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1 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
compter l'ataxie locomotrice, avec laquelle elle paraît souvent se con- fondre. Il y a deux névroses qui ont de fréqu
Père aliéné. Observation II. - M"° C..., huit ans et demi. Cyanose con- génitale avec rétrécissement pulmonaire; épilep
s qui se montrent chez les hystériques en dehors des manifestations con- vulsives propres à cette névrose, elles ne doiv
e, à des terreurs nocturnes, à des perversions de l'idéation, à des con- ceptions délirantes 5. Un certain nombre sont o
trois groupes offrent, comme nous l'avons vu, de nombreux points de con- tact ou plutôt de confusion. Il n'est point rar
chez les imbé- ciles et les idiots qu'on peut en quelque sorte les con- sidérer comme des symptômes de l'idiotie et de
traction spasmo- dique continuelle du sterno-cléido-mastoïdien; les con- tractures disparurent et la malade tomba mélanc
inuité du délire. La lecture de ces observations ne nous laisse pas con- vaincu du rapport qui existe entre l'évolution
st vrai, de trouver dans leur seule topographie un argument décisif con- tre la systématisation. A première vue, on a bi
qui semblent ici touchées en vertu de leur rôle et du sens de leur con- ductibilité physiologique. L'un de nous a, l'an
ien exceptionnel. Du reste, nous ne saurions insister plus qu'il ne con- FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 67
elle. Lésions de la moelle produites par prolifération des éléments con- jonctifs avec compression, puis disparition con
bord héritant et semble ne pas savoir où il se trouve, et, quand la con- naissance est totalement rétablie, il ignore ce
pousser un cri : étendu à terre sur le dos, il est pris aussitôt de con- vulsions cloniques : le coips se déplace en cer
exa- men physique du malade, assis sur son lit, on voit ses jeux se con- vulser en haut et il cesse aussitôt de répondre
ept mois et demi, l'autre à dix-sept mois; pas de convulsions, bien con- formées. Deux garçons jumeaux 1 : l'un est mort
m- porale est très distincte, la deuxième et la troisième en partie con- fondues. La circonvolution de l'hippocampe est
'aucune espèce. Ces résultats, d'accord avec ceux des auteurs, nous con- firment dans cette opinion : que c'est bien dan
ue dans l'autre. » Le vomissement est, en somme, un acte éminemment con- vulsif ; il est, à ce titre, involontaire. Ce f
son affection. En meurt-il ? non. Le pronostic du mérycisme est, au con- traire, très bénin. Livré à lui-même, il ne com
t, no- tamment : Diminution du champ visuel des deux yeux du côté con- traire à l'hémisphère lésé. - L'étendue de la l
l., 1882.) Le diagnostic porté pendant la vie du malade que ce fait con- cerne fut : lésion de la base du crâne (étage m
eau était plus ou moins affecté dans toute son étendue, l'auteur on con- clut que les fibres en question occupent il la
incomplets, avec mâchonnement et mouvements de déglutition. Nous ne con- naissons pas les antécédents héréditaires. La m
voit, ressemble à l'épilepsie jacksonienne. Comme dans celle-ci, la con- vulsion ne s'accompagne pas toujours de perte d
nvulsions La tête est constamment tournée à droite, du côté le plus con- vulsé. On note à ce moment de l'hémianesthésie
e et qui avait fini par se manifester des deux côtés, succèdent des con- torsions variées et deshallucinations terrifian
tobre (hallucinations terrifiantes, délire, contorsions) sont venus con- firmer cette manière de voir. Tel est, Messieur
eu d'enfants payants); en raison aussi d'une épidémie d'ophthalmies con- tagieuses, l'administration préfectorale vient
e la pa- role, parésie du bras et de la jambe gauche, sans perle de con- naissance. Depuis lors, salivation et difficult
oie, rate, sains. Poumons. - Emphysème du lobe supérieur. Un peu de con- gestion des bords postérieurs. Observation II
avaler. Il retourna à son domicile et y tomba de faiblesse, tout en con- servant sa connaissance. Une déviation du visag
uche, et, à plus forte raison, l'appliquer contre le palais. Elle a con- servé son volume normal; pas de contractions fi
péciale. Le voile du palais est inerte ; on peut cependant le faire con- tracter en le touchant avec le doigt. Sensibili
rviront à la dis- tinguer de la paralysie bulbaire progressive : la con- servation des réflexes, l'absence d'atrophie mu
ie NERVEUSE. plégie. Le 25 décembre, nouvelle attaque avec perte de con- naissance suivie de troubles mentaux qui durent
, des lèvres et des muscles respiratoires s'accompagnent souvent de con- vulsions des muscles étrangers à la prononciati
volantes, etc. Dans quelques cas la nature goutteuse de l'affection con- vulsive est des mieux démontrée par sa disparit
81. '- J. Hiitcllinson. On rctuiitis hemorrhagica and its suggesled con- ue.cious wille gout nncl ucztozcs tlcromGoszs (
et petit rond, biceps. Avec un courant fort, on détermine quelques con- tractions du triceps, particulièrement du vaste
sion; l'explora- tion clinique attentive établira, nous en avons la con- viction, qu'il en est ainsi des symptômes par l
j. " , 29 juillet. - Fauv... va sous lui. L'appétit est assez^bien con- servé. Délire très fréquent. « Voyez ces gens q
points occupés par les tumeurs. La décortication du cerveau sur la con- vexité des hémisphères a oflbrt quelques diffic
queuse vési- cale au moment de l'accès; quant aux albuminuries plus con- sidérables, ce sont, dans un grand nombre de ca
l'observe encore au moment de l'attaque d'épilepsie, au début de la con- vulsion tonique. ' Une forme moins grave enco
nt plus variés. A l'état normal, la vessie est fort peu sensible au con- tact et il semble que le réflexe de la miction
pagne d'une sensation douloureuse ; et, quand il est satisfait, une con- traction douloureuse est ressentie au niveau de
emment. a) Le zoster, maladie aiguë, presque cyclique, infectieuse, con- férant l'immunité, est une maladie générale à d
es de la sclérose latérale amyotropbique, atrophie des muscles avec con- tractures dans les poignets et les pieds, exagé
ogressive- ment jusqu'à la somnolence et enfin la perte complète de con- naissance. Souvent, ajoute l'auteur, c'est aprè
une route de douze milles : arrivé au terme du voyage il tombe sans con- naissance et meurt dans le collapsus en six heu
le de vous en dire plus long sur la forme de son délire, ni sur les con- clusions du procureur de la République. Le magi
pré- tentions de la syphilis aient été reconnues et acceptées sans con- teste ? Non sans doute, M. Charcot, notamment,
ies de résultats si fâcheux, qu'aujourd'hui j'ai pris pour règle de con- duite de ne jamais les provoquer. Voici quelque
de Ville-Evrard. Son père qui habite l'ile de la Réunion a toujours con- servé l'espoir d'une guérison, aussi avait-il c
ment en 1881. Les mêmes symptômes de mélancolie anxieuse, les mêmes con- ceptions délirantes se reproduisirent, mais il
lancoliques simples qui se plaignent de ne plus voir les objets que con- fusément, de ne plus les reconnaître, et qui se
oubles de la sensibilité. Exagération du réflexe patellaire. Pas de con- tracture ni d'épilepsie spinale. Absence d'atro
partie postérieure et interne des pyramides motrices : nous sommes con- duits, par là, à regarder ce point comme étant
nté, mais depuis lors et peu après son mariage, elle eut des crises con- vulsives, suivies d'une perte entière de connai
s, les éclaircissent après un traitement plus prolongé; ces couches con- centriques se laissent dissocier et se distingu
débouche dans le pressoir d'Hérophile, ou bien, plus souvent, il se con- à La tumeur a été durcie dans une solution de b
LLE et SÉGLAS. Dans les précédents numéros des Archives, nous avons con- sacré plusieurs articles à l'histoire du méryci
ime le patient. Il prétend avoir ruminé surtoutles aliments acides ( con- combres, salades de légumes et vertes), les pet
. C... ne mange pas plus copieusement que ses commensaux, il est au con- traire très sobre. Un quart d'heure environ apr
son affection. En meurt-il ? non. Le pronostic du mérycisme est, au con- traire, très bénin. Livré à lui-même, il ne com
, III, 3.) Il est des cas dans lesquels, bien que l'examen clinique con- clue à l'existence d'une lésion en foyer, l'aut
e déduction. L'auteur dégage de l'ensemble de ces renseignements la con- clusion que l'absence du réflexe rotulien témoi
es ner- veuses, issues, pour les auteurs, des fibres nerveuses. Ils con- cluent à la dégénérescence sarcomateuse des par
inter- viennent pour agir de plus ou moins loin sur le cerveau; ces con- sidérations viennent apporter leur concours aux
fois que les malades pourraient être préservés du contact de leurs con- génères désignés dans le § I. a. II. Il s'agit
érale. M. llITZIG (de Halle) ne partage pas ce sentiment, en ce qui con- SOCIÉTÉS SAVANTES. 369 cerne ces altérations
iques des plus variées entrent en jeu pour produire, par une action con- currente, les tableaux morbides et les états ca
res administratives et judiciaires destinées à sauvegarder l'aliéné con- tre ses propres entraînements et contre les cap
éde- cins, et plus tard les lois de 1866 et de 187t, en donnant aux con- seils généraux un droit d'intervention légitime
s aliéné. M. Lunier et la commission ne l'ont pas entendu ainsi; au con- traire. Actuellement en effet, le procureur de
4 VARIA. La première a été émise par M. Herold. Dans sa pensée, les con- ditions du concours du premier degré sont suffi
e même, il a semblé à plusieurs membres du groupe que la population con- sidérable des aliénés de la Seine, la multiplic
e Paris. Le but poursuivi par les partisans d'une spécialisation du con- cours pour la Seine, c'est d'élever le niveau d
r et Deny. L'une des objections principales formulée par M. Foville con- siste à dire que ce système lèse les médecins a
BILLOD (E.). - Les aliénés en Italie. - Etablissements qui leur sont con- sacrés. Organisation des maladies mentales et n
2 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r l'insuffisance du critique, il en concluera que la théorie en est con- firmée. Aussi bien suis-je convaincu que le -
aison- nement le voici : « L'homme est un. Dans un milieu un, on ne con- çoit pas qu'il puisse naître simultanément des
e M. Bonne en la biologie ne serait-elle pas zèle de néophyte. J'en con- nais des biologistes, de bien authentiques, de
tpa- lier, de Magnan, de Bérillon, de Myers, se dresse le sentiment con- traire de P. Janet. Mais ce n'est pas à un « av
olant pour vivre eu une existence conjuguée et se développant en un con- tact réciproque,forment enLr'eux les dispositio
es et de tendances entre co-êtres apparaît toute naturelle, et l'on con- çoit qu'elle puisse résister à l'action uniform
tant l'oeil. Cet oeil est un peu plus rapproché du flanc gauche, au con- traire l'atrium est plus rapproché du droit. Si
s im- pressions qu'elles nous laissent sont plus ou moins obscures, con- fuses. Une deuxième opération dont l'attention
ine et les intensifie. Cette dualité d'opérations successives ne se con- cilie pas avec l'idée d'un être un dont l'activ
e formation primitive double. Mais même ceux qui n'admettent pas la con- crescence. sont obligés de reconnaître la dupli
fen- dra-t-on de savourer ces « deux moitiés auxqualles il faut des con- nexions etc. » et de trouver un peu risqué le d
la main droite, qui s'étendaient à tout le membre avant la perte de con- sance. En 1904,parésie du bras droit. En 1905,
ineux. De ces deux faits l'auteur conclut à l'existence de voies de con- duction différentes pour les réflexes cutanés e
chez les sujets atteints d'une défectuosité du système nerveux,soit con- génitale,soit involutionnelle, et chez lesquels
. 61 du thrombus intra-vasculaire, il ne faut pas oublier certaines con- ditions qui influent réciproquement les unes su
irites, et notamment à l'écriture médiumnimique. Les hallucinations con- sistaient en mouvements ou sensations de mouvem
éri- tablement réfractaire à la direction familiale ou scolaire, il con- vient, pour le transformer, de recourir à des p
ne res- tera pas isolé. Le G septembre, Mme X..., à la suite d'une con- trariété de famille, tomba en condition seconde
ervertis. Elle est convaincue, certes, qu'elle a des griefs sérieux con- tre son mari et la famille de ce dernier, elie
es individus nor- maux : elle a aussi pleinement le sentiment de la con- servation personnelle, qui la met en garde cont
tie ou réduite à telpoint,parfois, que toute personnalité peut être con- sidérée comme absente et que l'exercice des fac
causalité et l'homme ne peut être responsable qu'en tant qu'il est con- sidéré comme une cause libre ; ces questions so
e présente pas, il est vrai, de gros inconvénients ; par suite d'un con- sentement général, en effet.on est d'accord pou
le sens mé- dical que l'on va donner au mot responsabilité dans ses con- clusions et on doit dire ensuite nettement si l
de res- ponsabilité quand il s'agit d'un individu sain d'esprit, la con- clusion d'irresponsabilité quand il s'agit d'un
mme ils le méritent, mais il est en lutte avec la même question qui con- fronte actuellement les cours,et que la loi pro
, Kraepelin atout récemment mis en doute la légitimité de sa propre con- ception de la mélancolie d'involution et penche
. Toutes sont au même titre fonctions de l'activité cérébrale. J'ai con- sidéré comme une sorte de sommeil d'inhibition,
servation de Balfour, et soutenue par Apathy, Nissl, etc., admet la con- tribution de plusieurs éléments à la formation
con- tribution de plusieurs éléments à la formation de ce que l'on con- sidère comme représentant la cellule et ses pro
les fibres nerveuses, toutes les cellules nerveuses de l'écorce, ne con- tiennent pas des neurofibrilles, lesquelles ont
ît difficile de tirer des conclusions absolument précises en ce qui con- cerne la comparaison des lésions par régions. C
s images de la glia ». De ces données anatomiques, certains auteurs con- cluent aux remarques physiologiques suivantes :
facilement réalisés dans notre pays en nous plaçant dans les mêmes con- ditions. Direction médicale, pleine autorité du
e sodium déter- minent, en général, une exacerbation des phénomènes con- vulsifs ; en outre, la plupart des animaux inje
isance ma- nifeste de la convergence, analogue à la divergence,dite con- comitante, des myopes. Quant aux paralysies iso
euse, dif- férente par l'âge et la gravité symptomatique, qui tous, con- curremment avec l'alitement et la cure de désin
nné suite à l'invitation du gouvernement Néerlandais d'envoyer à ce con- grès leurs représentants. Permettez-moi que j
n- tale et on ne la distingue d'aucune autre de ces maladies. Si on con- sidère la suggestion comme une conséquence de c
l'hys- térique, si on la rattache au rétrécissement du champ de la con- science qui résulte de cette dissociation, on d
te thèse : des malades que j'avais guéris de leur paralysie,de leur con- tracture hystérique, qui jouissaient depuis lor
la- quelle l'autonomie étroite des centres corticaux telle qu'on la con- çoit encore disparaît en grande partie. · - ,
et le signe de Babinski se faisait en extension. Réflexe achilléen con- servé. La malade se plaignait toujours de dou
liers. .Ce que deviennent nos malades, vous avez essayé de le faire con- naître en vous servant des documents rassemblés
l'Ins- truction Générale n'a pas voulu porter atteinte au droit de con- trôle des Directeurs, nettement déterminé par d
ouvert de sa propre responsabilité, on dehors d'un contrôle réel et con- tinu à l'égard des agents des différents servic
ponsa- bilité. Il y aura lieu également d'examiner l'opportunité de con- denserces indications un quelques articles clai
alade tâ- chait toujours d'amener la conversation sur les questions con- cernant les organes génitaux et manifestait un
distiqzce. Dans ce sens, le récit du malade au sujet d'un convoi de con- damnés près duquel passait une dame élégante es
é, mais sans cesse en progrès, qu'est la psychiatrie, voudront bien con- venir que le premier devoir de l'Etat, légiféra
seignement médical, il me paraît naturel que les médecins traitants con- tinuent à y résider. La clientèle de campagne,
loutée. Après durcissement, le diagnostic de paralysie générale fut con- firmé par l'examen microscopique. La méningite
nt à l'opinion de Koelliker, et que leurs fonctions sont encore mal con- nues. Ch. B. XX.- Ueber Begriff und Lokalisat
llisse- ment de la partie moyenne de la frontale ascendante, ce qui con- firme la théorie des localisations corticales.
elli- gence et la sensibilité,lI. Mairet en dégage, au début de ses con- sidérations, les éléments constitutifs, et mont
esdits établissements. Les candidats qui désirent prendre part à ce con- cours devront se faire inscrire à la Préfecture
'était du nouveau ; elle n'avait jamais connu ça ( ? ). Avant de me con- naître elle était tranquille ( ? ) Depuis, elle
s été sans activer la genèse des hallucinations et influer sur leur con- tenu. Un trait curieux est celui-ci : des cli
s : Dieu Tout Puissant, faites arrêter ces criminels, qu'ils soient con- fondus, terrassés, obligés d'avouer tous leurs
délirante reçue d'autrui, mais sans aptitude délirante connexe, par con- séquent, inerte et stérile. Aucun travail d'esp
essier, nous découvrons sur la fesse gauche deux lésions exactement con- tiguës : l'une est une plaque de gangrène sèche
Granet fut à son tour amenée dans notre service. Son interrogatoire con- firma notre opinion touchant la genèse des deux
lité avec laquelle elle transforme ses idées en convictions, et ses con- victions en souvenirs; la preuve en est dans le
ant elle ou quand elle passe, sont aussi des personnes renseignées, con- naissant son affaire. Dans une des dernières
age. Il lui est arrivé également dans la rue de saisir une fois une con- versation qui avait trait à sa personnalité. De
posées. Tantôt elle s'excite,s'emporte contre ses ennemis,notamment con- tre le brasseur, M Paul A ? tantôt confie les p
a-t-il une relation quelconque entre les deux états,comme le pense con- jecturalement le Prof. Reclus. Quelle est la pa
apa- cité de travail, pouvant chez des sujets à tare névropathique, con- duire aux formes graves de la folie des adolesc
épandue. Dans cinq cas de tabes, dont un au début, S. constata, au con- traire,des signes évidents d'inflammation dans
con- traire,des signes évidents d'inflammation dans tout l'appareil con- jonctivo-vasculaire que la pie-mère envoie dans
en- trale, c'est-à-dire que sa production nécessite l'intégrité des con- nexions entre les terminaisbns nerveuses périph
les, l'autre, un homme, atteint d'astasie-abasie. On doit éviter de con- fondre l'hystérie avec la démence précoce. Les
les. La prophylaxie de cette redoutable affection doit tout d'abord con- sister dans une éducation rationnelle. On doit
bre de trois principales : 10 Le réflexe existe et paraît aboli par con- traction permanente consciente ou inconsciente
lom- baire est précieuse pour le diagnostic. Le signe de Kernig,au con- traire, est des plus trompeur. Pour arriver au
nouille décapitée. B. adopte les vues du physiologiste et admet que, con- sécutivement à la suppression de la conduction
n° 8.) Il est facile de simuler l'épilepsie dans ses manifestations con- vulsives, il est plus difficile de reproduire l
ke, des noyaux gris centraux. Mais c'est aussi pour réfuter avec de con- vaincants arguments l'opinion récente de P. Mar
axwell. Les hystériques perdent aussi le souvenir de leurs attaques con- vulsives d'une façon moins radicale que les épi
on doit les admettre, malgré Condillac, comme des idées conçues et con- servées dans l'esprit ; chez les sorciers se re
résistances aux impulsions mauvaises, aucune argumentation nouvelle con- tre le déterminisme. Le libre-arbitre ne saurai
année est accordée aux internes docteurs ayant subi avec succès le con- cours annuel de médecin adjoint des Asiles d'al
; l'intelligence restait tout à fait lucide. Les médecins ont fait con- naître aux proches du malade leurs craintes pou
constatés. Le huitième examen (I5 janv.194) démontre l'amélioration con- tinuelle de la sensibilité : l'hypoesthésie et
a qu'une période, la période convulsive. Le nombre des accès a été con- sidérable. Dans certains cas, il peut être limi
a- pable de présider à la manie et à la dépression ; 2° déceler les con- ditions étiologiques qui régissent l'évolution
sage fut créé en 1882, une matelasserie en 1884, la cordonnerie, la con- fection des paillassons et l'atelier de menuise
ls ne réapparaissent jamais, même s'il survient une hémiplégie; par con- tre,si quelques-uns des réflexes tendineux sont
e la P. G. ne se développe jamais en l'absence d'une prédisposition con- ceptionne)le ; la syphilis, l'alcoolisme, le tr
t des actes délictueux. Les auteurs apportent les observations très con- vaincantes de trois sujets chez lesquels la dém
rtout dans l'éducation de la volonté,la psychothérapie, l'alitement con- tinu, les grands bains prolongés. L. WAHL. XV
ul. Il remarque enfin que les formes complexes sont encore très mal con- nues ; que certaines autres,telles que l'incohé
agistrat de certains de ses actes et à en subir personnellement des con- séquences fixées par la loi. Dans le droit ro
s l'idée de déléguer une partie de son pouvoir à une personne qu'il con- sidérait comme un inférieur. Les magistrats fra
écisions antérieures, assimilés aux médecins adjoints reçus auxdits con- cours. Tous ces praticiens devront justifier de
accueillie. Art. 6. La liste des candidats admis à prendre part au con- cours est close trois semaines avant la date d'
au con- cours est close trois semaines avant la date d'ouverture du con- cours et arrêtée par le ministre de l'intérieur
onque, ne peut assister à une séance du concours, il ne pourra plus con- tinuer à siéger dans le jury dudit concours ;ma
ier, Rodiel et Cans, p. 385. - Voir Trau- mullsmes. Les digestifs con- sidérés dans leurs rapports avec les mentaux,
3 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u bord interne de la papille, moins envahi que l'autre par le tissu con- jonctif ; elles possèdent un noyau volumineux,
er, est dans l'espèce, considérablement hypertrophiée. Les cellules con- jonctives qui la constituent se mêlent au nivea
e n'est plus constituée que par des amas d'éléments névrogliques et con- jonctifs tassés les uns contre les autres. Les
vec les résultats fournis par la méthode de Weigert. (Le nombre peu con- sidérable de fibres dont l'altération est démon
outre envahie plus ou moins par les éléments proliférés des tissus con- jonctif et névroglique, infiltration allant du
s cellules conjonctives et névrogliques, épaississement de la trame con- jonctive du nerf, altérations diffuses des cell
scènes qu'il aurait réellement vécues. Aucun argument ne pouvait le con- vaincre de son erreur. Ce délire particulier, à
QUE MENTALE. momentanément à son profit presque tout le champ de la con- - science. La lutte disparaît et tous les éléme
psychiques semblent se grouper en une seule synthèse, en un état de con- science unique. Mais celui-ci n'est justement q
'acquérir : que ce centre nerveux vienne à être détruit, ou que ses con- nexions avec la périphérie soient interrompues,
ections dans lesquelles non seulement les adaptations spéciales des con- tractions musculaires à une fonction donnée son
puisqu'on les retrouve même chez le jeune enfant; les secondes, au con- traire, se rapportant aux mouvements plus compl
emarquée du public médical. Entre temps il s'était efforcé de faire con- naître sa méthode à l'étranger et en France et
l'incoordi- nation du tronc, mais sa fréquence était méconnue ; au con- traire nous pouvons dire aujourd'hui que toutes
nous ne dirons rien, si ce n'est qu'il est inutile, à moins de les con- naître parfaitement, de chercher à corriger les
éciales com- porté dans l'application du'traitement rééducateur des con- clusions pratiques. A chaque symptôme, suivant
t partiel qu'il sera capable de donner et de soutenir de façon à se con- former aux conditions de la mécanique du corps
des condi- tions telles que toute l'attention du malade puisse être con- centrée sur la seule région de son corps ou de
un mouve- ment volontaire précis, ils rendront donc des services à con- dition de correspondre à des mouvements physiol
ns de Goll, de Burdach ou de Gowers. Pour expliquer ces différences con- sidérables dans les lésions anatomiques d'une m
L'auteur élimine le diagnostic de rhumatisme déformant, d'ankyloses con- génitales par aligamnios, ou par lésions acquis
oupes congelées faites sur des blocs tirés directement de solutions con- servatrices au formol. On peut colorer rapideme
lusieurs voeux : 1° Que les étudiantes en médecine soient admises à con- courir pour l'internat des asiles à la conditio
ns la Revue neurologique, de nombreuses analyses des travaux russes con- cernant la neurologie. Enfin il a publié réguli
et Capgras'. 1 En somme, toutes les formes délirantes peuvent être con- tagieuses, deux l'ont été'plus particulièrement
carac- térisé surtout par un défaut de mémoire assez prononcé. Elle con- naît mal son âge et l'année; elle calcule très
on a décrites. Nous avons vu, en effet, qu'elles relèvent des mêmes con- ditions pathogéniques; que l'action des impress
ns médico- légales que peut faire naître la question des folies par con- tagion, il est un fait cependant qui demande à
d'autres individus, perdent le libre jeu de leurs facultés, et par con- séquent de leurs déterminations, à tel point qu
dès nos pre- mières observations. Il est d'autre part important de con- naître les limites entre l'obsession physiologi
cca- sionnelle fut une pleurésie, qui dura sept mois. C'est dans la con- valescence de cette maladie, que les idées obsé
etit les crises se répètent plus souvent et la rendent incapable de con- tinuer l'école. C'est alors que la malade comme
oie du magasin où elle était employée; plusieurs fois sa fille, qui con- naissait son habitude, reportait la soie le len
rande énergie, enfin la torture morale arrive au maximum. En ce qui con- cerne l'exécution de l'acte nous devons ajouter
syndromiques. Le pronostic est habituellement favorable, mais à la con- dition capitale de ne jamais négliger le malade
s deux membres supérieurs et la moitié droite de la face avec début con- génital. VIII. Nouveaux détails sur la paraly
tion est indépendante du symptôme-fatigue; une fois, la force de la con- traction au courant faradique a paru plus faibl
e, ne peut s'exécuter normalement qu'avec l'intégrité de l'appareil con- ducteur et récepteur des cellules de l'écorce ;
f ans, il est pris de crises convulsives épileptiformes, suivies de con- fusion mentale, et continue pendant six ans à r
nes ne sont pas des lésions de névrite radiculaire pure, elles sont con- tinues à celles des méninges. Or, M. Guillain a
du crime, si ses auditeurs se souviennent plus tard de cette belle con- férence ! J. BOYER. VA1UA. Ecole DE psychol
on les cas. L'importance de la donnée étiologique d'une part, les con- séquences prophylactiques qui en découlent d'au
fournir une indication utile. La confusion mentale que l'on tend à con- sidérer aujourd'hui comme caractéristique d'un
uatre mois et ils ne pouvaient rien me faire. C'est là qu'ils m'ont con- duit jusqu'ici parce que j'étais inguérissable.
résultats, mais peut-être faut-il être assez circonspect en ce qui con- cerne le type de la névralgie qu'on a soumis à
ent avoir obtenu des résultats tout à fait équivalents, ce qui, par con- séquent tendrait à faire supposer que l'action
ante des électrodes. E. Le Traitement dans son ensemble. Une séance con- siste donc dans l'application du courant contin
y a lieu d'appeler l'attention du malade, afin de ne pas le laisser con- clure à l'inefficacité de l'électricité, ou mêm
ble d'élaborer une classification naturelle des types, de fixer les con- nexités et les liens qui peuvent existe rentre
dduc- teurs de la cuisse subissent une extension qui détermine leur con- traction : les membres inférieurs se rapprochen
tactile et les fonctions de l'écorce des parties voisines intactes con- courent à cette amélioration. 7. La destruction
saveur, celle-ci demeurant indemne quand l'endroit en question est con- servé : Hermann a, d'ailleurs, publié des obser
NNOUCHgINE. Dans les trois quarts des cas de malades psychiques, la con- traction idio-musculaire est exprimée d'une -ma
au niveau de l'orifice crânien, funilatéralité des lésions ont été con- sidérés par certains auteurs comme des signes d
à noter que la variabilité du siège de la porencéphalie traumatique con- traste avec la fixité de la localisation de la
prochain. M. Ballet. 11 est certain que plusieurs chirurgiens sont con- vaincus de l'innocuité de cette méthode qui ne
'une paralysie infantile. Ne serait-ce pas un de ces cas d'atrophie con- consécutive à une méningite cérébrospinale comm
moyen facile et commode de se rapprocher, autant que possible, des con- ditions de la suggestion hypnotique. M. de Bo
reçues dès maintenant chez M. le Dr E. Régis, secrétaire général du con- grès, 164, rueSaint-Sernin, à Bordeaux. Asile
édecine ayant moins de trente'ans révolus le jour de l'ouverture du con- cours. Ils devront remplir les conditions suiva
éjà de plus de trente ans. L'intérêt de l'enseignement se trouve là con- cilié avec celui dès malades. Cette communicati
le médecin « devra céder la place au chirurgien », et cet auteur ne con- seille-t-il pas d'opérer même de suite et sans
squ'à une heure avancée de la nuit, mais'n'existant pas d'une façon con- tinue, et survenant seulement par crises de qui
ause long- temps, sans ancune douleur. Malheureusement, la malade a con- tracté une bronchite qui l'a forcée à interromp
nt par la quinine, traitement qui ne donna aucun résultat en ce qui con- cerne les grandes douleurs. Il faut ajouter qu'
géné- ralement avec la fin des règles. Ces douleurs étaient d'abord con- tinues et extrêmement violentes, puis au bout d
binée de la cuisse et du tronc et peut-être du signe de Babinski de con- clure à une affection organique, probablement p
ante. » 3° La sensibilité musculaire profonde, dynamique, est seule con- servée, et pour les membres supérieurs uniqueme
ueil pré- cieux, un amas considérable de matériaux pour tout ce qui con- concerne la neuropathologie infantile. La pre
de manie, où l'existence de la prédisposition héréditaire est niée, con- cernent des femmes. En examinant les malades,
s répré- hensions de ceux à qui elle avoit confié la conduite de sa con- science ? » Elle fut « toute sa vie très exacte
un enfant vigoureux écrira plus tard : « Le travail corporel ne me con- venoit en aucune sorte, selon que je l'ai souve
e trouva personne. Comme d se fut remis à sa place pour continer sa con- fession, il entendit tout de nouveau frapper pl
où il entendit frapper les trois coups. Pour toutes ces raisons, je con- clus à une hallucination auditive. Ce signe de
t- il, « le goût quej'avois pris à la vie de Port-Royal, joint à la con- noissance que j'avois de mille embarras où l'on
nt visite aux religieuses de la Félicité, par Angers, où ils firent con- iirmer l'enfant d'Augustin Thomas par l'évoque
voit de l'argent ou si elle n'en avoit point 7 ». Ce témoignage est con- firme par tous ceux de l'époque, et c'est ce qu
dans une abbaïe de filles, d'où toutes les religieuses avoient été con- traintes de sortir, il en restoit une jeune bie
Dieu, qu'il résolut de descendre du lieu où sa présomption l'avoit con- duit3 ». 11 prit Antoine Singlin comme directeu
es, basées sur un très grand nombre de faits. La thèse de IL Larger con- tient plus de 600 observations de femmes, corre
Les deux cas rapportés par MM. Parhon et Goldstein viennent encore con- firmer cette notion, si bien qu'une conclusion
il. L'expérience acquise à cet égard parle Dr Elkins est d'ailleurs con- firmée par les constatations du Dr Middiemass,
'asile comprend quatre dortoirs doubles, avec des portes battantes, con- tenant chacun 80 lits, qui sont occupés par des
poids des objets était extrêmement léger. A cet effet, on lui avait con- fectionné toute une collection d'objets en alum
entement et avec gaucherie. En parlant, sa langue s'embrouille, les con- sonnes sont prononcées indistinctement, sa, par
e dévelop- pèrent d'une manière aiguë après un changement de bonnes con- ditions de la vie pour de plus mauvaises; dans
elle. Elle avait environ trois ans et demi, lorsqu'à la suite d'une con- trariété dont la cause est oubliée, elle eût un
lité d'obtenir des caresses capables de la satisfaire; les quelques con- tacts qu'elle pouvait avoir en passant avec des
à tous les points de vue, et qu'elle eut toujours vécu avec lui en con- formité de goûts et d'idées, bien que sa mort l
a émis récem- ment, dans l'article auquel nous faisons allusion une con- ception de l'hystérie qu'il qualifie de nouvell
tré les relations de nature qui unissent l'hypnotisme et l'hystérie con- trairement à l'opinion soutenue par l'école de
ganique sous la dépendance d'une lésion du faisceau pyramidal et la con- tracture hystérique sous la dépendance d'un tro
u médullaires. Jamais l'hystérie ne fera une paralysie radiale avec con- ' servation de la contraction du long supinateu
me en effet sept quartiers, mais il en réserve un pour les maladies con- tagieuses. A Giessen la proximité du pavillon d
le voit manifester une gêne et une souffrance extraordinaires. Use con- torsionne, il se raidit surtout du côté gauche,
maximum d'intensité sur les muscles de la face qui ont présenté, au con- traire, une D R très accentuée et sont très par
nse que si il est vrai que les voies courtes cessent d'être la voie con- ductrice des incitations au profit des voies lo
mmobiles à la lumière, pendant la réaction à l'accomodation et à la con- vergence ; par M. Rotumann. De la réaction neur
n pen- dant plusieurs minutes de la pupille à son plus fort état de con- traction, c'est-à-dire la contracture, Nonne ég
septembre 1902). L'éducation du public est à faire pour tout ce qui con- cerne la préhension, l'hospitalisation, la conv
des-, par ltemond et Lagrill'e, 309. Dégénérescences descendantes con- sécutives au ramollissement du pédoncule céré
5. MALADIES mentales. Sur la question de la valeur clinique de la con- traction idio-miiseulaire dans les . par Suul
par Pllilippe et de Guthard, '201. Altérations des os de la lace con- sécutives à la faciale, par \Ver- lllenn-Salu
4 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ïde du côté paralysé. A l'examen électrique aucune altération de la con- tractilité. Les réactions électriques restèrent
a toujours été très nerveux; comme maladies d'enfance, il a eu des con- vulsions et la coqueluche. Migraines périodique
ut d'un mois. Observation III. Mlle H'..., dix-huit ans, vient nous con- sulter le 10 août 1882. - Antécédents héréditai
IE NERVEUSE. La paralysie faciale pour laquelle Mme F... vient nous con- sulter date de six jours, elle est survenue san
nous avons eu la bonne fortune de recueillir à la Salpêtrière à la con- DE LA PARALYSIE FACIALE. 9 sultation de M. le
ui, d'après lui, ont encore augmenté son nervosisme. C'est dans ces con- ditions, et sans s'être exposé au froid, qu'il
E NERVEUSE. complète. Cependant il conservait seulement un souvenir con- fus des- circonstances de l'attaque. Après quel
pointes de la masse. On serait également éloigné de la vérité en se con- tentant de considérer des Aissaouas comme de vu
dulte, et chez un jeune garçon de quinze ou seize ans. Ces attaques con- vulsives furent de courte durée. Chose très int
énergie suffisante vient à rencontrer l'appareil terminal d'un nerf con- ducteur centripète, une sensation nait par là m
à notre illustre maître, M. le professeur Charcot, pour le précieux con- cours qu'il a prête'; à noire travail, pendant
l'ancienne épi- .- lepsie procursive. C'est à Thomas Eraste \ notre con- naissance, qu'est due la première observation s
Lyon, 1691, thèse XXIII, de l'épilepsie, p. 531. - Nous n'avons pu con- sulter quelques-uns des auteurs cités par Etmul
pos ; il ne cessait de l'agiter. Au dire de la mère, ces mouvements con- vulsifs étaient par moments si violents, que le
ie procursive. Observation X. A cinquante ans, course sans perte de con- naissance; abattement, sueur et sécrétion abond
rfaite- ment guérie. Les phénomènes observés ne permettent pas de con- clure avec l'auteur que sa malade était atteint
e plus en plus; l'organisme devient impuissant à faire de nouvelles con- gestions ; le marasme de tous les systèmes se p
restant in- tactes. D'après Leroy d'Etiolles et Becquerel, Sandras con- naissait la paralysie du sentiment musculaire e
membres en mou- vement, ou des mouvements en général, les autres au con- traire, ne désignant~par sens musculaire que ce
ir; et il perçoit, en même temps, à la fois le siège et le degré de con- traction. Le mouvement lui-même est donc la sou
te de l'acte volitionnel, puisqu'elle peut s'exercer lorsqu'on fait con- tracter artificiellement les muscles en les exc
s). « Ce qui prouve, dit-il, que la connaissance de l'état et de la con- traction des muscles ne vient pas des impressio
ent im- périal. C'est dans l'élaboration de ce type normal que doit con- sister une des tâches les plus importantes du p
Ils ont ainsi montré d'une façon ir- réfutable que les prétendues con- vulsions des démoniaques n'é- taient que des
ceux que présentaient les anciens possédés. Ici, en pleine période con- temporaine, ce ne sont plus d'anciennes gravure
famille par son père ou l'un de ses ascendants ou descendants, son con- joint ou son tuteur, son frère ou sa soeur ; si
le, celui qui ne peut pas se défendre. De l'autre, un intérêt aussi con- sidérable, l'intérêt de la famille, un devoir a
cles 7 et 8. Je vous demande maintenant la permission de vous faire con- naître dansquelle mesure j'ai cru devoir propos
soins ! Je disais donc que, lorsqu'un aliéné est ainsi traité, les con- sidérations d'ordre social invoquées part. le r
venus combattre la disposition proposée. Mais il y a une différence con- rV 4T. 147 sidérable entre la doctrine qui a
nel, où le public peut pénétrer dans une certaine mesure et où, par con- séquent, les mauvais traitements et les abus so
osée dans son premier projet; nous nous y sommes ralliés et nous la con- sidérons comme parfaitement claire. La disjonct
article tout entier. Je mets aux voix cette proposition. (Le Sénat, con- sulté, n'adopte pas la proposition de M. de Gav
t par le procureur de la République, soit par un délégué spécial du con- seil de famille. La décision sera prise en prés
nsultations des médecins. Une vieille femme que les paysans du pays con- sultent pour tous les maux, bien plus que les m
lle per- siste chez cette jeune fille, puisque son coeur réclame un con- tinuel rafraîchissement ? Sur ce point (on y es
choc, à peine dou- loureux par lui-même, est susceptible, dans des con- ditions déterminées, d'éveiller la prédispositi
s autres exemples. Avant d'exposer l'histoire de notre malade, il con- vient de revenir en quelques lignes sur la desc
t en pareil cas intéressés, y compris ceux de l'épaule. Il n'y a ni con- tracture, ni roideur musculaire, ni crampes, ni
n presque absolue la nature psychique de ces paralysies. Le premier con- siste dans la circonscription très particulière
s brusquement, à la suite d'application de courants continus, cette con- tracture disparaît et fait place à une paralysi
le; tout d'abord . le malade est endolori, comme après une simple con- tusion ; la gêne dans les mouvements, la lourde
re qu'à un violent traumatisme. Le relevé des observations les plus con- nues de paralysie du membre supérieur est, à ce
tissage. Elle ne souffrait plus du poignet ; les mouvements étaient con- servés, mais la main était devenue extrêmement
eur musculaire. Il en est de même des mouvements des doigts qui ont con- servé leur agilité et courent sur les touches d
beaucoup moins prononcée que l'anesthésie sensitive, ce qui est le con- traire de ce qui a lieu pour les névrites : d'a
n quelques jours il avait disparu. La paralysie générale ne pouvait con- quérir sa place légitime 'que du jour où les al
pagne, Turquie), et qu'elle ne soit pas plus répandue dans d'autres con- trées où la consommation du tabac atteint ses d
du tibia, fracture de la rotule, arthrite traumatique du coude). Je con- nais des faits similaires pour la paralysie gén
lataient aussi bien de jour que de nuit, mais surtout à la suite de con- trariétés ou d'émotion. On n'aurait noté de ver
peu augmentée en arrière. Encéphale (1,600 gr.). - Pie-nère, un peu con- gestionnée à la base surtout, un peu adhérente
e trouve une scissure parallèle au corps calleux qui semble être la con- tinuation normale isolée de la scissure calloso
Quatre freines, l'un est mort en huit jours, d'accidents cérébraux con- sécutifs, à la peur des Prussiens qui avaient d
MENTALE. M. Charcot; Un bon nombre de soldats qui étaient autrefois con- sidérés comme des simulateurs ont été reconnus
ofession. Nous n'avons qu'une chose à faire, nous conduire comme le con- seillait un des vétérans de la presse, M. Ranc,
ire à ses visites... mais la maison ne serait pas assez grande pour con- tenir la foule d'amis inconnus qui se présenten
ue à parler o à à manger, croyant avoir dormi ; légers tremblements con- vulsifs dans les deux épaules et ralentissement
suite il exige que le placement des aliénés se fasse sous un double con- trôle actif : celui du parquet et celui de méde
,1 p. 100. XXVIII. M. Soukatscheff rapporte ses recherches « sur la con- nervation des forces appliquées à l'interprétat
is, 1887.) De sept observations, la plupart incomplètes, M. Couderc con- clut que chez certains aliénés chroniques, il s
uivre fruc- tueusement la description de ces lésions. Ces dernières con- sistent dans une sclérose du faisceau pyramidal
ns la cour d'entrée de la cinquième division de l'hospice, division con- sacrée aux aliénés, pour l'inauguration de la p
admi- nistrés, depuis le nouveau système de traitement en usage, a con- sidérablement diminué. C'est ainsi que dans tou
fixes de ce que l'on a appelé le grand hypnotisme et tout le monde con- naît aujourd'hui la description classique des s
es que ceux précédemment observés, qu'elle s'accompagne toujours de con- tractures généralisées, que l'ouïe est conservé
ucation. On remar- quera que nous réalisons cependant très bien les con- ditions requises pour obtenir les mêmes résulta
facial à sa sor- tie du crâne derrière l'oreille ne produit pas de con- tracture ni de contraction, même passagère des
n'existent dans aucun des états décrits à la Salpêtrière et qui par con- séquent la différencient complètement : c'est l
our la série du noir, du gris et du blanc, c'est-à-dire pour ce qui con- cerne de simples différences d'intensité (diffé
té (différences quantitatives), il reste à les résoudre pour ce qui con- cerne les différences qualitatives, c'est-à-dir
composait de trois caractères, et le ton de ce numéro (son degré de con- centration) était réglé de telle sorte, qu'il o
périeurs; 2°anesthé- sie partielle sans symptômes d'interruption de con- ductibilité (pour les voies sensitives) dans la
ons appeler l'attention ont trait à une maladie nerveuse encore peu con- nue et dont le diagnostic précis nous parait of
aucoup de convulsions étant jeune; il a deux enfants qui ont eu des con- valsions répétées. - Une soeur, morte à son ret
disci- plinés ont peine à obéir à une énergique injonction et toute con- traction énergique est impossible à obtenir d'u
erches auxquelles il s'est livré à ce propos se trouve en mesure de con- firmer les conclusions qu'il avait formulées en
asiles. Cette disposition était complétée par une disposition ainsi con- çue : «L'autorisation ou l'ordre seront donnés
la forme même d'une commission permanente départementale; mais elle con- serve les deux agents qui, comme je l'ai répété
ux der- nières phrases du premier alinéa la solution de la question con- tenue dans notre amendement, il était nécessair
de la loi de 1838 étaient là. Lorsqu'on parlera de la question des con- cours publics, si d'autres ne le font pas, je v
omment il faut nommer les directeurs, et je vous démontrerai que le con- cours ne présente que des inconvénients. Mais t
5 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es fibres vaso-constrictives. Les expériences sont cependant un peu con- tradictoires sur ce point. Nous rappellerons qu
vis du délire qu'un rôle effacé et n'en avoir été ni la cause ni la con- séquence. A quoi faut-il rattacher les troubl
ette in- fluence ne cesse que lorsqu'il s'opère une interruption du con- tact, ce qui n'a lieu que dans les états morbid
es diverses facultés des neurones cérébraux de produire de nouveaux con- tacts, se trouve le mode dont ils réagissent au
de M. Renaut. Les liens de cette espèce entre les éléments nerveux con- duisent M. Renaut à modifier la doctrine des un
oduction. 2° Au cours de l'enseignement de ces substantifs, on fait con- naître à l'élève les formules les plus usitées
la nais- sance avant terme, l'état d'asphyxie ap- parente comme con- tre-coup d'un accou- chement laborieux, c'e
ordres. La caractéristique des nouvelles lois relatives aux aliénés con- siste dans le mode de placement des malades. Pe
ents muscles et même dans ceux qui ordinairement ne se laissent pas con- tracter isolément peut faire apparaitre les phé
nférieure du corps ; pendant cette manipulation on remarque, que la con- traction volontaire des muscles passe bientôt e
ni- cisme chez l'homme, soit : les troubles de l'appareil digestif ( con- sécutifs à l'absorption d'une seule dose par la
na der tabischen Ataxic. » D1' A. Raichline de (Paris) : a Quelques con- sidérations sur le traitement du tabes dorsalis
resté le plus obscur et le moins en progrès dans la neuropathologie con- temporaine, le chapitre de l'étiologie et de la
97. 3 On trouvera un bel exposé de l'histoire de la neuropathologie con- temporaine dans les leçons que Raymond a consac
usculaires avec multiplication des noyaux et prolifération du tissu con- jonclif intcrîihrillaire. Ce cas fort intéres
role ? Les idées de Fournier, développées par Erb, sont tout à fait con- firmées. Mais faut-il dire avec Marie que le ta
ult1. Brault refuse le nom de sclérose aux épanouissements de tissu con- jonctif ne correspondant pas à un processus inf
tisées ; ce n'est qu'une simple hyperproduction vicariante de tissu con- jonctif. Il trouve doublement inexact le mot de
des- élé- ments constitutifs peut être primitif. Si l'hypertrophie con- jonctive est primitive et étouffe le tissu pare
nt de vue ana- tomopathologique celles (que nous croyions nettement con- tradictoires à certains points de vue) de Letul
chait en fauchant. Les membres paralysés étaient raides, légèrement con- tracturés, leurs réflexes étaient exagérés. On
ements nutritifs que l'on donne et qui semblent pourtant assez bien con- servés, la faiblesse augmente et la malade arri
heure après nous retrouvons 11111° X... qui était heureuse d'avoir con- servé son potage et qui nous exprimait sa satis
1896. - Dans la première partie de ce travail, M. Wilson expose des con- sidérations de physiologie générale sur la doct
ndam- ment qu'un centre puisse être être baigné par un sang pur, la con- dition premitère de son métabolisme, soit anabo
s tissus, par prolifération cellulaire, mais par l'établissement de con- nexions corticales nouvelles. Pour atteindre ce
I, 1896.) Conclusions : c'est à tort qu'on reproche aux médecins de con- sidérer les processifs comme des aliénés, uniqu
tou- jours basé leurs conclusions sur une série d'autres symptômes con- comitants. Il faut éviter de se servir dans les
et le pouce droit, puis contractions de la main suivies de perte de con- naissance et morsure de la langue. Répétition f
S. 151 voisines du foyer a été prescrit à doses moyennes pendant la con- valescence. Examen de la pièce : foyer de ménin
rfs eux- mêmes, il donne d'abord un historique détaillé des travaux con- sacrés à l'étude de la dégénérescence ascendant
dans leurs recherches sur le cerveau de singes, sont arrivés à des con- clusions identiques à celles de Ferrier. Il fau
ulgurantes. La brosse galvauique a été recommandée par M. Witrowski con- tre les troubles génilo-urimtires ; en effet, d
culier. Pour ramener l'excitation sexuelle dans sa voie normale, le con- cours d'une femme honnête sera de beaucoup préf
. 11 a été arrêté et emmené à la prison de Châtillon. L'enquête est con- tinuée sur place par le procureur de la Républi
mps radicu- laires du cordon postérieur par l'exposé de la nouvelle con- ception du cordon de Goll de la moelle cervical
ivo-vascu- laires ; dès lors, il est impossible de tirer la moindre con- clusion de l'étude de cette cicatrice tabétique
'un si vif éclat s'éteindra. En effet, ici encore, l'expérience est con- cluante : ,sans conteste le directeur tue le mé
i croit nécessaire telle réforme~ou telle acquisition dont celui-là con- teste l'utilité et ainsi de suite. Par contre d
sacrer son temps à ses clients de la ville il n'aurait pas celui de con- naitre ni d'étudier à fond ses aliénés. C'est q
de faire une place à part pour l'automatisme alcoolique. Comme ses con- génères, cet automatisme débute brusquement et
on n'en est pas toujours possible par l'examen direct du malade, la con- naissance des antécédents, toujours très utile,
ré là nature syphilitique des lésions de la paralysie générale ; je con- nais cependant un certain nombre de faits dans
ériodes. Dans la première, les anciens reconnaissent que l'hystérie con- vulsive existe, non pas seulement chez la femme
aux veillées devant les enfants'. - Le surmenage scolaire est très con- testé par Guinon. On connaît assez l'influenc
ce : 1° avant trois ans; 2° de sept à treize ans. L'incontinence se con- forme strictement à celte règle : sur les trent
du malade. Lorsque l'on envisage la suggestion hypnotique comme la con- çoit l'École de Nancy, l'indication de ce trait
t les malades étaient les premiers à souffrir. Voici d'ailleurs ses con- clusions : Les asiles publics d'aliénés sont
liberté pour les malades. Dans la Seine il en est autrement, il en con- vient ; et cela tient à ce que la population de
chose chez nous, les choses avaient bien changé. Je sais combien il con- vient d'être modeste, combien il faut se garder
Bail- larger, pour ne parler que des morts et a pu constater qu'ils con- 1 M. Toulouse est un peu dur pour un homme dont
lin - semble croire que tous les aliénés sont curables. Je crois au con- traire que la grande majorité est incurable dès
ndu traiter nos asiles de bastilles modernes ; du moins ont-ils élé con- sidérés comme des fabriques de chroniques. On s
je me trouvais en face d'une contracture survenue subitement, sans con- vulsions, chez un enfant qui jouissait d'une ex
ÉE. 303 A des accidents tétaniques ? Mais il n'y pas de trismus, la con- tracture chez notre enfant ne survient pas par
ccentuée de toute la jambe, le simple frôlement de la main, même le con- tact des draps détermine une violente douleur.
arce que sa tête ne peut pas se mouvoir. Je constate, en effet, une con- tracture très prononcée des muscles du cou ; l'
s cesse. La nuit on me rappelle en toute hâte, la malade étant sans con- naissance, les yeux hagards, la face d'une pâle
c'est le pouls qui est lent et la température élevée, ici c'est le con- traire. Enfin la terminaison heureuse et rapide
apable de rendre compte des cas de mort consécutifs à un seul accès con- vulsif, soit dans une syncope par arrêt du coeu
es individus à coeur sain et, jusqu'à preuve du contraire, il reste con- vaincu qu'un cardiaque a plus à redouter d'une
a substance chromatophyle devenue homogène et fortement colorée. 11 con- viendrait de rechercher chez les aliénés les tr
x excès, au surmenage, à {'infection, etc., qui usent la cellule et con- gestionnent le système nerveux. Seulement ces d
ulaire. L'intérêt contemporain de l'étude de la sclérose disséminée con- cerne deux points : l°la signification des vais
n n'y voit que la contraction du faisceau médian. Le changement des con- tractions électriques correspond à la distribut
: « dans les boissons alcooliques fortes le taux de l'alcool est si con- sidérable par rapport au taux minime des impure
secours inutile de son médecin. J'avais constaté un retrécissement con- centrique très marqué du champ visuel, lors du
rofond sceptique que j'étais, je vais être obligé aujourd'hui de me con- * Cette incontinence nocturne d'urine est un ac
disparaître. A mon sens, cette bénignité dans le pronostic est fort con- testable. Peut-être celle appréciation résulter
des résultats acquis, je serai beaucoup moins affirmatif en ce qui con- cerne l'hystérie infantile. Doit-on l'utiliser
lle est suspecte. D'un autre côté, considérant que le malade est de con- fession judaïque et comme nous connaissons aujo
les. Les cylin- draxes des grains ou fibriles parallèles entrent en con- tact avec les ramuscules protoplasmiques des de
matière grise de l'écorce. A égalité d'intelligence, la masse plus con- sidérable du corps dans une espèce que dans l'a
e l'homme. Or, Ramon y Cajal l'enseigne, c'est à la richesse de ces con- nexions qu'on mesure le degré de puissance et d
AU, ETC. 403 mentales. L'abondance et les dimensions des organes de con- nexion dans l'écorce des mammifères les plus él
nous contenter de reproduire ici, en les abrégeant quelquefois, ses con- clusions qui, naturellement visent surtout les
ey : 1° Il a limité la discussion aux points sur lesquels il est en con- tradiction avec le Dr Peterson; 2° il pense avo
; 5° il a rapporté des témoignages écrits, émanant soit de médecins con- nus, soit des malades eux-mêmes, prouvant qu'il
vité morbide. IL La forme psychique de l'obsession est un concept con- nexe à l'état psycho-moral de la personnalité
s une lésion purement périphérique. Mais ces lésions centrales sont con- sécutives à la dégénérescence des nerfs. Les
réso- lution de ce problème ainsi que l'étude histologique spéciale con- cernant les bulbes dans les cas d'hyperthyroïda
SAVANTES. muscle deltoïde présentent les altérations connues. Pour con- trôler ces observations et y établir un parallè
géné- ral qui, héréditairement prédisposé aux maladies cérébrales, con- tracte la syphilis et, de plus, se livre à des
(Paris). Nouvelle observation d'altération des cordons postérieurs con- sécutive à une altération en foyer de l'écorce
ondantes. Les 21, 22, injections de 30 cent. cubes. Mêmes symptômes con- sécutifs. Appétit et sommeil réguliers. Le 27
eil DE FAITS. . Hypertrophie des mains. Leur développement excessif con- traste avec l'aspect et le volume normal des au
imordiaux, nous avons encore à citer quelques symptômes secondaires con- tingents. Ainsi le corps thyroïde est hypertrop
ue, et que les autres psychoses, qui peuvent la compliquer, sont la con- séquence de l'hystérie, de la neurasthénie ou d
'alcoolisme qui compliquent le goitre exophtalmique. Cette opinion, con- firmative de celle formulée par M. Ballet à la
et leur ori- gine à la maladie première. D'autres auteurs nient au con- . traire tout rapport entre les deux affections
où se trouvent les centres. La volonté n'agit donc plus, n'est plus con- sultée ; ainsi s'est établi un automatisme indé
ort peu ces centres moteurs. Parmi les cas qui peuvent entraîner la con- viction, je puis citer trois observations de tu
de détails qui justifiraient nos opinions ; mais si, d'une part, on con- sulte les statistiques des grands praticiens qu
s'agis- sait d'un kyste hémorragique consécutif au traumatisme. Il con- vient de signaler cette circonstance par la bén
curables, et une fois par mois les incurables. Indépendamment de ce con- trôle et de l'action médicale, il ex;ste une su
n- taires,12 rendus à leur famille, 10 acquittés par le tribunal, 7 con- damnés avec application de la loi Bérenger et 7
6 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
artiel, les malades, dominés par des impulsions automatiques et des con- ceptions imaginaires, peuvent, en dehors de la
qui le distinguent de la monomanie sont nombreux, et présentent un con- traste si frappant que, tout d'abord, la pensée
s et les compli- cations. Dans son vrai type, assimilable aux accès con- vulsifs, elle surgit spontanément, ou eu vertu
rent sous vos pas. L'enfer, la prison vous réclament ; on est jugé, con- damné ; la police, la gendarmerie sontàvos trou
rt des symptômes psychiques, une signification double, relative par con- séquent aux conditions dans lesquelles on les o
OLOGIE MENTALE. folles les personnes qui, par leur dérogation à ses con- seils, ne justifient pas un tel bienfait. La vu
tence empoisonnée. Les accidents débutèrent ainsi : elle avait pour con- fesseur un ecclésiastique, âgé d'environ quaran
ors s'ourdit, contre son repos, une trame abominable. Les soeurs se con- certent avec le curé pour la faire tomber dans
le : Femme S..., trente-huit ans, frappée d'apoplexie avec perte de con- .naissance le 6 février 1882. Hémiplégie droite
cela se produit également chez des sujets qui ne présentent pas de con- tracture appréciable. La femme Mar... (n° 16) e
peuvent marcher et chezceux qui en sont incapables, confirme cette con- clusion. La conservation ou la perte de la facu
briques du corridor. D'après le rapport de M. le docteur Bernard, con- cordant du reste avec la déposition de M. l'abb
n'a subi aucune atteinte. De ce qui précède, nous pensons devoir con- clure : 1° Que G... a été atteint en janvier
t fut suivi d'un 4c quelques heures après. Celle fois pas de délire con- sécutif. Il tut obligé de quittera place et ent
tain nombre de sujets du moins, chaque moitié du corps se trouve en con- nexion avec les deux hémisphères cérébraux, et
e du cer- veau. A ce sujet il ne s'élève, que nous sachions, aucune con- testation sérieuse. Si la protubérance est àbon
e anormale avec des lésions de siège constant, en supposant que les con- ducteurs des impressions de sensibilité commune
e des faits anatomo-cliniqucs signalés plus haut, on arrive à cette con- clusion que toutes les fibres préposées à la se
rale se rétrécit, la sclérotique disparaît sous la congestion de la con- jonctive. Dans le goitre exophthalmique, seules
e membre supérieur du côté répondant à la lésion ; hyperesthésie et con- tracture du membre supérieur et du cou, contrac
éables ou fantastiques ; 2° l'accès maniaque précurseur d'une crise con- vulsive ou d'un long sommeil; 3° des auras pass
pathiques n'ajouterait rien aux descriptions répandues partout ; on con- sultera cependant avec fruit les cinq observati
ne pas les admettre. Seulement il ne faut pas se croire autorisé à con- clure toujours de l'intégrité de l'intelligence
hthalmoscope lui-même étant impuissant à déceler autre chose qu'une con- gestion papillaire variable (Schreiber), même e
qu'une con- gestion papillaire variable (Schreiber), même en ce qui con- cerne la méningite rhumatismale proprement dite
tion. Son premier soin est de consacrer à la mémoire du Dr Fischer, con- seiller intime aulique, décédé depuis la derniè
e l'al- buminurie (3 semaines) ; elle peut donc tout au moins avoir con- tribué à la production des phénomènes cérébraux
e, quelle que soit la durée de l'application du courant. Tantôt, au con- traire, le cas est moins fréquent, l'aiguille a
ande, devenir ensuite plus faible que du côté opposé. Enfin la même con- ductibilité a été partout constatée chez la der
ormes sont souvent intermittentes, que quelquefois elles deviennent con- tinues et passent à la chronicité, mais les car
c., les malades tom- bent dans une espèce de stupidité trop souvent con- fondue avec la démence et qui se prolonge indéf
les plus distin- gués. Leur état maladif, leur délire d'humilité ne con- trastent pas d'une manière absolue avec leur ma
ervation les autres éléments nécessaires pour pouvoir arriver à une con- clusion, qui doit être fondée non pas seulement
us, ignorants ou savants, petits ou grands, riches ou pauvres, pour con- damner ou absoudre. La seconde a d'intimes et p
ntré comme pensionnaire à l'asile de Toulouse en mai 1879. Hérédité con- gestive, excès de travail, telles sont les caus
onscience liée à l'irrésistibilité des actes, des sentiments ou des con- ceptions délirantes, car nous aurons tout à l'h
nseur, de ceux habitués à scruter le pourquoi des choses et pour se con- server au milieu des plus graves perturbations
spérités rugueuses. Dans toute sa demi-circonférence postérieure au con- traire il est complètement usé et remplacé par
trémité inférieure du fémur on trouve sur la partie inférieure du con- dyle externe une évasion antéro-postérieure d
ces articulaires du genou. VI. La nommée B..., ancienne atavique, con- finée au lit depuis long- temps, s'est fractu
'intermé- diaire des parois du crâne et non par le cerveau, qui, au con- traire, amortit plutôt les sons; si la voix s'e
e. 231 conception irrésistible (persistance de la conscience) et la con- ception délirante (aberration totale), est trop
ment plus grave et plus accentué, parce que l'excitation précède la con- ception, le malade obéissant au sujet de ses co
venl ? lII, 1, 2.) Schwaab apporte une observation. L'homme qu'elle con- cerne, absolument bien portant jusqu'en 1870, i
soldats et des populations avec lesquels le malade venait d'être en con- tact, l'incubation lui semble bien longue (rent
i- nuer à discuter les mesures administratives et judiciaires qu'il con- viendrait d'adopter dans le cas où l'on créerai
avantes. ' M. BILLOD passe ensuite en revue les modifications qu'il con- viendrait d'apporter à la loi ; on peut les rés
avec ses règlements d'administration et de claustration, oilur des con- ditions favorables au traitement de l'aliénatio
dis qu'à Sydney où les fils du Céleste-Empire sont soumis aux mêmes con- ditions qu'en leur pays (même genre d'existence
a puissance génitale sont, chez l'homme, rapidement et profondément con- promis. Chez la femme, l'absinthisme paraît ren
al et le siège de la lésion qui le produit. L'observateur appuie sa con- clusion sur les données de la physiologie expér
e à une profonde tristesse, vient, au mois d'octobre 1881, demander con- seil à l'un de nous pour les phénomènes étrange
ulation, sans qu'il portât la main à la verge pour y aider, car, au con- traire, il aurait voulu que l'éjaculation n'eût
de la capsule, au tissu de la moelle; son bord postérieur était, au con- capslle, tissu Jii'Hi s'o-n bord h était, au co
,1e reste à là, moelle' et séparée 'd'elle par'là capsule de tissu con- e reste.Ë.mp'ejlë et séparée'd'eHo par'Ia capsu
ssu con- e reste.Ë.mp'ejlë et séparée'd'eHo par'Ia capsule de tissu con- `1T1 I `J , -oll n I n n néoplasie avait la for
ne, nerveuse, mais bien, comme la tumeur elle-même, procéderdutissu con- joiçtif. Etnêmedans lec,asoù.onne trouverait pa
bleu.t" , , résulte donc que la névroglie a les propriétés du tissu con- jonctif., , . , , 1 Ce fait nous conduit à un
ES. : ;37 se demander si, au contraire, elles ne pouvaient pas être con- sécutives et produites par la maladie sucrée '.
ogie nerveuse. muqueuse pharyngienne à la muqueuse de l'oreille. On con- naît aussi la fréquence des otites dans le cour
après l'opération, on assistait à des manifestations permettant de con- clure à une lésion centrale. Telles des douleur
quent sou- vent moins l'approche que le début de l'accès. Citons la con- gestion, l'hyperémie céphalique, les battements
es,, dans la mélancolie sans hallucinations, où les malades ont une con- naissance très correcte des divers événements d
arche de la maladie. Nous ne pouvons faire mieux que de résumer les con- clusions de cet intéressant travail. ' I. En
idats triple de celui des vacances à remplir. L'ouverture de chaque con- cours, autant que le permettront les nécessites
- tobre dernier, d'un accident qui aurait pu avoir les plus tristes con- séquences. Un malade, B..., atteint du délire d
istes, sont nommés directement par le ministre de l'intérieur, sans con- cours. L'asile va prochainement être agrandi, e
7 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
c un état patholo- gique d'ordre général, héréditaire ou acquis. La con- clusion de cette manière d'envisager les manife
ar la crainte d'avoir contracté à son tour un cancer, par ce simple con- tact. Depuis, elle passait une partie de ses jo
me voir, je m'ef- forçais de la persuader qu'elle ne pouvait avoir con- tracté un cancer, qu'elle u'avait aucune manife
, ce qu'un examen des plus minutieux et répété ne m'a pas permis de con- firmer. De plus, cette jeune femme éprouve ou c
a malade qu'elle dormait mieux, mais au bout de ce temps, elle alla con- sulter un autre dentiste qui, prétendant avoir
courir. A quelque temps de là, j'appris que cette malade avait été con- sulter un dentiste très en renom qui, pour ne p
tte catégorie 'de malades qu'il faut faire rentrer ces cas de manie con- sécutive à des inhalations d'éther, publiés par
pagateur au labo. ratoire de physiologie de Florence, est parti des con- clusions auxquelles était arrivé son maître sur
égrité des cen- tres nerveux, toutes les impressions sensibles sont con- duites jusqu'aux hémisphères cérébraux et y pro
spontanéité que de libre arbitre '. Poussant jusqu'à ses dernières con- séquences logiques la conception purement mécan
décapitation est la destruction simultanée «le tous ces centres.» Les con- disions physiques de la conscience, p. 19. LE
ent des représenta- tions mentales correspondantes. Aussi le malade con- valescent se rappelle-t-il, jusque dans ses moi
lsion des mouvements. La volonté ne saurait réfréner le tumulte des con- tractions musculaires : elle ne réussit pas mie
des gestes et des mouvements, le pouvoir de les maîtriser et de les con- tenir, bref, le pouvoir d'inhibition motrice, e
on pas seulement les centres dits moteurs, sont mixtes. et sont par con- séquent, à la fois, des centres de perception d
rébrale ? Les variations de la circulation cérébrale sont-elles une con- dition déterminante de ces perceptions ou ne fo
ment nerveux et sa fonction. En ce domaine, si obscur encore, de la con- naissance, tout est possible. Je n'ai pas non p
égère, des membres, détermine le spasme sautillant. Il n'était, par con- séquent, abasique et astasique, que parce que l
er- nier point, une flexion distincte des doigts et dit poignet. En con- tinuant et en forçant l'excitation à ce dernier
us qui n'ait été controversé ; mais je pense que chaque point a été con- firmé jusqu'à l'évidence par des lésions de cet
pinceau de lumière jeté sur le coté aveugle de la retine produit la con- traction de la pupille ou non. Comme le tractus
. Michel, dans sa monographie assez récente * maintient toujours le con- traire, en se basant sur des recherches microsc
ypothèse de Lannegrâce, et je dis que la seule hypothèse qui semble con- corder avec tous les faits est que les plis cou
dans ses premières expériences, arrivait essentiellement à la même con- clusion : que le trouble de la vision, résultan
re visuelle, il ya une cécité complète de toit opposé, c'est ce que con- firment les expériences récentes de llechterew
-à-dire à la cécité mnémonique ou psychique. Après avoir analysé la con- fusion des personnes au point de vue psychologi
ovo- que la tétanisation du nerf (contraction allongée) ou que l'on con- vulsive le muscle en déterminant la persistance
aux affections corticales. L'examen de tableaux dans lesquels sont con- signés l'analyse du sens de la pression (à l'ai
ussi des altérations secondaires dans la partie inférieure des bras con- jonctifs des tubercules quadrijumeaux inférieur
tho- logiques, les seconds ses vigoureux plaidoyers en faveur de sa con- ception dualiste de la maladie. De ces trois pa
rès rare, et, cette fois encore, nombreuses furent les publications con- firmatives. Et aussi les recherches sur les rap
blées de supercherie qu'on s'exposerait à frapper l'expérimentateur con- vaincu, alors que le saltimbanque ne pourrait ê
nifesta- tions nerveuses ? La chose est possible à la rigueur. Mais con- venez que l'autre hypothèse est bien plus sédui
xus sacré, située au-dessous de l'origine des nerfs précédents. Par con- séquent, tous les phénomènes observés, y compri
ont repré- senté les tubes nerveux, sensitifs ou moteurs, comme des con- ducteurs indifférents. - D'autre part, pour e
t la névrite présentaient leur maximum d'intensité dans les muscles con- tracturés. Or la lésion qui engendre la contrac
t une languette gri- sâtre se détacher de son extrémité antérieure, con- tourner le crochet, se placer sur la face juxta
a circonvolution de l'hippocampe. Ainsi placée dans ce sillon, elle con- tourne le bourrelet en même temps que cette cir
par un pli de pie-mère. Parvenue au genou du corps calleux, elle le con- tourne ; et arrivée sur la portion réfléchie de
lfactifs; et la substance médullaire de son extrémité inférieure se con- fond avec le noyau médullaire duquel naissent l
s difficultés à l'intelligence de leur signification morphologique; con- sidérées dans leur ensemble, la connaissance de
côté, comme M. Charcot l'indique déjà en L883 2, le sujet couché a con- servé l'intégrité de la force musculaire et la
n observe la cadence et la régularité des secousses musculaires. La con- vulsion réflexe saltatoire de Bamberger, se tra
es spinaux en- trent automatiquement en action. Ces hypothèses sont con- firmées par un certain nombre d'expériences, no
aumatique= 2 et en répétant avec Page « Les malades disent dans ces con- ditions Je ne peux pas ». C'est comme s'ils dis
ar la 1 J. Béclard. De lu chaleur produite pendant le travail de la con- traction musculaire. C. R. de l'Acad. des scien
de travail. Or on sait déjà que, dans la « phase dynamique » de la con- traction musculaire, dans la phase du travail p
entaires plus sim- ples, qu'un examen attentif peut révéler à notre con- science, et que l'expérimentation peut surprend
au rcétudié la question. Sur un singe, j'ai enlevé d'abord toute la con- vexité apparente du lobe temporal gauche, compr
les fibres médullaires de l'écorce. Les expériences de L. Baginsky con- sistent à détruire le labyrinthe chez les lapin
ntant les signes classiques de celte affection ; mode spécial de la con- traction volontaire, réaction myotonique de la
: la dé- chéance de la substance nerveuse - 1 hyperplasie du tissu con- jonctif. Quoi qu'il en soit, le sort des corpus
des tuyau\ artériels. Il existe dans la moelle, suivant le segment con- sidéré, des centres vasculaires indépendants le
hez des ma- lades affectés du phénomène de Cheyne-Stokes. En ce qui con- cerne le centre abdominal, l'origine vasculaire
spé- cial en vient à bout de concert avec la thérapeutique interne con- venable. Dans le troisième groupe, ils'agitde l
ient dans son protoplasma une quantité et une espèce déterminées de con- ceptions, d'images représentatives, d'images co
voyés- guéris durent être réintégrés à cause de troubles psychiques con- sécutifs à-fa grippe épidémique. Al'établisseme
emple. 22. Et quand il fut sorti, il ne pouvait leur parler; et ils con- nurent qu'il avait eu quetque vision dans le te
istance publique, quelques paroles qui me permettront de vous faire con- naître, à mon tour, les sentiments d'estime que
chacun des inculpés à 15 fr. d'amende. Le magnétiseur est, de plus, con- damné à 500 fr. d'amende. Le remède d'une som
ir du jour où il exerça ces fonctions, son activité scientifique ne con- nut plus de repos, car on peut dire que la veil
la pupille même plus étroite que celle du côté opposé. De même vous con- cevez aisément que la paralysie, combinaison ra
ici en présence de lésions organiques et que nous nous trouvions au con- traire en face d'une affection toute dynamique.
trouvé en faute, et après lui avoir fait allumer la lampe, l'avait con- damné au knout, il rendait un compte fort exact
ment en relation avec des régions particulières du côté opposé. Ils con- cluent de leurs expériences : a Nous avons trou
nt les semaines dans les cas où les animaux ont été aussi longtemps con- servés. Dans d'autres cas dans lesquels la lési
convo- lution de l'hippocampe était en rapport avec le bord interne con- cave du toenia de l'hippocampe. Elle mesurait e
s du sens musculaire. - Le réveil de ces impressions, séparément ou con- jointement, est l'idée du mouvement et ce qui n
ge part ; de telle sorte que, même lorsque les yeux sont fermés, la con- ception visuelle du mouvement est capable de co
elforce d'y répondre parunesérie d'arguments plus specieux que bien con- vaincants; évidemment rien n'autol ise affirmer
seule cause d'irresponsabilité. La loi attribue le même effet à la con- trainte matérielle et morale, qui prive l'homme
is- tance partielle de la raison : il importe de se rappeler que la con- séquence la plus fâcheuse d'un trouble mental e
cin expert, ne perdant jamais de vue la réalité, se tienne en garde con- tre l'espllt de système qui tend aujourd'hui à
accidentelle, l'ivresse volontaire, l'ivresse habituelle et l'ivresse con- tractée pour faciliter l'exécution du délit. Da
dans les formes inférieures de la dégénérescence et dans la démence con- sécutive, elles peuvent devenir un élément de p
xamen aomatique et psychique, il y a des caractères suffisants pour con- clure à la nature dégénérative de l'épilepsie e
propa- gation du processus morbide dans le cerveau. La psychiatrie con- temporaine doit ramener toutes les formes clini
cas, la parésie s'observe sur le côté où commencent les phénomènes con- vulsifs pendant l'attaque. On sait qu'avant on
9 aliénés dans les asiles spéciaux ? Le régime de ces asiles. » Ses con- clusions peuvent se résumer ainsi : Seul le méd
u lon- guement sur certains faits rares, les sueurs de sang, et, au con- traire, de passer assez rapidement sur des cas
nt des malades, est ancienne. Nous avons souvent rapporté des faits con- rirniatifs et rappelé l'avis exprimé par notre
8 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
à la moelle épi- nière ou aux ganglions de la base. Cette brillante con- ception a servi de fondement à divers systèmes,
elles-mêmes sont actives. La Planche IV comble l'un des desiderata con- tenus dans mon travail sur la capsule; elle per
22 jan- vier 1867, aphasie, sans signes prémonitoires ; conscience con- servée ; légère déviation de la face à gauche;
'écorce, et l'écorce elle-même était un peu déprimée et diminuée de con- sistance. Cette dernière circonstance nous cond
ire du corps strié avec la substance médullaire du lobe frontal, la con- sistance du tissu médullaire était légèrement d
s ligne de démarcation distincte avec le tissu cérébral voisin ; sa con- sistance est molle, tremblotante, sans diffluen
t s'éclipseront alternativement, mais si la maladie est à évolution con- tinue, je ne connais aucun signe différentiel a
rie chez les scarla- tineux, chez les femmes en couches offrant des con- vulsions éclamptiques, le cours des idées a cha
HOLOGIE NERVEUSE. rattacher l'origine à un état nerveux natif : les con- vulsions sont fréquentes chez les enfants issus
(de Genève). Observation Il ? Hérédité névrop(ithique, antécédents con- vulsifs, rougeole, éclampsie. Marie R..., onz
l'accouche- ment qui ne setermina que par le forceps. Les accidents con- vulsifs paraissent avoir cessé après la délivra
cercle d'idées, répète toute la journée les mêmes phrases, examine con- tinuellement ses mains, ses bras et n'y trouve
. C'est elle que Dieu a punie en châtiant l'auge rebelle et qu'il a con- damnée, comme le bouc émissaire, à expier ainsi
ance conjonctive qui, elle, peut se transformer finalement on tissu con- jonctif véritable. Mais alors la substance fond
sont extrêmement riches en fibres de ce genre : la première couche con- tient surtout des fibres arcifomes qui rejoigne
et le développement des cellules araignées seraient secondaires ou con- comtants. Comparaison avec le tabès : même path
ma dis- position son laboratoire très richement outillé, j'ai pu me con- vaincre qu'il existait d'autre altérations. C
ue l'in- tention criminelle n'était pas formellement démontrée. Les con- clusion, suivantes résultent des considérations
vous prévoir la durée du calme qui succédera à un sommeil dont vous con- naissez la durée ? AI. Kéraval. Je demande la
« pro- curer l'appui et les secours convenables aux aliénés guéris ( con- valescents), dépourvus d'assistance, au moment
visités par M. Claus, et la condensation des renseignements, qu'il con- signe d'après un aliéniste du pays, sur un autr
1881. Eu 1883, en outre des observations d'épilepsie et d'idiotie, con- tingent ordinaire du service, et d'un nouveau c
egret, donner une analyse de chacun de ces différents chapitres qui con- tiennent de précieux renseignements sur la vale
s formes anomales qu'il a si bien étudiées. Reprenant sous forme de con- clusions, l'étude de ces formes, il les ramène
bservation ont pré- senté des attaques caractérisées tantôt par des con- vulsions exactement limitées (primitivement du
ls del'obser- vation sont aussi explicites que possible : début des con- vulsions toniques par le côté droit, rotation d
laire nette, mai,molléréei; celle du,,tendon gauche s'accompagne au con- traire e 4,unp, très, forte secousse de la jamb
te, cons- tamment apparaissait une parésie- transitoire des muscles con- vulsésJqVtiicirlx.relation de ces ? paralysies
NIQUE. i 7 à la période de persécution, que l'on pourrait seulement con- fondre avec la mélancolie simple : mais le méla
e lobes frontal, pariétal, occipital, temporal. Etudions-en la face con- vexe, latérale et inférieure, au point de vue d
gué une partie inférieure, un peu concave, méritant, à raison de sa con- tiguïté avec les voûtes orbitaires, le titre de
, Turner). L'expression finaie est des plus propres à provoquer une con- fusion avec le gyrus postero-parietal (Huxley),
roposition. M. Chapman s'est attaché à montrer dans ce travail que, con- trairement à l'opinion que nous venons de rappe
qu'il n'ait besoin de faire appel nivaux sentiments, ni aux pensées con- sécutives dont il est incapable, sa conduite se
ttre a de pareilles obligations ? Quelle est la loi qui oserait l'y con- traindre ? Et si, d aventure, cette loi existai
ante et un cas (53' hommes, 8 femmes) et les éléments de même ordre con- tenus dans la bibliographie. Il arrive. aux con
r la .qualité des, associations d'idées; le genre'des combinaisons, con- - 9qeptutllès"lui-pryédoiuinÇrlS Jûs l'influenc
établie. M. finecar l'a toujours constatée quand il a pu exercer un con- trôle. Sous la rubrique : « Signes de dégénéres
oti- Une' courte discussion s'engage à ce sujet. Il en résulte que, con- trairement à l'opinion de la majorité des alién
e éplorée chez un aliéné hanté par des conceptions gaies. En ce qui con- cerne l'observation d'une physionomie grave, im
ts qui jadis étaient mélancoliques, émanent peut-être de l'habitude con- tractée pendant le cours du délire (ils peuvent
er- ? tical qui correspondent aux valeurs absolues des courants, a se con- 3'f'ectionnei'iUii tableau empirique des,plus p
défaut chez cinq enfants fréquentant l'école sur 694 (mais dans des con- ditions particulières indiquant la dialhèse név
néces- saire aux usages domestiques, et la distribue à l'aide d'une con- duite. Celte machine fournit de la vapeur à la
M. Ballet et Marie, à savoir la facilité plus grande de produire la con- traction tonique avec l'anode qu'avec la cathod
le mem- bre se raidit, l'avant-bras se fléchit sur le bras, puis se con- tourne derrière le tronc, en s'appliquant forte
UE NERVEUSE. gauche se reproduire six fois de suite. Puis le spasme con- vulsif a été remplacé par une sorte de tremblem
malade, circulant dans les salles et étant prise tout à coup de ses con- vulsions faciales, continue à marcher comme si
artielle se mon- trent en effet d'ordinaire par séries, quelquefois con- sidérables, constituant alors un véritable état
s est l'absence d'hypertlaermie dans la fausse épilepsie partielle, con- formément la loi établie depuis longtemps (Char
ait do quoi (en tout dix-sept enfants, pas d'aliénés, etc.]. Pas de con- sanguinité. Cinq enfants : 10 fille morte à t
a eu 167 accès, et depuis ce matin jusqu'à onze heures 7 accès; la con- naissance est parfaitement conservée ; elle rev
Grar... put saisir certains objets; certains groupes musculaires se con- tracturèrent. III. C'est quatre ans après le
(Bischoff). Nous n'avons rien à adjoindre à nos notes antérieures, con- cernant la scissure perpendiculaire externe, do
trémité du sillon calloso-marginal anormalement long sur la surface con- vexe. Le sillon interpariétal, très peu accusé,
ban- delette prouvent que les fibres centripètes, qui servent à la con- traction réflexe de la pupille, ne parcourent p
r le maître; puis l'on passe aux exercices d'union des voyelles aux con- sonnes. P. K. XXVIII. Contribution .a la conn
XIV, 2)'. Les quatre premières observations rapportées par Schultze con- cernent la série des altérations de la moelle c
ents les plus internes des cordons latéraux et la substance blanche con- ligué des cornes antérieures, ainsi que toute l
euse, il se sert d'une solution alcoolique de fuschine acide; il se con- tente ensuite de plonger la préparation dans un
, dans l'échelle du développement, la genèse des fibres. arrive aux con- clusions suivantes : 1° Dans toutes les circo
elle aussi, et de la température du bain et de la résistance de la con- ductibilité de la peau. Le bain galvanique (V)
ndis que le corps de la cellule se creuse de vacuoles et perd toute con- nexion avec ses prolongements qui s'atrophient.
on- nes intéressées à divers litres, sur la question de savoir s'il con- vient de permettre ou d'interdire le mariage à
façon permanente à la santé ; 10° l'emploi incident de ces agents, con- curremment avec d'autres remèdes tels que les b
ticales gauches qui devraient réceler la lésion pathogénétique. Les con- vulsions de la face et l'hémianopsie signalées
ent pas supportées. Ce fut sur les instances pressantes d'un malade con- traint, par une violente sciatique rhumatismale
ner sous le titre de nosographie générale et classification (C). Il con- vient, pour l'intelligence du système, d'en rap
ressions de manie et de mélancolie désignent simplement, à l'époque con- sidérée, les genres de tableaux morbides dont l
éfet de la Seine vient de dénoncer le traité du département avec la con- faits DIVERS 395 grégation des soeurs de Sain
minée du cerveau, 327, 3L)S, 347. Sensibles (ralentissement de la con- ductibilitédesimpressions-dans les lésions de
9 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
as trouvé des vaisseaux flexueux, des veines dilatées; une fois, au con- traire, nous avons trouvé des vaisseaux un peu
ujet, dit-on, a cherché dans l'alcool un remède à la dépression,une con- solation à la tristesse qui précèdent si souven
clater l'agitation. Interprétation d'une psychologie simpliste ; il con- vient de ne pas trop s'y attacher et précisémen
ature). 4° Dans d'autres états son sens de la différenciation était con- sidérablement augmenté, par exemple le sens du
de côté l'examen des différentes fonctions de l'esprit (sentiments, con- naissance et volonté) car l'esprit n'est pas di
lors. Tandis que les idées sexuelles acquises par les lectures, les con- versations, les exemples, ne laissent dans l'es
grise constituerait l'accumulateur, elles libres nerveuses les fils con- ducteurs ; mais puisque nous rejetons l'hypothè
ans un asile d'un individu qui n'est pas aliéné. Or, la loi de 1838 con- tient une étrange lacune, qui subsiste dans cel
iéné de sa liberté : il s'agit de le soigner et de lui concéder, au con- traire, le maximum de liberté compatible avec s
ignité de mala- de a droit aux soins, même si l'autorité judiciaire con- teste son affection psychique. Et puisqu'il est
obligatoirement soumise à l'autorisation. Je ne puis, en ce qui me con- cerne, que donner mon approbation complète à ce
iles publics une surveillance administrative et financière. 3° Elle con- trôlera les asiles privés.La seconde de ces fon
e psychiatri- que, s'il veut pouvoir lutter à armes égales avec ses con- frères de la^ville. Une autie objection très gr
tage, et ar- rive à l'art. 15, qui donne au maire le droit de faire con- duire de force par la police le malade récalcit
olie circulaire, folie maniaque- dépressive, etc.) n'existent, à ma con- naissance, que dans les phases maniaques de la
bien portants. Il a eu quelques crises de colique hépatique ; a été con- damné, dans sa jeunesse, comme tuberculeux. Son
ancolique. Le malade a eu de 16 mois à 7 ans, quatre ou cinq crises con- sulaires qui débutaient par des vomissements et
u'au matin. Voi- ci un exemple de fugue chez un paralytique général con- firmé. Observation X.X.,ca : n : ]ie ! 'ra.nf
oll'ope qui est discontinue et produit le son musculaire, soit à la con- traction sal'cnplasmatiquc qui est continue et
u lan- gage. Comme la plupart des hémianopsiques, cet homme avait con- , serve la perception des différences de lumière
a sur- veillance du mariage (JI. Grasset conseille de provoquer une con- férence des médecins des deux familles avant to
enève. 1. Rapports et discussions sur les questions choisies par le con- grès de Lille : a) Psychiatrie. Les psychoses p
é informé que des invitations seraient envoyées pour ce jour-là aux con- gressistespour les stations françaises de Divon
elle.c'esl-à-dire avec les organes qui lui sont propres et avec la con- formation des parois du corps. De même, la symé
sant de l'une dans l'autre ne présente aucune discontinuité ; cette con- dition est remplie de la façon suivante, pour l
même complé- mentaires : ces deux modes d'évolution, si évidemment con- traires au duplicisme, se rencontrent dans le d
Or, « M. De- lage peut-il se porter garant que les deux co-êtres ne con- courent pas également à la formation du Lubc ne
simple logique des images. On ne peut avoir présents à l'esprit des con- cepts abstraits ou généraux sans avoir en même
se justifie dans certains cas. On éviterait ainsi le danger que ces con- damnés soient examinés par de soi-disant spécia
me trou- ver sur hien des points en complet accord avec mon cminenl con- frère. / L : 1SIL.R i;ISSr DE \IINJ)RISIO A
ent de préférence dans les territoires où le tissu avoisinant a une con- sistance spéciale ; dans les couches superficie
Sur lesquelles le germe se développe, mais sont en rapport avec les con- ditions d'ambiance extérieure au milieu desquel
l'équilibre ins- table, ajoute M. Dumas, ils ne veulent pas être en con- tradiction avec eux-mêmes ou avec les choses. »
très difficile chez un malade dont tous les phénomènes (dépression, con- tenu des idées délirantes, déficit intellectuel
eur et des accès de suffocation, des bourdonnements d'oreille qu'il con- sidère comme des troubles d'empoisonnement par
iteur, son entrée en scène se manifestera par des mouvements ou des con- tractures, des illusions et des hallucinations,
que la question avait été soulevé dès 1889 et résolue dans un sens con- traire par un psychologue qu'il cite pourtant f
. Mais y-a-t-il deux consciences ; les deux groupes ne sont ils pas con- tenus dans la même ? De toutes façons, on retom
s. Nous ne la rapporterons pas ni ne critiquerons pas en détail les con- clusions qu'en tire l'Auteur. Elles sont passib
tant cette sensation ? L'ouvrage entier reste muet sur ce point. Je con- tinue donc : en effet,un fait psychologique com
eux conscien- ces indépendantes,^ qu'elles ne seraient pas si leurs con- tenus é baien b, même temp oraireme nt, ide n't
ividua- . lité de l'être humain ? » (p. 17 et 18). Or, si l'on peut con- sidérer l'individu comme défini par sa seule or
e fois; elle n'existe donc pas, car on ne peutpas dire que, sans se con- naître elle-même, elle connaisse quelque chose.
ur- nies par les sens, c'est-à-dire la comparaison, le jugement, le con- trôle et le choix : les associations se font al
n spécialiste, trop souvent aussi la famille hésite, ne se décide à con- duire le malade dans une Maison de santé, qu'ap
e, étudient son dossier, consultent les notes mensuelles et peuvent con- clure à la sortie du malade en dehors de toute
es et prennent à leur égard tous les renseignements propres à faire con- naître leur position. ART. 11. Un décret du P
rait du jugement d'interdiction et un extrait de la délibération du con- seil de famille prise en vertu de l'article 510
rme. Dans les trois. jours de la notification de ce placement, fait con- formément au paragraphe premier de l'article 17
la sortie et, autant que possible, l'indication du lieu où il a été con- duit. t. Aile. 24. Le préfet peut toujours, a
tueuse de la loi, le médecin n'en devrait pas moins continuer à s'y con- former, car il est le seul qui lui assure une c
ndisse- ment ont été autorisés par l'Administration supérieure à la con- dition que le quartier d'aliénés rentrât, avant
exagère-t-on son pouvoir do représentation ? Et, d'ailleurs,en quoi con- siste le pouvoir de représentation,où se font l
nce à une inter- prétation psychologique différente. Que faut-il en con- clure,sinon que ce n'est pas dans l'explication
car il ne semble pas que les résultats thérapeutiques basés sur ces con- HYSTÉROEKTSOMMEtL. ' .359 ceptions psychologi
illeurs, les su- bordonner les uns aux autres ? Pourquoi ne pas les con- sidérer tout simplement comme la double manifes
ystériques. Au surplus, comme je le disais plus haut, M. P. Janet a con- venu lui-même que pour un grand nombre de manif
ERALE DU CORPS. 373 qui ne sont pour rien dans l'unité perçue de la con- science, qui, au contraire, doivent être spécia
ent simplement le dernier état de conscience, quel qu'en aît été le con- tenu : ils appartiennent donc à la même conscie
ais- sance à l'évocation des états de conscience antérieurs qui ont con- tenu les divers motifs. Ceux-ci, d'autre part,
que nous, notre successeur n'a eu gai n de cause;la dothiénentérie con- tinue à régner en maîtresse là-bas. Ayant pris,
gens de service. » . « En 1834, Brierre- de Boismont était partisan con- vaincu de la réunion des fonctions administrati
ier les princi- pes médicaux à une judicieuse économie, à celle qui con- siste, moins dans l'épargne de l'argent que dan
ions, et regarde comme une chose mauvaise,.la division des pouvoirs con- duisant fatalement à la lutte et aux rivalités
s aliénés qui finalement ont le plus à souffrir de ces conflits. Au con- traire, là où le service médical et la directio
s de médecin, parce qu'il estime que les unes et les autres ont une con- nexité intime et que dans tout ce qu'il fait,le
t je suis heureux de constater qu'en leur absence regrettable de ce con- grès personne n'a fait d'opposition à cette mes
-. vation et de dépôt provisoire établi à l'hôpital ou à l'hospice, con- formément à l'article 28. Le tribunal est saisi
iéné soient employés à adoucir son sort et à accélérer sa guérison, con- formément à l'article 610 du Code civil ; 2° A
tion industrielle ou agricole, le président peut, sur la demande du con- joint ou de l'associé,et contradictoirement ave
nse ci-dessus est fixée par les traités passés avec le département, con- formément à l'article 4. Dans aucun cas, les Co
s civiles. AlI1', 61. Les honoraires de l'administrateur provisoire con- cernant les aliénés indigents sont mandatés par
il- lance et de tout le personnel médical et administratif ; 2° Les con- ditions auxquelles sont accordées les autorisat
ex- pertises médico-légales sur l'état mental des inculpés ; 5° Les con- ditions dans lesquelles pourront être admis et
nique, et l'opothérapie paçathyroidienne améliore les symptômes. La con- tracture catatonique, la tachycardie, l'hypothe
de résu- mer en deux phrases la célèbre doctrine de Jackson sur la con- comitance ou le parallélisme : Les états de con
n mentale devrait être à même de juger du traitement provisoire qui con- vient dans chaque cas et son avis devrait être
'on re trouve si fréquemment dans les cas d'arriération mentale. Il con- vient d'insister particulièrement sur l'importa
gmates perma- nents ou des accidents paroxystiques. Les hystériques con- firmés ne sont que des vigilambules dont l'état
auteurs ayant ap- pliqué mes méthodes et refait mes expériences ont con- firmée. Je devrais cependant y ajouter quelque
n même temps la disparition de l'idée fixe née au même titre que la con- tracture ou la paralysie. Si l'état est plus an
lière quand on le voit ensuite me reprocher-à tort du reste-d'avoir con- fondu le sommeil cérébral, cause de l'hystérie,
es périodes où elles ont été le plus malades,le plus engourdies par con- séquent, et beaucoup plus vite celles où elles
bservation ulté- rieure de leur application dans un grand nombre de con- ditions diverses, pour les ramener, si possible
logie classique. 1° Cette confusion est en effet manifeste : à la « con- science, voix divine » de Rousseau (p. 147) enr
à des principes, vrais ou faux, peu importe, mais depuis longtemps con- nus et mis en pratique par le bon sens : elle n
res cérébraux, non pas telle que la présente le duplicisme, dont la con- ception est tellement encombrée d'erreurs et de
° 2.) De son observation très étudiée et discutée l'auteur tire des con- clusions tout à fait opposées à ce qui est géné
toxine peuvent provoquer, leur mode d'action est aussi important à con- sidérer que leur nature même. » Le cas partic
ui per- mettent de poser le diagnostic de tuberculose vertébrale et con- clut enfin que parfois, et malgré une analyse c
ruisant ce personnel et en lui donnant véritablement un métier on y con- tribuera sans doute. C'est là, on ne saurait tr
est-il, comme le dit Romberg, nécessairement fatal ? Ne peut-il,au con- traire, sous l'influence de traitements spéciau
ques ont un air de famille, ce sont des hypersuggestibles et ils se con- tagionnent. Cette contagion est plus aisée entr
e preuve nouvelle en faveur de la survie pas plus qu'aucun argument con- tre le spiritualisme. Quoi qu'il en soit, la dé
10 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le malade commence à rire aux éclats en se détournant du médecin et con- tinue à résister. Souvent on parvient à lui éte
ue. Déjà au mois d'avril, six mois après le début de la maladie, la con- fusion mentale chez notre malade et une certain
il y avait 1 d'abord une période de dépression, puis une excitation con- t sécutive et une démence qui se développa dans
se trouve dans un hôpital; la chambre du médecin elle prend pour un con- fessionnal, nomme le médecin « père Jean ». Dan
d'eux, à savoir, sur la flexibilité de cire (catalepsie). Vu l'état con- temporain des renseignements concernant ce suje
édifie; son hypothèse, à savoir : « Que la dégénérescence du tabes con- « sisie en une altération des fibres qui sont d
. 1901). Revue très complète, très détaillée, sorte. de code de nos con- naissances relatives aux tubercules quadrijumea
e par les scissures sylvienne, présylvienne, rhinale, olfactive, on con- çoit, en vertu de ce qui a été dit au n° 4, que
r la for- mation du creux épigastrique du même côté, à raison de la con- traction des fibres les plus supérieures du gra
la suite des différentes théories pathologiques de cette affection, con- duit les auteurs de ce travail à considérer le
ession. ' On peut trouver de grands avantages dans la diminution de con- gestion qui résulte de l'intervention, sans qu'
fondes, etc. Mort dans le coma, après un syndrome psychapothique de con- fusion mentale, délire onirique, optimisme, stu
sez. » - Je partage absolument cet-étonnement, d'autant plus que je con- VARIA. 89 nais l'asile de Meerenberg depuis e
'ai visité plusieurs fois. D'abord l'auteur de l'article doit avoir con- fondu le mot chambre d'isolement avec celui de
tablis- sements. Les internes provisoires peuvent se représenter au con- cours pour les places d'internes titulaires, so
peut résul- ter de l'imbécilité ou de l'idiotie ou si elle est, au con- traire, une de leurs grandes causes. Peut-être
ofule, la dysenterie, la méningite, l'hydrocéphalie, les affections con- vulsives et notamment l'épilepsie. On a signalé
, je fais cette remarque, absolument manifeste et probante, que, la con- naissance des circonstances de développement du
n augmente en quelque sorte la fonction de la glande thyroïde, tout con- tribue à mettre en opposition le crétinisme ou
éveloppant tan- tôt simultanément , tantôt successivement chez deux con- joints, je ne hasarderai pas même-une explicati
ns notre pays2. Depuis, de nombreux travaux ont ajouté à ce premier con- tingent des faits analogues dont le total doit
ésagrégé. Nous pourrions montrer en citant l'auteur qu'il semble se con- tredire à vingt-cinq lignes de distance. Il a d
f- fèrent-ils par certains caractères très nets des paralysies, des con- tractures, des troubles sensitifs observés dans
is sans lui laisser le temps* de réfléchir à ses misères. Gagner sa con- fiance, ne jamais le tromper, ne jamais permett
altérés d'une manière persistante et progressive. Le premier groupe con- cerne les maladies autres que la paralysie géné
hypocon- driaques, ils sont probablement la représentation dans la con- science de quelques troubles de la région. Sens
cun attrait pour les jeunes filles et les femmes jeunes, qui est au con- traire invinciblement attiré vers les femmes âg
ons noc- turnes avec rêves voluptueux et apparition de femmes âgées con- nues ou inconnues. Ce jeune homme est aussi obs
héno- mènes choréiques, ni nystagmus, les réflexes patellaires sont con- servés. Il existe des tremblements des membres,
te. Elle n'intervient généralement pas seule, mais est associée, au con- traire, aux effets du surmenage, de l'alcoolism
fait avant les signes physiques, si l'on a clairement à l'esprit le con- traste qui existe entre les signes qui relèvent
RAPHIE. golienne, que les travaux du Dr Bourneville ont puissamment con- tribué à faire connaître. Tout d'abord une obse
coew', Cordons antérieurs de la moelle. Questions de garde : De la con- duite à tenir en présence d'un accès de suffoca
né- - galité des pupilles qui réagissent bien à la lumière. Gâtisme con- tinu. -Examen ophthalmoscopique : Papille droit
é tout ce que nous venons de dire, comme nous le verrons absolument con- firmé par les résultats que donnent déjà certai
e même les ovaires, qu'ils n'existent qu'à l'état de rudiments ; la con- clusion qui vient immédiatement à l'esprit du l
ons des exci- tences qu'elle envoie aux centres nerveux auront pour con- séquences des réactions d'autant plus accusées
sie relative- ment fruste, l'épilepsie larvée, par exemple, est, au con- traire, plus fréquente chez l'homme. N'est-ce p
mme idiots épileptiques, imbéciles épileptiques, etc... ? accidents con- vulsifs nouveaux qui, apparaissant après l'idio
analogue à celles que l'on remarque communément chez l'épileptique con- vulsif ou vertigineux, opinion d'aliénistes qui
- fut injecté à des chiens dans le péritoine d'ordinaire. En ce qui con- cerne la thyroïde,' plusieurs des chiens ayant
to- mie était compensatrice, non de celle-ci, mais de l'extirpation con- comitante de deux des parathyroïdes. Et ainsi s
la glande. Il semble donc probable que l'action de la parathyroïde con- siste à sécréter une substance,~laquelle neutra
é une paralysie vraie motrice et sensitive du périné et des organes con- tenus dans l'excavation pelvienne : rectum, uté
ort dans ce dernier établissement, ils se gardent bien de protester con- - trele certificat qui les déclare aliénés et l
s celles-ci ont besoin du contrôle des centres supérieurs, et si ce con- trôle vient à manquer, l'instabilité mentale s'
- gera rien d'ailleurs aux habitudes hospitalières; est-ce que l'on con- fie le service de gynécologie à un chef faisant
avec érotisme et mission apostolique. Elle s'entretenait avec Dieu con- curremment à ses communications avec les espTit
ajuste titre comme le plus grand dissolvant du milieu familial. Les con- sultations du dispensaire antialcoolique ont li
urs lancinantes, spontanées ou provoquées par les mouvements et les con- tacts ; tout ceci, dis-je, montre surabondammen
e soient pas opérées), n'atteignent que les extrémités nerveuses en con- tact immédiat avec eux. Par contre, les cancers
tomique de cette forme assurément peu commune dans toute sa pureté, con- siste dans des lésions multiples des terminaiso
ou du moins à intervalles très rapprochés dans de nombreux trous de con- iugaison, il, Et pourquoi aussi ne pas penser
rachis. Vous saurez qu'à la formule osseuse primitive classique, il con- vient d'ajouter une nouvelle formule d'envahiss
même Gowers qui a décrit la paralysie des petits muscles de la main con- nexe le plus souvent à la paralysie des extense
la main ; la sensibilité au froid et au chaud est au contraire bien con- servée. Dans la même région le malade éprouve,
hie mus- culaire prédominant à droite masquée par l'adipose, pas de con- tractures, rétractures tendineuses maintenant l
uer son siège dans le nerf radiculaire, sa nature interstitielle ou con- 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. jonctive et
, il a perdu la parole durant une semaine. Dans ces conditions, les con- vulsions épileptiformes observées sont symptoma
s les poumons, le foie et la rate, mais il y en avait dans le tissu con- nectif qui entoure les reins. L'auteur termine
i- rant mystique, jouet d'illusions et d'interprétations délirantes con- tinues. Les pratiques spéciales mystiques ou
mentale après la mort de sa femme; il est maintenant beaucoup moins con- fus et semble s'acheminer vers la guérison ; il
on monoculaire. Deux fois nous avons constaté cette irrégularité du con- DES SIGNES OCULAIRES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE
ments provoqués par l'acte exécuté. Un groupe de muscles entrent en con- traction d'abord et provoquent dans l'accomplis
ges, véri- tables satellites mobiles, s'associent secondairement et con- tinuent à se développer et à évoluer. Cette mul
ents auteurs ne font pas mention. Des faits observés, il arrive aux con- clusions suivantes : 1° L'excitabilité idiomusc
endo- tlléliale dans la paroi d'un capillaire, ou bien adhérente au con- duit vasculaire qui sépare les cellules endothé
Seglas. LXXV. A propos du problème des rapports entre les voies de con- duction intercellulaires et la périphérie de la
est que le développement et le complément de la première. Tamburini con- sidère l'hallucination comme dépendant d'une ir
logiques ou anormales, pour des trajets anatomiques appropriés à la con- nexion centrifuge entre la zone psychique supra
sentant l'opinion de ce médecin et une grande partie des recherches con- duites sur ce sujet sur le continent les parole
cas de folie associés à la toxémie que le pensent plusieurs de ses con- frères. Le point sur lequel M. Clouston parait
ites par Schiefferdecker et Schuetze (Bonn) en 1903 dans un travail con- SOCIÉTÉS SAVANTES. 419 9 sacré à l'étude des
on, et M. le 1) Brousse, rapporteur général des asiles, délégués du con- seil général, M. Louis Lucipia, ancien présiden
uverte fait supposer que c'est un ouvrier de M. Pihan, cultivateur, con- gédié par ce dernier. Il n'a pas reparu depuis.
LE. faible affection pour le reste de sa famille; aussi, malgré ses con- seils, et aussi pour contenter un ancien goût d
, néan- moins il s'acquitta fort bien des fonctions qui lui étaient con- fiées aux colonies. A son retour d'Algérie, i
ambie. Transféré à Villejuif, il croit, pendant le voyage, qu'on le con- duit en un lieu où on va l'égorger. Il y reste
ns le trajet, il change d'idée, se fait ramenerchez lui et prie son con- cierge de s'occuper de lui. Le soir, à dix heur
, N... compare son état d'alors à son état présent, et nous pouvons con- clure de son état présent à son état d'alors, l
une substitution de pièces, que cette signature' pouvait avoir des con- séquences graves. L'idée que sa femme de ménage
psychiques et physiques de ces deux, psychoses alcooliques, on est con- UN CAS DE DELIRIUM TREMENS. 467 duit à admett
d'entrée. 22 janvier. A parlé pendant toute la nuit. Ce matin, elle con- firme entièrement ses déclarations d'hier conce
FAITS. 26 janvier. Idem. Claire, orientée, mais elle est absolument con- vaincue de la réalité des événements hallucinés
érébrale. L'auteur recherche ensuite comment les centres supérieurs con- trôlent la conscience dans l'attention; car l'a
a très bien décrit cette forme de stupeur, au milieu de laquelle la con- duite reste normale et régulière. Rail a donné
justement. L.-S. MINOR trouve que le travail du rapporteur a plutôt con- firmé que refuté les investigations de l3nn, pu
serait très important d'étendre nos connaissances sur ce sujet. Ou con- sulte souvent les aliénistes sur des mariages e
droplase, par Fiirsler et Marie, 80. Aliénation mentale. Quelques con- sidérations à propos du rapport de l ? par Le
]OIIS £ : , 93. - de Préiiiontré, 91. - Voir Concours. - de Hion ( con- cours), 191. La lnupa ? tiun ,ie la tuberculo
ÉvRlrE. 111 ! TI;reuciatÍon de Courants, démontrée par un cas de con- sécutive une dégénérescence pa- renclivmateii
Icules pédonculo-piotubéraiiliels, 82. Un nouveau cas de générale con- jugale, par Cullerre, 116. La ? piogressive d
al. par Cuurmont. Uoyon et l'amot, 380. Observation d'un cas de - con- séetitit à la vaccination, par Cooke, 405. De
11 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
que que nous avons pu faire, des documents sur lesquels se fonde la con- naissance de ces maladies. Il devrait en être d
dont je suis obligé de me détacher actuellement, cependant non sans con- dition. Le cas est encore intéressant à un au
ce à l'église et de confesseur. - Elle a eu l'intention de se faire con- duire au poste elle-même pour empêcher les prêt
fs : par ses symptômes les plus importants, notre observation était con- forme à la description des accidents hystéro-tr
émotion morale. Landouzyen citeun cas survenu àlasuited'une attaque con- sécutive elle-même à des chagrins et à une vive
rs après l'opération, se fit un rétablissement complet des facultés con- ductrices de la moelle épinière dans la directi
dans le tubercule antérieur de la couche optique. De plus, quand il con- tourne en dehors ce tubercule, quelques filets
vulsifs sur le côté opposé du corps ' ; ces accès débutaient par la con- traction musculaire correspondant au point irri
, l'écorce ne devait pas être considérée comme l'organe central des con- vulsions, qu'elle n'en était que le point de dé
commun avec Tamburini, sur l'existence probable de centres moteurs con- fondus avec les centres sensoriels de l'écorce,
UE CRITIQUE. tion physiologique de la cocaïne, ont démontré que ces con- vulsions étaient sûrement le résultat d'une ané
orticale motrice serait affectée. Dans l'épilepsie jacksonienne, au con- traire, l'accès convulsif serait primitivement
plus n'a rien de caractéristique. Il ne débute pas toujours par les con- vulsions cloniques de l'épilepsie partielle ; i
toniques, de ce membre. Ziehen ajoute que la succession rapide des con- tractions cloniques, d'origine corticale, n'arr
me complexe. Unverricht nie donc l'origine uniquement corticale des con- vulsions cloniques, et, appuyé sur les recherch
s muscu- laires, ne participait point aux convulsions générales. Au con- traire, les muscles de la face et du tronc y pa
corticale. 121 table du cerveau apparaît comme l'organe central des con- vulsions épileptiques. Toutefois, à l'instar
ser qu'une partie au moins de l'aire sensitivo-motrice droite était con- servée ; or, cette aire était complètement détr
. 3). 11 s'agit en résumé de trois observations. Deux d'entre elles con- cernent une tumeur cérébelleuse. Dans le cas d'
s de précision, en raison de l'alternative des points de départ des con- vulsions, du vague de la céphalalgie, de l'abse
rie de convulsions toniques qui ne survivent pas il l'excitation. Ces con- vulsions ont le caractère de celles qui succède
mouvements se produisent surtout du côté de l'excitation. Quand on con- serve les hémisphères, les résultats sont, en c
e faire quelque chose est troublée. M. le professeur Kojewnikof, au con- traire, trouve qu'il est plus exact de comprend
ésent, onvoyait cette division en couches de la myéline, mais on la con- sidérait comme étant un produit artificiel' ten
es Alpes dauphinoises. 'Pendant la duré du Congrès, une soirée sera con- sacrée à une réception de M. le maire de Lyon e
à Innsbruck. Les pharmaciens ET la DÉLIVRANCE DE la MORPHINE. Le con- seil de la Société de prévoyance de la Chambre
à briser les meubles en poussant des cris rauques. Ligotté, il fut con- duit chez M. Percha, commissaire de police, qui
antages d'ordre spéculatif, elle entraîne, dans le cas présent, une con- séquence pratique des plus importantes : la que
ille à notre ma- lade d'accepter, pourra se faire chez lui dans des con- ditions de précision rarement réalisées, puisqu
eptième cervicale et de la première dorsale, rugosités irrégulières con- trastant avec le poli des surfaces adjacentes ;
atte droite sont tout à fait libres; dans la patte gauche, ils sont con- servés dans un degré très faible; la sensibilit
tion godronnée. ,. Enfin le pilier antérieur, devenu postérieur, se con- tinue avec le corps bordant et la lame bordante
rc olfactif, une sorte de zone radiculaire. Par sa structure et ses con- nexions, cette plaque qui occupe tout l'espace
son congénère, il délimite cet espace perforé. Après être entré en con- nexion avec l'éminence mamillaire, il continue
Foville je me suis laissé entraîner par une idée préconçue, par une con- ception théorique, mon excuse sera que je me tr
s, elles ne sont que des prolongements, des annexes et des voies de con- duction de ce centre. Ensuite, je dirai avec Br
celte strangulation avortée. M. Wagner a vu guérir, dans les mêmes con- ditions, une psychopathie récente (délire des p
du niveau de l'honnêteté'courante peut être conduit au crime par le con- cours de certains facteurs internes et de certa
expression un sens précis : ce sont des individus qui ne savent pas con- tenir leurs appétits, ni refréner leurs passion
omposent de la façon suivante : dans 22 cas, il existait un vice de con- formation congénital; dans 16 cas, on a pu obte
ets ont quitté l'école, mais ont refusé de donner la raison de leur con- duite. Enfln, les pratiques révoltantes du majo
avec lui dans ce but, puis prend 137 fr. 50. C'est donc une aliénée con- damnée à tort, d'abord à la peine de mort, puis
t de son action narcotique, elle est sans influence sur la psychose con- comitante. On peut l'employer sans inconvénient
t. Si l'on fait l'autopsie à la fin du septième mois, on trouve une con- gestion active des membranes, parfois des petit
thérapeutique disciplinaire (isolement absolu provisoire, moyens de con- trainte, punitions); 4° L'époque de la séquestr
rphi- nomanie tels que éther. chloral, digitale, de même on peut en con- cevoir pour les empoisonnements en retour qui s
proclamé par la loi, a déjà commencé à donner ses fruits. En ce qui con- cerne le régime des aliénés, M. Sabran rappelle
aux déci- sions administratives. Loin de compliquer on devrait, au con- traire, simplifier encore la procédure ; quant
ur du poumon gauche non atélectasié et à l'oesophage; c'est dans ce con- duit qu'il s'est ouvert. 11 y a usure des trois
la sensibilité générale et sur les troubles visuels; dans la partie con- sacrée à l'intelligence d'après Goltz, le psych
perdre. Le même reproche ne peut être adressé à la seconde partie, con- sacrée à l'école italienne; d'autant qu'ici ne
t a été commise hier sur le docteur Lassalle, médecin de l'hôpital, con- seiller général du Rhône. Un individu nommé F..
es bras avec un canif, dans les lieux d'aisance, où il s'était fait con- duire. Guéri de ses blessures, il fut soumis à
Sans doute des travaux ont surgi qui portent atteinte à l'ancienne con- ception de l'unité du diabète sucré. Mais le de
ncontestablement, trois exemples de glycosurie tabétique. Nous n'en con- naissons aucun autre bien authentique. Et en vé
. C'est là qu'il signale (p. 266) « les tendances mélancoliques qui con- tiennent en germe le délire de persécution p ;
d'incubation plus ou moins longue (qu'à mon sens il a eu le tort de con- fondre avec l'hypochondrie) ; il a été égalemen
oins rapi- dement, sans laisser de traces. Cette tristesse, devenue con- tinue, dominant toute l'activité psychique, fai
ée des muscles de la jambe droite, provenant, au dire des siens, de con- vulsions survenues à l'âge de dix-huit mois. Ce
de mercure, pour opérer sur lui un rétamage reconstituant. Ici, on con- tinue : le pain renferme de la strychnine et de
ez qni toute vie intellectuelle semblait disparue, je découvrais au con- traire un délire très compliqué et très cohéren
lman. » Ne sont-ce pas là des faits typiques ? Ils autorisent cette con- clusion, que le délire de persécution (forme dé
e ventre et la partie supérieure du thorax du côté gauche. Elle est con- servée dans le dos et au membre inférieur gauch
les yeux sont déviés en bas et à droite, les pupilles sont petites, con- tractées, mais égales. A 8 h. 10, on détache
sommeil. 7.-On l'hypnotise de nouveau et on essaie de produire des con- tractures, mais on n'y parvient pas. On fait se
é- cole des adultes. Son caractère est assez gai et sa conduite est con- venable depuis quelques mois. Il a souvent de l
ladies ner- veuses. Pour appuyer cette opinion, qui nous paraît peu con- testable, nous n'avons pas sous la main de docu
, d'épileptiques, d'aliénés, etc., etc.7 dans la famille. - [Pas de con- sanguinité.] Deux enfants : 10 fille, vingt e
oses massives variant de 0 gr., 5 à 3 grammes. Il est bon de ne pas con- tinuer la même dose plusieurs jours de suite :
rtain degré de débilité mentale et ayant encouru toute une série de con- damnations pour des actes empreints d'un caract
abé- tique. Il était néanmoins évident que l'accident avait aggravé con- sidérablement l'ataxie. M. Oppenheim s'élève
sons dans les asiles français signalée par le professeur Pierret au con- grès de Lyon, M. Sollier a poussé tout récemmen
es traitements et les retraites, je crois que le recrutement par le con- cours serait presque impossible. Je prie en con
ent aussi bien de la mère que du père. Tout bien considéré, on peut con- clure que la forme particulière du travail céré
l légal est un pur non-sens, nous regrettons de voir circuler cette con- clusion associée avec le nom d'un savant aussi
de douleur aussitôt que la surface, objet de la suggestion, vint en con- tact avec la cheminée (qui était tout à fait fr
ident». A la levéedu pansementà Il heures du soir, une boursouflure con- sidérable avec érythème papuluire apparut, et l
penheim, 268. Morphinomanie, 451, 452. Musculaire, contraction et con- ductibilité des nerfs, par Golds- cheider, 27
stologie du -, par Rossolimo, 129. Scarlatine, troubles cérébraux con- sécutifs à la -, par Rouillard, 267. Sclérose
12 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
utes les fonctions de l'écorce cérébrale et se rattachent-elles par con- séquent à un trouble général des fonctions psyc
éelle... il n'est pas douteux pour moi que l'enfant ait entendu les con- versations 2. » M.Oppenheim dit aussi : « L'hys
rarement chez l'homme normal et elles ne sont produites que par une con- centration excessive de la pensée sur un problè
stement', que depuis quelques années le domaine de l'hystérie s'est con- sidérablement agrandi. Ce terme ne s'appliquait
ies mentales. Rapprocher et classer ce n'est pas confondre, bien au con- traire ; nous n'avons pas l'intention d'assimil
ERIE. 27 cessaire de nier le caractère moral de l'hystérie pour lui con- server sa place, il suffit de distinguer les ma
ait ser- vir à saisir quelques caractères généraux de la névrose et con- duire à une conception sur la nature de cette d
part, un élément périphérique peut correspondre à plusieurs fibres con- ductrices spino-corticales. C'est qu'il y a un
écorce ne réussissent pas à produire des monoplégies pures, nous en con- cluons que les centres moteurs surl'écorce ne s
lésion serait donc l'abolition de l'accessibilité associative de la con- ception du bras. Le bras se comporte comme s'il
1NDRED. L'auteur décrit le procédé des coupes de tissu cérébral par con- gélation, procédé qu'il s'étonne de ne pas voir
s toujours possible de savoir s'il y a encore ou s'il n'y a plus de con- traction musculaire. Il ne faut donc désespérer
de résistance dans la circulation périphérique et à l'état tortueux con- sécutif du système artériel. J.-B. CHARCOT. X
e nous avons entendu formuler par Axenfeld : c De tous les médecins con- temporains, disait-il, celui qui écrit le mieux
ensée : « A vous, qui avez apprécié mon inébranlable fidélité à des con- victions que vous partagez et qui lui avez rend
fondée. Sans doute elle n'a pas encore exécuté toutes les réformes con- çues et réclamées par ce vaillant esprit, parti
en sections plus nombreuses, en pavillons isolés; ces pavillons ne con- tiendraient qu'un nombre restreint de malades,
ilieu même où ils ont contracté les habitudes vicieuses qui les ont con- duits à l'aliénation. Dans les unes ou les autr
ieurs ont conservé à peu près leur volume normal ; ces muscles sont con- tracturés, surtout les extenseurs. La contractu
racture en pronation. On parvient cependant facilement à vaincre la con- tracture. 104 PATHOLOGIE NERVEUSE. La force
Il n'y a pas longtemps, l'absence de toute altération de tact était con- sidérée comme une des caractéristiques les plus
nse qui a dominé le tableau clinique uri' moment donné. C'est cette con- tracture qui fait errer le diagnostic, parce qu
l'auteur, d'un retour à l'état'ernbryonn'aire des cellules du tissu con- jonctif, qui, après cela', se sont mises a'pro)
! Peuvent s'associer à la pseudo-fièvre, et à la fièvre hystérique con- tinue,'ces trois ' genres pouvant, aussi : se c
- trice.,Il insiste sur,l'absence,de douleur et d'inflammation, qui con- stitue un caractère important de ces arthropath
st peU|intense et s'accompagne^ de troubles de, la sensibilité, est con- firmée,par nos observations. Peut-être faut-il
'in- cline à croire que la synostose prématurée est, en général, la con- séquence, plutôt que la cause, du développement
x micro- céphaliques résultent de la compression du crâne; mais, au con- traire, il semble, exister, dans presque tous l
ues dans la même proportion. Dans les établissements bien organisés con- sacrés au traitement et à l'éducation des enfan
moire. M. Brus. Du trional. - C'est un agent narcotique actif qui con- vient dana l'agrypnie simple et dans l'insomnie
lui qui aura le mieux travaillé à la fin de l'année scolaire, seul, con- tinuera ; un autre sera soldat, le troisième se
de se laisser aller à la poursuite de l'inattendu, de l'étrange, il con- vient, quant à présent, de s'attacher à saisir
yde de carbone; Amyotrophie spinale à forme scapulo-humérale, comme con- séquence d'une paralysie infantile contractée 3
tico Estuni; en France, Mabille et Lallemand seuls, chez nous, à ma con- naissance, ont tour à tour vanté son action som
urant la nuit. J'ai administré la duboisine dans la journée à doses con- tinues comme calmant à 35 aliénés, savoir : 11
ait de la duboisine, ne les avaient pas précisément placés dans les con- ditions les meilleures pour triompher de l'épid
; il n'y a alors que cinq heures de sédation. La dose est portée en con- séquence à 2 milligrammes et pendant huit jours
é. La maladie revêt toujours le type clinique décrit sous Je nom de con- fusion mentale primitive, simple ou hallucinato
ndican, ils se demandent si l'albuminurie elle-même n'était pas une con- séquence de l'indicanurie. Par un régime spécia
vantes. M. Régis répond à quelques-unes des objections posées à ses con- clusions dont il rappelle la prudence et la rés
n élève du service. Cette accusation énoncée avec force détails fut con- trouvée par le témoignage de la mère qui ne l'a
lle marche, rit, cause, est affectueuse. Chez elle l'auteur a mis à con- tribution un traitement classique : compression
7° Enfin il faut s'efforcer de surveiller les nourriciers en ce qui con- cerne l'application du no-restraint. (AU. Zeits
à Paris pour la soigner. Ses parents s'y opposèrent, ayant plus de con- fiance dans l'exorcisme que M. Périer, le curé
e la force connue sous le nom d'influx nerveux. Ces travaux devront con- courir au but que s'était proposé le Dr Fauvell
brale. Dans le lobe frontal gauche toute la région antérieure ne con- tient plus de fibres à myéline dans la deuxième
de maux de tête violents et d'attaques épileptiformes avec perte de con- naissance, sans grands mouvements convulsifs, s
abnéga- tion pour ce genre d'infirmité qui ne peut respecter aucune con- venance. Enfin, on doit dire qu'il n'y a pas de
x cent soixante-dix places réglementaires étaient comme on le voit, con- 'sidérableinent dépassées, et malgré de déplora
êt sérieux à le frauder. Comme il ne voyage pas, il est entièrement con- sommé dans la région, et on n'éprouve. pas la n
les bains y entrent pour une large part. Le seul moyen mécanique de con- tention auquel on ait recours est la camisole.
ut définitif de modifier le corps et l'esprit à l'aide de certaines con- ditions ambiantes ? Au fond la question de la f
ayant ún-' but déterminé'; mais'sè' produisant spontanément sans le con- cours de la volonté et.par conséquent sans la s
ous une « barbe immense et jamais peignée. D'un ton lamentable, ils con- « lent une histoire pleine de douloureuses péri
upon- chel atteints de « Déterminisme ambulatoire », mais on ne les con- fondra pas avec les épileptiques voyageurs suje
rappelé nos recherches antérieures, d'autres- ont 'paru ne pas les con- naître. C'est pour éviter pareil oubli que que
tème pyra- midal, mettant en relation la masse du cervelet avec les con- ducteurs émanés du système cérébral. Enfin, d
'un examen microscopique du bulbe. Il serait peut-être prématuré de con- clure, mais il n'y a provisoirement aucun incon
missure qui rattache le cervelet, organe coordinateur, aux voies de con- duction motrice en céphalo-médullaires, peuvent
l'Asile clinique. II était encore alors dominé par la crainte d'une con- damnation judiciaire. Une savait s'il devait vo
l'Admission de Sainte-Anne en février 1893. Il avait, dans les mêmes con- ditions que Jules T ? eu des rapports avec une
anormaux que la décharge prend la forme explosive et donne lieu aux con- vulsions. Ainsi dans l'épilepsie, la convulsion
2, 1892.) Le système du grand sympathique dans la région cervicale con- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
l., 1892.) Placer le cerveau frais entier dans une solution aqueuse con- centrée de chlorure de zinc; y mettre autant de
- férenciées, et la caractéristique da la structure de celle écorce con- siste dans la prédominance des noyaux, soit des
bles à ceux qui se rencontrent dans la compression de la moelle. Il con- vient de ranger dans la même catégorie d'altéra
iologie des maladies mentales. Le chapitre qui traite du diagnostic con- tient beaucoup de conseils précieux. Nous y tro
a de Meynert, dans laquelle l'auteur distingue quatre variétés : 1° con- fusion mentale primaire à forme stupide, curabl
nfusion mentale à forme récurrente et alternante de Greidenberg; 3° con- fusion mentale à forme démentielle; et 4° confu
ccord avec M. Korsakov, mais tout dans son livre est à étudier et à con- sulter. En terminant cette analyse trop courte
le subit la troisième condamnation que tout le monde doit craindre, con- damnation que lui ont value ses fautes et qui d
e qu'affec- tionnent ces malades, et traduisent en quelque sorte la con- trainte qu'ils éprouvent, les troubles de leur
ait la sensation d'épingles s'enfonçant dans les chairs. Le moindre con- tact, le moindre frôlement était douloureux, la
n qui m'indique les troubles ataxiques, sauf les douleurs; tout, au con- traire, révélait l'hystérie, rétrécissement du
tat. La malade vomissait toujours autant. C'est alors qu'on vint me con- sulter. Je vis une jeune fille bien constituée,
'une vive contrariété au sujet d'un mariage, elle fut prise d'accès con- vulsifs avec hallucinations, etc.. Après un séj
main- tenant du dégoût, de la répulsion; c'était tombé dans l'excès con- traire. Il a fallu l'endormir nouveau pour subs
tion II. G..., trente ans, mère très nerveuse, soeur nerveuse, père con- gestif, souffrant depuis trois mois d'une gastr
devait répugner à une jeune fille que je savais très dévote. Je me con- tentai alors de la suggestion à l'état de veill
, du reste la suggestion hypnotique vint éclairer le diagnostic, le con- firmer par les résultats qu'elle obtint. Je n'e
es mouvements choréiformes, j'ai abandonné ce traitement et me suis con- tenté de lui donner du fer et de l'arsenic. Deu
re- cherches absolument inutiles dans ce genre d'affection, je fus con- duit à trouver autre chose que la myopathie. La
mala- dies'. L'hypnotisme peut servir d'élément au diagnostic et je con- fesse que c'est surtout dans le but de m'éclair
'hystérie ou la neurasthénie ? L'alcoolisme des parents, le mariage con- sanguin surtout', le fanatisme et les superstit
us du prix de l'abonnement. Nous leur rappelons que, à moins d'avis con- traire, la quittance de réabonnement leur sera
VANTES. lumière peut provoquer la migraine oculaire dans' certaines con- ditions temporaires mal définies, mais qui cert
pour cause « différents processus morbides du cerveau qui ont pour con- séquence commune un affaiblissement de l'influe
rapie dont elle n'est qu'un adjuvant, pas même indispensable, c'est con- damner les malades pour lesquels on suivrait ce
Monsieur, Depuis quinze mois j'attends l'annonce de l'ouverture du con- cours annuel d'admissibilité aux emplois de méd
.Coloration , , OSn710; Cül)10-hélna- tdxyiique, par Berkley, 39S ? con- trihutions à remploi dea'm6- ,"7thode de - dé
55. Tiiomsen (maladie DE), paramyoto- nie et -, par Gowers, 140 ; con- tribution à la connaissance de la , par Frûs,
la connaissance de la , par Frûs, 143. Tics, sur la maladie, des con- ? vulsifs, par Tokarsky,'341 ! 'Alpl'0- ' pas'd
13 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
ux de Dayrolle, afin de mettre l'instituteur en. mesure de procéder con- venablement à l'enseignement par les leçons de
êtrière pourrait être commun. Malheureusement, l'expérience n'a pas con- firmé nos prévisions et nous avons dû chercher
lquefois une sorte de cri plaintif, ni prédominance unilatérale des con- vulsions. Deux ou trois fois, il y eut de l'écu
: T. R. 39°,4. 17 Janv. L'éruption a disparu; l'amaigrissement est con- sidérable, depuis trois jours; il y a encore un
ent est con- sidérable, depuis trois jours; il y a encore un peu de con- jonctivite et de coryza; l'enfant tousse fréque
t avoir de renseignements précis sur l'état de l'odorat,- il paraît con- tent lorsqu'on lui frotte la tête, mais donne d
met de constater l'existence de nombreux kystes séreux. Sur le bord con- vexe, vers le tiers moyen, on découvre une tume
été aliénés. Pas d'autres cai3 d'hérédité dans la famille. ] Pas de con- sanguinité. Un seul enfant, notre malade. Gro
t put marcher sans traîner la jambe. Comme par le passé, les crises con- vulsives redevinrent mensuelles. Vers l'âge de
880. De même que la seconde, elle s'annonce par un état de mal. Les con- vulsions prédominent toujours à gauche. Autrefo
us sommes ame- menés à porter le diagnostic : idiotie, probablement con- sécutive à une méningo-encéphalite, plus avancé
e chronique avec emphysème à l'âge de 75 ans ; il avait des varices con- sidérables ; il n'aurait pas eu d'autre maladie
canisme de sa marche, il laisse voir, aujourd'hui, la volonté de le con- duire. Dans les batteries de tambour, au lieu d
res conti- nues avec le sillon pariétal ou le sillon temporal et se con- tinue avec la deuxième temporale. A droite, la
ue 640 et 650 gr. ; 2° M. Potain a écrit que « la microcéphalie qui con- sisterait en un cerveau trop petit, mais réguli
année,l'en- fant, dont on va lire l'histoire, nous fut amené, à la con- sultation de Bicêtre, par ses parents. Il n'a p
est-elle assez in- complète, à certains égards, notamment en ce qui con- cerne la description des attaques et les modifi
et a débuté par un étourdissement. On a constaté alors, la perte de con- naissance, les convulsions cloniques, le grand
sur le ventre. La sensibilité générale, dans ses divers modes, est con- servée et elle paraît égale des deux côtés. Il
à l'hérédité une grande influence sur la production de l'affection con- vulsive. Ajoutons que cette influence s'est tro
prolongée et s'ac- compagnait généralement de l'arc de cercle. Les con- torsions étaient multiples et variées, ainsi qu
soit sur des jeunes filles atteintes de la grande hystérie et on se con- vaincra, comme nous, de la complète analogie de
tion chez Del....c'cst l'état des membres inférieurs. Il existe une con- sidérable augmentation de volume des deux genou
us indurés, lardacés, durs et criant sous le scapel. La capsule est con- sidérablement épaisssie, principalement à ses i
resse, à des degrés divers, les circonvolutions voisines. Aussi, ne con- naît-on pas encore les symptômes cliniques qui
lles mortes jeunes, avaient eu des convulsions; 10° garçon, 13 ans, con- vulsions dans l'enfance, maintenant bien portan
ent sur la na- ture duquel nous ne saurions nous prononcer et à des con- pulsions, survenues peu après la naissance chez
enfants ordinaires. Comme on le voit, nous nous trouvions dans des con- ditions tout à fait défavorables. Nous devons a
jusqu'au 14 février. Observation II. Epilepsie. - Débilité mentale con- sécutive. - Teigne. - Rougeole : accidents pulm
partir de six ans et demi, bien qu'ayant diminué de fréquence, les con- vulsions se reproduisaient néanmoins jusqu'à 2
ou- T. R. 39",8. 13 janvier. Sur les pommettes, l'éruption est très con- fluente; elle se présente sous forme de plaques
. -Soir : T. R. 40°. 17 Janvier. L'éruption a disparu. Toux presque con- tinuelle, avec oppression forte ; souffle tubai
he, autant que le permettent les cris incessants de l'enfant, on ne con- state rien d'anormal. 112 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOL
ir : T. R. 40°,4. 20 janvier. Môme état à l'auscultation. Le malade con- serve cependant un faciès normal. T. R. 39°. -
trième état de mal (pendant 4 heures). A chacune de ces crises, les con- vulsions portèrent exclusivement sur le côté ga
couchement se fit terme, avec présentation du siège. L'enfant, bien con- stitué à la naissance, ne présenta rien d'anorm
a plusieurs jours en n'améliorant. Alors que nous comptions sur une con- valescence heureuse, survient un nouvel affaiss
ier à l'infirme- rie avec une rougeole en éruption. L'exanthème est con- ROUGEOLE COMPLIQUÉE. 159 fluent, surtout à la
à la valvule. Abdomen. Foie, 700 gr. Rate, 60 gr. Les reins sont con- gestionnés, se décortiquent aisément. Teinte li
14 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
it Tardieu, au point de vue de leur peu de fréquence et je crois au con- traire qu'ils sont bien moins rares qu'il ne l'
et devenait aussi délicate -que nécessaire. Tout d'abord, pour bien con- naître cet homme, il était indispensable de fou
s du directeur-médecin. Je réussis, fort de mon droit, à prouver le con- traire, et démontrai que je jouissais de la plé
s un ordre chronologique des plus fantaisistes, devait être pris en con- sidération. Il ne fut pas jusqu'à la lecture de
prévoyant comme il me l'avait dit, que le tribunal correctionnel le con- damnerait sur la déposition de ses dénonciateur
d'autre- fois, pour éprouver ainsi, a-t-il dit, le savoir de notre con- frère. 'La satisfaction de l'avoir « mis dedans
vait pu être - retrouvé depuis son évasion, fut le 15 novembre 1895 con- damné par défaut à six mois de prison. Arrêté u
e à M. le Préfet, lI. le directeur de l'assistance publique faisait con- naître que, dans les services de son administra
clas- sique de troubles du sens musculaire par lésion des voies de con- duction centripète. C'est l'étude de cetle mala
ns les hémiplégiques nous en trouvons d'autres qui les nient et les con- sidèrent comme des quantités absolument néglige
ult-Dumay. Nous avons nous-même étudié cette question avant d'avoir con- naissance des travaux que nous venons de citer
otion de forme des objets comme l'indique du reste l'étymologie. Au con- traire, l'idée qu'évoque l'expression de touche
consan- guine : il n'est pas rare que des gens sans aucune relation con- sanguine même éloignée, soient en réalité beauc
at d'une suggestion reçue d'autrui, comme le sommeil naturel est la con- séquence d'une auto-suggestion, permet, en effe
seconde réside, en cette même constriction, à laquelle se joint une con- traction spasmodique de tous les muscles organi
ionnel de l'hypnotisme. Nous résumons ici les diverses observations con- tenues dans ce travail. 1° Observation I. - F
quelques intermittences à ce moment puis surviennent des phénomènes con- vulsifs d'une intensité remarquable, pendant le
e sont : 1° la fracture du crâne, avec phénomènes de compression et con- sécutivement, paralysie, crises épileptiformes
ndort et se réveille bien portant : il n'y avait pas eu de perte de con- naissance ; avant l'attaque il avait souffert d
e côté droit. mais surtout sur la face et le bras, et avec perte de con- naissance. Les maux de tête augmentent, la vue
a recherche à laquelle s'est livré le D'' Marty, assez délicate par con- séquent. Il a réuni dans cent observations de d
ou les contraventions à la police des chemins de fer. Ces dernières con- traventions se sont, parait-il, toutes rencontr
IQUE MENTALE. comme disait M. Doutrebente, l'hérédité des tendances con- gestives. Il suit de là que les paralytiques gé
es, de cette installation ? S'il est d'autres organes sociaux qu'il con- vienne de faire intervenir, quels sont-ils, et
moins, au minimum, que le reste de la médecine publique, en ce qui con- cerne les dépenses territoriales. En tout cas
fibres qui sont en dehors des pyramides. Dans la pyramide même, qui con- tient des fibres dégénérées, on rencontre toujo
on ait dans la spirale primaire un courant de 500 milliampères. On con- trôle avant de commencer l'application toutes l
con- trôle avant de commencer l'application toutes les fois que ce con- trôle parait utile et l'on intercale les résist
bien observé et soigneusement relaté, il entre dans d'intéressantes con- sidération de physiologie thérapeutique : 11 ra
sans indication suffisante. Et puis, il convient de ne faire aucune con- cession à la toxicomanie. Notre rôle est précis
té et aux temps modernes; les deux autres tiers concernent l'époque con- temporaine depuis 1870. « La théorie scientif
ture de ses sensations et de ses idées ne s'est reposée que dans la con- sidération des différents organes de son corps
n men- tale de l'acte à accomplir, et l'événement qui détermine les con- tractions appropriées est une image, que Bastia
au pyramidal a été combattue en particulier par Pierre Marie qui le con- 182 BIBLIOGRAPHIE. sidère comme possédant un
a cli- nique des maladies du système nerveux. Enfin M... n'a jamais con- tracté la syphilis. Il n'a jamais, en France co
monocu- laire. Pas de dyschromatopsie. Le champ visuel est rétréci con- centriquement à 50° (fia. 6 et 7). L'ouie est p
hésiques. Son intelligence est très nette, sa mémoire intégralement con- servée. Il s'inquiète de son état, s'informe de
vessie. La mu- queuse enflammée devient hyperexcitable ; au moindre con- tact de l'urine, la douleur apparaît et avec el
races d'albu- mine, des cellules épithéliales et des leucocytes que con- tenait l'urine : ces éléments anormaux sont imp
a localisa- tion des centres corticaux de ces membres. M. Sollier a con- clu par analogie à l'existence réelle des centr
fait en 1800 et ne plus reparaitre pendant les dix-sept ans qu'elle con- tinua il vivre. La cessation complète des crise
ssen- tait nullement de son accident, sauf bien entendu pour ce qui con- cerne la vision. Quatre ans après apparaissen
des sphincters ; pas trace d'atrophie musculaire; le malade est au con- traire fortement musclé. Les réflexes rotulie
olie, comme maladies différentes, indépendantes, telles qu'on les a con- sidérées et décrites depuis longtemps. J. Ségla
rement l'existence d'une maladie mortelle, et que par conséquent il con- vient de ne jamais désespérer et de faire bénéf
soit au contraire parce que le malade, immobilisé au lit, ne peut, con- trairement à ce que font les ataxiques, traumat
iques; 83 des convulsions localisées. Les autres, des accidents non con- vulsifs. Pour le même poison sur 33 chiens : 1
diffé- rente, en se composant n'amènent aucun effet local, mais au con- traire empêchent la formation des combinaisons
vomisse- ments, démarche titubante, somnolence, mais sans perte de con- naissance. Tous les symptômes se développèrent
a vingt ans, faiblesse progressive de la main gauche avec formation con- sécutive des gtiffes, il y a douze ans panaris
iliales. Le D1' Pornain préconise ce second mode d'assistance, à la con- dition toutefois que ces colonies soient le plu
s la réserve toutefois d'une séparation complète des débiles et des con- vulsifs. Nous sommes encore de l'avis de notre
éritée. Mais je m'aperçois que je me suis laissé entraîner et qu'il con- vient de m'arrêter. C'est que le sujet n'est pa
Quelques sauvages païens se mirent de la partie. Il donna enfin son con- sentement. De suite, je l'instruisis, afin de p
érébrale em- bryonnaire et entre l'écorce cérébrale bien développée con- cerne non seulement le degré de développement d
tats de nos recherches spéciales, faites pour éclaircir la question con- cernant l'apparition de l'état moniliforme cada
accidents. 23. Retour de l'anxiété, elle réclame l'aumônier pour se con- fesser, dit qu'elle est damnée, qu'il n'y aura
et quel- quefois de matières fécales, écume sanguinolente, phase de con- vulsions cloniques, ronflement et assoupissemen
les cas de folie pellagreuse, de démence paralytique et de démences con- sécutives à des processus de destruction et de
on, ne suffit pas. Bethe dit meme que chez l'écrevisse il n'a pu se con- vaincre de l'existence d'une vraie grille. Qu'i
ient. La dilatation des pupilles est, au reste, plus lente que leur con- traction. La dilatation pupillaire en rapport a
ranche- ment brun clair, les endroits amyéliniques jaune clair. Les con- tours des noyaux et leurs foyers dans les gros
1899.J En résumé, des faits qu'il a pu observer, l'auteur arrive à con- clure que le type de syringomyélie bulbaire qu'
ent dans la représentation corticale d'un mouvement. L'usage même a con- sacré le terme « image motrice » pour une parti
xoedème a suivi les symptômes du goitre exophtalmique. Ce malade au con- traire présenta d'abord les caractères d'un myx
ui traversa la cuisse gauche. Porté à l'ordre du jour pour sa belle con- duite, il reçut la croix de la Légion d'honneur
Là, devant le cercueil et en présence d'une nombreuse assistance de con- frères et d'amis, du personnel de l'établisseme
J'étais aussi de cette visite et je me souviens de la satisfaction con- fiante qu'il montrait en voyant les heureux rés
s atactica. Je dois compter ces altérations des éléments du tissu con- jonctif de la moelle épinière précisément pour
u chlorure de sodium et on y met les organes sexuels extérieurs. Je con- tinue une pareille électrisation pendant six ou
un nerf mo- teur, soit sur un muscle, produisent les phénomènes de con- tractilité. Lorsque le choc ou la pression agis
n remarque qu'un renflement persiste dans le point frappé. C'est la con- traction locale que Schiff nomme idio-22111sezi
du sang des épileptiques, mais elles n'ont pas permis de tirer des con- clusions positives. Dix fois, sur onze épilepti
liqués et intentionnels peuvent être exécutés sans que le malade en con- serve le moindre souvenir après l'attaque. Il r
hypothé- tiques. On peut admettre pourtant que l'épuisement nerVeux con- sécutif à l'énorme décharge d'énergie corticale
mps, on a défini l'épilepsie « une perte de la conscience avec état con- vulsif » et il est certain que, dans une attaqu
ave. « Les cinq enfants de Scherf ont été retirés à leur famille et con- fiés à des parents, ainsi que les trois enfants
excès tant alcooliques que vénériens. Après un refroidissement, il con- tracte une bronchite et depuis, tousse constamm
anifestement causés par des spasmes du diaphragme qui concurremment con- vulsent l'abdomen. Pas de fièvre. La digestio
EUSE. péricellulaires en contiennent deux, trois et peuvent même en con- tenir jusqu'à six. Si on songe que ce nombre ne
autour de deux volumineuses phlyctènes séparées. Même aspect de la con- jonctive gauche où l'on ne constate qu'une seul
nsion à la somnolence. Deux accès de faiblesse colossale. Jamais de con- vulsions. Diagnostic. Tumeur cérébrale probable
hologique. Au point de vue physiologique il tend a démontrer que la con- traction isolée d'un groupe physiologique de mu
es dans un segment donné de membre ne résulte pas uniquement de ses con- nexions médullaires, mais qu'au-dessus du noyau
sthésiée. Abdomen rétracté. Langue chargée ; constipation. Pupilles con- tractées. Quelquefois conjonctivite et même kér
provoquer un état réflexe du sympathique aboutissant à un paroxysme con- vulsif. L'auteur relate brièvement deux observa
nt de l'hystérie. Il ne risque aucune interprétation, et se borne à con- clure que lorsque nous connaîtrons le mode de p
n chi- rurgicale n'est jamais indiquée. La médecine pédagogique, au con- traire, doit diriger le traitement et c'est d'e
les étrangetés de leurs manies, on s'aperçoit qu'elles peuvent les con- duire au crime, à moins que par un traitement a
15 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion latérale, l'une inférieure correspondant à la région lombaire à con- vexité tournée du côté de la sciatique, l'autre
mation est loin d'être constante dans la sciatique, et même si l'on con- sidère qu'elle n'a pas été encore signalée par
t les deux membres inférieurs exercent sur le sol la même pression, con- trairement à ce que l'on voit dans la sciatique
ntérêt dans ces cas. La sciatique, au contraire , est fréquemment con- fondue avec la coxalgie qui, de son côté, amène
'dit-il, cette forme ne' diffère de t'ataxie; complète que par' la con- - servatiôn de la coordination volontaire,' c'e
mai, subi- tement, Charles se mit à marcher normalement, et depuis, con- tinua à se bien porter. Le 4 octobre, il fut re
péciale. Au lit, la puissance musculaire des membres inférieurs est con- sidérable, toutefois les mouvements se font par
n peut le brûler sans qu'il accuse une sensation outre que celle du con- tact. A la main gauche on ne constate rien de s
é. La rou- geur intense de la moitié droite de la face s'étend à la con- jonctive, au cou et à l'oreille. La joue droite
eur. La tem- pérature est plus élevée du côté droit. La pupille est con- tractée, presque insensible à la lumière. A l
ouissement marqué des parois avec dégénérescence graisseuse de leur con- 62 CLINIQUE NERVEUSE. tenu. En somme sclérose
ution de l'acuité visuelle de ce côté et une légère injection de la con- jonctive. A l'autopsie on trouva une intégrité
aration desquels il rentrait des acides, du vinaigre, du citron. On con- naît enfin l'exemple de M. Brown-Séquard, rappo
son amant les six premiers enfants sont morts jeunes à la suite de con- vulsions ; un autre est mort également jeune d'
e tourne à gauche, et alors les membres du côté gauche sont pris de con- vulsions cloniques à leur tour. Durant cette pé
anciés. Habituellement bien réglée, M. B... devint enceinte dans le con- rant de l'année 1882 en même temps que sa soeur
prit pro- longée, que toutes les personnes qu'il rencontre lui sont con- nues, une attention soutanue lui démontre qu'il
t sortie de la mémoire. Le mécanisme serait, d'après M. Rosenbach : con- ceptions erronées, émanant d'une perception sen
s sur l'action des médicaments à distance chez les hystériques. Ses con- clusions sont identiques à celles qu'il a formu
de vomissements et de convulsions du côté droit, nuque indemne. Les con- vulsions reparaissent pendant plusieurs jours e
huitième semaine) se traduisent par une tendance à l'épaississement con- jonctif (nombreuses fibres-cellules accolées le
al outillé, de voir si, dans le cours de la maladie, l'une des cinq con- ditions précédentes ne se trouve plus remplie.
lures se répétèrent. En hiver 1883, il souffrait de céphalalgie, de con- gestion des oreilles; sa vue s'obscurcissait pa
supé- rieure a l'air d'être aminci; du côté gauche,l'avanl-bras est con- sidérablement plus gros et le long supinateur s
nuque, tantôt à droite, tantôt à gauche. Objectivement : Analgésie con- sidérale dans la sphère de distribution de ne
arfois très intense. Le malade ne consultait pas les médecins et se con- tentait de fermer la plaie à l'aide de la charp
simultané- ment, pour ne durer qu'une minute ; elle était due à une con- traction qui se produisait ou dans les inteross
esthesiee forme dans le tiers supé- rieur de la main une courbe qui con- tourne la partie inférieure du thénar et vien
is de redressement ayant lieu à chaque pas. Même alors, l'extension con- sécutive à la flexion des jambes peut être à ce
nal, et alors l'ordre donné n'est pas exécuté. - Dans l'état de nos con- naissances sur ce sujet, il serait actuellement
ée des mouvements. .C'est ainsi que, dans la station, alors que les con- tractions synergiques et immanentes des muscles
à laquelle pourra succéder la contraction excessive des extenseurs, con- traction qui pourra aller même jusqu'à produire
la jambe droite reste horizontale. La tête se reporte à gauche. Les con- vulsions continuent. La face devient cyanosée.
a deuxième circonvolution temporo-occipilales paraissent assez bien con- formées, toutefois la partie médiane de la circ
raineuse, morte phthisique.- Cousin germain idiot. Frères, morts de con- vulsions. Premiers accès à douze ans. - Aura na
sez notable. Johann S..., vingt-sept ans, messager postal, ancien con- ducteur de chemin de fer, est un individu pâle,
là maladie. Il s'étend très au long sur l'anatomie pathologique. Il con- firme par ses propres autopsies celles de Kahlb
en perma- nence, le plus souvent en haut et en dedans en strabisme con- vergent. Ces deux phénomènes : frémissement vib
lus pro- longé il est vrai, présente les signes d'un amaigrissement con- sidérable. Cet amaigrissement, toutefois, ne no
ie intense, une grande sensibilité et irritabilité, peu de sommeil, con- vulsions générales sans écume à la bouche; la f
ariétés de l'attaque et nous venons de dire que c'était souvent les con- vulsions qui rompaient le sommeil. Dans toute
ieuse, chez les individus du sexe féminin, anémiés, à la période de con- valescence des affections fébriles dénutritives
e de con- valescence des affections fébriles dénutritives. Dans ces con- ditions il agit plus longtemps que la paraldéhy
ations du genou ; le malade ne pouvant se lever est réveillé et par con- séquent prévenu de son accès. P. K. V. Cas DE
calleux. On peut, de l'hémisphère droit, détacher la pie-mère à la con- nexité, sans léser la substance corticale; inté
n doute de la nature de l'état mental d'un prévenu, qu'on cherche à con- naître ses antécédents... 111. DE GAVARDIE. S
e... AI. DELSOL. Le conseil supérieur était visé à l'article 4 ; ce con- seil est voté ; par conséquent, il y a lieu de
dans les casernes, les militaires savent cela. Déjà, cette terrible con- tagion du suicide faisait des ravages. Les méde
nés en contact les uns avec les autres, il se produit une espèce de con- tagion, et que l'aliéné devient de plus en plus
dortoirs. On objectera que la dépense d'un tel hôpital serait plus con- sidérable que celle d'un des établissements gén
ira l'ataxie locomo- trice progressive du chaos dans lequel étaient con- fondues avant lui, sous la dénomination commune
racines posté- rieures des nerfs rachidiens. La plupart des auteurs con- sidérèrent alors la lésion médullo-radiculaire
s et qu'on essaie de les fléchir de force, il oppose une résistance con- sidérable. Le dynamomètre placé dans le jarret
es ongles. La sensation de position des membres inférieurs est bien con- servée. Les yeux fermés, le malade se rend très
auche n'a pas diminué de volume. Sa sensibilité à la pression et sa con- sistance sont normales. Le réflexe au chatoui
si altérées ne forment pas des centres d'où s'irradient des travées con- jonctives élargies : l'altération est limitée a
es, des attaques convulsives avec perle de connaissance. Ces crises con- vulsives ne se sont pas renouvelées depuis deux
recueillir n'est, du reste, pas assez grand pour nous permettre de con- clure à cet égard d'une façon précise. Pour ce
rescence du nerf, et partant des troubles marqués dans l'état de la con- tractilité. » DE LA PARALYSIE FACIALE. 377
quelquefois. La pariétale ascendante est volumineuse et normalement con- formée. Les plis pariétaux, sont assez bien d
t l'arrêt complet des respirations, nous avons balancé l'animal, en con- tinuant aussi la fara- disation. Par le tracé
r et des fonctions musculaires (sauf pourtant les paralysies). Sans con- sidérer les cas où ces symptômes peuvent se mon
E CRITIQUE 30 septembre. - Elle n'est plus anxieuse, mais déprimée, con- servant cependant ses idées mélancoliques, trav
ances de sa vie. - Mêmes mouvements saccadés du bras droit, presque con- tinuels. Cette malade, que nous avons perdue
us ou moins longue, devient alors très prononcée et se complique de con- tl'aclu7'e dans l'extension et souvent d'épilep
ons sensorielles (vue, ouïe, odorat, goût), avec ou sans l'atteinte con- comitante du sens chromatique et du sens muscul
oteurs (corticaux) soit dans le stade postparoxystique des attaques con- gestives, soit dans les psychoses postépileptiq
iscus- sion puisqu'on possède à la Salpêlrière le meilleur moyen de con- trôle, les malades elles-mêmes. M. Séglas, di
lement revoir les huit malades de la Salpêlrière choisies par notre con- tradicteur; pour la plupart d'entre elles, je n
s de dé- générescence. On peut les considérer comme l'exception que con- firme la règle. M. Falret ne voit dans tout c
oit à l'existence d'un faux' délire des grandeurs qu'on ne doit pas con- fondre avec la mégalomanie. A une période plus
ons très écourlées sans doute, mais dont la leclure cependant vient con- firmer ce que nous avons dit et montrer côté le
e chronique. M. Magnan donne lecture de deux observations que Morel con- sidère comme des exemples types et qui s'appliq
rits en français, il y est joint une traduction française certifiée con- forme. « Dans les trois jours de la notificat
'ils offrent plus de garanties que les asiles français, - ce que je con- teste, - mais vous au moins vous ne devriez pas
16 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s, c'est la syphilis (p. 313). Au point de vue pratique, soyez bien con- vaincu d'une chose, c'est que dans les conditio
'ai placé un carton entre ses yeux et ses pieds ; il a parfaitement con- servé sa position première. Je lui ai commandé
l n'a de cesse et de répit que tout autant qu'il a élucidé le point con- troversé. La recherche des stigmates hystériq
, et la notion du jaune disparaît alors que le rouge etle bleu sont con- servés ; réflexe pharyngien aboli; le goût, l'o
an- terie, alors que jamais rien de semblable ne lui est arrivé. Il con- vient d'ajouter que Ma... a un faible pour le t
Ce mouve- ment a été comparé à un tressautement, c'est-à-dire à une con- traction brusque qui, dans l'espèce, aurait pou
et la projection dn tronc en avant, de sorte qu'à la fin de chaque con- traction la malade retombe lourdement sur son s
SE. tenue en éveil, il s'écoulera vingt, trente secondes entre deux con- tractions consécutives. Ils se manifestent par
du type convulsif; le défaut de coordination est tiré de ce que les con- tractions ne répondent à aucun acte physiologiq
, elle reste toujours quel- ques secondes sans présenter la moindre con- traction ; aussi, dans ces intervalles de repos
ingués... Nous avons donc dû utiliser, pour le diagnostic, d'autres con- sidérations que nous grouperons sous les quatre
ait étirée fortement vers la gauche, l'orbiculaire droite fortement con- tractée, les mâchoires serrées de façon que pen
sfaisante, 'hémianesthésiesensitive complète, l'anesthésie des deux con- jonctives, la perte bilatérale de l'odorat et d
le trauma souffert par B... quatre ans auparavant et son hémiplégie con- sécutive. En d'autres termes, en connaissant à
base droite sans infarctus. Congestion rénale et hépatique. Légère con- gestion de l'encéphale.-Coefficient urotoxique
a faith- healing s'exalte de plus en plus, par auto-suggestion, par con- tagion de voisinage, sorte d'entraînement incon
teinte de pied bot. Ce moule reproduisait exactement la figure bien con- nue de la contracture hystérique du membre infé
Fourcroy et de Marie-Anne Couronneau, atteintes de paralysie et de con- tracture hystérique. Je prends ces deux faits a
stupeur iypémaniaque, la lypémanie, la manie avec agitation ont, au con- 1 02 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. traire, une
e membrane adhère aux sutures et communique, par un mécanisme qu'il con- vient de rechercher pour chaque individu (car i
un objet dur, le coup a porté sur la partie cervicale ; après cette con- tusion se développe le tableau clinique d'une m
1 1 - ; Les sections d'agités, de malades soumis à la surveillance con- tinue (observation médico-légale), de nouveaux
'un stage obligatoire pour les étudiants dans un service d'aliénés, con- sacré par un examen. Cette mesure, appliquée da
'en viens immédia- tement à l'incident qui fait qu'il est venu nous con- sulter. Il fit le 11 janvier dernier une singul
e d'une lésion né- vritique que l'état des réflexes tendineux et la con- tractilité électrique des muscles rendent inadm
u bras ont subi un commencement d'atrophie, qu'ils sont le siège de con- 172 CLINIQUE NERVEUSE. tractions fibrillaires
A été soldat de vingt à vingt-trois ans. Lorsqu'il passa devant le con- seil de révision, aucune remarque ne fut faite
'il était atteint du mal de saint Gilles » et il fut question de le con- duire en pèlerinage près la statue de saint Gil
on est frappé de la coloration, de la consistance et de l'atrophie con- sidérable qu'ils présentent. Ils revêtent tous
n'en est pas de même en ce qui concerne ceux de l'avant-bras, où le con- traste est saisissant entre les muscles atrophi
yper- plasies circonscrites du tissu conjonctif, soit enfin fuseaux con- jozctifs (Bindegewebspindel). Bien que pour t
E 213 et l'autre locale unilatérale, ou bilatérale, sont réunies et con- courent à la même expression symptomatique qui
r cas. Les neurasthéniques, dont l'oreille est atteinte de sclérose con- firmée, voient les crises de vertige apparaître
flexe est perdu ; il y a donc autre chose ; c'est sur le trajet des con- ducteurs des actes réflexes que se trouve sans
es- tion cérébrale. - Cousin germain, mort de convulsions. Soell1', con- vulsions de l'enfance. - Autre saur, morte de c
gzjleur par ce qu'il a des impulsions à donner des gifles, fait des con- torsions de la face, indice d'un effort, avant
ions le résumé de tous les travaux qui paraissent dans les journaux con- sacrés à /'aliénation mentale et à la Neurologi
sont dans leur nature pathologique ab initia ; que nos facultés de con- fiance et d'affection sont si ridiculement au-d
- dère plutôt l'utilité des constructions que leur architecture, le con- fort des malade plutôt que l'orgueil des comité
par une atteinte des nerfs périphériques, tandis que les phénomènes con- vulsifs et le phénomène de Trousseau se rattach
ciation. La réaction traumatique de Rumpf, c'est l'onde contractile con- sécutive à la cessation de l'excitation indirec
ort, été atteinte de diphtérie scarlatineuse. C'est au moment de la con- valescence de cette dernière affection que se p
ures par paralysie des centres respiratoires. - L'autre observation con- cerne une dame qui après avoir tenté de s'empoi
- directeur peut seul remplir ces indications; il suffit, pour s'en con- vaincre de lire les comptes rendus et les publi
dans la prochaine séance nous fasse des propositions fermes et qui, con- formément au souhait de M. Gûrich, nous donne u
ent été trépanés avec un certain succès, mais il n'avait pas grande con- fiance dans cette opération, et conseilla aux p
er. Au point de vue étiologique, il relève l'influence des attaques con- vulsives et de leurs diverses variétés, l'influ
ul- gaire aurait un caractère d'intensité invariable, tandis que la con- tracture psychique serait moins marquée et plus
gents. M. Richer, passant ensuite à la physiologie pathologique des con- tractures et des paralysies hystériques, défend
ravail d'ensemble, le plus complet qui ait été encore fait, à notre con- naissance. P. S. IX. Syphilis du système nerv
raite- ment de 2,000 francs, outre le logement et la nourriture. Le con- cours est sur titres ou sur épreuves, suivant l
mpoisonner ». Le juge Barnes a repoussé la demande en séparation et con- damné lady Abdy à tous les frais du procès. A
oyen, sept.) La consommation DE l'alcool EN France. -En 1870, on ne con- sommait en France que 585,000 hectolitres d'alc
édule. Il s'est mis à frapper violemment Livernash, mais celui-ci a con- servé son immobilité. FAITS DIVERS. 319 L'a
gauche. Mouvement de l'épaule. Le deltoïde et le grand pectoral se con- tractent faiblement il est vrai, mais enfin, il
nt relative- ment exceptionnelles; nous avons cependant pu, avec le con- cours de notre ami, M. Souques, examiner, à la
hthal- mique. 21. Attaque de migraine ophthalmique avec injection con- jonctivale, scotome scintillant qui d'abord plu
coup il tomba sans connaissance. Relevé quelques instants après et con- duit par un agent de police dans une pharmacie,
et les mou- vements et ne s'étendait qu'au membre inférieur, où par con- séquence le tableau clinique rappelait notre ca
e, toutefois et changeante, qui fait son apparition au milieu de la con- fusion des phénomènes conscients. Ces faits son
rescrites. 3° L'action du médicament sur l'état général somatique a con- sisté dans le relèvement de la nutrition et la
ie in- termiltente, contenues dans cette seconde édition, sont trop con- nues pour qu'il soit nécessaire d'y revenir : e
r M. Ma- gnan n'en observe jamais dans son service où les moyens de con- tention sont radicalement supprimés. 3° Le st
va- leurs conventionnelles ayant cours dans l'asile pourraient être con- verties en argent. / M. Mercier ajoute d'aill
nger. Le livre qu'a écrit le Dr Prince sur ce sujet est à propos et con- tient des conseils de grande valeur. Il établit
ne sont que des idées générales, des résumés qui doivent seulement con- tenir le plus grand nombre de faits possibles.
rique les états secondaires et les phénomènes subconscients, et les con- sidère comme caractéristiques de cette maladie.
in- tervalles : il s'écoule plus d'une minute entre deux occlusions con- sécutives; si on veut maintenir leurs bords app
ia; ; aussi M. Savage constate-t-il au début de son travail que les con- séquences névropathiques de l'influenza ont été
. NOLAN. (Ibid.) Le premier de ces deux mémoires, assez étendu, est con- sacré à une étude générale du syndrome habituel
ser- vations faites par l'auteur dans le service de M. Voisin l'ont con- duit à penser que cette méthode n'a que des ava
il a trouvé de l'albumine un grand nombre de fois, 32 p. 100. Il en con- clut que l'élimination des toxines est moins ac
y a donc dans l'espèce idée fixe, puis délire des persécutions, et con- curremment, mégalomanie sous forme de délire or
iaux entre autres pour l'étude spéciale du rôle que jouent dans les con- duits visuels les ganglions optiques subcortica
17 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'hématose et produisant une intoxication carbonique qui aurait pour con- séquence la miction involontaire. Mais tous les
ion. Bref, une partie de leur activité psychique semble échapper au con- trôle de leur personnalité consciente faiblemen
rinaire. « La filiation; toute logique, continue-t-il, est facile à con- cevoir. Les incontinents nocturnes urinent sino
mpagnée. Des auto-suggestions contraires contribuaient sans doute à con- trarier l'efficacité de la suggestion hypnotiqu
aircir et prendre un air de santé et de vivacité intellectuelle qui con- traste singulièrement avec l'aspect antérieur.
ert de rachitisme, mais a guéri. A trois ans a eu quelques attaques con- vulsives avec perte de connaissance qui ne se s
cerveau est amoindrie; 4° que l'opium augmente la quantité de sang con- tenue dans le cerveau, ce qui a pour résultat,
om- meil sont de nature épileptique et voit dans son observation la con- firmation de ce fait, à savoir que la narcoleps
jet de l'ollgille de ses fibres, interprétation qui, on le verra ne con- corde pas entièrement avec la nôtre. Sur la m
TOMIE. antérieure dite cornu-commissurale exisle toujours mais déjà con- fondue avec les fibres radiculaires qui ont fai
de ce qui releve des faisceaux endogènes. Toutes ces fibres sont en con- tact immédiat et on ne peut pour l'étude que no
dans la subs- tance grise. Hâtons-nous de dire que cet auteur admet con- curremment l'existence de filets radiculaires d
édé donne à son ami l'ordre de se taire, celui-ci n'en fit rien, au con- traire. V... en le reconduisant, avait pour but
t, l'hystérie; d) l'impulsion s'explique par une faiblesse intense, con- génitale ou acquise, de l'idéation en même temp
rmal et même, à priori, la physiologie semblerait faire présumer le con- traire. Quant aux victimes d'une tare héréditai
nsieurs années, montré que les malades de ces asiles, même des plus con- sidérables d'entre eux, n'avaient que des soins
137 cultes, un bureau où seraient centralisées toutes les affaires con- cernant l'existence des aliénés. Ce bureau devr
pas démontré qu'il s'agisse là d'un trouble fonctionnel, puisqu'on con- naît la fréquence de la « névrite dégénérative
générale. M. JOLLY fait remarquer qu'un certain nombre des opinions con- tradictoires qui ont été émises peuvent être ex
sont incapables de s'en tenir à la question en cause; leurs preuves con- sistent dans une pure logomachie et non dans un
e des persécuteurs ne se traduit pas qualitativement. parce que son con- tenu ressemble assez aux conceptions normales.
es sentiments affectifs. Au point de vue médico-légal il fallait en con- séquence, comme l'a formulé tout à l'heure Mend
ns sur lesquelles s'appuient les malades sont parfois impossibles à con- trôler ; elles ne constituent d'ailleurs pas le
ce sont les réactions pathologiques qu'elles provoquent qu'il faut con- sidérer. La folie des persécuteurs, qu'il s'a
né- vrosés, aux affaiblis intellectuels, aux dégénérés qui ont agi con- trairement aux lois morales et sociales. (Ameri
elques-uns de mes malades qui, avant de suivre notre traitement, se con- damnaient à un repos presque absolu et nullemen
certaine amélioration de l'incoordination sera toujours possible, à con- dition qu'on n'institue pas le traitement en pl
ce, son ataxie s'améliore de plus en plus grâce aux exercices qu'il con- tinue à faire tous les jours. La malade de l'
pidement le résultat de notre traitement sera à peu près nul. Si au con- traire nous nous trouvons en présence de ces ca
s que par les cas qu'on peut observer dans les maisons spécialement con- sacrées, au traitement des maladies mentales.
té- riorisée. Or, cette proposition n'est pas exacte ou du moins ne con- tient qu'une partie de la vérité. A l'état norm
ini et que, de plus, elle correspond d'une façon presque absolument con- stante à la sclérose des cordons latéraux. ,
'hos- pitalisation spéciale tendent à la suppression des marques de con- traste physique. IV. - Les nécessités du trai
s per- sonnels aucun accident pathologique grave ; il n'a pas eu de con- vulsions dans l'enfance et il aurait été épargn
qui agitent le reste du corps : d'une façon générale, les accidents con- vulsifs y affectent une forme atténuée et parfo
étant assis ou même debout, peuvent faire complètement défaut. Ils con- sistent en mouvements de flexion et d'extension
olon- tiers, il n'éprouve aucun trouble du langage, aucune secousse con- vulsive dans les territoires musculaires, habit
s encore. Pendant que le malade est sous le coup des manifestations con- vulsives, il éprouve toujours une sensation de
nombre des malades présents au début de l'exercice, les admis, les con- gédiés, guéris, améliorés et stationnaires, les
ital ? Serait-il à propos, selon vous, d'avoir un corps de médecins con- sultants ? 27. Décrire la marche suivie habit
t-on ? 2 38. Exposer vos idées sur la convenance et la valeur de la con- trainte mécanique dans le traitement de la foli
que les draps de protection (système formulé par Miss Crâne sur les con- seils du Médecin-Directeur de Middletown State
te- ment l'exaspère, alors que parfois une pression large, forte et con- tinue la modère. Les émotions vives provoquent
matié et que les muscles innervés par le cubital étaient atrophiés, con- séquence de l'intervention chirurgicale sur le
ons dues aux contractions isolées et successives des fibrilles, ces con- tractions sont indépendantes du tremblement, el
et tremble- ment du membre supérieur également du côté gauche. Puis con- tracture de Ja main gauche qui disparait alors
du cou. Ilypereslhésie ovarienne double. Anesthésie complète de la con- jonctive, même sur la cornée ; champ visuel trè
ange. Les mouvements réflexes et d'accommodation de la pupille sont con- servés, les muscles ciliaires et iridiens ne so
e secrétaire général du Congres, enfin de 4 internes, nommés par un con- 324 SOCIÉTÉS SAVANTES. cours sur titres'. Il
ades 2. L'encombrement existe aussi à l'asile. Il serait curieux de con- . naître le cube d'air des dortoirs. Partant, il
ES. 327 pitié pour nos malheureux frères dégénérés, qui a obtenu du con- seil général de Meurthe-et-Moselle, les ressour
sti- tuent l'expression d'un état psychopathique, ils dépendent des con- ditions fondamentales de l'organisme humain et
eut-être l'apparition du tremblement. L'auteur termine par quelques con- sidérations sur le diagnostic différentiel, le
e très raisonnable de ['abstinence des spiritueux en préconisant au con- traire l'usage exclusif et modéré des boissons
er l'attention de nos lecteurs. Il est urgent que tous les citoyens con- vaincus de l'imminence du péril favorisent des
'avec la pointe du pied. Une fois debout la malade est incapable de con- tracter un seul muscle de cette jambe. On les s
normale. 3lotilité. - Les muscles des bras et des jambes sont bien con- servés et la force musculaire est très bonne. R
la sensibilité est obtuse. Le pincement et la piqûre sont toujours con- fondus. Tous ces troubles existent aussi au tro
temps en temps les genoux fléchissent brusquement et les pieds sont con- tinuellement agités de mouvements. Le pied gauc
econdes. Les jambes sont maigres, mais la force musculaire est bien con- servée. Rien d'anormal aux articulations. Quand
. Enfin, le New-York Herald y envoya également un délégué. Dans ces con- ditions, l'enquête ne pouvait manquer d'être sé
rusque des symptômes : toutefois, même en démence, les épileptiques con- servent leur caractère sournois et perfide. (Am
e 1895.) La partie originale de cet article nous paraît être ce qui con- cerne le traitement moral. Il s'agit d'abord d'
- 1 Tout semble indiquer, au contraire, que le cinquième asile sera con- sacré aux aliénés, et ce sera sage. 400 BIBLI
Bnyeux. « Notre frère Hugues, neveu de l'abbé de Lon... * que vous con- naissez parfaitement, puisqu'il a été élevé par
olisme, avec lesquelles elles ne pourraient' être que difficilement con- fondues. Les visions des mystiques sont, d'aill
es extases réitérées pour ainsi dire à volonté donnent au malade la con- viction qu'il est en communication suivie avec
mité soit une compensation au délire mélancolique elle en marque au con- traire le degré le plus excessif... et reste to
cerveau moteur. Le premier pose des questions auxquelles le second, con- sulté, répond automatiquement. Un dynamisme psy
liénés. Ces placements se font d'ordinaire surpétition des parents, con- firmée par des certificats de la commune et une
nt encore que des malades, puissent recevoir le traitement qui leur con- vient, on peut craindre que l'état de folie ne
our les aliénés. Une infirmière. La nommée Dion, Marie, épouse du con- cierge, le sieur Duchemin, logée, non nourrie e
a charge du bureau de bienfaisance à partir du 1er janvier 1828. Le con- cierge, l'infirmier et l'infirmière chargés de
de céphalée chaque fois qu'elle quittait son ! le pour aller sur le con- tinent, et ensuite, pendant les douze ou quinze
té- ressant la corde vocale droite. Les recherches de l'auteur sont con- firmatives de l'opinion de Semon et Horsley d'a
laires et synoviaux, par exemple, sont facilement provoqués par des con- tractions exécutées dans une attitude défectueu
ait répréhensible, mais encore s'il a été capable de le diriger, de con- trôler sa conduite. (The alienist and neurologi
éagis- saient d'une façon plus naturelle et plus vraie, sans que la con- naissance de ce qui devait se passer et l'imagi
ans la plupart. Partout où cet enseignement spécial est donné on en con- sidère les résultats comme satisfaisants. Il en
VARIA. M. P. Richer. Les deux observateurs sont d'accord en ce qui con- cerne l'abaissement de l'épaule droite, mais la
vous ne voyiez là qu'un surcroit de fatigues non justifiées. Enfin, con- vaincu que l'intérêt des malades, que le bon fo
re qui montrent la nécessité, pour tous (médecins, administrateurs, con- seillers de tout genre, députés, etc.), d'étudi
18 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
plus forte raison, à ceux de son extrémité postérieure ne sont, au con- traire, que des fragments de faisceaux dont le
si facilement, en relief, on arrive bientôt à se convaincre que la con- tracture musculaire n'est pas due seulement à l
es résultats suivants : a) Le choc tendineux modéré est suivi d'une con- traction prolongée. 6) Un choc un -peu violen
traction prolongée. 6) Un choc un -peu violent produit d'emblée la con- tracture permanente. y) La contracture perman
e nous trou- vons la malade plus excitable que le 7 février. La con- tracture à peine pro- duite devient du même
es et un sou- bresaut de tout le corps accompagné d'une respiration con- vulsive. 54 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. En ré
sou- plesse. Dans une seconde expérience de généralisation de la con- tracture à la suite du choc répété sur le tendo
flexion. Les membres inférieurs dans ce cas ne participent pas à la con- tracture. Les recherches faites au sujet de l
mènes de l'hyper- excitabilité neuro-musculaire, c'est-à-dire de la con- tracture musculaire obtenue à l'aide d'une simp
contraction réflexe, de même que la contracture, se généralise. Au con- traire, chez les malades qui présentent à un ha
OGIE PATHOLOGIQUE. Sous l'influence de cette excitation, la main se con- tracture dans une attitude spéciale, se rapproc
existe, à la face profonde du grand pectoral, du tissu celluleux en con- tinuité avec le tissu celluleux sous-deltoïdien
différent. Là, il y a place encore pour la discussion, mais dans le con- flit de motifs, la prépondérance est assurée d'
été autre- ment maladive; il n'a jamais eu, au dire de la mère, de con- vulsions, mais à l'âge de huit ans, fièvre typh
olta a fondé sa théorie. Elle établit que le fait seul de mettre en con- tact deux métaux différents les constitue chacu
'or ; si l'on applique une pièce de ce métal, on peut facilement se con- vaincre, à l'aide d'un électroscope, qu'elle pr
emporaine. Deuxième objection : la loi des tensions ne régit que le con- tact des métaux, de quelques solides et d'un pe
ns et une théorie la distance est grande. Dans l'état actuel de nos con- naissances, est-ce préciser ou expliquer quelqu
ualités d'aesthésiogénie à la polarité électrique résultant de leur con- tact avec la peau. Cette conclusion nous auto
ia- azesthésies accompagnées d'hémiplégie motrice, d'hémichorée, de con- tracture et sur leur curabilité par les oesthés
e forts grossissements. Elle fait suite au nerf de Wrisberg, qui se con- tinue avec elle sans interruption, à travers le
nterne. M. CHIiISTIAN, rapporteur de la commission du prix Aubanel, con- clut à ce qu'il ne soit pas décerné cette année
pale- tots dans un café. Un an après, il commet le même vol et est con- damné à huit mois de prison. Il se marie au moi
e, et sur les voies et moyens, d'ordre surtout administratif, qu'il con- vient d'adopter pour obtenir des comptes rendus
mme une monographie du délire aigu à laquelle l'auteur a apporté le con- ,tingent de ses recherches personnelles. H. de
onseil général n'avait même pas le droit de fixer les conditions du con- cours pour les employés des asiles d'aliénés. D
res départements. II serait donc à désirer qu'une nouvelle loi vint con- cilier les intérêts de ces fonctionnaires et ce
s études ont été publiées sur ce sujet, mais elles ont abouti à des con- ceptions si peu nettes et si compliquées, que,
résent mémoire a pour objet de mettre en évidence, comme absolument con- traires aux conceptions précédentes, sont les s
intention n'est pas de nous arrêter ici, soit sur les procédés bien con- nus *de durcissement (acide chromique et alcool
oyen on peut facile- ment obtenir des coupes dans lesquelles soient con- servées, dans leurs rapports, les parties les p
ne surface de sec- tion nette pour les coupes suivantes, ce procédé con- siste, disons-nous, à faire couler sur cette su
, sur cette photo- graphie, la corde saillante formée par le muscle con- tracture dont les deux extrémités, en se rappro
masse (tandis qu'à l'aide de la faradisation il est facile de faire con- tracter isolément les différents faisceaux d'un
déplacer le rhéo- phore d'un ou deux millimètres pour éviter cette con- traction complexe; 2° De l'emploi d'un couran
parfois un certain temps après l'excitation, de façon à rappeler la con- tracture des membres; mais, le plus souvent, le
ysionomie se contracter, ! et, suivant le point de l'excitation, la con- traction s'accuser, davantage dans les muscles
gauche. ,, ,, La même année,M.Robin, dans sa thèse d'agrégation, a con- sacré un chapitre à la cécité des mots. L'auteu
elle réunissait facilement en syllabes et mots les lettres qu'elle con- naissait déjà. En cherchant quelquefois le nom
NERVEUSE. dans ses lignes et dans ses mouvements, fait un singulier con- traste avec la joue gauche. La langue est égale
, 1880.) I. Il s'agit ici de ces viscéralgies idiopathiques souvent con- fondues avec des lésions organiques, et, d'auta
auraient, toutes choses égales d'ailleurs, 23,1. Les renseignements con- cernant l'état du cerveau, bien que laissant en
idées, des illusions sensorielles, de l'incontinence d'urine, de la con- fusion des personnes' qui lui sont chères, de l
, à la suite d'une paralysie complète du côté gauche accompagnée de con- tracture de la tète à gauche et en haut, de par
t. 1 1 . ? L'auteur' admet que les liquides injectés parviennent au con- tact immédiat du cerveau ; dans toutes les auto
sion dune suractivité de Jart sphère mentale ; elles proviennent au con- traire de l'épuisement de ce département, c'est
mettre en évidence un procédé fidèle pour rechercher l'albumine. Il con- a.rsiste-à à faire,subir, à l'urine les traitem
1 Heures,, lui 1 fournit un, autre argument contre l'opinion de la con- ception irrésistible mise en avant. Il ),,1,1 1
ns^» périr en pleine jeunesse, en pleine victoire dans un laborieux con- cours, Henry CLOZEL DE BOYER. ' . C'est à l'h
uë, une revue critique sur la thermométrie cérébrale, fort utile à' con- sulter, et justement estimée, un grand nombre d
nviée ; un brillant concours, bien qu'encore inachevé, ouvrait sans con- teste à H. de Boyer les portes du clinicat; mai
19 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
\Villis, etc.). Pinel et Esquirol n'ont fait à ce point de vue que con- firmer les observations de leurs devanciers, et
démence précoce. Telles sont les principales considérations qui ont con- duit Kroepelin à réunir et à grouper sous une s
ligature élas- tique, puis qu'aucun autre traitement n'a été suivi con- curremment, et en particulier, que l'action de
l'.IOâ.) Il s'agit d'une jeune fille qui ne présentait aucune crise con- vulsive, mais qui peu il peu en vintà ne pouvoi
s lésions d'arterite hypertrophique généralisée avec rétrécissement con- sidérable de la lumière des vaisseaux, sans thr
nce de la tuberculose dans les formes hébéphréno-cafatoniques. lien con- clut que la démence précoce doit être considéré
Téurite ascendante. MM. LIONNE et CHART1ER.-lenune,nrite ascendante con- sécutive à un traumatismo infecté du doigt. Le
ar 31. Pamart sont très encourageants et je le prie de bien vouloir con- tinuer à me seconder dans cette voie qui s'anno
lement aux cas désespérés où l'insuccès est inévitable ; il faut au con- traire y recourir avec discernement et ne pas i
sa visite réglementaire, soit toujours tenu au courant de tous les con- damnés qui y sont hospitalisés afin qu'il puiss
au niveau d'un sillon profond (fig. 10, en arrière de Parc) qui se con- tinue en bas presque jusqu'au corps calleux, au
en 2 branches qui limitent en avant un pli très large et fortement con- tourné : celui-ci (¡¡ po), situé sur le bord de
d'hirondelle, qui représente à ce niveau le corps calleux ; il est con- tinué par une saillie à peine visible (nerf de
es céré- hcllcw supérieur et inférieur étaient reconnaissables mais con- sidérablement atrophiés. 11 y avait en outre de
normal était ainsi réservé à l'hémisphère gauche, plus long que son con- génère de 7 millimètres. D'ailleurs l'asymétr
lation d'atropine est faible et s'accompagne de troubles du réflexe con- sensuel. En revanche, ainsi que Toulouse et Yur
piète soit sur le bord interne, soit sur le bord externe. C'est une con- séquence des déformations et des irrégularités.
xamen de l'oeil doit-il être fait par plusieurs observateurs qui se con- trôleront réciproquement L'aide d'un ophtalmolo
est indispensa- ble aussi d'examiner des yeux sains, afin de ne pas con- fondre les altérations sans importance diagnost
une infec- tion ; 2° L'hyperglobulie est la traduction d'un état de con- centration moléculaire du sang ; 3" Il est inté
jets atteints d'affections du système nerveux (méningite chronique, con- fusion mentale, démence précoce, stupeur mélanc
gues séries. Quant à la question des variétés leucocytaires, j'y ai con- sacré des développements suffisants, je pense,
iplégies et paraplégies lacunaires.De mon observation il résulte,au con- traire,que le réflexe de Babinski se produit, h
La maladie diminue la résistance de la cellule nerveuse, exalte, au con- traire, l'activité de la cellule névroglique. L
sile-pri- son. Tout danger disparaît ainsi. La société se garantira con- tre ce demi-fou plus longtemps parfois que cont
orbut atténué. La première malade, jeune femme de 27 ans, était une con- fuse, alternativement excitée maniaque et dépri
(prolon- gements bipolaires) grâce auxquels chaque cellule entre en con- nexion avec les cellules voisines. 2° Les neu
e corres- pondante. En somme, de toutes ces recherches se dégage la con- clusion suivante : l'hémiatrophie crânienne est
scicule Il. Ce travail accompagné de planches, a amené son auteur a con- sidérer que les poules soumises à l'alimentatio
ordinaire. 11 suffit, pour les produire, d'une quantité de bromure con- sidérée comme moyenne au cours d'un régime ordi
er- rière et puis le soulevant à la hauteur d'un mètre, l'a fait se con- tusionner très fort à la nuque ; puis il est to
s toujours avec une dégénérescence des faisceaux pyramidaux, et par con- séquent,dans les cas de compression,on guérit a
, de pas- ser quelque temps auprès d'elle. Le malade interprète ces con- seils dans le sons d'une fin de non-recevoir, d
ux- quelles il se voit soumis, sont autant de tracasseries dirigées con- tre lui d'une manière toute spéciale. lise dé
e à coor- donner les divers éléments de son malaise. Il arrive à se con- vaincre que tous ces ennuis lui sont suscités p
ciables, sauf l'embarras gastrique, et qui se caractérisait par des con- tractions toniques et cloniques, ayant en même
le congrès de 1907 un vice-président qui sera de droit président du con- grès de 1908. Le vice-président élu est le Dr C
e dans l'autre il existait une syphilis conjugale ; ici encore, par con- séquent, le traumatisme, s'il était pour quelqu
conté la pé- riode de progrès, nous avons pensé utile de vous faire con- naître la période de déchéance. Permettez-nou
es épilep- tiques admises à la Salpêtrière avec la même statistique con- cernant les aliénés de cet hospice, nous avons
corps qui a été regardé comme de la choline. Or, des recherches de con- trôle que j'ai faites avec M. Blanchetière, il
s mem- bres. Il y a lieu de distinguer deux variétés de micromélies con- génitales : l'achondroplasie vraie el la dystro
vante : 1» Essayer d'abordle traitement électrique par les courants con- tinus de haute intensité ; 2° si le résultat n'
1905.) , Les auteurs définissent, avec Vantait', la myoclonie : une con- traction forcée, brusque, incoordonnée il répét
maintenant de poursuivre leur oeuvre néfaste en réalisant, pour la con- tagion mentale et la folie gémellaire, la confu
ui sollicite de se réaliser et qui ne peut le faire que si d'autres con- ditions tout aussi nécessaires sont données. El
ir à eux seuls la réalité des singuliers phénomènes de la troisième con- dition formulée parle Professeur Bail, et que n
n effet, il n'a pas été difficile à l'aliéniste de Moscou, dans ces con- ditions, de rassembler 29 cas de ce qu'il appel
l'exemple est de toute évidence, on étend la signification du mot « con- sanguinité » comme on a étendu celle des mots «
be pour le moins qu'il aurait dû dire. Donc là où il n'y a rien, la con- sanguinité, au point de vuepathologique, est ab
quoi bon in- voquer l'action de la double gestation et celle d'une con- sanguinité qui n'existe même pas ? Y. -Nous a
e du protoplasma primitif qu'il a reçu en héritage, protoplasma qui con- tient en soi, par un mécanisme encore inconnu,
attachantes. Mais nous aurions mauvaise grâce à insister, tous ici con- naissent Bourneville et apprécient son cenvre.
normale. La Société protectrice de l'enfance anormale de Belgique a con- sacré sa 4° conférence annuelle ù l'étude des p
n pro- (1) C'est à M. T. Jonckoere nue nous devons l'envoi de celle con- férence, qui a d'abord paru dans les Archives d
a lutte anti- tuberculeuse ; nous le trouvons en tête de toutes les con- clusions de travaux des spécialistes, des rappo
toirs, divisés en chambres ouvertes pour faciliter la surveillance, con- tiennent chacun 26 lits et sont augmentés de qu
mpor- taient tous, en outre de la phobie, quelque trouble somatique con- comitant : spasmes respiratoires, hypertrophie
de mer chez les animaux, lesquels subissent aussi l'influence de la con- tagion. Celte question est maintenue à l'ordr
e, nous sont un sur garant des résultats intéressants auxquels nous con- duira son amélioration progressive. M. Charon
cunes qui existaient encore à l'asile de Dury, et assurera dans des con- ditions satisfaisantes le traitement des maladi
du para- mètres. L'augmentation de b sous l'influence de l'alcool con- firme la signification physiologique attribuée
iaux ternaires, facilement assimilables, ce qui permet au muscle de con- - - ~ tinuer encore le travail sans la nécessit
écanisme de cette action est donnée par l'augmentation de b. On est con- duit à admettre une action excitante de la café
rôle du méde- cin est de recueillir les courbes dans les meilleures con- ditions possibles. La grande difficulté mathéma
otre ma- lade ; la quatrième, fille de 8 ans, bien portante, pas de con- vulsions ; la cinquième morte d'une pneumonie t
frontale et plus exactement au niveau du sillon en H. La tumeur ne con- tracte aucune adhérence avec la pie-mère cérébr
ette, tapis- sées intérieurement d'une membrane lisse, verdâtre, et con- tenant de la bile. Ces cavités représentent cer
idation est même si développée que cet état psychologique peut être con- sidéré comme la manifestation initiale d'une 1&
autoch- tones et les Américains d'origine anglaise. Les premiers ne con- naissent,pour ainsi dire,pas la timidité ; les
te à laquelle elle s'est effectuée et une double mention me faisant con- naître, d'une part, s'il s'agit d'une personne
- même. Dans l'ivresse qui obscurcit la conscience et supprime le con- trôle de la raison, on voit apparaître brutalem
20 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
des aliénés de, l'hospice de Bicêtre, est, on le sait, spécialement con- sacrée aux enfants. Les enfants y sont répartis
pour l'achat de jouets collectifs. Le but de cette création est de con- tribueràl'occupation constante des enfants, de
Auparavant l'ensei- gnement se faisait au gymnase couvert dans des con- ditions assez mauvaises ; maintenant il pourra
de croquet. Promenades. - Deux fois la semaine, les enfants sont con- duits en promenade, sous la conduite des instit
tion des diplômes aux Ecoles municipales d'infirmières, a prêté son con- cours aux fêtes données dans l'hospice do et
ce. - Espérons que ces visites auront des conséquences heureuses et con- tribueront à rendre plus facile l'organisation
lasses, les travaux professionnels n'ont pu se faire dans de bonnes con- ditions. Le tableau ci-après donne le produit m
ions ; chauffage. ' nées dramatiques organisées par les garçons, au con- cert des frères Lionnet, etc., etc. Estimant
ire qu'on établit de nos jours entre les enfants des deux sexes est con- traire à la nature, nous n'avons pas hésité, en
lles conditions. M. Trélat ayant insisté afin que nous lui fassions con- naître nos idées sur l'organisation d'un asile
mission sur l'utilisation des terrains. Dès que ces vues lui seront con- nues l'administration se mettra il la dispositi
euses, de savoir qu'elles seront les nouvelles dispositions légales con- cernant les enfants ? Nos délibérations doivent
ouveau service des enfants idiots et épileptiques, afin d'éviter la con- struction d'égouts nouveaux, ce qui aurait été
actères de la puberté, par leur apparence infantile ne peuvent être con- sidérés physiologiquement ou médicalement comme
de la com- mission, a dépensé les vingt francs qui lui avaient été con- fiés, et deux fois a été ramassé ivre-mort sur
le clinique. La seconde modification à introduire dans le règlement con- siste dans l'application à tous les placements
l'ob- jet d'un placement volontaire dans un asile de la Seine ; ils con- testent même la légitimité des placements d'off
ils con- testent même la légitimité des placements d'office qui les con- cernent, prétendant que l'internement de ces en
vons rap- pelées au début de ce rapport (1). Elles sont d'ailleurs, con- formes à l'esprit et à la lettre des circulaire
t rien au fond des propositions qui vous sont faites. Nous avons la con- viction que les mesures proposées par l'Adminis
qu'il y avait lieu d'apporter des modifications au règlement actuel con- cernant ces placements. L'Administration a so
bord cubital. L'enfant ne reconnaît personne, ne parle pas, et gâte con- tinuellement. L'examen des organes des sens, en
t normal. Le sillon de Rolando est moins marqué. FI et F2 sont très con- tournées et unies par trois plis de passage per
tubercules, mais le cul-de-sac de Douglas en est couvert. La vessie con- tient 15 gr. de liquide. - L'utérus est long de
arfaite santé. Notre malade. - Rien de particulier à l'époque de la con- ception. - Grossesse bonne. - Accouchement natu
ce vite. Il compte par unité jusqu'à 100 et par deux jusqu'à 50; il con- 42 Description du malade. ' * naît l'heure, l
il a quatre autres accès après chacun desquels il a repris aussitôt con- naissance. Il a mangé avec bon appétit, et le s
é, du côté paternel comme du côté maternel, peut être ici nettement con- sidérée comme cause prédisposante de l'état men
ée, mais quoique libre à l'heure actuelle, elle est incapable de se con- duire; il est question de la faire interner de
réditaires. passé. Caractère calme et placide. Fumeur passionné, il con- somme pour 1 fr. 50 de tabac par jour) ? ) Il n
o-encéphalite, constatées à l'autopsie et c'est aussi à elles qu'il con- vient d'attribuer l'épilepl : 51e. IV. Nous a
aravant ; 5° garçon, mort à 10 mois de la coqueluche, n'a pas eu de con- vulsions, était bien constitué ; - 60 garçon, 1
s et intel. ligents ; - 10° garçon, mort du carreau à 3 ans, pas de con- vulsions, intelligent; 11° fille, 6 ans, saine,
pè¡'e maternel, suicidé.-Frère, convulsions et méningite. - Soelo', con- vulsions auec hémiplégie transitoire. - Pas de
leur prédominance dans tout le côté droit, l'hémiplégie droite avec con- tracture et la trépidation épileptoïde avaient
ère le 10 juin 1892.) - Père, 40 ans, agent-voyer. n'a jamais eu de con- vulsions. A 17 ans, dyssenterie ; à 18 ans. rhu
d'as- phyxie. Trois jours après la naissance, l'enfant fut pris do con- vulsions généralisées. Biles durèrent quatre ou
l épileptique. Le membre inférieur gauche a été animé de mouvements con- vulsifs qui se sont ensuite manifestés à gauche
estionné. - Rein droit (90 gr.), rien à signaler. - Foie (800 gr.), con- gestionné, brun à la coupe. - Rate (80 gr.), no
tes et étendues de méningite purulente. - Méningite chronique de la con- vexité et de la base. - Circonvolutions cérébra
bassin et des jambes sur les cuisses. Les pieds sont régulièrement con- formés, les ongles minces, aplatis. Le pli de l
'argent 1/50. 17 juillet. - L'enfant bien qu'ayant encore un peu de con- jonctivite a été pris en congé par ses parents
ni épilep- tiques, etc., dans le reste de la famille du père, à la con- naissance de lanière de l'enfant.] Mère, gile
e, plusieurs séries de convulsions prédominant à droite ont eu pour con- séquence l'état d'idiotie et l'hémiplégie droit
émiplégie droite que nous avons notés chez l'enfant pendant la vie, con- séquences de l'encéphalite qui se traquit anato
t, à sa généra- tion, et disparaît en ce qui le concerne, car il ne con- serve aucun de ses deux enfants. II. On ne sa
t subsister aucun doute. Mais, fait assez singulier, aucun, à notre con- naissance, ne fait mention de l'état des os du
jourd'hui et qui ont très peu varié. Ces troubles, d'après sa mère, con- 1.,Og. Is. Antécédents personnels. 5H5 sist
possi- ble. Description des lies (Mars 1888). L'enfant exécute un con- 'tinuel froncement de sourcils avec des grimace
il présente. nos.. commence par grincer des dents, en faisant des con- torsions des doigts comparables aux mouvements
ce qui frappe le plus dans l'aspect extérieur de l'enfant, c'est le con- traste entre le petit volume de sa tète et sa t
itique, entée sur une méningo-encéphalite chronique. Les os étaient con- gestionnés à un degré considérable ; les suture
9 (13 ans). En 1885, l'enfant ne sait pas se servir du couteau ; il con- naît ses lettres, compte jusqu'à 20, fait des b
sique. - Mère morte d'une péritonite un an après une couche. Pas de con- sanguinité. Inégalité d'âge de 7 ans. 1 Chute
loppé, réponses précises, se déshabille, s'habille, se lave seul et con- venablement. Sa tenue est bonne ; il se sert bi
21 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ur- viennent des frissons qui envahissent tout le corps. La face se con- gestionne, et du côté droit la rougeur des pomm
e. 1 Chez une malade du service, guérie par l'hypnose d'une amnésie con- 1 iiiue qui était en rapport avec tfne idée fix
plus le sac au camp de Saint-Maur. A l'asile même, ses camarades la con- naissent bien. « Récemment, raconte-t-elle, une
ck theil pi'imoere, ce n'est pas de la Verrucktheit primoere. Si la con- fusion mentale hallucinatoire (hallucinalorisch
pidité de son évolution qui assez souvent aboutit à la guérison. La con- fusion mentale aiguë ainsi esquissée n'a donc r
ubliés devraient être accompagnés de schémas précis pour éviter les con- tradictions apparentes entre les faits. P. S.
uentes. ` L'auteur a été amené à adopter cette combinaison pour des con- sidérations d'ordre pathogénique. Partant de ce
l y avait recueillies. Il soumit, sans l'en prévenir, ce travail au con- cours pour le prix qu'il avait fondé, et ce fut
Des maladies de la moelle épinière. Paris, 1839. In-8°; De la folie con- sidérée sous le point de vue pathologique, phil
à sa femme, se mettent de la partie ; sur ce seul point et en ce qui con- cerne ce seul point il est privé de son libre a
que dans la folie systématique chronique (chronische Paranoia), des con- ceptions délirantes. S'il n'y a guère, d'aprè
ante à éléments systématiques encore insuffisamment assemblés et au con- traire la dissociation parlée et agie de la con
d'abord, il est dans la science au moins deux observations à notre con- naissance qui viennent confirmer notre conclusi
coléreux, sa mère éprouvait une sensation de boule quand elle était con- trariée. Le grand-père paternel était un grand
IE NERVEUSE. dehors et apprit seulement à une heure du matin par sa con- cierge, l'arrestation de son neveu. Deux à tr
nte que celle de l'assainissement médical prophylactique des autres con- tages. A. Marie. III. LE SUICIDE considéré co
Dans un deuxième cas un homme accusé d'excitation au meurtre ne fut con- damné qu'à cinq jours de prison en considératio
sance. Permanence presque constante, entre les attaques, de légères con- vulsions des muscles, des cuisses et des jambes
s l'ad- ministration préfectorale et soi-même par un certificat qui con- fisque la liberté d'un homme, c'est chose si gr
tre envisagée dans la législation pénale : a) soit comme infraction con- sidérée en elle-même; b) soit comme circonstanc
ti- tude tout autre; il a frappé pour se venger d'un individu qu'il con- sidère comme un ennemi, pour faire cesser les p
secondaire. Nous avons observé une malade âgée de trente-sept ans, con- cierge, Rog...n, atteinte depuis quinze ans de
atteinte d'hémiplégie droite à la suite de la mort de sa mère. Elle con- tracte un rhumatisme polyarticulaire aigu, et c
un homme de trente ans, qui présentait en même temps des phénomènes con- gestifs des extrémités avec congestion très viv
is ce ne fut que le soir, vers six heures, qu'il reprit entièrement con- naissance. Je ne sais si, dans l'intervalle e
les ennuis, l'intempérance, l'insolation, etc. En l'absence de ces con- ditions, la toxine peut rester latente, inoffen
fois le malade, conservant les conceptions délirantes qui l'avaient con- duit au crime, nous déclarâmes qu'il était touj
déclaré qu'il n'était pas et qu'il n'avait jamais été aliéné, qui a con- sidéré la tentative de meurtre comme un acte de
sion qui enlève à l'administration le placement des aliénés pour le con- fier à la magistrature, de rapporter tous les f
ie du système nerveux, se contentant d'exposer l'état actuel de nos con- naissances sur ce sujet, mais bien d'une oeuvre
malie de l'humeur (sensibilité morale ou affective) est secondaire, con- > sécutive aux idées délirantes. C'est là ce
te d'être . reproduite à titre de document complémentaire, du reste con- fi,rmatif de ce que nous venons d'exposer. Il
élevait au-dessus de la tête, et en même temps il se produisait des con- vulsions dans le côté droit de la face, et elle
pensé devoir offrir à la malade la chance d'une trépanation. Elle y con- sentit et, M. Heiberg ayant promis de l'opérer,
supérieure du corps; déplacements perpétuels des membres; grimaces; con- vulsions faciales; balancements brusques de la
tion de Gaule, on obtient des noyaux rouge framboise irréguliers, à con- tours tranchés, et l'on voit dans les nucléoles
i n'a rien du patois, et d'expressions pompeuses. Leur conduite est con- venable à l'asile; travailleurs utilisables, la
la réac- tion myotonique, à la fois le phénomène deRumpf, c'est une con- traction longue suivie de convulsions et vibrat
lées. Il faut, pour en venir à bout, suivre pas à pas la technique, con- naître exactement toutes les formes de cellules
oc- tobre 1894), après avoir' défoncé plusieurs troncs et volé leur con- tenu ; incendie de deux greniers'; incendie de
gnification diagnostique et pronostique que celle du rétrécissement con- céntrtqûé du champ visuel. " , si 1r r .t - "
ille ne se décontracte pas sans l'obscurité, elle reste toujours en con- traction f exagérée ^c'est * un"1 trouble dés"
%1;, > ? lieu a bien des contestations singulières, souvent même con- x J- x 'r'-n"<"xY x -l "rai'j ? 1 A"r- srrrr
ansferts ? Actuellement 1'liétniaiiopsie'a disparu, le rétrécissement con- centrique1 du champ visuel' persiste.'seul" car
, ·,·. daient que la pâleur du visage allait, au contraire, avec la con- gestion cérébrale. Quoi qu il en soit, il est m
' .... à a en dehors de 1 epilepsie. La encore, il arrive aux mêmes con- clusions. 08 .afdiMoqmI £ 3-09 ... «h'o'î Nou
iverses, voire même des fractures du. crâne'. Ils tombent privés de con- naissance comme des masses,; ne se;- rendant pa
comme seuls accidents morbides jusqu'à cette dernière atteinte, des con- vulsions et la coqueluche en bas âge. Rien de s
lui- même ou après les avoir entendus. Selon lui (et cela est bien con- firmé par sa femme) les troubles de prononciati
ées (ouïe) avec tendance au suicide ; il y a d'autres mélancoliques con- 390 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. damnées pour
arfois. Mais il n'est pas exact de dire que la plupart des sorciers con- damnés aient été aliénés. On ne doit pas davant
qu'il y a union d'un homme développé avec des jeunes garçons ayant con- servé quelques caractères physiques et psychiqu
des conceptions représentatives qui apparaissent sur le fond de la con- naissance à la suite d'une modification normale
se passent les choses. On fait asseoir le malade, si toutefois il y con- sent, puis on lui demande ses nom, prénoms, âge
rouve pendant plusieurs jours, au cours de ses règles, des attaques con- vulsives persistantes. Celles-ci passées, on co
urveillance incombe moins aux médecins (proposition de M. Sommer au con- grès de Carlsruhe du 12 novembre 1893) qu'aux s
la part de l'auteur des recherches nombreuses, laborieuses; il a dû con- sulter non seulement les importants mémoires qu
le on l'observait. Tantôt au contraire, et c'est l'opinion de notre con- frère, on l'a considérée comme une forme spécia
description clinique, dit Ziehen (Nezar. Centrnlbl., 15 mars 1895) con- corde avec celle de Meynert, Willé, etc. Le D
résu- mant cette partie historique très remarquable, le Dr Chaslin con- clut de la manière suivante : « On peut admettr
plus variables. Si cet état est très peu marqué, il donne lieu aux con- fusions légères de Delasiauve qui peuvent alors
vela. Les fanatiques voulurent la forcer à manger trois tartines de con- fitures, mais comme elle s'y refusait, ils la t
uelque mauvaise plaisanterie et n'y prit garde; cependant les coups con- tinuaient, frappés de plus en plus fort dans la
s con- tinuaient, frappés de plus en plus fort dans la porte, et le con- cierge se leva. A la porte, il vit un homme jeu
raiment effroyable à cetle heure dans le demi-jour du vestibule; le con- cierge réveillé en plein sommeil, était atterré
La tête de la victime a été envoyée à la Morgue et Baptiste Laborie con- duit à l'infirmerie du Dépôt. Il n'a fait aucun
tout au grand nombre d'enfants qui meurent en bas âge à la suite de con- vulsions. Dans ces cas, il peut y avoir hérédit
teint le père. On peut se demander si les deux opinions ne sont pas con- ' P. Lucas. Traité philosophique et psychologiq
t que les excitations nerveuses exagérées, répétées et parfois même con- tinuelles chez les alcooliques chroniques soien
i qui voudrait répéter ces expériences de se trouver dans les mêmes con- ditions. Il est de toute importance en effet, s
e est 'proportionnelle au diamètre de l'excitateur. Enfin en ce qui con- cerne la densité électrique on constate que de
les différents états morbides que l'auteur à soumis à l'examen. Il con- clut que : toutes choses égales, la conductibil
e par M. d'Arsonval. Voici leurs conclusions cliniques qui viennent con- firmer les découvertes du savant professeur du
res à déterminer la- présence de l'hétérophorie « latente » n'a pas con- sacré à cette recherche une somme suffisante de
p énergi- quement contre le système actuellement en vigueur, et qui con- siste à médicamenter les épileptiques dès la pr
er par leurs prières, soit de les convertir. L'explication de cette con- duite si spéciale doit être cherchée, pour M. R
pour lesquels la persécution du sorcier et de l'hérétique était une con- dition de puissance et de, domination. Enfin il
f- fisance de celles admises jusqu'à ce jour : je veux parler de la con- gestion cérébrale et de l'encéphalite aiguë, de
ons- tipation) ou rétention d'urine; 3° la pathogénie des accidents con- vulsil's ou comateux déterminés par l'action de
t clini- quement par des syndromes superposables à ceux de l'urémie con- vulsive ou comateuse et qu'on dénomme attaques
22 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
notre malade, II. Cette affection aurait été précédée de nombreuses con- vulsions depuis l'âge de sept mois jusqu'à troi
q ans, en bonne santé ainsi que ses dix enfants qui n'ont pas eu de con- vulsions. Une soetM-, mariée, aeu une fille, la
- dissement ( ? ). Ala suite de quelques exercices de marche, cette con- tracture a disparu. C'est alors qu'est apparue
oduit de la somnolence, de la paralysie. Elle peut simuler l'action con- vulsivante de la strychnine, de la brucine et d
ux comme dans un véritable névrome. Dans les nerfs périphériques au con- traire, l'hyperplasie conjonctive est énorme et
nde ? Les conclusions sont excellentes et il faut louer l'auteur de con- tribuer à faire connaître au corps médical qu'u
estants. Art. 4. Les épreuves seront toutes subies à Paris, sous le con- trôle de l'inspecteur général, président. Les é
ne l'a pas fait plus tôt, c'est afin d'économiser une dépense à sa con- mune. Rappelons que la loi du 30 juin 1838 n'es
lape·lo21- cité musculaire puisque l'action excitatrice n'est plus con- trebalancée par l'action modératrice et que la
ltération de la voie pyramidale, réalise en un mot parfaitement les con- ditions de la deuxième supposition. Quel était
rième, garçon mort à treize mois avec des phénomènes méîingiliqïies con- sécutifs à une diarrhée infantile. Celui-ci tre
in Revue Neurologique n° 9, p. 178. Un cas de tremblement essentiel con- génital (du type sénile). ' Thomson. Sur l'él
érie morbide. w En résumé et bien qu'il manque à notre hypothèse la con- firmation anatomique qui seule serait juge de l
i le fai- sait se préoccuper et à juste titre de sa santé, et comme con- séquence l'excitait à recourir aux soins médica
hérèse nous n'avons plus affaire à une hystérique de bas étage, aux con- ceptions imaginatives grossières, nous avons af
bilité. On sait d'autre part que chez les parturientes, en graduant con- venablement l'administration de l'anesthésique,
irrita- tion morbide et spontanée des derniers postes de l'appareil con- ducteur de la sensation, placés dans la moelle.
e la transmission du son n'est guère ou point modifiée. Elle est au con- traire abrégée de huit à dix secondes, dès que
ue chez les sujets anormaux, dégénérés, ce dont il est facile de se con- vaincre en étudiant leurs antécédents héréditai
us grande. Cette manière de comprendre la catatonie rend compte des con- ditions apparemment si diverses de son appariti
ple juif de l'estampille névropathique. Peu à peu, ils perdirent le con- tact avec la nature, qui, au temps de leurs occ
depuis sa naissance à la région lombaire une tumeur sous-cutanée de con- sistance graisseuse. A ce niveau la sensibilité
té des fonctions psychiques ; 4° une atrophie avec diminution de la con- tractilité faradique localisée aux muscles de l
eaucoup' la plus importante, échappe à une brève analyse, nous nous con- tenterons d'en donner une idée par la division
GÉNÉRALE. 203 Chez les paralytiques femmes, on obtient des données con- cernant ce sujet un peu autres ; de 75 cas :
ance et j'en- tendis ces paroles : « Je ne veux plus que tu aies de con- te versation avec les hommes, tu n'en auras plu
nt durer toute l'éternité. Dans ce lieu effroyable, il n'y a pas de con- solation à attendre, ni d'espace pour s'asseoir
dit alors de prier pour ce prêtre, et de comprendre la force de la con- sécration qui avait lieu, même entre les mains
t qu'un complexus qui en dernière analyse peut se ramener aux trois con- ditions : organiques, effectives, intellectuell
on- ditions : organiques, effectives, intellectuelles, nous pouvons con- clure que le trait caractéristique de l'anxiété
ciens, pour favoriser le réflexe musculaire; moyen intellectuel qui con- siste à nous habituer à considérer les objets q
e de Gre- noble et la municipalité du bienveillant accueil fait aux con- gressistes. En un langage élégant et fleuri il
sont l'anomalie; le geste d'occupation seul fait naître ceux-ci. Au con- traire, une escarbille entre dans l'oeil, la pa
'est z en réalité l'état mental du déséquilibré simple; la tendance con- traire, opposée, est une sorte de loi chez beau
e systé- matisation fonctionnelle, des mouvements reproduisant, par con- séquent, un acte physiologique déterminé. Il
mot. Il admet ensuite qu'un tic est toujours clonique ; et que, par con- séquent, la forme tonique du tic n'existe pas ;
mus- culaire lisse. J'en pourrais citer comme preuve un malade qui con- tractait convulsivement son périnée jusqu'à ce
publié en 1896 par la Semaine Médicale, la pathogénie de ces états con- vulsifs ; je n'y reviendrai donc pas, et je me
. Ils y trouveront des installations balnéaires et hydrolhérapiques con- l'ortables, des distractions variées et des exc
par une pauvre fille, Séraphine Renard, âgée de cinquante-cinq ans, con- nue dans le pays sous le surnom de La Fouette,
, l'imiter. La capitulation, surtout quant aux portraits, doit être con- sidérée de sa part, comme un exemple de décisio
vail. Le 4, nouvelle attaque épileptiforme, toujours sans paralysie con- sécutive ; pendant quelques jours, G... accuse
é- rature atteint 38°. Le 4 février, G... a un ictus sans secousses con- vulsives des membres, avec seulement des grince
? Il nous semble que cet ange est bien indiscret : il aurait pu se con- tenter d'une causerie amicale et céleste sur le
eure, jamais plus; il cesse brusquement ou peu à peu, mais le sujet con- serve la mémoire des visions, auditions et sens
riode des contorsions toujours bizarres et effrayantes, avec délire con- comitant ; les yeux sont convulsés sous la paup
vant : « Que les pouvoirs publics, Parlement, conseils généraux, con- seils municipaux votent les crédits utiles pour
icles du projet de loi portant revision de la loi du 30 juin 18381, con- formes à ceux qu'ont voté sur nos Rapports le C
ne faute réelle, mais singulièrement grossie; ensuite que cet homme con- serve indéfiniment la subconscience de son acte
ssent le stroma conjonctif du ganglion, se groupent dans les fentes con- jonctives, et presque toujours arrivent à tapis
aboutit fréquemment, dans ses portions centrales, à la formation de con- crétions dont les aspects etles réactions color
mé- ninges sur le tissu nerveux, la lésion la plus fréquente, bien con- nue, relève de la compression Unie produite par
en particulier, et avec toutes les méningites cérébro-spinales. Il con- vient de signaler toute l'utilité du cytodiagno
éphale et se localisent davantage. La loi de diffusion des réflexes con- cerne les animaux inférieurs, l'expérimentation
striés aux cornes médullaires, alors que la voie. rubro-spinale est con- nue. Je commencerai par dire que l'observation
ellement. Il y a des cas où je voudrais que le médecin fut toujours con- sulte. Ils concernent une catégorie de malades
le tabétique. dont la sensibilité profonde est troublée ou abolie, con- tusionne ses nerfs, arrache ses ligaments et dé
et la « neurasthénie constitutionnelle » méritent absolument d'être con- servés comme individualités cliniques. Mais il
Elles se transforment peu à peu et prennent l'apparence d'éléments con- jonctifs ou se chargent d'une gouttelette de gr
le pro- fesseur Brissaud vous dire : « Nous ne savons rien, nous ne con- naissons rien au fond, nous n'établissons que l
, son existence dérivant du seul jeu des actions chimiques dans des con- ditions déterminées et devenant fatale, une foi
ésirroit merveilleusement grâce de larmes, et se compleignoit à son con- fesseur de ce que lermes li défailloient, et li
ate. Elle l'exposait devant nous sans réticence et avec une absolue con- viction. Délire ancien, puisque nous le verrons
stéréo- typé. Il le débite comme une leçon apprise par coeur, et se con- tente de répondre, sur un ton monotone, quand n
antes maternelles atteintes de goitre exophtalmique ( ? ). - Pas de con- sanguinité. Inégalité d'âge de 6 ans (père plus
âge. Il a été difficile au début du traitement d'obtenir d'elle une con- fidence quelconque ; peu à peu, elle se laisse
epen- dant trois jours après le début des accidents, fait qui vient con- A 4 438 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1 tre
tte confiance et par la constatation des résultats déjà obtenus, il con- tinua ses exercices thérapeutiques ; en quelque
s, le service de nuit est assuré par un veilleur et une. veilleuse, con- trôlés automatiquement par les postes du systèm
on directe de l'intensité de cette dernière. On observe pourtant le con- ,t traire; en général les symptômes émotionnels
ccombent dans la lutte contre leurs idées ; alors leur attention se con- centre davantage sur l'idée à chasser qui pénèt
région cor- ticale correspondant aux membres. Un autre mémoire sera con- sacré aux résultats physiologiques et anatomo-p
bsente ; cette classe comprend tous ceux qui présentent une absence con- génitale d'un ou plusieurs sens spéciaux, les a
lèvent de l'anémie cérébrale. Les observations cliniques paraissent con- lirmer ces vues a priori. Dans t'insutILance mi
rale. Les causes de la folie puarpérale demeurent encore obtures et con- troversées : l'auteur parait incliner à la ratt
nique des manifestations délirantes s'est modifiée à son tour et la con- fusion mentale a cédé la place à la mélancolie
il se .sépara de Wagner. Malheureusement, il perdait la faculté de con- centrer et de soutenir sa pensée, et ses livres
nfant de six ans, atteint, au cours d'une méningite cérébro-spinale con- sécutive à un abcès de l'oreille, de syndromes
gique, par 5clmts-Chrrbacl : . 495. ll.rcutc. Voir Dégénérescence con- il Cale. Folie chez les jumeaux : deux ju-
a symp- tomatologie des , par Pitres, 2 2. La correction des ; le con- tiôle du miroir, par ileige, 274. Deux femmes
23 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s deviennent plus fréquentes et perdent de leur amplitude; puis, le con- traire se produit. Si nous interrompons l'expér
oduite presque inz- médiatement au début des mouvements ; d'où nous con- cluons que l'anémie prédispose aux symptômes du
r atrophie pro- gressait rapidement. Dans les membres supérieurs au con- - traire, on observait une certaine amélioratio
urasthénie. Constantin K..., diacre, âgé de vingt-sept ans, vint me con- sulter pour une céphalalgie tenace et des phéno
dans leurs parties centrales et le malade prend souvent des piqûres con- sidérables pour un attouchement. Cela s'observe
nt à l'autre, on veut me tuer par rapport à des idées folles qui se con- centrent en moi, je suis dans un état tellement
levés du développement cérébral , ceux que met en jeu l'exercice du con- trôle moral, c'est-à-dire c les plus volontaire
nser qu'elle exprime l'opinion générale de la société, tandis qu'au con- traire, si j'ai bon souvenir de quelques interp
urs ont pratiqué des expériences sur des animaux (lapins) soit pour con- trôler celles de Valtat, soit pour suivre de pr
siège de violentes douleurs auxquelles succéda l'immobilisation par con- tracture ; ici aussi, pied bot équin. L'excitab
olo- gique envisagée ici, le cerveau antérieur (sens embryologique) con- tient déjà trop de fibres pour que les rapports
au port. Messieurs, votre commission était trop bien composée pour con- tester ce privilège médical ; elle l'a toujours
ocuras- sent une satisfaction quelconque, les magistrats à qui vous con- fiez, contrairement aux principes et pour obéir
ite de connaissances exceptionnelles, en état de le faire. Vous les con- traignez à ne juger l'état mental de l'aliéné q
nque pour la remplir, l'aptitude professionnelle aussi bien que les con- naissances préalables. La conclusion qui se d
oute son autorité ; c'est enfin, messieurs et je suis sûr que cette con- sidération vous toucheral'intérêt de cette inst
de vue clinique. Aussi ne comprenons-nous pas pourquoi l'auteur se con- tente de la signaler seulement en passant, et n
onsidéré comme l'initiateur de ces études. Dans son travail, qui ne con- tient pas d'observations médicales ni d'autopsi
us décrits ont duré trois heures , et ont été suivis d'une perte de con- naissance subite, complète et sans convulsions.
désirer : en effet, l'examen farado-galvanique a démontré qu'ils se con- tractent très bien. Sens musculaire normal. - P
é aussi à avoir, outre son hématurie, du pus avec mucus en quantité con- sidérable. Un dépôt très épais se formait toujo
ieurs fois le malade qui a continué son traitement et nous avons pu con- stater que la guérison était presque complète.
de tout autre symp- tôme céphalique (Ces. Vf et IX) ; deux fois au con- traire, il a été en connexion avec d'autres sym
éments dans cer- tains groupes n'ayant pas subi de lésion, et ayant con- servé la faculté de conduire les impressions th
rès quatorze ans. Il paraît qu'une apparition semblable d'analgésie con- sécutive ne constitue pas la règle. La relation
ames postérieures d'une vertèbre dorsale et qu'on ne divise pas par con- séquent les muscles de la nuque, alors la démar
n et la circulation dé- terminent dans l'encéphale des ébranlements con- tinus. DU VERTIGE MARIN'. 227 Si nous tiron
tions, surtout les exagérées, le liquide descend dans le rachis; au con- traire, pendant les expirations, surtout les fo
e brusque provoque aussi la commotion cérébrale et par inimitio ? i con- tribue à la production instantanée du vertige.
d déplacement, auquel prend part consécutivement le diaphragme. Ces con- tractions du diaphragme agissent sur la respira
édomine surtout le déplacement des viscères abdominaux ; qui a pour con- séquence des tiraillements des nerfs mésentériq
nt l'un contre l'autre, les pieds étant notablement écartés, au con- traire. Légère iné- galité pupillaire et bl
és de l'altération. Sur d'autres points, entre les mailles du tissu con- jonctif ainsi formé, se crée des vides qui étai
ceaux sont-ils nettement distincts l'un de l'autre ? forment-ils au con- traire, à eux deux, un seul et même faisceau ?
e décussation des faisceaux pyramidaux sont surtout intéressantes à con- naître au point de vue clinique. Flechsi-1 en a
ceau pyramidal. (Prog. znéd., n° 14, 19, 20, 1879.) Brissaud. De la con- Fonctions motrices du cerveau, Paris, 1887. (Po
s dans leur marche centripète, les prenant à la périphérie pour les con- duire à cette zone corticale, Dans la moelle,
oc- cuper l'étage supérieur (PL. II, fig. 1, rose) ; ce qui accroît con- sidérablement l'étendue du territoire occupé pa
Le tissu cérébral est anémié; les cavités des ventricules latéraux con- tiennent une quantité modérée d'un liquide sére
issu et par la couleur rouge intense de la substance grise dont les con- tours s'aperçoivent à l'oeil nu. .Immédiateme
système ner- veux. C'est donc dans cette salutaire atmosphère qu'il con- vient de guérir et d'affermir la guérison. La m
ère misère avait lente de se pendre. M. PËLMAN. Le législateur doit con- tinuer à se préoccuper de la liberté individuel
russe, en 1885, j'ai développé mes opinions en détail, sur la forme con- venable à donner à la surveillance des asiles p
me con- venable à donner à la surveillance des asiles privés. Je me con- tenterai de mentionner actuellement que je me s
jusque dans la période comateuse mortelle, tandis qu'un diabétique con- servant un état de santé satisfaisant présenter
'OBSERVATION VI, a eu lieu d'emblée pendant la durée de la perte de con- naissance. Pour finir avec les troubles vésicau
lle se manifeste aussi bien spontanée, surtout sous l'influence des con- ditions sus-mentionnées, que provoquée et facil
ement, mais encore il commettait des excès alcooliques et vénériens con- sidérables. Grâce à ces conditions défavorables
ous n'avons pas revu le malade pour constater si la rétrogression a con- tinué son chemin. Le malade de ! 'OBSERVATION I
e toute sorte et avant tout aux excès alcooliques. Nous sommes bien con- vaincu que si les malades, une fois tombés para
linique tout à fait spécial qui ne se rencontre dans aucune maladie con- nue du système nerveux central. 13. Forme cen
me ;' continuité de 1 illusion visuelle au fond de la mer. Perte de con- 374 CLINIQUE NERVEUSE. naissance, au moment (
tômes qui doivent leur.origine, leur genèse aux troubles gastriques con- comitants : telle est la gêne de la respiration
la symptomatologie du début, comme à ]'OBSERVATION XIV, la perte de con- naissance en est le seul et unique symptôme. Ta
riode du début et la période paralytique. Chez les trois autres, au con- traire (Obs. XV, XVI, XIX), il y a un intervall
e ses fonctions, des cornes postérieures, par exemple; j'ai pu m'en con- vaincre par le cas que j'ai examiné au point de
galement segmentaire des parties de la moelle où, premièrement, les con- ducteurs sensitifs des zones anesthésiées sont
sies et de la prédo- minance de thermanesthésie, qui se trouvent en con- tradiction avec la proposition exprimée plus ha
s membres infé- rieurs. En outre, on ne peut à l'état actuel de nos con- naissances (comme pour le cas cité plus haut) e
t la vie du malade. La maladie, à l'étude clinique de laquelle j'ai con- sacré ma communication, nous présente une série
ément clonique. Les excitations électriques de la substance blanche con- firment cet exposé, car une région corticale en
ros- sière tout le personnel de l'asile; elle déclare savoir que sa con- duite est blâmable, mais ne pouvoir se comporte
ces- saires- au traitement des aliénés curables. Il souhaiterait en con- séquence que l'on pût placer les fous guérissab
ir si la garantie qui consiste dans l'intervention de la chambre du con- seil est, oui ou non, une garantie sérieuse.
0 jugements ne m'effrayent pas le moins du monde pour la chambre du con- seil. Nous avons, au tribunal civil de la Seine
autres qu'un mot dit par le ministère public ; il n'y a ni débat ni con- tradiction et, en conséquence, j'ai bien le dro
ion de nous renseigner exactement, el sur la valeur de l'innovation con- sidérée en elle-même, et sur sou caractère prat
gauche.) M. le Président. C'est le règlement, ce n'est pas moi. Je con- tinue l'épreuve commencée sur le 3= paragraphe.
s, 1887. L'auteur essaye la différenciation des diverses affections con- fondues à tort, à son avis, en anatomie patholo
ie delà dégénérescence ? » Le reste du travail de M. Combomalle est con- sacré à l'étude des signes physiques des dégéné
24 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s interprétations précédentes pour une conception intermédiaire qui con- siste à faire du syndrome basedowien d'une part
respondre avec un certain nombre d'autres; et je puis dire que tous con- damnent cet acte, et dans son fond, et surtout
tre chef, le ministre de l'Intérieur, ancien aliéniste de province, con- vaincus qu'il nous suffira d'aller lui démontre
liénistes et neurologistes, a appelé mon attention sur un projet de con- cours spécial proposé récemment pour les médeci
u'après l'expérience du recrutement des médecins des asile» par les con- cours d'abord régionaux, puis centraux, après l
inistra- tion ne saurait abandonner une pratique que l'expérience a con- sacrée et qui a déjà renouvelé, de façon la plu
nd, de cette façon, que l'énergio nerveuse soit réduite d'une façon con- 42 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
certain nombre d'autres observations démontrent que des phénomènes con- vulsifs peuvent persister après la disparition
s hypothèses sont erronées, leur inanité même ajoute toujours à nos con- naissances. Mais pour obtenir une preuve certai
i alors existe seule ; il n'est plus justifié, lors de la paralysie con- firmée. M. Raymond signale la fréquence relat
premières tendances sexuelles s'éveillèrent vers l'âge de 4 ans, au con- tact d'une femme d'une cinquantaine d'années, s
précise sur la psychologie de ces prophètes. La méthode à employer con- siste à 'étudier le type d.u prophète juif, son
e, son for- mat, son aspect extérieur et enfin les proportions plus con- sidérables qu'il a prises. Certains chapitres s
re, enfin par excitation de zones spasmogènes spéciales à l'attaque con- vulsive de fou-rire. Jean ABADIE. 11 ? Compli
entes et d'aspect normal surles croies des circonvolutions, sont au con- traire blanches, épaissies, légèrement adhérent
ue décèle une dif- (le structure, les diaphyses des membres gauches con- (1) Voir figure 4. (2) Voir les figures.
en sérieux n'a pu déceler aucune formation de ce genre et montré au con- traire des membranes ayantla plus grande analog
lus que le som- meil hypnotique ne peut nuire, pourvu qu'il soit la con- tinuation du sommeil naturel ; les anciens préj
tissu nerveux et une très notable exagération de la névroglie. Par con- tre, la corne postérieure gauche est hypertroph
l interne. De son côté, RuTUANN résume sa revue en ces ternies : La con- traction des fibres qui pressent sur la vessie
nte (un cas), dans l'athétose (2 cas), au niveau des muscles qui se con- tractent, ainsi que dans les tremblements sénil
physio- logique cortical à celle du nerf anatomique périphérique cl con- sidérer successivement l'appareil nerveux du ps
ence la charge de l'électroscope et que, se chargeant d'électricité con- traire, elle attire ainsi la feuille ; le phéno
ion trans- versable, augmentation des noyaux, hypertrophie du tissu con- jonctif. Pas de lésions importantes du système
du congrès international de médecine de 1867 ; très littéraire, il con- naissait et citait tous mes travaux; il fut un
ances qui au- ront leur maximum d'importance et d'utilité on cas de con- seils do guerre. Jean Abadie. VARIA Asiles
ie ou d'hyperesthésie : pas de, zones Itystérogèncs. La sensibilité con- jonctivale est diminuée ; la sensibilité cornée
oureux pendant les contractions. Le cou se durcit et se gonfle, par con- traction de tous ses muscles qui provoque la tu
la dé- vient parfois latéralement. - Les muscles respiratoires sont con- tractés, et la respiration suspendue soit en in
mouvement volontaire, celui-ci est brusquement interrompu, mais la con- traction n'immobilise pas le membre dans son al
é normale, mélangé de quelques stries sanguinolentes. Les premières con- tractions utérines douloureuses apparaissent qu
xiques ont imprégné les centres nerveux pour provoquer un mouvement con- vulsif spécial, on ne s'expliquerait pas que ce
ouvement con- vulsif spécial, on ne s'expliquerait pas que cet état con- vulsif dure depuis plus d'une vingtaine d'année
éremment ses produits aux prêtres et aux francs-maçons, et dans ses con- versationsil il fait tousses efforts pour paraî
ice médical. Il y a plus : quel sort va être fait désormais à cette con- quête qu'est l'instruction professionnelle de l
is ici un élément nouveau vient s'ajouter : l'hypertrophie du tissu con- jonctif. L'auteur rapporte d'ailleurs toute une
ar Joris. L'élude de la celluleuurveusu normale et pathologique l'a con- duit à considérer que l'emploi des récentes mét
galvani- ques aux lésions de la sensibilité. 5° Il faudrait établir con- ventionnellement la force électromolrice utilis
ril 1905.) Jlaladie d'Addison bien caractérisée avec troubles de la con- traction irienne et instabilité cardiaque, pare
bandonné depuis plusieurs années. L'auteur insiste sur une série de con- sidérations d'un intérêt pratique, qu'il est bo
Ce sens très général est, en quelque sorte, un genre dans lequel il con- vient de faire rentrer toutes les formes connue
lement le plus répandu est la méthode de Kai>er)ingqui permet de con- server indéfiniment les pièces avec leur l'orme
s, nous avons cru devoir,. pour formuler des conclusions sérieuses, con- sulter les' intéressés, c'est-à-dire nos collèg
es friandises. ;9°3. - L'enfant vient à la petite école, a appris à con- naître les couleurs, les lettres et les surface
e, il mange seul convenablement, joue avec ses petits camarades, il con- naît et nomme les différentes parties de son co
fférentes variétés de pâtes alimentaires, en un mot tout ce qui est con- tenu dans les tiroirs des leçons de choses. L
l'or- ganisme vivant sont différents ; on ne peut alors séparer la con- traction due à l'excitation mécanique directe d
con- traction due à l'excitation mécanique directe du muscle de la con- traction réflexe due à son extension mécanique.
fère par l'existence d'une hypotonie vraiment remarquable et par le con- trasteentre le caractère spinal diffus de l'évo
accentué, nous acquérons le pouvoir de monoïdéiser, c'est-à-dire de con- centrer notre attention avec plus de force sur
aladies mentales et sur l'organisation des asiles publics et privés con- sacrés aux aliénés. Prix Charles BOlllta1'd,
bre 1902. (certificat de 11. le ))1' Hicard) et anosmie persistante con- sécutive à une fracture de la base du crùne (ce
rdantes, permettant d'affirmer que l'accident du 22 décembre 1901 a con- tribune à produire l'étal dans lequel se trouve
ustifient l'as- surance de la possibilité de guérir un groupe assez con- sidérable de cas de cette maladie. Malgré le
ue, à action réflexe et excitante sur les centres nerveux. Il s'est con- vaincu que pendant l'accès de migraine l'urine
mains, du tronc, convulsions de certaines parties du corps ou même con- vulsions générales. Si l'on met en ligne de com
a malade se nourrit surtout de viandes. En sa qualité de mahométane con- vaincue, elle ne prend jamais ni vin, ni bière,
contre l'épilepsie. En revanche, nous trouvons dans la littérature con- temporaine beaucoup de cas qui signalent l'acti
t là des phéno- mènes que l'on observe dans l'épilepsie et qui sont con- nus de longue date. Tantôt une semblable fureur
2 (1902). leure, elle construit des phrases et cherche même à tenir con- TRAITEMENT^ MÉDICO-PÉDAGOGIQUE DES IDIOTIES.
i faire - écrire quelques mots, ne fait que de petites copies, elle con- naît ses lettres et commence à les assembler. P
omme ména- gère ; on ne nous a jamais fait aucun reproche ni sur sa con- duite, ni sur son travail. Cette malade qui é
après avoir réalisé de réels progrès. Elle lisait très couramment, con- naissait les trois premières règles de l'arithm
e di- vision inférieure. Ils concluent ainsi : «Loin de dire que la con- ception des oculogyres ne peut pas être soutenu
e paralysés. A l'examen, on constate une raideur avec tendance à la con- tracture des muscles des quatre membres, plus a
nt à peine de-ci de-là quelques rares noyaux épars. Cette couche ne con- tient pas de vaisseaux ou seulement quelques va
nt, les cel- lules s'orientent en couches parallèles entre elles et con- centriques àla cavitéde l'abcès : tassées, pres
arbouille elle- même, en un mot procède entièrement seule aux soins con- cernant sa toilette. En classe, l'enfant mont
e bégaie- ment. Elle construit des phrases et sait tenir une petite con- versation ; répond directement à ce qu'on lui d
es para- lytiques généraux sont dangereux, se livrent des attentais con- tre les personnes, commettent des meurtres : ce
able - s'empressera de vous faire connaître les conditions les plus con- venables pour l'expédition des objets et les po
au point de vue de l'éleclro-diagnoslic, par Bernhardt, 12G. - - con- tinus. Voir Névralgie. Courbature. Note sur l
, Houbinovvitch et Gougerot, 226. Kyste. Imbécillité et épilepsie con- sccnties il 1111 - hydatique de la dure-mère
culo- moteurs des membres, leur tri- ple action sur les muscles : con- traction, raccourcissement, re- lâchement, al
25 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
menta de jonr en jour. L'ensemble de ces accidents aigus et de leur con- valescence avait duré quarante jours, le ménage
peau, pouls contracté, tachicardie, troubles vasomoteurs, bouffées con- gestives avec picottement au visage surtout aux
le cou, la mâchoire, les muscles de la face, du pharynx, 'du larynx con- trairement à ce que prétendent la plupart des a
'obser- vation d'une hystérique qui garda, près d'un an, une fièvre con- tinue dépassant parfois 41°, des vomissements i
ague). Après avoir exposé les résultats de ses recherches, l'auteur con- clue que le degré de hauteur de la pression du
ANTES. n'exclut pas le diagnostic de la psychose de KORSAKOFF. Pour con- clusion, les rapporteurs ont cité un cas de ce
énéral avec des accidents aigus paralytiques (paralysie surtout) ou con- vulsifs (tétanie, contractures permanentes, acc
ymptô- mes digestif (vomissements, diarrhée) des troubles nerveux : con- tractures, convulsions épileptiformes, tétanie,
ontanée recherchés par certains auteurs et dont certains phénomènes con- vulsifs de l'enfance et certains cas d'éclampsi
la diète oligochlorurique dettichet et Toulouse. Cette modification con- siste à ne pas dépasser 2 grammes de chlorure d
, commettre facilement une erreur de diagnostic très grave dans ses con- séquences. C'est qu'en effet l'affection que je
muscles de l'avant-bras; le bras et la ceinture scapulaire sont, au con- traire, respectés. Aussi le malade se présente-
le fléau. . Il est aujourd'hui bien démontré que la lèpre doit être con- sidérée comme une maladie à évolution lente mai
servés chez les descendants des lépreux, parlois ils sont dus à une con- tagion directe de la maladie contractée plus ou
sans vérifier et les jette à la poste. Elle revient très perplexe, con- vaincue qu'elle a interverti les adresses des d
it l'élément actif et M. Schtein l'élément passif. N'avait-elle pas con- vaincu aussi des dames et un prêtre qui voulaie
urs églises à la recherche d'un confesseur, il en trouve un qui lui con- . seille de faire une retraite dans une trappe.
met par elle. La résistance et le dédain que partout elle trouve la con- firment dans l'idée d'une persécution diaboliqu
le délire par imitation. Ce délire est bien différent du délire par con- tagion où l'imitateur est passif; la malade des
ar con- tagion où l'imitateur est passif; la malade des auteurs, au con- traire, est active, originale, dans la création
a pyohé- mie, etc., et au début de la maladie on observe un état de con- fusion mentale. Un état stable et uniforme avec
rables : dans ces cas la personnalité du malade est conservée et sa con- duite reste plus ou moins régulière. Dans les f
et d'éloi- gnement sont très nettement perçues, surtout pour ce qui con- cerne le cerveau ; elles sont très utiles au di
voqués à l'appui de l'origine auto-toxique de la démence précoce. A con- sidérer seulement la lente évolution de la mala
de cette hypothèse, militent encore les accès fébriles, les crises con- vulsives, les états cataleptoïdes, etc., et, da
e stade terminal ont perdu leur àutonomie; telles sont les démences con- sécutives aux folies simples, la démence maniaq
a démence. M. DIDE (de Rennes). - La démence précoce a actuellement con- quis droit de cité en pathologie mentale, et la
Dans D'I, la corne latérale gauche ne fait plus de saillie; elle ne con- tient plus que trois cellules en voie de destru
ues de cet immense caravansérail des candidats au miracle. Mais les con- ditions nécessaires à cette étude seraient bien
'on applique cette anse sur l'oeil, on peut étudier la sensation de con- tact. Pour l'appréciation de la sensibilité the
r la réforme Cruppi sur l'instruction et l'expertise obligatoire et con- tradictoire. Par cette pratique, on criblerait
impose. Par contre, on ne saurait assimiler aux criminels vrais, ni con- sidérer comme des aliénés criminels, les aliéné
ensemble de stigmates anatomiques, physiologiques et psychiques qui con- sistent dans des malformations, des troubles in
. Mais pour le scotome, l'hémianopsie, les sensations vertigineuses con- comitantes, il faut admettre une plus grande ex
a route de l'Asile sans passer par le stigmate du jugement et de la con- damnation consécutive. La statistique du nomb
deuxième catégorie comprendrait les individus sains au moment de la con- , damnation, mais atteints de folie plus tard,
nent parasites inoffensifs parfois, ou le plus souvent corrompus au con- tact dès délinquants classés irresponsables, de
chez ces malades, par le caractère souriant et parfois joyeux de la con- versation, par l'éclat du regard, par une expre
7 7 [Thèse : des hémorragies des fosses nasales, Paris, n° 161]. On con- nait de lui un Traité pratique des affections n
à l'adoles- cence, avant la fin de la quinzième année, à un âge par con- séquent où les pratiques signalées par M. Freud
rêtent à moitié chemin dans cette émotion comme dans les autres. En con- séquence, il ne croit pas qu'il y ait lieu de f
présentés à l'usage qu'il faisait de la serviette mouillée. Je lui con- seillai l'hydrothérapie, les exercices physique
ions visuelles l'inquiètent beaucoup; il en avait en quantité assez con- sidérable, et ces illusions étaient parfois trè
parce que c'est notre intimité que nous connaissons seule. Le monde con- tient, comme notre propre conscience, une série
pharyn- gées spasmodiques, de cris monosyllabiques invariables, de con- vulsions rythmées du plancher de la bouche. ,
matiques ont une importance aussi grande pour le diagnostic que les con- vulsions toniques, les contractures hystériques
, 1901.) Une très belle observation montre qu'à la suite d'attaques con- gestives le paralytique général peut perdre la
ns le sens le plus avantageux pour assurer sa perpétuité, selon les con- ditions qu'il rencontre. Or ce qui excite le pr
la nourriture et le degré de l'activité musculaire constituent des con- ditions propres à donner au système nerveux la
to- activité mentale est l'état du système nerveux qui constitue la con- dition de la conception de l'individu du sexe m
ttache la cognition s'accompagne de l'impression immédiate de cette con- naissance et que cette impression jouerait un r
e, et ce trouble tient à l'absence de la qualité du phénomène de la con- naissance, du sentiment de la pénétration consc
st moins le thème musical que l'association harmonique des sons aux con- ditions du travail qui imprimera à l'appareil m
au catatonique de continuer à fléchir l'avant-bras, il faut que la con- traction du biceps augmente (a + x), et que cel
1 heures du soir brusquement en criant qu'on lui donne à manger des con- combres, des melons d'eau, déchire sa chemise,
l est compris dans la classe exceptionnelle du cadre et recevra, en con- séquence, à partir du jour de son installation,
ra-utérine, non seulement on peut prévenir dans beaucoup de cas les con- vulsions de l'enfance et tous les accidents qui
rveux de l'enfant prédisposé à l'épilepsie, de l'impressionnabilité con- génitale qui le porte à la poltronnerie, on élo
8 PHYSIOLOGIE. les phénomènes présentés par la malade et prenant en con- sidération le symptôme concomitant du rire forc
gement nerveux et ses dendrites constitue une unité. Nissl a dit le con- traire : la substance fibrillaire serait autono
il le dépose ; il croit à une impulsion consciente. Dans les mêmes con- ditions, un autre jour, il souille de l'eau qu'
J. SECLas. II. Phases médico-légales de la loi de Vermont en ce qui con- cerne l'observation des criminels aliénés; par
ise par des rapports conjugaux, l'auteur expose qu'en aucun code la con- tamination vénérienne n'est considérée comme un
ÉGALE. de la honte qu'ils entraînent pour la femme elle-même. Il en con- clut que les lois existantes ne sont pas suffis
faits scientifiques admirablement établis aujourd'hui mais dont la con- naissance lui est formellement interdile. Elle
ci; ne voyant rien venir, il nous déclara un matin qu'il nous avait con- damné à mort et qu'il allait, de ses propres ma
s jours : prédominance des convulsions à gauche : Hémiplégie gauche con- sécutiue et arrêt de l'intelligence. Suppressio
sériels. Etat du malade à Ventrée : Hémiplégie gauche, atrophie et con- fracture. - Marche des accès. Etal de mal, élév
. Deux frères et une scc2cr, bien portants, sobres, n'ont pas eu de con- vulsions ; leurs enfants, six garçons et deux f
pâle, avait eu une perte un mois avant sa mort; elle n'avait eu ni con- vulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, n
ité d'âge. Quatre enfants : 1° garçon mort du croup à un an, pas de con- vulsions ; 2° garçon, dix-huit ans. pas de conv
E. 495- Les auteurs rangent ce cas dans le groupe des chorées dites con- génitales, et de l'athétose double, qui pour la
été donné d'observer dans plusieurs autopsies d'ostéomalaciques une con- gestion marquée des méninges avoisinant les cor
imprudence. ' Nous avons demandé des renseignements dans le but de con- naître l'exacte vérité et voici ce que nous avo
en- drait à se trouver en présence de don Philippe IV ; mais il fut con- traint de la dépenser en cette occasion. Il par
voiture est là dehors : vite, vite. » Il le prend par la main et le con- duit vers la porte en le rassurant durant tout
ère, par Laignel-Lavastine, 238. A propos des modifications de la con- sécutives aux amputations de membres chez le
le cheval, par Rudler et Chomel, 499 Toriicolis. Sur un cas de - con- génital avec autopsie et examen instologique
26 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
feste à la for- mule normale ; cependant, pour quelques muscles, la con- traction aizodale est évidemment précoce, c'est
aminons le tracé ainsi obtenu nous voyons que, dès le début de la con- traction, la ligne d'ascension A B est à peu
s rien despécial. Si maintenant nous examinons l'ensemble du tracé, con- naissant la vitesse dont était animé le cylindr
posé à l'oublier. C'est lui qui nous donne ces détails, car dans la con- versation on ne remarque rien d'analogue. -Outr
termes de la for- mule, mais on notait une certaine précocité de la con- traction anodale, ainsi que l'absence complète
ercées sur la surface tympanique, une sensation sonore provoquée au con- tact du diapason la 3 sur la bosse frontale du
rantes. Etat de la malade en 1877 : Parésie des membres inférieurs, con- tracture passagère des membres inférieurs, trép
ux. L'autopsie, faite vingt-quatre heures après la mort, ne fit que con- firmer le jugement porté du vivant du malade. L
grisâtre, déprimées, éparpillées un peu partout et devenant presque con- fluentes au niveau de la commissure des trois p
ses antécédents aucun acte coupable : en fout cas elle n'a pas été con- damnée. Elle était très irritable, sujette à de
er, et les secousses des membres, les balancements céphaliques, les con- vulsions trismiformes du maxillaire, en signes
estruc- tion de certains centres corticaux moteurs et logo-moteurs, con- formément aux études contemporaines , tels ceux
des péroniers. Asymétrie des muscles vaste interne et vaste externe con- sidérablement aplatis à droite. Formication et
organes sexuels avec lesquels ces veines étaient alors supposées en con- nexion intime. De l'étude à laquelle le D1' H
on choix. Le maire de la commune pourra chaque fois qu'il le jugera con- venable procéder aux visites dont il est ci-des
if ou la sortie de la personne placée. La décision de la chambre du con- seil est notifiée sur-le-champ au préfet ou au
sera adressé au préfet un rapport du médecin de l'établissement qui con- firmera ou rectifiera, s'il y a lieu, les obser
mois que le médecin de l'établissement devra adresser à l'autorité, con- formément à l'article 16. Le médecin sera ten
de la quinzaine, si le préfet n'a pas, dans ce délai, donné d'ordre con- traire, conformément à l'article 26 ci-après. E
ables des établissements seront tenus, sous peine d'être poursuivis con- formément à l'article ;i4 ci-après, d'en référe
bles des pénalités portées par l'article 59, non seulement pour les con- traventions prévues par cet article, mais aussi
re de pair avec l'Angleterre, l'Amérique, etc. Puis des récompenses con- sistant en prix,etsurtout en jouets,ont été dis
us exactement du retour à l'état parallèle. Le second pourrait être con- sidéré comme l'effet du seul relâchement des mu
écute encore assez facilement; les autres sont normaux. La diplopie con- serve toujours les caractères de la paralysie d
très prononcé. Tous les autres mouvements, élévation, abaissement, con- vergence, et fixation à distance se font assez
les conservent également toute leur amplitude, mais le mouvement de con- vergence est nul. La fixation rapprochée dévelo
la lumière, nulle quand on cherche à faire exécuter le mouvement de con- vergence. Amblyopie surtout caractérisée par
u moins mécaniques; il y a aussi une forme névrosique, et une forme con- gestive, dans lesquelles la lésion de l'oreille
deux processus présentent d'étroites analogies, il ne faudrait pas con- clure qu'ils sont identiquement semblables. Les
, réduites à l'état de gaînes vides, des fibres nerveuses grêles, à con- ton ! 'sgi' ! sAh\'s, llf)Iltle.i t;tl'i11171C.
s qu'ils présentent sont tellement identiques qu'il y a lieu de les con- fondre dans une description commune. Toutes l
LOGIE NERVEUSE. névrite spontanée et les dégénératious wallériennes con- sécutives à la section des nerfs. Jamais la dég
ceux du côté droit, frappés dans la totalité de leurs fibres ; ils con- servent en effet une notable quantité de tubes
com- prendre qu'elle s'entretient avec un muet. Mais comme elle ne con- naît pas le langage par signes, elle l'imite en
n n'est pas due à la suppression d'un centre modérateur, mais à une con- centration de l'activité nerveuse. Au lieu d'
empérature ; ' 2° L'état oedémateux, solide, de la peau et du tissu con- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2 i 9 jonctif e
n ne tuera plus personne ; l'affaire s'est présentée dans les mêmes con- ditions pour Sandon, que M. Billaut avait réell
abitué. En conséquence, voici la rédaction modifiée de sa troisième con- clusion que propose M. Kussmaui : « L'ouïe est
eur et les muscles de la face du côté gauche ont été agités par les con- vulsions. La tète était déviée à gauche. Il n'y
érable : la face cyanosée toute couverte de sueur, la bouche sèche, con- gestion pulmonaire, aux deux bras, escarre prof
bstance offre un aspect spongieux, un, peu rougeâtre, et elle a une con- sistance comme gélatineuse. Celte altération dé
d, les ganglions présentaient., un.,certain degré) de prolifération con- , joilctive, interstitielle, de,, sclérose. Mats
ét dans l'état actuel'de la'science,' on ne'serait pas* autorisé" à con- z dure de'1'existence` d'un ' zona^cutané à l'e
eurs ''avec une grande- lassitude- dans, les, membres..Toutefois il con- . D ? i ,/ \t';^xu 'ii'it.Ji in cii.ii Jr,til
u.. ,. z aiiai ( 6 ? eil lyiiil)liatiques.accuniulées dans la trame con- jonctivo-vascuiaire de i et forniaiit ? pir ? I
Ili : ' Itl II`tll ''a) La production d une contracture musculaire con- ' i .d.. , ? t ..fff«.i. - .Mit .f ? tn<v. k
11 '.91. `ifll; : ou -' nous 'avons vu' la contraction remplacer la con- y r r,a v r ( t(IW t r c,llrt 11(1 . s'it-inij
yslfite du réflexe, tendineux pendant la léthargie hystérique et la con- clusion à" laquelle'1 nous i sommes' n arrives
l.a veille^ etaientbi.epiujic'qués* à.-gaughejont, Je, 24,layec les con- tractions, passagères chas muscles ^e, l'a, fac
le'même individu suivant l'intensité, la marche progressive et/par con- séquente la marche de l'hystérie. La faute en s
, pendant un accès de plus; d'une heure, observé un- rétrécissement con- sidérable des artères.et, des, veines et de 1,'
provenance hématique. On le'verrait augmenter dans des proportions con- sidérables sous l'ifluenée'does'6n-etio'ns soit
herches de contrôle qui, nous le souhaitons, Rendront confirmer les con- , clusions de Fauteur. ( (Une planche facilite l
dhérentes aux générateurs, mais de l'état dynamique de la puissance con- ceptuelle de la mère. Cette puissance est-elle
vement de ce développement propre à l'oeuf, en même temps qu'il lui con- fère les qualités transmissibles du générateur
d'avoir conscience- de la répréhension que ses actes méritent, les, con- sidère comme naturels. Tout concourt à faire pe
rger sa conscience,' on peut se heurter à deux' écueils ! ou ne pas con- vaincre lé'su,jet;'ou'lui faire négliger certai
e ce dernier facteur, la vie la plus longue peut s'écouler dans les con- ditions de la santé la plus entière. Je ne manq
mporter une réponse rassurante. Si c'est pour un mariage qu'on nous con- sulte, nous ne devons pas oublier que notre rép
, ou elles révèlent des lésions qu'on était loin de soupçonner. Que con- clure de ces diversités ? Il se peut qu'un même
ai- sissant l'occasion au vol, le Bureau s'empressait d'informer le con- seil de la conviction des psychiatres allemands
aste permette de mieux préciser, le professeur Furstner apporte son con- tingent de travail au complexas symptomatique d
du but de la maison de santé s'impose. M. Brosius pense, du reste, con- trairement à son opinion d'il y a 20 ans, que l
énés et des insuffisants ; la première loi prescrivant un placement con- forme à l'état mental du criminel (1800) ; la l
ement psychiatrique et l'on se garde le plus possible des moyens de con- tention ; on évite ainsi que l'agitation ne rev
s ; on envoie aussi dans ces derniers tous les délinquants malades, con- damnés à moins de cinq ans. On étudie, du reste
ue textuelle. Le cerveau, durci dans l'alcool absolu, présente à la con- vexité de l'hémisphère gauche une dépression hé
i- diezze, la seconde malade est affectée de troubles de la vue, de con- gestion céphalique, revenant par accès, et de p
assez multipliées, ni assez longtemps poursuivies pour infirmer sa con- viction que la cause de la gravité du délire ai
27 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt, entourant les fibres nerveuses sans les détruire. La différence con- siste dans le type histologique de l'infiltrati
ronal, au moment où nous écrivons, après 8 mois d'usage journalier, con- tinue son action bienfaisante. A plusieurs repr
dé- rée comme suffisante si le repos était, continu, mais il est au con- traire entrecoupé de longs réveils malgré le mé
localisées au côté droit, hémiplégie droite consécutive. - Secondes con- vulsions à 10 mois. Retour des convulsions tous
a joue et l'oeil, et tout le côté droit de la face saute. En somme, con- vulsions cloniques localisées à droite ; quant
ès le pre- mier état de mal, se serait aggravée après choques série con- vulsive, jusqu'à l'âge de 4 ans. Après la premi
des oscillations s'accentuant vers la perle de ces notions. Ce cas con- SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE. 37 firme c
ues des rellules pyramidales parfaitement développées ont. dans les con- 42 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
eaux les plus voisins ; il y en a aussi dans les colonnes de Clarke con- tre les capillaires de cette région. Toutes ces
Tous lesfo) (,1'5,(lU 'i[sfus"enL rl'lalÍ\ émeut recentsou anciens, con- tenaient un nombre surprenant de fibres privées
bstance de Soemmering, elles affectent un trajet postéro-interne en con- tournant le noyau rouge en dehors et en dedans.
mottes noires disséminées, sans cependant qu'on ait pu en fixer la con- nexion avec ces fibres dégénérées. Il. - Le l
MENTALE. 01 11 est à penser que le système musculaire de l'intestin con- t ! 'acturepa ! 'Ie5Spabn]eaconul'-it's a produ
là glace, elle sent que la circulation faiblit et qu'elle va perdre con- naissance. Parfois elle peut crier, appeler, d'
ents de flexion et d'extension des jambes et des pieds qui frottent con- linue ! lcl11entses dl'aps dans un mouvemenfrv
r en France, attiré l'attention sur les faits de paralysie générale con- jugale, au congrès aliénisle de Rouen, en 1890.
s une fe- nêtre il la guetter. Devant ses menaces, sa femme, qui se con- duisait bien, a~dû plusieurs fois se\sauver che
la fréquenta- tion- de son chef, d'utiles leçons budgétaires ? Nous con- venons que, de ce côté, il aurait besoin d'acqu
me réponse il la deuxième question de ]3oiiineville, le seul remède con- siste dans la refonte complète de ce monument s
: les obscurcissements périodiques de la vision, le rétrécissement con- w·ntricluu du champ visuel ; on constate en rev
e cen- tre cortical de la vue. 11 y a lieu do supposer un centre de con- vergencevoluntaire, situé dans les parties anté
t la sugges- tion mentale eu un phénomène qui ne heurte en rien nos con- naissances scientifique- fondamentales. P. Kera
les auditives, \ iSllelies eL 1ll0li'icL's-lacLiIL's se-tbrment et se con- servent dans des aires respectives, et que la d
que ce mot lui arrive souvent sans qu'il le cherche, bien qu'il le con- naisse, qu'il le comprenne quand il l'entend, q
ge rien à la dénomination. lunlmlfor rlans un cas d'amnésie verbale con- sidérable avec cécité verbale a vu le patient d
de médica- ments calmants, y compris la morphine ell'éledrieilé. Au con- mencement de 1J0 ? ayant été mordu par un chien
aisembla- blement à une sclérose cérébrale légère ont entretenu des con- tractions musculairesincessantes, celles-ci ont
a up- primé la légende qui s'était créée au sujet de ce cheval. On con- naissait déjà l'intensité de la mémoire chez le
t quelque peu. Dans le lobe occipital, la partie inférieure de Fli. con- tient mélangées des fibres d'association et de
éréotypie si- gnalés en pareils cas pourraient justement figurer au con- Lingent delà démence précoce. Mais pour ne poin
s en question dans le champ de la conscience, sans rien préjuger du con- comitant affectif. Aussi les actes professionne
ont assises par suite sur des bases plus solides. Mais dans cette « con- Ilen;,a1 ion ? il nc faudrait pas voir une « ré
au lieu d'en- visager chacune des formcs cliniques en bloc, on les con- sidère suivant la période de la maladie. Les
ériorisation de la pensée, se transforme en une stéréotypie vide de con- tenu. 11 nous parait cependant essentiel de dél
à d'autres symp- tômes psycho-moteurs, devra toujours être prise en con- sidération et permettre souvent au clinicien de
ue fondamental de l'activité stéréotypée, c'est-à-dire l'absence de con- tenu idéo-alfeclif. Chez le maniaque, l'excitat
, et de 17- diot. D. ^Signification pronostiqua. - L'intérêt delà con- ception inaugurée par l'école d'IIeidelbcl'g ne
nsidérer comme des «convalescents il perpétuité ». Or travers cette con- valescence de l'activité mentale, quelque chose
lle, Piéri, L-,ti-nel-Liasliiie, Sitvestrini. II y a une diminution con- sidérable de la substance chromatique, des lési
n in- tensité est constante sur toutes les coupes, puis parce qu'il con- traste avec le reste de la coupe transverse non
érée. Il y a lieu de croire que le territoire du faisceau pyramidal con- tient un nombre modéré de fibres très longues d
e du ré- flexe. Ne pas le confondre avec les mouvements musculaires con- vulsifs, émanant des manoeuvres d'examen du fac
usion mentale, des convulsions graves et. persistantes. Parfois une con- fusion mentale persistante suit un spasme relat
s vaso- moteurs vis-à-vis des centres huitto-encephaliques est donc con- sidérablement plus grande que celle des musculo
le poussa à l'uxorieide, Pendanl seize jours après le crime, il en con- scrva un souvenir total, complet. Puis, le deti
nt pas évo- lué de la même manière aux deux périodes ; il y a eu au con- traire une variété excessive d'évolution pour l
smont). Parfois c'est la stupidité primitive, que l'on n'a que trop con- fondue avec la lvpémanic slupide de Baillarger.
v P. Keraval. LV. Priapisme et grosse rate ; 25 jours d'érection con- tinue sans rémission n'ayant cédé qu'à un débri
901, n°72.) Très intéressante observation d'un homme de 33 ans, qui con- sullale médecin [lourdes érections durant 2 ou
tien- nt'nl 'mrtout cht'7- l'enfant. Dans l'hydrocéphalie chronique con- génitale ou acquise ; l'insuccès esl la règle.
les sens, pas de strabisme ni de nystagmus, môme intermittents. La con- jonctive et la cornée, aussi bien dans son segm
rôle primordial joué par l'obscurité ; mais afin de le rendre plus con- cluant (car la main de l'observateur aussi bien
eil distingue parfaitement par lui-même les objets, soit seul, soit con- jointement avec le sain.11 lui faut, pour deven
est immense ; ses dépendances immédiates sont aussi larges que ses con- séquences lointaines sont variées. On peul tout
suggestion, c'est recevoir une idée et la tenir pour vraie sans la con- trôler, sans y réfléchir, ou sans y réfléchir s
que dans le décubitus gauche, ont été assez nets dans deux cas pour con- firmer l'opinion de l'auteur. On ne réussit qu'
égie, avec contracture absolue des membres inférieurs en extension, con- trastant les premiers jours avecl'intégrité de
ter. Le début des contractures au niveau du point inoculé est chose con- nue depuis longtemps, mais la majorité des Aute
et l'intensité des crises, en neutralisant surtout les toxines qui con- tinuent à être produites au niveau de la plaie
s appa- rences d'une personne éveillée ; en réalité, le champ de la con- science était rétréci et limité aux seules perc
ons de sentiments affectifs suggérés et passe en revue les diverses con- séquences, sociales, psychologiques et médicale
les asiles le prouve, tous les aliénâtes sont d'accord.- En ce qui con- cerne les aliénés transférés de la Seine à la C
ue des maladies mentales de la Faculté de médecine il Paris, seront con- sidérés comme exerçant leurs fonctions dans un
n temps après que les paralytiques fassent passés ala seconde ; par con- séquent 3 anormalités unilatérales figurent aux
t produite par des corps petits et aigus, le danger de ces derniers con- sistant moins, dit-il, dans leur volume que dan
mais au-delà de la tâche officielle, l'homme s'arrètait encore pour con- templer avec émotion les drames de la vie. Le
ciations dans les délicates et difficiles expertises qui lui furent con- fiées. - Mais aussi, Messieurs, combien lui f
Charpentier. Sous sa plume facile, nos discussions, parfois un peu con- fuses, gagnaient en précision et en élégance, s
478 NÉCROLOGIE. lions frappées au coin du bon sens, résultant d'une con- naissance approfondie des malades. " , Paul G
procédés thérapeutiques les mcillciirr orer le sort des malheureux con- fiés à ses soi . édés, Paul Garnier les a étudi
ir Raynaud. Idiotie amaurotique. Voir Sys- tème nerveux. Nouvelle con- tribution à l'étude clinique de l'- amaurotic
casuistique de la -, par Pini, 236. - ' Myopathie HYPERTROPHIQUE con- 504 TABLE DES MATIÈRES. sécutivè à la fièvre
uméral, par Gauck- ler et Roussy, 71 curable chez un gymnasiarque con- sécutive à des excès de fatigue, par Raymond
28 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rynx sont affectés de mouvements spasmodiques évidents et animés de con- tractions irrégulières, d'où dérive le bégayeme
ou posté- rieurs, et les muscles élévateurs de l'épaule droite. Ces con- tractions musculaires ne sont pas constantes ;
e excitation violente et permanente qui les maintient en un état de con- tracture spécial qu'on qualifie de l'appellatio
des centres corticaux psycho-moteurs. L'existence des attaques avec con- vulsion, absences, vertiges, somnambulisme comi
e du phénomène observé et c'est aussi un aveu d'ignorance. Mais les con- naissances en physiologie élémentaire du systèm
heu, l'excitabilité électrique des nerfs étant demeurée normale, la con- tractilité électrique des muscles innervés par
. La faiblesse psychique souvent dénommée comme secondaire (démence con- sécutive), est au contraire primitive; l'indivi
côté opposé; il est possible que les cordons postérieurs soient en con- nexion avec les fibres cérébelleuses (surtout d
nt inhi- bition du langage réflexe, lequel peut toutefois, dans des con- ditions exceptionnelles, reparaître manifesteme
'ecteux. Les circonvolutions de J'aire motrice du cerveau furent en con- séquence examinées avec le plus grand soin, et
e qui s'accompagnent d'excilation mentale, les centres nerveux sont con- gestionnés, mais comme les parois artérielles s
e, avant que la fièvre ne fut diagnostiquée; l'amélioration mentale con- tinua de progresser pendant la fièvre, et sans
pline, au grand air, a l'exercice, aux toniques, à la diminution de con- sommation du tabac, à l'abstinence imposée en c
re semaines, les paralysies de la sensibilité et de la motilité ont con- servé la même gravité sans qu'il se soit produi
rmonie psychique, l'esprit humain est doué de deux activités, l'une con- servatrice, l'autre novatrice qui se font équil
ouhaiter leur application. Son livre est en tous cas bien fait pour con- vaincre les hésitants, et émouvoir les indiffér
août 1883. Deux accouchements antérieurs normaux et sans accidents con- sécutifs. Pas de maladies antérieures, sauf une
symptômes cliniques soient absolument les mêmes. Enfin elle est en con- tradiction avec d'autres faits, celui de Seligm
'on constate quel- quefois sur le cadavre une anomalie du sciatique con- sistant en sa division prématurée en ses deux b
douleurs cessées, le malade s'aperçut qu'il existait une faiblesse con- sidérable du pied gauche. Ce pied laissait traî
tiques localisés au domaine du nerf tibial antérieur seul en ce qui con- cerne la paralysie, à tout ce domaine du sciati
fesse. Depuis l'âge de vingt ans jusqu'à trente, elle était presque con- tinuellement en proie à des névralgies excessiv
breux, mais ils existent. Nous n'avons pu trouver ni rétrécissement con- centrique du champ visuel ni anesthésie cutanée
tous ces cas. ? On ne peut s'empêcher de rapprocher ce résultat des con- z clusions tirées par mon collègue M, Mairet (A
Les désordres que l'oxyde de carbone produit dans l'encéphale sont con- nus depuis longtemps et ont fait l'objet de rec
G : 27. Pas de transfert, pas d'hémianesthésie, pas de diathèse de con- 236 RECUEIL DE FAITS. tractures. - Pas de cri
ne en avant, souvent si violente que la moitié droite de la face se con- vulse en même temps; dix, vingt, trente convuls
spond aux régions psychomotrices du cerveau et le développement des con- vulsions, leur extension aux divers groupes mus
dans toutes les couches de la substance grise. Hyperplasie du tissu con- jonctif. Hyperplasie des vaisseaux par l'interm
ns la folie systématique et la démence avec humeur gaie, de voir la con- fusion des personnes résulter de l'erreur commi
se- dow présentent-ils quelque propriété à cet égard ? Sa technique con- siste à déterminer comparativement chez cinq ma
e au contraire la migraine spasmodique; ici c'est l'antifébrine qui con- vient. Courbes sphygmiques. P. K. XII. Contri
rontale ascendante et latérale de la pariétale ascendante, gagne la con- vexité, c'est-à-dire par la branche postérieure
ier par exemple, qui, dans sa préface au livre de M. le Dr Garnier, con- fond les aliénés criminels elles criminels deve
ntre). M. BnuNET lit un mémoire sur le travail agricole des aliénés con- cluant à la suppression des colonies spéciales,
ite disciplinaireetla réforme des établissements pénitentiaires. Il con- seille particulièrement un examen plus rigoureu
ubles nerveux peuvent porter sur la moelle (paraplégies passagères, con- lraclures fugaces, douleurs localisées, anesthé
en faveur de ceux qui auraient plus de trente-deux ans à la date du con- cours. Toute demande sera en conséquence accomp
autres. Mlle LOUISE MICHEL irresponsable. - Sur un rapport médical con- cluant à l'irresponsabilité de M'le Louise 1\Ii
ions de l'hystérie, loin d'être abandonnées à la fantaisie, sont au con- traire sous la dépendance des lois les plus rig
ue en prenant quel- ques exemples, et en procédant ainsi dune façon con- crète, quelques-uns des arguments sur lesquels
u cou; or il s'agit là de deux états qui ne paraissent pas avoir de con- nexions intimes. Aussi l'argument précédent nou
e son ; il conserve pourtant sa connaissance j usqu'au moment où le con- vulsions apparaissent. Le malade vient à la S
; la malade distingue toutes les couleurs,sauf le violet, en ce qni con- cerne l'oeil gauche; sauf le violet et le jaune
nature. Enfin, et ceci est tout à fait probant, l'aura des attaques con- vulsives, qui est constitué parfois, comme nous
démontrer que la mi- graine est d'origine hystérique, des arguments con- DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 331 t
en particulier aux Observations 1 et II paraîtrait bénin. En ce qui con- cerne le traitement, comme on l'a vu, le bromur
e, chez les anosmatiques; elle établit donc chez les osmatiques une con- tinuté véritable, à la fois anatomique et fonct
hystériques. Or, celte différence est de plus frappante pour ce qui con- cerne le symptôme de relation. 'randis que les
ême plus rapide- ment que la perceptibilité différentielle, on peut con- clure, au moins pour un certain nombre de cas,
l'esprit. Plus tard elle est devenue médium voyant, ce que son mari con- sidère comme une des plus grandes faveurs qui a
l n'y a pas de retard de la perception. La sensibilité profonde est con- servée, ainsi que lé sens musculaire, sauf pour
re- nouilles, aux oiseaux portent à croire que les résultats et les con- clusions de Christiani ont une base solide. Sur
en vie que maintenant. Celui qui s'est le plus l'approché de cette con- dition est Gollz2 qui a fait une série d'observ
à tracer. - Ces faits et d'autres semblables nous amènent à cette con- clusiun que la différence n'est pas essentielle
n dans les hémisphères cérébraux. Il semble avoir été amené à cette con- clusion moins par ses propres expériences, que
à cette con- clusion moins par ses propres expériences, que par des con- ceptions à priori, sur l'unité et l'indivisibil
de à la fermeture anodale qu'à la fermeture cathodale, fait dont on con- clut que la cathode virtuelle produit une excit
., 1888.) Au moment où apparaissent ces hallucinations le patient a con- servé la notion de position de sa tête, puisque
ivi pour exercice illégal de l'art de guérir et escroquerie; il fut con- damné à 60 francs d'amende du premier chef et a
oisible de se contenter de l'envoi d'un linge tenu quelque temps au con- tact de leur corps; Vandevoir y voyait l'affect
qu'on ne réclamait jamais de salaire, et qu'on acceptait ce que les con- sultants offraient. Au cours de sa déposition
s. Mal-' heureusement l'agression que nous allons raconter a eu, au con- traire, une issue fatale. « La semaine derniè
nell, 255; - séquestration des crimi- nels -, par Schoefer, 258 ; con- fusion des personnes chez les ? , par Alt, 25
29 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hique : chacune de ces artérioles afférentes décrit donc une anse à con- vexité interne, et le sang que charrie la sous-
t ses artères d'ori- gines constantes, et il en résulte souvent des con- nexions physiologiques ou morbides de grande im
s loin, de rameaux émanés des vaisseaux tibiaux postérieurs, et qui con- tournent le bord interne du tibia. L'artère gra
qui a été pendant des années sa compagne. Il suppose qu'il est mal con- formé (en apparence les organes sexuels sont no
reste, à cette époque, il avait toute la symptomatologie du diabète con- firmé ; il urinait souvent et beaucoup, sans qu
nce d'un traitement approprié, les symptômes diabétiques s'amendent con- sidérablement, sans modification parallèle des
s'offre aujour- d'hui à notre étude. Il est à noter que les crises con- vulsives et délirantes ne se sont pas reproduit
ire à toute excitation; tous les muscles innervés par le médian, se con- tractent excepté lui. Diagnostic : névrite péri
e plus important : il entraîne d'une façon immédiate, mais lente et con- tinue, les phénomènes morbides; l'affection cér
ération du faisceau pyramidal entier. Action favorable des courants con- tinus du bromure et de l'iodure de potassium. P
que le tabes, a passé inaperçue parce que ses symptômes, en ce qui con- cerne la moelle, se sont confondus avec ceux du
de pratiquer l'avortement ? En effet, dans l'espèce, l'atténuation con- sécutive des douleurs et autres symptômes pénib
vations. ' Théorie. - Si l'on admet que la mélancolie émane de la con- tracture des fibres lisses des vaisseaux, tandi
ne, la nutrition retardante. L'étude très savante de nos distingués con- frères envisage donc principalement les trouble
e belle indignation, derrière laquelle se cache tout simplement une con- naissance inexacte de l'histoire de l'assistanc
E. 1119 peu fatigué, lorsqu'on lui fait prononcer une phrase où les con- sonnes l et r abondent, telle que celle-ci : «
lthaus dit : « Actuel- lement on ne possède pas d'observations très con- cluantes sur les paralysies des muscles oculair
énérale, la densité est en rapport direct de la quantité de glycose con- tenue dans l'urine. Le chiffre de l'azoturie n'
tique et de la gly- cosurie tabétique avec lesquels on pourrait les con- fondre, il faut procéder de la manière suivante
ont nous le remercions ici, voulut bien nous envoyer quelques notes con- cernant cette famille et son tableau généalogiq
h. De plus, contrairement à ce qui a été observé par cet auteur, le con- trôle de la vue chez deux sujets de notre famil
c'est z elle qui me donne des idées mélangées. Le mélange des idées con- siste à avoir toute espèce de contrariétés et à
oil au cul. Je ne changerai pas mes idées. Parce que Monsieur a des con- naissances, je n'aurais pas le droit de discute
en dedans. La bouche est immobilisée par les masticateurs fortement con- tracturés. Les doigts de la main droite sont co
pèce, de troubles sensitifs et moteurs montre qu'ils ne sont pas la con- séquence d'altérations vasculaires, qu'ils dépe
muler un rétrécissement typique pour le. blanc et. les couleurs. On con- naît ce malade de Berlin qui savait tout' simul
a. lades qui présentaient, en outre des accidents toxiques que l'on con- naît, cette particularité de former en écrivant
re. ' Telle n'est pas non plus l'opinion de M. Bourneville, et pour con- vaincre le lecteur, il lui suffira de regarder
iner les aliénés ainsi assistés; la même observation s'applique aux con- ditions de logement, etc., ci-dessus indiquée^.
ut lieu au cours de laquelle le professeur Z... hypnotisa plusieurs con- sommateurs avec des fortunes plus ou moins heur
etc., etc.. Asile d'aliénés. Le tribunal civil d'Avignon vient de con- damner M. Bresson directeur de l'asile d'aliéné
lle est prise brusquement, en sortant de table, de perte absolue de con- naissance avec résolution complète des membres,
n lit avec méthode, bien qu'elle ait les paupières closes, les yeux con- vulsés ; elle étendait légèrement ses mains sur
r le contact de sa réalité et le mord à belles dents ; une assiette con- tenant un morceau de viande rôtie étant mise au
d'une personne éveillée, tout en bavardant de mille choses, et sans con- naitre ceux qui l'entourent. Son père met à s
it qu'il essayât de l'endormir à l'état de veille en cherchant à la con- vaincre qu'il la guérirait si elle lui donnait
ésigne, quoique assu- rément la dénomination d'héréditaires ne leur con- vienne pas. Tous ces faits sont caractérisés d'
d'autres, on trouve des troubles beaucoup plus accentués : c'est la con- tracture des quatre extrémités avec porencéphat
ier, a mené une vie déréglée et plus tard, changeant brusquement de con- duite, elle est entrée dans uu' couvent. La mèr
ules, à condition qu'elles soient jolies, deviennent l'objet de ses con- voitises. Cependant, un jour, en caressant la t
province, je suis venu sans titre et sans raisons demander quelques con- seils à M. Charcot pour les études de psycholog
ent au contraire un phénomène fort complexe. L'un des deux mots que con- tiennent ces expressions « sentir, voir », peut
lus com- plète et plus claire; le mot personnelle vous empêchera de con- fondre cette opération avec la perception extér
onne qui lui parle, sans se préoccuper des impressions tactiles qui con- Fig. 3. ' 344 CLINIQUE NERVEUSE. tinueront
ais une .suppression de toute sensation. Mais réfléchissez bien aux con- séquences de votre supposition : Vous allez cré
ès incomplet. Elle tombe brusquement en avant et perd immédiatement con- naissance. Après quelques secondes de calme com
fonnent n, Les jambes se soulèvent alternativement et lentement non con- tracturées. Pendant ce temps, les yeux sont mi-
p, je reviendrai sur les symptômes qu'il présente. Il n'a pas eu de con- vulsions pendant son enfance, il n'a jamais été
dans ce sens, cette impulsion homicide ne subit l'influence d'aucun con- trôle. Il ne sait même plus, au bout de quelque
r, les a expliqués, et a même regretté de les avoir commis, tout en con- servant cette idée, qui fut la cause originelle
e lui- même à cette dissociation; il sent que le mal réside en lui, con- 1 Etudes sur les maladies cérébrales et mentale
a- tiques adventices, périvasculaires et péricellulaires. Nous n'en con- naissons point encore les modes de communicatio
des lobes temporal et occipital à la protubérance. Le quart voisin con- tient les faisceaux des pyramides. Dans la troi
1891.) - On a cité des cas de tumeurs intra-crâniennes d'un volume con- sidérable, c'est-à-dire existant depuis des ann
tent nor- malement entre les différentes parties du cervelet soient con- servées. Une lésion superficielle à la partie p
ihitoire sur le coeur et les poumons admise par Brown-Séquard comme con- sécutive aux excitations de la peau et de la ré
aisse au niveau de la convexité de l'hémisphère; la fausse membrane con- tenait une quantité considérable de sérum sangu
la force. D'après la manière de voir qui vient d'être exposée, les con- ditions physiologiques du cerveau qui lui perme
ut le corps. Grincement de dents. A la suite d'une nouvelle attaque con- vulsive, la malade meurt dans le coma. A l'au
élit subsistant qui détermine l'épilepsie Jacksonnienne, l'atrophie con- tinue à évoluer de concert avec les phénomènes
asedow. En conséquence, M. Kurella conclut à la responsabilité. Les con- vulsions, de même que la psychose due à la déte
préci- piter les accidents par des complications expérimentales, il con- viendrait, au préalable, de se rendre compte du
d'aile ; elle ne réussit qu'à se faire des blessures assez graves, con- séquences, comme on peut le croire, de la chute
30 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
identiques. Ainsi, les crises de rougeur surviennent dans les mêmes con- ditions, sous l'action des mêmes influences. Le
sédés, ils la cachent à tous sauf au médecin à qui ils s'ouvrent en con- fidence, lui parlantde leur obsession avec une
uses de ce genre, ou d'interroger ceux qui y sont sujets, pour être con- vaincu que l'émotion apparait en même temps que
ration. Pas du tout. Il continue triomphalement son réquisitoire et con- clut : c Maintenant je le retiens encore comme
leur peine suivant le degré du facteur endogène. Les jeunes seront con- fiés aux établissements d'éducation orthophréni
us qui n'ont que peu ou point de sentiments altruistes, mais qui se con- duisent bien. Il y en a d'autres qui ont une vi
terre ». Mais quand on cause avec le malade d'autres objets qui ne con- cernent pas la physique, il en parle et raisonn
e, etc. En même temps celui-ci, comme pourbien affirmer ses droits, con- tinue de- faire acte de propriétaire en arracha
ercep- tion des lettres, des sylllabes et des mots est parfaitement con- servée ; mais il existe une incapacité de conce
able de Krafft-Ebing et s'appuyant sur l'analyse d'observations, il con- clut qu'elle n'a pas un équivalent unique en Fr
cieuses. D'après ce système de la double assistance, en France, les con- damnés devenus aliénés seraient internés a Gail
s mentales, mais il n'est pas nécessaire qu'il remplisse toutes les con- ditions exigées pour le médecin directeur ; 5°
ot, dans le sens d'une séparation du reste du monde. On était alors con- vaincu, et nombreux sont ceux qui le croient en
is et des mois de voir ses parents; il est par là confirmé dans ses con- ceptions délirantes ou souffre d'un abandon auq
t tout ce qui d'ordinaire existe. En conséquence, il conviendra d'y con- duire tous les aliénés valides en état de s'y r
ant les grosses cellules nerveuses du cerveau des torpilles, pût se con- vaincre de la structure fibrillaire, non seulem
t peut- être aux différences de fonctions de ces cellules. Quant au con- sensus physiologique que l'on constate entre le
u'on puisse en dégager une loi générale ». Bref, on ne saurait rien con- jecturer decerlain sur la fonction de telle cel
'es- sentiel, c'est que les expériences sur les animaux nouveau-nés con- tredisent la doctrine de Wundt, écrit Munk : il
ents nerveux des cellules, puisque aucun fait ne l'appuie. Kolliker con- testa surtout avec force une autre hypothèse de
ion », des procédés d'investigation plus délicats que ceux que l'on con- naît pourront un jour permettre à l'observation
ats et les rapports du médecin de l'asile, mais il ne nous fait pas con- naître le rapport des experts qui ont examiné l
GU1LIIOU. Très bon travail, du laboratoire du professeur Jolyet, à con- sulter. - IX. DE la. névrose CÉRÉBRO-C.\RDIAQ
e et l'hérédité pathologique, il y a aussi deux consanguinités, une con- sanguinité saine, inoffensive, et une consangui
ette incompatibilité soit bien spécifiée dans l'affiche du prochain con- cours. Une seconde question nous avait été po
mmission soit nommée pour étudier le plan d'une réforme générale du con- cours pour l'internat des asiles. Des voeux ont
rbales, et, étant ainsi, elles se sont trouvées dans les meilleures con- ditions pour laisser les empreintes les plus pr
ail de réparation qu'il n'est pas en mesure d'accomplir; il faut au con- traire conserver précieusement à un tel malade
cep- tible de généralisation; il a paru utile néanmoins de le faire con- naître, car il pourrait sans doute être utileme
- tine qu'à la suite de la fièvre typhoïde. Ce travail n'est qu'une con- tribution à l'étude de l'influence des maladies
rovoquer le placement du buveur interdit dans un asile spécial : il con- viendrait que la loi spécifiât ce point. M. B
ubles de la parole, puis, en mai 1896, ictus aphasique passager. La con- formation du crâne attire immédiatement l'atten
le picro-car- min on trouve un épaississement considérable du tissu con- jonctif du nerf. Probablement dans ces travées
, ren- fermeraient un plus grand nombre de cellules; seulementleurs con- nexions seraient fort imparfaites. C'est peut-ê
- cendant ; il fournit trois ou quatre collatérales ramifiées et se con- tinue, ou par un coude, ou par une division en
uçant le plasma sanguin des capillaires : elles ne sont pas plus en con- nexion avec les vaisseaux qu'avec la névroglie
tif et dans celles de la névroglie ; elle ne forme toutefois d'amas con- sidérables que dans les grandes cellules nerveu
ière de nos expériences et de nos représentations, et le nombre des con- nexions réalisées entre celles-ci par le substr
per- hémiés. Mais, objecte Cajal, le propre de l'attention étant de con- centrer l'activité psychique sur un champ limit
- mettre une pareille opinion ni pour la névroglie ni pour le tissu con- nectif. » (C. Weigert, Ileitnüge zur Kenntnis £
aisons arborescentes des cylindraxes et des collatérales entrent en con- tact avec les dendrites. Mais le moyeu de croir
er- mettre de les contre-balancer, et il y a lieu d'appliquer à ces con- tagions mentales des mesures analogues à celles
sans en garderie souvenir. En réalité dans l'état somnambulique, la con- duite, la manière d'être présentent certaines a
générale de tout le corps. Pendant le spasme, les mâchoires étaient con- tractées ; de temps en temps la langue était mo
dans le myxoedème. Et de ce contraste, ne pourrait-on pas induire ( con- clure serait prématuré) que l'une de ces maladi
scien- tifiques et pratiques donneront tout le poids nécessaire aux con- clusions et aux voeux résultant des discussions
mporaine du rapport des cellules nerveuses entre elles. Pour ce qui con- cerne le mode des arborisations terminales des
ée à l'intégrité du globe oculaire et que cette couche joue un rôle con- sidérable dans la vision. Les radiations opti
tique, de même qu'à la suite de l'excitation faradique répétée. Ces con- vulsions se limitent strictement au territoire
langage. L'auteur admet en effet que les deux hémisphères agiraient con- curremment dans la production du langage. Il ra
es de la marche et d'affaiblissement intellectuel.-1888. Deux accès con- vulsifs avec perte de conscience passagère, sui
ulte. 8° Résultais unalomo-pathologiques. La plupart des auteurs se con- tentent de dire que l'on a trouvé les lésions t
i ont une mportauce au moins égale, sinon plus considérable, que la con- ception délirante en elle-même. (Allg. Zeitsch.
s psy- chiques survenus chez des épileptiques avérés. Kraepelin, au con- traire, l'accepte. La théorie de Lombroso et de
atisant. M. WILDERMUTB, contrairement à l'opinion de Iïraepelin qui con- sidère l'alcool comme un agent provocateur acti
stion du personnel est doublement délicate quand on a affaire à une con- grégation ; on ne saurait trop insister sur ce
s infir- mières. Furstner est opposé à la façon de voir de ceux qui con- sidèrent la profession d'infirmiers d'asile com
u- cateurs ; ils sont des collaborateurs très utiles. M. LUDWIG, au con- traire, considère l'influence des vieux infirmi
s loca- lisées au côté gauche du corps, et accompagnées de perte de con- naissance. Al'autopsie, on trouve une tumeur du
roit; ces douleurs, au commencement passagères, devinrent plus tard con- tinuelles. Deux ans plus lard parut une atrophi
ille, Astier, Le Roux et Briand, la Commission décide d'adopter les con- clusions négatives de M. le Rapporteur. BIBLI
errup- tion subite de la circulation cérébrale provoque la perte de con- naissance et des convulsions toniques et cloniq
es demoiselles et qu'on est obligé d'expulser parce qu'il n'est pas con- venable; enfin donnant la note gaie et parfumée
as assez pour le repos de leur système nerveux. On les habitue à la con- sommation du thé, du café, du vin, de la bière
es causes les plus graves de la neurasthénie. Puis il est facile de con- cevoir que, même si l'alcoolique ne devient pas
n jour. On constate une incurvation considérable en arc de cercle à con- cavité interne des deux membres inférieurs, plu
DANNES. Des observations rapportées par les auteurs se dégagent les con- clusions suivantes : 1° Le nystagmus s'observ
perte ou la conservation de la connaissance, durant les paroxysmes con- vulsifs, un élément de diagnostic différentiel
ques, que les lois qui président à la conservation ou à la perte de con- naissance dans les attaques d'hystérie peuvent,
rente de la conscience, ils ne se rendent pas compte qu'ils ont des con- vulsions et ne se rappellent pas, quand l'attaq
tum. Abolition du réflexe rotulien et de celui du tendon d'Achille, con- 478 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. servation d
n pareil symptomo-complexus firent pourtant des objections motivées con- cernant l'opinion du rapporteur, que la narcole
de la confusion mentale; c'est pourquoi on ne doit pas regarder la con- fusion pseudo-aphasique comme une entité morbid
-, par Texier, 154. Diagnostic de Il - par Patrick, ego. Perte de con- naissance dans les attaques d' -, par Pitres,
31 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
ont cessé. ? OBSERVATION. - Antécédents : frères et soeurs morts de con- vulsions ; - premières convulsions (19 9 mois);
ré, afin de précipiter le cuivre à l'état de sulfure,après un repos con- venable ce sulfure a été séparé par filtration.
e traitement des anévrismes de l'aorte, des applications de glace a con- duit à les employer chez certaines épileptiques
oir de zone intermédiaire. Après l'éloignement de la glace, la peau con- serve sa rougeur pendant sept ou huit minutes.
it qu'on les tire. » Elle voit des « chandelles, a enfin, elle perd con- naissance. La tôle se place dans l'extension, l
s lèvres, la langue, la muqueuse palpébrale, sous l'influence de la con- gestion, prennent une couleur d'abord rouge ver
'llystéro- épileptiques ou d'épileptiques en accès, et il était par con- séquent impossible de séparer, dans les modific
rimitivement modifiée. Outre que sa quantité serait accrue, l'urine con- tiendrait une proportion considérable de sucre
ur les parois des vaisseaux; toutefois, Bernheim (1) et Guttman (2) con- (1) P/lugc 's drchiv, VIII p. 2"3 (2) l3erlit
production du spasme) à un 'degré capable d'empêcher l'éclosion des con- vulsions. Voici l'abrégé de ce cas. Observati
te d'amyle qui prévient un certain nombre d'attaques et produit par con- séquent une amélioration. Le médicament ayant é
qu'à deux heures de l'après midi, onze accès. Etat grave : perte de con- naissance absolue, respiration sterloreuse, et
l'attaque, elle demande qu'on lui mette la camisole. Voici en quoi con- siste ses crises : . Petites secousses de la
le reprit connaissance et s'agita tellement qu'il fut impossible de con- tinuer l'inhalation. Aussi, au bout d'une ou de
s qui peu- vent être divisés en médiats et immédiats. Voici en quoi con- sistent les premiers : Pendant cinq à huit jour
labiale t droite en la tortillant. La face a une teinte plombée, la con- ' jonclive oculo-palpébrale est couleur lie de
impressions. 5° D'une façon générale, quand l'inhalation avait été con- venablement faite, les malades, une fois revenu
par M. Char- cot dans ses leçons, aujourd'hui classiques, que l'on con- nait bien les caractères principaux de l'hystér
rine persiste. A 7 heures du soir, attaque convulsive avec perte de con- naissance. L..... est dans l'opistlwtonos compl
e la tète. Soir. L'état de la malade est le même. En raison de la con- tracture de la langue, on ne saisit qu'imparfai
once sont, bien entendues, difficiles à comprendre, par suite de la con- tracture de la langue. La température rectale,
ière, elle est aujourd'hui ce qu'elle était à cette époque. Nous la con- naissons depuis dix ans et notre appréciation p
vomissements. 21 octobre. On a sondé la malade heure par heure pour con- naitre la quantité d'urine, et on a remarqué qu
s règles. 25 octobre. On cesse de recueillir les urines. Les règles con- tinuent. -Persistance de la trémulation choréif
squ'à ce jour. 22 mai. Malin. La face est souvent congestionnée. La con- tracture des mâchoires n'a pas subi de modifica
s à peu près libres. Les mouvements sont assez étendus. L'épaule ne con- serve qu'un peu de roideur. L'élévation complèt
nt disparu. Elle n'a aucune notion sur le mode de disparition de la con- tracture des membres. Ce matin, nous voyons E
O-ÉI'ILEPSIE. Achromatopsie complète. - Le champ visuel est rétréci con- centriquement jusqu'au point de fixation. OEil
l'on s'aperçut de l'existence de l'ischurie. Faut-il invoquer comme con- ditions favorables à son développement la néphr
u corps, puis avec une paralysie motrice et plus tard enfin avec la con- tracture des membres, elle envahit, à d'autres
algies. Celles- ci, en particulier, ne sont pas encore suffisamment con- nues, car elles sont quelquefois l'occasion d'e
ble quan- tité d'aliments qui était absorbée ; malgré cela, Etch... con- servait toutes les apparences de la santé. Et c
éro-épileptique : - Il est possible que, malgré sa longue durée, la con- tracture disparaisse sans laisser de traces ; d
32 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nte. Le cha- touillement de la plante des pieds provoque encore des con- tractions réflexes dans les muscles de la cuiss
distendue et contenant quelques leucocytes. Les faisceaux du tissu con- jonctif y sont plus épais ; ces travées conjonc
sons. Parmi les mouvements continuels et désordonnés qu'amènent ces con- tractions morbides, ceux imprimés aux organes d
izarres et par des mots encore plus extraordinaires, et qui fout un con- traste déplorable avec son aspect et ses manièr
ltation de M. Charcot avec sa mère. Nous n'insisterons plus sur les con- torsions que nous avons décrites, sur la bonne
il pou- vait écrire et dessiner. Mais durant toute cette année les con- torsions furent si violentes qu'il dut interrom
évèle rien de particulier ; la sensibilité générale et spéciale est con- servée. Observation VI (Personnelle). J. L.
UE NERVEUSE. dans un clignement d'yeux très fréquent, accompagné de con- torsions des deux sterno-mastoïdiens qui inclin
mois. Guérison. Ces trois dernières observations sont encore moins con- cluantes que la première, et, à notre avis, on
t préco- niser un traitement sur de tels faits; ce sont des notes à con- sulter personnellement et non à publier. Le 2
ès eux aucun symptôme. Le traitement, commencé le 29 septembre, fut con- tinué durant quelques semaines. Les accès cessè
rceptibles. La malade ne pousse aucun cri, ni présente aucune autre con- vulsion partielle. A la fin de tous ces phénomè
x-mêmes. Profitant alors d'une circonstance favorable, et mettant à con- tribution le zèle de la surveillante en chef (c
aître par- faitement déraisonnable, se trouve néanmoins entièrement con- foime à la réalité des faits. M. Willzs (qui
qui le soignaient actuellement et M. Willis lui-même ne purent que con- firmer le diagnostic. La femme du malade, inter
le in- demne des dangers d'une pareille alliance, lorsqu'on est son con- seil. Le public sera également éclairé sur les
ré la régularité dans l'alimentation, malgré le repos au litpresque con- tinu, l'amaigrissement et la pâleur deviennent
ngation musculaire à l'aide des points de fixation anatomique, d'où con- sécutivement une contraction modérée mais conti
acte et pendant sa détention, en la demande d'explications toujours con- tradictoires à la barre du tribunal, les uns at
de Gènes ( ! 'kilomètres), Nervi a, dans ces dix dernières années, con- quis droit de cité thérapeutique; cette sale vi
t de choisir le lieu qui convient à chaque malade, et surtout de le con- fier à un spécialiste avant qu'il n'entreprenne
ie vio- lente avec forte angoisse précordiale, insomnie complète et con- ceptions délirantes. On constate, en outre, pre
0 à d : i centigr. ; la constipation cède dès les quelques semaines con- sécutives, sinon les laxatifs en font justice,
ue avec conservation normale de la contractilité galvanique; 3° les con- tractions musculaires deviennent de plus en plu
41 tous les phénomènes s'observent sur des muscles qui ont subi des con- tractions, soit cloniques, soit toniques; 5° su
139 violacées sur les mains, et au niveau des articulations, et une con- gestion pulmonaire passive, phénomènes dont la
ceux des avant- bras et des mains, qui avaient perdu davantage, se con- tractaient moins, mais cependant les contractio
énorme dépense de mouvements qu'ils ont faite pendant la journée ne con- tribue pas peu à ce résultat. Une seule fois (O
temps, fort bien ob- servé lui-même. « En écoutant un discours, une con- férence, nous disait-il, j'étais poussé par le
tes l'écholalie et la coprolalie, nous croyons être dans le vrai en con- cluant à l'incurabilité. § IV. Nous croyons
e puis pas donner d'autres renseignements sur ma famille.] - Pas de con- sanguinité. Six enfants dont quatre du père d
ma- lade ; 3° garçon, mort d'une fièvre cérébrale avec convulsions con- sécutives à une chute ; - il avait une taie ( ?
une conclusion. Ainsi, non seulement les résultats obtenus par Wood con- tredisent ceux obtenus par Mosler, Hammond et B
re avec un ré- gime animal ou végétal convenablement préparé, à une con- dition, c'est qu'on laisse les individus en exp
r- reux. En troisième lieu enfin, si on se reporte aux recherches con- signées dans les tableaux qui précèdent, on voi
rmal de la conscience analogue à celui du rêve, et non une perte de con- naissance totale; aussi le souvenir de ce qui s
el que soit l'état d'hyperexcitabilité mécanique de ce dernier, des con- tractions aussi fortes ni des convulsions succe
variable- ment observé 1'unilaLéralité des phénomènes parétiques ou con- vulsifs, qu'il considère certains types d'attaq
contre fréquemment une disposition anormale des circonvolutions, de con- cert avec les autres signes de dégénérescence e
pré- disposition ou d'une affection antérieure. L'épilepsie, le tic con- vulsif de la face, l'irritabilité du système va
traumatique. D'ailleurs, il faut exiger la constatation du rapport de con- tinuité temporelle et intime entre la psychose
chose déjà existante ; c'est ainsi que la chute pendant une attaque con- gestive, ou un vertige épileptique, avait pu dé
y : 1 Anomalies du sens génital chez les dégénérés : ce. Inversions con- génitales du sens génital; 6. Inversions périod
et pour le faire avec intelligence, il vous faut posséder certaines con- naissances anatomiques et physiologiques. La
ions antérieures, nous les divisons en quatre groupes : Groupe le', con- tenant les élongations des nerfs pratiquées dan
urer des causes qui faisaient persister les douleurs atroces et les con- tractures dans la région fessière chez un malad
OELLE ÉPINIÈRE. 309 exigerait l'accumulation d'une quantité de sang con- sidérable, on peut penser que la distinction de
y ait eu plutôt une sorte d'engourdissement que perte réelle de la con- tractilité électrique, car dans ce dernier cas,
3, et entra chez un commissionnaire en rouenneries. Là, son travail con- sistait à traîner une petite voiture chargée; i
ipital. La partie antérieure du lobe pariétal est atrophiée, mais a con- servé son aspect normal, l'autre est très atrop
la pre- mière partie de ce travail, qu'en se plaçant dans certaines con- 364 REVUE CRITIQUE. ditions déterminées, en s
e pai, 1'î(i,iîze dans ses rapports avec celle de l'azote, .travail con- sacré à des recherches sur les maladies du syst
ent sou- vent des résultats contradictoires. Si, par exemple, on se con- tente de suggérer du « rouge », la malade peut
c'était une sensation réelle (Wundt) brillante, développe une image con- 394 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. séculive de
Char- pentier, est composée d'individus obtus par suite de poussées con- gestives et particulièrement de vieux buveurs,
NTES. 397 vidus, je répondis au magistrat qu'il avait raison de les con- damner. On ne doit pas voir en eux des séniles,
server la conduite de la société. Elle supprime le paragraphes. Par con- séquent, voici ce que deviennent les statuts :
des lombes ; intégrité des mollets. Pendant la station debout, les con- vulsions des extrémités inférieures diminuent,
etour exact à la situation verticale. Le coffre du galvanomètre qui con- tient la masse de cuivre amortissante peut tour
légiques. Enfin dans l'atrophie musculaire progressive, tant que la con- tractilité musculaire subsiste, il est indiqué
dre), médecin à Gaillon et de la maison centrale de cette ville. Ce con- frère distingué n'avait pas quarante-quatre ans
n Journal of Insunity, et nous nous associons de tout coeur à notre con- frère - que les blessures du Dr Lindsay sont en
33 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cepen- dant; dans le cours de la nuit, l'infirmier de garde n'a eu con- naissance de rien. Les symptômes 'constatés ce
s ». Pen- dant toute sa vie, il a été débauché, délaissant le foyer con- jugal, pour vivre entouré des premières filles
que qui a son autonomie et sa caractéristique propre ? L'anémie, la con- gestion ou l'oedème du cerveau se rencontrent d
se refroi- dissent. Il n'y a pas, à proprement parler, de perte de con- naissance, mais seulement de la somnolence, d'o
tance en évi- dence. On comprend que, suivant la quantité d'acétone con- tenue dans l'urine, la réaction sera plus ou mo
mme si la malade avait soif d'air, avec une violence singulière qui con- traste avec son épuisement général. » En pareil
consé- cutivement à l'apparition de l'albuminurie. Existe-t-il une con- nexion, un rapport entre ces deux états ? En to
une con- nexion, un rapport entre ces deux états ? En tout cas, la con- nexion, est loin d'être ni nécessaire, ni fréqu
e; rien dans les muscles abdominaux ou thoraciques. L'Observation I con- cerne une femme de trente-deux ans adonnée aux
TES. M. Rou[LL,1111) fait remarquer que l'épilepsie ou les troubles con- gestifs ne sont que des hypothèses dans le cas
matière d'enseignement, on ne peut atteindre de résultat que par le con- cours des médecins et des professeurs. il s'agi
t que le jury chargé d'examiner les maquettes des trois lauréats du con- cours institué récemment pour l'érection d'une
disparaissent et, àpart un état d'obnubilition intellectuelle plus con- sidérable que celui qui existe généralement dan
nnaissent une même cause; chez D. C., au contraire, la première est con- sécutive aux secondes. Je veux seulement mettre
'aliénation, les auteurs modernes sont absolument muets pour ce qui con- cerne la fièvre saisonnière. Esquirol, lui-même
sionnaient. Jugeant donc la malade sans fièvre, et voyant un délire con- tinuel, furieux, durer plusieurs semaines, j'em
localisation du côté du cerveau peut seule expliquer les phénomènes con- gestifs et inflammatoires que nous venons de ra
très peu de ten- dance aux localisations cérébrales, qu'il faut des con- ditions spéciales pour que ces localisations se
s ou des anomalies. Aujourd'hui la liste de ces cas complexes s'est con- sidérablement allongée, et on peut commencer à
t, se remplacent dans les familles, établissant le rôle étiologique con- sidérable de l'hérédité névropathique. On a v
s gros et durs. Certains mouvements sont du reste remarquablement con- servés. Ainsi, assis sur un fauteuil, le malade
ui le retiennent; en fait, dans la marche, la cuisse et la jambe se con- tracturent en extension, et tout le membre infé
géné- ralisée, qu'on fait cesser parles inspirations d'éther. Cette con- tracture consécutive aux attaques est un fait p
coquettes. En embrassant d'ensemble un noyau et les organites qu'il con- tient, on voit tel bâtonnet ou tel morceau de b
aine force peut rompre l'isolement des fibrilles, la fibre nerveuse con- duisant dans son ensemble l'excitation. Il conv
vient « possible à la condition d'être éclairée par l'indispensable con- « trôle de l'observation intérieure; c'est pour
que « l'acte à accomplir est nouveau pour le sujet, et éveille, par con- « séquent, chez lui une conscience très intense
par une onde contractile qui s'étend rapidement à la masse; 2° une con- traction limitée au lieu d'incitation, marchant
moins qu'il ne s'effectue une rigidité cadavérique très précoce; la con- traction totale sera par exemple provoquée une
de l'excitabilité mécanique des muscles; on constate que le mode de con- vulsions ou de contractions normales se pervert
gauche, explique la prédominance de la parésie à droite. Peut-être con- vient-il de rattacher le trouble thermique vaso
délire, bien modéré en somme, accompagné d'un faible trouble de la con- naissance, l'absence complète de convulsions oe
léger. - §241 .Tout individu convaincu d'avoir fumé de l'opium sera con- damné à deux ou trois ans de prison. § 242. La
atrie. M. Hans Lu;an. Contribution à l'acéloiiu7-ic des aliénés. Au con- grès de médecine interne de 1883, de Jaksch ann
cas de refus conipletdpiiouri-iture, et cela dès le premier jour de con- tinence. Les mêmes réactions dans le produit de
e il eut la tête prise et gravement lésée dans une machine(perte de con- naissance pendant un temps assez long). Aurait
100 des tabétiques guérit sans qu'un mode spécial de traitement ait con- duit à ce résultat, sans qu'il existe de criler
guérison a eu lieu; nouvel exemple dans un cas d'interruption de la con- naissance remontant à un traumatisme, compliqué
du raphé de la protubérance, qui, dès la première semaine delà vie, con- tient des fibres myéliniques. La plupart des no
est exécuté. On commencera par ne prendre que 400 malades; on a par con- séquent calculé la première quote-part nécessai
di- nier marié; au-dessus, dortoirs très spacieux. Il y existes des con- duites d'eau; les latrines se composent de simp
ère; il s'est produit au voisinage du foyer tuberculeux une poussée con- gestive pour laquelle il parait opportun d'appl
structeur, on observe sur maintes fibres des images représentant au con- traire la phase de restauration. C'est ainsi qu
ions bien diffé- rentes de celles que présente le tronc du nerf, et con- tenir uniquement des tubes dégénérés sur toute
dégénératives n'in- terviennent qu'à titre secondaire, comme simple con- séquence de l'évolution propre à la névrite seg
wallérienne se dé- veloppant d'emblée sur une fibre nerveuse qui a con- servé ses rapports avec une cellule nerveuse in
en effet de ne pas rencontrer les altérations dont-il s'agit, et de con- sidérer comme indemne un nerf profondément lésé
ifier l'action de son cerveau et, en conséquence, la partie irritée con- serve au même degré l'irritation. Aussi je ne t
ctés se relâchent' dans un laps de temps relativement très long; en con- séquence, on peut dire que leurs centres ' rest
une grande partie des savants (Ferrier, Heidenhain, Bernheim, etc.) con- sidèrent la marche comme un réflexe spinal (ou
xcitant les antago- nistes, les muscles contractés se relâchent; au con- traire, en cas de vraie exagération de cette ac
n 1880 disparus le 10 janvier 1881 ; chez le 30, les mêmes réflexes con- servés avant janvier 1882 , disparus après cett
LÉGALE. puisse être résolu à l'aide d'une observation sérieusement con- duite. Pour nous, il n'y a pas eu plus de sug
he qui entoure la corne occipitale paraît saine à l'oeil nu, sauf à con- firmer notre assertion par l'examen histologiqu
lui des crises épileptiformes sans cri initial, mais avec perte de con- naissance et convulsions cloniques et toniques
marade, qu'on n'a pu retrouver, aurait observé chez lui une attaque con- vulsive. Ivre, il était tellement violent qu'il
force jusqu'à imprimer, par intervalles, aux muscles la plus forte con- traction possible en flexion et en extension (é
t-il dans la-position horizontale que la face et le cuir chevelu se con- 442 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. gestionnent et qu
lles il se produit de l'expiration forcée, de l'affaiblissement des con- tractions cardiaques, des éjections spontanées
nt de vue psychologique, l'étude que fait M. Binet le conduit à ses con- clusions : «l'élément fondamental de l'esprit e
ertains malades sont aussi dangereux que des criminels, il faut les con- sidérer aussi comme des nuisibles et prendre co
sile de Dalldorf, bien que créé pour 1,020 malades, est arrivé à en con- tenir 1,250, et l'augmentation du nombre des al
34 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ieu de 3 fois). -Si donc nous partons de la moitié supérieure de la con- vexité de la circonvolution de l'hippocampe (ex
n étant plus courtes, n'en sont pas moins épaisses, et par endroits con- tiennent des vaisseaux de calibre assez fort. L
de la moelle épi- nière. L'un de ces réseaux est formé par le tissu con- jonctif, fibrilles et tissu, finement grenu de
a capacité de fibres nerveuses qui se détachent de ce nerf, pour se con- fondre avec le nerf intermédiaire de Wrisberg.
ergence des fils ner- veux qui se détachent du nerf auditif pour se con- fondre avec le nerf de Wrisberg. C'est aussi l'
Au premier abord, il semble qu'on a affaire à un oedème généralisé, con- séquence d'une affection cardiaque et rénale. L
uer la force de traction, par comparaison de l'animal à l'homme, et con- formément aux recommandations de Nùssbaum. Tout
l'accident; 2° Bien que la littérature ophthalmologiquc moderne ne con- tienne pas un seul cas dans lequel l'examen oph
voisinage immédiat qu'il faut attribuer les phénomènes observés. Il con- vient aussi de tenir compte, au point de vue ét
hode d'étude, physico-naturelle dans , leurs rapports écologiques,, con- cernent i simplement la désignation' du,7) : od
à disparoir. Remigius afferme, au dire de Sorcières iudiciairement con- uaincües, le temps le plus ydoine & le plus
e contracture plus ou moins généralisée. Puis la localisation de la con- tracture s'établit; il est possible d'obtenir l
gne le bras droit, puis la jambe droite. Les membres du côté gauche con- servent leur immobilité, jusqu'au moment où, ga
tout du côté gauche , les conjonctives sont rouges, les sourcils se con- tractent. La fixité du regard augmente, le clig
empéré, tonique et bien ensoleillé, tel que celui de Nice. Dans ces con- ditions les malades peuvent sortir tous les jou
côté gauche. Odorat. Conservé des deux côtés ; sensibilité tactile con- servée dans les deux narines. (Examen avec l'ét
avec celui do la vision. A gauche comme à droite on peut toucher la con- jonctive sans provoquer aucun réflexe, ni mouve
ndent avec un soin jaloux sur la description complète des accidents con- vulsifs, des troubles sensitifs et moteurs, des
REVUE CRITIQUE. grave ; une autre, complètement immobilisée par la con- tracture depuis plusieurs années, se met marche
n, n'est le siège d'aucune division longitudinale ou transverse. La con- vexité n'est point séparée en lobes. La base se
ration sur le bord de la lèvre supérieure qui se prolonge jusqu'aux con- fins de la muqueuse. Considérée par Wilms comme
n coup porté sur la partie inférieure de l'os malaire détermine une con- traction du grand zygomatique, qui ne doit être
a voix : mais ilz difent leurs chanfons pefle mefle, & auec vne con- Fig. 14. 256 VARIA. fufion telle qu'ils ne
ls. (Fig. 15). « Françoise Secretain aduouait que le Diable l'auoit con- gneuë charnellement quatre ou cinq fois, tantof
s'y feruoit point de pain; mais certaines Sorcières ont rapporté le con- traire & did qu'elles auoient mangé au Sabb
ui faift l'office. Finablement Satan prenant la figure d'un bouc se con- fomme en feu, & se reduia en cendre, laquel
e fléchie alors qu'elle est dans l'extension complète. A droite, au con- traire, le sens musculaire est entièrement cons
es, allant quel- quefois jusqu'à la perte totale de la vision, mais con- sistant le plus souvent en un rétrécissement co
, c'est que la sensibilité générale de I'oeil, la sensibilité de la con- jonctive et de la cornée, est en rapport avec l
champ visuel, ni achromatopsie, conservaient la sensibilité de leur con- jonctive; celles qui ont perdu la vision d'une
r une diminution de la sensibilité cutanée, paraissent présenter au con- traire une exagération de la sensibilité au con
n peut distinguer dans la catalepsie deux phases diverses en ce qui con- cerne l'organe de la vision. 1° Dans la catalep
ait point changer la direction de I'oeil. Chez quelques malades, ce con- tact provoque une sécrétion lacrymale exagérée,
t contractées pen- dant la convergence des yeux et quelquefois sans con- vergence par un spasme de l'accommodation'. En
dante, déterminées dans le cerveau par l'inspiration profonde et la con- traction musculaire énergique, déterminent une
'est pas hypnotisable, nous n'avons pas pu faire les expériences de con- trôle qui donnent tant de netteté au fait qui p
à huit heures deux minutes. Deux minutes après, deuxième attaque de con- tracture, le bras droit étendu, et le gauche en
et achroma- topsique excepté pour le violet; a des grandes attaques con- vulsives dans lesquelles le spasme laryngé se m
les attitudes com- muniquées augmentait, sans que la tendance à la con- tracture provoquée fut pour cela diminuée. En
plus facile. Les phénomènes locaux ne s'amendent point beaucoup. On con- tinue les cautérisations ponctuées tous les hui
ace de syphilis, a chiqué autrefois dans ses voyages; aurait eu des con- vulsions jusqu'à l'âge de six ou septans. [Son
Janvier 1880.) On observe chez certains animaux paraplégiques une con- traction rhythmique du sphincter anal : Gluge e
étouffements plus ou moins forts, d'asphyxie et quelquefois même de con- vulsions. Ces attaques présentent une intensité
uite de laquelle l'irritation du larynx provoque une action réflexe con- sidérable. L'anatomie pathologique se résume da
s, pense que la migraine ophthalmique dépend d'une anémie cérébrale con- sécutive elle-même à une excitation du sympathi
ébrale con- sécutive elle-même à une excitation du sympathique. Des con- gestions, de la nécrobiose même pourraient la s
rigidité musculaire (scléroses du faisceau pyramidal primitives ou con- sécutives, contracture hystérique). L'interpr
nomènes a été diversement donnée. Westphal admet qu'il s'agit d'une con- traction directe, produite par les vibrations d
très bien. D'après ceux qui invoquent le motif social, les malades con- damnés par les tribunaux devraient être soumis
une analogie étroite, sinon une identité parfaite, il s'est borné à con- fronter tous les faits mis en circulation depui
découle nécessairement de la comparaison de ces faits, en appaience con- tradictoires, est la suivante : la forme et les
ée de M. Bourneville. A notre sens, doux sortes de facteurs peuvent con- duire à la solution d'une aussi importante ques
inges- tion de doses croissantes (de 0,10 à 6 grammes) et longtemps con- tinuées fait d'abord diminuer puis disparaître
concours. Asile de Baox. Concours pour l'internat. A la suite de ce con- cours, ont été nommés : internes titulaires : 1
35 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
explication rationnelle dans l'intimité du Moi; la nécessité de s'y con- former apparaît à l'esprit comme la base de l'o
hermomètre fait intervenir une perception optique. Aux associations con- ceptuelles plus compliquées que nous apprenons
, par un raison nement à l'appui duquel se présentent des arguments con- traires, nous nous remettons, comme on dit. Che
combinaisons d'idées sont fabriqués et aboutissent fatalement à des con- clusions erronées. Nature des idées fixes. -
'antagonisme qui normalement existe entre l'idée en question et.les con- ceptions opposées chargées, chez l'homme physio
endrait à l'idée prévalente ; il l'aurait obtenue en provoquant des con- ceptions opposées correctrices puissantes, et i
ns l'ont examiné et déclaré non fondé dans ses demandes. Il assiège con- tinuellement les autorités de ses requêtes. Il
spéciale que M. Wernicke accuse de la disjonction du contenu de la con- science, de l'ordre préétabli des associations
ur chaque phrase qui se présente à son esprit, de la soupeser et de con- clure par oui ou par non sur les caractères des
e théolo- gique, tandis que, chez les catholiques, la crainte d'une con- fession incomplète, le remords d'une mauvaise c
- manité '. Meynert, en 1884, étudiant la genèse de ces sortes de con- ceptions morbides, les considère comme innées,
les textes sacrés et occupés à revivre les temps bibliques, mais au con- traire activement mêlés aux agitations politiqu
modique ? Depuis Vulpian, Charcot et Brissaud, il est acquis que la con- tracture est due à l'exagération du tonus. Le c
. L'au- teur conclut que l'isolement est le meilleur traitement qui con- vienne à ces malades. SOCIÉTÉS SAVANTES. z 59
istes de la Grande-Bretagne et d'Amérique; mais il est facile de se con- vaincre que, pour beaucoup de ces médecins, la
ration. Un banquet de quatre-vingts couverts réunissait ensuite les con- gressistes et les invités autour d'une table so
e. Il est probable, dit-il, qu'il a fait sur ce sujet son examen de con- science et s'est trouvé coupable, souillé moral
nçue maladive, à une illusion. Elle ne le croit pas, mais se laisse con- duire dans une maison de santé, où, d'ailleurs,
tes de l'écorce qui ne soient moins épais que la plupart des fibres con- sidérées. « 2° Lesfibres blanches afférentes
trice, écorce acoustique, écorce visuelle, etc.); elles semblent au con- traire faire défaut dans les aires corticales d
avalait les liquides mais chaque déglutition forcée provoquait une con- traction des muscles du visage et du pharynx.
fection jouent le principal rôle ; 4° Pratiquement, la présence des con- vulsions infantiles dans le cas de difficulté d
ulsions pendant leur première enfance. Mais M. Dufour croit que ces con- vulsions sont déjà de nature épileptique. M. Ma
eurs s'est produit le mouvement de latéralité des yeux à droite, la con- vergence, la contraction irienne, la contractio
complète, sauf pour le bras et la jambe du côté droit qui demeurent con- tracturés ; les membres gauches sont en état de
gauche demeure punctiforme. Paralysie flasque totale à gauche ; la con- tracture a diminué à droite. Réflexes rotuliens
sa jambe gauches. A 9 heures, elle entra dans le coma, les pupilles con- tractées et immobiles, la respiration stertoreu
ant et un perfectionnement continu. 11 parle du rôle prépondérances con- ditions mésologiqnes qui favorisent la progress
is- tence de ces délires qu'ils faisaient dépendre de l'alcoolisme, con- fusion naturelle, car dans ces cas, l'on a affa
tte terrible qu'ils purent s'emparer de l'ivrogne, le ligoter et le con- duire au poste de la rue du Mont-Cenis. Les rep
e de boire d'une façon excessive, il accomplit son service dans des con- ditions assez satisfaisantes, jusqu'au jour où
l pro- nonce quelques paroles prouvant qu'il comprend où il est. Il con- fond les personnes, et ne semble pas reconnaitr
persécu- tion se manifestent, à un moment donné, elles n'ont aucune con- sistance, et sont tout à fait fugitives. Quant
tata- tions, faites pendant la période aiguë de la maladie, ont été con- firmées par les explications fournies par C...
agien. L'état physique s'améliore lentement; la plaie de l'aisselle con- 4 RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE. 26D
s faits les plus récents sont, d'une façon générale, ceux dont il a con- servé la notion la plus exacte; ceux au contrai
e, vers l'écorce céré- brale, au niveau de la zone rolandique, en con- tournant le noyau caudé en dehors. l'our nous
la narine droite qui ne perçoit pas la piqûre. Insensibilité de la con- jonctive palpébrale du côté parahsé. 284 CL
il a pu chez les animaux provoquer, par l'excitation électrique, la con- traction de l'iris. Mais on n'a point fait d'es
ion à la fermeture de l'anode; elle est déjà bien plus forte que la con- traction à l'ouverture de l'anode et peut être,
nt dispose l'homme sain. Ces expériences très soigneusement .menées con- duisent aux conclusions suivantes : 1° Les mala
lysie générale. Syphilis congénitale chez quatre frères. L'autopsie con- firme le diagnostic ainsi que l'examen histolog
ces ten- dances mystico-symbolistes forment une réaction naturelle con- tre le mouvement matérialiste utilitaire de not
olyse partielle ou généralisée, formation de vacuoles avec atrophie con- sécutive de certaines cellules, etc., phénomène
énitale. L'anatomie pathologique vient, d'ailleurs, renforcer cette con- clusion unicistc, basée sur les observations cl
histo- pathologie nerveuse (Weigert, Pal, Nissl, Marchi, etc ). La con- clusion est que le faisceau pyramidal se trouve
4 VARIA. n'est donc pas seulement une mise au point, judicieusement con- duite, des doctrines les plus récentes sur le s
é, non alcoolique, jouissant d'une excellente santé et auquel on ne con- naissait point de tare ni de maladie antérieure
liéné, comme tous les autres dégénérés, il chercha dans l'alcool la con- solation des mésaventures matrimoniales. Il but
s, souvent effacées chez les individus visuels et auditifs, sont au con- traire prépondérantes chez les moteurs qui, pen
(sen- - silivo-moteUl ? respiratoires, etc.) avec lesquels il a des con- nexités intimes. Comme nous l'avons fait rema
ic est sanctionné par M. le D'' Gilbert Ballet qui voit l'enfant et con- seille son placement dans un établissement spéc
aines. La sensibilité à la chaleur au frôlement, au pincement, est con- servée et égale des deux côtés. Sensibilité au
enfant. A mesure que l'attaque se continue, la face tout en restant con- gestionnée se couvre de sueurs, les yeux se rem
mant un système continu. 11 est fréquent de voir les corps mousseux con- fondre leurs mailles sans intermédiaire de long
lules à petits grains sont des fibres nerveuses ou un simple stroma con- jonctif ; mais la situation de ce ruban corresp
ur le limbe spiral on voit bien les élevures papilliformes du tissu con- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
t d'ophtal- mie. Le diagnostic du syndrome goitre exophtalmique fut con- firmé par la constatation d'une diminution cons
sensation de chaleur plus rapide, une ivresse plus agréable. On y a con- sommé, tant en ville qu'à la campagne, officiel
ase, par exemple, des institutions primitives se sont admirablement con- servées. Et d'après l'ouvrage de Kovalevski sur
même dans les époques et les pays les plus sauvages, il existe une con- ception individuelle et subjective du crime, à
ticulièrement chez des alcooliques - nous autorisera, toutes autres con- sidérations cliniques mises à part, à considére
aux aliénés aigus, aux sujets curables - les plus intéressants sans con- tredit - comme ils n'étaient pas justiciables d
n faveur du travail, si elle a abouti à la colonisation des aliénés con- quête précieuse de la psychiatrie moderne, -cet
ires ou par des actions externes; 4° La notion de poids qui peut se con- fondre avec la notion de résistance au mouvemen
nt même. La sensation ou notion de résistance que Beaunis, partisan con- vaincu des idées de Wundt déclarait être simple
ne : résistant, d épaisseur normale ; la dure-mère est dépolie, non con- gestionnée, sans adhérences à la voûte cranienn
spontanée; si les commémoratifs ou l'examen personnel permettent de con- sidérer comme certain que, au moment de l'accid
rsement chez une hystérique atteinte de mutisme et robuste, le sang con- tenait deux fois plusde fibrine qu'à l'état nor
a vessie. Les conclusions suivantes se rattachent à des expériences con- sécutives à l'ablation de la zone motrice de l'
SE. 491 farado-cutanée et farado-musculaire, à la paralysie; pas de con- traction sous l'action du courant, pas de doule
e sol et donne sur le pavé du côté gauche du crâne. Il demeure sans con- naissance, et perd du sang par le nez, la bouch
ne; légère parésie du facial droit ; pas de déviation de la langue; con- servation de la réaction des pupilles. De temps
elle l'imitation complète la persuasion. Il se crée là une sorte de con- tagion par l'exemple ou même une véritable sugg
ren- trée des vacances, il dut s'aliter et, en quelques jours, une con- gestion pulmonaire l'emportait. Cales fut à l
- par Gain, 222. Les dégénérations se- condames chez les animaux, con- sécutives aux lésions expérimen- tales titi -
00. Hyperthermie. Recherches sur les lésions des centres nerveux con- sécutives à l' - expérimentale et à la fièvre
36 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
tent entre eux un ovale allongé, dont le bord droit est beaucoup plus con- vexe en dehors que le gauche. Vue de dos, l'o
côté opposé. L'exploration de la sensibilité à ses différents modes ( con- tact, piqûre, chaud, froid) ne donne que des ré
érimentale, que le principe qui veut qu'un syphilitique ne puisse pas con- tracter à nouveau la vérole tant qu'il n'est pa
aractérisées d'abord par une ostéite raréfiante, puis par une ostéite con- densante ; or c'est là même le processus anatom
le muscle rhomboïde qui est contracté, tandis qu'on ne perçoit aucune con- traction du trapèze. Tous les autres muscles
9 Sur l'innervation du nerf spinal ont été émises les théories plus con- tradictoires qui s'attachent d'un côté à l'inne
le mot de crampe par le terme de spasme. Or le spasme (de anâu, je con- 68 MACÉ DE LÉPINAY tracte) est une contractio
sé par Benedtkt nous semble, comme nous l'avons dit, être celui qui con- vient le mieux à leur désignation. Pour nous
survint dans la main droite une crampe des fléchisseurs. Le malade se con- fectionna alors une sorte de palette qui alloug
psychose. Sans doute, l'image de la mélancolie avec stupeur, ne se con- fondra pas avec celle de la manie furieuse. Mai
Et serait-il trop téméraire d'ajouter que dans les expositions d'art con- temporain se rencontrent des productions qui pe
connaissance et pouvait marcher un peu, quoique difficilement, on l'a con- duite à l'hôpital rural le plus prochain, d'où
Notre nain a aussi un palais typiquement ogival ; les dents sont au con- traire normales quoique très grandes et irrégul
es achondroplasiques les plus macrocéphales; en se basant sur les cas con- nus, ces AA. affirment que l'intelligence est,
onsidère, suivant le degré de culture des personnes en cause ; que la con- naissance de faits différents progresse inégale
rprétations théologiques de la nature, parce que leur esprit privé de con- naissances plus exactes est impuissant à concev
èse pourra être considérée comme suffisamment démontrée, si des faits con- nus peuvent s'en déduire et si les conséquences
stence se trouvent réalisées comme faits dans la nature, sans être en con- traction avec d'autres faits et elle le sera av
ant constamment sous t'influence d'excitations extérieures, ayant par con- séquent du mouvement,donc de la vie. D'autres c
mprendre les manifestations qu'en les faisant dépendre à leur tour de con- ditions externes. Cependant, il est certain que
Je ne me dissimule nullement tout ce que présente d'arbitraire et de con- ventionnel cette séparation nette et je ne suis
qu'il est vraiment comique de voir des esprits sérieux et éminents se con- tenter d'une explication aussi réjouissante. La
effective. En doutant de ses forces, on se place à son insu dans les con- ditions qui réalisent ce que l'on redoute de vo
elle ne l'a pas fait et qu'elle a eu tort. Les deux centres II et III con- ditionnent seulement les mouvements d'ensemble,
posées, que les aptitudes et le caractère strictement dépendant de la con- formation biologique des cellules. Il serait d'
t que celui-ci ne peut jouer qu'un rôle passif dans l'acquisition des con- naissances qui successivement viennent orner so
ce membre étant locus minoris 1'esistentiæ,Que si l'on a affaire au con- traire à une névrose d'origine centrale, le rôl
larité et à la longue durée de la distribution nerveuse nécessaire au con- sensus harmonique de toute sorte d'appareils pe
prise à ses débuts, chez un sujet n'ayant point d'autre névrose, et con- fiant en son médecin, guérira souvent; il faudr
Les poumons sont d'un examen assez difficile à cause des déformations con- sidérables de la cage thoracique. Les sommets s
éseau artériel très saillant dans la régiou temporale des deux côtés, con- tribuent à donner à sa figure un aspect franche
augmentée, comme il est de règle chez les artério-scléreux, était au con- traire notablement au-dessous de la normale, at
petits vaisseaux paraissent être la cause des modifications du tissu con- jonctif. Nichols, examinant en 1899 le cas de
ut décidé à la suite d'une tentative de suicide ; elle avait avalé le con- tenu d'un flacon de chloral. M... resta inter
mètres (La planche XXXVI reproduit une photographie). Les urines ne con- tiennent ni sucre, ni albumine. 20 Mars 1909.
troubles sont installés de façon durable. Quel traitement curateur con- vient-il alors d'appliquer, de façon générale,
vre. Néanmoins, lorsque cela sera possible, le repos sera utilement con- seillé, et son rôle sera double; il forcera le
appréciable, et si ces muscles voisins sont sains, ce sont eux qui se con- tractent le plus. Il est donc indispensable dan
veulent appliquer avec fruit ce procédé thérapeutique : ils doivent con- sidérer les malades, non point comme des patien
s mentales sur lequel évoluent ces névroses, et gagner peu à peu la con- fiance du malade, condition essentielle pour ob
ce de professions qui exigent un surmenage musculaire et mental. Il con- viendra d'éviter avec soin toute intoxication e
nseur, qui depuis de longs mois ne pouvait pas quitter le lit, se fit con- duire, par des amis et des familiers au Sénat.
es les unes contre les autres, supportées par de petits axes de tissu con- jonctif où l'on peut voir des vaisseaux assez a
émis, la malade ne dit que eu, eu, mais comprend très bien toute la con- versation. La déglutition est très difficile
La parole est gênée, presque impossible, tellement la dysarthrie est con- sidérable. , Le voile du palais n'est pas par
ommes ; sa coloration est jaune rosé ; les veines sus-hépatiques sont con- gestionnées ; il existe une légère dégénérescen
ccuse de vives douleurs dans la jambe gaucho qui aurait été fortement con- tracturée. Les selles et les mictions étaient
es. Ce court travail ne constitue, nous le répétons, qu'une modeste con- tribution à l'étude très vaste des névrites. No
à 1.500 cas) (1). L'élude de ces épidémies a beaucoup augmenté nos con- naissances sur cette maladie. Parmi les travaux
c'est en Allemagne une méthode généralement employée. En France, au con- traire, autant que nous pouvons en juger, il no
pour donner une idée générale de son extension. Cette restriction ne con- cerne que la paralysie des muscles des membres
ans pouvoir opposer la moindre résistance. Pas de symptômes en ce qui con- cerne les membres supérieurs. Pas de paralysie
qu'ils se contractent mal, mais toutefois on peut sentir une certaine con- traction des deux grands droits. ' ÉTUDES CLI
oite, pendant que les mouvements de l'avant-bras droit sont en partie con- servés. La force de la musculature du tronc est
iagnostic soit restéjusclu'à, un certain point indécis, l'observation con- tinue de la malade a confirmé en tout cas notre
on provoque, en irritant avec la main la paroi abdominale, un état de con- tracture des muscles abdominaux, la distension
ous ne pouvons dire avec certitude si cette myélite est secondaire et con- sécutive d'une hématomyélie très étendue ou s'i
rent, si la ponction était faite pendant la phase aiguë ou pendant la con- valescence. Pour donner une idée des résultats
extension semblable de la lésion dans tous les cas de la maladie ; au con- traire, on peut considérer comme certain que la
férieures et médiane de la paroi abdominale, mais les muscles étaient con- servés dans les parties supérieures. Dennett ra
tonus des parties inférieures paralysées des grands droits. Nous ne con- naissons pas d'autres observations pouvant nous
pression des autres muscles qui s'insèrent sur le thorax et qui sont con- servés dans ce cas, du moins en général. Une te
nfance de la malade n'a rien offert d'anormal ; elle n'a jamais eu de con- vulsions ; la seule maladie dont elle ait été a
e très bonne heure, il se faisait remarquer par sa grande taille, qui con- trastait avec sa grande maigreur. A l'époque de
dans la littérature médicale et un grand nombre de celles qui sont con- nues aujourd'hui grâce à l'excellente monograph
oreilles sont plutôt petites relativement au corps : elles sont bien con- formées et adhérentes. Le nez est très grand
Les dents manquent en partie ; celles qui restent sont grandes, bien con- formées, et ne présentent aucun signe dystrophi
Le même fait est évident à la face : la calotte crânienne très petite con- traste avec les dimensions de la face qui est c
lionnaires. Ce foyer osseux est entouré par une mince couche de tissu con- jonctif fibreux. Il résulte de cette étude hi
la pathogénie des phénomènes atrophiques. Actuellement il n'exisle ni con- tractions fibrillaires qui indiquent une lésion
if, la conservation suffisante des forces et de l'aptitude au travail con- cordent avec ce qui a été écrit par la majorité
que d'un cas de M. Paget pour l'association d'un processus d'ostéite con- densante à un processus d'ostéite raréfiante. O
téoporose aboutissant à la raréfaction, associé à des faits d'ostéite con- densante. Cette dernière ne représenterait qu'u
car on voyait un tirage de ces espaces, ils montraient une dépression con- sidérable. C'est là naturellement la conséquenc
male. La signification intime de ce fait nous échappe encore, et par con- 578 ETTORE LEVI ET GlUSEPPE FRANCHINI séquent
e. . L'étude de l'échange matériel de l'acromégalie nous permet par con- séquent de considérer quelques données comme sû
s il n'a pas les habitudes sanguinaires du détenu précédent. Il a été con- damné pour vol à trois reprises différentes. L'
notre atrophie olivo-rubro-cérébelleuse. Nous nous gardons bien de con- clure que celle-ci ne s'était traduite pendant
constituant deux catégories distinctes ; MM. Dejerine et Thomas, au con- traire, insistent sur ce fait que l'atrophie ol
foque, se cyanose et perd la conscience. Un tremblement suivi par des con- tractions fréquentes se produit du côté des mem
'énorme compression, les cellules pyramidales géantes sont assez bien con- servées. Leur volume est peut-être un peu rédui
lis d'une substance exsudative incolore, albumineuse ; des autres, au con- traire, contiennent du colloïde, qui se présent
produit un excès de développement du tissu osseux, l'auteur tire la con- clusion que dans la castration la cause du déve
il est bien connu que les symptômes au début de la poliencéphalite con- sistent en grande partie en symptômes de méning
is ces symptômes ; mais, autant que notre expérience nous permet de con- clure, les troubles de la vessie seraient beauc
sistante dans une partie des cornes antérieures. La polynévrite, au con- traire, est une maladie avec répartition symétr
or- muler en quelques mots nos connaissances sur quelques problèmes con- cernant la poliomyélite aiguë. Pour la questi
re l'enseignement et les lois et pénètrent toute la civilisation. Des con- ceptions si contradictoires ne pourraient jamai
en être autrement, car il faudrait supposer chez le nouveau-né des con- naissances étendues qui lui permettent de condu
re. En voyant ces opérations se répéter toujours les mêmes, sans le con- cours de la raison et de la volonté, sans aucun
t elle est formée. Le résultat final n'a pas varié ; l'instinct de la con- versation et de la reproduction ont survécu à t
tube digestif. Après cette découverte dont l'authenticité n'est plus con- testée, paraît-il, il faut reconnaître que l'im
que de traduire l'activité de certains organes auxquels personne ne con- teste ce caractère de transmissibilité. Les fon
vivante, un principe vital par exemple, une force vitale, ancienne con- ception qu'on ne peut plus défendre aujourd'hui
de leur ignorance des faits scientifiques. A intelligence donnée et à con- naissances données, croyances données. Celles-c
stade inutile qui manque, du reste, souvent, c'est celui de la pensée con- sciente. La sensibilité se transforme mécanique
d'intervalle (2 pl.), 240. Apert, 0 \NLOS pt Flandin. Micromélie con- génitale limitee aux deux humérus (2 pl.), 68
avec autopsie (2 pi.), 432. DANLOs, Arenr et Flandin. Micromélie con- génitale limitée aux deux humérus (2 pl.), 68
s du névraxe (1 pi.), 109. fL IND1N, DAI/LOS et APERT. Micromélie con- génitale limitée aux deux humérus (2 pl.), 68
aux deux humérus (2 pl.), 682. Fnwcnrm et Levi. Contribution à la con- naissance du gigantisme avec une étude complè
37 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Wathi... (Augus- tine), est entrée dans notre service et nous avons con- ) staté qu'aucune amélioration ne s'était produ
es mains. Aux membres inférieurs signalons une légère incurvation à con- cavité interne des jambes et le rapprochement d
sa poupée; elle ne sait ni s'habiller, ni se déshabiller, elle est con- tente lorsqu'on la nettoie. Le caractère est pl
rocessus d'infiltration oedémateuse. D'après Minnich cette dernière con- sidération a une importance pathogénique et nou
pouvons conclure qu'il ne s'agit pas d'une forme spéciale, mais au con- traire d'un processus banal paraissant à l'orig
buleux, une transformation en corps opaques finement granuleux avec con- servation du noyau, mais modification des réact
opiques chez l'homme, conclue à une altération particulière du sang con- sécutive à l'altération ou suppression des caps
rec- teurs des asiles d'aliénés une circulaire les invitant à faire con- naître quelles étaient les mesures prises où à
leur évolution, sorles de rémissions de paralysie générale. Enfin, con- formément aux vues hardies émises par Burckardt
e anté- rieure gauche de la tête : quatre jours après, en reprenant con- naissance, il constate qu'il ne peut mouvoir qu
ation. Traumatisme accidentel à la tête, avec perte de connaissance con- sécutive de courte durée : retour à la santé no
fait lucide, la céphalalgie avait disparu et la convalescence était con- firmée. A cette date on constate l'état suiva
e observa- tion médico-légale, concernant un aliéné hypocondriaque, con- 80 .SOCIÉTÉS SAVANTES. damné récemment pour h
e- nient par autorité de justice; 2° des cas d'aliénés authentiques con- damnés par les tribunaux pour délits ou crimes
- ' ment suivant : « Votre état mental vous rend irresponsable, par con- séquent, vous n'êtes pas condamné ; mais vous r
ssances réunies en conférence, il y a encore de grands abus dans le con- tinent noir; nombre de missionnaires et d'explo
s géo- métriques et optiques, perception du temps. La science de la con- naissance. Action de l'imagination. - Sentiment
.- Grandes névroses (hystérie, épilepsie). - Conscience alternante, con- tagion psychique, côté pathologique de l'hypnot
tres révélations de l'enfant à qui les époux B... avaient également con- seillé de voler la clef d'un coffret contenant
ts qui ont déposé une copie, deux sont de nationalité étrangère. Le con- cours a lieu pour quatre places d'interne qui s
élancolique. Je crois que ces quelques exemples suffiront pour vous con- vaincre que la lésion d'une oreille, donnant li
générale, et Mickle', après de nombreuses autopsies, semble s'être con- vaincu que la plupart des hallucinations de la
tées plus haut. Mais de plus on rencontre par place un processus de con- gestion chronique avec dilatation des vaisseaux
c'est d'elle que provient la différence des résultats obtenus. Les con- tractions de fermeture se comportent sensibleme
leur nutrition. Le traitement rationnel déduit de cette pathogénie con- siste à associer l'électrisation aux longs repo
icielle. La science n'a pas à s'occuper des crimes passionnels. Les con- séquences judiciaires ou morales qui en résulte
aînent la non culpabilité; mais lorsqu'une anomalie paroxystique de con- duite n'est que l'exagération d'un état psychol
le même son, et un professeur de musique a déclaré à l'auteur qu'il con- naissait une personne incapable de distinguer l
é de la marche de la maladie, sa terminaison funeste par des crises con- vulsives plaident contre l'ataxie en faveur de
ité serait souvent héréditaire, et alors incurable ou accidentelle, con- sécutive à une maladie aiguë, une chute, etc.,
ofonde de dépression mélancolique et de l'idée fixe que cet état le con- damnait à l'impuissance. Après un essai infru
l'on veut; mais pas au nom de la médecine mentale. Us doivent être con- damnés comme de vulgaires coquins. M. COLIN.
xécuté à la lettre, n'est qu'une formalité qui ne peut sérieusement con- tribuer au traitement méthodique des malades. E
athologique, stage d'accouchement, préparation d'examens et même de con- - cours, etc., etc. En outre, il est indispen
t encore plus funeste dans un établissement d'aliénés, où l'on doit con- naître à fond et suivre des malades dont le séj
olynévrite. D'après l'opinion de ce dernier auteur, ces changements con- sistent dans l'atrophie et la vacuolisation des
L'enfant arrive à résoudre des problèmes assez compliqués. Dans sa con- versation, on sent qu'il raisonne assez bien po
888. Déjà, en 1864, Follet, à l'asile de Quimper, était arrivé à la con- clusion que, chez les épileptiques tout au moin
crise, les muscles du côté gauche de la face demeuraient légèrement con- tractés, et la face elle-même était un peu tiré
oubles psychiques, du relâchement involontaire des sphincters et de con- vulsions cloniques. ' Inflammation pyo[Jéniqu
La continuité de la surface se trouve ainsi affaiblie, et le tissu con- nectif voisin, dérivé de la névroglie et de la
a force musculaire des extrémités malades; 3° les exercices sous le con- trôle de la volonté des patients améliorent la
u segment centripète de l'arc réflexe ; telle la cécité totale avec con- servation de la réaction à la lumière, après la
r la porte à l'arbitraire, aux recommandations, au népotisme 2 ? Ce con- cours doit-il rester un concours distinct, ou d
diciables. Le concours de l'internat des asiles doit donc rester un con- cours spécial. Mais certaines modifications son
e temps nécessaire pour le bien préparer.Enfin, il est une dernière con- sidération qui a une très grosse importance : l
belleux constaté àl'autopsie. En admettant cette interprétation, on con- firmerait l'opinion de Luciani pour qui le cerv
atre mètres de distance. Aidée par des verres appropriés, sa vision con- tinua à s'améliorer, et bientôt il put mesurer
ré- quentes erreurs de diagnostic, et qu'elle risque surtout d'être con- fondue avec les névroses à troubles fonctionnel
arac- téristique de la vie humaine. Pour les muscles volontaires le con- trôle est entièrement dévolu à l'inhibition : v
néenne. Elle est constante chez les primates, et à peu d'exceptions con- fluentechez l'homme avec l'arc rétro-splénique
orsque l'enseignement technique sera prêt à fonctionner, et que les con- ditions matérielles de la vie auront été favora
ses. Chambres de réunion, 1'é{ectoÏ1'es,- Ces derniers doivent être con- tigus aux salles de réunion : ih peuvent être u
ompons son compte rendu est le premier qui soit paru des différents con- grès qui ont eu lieu à Bordeaux. Comme nous avo
e l'ouïe, sens du goût et de l'odorat notablement diminués. Légères con- tractions fibriilaires de la langue. La luetle
xus symptoma- tique dans un spasme des vaso-moteurs. Pour Pitres au con- traire il s'agit de leur paralysie ; Trintignan
a- tive de suicide ne l'est presque jamais, et quand elle l'est, la con- damnation est si légère que l'on comprend qu'el
s immi- grants que leur nouveau genre d'existence a placés dans des con- ditions spéciales. Sans médire de nos ancêtres,
à la Société physico-médicale de Moscou que le leur avril 1895, par con- séquent après l'apparition du travail de l'aule
tion moléculaire capable de conserver l'image. Mais si l'on évalue, con- formément aux autres formes du mouvement, la so
rences d'intensités. Leur ordre évolutionnel généralement admis est con- traire à leur ordre d'effacement ; l'auteur en
f optique et de l'oculomoteur gauches. L'examen clinique ayant fait con- stater une paralysie complète de l'oculomoteur
des salles d'étude se trouve la chambre d'attaques, matelassée, qui con- · duit aux cabinets d'aisance. Les salles de ré
rement par un panache. Ces prolongements dendritiques se mettent en con- tact avec des prolongements cylindraxes d'un au
s neu- rones sont dans les voies psychiques, motrices et sensibles, con- formes à cette unité de structure, c'est-à-dire
a été décrit en clinique comme évoluant isolément bien avant qu'on con- nut la doctrine des neurones. Mais ce qu'il est
les réflexes diminuent ou sont abolis ; il n'y a aucun phénomène de con- tracture ; les membres ne sont déformés que par
labre. Sensibilité spéciale. La vue, l'ouïe, le goût, l'odorat sont con- servés et au même degré des deux côtés. Sensi
he, B... avance ses béquilles simultanément, les membres inférieurs con- servant leur attitude de la station verticale,
'anesthésie. C. Contractilité musculaire. Exploration faradique. La con- tractilité est normale dans les muscles fessier
ment où la pointe touche la peau et de combien elle l'intéresse; on con- 470 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
nerfs craniens en rapport avec Je faisceau longitudinal postérieur con- tiennent quelques fibres originaires du cervele
es de l'Ecole expérimentale de Luys et Pierre Janet, pour arriver à con- clure qu'il est « absolument nécessaire, pour a
38 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les régions supérieures du cerveau et en particulier sur la partie con- vexe du lobe frontal, où pourtant l'encéphalite
en avoir été chassée par un liquide qui en distend les mailles ; au con- traire à la périphérie la substance semble cond
e marquée. Les méninges molles- sont blanchâtres, oedémateuses à la con- vexité. Après la décortication les circonvoluti
rçoit une zone dégénérée curviligne, dont l'extrémité antérieure se con- fond presque avec la bande précédente; cette zo
ie depuis le commencement du siècle, tant en France qu'à l'étranger con- sidèrent l'idiotie et l'imbécillité comme deux
avait tout l'habitus extérieur; il était atteint d'une perforation con- génitale de la voûte palatine, opérée sans succ
vers la paralysie générale, mais le processus n'est pas fatalement con- tinu et progressif, d'où la possibilité de rémi
on primitive et ne se, compose.que de 'Chiffres et de : plans ? La' con- clusion est la suivante, : l'hôpital de Boston
- landais,' en 'allemand, étranglais ou en italien.' Toutefois, les con- currents étrangers seront) tenus 11 de <n fa
nerveux propre- ment dit, enveloppant ce dernier comme d'un manchon con- tinu. Rudimentaire chez l'homme et le chien, ce
ki. Les expres- sions : foyers fusiformes. fuseaux solides, fuseaux con- LA \IESONEURI1'E NODULEUSE. , , 85 OHC ? empl
cément incomplète, j'ai pensé qu'il ne serait pas sans intérêt d'en con- 8b > z . ANATOMIE. 1 e , signer ici les ré
é sur la - région péricentrale. Je pense cependant qu'on"he'saurait con- tester leur réalité, car il m'est- arrivé-plus
laire, rela- tivement volumineux (20-25 .), généralement arrondi, à con- tours simples, doubles ou triples. Dans son int
lliformes, elles résulteraient simplement du plissement de la gaine con- jonctive du tube nerveux. Outre qu'il ne siér
echer- cher le pourquoi de cette curieuse localisation, il est plus con- forme aux principes de la biologie moderne de s
on n'es- sayait de déterminer avec quelque précision la place qu'il con- vient d'assigner dans le cadre nosologique aux
nor- mal ; elle, âuiï, aspectblanclûtée comme;, lavé; l'arachnoïde con- tient en arrière quelques petites plaques calca
es. '' La boîte crânienne' est normale ; l'espace sous-arachnoïdien con- tient beaucoup de,liquide; les méninges ne sont
? v t- ce faisceau ; elle se limite, comme dans les dégénérescences con- sécutives à des lésions'de iacines situées trcs
LE. 139 lésions ophlalmoscopiques, on trouve soit un rétrécissement con- centrique, mais dans lequel les lacunes physiol
n i selon l'état de l'humeur, qu'elle rencontre et dans le sens des con- . ceptions délirantes qui prédominent. L'action
idents subaigus (apathie, coma, somnolence, apoplexie avec perte de con- naissance), ou bien ce sont de la céphalalgie,
veau dont chaque/ territoire, agit comme par décliar,-e; devant une con- science incapable, de le réfréner ? ni de le di
ments invo- lontaires que'no'u's lui avons trouvés; ce bésointde'se con- fesser, de raconter'tout ce 'qu'il' ressent, "d
n fait' pour lui ; mais il est impuissant à réfréner la bouffée des con- ceptions délirantes qui l'envahissent de jour e
te; le nystagmus commence à gauche ? et,vice'versd; et la déviation con- juguée se produit dans latdirection de la rotat
ique, les autres restant normaux; 10°(le corps genouillé interne se con- duit, par rapport à l'ééôre·é, côlriâie'lé coi·
lt; les ascendantes droites ; le chiffre le plus fort après ceux-ci con- cerne lelobe occipital droit ; 6° les fibres le
ille- régions frontales,' mais eh partant de la base pourigagner-la con- vexité (on'"voit'mieux3amsi9la'hauteùrde chaque
hie. une partie de'son intérêt.' Ce-'qui' l'a.frappé et l'a amené à con- seiller à''M.Gar6dische'de'faire cette.- commun
e par l'étude des réactions morbides provoquées dans ces organes en con- séquence des altérations anatomiques dont ils p
'halluci- na41ômslela3vuë 4les,unes professionnelles, différant par con- sé q uent anse les autres géné;i j2cés, les mêm
e Broussais, de,Brière de Boismont, d'autres encore, sont également con- cluantes. En voici une qui me paraît caractéris
nnrn tl t peine.-Mais 1 analogie est' pas' complète. Car si nous ne con- .. ,, 0 ? j'\ .j-f,. ? nonomnrl4W n y ! 4w na
ubes de liquide clair comme de l'eau de roche,' les' méninges de la con- vexité sont<normales; il en est de même de c
es sont moins longues "et" moins fréquentes on observe toujours des con- tractures : E21 somme; résùltntldénitif.2llédio
Par- kyll (lbid."p.,149), éta,dëHadduen'i (Ibid.,I p ? 36) 1-Notre, con- clusion; reste Ia;mémeetflesnouvei ! es.autopsi
ul 'fc-' De mêmè1Phématome',dé'Toreille 1 e a été reconnu' comme la con- séquence z ^primitive düëà9üne'`neili`ü=ângio-
r; , de», femmes publiques... saletés ! » La mémoire est assez bien con- , servee. La voix devient nasonnee.. »,... ? &l
a- ,' lité, ces hallucinations, ainsi que l'a montré M.' Séglas, ne con- tiennent aucun élément sensoriel auditif; elles
l plaint «^d'une crampe. quand elle veut parler,», qui l'empêche de con- tinuer.à articuler ? elle nercesseepaside remue
? i^/t^/t ft 1 ? I Dans la monographie très -complète 'que M°Mendel con- sacrée à' l'étude' de' la 'paralysie` générale
le parle- ment de Dijon dans cette affaire, et ignorer. les efforts con- tinus du clergé local de l'époque pour, essayer
restre; 1 En même'temps le père Gilles,- capucinqfut désigné- comme con- fesseur extraordinaire.') ! ! ]; 5 ma l m.·1 .i
nés par le feu sieur Borthon,'supérieur, et que Mgr de Mesmay avait con- seillé d'éloigner par son avis envoyé audit sie
r leur confesseur ordinaire" Celle-ci ne'nt , r aversion pour leur, con- , eur ordinaire. e qu'augmeritér>dé ôür en jô
ux, des cellules-nerveûsessont`secondaires : '·I;es'travaux récents con- . firment, tous, l'opinion de uTuczek sur l'alt
,aux : cerveaux invalides dont l'alcool peut en quelque sorte être con- sidéré comme le réactif révélateur des tares la
ans le corps se manifeste quand elle est arrivée à,un,développement con- r ? . t ,. . j " IV, 1,11 Ju 1 7GiV ? ai.a si
ils contribuent, parleur souscription, permettre d'honorer comme il con- vient, la mémoire d'un savant qui est une des g
le- ment éclairée"' mais ! ' en ? apprécie .très imparfaitement les con- tours , : s.in £ q ae ,,nduc 1 -r .` s· ? =cr
ndée; les mots à'lâbiales sont émis sans achoppement ? même- après* con- .versation d'une certaine'durée; 'la'langue^se
Touse pour Toulouse, inamovité pour inamovibilité, conversité pour con- versibilité, etc. ; quand elle parle, les contr
de la vision, crises viscérales, douleurs fulgurantes); l'autre, au con- traire, dans laquelle les" phénomènes physiques
e converge vers l'affection`supposée;'qûé ceux de moindre valeur ou con- sidérés comme' atténués soient étayés par d'aut
s et im- parfaitement caractérisés. Or,,dans ces cas-là, au lieu de con- clure deux maladies distinctes ? ou d'avancer q
ÉE.j -, 425 sur l'instante prière du gouverneur- de^ Bourgogne', il con- sentit enfin à ce qu'on attendait de lui. ( , ?
l,1·. .assurée s'il estoit possible, prit la parole en grec.et luy con- tinua la suitte des même interrogats, et. corne
e, elle s'efforce de résister, mais on la prend par le bras pour la con- duire de force, elle se relève enfin et se va e
'elle avoit commencé ses agittations d'une façon toute pareille, et con- sultant son premier papier treuva un raport ent
l effect tant y a qu'il ne parla plus de nouveaux exorcismes et fut con- traint avec tous les assistans de demeurer d'ac
on musculaire en général et des rapports de la" circulation avec la con- traction ; la seconde est un parallèle entre l'
: entre l'excitant etl'excitation. De ses nombreuses recherches il con- clut qu'il n'y a pas de rapport fixe entre la f
ière, méthodique, éducative, tandis que le second se trouve plus au con- tact de l'ambiant domestique et de celui de, la
perte du libre arbitre, au danger de la mise en liberté-d'après des, con- sidérations pratiques. Surveiller, tout spécial
s. ' 1 1 Très rares encore aujourd'hui dans notre pays les services con- sacrés' à ces malades, aux idiots comme on dit,
gé- « listes en n'importe1 quelle, matière', et par suite en ce qui con- « cerne la possession. ' Les possédés sont ténu
ulatoire, par Seme- lai-iie 378...- Autopsier, la manière la plus con- venable d' - l'encéphale, par Stemerling, 214
~ Dégénératives, fréquence des don- nées - , en rapport avec la, con- duite, par Zuccarelli, 4f6. ° ' Dégénéré, un
logie '(.et pathogénie de, la en com- mun, par Van Deventer, 45 ; con- tribution à l'étude de la puer- pérale; par I
phiques dans la -, par Hoyt,236;- ' puerpérale, parMenzies, 287 ; con- t.igion -de ,1a- ,'f par de Boeck. ' 295." «'
ilitiques, par Forey, 150. '-9 1- - ? \Ivo'rows, remarques sur la con- génitale ou' maladie de Thomsen, par Thomsen.
hal, 153; nouvelles méthodes de re- - cherches pour éclairer nos, con- naissances sur la destruction du - , par Ober
es et Kornfeld,138. , » , * J -Ml, Yeux, deux causes de paralysie con- génitale des muscles des , par Bacli, z0 ? t,
39 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue l'élude histologique, faite par M. le professeur Kiener, dont on con- naît la grande compétence, a confirmé ce premie
tent à la Société de biologie les résultats de leurs expériences et con- cluent à la présence dans le sang de staphiloco
égé- nérescence et à faire de ce fait biologique la base même de la con- naissance des malades de l'esprit. E. B. 40 R
on ? · Commençons par étudier l'arrêt de développement intellectuel con- génital. Le lype des troubles intellectuels fon
il ajoute que depuis qu'il a rédigé cette analyse, clinique et ses con- clusions anatomiques, certains symptômes se son
chopathies sexuelles la folie raisonnante- le délire de chicane les con- ceptions délirantes non systématiques des anorm
ues jours. Dès avant ces placements au manicome, il avait subi deux con- damnations, l'une à deux mois de prison, en 187
liquer l'apparition, quand l'âge qu'on est autorisé à lui attribuer con- corde avec la date du traumatisme, enfin quand
re aigu avec les hallucinations terrifiantes, la désorientation, la con- fusion psychique, l'amnésie qui le caractérisen
1.) - Le criterium de la responsabilité, dans les cours de justice, con- siste ordinairement dans la faculté pour l'indi
lure. Jamais on n'a observé de tremblements fibrillaires. Il existe con- tinuellement, sauf pendant le sommeil, des mouv
on et la, compression des nerfs circonflexes. On sait que ces nerfs con- tournent le col chirurgical de l'humérus et qu'
r, la lésion siège toujours dans le pédoncule gauche, ce qui tend à con- firmer la réalité de l'existence du faisceau de
droit pénal. Lombroso, on le sait, affirme qu'une partie des sujets con- sidérés comme criminels par la justice, et cond
une lutte violente, le ligotèrent. Mlle Bachelier, qui avait perdu con- naissance et qui a reçu de graves contusions, a
et en avait la liberté de propos et d'allures. Elle se plaisait aux con- versations grossières et érotiques et bien qu'o
tances cette blessure a été produite. Le 7 juillet 1894, Marie C... con- duisaitune charrette altelée de deux vaches et
s- térie qu'il faut rattacher le délire et le trismus des mâchoires con- sécutifs au traumatisme, car pour le premier il
parler, mais encore il s'habitue à n'employer que des mots dont il con- naît le sens. Ce sera au maître de s'ingénier à
thique de la Salpêtrière dont les muscles, tout en ayant à peu près con- servé leurs reliefs ordinaires, sont excessivem
rôle très restreint dans la marche. Les moyens fessiers entrent au con- traire en contraction à chaque pas du côté de l
de la motricité, mais parce qu'il ne sait où prendre les mouvements con- venables, les images d'attitudes segmentaires é
1895, no 1.) On a pensé que l'hermaphrodisme antique était purement con- ventionnel. t L'art, a-t-on dit, peut être cons
sile de Boston 63 cas d'hébéphrénie. L'hébéphrénie ne doit pas être con- fondue avec la folie de la puberté ou la folie
employant, ne pas formuler des pronostics favorables même en ce qui con- cerne un avenir prochain, car on s'exposerait t
entales . M. ToULOuzr étudie d'abord la prédisposition, qui est une con- dition étiologique générale que l'on ne retrouv
commission nommée à cet effet. M. Charpentier propose d'accorder au con- grès de Bordeaux une subvention de 300 francs e
de Paris, 1884. Tels sont les principaux ouvrages que nous avons pu con- sulter sur les diverses formes de la tuberculos
cette anesthésie est nettement dissociée. Le tact est partout bien con- servé, sauf au niveau de la partie antérieure d
antes et de ses hallucinations, elle raisonne parfaitement bien. Sa con- versation est même vive, elle ne cherche pas se
de six mois le curé de la paroisse, M. P... intervient; bientôt le con- fesseur de la malade, M. L... le rejoint, puis
athogènes diverses qui se traduisent par la triade et les symptômes con- nexes du goitre exophtalmique. Les raisons de
larvée. Pendant longtemps, l'opinion de cet auteur fut admise sans con- teste et ne rencontra aucun contradicteur. S'il
nostic n'est possible. Nous sommes donc bien réellement en droit de con- clure que la nature épileptique des impulsions
Chambre des députés de Prusse a discuté récemment l'interpellation con- cernant la surveillance exercée par l'Etat dans
existe des lésions diffuses, portant sur les vaisseaux et le tissu con- jonctif et étendues à une très grande partie de
pes de moelle saine; certains tubes sont moins réguliers dans leurs con- tours, un peu boursouflés; il est évident que l
ment circulaire, ou bien au contraire excentrique, et rappelant par con- séquent la disposition qu'affectent souvent les
et; les troubles de la marche au contraire s'accentuent au point de con- * finer le malade au lit. Au mois de janvier 18
i est un peu moins intense. C'est le même épaississement des fibres con- jonctives, la même infiltration par des noyaux
t absolu- ment impossible de l'en distinger au microscope ; faut-il con- clure de l'absence d'antécédents connus qu'elle
facial droit, secousses et mouvements des membres droits. Perte de con- naissance le soir. Le treizième jour, améliorat
a prison, et dont l'état mental avait été méconnu au moment de leur con- damnation. M. Paul Garnier pour la période quin
prison à l'asile moins de deux mois après leur condamnation, et la con- damnation n'est pas encore définitive, puisqu'e
nsibilité émoussée. La vue, l'ouïe, l'odorat, le goût semblent bien con- servés. Les réflexes accommodateurs etlumineuxs
341 son domicile, après qu'il a eu reçu les soins empressés de ses con- frères. .. La visite de la colonie agricole d
le bâtisse ! Dans ce monument remarquable un concert est offert aux con- gressistes. On l'a avancé d'une heure pour eux.
s qui baigne le Rhin, de Mayence à Cologne, quarante et une femmes, con- vaincues d'être possédées du démon, sont condam
malades en deux catégories distinctes : curables et incurables. Au con- traire, l'asile d'aliénés, tel qu'on le conceva
ur du canal rachidien, constata que, sur cette étendue, le canal ne con- tenait aucun organe d'une consistance ou d'une
flam se retrouvait surtout dans le second cas. Chaque muscle qui se con- tractait plusieurs fois fournissaient progressi
x composés de fines fibres parallèles qu'il n'est guère possible de con- sidérer comme autre chose que des cylindraxes r
ppement du commerce, l'augmentation de la population des villes, la con- currence rendant plus difficile la vie matériel
saire- ment d'ordre pathologique; c'est ce qui n'est pas prouvé. Le con- cept un peu mystique de la folie morale est loi
, cet état psychopathique se développerait parfois dès la jeunesse, con- sécutivement à une forme de dépression accompag
ge parlé ou écrit. Il est intéressant, d'ajouter que le malade peut con- verser longuement d'une façon correcte sur ce q
est bonne; l'aptitude à faire de petites opérations d'arithmétique con- servée ; de même la lecture. Mais quand on l'in
s lesquels il y a rupture des associations étroites qui unissent le con- tenu des conceptions à l'expression verbale, ag
ie consacrée à cette affection qui a déjà fait l'objet de plusieurs con- tributions importantes de la part de l'auteur.
ités, mieux vaut qu'il y soit contigu, étant donné surtout que nous con- damnons d'une manière générale la cellule comme
ins. La- salle de réunion aura une étendue triple du réfectoire, en con- QUARTIERS SPÉCIAUX D'UN ASILE D'ALIÉNÉS. 437
au parquet. Beaucoup d'agités salissent énormément leur linge. En con- séquence, la lingerie et la décharge du quartie
aussi, le plus souvent, de se disputer et de se jalouser. En ce qui con- cerne les appareils, l'expérience m'a démontré
'aucun lien. Le nombre des aliénés à idées de suicide est bien plus con- sidérable du côté des femmes que du côté des ho
ctivité intellectuelle, d'idées hypocondriaques, d'irritabilité, de con- fusion mentale, d'amnésie, de cauchemars puis s
, bien quc n'élant pas liés au gonocoque de Neisser, et propose, en con- séquence, d'accepter dorénavant l'existence non
'en servir. A ce moment on put constater des symptômes d'aphasie de con- duclibilité. L'auteur rejette l'hypothèse soit
aliénation mentale est en forte diminution en Norwège depuis que la con- sommation de l'alcool y est notablement réduite
rouve dans un milieu identique à celui de ses ascendants et que par con- séquent il doit fatalement en subir la funeste
: BOU11EVtLLE. TABLE DES MATIÈRES AilSINTIIIQUE. Transmission des con- vulsions de l'épilepsie -, par Royce, 386.
cié particulier de la paupière supé- rieure dans la-, unilatérale con- génitale par Bernhardt, 144. Borborygmes. Not
40 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
4° Du côté de l'appareil visuel il existe une hémianopsie double avec con- servation d'une partie centrale du champ visuel
issement ; la partie supérieure de la substance blanche du coin est con- servée. Le foyer du ramollissement du com Lun
écorce cérébrale de la circonvolution limbique et du lobe lingual est con- servée avec une mince couche de substance blanc
s 20 individus en question auraient succombé probablement plus tard con- sécutivement à la marche progressive des tumeur
ganisme; d'après les observations il serait en effet rare de trouver, con- jointement avec des hydatides de cerveau, des h
tres constituées par une perte subite de connaissance, des mouvements con- vulsifs généralisés, du stertor avec écume aux
Antécédents personnels. - Né à terme, spontanément, il n'a pas eu de con- vulsion pendant l'enfance. C'est à l'âge de 10
peut le nier, d'une rareté extrême dans la coxalgie. En revanche, on con- çoit que la mobilité de l'articulation du genou
tant pour être reconnue, un examen attentif ; aussi convient-il de la con- sidérer comme une simple exagération de la posi
esse et l'atrophie musculaires constatées pendant la coxalgie, en les con- sidérant comme la cause déterminante, celle qui
hernie musculaire; la rupture du tenseur du fascia lata pourrait être con- sidérée comme un facteur étiologique de la dévi
st vraiment remarquable que dans un âge aussi avancé, un esprit ait con- servé assez de lucidité et d'entrain pour trait
a grâce et de la vie sont le plus apparentes, et d'où l'étiquette, la con- vention semblent le plus écartée. La prospérité
cle, don de l'archevêque Robert de Lenoncourt, qui sont il peu près con- temporaines des précédentes et méritent les mêm
temporaines des précédentes et méritent les mêmes éloges. Elles sont con- sacrées à la Vie de Saint Rémi. L'une d'elles
nuent rapidement après la formation ou l'évacuation d'un abcès par con- ° gestion. A une période plus avancée de la for
térieurs et entre les faisceaux fondamentaux du cordon antéro-latéral con- tient un réseau assez bien développé de fibres
s trouvons une lamelle en forme d'une demi-lune de fibres verticales, con- tinuation de cordons postérieurs, en avant la s
g ; il mesure 4 cm. 1/2. Son extrémité inférieure est d'ailleurs bien con- formée et rappelle assez bien la forme de la tè
és. L'observation que nous avons rapportée nous semble pouvoir être con- sidérée comme un exemple de la variété la plus
- semble tellement à un doigt surnuméraire que nous sommes portés à con- sidérer comme absents les quatre derniers doigt
as autorisés à répondre d'une façon précise. Pour les malformations con- génitales du sujet dont nous avons rapporté l'o
es réactions électriques dénote seulement une légère diminution de la con- tractilité par les courants faradiques, c'est-à
ue certain que les toxines, résultat de ses mauvaises digestions, ont con- tribué pour beauconp à la production de cette c
maladie en reste-t-elle à ce stade (stade d'irritation). Si le malade con- tinue ses occupations, nous voyons survenir le
graphiste aussi bien chez elle que chez ses ascendants. Les mauvaises con- ditions hygiéniques aussi bien que la dénutriti
- cer, mais à prendre rang parmi les autres théories pathogéniques ( con- gestion, irritation, troubles circulatoires de
. - Hémisphère gauche vu par sa face inférieure ,1'endothéliome est con- tenu dans une loge formée par le tas- sement
t entière a une structure hyaline rappelant beaucoup celle des globes con- centriques. Quelques-uns de ces vaisseaux von
l'intérieur même de la paroi sont disséminés de petits orifices sans con- tours réguliers. Ce sont ou des embouchures de
des sarcomes véritables, et parle de ces « soi-disant sarcomes » qui con- tiennent souvent des grains de sable (psammomes
ts. Le rôle des vaisseaux est donc capital dans la genèse des corps con- centriques pour Robertson, comme pour Cornil et
r- que que Marinesco « n'indique pas d'une façon bien nette en quoi con- siste le phénomène » et il l'explique par un mé
ans la zone tout à fait voisine du néoplasme. Le reste de l'écorce au con- traire renfermait des cellules pour la plupart
En effet, environ deux ou trois fois par an, il tombe subitement sans con- naissance au milieu de son travail, et reste ét
ras, à 12 centimètres au-dessus de l'olécrane : droit, 30 cm. 5, sans con- tractions,33 centimètres sans contractions : ga
ogresser sans elles, car, si l'observation et les expériences sont la con- dition de son progrès, ce sont les hypothèses q
ns mes réflexions, je n'avais plus d'autres idées en tête. Je restais con- tinuellement dans ces pensées.... » III Act
ntal, elle leur trouve une origine en dehors de sa volonté, d'où elle con- clut en dehors d'elle. Une seule explication es
parer les molosses par exemple des chiens carlins et cependant nous con- sidérons ces derniers comme une race à part qui
aillie assez prononcée, mais qui se trouve liée à une cyphose dont la con- ' vexité est tournée à droite. La courbure ve
ibia droit s'écarte un peu de la ligne médiane et présente une légère con- cavité antérieure. 7. Marguerite, 4 ans. Tail
t tout d'abord que le pouce, l'annulaire et l'auriculaire sont bien con- formés et de même volume que ceux de la main
tre les deux cloisons feutrées, on trouve un peu de tissu adipeux qui con- duit sur la peau dorsale, faisant le fond du si
que la phalange intermédiaire est réduite, la phalange distale est au con- traire allongée. Aux doigts des mains, cette
Chorée fibrillaire. - Quand W ? est déshabillé on voit s'ajouter aux con- tractions rythmées du triceps brachial des cont
une certaine mesure, les conditions d'un si vaste problème, si nous con- sidérons le cas de notre tumeur, et si nous ess
tensité moyenne : et que l'urémie ancienne et profonde résiste, au con- traire, à cette tentative thérapeutique. L'an
ngite chronique diffuse constatée dans leur cas s'est développée « en con- séquence de la seule présence de la tumeur fais
breuses cellules rondes. Les vaisseaux de calibre sont peu altérés et con- tiennent quelques éléments polynucléaires, les
Cette manière de voir ne nous parait pas juste et au contraire nous con- sidérons ce cas comme conforme à ceux des auteu
es qui parfois occupent la plus grande partie de la cellule. Dans ces con- ditions le protoplasma. est réduit à un minime
sibilité à la douleur,-saisies par les réactions de défense - étaient con- servées. Le sujet a vécu trente-neuf heures, pr
nisme fonctionnel des mouvements au faisceau pyramidal.D'autres au con- traire prétendent que son action est purement i
La nommée Marie V., femme B., âgée de 47 ans, garde-malade, suit la con- sultation des maladies nerveuses depuis trois m
sensation de douleur et de légère cuisson. Si elle a des ennuis, une con- trariété quelconque, elle dit qu'elle sent auss
insisté sur ce fait et montré que fréquemment la malade a « parmi ses con- naissances ou amies, une malheureuse qui a été
la pression ou le pincement détermine du grincement de dents, de la con- tracture des poignets,etc.Une malade de Brodie
contracture consécutive à la paralysie du nerf cubital, analogue aux con- tractures post-paralytiques du facial, détermin
ltérées. De cette coque fibreuse émanent çà et là des bandes de tissu con- jonctif adulte qui, pénétrant dans la substance
cessus dystrophique peut n'être que musculaire ; il peut n'être que con- jonctif. r.. La dystrophie musculaire se mani
Mais il ne faut pas oublier qu'il existe des cas familiaux et des cas con- 470 ' llGi\121 MEIGE génitaux. Il faut par co
exemples. Cette perturbation nerveuse qu'il faut démontrer en ce qui con- cerne le tissu conjonctif sous-cutané, est admi
ferme, compacte, qui dénoterait la prédominance excessive du tissu con- jonctif. Nous aurions donc là l'exemple typique
i- cation anatomique, nous ne nous flattons pas d'avoir entièrement con- vaincu le lecteur de la justesse de nos argumen
us. Nous nous garderons de discuter la pathogénie des hypertrophies con- génitales à propos de ces deux observations, ce
été ainsi dans toutes les articulations diarthrodiales, tandis qu'au con- traire les amphiarthroses, c'est-à-dire les art
. « Ce n'était pas là une mortification, dit dom Calmet, puisqu'au con- traire c'était une sorte de délassement, et que
aucun. Quant la saignée du bras en elle-même, elle est parfaitement con- forme à la réalité : la plaie de la lancette si
t Cu. et E. HUET, Description d'un ectromélienhémimèle avecquelques con- sidérations sur l'hémimélie (2 tig" 6 pl. en
41 (1911) La pratique neurologique
n des couleurs) se perd, tandis que l'autre (vision des formes) est con- servée. ' EXPLORATION DE LA VISION CENTRALE
d'insuffisance des muscles parésiés. Le malade étant placé dans les con- ditions de l'épreuve précédente, l'observateur
hysiologique normal; l'excitation lu- mineuse d'une rétine amène la con- traction synergique, simultanée, des deux pup
. Une autre manière de constater l'existence du réflexe consensuel, con- siste, en se tenant au jour, il faire l'occlusi
peu intense. Les rayons de ce faisceau lumineux sont recueillis et con- centrés par une lentille placée entre la lampe
e des objets qu'on regarde; c'est encore un trouble accompagnant la con- tracture de l'accommodation ; Contracture pri
le mur quadrillé (Morax). Fig. 47. Schéma sur lequel on reporte les con- statations faites sur le mur quadrillé. Ce sché
puissent se produire dans les lésions du pli courbe, cette région ne con- stitue pas un troisième centre des mouvements a
s de diriger les mouvements associés d'élévation, d'abaissement, de con- vergence et de divergence. Ces centres paraisse
ysie associée du mouvement en sens opposé de la déviation, ou d'une con- tracture dans le sens de la déviation. Ce sont
de l'hémisphère lésé quand il y a paralysie, il regarde ses membres con- vulsés quand il y a convulsion. Dans les lésion
L'action des agents chimiques s'explique, elle aussi, facilement, il con- dition de bien connaître le mécanisme d'action,
réflexe pupillo-eonstrictour présent. Myosis paralytique : réflexe con- stricteur existe. On le constate facilement par
pas transmise aux noyaux mésencéphatiques. Il suffit, en effet, de la con- servation d'une très petite quantité de fibres
fet habituel des années. (l est, par suite de ces faits, difficile de con- stater une paralysie de l'accommodation chez un
PHTALMIE L'exophtalmie, symptôme commun à de nombreuses affections, con- stitue la manifestation principale d'une maladi
tique (fig. 64). Signe de Stelwag. Cette rétraction des paupières con- stitue le signe de Stehvag; dans les cas très
eux. Paralysies musculaires. Se voient quelquefois. Paralysie de la con- vergence (Moebius), des abducteurs (Stelwag), d
(tronc, ganglion de Casser, tronc ophtalmique); elle manquerait au con- traire dans les lésions périphériques (orbite),
ntes. ' Gécité congénitale pour certaines couleurs (dyschromatopsie con- génitale, daltonisme). La cécité congénitale pa
aveugle aux couleurs, bien que la plus grande partie de la rétine ait con- servé toutes ses facultés cbromopsiques. Autr
culo-mcteurs réflexes (parésie ou paralysie de la 6° paire, déviation con- 1 - [LANNOIS.] Coupe à la limite du bulbe et
o- vertige soit jamais accompagné de la sensation erronée qui seule con- stitue le vertige vrai. Comme nous le dirons, l
pace ou suppression momentanée de l'orientation et de la localisation con- scientes, état analogue au demi-sommeil; 2° la
sensation illusoire de rotation des objets ou de notre corps en sens con- traire : il y a un vertige rotatif. C'est le ve
tion ; quand on arrête brusquement l'appareil, il a la sensation de con- tinuer à tourner pendant quelques instants, mai
cérébrale, précédant l'accès de quelques minutes à plusieurs jours, con- sistant en céphalées, vertiges simples, bourdon
violent pour déterminer une chute et parfois une perle complète de con- naissance et même quelques convulsions épilepti
le voyions quelques heures après l'ictus, voici ce que nous pourrons con- stater. Le malade est inerte : des appels réité
foncement de la voûte. On aura soin d'examiner la lace : pâleur ou con- gestion, déviation, étal des yeux (ecchymose so
ce à voix basse. » Il. Le malade peut exprimer ses pensées et une con- versation avec lui est possible, mais son langa
e. Faire lire en permettant au malade de suivre avec ses doigts les con- tours des lettres. ' b) Lecture des chiffres.
yeux. el) Mémoire gustative. Faire déguster différents aliments ou con- diments et constater si le malade les reconnaît
oteurs : « C'est l'hallucination verbale motrice, orale ou graphique, con- sistant dans la perception pathologique de paro
ux et dont ils sont devenus les esclaves obligatoires, ou même sont con- vaincus qu'ils sont le démon lui-même (démonoma
pelin. Le massage favorisant la circulation sanguine et lymphatique con- tribue il relever la nutrition défaillante dans
n'auront pas demandé l'admission dans un établissement privé, seront con- duits dans l'établissement appartenant au dépar
seront également admis dans les formes, dans les circonstances et aux con- ditions qui seront réglées par le Conseil génér
pas nécessaire de faire un diagnostic très précis. Le certificat doit con- clure à la nécessité de transférer le malade da
EIIHn, ou peut dans certains cas, au cours de cet ensemble de tics, con- stater 1 écholalie ou la coprolalie, comme dans
altérée m même temps que les autres ibrmes de sensibilité ou, au con- traire, l'anesthésie à la pression et m diapa
un diagnostic de localisation, dans les lésions des centres nerveux, con- stitue néanmoins un symptôme important que tout
gique est considérable, et nombreux sont les renseignements que la con- naissance de ces faits relativement nouveaux a
au contraire, l'hémiplégie est organique, on ne s'empressera pas de con- clure que l'hémianesthésie est de même nature,
asser en revue toutes les affections douloureuses qu'il ne faudra pas con- fondre avec elles : les myalgies, le rhumatisme
- loureux sont les mêmes, mais les muscles du visage sont agités de con- tractions rapides, involontaires. Les paroxysme
ment à droite et à gauche de la ligne médiane : il se produit, une con- traction des muscles abdominaux, grand droit, o
ressante : l'un des plus simples et des plus ordinairement observés con- siste dans un mouvement de flexion du membre su
mbiner avec celle-ci, c'est l'apraxie, étudiée par Liclmnann ('), qui con- siste en une sorte d'agnosie des mouvements san
. Une autre manifestation analogue à l'hémiplégie alterne est celle con- nue sous le nom de Syndrome de Benedikt, elle c
rassée, mais il s'agit seulement de dysarthrie et de troubles dans la con- stitution de la phrase. L'intelligence est bi
nsiste en ce que, dans certains actes où le peaucier entre en jeu, la con- traction de ce muscle est plus énergique du côt
s que mentionner ici la théorie qui explique la production de cette con- tracture. 1° La théorie du liquide céphalo-ra
. Le paraplégique peut garder le lit, soit parce qu'il présente une con- tracture considérable, soit parce que la paraly
même, selon Erb. Il est exceptionnel que les progrès de la paralysie con- finent le malade au lit. Le pronostic est donc
Pour en revenir à la myélite transverse, il convient de noter que, con- trairement à la paraplégie de Erb, cette myélit
un sujet normal soulève un objet lourd avec l'avant-bras fléchi, la con- traction du biceps fait que le tendon de la lon
plus élevé que l'externe. La paralysie du jambier postérieur a pour con- séquence un pied bot valgus. MUSCLES DU PIED
e. Dans la contracture du chef superficiel du muscle on observe, au con- traire, principalement la rotation de la tête.
se place sur le même plan que la paroi interne avec laquelle elle se con- fond et qu'elle prolonge en arrière. Ces modifi
ieure. D'après Duchenne ce muscle marquerait l'attendrissement ; sa con- traction, jointe à celle des relcveurs de la lè
- teur convergent vers la commissure des lèvres, ils semblent là se con- fondre et se continuer avec les faisceaux de l'
empêche l'écoulement de la salive hors de la cavité buccale : il se con- tracte dans l'effort, la phonation, le siffler,
lloy attire l'attention sur ce fait « qu'il est remarquable que la con- traction de l'orbiculaire des lèvres s'ajoute d
deux ptérygoïdiens externes se contractent simultanément, les deux con- dyles se portent en avant, les arcades dentaire
tronc tout entier, mais uniquement aux fibres par, lesquelles il se con- tinue depuis le tronc jusque dans les branches.
tèbre cervicale. Par l'excitation du point de Erb, Secrétan a trouvé con- stamment une contraction du grand pectoral, Vie
ours l'examen clinique et surtout l'examen électrique permettent de con- stater que d'autres muscles sont également atte
l'avant-bras sur le bras sont abolis, il est facile, au contraire, de con- stater, après avoir fléchi le segment antibracl
^ laryngées chroniques et les chirurgiens qui opèrent sur le larynx con- naissent la gravité particulière de ces interve
s traumatiques des nerfs, des plexus* des racines : sections, plaies, con- tusions, compressions, élongalions. 2. Lésion
enfance, sont aussi les formes d'amyotrophies progressives le plus con- stamment héréditaires : ce sont aussi ces forme
Brissaud, Spi 11mann (4), Abadie et Denoyès (), lluet ont également con- staté des modifications qualitatives au niveau
compris les côtes inférieures qui ne sont pas reliées au sternum ; la con- séquence de cette obliquité excessive des côtes
Nous avons dit déjà qu'histologiquement tous les muscles atrophiés con- tiennent des fibres hypertrophiées et que clini
. La myopathie se trouve quelquefois associée à certaines anomalies con- génitales, entre autres à l'absence congénitale
tifs de la sensibilité sont très fréquents, sans être constants : ils con- sistent en douleurs spontanées, paroxystiques,
reich, paralysie périodique, autres variétés de myopathie, absence con- génitale de muscles. 5. Variétés tO/1ogmphiqu
Origine abarticulaire : os : fractures, ostéites; téguments : plaies, con- tusions ; muscles : compressions, plaies, coup
double (Audry, Pierre Marie, Colin, Lannois, Hourneville. etc.) Les con- tractures toniques permanentes et les mouvement
t : chaque contraction mus- culaire ressemble ainsi à une véritable con- tracture. Le fait est vrai du moins pour les
ces dans ces cas non encore clas- sés. Certains, en effet, semblent con- génitaux (cas de Bruch, de Durante), la plupa
e. Physiologiquement parlant, il n'y et pas de mouvement simple, la con- traction isolée d'un muscle né peut être produi
s ne peuvent être utilisés que s'ils n'entraînent pas la chute; les con- tractions synergiques des muscles doivent donc
démesurés, l'adiadococinésie, dont nous aurons à parler plus loin, con- tribuent pour une large part à produire la titu
e vertiges; le nystagmus, plus rarement le strabisme, qui peuvent y con- tribuer pour leur part à un faible degré; l'ast
aintien-' drait ses membres inférieurs appliqués au sol par une con- traction énergique de ses muscles fessiers, en
en équilibre sur une seule jambe plus prolongé que dans la marche, con- stituent une complication des exercices démarch
- dant au loin, en face d'eux, ou même en l'air ou sur le côté; ils con- servent ainsi les yeux ouverts et peuvent prend
belleux direct. On y trouve un certain nombre de formations grises con- tinuant à ce niveau les cornes médullaires : no
vaire. Mais sous le choc d'une émotion, à propos d'un effort, d'une con- trariété, l'immobilité du visage cesse soudain.
e verser des larmes pour le compte parfaitement net d'une tristesse con- sciente. '. Nous avons à dessein insisté sur
l'épilepsie dite essentielle peut quelquefois se manifester par des con- vulsions jacksoniennes et, d'autre part, des lé
vraie. Un diagnostic localisateur pourra cependant s'appuyer sur la con- vulsion limitée, sur le siège de la première se
délire, jactation. agitation des membres, convulsions localisées et con- tractures. Mais le pouls reste régulier et. sou
. ' Nous venons d'énumérer les cas où le diagnostic étiologique des con- vulsions est relativement aisé. Il nous reste à
quelques jours l'accès comitial; ils sont très variables et peuvent con- sister en tremblements généralisés ou partiels,
congestionnée au point de devenir le siège de ruptures vasculaires con- jondintles ou palpébrales. Dès ce moment, on pe
tempes, du vertige; puis l'accès éclate et s'accompagne de perte de con- naissance et de chute. La phase tonique comme
Ballet elle serait fonction du tremblement. Pierre Marie estime au con- traire qu'entre les deux phénomènes il n'y a pa
ils se produisent d'une façon irrégulière et non rythmée, ce qui est con- traire à la définition que nous avons donnée du
des psychoses provoquées chez les dégénérés par la chorée et on en con- naît deux variétés principales. C'est tout d'
l, Vaschidc et Vurpas. Dutil pense que ces troubles psychiques sont con- stants, et il ne croit pas qu'il existe une seu
n. L'évolution des myoclonies est essentiellement bénigne en ce qui con- cerne la vie. Cependant l'évolution est sujette
nt très analogues au paramyoclonus multiplex. Dans quelques cas les con- vulsions épileptiformes persistent, elles sont
i se produisent dans les muscles des membres inférieurs d'une façon con- tinue ; cependant, on a vu quelquefois des myok
plus ou moins longue,- en dehors de l'action accidentelle d'une crise con- . vulsive ou d'une maladie générale. De récents
exceptionnel qu'ils puissent écrire très correctement, sans que la con- tracture apparaisse. Bien plus, Jolfroy (') a s
- mériques-ou en bandes suivant à peu près un trajet nerveux, ou au con- traire se disséminer en taches plus ou moins is
pouls qui est le dédoublement des pulsations; elle ne doit pas être con- fondue avec l'arythmie qui ne s'observe guère q
n- contre dans les myélites aiguës, où elle succède à la rétention; con- sciente d'abord (miction involontaire) puis inc
e. La quantité d'urine rendue impose le diagnostic, mais on ne doit con- clure à l'origine nerveuse que lorsque toute id
suivies ou non d'une éjaculation qui précède l'attaque. Ailleurs au con- traire, une éjaculation suit cette dernière à c
prétation hasardée de leurs résultats. Des conclusions risquées ont con- duit des malades à l'hypocondrie et même au sui
e. Quand un malade se plaint de souffrir de la langue, ou bien l'on con- state quelque carie dentaire, quelque ulcératio
d'insister sur une variété de ? s6 ? ï'e linguale, intermittente ou con- tinue, qui peut avoir dans la thrombose et le r
l'intelligence. L'idiotie est fréquente ou du moins il est normal de con- stater un certain déficit intellectuel. Le faci
ne névrose fréquemment monosymptomatique, surtout chez l'enfant, il con- vient d'examiner la bouche et de constater la p
enfin, dans les cas plus délicats, avant de songer aux névroses, il con- viendra de penser que le ptyalisme peut dépendr
agme est immobilise. Le diaphragme peut cependant être fixé par une con- tracture indépendante de toute simulation. Fa
ent. Nous avons déjà fait allusion aux déformations du tronc. Elles con- sistent, avant tout en une scoliose cervico-dor
s infantiles sont fréquemment des nains plus ou moins prononcés. Il con- vient de remarquer que l'insuffisance lesticula
être mesurée à l'aide d'un manomètre, plusieurs instruments ont été con- struits dans ce but, l'un sur les indications d
être beaucoup plus considérable ; dans ce but, il est important de con- naître la quantité normale de liquide céphalo-r
1127 On a pu voir cette composition chimique varier dans certaines con- ditions. La teneur en albumine qui est très lég
t d'abord dans ce but. Les quantités soustraites sont beaucoup plus con- sidérables, allant jusqu'à 50 c. c. En Allemagn
aussi que la ponction lombaire agit sur les affections labyrinfhiques con- sécutives il une exagération de pression du liq
5° Déformations trophiques osseuses et articulaires des extrémités, con- sécutives à des affections du système nerveux c
étendues, irrégulières, interrompant plus ou moins la continuité du con- tour. La syphilis du crâne peut déterminer, à c
73 loses, avec ou sans déformations, dans deux affections longtemps con- fondues, le rhumatisme vertébral et la spondylo
des contours imprécis, le fond [tins ou moins clair ou foncé étant con- stitué par des amas [tins ou moins épais de fib
e sodium, ou autre). En somme, ce liquide constitue l'intermédiaire con- duisant le courant : il a de plus l'avantage, e
e si leur forme n'a pas besoin d'être modifiée pour épouser les con- tours des parties sur lesquelles on les ap-
qui précèdent ne s'adres- sent pas seulement au courant galvanique con- tinu, elles peuvent valoir aussi pour les appli
es intensités données au courant et en raison de la grande masse du con- ducteur formé par le corps. Les effets mécani
niveau du pôle négatif et dans son voisinage ; elle est diminuée au con- traire au niveau du pôle positif. On a appelé c
n action des sensations d'engourdissement et de fourmillement. Il con- vient sans, doute de faire intervenir dans la p
ar exemple à plusieurs m. A., 5, 4, 5 ou davantage, suivant le nerf con- sidéré) l'excitation produite avec le pôle N, a
dans leur totalité, ou dans leur plus grande partie ; les lésions, au con- traire, les envahissent pour ainsi dire fibres
- taines conditions pathologiques, notamment dans des névrites, les con- tractions tétaniques persistantes produites par
encore assez peu définie par ses divers caractères et surtout par les con- ditions pathologiques dans lesquelles elle se r
Les nerfs du goût sont aussi très facilement impressionnés par les con- rants galvaniques non seulement quand ceux-ci s
nostic. Résistance électrique du corps envers le courant galvanique con- tinu. Si l'on établit, avec un faible voltage d
n'est pas constant, il peut être différent suivant la nature des ions con- 1. L'unité Siemens a une valeur très voisine de
rés ou menacés de contracture (en général aux membres supérieurs la con- tracture porte plus particulièrement sur les fl
assez satisfaisante quoique le plus souvent incomplète; les autres au con- traire donnent lieu à de grosses atrophies avec
sensiblement le même que celui des poliomyélites ; la galvanisation con- linue notamment est très utilisable en appliqua
troubles moteurs et sensitifs sont prédominants; le bain électrode con- vient très souvent dans ces cas. Les excitation
e. Après quelque ternps de ce traitement par la seule galvanisation con- tinue, deux il trois semaines, par exemple, on
cathode successivement sur l'un et l'autre côté du larynx, et courant con- ATROPHIES MUSCtt.AHOES \1 Ü : LOI'.\TfIHjrES. i
fi0 m. A. ou même davantage, suivant la façon dont il est toléré ; il con- vient cependant de ne pas dépasser généralement
par un conducteur passant dans l'axe de la tige. L'autre électrode, con- stituée par une plaque ordinaire, est placée su
é à donner une moins grande importance il l'électrisation qui a été con- sidérée pendant un temps comme le traitement pr
e, tubes réfrigérants) associées aux bains chauds à 55". 40" sont à con- seiller ; dans les cas de méningite cérébro-spi
procédé suivant permet d'ohtenir des coupes possédant une certaine con- sistance et dont le maniement est ainsi rendu f
maine. Coloration des cellules nerveuses, de la névroglie, du tissu con- jonctif et des vaisseaux par les carmins. - Le
Définition, S 18. - Physiologie pa- thologique, 819. Description : con- vulsions toniques, 820. Convulsion tonique, 8
es, W2. - Démarches sautillantes, a petits pas, 495. Troubles par con- tracture on rigidité, 494. - dans le lll ! )(
de la branche motrice, 627 f Nerfs, lésions, atrophies musculaires con- sécutives, 716, 719. - brachiaux, né- vralgie
mière du jour, 25. - Recherche à la lumière artificielle, 2H, 01. - con- sensuel, 28, 95. - hénziannpique, 29, 04. - d
, . 427. Jftésultats fournis par l'examen. Variations en dehors des con- ditions morbides, 435. - Variations des - - d
itives, anatomie et physiologie. - Organes de réception. - Voies de con- duction, 275. Centres de. réception corticaux
42 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
s spéciaux. Là seulement, en effet, il était possible de les mettre con- venablement en valeur par leur rapprochement mê
ine relativement épaisse; mais un détail qui ne fait jamais défaut, con- siste dans la présence à son niveau d'un ou plu
ant brusquement pour donner naissance à deux tubes minces variqueux con- tenus dans la même gaine de Schwann. Nous n'avo
p le plus important, ne va pas toutefois sans retentir sur le tissu con- jonctif intrà-fasciculaire, ses fibres sont plu
uit des 'muscles 'à l'état de repos. Ce dernier a été attribué à la con- traction tonique. Il était intéressant de cherc
l "i».-«j . - - - également d'une racine à l'autre, et elle a, pour con- ? 1 1 : %) "Plq , 1 , 1, 1'. -. 1 1 1 1 . séque
nt défaut. Le relâ- chement d'un muscle par atonie ne doit pas être con- fondu avec sa paralysie, ni même avec sa parési
CLINIQUE MENTALE. Le dipsomane, avant de boire, se trouve dans des con- ditions analogues à celles du mélancolique; il
1 - , 4 - Les ventricules latéraux sont considérablement dilatés et con- tiennent 570 grammes d'un liquide clair, limpid
ontales sont atrophiées, mais à un degré moindre qu'à droite et ont con- servé leur forme. Toutefois, de cette lésion et
ni d'écume. On observe, dans l'intervalle de deux accès, de légères con- vulsions fibrillaires des muscles. Soir. - De
u-dessus de ce corps étranger, en réservant, cela va sans dire, ses con- nexions électriques, grâce à des fils qui trave
° 1) avait trouvé dans les couches optiques des centres d'arrêt des con- tractions spasmodiques des sphincters anaux et
rétexte de présenter ces vues d'ensemble et ces principes comme les con- clusions tirées de l'étude « de l'évolution pro
éditeurs. II. M. X. Arnozan avait à étudier les lésions trophiques con- sécutives aux maladies du système nerveux : le
ession d'une myélite dont les premiers symptômes avaient été à tort con- fondus avec une affection génitale ou urinaire
névrite péri-axile. Nous pensons donc que celle-ci peut avoir pour con- séquence la dégénération wallérienne, mais à la
e), quelles que soient la force musculaire du sujet et l'énergie de con- . traction développée par lui. La fatigue elle-m
xons les 'deux extrémités de cette bande à la tête du lit. Dans ces con- ditions, si on tend le caoutchouc avec une cert
ie agitante montrera encore mieux le rôle indispensable que joue la con- tracture dans la production de ce phénomène. L'
zontal. ! A l'état de repos, les muscles biceps et triceps ont leur con- sistance normale. Dès que le malade se met à tr
'' permet encore à ces malades un certain nombre^de mouvements. La^ con- traction du biceps, par. exemple, s'il s'agit d
la peine à trouver,ses réponses;,la mémoire devient de plus en plus con- fuse. Soir : T. R. 39°,2. " ' ' ^ f . J .. 2
onvolu- . étions frontales présentent une longueur notablement plus con- sidérable qu'à l'habitude. On trouve, en mesura
ils ont été placés dans l'acide chromique. Lorsque le durcissement con- venable a été obtenu, les circonvolutions malad
ulq 11, tnOG .1t¡ ? d autres atteignent jusqu'à 12 fi- environ. Au con- . , ^' ' » du " Ii V 'i¡,f ! LJ,nrn ;1<j,I00
agit.que de cons pour qu'on puisse affirmer qu'il ne s'agit que, de con- i densations fibrineuses; il n'existe pas de ré
et l'action interne, entre la métalloscopie et la métallothérapie, con- nexion qui est la base principale du système de
ion de la Société de biologiesedisposaitàentreprendreson travail de con- trôle sur l'existence 'et la nature des faits a
la droite; il existe donc un certain degré de plagiocéphalie. Cette con- formation serait due, d'après M. Broca, à l'hyp
tt Ju71 i O mere'de'toute cette hgnee ne présentaient au un vice de con- (. ' 't' ? uj ! 1 £ 9 ! Dt' .TexW u fc,i..mulm
iologie et en pathologie nerveuse; ils sont, du reste, parfaitement con- formes aux conclusions auxquelles est arrivé Ed
i-'ii j s J't ! ,rM\I)Lb9.1;lH ? er.tr Oy ? laissait,voir la langue con- 1- n 1 ? t- ? ' t'" ,l' yl X H'i'ilH, Il ? J 1
\ ! ,PVb Blepharospasme intense, datant de plusieurs années, et tic con- FZV,zc,lsi flde,la moitié gqucbe¡de la face ave
n-t jf u.a{9.n4u JS^ facial (Hûter) ;, cessation des0 mouvements, T, con- xjiulsifs, mafs, p'a ? çÛY.iercon.fcu.(1 ! e ¡f
6L"e contrôle sur la langue, est .totalement 'perdu.' L'enfant^fut con- fié à, une dame qui avait,c.été maîtresse dans
ables, en matière de localisation cérébrale, peuvent être dus à des con- formations particulières, ' individuelles, des
ns ataxie et quelques-uns dans'lesquels le réflexe' tendineux était con- servé ou même exagéré, 'malgré des symptômes at
\ -, \'" t xt ., , Comme traitement, le docteur Webber a employé et con- seille, en premier lieu comme condition essenti
ce que voyant, M. Constans recourut à d'autres moyens moraux : non con- tent de mander une brigade de gendarmerie et un
ne cons- triction trop forte. Néanmoins, depuis lors, l'enfant a pu con- tinuer à marcher sans appareil, son talon n'aya
fascicule de ces Archives ' : l'opinion de M. Blaise est absolument con- forme à celle que nous énoncions dans la revue
dique bien que l'origine cérébrale de la température céphalique est con- sidérée comme au moins douteuse. M. Grasset, so
apparut à 19 ans. Mais, à cette époque, se rapprochèrent les accès con- vulsifs, qui bientôt même dégénérèrent en un vé
nt toute la sur- face de l'hémisphère cérébral droit, un kyste, qui con- tenait 16 onces d'un liquide séreux. Sur l'hémi
alade que depuis quatre jours; mais ses assertions sont sufisamment con- tradictoires pour ne leur attribuer qu'une vale
ants auxquels ne participent pas les autres membres. Ces mouvements con- sistent dans la flexion des quatre derniers doi
stéatosés, mais il n'y avait pas d'infarctus, tout se bornait à une con- gestion disséminée par îlots paraissant, indépe
venante. Durant la grossesse, émotions vives avec cris, perte de con- naissance et chute, à la 6° semaine, au 5° et a
misphère droit, qui n'a occasionné ni paralysie, ni convulsions, ni con- tracture, ce qu'explique très bien son siège ;
ent survenir au moyen d'un procédé dont il est l'auteur. Ce procédé con- siste dans l'emploi d'un tube de caoutchouc, lo
centrale, celle qui se perd normalement la première, le violet. En con- tinuant l'expérience , l'examen comparatif des
é dans le service de M. le professeur Gosselin; puis, elles ont été con- trôlées par l'étude de la moelle des os du chie
ur certains points de la circulation de l'encéphale. Il ne fait que con- firmer les travaux de M. Duret et ceux de MM. H
e partie de son écorce médullaire et passe au-dessus sans entrer en con- nexion intime avec lui; 3° On ne peut considé
endue, de l'hyperalgésie au contraire chez ceux qui conservent leur con- naissance ; chez certains, l'auteur a pu provoq
une heure et même plus avant les fléchisseurs. Les muscles du tronc con- servent le plus longtemps leur contractilité.
ntraction qu'à la fermeture et qu'à l'ouverture; sur le cadavre, la con- traction dure tant que le courant passe. On p
nerfs crâ- niens. Le nerf intermédiaire de Wrisberg peut donc être con- sidéré comme la persistance de cet état, qui s'
tème com- missural dans la moelle épinière. Il y a peu d'années, on con- sidérait l'entrecroisement des pyramides comme
totalement avec son congénère ; que dans d'autres circonstances, au con- traire, il peut n'y avoir aucune décussation; e
mptent par centaines, on est bientôt édifié sur la curabilité de la con- tracture secondaire. Nous voulons dire par là q
ué. z Coloration d'un trouble laiteux de l'arachnoïde, surtout à la con- vexité de l'hémisphère droit. Circonvolutions c
t soit à la suite d'excitations cutanées soit consécutivement à des con- tractions musculaires; 2° des formes particuliè
rès avoir indiqué les causes qui si longtemps ont mis obstacle à la con- naissance des maladies du système nerveux centr
s l'hémiplégie : La durée du temps réflexe est moins longue du côté con- tracturé, elle est diminuée aussi mais plus lég
chiffre à 35,00 ; on peut sans crainte le porter à 40,000. Quand on con- sidère le danger auquel la population est expos
ais si l'on veut nous le permettre, nous avons, pour un but utile à con- naître, composé une série de quatrains, dont no
,rr jI m, ·r, 1'llll 'f;9mRVr'^ ! J nnftRt"9mt'Jpnx91 1 vers lequel con- montâtes bilatérales. Cet organe, vers lequel c
1 vers lequel con- montâtes bilatérales. Cet organe, vers lequel con- - ôb g0'I1 tl9ti191131JfJlj 9Vt.tqtjjS9b 9lf0O)
iiï-9 10,90900 connaître, la section de la .portion de la capsule, con- - , le ',Illlt,tlél Q<')f'f ? no3 ? ) si P-1
"roi ,* : >< 1 Comme le noyau lenticulaire, est relativement^ con- 3Br 'iki; 9a .;;iAïi0 a" "> ïaufli-»' -ie .1
rairement d une éruption papuleuse, ou, licliéiioïdif plus ou moins con- . ? 1 * -, , - , , ? ~o ? J ♦l-.rTOtlRlCA 9')
Schmidt, lui permettent de caractériser le type clinique, dans ces con- ditions, par une phase prodromique de durée var
parfois, mais s'il gagnait l'épigastre il déterminait toujours une con- vulsion terrifiante; jamais la malade ne perdai
vait réorganisé la Bibliothèque' médicale de Bicôlré et qu'il avait con- senti, avec sa bonne ,grâce habituelle,, faire
député; Sée (Camille, député; - Waldeck-Rousseau, député; - Berger, con- seiller d'Etat; Chauffour, conseiller d'Etat; C
ger, con- seiller d'Etat; Chauffour, conseiller d'Etat; Camescasse, con- seiller d'Etat, directeur de l'administration d
cot, et avec la collaboration de la plupart des jeunes et laborieux con- frères qui, se groupant autour du maître, ont c
iété française de tempérance, 350. Protoxyde d'azote (emploi du), con- tre la mélancolie, par E. Blake et Mac Lane H
4 ; de la paralysie dans le premier âge, par Davis, 155; la tonga con- tre les névralgies, 329; cura- bilité de la f
43 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
, signalés l'année dernière comme lisant couramment, l'intelligence con- tinue à s'éveiller sensiblement. En même temps,
en outre, sous la direction de leur maitre dévoué, M. Goy, à trois con- cours de gymnastique. Au premier de ces concour
Les enfants de la grande et de la petite école qui sont propres ont con- tinué à faire des promenades soit à Paris, soit
r, en variant le plus possible les exercices. Les jeux même doivent con- tribuer à leur éducation. Au lever on apprend
nouvelles fillettes. « Les anciennes élèves », dit ce professeur, « con- naissent toutes leurs notes et chantent dans le
était ouvert, le temps assez restreint dont pouvaient disposer les con- currents, l'échelle nécessairement réduite des
n'ont pu qu'être abordées dans un travail de premier jet, et en se con- certant par une collaboration intime avec les a
uissse possé- der l'établissement, et il nous parait précieux de le con- server. L'aspect général serait d'un bel effe
xions et sur la polé- mique et sur la question, nous estimons qu'il con- vient de faire connaître le malade. I. Imbéci
'absinthe ; il a trois enfants qui seraient en bonne santé. - On ne con- naît rien de plus à signaler dans la famille.]
, spécin- lement, en date des 30 décembre J896 et 1 ? janvier 1897, con- tiennent la même appréciation. Depuis, s'est pr
nnairp de Bicêtre est toujours dans le mémo état et incapable de se con- duiredans la société. En empiétant peut-être
a famille.] Mère, 27 ans, émailleuse sur verre avant son mariage, con- cierge actuellement, bien portante mais fatigué
vé au sein par sa mère jusqu'à l'àge de 2 ans. Pied bot paralytique con- génital, à droite, opéré à 5 mois par M. Lannel
SONNELS. 43 bien portante. Pas de fièvre typhoïde, ni migraines, ni con- vulsions, ni syphilis; sobre, non nerveuse. [Pè
e correspon- dante, est tout à fait déprimé, tandis que l'autre est con- vexe. - Les nerfs optiques et les bandelettes o
sont égaux. L'is- thme est très peu développé. - Thymus assez bien con- servé, ayant la forme d'une languette triangula
anc sous-jacent. Il nous est, d'ailleurs, impossible d'apporter une con- clusion ferme sur l'évolution du processus et s
eté à 2 ans. Entre 7 et 10 mois, l'enfant a eu cinq ou six fois des con- vulsions. La première fois, il eut trois crises
aire. On n'a pas remarqué de changement de l'intelligence après les con- vulsions. Les crises cessèrent ver 10 mois. L'e
ls sur le visage, les aisselles et le pubis. - Sensibilité générale con- servée. Ecole. - A son entrée, Debr... ne sav
e d'âge de 13 - atzs. - Premières convulsions à 6 mois. - Dentition con- plète à 2 atzs. - Début de la marche à 14 mois.
Pas de thymus. Thorax. Après avoir enlevé le plastron sternal, on con- state de faibles adhérences du poumon gauche à
ricules (170 gr.). .4Mo)TK. .Fote volumineux, mais de couleur et de con- sistance normales (795 gr.). - Pas de calculs d
sions qui ont été très fortes et ont revêtu la forme d'états de mal con- v1Ûsif, durant deux à trois heures, et qui se s
d'as- pect normal. Cet oeil droit est gris et terne, sa pupille est con- tractée, il est le siège d'un léger strabisme d
s, tailleur d'habits, grand et mince. Santé toujours bonne : pas de con- vulsions dans l'enfance ni de maladies graves à
vie allemande. 7 novembre. - La perte de connaissance persiste, les con- jonctives oculaires sont injectées clans leur m
. n'est plus qu'à 40°,7. Le malade n'a pas repris connaissance ; la con- gestion pulmonaire a gagné la base du poumon ga
re règles, la mémoire est assez bonne. Sa tenue et sa conduite sont con- venables. Tout indique qu'il a perdu de ses con
de convul- sions (2) ; 2° fille morte à 14 mois après avoir eu des con- (1) Mort en 1891 à Page de 77 ans, on ne sait d
re. Il sait se laver, se déshabiller et s'habiller seul. Il se sert con- venablement de la cuiller et de la fourchelle,
mes, du temps, etc. (exercices scolaires) ; - à acquérir toutes les con- naissances usuelles (leçons de choses) ; - enfi
44 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
nitiative, nous la provoquons, et c'est avec plaisir que nous avons con- (1) Nous parlons de la nomination d'un Ínfirmie
fin, le service est trop disjoint et nécessite des allées et venues con- tinuelles. Le réfectoire est insuffisant. La cl
rdre de l'Inspection générale. Nous estimons qu'il y aurait lieu de con- (1) Procès-verbaux, p. 1325. (2) Rapport sur
des enfants, dont l'âge varie et dont l'affection diffère, ! I sont con- fondus dans une promiscuité dangereuse qu'on ne
IDERATA. XLV nouvelle qui aurait dû être conçue de manière, sinon à con- stituer un progrès par rapport aux institutions
ent physique et pédagogique ; la présence à la colonie de Vaucluse, con- trairement aux règlements, d'enfants gâteux don
insi que d'un musée pathologique. L'emplacement, qui paraît le plus con- venable, serait l'espace compris entre le gymna
es. z Le réfectoire est insuffisant. - La classe d'éludés est assez con- venable. Le gymnase est aussi bien que possible
rche des travaux de la nouvelle. Aidé par eux, nous avons obtenu le con- cours bienveillant de M. Poubelle, préfet de la
t de quoi (en tout dix-sept enfants, pas d'aliénés, etc.]. - Pas de con- sanguinité. Cinq enfants : 1° fille morte à t
eu 4 fi7 accès, et depuis ce matin jusqu'à onze heures 7 accès; la con- naissance est parfaitement conservée; elle revi
NNIENNE. 1 : j mai. Le traitement par le bromure de potassium a été con- tinué par erreur. On le supprime. Le bracelet e
Grar... put saisir certains objets; certains groupes musculaires se con- fracturèrent. t. III. C'est quatre ans après
ois. - Guérison. Ces trois dernières observations sont encore moins con- cluantes que la première, et, à notre avis, on
t préco- niser un traitement sur de tels faits; ce sont des notes à con- sulter personnellement et non à publier. Le 2
ès eux aucun symptôme. Le traitement, commencé le 29 septembre, fut con- tinué durant quelques semaines. Les accès cessè
e puis pas donner d'autres renseignements sur ma famille.] - Pas de con- sanguinité. Six enfants dont quatre du père d
ma- lade ; 3° garçon, mort d'une fièvre cérébrale avec convulsions con- sécutives à une chute; - il avait une taie ( ?
ipital. La partie antérieure du lobe pariétal est atrophiée, mais a con- servé son aspect normal, l'autre est très atrop
traite- ment, les accès d'abord, puis les accès et les vertiges ont con- sidérablement augmenté, sans cependant avoir en
même ; graves ou légères. Rubéole morbilleuse : exanthème large ou con- fluent avec catarrhes morhillcux. Rougeole Rubé
ugera facilement par le résumé suivant que nous faisons du chapitre con- sacré par ce dernier auteur à la rubéole. La
t traitées par Rayer. Nous définirons la rubéole un exanthème aigu, con- tagieux, à taches rouges, irrégulières, souvent
. Ils ont été très prononcés (larmoiement, hypérémie très forte des con- jontives,rougeurdu pharynx(2) avec difficulté d
rins, traumatisme. Premiers signes d'idiotie à deux mois; jamais de con- vulsions. - Fracture de la jambe droite à 4 ans
3 kilog. 500 gr. Autopsie (2 mai 188f). - La cavité abdominale ne con- tient aucun liquide anormal; les intestins occu
ligence offre un développement ordinaire, qui n'ont pas d'accidents con- vulsifs et que l'on désigne généralement sous l
urs, tous les jours, des rapports sexuels avec l'une des femmes. Il con- tinuait, d'ailleurs, à se masturber. Un peu plu
nts serrées. Au bout de deux à trois minutes, apparaissent quelques con- vulsions cloniques dans les membres, suivies bi
l'Amour et la Victoire, qu'il aurait cachés dans la terre. Il tente con- tinuellement de s'évader par-dessus les murs ou
s de vaccine très apparentes sur chaque bras. Par suite d'une plaie con- tuse, cicatrice de 3 cent., un peu sinueuse, su
s im- pulsions matérielles tellement dangereuses, qu'il n'a pu être con- servé à Vaucluse, et a du être transféré dans v
e. Après avoir dénoncé toute la bande, il fut jugé le 15 octobre et con- damné à G mois de prison, qu'il lit à la Santé
ude de se lever la nuit, les accès de colère, le somnanbulisme, une con- gestion méningitique consécutive à une insolati
e, ses tendances à l'ivrognerie, les nombreuses irrégularités de sa con- duite, son besoin de grimper partout, de jouer
emier a eu la chance de n'encourir aucune condamnation; l'autre, au con- traire, a subi des condamnations de plus en plu
45 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n : Et -i même au moment où jei rédige cette'note; il ne ipeut être con- .t sidéré comme «absolument guéripsiipar guériso
uable.' '' On le voit ici, une fois de plus : Point n'est besoin du con- cours sur épreuves pour assurer à une jeune Uni
e commissaire ce fut sur un matelas apporté à cette intention. Même con- tradiction pour la perte de sang, qui, de'trois
s qu'en public il les agitoit parce qu'il estoit important de faire con- noistre la vérité au public 3». De plus il fu
que l'official alla consulter le P. Planchette, jésuite, qui donna con- seil délaisser continuer le voyage au dit Nouve
dividuelle ,de,-rand, nombre d'entreeux;4°'tandis que il'eau chaude con- - lipQy *** -» ? t *l "i - i, ir-.it. -j- '.<
quer sa conduite insolite, X... prétend qu'il a perdu un instant la con- science de ses actes, sous l'influence de quelq
bres .et son visage ne lui appartenaient pas... Elle ne perd jamais con- naissance. L'apparition des sueurs termine la s
ire est de se séquestrer de la Colombe, j'entends de tout ce qui la con- cerne : s'il le fait, il en ressentira si sensi
lusieurs fois. 2. Que toutes ou presque toutes ont témoigné avoir con- noissance de l'intérieur et du secret de la pen
pro- fession : le point important pour l'éducateur est d'obtenir la con- fiance du jeune malade. La conclusion est un vo
vue de la genèse, proches parents. 6. Le symptôme prédominant de la con- fusion mentale et de la systématisation (Wahnsi
culté à action nerveuse centripète, qu'a notre esprit de former des con- ceptions représentatives en percevant les rappo
ANTES. tématisent, elles provoquent la genèse de toute une série de con- ceptions qui se coordonnent, sont raisonnées et
emmes à l'augmentatiou de la fréquence des admissions, qu'elle soit con- sidérée dans son ensemble ou par chacune des di
La liste des candidats sera close le 18 juin 1894. Les épreuves du con- cours seront les suivantes : 1° une composition
sens verti- cal, disposer l'appareil comme dans la figure 4 ; si au con- traire le tremblement s'exécute surtout dans le
armen). J'ai dit plus haut que la mémoire organique était en partie con- servée. Ainsi elle marche, elle mange en se ser
emarquer les différences qui semblent séparer cette vieille amnésie con- tinue et progressive d'avec les autres décrites
dict com- missaire en la ville d'Auxonne où il se seroit acheminé, con- tenant l'invittation faicte à soeurMargueriteJa
e des accusa- tions contre elles formées, ordonne que l'information con- cernant le complot prétendu faict contre la dit
qui la constituent sont d'ordre psychique. Personne ne songe plus à con- sidérer ses manifestations comme des désordres
cient. , Il y a plus : ces souvenirs et ces images, négligés par la con- science, peuvent se grouper et s'organiser de f
ourrait être considérée comme un équivalent psychique des accidents con- vulsifs moteurs. M. JOFFROY. M. Ballet ne veu
nt à la préparation d'aliments convenables favorisent grandement la con- sommation de l'eau-de-vie. On se plaint général
e ma- ladie et, actuellement, qu'on pouvait la guérir par des soins con- venables. On a créé plus de cinquante asiles po
res Il s'agit là d'alcool absolu et pour avoir la quantité d'alcool con- sommé par chaque habitant sous forme d'eau-de-v
rsions au Puy de Dôme. Le soir un banquet réunissait la plupart des con- gressistes. Parmi les invités nous signalerons
cheuses, le futur délirant chronique se replie sur lui-même : il se con- centre, il médite. Cette sorte de rumination ps
imitent au sens de l'ouïe, le délire se circonscrit en une série de con- ceptions pénibles, en quelques idées de persécu
it le dépôt au greffe que le 25 novembre, pour être remise le 26 au con- seiller Legoux. Conformément aux ordres reçus
pprobation de Mgr le chancelier et leurs sentiments se sont trouvés con- formes à ceux de MAI. les docteurs de Sorbonme
sent d'abord comme ayant joué un rôle, sinon décisif, du moins très con- sidérable, dans l'explosion et la propagation u
urs sortes de localisations et de localisateurs ; qu'il ne faut pas con- fondre la phrénologie avec la pathologie expéri
hériques. Les lésions médullaires, très accentuées, ont consisté en con- gestions, hémorragies, et, dans deux cas sur tr
artie- du centre optique ne parvenaient que tardivement aux tractus con- duisant au centre des mots. Ce retard venait de
nés, voté jadis par le Sénat, il fallait nécessairement remanier en con- séquence les traitements fixés par les décrets
n nos veuves sont obligées de lutter contre le mauvais vouloir d'un con- seil général qui, au sur et à mesure d'une dema
nier se rétrécit, plus la première diminue. Chez les tabétiques, au con- traire, il n'existe pas de rapport entre la vis
enus, étant donné l'état des bâtiments. Mais on n'a pas conduit les con- gressistes dans les étages supérieurs et partan
lent être très sobres d'indications de ce genre. Les chercheurs qui con- naissent la grande utilité de pareils renseigne
xpérience, les symptômes objectifs. qui l'accompagnent, tels que la con- tracture, par exemple, s'atténuent beaucoup, ma
equel nous voyons non seulement se reproduire trait pour trait, les con- tractures des membres, les petites secousses cl
stériques à un état de désagrégation mentale particulier, de double con- science. Cette anesthésie, cette amnésie appare
ours précédé et accompagné des mêmes phénomènes objectifs, tels que con- tractures,, modifications respiratoires, frémis
suite leurs contradictions et faire voir combien des expériences de con- trôle étaient nécessaires. Sutherland et Beal
défense contre les maladies infectieuses, mesures excellentes à la con- dition de les renforcer d'un système corrélatif
lidophobie. Enfin une cinquième classe se compose des neurasthénies con- génitales ou acquises ordinaires qui se compliq
MENTALE. Après avoir bien nettement établi la nécessité de ces deux con- ditions; : prédisposition vésanique et impressi
e qui n'a pas empiré à l'époque des règles, celles-ci paraissant au con- traire avoir exercé une influence heureuse sur
vertiges, des troubles circulatoires avec paresthésies, des sueurs, con- traction tumultueuse des replis intestinaux ave
issement privé à Buda-Pesth pour une cinquantaine d'enfants que les con- gressistes ont pu visiter et où sont mises en p
es de suicide ; là se monte une garde continue de jour. et de nuit, con- trôlée ainsi que les rondes générales par des b
remplacer. Nous avons reproduit encore une fois les conditions des con- cours dans la Seine, non seulement pour renseig
ieu des idées qui l'assaillent, il hésite, il doute; il accepte les con- jectures vagues où il se perd, les repousse, pu
presque tous les cas de polyurie hystérique récents et authentiques con- ' Consulter : Ballet. Iib Thèse de Taboureau. P
es du rein ? Mais l'existence des nerfs sécrétoires du rein, et par con- séquent de leurs centres, n'est rien moins que
A PARANOÏA. 477 En 1876, Westphal insiste sur l'anomalie du travail con- ceptuel qui, indépendamment des éléments anorma
Sous le nom d'amentia (Meynert), folie hallucinatoire (Fuerstner), con- 1 Ce qui suit fixe très nettement les idées sur
ions et du délire des grandeurs pour aboutir à la démence. Dans ces con- ditions, dit Fr. Hoffmann (1862), la variété de
u'ils croient dirigés contre eux; de là des manières de voir et des con- clusions erronées qu'il leur est impossible de
hoses, le malade atteint de confusion mentale a perdu toute notion, con- trairement à ce qui se passe dans la folie syst
utres caractérisés par l'organisation d'un délire systématique avec con- servation de la pleine lucidité des perceptions
e la maladie en plein développement, c'est le trouble de l'activité con- ceptuelle. Mais il n'est pas du tout démontré q
ous soyons en droit d'espérer de telles modifications imprimées aux con- ditions de la vie voir surgir un trouble que l'
uie pour exprimer ses opinions, s'écartent les uns des autres et ne con- cordent pas, pour une bonne part, avec les desc
ceptuels, par l'intervention d'un mécanisme anormal dans le jeu des con- ceptions intellectuelles, dans le domaine de l'
r et à grouper les maladies, itfautparvenir à assembler les cas qui con- cordent entre eux par les traits principaux de
t révolte. Une enquête déjà ancienne du Conseil de comté de Londres con- cluait à la réforme des asiles dans le sens de
eld. Ces confrères qui exercent leurs fonctions à l'asile de Rethel con- duit par le pasteur de Bodelschwinsgh déclinent
135. Hystérie, rapport de l' et de la folie, par G. Ballet, 219; con- fusion mentale, etc., par Séglas et Connus, 3
46 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
E. 9 côté droit (fig. 3). Quand on essaie de déplacer une jambe, la con- tracture entraine le bassin et le membre inféri
ambe droite étendue ; s'il vient à se retourner, la jambe droite se con- tracture aussitôt en flexion. 11 juin. Peu de
on d'un moyen chronique destiné aux affections choniques. En ce qui con- cerne le professeur Grasset, il s'est déclaré p
dt fut des- cendu de l'appareil sans connaissance, avec mydriase et con- vulsions des membres supérieurs. Chez un malade
formation du procédé primitif de la suspension, sont nos distingués con- frères, de Bordeaux les D''S Lande et Regnier 1
s dans la chorée. Les réflexes peuvent donner lieu à des mouvements con- tradictoires (réflexe' paradoxal). Quelquefois
ostic difficile pour lequel dix-huit médecins furent successive ent con- sultés et toute la thérapeutique courante épuis
'équi- valent d'une crise d'hystérie, il y a loin, et K. EBLNG n'en con- nait pas d'exemple dans sa pratique. Simon. X
e de chacune d'elles. En attendant, il est légitime de formuler les con- clusions suivantes : 1° Les dérivés du benzol
bien portant, qui tombe en avant d'une voiture de boucher. Il perd con- naissance pendant une demi-heure, une heure au
fait ordinaire, fournisse à l'endroit de la fracture un cal qui la con- solide entièrement, après un temps sans doute p
i, V. 1900.) Observation d'un homme éprouvant depuis une attaque de con- gestion cérébrale, des accès passagers d'amnési
e l'Hel- minthiase peut être cause aggravante et même efficiente de con- vulsions épileptiques et de dermographisme par
le vert ; 8° par une contracture oscillante des muscles ciliaires, con- tracture plus accentuée à gauche; 9° par une di
ation- nelle de la portée de cet acte. Quelque chose de plus que la con- naissance du bien et du mal est nécessaire à la
t déjà : examiner chaque sujet à son emprisonnement... Il arrive au con- traire souvent que le médecin ne voit les convi
eli- gieuses, afin de vaincre les désirs de sa chair. Le fait a été con- testé, mais il est prouvé par le témoignage des
igts jusqu'au tiers inférieur de l'avant-bras droit. Rétrécissement con- centrique du champ visuel de moite environ. Pas
ent le genre de vie de notre malade, ainsi que les deux traitements con- comitants qu'il suivait en même temps, électrot
eptée par Sides, par exemple, c'est que toute réaction nerveuse est con- ditionnée par la formation et l'interruption du
ans un état comateux, il meurt douze heures après sans avoir repris con- naissance. On sait seulement de lui qu'il est d
ser qu'il s'agisse de cellules nevrogliques. MM. Lannois et Paviot, con- sidérant que par la coloration au Nissl, on peu
une étonnante régularité. Quoi qu'il en soit, le faisceau sensitif, con- trairement au faisceau moteur, se divise en éno
urdon par des similitudes ou par un état d'esprit qui fait que nous con- sidérons comme déjà vu, ce qui est aperçu plus
méde- - cins en chef, par conséquent très au courant de tout ce qui con- " cerne le fonctionnement de ces établissements
uthophobie/ avec sa description spéciale, nous appartient donc sans con- ' Giese (de Saint-Pétersbourg). Neurologisches
on légère; sous l'influence d'une émotion intense, il se produit au con- traire de la vasoconstriction avec effacement c
ord un sujet, sans le faire penser, on ne provoquerait pas de même, con- sécutivement, une idée émotive en rapport avec
'éreu- thophobie a entretenu et développé cette névrose, par l'émoi con- tinuel qu'elle a provoqué'. Rien à dire sur les
ns les oreilles. Il fait entrer la tête entre les épaules. Crise de con- tracture. après laquelle il dit : ne me touchez
bresaut et continua sa resensibilisation. Je suis persuadé et reste con- vaincu que sans mon intervention, Louis serait
une famille, ait son harem, ses batcha : il se peut aussi qu'ayant con- servé la passion de la pédérastie passive, il e
239 pas sans transition de la santé à la folie, mais qu'on peut au con- traire trouver sans cesse des traces de sa désé
ésir, ce n'est pas qu'on ait jugé qu'une chose est bonne ; mais, au con- traire, on juge qu'une chose est bonne parce qu
rendre compte de ses caractères fondamentaux et permanents et, par con- séquent, ne nous satisfait complètement. , A
ESSIOX. 269 aux circonstances est difficile ou même impossible ; le con- trôle de la volonté est compromis ou perdu ; la
ge, jus- qu'à Berlin. Par bonheur, nous ne traversâmes aucune belle con- trée, car sans cela j'aurais dû feindre une adm
ce qui donna des résultats particulièrement satisfaisants, c'est la con- fiance qu'à notre grande joie le malade avait m
le. La perte de la vue, « il ne la tient pas pour minime », mais il con- sidère que « c'est presque un devoir pour lui d
laquelle le malheureux a passé toute sa vie, si on suit ce travail con- tinuel, on ne peut que respecter un sentiment s
nfants ' sont malingres, très nerveux, surtout l'aîné, qui a eu des con- vulsions. Mère .morte phtisique à trente-quat
otre malade. Antécédents personnels. Rien à signaler à propos de la con- ception de la grossesse et de l'accouchement. L
édagogique. Etat physique. (Nous ne relèverons que ce que l'on peut con- sidérer comme des stigmates physiques de dégéné
que ce qui présente un caractère pathologique). Troubles digestifs con- sistant en vomissements sans douleur, mais l'en
de mas- ques de verre foncé spéciaux, sans quoi il se développe des con- jonctivites. La séance dure ordinairement une,
éditaire. Sans poser de conclusions fermes sur ce sujet, M. Lannois con- clut : « Le cacodylate de soude, soit par la bo
r les- quels M. Gessler conseillait d'exercer une action légèrement con- tusive, il est à craindre que l'on n'engendre d
des paralytiques généraux, ayant cette idée de grossesse, est assez con- sidérable pour qu'il y ait là une particularité
ction, soit d'une émotion obsédante, soit d'une faiblesse psychique con- génitale ou acquise. Les interprétations déli
mou- vement obsédant résultant d'une idée délirante. A. TOIL\I\SKY con- sidère ce spasme comme un tic ayant pris un asp
intérêts de l'administration assignait la Caisse d'épargne pour la con- traindre à restituer les sommes selon lui indûm
ase et l'im- mobilité complète des pupilles, la perte absolue de la con- naissance, la phase stertoreuse après la périod
son état de santé et à envisager toute la gravité de ses accidents con- vulsifs. Lors de son premier séjour à l'hôpital
ique ne serait rien d'autre que l'équivalent thermique de l'attaque con- vulsive'. Nous n'hésitons donc pas à attribue
. G. C. LXII. De la fonction vicariante des muscles insérés sur les con- dyles du bras, dans la paralysie complète des f
. Il estime qu'il faut admettre que la paralysie vasomotrice est la con- dition fondamentale de l'insomnie persistante ;
h) pour détenus et condamnés est, à tous les points de vue, aménagé con- formément.aux desiderata modernes de l'assistan
e l'acte commis peut être perdu, et cette amnésie a quelquefois été con- fondue avec l'inconscience, que pourtant elle n
qu'il fallait le considérer comme la conséquence douloureuse de la con- duite : il reste fidèle à cette opinion, mais a
s ordinai- rement, sa provenance; mais c'est aller trop loin que de con- clure, pour cela, à un déterminisme originel ab
urniront l'oc- casion de vous remémorer l'état de nos connaissances con- cernant cette importante question d'anatomie, e
sses-couches. L... a eu la rougeole, dans son enfance. Il nie avoir con- tracté la syphilis. Il a toujours été d'unebonn
éceler l'existence d'une hémianopsie latérale homonyme droite, avec con- servation de la vision centrale (ftg. 27). Elle
Le siège précis de la lésion ne peut se déduire que de la prise en con- sidération des manifestations associées. 5° L
ans de telles conditions on puisse discuter avec elle, il faut donc con- naître sa pensée qu'elle considérait jusqu'ici
re ne semble guère atteinte. Il déclare se bien porter et être très con- tent. Les personnes de l'entourage attribuent s
porter, présen- tent malheureusement de nombreuses lacunes, mais on con- viendra qu'il est bien difficile, comme nous le
'améliora. Le Dr Gürber du laboratoire de Wurzbourg, qui étudia les con- ditions dans lesquelles avait opéré M. Weygandt
ser- vice (Bicêtre et fondation Vallée) pendant l'année 1900. Elle con- tient des renseignements fort intéressants sur
cins praticiens y trouveront des renseignements très utiles sur les con- seils et le traitement à donner dans ces maladi
e, les souvenirs, n'étant ramenés que de plus en plus rarement à la con- science, s'obscurcissent : ceux qui subsistent
47 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lliciter comme une grâce de ne pouvoir mettre le feu. D'où vient ce con- traste ? Je me le suis souvent demandé sans jam
ccombe sous le choc d'un ou deux petits verres qu'il aura peut-être con- sommés, l'infortuné, pour chasser de son esprit
e se fendait, son coeur sautait dans sa poitrine, ses idées étaient con- fuses. Il quitta le travail pour aller donner s
oment que nous trouverons le terme Paranira employé par les auteurs con- curremment avec les mots allemands Verrûcktheit
dans la lutte pour l'existence ; ils sont pris d'hallucinations, de con- ceptions délirantes, et tombent rapidement dans
résultats pratiques. Quant aux aliénés intermittents, que M. Magnan con- sidère comme réalisant un type intermédiaire, i
ltats. M. DE GUDDEN. De l'installation de quartiers de surveillance con- tinue. C'est Parchappe qui en est le créateur.
ffage à air; éclairage au gaz, horloges de contrôle ou appareils de con- trôle électriques. Les vrais agités, les bruyan
tuer des deux côtés la section des deux renflements; les lobes n'en con- tinuent pas moins à se développer et paraissent
ravés. Dans la seconde partie de son travail, M. B... montre que la con- formation anatomique des parties s'oppose à l'i
, et toutes ces parties étaient des plus douloureuses au plus léger con- tact. Nous examinâmes sa poitrine. Elle était
mettre en harmonie avec l'état actuel delà société, de la compléter con- formément à des besoins nouveaux et reconnus.
n ces ma- tières, mettront définitivement un terme à de déplorables con- troverses, et que, s'il en est besoin, la loi d
our les autres ou pour lui-même, la contrainte s'impose. Isolement, con- trainte, questions graves, difficiles et neuves
l n'y a plus aujourd'hui d'inspection des asiles et, partant, aucun con- trôle sérieux de l'Etat. C'est à cette situat
ommission. Nous estimons que le projet de loi qui vous est présenté con- tient des améliorations importantes et qu'il es
ns spéciales, ou, pour parler comme M. Taine, de sensations qui ont con- servé leur aptitude à renaître, ces images, en
édentes m'amènent à dire quelques mots de l'amnésie orale. On a été con- duit, dans ces derniers temps, à considérer cet
saurait en aucune façon être confondue avec l'appréciation de leurs con- tractions. Il n'est donc pas probable à priori
mouvements de la pa- role et de l'écriture. Malheureusement nous ne con- naissons la localisation d'aucune de ces trois
verre » ; mais s'il abuse, s'il s'enivre, il est pris d'une attaque con- vulsive générale avec perte de connaissance. Le
et le début de celle des formes chroniques psychoneurotiques est en con- tradiction avec la vie mentale antérieure du su
excitation interne ou externe d'un groupe musculaire est suivie de con- vulsions toniques, principalement dans les memb
Sémelaigne. Du délire chronique (suite de la discussion). M. FALRET con- firme les quatre périodes du délire chronique t
reusement à cette forme mentale, mais il faudrait bien se garder de con- fondre sous ce nom de délire chronique la mélan
organes des sens, des éléments communs ou du moins très voisins en con- nexion à la fois avec la sensibilité spéciale e
s des aliénistes allemands. 11 y a eu unanimité à cet égard dans le con- grès de Munich. Les jurisconsultes ont égalemen
comme dans notre pays, l'encombrement croissant des asiles publics con- sacrés aux aliénés indigents. Je n'examine pa
ffensifs et d'autres catégories dont la garde n'exige pas les mêmes con- ditions de surveillance que les aliénés auxquel
des at- taques de son mal, sont assez marqués pour permettre de le con- fondre avec les aliénés. Cette situation inhu
isse- ment privé était de nature à empirer plutôt qu'à améliorer la con- dition des aliénés. sénat. 279 Les quartier
ara- graphe 4 qui contient ces, mots : « Après avoir pris l'avis du con- seil supérieur des aliénés, institué en vertu d
tre n'ont porté que sur cette phrase : « Après avoir pris l'avis du con- seil supérieur des aliénés, institué en vertu d
vés faisant fonction d'asiles publics sont placés,.pour tout ce qui con- cerne le régime des aliénés et de l'exécution d
nnés. » L'on voit que, d'après le projet, il faudrait remplir, deux con- ditions à la fois pour être dispensé d'une surv
8, qui est étroitement lié à l'article 7. Il est donc impossible de con- tinuer utilement la discussion de ce dernier ar
le. VI. Hystérie chez les jeunes garçons. -VIl et VIII. Deux cas de con- tracture hystérique d'origine traumatique. IX.
même une chambre spéciale pour isoler un malade atteint de maladie con- tagieuse. 11. Alors que presque partout ce so
rbé presque en deux. Une injection d'eau chaude savonneuse amena la con- traction de l'intestin et l'expulsion d'une gra
oins dures, acquirent une consistance presque normale. La soif, les con- vulsions cessèrent, l'enfant demanda à jouer, e
dents sor- tants sont adjoints aux membres du bureau pour former le con- seil de famille. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE 319
nt de chute et n'étant pas suivi de coma, mais se compliquant d'une con- gestion très forte de la face. Cette forme de
t ché- tif, ne marchait ni ne parlait, on ne sait s'il avait eu des con- vulsions, la nourrice n'ayant donné aucun rense
e et que fort probablement le casier judiciaire d'Auch... porte une con- damnation. J'ai chargé voire employé qui ne p
QUE MENTALE. qu'on lui pose. Mange le plus souvent tout seul ; mais con- serve encore sa démarche raide, automatique. Tr
andiques pour terme de séparation, doit nous expliquer en partie la con- servation de l'intelligence de cet individu, so
ute signification ; en entendant le mot ciseaux, par exemple, en en con- . servant l'image orale très distincte, le mala
sou esprit avec l'idée d'une constitution nemopathique, qu'elle soit con- génitale ou héréditaire. 100 ItF\'UN : Cltr'I
en qu'on ne peut guère en préciser le début ; d'autres peuvent être con- sécutifs à un délire d'emblée, qui se prolonge
orie d'aliénés, celle des persécutés persécuteurs qu'il ne faut pas con- fondre avec les délirants chroniques car ils ap
nt spécial que pour ceux qui manifestement ne s'accommodent pas des con- ditions ordinaires. Les asiles d'aliénés seul
ui nous est faite par l'attitude du public, de la police, en ce qui con- cerne les évasions. La séquestration et la sécu
rs de fabriques et matelots) de Glasgow; on n'y peut choisir ni les con- ditions, ni les sujets. Sur une population de c
pavil- lons nouvellement construits *, essayé ce système ; nous en con- naîtrons plus tard les résultats. (V. Hasse. Qu
ment que peu qui supporteraient le système des portes ouvertes. Par con- séquent, en Allemagne, les provinces qui n'ont
r l'étude des faits, non seulement des faits que tout le monde peut con- naître comme nous, mais encore de ceux qui n'on
ien, dans cette Assemblée qui compte tant d'hommes d'une expérience con- sommée, pourrions-nous compter de personnes qui
uide céphalo-rachidien, quatorze fois était en excès; deux fois, il con- tenait des cristaux de cliolestérure; une fois
d'asphyxie, ni chaleur, ni besoin d'allumettes ou de lampes, et par con- séquent, aucun danger d'incendie. Les murs ne s
ut parti- culier dans un cas de lésion des), par `i'estphal, 35; ( con- nexions desavecf'encépha- le), par Flechsig,
48 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tale ou le délire hallucinatoire que ce malade présente, le médecin con- clut volontiers à un délire toxique, et parmi l
r le cer- veau des altérations durables, et dans ces cas la démence con- sécutive au délire n'a aucun caractère spécial.
78 femmes). La proportion des malades nécessitant une surveillance con- tinue (malades à idées de suicide, malpropres,
porte-voix. La quatrième partie du Traité, la plus importante, est con- sacrée aux méthodes d'examen des manifestations
passe du côté droit, le fémur est incurvé de façon à présenter une con- vexité antérieure. Il est moins aplati que son
itaux. Août. Passe à la petite école. Il est guéri de la teigne. Il con- tinue à gâter le jour et la nuit. Il rumine pre
issimulé des hospices ou des asiles, comme certains médecins qui ne con- naissent que superficiellement les malades, n'o
rmale. Dans les régions atrophiées, la caractéristique histologique con- siste dans la diminution marquée des éléments n
e pas- sagère, à demi consciente, qui demeure à la périphérie de la con- science : ce sont des mouvements coulants à dem
UES. 65 L'auteur a résumé lui-même son intéressant travail dans lès con- clusions suivantes : 1° Les aires motrice et
s- tater son action et de déterminer les limites dans lesquelles il con- vient de l'employer ; 6° Les expérimentateurs
. 77 des globes oculaires. Dans ces trois cas le syndrome observé a con- sisté en cette paralysie sans strabisme interne
plus entant que savants; il en résulterait pour le public des vues con- tradictoires. Ainsi, tel de nos collègues autor
énomènes conscients. La conscience est une fonction ou un phénomène con- comitant d'un petit nombre de processus dont l'
n de ces accidents se fait facilement à l'aide du traitement par le con- trôle du miroir, dont j'ai déjà signalé les bon
ro, est un type remarquable d'hémiplégique, dont la main droite est con- tracturée. L'auteur cite encore une naine obèse
d'art peut tirer des connaissances médicales. Elle conduit à cette con- clusion, que les peintres les plus célèbres son
s couches correspondantes ont disparu pour faire place aux éléments con- lonctit's et névrogliques proliférés. A mesure
'exal- tant facilement, se mettant en colère à propos de la moindre con- trariété. Sept moi'' avant le début des acciden
galop à dédoublement au le' temps et les urines pâles, abondantes, con- tiennent une certaine quantité 'd'albumine (U,7
demeura très embarrassée, bredouillée et spasmodique à la fois. La con- traction des pupilles persiste, ainsi que le tr
ffi- sante pour produire des signes nets d'intoxication, dose qu'il con- vient ordinairement d'atteindre d'une manière l
e l'on re- marquera chez un enfant des anomalies de caractère ou de con- duite, il convient aussi bien pour l'éducateur
blème ont été proposées : la plupart partent de ce principe que les con- ceptions délirantes optimistes sont étroitement
a nzyus- ténie d'Erb, mourut après quatre ans de maladie, en pleine con- naissance. L'autopsie prouva l'existence d'une
e craignait alors de descendre l'escalier et s'angoissait si on l'y con- traignait, qn'elle restait parfois immobile dis
semble les morceaux d'un papier déchiré; elle adresse des questions con- cernant sa jalousie aux personnes qui l'entoure
e à l'é- motion qu'elle a éprouvée à la mort de son mari, frappé de con- gestion cérébrale et emporté en deux jours. Ell
le caféisme, l'alcoolisme, la tuberculose, enfin l'inégalité d'âge con- sidérable des père et mère, celle-ci ayant près
è- vre, le délire, les attaques épileptiformes, le coma, en sont la con- séquence. Mais, au lieu d'être localisé et aigu
Comme l'a écrit M. Coulon, dans son récent travail : « on peut déjà con- cevoir, par la localisation de l'agent infectie
éaction névroglique par division directe des noyaux sont deux faits con- temporains. Par contre-coup ou directement la c
sait faire la différence de la longueur, la largeur et l'épaisseur, con- naît ses cinq sens, les étoffes, leur provenanc
ain nom- bre de mots imprimés. La parole a beaucoup gagné, il tient con- versation, observe et fait des réflexions. 24
manière plus accentuée. Les rayons bleus et violets ralentissent au con- traire la nutrition. En ce qui concerne le syst
ar petits groupes La séance s'est ouverte à deux heures au Salon de con- versation du Parc, sous la présidence de M. le
édie morale. C'est là la psychothérapie rationnelle. Il faut donner con- fiance au malade en lui montrant, par un examen
il est l'objet d'un mandat d'arrêt du parquet de Nancy pour abus de con- fiance. Dans la suite, sa femme ayant désinté
bras raccourcis sur sa vieille mère et celle-ci se réfugie chez la con- cierge après avoir crié : « à l'assassin ! » El
son- nage. Or tous ceux qui ont eu avec lui un contact suffisant le con- sidèrent comme un malade. C'est l'avis du 1) Dé
llectuelle- ment et physiquement. L'essai qui a été fait à Chalfont con- firme cette assertion. Bien que le comité ait é
nuit et commencent alors leur tapage habituel. Souvent ils ont, par con- tre, de courts moments de sommeil dans la journ
ourbes analogues à celles qu'a établies Michetson seraient utiles à con- naître. leur défaut, en se basant, là encore, s
voir qu'ils étaient sur le point de perdre, ce qui donne lieu à une con- ti action brusque de tous les muscles. Des brui
, mais de moins en moins employée. Cet ostracisme, dû aux accidents con- sécutifs (cas de mort par congestion pulmonaire
le faisceau longitudinal postérieur du noyau d'origine du nerf VI ( con- tra Duval et Laborde). Nerf pathétique. Toute
tion produit par le tiraillement ou la contusion du plexus solaire, con- siste essentiellement en douleur épigastrique,
chiffre de 400 du nombre des malades d'une colonie. Tout dépend des con- ditions particulières et ce chiffre n'est admis
e la main sur la région sensible, à arrêter la crise, à dissiper la con- tracture et les douleurs existantes, ou à les e
é- tendre que les hystériques sont les plus faciles à endormir ; au con- traire, très souvent ces malades re s'endorment
ponar- cose qui, loin d'obscurcir ou de supprimer la conscience, la con- serve et même l'exalte. II y a plus. En dehor
que, à une époque qu'on peut fixer par le calcul (si la progression con- tinue à la même allure), tous les citoyens du p
un fait. M. BIDLOT. Les expertises ayant lieu en Belgique avaut la con- damnation depuis plusieurs années, ce fait expl
ns, et de la présence de femmes dévouées au service des malades, on con- çoit que les aliénés trouvent la sédation que n
iée selon la ligne ordinaire et la calotte repose sur le pôle de sa con- vexité, à côté du cadavre. L'opérateur, placé d
hute et reçut un choc sur la tête choc -si violent, qu'il en perdit con- naissance, et qu'on fut obligé durant plusieurs
el de la vue. Au commencement du mois de septembre 1902, le patient con- sulta un spécialiste pour les maladies des yeux
l n'y a plus de maisons de fous où mon père puisse me placer ». Les con- ceptions sont lentes, confuses; il faut répéter
essivement les troubles primitifs. A cette période intermédiaire de con- fusion mentale succède la suspension de l'activ
éfec- tueuse, puis améliorée, sensations normales, réflexe du genou con- servé,syphilis.-4°cas : llomme de 48 ans, visio
ntre les douleurs fulgurantes du tabès dorsal, qu'on a si longtemps con- fondues et qu'on confond encore trop souvent av
sciences biologiques et pathologiques ont plus récemment ouvert aux con- naissances humaines un champ indéfiniment élarg
points du monde se réunissent ici. en un Congrès qui sera fécond en con- séquences bienfaisantes, tant de représentants
sversales. En résumé, il s'agit là d'un véritable tissu de sclérose con- jonctiue post-inflammatoire, qui, au moins dans
moelle principalement en arrière et dans tout le côté gauche, elles con- tiennent, en assez grand nombre, des nodules in
parler à voix haute, à d'autres moments à voix basse sans qu'aucune con- dition extérieur ait changé, soit peut-être que
otte- ment ne résulte que de la fatigue de l'organe vocal, soit, au con- traire, qu'un état émotionnel transitoire plus
ier autre- ment le trouble sensoriel lui-même, d'où la bilatéralilé con- sécutive de l'hallucination. Au contraire dans
arrivé la lin d'une carrière scientifique bien remplie, lorsqu'il a con- sacré à sou oeuvre tout ce que ses facultés lui
Paris, 288 Fatigue. Voir Ergographe . Fibres. Un svstème de - peu con- nu situé à la périphérie du seg- ment antéro-
49 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lie un certain cachet, qui se manifeste par une grande tendance aux con- gestions après de minimes ingestions d'alcool,
ion de Félix Plater se rapportant à un savant, qui avait possédé la con- naissance du grec et du latin, et qui avait été
rdre entièrement connaissance. Il se remit presque aussitôt, et put con- tinuer à donner ses ordres... » (Gama, loc. cit
, dès qu'il l'a vue, il la reconnaît ; dans la cécité psychique, au con- traire, il la voit, mais il ne la reconnaît pas
des troubles de la vision, cette sphère paraît s'étendre à toute la con- vexité de l'écorce chez le chien, puisque les l
vait inspirée le professeur Morselli, directeur de l'asile), que la con- tiguïté anatomique du lobule pariétal inférieur
comme on rencontre des variétés cliniques qui s'écartent des formes con- nues, il n'est pas invraisemblable que le mode
qu'elle suscite en nous, et aucun raisonnement ne saurait prévaloir con- le témoignage de notre conscience. Voilà, du mo
e celte région, qui ne sont rien moins que constantes, sont loin de con- firmer les résultats de l'expérimentation physi
ui ne représente que les irradiations de la sphère olfactive sur la con- vexité de l'hémisphère gauche, les points haché
entes, de vir- tuelles, elle les rend effectives. Partant de là, on con- çoit qu'elle doit se montrer d'autant plus redo
vertébrale forment deux enveloppes également incompressibles ; par con- séquent, le sang refoulé de la surface entière
oup la circulation de la région correspondante. Une ischémie subite con- sécutive survient, venant engendrer les désordr
u- tres aliénés, pas d'épileptiques, etc., dans la famille.] Pas de con- sanguinité. Sept enfants : 1° garçon, né avan
ataxique chez lequel la suspension eut pour effet de faire diminuer con- sidérablement la dose de morphine. Ce dernier c
nent ces deux parties à l'extrémité du fléau d'une balance, afin de con- naître le poids utilisé pour la traction. Au dé
séances. Un autre, souffrant de vertiges et de douleurs céphaliques con- tinuelles, a été soulagé de ces phénomènes doul
ntourent les cordons postérieurs, ce qui rend aux tubes nerveux une con- ductibilité meilleure, surtout aux plus superfi
médecin sache quand il faut l'appliquer, et se rende compte de ses con- tre-indications. Il paraît maintenant prudent p
s obs- tacles qu'il peut rencontrer dans son trpjet. Supposons, par con- séquent, chez un individu donné une série spéci
ine de la chi- rurgie. Si le blessé échappe à ces accidents, il est con- sidéré comme guéri et il l'est en effet; mais i
venant par l'emploi des scaphandres. L'intérêt de cette observation con- siste dans l'action causale de la profondeur is
u séjour. A preuve les immersions antérieures faites dans les mêmes con- ditions de travail, sauf bien entendu la durée
n de la localisa- tion de l'agent pathogène à ses causes et que par con- séquent i) n'ya aucune loi qui oblige l'agent p
ant entre l'anasarque et le myxcedème consiste en ce que le dernier con- tient de la mucine. (A suivre.) DU CHLORAL ET
austique; on fait usage de l'hydrate de chloral ou chloral hydraté, con- tenant deux équivalents d'eau, C'HCP022HO, et q
·1 gramme pour 15 (par cuillerée à bouche). C'est là le maximum de con- centration pour que le médicament puisse être i
compte que 18 p. 100 des aliénés réclament au moins la surveillance con- tinue ainsi organisée : le type a été réalisé p
bayes, serpent, écrevisse, langouste, crocodile. L'hypnose chez eux con- siste en une sorte d'annihilation de la volonté
e la vie. Parmi les moyens qui peuvent aider à faire décroître la con- sommation de l'alcool, la diminution du nombre
sifs réveillés chez les dégénérés par l'ivresse passagère. Dans ces con- ditions, l'ivresse est punissable quand on aura
peut pro- venir de ce fait que les femmes voyagent moins. En ce qui con- cerne le rôle de l'émotion, il suffit de rappel
un de l'autre à dessein, M. Mendel fait remarquer qu'il ne faut pas con- fondre l'affaiblissement des facultés intellect
ces : A C..., il existait le 19 février « quatre malades qu'on peut con- « sidérer comme aliénés, quoique leur folie soi
ons sont privés d'air, de lumière et de chauffage, ils sont de plus con- tigus au dépôt des morts où se font les autopsi
ct à appeler sclé- reux ces foyers, bien qu'il n'y ait pas de tissu con- jonctif véritable. L'état actuel de nos conna
de cellules intercalaires ; en sorte qu'on ne voit que des groupes con- tinus de plusieurs cellules en nombre assez res
onvulsions. Premières convulsions à six mois, secondes à neuf; puis con- vulsions tous les mois jusqu'à quatre mois. Suc
e sans paralysies mo- trices est d'une importance capitale pour une con- ception théorique de la nature des paralysies c
tifique si élevée. V. Tumori cerebrali, p. 68. In Biblioteca medica con- tempo de Vallardi, 1889. l'. n. 378 PHYSIOLOG
Soeurs, attaques de nerfs. Frère, accès de somnambulisme. - Frère, con- pulsions de l'enfance, blésité. Accès de cris
tanément. Les paupières étant fermées, on soulève le bras droit qui con- serve l'attitude qu'on lui donne. Le bras gauch
siège unique ou principal, les lobes fronto-pariétaux. Les lésions, con- sistant surtout en adhérences, occupaient la su
ation des .deux ordres de symptômes dans un même côté du corps, une con- Jlexion allant presque jusqu'à la fusion entre
ême trai- tement a donc, employé de la même façon, produit un effet con- traire dans les deux cas. P. K. VI. Traitemen
n- score si incomplète chez les reptiles, parvient à son apogée, se con- tourne en replis multiples, et donne naissance
ples mesures, alors qu'auparavant il avait un réel talent. Il avait con- tinué à percevoir correctement, il avait parfai
ssemblée de rassembler des documents qui permettent d'aboutir à une con- clusion exclusivement basée sur des faits. Sé
est dé- claré capable d'un acte délictueux dans ces deux dernières con- ditions. Le droit commun et la législation mode
erme com- prend des déclarations mensongères ou la dissimulation de con- ditions de ressources, d'engagements personnels
«Le bureau est invité à faire progresser la question psychiatrique con- formément aux opinions émises et à faire les dé
nt été sou- mis également à ce genre d'examen. Seulement on a dû se con- tenter chez eux de l'appiéciation révélée par l
nce. Une analyse clinique consciencieuse a révélé que les accidents con- sécutifs à l'encéphalite infantile, c'est-à-dir
à la suite d'un traumatisme céphalique, - démence après mélancolie, con- valescence de mélancolie, paralysie générale),
rt rapide chez les cardiaques, si insuffisantes que se révèlent nos con- naissances relatives à la localisation, à l'éte
toma- tique des portes dans les), 174 ; (quartiers de smveillance con- tinue dans les) - par Scholz, 270; (inculpés
50 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
onomie, son regard est moins lourd et a une certaine expression. Au con- tacLde ses camarades, Félix, par esprit d'imita
Bien que l'enfant ne parle pas ou ne possède que quelques mots, ne con- naisse pas les lettres, ne syllabe pas, nous l'
antbien la bouche, à en augmenter et à en diminuer la force tout en con- servant la même intonation. Les notes dans le g
tous les ans les internes du service s'en servent pour différentes con- férences faites aux infirmiers et infirmières d
epsie. Signalé comme amélioré en 1102 surtout au point de vue de la con- duite, il a continué celle année a bien se teni
. Malheureusement, soit indifférence, soit incapacité et absence de con- viction, nous n'obtenons pas de tous le concour
s abus regrettables (1). Vaccination et revaccination. - Nous avons con- tinué, pratique qui remonte à 1880, la vaccinat
us insistons pour qu'il suive les cours de l'École d'infirmiers. En con- tact avec des malades sujets à des chutes convu
es enfants malades : quand ils ont, les uns des accès épileptiques, con- vulsifs ou psychiques, les autres des impulsion
is enfants atteints de conjonctivite granuleuse ont été amenés à la con- sultation. C'étaient des affections déjà ancien
inquiétante. De plus, l'enfant n'avait aucune aptitude pour ce qui con- cerne l'enseignement, ne se rendait nullement c
s, distractions. cxv D'une façon générale, sauf quand il s'agit des con- gés d'essai, à fin de sortie, nous ne tenons pa
Bicêtre ; (depuis plus d'un demi-siècle l'infirmerie d'adultes est con- fiée à des femmes). Dans des asiles, iiifiri-no
vous suis très reconnaissant des renseignements si complets qu'elle con- tient. les médecins en chef se joignent à moi p
'épilepsie, un en 1892 et rien depuis cette époque. On peut donc le con- sidérer comme guéri de l'épilepsie. OBS. XI,
ste de pro- grès que depuis l'année 1899. Ce n'est qu'en 1901 qu'il con- naît ses lettres sans savoir syllaber. Il sait
hement dif- ficile. Convulsions à partir de cinq mois. - Marche des con- vulsions. - lielai(1, dans la parole. Onanisme.
t était cyanosé et perdait connaissance. Il eut pendant la nuit des con- vulsions toutes les cinq minutes. Il était alor
obèse, ni au- wn nain. - Pas de consanguinité. Inégalité d'âge des con- joints : 23 ans.Deux soeurs mortes tuberculeuse
umatisant, non alcoolique. Pas de tabagisme, non névropathe. Pas de con- vulsions dans l'enfance. Pas d'indice de syphil
anthélix.La racine de l'hélix ne divise pas la conque. La racine du con- duit auditif externe est normale. L'ouïe est bo
e tra- vailler dans une certaine mesure, doivent donner ce travail, con- tre une rémunération déterminée, à la Maison qu
normale ; ' - 3° Un garcon, mort de diphtérie à 10 ans 1/2 ; pas de con- vulsions. 4° Notre malade. - Conception proba
eu un étal de mal. Pendant plusieurs jours, elle serait restée sans con- naissance. A partir de deux ans et demi, l'en
convulsifs.; - 2° Notre malade; - 3° Fille morte de méningite avec con- vulsions en 17 jours, à cinq ans, - 4° Garçon m
s espacées. Menton petit. -;Oreilles grandes, bien implantées ,bicn con- formées, lobule assez développé, non adhérent.
e frère, mort récemment; aucun d'eux, ni leurs enfants, n'ont eu de con- vulsions. - Rien de particulier à signaler dans
- 90 la malade. La malade.- Rien il signaler en ce qui concerne la con- cep/io ? ! . Pendant la grossesse, vif ennui de
urs. Il s'en- suit que, lorsque la taille est redevenue normale, il con- vient de suspendre le traitement, quitte à le r
localisées au côté droit, hémiplégie droite consécutive. - Secondes con- vulsions à 40 mois. - Retour des convulsions to
a joue et l'oeil, et tout le côté droit de la face saule. En somme, con- vulsions cloniques localisées à droite ; quant
ès le pre- mier état de mal, se serait aggravée après chaques série con- vulsive, jusqu'à l'âge de 4 ans. Après la premi
des oscillations s'accentuant vers la perte de ces notions. Ce cas con- firme ce que nous avons dit à savoir que les ép
jours : - prédominance des convulsions à gauche : Hémiplégie gauche con- . sécutive et arrêt de l'intelligence. - Suppre
els. ' Etat du malade à l'entrée : . Hémiplégie gauche, atrophie et con- fracture. - Marche des accès. Etat de mal, élév
s. Deux frères et une soeur, bien portants, sobres, n'ont pas eu de con- vulsions ; leurs enfants, six garçons et deux f
pâle, avait eu une perte un mois avant sa mort; elle n'avait eu ni con- vulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, n
ité d'âge. Quatre enfants : 1° garçon mort du croup à un an, pas de con- vulsions ; 2° garçon, dix-huit ans, pas de.conv
intellectuelles dans les limites où les a laissées l'état de mal con- vulsif initial et telles que le traitement mé
telles que le traitement médico-pédago- gique les a faites, sont con- servées, en d'autres termes les malades ne so
e. - Autre soeur morte de diarrhée verte avec convulsions. - Pas de con- sanguinité. Inégalité d'âge de 3 ans (père plus
........................... 223 V. Sur les modifications crâniennes con- sécutives aux atrophies cérébrales uni- latér
51 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
us parfait. Donc, l'achèvement de la section s'impose, si l'on no con- sulte que l'intérêt des malades et le fonctionn
laïcisation Il s'agissait, comme on le voit, du projet relatif à la con- tinuation de la section des enfants à Bicêtre.
nous nous serions bien gardé d'intervenir, mais il s'agissait de la con- tinuation d'une affaire votée par le Conseil et
e, mon ancien collègue, a joué un rôle prépondérant et a droit, par con- sé(ILient, à une grande part d'honneur. n Dan
le doit les assister et, les assistant, elle doit le faire dans les con- ditions exigées par la science. Cette assistanc
le Ministre de l'intérieur, la cause de tous les enfants arriérés, con- vulsifs ou réputés incurables, disséminés dans
est celui du Dr Robinet, que je ne cesserai de regretter. Robinet a con- tinué avec concours de plusieurs collègues de f
nt de chute et n'étant pas suivi de coma, mais se compliquant d'une con- gestion très forte de la face. Cette forme de
auteurs anciens, a été décrite sous des noms très divers et parfois con- fondue avec la chorée ou d'autres affections ne
l'ancienne épi- lepsie procursive. C'est à Thomas Eraste', à notre con- naissance, qu'est due la première observation s
Lyon, 1G91" thèse XXIII, de l'Epilepsie, p. 531. - Nous n'avons pu con- sulter quelques.-uns ries auteurs cités par Etm
pos ; il ne cessait de l'agiter. Au dire de la mère, ces mouvements con- vulsifs étaient par moments si violents, que le
rocursive. Observation VII. - A cinquante ans, course sans perte de con- naissance; abattement, sueur et sécrétion abond
rfaite- ment guérie. Les phénomènes observés ne permettent pas de con- clure avec l'auteur que sa malade était atteint
et chétif, ne marchait ni ne parlait, on ne sait s'il avait eu des con- vulsions, la nourrice n'ayant donné aucun rense
e trouve une scissure parallèle au corps calleux qui semble être la con- tinuation normale isolée de la scissure calloso
procursion et souvent de phénomènes de rotation; - 5° persistance, con- curremment et pendant plusieurs années, des ver
lataient aussi bien de jour que de nuit, mais surtout à la suite de con- . trariétés ou d'émotion. - On n'aurait noté de
gmentée en arrière. - Encéphale (,l .(;00 gr.). ? ie-zczèoe, un peu con- gestionnée à la base surtout, un peu adhérente
- Quatre frères, l'un est mort en huit jours, d'accidents cérébraux con- sécutifs, à la peur des Prussiens qui avaient d
son amant les six premiers enfants sont morts jeunes à la suite de con- vulsions ; un autre est mort également jeune d'
e tourne à gauche, et alors les membres du côté gauche sont pris de con- vulsions cloniques à leur tour. Durant cette pé
la jambe droite reste horizontale. La tète se reporte à gauche. Les con- DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 103 vulsions conti
deuxième circonvolution lempú1"o-occipitales paraissent assez bien con- formées, toutefois la partie médiane de la circ
morte p/t</tM ? t<t ? Cousin germain idiot. - Frères, morts de con- vulsions. - Premiers accès à douze ans. Aura na
z 710 table. Johann S..., vingt-sept ans, messager postal, ancien con- ducteur de chemin de fer, est un individu pâle,
elquefois. - La pariétale ascendante est volumineuse et normalement con- formée. Les plis pariétaux, sont assez bien d
nt l'un contre l'autre, les pieds étant notablement écartés, au con- traire. Légère iné- galité pupillaire et bl
és de l'altération. Sur d'autres points, entre les mailles du tissu con- jonctif ainsi formé, se crée des vides qui étai
s cas évidents d'hystérie : tels sont entre autres les cas de Dewar con- cernant cinq enfants de la même famille (épidém
ons appeler l'attention ont trait à une maladie nerveuse encore peu con- nue et dont le diagnostic précis nous paraît of
aucoup de convulsions étant jeune; il a deux enfants qui ont eu des con- 172 '2 DEUX CAS D'ATHÉTOSE DOUBLE AVEC IMBÉCILL
us ou moins longue, devient alors très prononcée et se complique de con- tracture dans l'extension et souvent d'épilepsi
un fait nouveau et que tous ceux qui se sont occupés des dégénérés con- naissent bien. Mais avec quelle fréquence ces a
lus forte d'anoma- lies que chez tous les autres. Et maintenant que con- clure de ce travail " ? 1° Tout d'abord ce fa
n bonne santé porte un petit goitre ; il a une fille do 6 ans, bien con- formée, mais en retard pour la parole; cette en
icate à voir sur le vivant et surtout appréciable sur des moulages, con- siste dans une différence de niveau entre les b
l resta jus- qu'à 14 ans 1/2 (août 1880 à février 1882). - On était con- tent de lui pour son travail, mais peu à peu so
a condition de venir mo chercher le lendemain pour me conduire à la con- sultation à Sainte-Anne, mon père vint en effet
viter de rester en compagnie de ses camarades.- Comme traitement il con- tinue les douches. 26 mars. Hier, au moment d
52 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
méprises, dont je vous ai maintes fois l'ait ressortir les fâcheuses con- séquences. Une occasion de ce genre m'est fourn
. Les yeux se convulsaientun peu en haut ; le malade ne perdait pas con- naissance. Ces crises, au nomhre d'une dizain
ément toutes les fibres de ces nerfs. Les chances de survie sont donc con- sidérables. Aussi bien, chez notre malade, le
tc. La manifestation atrophique que nous observons est donc bien la con- séquence d'une lésion primitive des muscles, ca
eu de rap - » pendant 3 mois dans ports sexuels. Pas un pansement con- de maladies véné- tentif. N'a pas eu de riennes
ormal à rieurs. musculature sont noter, sauf que les noter, sauf la con- très bien dévelop- plantes des pieds formation
es années et contracta la syphilis ; à son retour dans sa famille, il con- tagionna sa femme qui devint enceinte. Pendant
u'à droite en particulier, l'avant-bras avait de la tendance à rester con- tracté en flexion sur le bras, le pouce étant r
fant fut soumis à une cure iodo-mercurielle, mais sans résultat ; la con- tracture spasmodique des membres ne se modifia
ues. On rencontre une résistance énergique quand on veut vaincre la con- tracture et la rigidité des cuisses et des jamb
e cellules nerveuses à la première époque de leur formation, de là se con- tinuent les racines antérieures passant à trave
ns ; G... était alors tailleur de pierre il Lyon ; il était très bien con- formé et doué d'une force musculaire moyenne. N
tous les sens. Le mnscle sterno-cléido-mastoïdien a sa couleur et sa con- sistance normales. Aux membres inférieurs on
ichen. IV. Envisagé au point de vue anatomo-patholobique, le lichen con- siste en une hyperplasie des éléments des folli
nés radiculaires. L'épreuve photographique qui m'a été obligeamment con- fiée par M. Bar vous montre que l'herpès affect
me normal. Le corps de ces mêmes os, surtout des métacarpiens, est au con- traire sensiblement réduit. ' En somme, les o
ion préalable du coude sur un plan d'appui. D'ailleurs, même dans ces con- ditions, les mouvements sont très limités. Le
si qu'un embarras de la langue, il ne pouvait articuler un mot; cette con- tracture qui dura 1/4 d'heure n'a pas reparu de
i prouve suffisamment que la consolidation a été parfaite; mais cette con- solidation n'est telle qu'à la condition que le
- ment en longueur tout comme en épaisseur. On est donc en droit de con- clure que l'atrophie osseuse et musculaire s'es
. Radiculaires par suite du traumatisme direct des racines et de la con- - ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 129 tusion i
Les cellules des cornes antérieures de la moelle ont surtout subi le con- tre-coup des altérations des nerfs périphérique
peut être un tabes cervical et même un tabès bulbaire. Pour ce qui con- cerne le cerveau, nous savons qu'il n'est en qu
doute, qui a eu le plus déplorable retentissement dans l'étude de la con- ' tribution de l'appareil labyrinthique à la sy
nsemble de l'appareil vestibulaire, et surtout ampullaire ; il a pour con- ducteurs de grosses fibres internes, a engainem
ent en position normale par,une véritable secousse; si le mouvement con- tinue, l'oeil fait ainsi une série de sauts dan
s, des droits supérieur et inférieur. De même pour une gomme. Je ne con- nais, pour expliquer ces capricieuses associati
orsque l'urine a trop distendu la paroi vésicale, celle-ci réagit, se con- tracte et l'urine expulsée arrive au contact de
e mouvement volontaire, le grand dentelé vient à ne plus prêter son con- cours, le bord spinal du scapulum doit rester e
blanche, du diamètre d'une pièce de 5 francs, à bords irréguliers, se con- tinuant jusqu'à la partie inférieure du creux d
rophie doit trouver sa place dans les amyolrcpbies d'origine spinale, con- trairement à l'opinion de certains auteurs. N
musculaires se colorent mal par le picro-carmin. Au milieu du tissu con- jonctif, qui a pris la place occupée du muscle,
r des convulsions, des vomissements, et un état comateux. Un de mes con- frères du dispensaire a soigné deux de ces enfa
l'oeuvre de son compatriote, son ancêtre par alliance, qui fut, sans con- tredit, l'un des médecins les plus distingués d
Plus tard, Varandal, Lazare Rivière, Sennert et bien d'autres, ont con- tribué à accréditer le rôle des troubles menstr
u enfin de la matrice. » Entre toutes, la plus redoutable était, sans con- tredit, la « mélancolie hypochondriaque », « le
Par habitude, il a pris l'urinai ; mais il oublie d'en examiner le con- tenu, et, se tournant vers une vieille servante
aurait tort de ne pas avoir ce soupçon. Quant à Jan Steen, nous le con- naissons : il était homme à ne pas reculer deva
pister. Et, détournant ses regards d'un trop séduisant visage, il les con- centre sur le contenu de la bouteille uroscopiq
traité cette femme parce qu'elle se plaignait de rhumatismes. Je ne con- naissais rien alors du myxcedéme. Je me rappell
ne connaît de ces femmes dont la chevelure d'argent forme un si vif con- traste avec une physionomie encore jeune et ros
lorsque j'ai parlé de la synthèse du myxoedème franc. Je ne peux que con- firmer ce que je disais alors. Il faut recherch
onstance de l'emphysème à l'autopsie des vieillards, des alcooliques, con- firme cette manière de voir. L'oppression de
ge. Je voudrais qu'on retint, de tout ceci, une chose : c'est que les con- gestions chroniques du foie et l'existence de c
nisme, l'alcool détruit les bons effets de la médication et peut être con- sidéré comme l'antidote du principe glandulaire
es épaules, du dos et des membres aux rhumatismes que la douche lui a con- férés. Une de ses soeurs est morte tuberculeuse
chercher jusqu'à quel point les caractères des anesthésies tabétiques con- cordent avec ceux qui sont attribués aux anesth
certain geste des bras et certaine posture des jambes qui font de sa con- sultation une manière de pavanne, laquelle est
vrai que ce serait une contracture bien bizarre, analogue à certaines con- tractures systématiques, que l'on observe chez
habitude pathologique. D'ailleurs, le succès facile du traitement va con- firmer cette interprétation. .. Oiis. II. R
de marche, la jambe est entièrement raide et l'on croit observer une con- tracture hystérique. Cette raideur disparaît co
Ces deux tics des pieds, par leur évolution et par leur traitement, con- firment donc toutes les études qui nous montren
bras gauche qu'il ne pouvait plus soulever que difficilement, tout en con- (1) Behnheim, Revue de médecine, 1891. (2) J.
dont beaucoup sont amincies. Atrophie simple, augmentation du tissu con- jonctif, notable prolifération nucléaire. Plè
homme de 63 ans, P.... Alexandre, jardinier de son état. Il venait con- sulter parce qu'il lui était difficile de soule
gauche, elle n'était nullement douloureuse. Il existait une atrophie con- sidérable de tout le membre inférieur portant s
que les masses musculaires assez peu développées sont flasques et se con- tractent mollement ; aussi l'essai dynamométriq
cromégalie, n'affectent pas le moral de la même façon ; mais peut-on con- sidérer comme « légitimement déprimé», le sujet
Sans insister davantage sur les origines de l'uroscopie, nous nous con- tenterons de rappeler ici les peintures des éco
hissement du médecin, un vieux savant à barbe grise, l'air à la fois con- trit et suppliant de la vieille devant cette in
au niveau des régions pariétale et temporale, dans l'aire ou sur les con- fins immédiats des centres de la vision et de l
orteils, est envahi par une enflure volumineuse, défigurant tous les con- tours. Cuisse, genou, jambe et pied disparaisse
Malgré le caractère familial de l'affection, celle-ci ne saurait être con- fondue avec la maladie oedémateuse apyrétique,
tions névropathiques anatomiquement définies. Et de ces analogies, con- tentons-nous d'inférer, sous forme hypothétique
malies par excès et anomalies par défaut sont des modes de réaction con- traires qu'une même lésion peut engendrer. ,
son spasme ne lui laisse presque plus un seul instant de repos et les con- tractions deviennent plus violentes. La nuit ce
53 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
hésité à se ranger au diagnostic de myopathie. Pour M. Babinski le con- traste de la paralysie presque complète des mus
avant. Muscles du thorax et de l'abdomen. Les muscles pectoraux ont con- servé une partie de leur force ; ils sont encor
scles abdominaux et des muscles psoas-iliaques ci l'att·ophie. Pas de con- tractions fibrillaires. Diminution simple de l'
n du mollet, 1° il n'existe pas d'ensellure dorso lombaire, puisqu'au con- traire le thorax est incliné en haut ; 2° le ma
Le muscle trapèze donne à la palpation une sensation .fibreuse ; il a con- servé cependant une assez grande énergie, car l
des excitations minimales et même au point de vue de l'amplitude des con- tractions ; plus que chez le frère, cependant,
précoces, dès la phase du début, alors que le myopathique a encore con- servé une certaine force musculaire ; Gowers es
nante du groupe musculaire antagoniste des muscles atrophiés. « En con- séquence, dit-il, un des muscles vient-il à êtr
frappées de paralysie, ce qui est déjà étonnant pour une personne qui con- serve assez de force aux jambes. Cependant si o
s'effondrer que se débattre ; mais sa bouche est ouverte et ses yeux con- vulsés à gauche et en haut. A Vicenze, dans l
d, quelquefois toute la surface du pied, moins une étroite bandelette con- ligué au bord interne. 3° L'abolition du réfl
isse et tous les muscles de la jambe étaient paralysés, à gauche; les con- tractions du triceps crural s'effectuaient sans
ens étaient simplement affaiblis, les réflexes des adducteurs étaient con- servés. En fait de réflexes cutanés, étaient co
de la queue de cheval, telle que j'ai été un des premiers à la faire con- naître dans des leçons didactiques qui remonten
sacré de la moelle, ainsi que du nerf sciatique, elle nous autorise à con- clure que, seules, les racines les plus inférie
uoiqne parfois très volumineuses et entraînant une perte de substance con- sidérable dans cet organe, lieu de passage de f
il s'agit le plus souvent d'une périartérite secondaire, c'est-à-dire con- sécutive à l'endartérite (1). » ' Toujours es
faible plan musculaire, vestige du grand pectoral ; lorsque le malade con- tracte ses muscles pour rapprocher le bras du t
ées par Erb ('1). Il est possible que certains cas d'absence supposée con- génitale des pectoraux ressortissent à cette ét
costaux externes restent immobiles dans la respiration normale. Au con- traire, dans l'inspiration forcée, ils entrent
e. Il semble impossible de concevoir théoriquement un paraplégique, con- tracture ou dystrophique dont l'intelligence ne
Little, à la suite du séjour dans un appareil plâtré et du traitement con- sécutif. Le traitement consécutif consiste en
eigneur Barmécide des Mille et une Nuits.Les matérialistes,naïfs mais con- séquents,goûtent peu les choses excellentes qui
e celle-ci fait défaut, car la perception d'une variation implique la con- naissance même assoupie, de l'état qu'a varié,
l'usage, ce terme peut encore, bien que vague et peu rigoureux, être con- servé par la routine. La science, pour devenir
ermet objectivement ni subjectivement d'attribuer cette activité à la con- traction musculaire, si je ne l'ai appris autre
dehors de quelques faits empiriques bien établis, l'édifice de leurs con- naissances à ce sujet ne reposait pas sur des b
ringue, un praticien de la famille de ceux qu'a représentés Teniers con- temple avec une grande attention un urinai qu'o
ncer de l'utérus. Ils ont eu 6 enfants, deux sont morts en bas âge de con- vulsions, un autre est mort à 4 ans de broncho-
D'après les renseignements qui nous sont donnés, voici ce que nous con- naissons de révolution de sa maladie depuis le
t cessé, et il semblait y avoir une certaine amélioration, les crises con- vulsives n'ayant pas reparu. Mais le malade p
u n'existe pour y correspondre et préciser sa signification. Ce repli con- fond son insertion inférieure sur la base du cr
Celui-ci a eu des convulsions infantiles, à la suite desquelles il a con- servé des contractures dans le pied gauche. Ce
ce point l'aurait relevé. L'accouchement eut lieu à terme, en bonnes con- ditions. A sa naissance, l'enfant avait le memb
ons. Mais notre femme n'a présenté aucun antécédent de malformation con- génitale de quelque ordre que ce fût, ni dans s
dans le tabes. Nous aurons à discuter pi us loin les résultats et les con- clusions qu'ils permettent. Mais dès maintenant
aines conjonctives, un tissu d'apparence amorphe plus ou moins épais, con- tenant un plus ou moins grand nombre de noyaux
mais qui n'est pas sensiblement épaissie. Il n'existe pas de cloisons con- jonctives entre les fascicules,ni de tissu conj
qu'ils soient déviés ou interrompus dans leur trajet par des tractus con- jonctifs. Dans la traversée du ganglion, les ra
gaine de myéline a disparu, cylindraxes nus. Fibrilles et noyaux con- jonctifs interstitiels. LÉSIONS RADICULAIRES
. Or, il est très curieux de noter le contraste qui existe entre la con- trainte, l'hésitation du catatonique à exécuter
no fut condamné sur-le- champ il s'ouvrir le ventre, sa fortune fut con- fisquée, sa famille fut déclarée éteinte, et to
commis quelque faute, reçoit de son maître un reproche brutal, il se con- tente de sourire avec indulgence, parce qu'il e
Pour ce qui est du pied-botde Friedreich, il n'est plus, parait-il, con- sidéré aujourd'hui comme absolument spécial à l
itude à peu près perma- nente est exagérée, à tout instant, par des con- tractions toniques plus fortes. L'épaule du m
ut, le torticolis disparaissait au repos ; actuellement, il s'atténue con- sidérablement quand le malade est couché, mais
L'augmentation de l'excitabilité mécanique, avec persistance de la con- traction,et l'augmentation galvanique,avec égal
fibreux de la dure-mère, soit sur le feuillet arachnoïdien. Le tissu con- jonclif du périnèvre émane en apparence de la p
tissu nerveux. Au voisinage, les éléments nerveux n'en ont pas moins con- servé leur vitalité et malgré la compression ex
tent-elles que rarement un aspect normal chez l'adulte ; et Marinesco con- clut que la sclérose des cordons postérieurs n'
retentisse toujours sur sa cellule d'origine donne à penser que nous con- naissons encore malle rôle trophique de la cell
mie pathologique les interprétations sont difficiles alors que nous con- (1) RAYMOND, Archives de Neurologie, 1893. (2
hyperhémie passagère du cerveau, à laquelle succède une anémie par con- traction active des vaisseaux cérébraux. Les au
Les mouvements d'adduction des cuisses paraissent être intacts. Au con- traire, les contractions des fessiers sont moin
Une anesthésie qui réalise la topographie, si particulière, que vous con- naissez bien, sauf qu'elle est limitée à un seu
Il a, présentement, de l'anesthésie uréthro-vésicale, sans troubles con- comitants des fonctions motrices de la vessie ;
un argument péremptoire contre cette hypothèse; vous devez en être con- vaincus après ce que je vous ai dit, tout il l'
de rotation autour d'un axe passant par le côté gauche du corps et on con- state, à droite, « le mouvement combiné de flex
ystématisées, ou, en d'autres termes, des dégénérescences secondaires con- sécutives à ces foyers. Nous nous sommes assuré
e qui contient environ 60 à 80 grammes d'un liquide clair, citrin, de con- sistance un peu plus sirupeuse que le liquide c
eures, dans tous nos cas les dendrites des cellules nerveuses ont des con- tours comparativement plus réguliers, plus rect
Le grand Charles, qui jouissait autrefois d'une vigueur remarquable, con- serve encore aujourd'hui un assez bon développe
pas due à l'obliquité originaire de la ligne épiphysaire, puisque les con- dyles descendent le long de lignes qui sont par
à comparer avec quelque précision des mensurations prises dans des con- ditions par trop différentes et par trop variab
beaucoup mieux à leur égard qu'au sujet des nains. Il avait de plus con- staté que le pénis dugéant irlandais Patrick O'
fet, lorsqu'il se présenta à 20 ans pour la première fois devant le con- seil de revision on constata les mesures suiv
segments des membres ; enfin, si son thorax présente une scoliose à con- cavité droite, celle-ci, réductible, est en rap
2° Toutefois ce type de gigantisme infantile, très particulier parla con- tinnité de la croissance (persistance des carti
intimement que les nains dans l'intimité des monarques. Et cela se con- çoit aisément : le géant est un être encombrant
54 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
etc.), IIering a observé que, chez l'homme, les antagonistes ne se con- tractent pas simultanément; qu'il y a des « pse
res. Pendant toute cette période, les bras s'agitent, les yeux sont con- vulsés en haut, la bouche écume, le visage a un
pre- mière portion duodéno-jéjunale de l'intestin nous parait très con- gestionnée ; dans le dernier mètre de l'intesti
nom- breux, le faciès est un peu cyanosé, le malade a eu une crise con- vulsive, qui a duré une quinzaine de minutes et
cula- rités d'un délire dont l'expression rapide et fugace, souvent con- fuse, a pu échapper à l'observation ; mais on p
ements. Vers le mois d'août 1896, perte de connaissance, et attaque con- .vulsive, suivie dans la nuit de deux autres at
altéra- tions séniles : 1° Athérome et dégénérescences atrophiques con- nexes ; 2° Pachy-méningite cérébro-spinale. - 6
nent d'un état de conscience particulier, tellement différent de la con- science normale qu'elle ne s'y rattache par auc
orme des garde-malades professionnelles ou volontaires, une ou deux con- férences ne soient pas consacrées aux soins spé
cas de dégénérescence cardiaque, et un cas de vice de conformation con- génital. R. ni.-C. XVI. Etiologie de la paral
agérer les réflexes, tendineux. Aussi nous croyons-nous autorisé, à con- clure que si l'arc sensitif médullaire est lésé
réac- tions leucocytaires : 1° une réaction précoce de défense, qui con- l siste dans l'émigration des cellules mono et
PHIE. par les contractions du sourcilier et des orbiculaires. Cette con- traction est plus ou moins forte selon l'intens
même Au sur et à mesure que l'intensité de la douleur augmente, la con- traction gagne les muscles du corps et des memb
à, comme je l'ai moi-même indiqué dans une communication au dernier con- grès international de médecine les facteurs les
ent intra et extra-utérin, auraient dû mettre en garde contre cette con- ception quasi-mystique. On a constaté de réelle
ie. u. Célestine G..., a été admise le 25 février 188 : i, âgée par con- séquent de près de vingt ans. Peu à peu les tro
ême simulta- néité dans les premières manifestations psychiques qui con- tinuent à évoluer d'une façon à peu près parall
E MENTALE. alcooliques, auxquels étaient portés les deux frères, et con- tre lesquels leur cerveau débile n'offrait aucu
z d'origine de ces faisceaux. Redlich était d'avis, et Schaffer est con- vaincu de la justesse de cette prévision, qu' «
n- glionnaire ». Les légères altérations des cellules des ganglions con- sécutives à la section des racines postérieures
° 10.)- II résulte de cette note qu'en soumettant les cerveaux à la con- gélation avant de les traiter par la méthode de
à une lésion destructive qu'on rencontre rarement à un degré aussi con- sidérable ; c'est la première fois que B... et
é de la paralysie seule au début de l'hémiplégie doit être prise en con- sidération. ' VI. L'7eé)nicéneslleésie est mo
dineux, mais je déclare n'avoir jamais rien vu de pareil et je suis con- ' vaincu qu'il s'agissait dans ce cas d'associa
lancolie. , M. SÊRiFux formule la même opinion et ajoute que si, au con- traire, un jeune sujet faisant en délire des né
res; ' l'existence d'une lésion symétrique des deux lobes temporaux con- firme la constatation clinique. 3- L'intégrit
er). D'après cette interprétation, les pores sudoraux sont les deux con- 'fluents de deux voies d'excrétion. Ils reçoive
ues. Or. dans la mélancolie, il y a de la vaso-constriction et, par con- séquent, de l'anhidrose. Toutes les fois qu'on
affectifs. MM. Bérillon et MAGNIN. - Les sentiments jouent un rôle con- sidérable dans l'hypnotisation; un médecin anti
lant produit un ronflement qui agit sur l'appareil de l'audition et con- tribue lui aussi à amener l'inhibition. L'emplo
les yeux étant ouverts ou fermés. La force musculaire est également con- servée aux membres inférieurs, qui, en outre, n
mme- de sulfate de strychnine. Le 24 janvier 1899, le malade revint con- sulter : il y avait une amélioration. générale
joutera à ce programme déjà trop complexe de nouvelles matières, il con- viendrait d'augmenter de deux le nombre des sem
des cas qui concernent le cerveau ; dans le treizième cas il a été con- sidéré comme probable. Dans tous les cas .céréb
deux fois l'aphasie, une fois l'hémianopsie, une fois le strabisme con- vergent, une fois du ptosis et du strabisme.
hologie. Ceux qui formulent une telle opinion, ignorent le puissant con- cours qu'apportent la clinique et l'anatomo-pat
ns de mé- ningo-encéplialite que dans les deux cas précédents. Môme con- clusion. l . l3oissLn. VARIA. LES aliénés E
n adjoint à mis en congé pour raison de santé; M. le Ur C,%S-1,AIN, con- cours de Paris, délégué comme médecin adjoint à
dant la vie. Ce cas légitime, d'après nous, la réhabilitation de la con- gestion cérébrale idiopathique active, que beau
vais- seaux épaissis. Les espaces qui les entourent, leurs anneaux con- 310 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
é- brauxinterniédiaires sont capables d'activité fonctionnelle, les con- ditions de sa structure cérébrale offrent une p
de la suggestion, et les gigantesques travaux de Charcot ayant fait con- naître et admettre par les médecins un royaume
portée de la voix et de la vue; il n'est même pas nécessaire de le con- naître ni de l'avoir jamais rencontré. Quant
suite d'une campagne énergique, il jouit partout aujourd'hui de la con- asiles d'aliénés. ' 333 sidération qu'il méri
ide, ainsi définie, on détacha, grâce aux travaux de Delasiauve, la con- fusion mentale. Baillarger montra encore que no
accidents. Cependant l'examen du liquide des papules n'a permis de con- trôler que la présence du ver adulte et jamais
ait ses journées dans un fauteuil de l'infirmerie. Un autre aliéné, con- sidéré comme inoffensif, dans un accès de folie
UE NERVEUSE. muscles, préposé à tel ou tel mouvement intentionnel : con- traction isolée du pouce, des doigts, de la mai
ns le sens de la perte de la faculté d'exécuter des mouvements. Ils con- sistent surtout dans une maladresse et une lent
oteur cortical entraîne l'impossibilité de provoquer des mouvements con- vulsifs dans le ou les groupes de muscles qui t
possibilité de développer, par voie d'irritation expérimentale, des con- vulsions dans le groupe des muscles innervés pa
hé- rences, et à une insuffisance circulatoire des centres susdits, con- sécutive à des ligatures de vaisseaux pie-mérie
'ou- verture crânienne fut élargie ; on réussit alors à obtenir des con- tractions des muscles de l'avant-bras, du bras
naissance. Le 20 mai, on a procédé à une deuxième opération. Elle a con- sisté dans l'incision de la dure-mère et dans l
nnaissance. Une troisième opération, pratiquée le 15 novembre 1890, con- sista dans l'extirpation du centre cortical des
e opération, soit pendant quelque temps, débarrassé de ses attaques con- vulsives, pour qu'on ait le droit de conclure à
ment en avant de l'extrémité interne du sillon crucial, provoque la con- traction du gros intestin, mais il convient de
une stimulation n'est jamais que la résultante de ces deux facteurs con- traires, avec peut-être, dans la plupart des ca
ta- blir des rapports fermes de causalité dans l'état actuel de nos con- naissances. 1-1. C. XLI. Les arthropathies ta
son travail « l'analgésie chez les aliénés » : tous les aliénistes con- naissent cette analgésie; il s'est surtout atta
examiné un assez grand nombre de segments médullaires. L'auteur est con- vaincu que presque dans tous les cas de syringo
autres rem- seignements, et qu'il ne serait pas à dédaigner pour un con- trôle périodique tel que celui des aiguilleurs
ession n'était pas aussi forte, et qu'aucun sens n'intervenait pour con- trôler leurs actes, il leur restait une impress
c- complissement de certains actes. D'aulres fois l'illusion est la con- séquence de dissociation d'idées par contrastes
a été occasionnelle. Dans un cas que j'ai vu, l'alcoolisme était au con- traire habituel et la compression a eu lieu acc
bilité. L'analyse qui précède montre tout l'intérêt du travail très con- sciencieux de M. Vignot. Inutile d'insister sur
le epi- léi-ni(lue, par Bon(itirdtit, z périphérique avec optique con- sécutive au lava;e d'estomac, par Clemeslca,
s, 212. Punition considérée comme consé- quence douloureuse de la con- duite, par Mercier, 482. Pmu'UHA. Maladie de
55 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
sure est pénible. Réflexes tendineux normaux, égaux. Réflexes cutanés con- servés. Etat général satisfaisant, à part bro
ynx : épiglotte renversée en arrière. Cordes vocales présentent de la con- gestion chronique. Mouvements se font bien. 1
est intermittente : l'acrocyanose chronique hypertrophiante est, au con- traire, durable et progressive. Telles sont p
rches n'ont pas été faites dans d'autres cas, ce qui n'autorise pas à con- clure à la constance de ces phénomènes. Le fond
ue. Mais quant à l'interprétation de sa pathogénie, nous ne pouvons con- clure : des observations détaillées sontencore
clure : des observations détaillées sontencore nécessaires pour mieux con- naître le mécanisme intime, les causes détermin
rapport à celui des autres segments ou du tronc. En d'autres termes, con- naître l'attitude d'un segment, c'est connaître
ir entrer ici dans la question de savoir s'il est antiscientifique de con- sidérer les faits subjectifs comme immatériels,
l'excitant, tantôt la localisation au sens subjectif, c'est-à-dire la con- naissance par l'individu du lieu de son corps q
tion consciente ou, pour parler en termes objectifs, de sa prise en con- sidération par l'organisme ; -il me suffit de r
enseignements de la subjectivité, le voilà en proie aux plus criantes con- tradictions (1) ; tantôt il maudit les états su
d'autres représentations psychiques ou sensorielles » (p. 161). Cette con- science qui règne en maîtresse, qui abandonne,q
éclairer, elle est, ainsi que nous venons de le rappeler brièvement, con- tredite par la plupart d'entre eux. La méthod
la pharmacie se pratiquent en famille. Les clients sont de vieilles con- 68 HENRY MEIGE naissances pour lesquelles il
ne. Sur les coupes de la région olivaire du bulbe (Planche XIX), on con- state l'atrophie de l'olive droite. Les fibres
retrouver sur les coupes du bulbe, alors que ce faisceau est venu se con- fondre avec les fibres de la formation réticulé
ânienne, le tassement de la substance nerveuse est extrême ; le tissu con- jonctif en larges bandes forme les 2/3 de la pa
. Dans les cordons postérieurs, on remarque des pertes de substance con- tenant quelques boules amorphes se colorant mal
ie convexe à crête mousse ; en arrière, il est incurvé sans que cette con- cavité postérieure soit proportionnellement aus
représentant Invocation de Sainte Anne, Saint Jacques, et Saint Roch con- tre les maladies, au musée de Bâle, j'ai signal
la peau s'arrête et une pellicule mince, blanchâtre, transparente la con- tinue pour clore en arrière cette fosse patholo
La malade entre à la clinique le 21 novembre 1898. C'est une fille de con- stitution robuste. Elle ne présente aucun troub
On pouvait constater en outre diverses dégénérations secondaires ; con- séquences de cette destruction des éléments méd
chi en avant ; le tronc peut encore être redressé, mais aux dépens de con- tractions musculaires qui exagèrent considérabl
(1) a décrite dans l'hypophyse de.la femme enceinte et que l'on peut con- sidérer comme normale. Les capillaires sillon
t que notre observation date de quelques mois ne nous permet pas de con- tribuer à trancher la question de l'identité de
t ressortir leur simultanéité; quelques-uns sont convaincus de leur con- nexion directe. Les études faites sur l'hypophy
r se réchauffer, pendant les longues heures de pêches nocturnes, et con- servant cette funeste habitude une fois rentrés
n- diquer combien, même à cette époque reculée, les Bretons avaient con- science de l'immoralité de l'ivresse : « Qui
bizarre qu'il lui suffise d'être soutenue à droite pour résister aune con- tracture qui la tire à gauche. Cela rappelle le
d'attention ou de défense. Les pointes de feu et les vésicatoires ont con- tinué à créer la même disposition ; aussi quand
des membres, on saisit les deux biceps entre le pouce et l'index, on con- state une légère atrophie par comparaison avec
quent d'ailleurs par la nature même des accidents. Ici, en effet, la con- traction musculaire qui détermine l'attitude de
myotrophie est bien peu accusée. Il y a, dans l'espèce, deux faits il con- sidérer,le trouble moteur d'une part, et ensuit
buent à ce mot. Les résultats obtenus par le traitement rééducateur con- firment également le diagnostic de tic. Le mo
cartilagineux, l'ébauche embryonnaire a évolué dans le sens de tissu con- jonctif adulte, ce tissu conjonctif a pris la f
pour l'incidence externe : cette incidence externe reste toujours à con- naître. d) Au sujet de cette dernière, nous p
face est déviée à gauche. Pupille gauche dilatée. Ptosis et strabisme con- vergent surtout à droite. Réflexes pupillaire
le voir manifester une gêne et une souffrance extraordinaires. Il se con- torsionne, il se raidit surtout du côté gauche,
. L'on peut me répondre qu'au xxe siècle, la qualité des mets et le con- fortable moderne remplacent avantageusement l'a
Les oeuvres d'art ancien sont nombreuses qui offrent la figuration con- ventionnelle de la folie d'après la conception
autorités ecclésiastiques et n'étaient nommées que pour un an, sauf con- firmation pour un nouveau terme. Elles étaient
Gheel, aux xvn8 et xviit' siècles, et de la sagesse des prescriptions con- cernant les aliénés. En ce qui concerne les s
Il devait être pratiqué couramment bien avant l'ère chrétienne et la con- ception de la possession diabolique, car on ret
mme sur un compartiment de la couverture de l'évangéliaire de Murano, con- servé au Muséo Civico de Ravenne, signalé par C
Nous renvoyons à l'observation du Dr Péraire pour tous les détails con- cernant ces troubles moteurs et sensitifs qui o
e faisceaux beaucoup plus larges que ceux du névrome central et qui con- tiennent des fibres nues paraissant uniquement
ans les deux variétés, il doit y avoir en outre excès d'intensité des con- tractions musculaires. L'étude clinique établ
psychopathique. Sans doute,-l'acte moteur ne prendra pas l'apparence con- vulsive, clonique ou tonique, et c'est en cela
arités psychiques et à de légers stigmates physiques, autorisent à le con- sidérer comme un prédisposé. Or, ces troubles p
. Le contenu des hallucinations auditives dans le délire alcoolique con- tinu est assez uniforme ; le malade ordinaireme
tails sa vie passée, et le malade s'étonne, de ce qu' « ils » peuvent con- naître si bien tout ce qui concerne sa vie priv
int qu'il est obligé de quitter l'église. Parfois « ils » donnent des con- seils au malade : comment il doit se conduire ?
ils sont d'assez bonne humeur et peuvent s'occuper d'affaires ; leur con- duite pour la plupart est régulière. Seulement,
ditives et une certaine interprétation erronée de ces hallucinations, con- sistant en cela que le malade pense qu'il se tr
condamne à une pénitence et même à mort. Dans le délire alcoolique con- tinu, les hallucinations, en somme, sont bien m
lisme chronique, mais qui ne correspondent pas au délire alcoolique con- tinu ; le rapport de ces maladies avec le delir
E 423 Assurément, il peut advenir que plusieurs auteurs, sans avoir con- naissance de leurs travaux réciproques, entrepr
56 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
d) Une paralysie vaso-motrice du côté de la lésion, superposée par con- séquent à la paralysie motrice ; elle se tradui
peu différente de ce qu'elle est normalement : les deux os ont leurs con- nexions habituelles ; quant aux muscles, aux va
gris chez notre amèle et chez un en- fant normal de même âge : le con- tour linéaire représente l'axe gris de l'enfa
'une enfant atteinte de luxation congénitale de la hanche des lésions con- sidérables. ' J'ai eu l'occasion d'examiner l
érapeutique ; qu'il nous suffise d'insister aujourd'hui sur certaines con- ditions spéciales d'application de cette méthod
régulière ; il ne paraît pas avoir été formé par la fusion de deux os con- tiges. ' Au pied gauche, l'apparence extérieu
devant être confisqués au profit du Roi chez les Barbiers-Etuveurs con- damnés pour contravention à l'ordonnance de la
ouvraient les furoncles et les abcès, pansaient les blessures et les con- tusions sur tous les points du corps. Nous avon
ers. Qu'il se soit servi d'eau forte, ou d'huile de vitriol, comme le con- seillait Ambroise Paré, de muriate d'antimoine,
lusieurs fois la langue, mais il ne perdit pas ses urines. Un médecin con- seilla le bromure de potassium et les douches.
grincement des dents, impossibilité de parler, mais pas de perte de con- naissance, pas de convulsions, en cinq ou six s
l'intervalle- très court des reprises le visage était grimaçant, des con- vulsions toniques, des muscles soulevaient les
opos d'une fracture de la clavicule qui avait déterminé un gonflement con- sidérable de l'épaule et l'attention du malade
cette main on pense immédiatement la syringomyélie. Tout d'abord, la con- formation est modifiée ; l'atrophie des muscles
main succulente, il subit une réduction assez marquée. En outre la con- tracture du poignet et de la main s'associe sou
taché il mettre en relief l'origine émotionnelle de la plupart de ces con- tractures, et l'influence d'une idée fixe consc
consulter au mois de mars 1895, à la Salpêtrière, pour des accidents con- sécutifs à un traumatisme. (1) Année 1888, p.
déterminée par une hyperesthésie dorsale. Cette hyperesthésie est la con- séquence de cicatrices anciennes consécutives à
que les veines périépendymaires sont le siège de périphlébite et sont con- tenues dans des espaces élargis. Au niveau de
gibbosité, et qu'elle ne coïncide avec aucune modification de leur con- sistance ou de leur volume. . La douleur de l
fforts de la thérapeutique : l'intervention mécanique y est nettement con- tre-indiquée. Restent les ataxiques parvenus à
7 Sur des coupes fines colorées par la thionine en solution aqueuse con- centrée, déshydratées et éclaircies par l'alcoo
du spongioplasma se disposent en un réseau très fin et pâle qui se con- tinue avec la trame fibrillaire de l'expansion
- ' ' A. Les cellules mesurent de 37 à 40 N sur 24 à 25 ? elles ont con- s81vé'leur forme, multipolaire (Fig, 3, planche
u niveau de la lu.' vertèbre cervicale. Or, dans ce cas, les troubles con- sécutifs se sont réduits à une paralysie motric
sée à une paralysie motrice des membres ; les troubles du sentiment con- sistaient dans un engourdissement de tout le cô
rement dite n'est pas déviée ; l'axe général du carpe et du métacarpe con- tinue en ligne droite celui de l'avant-bras. L'
' Parmi celles-ci la théorie musculaire et par conséquent nerveuse con- vient heureusement à bon nombre de cas qui n'on
uide. C'est ce centre que chez M. S..., pour une cause que j'ignore con- naît-on le déterminisme exact des arrêts de dév
et toujours quelque muscle, antagoniste ou correctif, intervient pour con- server la rectitude de la flexion. Ce sont là
ossède peu de névroglie et surtout la substance gélatineuse qui a une con- sistance faible s'oppose à peine au processus d
plication qui appartient en propre à la syringomyélie qui réalise les con- ditions d'atrophie musculaire capable de produi
l n'est pas caractéristique ou du moins il n'est caractéristique qu'à con- dition de donner au mot myoclonie un sens telle
e lui a donnée Lasègue; et c'est bien cette signification que lui ont con- servée Lorain et Brouardel à qui il doit d'avoi
strophies générales et d'autres où il a été consécutif à des maladies con- génitales ou acquises. Ces derniers faits sont
italiens qui se sont attaqués dernièrementà cette question tendent à con- fondre l'infantilisme et le féminisme ; la conf
. « L'infantilisme est un syndrome morphologique caractérisé par la con- servation chez l'adulte, des formes extérieures
e. Aucun de ces trois sujets, quoique myxoedémateux, ne présente la con- formation générale des infantiles myxoedémateux
lement avec celle des fentes branchiales ; qu'elle ne présente nulle con- nexion avec la répartition normale du système v
III. C'est ainsi que l'hypothèse développée par Blaschko était déjà con- tenue en germe dans le mémoire de Philippson. D
- miner avec sécurité des points de repère sur le vivant. En ce qui con- cerne le crâne, la difficulté est encore plus g
isfaisante. Elle se rattache à une autre question qui est encore fort con- troversée, celle de la régénération des élément
on b équivaut au prolongement cylin- draxile du neurone ; elle va con- courir à former une racine pos- térieure et p
encer à, se servir de ses bras, mais il ne pouvait marcher : on était con- traint à le porter d'un endroit à un autre, com
ons il existe dans la paralysie infantile un processus portant sur la con- figuration et sur la texture de l'os, processus
cuisse droite, 42 centimètres ; cuisse gauche, 40 cent. 1/2; adipose con- sidérable de la cuisse. Oiis. XII. Hémiplégie
ée. . Le malade de l'observation XIX est plus sévèrement louché; la con- tracture est plus manifeste. Mais il nous l'a d
côté hémiplégie. Après une courte période de paralysie flasque, la con- tracture se montre. Le malade se lève, il march
Il s'est produit,ces derniers temps,un notable accroissement de nos con- naissances concernant la structure fine de la c
diquer-aujourd'hui sa noble origine, spontanée et intrahumaine. Il ne con- .362 HENRY MEIGE .serve guère que pour mémoir
larges. Le maxillaire inférieur est très développé, d'où prognatisme con- sidérable ; les dents de la mâchoire inférieure
santé excellente sauf dans sa huitième année pendant laquelle il a con- tracté la rougeole. D'une intelligence très viv
es. Chez notre malade, la radiographie a bien montré l'hypertrophie con- sidérable du tissu osseux qui va augmentant de
et proliférants, au fond grisâtre et purulent. Ces ulcères, isolés ou con- fluents, s'étendent en profondeur, mettant à nu
tel ensemble de difformités est bien souvent le fait de la Lèpre. Il con- corde d'ailleurs avec l'aspect des figurations
de chaussures à ses moignons. Le haut de son corps est affreusement con- trefait : le dos bossu, des bras trop courts, d
syphilis qui ravagea, dit-on, l'Europe entière à cette époque. Cette con- jecture est ingénieuse ; mais il ne faut pas ou
si pitoyable personnage ? Un tel degré d'amyotrophie accompagné de con- tractures de cette sorte est chose peu fréquent
57 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ssance de certaines substances sapides ou odorantes, d'ailleurs peu con- nues de lui, on ne peut guère les attribuer qu'
ur toute la longueur du membre. La même sensation se produit par le con- 26 CLINIQUE NERVEUSE. tact. L'application du
guère que trois qui aient présenté des troubles vasomoteurs, ayant con- sisté en une hypéridrose de la plante du pied g
t représenté par une symptomatologie complètement différente, qui a con- sisté en surdité psychique et en lourdeur de tê
on 1 Du rôle de la décompression brusque dans les accidents nerveux con- sécutifs aux explosions du grisou. ' DES ACCI
s la décompression, douleurs violentes ci l'épaule gauche, perte de con- naissance, douleurs intenses aux diverses -arti
ur l'OBSER1'ATIOY XXV. Les symptômes du début de ces quatre cas ont con- sisté en des symptômes : a), Céphaliques ; b),
Ces troubles qui ont existé chez le malade de l'OBSERVITION XXV ont con- sisté en aphasie motrice et en surdité psychiqu
ement au moins appa- rent de l'estomac, ou autre symptôme gastrique con- comitant. La durée de ces douleurs a été très c
ent institué. Etat du malade (18 novembre 1883). L'amélioration est con- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 83
ctent seule- ment au moyen de ces manoeuvres, mais n'entrent pas en con- tracture. Faisons remarquer à ce propos que les
rer l'im- possibilité de la simulation s'appliquent aussi bien à la con- tracture somnambulique. ET PETIT HYPNOTISME.
d'expériences. C'est ainsi, par exemple, que le développement de la con- tracture léthargique peut nécessiter au commenc
E CRITIQUE. Tous les caractères somatiques de l'attaque hystérique, con- tractures, mouvements convulsifs, grands mouvem
bénéficier au point de vue médico-légal de l'immunité que peut lui con- férer cet état. Or, comment peut-on démontrer à
lo est, dans les conditions normales, sujet à des fluctuations très con- sidérables. Mais, dans l'immense majorité des c
ance des aliénés qui lui incombent,que l'on néglige, par les moyens con- venables, d'augmenter l'admission en temps voul
rateur nommé en exécution de l'article 60 de la présente loi; 2° le con- joint ; 3° à défaut du conjoint, les ascendants
ication. L'opposition est jugée par le tribunal civil en chambre du con- seil. » (Adopté.) « Art. 28. En aucun cas, l'
à substi- tuer, comme le demande M. Paris, les mots « pourront être con- duits » à ceux-ci : x seront conduits». L'admin
état habituel de démence ou d'imbécillité, qu'il ne puisse pas être con- sidéré comme responsable de ses actes. On peu
l de l'accusé. La décision du jury non motivée, ne l'oubliez pas se con- tentera de répondre négativement à la question
cin de Bicêlre, et, nous ne nous en plaindrons pas, car outre qu'il con- tient une critique judicieuse des idées défendu
lein de vues hardies originales et suggestives, qu'un style aisé ne con- tribue pas pour peu à faire agréer. Les notio
concours 2. Ceci rappelé, voyons comment il convient d'organiser le con- cours. Les uns ont proposé de faire un concours
lieues de leur pays. On ne peut songer d'autre part à instituer le con- cours par département : il est trop certain que
édecins adjoints à l'autre extrémité de la France. L'institution du con- cours et sa spécialisation par régions auront p
t à la collec- tion que j'ai décrite, il est vrai qu'elle n'est pas con- sidérable ; mais, à mon avis, elle n'en est pas
la statistique du tabes chez les femmes), la position sociale, les con- ditions de famille (on peut rattacher ici les c
rès honoré maître M. le professeur Kojewnikoff et à notre estimable con- frère M. le docteur Korsakoff, en les priant de
é connue, les ma- lades qui en étaient atteints ont été fréquemment con- sidérés comme sourds ou fous. Bernhardtcite l'e
seur Schafer et de Sanger Brown, ont donné un résultat différent et con- tredisent les conclusions de Ferrier. Ces physi
ar- lait, il s'arrête tout d'un coup ; il ne peut plus continuer sa con- versation, il criait. Ce nouveau trouble du l
Les jours précédents, il aurait fait plusieurs immersions dans des con- ditions exactement semblables comme profondeur,
nre dans mes notes. Les troubles auditifs présentés par mes malades con- sistent essentiellement, comme symptôme majeur,
écou- lés depuis le moment de leur invasion jusqu'à celui de notre con- sullation. Pas d'autres symptômes céphaliques.
On sait que par cette méthode, il est possible de donner à un sujet con- venablement préparé des hallucinations , des or
istrés jusqu'alors. Il faut donc répéter les observations, et cette con- dition aurait dû surtout être remplie par les a
ls des expériences antérieures ont été déjà faites. Or, cette seule con- dition suffit pour empêcher d'affirmer à propos
n de com- munication aux lobules linguaux. Il a été conduit à cette con- clusion par l'étude d'un cerveau présentant deu
al dans la substance grise ; quelques-unes de ces fibres entrent en con- nexion avec les cellules de la région moyenne d
ergents, suivant que la pupille restera immobile, se dilatera on se con- tractera. Les autres parties de l'oeil marquent
le soit exclusivement dans les cordons postérieurs (deux cas), soit con- curremment dans les cordons postérieurs et les
SAVANTES. un Allemand, un français, un Slave, cette forme permet de con- clure à l'ali;nation mentale. M. AUER13.CII (
tare névro- pathique, la guérison aura généralement encore lieu; au con- traire, dans les cas d'hérédité, de lacunes du
Voici en général ce qu'on observe en se plaçant dans les meilleures con- ditions opératoires. Immédiatement, après l'opé
lier des noms tels que Panizza et Buccola, ont étendu ou assuré les con- .RC.HIVE, L. X\'11. 22 3j8 F111âlOLOGII ? q
lauzaui, de Galvani. Ce nouveau chapitre d'histoire des doctrines con- temporaines des fonctions du cerveau ', n'embra
ue agit. La sensibilité musculaire (faculté de se rendre compte des con- tractions des muscles) semble être excessivemen
même la tète. Quant aux anesthésies dans les bras, elles sont bien con- nues, surtout depuis ces derniers temps. Par
analogies frappantes avec ceux de M. Fuczek, soit par les symptômes con- cernant la moelle épinière, soit par l'étiologi
tation énorme de l'estomac, la région gastrique formant une saillie con- sidérable étant presque bombée. Le malade expul
ion du lecteur sur les symptômes mentaux qui ont suivi la perte, de con- naissance et précédé l'invasion de la paralysie
3° (3 naurs lssl). - Troisiènze imnzca·sioaz fctite sozts les mêmes con- ditions que les deux précédentes comme profonde
séjour et décompression brusque, il redescend à jeun dans les mêmes con- ditions de travail. Immédiatement après la déco
ndrier restant en qualité d'infirme pour toute sa vie. Mais je dois con- fesser-que je n'ai pas encore observé de mort p
paississe- ment des parois du vaisseaux, une prolifération du tissu con- - 468 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. jonctif
oir établi' un certain nombre de faits nouveaux notamment en ce qui con- cerne l'évolution hallucinatoire et délirante.
58 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns postérieurs. Cependant, par divers côtés, ces coupes elles-mêmes con- sidérées isolément, diffèrent, des coupes d'un
affirmation reviendrait à vouloir transformer de fond en comble les con- naissances acquises sur la localisation intra-s
bservations nou- velles et de recherches anatomiques minutieusement con- duites ; car il faut des documents nouveaux pou
ons plus fréquentes de la glande pituitaire. Celte hypothèse semble con- firmée par les considérations d'ordre anatomiqu
UTIQUE. 63 Il s'en faut que l'abus du whisky donne lieu à des accès con- vulsifs comme en produit si fréquemment l'absin
olescents ou âgés. Chez les seconds le développement complémentaire con- sécutif ne s'obtient plus que pour le tronc et
uant à Thomas, il compte plusieurs aliénés dans sa famille et on le con- sidère dans le pays comme ne jouissant pas de t
s années, d'un grand nombre de procédés nouveaux, parmi lesquels il con- vient de faire un choix. , A chacun des éléme
sance, la clinique peut tirer quelque profit. Puisque la lésion des con- ducteurs de la motilité et de la sensibilité es
aient eu pour son mari les conséquences les plus douloureuses si sa con- duite leur avait donné seulement un semblant de
moment où les mouvements respiratoires commencent à se ralentir, la con- traction devient moins forte et disparaît compl
n rhéos- tat qui permet plus d'exactitude dans l'examen. Au premier con- grès international de neurologie, psychiatrie,
tions de dégénérescence, myotonique, de compression, de diatbèse de con- tracture, d'épuisement, etc.) sont des syndrome
XVI, 1897.) Comment s'élimine le bromure administré à hautes doses con- tinues aux épileptiques ? Ce problème est résol
ant le 15 juillet, les litres de communications ou lectures que les con- gressistes se proposent de faire. IV. Les rap
réu- nit au moins une fois chaque année, et chaque lois qu'elle est con- voquée par le Conseil d'administration ou sur l
oi- sins. Quand ceux-ci arrivèrent, ils trouvèrent AI. Rey, la face con- gestionnée et râlant. Ils le transportèrent dan
euses. Etat du 18 janvier 189G. Fillette de petite taille, chétive, con- sidérablement amaigrie. Rien de particulier dan
NERVEUSE. voie du diagnostic clinique. Le fait est que de douze cas con- nus, dans un seulement (celui de Bruns) on a pu
est ici que commence la cavité inférieure en forme de. sac à parois con- jonctives. Quant à la cavité supérieure où le
tre. C'est ainsi que certains délires post-opératoires doivent être con- sidérés comme d'origine urémique. M. Le Dentu a
l dès lors, le délire de dépossession s'accentue à tel point que le con- seil de surveillance des aliénés la fait interd
is qu'il- est toujours lié à un'état pathologique antérieur. (Cette con- clusion, mise aux voix, est votée d'acclamation
ants du congrès. Je remercie plus particulièrement les dames de nos con- gressistes. Piquées par la curiosité bien natur
nt lieu au tableau symptomatique de la démence sont encore très peu con- nues, ainsi que les altérations artérielles qui
me du devoir, il a été fauché à la lleur de l'âge par une diphtérie con- tractée au lit d'un malade au moment de devenir
s relatives il ,l'administration et à l'organisation des asiles. Il con- viendrait aussi de faire annoncer cette séance
o- minale ; quatre ans après, elle était internée, présentant de la con- fusion mentale, de la sensiblerie, etc. A l'asi
elles entre les directeurs et les médecins sont inévitables et trop con- nus pour que j'y insiste ; personne ne les nie
our les placer au-dessus des médecins, du moins en province, où les con- seils généraux se préoccupent plus des intérêts
quérir. L'ennui réel, presque unique des fonctions administratives, con- siste dans l'exercice de la police générale et
oeur, a fait comme elle, et le commissaire a eu beaucoup de peine à con- 'soler les deux enfants. (Le Soleil.) Asile p
iate- ment, brusquement, éclatent de violents maux de tête et de la con- fusion mentale avec anxiété. Les troubles intel
arquer qu'elle se trouvait absolument dans le même état et que, par con- séquent, elle verrait aussi sa santé physique s
places de cellules embryonnaires. La plupart des vésicules avaient con- servé leurs dimensions normales, leur épithéliu
ent que si, au point devue anatomo-palhologique, on est en droit de con- sidérer la maladie de Duchenne et celle de Char
tu- tion, de l'état de la nutrition, de l'âge, etc., et que nous ne con- naissons que peu ou point, sans compter le mode
du sexe opposé. Les cellules du germe s'interfèrent et ce sont les con- ditions de l'interférence qui expliquent les ch
éré- ditaire, ayant ce genre d'attaques à toute heure du jour, sans con- vulsions, sans altération de la connaissance; e
; il y a une grande gêne de la déglutition ; le marasme arrive, les con- gestions cérébrales se déclarent et la mort sur
elle se continue en bas et passe en la moelle épinière. Celle-ci ne con- tient alors que les cordons postérieurs et les
onc- tions de directeur du laboratoire. Renonçant à la carrière des con- cours pour se consacrer entièrement aux travaux
e la maladie..., ce que ne consentent pus il faire les préfets, les con- seils généraux, les maires, parce que cela coût
t bon; cependant il y a de l'anorexie, la langue est saburrale, les con- jonctives jaunâtres. Il se plaint de ne pouvoir
sole pendant plusieurs années. Elle vit dans un état d'exaspération con- tinuel, en proie aux hallucinations, invectivan
rtie inférieure du temporal, et le laissa pendant trois heures sans con- naissance. A la suite de cet accident se dévelo
férieurs. Les cuisses sont le siège d'un purpura hémorrhagique très con- fluent, surtout à gauche. Le foie parait consid
l le délire fébrile par ses hallucinations de la vue et ses allures con- fuses et démentielles ; il n'a rien de spécifiq
les efforts faits pour en ignorer les cas ou les tenir cachés sont con- jointement diminués. Il serait trop long de dis
toma- tisme épileptique, se distingue du grand mal par l'absence de con- mIsions. Une interruption, une lacune passagè
cher un des symptômes absolus de l'authenticité de l'accès, mais je con- seille de jeter un regard sur l'attitude du mal
ureux verraient leur peine atténuée ou seraient, en raison de leurs con- ditions mentales, placés ailleurs que dans une
la Seine, annexe de 1'llôtel-de-Ville. rue Lobau, n°2, à Paris, un con- cours pour la nomination aux places d'interne t
e des aliénés dans les hospices de Bicélre et de la Salpétoiére. Ce con- cours sera ouvert le jeudi 1e décembre 1898, à
vais- seau. Quand le prolongement est parallèle au vaisseau, il se con- fond avec les couches externes de l'advenlice e
acée par la prolifération névroglique (cicatrisation) ; dans le cas con- traire il en résulte un kyste ou une plaque jau
éphalite par Friedmann, au lieu de répondre à un besoin réel, a, au con- traire, amené une confusion dans les esprits Gr
ation des phé- nomènes psychologiques on pouvait aussi utiliser les con- naissances de plus en plus précises que nous av
s pro- viennent de la diminution de son pouvoir de nutrition et par con- séquent doivent être traités dans ce sens. Nous
s la direction, le courant de celles-ci, l'association des phonèmes con- sécutive, qui aboutit à l'allittération, ne suf
e de la couche limitante et l'intégrité de sa partie postérieure en con- nexion avec les cellules des cornes postérieure
là qu'est prévu le passage aux cellules motrices, facilité par des con- nexions spéciales, de sorte que c'est la que le
uber- cule quad1'ijll1neau antérieur en gagne la couche profonde et con- tribue à l'entrecroisement fontainlforme de Mey
e ses conceptions mnémoniques antérieures, et aussi la faculté d'en con- server de nouvelles dans sa mémoire; il voit le
59 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne disons pas in- corrigibles, puisque nous voudrions qu'on essayât con- tre eux une légère peine. En cfl'et, quelle que
n de sem- blable ne se répéta avec moi ni avant, ni après. Cethomme con- naissait mon père, je pourrais passer pour sa t
s vieux règlements en vigueur vont imposer un'nouveau stage que des con- ditions, que je qualifie à nouveau d'cxtra-prof
nt le périmètre et la surface de l'élément nerveux, ce qui crée des con- ditions prop res ci une activité plus intense e
pour résister à leur appétition habituelle et le résultat de cette con- trainte morale que le malade exerçait sur lui-m
soude, eaux naturelles diurétiques. Dans le second cas, il est, au con- traire, nécessaire de favoriser la nutrition, d
ur la raison qu'il n'existe pas d'autopsie avec examen histologique con- firmant cette complication, je crois intéressan
es unes des autres spécialement dans le grand fessier, par du tissu con- jonctif net avec un assez grand nombre de noyau
ortie sont réservés au médecin en chef . Les médecins adjoints sont con- voques aux séances de la commission de surveill
u, s'en vont aux cellules; en se ramifiant dans le protoplasma, ils con- servent leurs parois sur une certaine étendue ;
nctionnement mental dans l'échelle ascendante des animaux, l'auteur con- clut. Actuellement prédomine presque universe
normale indique que la substance du muscle a son excitabilité et sa con- tractilité normales ; est-elle accentuée, c'est
lors. Tandis que les idées sexuelles acquises par les lectures, les con- versations.les exemples, ne laissent dans l'esp
pa- ble de la réciter à haute voix ; il a de mauvaises notes et est con- sidéré comme paresseux ; c'est un graphique aud
outil et le neurasthénique comme un travailleur qui n'aurait aucune con- fiance en la solidité du sien. » , D'après ce
'atta- que ; on éprouve de la résistance quand on veut les ouvrir ; con- servation de la réaction pupillaire ; conservat
urs l'un de ceux qui intéressent le plus vivemen t la maj orité des con- gressistes. Cette année, la vieille question de
tologique delamoelle, chez des amputés, par exemple. Et M. Brissaud con- clut qu'il vaut peut-être mieux réserver, avec
nent guère à l'asile d'aliénés, mais qui fréquentent assidûment les con- sultations des divers spécialistes (gastrologue
réer » - Il n'y a qu'une restriction à faire et que tous nos élèves con- naissent bien aujourd'hui, c'est que dans certa
ou disparaisse au bout d'un certain temps, sans avoir recours à la con- tracture. D. Au point de vue palhogénique, on
que et clinique. Dur FOVEAU de GouRMEt.LEs (de Paris). Les courants con- tinus appliqués sur la région crânienne, et à f
nulle au- trepart, cette médication nedoit autant tenir compte des con- ditions sanitaires et des réactions individuell
le rappor- teur s'attache à montrer combien il est indispensable de con- naître à fond, et non pas seulement dans leur e
u concours de l'adjuvat on exigeât des candidats la preuve de leurs con- naissances en balnéothérapie et en électrothéra
sance hépato- rénale phénomènes stéréotypés et catatonie) et sur la con- servation des sentiments affectifs et l'intégri
une vérita- ble névrite optique avechyperhémie de la pupille qui se con- fond avec le reste du fond de l'oeil et traînée
formule le voeu suivant : Le Congrès de Rennes, considérant que le con- cours unique, tel qu'il fonctionne actuellement
que fois, les urines contiennent de l'albumine, alors qu'elles n'en con- tiennent pas dans les intervalles. La cause o
rend pos- sibles un peu d'exercice physique, une alimentation plus con- sidérable, etc. Ces résultats ne sont pas sans
s fonc- tions de la partie végétative. Cette étiologie de la fièvre con- somptive, dite nerveuse, n'est pas vulgaire. Le
ementin- termédiaire, et à l'arrière est le siège de la mémoire qui con- ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE. 213
icale, c'est-à-dire le galénisme etl'arabisme, il fallait fonder la con- naissance de la nature humaine sur une base plu
mortelle- ment. Sa femme lit quelques pas et tomba à son tour sans con- naissance pendant que le meurtrier s'enfuyait.
t au prix d'une énergie surhumaine que llulse parvint à se défendre con- faits DIVERS. 25D tre le forcené et à éditer
ontaire du membre correspondant. Le professeur Marinesco (1) a fait con- naître le cas de deux jeunes gens auxquels on a
du jambier anté- rieur produit « un mouvement associé involontaire con- sistant dans l'élévation du bord interne du pie
nt .dans les parties inférieures du système nerveux ne lui sont pas con- nues. Ce sont des réflexes ; or « la fonction d
en s'agrégeant, forment la conscience. Le développement anatomique con- corde avec la complexité croissante de l'activi
e se- rait une désorganisation absolue. Nous avons l'expérience des con- cours régionaux, celles des concours centraux ;
des con- cours régionaux, celles des concours centraux ; un nouveau con- cours ne donnerait pas un recrutement supérieur
ecrutement du corps médical ; émet le voeu : « Que ce concours soit con- servé dans les conditions actuelles.»» Le v c
ugmentera à mesure que la neuropathologie agrandira le champ de ses con- naissances. F. TISSOT. IV. Contribution à l'é
deux mains : c'est pourquoi il y achéiromégalie. Il existe donc un con- traste remarquable entre l'état des os et celui
per- plasie de leur adventice, puis dans la végétation de feuillets con- jonctifs détachés de cette adventice et dissémi
yrin- gomyélie. )lais alors il y a peut-être lieu de modifier notre con- ception pathogéniquede cette maladie ' ? De la
monieu- sement prescrit à nos malades affaiblis, augmenteraient les con- ditions du bien-être général en allégeant certa
Blois. 111LETICIU (G.). Compte rendu des années ils\)1.1\)04, avec con- sidérations sur l'assistance des aliénés en Ito
le 15 janvier. Le Gmelin était il peine perceptible.. Les urines ne con- tiennent plus d'urobiline. SUS CLINIQUE MENTA
mie. Gabrielle, 24 ans. Père mort il y a trois 'semaines,. (l'tIJ1C con- gestion pulmonaire (la malade ne sait pas la mo
ressistes, no- tamment à ses membres étrangers et présenté quelques con- sidérations psycho-physiologiques sur la fatigu
a maladie ; les femmes, parmi les pav sans, ont fourni le plus fort con- tingent, tandis que, parmi les bourgeois, ce so
o : Rv.\TloNII. - .\ll'Ophie 11111 : : >l'lllail'e mélupaLllic¡ue ( con- tractions librillaire<). Caractère familial
pression des espa- ces lymphatiques péri-médullaires doit amener en con- séquence une stase dans les espaces lymphatique
'irrigation san- guine, ne donnent pas le droit d'interpréter comme con- séquence de troubles ischémiques. Pour ces cas,
t vides, concourt à la production de la stase lymphatique (la forte con- gestion veineuse constatée dans la moelle en se
en, la pie-mère, sont, surloul à la partie antérieure de la moelle. con- fondues presque à cause d'une énorme inlillrali
émités des mem- bres ne montre pas de persistance des cartilages de con- jugaison. La radioscopie du crâne ne décèle pas
aquelle MM. BALLET, BRISSAUDÜL Babinski n'accordent qu'une médiocre con- fiance. 1 ! ype¡'excitabilité électrique du n
es mâles et le développement du squelette ; etc. etc. travaux qu'il con- densa dans sa thèse inaugurale : Contribution à
ne, p. 160. - de Clermont (Oise), p. 160. - - laïques, p. 160. Un con- cert à l'- de Clermont, p. 255. ' Mouvement
78. , Moreau (de Tours). Voir 1'/ iJ : . MoRPHiNisME familial par con- tagion, par Briand et TibOt, p. 1. Muscles.
ales. Contri- bution à la définition de la mise en train ou de la con- tinuation des -, par Vogt, p. 324. Ophtalmo
e simultané de deux ju- melles, p. 412. Surdité verbale familiale con- génitale, pal Taguet et Fov. p. 131. Syphil
60 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
continue insensiblement en dedans avec la couche interne. Celle-ci con- ticnt des libres plus pâles, plus fines, groupé
nne rayonnante appartient au lobe temporal ; sa limite antérieure est con- stituée par la fusion du noyau amygdalien (NA)
nant à la zone réticulée du thalamus (Fig. 25). Par son aspect, ce con- tingent se distingue nettement des fibres du se
pied du pédoncule cérébral (Fig. 29 et 7). La couche inférieure est con- stituée par le faisceau temporo-thalamique d'Ar
transversales du système strio-1uysien; sa partie postérieure est en con- nexion avec le locus niger. Les coupes sériées
quatre cinquièmes internes s'infléchissent, changent de direction et con- tiennent un très grand nombre de fascicules obl
bral. Les fibres de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral con- tiennent donc des neurones corticaux du locus n
ur oculaire commun; 2, par la protubérance au-dessus de sa plus forte con- vexité ; 3, par la protubérance au-dessus de l'
etc. Nous étudierons successivement les dégénérescences secondaires con- sécutives : 1° Aux lésions très étendues de l
e (Cge, Cgi) (Fig. 69-72), de la zone de Werniche (W) et une atrophie con- sidérable de la zone réticulée (Zr) et des diff
de la couche optique. Si ce cas nous renseigne parfaitement sur les con- nexions de la corticalité cérébrale avec le tha
circonvolution temporales, la partie inférieure de la capsule externe con- tiennent de nombreuses fibres dégénérées (Fig.
é- rescence manifeste de la pyramide antérieure du bulbe laquelle con- tient néanmoins un nombre consi- dérable de f
l. Lorsque c'est le segment moyen de la couronne rayonnante qui est con- jointement lésé (cas Racle, Fig. 165 à 173), la
onduleux, denses, serrés et parallèles, et forment presque une couche con- tinue (Fig. 161). A première vue le segment pos
1). A première vue le segment postérieur de la capsule interne paraît con- lenir un grand nombre de fibres de projection,
e et de la Cas Racle. Hénll- plégie droite avec aphasie. Lésion con- tralo ; destruction du putamen, du tronc du
rieure, s'enfonce dans la sub- stance giise du tuber cinereum où il con- stitue la strie blanche du tubercule cendré,
) et postérieur de la capsule interne (Cip, Fig. 203, 204 et 205) qui con- ,Íenennt de nombreuses fibres à myéline. Le put
male qui longent la paroi externe de la corne sphénoïdale avant de se con- tinuer avec les segments rétro et sous-lenticul
- Du même. Recherches anatomo-puthologiques et physiologiques sur la con- tracture permanente des hémiplégiques. Th. Pari
acial su- périeur. 222 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Mouvements con- jugués do la tête et des yeux. Zone du memb
issent sur les fonctions visuelles qu'en atteignant et détruisant les con- ducteurs centraux de la vision qui passent par
r lésion capsulaire. La première, rapportée en 1880 par l'un de nous, con- cerne un cas de monoplégie du bras droit accomp
monoplégies cl'urales par lésions de Cip, il n'en a pas été, il notre con- naissance rapporté jusqu'ici d'exemple démonstr
projection destinées au noyau amygdalien. Dans leur ensemble, elles con- stituent le neurone de deuxième ordre de la voi
ES NERVEUX. Fimbria ; i corps bor- dant ou bordé. Fibres qui la con- stituent. u Alveus. Son segment intr. v
quelle apparaît le tronc du corps calleux.. , Le corps du trigone con- tient, des fibres de la fimbria et des fibres
rni\ longus. Lo fornix longus des mammifères ma- crosmatiques con- tient des fibres am- moniques fournies par
et 282), le corps strié (noyau caudé et putamen) n'est donc pas en con- nexion directe avec la corticalité cérébrale et
ls sont entourés d'un dense feutrage interradiaire dont les fibres se con- centrent entre les segments du globus pallidus,
caudées, fibres radiées ou lames médullaires du noyau lenticulaire), con- vergent toutes vers le sommet du noyau lenticul
l nu sur un cerveau frais, après ablation de la bandelette optique, con- tourner le pied du pédoncule cérébral au niveau
t en effet exceptionnel, même dans les vastes lésions centrales, de con- stater une destruction totale du corps strié et
ns corticales rapportés plushaut (p.91 et suiv.), nous n'avons jamais con- staté une dégénérescence isolée du noyau antéri
de ces dernières traversent la commissure molle et établissent une con- nexion entre les deux lames médullaires interne
profonde. - E, faisceau des voies optiques centrales. -1 ? fibres se con- tinuant dans la bandelette optique. - L, la par
genouillé externe, c'est-à-dire les ganglions centraux de la vision, con- tiennent surtout des fibres thalamo-corticales,
érescence. Nous l'avons appliquée dans plusieurs cas et nous avons pu con- stater qu'à la suite de lésions corticales réce
ébrale. 2. Connexions de la couche optique avec le corps strié. Les con- nexions de la couche optique avec le corps slri
s de manteau cérébral. Son volume parait être, d'après Edinger, con- trairement à Lothei- sen, proportionnel au
porterait en arrière (de là son nom de fasciculus relroflexus) et se con- tinuerait avec les libres antéro-internes de la
quel s'est joint le faisceau de Turck (FT), c'est-à-dire les éléments con- stitutifs du pied du pédoncule cérébral qui aff
externe du noyau rouge, s'accolent aux radiations de la calotte et con- courent à former les fibres longitudinales de l
une saillie très marquée chez le foetus et le jeune enfant, presque con- stante chez l'adulte, l'éminence sacculaire (Re
le et les stries olfactives. Ces formations véritable lobe cérébral con- tiennent les voies olfactives centrales. 2. v
panachée pénètre dans le glomérule olfactif et dont le cylindre-axe con- court à former les radiations olfactives superf
ments centripètes. Elles occupent la couche interne de la rétine au con- tact immédiat de la membrane hyaloïde, sont dép
ent le faisceau optique direct. Si les faisceaux nasal et temporal ne con- tiennent qu'une seule variété de fibres, le fai
rine, quelle que soit la position de cet îlot, la vision centrale est con- servée. Ceci concorde avec ce crue nous savons
Outre le système des fibres centripètes, l'appareil visuel antérieur con- tient encore une voie centrifuge. Décrites par
pos- sèdent ni contingent luysien,nicontingent lenticulaire, ni con- tingent pédonculaire. Commissure de Gudden.
traine une dégénérescence totale des deux bandelettes optiques qui ne con- tiennent aucune fibre saine. Ces faits ne sont
e. Lorsqu'on enlève la pie-mère et qu'on écarte les hémisphères, on con- state que le vermis inférieur, qui porte encore
du reste de l'hémisphère cérébelleux par une empreinte semi-lunaire con- cave en dedans, }' empreinte jugulaire de Henle
étendue, mais encore sur le nombre, la direction, le trajet et les con- nexions des lames et des lamelles qui les tapis
pare le lobe semi-lunaire inférieur (Lsli) du lobe grèle (Lbr). Il se con- tinue en dedans avec le profond sillon post-pyr
ilaire de l'occipital dont la séparent l'artère basilaire et un vaste con- fluent sous-arachnoïdien, le confluent basilair
tubérance (Fo), le ruban arqué de Foville. Leur existence n'est pas con- stante, et leurs dimensions présentent de grand
autre antérieure ou inférieure, l'étage antérieur de la protubérance, con- stitué par des fibres transversales qui relient
es de cette région et forment deux gros et courts cordons aplatis qui con- ' 1 vergent en haut et sont reliés entre eux pa
Le versant supérieur, oblique en bas et en arrière, est légèrement con- vexe, et proémine dans la cavité ventriculaire.
à 435). Il affecte sur ces coupes l'aspect d'un noyau volumineux, à con- tours lisses, renflé en avant, mince et effilé
la base d'insertion du nodule, permettent seules de reconnaître les con- nexions intimes qui unissent l'extrémité postér
irculaires externes (fsme) et internes (fsmi) entrent surtout dans la con- stitution du pédoncule cérébelleux inférieur (P
Weigert-Pal, un aspect strié ou tacheté spécial qu'il doit au nombre con- sidérable de fascicules qui le sillonnent. Il e
t représentée que par un petit amas névroglique, aplati ou arrondi, con- tenant le noyau arqué et situé au-devant de la
si chez l'homme les fibres aberrantes de la voie pédonculaire ne con- courent pas à former ce tractus. Lorsque sa p
avec la substance gélatineuse de Rolando de la corne postérieure, et con- tient le noyau de terminaison de la parlie sens
t H 20, Fig. 401), les trabécules gris de la formation réticulée se con- centrent en une masse arrondie bien délimitée,
trajet protubérantiel et pédonculaire du faisceau qui porte son nom, con- corde parfaitement avec nos connaissances actue
tance grise situés au sein de ces faisceaux. Le ruban de Iteil médian con- tient, en outre, un certain nombre de petits fa
(NR1, coupe H2, Fig. 395); ils envoient, en effet, à ce faisceau un con- tingent important de fibres. Le ruban de Reil l
oloration plus intense de ses fibres par la laque hématoxylinique. Il con- serve cette forme d'aile dans toute la région p
e antérieure du lobe grêle est encore sur la coupe S6 (Fig. 414) sans con- nexion avec la substance blanche centrale; l'ax
nce grise, le noyau latéral (NI), qui sépare le ruban de Reil du bord con- vexe du pédoncule cérébelleux supérieur du côté
fascicules arrondis, aberrants de la voie pédonculaire ; cette partie con- tient en outre des amas diffus de substance gri
Ce pédoncule forme sur la coupe un faisceau épais et volumineux, sans con- nexion encore avec la substance blanche du cerv
tuée en avant de l'olive supérieure ou protubéranlielle et qu'on peut con- sidérer en grande partie comme appartenant au r
pédonculaire, ne provenant pas du pied du pédoncule cérébral et ne se con- tinuant pas directement avec les fibres radicul
rallèles de I'e ? t'e-c ? -0 ! se7) : en< commissural (Eca) qui se con- tinuent de chaque côté avec les fibres semi-cir
fibres du groupe externe (fsme) forment en avant un large faisceau en con- Fie. 431. - Face latérale du rhombencéphale ave
) et par le bouchon (Nem), formant ainsi deux faisceaux très nets qui con- vergent en avant pour former le pédoncule céréb
eur, grâce à la profondeur du sillon transverse antérieur (sta). On y con- state deux sortes d'entre-croisements : le post
la lingula et des noyaux du toit. La paroi antérieure ou plancher est con- stituée par la calotte ]J1'otuúérantielle et pr
reçoit le faisceau cérébelleux direct, faisceau d'origine médullaire, con- stitué par les cylindres-axes des cellules de l
ordons antéro- latéraux de la moelle; que la couche inte1'J'éticlllée con- tient, à sa partie postérieure, les fibres desc
qui en dérivent; la partie antérieure de la couche inle1'1'éticlllée con- tient surtout des fibres en connexion avec le c
yramide est adossée en arrière à la formation réticulée blanche (SRa) con- sidérablement réduite et dont un grand nombre d
ntiennent un riche et dense feutrage de fines fibres à myéline qui se con- centrent sur certaines parties des noyaux, ento
an antérieur, qui atteint dans cette région une grande profondeur. On con- state sur cette coupe, comme sur la précédente
noyau de Goll (NG) affecte une forme en massue ; son bord postérieur con- vexe est encore large, sa base devient de plus
cellulaire, traverse la couche rouillée, granuleuse ou interne, el se con- tinue avec une fibre il myéline de l'arbre de v
rnes sur les coupes sagittales. Le faisceau falci- forme et ses con- nexions avec le pé- doncule cérébcllew infé
61 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
pyramidal qui n'a pas encore effectué son entrecroisement avec son con- génère, et qui ne l'effectuera qu'à la partie i
couverte a ouvert le chapitre des hémiplégies alternes et qu'ont fait con- naître dès 1855-1856 les travaux de Millard etd
tièrement disparu et avec eux le syndrome de Weber. De là, on peut con- clure qu'il n'y a pas eu destruction des noyaux
assurera la circulation dans les branches terminales, il n'y aura en con- séquence aucune lésion des lobes occipital et t
normalement, avec assez d'énergie. Le dynamomètre donne 29 de ce côté con- tre 35 à droite, mais notre malade exerce surto
lontaires est également accusée par le malade (sensibilité musculaire con- servée). Le sens stéréognostique est par cont
se doutent de leur position, ils n'ont donc plus aucun élément pour con- naître l'objet qu'on a mis dans leur main ; joi
ort' avec l'étendue de la lésion, nous relèverons surtout cette autre con- clusion à savoir que ce sont principalement les
distingue les fibres d'association des fibres de projection, elles se con- fondent dans la substance blanche inséparable,
constitue l'accessoire le plus symbolique de son modeste cabinet de con- sultation. C'est là que le client a pris plac
verticales, elle entraine nécessairement une dépense musculaire plus con- sidérabie. C. Marche EN poussant OU EN tirant
a charge est ici supportée par les bras et elle ne se déplace qu'à la con- dition d'être poussée en avant. Cette forme de
Pendant toute la durée de l'oscillation, le quadriceps maintient sa con- traction, jusqu'au moment où le pied prend cont
s que dans un avenir prochain, les recherches anatomo-pathotogiques con- firmeront les idées ci-dessus énoncées sur l'ét
sa fonction thyroïdienne, mais sa fonction parathyroïdienne aurait con- servé son intégrité. En effet, si par sa tail
sme, la syphilis, la tuberculose, la cachexie palustre, les mauvaises con- ditions de nourriture et d'hygiène, contribuent
t de rigueur aujourd'hui. Les beaux travaux de M. Mertoghe ont fait con- naître que, dans le myxoedème infantile, le dév
gine à une sorte de diathèse ossifiante, qui peut être héréditaire ou con- génitale, mais peut également s'acquérir, surto
suchung liber die Mltsloeln, 1G`) est celui d'un homme dont le métier con- sistait à former avec ses pieds des mottes de t
en périmysium interne, la tumeur est uniquement formée par du tissu con- jonctif fin, muni de grosses cellules et de nom
qu'il s'agit là d'un tissu embryonnaire muni de nombreuses cellules con- jonctives. Celles-ci proviennent de la prolifér
les sont dues à l'étranglement des faisceaux musculaires par le tissu con- jonctif rétractile, à un trouble de la nutritio
idio-musculaire; Pincus a noté, au contact des masses osseuses, des con- tractions fibrillaires intenses qu'il attribue
Plus tard, arrive l'atteinte des muscles du bras et de l'avant-bras con- duisant le plus souvent à l'ankylose du coude.
morphologique de l'infantilisme. Et c'est aussi celui du myxoedème con- génital : tout'le corps semble infiltré d'une g
dans les membres supérieurs et inférieurs. Les globes oculaires sont con- vulsés. Cette crise dure environ cinq minutes,
us plus fréquents, et plus intenses et c'est. ce qui l'a déterminée à con- sulter. Quand les secousses se répètent, elle é
1 point nous sommes dans le vrai. Un point qui nous semble hors de con- testation, c'est la présence de lésions dans le
nce contractile et de ses filets nerveux (llallenhoff). L'hyperplasie con- jonctive, constatée dans les deux stades anatom
haux dans les selles et les urines que dans les ingestats, on peut en con- clure que le processus ossifiant fait encore de
... n'a jamais eu de vertiges ; il a un caractère vif et emporté et a con- servé toute son intelligence. Autopsie faite
. La zone de Lissauer est altérée. Le centre ovale de Flechsig paraît con- servé. Même dans les parties les plus altérées
le accumulation du liquide au-dessus d'un cerveau peu développé fit con- sidérer ces cas comme une hydropisie de la dure
ignent d'une intention satirique évidente, à la fois contre l'aveugle con- fiance des malades et contre l'audacieuse fourb
eintre, dont je n'ai pu retrouver la trace dans les ouvrages que j'ai con- sultés. C'est sur une fiole de pharmacie déposé
antes de la démarche; X... marchait comme une femme ivre. Elle n'en con- tinua pas moins son métier de couturière pendan
bration, de la perte de l'ouïe et de la perte de la vue. Pour vous en con- vaincre, si vous ne l'êtes. déjà, il me suffira
1). Une racine externe appelée encore postérieure ou cochléaire qui con- tourne le pédoncule cérébelleux inférieur, et q
a sensation tactile ainsi que la sensation de la pression. 11 y a une con- tradiction fondamentale entre les chiffres des
Sur la voûte, où les deux fosses pariétales sont dissemblables comme con- formation ; 2° Sur la base du crâne, où l'asy
Observation (communiquée par M. le Dr 13AnTnr : r.EUY). - Père ayant con- tracté la syphilis en 1879, et n'ayant subi de
re, s'interprète fort bien par la théorie actuelle des neurones. Elle con- firme même l'idée de la solidarité étroite qui
me couleur, même dureté, même direction des fibres, et le périoste se con- tinuant avec celui de la clavicule, tout est se
0,40, trois fois par jour, avec légère diète; la maladie semble être con- jurée. Plus tard de lasalspareille et II; mais
nose, la perte de connaissance, la cessation de la respiratiou et des con- vulsions violentes sans que le vague et le phré
yaux durs, isolés. Ankylose des épaules, les bras sont presque serrés con- tre le tronc. Avant-bras normaux. Dureté et rai
la limitation des mouvements du bras et de la jambe. Mais en ce qui con- cerne le grand pectoral, privé de part et d'aut
fillette de 3 ans est atteinte d'une hémi-hypertrophie faciale droite con- génitale à marche progressive. La joue droite t
iée à gauche ; sa moitié droite est plus volumineuse, plus bombée. Sa con- sistance est uniforme, ses mouvements sont cons
. Au point de vue descriptif, les cas acquis se rapprochent des cas con- génitaux ; cependant l'évolution et la physiono
t fixée et déviée vers la gauche. Scoliose de la colonne vertébrale à con- vexité droite. Le 20 mai éruption de la peau
u coude gauche, saillie formée par un nodule irrégulier paraissant en con- DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 39o nexi
et lorsque 40 ans plus tard la mort mit uu terme à ses travaux, il ne con- sidérait pas comme terminée la tâche qu'il s'ét
la Salpêtrière, où se trouvaient réunies en grand nombre, et dans des con- ditions particulièrement favorables aux recherc
s'est accomplie, depuis une trentaine d'années, dans notre manière de con- cevoir la structure, les fonctions et la pathol
res nerveux de leur activité régulière ; on peut dire que pour ce qui con- cerne les maladies du système nerveux, il a pré
étudions ici. Mais nous les avons négligées à dessein et réservé les con- sidérations précédentes à une catégorie spécial
de l'angulaire. « Tous les muscles, déclare Duchenne, qui par leur con- traction isolée, impriment à l'omoplate un mouv
en masse de l'omoplate en arrière, en dedans et en haut. C'est, par con- séquent, le rejet, dans même direction, des mus
e. Il y a donc, nous le répétons, un ensemble de faits suffisamment con- cordants pour permettre d'établir un rapport en
frappant de caractère, elle était irritable, s'emportant à la moindre con- tradiction, puis tombant dans un état de torpeu
cipitation. Dans les moments de calme apparent, sa mémoire paraissait con- sidérablement affaiblie. Le 30 janvier un ami d
rès avoir été opérée elle se lève, et curieuse de voir l'arrivée d'un con- voi de blessés, elle ouvre toute grande une fen
l'évolution de la maladie. Nous ne prétendons pas d'ailleurs tirer du con- traste entre les signes physiques et fonctionne
térique de cette étrange crise d'oppression. Et cette présomption est con- firmée pleinement par l'étude approfondie de la
Le domaine du grand dorsal est envahi par une tumeur saillante, de con- sistance cartilagineuse, immobile; seules, les
° Lésions en connexion avec les glandes. - On sent une corde dure, un con- duit lymphatique ossifié ( ? ). Dans l'aisselle
62 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rs, l'abolition du réflexe plantaire et l'absence de tout phénomène con- vulsif médullaire' : ' ' ' . < 1 ( 1 1 ' '
observe leur manière d'être dans le service, nous amènent à la même con- clusion. Bien des malades en entrant ici pleure
personnes de son entourage remarquent quelques bizarreries dans sa con- duite et dans ses paroles. En l'interrogeant, e
nt oublié ce dont on l'avait chargée l'instant précédent. L'hypnose con- siste simplement à reproduire artificiellement
ant conti- nuellement, entrecoupé de spasmes et de petits accidents con- vulsifs. Un jour, dans un de ces états somnambu
e. Voici ce qui se passa après cette opération faite, bien entendu, con- formément aux prescriptions rigoureuses de l'an
cousin germain de sa mère, est également devenu fou, à la suite de con- trariétés et d'ennuis de. famille et a été enfe
te d'une violente crise de nerfs. Mais comme il était honteux de sa con- duite n'osant rentrer, il a attendu que la nuit
a. Appelons-les conceptions délirantes mobiles. Il existe aussi des con- ceptions délirantes fugaces qui, après avoir du
t, il suffit d'une lésion extrêmement fine pour la supprimer. Revue con- firmative des observations existant dans la sci
1891.) Observation sui generis offrant quelque parenté avec le tic con- vulsif, et dépendant probablement d'une hyperex
plets, ris- quons de faire monter sur l'échafaud un homme dont nous con- naissons à peine l'histoire pathologique. SOC
mo- tifs de haute convenance qui s'opposent à ce qu'on vote aucune con- clusion à son très intéressant et très étudié r
les aliénés pauvres incurables et non dangereux; que, par suite, il con- viendrait que les départements (Loender), venan
nce avec amnésie des faits récents. La simulation découverte, on le con- damne à quinze ans de travaux forcés. Nouvel ac
iaires qu'ils trouveront le traitement hygiénique et moral qui leur con- vient. Ils en sortirontdipsomanes comme devant,
u mot. On apprend, d'après lui, à se servir d'un mot en exerçant un con- trôle continuel à l'aide de l'oreille et en com
langage ' des lettres) dépend de l'intégrité des trois éléments qui con- courent à l'épellation (élément imagé, élément
up plus compréhensif que les schémas des centres de la parole comme con- ducteur dans l'examen des symptômes en question
clo- niques affectant la partie droite du corps et de la face. Ces con- vulsions existèrent pendant une année et revena
ne, 1891.) Chez un garçon de douze ans, atteint d'une hydrocéphalie con- sidérable, l'auteur pratiqua la trépanation, la
dro- céphalie aiguë fébrile depuis quatre jours. Délire, strabisme, con- tracture de la nuque, inégalité pupillaire. M.
maillet. La dure-mère fut ouverte accidentellement et une quantité con- sidérable de liquide cérébro-spinal s'échappa.
première non pas seulement par le remaniement fait par le maître du con- texte didactique, mais encore par la forme plus
ois que les besoins de la Société l'exigent. Il peut, après avis du con- seil d'administration, accepter des dons et leg
es; mais il ne peut agir qu'en vertu des délibérations spéciales du con- seil d'administration. Il rend compte de sa g
istration. Il rend compte de sa gestion à la fin de chaque année au con- seil d'administration, lui soumet le budget de
con- seil d'administration, lui soumet le budget de l'année et fait con- naître tous les mois au comité de direction l'é
sus du plancher. Le cadavre était raide, et une main serrait encore con- vulsivement une extrémité de la corde. Après en
s le cas où l'administration préfectorale de la Seine voudrait bien con- tinuer l'application d'une mesure qu'elle avait
t avec un mot compromettant, causent une vive angoisse, ou bien, au con- traire, amènent le calme s'ils surprennent le m
.E. 'Ii1 Dès son enfance, elle a eu des scrupules religieux que les con- seils inopportuns de la mère n'ont fait qu'exag
rminées, les urines pra ? -paroxystiques sont plus toxiques et plus con- vulsivantes que les urines post-paroxystiques.
iagnostic important et la connaissance de ce fait peut empêcher les con- troverses que des expériences consécutives pour
pira- tion superficielle et très accélérée déjà; - A 70, ébauche de con- vulsion toxique généralisée; A 72, secousse tox
utes de 272 c. c. Pendant les 100 premiers c. c., pas de myosis, au con- traire, dès le début, mydriase légère; vers 40,
l, examiné après l'attaque ne présentait plus- qu'un rétrécissement con- centrique du champ visuel, et dans un quatrième
ements automatiques, comme pour rajuster ses vêtements, etc., puis, con- vulsions, chute sur le côté droit, perte de con
es accès reparaissaient plus graves et plus fréquents, j'arrivais à con- clure qne la seule chance de guérison était dan
2H8 dans des régions abordables, et qui, si l'on ne veut y toucher, con- duisent à la mort aussi sûrement que les autres
ène les masses; il existe d'autres causes accessoires : les mauvais con- seils, l'entraînement, les préjugés sociaux, et
rs interlocuteurs invisibles; les hallucinations visuelles sont, au con- traire, fréquentes. A ce moment, l'hypochondrie
le voir contester aujourd'hui par Garnier, que je l'ai été de voir con- tester jadis l'existence de cette forme systéma
t-il dit par allusion à un incident de séance, et qui voudrait bien con- naître son père. « Le Dr Régis, comme secréta
or- male après l'attaque. M. Séglas présente, à ce propos, quelques con- sidérations psychologiques et montre que ce par
plus sincères pour la réussite de la grande oeuvre à laquelle vous con- sacrez vos efforts. Nous nous associons de coeu
ront comme Lannelongue le fit, je ferai une incision courbe dont la con- vexité sera en arrière et toute entière dans le
ont également bénéficié de l'attention compétente et critique qu'a con- sacrée M. Marie à tracer de la maladie de Duche
ssus. Jamais il ne lui est arrivé que les deux espèces de crises se con- fondent, s'entremêlent ou qu'elles se suivent l
, laquelle après une violente émotion morale, présenta une hystérie con- vulsive paifaitement caractérisée et un oubli c
-latérale. Appareil de la vision. 11 y a à gauche un rétrécissement con- centrique du champ visuel à 40 degrés. La perce
lité ne s'est pas modifiée notablement. Les conditions générales au con- traire se sont améliorées considérablement. D
VEAU. 421 nous paraît y avoir de la différence entre cette perte de con- naissance venue graduellement et l'instantanéit
une formo et une durée appréciable. Or, ces faits nous autorisent à con- sidérer le scintillement comme un phénomène acc
el, mais bien d'une simple amblyopie, la perception lumineuse étant con- servée dans la moitié atteinte du champ visuel,
aine vulgaire non accompagnée de troubles visuels est beaucoup plus con- sidérable que le cas d'amblyopie transitoire, a
t, dans quel- ques cas (comme celui d'hémiopie ou de rétrécissement con- centrique du champ visuel), si l'accès se prolo
très bien. Vous n'avez pas oublié les divers accidents hystériques, con- tracture, oedème bleu, attaques qui l'ont amené
on est, pour moi, le développement automatique de tous les éléments con- tenus dans une idée, développement qui se produ
parlais,' établir une distinction entre les mouvements qui étaient con- servés et les mouvements qui étaient perdus, et
ITS. lier est projetée contre un arbre. Chute de cheval et perte de con- naissance. On transporte le jockey à l'hôpital
imbécillité congénitale : 36 (dont 35 hommes et 1 femme); épilepsie con- génitale : 4 (tous du sexe masculin) ; paralysi
un trouble psychique, il peut et doit préciser les rapports que ces con- ditions pathologiques peuvent avoir avec les fa
aitbien une succession pressée de contractions, mais les muscles se con- tractaient isolément par points séparés sans en
con- tractaient isolément par points séparés sans entraîner d'ondes con- tractiles. Enfin l'auteur rappelle les cas de
dyspnée. M. MENDEL. L'appareil de projection pour démonstration ne con- vient pas aux fins détails d'histologie. 508
né à vulgariser la thérapeutique suggestive dans la pratique de nos con- frères anglais, en en donnant la technique et l
63 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ogique. Venue au monde normalement, aucune maladie de l'enfance, ni con- vulsions, ni méningite, ne sont venues troubler
maladies de la moelle « qui résistent à tous les moyens de traitement con- nus actuellement » (Vulpian, Maladies du systèm
sultat de ces diverses médications était satisfaisant, l'amélioration con- tinuait lente, mais régulière, lorsque survint
sque le syndrome est bien caractérisé, les altérations du thorax sont con- sidérables ; elles sont si multiples et en appa
ifficile d'apprécier leur valeur réciproque et l'ordre dans lequel il con- vient de les décrire. Le thorax est tourmenté
e rachis, sauf dans la colonne cervicale, forme une courbure unique à con- vexité postérieure surtout marquée au niveau de
nsion de la cuisse sur le bassin. Cette attitude est maintenue par la con- traction permanente des muscles des gouttières
oir PI. IX et X, spécialement A et B, E et F) (1). Chez un sujet bien con- formé, lorsque les talons et les malléoles inte
ution de la taille liée à la cyphose n'atteint jamais les proportions con- sidérables que l'on note dans d'autres syndrome
endant la voussure des temporaux : chez les vrais malades de Paget au con- traire, les fosses temporales sont bombées, mai
l'ostéomalacie vraie, d'autres (Recklinghausen, Cornil et Ranvier) la con- sidèrent comme différente de l'ostéomalacie et
ait fait une grave chute de cheval. Une fois guéri, il s'étonna que con- trairement à l'usage on ne lui eût pas donné
employée en cataplasme guérissait la migraine. L'excrément du boeuf con- viendrait au traitement de la goutte. La fiente
sissait aussitôt deux hommes honnêtes, d'un caractère ferme, d'une con- duite irréprochable, spirituels, un peu farceur
débute tardivement, vers 30 ans ; 3° elle s'aggrave progressivement, con- duit le malade à la paraplégie ataxique, à la c
ctions, car elles ne contiennent aucun détritus ; nous ne pouvons les con- sidérer que comme des espaces lymphatiques de d
guliers. Température allant parfois jusqu'à 38° 2, et cela sans cause con- nue. En avril 1902, M.... put rentrer chez lu
tre le noyau de la VIe paire, ses éléments cellulaires sont très bien con- servés, peut-être quelques cellules sont un peu
Le nombre et le volume des adéno- mes empêchent la réticulée d'être con- tinue ; elle est marquée de place en place pa
illimètres. Les os de la base du crâne, loin d'être épaissis, sont au con- traire réduits à une minceur. extrême. La selle
ansversal des fibres qui atteignaient 130 micra, sans lésion du tissu con- jônctif. Il s'agissait en somme d'hypertrophie
pilles, rondes et égales, réagissent normalement à la lumière et à la con- vergence. Le champ visuel est normal, ainsi q
. Hirschberg, et après lui Schmidt-Rimpler, protestent contre cette con- fusion et proposent de réserver le nom de « cya
doigt, à suspendre l'avant-bras pendant l'écriture, afin d'éviter le con- tact des muscles contracturés avec la table. L'
vant-bras et les interosseux. Il employa le procédé du Dr Schotte qui con- siste : 1° en mouvements passifs, exécutés par
icle, publié par le Journal de Physicothérapie de M. Albert Weil. Ils con- sistent : 1° à prendre une position assise conv
moins profonde du faisceau pyramidal croisé droit. Cette dernière, con- sistant plutôt en une simple raréfaction des fi
devint gâteux en novembre 1903; il est toujours turbulent'et maigrit con- sidérablement. En janvier 1904, apparaît une
sait en réalité d'une hémiplégie survenue à 62 ans et compliquée de con- tractures précoces et permanentes. - Nous avo
n la mort au milieu d'accidents bulbaires est venue lui apporter la con- firmation la plus péremptoire. Observation (P
s. Cette expérience unique ne permet pas toutefois d'en venir à une con- clusion certaine sur la thérapie de ces formes
un oedème constitué par un liquide libre entre les mailles du tissu con- jonctif, de sorte qu'on peut l'évacuer par des
à là suite de la même cause : c'est-à-dire une hypertrophie du tissu con- jonctif. On comprend à présent que le trophoedè
adolescent et de l'adulte (2), on peut admettre que parfois il y a eu con- fusion, comme on a pu, chez des enfants, prendr
es, et l'on est conduit à penser que ces vacuoles ont progressivement con- flué les unes avec les autres, pour constituer
le. Dans ces conditions (fig. 4-5) l'écaille du frontal a perdu toute con- (1) Sur de nouveaux anencéphales humains, fIg.
avec la participation des vaisseaux de la moelle et la prolifération con- jonctive. L'origine des plages sanguines intra-
vée par différents auteurs, et qui a donné lieu, nous le verrons, aux con- sidérations les plus invraisemblables. 2° Var
lieu de ces débris, il n'exista aucun vaisseau, aucune trace de tissu con- jonctif embryonnaire; manifestement, l'inflamma
Ces dispositions sont celles de la région inférieure de la moelle; il con- vient d'ajouter que les troncs nerveux sont com
enfants H... nous ne pouvons dire rien de précis. Il n'existe pas de con- sanguinité des parents. Peut-être peut-on incri
persiste plusieurs secondes (V. PL. XLVIII, C) ; c'est comme si ces con- tractions étaient dues à l'excitation électriqu
t l'examen de ce sujet chez qui on trouve un ensemble de signes qui con- duisent inévitablement au diagnostic de lésion
scles frontal, temporal, orbiculaire des lèvres, massétérin et nasal, con- tractions tétaniques à 200 divisions. j . Ner
elation entre l'intensité du coup et l'apparition ou la gravité de la con- tracture. Celle-ci peut suivre immédiatement
tumeurs blanches, ayant au contraire les caractères habituels de la con- tracture hystérique. On conçoit combien, en p
du siècle dernier, Brodienousa enseigné le pouvoir déterminant des con- tusions et entorses. Quelle fut exactement la
En somme, nous nous trouvons en présence d'une attitude vicieuse par con- tracture musculaire à début brusque, qu'aucune
e simplement sur l'épaule avec rotation du même côté, indiquait une con- tracture complexe, expliquée par ce fait que la
contre la tendance à la chute sur la droite. Ceux de la convexité, au con- traire, se raidissaient dès qu'on voulait redre
jeune fille atteinte de blépharospasme hystérique, et au cours de la con- sultation on parla devant la malade des scolios
elle sur le point de faire sa première communion. Les deux enfants con- tinuant à se fréquenter, ne tardent pas à trouv
in. « Le moment où le prélat a donné sa bénédiction, après avoir eu con- firmé, a été plus orageux encore : la violence
rhacltitica (Marchand et Kirchberg) ; Osteoporosis et osteoscle¡'osis con- genila selon l'état de raréfaction plus ou moin
it afin de ne pas attribuer à un traitement donné ce qui n'est que la con- séquence de l'évolution normale de l'achondropl
hitiques et myxoedémateuses avec lesquelles on les avait trop souvent con- fondues jusqu'ici. 1° Chez le foetus (voy. fi
ale dont le col, petit, forme un angle presque droit avec le corps et con- tribue, en élargissant les hanches, donner un a
ses courtes, massives, renflées aux extrémités ; l'observation III au con- 4 traire paraît être un rachitique congénital.
les un ensemble de caractères suffisamment tranchés pour pouvoir être con- sidérées comme des entités morbides, ou ne cons
e acquise. L'achondroplasie, au contraire, est toujours une affection con- génitale. Le rachitisme guérit quand les malfor
s invisibles des centres nerveux ? s'agit-il de troubles glandulaires con- génitaux modifiant les conditions de vitalité d
ogiques distinctes, ces dystrophies osseuses ne doivent pas plus être con- fondues entre elles qu'elles ne doivent l'être
océphalie qui n'est pas rare dans le gigantisme ainsi qu'on peut s'en con- vaincre facilement en consultant les observatio
première phalange car il a été réséqué par le chirurgien. Pour ce qui con- cerne les quatre doigts suivants, on peut affir
s externes et le feutrage sous-lobaire avoisinant sont très pâles. Au con- traire le pédoncule cérébelleux moyeu et le péd
gion antérieure de l'avant-bras sont relativement indemnes. Il y a au con- traire une atrophie manifeste des extenseurs.
la rapidité de l'évolution. Mais en réalité ce sont là des phénomènes con- tingents et qui peuvent manquer : le malade qui
enfant; auprès de lui, une vipère. Désireux d'éprouver la vertu des con- seils d'IIermolaüs, le saint dit à l'enfant : «
ormer l'articulation du poignet. L'extrémité inférieure du cubitus ne con- court pas à cette articulation ; elle fait sail
lonne vertébrale est déviée : il existe une scoliose très apparente à con- vexité gauche, Le fémur gauche présente l'asp
. L'auteur fait suivre sa description des commentaires suivants qui con- firment les particularités sur lesquelles nous
IVe quant au nombre et au volume des tumeurs ; le VIe l'est par la con- comitance de la cécité congénitale. Le premie
des salivaires, et précisément des enchondromes rappelle que Zeïche con- sidère que l'origine de « toutes ces tumeurs do
antité des sels calcaires qui circulent dans le torrent sanguin, plus con- sidérable peut être l'appropriation de la part
xes patellaires très faibles. Réflexes pupillaires conservés. L'urine con- tient de légères traces de sucre et d'albumine.
bacillaires ne gardant ni le Ziehl ni le Gram, identiques à ceux que con- tiennent les cavités ventriculaires. Cette in
lement des mouvements originaux qu'il imprime à ses épaules dans des con- ditions déterminées. La déformation des épaules
S'agit-il de l'une des formes si variées, si complexes et encore mal con- nues des myopathies primitives progressives ? O
rôle trophique pourrait être invoqué à plus juste titre, pour ce qui con- cerne l'état des capsules surrénales. S'il faut
rmi ces événements, il peut y en avoir qui ont modifié le foetus, lui con- férant une constitution à lui spéciale, complèt
une raison quelconque, parvienne au contact du corps embryonnaire et con- tracte avec lui des adhérences. J'en ai observé
tervenant sur un squelette encore peu résistant et mal consolidé, ces con- tractions déterminent des modifications de form
t de le faire céder et de rejeter l'encéphale au dehors. Ainsi, comme con- séquence immédiate de l'inflammation méningée,
erture est un phénomène primitif, par défaut de substance ; il est la con- séquence d'une anomalie de la moelle épinière.
Les plus prudents s'en sont tenus à l'étonnement et se sont gardés de con- sidérations embryologiques. Mais d'autres n'ont
te affec- tion (2 pl.), 292. Pagniez et CHAILLOUs. Ophtalmoplégie con- génitale et familiale (1 pi.), 661. PAP,DAKI
lasie, (1 pl., 3 photog.), 539. PoRAx et DURANTE. Les micromélies con- génitales. Achondroplasie vraie et dystrophie
64 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
même côté du corps, jusqu'au moment où le malade perdit complètement con- naissance peu de temps avant de succomber. Cepe
, ni ramollissement. On ne constate nulle part une différence dans la con- sistance des circonvolutions, aucune région ind
uant au noyau du corps restiforme, il se borne à dire qu'il est mieux con- servé que la périphérie du C R. Il ajoute que l
Le sternum est complètement disloqué dans sa forme mais non dans sa con- tinuité. Deux inflexions à angle presque droit
s. A part une certaine diminution de volume, la forme, la couleur, la con- sistance étaient normales, et cependant tous le
es appuyées sur une argumentation bien ordonnée. Répond-elle, cette con- ception, à la réalité intégrale des faits ? Nou
cs fibreux constituant des tumeurs en somme bien limitées, mais une con- densation diffuse du derme autour des poils, au
testin, tandis que le premier serait dû à l'exagération de l'activité con- tractile du diaphragme (Verhoogen) qui a été mi
sur la partie supérieure du pédicule, afin de se rendre compte des con- Nouv. Iconographie DE la Salpêtrière. T. XIII
se à petites cellules fusiformes emprisonnées par depetites fibrilles con- jonctives très serrées. D'une façon concluant
chapelets les redoutables pierres de tète que le célèbre arracheur a con- quises à la pointe de son bistouri, témoignages
rs suivants invariablement de même avec de petites variantes. Et cela con- tinue pendant un mois, deux mois, trois, cinq,
alalgie diffuse, réflexes rotuliens normaux, pas de paralysie, pas de con- tracture. 112 F. SOCA 1er octobre céphalalg
crâne qu'une tuméfaction arrondie, mollasse, rappelant l'aspect et la con- sistance d'une loupe ou d'un lipome. En 1870,
ée par les premières dorsales et les dernières cervicales : elle a sa con- vexité tournée à gauche. Ces déviations sont
s d'aspérités ou tapissées de fines cannelures. Partout, les trous de con- jugaison sont largement perméables. Il en est d
nvulsivement. La durée de cette crise est très courte, le malade n'en con- serve aucune souvenance. Troubles trophiques.
ctuellement, au niveau de la hanche droite, on constate des exostoses con- sidérables qui déforment assez la région pour q
vraisemblable que les accidents présentés par notre malade soient la con- séquence exclusive d'une intoxication mercuriel
lure spéciale delà marchedans l'hémiplégie hystérique, et des efforts con- sidérables que fait la malade pour faire avance
ront la production de lipomes solitaires. Les secondes auront pour con- séquence les tumeurs lipomateuses multiples et
avec une étonnante rapidité, ne peut guère s'expliquer que par une con- nexion intime avec le système circulatoire ;
des cloisons et du tissu conjonctif, tantôt sous forme de masses plus con- sidérables, creusées de cavités kystiques. Il p
té est intacte. les réflexes sont normaux, la réaction électrique est con- servée. Le pouls est accéléré malgré l'absence
ar contre est de tout premier ordre ; il fut justement admiré par ses con- 202 HENRY MEIGE temporains, et en particulier
Ca- paccini. Personnellement nous en possédons quatre observations con- cluantes. Les observations ont d'autant plus de
nt-bras, les doigts sur la paume de la main, le pouce dans la main.La con- tracture est telle qu'il faut beaucoup de force
complètement privé de mouvement, mais il présente un certain degré de con- tracture dans l'extension. Les mouvements réfle
u bout de huit à dix jours le malade put se lever et marcher, mais en con- servant de la faiblesse et surtout de la maladr
cient et essayait de répondre à nos questions. Il avait de fréquentes con- tractions, et des mouvements saccadés des lèvre
lacé suivant un trajet ascendant en haut et vers la ligne médiane, la con- vexité dirigée vers cette ligne. La blessure fu
doigts. La première phalange, qui lui fait suite semble normalement con- formée ; puis la deuxième est épaisse et fort c
num, le droit ne mesure plus que 31 centimètres et demi, le gauche au con- traire est de 32 centimètres et demi. Lorsque
preintes, a signalé quelques faits nouveaux que j'ai pu, ajoule-t-il, con- firmer à l'aide de la cinématographie ». D'in
qu'avec le cinématographe, suffisamment toutefois par arriver à des con- clusions que n'a pas désavouées M. Marinesco.
oque où la question qu'il traite après moi était à peine ébauchée. Il con- naît mon travail, puisque le comparant au sien
fié sept jours après la résection du nerf pneumogastrique, j'ai pu me con- vaincre de la réalité de cette fonte qui envahi
oscillations du tronc ; de même pendant la marche ; la suppression du con- trôle de la vue n'exagère que faiblement les os
uirlande de Stilling.Pour tout le reste de l'écorce. les rares fibres con- servées appartiennent pour la plupart au systèm
es libres du pédoncule cérébelleux supérieur avec lesquelles elles se con- fondent sans doute, à cause du tassement du cer
tères sont tracés lentement, la main tremble légèrement, et pour s'en con- vaincre, il suffit d'examiner attentivement le
, l'écriture est tremblée ; la tonicité musculaire est exagérée ou la con- traction musculaire est prolongée ; parfois aus
matographiées de deux blessures du crâne, l'une offrait un gonflement con- comitant de tout le crâne, l'autre une explosio
La pénétration par l'orbite n'est pas la seule qui puisse se faire et con- duire à la lésion des centres cérébraux. Nous
crâne en perforant la grande aile du sphénoïde. On se rappelle que la con- ca, ité du tube était dirigée extérieurement de
sitifet un troisième dans sa mémoire et son intelligence. Mais tous con- servent un ensemble paralytique, ils sont réell
puis s'est peu à peu résorbé, pendant que celles-ci continuaient au con- traire à s'accentuer. Toute hypothèse sur les
'au début de la cure. Il est devenu actif, intelligent, se mêle de la con- versation. Bref, il est métamorphosé (Pl. LIX,
au, le bassin, sont rarement intéressés à cette période. Le thorax au con- traire présente des altérations plus visibles e
ises une à une ou les autres par rapport aux autres. D'autres fois au con- traire, la crête épineuse est parsemée de point
observations. Elles ne sont pas logiquement les seules : on peut en con- cevoir d'autres. On pourra rencontrer dans des
.plume. Mais il doit être célèbre par son impitoyable opiniâtreté. On con- nait sa vigueur ; il n'est pas de mâchoire capa
s, sa tentative méritait d'être signalée. Notre but était de la faire con- naître; ceux qui prisent et qui fument continue
sont conservés. Le bulbe oculaire gauche est tourné en dehors par la con- traction du muscle droit externe, et la malade
scles de l'oeil droit (déviation de l'oeil en dehors). Il y avait des con- tractures très marquées dans les membres inféri
lium capillaire est rempli de globules noirs ; les cellules nerveuses con- tiennent moius de pigment que celles du lobe fr
e de grosses cellules sphériques se trouvant en dedans du vaisseau et con- tenant de pétites gouttes noires. Dans les fibr
en moins nombreuses dans le faisceau de Tùrck. Les cellules de Clarke con- tiennent aussi une masse de globules noirs, quo
I. Hémisphère rauclte.-a) Région frontale.- Les cellules nerveuses con- tiennent une grande quantité de pigment ; on pe
côtés. Les deux faces s'inclinent rapidement l'une vers l'autre et se con- fondent en un bord tranchant. La vertèbre affec
Ses bords sont très renversés et la gouttière transversale y gagne en con- vexité et en profondeur. Mais ce qui fait par d
sont pas moins réelles. Malheureusement nous n'avons pu en faire le con- trôle anatomique et, à la suite, essayer une ét
Etat actuel. - Homme de taille moyenne, fortement musclé, gît sans con- naissance, poussant de temps en temps des sons
ent mollement quand on les soulève, la piqûre n'est pas ressentie. Au con- traire, le malade remue continuellement du côté
existe des formations membraneuses consistant en un grand amas de pus con- cret. La pie-mère est fortement injectée et inf
homme et chez les animaux, dans un cas de diabète insipide, etc. Je con- viens cependant que les lésions rabiques de B
légère méningite exsudalive localisée à la région lombaire. On peut con- clure, je pense, de ces expériences très nombre
'abcès de la moelle est très rare et dans la pathologie humaine on ne con- naît que quelques cas parmi lesquels les mieux
pénétré dans le canal arachnoïdien déterminent un afflux leucocytaire con- sidérable, mais ces microbes envahissent les le
tre dans laquelle il offrait ses services et faisait, avec une grande con- fiance en lui, ressortir ses aptitudes multiple
était peu fait pour se plier à une contrainte et à une règle qui eût con- trarié ses tendances. Vasari parle sans cesse d
. c) Les troisièmes (paralysies complexes) tiennent à une paralysie con- génitale de la plupart des muscles oculaires. E
1899, a été revue par nous en février puis en avril 1900. Nous avions con- seillé aux parents l'expectative, ainsi que des
es. Le muscle anormalement inséré peut être grêle, gracile, tout en con- servant les apparences du tissu musculaire, ou
qui la virent. Mais l'échec complet de la médication thyroïdienne, la con- UNE OBSERVATION DE TR0PH0EDÈME CHRONIQUE HÉRÉDI
riables la diminution de la sensibilité, la sensibilité au tact étant con- servée et la thermanesthésie diminuée ou suppri
amputés chez lesquels le segment périphérique est absent et où par con- séquent, dit-il, « l'effort régénérateur du bou
MEIGE Teniers, van Ostade, Brouwer, ont eu des imitateurs nombreux, con- tinuateurs fidèles de leurs traditions. Ils ont
qu'il empoigne ensuite avec l'instrument qui luy aura paru le plus con- venable » (4 ).. En somme, on procédait comme
ose compliquée de phénomènes spi- naux et de déformation vertébrale con- sidérable (1 photocollogr.), 639. Hertoghe G.
65 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
, il se trouvait extrêmement faible, suait à grosses gouttes, perdait con- naissance ; au contraire, il supportait bien le
upçonné un moment chez lui, comme association morbide, ne s'était pas con- firmé. L'examen histologique d'un morceau du va
Les excitations avec des courants de force modérée, produisent des con- tractions persistant plus ou moins longtemps ap
les préserver autant que possible de l'influence pernicieuse du tissu con- jonctif qui, en proliférant, les comprime, dimi
'hyperhémie ne peut faire disparaître les foyers sclérosés ; le tissu con- jonctif ne joue pas un grand rôle dans les mani
s douleurs doivent céder le plus facilement, les paresthésies sont au con- traire très difficiles à faire disparaître; ent
il serait très dangereux de vouloir prolonger la suspension dans ces con- ditions. Il me semble aussi dangereux de faire
E. Mademoiselle X., âgée de 17 ans, d'une famille nerveuse, vint me con- sulter en février 1891 pour une déformation de
en quatre périodes. On attendait que la malade entrât en une franche con- valescence, lorsque on commença à constater des
Ayant en considération les cas observés de fièvre hystérique, on peut con- clure que la fièvre est une des manifestations
dant il ne laisse jamais tomber la plume ; en même temps le visage se con- tracte, la bouche également jusqu'à laisser sor
six mois. A cette époque, un soir la petite s'évanouit et resta sans con- naissance pendant quelques minutes. Le lendem
es genoux collés, les jambes très écartées, les muscles de la face se con- vulsent et elle semble faire un effort considér
malade une apoplexie dans les derniers jours de sa mort. Quant aux con- valsions de nature épileptique et hystérique, e
lement de 70 ans et d'uue mère morte à 53 ans dans un état de démence con- sécutive à une affection mélancolique prolongée
myographique, après les premières excitations du début, s'abaisse et con- serve pendant toute la durée du spasme un nivea
la courbe au-dessus de la ligne de repos du muscle. A mesure que les con- tractions se répètent, qu'elles deviennent plus
dit maintes fois, « chaque goutte de liqueur séminale d'un alcoolique con- tient, en germe, la famille neuropathidue tout
et demeuré le plus profondément atteint par les troubles musculaires, con- trairement à ce qui parait être le cas le plus
itivement frappé de paréso-analgésie ». Dans les huit cas de scoliose con- nus de Morvan, la paréso-analgésie a débuté, en
la tonicité des contractions, qui se rapprochent de plus en plus des con- tractions normales. On se fera mieux une idée
rapprochement des mâchoires, les joues se plissent; la langue frappe con- tre le voile du palais en produisant un bruit a
double. Tics convulsifs. La maladie des tics que nous ont bien fait con- naître, dans ces dernières années, Charcot (1)
. L'exploration du flanc du côté malade montre que les muscles sonl con- tractures et douloureux à la pression. C'est là
9. Quant au troisième malade, Rab., il simule au premier abord, une con- tracture post-hémiplégique, dans laquelle une d
quées après des intervalles de quelques secondes. A la suite de cette con- traction lente, paresseuse et tonique, dont la
comme pour les lignes précédentes (1° et 2°), mais au contraire la con- traction se prolonge pendant une durée très app
prononcé toutefois pour les dernières excitations de la ligne 1°. Les con- tractions toniques d'ouverture persistent égale
des courants assez peu intenses ; elles étaient plus faibles que les con- tractions de fermeture, mais étaient, comme cel
Dans les deux maladies la marche est lente et progressive et l'on ne con- naît pas d'exemple de guérison. La maladie de
es extrémités et de plus, phénomène important, celles-ci, loin d'être con- tinues et permanentes, surviennent seulement pa
Pour plusieurs raisons nous nous. sommes départi de notre ligne de con- duite habituelle de ne reproduire que des oeuvr
. La guérison miraculeuse de Tobie a une histoire. Exécutée pour le con- cours de Rome elle obtint le premier grand prix
arcot : La médecine vibratoire. Application des vibrations rapides et con- tinues au traitement de quelques maladies du sy
op faible l'action vibratoire de l'appareil de Boudet de Paris ; nous con- sidérons comme supérieur le procédé indiqué par
les, ni tantes ; grands-parents morts âgés. Du côté maternel, D... ne con- naît que sa mère ; elle est âgée de 46 ans, ell
Au rachis, on voit un peu de cyphose et une légère scoliose, dont la con- vexité regarde à droite dans la région dorsale.
pas si rare que çà. Nous savons, d'autre part, que plusieurs malades con- sidérés comme atteints de chorée, de tabès spas
ce, tout au moins pour les proportions de l'homme moyen, n'a point con- firmé ce rapport qui remonte jusqu'à Vitruye, e
tant prise pour 100. Il est intéressant de noter qu'à la naissance le con- traire existe. La grande envergure est moindre
dies. Nous avons choisi les maladies organiques de l'encéphale pour con- server un cadre naturel à notre observation pri
que dans l'hystérie tout est laissé au hasard. - « Tout s'y passe au con- traire, dit M. le professeur Charcot, suivant d
faits curieux et intéressants, méritait, paraît-il, la faveur de ses con- temporains. Or, beaucoup d'observations rapport
Ainsi donc, multiplicité de formes, unité de fonds, c'est la double con- clusion qui se dégage en résumé des découvertes
nts, cette hystérie existe. Rien n'autorise à la rejeter à priori; au con- traire, les lois de l'hérédité et la susceptibi
ivisible, ses manifestations varient selon une foule de circonstances con- tingentes ; mais au fond, c'est toujours la mêm
u'il s'agissait de la dépister dans la simulation de maladies dont la con- naissance était familière il tout le monde, com
2.) Nota. Cette observation fondamentale avait été rédigée avec ses con- clusions à la date ci-dessus pour être publiée
ment le côté gauche et qui se présentent accompagnés d'une réduction con- centrique du champ visuel plus accentuée dans l
par un choc nerveux, ont été des phénomènes capricieux : paralysies, con- tractures, convulsions hystériques ou hystéro-é
66 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
i du côté sain. Ce ré- trécissement est même tel que les téguments, con- formément à une-remarque de M. Babinski, des-
elle le hanchement. Mais pour que la jambe fléchie puisse entrer en con- tact avec le sol, l'autre jambe demeurant droit
chez les violonistes. Une autre cause, et non des moins efficaces, con- siste dans l'atrophie des muscles du côté immob
u tronc, M. Babinski admet l'hypothèse que les muscles du côté sain con- tractent entre eux des adhérences fibreuses cap
situation irrémédiable. III.- Nous avons observé dix cas absolument con- formes à la description générale qui précède. D
ègue). -- v. Le membre malade et le membre sain sont le siège d'une con- traction musculaire généralisée, mais peu inten
e la scoliose croisée. Le sens de la déviation est commandé par des con- ditions spéciales, inhérentes à la névralgie el
les, dont l'obtu- ~ration est fatalement et rapidement suivie d'une con- gestion fluxionnaire collatérale dans les vaiss
me jour après l'invasion de l'accident. Cet homme avait conservé sa con- naissance jusqu'à la fin. Autopsie. L'autopsi
it pour ainsi dire. Les autres parties de la moelle présentaient la con- sistance normale ; pas d'hyperhémie ni dans la
rveau, des poumons et du coeur. Les reins plus grands, hypérhémiés, con- tiennent dans leur substance corticale un grand
niennes une brusque embolie se faire dans un vaisseau, une ischémie con- sécutive au territoire irrigué par ce vaisseau
ugi- tive de l'accès. Forme DE PERTE DE connaissance. La perte de con- naissance est certainement due à l'ischémie cér
n précruciale du chien. Masini a repris ces expériences et, tout en con- venant que les phénomènes de réaction ou de déf
suivant Lussana, les cordons postérieurs de la moelle épinière. Ces con- ducteurs ne contiennent pas seulement les fibre
ssus présen- tent beaucoup moins de résistance que normalement à la con- ductibilité de l'électricité galvanique. Cette
ou corticale, se produit de préférence quand l'altération occupe la con- vexité du lobe occipital; - 10° les lacunes du
a substance grise ; la contiguïté, oui ; la continuité non. Etcette con- tiguïté suffit à la transmission des excitation
t de réminiscences imaginatives. En certains cas rares, l'aliéné ne con- naît son entourage que parce que, selon lui, il
paroi pos- térieure de la même région semble altérée dans sa couche con- jonctive. Cependant, il serait prématuré de con
ssez long sur des points différents d'une même région. L'auteur est con- vaincu que par l'emploi de ce moyen il a prolon
GH.IIJS. M. le président propose de remettre à deux ans le prochain con- grès puisque l'année prochaine il yaura à Heide
cteur, sont déférées de droit au tribunal, qui statue en chambre du con- seil, conformément à l'article 50 ci-après. Si
re du malheureux aliéné. M. Dresch, commissaire de police, l'a fait con- duire à l'infirmerie du Dépôt. (Le Radical).
ren- nent : a) l'aliéné ayant commis un acte qualifié crime ; 6) le con- damné devenu aliéné après sa condamnation; c) l
'D8, 188 PHYSIOLOGIE Forel comprend de moins en moins pourquoi la con- tinuité des plus fines ramifications des élémen
ces prolongements. Les prolongements nerveux, toujours uniques, ou con- servent leur individualité, et, tout en émettan
ls se ramènent toutes les fonctions cérébrales, se trouvent partout con- fondus dans l'écorce, il était naturel qu'on ne
nerveux central sont à peine commencées. Ainsi, il ne suffit pas de con- naître l'épaisseur relative des différentes rég
s leurs éléments cons- titutifs, en noter le nombre, le volume, les con- nexions, la forme. Ou pourrait espérer d'arrive
der- mique, et le résultat de ses observations chez les aliénés l'a con- duit à considérer ce médicament comme un hypnot
rale) ; 4° Il reste par conséquent 24 cas d'altérations vasculaires con- sidérables dont deux athéromasies avancées (dém
recte sur l'intestin de cristaux de sels de soude engendre une onde con- tractile qui se propage, tandis que les sels de
mani- festée et celte rémission a persisté. Depuis neuf ans, notre con- frère exerce la médecine, et, depuis sept ans,
nom- breuses hallucinations de la vue, désordre et absurdité de la con- duite. Il est évident qu'il s'agit d'une affect
NICIPALE. Aliénés, cowluwa. - Constitue une dépense obligatoire, le con- tingent imposé à une commune dans la dépense d'
es détails. Il y a quelques années, en 1880, M. Jules Worms faisait con- naître l'existence dans le diabète d'une forme
s réactifs ordinaires. La laque hématoxylique qui se forme dans ces con- ditions est beaucoup plus persistante et résist
rique et qui lui est propre, alors que d'autres altérations sont au con- traire plus ou moins variables et déterminent d
omme dans la maladie de Friedreich, mais bien de faisceaux de tissu con- jonctif lamellaire tout à fait analogue à celui
me une sclérose diffuse dont il attribue l'origine à l'inflammation con- comitante des méninges : pour lui, la sclérose
iques sur lesquels portent ces différences, permettent de poser les con- clusions suivantes : « 10 Le droit de réclama
nt à toutes les personnes placées dans les asiles ; il y a lieu par con- séquent, de ne faire aucune exception relative
s cellules nerveuses avec la substance grise, les cellules du tissu con- jonctif, et les vaisseaux. - Déjà en 1867, M. F
teur permettent-ils d'attribuer li certains éléments anatomiques la con- ductibilité ? l Envisageons les fibres des mu
patent. L'exercice et la fatigue agissent en effet généralement de con- cert. On a beau imposer à une fonction un exerc
préta- tion et l'élaboration des impressions extérieures une action con- traire à celles qu'elles font sur les fonctions
itue le moteur de la sensibilité morale du sujet; c'est à lui qu'il con- vient de réserver le terme de Wahnsinn (folie s
155; (traitement des), par Rorie, 239; (jurisprudence municipale con- cernant les), 288; - frais de pen- sion des),
eit et \Vahmsinns, par Werner, 418. Vue (locolisations cérébrales con- cernant la), par Heinhardt, 112. TABLE DES AU
67 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
ère était habituellement bien portant; sa mère est migraineuse. Il ne con- naît d'affection nerveuse chez aucun des membre
r l'index. Sur la face dorsale de la même main on remarque l'atrophie con- sidérahle, et môme le creux des espaces interos
existe des troubles de la sensibilité très caractérisés. A droite le con- tact et la piqûre ne sont pas percus dans le ti
mitiale, une autre soeur comitiale, pas d'autres parents nerveux à sa con- naissance. Antécédents personnels. - A toujou
Le 15 octobre 1887, cocher au service de la préfecture de police, il con- duisait une voiture cellulaire. Le siège de ces
dessa. Le résumé, que nous avons donné de la leçon de notre maître, con- tenait en effet peu de détails à ce point de vu
ces dernières années une grande importance, surtout depuis que l'on con- naît mieux la valeur étiologiquedç l'hérédité;
nt au beau milieu d'une meule conduite par un piqueur. Aussitôt les con- vulsions d'éclater suivies bientôt de vomisseme
aphonie et sa coxalgie persistant, le médecin de sa famille l'envoya con- sulter à la Salpêtrière, et elle entra daus le
ce la vision a toujours été absente de l'oeil gauche, la cornée et la con- jonctive restant anesthésiques ainsi que la zon
titué par la douleur exquise au simple frôlement qui accompagne les con- tractures des muscles fessiers réalisant le syn
une personne coléreuse, nerveuse, qui cependant n'a jamais eu d'accès con- vulsifs. Le quatrième enfant est une fille, qui
que sur le même plan que l'antitragus. Il en résulte que l'orifice du con- duit auditif externe a la forme d'une fente de
Dans le ventre rien à part l'hypertrophie du foie... Le crâne est mal con- formé, acuminé, mais de dimensions ordinaires,
circonvolutions. Mis à découvert, le centre ovale fut trouvé pâle et con- sistant. Dans les ventricules latéraux et dans
- lerée de potion. Son médecin, debout, considère avec attention le con- tenu de l'urinai qu'il expose au jour. Ce détai
être entachés d'erreurs d'observation. C'est à titre de documents à con- sulter que je rapporte les faits suivants où on
café ou avec des maitresses, s'occupant toujours de jeu, de courses, con- traclant des dettes et n'ayant même pas conscie
gnement inintelligible. L'inspection de la langue montre une atrophie con- sidérable limitée au côté droit. La muqueuse es
, alors que les autres sens spéciaux : odorat, ouïe, vision étaient con- . 11. 11 172 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
Durant un mois et demi (fin juin) on place des aimants du côté de la con- tracture (deux heures par jour). La contracture
est développé à la suite de son attaque. A son réveil, nous pouvons con- stater que le spasme est disparu avec l'anesthé
Au point de vue de la cause de ces altérations, l'auteur arrive aux con- clusions suivantes : la diathèse rhumatismale p
langue, les yeux se sont déviés vers la droite, et, au moment où la con- tracture de la langue cesse, les globes oculair
Pas d'antécédents nerveux dans la famille. Elle-même n'a pas eu de con- vulsions. Elle est grande, blonde, maigre, les
conserver l'équilibre, la rotule se soulever de temps il autre et les con- tractions du jambier antérieur et des jumeau\'
accès une forte envie d'uriner; s'il peut la satisfaire, l'accès est con- juré : le jet d'urine est alors très fort. De
uf au niveau de la selle tnrcique; la nous trouvons des modifications con- sidérables : la lame quadrilatère du sphénoïde
agrandir la fosse pituitaire; celle-ci, en effet, au lieu de pouvoir con- tenir une noisette, a pris des dimensions telle
base; oedème, liquide dans les plèvres. Hypertrophie avec dilatation con- sidérable du coeur, cavité ventriculaire gauche
. à l'autre de Paris et de se montrer à toutes les personnes de sa con- naissance. « Depuis ce jour elle jouit d'une
anément et, de ce fait, elle est transportée à l'IIôtel-Dieu, où l'on con- state l'état suivant : Paralysie incomplète d
stérie chez l'homme, monoplégie avec atrophie musculaire (Journal des con- naissances médicales, Paris, 188G, 3° série, t.
rères dont deux sont névropathes; le premier est hystérique, a eu une con- tracture à forme hémiplégique qui après avoir d
reuse; il dit qu'il a plusieurs maîlresses; il se vante volontiers de con- quêtes. Sa mise révèle une certaine coquetterie
igts fléchis, les mains déviées vers leur bord cubital. Les jambes au con- traire étaient flasques et lui refusaient tout
gion supéro-externe de la hanche. Le membre inférieur gauche est en con- tracture en totalité dans l'extension : il exis
allé 5 ou G fois se faire élcctriser à Lariboisicrc, et puis il s'est con- tenté de prendre des bains sulfureux. Il contin
La sensibilité générale est diminuée surtout il gauche, y compris la con- jonctive et la cornée. De plus, anesthésie co
est le siège, l'hyperesthésie des téguments, tout cela peut aisément con- duire à un diagnostic erroné. Dans l'observat
rès mauvaise; dans les derniers jours crises intenses; accouche, sans con- naissance, d'un enfant vivant. Etat d'hébétude.
t comme aréolaire (travées compactes). Il y a une dépression allongée con- sidérable en arrière de lui entre le bord alvéo
L'allongement porte presque exclusivement sur la partie interne du con- dyle. Il y a un emboitement très profond du con
68 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
e entrée par un large vestibule donnant accès, en face à l'escalier con- duisant au 1er étage; a droite, à un grand réfe
rtoirs ne sont pas installés suivant les indications que nous avons con- signées dans le programme, on n'y accède point
tières de vidange s'applique également à la partie de notre rapport con- cernant l'approvisionnement d'eau de source en
ur impor- tance, feront l'objet d'une adjudication publique, seront con- fiés aux entrepreneurs ou associations ouvrière
père maternel, suicidé. - Frère, convulsions et méningite. - Soeur, con- vulsions avec hémiplégie transitoire. Pas de
ondage. - Un autre traîne dans les rues et vagabonde; aurait eu des con- vulsions. Petit à la naissance. - Aurait marc
ïde et méningite à 3 ans. Affaiblissement du côté gauche et idiotie con- sécutive. Curi... (Ulysse) est né à 1lussy-su
e procédés nouveaux, appliquée judicieusement et prolongée un temps con- venable, permet d'obtenir à peu près toujours u
le malade. - Rougeole. Coqueluche. Gourme. Peur à trois ans. Pas de con- vulsions. En avril 1892, albuminurie. - Parole
actère, est courageux et docile. A l'atelier de cordonnerie, on est con- tent de ses efforts, mais il apprend difficilem
ndises. Depuis l'âge de 6 ans, il faisait des progrès en classe, se con- duisant bien, travaillant, sachant lire, écrire
issent symé- triques. Le corps pituitaire est petit, d'aspect et de con- sistance ordinaires. Le trou occipital n'est pa
la chute, en avant, s'effectua sur le sol, où le malheureux demeura con- vulsivement attaché. » MM. Jules Rengade et L
pommettes sont rouges-bleuâtres; les paupières sont fermées; pas de con- tracture. Voici le tableau des températures p
'agit vraisemblable- ment d'une affection intra-utérine puisque les con- vulsions ont débuté aussitôt après la naissance
pendant la gros- sesse et l'accouchement s'est fait dans de bonnes con- ditions. . Nous sommes donc forcés de considé
ond. La scissure perpendiculaire externe ne forme qu'encoche sur la con- vexité. Lobule orbitaire. - Le rn/rus reclus
n. Durant la grossesse, la mère accuse de fréquents accès de colère con- tre son mari. L'accouchement eut lieu à terme e
vaccination. 5 avril. L'enfant tousse et pousse des cris plaintifs con- tinus, ce qui rend toute auscultation impossibl
s de bron- chite chronique ( ? ).- Grand'tante paternelle, morte de con- gestion cérébrale. Oncle paternel, mort de rhum
n an et furent insignifiantes. A 15 mois, il aurait eu de nouvelles con- vulsions alors très violentes qui auraient duré
ne chan- terait plus. Lorsque, à 15 mois, après sa seconde attaque con- vulsive, Fut repris par ses parents, il était d
ches étaient contractures et on prétendait qu'il ne voyait plus. La con- tracture disparut et la vue se rétablir au bout
tiforme. Les sutures coronale, intra-pariétale, lambdoïde sont très con- tournées, il n'existe pas de. trace de la sutur
icu- lier.- Rein droit (130 r.). lieia gauche (130 1--1 ? ), un peu con- gestionnés. Pancréas (40 gr.). Vessie, estomac,
ougeole. Mort. AUTOPSIE. - Examen de l'encéphale. Dilatation plus con- sidérable du ventricule gauche. Dilatation moye
calme et douce. Aucun autre antécédent héréditaire suspect.] Pas de con- sanguinité. Différence d'âge d'un an. Onze en
nuellement immobile. Il n'avait eu ni convulsions, ni paralysie, ni con- tracture. A 4 ans, Chev... recommença à jouer
e de 7 ans. Un seul enfant : notre malade. Rien de particulier à la con- ception qui eut lieu les premiers jours du mari
ssance, pas de circulaire du cordon. Enfant un peu petit, mais bien con- formé. Il fut allaité au sein maternel durant 2
e, elle est âgée de 7 ans, mais ni elle, ni ses cousins n'ont eu de con- vulsions. Aucun autre renseignement sur la fami
drocéphalie symptomati- que. Grand-père paternel, alcoolique. Mère, con- vulsions à deux ans. -Premiers symptômes 10 ans
égeant dans l'épaisseur de la pie-mère et correspondant à la région con- tusionnée. - La pie-mère est mince et s'enlève
nnaissance, ne fait mention de l'état des os du crâne. Cet oubli se con- çoit très bien quand il s'agit d'observations a
s hydrocéphales. Quant aux tics, ils n'affectent jamais ici le type con- vulsif et leur coordination en fait dans ces ca
presque'aussi grosse qu'aujourd'hui. Jamais l'enfant n'aurait eu de con- vulsions. Début de la parole à 2 fins. Première
us n'insisterons pas plus longuement, persuadés qu'à ce sujet toute con- sidération serait superflue. Nous devons enco
océphalie chronique. Si Valentine Esco..., malgré une hydrocéphalie con- sidérable, est devenue, à 4 ans, une enfant d'u
69 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
sions semblent un peu nivelées. Pas d'exostoses appréciables dans la con- tinuité de l'os. Les deux extrémités sont augme
épaissis et recourbés ; leur déformation consisle en une courbure à con- cavité antérieure et inlerne qui est surtout ma
étendue de l'os : les extrémités supérieures sont très développées et con- 20 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. t
visuel cortical du même côté. C'est pourquoi nous ne voyons pas de con- tracture apparaître pendant les excitations opt
chien un étourdissement ; dans cet état, ils pouvaient provoquer des con- tractures qui ressemblaient parfaitement à cell
ranger ; je lui suis, en outre, vivement reconnaissant de ses savants con- seils. 36 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
ecdotique. Telles sont les gravures du XVIIIe siècle représentant les con- vulsionnaires de St-Médard et les Miracles opér
x de Dieu. La scholastique du temps s'accommodait sans peine de ces con- tradictions surprenantes. Enfin, si l'on compar
nt été les premiers éducateurs de Dionysos, dont les adorateurs ont con- servé et amplifié plus tard le caractère chorég
les Corybantes, ou les Ménades, et il montre combien ce délire était con- tagieux (2), Cette forme bruyante et convulsi
rpents autour des bras des prophétesses, afin de frapper l'esprit des con- sultants (1). Voyons maintenant l'interprétat
E. Ce serait peut-être un argument en faveur de ceux qui voudraient con- tester l'ancienneté du bas-relief de Florence,
est-il contracté ou simplement distendu ? La distension d'un tissu con- tractile comme le tissu musculaire n'est en rie
Nous re- marquons en même temps que ce mouvement ne s'accomplit la con- dition que le mur supporte une certaine pressio
des condyles fémoraux, car il n'en est séparé que par l'épaisseur peu con- sidérable de la rotule. L'homme'debout ayant de
upérieure, puis à sa partie externe, et s'épanouit en éventail sur la con- vexité antéro-externe de la queue du noyau caud
. La région cervicale n'est pas déformée, mais il existe une légère con- vexité à grand rayon de la partie cervico-dorsa
ue dans la face. A part cela, il n'existe dans ceux-ci rien d'anormal con- cernant soit la sensibilité, soit la motilité.
aisément à angle aigu sur la jambe. Il est complètement impossible au con- traire chez les myopathiques qui s'efforcent en
La localisation initiale dans les muscles du dos et* des-jambes/ la con- servation apparente des reliefs musculaires de
genre sont encore trop peu nombreux pour qu'on puisse en tirer des con- clusions légitimes. La constatation microscop
de l'avant-bras et les jambes au-dessous des genoux où il y avait au con- traire une exagération. 2° Légère diminution
servées à 21 ans, sont, à n'en pas douter, des faits d'une importance con- sidérable. Ils ne sont pas mentionnés par Duche
ulaire faciale chez des sujets dont l'intelligence était parfaitement con- servée (Fig. 54). Aussi avions-nous pensé que
re de la similitude absolue des lésions articulaires et de l'oedème con- comitant avec ceux que je vous ai décrits. Mais
litiques ardentes. (En 18c8, il avait fait partie d'un complot dirigé con- tre Napoléon). « Le monde, dit la malade, l'app
ans après ce début, ces douleurs se sont fait sentir, dans les mêmes con- ditions, au membre inférieur gauche, toujours a
pied. La marche était normale. C'est il cette époque que le maladn va con- sulter le professeur Charcot qui lui remit par
les observations se multiplier. La raison en est bien simple; si la con- naissance anatomique de la syringomyélie est dé
naissance de l'enfant et que l'on trouve dans le délivre les pièces à^ con- viction, sous forme de segments amputés. Il en
adultes, de savoir s'il y a eu arrêt de développement ou amputation con- génitale. Les renseignements fournis par des pe
inférieur de l'avant-bras et de la main. En ce point, elle forme un con- traste frappant avec la main du côté sain. Du r
érieuses, il s'est borné à accepter servilement leurs représentations con- venues, et à les reproduire avec quelques légèr
es contractions, alors que l'excitation du nerf n'en produit plus. La con- clusion qu'il est permis de tirer de tous ces f
aduira matériellement par des hypertrophies ou des atrophies, par des con- gestions, des hémorrbagies, des ischémies, de l
- ration osseuse (ostéophytes) mais aussi une néoformation du tissu con- jonclir qui remplit quelquefois la cavité artic
t avec une mobilité ex- cessive de l'articulation, une hypertrophie con- sidérable de la tète radiale subluxée en arrièr
véler l'intensité des lésions. 2° Une forme destructive où tout au con- traire, malgré l'apparence clinique, les alté-
que c'était de l'appréhension ; j'avais peur qu'on y louchât ». Le con- tact incessant des vêtements n'était pas doulou
it considérablement; en présence de l'aggravation des symptômes, je con- seille de s'adresser au Dr T... On la conduit i
A son arrivée, elle se trouve seule avec sa mère dans le cabinet de con- sultation. En entrant, nous la voyons à genoux
n'a pas été trop pénible pour la malade; quelques pleurs et puis la con- solation est vite venue. Il a été convenu que l
pris le 18 avril et le 15 juillet, nous dispensera d'insister sur le con- traste. En moins de trois mois, notre malade a
Tels sont, les principaux détails de cette longue histoire. On nous con- cédera que notre malade, encore qu'elle ne prés
te influence trophique est activée par l'idée de grossir et, dans ces con- ditions, produit rapidement des résultats merve
l71ante, dues il la propagation d'ondes alternativement dilatautes et con- densantes. Sans entrer dans de trop complexes
celui d'un paralytique général, et tout d'abord on serait tenté d'en con- clure à tort qu'il en a les troubles intellectu
naît une partie protubérantielle et une partie bulbaire. La première con- tient de grosses cellules avec de gros noyaux e
.) et H. Souques. Un cas de bi- dactylie de la main, par amputation con- génitale, 242. LONDE (P.) et Henry MEIGE. Myo
70 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
émoi- gnage de ma reconnaissance; M. Vialet en particulier, pour le con- cours dévoué qu'il m'a plus d'une fois apporté
lules sensorielles de Yectodevme sont situées au 1 La sensibilité con- stituc une lWOprin·1 générale du protf)- pl
nous soyons aussi avancés par rapport à sa texture, surtout en ce qui con- cerne le cerveau. La méthode de Stilling, en
xercer le moins de traction possible, car il est très facile dans ces con- ditions de léser les pédoncules, accident qui n
ntre autres, ou l'enrobement de la pièce avec de la paraffine fondue, con- stituent des méthodes d'enrobement, de contenti
nettement, dans le tissu de soutènement des centres nerveux, le tissu con- jonctif proprement dit de la névroglie. Sur les
icro-carmin, les fibrilles de la névroglie d'avec les fibres du tissu con- jonctif. Dans certains cas cependant il est néc
r l'état des tissus annexés au parenchyme nerveux, (méninges, tissu con- jonctif, névroglie, vaisseaux), et qui rend de
n. Les coupes colorées par l'hématoxyline alunée ou par l'éosine se con- servent mal dans la glycérine même neutre; mont
. La vésicule oculaire primitive, appliquée par sa paroi externe ou con- vexe contre le feuillet ectodermique, ne conser
effectue pas, on se trouve en présence de l'anomalie de développement con- nue sous le nom de colobome. La fente oculair
icule, fait suite au sillon latéral du canal de l'épendyme, et se con- tinue en haut avec le sillon de même nom de l
La lame fondamentale fait saillie dans le quatrième ventricule, et con- stitue de chaque côté du sillon médian, les fun
en avant les sillons de l'habenula et de Monro, en haut il est en con- nexion avec le diverticule pinéal (sp), en ar
agit en somme ici de cellules épithéliales dégénérées, n'ayant aucune con- nexion avec des libres nerveuses et aucune anal
Sillons et circon- volutions du lobe frontal. iIlons et ci l' con- vfjtutiousdniobepa- riétal. pent les circon
l en formant le gyrus marginal supé- rieur; la partie postérieure con- tourne la branche verticale de la scissure pa
part des mammifères, et en particulier chez les grandes espèces, on con- state à la surface des hémisphères des sillons
pale (Ouistitis), présentent en général un hémisphère lisse, qui fait con- traste avec le cerveau si riche en circonvoluti
rveuses, s'insinuent de nombreuses cellules mésodermiques, qui vont con- stituer le tissu conjonctif des ganglions, la
prolongements cylindre-axiles des ganglioblastes cérébro-rachidiens con- servent ce caractère chez tous les pois- sons
6° Les connexions des cellules entre elles sont toujours de simples con- nexions de contact, de contiguïté, jamais des c
gnal.) a, fibrilles noyées dans une substance homogène. b, cellules con- nectives embryonnaires recouvrant la périphérie
. e et f, la myéline est développée eu gouttelettes dans la cellule con- nectivo formant le segment intercalaire. 'g, la
La substance grise, qui est située dans l'épaisseur de l'encéphale, con- stitue autant de noyaux de volume très inégal e
qui relient les ganglions encéphaliques à la substance grise centrale con- stitue le système de projection de 2" ordre de
ent les épithéliums, les vaisseaux et le tissu de soutènement : tissu con- jonctif et névroglie. Aujourd'hui, depuis les
noyau, autour duquel elles circonscrivent souvent plusieurs couches con- centriques (Max Schultze). Les fibrilles ne son
ans le système nerveux central du tissu conjonclifvéritable. Ce tissu con- jonctif, constitué par les prolongements intra-
'action de l'acide acétique, il se dissout, tandis que dans les mêmes con- ditions la névroglie persiste intacte (Ranvier,
dit). L'élément mésodermique - tissu conjonclif, entre donc dans la con- stitution de la charpente des centres nerveux,
nner un faisceau et le diviser en deux. Quant aux fibres du tissu con- jonctif intra-fasciculaire, elles sont sembla
ale, et sontsitués au voisi- nage des premières ramifications ; ils con- stituent les noyaux cle l'arborisation de Ran
rieure de la face inférieure de l'hémisphère est plane ou légèrement con- cave, elle répond au lobe frontal et repose sur
rge en avant, étroite en arrière, n'occupe qu'une petite partie de la con- vexité de l'hémisphère, elle s'épanouit à la fa
nombreuses dénominations sous lesquelles elle est connue et le peu de con- cordance de ces dernières. Ses deux segments :
plusieurs sinuosités en longeant la scissure inter-hémisphérique et con- tourne l'extrémité postérieure du sillon occipi
(oa), en bas par le deuxième sillon occipital (o,). en haut elle se con- tinue avec le pli courbe (Pc), ou spcon{,t : fi
rom- pant le sillon occipital anté- rieur (oa) ; d'autrefois elle con- tourne l' incisure pré-occipitale (ipo) et s'
t à la branche postérieure de la scissure de Sylvius (S[p]) qu'il con- tournepourformer l'axe du pli courbe (t',). I
emporal, à l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius, qu'elle con- tourne pour s'anastomoser avec la deuxième circ
erforé antérieur, traverse en rasant le lobe temporal, le seuil et la con- vexité de l'insula, et se porte en haut et en a
s calleux ou gyrus fornicatus ; l'arc inférieur ou s phé no-occipital con- tourne le pédoncule cérébral et constitue la ci
percevoir, écarter les lèvres de la scissure calcarine (K) et l'on se con- . vainc ainsi facilement qu'il sépare la scissu
ce dernier sillon est souvent masqué par un pli de passage, mais on con- state toujours à son niveau une légère dépressi
et pour la scissure pariéto-occihilale, les lettres po. Nous avons au con- traire, suivi Broca, en adoptant les majuscules
bique (L,). Mais comme le terme de circonvolution de l'hippocampe est con- sacré depuis longtemps par l'usage, nous avons
au système auditif. Le chiasma et chacune des bandelettes optiques con- tiennent en effet un faisceau visuel direct, un
it la commissure, de Gudden. Cl, première paire ccrvic;tle. - C : 11, con- missure de Meynert séparant le faisceau externe
ituitaire. Elle est formée par une lamelle de substance grise, qui se con- tinue avec la substance grise du tuber cinereum
le passant par l'aque- duc de Sylvius (fig. 189). En dehors, elle con- court à former la face externe de l'isthme de
ux pénètrent horizontalement dans la masse blanche des hémisphères, con- tournent l'angle externe du ventricule latéral,
tinue par un angle arrondi avec le bord antérieur; celui-ci, court et con- vexe, est uni au genou (Cc[g]), au bec (Cc[r])
ommet de la toile choroïdienne, où ils s'infléchissent en dehors eksé con- tinuent au-dessus du trou de Monro, avec les pl
substance grise qui traversent la capsule interne, et établissent des con- nexions intimes entre ces deux segments du corp
L'extrémité posCérie2cre est volumineuse, considérablement renflée, con- nue sous le nom de pulvinar (Pul) et forme une
légère échancrure qui concourt à former le trou de Monro. Elle est con- tournée par le pilier antérieur du trigone, cro
aisceau postérieur appartient au système de la bandelette optique. Il con- tourne le segment postérieur de la capsule inte
représente une incisure du sillon, collatéral (of). Cette incisure se con- tinue à la face externe avec le sillon occipita
ies inégales par l'incisure du cap (ic) ; la partie supérieure est en con- nexionaveclepied de la t/'01- sième circonvol
léoieur (Foa), affecte la forme d'une raquette, dont la queue se con- fond au-dessus du sil- lon olfactif (1 ? ) av
(Ce), et il dégénère, de môme que les radiations de Gratiolet (RTh), con- sécutivement aux lésions du lobe occipital. Q
et 105 (fin..260, 261), par le pli l'étl'o-li1llbi- que s'étale con- sidérablement par la 'suite. Ce lobule ap-
1, 262). Sa paroi supérieure est limitée par les fibres calleuses qui con- courent à former le forceps major (Fm), sa paro
ette région le gyrus rectus (oFj [Gr]), qui .en arrière semble se con- fondre directement avec la substance grise de
(Pc) est formé par la deuxième circonvolution temporale ('1\), qui se con- tinue en arrière avec la deuxième circonvolutio
e inférieure (AM'), morcelée par le faisceau uncinatus (Fn) et qui se con- fond en dedans avec des languettes de substance
elles sont formées par des fascicules sectionnés en travers, elles se con- fondent, au niveau de l'angle supéro-externe de
l'ergot de Morand. La corne occipitale est entourée par trois couches con- centriques de fibres; ces couches, très épaisse
passent par le segment antérieur de la capsule interne (Cia) qu'elles con- courent -Il former, puis s'irradient dans l'ext
ière du sillon olfactif (f.t) l'écorce du gyrus reclus (niF, [Gr]) se con- tinue avec celle du tubercule olfactif (Toi) et
du sillon collatéral et se trouve sectionné obliquement. En avant il con- tourne les radiations llaalanaiqucs(IT1), s'enc
ante (pCR). On peut suivre les radiations calleuses presque jusqu'aux con- fins du pied de la couronne rayonnante, au delà
entoure l'extrémité postérieure du putanwll (NL : 1) et entre dans la con- stitution de la capsule externe (Ce). D'autres
ent rétro-lenticulaire de la capsule (Cirl) a changé de situation, et con- tinue à s'éloigner en arrière et en dehors du s
I), qui s'entre-croise en avant du tuber cinereum. Toute la partie en con- nexion avec la bandelette optique appartient à
Golgi et Martinotti, quelques ramifications terminales entreraient en con- tact avec les capillaires et les cellules de la
NERVEUX. Les cylindres-axes des petites cellules pyramidales se con- tinuent avec une fi- bre de projection ou u
3' couche). Le cylindre-axe des grandes cellules pyramidales se con- tinue en général avec une libre de projCC2
niveau du fond des sillons la couche des cellules polymorphes, et se con- tinuent profondément avec les fibres courtes d'
Connexions par les collatérales du cy- 11n,1re-axe. Toutes les con- nexions se font par contact nervoso-pro- to
e de la cellule pyrami dale. La multiplicité et l'étendue des con- nexions des cellules pyramidales entre elle
dans l'enfance, mais aussi dans l'âge adulte. Leur développement est con- sidérable de 18 à 38 ans (Kaes) ; il n'est pas
es d'association. 692 ANATOM1E DES CENTRES NERVEUX. - L'insula ne con- tient que do rares fibres de projection qui
, les cellules pyramidales diminuent de volume de bas en haut et se con- fondent peu à peu avec les petites cellules pyr
type normal. Ces modifications, ces formes atypiques, peuvent être la con- séquence soit d'un arrêt de développement, tel
rce. La troisième couche (couche des grandes cellules pyramidales), con- tient dans sa moitié externe quelques petites c
lulles pyramidales petites et moyennes s'éclaircit et la 3e couche ne con- tient, pour ainsi dire, que de grandes cellules
du trigone cérébral. Cette branche col- latérale ne doit pas être con- fondue avec les deux ou trois collatérales qu
x de Golgi et de Cajal. Les recherches de ce dernier auteur ont été con- firmées par P. Ramon, v. Gehuchten et Mar- ti
protoplasmiques des cellules pyramidales de la région, avec un nombre con- sidérable de fibres nerveuses de fin ou de gros
drites s'arborisent dans la couche moléculaire, leur cylindre-axe se con- tinue avec une fibre de la substance blanche. A
à établir par l'histologie seule, car toutes ces libres apparaissent con- fondues en un mélange inextricable. Chez les pe
ibres commissurales, renvoyant au chapitre suivant t. II) tout ce qui con- cerne le système des fibres de projection. Ca
frontal est situé par contre en dedans de la couronne rayonnante, et con- court à former la voûte du ventricule latéral (
II). Ces faits, que nous avons observés chez l'homme, sont du reste con- formes à ce que nous enseigne la pathologie exp
imitées du lobe occipital, nous ont toutefois montré, que ce faisceau con- tient un grand nombre de fibres longues, dont l
cule. Des recherches que nous venons d'exposer il résulte donc que, con- trairement à l'opinion de Meynert admise par Hu
supérieur de ce lobe à sa face inférieure. Il met par conséquent en con- nexion la première circonvolution occipitale av
ipitale, cette couche s'amincit en avant; elle est toutefois facile à con- stater dans le lobe pariétal, où elle relie le
au occipital vertical de Wernicke, et s'irradient dans l'écorce de la con- vexité du lobe occipital et de son bord inféro-
veaux durcis dans le bichromate (lig. 239 à 260), et se distingue par con- séquent facilement des radiations calleuses et
donc de ce double entre-croisement, que, si le tronc du corps calleux con- tient, comme l'ont soutenu Reil, Arnold et en p
71 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'existence, chez un sujet atteint de paralysie générale (diagnostic con- firmé à l'autopsie) d'obsessions au cours d'un
les autres. Qui lit ces sept observations avec impartialité sera con- vaincu que le délire génital des paralytiques n
célèbres dis- cours de Du Bois-Reymond et d'Huxley, est précédé de con- sidérations sur l'histoire des théories et des
on absence de menstruation, j'avais employé le meilleur moyen de la con- vaincre. Elle devint radieuse, se rhabilla avec
rg des soeurs de charité sont préposées aux sections de faibles qui con- tiennent, à raison du traitement par le repos a
bilité ; 2° Si cette hypothèse admise, on a des raisons valables de con- ' sidérer un aliéné comme partiellement respons
faire bon ménage, surtout lorsque le personnel des surveillants fut con- vaincu que ces aides, en lui allégeant ses pein
er le personnel masculin par des femmes, des soeurs de charité, qui con- viennent mieux à ce genre de soins, mais en leu
i exis- tent dans l'Europe Occidentale et aux Etats-Unis. En ce qui con- cerne la Russie, les statistiques de M. Jakowen
l propose essentiellement naturelle et ingénieusement démonstrative con- tient quelques dénominations très heureuses et
et ces pénétrations donnent lieu à des actes de perturbation et de con- servation individuelle. Notre ûm,e est une mo
orps. ' D'ailleurs l'idée de prédisposition entraîne après elle une con- séquence fâcheuse. Elle conduit à penser aux fa
tteinte après intoxication oxycarbonée de psychose aiguë à forme de con- fusion hallucinatoire, et chez laquelle ultérie
plis par les animaux inférieurs encore irréductibles à des facteurs con- nus : tels les- mouvements de fuite, manifestés
uvent encore, du fait de la répétition des impressions, apprendre à con- naître, à reconnaître, à agir en conséquence. I
bserver les phé- nomènes psychiques des animaux, Edinger la déclare con- traire il toute méthode véritable d'investigati
et inversement ; 5° les divers individus présentent des différences con- sidérables dans leur capacité de sentir, qu'il
tion des mensurations mécaniques élargira beaucoup le cercle de nos con- naissances. On objecte qu'on évite les causes d
une autre si les vacuoles que l'on observe alors entre les cellules con- tiennent un produit de sécrétion spéciale. RE
de celui d'autres poisons, tels que l'alcool, prête facilement à la con- fusion. Mais dans le cas actuel, en l'absence d
atisme ambulatoire repose sur les faits suivants : commémoratifs de con- vulsions avec perte de connaissance dans le pre
réussi à mettre toutes choses rigoureusement au point sans que des con- victions religieuses quelconques, fussent-elles
e aucune réaction à gauche (signe d'Abadie-Rocher). Le nez est bien con- formé ; les plis naso-géniens, égaux des deux c
s épreuves ». Quoi qu'il en soit, ces diverses considérations étant con- nues, peut-être -pourrons-nous maintenant nous
crise ccnvulsive. L'explication intime du-phénomène échappe à notre con- naissance et malgré tous nos efforts d'analyses
en droit, de nous demander s'il a répondu aux espérances qu'avaient con- çues ceux qui ont eu la pensée de l'instituer.
econdé par les progrès de la technique. Si nos prédécesspurs et nos con- temporains ont vu plus de choses que nos ainés,
ent scientifique, que le jour où nous serons arrivés à préciser les con- ditions, ou morphologiques ou histo-chimiques,
de sa genèse; n'a-t-on pas dit que « connaître véritablement, c'est con- naître par les causes » ? 2 Mais les recherch
ANTES. décrit trois formes du délire aigu suivant qu'il y a oedème, con- gestion ou anémie du cerveau. Tous les observat
ctères saillants sont la confusion, les hallucinations, la perte de con- science. C'est la confusion mentale hallucinato
nent à Limoges. M. le professeur Brissaud remercie donc ses gentils con- frères du Limousin et souhaite à leur école les
siré. Il s'opère de la même façon que l'épanchement de sang sous la con- jonctive, que le suintement ou le giclage du sa
REOU. L'étiologie de la paralysie générale reste encore discutée et con- troversée. Les deux causes surtout incriminées
a soirée. M. Fourest est né à Chomerac (Ardèche) en 1856. Il a, par con- séquent, quarante-cinq ans. Fils d'un maréchal
se. Ces lois nous ont paru à peu près constantes : les observations con- tradictoires étant en très petit nombre. Trou
harge motrice (spasmes, convulsions; souvent de nature réflexe ; 3° con- fusion des impulsions entrailles (paresthésie)
u- sion s'établit. Ces dispositions en deviennent inexactes, car la con- fusion de rapports que nous venons de signaler,
cette irritabilité qui s'éveille trop souvent chez les enfants, par con- tagion imitative, au spectacle de l'irritabilit
des relations de la matière et de l'esprit : jusque-là, il faut se con- tenter, - si peu satisfaisante qu'elle soit, -
ais au contraire à s'habituer le plus possible à leur vue et à leur con- tact. elle me répondit : « Oui, je pourrai peut
ueuse de l'enseignement clinique, beaucoup de médecins n'ont qu'une con- naissance imparfaite des maladies chroniques du
t de vue de l'aspect clinique, ils reconnaissent deux formes, l'une con- tinue, l'autre par accès. Ils distinguent enfin
tres moments, il nous dit qu'il va mieux, qu'il espère recouvrir sa con- naissance, et peut-être guérir. Il est incapabl
sent travail de se borner il l'étude des muscles oculaires internes con- sidérée comme caractère dominant dans treize ca
n à une partie du thorax et aux épaules, symétriquement : le malade con- tinue à retenir sa respiration et à gonfler ses
ate du 5 décembre 1843, ils ont un droit de présentation au Préfet, con- curremment avec la commission de surveillance.
au concours pour les places d'internes titulaires, sous réserve des con- ditions exprimées dans l'article 3. ART. 17.
r lieu plus tôt s'il s'agit de cas chroniques. Pour des villes plus con- sidérables, M. Sioli considère comme suffisants
pect que saura inspirer tout maitre digne de ce nom, ménageront des con- ditions favorables aux suggestions utiles. « Le
reconduit de même dans le service d'où il vient, pour y achever sa con- valescence. Il reste donc dans son lit pendant
lade (cité par Binder) s'assied par terre toute la journée, balance con- tinuellement son tronc, passe son temps à bouto
t ce qu'il y a de plus maudit qui mal y pense... C'est une sorle de con- juration, de formule cabalistique permettant à
i lui ont fait subir, pense-t-elle, toutes sorles de souffrances et con- tinuent maintenant à la persécuter. D'autres
éréotypies pré- sentent des ressemblances avec d'autres' phénomènes con- nexes, avec lesquels il faut faire le diagnosti
il y manque des détails fort importants que nous aurions besoin de con- naître pour faire un diagnostic rétrospectif ce
service. Il est à noter que Jean Mafurlin, au moment de sa chute ne con- naissait que quelques mots d'anglais, mais parl
hnoïde un exsudat fibrineux, irrégulièrement distribué. Cet exsudat con- tenait des diplocoques présentant l'aspect morp
G80.) Il n'y a plus de praticien qui ait le droit de dire : « Je ne con- nais rien à la folie », ni qui puisse se borner
folie ? L'article donne en outre un tableau résumant les résultats con- signés dans 24 articles de divers auteurs empru
n cas de démence épileptique bien que la malade ait eu des attaques con- vulsives, car les accès se sont surtout montrés
72 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
ffections articulaires qui sont en général faciles à constater et les con- tractures par lésions organiques de la moelle q
son, on donne à cette deuxième catégorie de contractures le nom de con- tractures post-convulsives, quand elles s'insta
Pour les contractures tardives qui résultent de la transformation en con- tracture d'une paralysie primitive, voici comme
âge de l'enfance, les convulsions sont suspectes et peut-être faut-il con- fier au temps le soin d'éclairer complètement l
oins il faut apporter à démasquer la névrose, quand elle s'adapte aux con- ditions de l'anatomie la plus fine et la plus r
hénar. Enfin l'exploration électrique dénote une perte complète de la con- tractilité des fléchisseurs de l'index et du mé
résultat d'un tel traumatisme est souvent une névrite. Dans le cas de con- Itisioii, violente ou chronique, on conçoit enc
ssus gliomateui, et des troubles de sensibilité spéciaux en seront la con- séquence. Les troubles de la sensibilité ont
elle marche à 16 mois et se porte bien jusqu'à l'âge de 4 ans où elle con- tracte la rougeole. Vers cette époque, le pied
. Julliard (4), Déjerine (5), Ilomolle (G) ont contribué à nous faire con- naître la syphilis de la moelle au point de vue
rruption au milieu même des faisceaux blancs, abandonnant les travées con- jonctives qu'elles suivent le plus ordinairemen
dans le groupement et l'évolution de leurs symptômes ; les autres au con- traire, celles qui accompagnent des lésions mul
emière catégorie qui simulent l'hémiplégie spasmodique infantile, les con- vulsions, les contractures et les monoplégies d
). D'ordinaire les danses des morts représentent des personnages de con- ditions diverses : le pape, l'empereur, le rich
qui a été nourrie au biberon et présente un léger degré de luxation con- génitale de la hanche gauche, des déviations ra
malade a eu une eschare ; il ce niveau, la sensibilité au contact est con- servée. Mais il existe de l'analgésie et de la
tres (et ceux-là plus nombreux) plus profonds, quelques-uns même au con- tact de la substance grise; et tous présentant
. Décembre 1890. Même état : les membres inférieurs sont immobiles, con- (1) M. le Dr Lancereaux dans le service duquel
'observateur se trouve dans des conditions moins favorables en ce qui con- cerne les muscles de la face spécialement, pour
muscle quelconque du squelette. Le biceps brachial par exemple, en se con- tractant glisse sous la peau, comme un corps ét
assez forte colère, si on le contrarie ou s'il a faim. Conséquemment, con- formément à ces particularités, le muscle de la
du XVIIe siècle. Une autre fort intéressante (fig. 4) que M. Garnier con- sidère comme originaire des imageries de Chartr
arachnoïde et la pic-mère sont confondues en une seule nappe de tissu con- jonctif fibrillaire, moins compact, où l'hémato
prenant la coloration noire de l'hématoxyline. Sous ce rapport elles con- trastent avec les racines antérieures qui sont
elles du côté opposé, bien que toutes celles qui sont présentes aient con- servé noyau et nucléole bien apparents. Le cont
les il celles qui infiltrent le périnèvre. Dans la partie centrale au con- traire, bien que les travées interstitielles so
pris alors des pilules et des médicaments, dont il ne saurait dire le con- tenu. En 1887, un ptosis de l'oeil droit, se
ourdes et continues, peu intenses, siégeant dans les épaules, dans la con- tinuité des bras et des avant-bras, les autres
u'il doit y en avoir deux d'égarés au lieu d'un. Nous trouverions une con- firmation de cette hypothèse dans ce fait que l
d'esquisse mais bien d'une étude parachevée. Les personnages qui au con- traire forment le second plan sont simplement e
iales. Je ne veux pas décrire cet « Institut » pour employer le terme con- sacré, il est connu de tous et a servi de modèl
urait, pour ainsi dire, s'échauffait, discutant avec feu les opinions con- tradictoires, s'élevant aux plus hauts sommets
aux devinrent très sérieux : il eut du délire nuit et jour, il perdit con- naissance en partie. Toute cette période n'a la
sensibilité des membres inférieurs est absolument intacte partout et con- servée dans tous ses modes. Les seules douleu
ralement pas complète. Elle s'accompagne d'ailleurs tôt ou tard de con- tracture comme précédemment. Quant aux troubles
e cette distinction n'est généralement pas possible à faire en ce qui con- cerne la moelle, et que les deux ordres de lési
coup ne sont pas juifs ; mais la proportion de ceux-ci est assurément con- sidérable. Les observations suivantes en font f
: tiraillement des yeux vers le fond de l'orbite, impression de froid con- tinuelle sur la joue droite. Picottements à fle
nt il a eu 4 enfants bien portants, et tous musiciens entrés dans des con- servatoires. Sa seconde femme a actuellement
dédaigneux de toucher il la plaie, et qui se contente de donner des con- seils, de la voix et du geste, en éclairant le
taient constamment de la même façon. D'autre part je ne me suis pas con- tente d'étudier les phénomènes physiologiques,
soupir, ce qui prouve que les muscles respiratoires étaient eux aussi con- tracturés. Les contractures peuvent être détrui
1. Si le diaparon sonne à l'oreille gauche, les muscles de la face se con- tractent les premiers (après une période de pet
méridien marqué 120° dans la table campimétrique. Ayant relâché la con- tracture précédente, nous renouvelons l'irritat
souvenir de la Salpêtrière, et qui avait en M. Charcot la plus grande con- fiance, se décida à faire le voyage de Paris où
ssant sans transition de la tristesse à la joie, de l'inquiétude à la con- fiance. Son costume porte aussi l'empreinte d
et de retrouver les traces d'accidents épileptiques vulgaires, crises con- vulsives, morsures il la langue, urinalion invo
. Tout esprit pedantesque était banni et toutes les opinions même « con- traires à celles de l'escliole » pouvaient y êt
73 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d'une atta- que d'apoplexie. - Soeur du malade morte à la suite de con- vulsions à l'àge de quatre ans et demi. Antéc
ge, sans avoir senti aucun phénomène précurseur quelconque, il perd con- naissance et tombe sur le côté droit (ce sont s
est conservée mais très diminuée; et cela est surtout net en ce qui con- cerne la sensibilité à la température. Le mem
carac- tères du mutisme hystérique ; l'intelligence est tout à fait con- servée ; le malade ne peut parler à voix basse,
rès limités, mais deviennent de plus en plus étendus à mesure qu'on con- tinue les manoeuvres que nous venons d'indiquer
certainement celle d'une lésion siégeant dans l'écorce cérébrale au con- tact des méninges, intéressant la zone motrice
il n'en est rien; ces trois périodes ne sont qu'imaginaires, et la con- tracture tardive observée chez le malade n'est
à une objection impor- tante contre l'hypothèse de lésion organique con- sécutive directement au traumatisme ? Voici d'a
ent de leur obser- vation personnelle plusieurs des cas publiés, et con- cluent que tous ces faits doivent être disjoint
objet brillant, le son du diapason et les autres agents ne font que con- centrer l'attention de l'individu qu'on veut en
TALE. 89 quatorze jours après l'accident, lorsque le malade reprend con- naissance, qu'on s'aperçoit du trouble de la pa
fait plus vite; si à l'affaiblissement intellectuel se joignent des con- ceptions délirantes qui nuisent à l'attention d
courbe. 10 a, 10 6 est la courbe d'un jeune médecin ; b, s'abaisse con- sidérablement. 11 a et Il b est la courbe d'u
t dans un groupe de petites cellules ganglionnaires, elles-mêmes en con- vexion avec les grosses cellules de l'oculo-mot
de ces cours sous l'inspection d'une surveillante pour tout ce qui con- cerne les travaux pratiques des femmes. Par ces
condi- tions d'admissibilité et le programme du concours. Voici les con- ditions de ce concours : Article premier. - I
: lm,21. 9 mvl.- Lecture courante, mais peu expressive; calcul, ne con- naît que l'addition et la soustraction; mémoire
-Dieu dans le service des. Merklen, médecin du Bureau, central, qui con- firma le diagnostic de M. Brun et qui, après av
ons plus loin. Les réflexes tendineux du coude et du poignet sont con- servés. Le membre supérieur droit est un peu
ctère fait absolu- ment défaut dans nos observations, en raison des con- ditions d'âge du sujet, dit M. Chauffard, la mo
et des nerfs moteurs'. Dans ce cas, il ne peut même plus y avoir de con- testation au sujet de l'origine de l'atrophie m
était pour lui difficile de fixer sa pensée longtemps et, après une con- versation un peu animée, il se sentait fatigué;
té- rieures. Dans le tableau clinique nous trouvons à signaler la con- servation complète de la sensibilité et avec un
fibres nerveuses, trophiques, que le tronc du facial pourrait bien con- tenir sur une certaine étendue. Remak innocente
el l'altération primitive consisterait en la prolifération du tissu con- jonctif, se développant le long des truucs arté
sculaire (paresse, ralentissement du temps perdu, persistance de la con- traction) et réaction électrique myotonique. M.
ieurs et inférieurs (impossibilité de marcher sans appui) ; le tout con- sécutif à une diphthérite légère n'ayant pas né
nerf n eut généralement pas lieu et que le processus inflammatoire con- sécutif à la section détermina après coup une d
nerveuse. la névrite multiloculaire (dissémination des phénomènes, con- servation des réflexes cutanés, sensibilité à l
l faudrait savoir limiter son rôle à l'état du père au moment de la con- ception, ou à celui de la mère pendant la gross
l militaire de Moscou, on a observé des accès de sténocardie et des con- vulsions. Les médecins de service ont pu noter
poi- trine ; c'était suivi d'un tremblement de tout le corps et de con- vulsions cloniques, auxquelles succédaient une
a jambe droite, la fléchir et remuer les doigts. Le pied gauche est con- tracturé en dehors, à l'état d'extension. L'éva
exci- tabilité galvanique et faradique des nerfs et des muscles est con- servée ; même la faradique parait plus forte. L
nts de la droite sont plus restreints; on y aperçoit un tremblement con- tinuel. La réaction faradique et galvanique des
réflexes tendineux sont exagérés des deux côtés; le nerf facial est con- servé. Le 4 mars, le malade commence à sentir d
s il ne distingue pas une différence de 5°; pas de paralysies et de con- tracture musculaire; mais les réflexes tendineu
t plus faible que celle du droit; le champ de la vision est rétréci con- centriquement (l'examen a eu lieu sans périmètr
'est surtout les paraplégies hystériques qu'on risque facilement de con- fondre avec des lésions organiques de la moelle
ît peu développé. La fissure calcarine (F. ca), décrit une courbe à con- vexité supérieure. Le corps calleux, le corps
Gambetta; chez celui-ci, le cap antérieur était plus développé, au con- traire du Pacha où le cap postérieur est plus d
s THY- RoiDE entre la trachée et les muscles qui ont été assez bien con- servés et on n'en trouve aucune trace. Le gra
bablement corticale. Parmi les auteurs qui ont obtenu des résultats con- traires à ceux de M. Schiff, nous devons encore
nant qu'il ne produise une excitation cérébrale; le chloroforme, au con- traire, produit une dépression marquée. Dans le
lie d'un tissu connectif rosé, délicat, spongieux, dont les mailles con- tiennent l'exsudation mentionnée ci-dessus. C'e
t fendues dans leur longueur), de l'hypergénèse des noyaux du tissu con- jonctif, multiplication des noyaux des fibres m
pruntés souvent aux meilleures sources. Les premiers chapitres sont con- sacrés aux méninges et à la configuration extér
urage fus- sent soustraits aux dangers d'une puissance échappant au con- trôle de l'intelligence et de la volonté. Penda
74 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
u- mière par M. le professeur Charcot. Nous en citerons, à titre de con- traste, quelques exemples démonstratifs. Dans
incline sa tête jusqu'à ce que sa bouche atteigne l'aliment. Dans ces con- ditions, quoique sa main et sa tête tremblent,
malade est un nerveux héréditaire ; le début de l'affection a été la con- séquence d'une terreur horrible; deux jours apr
2° L'hémiplégie est très nette et siège il gauche, sans raideur ni con- tracture. Au dynanomètre : main droite, 29; mai
objets qu'on lui met dans les mains, sur la tète, etc. Pas d'attaques con- vulsives. De temps à autre, elle a des moments
ertiges, la diplopie, les accès épileptiformes sans perte complète de con- naissance, etc. Mais, tandis que la sclérose
er une saison à Bourbonne-les-Bains. Sa santé ne s'y rétablit pas, au con- traire. Il raconte que, dès ce moment, il comme
ne grande résistance aux mouvements passifs contraires. La flexion au con- traire est à peu près impossible. La flexion de
parlies qui est très faible et résiste à peine aux mouvements passifs con- traires. La supination existe à peine, la prona
e semble à ce moment dans cette sorte de délire hallucinatoire avec con- servation de la connaissance et de la perceptio
ades. C'est, comme nous l'avons dit, le caractère spasmodique de la con- traction produite par notre sujet qui nous a fa
re par des caractères assez nets, pour qu'il soit impossible de les con- fondre. A supposer même, que dans un cas donné,
r. M. le docteur Joffroy, qui, ce jour-la, dirigeait le service de la con- sultation, a bien voulu nous l'adresser. C'est
. Ce sont là des notions qui ont leur importance et qu'il faut bien con- naître : elles peuvent mettre sur la voie du di
nant celle que nous avons recueillie nous-mêmes, avant d'avoir pris con- GÉI : UIUlI1111511E CUTANÉ. 171 naissance de
pleurait, et le tremblement prenaitsur-le-chàmp un degré d'intensité con- sidérable. Elle était alors incapable de se'ten
ncie et privée de graisse, au niveau de l'abdomen, un peu épaissie au con- traire au niveau de la face. Mais il n'y a aucu
uve comme elle dit « très agitée ». Ces jours ? ), le tremblement est con- tinu, et ne cesse que pendant le sommeil. Mais
suffocation, avec rougeur vive de la face. Plusieurs médecins furent con- sultés. On lui prescrivit l'usage du fer, du qu
hez elle, elle se coucha et aussitôt sa vue se troubla et elle perdit con- naissance. Elle se réveilla le lendemain ne s
s'accroît ni ne cesse. La malade est un peu ébaubie, mais ne perd pas con- naissance ; cela vient tous les deux ou trois j
faciès myopathique. Ces cas paraissent rares, il est vrai, mais il con- vient néanmoins de les connaître. En tout cas l
tel ou tel groupe musculaire et sans troubles de la sensibilité. La con- tractilité faradique était diminuée, mais non a
dans la syringomyélie, à côté de la conservation des sensations de con- tact, on trouve l'analgésie et surtout la therm
rt subite, le cerveau était seulement congestionné et les ventricules con- tenaient plus de sérosité qu'à l'état normal. L
des membres par rétraction musculaire", j'étais arrivé à plusieurs con- clusions intéressantes. ' La première et la p
' La première et la plus importante est la suivante : lorsque, à la con- tracture spasmodique de certains muscles, succè
rt bien; ceux de l'éminence thénar gauche réagissent à peine, et leur con- tractilité au courant induit, malgré la persist
de la pointe en haut, la division congénitale, la déviation latérale con- génitale ; pour les narines, la déviation de la
d'interprétations délirantes, d'accusations fausses. Aussi je vous con- seillerai de ne le faire que dans les cas où il
ignorance de bien des faits, hypothèse d'une utilité d'autant plus con- testable qu'elle est devenue aujourd'hui plus m
xes rotuliens. Lorsqu'on cherche à étendre complètement les membres con- tracturés, on ne peut y arriver cause de la rai
fait. Nous avons rapporté cette observation telle que nous l'avions con- signée dans nos notes de cette époque. Elle est
de revision refusent un certain nombre de conscrits pourdesvicesde con- formation caractérisés par une courbure du ster
oite. Le thorax en entonnoir que présente ce malade est de tout point con- forme à la description que nous avons donnée de
au- deau , dans une étude sur les rapports du rétrécissement mitral con- génital et de l'hystérie, note chez ses malades
t ordinaire, par aucun signe objectif; le malade qui en est atteint con- serve foute la liberté de ses mouvements, et le
terai : a. Le massage musculaire profond, auquel il faut ajouter la con- striction opérée sur le membre par un son élast
e. La contracture une fois produite revêt tous les caractères de la con- tracture hystérique spontanée, elle ne diffère
n phénomène musculaire observé chez les hystériques el analogues à la con- traction paradoxale. Brain, 1886, t. VIII, p. 2
par l'action de l'aimant. Nous avons observé plusieurs fois qu'une con- tracture ainsi provoquée dans un membre, à la m
saurait certainement en déduire des lois en vertu desquelles toute con- tracture provoquée ne saurait être détruite que
e diathèse de contracture. D'autres fois, il est vrai, la diathèse de con- tracture existe sans anesthésie ou en dépasse l
J'ai déjà fait ressortir les connexions qui relient la diathèse de con- tracture il l'amyosthénie. L'affaiblissement mu
de peu d'instants le membre inférieur droit qui est anesthésique se con- tracturer, pendant que le membre gauche demeuré
é et jusqu'au sens musculaire. Dans l'un comme dans l'autre cas, la con- DIATHËSE DE CONTRACTURE. 353 fracture se prod
du corps, le plus souvent sous la forme hémiplégique du côté de la con- tracture primitive. La diathèse de contractur
eu plus fréquemment des vertiges qui le surprennent au milieu de la con- versation et pendant, lesquels il perd complète
veut se lever dans la nuit, ses jambes fléchissent et elle tombe sans con- 1. Voy. les il,, 1, 2, 3 et 4, 1891. ÉTUDE DE
L'étude des signes actuels, des commémoratifs et de l'évolution le con- duira toujours à des probabilités pour ou contr
99 observés par lui à la névrose elle-même, et que Levy' rejette au con- traire cette hypothèse; et, dans l'observation
ésie tabétique. C'est la distributionditeen îlots (fig. 70 et 71). On con- çoit aisément les difficultés que pourrait prés
. C'est là une assertion que l'histoire dc l'amyotrophie hystérique con- firme pour son propre compte. Vu le petit nombr
fatiguée est restée au lit et le surlendemain elle s'est levée. Celte con- tracture a duré deux mois. Pendant tout ce temp
une femme est prise d'une attaque d'hystérie qui se termine par une con- tracture des deux mains. Au bout de deux mois,
st montrée, sa marche rapide, sa rétrocession considérable étant en con- tradiction avec cette manière de voir. L'évolut
et des lombricaux que du côté gauche. Les mouvements du pouce sont con- servés, quoique affaiblis. Le malade peut encor
79 leur dilatation. Mais comme cette dilatationétaitproduitedansdes con- ditions artificielles, elle devait cesser, ces
elui des faits positifs qu'après examen microscopique. 11 fallait par con- séquent examiner le cerveau de l'animal sacrifi
bisme interne bilatéral, 37. Hystérique (Amyotrophie -), -10, 41; con- tractnrc-, 14 (p. 324); contracture volon- ta
75 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
Les enfants de la grande et de la petite école qui sont propres ont con- tinué à faire des promenades soit à Paris, soit
faut d'éclairage de la salle. Tous les dessins qui le méritent sont con- servés dans des dossiers au nom de chaque élève
omme infir- mière. Les deux seuls ateliers que nous possédons ont con- tinué à fonctionner régulièrement. Le travail,
uelque catégorie qu'ils appartiennent. Il y a alors tout bénéfice à con- fier ces classes mixtes à des femmes, institutr
, alcoolique, mort d'apoplexie. - Deux frères et une soeur morts de con- vulsions. Premières convulsions à 2 ans. - Co
il était tout blanc de peur. Cet accident n'aurait pas modifié les con- vulsions mensuelles qui ont cessé à 7 ans. Mi
ai 1891. -Père; âgé de 36 ans, garçon de magasin dans une maison de con- fection ; c'est un homme de taille moyenne, rob
sans connaissance ; la tête était brûlante ; il n'aurait pas ou de con- vulsions mais il aurait eu delà diarrhée. Il af
Les phénomè- nes thoraciques sont peu marqués. Toux peu fréquente; con- jonctivite légère. T. R, 38°, 3, Soir : 39°, 4.
. Pas d'onanisme. Décembre. - C... fait quelques progrès commence à con- naître ses lettres, et à écrire; elle travaille
e cor- néon paraît plus sensible ; toutefois Couil.. ne reprend pas con- naissance, la température s'abaisse et la mort
ant à un ancien foyer probablement d'origine artérielle. - Atrophie con- sidérable des circonvolutions voisines, atrophi
sie hémiplégi- que, due à la sclérose alrophique, l'intelligence se con- serve dans cles proportions en rapport avec les
tte lésion en foyer a eu pour conséquence un arrêt de développement con- sidérable des circonvolutions situées en dehors
maternel, excès de boisson, mort de congestion cérébrale. - Pas de con- sangwinitè. - Inégalité d'âge de 10 ans. Prem
droit. Les sutures sont très dentelées et non ossifiées sur la face con- vexe ; elles sont transparentes en grande parti
ir s'il y a quel- que conclusion à tirer de tous ces faits et s'ils con- firment les opinions émises par certains auteur
ertains auteurs qui attribuent une influence à la disproportion des con- joints sur la production des enfants arriérés.
s ces habi. tudes ni d'augmentation de ses idées religieuses, il se con- fectionna en cachette une robe de moine avec un
tre, pourrons-nous en faire la statistique et voir s'il y a quelque con- clusion à en tirer au point de vue de l'étiolog
ement isolée. Elle présente depuis ce matin une éruption rubeonque. con- fluente dans le dos. sur les bras et les m tins
ononcer à cet égard. Quant aux accidents qui se sont substitués aux con- vulsions, c'est-à-dire les accès de cris, les c
ait pas la force de têter. C'est à la fin de ce mois que le médecin con- sulté conseilla l'alimentation exclusive par le
t la tête déformée, au point de passer pour un monstre ; depuis, la con- formation de l'extrémité céphalique s'est notab
t ainsi qu'il va de la classe aux cabinets de la cour sans qu'on le con- duise. Il marche le corps droit les mains tendu
; l'absence de l'un des reins (Fig. 16). Il s'agit là d'un vice de con- formation qui se rencontre assez souvent et don
ace, écrasement du nez et fracture du maxillaire inférieur. - Ozène con- sécutive. - Développement de la cachexie pachyd
ès la méthode nègimb1ud) les mots composés de syllabes simples (une con- sonne, une voyelle). Ecrit les mots qu'elle lit
s de santal. 20 avril. - Il n'y a plus d'écoulement; le malade doit con- tinuer encore, pendant quelques jours, le santa
ytique. - Oncle maternel aliéné. - Deux tantes hystériques.- Pas de con- sanguinité. Inégalité d'âge de 9 ans. Grosses
76 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- tion. On a été obligé de la sonder : les urines sont très rouges, con- tenant une notable quantité d'albumine. Le dépô
ais beau- coup de faits assemblés et présentés sous une forme assez con- crète et rendant cette thèse intéressante, malg
Jacob- son est une émanation du ganglion d'Ander : ch. Si ces nerfs con- duisaient les sensations au trijumeau, ce serai
uin 1897.) A l'autopsie d'une malade, qui présentait une amputation con- génitale des trois doigts du milieu et une atro
envi- ron ; le groupe antéro-inteme des cellules motrices est bien con- servé ; le groupe postéro-latéral est atrophié
s-con- jonclivales à droite après la section du sympathique gauche, con- firme la théorie de la vaso-dilatation. S'appuy
. De nom- breuses années d'expérience et d'observation ont toujours con- firmé cette règle. Il n'a jamais pu obtenir d'u
erminer l'accomplissement d'une action criminelle ; mais doit-on le con- damner pour ces quelques cas d'ailleurs très ra
RELLI. L'anthropologie criminelle, tout en ayant bien des points de con- tact avec la médecine légale et avec la psychia
its cli- niques et expérimentaux qui servent de base à une nouvelle con- ception de l'hystérie; le second, aux observati
bable qu'on trouverait une gamme parallèle de lésions, allant de la con- gestion la plus légère au ramollissement, en pa
le étran- glée, la stauungs-papille typique; la saillie est souvent con- sidérable, 1 ou 2 millimètres, l'aspect est ros
pose d'abord le diagnostic de tumeur cérébrale; ce n'est que par la con- naissance des antécédents, la recherche des sti
on but est surtout d'établir qu'aucune de ces variétés ne peut être con- sidérée comme constituant une entité morbide.
s le vrai, puisque l'on observe tant de variétés, tant de sujets de con- troverse dans la symptomatologie, la marche et
festa- tions d'une intoxication. De sorte qu'il m'est permis de. ne con- sidérer, comme je l'ai établi ailleurs, notamme
llas. Les conclusions de l'auteur sont les suivantes : 1" Parmi les con- ditions liées à la pathogénie des maladies ment
, 1895.) Il s'agit de la critique des mémoires de L. Weissmann, qui con- teste l'hérédité de facultés ou qualités acquis
ainsi de générations en générations tout en se soumettant, pour se con- server, aux mouvements nutritifs, sans que ceux
tosiques sont aussi limitées au côté droit. La force musculaire est con- servée. Les réflexes tendineux du membre inféri
'un symptôme ou un épisode de diverses maladies, l'auteur étudie la con- fusion mentale primitive idiopathique, qu'il dé
à fait insuffisant et, dans quelques cas, très tardif. Ces chiffres con- firment ainsi pour leur part l'opinion, exprimé
ration, se retirera dans deux ans. Le départ de M. Falret a eu pour con- séquence le passage de M. le Dr Charpentier de
magnan n'ont pas persisté. Actuellement, le malade a quelques idées con- tradictoires de satisfaction et de richesse. Le
ues et physiques de la paralysie générale, tels que affaiblissement con- sidérable des facultés psychiques, morales; apa
grammes. La peau est anesthésiéo sur tout le corps. Les urines ne con- tiennent ni albumine ni sucre ; nous n'avons pa
bre entre le coefficient de résistance de l'organisme humain et les con- ditions nouvelles que nous ont créées les grand
mino- taure moderne. Et c'est tout ! Le reste était convaincu, bien con- vaincu. L'alcool est un poison : la physiologie
tées ne peut être nuisible et peut même être utile. L'abstinence ne con- vient qu'à ceux qui ont le nécessaire pour bien
énergie. Un physiologiste suisse, Frey, avait l'an dernier vivement con- trarié nos doctrines anti-alcooliquesen démontr
ccé- lération ? C'est quelquefois l'anémie, ou bien au contraire la con- gestion cérébrale. C'est peut-être aussi la pré
peu- tique judicieuse, rationnelle, applicable aux diverses espèces con- sidérées. Il n'a garde d'oublier l'assistance d
es auteurs les plus autorisés qui ont usé de la suggestion, on peut con- server des doutes sur la réalité de leurs succè
le de lutter contre l'instinct. La résistance aux instincts sexuels con- traires a d'autant plus de chances de pouvoir ê
e la mesure de sa critique : e Mais l'unisexualité n'entrave pas la con- servation de la race, puisqu'elle s'est trouvée
sirent plus tard. On verra que sa mère était bien disposée à ne pas con- trarier ses sentiments. Au mois de novembre 189
ient sans qu'elle s'en inquiétât. Un jour qu'elle avait entendu une con- versation de jeunes femmes qui lui avait ouvert
. Le médecin prétend qu'il est faible de poitrine. Il n'a pas eu de con- vuisions. La cinquième, trois ans, est notre ma
des moules, dont son mari fut victime. Quant à la mère, elle perdit con- naissance, le médecin parla de congestion céréb
qu'à dix mois. A cette époque, elle eut une bronchite compliquée de con- vulsions. Durant ces convulsions, qni furent qu
es, elle ne remuait pas, mais le cou était roide, la langue restait con- tractée an fond de la bouche, les yeux étaient
ecins; que le médecin est de tous les penseurs, celui qui a le plus con- tribué à stigmatiser le vice alcoolique. Mais l
nscience. Le brave homme mettait pour condition sine qud non de son con- cours ma conversion à ses idées. Cet homme inca
e opinion générale, que c'est de l'initiative des particultersqu'il con- vient d'attendre les véritables efforts sérieux
elet avec simple diminution de volume de la moelle. Fraser et Norme con- sidèrent leurs cas comme des arrêts de développ
trans- mission d'une tendance qui évolue dans divers sens selon les con- ditions ambiantes où ville sujet. Il faut gén
néces- sité d'un classement méthodique des malades ; de leur faire con- naître brièvement les caractères qui distinguen
vue, de celui des persécutés... Les hallucinations sont simplement con- firmatives des idées délirantes et ne présenten
ement dite. Ces malades luttent encore, ils ne sont pas résignés et con- vaincus de la fatalité de leur sort ; ce ne son
és, des conductions isolées qui ne doivent résulter que de certains con- tacts déterminés, sont-elles possibles ? C'est
différentes, dans un espace de cinq années, à la suite de périodes con- vulsives, est restée pendant une douzaine de jo
brusquement ou progressivement, sans avoir été précédée par l'orage con- vulsif (obs. de Mai'.) 2. En somme, l'amaurose
e étio- logie comme il l'admet pour le tabès. Il est arrivé à cette con- viction parce que tout concorde à prouver l'ori
of Aemt- anopsia; Démonstration of hemiopic pupillary inaction; - A con- tribution to the Pathology of the Ce ! 'e6''« :
tion du bras. Les épaules se soulèvent aveu force, et le trapèze se con- tracte bien dans ses diverses portions. En ré
réflexes étaient exagérées, les sensibilités conscientes étaient au con- traire très atteintes. Mais nous reviendrons pl
en pinçant la peau de la racine du membre on provoquait encore des con- tractions réflexes, preuve de l'intégrité de l'
t de la protubérance. Mais l'excitation de ce centre provoquera des con- vulsions toniques, et non pas une association r
ux est fortement dégénéré, si ce n'est un court segment de celui-ci con- tigu à la zone marginale de Lissauer. Dégénéres
r, il aurait fallu reproduire, avec le courant faradique, l'attaque con- vulsive toute entière, avec l'aura paroxystique
on : l'hérédité pure, le surmenage, l'alcoolisme pur, les tendances con- gestives peuvent rendre compte de faits particu
conju- gales ni les paralysies générales produites par un véritable con- tage. La syphilis à elle seule, héréditaire ou
77 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
intégrité des réservoirs. Plus tard, apparition d'un nouvel abcès par con- gestion dans la fosse iliaque droite. Aucun sig
dinaire les muscles de la ceinture pelvienne et scapulo-thoracique, con- trairement.à ce qu'on observe dans la myopathie
Liège et que nous publions aujourd'hui : il nous paraît absolument con- firmatif de nos hypothèses antérieures. La pi
e du cartilage. Le bourrelet cotyloïdien fibro-cartilagineux avait au con- traire été complètement remplacé par un puissan
été guéri vers la fin du mois de janvier (1892), mais il ne s'est pas con- servé longtemps dans son état normal : une ving
Nous n'avons pas à faire ici une étude particulière de chacune des con- ditions anatomiques qui, en dehors des lésions
nous avons un individu, qui, malgré ses 167 centimètres de taille, con- serve, à l'âge de 37 ans, les formes extérieure
Pierre Marie appelait l'acromégalie une « hypertrophie singulière non con- génitale». Eh bien, Msssieurs, il ne me semble
d'acrocyanose chronique hypertrophiante. Vous pouvez facilement vous con- vaincre, que ce sont seulement les parties moll
est en premier lieu de la fonction et non du volume que dépendent les con- séquences, et je puis très bien me figurer une
uence des lunettes et du lorgnon ; j'ai constaté des différences très con- sidérables qui m'ont inspiré une grande défianc
grossière des lunettes, expliquent l'emploi des besicles, cependant con- nues depuis longtemps. C'est pourquoi nous re
a maladie. Dans ce Code (Cod. Vatic. 3211), se trouvent des remèdes con- tre : Allô carnaccio delli ochi R mastice, su
cervicale à concavité droite. Au-dessous se dessine une scoliose à con- vexité gauche intéressant la région dorsale inf
ais c'est pour des accidents d'un autre ordre que la malade est venue con- sulter à la Salpêtrière : elle présente depuis
e temps en entravant le développement du faisceau pyramidal,dont on con- naît l'apparition tardive. Il est donc très v
grandes se voient dans les nerfs avec des lésions pathologiques, nous con- cluons que les lésions que nous avons trouvées
) La littérature étrangère que M. le professeur Cadiot a bien voulu con- sulter à notre intention n'apporte pas une cont
e cadavre nombre des expériences de Hérard et Capuron et je me suis con- vaincu qu'effectivement c'est le radial qui se
entraîné la dégénérescence du faisceau de Wernicke avec décoloration con- sécutive des circonvolutions supérieures (pli c
ron) de la deuxième temporale ; la dégénérescence est nette, mais non con- sidérable. Dans trois de nos cas,, la lésion at
s fibres qui se rencontrent dans cette région. Cette irrégularité est con- forme à la règle générale; nous ne croyons plus
érieure de la scissure calcarine et reçoit de nombreuses fibres de la con- vexité occipitale, mais il contient en outre le
s, donc il n'existe que peu d'endonévrite interstitielle et la lésion con- siste presqu'exclusivement en une périnévrite ;
nouvelles poussées régénératives ; c'est du moins ainsi que l'on peut con- cevoir l'évolution des lésions, et expliquer l'
tération grave de l'état général. Amaigrissement, asthénie, malgré la con- servation de l'appétit et l'absence de fièvre.
Ce n'est pas à dire que la paraplégie par rétractions ne puisse être con- fondue, à un examen superficiel, avec le rhumat
gique et, nous le répétons, l'immobilité à laquelle ces sujets sont con- damnés (fracture, traumatisme, cachexie primiti
peux sous-cutané. Les reliefs osseux deviennent très apparents, au con- traire les loges musculaires s'affaissent et se
d'allonger légèrement le membre, mais toutefois la résistance la plus con- sidérable vient surtout des muscles rétractés.
irritante agissant sur tous les éléments à la fois (vaisseaux, tissu con- jonctif, fibres musculaires) avec une prédomina
nages, les accessoires et le décor ne varient guère. Gérard Dow, au con- traire, malgré d'inévitables réminiscences, s'e
temps utile. Dans tous les cas, nous avons opéré des animaux adultes, con- trairement à la manière de certains auteurs qui
racine sectionnée, en même temps que les racines symétriques, comme con- trôle. Nous n'avons pas pu retrouver toujours l
En 1890, Singer et Münzer, chez de jeunes animaux, arrivèrent à des con- clusions identiques après 4 semaines de survie.
les plus délicates modulations de la voix. Le chant peut être mieux con- servé que la parole parlée. En chantant, le mal
ossibilité de parler et d'écrire), sans aphasie sensorielle (le sujet con- servait l'audition verbale et la lecture des pa
naire), sans amusie sensorielle (l'audition musicale est parfaitement con- servé : le sujet ne sait pas lire la musique, m
lombaire,'négative dans le second cas, douteuse dans le premier, ne con- tribua en aucune façon à éclairer le diagnostic
, rompent, par endroits, les travées conjonctives, réduisant le tissu con- jonctif à une travée très peu apparente et entr
aquelle je suis arrivé en envisageant différentes particularités bien con- nues de l'ossification. Un grand nombre de fa
quelette, et la nécessité s'impose à votre esprit de donner une forme con- crète aux vérités qui se sont révélées à vous.
Nous étions certains de vous causer une satisfaction bien vive, en con- fiant l'exécution de ce souvenir au maître cise
sées nerveuses s'atrophient et il persiste seulement des portions de con- ducleur qui établissent des connexions entre le
d'un réseau ondulé, à travées plus ou moins égales, dans d'autres, au con- traire, on voit des travées primaires, superfic
eure du bout supérieur de la moelle il y a également une accumulation con- sidérable de leucocytes et de globules de sang.
ivent un tracé curviligne et se perdent dans les interstices du tissu con- jonctif. Le nombre des massues terminales est r
contenu des sécrétions non spermatiques des glandes de la vésicule con- servée. Cet orgasme et cette éjaculation sont
que d'après la gourde qu'il porte à la ceinture,on pourrait peut-être con- sidérer comme un lépreux. La gourde personnelle
Les mouvements des muscles des thénars sont presque abolis. Quelques con- tractions fibrillaires dans le long abducteur d
certain degré de myosis. Réflexe lumineux aboli, réflexe accommodatif con- servé (signe d'Argyll-Robertson). A l'état de
qui frappe le plus, quand on examine la moelle, c'est l'hypertrophie con- sidérable des nerfs de la queue de cheval; ils
utôt rares ; par places il existe des amas de gros noyaux ou de tissu con- jonctif ; plusieurs faisceaux paraissent consti
partie externe du cordon postérieur la raréfaction est beaucoup moins con- sidérable ; elle est cependant encore très appr
hincters et de la nutrition de la peau. Altération très marquée de la con- tractilité électrique sans réaction de dégénére
osis, à gauche légère mydriase. Réflexe lumineux aboli. Réflexe de la con- vergence conservé. Signe d'Argyll-Robertson. Ac
leur corps, les yeux étant fermés, ils commettent des erreurs de lieu con- sidérables ; c'est ainsi que pour le gros ortei
bertson, de cypho-scoliose, d'hypertrophie des nerfs, symptômes au con- traire constants de la névrite hypertrophique,
Charcot-Marie ? Les autopsies en sont rares et très imparfaitement con- cordantes. Sainton (2) fait remarquer, à juste
su épidural à gauche qu'à droite ; elles présentent un épaississement con- sidérable de la névroglie, avec atrophie des fi
ieur ; la dure-mère n'est pas nettement épaissie ; on serait tenté de con- sidérer ce cas comme un fait de compression oss
d'une sciatique double ou simple avec laquelle elles sont- souvent con- fondues. Ces douleurs radiculaires du début s
s nerfs présentent un épaississement notable du périnèvre et du tissu con- nectif, disparition d'une quantité de fibres ne
un commencement rapide, elle peut rester longtemps stationnaire, se con- formant en cela au caractère des lésions vascul
mme origine des centres antérieurs. En effet, le dessin nous invite à con- sidérer que la plaque jaune ancienne sert de tr
une lésion supramarginale) présenté par notre maître M. Pierre Marie, con- firme complètement la manière de voir de M. et
on insiste sur leur constitution complexe, qu'on leur propose un fort con- tingent corticipète, que l'on reconnaît l'extrê
alogie est grande et fait ressortir que l'échange des impressions par con- tact (à la façon pyramidale) n'est possible qu'
78 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
nir dans les écoles, où ils étaient une occasion de trouble, qu'ils con- tribuaient à encombrer, même à infecter par leu
n, interroge et répond exactement quand on lui parle. Il a appris a con- naître quelques lettres et, sur le cahier, il p
ésultats anté- rieurs ajoutons qu'il s'est produit une amélioration con- cernant l'attention. L'enfant répond, aujourd'h
Bien que l'enfant ne parle pas ou ne possède que quelques mots, ne con- naisse pas les lettres, ne syllabe pas, nous l'
etc. Parmi les agrès, nous préférons les échelles horizontales, et con- vexes, les barres parallèles, le mat horizontal
ts imbéciles, arriéres et épileptiques, à faire tous les jeudis une con- férence dont les séries de vues énumérées plus
enté de citer les fêtes diverses organisées par les enfants avec le con- cours des maîtres, des surveillants, sous-surve
s abus regrettables (2). Vaccination et revaccination. - Nous avons con- tinué, pratique qui remonte à 1880, la vaccinat
l se traduit par des résultats pratiques et que tout ce qu'ils font con- tribue à leur bien-être, a leur enseignement et
les. Nos collègues de la division des aliénés, nommés comme nous au con- cours, en ont également créé successivement. No
irecteur de l'Assistance publique sont chargés, chacun en ce qui le con- cerne, d'en assurer l'exécution. Fait il Pari
à l'âge de 10 ans, atteinte d'imbécillité prononcée, avec luxation con- génitale des hanches. La parole était libre c
t est devenue plus enjouée, affectueuse, parle même beaucoup, tient con- versation, s'amuse aux récréations comme le fer
à la Fondation où existe, comme nous l'avons dit, une installation con- venable. Voici la statistique des bains et des
mettent qu'à sept ans, un arriéré réclame un traitement pédagogique con- forme à son éducation cérébrale, mais j'estime
adolescent ? `t Serait-ce aussi trop demander que les éducateurs se con- formassent aux lois de l'évolution qui les inst
administrateur d'un Bureau de bienfaisance. Elles auraient dû être con- nues surtout du fonctionnaire de l'Assistance p
ospitaliser. Cette hospitalisation ne doit pas être absolue et nous con- CXLII Assistance des épileptiques. tinuons à
eurs et institutrices qui doivent établir le bilan, a l'entrée. des con- naissances scolaires des enfants. - Cahier scol
notre malade, II. Cette affection aurait été précédée de nombreuses con- vulsions depuis l'âge de sept mois jusqu'à troi
q ans, en bonne sauté ainsi que ses dix enfants qui n'ont pas eu de con- vulsions. - Une soew', mariée, aeu une fille, l
dissement ( ? ). A la suite de quelques exercices de marche, cette con- tracture a disparu. C'est alors qu'est apparue
enfants sont malingres, très nerveux, surtout l'ainé, qui a eu des con- mulsions. Mère morte phtisique à trente-quatr
otre malade. Antécédents personnels. Rien à signaler à propos de la con- ceplion, de la grossesse et de l'accouchement.
RALE. 2 1 Etat physique. - (Nous ne relèverons que ce que l'on peut con- sidérer comme des stigmates physiques de dégéné
que ce qui présente un caractère pathologique). Troubles digestifs con- sistant en vomissements sans douleur, mais l'en
antes maternelles atteintes de goitre exophtalmique ( ? ). - Pas de con- sanguinité. - Inégalité d'âge de 6 ans (père pl
âge. II a été difficile au début du traitement d'obtenir d'elle une con- fidence quelconque ; peu à peu, elle se laisse
s en extrairons les notions qui nous sont utiles, pour affirmer nos con- clusions. Nous les développerons ou les résumer
icipi- tale ; 2° Que le déplacement de cette lèvre externe a pour con- séquence de dévier la coulisse bicipitalc : cet
moins que le gauche. Les pesées ont montré que c'était celui-ci, au con- traire, qui était le moins lourd. La différence
occupait tout le monde, une loquacité intarissable, une instabilité con- stante; au point de vue physique, c'est une agi
sse, l'asphyxie à la naissance ont placé l'enfant dans de mauvaises con- ditions qui expliquent l'apparition des convuls
omesse de M..Mourier, sur son esprit d'équité, pour qu'il soit fait con- formément aux intentions primitives et persista
79 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nfant t est rentré chez lui et, fréquente l'école comme externe. Il con- tinue régulièrement son traitement hydrothérapi
nfant dut quitter le collège au mois de janvier. M. Maurice Haynaud con- seilla alors l'hydrothérapie. Mais, au bout de
qu'il y a quelque chose qui le comprime violemment. Le sommeil est con- servé. Le matin, au réveil, l'enfant ne souffre
année sui- vante. Mais le Dr Cheurlot nous a dit depuis qu'il avait con- tinué à se bien porter, et qu'il avait passé en
ent de{J'évoiùtion vésanique : c'est ce sentiment de dépression, de con- centration pf : n¿úletencore une'fois; qui est-
ès avoir été, quelque temps plus ou moins nombreuses, plus ou¡moins, con- 'fuses.t-Sur la^scène délirante,, 'encore parta
r> 1 1114 , , ., , EnAé,montmllt qu'un grand nombre de stupides con- servent le souvenir d'un travail intellectuel i
,. , .11( Observation XIV. - Hérédité rmalennell,e.,l,- Claayraas; con- ,- 'a ? e<M.C ! n<yKte ? e accès de folie
s en plus vive, son caractère de plus en plus susceptible. Elle est con- vaincue qu'elle retrouverait rapidement l'équil
é. L'idée fixe d'unemortimminente et l'anxiété morale qui en est la con- séquence,' anxiété indépendante du jugement et
me.rémit- tente. Malgré cette durée assez longue, cette dame 'avait con- servé la'perception de"ses : troubles' snsor)el
promener i dans -la-- campagne. 11 Cet-. état,l ! dont. il r avait ,, con- science ? l'inquiétait.d'autant plus. qu'il se
rdes voix amies qui, sans doute, étaient celles des bons anges. Ces con- seils ; par InalheuT'étaiènt d'une'extrême élie
diaque, présentant une tuméfaction du corps thyroïde et une saillie con- sidérable de l'oeillimitéès 'au 'côté'dr'oit; e
*n 4fVPar.> des- filaments prdvéiYànt[''d^^ Jures ncrveuses qUI, con- servant ! leur indiYidua)it6 ? vc'nt" sè ! '1Íl
.11 Koeher attribue l'absence de" douleurs' après 1 l'élongation,* con- trairement à ce qui s'observe après la névrotom
avec nom- breuses pertes' de -substance, dune diminution de^yolume con- sidérable des circonvolutions du cervelet, deve
ouverts. Les différentes parties du Jcorpsllsont susceptibles, de, con- server .les. attitudes qu'on leur communique pe
lus graves, s'il n'avait pris la précaution indispensable, dans ces con- ditions, de n'être jamais seul avec le sujet. S
tsrath. M. Hollsnder lit son travail sur la Moral Insanity 1. Il en con- clut que cette affection n'est pas autonome, qu
., ri 10 M. SCHULZ communique à la Société un rapport médico-légal con- cernant un épileptique accusé d'incendie. Il s'
in. M. Schùlz conclut à l'irresponsabilité. L'observation à l'asile con- firma le diagnostic : accès convulsifs Í'égulie
usée ; ici, les circonvolutions se terminent" ex' u6rttp(o" survies con- fins du trou. La cause 'anatomique de ces°malfo
FAITS DIVERS Société contre l'abus bu TABAC. - Cette Société met au con- cours pour 1883 des prix variant de 100 à 30) f
ur leur visage la marque de leur souffrance. Ils avaient les traits con- tractés, les yeux étaient cernés et un voile de
ellectuelle'. De ce que la céphalée peut exister en dehors de toute con- tention d'esprit, il n'en faudrait cependant pa
e leurs devoirs. ' On a remarqué qu'une seule de nos observations con- cernait une fille. La maladie paraît, en effet,
sser tout travail de tête, pour placer l'enfant dans les meilleures con- ditions possibles. Plus tard, on pourra mener e
e et a per- sisté avec l'intensité et les caractères qu'elle devait con- server pendant le reste de la maladie. Chez le
lysés. Oncle maternel paralytiquegénéral.-Fréres et soew's morts de con- vulsiozzs. Convulsions de deux mois ci deux a
vais goût dans la bouche. Le malade pouvait retenir les aliments en con- centrant son attention sur un autre objet au mo
ême faveur. Ainsi que le fait remarquer justement M. Blanche, les con- joints d'aliénés, dont M. Luys tient à réparer
ir- mer dans nos prémisses qu'il y a de véritables révélations, et, con- formément à l'esprit de I,Uroi;sièm8.,question
son .'une, ils nous offrent, même sous ce point de vue, une preuve con- cluante pour démontrer que la sainte était parf
e peti tes productions ostéophytiquos. La facette antérieure est an con- traire complètement usée et comme évasée. La su
eut répondre à cette question par les considérations suivantes. Les con- sonnes linguales (t, n,' et aussi s) résultent
EZ LES ENFANTS. 333 sition du langage conscient. Ainsi, pour ce qui con- cerne les consonnes linguales, il y a des enfan
s vêtements mouillés. Plus tard l'attaque s'accompagne de violentes con- vulsions et G... se' voit réformé du service mi
de la région des centres sensoriels, à des actes, qui échappent au con- trôle supérieur momentanément voilé. Quelques
La forme et la grandeur de la moelle épinière étaient normales; sa con- sistance était un peu molle, surtout dans la pa
pourrait- elle expliquer certains cas pathologiques qui paraissent con- tredire la règle générale des localisations des
II, XXX.) Quant à l'assimilation, elle se fait généralement bien, à con- dition toutefois, comme nous l'avons déjà dit,
stendent pour en provoquer l'expulsion; et peut-être aussi, dans la con- traction des fibres longitudinales de l'oesopha
oup, n'a jamais eu de troubles nerveux. - Mère : cinquante-six ans, con- cierge, bien portante; d'un caractère irritable
ce à l'aide des autres sens. Les lésions, consécutives aux attaques con- gestives, portaient, soit, comme dans les expér
nt cons- cience de leur existence. La notion de l'idée délirante au con- traire repose sur le mécanisme anormal des conc
nière année. C'est '), ]il suite d'une de ces attaques, qu'elle fut con- duite a la préfecture de police, mais elle ne s
et immé- diatement après la scène, font supposer la plénitude de la con- naissance à l'instant considéré. Et cependant l
nt de départ d'illusions, puis d'hallucinations, qui engendrent des con- ceptions délirantes. La folie systématique occu
t qui se traduit par une pote en poids de l'individu en traitement ( con- firmation sur ce point de M. Shüle).,Les autres
ds, et de le prier de tenir conseil sur la teneur de cette première con- clusion, sauf à l'adresser ensuite, sous forme
de- vrait rester toujours intacte chez le diabétique, ce qui est en con- tradiction avec les données actuelles de l'anat
iabète n'a pas de lésion nerveuse qui lui soit propre ». Bien moins con- testable est l'importance d'un choc traumatique
rée comme la lésion du diabète. Ces altérations sont, au contraire, con- sécutives au fonctionnement anormal de ces diff
es d'exercice dans les pharmacies, dont une dans la même maison. Le con- cours porte sur la chimie, la pharmacie et l'hi
80 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t ce symptôme. Enfin relevons que dans un cas nous avons observé la con- traction secondaire du facial supérieur. Dans c
rochent leurs deux points d'insertion, et c'est pour cela qu'ils se con- tractent avec moins d'énergie. Dans la paralysi
liophobie, phobie, des intoxications, et toutes leurs sensations se con- centrent autour de ces idées. Donc, selon les i
ganes. ZD Etat psychique. L'attitude du malade est très tranquille, con- venable; le regard fixe; la figure triste, dépr
t mani- feste que, ni la nature de l'éruption, ni les phénomènes de con- tracture, ne jouent un rôle dans la déterminati
cune insuffisance dans la réaction pupillaire pour la lumière et la con- vergence n'est observable. Surtout chez le prem
elle- même; cet accident est très douloureux, et plus encore que la con- tracture met obstacle tout au moins aux mouveme
pas- modique syphilitique d'Erb, déjà décrite par Charcot, et qu'il con- viendrait mieux d'appeler forme syphilitique co
xamen médical, elle a été reconnue atteinte d'aliénation mentale et con- duite dans une maison de santé. » Faculté DE
ences répé- tées à différentes reprises avaient donné des résultats con- tradictoires, soit parce que les résultats des
t l'absence de la réaction douloureuse en question. Ce nombre vient con- firmer les données de Biernacki pour le tabes.
du dia- gnostic différentiel de la paralysie générale ? ou, faut-il con- clure avec Boedeker et Falkenberg que l'analgés
par la moitié droite. La figure est cyanosée, les conjonctives sont con- gestionnées. La miction et la défécation sont i
sont sains. Etat psychique. Attitude convenable, humble, la figure con- tractée exprime la tristesse, le regard dirigé
n légè- rement augmenté. Le réflexe plantaire conservé ainsi que la con- traction idéo-musculaire. La sensibilité géné
i est venu. Etat psychique. La malade est dans un état d'inquiétude con- tinuelle, son regard est.interrogateur, elle se
Les lobules des oreilles adhérents, petits; les pavillons sont bien con- formés et normalement insérés. La malade présen
ent elle tâche de nous persuader qu'elle est atteinte d'une maladie con- tagieuse, qu'elle doit être désinfectée, qu'ell
anifeste- ment atteints eux-mêmes de paralysie générale. J'ai pu me con- vaincre du diagnostic relatif aux parents en co
, 417, LC.) « On a vu, dit Calmeil, le délire éclater à la suite de con- fessions mal dirigées, de sermons sur les peine
de puissance intérieure il le manifeste d'une façon incohérente et con- tradictoire. Il est Dieu, ou le Diable indiffér
échec ou d'un insuccès ne se présente à son esprit. Un paralytique, con- vaincu qu'il est capable de voler comme un oise
s divers titres. Tel ce malade qui était à la fois Dieu puissant et con- cierge du Trocadéro 2. On le voit, tous les é
ent ne sont pas pour beaucoup dans ces tendances religieuses, reste con- vaincu que la névrose épileptique a une influen
nie inspirée et l'obsession démoniaque. De là, le polymorphisme des con- ceptions morbides religieuses. D'une façon gé
sommes à leur disposition pour compléter leurs collections dans les con- ditions les plus avaaztagezcses.- Tout nouvel a
s un vague assoupissement, ou sont pris d'un besoin irrésistible et con- tinu de sommeil On dirait et cela doit être qu'
ningitique, ou délire aigu, typhomanie; 5° enfin, si l'on veut, une con- fusion mentale pseudo-paralytique. Toutes ces
ctéristique des psychoses d'attio-iî2toxicatioîî et par suite de la con- fusion mentale. ' Cette idée de faire du déli
t patho- logiques et se rapprochent du type de l'a2îieiitici, de la con- fusion, n'ayant avec le rêve de l'individu norm
une infi- nité de points différents et il serait nécessaire de lui con- sacrer un chapitre entier, ce que nous ne pouvo
ébrales constatées sur des coupes colorées par la méthode de Nissl, con- sistaient en des altérations des grandes cellul
de la moelle correspondant à l'origine des nerfs les plus malades, con- courent, avec les caractères de la chromatolyse
plète. Et pourtant il faut reconnaître que cet état incomplet de la con- ception était nécessaire : il fallait, en effet
ent à des types rébarbatifs; des-visages aux lignes peu accusées se con- fondent avec d'autres dont les contours sont an
bril- lant ; la malade rit fréquemment et sans motif apparent; elle con- tinue à débiter force mots orduriers; elle tuto
ont été suivies d'une guérison complète, mais ce dernier accès, au con- traire, tend à s'éterniser ; voici plus de ving
uteur pense que cette artérite généralisée dépend de la syphilis et con- clut que toutes les difformités congénitales du
t vous les entourez ? Combien nous sommes loin, par la science, des con- ceptions erronées que se faisaient de l'aliénat
bonne fortune de rencontrer, comme secrétaire général, un excellent con- frère et ami de la veille, le D1' Boubila ; il
cin- quante-six ans, entouré de l'estime de ses concitoyens, de ses con- frères de Marseille et de tous les aliénistes d
ations cardiaques très vives; de la dyspnée; puis, se développa une con- gestion pulmonaire ; enfin, brusquement une syn
e de la dégénérescence. Toutes les deux du reste paraissent êlre la con- séquence d'une même cause dyscrasique, l'arthri
ratique. Les troubles mentaux étudiés jusqu'ici ne doivent pas être con- sidérés isolément, ils doivent être rattachés à
nt des signes physiques d'alcoolisme. Chez les chroniques, c'est le con- traire qui se produit : au début et pendant des
rviable. - Dans le courant de l'année 1893, M. B... eut à subir des con- trariétés très sérieuses à propos de rapports d
la lecture de ce journal dont nous avons parlé. Jusque-là il avait con- tinué à remplir les fonctions assez délicates d
era reconnu insuffisant. Tous ces moyens ont pour but d'empêcher la con- ' Nous avons relaté un certain nombre de cas de
nom- breux cas d'aliénation chez des gens non prédisposés. Nous ne con- naissons aucun fait certain, aucun document pro
ou débu- tants ne seraient pas méconnus lors de leur comparution en con- seil de guerre ou de discipline, et envoyés par
cipline ; 2° La raison en est que nombre de prédisposés, d'aliénés con- firmés ou au début sont fatalement méconnus lor
laré res- ponsable sur un rapport de M. Paul Garnier. Tout le monde con- naitla haute compétence de M. Paul Garnier, ce
presque complète des réflexes rotuliens, pas de convulsions, pas de con- tracture, contractilité musculaire nette et éne
ie de l'hôpital, c'est-à-dire deux ans et demi après le début de sa con- tracture, aucune amélioration n'est survenue. I
ration. Un banquet de quatre-vingts couverls réunissait ensuite les con- gressistes et les invités autour d'une table so
ulaire avec autopsie, par Abadie, 320. Angine. Fausse de poitrine con- sécutive à un rêve subconscient, par Farez, 4
e sur les maladies du -, par Gilles de la Tonrette, 79. L'élément con- ducteur du - t-t ses relations topo- glaphiqu
- glaphiques avec les cellules, par Apathy, 3t'r. Des difformités con- génitales du-central, parSolov- tzoff, 317. M
81 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
tort, comme tout à fait incurables. La plupart d'entre eux sont, au con- IV Enfants IDIOTS invalides. traire, suscepti
parents, il se sauvait presque chaque jour de l'Asile où ceux-ci le con- duisaient, ce qui les décida à le placer. A son
teurs et actrices des principaux théâtres et concerts de Paris ; le con- cert du 25 mars organisé par la famille Just-La
ns et hydrothérapie. xv Vaccinations et revaccinai ions. Nous avons con- tique, comme les années précédentes, la vaccina
fants anormaux. Le premier pas pour guérir un mal, c'est de le bien con- naître. Voilà pourquoi les sociétés pédagogique
olaire, des médecins et de l'instituteur de la classe spéciale, est con- sultée pour chaque cas et aucun enfant n'est ad
du directeur des écoles examine les élèves que les parents désirent con- fier il la classe spéciale. Leur admission a li
également de contractions involontaires ; aussi la face, de par les con- tractions rapides des muscles, change-t-elle, i
° fille 17 ans, bien portante, vive, intelligente, n'a jamais eu de con- vulsions, ni d'accidents nerveux ; 3° fille de
ntif, est parvenu à placer les lettres sur les cartons, mais ne les con- naît pas encore. Nul eu gymnastique. Marche d
3ouche assez grande, lèvres épaisses. Voûte palatine arrondie. Goût con- servé.-OreiIIes 1>ien ourlées, peu écartées
de pigeon. 1895. Janvier, - Etat stationnaire sons le rapport de la con- duite et du moral. Progrès sensibles àl'ecole.
ution du corps calleux avec la frontale interne; elle est profonde, con- tinue. - La scissure perpendiculaire interne es
-nous à rappeler qu'il était parvenu à lire couramment, à écrire, à con- naître les quatre règles et, à l'atelier de tai
usieurs fois. 20 auril. - Rémission presque complète, elle est très con- tente des friandises et des objets de toilette
ite terminale. - .. Conception : graves ennuis du père. - Premières con- . vulsions à quatre ans. - Diminution de l'inte
poings, raidit tout le corps, porte le tronc en avant; la face est con- gestionnée, les yeux fixes et hagards, les lèvr
docilement et très bien tous les exercices de gymnastique (échelle con- vexe, échelle horizontale, anneaux, mouvements
de l'enfance. Ils peuvent guérir en général assez facilement, à la con- dition, qu'on recoure sans hésitation à l'isole
u près normal. - Le lobe frontal est formé de circonvolutions assez con- tournées coupées de nombreux sillons courts et
t., il y a en outre un aplatissement du lobe temporal.) Sur la face con- vexe de chacun de ces mêmes hémisphères, l'apla
t du ventre, une ou deux taches rosées, diarrhée. Quelques râles de con- gestion surtout 11 gaucho et en arrière; bruits
uin. Pas de mauvais instincts, sentiments affectifs peu développés; con- science du danger. État actuel. - Physionomie
de Rungis (2). Pour enrayer autant que possible l'épidémie, on a con- damné les fontaines du service, surveillé les e
e pleurer nuit el jour. C'était le premier que la mère nourrissait, con- trariée d'avoir vu les autres mourir en nourric
vait trop « émancipé » et qu'il se mêlait sans réserve à toutes les con- versations. - Chez ses parents il se montre moi
s'ils ont eu des convulsions. - Dans le reste de la famille, on ne con- naît aucune espèce de tare, ni aliénés, ni épil
ôté paternel, nous relevons; quelques excès de boisson du père, une con- gestion cérébrale chez l'une des arrièrc-grand'
is, elle ne l'était plus. Entre ces deux époques sont survenues des con- vulsions sur les caractères desquelles les rens
82 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
Or les faits les plus caractérisés et les plus complets de myxoedème con- génital démontrent que l'évolution ne s'en tien
- dème fruste ou infantilisme monosymptomatique. J'espère que cette con- cession supprimera tous les désaccords. La co
thyroïdienne ? Le langage courant,sans se préoccuper de pathogénie,à con- sacré la réalité du fait. A qui n'est-il pas ar
anté de Sanctis), la simultanéité de plusieurs lésions distinctes est con- forme à cette loi formulée par Geoffroy St-Hila
au processus morbide, ce n'est jamais que d'une façon accessoire et con- tingente. Chez notre malade, au contraire, les
s noyaux en assez grand nombre et à la périphérie du manchon elles se con- tinuent avec les fibres plus espacées du tissu
gnostiquent en outre une paralysie du moteur oculaire externe droitet con- cluent au tabes. Elle ne subit pas le traitem
3° Le fémur droit présente une exagération anormale de sa courbure à con- cavité postéro-interne. Il est douloureux à la
n soi des caractères qui lui sont propres. Sans prétendre qu'il doive con- naître toutes les variantes possibles, du moins
rôle important dans la conformation du nu, pendant que d'autres au con- traire, quoique distincts anatomiquement, sont
montréunhomme bien portant ? Etudier les altérations des formes sans con- naître la « santé de la forme », c'est un vérit
à cet égard qu'une alopécie rapide survenue il y a 2 ans. En ce qui con- cerne le tabes, c'est l'hypothèse à laquelle je
e réflexe rotulien est vif, exagéré et s'accompagne d'une très légère con- traction des adducteurs à gauche. Le réflexe cu
que universellement admise. Elle cadre d'ailleurs très bien avec la con- ception pathogénique de la poliomyélite aiguë d
z la petite malade de Rapin par exemple, semble avoir également des con- nexions avec le trophoedème. , L'hémi-hypertr
ché, un écorché tout blanc, qui semblait de plâtre comme tant de ses con- génères. A peu de frais, j'en fis l'acquisition
... L'aventure assurément est exceptionnelle. Il n'en faudrait pas con- clure que toutes les statues d'écorchés mises à
n'existe que conformément aux lois de la vie. Certains muscles sont con- tractés, d'autres relâchés, d'autres simplement
ons aujourd'hui, étudié sur coupes sériées, vient donc apporter une con- tribution non dépourvue d'intérêt à l'anatomie
u d'un malade qui, comme le nôtre, est frappé d'une hémiplégie avec con- tracture. Quoi qu'il en soit, l'absence certain
ffliction profonde et non motivée des parents du petit patient qui le con- sidèrent condamné à une paralysie incurable. Ce
fâcheux, c'est que, en ne soignant pas le petit malade d'une manière con- venable, on peut retarder sa guérison et, dans
le sous-épineux du môme côté avec, aux deux variétés du courant, une con- traction manifestement lente. Pas d'inversion d
ité inférieure de l'humérus. L'os lui-même est normal. Le radius au con- traire n'affecte aucun rapport avec la petite c
L'extrémité supérieure du radius ne présente ni tête, ni col ; elle con- tinue, sans modification de forme, la diaphyse.
ument opposée à l'achondroplasie, où, l'ossification périostale étant con- servée, c'est l'ossification enchondrale qui es
stent pas ; en somme, l'iris est absolument immobile. La cornée et la con- jonctive ont gardé leur sensibilité et le réfle
tôt, au contraire, elle est moyenne. Les réflexes à la lumière, à la con- vergence et à la douleur sont conservés, quelqu
'examen de la gorge montre que la moitié droite du voile du palais se con- tracte beaucoup moins bien que la gauche et pré
ulaire, soit ostéo-articulaire. ChezF..., il y a bien à la fois de la con- tracture etde l'atrophie d'un certain nombre de
tain degré de contracture de la masse sacrolombaire gauche qui peut con- tribuer à exagérer la courbure vertébrale, nous
pas délimitée par une membrane (fig. 5). M. le professeur Askanazy en con- firme la nature syphilitique et attribue la mêm
ondi, à l'extrémité duquel se trouve un doigt (l'index), parfaitement con- formé. La mère, étant enceinte de six semaine
, les extrémités inférieures de ces os sont épaisses et rappellent la con- formation des extrémités des os normaux. Elles
n'ont pas de tendon inférieur distinct; ils viennent s'insérer, en se con- fondant sur le tissu fibreux périostique qui re
es surfaces diarthrodiales du radius et du cubitus sont régulièrement con- formées. L'extrémité inférieure du radius est
peut voir le côté droit de la région cervicale antérieure se gonfler con- sidérablement, notamment dans la fossette supra
e incapacité absolue au travail. Dans deux cas, nous observâmes une con- fusion mentale de courte durée. Un examen décou
Le cervelet s'est jusqu'à présent effacé derrière le cerveau et nos con- naissances sur ses lésions sont demeurées insuf
extraordinaire les deux hémisphères cérébraux sur une étendue très con- sidérable. En dehors de ce contraste, qui n'e
terminer définitivement à la IX" dorsale. Les racines postérieures con- tiennent un certain nombre de fibres dégénérées
Sur un fond jaunâtre, s'étalent une série de larges placards violets, con- tusiformes, groupés sur le côté droit du front,
que des parties voisines, échappant à l'action de la compression, ont con- tinué leur développement plus ou moins complet.
ns. Nous avons reconnu dans le cervelet une anomalie très curieuse, con- sistant en l'absence de corps dentelé dans l'hé
(3) 2° partie, passe près du 3" groupe et se fusionne aiec le tissu con- densé des extrémités proximales des 2e et 3e do
3° groupe, naît du cubitus et du radius, et se termine dans le tissu con- densé des 1 er et 2e doigts; la portion destiné
lucide, analogue à de la synovie. Ces pertuis ne sont autres que des con- duits galactophores coupés en travers. Au micro
que rarement. Parmi les études parues dans ces dernières années, il con- vient de citer le travail de Iticlilei- (1) qui
cartilage d'accroissement que se localise la lésion principale Mais con- trairement à ce qui paraît exister chez l'achon
sujets fortement musclés ; le sterno-mastoïdien gauche, lorsqu'il se con- tracte, offre le même renflement, moins saillan
Celte variabilité et cette migration des phénomènes convulsifs est con- traire à l'hypothèse d'une lésion périphérique
quelque peu persisté, craignant le retour des défaillances avec leurs con- 482 HENRY MEIGE séquences. Je m'en tiens, dep
l'équilibre dans la décontraction » ; mais je ne l'avais pas dans la con- traction, et tous mes efforts pour arriver à ce
ai essayé, sans résultat appréciable de prendre des pilules calmantes con- tenant extrait thébaïque, jusquiame et valérian
convulsives de tout le haut du corps qui sont comme des défenses aux con- tractions de torti et rélro-colis ; je m'efforc
sommeil, absence à laquelle il n'a pas été possible de remédier, les con- tractions étant alors très violentes dans la po
ant devant miroir cette position qui m'éloigne de celle favorable anx con- tractions. Fais-je,bien ou vaut-il mieux que je
tant qu'il l'a été d'autres fois. C'est à gauche que sont surtout les con- tractions ; les points de traction paraissent ê
é pendant que d'autres sont entrés en contracture ou que leur état de con- tracture a augmenté. Toutes ces constatations,
83 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
a accueilli notre publication dès le premier jour, et justifier la con- fiance des maîtres qui nous ont généreusement a
est encore un dernier point sur lequel je dois tout particulièrement con- centrer votre attention. , . Jevons ai présen
phithéâtre de Clamart, des recherches dont il est temps de vous faire con- naître les résultats. Laissez-moi vous rappeler
s montre bien qu'on était en présence d'un tabes dorsal spasmodique con- génial ou maladie de Little. Comme la symptom
étaient différentes et que l'une ne pouvait être considérée comme la con- tinuation de l'autre. Mon élève Stojanowitch a
Les vaisseaux sont très altérés, ils paraissent plus nombreux, sont con- gestionnés, présentent dans leur gaine des exsu
é : OBSERVATION -1. Louis P...., garçon jardinier, âgé de 17 ans, a con- servé la taille et'les.formes d'un enfant de 10
e la queue de cheval avec une forme spéciale de sciatique compliquée, con- sécutive à une lésion traumatique des branches
u'elles revêtent le caractère fulgurant. Presque toujours, elles sont con- tusives et térébrantes, comparables à celles qu
e les douleurs ouvrent la marche, avec les caractères que vous leur con- naissez, parce que je vous en ai dit précédemme
ane et la douleur qu'elle y ressentait coïncidaient toujours avec les con- vulsions. Le mariage et une grossesse vinrent s
Landouzy (1) connaît la description de Brodie ; il a du reste été « con- sulté par deux malades hystériques, l'une de vi
ns, j'ai constaté d'une façon très nette, entre ces deux formes de la con- DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 127 tractio
roupe antagoniste ? D'après la doctrine classique, quand un muscle se con- tracte, un fléchisseur, par exemple, le muscle
artir de ce moment, l'avant-bras s'étend alors sous l'influence d'une con- Nouv. ILOA'O(.f(, fit Ln S ALPÊ 1 Kl lv R f.
rottements de la corde sur, les poulies. Mais dans les deux@as ? 1.1, con- traction est évidente. ' ' ' * '> ? : Si m
celle que nous venons de décrire. Elle siège à la région dorsale, ]a con- vexité est tournée à droite, et l'épaule la plu
etc. Ce rôle important de la peau comme organe dans la sensibilité con- duit à la supposition que les centres trophique
nts que j'ai résolu de les porter à la connaissance de mes honorables con- frères français (2). (1) Rendu. Recherches su
eine à garder son sérieux, et la plupart de personnages présents à la con- sultation ont aussi des sourires équivoques ; s
bouche demi-ouverte, offre les plus grandes analogies avec celle du con- vive indigne ; le même modèle semble avoir insp
s. Nous passons sur les résultats généraux de l'autopsie. Nous nous con- tenterons de faire remarquer que l'examen chimi
e, raréfaction au voisinage immédiat du canal central. Etal compact con- servé avec raréfaction commençante dans la zone
leurs dimensions définitives, ne présentant jamais aucune trace de con- gestion ou de lésions de grattage, ni d'altérat
Ch. Feré (7), etc., ont décrit un certain nombre d'exemples de cette con- formation corporelle. Plus récemment, Brissau
C'est dans ces conditions qu'il est conduit, une première fois, à la con- sultation de. la Salpêtrière. Il nous a été fac
e des complications de l'hémiplégie cérébrale. Et le fait est hors de con- testation. Tout concorde donc, chez cet enfan
es. » L'opinion émise par M. Raymond devait rencontrer un défenseur con- vaincu dans M. Zaldivar (1) qui, rappelant les
et celui de Weiss (contracture provoquée du facial) à la diathèse de con- tracture. Avec M. Raymond, il considère la té
e 3 ans, elle ne marchait pas et était presque tout le temps dans les con- vulsions. ' Elle a commencé à parler a un an
à coup, à 5 heures du matin, elle sent ses bras devenir raides et se con- tracturer (pli. XLIV et XLY). ? . Les bras s'
. Stigmates hystériques. Sensibilité cutanée : sensation de contact con- servée. Douleur. Diminution générale sans hém
alisée au moment des crises, très exaltée quand on touche les membres con- tractures. Chaleur. Diminution considérable d
e. Les poumons présentent des adhérences lâches mais étendues ; ils con- tiennent quelques petites pierres aux sommets.
infiltrées et dont la gaine lymphatique, considérablement distendue, con- tient un, deux ou même trois rangs de corps gra
ution du processus morbide : L'altération des éléments'nerveux est la con- séquence des modifications de la nutrition amen
'état embryonnaire et de la prolifération des cellules fixes du tissu con- jonctif, il n'en est pas moins vrai /qu'elles d
a absorbé une dose de poison (sublimé corrosif) mais « l'instinct de con- servation écrit-il a pris le dessus » et il s'e
On pourrait à la rigueur penser que s'il n'a jamais présenté d'accès con- vulsifs de nature épileptique il en possède les
En mesurant les membres supérieurs du haut en bas nous trouvons au con- traire à gauche 35, 30, 27, et 25 1/2 pour 37,
hlètes, amène, par suite de la répétition fréquente et exagérée de la con- traction musculaire, la dilatation des veines s
scies, rugines, et lenticulaires : instruments dont plusieurs se sont con- servés traditionnellement jusqu'à nous, tandis
de la queue de cheval, 65. > Ophtalmoplégie externe bilatérale con- sécutive à la rougeole, 265. Richer (Paul). D
eniers), L. (Jan Steen). LI. Queue de cheval (troubles trophiques con- sécutifs aux lésions), XIV. Sein hystérique (
84 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
thorax. Mais ces difficultés ne sont pas insurmontables, et, quand on con- naîtra mieux le mode de production des rayons z
qûre d'un membre anestbésié provoquait la dilatation de la pupille con- SYRINGOMYÉLIE AVEC ANESTHÉSIE TOTALE 11 trair
et ne reconnaissait qu'à grand'peine son mari et les personnes de sa con- naissance. Cet état morbide persista six mois p
pendant très gêné par une lourdeur invincible des jambes, une fatigue con- tinuelle, qui ne lui permettait ni de grands ef
et d'une pâleur cadavérique, du visage : le malade ne perdit point con- naissance ; il est très affirmatif sur,ce point
ur le bras et peut tenir son verre de la même main ; à gauche, au con- traire, ses mouvements sont plus maladroits e
eurs lésions ne sont point toujours parallèles dans les divers points con- sidérés.Sur toutes nos coupes nous avons trouvé
enses ; d'autres nappes, moins étendues, forment çà et là des Hots il con- tours diffus, de véritables petites gommes nucl
e là s'infiltre en traînées plus ou moins abondantes dans les espaces con- jonctifs interfasciculaires et même entre les t
caractères communs : forme arrondie et circonscrite,- agglomération con- fluente de petites cellules, cellules géantes (
E 75 A partir de ce moment, les phénomènes se simplifient en ce qui con- cerne la paralysie : l'envabissementdes cordons
rise, au-dessus du point d'entrée de ces racines ; par conséquent les con- ducteurs interrompus en T sont ceux qui sont de
des vacuoles ovoïdes ou sphériques de dimensions variées, privées de con- (1) Gaivouano. Contributo allô studio délia sif
au cadavre d'un enfant de quelques jours (8 à 10) suspect de syphilis con- génitale, la mère étant syphilitique. Cadavre
r une masse arrondie de la grosseur d'un gros pois vert, homogène, de con- sistance et d'aspect cartilagineux. Le tout est
l'épaisseur de l'os, il se serait produit autour d'elle de l'ostéite con- densante, qui aurait rendu le tissu osseux plus
n coude réséqué. 11 s'agissait d'une ankylose complète à angle droit, con- sécutiveà une arthrite blennorrliagique. J'ai f
, hystérique comme ses congénères, n'est pas en proie à une attaque con- vulsive : on peut supposer qu'il est en létharg
mal indiqués et les paupières presque closes. Cependant on saisit la con- vulsion en haut des globes oculaires. Le renv
Palais Royal, Bruxelles) et qui représente les Miracles de St Benoît, con- tient plusieurs infirmes et une possédée souten
tales sont très prononcées de même que les pariétales. L'occiput au con- traire est effacé. (1) Hoffmann. Der Symptome
nains, de fous ou de bouffons, autant de catégories qui souvent se con- fondent, n'appartiennent pas à une seule espèce
artistes semblent avoir répugné a. figurer ce genre de tumeurs. Je ne con- nais, pour ma part, que trois exemples de Goitr
grosse, de-bout et de grandeur naturelle. Cette volumineuse personne, con- nue sous le nom de la Monstrueuse, aurait été r
Le sexe mâle n'est pas indiqué par ses attributs normaux ; mais la con- formation de la poitrine ne laissa aucun doute
rition du tonus musculaire (3) amenant l'insuffisance des moyens de con- tention périarticùlaire rend possible; avec le
tentions, les difficultés d'uriner ne la quittent guère. Elle souffre con- tinuellement et quoique le temps de ses douleur
s de l'entourage de Geneviève la regardaient comme « le produit des con- torsions de la malade ». Il fut démontre que c'
a voûte palatine est profonde, le voile surabaissé ; les piliers sont con- formes, mais la luette est rudimentaire, représ
être, ainsi que l'écrit M. Raymond, « a ce que chacune des opinions con- vient à certains cas ». M. Marie (2) fait juste
est possible, mais en l'état actuel, ce signe ne peut tufs plus être con- (1) Notre maître M. Gilles de la Tourette veut
lie interne. Gommes do la dure-mère. Atrophie de la dur.e-mi;re de la con- vexité. Ostéoporosc multiple de la base du crân
uméfactions nodales, la dégénération des racines est relativement peu con- sidérable. Au milieu du tissu infiltré, et ento
leur point d'insertion ne sont plus représentés que par un tronçon con- jonctif partant de la pie-mère, s'avançant vers
- Cerveau et ses enveloppes d'apparence normale. Vaisseaux méningés con- gestionnés.. Le bulbe et ses enveloppes, sauf
vulsé et le geste qu'il fait en serrant de toutes ses forces sa jambe con- tractée, traduisent sa souffrance avec une surp
tio- nal de médecine, à Rome, par un médecin de Graz, M. Buller, ce con- frère a observé pour sa part, soixante-douze ca
corps ; tout l'heure nous avons relevé cette particularité, en ce qui con- cerné la paralysie, chez la petite fille que je
son ensemble, une évolution en tout semblable à celle de la paralysie con- sécutive'à un empoisonnement causé par une fort
is je suis tout prêt à déclarer que quand on a eu l'occasion de faire con- naissance avec cette variété de paralysie, on a
Les ganglions sont toujours infiltrés, mais leurs cellules nerveuses con- servent la plupart de leurs caractères normaux.
« L'étude de certains documents historiques est bien faite pour nous con- firmer dans cette manière de voir. En effet, d'
ciation sy- ringomyélique, 49. LENOBLE (E.). Tabes supérieur avec con- servation des réflexes, 17. LONDE (A.). Appli
III XXIX, XXX, XXXI, XXXII. Déformations de la main et des doigts con- sécutives à l'ostéite syphilitique, XX, XXI.
85 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
11 y a six ans, il était à Pont-Saint-Esprit, où il travaillait à la con- struction d'une digue sur le Rhône. Il renversa
Sorti de l'hôpital en juin z1888, il reprit son travail, mais ne put con- tinuer, malgré un essai de cinq mois, à cause d
ô Pour celui-ci la rétraction du tendon fléchisseur est encore plus con- sidérable. De plus la dernière phalange, dont i
ide. C'est ainsi que, sous l'influence persistante de ces mauvaises con- ditions d'hygiène, elle eut des atteintes de pl
abord et les petites ensuite devinrent le siège de douleurs presque con- tinuelles, de gonflements périarticulaires et é
t pas. « En réalité, messieurs, nous autres médecins, nous devrions con- naître le nu aussi bien et même mieux que les p
ur de quelques pages encore inédites. Nous avons choisi le chapitre con- sacré au tissu adipeux, dans lequel on trouvera
ns vu se développer à plusieurs reprises chez ce malade et toujours con- jointement avec une exagération du tremblement.
Le 17 août 1888, pendant une manoeuvre de gare, la locomotive qu'il con- duisait heurta et brisa le fourgon d'un train d
ux est quelquefois représentée chez l'homme par un appendice charnu con- 1. Ch. Féru et J. Séglas, Contribution à l'élud
visible de la peau, qui conserve sa coloration,- son épaisseur et sa con- sistance normales. A la périphérie; les poils s
s. Ces ecchymoses spontanées sur lesquelles il n'existe pas à notre con- naissance de travail d'ensemble, sont cependant
en encore, on les étiquette du nom de « purpura » lors qu'il existe con- curremment d'autres troubles vaso-moteurs, épis
, par exemple, que nous ayons démoli pour ne pas réédifier. Bien au con- traire ! Notre unique but a été d'élaguer, d'éc
ts, qu'elles n'ont point besoin des pratiques hypnotiques pour être con- vaincues et qu'elles croient tout ce qui frappe
e sujet avait oublié tout ou partie de ce que nous avions la veille con- signé par écrit, et rapporter en son lieu et pl
motif apparent, sans prodromes, il s'affaissa sur lui-même en perdant con- naissance. Il resta ainsi inerte, insensible, j
goisse respiratoire, il a des battements dans les .tempes, sa face se con- gestionne, sa vue se trouble, le regard devient
nore. OBS. IV. - Mlle Léontine M..., dix-neuf ans, se présente à la con- sultation externe de la Clinique des maladies d
ments que nous avons déjà mentionnés. La sensibilité au contact est con- servée sur toute la surface cutanée, ainsi que
rquées lorsque les yeux sont ouverts que lorsqu'ils sont fermés; la con- traction des muscles périorbitaires n'est donc
de l'acromégalie et on ne peut guère émettre de doute en ce qui la con- cerne. J'en dirai à peu près autant des pieds.
en a le premier nettement fixé les caractères, faciès d'Hutchinson, con- traste, ainsi que l'a fait remarquer notre maît
nué de nombre et de volume, de plus elles sont entourées d'un tissu con- jonctif qui les sépare les unes des autres. Ce
Onimus. - 22 décembre. - Ce matin la malade présente un abaissement con- sidérable de la température dans tout le côté d
ensibles au froid et au chaud. Au-dessous d'une ligne passant par les con- dylcs du fémur, de chaque côté, une température
Anesthésie presque absolue de la conjonctive et de la cornée, dont le con- tact ne provoque ni douleur ni réflexe palpébra
iques sont susceptibles de certaines irradiations qui résultent des con- nexions assez complexes du centre d'innervation
relatés par Albert a trait à un médecin hongrois qui était venu le con- sulter en 1882 pour une déviation du tronc et q
que ? M. PillieL 1, qui a formulé une hypothèse semblable en ce qui con- cerne la myopathie pseudo-hypertrophique, rappe
endant toute la durée de la maladie l'iris et le sphincter pupillaire con- servèrent tous les mouvements. L'accommodation
En septembre 1887 il fit une chute de voiture, ayant causé une plaie con- tuse du front du côté droit, sans commotion cér
abord intermittents se reproduisaient surtout après des émotions, des con- trariétés. Elle consulta, vers le mois de décem
on alla en augmentant sous l'influence du traitement institué, et qui con- sista en vésicatoires à la nuque et iodure de p
culaire chronique généra- lisé chez une petite fille, avec atrophie con- sidérable, 6. Sclérose en plaques, 44, 45, 46
86 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
e manger seul, il procède aujou)'(/Îlili il ces soins d'une manière con- venable. Il parle, comprend et tient bien une c
s cou- leurs, les principales parties de son corps, presque tout le con- tenu de la boîte aux leçons de choses. En 1898,
es abus regrettables. 1'nccin;¡tiol1 et revaccination. - Nous avons con- tinué, comme les années précédentes, la vaccina
l'Administration donne aux enfants l'alimentation choisie qui leur con- vient, ce qui arrivera peut-être un jour, nous
our objet l'allocation de secours aux familles se trouvant dans les con- ditions sus-énoncées. Cette somme serait inscri
des « pâ- moisons précédées de cris, se roidissant quand il était con- trarié, perdait connaissance, devenait noir.
ou, on obtient facilement la flexion com- plète, mais les tendons con- tractures opposent une éner- gique résistance
s modi- fications sont les suivantes : il n'y a plus d'apparence de con- servation des fibres dans la zone bordante du c
essée avec une serviette imbibée d'eau froide. » Jusqu'à 7 ans elle con- serve cet air hébété qui, dès le début, a frapp
debout et même dans la marche. Malheureusement, à chaque retour de con- gé, on constatait que l'enfant avait perdu une
bien conformés. Les membres supérieurs sont bien développés et bien con- formés, les mouvements volontaires sont lents e
d diamètre et un centimètre d'épaisseur. Elle a perforé la paroi du con- duit pharynyo-aesophagien en deux points. Une p
erveuse, périodes d'amnésie. - Arrière-grand-père maternel, mort de con- gestion cérébrale. -Arrière-grand'mère maternel
l'enfance. Deux frères, un demi-oncle et une demi-tante maternels, con- vulsions. Pas de consanguinité. - Inégalité d
ngles aplatis, rongés à leurs extrémités. - Membres inférieurs bien con- formés, ne présentant rien de particulier ; ni
en au point de vue intellectuel et paraît content de travailler. Il con- naît bien les lettres, les chiffres et les coul
i remonte à 1888 (1), nous trouvions sur 926 observations 38 cas de con- sanguinité, soit une moyenne de 4,1 0/0 se déco
e la droite. La hie-mère, sur toute l'étendue des faces internes et con- vexes des hémisphères, se présente sous un aspe
eaux comme un manchon. En certains points, ces amas deviennent très con- sidérables et peuvent même être indépendants de
'il n'est plus constitué que par une mince membrane translucide, ne con- tenant plus aucune fibre myéliniques, mais poss
nes régions la substance cérébrale résiste mieux, puisqu'elle a des con- tours nets, avec libres tangentielles conservée
ion est toute rela- tive, car il est à remarquer que la statistique con- (1) (le 19U0, . 1.\ij, (2) Quelques rccliercl
e, rien à noter. - Cousin germain, convulsions, - Tante maternelle, con- vLl1SZ072S ainsi qu'un de ses enfants et un cou
août 1898). PÈRE, 41 ans, né à Ugine (Savoie), palefrenier, pas de con- vulsions, pas de typhoïde, pas de rhumatismes,
: l'aine. 51 ans, a un enfant de 11 ans, qui a eu plusieurs crises con- vulsives, avec perte de connaissance : « les mé
maternel mort d'une hypertrophie du coeur à 62 ans. Oncle maternel, con- vulsions de l'enfance. Géaneltarité. Consanguin
87 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
ma soeur et à ses filles d"Gn distraire les quelques objets à leur con- venance, ou auxquels se rattacherait particuliè
torisé à accepter le legs, l'autorisation réagit et donne aux actes con- servatoires et conditionnels un caractère défin
'anquilir. Vallée. suivant ses testaments et codicilles susvisés et con- sistant : 10 en une propriété sise il Gentilly
n second lieu, la lingerie et le vestiaire, dans le programme, sont con- sidérés comme un simple dépôt des effets d'habi
ation Vallée. qu'à la construction de l'établissement définitif. Il con- viendrait, afin d'assurer son bon fonctionnemen
tant. En raison de l'obligation d'avoir une personne au courant des con- naissances pédagogiques spéciales, indispensabl
de cette lettre. Recevez monsieur le Directeur, l'assurance de ma con- sidération distinguée. . , . Le Directeur de
de la population. moitié le nombre des lits, tout en respectant les con- ditions exigées par l'hygiène. Après avoir résu
soir de 3 heures 1/2 à l'heure du dîner (5 heures). Les enfants ont con- fectionné des bavettes, des tabliers, des robes
ent pâle dans la suite. Les parents ont remarqué que les phénomènes con- vulsifs prédominaient dans les membres du côté
tronc. C'est dans le cours de l'année 1883 que ses parents, sur le con- seil d'un médecin, le placèrent à l'Asile clini
ons et de sclérose cérébral atrophique, diagnostic que l'autopsie a con- firmé. Il[ '. Idiotie symptomatique de sclé
que parais- sent avoir débuté les symptômes de l'affection qui l'a con- duit à Bicêtre. Ce furent tout d'abord de viole
circon- volutions cérébrales n'ont pu être étudiées par suite de la con- servation du cerveau dans l'alcool. Les plexus
spaces sont occupés par des globules rouges altérés ou des cellules con- jonctives pigmentées. Quelques vaisseaux, parta
omba subite- ment en traversant le boulevard de l'Hôpital et perdit con- naissance jusqu'au lendemain matin. Il se révei
ent à des intervalles plus rapprochés (8 ou 15 jours) à la suite de con- trariétés, d'émotions ou même de la vue d'autre
semaines, la paralysie pendant six semaines, puis il fut envoyé en con- valescence à Vincennes. Pendant son séjour à la
, n'essayait pas de gazouiller comme les autres enfants : quand les con- vulsions l'ont pris, il était encore chétif, et
ourme ren- trée» ; pas de convulsions; 5° garçon mort à sept ans de con- vulsions; 6° garçon mort à quatorze jours d'une
de Cologne ne paraissent faire sur lui aucune impression. En ce qui con- cerne le goût, il est de même dilficile d'obten
re. lia été com- mencé tard et nous avons eu à lutter non seulement con- tre l'état d'idiotie, tel que l'avaient produit
e cuneus et le lobe occipital sont très sinueux et se replient pour con- verger vers le même point, formant ainsi une so
ne petite rate surnuméraire. Reins : 30 gr. chacun, normaux, un peu con- gestionnés. Foie : 430 gr., sans lésion ainsi q
ond sépare cette deuxième masse de la moitié postérieure de la face con- vexe. La moitié postérieure peut être divisée
eintes et n'ont subi aucune déviation. On a donc affaire à un hyste con- sécutif à une hémorrhagic ou à un ramollissemen
térique. Mère, névralgie faciale. Grand'mère, hémiplégie. - Soeurs, con- vulsions. Premières convulsions à trois jours,
haleur, la moelle est dans un état de ramollissement qui en rend la con- servation impossible, Hémisphère gauche. Face
raduelle; ment que l'enfant avait quelque chose d'étrange, mais ils con- naissaient bien ses imperfections avant l'âge d
veau avait macéré depuis longtemps déjà dans l'alcool; elle est par con- séquent un peu moins longue qu'elle ne l'était
88 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
u'à notre époque, arrivent à la suite de leurs observations à la même con- clusion, c'est-à-dire que des changements durab
it il arrive après l'examen des histoires de malades y relatives à la con- clusion, qu'il n'existe pas de phénomènes const
chez les hémorragies dans les ventricules latéraux. Sur les maladies con- cernant : rhypophysis cerebri, le tuber cinereu
nous avons le droit d'en tirer la conclusion, que par ces lésions, la con- nexion entre les centres d'écorce, chez le chie
précoce se produisant au moment de l'attaque ou bientôt après, et la con- tracture tardive qui survient quelque temps apr
issu conjonctif (et l'on conteste aujourd'hui qu'il y ait là du tissu con- jonclif) irrite les cellules motrices, personne
, on n'en saurait douter, dit Charcot, un phénomène comparable à la con- (1) BRISSnCD.Recherches a71(ilorno-palholoqiqii
- zig, ou concorde avec les J'ails de Hitzig, pour qui, afin que la con- tracture existe, il faut que le malade présente
s de la partie convexe du corps calleux. En avant et en arrière elles con- servent les mêmes limites. Dans le reste de l
te complète de la motilité, et ces symptômes cliniques sont bien en con- cordance avec l'état anatomique du lobule parac
taines particularités relevées chez notre sujet nous engagent à faire con- naître l'histoire de ce dernier. On peut, san
, prompte il se répandre au dehors, malgré le symbolisme. Voilà, au con- traire, le dément de la figure 1ft dans une att
de la cathédrale rémoise, un bon type de bec-de-lièvre avec strabisme con- vergent des globes oculaires. Il citait égaleme
de M. le Docteur A. Schueller de Vienne, quelques informations qui con- firmem certaines de mes conclusions. Le Dr Sch.
in non révélé par la radiographie : les signes avaient été ceux d'une con- gestion pulmonaire avec épanchement pleural hém
s d'extension. Comme la malade avait été très agitée et qu'on l'avait con- tenue pendant une nuit, on pensa à la possibili
gts de la main droite est impossible, tandis que si on relève la main con- venablement, le mouvement d'extension de la sec
neuro-musculaires semblent normaux. Les fibres musculaires qui y sont con- tenues ont un diamètre plus grand que les autre
toral, mais si le réflexe est exagéré, on peut provoquer en plus une con- traction des muscles biceps et long supinateur,
quées, elles sont quelconques et ne touchent aucune personnalité ; il con- vient de n'y attacher aucune importance. Le tra
son for intérieur, s'est comparé souvent à un vieux papillon. Adeline con- naît ses goûts de fumeur; elle lui a même décla
aimons beaucoup, beaucoup, le croquis de la page 39. Au moment de sa con- fection, M. X... a. voulu saisir l'inspiration
, dans l'ordre normal, ces mêmes rythmes intermittents ou cycliques con- ditionnent toutes les manifestations du talent
lade ressentit d'abord une douleur aiguë au pudendum, mais elle ne con- sidéra pas la chose comme sérieuse. Le lendemai
qu'ils soient constamment entourés d'un bandage ; les rotules et les con- tours osseux au niveau du genou ne peuvent être
exister avant toute « attaque aiguë » et même 25 ans avant elle. Par con- séquent il n'est pas vraisemblable qu'une des c
tion immédiatement supérieure (Meige). Pour toutes ces raisons, par con- séquent, quoique ce ne puisse être donné comme
dienne. Comme le syndrome de Basedow est presque diamétralement son con- traire, on y voit en général à la suite de Gilb
r lésions cérébrales macroscopiques. Dans certains cas le myxoedème con- génital est moins complet ; tous les symptômes
début tout au moins, devoir prendre place, les auteurs s'accordent à con- sidérer, que si ces délires ne guérissent pas e
noncée à gauche, qu'à droite, les incisures b et c plus accentuées au con- traire du côté sain. L'écorce grise développée,
orations qu'il a été impossible d'éviter dans les manipulations. Elle con- traste avec la densité des tissus osseux néofor
ntes de feu, on lui donne du salycilate de soude. La crise passée, il con- serve une raideur de plus en plus grande, les h
suels, pas de scotome. Les membres supérieurs paraissent intacts. Par con- tre, l'ankylose des hanches paraît avoir diminu
re les auteurs les opinions les plus disparates, non seulement sur la con- ception générale de l'infantilisme somatique et
elle reste dans un coin, s'amusant avec de petits riens ou suivant la con- versation des autres. Elle est curieuse et po
e presque entièrement détruite dans ses éléments fonctionnels. Même con- clusion si l'on veut comparer le tableau cliniq
lus grande à suivre les exercices de l'école. Vers 13 ans survint une con- jonctivite granuleuse qui nécessita même plusie
mier peut avoir perdu, le second l'aura gagné. Pour l'indifférent qui con- sidère les péripéties des réactions réciproques
modifications, non pas même dans la fonction,mais dans l'action, qui con- ditionnent les variations dans la fonction. C
maintiennent son équilibre actuel ; les autres sont inaccoutumées et con- ditionnent des modifications variables en étend
e complexe ne guérit pas, parce que ses organismes élémentaires ont con- tracté des habitudes qui peuvent s'invétérer au
eune homme insociable comme il avait été un enfant réservé. On ne lui con- nut pas d'ami ; jamais il n'alla au cabaret et
a 9` ? ° année au côté interne du pouce, manque totalement; il est au con- traire très évident dans la main de la jeune fi
probable, et l'influence pathologique adjuvante de la race et de la con- sanguinité des parents. CONTRIBUTION A L'ÉTUD
' M. Brissaud est revenu récemment sur cette question,exprimant sa con- viction d'une façon très nette : nous ne croyon
De cette définition dérive la nécessité de modifier la forme et le con- tenu de l'analyse psychique dans les différents
tous les symptômes d'hypertension sont atténués ; tout cela est mal con- ciliable avec l'hypothèse d'une tumeur dont les
base du crâne qu'on trouve en général à la suile d'une hydrocéphalie con- génitale, n'existaient pas dans notre cas. No
drocéphalie évidente avec de très petits signes de méningite, et au con- traire des méningites évidentes sans augmentati
Méningite dei bamnini ed idroeefalo.in Leyden e Klemperer.La Clinica con- temporanea, vol. VII, p. 160. Trad. italienne.
résumé, arrêt d'évolution du tabes. Par contre, la paralysie générale con- tinua à évoluer. Le développement somatique d
qui disparaît avec une séance d'électrisation de la gorge ; les accès con- vulsifs typiques. L'histoire clinique parle enc
Et, puisque rien ne prouve que la longue durée du processus soit la con- séquence d'une irritation artificielle, pourquo
. M. Valobra, il est vrai, sans exclure l'idée de fraude, en ce qui con- cerne les premières eschares, soutient que, pou
hique et la folie ( pl.), 162. Pierre Weil et Klippel. Les réflexes con- trolatéraux. Le réflexe plantaire contro- lat
ims (i pl.), parHEITZ, 90. Sensibilités (Hypertrophie segmentaire con- sidérable du bras elde l'avant-bras avec diss
89 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
asque (facial inférieur et membres supérieur et inférieur gauches), con- tractures de la face et des membres à droite, d
absolument typiques d'épilepsie jacksonienne, que nous ne saurions con- sidérer malgré Jaccoud et Labadie-Lagrave comme
ice le 8 août 1898, avec un certificat ainsi conçu : « Idiotie avec con- vulsions épileptiformes très fréquentes; nulle
'action directe sur l'embryon, ou le nourrisson par suite des excès con- tinués de la mère pendant la grossesse et l'all
ides d'enfants en seize ans ; en Russie, 57 en dix ans; l'auteur ne con- naît pas la statistique anglaise à cet égard.)
ve- nir, on attire son attention sur le danger qu'il y a pour lui à con- tinuer à boire de l'alcool, etc. Avant de met
il prétendre que la suggestion annihile la volonté. Il ne faut pas con- fondre l'hypnotisme plus ou moins extravagant a
ement sur les bons résultats du traitement à l'égard des paroxysmes con- vulsifs et des accidents délirants de leurs mal
mise en activité par le membre bien portant. Ces mouvements passifs con- viennent très spécialement au traitement des hy
déviée entre les crises qui durent chacune une minute sans perte de con- naissance ; les mouvements volontaires sont imp
sauver dans la rue ou de se réfugier chez ses parents. Elle a perdu con- naissance une fois autour de sa grossesse, elle
ppellent celles qui succèdent aux pustules vaccinales, on n'en peut con- naître l'origine. Le palais est très ogival, le
eux leçons suivantes, et dans le cas présent, elle semble avoir été con- sécutive à une méningite gommeuse syphilitique.
a noté l'état systématique de la myélinisation pour chaque âge,' en con- trôlant chaque donnée par la méthode des dégéné
lule « comme une cause permanente d'excitation, comme exagérant les con- séquences de l'état hallucinatoire et comme fav
femmes). Il importe de faire remarquer en passant quels sacrifices con- sidérables font les universités allemandes en f
accumulateur, comme l'accumulateur Planté, ne faisant intervenir la con- densation proprement dite que lorsqu'il existe
nstitue un 'diélectrique. Un diélectrique est donc un corps mauvais con- ducteur placé entre deux corps bons conducteurs
TRIQUES. 213 cité. Il se produira alors une décharge, comme dans le con- densateur électrique, et par suite une contract
e le sommeil est dû il la rétraction des neurones, à la rupture des con- tacts, soit par suite de l'apparition des perle
3.) - La malade dont l'observation fait l'objet de ce travail était con- sidérée comme une épileptique ordinaire : ses a
rouver la femme Gauzbouer, tireuse de cartes et somnambule, pour la con- sulter sur l'avenir. La somnambule lui a déclar
éritable, comme celles qu'inflige la sentence du juge, et cela même con- damne l'argumentation du docteur Mercier. Ce se
ng qui lui revient, non seulement d'après sa forme, sa couleur, son con- tenu, mais surtout d'après son évolution. Elle
recher- ches expérimentales de Flourens, était accepté presque sans con- teste. Il barrait la route à l'initiative de ce
giques. Nous distinguons, dans cet ensemble, et nous localisons les con- ducteurs chargés de transmettre à notre conscie
a pas fallu moins de huit hommes pour s'emparer du pauvre fou et le con- duire à l'infirmerie spéciale du Dépôt. (Le Jou
.., la domestique, accuse A111° G... de s'être fait avorter avec le con- cours d'un médecin célèbre, qui est à la fois h
les cel- lules, les pavillons isolés antérieurement pouvaient être con- vertis en des chambres pour des malades tranqui
apeutique. au lit. Ainsi, les uns pensaient qu'il devait avoir pour con- dition absolue l'organisation d'un quartier d'o
confrères, le professeur Betcherew et ses élèves, par exemple, qui con- sidèrent que le régime au lit dans des chambres
eur serait assignées aux hôpitaux, mais ce dernier point est encore con- testable. A côté des partisans entraînés du r
simple. Les lésions de l'hydrocéphalie peuvent être asymétriques et con- sister en une dilatation considérable de l'un d
tion sur ses travaux et ses illustrations, qui montrent d'une façon con- cluante la relation entre le nombre des cellule
e qu'il crut particulière et qu'il appela écriture en miroir. Il la con- sidéra d'abord, et plus tard Erlenmeyer avec lu
nus fous, etc. Dans d'autres cas le malade n'est pas touché par les con- tradictions les plus évidentes. Dans un petit
rdes. Le sexe féminin est frappé dans 60 p. 100 des cas; il est par con- séquent plus exposé que le sexe masculin. Cela
et non, comme dans certains asiles, en bois. Enfin, dans la loge du con- cierge, on a placé un avertisseur qui met en co
rythme (une seconde). Le membre était fixe de manière à exclure le con- cours de muscles autres que ceux qui travaillai
soute- nable. On doit plutôt se représenter les divers éléments qui con- courent an travail psychique comme répandus sur
rale tout entière. Il existe sûrement pour le travail psychique des con- ditions anatomiques nécessaires (des complicati
rminé de régions d'après leur myélinisation, étant donnée la marche con- tinue du procédé; 5° on retrouve encore chez l'
d de se faire un matériel qu'un autre a déjà fait; .2° à côté de ce con- trôle nécessaire, nous ne devons pas perdre nos
u moins accentués. On constate que, dans cinq cas, les cellules ont con- servé le type normal, ce qui démontre, une fois
squ'à l'acte, au milieu d'une sorte d'éblouissement vertigineux, de con- vulsion mentale, quoique la conscience reste pr
les aliénés il est impossible que la direction de l'éducation soit con- fiée aux instituteurs. Le médecin, en effet, da
des idiots complets, ne parlant pas, ne marchant pas, se souillant con- tinuellement, n'ayant en un mot qu'une vie végé
ux-là au même titre que ceux de ses prédécesseurs, si j'en avais eu con- naissance. Toutefois, puisqu'il s'agit d'une qu
emière clinique psychiatrique universitaire construite en Allemagne con- formément aux indications judicieuses formulées
)1. Contribution clinique el analomo-palhologique ci l'élude de la con- fusion mentale, avec projeclions des préparatio
o ' d'observations dans la littérature médicale de l'aphasie, où le con- trôle anatomique a été insuffisant. Pour savoir
mitée qu'on l'admet aujourd'hui à peu près universellement. Si l'on con- sulte le texte de Broca dans les Bulletins de l
fibres radiculaires ascendantes, en tant que connue, sera prise en con- sidération. Les fibres exogènes descendantes de
ÉDECINE.- II. Les changements pathologiques des cordons postérieurs con- sidérés en rapport avec les lésions qui les pro
sclérose dans les cordons postérieurs et anLéro-IaLéraux. Eu ce qui con- cerne les cordons postérieurs, la sclérose est
le-ci fut en vain traitée par le salicylate de soude et s'amenda au con- traire en trois jours sous l'influence de l'asp
re,- Dietlrich du nombre des vivauts, cette famille jouissait de la con- sidération générale qui se transforma en mépris
90 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
nir dans les écoles, où ils étaient une occasion de trouble, qu'ils con- tribuaient à encombrer, même à infecter par leu
ar et pour les enfants eux-mêmes et non en vue du public, comme les con- certs Lionnet. Nous avons constate'' que les en
un litre quel- conque, ont pris part il l'organisation des bals et con- certs, (chanteurs, acteurs, instrumentistes, im
etc. Parmi les agrès, nous préférons les échelles horizontales, et con- vexes, les barres parallèles, le mât horizontal
s et à l'E : \ : posi- lion d'horticulture. Les imprimeurs, sous la con- duite de leur maître, M. \Irtr : er3ar,r ? T, o
re de 13.559. Voici la statistique des permissions de sortie et des con- fiés : . .,\XXV111 : - -.Vaccination. - -- ."
s abus regrettables (1). . Vaccination et revaccination. Nous avons con- tinué, pratique qui remonte il 1880, la vaccina
savoir si l'en- fant n'est pas sous le coup d'une affection aiguë, con- tagieuse ou non. Maladies infectieuses. Une é
uparavant, avait constaté sur sou corps des contusions multiples. Ces con- tusionsavaient-elles été produites 11 Bicêtre o
contusions ou des plaies, soit en jouant, soit dans des accès sont con- duits it l'infirmerie où des pansements appropr
ons aiguës. LXXIII La lutte contre cette affection, essentiellement con- tagieuse, ne peut être possible et fructueuse,
plication oculaire. La conjonctivite chronique à diplobacille et la con- jonctivite à bacille de Weeks donnent lieu à la
les. Nos collègues de la division des aliénés, nommés comme nous au con- cours, en ont aussi créé successivement. En 1
oirs publics (I). Notre intervention, provoquée par notre excellent con- frère le D'' Gilbert-Petit, a obtenu plein succ
x conversations. Septembre. Stationnaire en lecture et en écriture; con- naît le nom des figures géométriques, les usage
11 janvier 1901. État actuel. L'enfant est un peu maigre, mais bien con- formé ; à ce point de vue, il est au-dessus de
E, EXCITATION thorax et l'abdomen ne présentent aucune malformation con- génitale ou acquise. L'auscultation du ccetcret
cipital correspondant. Toutes les sutures persistent. Les symptômes con- convulsifs intéressaient les quatre membres : l
pant l'urètre au niveau de la région scroto-périnéale : on sent une con- traction musculaire due au bulbocacrneux. Réf
trois mois; 2° Fille morte à dix ans, après quinze jours de maladie con- sécutive il une peur occasionnée par la vue de
la dimen- sion d'un oeuf de poule, s'aplatissant par la pression et con- tribuant encore à faire paraitre le cou plus co
itaux. Août. Passe à la petite école. Il est guéri de la teigne. il con- tinue à gâter le jour et la nuit. Il rumine pre
issimulé des hospices ou des asiles, comme certains médeçins qui ne con- naissent que superficiellement les malades, n'o
e à l'é- motion qu'elle a éprouvée à la mort dé son mari, frappé de con- gestion cérébrale et emporté en deux jours. Ell
le caféisme, l'alcoolisme, la tuberculose, enfin l'inégalité d'âge con- sidérable des père et mère, celle-ci ayant près
nt, Y administration en créant des obstacles à un prompt placement, con- tribuent à incurabiliser les malades. Sous l'in
ée et a un fils sain. Les autres parents paraissent normaux. Pas de con- sanguinité. Inégalité d'âge de G ans (père plus
'y a pas de changement dans son caractère, il continue à se frapper con- tre les barres de son lit, à s'égratigner avec
chose et qu'on ne le comprenait pas. Il n'a jamais eu de perte de con- naissance. Les jambes seraient deve- nues r
s modi- fications sont les suivantes : il n'y a plus d'apparence de con- servation des fibres dans la zone bordante du c
ntracture. 251 11900. Juin. - L'examen du malade fait constater une con- tracture en flexion des membres supérieurs port
91 (1913) Exposé des travaux scientifiques
côté du pôle positif. C'est là le vertige voltaïque dont on doit la con- naissance aux travaux de Breiier, de Ilitzig et
ïde. L'exactitude des faits que j'ai rapportés et la légitimité des con- clusions que j'en ai déduites ont été en partie
j'extrais le passage suivant : « Cette inversion du réflexe du radius con- firme donc l'hypothèse de M. Babinski qui pense
. C'est là le phénomène des orteils ou du gros orteil que j'ai fait con- naître en 1896 à la Société de Biologie (43). J
ude. Lorsqu'on électrise des sujets normaux, en se plaçant dans les con- ditions que je viens d'indiquer, le pied reste
on et la lymphocytose du liquide céphalo-rachidien » et dont voici la con- clusion : « En résumé, chez cinq malades sur
pa- rence contradictoires, et je pensai qu'il serait intéressant de con- naître la raison de leur dissemblance; pour att
sion d'un oeil, l'autre oeil restant exposé à la lumière du jour ; on con- state, après le délai indiqué, que la pupille d
mbe. Ordinairement, le muscle, après avoir été mis ainsi en état de con- traction une ou plusieurs fois successivement,
ent affaibli; on sent qu'il est sérieusement malade; pourtant, il a con- tinué jusqu'à ce jour à remplir ses fonctions d
l'espèce, j'attribue à ce mot ; il est évident, en effet, que toute con- traction musculaire modifie, dans une certaine
8). Ces contractions s'associent les unes aux autres d'une manière con- tradictoire. On voit, par exemple, le muscle pe
126). « Je me bornerai à vous faire remarquer que l'intensité de la con- tracture permanente des membres, et surtout de
permettant d'en établir le diagnostic, abstraction faite des signes con- comitants qui décèlent l'existence de lésions r
la même série de faits appartiennent, d'ailleurs, ceux où l'un des con- joints étant tabétique, l'autre est atteint de
tte conclusion que la paraplégie crurale qui se caractérise par une con- tracture très forte des membres inférieurs, acc
t de la commissure labiale se reconnaît de la manière suivante : on con- state le relâchement des muscles en saisissant,
une erreur de croire que, dans cet acte, le sujet se borne à faire con- tracter les muscles qui inclinent le tronc en a
ALE je n'ai perçu cette sensation dans l'hémiplégie hystérique avec con- tracture et je la considère comme un signe tout
symptôme a été constaté et étudié par plusieurs neurologistes qui ont con- firmé les résultats de mes observations. Andr
n de comprendre ces faits, leur réalité me semble à l'abri de toute con- testation. L'asynergie unilatérale est relaté
leuses. 3° La recherche des lésions parenchymateuses systématisées, con- sécutives aux lésions localisées, nous a permis
com- plètement dissociés et recevoir chacun un nom différent. Cette con- clusion à laquelle je suis arrivé n'est nulleme
instants sans connaissance, mais jamais il n'a assisté à une crise con- vulsive ; il affirme n'avoir pas constaté un se
e dans des lieux déterminés ; il sort presque toujours, sans s'être con- tusionné, des crises clowniques qui ont épouvan
92 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
aux; MM. Félix Voisin, ancien préfet de police et Goup\',membres du con- seil de surveillance de l'Assistance publique;
enri VIII, dite avec cette ampleur et cette pureté dosons, que l'on con- naît au sympathique artiste ; MM. Clodio (des I
le, aux épidémies de variole et on rendrait probablement inutile la con- struction coûteuse d'un ou de plusieurs hôpitau
temps est mauvais. Pavillons de dortoirs. Ils ont été construits con- formément aux indications que nous avons énumér
rvé au nouveau quartier et à la suite des dortoirs actuels, mais en con- tre-bas. Ces quatre pavillons sont destinés aux
de l'infirmerie par le mode même de chauffage de ces localités, qui con- siste dans de vastes cheminées. Chauffage. -
ous avons trouvé, comme toujours, le concours le plus empressé, les con- seils les plus judicieux, les plus expérimentés
EAUX ' TRAVAUX. XLIX Malheureusement il ne s'était pas'conformé aux con- ditions de son contrat; ses lits furent refusés
encore s'est fait sentir l'influence fâcheuse dont nous avons fait con- naître dans le Compte rendu de 1884 (p. LXXI) l
tive, est gentille, avenante et intelligente; elle n'a jamais eu de con- vulsions ; 10° un garçon, mort à cinq mois, d'u
INCTS. Antécédents personnels. - Arrêt de développement ; premières con- vulsions dans la première année; secondes convu
iant et eu chantonnant. Il se sert d'une cuillère pour manger, à la con- dition qu'on le surveille. Observation VII. I
égulière, la toux fréquente. 11 n'y a pas de larmoiement; un peu de con- jonctivite ; langue humide, selles régulières.
asile ; terreurs panophobiques lui arrachant des plaintes et des cris con- tinuels ; hallucinations incessantes : on le po
e nom. Onze enfants : 1° une fille morte à un an sans avoir eu de con- vulsions ; paraissait intelligente. A sa naissa
1868. Tête assez bien conformée, figure assez intelligente; idiotie con- DES FAMILLES D IDIOTS. 41 génitale, ne dit gu
rs très malade, a déliré pendant deux jours, pas de paralysie ni de con- vulsions. Pas de croûtes, de dartres, de glande
ie animale, et môme inaptes à se reproduire. Un autre, qui a eu des con- vulsions et est affecté de strabisme, porte déj
93 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
e signalés l'année dernière comme lisant couramment, l'intelligence con- tinue à s'éveiller sensihlement, En même temps
on pour remercier M. Délias, directeur, et M. Dubranlo, censeur, du con- cours qu'ils veulent bien nous prêter chaque an
ndue diminue par- fois très notablement. La pratique de l'an 189G a con- firmé ses constatations et fait voir aussi que,
sité d'examiner ces enfants de la façon la plus complète. Car si la con- naissance d'habitudes vicieuses a une grande im
emporté deux prix : le premier pour les mouvements individuels, qui con- siste en un magnifique volume offert par M. le
illet). Elle a égale- ment accompagné la Société de gymnastique aux con- cours de Vi try et de Gentilly. Musée scolair
Les enfants de la grande et de la petite école qui sont propres ont con- tinué à faire des promenades soit à Paris, soit
les de la Seine. Enfin, l'arrêté du 29 mai 1891, qui réglemente les con- ditions d'admission au repos du personnel de la
vons prévenu M. le Directeur des affaires départementales. Le froid con- tinuant et aucune réponse n'arrivant au sujet d
degré le moins accusé existent en certain nombre dans les services con- sacrés aux idiots. Il y a aussi des arriérés, d
soient représen- tées dans la Commission qui devra être nommée. En con- séquence nous vous prions de bien vouloir adopt
e milieu dans lequel ils vivent; ils sont désobéissants, en révolte con- tre toutes les conventions sociales, récalcitra
u présent arrêté. Art. 2. Les conditions d'admissibilité au nouveau con- cours, ci-dessus spécifié, seront les suivantes
moi, vient do me faire savoir que l'interprétation qui précède est con- forme iL l'esprit qui lui a dicté l'arrêté du 3
ire indéterminé. « Les seconds, au contraire, qui ont été nommés au con- cours, sont assimilés, au point de vue de la li
ctuels ont été nommés, ot, depuis cette époque, il n'y a plus eu ni con- cours, ni mutations de chefs de service. Cette
l'arrêté préfectoral du 3 mars 1879, notamment la participation aux con- cours de l'externat, de l'internat, et des prix
bre. Sensibilité spéciale. - La vue, l'ouïe, le goût, l'odorat sont con- servés et au même degré des deux côtés. Sensi
e, Il... avance ses béquilles simultanément, les membres inférieurs con- servant leur attitude de la station verticale,
que par un effort violent qu'on peut arriver à redresser le membre con- tracture. L'état de maigreur de l'enfant est ex
r.) présente une lobulation très nettement accentuée. Au toucher la con- sistance est augmentée à la base, et à la coupe
lle, danse de Saint-Guy dans l'enfance ; crises hystériques. Pas de con- sanguinité. - Inégalité d'âge de 3 mois. Anté
ant dans une cour, elle fait deux tours sur elle-même et tombe sans con- 116 lÉ ? INGO-1NCi,.I'H.1,LITF CHRONIQUE. nai
ublicité. Au contraire, l'ingestion de corps thyroïde n'a pas, à ma con- naissance, provoqué jusqu'ici d'accidents grave
thyroïdienne qui, chez trois autres, avait produit une amélioration con- sidérable et nous avons appelé plus particulièr
dada, gaga. 16 février. La mastication, qui était nulle, s'effectue con- venablement. L'enfant est toujours heureuse de
ts, n'a cessé d'être l'objet de nos préoccupations et nous en avons con- signé l'action néfaste dans de très nombreuses
Il ans; toutes deux bien portantes, intelligentes, n'ont pas eu de con- vulsions; 3° Notre malade. Antécédents person
mpter, etc. La sensibilité générale et la sensibilité spéciale sont con- servées. N.. parle assez bien, en nasonnant tou
94 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
ques entreprises sur les anomalies d'accroissement m'ont permis de con- tr6ler de nombreux faits cliniques et de démont
est porté en avant et les hanches se rejettent en arrière pour faire con- trepoids au ventre. Les cuisses n'existent guèr
ai sens du mot ; il faut donc faire une certaine différence et ne pas con- fondre la céplialométrie avec la craniométrie.
petit espace dans l'hypochondre droit, où les sensations sout un peu con- fuses. La malade marche sans appui, tient raide
Le réflexe lombaire, les réflexes abdominaux et crémastériens sont con- servés. Les 111, file et IVe vertèbres lombai
aux. Membres supérieurs : le membre supérieur droit est constamment con- tracture (il est fléchi au coude, la main étend
ité une erreur de diagnostic qui ne pouvait guère être faite dans les con- ditions où nous observions. Ces faits prouven
uffit de regarder la photographie (Pl. XII) pour rester frappé par le con- traste qu'il y a entre l'extrémité et la racine
Atrophie assez avancée de la papille. - Acuité visuelle encore assez con- servée. ' Paralysie des mouvements conjugués
inution remarquable dans l'excursion des globes oculaires en haut. La con- vergence est défectueuse. Le réflexe cornéal
ue. Les symptômes atypiques, c'est-à-dire les symptômes qui ont été con- sidérés jusqu'à présent comme exceptionnels dan
21. M. A. est plus calme ; l'anxiété est moins vive. Les urines ne con- tiennent plus de sucre. Le traitement ioduré es
ait des lésions dans les Tille et IVe segments cervicaux. Les lésions con- sistaient en foyers peu nettement limités, en f
uand on discute la nécessité de l'intervention chirurgicale. Avec nos con- naissances actuelles il est souvent impossible
moelle est. normal). Il faut donc supposer que la tumeur se pressait con- , tre la colonne vertébrale même, y causant la
En cherchant minutieusement la cause de ces lésions il arrive à la con- clusion que la plupart du temps c'est le troubl
ors que contorsions, grimaces, mouvements désordonnés, tremblements con- vulsifs, soubresauts, donnant immédiatement l'i
st sincère. Il ne peut plus être question ni de certitude, ni même de con- viction. L'expert a seulement l'impression que
enesthésique, fait de dépression et de mélancolie, parce qu'il est la con- tinuation de l'étal normal psychique du lépreux
son égard peut tenir lieu d'une véritable contre-épreuve. On est donc con- duit à rechercher une question de nature dans c
Les observations que j'ai sont trop sommaires : , elles ne m'ont pas con- duit bien loin. Tout ce que j'ai pu en dégager
ette de la tonicité musculaire, une certaine paresse des muscles à se con- tracter sous l'influence des excitations nerveu
mélique. Dans tous les cas les jambes sont un peu arquées avec leur con- vexité au dehors. Les pieds sont plutôt gros
droplasiques ? Il nous semble même que la comparaison, pour ce qui con- cerne la reproduction des achondroplasiques, av
Ce qui, au contraire, ne peut manquer de nous frapper, c'est la très con- sidérable artériosclérose des deux branches, pa
Mingazzini, dans un autre travail plus récent sur le même sujet, fit con- naître trois autres cas de syphilis cérébrale p
La première observation regarde un homme de 27 ans, lequel à 25 ans con- tracta une infection syphilitique qui fut soign
une périostite et une nécrose de la roche pierreuse avec une névrite con- sécutive du nerf facial de droite. Charvet ra
compris les miens, de syphilis cérébrale précoce et maligne, dont on con- naît l'âge, le développement de l'affection se
vues de Naunyn, qui, d'après l'analyse d'un grand nombre de cas, a con- clu que l'infection syphilitique prise après la
statistiques de ce genre ne perdent pas peu de leur valeur devant les con- sidérations suivantes : les auteurs qui ont com
l'os est friable, sans résistance, enfin, que ce processus d'ostéite con- densante reste limité au voisinage immédiat du
assister à une restitution complète de ses fonctions ou au moins très con- sidérable. Examen microscopique. La tumeur es
ison longitudinale postérieure. En descendant le long de la moelle on con- state encore au niveau des segments dorsaux inf
lus haut. Les. racines médullaires sont pour la plupart du temps bien con- servées, à gauche elles présentent une faible d
on néoplasique, les modifications de la structure médullaire et de la con- figuration interne commencent à disparaître. En
r la face interne de la dure-mère du côté des cordons postérieurs. La con- figuration de ces cordons est normale. La dure-
- dant le dernier séjour de la malade à l'hôpital, quand elle avait con- naissance et était prise des convulsions unilat
médullaire. Elles n'ont pas provoqué une modification notable de la con- figuration de la moelle. Même au niveau des gom
ont presque complètement disparues. On constate aussi leur diminution con- sidérable dans le tiers supérieur de la frontal
paralysie pseudo-bulbaire les lésions cellulaires sont plus ou moins con- sidérables dans le tiers inférieur des frontale
artie petites, atrophiées, très pigmentées, mais très nombreuses, par con- séquent elles ne sont pas disparues. DES CELL
9° Marin G... Notes cliniques. - 19 ans, paraplégie spasmodique avec con- tracture en flexion et atrophie des membres inf
lobules paracentraux ainsi que celles des pariétales ascendantes sont con- servées (fig. 8, PI. XXXIX). 2° Georges D...
reproduira la distribution périphérique de ce nerf lésé. Mais qu'au con- traire une lésion foetale portant sur un neurot
Aucun trouble dysarthritique, ni dysphasique, ni dysphonique. Bien con- servés, les mouvements passifs et actifs de la
ns un plan sagittal, les troisième, quatrième et cinquième cervicales con- tinuent la direction de l'axis.La colonne a été
moitié droite de la moelle est mieux conservée que la gauche, qui ne con- tient qu'une zone très étroite de tissu normal.
es. Malaisé prit beaucoup de peine à réunir un assez grand matériel con- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE
la neurologie dans deux sens diamétralement opposés. L'avenir fera con- naître celle de ces deux manières qui aura port
rbo-acoustiques et pour leur association), il est nécessaire que soit con- servé aussi le gyrus temporalis transt'e1'SUS e
verse la précédente pour se rendre à la capsule externe, Schroder la con- sidère comme étant une dépendance du corps call
x symptômes généraux et spéciaux de l'infantilisme, et qui doit par con- séquent être différenciée de la microsomie pure
ent. M. Pellizzi admet en somme l'existence d'un nanisme rachitique, con- drodystrophique et cérébropathique qui n'ont au
- Ces trois individus mâles nous ont semblé défectueux pour ce qui con- cerne le développement des poils ; le petit mul
par la voie ventriculaire ». Les lésions vasculaires très marquées au con- traire leur ont fait penser que la localisation
ber ensuite vers la circonvolution frontale supérieure ; eu bas il se con- tinue avec un champ de fibres triangulaire et t
le. La corne frontale est très aplatie dans le sens transversal, mais con- serve sa longueur normale et se trouve ainsi à
dégénérée, et que la topographie et l'intensité de sa dégénérescence con- cordent absolument avec l'étendue et le degré d
t le deuxième, tout en présentant associé au syndrome de microsomie con- génitale, quelques symptômes d'infantilisme som
ntion. Quant aux myxoedémateux. nous avons déjà dit que nous ne les con- sidérions pas comme les représentants d'une for
» . - Nous voyons donc se traduire dans les idées de M. Launois les con- séquences, selon nous, nuisibles, de l'usage in
térieures des cimetières en France et en Italie, ainsi que les livres con- sacrés aux danses des morts d'Ilolbein et de bi
t en 1752. Malgré les recherches que noire ami le Dr F. Ilcinemann, con- servateur de la Bibliothèque des bourgeois de L
est diminué, les côtes sont stylisées.Les membres inférieurs ont une con- formation erronée ; les axes du fémur et du tib
95 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
'introduire dans la cavité; puis il se referme et éprouve alors une con- traction antipéristaltique qui porte les alimen
vais goût dans la bouche. Le malade pouvait retenir les aliments en con- centrant son attention sur un autre objet au mo
. C... ne mange pas plus copieusement que ses commensaux, il est au con- traire très sobre. Un quart d'heure environ apr
II, XXX.) Quant à l'assimilation, elle se fait généralement bien, à con- dition toutefois, comme nous l'avons déjà dit,
stendent pour en provoquer l'expulsion; et peut-être aussi, dans la con- traction des fibres longitudinales de l'oesopha
oup, n'a jamais eu de troubles nerveux. - Mère : cinquante-six ans, con- cierge, bien portante ; d'un caractère irritabl
ept mois et demi, l'autre à dix-sept mois; pas de convulsions, bien con- formées. Deux garçons juozeazex 1 : l'un est mo
formées. Deux garçons juozeazex 1 : l'un est mort à trois jours de con- vulsions, l'autre est notre malade. - Un garçon
culier. Hémisphère droit. La première circonvolution frontale est con- fondue en grande partie avec la seconde : il n'
ue dans l'autre. » Le vomissement est, en somme, un acte éminemment con- vulsif ; il est, à ce titre, involontaire. Ce f
ime le patient. Il prétend avoir ruminé surtoutles aliments acides ( con- combres, salades de légumes et vertes), les pet
son affection. En meurt-il ? non. Le pronostic du mérycisme est, au con- traire, très bénin. Livré à lui-même, il ne com
. 91 hésitant et semble ne pas savoir où il se trouve, et, quand la con- naissance est totalement rétablie, il ignore ce
on l'étend sur le sol non sans quelques difficultés, par suite des con- vulsions dont il est agité : les membres s'éten
pousser un cri : étendu à terre sur le dos, il est pris aussitôt de con- vulsions cloniques : le corps se déplace en cer
-bras et les poings se ferment, les pouces en dehors. Bientôt, à la con- tracture des membres, succède une trémulation c
exa- men physique du malade, assis sur son lit, on voit ses yeux se con- vulser en haut et il cesse aussitôt de répondre
Oncle maternel paralytiquegéné¡'¡tl. - F1'è¡'es et soelll's morts de con- vulsions. Convulsions de deux mois ci deux an
ns portant uni- quement sur le côté gauche, et accompagnées de cris con- tinuels. Ces accidents se sont reproduits trois
sse la cavité crânienne est lisse, unie, sans prolongement de tissu con- jonctif, comme la dure-mère normale, au niveau
it, aiguë ou chro- nique, idiopathique ou symptomatique, acquise ou con- génitale. Dans le cas actuel, il s'agissait d'u
ans, bien portant, intelligent, sans convulsions; 5° une fille bien con- formée, morte à 15 jours d'une bronchite. Not
96 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
ndre soin d'eux dans leurs accès, à les nettoyer, etc., mais ils ne con- courent que d'une manière presque nulle à l'ens
ÉE PATHOLOGIQUE. XVII est, en résumé, le plan général que nous vous con- seillons pour l'Etablissement de réformes qu'il
ne nuit en rien à la vue des malades sur le vaste jardin maraîcher con- tigu à la section. L'ANCIENNE SECTION. XLI
le bien fondé de la décision dos deux Conseils élus ; ils sont par con- séquent tout à fait en mesure de renseigner exa
: lm,21. 9 mai.- Lecture courante, mais peu expressive; calcul, ne con- naît que l'addition et la soustraction; mémoire
peu développé. - La fissure calcarine (F. ca), décrit une courbe à con- vexité supérieure. Le corps calleux, le corps
Gambetta; chez celui-ci, le cap antérieur était plus développé, au con- traire du Pacha où le cap postérieur est plus d
s Tux- ROIDE entre la trachée et les muscles qui ont été assez bien con- servés et on n'en trouve aucune trace. Le gra
bablement corticale. Parmi les auteurs qui ont obtenu des résultats con- traires à ceux de M. Schiff, nous devons encore
la dentition. Une soeur aînée est morte d'un cancer utérin]. Pas de con- sanguinité - antécédents personnels. 107 De
e début de ces vertiges, survinrent des envies de vomir. Un médecin con- sulté alors lui trouva le regard égaré et lui p
de la cornée de ce côté. Hémiplégie gauche du corps avec un peu de con- tracture du membre supérieur. Assoupissement, t
endue, pied-bot équin, raideur moins accusée qu'au bras, mouvements con- servés mais mous et peu prononcés. Sensibilité
céphalie des ventricules, étaient plus prononcées à la base qu'à la con- vexité, ce qui explique la présence des phénomè
de le coucher. Quoiqu'il se soit relevé le jour même où il a eu ses con- vulsions, on s'est aperçu que l'intelligence ét
e fièvre éruptive, aucune maladie infectieuse. Le traitement aurait con- sisté uniquement en agents toniques et antiscro
s attitudes fixes déjà constatées à l'entrée, on observe une légère con- tracture des masséters.- T. R., matin 38°,6. So
localement. 20 août. L'éruption est en voie de dessication (1). La con- jonctivite persiste mais très améliorée. L'enfa
rter l'observation. Observation. - Deux oncles paternels ont eu des con- vulsions. Grand-père maternel, excès alcoolique
n enfant, âgé de 9 ans, bien portant et intelligent ; aurait eu une con- vulsion légère lors de l'éruption d'une molaire
e. Le fémur se termine par une surface cartilagineuse, simulant les con- dyles et entouré d'une bourse séreuse ; cette e
- Attitude spéciale. Nombreuses cicatrices consécutives aux chutes con- vulsives. - Introduction d'aliments dans les vo
r le front et long de 1 cent. 1/2. Yeux un peu enfoncés. - Pupilles con- tractiles très resserrées. Iris gris. Pas de lé
ximum en 1872, qu'il y a eu ensuite, sous une influence que nous ne con- naissons pas, une diminution assez sensible (18
urtout lorsque leur chiffre n'est pas élevé et que le trouble de la con- naissance n'est ni profond ni prolongé (1) ». '
yant sur des faits précis, une démonstration aussi nette, en ce qui con- cerne les petites séries d'accès et l'état de m
quelques dixièmes et les 60 cas que nous avons rapportés plus haut con- firment ce que nous avons écrit précédemment (1
que l'état de mal pouvait être constitué uniquement par la période con- Fi r. 35.-Tampératnre dans un état de mal lim
97 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
er- tébraux, et c'est là un point qui n'a pas été relevé comme il con- vient, surtout en ce qui concerne la région l
malade, sans aucun symptôme prémonitoire, tombe subitement privé de con- naissance. Lorsqu'il revient il 1 ui, au bou t
s de le tenir afin qu'il ne se blesse pas. A la suite de cette crise, con- tracture du côté droit qui ne dure que deux heu
ensation de boule dans la gorge et d'étouffements suivis de pertes de con- naissance pendant laquelle le malade se débat a
mbre, le seul peut-être qui subsiste encore - tout est parfaitement con- forme aux données scientifiques les plus exacte
muscles, de même que ceux des membres inférieurs, paraissent avoir con- servé leur force normale. Les organes génitau
stance de l'apparition de cette complication, non seulement dans la con- tracture spasmodique en général, mais dans la m
hypothèse, que les rétractions étaient plus rares dans le cours des con- tractures hystériques que lors de contractures
t à l'usage des membres, il y aura lieu de recourir à une opération con- sistant en la section des tendons ou des brides
ère tuméfaction, c'est-à-dire que les deux fragments sont encore en con- tact, ce qui permet, en posant les deux pouces
Pendant les huit premiers jours, le malade eut une fièvre à peu près con- tinue avec perte de l'appétit et du sommeil. Au
exagération) dans les mêmes muscles avec prédominance de l'anode et con- traction lente (réaction de dégénérescence).
cutané se distribue seul, la sensibilité est intacte. On peut donc con- clure que l'anesthésie siège au niveau de la di
élément myospasmodique a complètement disparu, nous sommes dans les con- ditions les plus favorables au succès d'une opé
les deux satellites du corps calleux, quoique celles de l'hippocampe, con- sidérées comme la terminaison de ces deux derni
d'une tête d'épingle jusqu'à celle d'un haricot, surtout foncées et con- fluentes sur le cou. La peau qui environne ces
polycrotisme. Dès que l'effort a cessé, le pouls se ralentit, mais con- serve une plus grande hauteur qu'avant l'expéri
ne aug- mentation de tension qui cesse ou se modifie, après que 'la con- traction a cessé'. Cn. Féré, hlédccin dc Bicû
des tendons, mais aussi quand il s'agit de faire les manipulations con- sécutives qui sont utiles au rétablissement de
mo- bilisation du pied en équinisme, produite primitivement par une con- tracture des muscles de la jambe avec prédomina
trouvent raccourcis dans la position vicieuse qui existait pendant la con- tracture. La fibre musculaire affaiblie reste c
... est né à terme et était bien constitué. Il a commencé à avoir des con- vulsions à l'âge de quatre mois; ces convulsion
reste rigide, presque dans l'immobilité absolue; il n'y a que peu de con- torsions dans la face, qui s'est tournée à droi
ent les mouvements ataxiques dans la maladie de Friedreich. Musso a con- sacré tout un mémoire, très intéressant d'aille
nce. , La capsule est généralement épaissie; elle peut même être de con- sistance ostéo-cartilagineuse.- Les ligaments
1 Ce sont les travaux de MM. Joffroy et Déjerine qui ont bien fait con- naître ces névrites périphériques. Dansune ob
tion, les mains tendues en avant, à la recherche d'un guide ou d'un con- ducteur. Rembrandt a dessiné un Tobie aveugle
surtout accentuée sur les faces antérieure et interne. Elle est plus con- sidérable aux jambes qu'aux cuisses : la face p
ux, les ongles ne présentent pas de dystrophie notable ; la peau a sa con- sistance et sa coloration ordinaires. La cour
98 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
es exemples, usant de préférence, au moins dans les débuts, de noms con- crets, ne recourant à des adjectifs ou particip
t à syllaber, nous leur faisons décomposer les mots imprimés qu'ils con- naissent déjà ; ils commencent donc d'abord par
bus aussi regrettable. l'acc'uialions et revaccinations. Nous avons con- tinué, comme les années précédentes, la vaccina
stances, nous avons demandé à M. Bossée, de hien vouloir nous faire con- naitre ce qui existait en Prusse, au sujet des
our objet l'allocation de secours aux familles se trouvant dans les con- ditions susénoncées. Cette somme serait inscrit
à Villejuif. Il suit de lit que les sections de Bicêtre ont été, au con- traire, mieux traitées que les asiles de la Sei
and-père paternel goitreux. - Cousin paternel hémiplégique. - Mère, con- vulsions dans l'enfance, alienee, - Grand-oncle
and-oncle maternel aliéné. - Tante maternelle nerveuse. - Premières con- vulsions à trois ans suivies d'hémiplégie et de
intercostal. Arrivée au niveau de la ligne mamelonnaire, elle va se con- fondre avec une énorme plaque rouge présentant
; tuberculose. 69 malade présente bien une coxalgie du côté gauche, con- sécutive à un traumatisme survenu vers 7 ou 8 a
utefois probable, si, comme on nous l'a dit, l'enfant n'a pas eu de con- vulsions, ce qu'on ne peut affirmer en raison d
malade est capable de faire correctement la suspension à l'échelle con- vexe et horizontale, et tous les mouvements d'e
hoc. On l'étend à terre et aussitôt commencent dans les membres des con- vulsions cloniques très étendues. L'enfant fait
me traitement. Pendant ces Irois mois il ne survient aucun accident con- vulsif ou somnambulique. Lu ... continue il s'a
mentale avec perversion des instincts ; impulsions ; arrestations, con- damnation, mort en prison de tuberculose pulmon
reté à 2 ans. A 3 ans, peur, suivie la jours après d'un état de mal con- vulsir qui dura 13 heures. Consécutivement, tor
accès de rigidité et, partant, d'épilepsie spinale. Les muscles ont con- servé leur volume et leur énergie puisque le ma
ns- tincts. Tous les ren- seignements sur son écolage et sur sa con- duite dans le service ne laissent aucun dou
le poids que de 28 d'entrc eux ; mais nous nous abstenons de toute con- clusion à cause de la catégorie d'enfants pesés
ter mérite d'attirer l'attention et est de nature à contribuer à la con- naissance de l'anatomie pathologique des maladi
cidents méningitiques pendant trois semaines et rémission des accès con- vulsifs durant trois mois. Ils réapparurent ens
même du décès. Les notations <7 ! e)'mome/i' ? fM aprèsla mort con- firment une fois de plus tout ce que nous avons
- Épilepsie. Etat du malade en 1898 : idiotie complète; diplégie et con- 181 Antécédents héréditaires et personnels. t
ar les cris d'une femme qui avait une attaque : « Je n'ai pas perdu con- naissance, mais je me suis senti mal dans le ve
ir aider sa mère quand elle sera sortie de l'asile. - On a toujours con- tinué les douches, les bains, l'école et la gym
a eu le ver solitaire il y a un an. C'est une femme brune, de bonne con- formation. - [Son père, tué dans un éboulement,
ns le feu, son patron voulut s'y opposer. Alors il tourna sa fureur con- tre celui-ci et voulait le jeter également dans
99 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
o-motrices. La sensibilité au froid ou à la piqûre est parfaitement con- servée. De même pour les sens spéciaux : les sa
dans certains points, l'augmentation du nombre des noyaux n'est pas con- sidérable ; pas d'augmentation notable du tissu
M. Westphal, sur la dégénérescence grise chez un tabétique, qui ont con- tribué surtout à élucider cette question. Mais
hémorrhagies capillaires de la moelle à différents niveaux, ce qui con- tribue à l'atrophie de la corne postérieure ; à
dons postérieurs du côté opéré. Ces lésions comme nous l'avons dit, con- sistent pour la plupart en atrophie des cornes
de la propagation centrifuge de l'excitation à travers les voies de con- ductibilité centripète du cerveau. 18 ? 1o Il e
né au lit jusqu'à l'âge de dix-sept ans ; depuis fort longtemps, il con- serve l'habitude, après chacun de ses repas, de
mme, doit être imputé aux émotions morales des grandes catastrophes con- comitantes (naufrages, éboulements, etc.) Le dé
uicide. une quatrième classe doit prendre place. L'exemple envisagé con- cerne la prédominance de conceptions irrésistib
s ma- ladies mentales : l'hérédité normale et morbide, des mariages con- sanguins, la religion, l'éducation, les conditi
'air choisi s'exécute. Bishop lui-même m'a parlé encore d'une autre con- dition facilitant le succès, c'est qu'il ne dev
te aussi brusquement qu'il s'est contracté (Fig. 4, A), et dans ces con- ditions il n'y a pour ainsi dire pas de différe
in de l'attaque est toujours marquée par des cris de douleur, et la con- tracture de tout le côté droil réapparait avec
it à la culture. Il ne se rappelait pas avoir gardé le lit pour une con- tracture à l'infirmerie de cet établissement. D
sement du pouls, accélération de la respiration, etc., qui semblent con- firmer, par une véritable expérience sur l'homm
contenu fine- ment granuleux, aspect rayé, consistance plus ferme, con- tours tortueux, disparition des éléments; 4° le
que pour les femmes, et c'est seulement chez les vieillards que le con- traire à lieu. D'une manière absolue, le poids
ouvent des phénomènes trop complexes pour qu'on en puisse tirer des con- clusions absolues par rapport à la localisation
rvices d'aliénés du département sont très touchés des sacrifices si con- sidérables que le conseil général, si soucieux
plus mer- veilleuses découvertes, et crée ces théories sublimes qui con- duisent l'intelligence sur ces hauteurs sereine
des hanches sont fortement contractés même en état de repos, leurs con- tours se dessinent nettement sous la peau. On r
parties antérieures des cordons latéraux la prolifération du tissu con- jonctif est beaucoup diminuée et présentée de l
A MOBILES FUTILES. 325 dans la maladie, et c'est ce qui explique la con- fusion faite par tant d'auteurs. Aussi, quand M
doute sur l'exis- tence d'une impulsion irrésistible. Ceux qui, au con- traire, ont cédé à un mobile futile, s'ils se d
on cama- rade, pas batailleur ; les témoins déclaraient tous ne pas con- naitre, avant les incendies, un seul acte de mé
andé et obtenu des' circonstances atténuantes. Claude Saron n'a été con- damné qu'à cinq ans de travaux forcés. Observ
tive, est gentille, avenante et intelligente; elle n'a jamais eu de con- vulsions ; 10° un garçon, mort à cinq mois, d'u
incts. Antécédents personnels. - Arrêt de développement ; premières con- vulsions dans la première année; secondes convu
riant et en chantonnant. Il se sert d'une cuiller pour manger, à la con- dition qu'on le surveille. Observation VII. I
égulière, la toux fréquente. Il n'y a pas de larmoiement; un peu de con- jonctivite ; langue humide, selles régulières.
e nom. Onze enfants : 1° une fille morte à un an sans avoir eu de con- vulsions ; paraissait intelligente. A sa naissa
1868. Tête assez bien conformée, figure assez intelligente; idiotie con- lucamEs, t. X. 24 370 CLINIQUE MENTALE. gén
rs très malade, a déliré pendant deux jours, pas de paralysie ni de con- vulsions. Pas de croûtes, de dartres, de glande
ie animale, et même inaptes à se reproduire. Un autre, qui a eu des con- vulsions et est affecté de strabisme, porte déj
s avons déjà indiqué les altérations signalées par Dickinson et les con- clusions exagérées et erronées que cet auteur a
n'avons que rarement constaté l'existence de la glycosurie dans ces con- ditions. Chez la femme comme chez l'homme, le
e faisceau pyramidal. En un mot double lésion capable d'exciter les con- ducteurs moteurs. P. K. XLI. Contribution au
., XV, 2.) C'est la première partie du travail dont nous avons déjà con- signé in extenso les conclusions'. Le sous-titr
s de la possibilité, pour certains cas morbides des plus graves, de con- server la vie des malades, grâce à l'alimentati
100 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
0 millions) ; 3° De mettre en adjudication publique, aux clauses et con- ditions des cahiers des charges ordinaires de l
plomberie pour gaz, qui, en raison de leur peu d'importance, seront con- fiés à l'entrepreneur de l'entretien, et des tr
i l'ont visité ne veulent pas reconnaître leur erreur et, forcés et con- traints, s'inclinent de mauvaise grâce devant l
rimitifs de la section des enfants de Bicêtre, qu'il avait préparés con- formément au programme administratif, il a acce
otre mort que je me crois, jusqu'à un certain point, le droit de me con- sidérer un peu de la famille. « Si cette dern
our la première fois en 1882 (4), et nous terminions la courte note con- sacrée à ce sujet en déclarant que « le bromure
suspendue le 31 octobre. - Les vertiges ont reparu et ont augmenté con- sidérablement : nouveau traitement par le bromu
mière dent. Il a parlé et marché vers 15 mois. -Il n'a jamais eu de con- vulsions, ni de vers intestinaux, ni de manifes
été battu par son père. A l'origine, il ne perdait pas tout à fait con- naissance durant ses crises : il sautait en l'a
é complète. L'enfant a été propre vers un an; elle n'a jamais eu de con- vulsions On prétend qu'elle ressemblait aux aut
la famille.] Mère, 32 ans, lymphatique, nerveuse, ni migraines, ni con- vulsions, de taille plutôt petite, est ordinair
enfants de cet âge changea. Elle prit un air d'imbécillité qu'elle con- serve encore, quoique à un moindre degré. Pen
s nouveau- nés et les très jeunes sujets. L'aspect myxoïde du tissu con- jonctif est plus marqué dans les travées fibreu
ccombé : 2 à des érysipèles compliqués d'autres affections; 2 à des con- vulsions; 4 à des congestions pulmonaires avec
ct à appeler sclé- reux ces foyers, bien qu'il n'y ait pas de tissu con- jonctif véritable. L'état actuel de nos conna
25 5 cellules intercalaires; en sorte qu'on ne voit que des groupes con- tinus de plusieurs cellules en nombre assez res
onvulsions. Premières convulsions à six mois, secondes à neuf; puis con- vulsions tous les mois jusqu'à quatre ans. Succ
oeurs, attaques de nerfs. - Frère, accès de somnambulisme. - Frère, con- vulsions de l'enfance, blésité. Accès de cris
tanément. Les paupières étant fermées, on soulève le hras droit qui con- serve l'attitude qu'on lui donne. Le bras gauch
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