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1 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
ns, les occasions de voir pratiquer les grandes opérations étaient si communes , au moins dans les hôpitaux de Paris, qu'il n'y a
s dissimilaires. A ces enveloppes propres s'en ajoutent de nouvelles, communes à tous les organes d'un même appareil, disposées
s existent: ce sont l'appareil vasculaireet le système nerveux, agens communs de la vie, qui pénètrent partout. Dans cette mach
dus au squelette, renfermantles organes, etenvironnés par l'enveloppe commune tégumentaire. Dans ce système, où nombre de par
d analogue que la forme générale membraneuse appropriée à leur usage commun , ne présentent plus, sous les autres rapports, qu
u domaine de l'histologie, lesenve-loppes empruntent, pour leur usage commun , des tissus et des organes très variés; ou mieux,
s dans lesquelles s'accomplissent leurs fonctions. Cette disposition, commune à tous les tissus, en constitue, selon nous, le p
corps cri blé, tissu lamineux, vu sa texture, milliloculaire. Gangue commune des tissus, dans notre opinion, fondée sur nos re
es tissus différens, depuis la surface de la peau, enveloppe générale commune , jusqu'à la cellule adipeuse ou à l'élément organ
soient du reste leurs dimensions relatives. Cette forme générale est commune à la fois à toutes les séreuses splanchniques, ar
ème de cavités communiquant les unes avec les autres, mais fermées en commun à l'extérieur par l'enveloppe compacte, qui n'est
ar rapport aux muscles et aux os qu'elles renferment dans un cylindre commun . En général, elles sont formées de deux plans de
nombreux, les aponévroses partielles, réunies pour former l'enveloppe commune , présentent des directions très variées; elles se
. Ainsi, dans la profondeur des membres, la couche cellulo-vasculaire commune se trouve reproduite, en dégradant d'épaisseur pa
du moins, telle est, à part de bien rares exceptions, la disposition commune aux gaines des longs muscles des membres. Il n'en
u'ils isolent des parties voisines. Les nerfs renfermés dans la gaîne commune , outre leur névrilème, sont encore enveloppés à d
de connexions, ont été réunies avant toutes les autresdans un groupe commun par les anatomistes.En-veloppes de glissementdes
ar leurs surfaces lisses juxta-posées, les deux feuillets forment, en commun , une grande cavité de glis-semens mutuels, siège
icarde séreux, tunique vaginale.); mais lorsque l'enveloppe doit être commune à plusieurs organes, ou que l'organe lui-même est
cause des vaisseaux sanguins que la nature les a logés dans la gaîne commune , mais seulement pour profiter d'un même sillon ee
es constituent aussi un groupe très rationnel en raison de leur usage commun d'organes cutanés internes, qui entraîne de nombr
re, quoique séparée anato-miquement de la précédente par le vestibule commun du pharynx, doit néanmoins être considérée comme
orme l'enveloppe extérieure générale,exposée partout à des influences communes , doit offrir une texture presqu'homogène et des c
ergiques. L'élément organique le plus profond est l'os, tige centrale commune de sustentation, point d'appui et centre de conve
des attaches fibreuses et musculaires. Cette disposition générale , commune aux diverses fractions des membres et qui résume
our circonscrire et protéger la cavité encéphalique. L'organisation commune des enveloppes extérieures étant définie, une dis
Les limites du cou sont tracées à l'extérieur par la peau , enveloppe commune ; au-dessous de la peau s'étend le peaucier qui n
la naissance des épaules, par la continuité des muscles qui leur sont communs . Dans son diamètre antéro-postérieur, le cou se
le larynx, le pharynx et l'œsophage, sont enveloppés par l'aponévrose commune pharyngienne postérieure, qui sépare les deux gra
d'elle, les deux grands canaux aérien et alimentaire, qui ouvrent en commun , par l'orifice du pharynx, dans les cavités bucca
a masse du sacro-spinal et de ses annexes formant une gaine verticale commune dans toute la hauteur du tronc. 1 Planche 6.
e compose en fait que de la colonne lombaire du rachis, point d'appui commun des parties molles. Toutefois, et par extension,
s: l'épaule, le bras, l'avant-bras et la main. L'enveloppe générale commune , ou la peau, présente pour ce membre des différen
issance du cou par la continuité des fibres des muscles qui leur sont communs , le trapèze et l'angulaire. Il en est de même du
A la face dorsale , une seule loge existe , celle du court extenseur commun ; néanmoins, de même qu'à la main, pour ses tendon
contention y sont très résistantes. La grande aponévrose sous-cutanée commune , ou l'aponévrose plantaire , destinée à supporter
ortion tarsienne, que d'un seul rang de muscles, le court fléchisseur commun , flanqué de l'adducteur et de l'abducteur des or
nt, entraînent, poulies organes qu'elles renferment, des conséquences communes dans les deux états physiologique et pathologique
cidents et les divers états des maladies. Les propriétés physiques, communes à toutes les enveloppes, étant établies, il est u
munication de ses cellules et sa distribution par masses, comme moyen commun d'union et de remplissage dans les espaces in ter
remplacent, les savans n'ont plus entre eux de langage qui leur soit commun . En pathologie, la théorie phlogistique n'est rée
elles de nature cancéreuse, est la seule qui se confonde en une masse commune avec les tissus voisins. La substance spongieuse,
s de petits séquestres sont masqués par l'aspect fougueux de la masse commune . Dans toutes ces affections du tissu osseux, mo
ui suit inévitablement toute congestion des fluides. Ce phénomène, si commun dans toutes les maladies des articulations, est l
de les protéger et de les isoler des tissus malades. Rien n'est plus commun , en effet, que de rencontrer entre les lobes de t
lles forment, et des produits de leur sécrétion ou des épanchemens si communs qui s'y trouvent renfermés, sont, de toutes les e
s de l'organisme sont les deux appareils vasculaire et nerveux, agens communs de la vie qui, à partir des deux centres, le cerv
érienne dans l'emphysème. Pour cette dernière, en particulier, il est commun de rencontrer les aréoles du tissu cellulaire déc
volitions. Sous ce double rapport, les cylindres vasculaires, moyens communs de liaison des élémens de l'organisme, sont beauc
e à mesure qu'ils forment avec ces derniers des faisceaux vasculaires communs . D'un autre côté, la circulation de retour des ve
ères membraneux qui n'opposent aucune résistance, les congestions, si communes , devront donner lieu facilement à des infiltratio
t à l'aorte et à la veine cave inférieure, préludent à l'organisation commune aux faisceaux vas- T. VI. culaires, en dehors
s. On sait, en effet, que la hernie inguinale est, de toutes, la plus commune dans l'homme, à ce point qu'elle affecte un indiv
nce à s'engager clans le canal inguinal; elle est, au contraire, fort commune chez la femme, où l'alongement de la branche hori
produits par la rupture ou l'ulcération de la vessie sont encore plus communs ; on sait à quels dangers expose l'infiltration ur
aucoup d'intérêt en chirurgie; il est le siège des incisions les plus communes pour un grand nombre de cas : tels sont les abcès
Le vestibule inem-1 Planche 2. braneux du pharynx est l'aboutissant commun de toutes les cavités de la face qui viennent s'y
res sensorialcs. En effet, cette cavité, considérée comme un affluent commun , ouvre intérieurement dans l'estomac par l'œsopha
se faire jour hors de la cavité du crâne, tandis qu'il n'est que trop commun qu'un érysipèle phlegmoneux du cuir chevelu ne tr
er qu'il existe, dans l'état physiologique, un fluide cérébro-spinal, commun à l'encéphale et à la moelleépinière, mais dont l
sculaires, sont réunis à l'ensemble chacun par un faisceau vasculaire commun , à double courant, artère, veines lymphatiques et
aissance des deux membres, au tronc, chacun des faisceaux vasculaires communs est enveloppé d'une gaine dont l'orifice de passa
bres, les faisceaux vasculaires sont renfermés dans le sillon interne commun , d'une grande importance en chirurgie, où ce traj
es maladies des vaisseaux. C'est le long du grand faisceau vasculaire commun , considéré extérieurement comme conducteur, about
t à l'anatomie descriptive, nous avons vu que le squelette, charpente commune de tout le corps animal, en traçait les divisions
xtérieur s'harmoniant avec les appendices ou membres pour composer en commun l'appareil de la locomotion. Les diverses fractio
s parties d'un même système pour l'exercice des fonctions ; ces agens communs sont les vaisseaux et les nerfs logés par faiscea
isseaux, des nerfs, le tout recouvert par une fraction de l'enveloppe commune . Pour que la région soit nettement déterminée, il
rtion du frontal, et la grande aile du sphénoïde. Les fractures, très communes dans la portion écailleuse du temporal, sont surt
ont : l'ellipse inférieure de l'orbiculaire palpébral, les élévateurs commun et propre de la lèvre supérieure, les deux zygoma
par le sous-orbitaire ; ces derniers sont le siège de la névralgie si commune du même nom. 6° Squelette. 11 est formé par l'os
continue à la parotide par des groupes de granulations qui leur sont communs . 4° Vaisseaux sanguins et lymphatiques. La région
inférieurement par le tissu érectile du lobule, et circonscrivant en commun la cavité dermo-cartilagineuse de la conque, au f
sez dense, elle forme la partie supérieure de l'aponévrose antérieure commune , circonscrite dans cette région entre la base de
quelquefois le siège de fractures mortelles ; mais l'accident le plus commun et le plus inévitablement grave est la luxation d
ion mammaire peut être le siège d'une multitude de petites opérations communes à toute la surface de la peau ; mais celles qui l
ont particulières sont nécessités par les accidens traumatiques, plus communs chez l'homme, et surtout, dans la femme, par les
s, dont elle forme la paroi. Parmi les accidens chirurgicaux les plus communs sont : i° les fractures des côtes, dont les fragm
s douleurs profondes qui s'y rapportent sont l'un des signes les plus communs des inflammations de l'estomac et du duodénum. Da
laissent encore beaucoup d'obscurité. Les plaies accidentelles, assez communes dans cette région, sont difficiles à réunir, en r
grossesse et l'ascite donnent lieu aux hernies dites ventrales, moins communes que les précédentes. RÉGION ILIO-GOSTALE2. Si
r d'arrière en avant, et l'abondance du pannicule adipeux sous-cutané commun aux tégumens de l'abdomen. Dans la portion antéri
ane muqueuse du gland et sur-tout de celle de l'urèthre sont des plus communes ; la dernière, en particulier, donne lieu à de nom
rnie de poils et de follicules sébacés. Le sac, formé par l'enveloppe commune , élargi en haut, à la sortie des cordons, est div
don. Le testicule est le siège de nombreuses maladies, dont la plus commune est le sarcocèle. Le cordon, outre les affections
collections. Les abcès et les infiltrations d'urine y sont aussi très communs et souvent graves. 3°Aponévrose superficielle. En
édiaire entre l'abdomen et la cuisse et qui trace leurs délimitations communes en indiquant la flexion de l'une sur l'autre, off
Les muscles sont disposés sur deux plans, superficiellement la masse commune des deux muscles confondus à tort sous la déno-
s principaux sont l'artère et la veine axillaires formant un faisceau commun avec les nerfs du plexus brachial ; l'artère, plu
onstitue proprement le creux de l'aisselle, intermédiaire et affluent commun des parois de la poitrine et du membre thoracique
icialis; son importance est considérable en chirurgie, comme affluent commun des vaisseaux absorbans du membre thoracique et d
umérus, moins son extrémité articulaire. Outre certaines opérations communes à toutes sortes de parties, le sillon brachial es
variqueux. Les phlébites et les engorgemens lymphatiques y sont très communs ; enfin, on y pratique fréquemment des désarticula
; le plan sous-cutané est parcouru verticalement par la veine radiale commune au milieu, les radiale et cubitale antérieures su
radiales, côtoyées en dehors par le nerf du même nom et protégées en commun parle tendon du long supinateur. RÉGION ANTI-BR
r deux couches : en plan superficiel de dehors en dedans, l'extenseur commun des doigts, l'extenseur propre du petit doigt et
rpe, à moins quelles ne soient produites par écrasement. La carie est commune pour ces divers os et la nécrose seulement pour c
ie chirurgicale, se sépare en deux fractions : en dedans la charpente commune et immobile des quatre os métacarpiens auxquels f
ant du petit doigt. Portion digitale. Elle offre des considérations communes à tous les doigts et qu'il suffit d'indiquer pour
ne qui revêt les gros vaisseaux; c'est cet orifice qui est l'affluent commun des veines et des lymphatiques, pour se jeter dan
gros vaisseaux, au milieu l'artère fémorale, renfermée dans une gaine commune avec sa veine, qui la côtoyé en dedans, et séparé
t les accidens traumatiques des vaisseaux, les maladies principales , communes dans cette région sont : les engorgemens lymphati
litée n'existe que pour le triangle supérieur, les jumeaux formant en commun une saillie terminée par une ligne courbe à conca
par trois saillies musculaires, séparées par des sillons d'insertion commune . Parties composantes. i° Peau. Épaisse et dense
ais à la partie supérieure seulement, existe l'aponévrose d'insertion commune aux trois grands muscles de cette région. 4° Musc
bier antérieur, le long extenseur propre du gros orteil , l'extenseur commun des orteils et son appendice le péronier antérieu
um. L'interne est limitée en avant par la saillie du long fléchisseur commun des orteils et par la portion malléolaire du tibi
upture du tendon d'Achille, celle du plantaire grêle, peut-être moins commune qu'on ne l'a cru, et un autre accident moins rare
éole interne et leur position déclive, sont les causes des varices si communes en ce point; l'épanouissement des filets du nerf
issant sur le tibia ; plus, en dehors, le large tendon de l'extenseur commun et celui du péronier antérieur. 4° Les vaisseaux
aves : des luxations presque toujours irréductibles , des caries très communes , et des fractures compliquées dans les plaies d'a
eure ou digitale, formée par les cinq orteils, séparés et mobiles, en commun ou isolément. RÉGION CALCANIENNE '. Formée pa
des muscles long fléchisseur propre du gros orteil, long fléchisseur commun des orteils, et jamhier postérieur en dedans, et
ne lieu, dans les cas d'extension forcée, à une section devenue assez commune dans la chirurgie moderne. RÉGION DORSALE '.
dans les intervalles, ceux des extenseurs des orteils, dont le tendon commun se divise en quatre autres. En second plan est le
e une énorme résistance, peut être considérée comme un vaste ligament commun tendu entre les extrémités périphériques de la do
lan superficiel calcanéo-phalangien : au milieu, le court fléchisseur commun , côtoyé en dedans par l'adducteur du gros orteil
fléchisseurs avec leurs auxiliaires, l'accessoire du long fléchisseur commun et les lombricaux. En troisième plan : l'abducteu
ns , qui maintiennent la demi-voûte transversale. PORTION DIGITALE ( commune aux deux régions). Elle se compose des cinq ort
a sustentation dans la marche. Ces organes offrent des considérations communes qu'il suffit d'indiquer pour l'un d'entre eux. Au
ochement habituel des orteils. Les faces latérales, par leur pression commune , sont fréquemment le siège de cors très douloureu
. Enfin, le refoulement vers l'ongle, déterminé par la pression, plus commun sur les deux orteils extrêmes qui forment les bor
ales, est ce qui constitue les opérations. CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES COMMUNES A TOUTES LES OPÉRATIONS. DÉFINITION, MANIÈRE D'
is, rarement quatre. Leur disposition varie suivant les cas ; la plus commune est en face et sur les côtés de l'opérateur. Nous
ues transitions causées par une céphalite, une péricar-dite, etc., si communes et si funestes chez les opérés. Nous nous rappelo
mode de formation de ces nombreux engoue-mens des viscères, résultats communs , dans les diverticulums de la circulation général
opérations en trois classes : i° Opérations élémentaires, ou élémens communs des opérations qui se pratiquent par-tout sans di
extraction, la réduction et la réunion. Considérées comme les élémens communs ou les temps divers des opérations complexes, il
e sommet d'un angle aigu. Sous le microscope, il rentre dans la forme commune , et constitue aussi un plan faisant suite à un bi
lus souvent supérieure à la troisième dans l'application qui leur est commune , c'est-à-dire pour les incisions que l'on pratiqu
s incisions peuvent du bord libre être amenées à un point de jonction commun , ou, en ' Planche 16, fift. i, 1 Planche 16, Kg
, entre-croisées de manière à former, à partir du centre, leur sommet commun , six ou huit lambeaux en V, adhérons au pourtour
maladie, ou qu'elle ait été opérée artificiellement, il est bien plus commun qu'au lieu du doigt on se serve de la sonde ou du
1 Planche 17, fig. 11, 12, F3. des lames, la vis servant d'appui commun . Les branches, à leur extrémité libre, se termine
e, les parois de kystes, les lambeaux frappés de gangrène, etc., sont communes dans la pratique : les doigts ou des pinces mouss
la morsure d'animaux venimeux ou hydrophobes. Soins et précautions communs aux deux modes de cautérisation. Toute cautéris
acide nitro-hydro-chlo-rique. Mode d'action des caustiques. L'effet commun des caustiques est de produire une escharre, sort
fecter toute l'épaisseur du derme, ne convertisse pas en une escharre commune toute la portion de peau comprise entre deux raie
omme moyen auxiliaire, la compression forme l'un des élémens les plus communs d'un grand nombre d'opérations. Elle sert à maint
EXTRACTION OU ABLATION. Ces deux actions opératoires ont pour objet commun d'enlever, au sein des organes, des parties dont
ctions et les amputations, sont virtuellement renfermées sous le chef commun d'ablation. Toutefois, dans le langage chirurgica
s de lésions traumatiques au travers de masses charnues, il est assez commun que des faisceaux de fibres viennent faire issue
oins irritante que les autres, la solidarité des anses, maintenues en commun par les chevilles, empêchant les tractions partie
d'emplâtres étendus sur une toile. Les sparadraps , dont l'usage est commun , appliqués en larges morceaux comme préservatifs
st devenu trop fluide. L'hémorrhagie est donc un accident également commun et redoutable dans les maladies externes et inter
ible. Les hémorrhagies spontanées actives ou passives sont les plus communes de celles qui proviennent des capillaires ; la qu
on point d'appui, en ramenant au besoin le vaisseau à cette direction commune , s'il s'en écarte, dans le point où l'on agit, pa
parties molles, sur-tout à la cuisse, fait que les doigts tracent en commun un sillon courbe; de sorte que l'oblitération du
remier est contraint de se reposer, sur-tout à cause de la fatigue si commune des muscles des lombes dans les attitudes forcées
ironné de lambeaux de muscles et de tissu cellulaire, et les liait en commun , dans la supposition que le cylindre charnu d'env
lles courbes, ou en les circonscrivant par une anse qui étranglait en commun toutes les parties situées entre le faisceau vasc
orrhagies causées par la déchirure des vaisseaux amollis, accident si commun de la ligature médiate, la chirurgie du temps de
toutes les artères qui fournissent le sang en saccades, il est assez commun cpie ce liquide continue de suinter pendant quelq
ypertrophie onguéale. L'accroissement immodéré de l'ongle est assez commun chez les vieillards. Comme état morbide, il accom
ie. ongle entré dans les chairs. C'est le nom d'une maladie assez commune . Par suite d'une pression trop forte des chaussur
e et s'enfonce en masse ou d'un seul côté. Le dernier cas est le plus commun . Par le progrès de la maladie, l'ongle se décolle
n réprouver davantage ces extractions réitérées et malheureusement si communes de dents saines et prétendues douloureuses, enlev
dedans vers la bouche ou en dehors vers les lèvres. Cet accident est commun chez les personnes dont les arcades des os maxill
e , on conçoit que l'irrégularité dans la série curviligne des dents, commune aux deux mâchoires, est toujours, chez le même su
e d'une vaste cicatrice musculo-cutanée avec laquelle on les opère en commun . Les tendons que l'on peut être dans la nécessité
ration qui suit le procédé de Delpech, les trois cicatrices, unies en commun par les adhérences fibreuses , causent, pendant l
-dementou la section en travers des cordes fibreuses est l'indication commune ; mais chaque variété peut amener des modificatio
'opération, dans la crainte des récidives, si fréquentes, une section commune de la peau et des tissus fibreux, dans toute la l
les rétractions par des brides fibreuses, si elles ne sont pas aussi communes à la plante du pied qu'à la paume de la main, plu
ice ne pouvant plus se faire que par une sorte de couture fibreuse en commun de tous les tissus intéressés; les muscles et les
et qu'il serait bien plus utile d'étudier que de nier. Est-il donc si commun de trouver des agens thérapeutiques gouvernables
u-dessous. 3° L'extrême laxité du tissu cellulaire environnant, assez commune chez les sujets très maigres, et surtout les viei
ent de rotation cle l'épaule. Une dernière cause très simple et assez commune , du défaut de parallélisme, tient à une nouvelle
nes pour former la basilique et la céphalique; au milieu , la médiane commune et les deux branches ascendantes de sa bifurcatio
de la radiale postérieure, de la cubitale antérieure et de la médiane commune , excepté, pour cette dernière, à sa partie supéri
iguille disposée à cet effet, deux points de suture qui réunissent en commun les bords cle la division et dont chacun embrasse
édés anciens. Dans toutes les manières d'opérer il y a une manœuvre commune dont l'application se présente à des temps différ
er les suites de ses opérations. Si cet amour de la vérité était plus commun , on saurait promptement à quoi s'en tenir sur la
nt l'effet désiré, l'oblitération des veines, et présentent le danger commun de phlébite et d erysipèlc phlegrnoneux, toujours
proprement d'élection est le tiers moyen. Cas d'opération. Le plus commun est l'épanchcnient sanguin traumatique ou l'anévr
sur la face postérieure du jambier postérieur et du long fléchisseur commun des orteils; enveloppé avec ses deux veines dans
des orteils; enveloppé avec ses deux veines dans une gaîne vasculaire commune et longé à son côté externe par le nerf tibial po
gnalés par Scarpa, Hogdson, Dupuytren, M. Marjolin, etc., ils sont si communs qu'il est peu de chirurgiens qui n'en aient renco
l'os, isoler le muscle en dessous de l'aponévrose du long fléchisseur commun , et le faire écarter en arrière avec un crochet m
naire est lanévrisme spontané cle cette artère 1 elle - même, le plus commun de tous. Nous n'entrerons pas dans l'énoncé des f
ne tumeur ovoïde et aplatie, remplit la paume de la main. Au jugement commun des chirurgiens, ces cas nécessitent de préférenc
ticulaire huméro-radial ; la peau divisée, il écarte la veine radiale commune qui doit traverser diagonalement la plaie, détour
lot paraît encore préférable. Tt'.ONC BRACIIIO-cépiial1que. Tronc commun de la carotide et de la sous-clavière du côté dro
on sacro-iliaque, jusqu'à l'arcade crurale. Dans la gaîne d'enveloppe commune se trouvent : i° l'artère, externe et un peu anté
t fait usage M. Stevens. ARTÈRE ILIAQUE PRIMITIVE (pl. 48). Tronc commun pelvi-fémoral résultant de chaque côté de la bifu
lanquée à droite par la veine cave inférieure, recouverte en avant en commun avec cette veine par le péritoine pariétal postér
le kyste sanguin, intermédiaire d'une veine à une artère blessées en commun , donne passage au sang de l'une dans l'autre ; et
i grand rôle dans l'histoire de la pathologie, est une affection très commune et l'une des plus dangereuses. Abandonnée à elle-
tend outre mesure. Par l'effet de cette compression toute cette masse commune s'enflamme, se gangrène, s'ulcère ou enfin se rom
ison spontanée de l'anévrisme, leur petit nombre, pour une maladie si commune , montre que cette terminaison heureuse est très r
importée en Europe,après ces chances diverses, de faveur et d'oubli, communes aux agens thérapeutiques dont le mode d'action et
s et plus concluantes. CORPS ÉTRANGERS. Aucun accident n'est plus commun que l'introduction de corps étrangers dans la pro
plus d'autre objet que de les extraire, les procédés pour y parvenir, communs à toutes, se réduisent relativement à un petit no
n en rencontre sur toutes les parties du corps, mais ils sont surtout communs au crâne. Extirpation. — Procédé ordinaire. Inc
prouvent moins de résistance à se développer, sont à la fois les plus communs et les plus considérables. On peut en rencontrer
me sur le contour du crâne. Les lipomes sous-aponévrotiques sont plus communs dans les points où les muscles épais ou nombreux
mêmes moyens, et toutes aussi présentent en chirurgie pour caractères communs : i0 de se rencontrer fréquemment par deux, trois
es les méthodes connues dont l'objet est de satisfaire à l'indication commune de séparer la tumeur de l'organisme. On y parvien
itement spécial de l'anévrisme, celle de ces maladies qui est la plus commune et la plus redoutable. L'objet que l'art se propo
nouvelle cause d'irritation. M. Malgaigne, contrairement à l'opinion commune , affirme que la ponction des articulations est un
sont réunis par un tissu fibreux intermédiaire, c'est le cas le plus commun ; d'autres fois il se forme une capsule articulair
s, nous devons réunir ces différentes variétés dans une thérapeutique commune . Quatre méthodes principales ont été employées co
n'opère que sur les organes passifs de la locomotion; ce seul point, commun à toutes les résections et qui les rapproche des
purulentes et la phlébite. Ces accidens, il est vrai, sont également communs aux amputations; mais, toutes choses égales d'ail
les acci-dens inflammatoires et la phlébite en particulier sont très communs , et ils sont d'autant plus à craindre que les sur
compliquées, les entorses, les tumeurs blanches sont les indications communes des résections de l'articulation tibio-tarsienne
s pour remplir son usage; enfin, de diverses autres pièces d'appareil communes à toutes les opérations. MÉTHODES OPÉRATOIRES.
si le cas se présentait, il y aurait lieu ou à une section circulaire commune , ou mieux à une . division isolée des chairs du p
onseil de Dcsault, qui l'a donné après Louis. Les accidens les plus communs après l'amputation de la cuisse sont : l'hémorrag
syncope, à cause de la douleur en l'incision des tendons et ligaments communs . » On lit clans YEpitome de Pigray, page i 3o :
upées que les collatérales. Dans les cas exceptionnels, où leur tronc commun aurait été divisé, Userait prudent d'avoir recour
iculation radio-carpienne est devenue de nos jours une opération très commune . Long-temps elle a partagé la défaveur qui, dans
seule elle représenterait presque l'orteil en son entier. Au jugement commun , le gros orteil aussi fait exception en raison de
r le scaphoïde et la moitié postérieure du cuboïde dans les cas assez communs où la voûte du tarse, si exposée aux lésions, se
n'en est pas qui ne puisse répondre à un cas spécial, circonstance si commune pour la désarticulation coxo-fémorale où l'on n'o
PÉRATOIRE. PROLÉGOMÈNES, Page 60 — 67. Considérations générales communes à toutes les opérations, 61— 63. = Prévisions et
DES CHIFFRES. RÉGION LOMBAIRE. Côté gauche. A. Loge de la masse commune du sacro-spinal. 1. Feuillet moyen de l'aponévr
premier radial avec leurs vaisseaux. L, M, N. Loges de l'extenseur commun des doigts (L); de l'extenseur propre du petit do
. 14. Vaisseaux cubitaux et nerf cubital. 15. Loge de l'extenseur commun des doigts. 16. Loge de l'extenseur propre de l
ndicateur. 9. Loge du cubital postérieur. 10. Loge de l'extenseur commun des doigts. 11. Loge de l'extenseur propre du p
ond radial et du long extenseur du pouce. 12. Tendons des extenseur commun et propre de l'index. 13. Tendon de l'extenseur
rs: 16. Muscles péroniers. FIGURE 3. R. Loge du court fléchisseur commun . Le tendon du long fléchisseur propre est conse
erosseux. 1. Loge du jambier antérieur. 2. Loge du long extenseur commun des orteils, et de l'extenseur propre du gros o
éaire. 8. Loge du jambier postérieur. 9. Loge du long fléchisseur commun des orteils. 10. Loge du long fléchisseur propr
Tendon du long extenseur propre. 3. Les quatre tendons de l'extenseur commun . 4. Tendon du péronier antérieur. 5. Loge de l'ac
ge de l'accessoire du long fléchisseur. 6. Tendon du long fléchisseur commun ; en dedans est celui du long fléchisseur du gros
du court fléchisseur du gros orteil. 9. Gaîne"du court fléchisseur commun des orteils. 10. Gaîne de l'adducteur du petit
Tendon du long extenseur du gros orteil. 3. Loge du court fléchisseur commun . 4. Tendon du long fléchisseur commun. 5. Loge de
l. 3. Loge du court fléchisseur commun. 4. Tendon du long fléchisseur commun . 5. Loge de l'adducteur et du court fléchisseur d
ur l'artère. (Voyez, pour les détails de l'instrument, la description commune fig. 4.) Figure 2. Compression de T artère numé
e; (2) la médiane cépha-lique ; (3) la radiale antérieure, ou médiane commune ; (4) la radiale postérieure; et (5) la cubitale
servées en premier plan au-devant des parties profondes. indication commune aux figures 2 et 3. Io Veines superficielles (1
cipal. Les mêmes branches artérielles sont indiquées par un chiffre commun sur les deux figures. 1. Ancienne tumeur anévri
e collatérale. 9,9,9. Branches externes qui se réunissent en un tronc commun au-devant de l'articulation péronéo-tibiale. 10
tronc commun au-devant de l'articulation péronéo-tibiale. 10. Tronc commun formé par la réunion des branches précédentes,
ésente, en neuf compartimens, la succession des actions du chirurgien communes à toutes les opérations de la ligature des artère
de la veine. — 12. Tendon d'Achille. — 13. Tendon du long fléchisseur commun des orteils. L'un et l'autre sont vus en transpar
des plaies opératoires (A, B, C, D, E) de la fis. 1. Cette figure est commune à cette planche et à celle qui suit (41) : Le t
furcation. — Détails anato-supplémentaires, Fig. 2. —5. Veine radiale commune . — 6. Veine médiane basilique. — 7. Veine médiane
s des régions sus et sous-claviculaires. Cette figure explicative est commune aux deux planches 42 et 45, et à la figure 1 de c
l'anse de l'aiguille de Deschamps. FIGURE 2. DÉTAILS ANATOMIQUES Communs aux différentes ligatures des artères axillaire e
fait de deux instrumens d'usage différent, adaptés pour un mécanisme commun . La fg. 16 est spécialement une scie h molette; e
et maintenu par deux vis latérales ; (c, figure 16), est la manivelle commune ; (f) une roue à engrenage conique , qui donne à a
upérieure de l'astragale. Indépendamment des difficultés et du danger communs à toutes les résections, les mauvais résultats qu
a lèvre antérieure de la plaie. (d) . Tendons du long fléchisseur commun et du jambier postérieur qui bordent la lèvre p
rpendiculairement et interrompus dans leur continuité par une section commune . Des recherches que nous avons poursuivies dans c
ne se réunissent que par tintermédiaire de leur gangue ou de [élément commun à tous, le tissu cellulaire fibreux. Ainsi, un ne
ités des divers tissus, et qui forme leur adhérence ou leur cicatrice commune . Figure 1. MOIGNON DE JAMBE AMPUTÉE. Nous dev
sertion calcanienne des muscles sous-plantaires : court fléchisseur commun , adducteur et abducteur des orteils extrêmes. E
ur et abducteur des orteils extrêmes. E. Tendon du long fléchisseur commun . Les quatre cordons (e, e), entre- croisés avec
laquelle se rendent, en s'y confondant, les tendons du long extenseur commun (G), du long extenseur du gros orteil (H), et une
isseur du gros orteil (L) adhère à-la-fois au tendon long fléchisseur commun et à la face inférieure de l'astragale. Du côté o
2 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
diathèse scrofuleuse qu'elle détermine, la diathèse tuberculeuse, si commune dans l'enfance, jouent un grand rôle dans les aff
écrit avec beaucoup de soin un état cachectique de l'enfance, surtout commun dans les premières années. C'est une sorte d'étio
ts les remarques générales que j'avais à vous présenter sur les faits communs aux maladies chroniques de l'appareil locomoteur,
n attendant, nous les confondrons provisoirement dans une description commune , et l'on comprendra maintenant pourquoi nous n'ad
antérieure, elle représente un vide rempli par le ligament vertébral commun antérieur, par le tissu cellulaire tuméfié, des
hement des parties ligamenteuses et musculaires; c'est le cas le plus commun . Vous verrez des enfants rachitiques qui se courb
io-fémoraux. — Un premier type d'abcès se pré sente; il est le plus commun : ce sont les abcès ilio-fémoraux. Je les appelle
ent au médecin ; il ên résulte que ces collections sont beaucoup plus communes qu'on ne le dit généralement. Il faut les cherche
eresthésie ou l'augmentation de cette faculté. Le phénomène le plus commun est la paralysie. Elle porte sur le sentiment ou
sur les deux à la fois. La paralysie isolée du mouvement est la plus commune ; je ne connais qu'un seul exemple de la paralysi
produit morbide se trouvait placé entre les vertèbres et le ligament commun postérieur. De chaque côté de la moelle, on voyai
ple, ont participé aux désordres, elles forment entre elles une masse commune d'ossification qui termine cette grande curation
en quelque sorte à un seul, indépendamment des déformations qui sont communes à toutes les maladies de ce genre : c'était une v
les côtés du cou, en avant, derrière le pharynx. Ce caractère lui est commun avec les abcès des régions du rachis les plus voi
e la vue qui permet de distinguer ce cas. La douleur est un phénomène commun aux deux affections; dans un cas elle a pour sièg
féremment dans toutes les directions. La luxation iliaque est la plus commune dans les trois espèces indiquées, traumatique, pa
vité nouvelle très-voisine de l'ancienne. c. Les luxations les plus communes , surtout parmi les luxations traumatiques, sont c
au milieu des obscurités de ce sujet. Je fondrai dans une description commune les diverses espèces de pseudarthroses ; mais j'i
teur ; lejambier antérieur, fléchisseur-adducteur ; le long extenseur commun des orteils, fléchisseur-abducteur. L'extension
appendice. Le long extenseur du gros orteil et le long fléchisseur commun des orteils ne secondent ou ne suppléent que dans
ux. h° Le pied bot primitivement musculaire est de beaucoup le plus commun . Ce pied bot, de même que le strabisme, n'est qu'
e bourse muqueuse. {?. Varus èquin. — Cette forme est beaucoup plus commune que la précédente. Elle constitue le varus commun
est beaucoup plus commune que la précédente. Elle constitue le varus commun ou ordinaire , dans lequel l'extension de l'arriè
premières variétés dans une seule description, sous le nom de valgus commun ; la troisième sera décrite dans les pieds équins.
gus commun; la troisième sera décrite dans les pieds équins. Valgus commun . — De même que le varus se complique habituelleme
rus et des valgus. Je décris trois degrés principaux dans le valgus commun . Dans le premier, le pied forme avec son axe norm
plusieurs exemples. C. Pied équin. — Les pieds équins sont les plus communs des pieds bots accidentels, et les plus rares des
t troisième degrés, comme nous avons vu qu'il s'abaisse dans le varus commun . Mais, dans le troisième degré, l'inclinaison de
ction des orteils. Us se rapportent à deux dispositions. Dans la plus commune , les orteils se relèvent par l'action de leurs ex
déviations particulières des orteils peuvent se joindre à cette forme commune du pied équin. La plus fréquente est l'extension
e le long péronier. Il y a une forte tension dans le long extenseur commun , dans le court péronier et dans le triceps sural,
t nous occuper sont : 1° le talus direct, 2° le talus valgus ou talus commun , 3° le talus pied creux. a. Talus direct; — tal
s ou talus commun, 3° le talus pied creux. a. Talus direct; — talus commun . — Le talus direct est extrêmement rare; je ne le
4), comme dans les exemples qui sont sous vos yeux. C'est là le talus commun . Ce talus commun nous offre à considérer plusie
exemples qui sont sous vos yeux. C'est là le talus commun. Ce talus commun nous offre à considérer plusieurs degrés. 1° Pr
ion légère qui s'y joint, dérivent les caractères extérieurs du talus commun . La pointe du pied est plus ou moins élevée au-de
ré de valgus qui complique le talus. On comprend que, dans le talus commun à un haut degré, l'étroitesse de la base de suste
lus pied creux médio-tarsien, ou du long péronier, sont ceux du talus commun , dans la région du talon, et du pied creux, dans
ut à fait semblable au pied creux que l'on observe dans le pied équin commun . L'identité est telle, dans les deux cas, qu'on d
dans des plan? différents, comme l'exlt nsion et l'adduction du varus commun , la force qu'on leur oppose doit agir dans des d
urs du pied, jambier antérieur, extenseur du gros orteil et extenseur commun , peuvent être facilement atteints par le ténotome
jambier antérieur peut être divisé dans certains varus ; l'extenseur commun dans certains valgus talus. On prendra garde, dan
léole, on divise presque à coup sûr en même temps le long fléchisseur commun ; on a aussi à redouter la blessure de l'artère t
cents ans, vers 16Zt5, huit médecins du collège de Londres mirent en commun leurs observations sur le ramollissement des os d
e chez un autre enfant. Le rachitisme crânien n'est pas un des plus communs . Ce n'est guère qu'à une période avancée de l'alt
é. J'en distinguerai six espèces. La courbure en dedans est la plus commune ; elle peut être parr tielle ou générale- Quand le
la rencontre l'un de l'autre. La courbure en avant est un peu moins commune ; celle en arrière est encore plus rare. Les cou
ux déviations essentielles; les courbures à gauche sont beaucoup plus communes dans les inflexions rachitiques de la première en
les lorsqu'on veut effacer la courbure des os, est donc un fait moins commun qu'on ne pourrait le croire au premier abord. J'a
de l'un des fœtus dans les grossesses doubles, etc. B. Rien de plus commun que de voir le rachitisme se développer à la suit
accidents de la première dentition et les affections vermineuses, si communes dans l'enfance. Quand l'existence du rachitisme
. L'une des courbures les plus fréquentes, si ce n'est même la plus commune , parmi les antéro-postérieures, c'est l'exagérati
Lordose cervicale. — Cependant la lordose cervicale spontanée est peu commune ; on ne la voit guère que passagèrement, chez des
dans la cyphose, soit parce que la lordose est une déformation moins commune , soit parce que la mobilité du rachis subsiste pl
atique. IV. Lordose symptomatique. — Je réunis dans une description commune les lordoses symptomatiquesdu cou, du dos et des
même catégorie. A. La-contracture des muscles de la nuque est assez commune chez nos enfants ; elle donne lieu à une véritabl
t du bassin qui la rend plus facile, vous aurez une attitude des plus communes , que chacun de nous prend sans cesse dans la stat
u'on ne le croit l'effet d'un tic purement volontaire. Le caractère commun de ces flexions latérales est de céder instantané
J'indiquerai les suivantes : 1° Flexion latérale par contracture. — Commune au cou , mais accompagnée de rotation; très-rare
s je ne sais si les médecins d'alors avaient reconnu que la gibbosité commune n'est pas médiane, qu'elle est située en arrière
III, p. 434. (6) Loc. cit. (7) Loc. cit. Un caractère générique commun à toutes ces petites déviations normales du rachi
ntielle, qui n'est que l'exagération de l'état normal ; c'est la plus commune . 2° La scoliose symptomatique ; elle ne compren
courbures latérales de l'épine. A. Rachis. — Les courbures les plus communes présentent les traits fondamentaux de la scoliose
la est rare; la courbure sigmoïde se transforme dans les cas les plus communs . L'une des courbes, ordinairement la dorsale, aug
ue prédominante à divers degrés, est ce qui donne lieu à la gibbosité commune postéro-droite, parvenue à son développement comp
urs inclinaisons opposées avec l'inclinaison antérieure, qui leur est commune , fait tourner le rachis sur lui-même et lui donne
s de bosses. Voyons-en quelques-unes. La forme de déviation la plus commune dans les premières périodes de la scoliose, la co
vous montrent une forme qui n'est pas rare, sans être cependant aussi commune que la gibbosité dorsale droite : c'est la gibbos
droite. La réduction en hauteur due à l'ascension du diaphragme est commune aux deux poumons, quoique plus grande à droite. E
stant que les poumons, il cède moins aux efforts qu'ils supportent en commun . Aussi sa configuration, ses dimensions, ne parai
e verticale dominante, ou égale à la courbure dorsale, ont pour effet commun de diminuer la hauteur de la cavité abdominale. L
le. — Les faits anatomo-pathologiques que j'ai exposés jusqu'ici sont communs à trois des quatre espèces de scoliose que j'ai é
achis, chez un certain nombre de sujets gibbeux, indique leur origine commune . Les asymétries dont il est question se produis
développement de la scoliose spontanée. Voilà pourquoi elle est plus commune dans certaines localités que dans d'autres, dans
sparate dans le galbe du torse à droite et à gauche. Dans la scoliose commune , ce galbe ressort à la hauteur du bras droit, qui
que dans la première. Toute la région antéro-gauche, dans la scoliose commune , est plus bombée; elle soulève le sein et le rend
dernières côtes. c. IIP période. — Elle commence, dans la scoliose commune , au moment où la courbure dorsale, devenant prédo
té médiane, comme dans la cyphose. Je n'ai parlé que de la scoliose commune , à courbure dorsale principale procédant d'une co
te nécessité, inégalement contractés. Ceux qui, dans la forme la plus commune , répondent à la convexité dorsale, sont plus tend
oïncidence , qu'une réunion d'effets qui peuvent dépendre d'une cause commune , d'un état général constitutionnel, de la chloro-
une fable des temps modernes; mais les grands hommes ne sont pas plus communs dans cette classe d'individus que dans les autres
paraissent pas liées à l'existence de la scoliose. Rien n'est plus commun que la chlorose chez les filles atteintes (1) D
vertèbres qui dévie ou incline l'utérus ; mais ces accidents sont peu communs , et il n'est pas rare de voir des femmes gibbeuse
ques de la rétraction. Je vous ai déjà montré que ce cas, qu'on a cru commun , est excessivement rare. d. Il est des déviati
de l'épine. Les saillies partielles de la région antérieure sont plus communes ; on reconnaît aisément, en explorant la région do
oliose; il s'étend à toute la longueur de l'épine et, de plus, il est commun à toute une moitié du système musculaire. f. La
es déformations réelles du rachis; et, vous le savez, rien n'est plus commun que la disparition spontanée de certaines scolios
mentée par cette manœuvre. bouvier 33 Je ferai une seule remarque commune à tous ces enfants : c'est que leurs machines n'o
courbure latérale du rachis. L'inclinaison la plus étendue, la plus commune , la plus grave par ses suites, est celle de l'arc
........... ^01 B. Pied bot valgus.................... 202 Valgus commun .................... C. Pied équin..............
210 D. Talus......................... 212 a. Talus direct, talus commun ............. ib. 1° Premier degré..............
3 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
distinguer des autres, de quelques affections qui ont pour caractère commun de produire des altérations graves, symétriquemen
ègle. Mais les cas où il existe deux, trois et même six panaris, sont communs . En outre, ce sont des panaris à développement
ois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du nerf moteur oculaire commun . Traitement : Bromures ; iodure de potassium ;
pagnement nécessaire d'une paralysie d'un des nerfs moteurs oculaires communs ; et, remarquez-le bien, car c'est là un trait sa
s oculaires seraient représentés par une paralysie du moteur oculaire commun . Chose remarquable, c'est toujours en pareil cas,
tinguent les paralysies périphériques ou basilaires de l'oculo-moteur commun , des paralysies dites nucléaires du même nerf.
dernier a laissé après lui une paralysie complète du moteur oculaire commun , qui depuis cette époque ne s'est pas amendée. Il
ù la maladie tend à s'aggraver progressivement semblent beaucoup plus communs que ceux où elle paraît, au contraire, tendre à s
s ophthalmoplégies à récidives, portant tantôt sur le moteur oculaire commun , tantôt sur l'abducens, qui sont si fréquentes da
s péroniers ; le second anime le muscle tibial antérieur, l'extenseur commun des orteils et l'extenseur propre du gros orteil.
ier latéral. Court péronier latéral. Muscle tibial antérieur. Extens. commun dos orteils. Extens. propre du gros orteil. Cec
es muscles de la région antéro-externe (jambier antérieur, extenseurs commun et propre, péroniers) montre qu'ils se contracten
o la région correspondante aux muscles jambier antérieur et extenseur commun , indiquant une atrophie non douteuse de ces muscl
provoque aucune contraction des muscles jambier antérieur, extenseurs commun et propre. Les péroniers au contraire ont conserv
e l'investigation clinique. Les muscles tibial antérieur et extenseur commun des orteils sont le siège d'une réaction de dégén
excitabilité galvanique, dans les muscles tibial antérieur, extenseur commun des orteils et extenseur du gros orteil. Péronier
ité externe inexcitable — muscle tibial antérieur, néant; — extenseur commun des orteils excitable seulement avec l'anode fara
absolue directe et indirecte des muscles jambier antérieur, extenseur commun des orteils (sauf le faisceau du deuxième), exten
dique avec 6 cent, d'écar-tement. — Jambier antérieur = 0.— Extenseur commun — 0.— Péroniers latéraux = 0.— Extenseur propre d
0 milliampères. — Tibial antérieur. Kathode et Anode = 0. — Extenseur commun . Kathode et Anode =0. — Extenseur propre. Kathode
action de dégénérescence dans les muscles tibial antérieur, extenseur commun des orteils, extenseur propre du gros orteil, et
sie de toutes les branches extérieures ou externes du moteur oculaire commun , à savoir: droit interne, droit supérieur, droit
on seulement la paralysie porte sur les branches du moteur oculaire commun [oculo-motorius, comme l'appellent tout court les
s amas de cellules motrices, qui servent d'origine au moteur oculaire commun . On peut suivre par en haut cette colonne ganglio
baire supérieure isolée sont peut-être les plus fréquents et les plus communs , mais ce ne sont pas les seuls que nous ayons à c
er, consulté à cette époque, constate la paralysie du moteur oculaire commun de côté droit. Traitement : iodure de potassium,
e une faible contraction dans le long extenseur du pouce, l'extenseur commun des doigts, le cubital postérieur et rien dans le
iceps : légère diminution d'excitabilité aux deux courants. Extenseur commun des doigts: très grande diminution d'excitabilité
l'appelle M. Joffroy. En somme, peu importe pour le moment; un trait commun aux diverses lésions, c'est la fonte du tissu mal
n complète de dégénérescence dans le jambier antérieur et l'extenseur commun des orteils; simple diminution d'excitabilité des
a réaction de dégénérescence dans le jambier antérieur et l'extenseur commun des orteils, et une diminution de l'excitabilité
ésion du pédoncule cérébral intéressant les fibres du moteur oculaire commun et celles du faisceau pyramidal. L'hystérie peu
t un syndrome caractérisé par une paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté et des membres du côté opposé. Quinze a
uestion d'un foyer de ramollissement ayant atteint le moteur oculaire commun dans son passage à travers le pédoncule. Le cas d
staté une hémiplégie du côté droit et une paralysie de l'oculo-moteur commun du côté opposé. Il est clair que le syndrome de
r par exemple, qui agirait en comprimant à la fois le moteur oculaire commun et le pédoncule dans sa partie inférieure et inte
nne du pédoncule cérébral. Dans ce cas 1res évidemment l'oculo-moteur commun n'avait pas dû être touché. Gintrac8 etDuchenne6
me de Weber, c'est-à-dire par une paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté (côté de la lésion) et des membres, du
qu'une même lésion puisse atteindre simultanément le moteur oculaire commun et le pédoncule et produire en conséquence une pa
ns l'étude des rapports intrinsèques du pédoncule avec l'oculo-moteur commun . Le pédoncule cérébral est, vous le savez, un tra
terne et moyenne soient touchées en même temps que le moteur oculaire commun pour que le syndrome de Weber soit constitué. Déj
ux dire des rapports in-trapédonculaires des fibres de l'oculo-moteur commun avec celles des bandelettes interne et moyenne, v
des divers noyaux qui constituent l'origine réelle du moteur oculaire commun et dont chacun parait animer un des muscles de l'
sous forme d'un tronc unique qui n'est autre chose que l'oculo-moteur commun . Ils se groupent donc bientôt, mais pas assez tôt
ns de faire, il est aisé de concevoir que la lésion de l'oculo-moteur commun puisse être intra ou extrapédoncu-laire, dans le
Serait-il donc sous la dépendance d'une paralysie du moteur oculaire commun et réduirait-il à néant la série d'arguments que
verait la paralysie de la paupière, les paralysies du moteur oculaire commun étant jusqu'ici inconnues dans la névrose(?). Un
c singulièrement renforcé, la scoliose étant un des éléments les plus communs du syndrome syringomyélique. Enfin l'examen ocu
ne ressentit rien de particulier et supporta vaillamment les fatigues communes . Mais un matin il se réveilla avec tout le côté g
il résulte évidemment que l'affection dont il s'agit n'avait rien de commun avec le tabès ; cela résulte peut-être encore dav
re de nom dans la science, » mais ne présentant, en tout cas, rien de commun avec l'ataxie. A l'hémiplégie spasmodique, qui co
s. Enfin elle a un substratum anatomique constant, lequel n'a rien de commun avec les lésions syrin-gomyéliques. Fig..ko.
ur ne parler que des plus superficielles qui sont en réalité les plus communes . Au milieu de cette infiltration gommeuse, les ne
ltérations basilaires : névrite optique, paralysie du moteur oculaire commun , etc..., dans ce cas-là, la gué-rison est non seu
près décisive : une névrite optique, une paralysie du moteur oculaire commun , par exemple ? Absolument pas. De ce côté, un exa
iquent par les lésions scléreuses de l'abducens et du moteur oculaire commun , et que, dans la sclérose en plaques comme dans l
de ses attributs les plus caractéris- b). Parésie de l'oculomoteur commun , 3 (toujours unilatérale et partielle). c). Par
de l'ab-ducens serait ici plus fréquente que celle du moteur oculaire commun , quoique considérées en bloc les paralysies des m
t de l'association fonctionnelle des deux yeux et de leur innervation commune pour un même mouvement. Chez notre malade, il s
le noyau de l'abducens d'un côté est relié au noyau de l'oculo-moteur commun de l'autre côté par des fibres communicantes. I
groupant sous forme d'attaques. Il existe dans tous ces cas un fonds commun qui se juge par les phénomènes prémonitoires de l
s classiques. Outre les phénomènes prémonitoires de l'aura qui sont communs , il est fréquent d'observer au début de l'attaque
ois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du nerf moteur oculaire commun . Traitement : Bromures, iodure de potassium ; q
ésion du pédoncule cérébral intéressant les fibres du moteur oculaire commun et celles du faisceau pyramidal. L'hystérie peu
4 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
M. Garner. 3° Gastéropodes. Dans les gastéropodes, l'anneau nerveux commun à tous les invertébrés pourvus de nerfs, entoure
un, ni aucun organe particulier des sens extérieurs, excepté l'organe commun et général du toucher.» Celte description du syst
anglion situé à côté ou au-dessus de l'œ-sophage, lequel ganglion est commun aux nerfs viscéraux et locomoteurs. 6. Le gangl
vaisseaux, ce n'est jamais un tronc qui se ramifie, mais un faisceau commun qui se divise en fascicules. Les fibres canalicul
dans toute leur longueur, s'étendent, sans division, depuis l'origine commune à chacune d'elle, c'est-à-dire depuis le ganglion
sons. » Cette faculté de changer de couleur, dont parle Aristote, est commune à tous les céphalopodes ; elle est bien supérieur
e puis mieux faire que de rapporter ici un extrait du travail fait en commun par ces deux naturalistes, sur le système nerveux
e cas des scorpions. (2) 5° Insectes. Tous les insectes ont cela de commun que leur système nerveux consiste en une chaîne g
u-dessus des arachnides ; ils se réunissent, vivent et travaillent en commun , font des provisions pour l'époque où la terre ne
reusent des cases ou chambretles qui communiquent dans des vestibules communs , et dont les cloisons sont aussi minces que des
d il lui plaît de s'arrêter. La manière dont la reine se repose est commune à toutes les abeilles; elle entre la tcte la prem
considérable pour une seule ruche, la reine doit quitter le domicile commun arec une partie des ouvrières. Alors, il faut de
ue ces vues morales qu'on voudrait leur prêter; que cet amour du bien commun qu'on leur suppose, que cet instinct singulier
hose, et pour peu qu'ils aient du sentiment, de prendre des habitudes communes , de s'arranger, de se trouver bien ensemble , de
er, de s'entendre, de concourir au même but, de prendre des habitudes communes , de se trouver bien ensemble, de s'occuper de le
développés. U. Les fourmis vivent en société, elles travaillent en commun et dans le même but, elles sont domiciliées dans
e gouvernement des abeilles, tout concourt à l'avantage de la société commune : logement, provisions, défense de la place, éduc
e de relation, services mutuels, approvisionnement, guerre et défense communes , en un mot sociabilité. CHAPITRE III. STSTXMS
structure des nerfs optiques des reptiles. 3e Paire, nerfs moteurs communs des yeux. On les voit à la base de l'encéphale, e
t circulaires, est, Pour le nerf optique, de...... 3,00 Le moteur commun des yeux . . 1,5 Le pathétique........ 0,8 L'
phale est : Pour le nerf optique, le rapport de. là 1,291 Le moteur commun les yeux, là 5,164 Le pathétique....... là 18,1
rfs suivans qui sont circulaires, ont pour diamètre, Le nerf moteur commun des yeux. 1,0 Le pathétique........ 0,5 L'abd
ncéphale, Pour le nerf optique, le rapport de. . là 321 Le moteur commun des yeux . . 1 à 1,607 Le pathétique........ là
des autres sortaient du canal et allaient se confondre en un ganglion commun . De ces deux nerfs, l'un venait du côté fulcral,
animaux a donné pour rapport 1 à 5668. 6. Les nerfs optique, moteur commun des yeux, pathétique et abducteur, comparés à l'e
rtion de substance cérébrale prise aux cuisses du cerveau de la carpe commune , il s'est écoulé, des tubes articulés composant c
lle de mer. Fibre du trifacial........... 0,01494 Id. Fibre du mot. commun des yeux. 0,01494 Carpe. Fibre du trifacial....
ombre et se réunissent les uns aux autres pour se confondre en masses communes , comme font les globules huileux. 6e expérience
e. La raie et le squale offrent au naturaliste beaucoup de caractères communs . Ils appartiennent à la classe des chondroptéri-g
animaux dont le corps touche le sien. Cette puissance électrique est commune à la raie torpille, à un tétrodon, à la gymnote,
ptile : Bojanus , en parlant du nerf de la troisième paire, ou moteur commun des yeux, dit, à la vérité, que la racine de ce n
Ils naissent sur les côtés de la (i) Développement de la grenouille commune , depuis le moment de sa naissance jusqu'à son éta
e l'encéphale, n'aurai-je que les nerfs optiques et les nerfs moteurs communs des yeux, comme termes de comparaison. 7e paire
e des reptiles ; je vais donner la mesure des nerfs optique et moteur commun des yeux, et comparer le volume de ces nerfs au v
, est Pour le nerf optique de......0,4 mill. cub. Pour le moteur commun des yeux, de 0,3 Donc le rapport entre ces nerf
est Pour le nerf optique, celui de......là 386 Et pour le moteur commun des yeux de . . là 687 La moelle épinière, mesu
aires, est Pour le nerf optique de.......0,5 mill. Pour le moteur commun des yeux de . . 0,35 Donc le rapport entre la s
céphale est Pour le nerf optique de.......là 494 Pour le moteur commun des yeux de . . là 1,009 La moelle épinière de
maux, a donné pour rapport 1 à 1324. 8. Les nerfs optique et moteur commun dqs.yeux, comparés au volume de l'encéphale, sont
tue caouane, de poissons, de buccins et même de crocodiles. La tortue commune tient le milieu entre les unes et les autres :
tortues, jette avant de s'accoupler un petit cri d'amour ; la tortue commune , ordinairement si douce, change d'humeur et devie
dont l'humeur est paisible sont en assez grand nombre : la couleuvre commune est timide, presque docile, et jusqu'à un certain
ui reste sur la terre ou qui se cache sous les pierres, la grenouille commune qui vit dans l'eau, auraient le cerveau différemm
de ces espèces, ne diffère en aucun point, il est dans la grenouille commune et dans la raine verte comme dans le crapaud; il
eurs habitations, se concertent pour agir, s'unissent dans un intérêt commun , se connaissent entre eux ; quelques-uns même con
encéphale, comme 1 à 8,87. 11. Le volume du nerf optique, du moteur commun des yeux et du pathétique, est, relativement au v
ient dépourvues de nodosités. Par contre, j'ai trouvé, dans le moteur commun des yeux de la mésange, beaucoup de fibres présen
a moelle épinière................. 0,00666 Id. Fibre du nerf moteur commun des yeux....... 0,0075 Pigeon. Même nerf.......
épinière...............*, 0,01166 Poule. Fibre du nerf moteur ocul. commun .......... 0,01309 Id. Fibre de la septième pair
ette occasion Georges Leroy, dans tous ces ouvrages, qui ont un objet commun , et qui nous sont aussi peu familiers, nous ne po
J'ai mesuré le volume du cerveau et celui des nerfs optique , moteur commun des yeux et pathétique du chardonneret, de la pou
quin. Pecari-Tajassou. Sanglier. Babiroussa. ii? groupe. Phoque commun , i* groupe. Dauphin ordinaire. Baleine franch
des ondulations nombreuses. Cela entendu, voyons ce que présente de commun et de particulier le cerveau de la troisième fami
férieure, et la troisième, corne postérieure. Les deux premières sont communes à l'homme et aux mammifères ; la troisième appart
1res large et placée immédiatement derrière l'origine du nerf moteur commun des yeux : c'est le pont de varole; l'autre plus
encéphaliques des mammifères ont avec ceux de l'homme des caractères communs si nombreux, que je crois devoir réunir dans un m
qu'il en soit, sur cinq nerfs mesurés, savoir : l'optique, le moteur commun des yeux, le pathétique, l'abducteur et le trifac
ne viennent ensuite : ils sont les premiers, l'un pour le nerf moteur commun des yeux, l'autre pour le nerf optique. La martre
Porc-épic ...... 32 41 0,78 Marsouin (fœtus) .... 65 85 0,76 Id. commun mâle . . 92 130 0,7 Eléphant d'Afrique (2) . .
hant est au-dessus de la baleine par les circonvolutions qui lui sont communes avec le singe et même avec l'homme. 18. Les par
a un chien qui parle. C'est un chien de paysan, d'une figure des plus communes et de grandeur médiocre. Un jeune enfant lui ente
force des herbivores; ils ne s'unissent pas entre eux pour la défense commune , et s'il en est qui attaquent de concert et s'ent
s qu'il s'agissait de diviser. J'ai cherché alors si quelque action commune à tous ces animaux ne m'offrirait pas une mesure
e suivant, rongeurs, insectivores, édentés ou marsupiaux, ont cela de commun qu'ils se construisent une habitation souterraine
lait et le beurre. Plusieurs marmottes se réunissent pour faire en commun l'habitation dans laquelle elles passent toute la
et engourdissement leur est (i) V. Oesncr, AlnWande, Buffon, etc. commun avec beaucoup d'autres rongeurs; l'ours lui-même
s'est assuré que la femelle mange ses petits, ce qui du reste lui est commun avec beaucoup de rongeurs. La musaraigne, quoiq
; ils ont l'instinct de la propreté, instinct qui, du reste, leur est commun avec tous les animaux qui ont un domicile. C'es
les phoques et les rendre très dociles. Fr. Cuvier regarde le phoque commun comme étant de tous les animaux sauvages, celui q
s zoologiques sur les facultés physiques et intellectuelles du phoque commun , ili-4. (a). Voyage de la Coquille, Zoologie.^,
ques se connaissent, et savent au besoin se défendre contre un ennemi commun . Les morses vont au secours les uns des autres. M
èces de mammifères les plus intelligentes, le père et la mère font en commun l'éducation des petits, ils les nourrissent el le
ans l'encéphale un organe pour chaque faculté, et que ce les facultés communes à l'homme et aux brutes ont leur siège dans les p
t de mettre en défaut l'ennemi qui les poursuit, ou de se défendre en commun ; ils ont un chef auxquels ils obéissent. Les der
5 (1911) La pratique neurologique
eau Central, les malheureux auteurs durent déployer une énergie peu commune pour mener il bien la tâche qu'ils s'étaient fi
Desnos, à M. Poulard de vouloir bien apporter à l'appui de l'oeuvre commune leur maîtrise sur un certain nombre de points d
.'ig. 19. Champ du regard dans la paralysie du nerf moteur oculaire commun de l'OG. - L'excursion normale ne se fait qu'en
e produisent tous les trois en même temps sous l'action d'une cause commune et non sous une influence réciproque. Ces réfle
s extrinsèques moteurs du globe oculaire; MOC, nerf moteur oculaire commun ; P, nerf pathétique; MOE, Nerf moteur oculaire
irido-dilatatrice. Un exemple : si on sectionne le moteur oculaire commun en arrière du gan- glion, il y a mydriase, mais
rijumeau; S, branche ophtalmique , du trijumeau; M, moteur oculaire commun ; V, carotide; G0, ganglion ophtalmique; I, iris
llin sont bien difficiles à apprécier. Paralysie du moteur oculaire commun . La paralysie du moteur oculaire commun quelle
aralysie du moteur oculaire commun. La paralysie du moteur oculaire commun quelle qu'en soit la cause, traumatisme, compress
arorraphie précoce. VII ' . EXOPHTALMIE L'exophtalmie, symptôme commun à de nombreuses affections, con- stitue la mani
cavité crânienne de neoformations variées qu'on désigne sous le nom commun de « tumeurs cérébrales ». . Ces troubles ocula
eur céré- Orale » . De ces troubles oculaires, les uns paraissent communs à toutes les tumeurs cérébrales, quel que soit
. D'autres sont variables suivant le siège de la lésion. Troubles communs à toutes les tumeurs cérébrales. Obnubilations
bles suivant le siège (syndromes). A côté de ces troubles oculaires communs à toutes les tumeurs céré- brales, il en est de
ion mécanique de la corde du tympan). Ces bruits sont presque aussi communs que l'hypoacousie et, bien que le parallélisme ne
e cérébrale moyenne et l'abcès tem- poro-sphénoïdal qui est le plus commun ; les caries de la paroi postérieure de l'antre
E) Réflexes moteurs spasmodiques. Ils sont nombreux : un des plus communs est la toux spasmodique. Chez un sujet sur cinq,
la paupière, la diplopie par paralysie dissociée du moteur oculaire commun . La plus fréquente et la plus intéressante de c
ilepsie; vertige et epi- lepsie peuvent être produits par une cause commune (épilepsie ah alire loesa, épilepsie sénile et
s d'origine spasmodique. -Ces dysarthries présentent les caractères communs suivants : débit, saccadé, monotone, émission f
sa nature, l'écriture est petite, menue, hésitante. Ces caractères, communs il toutes les formes, s'expli- quent par ce que
gage, on voit disparaître successivement les noms propres, les noms communs , les adjectifs, les verbes, les interjections. To
ons mystiques, etc., ont des hallucinations visuelles différenciées communes . Les hallucinations verbales visuelles existent,
t du tribunal, le procureur du roi, le juge de paix, le maire de la commune sont chargés de visiter les établissements public
au préfet de police il Paris, au préfet ou au sous-préfet dans les communes chefs-lieux de département ou d'arrondissement et
ux de département ou d'arrondissement et aux maires dans les autres communes . Le sous-préfet ou le maire en fera immédiateme
sement de la situation de l'établissement : ces dispositions seront communes aux établissements public' ! et privés. - Aii
, les commissaires de police à Paris, et les maires dans les autres communes , ordonneront il l'égard des personnes atteintes d
pendant le trajet qu'elles feront pour s'y rendre. Dans toutes les communes où il existe des hospices ou hôpitaux, les aliéné
tement auquel l'aliéné appartient, sans préjudice du concours de la commune du domicile de l'aliéné, d'après les bases propos
il produira : 't cet effet un certificat délivré par le maire de la commune ou de chacune des communes où il aura résidé depu
un certificat délivré par le maire de la commune ou de chacune des communes où il aura résidé depuis trois ails; . 5° Qu'
t mentionner les manies que présentent certains ](ll11ls : les plus communes des manies sont la clasloinanie ou manie de [CR
s éloignés, et qui ne leur sont unies par aucune connexion nerveuse commune . Une irritation d un bouton d'acné, il la cuiss
date de tous les signes de l'affection. Elle fait partie des signes communs , des tumeurs cérébrales, quel qu'en soit le siè
constricteur. Cette attaque de para- lysie du nerf moteur oculaire commun , ordinairement passagère, peut exceptionnelleme
s, les douleurs viscérales permanentes ou sous forme de crises sont communes dans le goitre exophtalmique (angine de poitrin
ie. - LES CÉPHALALGIES Le mal de tête est un symptôme fréquent et commun à de nombreuses affections. Certaines céphalées
simples ne suffisent pas, user des arti- fices suivants. Le plus commun est la manoeuvre de .luiclrassik : on dit au mala
(hémiplégie des membres d'un côté et paralysie du moteur ocu- laire commun de l'autre côté). Ce dernier type est, bien enten
droite, paralysie du trijumeau droit et paralysie de l'oculomoteur commun droit. Type Foville du syndrome de Weber (Grass
ortion s'insère sur le sommet de l'apophyse coraeoïdc par un tendon commun avec le coraco-brachial. La longue portion s'in
'insère en haut sur le sommet de l'apophyse coracoïde par un tendon commun avec la courte portion du biceps. En bas, il s'
S DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 527 7 le second plan contient le fléchisseur commun superficiel des doigts ; le troisième plan comp
s doigts ; le troisième plan comprend deux muscles : le fléchisseur commun profond des doigts en dedans, le fléchisseur pr
nsère en haut sur la face antérieure de t'epitrochtec par un tendon commun aux muscles epitrochteens, sur l'aponévrose ant
nd pronateur en dehors, du petit palmaire en dedans, du fléchisseur commun superficiel en arrière. En bas, le tendon du mu
Le petit palmaire s'insère en haut sur l'épitrochlée par un tendon commun avec les muscles epitro- chluens, sur l'aponévr
palmaire en dehors, du cubital antérieur en dedans, du fléchisseur commun superficiel en arrière. En bas. le tendon du peti
isons fibreuses qui le séparent du petit palmaire et du fléchisseur commun superficiel; le faisceau olécranien s'insère sur
minue secondairement la puis- sance d'action des muscles extenseurs commun et propre des doigts. Fléchisseur commun superf
ion des muscles extenseurs commun et propre des doigts. Fléchisseur commun superficiel des doigts. Fléchis- seur commun pr
doigts. Fléchisseur commun superficiel des doigts. Fléchis- seur commun profond des doigts. Insertions. Le fléchis- seu
his- seur commun profond des doigts. Insertions. Le fléchis- seur commun superficiel des doigts s'insère en haut sur l'épi
la deuxième phalange des : 2". ") ? 4" et 5e doigts. Le fléchisseur commun profond des doigts s'insère en haut sur les tro
me phalange des quatre derniers doigts. Innervation. Le fléchisseur commun superficiel des doigts est innervé par le média
un superficiel des doigts est innervé par le médian. Le fléchisseur commun profond des doigts est innervé par le médian et
antérieure du cubitus, soit ¡Je Il'pill'Ol'hlél', soit de la masse commune des muscles epitrochteens. Le tendon terminal se
externe s'insère en haut sur l'épicondyle par un tendon qui lui est commun avec les muscles superficiels de la région postér
ion du coude, sur une cloison fibreuse qui le sépare de l'extenseur commun des doigts. En bas, le tendon s'insère sur l'ap
a couche superficielle se compose de quatre mus- cles : l'extenseur commun des doigts, l'extenseur propre du petit doigt,
e long extenseur du pouce, l'extenseur propre de l'index. Extenseur commun des doigts. Extenseur propre du petit doigt. In
es doigts. Extenseur propre du petit doigt. Insertions. L'extenseur commun des doigts s'in- sère en haut sur la face posté
endon terminal du muscle se fusionne avec le tendon que l'extenseur commun envoie au [G. GUILLAIN.] 552 . PHYSIOLOGIE MU
s de ce doigt. Innervation. Nerf radial. Physiologie. L'extenseur commun .des doigts étend les deux der- nières phalange
eurs impriment aux doigts des mouvements de latéralité. L'extenseur commun écarte du médius les trois autres doigts. l'ext
terosseux, en bas son tendon se fusionne avec celui que 1 extenseur commun envoie il ce doigt. [G. GUILLAIN.] fÍ;¡4 . PH
s doigts peuvent encore s'exécuter par les faisceaux des extenseurs commun et propre des doigts qui sont capables d'écarter
gts sont en hyperextension par la rétraction des muscles extenseurs commun et propre, les deux dernières phalanges sont fl
acré, le jumeau inférieur par un rameau du plexus sacré qui lui est commun avec le carré crural. Obturateur interne. Inser
nd trochanter. Innervation. Hameau issu du plexus sacré qui lui est commun avec celui du muscle jumeau inférieur (nerf du
nctes en haut, qui prennent sur la rotule et le tibia une insertion commune . Le droit antérieur s'insère sur l'épine iliaqu
bas vers la face anté- rieure du genou et s'insèrent, par un tendon commun , sur la base et sur les bords latéraux de la ro
tie inférieure de l'in- terstice de la ligne âpre. En bas le tendon commun du biceps s'insère sur l'apophyse styloïde du p
ée du gros orteil pendant les efforts de flexion du pied. Extenseur commun des orteils. Insertions. L'exten- seur commun d
du pied. Extenseur commun des orteils. Insertions. L'exten- seur commun des orteils s'insère en haut sur la tubérosité ex
ce postérieure de la troisième phalange. , Innervation. L'extenseur commun des orteils est innervé par des rameaux du scia
t par des rameaux du tibial anté- rieur. Physiologie. L'extenseur commun des orteils étend les premières phalanges, il n
un fléchisseur adducteur. La contraction simultanée de l'extenseur commun et du jambier antérieur détermine la flexion di
lexion directe du pied. Quand le jambier antérieur et l'extenseur commun sont paralysés, il en résulte des troubles de l
ue- ! lient la cuisse sur le bassin, il « steppe o. Quand l'extenseur commun des orteils est seul paralysé, le pied porte su
ralysé, il porte sur le sol par son bord interne. Quand l'extenseur commun des orteils et l'extenseur propre du gros ortei
es deux jumeaux et le soléaire qui sont réunis en bas sur un tendon commun , le tendon d'Achille. Le jumeau externe s'insère
e triceps sural met enjeu secondairement la tonicité de l'extenseur commun et des fléchisseurs des orteils, ce qui expliqu
be fléchie un mouvement de rotation en dedans. , Long fléchisseur commun ou fléchisseur tibial des orteils. Insertions.
ou fléchisseur tibial des orteils. Insertions. Le long fléchisseur commun des orteils s'in- sère en haut. sur la lèvre in
nervation. Nerf tibial postérieur. Physiologie. Le long fléchisseur commun des orteils fléchit les troisièmes phalanges su
de bifurcation souvent très volumineuse aux tendons du fléchisseur commun . Cette branche se rend le plus habi- tuellement
e, sur le côté externe des tendons correspondants du long extenseur commun des orteils. Innervation. Nerf tibial antérieur
r une cloison fibreuse qui le sépare en dehors du court fléchisseur commun des orteils. Le tendon terminal du muselé s'ins
fusionnent et viennent se fixer soit sur le tendon du fléchisseur- commun , soit sur ses branches de bifurcation. La plus
tarse. Par son obliquité il corrige l'obliquité du long fléchisseur commun et s'oppose ainsi à la torsion des orteils. Lom
MUSCLES DES GOUTTIÈRES VERTÉBRALES OU MUSCLES SPINAUX lJr Masse commune , ilio-costal, long dorsal, transver- saire épin
lombaire, au-dessous les trois muscles fusionnés forment la niasse commune . ' Voici la description anatomique que donne Te
anatomique que donne Testut de ces muscles si complexes. La masse commune , qui occupe au bassin la gouttière sacrée et à la
ostérieur de la crète iliaque. L'aponévrose d'insertion de la masse commune , l'aponévrose spinale, occupe en largeur l'inte
st constitué par une série de faisceaux qui présentent ce caractère commun de s'étendre d'une apophyse transverse ! lune apo
ieur a son insertion fixe sur une intersection fibreuse qui lui est commune avec le temporal superficiel et son insertion m
supérieure, se produirait dans le dédain et le pleurer. Élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supé- rieure. I
l'aile du nez et de la lèvre supé- rieure. Insertions. L'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure s'ét
supérieure. Innervation. Nerf facial. Physiologie. L'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure atti
atéralité des doigts sont presque abolis, mais quand les extenseurs communs et propres des doigts se contractent, quelques
elques mouvements de latéralité sont esquissés, grâce à l'extenseur commun qui écarte du médius les trois autres doigts et à
es de la paralysie isolée du jambier antérieur, du long exten- seur commun des orteils, du long péronier latéral et du court
conséquences de la paralysie du triceps sural, du long fléchisseur commun des orteils, des inter- osseux du pied (voir pa
du larynx. Elle est plus rare que les paresthé- sies. Elle est plus commune chez la femme (Iluaull), se voit de préférence
ésultats à Huault. 5° Troubles réflexes d'origine laryngée. Le plus commun est la toux. Qu'une gouttelette de liquide, qu'
RALYSIES DU LARYNX. 647 i A côté de ces causes de heaucoup les plus communes , il faut faire une place aux pleurésies avec ép
principaux de ces syndromes. A) Syndrome d'Avellis. C'est le plus commun . 11 consiste dans l'association de la paralysie
mes de l'oesophage et de la trachée, etc. D) Spasme réflexe. Il est commun sous forme de toux spasmo- dique revenant par a
bre des cas. Dans l'ensemble, les myopathies, dont la forme la plus commune est la forme facio-scapulo-humérale, sont héréd
es que nous venons de signaler (âge, hérédité, sexe), qui leur sont communs avec les atrophies héréditaires myélopa- thique
par les circonstances é11ologiques, par des symptômes qui lui sont communs avec la syringomyélie, tels que sensibilité dis
ication, mais que les deux affections peuvent reconnaître une cause commune la élite 1. P. Maiîik. Leç. sur les mal. de la
bien plus vraisemblable que tabès et amyotrophie avaient pour cause commune une méningo-myélite, sans doute syphilitique : te
alisée). A) Atrophies de l'enfance ou de l'adolescence : Caractères communs : début dans l'enfance ou l'adolescence; caract
hypertrophie. En dehors de l'augmentation de volume, seul caractère commun , tout différencie en effet la pseudo- hypertrop
, même très prononcés, de la sensibilité. L'incoordination ataxique commune , dont le type est l'ataxie des tabétiques, para
plus de caractères de l'incoordination cérébelleuse que de l'ataxie commune par lésion des voies sensitives ; le cervelet e
n d'une lésion du cervelet ou des voies cérébelleuses; s'il sont si communs dans la sclérose en plaques, c'est que dans cet
e, soit dans plusieurs générations. Ces maladies ont pour caractère commun une incoordination marquée qui se manifeste par
t un groupe, non seulement par suite de l'existence de ce caractère commun , mais encore parce qu'on observe des cas interm
les mêmes lois. Description. - Le ? convulsions, étant un symptôme commun à un grand -nombre de maladies, n'ont pas d'uni
ier 1004). Ces auteurs pensent que, le tremblement est un phénomène commun à tous les individus, il se produit dans deux c
a donc un caractère rémittent intentionnel et c'est là un caractère commun à tous les tremblements toxiques : café, tlié,
e ces moda- lités cliniques, mais ne sert qu'à désigner le symptôme commun il toutes ces affections et d'autres particular
s allons donc nous attacher il décrire, tout d'abord les caractères communs à toutes les chorécs; nous chercherons à différen
Brissaud pense que ces deux syndromes peuvent se confondre dans une commune origine et porter le nom d'athétose-chorée, mai
e) a montré que toutes les myoclonies se développent sur une souche commune (dégénérescence héréditaire ou acquise). La plu
éclate, il est irrésistible : cette irrésistibilité est un caractère commun aux tics et aux obsessions. L'arrêt volontair
« tics obsédants » . , Le tic présente encore un autre caractère commun avec l'obsession et l'impulsion ; il est consci
nelles à des troubles moteurs très variés qui n'ont comme caractère commun que de se produire à l'occasion d'un acte fonct
s les modalités de la crampe des écrivains; elles n'ont qu'un point commun , le déséquilibre moteur et, comme résultat, l'imp
ROUBLES TROPHIQUES. 919 Les oedèmes nerveux ont quelques caractères communs que nous indiquerons une fois pour toutes : ils
fréquemment symétriques en ce cas. Le traitement de cette affection commune est souvent délicat, ainsi qu'il est de règle p
le liquide qui s'écoule en bavant. La miction involontaire est peu commune et il est rare que le malade accuse le besoin d'u
les favo- risera par des lavages antiseptiques car l'infection est commune dans ces cas. Enfin, les injections épidurales
congestionné, ou distendu par pyonéphrose. Cette com- plication est commune dans les affections graves du système nerveux el
s environ chez l'homme normal. Les névralgies du pharynx sont peu communes . Elles s'observent le plus souvent chez des sur
ns ces condi- tions, de rencontrer chez les névropathes un syndrome commun gastro- intestinal appelé tantôt dyspepsie sens
plus fréquentes en sémio- logie nerveuse; toutes ont des caractères communs . Elles surviennent sans cause, elles disparaiss
jetée en varus. Dans le rachitisme infantile, de beau- coup le plus commun , des incurvations des os longs, un chapelet costa
tanément dans leur trajet périphérique, soif que l'origine centrale commune de plusieurs .nerfs soit lésée; il en résulte d
elle présente alors quelques caractères particuliers; l'exten- seur commun des doigts étant pris avant les extenseurs propre
x lombricaux internes et des deux faisceaux internes du fléchisseur commun profond des doigts, du cubital antérieur. Le peti
isseurs du pied sur la jambe sentiejannxcr antérieur et l'extenseur commun des orteils : le jambier antérieur fléchit le p
bier antérieur fléchit le pied en le portant en dedans, l'extenseur commun en le portant en dehors. Si le jambier antéri
s que le pied soit préalablement porté en abduction; si l'extenseur commun est seul paralysé, y a un léger équin varus, la
racture, il y a un pied-bol talus varus spasmodique; si l'extenseur commun est seul contracture, il y a un pied- bol talus
oncavité de la voûte plantaire, cambre le pied; le long fléchisseur commun des orteils contribue aussi accessoirement à camb
'avant-pied, talus pied-creux direct paralytique; si le fléchisseur commun est paralysé en même temps, il y a un talus pied
par glissement de l'astragale sur le calcanemu : si le fléchisseur commun est paralysé en même temps, il y a un talus pie
sé en même temps, il y a un talus pied-plat, direct; si l'extenseur commun est aussi paralysé, le jatubier antérieur agit se
d est fléchi parle jambier antérieur et courbé par le fléchis- seur commun , il y a un talus pied-creux varus. Si le tricep
si à la paralysie du long péronier se joint celle du flé- chisseur commun des orteils, il y a un talus pied-plat direct; si
ect; si à la paralysie de ces muscles se joint celle de l'extenseur commun , le taltis pied-plat devient varus. La forme
tension des deux autres. Elle est due à la paralysie de l'extenseur commun des orteils et de l'extenseur propre du gros or
membres; points de repère ventraux (dessin original J. Légende commune aux 4 figures. (en partie d'après les schémas r
téristique de la syphilis (Vaquez). La paralysie du moteur oculaire commun survenant subitement, est également un stigmate
hilis, nous ne mentionnerons que les cicatrices péri-buc- chales si communes chez les enfants hérédo-syphilitiques du premier
ières ou stigmates de Parrot sont les vestiges de ces syphilides si communes dans l'enfance; ces cicatrices sont des taches
t l'hydrocéphalie : elle constitue un phénomène d'observation assez commune et Fournier en a rassemblé 170 exemples. Suivan
ubstance osseuse du côté paralysé.- Certaines déformations osseuses communes dans les myopathies (apla- tissement du crâne,
utanées variables de façon que les rayons convergent vers un centre commun , la lésion à irradier : par exemple, on irradie
erne); 5. Nerf cubital; 4. Muscle cubital antérieur; 5. Fléchisseur commun profond des doigts; 6. Fléchisseur superficiel de
. Muscle premier radial; - tL Muscle second radial ; - 7. Extenseur commun des doigts; - 8. Extenseur propre de l'index :
7. Tenseur du fascia lala; 8. Couturier; 9. Triceps fémoral (point commun ); 10. Droit antérieur; 11. Vaste externe. B.
(nerf tibia)); 13. Jumeau interne; - 14. Soléaire; 15. Fléchisseur commun des orteils; 16. Nerf tibial postérieur. C. Poi
la jambe (face anti;ro-estcrne). 1. Jambier antérieur; 2 Extenseur commun des'orteils ; - 3. Court péronier latéral; 4. Lon
s faradiques. Il en existe un certain nombre de variétés ayant pour commune origine la bobine de Huhlllkorfl'. On peut les co
le comporte une signification pronostique plus favorable que la forme commune de la DR dans laquelle, il cette période, l'exc
Placements ordonnés par l'autorité publique, 255. Dispo- sitions communes à toutes les personnes placées dans les établis
, 1525. Éléphantiasis des membres inférieurs, 1046. Élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure, élé
Exostoses M/<'ofyc<H'</;feM ! M/</M, 1185. Extenseur commun des doigts, - po- pre du petit doigt. Innervati
igts, - po- pre du petit doigt. Innervation, physio- logie, 55 ). commun des orteils, z propre du gros orteil. Inncrv :
geotte, - 1551. I\UI : \ 11.1'lltI.TIQUI : . 1585 Fléchisseur commun superficiel' des doigts, profond des doigts, in
extenseur du pouce. Innerva- tion, physiologie, 555. flléchisseur commun des orteils, propre du gros orteil. Innervation
pertro- phique, forme Pierre -), li9li. Masculisme, 1090. Masse commune des muscles spinaux. lliocosizil, long dorsal,
ection d'alcool, 425. - médian, paralysie, 652. - moteur oculaire commun , pa- ralysie, 69. et parahsie de l'ac- commod
6 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
r de symptômes qui permet d'en don-ner la description d'après un type commun , au milieu de la variabilité des circonstances ac
ons n'étaient pas isolées, qu'elles devaient se rattacher à une cause commune qui leur sert de lien. C'est ainsi que s'est prod
moins élevé. C'est là sans doute ce qui constitue au fond les assises communes de toute construction scienti-fique, et l'on a mê
st l'ouvrage de M. Day, publié à Londres en 1849 (3). IL Un trait commun se révèle dans la plupart des écrits qui viennent
ques. Les fièvres éruptives, la fièvre typhoïde, la phthisie sont peu communes à cet âge ; cependant, il ne faut point s'exagére
la pneumonie lobaire, cette affection fébrrle au plus haut degré, et commune à tous les âges de la vie. Son évo-lution nous pe
ne pneumonie, d'un érysi-pèle ou d'une fièvre synoque, affection très commune à la Salpétrière, à certaines époques de l'année.
urnal de Beau, 1843, p. 292. 2. Si les coliques hépatiques sont peu communes à un âge avancé, il est au contraire très fréquen
doctrine, et à nous demander s'il faut confondre dans une description commune ces deux maladies ou établir entre elles une dist
it au moins permis de faire observer, qu'une fois détachés du tronc commun , ces deux rameaux portent des fruits bien différe
divers animaux. Messieurs, Si la goutte était une affection plus commune dans nos hô-pitaux, il est probable que nous conn
s faible degré la goutte remontée à l'estomac est une affection assez commune ; elle se rencontre surtout dans le cas d'asthéni
tteux sont exposés à la phthisie (1). Cette dernière affection, peu commune dans le rhumatisme articulaire aigu (Wunderlich,
, William Pitt, qui ne pre- liait jamais la parole à la Chambre des Communes sans avoir réchauffé son éloquence par des libati
(eau-de-vie de grain). A Londres, au contraire,'la goutte est très commune parmi la population ouvrière et se rencontre fréq
que nous venons d'énumérer. En France, où la colique de plomb est si commune , comment se fait-il que la goutte soit si rare pa
rhumatisme chronique est, au contraire, l'une des infirmités les plus communes dans cet établissement. En effet, cette affec-tio
vail préliminaire, nous nous efforcerons de mettre en lumière le lien commun qui les réunit. Les types du rhumatisme articul
térations locales sont celles de Varthrite sèche, qui sont d'ailleurs communes à toutes les formes chroniques, sauf quelques mod
ques, et présentent, sous le rapport des altérations locales, un type commun , modifié par quelques différences d'ordre se-cond
sans doute bien d'autres altérations ; mais comme elles ne sont point communes à toutes les formes du rhumatisme articulaire, no
et des végétations cor-respondantes. Ce processus atrophique, qui est commun dans le rhumatisme généralisé, se voit aussi quel
nies du rhumatisme articu-laire. L'asthme suivi d'emphysème est aussi commun dans cette affection que dans la goutte. J'ai vu
-dément cachectiques. Les affections de la vessie ne, sont pas très communes dans le rhumatisme articulaire aigu. Il ne faut p
rhu-matisme chronique par Fuller et M. Vidal. Mais ces faits sont peu communs . La migraine, si commune dans l'intervalle des
uller et M. Vidal. Mais ces faits sont peu communs. La migraine, si commune dans l'intervalle des accès de goutte, se retrouv
gu, se rencontrent aussi dans le rhumatisme chronique. Elles sont peu communes dans la forme intense de cette maladie; on les
s ostéoïdes, ou corps étrangers, rares dans certaines jointures, plus communs dans d'autres ; des bourrelets osseux qui déforme
pronalion plus ou moins exagérée. C'est là un caractère qui leur est commun ; ils diffèrent sous beaucoup d'autres rapports.
ommaire. — Causes principales du rhumatisme articulaire. — Elles sont communes à toutes les formes de celte maladie. — Pathologi
divers, que nous avons décrits jusqu'ici, reconnaissent, au fond, une commune origine. Il ne faut cependant pas oublier que,
nfirmes de la Salpêtrière. Le rhumatisme partiel est peut-être plus commun chez les hommes; c'est ce qui a lieu surtout pour
: Rheumatismus arthritidem ordine antecedit ? tisme chronique, peu communes , au contraire, chezles goutteux. Voilà bien des
ons ? Non, certes: fout au plus admettrons-nous qu'il existe une base commune , un fond commun, une prédisposition articulaire,
: fout au plus admettrons-nous qu'il existe une base commune, un fond commun , une prédisposition articulaire, un état arthriti
sur la signification de ces symptômes de col-lapsus, qu'il est assez commun d'observer dans le cours des maladies aiguës des
e manière plus ou moins permanente, à un taux élevé, ont un caractère commun presque constant, .C'est qu'en pareil cas certain
n augmentant même après la mort. C'est là, de beaucoup le cas le plus commun chez l'adulte. C'est aussi ce qui se voit chez le
re se produit au moment de la déferves-cence, c'est là le cas le plus commun . Mais le même ensem-ble de symptômes peut se mont
us allons essayer de dépeindre. Extrémités supérieures. — Caractère commun aux deux types : la main est en pronation plus ou
ubérosités fibiales. Les corps étrangers d'un grand volume sont assez communs au pourtour de cette jointure (Adams) ; les craqu
présenté les mêmes lésions à un degré plus avancé ; si bien qu'il est commun , ainsi que nous l'avons dit, de voir des infirmes
qui s'est toujours bien portée, bien qu'elle ait eu vie et habitation communes avec elle. La femme Étard a habité, pendant les d
uilles cristallines qui s'agrégeaient en rayonnant autour d'un centre commun , de manière à donner l'image d'une aigrette, de c
uilles cristallines qui s'agré-gaient en rayonnant autour d'un centre commun , de manière à donner l'image d'une aigrette, de c
toxication saturnine aurait donc, au moins dans certains cas, ceci de commun avec la goutte qu'elle produirait, comme cette de
e les médecins anglais pa-raissent aujourd'hui se rattacher tous d'un commun accord (3). 1. R. B. Todd. — Pratical Remarks r
es causes vraiment spécifiques font naître des arthrites qui n'ont de commun , avec le rhumatisme propre-ment dit, que le siège
elles ou multiples, ne sont évidem-ment pas le rhumatisme arliculaire commun . « Je crois, de plus, qu'il y aune arthrite sca
aune arthrite scarlatineuse bien différente du rhumatisme articulaire commun , lequel se déve- 0 ppe cependant quelquefois, s
e les médecins anglais paraissent aujourd'hui se ratta-cher tous d'un commun accord et que Scudamore avait déjà très nettement
ans la maladie de Bright ancienne, où les accidents gastrique sont si communs , les liquides rendus par le vomissement renfermen
pes principaux : 1° type de flexion, 2° type d'extension. Caractère commun aux deux types. — La main est en prona-tion plus
dont nous n'avons fait qu'indiquer les traits les plus généraux, sont communes aux diverses formes du rhu-matisme articulaire ch
cas sur 41. Il est certain que le rhumatisme noueux est beaucoup plus commun chez la femme que chez l'homme ; opposition bien
nentes, siégeant dans divers muscles du tronc ou des membres. 1. En commun avec M. Vcjuman. Cette note, tirée de l'Expose? d
tagée du reste par quelques médecins, le tremblement sénile n'est pas commun . Une visite régulière, faite l'an dernier par M.
culaire. Causes principales du rhumatisme articulaire. — Elles sont communes à toutes les formes de cette maladie. —Pathologie
7 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
on cli- nique de la maladie notre observation' se rapproche du type commun , , " 1. (1) Planche V. 1. Squelette de la ja
leint de t'ostéite déformante de Paget, s'éloigne cependant du type commun de cette affection par plusieurs points. Il e
ensoriel acoustique gau- che est notaient diminuée. C'est un fait commun de voir que, si nous sommes absorbés par une id
envahissement ultérieur des méninges rachidiennes, c'est là un fait commun dans la syphilis et la méningite syphilitique par
e syphilitique associée à une para- lysie totale du moteur oculaire commun qui guérit radicalement par le (1) M. le prof,
cine fut inventé, les plus fameux médecins asclépiades ont reçu par commun accord, comme principe et théorème, auquel en l
er les différents types, c'est le caractère fa- milial qui leur est commun . Quoiqu'il en soit de cette nouvelle manière d'
: C. minima à 85. Deuxième radial : Comme le précédent. Extenseur commun des doigts : A droite : à 90 C. minima ; à 85 C.
ns le triceps et les fléchisseurs, comme précédemment). Extenseur COMMUN : 2mA, XII, NFC ? > PFC"' ; 4mua, XVIII, NEC
le petit chariot, et de 55mm pour le grand et que pour l'extenseur commun des orteils la contraction minima a lieu avec un
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE même temps C. dans l'extenseur commun plus fortes mêmes que dans le jambier antérieur
ommun plus fortes mêmes que dans le jambier antérieur). Extenseur commun : 50mm C. minima; à 40 C. bonnes, (extension bien
inima ; à 40 C. assez bonnes mais en même temps C. dans l'extenseur commun , plus fortes même dans ce dernier muscle. COU
inima entre 45 et 50 mm (en môme temps C. pro- pagées à l'extenseur commun ). Jumeau interne : 5 o III C. minima (C. égalem
tenseur com- mun). Soléaire : Comme les précédents. Fléchisseur commun : 40 ? C. faibles; elles se trouvent masquées par
elles se trouvent masquées par des C. simultanées dans l'extenseur commun . Fléchisseur Du gros orteil : Comme le précéden
le précédent. Nerf péronier : A 75 ? C. minima (C. dans l'extenseur commun seule- ment) ; à 70mm idem; à 65 des C. apparai
ui excitabilité électrique DES nerfs ET DES MUSCLES 169 Extenseur commun : à 3mA, XX, NFC" > PFC ? m A, XXVI, NFC' &g
2 m A, VI, NFC" seule ; 2 J/2 m A, VIII, NEC > PFC ? Élévateur commun : 1 1/2 III A, VI, NFC seule; 2 1/2 m A, VIII, NI
nstrueuse dans la région dorso-lombaire (PI. XX et XXI). La masse commune est peu atrophiée. Le diaphragme est intact. Le
dans l'orbiculaire des lèvres, et dans la por- tion de l'élévateur commun qui élève la lèvre supérieure ; dans les au- tr
70miu l'excitation portant sur les muscles postérieurs. Extenseur commun : malgré le volume bien conservé en apparence de
ntractilité est faible, il se comporte à peu près comme l'extenseur commun . c Les fléchisseurs diffèrent notablement des e
aux fléchisseurs (seulement soulèvement des tendons de l'extenseur commun et des extenseurs propres) ; il 40 C. encore faib
NFC">P1"C'" ; 7 1/2 NFC' >PFC'. Radiaux : idem. Extenseur commun : 3 m. A. NFC"' seule ; 4 m. A. NFC">PFC" ; 6
ntérieur : C. m. à 55 ? ; Jumeau externe : C. m. à 55 ? ; Extenseur commun : C. m. il 50 ? ; , Jumeau interne : C. m. à 60 ?
Soléaire : C. m. à 55 ; Court péronier : C. m. il ! J;5 ? ; Flécii. commun : Mi ; TVTENS. du gros orteil : C.in.à45'"m; Fl
A. 1re NFC ; 8 m. A. 1re PFC ; 8 m. A : NFCC> PFC". Extenseur commun : 4 1/2 m. A. 1 NFC ; 7 m. A. NFCC>PFC". Lon
PFC". UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE E 181 Fléchisseur commun : 6 1/2 m. A. NFC'>PFC". Nerf péronier : 1 1
lèvres : Contractilité un peu diminuée; C. minima il 85. Élévateur commun : Contractilité un peu diminuée surtout dans la p
èvres : X, 3,5 m. A. pas de C : XH, 5 m. A. NFC'>PFC ? Elévateur commun de l'aile du 11t ? et de la lèvre supérieure : VI
ut un événement scientifique. On vivait à cette époque sur le fonds commun de l'ataxie locomotrice progres- sive. La descr
mettre, pour les besoins de la démonstration, en dehors de la forme commune ou sensitive-motrice, une forme motrice pure et u
rvical. Notre cas se distingue par certaines particularités du type commun . Tout d'abord la marche ; l'affection a débuté
ulement une propriété des organes des cinq sens c'est une propriété commune ,'1 toutes les parties vivantes, sans exception.
ion des sens spéciaux. On lui a donné aussi le nom de sensi- bilité commune ou profonde H. (1) Leçon faite à la Salpêtrière
elle encore dans le langage de l'Ecole, cénesthésie, ou sensibilité commune (7.o ! 11à, commun, li ! irrel1tn" sensation). Li
langage de l'Ecole, cénesthésie, ou sensibilité commune (7.o ! 11à, commun , li ! irrel1tn" sensation). Littré délinitlacéncs
essive, transmise par les conducteurs centripètes de la sensibilité commune , la moelle répondra par un mode d'activité plus g
sultent de la contracture per- manente. Je crois qu'elles sont plus communes dans les cas de localisation corticale que dans
e chez les tabétiques ; c'est, an contraire, une complication assez commune dans la forme ordinaire, classique, sensitivo-
harcot une forme atrophique rare et une forme hyper- trophique plus commune . Contrairement à ce qui se passe dans le tabes
e volume. Nous avons observé deux fois cette forme beaucoup moins commune que la précédente : chez notre premier ma- la
au, faciaux, auriculaire, glossopharyngien et vagues, n'ont rien de commun avec les ganglions spinaux des racines postérieur
e nom de Syndrome de Weber à la paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté du corps, et des membres et du facial
drome. « Etant donné, disait-il, une paralysie du moteur ocu- laire commun gauche avec une hémiplégie totale droite, on devr
e Weber classique : paralysie totale et complète du moteur oculaire commun droit et hémiplégie vulgaire du côté gauche 1
a paupière gauche tombante indique une paralysie du moteur oculaire commun gauche qui, où le verra, est totale. Enfin il a d
lus dans l'aspect du ma- lade était la paralysie du moteur oculaire commun gauche consistant en chute de la paupière, mydr
observation, l'hémiplégie gauche et la paralysie du moteur oculaire commun droit indiquent une lésion pédonculaire droite ;
ssé puisque ce sont les membres du côté droit et le moteur oculaire commun gauche qui sont paralysés. Cette localisation p
ongue portée, voya- geant-de compagnie et faisant gaine névroglique commune jusqu'au point où elles se séparent pour finir
côté et vers celui du côté opposé. Du vermis supérieur, rendez-vous commun des fibres cérébelleuses di- rectes et croisées
henne, la caractéristique d'une maladie autonome. C'est un syndrome commun à plu- sieurs états pathologiques (1); on le re
8 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on la laissait dans la salle DU PLACEMENT DES ENFANTS ARRIÉRÉS. 5 commune , Germaine ? y taquinait les autres malades, ou bi
nt. Toutes nos petites pensionnâmes prennent leurs repas à la table commune . Elles jouent avec les en- fants de la famille
que très difficilement et à la longue, un tact inné qu'il n'est pas commun de rencontrer ici. La continuité d'une surveill
irconstances expé- dienles, des conditions de convenance biologique communes aux deux co-êtres justifieraient), suffiraient
stion qui les concerne se trouve tranchée par une formule générale, commune à tous.Toutefois M. Bonne paraissant attacher u
e ; c'est bien un phénomène biologique, et ce phénomène n'a rien de commun avec ce qui se passe dans une cristallisation.
même totipotence, on devrait compter un nombre d'individus égal au commun multiple de 5 et de 4, s'il existait réellement
t des organes doubles, avec l'énorme prépondérance des acquisitions communes aux deux hémisphères (p. 212) et avec la nécess
ent paresseusement à la lumière. II y a paralysie de l'oculo-moteur commun du côté droit avec déviation du globe de l'oeil
rieures l'a- trophie simple à type segmentaire du tabes n'a rien de commun avec la névrite expérimentale qui est une dégén
seule crise ou une seule série de crises. C'est aussi un fait très commun de voir apparaître l'épilepsie chez les aliénés
es de la haute société.. Les adeptes de cette secte se livraient en commun à des pratiques scandaleuses, d'une ingénieuse
ssède en son entier le faisceau d'idées morales qui sont l'attribut commun des individus nor- maux : elle a aussi pleineme
s des actions criminelles et en particulier de l'incendie, il est commun , au contraire, d'après ma propre expé- rience,
cotte (de Liège) apporte le salut de la Rclgiquc que tant de points communs rapprochent delà Suisse. M. le professeur Lasko
NISTES ET NEUROLOGISTES. loi ment, démontrant, dit G. Ballet : « la commune origine et la nature identique de phénomènes en
t paralysées. Il y avait paralysie de la branche du moteur oculaire commun qui préside aux mouvements d'élévation de la pa
xagérées. Mais quelles sont ces réactions ? Quel est leur caractère commun ? Leur nature ? Quelle ost leur signi- fication
enseignait que les troubles hallucinatoires vi- suels sont les plus communs dans l'épilepsie et que tel malade aperçoit, au
e antérieurs à la présente loi, qu'ils aientété rémunérés par les communes ou par l'Etat. En sus des retenues réglementaires
l, lorsqu'ils auront passé du service de l'Etat dans le service des communes . » Les commissaires de police communaux sont do
RÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. et du moteur oculaire commun ,la déviation précoce du globe de l'oeil est uni
oyons dans ce congrès,se manifester, par les faits cette conviction commune ; à savoir : que le psychiatre le neurologue, l
ous puissions isoler les malades, qui ont été traités dans la salle commune d'infirmerie. Il en fut de même pour 4 cas d'ér
blissement pour ses pu- pilles difficiles, soit à lui seul, soit en commun avec un ou plu- sieurs départements, ou à défau
ojectile dans la tête et se jeta par la fenêtre de lepr appartement commun . L'état de la mère et du fils est désespéré. (L
teur ? - Montmorency. - Le facteur des postes, Dubois, de la petite commune de llontlignon, non loin de Mont- morency, a di
lui plaisent plus que les autres, mais ces sentiments n'ont rien de commun avec ceux qu'elle éprouve en se représentant le
cordiale qui unit naturellement les méde- cins issus d'un concours commun . Tout le monde trouvera son compte à un tel éta
nt trop militaires, ils se diminuent comme médecins. Ce travers est commun à bien des situations ad- ministratives. qui ap
es conditions normales qui permettent de recevoir l'enseignement en commun . Les prescriptions de la loi de 1882 ne leur so
sabilité atténuée qui ne leur per- mettent pas d'acquérir à l'école commune et par les métho- des ordinaires de l'enseignem
permet pas à l'Etat de fonder, soit seul, soit avec le concours des communes et des départements, des écoles spéciales aux e
aires supérieures, c'est-à-dire des établisse- ments fondés par les communes . Cependant, il est à présu- mer que c'est auprè
popu- lation appartenant à tous les arrondissements, à toutes les communes du département. Il est à remarquer, d'autre par
comme il y a lieu de l'espérer, des agglomérations importantes, des communes peuplées, des villes populeuses sont disposées,
té représentative, ils seraient, comme d'ordinaire, à la charge des communes . Pour les dépenses de première installation (bâ
maîtres plus âgés ; 2° Les élèves, si on leur appliquait le régime commun do l'externat, ne viendraient pas en classe le
nisés avec l'as- sentiment des parents et le concours financier des communes ; enfin les maîtres pourront être de temps en te
t indis- pensable. En fondant ces écoles de perfectionnement, les communes , les départements et l'Etat assumeraient des ch
en soutenir la discus- sion : Article premier. Sur la demande des communes et des départements peuvent être créées pour le
déduction des sub- ventions accordées par d'autres départements et communes . Les dépenses de l'enseignement sont à la charg
- Art. 6. Une école de perfectionnement peut être fondée par une commune sur le territoire d'une autre commune après acc
ment peut être fondée par une commune sur le territoire d'une autre commune après accord des communes intéressées. Dans le
une commune sur le territoire d'une autre commune après accord des communes intéressées. Dans le cas où l'école autonome de
ionnement n'est pas située dans le même département ou dans la même commune que l'Administration départementale ou communal
ve, de l'article 11 ci-après, les autorités du département ou de la commune où siège ladite administration. Art. 7. Les dir
loi 30 octobre 1886 ; 2° A une inspection médicale organisée par la commune fondatrice ou le département fondateur. Elle po
s actuelles devrait être réformé, la cellule transformée, la prison commune radicalement supprimée. L'examen mental approfo
nu du direc- teur de l'asile l'autorisation de piendre ses repas en commun , 318 FAITS DIVERS. lorsque, lundi soir, il se
ntes présentant des vésanies distinctes, mais un thème déli- rant commun , et n'ayant eu qu'une collaboration inter- mitt
'imminence morbide ; celle-ci lui est conférée peu à peu par la vie commune avec lesujet actif. Ici le sujet qui semble pas
ntendra des voix quel'année suivante Par contre, toutes deux ont en commun , après octobre 1902, une grande vigilance audit
honte d'être mal jugée, elle est très humble. Dans leur idéation commune , les prières jouent un très grand rôle ; beauco
s nombreux etobs- curs, qui sont partout. Tous ces ennemis lui sont communs avec sa maîtresse et amie, un seul lui appartie
vent la majeure partie du temps séparées, elles n'ont aucun intérêt commun ; même leur solidarité morale était encore peu
ns, déformation du souvenir, nous semblent avoir un lien originel commun , à savoir l'instabilité des synthèses élé- dent
ritique de chacun des symptômes des 5 cas : « combinaison de formes communes de la névrose vasomotrice avec presque tous les
par Heinroth). L'imagination passive, que Voltaire considère comme commune aux hommes et aux animaux, joua un grand rôle d
nique de l'acronévrite et tous ces symptômes ont quelque chose de commun entre eux, tous indiquent notamment l'af- fecti
autres mais ils n'igno- raient aucun des caractèles psychologiques communs aux états extrêmes ; ils n'ont pas non plus méc
on observe un véritable mélange, non pas des processus fondamentaux communs , tels que l'aprosexie et la faiblesse de l'idéa
y a plus qu'une psychose bien définie, un seul trouble fondamental, commun non seulement aux deux formes symptomatologique
ut nier, mais elle ne peut affirmer la réalité d'une prédisposition commune et propre à toutes les formes évolutives de man
lan.) Parle D' A. MARIE. La maison d'aliénés de Mombello, dans la commune de Limbiato se trouve Ù 18 kilomètres de Milan
rayons X ; il se procura une grenouille en fer blanc jouet d'enfant commun dans les bazars, la rontgenisa, admi- nistra à
Les hallucinations des sens supérieurs sont naturellement les plus communes ; les hallucinations psycho-motrices sont rares,
les formes d'excitation primaire ou «besoin de parler» ont ceci de commun qu'elles sont étrangères au but habituel de la
9 (1913) Exposé des travaux scientifiques
ement dissocie les cylindres primitifs. A côté de celle disposition commune , on trouve des dispositions par- ticulières à t
teté quand il existe au-dessus du huitième segment, ce qui est très commun en pareil cas, une perturbation de la voie pyra
es affections, à tant d'égards si différentes, ayant pour caractère commun de donner naissance toujours ou parfois, suivan
ffection, l'envahissement de la sub- stance blanche est chose assez commune . J'ai indiqué quelques moyens qui permettraient
les extenseur propre du gros orteil, jambier anté- rieur, extenseur commun des orteils et parfois des muscles péroniers. E
ur ce qui concerne l'extenseur propre du gros orteil et l'extenseur commun des orteils, il est évident qu'on a affaire sim
atteints d'une perturba- tion du système pyramidal il est bien plus commun , sans l'être toute- fois autant que l'extension
'abduction associée est un phénomène assez rare qui m'a semblé plus commun dans l'hémiplégie de l'enfant que dans celle de l
tions que j'ai faites depuis que je le recherche, il me paraît plus commun dans l'hémiplégie infantile que dans l'hémiplég
dans l'hémiplégie infantile que dans l'hémiplégie de l'adulte, plus commun aussi dans l'hémiparésie que dans l'hémiplégie
commun aussi dans l'hémiparésie que dans l'hémiplégie et enfin plus commun dans' les paralysies d'origine spinale que dans
. - Les crampes sont, comme on le sait, un des symptômes les plus communs du choléra : d'habitude, dans les formes graves d
n opposition avec la paralysie radiale par compression qui est très commune et bien connue. Tandis que dans celle-ci la par
leur parce que l'on considérait l'absence de ce réflexe comme assez commune à l'état normal. Dans les traites classiques de p
celles que je viens de donner au sujet du tabes conjugal, est plus commun qu'on ne le pensait généralement (83). TABES
il est permis de supposer que la syphilis conjugale est chose assez commune . C'est au moins une hypothèse qu'il était légi-
qui semblait alors une exception me paraît aujourd'hui chose assez commune . Je connais des malades présentant des signes car
malades. « Les formes frustes du tabes sont certainement bien plus communes que les formes graves. Ainsi que je l'ai dit au
ous avons été conduits à penser que la syphilis est une cause assez commune des lésions vasculaires pie-mériennes qui provoqu
Interversion des deux modes de balancement du bras. Ce phénomène, commun dans l'hémiplégie, est surtout apparent quand,
s les signes objectifs qui appartiennent à l'hémi- plégie organique commune , et elle est alors susceptible d'être confon- d
t la supination, la flexion et l'extension ; c'est un symptôme très commun . Il n'est pas invraisemblable que, par une obse
é l'hémiasynergie ». Si les observations d'hémiasynergie sont assez communes , il faut reconnaître que l'asynergie bilatérale
are de rencontrer la catalepsie cérébelleuse parfaite, il est assez commun d'observer des cérébelleux atteints de titubation
rappelle que ce trouble constitue un des signes objectifs les plus communs de l'hémiplégie organique, qu'il fait défaut da
s parlons devra faire suspecter la syphilis comme cause étiologique commune , puisqu'il semble acquis que le signe d'Argyll
roubles pupillaires ne sont pas liés à l'anévrisme, mais à la cause commune du tabes et de l'aortite, à la syphilis. Voilà
tériaux. Le reliquat était composé de troubles ayant pour caractère commun l'absence de substratum anatomique, dans la mes
resthésie). des troubles sensoriels, accidents ayant pour caractère commun do pouvoir être reproduits par la suggestion expé
ir ces deux ordres de phénomènes et de leur donner une dénomination commune . Ils doivent être com- plètement dissociés et r
les engendrer, elles devraient être de nos jours à peu près aussi communes que par le passé, car les tristesses de la vie n'
10 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r le souvenir de sou active et constante parti- cipation à l'oeuvre commune . D'accord aussi avec notre Conseil de surveilla
le sujet est un homme de soixante-huit ans, il s'éloigne du type commun par plusieurs points, les os du visage, sont atte
ste dans les premières des caractères spéci- fiques assez tranchés, communs à 'la vérité .à 'la syphilis, et,à la tuberculo
s,' est' constituée par des paralysies à formes diverses. La; plus " commune est la' para- plégie spasmodique généralisée in
intérêt du, client doit l'emporter pour le praticien sur. l'intérêt commun . (bTedico-lcgal-Journal, v. X, n° 1.) t\IARIE.1
es. La plus légère expression de cet impaludisme larvé et la plus commune qui n'a épargné personne, consiste en un ,état
e même rôle et d'avoir la même constance que dans la neuras- thénie commune . a) Troubles psychiques. Ils affectent la sphèr
re reste méconnue. Etiologie. -Les causes qui, dans la neurasthénie commune , jouent un rôle capital, n'ont nullement la mêm
part avaient le foie engorgé. Mais au Caucase il n'y a rien de plus commun que les congestions chroniques du foie, qui hab
r cette neurasthénie peut parfaitement ressembler à la neurasthénie commune . Toutefois il faut noter que la marche de la ne
palustre diffère, au début du moins, de celle de la neurasthénie commune . En dehors de ça, il arrive souvent que quelques
partie des symptômes capitaux, des stigmates de la neuras- thénie commune , dans la neurasthénie palustre peuvent com- plè
alades dont les quatre premières sont prises parmi les cas les plus communs , et les trois autres parmi les plus compliqués.
es tous les iours par plusieurs fois ; cette expérience estant fort commune chez eux, et cette pratique ordinaire pour les
la Verrùcktheit ont une série d'importants symptômes qui leur sont communs au point de vue clinique et au point de vue pat
, le Wahnsinn et la Verrûcktheit ne peuvent supprimer le substratum commun à ces trois tableaux pathologiques, mais ils so
t indiqués pour distinguer ces trois tableaux morbides sur le fonds commun de la paranoïa. 3° Le groupe des psychoses fonc
tre une opinion aussi absolue que l'est celle qui fait de la vie en commun une condition sine (lua non dans la pathogénie
car la malade a pu pendant un certain temps encore vivre de la vie commune , quoique bien difficilement. Cela permet- il de
re, plusieurs départements consentiraient peut-être à l'exécuter en commun , parce que les frais deviendraient ainsi moins él
rvices hospitaliers pour s'assurer que l'hystérie n'y est pas moins commune qu'autrefois. On l'y retrouve chaque pas et on
sous d'autres vocables. Ainsi, tandis que l'hystérie devenait moins commune dans les asiles, elle augmentait singulièrement
es idées, les passions, les déterminations différentes de celles du commun ; pour Foville, l'état de toutes les personnes q
ertains symptômes qui, rares, fréquents ou habituels, révèlent leur commune origine et leur identité de nature en se combin
ces manifestations (la plupart d'entre elles au moins) ont un lien commun qui les rattache les unes aux autres et permet
taines formes de délire transitoires ou durables. ' Or, c'est chose commune de voir l'hystérie se développer sur un fond de
, sans arriver jusqu'à la conscience (et les idées de ce genre sont communes dans l'hystérie), elle constituera une idée sub
it d'autre part combien chez les hystériques les intoxications sont communes . On y observe couramment l'alcoo- lisme, le mor
du caractère et des instincts, mais pour lui ces perversions, moins communes qu'on ne l'a dit, n'ap- partiennent pas à l'hys
érations histologiques. Ces deux hypothèses présentent ce caractère commun , à savoir que toutes deux impliquent l'idée qu'
rvés aux alcooliques. Dans cet asile les services gé- néraux seront communs . C'est absolument comme si l'on ne faisait rien
lcooliques. Or, avec des services 260 SOCIÉTÉS SAVANTES. généraux communs à chaque instant vous, courrez le risque de voir
tés des aliénés ordinaires. De plus il y aura des services généraux communs aux deux sections. A cette organisation, je voi
rois donc qu'il y a intérêt à ne pas établir de services géné- raux communs au quartier d'alcooliques et au quartier affecté
extrêmement pénibles. Or ces phénomènes, contrairement à l'opinion commune , retentissent fréquemment sur l'intelligence et
ants, avec une étiologie différente, et non pas autre chose. D'un commun accord, nous instituâmes le traitement : des to
e remarque s'api plique, non aux villes, mais seulement aux petites communes rurales du flépartement. Quant' aux vésanique
sons diverses, et surtout à la raison* d'économie, dans nos petites communes . Ce mal que je signale était certainement plus
ce sujet, je noterai que certaines conceptions délirantes sont très communes chez nos mélancoliques. Beaucoup de ces malades
é, l'exagération morbide d'un sentiment d'avarice malheu- reusement commun chez les paysans. Quelques mots encore, en fini
euses elles-mêmes, sous l'influence d'une dépravation du goût assez commune chez les hysté- riques. Si on ajoute à cette dé
é- ment troublé, car c'est là le côté le plus intéressant de leur commune folie. - La raison de la physionomie spéciale q
des ursulines ait été compliquée de nymphomanie. Mais le caractère commun de leur état mental, intercalaire aux crises, f
trois groupes, distincts symptomatiquement, tout en ayant une base commune : l'hérédité. SOCIÉTÉS savantes. 329 ? PREl'ARA
petite vallée sur la rive droite du Chavanon; il fait partie de la commune de Monestier-Merlines, canton d'Eygurande, arro
médecins des districts du grand-duché de Bade de retirer des écoles communes les enfants épileptiques dans l'intérêt de leur
ement voué que l'aliéné qui rentre guéri, mais désarmé, dans la vie commune ? La mesure que nous proposons, eh lui réservan
t à l'arrêté du statthalter, du 9 septembre 1874, il faut, dans les communes , tenir un registre des crétins, aliénés et sour
s troubles intellectuels acquis, les magistrats devront envoyer aux communes les'copies des actes d'interdiction ou de tutelle
x émotions. Actes peu pondérés (disparition des sensations réflexes communes ) semble vivre en rêve quoique éveillé. P. K.
'autre de ces deux variétés d'impres- sions, elles ont ce caractère commun de n'être parfois que par- tiellement communiqu
mme à femme et de femme à homme. 3° La nécessité d'une longue vie commune aussi intime que possible avec un aliéné n'est
ntes pharyngiennes. Ce sont exactement les mêmes symptômes qui sont communs à l'hys- térie et à la neurasténie; à côté de c
), la paralysie de la voix (mutisme de la ter- reur). Que de points communs et trop tranchés pour pouvoir être considérés c
ane limite d'un côté les dortoirs, de l'autre les salles de réunion communes où les malades sont passés après le leveretpren
vement et ouvre aux malades qui le désirent ; salle d'obser- vation commune pour les nouveaux et les mélancoliques à idées de
5° un certificat de bonne vie et moeurs délivré par le maire de sa commune ou le commissaire de- police de son quartier. T
4° un certificat de bonne vie et moeurs, délivré par le maire de sa commune ou le commissaire de police de son quartier ; 5
écrite, 30 points. Les plantes et substances à reconnaître seront communes à tous les candidats qui subiront les épreuves
e, font défaut ou sont insignifiants. Les formes cliniques les plus communes , de beaucoup ont une marche chronique. On est e
emarque. Il convient d'ajouter que, parmi les maladies infectieuses communes , la tuberculose seule parait capable de créer d
temporal après section du sympathique et compression de la carotide commune , provoquant une diminu- tion de l'afflux du san
toutes ces expressions. Ces troubles intellectuels ont un caractère commun ; c'est l'incapacité des malades de venir à bout
clusions erronées qu'il leur est impossible de rectifier, leur sens commun fonctionnant mal, et qu'ils persistent à développ
que nous venons d'énumérer de l'amentia ont pour signes distinctifs communs : l'état de trouble de la connais- sance qui pe
tématique ou paranoïa. Un delirium tremens n'a, à mon sens, rien de commun avec la paranoïa, si ce n'est les hallucination
-il des traditions classiques. Il nous manque avant tout un arsenal commun d'observations à description suffisamment exact
l'étude de la méningo-encéphalite diffuse, la plus grave et la plus commune des maladies mentales. Il n'est pas de médecin
11 (1934) Oeuvre scientifique
S (VIe) 1934 ===== Université Pierre et Curie Pari ? VI Service Commun de Documentation Médicale Bibliothèque Charcot
ère que les troubles ophtalmoscopiques sont des manifestations fort communes des affections les plus courantes du système ne
ec des verres de couleur; de plus la para- lysie du moteur oculaire commun , même quand elle est partielle, lors- qu'elle p
d'une altération du nerf facial avec l'intégrité du moteur oculaire commun et nous permet d'établir que ce sujet est attei
en erreur. Or, il existe deux signes, qui sans être constants, sont communs dans l'accès épileptique etquisont bien plus im
s hystéro-organiques sont chose fort t/t LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE commune . Les faits de ce genre sont complexes et en de pa
saires pour arriver au but. Ces faits, d'ailleurs, ne sont pas très communs dans la pratique habituelle, hormis les cas d'a
s motifs divers. Il faut tenir compte d'abord d'un état d'âme assez commun , celui d'un homme n'ayant pas l'habitude de l'o
rtis, s'observent ; aussi ces crises sont-elles devenues bien moins communes et, quand il s'en produit, elles sont généralemen
t d'égards si différentes les unes des autres, ayant pour caractère commun de donner naissance toujours ou parfois, suivan
tensité moyenne. 38 SÉMIOLOGIE système pyramidal il est bien plus commun , sans l'être toutefois autant que l'extension d
remier genre d'erreur. L'erreur du deuxième genre est extrêmement commune . Que de fois n'ai-je pas été consulté par des p
ccasion par la suite d'indiquer, à cet égard, les variétés les plus communes que l'on observe. L'irréflectivité, quand elle
arce que l'on considérait l'absence du réflexe achilléen comme très commune à l'état normal. Or, ayant montré que ce réflex
evue ; il ne sera question ici que de la sciatique, qui est la plus commune des névrites localisées, et de la névrite radia
ible. Au contraire, l'absence du réflexe achilléen, phénomène assez commun dans la scia- tique, permet d'écarter l'hypothè
quons que si la symétrie dans la subréflectivité est rare, elle est commune dans la surréflectivité. On l'observe, en effet
ition, se présente sous des aspects divers. Les deux modes les plus communs sont : ' a) La surréflectivité unilatérale, lié
l'hémiplégie cérébrale organique. Voyons d'abord la variété la plus commune , l'hémiplégie vulgaire de l'adulte, produite pa
vent notée C) et où les lésions des noyaux gris centraux sont assez communes . Mais, dans l'état actuel de nos connaissances, i
e. 1910, t. XIX, p. 9). 68 SÉMIOLOGIE est un symptôme extrêmement commun ; ce qui se conçoit d'ailleurs aisé- ment en ra
variété d'association d'une hémiplégie avec le tabès qui i est très commune : les réflexes du membre inférieur restent abolis
égie faisait suite au tabes; c'est d'ailleurs l'éventualité la plus commune . Nous avons vu que la subréflectivité pou- vait
s, la méningo-myélite syphilitique de la région cervicale est assez commune . RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 73 fle
es de défense aux membres inférieurs ; ce sont de beaucoup les plus communs . Mais il faut savoir qu'on peut observer aussi
articulièrement étudié par Rossolimo, son absence est beaucoup plus commune . Mais, dans cet ordre de faits, la (') MM. Mari
xes tendineux sont normaux, affaiblis ou abolis, sont beaucoup plus communs que les précédents. Je rappelle que, dans l'hémip
plusieurs neurologistes ('). Cette forme de contracture, surtout commune aux membres inférieurs, peut atteindre en même
anatomique ('). Il est certain que l'hémiplégie organique est plus commune dans les périodes avancées de la vie que dans l
entes ne s'appliquent qu'aux manifestations de l'hystérie, les plus communes du reste, qui sont susceptibles d'apparaître et
émiplégie vulgaire associés à une paralysie du nerf moteur oculaire commun qui occupe l'autre côté du corps. Je viens d'
ns portant sur diverses parties du membre inférieur est un des plus communs et l'on a couramment l'occasion de l'observer en
ux phénomènes. Les cas où cette dissociation existe, sans être très communs , ne sont pas tout à fait exceptionnels ; j'en a
scles extenseur propre du gros orteil, jambier antérieur, extenseur commun des orteils et parfois des muscles péroniers.
ar plusieurs neurologistes. « Cette forme de contracture, surtout commune aux membres inférieurs, peut atteindre en même
éparé de cette ligne de 2 à 3 centimètres. Cette erreur est surtout commune quand on pratique une série d'excitations success
t évidemment rares, mais d'une manière absolue ces faits sont assez communs (nous n'avons en vue, bien entendu, que les suj
lyse, une première cause d'embarras, d'un genre, il est vrai, assez commun en pathologie. Mais il surgit ici un obstacle,
constitueraient seulement des phénomènes d'emprunt, ou qui seraient communs à ces deux ordres de lésions. Ce sera l'objet d
isamment attiré l'atten- tion. D'après ce que j'ai vu, il est assez commun ; il me paraît mériter d'être recherché systémat
rale, que l'on attribue à la neurasthénie. C'est là une erreur très commune , comparable à celle que l'on commet souvent aus
rappelle que ce trouble constitue un des signes objectifs les plus communs de l'hémiplégie organique, qu'il fait défaut da
sous forme d'accès se produisant fréquemment et ayant les caractères communs suivants : au moment de la respiration les nari
nstante. Cette notion de constance dans les anomalies observées est commune d'ailleurs à toutes les épreuves vestibu- laire
nctériens. Ces phénomènes sympathiques et médullaires à topographie commune marchent de pair, apparaissant en même temps et
l'observation. La contracture, à la vérité, est un phénomène très commun dans la syringomyélie et provient d'habitude d'
E) Je suis porté à croire que le tabes hérédo-syphilitique est plus commun qu'on ne le pense généralement, mais que, comme
crois cependant pouvoir affirmer que les cas de ce genre sont trop communs pour qu'il soit permis de n'y voir qu'une simple
du radius, décrite par l'un de nous('). Mais dans les cas les plus communs , où la lésion siège à la région dorsale, les ré
, le cervelet, les origines des nerfs crâniens : 111. moteur oculaire commun , V. trijumeau, VIII. acoustique, G. gomme encas
opposition avec la paralysie radiale par compression qui est. très commune et bien connue. Tandis que dans celle-ci la par
es si l'on arrive à déter- miner des caractères faciles à observer, communs à toutes les manifesta- tions de l'hystérie et
ies, les contractures, les anesthésies. Quels en sont les attributs communs ? On peut dire que ces divers troubles sont purem
nc poursuivre l'examen et rechercher d'autres caractères, à la fois communs à toutes les manifestations hystériques et spécia
oire d'un nerf, comme, par exemple, la paralysie du moteur oculaire commun ou la paralysie du moteur oculaire externe. Les
s en montrant que les phénomènes névropathiques en question étaient communs chez l'homme, chez l'enfant, avant la puberté,
s hystériques, les associations hvstéro-organiques étant chose très commune . Si l'atrophie musculaire simple, sans D. R. pe
s vous déclarer que vous n'y arriverez pas. Les hyperesthésies sont communes dans l'hystérie, mais elles ne sont pas cantonn
s'appli- quant spécialement à chacun d'eux, un terme qui leur fitt commun et qui désignerait cette association nosologiqu
est mise en jeu, surtout dans les salles d'hôpital, et combien sont communes les associa- tions des troubles pithiatiques av
amais présenté, on constate qu'ils ne sont pas plus marqués ou plus communs chez les uns que chez les autres et on est cond
en. Il est donc impossible de leur appliquer un terme qui leur soit commun ; la logique s'y oppose. Cela établi, il faut
rac- tures qui duraient des années et qui étaient des troubles très communs autrefois, sont devenus fort rares. On ne voit
es aspects du som- meil hypnotique, entre autres à cette forme très commune où le sujet, les yeux fermés, parle et répond a
ie on excite par la pres- sion un muscle quelconque (le fléchisseur commun superficiel des doigts par exemple), celui-ci s
'à produire une excitation sur le muscle antagoniste (l'exten- seur commun en l'espèce) pour faire disparaître la contractur
t les engendrer, elles devraient être de nos jours à peu près aussi communes que par le passé, car les tristesses de la vie
faits de ce genre existent et sont même ou, du moins, ont été très communs . : Envisageons, par exemple, l'hémianesthésie s
plexe. Les associations hystéro-organiques nous paraissent en effet communes à la suite de traumatismes de ce genre. La réal
tances qui ne sont pas favorables à la suggestion ; elles sont très communes dans les conjonctures contraires ; leur fréquence
lysie amyotrophique. L'exal- tation des réflexes paraît un symptôme commun à ces divers modes de troubles de motilité. Ceu
nt partie du groupe des phénomènes dits réflexes. Ces troubles sont communs dans les cas de lésions dues à des blessures par
ries de paralysies et de contractures, ayant toutes pour caractères communs d'être d'origine trau- matique, de ne pouvoir ê
ns les petits muscles des extrémités que le phé- nomène est le plus commun et le plus net, toutefois on l'observe égale- m
LEXE 573 être ainsi. Les associations morbides sont, en effet, très communes et viennent singulièrement compliquer le problè
que des adhérences cicatri- cielles et des rétractions qui sont si communes à la suite des blessures de guerre. A vrai di
ré- quence dans la paralysie amyotrophique réflexe, est encore plus commune qu'on aurait pu le penser, puisque l'examen pen
épondre particu- lièrement ces états parétiques ou hypertoniques si communs qui prédo- minent aux extrémités et qui s'accom
'ajoute que la démarche n'est pas celle de la paralysie spasmodique commune , car la pointe du pied se soulève bien à chaque
12 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
ue à l'avance par le chirurgien d'après l'inspection des parties, est commune aux divers modes de traitement où il s'agit d'int
océdé, d'un emploi peu sûr en lui-même, réunit en outre, aux accidens communs de la cautérisation, toutes les difficultés et le
s qui n'ont pas les mêmes avantages, la récidive étant l'inconvénient commun de tous les modes de traitement par di-latation d
l'excision de la conjonctive, de la fixer à la peau par une cicatrice commune , de manière à s'opposer à un nouvel allongement.
ue de la médecine opératoire, il faut considérer, sous la distinction commune de tumeurs palpébraies, toutes celles qui ont leu
hypertrophie cel-luleuse, provoquée par diverses causes dont la plus commune , d'après M. Lisfranc, serait un orgeolet non supp
par la dilatation des capillaires de la con-jonctive. Comme caractère commun , l'un et l'autre sont formés par de petits vaisse
ude de la main qui agit. Cette position face à face de son malade est commune à toutes les opérations sur l'œil, lorsque le chi
e étranglé dans la section de la cornée trop étroite , accident assez commun dans les cas de section impar-faite , où elle a é
e dans le lobule de l'oreille. Dans nos climats, les tumeurs les plus communes sont de nature fibreuse et surtout érectile. On e
oncée que celle du pavillon. Ti'otoplastiquc, qui, à part le danger commun à toutes les opérations sur la peau du crâne, ne
rs degrés qui entraînent des modifications dans le procédé opératoire commun , l'excision. i° Bourrelet muqueux. Sorte de bos
nue des anciens, et que rien n'autorise à penser qu'elle ai été moins commune de leur temps que de nos jours, il ne parai pas c
écartement de la voûte palatine avec la scissure de la lèvre est très commune surtout dans le bec-de-lièvre double. Les différe
dessus la fistule cutanée. Jusque-là tous les procédés, dans le but commun d'établir un canal artificiel par un corps étrang
situation de la plaie dans un encastrement osseux. L'accident le plus commun a été la paralysie du côté correspondant de la fa
nx etde la langue: mais surtout nous avons vu (pie l'accident le plus commun est la paralysie d'une moitié de la face dans le
ur, cette glande, en cas de dé-générescence, fai t souvent une tumeur commune avec la parotide : mais si elle est seule malade,
n spéculum entre les arcades dentaires du côté sain. Ces dispositions communes aux divers modes opératoires étant prises, voici
opératoires étant prises, voici les diverses modifications du procédé commun . i° Cancer de la pointe ou de. l'un des bords d
e chro-nique, hypertrophie ou dégénérescence, est une affection assez commune et tellement gênante pour la déglutition et la re
ion purulente dans l'épaisseur de l'amygdale est une des terminaisons communes de l'angine tonsillaire. Ici, comme dans tant d'a
on et la déglutition. Le cancer, en ce point, est une affection moins commune , mais qui se rencontre néan-moins, malgré l'asser
de pression du pouce, qui fait faire bascule à son manche sur la tige commune , la tumeur, fortement attirée vers la bouche, vie
encontrer des fistules aériennes de la trachée ou du larynx. Les plus communes , et celles dont on est le plus fondé à espérer la
tomac CATHÉTÉRISME (Pl. 24, fig. 2, 3). Cette opération , la plus commune et la plus simple, se pra-tique pour elle-même, e
e où la sonde pourrait pénétrer dans le larynx , accident encore plus commun , et dont un exem-ple a été vu par M. Worbe : la
parties qui le recouvrent. Appareil instrumental. Outre les objets communs à toutes les opérations , l'instrument essentiel
m-pernelle, oblique de haut en bas et de dehors en dedans, direc-tion commune avec celle du plus grand diamètre de la glande et
ou dans l'opération de l'empyème semble devoir être un accident assez commun . Le danger de cette hémorrhagie, qui donne souven
inq seulement sont morts. 3° Épanchement de sérosité. C'est le plus commun , celui pour lequel l'opération a été pratiquée,
t ancienne, il est plus habituel que de larges adhérences unissent en commun les lobes du poumon entre eux et avec les plèvres
ller les phénomènes quise présenteront. D'un autre côté, il est assez commun , par suite d'étourclerie, de maladresse, ou par
et celle de l'intestin, com-prises mal-à-propos, sous la dénomination commune de gastro-nomie. Mais, pour adopter des opération
lus et l'in-vagination en offrent des cas d'application beaucoup plus communs . C'est donc plus particulièrement à propos de l
pour que nous nous rangions à cet avis; rien, en effet, n'étant plus commun après la réduction de hernies, que de voir persis
risation directe des lèvres des membranes muqueuses, rien n'é-tant si commun aux diverses membranes de la face et des orifices
e s'est conservé le souvenir de quatre chirurgiens , qui opéraient en commun , à Paris , vers la fin diixin" siècle. Leur proc
DES HERNIES DE L'ABDOMEN. « H y a peu de maladies qui soient aussi communes , aussi di-« versifiées dans leurs espèces et leur
nveloppe péritonéale, c'est-à-dire le sac ; car le sac est une partie commune à presque toutes les her-nies, sinon à toutes, ta
les fibres les plus élevées du muscle crémaster, la tunique fibreuse commune et la tunique propre au cordon. En outre, le même
s particulières de hernies, aussi bien qu'à celles qui, beaucoup plus communes , doivent nous occuper de préférence. manoeuvre
voir par leur description , tous ces procédés opératoires ont un but commun , celui de dé-truire l'éperon ou cle neutraliser
e l'opéré. Il a trait au nommé Ver-guin, habitant du village d'Houme, commune de Fouquebrune, arrondissement d'Angoulême, leque
e côte, en bas par la crête de l'os des îles, en arrière par la masse commune ; au sacro-lombaire et au long dorsal, et en avant
ntinue en arrière avec celles qui passent derrière et devant la masse commune et devant le carré des lombes, ne l'est pas; vien
ure dont la direction est assez bien indicpiée par celle cle la masse commune au sacro-lombaire et au long dorsal, qu'on trouve
bjet du chirurgien, en réunis-sant les deux conduits par une incision commune , est de faire cicatriser le trajet accidentel en
connue, et il y a lieu d'en être surpris. Sans être préci-sément très commune , cette maladie pourtant n'est pas rare, puis-que
chemens rayonnes cpii, d'un seul orifice interne, arrivent à un foyer commun ou à plu-sieurs orifices externes ; soit plusieur
n sur un appareil delà dilatation. HÉMORRHAGIES. Cet accident est commun à toutes les opérations qui se prati-dans le rect
ons de tumeurs hémorrhoïdales. HÉMORRHOIDES. Les hémorrhoïdes, si communes parmi les personnes cpii mè-nent une vie sédentai
garder à un aide. Quand les tumeurs sont multiples sur une large base commune , on en traverse par intervalle les som-mités, ave
nte à deux degrés diffé-rens : dans l'un, qui est de beaucoup le plus commun , la pro-cidence n'affecte que la membrane muqueus
Baudens. VARICOCÈLE. On comprend aujourd'hui sous la dénomination commune de varicocèle , la dilatation variqueuse des vein
phlébeo-tasie. Quant à sa situation, le varicocèle est beaucoup plus commun à gauche qu'à droite , et quant à l'âge, on le re
pas tou-jours ainsi, mais il paraît même que les accidens sont moins communs qu'on ne l'a cru. Voici le plus ordinairement ce
calcul échappe à toutes les recherches du cathétérisme. Rien de plus commun , par exemple, que de rencontrer des malades qui o
a vessie peuvent en imposer pour des calculs. La circonstance la plus commune est l'existence des colonnes charnues contre lesq
es faits, sur tous les malades des diverses catégories, les résultats communs sont : une amélioration ou une apparence de guéri
lande est dure et comme fibro-cartilagineuse ; c'est une maladie très commune chez les vieillards. Lorsqu'elle coexiste avec la
t de les retirer ; avec les pinces à trois branches, ils étaient plus communs que depuis qu'on emploie le percuteur et le brise
oit pas étouffée sous le poids des efforts contraires, dans l'intérêt commun , il faut un peu fermer les yeux et lui venir en a
s, dont M. Civiale a fait usage pendant 12 ans, tandis qu'au jugement commun de tous les chirurgiens, les nouveaux instrumens
appelée aussi artère bulbeuse, se dè. tache presque toujours du tronc commun au niveau de l'extré-mité externe du muscle trans
ienne ville italienne de Nor-cia, dont quelques habitans, sous le nom commun des Norcini, auraient acquis une grande réputatio
u scro-tum et Yengorgement des testicules. Ce dernier accident, assez commun , dépend de la division ou de la contusion des can
ue l'on a trouvé de meilleur dans chacune d'elles, résulte un procédé commun qui n'appartient à personne en particulier. On l'
dessus du pubis. Pour y parvenir se succèdent trois temps opératoires communs à tous les procédés : la section de la paroi abdo
ois la méthode générale , dérivée du fait lui-même, et par conséquent commune à tous les chirurgiens, en consignant, à propos d
t pro-bable que le jeune chirurgien que nous combattons subira la loi commune , lorsque quelque fâcheuse infiltration d'urine da
et à part, et en quelque sorte un art spécial, par les considérations communes aux deux sexes auxquelles donnent lieu les points
et les opé-rations des organes sexuels de la femme n'ont plus rien de commun avec celles des organes de même dénomination chez
st uni par un tissu cellulaire dense et serré, de manière à former en commun la cloison intermédiaire aux deux cavités. Cette
vaginale lorsqu'on veut le fermer pour le retirer, mais il a cela de commun avec tous les autres spéculums brisés et à dévelo
cet égard, MM. Ribes et Velpeau s'étaient déjà séparés de l'opi-nion commune en admettant la possibilité de pratiquer l'énuclé
et même impossible. La guérison spontanée de ces ulcères est. assez commune . Il est arrivé à beaucoup de chirurgiens de décou
nt, d'après la plupart des auteurs , cet accident ne serait pas aussi commun . Ainsi, Sanson dit que l'écoulement de sang est e
es différentes, qu'il réunit, avec les premières, sous la désignation commune de Chirurgie sous-cutanée. Nous avons donc à pr
i fraction se placent le strabisme et le bégaiement, «le domaine commun , la plupart de leurs procédés appartenant à des c
cas rencontré par M. Amussat). Le strabisme convergent est le plus commun de tous dans une proportion de 25 : 1 d'après les
et en bas environ : : /j ou 5 : 1; ce qui rend ces derniers déjà peu communs . Les strabismes horri- (1) Traité des mal. chir
smodique. C'est de l'aveu de tous les ténoto-mistes, la cause la plus commune . C'est vers l'âge de trois à cinq ans que se prod
dique, et toutefois reconnaîtrait les mêmes causes, rien n'étant plus commun pour les affections nerveuses que de produire des
nérescences, comme nous le ver-rons plus loin, doivent être bien plus communes . Toutefois on ne peut rien statuer à ce sujet, qu
si deux muscles seulement se contractent simul-tanément, le mouvement commun est la résultante moyenne à angle de 45 degrés; s
ble qu'en rappro-chant de cette considération celle de l'inexpérience commune dans un sujet encore si nouveau , on peut espérer
les renseignemens nécessaires sur l'opération qu'il annonce lui être commune avec son beau-frère. L'objet de M. Amussat a été
ire lâche qui unit la conjonctive à la sclérotique, est un fait assez commun , surtout dans les procédés où cette membrane n'es
e petit malade aurait guéri. 3° Inflammation. Cet accident est plus commun , mais bien rare encore, puisque sur plusieurs mil
ais toutefois le silence du public à cet égard prouve qu'il n'est pas commun . 5° Granulations. Bourgeons charnus. Laissons p
3° Incertitude du regard après l'opération. Voilà le résultat le plus commun de la myotomie oculaire et la source des repro-ch
de du regard avec la récidive, fait très différent et déjà bien assez commun en lui-même, et que cette confusion tendrait à fa
nt à la section très rare du droit inférieur. Son application la plus commune est, en coïncidence avec celle du droit interne,
r à l'avance. 2" Dans le strabisme externe et supérieur, il est assez commun que l'on soit obligé de couper ultérieurement le
nt plus grande. Suivant M. Dufresse, qui avoue nettement l'igno-rance commune à cet égard , on ne peut assurer d'avance com-bie
es. Nous ne reviendrons pas sur les accidens possibles déjà connus, communs à toutes les variétés du strabisme, tels que l'ec
rrait citer un grand nombre d'exemples de ce genre, rien n'étant plus commun que les rétractions multiples sur un même sujet,
de porter très souvent dans la plaie un doigt enduit de miel rosat ou commun , et de relever doucement la langue, afin de s'op
ère au moins lui appartient aussi originale, en raison de l'ignorance commune du passé, que si aucun chirurgien n'y avait songé
, suivant l'aveu de M. Phillips lui-même, auraient-elles concentré en commun les idées sur la méthode opératoire sous-linguale
exte et les planches signées par l'auteur s'accordent dans une erreur commune , il nous est permis de le juger rigoureusement, s
e, nous semble militer fortement en faveur de la méthode qui leur est commune . Procède de M. Baudens (i). Le voici textuel :
osent. Le pied-bot en, général, est de toutes les difformités la plus commune : on estime qu'il se présente à l'état congénial,
équence proportionnelle de ces variétés, le varus est de tous le plus commun . L'équin ne se présente, dit M. Phillips, propor-
ellement au varus environ que : : i :à io; le valgus est encore moins commun ; enfin le talus et le plantaire sont les plus ra
Les muscles rétractés, dans le talus, sont les extenseurs propres et communs des orteils, le péronier antérieur et parfois le
sculaires de la face op-sée. De ces trois formes principales, la plus commune est la demi-flexion permanente avec concavité sur
ssi ne peut pas amener de grands résultats dans des cas de rétraction commune où l'action des fléchisseurs est la principale. E
ale du rachis. Mais si le fait que nous venons d'é-noncer est le plus commun , on conçoit que, dans d'autres cas, la rétraction
que féconde, pour contri-buer à la répandre, désirant, pour l'intérêt commun , que l'exem-ple de M. Guérin trouve des imitateur
calement sur le plan moyen, la cloison nasale étant enlevée. Objets communs aux deux figures. Plan de section des os. a, de
s fermés. dards-érignes. (Pupille artificielle.) Nous rangeons en commun , sous cette dénominatiou, des instrumens composés
ION DE LA STAPHYLORAPHIE. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. Disposition commune à toutes les figures. Dans toute opération de sta
ir une anse libre derrière le voile du palais. Ce mode de passage est commun à toutes les liga-tures. Figure 3. Procédé de M
grand dorsal et la portion du carré des lombes qui dé-passe la masse commune du sacro-spinal, et, en avant, les trois grands m
ylindre inférieur, le supérieur étant enlevé. INDICATION DES SIGNES COMMUNS AUX DEUX PLANCHES. (a ) Section de la paroi abd
te l'en-bouttle la sonde d'argent a double courant, de M. J. Cloquel, commun à celte sonde et à celle n° 3. Figure il. Sonde
ithotritie vesicals. ADULTE, DEMI -"N ATURE. disposition générale commune aux trois figures. L'opération est représentée
nde articulée de M. Leroy-d'Etiolles. Cette manœuvre opératoire est commune à toutes les opérations de litho-tritie. Figure
inale de la poche utéro-vaginale. (d ) Portion utérine. La dilatation commune a fait disparaître l'étranglement formé par le co
r cadavérique \ ne sur le profil des parties disséquées. Indication commune aux deux figures, a. Section de la paroi abdomi
u tendon médian du droit externe (c) montre celle double dis-position commune aux quatre muscles droits; (d) plan de section du
la ligure. FIGURE 6. Section sus-tendineuse du tendon de iexlenseur commun des orteils, immédiatement au-dessous du ligament
sa main gauche (c) le chirurgien appuie sur le tendon de l'extenseur commun au-dessus du ligament annulaire, et la main droil
ion pour les divers procédés sous-cutanés, avec la position du malade commune à toutes les opérations. Les deux mains ( a, b) d
13 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne pas chercher à s'évader et pour la nuit il couchait au dortoir commun , où la surveillance était plus effective. Je sava
périlleuse pour tout autre que lui, car il était d'une agilité peu commune et sur un toit il était aussi à son aise que su
xes, dans le même asile, où certains services sont nécessaire- ment communs , ne soit un obstacle insurmontable à cette libert
es minutes, en une salle de spectacle. En créant une usine centrale commune aux deux asiles, pour l'électricité et l'eau, l
qui servent à sa toilette et qui. dans la plupart des asiles, sont communs à tous les malades du même quartier. En arrière
ment. L'asile de Maison-Blanche ne comporte pas de salle de couture commune à ' Et dans nos salles de gâteux. (B.) 32 '
tion et sa participation de plus en plus marquée à la vie sociale commune expliquent l'essor pris par la maladie. 8° Comm
est certain que la similitude de tempérament produite par un milieu commun , ce que Strahan a appelé la cou- REVUE DE MÉDEC
ur tout individu incapable de se réadapter aux conditions de la vie commune , par la relégation perpétuelle e dans des colon
de qua- lifier d'aliénés l'immense majorité des criminels de droit commun . En somme, selon 11. Miguel Bombarda, « la cons
endémique soit sporadique étaient groupés ensemble dans des asiles communs . Fagge, en séparant le crétinisme sporadique de
5° enfin l'abcès du cerveau principalement sous la forme la plus commune , celle qui est consécutive à une otite moyenne.
mine ce travail par quelques remarques sur trois points qui étaient communs à ces deux cas : 1" l'absence de réflexes rotul
notre pays des facilités extraor- dinaires. Et nous savons que nos communes rurales ont eu de plus en plus à souffrir de la
vagabonds, dont les causes restent obscures. Et d'ailleurs, si les communes rurales ne sont pas mises en état et en demeure
en. Mais les vagabonds arrêtés pourraient être renvoyés dans leur commune natale ou mis à la charge de celle-ci. 3° Vache
tiques, et fait une large part au bon sens, bien que le sens, dit commun ne soit pas toujours le meilleur, le plus fin, le
ritabilité de l'humeur, et il ajoute que les accès de violence sont communs , ainsi que les illusions supposées, « supposed
chirurgi- cales, débilitation générale, etc., les maladies les plus communes dans les familles des paralytiques généraux son
pent différemment sui- vant les espèces. Mais le premier groupe est commun à toutes; c'est lui qui doit être produit par l
ÉS SAVANTES. 167 ï pagner de délire à deux si les malades vivent en commun . Les cas de démence précoce, prématurée ou prés
Note sur les progrès DE l'alcoolisme dans NOS campagnes Dans une commune rurale du département de l'Eure, G..., dont les
renseignements puisés à des sources sûres, il serait bu dans cette commune , qui ne compte guère que 000 habitants, plus de
e proportion dans la consommation constatée par la régie dans cette commune ; et cette consommation augmente chaque année. O
un tel régime sur la santé et la moralité des individus. Les autres communes suivent de très près celle dont nous venons de
Durant son enfance, pendant l'adolescence, il échappa aux maladies communes à cha- cun de ces âges. En particulier il n'eut
i ne peuvent rentrer logiquement dans les descriptions des maladies communes , et que l'unique forme décrite jusqu'à ce jour,
particulière d'affaiblissement psychique acquis, sont d'autre part communs à ces cas, et à ceux-là seuls qui en grande par
énés, et surtout dans les vieux asiles est proportionnellement plus commune comme cause de mortalité que dans la pratique m
t l'homologie est complète avec la spondylose rhizomélique à marche commune , frappant tout d'abord les membres inférieurs.
lissement qui détruit le noyau rouge, les fibres de l'oculo- moteur commun et une partie du pied du pédoncule ; dans le pé
affleurant les fibres de l'oculo- moteur gauche. Le moteur oculaire commun droit était complète- ment dégénéré. Enfin, il
t ivre. Il mettait le feu pour pouvoir boire encore aux frais de la commune et après l'heure réglementaire, puisque en cas
inégalité, troubles des réflexes) sont fréquents dans les maladies communes ; les variations que peuvent subir, dans le cour
troubles pupillaires seraient très rares chez les tuberculeux, plus communs dans les anémies, très fréquents dans les malad
nt au sphincter irien et à la branche pu- pillaire de l'oculomoteur commun . Par quelle voie anatomique ? 314 REVUE D'ANATO
laire du facial a son noyau original dans le noyau de l'oculomoteur commun (Mendel). La clinique et la physiologie expérim
ici par exem- ple une malade atteinte de paralysie de l'oculomoteur commun du côté gauche depuis de longues années; l'eeil
lysie périphérique incomplète, par lesion osseuse, de l'oculomoteur commun ; la réaction pupillaire par la paupière permett
la période de réparation au début de laquelle serait l'oculomoteur commun ; les fibres pupil- laires de ce nerf sont déjà
xcessivement irritables parce qu'il y a eu névrite de l'oculomoteur commun , aussi la réaction est-elle fort énergique. P.
BETHE. (Neurolog. Centralbl., XVIII, 1899.) L'étude de l'écrevisse commune , sur laquelle M. Bethe se fonde pour combattre
rie, l'auteur se refuse à séparer l'hystérie grippale de l'hystérie commune . Celle-ci est bien une REVUE DE PATHOLOGIE NERV
u de passage pour l'articulation de tous les mots, ont une fonction commune , l'image motrice du centre d'association n'appa
ucoup les plus importantes, la suggestion verbale est aussi la plus commune et la plus puissante. La réalisation de l'idée
, comme ils peu- vent aussi se combiner pour la production d'effets communs . La plus grande partie de ce travail est consac
e, à ce sujet, que des hypothèses. Quoi qu'il en soit, la condition commune de tous ces phénomènes parait être une sorte de
n des neuvième et dixième nerfs dont les fibres motrices partent en commun du noyau ambigu, lequel est une continuation de
lusivement consacrée aux indi- gents et aux pensionnaires du régime commun , formerait un éta- blissement de moyenne valeur
était buveur lui-même, il lui donne, dès les premiers jours de vie commune , des habitudes d'alcoolisme. Du vin blanc tous
ète, saute sur certains nerfs crâniens, notamment sur l'oculomoteur commun , le facial, l'hypoglosse. Mais la mastication
iens qui se trouvent près du cercle artériel de Willis (oculomoteur commun ), de l'artère basilaire (oculomoteur externe, f
re. On se rappelle que Tschermak a, chez le chat, trouvé des fibres communes au noyau du cordon postérieur et au noyau lenti
leurs que le passage de la raison à la folie, chez ces malades, est commun , et que l'on perd le plus souvent entre le débu
t-à-dire la perte absolue de la conscience, est de beaucoup la plus commune dans l'épilepsie ; la seconde forme, où la pert
crois cependant pouvoir affirmer que les cas de ce genre sont trop communs pour qu'il soit permis de n'y voir qu'une simpl
facial établit que le facial supérieur a son origine dans le noyau commun de ce nerf. Ainsi se trouve détruite l'opinion
te et rapide de la sclérose combinée subaiguë. Il y a peu de points communs entre la paraplégie ataxique de Gowers et notre
sont de la période de déclin de leur vie. POULAIID. XXXIV. Formes communes de la méningite et leurs caractères cli- niques
journal of nervous and mental diseuse.) L'auteur réduit à 5 formes communes , les nombreuses variétés ' REVUE DE PATHOLOGIE
s habitudes d'ivrognerie. Sa femme ayant refusé de reprendre la vie commune , il l'a tuée d'un coup de fusil. (Le Bon- homme
urs années de travail, disparu- rent, brûlées sans doute pendant la commune . Dans cette doulou- reuse époque de la guerre e
malades et où il entretenait une ambulance à ses frais. Pendant la Commune , Neuilly fut bombardé et les pensionnaires tran
14 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de treize ans, tous les mois/avait une paralysie de l'oculo-moteur commun gauche. Celle-ci commen- çait par du mal de têt
ois, à l'âge de cinq ans, pris d'une paralysie du moteur oculaire commun de l'oeil droit en même temps que de nausées, de
boutissant à de la photophobie et à la paralysie de l'oculo- moteur commun ; ces accès duraient en tout deux ou trois sema
dans l'inter- valle un léger degré de paralysie du moteur oculaire commun . Une tentative faite à Koenigsberg pour corrige
orsqu'il fut vu par Manz, une para7 lysie totale du moteur oculaire commun droit, un ptosis très prononcé, une déviation t
re 1884). - Le, 8 septembre paralysie totale du moteur ocu- laire commun gauche; celle-ci avait disparu le 20 septembre. L
re et à la corvergence, les muscles innervés par le moteur oculaire commun ne se contractaient plus. Le peu d'intelligence
tats suivants : Phthisie tuberculeuse des poumons. - L'oculo-moteur commun gauche est aplati, gri- sâtre. Dans ses racines
légère tuméfaction mamelonnée des racines nerveuses. L'oculo-moteur commun droit, ainsi que tous les autres nerfs crâniens
crâniens n'est pas altéré. Les muscles innervés par l'oculo-moteur commun gauche ont subi la dégé- nération graisseuse. L
plastique du cerveau englobant complètement le nerf moteur oculaire commun , nous croyons devoir la récuser absolument, com
e ou de diallièses'dans la famille. (Rensei- gnements recueillis en commun avec M. Donner, médecin-major.) B... a eu, le 3
été constaté de paralysie alterne de ce nerf, ni du moteur oculaire commun avec hémianesthésie du côté opposé de la face e
faire une attaque d'apoplexie ou une hémiplégie, qui n'ont rien de commun avec ce que l'on est convenu d'ap- peler propre
point de vue de la marche des accidents, est plus légitime. La plus commune , celle que visent habituellement les auteurs da
mortel. Ce qui domine, c'est l'état d'accablement, d'affaissement, commun à toutes les formes d'acétonémie. Le malade, ép
eux grandes portes à vantaux; l'une de ces salles est le réfectoire commun , l'autre représente un salon de conversation av
bres au premier étage. Au rez-de-chaussée, sont : la salle a manger commune pour vingt-cinq malades et deux gardiens, de ch
- penses; mais, en certains cas, on obtient des contributions des communes . La direction suprême appartient au secrétaire d'
faisceaux de Meynert, laisser de côté les racines de l'oculo-moleur commun , subir un commencement de dissociation lissurale
agés, pourvus d'une exploitation agricole; 4° parce que la vie en commun avec de nombreux incurables agit défavorablement
'existence serait considérable; par conséquent, au point de vue des communes , comme au point de vue des malades, il y aurait
travail intellectuel quelconque et où il est fait des lectures en commun . L'asile compte une superficie de 43 hectares, en
te-cinq ans. Les maladies auxquelles ils ont succombé n'ont rien de commun avec le système nerveux. Collatéraux. Six frère
hiques qui existent chez B...; elle prouve jusqu'à l'évidence une commune origine et une commune nature. Si ces troubles
hez B...; elle prouve jusqu'à l'évidence une commune origine et une commune nature. Si ces troubles ont rapidement disparu
, chez notre malade, les lésions auriculaires et la folie ont une commune origine, répond, d'une manière on ne plus nette
sous l'influence des seuls recons- tituants, trahissant ainsi leur commune nature, par trouble de la nutrition. Ainsi enco
ls définissent : la maladie, simultanée et produite par une cause commune , de plusieurs systèmes. Il faut la dis- tinguer
« III. -Dans lescentres corticaux (agissant comme intellectorium '« commune ») : conscience intelligente; notion claire des r
ement surprenante qu'il est arrivé à « croire qu'il n'avait rien de commun avec eux, et qu'il s'est cru « autorisé à les r
les folies comprises sous cettedéno- mination n'ont aucun caractère commun ; 4° le groupe folie héré- SOCIÉTÉS SAVANTES. 2
sage. Le temps avancé s'oppose à plus ample discussion. l.aiiquel commun . (Allg. Zeitsch, f. Psych., XL11, 1.) P. KMAV.4
cultés de relation et de son entendement, participant aux exercices communs ainsi qu'aux travaux de la maison. A d'autres m
revient, parce qu'il a quatre autres faits observés et analysés en commun avec SrÛlILI.N(;IeR. Il s'agit de deux hommes e
côtés du troisième ventricule, que jusqu'au noyau de l'oculomoteur commun ou jus- qu'à son extrémité la plus antérieure.
- qu'à son extrémité la plus antérieure. Noyaux de l'oculo-moteur commun et du pathétique. Le premier se compose de groupe
nvoie des fibres au nerf. Le noyau ou les noyaux des oculomo- teurs communs sont en connexion avec des fibres issues de la
tude relativement à leurs rapports avec le noyau de l'oculomoteur commun . Vers la partie antérieure et au-dessus du noyau
as toujours facile de séparer franchement du noyau de l'oculomoteur commun ; dans ces cellules arrivent de nombreux tractus
situation de ce noyau est celle du noyau dorsal de l'oeulo-motetti, commun de Gnd- dot, mais ou n'a encore pu la détermine
, et, à côté d'eux, les dortoirs orientés au nord- est (deux salles communes et plusieurs petites chambres). Chacun des quat
contiennent chacune trois cellules précédées par une anti- chambre commune ; elles jouissent de l'éclairage latéral, et sont,
ellesdu personnel de la cuisine et du serrurier. Enfin, entre les communs et l'asile de traitement, on a, l'an dernier, é
es n'ont subi aucune avarie. Et cependant 73 individus mangent en commun à midi et le soir. Malheureusement le local est t
. L'on sait, en effet, que les névrites périphériques diffuses sont communes chez les tuber- culeux', et des faits, aujourd'
identiques de part et d'autre, la névrite segmentaire est également commune dans les deux portions du nerf. Nous ne sauri
u plusieurs segments en conservant toujours un fond de caractères communs et des tendances éminemment destructives. La
ez une jeune fille, d'ailleurs prédisposée, les émotions pendant la Commune . Réfugiée avec ses camarades dans les caveaux d
écouse, chirurgien de la Maison nationale de Charenton, maire de la commune de Saint-Maurice, membre du conseil général de
15 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Père mort d'accident, mère d'hydro- pisie. Un frère mort pendant la Commune . Aucun autre renseigne- ment précis sur les asc
ement entre notre cas et les paralysies choréiques qui, elles, sont communes et classiques. Ceux d'entre vous qui suivent
vait eu syphilis. L'auteur diagnostiqua : lésion centrale du centre commun des oculomoteurs communs, dans la région des tu
diagnostiqua : lésion centrale du centre commun des oculomoteurs communs , dans la région des tubercules quadrijumeaux, san
et les pédoncules cérébraux, gomme englobant les deux oculo-moteurs communs , surtout celui de droite. Cette lésion périphér
urs de l'at- teinte des fibres pupillaires centrifuges (oculomoteur commun et grand sympathique) ; ceux de la sensibilité
te les centres ganglionnaires de l'écorce cérébrale. Les cas, assez communs , dans lesquels le jeûne, l'anémie et généraleme
n la rencontre dans une catégorie d'autres maladies n'ayant rien de commun avec la paralysie générale, notamment dans les
qui vont de la glande pinéale au noyau supérieur de l'ocu- lomoteur commun et au faisceau longitudinal supérieur Le sys- t
meau - d'une substance grise particulière part la racine ascendante commune du système vague du noyau de Deiters part la ra
nt légitimement former uu groupe, tant en raison de leur palhogénie commune (frayeur) qu'à cause des caractères particu- li
ychiquement le mieux du monde, à raison de l'étroitesse de leur vie commune ; iinpressionnabililé anormale d'un organe centr
s séniles, délirants chroniques systématiques, idiots; le caractère commun de ces malades est la démence. Après avoir colo
euvent présenter au point de vue clinique, elles ont une pathogénie commune . Qu'on ail affaire à l'épilepsie vulgaire, qui
Neurologie. varia. 137 Î répartie entre deux gardiens du service commun de l'asile. Par des congés fréquents, la haute
chancelier de l'Echiquier, en présentant le budget à la Chambre des communes , a dit que les chiffres ci- dessus, extraits du
péroniers; le second anime le muscle tibial antérieur, l'extenseur commun des orteils et l'extenseur propre du gros ortei
muscles de la région antéro-externe (jambier antérieur, extenseurs^ commun et propre, péroniers) montre qu'ils se contract
gion correspondante aux muscles jambier antérieur et exlen- l seur commun , indiquant une atrophie non douteuse de ces muscl
oque aucune contraction des muscles jam- bier antérieur, extenseurs commun et propre. Les péroniers au contraire ont conse
l'investigation clinique. Les muscles tibial antérieur et extenseur commun des orteils sont le siège d'une réaction de dég
tabilité galvanique, dans les muscles tibial antérieur, ex- tenseur commun des orteils et extenseur du gros orteil. Péronier
externe inexcitable; - muscle tibial antérieur, néant; - extenseur commun des orteils Fig. 19 et 20. - Anesthésie pour le
solue directe et indirecte des muscles jambier antérieur, extenseur commun des orteils (sauf le faisceau du deuxième) exte
sente des troubles moteurs de même ordre que la chorée de Sydenham, commune , le plus souvent cependant les mouvements sont
uve également, dans une certaine mesure, dans la chorée de Sydenham commune . «..... Quoiqu'elle ne menace pas directement l
dans « une hémiparésie avec paralysie croisée du moteur ocu- laire commun , et tremblement des extrémités paralysées ». Ce
(la paralysie de la face pouvant remplacer celle du moteur oculaire commun ), il existe dès lors une grande analogie entre
n groupe de muscles ayant la même innervation, leur localisation si commune sur les ex- tenseurs du pied et de la main-- pu
ans des conditions très diverses, mais ayant toutes comme caractère commun la torpeur de la vie psychique, l'obnubilation
a paupière supérieure est innervé non seulement par l'ocu- lomoteur commun , mais par le trijumeau (le nerf mylobyoïdien fo
itale tient à un développement défectueux du noyau de l'oculomoteur commun , surtout dans ceux des éléments qui com- manden
u nerf (jambier antérieur, long extenseur du petit doigt, extenseur commun des doigts). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
. Zeitsch. f. Psychiat., XLIV, 1.) Trois observations ayant ceci de commun , que la maladie a débuté par de l'épilepsie jac
triques tournent l'un dans l'autre en sens inverse autour d'un axe commun . Le patient étant placé sur un tabouret isolant,
s, hémorrhagies petites et grosses), aux centres de l'oculo- moteur commun , de l'oculo-moteur externe, de l'hypoglosse, du
gone interpédonculaire tout autour de la racine de l'oculomoteur commun . Ni thromboses, ni embolies, ni oblitérations vas
nguer, comme il l'a fait l'an dernier dans un mémoire communiqué en commun avec M. Bourneville au Congrès international de
d'agrandissement de la Fondation Vallée située également dans la commune de Gentilly, sont là pour témoigner de la sollici
u deuxième groupe appartiennent les symptômes et syndromes qui sont communs à l'hystérie et à d'autres maladies. Cette di
e le rétrécisse- ment du champ visuel est un des stigmates les plus communs de cette névrose. 330 CLINIQUE NERVEUSE. se
à l'hystérie. On sait en effet que dans la migraine ophthalmique commune l'hémiopie est si fréquente que Mauthner a dési
e. Nous n'avons donc là rien qui distingue la migraine ophthalmique commune de celle qui relève de l'hystérie. On admet,
térie. On admet, comme on le sait, que la migraine oph- thalmique commune résulte d'un spasme temporaire - DE L'APPAREIL
hors rang » parmi ses semblables ; en faisant rentrer dans la loi commune le seul nerf, l'olfactif, qui jusqu'à présent a
e. . La malade qui fait le sujet de cette étude a été observée en commun par nous à la Salpêtrière dans le service de M. A
aient ressentir les im- pressions faites sur les nerfs de sensation commune . Quant aux sens spéciaux du goût et de l'odorat
voisinage et que, seules les branches terminales de l'oculo-moteur commun qui se rendent à l'intérieur du globe (nerfs ci
es nerveuses que nous envisageons ici ; elle relève de l'a- trophie commune des fibres nerveuses quelconques du cerveau y c
com- mune de l'arrondissement de Neufchâtel. A Baillolet, petite commune de 340 habitants, habitait la fa- mille Berbess
16 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'hypoesthésie à droite. Ces deux observations présentent des traits communs et des dissemblances- Chez la mère comme chez l
és, il résulte que les tics localisés peuvent offrir des caractères communs aux tics généralisés; aussi, convient-il de con
de haute taille, bien conformé; il a l'apparence d'une vigueur peu commune pour son âge. Ses artères temporales sont très
particulière du sommeil morbide propre aux aliénés, qui n'a rien de commun avec le sommeil hyp- notique et hystérique. L'i
qu'il faut rattacher l'aliénation mentale, mais à un autre élément commun à toutes ces perturbations; et comme le seul él
élément commun à toutes ces perturbations; et comme le seul élément commun est le trouble subi par la nutrition, force est
puscules amyloïdes de la prostrate et de la dégénérescence amyloïde commune . Ils résultent de la transformation des noyaux
n'y a pas assez de prolongements nerveux pris dans une explosion commune . L'action de la lumière produit sur l'extrémité
118 SOCIÉTÉS SAVANTES. trouve dans ces sortes de folies 12 signes communs qu'on peut ainsi résumer : 1° L'association f
e des troubles psycho- moteurs, hallucinations motrices verbales et communes , impul- sions ou phénomènes d'inhibition, les t
lésion simultanée de la moelle et des nerfs provoquée par une cause commune . SOCIÉTÉS SAVANTES. 131 III). M. le Dr IDNOW.
s fibres pupillaires de Bechterev (au noyau du nerf moteur oculaire commun ) n'existent pas; il n'y a de même aucune commis
nissent la rétine de l'oeil avec le noyau du nerf moteur ocu- laire commun . Les observations sur le rapport des fibres optiq
ale et de la responsabilité civile, l'application générale du droit commun . Ce compte rendu ne peut donner qu'une idée gén
emier-étage. ' , Le premier édifice destiné à 100 malades du régime commun (indigents) forme un asile complet avec ses sec
i viendra former son fonds spécial, le reste sera rapporté au fonds commun des établisse- ments de bienfaisance du comité
ue, l'autre à l'atrophie du type Duchenne-Aran, ont pour caractères communs une lésion nécessaire des cornes antérieures de
les deux muscles radiaux, ainsi qu'un des faisceaux de l'extenseur commun . Tous les autres muscles de l'avant-bras parais
du pied sont sains. A la jambe, seuls les péroniers et l'extenseur commun sont atro- phiés1.. « Examen histologique, No
les ont signalées dans des états patho- logiques qui n'ont rien de commun , il est naturel de penser, et le cas que nous r
gressive. (Société de Biologie, 18SG.) zou PATHOLOGIE NERVEUSE. commun d'observer la coexistence de diverses tares dégén
r chez elle et Ros... a joint, dans ses tics, ces deux penchants si communs chez les idiots : la nécessité du mouvement et
e possible dans la colonne des cellules du noyau de l'ocuio- moteur commun d'attribuer à tel ou tel groupe la fonction de
ssentielle ni une véritable entité clinique; 2° c'est un syn- drome commun à plusieurs classes de maladies ; 3° les cas les
pu, il y a eu hémorrhagie cérébro-spinale diffuse. M. GoLTZ a, en commun avec M. Ewer.n excisé de gros segments de moell
r examiné les avantages et les inconvénients : a. des grands'asiles communs à tous les genres de l'idiotie et de l'épilepsi
de mieux à faire en Silésie, c'était de construire de grands asiles communs iL tous les genres de l'idiotie et de l'épileps
catégories de malades « idiots et épileptiques en de grands asiles communs pourvu que le but « poursuivi soit l'instructio
lucination a une existence indépendante, avec tous les carac- tères communs aux obsessions en général (hallucination obsé-
ain, les constructions. L'ameublement et le matériel seront à frais communs . La dépense sera couverte au moyen d'un emprunt
ion. On mande de Bordeaux, 4 sep- tembre : Le village de la Chappe, commune de Queyrac, vient d'être le théâtre d'un assass
noplégie hysté- rique publiées jusqu'ici, quels sont les caractères communs à tous ces différents cas, tant au point de vue
. Ce trouble primitif et général qui porte sur les éléments moteurs communs à l'intelligence et à la volonté, déter- mine,
ns un grand nombre de cas après un ou plusieurs accès de mélancolie commune et ne se développant, dans les cas typiques, qu
tous les auteurs; l'auteur nous en fait connaître un exemple peu commun : l'asphyxie locale symétrique intermittente des
générale l'ont amené à conclure que la syphilis est l'agent le plus commun et le plus puissant dans la genèse de cette mal
tervient l'apparition des idées de gran- deur ; leur genèse la plus commune et aussi la plus logique a été souvent décrite
lire sensoriel et la paranoia chronique, elles ont des carac- tères communs dans quelques points essentiels; ce sont des para
oureux propre- ment dits, l'auteur remonte à leurs causes : la plus commune , et de beaucoup, c'est la neurasthénie; mais il
lle l'a singulièrement prédis- posé son état de paralysie : la plus commune de ces maladies ter- minales est la tuberculose
ide du délire et sa systématisation d'em- blée. Ces cas ne sont pas communs . Des antécédents syphilitiques dans la paralysi
, on ne rencontre que très accidentellement les lésions osseuses si communes dans la syphilis; on fait entrer dans la syphil
eillies par nous, à la Saipêtrièie, dans le service de notre maître commun , SI. Charcot. Archives, XXV. 26 402 BIBLIOG
u rappelle de plus ou moins loin celui de la manie vraie, sont très communs au cours de l'alié- nation mentale. Le paralyti
la Seine, lorsque les parents sont domiciliés à Paris ou dans une commune de la Seine, depuis trois ans, au moment de la de
Lloyd, de Pesth, signale un cas de superstition rare : c Dans la commune de Spatla, est morte ces jours-ci une vieille p
rès sa mort il advint que plusieurs bestiaux furent enlevés dans la commune par des maladies diverses, et, après avoir cher-
d'en donner une autre; il se bornait à énumérer certains caractères communs qui permettent de reconnaître « la spécialité n
ys- térie est aujourd'hui impossible ? N'y a-t-il aucun caractère commun qui rapproche la majorité des faits qui ont été
définitions que nous désirons présenter : elles ont des caractères communs et ont été exposées simultanément de divers cot
res dans les urines. Les maladies rénales sont donc beaucoup plus communes chez les aliénés que ne l'admettent les auteurs
rement à l'opinion de beaucoup d'observateurs, la néphrite est très commune chez les aliénés. (American journal of insa- ni
tions, quoique différentes entre elles, appartiennent à un faisceau commun . Ce sont des ma- ladies de la première enfance,
17 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
de philosopher également exagérées-, en effet certaines facultés sont communes aux animaux et à l'homme ; ils ne diffèrent donc
rveuse, séparés dans l'origine, se confondent graduellement en masses communes pendant la métamorphose qui les conduit à l'état
t des carnassiers, tels que le chien, le chat domestique et la fouine commune . Afin de rendre l'exposition des faits plus int
on qu'il exerçait sur le cerveau, mais ces troubles n'avaient rien de commun avec l'épilepsie. Cette vue des frères Wenzel a a
és, séparent des feuilles', un groupe de feuilles, porté sur une lame commune , forme un lobule, un groupe de lobules est un lob
t, à l'extrémité externe du lobe, vers la lame mince qui sert de base commune à tous ces feuillets. Dans la plupart des singes
la pointe du lobe sphenoidal à celle du lobe occipital ; il est donc commun à ces deux lobes. Ce pli reçoit l'extrémité infér
t de gros faisceaux longitudinaux enfermés dans une gaîne cellu-leuse commune que divisent, à son intérieur, des cloisons irrég
tiques. 11 faut bien remarquer que cette écorce blanche n'a rien de commun avec les racines du nerf optique placées au-desso
es nerfs spinaux; b, du nerf de la troisième paire ou moteur oculaire commun , de la quatrième ou nerf pathétique, de la sixièm
eurs, savoir : le pathétique, le moteur oculaire externe et le moteur commun ; et des nerfs de sentiment, savoir : la branche m
nerveuses crâniennes, tal, savoir: que le trijumeau est une souche commune de racines sensitives pour les trois paires cépha
teur oculaire externe, (6) le nerf pathétique, (c) le moteur oculaire commun . (a) Moteur oculaire externe. Sixième paire de
subit la forme des parties environnantes. (c) Nerf moteur oculaire commun . Troisième paire de Willis et de Sœmmerring. Ce
cte. Il n'en est pas de même des fibres que le nerf moteur oculaire commun envoie à l'endroit noir des pédoncules. Ces fibre
1° que l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le moteur oculaire commun forment, avec les racines antérieures des nerfs r
tage entre trois paires nerveuses. Racines du trijumeau. Le tronc commun de ces racines plonge dans une ouverture ovalaire
umeau, l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le moteur oculaire commun . Celui-ci par tous les détails de son histoire es
que, tandis que l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le moteur commun , sont essentiellement des nerfs d'action volontai
prit-de-vin sur des tissus imbibés; elles n'ont d'ail leurs rien de commun avec les anfractuosités futures; à ces scissures
ient aux anfractuosités externes, et en conséquence n'avaient rien de commun avec ces plis primilifs internes du cerveau du fœ
font un poisson, un reptile, un mammifère, un homme ; ce qu'il y a de commun en tous ces animaux se tonnant ets'achevant par d
tonnant ets'achevant par des voies pareilles sous l'empire d'une loi commune et d'un plan universel. A cet égard, le mammifè
lières qui régissent une autre espèce. Il y a donc deux lois : la loi commune et la loi individuelle, l'espèce étant considérée
très-fins et très-serrés. Les veines de l'encéphale ont pour troncs communs les sinus de la dure-mère. On distingue : 1°
race ait une physionomie générale qui la distingue, cette physionomie commune n'implique plus aucune ressemblance réelle entre
s que les familles teutonique et celtique, qui, parties d'une origine commune , luttent depuis des siècles sur l'arène du monde
pression agissait exclusivement sur le frontal. Cette déformation est commune en France en plusieurs lieux. La septième défor
der si ces bandes ne pourraient pas être considérées comme les troncs communs des nerfs du corps en tant que ces nerfs se ratta
hypothèses. On supposa que les faisceaux antérieurs étaient le tronc commun des racines motrices, les faisceaux postérieurs é
rler, qu'une séparation d'âmes auparavant dominées pas une entéléchie commune , comme un attelage par un seul cocher. Le cocher
simple, et le corps un composé de monades. Dès lors, la substance est commune ; tout est matière, tout est esprit. Aussi Leibn
iple et la pensée essentiellement une, elles ne peuvent avoir rien de commun . Ce raisonnement de Clarke est fort ingénieux. Si
embrasse un infini de modifications possibles, semble n'avoir rien de commun avec les propriétés connues des substances matéri
que leur action est souvent simultanée. Leurs organes ont une origine commune , et leurs sympathies sont innombrables. Il est do
ertaines impressions ressenties dans les fosses nasales n'ont rien de commun avec des sensations olfactives. C'est ainsi qu'ap
uer à démontrer une proposition qui choque manifestement l'expérience commune . Le chevreau, dont nous parlions tout à l'heure,
e sensation douloureuse; par elles-mêmes les sensations n'ont rien de commun avec le plaisir ou la douleur; cela est si manife
ment se fait-il donc que cette pensée lucide du sommeil n'ait rien de commun avec celle de la veille? N'est-ce pas une chose m
té donnée par Dieu, comme condition du sommeil, à tous les animaux en commun , mais principalement à l'homme, parce que Dieu, e
tous les meubles de sa chambre en mouvement. Cette illusion est fort commune dans la forme sardonique du délire. Souvent les m
qui rêve ; 2° l'étranger, qui concerne une personne étrangère; 3° le commun ,, c'est-à-dire celui que deux personnes ont à la
nation naturelle que lorsqu'il est vide et libre, et n'a plus rien de commun avec le corps ; comme cela arrive aux prophètes e
à une apparition réelle. Toutes ces hallucinations ont un caractère commun qui les distingue de la plupart des hallucination
-on, et cependant ce n'est là que le plus haut degré d'une aberration commune à presque tous les hommes. Qu'est-ce, en effet, q
s se querellaient souvent à propos de besoins qui ne leur étaient pas communs . Mais si tous ces faits peuvent à la rigueur tr
tait beaucoup plus simple. Il faisait dissoudre, dans un bassin d'eau commune , une poignée de poudre de vitriol de Chypre, ou m
mmune, une poignée de poudre de vitriol de Chypre, ou même du vitriol commun du commerce (sulfate de cuivre), et y plongeait q
lus célèbres, et peut-être celui de tous qui choque le plus les idées communes (1). Entendre ! voir! flairer et goûter par l'épi
admettre ce que nous ne comprenons pas. Mais les charlatans sont bien communs , et les occasions d'observer sont bien rares. F
lié à l'organisation, n'est pas propre à tel ou tel individu. Il est commun à tous les animaux d'une même race ; l'intelligen
it, il y a bien longtemps, remarquer que les sentiments que l'opinion commune leur attribue, supposent l'intelligence. « Pourqu
ue qu'on est convenu de nommer langage d'expression. Ce langage étant commun à l'homme et aux animaux, il n'est peut-être pas
indubitable qu'ils s'appellent entre eux et se convient à des actions communes . Ainsi les mères appellent leurs petits; ainsi, l
s appellent leurs petits; ainsi, les chiens se convient à des chasses communes (2), et tout cela n'est rien auprès de la merveil
Le langage automatique et spontané des cris et des gestes qui lui est commun avec les animaux, qu'il se développe, dans le sen
18 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nait devant elle, on l'appe- lait la République Boulanger. Dans les communes et dans Paris, on disait d'elle qu'elle était l
'interprétation générale de la Verrücktheit sur laquelle l'ac- cord commun devient des plus douteux. x A côté de cela, M.
ement ou en sentiments, ou en volonté, pour pouvoir vivre de la vie commune sans transgresser le Code pénal. Saine en appar
rome de Weber, c'est-à-dire une paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté (côté de la lésion), et des membres,
ied du pédoncule gauche et de l'origine du tronc du moteur oculaire commun gauche. Le diagnostic se trouva confirmé par l'
M. PAUL CARNIER, communique à la Société une observation rédigée en commun avec M. Le Filliâtre. Il s'agit d'un dégénéré h
dite secondaire pour servir de point de départ à des investigations communes sera discutée à la prochaine séance. L'ordre
'aliéna- tioji mentale avec une persévérance et une obstination peu communes ; mais, en réalité, il n'est pas aliéné. Maumy d
4 . PATHOLOGIE NERVEUSE. teurs dépendant de l'influence d'une cause commune . à la ma- ladie de Raynaud, que la cause en soi
sion de monomanie (Buknill et Tuke) ; on leur attribue ce caractère commun de se traduire par des idées délirantes et des
née. Cette paranoïa, par la teneur de son délire, ressemble au type commun de la paranoïa chro- nique, son seul caractère
ion et par des cas mixtes, types auxquels on pourrait donner le nom commun de diplégies cérébrales infantiles. (Revue neur
son fonctionnement. III. Les services généraux ne doivent pas être communs à un asile d'aliénés et à un hôpital spécial d'
plus fréquente dans les classes d'individus où la syphilis est plus commune et récipro- quement. Mais comment la syphilis
produit dans quelques régions comme l'Egypte, où la syphilis est commune et la paralysie rare, régions où la vie intellect
pauvre. Dans les différents asiles de l'État, des provinces et des communes , il y a actuellement 9,262 malades, dont 7,618
que avant la maladie ; l'harmonie mentale ; l'intimité de la vie en commun dans l'isolement; la supériorité intellectuelle
ortants, que ce soient des hallucinations audi- tives élémentaires, communes ou verbales. Le sens de la vue ne se fait pas l
degrés d'in- tensité, puis toutes sortes d'hallucinations, motrices communes . Souvent même ces derniers symptômes sont plus
uvent même elles ne se présentent que sous une forme élémentaire ou commune . 4° En revanche, les hallucinations visuelles s
isent-ils, déshonoré leur famille et doivent être brûlés). Un trait commun réunit ces deux formes : c'est l'obtusion intel
pour les malades de deuxième classe. Le bâtiment administratif est commun aux deux divisions; il en est de même du temple
dant leur remarquer de nombreuses ressemblances, de nombreux points communs . Depuis les travaux du professeur Bouchard', l'
t, dans le travail déjà cité de 11. Cramer. Il existe des symptômes communs aux trois tableaux morbides de la folie systéma
r, le Wahnsinn, la Verwirrtheit, la Verrucktheit, ont des symptômes communs , et que toute la question se borne à un dosage
nations; il est patent qu'ils se rencontrent sur un terrain morbide commun . Car dans ces trois tableaux morbides il y a :
ux autres. Pourquoi donc, puisqu'ils ont une pléiade de symptômes communs , ne pas- les réunir en tant que groupe morbide
symptômes communs, ne pas- les réunir en tant que groupe morbide commun sous une même dénomination. Cette dénomination
de même la paranoïa est légitimée par une pléiade de manifestations communes (déviation de l'intelligence ; modifica- tion d
e, le lobe temporo-sphénoïdal était com- primé : le moteur oculaire commun du côté gauche était aussi comprimé. A l'exam
dans une école; mais dans les autres cas, l'éducation don- née en- commun ne peut que faire prendre des habitudes d'obéis-
'ce ' sont des types simples de>folie; le trouble mental le plus commun est une forme tranquille, subaigûë ou chronique
la quatrième paire; 2° le noyau ventral postérieur de l'oculomoteur commun , qui occupe une dépression du faisceau longitud
is que le noyau ventral postérieur serait un noyau de l'oculomoteur commun . Eh bien ce noyau principal du pathétique'de We
bstraction faite de l'étiologie connue de la syphilis) ont un point commun , c'est l'atrophie primitive' des' éléments nerveu
c moins de précautions; il était, en effet, considéré comme assez commun . Briquet' le décrit comme fréquent, ce qui ne lai
le et de la chorée chronique = présentent un grand nombre de traits communs . Au demeurant, les symptômes mêmes qui les cons
95. ? 100 ARCHIVES DE NEUROLOGIE ASILES D'ALIÉNÉS. DES ÉLÉMENTS COMMUNS A TOUS LES QUARTIERS ' D'UN ASILE D'ALIÉNÉS ;
er deux choses aussi importantes l'une que l'autre : les éléments communs , qu'il est indispensable de réunir quel que soit
iers, les seconds seront l'objet d'un autre travail. Les éléments communs à tous les quartiers d'un asile d'aliénés sont
Ventrée et le vestibule. A Ville-Evrard, celui-ci de plain-pied est commun à deux sections ; il y en a en conséquence troi
précédée d'un petit perron auquel on accède par une série ÉLÉMENTS COMMUNS . 419 de marches ; c'est très coquet. Malheureus
ureux aliéné la séquestration à laquelle il est contraint. ÉLÉMENTS COMMUNS . 421 Le préau qu'entourera la grille dont nous
où les dispositions doivent être spéciales ainsi que nous ÉLÉMENTS COMMUNS . 423 l'établirons ailleurs en traitant particul
M. Laurel, qui fournit instantanément de l'eau chaude. ' ÉLÉMENTS COMMUNS . 425 5 malades. J'opinerai pour qu'il en soit a
ssible de conduire les aliénés qu'elles hospitalisent dans un local commun , ce sont celles des agités, des malpropres, de
es d'hommes qui vont travailler au dehors, beaucoup dans - ÉLÉMENTS COMMUNS . 427 -1 les champs, et rentrent avec leurs soul
s et d'un autre côté il est si facile aujourd'hui pour peu éléments communs . 429 d'argent d'avoir des choses ravissantes, d
de lit, nous insisterons maintenant sur la nécessité d'une éléments communs . 431 chaussure de nuit différente de celle du j
fait tort. Avec le tout à l'égout, il n'y pas à s'occuper éléments communs . 433 de la tinette et de ses émanations. Si ce
avons, dans le temps, dégagé notre responsabilité. (B.) éléments communs . 435 bec de gaz placé derrière une vitrine à la
une ornementation charmante et peu coûteuse. Tels sont les éléments communs à tous les quartiers avec les particularités qu
eints de maladies incidentes, et quelles modifications ces éléments communs subissent dans ces divers cas '. 1 Bien que s
ôpitaux. Causes et pathogénie. L'étude des, causes de l'épilepsie commune est chose délicate. Depuis longtemps déjà, on s'e
forme que revêtent les accidents épilep- tiques n'est pas une forme commune ; voilà des symptômes qui se présentent sous une
e parait considérer, les séquestrations arbitraires comme une chose commune , alors qu'elles ne sont heureusement qu'une rar
r dans la salle d'examen à l'étude des malades en dehors des salles communes . Les médecins habitent près de la salle de sur-
it l'Etat ou le Cercle qui se charge des prix de journée et non les communes . Documents à l'appui, il le faut au moins de 3
- par celui d'hôpital, 75; de Saxe, par Gunz, 248; des éléments communs à tous les quartiers d'un - d'aliénés, par 111a
19 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lade, notons-le, parait avoir eu quelques hallucinations de l'ouïe, communes et élémen- taires (mais non verbales), souvent
es phénomènes de vaso-contriction. C'est là d'ailleurs un phénomène commun aux irritations su- perficielles des nerfs sens
te d'une otite moyenne de ce côté. Il s'agissait d'hallucinations communes et élémentaires, mais non verbales, ayant servi d
aide d'un prolonge- 28 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ment protoplasmique commun , tandis que la fibre nerveuse part d'une des d
adiposité; le deltoïde, le triceps, l'exten- seur et le fléchisseur commun des doigts ainsi que les petits mus- cles de la
es cornes antérieures rendant compte de l'atrophie musculaire était commune aux deux affec- tions mais les manifestations d
s d'association entre les noyaux des deux nerfs moteurs oculaires communs . Un exemple de synergie fonctionnelle analogue
ire de la contraction volontaire des muscles isolés (du fléchisseur commun des doigts et du peaucier du cou, qni d'ordinai
t également partie, sera discutée dans une séance, que tiendront en commun les sections des maladies nerveuses et de chiru
ital forcé qu'il mérite. Il s'agit là encore de faits qui sont très communs . On ignore danslepuhlic et beaucoup de médecins
nt considérées comme des syndromes reliés entre eux par une maladie commune : la sclérose multiple dissé- minée. Voici, d
névrite optique atrophique bilaté- rale ; 5° les nerfs oculomoteurs commun et externe « pas aussi blancs qu'à l'état norma
22 et 535. 122 CLINIQUE NERVEUSE. clérose forme « le lien initial commun de bien des maladies à apparence terminale dist
cet organe, soutient avec Brault que « la coïncidence plus ou moins commune de la sclérose d'un viscère avec des lésions in
e d'âge supérieure parait suffisante pour différencier l'état, plus commun , de dépression de l'état de démence; car tandis
ral, il l'est surtout d'avec les tumeurs du cervelet, les symptômes communs entre ces deux ordres de lésions sont nombreux
lusieurs mois et ne guérissent pas toujours. Enfin la forme la plus commune , chez les fidèles du haschisch, c'est un affaib
Répression DE l'alcoolisme. Une pétition originale à la Chambre des Communes . Aux termes d'une pétition couverte de plusieur
atures, et à laquelle ont adhéré déjà les membres de la Chambre des Communes et de la Chambre des Lords, lisons-nous dans le
rinsèques, fibres exogènes (Pierre-Marie). Malgré leur dénomination commune , ces fibres n'ont pas la même valeur anatomique
est que l'observation et le traitement de ces malades n'ont rien de commun avec 222 ri asiles d'aliénés. l'examen et la
tions offre un grand iutérêl, car elle fait soupçonner qu'une cause commune agit sur les deux glandes à la fois (corps thyroï
e pédiculo- géminée); -puis, les noyaux et racines de l'oculomoteur commun (artère du noyau de l'oculomoteur, artère pédon
du pulvinar et les noyaux, ainsi que les racines, de l'oculomoteur commun dans l'étage inférieur du pédoncule cérébral. -
ont les mêmes pour les' segments externes du noyau de l'oculomoteur commun et les trousseaux radiculaires latéraux : dans
- 3° Les artères : pédonculaire interne ; du noyau de l'oculomoteur commun ; optique interne postérieure sont des artères
ceau longitudinal postérieur, sur le côté du noyau de l'oculomoteur commun ; elles ne passent de l'autre côté qu'au niveau
a Salpêtrière (Pinel), école de la Charité (Corvisart), et la ruine commune de ces deux écoles devant l'organicisme de Brou
s'occupe couramment d'hypnotisme, la grande hystérie, autrefois si commune , disparaît et les malades de cette catégorie de
sion des bibliothèques pour les malades, l'ornementation des salles communes , l'extension du travail même au dehors, même ch
sauvage, et avec les conditions qui se rencontrent dans les formes communes de a paranoïa »; il indique leur place noso- lo
alysie générale », des affections ou des intoxications qui n'ont de commun , et approximativement même, qu'une phase paraly
degré. » Mais, en m'en tenant simplement à la façon actuellement commune d'envisager la paralysie générale, je trouve que
'accompagna, au bout de huit jours, de paralysie du moteur oculaire commun et du moteur oculaire externe du côté gauche; g
guérison au bout de quinze jours de la paralysie du moteur oculaire commun , persis- tance pendant huit mois de la paralysi
roite et, consécutivement, paraly- sie partielle du moteur oculaire commun droit, puis, dix mois après, paralysie de la si
le nerf moteur oculaire externe tout comme le nerf moteur oculaire commun , mais il n'a pas encore été observé de migraine
isolée du moteur oculaire externe. La paralysie du moteur oculaire commun n'est pas invariablement totale ; 5° Ses rappor
s observations, malgré leur diversité d'origine, ont des caractères communs . Tous ces malades, à l'occasion d'une intoxi- c
es désordres, car, dans la Camargue, où la fièvre intermittente est commune et dans certains cantons de la Corse, nous ne v
spécialement le délire avec les idées de persécution. Elémentaires, communes , auditives-verbales, elles sont quelque- fois c
de quelques bourdonnements produits par une lésion de l'oreille si commune à l'âge avancé. La suggestion à l'état de vei
vantes : la sclérose disséminée peut quelquefois s'éloigner du type commun en dépendance de la localisation; elle présente
rbicu- laire de la bouche du côté droit. A l'électrisation du tronc commun du nerf facial auprès du trou stylo-mastoïdien
on, original dans l'exposition et d'une énergie, d'une activité peu communes , que beaucoup de nous ont eu l'occa- sion d'app
et qui affectent la disposition en arc, appartenaient aux systèmes communs de projection de l'écorce. » Avec les méthodes
, qui sont à peu près tous partis isolément, sans entente préalable commune et à des dates diverses ; il était, dans ces co
re, est une question factice, déraisonnable, puisqu'il n'y a pas de commune mesure entre les deux, et elle ne comporte aucu
l'hallucination peut affecter une forme quelconque, être verbale ou commune , sensorielle ou motrice, atteindre aussi la sen
des troubles intellectuels. 5. La présence d'hal- lucinations tant communes que verbales motrices ne constitue pas un fait
liénés du département de la Somme est situé sur le territoire de la commune de Dury, à 3 kilomètres environ au sud d'Amiens
sont distantes d'environ 1 kilomètre. Le vil- lage de Dury, sur la commune duquel est bâti l'asile, et qui est d'ailleurs
ifficultés. Les comptes de la fabrique étaient très embrouillés; la commune , dont une partie est française, l'autre suisse,
te manière de 'soir. P. RELLAY. XXXVI. Paralysie DU MOTEUR oculaire commun par névrite hémor- RIJAGIQUE ; coexistence d'un
rité du nerf lui-même. Or l'examen microscopique du moteur oculaire commun de l'oeil para- lysé montra des lésions manifes
ne de l'influence morale d'un individu sur l'autre et n'ont rien de commun avec des suggestions hypnotiques proprement dit
eurs dans l'écorce cérébrale. Ces cas simples sont relativement peu communs : dans les grandes séries de trépanation, on do
re des lésions anatomiques dans le sillon de Rolando, mais les plus communes à Mexico sont traumatiques d'abord, syphilitiqu
de Lierneux compte actuellement, dit le De Deperon, 419 aliénés. La commune de Lierneux est située au sud de la province de
es travaux. Au point de vue de la surveillance, le territoire de la commune est divisé en quatre sections de plusieurs hame
inconvénients. Ils remplaceraient avantageusement l'ona- nisme, si commun parmi les enfants nerveux et arriérés, mal surv
la - asthé- nique, par Fa.Jerstzajn, ,ï01. - dit moteur oculaire commun , par Gibson et Turner, 502. - faciale, . par
20 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'épilepsie chez les enfants qui survivent, par les causes les plus communes de la mort, enfin par les effets qui résultent
s uns légers, les autres plus graves; ce défaut d'équilibre mental, commun aux deux sexes, à cet âge, justifie la dénominati
de contributions volontaires, de sommes payées par les différentes communes ou par les individus, et enfin d'une subvention
et les pensionnaires. Au commencement de 1897, il y avait dans la commune 1983 malades (au lieu d'environ 800 en 1861) dont
a famille et l'habitant logeur. Les indigents admis aux frais des communes payent une pension qui varie de GO à 90 centimes
des chez le même habitant, de façon à ce que la vie soit absolument commune entre le logeur et le logé. La liberté dont jou
es habitants et celle du Dr Peeters est que la folie n'est pas plus commune à Gheel qu'ailleurs. Colonie de Lierneux. Un gr
colonie est située sur la frontière sud de la province de Liège. La commune de Lierneux (2.G00 habitants environ) couvre un
rges. Outre le village, ily'a environ 18 hameaux éparpillés dans la commune ; la région est surtout pastorale et agricole; l
camarades doivent les tenir pour dangereux, les écarter de l'oeuvre commune . J'ai constaté avec joie que des ouvriers entre
e qua- drijumeau antérieur, au niveau du noyau du moteur oculaire commun , on voit des fibres dégénérées se dirigeant du pi
vers le raphé, probablement pour gagner le noyau du moteur oculaire commun du côté opposé. Après l'extirpation du centre p
te son internement dans un asile spécial. Dès lors le maire de la commune de Sederon, conseiller général de la Drôme, M.
n ternement de D... coûtera un demi-millier de francs par an à sa commune qui est très pauvre -une dépense de demi-mille fr
n éprouve un vif ressentiment. C'est certainement 't le maire de la commune qui lui a encore joué ce mauvais tour ! ... Or,
.) En paix... - M. Antoine Duplais, propriétaire à Treuil-Bussac, commune de Fouras (Charente-Inférieure), avait été, il y
ophtalmoplégie nucléaire progressive : paralysie du moteur oculaire commun gauche et parésie du même nerf du côté droit ;
t donné la mort en se jetant dans une mare, au village de Nogues, commune de Boisredon, canton de Mirambeau. Depuis un mo
mates classiques. Une forme pure de névrose d'angoisse n'a rien de commun avec une forme pure de neurasthénie dépressive ;
sommes très heureux de vous recevoir, et nous vous exprimons notre commune reconnais- sance d'avoir répondu, en si grand n
des physiologistes, des anato- mistes et des cliniciens ; leur but commun était de démontrer que les hémisphères cérébrau
dans les autres, parce que notre activité s'exercera sur un terrain commun , à l'aide des mêmes méthodes et suivant les mêmes
e qui envisage l'homme en tant qu'être pensant et agissant. Notre commun programme s'est donc singulièrement élargi au s
t avec l'autorisation des promenades et d'un séjour dans les salles communes pendant le dîner et le souper ou bien pendant q
e leur linge de corps et sont couchés de préférence dans les salles communes . C'est l'expérience et l'intelligence du person
dans la plupart des cas, lorsque le malade se trouve dans la salle commune . Cependant il y a, incontestablement, des cas o
rées, aux portes ouvertes, est préférable à celui dans des salles communes . Mais je suis d'un autre avis : le système de r
on puissant effet précisément là où on l'applique dans des salles communes . Dans les maisons de santé privées où les malad
souvent un caractère importun, agaçant, tandis que, dans les salles communes , répartie qu'elle est sur plu- sieurs malades,
ais plus haut, le régime au lit bien organisé n'a presque rien de commun avec la contention, comme élément du système. L
, des occupations et des distractions; il faut également des salles communes , les dortoirs ainsi que des résidences de jour.
ièces à un lit doivent se trouver près des salles ou des dor- toirs communs , où les malades sont alités. CONCLUSIONS 1. D
séjour au lit absolu jusqu'au plus limité. 4. L'usage des salles communes est un puissant moyen dans l'organisation régul
duit par des appareils 298 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. électriques, communs , réalisés et relativement simples et grossiers.
l. Menti. Science, oct. 1878). Les caractères anatomo-pathologiques communs semblent être : un raccourcis- sement postérieu
graisseuse. III. La syphilis, comme on le sait, n'est pas une cause commune de l'idiotie, mais dans une autopsie faite par
e long du plancher du crâne. La syphilis est, d'ailleurs, une cause commune de paralysie générale infantile. Depuis que l
attaquent principalement la face convexe. Les symptômes les plus communs sont : la conge-lion et l'épaississement de la du
DE PSYCHIATRIE. 313 judicieusement qu'il y a une base pathologique commune à l'idiotie et l'imbécillité épileptiques, et à
il, à une distraction, à une pro- menade au jardin, et aux repas en commun ; mais ce qu'il faut rigoureusement interdire et
oupant les malades d'une façon judicieuse, soit dans une des salles communes , soit en chambre séparée, la porte étant ouvert
différente grandeur et agréablement aména- gées pour les alités en commun , une chambre de réunion et deux ou trois chambr
subordonnés au médecin et dirigés par lui ; 8° Par l'alitement eu commun on gagne de la place, les cham- bres à coucher
'apparition de formes spéciales de la folie. Malgré certains traits communs avec les psychoses de la sénilité, les troubles
e dernier, qui lui avait plusieurs fois demandé de reprendre la \ie commune , se présentait à son domicile, rue Saint-Affre,
rison préventive. 2° Un enfant de onze ans, le jeune Buisson, de la commune de l'Houmeau-Pontouvre, que sa famille surveill
2,2 p. 100 des admissions. Le prix de journée des aliénés du régime commun est de 1 fr. 37 c. Nous n'insisterons pas sur l
on chimique des parties ; 2° Conditions physiques dont le caractère commun est de s'ac- centuer ou de s'évanouir au contac
nné comme particulier à l'une des trois varié- tés est, en réalité, commun à chacune d'elles. L'obsession est comme un tic
département d'asiles-écoles où les familles, et à leur défaut les communes , pourraient envoyer leurs malheureux idiots', q
ette éducation est fructueuse puisqu'elle permet de rendre à la vie commune un certain nombre de ces malades. Etant admis q
Le nombre des lits aété fixé à 120, dont 100 pour aliénés du régime commun , et 20 pour pensionnaires. La clinique a été co
e de la morale et de la sûreté publi- que. Comme c'est un sentiment commun que, dans une société bien organisée, on ne sau
- rait, mais à ce que les formes dites frustes sont beaucoup plus communes que la forme dans laquelle la plupart des symptôm
», mais parce que les formes frustes du tabes sont beau- coup plus communes que la forme complète. M. Ilonm (d11elsingfors)
n anatomique dans un cas de paralysie uni-latérale de l'oculomoteur commun au cours de la paralysie générale ; par 0. JULI
en outre depuis cinq ans affectée d'une paralysie de l'oculomoteur commun du côté droit (mydriase, strabisme externe);, e
a paralysie générale et une atrophie microscopique de l'oculomoteur commun du côté droit. L'étude microscopique du noyau d
t en avant du faisceau longitudinal postérieur. Enfin l'oculomoteur commun lui-même présente, dans sa partie péri- phériqu
voyageurs, il voulut maîtriser l'aliéné, mais doué d'une force peu commune , le fou, griffant et mordant, frappant à coups
nsia, par Agapoff, 514. - Lésion de la paralysie de l'oculomoteur commun dans la - , par Kaplan, 519. Réflexe plantair
21 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
se place et de l'impor- tance attribuée à tel ou tel des caractères communs à cha- cun des éléments des groupes. Les classi
épandue par la presse quoti- dienne politique jusqu'à devenir chose commune pour tous ceux qui cherchaient des moyens théra
analogue de Hopkins. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Un cas peu commun de méralgie 'paresthésique avec boiterie interm
familiales ou maladies d'évolution, sont réunies par des caractères communs et forment nn groupe bien défini destiné à pren
entre le pli courbe et les centres corticaux de la mémoire visuelle commune (Dejerine). " G. D. X. État des réflexes dans l
ébral droit et le haut de la protubé- rance avec le moteur oculaire commun du même côté. L'autopsie confirma ces prévision
ur apparition, mais unis clinique- ment par des symptômes oculaires communs et qui peuvent être envisagés comme leur aura.
té clinique de la migraine et de l'épilepsie est principalement une commune auia visuelle, qui peut se présenter comme une
auia visuelle, qui peut se présenter comme une couleur rouge. Cette commune aura visuelle est des plus digne d'être notée.
ont plutôt équivalentes entre elles, et devant être rapportées à un commun changement cérébral différent d'in- tensité et
l'athé- tose, la paralysie combinée du facial et de l'oculo-moteur commun , la manie hystérique, la paralysie agitante, la
voile du palais' indiquent des lésions partielles de l'oculo-moteur commun gauche, du trijumeau du même côté et des glosso
; gardiens, directeur et médecins de prison pourraient faire oeuvre commune , et sans danger pour la discipline. Mais de tel
s, mais il n'est aucunement certain que leur altéra- tion soit plus commune chez eux que dans la population générale d'âge
le plus large, il est probable qu'elle est une des causes les plus communes , sinon la plus commune du dérangement mental. (
robable qu'elle est une des causes les plus communes, sinon la plus commune du dérangement mental. (Bibliographie.) SI : .I
dérangement mental. (Bibliographie.) SI : .ION. VII. Les opinions communes des physiologistes et la consommation de l'alco
de la parole, est immédiate- ment en avant du centre des mouvements communs des lèvres, de la face, de la langue, du larynx
lus de 10.000 francs de biens. Cette soi-disant miraculée habite la commune de Hottot-les-Bagues, que l'on devrait bien nom
ataxiques. Un syndicat d'un genre tout nou- veau et qui n'a rien de commun avec les trusts qui pullulent dans l'Union amér
ne utilité incontestable. Les ataxiques ont tout intérêt à vivre en commun , tant pour s'assister que pour se traiter mutue
reuthophobie, est liée à tout un ensemble de phénomènes d'angoisse, communs d'ailleurs, à des degrés divers, à toutes les o
. Si je suis seul, j'emploie les moyens que vous connaissez ' déjà, communs probablement à tous les malades de mon espèce :
r un phéno- mène de chimie intellectuelle assez complexe, mais très commun , à remplacer la sensation. Elle se substitue à
e dans cette partie de la Suisse, les excès alcooliques y sont très communs , l'auteur en conclut que, pris isolément, ces d
eul mode de prévention : davantage de moralité. SI\ION XVI. Faits communs à la neurasthénie et à la folie : leur base com
ON XVI. Faits communs à la neurasthénie et à la folie : leur base commune et leur commun traitement; par G.-W. Foriek. (The
communs à la neurasthénie et à la folie : leur base commune et leur commun traitement; par G.-W. Foriek. (The American Jou
et pseudo-paralyticlues l'existence d'une dia- thèse, d'un terrain commun prédisposant aux manifestations para- lyliques.
'activité intel- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 229- lectuelle plus commune ; c'est qu'elle est facile ; mais elle amène le
ite de se mouvoir, de reprendre ses occupations, de vivre de la vie commune et de conserver un état moral et un état généra
t le siège le plus fréquent. Plusieurs cas ont présenté des lésions communes à la base et à la convexité. La céphalalgie, le
céphalalgie, les troubles oculaires, troubles de l'oculo-moteur ( communs ), les crises épileptiformes, un état de stupeur s
Le sieur Alexandre Aguinet, âgé de cinquante-huit ans, cultivateur, commune d'Eperrais (Orne), atteint de folie, s'est sui-
e, pour revenir à la vérité, « il faut dire, à l'encontre du sens commun : c'est parce que nous pleurons que nous sommes
l'élaboration des sensations et des images, renferment des éléments communs . Ces éléments communs ne peuvent pas être altér
ions et des images, renferment des éléments communs. Ces éléments communs ne peuvent pas être altérés sans troubler les d
er les deux fonctions : la volonté et l'intelligence. Cet élément commun est ici l'élaboration, la synthèse des éléments
ralisé, affectant, dans leurs associations dynamiques, les éléments communs à la volonté eLà l'intelligence. Ce trouble n'e
remarques sur une para- lysie traumatique isolée de l'.oculo-moteur commun et du - pathétique; par L.-E. 13REGMAN. (Neurol
nt à un choc de la tempe droite : lésion probable de l'oculo-moteur commun et du nerf optique à l'extrémité postérieure de
de l'iris dû à l'excita- tion simultanée du centre de l'oculomoteur commun qui com- mande au sphincter pupillaire, ou à de
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ' de paralysie unilatérale de l'oculomoteur commun dans laquelle -le rétrécissement de la pupille
ive, au détri- ment des troubles sensoriels, constituer un syndrome commun à un certain nombre d'espèces cliniques et susc
président à l'équilibre, aux nerfs et aux muscles de l'oculomoteur commun , du pathétique, de l'oculomoteur externe, des r
maladie remonte actuellement à dix-huit mois. Ces cas ne sont pas communs . Hammond dit que cette maladie est également fr
XCII. Anesthésie. Paralysie périphérique : observation d'un cas peu commun de paralysie brachiale bilatérale survenue pendan
e New Y01'k Médical Journal, 27 avril 1901.) Ces cas ne 'sont pas communs , cependant plusieurs chirurgiens en ont signalé
tcLswomu. (The Journal of Mental Science, avril 1901.) Il n'est pas commun de rencontrer des cas de meurtre commis par une
pide réprobation qui frappe la fille-mère est précisément la cause commune de son affolement dont la responsabilité remonte
lésions névrogliques s'étendent souvent par plaques et sont surtout communes au niveau de la corne celte sclérose de la névr
ssant de fréquence, viennent les nerfs moteurs oculaires externe et commun , trijumeau et sa branche ophtalmique, enfin le
xie était complète. Le meurtrier,- anciennement domestique dans une commune voisine, n'avait jamais donné lieu à aucun repr
e), avec la compression des nerfs craniens avoisinants (oculomoteur commun , olfactif, triju- meau). 4° L'hémianopsie sym
s époux qui fout l'objet de la troisième observation sont la source commune où ils ont trouvé la maladie, enfin dans les ob
tamment l'organisation du service de la vaccination dans toutes les communes de la province. Il était également membre du comi
ar llaskovec, 83. Albuminurie. Voir Glycosurie. Alcool.* Opinions communes des physiologistes et la consomma- tion de -
Voir Guerre au 1'raassaal. - puerpérale, par HU'"ch, 217. Faits communs à la - et à la neuras- thénie, par Porter, 220.
Voir Folie. Voir Acide urique. Névralgie parestbésique. Cas peu commun de - avec bâterie inter- mittente, par A. Gordo
- traumatique isolée 540 TABLE DES MATIÈRES. de I*octilo-inoteiii commun et du pathétique, par Bregman, 308. Une obser
s du plexus brachial, par Btassert, 390. - périphérique ' cas peu commun de - brachiale survenue pendant la narcose (a
22 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de vue moral et psychique. a) Influence sur le moral. Cet état peu commun a eu puur effet de déterminer chez moi une méla
de Dieu, de son serment et de sa miséricorde, etc » Un caractère commun à la plupart de ces faits consiste dans leur re
dhérentes en masse ; elles sont relativement mobiles, mais leur but commun est obsédant. Evidement c'est encore la constit
une exception chez l'indigène ; 12° les idées dé- lirantes les plus communes sont les idées mystiques et les idées ambitieus
es les entourent; 21° l'épilepsie, dont laforme maniaque estla plus commune , s'accompagne toujours de réactions extrêmement
e corps. Pour liquider ses reprises, elle fait vendre un petit bien commun sis à Bergerac. A la suite de licitation, cet imm
ifférentes lésions peuvent être elles mêmes divisées en altérations communes , infectieuses et en altérations spécifiques, sp
A l'infirmerie seulement, les malades sont traités dans un dortoir commun ; pour tous les autres, l'isolement est la règl
ncore, que la guérison de la folie nécessitait le retrait de la vie commune , la rupture de toutes relations familiales et a
ême de leurs divisions ; chaque visite deviendrait, de cette façon, commune à tous : des familiarités fâcheuses ou coupable
aient bu très certainement si je les avais envoyés au grand parloir commun ; j'ai pu le faire là sans inconvénient, parce q
? J'ai dit ici même, quand j'ai traité dans ce journal des éléments communs il tous les quartiers d'aliénés que le principe
ental ou physique, est dans l'impossibilité de se rendre au parloir commun , comme nous l'avons dit et examiné plus haut. L
ur et les dimensions relatives des pyramides, étudiées dans le type commun à cinq couches ou dans le type à huit couches de
mes d'activité spé- civique du système nerveux central ont un siège commun , où leurs éléments se juxtaposent, se confonden
ien précises, tandis que pour la vision, l'odorat et la sensibilité commune , les résultats de mes recherches histologiques,
REVUE DES THÈSES DE BORDEAUX plus ou moins d'intensité de symptômes communs aux affections à distinguer, paraissent insuffi
ange des idées avec les autres hommes que de perceptions visuelles ( communes et mimiques) et d'extério- risations motrices m
inations verbales auditives apparaissent unies ou non aux visuelles communes pour donner plus de vivacité à cet état panopho
lire alcoolique, mais ils sont tou- jours dominés par les visuelles communes qui apparaissent au premier plan. Eh bien, l'ha
inture. Par rapport à cette dernière il faut noter la particularité commune à d'autres sourds-muets, c'est qu'il est incapa
les deux frères se calmèrent à leur tour et tous sortirent. La vie commune et l'échéance du deuxième accès périodique de n
e l'épidémie au coin de son délire. La prédisposition héréditaire commune se manifestait par l'hystérie, si fréquemment com
volonté et la mémoire, par exemple. L'absence de l'attention, toute commune qu'elle soit chez l'idiot, ne peut, en aucune s
ndre le nom de paralysie .générale au groupe des symptômes les plus communs qui corres- pondent avec une affection cortical
e hydrocéphalique en trois classes : 1° hydrocé- céphalie simple ou commune ; 2° scapho-liydroc2phalie; 3° hydro- céphalie s
Rapports DE L'AUTO-INTOXIC.ITiON intestinale avec certaines formes communes DE la folie ; par ALLAN MACLANE IIAÜILTON. (New
lessures et les opérations, c'est la manie qui est la forme la plus commune de folie ; mais, dans les autres conditions, la
à faire avec la syphilis héréditaire et avec l'idiotie congénitale commune ; les antécédents éclaireront le diagnostic dan
ique, une analogie de caractère, une intimité étroite, des intérêts communs : aussi se rencontrent-ils habituelle- ment che
l et du nerf grand hypoglosse ; 2° Une salivation d'intensité peu commune au cours du tabes, se produisant continuellemen
cylindraxe court; Cajal en compte deux espèces, ayant ce caractère commun que le cylindraxe naît et se termine dans l'épa
pres à déconcerter l'imagination. Dans la zone moléculaire, point commun de rencontre d'une « infinité de fibres nerveuses
t dépendre du nombre de groupes de pyra- mides qui interviennent en commun dans la production de ce phénomène psychologiqu
lance dépendrait du petit nombre de groupes de cellules pyramidales communs à deux repré- sentations successives. L'opposit
urnal, 9 novembre 1895.) Les cas d'épilepsie diabétique ne sont pas communs ; l'auteur a pu en observer trois, dans lesquel
ments des mains, grimaces, tics, le tout d'ailleurs n'ayant rien de commun avec la chorée, que l'on observe quelquefois, n
s de l'ouïe. Le vertige, à son degré le plus élevé, est un symptôme commun , et l'auteur ne peut guère s'empêcher de le rat
PATHOLOGIE NERVEUSE. 323 catarrhe de l'oreille moyenne qui est très commun dans la mala- die de Graves. Mais ce sont là le
totale dans la maladie de Graves des hallucinations de l'odorat, si communes dans le myxoedème. Et de ce contraste, ne pourr
équente ; puis viennent les formes disséminées (elles sont les plus communes à l'âge adulte) ; les myélites transversales et
es-mêmes du groupe des myélites comme l'indique déjà leur étiologie commune . Nous savons que, même dans les névrites typiqu
ès prononcée à gauche dans l'extenseur propre et dans l'extenseur commun , moins marquée dans le cubital postérieuret moins
erne et le corps de Luys res- tent indemnes; ils n'ont donc rien de commun avec l'appareil visuel; il en est de même des c
s que les ano- malies ou les irrégularités fonctionnelles, qui sont communes chez les aliénés, demandent, pour les motifs qu
ns ce sens il s'attache à décrire quelques- nnes do formes les plus communes qui simulent la paralysie géné- rale. Les malad
est certain que les cas authentiques de catatonie ont un pronostic commun et que par suite, une fois la maladie diagnos-
l ; 3° cervelet. Les trois cas présentent cependant certains traits communs . Au point de vue de l'étiologie, on constate qu
iphérie. Les deux intoxications étudiées donnent donc les résultats communs suivants : 1° intégrité relative des cellules des
oi ne l'a-t-il pas été ? Parce qu'il aurait fallu sans doute que la commune paie une partie des frais de séjour à l'asile d
la sienne. Il a perdu tous les noms pro- pres, et beaucoup de noms communs , même les plus familiers; il désigne certaines
nal, 14 mars 1896.) Les cas de paralysie bulbaire aiguë ne sont pas communs , et celui que rapporte l'auteur a l'avantage d'
énie peut aussi être provoquée par des causes, ayant toutes cela de commun , qu'elles produisent un état de faiblesse physiqu
essé que les noyaux d'origine ou des fibres du nerf moteur oculaire commun . A l'autopsie, on reconnut que les méninges éta
, à savoir l'hé- miplégie droite et la paralysie du moteur oculaire commun gauche. L'état athéromateux très prononcé de l'
rvé huit 'malades chez lesquels se rencontraient les deux symptômes communs suivants : 1 quoique parlant avec volubilité et
ie ont, comme la terreur et l'anxiété. toute une série de symptômes communs . Il n'y a que quatre symptômes qui appartiennen
23 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et assombrissait leur exis- tence. Comme on le voit, c'est un trait commun à tous ces malades. En 1888 Lefferts {Médical
usqu'ici par la malade, elle attribuait cette particularité assez commune et sans importance pathologique, à l'éclo- sion
us-gingivales de chlorhydrate de cocaïne, ont peut-être une origine commune , la part réelle de 24 PHYSIOLOGIE. l'intoxica
calisés séparément ou sont représentés plus ou moins dans un centre commun , les cen- tres dans leur ensemble sont complète
procès' ; 2° les attitudes délirantes. Ces deux espèces ont un lien commun ,' car elles apparaissent'de préférence chez les
s où la folie chronique se termine par la guérison sont loin d'être communs ; c'est pourquoi l'auteur a pensé qu'il y aurait
chant, il y a deux ans, les systèmes de fibres du cerveau antérieur communs à tous les vertébrés, M. Edinger s'est heurté à
dans laquelle est cou- chée la commissure postérieure. Celle-ci est commune à tous les vertébrés. Ses fibres sont partout m
que à laquelle est due cette névrite, s'est exercée sur l'ori- gine commune de tous les rameaux malades. Leudet, par exempl
rconvo- lution (d'Ammon), qui est elle-même en dehors de la masse commune , hors rang, s'accommodent assez bien avec le cara
ritoire propre, un foyer cen- tral, possèdent aussi des territoires communs , des zones d'irradiation, où ces centres « s'en
plus ou moins troublées. Ces zones d'irradiations, ces territoires communs , sont bien mieux étendus chez l'homme que chez
les convergeraient, chez le chien, vers un « territoire neutre », commun , situé sur le lobe pariétal inférieur : les lés
té, loin d'être distinctes, coïnci- dent et ont un siège anatomique commun . VIII. La spécificité fonctionnelle des différe
troisième circonvolution externe ou supra-syl- vienne. La réaction commune à tous est le redressement de l'o- reille oppos
e dissociée au nerf péronier, des muscles péroniers, de l'extenseur commun des doigts, de l'exten- seur propre du pouce av
) 1 G. D. VI. Amnésie traumatique ET paralysie DE 1 OCULO-3fOTEUR commun ; par le Dr SCHNELL. Un homme de cinquante-six
ssance et présente à son réveil : 1° une paralysie de l'oculomoteur commun ; 2° une amnésie à la fois rétrograde et conséc
ules ner- veuses du noyau supérieur (dorsal) et inférieur (ventral) commun ' au pneumogastrique et au glossophary;ien ; le
travail, les auteurs publient deux cas présentant une particularité commune : une amyotrophie qui s'est développée dans les
rolifération du tissu conjonctif interstitiel. A côté du symptôme commun avec le cas précédent, c'est-à-dire 1 Cas de sc
l'avons connu et qui avons admiré cette vigueur intellectuelle peu commune chez un vieillard de quatre- vingt-un ans. So
un syndrome caractérisé par une paralysie alterne de l'oculo-moteur commun d'un côté et des extrémités du côté opposé. Qui
stion d'un foyer de ramollissement ayant atteint le moteur oculaire commun dans son passage à travers le pédoncule. Le cas
até une hémiplégie du côté droit et une paralysie de l'oculo-moteur commun du côté opposé. Il est clair que le syndrome de
par exemple, qui agirait en comprimant à la fois le moteur oculaire commun et le pédoncule dans sa partie inférieure et in
pédon- cule cérébral. Dans ce cas très évidemment l'oculo- moteur commun n'avait pas dû être touché. Gintrac 2 etDuchenn
326 CLINIQUE NERVEUSE. par une paralysie alterne de l'oculo moteur commun d'un ; côté (côté de la lésion) et des membres,
u'une même lésion puisse atteindre simultanément le moteur oculaire commun et le pédoncule et produire en conséquence une
l'étude des rapports intrinsèques du pédoncule avec l'oculo-moteur commun . Le pédoncule cérébral est, vous le savez, un t
erne et moyenne soient touchées en même temps que le moteuroculaire commun pour que le syndrome de Weber soit constitué. D
dire des rapports in- trapédonculaires des fibres de l'oculo-moteur commun avec celles des bandelettes interne et moyenne,
s divers noyaux qui constituent l'origine réelle du moteur oculaire commun et dont chacun parait animer un des muscles de
us forme d'un tronc unique qui n'est autre chose que l'oculo-moteur commun . Ils se grou- pent donc bientôt, mais pas assez
faire, il est aisé de concevoir que la lésion de l'oculo- moteur commun puisse être intra ou extrapédoncu- l laire, dan
erait-il donc sous la dépendance d'une paralysie du moteur oculaire commun et réduirait-il à néant la série d'arguments qu
écèdent nous montrent que le trouble respiratoire de C. n'a rien de commun avec le trouble respiratoire d'ordre purement f
. Dans mes premières expériences, j'ai observé que la sensibilité commune et tactile semble être complètement intacte quell
ontrent la région de l'hippocampe comme le centre do la sensibilité commune et j'ai alurs cherché des expériences par lesqu
qué une région, sinon toute la région, en rapport avec la sensibilé commune , tactile et musculaire du côlé opposé du corps.
es formes variées de sensation comprises sous le nom de sensibilité commune et tactile, comprenant la sensibilité cutanée, mu
perte totale et persistante de toutes les formes de la sensibilité commune et tactile du côté opposé par les lésions destr
tièrement détruit. - Il est proba- ble cependant que la sensibilité commune peut, jusqu'à un certain point au moins, être r
-là doit résister à toute innovation hâtive, à tout écart du régime commun qui ne semble pas nécessaire. De ces deux homme
Il est permis de douter que la perspicacité soit si grande dans les communes rurales et il nous semble difficile de poser co
e crime et de delits de di oit ANNALES MÉDICO-PSYCHOLOGIQUES. 433 commun , le fait le plus dommageable, l'acte le plus atro
choses asthéniques, on trouve plusieurs formes ayant pour caractère commun l'affaiblissement rapide plus ou moins prononcé
tudie les diffé- rentes espèces, les caractères, leur signification commune , qui se réduit à condenser en un mot nouveau la
es sont complètement indépendantes l'une de l'autre; elles n'ont de commun que la cause qui leur a donné nais- sance : l'a
n France, 472. Amnésie traumatiqueet paralysie du moteur oculaire commun par Sc'tnell, 265. Annales tEDIco-pm f,lOLOGI
e du sciatique poplité, par ,\lussalongo, 263; du moteur oculaire commun avec amnésie traumatique, par Schnell, 265; a
24 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
différences qui rapprochent ou éloignent la glande hépatique du type commun aux autres appareils glandulaires. Je ne crois pa
protoplasma cellulaire, de telle sorte que ce grand caractère du type commun des glandes en tubes se retrouve, comme vous le v
des lésions hépatiques dans les espaces interlobu-laires. — Caractère commun : hyperplasie conjonctive interlobulaire. — Cir-r
t ces lésions,, ainsi localisées et qui presque toutes ont pour trait commun de déterminer une hyperplasie con-jonctive interl
c la bilirubine donne une coloration verte. La réaction de Gmelin est commune , ainsi que l'a fait voir M. Gubler, à la bilirubi
des calculs biliaires, dit Cruveilhier, est une des lésions les plus communes de l'espèce humaine. » (2). Et il invoque à ce
distinguer dans les calculs com-posés et qui sont, en somme, les plus communs , une partie centrale ou noyau et une écorce. Ains
aux dirigés en travers. La disposition que nous venons d'indiquer est commune aux trois canaux hépatique, cholé-doque et cystiq
el est l'état du pouls dans la colique hépatique régulière. L'opinion commune , et elle est parfaitement fondée, c'est que la co
d'un calcul dans le canal cholédoque. La réalité est que l'ictère est commun en pareille circonstance. Il se produit môme très
l'hépatalgïe calcúlense aient, au. point de vue pathogénique, un lien commun , ainsi que nous essaierons de le prouver par la s
sés. Mais il faut reconnaître que la terminaison fatale est la plus commune . Elle survient tantôt au milieu de phéno-mènes gr
est pas douteux qu'elles ne se rattachent l'une à l'autre par un lien commun . C'est ainsi que l'on voit, dans certains cas, un
iliaires. — Fréquence des diverses variétés des fistules.— Caractères communs .— Caractères particuliers; fistules cystico-duodé
oin d'avoir toujours des conséquences aussi redoutables. Il est assez commun qu'elle se termine par la guérison ; les cas de B
z, en somme que, pour la vésicule, nous avons à signaler des rapports communs , vulgaires, et des rapports exceptionnels. La con
savoir les duodé-nales. A. Je signalerai au préalable un caractère commun à toutes les fistules; tantôt elles sont directes
sines que par l'intermédiaire d'une espèce de cloaque. Un autre trait commun à mention-ner, c'est que, dans la majorité des ca
ses au moins, car celles d'origine cancéreuses sont relativement plus communes . L'émigration d'un calcul même volumineux, par ce
dans le pancréas (1). Je viens de signaler une des causes les plus communes de la compression du canal cholédoque. Je me born
e, constante peut-être, de l'ictère, lequel est rare dans la cirrhose commune ; 2° par l'absence de l'ascite qui, au contraire,
leur. Son développement dans le foie est une » des causes Iles plus communes de l'ascite. Le foie est tou-» jours atrophié qua
par conséquent sépa-rée, à l'état de maladie autonome, de la cirrhose commune . Mais ce sont les travaux tout récents de MM. Cor
r pour une maladie rare ; il est fort probable qu'elle deviendra plus commune , à mesure que les caractères qui la distinguent a
s vulgaires. D'après Budd, il n'est pas d'autre maladie du foie aussi commune en Angleterre. C'est aussi, sans conteste, un des
se hypertrophique avec ictère. On les retrouve, à titre de carac-tère commun , dan s toutes les hépatites scléreuses interstiti
position annulaire de la cirrhose vulgaire à la disposition insulaire commune au cas de cirrhose liée à une altération primitiv
le fait de la maladie. La réalité est que les hémorroïdes ne sont pas communes dans la cirrhose, ainsi que Monneret autrefois, e
re cette sélection. Laissant de côté les canaux collecteurs qui, d'un commun accord, sont des parties excrétantes, nous n'avon
dans les canaux collecteurs. Dans des recherches faites autrefois, en commun avec M. Cor-nil (1), j'ai pu constater que ces dé
s altérations qui sont habituelle-ment englobées sous la dénomination commune de maladie de Bright. Vous n'ignorez pas que, p
li-cations françaises. Tous ces cas paraissent avoir pour caractère commun de se développer sous l'influence du froid, le co
ite aussi de l'influence de la scarlatine qui paraît n'avoir rien de - commun avec le développement du gros rein blanc, on ne t
nce, présentent toutes, d'ailleurs, un caractère anatomo-pathologique commun . Ce caractère est tiré de la présence, au sein de
que de la substance amyloïde. Je vous ai dit déjà qu'elle n'a rien de commun avec la cellulose et l'amidon, auxquels la réacti
tous points les canaux excré-teurs de la plupart des glandes, et d'un commun accord tous les physiologistes reconnaissent que
que durée. On sait, par exemple, que, dans la fièvre typhoïde, il est commun d'observer le phénomène que nous avons si-gnalé,
des lésions hépatiques dans les espaces interlo-bulaires. —Caractère commun : hyperplasie conjonctive interlobulaire. — Cirrh
iliaires. — Fréquence des diverses variétés des fistules.— Caractères communs .— Caractères particuliers; fistules cystico-duodé
25 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
propre de la lèvre supérieure..........Muscle du pleurer. Elévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure.......
contraction très forte. Sourcilier. Pyramidal du nez. Élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure, palpé
ntal. Palpébraux, carré du menton, trans-versc du nez, et élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. TAB
élévateur propre de la lèvre supérieure), du pleurnicher [Yélévateur commun de F aile du nez et de la lèvre supérieure), enfi
teur propre de la lèvre supérieure, muscle du pleurer, — H. Élévateur commun Fie. 1. de la lèvre supérieure et de l'aile d
. Filet moteur du transverse du nez. — L. Filet moteur de l'élévateur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez. — N.
e expérience. Le transverse du nez s'associe aussi avec l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure pour p
Fig. 51. — Destinée à l'étude de l'action partielle de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. A d
la lèvre supérieure. A droite, contraction partielle de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure : méco
e. Fie. 52. — Destinée à montrer l'action expressive des élévateurs communs de l'aile du nez el de la lèvre supérieure, assoc
les muscles carrés du menton. Contraction électrique des élévateurs communs de l'aile du nez et de la lèvre supérieure, el. a
. — Destinée à montrer, d'un côté, l'action expressive de l'élévateur commun de l'aile du nez el de la lèvre supérieure, combi
ue, du côté opposé. A gauche, contraction électrique de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure, et de
hore a été appliqué au niveau de la portion supérieure de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure (H, fi
supérieure a été attirée en haut, suivant la direction de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. Sur
la fois le filet nerveux du transverse du nez et celui de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. B.
ellement, ou sans le concours du sphincter des paupières, l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure ne pos
x se peint mieux encore dans la figure 52, où l'action de l'élévateur commun de l'aile du nez est combinée avec celle du carré
x arcs de courbes en sens inverse, à peu près égaux, et dont la corde commune passe par les commissures labiales. Ces figures
le fait écorcher tout vif (1). Mais le cœur de cet homme, au visage commun et grossier, au front déprimé, peut-il être acces
zygomatique, élévateur propre de la lèvre supérieure, et élévateur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez)....
ents les plus élevés et des pensées les plus profondes sur cette face commune et triviale, sur ce front peu intelligent, je ne
uts et même avec ses difformités, qui ne paraît aimer que le laid, le commun ou le trivial, bien au contraire, les principes q
un mépris profond allant jusqu'au dégoût. Mais alors l'expression est commune . — Dans la figure 76, au contraire, où la contrac
26 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
d'hypothyroïdie. Et maintenant, pour conclure, que trouvons-nous de commun entre l'infantilisme vrai et cette athrepsie sp
dre compte que, si les ligaments jaunes et si le ligament vertébral commun antérieur sont sains, il n'en est pas de même d
4. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 39 ment vertébral commun antérieur, avec ossification partielle des ligame
ogen) (3), et le cas de notre malade, il n'y a guère qu'un symptôme commun : l'ankylose vertébrale. Notre malade n'est pas u
etc. Ces disques intervertébraux, de même que le ligament vertébral commun antérieur, sont intacts. Les vertèbres sont d'ail
bien qu'il existât chez ces malades un certain nombre de caractères communs tels que debut à un âge avancé, 50 à 70 ans, év
t pas d'accord avec Strümpell sur la nature du processus anatomique commun aux deux affections. Pour Pierre Marie, il ne s
e, ni dans l'hémiplégie cérébrale infantile, constitue un caractère commun à ces deux affections. Elle établit ainsi entre
able. - Peut-être est-il possible aussi que l'agent toxi-infectieux commun agisse dans la pathogénie de la paralysie céréb
ié ; celui-ci d'ailleurs leur reconnaît un certain nombre de traits communs . Nous avons vu chez notre malade la peau sèche, l
si dire. Il existe une paralysie presque complète de l'oculo-moteur commun gauche. La paupière supérieure gauche est tomba
veau de la base du cerveau, on remarque que le nerf moteur oculaire commun gauche est un peu plus petit que le droit et qu
gie sensitivo-motrice gauche, parésie par- tielle de l'oculo-moteur commun droit, hémianopsie gauche homonyme avec réactio
partie antérieure et interne de celui-ci (artère de l'oculo-moteur commun , artères pédonculaires inter- nes). Au delà du
nt aux parties antéro-internes de celui-ci(artère de l'oculo-moteur commun , ar- tères pédonculaires internes) sont des art
- ment intéressait le groupe des fibres externes du moteur oculaire commun , et respectait les fibres internes, et cela sur
oisement piniforme. II. Nerf optique. * III. Nerf moteur oculaire commun . HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE (LABORATOIRE DE 11
aucun renseignement utile. Si cette enfant présente ces caractères communs à tous les cas de dysos- NOUVELLE Iconographie
siégeant soit sur le noyau irido-cons- tricteur du moteur oculaire commun , soit sur les filets iriens de ce nerf jusqu'à
nt comme si l'iris était directement innervé par le moteur oculaire commun et par le grand sympathique. Or cette conception
tes sur les mammifères supérieurs ont montré que le moteur oculaire commun n'agit sur les muscles de l'iris que grâce au g
la mydriase moyenne, que produit la paralysie du moteur ocu- laire commun , et ces deux types peuvent parfaitement s'expliqu
quer la mydriase maximale par les seuls troubles du moteur oculaire commun ou du grand sympathique cervical, sans tenir co
peut seprésenter sous deux types : 1 Paralysie du moteur oculaire commun : les signes sont identiques à ceux des paralys
sage du haschich,et il est notoire que la folie est trois fois plus commune chez les hommes qui font usage du haschich que
ich ». L'usage excessif des drogues dérivées du chanvre est-il plus commun NOTE SUR LA FOLIE 11ASC ! IlCIIJQUE 257 en Eg
a vie embryonnaire, forme, non encore dilrérenciés, les fléchisseur commun super- ficiel des doigts, grand palmaire, petit
-uté- rine, 1 ? et te partie. En j, sont représentés les extenseurs communs , cubital postérieur, extenseur propre du petit
os pisiforme. A la région profonde de l'avant-bras, le fléchisseur commun superficiel est représenté par deux faisceaux c
i seraient destinés à l'index et à l'au- riculaire ; le fléchisseur commun profond, également divisé en deux masses volumi
n dedans : 1° Un muscle anormal, qui nous représente le fléchisseur commun superficiel, lequel, au lieu d'être épitrochlée
u'un faisceau de renforce- ment qui lui vient du muscle fléchisseur commun profond. 5° La dernière masse est le carré pron
erceptent entre elles un angle droit. Région postérieure. Extenseur commun des doigts. - Il est normal en haut ; puis il s
ne, à la face antérieure duquel il s'accole. - Le tendon terminal commun à ces trois muscles passe en arrière de l'extré-
it. - Le médian, au pli du coude, passe entre les deux fléchisseurs communs ; il descend sur la face antérieure de l'avant-
eur. Muscles. - Tous' les muscles de la région offrent un caractère commun , ils sont diminués de longueur et de volume et
oignon. Quelques fibres vont se perdre sur le tendon de l'extenseur commun . Extenseur commun. Un seul tendon large et ruba
res vont se perdre sur le tendon de l'extenseur commun. Extenseur commun . Un seul tendon large et rubané qui passe dans un
des tendons de l'avant-bras, surtout le fléchisseur et l'extenseur commun des doigts, les deux radiaux et le grand palmai
onsiste en un amas fibro-muscu- laire sur lequel se jette le tendon commun au coraco-brachialet aux fibres su- périeures d
nseur du pouce et extenseur propre de l'index manquent. L'extenseur commun donne deux faisceaux : l'externe se divise tard
t sur la pathogénie de cette maladie il règne une obscurité qui est commune à bien d'autres, mais qui semble plus profonde-
nt une ébauche de matrice unguéale ; 2° il existe une masse osseuse commune , représentant le carpe, et termi- née par des t
en j, sont 'constitués par la masse non différenciée des extenseur commun des doigts, extenseur propre du petit doigt, cu
mus- cles b et c (fig. 2), représentent les fléchisseurs profonds ( commun des doigts, et long du pouce). 3° Muscles abs
s en muscles auto- nomes. Les muscles grand palmaire, fléchisseur commun superficiel des doigts, cubital antérieur sont
rieur sont en effet en une seule masse ; de même les fléchis- seurs commun profond des doigts et long fléchisseur du pouce.
n profond des doigts et long fléchisseur du pouce. Les ex- tenseurs commun des doigts, extenseur propre du petit doigt, cubi
eur, grand palmaire cubital antérieur, petit pal- maire fléchisseur commun superficiel des doigts. Partie profonde : Masse
commun superficiel des doigts. Partie profonde : Masse, fléchisseur commun profond des doigts, long fléchisseur du pouce,
ondensé ; com- prend, encore non différenciés ; Masse : extenseur commun des doigts, extensenseur propre du petit doigt,
LIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 411 5 tendons du fléchisseur commun profond et du long fléchisseur du pouce, unis e
es de phalanges sont présentes. Muscles : Sous-clavier. Fléchisseur commun profond est séparé du long fléchisseur du pouce
mmun profond est séparé du long fléchisseur du pouce. L'extenseur commun des doigts s'allonge. Le "tendon du cubital posté
t de la main s'étalent en un 412 KLIPPEL ET BOUCHET tissu fibreux commun ; mais le pouce est une formation à part, comme
ctères qui le différencient par des symptômes particuliers du cadre commun de la maladie de Pierre Marie. lsabella Fabiano
Remarques. 1° Les sujets atteints de torticolis mental ont ceci de commun avec les tiqueurs qu'ils ne savent pas attendre;
c tremblement à peine perceptible de celle-ci. Suivant l'expression commune , « la main me meurt », et il est très difficile,
e par M. Obersleiner (17) qui, par l'extirpation de l'oculo- moleur commun aurait vu la dégénération de la plupart du noyau
27 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntrale qui atta- quait certains noyaux d'origine du moteur oculaire commun , en respectait d'autres, et atteignait anssi le
avec détail six observations de cette psychose intéressante et peu commune sur laquelle Kor- sakow a le premier attiré l'a
- contre chez une petite majorité des hommes, mais elle est moins commune qu'autrefois dans les cas où le diagnostic porté
olie, le délire, de persécution, les tendances au suicide sont plus communes ; 7° 80 % des cas, lors de leur entrée à l'asil
; 5° Certificat de bonnes vie et moeurs délivré par le maire de la commune ou autre magistrat qualifié. (Ce certificat dev
lé à exercer dans un établissement public placé dans quelque petite commune loin du chef-lieu. D'ailleurs ce système de méd
rcera-t-il un droit de réquisition non seulement sur les gens de sa commune , mais encore sur le personnel des asiles d'alié
nt la clef des champs etne savent plus revenir. Ces faits sont très communs ils ne constituent pas d'ailleurs des fugues au
délibérées et promulguées il Home : c'est la 'loi française, la loi commune à tous, qui accorde à tous protection, mais qui,
it des signes de dérangement cérébral. II vivait à Cazarilh, petite commune de la vallée de la flarousse, dans sa iamille,
deux individus, les « co-êtres », conjugués en vue d'une existence commune , mais indépendants l'un del'autre non seulement
c) contient,en véritable conscience [morale] l des données stables, communes à tous les hommes, acces- sibles à l'introspect
t l'erreur fondamen- tale de sa théorie.Cette symétrie est,en effet, commune et essentielle à tous les êtres dont les foncti
gnent aux Phytozoaires et aux Artio- zoaires des formes ancestrales communes « simples, analogues, à une blastula, puis à un
ue dans la vision des objets rapprochés situés dans le champ visuel commun , les mouvements des yeux sont exécutés synergi-
de la convergence, c'est que, pour toute la portion du champ visuel commun aux deux yeux et ser- vant à la vision stéréosc
aire d'organes sensoriels, avec ses muscles et organes annexés, est commune aux deux co-êtres. Quant au système sympathique
la fois de la participation de chacun des deux individus à l'oeuvre commune et de la coordination cons- tante de chacune de
ut ce que peut contenir la mémoire, pour faire la part des éléments communs aux deux moitiés et de ceux qui peuvent être pr
ue soit le côté qui agisse sur le milieu extérieure même uniques et communes aux deux côtés,tant par leur origine que par le
viscérale, inconnue dans ses détails, forme un tout indivisible et commun aux deux moitiés, dans sa représentation comme
'des d'eux moitiés : on peut ad- mettre que cette notion, formée en commun (par les organes dit tact et du mouvement, les
e viande, fruit ou fromage, in 0 1. lU, Malades de z classe (régime commun ). Premier déjeuner : Café au lait (500 grain.).
ps, aux services géné- raux, etc.- Les malades de 2e classe (régime commun ) reçoivent une ration de tabac et de cigares. L
Deux ou plusieurs départements peuvent créer et entretenir à frais communs un asile public d'aliénés. Les conditions de leur
et les départements. Quand deux départements auront créé à frais communs un asile d'aliénés, les deux préfets et les deu
ai Certificat de bonnes vie et moeurs, délivré par le maire de la commune ou le commissaire de police du quartier ; Go Cert
: quoique chaque état comprenne nécessairement beaucoup d'éléments communs à tous, il ignore le plus souvent ces autres ét
e et de la mémoire, avec persistance de quelques idées et souvenirs communs à plusieurs états. Plusieurs conjonctures sont
ant des organes ou paires d'organes viscéraux, moteurs, sensoriels, communs pour la plupart aux deux individus, d'expliquer
tés ou opérations de l'esprit, ne peut pas s'appliquer au caractère commun à tous ces ac- tes, celui d'être accompagné de
t sur ce point. Je con- tinue donc : en effet,un fait psychologique commun à deux consciences n'est plus un,mais deux fait
exemple une suggestion pure, ce ne peut pas être seulement une idée commune : c'est forcément un fait complexe^ susceptible
deux individus n'est une fin en lui-même, et que leur raison d'être commune à tous deux et égale, c'est l'être double qu'il
e (1889 et 1890), de Lafont et Rêinach (1893). Le point de départ commun de toutes ces tentatives de réforme est l'idée
nal, du Procureur de la République, du juge de paix, du maire de la commune , dans le cas particulier où nous nous sommes mi
n et de l'aliéné. La responsabilité médicale est régie par le droit commun ; elle ne peut être engagée qu'en cas de faule
tées, fait cesser cet état de choses en enjoignant t au Maire de la commune de procéder, en vertu de l'article 1\1, à un ré
résente ce symptôme. S'il s'agit au contraire de chercher le fond commun sur lequel tous les symptômes somatiques et psy
deux consciences distinctes ? 'Comment peuvent-ils d'abord devenir communs aux deux cons- ciences, puis les fondre en une
sortir de cette incertitude naîtra dans chaque coêtre et leur sera commun ..Ce motif postérieur tendra à su- bordonner la
l'élabo- boration d'une solution d'accord » (p. 100). « Par leurs communes et logiques déductions» (p. 103), les coêtres t
e raccordent l'une à l'autre : elles auraient donc quelque chose de commun Si cette manière de s'expri- mer paraît dépasse
même d'autrui, il existe un grand nombre de causes que leur nature commune soustrait à la connais- tance. Envisageons les
plicisme ajoute-t il la moin- dre notion utile à la manière de voir commune à tous les systèmes spiritualistes ? L'argume
e ressort de la Préfecture de police,et les maires, dans les autres communes ,ordonnent à l'égard des personnes atteintes d'a-
t adressée au préfet, au procureur de la République, au maire de la commune et au curateur à la per- sonne. Ce dernier, en
à la dépense par le dépar- tement, sans préjudice du concours de la commune du domicile de secours de l'aliéné, tel qu'il r
ntal sont des si- gnes d'une grande importance ; la fièvre est plus commune qu'on ne le dit généralement ; elle est inconst
gulière dans les périodes de début ; la toux est rare le jour, plus commune la nuit Archives, 3, série, MOT, l. 1. 23 434
ll. (The Journal of Mental Science, janvier 1904.) Ce type, assez commun en Angleterre, se rencontre surtout dans les in
ant sont des caractères fréquents et de va- leur. La blépharite est commune , ainsi que le strabisme double convergent et le
une certaine mesure de la cause du sommeil lui-même, mais leur fond commun est le rétablissement des fonctions, et à ce de
à l'expérience. Et, pour donner une valeur générale à ces principes communs à tous les systèmes, le duplicisme est sans for
'une révolution, etc. ? S'il existe des notions de bien et de mal communes à tous les hommes, est-ce l'observation inté- r
a besoin de connaître : les différences de ces notions, soi- disant communes , d'une nation, d'une classe, d'une col- lectivi
excités. Il est naturellement impossible de dégager du ré- sultat commun l'action surajoutée, et contingente, si l'on ve
de telle sorte que l'esprit ne connaît jamais que leur contribution commune , quelle que soit la forme sous laquelle elle lu
, empêchant ou dimi- nuant leur adaptation aux méthodes d'éducation communes et réclamant l'intervention de l'hygiéniste. Il
28 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
udier cette lésion qui marque le début des dégénérescences les plus communes , dans une courte note'; nous y revenons aujourd
ns de décrire comme caractérisant la première phase des scléroses communes . Dans un remarquable mémoire 2 cet auteur a donné
COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 41 nerveuse qui est commune aux lésions finalement destructives de l'élémen
us restreintes. La lésion qui nous occupe est donc la façon la plus commune de se transformer et de disparaitre des élément
nt atteints de maladies nerveuses ou mentales, on trouve des traits communs devant être mis à la charge de la diathèse urique
raumatisme de la tête ne sont REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 73 pas très communs . La méningite chronique et l'encéphalite jouent
d'esprit » est inhumaine et blâmable. Mais la muni- cipalité de sa commune ne l'est pas moins. Assurément elle connaissait
emandant le placement dans un asile, d'occasionner une dépense à la commune ; c'est qu'elle sait sans doute que les adminis
hui un malade qui pré- sente des troubles hallucinatoires assez peu communs et dont la pathogénie soulève des questions du
'oeil gauche. Le champ visuel des deux yeux ayant une grande partie commune , on ne se rend que difficilement compte qu'une
rgot courant, et sont volontiers adonnés au tatouage, qui est assez commun chez eux pour prendre une valeur presque caracté-
l'auteur il résulte que la tuberculose est deux ou trois fois plus commune dans les asiles que dans la population ordinair
ont, comme ceux des autres malades, supportés par les familles, les communes ou le départe- ment. Le conseil adopte ces prop
ue dix places au moins seront réservées aux indigents provenant des communes ou du département. , Sur les observations d'u
peuvent fréquenter les écoles, mais non aux malades adultes que les communes sont obligées de garder parce qu'elles ne peuve
ices généraux, s'ils ne sont pas déjà insuffisants, pourraient être communs . D'ailleurs, le programme étant accepté on pour
ières et je vous prie de faire prévenir ma famille à cette dernière commune où je suis domicilié. Je préfère venir vous tro
envoie notre correspondant sur le drame de la folie dont la petite commune de Jaulges a été le théâtre : une de ces derniè
rragies périvasculaires. L'état criblé décrit par Durand-Fardel est commun chez les athéromateux. Les espaces périvasculai
e peuvent se rencontrer dansles cerveaux des vieux aliénés ; il est commun aussi de trouver une augmentation des noyaux péri
ent au contrôle musculaire : les contractions tétaniques sont assez communes , mais les cloniques sont rares, sauf le cas de
nt progressive indique une termi- naison promplement fatale. Il est commun de rencontrer dans cette forme de traumatisme u
devient ainsi presque pathognomonique. Les paralysies beaucoup plus communes dans les autres lésions, ne peuvent ici aider q
sain chez les aliénés; les lésions valvulaires et artérielles sont communes et le myocarde est souvent flasque et pâle. La
nce du coeur gras suffit probablement à expli- quer les syncopes si communs chez les fous. La rupture du coeur n'est pas tr
moelle allongée et la région cervicale de la moelle, qui est assez commun chez les aliénés, et qui, à sa connaissance, n'a
pédoncule cérébral, ET EN particulier DU noyau DE L'OCULO-110- TEUR commun ; par S. SHIMAMURA. (Neurolog. Centralbl., XIII,
u faisceau longitudinal posté- rieur ; 4° au noyau de l'oculomoteur commun . Chaque hémisphère, droit ou gauche, est alimen
autonome et isolé. On remarque que la région del'oczclo-n : otezar commun est celle qui est le plus fréquemment visitée p
vaisseaux sont des artères terminales ; le noyau de l'oculo-moteur commun ne reçoit donc son sang que de ces vaisseaux. V
tions défavorables expliquant pourquoi le noyau de l'oculo-moteur commun est si fréquemment le siège de lésions et pourquo
c l'altération du territoire des parties animées par i'oculo-moteur commun . P. KERAVAL. XXVII. DES fibres MYOSIGLVES ; par
edans pour gagner directement la région du noyau de l'oculo- moteur commun . Chez les chiens, il y a très probablement entre-
faut remarquer avec l'auteur que ces défaillances n'avaient rien de commun avec ce qu'on désigne sous le nom de phénomènes
huit ans qui fut mordu au côté droit de la tête par un insecte très commun dans le pays. Le .cuir chevelu s'enilamma et un
14 juillet 1894.) Les paralysies bulbaires unilatérales sont peu communes et l'au- teur a pensé qu'il ne serait pas sans
w-York Médical Journal, 9 mars l8cJ.) Il s'agit d'une affection peu commune et l'auteur en a observé deux cas dont l'observ
rver sa vie. Aussi les principes de la justice supérieure de la loi commune et de la science demandent que, dans chaque affai
trois cellules pour chaque section de 25 aliénés, une salle de bain commune , un esca- 304 ` asiles d'aliénés. lier commun
une salle de bain commune, un esca- 304 ` asiles d'aliénés. lier commun et les waler-closets. Les deux sections sont réun
r 120 personnes. L'inspecteur et sa famille prennent leurs repas en commun avec les enfants. Le régime ali- mentaire est b
singulièrement étroits que, selon toute probabilité, elles ont une commune origine. R. M.-C. XXIX. La folie DE la PERSÉCUT
oces et presque constantes ; le dédoublement de la personnalité est commun ; dans la plupart des cas la maladie est incura
voit rapidement apparaître la démence. La tendance au suicide est commune . Si l'on passe maintenant aux persécutés humble
sont rares chez le noir, et la forme miliaire est au contraire très commune . C'est le contraire dans la race blanche. On pe
vertige soient de nature très diverse, elles ont au moins un point commun qui est le sui- vant : elles sont toutes, sans
n, le type Higier. Les types Phulpin et Higier ont les carac- tères communs suivants : il s'agit d'une sciatique assez opiniâ
a base, ayant, chez une fillette de dix ans, comprimé l'oculomoteur commun gauche et le nerf optique, et détiuit les lobes
ennent des lobes temporal et occipital ; de là elles se dirigent en commun en arrière du noyau caudé. Le plus fort trousseau
igent en commun en arrière du noyau caudé. Le plus fort trousseau commun se trouve au-dessus de la région latéro-dorsale d
rs prête à donner un arrangement constant et déterminé, n'a rien de commun avec l'instabilité, ou tendance perpétuelle à u
he. A l'asile, on constate une paralysie complète de l'oculo-moteur commun du côté gauche et une atrophie du nerf optique;
uants et des dégénérés, tant dans le système de l'emprisonnement en commun que dans le système cellulaire. (Rapp. : Bnocwv
ons du prolongement cylindraxe des neurones sont, on le sait, chose commune en pathologie; c'est ce qui a lieu pour toutes
en relation avec ces cellules, il existe une communication réflexe commune oculo-auditive. En effet des fibres du corps tr
ervations CLINIQUES ET anatomo-pathologiques relatives A un cas peu commun DE poliomyélite antérieure aiguë; par le Dr Ezi
29 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
en sens inverse des fractures du col du fémur. Voici les caractères communs à toutes les luxations du fémur en haut et en deh
ez de données pour l'interpréter : autant, en effet, les crampes sont communes dans les maladies de la moelle, autant elles sont
corps des vertèbres, et pour paroi postérieure le ligament vertébral commun postérieur très aminci. y livraison .PIJ. MAL
déformation plus ou moins notable. Le nerf optique et le nerf moteur commun n'étaient pas comprimés d'une manière sensible au
lés les uns des autres,leur implantation par un pédicule sur un noyau commun , apparaissent dans tout leur jour. On dirait l'as
es uns des autres par des sillons profonds, et supportés par un noyau commun , sur lequel ils s'implantent par un pédicule tan
propre du gros orteil, en bas, par les tendons réunis du fléchisseur commun : ces deux ordres de tendons se continuaient l'un
l'autre sans ligne de démarcation : les tendons réunis du fléchisseur commun étaient faciles à reconnaître, à cause du muscle
0 L'autre anse tendineuse était formée par les tendons de l'extenseur commun , qui se continuaient avec ceux du court fléchisse
nce. Le petit orteil était pourvu de toute la partie de l'extenseur commun qui ne concourait pas à la formation de l'anse te
vant-bras d'adulte, les cinq doigts réunis sous une enveloppe cutanée commune à la manière d'une bourse, mais susceptibles de m
Les membres inférieurs ou pelviens sont réunis sous le même tégument commun , sans être confondus l'un avec l'autre. La réuni
premières phalanges des derniers orteils sont réunis sous un tégument commun ; que les autres orteils sont plus écartés les un
mbres inférieurs sont confondus, mais distincts sous un même tégument commun , que les pieds réunis forment un angle droit avec
ibiaux postérieurs, en un seul tronc , qui se bifurque comme le tronc commun des deux artères tibiales postérieures, pour four
ôté delà ligne médiane. Les muscles jambier antérieur JA, extenseur commun EC,et extenseur propre EP de chaque jambe, sont c
3, xxxvni6 livraison, fournit un exemple de l'une des formes les plus communes de l'étranglement interne, l'étranglement par bri
l'homme, où, selon lui, elles sont très rares dans l'estomac et plus communes à la fin de l'intestin grêle. Billard (i) décrit
ue, de la combinaison du pus avec le tissu de la rate. Elle est assez commune à la suite des splénites intermittentes. Les ga
omprenant toute l'épaisseur du derme. Or, on sait que rien n'est plus commun que l'inflammation de la peau amincie qui revêt l
avait envahi en partie la bourse droite. Le scrotum est une enveloppe commune aux deux testicules, et la cloison des dartos, po
chroniques des jambes. Cette couleur ardoisée est au contraire très commune aux surfaces muqueuses, et partout où on la ren
ésente cette coloration ardoisée foncée. Cette couleur ardoisée est commune dans les artères, lorsqu'il existe une irritation
ce qui contrastait avec l'état général, insistance qui est d'ailleurs commune à toutes les maladies des femmes en couche, même
e, est le siège d'une lésion extrêmement grave, d'une forme assez peu commune , ce qui m'a décidé à la faire représenter. Cett
issent être représentés par des chiffres et réduits à un dénominateur commun (2); cependant je crois qu'on peut appliquer avec
ient souvent par une douleur épigastrique : l'épigastre est le centre commun de toutes les impressions et douleurs abdominales
ne infiltration séreuse ou sanguine. Cette infiltration, qui est très commune , devient souvent une cause d'inflammation qu'il f
n conçoit les erreurs de diagnostic qui doivent résulter de cet effet commun de lésions essentiellement différentes. Or, de mê
laires des intestins grêles ou gros avec ou sans tubercules sont très communes . Eh bien, ces ulcérations, lorsqu'elles guérissen
s altérations propres, et que les altérations générales, c'est-à-dire communes au plus grand nombre des tissus, étaient excessiv
te que la lésion du foie et celle du poumon reconnaissaient une cause commune . Du reste, la présence de sérosité sanguinolent
tes acéphalocystes des poumons soient de toutes les maladies les plus communes chez les ruminans et soient si rares dans l'espèc
teurs. i° Guérison par froncement ou ratatinement. Ce mode est très commun . Le sommet du poumon est comme bosselé; des lobul
; dans cette deuxième espèce, l'induration est profonde. Rien de plus commun que de voir le sommet du poumon, transformé en un
, creusé de géodes, remplies par une matière crétacée. Rien de plus commun que de rencontrer de petits kystes plâtreux, diss
5° Guérison par cavernes. C'est peut-être le mode de guérison le plus commun . Ces cavernes sont presque toujours anfractueuses
ailleurs toutes les variétés de forme et d'aspect des phlébolithes si communs dans les varices hémorrhoïdales, vésicales et ova
e lésion: nous cher cherons ensuite à les interpréter. Rien de plus commun chez les vieilles femmes de la Salpêtrière, que d
On voit sur la figure les trois muscles jambier antérieur, extenseur commun des orteils et extenseur propre du gros orteil, l
tant il se trouve soulagé. Le malade, qui est d'une intelligence peu commune , rend parfaitement compte de ce qu'il éprouve pen
des douleurs de rhumatisme : c'était le nom (et cette erreur est bien commune ) qu'avaient donné à ses douleurs et à sa maladie
erforation doit être facile. La figure 2 représente le mode le plus commun de rétrécissement de la valvule mitrale. Les deux
f de la cinquième paire du côté droit. Enfin, la céphalalgie, effet commun d'une multitude de causes diverses, doit être rap
tue à toutes les causes de compression. L'amaurose est un phénomène commun à un grand nombre de maladies organiques du cerve
res, subdivisés eux-mêmes en mamelons et aboutissant tous à un centre commun qui formait le pédicule de la tumeur. Le plus gra
s produits par des coups de marteau, je puis assurer qu'ils sont très communs ; car j'en ai vu un très bon nombre. Je crois avoi
es matières fécales. Ces paralysies apparentes par rigidité sont plus communes qu'on ne le pense : elles tiennent dans le princi
inférieurs n'avaient pas encore subi la transformation graisseuse si commune chez les vieilles femmes, à la suite d'une immobi
pris entre la face postérieure des vertèbres et le ligament vertébral commun postérieur; au fond de ce foyer, on sentait les o
nne vertébrale, entre le corps des vertèbres et le ligament vertébral commun antérieur; que ce foyer de pus occupait en hauteu
impressions intérieures quelquefois fort vives. L'impression la plus commune , est celie du froid ou du chaud: tantôt il semble
bres paralysés. Ce fourmillement est la lésion de sensibilité la plus commune , celle qui précède tous les autres phénomènes de
es tumeurs cancéreuses ou tuberculeuses du cerveau ( et cela leur est commun avec toutes les causes de compression de cet orga
ontenus dans l'épaisseur, soit de la substance grise, ce qui est plus commun , soit de la substance blanche, j'ai déjà dit que
tumeurs secondaires ou lobules pédicules, partant toutes d'un centre commun . Ces bosselures étaient elles-mêmes subdivisées e
bosselures étaient elles-mêmes subdivisées en granulations. Le centre commun était constitué par une masse compacte, blanchâtr
tion de la tumeur en lobules pédicules , aboutissant tous à un centre commun . On voit que cette tumeur diffère essentielleme
'intégrité de la substance cérébrale sous-jacente. Une circonstance commune à toutes les pertes de substance du cervelet et d
dont parle le bon Paré lui-même, qui a payé son tribut à la crédulité commune (lib. xxiv, de Monstris)? C'est par un abus incon
rs à de semblales productions à la région faciale, où rien n'est plus commun que la formation d'espèces d'ergot de coq ou de g
ut sous ce point de vue que je crois le cas intéressant: rien de plus commun en effet que l'hypertrophie simple de la prostate
ans les maladies des voies urinaires. Us constituent la cause la plus commune des rétentions d'urine et par suite du plus grand
la tumeur était composé de poches, qui toutes s'ouvraient dans un sac commun , représentant le bassinet du rein. Dans ce sac co
ent dans un sac commun, représentant le bassinet du rein. Dans ce sac commun , il y avait quatre calculs du volume et de la for
ottans librement dans cette cavité. L'uretère venait aboutir à ce sac commun ; mais il fut impossible de découvrir son ouvertu
de suc cancéreux peu abondant. Le cancer fibreux est la forme la plus commune du cancer des os. explication des figures. Ca
le pus n'a pu passer dans le torrent de la circulation. Rien de plus commun dans ce cas que la phlébite suppurative circonscr
es variétés, au moins des espèces principales de cette terrible et si commune maladie. Malgré les travaux importans publiés sur
lutérus. ha. gangrène consécutive au cancer utérin est extrêmement commune . On conçoit, en effet, que le moindre travail mor
n-fol. de sus-omphalo-didymes. Un cordon unique aboutit à l'ombilic commun , qui présente un exomphale avec déchirure de la m
duodénum D,D', mais que les deux duodénums aboutissent à un intestin commun en CD, lequel se bifurque à-peu-près au niveau de
, de telle sorte que le canal digestif double supérieurement, devient commun au niveau de la partie de l'intestin grêle qui po
ière du foie. Viscères abdominaux.—Les uns sont doubles, les autres communs . i° Organes doubles.— Deux estomacs dont le droit
psules surrénales, deux vessies, deux utérus et annexes. 20 Organes communs . — Le jéjunum, le foie. Le foie mérite surtout
la cavité abdominale, s'accolait à la paroi postérieure de l'abdomen commun et se rendait au sillon antéro-postérieur de ce f
es; cependant, si l'on considère que la paroi antérieure de l'abdomen commun aux deux fœtus est formée par la moitié droite de
re est un orifice garni de deux valvules et qui conduit du ventricule commun dans la cavité commune des oreillettes. La crosse
i de deux valvules et qui conduit du ventricule commun dans la cavité commune des oreillettes. La crosse de l'aorte présentait
ne des oreillettes. La crosse de l'aorte présentait cette anomalie si commune qui consiste dans l'origine de l'artère sous-clav
e passage de cette artère derrière la trachée et l'œsophage. Cavité commune des oreillettes. — En renversant le cœur de bas e
, par une cloison horizontale incomplète : cette cavité est la cavité commune des oreillettes; la moitié supérieure de cette ca
à la partie moyenne, il y a absence complète de cloison. Cette cavité commune des oreillettes, qui est située sur un plan posté
é de deux ventricules aortico-pulmonaires et d'une cavité auriculaire commune , que le ventricule aortico-pulmonaire supérieur o
entriculaire était distincte; mais leur circulation auriculaire était commune . Il est bien difficile de se rendre compte de l
ricains, ou bien quelques vaisseaux? il n'est pas probable qu'un cœur commun réunisse ces deux êtres : on ne concevrait pas sa
inale intercostale. 21e liv., pl. m, p. 3.— L'épigastre est le centre commun de toutes les douleurs de l'estomac et des intest
pl. 1,11, m, iv, v, p. 42. ARTÈRES. L'arlérile est la cause la plus commune de la gangrène. 3e liv., pl. 11, p. 3; 27e liv.,
. 1, n, in, iv, v, p. 5o. ARTÉRITE. L'artérite est la cause la plus commune de la gangrène. 3e liv., pl. n, p. 3,- 27e liv.,
ntité du choléra indien et du choléra européen. Nécessité d'une cause commune et dominant toutes les circonstances. Identité du
ans le choléra. 14e liv., pl. i, n, m, iv, y,p. 4s. —Les crampes sont communes dans les maladies de la moelle, et rares dans cel
-Propos, p. iij. DOIGTS. Abcès dans l'épaisseur du muscle extenseur commun des doigts. 17e liv., pl. ni, p. 5. — Déplacemens
a. 14e liv., pl. 1, 11, m, iv, v,p. /2. — L'épigaslre est le centre commun de toutes les impressions et douleurs abdominales
s du fémur en haut et en dehors. 28e liv., pl. vi, p. f. — Caractères communs à toutes ces luxations. 28e liv., pl. vi, p. 2.—
FOURMILLEMENT. Le fourmillement est la lésion de sensibilité la plus commune . 38eliv., pl. v, p. /0. FRACTURE. Fracture de l
tité du choléra indien etîdu choléra européen ; nécessité d'une cause commune et dominant tomes les autres circonstances; ideni
s du fémur en haut et en dehors. 28e liv., pl. vi, p. 1. — Caractères communs à toutes ces luxations. 28e liv., pl. vi, p. 2. —
'épaisseur de la jambe. Un abcès dans l'épaisseur du muscle extenseur commun des doigts. 17e liv., pl. m, p. 5. MUSEAU DE TA
'épaisseur de la jambe. Un abcès dans l'épaisseur du muscle extenseur commun des doigls. 17e liv., pl. ni, p. 5. — Quel rappor
, pl. v, p. p.— Le fourmillement est la lésion de sensibilité la plus commune . 38e liv., pl. v,p. 10. SENTIMENT. Paraplégie inc
30 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
rations si multipliées qu'on ne saurait guère les rattacher à un type commun . Tout à l'heure, je vous parlais de l'indépenda
ous les yeux des parois creusées d'al-véoles s'ouvrant dans un espace commun autour duquel ils rayonnent. C'est là une disposi
es parois des vaisseaux lymphatiques et sanguins et dont un caractère commun , vous le savez, est de se développer chez l'embry
s parois des vaisseaux san-guins et lymphatiques, etc. Un caractère commun à ces endotheliums, dont l'épithélium pulmonaire
physiologiques. Ils n'ont, à part certaines ressemblances, rien de commun avec les epitheliums, et ces deux ordres de tissu
z, non pas d'un fait partiel propre au poumon, mais d'un fait général commun à tout un groupe de cirrhoses viscérales. Je vo
ithéliales en général. Sommaire. — Caractères anatomo-pathologiques Communs à certaines for mes de la broncho-pneumonie subaî
vé, en faisant la leçon précédente, un caractère anatomo-palhologique commun à certaines formes de la broncho-pneumonie subaig
d'un fait partiel, d'un épisode, mais bien d'un caractère anatomique commun à tout un groupe de cirrhoses viscérales, et rele
paren-chymateuse, dont elle représente une phase avancée. Elle n'a de commun avec l'altération dite le petit rein rouge, que d
les traits de ressemblance qui permettent de rappro-cher sous un chef commun des affections 1res diverses par le nom de l'orga
s de maladies rénales, naguère encore en-globées sous la dénomination commune de maladie de Bright chronique. Il est à espére
er-tain nombre de distinctions plus ou moins tranchées. Le ca-ractère commun du groupe, c'est l'existence d'une lésion pul-mon
ier les espèces sans nécessité, nous les com-prendrons dans un groupe commun : ce seront les bron- cho-pneumonies ou encore
eur Grisolle, qu'un lent retour du poumon à l'état normal est un fait commun , sinon même ha-bituel, à la suite des pneumonies
altération pourrait fournir quelques indices ; ainsi, il est très peu commun que la tuberculisation occupe, au moins d'une man
nfance (Barthez et Rilliet, Bouchut). Quelques auteurs la disent plus commune dans la vieillesse qu'à toute autre époque delà v
433. la nature de celte lésion, qui n'a, comme on le voit, rien de commun , anatomiquement parlant, avec les diverses formes
, nous avons pu nous convaincre maintes fois que la carnification est commune chez les vieillards comme chez l'enfant. L'insuff
ulement par le voi-sinage de la séreuse, mais par une vascularisation commune . Le réseau capillaire respiratoire, celui des aci
ions de la plèvre sur le poumon. Rindfleisch fait remarquer qu'il est commun de voir dans la pleurésie séro-fibrineuse les alv
t l'oxyde de fer. anthracose pulmonaire : Cette forme est la plus commune , et c'est elle qui la pre-mière a été sérieusemen
isager tout d'abord la sidérose pul-monaire, affection beaucoup moins commune que l'anthracose, assurément, mais qui a été l'ob
De sacs respiratoires formant la masse pulmonaire ; 3°D'une enveloppe commune , la plèvre; 4° De vaisseaux sanguins et lymphat
anastomose, des rameaux de plus en plus vo-lumineux dont la direction commune est centrifuge par rap-port au centre du lobule.
onaire, et tous ces conduits sont enveloppés d'une gangue conjonctive commune . C'est l'ensemble de ces parties que M. Charcot d
2° une zone périphérique, composée de cellules soudées par une gangue commune , laquelle pénètre dans les alvéoles voisins sous
parties voisines, et ainsi a lieu le ramollisse-ment qui n'a rien de commun , comme on le voit, avec la sup-puration. Sans mél
rnes, depuis le commencement du processus jusqu'à la fin, n'a rien de commun avec la pneumonie, contrairement à l'opinion de C
15 follicules agglo-mérés se montrent entourés et réunis par une zone commune de petites cellules : ils forment ainsi une unité
tique. Ces follicules sont enveloppés, comme on l'a dit, par une zone commune composée de petites cellules embryonnaires. L'ext
teurs, la matière tuberculeuse grise ou jaune de Laënnec, n'a rien de commun avec le tubercule, ce n'est pas une production ac
ructive aiguë, la lésion pulmonaire est, à l'origine, l'in-flammation commune et reste absolument étrangère au tuber-cule, font
, sur aucun point, le fait de la présence des produits d'inflammation commune : leucocytes, cellules épithéliales proliférées,
yonnaire avec ou sans l'ac-compagnement des lésions de l'inflammation commune . C'est au sein des nodules, dans leur région cent
ragique existe à titre de maladie primitive et indépendante, sont peu communs , et ils paraissent devenir chaque jour de plus en
s sommes que les faits de détail ont toujours leur importance, 1 En commun avec M. Vulpian. — Extrait de la Gazette hebdomad
s de mort subite2 ; ce serait même là, dans l'espèce, une cause assez commune , à en juger par le nom-bre des observations où un
à une même catégorie : toutes, il est vrai, possèdent des caractères communs , à savoir, l'existence de caillots san-guins dans
omplètement bouchée par des caillots s'élendant un peu dans l'iliaque commune . Cœur normal. Pou-mon un peu œdémateux. Le tronc
outefois que ces symptômes paraissent être, jusqu'à un eertain point, communs aux cas où l'oblitération dépend d'une altération
l'aphonie, la toux et d'autres symptômes ration-nels sont quelquefois communs à l'une et l'autre maladie. Quand les signes phys
artilages de la seconde et troisième côte à gauche : ce siège est peu commun dans les anévrismes de l'aorte. n) Les anévrism
guent par quelques signes particuliers, ont cepen-dant des caractères communs . Le début est ordinairement brusque ; les malad
rminerons ici Y étude des maladies de laorte \ ' Ce travail fait en commun avec M. le Dr Ball, est extrait du Dictio?i-naire
es fois il n'y adhère que faiblement. Dans le cas de beaucoup le plus commun , où les deux membres pos-térieurs ont été simulta
au, d'un anévrisme disséquant. Mais, quoi qu'il en soit, le caractère commun à toutes ces oblitéra-tions qui produisent non la
rité que les noyaux indurés doivent l'aspect gra-nuleux qu'ils ont en commun avec les fragments du poumon frap-pés d'hépatisat
oraciques qui se déve-loppent à l'époque où les pneumonies deviennent communes , se manifestent d'abord avec tous les caractères
ithéliales en général. Sommaire. — Caractères anatomo-pathologiques communs à certaines for-mes de la broncho-pneumonie subai
31 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
ion sanguine. Leur formation est certainement de beaucoup an- 1. En commun avec M. Cn. Bouchard. Heaume d'une noie lue à la
inion a été formulée dans les communications que nous avons faites en commun à la Société de Biologie et plus tard dans des pu
ue-t-il pas un bel exemple de localisation cérébrale ? L'hémiplégie commune , l'hémianesthésie, ensemble symptomatique dépenda
nt pendant un nombre variable de jours entre 37°,5 et 38°. Il est peu commun que ce 1. Comptes-rendus de la Société de biolo
idérations suivantes : 1° l'hémorrhagie intra-arachnoïdienne, la plus commune des hémorrliagies méningées, survient, dans la ma
que. Il résulte, en effet, d'un grand nombre d'observations faites en commun avec Vulpian, que les phénomènes précurseurs du r
rdre secondaire et qui correspondent à de simples varia-Lions du type commun . A. Après ce long exposé des faits, il suffira
nutritifs, paraissent cependant se rapprocher foules par un caractère commun : c'est l'irritation des éléments nerveux de la m
er le même volume et la même coloration. Les tendons de l'extenseur commun des doigts de la main gauche, dans la partie où i
ent, dans ce cas, les gaines séreuses des fendons du muscle extenseur commun des doigts au niveau du ligament dorsal du carpe,
jour ; car, assurément, à moins de placer l'homme en dehors des lois communes , on ne saurait accepter qu'il puisse exister une
rd rechercher quelle est, pour tous ses agents, la condition physique commune et essentielle ; il y a ensuite à étudier les mod
qu'il a appelé la métallothérapie. « L'anesthésie est un phénomène commun dans l'hystérie ; parfois même tout un côté du co
rée dans le traitement des maladies, mais 1. Communication faite en commun avec M. P. Hegnard à la Société de Idoloqie, Séan
re du côté gauche qui durait depuis huit ans : quelque temps après la Commune , elle se trouve dans cet hospice, mêlée à une cér
érique provoquée. L'exagération des réflexes tendineux est Lin fait commun chez les malades atteintes de grande hystésie. El
— Le tambour myographique est placé sur le corps du muscle extenseur commun des doigts (avant-bras droit). L'avant-bras dro
; Cubital postérieur ; Extenseur propre du petit doigt ; Extenseur commun ; Extenseur propre de l'index ; Long extenseur du
tal postérieur et les deux radiaux), les autres des doigts (extenseur commun et les deux extenseurs propres : ces derniers mus
onateur ; le grand palmaire ; le cubital antérieur ; les fléchisseurs communs ; le fléchisseur propre du pouce. A la région ext
ateur ; les radiaux externes. A la région postérieure : l'extenseur commun ; l'extenseur propre de l'index; l'extenseur propr
eur nous a donné les résultats les plus précis. Le point d'excitation commun à l'extenseur du pouce et à celui de l'index a ét
ur propre du petit doigt ; 7, extenseur propre de l'index ; 8, rameau commun à l'extenseur propre de l'index et au long abduct
é neuro-musculaire et pour la faradisation localisée, des difficultés communes . Ces difficultés résultent: a) Des variétés ind
nférieur; 6, grand zygomatique ; 7, petit zygo-matique ; 8, élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure; 9, tr
st difficile de la distinguer ; il arrive fréquemment que l'élévateur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez partic
ure à la suivante, qui représente l'action isolée du muscle élévateur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez, il es
la première, doit être attribuée au petit zygomatique. L'élévateur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez imprim
p. t. ix, Hypnotisme. 24 Fig. 24. — Contraction du muscle élévateur commun de l'aile' duhezel de la lèvre supérieure. la l
ifférents. Par exemple, le grand zygomatique d'un côté et l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure de l'a
che IX en sont vraiment saisissants. L'excitation du muscle élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure est pr
unications que j'ai faites sur ce sujet, l'an passé, à la Société, en commun avec M. le docteur Richer. Mes observations, fait
t le muscle du rire. (Pl. XI, Fig. 5 et 6) ; pour le muscle élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure qui es
isme, contractures passagères, etc., etc. 1. Communication faite on commun avec M. le Dr P. Hicher, à la Société de Biologie
hysiques est donc, comme nous venons de le dire, un caractère qui est commun à la forme type Charcot. OEuv. compl. t. ix, Hy
telle particularité, mais qui se distinguent toutes par un caractère commun , l'absence de phénomènes somatiques. Le petit hyp
côté sain ; Fig. 5, côté paralysé. Vu:. 6. — Tendons de l'extenseur commun des doigts du côté paralysé dan» l'obs. n° 4. La
vre supérieure. Fig. 4. —Excitation unilatérale du muscle élévateur commun du nez et de la lèvre supérieure. L'excitation, p
PLANCHE Y HT. Fin. 1. — Excitation bilatérale du muscle élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. Fia
'ouverture de l'œil gauche.—Excitation bilatérale du muscle élévateur commun delà lèvre supérieure et de l'aile du nez. Le mus
rai inférieur, p. 37; — du petit zygomatiquc, p. 368; —de l'élévateur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez, p. 36
32 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
eprésente les noyaux du mé- dian et du cubital »; de même, le noyau commun du bras se divise en noyaux du musculo-cutané e
c'est-à-dire : au bras, le triceps ; à l'avant-bras, les extenseurs commun et propres des doigts, les muscles propres du pou
forts courants dans les trois parties du triceps, dans l'extenseur commun des doigts, le long et court extenseur du pouce,
s faradiques employés, notamment dans les palmaires, le fléchisseur commun des doigts, les extenseurs propres du pouce, le c
diaux et le Long Abducteur par les VIe et VII" racines, l'extenseur commun des doigts et l'extenseur propre du pe- tit doi
ains, des fléchisseurs, des palmaires, des cubitaux, des extenseurs communs et propres des doigts, des trois parties du tri
ellement. Dans tous les autres mus- cles de l'avant-bras, extenseur commun des doigts, cubital postérieur, muscles propres
'index et du petit doigt, rond pronateur, palmaires, flé- chisseurs communs superficiel et profond des doigts, cubital antéri
à la Société de Neurolo- gie dans quelques mois. UNE VARIÉTÉ PEU COMMUNE DE MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE, PAn ED
Revue méd. de la Suisse romande, avril et mai 1901. UNE VARIÉTÉ PEU COMMUNE DE MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE 33 Louise D
esseurs du cou et du tronc). (E. LonQ, de Genève) UNE VARIÉTÉ PEU COMMUNE DE MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE 35 Région d
oration, ce qui peut s'expliquer par l'insuffisance UNE VARIÉTÉ PEU COMMUNE DE MYOPATHIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE 37 des musc
eptionnels et prolongés du système musculaire, présente beaucoup de commun avec la dystrophie progressive musculaire ; il
s à elle, et cette atrophie, quoique progressive, ayant beaucoup de commun avec la dystrophie musculaire progressive présent
mpte fait, D... réalise, d'une façon complète, la symptomato- logie commune aux affections de la queue de cheval et aux affec
la portion correspondante de la moelle. J'ai dit symptomatologie commune aux affections de la queue de cheval et de la p
qui n'est du reste pas spécial aux artères cérébrales mais qui est commun à toutes les artères séniles a été bien étudié pa
es. Mais c'est là un simple artifice de préparation qui n'a rien de commun avec la lacune de désintégration. Nous avons
Cestan ont montré que si les symptômes cliniques offrent des points communs , la lésion anatomique est variable et se traduit
itude, un peu négligée jusqu'ici, constitue le plus pe- tit-facteur commun de toutes ces conceptions physiologiques, et il n
e et si pratique, et de faire du sens des attitudes le dénominateur commun de termes mal établis (2). Il ne s'agit en ré
era d'une telle simplicité qu'elle fournira J'élément primordial et commun à toutes les notions physiologiques que j'ai énum
NNIER traie en un même point de l'écorce Il y aurait donc une image commune à plusieurs points de la périphérie, une même r
a son point d'image centrale conjuguée, et qu'il n'y a pas d'image commune à deux points différents de la périphérie. On ad-
physio- logique et qui puisse rejeter le sens des attitudes hors du commun des ap- pareils sensoriels. Il ne faut donc pas
lles, et ceci n'est pas pour faire rejeter le sens des attitudes du commun des offices sensoriels. Plus un sens offre prise
donnée avec d'autres formes données et plus ou moins familières et communes , l'interprétation, la définition psychique, la ve
suivre l'irrita- tion sensorielle pour lui refuser une localisation commune avec elle. « Ces images d'attitude sont faites
il n'est pas moins certain que nous ne pourrons leur attri- buer de commune mesure. En revanche, les perceptions sensorielles
ns ce fait que la forme anatomique de la lésion n'est pas une forme commune , et aussi dans cette particularité que la glio-
ire d'anatomie pathologique. Le 13 juin 1900, la sage-femme de la commune de X... amenait à Nancy à la clinique des malad
, et au bout de quelque temps revêtent une physionomie particulière commune , les rythmes présentant pour ainsi dire une cer
effé parallèlement à l'automatisme biologique. Cette vie biologique commune , on la saisit à chaque pas dans les modificatio
uvements et modifications initiales. Il résulte alors des réactions communes , qui sont le commencement ou plutôt l'effloresc
tater sur les tracés respiratoires un nombre considérable d'efforts communs surtout quand les sujets surveillaient les mouv
des mouvements respiratoires était visible. Cette vie biologique commune se révèle encore dans des modifications 264 VAS
s ou moins circonscrits de méningo- encéphalite d'une intensité peu commune . (1) P. Sérieux, Hallucinations motrices verbal
ts qui tendent à se confondre pour former la racine une enve- loppe commune . Dans ce troisième segment d'ailleurs très court
ainsi que nous venons de le décrire, la disposition des enveloppes communes , 294 THOMAS ET HAUSER mais on assiste, à part
cartés même les uns des autres et entourés d'une enveloppe méningée commune quelquefois beaucoup trop grande pour eux, mais
sentiels, mais aussi en raison de l'existence de symptômes spéciaux communs tels que la verbigéralion, le mutisme, les stéréo
es deux ordres de symptômes, négativisme et suggestibilité, et leur commune origine. Ce sont les stéréo- typies. Cetle te
er qu'on envi- sage le fonds mental sur lequel ils reposent ; fonds commun à toutes les variétés de démence précoce et car
capité dans la plaine des supplices, comme un malfai- teur du droit commun , Tchôbé seul eut pitié de sa mémoire, réclama son
itude « penchée en avant» que présentent les malades, dans la forme commune (type de flexion), mais sans que l'examen de la
la dégéné- rescence. Sans doute, l'hérédité nerveuse est le fond commun sur lequel germent toutes les affections nerveu
tions du même ordre donne lieu à l'épaississement de la gaine piale commune , qui dans le dernier seg- ment des racines se c
rchons par conséquent s'il n'existe pas du côté du centre trophique commun , c'est-à-dire dans le ganglion rachidien, quelque
froide de quelques personnages, ce qui est du reste un des défauts communs à toute l'oeuvre, pourtant si riche et si plein
Les contours des dendri tes des cellules de la corne antérieure en commun seprésentent, commeil est ditplus haut, com- pa
téméraire au premier abord de les rappro- cher dans une description commune . Un semblable rapprochement s'im- pose cependan
andis que l'utérus et les testicules sont trouvés atrophiés. Il est commun de trouver que la menstruation a cessé au début
même plus tard avec lui, 1 hypertrophie hypophysaire causale étant commune a tous les deux. Mais le problème prèle encor
cartilages épiphysaires, l'hypertrophie hypophysaire causale étant commune à toits les deux ; 3° Il reste à déterminer l
e trace de labour ne demeure la nuit achevée. Un des tours les plus communs , joués par les paotred ar zabat, aux fermiers,
r fait t cette judicieuse remarque : «... Par une supercherie assez commune dans les gravures re- présentant des géants, la
. Souques, 131. Myopathie alrophique progressive (Une variété peu commune de) (1 pl.). par E. Long, 32. Myopathie famil
mi- liale avec rétraction (2 pl.), 38. Long (E.). Une variété peu commune de myopathie atrophique progressive (1 pl.),
33 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
ladie, considérée d'abord comme exceptionnelle, est, en réalité, très commune . Outre les altérations des cordons postérieurs,
minent aux: membres supérieurs, et à la région lombaire dans la forme commune , c'est-à-dire quand, les phénomènes morbides sont
flement cervical de la moelle épinière. III. taux du type le plus commun . Nous serons mieux en mesure, après cela, connais
emment d'une manière générale: les malades maigrissent et il est fort commun de voir chez eux se déclarer des symptômes de pht
mplètes, t. ii. 3 même parmi les ladies, — et qu'ils désignent d'un commun accord sous le nom de paraplégie alcoolique. Un d
rale. La fréquence du pouls sans fièvre est d'ailleurs un fait très commun , dès les premières périodes de l'ataxie, et en de
tances, deux surtout méritent d'être relevées : Io a) La cécité, si commune dans les cas de tumeurs céré-brales, puisqu'elle
d sympathique cervical. Dès la première période de l'ataxie, il est commun d'obser-ver une inégalitépupillaire et, du côté o
st presque constante. 1 La fréquence du pouls sans fièvre est chose commune chez les ataxi-aues. Il est nécessaire de faire
cette arthrite sèche est toute spéciale et ne rentre pas dans la loi commune . Voyons plutôt ce que va dire la comparaison de l
ue, à priori, l'arthropathie ne pouvait être rattachée à la lé-lésion commune et banale des cordons postérieurs. Il fallait che
lle-même. d) La gomme ou syphilome est aussi un produit morbide peu commun , en tant que tumeur intra-spinale. Il existe dans
se, ou tout au plus d'un petit œuf. Nous mentionnons parmi les plus communes : 1° Les diver-ses variétés de sarcome, comprenan
eurent absolument latents, cette variété du cancer vertébral est très commune ; mais ce n'est pas celle-là qui doit nous intére
che ; elle est bilatérale — ce qui n'est peut-être pas le cas le plus commun — quand la production morbide presse également le
, par cette voie anormale, seraient consécutivement, suivant la règle commune , rapportées à la périphérie de ces dernières fibr
uscles, plus ou moins étendue et plus ou moins profonde, est un trait commun à toutes les 1 Cette leçon, faite à la Salpêtrj
appro-chement que nous allons tenter mettra en lumière des caractères communs qui, jusqu'à ce jour, étaient restés mé-connus
cins, qui se sont occupés par-ticulièrement de la question, ont, d'un commun accord, dési-gné la moelle épinière comme étant l
fonctionnelle des membres frappés de paralysie, car elle n'a rien de commun avec l'altération parti-culière de la moelle épin
gne, entre autres, l'histoire de l'une des maladies spinales les plus communes chez l'adulte, et en même temps les plus graves.
e rapport des symptômes locaux, on remarquera que plusieurs leur sont communs . D'autres n'appartiennent qu'à la myélite aiguë d
D'autres n'appartiennent qu'à la myélite aiguë diffuse. Les symptômes communs sont: la paralysie motrice avec flaccidité complè
ujourd'hui encore souvent confondues en clinique sous la dénomination commune d'atrophie muscu-laire progressive. L'anatomie pa
hie musculaire progressive sont très variées. Elles ont toutefois, en commun , un trait particulier qui constitue, pour ainsi d
on granuleuse. Cette observation qui figure dans un mémoire publié en commun avec M. Joffroy, alors mon interne (Archives de p
cisons, en faisant appel à un exemple concret. Supposons le cas, très commun dans l'espèce, où la maladie n'a envahi encore qu
trophique de l'atrophie musculaire spinale protopathique. Symptômes communs aux deux affections : amyotrophic progressive, co
des symptô-mes. Ces symptômes sont de deux ordres : À. Les uns sont communs à l'amyotrophie progressive vul-gaire et à l'amyo
me dans le pre-mier, me paraît relever de la sclérose latérale, trait commun entre tous les trois. Il n'est pas inutile de r
r d'hémorragie, lesquelles s'accompagnaient, contrairement à la règle commune , d'une atrophie plus ou moins pronon-cée des musc
facile encore à déterminer. La sclérose latérale amyotrophique a de commun , avec le tabès spasmodique, la parésie suivie de
ez les femmes, cette sorte de myélite paraît être, en revanche, assez commune chez les hommes. D'ordinaire, elle se développe d
n collègue, le docteur Moynier, est encore un trait que celle-ci a en commun avec les faits qui nous occupent ; mais les carac
n dont je vous ai entretenus déjà, tout à l'heure, et qui n'a rien de commun , je vous l'ai dit, tout à l'heure, avec les secou
ion dont il s'agit paraît être, on le voit, avec quelques varian-tes, commune aux formes aiguës, subaiguës et chroniques pri-mi
: on trouve alors tantôt trois ou quatre noyaux réunis dans une masse commune de protoplasma ; tantôt des amas de jeunes cellul
retrouve d'ailleurs dans des altérations du muscle, qui n'ont rien de commun avec l'atrophie progressive ; on les observe entr
cuisse ; à la jambe, les ju-meaux, le jambier antérieur, l'extenseur commun des orteils, au-cun d'eux ne présentait même cett
trophique de l'atrophie musculaire spinale protopathique. Symptômes communs aux deux affections : amyotrophic progressive, co
34 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'acétophénone produit rapidement un état comateux qui n'a rien de commun avec le sommeil ; les différentes sensibilités
mais il ne donna aucun signe de folie ou d'ivresse. Dans cette même commune , le dimanche 6 avril, vers dix heures du soir,
court espace de vingt-trois jours, huit incendies terrorisèrent la commune de Chaume. Le 28 juillet, le feu était mis a on
ulement par les autorités, mais encore par tous les habitants de la commune affolés de peur. Quand on veillait d'un côté, l
était la première à paraître effrayée des dangers qui menaçaient la commune , à porter secours pour éteindre les incendies q
... étant garçon d'écurie àMessigny, le feu se déclarait dans cette commune à onze heures du soir, dans un hangar rempli de
L'accusé s'était défendu avec une intelligence et une habileté peu communes ; il fit remarquer que le feu n'avait pas pris che
, qu'il appelle originàre. Il en montre les caractères dégénératifs communs aussi d'ailleurs aux autres formes primitives e
° impossible de retrouver la bande- lette optique et l'oculo-moteur commun du même côté ; 4° le tu- bercule quadrijumeau a
e foule de cas mixtes qui, pour la plupart, se tiennent par le lien commun de la faiblesse psychique. Personne ne s'avise
lleux, placé dans une chambre médiocrement chauffée, ce qui est peu commun dans ces régions et à cette époque de l'hiver.
le temps de sa grossesse, à part le gonflement habituel du ventre commun aux femmes enceintes elle avait ressenti quelqu
sont pas des malades ordinaires. On ne leur applique pas les règles communes de la clinique; on ne les traite ni de la même
ns; elles sont suppor- tées exclusivement par les départements, les communes , les familles, tandis que l'Angleterre, en lais
, en effet, la charge des aliénés indigents était supportée par les communes et par les hospices, qui se débat- taient et ch
épenses variables départementales, sans préjudice du concours de la commune de l'aliéné et s'il y a lieu, du concours de l'
s un autre article (art. 10) exigé une déclaration au maire de la commune pour tout aliéné qui est gardé dans ces condition
n accord dont, plus que personne, je sens t5ut le prix, et que d'un commun effort nous pourrons atteindre le but élevé que
s pourrons atteindre le but élevé que nous nous sommes proposé en commun et en vue duquel la commission n'a épargné ni les
t non de le supprimer, il me semble impossible qu'animés d'un désir commun , cherchant à atteindre le même but, nous ne fin
. Dumesnil, Lunier et Foville, pour 500 malades, dont 440 du régime commun et 60 pensionnaires, l'asile renferme, aujourd'
ssive, soit avec la sclérose en plaques, seules affections à signes communs . Cette observation vient à l'appui de l'opinion
et l'inertie, l'immobilité des pupilles (atteinte de l'ocumoloteur commun ), l'hyperesthésie, puis l'affaiblissement de la
e dans les centres nerveux, pour les organes des sens, des éléments communs ou du moins très voisins en con- nexion à la fo
pter de 400 à 500 aliénés dispersés dans les hameaux de cette vaste commune chez les paysans, appelée hôtes ou nourriciers,
mes incomplets ne peut pas se faire par l'éducation ordinaire et en commun ; il faut une éducation spéciale. Les princip
aire en France nos départements pour for- mer un groupe et créer en commun un asile d'aliénés. Ces comtés ont créé un gran
r, la dépense des aliénés a été à la charge des départements et des communes ; or, si vous adop- tez ce troisième paragraphe
dépense des asiles doit rester à la charge des départements et des communes . Nous vous demandons de supprimer le paragraphe
Deux ou plusieurs départements peuvent créer et entretenir à frais communs un asile public d'aliénés. Les condi- tions de
cas où deux départements s'entendent entre eux pour créer un asile commun , mais aussi, au cas où un département s'entend
, on peut dire que cette pensée de la création et de l'entretien en commun d'un établissement d'aliénés par plusieurs dépa
ations engagées entre les départements en vue de l'acquisition en commun de l'asile. Mais ces négocations n'ont pas pu abo
réalise pas l'hypothèse de la création et de l'adminis- tration en commun de l'asile de Clermont. M. LE Ministre de l'int
de malades dont la dé- pense est payée par les départements et les communes , et alors elle a accordé' au Gouvernement des d
les intérêts des aliénés entretenus aux frais du département et des communes ne soient pas compromis, de prendre la directio
le corps; elles ont d'ailleurs les unes et les autres ce caractère commun de la variation dans le temps et de la diversité-
brillants succès et elle est devenue, grâce à lui, de connaissance commune chez beaucoup de ceux qui s'intéressent aux quest
e de volume; toutefois, la face n'offre pas l'apparence de maigreur commune à beaucoup de maladies viscérales. Cette diminu
nt décrit par Broadbent. Mais ces cas, com- parativement à la forme commune , semblent rares. Le second point est plus impor
iétés de Paranoia délirante, en leur attribuant un fond dégénératif commun , M. Magnan fait une classe à part de ses délira
de analogie démarche des deux affections ? Leur point de départ est commun , mais comme les sujets réa- gissent chacun à le
rité, Dalldorf et les quartiers ressortissant aux aliénés du régime commun . En 4860 on avait traité dans les asiles, sans
aliénés, les asilesprivésneuf cents ma- lades appartenant au régime commun . De nouvelles constructions sont imminentes. Pa
'Etat des charges que la loi a imputées au compte des familles, des communes et des départe- ments. Les déclarations expre
en ait fait la déclaration, dans un délai d'un mois au maire de la commune . » Voici maintenant le paragraphe 2 de l'articl
ir de la mise en traitement de la per- sonne malade, au maire de la commune . » C'était au maire de la commune que, primitiv
r- sonne malade, au maire de la commune. » C'était au maire de la commune que, primitivement, le Gouver- nement voulait q
35 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
teau cérébral sont des fi- bres corticifuges. Leurs aractères communs . Leur trajet. (fascia dentala, corne d'Ammon,
téral ou de ses cornes, et présentent un certain nombre de rapports communs (Fig. 3, 7, 10). Leur face interne recouvre les f
ur do l'angle externe du ventri- cule latéral. Leurs rapports communs . Son origine. Sa direction sagit- tale. -
l'opercule rolandique. - ol, sillon collatéral. - ot + [3, branche commune au sillon collatéral et au troisième sillon tempo
egments postérieur (Cip) et rétro-lenticulaire (Cisl) et la branche commune par le pied du pédoncule cérébral (P) (Fig. -17
sphénoïdale. II, bandelette optique. - III, nerf moteur ocu- laire commun . dans le corps de Luys (radiations slrio -11l !
ne réticulée. - JI, bandelette optique. - III, nerf moteur oculaire commun . Il résulte de cette disposition que la partie
ice du trijumeau. - 7/, bandelette optique; III, nerf moteur oculaire commun . il exisle un pes lemniscus superficiel (cas Co
erne et du tubercule quadrijumeau antérieur se séparent de la masse commune des radiations optiques de Gratiolet et constitue
pédoncule cérébral au-dessous de l'oiigine du nerf moteur oculaire commun ; 2, par la protubérance au-dessus de sa plus fort
u moyen puis se rendaient dans les noyaux des nerfs moteur oculaire commun (III- paire) et pathétique (IVe paire), quelque
ulaire droite. - 111, filets radicu- laires du nerf moteur oculaire commun . FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 93
iffèrent enfin par l'existence d'une cavité ventri- culaire unique, commune aux deux hémisphères, mais étranglée sur la lig
la vie embryonnaire. L'existence d'une cavité ventriculaire unique, commune aux deux hémisphères, l'existence d'un corps du
Fig. 217. Cas Richard. La paroi inférieure de la ca\ité ventriculaire commune , après ablation du manteau cérébral. Remarquer
epère 4 de la figure 213, dans la région de la cavité ventriculaire commune qui correspond à l'état normal au bourrelet du
e supérieure et antérieure du corps strié, en particulier, la masse commune au noyau caudé (NC) et au putamen (XL3), et la co
es scléroses consécutives aux lésions cérébrales en foyer faites en commun à la Salpêtrière, de 1861 à 1866, citées par Vulp
pure, la lésion peul être tantôt bilatérale et siéger dans le centre commun de l'audition (Dejerine et Sérieux, 1897 : Pick
u'elles soient corticales ou sous- corticales - sont en réalité peu communes , et combien est restreint le nombre des cas vér
trairement à Luys qui faisait de ce ganglion le centre du sensorium commune , c'est-à-dire l'aboutissant des fibres conductr
ée du Ihalamus. - If, bandelette optique. - III, nerf moteur oculaire commun . TOME Il. 1S 274 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
ant son entre-croisement dans le chiasma. Il[, nerf moteur oculaire commun . FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 28
née sur les parties latérales du chiasma. Il[, nerf moteur oculaire commun . FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE.
appartient à la commis- sure de Gudden. - III, nerf moteur oculaire commun . Alveus ealraven- culaire. Psalterium. 29
s recherches récentes de Cajal (1895) et Kolliker. (189G), le tronc commun du faisceau de la calotte et du faisceau de Vicq
de Vicq d'Azyr. Avec Kolliker., nous désignerons le tronc d'origine commune au faisceau de Vicq d'Azyr et au faisceau de la
zyr el le faisceau de la calotte de Gudden naissent donc d'un tronc commun et ne constituent pas, comme on le croyait de
principal. - 13, faisceau mamil- laire principal au tronc d'origine commun au faisceau de Vicq d'Azyr (V) et au faisceau d
ionnée sur les parties latérales du chiasma. ? nerf moteur oculaire commun . Le faisceau de'%'icq d'Azyr. 302 ANATOMIE
qu'il prend son origine dans le tuber- cule mamillaire par un tronc commun avec le faisceau de la calotte de Gudden. Péd
du pédoncule cérébral, et croise les fibres du nerf moteur oculaire commun (Fig. 251 et 277). Au voisinage du sillon pédon
premiers alges de la vie embryonnaire et présentant comme caractère commun l'existence d'une cavité ventriculaire unique et
e caractère commun l'existence d'une cavité ventriculaire unique et commune aux deux hémisphères et l'absence de soudure du
tés les uns des autres, ont été désignés par v. Monakow sous le nom commun d'anse du noyazc len- tuc. 294. Les radiations
au terminal du faisceau de Vicq d'Azyr. Ce faisceau nait d'un tronc commun avec le faisceau de la calotte de Gudden, prend s
- f'r sillon olfactif. - la, sillon de l'hippocampe. A' + po, branche commune à la scissure calcarine et à la scissure pariét
e ventricule. - II, bandelette optique. - III, nerf moteur oculaire commun : Nm, son noyau d'origine. 386 ANATOMIE DES CEN
sions pupillaires réflexes arriveraient au noyau du moteur oculaire commun en suivant le segment ventral de la commissure po
s des yeux. (Voy. ces connexions, IIIe parlie, nerf moteur oculaire commun .) Outre le système des fibres centripètes, l'ap
pendiculaire postérieure (Vicq d'Azyr), d'incavaturc perpendiculare commune (Malacarne), incisll1'a Ilta1'supialis, poster lo
ue, son chiasma (xll) et sa bandelette. - III, nerf moteur oculaire commun . - l', nerf trijumeau. - 1'l, nerf moteur oculair
x à dix, ou vingt ou davantage, au niveau d'un point de terminaison commun . Dans ce dernier cas, on voit en général des lame
n lobule s'implanter à angle droit sur une lamelle de concentration commune à trajet vertical ou sagittal. C'est ce que l'o
érieur, mais s'implantent sur une ou deux lamelles de concentration commune qui, elles, se continuent directement avec une
melles hémisphériques s'implanlenl sur une lamelle de concentration commune ; celles du vermis se comportent de même et s'im
s'implanlent de chaque côté, il angle droit ou aigu, à une lamelle commune plus ou moins oblique. Comme dans les trois lob
aine distance des régions hémisphériques, la fusion de ces lamelles communes se fait par l'intermédiaire d'un pédoncule, d'une
llons longitudinaux supérieurs. Cette fusion constitue un caractère commun à tous les lobes développés aux dépens de la ma
r, ou sillon supérieur et antérieur. Ils présentent comme caractère commun d'être concentriques à l'échancrure semi-lunaire,
Lobe supérieur. Limites. Lobes secondai'es Leurs caractère communs . Sillons limitant 4M ANATOMIE DES CENTRES NER
se fusionnent en effet, dans la région ver- mienne, en une branche commune qui forme la branche verticale (bv) de l'arbre
soit directement, soit par l'intermédiaire d'une lamelle sagittale commune sur la partie externe du pédoncule cérébelleux
emi-lunaire; supérieur et mfc- rieur. Lame de concen- tration commune de la région hémil'hé- rique de ce lobe Lob
et pos- térieure du lobe semi-lunaire supérieur ont comme caractère commun d'être régulièrement curvilignes et sensiblemen
tent à angle droit ou à angle aigu sur une lamelle de concentration commune (Fig. 313), d'inégale épaisseur qui occupe les bo
rue lorsqu'il est bien développé. C'est cette lame de concentration commune qui se réfléchit dans le fond de l'échancrure m
du vermis. Lorsque celui-ci est sessile, la lame de concentra- tion commune se continue avec l'une ou l'autre lamelle supérie
des segments dédoublés du lobe grêle s'implantcnt sur deux lamelles communes qui, le plus souvent, se continuent directement
lèles, qui s'in- sèrent en arrière sur une lamelle de concentration commune , laquelle se continue avec la crête d'union des
ulaires. Ces lobules se réunissent sur trois lames de concentration communes dont l'une est antérieure, les deux autres post
zone de Wernicke. - Zr, zone réticulée. - III, nerf moteur oculaire commun . calotte protubérantielle, où ils s'entre-crois
r et le ruban de Reil médian. - -Vin, noyau du nerf moteur oculaire commun . - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur formant
pédoncule cérébral, les noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaire commun (IIIe paire) et pathétique (IVe paire); dans la
cule quadrijumeau antérieur et l'émergence du nerf moteur oculaire commun . Mé- thode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature.
cus niger. - NIII, partie inférieure du noyau du nerf moteur oculaire commun . - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur après
zone de Wernicke. - ? bandelette optique. - ? nerf moteur oculaire commun . CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 55
443.) Cp, extrémité supérieure des cordons postérieurs. NCp, masse commune aux noyaux des cordons postérieurs. - Crsl, cor
vec les cordons postérieurs de la moelle et segmente la masse grise commune en deux noyaux : l'un externe, ou noyau de Burd
a fusion des axes de la région postérieure du vermis en une branche commune , la branche horizontale de l'arbre de vie médian
blanche centrale (Sbc) qui porte encore de ce fait le nom de tronc commun de l'arbre de vie médian. La branche verticale
n extrémité postérieure légèrement renflée reçoit : 1° le court axe commun aux 2 ou 3 lobules de la face supérieure du décli
Fig. 413 et 4'l4) sépare, dans toute la région de transition, l'axe commun au tubercule valvulaire et à la partie postérie
rcule valvulaire et à la partie postérieure du lobe grêle, de l'axe commun à la pyramide et à la luette, et imprime à la s
ourgeon terminal) et l'axe du déclive ne se détachent plus d'un point commun avec l'axe du lobe semi-lunaire inférieur, mais
rieure de la substance blanche centrale par un pédicule d'insertion commun , d'autant plus large et plus court que l'on con
icul'e du lobe grêle présentent encore une grosse branche d'insertion commune ; sur la coupe S 9 (Fig. 417) l'insertion de ces
irection de la fibre nerveuse. Ce sont là, du reste, des caractères communs -IL la névroglie de toute substance blanche.
surface de section triangulaire et occupe le point de concentration commun des axes du déclive, du bourgeon terminal et du
36 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
fonctions vaso-motrices sont déjà mani- festes dans les troubles si communs des phénomènes mens- truels, dans ces hémorrhag
lu extraordinaire des jambes, bien supérieur à ce qu'il est dans le commun des femmes, la presque nullité de crois- sance
ourd'hui utile et de chercher à comprendre d'abord les ca- ractères communs des grands groupes. Nous désirons donc préciser
mes d'hystérie. Il existe même certains symptômes qui sont toujours communs aux deux caté- gories de malades, ce sont les p
s la forme des idées fixes et du délire. L'aboulie est un caractère commun aux hysté- riques et aux psychasthéniques. Mê
l, la paralysie ra- diale, etc., sont parmi les affections les plus communes du système nerveux. Il est bon de faire obser
que se retrouvent comme morcelés dans l'hystérie. De l'hémi- plégie commune organique (paralysie des membres supérieur et i
ns la névrose que dans la sympto- matologie organique. Rien de plus commun que l'anesthésie ou l'analgésie hystérique. Qu'
pas une grande facilité de dissociation pour la paralysie cérébrale commune , c'est parce que les fibres de conduction motri
ent des asiles et de protéger et d'assurer leur rentrée dans la vie commune . M. Rayner pense qu'une insti- tution analogue
lieu d'admettre une lésion des fibres pupillaires de t'oculo-motéur commun gauche. -. Le siège et la cause de la lésion re
atologie,des psycho- pathies ne se prêle ! pas à une'identification commune , J. P. h. s ? 1(lr 'b.5 Il r411 lt401" J ,1e-Q {;
est difficile adonner. Il est probable que les tares héréditaires, communes chez la plupart des négateurs'-n'ont' pas ici g
ien que le malade, jusqu'alors tenu dans sa cellule, reprend la vie commune , puis brusquement l'accoutumance s'établit et t
forces occultes et aux puissances mystérieuses n'est déjà que trop commune . R. M.-C. VII. Sulfate DE DUBOISINE CHEZ LES al
binovitch, résume les résultats des recherches qu'ils ont faites en commun sur la toxicité et la composition chimique de l
des animaux différents'. Il' serait à désirer qu'un mode opératoire commun soit adopté pour permettre les comparaisons. To
) régime lacté et oeufs au moment de la première expérience; régime commun de l'infirmerie pendant les trois autres. La to
re présentent généralement au point de vue nosologique un caractère commun , faiblesse ou per- version du sens moral. Ils d
s malades affirmant la même accusation fausse par suite d'un délire commun , M. Régis a d'ailleurs signalé ces cas. 1 M. DO
el de cette Société c'est d'avoir réussi à pénétrer dans toutes les communes du canton et dans toutes les couches de la popu
ie est symptomatique : 1° de méningo- encéphalite, ce qui est assez commun . Exemple : Hani...; 2° de tumeur du cervelet. E
Voici un malade atteint d'une paralysie unilatéale de l'oculomoteur commun ; on constate exac- tement les mêmes contrastes
, vient d'être fait à Gif (Seine-et-Oise). Une jeune fille de cette commune , Mlle Blanche G..., avait depuis quelques mois
e de fibres épaisses. Le gliome neuro-formatif n'est pas une tumeur commune , à en juger par le petit nombre d'observations
ainsi le nombre des places : deux cents pour les malades du régime commun et trente pour les pensionnaires. Reculant touj
llons situés à l'extrémité de chacun des grands pavillons du régime commun , dont ils ne sont séparés que par une galerie f
- dant l'année. En dehors de quelques cas de tuberculose, maladie commune chez les aliénés appartenant aux diverses varié
lasse des artisans. Ceux-ci, en effet, qui habitent au centre de la commune , et par conséquent dans le voisinage immédiat du
23 aliénés par 10. 000. habitants ; l'aliénation était un peu plus commune chez les femmes que chez les hommes. En 1889, le
ieuses sont simplement soignées dans une salle spéciale dû bâtiment commun . 'f' ' r ' > L'auteur termine par quelques c
ttachant sur- tout à la forme alcoolique qui est évidemment la plus commune des formes de névrite multiple par intoxication
oussure palatine n'est pas 328 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. aussi commune qu'on l'admet généralement, et qu'elle est surtou
réquemment cette disposition, ce qui revient à dire qu'elle est peu commune ,* puisque le type mongolien ne représente que 5 à
e point secondaires. C'est ainsi en outre qu'il existe-'des lésions communes auxicordons latéraux et posté- rieurs, sans par
les portraits connus du Juif Errant..Tous présentent des caractères communs typiques;, et il- faut -bien reconnaître que le
ent que chez les Slaves et les Celtes ces cas sont beau- coup plus, communs que chez les^ autres peuples., La Salpêtrière,
sclérosés ; -3, fas ciculus teres; - 4, corps restirorme; 6, noyau commun du facial et de l'oculo- moteur externe; 7, noy
ouvaient être prévues a priori. Ces symptômes d'incoordination sont communs à toutes les lésions cérébelleuses (ramollissem
de Pourfour du Petit qui faisait du cervelet le siège du sensorium commun et l'aboutissant des cordons postérieurs n'est
us reste maintenant à étudier une série de symptômes beaucoup moins communs dans la pathologie cérébelleuse, à tel point qu
it l'histoire de catégories très diverses de malades, groupées en commun sous la même dénomination. De simples érotomanes
tacher à d'autres points de l'histoire de l'épilepsie : le reproche commun que fait M. Christian à Marshal Hall, à Brown-S
.) La cause du délire des grandeurs, c'est une lacune du jugement commune à bien des hommes, mais exagéréedans la paralysie
ptose à gauche ; dégénérescence centrale du noyau de l'oculo-moteur commun correspondant. P. K. XXXV. Recherches expérimen
. (The Journal or Mental Science, janvier 1870.) Ce n'est pas chose commune de pouvoir compulser la relation de 1,565 exame
bé à la période aiguë de la manie et de la mélancolie, il est assez commun de ne rencontrer aucune grosse lésion appréciab
naire peu marquées; les adhérences méningo-encéphaliques sont peu communes . Les kystes de l'arachnoïde et les hémorrhagies
uente dans la manie. L'hémorrhagie, le ramollissement ne sont pas communs dans ces deux formes d'aliénation ; elles ne fi
es lésions athéromateuses des artères soient environ cinq fois plus communes que dans la paralysie générale. On a également
pisse. En revanche, l'athérome des vaisseaux de la base est ici peu commun . La proportion des cerveaux à configuration sim
otrices prédominantes, se mani- festent des hallucinations motrices communes , également très accentuées, telles que sensatio
neurasthénie, en raison de cet amaigrissement considérable, si peu commun chez l'hystérique même soumis à un jeûne prolon
urs, soit comme éléments de complication, des germes inflammatoires communs non spécifiques. Par conséquent, quand l'herpès
différents processus morbides du cerveau qui ont pour con- séquence commune un affaiblissement de l'influence du cerveau su
37 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
RIQUE PROVOQUÉE. L'exagération des réflexes tendineux est un fait commun chez les malades atteintes de grande hys- tésie
Le tambour myographique est placé sur le corps du muscle extenseur commun des doigts (avant-bras droit). ' L'avant-bras
Cubital postérieur; Extenseur propre du petit doigt; Extenseur commun ; Extenseur propre de l'index ; Long extenseur
térieur et les deux , radiaux) , les autres des doigts (extenseur commun et les deux extenseurs .propres : ces derniers
résultent. Avant de chercher à caractériser la propriété physique commune et essentielle auxaestbésiogènes, nous devons étu
nombre de cas, sans parler de ses propriétés thérapeutiques d'ordre commun . Diapason. -Mais, en examinant les différentes
es expériences dont il s'agit ont été pratiquées sur des singes, en commun avec le docteur Yeo. P. K. IV. Des réflexes;
ied à son propre poids. Dans tous ces phénomènes, il y a un élément commun : c'est une contraction provoquée par l'extensi
n éclate en même temps chez deux malades sous l'influence de causes communes (folie simultanée) et celui où la folie se prod
de se livre à un exercice un peu violent. Tous ces symptômes sont communs aux deux formes sèche et humide, de la maladie.
Le certificat doit être délivré par le médecin du district ou de la commune de la résidence dumalade. ou, s'il émane d'un a
un autre médecin, être confirmé par le médecin du district ou de la commune de la résidence du malade, et ne pas avoir une
eur ; le grand pal- maire ; le cubital antérieur ; les fléchisseurs communs ; le fléchisseur propre du pouce. A la région e
LES HYSTÉRIQUES. 179 A la région pos- térieure : l'exten- seur commun ; l'extenseur pro- pre de l'index; l'extense
- musculaire et pour la faradisation localisée, des diffi- cultés communes . Ces difficultés résultent : a) Des variétés
érieur; 6, grand z5gomatidue; 7, petit zygomatique; 8, élévateur' commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure; 9,
zygomatique, élévateur propre de la lèvre supérieure , ' élévateur commun de la lèvre supé- rieure et de ''l'aile^du " ne
difficile de la distinguer; il arrive fréquemment' que l'élévateur commun de la lèvre su- 196 - PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
la suivante, (qui représente i l'action isolée du muscle élévateur commun del1 lèvre supérieure et de l'aile du nez, ibes
doit être attribuée au- petit zygomatique. , , - ur ' L'élévateur commun 1 DE 1 LA PLÈVRE' supérieure ET DE l'aile DU NE
;i 1 ) i, t Fig. 4. ! ,r-t 1 Contraction ' du muscle élévateur ,t commun , de l'aile du nez. et de la lèvre sicérieiü·re
férents. Par exemple, le grand zygomatique d'un côté et l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure de -
I en' sont vraiment» saisissants. L'excitation du muscle.-élévateur commun ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 203
cture (mentale). Ainsi comprise, la cécité des mots devient un fait commun . B. De la surdité des mots. On désigne sous le
un mot, l'amé- lioration avait permis au malade de reprendre la vie commune , alors que,, quelques mois auparavant, il avait
rijumeau, et comprimant le sinus caverneux ainsi que l'oculo-moteur commun , du côté gauche; une troisième tumeur de la gro
pernicieuses, que l'auteur,considère comme, relent vant de l'action commune , de, la, fièvre, et du poison, ne, sont) autres
suspar lesquels .certaines cellules s'approprient- les' fonctions communes dont'jouit le. protoplasma ? c'est-1 une spéciali
e l'hyo'scyaminè (quatre 'cas), se rallié également' l'existence en commun ."1* ",fi z Il t ? l'1 , 1 , ? ,, 1 ? '" ? '<
anormales'de' lairégion stomacale 296(. SOCIÉTÉS .SAVANTES. sont, communes aux affections, de, ce groupe ? il, rappelle les
èvre supérieure. Fig. 4. Excitation unilatérale du muscle élévateur commun du nez et de la lèvre supérieure. L'excitation,
ES. PLANCHE XII Fig. 1. Excitation bilatérale du muscle élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure. L'e
verture de l'oeil gauche. Excitation bilatérale du muscle élévateur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez. Le mu
38 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
s aux recherches, les maladies des systèmes nerveux et locomoteur, si communes et par conséquent si intéressantes pour le médeci
de leur surface. » [Journal de VAnatomie, etc., 1867, pp. 276-300.) commun avec les lésions trophiques spéciales qui vont no
à la gangrène et à la nécrose. En outre, un caractère qui leur est commun à la plupart, c'est qu'elles se développent avec
ont re-couverts d'une masse cartilagineuse résistante. L'oculo-motcur commun est com-primé ; sa coloration est modifiée. Malhe
orté avec détails par le D1' Erb, quer ces lésions n'auraient rien de commun avec la dégénération grais-seuse pure et simple,
ésion initiale occupe plus parlieulièrementla substance grise, il est commun de voir se produire, comme lorsqu'il s'agit de lé
ientôtsur la peau des régions où se distribue ce nerf. Un caractère commun à toutes ces éruptions, — et ce carac-tère est bi
s apoplectiques parviennent jusqu'à l'eschare confirmée. Il est peu commun également de voir, en outre de l'éruption fessièr
nécrosiques se déve-lopper aux régions trochantériennes. Il esf assez commun d'ailleurs,—-contrairement à ce qui s'observe dan
s rend vraisemblable, déjà, qu'elles reconnaissent toutes une origine commune . Il im-porte de remarquer, toutefois, que cette r
tre que la formation rapide d'eschares est un des phénomènes les plus communs à la suite des lésions spi-nales résultant des fr
tions et dans quelques autres du même genre, semble accuser une cause commune .Cette cause, suivant toute apparence ,n'est autre
aits de ce genre forment exception et, en tout cas, ils n'ont rien de commun au point de vue pathogéni-que avec l'arthrite ord
c. D'un autre côté, ainsi que je l'ai fait remarquer, rien n'est plus commun que de rencontrer chez l'homme, dans les cas d'ap
ignorez pas que la néphrite et la cystite sont des complications très communes des affections spinales irritatives, à début brus
la production des troubles trophiques sont donc, dans les conditions communes , des phé-nomènes indépendants l'un de l'autre. Ma
c. ; 2° les émotions morales vives. Cette dernière cause parait assez commune . L'une des malades que vous avez vues fut atteint
férieur gauche être affectés l'un après l'autre. Il est beaucoup plus commun devoir le tremblement borné durant longtemps aux
ne émotion vive occasionnée par les tentatives que firent, pendant la Commune , les fédérés pour l'incorporer dans leurs bataill
pinion. Mais même dans ces pays, la paralysie agitante n'est pas très commune . M. Sanders, dans une statistique comprenant l'An
ons des centres nerveux très diverses, mais qui ont toutefois ceci de commun , qu'elles déterminent la dégénération grais-seuse
on puisse exister, je la crois au moins infiniment rare. Il est assez commun , au contraire, que les plaques scléreuses qui, da
érébro-spinal, mais toujours présentes dans l'isthme est un caractère commun à toutes les affections en appa-rence si disparat
, l'absence de lésions propres est, anatomi-quement parlant, un trait commun à ces attaques, quelle que soit d'ailleurs la for
fortes présomptions. Mais tel n'est pas le mode d'invasion le plus commun ; le plus souvent, ce sont les phénomènes spinaux
la parésie des membres inférieurs est un symptôme quelque peu banal, commun à une foule d'affections diverses; elle se présen
aît établi toutefois, dès à présent, que la maladie est beaucoup plus commune chez les femmes que chez les hommes. Ainsi, parmi
ières excrémentitielles. Cette condition, d'ailleurs, est peut-être commune à tout un groupe d'hystériques. Il y a longtemps
d où thermo-anesthésie, est, dans l'espèce, une des variétés les plus communes . La netteté avec laquelle les parties anesthésiée
avec complaisance la douleur ilia-que ou delà région ovarienne, très commune à son avis, et qui, suivant lui encore, contraire
iaque ; mais il est convenu que ces dernières comptent parmi les plus communes . Au premier abord, il semble donc qu'il n'y ait
plutôt exceptionnelle, et il importe de remar-quer que l'inflammation commune de l'ovaire peut exister avec tous ses caractères
quer qu'il ne s'agit pas, chez elles toutes, de l'hystérie convulsive commune , vulgaire, si je puis m'exprimer ainsi, mais bien
gine très diverse, mais auxquelles la sclérose la-térale est un trait commun . Toutefois, sa présence dans des cas de contractu
e la diathèse hystérique soit épuisée, ces malades reprendront la vie commune . 1. Une femme sera restée confinée au lit penda
Il n'est pas vrai-ment exceptionnel de voir dans l'attaque d'hystérie commune ,— alors quepersonnenesongeàfaireintervenir l'élém
nnes. De ses cinq enfants, l'aîné est mort, âgé de 80 ans, pendant la Commune ; — le 2e et le 3e, deux garçons, sont bien porta
Il y a cependant, on pouvait s'y attendre, des exceptions a la règle commune , en ce sens que certains malades, et le cas n'est
le et de l'illogique. Ces attitudes sont fort variées, l'une des plus communes est l'arc de cercle: la ma-lade est courbée en ar
quelquefois. — Les tableaux tristes sontdes incen-dies, la guerre, la Commune , des assassinats, etc. ; presque toujours, il y a
trouvent sans doute déposés les restes du saint. Ce sont des gens du commun , car leur mise est à peu près celle des paysans q
39 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
terpédonculaires; PP, pédoncules cérébraux; M0C, nerf moteur oculaire commun , ou troisième paire crânienne; EP, espace perforé
de leurs fibres les deux tronçons symétriques du nerf moteur oculaire commun (MOC) ou nerf de la troisième paire. Ce bord post
(HAB) n'est que le prolongement superficiel fibreux de la masse grise commune au ganglion de l'habénule et à la glande pinéale.
parallèles, qui seront les trois circonvolutions frontales; la région commune à ces trois circonvolutions, en arrière, sera la
e. sure de Sylvius, en avant du pôle de l'insula (PI), par un tronc commun ; l'une d'elles (S") se dirige horizontalement en
la scissure de Rolando (R), sur une portion, de l'écorce qui leur est commune et qui peut être déjà appelée circonvolution fron
sance à la surface du carrefour ou gyrus vestibuli (GVE) par un tronc commun ; la première conséquence de cette irrégularité es
étant la branche verticale et la branche horizontale, nées d'un tronc commun . Mais s'il en était ainsi, le cap se confondrait
ution frontale. Le schéma 57 est destiné à montrer une variété très commune de la deuxième frontale (F2). Cette circonvolutio
a deuxième F); ¿1, sillon parallèle; Tt, temporale transverse. très commune ; on la constate dans un quart des cas, pour le mo
dont nous allons encore signaler dès maintenant trois exemples assez communs . Le sillon pariétal ou interpariétal (p) émet,
nvolutions frontales prennent alors naissance sur un pli qui leur est commun à toutes les trois, et qui n'est, en somme, que l
pariétal (p). nO. Le pli de passage pariéto-occipital supérieur est commun au lobule pariétal supérieur et à la première cir
he horizontale de Sylvius naît de la branche postérieure par un tronc commun avec la branche perpendiculaire (S'"), S'". La
che horizontale, a, de- ce fait, un très court trajet. C'est le tronc commun qui l'emporte en longueur sur ces deux branches.
dans les cas où les deux branches antérieures de Sylvius ont un tronc commun . fr Le premier sillon frontal s'étend d'arrière
sous-frontal {sF) ; mais l'origine de ces deux plis sous-frontaux est commune ; elle se trouve dans cette région que Broca appel
aucun point de son parcours. 11 sépare absolument la masse corticale commune à la cinquième circonvolution occipitale (0^) et
cipitale (0^) et à la circonvolution de l'hippocampe (T") de la masse commune k la quatrième circonvolution occipitale (0*) et
embranes.) Cette figure est destinée à montrer une disposition très commune des circonvolutions frontales et pariétales, ne c
us (S'") naît de la scissure de Sylvius (S') par un tronc qui lui est commun avec la branche horizontale {S"). Le tronc commun
n tronc qui lui est commun avec la branche horizontale {S"). Le tronc commun est très étendu; il s'ensuit que les deux branche
rizontale de Sylvius naît de la scissure de Sylvius (S') par un tronc commun avec la branche perpendicu laire de Sylvius {S'")
passage fronto-limbique naît presque toujours d'une région corticale commune à la circonvolution limbique et à la première sou
d pli de passage fronto-limbique présente lui-même une anomalie assez commune ; il se termine dans le gyrus métopique postérieu
st absolument minime ; elle naît de la vallée de Sylvius par un tronc commun avec la branche verticale (S'"). Le cap, intercal
ntal, qui s'avance en dedans de la portion du lobe frontal (F^ 4-F^), commun à la deuxième circonvolution frontale et à la tro
iiiterpariétal. Cette division du lobule pariétal supérieur n'est pas commune ; elle résulte ici du fait que le lobule pariétal
). Seulement, comme l'angle inféro-externe du ventricule est le point commun de réflexion des fibres du faisceau sensitif (FS)
, trois saillies d'une circonvolution dont la masse (Fci) est la base commune . Un peu plus en avant, au centre de la masse gris
'une circonvolution dont une masse nouvelle (Fd, fig. 50) est la base commune . D'autre part, on peut voir (fig. 28) que la su
aisceau externe, venues de beaucoup plus loin en avant, n'ont rien de commun avec le faisceau interne. FLI. Le faisceau long
s'isoler un noyau interne (NiC, fig. 89) ; il est séparé de la masse commune par des faisceaux de la capsule interne représent
de la capsule interne représentant la couronne rayonnante de la masse commune postérieure (Rth, fig. 70), et provenant par cons
t externe, pour qu'on renonce à décrire le pulvinar comme une portion commune à ces deux derniers. La plus antérieure de ces ma
ce grise du thalamus; de môme, sur la coupe 82, où la substance grise commune au thalamus et au faisceau de la calotte est part
ar de petits tractus blancs qui appartiennent au nerf moteur oculaire commun . Au-dessous et en dehors du noyau rouge, la lam
hors (MOC, fig. 99). Ces fibres appartiennent au nerf moteur oculaire commun , dont les noyaux les plus antérieurs siègent au-d
de ses lames médullaires. Il s'agit là d'un mode de structure qui est commun à presque tous les ganglions de l'hémisphère et q
ans de l'anse du noyau lenticulaire (ANL) ; MOG, nerf moteur oculaire commun , émergeant du pied du pédoncule en dehors de la l
. Quant aux stries transversales du putamen, si elles n'ont rien de commun avec les fibres lenticulo-caudées, on doit les co
uant à la substance grise qui forme la couche intermédiaire, elle est commune à l'étendue des deux lames ; mais elle n'a pas pa
is (GLM). Elles se confondent toutefois, au-dessous de la masse grise commune au noyau lenticulaire et au noyau caudé ; ces deu
e 123 Projection horizontale des deux modes de disposition les plus communs de la commissure antérieure (CA). — GLP, le globu
u des deuxième et troisième circonvolutions frontales. Il n'a rien de commun avec la première. FPF. Le faisceau pariéto-fron
aisceau occipital vertical est ici, par le fait d'une disposition peu commune , complètement distinct du faisceau pariétal verti
Cloison verticale interne du noyau lenticulaire. MOC. Moteur oculaire commun , nerf de la troisième paire. MOE. Moteur oculaire
Nerfs de Lancisi (NEL)................. n, 172 Nerf moteur oculaire commun (MOC)...........yui, 309 Nerf olfactif (OL)....
it MoeUe de l'insula (LFS)................... 255 Moteur oculaire commun (MOG)............. "vm, 300 o Occipitale (pre
40 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
s, parle, mais oublie beaucoup de mots, surtout les noms propres et, communs . Lecture impossi- ble. Paragraphe dans l'écritu
t en diminuant de volume vers le haut. Bien que réunis en une masse commune dans leur partie lombaire, ils n'en sont pas mo
uées de cette affection. Plus tard en effet, en plus des caractères communs énumérés plus haut, on peut constater toute une
le palper fait faire le diagnostic. Après avoir étudié les signes communs aux deux affections, après avoir vu les caractè
yndrome. Rappelons en effet qu'en dehors de l'aplatissement latéral commun aux deux affections, l'on trouve chez nos malades
elles du puérilisme sont telles, qu'on ne peut guère saisir le lien commun qui rattache entre eux des moments étiologiques
ds, les ennemis en même temps que les nôtres, c'est d'une vertu peu commune au xvil siècle. Cependant, si bon que fut Paré, i
supérieur à tout ceci. « On pourra pren- dre, écrit Paré, une poule commune qui ponde afin qu'elle ait le cul plus ouvert,
les formes de transition, des types morbides ayant tous comme point commun l'atteinte du système cérébelleux dans ses cen-
olition des réflexes, la scoliose et le pied-bot joints au syndrome commun constituerait le type de Friedreich : Un type c
les vertiges, les troubles intellectuels, joints encore au syndrome commun constituerait le syndrome de Marie ; Un type
familles atteintes, mais tous rattachés par le syndrome cérébelleux commun . Messieurs, la variabilité des.types dans cette
Dans le tabes, par exemple, à côté de la forme inférieure, la plus commune , on distingue des formes cervicales, cérébrobulba
ifférentes se trouvent tou- tes reliées aujourd'hui par un syndrome commun dont le substratum ana- tomique est la dégénére
aire rougeâtre. ' L'étude histologique faite à l'aide de méthodes communes (Weigert-Pal, picrocarmin en masse) nous a révé
bien prouvé l'existence de paralysies partielles de l'oculo-moteur commun et d'ophtalmoplégies ex- trinsèques ou intrinsè
ectes entre le noyau de l'abducens et les racines de l'oculo-moteur commun , et de fibres de relai entre les noyaux de la V
ue » proposé par Meige (3) est entré dans le lan- gage scientifique commun , quoiqu'il suppose comme absolument démon- trée
ut pas encore la faire. Ces deux formes morbides ont les caractères communs de surgir 1. QutNKE. Ub. acutes umschr. Hautred
été ne montra pas d'altérations au dehors d'une certaine leucopénie commune dans la fièvre typhoïde (5500). L'examen des ur
e n'a pas reproduit des oedèmes disparus. Le malade, en dehors d'un commun degré d'assoupissement, ne présente au- cun phé
a sciati- que névralgique simple, non spasmodique, est un phénomène commun à toutes les maladies douloureuses du membre in
s, qui formulent la deuxième idée, sont plus frappés par les traits communs que par les divergences de détails. A travers l
rvée sur tout le corps. La piqûre de la peau détermine des réflexes communs de protection, mais non différenciés ; ainsi, q
une sensation persiste encore, celle-ci ne détermine qu'un réflexe commun de défense, non différencié. C'est ainsi que no
e),dans les observations bien connues elles offrent une étio- logie commune , la plus grande partie des caractères morphologiq
à un certain degré d'oedème persistant : Le phénomène constant, et commun aux trois formes est donc l'oedème. Je désire p
x : les trois formes ont de ce côté de la pathogénie des caractères communs qui les rendent plus voisines. 11 est de noti
jouté. Nous devons nous souvenir que dans les observations les plus communes d'ur- ticaire nous voyons des éruptions qui ne
bien certaine et bien prouvée dans une série de phénomènes qui est commune à l'urticaire et à l'oedème de Quinke, et dont l'
une démonstration importante pour notre théorie. C'est une no- tion commune que les plaques d'urticaire et les oedèmes de Qui
présent de reconnaître aussi une pathogénie identique. Un élé- ment commun aux trois formes est précisément l'excito-sécréti
ide qui peut être déterminé par des lésions diverses ayant un siège commun , l'éruption des plaques d'urticaire n'est pas r
atteinte simultanée des deux frères doit faire chercher une origine commune à leur affection, et qu'il est naturel d'invoquer
l'on distingue assez ordinairement t l'une de l'autre, possèdent en commun la plupart des caractères extérieurs : le faciè
dispositions, comme d'ailleurs les pré- cédentes,semblent être peu communes . J'en ai rencontré un exemple ; Etienne Geoffro
s scissures de l'encé- phale. Le tissu lui-même n'a aucun caractère commun avec le tissu nerveux. Les dispositions que l'o
;PFC contractions fortes. Muscles de la masse sacro-lombaire, point commun du quadriceps fémoral. tenseur du fascia lata,
er, péronier, tibial antérieur, extenseur du gros orteil, extenseur commun des orteils, contractions nulles. ' Muscles fes
tes. Muscles demi-tendineux, demi-membraneux, jumeaux, fléchisseurs communs des orteils, muscles de la plante des pieds, co
ons. Muscles : triceps brachial, biceps, long supinateur, extenseur commun des doigts, fléchisseur commun des doigts, inte
, biceps, long supinateur, extenseur commun des doigts, fléchisseur commun des doigts, interosseux, contractions nulles. N
Long supinateur, 10 m. A., NFC PFG, contractions fortes. Extenseur commun des doigts, 10 m. A., NFC > PFC. Fléchisseur
Extenseur commun des doigts, 10 m. A., NFC > PFC. Fléchisseur commun des doigts, 10 m. A., NFC > PFC. Interosseux
provoca- tions traumatiques sont les plus fréquentes, mais le fait commun aux diverses observations, aux nôtres en partic
s facilement, un autre magnétiseur vint en 1861 s'installer dans la commune . Les pratiques ordinaires du magnétisme échouant
niste, sen- tant un parti d'opposition assez fort se former dans la commune contre les rouges, le préfet, les non-possessio
ine d'un nouveau cas de possession. Deux amoureux, un étranger à la commune et la fille R... se trouvaient fort gênés de la
raissait d'ailleurs dès que le malade franchissait les limites de la commune et expliquent une particularité qu'il présente.
ntre-partie de l'achondroplasie. La micromélie est le seul symptôme commun à ces deux affections. Malgré leurs caractères
la race des bassets chez les animaux. Chez les chiens, où elle est commune et où il est facile de l'étudier, on connaît deux
e critique, conclut également que les nains ethniques n'ont rien de commun avec les achondro- plasiques, et que ce sont de
nt évolué au moment de la naissance. Ils lui opposent le rachitisme commun qui, lorsqu'il est congénital, débuterait seule
le- ** ment infectieux que glandulaires, ayant comme seul caractère commun leur propriété sclérogène. Ces agents, fixant l
ouve encore réunies des affections disparates dont le seul symptôme commun est la brièveté relative des membres. Les princip
uction et de localisation est faible et ne concerne que des notions communes . Il est incapable de fixer les noms propres. D'ai
mêmes conditions. Sur la pathogénie de cette anomalie qui est assez commune les discus- sions des biologistes se sont multi
facilement peut s'arrêter. La syndactylie est encore un phénomène commun à toutes les altérations dans le développement
eux. Même atrophie très apparente de tous les extenseurs, extenseur commun et extenseurs propres du pouce et de l'index.
a sorte à la formation mécanique d'un rachischisis, n'ayant rien de commun , ni par sa genèse, ni par sa constitution avec
uile d'olive dans laquelle on avait immergé des lombrics terrestres communs ; ce traitement, au bout de quelque temps, rendi
ses parents ne se sou- viennent pas qu'il ait souffert des maladies communes de l'enfance ; ils affirment qu'il s'est toujou
muqueuses visibles ro- sés : il a vaincu heureusement les maladies communes de l'enfance. Il a le long de la crête du tibia
it attribuer à la scrofule et il appelait exostose le spina ventosa commun lui-même. Aujourd'hui ce n'est plus qu'une osté
rt à ces exercices variés une force musculaire et une souplesse peu communes . Cependanl,vers mars-avril il.... estfrappédela
r l'ensemble des tissus céphaliques ; cette destruction n'a rien de commun avec l'inflammation méningitique. Même, à voir
ées à ces destructions plus ou moins intenses, et qui sont les plus communes . Andrieu (2) a récemment décrit un cas très curie
allèle s'explique ainsi très simplement; il repose sur un caractère commun , la maladie, isolée dans un cas, se superposant
se sépare d'une production tératologique avec laquelle elle n'a en commun qu'une similitude d'aspect. Le terme de spina-bif
. Cependant, le génie a des visions comme la folie, et le caractère commun à ces deux sortes de projections du cerveau est
41 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cérébrale et de l'affection ocu- laire, ayant cependant pour cause commune l'athérome ou la thrombose des vaisseaux. Les n
à coup dangereux. Avant-hier, il s'était rendu chez le maire de la commune et après avoir jeté des pierres dans la porte,
Michel), âgé de trente et un ans, ouvrier à la fabrique de Langlée, commune de Châtelette. Le médecin, M. le docteur Vialette
ement des membres d'une même famille. Nous retrouvons là un élément commun aux diverses maladies familiales, respectant ce
écisément que se trou- vent les noyaux d'origine du moteur oculaire commun et du moteur oculaire externe qui, soit directe
à admettre que dans chaque hallucination il y a toujours un élément commun et généralement décelable qui entre en jeu sous
e quelques remarques intéressantes que nous résumons : Il n'est pas commun de rencontrer chez les idiots des exemples de s
ements. 1 Comment s'étonner alors que 1'l ? lstei-ia gravis soit si commune .parmi les femmes juives. Les cas graves d'apho
s formes convulsives et psychopathiques sont d'ailleurs extrêmement communes chez les hommes comme chez les femmes. Bien q
te que les névroses de dégénérescence et la paralysie générale sont communes dans les deux classes, ce qui condamne au point
aux. Quant à l'envahissement des filets nerveux de l'oculo-moteur commun , l'auteur l'attribue à ce fait que le malade exer
alret a semé des idées nouvelles, qui sont aujour- d'hui du domaine commun . Nous ne pouvons qu'indiquer som- mairement les
payer. Le Conseil général, l'administration départe- mentale et les communes sont donc coupables. FAITS DIVERS. Asiles d'a
ystérique on a décrit les affections les plus disparates n'ayant de commun que le terrain ner- veux spécial sur lequel ell
notre tâche sociale, nous sommes ici, avant tout, pour étudier en commun quelques-uns des maux qui frappent l'homme dans s
rs, nos habitudes person- nelles, nous avons une certaine mentalité commune à nous tous, qui résulte de la nature de nos ét
oppement psychique comme complet, total; les tiqueurs n'ont rien de commun avec les crétins myxoedémateux, ces infantiles
rôle d'agent inhibiteur du tic, il en est d'autres beau- coup plus communs où c'est elle, au contraire, qui, sous la forme
le feu s'est déclaré dans une chaumière située au hameau du Bocage, commune de Corneville-sur-Itisle, et apparte- nant à 11
e douce et inoffensive. Cette infortunée recevait des secours de la commune qui assurait son logement; mais elle vivait sur
rectifier, amender et coordonner le délire, qui leur devient alors commun et qu'ils répètent à tout venant, dans les même
e ces deux individus vivent pendant longtemps, absolument d'une vie commune , dans le'même milieu, partageant le même mode d
ivement que l'autre,, sous l'in- fluence des conceptions délirantes communes . » Mais, et c'est là le point essentiel, il s'a
us les sujets, sauf sur un seul. Sur ce sujet même (leurs tourments communs ), elles sem- blaient se taire par dignité autan
utes trois ensemble, soit une exclamation jaillie d'une sensibilité commune , celles-ci par exemple : « Nous le jurons ! Vou
semblables étaient à- elles seules un indice d'une longue idéation commune , et sans doute d'un délire commun. C'était le c
n indice d'une longue idéation commune, et sans doute d'un délire commun . C'était le cas; mais comme leur délire faisait s
formément au règlement. Tandis que la plus jeune soeur apporte au commun délire le secours intermittent de son imaginati
. Dis-le ; à quoi bon t'en cacher ! » - Son apport dans le délire commun semble avoir consisté en des éclairs d'imaginat
ne dizaine d'incendies ont successivement éclaté dans dif- férentes communes du canton de Grisolles (Tarn-et-Garonne). L'enq
ns des femmes. - Dans le vesti- bule de tous les quartiers, lavabos communs . Baquets dans les dortoirs la nuit; cette prati
anormaux; ' « Que, transitoirement, l'Etat, les départements et les communes inscrivent à leur budget les sommes nécessaires
struction primaire, commande au Gouvernement, aux départements, aux communes , d'organiser des asiles-écoles, des classes spé
s mêmes conditions exceptionnellement favorables pour échafauder en commun un délire de persécution, ou pour considérer co
la surveillante, la placer comme domestique dans une famille de la commune où elle s'est parfaitement conduite jusqu'ici.
s, est, dans bien des cas, pré- férable à l'alitement en des salles communes : souvent tel malade qui refuse de se coucher d
ommunes : souvent tel malade qui refuse de se coucher dans la salle commune se couchera volon- tiers dans la chambre à part
spensable aux ma- lades à qui ne convient pas le séjour en la salle commune , pour une cause quelconque, aux malades irritab
les plus variés, sans égard à leur état psychique, dans les salles communes ; les autres séparent les malades tranquilles de
préjudiciable aux aliénés. Pendant la guerre de 1870, et malgré la Commune , il resta en fonctions à l'Asile et transforma
t indépendants du pécule de sortie. L'actif de la caisse de secours commune aux deux asiles de Quatre-Mares et de Saint- BI
endamment de leur pécule de sortie. L'actif de la caisse de secours commune aux deux asiles de Seine-Inférieure (Sainte-Yon
bies proprement dites, ces dernières comprenant : a) Iesplao- bies communes ou peurs exagérées et b) les phobies d'occa- si
obsédés sont susceptibles de donner des preuves d'une énergie peu commune pour combattre leur idée fixe et la combattent
. Une partie de ces fibres, tout en restant centripète, n'a rien de commun avec la sensation propre ment dite, elle sert d
tantané ou pro- gressif. Exemple : les accès de fureur des enfants, communs surtout chez ceux qui ont des tendances épilept
vent, et l'on peut voir survenir la paralysie géné- raie : un trait commun à noter dans les cas de mélancolie et de manie,
ion. Les cas de folie choréique paraissent avoir quelques symptômes communs : le changement de caractère et la tendance au
oeuvres, et AI. Ireland re- marque que c'est là une idée délirante commune chez les au- teurs. Le début apparent de la p
n : Une san- glante tragédie a semé hier l'épouvante dans la petite commune de Gars, située a soixante-trois kilomètres de
uinze ANS. Le 28 octobre, un assassinat était découvert au Raffoux, commune de Saiiit-ri lovier (1 ndt,e-et-l,oire), sur la
42 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
minuée avec une sensibilité cutanée encore intacte, phénomène assez commun , sur- tout au commencement du tabès. Pour Golds
ques admettent, en outre des aliénés,- et des « nerveux » du régime commun , des pensionnaires de lro et de 2° classe. Pr
ntact, la vue, les conversa- tions des autres malades, les repas en commun qui, dans les salles de réunion de nos asiles,
l'explication suivante : nous savons que le gliome est une variété commune de tumeur cérébrale, et qu'il est sujet à des h
es plus variés et les plus divers par les termes d'une dénomination commune : c'est lui qui a la valeur formelle la plus ha
altérations scléreuses des cordons latéraux me parait beaucoup plus commune qu'on ne le croit généralement. Il est du reste t
n désigne sous ce nom comportent- ils un ensemble de particularités communes qui permettent ' Aux faits qu'a récoltés M. Sou
s affinités du tabes et de la paralysie générale, ni leur étiologie commune , la syphilis, encore que les opinions diffèrent
tifier ces deux affections. Ce que les deux maladies ont surtout en commun , c'est l'atrophie primitive des éléments nerveu
nt avec celles des nerfs périphériques, peuvent dériver d'une cause commune , sans que celles-ci soient causes de celles-là
'une hyperactivité fonctionnelle évanouie. Chez les aliénés, il est commun de rencontrer des cellules jeunes ou peu âgées
ions pouvant être réunies en certaines occasions dans des séances communes . z M. Pierre Marie résume brièvement les travau
était associée à l'aboli- tion des réflexes tendineux. Rien de plus commun que cetle coïn- cidence avec l'abolition ou dim
re comme absolument et totalement guéri ; le seul signe présenté en commun par les trois sujets est une 204 CLINIQUE NERVE
iculièrement le professeur qui ne se borne pas à vivre sur le fonds commun de la science, mais qui s'efforce de l'augmente
e, et parait se montrer également dans les deux sexes. Il n'est pas commun de la voir s'accompagner comme dans le cas actu
miplégie croisée fort simple ; mais ce qui est intéressant et moins commun , c'est une paralysie du pharynx très accusée et
re que rarement en Europe et dans l'Amérique du Nord, mais elle est commune en Asie depuis plu- sieurs siècles, et règne ac
meil, le surmenage sont peut-être les causes déterminantes les plus communes . Les troubles digestifs, surtout la constipatio
le, mais sa forme incomplète, comme dans le cas actuel, y est assez commune . L'auteur rappelle ici au point de vue du plus
-3'onl, Jleclical Journal, 12 février 1898.) Les symptômes les plus communs de la période initiale, sont les douleurs et l'
\1 \VI. Relation d'un cas d'abcès du cerveau ayant une origine peu commune ; par Charles 1311ELLIS. (The New 1"01'li IICtliC,
cette relation est incontestable, et que c'est là une étiologie peu commune des abcès du cerveau. I. DE MUSGItdV); CL4T.
de l'enfant pendant la deuxième année de sa vie ont bien des points communs avec les lésions corticales que l'on rencontre
n'est guère supéiieur à celui des cas observés dans les prisons en commun . Les affections mentales que l'on constate dans
ment ces hos- pices n'existent pas partout et la part afférente aux communes , dont le budget est très restreint, est beaucou
e étudiées en première ligue, l'auteur passe aux grands syndromes communs à diverses affections pour terminer par 12s affec
n par un lourd chenet de fer. M. Guiche- teau, doué d'une force peu commune réussit à maîtriser la pauvre femme qui a été t
ouze ans, qui avoue avoir mis le feu, à plusieurs reprises, dans la commune d'Isserteaux, canton de Vic-le-Comte. Mélanie P
sordres passagers, répara- bles, et des désordres qui n'ont rien de commun avec la paralysie motrice, dans le sens propre
ois dans nos services, mais il est surtout un accident, jadis assez commun , que nous ne voyons plus que tout à fait except
ôme isolé; mais dans un cas comme dans l'autre elle est loin d'être commune : l'auteur a pu en observer trois cas dont il pub
ouî-i2ttl, 26 novembre 1898.) t L'auteur donne de cette maladie peu commune une description REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3
se rencontre en dehors de la syphilis, mais elle est beaucoup plus commune chez les syphiliti- ques. Il faudra aussi reche
ion du cerveau. L'hémianesthésie relative est un état beaucoup plus commun qu'on ne pense chez les aliénés : l'auteur dési
du rachis. Une anesthésie aussi étendue est rare; mais une forme commune , relativement du moins, est celle où la sensibili
affir- mer que la race'dégénère. 11 est certain qu'un acte aussi commun que le suicide doit avoir des causes multiples,
l est surprenant que l'effet soit si rare alors que la cause est si commune . R. DE Musgrave-Clay. XLVIII. Sept cents cas de
indépendante. Les hallucinations de l'odorat sont beaucoup moins communes que celles du toucher, de la vue et de l'ouïe,
ientifique à grouper les faits qui ont tout au moins des caractères communs qu'à les subdiviser à l'infini, alors même que
lie vraie est plus que douteuse; 11° La syringomyélie n'a rien de commun avec la lèpre. Ce sont deux affections absolume
la névrose ne sont reliées chez le même individu que par la souche commune . Ce trait commun est un tempérament et non une
t reliées chez le même individu que par la souche commune. Ce trait commun est un tempérament et non une maladie. » 'M.
ganisation doit'en être élaborée par les médecins et les maîtres en commun ; 4° l'imbécillité morale relève d'établissemen
nde, il eut des attaques de petite épilepsie, ayant bien des traits communs avec l'épilepsie vraie. P. KEHAYAL. LI Y. Des é
ur volumineuse de la région pédonculaire com- primant l'oculomoteur commun droit et inégalement les deux pédoncules. La ti
n point secondaire, car les associations hystéro-organiquessonttrès communes et pour prouver qu'un trou- ble nerveux est hys
nsidérés en eux mêmes feraient'diagnostiquer l'hémiplégie organique commune , les réflexes même sont exagérés ; mais le réfl
le faciès général est typique; ce ptosis n'a donc chez lui lien de commun avec t'amjotrophie, contraire- ment à ce qui a
que n'a pas été faitetne donnerait vraisemblablement que les signes communs de la myopathie. Paralysie radiale double sub
gressive, o) paralysie bulbaire progressive. 4° Maladies organiques communes de l'encéphale el de la moelle : a) méningite t
et tabes dorsale, d) sclérose en plaques disséminées. 5° Névroses communes el autres maladies nerveuses communes : u) épil
ques disséminées. 5° Névroses communes el autres maladies nerveuses communes : u) épilepsie, b) hystérie, c) neurasthénie',
43 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ye de lui-même, par deux fois, à supprimer la morphine. Chose peu commune aussi, le malade a présenté pendant cinq ans un
urs). Tare héréditaire paternelle. Seconde soeur hystérique. Vie en commun complète, avec suprématie psychique de l'aînée.
l'idée originale remplacée. Ses idées remplacées ont des caractères communs , elles correspondent à des impressions vraiment
es fibrillaires faisaient défaut et que ce caractère familial était commun à tous les types. Voici un cas qui , précisémen
e vaso-motrice cause de tous ces troubles trophiques dans le fond commun de la névrose tout comme on y a admis la diathèse
les meilleures conditions, ainsi que le constate M. le Maire de sa commune . Dans le courant de l'année 1894, les voisins e
jeune homme de dix-neuf ans ne peut ouvrir cet oeil ni seul, ni en commun avec l'oeil gauche. Mais s'il ouvre largement la
du côté opposé, qui vient probablement du noyau du moteur oculaire commun . Le groupe de cellules postéro- latéral de la c
levé chez les hommes que chez les femmes : la cause de mort la plus commune a été la phtisie pulmonaire, et, en seconde lig
airement, la crise de mélancolie a une cause physique; il est moins commun de lui trouver une origine morale ou mentale; 1
ci- nations de l'ouïe sont considérées comme de beaucoup les plus communes ; celles de la vue viennent ensuite. Parmi les aut
générale à la période de l'adolescence ou de la puberté ne sont pas communs : l'auteur en a rassemblé sept cas nouveaux don
ection réfléchie, une convergence des efforts de chacun vers un but commun , une organisation appropriée, que nous voyons p
trois années depuis le mariage et empêchera, par son degré, la vie commune ; lorsque le retour à la raison et à la vie com
n degré, la vie commune ; lorsque le retour à la raison et à la vie commune ne paraîtra pas possible. Le pa- ragraphe 150 s
la justice. Les séquestrations de ce genre, malheureusement trop communes , s'appliquent en général aux enfants anormaux,
es coupables. Elles connaissent parfaitement l'existence, dans leur commune , de ces déshérités de l'intelligence. Elles fer
s que l'humanité leur commande, il en résulterait une charge pourla commune . Les conseils géné- raux, les préfets ont aussi
ntes espèces de syphilis spinale - se mettent en relief sur un fond commun d'inflammation diffuse qui est de même nature d
quatrième ventricule est un peu granuleux; le nerf moteur oculaire commun gauche est grisâtre et fortement atrophié; le d
t. L'épendyme est légèrement granuleux. Les nerfs moteurs oculaires communs présentent une légère infil- tralion interstiti
infiltration analogue, quoique moins intense. Les moteurs oculaires communs sont traversés, à leur origine, par des veinules
st bien évident qu'il s'agit là d'un processus diffus, et, de plus, commun à plusieurs affections, qui ne saurait entrer e
us le nom de syndrome de Weber, est caractérisée par une hémiplégie commune , coexistant avec une paralysie de la troisième
oisième paire, du côté opposé, c'est-à-dire du nerf moteur oculaire commun . . M. le professeur Raymond montre un exemple d
ologie, c'est surtout chez les hystériques que les borborygmes sont communs . Le principal carac- tère des borborygmes'hysté
de dissociation syringomyélique de la sensibilité, elle n'a rien de commun avec la cavité syringomyélique, ainsi que le dé
ésirer, avait trompé la surveillance de sa famille et disparu de la commune . Après de longues recherches, le cadavre de la pa
bstratun organiqne de tel ou tel symp- tôme, spasme ou contracture, commun aux affections spinales et à la méninge-encépha
Dans un précédent mémoire j'ai étudié les éléments consti- tutifs communs à tous les quartiers d'un asile d'aliénés, c'est-
qu'ils sont destinés à hospitaliser et j'ai montré que ces éléments communs étaient au nombre de seize. Nous allons aborder
s. Si les quartiers des agités et des gâteux offrent ce caractère commun de n'être constitué que par un rez-de-chaussée et
d'agi- tés portent tout à la fois sur les dimensions des éléments communs que nous avons étudiés précédemment et sur l'ad-
ticularités dignes d'être signalées en ce qui concerne les éléments communs pré- cédemment établis et que nous allons succe
uchera en des chambres d'isolement ou cellules et l'autre moitié en commun , et cette deuxième moitié sera elle-même partag
s principales particularités à signaler relative- ment aux éléments communs à toutes les divisions en ce qui concerne celle
l'infirmerie comporte tout comme les autres quartiers les éléments communs au complet qui ont fourni l'objet de notre prem
ouiller ou de boire inconsidérément de l'eau, les autres élé- ments communs ne présentent rien de spécial à relever. Mais i
ve des chambres d'isolement, chambres d'isolement qui n'ont rien de commun avec les cellules d'isolement des agités mais q
n ce qui concerne ceux d'un usage un peu courant; ne sauraient être communs que les appareils d'un emploi exceptionnel. Le
. , asiles d'aliénés. rents et offrent tous néanmoins ce caractère commun d'être des tranquilles. Le quartier d'observati
e laissé seul ; c'est pourquoi il est indispensable qu'il couche en commun au milieu d'autres malades qui n'ont pas comme
t très développée. Ces deux variétés de paranoïa ont pour caractère commun une sorte d'exal- tation', d'hypertrophie du «
foyers de ramollissement s'étend jusqu'au noyau de l'oculo-moteur commun . L'auteur pense que les troubles de coordination
itude envers elle devint si menaçante qu'elle dut renoncer à la vie commune . Le malade fut interné en juillet 1892. Il est
rwège, attribution au vote populaire (hommes et femmes) dans chaque commune du droit de supprimer tout débit de bois- son ;
à la lutte contre l'alcoolisme. On peut se demander ce qu'il y a de commun entre cette lutte et le pape; le trait qui nous
ésie mani- feste, mais d'intensité variable, des deux oculo-moteurs communs (pas de ptosis) ; signe d'Ai,g,1 : -Robeitsoi),
ie on trouva une dégénérescence accusée du tronc du moteur oculaire commun droit. Des coupes en série de la région des noyau
r l'infirmerie spéciale du Dépôt. Les faits de ce genre sont très communs . Souvent, la police est très embarrassée pour s
44 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
-à-dire que les releveurs des paupières, innervés par l'oculomoteur commun , sont mis alternativement en action. Au contrai
sens que les deux yeux, étant rappro- chés l'un de l'autre, ont en commun ce que l'auteur appelle champ de danger (Gefahr
érose, qui dans leur aspect clinique offrent beaucoup de caractères communs avec les cas précédents et dont les altérations
surtout d'ordre anatomique. Le premier malade a beaucoup de traits communs à certains cas, décrits sous l'étiquette de la
re chronique. MALADIE DE RAYNAUD TRANSITOIRE, A LOCALISATIONS PEU COMMUNES , CHEZ UNE DÉMENTE, · PAR MM. L. MARCHAND et F
d cl F. Usse). .MALADIE DE RAYNA[D TRANSITOIRE, A LOCALISATIONS PEU COMMUNES 53 . C'est au commencement de mai 1913 qu'ont a
nexions spino-hzelbaires par la voie des cordons latéraux. La masse commune aux faisceaux cérébelleux et au faisceau fondamen
nant directement des cordons pos- térieurs de la moelle. La masse commune aux faisceaux cérébelleux et au reste de la voie
entation relative des lymphocytes est frappante. Un tel tableau est commun aux cas récents et aux cas d'une lente évolution
rait débarqué à Boulogne ; bien- tôt, enfin, il fut arrêté dans une commune de la Somme, en état de vagabon- dage et de con
onstatés, mais les terreurs enfantines qui le susci- taient sont si communes qu'il n'y a pas lieu d'insister; au surplus, je n
ment en proie à une idée maîtresse associée à la terreur. La plus commune de ces terreurs vient à la suite d'un accident ou
sus profonds des extrémités produites par des névrites infectieuses communes . Le degré d'instabilité dépend de l'étal trophi
lysie périphérique grave, chez les deux labyrinlhiques le processus commun a envahi les troncs des VII" et Vllle paires el
une, sans qu'il y ait un motif soit physique local, soit infectieux commun , mais avec antécédents de famille lépreux, pré-
e dépigmentation. Je me contente ici d'énumérer les formes les plus communes de der- matoses que l'on voit dans cette variét
évroses ou de neurodermies d'origine soit spinale, soit névriticlue commune , appartiennent au morbus I)heilicius. Nous ne d
aris. Ils obéis- sent aux mêmes causes que l'on trouve pour les cas communs ; mais les lépreux et les syringomyéliques ne s
gique des organes privés de leurs facultés parla dégénération, soit commune , soit élective, des fibres des cordons nerveux.
ousins rapprochés, et, d'autre pari, qu'on trou\e dans leur famille commune plus de vingt cas connus d'amyotrophie progress
ffection débute, dans le type classique qui est de beaucoup le plus commun , par les membres inférieurs, prenant d'abord les
d de la troisième circonvolution frontale. Donc, comme localisation commune à chacun de ces quatre cas, on doit noter la ré
vrai que toutes ces localisations présen- tent cette particularité commune de compromettre l'intégrité des con- nexions du
he, l'annulaire et le médius sonl également enfermés dans une gaine commune ; mais ici les squelettes ne sont plus parallèles
ion complète de la meilleure façon l'histoire de cette anomalie peu commune . Nous ne nous demande- rons pas si la loi de Me
lité faradique portant sur les muscles triceps, radiaux, extenseurs communs des doigts, long et court extenseurs du pouce.
'hypoexcitahilité faradique s'accuse sur le triceps, les extenseurs communs , l'extenseur propre de l'index, long extenseur
at, la névroglie est en prolifération légère. A droite, la partie commune du corps strié est également en réduction et a,
1 ¡que comme dans notre observation, ne relèveraient-ils pas d une commune étiologie ? Il s'agit, croyons-nous, dans les d
ë ? rc ? rir totale. L'ectrodactylie est une anomalie relativement commune si l'on envisage dans leur ensemble toutes les
olés, sont enveloppés dans une gaine, cutanée étroite, qui leur est commune . Entre les deux cependant et tout il l'extrémité
lon de dedans en dehors et d'avant en arrière ne peut rien avoir de commun avec une bride qui aurait mis à nu les phalange
angers les uns aux autres, évoque l'idée d'un processus fondamental commun présentant des variations secondaires au gré de
ale du péroné est, de toutes les anomalies des os, , l'une des plus communes . Cliniquement étudiée par d'éminents chirur- gi
antité de maladies qui, au point de vue pathogénique, n'ont rien de commun l'une avec l'autre. Il s'est rencontré maintes
la circulation. La glande thyroïde a celle action accélératrice en ( Commun avec le système chromaffine et la partie infundib
ce habituelle de la fatigue. L'irritabilité est un élément des plus communs aux débiles nerveux. Promptes explosions d'hume
91L0 cité, de la trophicité, etc,, mais je mets en rel ief les plus communes en clinique, et qu'à chaque pas l'on rencontre.
ès de 'bb ? (¡tifs. Il est installé horloger depuis 16 ans dans une commune du département. IIIQT0111E des faits morbides.
eprenant, audacieux, voit les choses grandement. Il veut quitter sa commune et s'établir à la ville. Il se met à faire des
AM, 1OS : Raynaud (Maladie de-) transitoire,, loca- lisations peu communes chez une dé- mente, par Marchand et Usse, 52.
et Usse (F.). Maladie de Raynaud transitoire, à localisations peu communes , chez une démente, 52. Meige (Henry). Un bec de
45 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
tendance à se ir en petits groupes et à s'entourer d'une enveloppe commune pour 1er de petits ganglions, reliés les uns au
té ventriculaire, après ablation de sa partie supérieure, la Cavité commune aux cerveaux intermédiaire et antérieur, se prése
s I, nerf olfactif. - Il, nerf optique. - Ill, nerf moteur oculaire commun . Il', nerf pathétique. V, V, nerf trijumeau. VI
ne antérieure de la moelle, au noyau d'origine du mo- teur oculaire commun ; elle fournit en outre les parties constituantes
rement triangulaire, qui fait saillie dans la cavité ventriculaire, commune encore à cette époque au cerveau anté- rieur et
ant ainsi le bec postérieur du tronc du corps calleux. Ce fait, peu commun chez l'homme, est la règle chez certains solipè
à la calcarine, et forme avec cette dernière un couché. La branche commune aux deux scissures incise profondément le gyrus f
ie, l'isthme du gyrus fornicatus, qu'incise profondément la branche commune à la scissure calcarine et à la scissure pariét
ecuneus du lobe limbique; dans la région occipitale, par la branche commune ci la scissure calcarine et à la scissure parié
ressemblent étrangement (Vignal, Cajal, v. Lenhossek), et le terme commun de neuroblaste peut leur être appliqué. Tous le
, entre les cellules germinatives et les neuroblastes. Elles ont de commun avec les cellules germinatives leur situation s
des muscles du tube digestif (Gas- kell).' Réunis. en un trajet commun au ni- veau de la racine an- térieure, les de
xterne (vi° paire), du pathétique (ive paire) et du moteur oculaire commun (m1' paire), ainsi que les fibres motrices du tri
n ciliaire. - Gh, vésicule ^auditive. - III, nerf mo- teur oculaire commun , - il, nerf pathétique. - V, ganglion de Gassor
tteignent la pie-mère : pendant la période foetale ce caractère est commun à toutes les cellules épendymaires, qui forment
t probablement au système du grand sympathique. Cette structure est commune , non seule- ment à toutes les cellules des gang
f, scis- sure calcarine ; K", son éperon inférieur. K + po, branche commune aux scissures calcarine et paricto-occipttale ?
h, sillon de l'hippocampe. - IC, scissure calcarine. K+po, branche commune aux scissures calcarine et pariéto- occipitale.
Jhuxî¡m1P circon- volution frontale. toutes un foyer d'origine commun au niveau de la région orbitaire, qu'elles conc
sent donc au niveau de la région orbitaire, dans un foyer d'origine commune , par une extrémité mince et effilée, puis se re
térieure du sillon olfactif (f,,), par une racine effilée qui lui est commune avee la première circonvolution frontale et qui
re du lobe occipital, elle représente la circonvolution d'origine commune des trois circonvolutions occipitales, entour
'hémisphère, elle pré- sente au niveau du pôle temporal une origine commune avec la première et la troisième circonvolution
-occipitale, au- dessous du pli cunéo-limbique (7tcl). La branche commune aux scissures calcarine et pariéto- occipital
pe- ron supérieur; 7<", son éperon inférieur. ]( T po, branche commune aux scissures calca- rine et pariéto-occipitale
K', son éperon supérieur; K", son éperon inférieur. - K + po, branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale.
il, incisure temporale. = K, scissure calca- rine. - K +po, branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale. -
aue est sédaré du lobe occioital et du lobe temporal par la branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale.(ï
orme la lèvre inférieure de la scissure calcarine, et de la branche commune à cette dernière et à la scissure pariéto-occipit
circonvolution limbique est profon- dément entaillée par la branche commune aux scissures calcarine cthariito- of'< ? f&
h, sillon de l'hippocampe. - K, scissure calcarine. - K+po, branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitalc.
volution frontale. - ot, scis- sure collatérale. - ot-1-ta, segment commun à la scissure collatérale et au troisième sillon
I, insula. ipo, incisure préoccipitale de Schwalbe. IC-+po, branche commune aux scissures calcarine et ltariéto-occiltitalc.
Son éperon supérieur.... K' . Son éperon inférieur.... K" Branche commune aux scis- sures calcarine et pariéto- occipit
millaire latéral situé en dedans du sillon du nerf moteur oculaire commun 1/ entre le faisceau interne du pied du pédoncu
pyramidal. xll, chiasma des nerfs optiques. ? nerf moteur oculaire commun . J', nerf trijumeau. VI, nerf moteur oculaire e
sépare un sillon assez profond, le sillon du, nerf moteur oculaire commun , le long duquel émerge la troisième paire (III)
es postérieures; ils sont séparés du sillon du nerf moteur oculaire commun par le pédoncule du tubercule mamillaire latéra
tus pédonculaire transverse. - III, racines du nerf moteur oculaire commun . - II, nerf optique. 326 ANATOMIE DES CENTRES N
amidal. ;dl, chiasma- des nerfs optiques. Ill, nerf moteur oculaire commun . -- Il, nerf trijumeau. - VI, nerf moteur ocula
nsidéré par Malacarne comme un nerf accessoire du moteur ocu- laire commun , embrasse le bord inférieur du pédoncule cérébral
onculaire supé- rieure les noyaux d'origine du nerf moteur oculaire commun (3° paire) (NI ? fig. 193). En dehors du noya
, faisceau occipito.frontal. ot, sillon collatéral. - ot + t, branche commune au sillon collatéral et au troisième sillon tem
e troisième couche, l'épendyme et la couche grise sous-épendymaire, communes il tous les ventricules. Mais le septum luri- 2
aisceau occipito-frontal. - ot, sillon collatéral. - ot + t3, branche commune au sillon collatéral cl. . au troisième sillon
arrière en avant et repose sur la partie antérieure du corps strié, commune au noyau caudé et au putamen. Le bord posté- ri
hme du lobe limbique (L [i]), et l'entaille de ce lobe par la branche commune aux scissures calcarine et PaJ'Í1Jto-occipitale
en dehors par la scissure calcarine (K), et en avant par la branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipilale (K
l (Lg), la diminution de la scissure calcarine (K) et de la branche commune aux scissures calcarine et ]JOI'ido- occipitale
ée en haut par le sillon de l'hippocampe (h), en bas par la branche commune aux scissures calcarine et ]JOI'iélo-occipi/alc (
n de l'hippo- campe. - ip, sillon inter-pariétal. - K + po, branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitalc.
60) intéressent le carrefour ventriculaire, c'est-il-dire la partie commune aux cornes occipitale et sphénoïdale et il l'ét
hme du lobe hmbisptc. ! /J, sillon inter-pariétal. /i*+/jo, branche commune aux scissures calcarine etpariéto-occipitaic ? pr
e l'hipJ1o- campe. - il), sillon intcr-pariétal. -la-i- po, branche commune aux scissures calcarinc ct luiriétn- occipitale
lgual (Lg) sur le lobe lim- bique dont il est séparé par la branche commune aux scissures calcarine et pariélo- occipilale
tenant qu'une seule circonvolution (L,). Dans le fond de la branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipilale (
lon de l'hip- pocampe. ip, sillon inter-pariétal. - K + po, branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipilale.
sillon inter-pariétal. - K, scissure calcarine. - K -1- yo, branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale. L,
u premier par la scissure calcarine (K) et du second par la branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale (K+
isthme du lobe limbique. - K, scissure calcarine. - K + po, branche commune à la scissure calcarine et à la scissure pariet
u caudé (NC) fait saillie dans la cavité ventriculaire, et la masse commune concourt il former il la base de l'hémisphère l
isthme du lobe limbique. - K, scissure calcarine. - K + po, branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale. L,
o-limbique (,ni). On suit dans presque toute son étendue la branche commune aux scissures calcarine et yauiéto-occipitale (
), isthme du lobe limbique. Li. scissure calcarinc.- K+-yo, branche commune aux scissures calcarine et pariéto-oeeipitale. Lg
rtie moyenne, c'est-à-dire la partie la plus profonde de la branche commune aux scissures calcarine et pariélo-occipi- tale
ES DU CERVEAU. " M'J cette dernière section correspond à la branche commune aux scissures calcarine el pariéto-occipitale (
nger en avant et en bas du côté de la corne sphénoïdale. La branche commune aux scissures calcarine et pw'iéto-occipitale (
illon de l'hippo- campe.1<, incisure temporale. -K + po,1)ranche commune aux scissures calcarine ct. pariéto- occipitale
ps strié est intéressé au niveau de sa partie antérieure, ou partie commune au noyau caudé et au putamen. Le noyau caudé (NC)
l'opercule rolandique. - ol, sillon collatéral. - 01 + t.1, branche commune au sillon collatéral et au troisième sillon tempo
s). mp, sillon marginal posté- rieur. Nui, noyau du moteur oculaire commun . - NZ.3, putamcn. - Nil, noyau rouge. - oF,, oF
- rieure du thalamus. Les fibres qui naissent de cette masse grise, commune au noyau caudé et au putamen (NC, NL.,), se ren
tiennent à la base du cer- veau, et qui présentent un développement commun (Voy. Embryologie, p. 110). Le corps strié (NC)
vec les fibres de la bandelette optique (II); elles ont en effet de commun , avec celles de cette dernière, leur finesse ex
silaires. e, collatérales du cylindre -axe. des caractères généraux communs à toutes. 672 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. .
couche granuleuse moyenne 5" couche) dédouble la 3° couche du type commun en deux couches intermédiaires, pauvres en cellul
la couche granuleuse interne, enfin, répond à la 4° couche du type commun . ' Hamon y Cajal, étudiant l'écorce occipitale
ême des longues fibres d'association, situées dans la masse blanche commune des hémisphères, où elles sont souvent très profo
s antérieures du stratum calcarinum (strK) qui tapissent la branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale (K
p, sillon marginal postérieur. - NUI, noyau du nerr moteur oculaire commun . NL" putamen. NR, noyau rouge. - oF 11, 0F3, part
'opercule rolandique. - ot, sillon col- latéral. - ot + t,, branche commune au sillon collatéral et au troisième sillon tempo
d du pôle occipital au lobe limbique, unit, au niveau de la branche commune aux scissures calcarine et pariéto-occipitale,
s. Fus, 1'tisifoi-iiie.- ip, sill intcr-parital. - Je +1'0, branche commune aux scissures calcarinc et 1);ti-iéto-occil)il;tl
46 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
c présentation de malade, sur un cas de paralysie de l'oculo-moteur commun à retours pério- diques. Homme de trente-quatre
e ans atteint actuellement d'une complète parésie de l'oculo-moteur commun (avec immobilité raide de la pupille et paralys
ections. L'orateur met en relief que la paralysie de l'oculo-moteur commun est survenue en des circonstances identiques à
avec tous les autres symptômes de la para- lysie de l'oculo-moteur commun . Les accès rétrocèdent invariable- ment en quat
izie. Dans un autre cas de paralysie périodi- que de l'oculo-moteur commun , il a vu s'effectuer sous ses yeux la rétrocess
ut. 11 a observé plusieurs fois de ces paralysies de l'oculo-moteur commun rapidement passagères, le second fait de Remak
ns ces asiles, tous les malades sont au régime bibliographie. 131 commun ; il ya très peu de pensionnaires : 65 sur 45,000.
n suivante : Etudier sur un point déterminé du territoire français ( commune , canton ou département), l'in- fluence de la lo
nt : « Aliénés, idiots, scrofuleux, rachitiques, en vertu de leur commune * origine, de certains caractères physiques et mor
urs exemples de ce genre. Mais, avant de rapporter nos observations communes , nous citerons brièvement deux cas analogues. L
vers trois ans, attribué à une pt tii, causée par un obus pendantla Commune . A partir de ce moment, les accès revinrent tou
ndrent les attaques et leurs formes différentes. Ainsi, les lésions communes de la paralysie générale entrai- nent une hyper
au chef médical du quartier; il lui suffit en outre de prévenir les communes de l'incurabilité pour être débarrassé des alié
1792, les trois adminis- trateurs des hospices, représentants de la Commune de Paris, Thouret, Cousin et l'illustre Cabanis
ployé, honneur à Pussin ! . « Philippe Pinel demanda un jour à la Commune de Paris la permission de briser les fers de se
pour si peu. Surmontant sa timidité naturelle, il se présente à la Commune de Paris, et, devant cette assemblée, il plaide
de la colonie. Les ateliers ont été trans- portés dans les anciens communs . On a réformé le quartier cel- 298 VARIA. lul
ion, après Bucknill; elle démontre qu'à côté de certains caractères communs qui, frappant vivement l'attention, porteraient
ls sont enfin rusés et menteurs. A s'en tenir donc à ces caractères communs , on les dirait frères DES INCENDIES MULTIPLES A
rit : « Toutes les fois qu'à la campagne, dans un village, dans une commune , des incendies se répètent à des intervalles ra
ntellectuel incomplet qui, à la campagne, dans un village, dans une commune , allument des incendies à des intervalles rappr
incendiaires à mobile futile. D'où viennent pourtant les caractères communs que j'ai signalés ? Comment expliquerces ressem
atières promptes à s'enflammer. On voit donc combien les caractères communs à ces deux catégories d'incendiaires prouvent p
é émotive pouvait être invoqué à leur faveur. Mais il est d'opinion commune qu'en médecine légale ces trois états n'entraîn
x incendies éclatèrent dans le village de Charrez en plaine, petite commune de quatre cents âmes. Ces six incen- dies avaie
tre lui la lettre trouvée, lettre qui intriguait de plus en plus la commune , à mesure que les incendies se multipliaient.
ion me convainquit de l'exactitude de l'appréciation des gens de sa commune : l'intelligence était au- dessous de la moyenn
être que l'oeuvre d'un faible d'esprit; or nous savons que, dans sa commune , Claude Saron passe pour tel. Mais quel était l
ison, sa propre propriété, dont il accusait à tort le notaire de la commune de l'avoir dépossédé; il désirait aussi, par ce
héquer le peu qu'il possédait, il emprunta 500 fr. au notaire de la commune . En 1878, pour gagner unpeu d'argent, il sollic
r vivre, se mettre en condition. Il devint ainsi domestique dans la commune même où il avait été pro-, priétaire. Alors sa
ation d'intelligence bornée dont jouissait cet homme soit dans sa commune , soit dans l'administration des postes, il étai
responsables, il avait cru, sans doute à tort, que le notaire de'la commune l'avait exproprié, mais il avait contre cet off
échanceté et vengeance généralisées contre tous les habitants de la commune . Tous les caractères extrin- sèques de la pyrom
s, brièvement exposés, parleront d'eux-mêmes. En 1876, une petite commune de l'Eure, fut, en quelques mois, ravagée par h
anche soir à la sortie du cabaret. ' II. Malgré tous ces caractères communs , ces incen- diaires se divisent en deux groupes
sous l'influence du traitement moral, les troubles fonctionnels si communs chez les hystériques, paralysies ou contractures,
u hypochondriaques, et même de suicide. Ces faits sont d'ailleurs communs et d'observation journalière dans d'autres formes
e pesanteur de la tête (OBs. XXXIII). Enfin une des formes les plus communes de la céphalalgie diabétique est la céphalalgie
ons même dire que cette variété de gly- cosurie nous a semblé moins commune qu'à M. Olivier; car, bien que nous ayons souve
nt les sui- vantes : la caféine et l'alcool possèdent une propriété commune , celle d'accroître dans une large mesure la pro
l'affection ne portait presque que sur ceux qui prenaient le régime commun , mais l'atteinte des personnes qui avaient quit
suivante : Etudier sur un point déterminé du terri- toire français ( commune , canton ou département), l'influence de la loi
n intestinale par excitation du sympathique, 225. , Oculo-iholeur commun (paralysie périodique du), par Thomsen, 119.
47 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
'. Elles représentent deux grappes vésiculaires détachées de la masse commune . On voit les vésicules tantôt agglomérées autour
sse commune. On voit les vésicules tantôt agglomérées autour d'un axe commun , verticillées ( D, fig. 2)5 tantôt disposées à la
petites, affaissées, extraites de la partie supérieure Ce de la masse commune ( fig. 1 ) ; ces grappes, que je ne puis mieux co
eux atrophiés, réduits à leur névrilème. Cette texture fibreuse était commune à toutes les tumeurs ; le ganglion cervical supér
aux tout-à-fait indé-pendans de la circulation générale; rien de plus commun que cette formation de vaisseaux qu'on voit s'org
AD naître de la partie supérieure de l'aorte abdominale par un tronc commun avec la dia-phragmatique inférieure, et se porter
omplètement à l'état graisseux; le jambier antérieur (1), l'extenseur commun des orteils (2), le long et le court péroniers la
mbe la couleur et la texture propres aux muscles ; 7 long fléchisseur commun des orteils, et 8 fléchisseur propre du gros orte
assé à l'état graisseux, si ce n'est l'accessoire du long fléchisseur commun des orteils qui avait suivHe sort de ce dernier m
ens de la seconde rangée, est entraîné dans un déplacement consécutif commun , mais ne prend point une part essentielle à la di
tous les muscles de la jambe, et même de r accessoire du fléchisseur commun , prouvent manifestement que les muscles ne sont p
tension des muscles tibiaux, gastroenémiens, soléaire et fléchisseur commun des orteils, admis par presque tous les auteurs.
outume, et conséquemment les séparait de la tumeur. Les nerfs moteurs communs et trijumeaux, bien qu'enveloppés de tous côtés,
dire dans l'hémorrhagie spontanée avec déchirure du tissu, un élément commun , la fluxion sanguine : brusque, rapide, intéressa
rameuses servaient de pédicule au lambeau principal E. Rien de plus commun que les hémorrhagies à la suite de gangrène humid
etites artères par des concrétions phosphatiques est la cause la plus commune de la gangrène, et surtout de la gangrène sèche ;
mé par les couches superficielles de cet organe. — Enfin rien de plus commun que de voir des fragmens de poumon tuberculeux, l
FGC ( fig. i ) tapisse le foyer; or la formation d'une caverne étant commune à une foule d'affections du poumon, il est diffic
isposées par couches concentriques, mais non point autour d'un centre commun ; qu'il existe comme plusieurs systèmes de concrét
s crétacées les plus considérables. Voilà la lésion organique la plus commune de l'aorte ascendante. Il n'y a pas encore de con
une compression de cet organe. Cette difficulté de diagnostic lui est commune avec l'apoplexie cérébrale que l'on confond bien
quelquefois rameuses ou groupées en grand nombre autour d'un pédicule commun qui les supporte. Cette disposition rameuse et ve
la colonne vertébrale ; distendus et comprimés, ils subissent la loi commune , le tissu propre disparaît, la cellulosité qui fo
'abcès caséiforme se prolongeait, en bas, entre le ligament vertébral commun antérieur et la dernière vertèbre dorsale et la p
dorsale et la première lombaire; en haut, entre le ligament vertébral commun postérieur et le plan postérieur du corps des deu
te et sans aucune espèce de ramollissement, que le ligament vertébral commun postérieur avait formé comme une barrière impénét
son corps, dont les deux moitiés aboutissaient à un col et à un vagin communs et dans l'état normal. Le sujet de cette observat
ation, le larynx est sujet à un grand nombre de lésions, dont l'effet commun le plus grave est l'interruption plus ou moins co
la déterminer. L'idiotie acquise est le dernier résultat, le résultat commun de toutes les maladies cérébrales : ainsi il est
s ramifications artérielles AO parsemées de ces plaques ossiformes si communes chez les vieillards. En divisant la couche opti
e la compression de l'origine des nerfs optiques et des nerfs moteurs communs ; je diagnostiquai aussi une hydropisie aiguë des
u à leur formation ; aussi sont-elles produites aux dépens d'un tissu commun à tous, savoir du tissu cellulaire séreux, qui co
r l'avortement. 4°. De l'indépendance des deux portions du placenta commun aux deux fœtus, nous devons conclure que, dans le
ormes qui me restent à décrire. VIL La forme ulcéreuse, terminaison commune des formes précédentes, est très-souvent primitiv
forme des phlegmasies avec douleur. XVII. Si la forme typhoïde est commune à toutes les phlegmasies sans douleur, on peut di
e aiguë pour nous éclairer sur sa thérapeutique, mais ces causes sont communes à un grand nombre de maladies; je n'en trouve auc
nnent des accidens tantôt brusques, tantôt graduels : rien n'est plus commun que de voir l'hémiplégie survenir instantanément
âgé de vingt-huit, l'autre âgé de vingt-neuf ans. Voici leur histoire commune qui est à peu de chose près celle de tous les sar
es et les formes particulières que revêtent les lésions qui leur sont communes avec les autres parties du corps. Ainsi, les arti
lignes. Les tendons réunis des radiaux postérieurs et des extenseurs communs et propres, sont reçus dans une gouttière profond
d'usure des cartilages articulaires; toutes présentent ces caractères communs que les surfaces articulaires sont inégalement us
omissemens, le pouls lent et inégal, la décomposition de la face sont communs à l'une et à l'autre maladies; mais si l'on consi
en signe pathognomonique. Parmi ces phénomènes morbides, les uns sont communs à l'ulcère simple et à la gastrite chronique, les
ui a été notée par tous les observateurs. Au reste, cette couleur est commune à tous les vomissemens de sang qui ne suivent pas
rès-communs à la suite des plaies et des opérations chirurgicales, si communs qu'ils sont les premiers dont les observateurs ai
que j'avais affaire à un de ces abcès inter-muscu-laires profonds, si communs à la suite des affections rhumatismales. Je comme
toucher, immédiatement après la ponction pratiquée pour l'ascite, si commune dans les périodes avancées de cette maladie. Ce s
dans cette compression. L'hydropisie ascite et l'anasarque, non moins communes que l'ictère, sur-tout dans les périodes avancées
s affections de la même nature, occupant divers organes. Rien de plus commun que le cancer du foie coexistant avec un cancer d
rieux de noter d'autres cas où un petit calcul, engagé dans l'ampoule commune aux conduits cholédoque et pancréatique a suffi p
choléra indien et du choléra européen : d'où la nécessité d'une cause commune grave, puissante, qui domine toutes les circonsta
vé un si grand nombre de cholériques , prétendus convalescents, a été commun à toutes les formes, à tous les degrés du choléra
mieux de la mort. Mais le sentiment de bien être est un phénomène peu commun , dans le choléra je n'ai eu occasion de le rencon
s calculs de choleslérine. Tous les autres organes sont dans l'état commun aux cholériques. Le plexus solaire et tous les ga
cadavérisation, qui se conciliait avec un courage et une énergie peu commune , et s'éteignit sans que nous ayons pu enrayer en
te de potasse, vingt-quatre grains; muriate de soude, deux gros ; eau commune , cinq livres. On dit qu'à peine a-t-on injecté ci
e vertèbre lombaire et le coccyx ; c'est là en effet le siège le plus commun du spina bifida, qui d'ailleurs a été observé dan
arois abdominales était soulevée par de grosses veines, dont le tronc commun se jetait dans la veine crurale, à quelques ligne
aient remplies de pus. Les gaines tendineuses des muscles fléchisseur commun , fléchisseur propre et jambier postérieur en étai
Vépaisseur de la jambe. Un abcès dans l'épaisseur du muscle extenseur commun des doigts. Benoit (Esther) blanchisseuse, 25 a
ras était due à un abcès qui occupait l'épaisseur du muscle extenseur commun des doigts. C'est cet abcès bien circonscrit qui
e, présente dans son intérieur cette disposition stratifiée qu'il est commun de rencontrer dans les poches anévrysmales. Cette
tion qui consiste à séparer, après la section de la couche des fibres communes , les cavités droites des cavités gauches. (2) L
une sage-femme qui la rassura en lui disant que ces symptômes étaient communs à la plupart des femmes grosses. Du 4e au 5e mois
iltration mélanique des diverses espèces de cancer, est beaucoup plus commune que celle des tubercules. Je l'ai rencontrée dans
cause à effet? Enfin toutes ces lésions reconnaissent-elles une cause commune ? Il me semble que le renversement de la tête en
éreuse générale par développement de tubercules cancéreux, sont aussi communs à la suite du cancer mammaire, qu'ils sont rares
48 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
atomo-clinique. —• Les névroses reconnaissent les lois physiologiques communes . — Difficultés de leur étude. — Simulation. I.
tout s'y passe, au contraire, suivant des règles, toujours les mêmes, communes à la pratique de la ville et à celle de l'hôpital
lasse à part, gouvernée par d'autres lois physiologiques que les lois communes . C'est que leur symptomatologie se rapproche touj
doit servir d'enseignement au pathologiste qui, de] rière le syndrome commun , entrevoit une analogie de siège anatomique, et
ongtemps fait remarquer ; ainsi, chez un sujet goutteux, rien de plus commun que de voir survenir, en dehors des accès régulie
onstance, et qui présente le tic facial non douloureux, sous sa forme commune . C'est une ancienne hystérique, ou plutôt c'est u
ttachées toutes les formes accessoires. Nous signalerons les traits communs aux deux types : En général, les mains sont dans
des parties qui sont comme soudées. Aux mains, la déformation la plus commune est celle qui rappelle l'attitude d'une main qui
nitivement à la suite d'un nouvel accès. Enfin, une combinaison peu commune est celle dans laquelle ces mêmes accidents de la
nt mes observations, la maladie serait, chez les jeunesjgarçons, plus commune qu'on le croit, vers 12 ou 13 ans ; on peut la re
rie anormale par l'absence de crises conyulsives. Ils ont de plus, en commun , un autre trait particulier, à savoir, l'existenc
vant la puberté, de 5 à 14 ans ; mais l'hystérie de l'adulte est plus commune . Et, autre point à relever, ces hommes adultes en
ervés par le nerf fessier supérieur qui, par son origine, n'a rien de commun avec le grand et petit scialique. Cette participa
Cazalis, a insisté depuis longtemps sur ce point, qu'il n'y a rien de commun comme l'invasion des corps vertébraux par le canc
essemblances extérieures, superficielles, mais qui ont toutes ceci en commun , c'est qu'elles-sont d'origine spinale, qu'elles
a même salle, et ainsi que leur sœur ils pouvaient, dans les dortoirs communs , avoir sous les yeux, et, à différentes reprises,
l'Hôtel-Dieu est complète, absolue, en ce qui concerne la sensibilité commune . Les troubles sensoriels de ce même côté gauche s
embre inférieur. Il s'agit donc là, en ce qui concerne la sensibilité commune , d'une véritable hémi-anesthésie droite généralis
notre malade aucun acte de réflexe. Ce phénomène est, vous le savez, commun dans l'hystérie ; plusieurs observateurs, et en p
lez le constater bientôt, par un grand nombre de caractères cliniques communs qui rendent souvent le diagnostic très difficile.
mblent parfaitement éveillés; ils procèdent, en tous cas, dans la vie commune ainsi que dans un songe, plaçant sur le même plan
quant à leur nature et quant à leur siège, mais présentant pour trait commun cependant, d'entraîner avec elles la production d
ivit la leçon qu'on vient de lire, entraîné par un de ces caprices si communs chez les hystériques, même chez les mâles. Dum...
affections dont ils souffrent présentent entre elles quelques traits communs , sur certains points, même des ressemblances asse
distinctifs des deux ordres d'affections. Sommairement, les traits communs sont les suivants : les deux malades sont placés,
rvice de M. Charcot, je ne crois pas que l'aphasie hystérique soit si commune que semblait le dire M. Moreau. M. Legroux, dans
extérieur, pour ainsi dire, vont s'emmagasiner dans le centre visuel commun , CVC. — Que le centre visuel des mots soit le siè
de ne percevra plus par celte région du cerveau, par le centre visuel commun les impressions visuelles générales qui se dégage
trag gehalten in Balle Leipzig, 1886. Fig. 90. — CVC, Centre visuel commun . — CVM, Centre visuel des mots. — CAC, Centre aud
e visuel commun. — CVM, Centre visuel des mots. — CAC, Centre auditif commun . — CAM, Centre auditif des mots. — CLA, Centre mo
centre visuel des mots être en rapports intimes avec le centre visuel commun , de même le centre moteur du langage écrit, CLE,
re moteur du langage écrit, CLE, est en rapport avec le centre moteur commun du membre supérieur, et le centre moteur de [arti
e [articulation verbale, CLA, est en connexion étroite avec le centre commun de la langue et des /êtres; pour ne pas complique
es /êtres; pour ne pas compliquer le schéma, ces deux centres moleurs communs n'ont, d'ailleurs, pas été figurés, il suffit de
natomo-clinique. — Les névroses reconnaissent les lois physiologiques communes . — Difficultés de leur étude. — Simulation.......
que, 205. N Névroses, elles reconnaissent les lois physiologiques communes , 14. Neurasthénie, — son traitement, Neuromimés
49 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t la sylvienne gauche, au niveau du point où elle^' donner le tronc commun des artères frontale inférieure et frontale asc
KERAVAL. IV. DE l'organisation DU noyau principal DE l'oculomoteur COMMUN et DE la POSITION (U'Y OCCUPENT LES territoires
uatorze jours suivants. On fixe la légion du noyau de l'oculomoleur commun par l'alcool à 96°, on inclut dans la paraffine
n des quatre muscles moteurs de l'oeil inner- vés par l'oculomoteur commun . Toutes les fois aussi qu'il a vidé la cavité o
. On doit reconnaître dans l'organisation du noyau de l'oculomoteur commun une portion reculée (surtout postérieure) et un
cu- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 49 lomotcur commun , que le droit supérieur qui soit innervé par le
'il s'agissait là la plupart du temps de simples criminels de droit commun . Il rappelle que l'hypnotisme ne peut'jamais al
: avec celle-ci l'anthropologie criminelle a plus spé- cialement de commun les méthodes cliniques d'observation et d'évalu
servation et d'évaluation des désordres psychiques, comme elle a de commun avec la pathologie spéciale et médicale et avec
développements différents anatomiques; elle prend à la pathologie commune et il l'anatomie pathologique l'appréciation et l
ogique l'appréciation et la distinc- tion des formes sur la base de communs processus morbides et de celles par évolution a
mptomatologie spécifique hors de la maison de santé et de l'hôpital commun (palimsesti, jargon, moeurs et habitudes de eam
méningées susceptibles d'être réunies dans un tableau symptomatique commun : l'infiltration gommeuse, les gommes miliaires
qu'on l'a changée deux fois de lit, demande à revenir dans la salle commune . Elle a un peu perdu la mémoire, se sent toute ch
ec soin ces idées de richesse et du grandeur appartenant à la folie commune , de celles présentées au cours de la paralysie
r le Dr Harriet Alexander. La sénilité est, plus ou moins, un moule commun dans lequel on place tous les désordres mentaux
t sénile et qu'ils ont désigné avec ce dernier sous la dénomination commune de névrose Lrému- lante. L'hérédité similaire o
nomènes qu'il va décrire sont tellement évidents et aussi tellement communs qu'il a été tout surpris de trouver la littérat
rmes variées d'encéphalite infantile présentent, de nombreux points communs . Cette dernière, toutefois, est plus fréquemment
si relevé l'existence de lésions dans les noyaux du moteur oculaire commun , du moteur oculaire externe, du facial, de l'hy
s dont la myéline est dégénérée, dans les troncs du moteur oculaire commun , du facial et de l'hypoglosse. Etant donné le t
hoses, les hallucinations de la vue affectent la forme élémentaire, commune ou verbale. Elles sont le plus sou- vent en rap
dus d'une même génération sans qu'on puisse remonter à un ascendant commun atteint à un degré atté- nué. L'analogie de ces
rapports sexuels. Il s'est livré à la masturbation, mais jamais en commun . Il se sentait poussé à rechercher des contacts
réquente chez elles de la perversion sexuelle avec la criminalité commune se prête moins à la formation de groupes qui, par
sont nettes. Cette ligue qui est un agrégat de sociétés au principe commun a pour avantage encore de réaliser un groupemen
pour avantage encore de réaliser un groupement en vue d'une action commune éventuelle. D'une part elle rayonne vers l'indivi
rs de premier ordre ayant quitté les asiles, consistait dans la vie commune avec des infirmiers ignorants et grossiers : un
de volitions 1. « Ces malades, dit M. J. Falret, présentant le fond commun de la mélancolie, ont une anxiété vague et indé
ptômes presque com- plètement indépendants et qui n'ont que ceci de commun , que les fibres qui les composent proviennent d
LXXI. LE chiasma OCULO-MOTEUR (sezni-décussatiozz de l'oculo-moteur commun ); par le professeur Grasset. A l'aide d'une sér
rcours de l'écorce au muscle oculaire, d'une part de l'oculo-moteur commun , d'autre part de l'oculo-moteur externe : L'o
ules quadrijumeaux. C'est là que siège le chiasma de l'oculo-moteur commun ; de cer- tains noyaux, notamment de celui de l'
là les fibres vont au pédoncule comme les fibres de l'oculo-moteur commun , le dépassent, traversent la protubérance dans
des deux yeux. Au lieu de diviser les oculo-moteurs en oculo-moteur commun et oculo-moteur externe, il faut concevoir (pou
(L.). Zwei Faelle sogenannter (folie par transformation ; folie en commun ). - Brochure in-8" de 19 pages. Leipzig, 1897.
et profond, petit et grand palmaire, cubital antérieur, extenseurs communs et propres des doigts; triceps brachial. Parési
ATHOLOGIQUES. LXXIX. Les noyaux des neufs moteurs de L'OEIL (moteur commun , moteur externe et pathétique) cr leurs connexi
cerveaux de foetus et de nouveau-nés, l'auteur admet que le moteur commun possède quatre noyaux, deux principaux, un pair
l, s'entrecroisent et constituent les fibres postérieures du moteur commun . Il est hors de conteste qu'une partie de la ba
andelette longitudinale postérieure se perd dans le noyau du moteur commun . Le reste, à partir du segment antérieur du noy
e Daikscliewitscli considérait comme le noyau supé- rieur du moteur commun . Le noyau du moteur commun reçoit, en outre, le
ait comme le noyau supé- rieur du moteur commun. Le noyau du moteur commun reçoit, en outre, les fibres profondes du tub.
tudinale postérieure, que certain. ! auteurs rat- tachent au moteur commun ; mais on peut suivre sur le cerveau du foetus
s subsistent sur les connexions des noyaux des moteurs externe et commun . Duval et Laborde ont attiré l'attention sur l'ex
ison de l'entrecroisement partiel non douteux des racines du moteur commun , certains auteurs ont pensé que ces deux noyaux
doute, ces fibres relient les noyaux du moteur externe et du moteur commun du côté opposé. Du noyau du pathétique se détac
mouvements associés des pupilles. Enfin, entre les noyaux du moteur commun , on trouve un système défibres d'asso- ciation,
t, il ne saurait y avoir que des centres adaptés ; certains centres communs présidant déjà à d'autres actes du fonctionneme
un des sabots vint se placer sur la chemi- née. Le desservant de la commune , quelque peu incrédule, vint rendre visite à Ga
yent actuellement les conversations des habitants de Laroche et des communes voisines. » ! ? ? Histoires D'IVROGNES. Il se
50 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ournent. Plus en arrière, le nerf de la 3e paire ou moteur oculaire commun qui SYNDROME TEMPORAIRE DE WEBER AVEC HÉMIOPIE
tanément le faisceau pyramidal (le pied) et le nerf moteur oculaire commun ou même son noyau d'origine. Examinons successive
ntenant à la troisième variété, plus rare que la précé- dente, plus commune que la première, c'est l'hémiplégie alterne supé-
t sur le côté interne du pédoncule cérébral, que le moteur oculaire commun tient sous sa dépendance la plus grande partie de
et en même temps il y aura une paralysie directe du moteur oculaire commun , véritable paralysie périphérique avec atrophie
cial supérieur, ni dans les muscles animés par le mo- teur oculaire commun , le moteur oculaire externe, ou le pathétique.
vons déjà que l'hémiplégie gauche avec paralysie du moteur oculaire commun droit se rapporte habituellement à une seule et m
eur de la paupière supérieure et des muscles ani- més par le moteur commun ; aujourd'hui la marche est possible, la para-
plètement disparu, ainsi que celle des muscles animés par le moteur commun et pour peu que l'a- mélioration fasse encore d
s des racines et des noyaux d'origine des fibres du moteur oculaire commun destinés aux muscles extrinsèques, ainsi que le
s ces symptô- mes : hémiplégie gauche, paralysie du moteur oculaire commun droit, hémiopie gauche et paraphasie en admetta
ralytiques observés sur les muscles animés par le mo- teur oculaire commun . Pour arriver à tout expliquer, l'hémiplégie ga
mi lesquelles se trouvent les artères des noyaux du moteur oculaire commun . La circulation ralentie dans ces noyaux ne per
tablissent les mouvements des muscles animés par le moteur oculaire commun . Or, il nous semble logique de penser que l'obs
en particulier assurent la nutrition des noyaux du moteur oculaire commun , ainsi que de la partie motrice du pédoncule cé
ccusés, mais néanmoins temporaires, de paralysie du moteur oculaire commun , ainsi qu'aux symptômes d'hémiplégie, qui se so
tout le corps hors d'aplomb. J.MARCHE EN flexion. ' Un caractère commun à un bon nombre des démarches que nous venons d
us surprendre étant donné que le tissu fibreux constitue le terrain commun sur lequel peut se développer indistinctement d
s muscles anconé et deuxiè- me radial; Munchmeyer, dans l'extenseur commun des doigts et le fléchis- seur superficiel ; Pi
ewitsch a noté l'ossification du tihial antérieur et de l'extenseur commun des orteils adroite, l'ossification du soléaire à
scle malade, à s'incliner du côté douloureux. C'est là un phénomène commun à toutes les affections douloureuses locales ; pl
t aux gros orteils, alors que dans le rhumatisme noueux, elles sont communes il tous les doigts ou à tous les orteils ; en o
qui se pro- longe obliquement en bas et en dehors le long du tendon commun du coraco- huméral et de la courte portion du b
alpation. La tète était fluctuante. Après ablation des en- veloppes communes , la tète apparut demi-transparente et avait l'asp
de 'trai- tement. Ici encore, cette anodine opération n'a rien de commun avec la jonglerie des « pierres de tète ». Sa
rimaces et leurs gesticulations. Loqueteux, débraillés, cras- seux, communs de gestes et de visage, ils faisaient éclaler bru
c son appareil symptomatique bien connu. Mais à côté de cette forme commune , intégrale, il en existe d'autres : formes fruste
orte quel siège ont, dans leur expression symptomatique, des traits communs : une cépha- lalgie plus ou moins violente, du
ux autres parties de l'encéphale, se détachent d'un point d'origine commun . Ce point d'origine correspond, de chaque côté,
le traitement spécique intensif, institué avec une persévérance peu commune . Contre les tumeurs de toute autre nature, et e
ues, Les variétés ici sont infinies. Il en est une qui, sans être commune (loin de là), se trouve relevée dans un certain
lait avoir indiquée. Ce stigmate est pourtant d'observation assez commune dans l'hérédo- syphilis ; beaucoup plus commune
d'observation assez commune dans l'hérédo- syphilis ; beaucoup plus commune en tout cas qu'on ne veut encore actuellement l
ut que l'hydrocéphalie constitue un phénomène d'obser- vation assez commune dans l'hérédo-syphilis, au point depouvoirlui ser
S CHEZ LES HÉRÉDO-SYPHILITIQUES 2G1 « Elle est, je le répète, assez commune . Je la trouve signalée dans mes notes plus d'un
traumatisme du genou. Mais, comme la déformation augulaire est très commune dans l'arthrite tuberculeuse, et comme, d'autre
fisante transmise par les conducteurs centripètes de la sensibilité commune , la moelle répondra par un mode d'activité plus f
u biceps. Il se bifurque en deux branches dont l'une suit le tendon commun au coraco-brachial et à la cuurte portion du bi
ctiforme douloureuse appartenant au tibial antérieur et l'extenseur commun des orteils. Toute la jambe est enllée, ses vei
au cubitus et appartenant à l'anconé et il l'origine de l'extenseur commun des doigts (Fig. 2). Le biceps brachial gauche
aponévroses antibrachiales. Des noyaux osseux dans le flé- chisseur commun superficiel des doigts ; tension des fléchisseurs
l'expansion émet un tendon aponévrotique qui s'insère sur le tendon commun du quadriceps; le tendon contient également un no
lement à l'instigation de certaines causes occasionnelles. Les plus communs , parmi ces agents provocateurs de l'hystérie, son
ux biliaires et celles sur l'empoisonnement par le plomb, faites en commun avec M. le Dr Fr. Gombault, ont marqué un grand p
pulmonaires. Les affections articulaires, le rhumatisme noueux, si commun à la Salpê- trière,. avaient été l'objet de sa
parmi les formes associées, celle que nous avons en vue est la plus commune ; elle nous parait, au point de vue comparatif,
a plus commune ; elle nous parait, au point de vue comparatif, plus commune que la forme isolée. Etant donnée la fréquence
rapèze scapulaire ont, dans quelques cas exceptionnels, une origine commune . On peut évi- demment faire cette supposition,
sur ces deux tableaux symptomatiques permet d'en saisir les traits communs et les traits différentiels. On voit qu'il est
rdinaire. Nous comptions en effet 77 respirations, ce qui est assez commun dans cette variété de pleurésie. Il n'y a non p
mble. Paysages naïfs, mais témoignant déjà d'une sûreté de main peu commune et d'une rare justesse d'observation. Ces quali
51 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
élevée que celle du côté malade. Cette dernière attitude est assez commune ; elle tient à ce que la courbure de compensatio
il existe entre elles d'autre rapport que l'influence d'une cause commune . La coxalgie hystérique, elle aussi, se combine
la colonne vertébrale vers le côté sain, est de beaucoup la plus commune de toutes les attitudes que peut réaliser la sc
scia- tique névralgique simple, non spasmodique, est un phénomène commun à toutes les maladies doulou- reuses du membre
périphériques du facial, mais bien dans- le noyau de l'oculo-moteur commun . Labranche oculaire du facial est donc animée p
Labranche oculaire du facial est donc animée par l'oculo-mo- teur commun , ou, plus exactement, par la partie postérieure d
e et septième paires rachi- diennes. Diagnostic. Myélite transverse commune insignifiante, ancienne, ayant, par recoquillem
mêmes, intelligents, et souvent doués d'une puissance cérébrale peu commune et qui, à la moindre excitation (émotion, fraye
y est pourvu par le départe- ment, sans préjudice du concours de la commune du domicile de l'aliéné, d'après un tarif arrêt
mes d'activité spécifique du système nerveux central ont un siège commun , où leurs éléments se juxtaposent, se confonden
x des centres de ' CI. Bernard. Leçons sur les phénomènes de lu vie commune aux ani- maux et aux végétaux. 1, 3G8. ' 11.
du sommeil dogmatique. Il n'a point tout lu (ce qui est notre sort commun , à tous), mais il a tout compris, et, emporté p
iques des deux espèces de cellules nerveuses, elles n'ont rien de commun avec ce réseau nerveux; elles se confondent ave
. A raison des céphalalgies, des accidents du côté de l'oculomoteur commun , de la négation absolue de tout élément étiolog
la pie mère, périnévrite et névrite noueuse des deux oculomoteurs communs et des racines nerveuses de la moelle. Intégrité
de Friedreich. P. K. VIII. Un CAS DE paralysie DE L'OCULO-31OTEUR commun A RÉCIDIVES INTERMITTENTES RÉGULIÈRES AVEC AUTO
rome en forme de pilon, du volume d'un pois occupant l'oculo-moteur commun du côté droit, à l'endroit où il traverse la du
t pas impossible que les deux genres d'altérations aient pour foyer commun d'origine les appareils trophiques centraux. M.
e dans l'arsenal de la thérapeutique courante à la colonne du fonds commun . 6. On opposera ainsi une digue au merveilleux,
Voici mainte- « nant six observations de suspensions instituées en commun avec M. Hoffmann, qui sont loin d'être favorabl
la classification no- sographique des formes de l'encéphalite aiguë commune non suppurée. - Eu créant le terme moderne d'en
SAVANTES. 275 bres médicales de la Prusse, afin de représenter d'un commun accord au ministre que les mesures nouvelles on
. - Constitue une dépense obligatoire, le con- tingent imposé à une commune dans la dépense d'entretien d'un aliéné indigen
evenus de l'aliéné sont insuffisants, quel que soit son capital, la commune est tenue de sa part de la dépense, Elle conserve
st à la charge des départements auxquels ils appartiennent et de la commune de leur domicile; « Considérantqu'il résulte
article 136 de la loi du 5 avril 1884 que le contingent assigné aux communes dans ces frais par le conseil général, conformé
e départemental, ce qui d'ailleurs ne fait pas obstacle à ce que la commune exerce ultérieurement s'il y a lieu, son recours
i du 30 juin 1838 paraît absolument favorable aux prétentions des communes . Il dit, en effet, que les dépenses des aliénés s
ources que ces dépenses passent à la charge des départements et des communes . Or, le mot ressources s'entend aussi bien des
s suivis depuis cinquante ans. Mais l'usage n'est pas la loi. Les communes feront donc bien de résister contre une jurispru-
ux d'un aliéné, portaient du moins la marque d'une excentricité peu commune : c'est ainsi qu'il se déguisait en troubadour
complète de dégénérescence dans le jambier antérieur et l'extenseur commun des orteils; simple diminution d'excita- bilité
réaction de dégénérescence dans le jambier antérieur et l'extenseur commun des orteils, et une diminution de l'excitabilit
voit qu'il s'en dégage un certain nombre de don- nées qui leur sont communes . Il en ressort en effet que plusieurs lésions s
té- rieurs, excepté la zone (antéro-externe qui est intacte, fait commun au tabes et à d'autres scléroses posté- Fig. 27
decins des asiles d'a- liénés. « L'excellence du principe qui est commun à ces deux articles étant admise, on doit cepen
chambre disposée à l'usage qu'on lui destine et le repas à la table commune ; l'asile fournit vêtements, linge, literie, qui d
de), par Greppin, 103. Paralysie intermittente de l'oculo- moteur commun , par Richter, 2'r7 ; ostéo-malacique, par Koe
52 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
osition s'ob-serve correspondent pour beaucoup d'auteurs ou sensorium commune . Si cette interprétation était exacte, il s'en su
nt à comprendre que la raison des localisations anato-miques les plus communes dans l'encéphale devra être cher-chée surtout dan
. Dès notre entrée dans cette étude, nous aurons à relever des traits communs et quelques traits particuliers. Tout d'abord, no
ramollissements ischémiques des lobes postérieurs sont-ils bien plus communs que ceux des lobes antérieurs. Le terri-toire de
orrhagie intra-encéphalique est relativement rare, tandis qu'elle est commune dans celles-ci. C'est là un fait dont témoignent
nt encore aujourd'hui — la cou-che optique est le siège du sensorium, commune ? Non, in-contestablement ; il serait facile, d'a
le, mais elle porte fré-quemment sur tous les modes de la sensibilité commune ; ainsi la sensibilité au tact, à la douleur, à l
rtout — que l'hé-mianesthésie n'atteint pas uniquement la sensibilité commune , elle frappe aussi les appareils sensoriels sur l
elevée déjà soigneusement par nous-même relativement à la sensibilité commune (1) et par M. Magnan, en ce qui concerne les trou
ésion de la capsule interne. Cette hémianesthésie de la sensibilité commune , vous ne l'avez pas oublié, a pu trouver sa raiso
ule cérébral. qui tiendraient sous leur dépendance la sensibilité commune de tout un côté opposé du corps. A cet ensemble
tude, M. Vulpian et moi, dans les recherches que nous avons faites en commun , sur ce sujet, à la Salpêtrière, de 1861 à 1866 (
rendra compte sans doute du fait que, contrairement à l'obser-vation commune , la contracture prédomine quelquefois con-sidérab
te, et la sclérose consécutive était parfaitement accentuée. Le trait commun à ces cas est que, constamment, la lésion intéres
points les plus importants de leur histoire. Quel est le caractère commun à toutes les lésions destructi-ves en foyer, qui,
la capsule; c'est le fais-ceau pyramidal, dont la dégénération est si commune ; un fais-ceau externe, qui ne dégénère jamais, c
éparatoire de l'hémorrhagie intra-encé-phalique vulgaire. Il est très commun , chez des sujets qui ont été frappés autrefois d'
endineux sont des phénomènes connexes, se ratta-chant à une condition commune . Je voudrais vous faire remarquer encore que d'
ssin en flexion for-cée ; il semble même que cette attitude soit plus commune * dans les myélites par compression que dans les m
it primitive, soit consécutive des faisceaux pyrami-daux est un trait commun à tous les maladies dont il s'agit. Dans le cours
détruit en travers une moitié de la moelle épinière ; 2° le cas très commun de la myélite spontanée syphilitique. Ici la lési
ber la face contre terre. Cette variété, décrite par Erb, serait plus commune que le type d'Ollivier (d'Angers). Il est très
taxiques, qui est en quelque sorte pathognomonique. C'est un symptôme commun à plusieurs maladies spinales et pour arriver au
me de « paralysie spasmodique » ne pouvant représenter qu'un syndrome commun à plusieurs maladies spi-nales. La description do
sie existaient des lésions diverses, et présentant toutefois ce trait commun , essentiel dans l'espèce: c'est que les altératio
l'exposé qui précède, que. la contracture permanente est un symptôme commun aux affections organiques spinales — et elles son
t plus frappants, à mesure qu'on analyse avec plus de soin les cas si communs d'affections spinales, décrits jadis sous la dési
ent confirmé. Mais, comme les cas de ce genre ne sont pas encore bien communs , il est assurément permis d'invoquer, à l'appui d
Scotome scintillant, 149. Semi-décussation, 126, 199. Sensorium commune , 42, 109. Signe du tendon. (V. Phénomène du gen
53 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
QUE NERVEUSE. DE L'ÉTAT DU FACIAL SUPERIEUR ET UU MOTEUR OCULAIRE COMMUN DANS L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ; Par Crut. MIRALLI
eleveur de la paupière supérieure, innervé par le moteur oculaire commun participe à la paralysie. La fente palpébrale est
ieur a perdu toute action sur l'orbiculaire et le moteur oculaire commun agit normalement sur le releveur palpébral dont
origine de tous les nerfs d'une moitié du corps. Le moteur oculaire commun , bien que ne jouissant que de mou- vements syne
ique- s ment, etdiminue simplement la tonicité du moteur oculaire commun dont presque tous les mouvements sont synergiques
tômes font encore admettre la participation du moteur ocu-' laire commun à la paralysie. Souvent (thèse Coingt) on voit
n a vu une paralysie de l'oeil. La participation du moteur oculaire commun à l'hémi- plégie n'est pas fatale dans tous les
la paupière est plus paralysé que l'orbiculaire. Le moteur oculaire commun ne présente qu'un seul muscle dont les mouvemen
ore chez certains individus seulement. , Comment le moteur oculaire commun peut-il être atteint par la lésion ? Nous ne vo
nt que toute tentative de localisation du centre du moteur oculaire commun est encore prématurée (1895) et que si certaine
'évolution des paralysies du facial supérieur et du moteur oculaire commun chez les hémiplégiques. Ces paralysies sont trè
ysé ne peut s'expliquer que par la participation du moteur oculaire commun à la paralysie. 5° L'intégrité relative du faci
égrité relative du facial supérieur et surtout du mo- teur oculaire commun ne tient pas à une disposition anato- mique, is
e la température du corps, la sécheresse de la peau sont des signes communs à ces deux affections. L'assoupisse- ment exist
chez les enfants on peut observer les troubles nerveux d'une vie en commun . Sans que l'enfant ait trop veillé, il est le len
mps. D'origine périphérique, elle s'est développée sous l'influence commune du froid et d'une infection indéterminée, ainsi
n épanche- ment sanguin est celle de M. Dejérine. Le seul caractère commun des cas publiés est leur début brusque. 1 La
Charcot, et qu'il con- viendrait mieux d'appeler forme syphilitique commune . A côté de cette forme on doit en placer une au
République du ressort dans lequel est placé l'asile, le maire delà commune , peuvent pénétrer, à chaque heure du jour et de l
ébut très bénins. M. Taquet. Dans le Morbihan, la syphilis est très commune et cependant sur 400 aliénés il n'y a que 3 par
enterre- ment peu banal vient d'avoir lieu a Montbizot, une petite commune de la Sarthe. Un vieux disciple de Bacchus, le
onné depuis deux ans. La seconde observation a beaucoup de points communs avec la première ; même analogie, même difformi
rateur, un médecin ; une description du labora- toire pathologique, communs tous les médecins (avec figure) ; la relation d
o 2. On le voit, tous les états exubérants ont entre eux un trait commun qui est la prédominance de l'éréthisme moteur ave
rque, entre eux, une analogie; au début, souvent, la ressemblance commune avec les mélancoliques hypocondriaques, et, d'une
e l'épidémie au coin de son délire. La prédisposition héréditaire commune se manifestant par l'hystérie et aussi par la d
de ressemblance, basés essentiellement sur des caractères cliniques communs . Et devant ce fait que la notion du « stato sog
t, par suite, la confusion mentale, n'est pas la vésaitie, la folie commune . Des caractères très importants et très tranché
sant l'image graphique à l'image objective possèdent un point nodal commun K qui est l'image phonétique. Le schéma se co
membrane nucléaire, il était permis de sup- poser que des rapports communs les attachaient l'un à l'autre : les expérience
, elle aussi, d'être reconnue par tous autrement que comme syndrome commun à plusieurs affections de nature très différent
cun d'entre vous apporte une égale volonté à contribuer à l'oeuvre commune . Vous venez apporter à l'édifice scientifique le
e, l'union des médecins neurologistes et aliénistes, dans une étude commune , hâtera certainement la solution favorable. Vot
ntre que vous vous intéressez aux travaux que nous pour- suivons en commun , l'amélioration du sort des aliénés. Recevez do
nion est nécessaire dans toutes les corporations, que le travail en commun s'impose souvent et qu'il a, en tout cas, l'ava
s négations en est le prototype. Ces délires offrent des caractères communs . Ils se manifestent, après plusieurs accès de m
r. 50 ; 2' classe 5 francs ; 3° classe 3 francs ; 4° classe (régime commun ) 1 fr. 50. Balance du compte financier de 1898.
de qu'elle accom- pagne pour enfin évoluer avec lui vers la démence commune . A. Marie. BIBLIOGRAPHIE. 419 q X. L'Iiis
t état de conscience est une synthèse irréductible à des élé- ments communs ou susceptibles de subsister par soi ; sans aller
bre 1898.) Internement D'UN .1LI1 : 1 : ; R13SISTNCE DU maire DE sa commune . Le Bonhomme normand (22 avril) reproduit le fa
par la préfecture de signer un mandat pour la contri- bution de la commune dans la dépense due au Bon-Sauveur. Les commune
tri- bution de la commune dans la dépense due au Bon-Sauveur. Les communes doivent, assurément, payer lorsque la famille de
re, et resta seule au monde. Nos paysans sont peu compatissants, la commune n'est pas riche, le curé était plus occupé des
sin. On écrit de Saint-Etienne au Progrès de Lyon du 4 avril : La commune des Tarentaises, but d'excursions de nombre de
écrivait parfaitement. Il quitte alors les Halles et reprend la vie commune avec sa femme. A la fin de 1888, il lui nait un
est rare de voir l'hystérie apparaître aussi tardivement, il est commun , par contre, de la voir se développer sur un fond
s oscillatoires lents et peu étendus, se colorant avec les couleurs communes d'aniline, pullulant rapidement dans les milieu
54 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. 10). Réflexions. Nous passerons assez rapidement sur les traits communs à l'observation précédente et aux cas déjà pu-
togène » spéciale. Luciani qui, d'après les théories, exposées en commun avec Tamburini, sur l'existence probable de cen
pation des centres sous-corticaux serait primitive dans l'épilepsie commune , secondaire et éventuelle dans l'épilepsie jack
oordination, -des troubles moteurs dans le domaine de l'oculomoteur commun , de l'oculomoteur externe, du pathétique. La co
nou; amblyopie, alcoolisme, nystagmus, paralysie de l'ocu- lomoteur commun , délire, tremblements, crampes musculaires. Int
de travail, terminant parfois par le suicide; 3° la neuras- thénie commune , avec symptômes mixtes, combinés, avec prédo- m
gulièrement renforcé, la scoliose étant un des éléments les plus communs du syndrome syringomyélique. Enfin l'examen ocu
e ? Dans un premier cas, l'on a affaire, et c'est là le cas le plus commun , à l'alcoolisé chronique qui s'achemine de chut
aura des persécuteurs réels qui ne seront pas rangés dans le cadre commun . Or, ce sont pré- cisément ceux-là qui intéress
épidémie de variole qui a fait des ravages à Moulins et dans les communes voisines et cet établissement a été préservé de l
procurer du vaccin en quantité suffisante pour vacciner un rayon de communes , et parfois des villes contaminées par la vario
cellules décrits par Westphal au niveau du noyau de l'oculo-moteur commun . Séance du 10 décembre 1888. - Présidence DE M.
t en avant des deux nouveaux groupes de cellules de l'oculo- moteur commun déjà décrits par l'auteur. Ce groupe annulaire
ntier était complète en un cas d'atrophie du noyau de l'oculomoteur commun , les deux autres noyaux ayant été épargnés. ,
n trouve une hypérémie notable du noyau atrophié du moteur oculaire commun et de nombreux extravasats sanguins au même end
ose en plaques. Enfin voici le dessin d'une racine de l'oculomoteur commun séparé du centre par un processus dégénératif.
e quarante ans ayant depuis six mois une paralysie de l'oculomoteur commun du côté droit ainsi qu'une paralysie du trijume
ue. On diagnostique une lésion gommeuse du tronc de l'oculomoteur commun et du trijumeau. Le malade a en effet eu la syphi
e processus est surtout accusé dans le gastroenémien et l'extenseur commun des orteils. Les altérations des nerfs et des m
se traumatique. Mémoire publié dans la Neu- rolog. Centralblatt, en commun avec M. SPERLING, M. Bernhardt. - Du traitement
oire propre, ont entre eux des zones d'irradiation, des territoires communs , d'où l'impossibilité de léser une de ces fonc-
lité, loin d'être distinctes, coïncident et ont un siège anatomique commun . A lire aussi les organes nerveux musculo-tendi
avait pris feu. » . Les cas de ce genre sont malheureusement très communs . Les asiles d'aliénés renferment un grand nombr
nner la clef du tiroir-caisse de l'établissement qu'ils tiennent en commun . Les cris de Mme C... attirèrent l'attention des
e manière que ces deux affections semblent se rattacher à une causa commune qui leur servirait de lien, cause commune sur l
e rattacher à une causa commune qui leur servirait de lien, cause commune sur la nature de laquelle nous nous expliqueron
dire que le véritable nom de L... n'est pas L..., qu'il n'a rien de commun avec son père, que, depuis son enfance, la « sé
usqu'ici des maladies différant beaucoup de caractère et n'ayant de commun entre elles qu'un seul symptôme remarquable. ?
quième et sixième racines à la suite d'un névrome occupant le tronc commun de ces deux paralysie radiculaire brachiale tot
l a pris du bouillon de cheval pendant deux ou trois mois. Après la Commune , on le mit au lait de chèvre et il reprit assez
tellementrejettée contre terre qu'elle sembloit morte. » Un point commun aux deux observations, c'est la forme épileptoï
vie et la vie religieuse diffère à cet égard notablement de la vie commune , nous dit M. Bouchaud. On s'accorde à reconnaît
(Neurol. centralbl., 1890.) Paralysie du facial et de l'oculomoteur communs d'un côté; ori- gine rhumatismale. P. K. XX.
ule fût bien séparée de sa voisine, qu'elle n'ait avec elle rien de commun , même en ce qui a trait au chauffage et aux app
diverses parties du cerveau, finissent par se réunir en une surface commune . M. ZACFIER. - Deux cas de paralysie générale a
hospitalisait en moyenne vingt à cin- quante malades au compte des communes et principalement de la commune de Berlin ; pen
in- quante malades au compte des communes et principalement de la commune de Berlin ; pendant cette période, pas un seul su
sant ; impossibilité de modifier à son gré le régime d'alimentation commune par des régimes particuliers sans la libre dispos
édigé après enquête per- VARIA. ' 449 sonnelle par le maire de la commune ou le commissaire de police du quartier, relata
ivre. Elle pourrait être rédigée, après enquête, par le maire de la commune . 4° Une note médicale sur les antécédents héréd
dans la session d'avril 1888, en ce qui concerne le contingent des communes , sera continué. Il approuve le compte-rendu ann
las, 266. Noyaux arciformes, par Jelgersma, ' 126. OCULO-teTBUR commun , nouveau groupe cellulaire de l ? par Vestpha
55 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
80 0/0 des cas de syphilis médullaire, c'est dirions- nous la forme commune . A la vérité elle est surtout l'apanage des sujet
une autre nature. Elle appartient celle myélite syphilitique, forme commune dont l'anatomie pathologique est presque tout à f
and nom- bre de ces malades, carnous le répétons, c'est là la forme commune des my- élopathies syphilitiques et souvent nou
ire n'en est pas moins incontestable. C'est associées à cette forme commune de la paraplégie spamodique qu'on observe parfo
volution de ces cas se rapproche beaucoup plus de celle de la forme commune de la myélite syphilitique que nous venons de d
gies ont des allures cliniques beaucoup plus va- riées que la forme commune de la myélite spasmodique dont nous avons esqui
ladies sont, d'a- près ce que j'ai observé moi-même, chose des plus communes ». Mais c'est là aussi chose trop nouvelle pour
ommodée de ces accès que des attaques d'hystérie. En faveur de leur commune origine, on peut encore invoquer le nombre exce
formes d'aphasie hystérique celle qui est considérée comme la plus commune et aussi la plus caractéristique : nous voulons
mière fois en 1865, une paralysie alterne du nerf moteur ocu- laire commun d'un côté et des membres du côté opposé. Le syndr
direct pour les libres nerveuses du facial ou du nerf oculo-moteur commun . Il est beaucoup plus difficile d'expliquer dan
ne siège pas alors sur le tronc unique des filets de l'oculo-moteur commun qui émerge du bord supérieur de la protubérance
divers noyaux qui constituent l'o- rigine réelle du moteur oculaire commun et d'autre part, avec le trajet intra-pédoncula
de lésions purement dynamiques. Car l'hystérie est le type le plus commun de ces affections qui, intéressant l'appareil s
rnerons à la description de la forme qui parait de beaucoup la plus commune , celle qui présente le plus grand intérêt prati
tion dans l'hystérie et leur spasme y devient au contraire la règle commune . Cette conclusion est adoptée d'une façon presq
t l'atrophie cé- rébrales sont en effet des processus pathologiques communs aux lésions d'origine vasculaire, lésions ordin
pitaux. LA DANSE MACABRE DU BAR (1) Il existe dans l'église de la commune du Bar, chef-lieu de canton, à 9 kilomètres de
bstance grise; et tous présentant dans leur direction, ce caractère commun , à peu près constant, d'être orientés dans le sen
précède peut être considérée comme réalisant sous la forme la plus commune le type anatomique de la maladie que nous envi-
mbien tous les portraits du Juif-Errant ont entre eux de caractères communs , et avec quelle fidélité les artistes se sont att
s avons examiné également des coupes du chiasma, du moteur-oculaire commun , des racines spinales au niveau du rendement cerv
e névrite ancienne du trijumeau, et d'une parésie de l'oculo-moteur commun . 224 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE.
escence. Phénomènes céphaliques : paralysie totale du moteur oculaire commun à gauche, quinte de toux, vomissements d'origin
M,) ? 6'HCfM- lencerat d'une très légère parésie du moteur oculaire commun . Dal... Dominiquette, 38 ans, couturière entrée
artis dans un des deux groupes suivants : paraplégies syphilitiques communes paraplégies syphilitiques graves. (A suivre.) H
videmment dissem- blables mais présentent cependant quelques traits communs . Nous ferons remarquer que dans l'esquisse de M
avure du Louvre on retrouve, dans les deux oeuvres, quelques traits communs ; le groupe (t1 Ce tableau se trouve dans le cab
du Système nerveux (Suite et fin) (1). I. Paraplégies SYPHILITIQUES communes . Cette forme de paralysies syphilitiques répond
symptômes observés il une paralysie incomplète de l'o- culo-moteur commun . - Dans un récent travail deGajkiewicz(l)sur la
a plus guère d'influence sur elle. Toutefois, si la variété la plus commune de paraplégie syphilitique reste bénigne, si el
ait lieu de distinguer une forme grave de paraplé- gie syphilitique commune . 11 ne s'agit pas là d'une maladie différente :
peut considérer comme une forme grave de la paraplégie syphilitique commune . Enfin et surtout la maladie se montre incurabl
e mérite- rait d'être dénommée rachialgie syphilitique. Il est très commun d'obser- ver à cette période, et souvent a son
vée : les taches bleuâtres que nous avons mentionnées n'ont rien de commun avec les ecchymoses d'origine traumatique, leur t
s affections prises dans leur ensemble, ont un élément pathogénique commun et à considérer l'ostéo-arthoropathie comme étant
enades dont le but reste toujours mal défini, tout cela n'a rien de commun avec la vie vagabonde des névropathes errants.
56 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
que par les préjugés sociaux ; ils sont réunis par leur caractère commun de fatalité. Si on répugne à accepter cette par
l de quelqu'un de nos an- cêtres, dira-t-on aussi que l'infécondité commune chez ces sujets est la réapparition d'un caract
mites. Ces affections, dont l'une (l'ataxie locomotrice) est très commune , tandis que l'autre (la sclérose latérale) est
n latéral. Dans les faits de ce genre, qui ne pa- raissent pas très communs , les altérations, on le voit, 1 Babesiu. - Uebe
e (secondaire ou autre). Elle paraît 72 PATHOLOGIE NERVEUSE. être commune , au contraire, au dire de M. Charcot qui l'a ét
des rémissions1; - 3° l'atti- tude du c1'ucifiement2 qui était très commune , l'arc de cercle qui était très accusé, constit
isième ventricule et se diligent vers les noyaux du moteur oculaire commun et de làavec le tronc de ce nerf vers la périph
tance centrale, dans le noyau et le tronc du nerf moteur ocu- laire commun du même côté. ,'i0 Entre les arcs réflexes des
ns les fibres commissurales des deux noyaux du nerf moteur oculaire commun . (Le 6 6 manque dans l'original). il Les cent
ses d'entretien des aliénés indigents. Part 'iollll'ilJ1llivc de la commune . Dans sa séance du 23 juin 1883, le Conseil d'Eta
la loi du 30 juin 1838 ne détermine la proportion dans laquelle les communes doivent concourir aux dépenses des aliénés indi
sur la part de la dépense des aliénés qui sera mise à la charge des communes . «En conséquence, une ville n'est pas fondée à
nvulsives qui s'exagèrent encore sous l'influence de l'émotivité si commune chez les bègues, montrent qu'il ne s'agit pas d
hitis. « Aliénés, idiots, scrofuleux, rachitiques, en vertu de leur commune origine, de certains caractères physiques et mo
l avait présenté les symptômes d'une pa- ralysie du moteur oculaire commun du côté gauche. Ce complexus symptomatique deva
d'après ce que nous avons dit, cette hémiatrophie paraît être assez commune chez les tabétiques, elle devient un signe de p
lles nous désirons nous arrêter un instant : « >» i-Uii trait' commun à la plupart des observations dans lesquelles c
rt- soit de paralysies , soit d'atrophies. Les paralysies sont plus communes dans l'ataxie qu'on ne l'avait pensé, et déjà e
aliénés, quel que soit leur mode d'admission, tombaient dans la loi commune , et le médecin deve- nait le seul juge de l'opp
spèce, deux affections distinctes nées sous l'influence d'une cause commune , mais qu'elles constituent une seule et même mala
à défaut de ceux-ci, les interrogatoires faits dans les mairies des communes . Les dossiers des aliénés, dans les asiles de l
cédents, ne sont soumis qu'à la surveillance générale, ordinaire ou commune parce que, d'après leur dossier, on les regarde
ois un asile de retraite pour les aliénés aigus et chroniques de la commune de Copenhague. ,. '11' Ii Les pensions, dans,
pas normal, car il avait toujours cru que cette fonction lui était commune avec tous les autres hommes. A partir de ce jou
ilager (de Vienne), peut être considérée comme une conséquence trop commune de certaines profes- sions. Les attitudes vic
ind est prié de vouloir bien fournir les développements élaborés en commun avec lui. Comme les principes relatifs aux mesu
idiots, mais. sans habiter avec ces derniers, ils sont instruits en commun avec eux. Les résultats sont bons; on ne constate
raux, l'atrophie des nerfs oculo-moteurs externes, oculo-moteurs communs , pathétiques des deux côtés. Sur trente-deux fait
clamation. Election de M. von Gudden. Clôture à une heure. Visiteen commun del'Exposition d'Hygiène. Séance du 17 mai 1883
nsversalement, proviennent de la ré- gion du noyau de l'oculomoteur commun . Un noyau gris spécial comprenant de grosses ce
utive aux foyers qui occupent le lieu d'émergence de l'oculo-moteur commun . M. RoLLER (de Kaiserswerth) renvoie 1 son trav
chef, professeur STEENBERG. Cet hôpital est l'asile d'aliénés de la commune de Copenhague; il a pour but le traitement et l'a
ses, navigation à la voile, etc.. L'hôpital Saint-Jean coûte à la commune 315,365 couronnes 73 oeres (441,512 fr.). V.
efs de service des asiles des dépar- tements ayant subi le concours commun . On sait que, actuellement, la population des a
d'enquête desquelles il résulte : 1° Que M. Voisard, maire de la commune d'lndevillers, par lettre en date du 30 juin 18
t pas connaître, d'une part, que la femme Voisard n'habitait pas sa commune , quoiqu'en étant originaire, mais qu'elle résid
à l'arrestation de la femme Voisard, qui avait été attirée dans la commune à l'aide d'une lettre mensongère à elle adressé
57 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
s comme des hommes convaincus. Noire journal devenant une propriété commune , les magnétiseurs, y étant attachés d’une manière
eu ; Enfin, de pourvoir par des délibérations 1 toutce que ilntérft commun pourra réclamer. Aar. 3ï. Si les besoins de l’exp
nce, en me consacrant tout entier au développement continu de l’œuvre commune . Une science, une doctrine, une vérité quelconq
hiffres : votre sympathie pour l’œuvre à laquelle nous travaillons en commun nous met à l’abri du soupçon de calcul cupide. Ma
nimés des mêmes désirs ; que chacun se prêle à la réalisation du bien commun . (Ici le gérant donne lecture des articles 35 à
Martin. Les vacances dernières, j’étais à ma campagne, située dans la commune de Cor-narido, et au milieu du jardin j'ai ce péc
pressions, conjointement avec le mot p.op pÀ (forme), ont une origine commune . Elles ont trait à la propriété de provoquer les
ce monde. Les mcwlewis, s’étant interdit la plupart des excitants si communs aux autres sectes, ont trouvé moyen, dans l’exerc
é, il pressent, il voit l’avenir; et, s'il ne partage point la gaieté commune , doit-on l’accuser d’in-différence? La tristesse
les magnélistes. Chacun propose son moyen pour la réalisation du vœu commun . Les uns, n’envisageant que la théorie, voudraien
es seront promulguées; ensuite les causes et les différents entre les communes seront jugés et terminés. On finira par un chant
occasionnent de graves désordres dans le cerveau, et rien n’est plus commun en Egypte et en Turquie que l’aliénation causée p
les circonstances sont plus favorables avec le bon verre qu’aveç }♦* commun j avec les tu-* bes épis qu avec les minces. Mais
magnétisée. J’ai obtenu pour la guérison des fièvres intermittentes, communes dans cette partie du département (Var), des résul
y a point d'accès, je recommande l’usage de l’eau magnétisée pour eau commune . Une fièvre nouvelle de huit à dix jours se guéri
cnn accuserait les autres d’avoir éventé la mèche. — Mais, si il un commun accord ils s'en rapportaient an président pour ce
ns les noms de coïncidences, rapprochements, éphé mérides, etc., sont communs dans l’histoire, mais nou; ne mentionnerons ici q
gale longueur elle marche très-faeilement. 5° Un autre enfant de la commune , âgé d’environ 3 ans, qui avait une bosse au bas
nt futile, un banquet, un bonnet à poil, un mot pour fa're faire d’un commun accord aux masses, une faute énorme, une bêtise c
âcheté cette manière d’agir, car c’est dans la vérité qu’est le salut commun . M. Guersent est mort d’une fluxion de poitrine
fective. En conséquence il sera fait par des commissaires de chaque commune une conscription ou cadastre de tous les biens-fo
gré la diversité de leurs principes toutes les découvertes ont un but commun qui rend leur alliance nécessaire; elles n’avance
que à un même degré, puisqu’ils ont l’arome pour ressort essentiel et commun tandis qu’ils ont l’air ou l’eau pour agent acces
pleines voiles dans l’Océan des idées. Nous pourrons nous réjouir en commun , alors, car nous avons tous travaillé à cet ouvra
à la lumière, forme un feu bi-composé et très-différent de notre feu commun , qui n’est point aromisé. De ce feu transcendant
ne; j’entrai d’abord chez M. Lépillier, propriétaire et adjoint de la commune , que j’engageai de vouloir bien m’accompagner; no
on cette opinion, tous les faits produits en son honneur sont l’œuvre commune de la crédulité et du charlatanisme tombés d’acco
le où l’esprit d’observation le plus fia et le plus net est un bien commun , et dans un siècle où des habitudes de doute et d
menter en allemand. Cedocument, car on peut lui donnerce titre, ade commun avec celui qui estémané de la commission de Vienn
ournal. (A'ou de la rédaction.) saise, aujourd’hui l'institutrice commune de la nation en fait de philosophie. C'est aill
utre monde, ou ceux qui n'ont pas encore quitté celui-ci, parait plus commune . C’est sur des faits de ce genre que vit prinei-
ompris lorsque la science aura mieux examiné ce qui constitue la base commune de la lumière, de la chaleur et du magnétisme, ai
mune de la lumière, de la chaleur et du magnétisme, ainsi que la base commune decedernier et de l’électricilé. Déjà M.de Hum-bo
thérapeutique qu'un système médical; car, son principe théorique est commun aux doctrines de l’incitabilité de Brown et de l'
que j’ai faites. Physiologistes vitalistes, les homœopathes ont de commun avec nous bien des points de doctrine, mais ce (p
, si la lucidité désirable pour le traitement des maladies est si peu commune , comment oser établir comme une base de pratique
e cours, et comme le magnétisme n’est point un don mais une propriélé commune à tous les hommes, les élèves ont la certitude de
-il que le diable lui était apparu pour la première fois « en » habit commun , sans épée, ayant cependant dans cet » habit simp
e dans un lieu isolé et escarpé (distant d’un quart d'heure) de noire commune , une Pyramide en vétusté, sans inscription, ni da
sation. 3° L’accord du médecin et du magnétiseur dans un traitement commun est généralement chimérique. Malgré de mutuelles
des ouvrages qui ont trait au somnambulisme. Les erreurs sont assez communes chez ces sortes de somnambules ; aussi est-il for
cosse, nous donnent des détails fort curieux sur celte faculté, assez commune chez quelques autres peuples. « Je ne puis nier
ord à bien étudier si le magnétisme avait réellement quelque chose de commun avec les sciences physiques, et si le fluide magn
vie s’écoule sans secousses, ils ne sont qu’une exception à la règle commune . Presque tous se sont trouvés en dehors de ce qui
58 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
réveiller le sujet avec l'art et la minutie qui conviennent. Qu'a de commun avec ces exhibitions théâtrales l'action exclusiv
'existe pas ; pas de crise d'étouffement. pas de sensation d'asphyxie commune à tou6 les anesthésiques ; le malade s'endort con
d'hypnotiseur sur son chemin, il s'auto-hypnotise et rien n'est plus commun que de rencontrer des gens dont l'esprit demeure
'observation des malades, il semble résulter certaines particularités communes qui ont frappé les psychologues et leur onî permi
ntant jusqu'au départ de la malade. Elle prenait ses repas à la table commune et s'alimentait comme les autres pensionnaires, m
e heure, le plus militant, le plus convaincu. H a apporté à l'œuvre commune , l'appui de son autorité morale, de son caractère
orreur d'être avec des tombeaux. Que je forme à présent ma jouissance commune , Heureux, quand ma douleur trouve de beaux sanglo
eux se rattache étroitement à celle de l'autre par un point de départ commun : la connaissance des modifications apportées dan
Unis dans le dur labeur et dans la lutte pour le triomphe d'une idée commune , ils resteront associés dans la gloire. ” Disco
s auteurs contemporains : c'est la tendance intuitive que les gens du commun ont coutume d'exprimer modestement en disant « qu
plus que les traits généraux de ce développement personnel lui soient communs avec le développement de la race entière, ni que
remier élément générateur, ou, comme on dirait aujourd'hui, le plasma commun de la vie. Aux dernières lignes de sa Psycholog
bon. » pour l'adapter à son progrès, est représentée dans le langage commun des sciences par des termes discontinus dont la v
du mutuel concours que se prêtent la nature et le jardinier dans leur commune tendance à perfectionner les fruits et les fleurs
e du Transformisme. Toutes les névroses, dit-il, offrent ce caractère commun de constituer des mouve- (l) Voir à ce propos d
s par les méthodes médico-psychologiques. Les études entreprises en commun par le pédagogue, le juriste et le médecin ont un
nt élevé en l'honneur du professeur Liégeois, qui était né dans cette commune le 30 novembre 1833. Un grand nombre de notabil
Mais les théories émises pour expliquer ce dernier phénomène n'ont de commun que d'avoir essayé de le diviser en nombreux et d
s eux-mêmes. Cette hypnose, que j'appelle fortuite, est beaucoup plus commune qu'on ne pense, surtout chez tes sujets entraînés
vice ordinaire de ceux qui pensent avoir quelque suffisance outre la commune (l). » La seconde attitude est fréquente parmi le
e et des Jaccoud, il était devenu, ce qui n'est pas une chose déjà si commune à notre époque, un professeur dans la plus belle
administration pénitenciaire et la magistrature devraient faire œuvre commune et réaliser l'unité là où il y a actuellement ant
e que se rencontrent ces états si divers, mais analogues par le trait commun d'être intermédiaires entre la veille et le somme
aturel s'associent avec ceux du sommeil provoqué : Ce qu'ils ont de commun avec le sommeil normal, c'est l'occlusion et l'im
perceptions, ces états se rattachent à l'hypnotisme par un caractère commun : Xhypersuggestibilitè. Il est donc facile de r
ctif, c'est-à-dire moins éveillé que l'autre. Cette opinion qui m'est commune avec le Dr Paul Magnin a souvent été exprimée par
blent parfaitement éveillés : ils procèdent, en tout cas, dans la vie commune ainsi que dans un songe, plaçant sur le même plan
se rendorment peu de temps après l'ingestion de liquide chaud — tait commun aux cas à réveil unique où à réveils multiples —
fort ne voient pas de borne à leur pouvoir à venir, puisque le mobile commun qui les dirige est identique a la cause indétermi
, ne méritent qu'une simple mention. Il constitue, en effet, un fonds commun , on si vous aimez mieux, un porte-greffe sur lequ
icyclette ou en voiture. Au Heu de manger seul, il prend ses repas en commun , fait ensuite une partie de cartes ou de billard,
ections rythmées, dont l'une des modalités les plus pures et les plus communes est la réminiscence en cours de rêve. 4° Par co
ui reprocher d'aimer le luxe et de se faire faire la cour, ce qui est commun à trop de femmes. « Prétendre que la Tarnowska
sponsabilité. Vis-à-vis des siens, il est le dépositaire des intérêts communs et il doit concilier la sauvegarde de ces intérêt
l'aîné, prenne, avec l'assentiment de tous, la direction des intérêts communs . Qu'il s'agisse du chef de la famille ou du chef
nt que l'état, petit ou grand, demeure une simple amplification de la commune , mais il se rompt quand le chef s'érige en maître
parties au progrès tendantiel du tout, nous nous conformons à la loi commune de la physiologie, de l'esthétique et du bon sens
ur exprimer la même tendance. Nous comprenons très bien en quoi notre commun effort pour expliquer avec des mots l'action fert
inexactement attribué à la loi du Coran seule. Chez elles, les traits communs se perpétuent, de là des distinctions entre group
59 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
tre compagnie. A ça près du nom, la société actuelle n'a donc rien de commun avec l’ancienne. Cependant elle s’en dit l’héri
itions, les maladies, et pourtant toujours liées à un lype électrique commun , positif ou négatif. Ainsi, dit-il en terminant
Je vis la somnambule, jeune fille de dix-sept ans, d’une figure assez commune , mais empreinte d’une simplicité et d’une douceur
niens et les Francs eux-mémes y ont quelquefois recours. Rien de plus commun , dans la pratique médicale à Constanlinople, que
vain la science le chercherait ailleurs. L’homme seul dévie à la loi commune , la transgresse constamment; la civilisation lui
s pour la fête de Mesmer, qui approche, des pages où éclatera la joie commune des magnétiseurs. Nous mentionnons ici les disc
issance. • Oui, monsieur, il nous tardait de pouvoir vous offrir en commun l’expression de nos sentiments. Notre jeune artis
sible et faux un fait quelconque, par cela seul qu'il sort de l'ordre commun cl des lois connues. DE LiMFHHAlf. Dans un pr
acien. Sur sa réponse affirmative, je magnétisai à l’instant de l’eau commune avec la volonté, l’intention de lui communiquer l
a commencé la conquête, c’est l’éther qui l’achève : le triomphe est commun . Nous avons souvent soutenu que le magnétisme d
de fermer les yeux. Ainsi que tant d’autres j’allais suivre la route commune , quand un peu plus bas, selon les vues actuelles,
infâme, ce quelque chose qui serre le cœur? N’est-ce pas sensation commune à nos mains que cette répugnance pour certaines n
caractère. Quatre médecins renommés furent appelés à donner leur avis commun sur cette grave maladie, et leurs prescriptions f
merveilleux du passé et nous faisaient comprendre qu'ils avaient une commune origine avec ceux que nous produisions de nos mai
é de vingt-sept ans, portant une de ces énormes tumeurs du scrotum si communes en Égypte et dans l’Inde, entra dernièrement à Na
il reçut une entrée d'urgence comme atteint de fièvre typhoïde, fort commune alors. Le cas était pressant, chaque instant de r
rochent, puis se confondent dans ces deux sciences dont la source est commune . s III. l-e magnétisme considéré sous ledoubl
cousin du fameux François de Neu-château, et secrétaire général de la commune de Paris. Comme cette histoire n’est rapportée nu
sur parchemin, les manuscrits de toute espèce, étaient apportés à la commune , et là on procédait à leur accusation, à leur mis
able d’en être informé des premiers, afin d’en donner avis à nos amis communs que ce phénomène pourrait intéresser. Quelques-un
ingulier phénomène, pour ne pas dire une merveille, attire dans notre commune un grand nombre de curieux. Une fille âgée d une
dieu. Il put reprendre toutes ses occupations et rentrer dans la vie commune . « Unedame de Rouen, au moindre attouchement, à
ente : « Nous, soussignés, propriétaires de la ferme de Pen-nemort, commune de Maule, canton de Meulan (Seine-et-Oise), certi
morl, 13 avril 1847. » V' Gilbert, Gilbert fils. « Le maire de la commune de Juneauville certifie le fait ci-dessus énoncé
cé ( la ferme de Penuemort n’étant qu’à un kilomètre et demi de cette commune ). • Jumeauville, 17 avril 1847. « TnEVENON, m
moyens qu’elle emploie pour arriver à ces fins sont : 1° L’étude en commun de tous les phénomènes magnétiques et analogues,
s étaient encombrés de malades de différents pays. Deux bergers de la commune de Vielle étaient assis eu face la porte. Comme M
s, on sera considéré comme surveillant et éligible au conseil de la commune . On s'occupera spécialement à veiller sur l’édu
de s’occuper. Honoré à cette époque, comme vieillard et vétéran de la commune , on jouira du repos et de la reconnaissance publi
s analogue aux charges qu'il aura à remplir; mais la marque d’honneur commune à tous sera la chaîne plus ou moins pesante et or
ovembre 1769, ainsi qu’il résulte d’un extrait des registres de cette commune ainsi conçu, que M. F. Mesmer dépose avec d’aut
qu’ils appuient notre opinion, mais surtout parce qu’ils n’onf^jcn de commun avec ce magnétisme si souvent et si utilement emp
ous envoy. exactement. Bomilly.-s.-s. — M. V"". La propriété mag. est commune à tous ; essayez. — Nous v. écrirons prochainem
il s’arrêtera. Après avoir reconnu que la propriété magnétique est commune à tous les hommes et constaté la grande accessibi
s. Les travaux de l’Académie des sciences n’en imposent pas autant au commun des martyrs que les travaux d’une loge maçonnique
chose de providentiel qui nous indiquerait qu’il s’agit d’une vérité commune à toutes les croyances, comme celle de l’existenc
e malveillance. Pour satisfaire une mauvaise passion rien ne coûte au commun des hommes; ils prennent soin cependant de cacher
succès obtenu dans l’ablation anesthésique des tumeurs scrolales, si communes en ce pays, attire tous ceux qui en ont, dans un
xprimer et pour accorder les volontés de ses membres sur les intérêts communs . Si l’on prenait pour la volonté du peuple les
ic, soit par des possessions ou des avantages existant dans la patrie commune . Qu’il soit père ou chef de famille, marié à une
e l'électricité, soit par les milieux ambiants, soit par le réservoir commun , jusqu’à son fluide nerveux endosmosé, à celui du
açon artificielle, tous les phénomènes névralgiques naturels les plus communs comme les plus rares, y compris ceux dont parle l
es vivants. Dans une lettre adressée à sa femme, il dit : « Notre âme commune s’est envolée vers le ciel, je » crains bien que
e ce lien invisible qui unit les âmes entre «■lies el qui n’a rien de commun avec la matière. Ce fait se lie parfaitement avec
les les universités. Rapprochant sans cesse par l’analogie les effets communs à des causes de même nature, il écarte savamment
ogues à ceux qui furent départis eux autres animaux, l’homme jouit en commun avec tux des propriétés qui y furent attachées pa
60 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ver que nous n'entendons pas par cela même établir une pathogénie commune , car le sifflement d'oreilles est le symptôme i
Artaud2. Le centre cortical de l'Hypojlosse 5, est en même temps commun au facial inférieur d'après l'expérimentation* et
d'après l'expérimentation* et quelques faits anatomo- cliniques 1, commun à la branche motrice du Trijumeau 1. Avec hém
ropos de l'aphémie les connexions remar- quables du centre cortical commun au grand hypoglosse, au facial infé- rieur et à
etrouvons dans la description de la catatonie la plupart des traits communs aux aliénations héréditaires, tels que l'altern
moteur oculaire externe, du trijumeau, du facial, de l'ocnlomoteur commun , du pathétique et l'exoplillialmie, le goitre,
imaux, il n'existe pas de documents anatomiques sur la question. En commun avec K. Middetdorpf, M. Kast s'est efforcé à la
t varus-équin ; forte atrophie du jambier antérieur, de l'extenseur commun , des muscles du mollet. - M. JOLLY. Chez les
ntre le tuber cine- reum et le lieu d'émergence du nerf oculdmoteur commun . Ce ganglion est en connexion avec le ganglion
e. La loi de 1838 avait fait une exception à ce principe de droit commun en autorisant l'internement d'un individu sur la
t le résultat d'un travail pour ainsi dire collectif, d'une opinion commune . Allez-vous accuser de connivence les trois médec
e viens de le dire, s'exerçant sur trois médecins qui n'ont rien de commun au point de vue des intérêts, il fait plus que
re maintenant les lésions périphériques comme un facteur des plus communs , à ce point qu'il semblerait qu'on tombe dans l'e
39 2° A l'Hôtel-Dieu de Cholet, les cabanons sont situés dans les communs , au fond d'une basse-cour, à une grande distance
eurs administratives. La préfecture veut savoir si la famille ou la commune paieront, si le malade est ou non dangereux, qu
est évident que sa cause dépendait de conditions, qui n'ont rien de commun avec la myélo- ' gliose, mais cette dernière av
cun doute sur l'exactitude de sa description. 3° Faisceau géniculé ( commun au grand hypoglosse, au facial inférieur et à l
tage supérieur). 5, 5; noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaires communs . 6, 6 ; coupe des tubercules yuadrilumeaux. - 7
e qui, principalement sur le territoire du noyau de l'oeulo-inoteur commun ,' est atteint d'hy- pérémie avec hémorrhagies c
maine des noyaux mêmes de l'oculo-moteur externe, de l'oculo-moteur commun , du pathétique, de l'hypo. grosse, noyaux des p
sans être pour cela incompatibles avec la jouissance de la liberté commune , ou même d'un individu sain d'esprit. 308 SÉN
s, les deux- malades sont actifs ; ils écha- faudent leur délire en commun ; ils réagissent l'un sur l'autre, et c'est de
ication duquel chacun ap- porte une part égale. C'est un travail en commun ; il y a une émulation réciproque; l'un n'est pa
; elle disait : « ça y est ». Voici maintenant les idées délirantes communes à la mère et à la fille. Plongées dans la même
- tum. Finalement, cette uniformité sera caractérisée par un fond commun de symptômes identiques cons- titué par un grou
itue qu'une complication de ce processus fondamental et n'a rien de commun , par exemple, avec l'hydromyélie et les cavités
la période embryonnaire. Ces altérations anatomiques n'ont rien de commun avec le complexus symptomatique décrit par nous
en général, au bout d'un temps plus ou moins long, des accès à type commun ; la marche est alors celle de l'épilepsie commu
des accès à type commun; la marche est alors celle de l'épilepsie commune . Il semble toutefois que les acci- dents procur
té les accès procursifs et que l'on n'envisage que les accès à type commun qui les accompagnent ou leur succèdent, l'on peut
Les cas d'idiotie avec cachexie pachydermique sont beau- coup plus communs qu'on ne pourrait le croire, si l'on en jugeait
Observation II. Pih... (Pauline), vingt-sept ans, réside dans la commune de Croisilles. Ses parents sont bien portants; pa
LULES NERVEUSES SUR LE TERRITOIRE DU NOYAU DU NERF OCULOMO- TUEUR commun ; parC. 'VESTPII-1L. (r19'C%L. f. Psych., XVIII, 3
rise et atrophie 111·LologiIue de toute la région des oculo-moteurs communs (troncs, fibres radiculaires, cellules des noyaux
ement des chiffres empruntés à un de ces établissements et à la vie commune . En ce qui concerne la surveillance, M. 1'iccta
ls sont légalement responsables doit être accordée aux parents, aux communes , atix coi-pot-atiotis, au £ divers ivitiits droit
se; les parents de l'aliéné à intervenir. M. Munikr. C'est le droit commun ! M. Lacombe. Non, mon cher collègue, ce n'est
crois qu'ils seront unanimes à vous dire que ce n'est pas le droit commun , et qu'une disposition formelle est nécessaire,
r le lobule orbitaire. En s'y réunissant en un point de convergence commun , elle forme te p6lc fro>zGul,situé à l'extrémi
in, il apprit que deux gardiens de l'asile le recherchaient dans la commune ; i ' Nous devons ajouter que les dix points acc
age supérieur). 5, 5 ; noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaires communs . 6, 0 ; coupe des tubercules quadrijumeaux. 7 ;
61 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t pas la règle, vous le savez, dans les tumeurs cérébrales ; il est commun au contraire de trouver chez les malades un cer
générale, placer à côté des accidents de compression cérébrale, si communs au cours des tumeurs de l'encé- phale. Et mai
en- tia de Meynert, ce n'est pourtant pas un symptôme céré-' bral commun , mais un symptôme local. Chez les malades se tr
de remarquer que Marinesco dit que les lésions signalées sont très communes dans les états morbides des ganglions spinaux,
ations de dégénérescence doivent donc être rap- portées à une cause commune , la présence dans le sang d'agents toxiques, et
de l'excitation lumineuse du nerf optique au noyau de l'oculomoteur commun . La question des relations de l'ensemble de ces
té de la 7°; adroite il y avait paralysie complète de l'oculomoteur commun et cependant le réflexe sus-orbitaire était nor
cartilages épiphysaires, l'hypertrophie hypophysaire causale étant commune à tous les deux ; 3° il reste à déterminer la par
'abduction associée est un phénomène assez rare qui m'a semblé plus commun dans l'hémiplégie infantile que dans celle de l
s; 5° Certificat de bonnes vie et ? moeurs délivré par le maire'de la commune ou le commissaire de police du quartier; 6° Cer
ustement de vol. Son cadavre a été retrouvé sur le territoire de la commune de Saiut-Jean-d'IIeraus. (Petit Parisien, 22 se
s ou jeunes adultes dans cette région où le goitre est encore assez commun et l'idée me vînt de chercher à me rendre compt
à Lima et au Bré- sil où elle constitue l'une des maladies les plus communes (Rendu). Il est probable que l'épilepsie règne
inisme et l'épilepsie ? Cherchons donc ce qu'il pourrait y avoir de commun à l'épilepsie et au cré- tinisme, au crétinisme
in et épileptique. Morel ajoute pourtant : l'ivrognerie est un vice commun à Rosières (Loc. cit., p. 27). Il parle aussi d
T. P. CowEN. (The Journal of Mental Science. Juillet 1902). Il est commun de rencontrer chez les aliénés des troubles des
n même temps que des délusions se rattachant au type de la paranoïa commune organisée. Voici les principales : Sensibilité
la saveur piquante, surtout la saveur astringente, qui n'a rien de commun avec l'odorat. Sensations olfactives : elle est
entre un bâton dans le corps et ou le tourne : ces phénomènes sont communs chez les paranoïques et les hypocon- driaques,
1° hallucinations élémentaires (bruits vagues); 2° hallucinations communes (bruits associés des objets définis); 3° hallucin
tions de tous les sens, pourquoi les halluci- nations de l'ouïe, si communes chez ceux qui entendent et chez les sourds, ne
s de suicide sont aussi rares dans la mélancolie, intermittente que communs dans la mélancolie simple. Enfin, symptôme très
se dans toutes les vésanies. Le délire de grossesse n'est pas chose commune , quant à l'idée fixe permanente et à l'obsessio
des cerveaux présentant des lésions peu '1 Î4 SOCIÉTÉS SAVANTES. communes et d'autres sous-lésions macroscopiqnes, dont les
urs suffit à provoquer la disparition presque immédiate du résultat commun . C'est ainsi que dans l'eschare, quelles que so
as paru à son domicile, jeudi dernier. M. Védrine, maire de cette commune , envoya le garde champêtre s'informer de son sort
ents, vertiges, dysarthrie, convulsions, paralysie de l'oculomoteur commun , neurorétinite avec hémorrhagies réti- niennes.
0 du nombre total des cas; ici encore la manie est la forme la plus commune ; elle est souvent violente, et rappelle souvent
civil ; 2° par des articles de la loi communale qui impose à chaque commune l'obligation de soigner ses infirmes et ses ali
x sont réunis pour former les plexus. Est-ce bien là le cas le plus commun ? Assurément non, et les cas de compression méd
liaire aiguë; l'expression anatomique de cette forme assurément peu commune dans toute sa pureté, con- siste dans des lésio
. Déjà l'on sait que le type complet Aran-Duchenne est un des moins communs , . puisque Remake dans une statistique de 98 ca
it deux lormes nerveuses de la lèpre : la lèpre névritique, la plus commune , la lèpre myélitique, beaucoup plus rare. R. LE
éningo-myélite syphilitique diffuse, ainsi que la lymphocytose, est commune à toutes les formes cliniques de la syphilis ne
et de symptômes de lésions en foyer surajontés au tableau clinique commun de la P. G. d'écarter, comme on l'a fait, le diag
econd 33G REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. présente une variété assez commune d'auto-intoxication d'origine intestinale. Dans
qui relèvent de l'alcool, et constate que les idées de suicide, si communes dans la folie alcoolique, sont rares dans celles
r dimension sont très variables. Leur aspect et leur volume le plus communs à l'apogée de leur évolution (au milieu de la s
ns de l'auteur sont les suivantes : 1° les anomalies du palais sont communes chez les aliénés ; 2° ces anomalies peu- vent s
d'oublier la part qui revient dans l'accomplisse- ment de l'oeuvre commune , au conco : lrs actif, zélé, intelligent de tou
l se trouvait chez Mue Dubreuil, née Lécureux (Léonie), habitant la commune de Weiles-Pérennes. Plusieurs fois, et notammen
rpris, et il m'interrogea pour savoir s'il pouvait reprendre la vie commune : pour lui, il avait certaines craintes ; d'abo
facultés mentales. Or, ce n'est pas le cas ici; il n'y a rien de commun entre un délire à base de confusion hallucinatoir
de longue durée, accompagnées de réactions violentes. Il n'est pas commun , en effet, de trouver des malades aussi dangere
qui REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 481 fussent communs à toutes les tumeurs cérébrales. La réponse est
'auteur, d'un début de méningite tuberculeuse : Troubles généraux communs à diverses maladies (perte de l'appétit, état s
ation gastrique, de consti- pation, et de cette hébétude mentale si commune dans les cas anciens de sédation par les bromur
; le docteur Cmn- lier et moi avions convenu de nous y appliquer en commun pen- dant les vacances de 1903 ; la mort de la
62 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
et supérieure au vulgaire. Les savants partageaient alors l’ignorance commune sur les véritables causes des phénomènes de secon
du dehors et celles du dedans, et les transmettant tous au sensorium commun de la môme manière ; 2° Que, pour les sens du g
ise quelquefois aux au- très facultés de l’âme sans que le semorium commune ne soit en rien influencé. Pour les seconds, l’im
e dirai que, dans l’état de somnambulisme, la conscience ou sensorium commune devient incapable de recevoir une sensation inten
t dans un organe supplémentaire, qui les renvoie ensuite au sensorium commune . Elle est cependant soumise à celles provenant du
sommeil, tout l’opposé aurait lieu, c’est-à-dire qu’alors le semorium commune ne serait principalement influencé que par des se
on de la conscience et donne raison à l’église et motive la prière en commun . Il n’y a pas de miracles qui ne puissent résul
s qui comptent autant de pratiques que Rose Astier, femme Rois, de la commune de la Voulte. Elle a la réputation de guérir les
tribue aux pauvres de son hameau, car elle habite la campagne dans la commune de la Voulte. Un témoin, qui ne pèche pas par u
nt plus variés, plus étendus, et se rattacheront mieux \ une tendance commune . Unité, — variété, ce sont les deux qualités es
esse, dans l’hypothèse d’une défiance absolue. Nous chercherons, d’un commun accord, à écarter toutes les circonstances qui po
iétés existantes, si une méthode scientifique imprimait une direction commune à leurs efforts ! La niasse des coopérateurs ne
65 du Journal du Magnétisme du 10 juin 1853, présente aussi cela de commun que l’attaque d’hystérie céda comme par enchantem
si déraisonnables que soient beaucoup d'extatiques, il n'y a rien de commun ESTRE LES DIVAGATIONS DE LÀ FOLIE ET LES VISIONS
s les pays et de tous les siècles ont ce qu'on peut nommer une langue commune , la langue dos symboles, dont la langue de la poé
Quoique ces sphères tournent avec la terre sur un axe qui leur est commun et ne forme qu’un seul et même angle avec le plan
le. Nul n’a besoin d’acheter. 11 n’a qu’à s’approvisionner à un fonds commun et inépuisable. Chaque sphère est divisée en si
ur la terre, c’est un acte civil, contracté par deux personnes , d’un commun accord ou quelquefois contre le gré de l’une d’el
aine, expliquée par le magnétisme animal. Paris, 1S26.) dérobent au commun des hommes. » Cette critique n’est-elle pas un pe
gouvernement de notre conduite. Leurs dires et leurs faires, en leurs communes occurrences, condensent un mélange très-dangereux
es dispositions sans outrager le bon sens et l’équité. Qu’y a-t-il de commun entre ceux qui pratiquent le magnétisme et ceux q
re élaborer un système satisfaisant pour expliquer ces aberrations si communes île l’esprit, ces éclipses déplorables de la rais
r l’homme éveillé, il y a un critérium souverain, c’est le témoignage commun . Si quelqu’un, par exemple, prétend voir dans ma
a cordiale entente dos deux habiles rédacteurs en chef sur ce terrain commun et dans ce but généreux. Et qu’il nous soit permi
à des mers, soit entendu par nos amis et par nos frères, afin que nos communs transports fassent vibrer les cordes harmoniques
, — c’est prendre un contact réciproque en s’unissant par une volonté commune et bienveillante ; trinquer, — c’est un acte es
au magnétisme et au sonwam- bulisme thérapeutique et à leurs effets communs , pour me servir de votre expression, 1 c Des; i
n trienee officiel!*, daim le soûl but do m ron-dre Inintelligible au commun do» uutrhjr» do se* drogue*, du moins le* falro p
gnétisme;»//’, de celui que j’appellerai naturel, humain , ordinaire, commun , terre-à-terre mémo, si l’on veut, par oppo-sion
gnétisme;»//’, de celui que j’appellerai naturel, humain , ordinaire, commun , terre-à-terre mémo, si l'on veut, par oppo-sion
précisément parcc que nous considérons le magnétisme comme un centre commun auquel viennent aboutir une infinité de filons en
t pas être confondue avec l’électricité ordinaire et qui ne trouve de commun entre ces deux forces qu’une transmission indépen
escendons encore l’échelle animale. Prenons un ver de terre , lombric commun , de grande dimension. Tordons-le vers son milieu
qui serait nécessaire pour comprendre que la « mémoire « est une voie commune qui peut conduire l’impression « mentale sur tout
ux formes générales et en vertu de deux modes d’activité du sensorium commun (principe sensitif de l’âme) qui sont la sensitiv
pour tout remettre dans son état normal. Un jeune homme de la même commune , à la suite d’une chute du haut d’un toit fort él
n lui en ont rendu le complet usage. Un enfant de quatre ans, de la commune des Gras, était, depuis l’âge de deux mois , pa
dans une table. Mais ceci est un autre ordre de phénomène qui n'a de commun avec le précédent que le mode de manifestation.
er un phénomène assez étonnant sur une petite fille. Le cas est moins commun que le premier. a Cette enfant, âgée de six ans
« Quoique ces espèces tournent avec la terre sur un axe qui leur est commun , et ne forment qu’un seul et môme angle avec le p
sur la terre, c’est un acte civil, contracté par deux personnes, d’un commun accord, ou quelquefois contre le gré de l’une d’e
vec une multitude de cadavres, et prêt à être jeté dans une sépulture commune . La malheureuse mère relève le corps de son fds,
rieur qu’il trouvera le prix de ses sacrifices. En fait, quoi de plus commun que de voir des gens très-croyants et très-charit
iptions particulières en argent, sont venus répondre à cet appel. Les communes du (1) Bill. pop. de Jeanne d'Arc, par 11 Iluin
, par M. Mozzoni, 305. Hallucinations (des) dans ce qu’elles ont de commun avec la vue som-nambulique. Examen de la théorie
63 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'est-ce que c'est que tout ce monde-là ? (nous sommes dans la salle commune ). Il me semble que j'entends dans mes oreilles
Brissaud, une variété de myxoedème qui se dis- tingue du myxoedème commun par l'intégrité absolue des fonc- tions psychiq
ls il admet des combinaisons commissurales multiples avec un centre commun à localiser (peut-être dans les lohes fron- tau
mi lesquelles se trouvent les artères des noyaux du moteur oculaire commun ». R. C. XIII. Goitre exophtalmique. Maladie DE
assez circonscrites, au voisinage de l'émergence de l'oculo-moteur commun , et que l'on a considérés comme dus à une altérat
s l'étiologie des deux syndromes en question, figurent des facteurs communs , toxi- infections, intoxications, hystérie. Tou
il n'est pas douteux que la paralysie générale sans délire est très commune . J'ajouterai que la forme et la marche de la dé
ue les lésions médullaires de la paralysie générale soient banales, communes à un grand nombre de maladies bien différentes,
qu'il y a eu infec- tion. - 5° Les paralysies du nerf oculo-moteur commun droit et du pathétique du même côté sont expliq
ison. P. Keraval. XXVIII. Observation DE paralysie DE l'oculomoteur commun A réci- DIVES périodiques; par G. ILIdTSCIiIiIN
g. Ce7ll7'albl., XVI, 1797.) . Type de paralysie de l'oculomoteur commun gauche d'origine maremmatique, purement périodi
atteinte, la pupille resterait normale. L'ensemble de l'oculomoteur commun étant pris, il n'y a pas d'altération limitée d
radial (paralysie totale du long supinateur, parésie de l'extenseur commun des doigts, du court et du long extenseur du po
de la France, pour étudier ensemble de graves problèmes, mettre en commun les fruits de leurs observations, essayer d'ado
SOCIÉTÉS SAVANTES. cation mauvaise, par les habitudes, devenues si communes aujour- d'hui, de l'abus d'agents toxiques, doi
s Annales médico-psycholo- giques, un rapport médico-légal, fait eu commun avec MM. Pitres et Lande, sur un nouveau cas du
date récente. De l'état du facial supérieur et du moteur oculaire commun dans l'hémiplégie cérébrale. M. Mirallié (Je
rtains cas tient à une diminution de la tonicité du moteur oculaire commun . Quatre nouvelles observations d'hémiplégie pré
ale s'est montrée rétrécie, indice de .la lésion du moteur oculaire commun . ligature de l'artère humérale au pli du coude.
logues du fond de l'oeil, sous la dépendance d'une artério-sclérose commune . Quatre figures d'hémorrhagies rétiniennes de l
émités de la gouttière rachidienne sont propres à établir l'origine commune des traces qu'on y rencontre à l'état normal. L
és. Dégéné- rescence minime des racines émergentes de l'oculomoteur commun . Forte hypérémie partielle de la moelle ; les p
s détestable, les faits les plus disparates n'ayant d'autre élément commun que d'être ou de sembler être subordonnés parti
rénale. La folie brightique comprend le délire, fébrile ou non, si commun chez les vieux urémiques, des cas de confusion
rochent plus ou moins des tableaux cliniques des maladies nerveuses communes , mais sont beaucoup plus complexes. Elles compr
qui solderait les dépenses à l'aide d'un impôt payé par toutes les communes , proportionnellement à leurs ressources, qu'ell
à l'effet de pouvoir échanger leurs idées et for- muler une opinion commune ; Sa En même temps que la conférence avant le j
our laquelle il sera accordé trois heures ; 2° une épreuve clinique commune sur un malade. - IL sera accordé au candidat di
pour la première épreuve écrite, 30 points; pour l'épreuve clinique commune , 20 points; pour l'épreuve elini- 4W BULLETIN
s nerveuses et admettre qu'elles puissent avoir quoi que ce soit de commun avec les éléments de la paroi vasculaire ? : '
nombre plus grand. (V. flg. 30.) Ces cellules ont pour caractère commun d'être tout en- tières situées avec tous leurs
HOLOGIE MENTALE. noncer que les voyelles, mais participait à la vie commune , était demeuré propre et sociable, riait volont
te, excepté pour le médian et le cubital qui ont un noyau principal commun ; 4.° chaque nerf spinal lire ses origines de p
re, complète ses recherches par l'étude minutieuse de leur effet en commun . D'une manière générale, on peut dire que l'eff
ial supérieur, tout au moins chez le chien, se trouve dans le noyau commun du facial. De plus, le noyau du moteur oculaire
acial. Les différents noyaux secondaires qui constituent le noyau commun du facial sont donc affectés à l'innervation des
a présence d'autres germes pa- thogènes et spécialement de pyogènes communs . Cela peut faire croire que si l'on doit admett
e grise, après avoir contourné le noyau principal del'oculo- moteur commun de dehors en dedans, elles forment, entre les n
ectionne le cerveau moyen chez le chat, au niveau de l'oculo-moteur commun , c'est-à-dire immédiatement en arrière de la co
x neuf ans. Vraisemblablement les troubles myotoniques n'ont ici de commun avec la myotonie vraie familiale que l'aspect e
Pour les autres, ils impliment un cachet spécial qui différencie du commun et dégrade. » Les regrets exprimés par ces tato
le concept entendu sous le premier terme ne correspond pas à l'idée commune , classique de la responsabilité. La réactivité
lir son cidre. » Les mêmes pratiques envahissent un grand nombre de communes du département de l'Eure. L'habitude de prendre
de Massary, 243. Etat du facial inférieur et du moteur ocu- laire commun dans l' -, par Mi- rallié, 244. Asymétrie crani
de clinique suri' par .Marie A. et Vigouroux, 210. OCLI.01l0l EII commun . Paralysie de l'- par IvIIatschl : ln, 117. O
64 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- trique et du sympathique, dans leur portion cervicale, est donc commune : elle est fournie par le système des ÉTUDE SUR
i se succèdent à courte distance : presque toutes ces branches sont communes aux deux nerfs, elles se divisent à la surface
n mus- culaire, en accélérant le cours du sang dans le tron- cule commun , active aussi la circulation veineuse dans le n
soutenable, car, si parmi les acci- dents nerveux quelques-uns sont communs au tabes et au diabète, il en est d'autres, com
gés des hystériques, ils présentent un certain nombre de caractères communs sur lesquels, en manière de préambule, je veux
nt sur lequel tous les méde- cins s'entendent depuis longtemps d'un commun accord, et l'intervention récente du mot de « s
. P. K. 100 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XVII. D'UNE NÉVROSE PEU commune DE la langue ET DE la cavité buccale; par M. BE
iques implique, sui- vant toutes probabilités, l'idée d'une origine commune . P. Keraval. XXV. DE certaines attaques DE pa
propres encore à d'autres formes psychopathiques, qui n'ont rien de commun avec la paranoïa, comme l'épilepsie, l'hystérie
'hallu- cination peut alors n'intéresser que les centres perceptifs communs ; 4° elle peut intéresser aussi les centres de l
. Reste l'athétose double d'origine hystérique, mais qu'a-t-elle de commun avec l'athétose double décrite par Clay Shaw, e
ns parentes qui, selon le professeur Bouchard, relèvent d'une cause commune , la nutrition retardante. L'étude très savante
mais présentant, cependant, dans la plupart des cas quelques traits communs prédominants tels que la dépression mélancoliqu
te mémoire, pour obliger son médecin adjoint à prendre ses repas en commun avec les sous- économe, commis de direction, so
entiaire. Le premier pla- cement de celle nature sera fait dans une commune du départe- ment du Cher dont les conditions cl
ns. A la vérité les faits de cette dernière caté- gorie sont si peu communs que quelques médecins, M. Luys notamment, en on
es carac- tères invariables qui leur donnent un aspect spécial et commun , ce qui permet, en médecine légale, de les réun
ement que les fous moraux et les aliénés véritables ont une origine commune . Cette origine est la dégénérescence qui abouti
'hui que le diabète et le tabes offrent un certain nombre de signes communs sur lesquels il est impossible de tabler pour é
s propres à chacune d'elles qu'il faudra se baser. Parmi les signes communs , il faut citer : . 1° Les douleurs fulgurantes.
L'incoordination motrice. Les troubles de la démarche n'ont rien de commun dans les deux affec- tions. Là il s'agit de la
uelques accidents vésicaux peuvent s'y montrer 2, ils n'ont rien de commun avec les troubles uiinaires du tabes; il est in
et que les réponses qui leur sont faites conformément à l'étiologie commune et couramment admise des faits les plus ordinai
s résumons brièvement. Tous ces ma- lades présentent des caractères communs , anatomiques, fonction- nels, psychiques. Les
, t. XXI, p. 132. sociétés savantes. 239 maladies n'ayant rien de commun avec le traumatisme, par exemple chez les conva
aider l'aliéné pendant les premières phases de son retour à la vie commune . Saisi de la question, à l'occasion de l'examen
0. Il est à remarquer aussi que la paralysie générale paraît plus commune dans les vieilles que dans les jeunes colonies :
e et par leur origine, qui germent et se dévelop- pent sur un fonds commun , l'hystérie. Asile clinique (SAINTE-ANNE). M. M
pas et que le cas qui sem- blait exceptionnel rentre dans la règle commune . En , ' Voy. t. XXIII, n° 68, p. 157. NOTE
emme, des patrons qui l'ont employé, de ses voisins, du maire de sa commune , etc. D'une intelligence moyenne, il avait les
10 septembre 1891. La veille, A... qui habite un petit hameau de la commune de Dampierre, dans le département d'Eure-et-Loi
éristique du proto- plasme nerveux, et quoiqu'elles n'aient rien de commun avec les albuminoïdes, elles jouent très probab
ver, en dehors des asiles, l'aide dont leur seraient redevables les communes ou leurs propres familles. Voici un malade dont
maladie de Basedow. C'est un fait de médecine légale qui n'est pas commun . Il s'agit d'un magistrat de trente-un ans arrê
(3 fév.), a été opérée, jeudi dernier, au hameau de la Troudière ( commune de Breux). A la suite d'un incendie qui avait dét
ue vraiment pas d'originalité vient d'être découvert dans la petite commune d'Ailleville, dit le Petit Troyen (26 mars). De
Tamastia, 107. 30 Mj6, TABLE DES MATIÈRES. Langue, névrose peu commune de la -, par Bernhardt, 100. - Larynx, nerf d
65 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
éformantes. Nous ne voulons pas nous appesantir sur tous ces points communs sur - lesquels d'autres ont insisté mieux que n
n. médico-chirurg., 1885, n° 6. (2) Cousin, De quelques symptômes communs au rhumatisme chronique el aux affections nerve
me avait un type de res- piration abdominale au lieu du type costal commun chez la femme.Or ce fait était dû à l'insuffisa
ême acte fonctionnel coutumier. La crampe des écrivains est la plus commune et la mieux connue de ces affections. C'est ell
ns l'expression de crampes professionnelles. Les troubles moteurs communs à ces différentes impotences fonction- nelles s
nifestations objectives, ces accidents ont entre eux des caractères communs qui justifient leur distinction nosographique ; c
nous paraît-il avantageux d'étudier en un seul chapitre l'étiologie commune , intimement liée au problème palhogénique, de ces
e professionnel. L'écriture, par exem- ple, est un acte fonctionnel commun à la majorité; c'est aussi un acte professionne
a thérapeutique, car, comme nous le verrons, à côté d'un trai- ment commun qui est la psychothérapie, il y aura, dans tous l
ps après d'un spasme du côté gauche, ou inversement. Le cas le plus commun est celui d'individus affectés d'une crampe des
types de syndrome pédonculaire : le type de Weber, qui est le plus commun , caractérisé par une hémiplégie du côté opposé
isé par une hémiparésie avec paralysie croisée du nerf oculo-moteur commun et avec le tremblement des extrémités paraly- s
hincters pupil, laires) des yeux dépendante des nerfs oculo-moteurs communs . Du côté des membres gauches, outre l'état de c
vius, où sont situés en rangées les noyaux des nerfs oculo- moteurs communs , en empiétant vers la droite pour au moins touche
me chez les pseudo-bulbaires,mais il aboutit toujours à un résultat commun , le dérèglement du thalamus livré à lui-même, a
cubitale reste bien au-dessus de celle du radius. Ce fait n'est pas commun et ne résulte pas des observations que je connais
et nettement proéminentes. Ces deux caractères non plus ne sont pas communs (PI . XXIV). Notre nain a aussi un palais typiq
comme si c'étaient des choses, des êtres avec lesquels il n'a rien de commun . . II Avant de rechercher les fondements d'un
est bien prouvée : les tics et le bégaiement. Quels sont les points communs qu'ont entre eux ces trois syndromes morbides ;
s ont, avec les crampes fonctionnelles, un certain nombre de points communs : ils évoluent sur le même terrain névropathique.
oppent parallèlement à celles des muscles sous l'action d'une cause commune . Il convient à ce sujet de rappeler l'origine m
commune. Il convient à ce sujet de rappeler l'origine mésodermique commune des deux tissus, ainsi que l'opinion de plusieu
avec les dyskinésies profession- nelles un certain nombre de points communs : ils évoluent sur le même terrain névropathiqu
s trois quarts supérieurs, les nerfs pathétiques, moteurs oculaires commun et externe, surplombant le corps piluitaire res
, avec hé- miplégie droite et paralysie des nerfs moteurs oculaires commun et externe, en un mot le type clinique de Weber
e, en un mot, une paralysie par compression du nerf moteur oculaire commun . Le début de cette paralysie ne s'est pas accompa
ques, les nerfs pathétiques surtout à gauche, les moteurs oculaires communs , l'espace interpédonculaire,le tuber cinereum,
troubles recto-vésicaux, l'apparition d'escarres. Ces symptômes peu communs au cours des polynévrites gravidiques ou puerpé
e peut la relever. Il semble aussi y avoir une atrophie de la masse commune des muscles du dos. Il y a une parésie des deux
é, et si la sensibilité tactile subsiste intacte, c'est que la voie commune à toutes les sensibilités cutanées reste encore
étaient normaux. Nous avons étudié le nerf facial, moteur oculaire commun , moteur oculaire externe, trijumeau, les racine
des amas de petites vésicules, réunies par une coque conjonc- tive commune . Leur forme montre clairement qu'elles résultent
relief aucun caractère particulier si l'on excepte l'amplitude non commune . Réaction myasthénique (méthode de Flora) : nég
rrespondance de la face que des extrémités : ce caractère aussi est commun aux deux formes. Tous les caractères que nous a
ue et allatomo-pathologique, notre cas présente quelques caractères communs aux deux types de spondylose et d'immobilité de
ostéoanhl'opatl11es de la colonne vertébrale, outre celles qui sont communes aux ostéo-arthropathies tabéti- ques en général
permettre de les identifier avec certitude ? Des cinq caractères communs à la maladie de Paget et à celle de Parrot énum
par exem- ple,que tous les procès sur l'aortite relèvent d'un agent commun ; la diffu- sion à un grand nombre d'os est bea
econdaires aux altérations vasculaires. Mais il existe un facteur commun à un très grand nombre des cas de la maladie de
'une fois les mêmes faits dans une maladie qui a de nombreux traits communs avec celle qui nous occupe et se greffe souvent
marin fait pendant au mousquetaire ; sur le bras, une tête de femme commune et sans art. Une guirlande de fleurs remarquablem
tions appuyées sur des photogra- phies. La pratique du tatouage, si commune chez les prisonniers, existe aussi chez les gen
rieure le foyer sectionne la majorité des fibres du moteur oculaire commun et une très faible partie du ruban de Reil. Au
ent la dégé- nérescence de la voie motrice, du nerf moteur oculaire commun et des faisceaux d'association : faisceau centr
enchymateuses interstitielles et vas- culaires, elles sont des plus communes et peuvent se rencontrer dans des états patholo
s, s'enroulant les uns autour des autres et engaînés dans une coque commune de tissu conjonctif (fig. 3, cI), Les capillair
er par la pathogénie et son évolution, présentait pourtant un trait commun , celui d'être accompagnée de troubles dystrophi
roses ou méningites diffuses. Mais il y a un ca- ractère qui semble commun à la plupart des cas ou à tous les cas, c'est q
me, je pense, lorsqu'il s'agit de faire rentrer l'homme dans la loi commune . On rencontre encore, sur- tout parmi les perso
sonnes qui en sont venues à pen- ser que l'homme à dû subir le sort commun et faire ressortir la violente antinomie qui ex
s médilant, bien des personnes avec lesquelles j'ai tant de pensées communes n'essayeront plus de faire prévaloir dans l'human
itives, ces phé- nomènes se trouvent en quelque sorte sur la limite commune du mécanis- me et de l'intelligence et elles ne
n sont des instincts, puis- qu'elles sont héritées, héréditaires et communes à tous les individus d'une même espèce. Ceci no
par la coopération d'un plus grand nombre d'individus à un travail commun . La bile, le suc gastrique sont maintenant fabr
- tible, soulèvent de lourds fardeaux en s'unissant dans une action commune . A une phase d'évolution plus avancée, on renco
de synthèse, puisqu'il réunit toutes les manifestations naturelles communes à tous les êtres d'une même espèce. 708 LEFÈV
l'activité instinc- tive, bien que ne possédant d'autres caractères communs que l'apparente spontanéité. L'instinct de la m
anes spéciaux : coeur, poumons, testicules, etc., qui n'ont rien de commun avec l'idéation, les mouvements instinc- tifs d
ition,comme étant de na- ture instinctive, parce qu'ils ne sont pas communs à tous les individus de l'espèce et qu'ils ne c
66 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vec lui. Dans ce cas, le trouble mental ne diffère de la médiumnité commune que par l'état d'esprit persistant et par la ma
chacune des voûtes orbitaires et chacun des rochers avec une ligne commune et nullement influencée par les variations du p
es maladies nerveuses, et que ses facteurs principaux ne lui sont communs avec aucune d'elles. La première question à se
erait possible de la confondre, au premier abord, avec des maladies communes du système nerveux telles que nous en voyons da
e ces nerfs il n'existe que de la DR partielle sur le fléchisseur commun des doigts. Pour le nerf radial, la DR n'existe q
s diverses parties de l'Empire romain. Plus tard, elle devint assez commune pour que Charlemagne dût édicter des lois relat
uble coenesthesique qui lui donne l'illusion de la lévitation assez commune d'ailleurs chez les spirites et les mystiques e
t « la pureté sacrée » qui doit élever sa personnalité au-dessus du commun de l'humanité, cette pureté dont elle parle tou
s mystiques et apostoliques plus accentuées peut-être que chez le commun des médiums et qui confinent à la théoso- - phi
u spiritisme réside précisément dans cette haine de son corps assez commune aussi chez les mys- tiques ordinaires, haine de
en avant du tiers supérieur de la fissure calcarone. La quatrième, commune à ces deux animaux, fort limitée, se trouve dan
es délirantes évidentes au moment où se développe le thème délirant commun . c. Quant à la prééminence du délire de l'actif
connexion immédiate avec cette dernière, doivent être identiques en commun , ce qui donne tou- jours un seul et même tablea
ée ailleurs que dans le fonds mental sur lequel ils reposent : fond commun à toutes les variétés de la maladie et caractér
t le cubital, 236 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. qui ont un noyau principal commun ; chaque nerf spinal tire ses origines de plusi
es centres bulbaires et méson céphaliques : le nerf moteur oculaire commun , par exemple, est l'analogue d'une racine motri
On simplifiera les for- malités de l'admission : le dégrèvement des communes , les admis- sions provisoires et les placements
els, on les expose à être considérés comme des prisonniers de droit commun , ce qui sera pour eux une flétrissure injuste,
et contractures (11,53 p. 100), le clonus du pied est un peu moins commun dans les anesthésies (9,99 p. 100) et dans les
t à Z... des scènes violentes, et sans l'intervention de leurs amis communs , il l'aurait souffleté. Le scrupuleux Z... en f
porté aucune atteinte à sa virilité et il me fut adressé par un ami commun établi dans sa ville. Parlant très correctement l
Après trois mois, n'ayant pas reçu de nouvelles, j'écrivis à l'ami commun pour en avoir, dans Je désir bien naturel de suiv
er ainsi. A. Les cérébrales antérieures peuvent provenir d'un tronc commun issu d'une des carotides internes, toujours de
uadrijumeaux antérieurs, dans le noyau accessoire de l'oculoinoteur commun de Bechterew : elles sont notablement plus nomb
e principal ; elles peuvent être très différentes, mais ont ceci de commun que, quelque soit le procédé, elles élèvent l'a
en est de même pour la moelle du lapin. Ces dessins n'ont rien de commun avec les fibrilles de Betle ou d'Apàthy d'aille
irréguliers, inopportuns, portant sur divers groupes musculaires en commun et donnant aux actes un caractère physiologique
que cette anomalie n'est chez tous ces malades qu'une manifestation commune d'une tare congénitale. 11. H. REVUE DE THÉRA
ité de l'épileptique, en lui montrant ce qu'il présente lui-même de commun avec ce caractère, en appelant son attention su
droite avec parésie de tous les muscles innervés par l'oculo-moleur commun et léger strabisme divergent. Le membre supérie
qu'aucune odeur désagréable ne s'en dégage et qu'ils n'ont rien de commun avec les matières rejetées brusquement de l'est
me pathogénie s'applique à certains hystériques ayant maints points communs avec l'imbécile éréthique. Il existe, par contr
folie hallucinatoire qui se développe à l'occasion d'une affection commune de l'ouïe ; par W.-M. Bechterew (Obozrénié psic
ourer d'une atmosphère de gaité. 11 serait désirable que la charité commune s'occupe d'éten- dre les bienfaits de cette cur
irconstance qui révélera l'imprévoyance et le caractère superficiel commun aux dégénérés; et d'autre part l'examen du suje
uvent pas dans des conditions normales pour recevoir l'enseignement commun . - L'instituteur public ne peut accepter ni enc
ils prendront une part, plus ou moins impor- tante, dans le travail commun , et un certain nombre d'entre eux en viendront
de supplanter l'initiative privée, ni celle des départements et des communes , à laquelle on doit déjà tant de fructueux effo
ux. « Toutes les fois qu'à la campagne, dans un village, dans une commune , des incendies se répètent à des intervalles ra
consanguinité. Père et mère, tous deux des Côtes-du- Nord, mais de communes différentes. Égalité d'âge. Quatre enfants : 1°
il a quel- ques notions sur les couleurs, sur les animaux les plus communs , sur les métiers, sur les légumes et quelques c
landu- laires) si souvent alliées à l'infantilisme et dont la cause commune nous échappe encore. Li. C. LXX. Langue céréb
La hallucinatoire qui se développe à l'occasion d'une affec- tion commune de l'ouie, par Bech- terew, 413. Aperçus et dém
67 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
passe au contraire suivant de certaines règles bien détermi- nées, communes à la pratique d'hôpital et à celle de la ville,
état'parétique de l'extenseur propre du gros orteil, de l'extenseur commun des doigts et des péroniers. Asymétrie des musc
épartement. Deux ou plusieurs pourront créer et entretenir, à frais communs , un asile public d'aliénés. Les conditions de l
en ait fait la déclaration, dans le délai d'un mois, au maire de la commune . Anr. 11. Des règlements d'administration publi
nal, le Procureur de la République, le Juge de paix, le Maire de la commune , sont chargés de visiter les établissements pub
se faire accompagner par un médecin de son choix. Le maire de la commune pourra chaque fois qu'il le jugera con- venable
e, les Commissaires de police à Paris et les Maires dans les autres communes ordonneront à l'égard des personnes atteintes d
sera pourvu par le départe- ment, sans préjudice du concours de la commune du domicile de J'aliène, d'après un tarif arrêt
transfèrement seront à la charge de l'Etat. Section V. Dispositions communes et toutes les personnes placées dans les établi
adressée au préfet, au procureur de la République et au maire de la commune . ART. 43. Les chefs, directeurs ou préposés res
ériphérique parait saine à l'oeil nu. Quant au nerf moteur oculaire commun , en raison de l'élargissement et de l'aplatisse
employées, il reste soixante-treize faits de pathologie auriculaire commune , comprenant des lésions de tout ordre et de tou
La névrite spontanée, non traumatique, est cependant une affection commune . Elle peut naître sous l'influence 192 PATHOLOG
t identiques qu'il y a lieu de les con- fondre dans une description commune . Toutes les fibres sans exception sont altérées
myéline est segmentée en blocs ou en boules (types 1 et 3) ; plus commune est sa fragmentation en granulations avec atrop
du nerf optique et du trijumeau; l'excitation du mo- teur oculaire commun , la section et l'excitation du grand sympathiqu
us grand nombre possible de criminels ou de dangereux. Si, dans une commune , on signaie la présence d'un aliéné, il se 253
M. R. Berlin (de Stuttgart.) Les recherches faites par l'auteur en commun avec le ))'' Benllrold sur l'inlluence qu'exerc
882, une sensation d'oppression pénible à la région précordiale. La commune demandant sa sortie, dans un but d'économie pro
oucnL- lOEA.u, à l'asile Sainte-Anne, passe en revue les caractères communs aux différentes formes de manies revenant par a
un projet de construction d'un asile public d'aliénés élevé à frais communs par le département de la Seine, de l'Oise, de la
s, situé à douze kilomètres 270 FAITS DIVERS. ' d'Hyères, dans la commune de l'ierrefeu qui en a fait don au dépar- temen
situé à quatre kilomètres au sud de Vannes, au lieu dit Lesvellec, commune de Saint-avé ; il contiendra ;i00 lits, pension
plégies des membres inférieurs. Si celles du bras sont relativement communes , celles de la jambe sont, par contre, fort rare
Wa · If ( 11T`)It>JWtif W lyJ , oici un z complelus ctintque.peu commun ? une paralysie limitée 11 1,1 i' .«Ullljl.il'
i) la. ;' Les faits de- cette dernière. classe^ ne sont,,pas très communs . C'est que, -.par- suite du voisinage des terri-
.j recon n .aitre;frfé sâurait(lse trouver,, ailleurs que cdans les commun icationsj'etr ! es ]anastomoses, qui existent d
''nous 'occupé. Ainsi, sur.un, sujet, nous,avons,t trouvé un tronc commun fourni par lé nerf dugong snpmateurq et la bran
aire comprendre commeiitile p long supinateur peut échapper au sôrt, commun , à la plupart , des muscles animes par' le " r
-* ? .tu -. 1lit ill. < ,... , If m o ► ..»i source d'irrigation commune des téguments .céphaliques et des , 1,131 "i ?
u; mais cette division est un fait rare. Ce qu'il est beaucoup plus commun de constater, c'est la présence dans le même no
Intégrité, du bulbe. On rencontre, en outre, dans les oculo-motcurs communs de nombreux cylindres-axes tuméfiés, au début d
t la faiblesse maternelle, quitte un beau jour sa profession' etnsa commune . Quarante-huit heures plus tard, le voilà en pr
e nous faire profiter tous de votre expérience personnelle, mise en commun pour le plus grand bien de la science. Vous serez
res pour assurer l'isolement et l'observation constante. Des salles communes peuvent être, dans l'infirmerie, affectées aux
ux cellules. Aux extrémités du corridor existent des salles de jour communes . Les étages supérieurs contiennent des dortoirs
grande de la démence, l'analogie avec le délire alcoolique, cause commune d'erreurs de diagnostic, mérite d'être lu pour qu
du sang ; ils sont puisés dans l'analyse des symptômes analogues et communs au délire aigu et aux états typhoïdes. « Cett
68 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
encourager d’autres, afin de montrer que la propriété magnétique 6st commune A tous, et que qui veut faire du bien le peut san
ral, etc., etc., sont intelligentes ; elles s’allient pour marcher en commun . AinsiJe magnétisme animal ne s’enfuit pas du cor
des citoyens précieux pour la félicité publique. 3° Que dans chaque commune , aux frais publiques, à l’instar des curés, soit
MUSCULAIRE ET ARTICULAIRE. Dans ces affections si douloureuses, si communes , et qui se reconnaissent si facilement, le magnét
sur lesquelles j'avois surpris la nature, je suis remonté à la source commune de toute chose. J’ose me flatter d’avoir ouvert u
des phénomènes magnétiques et somnambuliques qui sortent de la ligne commune , qui cessent d’être purement physiques. § I. —
ire par diverses préparations ce besoin d’excitation intellectuelle commun à tous les peuples, et que les nations deTOccidcn
te, et obtenir des effets physiques et moraux qui sortent de la ligne commune , que de nouvelles connaissances sont nécessaires.
s aberrations ou maladies , et que conséquemment le remède, également commun et «nique, se irouve dans le rétablissement de l’
il reste à déterminer quel est le principe du mouvement et le ressort commun des fonctions des différentes machines agissantes
uvaises passions, car partout le magnétisme fait exception à la règle commune . En agissant autrement qu’on ne l’a fait avec moi
homme de dix-neuf ans, le sieur (ils unique d’un riche fermier de la commune de Wuissons, près Antony, canton de Lonjumeau , p
de pavés sur le rocher de Saulx-lcs-Chartreux, dont la distance de la commune de Wuissons est de huit kilomètres. « Le charge
là, il rcnconlre un jounn fermier de ses amis, le sieur lt..., de la commune do Chilly. Après une coiirie station dans un café
. invite B... à dîner chez, lui, dont la demeure n'esl éloignée de la commune de Wuissons que de deux kilomètres; on dina bien,
ir que leur avait donné la somnambule. La nouvelle se répand dans les communes environnâmes; la singularité delà disparition de
i avec un charretier pour aller charger une voilure de pavés dans une commune voisine. Depuis, on ne l’avait pas revu , el la d
u par tons pour un excellent sujet, avait jelé l’alarme dans tonte la commune . Après d’inuliles recherches, la mère do Baticle
De nombreux cours d’eau souterrains ont été indiqués : trois dans la commune des Combes, trois dans celle de la Grand’Combe, h
d’eau, el de la qualité bonne ou mauvaise de leurs eaux. « Dans la commune de la Grand’Combe, une remarque a (1) Page 222
récis si on voulait accepter sans contrôle? Mais on s'est servi d’eau commune ; ne contenait-elle pas des sursels, calcaires ou
s, et le Jait annoncé ne se produit pus. L’essai fait avec de l’eau commune resle également sans résultat. A quoi cela tient-
Jura, il a étonné par la justesse de ses indications. Les maires des communes où il opère, les préfets eux-mômes, s’empressent
l’eau au point désiré. Il habile en Suisse, mais il se rend dans les communes de France où on le faii appeler. (Mouche de Saô
it goûtée que d’un petit nombre d’hommes. Par une de ces hardiesses communes à nos adversaires, 1111 médecin demanda la parole
mais en les dépouillant vous reconnaîtrez qu’ils viennent d'un fonds commun et qu’ils ont même origine. Marchez sans crainte;
tout le monde indistinctement. Il devrait savoir qu’en tout la raison commune est tardive, que ce n’est que par les routes batt
tout mon être. Le temps m’a-t-il changé? ai-je élé courbé sous la loi commune ? le souffle empoisonné des méchants a-t-il altéré
, ce poison et ces bourreaux? Qu’est-ce que « tout cela pont avoir de commun avec la philosophie « et le règne do la raison? —
défendez n’est point ce que l’on méprise, et que vous n’avez rien de commun avec les hommes que la police surveille et que la
e : c’esl que la contraction musculaire n’a pas lieu pour l’extenseur commun des doigts. Enfin , M. Duval présente une jeune
69 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
récisément parce qu'on l'a relégué dans le domaine de la pathologie commune ou de la chirurgie, en s'obstinant en faire une
on de dgé- nérescence et contractions librillaires, mais offrant de commun avec les myopathies primitives de survenir dans
fications pathologiques fonctionnelles recon- naissent comme source commune la vie sexuelle de l'individu, soit désordre de
tant d'épines orga- niques. L'auteur croit que l'irritation spinale commune s'accom- pagne aussi souvent de petites lésions
rve dans les obsessions qui paraissent se déve- lopper sur un fonds commun qui semble être l'émotivité morbide. Les divers
d'une invasion soudaine, impré- vue, on hésite entre une apoplexie commune , quelquefois même, si les antécédents et commém
S... n'a pas eu de maladies graves autres que les fièvres éruplives communes de l'enfance. Sur aucun point des téguments, po
au fond de ces manifestations d'essences différentes des caractères communs , ainsi ce besoin et cetle espérance du bonheur
au coeur de tous les hommes, à ce besoin aussi de se réconforter en commun au milieu de la vie. Mais qu'il y a loin de là
rentes et il s'agi- rait de se mettre d'accord sur une terminologie commune . Tamburini considère comme hallucinatoire tout
ou du délégué du ministre de l'Inté- rieur ; visite du maire de la commune , du juge de paix du canton, du procureur de la
s délirantes chroniques de M. Magnan conslituent la variété la plus commune . Chez les persécutés hallucinés, le délire a un
la coprolalie. Le paramyoclonus mul- tiple avec d'autres caractères communs tels que l'influence des impressions morales et
quili- bration. Enfin, bégaiement et tic sont deux stigmates trop communs et trop importants de la dégénérescence mentale
ifférents dans le fond, affectent dans leur marche des carac- tères communs . Bien que les accidents présentés par notre mal
bon service de cuisine ? 55. Y a-t-il à l'hôpital des réfectoires communs ; si oui, dans quelle mesure et quels sont, à vo
56. Faites-vous parfois manger les deux sexes dans un réfectoire commun et considérez-vous cette communauté comme dési-
s cette communauté comme dési- rable ? 57. Avez-vous des dortoirs communs à l'li0pital; si oui, dans ASSISTANCE DES ALIÉN
économiques et autres. 55. Presque partout, il y a des réfectoires communs . Il y aurait intérêt à généraliser cette mesure
mmes et les femmes, en géné- ral. Quelquefois les repas ont lieu en commun pour les deux sexes; par exemple : ceux qui son
es qui atteignent certains muscles de l'oeil innervés par le moteur commun et qui respectent certains centres innervés cep
abes, d'une lésion cérébrale localisée, d'une compression du moteur commun , etc., etc. Revenant à son observation, l'aut
articulier, une'grande proportion des lits consistent eu paillasses communes ; toutefois, on tend à leur substituer des cou-
Les malades des deux sexes n'ont généralement pas de réfec- toires communs . On n'approuve pas cette communauté. Cependant
rt. La dénonciation affir- mait que, dans une grande ferme de cette commune , un jeune homme, qui était revenu du régiment l
onsabilité, non seulement de la famille, mais encore du maire de la commune et du préfet du département. Les com- munes, le
érie. t. IL 27 418 CLINIQUE MENTALE. police et cette croyance, si commune chez les hallucinés, qu'on les tourmente à l'ai
ariétés de psychose décrites par les auteurs précédents. 1° Période commune d'incubation. Inquiétudes vaques. 420 0 ' CLINI
n de ces évolutions opposées, avec un point de départ, en apparence commun , réside dans la nature même des deux sortes de
, s'enivrent de l'harmonie céleste, de senteurs qui n'ont rien de commun avec les odeurs terrestres, enfin, le firma- me
spectres et des revenants. Ces spectacles lugubres sont d'ailleurs communs aux démono- manes persécutés et aux mélancoliqu
ux, coïncidant avec des visions sataniques. Suivant les divagations communes aux anciens démonolàtres, le diable sentait le
nouvel établissement. Mais, à [la date du 25 thermidor an III, la commune de Blois se plaignit que la présence de deux fous
loges dans le cloître de la maison des ci-devants capucins de cette commune servant de maison de réclusion, dressé le 4 niv
Blois, sur la réquisition de l'Administration municipale de cette commune , la soumission du citoyen Guillon, entrepreneur d
: que les loges à construire dans la mai- son de réclusion de cette commune conformément aux plans et devis du c. Gendier,
aire surpétition des parents, con- firmée par des certificats de la commune et une enquête. J'en trouve un cependant sur un
iénés et épileptiques, qui en sont susceptibles, puissent manger en commun et que chacun puisse manger la portion qui lui
'au cordon antisolnnambulique. C. LI. Dissertation sur un cas peu commun DE maladie nerveuse; par le Dr L. AB13 MONDI, m
de la lésion serait sur le faisceau unissant le centre de réception commun des sensations auditives au centre spécialisé p
paralysie complète de toutes les brancbesexlernes de l'oculomoteur commun gauche, tandisque l'oculomoteur externe et le p
érique, par Gasne, 298. Mystique. Jeûne -, 414. Nerveuse, Cas peu commun de -, par Abbamondl, ibs. Neurasthénie et nev
70 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent reliés l'un à l'autre. Ils n'ont d'autre rapport que le terrain commun , de prédisposition, sur lequel ils se sont déve
. Il y a en réalité des états d'incoordination qui n'ont guère de commun entre eux que ce nom. Sans doute on commence à
ilité pupillaire réflexe unilatérale ; la branche de l'oculo-moteur commun qui anime le sphincter prendrait, pour lui, naiss
uence élective sur une partie déterminée du noyau de l'oculo-moteur commun ; l'atteinte, avec ce groupe, de l'autre partie
ités dans les maisons de santé. Cet isolement se fait dans la salle commune . La condi- tion d'accepter l'isolement absolu e
te consom- mation locale et de celle du cidre, le vin, l'eau-de-vie commune , l'absinthe, le cognac y fraternisent avec l'ea
o- landique. Questions restées dans l'urne : Nerf moteur oculaire commun ; Racines postérieures. M. Halberchtaldt, 16 : M.
postérieures, Ques- tions restées dans l'urne. Nerf moteur oculaire commun ; Plancher du quatrième ventricule. M. Privât de
eur François Bil- laud, âgé de soixante-quatorze ans, disparu de la commune de Saiute-Soulle vers le 20 juillet dernier. Si
'élément actif, le second l'élément passif ; 1° nécessité d'une vie commune pour les deux individus, dans le même milieu, a
deux prédisposés en contact et subis- sant de's influences nocives communes . Dans la période qui s'étend de 1881 à 1885, de
i agissent le plus sur l'élément suggestif sont : 1° une longue vie commune aussi intime que possible ; 2° l'ascendant habi
et psychiques classiques, généralement groupés sous la dénomination commune , des stigmates. Le rôle dévolu aux stigmates ps
clairer la relation qui existe entre les syndromes et le substratum commun : la dégénérescence. Donc, nous nous demandons
idées de certains aliénistes ? Ce serait de scinder leur substratum commun et par suite à amputer le corps du malade même.
tincte, n'ayant aucune relation de cause à l'effet que leur origine commune : le terrain dégénératif. OBs. II. Impulsion co
aque époque maladive, au fond appartiennent tous à une même' base commune : la dégénérescence. Relativement au terrain, j
qui présente une paralysie totale et complète du moteur oculaire commun gauche, avec une paralysie partielle du moteur oc
re commun gauche, avec une paralysie partielle du moteur oculaire commun droit (complète pour les nerfs du sphincter irien
dans un asile départemental, d'aliénation mentale survenue après la Commune . M... a toujours été très sobre, a toujours bie
ralgie faciale, le zona ophtalmique est regardé comme l'un des plus communs . Sur 17 cas de névralgie faciale cepen- dant pa
ladie. Prendre ses observa- tions suivant un plan défini qui serait commun à toutes les observa- tions semblables, et perm
ons caractéristiques), que, si les deux subs- tances ont un radical commun , on aurait le droit de chercher la cause de la
rouve être la tropine. La cocaïne et l'atropine ont, d'ailleurs, en commun , beaucoup d'autres effets physiologi- ques : in
ypertrophié. Un autre caractère essentiel des myopathies familiales communes est leur marche progressive et envahissante.
gie constituent bien cliniquement une myo- pathie dont le caractère commun est la marche paroxystique. D'ailleurs il exist
crâniens, à savoir : des nerfs auditif, trijumeau et oeulo-inoteui, commun . Ayant SOCIÉTÉS SAVANTES. -303 en vue, que le
s simple, comme par exemple, un trouble dans l'appareil oculomoteur commun . ! ' Séance du 15 février 1902. Dr N.-P. POST
ablement d'esprit épouvantable sur des sujets qui n'avoient rien de commun avec la signature. Je me fis toutes les violenc
érales à savoir des halluci- nations élémentaires et différenciées, communes ou verbales. Pourquoi certaines hallucinations
tion auditive verbale, non seulement l'excitation du centre auditif commun , mais celle du centre auditif verbal. Or la fon
bétiques et 7 paralytiques généraux. C'est d'ailleurs un symp- tôme commun qui n'est nullement pathognomonique de la ménin-
ue n'étant plus retenu comme à Port-Royal, par les règles d'une vie commune , ni veillé par des personnes dont je respectass
fices et aux instructions des Eglises 6 ». De plus ils prirent d'un commun accord «la pieuse résolution de vivre comme frè
omique qu'un plus grand nombre de ma- lades est réuni dans un local commun est naturellement applicable aux asiles. Les ma
un homme atteint d'hémiplégie gauche, de paralysie de l'oculomoteur commun droit, de paralysie laciale droite, de paralysi
'ici, en effet, les infirmiers et infirmières ont partagé le régime commun et bien que la nourriture des malades de cette
curieuse et à étudier. » Les cas analogues au précédent sont assez communs . Tels sont les imbéciles intellectuels et morau
à définir les manifestations morbides que les neu- rologistes, d'un commun accord clinique, appellent hysté- riques. Il es
que nous croyons nouvelle et surtout inattaquable, une véritable « commune mesure » à laquelle les auteurs seront forcés d
ur des chalets suisses. Les jardins, nous l'avons vu, n'ont rien de commun avec les préaux de certains CLINIQUE PSYCHIATRI
. R. C. 530 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LXXXII. Une variété peu commune de myopathie atrophique pro- gressive ; par Ed.
mouvement des pupilles a, avec la maladie de Thomsen, le seul point commun de la lenteur et de la durée ulté- rieure de la
action myotonique des pupilles peu- vent être désignées sous le nom commun de réaction tonique, mou- vement tonique, forme
71 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
non seulement t comble sur l'écorché le vide laissé entre la masse commune et le bord postérieur du grand oblique, mais fa
rendre à peu près impossible l'accomplissement des actes de la vie commune . Les tremblements hystériques présentent en gén
ptique de la vieille nomenclature de la Salpêtrière n'avait rien de commun avec l'épileptique, c'est encore a lui qu'il fa
ES ECCHYMOSES SPONTANÉES. 67 à l'état de faits acquis. Quoi de plus commun que les épidémies d'hystérie dans les collèges,
ulsions. L'allure générale peut être dite efféminée, un étal mental commun faisant communs les états phy- siques. Ce sont
re générale peut être dite efféminée, un étal mental commun faisant communs les états phy- siques. Ce sont des romanesques,
je crois juste de dire qu'elles ne mentent pas beaucoup plus que le commun des mortels. Sur une quinzaine de personnes que
s en temps le pied se relève en masse et les tendons de l'extenseur commun apparaissent comme autant de cordes faisant rel
re par exemple. Au premier plan git le soulier du voyageur, soulier commun , encore en usage dans certaines congrégations rel
groupant sous forme d'attaques. Il existe dans tous ces cas un fond commun qui se juge par les phénomènes prémonitoires de
s classiques. Outre les phénomènes prémonitoires de l'aura qui sont communs , il est fréquent d'observer au début de l'attaq
ure « comme on oppose les unes aux autres les maladies qui n'ont de commun qu'une grande analogie dans les symptômes mais
eveur de la paupière supérieure innervé par le nerf moteur oculaire commun n'est pas encore élucidé. Dans le sommeil, c'es
uée par l'hypothèse d'anastomoses centrales du nerf moteur oculaire commun avec la branche motrice du trijumeau ou avec le
de Meynert, Huguenin, Forel etMathias Duval, que le moteur oculaire commun prend naissance dans une m. 13 186 NOUVELLE I
e névrite multiple des mieux caractérisées. Les nerfs oculo- moteur commun , oculo-moteur externe, pathétique, étaient absolu
che de paralysie bulbaire inférieure. - Le noyau du moteur oculaire commun représente la partie terminale de la colonne gr
parvient, comme dans le stra- o 1. Blanc, Le Nerf moteur oculaire commun et ses paralysies. Thèse de Paris, 1886, p. 92.
de l'association fonctionnelle des deux yeux et de leur innervation commune pour un même mouvement. '\ Chez notre malad
oyau de l'ab- ducens d'un côté est relié au noyau de l'oculo-moteur commun , de l'autre côté par des fibres communicantes.
ivement limitées à la partie postérieure du noyau de l'oculo-moteur commun ; ce serait donc de ce noyau que le facial supé-
descendante; il ne s'agit plus ici de paralysie du moteur-oculaire commun , mais de paralysie du moteur-oculaire externe et
ent, celle malade offre une paralysie bilatérale du moteur oculaire commun , et du 1. Roscntbal, Ueber llii-iisiII)hilis u.
, consulté à cette époque, constate la paralysie du moteur oculaire commun du côté droit. Traitement : iodure de potassium,
Hérard a vu deux fois une paralysie unilatérale du moteur oculaire commun apparaître au cours d'une paralysie glosso-labi
ie labio-glosso-laryngée compliquée de paralysie du moteur oculaire commun chez une femme d'une trentaine d'années (Hérard
72 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la paralysie générale qui évolue plus repidement que dans la forme commune et amène la mort en douze ou vingt-quatre mois.
i les gommes des centres sont rares, par contre, le tertiarisme est commun chez les indigènes, mais les gommes atteignent
autre endroit, il répond : a Oui,à la figure». La mémoire visuelle commune , qui, nous l'avons dit, était une UN cas d'amné
it pouvoir être attribuée, soit à ces réflexes simples ou complexes communs à toute son espèce, soit à une acquisition indi
e suffisant de l'énorme durée qui s'écoule dans l'inaction. » Cette commune façon d'observer les phé- nomènes psychiques de
sique. Sans doute ce sont là des faits bien connus et d'expérience commune et familière : mais les psychologues les passaien
ique. Ce manque de concordance semble exclure l'existence de fibres communes aux deux sensibi- lités, car alors les deux cha
de l'opinion suivant laquelle ces trois maladies auraient un siège commun , à savoirles plans supé- rieurs corticaux (port
nt si variables que l'on ne peut guère leur trouver qu'un caractère commun , qui se rencontrait précisément ici, la manie s
et trop rarement étudiée. L'aphasie est considérée comme la plus commune des altérations du langage chez les épileptiques,
atteinte portée aux centres ner- veux, ou tout au moins la prise en commun des centres et des troncs nerveux. La névralgie
'inté- rieur du pédoncule les filets d'origine du moteur oculaire commun . Sclérose en plaques. M. TOUCIIE montre les c
autres appareils sensoriels, et qu'ils doivent rentrer dans la loi commune . S'il y a vraiment un centre pour la vision bin
spitalité nous apparaît plus intime dans le cadre de votre « maison commune ». Lorsqn'il y a deux ans, dans la ses- sion de
l'esprit », ses fonctions et ses maladies. Elles n'ont plus rien de commun avec la métaphysique. Ce travail graduel d'éman
que, c'est s'exposer au reproche de rééditer un lieu commun. Lieu commun , soit, mais notre devoir n'est-il pas, suivant un
de. » Tâchons, en tout cas, de contribuer avec honneur à la tâche commune . Apportons-y, si possible, les qualités et les di
les racines antérieures et posté- rieures, le nerf moteur oculaire commun , le grand hypoglosse, le sciatique et le médian
els, ils trouvèrent leur bacille, dans un cas moins grave des cocci communs , enfin dans un autre cas'leurs recherches furen
s-"de méningo-encéphalite, de dégénérescence des cellules nerveuses communes à la plupart des intoxications, bac- tériologiq
, au contraire des précédentes, c'est-à-dire du purpura, sont assez communes et peuvent faire penser aux personnes non préve
.) Un épouvantable drame s'est déroulé hier, au Monastier, petite commune de l'arrondissement de Marvejols, dit le Temps du
ozrénié psiclzicatrü, IV, 1899.) Trois observations. Elles ont de commun que l'affection se déve- loppa pendant l'enfanc
munication, surtout dans la partie montagneuse, les habitants des communes émigraient peu et se mariaient entre eux, dans le
ires d'Ambialet rapporté à celui de la population actuelle de celte commune donne une proportion de 1,23 p. 100 que n'attei
signalerai le fait remarquable et logique de la coexistence dans la commune d'Ambialet d'un nombre relativement impor- 314
ale est un trouble primitif et généra- lisé, affectant les éléments communs à la volonté et il l'intelligence; ce trouble e
rès émotifs, et la prédisposition nerveuse, d'ailleurs, est la plus commune des influence» héréditaires qui jouent un rôle im
maladie, qui, d'après notre expérience personnelle, est loin d'être commune , il existe des preuves, tant cliniques qu'ana-
coexistent, c'est qu'elles ont ordinairement une source héréditaire commune . La puberté avec les perturbations organiques q
fs à l'épilepsie ou à la chorée. Pendant l'adolescence, il est très commun de ren- contrer la folie associée à l'épilepsie
plique rarement d'épilepsie ; cette combinaison est au contraire commune dans la manie et la mélancolie séniles, et l'épil
grâce à la répar- tition des chambres autour d'une salle de réunion commune . Le traitement par le lit ne tarda pas à être i
5° un certificat de bonne vie et moeurs, délivré par le maire de la commune ou le commissaire de police du quartier; 6° un
s l'idée princi- pale à laquelle il s'est arrêté -devient le centre commun autour duquel convergent la plupart de ses pens
ccl o/'J)j6H<u/ Science, octobre 1900.) Ces angiomes ne sont pas communs , et l'auteur n'en connaît que sept cas dans le
t un papillome à l'ouverture dans le duodé- num du canal cholédoque commun , lequel était dilaté, ainsi que la vésicule, qu
alogue à la névroglie ordinaire; ce type ne paraît pas être le plus commun . Payne signale la possibilité d'une combinaison
feste par le syndrome cérébelleux REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ' 1 529 commun à toutes les atrophies cérébelleuses. Elle n'est
locoque, le pneumocoque, le microbe de l'influenza, agents les plus communs de la myélite aiguë, qu'il faut attendre la gué
avant, de répandre la connaissance des causes de la folie parmi le commun peuple, afin qu'il devienne capable d'estimer l
73 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t tend à la satisfaction du besoin morphinique : on se pi- que en commun , nuit et jour. n'importe oit, dans la rue sans
ralysie gauche de qua- tre nerfs crâniens : facial, moteur oculaire commun , auditif et trijumeau, et avec hémiasy'nergie g
a malade aveugle présente encore une paralysie du mo- teur oculaire commun , de l'hémialrophic linguale droite, une pa- rés
éinia- nopsie homonyme droite ; lésion au niveau du centre visuel commun . La lésion interrompt les fibres de communication
r à la dé- chéance, de redresser, d'améliorer et de rendre à la vie commune les jeunes débiles et arriérés et d'un service
Le 17 novembre dernier, un sieur Meley, propriétaire à Ley- mieux ( commune de Chagnon), près' de 1ti -de-Giei@, Lirait, sans
Chez les femmes, la cessa- tion des règles est un symptôme des plus communs , et l'on peut dire qu'en général, les fonctions
oyen degré de leptoméningite chro- nique. Le noyau de l'oculomoteur commun n'a pas été examiné. P. 11ERAVAL. XX, Contrib
une altéra- tion du ganglion ciliaire ou du noyau de l'oculo-moteur commun . Peut-être aussi dans l'immobilité réflexe l'au
vergence, a conserv é la conductibilité complète de l'oculo- moteur commun . Pour rechercher l'état de la voie centripète,
le centre cortical de la convergence. Ce centre, par l'oculomoteur commun , envoie des rênes aux organes terminaux : muscl
Z. Il faut distinguer trois formes de trac : 1° La forme ordinaire, commune , banale, presque normale quand elle est peu int
ard). - Les convictions hypocon- driaques véritables sont assez peu communes dans la folie chronique de la persécution (type
rconflexe qui vient renforcer le faisceau postérieur émané du tronc commun de CVIII, et Di. Les faisceaux antérieurs de Cv
ceaux antérieurs de Cv , Cn, Vif, forment par leurfu- sion le tronc commun du médian et du musculo-cutané (dit racine exte
STÉRIE SIMULANT LA SCLÉROSE EN PLAQUES. 230 antérieur venu du tronc commun C"" et D' (dit racine interne du médian). Cet
tituent fréquemment aux accès épileptiques, présentent un caractère commun , celui de se répéter sous une forme presque inv
r et Bertolotti ont publiée récemment et qui avait avec la nôtre de commun l'élévation de la température du côté atteint p
Le 17 novembre dernier, un sieur Meley, propriétaire à Ley- mieux ( commune de Chagnon), près de Rive-de-Gier, tirait, sans
euru personnes tuées. -Un double cri me vient d'être commis dans la commune ordinairement si paisible d'ilaussonvillers, à
es du 14 juillet, les gardes ruraux avaient été disséminés dans les communes voisines. Le brigadier Smail ben Amar avait été
de la personnalité) : il se croit autre qu'autrefois, différent du commun des mortels, un être extraordinaire, hors des l
, etc.. Au bout de 8 ans, elle retrouve son mari et re- prend la ie commune . Elle devient enceinte et accouche il y-a a 2 a
C'est la la raison habituelle des précipitations par la fenêtre, si communes dans toutes les psychoses d'intoxication ou d'i
res anencépbatiques. Rôle physiologique du bulbe chez ces monstres. Commun , faite au Congrès des médecins aliénistes. Bru-
e la Seine com- me les autres asiles de France sont soumis au droit commun et ce qu'est vrai pour les uns est vrai pour le
ansition qui les relient, des types morbides ayant tous comme point commun l'atteinte du système cérébelleux dans ses centre
renant une plus large extension pourrait alors désigner le syndrome commun (démarche cérébelleuse, ataxie statique, incoor
un type généralisé, mais tous rattachés par le syndrome cérébelleux commun . Ces formes intermédiaires constituent les anne
quc et myopathique, et les relier par le même syndrome d'une lésion commune , la dégénérescence primitive du protoneurone mo
férents au- teurs (Seppilli. Lombroso). Le pellagro-typhus est plus commun chez lafemme que chez l'homme (Morsclli) ; ildé
aujourd'hui une syringomyélie, il y a des syringomyélies qui ont de commun le syndrome clinique elle développement de cavité
n compris des malades et aussi des finances du département et de la commune . «Une épidémie d'oreillons s'est manifestée dan
syphilis cérébrale la coexistence de ces lésions est beaucoup plus commune qu'on ne le croit généralement; 2° par l'examen
qu'en témoignent les coliques hépatiques, néphrétiques, etc., si communes à cette période de la v ie. Mlle -OTES'IV0 a ré
opre de chacun de ces l'acteur.- est bien plus rare que leur action commune et combinée iL d'autre.- fadeurs étiologiques.
r laquelle il sera accordé lrois lu : nres; 2° une épreuve clinique commune sur un malade. Il sera accordé au candidat dix
la pl'em ière épreuve écrite : 30 points ; pour l'épreuve clinique commune : 20 points ; pour l'épreuve clinique sur les m
fils de la disparition. En même temps, lebruit se répandait dans la commune de )Iontg-aillarllde la<lécou\el'te, dans le
ins de notre pays, surl'idio- tie mongolienne, rare chez nous, très commune en An- gleterre et aux Etats-Unis. Voici la lis
ant plusieurs années, il vécut errant, répandant la terreur dans sa commune , il subit plusieurs condamnations et ce n'est q
74 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
ou moins frappante. Ici, comme en histoire natu- relle, un ancêtre commun , une origine commune, sont des raisons suffisan
Ici, comme en histoire natu- relle, un ancêtre commun, une origine commune , sont des raisons suffisantes pour expliquer ce
it servir d'enseignement au pathologiste, qui, derrière le syndrome commun , entrevoit une analogie de siège anato- 9. Féré
out s'y passe au contraire sui- vant des règles toujours les mêmes, communes à la pratique de la ville et à celle de l'hôpit
logie une classe à part; elle est régie par les lois physiologiques communes . «Ces règles, une obser- vation attentive et su
une faible contraction dans le long extenseur du pouce, l'extenseur commun des doigts, le cubital postérieur et rien dans le
s : légère diminution d'excitabilité aux deux courants. Exten- seur commun des doigts : très grande diminution d'excitabilit
n peut le déterminer dans cette formule : faire rentrer dans la vie commune des sujets voués à l'existence la plus misérable
x et les muscles abdominaux en état de contraction, n'est pas chose commune . Lorsqu'on essaye de le faire, même en se perme
ervés par nous et qui figureront dans ce chapitre possèdent tous ce commun carac- tère : un rhythme sensiblement identique
nosogra- phique destiné à ces vagues névroses qui, n'ayant rien de commun avec l'hystérie, seraient cependant capables co
de la mémoire, la facilité des rires et des pleurs sans motif sont communes aux deux catégories de malades. L'hystéro-neul'
ns lesquelles on rapporte tous les symp- tômes à l'épine sont assez communes » ? Plus près de nous, Leyden 3 constate que, «
é/lexesrotnlicl1s est exceptionnelle dans la paraplégie hystérique, commune dans les paralysies médullaires d'ordre trauma-
II. M..., quarante ans, homme très robuste, d'une intelligence peu commune ; né à New-York, marié depuis quatorze ans. Un
ps, vaste externe au bras, vaste externe, long et court exten- seur commun des orteils, extenseur propre du gros orteil à la
insi que le jour de leur sacre 9. Quand ils se sou- mirent à la loi commune , ils s'attribuèrent le droit de choisir l'hostie
Les différents faits qui ressortissent à ce groupe ont un caractère commun , la lenteur remarquable de l'affection. L'invasio
sychose2 et paralysie oculaire, une atrophie des nerfs oculomoteurs communs , externes, pathétiques et des altérations nuclé
duits à des filaments grisâtres très grêles. Les nerfs oculomoteurs communs d'une teinte grise étaient également amincis. Les
s prononcée des cellules ganglionnaires du noyau de l'ocnlo- moteur commun ; la substance fondamentale paraissait intacte. Da
issait intacte. Dans la partie supérieure du noyau de l'oculomoteur commun existaient deux amas de cel- lules ganglionnair
phie complète. Atrophie très prononcée des racines des oculomoteurs communs et de leurs noyaux, du nerf hypoglosse et de son
noyau du trocliléaire est plus altéré que celui du moteur oculaire commun . Les noyaux du trochléaire dits postérieurs, à pe
e la lame criblée, enfin de la région où pénètre le moteur oculaire commun , pour 2° longer le bord supérieur de la protubéra
moindre sur ceux du DE L'O1'II'PIIALMOPLÉGIE EXTERNE. 245 moteur commun et du pathétique. Les fibres radiculaires de tous
es se vovaient aussi daiis-le iioyati lui-même dynerfyteur oculaire commun . Plus en arrière, ces altérations existaient auss
es ainsi qu'une hyperémie considérable; quant aux moteurs oculaires commun et externe, au pathétique et au pneumogastrique
res au niveau de la région correspondant au noyau de l'oculo-moteur commun de la protubérance et du bulbe. Parois vasculai
les. Névrite inters- titielle et parenchymateuse du moteur oculaire commun , du moteur oculaire externe, du pneumogastrique
stingués au collège, puis à la maturité plutôt au-dessous du niveau commun , sous le rapport intellectuel. Antécédents pers
espérons en effet montrer que la poitrine en entonnoir n'a rien de commun , comme on est tenté de le croire au premier 1.
rophiées. Au reste les déformations dues à ce facteur n'ont rien de commun avec le thorax en entonnoir. C'est le plus habi
té d'une trépanation rachidienne. Rappelons enfin qu'il est assez commun de rencontrer une ou deux Fin. 07. - Morphologi
ceM<sttco-rec<6[M ? rétention,incontinenced'urine, etc., sont communs aux deux affections; l'incontinence est plus rare
ie, diplopie, dyschromatopsie, etc.), sont des manifestations assez communes dans l'hystérie. Il n'est pas exceptionnel de tro
escence dans les masses musculaires en voie d'atrophie est un signe commun aux amyotrophies spinales et aux atrophies hyst
caractère aujourd'hui sans valeur; %" Les secousses fibrillaires communes aux deux catégories hystérique et organique ont
. Ce n'est pas tout; ces deux affections ont encore d'autres traits communs . L'atro- phie musculaire dans l'hystérie peut s
tique et une amélioration de la parésie des nerfs moteurs oculaires commun et externe. Darier (19) a constaté une améliorati
ar les disques intervertébraux, les ligaments jaunes, les ligaments communs et interépineux. La paroi intérieure de ce cana
75 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
graisseuses, soit dans l'intervalle des tubes, soit sous le névrilème commun ; enfin, il y a quelquefois sous ce névrilème quel
nde, sont ceux où elle sévit avec le plus d'intensité. Elle est moins commune en Italie, en Alle-magne, en Norwège, en Suède, e
à mesure qu'on se rap-proche de la frontière asiatique; elle est très commune dans toute l'étendue de l'Amérique du Nord. Dans
typhique, qu'on est forcé de se demander si cette affection est plus commune en Allemagne qu'en France, ou si, — ce qui est pl
ous tous les rapports, à ce que nous appelons, 1. « Le type le plus commun des fièvres continues, dans le climat que nous ha
régner, sous forme épidémique, à l'exclusion de l'autre, il est plus commun encore que le typhus fever et la fièvre typhoïde
les causes spécifiques des deux affections n'ont entre elles rien de commun , et qu'on ne voit jamais, par exemple, le typhus
et paraît comme grillée. — Vers la fin de cette période, il est assez commun d'observer du météorisme et une diarrhée plus o
ent ainsi de porter le nom de peste, pris cette fois dans l'acception commune . B. Bubonia pestis (Schenck, Zacutus, Lusitanus
lr°, 2e classe, de Che-not ; lre variété, de Clot-Bey). B. Prodrome commun aux diverses formes de la peste. — Pendant le cou
t; on y rencontre aussi, et c'est là un autre caractère qui lui est commun avec ces maladies pestilentielles, des cas où l'a
lysées. 11 serait inutile de rapporter ici des exemples de faits si communs . Les expériences sur les animaux montrent aussi l
près cela, arguer contre 1. Les faits de canitie sont beaucoup plus communs qu'on ne le croirait de prime abord par la lectur
terminerons : c'est que la véritable rigueur scientifique n'a rien de commun avec ce penchant qui porte certains es-prits à ac
Le 14 février dernier, deux chimistes s'étaient réunis pour faire en commun des expériences sur la fusion et la vitrifica-tio
su même de la poche fibreuse. Rien de ce qui va suivre, qui ne soit commun aux kystes hydati-ques en général ; la membrane p
e propose, Hunter fait remarquer que les hydatides sont beaucoup plus communes dans la rate et dans le foie que dans toute autre
int ^ vue, les kystes hydatiques du petit bassin rentrent dans la loi commune , c'est-à-dire que généralement on les voit, sur
rs ovariques dans le vagin et dans le rec- tum est, en effet chose, commune ; et les kystes hydatiques de l'ovaire peuvent, à
'avouer, parmi tous ces symptômes, rien ou à peu près rien qui ne fut commun aux kystes hyda-tiques du petit bassin et aux aut
t, l'existence de ces vers vé-siculaires offrirait encore un fait peu commun ; en effet, rela-tivement aux hydatides cérébrales
r l'étude de ces phénomènes : c'est qu'ils sont d'une observation peu commune , et presque exclusivement propres à un petit nomb
et, assurément, dans ces archives de la science, la sagacité la plus commune discerne le plus aisément du monde, sous les serv
urajoutent quelques symptômes qui n'appartiennent pas au type le plus commun de la maladie. Aux membres inférieurs le sens du
croyons utile de faire res-sortir en quelques mots ce qu'elles ont en commun , et d'in-diquer les principaux enseignements qui
les cas de guérison définitive par l'emploi de ce médicament sont peu communs ; et il n'existe malheureusement aucun caractère
ite-ment. Dans le mémoire que l'un de nous (M. Charcot) a publié en commun avec M. le docteur Vulpian, on trouve l'observati
ion, 95;— synonymie, 95; — symptômes, 96 ; — formes, 97; — prodrmes communs , 97; — peste foudroyante, 98; — forme ataxique, 9
76 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
t qu’il commandait, à désarmer soixante et quelques brigands dans les communes de Havrestad, Embon et Verdun, de la bande d’Emma
autres, pour se réunir, d’après ses qualités acquises, vers un centre commun . Nous ne multiplierons pas davantage ces citati
. Journal du Mago4lisrao , t. VIII, p. 481 et suiv. ivrne. Elle esi commune à tout individu qui dort toutes les nuits, ei qui
'il est établi parles débats, qu'au nmis de novembre dernier, dans la commune de Devant-les-Ponts, la nommée Barbe Humbcrt, fem
rcices et à des pratiques dont le bruit s'est bientôt répandu dans la commune et a attiré dans sa maison un grand nombre de cur
ient prononcés ; qu’ainsi il a été dit que certaine jeune fille de la commune avait des relations coupables avec des hommes ; q
me de l’État de New-York, et M. Dexter, médecin, après une préface en commun , exposent, chacun séparément, comment, de très-in
i et réservées pour ses desseins, c’est alors une dérogation à la loi commune , que l’humble chrétien ne recherche point et que
mnambules peuvent avoir, comme hommes, comme êtres doués de la raison commune . connaissance de certains faits qui aident aux in
’une manière irréfragable. Or, un second fait phv siSlogique des plus communs dans la magnétisation, c’est l'augmentation ou la
donner le temps de se rasséréner et à nous de nous remettre de notre commune émotion. Mais dix minutes n’étaient point écoulée
une pénétration prodigieuse et des facultés anormales. Qu’v a-t-il de commun entre cet état transcendant, entre cette activité
à la guerre. M. le Dr du Planty est, comme chacun sait, maire de sa commune et décoré de plusieurs ordres; mais ces titres ne
ation des vérités dont le triomphe est devenu l’objet constant de nos communs efforts. 11 est juste, et permis peut-être, de
ont rangés autour d’une table, cette table devient comme un réservoir commun 0(1 chacun verse de sa vitalité. Mais voici ce qu
qui jouit d’une santé puissante et exubérante verse dans le réservoir commun le surplus des forces vitales dont son organisme
s Marconi. — On lit dans le Journal du Loiret : « Hier vendredi, la commune d’Ormes 6tait mise en émoi par une descente de ju
L’Orléanais est la terre classique du marcou. Dans le Gâtinais, toute commune un peu bien posée a son marcou. Si vous êtes né l
’est toute une lépro-série qui vient camper en semaine sainte dans la commune d’Ormes. On voit jusqu’à 400 et 500 malades se pr
ersonnes, et qui allaient jusqu’à représenter des jeunes filles de la commune comme ayant eu des relations fntimes avec des hom
re et prémédité. D’ailleurs ne parlons plus des actes qui nous sont communs avec les animaux. Pour produire une œuvre d’art
sous l'empire d’un doute préconçu, les autres sous l'empire d’une foi commune . Or, une idée qui s’empare vivement d’une foule,
ents de la terre, des hommes s’assemblent en même temps pour fêter en commun l’heureux anniversaire de la naissance de Mesmer.
ésente un spectacle imposant, c’est celui d’hommes réunis par une foi commune pour glorifier leur symbole, pour proclamer haute
is, se répandre sur toute la surface du globe terrestre, notre patrie commune ! Ce toste, et quelques heureuses expressions de
aux amis inconnus qui, au delà des mers, fêtent en ce jour le maître commun . « Parmi les vœux que nous leur adressons, nul
r plein de foi et d’espérance ; du fond de la vieille Europe, la mère commune , l'aima parais, des amis vous suivent et vous adm
ces de sorciers russes. n Les sorciers, en Russie, ont un caractère commun qui consiste dans la singularité de leur costume
ne change rien à leur nature ; ils sont identiques. Leurs caractères communs sont l'oubli au réveil et la clairvoyance. Tout
r animale est inévitablement inesmérique, il eût compris le phénomène commun à ces deux agents des sécrétions activ ées, et la
même temps des spectateurs qui ne connaissent pas un phénomène aussi commun , et placez-les de manière qu’ils n aperçoivent qu
dangereux pour les mœurs ? Parce qu’ils sont l’école d’amour la plus commune ; parce qu’ils furent le plus souvent l’origine d
te nouvelle lumière, des hommes en grand nombre, mus par une croyance commune , répandent dans le monde la précieuse découverte
o) la femme Mazetin (Jean), métayère au village de l’Armurey, dans la commune d’Hurcssans. J’arrive chez elle à huit heures d
utes de silence entre chaque mot) qu’une vieille sorcière de Ca-pian ( commune voisine) doit venir à minuit pour la frapper, et
re répétées que par certains individus d’organisation privilégiée, le commun des martyrs ne peut s’aider de la voie expériment
loin d’être formulé d’une manière uniforme, mais qui a pour croyance commune le commerce avec les âmes des morts. Dans les vil
lités civiles, militaires et ecclésiastiques de Bourg-Argental et des communes voisines, qui se rendirent en foule chez mon père
heures elle soupait; après le souper, elle se rendait dans une pièce commune , dite lingerie, où se trouvaient constamment plus
pos, — je ne sais parfois s’il n'eût pas mieux valu pour moi l’erreur commune ! O Vérité, ta possession est un fardeau, car l
étonna qu'un homme aussi élégant que le docteur portât un vêtement si commun . Il regarda par le trou de la serrure et vit une
t tombé îi la renverse sur le dos. A la suite de cette chute la masse commune des muscles sacro-lombaire et très-long du dos de
e de mes confrères une fois par semaine, afin de pouvoir apprécier en commun les changements survenus, régler les magnétisatio
ère, je ne puis écrire les choses les plus simples d’après les règles communes ; il me faut, comme les oiseaux chasseurs, décrir
PAR UNE SOMNAMBULE. « Le sieur Guerand, cultivateur au Buissonneux, commune de Gazeran, s’aperçut, le lundi 8 août dernier, q
la rétine de mon œil ; il ne se manifeste pas à moi par la propriété commune à tout objet matériel d’affecter les sens, le cor
series, j’ai encore beaucoup à dire; je dois signaler à tous l’ennemi commun , le nommer même ; j’irai le chercher dans sa chai
77 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
re botte Chantilly, rigide, et surtout les grandes bottes à l'écuyère communes à la garde républicaine et à Saumur, dépassent au
types et des paysages japonais exécutés au cours de ces promenades en commun par l'artiste, fournirent au savant une illustrat
tence, tout au moins de rendre service à la société par un travail en commun dans une colonie d'adultes. On favorisera le plus
ravail, mariage, etc. Des établissements reçoivent et font vivre en commun tous les anormaux. Cette promiscuité parait dange
ela que les hommes de science doivent se réunir et constituer un bien commun des résultats de leurs études personnelles. C'est
es, professionnelles ou techniques, de se réunir et de délibérer en commun sur des questions qui intéressent tous ceux auxqu
ales, professionnelles ou techniques, de se réunir et de délibérer en commun sur des questions qui intéressent tous ceux auxqu
ous avions sur l'hypnotisme et la psychothérapie des idées absolument communes . J'espérais avoir, quelque jour, l'occasion de le
ux spéciaux qui sont sous la dépendance d'une affection générale très commune , l'hystérie. Tous les troubles de la sensibilité
e : Sic agendurn est, ne quid nobis inopinatum sit. Le zèbre a de commun avec la grande majorité des hommes qu'il ne conna
sionnel si plein d'avenir. Tous sont unis pour travailler à une œuvre commune , la grandeur de la patrie, ce capital moral que n
à recevoir les malades qui ne font pas d'objections au traitement en commun . Les nouveaux malades sont soumis à un examen r
nse XIII, le Dr José Grinda (de Madrid) qui, sur l'entremise d'un ami commun , a multiplié les recherches avec un zèle dont je
apprendre un travail manuel, le préparer si possible à la vie sociale commune ; 2° Sélectionner les enfants de façon à combat
, en même temps, le sentiment de sa dignité morale. Cette tendance, commune à tous, plus fréquente encore chez les débiles, à
le patient surtout au moment de son premier sommeil. Une vision assez commune est celle du sang ou d'une scène sanglante quelco
cider qu'un interné a cessé d'être aliéné et doit être rendu à la vie commune . *** A vrai dire, M. Ballet consent que l'exp
dit que si l'on doit penser avec les savants, il faut parler avec le commun ? Mais le mot responsabilité n'est pas dans la
veau, empêchant ou diminuant leur adaptation aux méthodes d'éducation communes et réclamant l'intervention de l'hygiéniste. On
et les représentants de l'autorité pédagogique élabore- raient en commun le programme, l'horaire, le temps des études, des
possède en son entier le faisceau d'idées morales qui sont l'attribut commun des individus normaux : elle a aussi pleinement l
res trouvent un terrain d'union, favorable à l'étude de leurs travaux communs , l'idée d'Henri Bouley est en partie réalisée. Le
veries extra scientifiques ; c'est aussi un même dévouement à l'œuvre commune : l'instruction des intelligences et l'éducation
haute fantaisie parce que nous y travaillons sans posséder la moindre commune mesure. Et en vérité, si nous voulons bien examin
iffusion des erreurs les plus regrettables. Le mysticisme n'a rien de commun avec la science. C'est un réel service que vient
et de vaquer à des occupations faciles et de continuer à mener la vie commune : « Tueri mediocrilatem officiorum et utfce commu
eurs études médicales. Fréquemment applaudi,- il a redit leurs débuts communs , leurs espérances d'alors. Il a terminé en le fél
les plusdiverses.il ne faudrait cependant pas tomber dansl'erreur si commune qui nous porte k juger les mœurs anciennes avec l
ressent aux questions d'enseignement, de se réunir et de délibérer en commun sur des questions qui intéressent tous ceux auxqu
l, est une névrose dont les accidents très variés ont pour caractères communs : a. de ne pas être sous la dépendance directe de
part légitime de chacun et à veiller à la conservation du patrimoine commun . Mais l'élargissement progressif de la cité ne
e soit pas certain que les affections nerveuses et les dyspepsies, si communes en Amérique, ont cette cause comme principale, ce
78 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
s d’une autre science, parce que toutes sont des anneaux d’une chaîne commune qui lie le monde moral au monde physique, l’espri
, du nord au midi, poursuivent avec des tempéraments divers une œuvre commune . Soyons justes : le nom de Mesmer doit briller
224.) — Ici-bas tout est le produit d’une substance ¿¡Itérée t base commune de plusieurs phénomènes, connus sous les noms imp
septembre il se manifesta chez elle une dia-thèse hémorrhagique assez commune chez les jeunes femmes enceintes d’un premier enf
le plus extraordinaire. Angélique Cottin, âgée de quatorze ans, de la commune de La Perrière, est devenue depuis quelques jours
Obseivation faite sur Angélique Cottin, du village de la Muzerie, commune de La Perrière (Orne). Chaque jour un nouveau f
s, après le déjeûner. Obligé d’isoler cette pauvre enfant du guéridon commun qu’elle bouleversait, en dépit de ses propres eff
i, la fran-liise. On ira jusqu’à vous plaindre de partager dos rieurs communes ; votre résistance passera pour déraisonnable ; so
- Obseivation faite sur Angélique CoTTlN, du village de la Muzerie, commune de La Perrière (Orne). §»• Les prodiges des tem
és par l’arome émané de la source, arôme qui n’a aucune action sur le commun des hommes. » 1692 fut, en France, la plus bril
ent s’y trouver. « M. Chatelard , en arrivant sur les confins de la commune de Flacé, nous a donné une preuve péremp-toire de
une source abondante qui ne tarit jamais et alimente le lavoir de la commune . « Il existe, dans une partie de la propriété d
que. Mais ce qui est remarquable, c’est la bifurcation de la bagucl'e commune & tous. (H. G.) talent de notre hydroscope,
et, avec infiniment d’esprit, avait eu toute sa vie la faiblesse, si commune à la cour des enfants do Henri II, que Catherine
de pouvoir contempler en ce .jour solennel les traits de notre maître commun . » M. Gauthier, tout en recevant sa part méritée
e M. Gauthier, a terminé son toast de cette manière : a A notre ami commun ! « A notre maître... à beaucoup d’entre nous!
TIQUE (1). Une vérité physique que les sens peuvent saisir, qui est commune à tous, qui existe en tout lieu, a-t-elle besoin
our continuer son existence. Cette tendance forme le principe inné et commun à tons les individus de l’espèce, lequel, se fais
onsommée. Les conditions qui ont réalisé cet acte sont générales et communes à toutes les actions quelconques; et elles sont s
s peut se rétablir, et que la santé se raffermit. Un culte général et commun , dont l’objet serait la contemplation des perfect
ujet, l’aimantation animale : « Dans la lettre que j'ai adressée en commun avec M. Lafontaine, et qui a été lue à la dernièr
ents, des croyances , des aperceptions de foi, est non-seulement plus commun , mais même est un état habituel et normal. I)c
les répéter, en vérifier l’exactitude. La propriété magnétique étant commune à tous ces laits doivent se reproduire entre les
à l’individu ost l'intérêt. Il est donc une propriété constante et commune à tous les êtres doués du sentiment de l’iutérêt
s ne sont dirigées que par les motifs. Le motif est soumis aux lois communes du mouvement. Il agit en raison composée de la pu
elle'est mise en mouvement par un consensus énergique, par un besoin commun profondément Senti, le moi individuel disparaît,
placés à sa périphérie et tend à les mettre en rapport avec le centre commun . Il en résulte une influence épidémique, se propa
’imagination et de sentiment; le culte du génie devient leur religion commune : or, dès qu’ils se comprennent par l’âme, ils s’
ez, chers amis, d’un conseil salutaire ; Pour n’obéir trop tôt à la commune loi, Gardez-vous, s’il se peut, du triste minis
l’incompréhensible; le réel, l’exact n’a que peu de puissance sur les communes intelligences. Et c’est ainsi que les prêtres ont
ent, On lui fera observer qu’ils sont doués par la nature, notre mère commune , des mêmes sensations; qu’ils aiment autant que l
ue synthèse de l’univers, n'hésite point à conclure que l’éthcr, fond commun des êtres, est l’unité première dans laquelle tou
aré le mal qu’ils ont fait à la science ? La science ! qu’y a-t-il de commun entre elle et eux? Celui-ci qui traite Mesmer de
e grandes différences dans les résultats. Sentir les maux est la plus commune faculté. Autre chose est voir les événements et l
79 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'homme; il la décrivait avec soin; il montrait les phé- nomènes communs à la femme et à l'homme, établis- sant l'identi
entant toutes les grandes manifestations de l'hystérie sont moins communes chez l'homme que chez la femme. Toutefois, j'en
ibilité, nous devons réunir des faits exceptionnels en tous cas peu communs . Mais est-il impossible que si nous observions
ble que la proportion fût renversée et que ce qui était rare devînt commun ? Ne pouvons-nous nous trouver en présence d'in
oubles de la sensibilité (analgésie surtout) sont infiniment plus communs que chez nous. C'est encore que s'ap- puyant su
hes eux-mêmes la sobriété est extrême et le jeûne rigou- reux est commun . Il serait bien intéressant de savoir d'une faç
-ben- Larbey me dit seulement que la douleur de ventre était très commune chez eux dans l'intervalle de leurs exercices.
rd, sauf les grandes villes, les spec- tateurs généreux sont si peu communs , que les troupes ont de la peine à se procurer
et P. BRICON. Il. Historique. L'épilepsie procursive, quoique peu commune , a déjà été signalée depuis longtemps; nous avo
nifester quelquefois par des phénomènes isolés ? Il est' même assez commun de rencontrer des cas de contracture spasmodiqu
paysans des villages d'alentour avec lesquels ils vivent d'une vie commune en les aidant dans leurs travaux agricoles. V
frais de transport du malade dans l'établissement tomberont sur la commune (Zemstwo). Lerapport veut défendreaux parents de
MM. Charcot et Richer ne se sont pas bornés à enrichir le domaine commun d'un grand nombre d'oeuvres d'art précieuses à
soeur ; si, enfin, ce parent rapproché a avec le malade un domicile commun , et lui donne personnellement ses soins; dans c
s, le ministère public est là ! Est-ce que vous croyez que dans une commune on ne sait pas vite si un aliéné est séquestré
istre de l'intérieur ont examiné l'article 8, et se sont arrêtés en commun au texte que voici. M. le président vient de do
aliénés et autres dépenses en vue desquelles est constitué le fonds commun prévu par l'ar- ticle 48 de la présente loi ;
le 48 de la présente loi ; « 6° Les bases générales du concours des communes à la dépense des aliénés indigents et les règle
igents et les règles à suivre pour appliquer ces bases aux diverses communes et fixer la proportion du concours à exiger d'e
rbé ni liquides ni solides, à la suite d'une de ces contrariétés si communes aux enfants de son âge, elle se mettait à pleur
10° A Troyes, les cabanons sont dans un bâtiment isolé qui leur est commun avec les vénériennes. A cause de cette dispositio
ation dans des bâti- ments éloignés du reste de l'hôpital, dans des communs , à côté d'écuries, de telle sorte que le malade
MONOPLÉGIES PARTIELLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 1 j ! ) soient les plus communes parmi les paralysies psy- chiques d'origine tra
LOGIE MENTALE. première fois par Gubler, n'ont absolument rien de commun avec la paralysie générale; elles sont d'une to
nt d'être fusillé. Un médecin avait couru le même danger pendant la Commune , et n'avait échappé que par miracle. Un négocia
employé de commerce, quarante-cinq ans. Terrible frayeur pendant la commune , a failli être exécuté. Quelques an- nées après
.), observés fréquemment après les accès, sont relati- vement peu communs . Nous devons à l'obligeance de M. Cullerre, méd
gnet et des premières phalanges sont à l'état de tension (extenseur commun des doigts, extenseur de l'in- dex et du petit
éricains le 6 août 1825 à Halfruoon, il fit son éducation à l'école commune , à l'Académie de Bellefonte et au Déckenson Col
éralisées et anesthésie sur tout le corps. A côté de ces caractères communs , dans l'attaque du premier type, l'ouïe et la p
ment. M. Morvan, du Finistère, a vu, durant quelques années dans sa commune et les deux voisines, ayant une population de 5
dans l'autre alternativement; elles présentent nombre de symptômes communs (allures des pupilles, des réflexes, et autres
t du tribunal, le procureur du roi, le juge de paix, le maire de la commune , sont chargés de visiter les établis- sements p
t du tribunal, le procureur du roi, le juge de paix, le maire de la commune , sont chargés de visiter les établis- sements p
80 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sidence de 31. Ballet. Hémiplégie avec paralysie du moteur oculaire commun du même côté et troubles splainctériens. 11.
rome,) ! . Mas- selon analyse les troubles élémentaires de l'esprit communs à tous les états mélancoliques. Il s'adresse po
nommera un Comité international qui tâchera d'as- surer à l'oeuvre commune la coopération des Gouvernements des différents
e nombre des victimes annuelles de la syphilis dans les différentes communes et les différents Etats. - 6. Comparaison entre
nt le terme, plus prononcé que normalement, du processus anatomique commun , d'ori- gine toxique, de désintégration et d'at
le tabès : il est naturel que le larynx n'échappe point à la règle commune . La perturbation du réflexe de la toux s'expliq
ainsi sous ce terme des affections disparates dont le seul symptôme commun est la brièveté relative des mem- bres. Il y a
contribuer au paiement du prix de la pension, aux départements, aux communes et aux associations charita- hles,ll'accorder d
ève presque toujours non seulement d'une prédisposition héréditaire commune aux deux jumeaux, mais d'une hérédité très lour
on, dirons-nous,s'ils le sont, sous l'influence de causes subies en commun perdent la rai- son ensemble et au même moment,
ité d'apparition du délire chez deux jumeaux. En dehors de la vie commune , disent-ils, on peut voir survenir chez deux su
trois conditions, une quatrième, qui ne lui est pas spéciale, mais commune à toute vésanie iden- tique des jumeaux est à a
Cet aliéniste insiste et soutient que sans doute rien n'est plus commun que de voir le même genre de folie se dé- velop
I. 18 274 , étude CRI-] IQUE. épreuve normale de L. ont cela de commun que la sures- timation du temps normal augmente
alors quand l'essai relève des empêchements intérieurs. Le trait commun qui distingue l'influence du brome dans les dif
culeuse en Irlande, pays de misère où la consomption pulmonaire est commune ; en 1899, sur une proportion de 10.000 décès p
rès Désirée et Gallemaërs dit-il, 1.400.000 « habitants des grandes communes fournissent par an « 5177 décès parsuitedetuber
rait lieu à un échange dans les prestations, ou bien à une ac- tion commune (fondation d'Instituts, de maisons de travail,
atronage coordonnent leurs efforts afin de mieux atteindre leur but commun . (Mme Marie, MM. MERLO et Ladame.) Le Congrès
quel' aux aliénés. La formule remplie par le médecin officiel de la commune est transmise à la direction de la colonie, qui f
'incurables dans le département et aussi par mesure d'économie, les communes ont une tendance de plus en plus pro- noncée à
de ces congés, il en résulte pour les charges du département et des communes un allégement qui, tout mo- deste qu'il soit, n
faire récemment de grands travaux pour dégager la fosse d'ai- sance commune aux agités et aux gâteux; elle regorgeait les j
ans les hôpitaux aux mêmes comblions que les malades ordinaires. La commune d'origine, en cas d'indi- gence, paiera les fra
ne retrouve plus rien. ' 3 mai. Il ne peut suivre la prière dite en commun , l'am- nésie antérograde est si prononcée qu'il
bonique, jointe à l'existence d'une déminéralisation excessive, est commune aux états de déchéance qui précèdent la tubercu
ontient une salle de douze lits, une chambre d'isolement, une salle commune et une salle de bains. Le chauffage à la vapeur
se est donc fréquente en Egypte et la syphilis est notablement plus commune chez les les aliénés de cette catégorie que che
, atteinte de la manie de la propriété, prétend que la moitié de la commune lui appartient. Elle se rend fréquemment chez l
» ? sept. 1906.) / Une Descente de Justice. A la Ronce, en notre commune , habitaient les époux Chény, le mari, âgé de 48
, vers deux heures et demie du matin, l'alarme était donnée dans la commune de lireuil-le- ver (Oise). Le feu venait de se
ué quelque rôle dans l'éclosion de la névrose. Elles ont une souche commune : l'arthritisme. Cette seconde observation est
, d'une part, s'il s'agit d'une personne soumise ou non au ré- gime commun , d'autre part, si ladite personne avait été l'obj
Arcliivesdc Neurologie, 1) lé)1 1 VARIA. l'adoption des mesures communes de patronage, d'assistance, de protection et de
t de mendicité et l'asile annexe ont-ils leurs bud- gets et comptes communs ou distincts ' ! 3° Un quartier d'hospice, d'as
t Galezowski, p. 49. Hémiplégie avec paralysie du moteur oculaire commun du même côté et troubles splunc- ténes, par C
81 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
par le Dr Collineau (1) Le livre de noire collaborateur n'a rien de commun avec un traite élémentaire d'hygiène scolaire. C'
procède lui-même. Nous savons d'ailleurs qu'un des travers les plus communs de l'esprit humain consiste à dédaigner les arts
saisissante analyse avec la sensibilité a la pression de l'ovaire, si commune chez la femme en pareil cas la réduction du champ
raient être mis en cellule et quels détenus devraient être laissés en commun , sélection sur l'importance de laquelle j'ai déjà
signifie somnambulisme provoqué. En général, d'après l'acceptation commune l'hypnotisme est un somnambulisme provoqué par de
ns ce rapport, à résumer le plus brièvement possible leurs caractères communs les plus habituels, en formulant quelques conclus
essions intellectuelles, émotives et instinctives, ont des caractères communs que l'on peut résumer ainsi : 1° Elles sont tou
irmières laïques qui rivalisent de zèle et de dévouement pour le bien commun de l'établissement. Buvons donc au personnel tout
is ici, quelle que soit la diversité de leur origine, dans une pensée commune de fraternité et de solidarité scientifique. Je
ur les autres ? Tout le monde se plaît à reconnaître que la prison en commun est un système détestable, que les détenus se cor
ne certaine mesure et dans certains cas. Dans la forme apoplectique commune de l'hémorrhagie cérébrale, ce n'est ni dans la p
ropathes et d'aliénés où les idées de malice et de méchanceté sont si communes . C'est ainsi que j'ai pu constater que d'autres
'hui cette espèce morbide devient tout simplement un élément morbide, commun à bien des choses, notamment à beaucoup d'intoxic
cette hystérie toxique ne ressemble pas, c'est certain, à l'hystérie commune , à L'hystérie des anciens auteurs (c'est ainsi qu
ver ;ct, bien que plusieurs des symptômes qu'elle présente lui soient communs avec l'alcoolisme, cependant je n'ai ici en vue q
ver, je vois une réunion de gens indifférents et habilles d'une façon commune . Je veux diriger ce réve et le transformer en reu
mal, lèvent les derniers scrupules et proposent de tenter un coup en commun pour se tirer de la misére. Veut-on un exemple?
e et la force morale (2).» Voici, en effet, ce qui se passe pour le commun des criminels. Un individu (1) Emile Gautier. L
pe franchie, il passera, lors d'une seconde condamnation, au quartier commun , où l'on a des amis et où l'on est plus malheureu
ste de Strasbourg, a raconté le fait suivant qui s'est passé dans une commune des environs de Strasbourg: une histoire de sorce
Mohammed Toghlak avait évidemment un caractère d'une profondeur peu commune . Accompli, appliqué aux affaires, ferme, brave et
sité des castes et de l'antagonisme de religions rivales, une entente commune de tout le peuple est difficile sinon impossible.
é qu'à des aliénés incurables et inoffensifs, pouvant vivre de la vie commune , et n'ayant aucun bénéfice i tirer des soins les
ière séance d'hypnotisme, elle put marcher, sortir et vivre de la vie commune . Plus tard l'engourdissement revint. L'hypnotisme
fortement et inopinément impressionnés par tel ou tel fait de la vie commune ; une nouvelle nous a émus jusqu'aux larmes, une p
ciles, qu'elle conduit avec une activité fébrile et une dextérité peu commune . L'intelligence et la mémoire sont plus affinée
une chaîne ininterrompue de phénomènes reliés entre eux par un lien commun : l'état de dégénérescence des sujets. Cette thès
ait des excès d'absinthe. Il a été fusillé pendant les affaires de la Commune . Une sœur, névropathe, d'une intelligence, au-d
autre, L... a présenté quelqu'une de ces obsessions ou impulsions si communes chez les émotifs, et qui le font rentrer mieux en
Chez le mélancolique simple, elles ne sont pas à beaucoup près aussi communes , et, en tout cas, elles n'ont pas le même caractè
voir la vérité, puisque tous les journaux du temps l'ont publiée. Les communes oui désiraient ma conférence s'inscrivaient au bu
observations présente un air de famille, qui démontre, a priori, leur commune origine; troubles fixes et persistants des sensib
sens, particulièrement de la vue et du goût, tels sont les caractères communs à tous ces malades. (1). D'autre part, l'examen d
re confondu avec la raie méningitique ou typhoidique, car il n'y a de commun entre eux que la teinte érythéma-teuse qui suit i
cette circulaire, la science ne devrait désormais plus avoir rien de commun avec la médecine maritime et cela A tous les degr
. 45) HJELMANN Une épidémie.-d'extase religieuse hystérique dans la commune de Nilsia, (Finsk2 Iskar Handlingar XXXI.) n°6. J
ot. Binet, etc. se rencontrent aussi dans des états qui n'ont rien de commun avec celui-là. C'est donc à l'étude de l'esprit q
réac- « lions qui constituent les phénomènes conformément à la loi commune « générale de l'équilibration, c'est à-dire de la
82 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
géné- rales ou continues. .Les premières sont peut-être les plus communes : les ma- lades perdent une certaine catégorie
ne- ments dont le souvenir est perdu sont réunis par un caractère commun : ils appartiennent tous à une même époque, à une
uand elle s'interroge elle-même. Ces circonstances ont un caractère commun : le souvenir semble disparaître toutes les foi
uelque autre opération cons- ciente. Ici encore il y a un caractère commun : le souvenir se présente quand la conscience c
ez chacun d'eux indivi- duellement une hallucination qui leur a été commune et qu'ils ont racontée en des termes presque id
mique et maxillaire supérieur des deux trijumeaux, des oculomoteurs communs , des pathétiques des deux côtés : de là l'ophth
aurait lieu de construire dans ce but des hospices à la charge des communes ou, en cas d'insuffisance de ressources, des dépa
l con- viendrait que les départements (Loender), venant en aide aux communes , ' M. Gauster en sait quelque chose, puisqu'il
nce des aliénés. Les asiles d'aliénés actuellement hospitalisent en commun les personnes qui présentent des troubles intelle
tablissements un local spécial ou des locaux spéciaux. L'assistance commune des épileptiques et des idiots ressort éga- lem
ne pierre de touche qui indique que la thérapeutique doit leur être commune . On les éduquera en commun ; on leur dispen- se
que que la thérapeutique doit leur être commune. On les éduquera en commun ; on leur dispen- sera le même enseignement pro
ile de groupes déterminés, et que, par conséquent, sous l'influence commune des mêmes médecins, des mêmes administrateurs,
s épileptiques, on n'en fera point l'enseignement ni l'éducation en commun ; il vaudrait mieux réserver aux premiers des ét
illière et fils, édit. L'auteur a entrepris de grouper en une étude commune toutes les données, dès longtemps accumulées su
peines du monde à s'em- parer du forcené qui, doué d'une force peu commune , frappait à tort et à travers sur tous ceux qui
en forme de scotôme scintillant ont succédé à des accès de migraine commune , et l'ont en quelque sorte remplacée ; c'est-à-
uvent d'hémiopie partielle, tandis que dans la migraine ophtalmique commune l'laémia-' nopsie totale est plus fréquente.
oyau du glosso-pharygien, de l'oculomoteur externe, de loculomoteur commun . B. Dans la substance blanche. 1° Sclérose du f
eau, du moteur oculaire externe, du pathétique, de l'ocu- lo-moteur commun , dégénérescence des faisceaux pyramidaux REVUE
otrices du système nerveux ; paralysie bilatérale de l'oculo-moteur commun , du pathétique, de l'oculo-moteur externe, du f
normité, sorte de délire des grandeurs mélan- colique. Bien que peu commun , ce délire des négations devient d'autant plus
vérité clinique. Parmi les mélancolies il est des formes anxieuses, communes , curables, et d'aulres présentant le tableau clin
« réforme de lerrus a. Renaudiu ' a nettement résumé notre opinion commune surce point : La création d'une ferme dans un a
se manifeste sous l'influence de la maladie de Basedow. Ce fait est commun à bien d'autres cas; mais ici il y a quelque ch
n peut le déterminer dans cette formule : Faire rentrer dans la vie commune des sujets voués à l'existence la plus misérabl
essus celle-ci trois ou quatre couches de bandes imbibées de plâtre commun de Paris, comme un bandage « récur- rent », sui
ment tout ce qu'il lui est arrivé. Cha... depuis douze ans fait vie commune avec une femme pour laquelle il a beaucoup d'af
tremblement des membres figurent bien parmi les manifesta- tions communes des états émotifs; mais nous ne voulons pas pou
stérique; elle a donc remplacé graduellement la céphalée qui est si commune dans la grippe ; ce fait de phénomènes hystériq
ue pendant celle-ci Fiq... prenait une attitude qui lui devait être commune , comme elle l'est à tous ceux qui souf- frent d
ormes de ce trouble, pour les mettre d'accord avec leurpatho- génie commune . ' Plusieurs cas, entre autres celui de Dianoux
puis longtemps. Mais, quand deux faits présentent quelques points communs , ce n'est pas une raison pour les confondre. Pré-
lsifs. Voilà beaucoup d'actes conservés ; quel est leur caractère commun ? Ce sont tous des actes automatiques, et les act
nnants, au contraire, une fois soustraits aux excitations de la vie commune et soumis à un régime disciplinaire régulier s'
aliéné persécuteur est destiné, en somme, à être soustrait à la vie commune et placé dans un asile pendant la période la plus
NDEL. - Sur les soixante-huit observations en question, j'en ai, en commun avec Oppenheim, examiné dix-sept; bien d'autres
l'oculo-moteur externe. Dans la région du noyau de l'oculo-moteur commun , l'atrophie portait sur les groupes de cellules s
tance grise centrale. En ce qui concerne le noyau de l'oculo-moteur commun , le mieux est de le séparer en deux régions : u
t pas certain qu'il soit en rapport avec le noyau de l'oculo-moteur commun . · . Quant aux rapports du noyau du pathétique
oint du tout la continuation du premier. Le noyau de l'oculo-moteur commun commence, au niveau de la constitution, du noya
es ranger dans les caté- gories connues (chorée d'Huntington chorée commune - ataxie de Friedreich myoclonie- chorée électr
83 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
e, fébrile et se termine par l'état comateux, il en est d'autres plus communs où la maladie évolue chro* nîquement pendant des
gnées, sa mère morte, telles sont les conceptions délirantes les plus communes . Nous excitons alors les organes des sens et no
ogues, ils n'importent pas moins aux patholo-gistes. Leurs caractères communs sont surtout d'ordre psychologique, puisque tous
riable dans ses manifestations extérieures. Il y a cependant un trait commun à tous ces cas, c'est que dans le délire l'initia
ans la description est basé précisément sur l'existence de ces traits communs qui les unissent. Il nous semble incontestable, d
u système nerveux, t. III, p. 357. cèdent, en tout cas, dans la vie commune ainsi que dans un songe, plaçant sur le même plan
és l'un de l'autre, sont encore rattachés l'un à l'autre par un fonds commun . Dans l'état B, en effet, il reste de l'ancienne
ntes en apparence, délire et vigilambulisme, ont cependant pour trait commun de se développer entre deux attaques hystériques.
ervation de la connaissance ; des crises de dyspnéed'une violence peu commune ; une paraplégie complète; et, à diverses reprises
ciles, qu'elle conduit avec une activité fébrile et une dextérité peu commune . « L'intelligence et la mémoire sont plus affin
re, ni toucher du piano. La mémoire des choses et des objets les plus communs est perdue et les mots qui les désignent ne révei
blent parfaitement éveillés ; ils procèdent, en tous cas, dans la vie commune ainsi que dans un songe, plaçant sur le même plan
quand on lui parle de la guerre de 1870-71, du siège de Paris, de la Commune . Elle ignore absolument tout cela. En ce qui co
lle manière que ces deux affections semblent se rattacher à une cause commune qui leur servirait de lien, cause commune sur la
nt se rattacher à une cause commune qui leur servirait de lien, cause commune sur la nature de laquelle nous nous expliquerons
é consiste vraisemblablement dans un trouble de la nutrition, trouble commun aux manifestations arthritiques et aux manifestat
pas soutenable, car, si parmi les accidents nerveux quelques-uns sont communs au tabès et au diabète, il en est d'autres, comme
rd'hui que le diabète et le tabès offrent un certain nombre de signes communs sur lesquels il est impossible de tabler pour éta
mes propres à chacune d'elles qu'il faudra se baser. Parmi les signes communs , il faut citer : 1° Les douleurs fulgurantes. —
aveur du pseudo-tabes. A côté de cette première catégorie de signes communs aux deux maladies diabète et tabès, il en est une
° L'incoordination motrice. Les troubles de la démarche n'ont rien de commun dans les deux affections. Là il s'agit de la déma
i quelques accidents vésicaux peuvent s'y montrer \ ils n'ont rien de commun avec les troubles urinaires du tabès ; il est inu
ne recevant cependant une seconde innervation du nerf moteur oculaire commun . Les examens microscopiques ont montré qu'à des
it à rendre compte de l'intégrité de la septième paire. Dans le noyau commun , la partie dévolue au moteur oculaire serait situ
n émanent; celles-ci entourent d'une boucle ouverte en avant le noyau commun , et c'est à la partie postérieure de ce noyau qu'
t indemnes, et que, de plus, les parties postéro-inférieures du noyau commun n'ont pas été envahies. Les vertiges dont le ma
yngés des hystériques, ils présentent un certain nombre de caractères communs sur lesquels, en manière de préambule, je veux ap
dives ^SSL êQKgntes. III. — Tels sont, Messieurs, les grands traits communs au groupe tout entier des bruits laryngés hystéri
point sur lequel tous les médecins s'entendent depuis longtemps d'un commun accord, et l'intervention récente du mot de « sug
laires dans le —, 314, 332; Influence du tabes sur le —, 325 ; Signes communs au tabes et au —, 330 ; Association du — avec la
res dans le —, 314, 332 ; Influence du — sur le diabète, 325 ; Signes communs au — et au diabète, 330; Statistique des cas de —
84 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
as et de la mi-caréme (1 20 enfants) suivis d'exercices de danse en commun avec les filles à la Fondation Vallée ; deux ma
ements, lorsque leurs parents sont domi- ciliés à Paris ou dans une commune de la Seine depuis 3 ans, tout en ne réclamant
la masse demi-dure, compris transport et Agrandissement. LXIII La commune de Gentilly, à qui le projet a été sou- mis, a
ajourné cette question surtout en prévision de la séparation de la commune . Si cette séparation est pro- noncée et nous le
noncée et nous le regretterions il y aurait lieu d'examiner si la commune du Kremlin s'arrêterait au chemin de l'IIay, la
chemin de l'IIay, laissant en dehors la Fondation, ou si la dite commune descendrait jusqu'à la rive droite de la Bièvre
dernière délimitation. Alors, la question de la participation de la commune nouvelle, le Kremlin- Bicêtrc, ne ferait pas de
e ferait pas de doute, les doux établisse- ments étant dans la même commune qui en retire de sérieux avantages. L'adminis
t calme au point cle vue génital, dans les derniers temps de la vie commune sa conduite était devenue tout à fait irréguliè
. 3° Nous avons fait faire un certain nombre de tableaux, les uns communs à tous les enfants, les autres spéciaux à certa
autres spéciaux à certaines catégories d'entre eux. Les tableaux communs sont les suivanls : a) Tableau de la températur
d'alcooliques pouvant contenir Ô00 hommes; 3" de services généraux communs aux deux établissements. Quelques jours plus
rvés aux alcooliques. Dans cet asile les ser- vices généraux seront communs : c'est absolument comme si on ne faisait rien.
asiles d'aliénés... III. Les services généraux ne doivent pas être communs à un asile d'aliénés et à un hôpital spécial d'
ant, à côté d'eux, un asile d'aliénées avec des serin- ces généraux communs , en raison aussi des plaintes qui ne manqueraie
erait et les services généraux pourraient, sans inconvénients, être communs ». Il faudrait donc trois quartiers différents
85 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
'à droite, du reste normale. Les noyaux des nerfs moteurs oculaires communs ainsi que leurs filets radiculaires sont normau
s. De tous les nerfs crâniens l'abducens et le nerf moteur oculaire commun en partie furent seuls troublés dans leurs fonc
un tonneau fait les frais de l'orchestre. Un homme et une femme du commun exécutent une gigue pesante, balançant en caden
de l'examen clinique des cinq malades, groupe les traits essentiels communs , rappelle quelques détails anatomo- pathologiqu
es muscles de l'éminence thénar,le petit palmaire et le fléchisseur commun . Cubital. - Pas de DR ni à droite ni à gauche.
l'éminence thénar ; elle avait presque disparu dans le fléchisseur commun superficiel. Radial. - A gauche, DR encore très
ans le long abducteur du pouce, le cubital Rosteneur et l'extenseur commun des doigts. Les traces de DR cons- tatées dans
, il y avait 1 paralysie totale et complète du nerf moteur oculaire commun : chute de la paupière supérieure, strabisme ex
nterne du pied du pédoncule. Les noyaux des nerfs moteurs oculaires communs sont respectés. Les cellules du côté droit para
édonculo-protubérantielle (Méthode de Pal). B, Nerf moteur oculaire commun gauche, sain (Méthode de Pal). C, - droit, dégé
oncule droit, le foyer coupe à peu près toutes les fibres du moteur commun , et quelques fibres seulement du faisceau-pyramid
ET R. BENSAUDE leur sont propres, il en est d'autres qui leur sont communs avec desadéno- lipomes, tels que leurs oscillat
ifications de l'intel- ligence et de la mémoire sont beaucoup moins communes qué celles du caractère. On retrouve ces derniè
moins après la naissance ; en tout cas ces atrophies n'ont rien·de commun avec les agénésies totales du cervelet où cet o
ubissent un processus de destruction lente; il n'existe qu'un point commun avec le cas de Nonne, c'est la petitesse du sys
férents ; ou bien l'hérédo-ataxie cérébelleuse n'est qu'un syndrome commun il plusieurs affections familiales du système ner
e et peut-être les mêmes données étiologiques leur appartiennent en commun . Les atrophies généralisées sont le plus souven
ymp- t6mesdesplus caractéristiques, quelques-uns cependant lui sont communs avec les affections cérébelleuses, et parmi eux
du corps, la scansion de la parole, le nystagmus sont des symptômes communs à la maladie de Friedreich et à l'atrophie céré
s comme la manifestation d'une lésion cérébelleuse et s'ils sont si communs dans la sclérose en plaques t le, c'est qu'il exi
bien caractérisée, elle se ma- nifeste par le syndrome cérébelleux commun à toutes les atrophies cérébelleu- ses. Elle n'
tation de la pupille par compression de la racine de l'oculo-moteur commun , cette compression s'effectuant quand l'hémorrh
(région antérieure de la capsule), de paralysie du moteur oculaire commun (lésion des fibres radiculaires de III), d'aphasi
jectiles soit un peu différent suivant les cas, il présente ceci de commun que ce sont toujours à peu près les mêmes régio
est avec 410 GASNE l'arthropathie tabétique, bien des traits sont communs aussi bien dans la forme de l'ostéopathie que d
èvres, sterno-cléido-mastoïdien, splénius, extenseur et fléchisseur commun des doigts, droit antérieur, droit interne, jum
faradique est diminuée pour tous les muscles, sauf pour l'extenseur commun droit, le jumeau interne gauche et les deux jam
res, du sterno-cléido- mastoïdien, de l'extenseur et du fléchisseur communs des doigts ne présentent pas leur brusquerie no
t fatiguées d'ailleurs, témoignent de son désir de se distinguer du commun des paysans et semblent évoquer un passé plus p
hérissé de poils. Ceci ne témoigne pas seulement d'une aisance peu commune ; c'est aussi une preuve de la grande notoriété
ysie complète de toutes les autres branches du nerf moteur oculaire commun ; amblyopie congénitale de l'oeil gauche. Out
ix ans. Cette maladie commença par une paralysie du moteur oculaire commun gauche, avec la déviation du bulbe oculaire en
taire; on trouve seulement la paralysie isolée du mo- teur oculaire commun , cependant un processus dans l'orbite devrait p
nome des noyaux. Le fait que toutes les branches du moteur oculaire commun de gauche sont atteints ne peut pas exclure la
débuta, il y a déjà six ans, par la paraly- sie du moteur oculaire commun , se développa graduellement jusqu'au degré de l
ules cérébraux plus haut des fibres radiculaires des oculomo- leurs communs . - La désagrégation des fibres à myéline avec for
nettement sur le fonds jaune-clair un peu grisâtre de la coloration commune . La place de cette dégénérescence n'atteint pas
dromes pré- sententdans leur symptomatologie de nombreux caractères communs . En- fin ils peuvent se manifester sur le même
c ptosis, par suite paralysie probable du filet de l'oculo-moteur , commun qui innerve la paupière supérieure. ". A gauche
tinctivement exercé à suppléer par le facial intact à l'oculo-moteur commun paralysé et, il est arrivé aussi à produire à c
rconférence, le gau- che présentant 13 1 ? Poignet. - L'extenseur commun qui fait saillie à gauche chez le malade est ef
nquât et Eo. Grasset. Un cas de paralysie alterne de l'oculo-moteur commun avec aphasie, d'origine traumatique. Le Progrès m
la plupart du temps les myélites chez l'homme, sont des infections communes , banales (Ballet), secondaires (Grasset). Les i
cette manière de voir que Thoinot et Masselin ont retrouvé le coli commune dans la moelle quelques mois après son injectio
microbe de l'influenza, lesquels cons- tituent les agents les plus communs de la myélite aiguë. J'ai fait un assez grand n
'observation courante, l'écriture droite de la main gauche est plus commune que l'écriture en miroir. Que veut dire cette a
) paralysies complexes. a) Les premières (paralysies isolées) assez communes comprennent : 1° le ptosis congénital (très sou
. Iteubner'a, d'autre part, observé des névrites du moteur oculaire commun d'origine intra- utérine (peut-être syphilitiqu
ez notre malade de la dégé- nérescence physique et mentale, terrain commun sur lequel se développe si souvent la maladie d
86 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
6), dans un petit village du département de l’Yonne, La Cha- pelle, commune de Sennevoy. Mon père, comme ses ancêlres, y poss
assemblai mes idées pour les coordonner et saisir ce qu’il y avait de commun entre les faits que je venais d’ontendre raconter
ups de bec à qui veut le déposséder. Nos académiciens occupent un nid commun ; et lorsqu’un de ces rares oiseaux meurt, la plac
Mais je savais ceci, cela, puis encore cette chose. C’est un travers commun àbien deshommes, rien ne les en guérira; mais je
femme. « Ce sommeil, dit-il, ne pouvait être le sommeil ordinaire, commun à tout le règne animal; car l’homme, en cet état,
faire une certaine réputation dans la banlieue, et notamment dans la commune de, Bagnolet. Toutefois, les adeptes fervents qu’
s et leurs amers mépris, leur insulte de chaque jour, leurs bassesses communes , leur froide ironie, ces levains empestés ont pén
u-«. mette, dit le roi en se retournant du côté du pro-t cureur de la commune ; vous n’étiez pas ici du « temps de Mesmer, car v
u’il croit avoir été un cancer. 180 m“” GouiiiER, demeurant au Val, commune de Nogent. Depuis sept ans j’étais toujours malad
e, ni d’avoir des intentions pures; il lui faut encore un courage peu commun pour propager une vérité utile dont il est pleine
ières, mais qui a bien mérité du monde entier, en dotant notre patrie commune , le globe terrestre, des révélations humanitaires
ette heureuse influence, il voit tomber les entraves qui, dans la vie commune , posent des limites aux sens, et pour lui l'hor
lumière intérieure dont lame est !e foyer, el qui n’a certes rien de commun avec ces moyens de divination vulgaires indiqués
sont mutuellement enseignés par groupes; puis l’on passe à l’étude en commun des faits nouveaux signalés ou observés par les m
pt minutes à ma montre! Le surlendemain, 011 déposait dans la fosse commune un cercueil de jeune fille;..... deux petits enfa
toutes professions , amenés uniquement par une croyance scientifique commune . « La réunion était remarquable surtout par l’a
être au dehors ceux qui devaient s’asseoir fraternellement à la table commune . « Néanmoins, un mol prononcé par M. du Potet,
mai contient ce qui suit : «Depuis quelque temps, les habitants des communes qui environnent Paris étaient tour à tour visités
e présumée des personnes qui recouraient à son ministère. « Dans la commune de Mcrry (Seine-et-Marne) se trouvait un paysan n
ernay. RAPPORT SUR LA DÉCOUVERTE D’UN NOYÉ. Le fds du maire d’une commune voisine de Saron-sur-Aube conduisait un attelage
ureux jeune homme. I'rosper QUÉNARD. CERTIFICAT. Le maire de la commune de La Celle-sotis-Clianlemerle, soussigné, Cert
pas élé imposée par mon expérience personnelle seulement, elle m’est commune avec plusieurs savants dont la vie entière avait
traitant de leurs faits et gestes? la défiance n’est-elle pas l’arme commune des incrédules? TAXIL, d. m. 30 mars 1851.
ARIÉTÉS. Magie. — Un terrain était à vendre judiciairement dans une commune des environs de Paris. Personne n’y mettait l’enc
sorl. Le médecin fit venir cet homme, et, en présence du maire de la commune , il Tinter- rogea. Le sorcier avoua que, chaque
tre saoul, ce n’était pas une raison de le tuer de coups. Aussi, d’un commun accord, 011 courut le délivrer; ainsi fut mise en
uvelles avec des forces inconnues, font de votre domicile un domicile commun . Ah! vous cherchez la science! c’est bien; j’ai
notre ignorance profonde sur les choses les plus ordinaires, les plus communes . Que sais-je? n’est-ce pas encore la devise du sa
le magnétisme animal, nous le répétons, est un des éléments de la vie commune qui rempli! la nature, ou mieux, il est la nature
ne pouvez-vous tous rien contre la récidive, dont la fréquence est si commune qu’il est convenu, dans le monde, de regarder le
parce que la vie est usée par le mal ou par les remèdes, condition si commune aux mains des allo-palhes, mais parce que vos pas
nt par spiritus orbis n’était pas l’élément de l’air; il n’y avait de commun que le nom; c’était une substance beaucoup plus s
mpatiences, à l'inconstance de caractère cl aux caprices d’enfants si communs dans toutes les conditions, ont été cause que plu
es à croire au merveilleux. Qu’on sache bien que nous n’avons rien de commun avec ce que font ces lucides. Bien que nous admet
ucidité spontanée. — Non loin du village de Masseret, dans une petite commune , vit une pauvre famille de colons. Elle se compos
ants. Une sorte de mystère entoure la vie de ces gens qui habitent la commune depuis quinze ans, mais ne sont pas originaires d
outes chose; surprenantes et bien au-dessus de la portée d’une raison commune . Et n’est-ce point encore aujourd’hui de même che
el cours de la maladie. Eugénie Morel, fdle de l’instituteur de la commune de Grainville-Ymauville, est née en mai 1818, et
87 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
tants, et s’il veut sentir et voir, il doit cesser de vivre de la vie commune , et abandonner les plaisirs qui usent en tarissan
’empire des puissances électriques; mais tombant tous dans une erreur commune , ils attribuèrent à l’électricité positive les ph
il y a vingt-deux ans une fille jeune alors, qui demeure à l’Arrière, commune du Val-d’Ajol, en appliquant un puissant moxa sur
ur cette maladie : « Ce sentiment de « froid aux extrémités est assez commun à toutes les personnes « sujettes aux maux de ner
e n’en doute point, exige un dévouement sans bornes, une patience peu commune ; car les hommes sont aveugles. Ils vous méconnaît
trons chaque année des exemples : « Il y a quelques jours, dans une commune du Dauphiné, un conscrit s’approche de l’urne du
En dehors, et antérieurement à toute découverte, il est des croyances communes , des habitudes intellectuelles qui ont jeté de pr
danger. Un gentilhomme des environs, doué d'une force musculaire peu commune , qui assistait à une de ces expériences, sortit d
J’ai remarqué depuis quelle temps que les cas réfractaires sont plus communs que dans le principe et se trouvent en général ch
utile à l’espèce entière, s’oubliant lui-même pour grossir le trésor commun , pour augmenter par des efforts de travail la som
avala avec appétit une bonne assiettée de soupe, et s’en alla dans la commune raconter sa guérison ; si bien que le lendemain j
les devra forcément avoir recours à l’autre et puiser ii cette source commune les principes indispensables à une démonstration
jusqu’à la banalité. La discussion honnête et sincère n’est pas chose commune , et, de nos jours, les principes et les croyances
ment unies, que les astres étaient coordonnés pour concourir à un but commun et devaient nécessairement avoir une influence ré
tard salueraient son nom et béniraient sa mémoire. Il éprouva le sort commun à tous les novateurs qui n’ont pas le bonheur d’ê
ndant, sur lequel ils se rapprochent volontiers. C’est leur horreur commune pour le fluide magnétique. Naturellement M. Segon
s de ridicule ; mais, il faut bien le reconnaître, ce n’est pas chose commune que le simple bon sens. Ainsi, on accepte sans pe
me est d’autant plus rare, qu’on semble la croire plus facile et plus commune . « On dirait, à l’entendre, et cela tient sans
ntre eux par des commissures el rattachés par do pédoncules au centre commun de réaction. Si, dans cet •■■■ pareil, toute déte
, que la physiologie la plus simple suffit à expliquer, n’ont rien de commun avec les crises curatives produites par l’action
; mais de ce qu’elle a manifesté des facultés supérieures à celles du commun des hommes, s’ensuit-il qu’elle les devait à une
seulement tome XIV — N» *15. — lu AOBJ IR55. S'il est un conte usé, commun ot rcl»atu..... Lafomaike, Ma'rone d'Éphitu I
lus de gestes, et si nous les avons fait entrer dans notre définition commune des deux expressions appliquées à un acte unique,
cueillement et préparent mieux les fidèles à l’enthousiasme d’une foi commune que les églises coquettes de goût italien, aux ar
à qui Con veut faire du bien, la bénédiction est et reste du domaine commun pour tous les chrétiens, sans perdre son caractèr
caractère religieux, comme à toutes les époques elle a été du domaine commun dans toutes les religions. Elle a toujours et par
aternellement sympathiques, marcher par des voies diverses à leur but commun , le soulagement de leurs frères qui souffrent.
mblent médiocrement disposés au penchant de l’imitation, qui était si commun chez les badauds du moyen-age. Cependant on par
ul des auteurs de ce drame étrange, on ne nous dit pa3 même en quelle commune il s’est passé, de sorte que nous ne pouvons en a
u. Le Journal du Magnétisme n’a plus besoin d’enregistrer des faits communs de magnétisme et de somnambulisme ; il n’a plus à
en avant, mais bien d’avoir tant tardé à sortir de l’ordre des faits communs de magnétisme et de somnambulisme. Nous allons
a besoin de comprendre ! Je n’accepte point la vie comme l’accepte le commun des hommes; je veux savoir ce que renferme le vas
és de la parcourir. a Baint chauds aromatiques. — Verser dans l'eau commune une dé- braver l’endolorissement passager que d
aussi de terribles inconvénients. Arrive-t-il quelque malheur dans la commune , soit que des bestiaux aient péri, que les champs
rler, écrire et penser d’après ses facultés qui n’ont souvent rien de commun avec celles de l’esprit du sujet, lequel ne se ra
t agir surhumainement, c’est-à-dire d’une manière qui passe la portée commune des hommes. » 11 divise son ouvrage en deux par
enirs qu’ils ont laissés dans la lumière astrale qui est le réservoir commun du magnétisme universel... Je considère uniquemen
dit-on, une grande puissance, bien que leurs procédés n’aient rien de commun avec ceux du grimoire. Tantôt il nous assure qu’e
88 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
ais, sur ce sujet plus encore que sur tout autre, il n’y a rien de si commun que les gens qui raisonnent tout de travers, et s
appliqué sur l’œil un lorgnon, il croit ne plus appartenir à la race commune , il oublie son origine, se croit supérieur aux ge
n humaine, il y a plusieurs étages et plusieurs habitants, un parloir commun ; c’est comme à la conciergerie ou au séminaire,
s Gras. n Signé GRANDNOGÜET. Père de 13 enfants. » A Grandmont, commune des Gras, 21 janvier 1857. BIBLIOGRAPHIE. D
on appelle maladies , applique à tous, sur le vu de symptômes souvent communs à plusieurs états morbides, les mêmes procédés cu
les destinées de l'homme, il n’est donc pas libre, ("est l’objection commune à toutes les sciences qui traitent de la divinati
LA MÉDECINE. On lit dans les journaux : «M. Fortin, curédeLevis, commune de l'arrondissement d'Auxerre, se présentait dern
illir, en même temps qu’elles paraissent offrir un caractère physique commun , attestant leur susceptibilité nerveuse, ou, ce q
leur sensibilité magnétique, n’ont pas aussi quelque caractère moral commun qui viendrait corroborer l’analogie? Les Celtes
nos lettrés ne sont point philosophes, qu’ils n’ont que des passions communes , qu’ils sont vains et présomptueux , car le premi
fondre l’étroite appréciation des corps savants, ce sont les faits si communs en Amérique, et qu’un médium de premier ordre, M.
onceau de cadavres durcis par la neige. _ 11 n’est bruit, dans la commune du Tilleul, canton de Criquetot-l’Esneval (Seine-
douleur d’articulation). Le diagnostic est une première difficulté commune à toutes les écoles médicales. Celte difficulté d
re mon exemple. Un mois auparavant, j’avais été appelé dans la même commune de Flacé pour donner des soins au petit-fils de l
armante où règne la cordialité, où les cœurs sont unis par une pensée commune de dévouement à l’humanité, en voyant de près les
ce, j’ose apporter mon grain de sable à l’édifice que nous fondons en commun , frères et sœurs que nous sommes en religion. Cet
’y voir réunir tant d’efforts , de travaux isolés, sous une impulsion commune , c’est d’y voir grouper sous un môme drapeau tous
heureux de trouver tant de fraternité et de dévouement,"chose si peu commune dans les réunions dont le but a un caractère diff
rsant au sein de l’espace , d’une manière occulte pour notre obtusion commune , l’image plus ou moins brillante de la forme de c
ort longtemps, certifie que, dans la ville de Ningpo, rien n’est plus commun que les tables animées, les coups mystérieux et g
perdue dans son rapport à nous. Devenue, de particulière et humaine, commune et divine, elle est aussi forte et vaste qu’elle
s ne sont point attaquables; ces indignités ne font leur proie que du commun des êtres. (1) En lalin, Mens, du mot grec, Men
les sociétés humaines... a Enfin c’est d«l'âme, commode leur source commune , que découlent « tous ces nobles sentiments, de q
n partant, sont « compris sous une même enveloppe, dans un véhicule « commun , mais là cesse l’identité. En eflet, tous sont •
ant en présence de chacun d’eux, à mesure que je parcourais la maison commune . Je te répétai alors leur signalement, en tout co
ont ils ont été témoins. Ces deux catégories de sceptiques sont assez communes en France. Combien de fois ne voyez-vous pas, dan
tivité bien plus que de raisonnement, et de là vient qu’ils sont plus communs aux femmes, aux enfants, aux simples, aux intelli
ssimilation de la fièvre du sang à celle de la pensée? Qu’y a-t-il de commun entre ces deux genres d'affection, dont l’une est
: u Le fait le plus digne de remarque de ce drame lugubre, c’est le commun accord qui s’est manifesté pour sauver les femmes
us les magnétistes qui apportent des observations de faits à la masse commune , ne doit ni ne peut plus maintenant être mise en
au contraire et si l’on y réfléchit, bien plus ordinaires , bien plus communs que ceux cités par les médecins, puisque ces dern
e qui est certain, c’est que les faits de magnétisme sont extrêmement communs , c’est que, malgré leur variété considérable, ils
nt la puissance du magnétisme. 2” Al irait ion. — Rien n'est plus commun que l’attraction magnétique. Mais la plupart de c
infructueuses. Enfin, le 14 janvier présent mois, un habitant de la commune de Nançois-le-Petit, le sieur Laurin , se trouvan
ier 1855. Le maire, Simon. Nous, soussigné, Hussenot, maire de la commune de Ci-vrauval, canton de Ligny, département de la
le 5 février 183G. CHARLIER PIERRE. Nous, soussigné, maire de la commune de Tronville, certifions que, le 6 avril dernier,
fions que, le 6 avril dernier, le sieur Naudin, instituteur de ladite commune , étant à se promener sur le chemin vicinal de Tro
nonÿ cl ses habitants n’attendent,pour se communiquer à nous, que nos communs e/forts. BARON DÜ POTET. VARIÉTÉS. On lit
89 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ession. Ces lupus peuvent présenter l'atrophie centrale de la forme commune , mais souvent on observe une complication qui l
contentent de la regarder ; mais, moi, qui suis un médecin hors du commun , je l'avale, parce qu'avec le goût je discerne
tales et les choses urinaires. On entrevoit vaguement un réceptable commun ; on suppose de larges voies de communication ent
ntrée à l'asile, la malade a fait preuve d'une force musculaire peu commune pour une femme et, jusqu'au moment où elle put
astriques cadrant avec la description classique de la forme la plus commune des crises gastriques du tabes ; 2° Des trouble
f optique.- N. p. nerf pathétique. N. m. o. c. nerf moteur oculaire commun . - N. f. nerf facial. N. tr. nerf trijumeau. -
hénoïdale passent les 3 nerfs moteurs de l'oeil. Le moteur oculaire commun et le pathétique naissent à quelques millimètres
alie. La dissociation de ces différents nerfs au niveau du ganglion commun était possible, mais à la condition de séparer
Schéma no 6. - Les 10 côtes fixes gauches. 11 y a des ori- gines communes au rachis et des anastomoses dans le tra- jet
i voit dans l'hypertrophie du corps pituitaire la base pathologique commune du gigantisme et de l'acromégalie, expressions di
Quant à la tumeur cérébrale que nous considérons ici comme la cause commune du gigantisme et de l'acromégalie, il nous faut a
considère l'hypertrophie de l'hypophyse comme la base pathologique commune de ces deux maladies. Il s'est basé sur les rés
us ne consta- tons pas davantage de troubles de la sensibilité très communs au contraire dans les névrites, pas de troubles
impossible : d'entrevoir une même cause originelle à ces accidents communs aux deux affections. On sait que la présence de
glandulaires) si souvent alliées à l'infantilisme,et dont la cause commune nous échappe encore ? Nous nous contentons de
ue ce sexdi- gitarisme provienne de l'un quelconque des générateurs communs médiats ou immédiats. Personnellement, le mal
dantes l'une de l'autre ; ou possèdent-elles, au contraire, un lien commun ? De l'ensemble des relations d'ectromélie sous
s être le processus de toutes les formes désignées sous l'étiquette commune d'ectromélie. Si l'on en juge par l'ensemble de
s ; un seul d'entre eux touche les vaisseaux. Ce dernier, processus commun à toutes les parties modifiées, est un processu
endance. Rien ne prouve, dans le cas actuel, qu'il y ait un ancêtre commun anormal ; nous dirions même que la forme des deux
à connaître la cause même qui a déterminé l'anomalie chez l'ancêtre commun . b) Une autre explication fréquemment invoquée
utant que Klippel préfère la définir : « ..... un syndrome clinique commun à des toxines diverses, en- traînant des lésion
Pays- Bas, s'étale, au milieu d'une vaste plaine fertile, la calme commune de Gheel. Gheel, c'est le « paradis des fous
ntion de sainte Dymphne s'étendit à la fois sur les visiteurs de la commune de Gheel et sur ses habitants. Un « Collège des
s et surveillés chez eux ; consi- dérant que les habitants de cette commune ne doivent par être journellement exposés à des
aîtres du Saint-Esprit, jurés, propriétaires et habitants de ladite commune , faisons savoir ce qui suit : « Aliénés, « Qu
t utile en vue de pré- venir et écarter semblables malheurs de leur commune (litt. franchise), qui, en raison des nombreux
s ces résolutions et ordonnances n'ont d'autre but que de mettre la commune et les habitants à l'abri d'incendies, de vols
de la grande névrose et du fanatisme de ces temps. Mais la placide commune de Gheel ne connut jamais ces horreurs : la dou
ntrer les carac- tères distinctifs ont cependant de nombreux points communs (le pseudo- oedème catatonique, le trophoedéme
les chevaux de sang beaucoup plus nerveux que les che- vaux d'armes communs . Mais il importe, précisément, d'établir une dis-
ns ohservésson t clas- sés indifféremmment dans les chevaux d'armes communs ; ils sont affec- tés au trait ou à la selle, q
sychomoteurs de l'homme et du cheval présentent encore ce caractère commun , c'est que quelques-unes au moins de leurs manife
a pris la précaution d'annoncer dans sa préface qu'une passion peu commune pour les peintures flamandes et hollandaises lu
90 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
ur ces détails parce qu'ils sont en relation avec un état psychique commun aux cas de cette espèce. L'inspection du corps
ère a eu six fausses couches. J. G... n'a pas souffert des maladies communes à l'enfance. Il y a quatre ans ont apparu des d
gion elle intéresse la partie antérieure du noyau de l'oculo-moteur commun . Trigone et septum lucidum nettement o FLOURNOY
veur d'une étiologie ventriculaire ; car le noyau de l'oculo-moteur commun est plus rapproché du bord du ventricule, et pa
, qui y sont beaucoup plus petits qu'à droite. Pour l'oculo- moteur commun , c'est l'inverse; ce fait paraît difficile à expl
rises et paralysies transitoires dans le domaine de l'oculo- moteur commun . Quant à la paralysie permanente de la musculatur
ction partielle à l'extrémité antérieure du noyau de l'oculo-moteur commun . ' Arrivés au bout de notre simple étude, nous
t atteint d'une maladie familiale (2) ; il a beaucoup de caractères communs avec les malades décrits par Wilson. La raideur
nons multiples. Quelle est maintenant la base physiologique qui est commune à tous ces cas ? ' ' Le trait marquant de ces
ans les pages précédentes, j'ai rassemblé certains cas dont le lien commun est la dystonie musculaire. Malgré un aspect exté
itre une série de faits absolument disparates, qui n'ont aucun lien commun , si ce n'est l'intérêt iconographique de rap- p
ertains étaient véritablement monstrueux, avaient tous un caractère commun , celui d'être consécutifs à une blessure, ouverte
exion. '* 124 . LÉRI 1 Ces diverses observations ont un caractère commun : l'oedème de la main est survenu dans tous les
voulu voir dans la polydac- tylie un retour à l'état ancestral. Le commun de l'humanité, qui ne dis- pose que de cinq doi
156 BENARD dire d'ailleurs que Eycaux n'existe pas parmi les 36.000 communes de France, et que c'est là une « coquille » typ
te ans, frappait encore presque toute la population (2). Dans cette commune , hommes et femmes étaient porteurs d'un sixième
ue ne soupçonnèrent pas ses ancêtres. A cette condition primordiale commune à tous, s'ajoute l'ensemble des circonstances a
n an. Quand on se rap- pelle combien la polynévrite est une maladie commune et combien l'attention des auteurs a depuis nom
s. Paralysie unilatérale faciale, de l'abducens et de l'oculomoteur commun . Parole difficile, mastication troublée. Les sy
e au niveau des péroniers latéraux, légère au niveau des extenseurs communs des orteils, plus nette au. niveau des jambiers
rulant. - L'étiologie du syndrome de Dercum enseigne qu'il est plus commun dans le sexe féminin, commençant entre 30 et 50
térieure de la bandelette optique droite. Le nerf moteur ocu- laire commun est aussi immédiatement intéressé par ces caillot
dystrophie génito-glandulaire, cei tains éléments existent qui sont communs à tous les types et individua- lisent le groupe
I. Type simple DE dystrophie GÉNITO-GLANDULAIRE (1). Dans les cas communs , la dystrophie génito-glandulaire présente des
uffisance génitale, créant l'expression générique d'eun2lchoïdisme, commune aujourd'hui, et dans laquelle on veut mettre en
dans le cas d'eunu- choïdisme avec stature élevée, qui est le plus commun , il peut ne pas y avoir d'adiposité. Mais nous
excède les dimensions habituelles du type de la race, d'où dans le commun des- cas une tendance à la taille gigantesque (
elon les auteurs italiens une petite cyphose cervico-dorsale serait commune dans ces cas, ce dont d'ailleurs notre observatio
raire à une certaine robustesse. C'est ainsi que les fractures sont communes chez ces individus, comme en on peut juger par
part des observations que les fonctions intellectuelles se révèlent communes , sans trace de puérilité. On connait même des c
l'âge mûr, et qui pour cela précisé- ment se distingue de la forme commune : c'est l'eunuelioïdisrne tardif, décrit par Fa
ure, dans l'enfance ou dans l'adolescence (ce qui est beaucoup plus commun ) (1), alors l'arrêt de croissance généralement
, sont appliqués dans la région dorso-lombaire, le long de la masse commune ou du rachis, pendant une seconde, puis retirés
chis provoque une douleur dans la région ~ dorso-lombaire; la masse commune , dans la même région, est également douloureuse
91 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
n paradis rêvé que celui, même très-réel, de M. Cahagnet, où tout est commun , blafard, nuageux, indigne de la créa, tion du gr
M. Cahagnet et celles dont parle l’Écri-ture? Ont-elles même rien de commun avec les ap- paritions qui résultaient du charm
u. Si M. Cahagnet est un du ces hommes, il est destiné à subir la loi commune ; car, moi le premier, je viens lui dire : Je croi
neur de vous dire qu’un M. Ader (Jean), le père du notaire de notre commune , a été tellement malade d’une fièvre cérébrale, q
à Masseube; Maigné, médecin à Mirande, et Aubian, médecin dans notre commune , ont été appelés, lesquels, étant réunis, ont déc
sommes sûrs qu’un grand concours de magnétistes, animé par une joie commune , viendra payer sa dette de reconnaissance à Mesme
envisager la question sous son aspect complexe. C. Résumé. —Le tort commun des investigateurs sans principes, est de prendre
tat revient dès que le sommeil est dissipé. Cette affection est assez commune pour que chacun puisse répéter l'expérience ; ave
meurant à Dingavanga.cn Calcutta, est affecté d’une de ces tumeurs si communes dans l’In3e, depuis environ seize ans. La sienne
écrit dans le Constitutionnel. « 11 paraît que la population de la commune de Guillonville, canton d’Orgères, est toute en é
, et qui, grossis naturellement à mesure qu’ils se répandent dans les communes environnantes, font partout crier au miracle; nou
issent lorsqu’elles sortent de personnes malades. a Rien n’est plus commun , dit Cohauscn (4), que de voir une femme sur l’âg
es purs esprits sont de l’Académie, et ils n’ont, ceux-ci , rien de commun avec la magie et le magnétisme. Vous le voyez,
ne tache indélébile facile à reconnaître pour les gens sages. Mais le commun des hommes adopte sans examen, et c’est ainsi que
e deux mois. « Les dépendances du moulin de llalllé, situées sur la commune de Château-Thébaud, sonl en ce moment visitées to
prodigué jusqu’ici tous ses soins, M. Sorin, l’un des médecins de la commune duBignon , a consenti à ce quelle passât de ses m
re cette jeune transfigurée, en la rappelant au sentiment de la vie commune , ainsi qu’à son exil, ici-bas. Où êtes-vous, gr
ence les moyens d’étendre leurs croyances. L’esclavage était de droit commun parmi les nations, la fraternité inconnue, la lib
jourd’hui, d’abord pour rendre hommage à notre maître, et chercher en commun les moyens de répandre les principes féconds qu’i
vation. Moteewoolla, âgé de cinquante ans, est affligé d’une tumeur commune depuis huit ans. 11 souffre aussi d’une bronchi
la sensibilité, est une répugnance pour la fausseté que j’ai trouvée commune à tous les somnambules : la sincérité est ce qui
e peuvent feindre, ni flatter ; ils semblent être en dehors de la vie commune , de ses formes égoïstes et de ses conventions spé
es nombreuses et des plus graves variétés de Y irritation : l’origine commune à l’un et à l’autre est la perturbation des actio
vers la mue, et commença ce chant singu-lièrement monotone qui est si commun chez les peuples de toutes les parties de l’Orien
nième observation. Susteedoss, âgé de trente-cinq ans, a la maladie commune depuis six ans. Endormi dès la première séance,
qui les enflammeront. La poudre de Dygby était composée de vitriol commun dissous dans de l’eau de pluie ou de fontaine. Il
orps, nous n’ignorons pas qu’à l’époque où les épidémies devinrent si communes , l’imagination des peuples était surexcitée par t
en êtes les fondateurs, est d’encourager tout ce qui sort de la ligne commune , comme actes de vertus et de talents. C’était
nt enfantées disparaissent sous sa main bienfaisante; les fièvres, si communes sous le ciel qu'il habite, semblent fuir à son ap
teur, Je viens d’être informé que des individns inconnus dans notre commune se donnaient la peine de chercher à découvrir cel
lorsque, le 4 décembre dernier, la nommée Marthe Lassalle, de la même commune , vint chez moi. Cette dernière fut épouvantée de
et l’on sut que cet homme, ancien curé de Selles et de Bac-Hellouin, communes du département de l’Eure, était un prêtre interdi
92 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ments morbides, qu'il subit ou auxquels il résiste, jouit de la vie commune , a conscience de son trouble et souvent l'appré
s-division D'UNE PRÉTENDUE MONOMANIE RELIGIEUSE. 17 symptomatique commune . Cette division comprend, pour nous, les stupid
a santé corporelle, uon gravement détériorée, présage une longévité commune . Dans dix ans, si M"° ? offre les attributs d'u
lé le 4 eT décembre 1847 aux fonctions d'instituteur public dans la commune de Brunvillers, il s'était toujours bien acquit
ntremise et sur les instances du maire et de M. Lefèvre, curé de sa commune . Rentré à Brunvillers, le 27 février 1873, il e
ntripètes, après leur sortie de la capsule (fibres des sensibilités communes et spéciales), s'en- chevêtrent et viennent abo
étendu de l'écorce, dont les parties consti- tutives ont une action commune , et sont par conséquent susceptibles, le cas éc
squels on a noté d'une façon positive l'abolition de la sensibilité commune , avec intégrité des sensibilités spé- 80 REVUE
complète ou à peu près complète de celle des fibres de sensibilité commune , alors que tous les conducteurs centripètes son
, en supposant que les con- ducteurs des impressions de sensibilité commune cheminent dans la partie externe de la capsule,
dent s'appliquent, dans notre pen- sée, aussi bien à la sensibilité commune qu'aux sensibilités spé- ciales. Munk et Schiff
ce est parfaitement compatible avec l'intégrité de la sen- sibilité commune . Il résulte donc pour nous de tout ce qui précè
e sous l'influence ou non de l'alcoolisme, sans proscrire de la vie commune ceux qui régu- liers et calmes depuis longtemps
il serait surtout indiqué d'établir un service spécial de cet ordre commun à plusieurs établissements correction- nels, le
Loelit- invite les jeunes médecins à poursuivre leurs recherches en commun sur ce sujet dans les établissements auxquels i
iques, hommes et femmes, se décomposent en deux segments n'ayant de commun que le réfectoire médian. Chaque section consis
eaucoup n'ont besoin que d'un ensemble de soins ressortissant à une commune organisation du traitement et du travail, le fu
ées, mixtes et complexes de l'ataxie, qui seraient particulièrement communes dans le tabès spécifique en raison delà tendanc
utes les capacités. Cette hypochon- drie morale repose sur le fonds commun de la mélan- colie et sur un état d'anxiété vag
du froid sont des revue de pathologie mentale. 229 phénomènes peu communs . La température a été notée dans trop peu de ca
s (Guy, d'Amsterdam), et il n'est pas jusqu'aux affections les plus communes de l'oreille externe, dans lesquelles des obser
- ficiel, cet homme ressemble à tous les autres, il vit de la vie commune , tandis qu'au contraire tout est chez lui lutte
s fonctions intel- lectuelles, la nutrition. Ils ont pour caractère commun de se présenter la plupart du temps d'une maniè
t, la surdité est plus fréquente chez les diabé- tiques que chez le commun des hommes. Tantôt légère et passagère (Lécorcl
igoureux, les résultats suivants : le tibial antérieur, l'extenseur commun des orteils, le long et le court péroniers laté
ane postérieure ; 2° d'arlerl z·ada'cum î)osieî,io2,u)2z, d'arlez·i commun postica OS ? 0/'MM ! latérales, nos artères rad
z donneles noms nouveaux de arterise radicum poslorcbrune, arlerioe commun posleriorum posticae, arterioe cornuum posteî,i
e a été observé pour le long extenseur du gros, orteil, l'extenseur commun des orteils, et une fois pour les fléchissants
93 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es mentales qui détournent l'attention parce qu'elles n'ont rien de commun avec ce qui préoccupe. Mais l'idée fixe physiol
nne pas ; bien plus, loin de disparaître comme disparait l'erreur commune quand elle est soumise à l'étude du jugement, ell
les primitifs, ils sont l'expression d'une condition psychologique commune . L'hylozoïsme des astrologues, la mantique des
'ophtalmoplégie externe, chronique et progressive, d'une pureté peu commune et présentant un intérêt tout spécial par le fa
pour désigner le caractère fondamental de cette névrose, caractère commun à tous les phé- nomènes nerveux de la dégénéres
spitalière déjà longue et les observations que nous avons faites en commun , nous ont prouvé que, dans la com- position act
tile que l'on pense d'abord : les déformations qu'elle produit sont communes , le sque- lette est ordinairement atteint, quel
des de concert avec deux autres ouvriers, à la suite d'une débauche commune . Atrophie congénitale du médius, de l'annulaire
mplie, qui a assassiné sa femme, le jour même et au moment où, d'un commun accord, ils se pré- sentaient tous deux au trib
apport sur son état mental; par le Dl' S. Garnier. Le maire d'une commune du Jura se promenait surle champ de fête lorsqu
, 7°, z,9 ? 10", if, 12° paires. En ce qui concerne l'oculo- moteur commun , le droit interne de l'oeil gauche est seul paral
localisée dans l'écorce et dans les noyaux du nerf moteur oculaire commun . Les troubles de la vue relèveraient d'une névrit
urs considéré ces troubles jusqu'ici comme des délires d'aliénation commune , rentrant dans le cadre des vésanies. Quelques
troubles psychiques post-opéra- toires ; les autres sont des folies communes , des vésanies, dues à la prédisposition, et n'a
ies communes, des vésanies, dues à la prédisposition, et n'ayant de commun avec l'opéra- tion que la coïncidence. Contrair
ntribution au diagnostic électrique des paralysies de l'oculomoteur commun ; par J.-K.-A. WEIlTIIEIll-SALOMONSON. (Neurolog
ais sur ce sujet chez l'homme, dans les paralysies de l'oculomoteur commun . Pansier (Electrothérapie oculaire, 1896) ne pa
a lieu pour tous les nerfs moteurs a lieu aussi pour l'oculomoteur commun . Sa complète séparation entraîne une exagératio
é et dans les cas graves de paralysie périphérique de l'oculomoteur commun . Dans les cas légers on ne peut produire de con
s. Dans les paralysies nucléaires et fasciculaires de l'oculomoteur commun on devait à priori s'attendre à une excitabilit
énitale. Aucune réaction, dans un cas de paralysie de l'oculomoteur commun récidivante, malgré le développement graduel d'
de moyenne gravité et dans les para- lysies graves de l'oculomoteur commun . La disparition rapide de l'excitabilité indiqu
visible des longs extenseurs des doigts. Les tendons de l'extenseur commun des doigts, de l'extenseur de l'index et de l'e
Elle débute à tous les âges (psychoses menstruelles primordiales, communes ou climatériques). Son pronostic est relativement
fin, chez les descendants de P. G. les maladies men- tales les plus communes sont la dégénérescence à tous ses degrés depuis
été avertie. (Petite Gironde, 21 août.) Au village de la Chabanne, commune d'Anville (Charente), Mme Gaschet, âgée de cinq
me, s'est pendu à un cormier à l'endroit dit « la Pièce- Franche », commune du Château d'Olonne, en face la demeure de sa f
on avait placé cet enfant dans un asile-école (l'instituteur de la commune n'en peut rien faire), on n'aurait pas eu le se
oyens de les com- mettre. Mais M. Tarde admet une tendance générale commune dans ces changements, « un ordre constant et ir
groupes aussi homogènes que possible et ne sont soumis au régime commun que dans les deux dernières années de leur édu-
eurs, finit par s'éva- nouir. Lefèvre, un gaillard d'une taille peu commune , la prit, toute dégouttante de sang et souillée
s la présence successive ou simultanée d'hal- lucinations auditives communes (sonneries de cloches); d'hal- lucinations audi
et deux pour l'hu- mérus. Ces cinq cas comportaient comme symptômes communs : siège de la fracture un peu au-dessous du tie
s pures et concomitantes. La plus fréquente des névrites optiques communes est la névrite optique rétrobulbaire. Mais la n
s avancée de la maladie.^ Atteinte ultérieure des deux oculomoteurs communs ; paralysie complète des muscles extrinsèques e
és oculaires, comprimé et atrophié les nerfs optiques et oculomotem communs ; il y a eu (ce qui est assez rare) infiltration
tefois espérer qu'on pourra y traiter les agités au lit. Le dortoir commun constitue un milieu spécial et en quelque sorte
ston, 311. syphilitique fron- tale, par Sano, 315. ventri- cutaue commune des adultes, par Bresler, 496. \I1`.n.LCm. Tr
326. Occultisme. L' - scientifique, par Crocq, 1 U. Oculomoteur commun , Contribution au diagnostic électrique des pata
94 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pe externe. Alors que le nerf circonflexe a son origine appa- rente commune avec le radial, son noyau d'origine se trouve tou
igraines, réflexes abolis d'un côté chez un malade) ; et des signes communs à ces deux types cliniques (nystagmus, déviatio
ts azotés; mais il faut se mettre en garde contre une tendance très commune chez les parents, la tendance à la su- raliment
Les crimes contre les personnes (homicide et suicide) sont moins communs chez les paralytiques généraux que dans d'autres
des auteurs. Les délits ou crimes d'ordre sexuel sont, on le sait, communs au début de la paralysie générale sur- tout dan
sse est la forme la plus rare, la folie puerpérale la forme la plus commune . L'étude des cas observés à Broadmoor montre qu
avait une in- fluence sur la folie de la gestation, qui serait plus commune entre trente et quarante ans. Les statistiques
ité de la peine s'ingénient à trouver des atténuations dont la plus commune consiste à invoquer la folie passagère; très pa
t très rare et peu marqué à l'état normal; il est au contraire très commun et très intense dans les cas de lésion du faisc
fidélité de son mari, il faut dire qu'elles por- tent un caractère, commun aux peurs obsédantes ou aux phobies; dans l'esp
s, envoyèrent à la mère une délégation chargée d'exposer les griefs communs et la menacer d'une demande d'expulsion par le
r un deuxième groupe, la catatonie ne serait qu'un syndrome morbide commun à toute une série d'affections mentales et nerv
ès chaque semestre, quand il s'agit d'aliénés secourus par le Fonds Commun . La pension des aliénés aisés varie entre quatr
analogue. Pour ce qui est de l'encéphale, ces lésions sont le fond commun sur lequel viennent se greffer les in- fections
ires de l'axe céré- bro-spinal. ' Ainsi, la diffusion des lésions commune à tous les cas, le degré de la virulence, les a
ettrai de poser à M. Bourneville deux questions : 1° l'éducation en commun quand je dis « en commun », j'en- tends de ces
neville deux questions : 1° l'éducation en commun quand je dis « en commun », j'en- tends de ces enfants arriérés entre eu
nes semblables dans leur pathogénie. M. Bourneville. L'éducation en commun des enfants arriérés, entre eux, comme dit M. l
ion et à la mimique. Aussi les tics des lèvres sont-ils extrêmement communs : moues, succions, pincement, ric- tus de toute
se tenir sur ses gardes. Cette même année, sa femme lasse de la vie commune et de ses brutalités le quitte pendant quelques
Rhodes et M. Me Dougall, Alderman, étaient dési- gnés par le comité commun des asiles de Choriton et de Manchester pour al
rouver un terrain convenable, mais, il y a un an ou deux, le comité commun des asiles de Manches- ter et de Chorlton achet
UE. nombres sont peu élevés, plusieurs comtés pouraient fonder en commun une colonie pour leurs épileptiques, ou bien les
oit-on isoler les grands agités, doit-on les aliter dans les salles communes ? Trétiel donne l'indication des opinions des ali
t les résultats obtenus. 334 SOCIÉTÉS SAVANTES. Nerf oculo-moteur commun . Les fibres radiculaires proviennent toutes du
ormé essentiellement de fibres croisées et pour le nerf ocu/o-ntoew commun qui renferme à la fois des fibres directes et d
véritablement le nom « d'Hypnose thérapeutique » ; elle n'a rien de commun avec l'hyp- notisme expérimental. Il l'emploie
symptomatologie qui caractérise ces cas, mais tous deux ont cela de commun qu'ils sont presque muets sans être sourds et q
as impossible d'entrevoir une même cause originelle aux symptômes communs à ces deux affections. D'autre part, la pigmentat
ceau longitudinal postérieur ainsi qu'aux noyaux de l'oculomoteur commun , s'entrecroisent en avant de ces derniers, puis,
était représenté que par ses noyaux : aucune trace de l'oculomoteur commun . Les hémisphères céré- braux, le ceiveau moyen
Galassi, à distinguer une paralysie périphé- rique de l'oculomoteur commun d'une paralysie centrale. P. Keraval. 3 REXUU
une névrite multiple, et la di- minution des réflexes qui est assez commune tend à confirmer ce diagnostic. Ordinairement
ils viennent presque tous de la campagne. Les symptô- mes les plus communs sont ceux de la mélancolie, aboutissant a la dé
de vue mental, la forme mélancolique est la forme délirante la plus commune ; les hallucinations du goût et de l'odo- rat so
nt et les ba5as prolongés. L'alitement est pratiqué dans des salles communes ou dans des chambres séparées dont les portes r
l'innovation la plus importante pour les destinées à venir de leur commune , du progrès le plus ardem- ment souhaité, et le
pour vous prier de vous joindre à moi, afin de saluer dans un élan commun d'admiration et de reconnaissance la mémoire de
on et à la mimique : aussi les tics des lèvres sont-ils extrêmement communs : moues, succions pincements, rictus de toutes
95 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
surtout dans l’extase qu’elle a été ravissante. Sa physionomie, assez commune dans l’état ordinaire, s’est en quelque sorte tra
médiaire. L’erreur que nous reprochons à M. de Guldenstubbé lui est commune avec des auteurs dont il ne partage pas d'ailleur
a profession me mit en rapport avec une certaine Agathe Oriani, de la commune de Gorgonzola, près Milan : c’était une jeune fil
serpents et les couleuvres qui, ainsi que nous l’avons dit, sont fort communs dans ces parages, faire la chasse aux rats, aux s
oua alléguez des faits prodigieux, vous prétendez que rien n’çst plus commun , qu’ils se présentent journellement dans vos réun
ils sont les moins relevés, mais les plus faciles à obtenir, les plus communs ; ils frappent les sens et sont destinés à faire m
renouveler qu’avec infiniment de peine. Voilà les natures vulgaires, communes , qui n’ont aucun sentiment de poésie, qui sont fa
ptrvium tectorum, famille des crassulacées, Jussieu), et iOr-pin commun (sedum telephium, fam. joubarbes, J.). 3-1 janv
aut maîtriser, brader bieni des frayeurs et se dépouiller des erreurs communes , des.fauesesKxoy&uces répandues sur la terre
uffira pour mettre-l’étudiant à même de traiter les maladies les plus communes , celles dans lesquelles on a le plus souvent reco
s ; et leurs dissentiments sur les théories, loin de nuire à la cause commune , lui sera profitable, en les forçant à étudier d
ent lieux différents, des hommes honorables sont réunis pour fêter en commun l’anniversaire de la naissance de Mesmer. Les mêm
e qu’un fait naturel, ordinaire, et qui peut s’expliquer par les lois communes ; d’autres magné-tistes, enfin, sans récuser la s
bafoués traités de maniaques? Pourquoi échapperions-nous à cette loi commune qui impose aux novateurs le martyre du ridicule?
—à Paris si l’on veut, un monument enfin digne de lui, digne de notre commune admiration. Celte statue, j'en signalais la néc
ines qui se rattachent toutes à Mesmer, et qui ont certains principes communs , bien qu’elles diffèrent énormément par leur but
es faits, l’élimination des merveilles apocryphes et des hâbleries si communes chez quelques auteurs : c’est par ce travail crit
; ici les diverses sectes religieuses se sont réunies contre l'ennemi commun , ettouthommeconnu pours’en occuper est anathémati
ables, mais à quelqu un des faits que le magnétisme accuse, à un fait commun à toutes les théories, à celui que toutes revendi
ceux enfin qui, n’ayant point d’idées, ont tout juste la force, assez commune pourtant, pour calomnier les vérités les plus évi
avant tout se dépouiller de ses préjugés. Mais que cette maladie est commune et qu’il est diflicilc de l’extirper! En dehors e
En dehors et antérieurement à toute découverte, il est des croyances communes , des habitudes intellectuelles qui ont jeté de pr
hyène, le sénéchal de Bordeaux trouva que cet objet n’était pas assez commun pour que Latapy ne fût pas excusable d’avoir lais
n semblable an moyen de la volonté et des nerfs, ayant des caractères communs avec les autres espèces d’électricité, mais modif
Son sommeil magnétique est si bien connu de tous les habitants de la commune où il est né, qu’il lui a servi d’exemption lorsq
ous ses membres. Nous nous efforçons de le rassurer: il n’y a rien de commun entre le jugement sur lequel il a interrogé et la
n’avait autour de lui que les amis que donnait promptement un malheur commun ; et puis, quel horrible choix de sujet ! dans qu
sité celte jeune fille, qui est devenue l’objet des conversations des communes voisines de la sienne. » L’empressement mis par
gneraient à être exprimées en termes plus clairs, plus accessibles au commun des intelligences. Après la lettre à M. Mabru v
ntime, son composé, la source d’où il tire son origine, son réservoir commun . son point de départ et celui d’arrivée , ils att
ts inouïs pour être témoins de ces merveilles, qu’on nous dit être si communes , et nous n’avons jamais pu en voir aucune. Espéro
t à l’ordre surnaturel et qui par conséquent ne peuvent avoir rien de commun avec le magnétisme. Par exemple la sainte, par la
e, la Nature, qu’un seul bien, la Vérité. Magnétistes, cherchons en commun , peut-être trouverons-nous, nous nous approchons
ntraire, matérialisent l’esprit. Il nous faut donc un plan d’études commun et faire table rase des idées préconçues, de nos
s des impondérables, apparaissent aujourd’hui comme ayant un principe commun , inconnu encore, vers lequel convergent les aspir
s comme hypothèse, que toutes les forces de la nature ont un principe commun , qu’elles ne sont en un mot que des modes divers
n garde contre l’imposture, ils se gardent bien d’envelopper dans une commune flétrissure tous ceux qui jouent un rôle dans le
96 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
NE ENFANT 15 l'élévateur de la paupière démontre que l'oculo-moteur commun gauche est en partie touché. L'hypoesthésie d
es en Belgique et en Suisse, l'échinocoque semble au contraire plus commun en Allemagne. D'après les statistiques de quel-
28 à 45 ans ; et pour Halle White de 19 à 27 ans qu'il est le plus commun de trouver le parasite chez l'homme. D'après le
vivent dans la compagnie des chiens de berger et d'abattoirs ; plus commune dans la cam- pagne que dans la ville et plus ré
est doué d'une résistance à la marche et à la fatigue vraiment peu commune . Mais il ne faut pas oublier que dans cinq des
possible qu'un homme puisse allonger sa carrière au dela de la date commune et même sans se ressentir des in- commodités de
-ci la santé et la jeunesse, et lui permet d'éviter les maladies si communes à cet âge. N'allez pas croire toutefois, dit Co
vardage de ses écolières. Les servantes préparaient dans la chambre commune , un grand feu qui entretenait un degré de chale
rdre tout négatif qui peu- vent être invoquées. Est-il rien de plus commun que de voir une femme sur l'âge redevenir non s
'auteur du livre, un homme d'un grand savoir, d'une littérature peu commune et un penseur aussi réfléchi qu'ami du genre hu-
ulaires volumineux assez espacés et présentant tous comme caractère commun une ordination toute spéciale des cellules. Ent
re intimement liées les unes aux autres, s'envelopper d'une capsule commune et constituer ainsi des globes fibroplastiques.
s, et par la juxtaposition et la conglomération, sous une enveloppe commune , de plusieurs de ces couches. On ne trouve null
leur fonc- tionnelle et toute résistance vitale. Ce processus est commun à tous les organes de l'économie, et les in- (1
es troubles vaso-moteurs les plus divers qui sont en somme les plus communs . Parmi ceux-ci il importe de faire une place à
le droit interne émanent du même groupe nucléaire (moteur oculaire commun ) et même de deux noyaux contigus de ce groupe.
sme frappe bien parfois de la sorte plusieurs individus de sou- che commune et on le voit alors se développer parallèlement c
résies localisées, coma, mort : constituent les éléments essentiels communs aux grands syndro- mes, d'origine autotoxique,
e et Guillain essayent de l'expliquer par un mécanisme pathogénique commun , qui présiderait à l'apparition, dans les deux
ble plus logique de trouver une explication univoque, des symptômes communs aux tumeurs et à l'urémie cérébrales, dans l'in
cérébrales, d'accord avec eux pour chercher une cause pathogénique commune à des accidents communs, nous préférons invoquer,
ec eux pour chercher une cause pathogénique commune à des accidents communs , nous préférons invoquer, comme agent pathogéni
préférons invoquer, comme agent pathogénique général des symptômes communs aux deux encéphalopathies : l'intoxication. Cet
bution du li- quide céphalo-rachidien; celui, vaste milieu humoral, commun aux ca- vités périphériques et centrales de l'a
ique, par l'adultération du milieu lymphatique et céphalo-rachidien commun à ce pédoncule et à l'en- céphale : la fréquenc
enzel, Klippel et Durante, publiés sous différents noms, les traits communs et de les avoir distingués comme appartenant au
elle la maladie décrite par M. P. Marie présente beaucoup de traits communs . Bientôt après la leçon de M : P. Marie sur ce
ébelleux moyen. En présence de ces deux cas qui ont tous les traits communs au point de vue clinique et au point de vue ana
ans l'hérédo-ataxie céré- belleuse auront toujours les mêmes signes communs , tels que l'atrophie de la moelle, du bulbe, du
LANNOIS, Agrégé, Médecin des hôpitaux de Lyon. 1 Rien n'est plus commun que les stigmates du côté des seins chez les hys-
mastodynie, c'est la forme présentée par ma malade qui est la plus commune : l'hypertrophie simple de la glande. Celle-ci es
'os néoformé le recouvrent, au niveau des insertions du fléchisseur commun profond ; 3° Le bord interosseux touche directe
roite sont fusionnés complètement dans leurs 2/3 infé- rieurs. L'os commun formé par le tibia et le péroné a 32 centimètres
sont représentés par deux traits principaux, distincts et sans lien commun apparent : à t'age de 20 mois, au milieu d'une
tention, en raison d'un léger indice constitué par deux syndro- mes communs avec l'état que nous étudions : même début fébril
o-pathologistes : et pourtant l'adipose sous-cutanée, beaucoup plus commune que le silence des auteurs ne le ferait supposer,
olument sans importance dans la question : Entre les manifestations communes à la généralité des myélopathies organiques, il
97 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
que.les névralgies diverses, comparées entre elles, peuvent avoir en commun . C'est ici que l'intervention de Lasègue (1) me
l'hystérie, oui, l'hystérie et principalement l'hystérie virile, plus commune , cela est facile à comprendre, que ne l'est l'hys
ettre qu'il s'agissait ici d'une de ces hémorragies névropathiques si communes chez les sujets hystériques: un examen du champ v
ent parfaitement mous et flexibles ; ce cas, même,paraît être le plus commun . Un caractère plus important et qui se trouve par
aissez aux reliefs que font les muscles, d'un homme d'une vigueur peu commune , d'une sorte d'athlète. Il est âgé de trente et
de ; on peut dire que c'est un complexus, un syndrome si vous voulez, commun à plusieurs espèces nosographiques. Mais vous a
ularités relatives à la marche, ces affections ont bien des traits en commun . Ainsi le steppage peut se voir dans l'intoxicati
marche du step-peur, offrent, je le disais tout à l'heure, des traits communs . Elles paraissent toutes anatomiquement caracté
le jambier antérieur est complètement détruit tandis que l'extenseur commun est très bien conservé. Sur cette même jambe, les
tre quelque jour à trouver une interprétation légitime des phénomènes communs , qui pour le moment nous échappe. Mais en voilà
pourrait la signaler, bien que moins accentuée sans doute, mais très commune encore, dans toutes les autres névroses à peu prè
que, dont le rhumatisme articulaire est un des représentants les plus communs , les plus vulgaires et la diathèse nerveuse s'ass
ompromis dans les affaires de l'Internationale, puis dans celle de la Commune et il a dû , en 1871, fuir en Angleterre où il es
he ; disposition croisée du reste fort singulière et certainement peu commune . Plusieurs points ou plaques hystérogènes : l'u
mais les deux maladies, bien que développées en raison de conditions communes , n'en évolueraient pas moins individuellement, ch
un certain nombre de cas. Mais, d'après les recherches poursuivies en commun avec Michaud, voici quel serait, suivant nous, le
s proposé par M. Gowers (1). Tel est, pensons-nous, le mode le plus commun de compression spinale dans le mal de Pott (2). Q
peut entre ces deux derniers cas reconnaître à la rigueur des tra.'^s communs : il y a eu en effet à la fois ébranlement physiq
r 1878 (1) chez les femmes hystériques hémianesthésiques. Il est très commun que ces malades, même dans leurspériodes d'accalm
rovoquer l'incrédulité. Elle rentre en effet désormais dans une règle commune à tout un groupe, puisqu'elle a son pendant aussi
les mouvements de la chorée rythmée, et c'est là d'ailleurs un trait commun à toutes les chorées méritant ce nom, se manifest
sera suffisamment guéri pourpouvoir, sans danger, rentrer dans la vie commune . 2e Malade. Voici une femme nommée Be... eut,
degr. KS AS. G. Farad. 95 millim. Galv. 18 él. 80 degr. KS. Extenseur commun des orteils. Dr. Farad, néant. Galv, 18 él. 80
xcitabilité (Long péronnieriat.) et altération qualitative (Extenseur commun des orteils et pédieux). surtout la non-existen
end des affections diverses autrefois confondues sous la dénomination commune d'atrophie musculaire progressive. C'est, vous le
ie musculaire progressive, sont très variées. Elles ont toutefois, en commun , un trait particulier qui constitue, pour ainsi d
bornerai ici à vous dire d'une façon générale et sommaire ce qui est commun aux cas qui y sont étudiés. — En général, le débu
, si l'on peut ainsi parler, ont avec la paralysie infantile un trait commun : c'est que, comme dans celle-ci, le substratum a
i que l'une et l'autre relèvent au contraire, séparément, d'une cause commune capable de manifester son influence, suivant l'ép
de Marchenoire. Enfin, lors de la répression de l'insurrection de la Commune de Paris, par l'armée de Versailles, il prit part
. Ces paralysies d'ailleurs, dans l'espèce, paraissent être un fait commun . Il est rare qu'un individu foudroyé d'une façon
les désordres abasiques concernent exclusivement la marche vulgaire, commune , automatique par excellence : tandis que les autr
t l'atrophie musculaire : Ce cas, tant s'en faut, n'est point le plus commun , et l'on peut même dire que dans la règle les tro
énérescence : 1° totalej: 3e interosseux palmaire gauche et extenseur commun des orteils gauches; 2° partielle : ancóne gauche
parler de la contracture spasmo-dique hystérique. Mais voici le point commun qui me paraît motiver le rapprochement que nous a
tes, ces deux cas présentent cependant, à certains égards, des traits communs plus nombreux qu'on ne le pourrait supposer tout
t des jambes sur les cuisses est en général très prononcée (caractère commun , du reste, à toutes les paraplégies par compressi
98 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eau supérieur mon- trenL qu'à la hauteur du novau de l'oculo moteur commun le pied du pédoncule est l'émanation de libres
t en dedans. Outre ces libres destinées aux noyaux de l'oculomoteur commun du même côté, il en est qui gagnent le raphé, p
roisement des pédoncules céré- belleux supérieurs, de l'oculomoteur commun . Amyélinie de la partielle la'couche optique qu
Schullze pense qu'il s'agit d'une lésion du noyau de l'oculomoteur commun , probablement d'une hl'll1ol'- rtiagie. P. KERA
temps une chambre voisine et D. l'a souvent entendu dans le couloir commun : c'est la même suite d'accords, le même ton, l
composés chimiques tiennent peut-être il la propriété, qui leur est commune , de dissoudre les substances graisseuses. (11. 31
r pas à le regretter. Cette forme d'aliénation est d'ailleurs peu commune , plus fréquente chez les femmes que chez les 5G
mais qui n'a duré que quelques jours. Cette rencontre de phénomènes communs aux simples névropathes obsédés et aux panophob
es allures moins bruyantes. C'est un de ces cas de transition aussi communs , pourrait-on dire, que les cas purs qui réponde
res de démence athéromateuse, où l'excitation génitale se montre si commune . 11 s'agit, en réalité, d'un pliéno- nontènc ép
iques dil'- ierentes. ils ne sont pas sans avoir quelque chose de commun . 11 y a d'abord l'association des deux symptô-
n assez prononcées ; pl d'un père qui s'est pendu au moment de la Commune par peur d'être fusillé. Ch. ]l...., avait 3 frèr
ons présenté. Mais c'est qu'il y a naturellement, et selon la règle commune à tous les cas de ce genre, une influence récip
cun le sien; les quatre extrémités ensemble ont, en outre un centre commun . Les quatre membres sont donc repré- sentes dan
nos idées conscientes. Les lecteurs de pensées se distinguent du commun des mortels en ce (pie, possédant de l'hyperest
es, il n'y a jamais eu de surdité verbale. Analysant la paraphasie, commune ou souvent liée il la surdité verbale connue à
ration graisseuse el oedé- mateuse du nerf sciatique. La migraine commune , syndrome bulboprotubérantiel ci étiologie vari
ue se montrent affaiblis. Dans l'ensemble, les sentiments égoïstes, communs à tous les in- firmes chroniques, se rencontren
ut,le centre d'un muscle isolé ou de plu- sieurs muscles à fonction commune . Le moment n'est pas en- core venu d'établir un
ules cérébelleux inférieurs et par les noyaux des moteurs oculaires commun et externe avec les libres du ruban de Reil et
, sur lesquels 80 % sont expédiés à Oûle, 12 à 15 % rendus à la vie commune et 5 à 8 % retenus comme pensionnaires à l'asil
accidents yu'uu poinL tle we tlul'lurctlif(.C'esl surtout la forme commune que l'on observe, [mis viennent la forme démoul
appris le grec et le latin tout en négli- geant le sanscrit, source commune des langues aryennes, qui ont traduit cent vers
il leur nourriture, qui contribue il leur donner une ph)- sionomie commune , de même que le buveur d'absinthe, de vin, de b
ement identiques ? Je ne le croispas. Sans doute ils ont un fonds commun ,mais ils diffèrent par certains côtés, et il ne f
ombreuses (lue la maladie, dure depuis longtemps. La famille et les communes n'ont donc aucun intérêt à tergiverser quand la
uitement, a la disposition des épileptiques indigents de toutes les communes , Lyon compris, du département du Rhône. Trois l
itements qui les mettent dans l'im- possibilité de suivre la classe commune . Les enfants atteints d'idiotie ou d'affections
nner aux alié-' nés. Ces cours ont porté sur les svmplômes généraux communs aux maladies mentales, sur la classification, l
le fout le personnel est soignant, c'est-a-dire infirmier : diplôme commun , diplôme spécial. B. XliI. Rapport médical et c
tre astreints il suivre les cours de l'Ecole de Nancy (enseignement commun à fous) et à suivre, à l'asile, un cours spécia
intes lois, bibliographie. 403 que les familles et les maires des communes n'hésitent point à provoquer le placement de le
toirs, et des salles déclasse, les réfectoires et les ateliers sont communs .. Pour l'éducation des enfants on applique le s
l'étude de la - par l3ecllte- rew et Joukowsky, 385. Migraine. La commune ,'syn- drome bulboprotubérantiel à étiologie v
99 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
nt les réunions périodiques permettraient de favoriser les recherches communes et d'arriver à des conclusions rigoureusement sci
, sans conception préalable. Toutes ces affections ont l'obsession en commun . Cela veut dire que l'intelligence contrôlante, l
ions soient rares ou dénuées d'intérêt. Elles sont au contraire assez communes et constituent une affection grave pour le malade
notiques, et ils constituent d'autre part les manifestations les plus communes de l'hystérie. M. Bernheim vient précisément de
clair de l'état actuel de la science sur cette affection à la fois si commune et si complexe dans ses manifestations. C'est san
qui se sont donné la peine de l'examiner de plus près, ont avoué d'un commun accord que, dans plusieurs cas, elle peut rendre
e n'hésite pas à le déclarer. La science proprement dite, n'a rien de commun avec l'bynoUsme, qui est un amusement plutôt qu'u
s Grecs, à qui nous devons le mot, distinguaient le paidonume. maître commun à un certain nombre d'enfants, du pédagogue, maît
ses doctrines intelligentes et libérales reconnaissent parmi les lois communes toutes les diversités de la nature, parce qu'elle
l'art ne peut être que sérieux et sincère. Ce n'est point un talent commun , certes, que de s'établir dans la conscience de l
eux qui font profession d'appliquer à l'éducation te fruit de l'œuvre commune sont tenus à la fois et d'avoir réfléchi aux fins
et ceux qu'on peut obtenir dan* la sphère psydiique, sont à peu près commun aux trois périodes. En effet, dans la période d
contre cette théorie lorsque, en lt*82, dans notre Communication, en commun avec le Dr Seppili (4), nous avons cherché à prou
reconnaître que, si l'on peut admettre quelque fait général qui soit commun à tous ou presque à tous les cas d'hypnotisme, su
ique {puisque les phénomènes sensoriels et psychiques sont à peu près communs aux trois périodes), el qui, précisément par leur
té le délinquant par ivresse rentre presque entièrement dans le droit commun , i plus forte raison celui qui chercherait dans l
-jacent. c'est-à-dire à l'excitabilité morbide qui « est le terrain commun où se développent les troubles de ce genre qui «
M. Dumontpallier. — Nous savons tous aujourd'hui que rien n'est plus commun que de voir les paralysies des muscles moteurs de
Leçons cliniques sur l'Hystérie et l'Hypnotisme, tombe dans l'erreur commune de dire que nous employons l'hypnotisme sans dist
urs d'habitude des alcooliques : les premiers, plus irascibles que le commun des hommes, sont responsables; les seconds, arriv
mologique du mot. La désinence manie est une étiquette terminologique commune à tout un groupe de symdrômes épisodiques ayant d
ommune à tout un groupe de symdrômes épisodiques ayant des caractères communs (impulsions, conceptions délirantes, obsessions,
équences sociales qu'entraîne l'internement dans une maison d'aliénés communs , à l'abus qui peut-être fait de leur permission p
raies blanches sur lesquelles se manifeste aussitôt la cutis anstrina commune . Au bout de quelques secondes (vingt-cinq), la
loi i. on faisait le procès d'une certaine Henriette, mariée à Onex [ commune genevoise] et fortement soupçonnée de sorcellerie
i qu'appartient l'exécution des pansement* et opérations décidés en commun , à moin* qu'il ne charge de ce soin un confrère.
ques n'ont pas pour intermédiaire le muscle, qui est le moyen le plus commun de transmission des mouvements. C'est vrai ; mai&
tisme. Lorsque des expériences sont faites sur des sujets réunis en commun , comme cela arrive dans les services hospitaliers
utorisés à ne tenir aucun compte des lois prolectrices de la sécurité commune . > Quel est l'homme de science ou l'homme de
aliers de la haute industrie. Ils choisiront donc une de ces pâtes si communes qui se laissent mouler à tout usage. Les hystériq
ales et à l'éducation des enfants vicieux et dégénérés. Dans la vie commune , les parents et les précepteurs, par les exemples
la puissance infinie est appelée pour faire les choies par dessus la commune force de la vie : voilà la vraye doctrine, le fer
100 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
gie et de psychologie; et pour les mieux honorer, poursuivons l'œuvre commune sans regrets superflus comme sans défaillance.
ales, professionnelles ou techniques, de se réunir et de délibérer en commun sur les questions qui intè- sent tous ceux au
rs, deux écoles sont en présence, mais toutes deux utilisent un moyen commun qui fournit à l'une et à l'autre des résultats in
s écoles, on reconnaît la supériorité incontestable de l'éducation en commun . Ces derniers, sauf ex- ception, sont plus et
oins nous en avons connu il y a quelques années). Dans ce travail, en commun . les hommes apportent des idées plus larges, plus
els qui stimulent l'attention et facilitent le travail : éducation en commun , coeducation, intérêt des cours ou éducation attr
grand talent, dont la mémoire visuelle atteignait des proportions peu communes . Elle pouvait peindre, avec une grande exacti
, il faut les peser et donner leur poids de pain au plus pauvre de la commune : de plus, mettre un sou dans le bénitier de la m
r, dans l'église paroissiale. On vient à cette source de toutes les communes environnantes, même du Cantal. Si l'on ne peut
à l'hystérie. Legrand du Saule a écrit « la tentative du suicide est commune ; mais il y a préparation, rarement perpétration.
outes les circonstances de sa vie, elle est dans son rôle... un trait commun caractérise ces malades, c'est la simulation inst
nde qu'elle ne pouvait plus supporter, elle essaie de vivre de la vie commune . Or, un jour qu'elle assiste a un dîner de famill
, et vers le milieu d'août est suffisamment bon pour reprendre la vie commune . Le syndrome hystéro- neurasthénique a complèteme
s. Chacun garde jalousement les siennes. Il y a toujours, dans chaque commune , plusieurs personnes qui en connaissent, et les g
e sont pas précisément des vicieux ni des débauchés. Us n'ont rien de commun avec ces Césars romains dont les monstrueuses amo
me une femme d'une énergie, d'une intelligence, d'une supériorité peu commune . Et de ces qualités elle en use et elle en abuse.
le que soit la diversité des méthodes, elles ont, en général, ceci de commun qu'à un certain moment la séance comporte, anssi
nt pas de faire comparaître ici. pour cette confrontation, le sommeil commun , dit normal, qui n'est déjà plus un sommeil natur
s soins. Mais il existe ù côté ou au-delà de ces états légers, très communs d'après les déclarations de Nancy et d'après l'ex
change à cet égard, ce sont les résultats, si divergents, du sommeil commun ou ordinaire des civilisés et des états hypnotiqu
la suite de notre analyse, comme deux rameaux détachés d'une branche commune et primitive qui est le sommeil naturel ou hypnoï
fréquemment chez les neurasthéniques. Elles n'ont d'ailleurs rien de commun avec les interprétations délirantes de certains m
tous ses adeptes travaillaient avec acharnement dans la vaste maison commune , pour entasser argent sur argent. Dorothée Boiler
tiés et les pactes ne se scellai*;nt qu'entre personnes ayant le lien commun d'une odeur adéquate : les individus de sexe diff
nt, par la similitude de leurs exhalaisons, la preuve de leur origine commune . Les habitants de l'Egypte ancienne se rendaien
troubles névropathiques et elles mettent en évidence ce qu'il y a de commun dans toutes les névroses. Partout on constate que
elle est due au cuir dont les malles sont faites. Elle aurait cela de commun alors avec celle du cuir de Russie, qui imprè
réunion, vos collègues, vos amis, vos élèves, réunis dans une pensée commune , ont tenu à vous offrir une des plus belles œuvre
sentées et les membres du corps médical, réunis et rapprochés par une commune pensée d'affectueuse estime pour votre personne.
sique et intellectuel. Pourtant, le fait de les réunir dans une Ecole commune est chose utile, mais à condition que celle-ci so
éducation individuelle, d'une quantité d'idées acquises, d'impulsions communes , on d'actes qni font partie de la psychologie des
examine le role de ces facteurs secondaires dans les actes de la vie commune comme dans leurs rapports avec la psychothérapie.
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