience
que vous devez de pou- voir apprécier la valeur
question qu'il avait en vain cherchée dans les révéla- tions de la
conscience
. Remarquons que, pendant le sommeil, la valeur re
sans être perçue.' Dans l'exercice des facultés intellectuelles, la
conscience
n'est qu'un témoin, précieux sans doute, mais n
ionne inconsciemment. Ses produits seuls défilent parfois devant la
conscience
, mais le mécanisme existe ainsi que ses produit
e existe ainsi que ses produits qu'ils soient conscients ou non. La
conscience
est l'accessoire, le reste est tout. Elle n'est
au. i Tous les rouages du corps humain fonctionnent en dehors de la
conscience
. Le mécanisme cérébral ne fait donc pas excepti
ensible que nous apparaisse eu ce moment le dévoloppe- pement de la
conscience
et sans entrer dans aucune discussion à ce sujet,
èce de pouvoir être démontrée par l'expérimen- tation. En effet, la
conscience
ne résiste pas à l'influence des anesthésiques,
insensible, puisque son existence même est méconnue. Le siège de la
conscience
sera placé dans le supérieur et nous y ajoutero
ette séparation nette et je ne suis pas absolument convaincu que la
conscience
ait dans l'encéphale une localisation précise. Il
erai ceci dans ,quelques instants. En amoindrissant le rôle de la
conscience
dans l'exercice des facultés, j'ai .réduit du m
s facultés, j'ai .réduit du même coup celui de la volonté. Là où la
conscience
n'est plus, .celle-là disparaît et n'apparaît p
ivi. Mon étage inférieur les produisaient et elless'imposaient à ma
conscience
et séduisaient ma volonté. Je les ai subies. C'
as rendus compte que, lorsqu'on ne scrute pas les profondeurs de sa
conscience
, ce n'est pas en vertu d'un acte de volonté que
it soutenir que les ignorants ou les sauvages songent à sonder leur
conscience
et posent des actes nettement volontaires ? Mai
PRIT 175 que je ramenais à de plus justes proportions le rôle de la
conscience
et de la volonté dans l'exercice des facultés i
omme si l'excitation n'avait pas pris cette voie. De cette façon la
conscience
est bien un phénomène accessoire, surajouté aux
ogique, puisqu'il est inconcevable qu'un esprit, une volonté ou uue
conscience
puissent agir sur des phénomènes purement physi
es leur origine réflexe, leur caractère purement automatique que la
conscience
ne fait que masquer, d'y découvrir un enchaî- n
eau à leurs phénomènes d'expression et de réalisation ainsi qu'à la
conscience
d'une part et d'autre part aux fonc- tions végé
définissable formé d'une impression flottante, imprécise. C'est une
conscience
animale. Eu résumé et c'est le premier point, l'h
nts devenir conscientes, mais il est à remarquer que le champ de la
conscience
est strictement limité aux pensées contenues dans
es animaux est le fruit d'une série d'ex- périences successives. La
conscience
assiste simplement aux manifestations de l'auto
aux manifestations de l'automatisme et le raisonnement n'est que la
conscience
des produits de l'ex- citation. Lorsqu'un indiv
entée par un équivalent organique vivant. La réflexion n'est que la
conscience
du travail souterrain qui s'accomplit dans l'étag
IGUË 383 sements, obstruction', mal de tête et aussi troubles de la
conscience
; il avait quelque difficulté à uriner, mais le
. Peudant ce jour et le suivant il y avait un certain trouble de la
conscience
, mais la température était seulement de 37,15.
s constant), vomissements (indiqués 7 fois) et aussi troubles de la
conscience
(indiqués 4 fois), etc. On sait cependant qu'on
ec diffilcuté de parler, mais non de respirer, et sans troubles de la
conscience
. 400 PETREN ET EHRENBERG L'examen de la sensi
tion cérébrale de la méningite, sauf les troubles passa- gers de la
conscience
qui, dans quelques cas (I, II, III), pourraient y
tète et une ob- struction considérable. Etal le 17 janvier. - La
conscience
n'est pas troublée, il a mal à la tête et a une
mps, une apathie générale s'est développée. Etat le 3 octobre. La
conscience
est conservée, mais l'enfant semble être apathi
s mauvais et elle a eu des vomissements. Les deux derniers jours la
conscience
a été troublée et elle a eu quelquefois des vra
tat le 12 avril. - La malade a une apathie assez prononcée, mais la
conscience
n'est pas tout à fait troublée. Il y a quelquefoi
ème des papilles ; cas XXIX : pendant quelques jours troubles de la
conscience
et cris hydrocéphaliques). En résumé, ces cas ne
quant au côté somati- que, nous dirons que M. Palazzi a toujours eu
conscience
de la faiblesse de ses membres, apparemment bie
nce. Le 9 novembre. Aux lèvres, cyanose plus prononcée ; nystagmus,
conscience
altérée. A 1 heure de l'après-midi la ponction
s le dos. La sensibilité cutanée est normale. Pas de troubles de la
conscience
. Pas de signes que l'on puisse attribuer à une
ation à cause de mouvements respira- toires insuffisants et avec la
conscience
tout à fait claire jusqu'au dernier moment. La
à la clinique interne. Flat le ^janvier vers 11 heures du malin. La
conscience
du malade n'est point du tout altérée, mais il
e augmenter et en même temps la cya- nose. N'ayant point du tout la
conscience
troublée, le malade a la sensation très nette q
les et lui avons donné du lait, etc. Pendant le cours de ce jour la
conscience
se trouble progressivement et le ÉTUDES CLINIQU
ar suite, le malade est mort par une suffocation et n'a point eu la
conscience
troublée jusqu'au dernier moment. Comme la para
tout près de mourir d'une pure suffocation sans aucun trouble de la
conscience
. Mais l'étal s'est modifié quand nous avons com
piration due à une affection spinale (pas bulbaire), le fait que la
conscience
n'est point du tout troublée jusqu'au dernier m
chez la plupart la mort est survenue sans qu'aucuns troubles de la
conscience
soient apparus. Dans des cas semblables, si l'o
cris au milieu de la nuit, sans qu'il se réveille, ni qu'il en ait
conscience
. L'appareil digestif est normal, il n'y a pas d
de vertige et tombe sur le dos, il suffoque, se cyanose et perd la
conscience
. Un tremblement suivi par des con- tractions fr
t commencé à 13 ans : des convulsions généralisées avec perte de la
conscience
; augmentation du poids du corps. L'examen somatiq
souvent. Pour notre part, nous n'avons observé de trou- bles de la
conscience
que trois fois et jamais de convulsions. D'un aut
symptômes de méningite cérébrale aiguë avec troubles marqués de la
conscience
, convulsions, etc., presque toujours présents.
intérieur et ce- lui-ci étant déterminé, la pensée qui n'est que la
conscience
de ses résul- tats, l'est également. Il n'y pas
ue la conscience de ses résul- tats, l'est également. Il n'y pas de
conscience
, mais seulement des faits conscients. Il faut s
mprégner toutes leurs explications d'Intelligence, de Volonté et de
Conscience
, lorsque tout prouve que les êtres accomplis- s
au et ces animaux inférieurs qui n'en ont pas, l'intelligence et la
conscience
sont des phénomènes surajoutés à l'ins- tinct e
ar l'inanition par exemple existe, alors même qu'on n'en aurait pas
conscience
. Le sentiment de la faim est la perception de c
de la faim est la perception de cet état. Les animaux dépourvus de
conscience
et les nou- veau-nés qui n'en ont pas encore on
le fait que ceux qui ressortissent ultérieurement au domaine de la
conscience
et paraissent volontaires, se rencontrent déjà
e opération est connu, tandis qu'il reste ignoré dans le second. La
conscience
est un phénomène surajouté à l'automatisme dont
de cette différence réside dans ce fait que le cerveau, organe delà
conscience
, n'est pas entièrement développé au moment delà
LEXE 721 tes ces fonctions s'accomplissent, l'enfant vit sans avoir
conscience
même de son existence, puisqu'il ne possède ni
acquis un développement intellectuel complet, peut vouloir avec sa
conscience
et sa raison ce que lui com- mandait déjà son i
le substratum de l'intelligence, de la volonté, du jugement, de la
conscience
, termes psychologiques dont la signification po
tels sont les hommes. A telles impressions extérieures, tel état de
conscience
intérieure, c'est-à-dire tel équilibre cellulai
intérieure, c'est-à-dire tel équilibre cellulaire et à tel état de
conscience
, telle expression de physio- nomie ; réciproque
ie ; réciproquement, l'expression de physionomie engendre l'état de
conscience
qui lui correspond. Action, réaction enchaînée, r
, reste malgré le froid, si longtemps immobile, c'est qu'elle a perdu
conscience
de ses actes ; c'est qu'elle est prise par la cri
onstitue cette personnalité parait être, au premier abord, un état de
conscience
complet. Marie-Louise se rappelle tous les événem
as l'émotion qu'elle a eue le 20 décembre 1901. Cependant cet état de
conscience
est de pure apparence. En effet il suffit de ferm
calisation dans l'espace et dans le temps. Ce fait nous montre que la
conscience
dont dispose Marie-Louise se réduit à des percept
-Louise est absolument inconsciente. Ce rétrécissement du champ de la
conscience
rend compte du phénomène le plus bizarre, je veux
montre que Marie-Louise dans son sommeil possède un certain degré de
conscience
. Cette conscience est limitée à des perceptions v
Louise dans son sommeil possède un certain degré de conscience. Cette
conscience
est limitée à des perceptions visuelles ce qui ex
n état de sommeil est constituée par un rétrécissement du champ de la
conscience
limitée à des perceptions visuelles. Mais dire qu
limitée à des perceptions visuelles. Mais dire que le champ de la
conscience
est rétréci, c'est supposer que la conscience qui
que le champ de la conscience est rétréci, c'est supposer que la
conscience
qui reste est normale. Or, il n'en est pas ainsi
ure, au processus pathologique. Il en résulte que les fonctions de la
conscience
n'étaient pas normales, qu'il ne pouvait y avoir
les, qu'il ne pouvait y avoir seulement rétrécissement du champ de la
conscience
, mais bien altération de cette conscience. De plu
trécissement du champ de la conscience, mais bien altération de cette
conscience
. De plus, au fur et à mesure que se fera la progr
perceptions multiples mais si peu intenses qu'elles échappaient à la
conscience
. De sorte que La personnalité de sommeil nous app
de la désagrégation mentale que par un rétrécissement du champ de la
conscience
. La conscience dont parait disposer Marie-Louise
ation mentale que par un rétrécissement du champ de la conscience. La
conscience
dont parait disposer Marie-Louise provient simple
e vue psychologique par deux caractères bien tranchés : 1° un état de
conscience
complet; 2" une amnésie rétro-antérograde portant
irs de la période de sommeil qui apparaissent dans le champ de la
conscience
sont tout d'abord les souvenirs visuels; de plus,
s'amalgament les souvenirs de l'état second avec l'état de réveil, la
conscience
de Marie-Louise tend vers la normale et la progre
agrégation mentale bien plus que par un rétrécissement du champ de la
conscience
. On peut dire même que tous les centres cérébraux
ntres cérébraux étant atteints dans leurfonction il ne peut s'agir de
conscience
, si rétréci qu'en soit le champ, mais bien d'une
s'agir de conscience, si rétréci qu'en soit le champ, mais bien d'une
conscience
diminuée dans son ensemble, d'une conscience subl
e champ, mais bien d'une conscience diminuée dans son ensemble, d'une
conscience
subliminale, suivant l'expression de Myers, d'une
. L'autonomie de la science sociale est désormais assurée, puisque la
conscience
morale est libérée de ces bornes uniformes et fat
lesquelles les Spenceriens et M. Durkheim la condamnent à évoluer.
Conscience
sociale, esprit social, unité sociale d'une colle
gie inter-cérébrale). Une interprétation toujours plus parfaite de la
conscience
sociale caractérise les aspects et états sociaux
t vers la normale, l'état psychologique tend lui-même vers un état de
conscience
de plus en plus parfait. Ce parallélisme étroit e
i de cette opinion que j'ai soutenue dans ma thèse inaugurale, que la
conscience
n'est pas un phénomène surajouté, un épiphénomène
ngourdir et transmettre avec moins d'intensité leurs impressions à la
conscience
. Le sujet n'a plus conscience d'une légère douleu
oins d'intensité leurs impressions à la conscience. Le sujet n'a plus
conscience
d'une légère douleur physique, d'un frôlement, d'
d'attentes savamment graduées, mettent le néophyte dans des états de
conscience
qui correspondent aux étals les plus profonds de
l des Champs. L'abbé Jean du Vergier de Hauranne fut son directeur de
conscience
, et lui donna des règles de conduite « dont elle
e sincérité ; et cela revient pour lui, à ne pas entendre. Il joue en
conscience
, et à son insu, le rôle d'un sourd — le pire sour
et garder une fière indépendance, c'est-à-dire ne dépendre que de sa
conscience
. Et cette conscience que chacun porte en soi et q
indépendance, c'est-à-dire ne dépendre que de sa conscience. Et cette
conscience
que chacun porte en soi et qu'il faut développer
e attention soutenue. Selon Mlle Joteyko, « La douleur est un état de
conscience
qui révèle un conflit entre la force extérieure e
pérance; ne cessez pas de lutter et mettez en œuvre tout ce que votre
conscience
autorise, puisque la science est vaine. L'énergie
n que les phénomènes émotifs dont l'apparition constitue les étals de
conscience
, désigné vulgairement sous le nom de timidité n'é
. Lévy-Bruhl finit par se dire : v II y a pourtant des questions d-
conscience
: au nom de quel principe les résoudre ? *.....
as encore été réfléchie dans leur surcouscience, mais en tout cas, la
conscience
subliminale est touchée et le déclan-chement prin
raison ; il s'est produit- chez lui un rétrécissement du champ de la
conscience
analogue à celui de l'hypnotisé, favorable au dév
pas d'une manière brutale. Argentina se sent la tête lourde ; elle a
conscience
qu'elle va s'endormir dans la rue ; elle a le tem
tion : la foi, avec sa conséquence : le rétrécissement du champ de la
conscience
. L'hypnotisme ne fait que reproduire artificielle
ellement; il n'y a donc pas de différence essentielle entre l'état de
conscience
des malades préparés >!e M. Dubois et celui de
er les malades d'après ce mode de division car l'intrication des deux
consciences
est telle que presque tous les malades présentent
es mêmes propriétés cérébrales qui sont atteintes ? C'est toujours la
conscience
et si nous attachons plus de valeur et 3e fragili
a conscience et si nous attachons plus de valeur et 3e fragilité à la
conscience
supérieure, cela provient de ce que nous lui reco
a provient de ce que nous lui reconnaissons plus d'importance qu'à la
conscience
subliminale. Nous ne pouvons donc pas admettr
ais à leur moi le plus élevé, eu leur rendant l'esprit critique et la
conscience
de leur indépendance a. M. Dubois affirme don
al, ce qui lui est représenté fortement, en l'absence de tout état de
conscience
réducteur. Ea suggestion hypnotique est le traite
sensation subjective de la perle, de l'absence de ses pieds. a J'ai
conscience
d'un corps au bout de mes jambes, mais je ne puis
s longue; le développement latent du délire, puis la lucidité de la
conscience
et la conservation presque entière de l'intelli
tat expansif, avec un délire religieux, mystique ou érotique, et la
conscience
reste assez lucide pour que le délire puisse se
r les divers phénomènes psy- chiques qui remplissent tout à coup la
conscience
, si bien que celle- ci devient peu capable de p
roxysmes réitérés très impé- tueux entre lesquels la réaction de la
conscience
sur les idées déli- rantes est moins forte. L
dés délirantes, le caractère partiel de la folie, la lucidité de la
conscience
et l'absence de la réaction affective. Ces fo
Au lieu du délire par- tiel systématisé, au lieu de la lucidité de
conscience
et la conser- vation des opérations logiques, a
is dans ces cas excep- tionnels, les malades n'ont même pas parfois
conscience
de la gravité des conséquences de leur acte. On
lent parfois tout à fait aux accès de manie inconscients, l'état de
conscience
seul les en distingue. Il est très robuste, je
est pour ainsi dire réflexe, qu'il s'accompagne ou non de l'état de
conscience
. C'est pendant les pa- roxysmes de l'angoisse,
versation mentale; c'est ce que les malades appellent la voix de la
conscience
, la pensée intérieure. On conçoit que les malad
ns après un incendie. Cette malade est un type de mélancolie avec
conscience
. Son caractère l'y prédisposait peut-être un pe
r paralysie delà volonté, dit-elle. Voix intérieure. Une voix de sa
conscience
lui disait : « Tra- vaille et prie. » Elle ne f
cédents. Mère aliénée. Cette mélancolique avait donc une voix de la
conscience
qui pouvait être articulée, ce qui prouve que c
oi. J'ai peur de penser des choses qui ne sont pas bien. » Elle a
conscience
de son état et ne peut plus pleurer. Pas d'hall
tions, surtout au début de l'accès. Mais ce sont les troubles de la
conscience
qui sont les plus importants, sur- tout au poin
mois, des années, et constituer alors une sorte d'état second. La
conscience
peut n'être pas totalement abolie, et l'on peut v
c'est une sorte d'état second épileptique dans lequel l'individu a
conscience
de ce qu'il fait, s'en souvient, mais agit tout
'amnésies l'oubli des faits qui se sont passés pendant l'état d'in-
conscience
. Eu réalité, ce sont des pseudo-amnésies résultan
o-amnésies résultant de l'obnubilation plus ou moins complète de la
conscience
. Les actes inconscients ne peuvent évidemment ê
es, elle n'est pas toujours facile à déterminer. A divers degrés de
conscience
devraient cor- respondre divers degrés de respo
abilité. Mais en pratique, com- ment délimiter les divers degrés de
conscience
? En règle générale, un individu qui présente d
s'occupe spécialement de la volonté, de la sug- gestibilité, de la
conscience
et de la responsabilité morale et civile des id
, il se manifesta chez elle des troubles cérébraux. Elle n'eut plus
conscience
de ses actes. Elle s'imagina être victime d'une
ives que se fait l'éducation des centres modéra- teurs, que dans la
conscience
se développe l'attention et que les actes volit
cultés HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 315 mentales aboutit à cet état de
conscience
qui nous permet de discerner le vrai du faux, l
ne fonctionnait d'une façon régulière. Tantôt elle avait, en pleine
conscience
, des mouvements d'une main, d'un pied que ne po
nes visuels qui peuvent, pendant un instant donné, pénétrer dans la
conscience
est considérablement diminué. Ce petit schéma d
groupe de sensations formant un système, en laissant parvenir à la
conscience
la connaissance de tous les autres phénomènes f
ns analogues à celles de Wundt : « les sensations sont des états de
conscience
primitifs qu'il est impossible de décomposer en
tivité cérébrale, 1887. Consulter tout le chapitre excellent sur la
conscience
et la personnalité, p. 197. L'ANESTHÉSIE HYSTÉR
rception personnelle PP c'est bien une perception, c'est-à-dire une
conscience
plus com- plète et plus claire; le mot personne
irconstances, et je vous propose d'ap- peler étendue du champ de la
conscience
, le nombre maximum de ces phénomènes dont un in
donné, avoir la perception personnelle. Supposons que ce champ de
conscience
soit chez un indi- vidu fortement rétréci, il n
en le touchant et il appréciera le contact cette fois-ci sans avoir
conscience
des bruits environnants. Au troisième mo- ment,
tion de toutes les impressions. Cet individu qui a déjà le champ de
conscience
très rétréci n'est pas un anesthésique, c'est s
t un distrait.. Mais allons plus loin, et supposons que le champ de
conscience
se rétrécisse encore; le malade ne peut plus pe
s importantes, les sensations de la vue et de l'ouïe. Il faut avoir
conscience
de ce que l'on voit et de ce que l'on entend et
tes, sous forme de perceptions per- sonnelles, caractérisées par la
conscience
complète et la notion de personnalité et sous f
ne s'en aperçoit 350 clinique nerveuse. aucunement. Son champ de
conscience
si petit a perdu momen- tanément les sensations
mment ces 1 M. A. Binet, dans son travail sur les altérations de la
conscience
chez les hystériques {Revue philosophique, 1889
elle tombe brusquement sans'pousser un cri. Perte immé- diate de la
conscience
. L'accès débute par des contorsions de la face
lus, au bout de quelques secondes, pour- quoi il faut qu'il tue. La
conscience
est tout entière remplie par l'appétit de tuer,
vité, il fait aller de pair le vol avec les meurtres, et il n'a pas
conscience
de la différence qui existe entre ces deux sort
ins absorbante que ces jours derniers, elle ne remplit pas toute la
conscience
, mais elle subsiste encore, et elle se réveille
cerveau, le délire peut persister, mais l'impulsion a disparu de la
conscience
. - C'est ce qui est arrivé chez A... qui, ses q
se répartir de façon suivante : , Sur nos deux mélancoliques avec
conscience
, l'une a de la conversation mentale, l'autre a
ience, l'une a de la conversation mentale, l'autre a une voix de la
conscience
.-Sur nos deux mélancoliques avec dépression, l'
qu'elles sont au contraire fréquentes et que les mélancoliques avec
conscience
sont les seuls à n'en pas avoir. Nous inclineri
comprise que par ses rapporls avec l'ensemble des phénomènes de la
conscience
. D'un côté, nous voyons une excitation locale d'u
et, par suite, forment un tableau. Enfin, c'est par l'élément de la
conscience
morbide et des concep- tions provocatrices, que
uplesse. Pendant six semaines. retour à l'état normal ; le malade a
conscience
de sa siluation, bien plus, il expose des idées
ié, n'était pas le fils de Dieu, afin, disait-elle, de décharger sa
conscience
, ajoutant qu'elle avait aussi brûlé des images
restent bien ordonnés et savent ce qu'ils veulent ; parfois ils ont
conscience
de leur maladie et en conservent le souvenir. Le
plus dans les cas aigus - cessation brusque dès la première semaine
conscience
de la maladie du cinquièmp au douzième jour, gu
aire s'annonce par des troubles de la mémoire et du jugement, une
conscience
imparfaite de la maladie, une appréciation imparf
C'est regrettable. J'ad- mets difficilement qu'on puisse perdre la
conscience
au' point d'oublier des actes paraissant réfléc
arfois exagérée : il pleure sans cause. Le malade a toujours pleine
conscience
de son état morbide. b) Amyosthénie. Elle accom
pouvoir. La supérieure qui avait d'abord dit que, par principe de
conscience
et par respect de l'ordre, elle avait voulu taire
devenue le point de départ des études ultérieures sur la folie avec
conscience
elles obsessions; il a décrit, le premier, les tr
bablement à cause de cette faiblesse de la mémoire, dont elle avait
conscience
et dont elle souffrait, elle présentait un état
au plus haut point volontaire dont la principale condition est une
conscience
nette de l'effort à produire est, dans ce cas,
développement de la musculature qu'avec l'état de lucidité et de
conscience
du malade. Mme B... étant dépourvue d'atten- ti
citée durant son séjour à l'asile. Elle a d'ailleurs par- faitement
conscience
de sa situation mentale, et sait qu'elle a perdu
ces cas comme dans bien d'autres, les faits, avant de sortir'de la
conscience
, s'effacent temporairement. 'Il ' est probable
ption deviendrait'moins intense, les excitations arriveraient à' la
conscience
plus' lente- ment et plus faiblement, et il en
lle personnalité, c'est-à-dire d'un' nouveau groupement de faits de
conscience
, où les sou- venirs effacés réapparaîtraient. C
s les autres.sont subordonnés, est un rétrécissement du champ de la
conscience
avec conservation des phénomènes subconscients
onscients et automatiques. Ceci demande quelques explications. La
conscience
est un phénomène dont le sens intime nous donne
abore et à l'exécution de ces volitions. Mais il faut savoir que la
conscience
de la sensa- tion, du souvenir ou de la volitio
Chez les personnes affectées de'cette maladie mentale, l'oire de la
conscience
(Spencer) se rétrécit d'une façon plus ou moins a
s expériences et l'observation le démontrent ; mais elle a perdu la
conscience
d'un certain nombre de ses sensations, de ses sou
que la sensation et les images qui restent en dehors du champ de la
conscience
n'en existent pas moins. " Aussi arrive-t-il
e d'hystérie est généralement passager; il supprime ce qui reste de
conscience
au malade dans l'intervalle des attaques. Mais
alade dans l'intervalle des attaques. Mais cet anéantissement de la
conscience
ne s'observe que dans les formes vraiment accus
il absorbe à son profit toute l'activité cérébrale et sup- prime la
conscience
. Il n'en est pas de même de toutes les idées .
aines idées fausses ou délirantes qui pénètrent dans le champ de la
conscience
, la troublent dans une certaine mesure, mais ne
oit spontanément dans l'esprit du malade, sans arriver jusqu'à la
conscience
(et les idées de ce genre sont communes dans l'hy
rtaines défenses ou à des idées fausses dont les malades n'ont plus
conscience
, mais dont ils conservent néanmoins le souvenir
ance de la perception personnelle, le rétrécissement du champ de la
conscience
. Il y a chez l'hystérique en dehors de ce champ
de la conscience. Il y a chez l'hystérique en dehors de ce champ de
conscience
rétréci une foule de notions, d'idées, de souve
idées conscientes ; elles apparaissent alors au grand jour quand la
conscience
a été momentanément terrassée par ce système nou-
geants, ont des accès de colère et paraissent toujours conserver la
conscience
de leurs actes. Cette persistance apparente de
ver la conscience de leurs actes. Cette persistance apparente de la
conscience
est un carac- tère très important. Mais en réal
est un carac- tère très important. Mais en réalité ils n'ont qu'une
conscience
très vague de ce qu'ils font, car ils n'en cons
e la perturbation psychique la plus désordonnée en apparence, de la
conscience
, de la lucidité, du retour brusquement possible
prit de M. X... et que ce n'est que par timidité et par un reste de
conscience
qu'il a transformé un vrai crime en une innocen
gis VL Des états seconds; variations pathologiques du champ de la
conscience
; par le Dr Louis-Henri-Charles Laurent (Thèse de
eux un stigmate mental constant, le ré- trécissement du champ de la
conscience
, phénomène qui, mieux que tout autre, permet d'
n seule ne suffit pas à expliquer. Le rétrécissement du champ de la
conscience
permet chez ces malades l'organisation d'un per
oduit que chez eux et que, chez l'homme physiologi- quement sain, à
conscience
large, on ne pourra jamais déterminer que des é
on; que toutes les visions, tous les spectres, tous les troubles de
conscience
étaient pour les quinze dernières ; que les anc
duisant au centre des mots. Ce retard venait de la diminution de la
conscience
, des impressions dues aux excitations externes. L
émotives (même en l'absence de toute manifestation apparente de la
conscience
), gardent leur inté- grité à la suggestion d'un
d'une activité intellectuelle beaucoup plus grande et d'un champ de
conscience
beaucoup plus étendu qu'à l'état de veille. 1
sthésiques nous indique donc déjà un élargisse- ment du champ de la
conscience
permettant à M... de percevoir les sensations a
de la mémoire comme de la perception extérieure, et de même que la
conscience
perçoit maintenant les sensations présentes, el
difica- tions des stigmates, le même élargissement du champ de la
conscience
pour les faits de perception et de mémoire. Enfin
, et qui en réalité sont enregistrées et conservées sinon dans la
conscience
principale du sujet, du moins dans une conscience
ées sinon dans la conscience principale du sujet, du moins dans une
conscience
secondaire, et peuvent ainsi être reproduites d
lle, et par suite augmentant encore le rétrécis- sement du champ de
conscience
; ne peut qu'entretenir les troubles anesthésiqu
édent, où le développement intellectuel en rapport avec la deuxième
conscience
étant moins accentué, elle devrait être plus su
s ces trois groupes, en dehors des épisodes aigus intercalaires, la
conscience
n'est pas troublée, le jugement et la faculté de
produire ou expliquer tous les phénomènes psychiques, y compris la
conscience
. Toutes les activités organiques tendent nonseu
ntra-cérébrale de cette perception résultante aperçue. Nous avons
conscience
d'un moi, mais non d'un moi échappant à un déco
passage qui sont les images commémora- tives. Le souvenir, c'est la
conscience
de la persistance des images commémoratives. La
riodiques de dépression mé- lancolique profonde avec troubles de la
conscience
tout à fait sem- blables aux folies menstruelle
cas ce n'est pas sous la forme d'angoisse que l'accès parvient à la
conscience
, il revêt la forme d'asthme, de vertiges, de pass
al, il redevient plus calme et finit par être délivré de son cas de
conscience
qui le rend confus. Mais il éprouve en outre qu
il relate plusieurs observations intéressantes, appar- tiennent la
conscience
complète de l'idée, de la mise en marche, de la
que grandir. L'idée délirante de persécution, seul horizon de cette
conscience
tourmentée, a pris corps ; elle est maintenant
nisme, arrivent aux centres nerveux » (Ribot). L'apparition dans la
conscience
d'un faisceau de sensations internes insolites,
rantes simultanément, s'implantent spontanément dans le champ de la
conscience
sous la fornie de conceptions délirantes, ou bi
ence d'un système de délire fixe qui s'édifie lentement sans que la
conscience
soit troublée, la sensibilité morale prenant un
es cas dans lesquels les conceptions sont fort dissociées, et où la
conscience
a d'emblée, ou à la suite de cette dissociation
rs le centre, de suivre les groupes de phénomènes neuro-psychiques (
conscience
del'élat du corps de l'individu, etc.) qui se p
eint de paralysie générale avec idées incohérentes de satisfaction,
conscience
très incomplète de ses actes. Hésitation de la
sexuelle. Ces sensations associées n'ont pas d'autre action sur sa
conscience
; il n'est pas rare qu'il critique ses halluci-
du est entraîné d'une façon irrésistible à commettre un acte que sa
conscience
réprouve ? 2 La folie morale est difficile à pr
qui accomplit un crime sous l'empire de la suggestion a pleinement
conscience
de l'acte qu'il commet; il faut que cet acte ne
veux étaient hérissés. Cet accès diurne avec vertige, trouble de la
conscience
, tendance à la chute, et série d'hallucinations
Un vieux juriste a dit que la confession est parfois la voix de la
conscience
. Le mot * parfois » indique une restriction sage,
s cas de la forme imitative ressembleraient à l'hypnotisme, mais la
conscience
est généralement conservée et l'imitation n'est
actérisée essentielle- ment par l'abolition ou l'obnubilation de la
conscience
qui en- traîne la désorientation, c'est-à-dire
les réparer. La seule excuse possible à des actes qui outragent la
conscience
, c'est en effet l'absolue bonne foi. L'infailli
». B... Humbert est grand, gros, apathique. Il n'a nulle lueur de
conscience
de sa situation. Les deux mains sont oedématiées,
« Est atteinte de paralysie générale avec apathie, indifférence;
conscience
incomplète de sa situation; hésitation de la paro
nan : Est atteint de paralysie générale avec apathie. Indifférence.
Conscience
très incomplète de sa situation. Hésitation de
» Le père s'est suicidé. G... Antoine est petit, maigre. Il n'a pas
conscience
de sa situa- tion. Les pupilles sont inégales.
« Est atteinte de paralysie générale avec apathie, indifférence :
conscience
très incomplète de sa situation. Hésitation de la
ctivité d'actions réflexes appropriées sans qu'il y ait chez eux ni
conscience
, ni douleur ; la douleur, qui est l'apanage des ê
t une fausse amau- ruse ; l'hystérique amaurotique, dit-il, n'a pas
conscience
qu'elle voit ; mais en réalité, elle voit. Cet
eption personnelle liée elle- même au rétrécissement du champ de la
conscience
. Dans certains cas, cependant, l'amaurose hysté
nseil général ne doit pas nous arrêter. Nous avons à dire, en toute
conscience
et sans aucune préoccupation du dehors, ce que
isme, en l'absence de l'at- tention et de la volonté, ramènera à la
conscience
des souvenirs oubliés que nous avons consenti à
de ce genre. Comme chez l'homme de l'observation précédente, la
conscience
d'une anomalie sexuelle est très évidente chez
du que c'était une grossière erreur que croire que les invertis ont
conscience
de leur anomalie 2. Cette croyance pourtant pou
c l'observation pour faire admettre qu'un bon nombre d'invertis ont
conscience
qu'ils sont anormaux. Les invertis peuvent pens
ttre un frein parce qu'elle devenait inquiétante pour ma liberté de
conscience
. Le brave homme mettait pour condition sine qud
al profond qui résiste à toutes les atta- ques jusqu'au jour où, la
conscience
publique s'émouvant en pré- sence des horreurs
tent déjà, l'enrôlement de tout ce qui, ddiis le pays, a encore une
conscience
et dispose d'une part d'autorité morale : telle
lus tard Gurney adoptent des explications analogues : tout point de
conscience
active est entouré d'un essaim d'images ou idée
nes de James, cherche à expliquer l'hypnotisme par la pluralité des
consciences
. La conscience supraliminale, celle des faits con
erche à expliquer l'hypnotisme par la pluralité des consciences. La
conscience
supraliminale, celle des faits cons- cients psy
es faits organiques (circulatoires, vasomoteurs, etc.) confiés à la
conscience
subliminale, celle des faits subconscients végé
esquels la volition peut reprendre son influence dans l'hypnose. La
conscience
'subliminale est celle de l'hypnotisme. Elle es
les plus reculées (ver, crustacé), pour expliquer des phénomènes de
conscience
régressive et à un atavisme plus ou moins proch
sive et à un atavisme plus ou moins proche pour les faits de double
conscience
. L'hypnotisme enfin n'est pas un symptôme de l'
d'étouffement; cette dernière, par le rétrécissement du champ de la
conscience
, a provoqué une amnésie qui explique en partie
erreurs de laphrénologie, créa le mot et la doctrine de la q double
conscience
»; expliqua la prétendue action des passes, aim
sanity, avril 1897.) . E. B. LXI. Manie errante (dédoublement de la
conscience
d'origine alcoo- l ligue) ; par le D1' BERKLEY.
Les conditions mentales connues sous le nom de dédoublement 'de la
conscience
sont assez rares et se rencontrent, par ordre de
nte prononcer des paroles, sans que sa personnalité propre en ait
conscience
. Le délire prophétique s'aggrave surtout par l'
simple de ces états mélancoliques celui où il y a persistance de la
conscience
à un degré plus ou moins prononcé. M. J. Falr
période mélancolique initiale un assez grand nombre de malades ont
conscience
de l'invasion du trouble mental. c On peut adme
On peut admettre comme règle générale, dit aussi Costard ', que la
conscience
du caractère maladif du'trouble mental appartie
poussé à des actes violents intem- pestifs. Au début, le malade a
conscience
de cet état, il ne se sent plus le même qu'autr
ersonnalité repose sur une base organique, qui est la cenesthèse ou
conscience
organique de l'ensemble de tous nos mouvements
e point M. Janet' : « L'état vital de l'organisme s'exprime dans la
conscience
par une sensation, ou plutôt par une affection
et indéfectible, il rend l'état du corps incessamment présent à la
conscience
et manifeste ainsi de la manière la plus intens
tion est particulièrement marquée. « Au début, le malade peut avoir
conscience
de son état ; mais il ne tarde pas à perdre la
des sentiments et de l'énergie volitionnelle. Au début, le malade a
conscience
de cet état, il se sent autre que par le passé
habitude extérieure des anxieux agités se traduit souvent dans leur
conscience
par le sentiment d'une force irrésistible qui p
ence de l'éducation religieuse, le malade se livre à des examens de
conscience
minutieux, repassant dans sa mémoire ses moindr
, il est en état de péché mortel, il est maudit, il est damné. La
conscience
du changement produit dans l'individualité amèn
ra pas de la rencontrerplus rarement et plus tardivement. L'état de
conscience
actuel en évoque généralement un semblable, mai
iler les impulsions horribles qu'il sent naître en lui et dont il a
conscience
, il les explique par la théorie de la possession.
de ces pseudo-mouvements qu'on appelle idées sont méconnus dans la
conscience
malade, qui les prend pour faits accomplis, ou
ofesseur BECHTEREW. Jusqu'à présent, les états d'obnubilation de la
conscience
dési- gnés par le terme d'automatisme, ont été
ans un état de grande excitation motrice, avec obnubilation de la
conscience
et hallucinations. En novembre (même année), les
température monte à 38,5 ; à partir du 6 juillet obnubilation de la
conscience
, hallucinations et excitation motrice très gran
se muscu- laire, il sent quelque chose, mais ne peut préciser. Il a
conscience
des mouvements passifs imprimés à ses membres.
rement sur les organes de la parole, l'individu lui-même n'en a pas
conscience
avant de l'exprimer, le moi ne le perçoit pas ;
onstamment l'épigastre. « Dans les cas de ce genre, l'homme perd la
conscience
de son unité intellectuelle ; il continue à con
sonnes qu'on rencontre parlant seules, dans la rue, sans en avoir
conscience
. » « Le malade, dit Janet ', constate que ses m
; depuis que Dieu s'est retiré de moi, j'appartiens à l'enfer, ma
conscience
le dit. J'ai commis des crimes abominables, j'ai
crétinisme. Elle est partielle ou relative dans la mélancolie avec
conscience
, l'hypo- chondrie, le délire des persécutions,
taque légère, décharge faible, trop faible pour voiler ou abolir la
conscience
, insignifiante pour le malade, et qui devint un
ulation des décharges multiples, avec états secondaires et perte de
conscience
, restera peut-être toujours inaccessible à nos
es mêmes. P. K. V. CONTRIBUTION A l'explication physiologique de la
conscience
; par Langwieser. (Allg. Zeitschr. f. Psyclt.,
l est donc possible de faire passer cette malade par trois états de
conscience
distincte. Il est impossible, dans l'état actuel
mission de représenter. R. M. C. VI. Les conditions physiques de la
conscience
; par le professeur A. HERZEN (de Lausanne). (Ti
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 239 conditions physiques de la
conscience
et d'arriver à une théorie qui lui semble être
bientôt la divergence s'accuse en ce qui touche les rapports de la
conscience
avec l'activité nerveuse cen- trale : il rappel
se pose une première question : A laquelle « de ces deux phases la
conscience
est-elle liée ? L'expérimenta- « tion ne peut r
ère indica- « tion, très grossière à la vérité, du lien qui unit la
conscience
à la « désorganisation des éléments actifs. Je
ntraux « considéré isolément Il apparaît donc clairement que la «
conscience
est exclusivement liée à la phase de désintégrati
s. Par là il devient manifeste «que la désintégration ne produit la
conscience
que lorsqu'elle « acquiert une certaine intensi
« comme inaperçue ou à peu près, et n'éveille que peu ou point « de
conscience
, il y a très peu de chaleur produite; il en résul
uent clairement que les actes centraux « qui sont accompagnés de la
conscience
la plus nette sont ceux « qui nécessitent la dé
ation la plus grande, et que, par conséquent, l'inten- « site de la
conscience
est en raison directe de l'intensité de la désin-
caractérise les actes centraux « qui s'accompagnent d'un minimum de
conscience
, ou qui sont « totalement inconscients. Nous l'
nouveau pour le sujet, et éveille, par con- « séquent, chez lui une
conscience
très intense des sensations qui « le provoquent
aquelle « ils s'accomplissent, il est évident que l'intensité de la
conscience
« est en raison inverse de la facilité et de la
l'expérience constituent ce que « j'ai appelé la loi physique de la
conscience
, loi qui peut se for- « muler de la façon suiva
science, loi qui peut se for- « muler de la façon suivante : « La
conscience
est exclusivement liée à la désintégration fonc-
r à reproduire ici ses conclusions : « I. Dans la moelle êpinière :
conscience
élémentaire, imper- « sonnelle, inintelligente,
ez les animaux supérieurs; chez ces « derniers, à l'état normal, la
conscience
spinale n'est jamais - appelée à l'activité, pa
ce n'est que par suite de complications « expérimentales que cette
conscience
s'éveille grâce à'iadésinté- « gration étendue
agissent de concert comme « sensorium et motorium com- « munia ») :
conscience
individuelle, perception rudimentaire, « germe
es conditions identiques à celles « qui régissent l'intensité de la
conscience
spinale, mais avec cette « différence : que, gr
patiesthésie de l'individu, « en contribuant pour sa quote-part de
conscience
. « III. -Dans lescentres corticaux (agissant co
lescentres corticaux (agissant comme intellectorium '« commune ») :
conscience
intelligente; notion claire des rapports « de l
'« moyen de l'expérience acquise. Différent des deux modes de -«
conscience
qui précèdent, celui-ci s'accroît à mesure que l'
animale et atteint son maximum chez « l'homme. L'intensité de cette
conscience
et la qualité de ce « qu'elle embrasse dépenden
dent de conditions qui sont les mêmes « que celles qui régissent la
conscience
des centres sensori-moteur « et spinal. « IV.
« vie de relation, suivant la phase, etc., de l'action réflexe : «
conscience
ou inconscience de son activité, et conformément
elle qui a été formulée plus haut sous le nom de loi physique de la
conscience
.) Bien que déjà peut-être nous ayons abusé des
rnier paragraphe du mémoire, où l'auteur envisage les phénomènes de
conscience
chez les ani- maux et leur destinée ultérieure
perfectibilité organique du cerveau humain. « Dans les deux cas, la
conscience
finira, sans aucun doute, par se « détacher de
ai été frappé depuis longtemps de ce fait, que nous n'avions aucune
conscience
de ces mouvements lents, même lorsqu'ils nous o
plusieurs fois, et tou- jours avec les mêmes résultats. Nous avons
conscience
des mou- vements rapides, mais les mouvements l
out en passant dans tous les muscles volontaires, échappent à notre
conscience
. Dans les mouvements volontaires rapides, nous
été nommée phorolyse. Deux espèces de mouvements échappent à notre
conscience
: I, ceux qui sont trop rapides et dont les dét
guine ; II, ceux qui, par leur lenteur, échappent aussi à notre*
conscience
. « Mais est-ce qu'une immobilité absolue est im
uinze jours, il avait des attaques pendant lesquelles il perdait la
conscience
et ne savait plus ce qu'il disait ni ce qu'il f
fonctionnement psychique anormal, et qui parfois peuvent perdre la
conscience
, ne rentrent pas dans cette catégorie. Voici d'
bourg). Co;î 1),ibutioiz à l'élit de des iii 1 e,jul)t ioii s de la
conscience
. L'orateur étudie un cas de manie transitoire mar
déficits conceptuels, c'est-à-dire au degré de l'interruption de la
conscience
. L'analyse du rêve normal montre l'importance qu'
te, c'estle caractère des rêves dans les états d'interruption de la
conscience
, qu'il s'agisse d'un accès de rage, d'un accès
n peu. Ce cas, je crois, a eu lieu alors quand le centre, dans sa
conscience
troublée par le morphium, prenait au premier mo
que sans céder à une injonc- tion plus forte que sa volonté, ayant
conscience
de ce qu'elle fai- sait, elle avait prié le gre
semaine, avec subdélirium etmanie religieuse. Incontinence d'urine,
conscience
des vertiges, pas de trouble de sensibilité ni
e Weber. L'hypothèse de l'iden- tité de siège cérébral des états de
conscience
semblables expli- que bien comment une ressembl
ivre (B), provenant d'une vision antérieure; et ce second état de
conscience
(B) suscite par la force de la contiguité le grou
sonnement : « l'établissement d'une association entre deux états de
conscience
, au moyen d'un état de cons- cience intermédiai
de l'association des idées; - Dès FAITS DIVERS. 463 aliénés avec
conscience
de leur état; Des effets comparatifs de la chro
ands, 9G;-(de phréniâtrie etde neuro- pathologie d'Anvers, 117.
Conscience
les conditions physi ques, de la), par Ilerzeu,
é lieu à une perception qui peut être ramenée dans le domaine de la
conscience
par une nouvelle suggestion. Dans ce cas il y a
- sonnellement. Au moment où l'accès arrive, le malade, en pleine
conscience
, ne présente aucun signe extérieur, il éprouve un
ie. Dans l'espèce, ce n'est plus l'obnubi- lation ou la perte de la
conscience
propre à l'attaque d'épilepsie ; le sujet, tout
ens. « Un homme est responsable à moins que sa folie le prive de la
conscience
de son acte, ou de la connaissance de sa nature
ent de l'association de ce que notre maître M. Raymond appelle la
conscience
et la volonté : « il faudra, par une gymnastique
de l'autre point de vue fluctuations incessantes des phénomènes de
conscience
, associations et dissociations du fait des exci
nd nombre des images commé- morutives, dont la reproduction dans la
conscience
est la condition fondamentale de la formation d
lobe frontal est l'organe du jugement, des grands sentiments, de la
conscience
, de l'attention volontaire : voir les développe
r- donné au phénomène vaso-moteur, que « l'émotion n'était que la
conscience
des variations neuro-vasculaires. » Nous avons
- Mais, dès l'année 1885-86 s'ajoutait un élément nou- * veau : la
conscience
de ma facilité de rougir, puis la peur de rou-
ement, j'arrive plus aisément a faire avorter le « phare ». J'en ai
conscience
, je me sens plus d'assurance, je pense moins et
pparaît de plus en plus souvent et finit par envahir le champ de la
conscience
. Cette idée étant liée intimement à la sensatio
veille. Mais, par suite d'un changement organique dont je n'ai pas
conscience
, le trouble vaso-moteur a lieu plus aisément et
t, et parle de l'effroi que les boeufs lui ont causé. Il ne reprend
conscience
que quatre heures après le début de la crise. L
aptes à vivre d'une vie propre. Ainsi deux grands courants dans la
conscience
: perceptions sensorielles et représentations ;
est surtout à émettre quand l'attaque est accompagnée d'un état de
conscience
halluci- natoire et suivie d'amnésie quant à ce
le portera sur le système vasculaire, amènera des altérations de la
conscience
plus considérables. Après avoir résumé quelques
e chez ce débile, un rêve à images éclatantes a tiré du fonds de la
conscience
une idée délirante de persécution, qui tout aus
ugement et de la logique contrastant avec l'atteinte profonde de la
conscience
, de l'attention, de la volonté, enfin, la caduc
ais, ici, la difficulté n'est jamais que relative. Il suffit que la
conscience
reconnaisse l'intruse pour que la volonté parvi
e la volonté est impuissante à les faire disparaître. Le sujet en a
conscience
, il les juge comme des faits morbi- 1 Communica
ments corporels qui suivent une perception, dit AV. James, et notre
conscience
de ces changements, en tant qu'ils se produisen
ils se produisent, c'est l'émotion. » Pour M. Ribot également, « la
conscience
de ces troubles (organiques) est l'état psychiq
pose « de tendances, c'est-à-dire d'éléments moteurs, et d'états de
conscience
agréables, pénibles ou mixtes ; ces deux facteu
s ont trouvé expérimentalement que la réaction émotionnelle, que la
conscience
de l'état affectif précède les modifications va
ctifs. Les états affectifs ne seraient que le reflet mental, que la
conscience
des modifications profondes de l'organisme prod
ce distincte, ce n'est qu'un des modes de l'intel- ligence et de la
conscience
. Il n'y a pas d'état psychique in- différent, c
'est à dire le fait cérébral qui met en branle toute la série. « La
conscience
de l'émotion, dit J. Soury, n'est, en quelque s
immense de réactions parties de l'écore, c'est-à-dire d'un état de
conscience
particulier, pour aboutir à un état général de
est dissociée et l'automatisme entre en lutte avec la volonté. La
conscience
est envahie par des systèmes psychologiques qu'
même qu'une conséquence de l'aboulie On sait que les abouliques ont
conscience
, au moins à quelque degré, de leur impuissance
des états affectifs que l'obsession met enjeu ; enfinla lutte de la
conscience
contre l'envahisse- ment de l'idée obsédante ag
trouvais tranquille et bien. Le jour de l'examen arriva; j'avais la
conscience
de pouvoir le subir ; je m'encourageai, m'assis
chez lesquels je voulais seulement m'arrêter quelques jours, ayant
conscience
de ma maladie, quoique je ne les aie pas vus de
'étais seul, je crains de n'être pas maître de moi-même, quoique ma
conscience
soit intacte. Comme j'espère à bon droit que
de connaissance qui a été entraînée par la chute et le retour à la
conscience
, une période d'obnubilation, de rêvasserie, com
concepts la notion de trouble fonctionnel. Nous avons parfaitement
conscience
qu'il s'agit de modifications matérielles siége
conditions ambiantes de la vie. En même temps qu'il n'avait aucune
conscience
du temps, de l'endroit où il était, des gens qu
t depuis une demi-année. Du 21 mars au 10 avril, il a récupéré la
conscience
pleine et entière, et a des rapports conscients a
té au moins vasomotrice : cette tendance s'aggrave avec l'âge et la
conscience
qu'ils ont de leurs anomalies. ils s'en préoccu
fondue avec l'inconscience, que pourtant elle n'implique pas. La
conscience
et la mémoire ne sont pas toujours associées à l'
e trouve encore sous le coup d'un état puerpéral, a-t-elle toujours
conscience
de l'acte qu'elle a commis " ? Telle est la que
sous- corticale, les malades, à ce que l'on prétend, n'en ont pas
conscience
. Au contraire, quand elle est symptomatique d'u
corps genouillé externe (ou de la bandelette optique), le malade a
conscience
de son hémi- anopsie : les portions du champ vi
suels. Les malades n'en ont SUR TROIS CAS D'HÉMIANOPSIE. 47'1 pas
conscience
(du moins dans la plupart des cas) ; n'em- pêch
igine corticale ou sous-corticale : a) En ce que les malades en ont
conscience
; ils voient noir dans les parties hémianopsiqu
omme le disait il y a déjà longtemps Hume, que nos propres états de
conscience
, que notre esprit. Mais ce sont là des considér
eure lui reviennent à la mémoire. Très perplexe elle interroge sa
conscience
, repasse les divers événements de sa vie, et les
orte que plus tard, lorsque cette pensée arrive dans le champ de la
conscience
, elle l'ait naître l'hypothèse qui lui est défini
e pas son consentement à certaines pensées qui semblent surgir à sa
conscience
malgré elle et contre son gré, elle arrive à se
hant comment expliquer ces associations d'idées troublantes pour sa
conscience
, qu'elle constate et qu'elle ne comprend pas, e
alyse et avec un doute méthodique, faisant pour chacun un examen de
conscience
minutieux, elle se demande si elle s'est compor
prochable lui vient à l'esprit et lui l'ait découvrir au fond de sa
conscience
un détail insignifiant répréhensible, un désir
ffacera que lorsque la pensée primitive aura disparu du champ de la
conscience
. L... s'émeut de ces idées coupables qui lui re
n moment donné, sans que ce langage psycho-sensoriel ne vienne à la
conscience
d'une manière motrice, donc par le langage inté
ortent des conserves sombres. C'est un état dont ils ont d'ailleurs
conscience
, et qui se trouve nettement caractérisé dans le
sous la dépendance de processus émo- tifs envahissant subitement la
conscience
comme on l'observe chez certains neurasthénique
normal s'associaient avec eux. L'état de stu- peur, dans lequel la
conscience
semble à peu près vide de repré- sentations, es
ssé autour d'eux depuis le début de leur maladie : ils n'ont aucune
conscience
du milieu ou du changement. " L'indifférence ém
imitation et de la suggestion ambiante. Quand je fais mon examen de
conscience
, j- me demande par quelle chance heureuse j'y ai
-être susceptibles d'éveiller, dans quelques cas, un certain degré de
conscience
, comme tendent à le prouver quelques faits... »
mon dessein) des termes abstraits ou généraux et en notant l'état de
conscience
immédiat que ces termes ont évoqué. Il résulte
sée des nerfs. Il s'agit d'une maladie psychique, d'une maladie de la
conscience
. *** Monomanie du suicide guérie par suggesti
l'aboutie se retrouvaient avec précision : 1° la malade ne peut avoir
conscience
des souvenirs nouvellement acquis ; 2° elle a la
eut avoir conscience des souvenirs nouvellement acquis ; 2° elle a la
conscience
de tous les souvenirs anciens; 3° mais elle conse
sagrégé par le sommeil s'associe de nouveau et forme un autre état de
conscience
. Ceci relève de la pathologie ou de l'expérimen
e d'un sommeil très léger, qui avaient eu pendant cette somnolence la
conscience
parfaite de tout ce qui se passait autour d'eux e
gramme par jour. Elle continua après sa sortie. Un pharmacien « à la
conscience
large », selon l'expression de celte femme, lui e
'expression de son virage devenait intelligente. « Comme j'avais la
conscience
que je n'obtienirais pas la guérison si elle rest
l en résulte un véritable dédoublement de la personnalité, une double
conscience
: le possédé entend et comprend tout ce que dit e
res de l'après-midi, dans un lieu qu'il désigna. La jeune fille avait
conscience
des paroles qu'elle prononçait, mais elle était i
persiste un ou deux Jours. Il arrive même que la malade a perdu toute
conscience
des événements. N'y aurait-il pas lieu de rappr
e son diocèse dans le commencement de leurs maladies de penser à leur
conscience
, et de ne pas différer à leur en parler quand la
es peines ci-dessous marquées, et chargeons en ce cas l'honneur et la
conscience
des curés ou vicaires de procurer aux malades les
ctes religieux. « C'est dans son cabinet, seul, face à face dans sa
conscience
avec Dieu, que l'homme doit prier. « C'est dans
sulte en effet de cette auto-suggestion : le mourant, avant de perdre
conscience
de lui-même, cesse de voir, d'entendre et de parl
attaque terminée, c'est une véritable résurrection qui se produit. La
conscience
qui s'était éteinte en dernier lieu réparait, com
z tous trois, la volonté jusque-là inactive; seulement, ils n'ont pas
conscience
qu'ils veulent; ils s'imaginent, non pas que je l
consciente. Ces cellules étant modifiées dans leur modalité, c'est la
conscience
des sensations perçues qui est neutralisée ou per
nes de l'esprit ou de l'Ame, les phénomènes psychologiques. L'homme a
conscience
d'être; il seul, il pense, il a une vie psychique
un cerveau et un système nerveux ; ils manifestent des phénomènes de
conscience
. Ils sentent, ils pensent, ils ont une vie psychi
tres animes de l'ère actuelle. Mais nous tous, aujourd'hui, qui avons
conscience
de cotre ètre moral et intellectuel, nous protest
e m'aventurer dans le domaine de la spéculation métaphysique ou de la
conscience
individuelle. Je m'arrête au seuil de l'inconnu
une crise; elle s'emporta pour une cause insignifiante, puis, perdant
conscience
, elle eut un vertige, tomba sur le sol, en proie
modifie, elle devient pâle, manifeste de l'inquiétude, puis elle perd
conscience
et présente un accès léger d'hystéro-épilepsie. I
quelques jours à Paris et avait été conduite au Vésinet sans en avoir
conscience
. Elle ne se rappelait pas non plus avoir prononcé
ulté- (I) États seconde. — Variations pathologiques du champ de la
conscience
. (Bordeaux et 0. Doin, Paris.) rieure des pièce
ssible, et de permettre à l'observateur de suivre la série d'états de
conscience
du sujet à l'eut de veille, le sujet pouvant lui-
cide est caractérisé par une stupeur générale avec conservation de la
conscience
et souvenir au réveil. Les états cataleptoïdes
mières observations ; ils sont caractérisés par la conservation de la
conscience
et de la sensibilité : les états somnambuliques n
par les quatre derniers sujets : ils s'accompagnent de la perte de la
conscience
, d'automatisme et de perte de la sensibilité. P
tre quatre variétés essentielles : 1° Engourdissement sans perte de
conscience
ni de sensibilité, état cessant aussitôt que les
rts (observation I). 2° Engourdissement plus profond, sans perte de
conscience
ni de sensibilité, ne cessant pas lorsqu'on suspe
eille (observations II et III). 3° Sommeil véritable, sans perte de
conscience
ni de sensibilité, ne cessant pas lorsqu'on suspe
efforts (observations IV et V). 4° Sommeil véritable, sans perte de
conscience
ni de sensibilité, ne cessant pas lorsqu'on suspe
rts (observations VI et VII). Dans tous ces états somnambuloïdes la
conscience
et la sensibilité persistent, le malade est sugge
s états somnambuliques véritables se caractérisent par la perte de la
conscience
et rie la sensibilité : le sujet en état somnambu
mnambulique. États frustes. 1° États somnambuloïdes sans perte de
conscience
ni de sensibilité, le sujet n'exécute pas les ord
sa volonté. TABLEAU DE L'AUTEUR a. Engourdissement, sans perte de
conscience
ni de sensibilité, état cessant aussitôt que les
s yeux sont ouverts. b. Engourdissement plus profond, sans perte de
conscience
ni de sensibilité, ne cessant pas lorsqu'on suspe
uvrir les yeux, il se réveille. c. Sommeil véritable, sans perte do
conscience
ni de sensibilité, ne cessant pas si on suspend l
yeux, il fait de vains efforts. d. Sommeil véritable, sans perte de
conscience
ni de sensibilité, ce cessant ??r lorsqu'on suspe
fermée se transforme en état analogue les yeux ouverts. perte de la
conscience
et de a Les yeux fermes-la sensibilité, automatis
qui ont manifesté des états somnambuliques véritables, avec perte de
conscience
et de sensibilité, ont présenté au réveil une amn
i les différenciait déjà, à savoir la conservation ou l'absence de la
conscience
et de la sensibilité, nous trouvons, dans la rémi
s somnambuliques : pour les premiers, puisqu'il n'y a pas de perte de
conscience
et que les sujets se rappellent au réveil ce qui
ontaire. Charles Féré a montré à ce pro- pos comment le réveil à la
conscience
d'une image motrice était toujours suivi d'un c
onnues, des groupes de neurones où peut se faire à la lumière d'une
conscience
moins parfaite, la perception des sensations mu
vie consciente générale et surtout de leur coopération, résulte une
conscience
plus forte et plus nette, la conscience de soi-
ur coopération, résulte une conscience plus forte et plus nette, la
conscience
de soi-même. La créature se sent quelque chose
ble des actes qu'il parait avoir accomplis dans un état de parfaite
conscience
, et, comme entièrement irrespon- 60 REVUE DE TH
es modifications du système vaso-moteur, et, d'autre part, par la
conscience
que nous avons de ces modifications. Deux grandes
t plus à rechercher cette détermination, comme s'ils n'avaient plus
conscience
que cette faculté d'appréciation puisse exister
ent du crime ou du délit doit" être frappé sans considération de la
conscience
ou de l'inconscience lors de l'exécution. Fum
on concomitante. C'est là qu'il faut voir la cause des émotions. La
conscience
des variations organiques est postérieure. C'es
et des fonctions du névraxe, des fondements et des ori- gines de la
conscience
, au seuil du vingtième siècle. Jules Courtier.
votre pied droit : elle les fléchit aussitôt, les étend sans avoir
conscience
des mouvements qu'elle exécute. Elle réssent qu
a faim et se lève toute joyeuse, en riant aux éclats, ayant pleine
conscience
du sentiment de la vie. Elle passe une bonne jour
veille, le tout a\ec des mouvements appropriés qu'elle exécute avec
conscience
et tout rentre dans l'ordre immédiatement. Le
es crises présentent le caractère de somnambulisme. Sans en avoir
conscience
le malade transporte un objet d'un point à un aut
un même malade ZOO REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. qui imprègnent la
conscience
au moment d'une crise épileptique. » Une des pa
années s'ajoutèrent des accès de petit mal, avec obnubilation de la
conscience
, symp- tômes vaso-moteurs, incontinence d'urine
plus tard paralysie faciale bilatérale inférieure et supérieure. La
conscience
est presque intacte. La température monte jusqu
t si celui-ci appartient à la forme aiguë du délire religieux ou la
conscience
subit de si fréquentes éclipses, soit partielle
a l'emporter en enfer. L'état panophobique est tel qu'elle n'a plus
conscience
de ses actes. Le lendemain, toujours dominée pa
atin sa face est vultueuse, sa langue est blanche, épaisse ; elle a
conscience
de l'agitation de la nuit, sauf de quelques-uns
ment mystique, bien que le malade n'en ait peut-être pas eu pleine
conscience
et que ses souvenirs n'aient pu, sur ce point,
BJETS DE PIÉTÉ COMME INSTRUMENTS DE MEURTRE. 297 dant lesquelles la
conscience
parait complètement obscurcie. Le la décembre a
ement dit, siège de ce que nous nommons notre « moi, > : , notre
conscience
, notre âme. Suivant cette théorie, les fonction
tes de la vie de relation, c'est-à-dire, agiraient avec une dose de
conscience
, de discernement et de volonté. Ainsi le « moi »
ifférent à la louange comme à la critique, il ne relevait que de sa
conscience
d'honnête homme. Sans aucune défail- lance, san
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LXI. Contribution à la localisation de la
conscience
musculaire basée sur un cas de lésion traumatiq
'état post-épileptique, et une période durant laquelle, bien que la
conscience
soit abolie, des actes compliqués et intentionn
e, être complète ou incomplète. En ce qui touche les rapports de la
conscience
avec l'activité des centres nerveux les plus él
II. Jackson a formulée dans les termes suivants : « 1° les états de
conscience
diffèrent totalement des états nerveux des cent
si, les actes ont un caractère complexe et un but. Quel- quefois la
conscience
est entièrement abolie, mais quelquefois aussi
ence est entièrement abolie, mais quelquefois aussi il subsiste une
conscience
partielle mais ne possédant qu'un degré d'activ
tés nerveuses les plus élevées sont engagées indé- pendamment de la
conscience
, on se trouve en présence d'une difficulté grav
existait. R. de 111USGRAVE CLAY. XLIX. Etude sur les troubles de la
conscience
dans l'épilepsie; par Pierce Clam. (The New Yor
tés, l'auteur fait remarquer que lorsqu'on parle des troubles de la
conscience
comme d'un symptôme essentiel de l'épilepsie, c
sente. Pendant longtemps, on a défini l'épilepsie « une perte de la
conscience
avec état con- vulsif » et il est certain que,
de vue.symptomatologique, de définir l'épilepsie un désordre de la
conscience
, puisque c'est là le seul symptôme qui soit con
aladie caractérisée par un état périodi- « quement désordonné de la
conscience
, pouvant ou non être « précédé, accompagné ou s
l y a dans les attaques épileptiques trois degrés de troubles de la
conscience
: 1° La perte complète de la cons- cience norma
: 1° La perte complète de la cons- cience normale et même de toute
conscience
proprement dite ; 2° Une atténuation de la cons
même de toute conscience proprement dite ; 2° Une atténuation de la
conscience
normale, celle-ci restant toutefois coordonnée
faibles impres- sions ; 3° Une accentuation ou une exaltation de la
conscience
. Dans ce dernier cas, l'auteur admet qu'un abai
icité des centres supérieurs aboutit à une exagération de l'état de
conscience
, en sorte que la conscience ainsi exagérée ou u
aboutit à une exagération de l'état de conscience, en sorte que la
conscience
ainsi exagérée ou unifiée, ne reçoit plus de st
à expliquer, c'est qu'un état d'in- hibition ou d'exagération de la
conscience
puisse exister chez un épileptique sans être su
état d'inhibition - dans lequel il y a une tendance vers l'unité de
conscience
, - peut-elle être trouvée dans le brusque arrêt
dont il a été parlé plus haut, c'est-à-dire la perte absolue de la
conscience
, est de beaucoup la plus commune dans l'épileps
la plus commune dans l'épilepsie ; la seconde forme, où la perte de
conscience
est incomplète ou atténuée, s'observe surtout c
gressive due au caractère incomplet de chaque retour successif à la
conscience
normale. - L'intensité et la longue durée de la
ils de précision, l'énergie de cette convulsion. Les troubles de la
conscience
, et leurs déplorables effets, n'ont été, eux au
symptôme qui mérite une attention particulière c'est la perte de la
conscience
, qui très souvent n'est pas absolue, et dont il
ait aussi observer soigneusement le mécanisme du retour à l'état de
conscience
nor- male. 11 y a'encore un sujet d'étude très
sentations èt des émotions délirantes dont le malade a pleinement
conscience
. Il cite l'observation d'un homme de trente ans q
er une sorte d'hal- lucination consciente. Chez un individu dont la
conscience
est incapable de discerner le vrai du faux, il
nche. Son visage respirait la bien- veillance et la bonté. Il avait
conscience
de sa valeur et ne par- lait jamais de lui-même
en écoles et il y aura eu des crimes en moins. Le dressage de la
conscience
est, sans contredit, la partie la plus délicate
P. Clark, 433. - et digestion, par Spratllng, 434. Troubles de la
conscience
dans 1' -, par Clark, 434. llvperthro- phie l
. Monographie d'un d'as- sises, par Âjatn, 9+. Localisation de la
conscience
mus- culaire dans un cas de trauma- TABLE DES
is l’a été sous l’influence d’un songe, et cette femme n’avait pas la
conscience
de ce qu’elle faisait alors. Son mari se porterai
e d’un rêve, au moment où elle commet un acte de violence, n’a pas la
conscience
de ses actes et qu'elle n'en est pas responsa
omœopathi-qties, sont utiles dans telle ou telle maladie. Eh bien! en
conscience
, à mon avis, ils ont tort de ne pas dire tout uni
e eI ses différentes espèces. Dans le somnambulisme naturel, y a-t-il
conscience
et identité personnelle? Le somnambulisme artific
u moins ne fasse mention du magnétisme, ne fût-ce que comme acquit de
conscience
. Mais continuons notre étude et suivons l’auteu
nent, d’où l’on arrive toujours à reconnaître la raison humaine et la
conscience
comme seuls moyens de discerner la, vérité. Moïse
mployer à cet office. 11 n’avait pas cessé un seul instant d’avoir la
conscience
de ce qui s’était passé, et son étonnement égalai
qui mènent la vie. # — Us admettent cette erreur capitale : « L’âme a
conscience
de tout ce quelle fait, elle connaît quelle l
, qui n’est plus éclairée par la lumière des sens, ni par celle de la
conscience
, et cependant l’âme n'y est pas moins vivante. El
qu'elle ne puisse plus se réfléchir. Ainsi dans le sommeil profond la
conscience
disparaît et nous vivons sans connaître ce qui se
e nos rêves, nous nous voyons en objectivité, et nous avons si peu la
conscience
du moi, ou du moins elle est si faible, qu’au rév
ous faut toujours un certain effort de réflexion pour rentrer dans la
conscience
de nous-mêmes. Que devient l’âme dans cet état my
par son action produit en elle des états et excite des actes dont la
conscience
lui échappe, et qu’ainsi elle ne peut saisir et a
ère de, cet état est aussi la suspension plus ou moins complète de la
conscience
, x>t l’impuissance de la réflexion, au moins p
ève l’homme àlui-môms, le transporte, suspend la réflexion et même la
conscience
; et plus l’esprit propre se perd, plus l’homme s’
n autre monde, etc. Ici plus encore que dans les états précédents, la
conscience
est suspendue, et il n’y a aucun souvenir au réve
objectivement, et de même que les enfants qui n’ont pas encore la
conscience
du moi, elles parlent d elles a la troisième pers
rcher à expliquer parla méthode transcendante, puisqu’il échappe à la
conscience
et à la réflexion de ceux qui l’éprouvent. » «
le moi se pose par la réflexion, il se dépose quand elle Cesse, et la
conscience
s’affaiblit ou se perd, à mesure que l’esprit dev
il se dédouble pour ainsi dire; il sent, mais il ne réfléchit pas. La
conscience
du moi défaille et avec elle la pensée et la
i le replacent dans les circonstances de sa vie de tous les jours, la
conscience
se rétablit, la personne se retrouve, et sa pensé
eure qui le pousse. La réflexion s’affaiblit insensiblement ; il perd
conscience
de lui-même, et la fin la plus ordinaire de ces s
qu’il va jusqu’à la clairvoyance, une étrange perturbation (le la
conscience
du moi. La réflexion n’eat point suspendue ; elle
oint suspendue ; elle est au contraire doublée, et il en résulte deux
consciences
et par conséquent deux moi qui se voient objectiv
jours à la troisième personne, comme l’enfant qui n’a point encore la
conscience
du moi. Au sortir de la crise, qui dure quelquefo
ant sa maladie lui est ôté, et recommençant à vivre dans son ancienne
conscience
, sans se douter en aucune manière du temps qui s’
evé à lui-même et ne peut plusse regarder et se maîtriser, il perd la
conscience
du moi. L’ivresse produit cet effet. Par l’excès
rade en se dépouillant du caractère de la personnalité humaine, de la
conscience
et de l’activité du moi. « Le même effet peut ê
evient impossible, le moi ne peut se poser, et ainsi il n'y a plus ni
conscience
, ni pensée, ni action suivie, ni souvenir. « L’
sée, ni action suivie, ni souvenir. « L’homme peut encore perdre la
conscience
du moi, ou être jeté hors de soi, comme on dit, p
ssion violente, quand elle va jusqu'au transport. Elle nous enlève la
conscience
du moi et l’empire sur nous-mêmes, et c'est ce qu
« L’état de l’âme qu’on appelle enthousiasme lui ôte momentanément la
conscience
du moi; l’inspiration, de quelque genre qu’elle s
st l’impossibilité de réfléchir, de penser, c’est la suspension de la
conscience
et du moi. La muse, le génie de l’artiste, le Die
éfléchir ce qui se passe en elle, et par conséquent elle n’a point la
conscience
de sa personnalité, et ne peut l’exprimer en aucu
eprendre ses esprits et retrouver avec la réflexion d’elle-même et la
conscience
de son moi, la puissance de penser ce qu’elle a s
vous pourrez puiser aussi dans votre intellect, votre jugement, votre
conscience
; quand vous saurez que ce que vous faites est bi
vit dans la nature? C’est une jeune fille, maladive et ayant à peine
conscience
de ce qu’elle fait. « Quoique intimidée parla p
'il y ait manœuvre frauduleuse, il faut que celui qui les employé ait
conscience
de la fraude, sache qu’il trompe. De là une disti
et l'escroquerie. Mais si le devin croit à son art, il opère avec une
conscience
parfaitement pure, il applique des moyens qu’il c
était resté ensuite quatre mois au lit, insensible et ayant îi peine
conscience
de son existence; son état était désespéré. M. Pa
ée jeune fille gît, toujours vivante, mais immobile et roide, et sans
conscience
de ce qui se passe autour d’elle, sur un lit de p
ret de ses stratagèmes. Celui qui craint le grand jour, a rarement la
conscience
nette. Le médium sincère va au-devant des vérific
à favoriser des actions qu’ils réprouvent secrètement au fond de leur
conscience
. Ces spectacles diaboliques sont, en effet, un mo
soigner ses malades comme bon lui semble, suivant ses lumières et sa
conscience
, sans être lié par aucune autorité; qu’il peut, s
it accompagnés à l’échafaud, il n’y en avait pas un seul qu’il pût en
conscience
regarder comme coupable. Traitez-moi de même, ajo
t lui « communique des impressions profondes dont ¿’homme n’a « point
conscience
aussi longtemps que tout va bien çhez « lui. »
intelligent, le plus puissant, le « plus parfait des êtres créés. La
conscience
du genre humain « repousse non moins invincibleme
utes, perte de connaissance, puis mouvements convulsifs. En reprenant
conscience
d'elle-même, cette dame s’assit devant moi sur un
e, je parvins à l'éveiller. Je la questionnai, mais elle n’avait plus
conscience
de ce qui s’étaitpassé. Je lui fis mes excuses ;
it et dans un état de préoccupation profonde. Elle n’avait aucunement
conscience
de ce qui était arrivé. » Nota. Le magnétisme e
n’en est pas de môme pour le suicide. Or, je n’en veux pas charger ma
conscience
. » (Extrait de la Patrie du 20 octobre 1859.)
pération , l’insensibilité durait encore. Le malade n’eut pas même la
conscience
de l’épreuve douloureuse à laquelle il avait été
fait si remarquable ?... Que dire de l’intelligence ou plutôt de la
conscience
d’hommes pour qui ce même fait est resté si longt
mène un état particulier, dans lequel le sujet, tout ¿veillé et ayant
conscience
, éprouve tous les effets de volonté qu’on observe
ans une chambre qui n’en contient point : c’est l’hallucination. La
conscience
est semblablement affectée ; et, comme dans les e
araissait être la condition, s’obtiennent dans l’état de veille et de
conscience
, c’est-à-dire apparemment normal, les autres facu
par une rougeur du visage ? Il est possible, mais je n'en avais pas
conscience
. C'est vers l'âge de douze ans qu'est apparue c
date de deux ans'. III. Historique. Pour la première fois, j'ai eu
conscience
de cette facilité extrême à rougir vers l'âge d
ue, consécutif, le sentiment, et on arrive déjà à la définir ; « la
conscience
des variations neuro-vasculaires ». De ce mou
Lange, d'après laquelle l'émotion consiste essentiellement en * la
conscience
des modifications vaso-motrices », que le phéno
rit le but dans l'ac- complissement de l'acte, la préméditation, la
conscience
de la cul- pabililé, le remords. tout instant
pour un temps assez long, et de recueillir et d'enregistrer dans la
conscience
les images lues, c'est-à-dire le contenu de l'e
lle époque de la vie les faire remonter, car la malade - n'en a pas
conscience
. P. 11E11AV : 1L. XXXI. Observation DE paralysi
, quelques folies par- tielles dégénératives et des hallucinés avec
conscience
, des mor- phinomanes, cocaïnomanes et alcooliqu
d d'êtres armés de tentacules et de bras, c'est l'embrasement de la
conscience
par des images lumineuses, sonores, olfactives,
s et de bras, et c'est là plus qu'une simple comparaison. Seule, la
conscience
de l'écorce cérébrale tombe chez l'homme sous l
essus d'association, elle s'apparaît comme un seul être. Dans cette
conscience
, qui est la résultante phénoménale d'innombrables
l'animal s'apparaît à lui-même comme ne faisant qu'un seul être. La
conscience
de l'écorce céré- brale paraît être pour l'homm
capables de beaucoup de perceptions et d'actions conscientes. Cette
conscience
en apparence exclusive de l'écorce cérébrale ne
les autres parties du cerveau, ici beaucoup plus considérables, la
conscience
corticale ne saurait prédominer. » Bref, « on d
de l'activité centrale du système nerveux, de l'intelligence, de la
conscience
? Ce siège serait le réseau fibrillaire central
hologique, ont deux rôles importants : 1° en exprimant la vie de la
conscience
par des mouvements (physionomie, gestes,- attit
e la société; 2° en '152 REVUE DES THÈSES DE BORDEAUX libérant la
conscience
pour laquelle elles ont été formées, elles lui pe
e à laquelle il leur est impossible de résister ; e) troubles de la
conscience
. Des incendies sont commis parfois au cours d'é
énie : des idées de grandeur ou de persécution s'installent dans la
conscience
et s'imposent d'une façon absolue ; ensuite int
minimes d'alcool suffisent à provoquer des troubles profonds de la
conscience
chez les épilep- tiques, les sujets ayant subi
nd toutes les questions, yrépond correctement et calcule bien. Il a
conscience
de sa situation. Pas d'idées délirantes. Diag
est étonné de l'aggravation des symptômes. Le sujet avait alors une
conscience
parfaite de son état et, bien que sa mémoire fût
dégoût à son début semble donc une sensation d'ordre musculaire, la
conscience
vague d'un mouvement du pharynx, de l'oesophage
ce, coupable de ne pas arrêter ses convulsions ; c'est confondre la
conscience
d'un acte avec la possibilité-de ne pas le comm
l le sujet agit d'une façon apparemment normale, mais sans en avoir
conscience
, ou du moins, sans en garderie souvenir. En réa
. La sensation douloureuse est le phénomène subjectif, le fait de
conscience
qui accompagne un réflexe de défense ou de prophy
dapté. Son but est la conservation de l'indi\idu. Le phénomène de
conscience
qui l'accompagne (la sensation douloureuse) est p
convenable que s'il y a réactions volitives et hypertrophie de la
conscience
personnelle. En un mot, le délire systématisé est
lissement intellectuel.-1888. Deux accès con- vulsifs avec perte de
conscience
passagère, suivis de vomissements et d'hallucin
, caractérisée par des accès périodiques de troubles maladifs de la
conscience
, c'est-à-dire par des attaques de folie passa-
s accès épileptiques et que caractérise l'absence de troubles de la
conscience
. On peut les diviser en trois groupes : 1° Modi
après un stade prodromique de malaise général ; modifications de la
conscience
, sous forme de rêve, allant d'une stupeur profo
psychiques élémentaires dans lesquels fait défaut le trouble de la
conscience
, ils n'ont rien de caractéristique sinon leur r
formes sont accom- pagnées d'un trouble plus ou moins profond de la
conscience
, de tendance à des actes impulsifs, d'amnésie p
s il ne saurait être question, le plus souvent, d'une éclipse de la
conscience
, mais 392 SOCIÉTÉS SAVANTES. seulement d'un c
SOCIÉTÉS SAVANTES. seulement d'un changement dans le contenu de la
conscience
. - Au point de vue des troubles de la conscienc
s le contenu de la conscience. - Au point de vue des troubles de la
conscience
, la persistance du souvenir présente un intérêt
ns son rapport il a considéré la modification spéciale de l'état de
conscience
comme caractérisant avant tout les psychoses ép
si, qu'il n'y a pas de rapport entre la profondeur du trouble de la
conscience
et la persistance du sou- venir. Ce dernier peu
inuelle pendant la nuit. ' M. Siemerling insiste sur l'état de la
conscience
et le souvenir consécutif; il admet un rapport
nir consécutif; il admet un rapport entre ces deux phénomènes. La
conscience
n'est pas supprimée, mais seulement changée. Le s
e. L'amnésie ne peut suffire à faire admettre une disparition de la
conscience
. Siemerling rappelle quelques exemples, renvoie à
ésenter sous forme de convulsions tétaniques avec persistance de la
conscience
; les malades semblent avoir été empoisonnés par
emerling a observé d'une façon très nette le phénomène de la double
conscience
chez de vrais épileptiques. M. Kraépelin. La
st qu'on observe chez ces malades un trouble très caractérisé de la
conscience
. Quant aux modifications de l'humeur, 394 SOCIÉ
ffet dans les formes aiguës de la paranoia. Il en est de même de la
conscience
alternante décrite par Siemerling, qui est obse
partie de cette période (attaques de sanglots, de spasmes, etc.) la
conscience
et la mémoire sont intégralement conservées.
s par des convulsions toniques et cloniques du type épileptoïde, la
conscience
et la mémoire sont totalement abolies. Dans les
ions qu'on leur pose. Mais malgré cette persistance apparente de la
conscience
, ils ne se rendent pas compte qu'ils ont des con-
taques de sommeil, de catalepsie, de léthargie, de délire etc.), la
conscience
et la mémoire se comportent exactement comme da
s assez rares (léthargie profonde, délire maniaque aigu, etc.) la
conscience
est conservée pendant l'épisode hypnotique, et le
'affaiblissement des facultés et la disparition rapide des états de
conscience
. Ils existent cependant au début de la maladie
bons esprits, lesquels enrichiront notre littérature, nos arts et nos
consciences
, et nous donneront des conseils si sages, que nou
rit religieux des uns, l’esprit athée des autres troubleront bien des
consciences
, détraqueront bien des cervelles, feront bien des
iomphe ne laisse plus rien à désirer. Il semble que le magnétisé a la
conscience
de sa défaite, car une idée fixe le possède, il v
paraît que le sieur L... voulait chèrement vendre sa défaite, car, en
conscience
, il fit tout ce qu’il put pour échapper à l’influ
é quelques nuages sur les derniers jours de sa vie ; mais, fort de sa
conscience
devant Dieu, au nom duquel il avait toujours exer
il ne nous fait faire que des actions fort simples et dont nous avons
conscience
et souvenir. Mais l’instinct ne nous fera pas écr
riques, par Dulaure, p. ITO. signaler un principe révoltant pour la
conscience
la moins timorée, et dont nous retrouvons lu just
que l’âme y refuse son consentement. Cette transaction étrange de la
conscience
a rencontré de nombreux apologistes parmi les éco
is a déclaré à son clergé, réuni à Saint-Roch pour l'examen du cas de
conscience
, qu’il adoptait pour son diocèse les prescription
e qui est relative au touclieur Je liicufs ? M - Roger. Je n’ai pas
conscience
do ce que je dis eu dormant. M i.e Président. M
la divination, tous ceux et celles qui ont la crainte de Dieu et une
conscience
délicate, et j’exhorte instamment les pasteurs de
mons dans ces choses ; que j’aurais :i y participer une répugnance de
conscience
invincible; que je 11e souhaitais même aucuneme
pas pouvoir taire les choses que nous avons vues et entendues. Notre
conscience
nous inclinait à cette publication ; des conseils
ons seulement remarquer qu’une idée instinctive dont nous n’avons pas
conscience
est une chimère; une idée est la représentation d
nous ne nous rendons compte des opérations de notre esprit que par la
conscience
que nous en avons ; si mon esprit possédait des i
nous en avons ; si mon esprit possédait des idées dont je n’eusse pas
conscience
, cet esprit cesserait d'être mien, et cette idée
hallucination dans lequel ils produisent des mouvements sans en avoir
conscience
, jouissent d'une lucidité analogue à celle des so
qu’elles partent d’un esprit convaincu, qu’elles sont dictées par une
conscience
honnête. Enfin, M. du Planty s’est montré ce que
parfaite bonne foi des opérateurs, sans qu’ils aient la volonté ni la
conscience
de produire aucune impulsion mécanique. 11 adme
ouvement intellec-« tuel involontaire, dont il semble qu’il n’ait pas
conscience
. » M. Babinet, dans les faits observés, distingue
ysiologie, qui ferait plus de progrès si elle avait la modestie et la
conscience
de son peu d’avancement, et si elle ne cherchait
ieurs fois qu’on peut les produire sans en avoir ni la volonté, ni la
conscience
. Nous avons vu d’ailleurs qu'ils revenaient à l’i
urs arrivés à un état de crise magnétique, agissant, sans en avoir la
conscience
, sous l'influence d’une volonté étrangère. Nous
l’on peut admettre, soit des mouvements involontaires dont on n’a pas
conscience
, soit môme des mouvements volontaires inconscient
ce, soit môme des mouvements volontaires inconscients. III. De ta
conscience
et du souvenir des actes humains. Il semble que
que l’on puisse effectuer des mouvements volontaires sans en avoir la
conscience
, ou du moins sans en garder le souvenir. Nous l
scles fléchisseurs du pied, de la jambe et de la cuisse. En avez-vous
conscience
? en gardez-vous le souve- nir? Vous vous rappel
églutition, appelant l’attention sur le mouvement, fera qu’on en aura
conscience
et qu’on en gardera plus ou moins longtemps le so
grammaticales? Ne m’a-t-il pas fallu, sans que j’en eusse aucunement
conscience
, appliquer une multitude de règles apprises je ne
tous ses actes volontaires, il verra qu’il n’en a généralement ni la
conscience
, ni le souvenir; Que ceux qu’il se rappelle, il
inertie. Tout ce que nous avons dit jusqu’à présent à propos de la
conscience
et du souvenir des actes, supposait l’opérateur o
normal, beaucoup d’actes volontaires sont exécutés sans qu’on en ait
conscience
, — sans laisser de trace de souvenir, combien, à
autres y sont contraints. Un petit nombre l’exécute sans avoir eu la
conscience
de ce qu’il allait faire, quelquefois même sans l
par des mouvements ou plutôt par des pressions dont ils n’ont pas la
conscience
. En effet, lorsque les mains portent sur un meubl
t bien se rappeler ce que nous avons dit plus haut, sans qu’on en ait
conscience
. Il s’ensuit qu’il est, entre certaines limites
es étrangères ou à des impressions personnelles dont ils n’ont pas la
conscience
. Aussi su (lit-il qu’un des membres de la chaîn
que possède ou qu’emprunte le medium. Le medium, sans plus avoir la
conscience
du mode de génération de nos idées, sera donc apt
endront pas non plus de sa personnalité normale, la seule dont il ait
conscience
. Qu’il les formule par la parole, par l’écritur
ouvenir de la pression matérielle par lui exercée, mais qu’il n’a pas
conscience
de la pensée qu’il est en train de formuler, nous
ainsi, à ciel ouvert, blasphémer contre Dieu et rejeter le cri de la
conscience
humaine, qui dit à chacun de nous : — Ce monde 11
eulement à la postérité. « Chers compagnons, ayons pour guide notre
conscience
; que le drapeau du magnétisme soit par nos mains
ille d’argent, je crois devoir vous en remercier particulièrement. Ma
conscience
me dit que j'ai mérité cette distinction. L’étude
de la publicité, et qu’ils aiment mieux obéir à la science qu’à leur
conscience
? D' LOUYET. 2° DANSE DES AÏSSAOUA. On lit d
s yeux..... ensuite je ne sais plus ce que je vis, car je perdis la
conscience
de mon être ; mais quand je sortis de l’état d’in
courber avec soumission sous leur décision, dût-elle contrarier notre
conscience
et même contredire le simple bon sens. Nous nous
re simple bon sens, devoir être la vérité. C’est le cri seul de notre
conscience
qui parle. 1° Toute personne soumise à l’action
tion diabolique, fait parler le démon. Un autre, par délicatesse de
conscience
, préféré la conversation d’nn ange, il est servi
t civilisée ; elle a fait tourner plus de têtes que de chapeaux ; les
consciences
se sont troublées, l’autorité religieuse s’est ém
les tins, la clairvoyance éveillée, c’est-à-dire la lucidité avec la
conscience
ordinaire, et chez les autres le sommeil mesmériq
onscience ordinaire, et chez les autres le sommeil mesmérique avec la
conscience
divisée et l’oubli au réveil ; dans quelque# cas,
tte modification particulière dans le système nerveux par laquelle la
conscience
ne perçoit plus ou perçoit faussement les impress
s, elle se sentait mal à l’aise; il lui restait, disait-elle, trop de
conscience
de son corps ; elle aurait souhaité en être dégag
nimaux, elle a vu une flamme bleue qui lui a paru être un rayon de la
conscience
d’eux-mêmes. Elle a dit apercevoir tout cela au m
oduire des modifications très-importantes, dont le sujet n’a pas môme
conscience
, et si un médecin 11’est pas là poulies constater
on l'accusera de folie, à peine même trouvera-t-il un refuge dans sa
conscience
, car les choses dites ou révélées ont souvent une
la personne qui produirait ces résultats, et même sans qu’elle en ait
conscience
; c’est ce qui aurait lieu notamment chez les fill
us-même et à noire insu, de nos propres pensées dont nous n’avons pas
conscience
. Ainsi, au moment même où je suis neutre, inactif
moins de clarté. C’est une question posée de bonne foi, étudiée avec
conscience
et franchement résolue. Le cadre est malheureusem
'est point un acte de vertu, sans doute ; c'est un simple effet de la
conscience
humaine. Je ne restais donc qu’un moment dans cet
ueurs aient ainsi une lucidité plus ou moins grande dont il n'ont pas
conscience
; enfin qu’ils trichent très-loyalement. Je jou
'ai tout de suite senti, dit-elle, que ce n'était pas la voix de ma
conscience
, c'était bien quelque chose de tout à fait étran-
ies, elle avait demandé si nous ne savions rien de l'existence de «
consciences
parlantes » et si la conscience au sens religieux
e savions rien de l'existence de « consciences parlantes » et si la
conscience
au sens religieux . MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 9 d
elle discute un aphorisme à y incorporer et le note, mais avec sa
conscience
et sa volonté à elle et de son écriture habituell
orme, continue, exclusive et prolongée, finit par supprimer dans la
conscience
la perception d'une diffé- rence et par produir
ort loin des choses d'ici-bas. - Oui c'est l'esprit divin et non la
conscience
Il est distinct de toi, par lui, ta prescience
e morceau ne rende pas comme l'autre une situation anor- male de sa
conscience
: La prière Prier c'est entr'ouvrir son âme
ns fait soutenir à Cam ? contre l'automatisme et le dédoublement de
conscience
qu'elle subissait. L'attrait énorme qu'avaient
inachevé dont l'ex- pression subliminale arrivait ainsi jusqu'à sa
conscience
. Il y a donc encore une certaine révolte de la
l'état psychique qui consiste en la tendance au dédoublement de la
conscience
avec activité automatique indépendante, on peut
mpénètrent suivant la forme « per- sonnelle » à laquelle tend toute
conscience
, et se traduisent au dehors en communications q
istait pas. - Dieu existe, reprend D..., et tu dois faire ce que ta
conscience
te commande ». A partir de ce jour il obéit pas
tait gateux en ce temps; la face était rouge; trois heures après la
conscience
éclaircit : durant un quart d'heure il ne pouva
réflexes tendineux sont exagérés, les réflexes plantaires vifs. La
conscience
de la personnalité est bien conservée. Le malad
epose, son esprit reste constam- ment éveillé; si elle rêve, elle a
conscience
qu'elle fait un rêve; elle s'y complaît et le m
s tremblent, son esprit se trouble, ses pensées se brouil- lent, sa
conscience
se voile. Mais il est une partie du corps, dont
paupières, un oeil fixe qui le regardait, semblable à l'oeil de la
conscience
dans la légende de Caïn. Parfois aussi elle s'a
leurs émotions profondes, constitue une sorte de violation de leur
conscience
, une sorte de pro- fanation de leur « moi ». C'
mes ennuis. Avant cet instant, j'étais timide,- mais je n'avais pas
conscience
de ma timidité; j'étais pauvre, mais je comptai
tique, de quelques-unes seulement d'entre elles dans le champ de la
conscience
(Masselon), ce qui revient à dire que la démenc
dans une forme très accentuée; un temps il y avait même trouble de
conscience
; le malade se trouvait dans un état de peur et
malade se trouvait dans un état de peur et d'inquiétude. Lorsque la
conscience
s'éclaircit, se manifesta alors chez le malade un
rquer que le malade se rapporte d'une ma- nière critique et qu'il a
conscience
des fausses sensations auditives et dee idées o
car le malade comprenait très bien, du moins lorsque le trouble de
conscience
temporaire s'était dissipé, toute l'ab- surdité
tions de contraste, liées avec la repré- sentation des aliments; la
conscience
du malade était bien conservée, mais il ne parl
grâce aux points de repère qu'elle peut établir, elle semble avoir
conscience
de ses actes et partant de vivre ; que la vue v
i manquer, les points de repère disparaissant de ce fait, elle perd
conscience
, elle ne sait plus si elle vit; chez elle tout
- chique ; tout ce qui est matériel n'est que le contenu de notre
conscience
. Le monde extérieur n'est pour nous qu'une série
nsations des sens, cela veut dire qu'il émane de l'action sur notre
conscience
de phénomènes réels qui nous sont inconnus, et
mènes réels marchent parallèlement aux effets qu'ils font sur notre
conscience
. Une partie de ces phénomènes réels, nous la tr
que nous connaissons seule. Le monde con- tient, comme notre propre
conscience
, une série de processus psychiques, exerçant le
intime action réciproque, qui sont analogues à ceux de notre propre
conscience
. De même que celle-ci possède des groupes d'idé
uns aux autres qu'ils ne s'associent jamais à d'autres, de même la
conscience
universelle contient une série de membres compl
chiques particulières. Ce détachement de groupes particuliers de la
conscience
universelle implique que chaque individu ne par
chaque individu ne participe plus au mécanisme des phénomènes de la
conscience
universelle, qu'il est simplement soumis aux ph
ience universelle, qu'il est simplement soumis aux phénomènes de sa
conscience
individuelle. M. Moskiewicz pense que cette thé
ion des dis- tances en profondeur est indépendante du trouble de la
conscience
consécutif à l'attaque congestive et de l'affai
s choses, c'est le sentiment qu'on a eu de la péné- tration dans la
conscience
de leurs images, l'impression spéciale qui acco
t est dû à la déchéance de ce sentiment de la péné- tration dans la
conscience
des perceptions, à la déchéance de la qualité d
en est tout autrement chez le catatonique. Ici pas de trouble de la
conscience
, pas de sommation, pas d'état crépusculaire; les
e manie furieuse instantanés et passagers avec obnubilation de la
conscience
, mais sans hallucinations; ce n'était donc pas le
ique susdite. Foerster soutient au contraire que les troubles de la
conscience
personnelle sont primaires et dérivent de l'uti
dans celle de M. Janet. A côté en effet, ou plutôt au-dessus de la
conscience
perceptive, il existerait une conscience aperce
ou plutôt au-dessus de la conscience perceptive, il existerait une
conscience
aperceptive, siège des facultés volontaires et
rechercher si certaines angoisses larvées dont le sujet n'a qu'une
conscience
vague, mais qui se manifestent par des signes o
'image mentale peut avoir une intensité telle qu'elle s'impose à la
conscience
, arrêtant le libre jeu de toutes les autres ima
eurasthénie avec gastropathie et des signes de tabes. L'apport à la
conscience
des incitations cénes- thésiques les plus varié
oreilles bourdonnent. L'idée obsédante envahit tout le champ de la
conscience
, chasse toutes les autres préoccupations et dét
prouvant un profond regret des actes qui lui sont reprochés. Elle a
conscience
, en effet, qu'elle est la victime d'une force i
qu'atrophie du biceps. Le malade'ne présente aucun trouble de la
conscience
, aucune affection organique, il est seulement émo
une idée née dans la cérébration inconsciente ; projetée dans la
conscience
par intervalles; crue aveuglément et vivement déf
troubles des centres automatiques, du pplygone et des troubles de la
conscience
supérieure (angoisse, faiblesse morale, crainte,
le était fonctionnellement troublée. Dans ces cas, les troubles de la
conscience
0 ont disparu en même temps que ceux du polygone;
ise ou la douleur liée au tic et qui enraie l'habitude du champ de la
conscience
. Je soigne en ce moment un cas de tic, le plus
qu'on les rêve : on a rêvé, mais ce que le temps efface est, pour la
conscience
, nul et non avenu. Ce qui est universellement
a suggestion pourrait être définie : l'action de provoquer un état de
conscience
(sensation, idée, sentiment, volition), que cet é
de conscience (sensation, idée, sentiment, volition), que cet état de
conscience
soit accompagné ou non d'un acte extérieur qui lu
'en être jamais aperçus. Qu'on n'objecte pas que l'obnubilation de la
conscience
les empêche de se rendre compte de leur c esclava
nfrère atteinte d'hystérie grave avec prédominance des troubles de la
conscience
; un long traitement par la conviction logique n'a
rogressive et successive, comme chez Argentina; le retour à la pleine
conscience
totale a même, ici, nécessité six mois. Enfin, dè
ins cas, pèse sur lui et l'aidera aussi à résoudre de nombreux cas de
conscience
et non des moins intéressants. En effet, la liste
l'apparence d'un principe ou d'une nouveauté. 1) DÉDOUBLEMENT de la
CONSCIENCE
. Braid : Après avoir décrit la perte de connais
et contrôlés comme s'ils se trouvaient à l'état de dédoublement de la
conscience
, Braid dit : « Il en est même un assez grand nomb
nt être influencés et contrôlés pendant l'état de veille et en pleine
conscience
d'eux-mêmes. » (p. -247.) Faria: « Ce qu'on doi
ité perçoit par un mécanisme qu'elle ignore et qui peut échapper à sa
conscience
des notions aussi précises que la plaque photogra
t peut-être voir dans certains chiens qui mordent sans paraître avoir
conscience
de leur acte et du reste sans faire de mal, on po
ent les multiples problèmes de l'intelligence et de l'instinct, de la
conscience
ou subconsciencc, enfin de l'automatisme de l'ani
ologie de l'entraînement. M. le Pr Lionel Dauriac : Le retour de la
conscience
après l'évanouissement. Dr Bérillon : Les éléme
1 trouva son camarade couché sur les rail3 à côté du wagon, en pleine
conscience
, mais incapable de se mouvoir. Il avait voulu s'a
utre part que ces idées se développent jusqu'à envahir le champ de la
conscience
chez certains psychopathes héréditaires, alors mê
développée qu'ils se placent facilement d'eux-mêmes dans des états de
conscience
analogues aux états d'hypnotisme. C'est lorsqu'il
stantinople), Pr Lionel Dauriac. M. Lionel Dauruc : Le retour de la
conscience
après l'évanouissement. Discussion : Dr Bérillon,
avantage dans leurs fonctions de professeurs, attribuant ce fait à la
conscience
de leur responsabilité. C'est ici le lieu de pa
mot. la fatigue comporte des degrés et la sensation qui nous en donne
conscience
ne nous en donne pas toujours la mesure exacte.
état de surentraînement, les forces baissent sans que le sujet en ait
conscience
: il peut rester insensible à la fatigue et n'épr
supporter un choc matériel ou de faire un effort physique. Et, de la
conscience
qu'il a d'être, à la fois, plus apte à faire usag
au bout de quelques minutes, au paroxysme de sa fureur, elle perdait
conscience
et la reprenait un peu avant de se calmer; de sor
e sujet exécute inconsciemment toute une série d'actes. Assimilons la
conscience
du sujet à un spectateur dans un théâtre, le ride
tique, le sujet commet des actes souvent reprehensibles sans en avoir
conscience
, mais ces actes n'ont pas été commencés en état d
n avoir conscience, mais ces actes n'ont pas été commencés en état de
conscience
, ils sont tout entiers compris dans la période d'
jours de ne pas satisfaire le maître. Ils restent muets, par excès de
conscience
et par scrupule, même devant un professeur dont i
rfaitement leurs leçons, mais qu'elles le devenaient si elles avaient
conscience
de ne pas les savoir bien. Ceci nous rappelle lo
re part de ses dons. Rien ne nous relève à nos propres yeux, comme la
conscience
que notre vie est utile à quelqu'un. (1) D'aill
par le Dr Bérillon en 1904, la suggestion réussit à tenir en éveil la
conscience
du sujet, à le rendre petit à petit capable de su
ts les plus étroits avec les phénomènes de perception personnelle, de
conscience
réfléchie, d'attention, etc. » (*), on comprend q
logie. Les aboulies sont constituées par une association d'états de
conscience
parmi lesquels les plus apparents sont : l'indéci
t ma doctrine au sujet du mécanisme de la timidité. Les timides ont
conscience
de ce choc émotionnel et en souffrent; ils perden
i-même à volonté et afin de les contempler dans le champ de sa propre
conscience
; et, s'il le pouvait, il ne serait plus guère à
e, car notre insouciance et notre ignorance nous empêchent d'en avoir
conscience
». Nous terminons ces citations par celles du P
NILLE et Marie BL1N, Mmes D'ESPÉRANCE, MOLLIS PLANCHER et sa sexiuple
conscience
, etc. TEL CnEDO, TEL FANTÔME J'ai connu perso
quemment appelée Mollie Flancher. Celle-ci est un exemple de sextuple
conscience
! Des chutes terribles entamèrent son cerveau; so
cience de l'hypnologie, mais qui ont rempli leur mandat avec toute la
conscience
possible. Le rapport, avec certains commentaire
M. Delbœuf nous accuse, le Dr Schoofs et moi, d'avoir sacrifié notre
conscience
et nos convictions à l'intérêt de nos confrères d
ion dans un but criminel, non seulement elle n'en aurait eu nullement
conscience
, mais bien plus, si on lui avait demandé si elle
suggestionner ce signe à l'égard de sa fille, il est vrai sans avoir
conscience
, lors de la rencontre de la femme atteinte de par
on active accompagnée de paroles disparut avec le reste. Les étais de
conscience
revivifiés par la répétition ne jouissent pas, en
contre l'oubli, si leurs appariiions successives dans le champ de la
conscience
sont toutes comprises dans la période dont l'oubl
s à mettre en lumière les erreurs qui se commettent par la voie de la
conscience
humaine. Les points acquits en ce qui concerne l'
la respiration, sur la digestion, se passe en dehors du domaine do la
conscience
. Ce sont des réflexes de la vie végétative, dont
cérébral et réaliser sans sommeil, ou du moins sans que le sujet ail
conscience
du sommeil, un état psychique qui crée la suggest
tte les yeux, l'expression de sa figure se modifie, un nouvel état de
conscience
s'y peint: « Tiens! je suis couché. Cependant je
. Ce n'est point un talent commun, certes, que de s'établir dans la
conscience
de l'enfant, de s'en rendre maître en la ménagean
ures de l'activité psychique de l'inducteur, et dont celui-ci n'a pas
conscience
lui-même. Que les sensations et les représentat
s et les représentations, qui passent par le champ de vision de notre
conscience
, se répercutent involontairement sur l'activité d
sans aucune intervention de la volonté de l'homme et sans la moindre
conscience
de ce qui se passe ainsi en lui (1). Non moins
ns et des représentations qui passent par le champ de vision de notre
conscience
, se trouvent les muscles de notre squelette; mais
réflexes. Ces mouvements sont possibles dans l'absence complète de la
conscience
et de la volonté chez les individus, pendant le s
et d'impulsions pour les mouvements, sans aucune participation de la
conscience
et de la volonté, c'est ce que démontrent jusqu'à
mplir, malgré eux et d'une façon irrésistible, qu'ils en aient ou non
conscience
, un acte criminel qui leur aura été suggéré. Ce f
ésister >. Dans l'espèce, la force supérieure à la volonté et à la
conscience
serait la suggestion hypnotique, force psychique
en rapport avec Léon. Celui-ci pensait qne les sujets gardaient leur
conscience
. Moi, fort de mes études, je lui soutenais qu'ils
s encore que ces sujets devaient perdre, au moins partiellement, leur
conscience
sans le savoir et sans en avoir l'air. C'était pa
e problème qu'il s'est posé est résolu pourtant par le lecteur, notre
conscience
en conclut que la clef du mystère doit être cherc
pensées, par une attaque de convulsions générales, par la perte do la
conscience
, etc. Il est presque impossible, à qui connaît
sé d'admettre que sa rêverie n'est qu'un état d assombrissement de sa
conscience
, résultat de la concentration de sa pensée sur un
e scepticisme; nous doutions que le sommeil ne fût complet, et que la
conscience
fût réellement supprimée. Nous craignions donc à
e; dominé par ses mauvais « instincts, ayant fait taire la voix de la
conscience
, insensible au remords, « il roulera de crime en
s que le juge ; à celui-ci à faire son devoir comme le lui dictera sa
conscience
, et que chacun soutienne le fardeau que ses épaul
e la suggestion n'est pas limtiée aux foulions de la volonté et de la
conscience
, et que cette influence n'est pas, comme l'admet
s modernes croient que le fœtus, longtemps avant de venir au monde, a
conscience
de peines et de satisfactions physiques et a la s
la règle chez les enfants. En soi,l'analyse de ces divers états de
conscience
, qu'il est si facile de provoquer artificiellemen
la responsabilité pénale. Tandis que la première ne relève que de la
conscience
de l'individu auteur de l'acte, la seconde a son
e, cet homme a rendu possible son crime. Mais c'est là une affaire de
conscience
, et l'on peut l'admettre irresponsable moralement
avec elles des conversations décousues, et puis, quand elle reprenait
conscience
d'elle-même, elle se rappelait son voyage céleste
e extérieur actionne les fibres nerveuses correspondantes. Lorsque la
conscience
est absente et que le côté antimatique du cerveau
e, qui est ordinairement le plus énergique, reste inactif et n'a plus
conscience
de ce qu'il fait : il croit alors agir sous la di
les notions de devoir, de probité, d'honneur que nous devons à notre
conscience
, développée par l'éducation. Quant aux hommes che
x des familles, à leur sécurité, à leur honneur. Je me crois tenu, en
conscience
, de dire, sur ce point, toute la vérité, au risqu
er jusqu'au bout, pour la même raison. Elle a d'ailleurs parfaitement
conscience
de son manque de mémoire et a coulume, pour y rem
entimes, les garda trois jours, en eat ensuite de violents remords de
conscience
qui ne lui laissèrent pas de repos. Elle finit al
un trait de caractère est foncièrement accentué, comme par exemple la
conscience
morale d'un altruiste décidé, il finira toujours
es altruistes accentués résistent, en général, en vertu de leur forte
conscience
morale héréditaire qui renforce toutes les représ
ur, de valérianalu d'ammoniaque et je fais administrer, par acquit de
conscience
, du calomel pour voir si je n'obtiendrai pas une
usqu'à un trouble dans son sang-froid, dans l'empire sur ioi. dans la
conscience
avec laquelle on sent qu'on agit volontairement,
ou la catalepsie ou le somnambulisme. Quand le sujet est endormi, la
conscience
n'est plus en étal de dominer les impressions bus
Mais soyez chrétiens. Là est l'essentiel pour chacun de nous, pour la
conscience
individuelle, pour la famille, pour la patrie, po
ts seraient superflus, car le groupe des aliénations .mentales avec
conscience
constitutive a été dans ces derniers temps de l
bjet de savants travaux. Il n'en est pas de même pour les cas où la
conscience
est un élément surajouté et de ceux-là j'en ai
Alcoolisme des parents. Ménopause. Ily,pochoidî,z'e ? io2,ale avec
conscience
. - Idées de suicide. . Tentative d' empoisonnem
Archives de Neurologie, t. IV, p. 188. RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. fl I Pas d'antécédents héréditaires proprement
e en proie à une' hypochondrie morale, avec idée fixe de la mort et
conscience
de sa situation maladive. Cette préoccupation c
ises convulsives suivies d'une violente agitation, toujours avec la
conscience
nette de ses troubles psychiques. Redevenue plu
bonne santé psychique, même quand elle RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. 43 était battue et abandonnée, perdit la raiso
de juillet. D'après ses renseignements, elle a toujours conservé la
conscience
de son état durant sa maladie. Au moment de la
cette femme. Pourtant elle se reconnut malade, elle ne perdit pas
conscience
, elle comprit qu'elle rechutait, et fit jouer aux
e. -~ Ménopause. flpoc7aondie znorale sans idées de suicide, avec
conscience
. Guérison. Dans les premiers jours de novembre
ssant les aura peut-être écrasés. 111 ? Alexan- drine C... avait la
conscience
parfaite du ridicule de ses soucis, elle s'inqu
quelques semaines à rage de vingt-six RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. 45 ans, torturée par le remords maladif d'avoi
Observation VII. Hérédité paternelle. Ménopause. Impulsion, avec
conscience
, au suicide par submersion. 1T ? Alice C..., qu
es préoccupations ni à son mari, ni à ses enfants ; elle a pourtant
conscience
que son état s'aggrave : l'attrait du suicide a
'il y a des aliénations mentales qui n'existent pas en dehors de la
conscience
, n'y en aurait-il pas qui, par contre, sont tou
rs inconscientes ? Je le crois. J'ai indiqué plus haut les états de
conscience
qui se produisent soit au début, soit dans le c
n sommeille, leur jugement est pareil, RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. ! 17 et ils ne s'en doutent pas. On peut donc
e maladie essentiellement in- consciente, et que l'apparition de la
conscience
dans son cours est l'indice d'une amélioration,
sentent leur intelligence renaître avec l'absence des crises. Cette
conscience
d'un affaiblissement intellectuel, susceptible
ie générale et de l'épilepsie, mes observations prouveraient que la
conscience
peut être un élément surajouté à toutes les var
ons, la lypémanie ambitieuse, l'érotomanie. Dans la vie normale, la
conscience
réfléchie est sou- vent la dupe de beaucoup de
de la sagesse pour l'antiquité païenne RECHERCHES SUR LA FOLIE AVEC
CONSCIENCE
. 49 9 comme pour l'antiquité chrétienne. Peu d'
aurons pas dès lors à nous étonner de retrouver en pathologie cette
conscience
parfaite et cette demi-conscience, qui ont.leur
ion sur les autres. Ainsi, après avoir divisé les cas de folie avec
conscience
en deux classes, suivant que la conscience est
les cas de folie avec conscience en deux classes, suivant que la
conscience
est un élément constitutif ou un élément surajo
istinguerons dans cette dernière deux catégories correspondant à la
conscience
parfaite et à la demi-conscience. Par un cont
s- cience parfaite l'exception, dans l'humanité aliénée, c'est la
conscience
parfaite qui se rencontrerait de pré- férence à
indigents sont conscients et demi-conscients, nous trouvons pour la
conscience
par- faite 15 des premiers et 8 des seconds, so
tera aux yeux des moins clairvoyants. J'étudierai successivement la
conscience
et la demi-conscience dans ces deux grandes div
ces deux grandes divisions. 11 résulterait de mes recherches que la
conscience
parfaite serait plus fréquente dans le délire g
ncilie mieux avec le délire général qu'avec la monomanie, et que la
conscience
a besoin d'une plus CAS DE SCLÉROSE EN PLAQUES
valle, il se produit dans son état un grand chan- gement, dont il a
conscience
. Sa parole devient embarrassée d'une façon perm
distingue plusieurs formes dans la mélancolie : la mélancolie avec
conscience
d'ls'squirol ; la mélancolie avec stupeur dont
on vit; 3° des habitudes conformes à 1'tt"e et à la position; 40 la
conscience
des actes. L'au- teur termine par des considéra
- colique et prédominance d'idées hypochondriaques. Il n'a aucune
conscience
de sa situation, il ignore le cours du temps, son
saurait être ques- tion de perte de connaissance; l'intensité de la
conscience
est seule diminuée, ce qui explique l'amnésie u
appui de celte conclusion. Elle concerne, en effet, des accès d'in-
conscience
partielle, suivie d'amnésie partielle, pendant le
C'est ]-IL un cas, selon M. Dros- dow, de morbus /)) ? 0'CM. ! avec
conscience
et conservation des facultés psychiques, sans h
i'-ir»-i "i'n» j'j"i.iJjjrj'i"[oj cet égard'. 1° cas cul individu a
conscience
et souffre morale- - 'r ? t ? 211. : tWtt;' .·,
nts. Crises alternant avec des rémissions et inter- vallesllacides (
conscience
) : Le calme n'est obtenuique par-l'en- veloppem
s mensonges, dont le devoir pour le médecin estsouventde charger sa
conscience
,' on peut se heurter à deux' écueils ! ou ne pas
uestion d'interprétation pour laquelle, ne relevant de noire propre
conscience
, nous ne devons prendre conseil que de nous- mê
ailleurs le malade n'a ni aura, ni hallucina- tions, et conserve la
conscience
des troubles intellectuels qu'il offre périodiq
impulsions et menaces de suicide, la persistance si fréquente de la
conscience
, la route si grande de la démence, l'analogie a
l'éarV les), par Jolly, 3G9. Evasion des aliénés, 398. Folie avec
conscience
(recherches snrla), par Alaraudon de Slontvel,
ut groupement d'anormaux — et pour les pauvres, c'est une question de
conscience
— doit être surveillé par une commission spéciale
de quelques mois des additions. Les enfants prennent en même temps
conscience
du milieu qui les environne, des personnes qui le
Il n'est pas rare en effet de constater que la cécité laisse dans la
conscience
de ses victimes un état d'indifférence plus ou mo
ger corps et âme, avec une raison supérieure, une science sûre et une
conscience
avertie ! Ce jour-là nous aurons trouvé enfin le
malade se trouve ainsi grandement soulagé, lorsqu'on a ramené dans sa
conscience
la cause profonde de ses misères ; il est facile
on : « Si je cesse de parler de responsabilité, c'est que j'ai sur la
conscience
quelques mauvais jugements ! » (En quoi je suis s
, l'a rendu violent et brutal ; (paragr. 5)... au moment du crime, sa
conscience
était partiellement obnubilée (paragr. 5). Vous
nution de la force de résistance aux incitations passionnelles ; — la
conscience
est partiellement obnubilée... Mais les termes di
on responsabilité atténuée. Et, quand il. s'agit d'obnubilation de la
conscience
, de discernement, de débilité, mentale, de maîtri
puis-que vous parlez, vous-même, de degrés dans l'obnubilation de la
conscience
; Libre ? Oui, libre, au sens psychologique (et
utable a X,., (en raison de l'absence de tare et de la lucidité de sa
conscience
, etc.). 2° Cet acte n'est pas imputable a X...
ait, comme toute personne normale, les dissimuler et les taire, ayant
conscience
de leur caractère immoral et répréhensiblc. Dan
t en garde contre des actes, punis par les lois ; elle a en un mot la
conscience
claire de ce qu'elle est en réalité, une honnête
de connaissance dont elle revient avec une personnalité réduite, une
conscience
rétrécie, des fonctions psychologiques diminuées.
des idées antagonistes qui la neutralisent habituellement dans la
conscience
normale : elle se transforme en une véritable imp
ie. La maladie dure depuis quatre ans. Les phénomènes sont : perte de
conscience
, crampes toniques, morsures de la langue, hémorra
inquiétude à la famille que s'organisent insidieusement ces élatsde .
conscience
anormaux que l'on désigne sous les divers noms d'
contemplation de la mort ne devraient que rarement se présenter à la
conscience
des jeunes,à l'âme ardente del'enfant ou même à n
el acte doit-il être imputé à sa personnalité consciente et libre » ?
Conscience
, liberté, nous revoilà sur le terrain philosophiq
ui, est faillible... » A merveille. C'est parce que nous avons pleine
conscience
de notre fail-libilité que nous nous gardons de c
ière. Ce jour-là, les magistrats chargés déjuger seuls en leur âme et
conscience
jugeront comme aujourd'hui, sans plus de peine.
entouré de tous renseignements utiles, ai consigné, en mon honneur et
conscience
,dans le présent rapport, le résultat de mon exper
mentale. « 2* Celle-ci, sans être portée au point de lui enlever la
conscience
de ce qu'il fait, est cependant dénature à atténu
ue sur le libre arbitre, la prescience, l'existence réelle du moi, la
conscience
morale, la distinction de Pâme et du corps, l'apo
le, je dirais presque son entendement) mais de dire si, en son âme et
conscience
, il considère quel'individu qu'on soumet à son ex
de synthèse psychologique, une aboulie ou rétrécissement du champ de
conscience
, qui se manifeste d'une manière particulière : un
se développent complètement et isolément, à l'abri du contrôle de la
conscience
personnelle, et qui se manifestent par les troubl
mentale caractérisée par la tendance au rétrécissement du champ de la
conscience
et à la dissociation des systèmes d'images et des
stèmes d'images et des fonctions qui par leur synthèse constituent la
conscience
personnelle » vous le voyez, c'est pour ainsi dir
apeutique consiste donc à ramener ces aspirations dans le champ de la
conscience
, le malade alors comprend la cause de son mal et
arrêt, celte aboulie précédant l'apparition des états d'obsession. La
conscience
de l'affaiblissement de la volonté inquiète les m
nt leurs efforts pour lutter contre l'idée obsédante qui envahit leur
conscience
, ils en arrivent au plus profond désespoir. Pour
it quelle difficulté on éprouve parfois à ramener dans le champ de la
conscience
l'idée subconsciente cause de tous les troubles.
e de ce fait, sans aucun doute, serait tué ; mais vous avez vous-même
conscience
de vos propres crimes. » Mohammed Toghlak, au com
as de guérison de manies religieuses : manie de la prière, remords de
conscience
; de troubles mentaux se montrant à l'âge critiqu
tte peur brusque et obsédante de /a mort en pleine santé et en pleine
conscience
. J'ai consulté aussi bon nombre de moribonds des
malade était en bon état de réceptivité. J'ajoute que, par acquit de
conscience
, j'essayai en outre, une fois encore, d'obtenir u
aliers, il n'y a qu'une sensation de gène, sans obscurcissement de la
conscience
, ni anxiété morbide. Les amygdales sont souvent l
, chez un sujet normal, sommeillenldans l'inconscient, envahissent la
conscience
de nos malades. Ces sensations, souvent étranges,
âge de vingt-quatre ans, Mlle J..., qui, jusque-là, avait eu pleine
conscience
de ses obses- sions, arrive à les considérer co
avages des mains. Cette demoiselle qui, pendant longtemps, avait eu
conscience
du caractère pathologique de ses « manies », co
t ses scrupules divers ne sont plus pour elle que les preuves d'une
conscience
morale affinée, plus délicate que celles des au
ale, à caractère d'insuffisance, en une dissociation spéciale de la
conscience
personnelle, les détails n'en diffèrent pas moi
ernier terme, à l'exis- tence, chez les obsédés, d'un trouble de la
conscience
person- nelle sur lequel nous avons insisté aut
obsédés qui se rendent compte de leur état, cette division de la
conscience
n'en existe pas moins déjà dans l'intervalle de
a plus nette de l'asservissement et de l'éclipsé mo- mentanée de la
conscience
personnelle. C'est là, dans cette dissociation
la conscience personnelle. C'est là, dans cette dissociation de la
conscience
personnelle, dans son obnubila- tion passagère,
te aboutissant à l'appau- vrissement de plus en plus prononcé de la
conscience
per- sonnelle dont le rôle de réducteur finit p
humain, provoquant l'interprétation, la justification d'un état de
conscience
contre lequel le malade ne lutte plus, mais qui
lques symptômes discrets et n'évoluent pas, mais surtout nous avons
conscience
de n'être pas désarmés devant le danger de la s
ude de l'existence d'une perturbation, d'un obscurcissement de la
conscience
, plus ou moins graves, en tout cas pendant les ph
ant son opti- misme. M. Loinel DAURIAC. Je suis très frappé de la
conscience
avec laquelle les médecins de nos jours se préo
CIÉTÉS SAVANTES. 107 exercent cette influence sur la moralité et la
conscience
des malades. - M. Caznux (d'Eaux-Bonnes). En
ns cet enchaînement des manifestations persistent la lucidité de la
conscience
et l'intégrité de la volonté. La part que prend
r avec un instru- ment, soit d'empoisonner ses aliments. Elle avait
conscience
de cet état et en souffrait ; finalement, pour
omme responsable. Ces idées envahissent totalement le champ de sa
conscience
; elle s'en rend parfaitement compte, et jamais l
on trouve des méfaits perpétrés par des aliénés avérés n'ayant plus
conscience
d'eux-mêmes; mais, entre les deux extrêmes, ne
. Le gâtisme intermittent dont le 230 CLINIQUE MENTALE. .naïade a
conscience
annonce l'anesthésie des sphincters. -Le malade
. P. KERAYAL. XV. Contribution à la connaissance des troubles de la
conscience
avec conservation de la mémoire chez les épilep
ses incendies doivent-ils être mis sur le compte d'un trouble de la
conscience
d'origine épileptique ? Avant que se produisit
'endormir. Ma suggestion est ainsi ce qui occupe en dernier lieu la
conscience
du malade; c'est sur elle qu'il s'endort ; elle
sortes de représentations variées qui assail- lent et distraient la
conscience
; elle offre une matière au développement de la
squ'à la maladie actuelle. Vers la mi- décembre 1901, sans perte de
conscience
, il commença à ressentirune faiblesse dans les
ort 7. » Une pareille déclaration prouve qu'elle avait parfaitement
conscience
de sa suggestibilité. Pendant le trajet de Port
percevoir' 7 ». Elle était ainsi « livrée à toutes les peines de sa
conscience
, flot- tante entre la crainte et l'assurance, a
profonde avec perte totale de la mémoire dont la malade a une vague
conscience
; elle répète à chaque instant : « Je ne sais p
e pas d'un désordre psychique d'ordre supérieur, d'un trouble de la
conscience
dans le domaine de la vision binoculaire, puisq
ainsi cet état de distraction qui porte atteinte à l'intégrité delà
conscience
et déter- mine ces troubles de la synthèse psyc
t plus rares. Pendant les accès, ' la malade conservait toujours sa
conscience
; le caractère n'était pas modifié. Etat prése
groupes musculaires isolés ; l'accès dure deux ou trois minutes. La
conscience
est conservée. La sphère émotive et l'hu- meur
lutôt provoqué par la douleur dans les muscles en contraction. La
conscience
ne disparaissait point. La malade, ce dernier t
ieur droit et encore plus rarement, le membre supé- rieur droit. La
conscience
, comme toujours, était conservée. Les contractu
la région frontale, se propageant des deux côtés et de vertiges. La
conscience
était nette; les papilles réagissaient bien ; o
ée joue aussi un grand rôle dans la pathogéuie des tics, quant à la
conscience
elle intervient et disparait au cours du phénom
ue prophylactique. Une analyse un peu détaillée suffit à montrer la
conscience
que les auteurs ont mis à composer leurs livres
la crainte perpétuelle d'un mal- heur imminent s'installent dans sa
conscience
d'une façon chro- nique. En même temps apparais
épondant, il n'alla pas ouvrit de suite. Il avait sans doute à demi
conscience
qu'il était victime d'une hallucination. PHYS
s « des troubles et des angoisses incroyables3 », un « trou- ble de
conscience
épouventable ^ », un accablement entrecoupé de
on l'avoit con- duit3 ». 11 prit Antoine Singlin comme directeur de
conscience
, et, sous ses suggestions aussi bien que sous c
s, dégagées de toute conception ancienne sur la psy- chologie de la
conscience
et des sensations, ont été vivement com- battue
rien à faire avec l'espace, que si la localisa- tion est un fait de
conscience
, le fait de conscience, lui, n'est pas localisé
ace, que si la localisa- tion est un fait de conscience, le fait de
conscience
, lui, n'est pas localisé. Le travail de M. P. B
obsédantes. Concernant les troubles moteurs et les modifications de
conscience
, les auteurs notent dans 1 cas des accès épilepto
5 cas, des accès hystériformes, dans 8 cas, des syncopes trouble de
conscience
di, courte durée. Les anomalies sexuelles dans
rbide caractérisé par l'apparition involontaire et anxieuse dans la
conscience
, de sentiments ou de pensées parasites qui tend
se manifeste habituellement sous forme paroxystique, s'impose iL la
conscience
révoltée, d'où une lutte qui ne fait le plus souv
'accentuer l'angoisse. Un point important est la conservation de la
conscience
, sauf dans quelques cas asez rares. Parmi les o
a délire ou perte de la connaissance, c'est-à-dire abolition de la
conscience
pendant la durée de la crise. Si la maladie est
ULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Maxwell (J.). L'amnésie les troubles de la
conscience
dans l'épi- lepsie. 1 vol, in-8" de 2SG pages.
Babinski, 202. Contribution à la connaissance des troubles de la
conscience
avec conservation de la mémoire chez les -. par
le de délire hallucinatoire. Il était sur- tout confus et avait une
conscience
peu nette de son état. Au bout de quelques jour
cas soit physiologique, soit pathologique. Elle peut enfin avoir la
conscience
de la constitution anatomique de ses organes et d
t conscient ne peut avoir lieu que si, au préalable, le champ de la
conscience
est visité par l'idée de ce mouvement ou de cet
ement concurrentes, il faut qu'elles soient chassées du champ de la
conscience
: c'est le rôle de la volition ; l'idée victori
e entraîne l'acte de choix. Le degré de netteté dans le champ de la
conscience
des idées de mouvement dépend de l'activité des
as immédiatement à l'instant où cette idée disparait du champ de la
conscience
. Ils subsistent bien qu'affaiblis et il suffit
istance du travail intra-cortical s'évanouit dès que le champ de la
conscience
est pourvu d'un nouvel objet. 60 REVUE D'ANATOM
psychomécanique suppose que nul autre objet n'occupe le champ de la
conscience
, que celui-ci est rétréci; de là la ressemblanc
que cette idée se maintiendra sans concurrence dans le champ de la
conscience
, le bras conservera la position qu'on lui a don
ue ne s'effectue plus, il retombe. Le rétrécissement du champ de la
conscience
du catatonique explique que les actes des autre
river que des idées à mécanisme persévérant bloquent le champ de la
conscience
et alors ces suggestions restent inactives, ne
ction inhibitive du cerveau antérieur apparaît dans la sphère de la
conscience
et constitue ainsi la base de la volition. Elle
états d'automatisme; 3° L'hyponar- cose ou narcose subliminale avec
conscience
, hyperacuité auditive, hyperréceptivité central
s et qui, vieille seulement d'un an, est en pleine prospérité. La
conscience
et la conscience de soi. ni. Wunaendts Francken
le seulement d'un an, est en pleine prospérité. La conscience et la
conscience
de soi. ni. Wunaendts Francken (de Rotterdam).
et la conscience de soi. ni. Wunaendts Francken (de Rotterdam). La
conscience
n'est qu'une notion collective, une conception
psychiques qui sont en jeu à un moment donné. Il existe non pas une
conscience
absolue sans contenu, en soi, mais une série d'
soi, mais une série d'états conscients. Nous ne connaissons pas la
conscience
, mais seulement des phénomènes conscients. La c
ons pas la conscience, mais seulement des phénomènes conscients. La
conscience
est une fonction ou un phénomène con- comitant
ions de l'attaque, ou à des rêves noc- turnes, à des troubles de la
conscience
, de la mémoire et de la personnalité. En dehors
voir manger. Il pleure facilement, mais se console vite. Il n'a pas
conscience
de sa situation. La notion du temps et du lieu
d'une somnolence durant des jours entiers, de l'obnubilation de la
conscience
, de la lenteur et de la confusion de l'articula
ssent pendant un temps assez long, et qui se trouvent, en reprenant
conscience
d'elles-mêmes, dans un lieu éloigné, sans savoi
la nuit quand la malade se lève pour uriner. La malade en a pleine
conscience
, ces secousses ne s'accompagnenl jamais de pert
des troubles cérébraux : troubles de la perception, troubles de la
conscience
, de la mémoire, etc., tout cela est exposé et s
les rapports de ces maladies de la mémoire avec les troubles de la
conscience
et de la personnalité, en les appuyant sur quel
nua cependant à remplir son devoir de fille de ferme avec plus'de
conscience
peut-étte puisqu'elle ne pouvait plus perdre son
e avalerait les arêtes, etc., etc. Très intelligente, elle avait la
conscience
très claire de son état morbide et de l'absurdi
t en forme d'une peur d'avoir une maladie psychique avec perte de
conscience
. Dans le cas donné, d'un côté saute aux yeux la
ire du langage écrit et le bégaiement du langage parlé. L'état de
conscience
dans lequel se manifestent ces troubles ner- ve
l avant d'être moteur. Le seul traitement rationnel de ces états de
conscience
est la suggestion hypnotique tendant à la réduc
amène à nier les droits d'autrui et y porter atteinte. Chez eux, la
conscience
n'a pas de révolte; aucune considération ne les
peut penser et travailler consciemment; mais c'est un autre état de
conscience
. Réveillé, le sujet ne se rappelle pas qu'il a pe
bère, poursuit un but éloigné, découvre et invente ; elle fait avec
conscience
ce qui était d'abord fait sans conscience. Les se
invente ; elle fait avec conscience ce qui était d'abord fait sans
conscience
. Les sentiments moraux sont en rapport direct a
sychologiques suivants : I. Narcose confirmée. Il n'y a plus pleine
conscience
, mais seu- lement subconscience ; c'est une sor
. Il y a, cette fois, sommeil profond, avec en- gourdissement de la
conscience
et même, à ce qu'il semble, in- conscience rela
n- gourdissement de la conscience et même, à ce qu'il semble, in-
conscience
relative, échec des suggestions à échéance et amn
SAVANTES. 361 ne le franchit pas; c'est une narcose subliminale. La
conscience
est restreinte, mais exaltée ; elle gagne en in
s, obsédés, délirants, impulsifs, fous moraux, impuissants. Ils ont
conscience
de lent- cas pathologique ; ils le déplorent et
gnance cette hyponar- cose qui, loin d'obscurcir ou de supprimer la
conscience
, la con- serve et même l'exalte. II y a plus.
te fois, sans cortège de phénomènes délirants. Le mécanisme de la
conscience
. M. de VRirs (d'Amsterdam). La simple mémoire s
réclame la mort, etc.. Elle semble parfois aussi avoir une lueur de
conscience
de sa situation : « Je suis toquée, s'écrie-t-e
is spontanément, écrit à sa famille, mais elle n'a pas la moindre
conscience
de son état, ne s'explique pas sa présence dans l
alomaniaque du moi ; par une certaine lucidité : le sujet a quelque
conscience
de son état mor- bide et, si, sous l'influence
utre morceau de musique, prend une forme définie et pénètre dans la
conscience
dans le centre correspondant de perception du l
me nature, aboutissant à la revivis- cence de la même image dans la
conscience
. Nous pouvons donc concevoir la pensée que les
otrices verbales, d'impulsions verbales, de troubles spéciaux de la
conscience
, de manifestations du langage réflexe. ' IV.
des affections dénotant des troubles plus ou moins accentués de la
conscience
qui sont, en général, graves, et, d'autant plus
insi cet état de distraction qui porte atteinle à l'intégrité de la
conscience
et détermine ces troubles de la synthèse psychi
France et des pav. de langue française. Bluxellus, J3, 216, 312.
Conscience
. La - et - rie soi, pal Wijnaenrits SI Le méc
sumer ainsi : quand j'ai volé chez M. Quesneville je n'avais pas la
conscience
de mes actes, la preuve c'est que pendant longt
nant cet autre point : Delannoy avait-il, comme il assure, perdu la
conscience
de ses actes sous l'in- fluence de l'alcool qua
a laissé le lit à moitié fait. Or, qui dit mémoire d'un fait dit
conscience
de ce fait. Qu'est-ce en effet que la mémoire ? C
u lieu. Mais comment se rappeler un événe- ment dont' on n'a pas eu
conscience
et qui. par conséquent n'a pu se ûxer dans le c
r la peur. L'intellect est indemne; les malades ont parfaitement la
conscience
de leur mal. L'auteur n'a jamais trouvé chez ces
suture des parties molles : c'est alors que le blessé recouvra une
conscience
apparente, mais son intelligence resta obtuse,
Toutes ces crises furent violentes, et durant leurs intervalles, la
conscience
ne reparut pas un seu- instant. Après leur cess
te et les yeux sont tournés à droite. La parole est abolie; mais la
conscience
, l'intelligence et le pouvoir d'exprimer les idée
e la jambe droite et le bras gauche ont été envahis, mais jamais la
conscience
n'a été abolie.- Enfin, dans l'ordre chronologiqu
, mais aucune d'elle ne paraît s'accompagner d'une perte absolue de
conscience
. L'aura parait consisler en une sorte de frémis
t ne sont plus, comme avant l'opération, accompa- gnées de perte de
conscience
. Elles sont precédées par une aura légèrement d
n consciente. Pendant la crise obsédante le malade n'a pas toute sa
conscience
; sa personnalité et par suite son état de consc
a pas toute sa conscience; sa personnalité et par suite son état de
conscience
sont entamés. Ainsi, dans le cas particulier, X
, au cours de la crise obsédante, n'avait certainement pas toute sa
conscience
. La preuve c'est que lui, un garçon honnête, a co
crise a été terminée, alors, seulement, il est revenu à son état de
conscience
habituelle, a eu regret de ce qu'il avait fait,
des sens, sensations et idées, mémoire. Lois de l'asso- ciation. La
conscience
et l'inconscience, l'attention, l'habitude, l'a
pace objet de perception de la vue, du toucher, des autres sens, la
conscience
de l'étendue. Illusions géo- métriques et optiq
s émotions elles lois de la sensation. Le système de la volonté, la
conscience
de la volonté, actions volontaires, mouvements
onté, actions volontaires, mouvements expressifs, faits éthi- ques.
Conscience
personnelle, développement de la personna- 90 v
es sensations sexuelles.- Grandes névroses (hystérie, épilepsie). -
Conscience
alternante, con- tagion psychique, côté patholo
ts qui durent quelques secondes, pendant lesquelles il perd presque
conscience
de ce qui l'en- toure ; toutefois il ne tombe j
très circonstanciés, fait preuve de bon sens et montre une parfaite
conscience
de son état. Il sait par exemple que ces voix s
n ; il est seulement plus prolongé. En effet, il n'y a pas perte de
conscience
, mais plutôt diminution de la conscience, ainsi
t, il n'y a pas perte de conscience, mais plutôt diminution de la
conscience
, ainsi qu'il arrive dans le rêve pendant le somme
er le sol du talon, danser, etc. Elle gardait malgré tout sa pleine
conscience
et se rendait parfaitement compte de l'ab- surd
é de l'action céré- brale. - Son malade présentait un cas de double
conscience
, et dans sa condition seconde il n'avait aucun
ortance de la com- plication qui la provoque. La perte primitive de
conscience
, fréquente dans les hémorrhagies indique qu'il
'il y a complication de contusion générale. La perte consécutive de
conscience
due soit à, la perte de sang soit à la compress
rave et que l'hémorrhagie est plus ou moins rapide : le retour à la
conscience
est partiel ou complet selon l'importance de l'
de précision. Le moins irrégulier de ces symptômes est la perte de
conscience
, se manifestant à une £ - époque et à un degré
ce, et le délire variable qui pré- cède ou qui suit le retour de la
conscience
relèvent de la contusidn générale concomitante.
symptôme secondaire révélant la lacération. La perte pri- mitive de
conscience
peut être remplacée par un état de léthargie ou
a guérison, la démence chronique ou la mort. Exceptionnellement, la
conscience
peut demeurer intacte malgré l'existence d'un d
tes les lacéra- tions étendues, indépendamment de l'abolition de la
conscience
et de la perte de la puissance musculaire. Il e
e, l'écriture incertaine et maladroite. Pas de troubles psychiques,
conscience
intacte. Pour expliquer les défaillance, l'aute
que, le neurasthénique, le vieillard, le débile ont généralement la
conscience
de leur peu de mémoire ; lorsqu'il s'agit d'un
nté et que, malgré cela, l'hypno- tisé n'ait, dans la suite, aucune
conscience
de l'acte qu'il a commis. Le plus grand nombre
science est loujours altérée; vertige, vsi léger'qu'il il soit, la/
conscience
est toujours altérée; cette altération-.s'accro
fonctions cor- ticales, et, par suite, d'altérer les phénomènes de
conscience
. On est d'accord avec les données expérimentale
ement employés à dose modérée (sans aller jusqu'à l'abolition de la
conscience
) et si l'on essaye alors de provoquer le vertig
brale. C'est le jeu des ondes qui projette au-dessus du seuil de la
conscience
ces conceptions, ou au contraire qui les attire
tale, de demi-stupeur, de pseudo-catalepsie avec conservation de la
conscience
. ' Chez la deuxième malade, au lieu de voir la
avec la genèse des manchons myéliques des fibres de ces parties. La
conscience
s'exerce chez le nouveau-né, pour cette raison, p
inférieurs, jusqu'au degré le plus élevé, dans lequel la fonction n
conscience
s'exerce principalement par l'écorce des hémisphè
S. LXVIII. Contribution A la casuistique DES dédoublements DE la
conscience
; par le Dr IOVELLO GiusEPPE. (Il manicomi 0, fa
n d'un hystérique atteint de vigilambulisme avec dédoublement de la
conscience
et ammésie réciproque. J. S. LXIX. Deux cas d'h
ux observations sont également des exemples du dédou- blement de la
conscience
dans l'hystérie. J. S. LXX. Sur la toxicité du
Brésil, par Rodrigues, 312. - ou malade, 319. Dédoublements de
conscience
par Giuseppe, 484. Dégénères. Traitement des
tenté a réussi jusqu'à présent, nous le devons certainement à la
conscience
avec laquelle, en général, les nourricières ont
nt dans le conditionnement de cette conjugaison que l'Homme prend
conscience
de son Unité. Ah ! je sais bien que tel n'est p
s qui s'y rattachent (attribution de chaque personnalité ou état de
conscience
à l'un des hémisphères, etc., ont été facilemen
cus. 38 PSYCHOLOGIE. mènes d'inconscience, de subconscience ou de
conscience
. admira- blement analysés et décrits par P. Jan
res sans contrôle de la Raison supérieure, tantôt et enfin lapleine
conscience
née de la mise en jeu de la Raison. 4° preuve
reuve. Le Duplicisme rend compte de la distinction à faire entre la
conscience
simplement psychique et la conscience morale en
distinction à faire entre la conscience simplement psychique et la
conscience
morale en qui se formule le Devoir ; elle expli
et aussi ses états psychologiques anormaux,sa liberté, son unité de
conscience
, sa vie morale, sa faculté d'éducation et sa vi
actères jusqu'ici attribués à la fugue (irrésistibilité, état de la
conscience
et du souvenir) sont loin d'être généraux, il sem
se caractérisent par une ap- parence de but, la conservation de la
conscience
et du souvenir, des tentatives d'explication de
étrangère se fait connaître ; l'acte d'écrire n'occupe pas toute la
conscience
,mais quand les per- ceptions dues à l'intermédi
l'intermédiaire des représentations graphiques * pénètrent dans la
conscience
, elles sont prises pour une influence étrangère
t même contre la volonté du sujet; son contenu arrive aussitôt à la
conscience
par les images motrices graphiques ; la psychog
ges motrices graphiques ; la psychographie est automati- que : la «
conscience
supérieure » n'en connaît le sens qu'après lec-
comme toute personne normale, les dis- simuler et les taire, ayant
conscience
de leur caractère immoral et répréhensible. D
n garde contre des ac- tes punis par les lois ; elle a en un mot la
conscience
claire de ce qu'elle est en réalité, une honnêt
e connaissance dont elle revient avec une personnalité réduite, une
conscience
rétrécie, des fonctions psychologiques diminuée
des idées antagonistes qui la neutralisent habituellement dans la
conscience
normale : elle se transforme en une véritable i
par l'angoisse, que l'impulsion se déclanche Le terme de folie avec
conscience
, employé pour désigner l'état mental de ces mal
alades, est donc assez impropre, puisque c'est précisément quand la
conscience
claire tend chez eux à disparaître que l'obsess
omme exclusive de toute responsabilité. Dans ces di- vers états, la
conscience
est altérée,pervertie ou réduite à telpoint,par
si, je me trouverais dans cette situation singulière, moi qui avais
conscience
d'a- voir vu tant d'hystériques, tant de paraly
stiques sur des mots que nous sommes incapables de définir, comme
conscience
, idée, image, représentation, etc. Tout le monde
dant le traitement mercuriel à ses tabétiques, plutôt par acquit de
conscience
que par conviction. Il pense même, comme M. Cro
l'union de toutes les forces vives qui agissent ici dans la pleine
conscience
de leur mis- sion de charité et de science que
cette idée émancipée, de l'autre il y a une lacune .amnésie ou in-
conscience
particulière dans la conscience personnelle. Si
e il y a une lacune .amnésie ou in- conscience particulière dans la
conscience
personnelle. Si l'on veut bien y faire attentio
aux deux phénomènes et le mutisme hystérique est une lacune dans la
conscience
personnelle déterminée par l'é- mancipation d'u
lus visi- ble. Ces idées, ces fonctions qui se séparent ainsi de la
conscience
personnelle ou de la volonté, subsistent cepend
onctions plus profondes qui d'or- dinaire ne dépendent pas de notre
conscience
, la digestion, la cir- culation du sang dans le
ssement du champ 224 .CONGRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATRIE. de la
conscience
et à la dissociation des systèmes d'images et des
es d'images et des fonc- tions qui par leur synthèse constituent la
conscience
personnelle. Cette définition est évidemment pr
orsqu'un sujet est soumis à une rotation dans le plan horizontal, a
conscience
de ce mouvement.Lorsque la ro- L32 REVUE DE PAT
ra supprimé. Le sujet étant mis à tourner sinistrorsum, il n'a plus
conscience
de ce mouvement giratoire, il aura des vertiges
ogiques de la coquetterie s'observent aussi dans les troubles de la
conscience
, dans la dé- mence ; enfin, l'exagération de la
xpertise, et celle des impulsifs. Ils peuvent se grouper ainsi : 1°
conscience
de la valeur morale de l'acte ; 2° intelligence
paraissent comme formanlun tout, une fonc- tion, ayant pour base la
conscience
de la valeur morale de l'acte auquel entraine l
rdre ci-dessus, et l'auteur établit les relations étroites entre la
conscience
morale et ces éléments : A). La conscience de l
ations étroites entre la conscience morale et ces éléments : A). La
conscience
de la valeur morale de l'acte repose sur un dou
physique transformée et sensibilité morale). B). Par cette seule
conscience
de la valeur morale d'un acte, se mettent automat
s le mode d'action de ceux de ces élé- ments qui font corps avec la
conscience
morale : intelligence; peur de la punition; sen
ites normales les repré- sentations latentes à l'arrière-plan de la
conscience
, pour ne s'en servir que lorsqu'elles sont util
sous les titres de « paranoia abortive, folie du doute, folie avec
conscience
, folies à idées imposées, pseudomonomanie, im-
s : il arrive alors qu'elle ne réveille plus, en surgissant dans la
conscience
, ses réactions habituelles ; le diagnostic est
tion périphérique et se porte ainsi isolément au piemier plan de la
conscience
; mais ces représentations ne trou- vent pas à
pathologi- que,cette dernière est inconsciente. Le psychasténique a
conscience
de son état ; le mélancolique ne l'a généraleme
et recourt même à la quantification mathématique lors- qu'il dit : «
conscience
à demi ou au quart obnubilée». Xi punissa- bili
e est pleine- ment imputable à X... (en raison de la lucidité de sa
conscience
et de l'absence de lare ayant déterminé ou infl
al comprise. Ils ressemblent avant tout à ces individus qui n'ont
conscience
ni du froid ni du chaud et qui ne bravent le fr
avec la conservation de la cons- cience. - Cette conservation de la
conscience
au premier abord paraît complète puisque ledans
pêchent absolument de s'y livrer, le retiennent et attendent que la
conscience
soit un peu revenue. Ils rappellent alors absol
du fer rouge est très intéressant parce qu'il démontre à la fois la
conscience
persistante de l'individu et son insensibilité.
ela me paraît rentrer dans ce qui fait la part de l'acrobatie. La
conscience
est un peu mieux conservée chez eux que chez le
ndividus en attaque d'hystérie vraie. Mais cette conservation de la
conscience
est loin d'être toujours égale; dans la troupe,
f con- ducteur centripète, une sensation nait par là même dans la
conscience
. Un phénomène initial purement physique a donc
l, parce que l'excitant franchit là en quelque sorte le seuil de la
conscience
; on lui donne en outre le qualificatif de simpl
nissaient par une course dans la chambre dont le malade n'avait pas
conscience
. Je ne puis m'empêcher d'exprimer que dans ces
ils opposaient au toucher comme « capacité de sensation ou simple
conscience
de passion » . Vers la fin du xv me siècle, Dar
st le sentiment de l'activité musculaire ; pour Duchenne c'est la «
conscience
muscu- laire ». William Bain dans ses Notes e
sculaire, bien qu'ils remuent à peine leur membre. D'après cela, la
conscience
de l'effort serait indé- pendante de la contrac
uscles par les nerfs moteurs et son siège est du côté moteur, et la
conscience
de nos contractions musculaires est indépendant
ent donc à la fois les agents de la contraction musculaire et de la
conscience
de l'effort musculaire. A l'appui de cette hypo
deux membres, et que par consé- quent elle devait avoir conservé la
conscience
de l'effort mus- culaire. Toutefois, Ferrier ob
on se montre partisan des idées de Wundt et de Bain, pour qui notre
conscience
de l'activité musculaire est en grande partie c
s est accompagnée de conditions mentales qui représentent devant la
conscience
le mouvement lui-même, la force avec la- quelle
'explication véritable ; il semble que lavolonté du mouvement et la
conscience
de ce mouvement soient des faits contemporains,
de flexion des doigts, et des parties dont le blessé avait perdu
conscience
depuis des années peuvent réapparaître. «Il est
le il est accompli. A chaque volition surgit dans l'intelligence la
conscience
de l'acte à accomplir avec ses qua- lités ; c'e
culaire et cons- cience musculaire. « 11 ne faut pas confondre la
conscience
musculaire, dit-il, qui, dans l'acte des mouvem
e la sen- sibilité articulaire que de la sensibilité musculaire. La
conscience
musculaire peut exister indépendamment de la se
insi que le prouve d'ailleurs le passage suivant : « Le moi a une
conscience
directe des phénomènes de volition; il sait imm
L'action nerveuse qui excite le mouvement ne peut donc fournir à la
conscience
qu'une idée de la volition et non de son exécutio
se en liberté durant un effort volitionnel, ou autrement dit, de la
conscience
qu'a l'esprit de sa propre énergie centrifuge.
e des sensations organiques, contribuant inconsciemment ou avec une
conscience
confuse au résultat final. La vue peut le rempl
ue la destruction des centres corticaux a pour effet la perte de la
conscience
musculaire. Schiff (Archiv. sur Experim. Pathol
vérité, être décrit sous le nom de perte du sens musculaire ou de
conscience
musculaire dépend de la lésion d'une région ent
a destrnction des centres centripètes abolit le sens musculaire, ou
conscience
musculaire, bien que la faculté du mouvement su
des processus purement physiologiques, com- plètement dépourvus de
conscience
, c'est-à-dire que, depuis le moment où l'excita
sens musculaire'soit très émoussé. La malade n'a évidemment pas la
conscience
nette du degré d'effort à faire pour produire u
e pour la première fois le 18 mai 1887; j'ai dit, en mon honneur et
conscience
, ce que je pensais de son état, et depuis j'ai
et espère qu'on pourra faire droit à sa demande. « M. R. Seillère a
conscience
de l'état morbide qu'il vient de traverser ; il
on, sur les condi- tionsdans lesquelles ilse trouvait placé; aucune
conscience
de ses actes; il était encore sous l'influence
dévouement, était, sans doute, parvenu à réveiller un écho dans ces
consciences
endormies, à se faire aimer de ceux qu'il avait
alisées, conservation de l'ouïe et de l'intelligence et perte de la
conscience
musculaire. En dehors de ces attaques, que nous
ue, il a souffert au même degré qu'à gauche. Le sens musculaire (la
conscience
de la position des membres, l'appréciation des
ous vos yeux, a voulu, avec le sentiment de sa responsabilité et la
conscience
de son oeuvre, se rendre à l'étranger. Elle a p
s tenons à coeur de perfec- tionner l'instruction pour qu'il ait la
conscience
, le sentiment de ses devoirs et qu'il sache les
ue-t-il donc ? Eux-mêmes vous l'expliqueront, ils n'ont que trop la
conscience
du mal qu'ils éprouvent, c'est une sorte d'iner
ue le lôle principal et sur laquelle je fixe mon attention. J'ai même
conscience
que l'effort d'attention augmente la netteté de l
urs ainsi. En tout cas, je puis conclure de mes observations que la
conscience
subsiste dans le rêve, dans son intégrité, et je
parait tout à fait arbitraire, que font Spitta et Ra-destock entre la
conscience
de soi qui serait supprimée dans le réve et la si
e la conscience de soi qui serait supprimée dans le réve et la simple
conscience
qui serait seule conservée. La personnalité et le
on sait quelle est aujourd'hui l'influence de cette doctrine sur les
consciences
. Si on envisage cette question du rêve à un poi
e; 9* La personnalité actuelle est conservée dans le rèvo; 10° La
conscience
de soi est conservée dans le rêve; 11* On peut,
de soi est conservée dans le rêve; 11* On peut, dans un réve, avoir
conscience
qu'on rêve: 1*2* Les manifestations psychiques
'abord, c'est un délire somnambulique, un état second. Le champ de la
conscience
est tout entier envahi par une idée fixe qui n'es
cérébraux supérieurs et à un rétrécissement momentané du champ de la
conscience
sensitivo-idéo-motrice. Constatons, en passant,
emarquer dans ce tableau un détail qui témoigne h la fols de la haute
conscience
du peintre et de son souci de la vérité. Craignan
constatations dont je vais exposer l'importance. M. 8., reprenant
conscience
de son existence, demande son âge et la date prés
iforme, continue, exclusive et prolongée, finit par supprimer dans la
conscience
la perception d'une différence et par produire ai
ereslhésles. Enfin, au réveil, Il a fait place, d'emblée, à la pleine
conscience
, avec conservation delà mémoire pour tout ce qui
chent l'apparition du mal de mer. Ces états forts accaparent toute la
conscience
, font dérivation, suspendent l'impres-sionnabllit
anormale. Le D' Chowne, qui a étudié son sujet avec la plus grande
conscience
terminait so:i étude en faisant ressortir les
a chambre, de la rue ou de l'escalier. Si elle rêve la nuit, elle a
conscience
que c'est un réve, et souvent s'y complaît et pou
ui adresse la parole, elle ressent une sorte de surprise organique, a
conscience
qu'elle était comme dans un rêve, revient à la ré
ent le sommeil, état intermédiaire, dans lequel, sans perte de la
conscience
, mais par suite de sa discontinuité, un certain d
constitue. Tous les phénomènes psychiques évoluent autour d'elle. Sa
conscience
se réduit à la croyance qui la domine. Et cette c
gique. En outre de la distraction et du rétrécissement du champ de la
conscience
mis en avant par les psychologues, il ne faut pas
une victoire morale, car brisant l'élan de l'ennemi, elle leur donna
conscience
qu'ils pouvaient l'attaquer et le battre. Il n'en
vie. On peut idéalement façonner le cœur de l'enfant et éclairer les
consciences
naissantes. On peut même former et réformer tes c
sée par un état réel d'aboulie, avec un rétrécissement du champ de la
conscience
, sans toutefois comporter pour cela aucun des gra
bravoure, ils s'avancent vraiment à la mort comme s'ils n'avaient pas
conscience
du danger. Sans diminuer en rien leur réelle vale
ptes de n'importo quelle croyance qui ont mis la frontière entre leur
conscience
et les exigences du service actif? Autrefois, M
la loi commune, de la loi pour tous, ou bien, au nom de la liberté de
conscience
qu'il invoque, l'absoudre et le dispenser d'une p
ectation spéciale à celui qui prétend ne pas vouloir, par scrupule de
conscience
ou autre, apprendre ce qu'il faut savoir, en temp
intérossent et qui, sous prétexte qu'il est de leur devoir et de leur
conscience
d'agir aussi, par haine de la guerre, esprit de s
n d'activité cérébrale semble limitée à la sphère morale. Bien que la
conscience
reste vigilante, la valeur de l'homme n'en est pa
considérons comme autant de vérités fondamentales : « L'homme qui a
conscience
d'avoir du caractère dans ses façons de penser, n
qui satisfait davantage l'intelligence. Est-ce le monde interne de la
conscience
réglé par les lois do l'ordre moral et intellectu
et garder une fière Indépendance, c'est-à-dire ne dépendre que de sa
conscience
. Et cette conscience que chacun porto en soi et q
Indépendance, c'est-à-dire ne dépendre que de sa conscience. Et cette
conscience
que chacun porto en soi et qu'il importe de dével
leur santé à tous deux, ainsi que la santé des enfants à venir, j'ai
conscience
d'avoir socialement rempli mon devoir médical, et
st diminuée. Notez que cette malade, très intelligente, s tout à fait
conscience
de son état; elle raconte très bien ce qu'elle ép
est à la fois curieuse et rare. Cette femme, en effet, a parfaitement
conscience
de son état et le raisonne ; dès qu'elle évoque u
livre récent de M. Frédéric Myers, et en particulier sa théorie de la
conscience
subliminale. Discussion : M. Bérillon. M. Deh
t la règle bien connue : les souvenirs revenaient dans le champ de la
conscience
s'imposant d'abord comme des souvenirs de rêve, p
prendre. Une mélodie n'est autre chose qu'une traduction en termes de
conscience
d'un ensemble (1) Rapport verbal fait a l'Acadé
se sentent inférieurs et faits autrement que tout le monde ; ils ont
conscience
que leur énergie vitale est moindre ; ils éprouve
e Corfou) : Suggestions pendant le sommeil normal. Dr Demonchy : La
conscience
du sommeil. Dr Fbcillade [de Lyon) : Hoquet ten
uand l'idée fixe, a été supprimée, par interdiction, du champ de la
conscience
. De nouvelles émotions provoquent de nouvelles
errucktheit parce qu'ils ont pour caractères : l'obnubilation de la
conscience
, et l'obscurité du jugement. Incapable de juger
de ce qui se passe en dehors de lui, le malade est fort troublé, sa
conscience
ne lui représente plus l'exacte situation des i
laquelle le Moi se transforme graduellement, sous le contrôle de la
conscience
, par l'intermédiaire d'un délire d'inquisition
de persécutions, mais la dissociation des facultés ou trouble de la
conscience
s'oppose à leur cohésion, à leur amal- game, qu
hénomènes qui président au jugement et à la faculté de conclure. La
conscience
, très obnubilée, ne permet plus l'orientation d
x dire, par l'absence de toute critique. L'apparente lucidité de la
conscience
masque une perturbation spéciale, puisque les m
form) a, d'après Schuele, pour caractères, un trouble partiel de la
conscience
, compatible avec la conservation de ce qui rest
tuelle normale du Moi sain. Dans le Wahnsinn aigu, le trouble de la
conscience
est plus ou moins profond et persistant, les ha
mentale (V erwirrtheit) produit rapidement un trouble profond de la
conscience
; en même temps surviennent des hallucina- tion
associées ou non à des impressions ^sensorielles vraies. En fait la
conscience
conserve sa lucidité, le malade ne perd pas son
lies partielles proviennent d'idées présomptueuses ou exagérées, la
conscience
demeurant [intacte ou à peu près. Evidemment, d
e- puis des années, il y avait une exagération pathologique de la
conscience
du moi qui s'était développée sur le terrain préd
On ne saurait contester qu'une vive émotion ne puisse, sans que la
conscience
fût troublée, développer une idée présomptueuse
e. Le malade, incapable de fusionner les images dans le champ de la
conscience
, subit 1 Voir Archives de Neurologie, 11°' 91,
cas aigus, qu'il a qualifiés de Verwirrtheit. L'obnubilation de la
conscience
, en est le symptôme le plus important. Les perc
ce serait violenter les faits que de leur imputer le trouble de la
conscience
, souvent si profond qu'il parait tout bonnement
le que les troubles sensoriels DE LA PARANOÏA. 93 agissent sur la
conscience
(Wille). On voit la confusion men- tale se prés
ité pendant un temps plus ou moins long. Mendel dit encore : « La
conscience
est, dans la paranoïa DE LA PARANOÏA. 95 aigu
quoi s'installe un délire général, avec trouble considérable de la
conscience
. Ce délire s'accompagne d'hallucinations en mas
eurs), Orchansky voit une obnubilation plus ou moins profonde de la
conscience
. L'activité psychique entière du malade est obn
bés en désuétude. Quand 96 CLINIQUE MENTALE. l'obnubilation de la
conscience
est légère, les patients sont en demi-sommeil ;
ue partiel et sommaire, du passé, mais quand l'obnubilation de la
conscience
atteint son maximum, il est en stupeur et pres-
st pas rare de voir ce symptôme fondamental de l'obnubilation de la
conscience
s'accompagner de phénomènes d'excitation d'ordr
cas, cette confusion mentale (ou somniation avec obnubilation de la
conscience
) n'est qu'une courte période, l'accès atté- nué
s; on la désigne sous les noms de déso- rientation ou trouble de la
conscience
. Très fréquent dans la paranoïa, il masque tout
oupe mérite une place à part dans la paranoïa, car le trouble de la
conscience
ou désorientation est non la cause, mais l'épip
ntia aiguë de la paranoïa aiguë, ce serait le profond trouble de la
conscience
de la première et la lucidité relative de la se
rme, elles ne sont pas agencées, cons- truites, et le trouble de la
conscience
est très vif. D Eickholt accentue cette distinc
llucinatoire aigu) de la paranoïa aiguë, c'est l'obnubilation de la
conscience
; la paranoïa aiguë est donc une forme de trans
déjà, ij2.18 8 CLINIQUE MENTALE. .,une incohérence obnubilant'la
conscience
, au plus 'haut point tttroublée dans la,confusi
intérieures (de Krafft- Ebing, Kroepelin), un trouble partiel de la
conscience
ou une espèce d'infirmité mentale empêchant le
'écriture comme ceux des para- lytiques, impossibilité de calculer.
Conscience
parfaite de ces acci- dents qui augmente la dép
en un mot pen- dant,,Ia durée -de- certains états dans lesquels la
conscience
normale. du malade est interrompue et qui ne la
de phénomènes subconscients qui se développent parallèlement à la
conscience
normale,' mais à son insu. Ce sont ces caractères
omme ferait une destruction de ce lobe, mais qui sup- primerait la-
conscience
,; la perception personnelle. Cette hypothèse et
mais qui s'implantent d'une façon indélébile dans le champ de la
conscience
parce que l'impression qu'elles y font, procède
t difficile à mettre en pratique. M. MERCKDN lit son travail sur la
conscience
de l'état morbide dans la paranoïa. Publié in e
fusions légères de Delasiauve qui peuvent alors s'accompagner de la
conscience
delà maladie et se rapprocher de la neurasthénie;
our se soulager n'importe où plutôt que de s'asseoirdessus, ils ont
conscience
que c'estlàunepratique très malsaine qui expose
d'un moment, il se relève et reprend sa vie ordinaire, n'ayant pas
conscience
de ce qui s'est passé. S'il y a lésion, elle do
cient de l'état physiologique qui accompagne l'appari- tion dans la
conscience
de cette représentation prédominante. Les proce
les plus atteints par la maladie mentale conser- vent des lueurs de
conscience
et sont aptes à recevoir l'impression, à subir
nel des asiles à qui une instruction géné- rale et spéciale donnera
conscience
de son rôle et de ses devoirs, en même temps qu
nt assez sérieu- sement. M"" Servelle, arrêtée, parait ne pas avoir
conscience
de ses actes. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Bou
chait, malgré les consultations des plus célèbres directeurs- de
conscience
de l'Espagne. LES années DE maladie. Pendant vi
t état de sommeil' et laissa croire à sa mort, sans avoir peut-être
conscience
du mal qu'elle faisait, ce fut pour tirer une e
ts passagers ou défi- nitifs où l'intelligence est obnubilée, ou la
conscience
est annihilée, en un mot, dans tous les cas de
de compléter. La symptomatologie de l'état mental des aliénés avec
conscience
de leur état, l'étude des signes physiques de l
infectieux (confusion mentale, cauchemars, hallucinations, perte de
conscience
, agitation motrice et automatique). Signes ph
elle était dans sa troisième année, elle eut un accès avec perte de
conscience
, convulsions et écume aux lèvres; ensuite, elle
délirantes momen- tanément interrompues par l'éveil d'une relative
conscience
: tantôt se croit morte et se laisse aller à te
ale; ses yeux sont moins excavés. Le 12 septembre. Eveil lent de la
conscience
; il commence à se rendre compte de l'endroit o
OPATHIQUES. 215 ment le malade, tout en ayant recouvré une certaine
conscience
de lui-même et des ambiances, se montre puéril
symptômes de l'anxiété; il y a des spasmes du coeur dont le sujet a
conscience
, donnant la sensation d'un malaise grave, allan
tic. 11 n'est légitime d'employer ce mot qu'au moment précis où la
conscience
du malade périclite défini- tivement par altéra
rtaines expressions mimiques des actes délirants. L'abolition de la
conscience
se voit aussi dans les syndromes convulsifs et
pathiques par la tournure polie de leurs réponses, par une certaine
conscience
de leur ridicule, et par la franchise de leurs
uvait circuler et faire du bruit sans la réveiller, mais elle avait
conscience
qu'on était là; au bout d'un quart d'heure envi
ids constricteur. Enfin, obnubilation plus ou moins com- plète delà
conscience
, hallucinations, illusions, perversions des sen
action d'avoir commis un tel acte de violence et qui, tout en ayant
conscience
de l'acte accompli, ce qui la diffé- rencie du
ière doit être recherchée suivant lui dans cette dissociation de la
conscience
personnelle, qui existe toujours en germe chez
un délire de culpabilité précise, qui s'affirme nettement devant la
conscience
, dans la représentation claire d'une faute déterm
intervalle des accès où l'acte reprend sa place dans le champ d'une
conscience
maladivement éveillée, le sujet perd le souvenir
téral de ce genre chez des gens intelligents : ils n'en avaient pas
conscience
, car la mimique en question n'était ni accompag
utres. En outre, malgré toute l'excitation du malade, au fond de sa
conscience
repose tou- jours le sentiment d'une maladie gr
el s'accroche l'espoir du malade ; c'est la fissure par laquelle la
conscience
s'infiltre à nouveau dans son coeur. Et si l'on
nt chez un individu prédisposé, un état psychique anormal. Il avait
conscience
de cet état, et un effort de sa volonté pouvait
qu'il existe un état émotif ou passionnel, idée qui appa- rait à la
conscience
, s'y. impose contre la volonté, ne se lais- , \
sion comme une névrose, d'an- goisse. Pour Régis l'émotion est la «
conscience
des varia- tions neuro-vasculaires (Lange) et l
ue chez l'obsédé, elle est spontanée, automatique, et s'impose à la
conscience
qu'elle envahit par une sorte d'effraction de l
e la désagrégation psychologique, une sorte de dédoublement de la
conscience
. Dans le fonctionnement normal de notre intel-
e de l'idée, l'obsession, du délire, c'est que, dans l'obsession la
conscience
se révolte contre l'invasion de la puissance ét
session c'est d'être consciente. D'après Séglas pourtant, l'état de
conscience
personnelle ne serait pas. conservé, pen- dant
e qui, loin de s'assimiler à la synthèse principale représentant la
conscience
personnelle, entre en lutte avec elle et même a
bre de cas, il existe donc une altération plus ou moins grave de la
conscience
, depuis ceux qui ne dis- tinguent plus s'ils on
bout de quelques pas, il me semble que je me dédouble. Je perds la
conscience
(sic) de mon corps qui est comme en avant de mo
c) de mon corps qui est comme en avant de moi. Je marche, j'ai bien
conscience
que je dois marcher, mais je n'ai pas conscienc
marche, j'ai bien conscience que je dois marcher, mais je n'ai pas
conscience
de ma propre identité, que c'est bien moi qui m
i qui marche ? Et alors je fais des efforts inouïs d'appli- quer ma
conscience
à celle inconscience (hic) pour me rendre bien
nscient de Vautre. D'où M. Séglas conclut que la conservation de la
conscience
est toute relative, et 478 CLINIQUE MENTALE.
ux, se voit rêver. D'ailleurs il faut s'entendre sur le sens du mot
conscience
. Si au point de vue psychologique MM. Séglas et
nité de l'être, ils ont raison, mais tout autre est la notion de la
conscience
-au point de vue cli- nique, qui désigne la per
prouvés, il est évident alors que sauf de très rares exceptions, la
conscience
est conservée dans l'obsession. Les faits connu
se si correcte et fine du phénomène, c'est bien un attribut de la
conscience
. La nature des idées d'obsessions est éminemmen
ée fixe s'exerce surtout chez les hystériques, sans qu'ils en aieut
conscience
, à l'état de veille. L'obsession se manifeste h
de quelque nature qu'elles soient, alimentant sans discontinuité la
conscience
du sujet, et lui permettant de juger et de véri
gné sous le nom d'auto-érotisme. En ce qui touche le contrôle de la
conscience
sur l'ambiance, on observe les transitions les
tyrannique, angoissante à un premier degré. Puis, de cet état, la
conscience
disparaît à son tour, le malade délire, restant e
rçant un rôle inhibiteur et envahissant complètement le champ de la
conscience
. Ce vertige rentre dans la catégorie des. états
suivent l'émission du mot ou de la phrase. Chez tous ces sujets la
conscience
reste entière. Sur trois de nos malades, avec l
l ne fonctionne d'une façon régulière. Tantôt elle avait, en pleine
conscience
, des mou- vements d'une main, d'un pied que ne
qu'elle soit par cela même appréciée par le sujet. Il faut, pour la
conscience
complète d'une sensation qui s'exprime par le «
tre de même pour les images : il ne suffit pas, pour que nous ayons
conscience
d'un souvenir, que telle ou telle image soit re
ncore il y a un caractère commun : le souvenir se présente quand la
conscience
claire et personnelle est absente, quand le sou
bre. L'image n'a pu être évoquée sans ramener en même temps dans la
conscience
personnelle la sen- sation elle-même. On peut v
' L'hystérique, incapable à cause du rétrécissement du champ de sa
conscience
de réunir continuellement dans une même perceptio
chons une assez grande impor- tance 2. ' Azam. Hypnotisme, double
conscience
et altérations de la pension nalité, 1887, p. 1
ssion, il file droit devant lui, sans but aucun. Il avait cependant
conscience
de ce qu'il faisait en partant ainsi et il a ga
les questions relatives à l'alcool, à commencer par celle de l'in-
conscience
au moment du délit. Au surplus, voyez quelle inco
naturelles que l'accident a provo- quées, se sont imprimées dans la
conscience
du patient, et ont produit cette idée fixe qu'i
es fonctionnelles, et, à proprement parler, sur les malades qui ont
conscience
de leur état morbide, qui témoignent d'un idiosyn
ur les croissances qui, comme de mauvaises herbes, inquiètent notre
conscience
sociale ». En agissant ainsi, elle espère trouver
t restées à l'état d'obsessions simples, la malade eu ayant entière
conscience
, reconnaissant leur caractère maladif. ' Depu
l'appartement restent sans feu. Ce malade fort intelligent a pleine
conscience
de son état maladif; il fait de grands efforts
tige : une seule fois, à l'âge de onze ans, il lui arriva de perdre
conscience
et de se mordre la langue. Pas d'incontinence d
privation de la vue empêche l'animal de corriger son ataxie ; ayant
conscience
de son impotence, il refuse de se mouvoir ; c'e
e voudrais marcher, aller toujours de l'avant. Je n'ai presque plus
conscience
de ma personnalité. Le pis est que j'analyse tr
tériques ne sont que des anesthésies par rétrécissement du champ de
conscience
personnelle, les sensations pouvant toutefois d
tions pouvant toutefois donner lieu à des réactions étrangères à la
conscience
du sujet, dépendant d'une conscience secondaire
es réactions étrangères à la conscience du sujet, dépendant d'une
conscience
secondaire automatique. Dès lors il est naturel q
turel que les anesthésies, symptôme d'un rétrécissement du champ de
conscience
, s'augmentent chez un hystérique dans les pério
d'association des processus intellectuels, avec participation de la
conscience
, angoisse et état vertigineux. On rencontre la co
té ou de l'autre. L'enfant ne parait pas connaître sa mère ni avoir
conscience
de. cequi se passe autour d'elle. Les plus bril-
- 372 PATHOLOGIE MENTALE. pations étranges et elle a parfaitement
conscience
du caractère maladif de ces obsessions et de ce
par un chien. . Comme les autres onomatomanes, la malade a pleine
conscience
de son état, s'en attriste et, par moments, sur
ladif, leur invincible irré- sistibilité, malgré le complet état de
conscience
. Au point de vue médico-légal, cette étude n'es
s d'une sensation de suffocation, 11m° Gi...perdait complètement la
conscience
et tombait en arrière en se raidissantavec le t
es minutes de respiration ronflante elle retrouvait parfaitement la
conscience
en oubliant tout ce qui s'était passé. En mai
vres. Après quinze ou vingt minutes, Cha... reprend parfaitement la
conscience
en se sentant beaucoup fatigué. Des attaques sem-
DU CERVEAU. 403 dant plus d'une heure et, puis après il retrouve sa
conscience
en oubliant complètement tout ce qu'il lui est
ensation de défaillance; enfin, crises convulsives avec perte de la
conscience
. Telle est l'histoire pathologique de Cha.... I
s. La sensation de défaillance a été poussée jusqu'à la perte de la
conscience
, et voilà l'attaque constituée. Or, pourrions-n
tion, et sa manifestation pendant l'attaque et dans l'état d'in-
conscience
parfaite tient plus de la grande attaque hystériq
tac- tile et musculaire du côté droit, qui semble disparue de la
conscience
, mais qui existait latente, comme nous le savons,
latente, comme nous le savons, s'estréveillée, s'est rattachée à la
conscience
personnelle pour reconstituer le système comple
me contente du sens banal. Un acte est volontaire quand nous avons
conscience
de l'accomplir, quand nous le rattachons à notr
rcher, de manger, d'écrire, ils ne provoquent que des phénomènes de
conscience
isolés, et ne rentrent pas dans cette perceptio
térique. Car il dépend lui aussi du rétré- cissement du champ de la
conscience
, de la faiblesse de la per- ception personnelle
iste, c'est-à-dire que pendant quelque temps, elle conserve dans sa
conscience
la notion de sa personnalité, la connaissance d
dans ce que vous me dites. » Traduisons ce langage, et disons : sa
conscience
trop étroite ne renferme plus les souvenirs et
l'amnésie dans la suggestion et sur le rétl écissement du champ de
conscience
. Voir Automatisme psychologique, 1880, p. 185.
e, mais n'avait plus ce déve- loppement automatique des idées, sans
conscience
personnelle et sans souvenir. Tout avait dispar
quefois un véritable délire hallucinatoire, avec conservation de la
conscience
; les hallucinations se reproduisent dans qnelques
a caractérisent; on peut observer par exemple la conservation de la
conscience
avec le trouble psychique le plus accentué. La
t que le psychologue essaie de la faire sur lui-même au moyen de la
conscience
, soit qu'il observe les autres hommes, sans use
voir, dans leur réveil, leur invasion soudaine dans le champ d'une
conscience
suggestionnable au plus haut degré, la cause oc
peu de secondes, ils ne s'accom- pagnaient pas d'obnubilation de la
conscience
, ni d'aucun trouble du sens ou du mouvement; se
scillatoires et de course en avant, propulsion dont le malade avait
conscience
et qui semble avoir été une sorte d'accès procurs
férent de celui où elle est quand elle est endormie. Chaque état de
conscience
ne conserve le souvenir que de lui-même et ces
ralytiques aigus en question et ces altérations. P. K. XXI. DE la
conscience
musculaire DE DUCHENNE; par A. Pica. (Neurolog.
ite, les agents physiques, qui sont capables de modifier un état de
conscience
d'origine périphérique, sont aussi capables de
'origine périphérique, sont aussi capables de modifier les états de
conscience
d'origine cen- trale : les signes extérieurs de
d'origine cen- trale : les signes extérieurs de ces divers états de
conscience
peu- vent être étudiés par les mêmes procédés;
ue les émotions sont des états somatiques s'accompagnant d'états de
conscience
que l'on peut voir se développer en conséquence
es physiolo- giques et pathologiques, qui accompagnent les états de
conscience
d'origine soit externe, soit interne, il était
t est la condition indispensable de la sensation comme des états de
conscience
: interne, même lorsqu'il est purement passif,
peut s'accompagner des mêmes effets généraux et des mêmes états de
conscience
auxquels il est indissolublement lié. L'exercice
t pas les effets mais bien les conditions physiques de ces états de
conscience
, et qui consistent dans des modifications du po
sphères sont indispensables à la production des sensations, état de
conscience
d'origine externe, ils sont bien plus indispens
re, mais sans perte de connaissance ; les malades ne perdant jamais
conscience
de leurs actes et de leurs souf- frances ; la t
iques. Deux observations à l'appui. J. SÉGLAS. XXIV. OBSESSION avec
CONSCIENCE
, aberration DU SENS génital; par Henry HERBEZ.
ars sur le dos. En contemplant les cheveux de cette personne il eut
conscience
pour la première fois de sa vie, qu'il était en
isée après laquelle suivait un état d'af- faiblissement et perte de
conscience
. Souvent dans les inter- valles des accès du tr
s, malades incapables par eux-mêmes d'une volonté efticace et ayant
conscience
de leur faiblesse, éprouvant le besoin de s'abr
e délire des dégénérés, il n'y a pas un trouble aussi profond de la
conscience
ni de perturbation dans l'état somatique ; le d
DE PATHOLOGIE MENTALE. 389 ment et une obnubilation du champ de la
conscience
, en même temps que l'explosion d'images, d'hall
tingue deux facteurs psychologiques, d'un côté l'obnubilation de la
conscience
et l'éclosion des idées délirantes, de l'autre
e, la sys- tématisation délirante. Le facteur, obnubilation de la
conscience
se complique dans beaucoup de cas de phénomènes
aire (Ibid., 1884); La folie à deux (Ibid., 1884); - Epilepsie avec
conscience
(Ibid., 1884) ; - La folie consécutive au cholé
t (L.).- Des Etats seconds (Variations pathologiques du champ de la
conscience
). Volume in-8° de 179 pages. Paris, 1892. 0. Doin
aurent. -Des états secozds, Variations pathologiques du champ de la
conscience
, 1892. 7 A. Pick. Ueber die soqenanule «conscie
du champ de la conscience, 1892. 7 A. Pick. Ueber die soqenanule «
conscience
musculaire » (Duchenne). (Zeitsclwi{l fii, psyc
nt d'une représentation mentale. Au début, peut-être, le sujet a eu
conscience
d'une émotion, d'une idée plus ou moins vague,
ée plus ou moins vague, mais il est évident que ces phéno- mènes de
conscience
ont disparu très vite et que, actuellement ils
dans l'esprit du sujet à son insu, en dehors pour ainsi dire de sa
conscience
et de sa personnalité. Des actes de ce genre sont
orels que peut produire une pensée persistant ainsi en dehors de la
conscience
personnelle '. » La puissance de ces idées dépe
ont obstacle réci- proquement parce qu'elles font partie de la même
conscience
; mais chez les hystériques il n'en est pas ains
par une activité véritable du second groupe d'images séparé de la
conscience
normale3 ». « Le caractère essentiel de celte m
ade est guéri, disent ces auteurs, quand il parvient à retrouver la
conscience
claire de son idée ' Jules Janet, op. cil., p.
Laurent. Des états seconds, variations pathologiques du champ de la
conscience
, 1892. 1 Josef Brener et Sigm. Frend in Wien. U
ât abdruck, 3. 438 RECUEIL DE FAITS. fixe. « Celte division de la
conscience
que l'on a constatée avec netteté dans quelques
n à cette dissociation et en même temps à la formation d'étals de
conscience
anormaux qucnous proposons de réunir sous le nom
nbite et hérédité névropa- thique, par Cullerre, 100. Musculaire (
conscience
), de Du- ! chenne, par Pick, 115. Myopathie pri
sse- ment intellectuel, par Francotte, 4 : 57. ' Obsession avec
conscience
, par Ber- bez, 253. Optique, trajet des fibre
é soit, le plus souvent, facile à dégager. Voici, pour rassurer les
consciences
que mes révélations pourraient troubler, quelques
able suggestion qui provoque l'hallucination en développant l'état de
conscience
spécial dans lequel le sujet la perçoit. 2° Le
mplètement ; il est à la Rochelle, à l'asile de Lafond, où il reprend
conscience
vers cinq heures du matin, demande à boire ; il e
deux jambes, se trouve à Bonneval pendant treize heures et ne reprend
conscience
à Lafond qu'après une nouvelle série de crises.
nous attendions, comme d'habitude, à voir V... revenir à son état de
conscience
; normal, quand nous observâmes ce qui suit. L
ions une relation nouvelle. Puis, au bout de cinq minutes, il reprend
conscience
a la Rochelle. Un astre jour, nous provoquons,
hefort (hémiplégie et hémi-anesthesie droite), il finît par reprendre
conscience
a la Rochelle. Des modifications analogues, vér
. Il y a dans l'hypnose, a côté de l'abolition de la volonté et de la
conscience
, une action secondaire qui excite le système
moindre que, dans l'accomplissement de l'acte, le discernement et la
conscience
morale auront été moindres. Il ne prévoit pas les
ypnotisé est sous la dépendance d'une crise cérébrale dont il n'a pas
conscience
; c'est l'hypnotiseur qui le mène, son individuali
in amour-propre, ils veulent faire comme les autres, ils n'ont pas la
conscience
de leur infériorité; et, néanmoins, ils se fatigu
testables de la sensibilité, de la con-tractilité musculaire et de la
conscience
. Malheureusement, le temps n'était pas encore v
s coordonnées il donne les illusions de la vie réelle et d'un état de
conscience
très nettement accusé. C'est ainsi qu'agissent
de noire mélancolie. Pour la première fois, le malade n'a pas du tout
conscience
du temps pendant lequel il a dormi. Je le laisse
, une cause de dangers matériels et psychiques, s'il est employé sans
conscience
, sans scrupule ni mesure? Augustin Nicot. SOC
isant, un nombre de trois chiffres que je pensais : et je n'avais pas
conscience
du mouvement involontaire que ma pensée imprimait
iques, ni état contre nature. C'est un état psychologique, un état de
conscience
particulier qui se produit spontanément ou qu'on
qu'on peut produire artificiellement ; et, à la faveur de cet état de
conscience
, des guérisons physiques et morales peuvent être
cile et même attrayante cette étude scientifique des phénomènes de la
conscience
(1). (1) Un volume in-8° de la Bibliothèque de
, mouvements, images. La modalité psychique ainsi modifiée, l'état de
conscience
nouveau qui se constitue rend le cerveau plus doc
et déplacements qui la constituent sont des phénomènes perçus par la
conscience
, par le sensorium : et c'est en réalité sur les p
mourant de faim, des marais glacés. Les hommes marchaient sans avoir
conscience
de la résistance du sol sous leurs pas. L'un, d'e
nsidérée en dehors de la perception externe dans le double rôle de la
conscience
psychologique et de la raison. A la formule énonc
les mouvements, les actions réflexes automatiques et volontaires, la
conscience
psychologique, etc. A propos de l'automatisme
nts, caves et rouges, ont le mauvais œil. Gaule, dans Select cases of
conscience
, combat l'opinion de ceux qui prennent pour signe
llejuif dans le service de M. Briand, où elle arriva très calme, avec
conscience
parfaite de sa situation, mais sans aucun souveni
ns le fait suivant : on admet en général que pendant l'hypnotisme, la
conscience
est abolie ; oui, la conscience est effectivement
général que pendant l'hypnotisme, la conscience est abolie ; oui, la
conscience
est effectivement abolie si le sommeil est profon
ofondément, comme cela arrive dans la période de catalepsie, alors la
conscience
n'est pas abolie et le malade, en se réveillant,
cesse de vomir, se réveillait au moment du vomissement, elle en avait
conscience
et se le rappelait le matin à son réveil. 6. 11
si, n'en déplaise à l'Ecole spiri-tualiste, les « phénomènes de pure
conscience
» en subissent des modifications sensibles, le po
der à la recherche du sigillum diaboli sur le corps des sorcières. La
conscience
des juges n'était satisfaite que lorsque les
de sa torpeur. La léthargie n'est qu'apparente; le sujet entend et a
conscience
pendant toute la durée de l'état hypnotique. Les
de résistance opiniâtre. La santé est excellente. Cette jeune tille a
conscience
du changement radical qui s'est opéré en elle et
es bizarres sont en dehors de la participation de la volonté et de la
conscience
. Il me semble qu'il faut aussi tenir compte d'u
hes, sans un grave dommage pour sa dignité, sans l'affaissement de sa
conscience
, sans de répugnants désordres dans les affections
é soit, le plus souvent, facile à dégager. Voici, pour rassurer les
consciences
que mes révélations pourraient troubler, quelques
able suggestion qui provoque l'hallucination en développant l'état de
conscience
spécial dans lequel le sujet la perçoit. 2° Le
mplètement ; il est à la Rochelle, à l'asile de Lafond, où il reprend
conscience
vers cinq heures du matin, demande à boire ; il e
deux jambes, se trouve à Bonneval pendant treize heures et ne reprend
conscience
à Lafond qu'après une nouvelle série de crises.
nous attendions, comme d'habitude, à voir V... revenir à son état de
conscience
; normal, quand nous observâmes ce qui suit. L
ions une relation nouvelle. Puis, au bout de cinq minutes, il reprend
conscience
a la Rochelle. Un astre jour, nous provoquons,
hefort (hémiplégie et hémi-anesthesie droite), il finît par reprendre
conscience
a la Rochelle. Des modifications analogues, vér
. Il y a dans l'hypnose, a côté de l'abolition de la volonté et de la
conscience
, une action secondaire qui excite le système
moindre que, dans l'accomplissement de l'acte, le discernement et la
conscience
morale auront été moindres. Il ne prévoit pas les
ypnotisé est sous la dépendance d'une crise cérébrale dont il n'a pas
conscience
; c'est l'hypnotiseur qui le mène, son individuali
in amour-propre, ils veulent faire comme les autres, ils n'ont pas la
conscience
de leur infériorité; et, néanmoins, ils se fatigu
testables de la sensibilité, de la con-tractilité musculaire et de la
conscience
. Malheureusement, le temps n'était pas encore v
s coordonnées il donne les illusions de la vie réelle et d'un état de
conscience
très nettement accusé. C'est ainsi qu'agissent
de noire mélancolie. Pour la première fois, le malade n'a pas du tout
conscience
du temps pendant lequel il a dormi. Je le laisse
, une cause de dangers matériels et psychiques, s'il est employé sans
conscience
, sans scrupule ni mesure? Augustin Nicot. SOC
isant, un nombre de trois chiffres que je pensais : et je n'avais pas
conscience
du mouvement involontaire que ma pensée imprimait
iques, ni état contre nature. C'est un état psychologique, un état de
conscience
particulier qui se produit spontanément ou qu'on
qu'on peut produire artificiellement ; et, à la faveur de cet état de
conscience
, des guérisons physiques et morales peuvent être
cile et même attrayante cette étude scientifique des phénomènes de la
conscience
(1). (1) Un volume in-8° de la Bibliothèque de
, mouvements, images. La modalité psychique ainsi modifiée, l'état de
conscience
nouveau qui se constitue rend le cerveau plus doc
et déplacements qui la constituent sont des phénomènes perçus par la
conscience
, par le sensorium : et c'est en réalité sur les p
mourant de faim, des marais glacés. Les hommes marchaient sans avoir
conscience
de la résistance du sol sous leurs pas. L'un, d'e
nsidérée en dehors de la perception externe dans le double rôle de la
conscience
psychologique et de la raison. A la formule énonc
les mouvements, les actions réflexes automatiques et volontaires, la
conscience
psychologique, etc. A propos de l'automatisme
nts, caves et rouges, ont le mauvais œil. Gaule, dans Select cases of
conscience
, combat l'opinion de ceux qui prennent pour signe
llejuif dans le service de M. Briand, où elle arriva très calme, avec
conscience
parfaite de sa situation, mais sans aucun souveni
ns le fait suivant : on admet en général que pendant l'hypnotisme, la
conscience
est abolie ; oui, la conscience est effectivement
général que pendant l'hypnotisme, la conscience est abolie ; oui, la
conscience
est effectivement abolie si le sommeil est profon
ofondément, comme cela arrive dans la période de catalepsie, alors la
conscience
n'est pas abolie et le malade, en se réveillant,
cesse de vomir, se réveillait au moment du vomissement, elle en avait
conscience
et se le rappelait le matin à son réveil. 6. 11
si, n'en déplaise à l'Ecole spiri-tualiste, les « phénomènes de pure
conscience
» en subissent des modifications sensibles, le po
der à la recherche du sigillum diaboli sur le corps des sorcières. La
conscience
des juges n'était satisfaite que lorsque les
de sa torpeur. La léthargie n'est qu'apparente; le sujet entend et a
conscience
pendant toute la durée de l'état hypnotique. Les
de résistance opiniâtre. La santé est excellente. Cette jeune tille a
conscience
du changement radical qui s'est opéré en elle et
es bizarres sont en dehors de la participation de la volonté et de la
conscience
. Il me semble qu'il faut aussi tenir compte d'u
hes, sans un grave dommage pour sa dignité, sans l'affaissement de sa
conscience
, sans de répugnants désordres dans les affections
regorgement et il ne peut retenir ses matières. De plus, il n'a pas
conscience
de leur passage à travers le gros intestin. L'a
âtre et d'incontinence des matières fécales, avec suppression de la
conscience
des évacuations; l'abolition ou une simple diminu
rvent les fonctions végétatives figurent peu dans le champ de notre
conscience
, mais la moindre gêne, la plus petite dou- leur
ant à ces étals subjectifs ; que, si la localisation est un fait de
conscience
, le fait de conscience, lui, n'est pas localisé.
ifs ; que, si la localisation est un fait de conscience, le fait de
conscience
, lui, n'est pas localisé. » M. Claparède affirm
» Non, il ne le voit pas bien. Voit-il plus clairement ces faits de
conscience
non localisés, ces états subjectifs qui vagabon
omment.des idées qui ne sont, elles non plus, nulle part, les fait de
conscience
qui localisent sans être localisables. Avec la
u, et la localisation par les relations de position de ces faits de
conscience
infra-crâniens ! Non, je ne rêve pas. C'est bien
tendue, des empreintes sensorielles sans distribution, des faits de
conscience
qui peuvent localiser sans être eux-mêmes localis
des centres percepteurs entraîne la perception de cet ordre dans la
conscience
. z Mais non 1 c'est bien la disposition spatial
topographique- ment localisé, consciemment perçu, en entendant par
conscience
la masse des petites sensibilités cohérentes de
ent dans de notables proportions, occuperont dans le champ de notre
conscience
la place la plu simportante. Même sans remuer l
SENS DES ATTITUDES 161 sera localisée. Mais à l'état normal, notre
conscience
n'y est pas intéressée et la sensation globale
s, car c'est à l'occasion des mouvements que nous avons à mettre en
conscience
nos attitudes, tandis que par le repos la conscie
ns à mettre en conscience nos attitudes, tandis que par le repos la
conscience
en abandonne la représentation pour s'occuper d
des ; elles ne feront plus, ou guère plus image dans le champ de la
conscience
, mais les variations d'attitudes, les mouvements,
tement et fortement définies. S'il y avait disparition totale de la
conscience
des attitudes et intégrité abso- lue de la cons
totale de la conscience des attitudes et intégrité abso- lue de la
conscience
des mouvements, nous aurions il penser il une dis
ce qui se passe dans les cas d'hémi plégiecorticale. Notons que la
conscience
d'une image n'est pas cette image, et que l'image
s cette image, et que l'image peut se faire sans que nous en ayions
conscience
. C'est le cas des cécités verbales, tactiles, de
tiles, de la surdité verbale. Dans un amoindrissement général de la
conscience
du sens des attitudes, la figuration des variat
peut subsister quand la notion des attitudes fixes a disparu de la
conscience
. Cela ne prouve nullement que les attitudes dont
ée montre chez les hémiplégiques corticaux un amoindrissement de la
conscience
, plus profond pour les notions faibles d'attitude
veut dire que la variation sensorielle éveille la sensibilité de la
conscience
et que ces mêmes contacts, inaperçus s'ils se suc
'est ma thèse elle-même ! Ce qui fait défaut dans ces cas, c'est la
conscience
des attitudes, isolées ou en séries, et non leur
ution dans l'espace ? ` ? « Le fait est, dit M. Claparède, que la
conscience
du mouvement n'implique nullement des images de
t réitérées, on comprendra que la sensation A pourra évoquer par la
conscience
l'image d'une certaine position du bras, que B
nniste d'avoir constamment cherché à faire sortir certains états de
conscience
comme la spatialité, la causalité, etc., d'une
ce comme la spatialité, la causalité, etc., d'une somme de faits de
conscience
qualitativement différents. On aura beau additi
du recul que nous devons prendre pour accommoder la vision de notre
conscience
.Quand les doigts ouverts et les yeux fermés, je
de l'effort réalisé, quand je veux cet effort. C'est, avanttout, la
conscience
, la sensation de l'exercice de ma faculté d'att
beaucoup confondu dans l'étude clinique du sens stéréognostique la
conscience
d'une analyse sensorielle et cette fonction elle-
e tout en étant incapables d'apprécier leurs attitudes, ou avec une
conscience
presque éteinte de l'analyse tactile, - de la sen
'analyse tactile, - de la sensation de poids,etc. Et inversement la
conscience
des analyses élémentaires peut être vigilante q
omatisme biologique, qui se développerait, sans que le sujet en ait
conscience
; ,2° si si l'on provoque des modifications pertu
es des besoins généraux arrivent nécessairement à se présenter à la
conscience
des sujets à peu près simultanément et régulièrem
nes élémentaires, auto- matiques, leur indépendance absolue dans la
conscience
du malade, l'ab- sencederelation avec des idées
mènes de négativisme, se présentent sans motivation logique dans la
conscience
du malade, comme des phénomènes élémentaires. S
es de l'après-midi dans un lieu qu'il désigna. La jeune fille avait
conscience
des paroles qu'elle prononçait, mais elle était
t debout et quand elle essayait de marcher; elle avait parfaitement
conscience
du passage de l'urine à travers l'urèthre. En
aires se répétaient toutes les demi-heures environ. La malade avait
conscience
du passage de l'urine, du contact d'une sonde ave
continence et la rétention d'urine ont disparu. IL.. a parfaitement
conscience
du besoin d'uriner. Seulement, pour satisfaire ce
t les jambes pour ne pas mouiller ses chaussures. Il a parfaitement
conscience
du contact des matières fécales avec la muqueus
ive dans les membres du côté gauche et conservation apparente de la
conscience
. - Atrophie du lobe gauche du cervelet. Le no
rémie occupe probablement une place prédo- minante. E. B. III. La
conscience
dans LES crises épileptiques; par le DI" Bombarda
vue neurologique, déc. 1894.) Les faits d'épilepsie partielle où la
conscience
persiste intacte pendant l'accès ne sont plus à
e d'ordinaire la crise d'épilepsie généralisée et le maintien de la
conscience
au cours de ces crises, l'auteur cite deux cas qu
ntrer qu'une attaque épi- leptique peut se derouler dans un état de
conscience
plus ou moins parfait. E. B. IV. Observations
sexuel qui donne naissance à ces idées insupportables, à ces cas de
conscience
perpétuellement insolubles et perpétuellement e
e par influence. ' Il faut que de deux côtés opposés du champ de la
conscience
les cellules soient sollicitées pour qu'il y ai
te. Une autre fois, il a eu une « bouffée de folie », dont il avait
conscience
; il s'est présenté de lui-même au manicome pour
héréditaire, accompagné de chorée et de troubles périodiques de la
conscience
et de l'activité cérébrale. Il conclut à l'irre
térique le plus souvent à ce qu'il semble sans que la malade en ait
conscience
. S'occupant ensuite de l'attaque cataleptique,
ÉDECINE LÉGALE. instinctive qui l'ait conduite, sans qu'elle en ait
conscience
, à tuer son enfant '. » Il faut convenir que
pas conformes à la vérité. Nous croyons pouvoir affirmer qu'elle a
conscience
de la gravité de l'acte qu'elle a commis ainsi qu
ectifs disparaissent en même temps que se rétrécit le champ de la
conscience
. La femme, autrefois pleine d'affection et de sol
lit, et que le diable viendra l'enlever. Elle a du reste absolument
conscience
de ses actes, sait très bien qu'elle est dans u
ngers. A vous, Français, dont l'affluence montre bien que vous avez
conscience
qu'il vous faut défendre et agrandir notre patr
de persécution. Ce délire alterne et se mêle à un état de pleine
conscience
, il diminue ou disparaît les derniers jours de la
inue ou disparaît les derniers jours de la maladie. Les malades ont
conscience
de la gravité de leur état, annoncent leur fin
é irrésistiblement, malgré lui, à commettre un acte. Tantôt il en a
conscience
, tantôt il ne s'en rend aucun compte. L'inconsc
Les cas publiés jusqu'ici prêtent le flanc à la critique. L'état de
conscience
du malade en état de fugue n'a jamais été obser
très difficile d'admettre, dans l'hypothèse de mal comitial, cette
conscience
si lucide et si raisonnable qui permet à ces ma
jamais pu hypnotiser des épilep- tiques. Il estime que ceux-ci ont
conscience
des actes qu'ils accom- plissent pendant leur a
la plupart des affections mentales. Le monde savant applaudit à la
conscience
de vos travaux, à la persévérance que vous ne c
nces les plus variées, avec prédominance de la forme dépressive. La
conscience
est en général quelque peu troublée, mais le ma
ssance le soir. Le treizième jour, amélioration : le malade reprend
conscience
; céphalée. Objectivement : parésie faciale gau
conceptions délirantes. Il est indifférent à tout et il n'a aucune
conscience
de sa situation. 1 Une dizaine de nos observa
ue, portant son action sur les parties de l'encéphale où siègent la
conscience
et l'idéation et respectant les autres centres ne
et 60,38 p. 100 des femmes. P. K. XLVI. DE LA MANIÈRE D'ÊTRE DE LA
CONSCIENCE
DE LA MALADIE DANS LA PARANOI ; par A. Mercklin
sur la transition insensible qui mène le buveur, sans qu'il en ait
conscience
, de l'usage modéré à l'abus, sur l'impossibilité
normalement en prison et se plie à la discipline de la maison. Il a
conscience
de sa situation. Il ne présente pas d'idées dél
a science - c'est-à-dire des hommes de savoir, de haute probité, de
conscience
élevée et de situations connues ? allant « cont
e, accompagnée d'ordinaire, à différents degrés, de désordres de la
conscience
et de l'association des idées, parfois d'agitat
s que l'amnésie grave, prédominent pour un temps des troubles de la
conscience
, de l'incohérence, un rétrécissement du champ de
de malades, sur les troubles de la mémoire, de l'idéation et de la
conscience
prédo- minent les symptômes d'une irritabilité
ans laquelle les symptômes d'excitation et de trouble profond de la
conscience
sont suivis de symptômes de dépression et d'un
ndant compte, d'autres fois dans un état d'abolition complète de la
conscience
, mais toujours sans dévier de leur chemin, reto
t menée précédem- ment. Des séries de souvenirs se présentent il sa
conscience
plus ou moins obnubilée, aboutissant en dernier
que dans ces cas l'affaiblissement intellectuel s'accompagne de la
conscience
de l'état maladif. On voit les sujets atteints
umatique conserver, même dans les stades avancés de l'affection, la
conscience
de leurs défectuosités psy- chiques, tandis qu'
tandis qu'au contraire, dans la paralysie générale, la perte de la
conscience
de l'état maladif est caractéristique, dès la pér
alcooliques. 483. - psychiatrique de Berlin, par Sérieux, 489.
Conscience
dans les crises épilepti- ques, par Rombarda, 3
ini, 466. tardive chez l'homme par Maupâté, 474. Epileptiques. La
conscience
dans les crises -, par Bombarda, 38. Gliose c
rédi- taire, par Hoflmann, 386. Paranoïa . Manière d'être de la
conscience
de la maladie dans la -, par Mercklin, 407. Aff
ute intelligence ont cru devoir, dans ces derniers temps, placer leur
conscience
«à l'abri de toute responsabilité morale, en s’af
rédit. Quand elle put faire, les premiers pas, elle n’en avait pas la
conscience
. Les mouvements des jambes se faisaient sans que
il haute voix, j’entendais bien le son d’une voix, mais sans avoir la
conscience
que ce fût la mienne; je [souffrais tant, que mes
isqu’en sa qualité il ne doit compte de ses actions qu’à Dieu et à sa
conscience
? C’est le baume du Samaritain.... ce sont les gr
sprit, le cœur et les sens conservent le moindre souvenir, la moindre
conscience
de l’acte corporel qui y a donné lieu; 2° la cert
ai quelle confiance je peux ajouter à tes affirmations. Obligé par la
conscience
et par le respect que je dois à la vérité de me m
qui lui étaient adressés, — car en ce moment on eût dit qu’il avait
conscience
de ce qui se faisait — on le voyait agir avec u
la tendance au mouvement des impulsions musculaires exercées sans une
conscience
parfaite peut-être, niais exercées réellement sou
cés au-dessus de lui. Si, dans l’enfance de l’humanité, il n’a pas eu
conscience
de ces rapports, ou s’il n’a fait que les pressen
t sa grandeur, la chute et la réhabilitation ; sans elle, il n’est ni
conscience
, ni libre arbitre. Enlevez à l’homme le droit de
u’il sera impossible au crime de se cacher dans les profondeurs de la
conscience
. La justice ira d’une main sûre chercher le coupa
n d’elle : la fraternité. « L’adoucissement des mœurs, le calme des
consciences
préparera la phase dernière, le règne des âmes su
vec quelle puissance il a recherché les moyens de rendre à l’homme la
conscience
des prérogatives de son origine ! comme il exalte
s (1) et d’une biographie publiée récemment par un homme d’esprit, de
conscience
et de talent (2), quoique encore sceptique à l’ég
uteurs qui ont trop de science pour nier les faits, mais pas assez de
conscience
pour les avouer, se bornent à des résumés neutres
de l’univers tout entier, et par la force de la pensée, guidée par la
conscience
, il s’élève jusqu’à la connaissance de l’être qui
la pensée à la contemplation ascétique de la force morale qui, de la
conscience
humaine, s’élève par la foi jusqu’à Dieu, où tout
c à leur disposition un critérium infaillible pour tranquilliser leur
conscience
. Qu’ils recourent aux moyens indiqués par l’Églis
d’habitude, il sera constant qu’ils n’ont rien de diabolique, et les
consciences
les plus timorées devront être en repos. A ceux
er atteinte aux mœurs, on désirerait savoir, pour la tranquillité des
consciences
, quelle est à cet égard la véritable opinion du S
bas, quand mon esprit veut douter encore de ces phénomènes, il y a ma
conscience
impitoyable qui répond : T.u as tourné ! h Eh b
e rappelais l’eau dormante. Vieux praticiens, mettez la main sur la
conscience
: Combien de fois, dans votre carrière médicale,
les à détruire, et qui souvent jettent un trouble malheureux dans une
conscience
pure jusqu’ici de toute idée vaguante... Aussi j’
ou pour dupe. Mais, me suis-je dit enfin, l’observateur, fort de sa
conscience
et des précautions qu’il a prises pour s’assurer
est bien digne de remarque, c’est que, dans le paroxysme, il avait la
conscience
de son état et se souvenait alors des attaques pr
ns au dernier épisode. Un Arabe, celui qui avait été lion, a perdu la
conscience
de son sexe, et de Mohammed il est devenu la bell
enir de tout ce qui s’est dit et fait en sa présence, mais il n’a pas
conscience
d’avoir écrit. Quand on lui présente la feuille d
e I le jour viendra où M. Foucault, qui est un homme de science et de
conscience
, regrettera d’avoir été si vif. 11 se demandera a
ue académie, ('.’est encore le démon qui fait taire chaque jour votre
conscience
, lorsqu’elle veut parler et vous faire entendre s
entraîné, Tome XII. — X» 1Î3. — 10 octobre 1833. 21 sans en avoir
conscience
, dans la direction môme du but qu’il voudrait att
professeur, il existerait îles mome-ments musculaires en dehors de la
conscience
dans les muscles de la vie de relation, comme il
ux causes bien précisées : des mouvements musculaires en dehors de la
conscience
communiquent une première impulsion, puis une ten
ssique. Ce sont : « 1“ Des contractions musculaires en dehors de la
conscience
, comme le pense i\l. le professeur Chevreul ; i
perd le souvenir de tout ce qu’il a éprouvé pendant sa crise; il n’a
conscience
d'aucune impression déposée dans son esprit par l
lire dans la pensée, ou 11 eu reçoit l’impression, même sans en avoir
conscience
. Cette explication a l’avantage de se prêter à
s divisions que j’ai faites, et que la pénétration, Y imagination, la
conscience
, le respect et Y harmonie suffisent à l’âme pour
sévérance dans l’imposition des mains, l’électricité du regard, et la
conscience
du bien que l’on veut faire. « Je crois donc qu
er dans certains individus qui, du reste, n’en avaient pas la moindre
conscience
, et opéraient, dans leur conviction, de la meille
ecl, dont les assertions font foi devant les tribunaux inférieurs. La
conscience
de la science qu'il possède lui donne une certain
, sur le magnétisme moral, ou action de la pensée individuelle sur la
conscience
d'autrui ; morale qui peut en dérouler, 136; —
. Vous obtiendrez bien rarement ce que vous désirez, mais alors votre
conscience
est tranquille, et vous n’avez nul reproche à vou
pour cela y laissez-moi dormir encore ! » Au réveil, clic n’a nulle
conscience
de.ee qui vient •le se passer ; elle sourit à son
ns, si ses principes de mo- « ralilé sont justes et sévères , si sa
conscience
est « nette, le magnétisé parlera bien, pensera b
ra pour déraisonnable ; soyez honnêtes hommes, ne mentez point ¿votre
conscience
; lorsqu’un saint enthousiasme vous prendra en ape
e, non, c’était un audacieux charlatan, un fourbt adroit, dépourvu de
conscience
, sans moralité; ayant le cœur desséché par une so
le; la cause est sublime et la récompense que vous trouverez en votre
conscience
est digne de la cause. « Publicistes! qui dispo
le peut pas; la liberté peut être vaincue dans le monde, mais dans la
conscience
elle est inexpugnable. Et cette soumission, si
ers milieux réfractaires , arrive à la réfine, et enfin tombe dans la
conscience
, où elle se spiritualise en idée. Après avoir r
les objets qu’elle y rencontre, et cette impression, communiquée à la
conscience
, se résout de même en idée. Ces irradiations de
utant plus étendue que cette force réactive est énergique, mettent la
conscience
en pos session d’idées plus ou moins claires, plu
l’image des objets extérieurs, et ne la laisse pas arriver jusqu’à la
conscience
, l’arrêtant à son passage, la recueillant à la su
t le moi, mais qui n’est point encore le vrai univers, celui de notre
conscience
; où nous apercevons bien des objets ex- térieu
pour passer du sujet à l’objet de son salùo mortale qui replaçait la
conscience
au point de vue du sens commun, mais qui n’était
t prendre pied dans le monde. Quand donc, à l'apparition dans notre
conscience
des images réfléchies des corps, surgit en elle l
ous enveloppons des lumineuses irradiations de notre être, dont notre
conscience
devient en quelque sorte, dans sa sphère d’activi
plus ou moins étendue, le milieu et l’espace spirituel, comme est lu
conscience
divine, mais dans les proportions de l’immensité,
, une conversion du non moi dans la substance du moi, qui prend alors
conscience
de ce non-moi, comme il prend conscience de lui-m
nt, qu’invincible est la croyance que nous avons en son existence, la
conscience
du non-moi égale en véracité la conscience du moi
avons en son existence, la conscience du non-moi égale en véracité la
conscience
du moi, que l’amour relie et identilio en une mêm
lle offre la singularité d’un malade qui seprescrit, parce qu’il a la
conscience
du bien que cela peut lui faire, un moyen pour le
ux ou trois secondes. Elle se met aussitôt à sourire, prend peu à peu
conscience
de sa position , et s’aperçoit enfin que l’opérat
cette personne qu’elle nomma. Qu'également elle a connu l’état de la
conscience
d’un prêtre qui disait la messe, touchant une mau
il est encore dit que ladite demoiselle Cadière savait le secret des
consciences
, et qu’elle devinait ce que chacune des personnes
secret. Le Père Grignet, Jésuite, avoue avoir reçu d’elle des avis de
conscience
, après qu’elle l'eut examiné. La dame Lescot, dan
ot, dans son récolement, dit aussi que la Cadière avait le secret des
consciences
et connaissait les pensées les plus cachées. «
les religions, à tous les.cultes. La justice divine n’agit que sur la
conscience
et par les voies qui y pénètrent. Elle est hors d
cessât d’étre calme et impassible, sans qu’elle eût le moins du monde
conscience
de ce qui se passait, presque sans altération du
messieurs, je ne me guide jamais d’après la science, mais d’après ma
conscience
; je crois donc fortement aux faits magnétiques. E
commune faculté. Autre chose est voir les événements et lire dans les
consciences
, autre chose sont la prévision et la vue à distan
pus qu'ils allaient établir des despotes cruels, ayant seulement leur
conscience
pour juge de leurs actions, et qui pourraient obé
illeries des hommes éclairés, et plus encore les cris de votre propre
conscience
, n’ont donc pas la puissance défaire cesser votre
rte primitive. Dans cette longue lutte, les magnétiseurs acquirent la
conscience
de leurs forces, perfectionnèrent leurs moyens de
tré qu’il devrait seul être atteint, car les somnambules, n'ayant pas
conscience
de ce qu’ils font, ne peuvent être punis. La co
s protestèrent contre cette décision, préjudiciable à leur liberté de
conscience
, et furent rayés du tableau \ les docteurs Desion
Le temps était enfin venu de mon véritable apostolat. Certain que ma
conscience
ne me reprochait rien, convaincu à tout jamais de
allcctent des allures dominatrices et tyranniques, alors même que la
conscience
publique les repousse ? « L’humanité doit beauc
une Cour de justice et non une Académie. » « Mais pour éclairer vos
consciences
, vous appelea les lumières de tous les côtés, et
our une production, soit pour une expli calion de fails. Fort de ma
conscience
comme de la vérité, je publiai un ouvrage où je d
aient s’effacaient graduellement. Plus je m’efforcais de conserver la
conscience
des objets qui m’environnaient, moins j’en étais
nature entière. Ce calme fut aussitôt suivi de la perte totale de la
conscience
. « Combien de temps je restai ainsi, je ne saur
sont les dieux, ainsi que la nature de la résurrection des âmes. Une
conscience
supérieure me pénétra, et mon esprit fut doué d’u
émontrer, la loi ne vous impose point un aussi pénible sacrifice, vos
consciences
ne seront pas mises à une aussi cruelle épreuve.
istrats convaincus de la réalité du magnétisme ; mais à cet égard vos
consciences
sont libres ; et quelle que puisse être votre man
sme, quel est l’individu qui puisse ainsi pénétrer dans le secret des
consciences
; qu’on nous explique cette prodigieuse intuition
it des remèdes savait qu’ils étaient sans efficacité, et a menti à sa
conscience
. Rien de semblable n’a lieu dans l’espèce : nous
mené à prescrire un traitement à son malade ; c’est là une affaire de
conscience
qu’il ne discutera qu’autant qu'il le voudra bien
de la rejeter, selon ses lumières médicales et les inspirations de sa
conscience
. Mais si les consultants, au lieu de profiler de
nt d’un grand poids dans la balance, et que dans cet élan unanime des
consciences
vous reconnaîtrez la voix de la vérité. — Quelle
e. Une de ces con- I tractions finissait par déterminer chez lui la
conscience
externe , et lui donnait le pouvoir de commander
osent se mettre à la place de Dieu lui-même, prétendent lire dans la
conscience
humaine, rendent des arrêts et prédisent l’avenir
lle est menteuse, n’est que temporaire, elle ne peut prévaloir sur la
conscience
et Dieu. « Il ne m’apparlient point d’être votr
et confessée du haut de la chaire de Notre-Dame, se fait jour dans la
conscience
d’un académicien, qui dit aussi : oui, le magnéti
le somnambule. La personne plongée dans le sommeil magnétique n’a pas
conscience
de ses actes, elle est domptée par une volonté to
stence, des phénomènes incompris, et bien rares sont les hommes ayant
conscience
des mystères sans nombre au milieu desquels ils v
aucune façon à l’altention du juge? L’êlre humain doué de lucidité a
conscience
, dans une disposition spéciale de sa nature, de p
perdu dans les déserts de l’Amérique.....et puis, il réclama de ma
conscience
la religion du serment! » La Société m’acquitta s
avent que nous sommes sincères, mais ils aiment mieux mentir à leur
conscience
que d’avouer un fait qui les déborde. Qui croient
le, ¡1 se les approprie, et personne n’a le droit de pénétrer dans sa
conscience
pour rechercher si cette adoption est due à une r
droit d’incriminer sa conduite, ni de l’accuser d’avoir agi contre sa
conscience
. Quant au magnétiseur, on ne peut évidemment le
orturent d’une manière si affreuse, que leurs présentions alarmant la
conscience
scientifique des pharmaciens, ceux-ci refusent de
mène un état particulier, dans lequel le sujet, tout éveillé et ayant
conscience
, éprouve tous les effets de volonté qu’on observe
ans une chambre qui n’en contient point : c’est l’hallucination. La
conscience
est semblablement affectée ; et, comme dans les e
araissait être la condition, s’obtiennent dans l’état de veille et de
conscience
, c’est-à-dire apparemment normal, les autres facu
Elle a pour but de produire la clairvoyance à l’état de veille et de
conscience
, en magnétisant non le sujet mais les objets. M
té de l’opérateur. En mesmérisme, le sujet est totalement privé de la
conscience
de ce qui se passe autour de lui ; dans la nouvel
C’est incroyable; 011 le niera; mais que tout médecin, la main sur la
conscience
, réponde.,.. Aussi quel avantage a-t-on retiré de
ines mains; et fi j’écoute la voix qui est en moi, le murmure de ma
conscience
, elle me crie à chaque instant : Laisse en repos
essentiel, l’encéphale, fut respecté, car je souffrais avec toute la
conscience
de mon mal et je suivais mon ennemi dans toutes s
luide magnétique ? — Ce fluide peut exister, mais je n’en ai pas la
conscience
. — Ne me voyez-vous pas entouré comme d’une atm
upule les fautes de ses camarades, s’il les connaissait, parce que sa
conscience
, alors droite, l’y pousserait. J. lî. VARIÉTÉ
moment du réveil lui est toujours très-pénible. Avant de revenir à la
conscience
de sa propre existence, il éprouve des vertiges.
ce des nerfs de la vie organique dont les fonctions échappent à notre
conscience
. « Nous pouvons voir aussi nos sécréteurs eux-m
qui était immédiatement en connexion avec son frère ; et n’avoir pas
conscience
de la présence de sa sœur pourrait être dû à l’ab
as. » Le lendemain matin, en s’éveillant, elle n’avait pas la moindre
conscience
de ce qui s’était passé; niais l’impression de l’
.. reparaissait. De la sorte, son état était très-voisin de la double
conscience
, très-curieuse affection où le sujet semble mener
le feraient pendant la veille. De fait, ils paraissent n’avoir aucune
conscience
du danger couru, et toute l’attention étant fixée
le sommeil mesmérique avait été provoqué sans que le sujet eût aucune
conscience
de l’action qu’on voulait exercer sur lui ; mais
t sur lequel nous ne le chicanerons pas, il crut, pour l’acquit de sa
conscience
et de sa raison, devoir soumettre cette science n
e ne me crois pas suffisamment éclairé encore pour donner mon vote de
conscience
magnétique sur tous ces détails. J’ai toutefois o
et écrivant en vertu d’une force qui lui est étrangère et sans avoir
conscience
de ce qu’il écrit, il interpelle l’auteur inconnu
l’un à l’autre, dont l’un n’a jamais, à quelque instant que ce soit,
conscience
de ses actes ni de sa propre existence? C’est ce
nd nombre de cas pour leur laisser en entier leur libre arbitre et la
conscience
du moi physique et moral. Or, en partant comme pr
e. « Avec la perte totale du pouvoir volontaire, et, partant, de la
conscience
, toute sensibilité va s’abolir. Qu’en subsisterai
’abolir. Qu’en subsisterait-il en effet ? Une douleur dont on n’a pas
conscience
, c’est une douleur qui n’est pas. La conscience s
uleur dont on n’a pas conscience, c’est une douleur qui n’est pas. La
conscience
supprimée, il ne reste, à la place de la sensatio
médecins est celui qui ne croit point à la médecine et abandonne, par
conscience
, le soin de guérir les maladies à l’agent inconnu
es œuvres de bien ; non, vous avez obéi docilement à la voix de votre
conscience
et au divin principe qui vous incitait. En un mot
e chez nous l’esprit de recherche. Voilà ce qui trouble les mauvaises
consciences
. Laissons la fausse science nous ré- pondre le
ulté de médecine de Paris; à ces titres divers, il ne pouvait pas, en
conscience
, faire moins, pour prouver TOME XIV. — N° *14.
et agent thérapeutique, il y a déjà bon nombre de médecins qui ont la
conscience
(M. Segond dirait la niaiserie) de se servir du m
s, et, nous en aurions jugé uniquement d’après le témoignage de notre
conscience
. Des entretiens semblables auraient pu, peut-êt
udront pas contre des faits rigoureusement observés et rapportés avec
conscience
par des esprits sans partialité. Mais comment c
libre à vous; vous êtes dans votre droit; car c’est là une affaire de
conscience
ou même de réflexion, si bon vous semble. Mais l’
ne, nous n’avons pas l’idée du temps qui s’écoule, — nous n’avons pas
conscience
de notre respiration régulière. Aussi, qui song
’employer, — disons plus, — est toujours en jeu, qu’on en ait. ou non
conscience
. Aussi ne faut-il pas s’étonner de trouver les qu
ar le rite catholique. Dans un pny t>ù i ègne la liberté légale de
conscience
, toutes les indications de l’ancien et du nouveau
. D’autres fois, tremblement dans les membres, dont le malade n’a pas
conscience
, et qui s’étendent au reste du corps. « Pendant
cause du phénomène; bien plus, il arrive le plus souvent que chacun a
conscience
d’être étranger au langage de la table dont les r
en passant, obtenus sans que ceux mêmes qui les produisaient eussent
conscience
du double levier qu’ils mettaient enjeu. Ainsi Fa
ois et je les produis. Vous les acceptez, je les accepte en âme et en
conscience
. Ils sont pour nous la révélation de notre siècle
ont donné des explications sur l’état particulier où nous n’avons pas
conscience
de ce que nous faisons, et sur la séparation de l
i, « Notre volonté ou faculté de réagir sur nous-mêmes fournit à la
conscience
l’idée de notre personnalité, l’idée du moi. ».
ffirme à lui-même son existence et distingue le moi du non-moi; notre
conscience
, à la voix de laquelle l’esprit ne peut refuser s
onté : on nous dit que cette volonté est la nôtre, quoique nous ayons
conscience
du contraire. 11 y a là une énorme difficulté, et
e veille, jouit de la plénitude de ses facultés intellectuelles, il a
conscience
de ses mouvements instinctifs; et, d’ailleurs, si
offensants, parmi lesquels se trouvait son propre frère, bien que sa
conscience
lui dit que ce frère était plein de bonté pour lu
savoir si étendu, d’une imagination si énergique, cet homme qui a la
conscience
de ce qu’il vaut et de ce qu’il peut, dont la têt
être ni dans l’état magnétique ni dans l’état biologique. Elle avait
conscience
de ses actes exactement conune avant l’applicatio
étise; qu’elle montre, avec ou sans bandeau, la môme volonté, la môme
conscience
de ses actes ; et qu’elle affirme être sous l’inf
temps, de moi, de non-moi, de personnalité, d'identité, d'unité de
conscience
, d'abstrait, de concret (1). Il faudrait au moins
ments percepteurs n'entraîne pas la perception de cet ordre dans la
conscience
. Pourquoi donc le conteste-t-il (p. 158) ? Voic
les excitations ima- ginables, aucun d'entr'eux n'arrivera à avoir
conscience
du lieu qu'il oc- cupe dans le carré. ' J'avo
ie. Image (psychique) par exemple, signifie pour lui non ce fait de
conscience
, cet événement intérieur vécu du de- dans, et s
monde qui est extérieur à notre moi » (p.181) ; tantôt il rend à la
conscience
, tout à l'heure si malmenée, un hommage inatten
tendu, lorsqu'il dit, par exemple, que dans le repos du membre « la
conscience
abandonne la représentation [de l'attitude] pour
pour les états sub- jectifs, finit cependant par déclarer que « la
conscience
d'une image n'est pas cette image » ; il reconn
ence d'une image n'est pas cette image » ; il reconnaît donc que la
conscience
d'une image est autre chose qu'une cer- taine p
e raison pour que cette dis- tance intracorticale soit connue parla
conscience
. L'ordre des centres percep- teurs n'entraîne a
cep- teurs n'entraîne aucunement la perception de cet ordre dans la
conscience
, et l'on voit combien sont vaines les tentative
és dans l'espace, comme un composé de mouvements, les phénomènes de
conscience
sont irréductibles au mouvement, n'ont aucune gra
rps. D'après ce principe, on admet qu'à chaque mo- dification de la
conscience
correspond une modification des centres nerveux ;
celles-ci à déterminer les équivalents cérébraux des phénomènes de
conscience
. Et c'est précisément parce que la plupart de c
ènes cérébraux offre bien plus de lacunes que celle de nos faits de
conscience
, qui ne sont guère ignorés que pendant le somme
logiques eussent-ils gagné à être débattus franchement en termes de
conscience
. » III. Les faits. Que disent les faits ? Les r
s sensations sont de simples états d'excitation per- ceptibles à la
conscience
, lesquels peuvent être différents en qualité et e
érents en qualité et en degré, mais ne fournissent directement à la
conscience
aucune notion de lieu. Ils n'en fournissent qu'
ents des doigts, des bras, etc., parviennent des articulations à la
conscience
, cela ne signifie nullement que le piocessus arti
'amer, le chaud ou le sucré avaient besoin, pour se révéler à notre
conscience
, de faire appel à toute une série de représenta
li cette proposition fondamentale : Les sensations sont, pour notre
conscience
, des signes dont l'interprétation est livrée à
véritable désorientation visuelle : les objets se présentent à leur
conscience
sans ordre, sans forme; c'est un véritable chaos
n tient M. Ebbinghaus dans l'ouvrage cité plus haut (p. 467) : « La
conscience
du parcours d'une certaine étendue n'est pas une
que « c'est à l'occasion des mouvements que nous avons il mettre en
conscience
nos attitudes ». Pourquoi donc, à la page suiva
être considérés comme existants, quoique l'enfant n'ait pu en avoir
conscience
. Du reste, chez un enfant de six ans, bien qu'i
pposent, si on parle psycho- logiquement, une amnésie, une perte de
conscience
des sensations et des images correspondantes, e
e qui caractérise l'hysté- rie, c'est le rétrécissement du champ de
conscience
ou, si vous préférez le langage anatomique, c'e
re complète. Il en résulte que, dans l'hystérie, il y a perte de la
conscience
de certaines fonctioms, anesthésie, amnésie, ph
le sent pas trembler, ne s'en préoccupe pas. Cet homme a une grande
conscience
de son tremblement, le remarque, le sent et sai
lades sur leurs troubles; ils n'ont pas perdu la sensibilité, ni la
conscience
des membres malades. Au contraire, il faut dist
e et suivi immédiatement par la reprise de la position assise. La
conscience
des malades était tout à fait claire pendant ces
e (j'ai fait remarquer clairement : contre la volonté du malade, la
conscience
étant claire, etc.) et que je m'approche de l'i
le malade, on peut facilement se convaincre qu'il possède sa pleine
conscience
. il exa- mine ce qui se passe en lui avec une
nage humoristique et se moquent un peu du malade. Le rapport de la
conscience
aux hallucinations auditives est générale- ment
ent à la suite du delirium tremens. « Après le sommeil critique, la
conscience
du malade atteint du delirium tremens s'éclairc
s sensations, faculté de la pensée et du raisonnement, etc. ; enfin
conscience
de soi-même (ce qu'on appelle la conscience du
sonnement, etc. ; enfin conscience de soi-même (ce qu'on appelle la
conscience
du moi), voilà des processus psychiques. Les pr
un certain temps, parce qu'ils ne peuvent pas coexister dans notre
conscience
, mais seulement passer l'un après l'autre par l
cience, mais seulement passer l'un après l'autre par le focus de la
conscience
, de telle sorte que nous avons la faculté de me
qua non pour la possibilité d'une activité psychologique rapide, la
conscience
. Le grand philosophe et naturaliste Descartes (
es hémorragies dans ces cavités amènent à la perte permanente de la
conscience
, à un état soporeux, au coma, d'où le retour au
complète de la vie intellec- tuelle. Par moments il semblait que la
conscience
revenait; le malade se plaignait de douleurs da
iquement synonymes et le centre en relation la plus étroite avec la
conscience
et la conscience de soi- même, est le centre fr
s et le centre en relation la plus étroite avec la conscience et la
conscience
de soi- même, est le centre frontal. Je ne ve
x d'un tel développement, d'une telle réunion, de- viennent pour la
conscience
toujours de plus en plus clairs ; mais, si ces
de une extension locale quelconque, travaille il la formation de la
conscience
, pendant que la matière croît seule- ment après
utomonade M. Ainsi s'explique d'après M. J. S. Prodan l'unité de la
conscience
et de (1) La nouvelle monadologie . Paris, 1899
ère, car l'activité de l'aZCtomonade se manifeste dans l'acte de la
conscience
de soi-même. Comme on voit, l'hypothèse monadol
, que nous y dirigions notre attenlion ou non. Mais ou réside cette
conscience
? A quel endroit du cerveau son activité est-elle
es impres- sions (Treviranus) tout parle en faveur de l'unité de la
conscience
et qu'elle doit être localisée dans un endroit
rrompue, dont les fonctions se trouvent en relation étroite avec la
conscience
, la volonté, la mémoire, le sentiment conscient
impair, le 5° ventricule compris, comme étant le seul organe de la
conscience
chez l'homme et chez l'animal Les crura et taen
is seraient les voies qui mettent en communication l'or- gane de la
conscience
(fig.b, 1) avec les centres corticaux (fig.b, 4 s
ion, à savoir qu'on doit t attribuer l'importance d'un organe de la
conscience
au corpus fornicis je citerai l'expérience suiv
it absolument pas, montrant par conséquent une perte complète de la
conscience
. De temps en temps il se relevait un peu de sa
vements saccadés. Il vivait ainsi encore à jours, sans avoir repris
conscience
; il mourut dans la nuit du ae au 6° jour. La
rnix lui-même. L'animal se trouvait en état de perte complète de la
conscience
, de laquelle il ne revenait plus jusqu'à sa mort.
irmation, que le corpus fornicis renferme en soi-même réellement la
conscience
et avec elle les fonctions psychiques les plus
ent du caractère du malade, affaiblissement et perte complète de sa
conscience
. 22 - TCH1RTRV Maintenant, si nous nous souve
hémisphères et avec le conarium (3) - (fig. b, 4 d et 4. s). Si la
conscience
ou l'attention se dirige vers un centre cortical
ortical quelconque, les processus s'y déroulant parviennent à notre
conscience
; si l'atten- tion est dirigée vers un centre q
me on a l'habitude de dire, dans notre mémoire et nous revient à la
conscience
, comme nous ayant élé connu déjà antérieurement
ons quelconques, qui étaient déjà entrées antérieurement dans notre
conscience
, a lieu de cette façon. Si je veux consciemment
la volonté. et l'action a lieu avec ou sans la participation de la
conscience
. De la même façon, si à la suite de conditions
s orga- nes du sens du côté opposé, n'atteignent pas l'organe de la
conscience
et ne sont pas aperçus par conséquent consciemm
l'opération, on pouvait constater chez lui une perte complète de la
conscience
et il mourut aussi dans cet état inconscient. E
la question capitale du substratum anatomique de l'âme resp. de la
conscience
est résolue en général et. je suis parvenu à tr
a décrit de ces apparats symboliques, en rapport avec des états de
conscience
essentiellement dépressifs de déments. Vous souve
logique d'être : l'humeur, le mouvement du corps et de l'esprit, la
conscience
de notre moi. Dans les syndromes mentaux dont j
de la Nouvelle Iconogra- phie de la Salpêtrière ont pu apprécier la
conscience
et l'habileté dans la reproduction de tous les
son beau-frère. Il ajoute que son acte n'est pas légal, mais que sa
conscience
est tranquille parce qu'il se considère comme I
médicales il Paris. Ce fut un travailleur d'une constance et d'une
conscience
peu commu- nes. Il s'attachait surtout aux fait
conserve- ront une valeur documentaire du meilleur aloi, grâce à la
conscience
et au soin minutieux avec lesquels ils ont été
collection des attribués au l'rimalice) (6 pl.), par MEME, 247.
Conscience
(Siège des processus psychiques conscients (3 p
ur et sans manifestation d'un malaise quelconque, sans qu'elle en eut
conscience
. Il n'y eut pour ainsi dire pas d'hèmorrhagie. En
le souvenir de ce qui s'est passé avant le sommeil reviendra avec la
conscience
, en même temps que le souvenir des émotions éprou
e impassible connu des hypnotiseurs. Je lui demandai s'il avait perdu
conscience
, « J'ai perdu conscience entièrement » me répondi
pnotiseurs. Je lui demandai s'il avait perdu conscience, « J'ai perdu
conscience
entièrement » me répondit-il. Au réveil il me r
rement » me répondit-il. Au réveil il me raconta qu'avant de perdre
conscience
il avait éprouvé des sensations fort pénibles : p
craindre son influence néfaste dans les moments crépusculaires de la
conscience
, quand elle s'endort ou quand elle se réveille. S
un choc si violent qu'il succomba aussitôt. * ß * Des états de
conscience
divers survenus à l'occasion de colère, de dépit,
riablement le contre-coup des événements tragiques de la guerre. La
conscience
claire du moi s'obnubile pendant l'action et l'au
se dans son cerveau enfumé... La nuit venait sans que nous en ayons
conscience
et nous n'avions pas le temps de nous apercevoir
e bataille. L'alternance de ces deux personnalités, de cette double
conscience
bien connue des psychologues, n'est point spécial
tous ces phénomènes disparaissaient, laissant d'ailleurs une entière
conscience
et un souvenir très-exact de tous les actes accom
une courbature très ac-" centuée. Lorsque cette intermittence de la
conscience
, de transitoire, devient-, permanente, lorsqu'ell
aite à sa ressemblance ». La dernière expression des troubles de la
conscience
du moi est réalisée par la substitution de la per
justifiée pour sa personne. Xi'amour-propre consiste aussi dans la
conscience
qu'on a de ses aptitudes et de sa valeur propre.
nce qu'on a de ses aptitudes et de sa valeur propre. Une fois qu'il a
conscience
de ce qu'il est capable de faire, l'homme doué d'
rveillance, il convient également de s'efforcer de développer dans la
conscience
des enfants, le sentiment Je la probité. Remarq
cas assez complexe où l'idée de suicide apparaît dans le champ de la
conscience
à l'occasion de manifestations hystériques au poi
le est toute à cette contemplation, l'idée surgit tout à coup dans sa
conscience
, qu'elle serait tout a fait bien si elle se laiss
ée de suicide se précise, elle entre complètement dans le champ de la
conscience
et tandis qu'au début elle était contenue simplem
moins elle ne sait plus ce qu'elle veut ; quand une idée naît dans sa
conscience
, immédiatement c'est l'idée contraire qui l'attir
onsciente, nettement formulée.Lescirconstancesl'imposerontbientôt àla
conscience
. En effet c'est à cette époque que les affaires d
, éveillèrent non seulement la curiosité de son esprit, mais aussi sa
conscience
scrupuleuse de juriste et d'honnête homme. Il sui
t d'nne idée qui restera dans la science des psyeholoques, et dans la
conscience
de quiconque aura a remplir les fonctions déjuge.
galement de mettre nos auditeurs en garde contre ces mauvais états de
conscience
qui, tels que la veulerie, le mysticisme, le nihi
M. le I>[ Rodolphe Broiu B y a peu de problèmes qui déchirent la
conscience
moderne à un plus haut degré que l'antithèse qui
primitif, faible, isolé, menant une vie précaire, qui prend peu k peu
conscience
de son énergie latente et triomphe, par la pensée
Il est exact que, dès les temps les plus reculés, les Chinois ont eu
conscience
de la force que donne l'organisation militaire. C
it définitivement cristallisée dans son immobilité légendaire reprend
conscience
de sa force et se prépare à faire entendre bientô
oint de vue purement mental, sinon une maladie de la volonté et de la
conscience
? Si les fous sont complètement inconscients, les
issait sortir petit à petit, de son état maladif, reprendre peu a peu
conscience
et s'acheminer progressivement vers l'état normal
génital immodéré. Ce désir envahit à certaines heures le champ de la
conscience
et devient une obsession pour le malade ; c'est a
que la double-personnalité, les états de transe et les troubles de la
conscience
analogues, les troubles psychiques accompagnant l
sans lesquelles la sensation morbide peut être chassée du champ de la
conscience
, conduit à établir que celle-ci peut être éliminé
revint à lui que trois heures après l'accident; il n'avait aucune
conscience
d'avoir été frappé par sa jument. La dernière c
érité d'une vieille praticienne. Et cependant elle n'avait aucune
conscience
de ce qu'elle faisait; elle agissait automatiqu
irection à suivre, soit parce que l'image ne se pré- sente pas à sa
conscience
avec des contours assez nets, soit parce que le
après l'ablation des hémisphères cérébraux, continuent de voir avec
conscience
: ils ne sont aveugles, ni psychiquement, ni ab
ons, des images qui, si l'intensité est suffisante, s'imposent à la
conscience
avec tous les caractères de la réalité extérieu
aucun raisonnement ne saurait prévaloir con- le témoignage de notre
conscience
. Voilà, du moins, comment on peut se représente
déré est indispensable pour que l'hallucination se produise dans la
conscience
avec tous les caractères de la réalité objectiv
èsl'ablation des deux lobes occipitaux fait penser que l'aire de la
conscience
visuelle n'est pas confinée à ces lobes, comme
le vulgairement les mouvements et les actes 11'I'éflé- chis ; notre
conscience
ne fait que les constater, mais elle n'est null
s. Or, si l'influence des excitations extérieures se dérobe à notre
conscience
, celle des excitations venant de notre organism
très souvent, en effet, de considérer en BIBLIOGRAPHIE. 163 toute
conscience
certains actes comme absolument spontanés alors
alades au manque d'intensité des impulsions passées au centre de la
conscience
par des or- ganes à demi anesthésiés. La base d
sidence DE M. J. FALRET. M. fALBET présente sur les obsessions avec
CONSCIENCE
(INTEL- LECTUELLES, ÉMOTIVES ET instinctives) u
re ainsi résu- mées : les obsessions sont toutes accompagnées de la
conscience
de l'état de maladie; elles sont héréditaires,
at les conclusions du rapport de 11. Falret sur les obsessions avec
conscience
(voir plus haut, séance du 5 août, soir). Il y
ple) et aboutir à la démence. Il en résulte que les obsessions avec
conscience
ne doivent pas être bornées au domaine de la foli
un travail sur le sens musculaire qui consiste, selon lui, dans la
conscience
de la situation de notre corps par rapport à lu
ence sous le nom d'épilepsie larvée sont des cas d'altération de la
conscience
chez les hystériques ou de dédoublement de la p
il est rare dans l'hypnotisme pur de constater la disparition de la
conscience
, la flexibilitas cerea, les convulsions général
tervalle, il se produit dans son état un grand changement dont il a
conscience
. Sa parole devient embar- rassée d'une façon pe
de l'écorce cérébrale sont les origines centrales du sens ou de la
conscience
mus- culaire, il y a la théorie de Schiff, suiv
'elle naisse, il nous faut reproduire ces mouvements avec ou sans
conscience
; les résidus de ces sensations mus- culaires co
des années d'études expérimentales etanatomo-cliniques,qu'ilsont
conscience
de leur ignorance des processus cérébraux. II.
ontaires; ils sont l'expres- sion objective des modifications de la
conscience
qui, dans leur ensemble, constituent la volonté
ment, avait donné aux phénomènes observés le nom de désordres de la
conscience
musculaire : grâce à cet artifice, Hitzig avait
volontaire, tous deux les ont rapportés à une altération soit de la
conscience
musculaire, soit des représentations centrales
dans les premiers jours, quelquefois abolies. Quant au sens ou à la
conscience
musculaire, dont le trouble se manifeste souven
nt. Il avait con- tinué à percevoir correctement, il avait parfaite
conscience
de son impuissance. Ces troubles persistèrent a
l était avant sa maladie, il ne restait rien. Il avait parfaitement
conscience
de cette déchéance, d'autant plus qu'il avait c
kolf, 275; optique symptomatique, par Manz, 444. Obsession avec
conscience
, par Fal- ret, 274; - par Charpentier, 281 ;
n et sans voix, et comme anéantie sous les terribles syndérèses de sa
conscience
qui l'écrasait, en présence de la vérité du Dieu
égarée, ainsi dominée par des forces, des volontés dont elle n’a pas
conscience
, ce sont ses seuls aveux, ses rêves, ses hallucin
Dans le premier cas, l’esprit est en possession de lui-même, il a la
conscience
de ses actes, il raisonne et agit presque comme à
u l’autre hypothèse, le médium réellement influent ait, sans en avoir
conscience
, traduit sa pensée au moyen des mouvements de la
est (fyns un état extraordinaire : il y a chez lui, sans qu'il en ait
conscience
, une surexcitation intellectuelle, grâce à laquel
ils expriment des opinions souvent contraires aux nôtres, nous avons
conscience
d’être étrangers à ces discours et à ces opinions
es, il faut que son intelligence intervienne. Et comme néanmoins il a
conscience
de n’être pour rien dans ce qu’il a écrit, il fau
vidu, dans l’état de médium, peut composer des discours sans en avoir
conscience
, il n’y a pas de raison pour ne pas admettre qu’i
méritât de si affreux supplices. C’est dans le for intérieur de la
conscience
que se jugent ces questions; à Dieu seul il peut
i’il obéit aux impulsions de cette puissance vitale sans «voir aucune
conscience
de lui-même, ni de ses mouvements, ni de sa propr
cteur du Journal de Seine-et-Marne. Monsieur, Pour l’acquit de ma
conscience
, locataire importune qui me talonne chaque jour
ter (je suis pas mal vieux), je dois, dis-je, pour satisfaire à cette
conscience
, vous faire pirt d’un procédé qui, appliqué aux c
sa consultation , et le somnambule recevra ce prix en toute sûreté de
conscience
, il n’y aura ni fripon, ni dupe ; et l’on devra d
us verrez les flux et les reflux. Heureux celui qui peut dire en sa
conscience
: Un malade de moins, puis un croyant de plus!
térile enthousiasme, encore moins par oubli du respect que se doit la
conscience
honnête. Sous peine d’inconséquence, ils sont don
d'avoir embrassé le catholicisme. Oue, dans tout pays, la foi , la
conscience
, maintenues au dogme de l'équité, puissent librem
c que des juges impartiaux et désintéressés prononcent en leur âme et
conscience
si les conditions du défi ont été remplies, et M.
our la solution duquel le médecin légiste ne peut faire appel qu’à sa
conscience
personnelle. Le rapport que nous publions offre,
a victime ait été annihilée assez, pour qu’elle n’ait pu garder ni la
conscience
du fait, ni la force d’y résister. Ainsi les subs
lée sans qu’il y ait participation de sa volonté, sans qu’elle en ait
conscience
, et que, par conséquent, elle ne saurait repousse
ées qu'elle a gardées pour elle seule, ou dont peut-être elle n’a pas
conscience
!... Savez-vous, cher docteur, que s’il en était a
Je l’attendis deux nuits et deux jours, et déjà je n'avais plus guère
conscience
de mon existence, lorsque je crus entendre des co
t de veille, à la vie de relation, lui restituer la sensibilité et la
conscience
. « Après une pause pendant laquelle je remarqua
oins fréquent 11 y avait douze heures qu’elle était insensible ,.sans
conscience
ni volonté. i Mon ami, après s’être mis en rela
magnétique, alors qu’elle commençait à recouvrer la sensibilité de la
conscience
; bien qu’ayant le souvenir de tout cela, cependan
xcitée à écrire : se trouvantdans un état où elle n’avait qu’à moitié
conscience
de ce qu’elle faisait, elle écrivit une prescript
Indigna, 50 mors 1858. « Messieurs, Je crois remplir un devoir de
conscience
en vous faisant part de deux cures bien remarquab
oute cette période. « D’après ce qu’elle déclara depuis, elle avait
conscience
de son état et avait connaissance de ce qui se pa
érité, non pas seulement de démonstration, mais encore d'instinct, de
conscience
et de sens intime, et même d’expérimentation. «
par aucun autre, prétendant qu’il ne veut être magnétisé que par une
conscience
pure et honnête, chose difficile à rencontrer ici
que l’instrument passif d'un être extra-humain, ou si, sans en avoir
conscience
, il ne fait que formuler ses propres pensées. Voi
dirige, et dont, par conséquent, nous sommes les instruments. Noire
conscience
nous "parle et nous ordonne, notre intelligence n
ais 011 no découvrit chez le sujet aucun symptôme annonçant qu’il eût
conscience
de ce qui se passait : seulement, lors d’une des
es mains sur les bras du fauteuil, alin de se lever, comme s’il avait
conscience
depouvoirle faire, mais M. Collyer l’avant regard
né? Selon les jansénistes, la chose était indubitable; mais, selon ma
conscience
, il me paraissait que non. Toujours craintif et f
avons toujours cessé la compression dès que sur- venait la perte de
conscience
aussi bien chez les personnes saines que chez l
n temps, le plus souvent plus de 30 secondes, survient une perte de
conscience
instantanée se dissipant immédiatement après la
il ne subsiste qu'un très léger et très court vertige. La perte de
conscience
n'était accompagnée d'aucune convulsion, mais s
quels nous avons pratiqué la compression des carotides, la perte de
conscience
survenait plus rapidement que chez les personne
ines, toujours au bout de trente secondes au plus tard. La perte de
conscience
, sauf pour les cas d'épilep- tiques équivalents
chez deux une contrac- ture de la moitié du corps, dès la perte de
conscience
sont survenues des convulsions très prononcées
ourdissement et sensation de fatigue de la même moitié du corps. La
conscience
est revenue immédia- tement après, il n'a pas é
que dès qu'on leur a pressé le cou et avant la perte instantanée de
conscience
, commençait l'engourdisse- ment de la moitié du
xagération de réflexes en général, et anesthésie de la cornée. Il a
conscience
du vertige, ainsi que des hallucinations au déb
atiguée, elle a des difficultés du langage, mais elle n'a nullement
conscience
de l'accès. Outre les accès que je viens de déc
demi-heure jusqu'à deux heures. Quand il revient à lui, il n'a pas
conscience
de l'accès, il se sent seu- lement très fatigué
igue générale et du vertige. A la pression des. carotides, perte de
conscience
, puis légères convulsions des doigts des deux m
ssayons de le faire lever. Petit à petit, il revient à lui, n'a pas
conscience
de l'accès ; il se rappelle seulement « que je lu
venue le matin. A la pression des carotides, immédiatement perte de
conscience
. Il se lève du canapé, l'oeil hagard, la face l
longuement secoué, est revenu à lui-même petit à petit n'ayant pas
conscience
de l'accès et se plaignant d'une grande fatigue
tié gauche du corps ainsi que de la face. Puis survient la perte de
conscience
ne durant que quelques minutes, après quoi il r
tiés du corps. A la pression des ca- rotides, il perd immédiatement
conscience
, puis présente des convulsions géné- rales. Ens
es pupilles dilatées. Il ne répond pas à nos questions, n'ayant pas
conscience
de ce quise passe autour de lui. Trois minutes
sie de la cor- née. A la pression des carotides, perte immédiate de
conscience
et convulsions des muscles de la face. Puis pâl
fatigue très grande, de lourdeur de tête et de somnolence. N'a pas
conscience
de l'accès. Elle sent la même chose après l'acc
ondément. Lorsqu'il s'est réveillé le matin, il n'avait nul- lement
conscience
de l'accès. Depuis dans la nuit, pendant son somm
rés en général. A la pression des carotides, immédiatement perte de
conscience
, puis regard hagard pendant une minute environ.
a pression des carotides, immé- 62 TSIMINASKIS diatement perte de
conscience
, puis état spasmodique instantané seulement des
symptômes. A la com- pression des carotides, immédiatement perte de
conscience
avec convulsions généralisées, puis obnubilatio
mois à 2 ans. Ces accès commencent par un grand cri, puis perte de
conscience
avec convulsions générales, mousse à la bouche
res supérieurs à l'extension. A la pression des carotides, perte de
conscience
avec convulsions instantanées, LA COMPRESSION D
e chez les épileptiques, en retirant les doigts dès que la perte de
conscience
surve- nait. J'ai surtout fait tout mon possibl
ité bonne, mais pouvant se caractériser par ta persistance, dans la
conscience
, de la conviction que la blessure est sinon incur
couleur, mais pas d'ulcération. 12. - Le malade a aujourd'hui la
conscience
troublée, et pendant la plus grande partie du j
assez grande, mais quand il est éveillé, il n'y a pas de trouble de
conscience
. Quelquefois il se plaint de douleurs fortes. 1
d'une complète imbécillité, sont beaucoup moins nombreuses. ' La
conscience
de son incapacité sexuelle, acquise de bonne heur
agnostic des maladies; c’est trop pour des personnes qui n’onl pas la
conscience
de leurs actes, puisque réveillées elles ne garde
arrière se trouva changée : il renonça à l'exercice d'un art que sa
conscience
réprouvait désormais, el se jetaà corps perdu dan
ffre pourtant, car il crie, se lamente, se débat; vous lui enlevez la
conscience
, mais non la douleur, car ses plaintes ont un sen
bras se sont levés, des bouches ouvertes, comme si, blessés dans leur
conscience
, les témoins de cette scène étrange eussent voulu
tion bien grave: celle de savoir si les somnambules, qui n’ont pas la
conscience
de leurs actes, peuvent être punis; en un mot, si
qu’il y a immoralité dans l’emploi de ce procédé, qui, en enlevant la
conscience
, permet des abus. Ce singulier argument, si longt
era poursuivi par la vindicte publique. Nous ne relevons que de notre
conscience
et ne sommes aucunement responsables envers la so
ntérêt de les attaquer; d'ailleurs nous ne lutterons pas contre notre
conscience
, puisque nous ne croyons pas; et aussitôt dit, au
que nous croyons vrai, par crainte des opinions contraires; car notre
conscience
nous dit que toute découverte est un bien utile a
ce passage, ou voit qu’il est faux. Comment l’empereur, qui avait la
conscience
de sa valeur et de son génie, aurait-il souffert
n aussi, sans danger, rechercher les crimes politiques, découvrir les
consciences
vendues, les concussionnaires, les faussaires, to
est fausser l’esprit de la loi, qui fut faite contre l’homme qui a la
conscience
de ses actes, que de l’appliquer à une personne d
ine d’onction, destinée à lever le doute, faire cesser la réserve des
consciences
timorées. Nous la publions sans commentaires; cha
magnétisme sans crainte et sans scrupule; néanmoins, pour rassurer ma
conscience
et m’éviter tout reproche d’avoir agi légèrement
ceux qui préfèrent nier ce qu’ils ne comprennent pas à l’étudier avec
conscience
et un véritable désir de s’instruire. » (1) «Ta
, j'espère, comme tant d'autres, et alors les hommes de science et de
conscience
pourront se faire entendre 4 leur tour. ■ Le Pr
s que nous avons conçues, et dont nous n’avons cependant nullement la
conscience
; c’est là, ce me semble, une belle arme pour les
s de la justice? Non, mille fois non ; il n’obéira qu’à la voix de sa
conscience
; sa vie ne peut se démentir, et tant qu’il lui e
épendance de caractère pour sacrifier quelquefois leur science à leur
conscience
, leurs malades s’en trouvent mieux, et le public,
femme ou psalmodier une tragé- die mérovingienne, j’ai toujours la
conscience
de l’heure précise. — Je n’ai pas d'accès bien dé
les simples fidèles, désirerait s’assurer, pour la tranquillité de sa
conscience
, si effectivement le démon intervient personnelle
sa sensibilité, je l'éveillais chaque fois pour m’assurer s’il avait
conscience
des piqûres queje lui avais faites en sommeil.
s les chirurgiens des opérations satin douleur. Si un homme n’a nulle
conscience
d’une opération, et qu’éveillé il ignore son effe
vais le rapporter tel qu'il me l’a raconté hier, et je le livre à la
conscience
el à la méditation de chacun. Mon ami, M. S., s
!! Si vous les pressez davantage ou qu’ils se sentent repris par leur
conscience
, ils essayeront bien, mais comme à contre-cœur, s
us les magnétiseurs de cœur s’occuper avec toute la suite el toute la
conscience
dont ils sont capables, de l’application du princ
age, elle change d’aspect, paraît honteuse et devient confuse. Elle a
conscience
des choses qu’elle a vues, mais refuse de répondr
arable relativement aux autres animaux, s’unit une faculté divine, la
conscience
de sa supériorité, le sentiment du beau et du bie
ont rectifiées par des impulsions dont ils ne paraissent pas avoir la
conscience
. Je crois qu’il est facile de démontrer que l'o
la raison. Mais l’instinct, ajoutait-elle, c’esl la raison, moins la
conscience
(1). » D’innombrables exemples du tyrannique em
de l’instinct et en dehors du contrôle de l’intelligence sans que la
conscience
en reçoive aucun avertissement. Toutes les foncti
es, urinaires, lacrymales et autres se lonl sans que nous en ayons la
conscience
et sans que notre intelligence ait rien à y voir.
C'est-à-dire un acte conforme à la raison sans que l'animal en lit la
conscience
; un acte tel que le lui dicterait sa raison s'il
nctions de la vie organique s’accomplissent sans que nous en ayons la
conscience
; mais qu’il survienne un trouble, et à l’instant
E. conscients. Afin qu'une idée apparaisse dans le champ de notre
conscience
, une hyperhémie fonctionnelle est indispen- sab
ages, des idées et de représentations qui peuvent passer dans notre
conscience
dans très peu de temps, et à ce rapide changeme
ce rapide changement d'objets, que nous observons au champ de notre
conscience
, correspond le déplacement de l'hyperhémie fonc
que, par exemple, l'apparition d'une image ou d'une idée dans notre
conscience
doive amener, pour ainsi dire, la fermeture de
catin de l'état patho- logique connu sous le nom de confusion de la
conscience
. A la base de toutes les particularités psychiq
les nouvelles images, en apparaissant temporairement au champ de la
conscience
, y laissent une trace continuelle, à cause de l
ué dans le cours des associations des idées ; 3° la confusion de la
conscience
est accompagnée de la destruction d'un grand no
and nombre de contacts détruits amène un plus profond trouble de la
conscience
. La théorie des neurones nous fournit de nouvea
e survint de nouveau. Le lendemain matin, on nota une dépression de
conscience
considérable, une ptose mé- diocre du côté droi
ons fait oeuvre de missionnaires, nous adressant à l'individu, à sa
conscience
, à sa moralité, essayant de le détourner du mal
s professeurs et les instituteurs s'acquitteront de ce rôle avec la
conscience
de faire oeuvre de bien public. Je leur recomma
itiques, comprend très bien ce qu'on lui dicte et ce qu'il écrit, a
conscience
qu'il écrit vicieusement et peut corriger. 2°
dictée, de lettres qui ne sont pas toujours les mêmes, avec pleine
conscience
de cet état par le patient et parfaite intellig
epose uniquement sur la persuasion employée pour créer des états de
conscience
conformes au besoin manifeste du malade. Lors
e la parole. .Etat présent à la fin du mois d'octobre de 1896. - La
conscience
est nette. Peu de symptômes cérébraux généraux
'est' lit que le rapporteur l'observa et constata ce qui suit : une
conscience
intacte ; peu de phénomènes cérébraux généraux
e est bien plutôt l'expression d'une tendance au dédoublement de la
conscience
à la suppression du Moi normal (ICI' état) et à
ipation de la zone antérieure psychique sous forme de phénomènes de
conscience
plus ou moins complets avec intervention plus ou
rus sont ceux qui intéres- saient la personnalité même des malades,
conscience
du moi, et ensuite les faits relatifs à la fami
mobilité d'esprit extrême était notée au début ; nulle tant que la
conscience
de la personnalité n'a pas été complète, l'atte
ment établie. . SOCIÉTÉS SAVANTES. 343 L'association des faits de
conscience
s'est également manifestée dès la première mani
t du membre supérieur du même côté et s'accompagnent d'une perte de
conscience
de courte durée. On observe des convulsions clo
i de la paralysie générale, mais avec conservation très nette.de la
conscience
de l'état morbide par le sujet; plus les troubl
ques indiquent une paralysie générale avancée, plus le malheureux a
conscience
de la gravité de son état, ce qui est l'inverse
ate,- avant la vie intellectuelle, et que, dans les processus de la
conscience
, l'émotion est antérieure à la connaissance. «
tit tout ce que leurs différences de localisation, d'ancienneté, de
conscience
et d'intensité, enseignent et démontrent. » .
ier de la désagrégation psychologique, une sorte de dédoublement de
conscience
. » SOCIÉTÉS SAVANTES. zizi z Mais cela n'empê
'idée, l'obsession du délire, c'est que, dans lèpre-, mier état, la
conscience
se révolte contre l'invasion de la puissance ét
lle a été tout d'abord rangée et décrite dans les folies dites avec
conscience
. Les idées qui constituent l'élément intellectu
s'exerce surtout chez les hystériques, sans qu'ils en aient souvent
conscience
à l'état de veille. L'obsessionse manifeste habi-
s ne constitue pas un fait caractéristique pour les obsessions avec
conscience
, car elles se rencontrent dans la démence déjà
ar- ses myocloniques à peine perceptibles d'abord, échappant à la
conscience
et à la volonté du sujet, et survenant souvent la
lE 1; Par M. Pierre JANET. III. LE rétrécissement DU champ DE la
CONSCIENCE
. Les définitions précédentes ont certainement u
ladie. Cette disposition à la suggesti- bilité, à la division de la
conscience
n'est pas complète dès le début, or les stigmat
matisme psychologique, p. 188. ' 1. Pick. - Ueber die sogenal1nle «
conscience
musculaire» (Duchenne). (7,citschi,ifi sur psyc
ation de tous ces éléments. Nous avons proposé d'appeler « champ de
conscience
ou étendue maximum de la conscience, le nombre
ns proposé d'appeler « champ de conscience ou étendue maximum de la
conscience
, le nombre le plus grand de phénomènes simples
tre simul- tanément rattachés à notre personnalité '2 Ce champ de
conscience
ainsi entendu est fort variable. Un chef d'orches
mémoire la partition de l'opéra, réunit dans chacun de ses états de
conscience
un nombre immense de faits. L'individu endormi
voir en étudiant la distraction des hystériques que leur champ de
conscience
semble très petit, il est rempli tout entier par
contenir d'autres en même temps 3. Ce rétrécissement du champ de la
conscience
n'est qu'une manifestation de l'épuisement céré
ses transitions. « C'est encore au rétrécissement du champ de la
conscience
, disait M. Laurent 1, qu'il faut attribuer chez
ce de la perception per- sonnelle, du rétrécissement du champ de la
conscience
. M. J. Héricourt quand il résumait notre étude
II, p. 262.) 10 REVUE GÉNÉRALE. du rétrécissement du champ de la
conscience
, à cause de celle faiblesse de la faculté de sy
aculté de synthèse se réunir en une seule per- ception ou une seule
conscience
personnelle 1. » Cette nouvelle conception, à l
nt les mouvements qui doivent être réunis normalement dans une même
conscience
et un même pouvoir- ». La sugges- tibilité elle
à rechercher dans l'hystérie 1. » Le rétrécissement du champ de la
conscience
devient ainsi le caractère principal signalé da
ée, la permanence pendant un temps assez long du dédoublement de la
conscience
. L'étude d'une autre catégorie de malades soulè
délire qui provoque le vomissement. Mais ce délire est séparé de la
conscience
normale, il est subconscient, ignoré par les as
ne restent pas subconscients, ils envahissent à chaque instant la
conscience
, se mêlent avec les autres idées et produisent un
culté de synthèse psychologique, un ré- trécissement du champ de la
conscience
; un certain nombre de phénomènes élémentaires,
veloppent complètement et indépendamment à l'abri du contrôle dé la
conscience
personnelle et qui se mani- festetit par les tr
onc aphasie de la forme et non de l'essence de' l'idéation. Il en a
conscience
, n'oublie pas le ,début d'une, proposition, qua
te sur la` : manifestation de la ? doublé prso'nnalité;l'de la double
conscience
. Ces-troubles sont, ? p.o : ur' M : ltii : el;`le
bruit, modestement, sans visées autres que la satisfaction de votre
conscience
, sans autre sou- tien que votre coeur ardent po
ntité abstraite » aussi bien que des processus de sen- timent ou de
conscience
, pour ne se préoccuper que des actes neuriques.
ts extérieurs. L'apparition de tous ces mouvements est liée dans la
conscience
du malade à des moments psychiques (imitation o
a défaite arrive devant le contrôle lucide, mais impuissant de la
conscience
. Le calme n'est donc reconquis qu'au prix de ce
cernait pas, faisaient d'elle une voisine insupportable. Elle avait
conscience
de son indiscrétion, mais elle ne pouvait s'en
nt n'ont-ils pas, autant que les autres, plus même, en raison de la
conscience
qu'ils conservent, droit non pas au blâme et à
ce . Ce signe pathognomonique, il faut le chercher dans la perte de
conscience
, soudaine et complète, qui accompagne toutes le
nusitée de la période de stupeur, durant laquelle la volition et la
conscience
étaient partiellement anéanties, et le sujet ab
t enfin celle de la zone psy- chique de Munk. Tendance à l'unité de
conscience
. Le sens de l'effort résulte d'une association
permnésie, amnésie, paramnésie. Ce sont encore les troubles de la
conscience
de soi-même, tels que l'inconscience de l'état
et roule de gros yeux noirs. Elle est saisie d'effroi, tout en ayant
conscience
de l'illusion dont ses sens sont l'objet. 1. Gl
ain gauche est prise d'un petit tremblement dont parfois elle n'a pas
conscience
, mais que lui signalent ses voisines. Ses doigts
re poussée plus loin : car, lorsque les choses en sont à ce point, la
conscience
s'affecte profondément, et dans leur trouble, les
Pendant les quelques secondes que durent ces phénomènes, la malade a
conscience
de ce qui se passe en elle. Mais déjà elle est di
s en même temps que l'on ramène la connaissance, la malade n'a aucune
conscience
de ce qui s'est passé. Le 28 juin 1870, Suzanne
se de convulsions, et, au sortir de chaque accès, elle n'a nulle-ment
conscience
de ce qui vient de se passer, elle a oublié la le
n'existe pas, il n'y a pas d'hal-lucination, la malade a parfaitement
conscience
de son état; elle Fig. 86. Quatrième période. C
Réveillée à ce moment de l'attaque, la malade déclare n'avoir aucune
conscience
de ce qui s'est passé. Si on laisse l'attaque se
éralement commencé, mais il arrive ce-pendant que la malade a parfois
conscience
de ses actes et de ses mouve-ments, qu'elle ne pe
uinze ans, qui vient, dit-elle, l'ennuyer. Dans cet état, elle a bien
conscience
de ce que vous lui dites; mais elle vous ré-pond
is ne peut ouvrir les yeux, ou si elle les ouvre, c'est sans en avoir
conscience
, et cependant elle cause avec vous, vous prie de
, sans que cependant il semble y avoir une suppression complète de la
conscience
. L'étal comateux n'a été observé qu'une fois, en
'abdomen. La face devenait pâle et déviée; il y avait perte rapide de
conscience
et chute. On observait alors de légères convulsio
ives, qui succèdent aux attaques épileptiformes et dans lesquelles la
conscience
n'est pas entièrement abolie; elles s'accompagnen
tase ou de mort apparente. Cet état cataleptique avec abolition de la
conscience
, dura trois heures. Les membres présentaient la f
tte étrange affection. Du reste, l'accès fini, la malade n'avait plus
conscience
de ce qui s'était passé. Les attaques étaient au
pond alors aux questions (pii lui sont adressées, et dit ne pas avoir
conscience
de ce qui vient de se passer; elle éprouve bien u
t de l'ouïe. Abandonnée à elle-même, M.... ne paraissait avoir aucune
conscience
de son état; cependant, si on l'interrogeait en y
es spéciaux du délire qui relève directement de la grande hystérie.
Conscience
du délire. — Ce caractère a été signalé par M. Mo
orte, pour ainsi dire, de l'état hypnotique. La malade n'a absolument
conscience
de rien ; la pression de la zone hystérogène, qui
es yeux restent ouverts, elles paraissent absorbées, elles n'ont plus
conscience
de ce qui se passe autour d'elles, et leurs membr
e rendre réellement efficace. La malade n'a selon toute vraisemblance
conscience
de rien; son moi est ab-sent. Cependant dans les
r quelques-uns. J'ai déjà dit que la malade conservait une certaine
conscience
d'elle-même, qu'elle pouvait refuser d'accompHr c
ans une modification particulière du tact qui s'opère en dehors de la
conscience
de la malade. Pendant ({uc la malade est plongé
ous l'avons montré, en dehors de la volonté de l'observateur et de la
conscience
de la malade; fait absolu-ment d'ordre somatique
érait encore par ceci, que la malade, une l'ois revenue à elle, avait
conscience
d'avoir dormi longtemps, et pouvait raconter, dan
nd très rapi-dement ses sens. Elle ne se souvient de rien, et n'a pas
conscience
du temps écoulé. Dans l'intervalle des accès, i
jà décrits p. 90). Réveillée pendant cette deuxième période, elle n'a
conscience
de rien. Et cependant il semble que ses mouvement
de ne ^ peut dire ce qui s'est passé pendant son attaque, mais elle a
conscience
d'avoir été malade..... 19 février. — A cinq he
es épileptoïdes avec tétanisme des bras, gon-flement du cou, perte de
conscience
, après quoi le somnambulisme com-mence. H paraî
, cfiange de conversation à cliaque instant, est incoliérent, n'a pas
conscience
du lieu où, il se trouve, se croit dans la rue, c
blablement à ce qui a lieu pendant la quatrième, la persistance de la
conscience
, à un degré variable, en est un des principaux ca
breux,et par-fois très bruyants, ne tardent guère à se manifester; la
conscience
alors presque aussitôt se réveille, et, à cet ins
é un secret si impor-tant; mais qu'elles étaient bourrelées par leurs
consciences
, et forcées â parler pour leur décharge, et pour
e se 'sentait obligée â faire cette confession pour la décharge de sa
conscience
. Ce dernier n'en fit que rire et l'évêque et les
bien-heureuse, une convulsionnaire, une prédestinée! Son directeur de
conscience
, qui avait eu le temps d'arriver auprès d'elle, l
onnes pensent en parlant, ou plutôt parlent en pensant, sans avoir la
conscience
des paroles qu'elles prononcent, de même Marie de
n-dormie, jouit au contraire d'une grande activité. Louise n'a aucune
conscience
des actes extérieurs qu'elle accomplit, et de ce
l et d'affaiblissement de la volonté, l'alcoolisé perd peu à peu la
conscience
de sa dé- gradation, devient indifférent aux an
tiers est subir de l'hétérosugges- tion. Dans le monde des états de
conscience
, comme partout, t, c'est aux plus forts que rev
par l'attention nous pouvons accorder cette suprématie à un état de
conscience
de notre choix. Ces constatations expliquent à
nomie, un ton de conversation, un modus muendt conlorme à l'état de
conscience
que nous voulons créer en nous. L'effort sera p
s'y conformer, il faut d'abord se connaître, et lorsque nous aurons
conscience
de ce que nous sommes, nous saurons ce que nous
et le même caractère (bras, face, jambe gauches, conservation de la
conscience
), enfin le 8 février survient un état de mal au
rments des ensorcelés et des possédés du démon, aux remords de leur
conscience
, c'est calomnier des malheureux qui n'ont souve
prendre aucune connais- sance de ce que l'oeil voit, n'avoir aucune
conscience
des images qui se forment sur une rétine saine,
us favorable au point de vue du pro- nostic éloigné; 5° Folies avec
conscience
(obsessions et impulsions) 9 cas. La folie avec
ies avec conscience (obsessions et impulsions) 9 cas. La folie avec
conscience
dure en général la vie entière; 6° Malades perd
xquels viennent aboutir les conducteurs chargés de transmettre à la
conscience
les impressions dévelop- pées à la surface de n
sement des conducteurs sensitifs par l'intermédiaire desquels notre
conscience
est renseignée sur ce qui se passe autour de nous
nstituent en quelques sortes le substra- tum de notre moi, de notre
conscience
et de notre volonté. Deux grandes voies, l'une
et nous localisons les con- ducteurs chargés de transmettre à notre
conscience
les ébranle- ments qui résultent des moindres m
localisons, de même, les territoires qui servent de substratum à la
conscience
, les territoires chargés de percevoir ces ébran
atisfaire nos besoins matériels et nos aspirations diverses, sur la
conscience
que nous avons de toute cette vie intérieure et
alement à même de localiser les terri- toires corticaux où siège la
conscience
que nous avons de notre personnalité. Souhait
ite que les gens du service et la plupart des malades aient tous la
conscience
de la nécessité de cette mesure. Celte conscien
des aient tous la conscience de la nécessité de cette mesure. Celte
conscience
collective est élaborée par le but tracé d'avan
ves dans le Wahnsilln dépressif que dans la mélancolie simple. La
conscience
est aussi dans cette forme plus gravement altérée
urs conceptions maladives. Parfois même les sujets ont une certaine
conscience
de la nature de leur mal, ils se plaignent de d
écholatie. Ces symptômes sont accompagnés de troubles accusés de la
conscience
. Ces formes, dont les unes guérissent et les au
iques. Il présente trois malades, dont l'un, un mélanco- lique avec
conscience
, est traité parla poudre d'opium. Né en 1847, M
re, sans déplacement aucun, une sensation de l'activité musculaire (
conscience
musculaire de Duchenne, sen- timent de l'activi
II a observé un jeune homme, qui montrait, outre une perte de la
conscience
musculaire du côté gauche, l'impuissance de mouvo
té » (Legrain). Les conditions de l'obsession sont donc : la pleine
conscience
de l'obsédé, sa lutte contre l'impulsion, l'éta
fs). On doit aussi mentionner des cas où, au comble de la crise. la
conscience
se trouve troublée transitoire- mcnt. Vu que l'
te d'éblouissement vertigineux, de con- vulsion mentale, quoique la
conscience
reste présente, sinon indemne de toute altérati
otive, vers un acte appétiti ? qui n'inspire aucun délire et que la
conscience
rejette, mais qui s'impose, parfois, automatiqu
besoin, lutte angoissante entre l'envie morbide qui commande et la
conscience
qui apprécie et résiste, limitation étroite de l'
rsonnes normales, une influence caractéristique des divers états de
conscience
sur l'intensité du réflexe patellaire. Par exempl
s formes d'épilepsie déterminant des troubles du caractère et de la
conscience
, sans crises convul- sives. Tels sont : le peti
te forte dose, une modification dans les états crépusculaires de la
conscience
. La médication conuil- sive a donc des indicati
ressive et successive, comme chez Argentina ; le retour à la pleine
conscience
totale même, ici, nécessité six mois. Enfin dès
état organique déterminé, l'involution sénile, dont elle serait la
conscience
qu'en prennent certains sujets. Pour la descrip
tuée par les sentiments liés aux modifications organiques et par la
conscience
du déficit psychi- que ; 2°lesétatsaigus sont l
sont pas tout à fait de nature à satisfaire les exigences de notre
conscience
. Même si l'on y pourvoit de la manièrela plus h
axie ; puis parce que cette conviction est entrée désormais dans la
conscience
de tout homme d'Etat, que la santé d'un peuple
e la personnalité sont conservées et le malade garde très longtemps
conscience
de son état. Ces diverses variétés de troubles
sociaux disparaissent en même temps que ,se retrécit le champ de la
conscience
. La place de l'hystérique est à l'asile et non
de la présence ou de l'absence, dans le processus morbide, de la
conscience
et de la volonté. Cette distinction est des plus
e mesurer chez le sujet suspect la valeur des constatations de la
conscience
et des efforts de la volonté.La cliniquemédico-lé
pour lui un caractère prophétique; elle a pris dans le champ de sa
conscience
une importance Irès grande, parce que, suivant
des premiers. Tout ce monde occulte a pour mission de préparer des
consciences
à très longue distance et à très longue échéanc
tout aussi bien s'accuser d'avoir tué et éventré sa mère, mais il a
conscience
que ceci n'existe qu'en rêve ; il est alors obl
colonne vertébrale se Ilé- chir ou s'incliner sans qu'ils en aient
conscience
, leur tronc perdre son équilibre, - et il suffi
souvent de tremblement ou de secousses musculaires dont le malade a
conscience
, d'exagération des réflexes patellaires et d'au
u'une illusion de l'esprit, la sensation pénètre dans le champ delà
conscience
; l'imagination du sujet, actionnée par l'idée
eulement à élever et à maintenir, au niveau qu'elle doit avoir leur
conscience
morale, dont dépend le bien-être des malheureux
atteinte intolérable à la liberté de l'individu aussi bien qu'à la
conscience
publique, et aucune lâche n'est plus pressante
ble que soit un pareil contrôle, si celui-ci s'exerce avec la haute
conscience
de l'importance qui s'y attache. Les rapports q
des facultés intellectuelles qui en effacerait toute trace dans la
conscience
de l'homme sain d'esprit. Aussi l'école italien
st l'absence de notion correctrice qui favorise dans le champ de la
conscience
le développement des conceptions erronées. Dès
une vague de fond amener à la surface et placer sous les yeux de la
conscience
des dépôts in- connus. 2° La personnalité se
n échelle, son seau et lui- même. Dans l'ivresse qui obscurcit la
conscience
et supprime le con- trôle de la raison, on voit
ou comme vicieux responsable. 3° La personnalité se disloque, la
conscience
n'est pas une. Celte dislocation se montre dans
la justice ; elle est enfin un mol oreiller qui a permis à bien des
consciences
de se repo- suis : c'est une de ces solutions b
898. - Aujourd'hui, l'état de M110 A... est amélioré, elle a pleine
conscience
de ses anciennes idées délirantes, elle retrouve
pression ; la malade est calme, s'occupe très activement; elle a
conscience
de son état morbide et a gardé le souvenir très n
monde. Elle a subi un martyre spirituel indicible, on lui a volé sa
conscience
, mais elle a gardé un coeur pur. On a changé
tie, mais avec une nuance de persécution (si 11,10 II... a perdu sa
conscience
, c'est qu'on la lui a prise). Les idées de gran
. Charpentier que les paralytiques, même médecins, n'avaient aucune
conscience
de leur bredouille- ment. Il croit, comme M. Ch
atteintes, elles ne sont pas pour troubler le médecin qui, dans sa
conscience
, avec une indépendance de caractère absolue, di
ances de la volonté, les impulsions qui les suivent, la perte de la
conscience
de la valeur morale des actes puissent être rig
grâce à l'anesthésie, la douleur est absente, que le malade n'a pas
conscience
de l'intervention chirurgicale au moment où elle
à l'accomplissement de leur tâche, parfois très lourde, toute leur
conscience
, tout leur coeur. « N'est-ce pas ainsi, mon che
ation, prati- quée, il est vrai, alors qu'elle avait à peine repris
conscience
d'elle- même, ne semble avoir eu aucune influen
se trouvent à leur portée. Celui qui est atteint de l'hémiplégie a
conscience
de ses impulsions irrésistibles, ne veut pas qu
le. L'interroge-t-on, on constate tout d'abord qu'elle parait avoir
conscience
de son état, mais, si l'on retient trop longtem
de Neurologie, no 33. SOCIÉTÉS SAVANTES. - 327 pagnent, dans la
conscience
, d'un sentiment d'angoisse, de peur. Cet état d
s; fièvre il type irrégulier, 37,5-38,1; le pouls est à 120-125; la
conscience
est conservée, dyspnée, cyanose. Mort dans la n
lutôt torpeur entrecoupée de petites phases de retour partiel de la
conscience
. A certains moments, la tocpeurest profonde, av
: à d'autres, elle diminue; la malade a alors une lueur fugitive de
conscience
, pendant laquelle l'intelli- gence reste profon
7. - Ce matin, elle est très bien, calme, lucide, s'occupe ; elle a
conscience
du cours du temps, sait la date du jour. Hier la
Décédée dans le plus complet marasme, ayant conservé jusqu'à la fin
conscience
de son état et du monde extérieur. A l'autopsie
ctions est très difficile à cause de la démence et du trouble de la
conscience
des malades. » D71cl : le est de tous les auteu
L'enfant meurt au bout de cinquante-six heures, sans avoir repris
conscience
, à la façon des malades qui succombent dans un ét
d'un violente émotion des troubles de nature épileptique (pertes de
conscience
suivis d'anémie, impulsions violentes). Vio- le
étudier maintenant des réflexes plus compli- qués, dans lesquels la
conscience
intervient : un rayon lumi- neux n'est plus leu
ttire notre attention ; nos regards convergent vers lui, nous avons
conscience
d'un effort pour mieux voir, en même temps que
l. Notre regard se dirige tout seul de ce côté, sans que nous ayons
conscience
de vou- loir regarder. . Lorsque, au contrair
ontraire, je me lève de mon bureau pour aller voir par la rue, j'ai
conscience
de vouloir regarder, de prêter une attention vo
me trompe de route, je me décide à rebrousser chemin, j'ai dans ma
conscience
la représen- tation du mouvement à exécuter, pu
ée délirante à l'idée suggérée pendant l'hypnotisme, qui pénètre la
conscience
en dehors du Moi. Tout ce que la voix ordonne e
s par l'association d'idées et de souve- nirs. L'enfant prend alors
conscience
des sens et des choses, et réfléchit le monde e
autrement, le sentiment de la responsabilité étant un élément de la
conscience
. Si d'ailleurs dans une société, celui-ci s'aff
nous donne ces rêves, il les écrit sérieusement , en toute sûreté de
conscience
, il ne lui reste pas un doute ; sa croyance est t
iation directe nous est interdite?..... Que chacun réponde selon sa
conscience
; la mienuu crie : expecte!.... B. Fond. — L’imm
veilla non sans quelque difficulté. Questionné, il ne parut pas avoir
conscience
de ce qui lui était arrivé; il dit qu’il se senta
inutes après que tout fut terminé, je la réveillai, elle n’eut aucune
conscience
de ce qui lui était arrivé, jusqu’à ce que, se vo
ions prises, vous laissez aller les choses. Le voyant perd bientôt la
conscience
de son être ; le regard sans cesse tourné vers le
x, et, bientôt, se trouvant mal, nous l’emportons sans qu’elle ait la
conscience
de ce que nous faisons ; et remise de ses crainte
ont leurs tristes préventions; car (nous lo disons en toute sûreté de
conscience
), le magnétisme, éclairé par la sagesse et sancti
ontanément entraînés à ne dire que ce qui est, et à repousser de leur
conscience
cette dissimulation qui s’attache si fréquemment
prodigieux renversement des lois naturelles; où ce sens intime nommé
conscience
, n’est plus là pour constater les états, les facu
s, les facultés , les opérations, les connaissances de lame? Or, la
conscience
, qui est la vue de ce qui se passe en nous, qui e
elligence, tous les modes de la volonté. Le témoignage qu’en porte la
conscience
est irrécusable, et c’est le fond même de notre e
e fait est que quand l’esprit est troublé, la vie volontaire, dont la
conscience
de la douleur paraît dépendre, n’est point incité
sentiment de douleur, il est si imparfaitement porté au.siège «le la
conscience
qu’il n'en reste aucune trace dans la mémoire qua
’un confesseur ignorant et fanatique , avaient jusqu’alors effrayé sa
conscience
par trop timorée. Enfin, lasse de souffrances, ce
c’est possible. Eli qu’importe? est-il donc nécessaire que l’écho ait
conscience
de la parole qui vient le frapper et qu’il prolon
s que la vertu ; on aime à lui rendre hommage. Elle est au fond de la
conscience
de chacun, et, si tous ne la pratiquent point, ce
l’indifférence, et sans autre espoir de rémunération que celle d’une
conscience
satisfaite; sans autre stimulant que la pensée du
ié, se sont succédés à chaque nouvel examen. Ce dernier état de notre
conscience
de magnétiste, nous a dominé longtemps et nous av
étiques qui sont dans l’état interne (1), mais ne jouissent pas de la
conscience
externe, Swedenborg était en pleine possession de
de la conscience externe, Swedenborg était en pleine possession de sa
conscience
et se trouvait dans les deux étals à la fois. Sa
11 en résulte « qu’il pouvait connaître et décrire, dans son état de
conscience
externe, ce qu’il voyait avec ses yeux spirituels
ur lui, dans le monde spirituel. » Et il possédait si parfaitement la
conscience
externe pendant l’exercice de ses perceptions spi
es, etc., il ignorait où il était, et n’avait pas, par conséquent, la
conscience
de son état; puisque en fut un changement souda
ses vertigineuses ne sont accompagnées de perte de connaissance. La
conscience
reste parfaitement lucide, pendant toute la dur
guer quatre autres formes de mélancolie : cl). La mélancolie avec
conscience
qui évolue sans aucun délire. b). La mélancolie
on). - M. TROUILLARD lit quelques réflexions sur la mélancolie avec
conscience
, qui lui sont suggérées par deux malades dont i
rise par la fréquence des rechutes, le peu de durée des accès et la
conscience
que gardent les aliénés de ce sentiment d'impui
lées. M. Rouillard pense que le plus souvent les mélancoliques avec
conscience
peuvent être soignés chez eux, parce qu'ils son
de l'activité centrale du système nerveux, de l'intelligence, de la
conscience
? 1 Fridtiof Nansen. Nerve elemenlel'1te, dcres
Cattaneo commence par rappeler que, même chez les paralytiques, la
conscience
d'un effort implique toujours une contraction m
muscles de la respiration en particulier, éveillent chez eux cette
conscience
de l'effort. En outre, les modifications du tis
i, si elle a une intensité et une durée suffisantes, renseigne la
conscience
sur la somme de travail accompli par tel ou tel
se heurtent aux conceptions ly pémauiaques avec conservation de la
conscience
. Pourquoi ces différences ? Elles ne tiennent p
l'impression de l'excitation dans ce cas entre dans la sphère de la
conscience
, elle n'at- teint pas son point lucide; en un m
n un mot, c'est une réac- tion cérébrale dans la dernière limite de
conscience
, et, par conséquent, le temps nécessaire pour s
ception est faite; mais les conditions nécessaires pour qu'il y ait
conscience
ne sont pas encore rem- plies. Pour que les exc
lors de son accomplissement, mais peut entrer dans le domaine de la
conscience
sous la forme d'une image nette, soit sous l'in
ion voulue. Dans cet état pathologique, bien que le sujet n'ait pas
conscience
d'une excitation périphérique, elle suit cepend
s plus ou moins long et après une recherche mentale, surgir dans sa
conscience
. Il nous est arrivé bien des fois de ne pouvoir
volontaire (ou involontaire) fait entrer cette im- pression dans la
conscience
; 2° le temps nécessaire pour la perception inco
xcitation est vive, plus facilement ces impressions entrent dans la
conscience
, et le temps de cérébration nécessaire pour les
sugges- tion) pour que son impression entre dans le domaine de la
conscience
. L'analogie entre la perception d'un sujet atte
uggestion. D'après eux l'une et (autre ne peu- vent agir que par la
conscience
; leurs éléments, du moins, doivent être consci
mais il faut 430 VARIA. éviter de le placer entre deux devoirs de
conscience
dont l'un doit nécessairement être sacrifié; on
patholo- giques, anxiété, obsessions, phobies) les troubles de la
conscience
et de la personnalité, ceux de l'activité (troubl
e théorie les cas avec coma complet et ceux avec conservation de la
conscience
. Maladie été Dercum sans troubles psydtiques.
peut comprendre ce qu'on lui dit et ne sait ce qui s'est passé; la
conscience
ne redevient complète qu'au bout de quel- ques
suggestion pourrait être définie : l'action du provoquer un état du
conscience
(sensation, idée, sentiment, volition), que ce)
conscience (sensation, idée, sentiment, volition), que ce) état du
conscience
soit accom- pagné ou non d'un acte extérieur qu
ce qui lui est repré- senté fortement, en l'absence de tout état de
conscience
réduc- teur. La suggestion hypnotique est le tr
La pensée esl, suiv ant la conception dominante, un produit de la
conscience
, et la conscience, une propriété exclusive et spé
uiv ant la conception dominante, un produit de la conscience, et la
conscience
, une propriété exclusive et spé- cilicluede l'â
elle est la doctrine enseignée. Il faudrait, par conséquent, que la
conscience
, en tant que pro- priété spécifique de l'urne,
té spécifique de l'urne, et que la pensée, en tant que produit delà
conscience
, fussent également situées en dehors des limi-
ion de savoir, d'une part, si l'on peutpenser sans le secours de la
conscience
et, d'autre pari, si l'on peut voir ce qu'on pens
t pas seulement réfuté par là cette idée régnante que la pensée, la
conscience
et l'àme sont choses im- possibles à analyser,
ptible par les sens et que ses sources média- tes ou immédiates, la
conscience
et l'âme, font partie du monde sensible. C'est
s attaques purement convulsives se sont modifiées comme suit : la
conscience
était intacte, mais le malade voyait des éclats
btusion réceptive, la dépression men- tale, l'obscurcissement de la
conscience
, la confusion des idées, ce sont là des caractè
t de 15 à 20 secondes. Parfois la fureur allaitjusqu'à obscurcir sa
conscience
; la malade frappait alors une pierre, un mur o
ui se répandait partout, la pénétrait partout elle-même, sa été, sa
conscience
, ses yeux, en inondant tous les objets et la ch
c l'ancienne aura, la L'ÉPILEPSIE, ET LA MIGRAINE. 373 perte de
conscience
et l'amnésie. Du reste, depuis 2 ans, elle n'a
s, et le tout se terminait par une attaque convulsive avec perte de
conscience
et amnésie. L'accès convulsif ne durait que 5 à
intellec- tuelles ; toutefois la mémoire n'est pas abolie et elle a
conscience
du cours du temps. On comprend qu'elle était ma
son passage ; il a brisé les becs de gaz de la salle ; il n'a plus
conscience
de ce qu'il fait, mélange des ordures à ses ali
t pas encore à la phase du gâtisme ; tout au contraire, il a pleine
conscience
de ses besoins et gouverne ses sphincters. Noto
ndûment retenu dans un établissement d'aliénés est intolérable à la
conscience
asiles d'aliénés. 505 humaine : il n'en est
médecin ou le directeur médecin de l'établissement, et, selon votre
conscience
, de prendre une décision. L'accomplissement d
elle enquête; elle n'est et ne peut être. redoutée par ceux qui ont
conscience
de leurs de- voirs : elle les délivrera même de
r à l’ouverture d'un abcès très-douloureux, sans que la malade ait eu
conscience
de l'opération. C’est môme à la suite de ce fait
sont tout à fait autortiatiques ; celui qui les éprouve n’en a pas la
conscience
, il est entièrement étranger àleur manifestation
ge et sans contrôle aucun, ne devant compte de leurs œuvres qu’à leur
conscience
et à Dieu, et aussi parce qu’il s’agit de vie d'h
fait, mais un fait qui lui est dévolu, et par conséquent en avoir la
conscience
; autrement, comment se dirigerait-il vers tel poi
l est l’ignorant qui oe soient instruits de tontes ces choses? c La
conscience
de ceriaina se révolte fi penser que leur âme, pa
ut seul qni inspire et soutient de pareilles morts ; c’est surtout la
conscience
de bonnes actions, de nobles pensées, des travaux
n exigera de vous un acte qui torture la vérité cl fasse mentir votre
conscience
. Mais passons sur ce chapitre, la civilisation ex
t occasionner des répulsions mysté- rieuses, sans que nous en ayons
conscience
. C'est cette raison seule qui fait que le magoéti
e si j'eusse voulu qu'il ne se souvînt tle rien, il n’aurait point eu
conscience
du temps qu'il aurait ainsi vécu. L'idée me vin
, qui, tombant pour la première fois dans cet état, aient une entière
conscience
de leur situation ; c’est au magnétiseur à reconn
n soit méconoa, ^ la vie fut bien remplie, », à la dernière heure, la
conscience
«t tranquille ? « Chacun de nous aura laissé un
ient pas faire défaut à cette solennité fraternelle. Je suis venu par
conscience
du spiritualisme, fût-il réellement exceptionnel
pu faire sur lui l'opération la plus douloureuse sans qu'il en eût eu
conscience
. A mes ordres il s’est levé et a fait div«rt mouv
toute confiance en vous. Je remets donc très-volontiers Pauline à la
conscience
de votre dévouement. Le 20 avril, je retourne s
cent ans, tous les éclaireurs de la grande marche humanitaire ont eu
conscience
que nous sommes à la fin de la route si pénible q
arfaitement les arOmes les j)lus ílclicats ; un strabique ii’a piis
conscience
des images r(’;-liniennes qui agitent sot) œil fa
mprime instantanément dans le cerveau du sujet. Celui-ci a souvent la
conscience
de son inertie : Usent qu’on agit pourluiet quele
dans l’obscurité la plus complète , mais il ne faut pas qu’ils aient
conscience
de cette obscurité, car les somnambules ne croien
re purement physiques; aussi ne cesserai-je de répéter, en mon âme et
conscience
, que les savants d'aujourd’hui préparent aux homn
s; interrogeons, écoutons les guidesqui nous conseillent au fond delà
conscience
; continuons à voir les choseset leshommes selon l
tte disposition intime de notre être, qui, sans que, de nos jours, la
conscience
en ait généralement notion éclairée, constitue d’
ranches des connaissances humaines, qui osent étouffer le cri de leur
conscience
en niant, à la face du monde étonné, la sublime d
ent sans pouvoir un instant s'en distraire. Cette jeune dame avait la
conscience
de la situation où je l'avais mise; après que j’e
membres sont dans un état de résolution complète. Le sujet a perdu la
conscience
de son être, il est, par conséquent, isolé et mse
l ignore complètement la nature de sa nidadic et il n'a nulle- ment
conscience
, — ceci se comprend, — de l’influence que j’ui cx
s soni-iiambuliques précédents; mais, à peine réveillée, elle perdait
conscience
de ce qui s’était passé. Son cœur semblait allé
à goutte), gâtisme, extrême dépression psychi- que, demi coma (demi
conscience
, mais défaut de réaction des pupilles et de la
tourne sur elle-même pendant des heures entières ; elle a tellement
conscience
de l'étrangeté de cette impulsion que pour se d
tuelles, déjeune, etc. C'est quand le feu se déclare qu'il a pleine
conscience
de l'acte commis; arrestation. Rapport médico-l
; il montre que tous ces états s'accompagnent d'une abolition de la
conscience
normale, qu'ils ont tous pour fondement un temp
déconcerte bientôt après le commen- cement des mouvements, perd la
conscience
de l'en- droit où il se trouve et ne peut s'ori
ts du lecteur viennent de le faire sortir; c'est pourquoi, en toute
conscience
, il peut se regarder comme non actif. La convic
un laps de temps indéfini, plus ou moins long, pendant lequel la
conscience
du suggesteur est préoccupée d'une quantité de
ats si nombreux, si variés, confondus sous les titres de folie avec
conscience
, folie raison- nante, manie sans délire, pseudo
uition et le crachement. Dans tous ces cas, le malade a une entière
conscience
de son état; il re- grette et déplore, dit-il,
ble profond dont elle est l'objet. Elle a, d'ailleurs, parfaitement
conscience
de son' état, et par instants/ elle déplore son
nsi que je l'ai exposé dans ce Recueil, à propos de la folie avec
conscience
, une perversion de la sensation, de l'émo- tivi
t état dure deux heures et demie, et la malade réveillée n'a aucune
conscience
de cette période. Le mal de tête est toujours m
istes. La malade est réveillée par le souffle sur les yeux : aucune
conscience
au réveil. 20. - Très calme mais toujours dél
s intermittentes et périodiques, la folie circulaire, la folie avec
conscience
, la folie du doute, etc. Il y a encore lieu de di
ce. Cette femme, âgée de trente ans, perd, par moments, en pleine
conscience
, la libre direction de ses mouvements. Ce sont d'
nsibilité; en même temps, le sujet se trouve dans un nouvel état de
conscience
. Il se réveille à l'âge de quatorze ans, le 23 ma
nsibilité et de mouvement, et, du même coup, a transporté l'état de
conscience
à cette époque très éloignée de la vie, où cett
ie, le sujet est remarquable d'adresse et d'agilité. , 11 reprend
conscience
à Saint-Urbain, en 4 8 i i ; il a quatorze ans.
riques de la main;droite : 30°; de la main gauche : 32°. 11 reprend
conscience
le 6 mars z; il a vingt-deux ans. 11 est soldat
et ne sait-il point coudre. Voilà donc six' états différents de la
conscience
; chacun d'eux est limité à une époque déterminé
tat somatique, peut, à son gré, obtenir tel ou tel état connu de la
conscience
, état complet pour l'époque qu'il embrasse, c'e
s dû alors faire l'épreuve opposée : agir directement sur l'état de
conscience
et constater si les transformations de l'état s
es, l'expérimentateur place le sujet dans l'état concordant de sa
conscience
; 1° En agissant sur l'état psychique, il fait a
nu le secret, soit qu’ ils y aient été portés spontanément sans avoir
conscience
de la force qu’ils employaient. Cet art fut en us
plus éloignés , dans les scènes du passé, dans les profondeurs de la
conscience
; il possède des illuminations soudaines qui lui p
de l’âme et du corps, c’est la mort. Etre sans âme, c’est n’avoir pas
conscience
de son existence, être incapable de pensée et de
l’âme est immatérielle : apercevoir mentalement son âme, c’est avoir
conscience
de sa propre existence, ce qui n’exige aucune luc
le marteau a frappé. Des sons sortent de nous sans que nous ayons la
conscience
du moteur de nos pensées, sans que nous saisissio
èles aux règles de la décence, trouvent dans les inspirations de leur
conscience
les moyens suffisants de se préserver de toute at
ature aimante. Souvent, au contraire, un homme dur, au cœur sec, à la
conscience
peu nette, quoiqu'il soit, du reste, parfaitement
ivains qui, dans les communications « qu’ifs nous transmettent, ont
conscience
du travail qui se fait en eux, à mesure qu’il s'o
nequin , que l’on pouvait promener et faire mouvoir sans qu’ils aient
conscience
d’eux-mêmes et comme si leur vie n’eût appartenu
i nous ne portions ici leur santé. Et d’ailleurs, j’en appelle à la
conscience
de tous ceux qui viennent aujourd'hui célébrer av
ne me sons pas le besoin d’un autre culte que celui « que lui rend ma
conscience
(1). » (1) Le fragment suivant d'un morceau de
sons et recouvra l’usage de ses sens. 11 nous affirma n’avoir nulle
conscience
de la torpeur où nous 1 avions réduit, ni de rien
ntenant à raconter, en témoin fidèle qui promet sur son lionneuret sa
conscience
de dire la vérité, toute la vérité, et rien que l
levés dans l’ordre des êtres; que ces individus agissent avec plus de
conscience
déterminée; que leur vouloir a plus d’énergie ; e
s, par l’assurance de la propitiation ; — Sécurité dans la paix de la
conscience
, qui constitue la force (1). « Ampère attribue
l est sujet à des accès de stupeur cataleptique pendant lesquels il a
conscience
de ce qui se passe autour de lui. On sait que cet
bien souvent : la séparation de l'âme et du corps, c est n’avoir pas
conscience
de son existence, être incapable de pensée et de
ne s’appartient pas, qui est l’instrument de forces dont il a à peine
conscience
, et qui se témoignent par lui presque à, son insu
ébitées en langues étrangères par la bouche d’ignorants qui n’ont pas
conscience
de ce qu’ils disent, de guérisons subites, par l’
; c’est que les innombrables théologies qui se disputent l’empire des
consciences
ne peuvent plus être admises à présenter à l’appu
lle excuse, en cas de mort, pouvaient-ils alléguer? La pureté de leur
conscience
? Riais, aux yeux des hommes qui eussent été appel
t que, quelles que soient ces distances, dont d’ailleurs je n’ai plus
conscience
, ou plutôt qui n’existent plus pour moi, puisque
dans l’état ordinaire. « Une personne vivante évoquée n’en a point
conscience
dans son état normal ; sou esprit seul ie sait, e
ligence, la volonté, la mémoire, et surtout la première de toutes, la
conscience
du moi. A défaut de cette définition, les mots do
soulagement de leurs semblables , trouvent dans le témoignage de leur
conscience
et dans la vue du bien qu’ils font, la plus douce
s et les matières fécales étaient rendues sans que le malade en eût
conscience
; à ce moment, la sensibilité au niveau des memb
s semaines. Durant ce temps très long, le malade n'avait absolument
conscience
de rien. Cette durée est tout à fait exceptionn
utes, le malade perd connaissance pendant quatre heures; il n'avait
conscience
de rien. Au bout de cet espace de temps, le mal
e ma- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 69 lade n'ayant
conscience
de rien; pas de convulsions. Ce symptôme, qui n
douleurs aux diverses articu- lations, qui ont suivi cette perte de
conscience
du malade et qui l'ont fait énormément souffrir
êté le programme suivant : a. Pvliaologie 7nenlole.-Obsessions avec
conscience
(iutellec- tuelles, émotionnelles et instinctiv
grâce à Pinel, Trélat, Legrand du Saulle, on étend aux folies avec
conscience
. De là en vient-on à rechercher si tous les cri
de trois ordres : 1° la perception brute du son qui nous donne la
conscience
de ce dernier, et nous permet d'en apprécier ce
l'amnésie, l'idée d'un objet ou d'un événement est représentée à la
conscience
, mais le malade ne peut raviver le mot correspo
u). A la saignée succède un sommeil, suivi, le lendemain, de calme,
conscience
, jugement. -I1 est vrai que ces quelques cas ne
Le jury serait trop souvent porté à échapper aux scrupules de sa
conscience
et aux difficultés de sa tâche en acceptant la th
l perd complètement connaissance, il reste dans cet état sans avoir
conscience
de rien pendant vingt- quatre heures. Au bout d
ue et le plongeur marmottait quelques mots inintelligibles, n'ayant
conscience
de rien. Sa narine droite et son oreille homo-
n et l'enlèvement du casque, il perd connaissance et reste, n'ayant
conscience
de rien, pendant dix heures, de 10 heures du ma
de tout acte volontaire, le 496 BIBLIOGRAPHIE. premier, l'état de
conscience
, n'a aucuile efficacité, taudis que le pouvoir
u-né le réflexe agit seul d'abord, et, en l'absence de tout état de
conscience
, il n'y a point chez lui d'acte volontaire, il
at purement réflexe à l'élat volontaire. Accompagnés d'un état de
conscience
souvent très intense, ils ont une tendance immédi
vité cérébrale devient consciente. Il formule ainsi la la loi de la
conscience
: Liée exclusivement à la désintégration foncti
à la désintégration fonctionnelle des éléments nerveux centraux, la
conscience
possède une intensité en proportion directe de
ère, centres sensorio-moteurs, centres corticaux, et de faire de la
conscience
du moi ou personnalité un cas particulier de la
de la conscience du moi ou personnalité un cas particulier de la
conscience
en général, ce qui ne nous paraît pas élucider la
par LE Comité d'organisation. I. Pathologie mentale Obsessions avec
conscience
(intellectuelles, émotives et instinctives). Ra
ses occupations habituelles, sans prodromes bien marqués, il perd la
conscience
de ses actes, se met en marche résolument, sans s
taque de chorée qui dure une heure, après quoi elle reprend peu à peu
conscience
. Le soir elle reconnaissait bien tout le monde et
ait endormi en lui mettant la main sur les yeux et n'a pas la moindre
conscience
de tout ce qui s'est passé pendant tout ce temps.
Avant tout, l'idée de souvenir implique une comparaison latente et la
conscience
d'un état actuel dans lequel on évoque un fait an
mplissent, dans certains états seconds, des actes dont ils n'ont plus
conscience
ni souvenir dans l'état normal. On ne saurait don
hallucinatoire, présentant comme caractères généraux : la perte de la
conscience
et du souvenir, un haut degré de concentration, à
interruptions, est véritablement délirante. Elle ne paraît pas avoir
conscience
du lieu où elle se trouve ni des personnes qui l'
anifestations dont elle garde le souvenir, mais celle-ci n'en a point
conscience
et l'ignore. (1) Paulhan. — Loc. cit., p. 160.
nce. Tout d'abord il conserve la connaissance de son être, sorte de
conscience
organique, « base sur laquelle l'individualité re
de pour reprendre dès qu'elle va se rendormir. La malade en a à peine
conscience
... » Ajoutons enfin que la malade était hypnoti
ux, 1887) et Les Rêves. Paris, 1890. (2) Azam, — Hypnotisme, double
conscience
et altérations de la personnalité. Paris, 1887. —
ille dans son état ordinaire. Mais elle est sombre, morose, et elle a
conscience
de sa maladie ; ce qui l'attriste le plus, c'est
questions qu'on lui pose. Mais on s'aperçoit tout de suite qu'elle a
conscience
de sa vie antérieure, d'après les renseignements
n de la personnalité ; nous n'y reviendrons donc point. Outre cette
conscience
intime de son être, le malade conserve encore dan
à l'état de veille, et qu'elle ne peut plus faire apparaître dans sa
conscience
, elle les a vraiment enregistrés. La preuve en es
à constater son amnésie — elle en a du reste aujourd'hui parfaitement
conscience
— et les inconvénients de cet état. Elle eut alor
a sensation subjective de la perte, de l'absence de ses pieds. « J'ai
conscience
d'un corps au bout de mes jambes, mais je ne puis
période prémonitoire qui a reçu le nom d'aura, le patient conserve la
conscience
. C'est une condition nécessaire. Dans le cas cont
ste aussi des crises de petit mal et des accès avortés où la perte de
conscience
n'est pas complète. Aura constante depuis quelq
ne garçon est pris à quatorze ans d'incontinence diurne dont il n'a
conscience
qu'en voyant l'urine couler sous ses pieds. Mêm
ue et infidèle. Ils ne distinguent qu'impar- faitement les faits de
conscience
des faits d'imagination. Bref, une partie de le
aire qui dure près de deux jours. Le réveil de la motilité et de la
conscience
se fait peu à peu; mais en même temps se déve-
biner leurs projets avec une habileté souvent remarquable. Il avait
conscience
de ce qu'il faisait, pourrait-on dire encore, m
it conscience de ce qu'il faisait, pourrait-on dire encore, mais la
conscience
ne détermine pas l'actuation, elle la suit « co
lpébraux abolis. Les mâchoires fortement ser- rées. V... n'a aucune
conscience
de ce qui se passe autour de lui, absorbé par d
tvague et aveugle mais bien d'un sentiment profond et éclairé parla
conscience
. Les masses populaires ont prouvé, en effet, qu
ccompli. Mais on conçoit qu'il n'est pas possible d'affirmer que la
conscience
n'a pas existé au moment précis de l'exécution
ent minime, que nous croyons les exécuter sans le contrôle de notre
conscience
. Mais en réalité il n'en est rien, puisque, nou
ment modifiée et peut être tellement affaiblie que le malade n'aura
conscience
que des mouvements de très grande amplitude, qu
déré est indispensable pour que l'hallucination se produise dans la
conscience
avec tous les carac- tères de la réalité object
nomène se détache du moi, de la personna- lité ; le malade n'a plus
conscience
qu'il joue un rôle actif dans la production de
n de la représen- tation mentale, il faut encore que le sujet perde
conscience
de ce phénomène. Comme on le voit, le passage s
lésions de ses oreilles. Pendant longtemps, pendant des mois, cette
conscience
de son état persiste. Plus tard, sous l'influence
ois et la loi et les pres- criptions humanitaires ou sociales de sa
conscience
. Peut-être y aurait-il lieu de formuler le voeu
gnèrent de perte des réflexes pupillaire et cornéen, de perte de la
conscience
et d'émission involontaire d'urine. L'amnésie fut
perte du réflexe cornéen, des réflexes pupillaires, abolition de la
conscience
; émission invo- lontaire d'urine, hyperthermie
itaire, d'autant plus qu'il avait le même péché que son père sur la
conscience
. Aussi, chaque fois que le ciel gron- dait, il
ber z dans une abstraction d'eux-mêmes telle qu'ils n'ont plus la
conscience
de ce qui se passe dans leur intellect. Ils croie
es ventriloques ; enfin, si on se rappelle que le malade a perdu la
conscience
que tout cela vient de lui, peut-être concevra-
un fait intérieur, la révélation de ce qui se passe au fond de sa
conscience
. A ce fait intérieur, se rattachent toutes ses pe
un sommeil intense avec conserva- tion plus ou moins marquée de la
conscience
, certains actes volon- taires sont possibles sa
ependant l'intelligence est conservée, lecture impossible, parfaite
conscience
. Tout disparait moins l'hémiplégie des membres;
chez lui une impulsion instinctive Ï1'I'ésÍ.l- tible, tout en ayant
conscience
de lagravité de ses actes, il croit qu'ils n'ét
l'activité anormale des centres psychiques élevés (perversion delà
conscience
et de l'imagination) est renversée par ce fait
EMK(P.). Co ? ! e;'e/te(;e/ Automatisme (Solution du problème de la
conscience
dans la doctrine automatrste).=f3rocbnre in-10 de
le plus caractéristique de l'auto- érotisme est l'exagération de la
conscience
de soi-même sans accroissement simultané de l'e
de peut être commis dans le somnambulisme et l'état épileptique, la
conscience
de l'individu étant totalement ou particulièrem
peut se ren- contrer dans d'autres conditions que l'épilepsie ? La
conscience
normale ne peut-elle être assez modifiée par de
par l'auteur sont en faveur de la théorie de la désagrégation de la
conscience
avec une telle diminution du champ normal que l
ide qu'il a commis. Cet homme est alcoolique. La suspension de la
conscience
ou la désintégration de la conscience normale p
olique. La suspension de la conscience ou la désintégration de la
conscience
normale pendant la période de temps où un tel hom
onctionnelles mais non anatomiques, et il n'y a pas de doute qu'une
conscience
entière, normale, dépende non seulement de l'ac
e la dissociation des aires corticales amène la désagrégation de la
conscience
et la dissolution de la personnalité physique.
. 222 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Pareille désagrégation de la
conscience
peut être produite artifi- ciellement par l'hyp
supérieurs est lésée, ne peut-on assister à la désagrégation de la
conscience
et à l'amnésie ? C'est dans ces conditions subc
pécial indiqué par le malade était la conservation habituelle de la
conscience
pendant l'attaque épileptique. Il existe enfin
'inquiétude, de confusion, d'angoisse, qui fait perdre au malade la
conscience
nette des choses ; puis l'éclo- sion se fait as
toute ma carrière. En faisant un retour sur moi-même, un examen de
conscience
, il m'a semblé que ce qui m'avait désigné à leu
es subconscientes dont nous a entretenu M. Sicard. Il reste dans la
conscience
une idée fixe dont le point de départ se retrou
u mariage; 2° Dans la plupart des cas, l'aliéné incurable n'a pas
conscience
de ses droits, n'en jouit pas et ne sent pas le b
nique, rapports qui constituent l'unité de l'individu. Tout état de
conscience
est une synthèse irréductible à des élé- ments
ce dernier emporte un reflet de celui qui l'a précédé. Ces états de
conscience
dans leur succession présentent une multi- plic
pure hétérogénéité, pas plus qu'une pure conti- nuité. Tout état de
conscience
a une durée et des limites. Le fait d'admettre
durée et des limites. Le fait d'admettre entre les divers états de
conscience
le bien psychique qui unit leur diverse durée l
tard on s'en aperçoive. Que son confesseur trouve ses scrupules de
conscience
exagérés, qu'est- ce que cela peut signifier ?
respiratoire, vocale et phonétique, que le sujet doit exercer avec
conscience
jusqu'à ce qu'il parvienne à parler correctemen
les déhanchements automatiques deviennent spontanés, puis l'état de
conscience
venant à disparaître complètement, le malade en
vec et son antagonisme avec le monde extérieur sont les bases de la
conscience
et de l'affirmation de la personna- lité, ainsi
nd (plus ou moins) le dessus sur le moi primitif. La moralité et la
conscience
se développent et prennent la priorité ; 14°
i est peut-être plus probable qu'ils ne s'accompagnent d'un état de
conscience
particulier, tellement différent de la con- sci
ènes subjectifs de la mé- moire étant éliminés par la rupture de la
conscience
, c'est la cli- nique seule qui nous renseigne s
es est de supprimer cette sensibilité, qui n'est autre chose que la
conscience
à la douleur, provenant de la périphérie. Parmi
terribles ; parfois elle se plaignait de perdre la vue. Elle avait
conscience
de cet état de souffrance de son cerveau, car e
p- DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 107 pelle rien, n'a pas
conscience
du cours du temps. Affectivité nulle. Elle s'oc
t, Klippel l'attribue à une sensation d'ordre musculaire, àla vague
conscience
d'un mouvement du pharynx, de l'oesophage, ' Vo
trente-neuf atta- ques. Deux heures après la dernière, retour de la
conscience
, mais hémiplégie gauche. Guérison. Les points
# le- corps,- sans troubles de la parole et avec conservation de la
conscience
. Deux attaques semblables se répétèrent pendant
phénomènes psychiques tels que le sommeil et les divers degrés de
conscience
; pendant les périodes d'activité sul7-cousclente
entre la névrose et la psychose (en particulier la mélancolie avec
conscience
) il n'y a qu'une simple différence de degré, si
i ne doit-être enfin ni du délire émotif de More], ni la folie avec
conscience
de Pritli, ni un syndrome de dégénérescence (Ma
existe une attraction pour les personnes du même sexe, mais avec
conscience
de la morbidité de cet instinct; 3° l'attraction
nit le délire « Un état psychique caractérisé par l'abolition de la
conscience
individuelle, par l'incohérence dans l'enchaîne
re altération de l'intel- ligence ni des sentiments affectifs, avec
conscience
, horreur et souvenir de l'acte homicide tenté o
t d'hallucinations sensorielles, sans perdre la disposition de leur
conscience
, ni la vigueur de leur esprit : histoire de la té
i. De même le malade qui croit qu'il marche en l'air a parfaitement
conscience
qu'il marche sur le sol, mais il éprouve la sen
ément et constituent le symptôme principal, avec conservation de la
conscience
et du jugement relativement à ce symptôme. Enu-
st pas un fait primitif : elle résulte d'un trouble momentané de la
conscience
. On peut alors se demander pourquoi le sujet re
ne voulait pas, il avait comme un vertige qui lui faisait perdre la
conscience
nette des choses, et que dès lors il était inca
u'on redoute, contredite par les sens, mais avec obnubilation de la
conscience
empêchant de tenir compte du contrôle de ces de
que les liqueurs. Le fait principal, c'est la partici- pation de la
conscience
au début ; puis peu à peu par la répétition de
eu par la répétition de l'acte réflexe la disparition du rôle de la
conscience
. , M Meigk. C'est là précisément ce que montren
nurique. Le 22 jan- vier 1867, aphasie, sans signes prémonitoires ;
conscience
con- servée ; légère déviation de la face à gau
rs poursuivie par l'idée de tuer son enfant, bien que la voix de sa
conscience
le lui défendît. Son état ayant paru s'améliore
ré- sistibles contre lesquelles, le malade, tout en conservant la
conscience
morale, se sent incapable de lutter. L'irresponsa
univers sera libre, moi étant libre ! V ? d d'ailleurs parfaitement
conscience
de ses senti- ments : « Oui, s'écrie-t-il, j'ai
uteur désigne par ces mots « Nervous dulness », mots que nous avons
conscience
de ne traduire que très imparfaitement par l'ex
mal, c'est qu'ils n'ont au- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 07 cune
conscience
de ces stimulations plus douces, qui influent sur
itérium qui consiste à rechercher si le criminel a eu ou n'a pas eu
conscience
de la criminalité de l'acte, est insuffisant, e
soui'ire's'areastiqucy la' sensation do plaisir est fournie' par la
conscience
qu'a l'individu de sa supériorité.' Le sourire'
malade perd connaissance, ou du moins cesse de donner tout signe de
conscience
, la tête s'incline vers l'épaule gauche, la com
racturent et il lui semble que les battements montent; tant qu'il a
conscience
des battements musculaires, il lui semble que s
de véritables syncopes après certaines attaques subies sans aucune
conscience
. Celles-ci ne se renouveilent pas plus de quatr
d'autres expérimentateurs. III. Conclusions de l'auteur : « 1- La
conscience
peut exister dans l'état d'hypnotisme et le suj
ations ne dépendent aucunement de l'existence ou de l'absence de la
conscience
, qui n'est qu'un épiphénomène; « 2° La directio
t qu'une voie de communication demeure ouverte ; « 4° Tant que la
conscience
persiste, la perception de cette action cérébra
exciter l'idéation et des actions musculaires réflexes avec ou sans
conscience
et d'une façon tout à fait indépendante de la v
gnalé que l'animal n'avait plus de son membre paralysé une parfaite
conscience
, qu'il ne s'en représentait plus l'image in- té
étiques, intellectuels BIBLIOGRAPHIE. 391 éthiques, idéaux) et la
conscience
: ce sont des hyperesthésies, des hypoesthésies
a manie désigne une exagération fonctionnelle avec exaltation de la
conscience
du moi, s'il existe en même temps une forme gai
sont régulières. Le malade perd ses matières fécales sans en avoir
conscience
, et en est complètement souillé à son arrivée.
ule les yeux et reprend la conversation ou son tra- vail sans avoir
conscience
de l'intermède pathologique. Ces ver- tiges se
immédiate- ment inférieurs; dans l'ordre psychique, il y a perte de
conscience
et manie. » Cette théorie de la manie post-ép
ce qui succède à la manie; dans un cas dû aKrafft-Ehing la perte de
conscience
dura du 23 mai au 30 juin. M. 71-Ns. Sur l'ex
n dangereuse, aucune tendance au suicide. Maints de ces aliénés ont
conscience
de leur maladie et se soumettent volontiers aux
ous offrent encore des intervalles lucides plus ou moins longs avec
conscience
de leur état. L'héré- dité occupe dans l'espèce
es, hallucinations, et doit être imposée lorsque le malade n'a plus
conscience
de son état de maladie. Les narcotiques doivent
n leurs actes ne rappellent ceux des aliénés ; ils ont parfaitement
conscience
de leur état ; la plupart sont fort intelligent
'a pas été examiné. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XIII. De la
conscience
dans LES états connus sous LE nom d'états d'inc
, d'après lesquelles il y a, dans l'espèce, un état anormal de la
conscience
analogue à celui du rêve, et non une perte de con
ives d'origine ancienne sont altérées. C'est pourquoi il existe une
conscience
avec amnésie, une conscience sans amnésie, et d
altérées. C'est pourquoi il existe une conscience avec amnésie, une
conscience
sans amnésie, et des états intermé- diaires de
'être séparée de sa fille, aucun des suites du mariage, mais elle a
conscience
du changement qui s'est opéré en elle, elle avo
à l'influence de la décadence intel- lectuelle dont ils ont souvent
conscience
et aux conseils d'amis, ils se décident à prend
ilité. Ces troubles mentaux sont à forme dépressive avec certaine
conscience
du sujet; ils ont le caractère des formes mélanco
s, que nos services soient tenus convenablement; c'est un devoir de
conscience
pour nous, nous voulons que tout se passe honnê
u fanatisme et de la passion pour elle, sans mémoire du passé, sans
conscience
du présent, sans pressentiment d'un avenir qui
ur(ataxie paralytique du d'ori- gine bulbaire), par Semmola, 433.
Conscience
(de la dans les états connus sous le nom d'état
Conscience (de la dans les états connus sous le nom d'état d'in-
conscience
), par Pick, 261. Congrès des membres de la Soci
vons rencontré aucun détracteur du magnétisme qui se soit adonné avec
conscience
et persévérance à l’étude de tous ses phénomènes.
t ? Son langage peut-il être entendu autrement que par ce qu'on nomme
conscience
; et, dans les affinités qu’elle peut avoir en deh
enne; que des missionnaires, par vous députés, aillent, forts de leur
conscience
et de leur foi, arborer dans chaque département l
rère parjure, Je montre des mondes nouveau*..... Je verse dans sa
conscience
I,e baume de la patience. Il pàtit..... il a fa
eptible , ses mains ont quelque chaleur, et elle donne des indices de
conscience
de ce qui se passe autour d’elle. Sâ mère lui aya
que, pour exprimer la gratitude de tous, vous avez bien interprélé la
conscience
de chacun. Une seule marque d’improbation s’est p
ervir de bouclier aux attaques d’un clergé fanatique, et rassurer les
consciences
timorées , c’est préparer le triomphe du magnétis
philanthropie qu’il se livre au magnétisme. Obéissant à un devoir de
conscience
, il proclame l’excellence de l’agent que ses conf
dix jours après; et, quoique fort longue, la patiente n’en eut point
conscience
. L’expérience eut lieu devant un grand nom. bre d
ruction pratique. modifier le traitement.....Mon expérience el ma
conscience
m’obligent à déclarer qu’il est fort dangereux de
les aperçus et les conseils d’un somnambule; vous le placez entre sa
conscience
et sa science. Rien de plus funeste pour un malad
es confidences annoncent la simple répression d’abus dont gémit toute
conscience
honnête, de l’autre on se réjouit d’avance d’une
ue, pour ces cas exceptionnels, on relève avant tout de Dieu et de sa
conscience
. « Quant au passé, nous voyons que les publicat
s intimes, les arcanes les plus secrets du cœur, de l’esprit el de la
conscience
, en sorte que nulle intrigue, nulle affection, nu
a- nité; il trouve son contre-poids dans les âmes honnêtes, dans la
conscience
qui se révolte et lutte; on ne changera point la
ants; plusieurs de ceux qui ont adhéré en sont aux regrets déjà, leur
conscience
est troublée ; l’erreur parfois prend l’allure de
, et nous nous retirâmes. Le lendemain, aucun des deux sujets n'avait
conscience
de ce qui s’était passé pendant la nuit. Comme no
’il sanctifie la lumière de l’examen sérieux et l’individualité de la
conscience
. Mais en vertu de cela, je ne suis engagé nulleme
rment lorsqu’ils se livrent à des actes déraisonnables, et n’ont plus
conscience
de rien au réveil. Lorsque Papavoine fut arrêté
’arrête-t-il aux eriailleries de la cigale î Poursuivons, forts d’une
conscience
tranquillè et sévère, les tentativès heureuses dé
vation pure qu’on nous reproche tant? Que tout magnétiseur sonde sa
conscience
, et qu’il cherche combien de fois il s'est pris à
« L’humanité doit atteindre un but, et l’homme, sans avoir toujours
conscience
de la part qu’il apporte à la marche ascensionnel
de ledé-vorer. Celui-ci, auquel l’elTet des pilules, non moins que la
conscience
d'un voisinage peu rassurant, faisait faire des g
humain : C’est elle qui constitue le moi; r.'est en ellequ'existe la
conscience
. « L'àme est simple, diles- vous, ô savants ihé
r dessus sa tête. Ils disent ainsi parce qu’ils le croient en toute
conscience
, et puis aussi parce qu’il se peut que les choses
s qui semblent s’exclure, et ne trouverait-il pas ainsi sans en avoir
conscience
, un emploi intelligent de la force musculaire con
« L’esprit est l’unité intelligente... Une substance simple, ayant
conscience
d’clle-ménie. » Ch. de Hémusât, membre de l’insti
encore leur exercice, mais leur exercice déréglé, sans liberté, sans
conscience
et par conséquent sans mémoire. Pour concevoir l’
joug de ses idées propres et de leurs corrélations, étudie, en toute
conscience
el depuis longtemps, ses divers états d’intellige
onditions, avec certains caractères, sur cette scène intérieure où la
conscience
l’atteste, le problème de la liberté morale est d
psychologie, nous enseigne-t-on, étudiant « la nature humaine par la
conscience
, » et la physiologie traitant des fonctions de l'
, et nous nous retirâmes. Le lendemain, aucun des deux sujets n’avait
conscience
de ce qui s’était passé pendant la nuit. Comme no
nfusion. Ensuite arriva promptement la faiblesse, les diarrhées, la
conscience
s'est éclaircie ; il est mort d'un court épuiseme
celle mimique invariable peut n'être que la traduction d'un état de
conscience
persistant. Elle nous parait inexplicable parce q
n sentiment; la mimique qui les constitue n'ex- prime aucun état de
conscience
. Elle n'exprime rien, non seulement pour l'obse
ne compagne de travail, qu'elle qualifie de femme ignorante et sans
conscience
. L'émotion et l'amertume du récit de la malade
ner la tête et de l'effort fait pour ne pas la tourner (dont elle a
conscience
), les musles de l'épaule, du cou et de la poitr
ne qui siège dans les muscles du côté droit ; en outre, la malade a
conscience
de son incapacité à exécuter li- brement le mou
aucoup de cas de tabes au début et beaucoup de tabétiques n'ont pas
conscience
de son existence quand elle est peu prononcée.
admis qu'elle est la conséquence d'un rétrécissement du champ de la
conscience
(Janet), du refoulement par la conscience des rep
écissement du champ de la conscience (Janet), du refoulement par la
conscience
des représenta- tions pénibles d'origine sexuel
xemple, que l'hystérie est due à un rétrécisse- ment du champ de la
conscience
, quelle est la cause primitive, peut-on se dema
nomènes d'adaptation. 1 Les modifications de la personnalité, de la
conscience
, trouvent aussi dans ma thèse leur plus exacte
des rapports 9 très étroits qui existent entre la cénesthésie et la
conscience
Il n'y a pas de conscience, écrit Bianchi (2),
qui existent entre la cénesthésie et la conscience Il n'y a pas de
conscience
, écrit Bianchi (2), sans sensibilité cénesthésiqu
es-ci; même perçues par les centres sensoriels, n'atteignent pas la
conscience
, la personnalité des sujets. Ainsi, l'hystériqu
écrit par Janet (3) sous le nom de a rétrécissement dit champ de la
conscience
». Ce phénomène n'est pourtant pas, d'après ma
nt la sphère psycho-motrice avec - DÉBILITÉ NERVEUSE 413 perte de
conscience
. L'irritabilité facile de l'écorce cérébrale pour
le mal ; celle de l'hystérique se désagrège en sa fonction, mais la
conscience
commande encore l'unité psychique ; celle de l'
apeutique s'est montrée moins effi- cace, parce que l'absence de la
conscience
, du self contrai, rend la gué- rison plus diffi
s observa- tions très concluantes d'impulsions irrésistibles avec
conscience
chez des épileptiques qui avaient cessé d'a- vo
res dont les résultats finaux entrent ensuite dans le domaine de la
conscience
, ainsi dans les maladies qui nous occupent, les
que s'orienter dans l'espace et éviter les obstacles, il a perdu la
conscience
des images rétiniennes, ne reconnut ni ses pare
c cinq représentations différentes on s'approche de la limite de la
conscience
et les recherches deviennent impossi- bles. N.
ne conteste, c'est que cette loi fut préparée avec SÉNAT. 137 une
conscience
extrême. Il n'en est pas qui aient subi de plus
ue, retentissante. Ils ont profon- dément ému l'opinion, troublé la
conscience
publique et créé un courant qui, en pénétrant d
s cas, moins rares qu'on ne pense, où une per- sonne aliénée, ayant
conscience
de son mal et sentant l'immi- nence d'un accès
co-légales sont devenues un besoin, je puis dire, journalier, de la
conscience
des magistrats. Ce besoin semble plus ou moins
eur, quelque faux pas d'articu- lation, ils en avaient parfaitement
conscience
et se reprenaient aussitôt. Ce n'est pas par l'
dépendance évi- dente du sens musculaire. Nous avons normalement
conscience
de la position de nos divers muscles, du degré
Il y a aussi des aphasiques par lésion du centre de Broca qui ont
conscience
de l'état défectueux de leur articulation; chez
de ces délires, en étant différenciées par ce fait que le malade a
conscience
de son état '. Quant à la nature clinique de ces
s que d'autres constituent le groupe des idées fixes où subsiste la
conscience
. 7° Les formes intermédiaires à la raison et à
Le défaut d'énergie morale et la mauvaise humeur proviennent de la
conscience
qu'a l'intoxiqué, que son énergie vitale a diminu
p. 192, 1887). BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Azam. Hypnotisme, double
conscience
et altérations de la personna- lité. avec une p
il est ordinairement libre de délire et l'in- dividu a parfaitement
conscience
des horribles douleurs cau- sées par sa maladie
odromique de Paranoïa, dont elles diffèrent cependant par l'état de
conscience
du sujet. 11-fant enfin (comme l'a fait Krafft-
noia, les en distinguent cependant à cause de la conservation de la
conscience
. D'autres les admettent comme une forme rudimen
ce qu'ils ont été ou ce qu'ils pourraient être dans celui-là, et la
conscience
finit par s'ac- corder avec les sentiments. Ces
llucinations terrifiantes. Or, du- rant l'état d'obnubilation de la
conscience
concomittant à l'at- taque, durant aussi l'état
rès faible, détermine l'explosion d'un accès caractérisé : perte de
conscience
, convulsions toniques et cloni- ques, dilatatio
aires représentés dans les centres corticaux ; la sensibilité et la
conscience
sont temporairement suspendues ; 4° si l'excita
l'accès d'épi- lepsie généralisée, c'est l'abolition complète de la
conscience
? Or cette suppression de la conscience indique
l'abolition complète de la conscience ? Or cette suppression de la
conscience
indique assez que le point de départ de l'accès
dont l'excitation détermine, avec l'anémie cérébrale, la perte de
conscience
, coïncident précisément avec ceux de la zone mo
brale 3. Les convulsions épileptiformes, accompagnées de perte de
conscience
, que des injections de cocaïne à la dose de z à
eur. Durant ces accès, qui avaient lieu plusieurs fois par jour, la
conscience
était pleinement conservée. L'acuité de la vue
artériel, provoquerait, avec l'anémie cérebrale, la perte subite de
conscience
. Mais ce spasme des artères cérébrales peut rés
ité à ces parties; il durait de deux à trois minutes, sans perte de
conscience
. Quelque- fois, après avoir évolué, comme il vi
es deux moitiés du corps, et étaient alors accompagnées de perte de
conscience
. Après l'accès, les membres du côté gauche restai
u. Le pouls est bon et plein, peu précipité. Interrogé, le blessé a
conscience
de son état, regrette même », dit-il, de s'être
E DE THÉRAPEUTIQUE. la mémoire était revenue au malade ainsi que la
conscience
de sa situation et le 7 septembre il quittait l
de centres supé- rieurs d'adduction. L'intelligence, la volonté, la
conscience
, qui sont des abstractions, des résultantes de
as a été constatée, au moment de la crise, une sorte de perte de la
conscience
, l'enfant restant comme stupide et regardant da
attache à l'épilepsie les cas où s'est rencontrée de la perte de la
conscience
. Quant aux autres, il en cherche la nature réel
us, changement de caractère, âge des malades, parfois perte de la
conscience
, etc..., et, à ce propos, il eût été intéressant
rer l'insensibilité absolue de l'articulation du coude, le malade a
conscience
des mouvements passifs de l'avant-bras ; d'une
publics le médécin qui fait proprement sa visite et qui donne avec
conscience
et exactitude aux aliénés les soins nécessaires
a paralysie et l'atrophie peuvent survenir avant, que le malade ait
conscience
de la gravité de son affection. Le diagnostic
ologique de cet état soit l'inhibition des centres supérieurs de la
conscience
intellectuelle et de l'activité volontaire, et
gue et sans miction invo- lontaire. Après la crise, la malade qui a
conscience
de ce qui vient de lui arri- ver, notamment par
ce à l'analyse. - Scrutant dans leurs moindres détails ses états de
conscience
, la malade s'interroge sur la valeur morale de se
on des différents actes mentaux, qui s'imposent contre son gré à sa
conscience
, elle se demande si elle est le jouet de son im
venue à l'esprit, une idée bizarre avait surgi dans le champ de la
conscience
, mais L... en avait ri et n'y avait plus songé.
regarde comme des fautes graves. . Très perplexe, L... interroge sa
conscience
, repasse les divers événements de sa vie et les
avait traversé l'es- prit. Mais celle-ci revient actuellement à la
conscience
: « ce sont des idées, dit-elle, que je me fais
sorte que plus tard lorsque cette pensée arrive dans le champ de la
conscience
, elle fait naître l'hypothèse qui lui est défin
pas son consen- tement à certaines pensées qui semblent surgira sa
conscience
, malgré elle et contre son gré, elle arrive à s
hant comment expliquer ces associations d'idées troublantes pour sa
conscience
, qu'elle constate et qu'elle ne comprend pas, e
alyse et avec un doute méthodique, faisant pour chacun un examen de
conscience
mi- nutieux, elle se demande si elle s'est comp
rochable lui vient à l'esprit et lui fait dé- couvrir au fond de sa
conscience
un détail insignifiant, répréhensible, un désir
ffacera que lorsque la pensée primitive aura disparu du champ de la
conscience
. L.... s'émeut de ces idées coupables qui lui r
apable de comprendre l'apparition de ces 'idées dans le champ de la
conscience
. Après une analyse minutieuse de son état menta
dire des idées qui lui viennent à l'esprit et qui s'imposent il sa
conscience
. Comme de telles pen- sées surgissent en dehors
nécessité d'analyser ses divers états d'âme ou plutôt ses états de
conscience
(qu'il nous soit permis d'employer ici cette fi
; 250 VASCHIDE ET VURPAS ce qui les différencie surtout c'est une
conscience
bien nette du point de départ et de la fin. D
eur, ne met aucun jalon à ses analyses et ne garde que rarement une
conscience
précise de sa syn- thèse mentale et des modalit
orphisme de son substratum « ondoyant et divers ». C'est un état de
conscience
qui peut laisser trans- paraître les singularit
tuelle qui précède immédiatement la crise et l'ohnu- bilation de la
conscience
, font incliner d'autre part vers l'épilepsie lass
sont couronnés de succès. Puis les souvenirs s'implantent dans la
conscience
avec l'idée de culpabilité qui s'y attache, cette
uelques idées d'humilité, d'indignité et de craintes de la mort, la
conscience
continue à être profondément troublée ; elle a
s ; elle n'en diffère que par l' une altération plus profonde de la
conscience
personnelle et par des allures moins bruyantes.
organe ce même manteau corti- cal, le jugement, le raisonnement, la
conscience
, dimi- nuent d'intensité au sur et il mesure qu
images provoquées par ces rayons n'arment pas jusqu'au seuil de la
conscience
. Cela ne veut pas dire que des représenta- lion
représenta- lions mentales qui n'arrivent pas jusqu'au seuil de la
conscience
ne puissent exercer une influence quelconque su
, dans lesquels il y a un ré- trecissementjdns ou moins grand de la
conscience
, une suppres- sion plus ou moins grande des fon
bien plutôt d'une 11,11)iL tudc ancienne qui surgit à l'insu de la
conscience
et de la volonté, se reproduisant avec fréquenc
téréotypies ; ce sont ceux qui ont été fortement im- primés dans la
conscience
par un état émotionnel. Cette proposition se dé
eux de la formule, prouve surabondamment que cette intention, cette
conscience
, celle volonté n'existent plus dans le présent.
rticulièrement fréquente des images en question dans le champ de la
conscience
, sans rien préjuger du con- comitant affectif.
de son contenu idéo-affcctif, et sans aucune partici- pation de la
conscience
et de la volonté. Or, la persis- tance relative
plus pru- dent qu'Empédocle et que Pline l'Ancien. Mais, ayant t
conscience
de faire oeuvre utile, travaillant, dans la mes
rse, les clichés qui y sont inscrits, et les rend perceptibles à la
conscience
. Et c'est ainsi que,passant du cristal au bégon
veille au moindre contact, mais se rendort aussitôt. La perte de
conscience
n'est pas absolue ; au réveil. le sujet a conserv
livre ré- cent de Frédéric myes et,en particulier, la théorie de la
conscience
subliminale. M. Demonchy rapporte une observa
M. Vallon croit que le mot de ((mensonge» impliquerait l'idée de
conscience
et ne s'applique pas très exactement aux faits si
action des comptes rendus des séances. Avec quel dévouement, quelle
conscience
, quelle exactitude, il remplit cette tâche diff
tait en quelque sorte remis entre ses mains. C'est qu'il avait la
conscience
nette et profonde de l'immense responsabi- lité
ce' mouvement, 'si' étrangère qu'elle paraît presque n'en pas avoir
conscience
; il exprime le voeu de la-- voir,à cetl égard
aîtra-des désordres- physiques. Certains'/ malades,ont parfaitement
conscience
de ! : commettre un crime,* au moment où .ils l
s ou moins accusée. Lés malades vont, viennent, sans avoir aucune
conscience
de ce qui se passe, mais conservent un certain or
ans le cadre des dégé- nérés. - Mais tous ses actes coupables, sa
conscience
les réprouve, et il s'indigne vivement quand on
ntres génitaux, spinaux et cérébraux, sans que l'intelligence et la
conscience
en soient vraiement obnu- bilées. Si nous nou
nné, et si on le laisse aller, il finit par n'avoir plus la moindre
conscience
de la situation, devient parfaitement incohéren
omène psychique se passe chez, lui pour ainsi dire, en dehors de la
conscience
; il est tout entier dominé par sa tare originel
' ? J*' ' ? ? ' '" ^'i ' Certes notre malade a encore une certaine
conscience
de sa - situation ; il se rend vaguement compte
çoit, les efforts qu'il peut tenter, les luttas* continuelles de sa
conscience
révol- tée sont absolùmet"vàin- ês ? l'hé'rédit
territoires cérébraux; 'ceux-ci/ au' lieu d'agir sur l'ordre de la
conscience
, , sont obligés de se passer" d'elle;rd'où le1
e qui. justifient bien l'expression souvent employée, de folie avec
conscience
, pour désigner la folie de ces héréditaires. Qu
ins marquée. Les malades allaient et venaient sans avoir aucunement
conscience
des événements extérieurs mais; tout en déliran
'ment égarépbredouillait d'une façon'inintelligible; n'avait aucune
conscience
de ses actes; les jambes^ étaient paralysées*.
ièrement à l'atelier de couture; elle est tranquille, réservée et a
conscience
de la période ; q loi · CLINIQUE MENTALE. f .,
rticulation véritable ? provoqueront une sensation analogue pour la
conscience
? ou ticulation, perceptibles seulement , .pour
Ies'"c6hsidè['e"que]quefois comme des illusions de son esprit; il a
conscience
qu'elles ne viennent pas dû dehôrs,'qü'elles se
; J. J ? .u P, 3»' .\ l'ii leur remettre en mains la conduite de la
conscience
de toutes ? + ...iwai^wiiu wju^ri-^ 4 7VC syt VJJ
ns certains cas, il ya incons- cience absolue;, dans, d'autres, la'
conscience
persiste, mais lë'mou- vement s'impose t, sans
beth'Nicolas (c'était une'de celles" dont Nouvelet*'dirigeait la
conscience
) ? et : la'pressant'de dire ce'qu'elle avait' à-r
s semblent le démontrer, le cerveau seul est organe de sensation avec
conscience
, c'est-à-dire d'intelligence, si les lobes optiqu
et aux nerfs optiques, est le centre des impressions dont on n'a pas
conscience
, et l'organe du sentiment ; enfin, le ganglion po
, enchaîné à cette vertèbre, centre des impressions dont on n'a point
conscience
? Que devient, hélas! cette méthode de diagnosti
presque entièrement suspendu. Dans cet état nouveau, l'être vivant a
conscience
de lui-même, mais il n'a plus de sensations disti
tique qui l'environne lui rapporte toutes les impressions dont elle a
conscience
, pour peu qu'elles puissent trouver place dans le
sens interne qui troublent l'homme jusque dans les profondeurs de la
conscience
et du moi. J'ai connu, dit Boerhaave, un malade q
usieurs heures auparavant. C'est donc là une lacune dont on n'a point
conscience
. C'est par conséquent avec le somnambulisme et l'
voir; que notre esprit s'argumente « lui-même, sans que nous ayons la
conscience
que ces ob-« jections viennent d'une source uniqu
ement purement automatique en conséquence, et dont l'esprit n'a point
conscience
. Ces faits sont assez clairs. Le pendule est mû,
e agit à leur insu et détruit par une opposition dont ils n'ont point
conscience
, jusqu'aux mouvements fortuits qui pourraient agi
ce, l'effroi, la volonté idéale, qui se propose un but et l'exige; la
conscience
impérieuse de sa force, la lâcheté, la faiblesse,
stincts. Quand nous accomplissons volontairement, c'est-à-dire avec
conscience
de notre volonté, certains actes que notre intell
la toile: Supposons de plus ces machines douées d'un certain degré de
conscience
et de personnalité, l'instinct de l'horloge serai
s pour protéger les animaux. (1) Suivant Buffon, les animaux ont la
conscience
de leur existence actuelle, mais ils n'ont pas ce
suprême, qui s'accomplissent cependant à son insu, et dont il n'a pas
conscience
. Quoi de plus beau, quoi de mieux ordonné que cet
s qui emportent? Cependant tout cela se fait sans que l'esprit en ait
conscience
, sans même qu'il ait la moindre idée des organes
de volonté. Il y a ici une grande difficulté : l'âme est une dans la
conscience
, et cependant il y a deux hémisphères, c'est-à-di
plus élevée, est la résultante d'une série ininterrompue d'états de
conscience
et de volitions, adaptés à des finalités soit imm
ondamentale de psychatrie positive « qu'il n'existe aucune sorte de
conscience
, soit-elle une sensation, un sentiment, une idée,
les fous l'on observe toujours - quels qu'ils soient,- des états de
conscience
et par conséquent des actes moteurs corresponda
ir directement sur la première pour provoquer un retour à l'état de
conscience
et de volonté normal ; ou bien nous agirons sur
ré leur démence, on observe encore l'existence de nombreux états de
conscience
même s'il y a un cata- tonisme et un négativism
e la biologie des fous : 10 chez tout aliéné il existe des états de
conscience
; 2° chez la plus grande partie des aliénés les
e, libertine, parfois insolente et cynique. L'obscurcissement de la
conscience
n'a pas été observé une seule fois. Le som- mei
à fait indépendamment de la présence ou de l'absence d'exaltatiou, la
conscience
de la malade reste invariablement et profondéme
opre. Le sommeil et l'appétit étaient mauvais les premiers temps ; la
conscience
absolument troublée ; la malade ne pouvait s'or
ermes courants, le trouble mentionné provo- que l'incohérence de la
conscience
. Les associations des idées deviennent tout à f
la terre, il prendra les femmes pour des hommes et au rebours ; la
conscience
même de sa propre personnalité est troublée à l'e
ment une image très précise du désordre chaotique qui règne dans sa
conscience
. Les ouvrages reproduits sur ces pages et qui son
d'excitation pendant lesquels elle crie et devient agres- sive. La
conscience
ne cesse d'être claire. L'état désigné dure avec
e plus ou moins logique d'idées délirantes absurdes ayant envahi la
conscience
du malade, toute la personnalité de l'homme, se m
X MANUEL DES ALIÉNÉS 319 et que les motifs délirants qui agitent la
conscience
du malade viennent à se glisser dans des ouvrag
incohérents, ni les manifestations délirantes qui envahis- sent la
conscience
de la paranoïque, celle-ci transformant son morce
fort avisés, qui ne prêtent nullement à rire.-Ils s'acquittent avec
conscience
de leur mission. Ils l'ont honnêtement leur mét
ttitudes segmentaires est ce qu'on désigne souvent sous le nom de «
conscience
de la position des membres ». J'avoue préférer de
la variation d'attitude à l'action musculaire qui la réalisait, la
conscience
de la variation dans l'espace à celle de l'effort
ois points dans cette question délicate. Premier point : nous avons
conscience
de nos attitudes et de leurs variations, aussi bi
fs que quand ils sont actifs et voulus. Deuxième point : nous avons
conscience
des phénomènes produits au niveau des segments
nos attitudes sont passifs ou actifs. Troisième point : nous avons
conscience
des phénomè- nes centraux, vraisemblablement cé
épensé la moindre force pour la réalisation de ce mouvement. J'ai
conscience
d'une attitude passive,. je sais quelle attitude
t, ou rappel d'attention. C'est pourquoi nous avons plus facilement
conscience
d'un mouvement que d'une position, d'une variat
attitudes. Mais revenons à celui-ci. Il est certain que nous avons
conscience
de nos variations d'attitudes, aussi bien quand
ives que quand elles sont actives et voulues. Comment en avons-nous
conscience
? Quand elles sont passives, nos attitudes et l
ations sont actives, l'activité musculaire entre en jeu. Nous avons
conscience
qu'il se passe au niveau du segment considéré q
du recul que nous devons prendre pour accommoder la vision de notre
conscience
. Quand, les doigts ouverts et les yeux fermés, je
l'effort réa- lisé, quand je veux cet effort. C'est,avant tout, la
conscience
, la sensation de l'exercice de ma faculté d'att
nés à mettre en oeuvre les activités mus- culaires, inconnues de ma
conscience
, précisément parce que l'ap- pareil moteur, le
essentiellement suggestionnables qui présentent des troubles de la
conscience
beaucoup plus souvent qu'on ne TROUBLES OBJECTI
x après cette mutilation. Et c'est en quel- que sorte par acquit de
conscience
qu'elle vient nous demander notre avis avant de
n, doit, permettez-moi ce mot, conserver sa judiciaire, autant que sa
conscience
et sa liberté ; de même aussi toutes les facultés
que Dieu a départie à tous? Que ceux qui ont conservé leur liberté de
conscience
répondent avec sincérité..... Et c’est cependan
t pas de l’académie, parce qu’ils avaient conservé la liberté de leur
conscience
; et qui, sentant dans leuràme vibrer encore la vo
lité qui pèse sur moi, de ce nouveau devoir qui m’est imposé, dont ma
conscience
et ma raison m’ont révélé l'existence, et qu’elle
s yeux pour la première fois, mais il était évident qu’il n’avait pas
conscience
et il dit que j’étais un Bnboo. L’immersion froid
l’abus de l’opium, du hachisch et même du tabac. Ainsi la perte de la
conscience
du temps et des lieux, qu’on remarque chez les al
son propre nom ; j’ai produit l’ivresse, l’idiotisme; j’ai déplacé la
conscience
pour lui substituer les attributs de la brute en
té une assemblée de quelques fidèles adeptes remplissant un devoir de
conscience
. M. du Potet a d’abord rappelé en quelques mots
es savantas, avec leurs aperceplions de sensation, d’intuition, de la
conscience
du moi humain, embrouilleront la matière, selon l
n quantité proportionnée aux nombreuses considérations qui guident la
conscience
du bon médecin, je fais usage de boissons acides,
ambulisme; elle verrait, elle entendrait, elle goûterait, elle aurait
conscience
d’elle-mème, par l’intermédiaire de scs organes a
vii), non-seulement la révélation de l’avenir, mais encore nous avons
conscience
de tout ce qui se rapporte aux maladies et à leur
qui conservent avec leur magnétiseur un rapport si intime, qu’ils ont
conscience
de près comme de loin des douleurs qu’il éprouve.
lutôt plantes vénéneuses. Dans les premiers degrés de détachement, la
conscience
persiste, mais l’imagination est plus vive, en so
rsécuteur, et qui certes ne lui voulait aucun mal. Notre ami, dont la
conscience
est sans reproche , fut cruellement alfecté de ce
e durent parfois trois ou quatre jours, et le patient en a pleine
conscience
. A 26 ans, après plusieurs attaques épilep- 56
fait, et parfois se livre à des actes bizarres dont elle n'a point
conscience
; un jour, .à la suite d'un de ces vertiges, elle
tat à la pudeur. En 1875, pas plus que l'année dernière, il n'avait
conscience
de ses actes commis en public et sur lesquels o
morbidité, ' le sens moral a parfois d'étranges défaillances et la
conscience
de singuliers aveugle- ments. Tel ne fera pas t
XIII. AUTOMATISME DE NATURE ÉPILEPTIQUE PARAISSANT'ACC011- PAGNÉ DE
conscience
ET suivi' d'aphasie ; par MM STEVENS et C.-I ?
un habitus extérieur facilement appréciable,, ni par- un défaut de
conscience
, ni par un dédoublement de la person-' nalité,
as la sa place' à pareille heure. Bien que dans sa course il eût eu
conscience
de chacun de ses pas, cette réflexioni ne s'éta
urna alors chez lui, se déshabilla et se remit â'ùlit. "Il avait la
conscience
très nette de tout ce'qu'il avait fait de- puis
jours libre d'agir. D. On est toujours libre d'agir dans son âme et
conscience
. R. C'est ainsi que je crois avoir agi. D. Eh b
: elle put té- moigner alors d'une bonne mémoire, et d'une pleine
conscience
d'elle-même. Les mouvements se faisaient d'une
equel la malade raconte ses diverses occupations, mais elle n'a pas
conscience
de ce qu'elle dit; puis, par intervalle, sans m
vait conservé assez de mémoire et de jugement pour avoir exactement
conscience
de sa situa- tion, de son affection convulsive.
festes pour rester inaperçus de l'entourage du malade; celui-ci a
conscience
de sa vésanie et se garde d'avouer les conception
, « la claustrophobie, étant une psychose dans laquelle le malade à
conscience
de son délire, peut rentrer jusqu'à preuve du c
rer jusqu'à preuve du contraire dans la catégorie des folies avec
conscience
». H. D'O. XXXVIII. UNE LEÇON CLINIQUE SUR la p
rairement à l'opinion de Hugh. Jackson, Hammond regarde la perte de
conscience
, l'inconscience, comme le phé- nomène essentiel
es peuvent consister exclusivement en hallucinations, avec perte de
conscience
. Voici, pour fixer les idées, comment il décrit
és, par Por- porati, 484. Automatisme (cas d') épileptique avec
conscience
et aphasie consé- cutice, parStcveus et Iluehes
ubation. C'est la paralysie générale sans aliénation. Ces malades ont
conscience
de leur décadence, ils peuvent encore remplir jus
me ; enfin, un cas assez fréquent est celui où, sans perte absolue de
conscience
, survient un engourdissement d'une main, des lèvr
sant, d'ailleurs, il exécute avec les lèvres des mouvements dont il a
conscience
, et privé de la vision mentale, il lui est d^venu
intures des mouvements de torsion violente, sans que le malade en ait
conscience
le moins du monde. La perle des diverses notions
lui, soit au moment de la chute, soit après, aucune trace de perte de
conscience
, aucun trouble intellectuel d'une nature quelconq
onnelles depuis longtemps accumulées et organisées qui constituent la
conscience
proprement dite, le moi. C'est pourquoi les mouve
bulique, tous les sens sont ouverts et l'on peut dire même que, si la
conscience
est déprimée, la sensibilité aux impressions comm
nstitue pas la condition unique où, par suite de l'obnubilation de la
conscience
, de la dissociation facile du moi, il soit possib
'est que, tandis que le mouvement involontaire se produit sans aucune
conscience
antécédente du mouvement à faire, le mouvement vo
ment volontaire ne se produit qu'après qu'il a été représenté dans la
conscience
. Et comme cette représentation n'est rien autre c
M. II. Jackson adhère à l'idée de Bain, Wundt et autres, que notre «
conscience
de l'activité musculaire » est en grande partie i
s il a repris connaissance. Au début, dit-il, il avait parfaitement
conscience
de son état, et il aurait été prévenu de cette
vons dirigé nos recherches de ma- nière à pouvoir répondre en toute
conscience
à la principale 86 MÉDECINE LÉGALE. question
rit ? En ce qui concerne les promenades au dehors, il suffit à la
conscience
publique qu'elles soient régulièrement proposées
re placés dans une maison de santé ouverte : 1° ceux qui ont pleine
conscience
de leur maladie, plein discernement de leur SOC
puissance dynamométrique des muscles des mêmes membres persiste, la
conscience
musculaire est in- demne ; enfin, le malade exé
en plus aisée et finit par être accomplie sans effort et même sans
conscience
: la marche est devenue alors, comme on dit, un
inconsciente, comme les appelle Schopenhauër, qui parvienne à notre
conscience
, c'est le résultat obtenu. Ne peut-on pas admet
permanente, tantôt intermittente irrégulière, en même temps que la
conscience
i du sujet en proie à des hallucinations et des
. 92. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSrÉRIOUE. ? 6ï tion les cas où la
conscience
est suffisamment anéantie, la résolution muscul
rt de l'observateur. Mais, est-ce à dire pour cela qu'il n'a aucune
conscience
tant morale que physique de ces excitations; no
vec inégalité pupillaire et aphasie. L'intelligence est intacte, la
conscience
entière.... Un mois arpès, tout est rentré dans
e ne suis pas calme. C'est vous qui ne l'êtes pas, au fond de votre
conscience
! (Exclamations à gauche.) Eh bien ! je dis que
-après. » -(Adopté.) « Art. 18. - Toute personne majeure qui, ayant
conscience
de son état d'aliénation mentale, demande à êtr
f, cela la soulage; elle s'occupe, mais d'une façon fébrile. Elle a
conscience
de son état ' Nous rapprocherions volontiers ce
perspective de cette première impression, c'est que nous avons la
conscience
d'affirmer une doctrine juste en elle-même et seu
dans la vérité. Je prie mes collègues en général de consulter leur
conscience
; elle leur dira que, quand il s'agit de médecin
duelle que le projet de loi préfère, dans les cas d'internement, la
conscience
du juge aux lumières du médecin. Mais alors, me
, qu'ils ne remédient à rien, qu'ils ne tranquillisent même pas vos
consciences
et qu'ils ne donnent à l'opinion publique aucun
es magistrats délibérant en cham- bre du conseil, se réduisant, par
conscience
de leur incompétence, à confirmer et à sanction
i leur manquait jus- qu'ici, un procédé d'analyse des phénomènes de
conscience
et une véritable méthode de psychologie expérim
tal dans le somnambulisme provoqué. P. S. Il[. Hypnotisme, double
conscience
et altération de la personnalité ; par le D Aza
nt ce qu'on a nommé le dédoublement de la personnalité ou la double
conscience
et dont l'histoire a fait beaucoup de bruit aut
cutivement à cesverliges, des actes im- pulsifs dont elle a parfois
conscience
. M. croit voir dans celle dernière malade une i
ortie comporte les indications suivantes : il faut qu'il ait pleine
conscience
de sa maladie passée, qu'il se sente en possess
s l'ombre, le moi revient à la réalité et récupère graduellement la
conscience
, quoique les débris du délire persistent, l'ind
'autres termes, dès que la compression a commencé, il avait à peine
conscience
de son état et avant l'enlè- vement de son casq
▲