arfois devient pénible. La déglutition se fait bien. Les battemens du cœur sont forts et brusques. L'exploration des poumons

me présenta l'état suivant: Fièvre très vive ; battemens du pouls, du cœur et de tout le système artériel extrêmement vigour

de toute émotion physique et morale qui précipitait les battemens du cœur . Une observation, que Dupuytren rapportait souven

r à la face, qui lui donnaient une teinte cramoisie. Les battemens du cœur se faisaient entendre dans presque tous les point

par un régime convenable. La malade, qui ne se sentait pas malade de cœur , et qui se livrait d'ailleurs à toutes ses occupa

où la malade le fit appeler pour une douleur très vive à la région du cœur , avec fièvre intense, douleur qui avait été précé

ur origine se voient quelques ganglions bronchiques et assez gros. Le cœur est un peu volumineux ; le ventricule gauche est

rirait immédiatement. Commémoratifs. — Il y a dix-huit mois, mal de cœur , et néanmoins appétit, éructations après l'ingest

à ceux d'un enfant qui vient de naître, mais qui n'a pas respiré. Le cœur C est également rosé et très bien conservé. Le lo

les parties constituantes du cordon spermatique. Poitrine. Poumons, cœur sains.— Tête. Le cerveau et ses membranes sont da

occupent la cavité abdominale, tout aussi bien que les poumons et le cœur occupent la cavité thoracique, le cerveau, la cav

occupent la cavité abdominale tout aussi bien que les poumons et « le cœur occupent la cavité thoracique; le cerveau, la cav

. Dilatation considérable avec hypertrophie du ventricule gauche du cœur ; infiltration purulente d'une bonne partie des po

verture du cadavre. Cavités pleurales remplies de sérosité jaunâtre ; cœur et poumons sains ; foie ayant son lobe gauche hyp

u'il présente à sa face interne une concavité profonde, qui reçoit le cœur ; à sa base, une concavité également profonde, qu

aussi, au fond de la plaie, des battemens isochrones aux mouvemens du cœur , et qui sont évidemment produits par l'artère mam

nnent quelque ressemblance avec la surface interne^des ventricules du cœur . La cicatrisation était parfaite ; les parois pré

veine, disposition qui m'a rappelé exactement les kystes purulens du cœur . J'ai cherché à résoudre chez le sujet de la pl

ait bonne, le teint naturel. Le pouls petit, inégal. L'exploration du cœur n'apprend rien—La malade ne conserve de la pneumo

postérieure et péronière étaient distendues par du sang coagulé. Le cœur et les autres parties du système artériel étaient

ppuration infiltrée. Le pus est exprimé du poumon comme d'une éponge. Cœur sain. Les muscles de la jambe, de la cuisse et

é dans ce genre de maladie, car elle décolle les caillots sanguins. Cœur .— Dans le ventricule gauche, au voisinage de son

ns fibrineux très denses qui s'engageaient dans le tissu aréolaire du cœur , d'où on ne pouvait le retirer sans déchirure. Le

œur, d'où on ne pouvait le retirer sans déchirure. Le tissu propre du cœur m'a paru intact. Artère du membre supérieur gau

ntenait à son centre un pus analogue au pus trouvé dans le caillot du cœur . — Le caillot de l'artère axillaire était tubulé,

e partie sont cause de gangrène: ainsi la faiblesse de contraction du cœur , coïncidant avec un obstacle léger à la circulati

er à la circulation artérielle, peut amener la gangrène, tandis qu'un cœur vigoureux peut triompher d'obstacles considérable

nœuvres d'opérations chirurgicales. La planche 1 et 2 représente le cœur et l'aorte vus à l'extérieur. Le cœur a un volu

planche 1 et 2 représente le cœur et l'aorte vus à l'extérieur. Le cœur a un volume ordinaire (planche i et 2). Le ventri

entre les unes et les autres; tandis que, dans les cavités droites du cœur , les valvules sygmoïdes de l'artère pulmonaire so

t participé à cette disposition. Tel est le peu de développement du cœur chez ce sujet, qu'on ne saurait considérer l'alté

llaire périphérique de l'aorte était accompagné d'une hypertrophie du cœur qui avait été reconnue pendant la vie; mais l'ané

la partie ascendante de la crosse de l'aorte : sa limite, du côté du cœur , était à un pouce au-dessus des valvules sygmoïde

ée. Ce sac n'offrait de collet qu'à son extrémité la plus éloignée du cœur ; du côté du cœur, il commençait d'une manière gra

ait de collet qu'à son extrémité la plus éloignée du cœur; du côté du cœur , il commençait d'une manière graduelle, insensibl

Hourmann diagnostique une apoplexie pulmonaire et une hypertrophie du cœur . Mort par asphyxie à 6 heures du soir. Ouvertur

gne d'un mouvement de projection de gauche à droite : on dirait qu'un cœur vigoureux remplit tout le côté droit du thorax.

it, par une impulsion très forte, semblable à celle qu'imprimerait un cœur vigoureux. Cette impulsion, faible en haut où ell

suivie d'un bruit de claquement, et où on reconnaît les deux temps du cœur , augmente, mais sans bruit de claquement, à mesur

dans toute la hauteur du thorax. D'une autre part, les battemens du cœur s'entendent, mais faiblement, à leur place ordina

porté de ce cas un diagnostic différent : c'était, suivant elles, un cœur énormément volumineux, qui imprimait à tout le th

dans la plèvre. Je ne pus donc me rendre à l'idée d'une maladie du cœur , et je soutins que le cœur n'était pour rien dans

s donc me rendre à l'idée d'une maladie du cœur, et je soutins que le cœur n'était pour rien dans tout cela; j'étais même fo

existait entre la petitesse du pouls, k ^aiblesse des contractions du cœur d'une part et la violence de l'impulsion d'une au

e, caractérisée par un liquide trouble mêlé de flocons albumineux. Le cœur offrait de grandes dimensions en largeur, en haut

e dans la tumeur un double battement isochrone au double battement de cœur . A ces signes, il était impossible de méconnaître

ter la ligature, sinon au dessous de la tumeur, entre la tumeur et le cœur , au moins au dessus de la tumeur, entre le cœur e

entre la tumeur et le cœur, au moins au dessus de la tumeur, entre le cœur et les extrémités. On conçoit que la ligature de

mit à l'idée des dangers d'une opération tentée entre la tumeur et le cœur , immédiatement au-dessus de la clavicule. JPig.

v, xxie livraison.) Anévrysme vrai partiel du 'ventricule gauche du cœur occupant le sommet et la paroi antérieure de ce v

lable à celle des anévrysmes des artères» Sac formé par les parois du cœur amincies et altérées. Péricardite hémorrhagique.

Pouls petit, fréquent, avec quelques intermittences; les battemens de cœur étaient faibles et obscurs. Sonoréité dans la rég

emens de cœur étaient faibles et obscurs. Sonoréité dans la région du cœur . Rien de particulier jusqu'au i3 septembre, qu'on

on gauche; battemens peu étendus, obscurs, irréguliers, précipités du cœur ; le soir, parotide à gauche. Les jours suivans, a

hépatisation rouge d'une partie du lobe inférieur du poumon gauche. Cœur . (Fig. 1, pl. iv.) Le péricarde contenait une dem

ot de sang. On aurait pu croire au premier abord à une perforation du cœur . Une fausse membrane rougeâtre et molle FM, FM,

art, tapissait le péricarde, d'une autre part, revêtait la surface du cœur : cette fausse membrane était peu cohérente, minc

rane était peu cohérente, mince, et formait une couche morcelée. Le cœur était très volumineux : il était facile de voir,

icule. La surface externe est accolée à la face interne du tissu du cœur , si bien qu'au premier abord il est impossible de

remier abord il est impossible de distinguer les caillots du tissu du cœur . La tranche des sections du cœur (fig. 1, fig.

istinguer les caillots du tissu du cœur. La tranche des sections du cœur (fig. 1, fig. 2) présente, au niveau des caillots

ans les poches anévrysmales des artères, les concrétions sanguines du cœur offraient divers degrés de consistance; on voyait

té, et qui me paraît ici la conséquence de l'altération des parois du cœur , établit l'imminence de la rupture. Réflexions.

ns sa thèse inaugurale, et que M. Breschet a décrite, à l'occasion du cœur de Talma, sous le titre $ anévrysme faux consécut

casion du cœur de Talma, sous le titre $ anévrysme faux consécutif du cœur , dénomination que je regarde comme impropre, car

aturelle des faits publiés jusqu'à ce jour sur l'anévrysme partiel du cœur , et établir de la manière la plus positive que ce

e de l'altération s'opposait manifestement ici à ce que la portion du cœur altérée se dilatât en poche surajoutée au cœur lu

à ce que la portion du cœur altérée se dilatât en poche surajoutée au cœur lui-même; d'une autre part, cette altération ne p

ons qui ont été décrites, et la transformation fibreuse des parois du cœur n'est pas encore opérée. Mais quel est le mode

pas encore opérée. Mais quel est le mode d'altération des parois du cœur auquel succède cette dilatation partielle avec am

et transformation de ses parois qui constitue l'anévrysme partiel du cœur ? Quelles sont les causes éloignées ou prochaines

nous appliquons ces données à la formation de l'anévrysme partiel du cœur , en ayant égard aux conditions de structure parti

du cœur, en ayant égard aux conditions de structure particulières au cœur lui-même, nous verrons que, dans l'état normal, t

s verrons que, dans l'état normal, tous les points des ventricules du cœur se contractent simultanément pour chasser le sang

moins évident que c'est par leur force contractile que les parois du cœur résistent à cette percussion du sang. Or, suppo

ire. Toute cause qui diminuera la force de résistance des parois du cœur dans une partie de ses parois deviendra donc une

la prive de sa contractilité, la transformation fibreuse du tissu du cœur , qui, sans doute, peut être primitive, indépendan

ent à admettre que la transformation fibreuse primitive des fibres du cœur joue un plus grand rôle dans la formation de l'an

mation de l'anévrysme partiel que l'inflammation ; et si le sommet du cœur en est si souvent le siège, c'est qu'il est la pa

la transformation fibreuse a eu lieu dans un des points des parois du cœur , la distension dont elle est le siège à chaque co

oser à l'accroissement de la tumeur. J'ai vu des cas dans lesquels le cœur n'était pas sensiblement déformé, bien que son so

t pu faire soupçonner pendant la vie la moindre altération du côté du cœur . Dans d'autres cas, la partie transformée se di

, dans ces cas seulement, l'anévrysme partiel du ventricule gauche du cœur mérite le nom d'anévrysme faux. MALADIES DU CŒU

Xilk.dr Benard.. (planche vi, xxxixe livraison.) Dilatation du cœur , avec hypertrophie et adhésion au péricarde. Le

Dilatation du cœur, avec hypertrophie et adhésion au péricarde. Le cœur représenté planche vi, fig. i et 2, m'a paru pouv

ait été plus facile d'enlever par la dissection le feuillet séreux du cœur , que de séparer le feuillet séreux viscéral du fe

uillet séreux péricardique. Sur la figure ire, les fibres charnues du cœur sont mises à nu, et on voit parfaitement la dispo

disposition de la couche superficielle de ces fibres. Une coupe du cœur (fig. 1) a été faite au niveau de la réunion des

seul fait de leur élasticité. On voit que la portion ventriculaire du cœur présente une forme sphéroïdale, c'est-à-dire qu'e

le que dans le sens vertical : on voit en outre qu'en se dilatant, le cœur n'a rien perdu de son épaisseur ; que, bien au co

épendantes. JN'ayant aucune note sur le sujet auquel a appartenu le cœur figuré planche vi, je vais y suppléer autant que

bien distincts : i° sous celui de la dilatation avec hypertrophie du coeur ; i" sous celui de l'adhérence du cœur au péricard

ilatation avec hypertrophie du coeur; i" sous celui de l'adhérence du cœur au péricarde. Ces deux lésions, la dilatation et

explicitement indiqué des rapports de connexité entre l'adhérence du cœur et la dilatation du cœur avant M. Beau, qui, dans

s rapports de connexité entre l'adhérence du cœur et la dilatation du cœur avant M. Beau, qui, dans un excellent mémoire int

logique sur une forme particulière de dilatation et d'hypertrophie du cœur (y \ cherche à établir que, dans le cas d'anévrysm

(y \ cherche à établir que, dans le cas d'anévrysme avec adhérence du cœur , l'anévrysme est consécutif à l'adhérence et l'ef

ervé 5 cas de coïncidence d'adhésion du péricarde et de dilatation du cœur , il se demanda s'il y avait quelque rapport de ca

tat de ces recherches fut que, sur 43 cas d'adhérence du péricarde au cœur , la dilatation du cœur avait été notée 35 fois, e

ut que, sur 43 cas d'adhérence du péricarde au cœur, la dilatation du cœur avait été notée 35 fois, et en ajoutant à ce nomb

sur 48 faits observés : encore dans les huit faits restans, l'état du cœur n'a pas été noté. (1) Archives générales de méd

j tome x , page 222. — J. Bouillaud, Traité clinique des maladies du cœur , deuxième édition, Pans , 184 ï, tome 11, pages 4

faits fort remarquables de coïncidence d'adhésion et de dilatation du cœur , que l'adhésion avait précédé, et il se fonde sur

et il se fonde sur un passage de Hal-ler (i), qui dit que, lorsque le cœur est adhérent au péricarde, il éprouve la plus gra

ne reviennent pas complètement sur elles-mêmes; d'où la dilatation du cœur . Inde in pturibus exemplis peramplum cor fuit cui

sac du péricarde, qui est attiré de dehors en dedans, l'autre sur le cœur qui, au contraire, est attiré de dedans en dehors

qui, au contraire, est attiré de dedans en dehors: or,]la traction du cœur s'exerçant également sur toute sa surface, il en

également faire jouer un rôle à la tendance qu'ont le péricarde et le cœur à se rapprocher pour prévenir la formation du vid

à se rapprocher pour prévenir la formation du vide. L'hypertrophie du cœur , qui a lieu dans beaucoup de cas en même temps qu

coup de cas en même temps que la dilatation, tient aux efforts que le cœur doit faire pour expulser la quantité de sang plus

les cas où l'adhésion du péricarde a pour résultat une dilatation du cœur , aux cas où cette adhésion est consécutive à un é

poumon, le péricarde fût une membrane inflexible qui ne pût suivre le cœur dans le resserrement qui a lieu pendant la systol

mment flexible, on ne comprendrait pas comment, lorsqu'elle adhère au cœur , cette membrane lutterait efficacement contre la

contre la contraction si puissante des ventricules, et retiendrait le cœur appliqué contre elle, au lieu de le suivre dans s

ise en considération sérieuse dans le cas d'adhérence du péricarde au cœur , et expliquer mieux que la résistance du péricard

résistance du péricarde, la gêne que détermine dans les battemens du cœur adhérent la contraction de ce muscle. Mais cette

ette circonstance ne rendrait pas compte de la dilatation générale du cœur . 3° Une troisième objection bien plus péremptoi

est qu'il est assez fréquent de rencontrer des péricardes adhérens au cœur , sans le moindre développement, et même avec atro

e cet organe; 4° Enfin, on trouve tous les jours des dilatations du cœur sans adhérence, qui présentent identiquement les

fet ou cause de l'adhérence. Pourquoi répugnerait-il d'admettre qu'un cœur dilaté contracte plus facilement des adhérences a

té contracte plus facilement des adhérences avec son enveloppe, qu'un cœur dans l'état normal. Je sais bien que M. Beau a es

a essayé d'établir des caractères différentiels entre l'anévrysme du cœur par adhérence, et l'anévrysme du cœur sans adhére

férentiels entre l'anévrysme du cœur par adhérence, et l'anévrysme du cœur sans adhérence; mais ces caractères ne portent qu

d'une autre part. Mais c'était avec l'anévrysme des quatre cavités du cœur , sans rétrécissement, que le parallèle devait êtr

rsque je rencontrerai un cas de coïncidence de dilatation générale du cœur et d'adhérence au péricarde, je resterai dans le

a un nouvel exemple de coïncidence de dilatation avec hypertrophie du cœur , et d'adhérence du cœur au péricarde. Aucun fait

oïncidence de dilatation avec hypertrophie du cœur, et d'adhérence du cœur au péricarde. Aucun fait ne me parait plus favora

é planche vi. Dilatation avec hypertrophie de toutes les cavités du cœur . — Adhérence du péricarde. — Infiltration général

raît exister au deuxième temps. Sauf ce bruit sourd, les mouvemens du cœur sont aphones. Le pouls est bref, large, plein ,

t généraux les plus graves, sous l'influence des moindres maladies du cœur , tandis que, chez d'autres, les lésions organique

nstant, pour le diagnostic, entre une dilatation avec hypertrophie du cœur et un épanchement dans le péricarde. Dans l'un et

ussi étendue, l'énorme voussure du thorax, l'aphonie des mouvemens du cœur , les phénomènes d'ondulation, me paraissent appar

demande quel était le siège du point de côté, il montre la région du cœur . Il est donc probable que cette prétendue pleurés

puis cette époque seulement que sont survenus les accidens du côté du cœur . Le jeune malade ne peut rester couché que sur le

oute émotion physique et morale propres à précipiter les mouvemens du cœur . Etat stationnaire jusqu'au ipr octobre. Je con

sursaut sont plus fréquens lorsque le malade est couché à droite. Le cœur ausculté donne deux bruits graves et sourds, un à

, sans force. L'auscultation démontre un seul bruit grave et sourd du cœur dans le lointain et perçu exclusivement derrière

a augmenté graduellement. Cette infiltration, le bruit très sourd du cœur , l'étendue de la matité, et le mouvement d'ondula

r, dès le principe, l'existence d'une dilatation avec hypertrophie du cœur . Le 16 novembre, je trouve le malade assoupi; j

et en effet, mort par asphyxie le soir même. Ouverture du cadavre. Cœur très volumineux qui remplissait une bonne partie

es deux poumons, surtout le gauche ; adhérence intime du péricarde au cœur , à l'aide d'un tissu cellulaire bien organisé. Ce

u péricarde au cœur, à l'aide d'un tissu cellulaire bien organisé. Ce cœur , qui aurait paru notablement volumineux chez un a

ait tout au plus le développement d'un enfant de treize. Le volume du cœur consistait dans une dilatation générale de ses qu

ire pour qu'une pérjeardite pût devenir la source d'une dilatation du cœur . Le léger épaississement observé aux valvules syg

être considéré comme une cause de la dilatation avec hypertrophie du cœur : mais d'abord rien ne prouve que cet épaississeme

'est pas nécessaire pour expliquer la dilatation avec hypertrophie du cœur , car je possède un certain nombre d'observations

sède un certain nombre d'observations de dilatation hypertrophique du cœur , avec intégrité des valvules. Les malades affec

s valvules. Les malades affectés de dilatation avec hypertrophie du cœur succombent presque toujours par les poumons. La c

ue l'on observe si souvent dans les périodes avancées des maladies du cœur , tient exclusivement aux poumons, à une revivific

de sorte que le sang revient presque noir dans les cavités gauches du cœur , d'où il est chassé avec les mêmes qualités dans

us souvent Xœdème du poumon, lésion si fréquente dans les maladies du cœur , lésion si subite qui emporte souvent en quelques

onséquent de cyanose. L'œdème des poumons est, dans les maladies du cœur , un phénomène du même ordre que l'infiltration gé

su avec la sérosité. La mort par les poumons, dans la dilatation du cœur , s'explique : i° par la compression quelquefois t

considérable qu'éprouvent les poumons, par suite du développement du cœur . Pour juger de cette cause de compression et d'as

te cause de compression et d'asphyxie, il ne suffit pas d'examiner le cœur vide et flasque, il faut examiner le cœur rempli

ne suffit pas d'examiner le cœur vide et flasque, il faut examiner le cœur rempli par le sang, et en place; il faut insufler

diminution de capacité résulte, pour les poumons, de la présence d'un cœur volumineux , dans une cavité presque inflexible:

ou plutôt de soulagement, dans les périodes avancées des maladies du cœur ; tandis que dans les premières périodes, un exer

Par le premier plan de traitement, vous réduisez la circulation du cœur à sa plus simple expression ; vous mettez le cœur

z la circulation du cœur à sa plus simple expression ; vous mettez le cœur dans des conditions telles, qu'il peut revenir pe

ilibre; chaque muscle en action devient pour ainsi dire, à l'égard du cœur , un point de dérivation ; mais pour cela il faut

lement lente, qu'il n'en résulte aucune accélération des mouvemens du cœur ; car, pour peu qu'il arrive de gêne dans la respi

a repousse comme méthode générale de traitement dans la dilatation du cœur , même avec hypertrophie. Les évacuations sanguine

cuations sanguines locales, et surtout les ventouses sur la région du cœur , ou mieux sur la région dorsale, lui sont substit

s le cas qui fait le sujet de ces réflexions, entre une dilatation du cœur el une hydropéricarde. Dans le cas suivant, qui n

une hydropéricarde, et c'était une dilatation. Dilatation générale du cœur sans altération du tissu, prise pour une hydropér

l y a décubitus et sommeil dans la position horizontale. Battemens du cœur faibles à la main; bruits du cœur nuls, excepté s

position horizontale. Battemens du cœur faibles à la main; bruits du cœur nuls, excepté sous l'aisselle gauche; matité dans

elles crises, à l'aide d'un régime convenable. Du reste, la région du cœur présente toujours la même matité et le même silen

région du cœur présente toujours la même matité et le même silence du cœur , qui ne s'entend un peu que sous l'aisselie gauch

sur le péricarde, qui contient une très petite quantité de sérosité. Cœur très volumineux; dilatation générale et uniforme

, encroûtée de cartilage. Réflexions. La dilatation considérable du cœur , sans hypertrophie, s'oppose donc à la perception

a cette différence que, dans le cas actuel, je percevais le bruit du cœur sous l'aisselle: or, dans l'hydropériearde, c'est

l'aisselle: or, dans l'hydropériearde, c'est précisément la pointe du cœur qui est la partie la plus éloignée des parois du

eptible, ce serait derrière le sternum. J'ajouterai que ce silence du cœur s'accompagnait, surtout sous l'aisselle, d'une ce

ppuyée contre le thorax; or, l'impulsion et la percussion directes du cœur , contre les parois thoraciques, sont incompatible

es de suffocation qu'éprouvent les malades, affectés de dilatation du cœur , peuvent tenir tantôt à une perturbation momentan

e gêne passagère ou permanente dans la respiration. Les poumons et le cœur constituent un cercle vicieux pathologique, tant

e peuvent être gênés dans leurs fonctions, sans que la circulation du cœur ne soit troublée, de même que le moindre désordre

soit troublée, de même que le moindre désordre dans la circulation du cœur détermine un désordre correspondant dans les fonc

on chez les vieillards que je rapporte la fréquence des affections du cœur à cet âge de la vie. Pendant mon séjour à la Salp

ère, je me suis souvent exercé à déterminer l'origine des maladies du cœur chez les vieilles femmes: or, le catarrhe chroniq

ent paru la point de départ de l'asthme symptomatique des maladies du cœur . Mais si, dans un certain nombre de cas, la gêne

t celle de la circulation pulmonaire, ont pu précéder les maladies du cœur , et plus particulièrement les dilatations simples

t par les poumons que finissent les individus affectés de maladies du cœur ; le moindre catarrhe peut avoir, dans ce cas, les

e de la mort. Dilatation très considérable de toutes les cavités du cœur . — Etat imminent de suffocation auquel le malade

aris , 184 r , page 373. — Bouillaud, Traité clinique des maladies du cœur , deuxième édition , Paris , 1481 , tome 11, page

vif, bref, régulier; matité très grande, très étendue à la région du cœur ; battemens sourds: on entend un bruit de claqueme

le 20 ; le malade est resté sur son séant toute la nuit. Même état du cœur , léger claquement que je rapporte à un épaississe

rouve, le malade dit qu'il lui semble avoir un charbon embrasé sur le cœur . Renouvellement des ventouses scarifiées et de l'

rester jusqu'au i5 août. Lorsqu'il sortit, la matité de la région du cœur était presque aussi considérable qu'à son entrée.

des mouvemens un peu actifs. Le pouls est petit, régulier: rnatité du cœur considérable ; bruits du cœur très faibles, sans

e pouls est petit, régulier: rnatité du cœur considérable ; bruits du cœur très faibles, sans claquement, sans bruit. Le mal

en vain : la mort par asphyxie eut lieu pendant la nuit. Ouverture. Cœur énorme. Toutes les cavités sont remplies de sang.

l'œdème du poumon, et l'œdème du poumon le résultat de la maladie du cœur . Je suis convaincu que si le malade avait réclamé

ns un jour. Je ne terminerai pas ces réflexions sur les maladies du cœur , réflexions que je reprendrai plus tard, sans men

entionner les grands avantages qu'on peut retirer de l'exploration du cœur par les grosses artères. Les bruits doubles du cœ

l'exploration du cœur par les grosses artères. Les bruits doubles du cœur s'entendent souvent sur le tronc brachio-céphaliq

r un artère que par l'oreille appliquée sur le sternum, MALADIES DU CŒUR Dilatation ,cw ex, hypertrophie des qualre ccwd

Dilatation ,cw ex, hypertrophie des qualre ccwdes j[dhesio7is car cœur euepéricarde. 39e Livraison PUl6 ChazaZ d l

ChazaZ d l. Imp.Lenu.ratr BmarcLet C. i° Apoplexie ; rupture du cœur ; i° Anévrysme partiel du cœur. (Planche m, xxne l

BmarcLet C. i° Apoplexie ; rupture du cœur; i° Anévrysme partiel du cœur . (Planche m, xxne livraison.) Apoplexie du cœur

névrysme partiel du cœur. (Planche m, xxne livraison.) Apoplexie du cœur .—Foyers sanguins dans l'épaisseur du ventricule g

du cœur.—Foyers sanguins dans l'épaisseur du ventricule gauche. Le cœur représenté fig. i appartient à une femme de la Sa

panchemens sanguins peuvent avoir lieu dans l'épaisseur des parois du cœur , indépendamment de la rupture de cet organe. Su

e bord droit de la coupe, la séparation des couches superficielles du cœur a permis de voir que le sang infiltré dans l'épai

direction des fibres musculaires, disposition qui donnait au tissu du cœur ainsi infiltré quelque analogie d'aspect avec le

elque analogie d'aspect avec le bois de palissandre. A la pointe du cœur et au voisinage, j'ai été frappé par une colorati

et avec la couleur des foyers sanguins et avec la teinte naturelle du cœur . Cette coloration jaune de bois s'alliait à une g

, est liée à la présence des foyers apoplectiques dans l'épaisseur du cœur . Dans plusieurs cas de rupture du cœur, j'ai pu m

plectiques dans l'épaisseur du cœur. Dans plusieurs cas de rupture du cœur , j'ai pu m'assurer de l'existence de la même colo

e coloration jaune tenait à une transformation graisseuse du tissu du cœur . — Il est bien difficile d'admettre la rupture du

su du cœur. — Il est bien difficile d'admettre la rupture du tissu du cœur sans une augmentation préalable dans la fragilité

s sanguins circonscrits représentés fig. 1 , pl. ni, et la rupture du cœur avec hémorrhagie mortelle. Il est rare que, dans

hagie mortelle. Il est rare que, dans les cas de rupture spontanée du cœur , on ne trouve pas dans l'état du tissu de cet org

insolite avec ou sans changement de couleur, si bien que le tissu du cœur médiocrement comprimé s'écrase entre les doigts.

entre les doigts. Dans le cas suivant de mort subite par rupture du cœur , la fragilité et le changement de couleur dans le

gane étaient on ne peut plus manifestes. Mort subite par rupture du cœur .-—¦ Fragilité et coloration jaunâtre du tissu de

ts de sang remplissaient tout l'intervalle qui sépare le péricarde du cœur . Deux'déchirures linéaires et distantes d'un po

. Deux'déchirures linéaires et distantes d'un pouce de la pointe du cœur étaient situées l'une en devant, l'autre en arriè

entricule gauche était hypertrophié. Ayant divisé le bord gauche du cœur entre les deux déchirures, j'ai été frappé de la

été frappé de la couleur blanc-jaunâtre maculée de rouge du tissu du cœur , qui m'a paru en outre extrêmement fragile. J'a

rêmement fragile. J'ai cherché à reconnaître par la face interne du cœur le lieu de la perforation, et cela m'a d'abord ét

oduisant un stylet par la déchirure linéaire observée à la surface du cœur , je suis arrivé, à travers un trajet sinueux, dan

irures indiquées à la surface de l'organe. L'altération du tissu du cœur consistant dans un changement de couleur avec fra

s de défécation. Mais en quoi consiste cette altération du tissu du cœur ? J'ai pensé qu'elle pourrait bien être le résulta

rrait bien être le résultat de la combinaison du pus avec le tissu du cœur ; mais ce n'est là qu'une conjecture, car il ne m'

compression. Toujours 'es il que dans cette hypothèse, la rupture du cœur aurait été le résultat d'une carditc XXIIe livr

raisseux, crut voir une grande analogie entre l'aspect de la coupe du cœur et l'aspect de la coupe des muscles, et en conclu

upe du cœur et l'aspect de la coupe des muscles, et en conclut que le cœur avait subi la dégénération graisseuse ; mais les

s les réactifs chimiques auxquels a été soumise la portion altérée du cœur n'ont pas démontré la présence de la graisse. M

e de la graisse. Mort par rupture du sommet du ventricule gauche du cœur . — Infiltration du sang dans l'épaisseur des paro

e partie de leur étendue.—Travail inflammatoire probable au sommet du cœur . (\) Une femme de la Salpêtrière meurt subiteme

chute. A l'ouverture: péricarde distendu par des caillots de sang; cœur notablement hypertrophié dans son ventricule gauc

blement hypertrophié dans son ventricule gauche. Sur le bord droit du cœur , vers la pointe, fente linéaire de 8 lignes de lo

petit caillot plus dense, en partie décoloré, adhérent aux parois du cœur et creusé d'une petite cavité contenant une matiè

ontenant une matière sanieuse. C'était au niveau de ce caillot que le cœur était déchiré; la déchirure était considérable, s

hiré; la déchirure était considérable, son trajet direct; le tissu du cœur était maculé de sang dans la moitié environ de la

bres charnues constituait çà et là de très petits foyers. Le tissu du cœur n'était fragile qu'au voisinage de la déchirure;

fragile qu'au voisinage de la déchirure; à ce voisinage, le tissu du cœur présentait une couleur jaune de bois qui contrast

fibreuse, laquelle occupait dans quelques points toute l'épaisseur du cœur , dans d'autres points une partie seulement de cet

harnues, si ce n'eût été la continuité de ces masses avec le tissu du cœur . La transformation fibreuse s'étendait jusqu'aupr

vient de lire, l'infiltration du sang dans l'épaisseur des parois du cœur atteste que la rupture est le résultat d'une apop

ois du cœur atteste que la rupture est le résultat d'une apoplexie du cœur . La présence d'un caillot de sang adhérent et con

cette perforation, qu'il aurait décidée. Anévrysme vrai partiel du cœur occupant le sommet du ventricule gauche. (2) Ce

rai partiel du cœur occupant le sommet du ventricule gauche. (2) Ce cœur est remarquable par sa hauteur, qui est de 5 pouc

rquable par sa hauteur, qui est de 5 pouces : la hauteur ordinaire du cœur est de 3 pouces. Ces grandes dimensions dans le s

ppendice du ventricule gauche. Il n'y avait aucune adhérence entre le cœur et le péricarde. Le cœur ouvert (fig. 2) présen

he. Il n'y avait aucune adhérence entre le cœur et le péricarde. Le cœur ouvert (fig. 2) présente son sommet converti en u

ètement débarrassée du caillot, ni complètement séparée des parois du cœur , dont elle paraît former la couche la plus intern

istante : son diamètre représente un sphéroïde surajouté au sommet du cœur . Ses parois assez épaisses sont constituées par u

nte qu'elle est le résultat de la transformation fibreuse du tissu du coeur . On peut suivre cette transformation dans tous se

poche comme par rayons bien distincts dans l'épaisseur des parois du cœur , lesquelles présentent un mélange remarquable de

laire. il est bien évident que, dans ce cas, l'anévrysme partiel du cœur est un anévrysme par dilatation ou anévrysme vrai

x. Mais il s'en faut bien que tous les cas d'anévrysmes partiels du cœur soient des cas d'anévrysmes vrais ou par dilatati

rie ne saurait leur être applicable. Considérations générales. Le cœur est sujet à deux espèces d'anévrysmes: \° X anévr

sans hyperthrophie, anévrysme qui occupe une ou plusieurs cavités du cœur , le plus souvent le ventricule gauche; i° Xanévry

s ce cas , en effet, la poche fibreuse est constituée par le tissu du cœur transformé, sans déchirure aucune de ce tissu.

bserver un certain nombre de faits qui conduisent de l'état normal du cœur à cet anévrysme partiel vrai : ainsi j'ai trouvé

n fibreuse des parois du ventricule gauche et surtout de la pointe du cœur , indépendamment de toute autre lésion ; on conçoi

ndamment de toute autre lésion ; on conçoit en effet que la pointe du cœur étant la région la moins résistante de l'organe,

nsformation en tissu fibreux de la pointe ou de toute autre région du cœur une fois opérée, cette pointe n'opposera plus qu'

r la question de savoir si l'anévrysme est vrai ou faux. Tel était le cœur de Talma que M. Breschet présenta à la Société an

éance du i5 mars 1827 : au niveau ou un peu au-dessus de la pointe du cœur , les fibres musculaires du ventricule gauche s'ar

ots concentriques extrêmement denses. Il n'est pas un point dans le cœur qui ne puisse devenir le siège d'un anévrysme par

la moitié inférieure de la cloison interventriculaire de la pointe du cœur qui fait une saillie considérable du côté du vent

parois de la poche offraient l'aspect réticulé de la face interne du cœur . La pointe du cœur amincie m'a présenté un travai

offraient l'aspect réticulé de la face interne du cœur. La pointe du cœur amincie m'a présenté un travail d'érosion qui att

é de l'hémorrhagie. Les faits suivans me paraissent établir pour le cœur l'existence d'un anévrysme faux partiel dont le m

celui de l'anévrysme latéral des artères. Anévrysme faux partiel du cœur consistant en une poche cartilagineuse et osseuse

ignait, depuis l'année 1809, d'un sentiment de gêne dans la région du cœur , pour lequel il consulta à plusieurs reprises les

médecins les plus éclairés, qui qualifièrent sa maladie de spasmes du cœur , et motivèrent leur opinion sur l'influence qu'ex

motivèrent leur opinion sur l'influence qu'exerçait sur ce malaise du cœur les affections morales même les plus légères. Je

e un coup électrique en même temps qu'un sentiment de constriction au cœur : ce sentiment de constriction, de gêne à la régi

iction au cœur : ce sentiment de constriction, de gêne à la région du cœur , était d'ailleurs permanent. Le malade exprimait

lade exprimait son état habituel en disant qu'il lui semblait que son cœur était comme une bourse dont l'ouverture serait fe

t très dur, plein, et un peu intermittent. Je n'ai pas noté l'état du cœur ; l'auscultation méthodique et la percussion n'éta

ie. C'était en effet un asthme sympathique d'une maladie organique du cœur avec hypertrophie. Mais quelle était cette maladi

qu'avec les moyens de diagnostic nouveaux acquis sur les maladies du cœur , ce problème n'aurait pas été insoluble aujourd'h

t très injectées. En ouvrant le péricarde, je vis qu'il adhérait au cœur près de son bord gauche par des filamens celluleu

des filamens celluleux peu résistans; les adhérences détruites et le cœur ayant été soulevé, il apparaît une tumeur arrondi

ix, résistante, qui naissait immédiatement derrière le bord gauche du cœur , à la*réunion du tiers supérieur avec les deux ti

é que la tumeur qui naissait immédiatement derrière le bord gauche du cœur , consistait en un kyste à parois très denses, leq

s, dont la droite formait l'une des deux grosses colonnes charnues du cœur , et dont la gauche était une petite colonne; que

s de différens volumes au nombre de 81. Réflexions. — La maladie du cœur ne s'est donc révélée chez ce malade que par des

Le malade n'a point d'ailleurs succombé directement à la maladie du cœur , car cette maladie n'a présenté aucunes traces de

'asthme symptoma-tique qui est la suite si habituelle des maladies du cœur . Quant au mode de formation de la coque cartila

tion de la coque cartilagineuse et osseuse occupant le bord gauche du cœur , je répondrai par les deux faits suivans, qui me

ent établir la connexité qui existe entre l'apoplexie circonscrite du cœur et l'anévrysme faux partiel : i° Sur une vieille

névrysme faux partiel : i° Sur une vieille femme de la Salpêtrière, à cœur petit, nous avons trouvé une poche sanguine situé

de la base du ventricule gauche, un peu en arrière du bord gauche du cœur . Cette poche, qui jDouvait admettre une petite no

un caillot sanguin ordinaire. La poche communiquait avec la cavité du cœur par un orifice très étroit. Il est évident qu'une

u cœur par un orifice très étroit. Il est évident qu'une apoplexie du cœur a précédé la formation de cette poche. i° Sur u

re sujet de la Salpêtrière, j'ai trouvé, en arrière du bord gauche du cœur , un foyer sanguin qui envoyait des prolongemens c

envoyait des prolongemens considérables entre les libres charnues du cœur , de manière à imiter le bois de palissandre. Le t

in, elle s'étendait encore à une certaine distance. On eût dit que le cœur avait été soumis à une ébullition prolongée. Cet

que le cœur avait été soumis à une ébullition prolongée. Cet état du cœur permettait la séparation facile des fibres muscul

unication du foyer sanguin ni avec l'intérieur ni avec l'extérieur du cœur . Le veutricule droit participait à la fragilité d

dernière période. Il établit en outre qu'une altération préalable du cœur avait précédé la formation du foyer apoplectique.

l'abbaye 4. ( Planche iv , xxxe livraison.) rupture spontanée du coeur . lie cœur représenté sur cette planche, fig. i

( Planche iv , xxxe livraison.) rupture spontanée du coeur. lie cœur représenté sur cette planche, fig. i et i, a appa

ette membrane, et du sang coagulé qui s'était moulé sur la surface du cœur . Le cœur est d'un volume ordinaire, enveloppé d

ne, et du sang coagulé qui s'était moulé sur la surface du cœur. Le cœur est d'un volume ordinaire, enveloppé de graisse c

tte perforation consiste dans une lacération considérable du tissu du cœur , que le sang s'est infiltré de bas en haut entre

a mis en évidence. Du reste, aucune lésion proprement dite dans le cœur : point de rétrécissement des orifices, point d'hy

un enfant nouveau-né, qui mourut le sixième jour de sa naissance. Le cœur est enveloppé par une fausse membrane FM, le péri

même tapissé par une fausse membrane, mais moins épaisse que celle du cœur . Il est plus que probable que cette péricardite d

ne époque reculée. Anatomie pathologique des ruptures spontanées du cœur . JNous sommes maintenant en mesure de présenter

r une anatomie pathologique assez complète des ruptures spontanées du cœur . Etat du péricarde dans la rupture du cœur__Le

possible, par le sang qui occupe tout l'intervalle compris entre le cœur et son enveloppe : on a dit n'avoir trouvé, dans

et son enveloppe : on a dit n'avoir trouvé, dans un cas de rupture du cœur , qu'un caillot peu considérable qui remplissait i

urrait, à l'aide de la percussion, diagnostiquer un cas de rupture du cœur . Quantité de sang contenue dans le péricarde. —

eussent pris une péricardite héoiorrhagique pour un cas de rupture du cœur ; erreur qui, d'ailleurs, ne saurait être invoquée

t demi, dont les bords étaient frangés. La mort, dans la rupture du cœur , n'est évidemment pas due à l'abondance de l'hémo

non du trouble subit qu'apporte la perforation dans les fonctions du cœur , mais de la compression de cet organe, qui suppri

ion de cet organe, qui supprime à l'instant la circulation. Etat du cœur . — Le siège de la rupture est exclusivement le ve

nnec, qui disent que l'épaisseur de la pointe du ventricule gauche du cœur est en raison inverse de celle des autres parties

reste du ventricule. On cite cependant un exemple de perforation du cœur à la base du ventricule gauche : c'est Bohn qui p

l'infirmerie. Je reconnus un asthme sympathique d'une hypertrophie du cœur . Au bout de quelques jours, la malade demanda à r

érieure qui tient au défaut d'équilibre entre la force d'impulsion du cœur et la résistance de l'artère. 11 suit de ce qui

doit être prise en grande considération dans l'étude des ruptures du cœur , bien que le trajet de la perforation puisse être

ajet de la perforation puisse être quelquefois aussi direct que si le cœur avait été traversé de part en part par un instrum

celui de M. Andral, qui a présenté à l'Académie royale de Médecine un cœur dont la paroi postérieure du ventricule gauche pr

re observation qui ait été publiée sur les perforations spontanées du cœur , le ventricule gauche ouvert par une perforation

tus et perforants amplo hiatu. Quelle est la cause de la rupture du cœur ? Y a-t-il dans tous les cas de ruptures du cœur u

ause de la rupture du cœur? Y a-t-il dans tous les cas de ruptures du cœur une altération préexistante appréciable du tissu

i, dans sa iye lettre, a recueilli huit cas de ruptures spontanées du cœur , dont deux lui sont propres, Morgagni attribue ce

uleurs rhumatismales, et mourut subitement A l'ouverture, scissure du cœur longue d'un pouce, et autour de cette scissure, f

ure du cœur longue d'un pouce, et autour de cette scissure, fibres du cœur rongées par une érosion qui n'était pas récente.

tribut à la science, a réuni, sous le titre de déchirement sénile du cœur , quatre observations qu'il a fait suivre de réfle

uction. Il a trouvé une dégénérescence remarquable dans la texture du cœur ; savoir, ses fibres ramollies, comme infiltrées

ide , suivant M. Blaud, la cause essentielle du déchirement sénile du cœur . D'après cette théorie, cette dégénérescence, q

oins avancé. Cependant, comme on cite quelques exemples de rupture du cœur chez des sujets qui n'avaient pas passé 60 ans, e

Blaud, M. Rostan publiait également quatre observations de rupture du cœur appartenant à des femmes septuagénaires : de ces

septuagénaires : de ces faits il concluait que, dans les ruptures du cœur , il n'y a pas d'altération de tissu préexistante,

d'altération de tissu préexistante, et considérait l'hypertrophie du cœur comme pouvant amener ou favoriser cette rupture.

u favoriser cette rupture. D'autres lésions préexistantes du tissu du cœur ont été invoquées. L'obésité générale a été signa

us de vraisemblance, mais je possède des faits qui établissent que le cœur a pu être entièrement graisseux dans ses parois,

nt des artères, puisse être considérée comme favorisant la rupture du cœur . Cr, il résulte de huit cas de ruptures du cœur

isant la rupture du cœur. Cr, il résulte de huit cas de ruptures du cœur que j'ai eu occasion d'observer, et que j'ai étud

sulte, dis-je, que leur cause réelle et dans la fragilité du tissu du cœur . Dans toutes mes observations, il y avait fragili

et cela à une distance plus ou moins considérable. Cette fragilité du cœur peut être limitée, elle peut être générale. Un ch

remarquable s'observe en même temps que cette fragilité: le tissu du cœur est quelquefois rouge obscur, d'autres fois gris

l'infiltration de la graisse ; dans deux cas, la couleur du tissu du cœur était jaune de bois. Deux fois aussi, le tissu du

ur du tissu du cœur était jaune de bois. Deux fois aussi, le tissu du cœur avait subi la transformation fibreuse dans une ce

on fibreuse dans une certaine partie de ses fibres. La fragilité du cœur une fois survenue , l'équilibre est rompu , et al

de Paris, i8o5. que de se rendre compte de la déchirure du tissu du cœur sous l'influence d'une contraction un peu vive de

les formules du langage pour peindre la dégénérescence gélatineuse du cœur des vieillards : il est bien singulier de voir à

ons non moins authentiques de M. Rostan, qui accuse l'hypertrophie du cœur d'être cause des ruptures du cœur. On est bien

ostan, qui accuse l'hypertrophie du cœur d'être cause des ruptures du cœur . On est bien revenu, depuis quelques années, su

cœur. On est bien revenu, depuis quelques années, sur l'idée que le cœur des vieillards participe à l'atrophie de tous les

remier abord qu'il existe un squirrhe du pylore. Il en est de même du cœur , cet organe qui fonctionne d'une manière incessan

plus fort dans les divers points de son étendue qu'il se déchire; un cœur mollasse, infiltré de sérosité, se romprait diffi

t et le défaut de résistance ne fussent partiels : non, les fibres du cœur ne sont pas épuisées chez les vieillards ; non, l

œur ne sont pas épuisées chez les vieillards ; non, la contraction du cœur n'est pas faible, et sa nutrition n'est pas en so

théorie pure ; les vieillards ont souvent, je ne dis pas toujours, le cœur plus volumineux et souvent plus énergique que cel

ns cavité, est très considérable. On conçoit que si la fragilité du cœur est très considérable, la perforation du cœur pui

que si la fragilité du cœur est très considérable, la perforation du cœur puisse avoir lieu directement sans infiltration d

e du tissu musculaire. Que si au contraire la fragilité du tissu du cœur n'est pas aussi considérable, ou si elle est inég

On conçoit encore que l'inflammation aiguë ou chronique du tissu du cœur , en amenant la fragilité de ce tissu puisse être

e tissu puisse être une cause de rupture de cet organe. La rupture du cœur peut dans d'autres cas être la conséquence d'une

du cœur peut dans d'autres cas être la conséquence d'une apoplexie du cœur , c'est-à-dire d'une hémorrhagie spontanée qui a s

hémorrhagie spontanée qui a son siège dans l'épaisseur des parois du cœur , indépendamment de toute rupture des fibres inter

et de toute communication avec la cavité ventriculaire ; apoplexie du cœur que je considère comme le résultat d'une phébite

la formation de foyers hémorrhagiques dans l'épaisseur des parois du cœur est un fait bien positif, dont on trouve un exemp

ec les lignes du sang infiltré, disposition qui donnait à la coupe du cœur l'aspect du bois de palissandre. XXXe LIVRAISON

elques cas, cette infiltration du sang dans l'épaisseur des parois du cœur , soit consécutive à une perforation interne du cœ

eur des parois du cœur, soit consécutive à une perforation interne du cœur tellement petite qu'elle échappe à une observatio

e ; mais il est constant qu'il existe des foyers sanguins du tissu du cœur indépendans de toute rupture. Ces foyers sangui

indépendans de toute rupture. Ces foyers sanguins ou apoplexies du cœur peuvent rester cachés dans l'épaisseur de l'organ

rès étroit: il serait possible que l'ané-vrisme latéral ou partiel du cœur commençât dans quelques cas par un foyer sanguin

vaisseau, source de l'hémorrhagie. Enfin comme cause de rupture du cœur , je ne dois pas passer sous silence l'ulcération

te dans le ventricule. On a dit d'après M. Blaud, que la rupture du cœur s'opérait du dehors au dedans, c'est-à-dire comme

es plus internes. On conçoit que la rupture de toute l'épaisseur du cœur puisse se faire lentement, et pour ainsi dire d'u

Je ne parle pas du diagnostic et de la thérapeutique des ruptures du cœur ; rien ne peut faire prévoir la rupture du cœur; r

utique des ruptures du cœur; rien ne peut faire prévoir la rupture du cœur ; rien ne peut la guérir. C'est un fait d'anatomie

x faits décrits par Corvisart sous le titre de Ruptures partielles du cœur , ils se rapportent i° à la rupture des piliers ou

ISON.) i° Concrétions fibrincus es purulentes ou kystes purulens du cœur ; fig. 1,1 et i".—^Rétrécissement de U orifice art

du ventricule droit; fig. i et i'. La présence dans les cavités du cœur de concrétions fibrineuses, au centre desquelles

nues à l'égard de la présence du pus au sein des caillots sanguins du cœur , relativement au point de départ; on peut dire :

ineux. 2° Dans une autre hypothèse, le pus aurait été formé dans le cœur lui-même, et trois explications se présentent : «

de laquelle il est placé; y. enfin sécrété par la membrane interne du cœur enflammée, le pus est transporté au centre du cai

Le transport du pus en nature, d'une surface suppurante éloignée au cœur , est trop favorable à la théorie de la résorption

e ne comprends pas pourquoi ce serait précisément dans les cavités du cœur que s'opérerait ce départ du pus, pourquoi ce dép

organes; d'ailleurs, si telle était la source des kystes purulens du cœur , ces kystes devraient s'observer très fréquemment

c été produit dans le lieu même où on le trouve, c'est-à-dire dans le cœur . L'a-t-il été chimiquement, par suite d'une analy

produit par l'inflammation des concrétions sanguines polypiformes du cœur ? Telle est l'opinion que M. Legroux a soutenue av

. La théorie de la formation des caillots sanguins purulens dans le cœur me paraît expliquée par celle de la formation des

lots purulens des veines et des artères. Dans celles-ci comme dans le cœur , c'est toujours au centre du caillot sanguin que

é au centre du caillot, (i) Les concrétions sanguines purulentes du cœur se présentent, il est vrai, dans des conditions p

cite des exemples de concrétions sanguines polypiformes purulentes du cœur , libres par toute leur surface et flottant dans t

par toute leur surface et flottant dans telle ou telle des cavités du cœur . Mais rien n'empêche d'admettre que dans le princ

troit, et que ce pédicule a été déchiré par suite des contractions du cœur et du mouvement du sang qui les suit : doit-on pe

que j'ai observés. Les caillots sanguins peuvent se former dans le cœur comme dans les vaisseaux, par suite de deux cause

crétions sanguines qu'on observe dans les anévrysmes faux partiels du cœur . Il m'est également arrivé de voir de petits foye

résulte que, dans la phlébite, on trouve toujours, soit du côté du cœur , soit du côté des capillaires, à côté des caillot

hérens. Dans l'appréciation de l'adhérence des caillots sanguins du cœur , il faut bien distinguer Xadhérence mécanique de

s envoient dans les aréoles interceptées par les colonnes charnues du cœur ; dans l'adhérence organique, le caillot est accol

état régulier; de même, à plus forte raison, les caillots sanguins du cœur peuvent être détachés dans une partie de leur cir

alogie me porte donc à admettre que les caillots sanguins purulens du cœur tiennent à l'inflammation de la membrane interne

purulens du cœur tiennent à l'inflammation de la membrane interne du cœur , mais seulement dans les points où a lieu l'adhér

e pus central de ces caillots a sa source dans la membrane interne du cœur . J'avouerai que les considérations ci-dessus ne c

aucun signe de lésion ni dans la membrane interne ni dans le tissu du cœur , et que la présence du pus au centre du caillot s

je regarde cette interprétation du fait de la présence du pus dans le cœur par l'inflammation des parois comme bien plus pro

sanguines. On conçoit qu'elles doivent excercer sur la circulation du cœur une gêne mécanique considérable , rendre l'abord

le , rendre l'abord du sang plus ou moins difficile dans la cavité du cœur , en obstruer plus ou moins les orifices; on conço

s les orifices; on conçoit qu'une concrétion détachée complètement du cœur , ou bien qui ne tient au cœur que par un pédicule

une concrétion détachée complètement du cœur, ou bien qui ne tient au cœur que par un pédicule, peut faire soupape à la mani

éroïdale et intercepter en partie la circulation, et que, détachée du cœur , cette concrétion en bille peut être projetée dan

n'aie pas rencontré une seule fois des concrétions sanguines dans le cœur . Yoici d'ailleurs la description de quelques-unes

it. —MM. Chomel et Jadioux m'ont adressé, il y a plusieurs années, un cœur qui présentait l'état suivant : Près de la pointe

ême nature lui était accolé. Ces deux kystes adhéraient aux parois du cœur par des prolongemens fibri-neux, également blanch

ndrique, élastique, dense, de couleur rosée, naissait de la pointe du cœur par une multitude de petites racines enchevêtrées

multitude de petites racines enchevêtrées dans le tissu aréolaire du cœur , et se prolongeait au centre de cette cavité, san

rtère pulmonaire : cette masse adhérait mécaniquement aux parois du cœur , à laide dune multitude de racines qui remplissai

de racines qui remplissaient le tissu aréolaire et comme caverneux du cœur ; de telle sorte qu'il était difficile de distingu

tte concrétion s'élevait à la manière d'un champignon de la pointe du cœur : elle naissait par plusieurs racines,dont une pr

e, remplissait exactement la petite excavation qui forme le sommet du cœur . La petite racine était pleine, mais la grosse ra

édente: cette concrétion adhérait intimement à la membrane interne du cœur , si bien qu'on aurait dit que cette membrane envo

ice artériel du ventricule droit; hypertrophie de ce ventricule. Le cœur représenté, fig. 2 et 2' appartenait à un sujet s

x dépens de ces valvules. La fig. 2 représente la forme insolite du cœur , forme insolite qui tient à ce que le ventricule

art dans l'excellent ouvrage de M. Bouillaud ( Traité des maladies du cœur ), ou voit que, dans plusieurs cas, il y avait en

dérable. Le rétrécissement domine tous les changemens qu'a subis le cœur . L'hypertrophie du ventricule droit n'est-elle

ait pu contenir un œuf de pigeon. J'ai dit ailleurs que, pour moi, un cœur hypertrophié concentriquement était un cœur assez

illeurs que, pour moi, un cœur hypertrophié concentriquement était un cœur assez vigoureux pour s'être débarrassé dans les d

r ses colonnes charnues qui remplissent exactement la cavité était un cœur malade, je pose en fait que les trois quarts des

paissis-sement des valvules sygmoïdes et leur adhésion. MALADIES DU CŒUR Livraison Pl.4 A Chazal. Lith de Benard e

( Planche v , xxvme livraison. ) Le rétrécissement des orifices du cœur est une des lésions les plus graves de cet organe

t. Ce rétrécissement est aussi une des lésions les plus fréquentes du cœur ; ce qui n'étonnera pas, si l'on considère les us

de ces chocs et de ces frottemens. Le rétrécissement des orifices du cœur , en interceptant plus ou moins la circulation, en

s; les uns sont relatifs à la circulation du sang, considérée dans le cœur lui-même, et les autres sont relatifs à la circul

raison que j'ai cru devoir ranger les rétrécissemens des orifices du cœur parmi les lésions de canalisation, indiquant par

ici qu'un rôle fort secondaire. Les rétrécissemens des orifices du cœur sont incurables de leur nature: par quel moyen, e

mens fibreux, cartilagineux et osseux des orifices et des valvules du cœur tiennent-ils à une phlegmasie de ces orifices et

les; cette phlegmasie est-elle liée à celle de la membrane interne du cœur (endocarde)? Cette double proposition a été résol

de l'épaississement fibreux, cartilagineux et osseux des valvules du cœur est un point encore controversé et qui se rattach

l'induration des valvules et rinflammation de la membrane interne du cœur , je répondrai que, si j'excepte les valvules dont

violacée ou écarlate), ni l'épaississement de la membrane interne du cœur , ni même la présence de caillots fibrineux plus o

moins décolorés, mécaniquement re- (i) Traité clinique des mal. du cœur ; Parïs,i835. 2 vol. in-8,fig.— Recherches sur le

in-8. xxviiie livraison. i tenus par les aréoles du tissu propre du cœur : je considère toutefois comme caractère probable

re des caillots sanguins adhérens qu'on rencontre quelquefois dans le cœur : encore, pour moi, l'inflammation est-elle limit

illettes; or,jen'aivu cette fausse membrane de la membrane interne du cœur qu'une seule fois, dans un cas communiqué par M.

r. Pour peu qu'on réfléchisse sur le mécanisme de la circulation du cœur , il sera facile de déterminer a priori l'influenc

artère dans les veines pulmonaires, dilatation des cavités droites du cœur , et par conséquent reflux du sang dans les veines

par accès à la manière de l'asthme; orthopnée, matité à la région du cœur ; point d'impulsion notable; mouvemens tumultueux

la région du cœur; point d'impulsion notable; mouvemens tumultueux du cœur ; quelquefois bruit de claquement; face violacée :

phyxique , mort par asphyxie ou rapide ou graduelle. A l'ouverture, cœur énormément dilaté dans ses oreillettes, petit dan

sur la circulation pulmonaire, par conséquent les cavités droites du cœur et sur la circulation veineuse générale. Premie

s sains. Le péricarde contenait à peine deux cuillerées de liquide. Cœur double du volume naturel. Cette augmentation de v

s un espace conique, à sommet tronqué, dirigé du côté de la pointe du cœur . L'ossification des valvules était disposée par f

s trois ans, offrant tous les caractères de l'anévrysme dit passif du cœur . Infiltration générale, face bouffie, lèvres et

du sommet des grosses colonnes charnues. Tous les autres orifices du cœur sont sains. Epanchement dans les deux plèvres,

état d'angoisse; pouls presque insensible aux radiales; battemens du cœur extrêmement irréguliers, sans impulsion, avec cla

guliers, sans impulsion, avec claquement léger; matité à la région du cœur dans une grande étendue; infiltration et froid de

e l'orifice auriculo-ventriculaire gauche ; augmentation du volume du cœur sans hypertrophie. La respiration n'est lésée que

ait craindre la gangrène. Le pouls est nul aux radiales. Battemens du cœur obscurs; à peine impulsion; sentiment de froid in

à reconnaître à l'auscultation et à la percussion. Nous verrons le cœur battre avec une grande impulsion et un grand brui

icuspide des valvules sygmoïdes de l'artère pulmonaire. MALADIES DU CŒUR 28e Livraison pi. s. rétrécissement l'orifi

enard elJreu. (PLANCHES II ET III, XXIXe LIVRAISON.) i° Cancer du cœur . — i° Péricardite tuberculeuse ; dégénération tub

du cœur. — i° Péricardite tuberculeuse ; dégénération tuberculeuse du cœur . La présence de la matière cancéreuse dans les

s poumons sont très sains, gorgés de sang : point de tubercules. Le cœur qui a été représenté pl. 2, fig. 1 et 2 et pl. 3,

sanguins ne s'organisent jamais. D'ailleurs un cancer polypiforme du coeur ne doit pas plus étonner que les tumeurs de même

lus remarquables que j'aie eu occasion d'observer. Malheureusement le cœur qui fait le sujet de cette figure m'a été remis s

sans renseignement. Au niveau des ventricules, les cavités droites du cœur OD,VD sont ouvertes et étalées : le péricarde a é

dhérait très fortement. Du reste, le péricarde adhérait intimement au cœur dans toute son étendue- Le tissu cellulaire qui u

droite ne sont pas indispensables pour la circulation. MALADIES DU CŒUR 29e Livraison n 2. C a ncor A Chazal del

ncor A Chazal del Ltfh.iLù.J.einerUfr,Betuirdd C1? MALADIES DU CŒUR 29e Livraison PU. Cancer Tubercules. ZC

égulier, à 110. Matité précordiale extrêmement étendue ; battemens du cœur profonds, obscurs, à peine perceptibles à l'oreil

demande à manger. Traitement. Ventouses scarifiées sur la région du cœur : électuaire avec miel, jalap, séné, de chaque un

du thorax me démontre toujours et une énorme matité dans la région du cœur et l'absence de tout signe d'épanchement dans les

xlc livraison) avait une capacité assez considérable pour contenir un cœur xle livraison. 1 trois fois plus volumineux q

s en épaisseur, irrégulières, peu résistantes A , A , s'étendaient du cœur au péricarde : c'était à la pointe du cœur que se

es A , A , s'étendaient du cœur au péricarde : c'était à la pointe du cœur que se voyaient les colonnes les plus considérabl

se voyaient les colonnes les plus considérables. Toute la surface du cœur , la portion péricardique de l'aorte et de l'artèr

alé par les anciens anatomistes. La face postérieure ou inférieure du cœur présentait de grosses colonnes pseudo-membraneuse

grosses colonnes pseudo-membraneuses, dirigées suivant la longueur du cœur , c'est-à-dire de la base vers la pointe de cet or

ouche pseudo-membraneuse , mais beaucoup moins épaisse. La coupe du cœur (fig. 2) représente l'épaisseur de la couche pseu

rononcée des cartilages costaux et des côtes gauches qui répondent au cœur , signale le début d'une maladie du cœur; chez d'a

ôtes gauches qui répondent au cœur, signale le début d'une maladie du cœur ; chez d'autres, c'est aux dépens des poumons que

urs sous ce rapport une distinction à établir entre les anévrysmes du cœur avec hypertrophie, et les anévrysmes du cœur avec

entre les anévrysmes du cœur avec hypertrophie, et les anévrysmes du cœur avec amincissement des parois, entre les maladies

évrysmes du cœur avec amincissement des parois, entre les maladies du cœur proprement dites et les épanchemens dans le péric

plus considérables que j'aie observées avaient été produites par des cœurs dilatés avec hyper-(rophie. On conçoit que dans l

n'exprime plus qu'un état local, savoir, la gêne des contractions du cœur étreintpar un liquide incompressible dans une mem

de praticiens modernes sont imbus de l'idée que, dans les maladies du cœur , le foie est ordinairement volumineux, hypertroph

ypertrophié, et déborde les côtes, consécutivement à cette maladie du cœur . Eh bien! je déclare que je n'ai point encore obs

ien! je déclare que je n'ai point encore observé dans les maladies du cœur ce développement du foie hypertrophié ou congesti

les relations intimes de circulation qui existent entre le foie et le cœur , et j'adopte pleinement l'idée que, dans un grand

'idée que, dans un grand nombre de cas, le foie remplit, à l'égard du cœur , l'office d'un diverticulum; je sais aussi avec q

avre l'hypertrophie du foie coïncidant avec telle ou telle maladie du cœur ou de ses enveloppes. Je possède plusieurs observ

sséminées dans son épaisseur, avait exercé une influence telle sur le cœur , que des praticiens d'un grand mérite avaient cru

ur, que des praticiens d'un grand mérite avaient cru à une maladie du cœur , et ne sont revenus de leur erreur que lorsque le

uls était large et mou. à quatre-vingt-huit pulsations par minute. Le cœur exploré ne donnait aucun signe de lésion, et j'ai

on, et j'ai mis de la manière la plus formelle, sur ma note : Rien au cœur . Traitement. Saignée de seize onces, diète, gom

ion , délire, oppression , palpitation, angoisses. J'étudie l'état du cœur que j'avais exploré de temps en temps depuis l'en

leur et la tuméfaction articulaires ont cessé complètement. L'état du cœur me préoccupe par la matité de la région qu'il occ

iale; mais il est limité à la région sternale au niveau de la base du cœur . — Traitement: ventouses scarifiées sur la région

la base du cœur. — Traitement: ventouses scarifiées sur la région du cœur ; plusieurs vésicatoires sont promenés sur la régi

re gauche a augmenté d'une manière notable. La matité de la région du cœur occupe une plus grande étendue, et, bien que j'y

t voulu le séparer des deux plèvres, je trouve au niveau du sommet du cœur , dans le tissu cellulaire du médiastin antérieur,

ement pleural gauche,simulant une hydro-péricarde, le péricarde et le cœur sont en quelque sorte refoulés en arrière, ici le

ultipliées. Ces adhérences occupaient surtout la région antérieure du cœur . En arrière, elles étaient rompues, ce qui donnai

ère, elles étaient rompues, ce qui donnait à la surface inférieure du cœur , libre dans toute son étendue, l'apparence mamelo

ait pas remonter à plus de quinze jours, la surface correspondante du cœur se couvrait d'une multitude de gouttelettes de sa

aux des fausses membranes avec les vaisseaux sous-péricardiques. Le cœur , dépouillé de son enveloppe pseudo-membraneuse,

aneuse, présente son volume ordinaire. Les orifices et les cavités du cœur sont dans l'état le plus régulier. Le poumon droi

couvert de sueur par suite d'un (1) Traité clinique des maladies du cœur , deuxième édition, Paris, i84i, 2 vol. in-8. fig.

umatisme articulaire et de la loi de coïncidence des inflammations du cœur avec cette maladie,aris , 1840 , in-8. exercice

e péricarde et les plèvres,le péritoine, plus souvent les valvules du cœur et les voies respiratoires: les circonstances ind

mouvemens respiratoires sont complètement suspendus, les battemens du cœur sont rares et forts, puis tumultueux, puis se ral

leur syn cipitale est celui d'un battement isochrone aux battemens du cœur . Cette douleur est très aiguë. Elle est piquante

rganes thoraciques et abdominaux étaient sains : ventricule gauche du cœur assez épais. Cerveau sain ; moelle épinière d'u

tés ischiatiques ; poumon droit sain ; pneumonie lobulaire à gauche ; cœur sain ; organes digestifs, cerveau sains. Reste à

ulmonaire; en outre, l'auscultation fait reconnaître une impulsion du cœur , forte, superficielle, si je puis m'exprimer ains

péricardite à l'aide de deux symptômes, savoir : absence du bruit du cœur ; impulsion forte. Les deux poumons sont adhérens

entricules latéraux contiennent une sérosité sanguinolente. Thorax. Cœur très volumineux; ventricule gauche considérableme

entricule gauche considérablement hypertrophié; les autres cavités du cœur ne présentent rien de particulier : bien qu'il y

ient une apoplexie très ancienne de ces circonvolutions. Thorax. Le cœur est d'une fermeté remarquable; les ventricules so

use de la grosseur d'une aveline. La moelle épinière était saine. Cœur de volume ordinaire; quelques granulations calcai

s artères me paraît devoir être comparé à l'anévrysme vrai partiel du cœur . Le désordre produit par l'escarre du sacrum es

de la tumeur, les lamelles du cervelet sont déprimées et écartées. Cœur volumineux , notablement hypertrophié dans son ve

rne de la vessie présentait l'aspect réticulé delà surface interne du cœur . On y voyait un grand nombre de cellules à orific

n par le rectum extrêmement douloureuse. La malade se soumit de grand cœur à l'opération qui lui fut proposée par M. Récamie

e l'autre. Chaque fœtus a son thymus, ses deux poumons; mais les deux cœurs , sont confondus en un seul organe horizontalement

oite, une supérieure OS (qui est cachée dans la position naturelle du cœur ), une inférieure OI, deux à gauche O'S', OT. L'au

oie étaient à-peu-près égaux en volume et semblables pour la forme. Cœur . — Les deux figures 2 et 3 représentent le cœur o

bles pour la forme. Cœur. — Les deux figures 2 et 3 représentent le cœur ouvert. La figure 2 représente le cœur ouvert p

gures 2 et 3 représentent le cœur ouvert. La figure 2 représente le cœur ouvert par son bord concave ou supérieur; à l'aid

ulmonaires du ventricule; la cavité qui avoisinait le bord concave du cœur était donc le ventricule aortico-pulmonaire du fœ

ouverture avec la cavité des oreillettes. La figure 3 représente le cœur ouvert le long du bord convexe ou inférieur. Cett

e et l'œsophage. Cavité commune des oreillettes. — En renversant le cœur de bas en haut et en faisant une incision étendue

e d'ailleurs avec l'un et l'autre ventricules. il suit de là que le cœur de ce fœtus double était composé de deux ventricu

ifficile de se rendre compte de la manière dont la coalition des deux cœurs a pu s'exécuter ; mais avec un peu d'attention on

is avec un peu d'attention on reconnaît aisément les vestiges de deux cœurs . Un fait curieux, c'est que les deux artères pu

ce monstre double différait de celui que j'ai décrit, il y avait deux cœurs bien distincts. C'est encore à l'adhésion sus-o

s américains, ou bien quelques vaisseaux? il n'est pas probable qu'un cœur commun réunisse ces deux êtres : on ne concevrait

'importance que la coalition de l'intestin grêle, que la coalition du cœur . Le fait représenté pl. v et vi me parait être

smales. 3e liv., pl. in, iv, p. 5. — Anévrysme des cavités droites du cœur chez un fœtus, par suite de l'oblitération de l'o

e liv., pl. iv, p. 2.— Anévrysme vrai partiel du ventricule gauche du cœur , occupant le sommet et la paroi antérieure de ce

lable à celle des anévrysmes des artères. Sac formé par les parois du cœur amincies et altérées. 21e liv., pl. rv,p. i.—Théo

, pl. rv,p. i.—Théorie de la formation de l'anévrysme vrai partiel du cœur . 21e liv., pl. iv, p. 2 ¦ 22e liv., pl. m, p.3.—A

liv., pl. iv, p. 2 ¦ 22e liv., pl. m, p.3.—Anévrysme vrai partiel du cœur , occupant le sommet du ventricule gauche. 22e liv

ricule gauche. 22e liv., pl. ht, p. 2. — Deux espèces d'anévrysmes du cœur : 1° l'anévrysme ordinaire ; 2° l'anévrysme parti

névrysme partiel. 22e liv., pl. in, p. 3. — Anévrysme faux partiel du cœur , consistant en une poche cartilagineuse et osseus

pl. m,p. 4. — Connexité existant entre l'apoplexie circonscrite du cœur et l'anévrysme faux partiel. 22e liv., pl. ni, p.

utique de l'apoplexie pulmonaire. 3« liv., pl. i, p. 4 — Apoplexie du cœur . Apoplexie du cœur avec épanche-ment de sang dans

ie pulmonaire. 3« liv., pl. i, p. 4 — Apoplexie du cœur. Apoplexie du cœur avec épanche-ment de sang dans le péricarde. 3e l

-ment de sang dans le péricarde. 3e liv., pl. i, p. 4. — Apoplexie du cœur . Foyers sanguins dans l'épaisseur des parois du v

des parois du ventricule gauche. 22e liv., pl. ni,p. /.—Apoplexie du cœur suivie de mort par rupture du sommet du ventricul

, pl. m, p. 2. — Connexité existant entre l'apoplexie circonscrite du cœur et l'anévrysme faux partiel. 22e liv., pl.ni, p.

r et l'anévrysme faux partiel. 22e liv., pl.ni, p. 6. —L'apoplexie du cœur peut être la cause d'une rupture du cœur. 30e liv

pl.ni, p. 6. —L'apoplexie du cœur peut être la cause d'une rupture du cœur . 30e liv., pl. iv, p. S. — Apoplexie de la moelle

s-males, 28e liv., pl. 1,11, ni, p. 7.— Avantages de l'exploration du cœur par les grosses artères. 39e liv., pl. vi, p. 8.

, p. 4. BEAU (M.). Son opinion sur la connexité de la dilatation du cœur et de son adhésion au péricarde. 39e liv., pl. vi

Quelle est suivant lui la cause essentielle du déchirement sénile du cœur . 30e liv., pl. rv, p. 4. BLESSURES. Les blessur

r lui faite de l'aspect du spina bifida avec celui des ventricules du cœur . 16e liv., pl. iv, p. 3. c. CADAVERISATION. S

ymptômes vagues d'affection épigastrique; apparences d'une maladie du cœur ; plus tard, vomissemens ; le foie ne déborde les

tanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélaniques dans les poumons, le cœur , l'estomac, etc. 19e liv., pl. m et iv,p. /.—Canc

ite consécutive au cancer utérin. 27e liv., pl. iv, p. 2. — Cancer du cœur . 29e liv., pl. n, m, p. 1.—Analogie de structure

ble dévie et par conséquent de suppuration. 36e liv., pl. iv, p. 3. COEUR . Rétrécissement de l'orifice auriculo-ventriculai

ophie du ventricule du même côté. 3e liv., pl. 1, / ./.— Apoplexie du cœur avec épanchemenl de sang dans le péricarde. Dilat

très considérable de l'orifice aortique 3e liv., pl i,p. 4.— Etat du cœur dans le choléra. 14e liv., pl. 1, 11, m, iv, v, p

entricule gauche. 18e liv., pl. 1, p. 2. — Tumeurs mélaniques dans le cœur . 19e liv., pl. m, iv, p. /,2. — Rupture spontanée

ues dans le cœur. 19e liv., pl. m, iv, p. /,2. — Rupture spontanée du cœur . 20e liv., pl. u,p. /.— Cause première de celte r

2.—A quoi lient la mort subite dans les •cas de rupture spontanée du cœur . 20eliv., pl. u,p. 2 ; 30e liv., pl. iv, p- 2. —

. — Anévrysme partiel: Anévrysme vrai partiel du ventricule gauche du cœur occupant le sommet ei la paroi antérieure de ce v

emblable à celle desanévrysmesdes artères.Sac formé par les parois du cœur amincies et altérées. Théorie de la formation de

vrysmevrai partiel. 21e liv., pl. iv, p. 2.—Anévrysme vrai partiel du cœur occupant le sommet du ventricule gauche. = Apople

rtiel du cœur occupant le sommet du ventricule gauche. = Apoplexie du cœur :Foyers sanguins dans l'épaisseurdu ventricule gau

uins dans l'épaisseurdu ventricule gauche. Mort subite par rupture du cœur . Fragilité et coloration jaunàtredu tissu de cet

e liv.,pl. m, p. /.—Mon par rupture du sommet du ventricule gauche du cœur . Infiltration du sang dans l'épaisseur des parois

e partie de leur étendue. Travail inflammatoire probable au sommet du cœur . 22" liv , pl. m, p. 2. — Deux espèces d'anévrysm

sommet du cœur. 22" liv , pl. m, p. 2. — Deux espèces d'anévrysmes du cœur : 1° l'ané-vrysme ordinaire, 2° l'anévrysme parti

l'anévrysme partiel. 22e liv., pl. m,p 3. — Anévrysme faux partiel du cœur , consistant en une poche cartilagineuse et osseus

, pl. m, p. 4- — Connexiié existant entre l'apoplexie circonscrite du cœur et l'anévrysme faux partiel. 22e liv., pl. m, p.

. m, p. 6. — Concrétions fibrineuses purulentes ou kystes purulens du cœur : Opinions diverses sur la présence du pus au sei

ions diverses sur la présence du pus au sein des caillots sanguins du cœur ; théorie du transport du pus en nature ; théorie

orie du transport du pus en nature ; théorie de sa formai ion dans le cœur lui-même. 28" liv., pl. iv, p. i. — Théorie de l'

28e liv., pl v, p.2. — Symptômes. 28e liv., pl. iv, p. 6. — Cancer du cœur . 29e liv., pl. n, 111, p. t. — Péricardite tuberc

l'oreillette droite. 29e liv., pl. 11, m, p. 4.— Rupture spontanée du cœur . Anatomie pathologique des ruptures du cœur. Etat

4.— Rupture spontanée du cœur. Anatomie pathologique des ruptures du cœur . Etat du péricarde dans la rupture du cœur. Quant

thologique des ruptures du cœur. Etat du péricarde dans la rupture du cœur . Quantité du sang contenue dans le péricarde. 30e

icarde. 30e liv., pl. iv, p. i. — Cause de la mort dans la rupture du cœur . Siège de la rupture. Observations. Rupture spont

e liv., pl. iv, p.a.— Opinions diverses sur la cause de la rupture du cœur . 30e liv., pl. îv, p. 3. — La véritable cause est

pl. îv, p. 3. — La véritable cause est dans la fragilité du tissu du cœur . 30e liv., pl. iv, p. 4- — L'apoplexie du cœur pe

fragilité du tissu du cœur. 30e liv., pl. iv, p. 4- — L'apoplexie du cœur peut aussi être une cause de rupture spontanée. 3

organe est aussi une cause de rupture. Comment s'opère la rupture du cœur ? Rien ne peut faire prévoir, rien ne peut guérir

u cœur? Rien ne peut faire prévoir, rien ne peut guérir la rupture du cœur . 30e liv., pl. iv, p. 6. — Dilatation du cœur ave

ut guérir la rupture du cœur. 30e liv., pl. iv, p. 6. — Dilatation du cœur avec hypertrophie et adhésion au péricarde. Opini

péricarde. Opinion de M. Beau sur la coïncidence de la dilatation du cœur et de son adhésion au péricarde. 39e liv., pl. vi

pl. vi, p. 2.— Dilatation avec hypertrophie de toutes les cavités du cœur . Adhérence du péricarde. Infiltration générale. D

. vi, p. 3. — Les malades affectés de dilatation avec hypertrophie du cœur suc -combent presque tous par les poumons ; expli

fait. = Traitement. 39e liv., pl. vi, p. 5. — Dilatation générale du cœur sans altération du tissu prise pour une hydropéri

pl. vi, p. 6.— Dilatation très considérable de toutes les cavités du cœur . Etat imminent de suffocation auquel le malade éc

ONCRÉTIONS. Concrétions fibrineuses purulentes, ou kystes purulens du cœur . 28e liv., pl. iv, p. /. — Concrétions fibrineuse

e la cyanose qu'on observe dans les périodes avancées des maladies du cœur . 39e liv., pl. vi, p. 5. GYCLOGÉPHALIE. 33e liv

ues. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 35. DILATATION. Dilatation du cœur avec hypertrophie et adhésion au péricarde. 39eli

dhésion au péricarde. 39eliv., pl. vi, p. y. — Dilatation générale du cœur sans altération, prise pour une hydropéricarde. I

pl. vi, p. 6. — Dilatation très considérable de toutes les cavités du cœur . Etat imminent de suffocation auquel le malade éc

4. — Sa théorie de la formation du pus dans les caillots sanguins du cœur . 28e liv., pl. iv, p. L'idée de la formation d'un

ation du rein. llcliv., pl. v, p.3. — Avantages de l'exploration du cœur par les grosses artères. 39e liv., pl. vi, p. 8.

a naissance. 15e liv., pl. n, p. 2. —Anévrysme des cavités droites du cœur , chez un fœtus, par suite de l'oblitération de l'

mptômes vagues d'affection épigastrique : apparences d'une maladie du cœur : plus tard vomissemens : le foie ne déborde les

e après la naissance. 15e liv., pl. n, p. 2. — Dilatation générale du cœur prise pour une hydro-péricarde. 39e liv., pl. vi,

17e liv., pl. 11, p. 6. — Hypertrophie excentrique des ventricules du cœur . 18e liv., pl. 1, p. 1. — Rôle important que joue

estomac. 27e liv., pl. 1, p. 2. — Hypertrophie du ventricule droit du cœur . 28e liv., pl. iv, p. 4. — Hypertrophie de la rat

— Kystes acéphalocysles. 19e liv., pl. 1, n,p. 4.— Kystes purulens du cœur . 28e liv., pl. iv, p. 1. — Kystes purulens multip

M.). Sa théorie sur la formation du pus dans les caillots sanguins du cœur 28e liv., pl. iv, p. /. LEROY (M.), Moyen de tr

/; — du cervelet. 18e liv., pl. n, p. /; 37e liv., pl. v, p. /; — du cœur . 16eliv., pl. n,p. /; 17elîv., pl. iv,p. /; 20e l

tanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélaniques dans les poumons, le cœur , l'estomac. 19e liv., pl. m, iv, p. /. Considérat

a. 16e liv., pl. iv, p. 3. — Son opinion sur la cause des ruptures du cœur . 30e liv.", pl. iv,p. 3. MOROSIFÉ. Sur la moros

e. 19e liv., pl. m , iv, p. 3. — Etat du péricarde dans la rupture du cœur , 30e liv., pl. iv, p. 4. — Dilatation du cœur ave

arde dans la rupture du cœur, 30e liv., pl. iv, p. 4. — Dilatation du cœur avec hypertrophie et adhésion au péricarde. = Opi

pl. vi, p. 2. — Dilatation avec hypertrophie de toutes les cavités du cœur . Adhérence du péricarde. Infiltration générale. D

l. v, p. 2. — Les malades affectés de dilatation avec hypertrophie du cœur succombent presque tous par les poumons; causes d

ries diverses sur la présence du pus au sein des caillots sanguins du cœur . 28e liv., pl. iv, p. t. — Innocuité du pus circo

v, p. 3.— Rétrécissement de l'orifice artériel du ventricule droit du cœur . 28e liv., pl. ïv, p. 4. — Il est toujours le rés

e. 32e liv., pl. i, n, p. /2;— dans le traitement de la dilatation du cœur . 39e liv., pl. vi, p. 6; — dans celui du rhumatis

adie des vieillards. 17° liv., pl. n, p. 3. — La rupture spontanée du cœur est une maladie des vieillards. 20e liv., pl. 11,

ob-servations de M. Charcot sur les maladies des poumons, du sang, do cœur et des vaisseaux. La réunion en un même vo-lume d

e de Legendre, à peu près la coloration et la consistance du tissu du cœur ou de l'utérus gravide. La surface de section e

jours. Langue couverte d'un enduit blanc très épais. Etat local : le cœur est à l'état normal, résonnance naturelle et même

e en aucun point des poumons rien quiressemble à des tubercules. Le cœur , de volume normal, est parfaitement sain. Les g

é le long de ces tractus. Ce poumon ne contient pas de tubercules. Le cœur est peu volumineux, flasque, non altéré. Les autr

ais sans preuves suffisantes, l'in-fluence des maladies organiques du cœur , principalement 1 Rayer.— Traité des maladies d

su lisse, dense, rougeâtre, ressemblant assez bien an tissu charnu du cœur . Ce lobe était parcouru de bronches notablement d

s vieillards, et qui semble se lier soit à une affection organique du cœur , soit à une affec-tion chronique des poumons, tel

mbres inférieurs et ascite). 2° Déplacement plus ou moins prononcé du cœur , du même côté que la lésion pulmonaire : à gauche

s le second cas. (Balzer.) 1 Ziernssem' Supplément, p. 197. cas, le cœur bat en quelque sorte à nu sous la paroi thoraci-q

t. De plus, oppressions fréquentes avec palpitations, hypertrophie du cœur , œdème et anasarque, pulsations du foie, albuminu

ylindriques. 2° Lésions consécutives : poumon gauche emphysémateux, cœur droit dilaté et à parois épaisses; l'orifice tric

ltéré. Bronches un peu di-latées. — Dilatation des cavités droites du cœur . Congestion intense du foie et des reins. Appen

ns mésentériques, les veines mésaraïques, la veine porte, le foie, le cœur droit, et dans le poumon lui-même. Les expérience

des altérations que subit cet organe dans les maladies organiques du cœur . Le parenchyme pul-monaire, lorsque la lésion est

omme on l'a dit, moins abondantes que dans les lobes inférieurs. Le cœur est peu volumineux, flasque; ses parois musculair

ité des artères cubitale et radiale correspondantes. Les cavités du cœur gauche, les veines pulmonaires, l'aorte ont été e

n'a pas la tête à lui. Le pouls est régulier, à 48, assez plein, le cœur a son volume normal et ses bruits sont naturels ;

texture. Thorax. — Pas de sérosité dans les plèvres; poumons sains, cœur sain, de volume normal. État du sang. — Le sang

ouche, trouble et d'une couleur rouge brique. Le sang que contient le cœur gauche est d'une couleur noirâtre assez foncée ;

parente. — Planer a rencontré deux fois, dans le ventricule gauche du cœur , des corpuscules transparents qui renfermaient à

tre parfois çà et là dans la parotide et dans le tissu mus-culaire du cœur ne dépendent pas d'une agglomération de corpuscul

acquis le volume d'une petite noisette. —Poumons tout à fait sains.— Cœur volumineux; ses parois musculaires, épaissies, so

ans quelque endroit qu'il ait été pris (nous avons examiné le sang du cœur droit, celui du cœur gauche et celui de la veine

u'il ait été pris (nous avons examiné le sang du cœur droit, celui du cœur gauche et celui de la veine splénique), le sang c

contenant une ma-tière puriforme, situées dans l'oreillette droite du cœur , suivi de cas analogues et de quelques remarques

cavations pulmonaires. — Concrétions polypifor-mes des ventricules du cœur , se ramifiant dans les vaisseaux. — Description.

e courant dans les vaisseaux du cou. Souffle doux au premier temps du cœur ayant son maximum a la base. — OLdeme considéra

e poumon gau-che paraît sain dans toute son étendue. Volume normal du cœur ; nous y avons déjà noté l'existence d'un souffle

e douleur sourde, que la percussion exagère, se montre à la région du cœur . L'auscultation du cœur fait constater l'existenc

percussion exagère, se montre à la région du cœur. L'auscultation du cœur fait constater l'existence d'un bruit de cuir neu

r, de ramollissement ou de foyers rem-plis d'une matière puriforme. Cœur . — La face antérieure du cœur, et la partie corre

ers rem-plis d'une matière puriforme. Cœur. — La face antérieure du cœur , et la partie correspondante du feuillet séreux d

ement et déterminaient une légère adhérence partielle du péricarde au cœur . En arrière, le feuillet séreux péricardique ne p

sse voir une fine injection vasculaire. — Volume à peu près normal du cœur . Le ventricule gauche, dont les parois ont une

libre dans sa cavité, si ce n'est en un point voi-sin de la pointe du cœur . Ce caillot est blanchâtre, de structure fibreu

lle n'adhère aux parois du ventricule qu'au voisinage de la pointe du cœur . Cette concrétion se divise par en haut en deux p

x parois venlriculaires que dans un seul point voisin de la pointe du cœur . Là les adhérences sont intimes et difficiles à d

e alors que chacune d'elles se prolonge sous les colonnes charnues du cœur par une sorte de pédicule fibrineux, plus ou moin

et la paroi plus épaisse. Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 24 Dans le ventricule droit, comme dans le gau

servations plus ou moins détaillées de concrétions polypifor-mes du cœur , renfermantà leur centre une matière puriforme, l

ne (angina pectoris), Alian Burns trouva dans le ventricule gauche du cœur un caillot bien organisé, adhérant fermement à l'

— Rhumatisme articulaire aigu, vaste concrétion po-iypiforme dans le cœur droit. Cette concrétion contenait çà et là dans s

ès urineux, gangrène scrotale. On trouve dans le ventricule gauche du cœur deux caillots fibrineux, du volume d'un pois chac

V. — Chez une femme de 86 ans, non phthisique, on ren-contre, dans le cœur droit, des caillots suppures à leur centre. (Legr

lades. Dans les deux cas, on rencontre dans le ventricule gauche du cœur des concrétions fîbrineuses suppurées à leur cent

bs. VII. — Chez une femme de 45 ans., morte avec une hyper-trophie du cœur , on rencontre dans les deux ventricules des mas-s

iforme dans la veine iliaque primitive gauche. Les cavités droites du cœur sont occupées par deux cail-lots non adhérents, a

sur le malade. Caillot dans le ventricule gauche séparé des parois du cœur par une bande membraniforme ; au centre du caillo

s de tubercules dans les poumons. Caillot dans le ventricule droit du cœur contenant à son centre çà et là une matière ramol

alade. Caillots con-tenant du pus, situés dans l'oreillette droite du cœur . L'examen microscopique dénote l'existence des ca

e, péricardite chez une femme âgée de 75 ans. Le ventricule gauche du cœur contient dans sa cavité un petit coagulum dont

uvent cette variété de con-crétions suppurées dans les ventricules du cœur , mais je n'en trouve d'observations ni dans le to

en trouve d'observations ni dans le tome II du Traité des maladies du cœur , ni dans le Mémoire sur les concrétions polypifor

dies du cœur, ni dans le Mémoire sur les concrétions polypifor-mes du cœur inséré dans le journal Y Expérience, i 839. Quant

onie, de rhumatisme, de phlé-bite, d'abcès urineux, d'hypertrophie du cœur ; aucun d'eux n'était porteur d'excavalions tuber

de divers volumes font saillie dans la cavité droite du ventricule du cœur , à travers le lacis des colonnes char-nues, auxqu

9, août, sous ce titre: Tumeurs fibrineuses, contenant du pus dans le cœur des phtisiques; Affection singulière non décrite.

Obs. V et VI. — 1° Phtisie pulmonaire. Dans le ventricule droit du cœur , concrétions globuleuses multiples, dont les pédi

ques du pus. 2° Tubercules pulmonaires. Dans le ventricule droit du cœur , concrétions polypiformes multiples suppurées. (L

L — Pas de renseignements sur le malade. Dans le ven-tricule droit du cœur , on rencontre des kystes multiples, à parois fibr

s cavernes anfractueuses remplies de pus. Dans le ventricule droit du cœur , on rencontre une quinzaine de petites poches, à

pulmonaire au der- nier degré. Au bord droit du ventricule droit du cœur , on ren-contre un caillot du volume d'une noix, n

olume d'une noix, n'adhérant qu'en deux ou trois points aux parois du cœur . Incisé, ce caillot laisse s'écouler une petite c

tiplicité des kystes, leur siège exclusif dans le ventricule droit du cœur , la manière dont ils adhèrent à ses parois par le

ous sommes portés à penser que par-mi les concrétions polypiformes du cœur dites suppurées, il en est un certain nombre (cas

une ma-tière puriforme, observés dans deux cas d'anévrisme partiel du cœur . Dans un travail lu à la Société de Biologie, e

cherché à établir que les productions morbides du ventricule droit du cœur , désignées par la plupart des auteurs2 sous le no

Lebert (Atlas danatom. pathologique, Ire li-vr., kystes puriformes du cœur ), du professeur Rokitansky, (Lehrbuch der Pathol,

tion. Svjaine's Trans. London, 1846. Forget. — Précis des maladies du cœur . Strasbourg, 1849. 3 Laënnec. — Traité d'auscul

rencontre dans certains kystes de la cavité ventriculaire gau-che du cœur peut également offrir, à l'œil nu, les apparences

les caractères anatomi-ques. 1. Le sac des anévrismes partiels du cœur se trouve parfois en partie rempli par une sorte

ction de ces tumeurs fîbrineuses, dans les cas à'anévrisme partiel du cœur ? Quelles sont les mo-difications anatomiques qui

'elles remplissent en grande partie la cavité du ventricule gauche du cœur , n'amènent-elles pas un plus grand trouble dans l

alades. a) Dans la première observation, nous voyons l'affection du cœur rester complètement latente: aucune anomalie n'es

alement muette, et cela devait être, puisque la forme et le volume du cœur étaient à peu près normaux, ainsi que l'autopsie

ure du kyste fibrineux qui remplis-sait en partie la cavité gauche du cœur . Y a-t-il entre la lésion et le symptôme simple c

lui succèdent. — Il nous paraît pro-bable que la lésion organique du cœur n'a pas été sans influence sur la production des

existence. Avant l'invasion de celte affection, la cavité gau-che du cœur , réduite à la moitié au moins de sa capacité nor-

ns. Le jet artériel, sans doute, devait être bien faible, puis-que le cœur gauche ne recevait et n'émettait, (à chaque batte

ébrile a dû jeter un trouble extrême dans l'exercice des fonctions du cœur déjà si menacées, et de là peut-être, du moins en

attention a été fixée dès le début sur le trouble des fonctions du cœur . C'était au trouble de ces fonctions que nous rap

er temps et à la base fût très faible; car, d'un côté, l'impulsion du cœur , très volumineux d'ailleurs, ainsi que le démontr

trait la percussion, était très faible; il y avait donc fai-blesse du cœur , comme on dit en Angleterre, ou mieux asysto-lie,

à la base, observé peu -dantla vie, était presque nul, l'impulsion du cœur , très volumi-neux, nous le répétons, était très f

e, rétrécisse-ment très prononcé de la valvule aorlique, faiblesse du cœur , tel était le diagnostic complexe auquel nous avi

ité. Tous les ac-cidents étaient produits par un anévrisme partiel du cœur , ac-compagné d'une hypertrophie considérable des

'obscurité qui couvre encore le diagnostic des anévrismes partiels du cœur , malgré les savantes et laborieuses recherches de

aborieuses recherches des modernes1.. Obs. I. —Anévrisme partiel du cœur peu prononcé, ne se révélant pendant la vie, à l'

iologie, 185 î, p. 105. Charcot. Œuvres complètes, t. y, Poumons et Cœur . 25 amenée à l'infirmerie, le 22 mars 1852 et p

e lobe inférieur du poumon gauche; pas de matité en ce point. Rien au cœur , pas de toux, pas d'expectoration. 26. Même éta

l est petit, tout à fait filiforme, parfois irrégulier. Les bruits du cœur sont normaux. 27. Sorte de rémission dans tous

) 29. Dévoiement abondant. Coma profond, hoquet. Les batte-ments du cœur extrêmement fréquents et irréguliers, mais on n'y

euse grise, occupant toute l'é-tendue du sommet du poumon droit. Le cœur est à peine plus volumineux que dans l'état norma

rde qui tapisse la partie du ventricule cor-respondant à la pointe du cœur , son extrémité supérieure est lé- gèrement accu

par sa partie anté-rieure. — B, la paroi du kyste. — C, les parois du cœur réduites à l'état d'une mince lamelle d'aspect fi

colorées et comme infiltrées de graisse; 4° les fibres musculaires du cœur avec leur aspect normal. L'endocarde ne présent

un peu de sang fluide. Obs. II. — Anévrisme partiel de la pointe du cœur et de la cloison inter-ventriculaire. — Ventricul

orme. — Pendant la vie, souffle intense isochrone aux battements du cœur , entendu surtout au-dessous de la pointe de l'omo

le paraît plus étendue encore que les jours précédents. Les bruits du cœur sont très faibles et presque insensibles, son imp

s manifeste. Le poumon gauche est sain dans toute son étendue. Le cœur a un volume considérable. Il pèse 960 gr., avec l

L'oreillette droite est, proportion gardée, volumineuse. La pointe du cœur est extrê-mement obtuse et comme aplatie suivant

Quantité notable de liquide citrin dans le péricarde. A la surface du cœur , surtout sur le ven-tricule gauche, au voisinage

nférieur à la paroi du ventri-cule, surtout au niveau de la pointe du cœur . Cette tumeur est. partout ailleurs, libre dans l

du cœur. Cette tumeur est. partout ailleurs, libre dans la cavité du cœur , et en rapport avec des caillots sanguins de form

férieur, dans toutes ses parties qui concourent à former la pointe du cœur , la paroi qui conserve encore une grande épaisseu

eux, résis-tant, nacré, composé de couches superposées. (La pointe du cœur déployée présente celte texture fibreuse dans une

débarrassée du kyste qu'elle renfermait, on remarque au voisinage du cœur , sur la paroi interventriculaire, dans le point d

s des valvules auriculo-ventriculaires gau-ches, avec hypertrophie du cœur et hydropisie ascite ; ulcérations multiples de l

ération qui puisse expliquer la paralysie des membres postérieurs. Le cœur est très volumineux ; les parois du ventri-cule g

n 6 ; tout récemment dans deux traités classiques sur les maladies du cœur , MM. Bamberger 7 et Friedreich 8 se sont appliqué

ndocardite gangreneuse de M. Bouil-laud. (Voir Traité des maladies du cœur , t. II, p. 29-87). 3 Virchow. — Ueber Capillare

at d'une fonte, d'une désagrégation rapide de la membrane in-terne du cœur , et voici comment, d'après les recherches les plu

ns le temps même où. s'opère la destruction de la membrane interne du cœur . À ce nouveau point de vue, il y a lieu d'établir

celles qui ont été produites jusqu'ici. L'ulcération siégeait dans le cœur droit sur la valvule tricuspide. Les in-fraclus v

égion cardiaque un bruit de souffle ayant son maximum vers la base du cœur et au premier temps ; ce bruit de souffle est ass

128 pulsations). Il existe un bruit de souffle à la région moyenne du cœur , perçu entre les deux bruits normaux. Dyspnée. Râ

moment de l'ins-piration, il y a comme une modification des bruits du cœur , une sorte de frottement confus. La respiration

de souffle très marqué, rude, d'une émission brusque, vers la base du cœur , avec des al-ternatives d'affaiblissement et de r

rée; pas de frottement appréciable à la main. A peu près au milieu du cœur , on entend très bien deux souffles courts très pr

cie, a une émission brusque. Si l'on ausculte au niveau de la base du cœur , ou mieux encore sur le trajet de l'aorte, on n'e

temps, et encore est-il moins bien distinct qu'au niveau du milieu du cœur ; celui du second temps ne s'entend plus et l'on

ut que le bord inférieur de la troisième côte. Au niveau du milieu du cœur , on entend bien le bruit double de souffle, le se

nd plus fort que le premier, plus rude et assez brusque. A la base du cœur , les souffles tendent à disparaître, et l'on perç

à disparaître, et l'on perçoit nettement le deuxième bruit normal du cœur . Au cou, bruit de souffle artériel diastolique. P

s poumons en arrière, sans souffle et sans ma-tité. Les battements du cœur produisent de temps en temps au moment de l'inspi

a peu de sérum de séparé. — Six ventouses scarifiées sur la région du cœur , lave-ment émollient, sinapismes, bouillon. 12

distincts et ils ne s'entendent pas clairement à chaque battement du cœur ; c'est surtout quand le malade retient sa respira

fait normal. — L'estomac n'a pas été examiné. Cavité thoracique. — Cœur . Le péricarde ne contient qu'une petite quantité

que blanchâtre, d'aspect fibreux et d'origine évidemment ancienne. Le cœur est un peu augmenté de volume. On coupe la pointe

aillots fibrineux récents dans les deux ventricules. Côté gauche du cœur . — Endocarde sain ; valvule mitrale saine, cepend

e in-terne; il n'}r a pas d'altération athéromateuse. Côté droit du cœur . — L'endocarde du ventricule et de l'oreil-lette

un double bruit de souffle dont le maximum est au niveau du milieu du cœur ; le souffle du second temps est surtout très mar

tin grêle. Les seuls vis-cères où l'on trouve des altérations sont le cœur et les pou-mons. Une des valves de la valvule tri

au diagnostic. La fréquence bien plus grande des alté-rations dans le cœur gauche avait d'abord fait penser que l'af-fection

te, et que, même à ce niveau, on enten-dait le second bruit normal du cœur , et en observant chaque jour le gonflement perman

qu'il était bien possible que la lésion siégeât dans les valvules du cœur droit; cette hypothèse ne fut du reste émise qu'a

la région Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons. 27 moyenne du cœur , et enfin que le souffle du second temps ne se pe

t normal, mais beaucoup plus faible que le bruit entendu au niveau du cœur à ce même premier temps. Ce bruit diastolique vas

même perforation, lors de la systole venlriculaire. Les mouvements du cœur ayant été très fréquents, pendant toute la durée

rulents se forment aussi quelquefois dans l'épaisseur des valvules du cœur 2. Ds pourront, suivant toute probabilité dans ce

il s'agit d'un vaisseau comme l'artère pulmonaire, situé très près du cœur et soumis, en outre, à l'influence immédiate des

x, et qui, charriés par la circulation, traverseraient les cavités du cœur droit, pénétreraient dans l'artère aussi loin que

dont le sommet arrondi, mais inégal et déchiqueté, est dirigé vers le cœur . Ce cône fibrineux a d'ailleurs le même aspect et

remplies de sang noir à peine coagulé. Examen de la poitrine. — Le cœur est peu volumineux, flas-que. Il présente un cert

es vaisseaux il s'échappe des caillots de sang en partie mo-difié. Le cœur ne présente pas de lésions notables. Le foie est

bservations in extenso. Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 28 Autopsie faite dix heures après la mort. —

ale ; il était donc d'une date plus ancienne. — Pas de lésion dans le cœur . — Cerveau un peu dense, sans autre alté-ration.

nt bouchée par des caillots s'élendant un peu dans l'iliaque commune. Cœur normal. Pou-mon un peu œdémateux. Le tronc de l'a

ntenaient môme une substance grisâtre, grenue, d'aspect puru-lent. Le cœur droit contenait des caillots récents. Les veines

p dyspnée violente, anxiété extrême, extrémités froides, impulsion du cœur très faible. Ces symptômes vont s'aggravant et le

ions principales et qui est sem-blable à celui qu'on a trouvé dans le cœur . 11 a environ cinq lignes de diamètre et quatre p

condes. A l'examen nécroscopique, on trouva les parois musculaires du cœur pâles et minces, principalement celles du ventric

t un peu volumineux. Il y a des calculs dans la vésicule biliaire. Le cœur paraît sain ; cepen-dant le tissu musculaire de s

ps étrangers peuvent être en-traînés par la circulation, traverser le cœur droit sans provo-quer de symptômes appréciables,

confond avec le caillot principal, et dont le sommet, dirigé vers le cœur , est ter-miné par une pointe arrondie. Cet append

ses nouvelles. En même temps qu'il s'allonge en s'étendant du côté du cœur , il s'élargit transversalement ; mais il ne dev

et libre de tous côtés, Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 29 excepté par sa base. Or, 1 appendice fibrin

llement. Après avoir traversé la veine cave et le ventricule droit du cœur , les caillots détachés seront venus se fixer dans

nt mis en jeu d'une manière convulsive. En même temps, l'impulsion du cœur est violente et tumultueuse ; bien-tôt, elle s'af

s et du visage ; 3° la faiblesse et l'accélé-ration des mouvements du cœur ; 4° une prostration très rapi-dement portée à l'e

tension du corps sous forme d'un léger opistonos; 2° arrêt brusque du cœur ; 3° dilatation de la pupille et protrusion des ye

à fait désespéré : le pouls radial était imperceptible au doigt ; le cœur ne faisait entendre que de faibles ondulations ;

mi éteinte, paroles entrecoupées, connaissance entière ; impulsion du cœur étendue, mais molle etonduleuse; néanmoins, doubl

ait d'une coloration plus foncée; la respiration et les mouvements du cœur n'étaient pas complètement suspendus, le pouls se

nfrère s'arrêta à l'idée de la présence d'un coagulum sanguin dans le cœur ou dans l'artère pulmonaire. Bien que la respirat

pulmonaire plus ou moins prononcée que produit cette oblitération, le cœur gauche et l'aorte ne reçoivent plus qu'une quanti

oxygène; les artères coronaires en particulier ne fournissent plus au cœur la quantité voulue de son excitant naturel; consé

dans la diastole. En même temps, il y a stase du sang veineux dans le cœur droit, dans les veines coronaires, et, en général

outes les veines de l'économie. Il y aurait donc d'abord paralysie du cœur et état syncopal, puis, secondairement, asphyxie.

i se fait subitement dans les centres nerveux, en raison de ce que le cœur gauche cesse tout à coup de recevoir du pou-mon u

suite la très petite quantité de sang que contient, en pareil cas, le cœur gauche, tandis que le cœur-droit en est, au contr

n pourrait tout au plus Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 30 soupçonner l'inflammation dans les cas où l

son développe-ment : 1° l'impression du froid; 2° les phlegmasies du cœur et du péricarde ; 3° les commotions violentes ; 4

chinirgie pratiques, art. Aortite, et Traité c/inique des maladies du cœur . Paris, 1841. — Bizot. Recherches sur le cœur et

/inique des maladies du cœur. Paris, 1841. — Bizot. Recherches sur le cœur et le système artériel. In Mém. de la Soc. méd. d

rations de ce genre, il faut placer les affections concomitantes du cœur . L'hypertrophie du ventricule gauche et l'indurat

e tels phénomènes sont si sou-vent liés aux affections valvulaires du cœur qu'il nous paraît bien difficile de reconnaître p

au. Enfin, l'arc sénile, dont la coïncidence avec l'état graisseux du cœur a été depuis longtemps signalée par M. Canton, pe

re un âge avancé. Les lésions viscérales, et principalement celles du cœur et du cerveau, sont ordinairement la cause déterm

ionnels, les anévrismes Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 31 de l'aorte, selon le point de vue auquel on

ont là de simples rugosités analogues aux végétations des valvules du cœur . On trouve quelquefois du pus dans les couches du

rtère pulmonaire et sa branche droite, les pou-mons, le péricarde, le cœur lui-même, peuvent éprouver des lésions de cette e

ur 83, Lebert), il en est quelques-unes, telles que l'hypertrophie du cœur (et surtout du ventricule gauche) ou sa dilatat

e pulsation qui succède presque immédiatement au choc de la pointe du cœur ; quelquefois même, on y constate un frémisse-men

qu'on est plus éloigné de la région précordiale; en se rapprochant du cœur , les données deviennent de moins en moins carac-t

oins carac-téristiques, et l'on peut se demander si ce n'est point le cœur lui-même, qui, par suite d'une hypertrophie, amèn

ent un coup de force égale sur tous les points, tandis que le choc du cœur donne plutôt la sensation d'un corps mobile, qui

plètement du soulève-ment partiel que peut produire l'hypertrophie du cœur . Quand la paroi thoracique s'est laissée perfor

observateur, pendant la systole, et s'affaisse pendant la diastole du cœur . Mais il faut avoir soin de distinguer ces battem

s des oscillations dans le sens antéro-poslérieur que le voisinage du cœur ou des gros vaisseaux peut imprimer aux fumeurs s

âce aux pulsations évidentes que lui communi- quait le voisinage du cœur . Il faut donc, dit-il, s'attacher sur-tout à cons

sous-cutané ou sous- Charcot. (Euvres complètes, t. v, Poumo?is et Cœur . 32 péritonéal: cet accident, lorsqu'il ne déte

e caillots, lisse ou couverte de rugosités, éloignée ou rapprochée du cœur . Au reste, il peut exister, à cet égard, une foul

Bruit double : chacun des deux bruits étant plus faibles que ceux du cœur ; 2° Bruit double: les bruits étant plus forts

du cœur ; 2° Bruit double: les bruits étant plus forts que ceux du cœur ; 3° Absence complète de bruit : impulsion syst

° Bruit ronflant au premier temps, beaucoup plus fort qu'à la base du cœur ; avec un bruit de souffle au second temps ; 7°

anévrismatiques avec ceux qui résultent d'une affection valvulaire du cœur . Il est très utile, à ce point de vue, d'ausculte

diatement après le second temps, et indépendamment du second bruit du cœur , qui a conservé son timbre normal, est souvent l'

ctions circulatoires, et de la compression des organes voi-sins. Le cœur est déplacé, quand il existe des anévrismes volu-

foulé à gauche : la pointe est par conséquent abaissée, et le choc du cœur se produit alors dans le sixième ou le septième e

ou plus bas encore (Bamberger). L'anévrysme est-il placé derrière le cœur , celui-ci se trouve alors ramené en avant contre

à l'existence d'un sac anévrismal dans lequel l'impulsion directe du cœur viendrait s'épuiser : en supposant la tumeur situ

e : il rougissait à chaque systole, et pâlissait à chaque diastole du cœur . La compression de la veine cave inférieure ou

es, du pneumogastrique, du nerf récurrent, de l'artère pulmonaire, du cœur , des poumons eux-mêmes; enfin, l'œdème de la glot

l'aorte ont aussi leur cachexie, qui diffère de celle des maladies du cœur , en ce qu'elle est plus tardive à se manifester,

ns l'artère pulmonaire, la veine cave inférieure ou supérieure, ou le cœur droit, on voit survenir les symptômes de l'anévri

avec les affections du larynx; avec les affections du péricarde et du cœur ; avec les lésions des gros troncs vasculaires vo

d) Vangine de poitrine est quelquefois occasionnée par des lésions du cœur ou des gros vaisseaux. C'est donc encore une fois

ismatiques de l'aorte : Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 33 la suffocation, l'aphonie, la toux et d'aut

ses caractères normaux. Il n'en est pas ainsi dans les affections du cœur et des gros vaisseaux, qui produisent aux extrémi

des trou-bles analogues à ceux des anévrismes. h) La dilatation du cœur , qui n'est pas accompagnée, en général, d'un brui

es orifices cardiaques qui, lorsqu'ils s'unissent à l'hypertrophie du cœur , peuvent simuler les ané-vrismes aortiques, s'en

le danger: celui de donner naissance à des concrétions polypeu-ses du cœur , en raison du voisinage de la tumeur, et celui d'

dyspnée toute spéciale, qui résulte de la compression des poumons, du cœur ou des gros troncs vasculaires qui en émanent: c'

nnels. 9 Bibliographie. — Consultez : Les Traités des maladies du cœur , de Krey-sig, Burns, Corvisart, Hope, Williams, W

as à la bibliothèque de Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 34 la Faculté de médecine de Paris; mais on en

ervée par Nicholls chez le roi George II, qui mourut d'une rupture du cœur en 1760 ; et Maunoir (de Genève) avait assez nett

s ordinaires. Plus le siège de la perforation primitive est voisin du cœur , plus la terminaison est prompte à se produire. S

survécut sept à huit ans, et succomba aux progrès d'une affection du cœur . — Des 20 cas, rassemblés par Rokitansky, 15 mour

s sous le nom de sinus de Valsalva, dont les rapports intimes avec le cœur droit, et les gros vaisseaux qui en émanent, suff

ine cave supérieure, avec l'artère pulmonaire, ou avec les cavités du cœur . Ces trois variétés, qui se distinguent par quelq

p absolue. Dans l'observation rap-portée par Wade, le second bruit du cœur était remplacé par un souffle prolongé qui s'ente

ulmonaire et le ventri-cule droit. Quand l'aorte communique avec le cœur droit, les troubles de la circulation sont encore

dépôts stratifiés qu'on Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 3,'i rencontre si souvent dans ies anévrismes

horum. Ep. XVII, XVIII cl passii». — Sénae. Traité de la structure du cœur , t.II,.p. 306. — Burns (Allan). Discases of the H

tait un souille rude au premier temps, ayant son maximum à la base du cœur . Nous ne savons pas si l'autopsie a confirmé le d

la fois moins constants et moins caractéristiques. L'hypertrophie du cœur , qui accom- pagne presque toujours ces rétrécis

rudes guerres de 'Empire. On admet généralement que les affections du cœur m des poumons offriront, chez les sujets affectés

F siècle, qui avaient étudié avec intérêt la question à.es polypes du cœur , savaient aussi que des obs-tructions de ce genre

uvait, il s'arrêta à l'idée d'un polype situé à l'orifice aortique du cœur et venant obstruer le canal de l'aorte : il consi

idées du temps, on crut qu'il s'agissait d'une sorte d'entozoaire du cœur , dont le développement est comparé, par l'auteur,

l'origine du mot végétation, appliqué aux concrétions fîbri-neuses du cœur et des grosses artères. Cet opuscule ayant été

r des anciens à cet égard. De nos jours, la question des polypes du cœur ayant été complètement élucidée, l'histoire des c

olies, et peuvent aisé- Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 35 ment fournir les matériaux d'oblitérations

naire, des masses so-lides développées au sein des cavités gauches du cœur , pour-raient quelquefois s'arrêter dans l'aorte e

des cas de cancer pulmonaire, ont trouvé des débris cancéreux dans le cœur gauche et dans l'aorte elle-même. C'est au niveau

ndante thoracique dans ce dernier cas, d'après Laënnec, les bruits du cœur s'entendent plus distinctement dans le dos qu'à l

on s'accélère et devient bruyante en même temps que les battements du cœur se précipitent; en-fin, à bout de forces, il se l

ent plus tranquille, la respiration se ralentit ; les battements du cœur reprennent leur rliytme normal, l'expression de s

pos, sans laisser de tra-Ciiarcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 37 ces après eux, ont pendant longtemps consti

te époque, l'affaiblissement est extrême; il y a des palpi-tations de cœur au moindre mouvement; des battements très vio-len

te jaunâtre et comme cireuse de la peau, souffle intense à la base du cœur , au premier temps ; souffle continu à double cou-

ire autant de l'aorte tho-racique, ainsi que de la crosse aortique. Cœur de volume normal ; aucune altération valvulaire.

pour exprimer une vive douleur : respiration anxieuse, battements de cœur précipités, tremblement général, sueurs abondante

sons le point de départ Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 38 anatomique ? Yoilà une question qui, pour ê

anémique et qu'il présente peu de réaction fébrile. L'auscultation du cœur démontre l'existence d'une lésion vascu-laire. Le

on n'entraînait pas avec elles la substance cérébrale. Thorax. — Le cœur est un peu hypertrophié. On trouve les val-vules

ire, moins inattendues. Charcot. Œuvres complètes, t. v. Poumons et Cœur . 39 X. Gangrène du pied et de la jambe gauc

des divers organes n'y fait reconnaître aucune lésion importante. Le cœur seul paraît volumineux; on y entend un double bru

haleur de la peau, une intermittence très prononcée des battements du cœur et du pouls; pas de frissons, pas de dévoiement.

une heure de l'après-midi. Autopsie. — Organes circulatoires. — Le cœur est très volumi-neux. Le ventricule droit est dis

s parois ont une épaisseur normale. Les valvules sont en bon état. Le cœur gauche est manifestement hypertrophié : les paroi

nage des couches optiques et du corps strié du côté droit, et dans le cœur des végétations fîbrineuses, siégeant sur les val

pendant la vie, ont présenté les signes d'une affection organique du cœur , et chez lesquels, après la mort, on a trouvé les

nt habi-tuellement dans les phases ultimes des maladies organiques du cœur , principalement lorsqu'il s'agit d'un rétrécissem

cail-lots fibrineux dans les artères, comme aussi dans les cavités du cœur et quelquefois même dans les veines, sont loin d'

elle consiste en un amas Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 40 de granulations moléculaires ou manifesteme

, pour ainsi dire, exclusivement pro-pre aux affections organiques du cœur , de longue durée. Elle paraît exister constamment

e et phtisie granuleuse Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur . 41 aiguë. — Mortification caséeuse du tubercul

tenant une matière pu- riforme, situées dans l'oreillette droite du cœur , suivi de cas analogues et de quelques remarques

e matière pu- riforme observés dans deux cas d'anévrisme partiel du cœur .. 379 III. Végétations des valvules auriculo-ve

des valvules auriculo-ventriculaires gauches, avec hypertrophie du cœur et hydropisie ascite ; ulcérations mul-tiples de

— traite-tement, 541; — bibliographie. 543. Anévrismes partiels du cœur , 380, 385 ; — concrétions fîbrineuses des — , 385

la veine cave inférieure, 538, — l'artère pulmonaire, 531, — avec le cœur droit, 543; — rétrécisse-ments congénitaux, 545,

; — embryonnaires, 244. Contracture dans les anévrismes partiels du cœur , 382;—? dans la claudication intermittente, 585,

106, 159, 168, 191, 192, 247, 257; — mécanisme, 169. Dilatation du cœur , 515. Dilatation simple de l'aorte, histo-rique

. Hydropisie dans les anévrysmes de l'aorte, 528. Hypertrophie du cœur , dans l'a-névrisme partiel du cœur, 38E ; — dan

de l'aorte, 528. Hypertrophie du cœur, dans l'a-névrisme partiel du cœur , 38E ; — dans l'athérôme, 475; — dans les anévr

eur intermittente et fonctionnelle, 589. K Kystes puriformes du cœur , 368, 374, 379; — dans les anévrismes partiels du

puriformes du cœur, 368, 374, 379; — dans les anévrismes partiels du cœur , s 80 ; — compo-sition, 381; — mode de produc-tio

— fièvre, 632. Phénomènes ataxiques dans les kys-tes puriformes du cœur , 382. Phlegmatia alba dolens puerpérale, 424 ;

nthracosique, 20S; — siliceuse, 205;— sidérotique, 205 Polypes du cœur , 559. Poumon, structure lobulaire, 101, 235; —

, 630. Vibrations thoraciques, 155, 160. Vices de conformation du cœur , 416, 552. Voix (modifications de la — dans les

dyspnée intense se montre, sans qu'il y ait lésion des poumons ou du cœur ? Chez les sujets qui ont succombé ra-pidement, da

gery. — In Dublin Quarterly Review of Med. se. May 1865. vements du cœur . Elle détermine à volonté tous les accidents de l

nouïes. D'ailleurs, la plupart des maladies de la poitrine, celles du cœur , les affections chroniques de la peau étaient une

ent se résumer toutes en un seul mot : Vatrophie. — Exception pour le cœur et les reins. — Troubles divers qui résultent de

son physiologique ne nous paraît pas encore suffi-samment établie, le cœur et les reins (1) échappent à cette loi, et conser

t conservent les dimensions de l'âge moyen de la vie. On voit même le cœur subir une véritable hyperthropie chez plusieurs v

s aurez souvent l'occasion de constater que les parois musculaires du cœur en sont presque toujours attein-tes chez les femm

sys-tème circulatoire, alors que, suivant M. le docteur Marey (2), le cœur chez les vieillards est plus puissant que jamais,

et âge avec les autres périodes de la vie. Mais nous aurons surtout à cœur de vous montrer tout le parti qu'on peut tirer de

gnostic, du pronostic et du traitement. Mais ce que j'avais surtout à cœur de vous prouver, c'est que les phénomènes de la f

nt connus, nous pouvons citer comme exemples, certaines affections du cœur , la péricardite, les gangrènes séniles, le marasm

, qu'on rencontre si souvent chez les goutteux (néphrite albumineuse, cœur graisseux). Ainsi, toute cette vieille nomencla

dans les viscères, chez les goutteux. — Dégénérescence graisseuse du cœur . — Athéromc de l'aorte. —? Lésions bronchiques. —

aires de l'hémorrhagïe cérébrale, — quelque-fois même des ruptures du cœur . S'il était permis d'en juger d'après ces exemp

allons les passer rapidement en revue. A. Les parois musculaires du cœur sont souvent affectées de dégénérescence graisseu

évidemment à l'état du rein. L'apoplexie cérébrale, l'hypertrophie du cœur , peuvent également passer pour des conséquences é

nferment une quantité notable. 4° On en trouve dans les valvules du cœur . 5° Les jointures en présentent des accumulatio

se compliquer de manifestations hystériformes. Des palpitations du cœur et du catarrhe bronchknie peuvent, en outre, se m

ines affections viscérales organiques, du côté des reins, du foie, du cœur , et du système vasculaire en général. Mais la g

stations hépatiques de la goutte. -Appareil circulatoire : lésions du cœur et des vaisseaux. — Mort subite. — Manifestations

ec raison que « la goutte est à Ves-tomac ce que le rhumatisme est au cœur (1).» A. Nous ne dirons qu'un seul mot sur une

outteux. 'j III. L'influence de la goutte sur les affections du cœur ne saurait être contestée; mais il ne s'agit plus

la situation, c'est la dégénération graisseuse du tissu musculaire du cœur ; Stokes, Quain, Gaird-ner, Garrod, se réunissent

existe quelques exemples, et l'on a même vu des malades mourir par le cœur . Mais alors les lésions que nous allons étudier s

déjà développées. Au second degré, la dégénérescence graisseuse du cœur existe. Les symptômes de cette lésion demeurent t

arrive au diagnostic surtout par voie d'élimination. L'impulsion du cœur est faible, presque nulle ; le premier bruit est

, chez les sujets atteints de cette altération du tissu musculaire du cœur . Les symptômes rationnels sont, eux aussi, bien

eu d'une manière inopinée 54 fois, à savoir : 28 fois par rup-ture du cœur , et 26 fois par syncope. Plusieurs de ces obser-v

es faits, dans lesquels la mort est attribuée à la goutte remontée au cœur , ne sont que des cas de dégénération graisseuse d

at athéromateux des artères, qui souvent coïncide avec les lésions du cœur , peut donner lieu à des hémorrhagies cérébrales ;

as dans le rhumatisme (si nous faisons abstrac-tion des affections du cœur et des embolies consécutives) se rencontre, au co

elopper, du côté des centres nerveux, la dyspepsie, les affections du cœur et l'urémie, bien plus fréquente dans la goutte q

stiges chez des sujets qui succombent à des affections orga-niques du cœur , après avoir eu autrefois plusieurs accès de rhum

es des chiens, a trouvé des lésions articulaires et des affections du cœur chez ces animaux. Mais ses expériences ont été ré

agne, et l'on a constaté que, dans l'espèce canine, les affections du cœur sont d'une fréquence excessive, en dehors de tout

xcessive des thromboses vasculaires et des végétations fibrineuses du cœur . Par contre, on observe dans plusieurs cas grav

sions viscérales dans le rhumatisme et dans la goutte - Affections du cœur dans le rhuma-tisme. — Péricardite rhumatismale.

rogrès de l'histologie moderne. — Structure de la membrane interne du cœur . — Lésions inflam-matoires do l'endocarde. — Elle

'on observe. Dans le rhumatisme articulaire aigu, les affections du cœur se traduisent, au contraire, par des lésions infl

humatisme cet ensemble de phénomènes. C'est donc sur ces lésions du cœur , dont la connaissance offre une si grande importa

il s'agit d'une inflammation de la membrane séreuse qui enve-loppe le cœur , et que cette inflammation détermine en général l

ement insisté sur la rougeur vive que présente la membrane interne du cœur . Nous savons aujourd'hui que cette manière de v

e et l'autre opinion. L'endocardite existe, et la membrane interne du cœur peut s'enflammer, mais à la manière des tissus

xaminons d'abord la structure histologique de la mem-brane interne du cœur ; nous serons alors mieux en état de comprendre l

borisations vasculaires peuvent se montrer au pourtour des lésions du cœur (1). Les conséquences de cet état pathologique

les présentent à l'œil nu. On sait qu'elles occupent de préférence le cœur gauche et l'ori-fice auriculo-ventriculaire ; que

rande proportion, le chiffre des coïncidences entre les affections du cœur et le rhumatisme. C'est surtout dans la forme chr

t sanguin, par suite de la pré-sence d'un caillot volumineux parti du cœur . Lorsque les artères des membres se trouvent ai

tence d'une embolie cérébrale, consécutive à une lésion valvulaire du cœur . Cette femme ayant succombé plus tard dans mon se

lle cette lésion se montra à la suite d'une affection rhumatismale du cœur . Le sujet était un homme de vingt-quatre ans, qui

ant la vie, un bruit de souffle râpeux aux deux temps, à la pointe du cœur . Il se plaignait souvent d'une douleur vive à la

es de néphrite rhumatismale chez des sujets atteints d'une maladie du cœur . Les embolies capillaires du rein donnent lieu

scérales suites d'embolie. Thèse de Strasbourg, 1854. 2. Lorsque le cœur droit est le point de départ des caillots migrato

dans lesquels l'autop-sie a eu lieu, coïncider avec des affections du cœur . Un de ces faits est consigné dans la thèse d'agr

rée à l'infirmerie, elle offrait des signes évidents d'une maladie de cœur . Les symp-tômes de cette affection s'étant rapide

A l'autopsie, on découvrit une adhérence générale du pé-ricarde au cœur , et cette lésion était évidemment d'origine récen

arvenait aisément à décoller le péricarde des tissus sous-jacents. Le cœur avait acquis d'énormes dimen-sions : on voyait de

z elle des arthrites sèches des épaules, des coudes et des genoux. Le cœur était flasque, volumineux, chargé de graisse ; il

iens de rapporter, que l'on peut rencontrer des lésions organiques du cœur dans le cours du rhumatisme chronique primitif.

a moi-tié inférieure du sternum, où il marquait les bruits normaux du cœur . Sous l'influence d'un traitement approprié, cett

1° Une hypertrophie du ventricule droit, sans lésions valvulaires du cœur , et sans traces de péricardite ancienne ou récent

dix ans ; et, d'après West et la plupart des auteurs, les maladies du cœur sont plus fré-quentes chez les jeunes rhumatisant

contre-indiquées chez les malades atteints d'affections organiques du cœur et des reins. Quant aux sources alcalines (Vais

rnard, Caliiburcès, répétées par M. Panum, établissent que c'est le cœur qui souffre surfout, en pareil cas; d'abord excit

e fluidité extrême, tantôt, au contraire, coagulé dans les cavités du cœur . Boerhaave supposait que la coagulation du sang d

m de stéatose. Le foie, les muscles de la vie,ani-male, les reins, le cœur surfout subissent cette allér'aiiffn. Je me borne

érature élevée qu'il convient de rapporter ces altérations, celles du cœur , en particulier, et les troubles qui en sont la c

re d'après le mode d'action des températures extrêmes sur le tissu du cœur . D'ailleurs, on sait que l'accélération extrême

a bile. — Abaissement de la température dans certaines affec-tions du cœur (rupture du cœur, asystolie, pericardite et endoc

ment de la température dans certaines affec-tions du cœur (rupture du cœur , asystolie, pericardite et endocardite aiguë, etc

qu'indépendamment de cette action, certaines substances affectent le cœur en paralysant ses mouvements. C'est ce qui arrive

ns le sang en certaine quantité, elle détermine à la fois un arrêt du cœur et un abaissement de la température centrale (Ley

exclusion des autres, déterminent le ralentissement des mouvements du cœur et l'algidité centrale. On sait que, contrairem

Par cela seul qu'ils ralentissent et affaiblissent les battements du cœur , la présence des acides biliaires dans le sang po

caractère dans cer-taines affections organiques ou fonctionnelles du cœur . 11 est de fait que la plupart des affections qui

t de fait que la plupart des affections qui amoindrissent l'action du cœur tendent à produire un abaissement de la tempéra-t

ces où les choses sont poussées moins loin. Parmi les affections du cœur lui-même s'accompagnant d'une diminution de la te

ture centrale, je puis vous citer comme exemple un fait de rupture du cœur avec épanche-ment de sang dans le péricarde que n

riode lipothymique intermédiaire aux deux syncopes, les battements du cœur étaient faibles, fréquents, irréguliers, le pouls

z pas que, dans les cas ftasystolie liés à une affection organique du cœur , il se produit de temps à autre des accès caracté

monie jusque là régulière nous a plusieurs fois conduit à examiner le cœur avec soin et à reconnaître l'existence d'une péri

fs pneumogastriques, qui, irrités à leur four, déterminent l'arrêt du cœur dans la diastole. Portée moins loin, cette excita

mpathique pourra détermi-ner une diminution permanente de la force du cœur , et ainsi se produira une sorte d'état lipothymiq

rande prostration des forces, par-fois môme du délire. L'impulsion du cœur est faible et irrégu-lière, les bruits paraissent

général bonnes ; constipation habituelle, pâleur, bruit de souffle au cœur , bruit de souffle dans les vaisseaux du cou. Je

perçoit pas de craquements. Les hanches sont parfaitement libres ; le cœur a son volume normal, et l'auscultation n'y fait p

essimétrique et stethoscopique les signes évidents d'une affection du cœur . L'une de ces malades est âgée de soixante ans et

des valvules mitrales, compliquée d'une hypertrophie considérable du cœur et accompagnée d'emphysème pulmonaire ; chez l'au

le du cœur et accompagnée d'emphysème pulmonaire ; chez l'autre, Je cœur est également hypertrophié, ainsi que le démontre

ante et un, nous avons rencontré une complication évidente du coté du cœur . Aucune des manifestations de la diathèse uriqu

atrophie générale, teinte blafarde des téguments, souffle anémique au cœur et dans les vaisseaux du cou, volume normal du cœ

uffle anémique au cœur et dans les vaisseaux du cou, volume normal du cœur ; la malade est dans le décubitus dorsal, elle ne

is aucun phénomène notable soit du côté de l'estomac, soit du côté du cœur ou des intestins. L'urine est habituellement très

trine : pas de matité par la percussion ; souffle au premier temps au cœur et à la base ; ce souffle est. doux ; souffle vas

nier cas, ¡1 n'existe aucune production fibreuse in-termédiaire. Le cœur ne présente aucune altération sensible, soit dans

surface viscérale et de la lar-geur d'une pièce de 50 centimes. — Le cœur , volumineux, ne présente cependant aucune altér

Observation IL — Goutte articulaire ; albuminurie ; hyper-trophie du cœur . —Autopsie: néphrite albumineuse (troisième degré

fréquent; sa respiration est difficile et accélérée. La percussion du cœur donne une matité assez considérable, se prolongea

en dehors du mamelon et plus bas qu'à l'état normal; les bruits du cœur sont précipités, tumultueux et sourds, sans bruit

s le sont à un haut degré. Le péricarde contient peu de liquide; le cœur est énorme, visiblement hypertrophié; ses parois,

de ce vaisseau de petites plaques jaunes non ulcérées. Les cavités du cœur sont remplies par des caillots adhérents, décolor

en résumé, un malade est pris d'attaques de goutte, d'hypertrophie du cœur , puis de néphrite albumineuse ; il suc-combe aux

aucun phénomène nota-ble, soit du côté de l'estomac, soit clu côté du cœur ou des in-testins. L'urine est habituellement trè

oitrine, pas de matité par la percussion. Souffle au premier temps au coeur et à la base ; ce souffle est doux. Souffle vascu

moins opa-que ; pas de pus, pas de véritables fausses membranes. Le cœur ne présente pas d'altération sensible soit dans s

deux jours qui ont précédé la mort. — lYécroscopie : Hypertrophie du cœur avec épaississement remarquable des parois du ven

rrhée urémiques, l'hémorrhagie intra-encéphalique, l'hyper-trophie du cœur , sont aussi parfois des conséquences de la néphri

n rencontre aussi ça et là dans l'épaisseur des parois musculaires du cœur . 6° La membrane muqueuse de Xestomac et celle de

tion d'acide urique, et après la mort, on trouve dans les caillots du cœur et des gros vaisseaux de petits grumeaux d'urate

, 36), que les sels de potasse agissent d'une manière spéciale sur le cœur dont il ralentis-sent et affaiblissent les contra

tion. London. 1864, p. 354). (p. 560). Dégénérescence graisseuse du cœur dans la goutte. — L'exis-tence fréquente de la dé

fréquente de la dégénérescence graisseuse des parois mus-culaires du cœur dans la goutte, surtout lorsque la maladie date-d

bre des cas où la mort subite a été attribuée à la goutte remontée du cœur , cet organe avait subi déjà, à un haut degré, la

venir tout à coup dans ces circonstances, sans qu'il y eut rupture du cœur . La mort rapide avec rupture de la paroi interven

rise cardiaque. Consultez à ce sujet Stokes, Traité des maladies du cœur , tra-duc. de Sénac. Paris, 1804, p. 328, 338 — Qu

alpitations surviennent souvent pen-« dant la nuit ; il semble que le cœur soit agité par des soubre-« sauts, ou qu'il roule

u qu'il roule sur lui-même. Ces accidents sont peu « douloureux et le cœur continue à fonctionner avec une acti-« vite presq

icien doit « hésiter avant d'attribuer les troubles fonctionnels du cœur à « la goutte sans altération anatomique du cœu

es fonctionnels du cœur à « la goutte sans altération anatomique du cœur . » (Traduction du docteur Sénac, loc. cit., p. 53

— Bail, Du rhumatisme viscéral. Paris. 1866. (p. 606). Maladies du cœur dans le rhumatisme articulaire chronique— Il n'es

me chronique, et l'on est conduit à reconnaître que les affections du cœur se sont développées sous sa seule influence. I.

entaient les symptômes les mieux accusés d'une affection organique du cœur . — Il y a quelques années, dans une leçon cliniqu

une influence réelle sur le premier déve-loppement des affections du cœur . Les faits qui vont suivre sont sous ce rapport,

out ce qui précède, on peut conclure, je pense, que les affections du cœur , telles que l'endocardite et la péricardite, appa

opsies qu'il a pra-tiquées, M. Charcot n'a pas constaté de lésions du cœur . La chorée, chez le vieillard, paraît être une

ent se résumer toutes en un seul mot : Yatrophie. — Exception pour le cœur et les reins. — Troubles divers qui résultent de

t dans les viscères chez les goutteux. — Dégénérescence graisseuse du cœur . — Athérome de l'aorte. —Lésions bronchiques. — N

stations hépatiques de la goutte. — Appareil circulatoire: lésions du cœur et des vaisseaux. — Mort subite. —Manifestations

ions viscérales dans le rhumatisme et dans la goutte. — Affections du cœur dans le rhumatisme. — Péricardite rhumatismale. —

o-grès de l'histologie moderne. — Structure de la membrane interne du cœur . — Lésions inflammatoires de l'endocarde. — Elles

elà bile.—Abaissement de la température dans certaines affec-tions du cœur (rupture du cœur, asystolie, pericardite et endoc

ment de la température dans certaines affec-tions du cœur (rupture du cœur , asystolie, pericardite et endocardite aiguë, etc

84; — traitement par le bromure de potassium, 583; diagnostic, 583. Cœur (Rupture du —) dans la goutte, 583, — dégénéresce

a-tions, 509. Dégénération graisseuse, 9; — des muscles, JO; — du cœur , 11;— des arterioles du cerveau, 11. Délire aig

e, 74; — dyspepsie, 75; — phénomènes nerveux, 75; — palpitations de cœur , 5 ; — catarrhe bronchique, 75 ; — aggravation de

65; — hemorrhagic cérébrale dans le cours de la —, 66; — ruptures du cœur , 6(3 ; — dégénérescence graisseuse du cœur, 66, 5

de la —, 66; — ruptures du cœur, 6(3 ; — dégénérescence graisseuse du cœur , 66, 545 ; — chez ies animaux, 69, 532 ; — forme

arvée, re-montée, 91, 163 ; — de l'esiomac, 93 ; — du foie, 97 ; — du cœur , 98 ; — asthme, 87. Gravelle biliaire, 20. 64

5; — synovite aiguë, 185; — lésions ana-logues dans les affections du cœur , 186 ; — absence de suppuration, 192 ; — identité

6; — abaissement dans les affections or-ganiques ou fonctionnelles du cœur , 340 Thermomètrie clinique, 26 ; — son im-porta

e thorax : poumons engoués, libres d'adhérences, parfaitement sains ; cœur et gros vaisseaux sains, concrétions polypiformes

et gros vaisseaux sains, concrétions polypiformes dans l'aorte et le cœur . Aucune espèce d'altération. Je reviens à l'abd

ci la description très-circonstanciée des parties : Fig. i et 2. Le cœur C (fig. i ), examiné à l'extérieur, paraissait da

e de confluent C. Les figures 5, 5', 5" représentent les cavités du cœur ouvertes; la fig. 5, le ventricule gauche, et à l

e et piquante tout à la fois. Comme chez le reptile et le poisson, le cœur n'a qu'une cavité ( fig. 5, 5" ) ; comme chez le

c artériel situé vers le dos et remplissant les fonctions d'un second cœur ; de même nous voyons ici un système particulier

réunir à un confluent, que nous pouvons cou sidérer comme un second cœur , chargé, non de pousser le sang dans toutes les p

er le 12 et présente l'état suivant : Violente céphalalgie ; mal au cœur sans envie de vomir (ce sont les propres expressi

pelle que, dès le premier jour, la malade disait qu'elle avait mal au cœur sans envie de vomir, qu'elle me montrait sans ces

caractère de cette matière. 3e. Livraison, Pl. 1.re APOPLEXIE DU COEUR . - APOPLEXIE DES POUMONS. MALADIES DU POUMON.

ivement aux poumons , seulement mucus bronchique"; les batte-inens du cœur sont tumultueux sans bruit de soufflet. OEdème lé

peut reprendre ses occupations, mais éprouve toujours à la région du cœur un sentiment d'oppression et même detouffement. U

diatement l'hémoptysie. Diagnostic. Hémoptysie, suite de maladie du cœur ; peut-être apoplexie pulmonaire circonscrite. La

nt des foyers sanguins dont la circonscription décèle l'origine. Le cœur m'a présenté une hypertrophie du ventricule gauch

oigt indicateur. La coïncidence d'une lésion dans la circulation du cœur et d'une apoplexie pulmonaire est remarquable. On

scorbutiques : j'en ai rencontré dans la rate, le foie, l'utérus, le cœur , etc., etc. Enfin, plusieurs faits prouvent manif

ité du sang : dans un cas d'apoplexie pulmonaire, suite de maladie du cœur (je n'ai pas noté laquelle ), j'ai trouvé au mili

exemple remarquable rapporté par M. Bayle(*), agrégé à la Faculté, le cœur était volumineux, le ventricule gauche large, dil

bre très-inférieur à celui qui lui est naturel. Il y avait maladie du cœur dans l'exemple que je citais à l'instant. Mais, d

t simuler celle qui a lieu dans la dernière période des affections du cœur comme dans l'observation que j'ai rapportée. Une

organiser pour ainsi dire et la résolution avoir lieu. Apoplexie du cœur avec épanchement de sang dans le péricarde. Dilat

lusieurs années tous les signes d'une dilatation avec hypertrophie du cœur . Elle succomba à la manière des individus affecté

cœur. Elle succomba à la manière des individus affectés de maladie du cœur . A l'ouverture, on trouva le cœur enveloppé de to

es individus affectés de maladie du cœur. A l'ouverture, on trouva le cœur enveloppé de tous côtés par une couche de sang co

ulée sur cet organe, remplissait tous les vides qui existent entre le cœur et le (*) Observation et pièce pathologique com

péricarde et se prolongeait autour des gros vaisseaux qui partent du cœur ou qui s'y rendent. Il existe en outre un peu de

éricarde. La couche de sang enlevée, on vit sur la face antérieure du cœur , au niveau du ventricule gauche, plusieurs ecchym

es irrégulières. Réflexions. — J'ai cru devoir appeler apoplexie du cœur l'altération qu'on vient de lire; je trouve dans

ane. Cette déchirure, qui a lieu si souvent dans toute l'épaisseur du cœur et qui entraîne alors une mort instantanée, s'est

a petite cavité résultant de la solution de continuité, et bientôt le cœur aurait été transpercé. Il se pourrait cependant q

e pourrait cependant que dans ce dernier cas la portion des parois du cœur qui reste intacte fût suffisante pour résister à

xisterait une petite poche anévrysmale dans l'épaisseur des parois du cœur : cette poche, sans cesse irritée par l'effort du

que contraction est poussé avec une force donnée contre les parois du cœur , se cicatrisera, s'organisera, et ses parois subi

anisme de la formation de quelques-unes de ces poches anévrysmales du cœur dont j'ai observé un exemple fort remarquable con

éjà publiés, et M. Breschet en a parlé plus amplement à l'occasion du cœur de Talma, sous le titre (TAnévrysme faux consécut

casion du cœur de Talma, sous le titre (TAnévrysme faux consécutif du cœur (*). Je ferai remarquer que ce mécanisme, tel que

cette époque, santé parfaite ; jamais d'oppression ni de battemens de cœur . Il entre à la Maison royale de Santé dans le ser

meur, fait reconnaître un battement double isochrone aux battemens du cœur ; le cœur est refoulé derrière le sternum. La resp

t reconnaître un battement double isochrone aux battemens du cœur; le cœur est refoulé derrière le sternum. La respiration e

s plus ou moins long. C'est, dit le malade, la goutte qui se porte au cœur . Je l'ai vu pendant une crise : le pouls était in

vu pendant une crise : le pouls était insensible, comme oscillant. Le cœur semblait n'avoir d'autre mouvement que le tremblo

tremblotement fibrillaire. J'ai rencontré plusieurs fois ce spasme du cœur chez des goutteux. Le 29 septembre, le malade e

de ces concrétions connues par les anciens sous le nom de polypes du cœur . Enfin un certain nombre de couches présentaient

nte de l'hypertrophie avec ou sans dilatation du ventricule gauche du cœur . Dans l'état naturel, il y a équilibre parfait

'état naturel, il y a équilibre parfait entre la force d'impulsion du cœur et la résistance des parois artérielles. Mais si

organiques et spasmodiques attribués àl'anévrysmc actif ou passif du cœur . J'ai vu vingt fois des cas de cette espèce. Comm

des cas de cette espèce. Comment se fait-il que dans le cas actuel le cœur soit dans son état naturel? Je ne connais pas de

urel? Je ne connais pas de dilatation artérielle sans hypertrophie du cœur ; 3e. Livraison, Pl. maladies des artères An

la contraction musculaire; et, cette élasticité une fois vaincue, le cœur n'a plus de résistance à surmonter; il doit reven

oncrétions, irrite ces parois par l'impulsion directe qu'il reçoit du cœur , et cette irritation suffît souvent pour amener l

liés, mais très-résistans qui en constituaient la trame. Thorax. Le cœur et les poumons sont parfaitement sains. Ces derni

entiment et du mouvement est dans l'influence du ventricule gauche du cœur ? L'indépendance des diverses parties de la moel

clusivement. Le « foie et la rate d'une couleur rouge foncé ; mais le cœur , le colon, le rectum, la vessie et les reins étai

peau, les intestins, le foie et la rate étaient très-injectés; et le cœur , le colon, le rectum, la vessie et les reins étai

entral au désordre par la torpeur, la stupeur et le délire. L'état du cœur , que je regarde en général comme le thermomètre d

qui ont désorganisé sourdement ou brusquement le foie, le poumon, le cœur , l'estomac, le cerveau; mais jamais je n'ai perdu

t évidemment dans les follicules F, F, F. Les autres organes, poumon, cœur , cerveau, sont parfaitement sains. La figure i'

parfaitement signalé M. Bouillaud. Si on injecte un corps irritant du cœur vers les extrémités dans la veine d'un membre, ce

tel-Dieu le i3 février i83o, avec tous les symptômes d'une maladie du cœur portée au plus haut degré. Il était de plus affec

aire et marchait à l'aide d'un bâton jusqu'au moment où la maladie du cœur le força de s'aliter. Il succomba deux jours aprè

; épaississement très-considérable des parois du ventricule gauche du cœur , qui a un volume trois à quatre fois plus considé

rir le point de départ de tous ces symptômes. J'explorai vainement le cœur et les gros vaisseaux, les poumons et les diverse

on coagulé dans les cavités gauches comme dans les cavités droites du cœur , dans les artères comme dans les veines ; en un m

sur la présence du pus dans les veines et dans les cavités droites du cœur au milieu de caillots sanguins. VIL Mais, dans

et autres, ont vu du pus dans les veines, dans les cavités droites du cœur ; ils en ont vu au milieu de caillots sanguins; j

nflammation tout autour. Les veines, les vaisseaux lymphatiques et le cœur qui contenaient du pus, m'ont également paru, dan

de l'inflammation. X. Mais ce pus, observé dans les veines, dans le cœur , au sein des caillots, ne serait-il pas formé (

itant, de l'encre, par exemple, dans la veine fémorale d'un chien (du cœur vers les extrémités); si les veines collatérales

eines ne remplissent pas seulement le rôle subalterne de rapporter au cœur le sang qui a servi à la circulation artérielle,

dans tous les sens, du côté des capillaires aussi-bien que du côté du cœur . Nous trouvons ici réunis tous les degrés de la p

re poumon offrait un mélange d'oedème et d'infiltration purulente. Le cœur uni au péricarde par des adhérences anciennes , p

e, et presque toujours il existe, soit dans les poumons, soit dans le cœur , des lésions plus graves dont les symptômes masqu

ion; palpitations qui en ont quelquefois imposé pour une affection du cœur ; infiltration des extrémités inférieures; ascite,

cas, des praticiens distingués crurent à l'existence d'une maladie du cœur et ne furent retirés de leur erreur que lorsque l

ons dans les maladies du foie : i° le soulèvement du diaphragme et du cœur par cet organe volumineux ; i° les rapports de ci

eux ; i° les rapports de circulation qui existent entre le foie et le cœur . Quant à l'ictère, il ne s'observe que dans un pe

mptômes vagues d'affection épigastrique : apparences d'une maladie du cœur : plus tard vomissemens : le foie ne déborde les

sion, essoufflement au moindre exercice ; palpitations à la région du cœur et au creux de l'estomac. Les alimens pèsent sur

ax et en même temps un bruit de sifflement isochrone aux battemens du cœur et du » pouls. Les poumons sont perméables partou

s partout ; on ne peut méconnaître les signes d'une hypertrophie du » cœur avec un commencement de rétrécissement de Porific

nt de bons effets. Long et » profond moxa ou cautère sur la région du cœur . Boisson froide ou à la glace ^ le bouillon et le

rère plein de sagacité et d'instruction, la violence des battemens du cœur , le défaut de signes positifs du côté du foie et

r-tout l'efficacité de deux applications de sangsues sur la région du cœur , me tirent penser crue je m'étais sans doute trom

une poudre que j'ai souvent employé avec succès dans les maladies du cœur avec e'panchement dans les cavités thoraciques. S

stins grêles et gros était rouge et légèrement infiltrée. La rate, le cœur , les poumons et tous les autres organes étaient d

inale, dans le plexus solaire, dans le centre cérébro-spinal, dans le cœur , dans le poumon? Le traitement antiphlogistique e

ent beaucoup de sang. Les cavités droites et l'oreillette gauche du cœur sont distendues par du sang liquide et quelques c

ternum et accuse un sentiment indéfinissable d'étouffement, de mal au cœur , d'anéantissement, quelquefois de chaleur brûlant

vomissement, pour se relever au bout de quelques instants. L'état du cœur est le thermomètre le plus sûr de ces forces épig

équente ; sentiment d'oppression , de malaise épigastrique, de mal au cœur . Aussitôt qu'on cesse d'interroger la malade, s

ents très violents et très incommodes à l'épigastre et à la région du cœur : ces battements augmentent sur-tout lorsque la ma

uls fréquent, large et mou; battements très forts à l'épigastre et au cœur , qui incommodent beaucoup la malade, et que la g

yeux chassieux et injectés, supination : immobilité. Toujours mal au cœur , sans envies de vomir; sentiment indéfinissable d

profonde des traits, mais sans coloration bleue; les contractions du cœur projettent le sang jusqu'aux extrémités de l'arbr

uelquefois involontaires; le pouls ne se sent plus qu'au voisinage du cœur ; les veines sont vides; si on les ouvre, il ne so

pasme ou l'angoisse épigastrique, un sentiment inexprimable de mal de cœur sans vomissement, de défaillance, d'étouffement,

colonne vertébrale. Vésicatoire ci l'eau bouillante sur la région du cœur . Sueur glacée et visqueuse. Mort à trois heures c

t des boissons chaudes, des synapismes aux genoux et sur la région du cœur . Les vomissements et les évacuations alvines devi

Des organes de la circulation et de la respiration dans le choléra. Cœur . J'ai quelquefois trouvé un peu de sérosité dans

œur. J'ai quelquefois trouvé un peu de sérosité dans le péricarde. Le cœur est absolument dans l'état où se trouve cet organ

s, les hoquets, les crampes, et enfin la diminution des battements du cœur dont la contraction, réduite à un simple frémisse

titue force de résistance vitale. Il faut, en un mot, faire battre le cœur , faire respirer les poumons. Toutes les voies o

la muqueuse digestive, sur la muqueuse respiratoire ; on agira sur le cœur par la saignée veineuse et par la saignée artérie

e comme propre à ranimer la circulation par la déplétion mécanique du cœur et des gros vaisseaux : ils ont saigné dans le ch

tion se faisait encore librement sous l'influence des contractions du cœur . Il n'est peut-être pas un cas de choléra asphy

le système veineux, dans le double but et de stimuler directement le cœur et de rendre au sang les principes qu'il perd inc

patience, une foule de petits moyens que le moment et quelquefois le cœur suggère, que les livres n'apprennent pas, amènero

très volumineux, dense et d'apparence tuberculeuse, qui recouvrait le cœur , lorsque celui-ci était contenu dans le péricarde

près sa naissance , après avoir poussé deux cris; on sentit battre le cœur pendant sept minutes (1). Les intestins qui me fu

, sauf quelques lobules delà base. Anévrysme des cavités droites du cœur , chez un foetus, par suite de V oblitération de V

resque convulsive. Il mourut au bout de cinq jours. A l'ouverture : cœur énormément développé, remplissant plus de la moit

rière les poumons qui étaient peu considérables. Le grand volume du cœur tenait au développement très considérable des cav

résentent les foyers sanguins. 16e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU COEUR Pericardite. MALADIES DU COEUR ( PLANCHE II

e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU COEUR Pericardite. MALADIES DU COEUR ( PLANCHE II, XVIe LIVRAISON.) Péricardite.

dyspnée et le délire, qu'on avait constaté le volume considérable du cœur , mais que la péricardite n'avait été nullement re

ur, mais que la péricardite n'avait été nullement reconnue. Fig. 1. Cœur de volume ordinaire. Le péricarde présente un exc

ts de sang, s'est écoulée à l'ouverture de cette membrane. Surface du cœur recouverte d'une fausse membrane couleur lie-de-v

ans sa couche profonde, qui revêt immédiatement le feuillet séreux du cœur auquel elle est assez intimement unie, et qui ne

tissu cellulaire sous-séreux n'est ni infiltré ni injecté. Fig. 2. Cœur très volumineux : ce grand volume était dû, non à

non à l'hypertrophie, mais à la dilatation de toutes ses cavités. Le cœur a été renversé de bas en haut pour montrer à déco

re. Le péricarde avait une capacité telle qu'il aurait pu contenir un cœur deux fois plus volumineux. Toute la surface du

pu contenir un cœur deux fois plus volumineux. Toute la surface du cœur était enveloppée d'une pseudo-membrane couleur li

e et en forme. Ces mamelons occupent principalement le bord gauche du cœur , sa face postérieure et le voisinage delà base.

llent la forme de la pomme-de-pin ou du fruit de l'ananas auxquels le cœur ainsi enveloppé de fausses membranes a été compar

le que c'est à des cas de cette espèce que s'applique l'expression de cœurs velus qu'on rencontre dans les anciens observateu

ée du reste de la pseudo-membrane rappelle cette autre comparaison du cœur enveloppé par une fausse membrane au bonnet d'un

t ces points correspondaient en général aux mamelons de la surface du cœur . Comme dans le cas représenté fig. 1., la pseud

la couche superficielle , mais assez intimement unie à la séreuse du cœur . Lorsqu'on sépare cette couche granuleuse de la m

és et en quelque sorte microscopiques qui recouvrent et la surface du cœur et la pseudo-membrane. La séparation du feuillet

ce du cœur et la pseudo-membrane. La séparation du feuillet séreux du cœur et de la pseudo-membrane était parfaitement nette

effectuée, que la fausse membrane elle-même était revêtue du côté du cœur par un feuillet séreux qui lui donnait son aspect

à mes dissections, j'ai trouvé une adhérence complète du péricarde au cœur , à l'aide d'une fausse membrane. Des tubercules o

les occupaient çà et là la face interne du péricarde et la surface du cœur . Ces tubercules étaient arrondis, très cohérens e

berculeuse. Dans un autre cas, l'adhérence entre le péricarde et le cœur avait lieu à l'aide d'une cellulosité traversée p

nés : la surface interne du péricarde et la surface correspondante du cœur présentaient des tubercules très denses, demi tra

cesse agitée par les alternatives de dilatation et de contraction du cœur , la rupture des couches qui enveloppent le foyer

adhérences établies entre la fausse membrane du péricarde et celle du cœur . Cette rupture peut être le résultat des mouvemen

t celle du cœur. Cette rupture peut être le résultat des mouvemens du cœur ou bien celui d'un épanchement qui s'interpose en

bien celui d'un épanchement qui s'interpose entre le péricarde et le cœur . Les causes qui président aux différences d'asp

e pseudo-membraneuse hérissée de végétations adhérait à la séreuse du cœur et présentait de la manière la plus manifeste la

orte contusion. Saignée. Symptômes de phlébite entre la saignée et le cœur . Large application de sangsues. Cessation de la p

es vertèbres lombaires. La tumeur lombaire (fig. 2) a la forme d'un cœur de carte à jouer; elle est recouverte par une pea

de justesse, l'aspect delà tumeur ouverte à celui des ventricules du cœur , en raison des colonnes nerveuses et vasculaires

ar des noyaux d'engouement, soit par des points d'hépatisation rouge. Cœur vide. Ventricule droit flasque, aminci et dilaté.

ravité non moins que de son importance, je dois placer l'apoplexie du cœur , à laquelle je crois devoir rapporter le plus gra

oyers sanguins , du volume d'un pois , existaient dans l'épaisseur du cœur . Il est plus que probable que ces foyers sanguins

eine fémorale d'un grand nombre de chiens. L'injection a été faite du cœur vers les extrémités. Un stylet très fin, préalabl

erposés aux faisceaux charnus. 17e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DU CŒUR ET DE L'AORTE. Anévrisme. MALADIES DU COEUR E

. Pl. 4. MALADIES DU CŒUR ET DE L'AORTE. Anévrisme. MALADIES DU COEUR ET DE LA CROSSE DE L AORTE. (XVIIe LIVRAISON, P

VRAISON, PLANCHE 4) Anévrysme. Les figures i et 2 représentent le cœur et l'aorte d'un individu sur lequel je n'ai aucun

icule droit : Cette coïncidence fréquente établit l'indépendance du cœur droit et du cœur gauche, indépendance que démontr

ette coïncidence fréquente établit l'indépendance du cœur droit et du cœur gauche, indépendance que démontre d'ailleurs de l

'allonge considérablement, n'atteint pas à beaucoup près le sommet du cœur . En outre le ventricule droit est considérablemen

s la fîg. 1, le ventricule droit n'atteint pas davantage le sommet du cœur , qui ne représente plus le sommet d'un cône, mais

ve, tom. m. Voyez aussi J. Bouillaud, Traité clinique des maladies du cœur . Paris, i835, 2 vol. in-8°. (2) Voyez Anatomie

8°. (2) Voyez Anatomie descriptive, tom. nr, pag. 3i. Séparation du cœur droit et du cœur gauche. xviie livraison. du co

natomie descriptive, tom. nr, pag. 3i. Séparation du cœur droit et du cœur gauche. xviie livraison. du coté du ventricule

ut n'avait pas le quart de sa hauteur et de son volume accoutumés. Le cœur G avait été fortement déjeté à gauche , de telle

: l'œdème datait de cette époque : forte impulsion des battements du cœur : matité de la région précordiale dans l'étendue

ogrès ; mort le 2 avril, 19e jour de l'entrée du malade. Ouverture. Cœur d'un tiers plus volumineux que de coutume: hypert

ible. L'infiltration coïncidant avec les symptômes d'une affection du cœur , légère il est vrai , ne devait-elle pas appeler

tablir assez positivement le diagnostic de la maladie. L'affection du cœur était trop peu considérable pour rendre compte de

e ; pouls petit, régulier , 124 pulsations par minute. A la région du cœur , son mat dans une assez grande étendue ; l'auscul

courbure de la colonne vertébrale. Il est difficile de reconnaître le cœur réduit à une lame mince et les poumons également

ngue pouvait être reconnue. Point de vestige de cavité thoracique. Le cœur situé au-devant de l'épine diversement infléchie

ADIES DU FOIE ET DU PERITOINE. 19e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DU COEUR Cancer mélanique. 19e. Livraison. Pl. 3. MA

e de la même tumeur qui était limitée à la péau. Pl. IV .Fig. 1. Le cœur parsemé de tubercules mélaniques, qui est représe

nombre de tubercules cancéreux mélaniques disséminés à la surface du cœur . Le plus considérable T M, occupe le niveau de la

du cœur. Le plus considérable T M, occupe le niveau de la cloison du cœur : il est remarquable par sa division en lobules.

sa division en lobules. Le tubercule f m\ qui a voisine le sommet du cœur est à peine coloré. On voit deux tubercules sur l

e droit, est remplie de caillots sanguins concentriques. Fig. 2. Le cœur , vu par sa face postérieure et largement ouvert,

tre l'aspect de ces ganglions lymphatiques et celui des tubercules du cœur , bien que ces deux ordres d'altération appartienn

tanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélaniques dans les poumons, le cœur , l'estomac, etc. Fossé (Charles Thomas), 46 ans

Les tumeurs superficielles étaient aplaties et comme pédiculées» Le cœur (Voy. pl. IV, fig. 1 et 2) présentait Io des tuber

x: 2° d'autres tubercules mélaniques occupaient la surface interne du cœur et soulevaient la membrane interne : 3° quelques-

ganglions bronchiques avaient évidemment subi la même altération. Le cœur était sain. \J extrémité postérieure d'un grand

O-P, sont les orifices postérieurs rétrécis des fosses nasales. Le cœur C, le poumon droit P, l'aorte A la langue LG, et

ur et inférieur de la cinquième paire, et la partie correspondante du cœur qui était ramollie dans l'épaisseur de deux ligne

son extrémité supérieure GT. 20me. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU CŒUR Rupture. MALADIES DU COEUR. ( XXe LIVRAISON

20me. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU CŒUR Rupture. MALADIES DU COEUR . ( XXe LIVRAISON, PLANCHE 1. ) explication de

représente le péricarde ouvert et contenant encore des caillots. Le cœur , graisseux à sa surface, est d'un volume ordinair

euse E se voit au-dessous de la rupture, au voisinage de la pointe du cœur . La fig. 3 représente la coupe du ventricule ga

che pratiquée au niveau de la rupture, perpendiculairement à l'axe du cœur . On y remarque la direction oblique et comme en z

n oblique et comme en zigzag de cette rupture. Rupture spontanée du cœur . J'ai déjà fait représenter ( 111e livraison, p

déjà fait représenter ( 111e livraison, pl. i ) un cas de rupture du cœur . Je crois devoir rappeler ici et discuter trois c

résentait depuis plusieurs années tous les symptômes d'une maladie du cœur et qu'elle mourut à la manière des individus affe

est nullement question de mort subite. Or, tous les cas de rupture du cœur que j'ai eu occasion d'observer depuis cette époq

qu'on a vu des blessés survivre plusieurs jours à une perforation du cœur qui ne livrait passage qu'aune très petite quanti

utefois cette grande différence entre les perforations traumatiquesdu cœur et les perforations spontanées du même organe, qu

ions spontanées du même organe, que, dans le premier cas, le tissu du cœur est sain au pourtour de la blessure, tandis que d

in au pourtour de la blessure, tandis que dans le second, le tissu du cœur , plus ou moins altéré, se lacérerait presque néce

la cavité du ventricule gauche, mais l'examen attentif des parois du cœur me convainquit que la perforation était purement

uin. Eh bien! plusieurs faits me portent àpenserque la perforation du cœur était complète dans ce cas comme dans tous les fa

que son obliquité, sa disposition sinueuse, son étroitesse du côté du cœur , sa situation entre les colonnes charnues au fond

arde, et la source de cette hémorrhagie était dans une perforation du cœur qui occupait la face antérieure du ventricule dro

it huit onces de sang liquide et quatre onces de sang en caillots; le cœur avait son volume ordinaire ; il était recouvert d

es ecchymoses occupaient la partie supérieure du sillon postérieur du cœur , un peu à droite de ce sillon. On aurait pu croir

de petits caillots. L'épaisseur des parois des différentes cavités du cœur était un peu au-dessous de l'état normal. Le tiss

orté (111e livr., pl. i),j ai cru devoir considérer la perforation du cœur comme une apoplexie de cet organe. Ici en effet,

mais de nouvelles observations m'ont démontré que cette apoplexie du cœur reconnaît le plus souvent pour cause première une

ariétés. Elle peut être générale, c'est-à-dire occuper la totalité du cœur , elle peut être circonscrite. Dans quelques cas,

totalité du cœur, elle peut être circonscrite. Dans quelques cas, le cœur , si vous en exceptez la fragilité, n'offre pas d'

d'un rouge plus obscur que de coutume; dans d'autres cas, le tissu du cœur est remarquablement altéré. Ainsi, une fois, j'ai

est remarquablement altéré. Ainsi, une fois, j'ai trouvé le tissu du cœur gris-blanchâtre comme si un peu de pus concret av

pièce, ne me parut nullement constaté; d'ailleurs l'état graisseux du cœur ne favorise pas la rupture de cet organe. Lorsque

du cœur ne favorise pas la rupture de cet organe. Lorsque le tissu du cœur est devenu fragile (et il est probable qu'il exis

le seul fait des mouvemens de progression. La rupture spontanée du cœur est en général une maladie de la vieillesse. Elle

u sur le ventricule droit. Je l'ai rencontrée le plus souvent sur des cœurs hypertrophiés. Les cœurs non hypertrophiés n'en s

. Je l'ai rencontrée le plus souvent sur des cœurs hypertrophiés. Les cœurs non hypertrophiés n'en sont pas exempts. Il est r

est rare qu'il y ait foyer sanguin proprement dit dans l'épaisseur du cœur au voisinage de la rupture. Cependant, dans un ca

e inférieure d'un foyer sanguin creusé dans l'épaisseur des parois du cœur . Quelques fibres musculaires incomplètement déchi

r du ventricule gauche. La mort subite dans la rupture spontanée du cœur ne tient nullement à l'hémorrhagie qui n'est jama

mort est la conséquence nécessaire de l'impossibilité où se trouve le cœur de se dilater, vu l'inexten-sibilité du péricarde

de, lorsque l'intervalle qui existe naturellement entre la surface du cœur et la surface interne du péricarde a été rempli p

s observations, l'intervalle qui sépare le péricarde de la surface du cœur mesure exactement le volume du cœur dans sa plus

are le péricarde de la surface du cœur mesure exactement le volume du cœur dans sa plus grande distension possible. 20 Liv

) ayant établi que toute injection irritante faite dans les veines du cœur vers les extrémités déterminait la formation de f

nt de l'orifice auriculo- ventriculaire gauche avec hypertrophie du cœur ; pneumonie circonscrite. Or servations. Consid

néral. . 4". LÉSIONS SE X.'APPAREIL SE IA CIRCULATION Maladies du cœur . Rupture........,...... . ---Péricardite.......

ue le mardi 9 novembre elle a éprouvé des malaises, des battements de cœur , et de la céphalalgie. Ses règles se sont arrêt

chaque instant elle dit qu'elle étouffe et se plaint debattements de cœur très-violents. Hallucinations de l'ouïe: parfoi

pu apprécier la haute valeur scientifique, les éminentes qualités du cœur et l'indépendance de caraclère; les 1 Geneeskun

et âge avec les autres périodes de la vie. Mais nous aurons surtout à cœur de vous montrer tout le parti qu'on peut tirer de

1809 ; 2° Notes sur une cause peu connue des maladies or¬ganiques du cœur , etc., par A. Ollivicr. {Mémoires de la Société d

. Ils étaient seulement notablement décolorés. 11 en est de même du cœur , qui présentait en outre une plaque laiteuse sur

des anévrysmes avec la forme miliaire. Pour les autres organes, le cœur , le foie, les reins, ils ont subi la dégénérescen

mes miliaires. BIBLIOGRAPHIE Leçons cliniques sur les maladies du cœur , par M. Bucquoy, agrégé de la Faculté de médecine

brochure les Le¬çons cliniques qu'il a professées sur les maladies du cœur lorsqu'il suppléait M. leprofesseur Grisolle dans

uvre. Dans ces leçons, l'auteur a élucidé les principales maladies du cœur , et, par maladie du cœur, il entend seulement la

auteur a élucidé les principales maladies du cœur, et, par maladie du cœur , il entend seulement la maladie avec lésion organ

auteur établit un parallèle entre les maladies des divers orifices du cœur . Reprenant, en effet, les faits qu'il a précé¬dem

t celle qui résulte du siège de la maladie, suivant qu'elle occupe le cœur droit ou le cœur gauche, ainsi que l'un ou l'autr

te du siège de la maladie, suivant qu'elle occupe le cœur droit ou le cœur gauche, ainsi que l'un ou l'autre des orifices ve

s mouvements in¬times de l'organisme, savoir : A. Les battements du cœur , du pouls, des fontanelles, des artères les plus

n. v. baromètre de la circulation. Pour obtenir les battements du cœur , du pouls, des artères ou le tremblement fibrilla

aire et sans retouche, les détails les plus cachés des bat¬tements du cœur de l'homme sain ou malade. Il y a trois ans, da

aiguille à plaque. On amène le tube de verre au 1 Les Battements du cœur et du pouls reproduits par la photographie. — Aca

il de M. Ollivicr sur une cause peu connue des maladies organiques du cœur et. sur la pathogénie de l'hémiplégie puerpérale.

manière à les paralyser, d'où suit une augmentation des battements du cœur . C'est pourquoi, administrées en même temps, la f

des fragments, jetés dans l'eau, ne gagnent pas le fond du vase. — Cœur : oreillettes et ventricule droit gorgés de sang

ns conges¬tionnées ; larynx, trachée, bronches, rien de particulier. — Cœur : oreillette et ventricule droit remplis de sang n

la vie. — Le pouls CSt CCllO impulsion, simple en apparence, que le cœur communique au sang, lequel vient remplir les artè

nité de mesure du temps, la se¬conde, a été prise sur le battement du cœur de l'homme, de môme que la plus longue unité de m

La seconde est donc à la fois la mesure du temps et de la vie, et le cœur de l'homme en est le premier pendule, le régulate

ive, où la bifidité est habituelle. Si nous examinons les tracés du cœur , nous y retrouvons aussi les mêmes détails et de

coïncide avec le premier bruit et la petite avec le deuxième bruit du cœur . Deux théories peuvent donner une explication s

héorie du choc en retour ; d° de l'indépendance des quatre temps du cœur . III. Théorie nu choc en retour. — Déjà bien co

s se resserrant pour le chasser à la périphérie. Mais les tracés du cœur offrent des éléments plus complexes et qui trouve

te seule théorie. IV. Théorie de l'indépendance des quatre temps du cœur . — La seconde théorie est celle qui attribue à ch

que la double expression de la double contraction des deux moitiés du cœur . La contraction commencerait par le cœur gauche

action des deux moitiés du cœur. La contraction commencerait par le cœur gauche; elle se conti¬nuerait moins intense par l

cerait par le cœur gauche; elle se conti¬nuerait moins intense par le cœur droit; aussi voit-on sa pointe un peu au-dessous

. Les deux ventricules ayant une cloison commune, on conçoit que le cœur droit, en se contractant, produise ainsi cette se

roit, en se contractant, produise ainsi cette seconde systole dans le cœur gauche, dont il complète ainsi l'action. Sur le

stole dans le cœur gauche, dont il complète ainsi l'action. Sur les cœurs d'adulte qui battent très-fortement, cet examen e

au choc en retour du sang de la veine pulmonaire sur les valvules du cœur droit, d'où vient un léger gonflement, beaucoup m

grande systole. Dans celte manière de voir, chacune des cavités du cœur , tout en conservant des fonctions spéciales et pe

ction du muscle cardiaque gauche. V. Analyse d'i n tracé complet du cœur . Systole. (Diastole.\ )Quand la tension du

racé complet du cœur. Systole. (Diastole.\ )Quand la tension du cœur est forte j ou celle des artères faible. (Quand l

du cœur est forte j ou celle des artères faible. (Quand la tension du cœur est faible 1° Période / ' •{ 01 celle des artères

cension. 1 ç;0M„/^ (Quand l'impulsion trop forte masque la systole du cœur droit. Quand les impulsions du choc en re¬tour et

systole. Se terminant par une pointe aiguë et unique, l'impulsion du cœur gau¬che dominant tout. Continue se terminant en p

en plateau par suite du prolongement de la sys-2° Période I ' to'e ^u cœur gauche, d'état ou \ [Quand l'impulsion des deux

de I ' to'e ^u cœur gauche, d'état ou \ [Quand l'impulsion des deux cœurs de tension. ) l se *a'^ sent'r successivement p

systole. 1° Les deux points sont presque à la même hauteur, les deux cœurs bat¬tent dans un rapport sensiblement égal. 2°

. 2° Les deux points sont à hauteur différente, la prépondérance du cœur gauche étant plus prononcée. Droite incli- Suivan

Droite incli- Suivant la tension plus ou moins gran-uée. . . .( de du cœur et des artères. [Présentant une éminence produi

artères. [Présentant une éminence produite par le choc en retour du cœur droit, 1 Dicrote I (tu' retentit sur ^e 8auche

crote. lu Période de chute. 2° Période de repos. t 5° Période , cœur | Diastole. ] de / t gonflement \ 1° Choc enrc-

stole. ] de / t gonflement \ 1° Choc enrc-\Déjà décrit, agit sur le cœur gauche à travers la cloison. Le sang aorlique, re

nt sur les valvules sygmoïdes, les refoule avec claquement du côté du cœur , pro¬duisant un flot dans le sang resté dans le v

ES VARIÉTÉS 1 pau le docteur ch. ozanam. •— SUITE — VI. Examen du cœur d'un homme sans sternum. — Depuis l'époque où le

is l'époque où le célèbre Harvey, en Angleterre, put examiner à nu le cœur du vicomte de Montgomery, découvert par une bless

issu cellulaire, font à peine obstacle à la vue et aux mouve¬ments du cœur , dont les diverses parties se dessinent sous la p

; il a rendu visible aux spectateurs chaque élément de contraction du cœur , en plaçant trois plumes sur de légers supports a

sent comme ayant un synchronisme absolu. Vif. jiKSüiiE des temps du cœur . — C'est à un résultat complète¬ment semblable qu

° Le point d'appui solide que la membrane prend sur le bras ou sur le cœur , empêche sa dilatation par le choc en retour du m

ont pas de membrane élastique. X. Influence de l'inspiration sur le cœur et le pouls. — L'acte respiratoire imprime une au

e respiratoire imprime une autre sorte d'hésitation aux pulsations du cœur et même du pouls. La grande pulsation faiblit et

à son tour une action indirecte sur la circulation. La contraction du cœur est aidée par la contraction de la poitrine ; ell

en dilatant le poumon attire également le péricarde et les parois du cœur et diminue ainsi leur pu'ssance. Celte influence

iminue ainsi leur pu'ssance. Celte influence de la respiration sur le cœur peut servir encore à expliquer comment certaines

r exemple, peuvent arriver à arrêter volontairement les battements du cœur par une forte inspiration ; dans ce cas, ce n'est

r par une forte inspiration ; dans ce cas, ce n'est point l'action du cœur qui devient directement volontaire et libre, mais

et libre, mais bien celle de la respiration, de laquelle l'action du cœur se trouve jusqu'à un certain point dépendante.

e, comme le voudrait M. Marey, mais ci la diminution de ta tension du cœur , la tension des artères prenant alors le dessus.

nsion des artères prenant alors le dessus. Entre ces deux systèmes, cœur et réseau artériel, il existe ainsi une alternanc

ène physiologique et naturel. XI. Dynamisme ou force d'intuition du cœur . — En parcourant l'é¬chelle des âges, on voit que

n parcourant l'é¬chelle des âges, on voit que la force d'impulsion du cœur va tou¬jours en croissant, jusqu'à l'âge de cinqu

ions dynamométriques exercées sur l'artère radiale, par la systole du cœur . 1 an....................... 8 grammes. 2 ans

fatigue — le sommeil — le repos — le mouvement ; on peut dire que le cœur change pour ainsi dire à chaque instant le systèm

nt le système de ses pulsations ; certaines personnes sur¬tout ont le cœur irritable, et le médecin non prévenu pourrait che

uxième moitié qui, elle, est aussi en raison directe de la tension du cœur , c'est dans le juste équilibre entre ces deux for

sont les nervivasorum, fournis par le grand sympathique, — pour le cœur , c'est le pneumo-gaslrique. Chacun remarquera s

ve des veines, qui ne détermine aucune impulsion. XIII. Distance du cœur au pouls. Mesure des anévrysmes. — Une question i

aiguilles sur le même cylindre. L'une des ampoules appuyait sur le cœur , l'autre était placée sur l'artère radiale droite

urons un espace de f ou fffc. En admettant donc que la pulsation du cœur battît la seconde, le sang mettrait 550 millièmes

e Dr Groux. Ce médecin ayant exploré simultanément les batte-ments du cœur et du poids avec un chronographe de son invention

, la taille des personnes, les émotions et la force des battements du cœur . La connaissance du temps exact que met le sang

du cœur. La connaissance du temps exact que met le sang à venir du cœur au pouls est importante pour le diagnostic des an

frances cardiaques et lombaires : la malade prétend qu'on lui tire le cœur . Concomitamment douleurs fulgurantes, ayant une a

té de chirurgie, séance du 25 mai 1870. grâce à cotte influence, le cœur recommença à battre, la respiration revint, les m

ses vaisseaux superficiels et profonds. —Appareil digestif : rien. — Coeur : ventricules vides; oreillettes gorgées de caill

s. — Caillots blancs, jaunâtres, remplissant en partie les cavités du cœur droit. L'abdomen renferme un demi-litre environ d

, etc., par J.-M. Charcot, 20. — Leçons cliniques sur les maladies du cœur , par Buc¬quoy (anal. G. Peltier), 44. — Traité él

e peut être considérée comme hystérique. L'examen clinique de son cœur démontre qu'il ne présente aucun trouble patholog

ralentissement, puis une accélération du pouls chez un sujet dont le cœur ne présentait aucun trouble. Cette expérience dém

peut déterminer des effets de ralentissement ou d'accélération du cœur et provoquer secondairement des modifications dan

ons. La malade reçoit alors la suggestion qu'elle est calme, que le cœur se régularise et se ralentit. Cinq minutes après

102 pulsations. Nous insistons encore et nous lui suggérons que son cœur est devenu tout à fait normal, qu'il bat lentemen

exercée par la suggestion hypnotique sur le nombre des battements du cœur . En résumé, la comparaison entre les expérience

raison entre les expériences, la première faite chez un sujet dont le cœur est normal, l'autre chez un sujet atteint de trou

un agent de thérapeutique psychique, parce que l'examen du thorax, du cœur , lui avait permis de diagnostiquer lui-même que l

du cœur, lui avait permis de diagnostiquer lui-même que le poumon, le cœur n'étaient le siège d'aucune lésion, que l'aorte n

des désordres viscéraux, la tuberculose, par exemple, une maladie du cœur , partaient réconfortés et d'autant mieux confirmé

ta-Christiana, dont les troncs étaient soudés et qui possédaient deux cœurs entourés d'un seul péricarde, pouvaient dormir sé

nt, l'un est plus émotif que l'autre, et quand l'émotion survient, le cœur bat plus vite. Chez les monstres xiphopages Leao-

les de la moelle et ceux du cerveau, du même point de vue que ceux du cœur , du rein ou du foie : là, où vos prédécesseurs pr

les œuvres de Galien — une fois celles d'Hippocrate, dont il sait par cœur presque tous les Aphorismes. Il cite souvent le p

ni dyschromatopsie. A part un léger souffle systolique à la pointe du cœur , il n'y a rien de pathologique dans les organes t

nt alors la fièvre : « Une chaleur contre nature qui s'allume dans le cœur et va ensuite malfaisante se répandre par tout le

ous prétendez que la fièvre n'est qu'une chaleur contre nature qui du cœur , va, malfaisante se répandre par tout le corps, m

ée par la putridité des humeurs et vous dites qu'elle commence par le cœur , organe où ne se fabrique pas d'humeurs. Comment

ue Marie Alacoque était atteinte d'aliénation mentale et que le Sacré Cœur fut une hallucination. Il s'est fait depuis plu

le collectionneur est vraiment heureux, une joie intense lui monte au cœur et il se répète : « Oui, je suis bien seul à poss

fait de ma liberté et de « tout mon être ; ce que je fis de tout mon cœur , pourvu, lui dis-je, « que vous ne fassiez rien

it exigé ; il l'agréa et lui fit à l'heure même donation de son sacré cœur « qu'il me fit écrire avec mon sang et me dicta l

e avec mon sang et me dicta lui-même » ; je le signai ensuite sur mon cœur avec un canif dont je me servis pour graver son s

partiendront à Jésus qui lui montrera ses plaies avec des rayons, son cœur rouge dans une fournaise ; elles appartiendront a

nations de la vue : elle voit un soleil brûlant qu'elle croit être le cœur de Jésus : « sa lumière est éclatante ; ses rayon

e est éclatante ; ses rayons tout ardents donnaient « à plomb sur mon cœur , lequel se sentait embrasé d'un feu si vif qu'il

ne fournaise, « laquelle s'étant ouverte me découvrit un tout aimable cœur qui était « la vive source de ces flammes. Il

e quoi suppléer à « tout ce qui te manque et en même temps ce divin cœur s'étant ouvert, « il en est sortit une flamme si

e à la fameuse hallucination sur laquelle on a basé le culte du Sacré Cœur ; je ferai remarquer que les livres pieux qui cit

« lieu où j'étais et je m'abandonnais à ce divin esprit, livrant mon cœur « à la force de son amour. Mon souverain Maître m

merveilles de « son amour et les secrets inexplicables de son Sacré Cœur qu'il m'avait « tenu cachés jusqu'alors. « Il m

nu cachés jusqu'alors. « Il m'ouvrit pour la première fois ce divin cœur d'une manière si « réelle et si sensible, qu'il

omme il me sembla que la « chose se passa. Jésus me dit : « mon divin cœur est si rempli d'amour « pour les hommes et pour t

u'il les « répande par ton moyen. Après ces paroles, il demanda mon cœur , je « le suppliais de le prendre, ce qu'il fit

rnaise. Ensuite en le retirant comme une flamme ardente « en forme de cœur , il le remit dans le lieu où il l'avait pris en m

te étincelle des plus vives flammes de « cet amour, pour te servir de cœur et pour te consumer jusqu'au der-« nier moment de

en revenir pour dire une « parole. » Marie Alacoque croyait que le cœur logé au fond de la poitrine peut être enlevé et c

n temps, que le foyer de l'amour et des sentiments affectifs était le cœur ; elle prenait à la lettre les phrases des romanc

es des romances et des cantiques, où l'on parle à chaque instant d'un cœur qui brûle d'amour tantôt pour son Dieu, tantôt po

ntelligence et de notre volonté ; que par conséquent ce n'est pas son cœur , mais quelques-unes des circonvolutions cérébrale

les faire brûler dans son encéphale divin. Elle ne savait pas que le cœur n'est que la pompe aspirante et foulante du sang

t reléguer au second plan, les entretiens amoureux et les échanges de cœurs enflammés. « Je ne tardai guère d'entendre les

rir; j'étais si délicate que la moindre « saleté me faisait bondir le cœur , il me reprit si fortement là dessus, « qu'une fo

il me tint bien deux ou trois heures la bouche collée « sur son sacré cœur . » Après les vomissements voici le reste : «

ements voici le reste : « Une fois que j'avais eu un soulèvement de cœur en servant une « malade qui avait la dysenterie;

ns admissibles puisse avoir lieu ; ceux qui garderont la foi au Sacré Cœur , ne pourront le faire qu'en fermant volontairemen

. La déduction de ce travail est facile à tirer : le culte du Sacré Cœur créé par Marie Alacoque ou plutôt fondé sur ses h

ans, par M. Tarde, professeur au Collège de France. Nous avons eu à cœur de nous montrer dignes du crédit que nos éminènts

amour les plus passionnés ; elle lui répond de même. Il lui donne son cœur ; elle l'accepte et lui donne le sien. La conve

rue son musicien qui l'appelle avec des mots d'amour et d'échanges de cœur , elle court à la fenêtre pour l'écouter et lui ré

xtraordinaire ; Jésus se fit voir à elle comme assis au milieu de son cœur , voulant lui marquer par cette situation la posse

ar cette situation la possession qu'il venait de prendre d'elle « ton cœur esta moi et je suis à toi », dit-il. Marie Alac

la fit reposer fort longtemps sur sa poitrine, qu'il lui demanda son cœur , qu'il le prit et le mit à la place du sien, en l

faveur que Jésus-Christ grava lui-même cet adorable nom autour de son cœur et lui expliqua les admirables significations qui

er la perfection à cet ouvrage de grâce, il lui dit: « j'applique mon cœur sur le tien » et l'effet suivant sa parole, elle

en » et l'effet suivant sa parole, elle sentit à l'instant son propre cœur s'unir au cœur de son divin époux d'une manière i

suivant sa parole, elle sentit à l'instant son propre cœur s'unir au cœur de son divin époux d'une manière inexplicable.

Jésus lui demande son testament par écrit et en échange lui donne son cœur ; pour sceller cette donation elle grave avec un

ait reposer fort longtemps sur sa divine poitrine et lui découvre son cœur . Le jour de la saint Jean-Baptiste, Jésus lança

e, Jésus lança à sœur Clément les flèches de son amour sacré dans son cœur qui en fut blessé si vivement, qu'elle s'écrie :

fondes blessures ». Elle raconte ensuite comment le Christ changea de cœur avec elle: il tira mon cœur hors de moi-même et i

onte ensuite comment le Christ changea de cœur avec elle: il tira mon cœur hors de moi-même et il plaça le sien do façon qu'

le sien do façon qu'il me parait à présent que je n'ai point d'autre cœur , que le cœur même de Jésus, c'est un abime d'amou

açon qu'il me parait à présent que je n'ai point d'autre cœur, que le cœur même de Jésus, c'est un abime d'amour. Il a placé

rie Alacoque ; Jésus ouvrira la poitrine de celle-ci, lui prendra son cœur qu'il fera brûler dans son thorax où elle le verr

un petit atome brûlant. Une autre fois, Jésus-Christ imprima sur le cœur de sœur Clément ces trois noms : Christ, Dieu, Ro

e portes ouvertes où il l'invitait d'entrer pour pénétrer jusqu'à son cœur . Un jour de carême, au moment où pendant un ser

-Christ », elle sentit que celui-ci lui imprimait ce nom sacré sur le cœur comme un cachet enflammé. Etant, le jour de sai

communier elle entendit cette parole de Jésus-Christ: « donne-moi ton cœur et je te ferai la même faveur ». Elle le lui prés

a même faveur ». Elle le lui présente, et Jésus-Christ imprime sur ce cœur sa face divine couverte de sang et de plaies, com

ait le signe de la croix dans son lit, elle fut prise soudainement au cœur par la présence de Dieu qui l'embrasa de son amou

mmencera le combat, l'amour le poursuivra, l'amour le finira dans ton cœur , je ne veux point d'autre but à mes coups que ton

inira dans ton cœur, je ne veux point d'autre but à mes coups que ton cœur , je veux le faire mourir ». Il lança en même temp

veux le faire mourir ». Il lança en même temps trois flèches dans ce cœur , toutes brûlantes du feu de son amour ; elle se s

us loin Jésus lui lancera des rayons ardents donnant d'aplomb sur son cœur , lequel embrasé d'un feu si vif lui semblera être

Dieu à des petitesses semblables : car faire asseoir Jésus sur !e cœur de sœur Clément, lui faire graver son nom sur ce

ir Jésus sur !e cœur de sœur Clément, lui faire graver son nom sur ce cœur , y mettre un cachet, l'inviter à entrer dans son

rps par les plaies rouvertes, s'appliquer sur elle pour unir les deux cœurs , imprimer sa figure sur ce cœur, combattre avec e

ppliquer sur elle pour unir les deux cœurs, imprimer sa figure sur ce cœur , combattre avec elle, sont des actes, quand on y

egretter d'être homme par les beaux récits qu'il est allé chercher au cœur de l'animalité. Tantôt il traduit « la lente chan

mme, nous nous appliquons à découvrir chez eux une intelligence et un cœur . C'est exactement la voie contraire que nous devr

mènes, le cerveau est l'organe de l'intelligence au même titre que le cœur est l'organe de la circulation, que le larynx est

pieds, et c'est là qu'ils confinent toutes les chimères chères à leur cœur , tous les mystères de l'au-delà. Ainsi faisait-

ec peine à nier l'existence, tant le merveilleux a toujours séduit le cœur de l'homme ! C'est par un semblable processus m

gaité. ' Dans la seconde période de l'endocardite vulgaire, quand le cœur commence à fléchir, et que l'hypotension artériel

ce, sa bienveillance et sa sagesse. Discussion. M. BéRilloN. — Le cœur est un réactif délicat et la moindre émotion se t

aduit par des modifications très manifestes dans le fonctionnement du cœur , de la circulation générale et de la tension arté

evé par des anges qui lui ouvrirent la poitrine et extirpèrent de son cœur l'écrit de Satan! Dans sa septième année, il proc

t sans intervalle. Il vous fit cette promesse afin de porter dans vos cœurs la joie et la confiance. » (VIII, 9 et 10.) Ou en

jà fait de ma liberté et de tout mon être ; ce que Je fis de tout mon cœur , pourvu, lui dis-je, que vous ue fassiez jamais r

ue je lui avais fait déjà de tout mon éire. Ce que je fis de tout mon cœur . « Pourvu, lui dis-je, ô mon Souverain Maître, qu

able mère Marguerite avait prêché. Sœur Claude-Angélique s'adressa au Cœur de Jésus-Christ, et elle pria un ecclésiastique d

ria un ecclésiastique de la ville, de dire cinq messes à l'honneur du cœur de Notre-Seigneur et des cinq plaies que son amou

cation en 1864: 1° Guérison instantanée et parfaite d'un anévrisme au cœur ; 2° Guérison instantanée et parfaite d'un cancer

Anne-Marguerite Clément « furent le parfait modèle de celle du Sacré Cœur » (p. 218). De la première affirmation il ne donn

rtantes faites à Marguerite-Marie Alacoque touchant le culte du Sacré Cœur précèdent cette date; nous en avons des preuves é

vie des Saints les flammes, les flèches, les blessures, l'échange des Cœur même, mais l'originalité des révélations de la vo

peut se résumer ainsi : Notre Seigneur veutqu'on rende un culte à son cœur de chair; il veut qu'une fête soit établie en son

a sœur Clément qu'en 1686- C'est-à-dire treize ans après que le Sacré Cœur se fut manifesté à elle pour la première fois.

exécution — et jusqu'à la dernière note — par les palpitations de son cœur , les contractions nerveuses de ses avant-bras, la

stomacal s'imposait. Mais avant de l'instituer je désirai avoir le cœur net sur la question des lésions nerveuses possibl

riode raisonnable qu'elle fonda le culte du Sacré-Cœur, ce culte d'un cœur de chair qui nous ramène tant soit peu à la barba

e par la suggestion somnoformique. Dr Fiessinger : Les émotions et le cœur . L'anginophobie. Dr Aragon : Psychopathies d'orig

en lui, pour que, se ressouvenant de son orijjue, il trouvât dans sou coeur des sentiments de reconnais* sance pour tant de

er les nations; car si on a pu, avec des idées erronées, corrompre le cœur de tant de générations, que ne doit-on pas appréh

me le mieux persuadé de celle vérité sera aussi le plus vertueux. Son cœur etson intérêt lui rappelleront sans cesse les règ

stingués très-rapidement, tandis que les composés, les neuf ou dix de cœur , de pique, etc., une addition, une phrase, demand

de toutes est celle qui s’est surtout emparée de son esprit et de son cœur . 11 a vu Mesmer; Mesmer est devenu son maître et

e de sa volonté, il peut surprendre les secrets les plus ca-chésdeson cœur ... illuiavbue son amour et lui demande s’il est a

vez, M. le ministre, nos intentions sont pures comme le fond de notre cœur . Est-il nécessaire de vous rappeler ce que nous

soin de croire et d’aimer, et dont on a perverti l’intelligence et le cœur . A ses douleurs si nombreuses opposez votre pouvo

our de merveilleuses, de salutaires applications. Ce que nous avons à cœur c'est d’honorer autant qu'il est en nous, c’est d

ation. « Heureusement, monsieur, votre modestie nous rassure, votre cœur nous comprendra ; vous voudrez bien considérer ce

’attendrissement, causé par la joie qu’il en éprouve, fait battre son cœur , et le remplit de contentement et d’espérance.

us bas, selon les vues actuelles, mais bien autrement haut, selon les cœurs inities, j’entendis une voix qui disait : « Jeune

des hommages que vous vouliez, monsieur le baron, ce n’était que mon cœur à guider, que mon âme à réchauffer au souffle div

amitié, liaison d’humeurs. Pline (2) l’appelle concordia, entente des coeurs ; Cicé-ron (3) : Convenientia nuturœque continuali

ns d’une communauté universelle? Regardez chez l’homme le cerveau, le cœur , (1) Lib. IU, dtSimpl. med„ C. 5. — (S) Lib. XX

z nous l’amour. Ce mouvement, ce transport continuel qui enchaîne nos cœurs , maîtrise nos âmes et nous moule aux plis de ses

de bonheur; le corps y trouve ses plaisirs, l’âme ses délices, et les cœurs se confondent. Les cœurs font presque tous les fr

ouve ses plaisirs, l’âme ses délices, et les cœurs se confondent. Les cœurs font presque tous les frais par la raison bien si

’a senti, au contact d'une main infâme, ce quelque chose qui serre le cœur ? N’est-ce pas sensation commune à nos mains que

pas étudier. Nous autres sorciers, fiers de ce nom, nous marchons le cœur plein dans ce temple de la nature, d’où l’on devr

vot ne pardonne point; on est sûr que ce qu’il y a de bile au fond du cœur va venir k la surface. Dame! tant pis; pourquoi s

rbon l’avait convié à un grand souper, se sentit des saisissements de cœur si violents, qu’on fut obligé de transporter aill

remière tendresse se réveille ; il n’envisage plus que l’homme de son cœur , au moment de périr. Incapable d’étouffer les mou

riage eut lieu, et Burger, qui jusqu’alors avait peu connu son propre cœur , sentit bientôt toute la fatalité de son destin,

e, ils furent assez prudents l’un et l’autre pour renfermer dans leur cœur cette singulière circonstance, et par égard l’un

n qu’on leur fait ? La civilisation est-elle un fruit qui corrompe le cœur et tue tout sentiment? Pour nous, lorsque nous

s regrets nous saisissent, nous sommes sensibles à cette perte, notre cœur est attristé, car nous savons que les bienfaiteur

« peuples soldais qui, dans ce temps, garderont pénales « contrôleur cœur . » Les peuples et les Gaulois comme tigres s’en

entre lui et le vaisseau ce je ne sais quoi d’inexplicable qui met le cœur dans la tristesse : la Patrie. « Mais est-il qu

uoique éloigné, je serai cependant avec vous le 23 mai ; j’y serai de cœur et de pensée. Veuillez dire à tous les honorables

de vrais magnétiseurs, que rien n’était plus pur que le fond de leur cœur . . Ils firent tant qu’ils .persuadèrent quelque

ait consoler sa vieillesse et jeter quelques gouttes de baume sur son cœur ulcéré. Messieurs, il faut avoir beaucoup sênti

mme il faut avoir beaucoup aimé pour connaître ce que c’est que notre cœur et ce qu’il peut souffrir. Cruels savants! ingr

ntendu ceux que vous aviez touchés exhaler la joie répandue dans leur cœur ? C’est la force, Messieurs, qui circule en nous

celles produites par Jésus et ses apôtres. C’est l’émotion de notre cœur , une émanation de noire âme qui opère ces merveil

une brute et n’a plus que de grossiers instincts, viens enchaîner nos cœurs , afin que nous donnions l’exemple à d’autres homm

ge en rivage ; Mais quand le pilote s’endort, C’est aux hommes de cœur , c’est à tout l’équipage A guider le navire au po

ue Dieu mène ? Il doit arriver tôt ou tard. N’a-t-il pas dans son cœur la divine semence D’où doit naître la vérité? N

aussi bien que la paume de la main peut réveiller les contractions du cœur dans une asphyxie. Car on a beau me dire : Voyez

ie. Car on a beau me dire : Voyez ce chien, l’aiguille a traversé son cœur , elle a pénétré dans son cerveau, il n’a pas épro

Il déplore qu’on ait consigné à la porte les auteurs du trouble ; son cœur compatissant aurait voulu voir tous les mesmérien

aite entente, d’un accord unanime. Le même vœu était là dans tous les cœurs ; mais la loi des attractions s’y opposait : l’un

in que les belles œuvres ne soient point oubliées, et qu’il reste aux cœurs généreux qui les ont accomplies une marque de la

t beaucoup de gêne, de la respiration et de violentes palpitations de cœur . EnGn elle pâlit et maigrit beaucoup. Cette jeu

le pouls est lent et très-faible. Elle a de violentes palpitations de cœur et des accès de dyspnée lorsqu’elle monte l'escal

murmure continu des mieux caractérisés, et à la base de la région du cœur [un bruit de souffle périsystolique très-doux.

et les vaisseaux sous-claviers étant parfaitement sains. Le tissu du cœur était flasque et se déchirait comme de l'amadou ;

iolentes migraines et des palpitations avec douleur dans la région du cœur et des reins, devint somnambule et se guérit en m

ve largement tous les habitants de la ferme, qui croient de tout leur cœur que le prêtre étranger est un sorcier. (Gazette d

he de la vérité sur les préjugés et l’erreur. Tout esprit droit, tout cœur sensible, toute âme élevée y répondra. Je ne dout

sance à la vérité. Depuis deux ans mon épouse éprouvait des maux de cœur et des coliques affreuses, occasionnées par le sa

ul! Peines, revers, voyages, vous avez tout bravé pour soulager nos cœurs et nos souffrances. Recevez donc, Monsieur de R

tant il parvient à le saisir, malheur à lui! Le poignard le frappe au cœur ; il tombe baigné dans son sang, et l’assassin dis

nos. Suppression des règles, oppression de poitrine, palpitation de cœur et migraine permanente.) 5. Marthe Lassalle, ép

7. Marie, fille Binoî, enfant, de Pau. (Migraine et palpitation de cœur .) 8. Marie Mirande, née Baron, de Geronce. (M

nneJACOu, épouse Carrère, d’Aressy. (Hydropisie avec palpitation de cœur violente et permanente, insomnie.) 12. Marie-Lo

. (Migraine permanente, insomnie, douleur au foie et palpitation de cœur , mal d'oreilles, etc,) 13. Marie Minvielle, épo

mmation de poitrine'.et du ventre, affection nerveuse, palpitation du cœur , une chaleur insupportable, insomnie, etc.) 10.

ndes. (Obstruction de foie, oppression de poitrine , palpitation de cœur et hydropisie, bouflUsure générale.) 18. Grégoi

ermanente, insomnie et perte blanche depuis trois ans, palpitation de cœur .) (!) Cet homme était abandonné depuis trois jo

/i. Thérèse, épouse IIeyd, de Pau. (Maladie de foie, palpitation de cœur , douleurs de matrice et de rate, insomnie, sans a

flammation de poitrine, point de côté, toux, insomnie, palpitation de cœur , migraine et mal d'oreilles, etc.) 20. Thérèse,

s, fièvre lente, migraine, inflammation de poitrine et déchirement de cœur .) 27. Anne, fille Andiko, de Pau. (.Suppressi

. 32. Anne, fille Ladorde, de Lescar. (Migraine et palpitation de cœur .) 33. Angeline Baguette, de Bizanos. (Suppres

Suppression des règles, obstruclion de foie, migraine, palpitation de cœur , fièvre lente, malaise général, très-faible, inso

gauche.) * Mi. C...., de Laloubise, près Tarbes. (Palpitation de cœur permanente et toux.) 55. Pierre Bergerot, d’Arê

(Vomissement périodique, migraine, mal d’oreilles et palpitation de cœur .) 55. Jeanne Ci.arens, épouse Lacroi x, de Pau.

de Pau. (Migraine, mal d'oreilles, d’yeux, insomnie, palpitation de cœur , maladie des nerfs.) 56. Jeanne Piquette, épous

, de Vic-Bigorre. (Migraine, mal d'oreilles, d’yeux, palpitation de cœur cl maladie des nerfs.> 58. Jeanne I.oup, épo

nerfs, vents.) 50. Thérèse, fille Taboan, de Pau. (Palpitation de cœur permanente.) 00. Marie, fille Cazarré, de Mcill

rmanentes, faiblesse générale, insomnie, migraine, mal d'oreilles, du cœur , maladie do matrice très-compliquée, affection ne

fille Labat, de Vic-Bigorre. (Migraine permanente et palpitation de cœur .) 77. Jeanne, fille Fitter, de Vic-Bigorre. (

mère ironie; l’espérance, ce soutien de l’infortune, avait fui de mon cœur ; nia vie s'échappait de mon . corps, brisé par de

alors qu’un de mes bons parents, que vous connaissez si bien pour son cœur droit et bienfaisant, M. Simohneau, entreprit de

ui flétrit encore leur aucienne conduite. Il faut ne pas connaître le cœur humain pour cn juger autrement. Si je dois dire

condamné. Pourquoi empiète-t-il sur le domaine des médecins? Que son cœur soit sourd à la plainte, que les malheureux porte

main ù son frère souffrant, verser quelques gouttes de baume sur son cœur ulcéré, invoquer Dieu sur ses misères, c’est un c

vœux cl de venir a son aide pour l’accomplissement des œuvres que son cœur a conçues. La foule accourt, elle est nombreuse

s malheureux. Les savants ne font rien de semblable, car ils ont le cœur desséché, et la justice, dans son matérialisme, n

du médecin à la vue d'œuvres qu’il ne peut comprendre ni imiter. Les cœurs élevés sont donc bien rares, puisqu’on ne pardonn

eurs, suppression de périodes, lièvre lente, migraine, palpitation de cœur , douleursdu foie, delà rate, etc. 8. Mounicat f

nard Baktiie, li. de Pau. (InHaminnlion de poitrine, palpitation de cœur tendant à un anévrisme et maladie d'yeux.) 32.

a, tailleur, deBaringue. (Maladie de langueur, forte palpitation de cœur .) 43. Jeannette Puyet, fille, de Casletbou. (

n de poitrine, fièvre lente, insomnie, sans appétit et palpitation de cœur .) 46. Jeau-Fabien Palissat lils, de Moumy. (F

Marie Canuau, épouse Bhoca, de Baringue. (Très-forte palpitation de cœur el maladie de nerfs.l 49. Marthe Nargassies, tr

Tarbes. (Oppression de poilrine, toux sèche, maladie du talion de cœur , des éblouissements a perdre connaissance el co

.) 55. Marie Cavdevielle, de Bizanos. (Migraine et palpitation de cœur continuelle.) ¿6. Anne, iille Rey, première née

, de Monlcslruc. (Maladie de langueur, fièvre lente, palpitation de cœur , migraine, affection nerveuse, insomnie, sans app

le Ségot fils, de Pau. (Inflammation au lias-ventre, palpitation de cœur , fièvre cl migraine, insomnie, sans appétit.) 0

Horgues, d’Angayes. (Inflammation de poitrine, douleurs au foie, au cœur , au ventre, migraine permanente, lièvre lente, in

appétit ) 71. Thérèse M'-ntauban, fille, de Pau. (Palpitation de cœur permanente.) 72. Marie Biiival, épouse Saint-Ar

générale, toux continuelle, migraine, maladie du fuie, palpitation de cœur , insomnie, sans appétit, etc. 78. Marie, fille

nne Balade, dite Cazenavë, fille, de Buros. (Fortes palpitations de cœur .) 90. Marie-Amélie-Alphonsine, fille Pwxtier ,

h. de Gélos. (Suppression 'les règles, fièvre lente, palpitation de cœur , migraine permanente, toux continue, malaise géné

ortc inflammation à la gfirge, beaucoup de vents, des palpitations de cœur , n'ayant rien mangé depuis trois mois, insomnie.)

n à la »orge, affection nerveuse, obstruction au foie, palpitation de cœur permanente, coliques très-fréquentes, le >ang

ression de poitrine à perdre la respiration, une forte palpitation de cœur permanente.) 117. Jean-Auguste Foucques lils, p

, fille, de Plaisance. (Maladie du foie, migraine et palpitation de cœur permanente.) 133. Marie Abadib, épouse Saint-Pi

ri», fille, de Mont-de-Marsan. (Migraine permanente, palpitation de cœur et maladie de langueur.) 13G. Catherine Barrère

use Vignes, traiteur, de Pau. (Affection nerveuse, palpitation de cœur , migraine, venls, insomnie, sans appétit.) 165.

ille, de Pau. (Indammalion de poitrine et du vcnlre, palpitation de cœur , insomnie, sans appétit.) 172. Pierre Labat, de

ée, Bos d’Arros. (Migraine permanente, lièvre lente, palpitation de cœur , insomnie, sans appétit, malaise général.) 177.

naissant ; » et autres paroles touchantes qui portent la joie dans le cœur du magnétiseur chrétien et charitable; comment ce

rité, la lumière et la raison; je les cherche avec une foi vive et un cœur candide. Dieu nie préserve de bâtir de3 systèmes

toute nature ne seraienl-ils pas déposés et fécondés dans la terre du cœur pour éclore plus tard et se développer sous la fo

s pas même que ma mûre dût mourir un jour ! — Comment veut-on que mon cœur ne soit pas devenu superstitieux? « Assis dans

itudes.... Il avait peur surtout de ne me voir plus là. Car, avec son cœur et son esprit si jeunes, il se sentait vieux pour

ais per- sonne. C’élait une ombre qui ne projetait aucun corps. Mon cœur battait comme le marteau d’une cloche, une sueur

nt de cet uniforme si peu militaire, sans prévoir quel brave et noble cœur pouvait battre dessous. Nous nous quittâmes, lui

nt doil l’étourdir el le faire tomber. De la tête le trouble passe au cœur , et du cœur dans les jambes. Bientôt il tremble d

ourdir el le faire tomber. De la tête le trouble passe au cœur, et du cœur dans les jambes. Bientôt il tremble de tout son c

urs? C’esl absurde et plus qu’absurde. Pour éviter les abus que des cœurs corrompus pourraient faire jusque des choses les

El c’est ainsi qu’une vague idée de l'immortalité vient se placer au cœur de la femme tendre et fidèle qui perd son mari, c

ls seront purs et dégagés de cette rouille qui, aujourd’hui, ronge le cœur de toutes les nations. Qui peutdonc me donner t

si. Votre habile correspondant avait trouvé la fibre qui conduit au cœur poui faiie apprécier un fait qui pourra trouver p

che le miroir magique, sa surface métallique appuyée sur la région du cœur , je soupçonnai qu’il pouvait donner lieu au mal

inarticulés, accompagnés de gestes indicibles, jettent la craiute au cœur de toutes les personnes présentes. Je veux arrête

ace pour ce cas! 0 injustice! 0 folie ! 0 inconcevable aveuglement du cœur de l’homme!!! Quoi ! le Créateur, souverainement

n à son semblable, d’avoir, sans espérance île retour, allumé dans le cœur de son frère le doux flambeau de la reconnaissanc

celle doctrine, fournit des armes contre elle, dégoûte les hommes de cœur et détourne de son étude les esprits élevés qui e

vif, mon souhait le plus sincère est de voir tous les magnétiseurs de cœur s’occuper avec toute la suite el toute la conscie

a , voici comment. Mais quelque clarté que j’apporte, toi qui as le cœur corrompu, lu ne comprendras point mon enseignemen

s de sentiment qui ne sont comprises que par des âmes d’élite, et ton cœur ne l’a jamais parlé que pour t’appeler à des conv

images ; la science a coloré les passions sans rien nous apprendre du coeur humain. Ici il parle à tous les yeux ; nous pouvo

roid de la mort a saisi l'un de mes élèves lyonnais, Ro-mano, dont le cœur , palpitant à tout ce qui était grand et beau, s’o

s, dans l’estomac ; l’un la niche dans les intestins, l’autre dans le cœur . Substituez le mol Instinct à celui A’Ame et je s

s, de leur propre mouvement, un soin particulier pour les poumons, le cœur , les reins, ou telle portion des intestins qui re

es-uns des siens. Ce ne sont jamais 1 masses, mais quelques hommes de cœur seulement qui 01 vrent de nouvelles routes et con

se sont faits fils de la matière , industriels et trafiquants ; leur cœur est mort, leurs mains n’ont aucune puissance, mai

a conviction d’aujourd’hui est sincère, profonde : un simple repli du cœur sépare souvent deux sentiments opposés. J’avais t

de choses surprenantes , de nobles aventures survies mers ; puis, le cœur débordant d’une véritable effusion de sentimental

oreilles tant de sensations perdues jusqu’à ce jour, tant de fêtes du cœur , tant de joies de l’âme. C’était la)jeunesse, c’é

donne le conseil de faire des insufflations chaudes sur la région du cœur , afin, dit-il, d’obtenir le dégagement du cerveau

et toniques, doivent nécessairement augmenter les contractions du cœur , et, par suite, amener un afflux de sang plus con

t, la syncope consistant dans la suspension momentanée de l’action du cœur et de la respiration avec perte de connaissance,

s, on conçoit la nécessité d’accumuler le magnétisme au cerveau et au cœur , et le danger qu’il y aurait de soustraire de ces

de, a-t-il dit, dans le cas d’apoplexie, les insufflations chaudes au cœur ; cette méthode est dangereuse et doit être prosc

région cardiaque doit avoir pour effet de rétablir les mouvements du cœur . Or les battements du cœur auront pour effet néce

r pour effet de rétablir les mouvements du cœur. Or les battements du cœur auront pour effet nécessaire, fatal, d’envoyer un

ans les organes qui sont sous la dépendance directe du cerveau. Or le cœur , plus que tous les autres viscères, reçoit des fi

e vicieux qui rend si graves les accidents d’apoplexie cérébrale ! Le cœur qui ne bat plus n’envoie plus au cerveau le sang

le danger. Mais ileét certain, d’autre part, que si les mouvements du cœur ne rétablissent pas la circulation, le sujet mour

a infailliblement. Il faut donc tâcher de réveiller les mouvements du cœur saus les exagérer. D’ailleurs, ce sang épanché, q

t donc encore à ce point indispensable de réveiller les mouvements du cœur qui, en faisant le vide dans les veines (car le c

es mouvements du cœur qui, en faisant le vide dans les veines (car le cœur n’est autre chose qu’une pompe à soufflet aspiran

de se rappeler l’aphorisme Ubistimulus, ibi fluxus. C’est donc sur le cœur qu’il faut porter l’action en dégageant la tète.

s l’épigastre et la région précordiale , par des insufflations sur le cœur et des passes descendantes énergiques pour attire

t qu’une action énergique doit chercher à réveiller les mouvements du cœur , et surtout qu’il faut magnétiser avec une volont

dit, dégager la tête pour éviter une apoplexie imminente, dégager le cœur pour faire cesser la contraction, souffler chaud

Ormoy pour édifier son système, c’est que chez les apoplectiques , le cœur cessant de battre, il faut le ranimer par des ins

observations dont j ai été témoin, que jamais dans les apoplexies le cœur ne cesse de battre ; seulement ses mouvements son

e de la compression du cerveau. « Vouloir exciter les mouvements du cœur dont le ralentissement, et non l’inaction, est du

employer des médicaments dans l’intention d'exciter les battements du cœur , persuadés que ce serait agir dans le sens du mal

érieures et sur le canal intestinal, afin de dégager le cerveau et le cœur consécutivement. On conçoit que la gêne des mouve

arriver n’est pas de faire des insufflations chaudes sur la région du cœur , ce qui pourrait être funeste, mais bien de faire

y a urgence de ianimer la vie par une magnétisation saturante sur le cœur et le cerveau, et grave danger de faire des passe

se rallier à cette idée si consolante et qui est comme innée dans le cœur humain : que Dieu n’a pas seulement parlé aux anc

bien que de protester. Quoi ! tandis que Ja foi disparaît de tous les cœurs , que le siècle se matérialise de plus en plus, qu

n frappant trois coups sur la table. «Moment de silence! Tous les cœurs battent. « Tout à coup les trois coups sont fra

me à volonté forte, énergique, au caractère hautain et dédaigneux, au cœur sec et mauvais. La somnambule ne put plus rien di

s actuels du spiritualisme ; comme ©n le sait, elle est innée dans le cœur humain, elle a été le •partage de toutes les géné

elle sera négligée si elle n’offre de jouissances qu’à l’esprit et au cœur . De nos jours, l’utilité , la valeur d’une chose

eurs, l’élévation ne (latte que l’orgueilleux. Pour l’homme simple de cœur , les dignités de- mandent d’excessives qualit

t rompus, les gouvernements trouveraient leur tâche plus facile. Le cœur se dilate au bien, il se resserre au mal. Le prêt

ien, il se resserre au mal. Le prêtre devrait toujours avoir un grand cœur , l'âme élevée ; on devrait le reconnaître de loin

aucune des fonctions de relation, mais encore le pouls est arrêté, le cœur ne bat plus, la respiration ne se fait plus, ou d

les ai produites, et tant qu’il me restera un souffle de vie dans le cœur , je vous rendrai cet hommage. Plût à Dieu que les

chez lui une nature aimante. Souvent, au contraire, un homme dur, au cœur sec, à la conscience peu nette, quoiqu'il soit, d

roquement la guerre, de nous torturer et de nous exploiter, quand les cœurs ne seront plus aigris par la haine, quand prédomi

’il faut étudier, quel que soit le style, et l'on comprend combien un cœur pur et un esprit droit sont de précieux avantages

nous regardâmes avec inquiétude ; les trois coups nous heurtèrent au cœur . Nous ne les entendîmes pas, nous les sentîme

mutisme, en rougissant quelque peu de leur outrecuidance passée : les cœurs droits et vrais seuls confesseront hautement leur

pratiques les catholiques sincères qui ont conservé vivant dans leur cœur le flambeau divin delà foi et qui sentent toute l

t, au contraire, à l’insinuer pour ainsi dire goutte à goutte dans le cœur de l’homme matériel des premiers temps ; elles ne

ngrats seuls l’oubli glacé. A Dieu nos vœux, notre prière, Ech«du cœur triste ou joyeux : Dieu, c’est le bon droit sur

ces opérations , il fallait un consentement mutuel des esprits et des cœurs . Lorsque vous aurez fixé les heures du traite

ut guérir ; il lui faut moins de l’esprit que les qualités réelles du cœur . Rieu dans sa pratique ne doit être simulé ; les

et si sentie que , pendant les discours, il ne semblait y avoir qu’un cœur et qu’une pensée. Oui,c’est bien là l’harmonie ;

ontent de moi. Chers collègues, pendant cette longue absence, mon cœur n’a point cessé de vous appartenir, mais j’ai vou

e. En contemplant cette fête charmante où règne la cordialité, où les cœurs sont unis par une pensée commune de dévouement à

pour le diable qui doit leur en savoir beaucoup de gré. Les grands cœurs pressentent l’avenir. Sainte Thérèse disait de Sa

désir de les voir continuer à la combattre. Un homme, grand par le cœur et par l’intelligence, un inventeur, qui, pendant

l’an dernier, à pareil jour, quand j ai laissé parler devant vous un cœur tout rempli de gratitude pour notre digne préside

é, que le magnétisme est aujourd’hui reconnu, accepté et béni par des cœurs reconnaissants ! Que chacun de nous se rallie à c

aillante phalange, Unissez en vos faits nouveaux La main du mage au cœur de l'ange, El Dieu bénira vos travaux. Jamais

es cieux, Au jour sacré de ton anniversaire. Reçois les vœux d'un cœur qui te révère. Mesmer, sois notre guide et sois

La joie n’importe par quelle voix, Le bonheur n’importe dans quel cœur . GUn.uto, Cent-Garde de S. M. Le 25 mai 185

ternité la plus grande n’ont cessé d’y régner. Elle a répandu dans le cœur de nouveaux sentiments d’espérance et de foi à l’

moqueur, Ouvrant des luttes acharnées, Voulait briser l’homme de cœur I Les graines du savoir ancées En vain ont été di

, Nos frères se sont étendus; Honneur à lu sainte phalange Dont les cœurs se sont entendus! De l’horizon où naît l'aurore

avait été jugée , par tous les médecins, être une névrose, tantôt du cœur et du poumon, tantôt de l’estomac. Lorsque la név

s tout d’uu ciel prodigieux. C'était là mon langage : aspiration du cœur par dessus tout, et raisonnement à la remorque d’

dans les cas à'apoplexie , les insufflations chaudes sur la région du cœur pour obtenir le dégagement du cerveau, j’aurais d

sufflations , pratiquées ensuite, je réveille alors les mouvements du cœur , — selon l’heureuse expression de l’honorable M.

timent et de mouvement, avec diminution notable des battements du cœur et du pouls , et quelquefois, leur apparente susp

it, depuis le commencement de sa folie, de douleurs dans la région du cœur , entre les sixième et septième côtes. Mise en som

es épingles et une aiguille à broder la tapisserie; que sa douleur de cœur était occasionnée par cette aiguille qui traversa

ille ; qu’elle éprouverait alors une forte secousse dans la région du cœur , secousse qui déterminerait le déplacement de l’a

uleur; que, plus tard, il se développerait un abcès dans la région du cœur , et que l’aiguille sortirait par l’ouverture de c

gée, elle sentit un mouvement violent et douloureux dans la région du cœur , à la suite de quoi la douleur disparut. Un mois

tte affection étaient les suivants : douleurs vives dans la région du cœur , s’étendant jusqu’au creux de l’aisselle et se pr

ons suivant le trajet de la douleur, c’est-à-dire depuis la région du cœur jusqu’à l’aisselle, puis le long du bras jusqu’au

les assistants attendaient dans un état de curieuse anxiété, tous les cœurs battaient, un silence solennel régnait dans le sa

qu’on ne l’entend pas avec les oreilles, mais qu’on l’entend avec le cœur . Rien ne peut rendre le sentiment de mystérieuse

pavé sans y rien apercevoir. J’allais me retirer, le chagrin dans le cœur , quand, en relevant la tète, je vois sur le parap

i. Cette personne tient, de la main droite , un bouquet placé sur son cœur , ainsi que des cheveux de sa mère et des miens.

Dès qu’elle est en sommeil, elle m’interpelle vivement : C'est votre cœur qui me fait mal, monsieur !... Il est là... dans

presse, il m’étouffe !» Je souffrais effectivement d'une névrose du cœur . Madame Prosp... en absorbait si fort les effluve

t les esprits son retourneront illuminés, « les Ames finli liées, les cœurs soulagés. » (VApostolat scientifique, t. i, p. 50

re. Lisez les lignes suivantes de l’ouvrage monumen- l'âmc pure, le cœur droit n’ont rien à craindre du mauvais emploi des

es nobles sentiments, de quelque nom qu’on les appellera monnaie a du cœur humain, les plus vrais trésors de l'homme, le san

pas de les suivre dans leurs lois de haute nature ; ils bonifient le cœur qui sait les comprendre; ils sont au profit de to

et sortit à la hâte. L’air frais de la nuit ramena le calme dans son cœur . Le lendemain 011 lui demanda compte de ses sou

te. Ainsi donc, selon M. Vientiet, cette tendance invincible que le cœur humain a vers le spiritualisme, vers le sentiment

mbreux , constants, éclatants et irrécusables, les âmes sincères, les cœurs honnêtes et les esprits droits soient frappés de

parvint à arrêter les progrès de l’affection maladive qu’il avait au cœur , en calmant le grand arc de l’aorte, en apaisant

alade, qu’un faux rayon de vie errant par intervalle. Trois hommes de cœur se regardaient alors avec une sorte d’effroi et d

nouvelle, le jeune homme fut saisi de frénésie et tomba comme si son cœur se fût brisé ; il passa la nuit sans sommeil. Le

nt guérie et qui lui avaient laissé, avec de très-forts battements de cœur , une faiblesse extraordinaire surtout chez une fe

rs frictions d’huile de cre-tone faites sur le dos, compresses sur le cœur de teinture de digitale et de chloroforme. Ma

vait de la tisane de lichen, de l'eau magnétisée : elle av ait sur le cœur et le ventre des cataplasmes de graines de lin et

s formidables, trop longtemps méconnues, apportez dans leur examen un cœur simple, une âme sincère et désireuse de voir; ou

i lui-même de plusieurs graves maladies, notamment d’une affection du cœur et d’une douleur névralgique dont le siège était

té les ordonnances d'une somnambule qui se guérit d’une hydropisie au cœur , M. Char-pignon s’écrie : « Mon Dieu, que somme

r se rendre invisible, dominent peut-il se trouver encore un homme de cœur qui s’apitoie sur la décadence des croyances qui

quelle autorité, que le magnétiseur invoque une puissance du fond du coeur (tome n , p. 197). Beaucoup de magnétiseurs ne cr

férieure gauche de ce même conduit, et se dirigeant vers la pointe du cœur : sa grosseur égale celle d’une pomme ordinaire.

s des efforts violents. — Lorsque la poche est pleine, elle touche le cœur et l’irrite; je suis prise alors de palpitations

houer ses moyens. ne revint sur elle-même, et ensuite protéger le cœur et les autres viscères contre l’écoulement îles l

s n’en êtes pas exempt ; c’est — tiOT — pourquoi je soulage mon cœur saignant dans le vôtre si bien trempé , et vous r

vaient se trouver en défaut, mais bien plutôt de bons israélites, des cœurs simples et naïvement dévoués à une idée. , Qu’o

isse ces vieux repaires du matérialisme 3 cette gangrène qui ronge le cœur de tous les hommes. V enez, aidez-nous, vous to

Suis-je fou? dit-il. Quelle est cette lugubre hallucination ? « Le cœur lui bat si fort, il a l’âme si bouleversée, qu’il

e MM. Clairville et consorts. Toutefois, on conçoit que des hommes de cœur , pénétrés de la vérité de la doctrine dont ils so

CAS DE MÉDECINE. — Maux guéris ou soulagés. Abcès dans la région du cœur , 328. Amaurose, 487. Anasarque avec surdité, et

. Angine de poitrine, 329. Apoplezie nerveuse, 596. Battements de cœur , 511. Choléra épidémique, 601. Coliques viole

en particulier l'influence de l'hypertrophie du ventricule gauche du cœur ; l'exagération de la tension du sang, consécutiv

On trouve quelques anévrysmes miliaires dans les circonvolutions. Le cœur est normal, les orifices sains; l'aorte, dans sa

s artères de la base de l'encéphale sont fortement athéromateuses. Le cœur est volumineux avec surcharge graisseuse. Les rei

ubérance. Les artères de la base sont légèrement athéromateuses. Le cœur est normal. — Le rein gauche est extrêmement atro

t ses principales branches n'étaient également pas athéromateuses. Le cœur non hypertrophié était seulement un peu chargé de

nes du tissu cérébral. Les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur un peu surchargé de graisse, paraît à peu près sa

uches optiques. Les artères de la base sont très athéromateuses. Le cœur est extrêmement volumineux ; ses parois sont d'un

donnait aux boissons alcooliques, était atteint d'une hypertrophie du cœur . Après un repas copieux, il s'affaisse subitement

rtères de la base présentent quelques plaques molles, blanchâtres. Le cœur présente une hypertrophie concentrique énorme,les

irconvolutions. Les artères de la base sont très athéromateuses. Le cœur est petit, sans altération de structure; il pèse

volutions. Les artères de la base sont notablement athéromateuses. Le cœur volumineux pèse 410 grammes. Les valvules sont sa

lans le foyer. Les artères de la base sont assez athéromateuses. Le cœur estnormal, il pèse 330 grammes. Les reins sont sa

èrement athéromateuses ; les artères cérébelleuses ne le sont pas. Le cœur est hypertrophié et un peu graisseux. Obs. XVII

ères de la base de l'encéphale ne sont nullement athéromateuses. Le cœur est volumineux, sans lésions de structure ni de c

ires. — Les artères de la base ne sont nullement athéromateuses. — Le cœur est normal. — Les reins sont remarquablement sain

même du foyer. — Les artères de la base étaient athéromateuses. Le cœur volumineux présentait une incrustation de ses val

onvolutions. — Les artères de la base sont assez athéromateuses. — Le cœur pèse 283 grammes, mais présente une assez notable

foyer. — Les artères de la base ne sont nullement athéromateuses. Le cœur , qui pèse 320 grammes, a un peu de surcharge grai

du foyer récent. — Artères de la base athéromateuses par points. Le cœur est normal, L'aorte présente quelques rares plaqu

base de l'encéphale présentent à peine quelques traces d'athérome. Cœur flasque, de coloration feuilîe morte. Valvutes ao

entes, nullement athéromateuses, non plus que celles des méninges. Le cœur était normal, à parois un peu friables, sans lési

res très abondants ; les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur a son volume normal, mais ses valvules sont forte

otubérance. Les artèresde la base sont extrêmement athéromateuses, Le cœur est sain, ses orifices normaux, mais les valvules

les circonvolutions. Les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur est énorme, sans lésions valvulaires. L'orifice p

triés. Les artères cle la base ne sont nullement athéromateuses. Le cœur est volumineux, non graisseux, sans lésionsd'orit

e. Les artères de la base de l'encéphale, sont peu athéromateuses, le cœur est sain, l'aorte n'est pas altérée, les reins so

'attaque, le 13 novembre 1867. A Yautopsie, surcharge graisseuse du cœur , dont les orifices sont normaux. Poumons parfaite

eu athéromateuses. Les reins sont normaux et pèsent 180 grammes. Le cœur normal pèse 330 grammes ; ses valvules sont un pe

des foyers. Les artères de la base sont très peu athéromateuses. Le cœur , volumineux, pèse 440 grammes ; il y a une légère

dans le cervelet. — Les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur est volumineux, il pèse 115 grammes. Le ventricul

le cervelet. — Les artères delà base ne sont-pas athéromateuses. Le cœur , à peu près sain, pèse 343 grammes. — L"'aorte of

s d'athérome des artères de la base ni de celles de la pie-mère. Le cœur est petit, friable, de coloration feuille morte ;

uelques circonvolutions de la face inférieure du lobe occipital. Le cœur est sain; l'aorte est parsemé dans toute sa longu

s. — Les artères de la base de l'encéphale sont peu athéromateuses. — Cœur et reins normaux. Obs. XLV. Salpêtrière, Sainte

rruqueuses, mais sans lésions de canalisation. Le tissu musculaire du cœur n'était pas hypertrophié, mais présentait seuleme

ées, flexueuses, à peine marquées cle quelques plaques d'athérome. Le cœur est sain, il pèse 270 grammes, ses orifices sont

e. Les artères cle la base sont très notablement athéromateuses. Le cœur pèse 380 grammes, le ventricule gauche est hypert

es. Les artères de la base sont très notablement athéromateuses. Le cœur est graisseux, non hypertrophié; les valvules son

circonvolutions. Les artères de la base sont peu athéromateuses. Le cœur est peu volumineux. Les reins sont petits, ils pè

ns leur épaisseur. —Les artères de la base étaient athéromateuses, le cœur normal, les reins un peu petits mais sans lésions

rales des deux hémisphères sont criblées d'anévrysmes miliaires. Le cœur est petit, sans lésion des orifices et sans altér

rhomboïdal, plusieurs anévrysmes miliaires. Le ventricule gauche du cœur est un peu hypertrophié, les orifices sont sains.

euses, recouvertes de fibrine qui existent sur la valvule mitrale. Le cœur est d'ailleurs assez volumineux. Les reins granul

circonvolutions. Les artères de la base sont peu athéromateuses; le cœur est volumineux ; le ventricule gauche est un peu

. Les artères de la base sont athéromateuses, le ventricule gauche du cœur est hypertrophié. Le cœur dans son ensemble pès

t athéromateuses, le ventricule gauche du cœur est hypertrophié. Le cœur dans son ensemble pèse 380 grammes. Les valvules

me miliaire. Les artères de la base étaient très athéromateuses. Le cœur petit, graisseux, pesant 230 gr. ne présentait pa

cérébrales. Les artères de la base sont très peu athéromateuses. Le cœur pèse 310 grammes ; ses valvules sont saines. L'ao

de la base présentaient à peine quelques taches athéromateuses. Le cœur , dont le ventricule gauche était hypertrophié, pe

émisphère gauche. Les artères de la base sont très athéromateuses, le cœur est sain, mais les valvules aorti-ques sont assez

cervelet. Les artères de la base sont légèrement athéromateuses. Le cœur est normal. Vaorie présente quelques plaques jaun

circonvolutions. Les vaisseaux de la base sont peu athéromateux. Le cœur normal pèse 325 gr. Les orifices ne sont pas alté

érieurs des deux poumons; symphise cardiaque ancienne, incomplète. Le cœur pèse 390 grammes. Les parois du ventricule gauche

pus. Les artères de la base sont très légèrement athéromateuses. Le cœur présente un peu d'hyperthrophieau ventricule gauc

anévrysmes miliaires ont été rencontrés dans les circonvolutions. Le cœur était normal. 1. Celte observation, ainsi que l

me ventricule. Les artères cérébrales étaient très athéromateuses. Le cœur était hypertrophié avec dégénération graisseuse,

du corps strié droit. Les grosses artères étaient athéromateuses ; le cœur jaunâtre, friable, les valvules indurées ; l'aort

de la protubérance. Coloration feuille morte du tissu musculaire du cœur ; végétations sur les valvules sigmoïdes et sur l

dans les circonvolutions et dans l'épaisseur des deux hémisphères. Le cœur est sain, les reins sont petits, mais sans lésion

s intracérébraux, des anévrysmes semblables sur l'oesophage et sur le cœur . Il a bien voulu nous montrer ses préparations, e

on. Passons à une autre condition pathogénique, à l'hypertrophie du cœur , invoquée par Legallois, Corvisart, Bricheteau, B

richeteau, Bouillaud, Ménière, Rokitansky, Leubuscher, etc. L'état du cœur se trouve noté 53 fois dans nos observations, l'h

ce qui ramène à 36, 36 °/° la proportion de l'hypertrophie simple du cœur , la seule qu'on puisse accuser d'accroître la ten

ette atrophie rénale s'accompagne ou non d'hypertrophie secondaire du cœur . Dans nos observations, on trouve l'état des rein

'abaissement de la température résulte d'une diminution de Faction du cœur , d'autant plus que le malade se refroidit en quel

ques d'une certaine intensité : sa mère a succombé à une affection du cœur ; elle avait souffert de la gra-velle ; mais elle

théromateux, mais nulle part, on n'observe d'oblitération complète. Cœur de volume normal. Les valvules aortiques et mitra

llots fibrineux, colorés, se rencontrent dans les diverses cavités du cœur , principalement dans l'oreillette gauche, et se p

aussi disséminées dans les poumons qui sont un peu congestionnés. Le cœur , l'aorte, la rate, les reins, n'ont pas offert d'

oui ni non; j'ai dit ; c'est possible, nous le verrons bien. J'ai à cœur de me tenir éloigné autant que possible du scepti

stici té, p. 509. Gérébration inconsciente, p. 446. Chorée, p. 9/~. Cœur , Hypertrophie du—), cause d'hé-morrhag'ie cérébra

érome des artères cérébrales, cause de r —, p. 70: —? hypertrophie du cœur , cause de 1' —, p. 71; — atrophie des reins cause

tique sur l’estomac, la belladone et la digitale sur la pupille et le cœur , etc. ; mais, sans s’expliquer en rien le pourquo

e ensuite au malade avec une « bonne intention, en priant, et avec un cœur pur. On gué-« rira ainsi les maux les plus incura

elèrent en criant qu'il allait se tuer. Avant de sortir, je dis à mon cœur de ne pas battre plus fort que d’habitude. J’arri

du front, au nez, sur la descente de l’os frontal, au diaphragme, au cœur , aux deux genoux et aux pieds (2). » (1) Ouvrag

s de Mesmer, de Puységur et Deleuze, et ils espèrent, du fond de leur cœur , que le rapport d’amitié qui a ainsi commencé ne

de la réalité de ce fait : la certitude que le plus profond de notre cœur est à découvert pour ceux que nous avons le plus

s, des tentations véhémentes de l'ennemi. Enfin, vous trouverez votre cœur si resserré et si plein d'amertume, que vous ne p

l rayon de .lumière manque à notre esprit, quelle consolation à notre cœur , quelle règle à nos actions, pour que nous allion

x et des embarras nouveaux. J’appelais de tous mes vœux des hommes au cœur généreux pour élever ce monument à la gloire du m

de l’abbé Fa-ria est vraie, ce bruit seul chez les personnes dont le [ cœur et les artères sont en bon état, pourra être, dan

ec celui que produit un soufflet en chassant l’air qu’il contient (le cœur représentant le soufflet, et les artères la douil

nsensibles au magnétisme. Ce bruit, chez eux, tenait à une maladie de cœur . XV. — Il m’est arrivé souvent d’apprendre de s

pratique de cette branche importante de la médecine développe dans le cœur de l'homme les sentiments d’humanité. Comment peu

ette vertu bienfaisante devait disparaître de la terre, c’est dans le cœur des magnétiseurs que serait son dernier asile.

x qui savent mieux que personne comi ien de gens professent dans leur cœur le culte du malin? C’est lui permettre d’ouvrir b

prévoir le vide qui vient de se faire parmi nous et qui nous serre le cœur . Vous avez suivi avec trop d’intérêt, depuis lo

s récits, 1 importance qu il attachait en magnétisme à la droiture du cœur et à la pureté d’intention. Ses théories sur ce p

’il revivra toujours au milieu de ses nombreux amis par la mémoire du cœur . Voici les renseignements que j’ai pu me procur

onc pour quitter la partie, et l’assemblée, dont j'étais, n’avait pas cœur à les accuser d’impatience, lorsqu’une des six pe

oins. A un signe de lui, les pulsations s’accélèrent ou diminuent; le cœur lui-même, viscère plein de bonne volonté, opère s

nt les règles étaient supprimées, éprouvait de violents battements de cœur et 11e pouvait presque plus marcher; ses maîtres,

a marche rendue facile ; à la seconde, je fus prise d’un battement de cœur assez douloureux; la jeune fille me dit qu’elle é

M. Blesson nous a été signalé et s’est fait connaître comme un de ces cœurs généreux dont le dévoùment •est souvent porté à s

aces publiques ; c’est aussi, tout en obéissant aux inspirations d’un cœur noble et généreux, se placer au-dessus des préjug

magnétistes, et chacun sait combien il y a de bonnes pensées dans son cœur . Dire les cures qu’il a faites serait trop long,

vie et de sa durée. » « Scarron dit : « L'humide radical dans mon cœur sc dissipe, « Mon esprit s'en altère et mon cor

monde de la vérité, que l’on prête une oreille attentive à l’homme au cœur sincère, à l’intelligence supérieure, dont les lè

rrifiantes de la vengeance ou de cette lumière languide qui ravit les cœurs et allume dans les sens les feux des désirs inass

e cas, serait complicité ou niaiserie; il est temps que les hommes de cœur et d’intelligence qui cultivent avec désintéresse

mais je connais de lui des traits qui prouvent que c’est un homme de cœur ; il a donc moins que tout autre le droit de raill

ons musculaires résultant des mouvements de systole et de diastole du cœur doivent, au bout d’un certain temps, se mettre en

engourdit la pensée. Une émotion qui exalte le courage fait battre le cœur plus vivement; une frayeur subite peut ralentir l

œur plus vivement; une frayeur subite peut ralentir les mouvements du cœur au point de produire la syncope. IV. Du mouve

anquillité; car la foi est dans leur âme, l’espérance au fond de leur cœur . Ah ! que cette journée a ôté belle! Aucune parol

ous tous vivre et mourir dans ta foi douce et sincère ! « Ollivier, cœur trop généreux, dont les travaux magnétiques ont a

ous pu, chers compagnons, recevoir comme nous les épanchements de son cœur ! 11 nous disait qu’il devait au magnétisme, au b

it couvrir leur visage. « Vérité, fdle du ciel, viens échauffer nos cœurs , donne-nous force et courage, donne-nous surtout

us réserve. Soyez-en certains, chers compagnons, beaucoup d’hommes au cœur généreux s’apprêtent à entrer dans nos rangs, et

S'adjoint un compagnon, très-puissant, très-utile. D’accord avec le cœur , unie au sentiment, Uc lumière cl d'amour sympa

C'est qu'au nom de Mesmer son timbre retentit, Vibre dans tous les cœurs , nous attire et nous dit : Si du grand novateur

rifie, elle vous mesmérise. Influençant toujours vos esprits et vos cœurs , Pourvousrendreen un jour triomphants et vainqu

t mort en rappelant un inconnu à la vie. Gloire te soit rendue, noble cœur qui te jetais en sacrifice comme d’autres courent

dra pas injustes envers les vivants ; nous saluerons de la main et du cœur les générations nouvelles qui s’avancent dans la

fluide, frémissant qui trouve en l’homme sa source, qui s’élance d’un cœur pour aller frapper à un autre cœur, et qui, s'il

homme sa source, qui s’élance d’un cœur pour aller frapper à un autre cœur , et qui, s'il n’est doué d'une précision absolue,

organisations fraternelles. Lançons dans l’espace nos amitiés et nos cœurs , un bon génie les portera aux amis inconnus qui,

votre croyance comme vos rudes pionniers dans les forêts vierges, le cœur plein de foi et d’espérance ; du fond de la vieil

vous admirent, et des voix émues vous crient cette parole des grands cœurs , ce mot d’ordre des esprits généreux, cette devis

prits étaient captivés, nos cours battaient à l’unisson avec le noble cœur qui l’avait dictée ; c’était dans un avenir proch

ncompatible avec ces éternelles lois morales qu'il a gravées dans nos cœurs ! On parlera de la religion menacée ! Comme si to

irer nos sympathies en joint un autre qui le place plus près de notre cœur ; s'il tient à nous par les liens du sang ou de l

e poésie peindra l'ivresse de ce triomphe? Eh ! bien, cette langue du cœur , cette poésie de l’âme qui touche au sublime, je

souffre, de cette souffrance qui n’a pas de nom, de cette torture du cœur qui tue un être plein de vie et de force, comme f

vaine curiosité. Oh ! quelle énergie se développe tout à coup dans ce cœur de femme ! Quelle volonté puissante l’anime 1 Ave

atèrent de toutes parts. Ses vœux, scs pensées trouvaient dans chaque cœur un écho, et toutes les bouches les répétaient fid

ndre et connaîtra, Ne savait pas encor aimer; Et l'homme, quand son cœur est vide, Son âmo ignorante et timide, L’homme

lui nuire El lo soumet à ses travaux 1 Mais lorsque le sens do son cœur Entendit vibror sur l'abîme La fibre de la vie in

r le genre humain, Lo fer prit en vain la maîtrise; Dorant lui le cœur se déguise, La vengeance dit: A demain...' les

phie: Forlc, mais trop froido, elle oublie Ce qui fait palpiter les cœurs . II fallait à l’homme un chemin Pour marcher sa

cette belle réunion , à laquelle je ne cesserai jamais d’ètre uni de cœur et d’âme. Agréez donc, je vous prie, Monsieur l

présenter les sentiments de vive reconnaissance qui débordent de mon cœur . Plein de confiance dans l’idée que les efforts a

de depuis trois ans, et que sa maladie a débuté par des battements de cœur et des douleurs au creux de l’estomac. . * Comm

t voici la teneur : « Nous avons personnellement concouru tle grand cœur à l’accomplissement de cette étude sur le magnéti

nsuite par des sueurs abondantes, de la salivation, des battements de cœur , de la gêne respiratoire, des maux de tête, des g

sibles aux convulsions, des intestins soumis aux gargouillements, des cœurs prêts à palpiter et des poitrines qui vont étouff

vrement sonore , à la magie harmonieuse ; son souffle s’accélère, son cœur bat plus vite, sa poitrine se dilate et offre par

urmurent les vagues paroles qui décident d’une vie, d’un avenir, d’un cœur .... Mais en dehors du fait moral qui découvre d

de la femme, qui lui révèle l’existence de promission, l’existence du cœur qui prépare à celle de la maternité... Je viens

t ; car, nous le disons hautement, nous sommes chrétien et attaché de cœur et de foi à l’Eglise. Nous devons obéissance à no

taine d’années au moins, d’un engorgement des principaux vaisseaux du cœur , avec oppression continuelle, palpitations, synco

de l'eau. Ceux qui l'ont exhumé ont retiré du corps une partie... le cœur , et l’ont remis à des docteurs qui ont payé leurs

es parents et amis du défunt ; les docteurs ont fait quelque chose du cœur , en travaillant à un fourneau ; puis ils l’ont mi

corps, qu'elle avait servi à l’ensevelir, qu’elle avait enveloppé le cœur , et qu’il y avait du sang. « Revenant sur l’évé

; elle dit oui, et qu’elle l’avait vu décapité. Elle dit aussi que le cœur , après avoir été préparé par les docteurs, avait

la digestion. Que la même chose pouvait arriver si on agissait sur le cœur , organe delà vie, et que le magnétiseur, opérant

ent la cause du mal par l’existence de petits vers qui s’attachent au cœur et proviennent du climat ; ils disent qu’ils les

souffrante ? — Oui, monsieur. — Où sont vos souffrances ? — Au cœur . — Qu’est-ce que vous éprouvez ? — On me serr

mots, Ségélius posa une main sur la tête du poëte et l’autre sur son cœur , et, d’une voix solennelle, prononça ces paroles

ne progression mathématique : les choses de la pensée comme celles du cœur . Cipriano vit à nu la création et le haut mystère

re fois qu’il réussit d’une façon si étonnante, il rentra chez lui le cœur gai, la bourse pleine, mais un peu fatigué. Ayant

s et les chairs, il voyait l’artère triangulaire que nous appelons le cœur battre dans la poitrine de la jeune fille ; il vo

n cercle intime des parents ou des amis, il lisait aussitôt dans leur cœur les mauvaises pensées, les coupables desseins qu’

ses derniers instants, me semble se réfugier dans les cavités de mon cœur . Je ne sens plus rien ni de mon cerveau, ni de me

ns de mains et le souffle chaud de sa servante sur les cavités de son cœur amenèrent sa guérison, mais en la rendant telleme

causait une sensation brûlante ; celle du plâtre, des contractions au cœur . Toutes les propriétés que Théophraste, Aristot

blait avoir une odeur aromatique qu’elle percevait par les cavités du cœur , finit aussi un jour par lui roidir tous les memb

, elle ép rouv ait dans tout le corps une commotion qui commençait au cœur . En prenant ces deux métaux dans une seule main,

souvent elle recourait, comme l’Orient, aux amulettes placées sur le cœur ou sur le dos, ou à des passes magnétiques au nom

de laurier; •2° Par l’apposition de la main gauche sur la cavité du cœur , et de la droite sur le front, neuf jours de suit

ement d’une excellente conformation, mais dans un excellent état. Son cœur et les organes respiratoires étaient très-enflamm

emandai aussitôt un morceau d’amadou que j’appliquai sur la région du cœur , après y avoir mis le feu, et je vis, au bout de

la combustion, être soulevés d’une manière sensible par la pointe du cœur dont les mouvements ont été non-seulement vus, ma

la mort, on doit mettre en première ligne l'absence des battements du cœur à Y auscultation. Il résulte en effet de nombre

lle qui sépare les dernières Inspirations, les derniers battemeuts du cœur peuvent être entendus, en appliquant l’oreille su

bres n’étaient plus perceptibles. Après avoir ausculté la région du cœur et constaté que cet organe avait cessé de battre,

cas, l’application du morceau d'amadou en combustion sur la région du cœur , et n’obtins aucun résultat satisfaisant du côté

em. Docteur SCOTT, médecin consultant. Nous applaudissons de tout cœur au zèle, au dévouement et surtout il l’activité p

d'érésipèles, de maux d’yeux, d’oreilles, de poitrine, de poumons, de cœur , de foie, d estomac , de reins et d’épine dorsale

nu, loin de nous montrer chagrin, nous serons joyeux jusqu’au fond du cœur , car le progrès sera accompli, le magnétisme entr

ni son voyage au Mexique, et qu’il veut éviter de leur déchirer le cœur par de telles nouvelles. M. Barlett assura ensu

le moi qui vous parle a de grands avantages: Il a le bras Tort, le cœur haut : J’en al reçu des témoignages; Et ce di

s erreurs que la science fausse a, dès son jeune âge, semées dans son cœur . L'intelligence de tous les détourne des plus sub

action magnétique, des agacements de nerfs, des malaises, des maux de cœur , des crises nerveuses, des syncopes ; le somnambu

à défaut de la société, punit toujours. Suivre les impulsions de son cœur n'est point un acte de vertu, sans doute ; c'est

es ; car presque toutes contiennent des outrages contre les hommes de cœur qui, confiants dans la justice de leur cause, s

reur Nicolas, t cause de la place immense qu’occupait sa mère dans le cœur et les souvenirs de M"* d’Oberkircli, et des nomb

re impolis envers Son Eminence nous décida à accepter. J'avoue que le cœur me battait au moment où j’entrai chez le cardinal

non de peur, mais de froid. Je me sentais « peu à peu gagner jusqu’au cœur par une impression que * rien ne peut rendre. M

i son livre est-il plein d’anecdotes de cour. Liée par l’esprit et le cœur avec la duchesse de Bourbon, celle-ci l’appelle à

. ii — Oh ! que vous me faites mal ! vous me brisez la tète et « le cœur . « — Lisez. « — Je vois, je vois. Vous êtes b

— « sieur. Pure cérémonie pour vous mieux abuser; elle est « juive de cœur et de pratique. « — Elle ne m’aime pas! répétai

cusateur pour cause de fonction publique, n’ait pas voulu en avoir le cœur net, et qu’un homme sensé ait osé formuler une ac

norrhée, 486. Epilepsie. 742. Empoisonnement, 658. Engorgement du cœur , 464. Fièvre typhoïde, 493. Gastro-entérite, 49

tracés au crayon de pierre infernale, — face et pile, — ainsi que le cœur et les gros vaisseaux. Le patient s’en allait par

pour un instant obscurcit les idées. Mais parfois pourtant ce pli du cœur a fait couler les larmes de l’écrivain. Pourquoi

a douleur physique effacée n’en fait jamais verser ; les blessures du cœur ne se cicatrisent jamais entièrement. Pourquoi ?

en ; le toucher, ce serait vous battre, et le battre, vous frapper au cœur ! Je n’irai pas jusque-là. Cependant, vous le dir

veuse qui s’était annoncée dès sa première enfance. Des peines de cœur amenèrent une aménorrhée pour laquelle elle reçut

moins quelque espoir; il le fait ; elle le remercie avec effusion de cœur et les larmes aux yeux, se lève et prend congé, r

re siècle ! « Je finis, monsieur le baron, en désirant, de tout mon cœur , que la divine Providence vous conserve la santé

date de cette lettre (14 juillet 1843) vous dira assez ce que mon cœur éprouve eu traçant ces lignes ; mais que votre cœ

ez ce que mon cœur éprouve eu traçant ces lignes ; mais que votre cœur ne se trouble pas , que votre affection pour moi

leurer des larmes douces, et je dirai presque des larmes de joie. Mon cœur a été pénétré de cet avenir de félicité éternelle

était-il qui méritât mieux cette marque de sympathie que la femme de cœur et d’esprit, de sentiment et de raison, dont l’âm

ore dans le corps humain plusieurs autres centres de polarisation. Le cœur (l’oreillette et le ventricule gauche) et tout le

rirent un pôle positif, les veines, au contraire, un pôle négatif. Le cœur et l’aorte occupant au centre du corps le côté ga

personnes créées qui aimeront. « Retenons seulement et gardons en nos cœurs avec respect cette belle démonstration de 1 immor

telligence, comme dans la contemplation et plus souvent encore par le cœur , par l’âme même, comme dans l'amour divin. Que la

els qu’ils paraissent, n’en sont pas moins étrangers, assure-t-on, au cœur des spiritualistes. Ils rendent volontiers justic

eu seul pénètre immédiatement les esprits et scrute jusqu’au fond des cœurs le plus obstinément fermés à sa lumière. « Si

faits se rapportent en général à un objet qui préoccupe fortement le cœur ou l'intelligence, qui a provoqué de longues rech

s l’immensité. — Nous faisons de nouveau appel à tous les hommes de cœur et partisans du progrès naturel, pour qu’ils nous

gastrique avec inflammarion cérébrale et picotement dans laTégion du cœur . Une magnétisation répétée deux fois par jour et

u ppur cause doldépart. Nov. 1856. Madame de D. Palpitations de cœur , avec extrémités glacées, semblant provenir d’un

ps et avoir élu pendant quelques jours son domicile dans la région du cœur , s’était enfin jeté sur le cerveau et y avait exe

e un tribut à Mesmer : l’inspiration ne vient trouver que les gens de cœur . Tome XVIII. — N® 59. — 2« Série. — 10 Juin 185

A son éclair, notre âme illuminée Lit dans les corps, — dans les cœurs , — en tout lieu. Le magnétisme est la clef des

es applaudissements mérités : « Messieurs et mesdames, n C’est du cœur de l'Allemagne, c'est des bords mômes du neuve pr

qu’ici de la science vivante que ce que vous en avez puisé dans votre cœur et dans vos doigts ; vous sentirez vos forces se

re passée dans cet état, la respiration se supprimait tout à coup. Le cœur seul donnait encore quelque vraisemblance de vie.

ens employés pour la réveiller furent inutiles. Les battements du cœur , quoique très-faiblement perçus au moyen de l’aus

t à l'ignorance et aux préjugés qui se déracinent si difficilement du cœur des hommes? Le stygmate du ridicule que les charl

it éclairé; aucun bruit ne frappait mon oreille... Je l’avouerai, mon cœur s« serra, et un frisson parcourut tous mes membre

et n’a pu faire sauter la coupe, — répond avec assurance : Huit de cœur . — La septième? — Dix de carreau. — La onzième?

rreau. — La onzième? — Neuf de pique. — La vingt-deuxième? — Valet de cœur . Il ne s’était pas trompé une seule fois. Voi

avocats de cette grande cause, de nous avoir fait rentrer l’espoir au cœur , en dissipant l’épais nuage qui obscurcissait not

e, pour le musicien, pour l’utopiste, pour le savant, pour l’homme de cœur . On végète dans le reste du monde, on ne vit qu’à

à ce qu’ou lui disait avoir vu, il vint, et ayant sondé la région du cœur , il reconnut que la mort n’était qu’apparente, q

« — C’est possible, mais alors qu’est-cedonc que ce mouvement de mon cœur qui l’évoque et qui me l’a fait voir? « Les deu

p réalisés, et qui venait de succomber à la rupture d’un anévrisme au cœur . [Courrier de Lyon, du h septembre 1859.) LES

s, on commit les mômes atrocités. Enfin, en 1631, un homme d’un noble cœur , le comte Frédéric Stain, appartenant pourtant à

mais; pourtant elle se plaignait toujours d'avoir 1111 poids sur le cœur et s’inquiétait de sou état. On la consola, en l'

se plaignit également d’une grande fatigne et d'un grand poids sur le cœur . Après cela, elle se reposa quatre heures, pendan

tait malade par suite de ses couches, comme le prouve ce poids sur le cœur dont elle se plaignait. Son mal était nerveux, co

re, personne d’entre eux, nous en sommes sûr, ne crut, du fond de son cœur , à cette inconcevable hypothèse. Locke lui-même

tes les parties du corps au moyen d'un système de canaux ramifiés. Le cœur , à l’aide de ses contractions, chasse le sang dan

uvelle impulsion, à travers les veines vers son point de départ. Le cœur est séparé en deux par une cloison complète, de s

oison complète, de sorte qu’on peut admettre avec raison qu'il y a un cœur gauche et un cœur droit. En regardant le cœur com

sorte qu’on peut admettre avec raison qu'il y a un cœur gauche et un cœur droit. En regardant le cœur comme le centre des m

vec raison qu'il y a un cœur gauche et un cœur droit. En regardant le cœur comme le centre des mouvements du sang, on est fo

irculation ou deux cercles circulatoires simultanés. L’un commence au cœur gauche, traverse les organes et aboutit au cœur d

nés. L’un commence au cœur gauche, traverse les organes et aboutit au cœur droit; l’autre commence au cœur droit, traverse l

e, traverse les organes et aboutit au cœur droit; l’autre commence au cœur droit, traverse les poumons et revient au cœur ga

t; l’autre commence au cœur droit, traverse les poumons et revient au cœur gauche. Le premier étant plus étendu, prend le no

s encore par ses caractères physiques et chimiques. Le sang qui va du cœur aux organes par les artères est rouge vermeil, ce

s par les artères est rouge vermeil, celui qui revient des organes au cœur par les veines est d’un rouge brun. C est dans le

ns que le sang bran est revivifié ou oxygéné et redevient vermeil. Le cœur n’est pas seulement partagé en deux parties par u

tifs de contraction et de relâchement. Le moment de la contraction du cœur a reçu le nom de systole. Le moment du relâchemen

iastole. Le premier mouvement est actif, le second passif. Lorsque le cœur se contracte, ses quatre cavités n’entrent pas si

ux mouvements de l’organe le plus essentiel à la vie, c’est-à-dire du cœur humain. La mort, dit Bichat, est la conséquence d

vie organique. Cette assertion se trouve confirmée par le fait que le cœur continue à battre quand il est séparé des liens q

cent de désespoir : « Mais il reste toujours dans les contractions du cœur un inconnu que l'expérience n’a pas encore résolu

vons plus d’une fois insisté. C’est la question de savoir pourquoi le cœur séparé du corps de l’animal continue à battre spo

ussé dans l’aorte. Le vide fait aussitôt cesser la contraction, et le cœur se trouve au moment du repos : alors survient une

tude. La principale cause qu’on allègue, à part les contractions du cœur , c’est la contraction musculaire. Assurément les

sseaux veineux, qui, en vertu de l'influence del’oreillette droite du cœur , subissent la polarité négative. Les expériences

s de celle force magnétique ou plutôt odique, dontles deux moitiés du cœur , gauche et droite, sont les points culminants; le

vaisseaux veineux, et est-il encore plus rapide dans le voisinage du cœur . Le sang veineux arrivant dans l’oreillette droit

plus tard pourquoi) sont sous la môme influence que le côté droit du cœur ; ils sont od négatifs, aussi attirent-ils avec fo

devenu négatif, il se trouve repoussé des poumons et vient affluer au cœur , où il est attiré par l’oreillette gauche, pour r

t que la tension du sang produite par la contraction ventriculaire du cœur gauche, est beaucoup plus considérable que celle

e celle qu'exerce le ventricule droit. L’ondée liquide chassée par le cœur gauche fait équilibre une colonne mercurielle de

curielle de 15 centimètres environ, tandis que celle qu'exerce le cœur droit est moindre de moitié. On explique d’ordina

ssitôt que la tête se trouve dans une position déclive par rapport au cœur , la pesanteur fait sentir ses effets avec une gra

l y a équilibre entre les deux-forces, et le sang ne retourne vers le cœur qu'en vertu des lois de la pesanteur, et aussi de

peut s’expliquer qu’en reconnaissant que chacune des deux moitiés du cœur possède une polarité qui lui est propre et qui do

s étant plus riche en oxygène que le sang veineux, est od négatif, le cœur gau-doit être nécessairement positif ; et vice ve

n rapport essentiel entre la composition du sang et les battements du cœur , (. Tuez un animal à sang chaud; attendez que l

spiratoires soient complètement suspendus, et que les contractions du cœur ne consistent plus qu'en un frémissement à peine

ir artificiellement la respiration pour réveiller les contractions du cœur , et les voir persister pendant quelques heures. C

onsidéré comme le stimulus naturel qui met en jeu la contraclilité du cœur . Il prouve de plus que le sang veineux qui abonde

aclilité du cœur. Il prouve de plus que le sang veineux qui abonde au cœur , lorsque la respiration est suspendue, est improp

ment où l'on commence l’expérience que par de faibles contractions du cœur , conduit vers cet organe un sang revivifié par l'

ane un sang revivifié par l'air atmosphérique : bientôt l’activité du cœur se développe sous cette influence, et la circulat

as de toute sorte ou triomphes de tout genre, selon que l’estomac, le cœur (côté gauche ou côté droitï, etc., seront sous un

encé à étudier et que j'ai abandonnée, le doute s’étant emparé de mon cœur . o Cette science, encore en chantier, progresse

progresse bien lentement malgré la persévérance de quelques hommes de cœur répétant tout bas la profession de foi secrète de

barrasser de mon idée fixe d’agir sur cette dame (je voulais avoir le cœur net d’un doute et d'une vérité si souvent niée),

! ! » h Chaque point d’exclamation exprime ce que j’éprouvais, mon cœur et ma poitrine craquaient, je ne savais si j’étai

ue ce sont les morts qui m’ont parlé, mais je le voudrais de tout mon cœur . Excepté lapremière expérience, où le nom de ma m

lui cause une sensation brûlante, celle du plâtre des contractions au cœur ; le laurier la magnétise, le coudrier la démagné

dant dans toute la poitrine. On ne perçoit aucun choc, aucun bruit du cœur . Matité précordiale très-étendue. « Je pratique

e. J’applique des compresses d’eau sédative concentrée sur le cou, le cœur et la tête, des sinapismes aux mollets, et je pra

aise ergoter, nier et plaisanter. Mais le regardant comme un homme de cœur , de franchise et de capacité, reconnaissant en ou

pagnie, dont j'apprécie infiniment le caractère indépendant et le cœur , je ne lui donne, certes, pas le droit de me trai

340. Oppression de poitrine, 225. Orcillon, 226. Palpitation de cœur , 229. Paralysie, 227. Phlegmasie parotidienne

dienne, 227. Phhisie pulmonaire, 225. Picotements dans la région du cœur , 225. Plaie chirurgicale, 449. Pleurésie aigu

esse. On fit cesser le sommeil; il ne lui restait aucun souvenir; son cœur seulement battait avec violence; il but plusieurs

nt que le siècle s’arrête dans la voie des découvertes, vous surtout, cœurs ardents, qui chérissez dans tous les hommes des c

ils circonstanciés de ce fait. provenus ; bientôt 011 lira dans vos cœurs , et moris ou vivants vous ne pourrez vous cacher.

ue le contact du magnétiseur au « magnétisé est entier, corps et âme, cœur et tête. Il y » a entre eux deux corrélation d’id

pâteuse, l'appétit dépravé; oppres-« sion, palpitations en dessous du cœur . (Vrai.) La « rate ne fait pas ses fonctions, le

pénétré dans l’esprit de mes élèves, mais môme les sentiments de mon cœur ont été compris. Plein d’enthousiasme moi-méme, j

che dans son esprit ce qui peut la rappeler, vous cherchez dans votre cœur ce qui peut plaire à Dieu, er^ faire saisir l’ima

machines qui ne résonnent que lorsqu’on les frappe? Non, vous avez du cœur et de l’intelligence ; vous avez travaillé au sou

une science oceiille , Divin pouvoir encor trop méconnu; Un noble cœur en agrandit le culte. Dans un beau zèle ardemme

dans le somnambulisme un épanchement interstitiel dans les parois du cœur } Elle suivit parfaitement ce travail, qui se mani

a, on votre absence, la justice qu’au moment cpyvous refuserait. Le cœur de l’homme est ainsi fait, et vous ne pouvez le c

uvres qui prouvent que Vbus n’avez pas seulement de l’esprit, mais un cœur qui comprend et qui sait compatir aux souffrances

ra en apercevant la grandeur de Dieu , remerciez-le, du fond de votre cœur , d’avoir, par des moyens si simples, donné à sa c

avertissements n’ont point prévalu, et c’est avec le deuil dons le cœur que ceux qui t’entourent racontent à tout venant

il travaille, car celui-ci ne se contredit jamais. Du fond de notre cœur nous te plaignons, jeune fille, moins heureuse qu