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1 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
TALES Fondiïiï par J.-M. CHARCOT PUH A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Pi ofesseur de clini
decin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Pi ofesseur de clinique des maladies du système nerveux à la Facult
ction centrifuge passant parles cordons postérieurs. Aussi bien, la clinique et l'expérimentation établissaient que, dans le
n très inégale au processus des deux côtés, dont la symptomatologie clinique fit longtemps croire à un tabès hémilatéral. »
ôtés de la moelle se manifestent également dans la. symptomatologie clinique . Dans la plupart des cas de tabes, les troubles
rfs périphériques, par exemple dans la polyné- vrite, où le tableau clinique peut ressembler beaucoup au tabes, il existe un
evue neu- rologique, 1698, p. 751. Archives, 2° série, t. XI. 2 CLINIQUE NERVEUSE. Épilepsie et fièvre typhoïde. (Deux
ue, dont il représente l'aura vaso- 1 Séglas. Th. Paris, 1881. 20 CLINIQUE NERVEUSE. motrice et l'éclosion d'une crise con
ut; il a depuis quelques jours de petites épistaxis, de la diar- 24 CLINIQUE NERVEUSE. rhée, une langue grillée, la températ
rie; 1 P. C. C., potion cordiale avec 0,50 de caféiiie ? e % . 26 CLINIQUE NERVEUSE. 1 premier, il s'est même esquissé une
73 pages. - AIARDELLIS (A.). Elude o,7zcttoi ? io-pathologiqtie et clinique des lésions du nerf optique dans les fractures de
-J.). Oreille et épilepsie. In-4° de 74 pages. ENSEIGNEMENT Les Cliniques psychiatriques des Universités allemandes ' ;
eine, chargé de missions. II 1 Considérations générales sur les cliniques psychiatriques allemandes. Résumons aussi bri
possible les points les plus inté- ressants de cette étude sur les cliniques psychiatriques d'Alle- magne. ' Nombre de ces
elle de Kiel, ne possédait pas, jusque dans ces derniers temps, une clinique de ce genre. Cette lacune vient d'être comblée.
fluence exercée, à des points de vue divers, par cette vingtaine de cliniques psychiatriques est aisée à concevoir. Grâce à c
pour l'éducation de futurs médecins aliénistes. De plus, toutes ces cliniques psychiatriques agissent d'une façon très favora
bénéficie de l'activité d'un centre universitaire dont le matériel clinique , les laboratoires, ' Voir Archives de Neurologi
men- tale et de l'assistance des aliénés '. Dates de création des cliniques . Depuis longtemps on s'est préoccupé de l'ensei
es cliniques. Depuis longtemps on s'est préoccupé de l'enseignement clinique des maladies mentales dans les universités alle
és ont organisé, dans le cours de la première moitié du siècle, une clinique de psychiatrie . Les autres ont, pour la plupar
clinique de psychiatrie . Les autres ont, pour la plupart, créé une clinique spéciale au cours de ces 20 dernières années. V
), Giessen (1896), Ros- tock (1896), Kiel (1900). Constitution de cliniques universitaires autonomes. Deux pé- riodes très
être distinguées dans l'histoire du développement de l'enseignement clinique des maladies mentales dans les universités alle
r. Dans la première, on se contente d'utiliser, pour l'enseignement clinique , les asiles provinciaux d'aliénés ou les quarti
iode, qui a débuté, il y a vingt ans à peine, par la création de la clinique de Heidelberg (1878), on se décide à construire
de la clinique de Heidelberg (1878), on se décide à construire des cliniques universitaires, des établissements autonomes, c
nt de petits asiles urbains d'une centaine de lits. Telles sont les cliniques de Leipzig (1882), de Strasbourg (1886), de Hal
6), de Kiel (1900). Ce progrès considérable dans l'organisation des cliniques psychiatriques est l'oeuvre de Griesinger, qui co
e où Griesinger commença d'exposer ses idées sur l'organisation des cliniques psychiatriques et des hôpitaux de ' Il faudrait
progrès dus, en grande partie, aux recherches poursuivies dans les cliniques de psychiatrie. Rappelons les noms de Mey- nert
Flechsig, Hitzig, Wernieke, Kraepelin, Ziehen. 2 La création de la clinique des maladies mentales à la faculté de Paris ne
é de Paris ne remonte âu8re au delà d'une vingtaine d'années. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 29 traitement urbains (1861), o
les cas aigus et devant servir, dans les villes universitaires, de clinique psychia- trique ; 2° une colonie agricole pour
iversitaire. L'hôpital de séjour transitoire pour les cas aigus, la clinique psychiatrique doit être situé en ville même, ou
es visites médicales fréquentes... » Il est enfin nécessaire que la clinique psychiatrique soit située aussi près que possib
inique psychiatrique soit située aussi près que possible des autres cliniques . La durée du séjour des aliénés dans l'asile ur
rte et ne pas dépasser un an. Ainsi que je l'ai montré ailleurs les cliniques de psychia- trie des Universités allemandes ne
ncore formulé 2 sur l'organisation et le mode de fonctionnement des cliniques psychiatriques quelques desiderata que nous all
sychiatriques quelques desiderata que nous allons résumer : « Les cliniques psychiatriques doivent être placées sur le même
psychiatriques doivent être placées sur le même pied que les autres cliniques universitaires. Cette assimilation doit porter
rter sur les points suivants : 1° Assistance obligatoire aux leçons cliniques . Le stage doit être exigé pour la clinique psyc
obligatoire aux leçons cliniques. Le stage doit être exigé pour la clinique psychiatrique comme pour les autres, et cela, n
Centralblatt f. Nervenheilleunde und Psychiatrie, déc. 1893. LES / CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 31 tation de trois cliniques (i
e, déc. 1893. LES /CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 31 tation de trois cliniques (interne, chirurgicale, obstétricale) et en le
chirurgicale, obstétricale) et en le laissant libre de négliger la clinique psychiatrique, montre par le fait même qu'il ti
out à fait inutile. On devrait exiger un stage de six mois dans une clinique psychiatrique afin de pouvoir fournir aux fa- m
des médecins ayant quelques notions des maladies mentales. 2° La clinique de psychiatrie doit être assimilée aux autres c
les. 2° La clinique de psychiatrie doit être assimilée aux autres cliniques au point de.vue des méthodes d'instruction. L'étu
es de diagnostic. 3° Au point de vue du recrutement des malades, la clinique psy- chiatrique doit, comme les autres, s'inspi
s : les malades seront choisis soit parmi les cas aigus entrés à la clinique et passés à l'état chronique, soit dans un autr
si le malade dont il est question, peut être utile à l'enseignement clinique . Pour cela, un des médecins de la clinique, pré
e utile à l'enseignement clinique. Pour cela, un des médecins de la clinique , prévenu par télégramme ou autre- ment, qu'un i
lace, examine le patient, voit si celui-ci doit être transféré à la clinique , ou s'il s'agit d'un sujet non aliéné (ivresse,
vresse, excitation). A ce point de vue, il y a avantage à ce que la clinique soit à proximité de la ville.' La sortie du mal
ille.' La sortie du malade doit avoir lieu, comme dans les autres cliniques , quand celui-ci n'offre plus d'intérêts au point
au, 70 jours ; Wùrzbourô, 73 jours. 32 ' , ENSEIGNEMENT. matériel clinique indispensable, mais le temps et les loisirs. Un p
is parce qu'il est utile qu'il voit d'autres malades que ceux de la clinique (où certains états psychopathiques sont raremen
reau d'admission, d'hôpital de traitement, et, le cas échéant, de clinique de psychiatrie. Les autres, plus vastes, installé
que dans les asiles ordinaires (59, 79 d'aliénés curables à l'asile clinique de Konigsberg). Il en conclut que le public rec
s, tandis qu'il hésite moins longtemps à les faire traiter dans une clinique de malades curables. Or on sait que ces atermoi
monde se rallie à la conception des petits asiles urbains et des cliniques psychiatriques universitaires indépendantes. Si
liniques psychiatriques universitaires indépendantes. Situation des cliniques . Toutes les cliniques construites depuis une vi
s universitaires indépendantes. Situation des cliniques. Toutes les cliniques construites depuis une vingtaine d'années ont é
ns son voisinage immédiat, et d'autre part à proxi- mité des autres cliniques ; les étudiants peuvent ainsi aller de l'une à l
es n'ont pas lieu, en Allemagne, à la même heure). Ajoutons que ces cliniques urbaines servent de bureau d'admission des alié
des aliénés pour les villes universitaires et leur banlieue. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 33 Policlinique. Le professeur
at de faire disparaître certains préjugés. Double destination des cliniques psychiatriques. La plupart des nouvelles cliniq
destination des cliniques psychiatriques. La plupart des nouvelles cliniques ne servent pas seulement à l'enseignement de la
(Breslau) et les quar- tiers d'hospice (Berlin) faisant fonction de cliniques psychiatri- ques. Leur population est, le plus
dernières varie en général entre 100 et 130. Citons par exemple la clinique de Halle avec 110 lits, celles de Leipzig avec
e Leipzig avec 135 lits, de Tubingen avec 140, de Kiel avec 120. La clinique de Wurzbourg n'en possède que 60, mais il convien
'aliénés chroniques de 88 lits, soit, en tout, de 148 ma- lades. La clinique de Greisswald ne possède qu'une cinquantaine, c
lits. En revanche, la cli- nique de Kiel a 200 lits, et la nouvelle clinique de Berlin aura éga- lement 200 lits. On estim
e de sujets atteints de psy- choses aiguës. Notons que toutes les cliniques admettent, en outre des aliénés,- et des « nerv
ait des sacrifices pécuniaires considérables pour orga- niser leurs cliniques psychiatriques. Le prix de revient du lit a Arc
ipzig, de 11200 francs : à Tubingen, de 11 000 francs environ. La clinique de Halle (110 lits) a coûté un million de francs
e d'années, et confor- mément aux conceptions de Griesinger (asiles cliniques urbains, autonomes, avec un maximum de 120 lits
villas » indépendantes. Nous nous arrêterons de préférence sur les cliniques créées depuis une dizaine d'années, d'après le sy
ent des maladies du cerveau, devait être organisée comme les autres clinique universitaires. Aucune clini- que psychiatrique
imple haie. A Halle, c'est une grille, et non un mur, qui sépare la clinique de la rue. L'open-door est appliqué dans la mes
villons, possèdent un premier étage; sur 110 malades, il n'y en LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 35 a que 17 qui ne sont pas log
nue. Le pavillon de traitement est l'organe le plus important d'une clinique de psychiatrie. Le quart, le tiers, ou même, su
ers, ou même, suivant certains auteurs, la moitié des malades de la clinique doivent y trouver place. En raison de l'importa
ont pris ces quartiers spéciaux dans les asiles et surtout dans les cliniques d'Allemagne, deux mots d'historique sont justif
Wiesbaden, et tout récemment par M. Kraepelin, qui a organisé à la clinique de Hei- delberg, une section de surveillance co
l'autre pour les agités. Nous avons déjà insisté sur ce point (voir clinique de Wurz- bourg). Le nombre des lits des pavillo
e total de la population ; mais pour les hôpitaux urbains, pour les cliniques psychiatriques, le nombre proportion- nel des l
aussi, cela va sans dire, du nombre des admis- sions. Il est des cliniques (Wurzbourg) dans lesquelles un assistant a son
les allées et venues du médecin. Rappelons une fois de plus qu'à la clinique de Wurzbourg, il y a dans le pavil- lon de trai
s en rapport étroit de contiguïté avec cette salle. Dans ces deux cliniques , les locaux et l'aménagement intérieur ont été
enl de la Seine. Annales 2néclico-psycholog., nov.-déc. 1895. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 37 ter assis dans son lit sans
s du lit, au-dessus du matelas est d'environ 0,75. Dans certaines cliniques (Wurzbourg), en vue du traitement par le lit et
u moment des repas. Suppression des quartiers d'isolement. Dans les cliniques les plus récemment construites, on a supprimé l
trop longuement insisté sur l'organisation à ce point de vue de la clinique de Wurzbourg pour y revenir. Rappelons seulemen
ces cellules et seulement pour quelques quarts d'heure. Pour une clinique plus considérable que celle de Wurzbourg (qui n
st difficile de parler de l'organisa- tion matérielle et morale des cliniques psychiatriques allemandes et plus particulièrem
pas à affirmer que ce procédé était appelé à prendre rang, avec LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 39 la suppression des moyens de
ment depuis près d'une tren- taine d'années dans un grand nombre de cliniques psychiatriques allemandes. Ces considérations s
ue nombre d'aménagements nouveaux et des plus importants dans les cliniques les plus récentes (Halle, Wurzbourg, etc.) ont
nt de ces affections. C'est dire combien considérable est, dans une clinique psychia- LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 41 tri
C'est dire combien considérable est, dans une clinique psychia- LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 41 trique, le nombre des sujets
de ce bâtiment s'est élevé à 137 000 francs. . Laboratoires. Les cliniques allemandes sont abondamment .pourvues de labora
es renseignements intéressants sur certains appareils en usage à la clinique de Gies- sen. ' « M. Sommer, dit M. Ladame, a
ions pratiques indispensables pour leur application usuelle dans la clinique . Cependant i. Sommer a déjà fait une série d'es
t bien en relief et grossit les traits pathologiques de l'image. La clinique de Giessen possède déjà un grand nombre de ces
bales ou vocales de l'aliéné rend aussi des services appréciés à la clinique de Giessen. On peut ainsi reproduire à volonté, a
» Logements des médecins et des surveillants. Dans la plupart des cliniques nouvelles, les logements des médecins assistants
e au plafond. Téléphone entre tous les .éléments constituants de la clinique , qui est elle-même reliée à la ville. Nombre
proportion est de un infirmier pour cinq ou pour six malades. A la clinique de Halle, par exemple, il y, a, pour 56 femmes,
e und Physiologie der sinne, XVI, p. 175. ' Ladame. Une visite à la clinique psychiatrique de Giessen. Annales méd. psychol.
portionnel de 1 p. 5 est considéré comme un minimum. Dans certaines cliniques , les pavillons de traitement possèdent un infir
cation avec le poste central de pompiers de la ville. A Leipzig, la clinique possède un pavillon d'isolement pour les maladi
duisons dans le tableau ci-dessous quelques chiffres concernant les cliniques psychiatriques universitaires ayant une existen
ovinciaux ou les quartiers d'hospice municipaux faisant fonction de cliniques psychiatriques. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
termine promptement par la démence : c'est l'ensemble de ces faits cliniques que l'auteur propose de désigner sous le nom de
s'attache à démontrer par l'observation des faits expérimentaux et cliniques , que cet état particulier existe réellement et qu
propose la classification suivante qui repose non seulement sur la clinique , mais sur l'étiologie et l'ana- tomie pathologi
s typiques de la maladie dont ils étaient atteints et leur histoire clinique se trouve tout au long dans les divers recueils
pyramidal. Quand on envisage les choses à un point de vue purement clinique , on est bien obligé d'établir une distinc- tion
sculaire progressive du type Aran- Duchenne nous est imposée par la clinique et par l'anatomie pathologique, il n'en existe
se généraliser dans une cer- taine mesure, en réalisant les traits cliniques de la paralysie géné- n«le spinale subaiguë. Da
ans le service de notre maitre le professeur Raymond. Observation clinique . Gulz... 45 ans. Absence d'antécédents hérédita
ant il n'a jamais vu double. A cette époque, en 1886, il entre à la clinique de Charcot qui porte le diagnostic d'hémiplégie
moyens de recherche habituels. Nous venons en effet d'observer à la Clinique de la Salpêtrière deux cas très intéressants da
limite supérieure du cône médullaire doit, après les observa- tions cliniques du professeur Raymond et les recherches anato-
du niveau de l'émergence de la troisième racine sacrée. Les signes cliniques des affections du cône se composent, d'un côté,
-I ? 1;100. Vol. XI. Fe-^% 3JSÛir rr s2. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Deux nouveaux cas de folie gémellaire
mellaire connus jusqu'à ce jour. ' Archives, 21 série, t. XI 7 98 CLINIQUE MENTALE. de les isoler et d'en former un groupe
M. Soukhanoff, de ranger tous les cas dans une seule caté- gorie clinique , répond à ces trois caractères : 1° Simultanéité
des héréditaires. C'est en effet ce que confirme, croyons-nous, la clinique . A. part les cas de psychose gémellaire vraie,
é. 3 Marro. La folie gémellaire, Annali di Freniatria, 1893. '100 CLINIQUE MENTALE. : 1° G..., vingt-deux aus, admis pour
lico- psychologiques, mai 1900.) , , Séance du 29 mai 1899. 102 CLINIQUE MENTALE. meille au fond de chacun de nous, est
ouvent entre eux. Sans pousser plus loin le paradoxe, revenons à la clinique , qui indubitablement enseigne, à qui sait obser
de la face est plus développée que celle du côté opposé. 104 ... CLINIQUE MENTALE. - . A son entrée, on constate une cert
de six ans, ayant débuté à peu près Fig. 3. - Célestine G... 106 CLINIQUE MENTALE.. 1 . ' en même temps que celui de sa s
ective, puis en idées obsédantes l ig. i. - Prudence 13... 108 .. CLINIQUE mentale. ; : i de nature mélancolique et hypoco
Aussitôt qu'il se voit hors des murs de sa division, il prend - ho CLINIQUE MENTALE. la fuite à toutes jambes pour s'évader
nd à peu près cor Fig. 5. a. Constant T... b. IIenri T... 112 ' CLINIQUE MENTALE. ' rectement aux questions qui concerne
effet existé, ce sont les excès Archives, 20 série, t. XI. 8 114 CLINIQUE MENTALE. alcooliques, auxquels étaient portés l
antérieures de la moelle épinière, dans le tubes, a pour expression clinique une amyotrophie sans réaction de dégénéres- cen
Schaffer surprit donc une sorte de parallélisme entre le tableau clinique et l'état histologique de l'amyotrophie tabétique
d'un ouvrier en bronze de quarante-cinq ans, ni l'anamnèse, ni la clinique , ni l'autopsie n'ont permis de déceler la syphili
rs dans le labes coexistait avec ces lésions. D'autres observations cliniques (voit Monakow, Oppenheim) et expérimentales (St
rité des cornes antérieures et des nerfs périphériques Le tableau clinique diffère, quant à l'excitabilité galvanique du m
encontre « dans les deux tiers au moins des cas »'. Au point de vue clinique , des tabétiques avérés deviennent paralytiques
observations de Jenlrassik. Pour Leyden et Goldscheider, les faits cliniques , aussi bien que les faits anatomiques et statisti
à la fois de la biologie, de l'ethnologie, du développement, de la clinique et de la pathologie ; ils ont été sou- tenus da
e; l'auteur rappelle sur ce point les travaux de Retzius. Preuves cliniques . Dans l'insuffisance intellectuelle, c'est la c
iots. Preuves pathologiques. Les autopsies confirment les preuves cliniques ; on peut ajouter que la fréquence et le degré de
iers; par le Dr J. 13ETnEN- COI;RT-fCRRCIR.1. (Renie de psychologie clinique et thérapeutique, octobre 1899.) L'auteur pen
ir les Il'- 57, 58, 59, 60 et 61. 154 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'examen clinique et une radiographie, sur l'omoplate et sur l'hu
sies radiculaires trau- matiques du plexus brachial au point de vue clinique et élec- trique. Ces paralysies ont reconnu des
e cadavre les divers mouvements qui avaient amené ces paralysies en clinique . Nous avons vu que dans l'élévation ou l'abaiss
is sont formées de substance cérébrale atrophiée. Au point de vue clinique cet enfant appartient au groupe des idiots micr
on présentent l'encéphale d'une enfant de huit ans, dont l'histoire clinique peut se résumer ainsi : idiotie profonde avec e
t les mêmes lésions à des degrés divers, correspondant à un tableau clinique spécial qu'ils résument par ces mots : idiotie
arait indemne. Pendant la vie, l'enfant avait tous les caractères cliniques de l'idiotie complète, il était incapable d'auc
ble de découvrir l'existence de ces dernières par une investigation clinique suffisante. - . 2° Le genre du début.' L'hémipl
part, et l'analyse des condi- tions pathogéniques et des symptômes cliniques de l'autre, nous permettent de distinguer deux
s organiques. Il y a une quantité d'hémiplégies qui au point de vue clinique se rangent parmi les hémiplégies organiques, ma
es antagonistes. Voici pourquoi, à mon avis, il ne faudrait pas, en clinique , s'appliquer surtout à déterminer la valeur abs
buer à l'artéi io-sclérose sans aller à rencontre de nombreux faits cliniques ; la vieillesse ne prédispose pas à la neurasthé
ses persécuteurs. L'éclosion rapide, l'intensité et les caractères cliniques dès hal- lucinations auditives, peuvent trouver
qui leur sont tout à fait étrangères et qui nécessitent des études cliniques aussi spécialisées que prolongées. 111. Pactet,
sion symétrique des deux lobes temporaux con- firme la constatation clinique . 3- L'intégrité de la parole spontanée prouve q
emplacement de M. le D1' Joeaw : c. '- \I\1, les Des DaGoNFT (Asile clinique ), PACTET (Villejuil'), Sérieux (Ville- Evrard),
raire des asiles publics d'aliénés. - M. Roque de 1'unsac, chef de clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encéph
imp. - 1-1901. Vol. XI.- Mars 1901. Nu 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Etude sur trois cas de maladie nerveu
ation ; car il nous sera pro- , Archives, 2° série, t. XI, 13 194 CLINIQUE NERVEUSE. bablement impossible d'avoir jamais s
ldat et a fait un an de service militaire au 103° de. ligne, à '19G CLINIQUE NERVEUSE. Alençon ; mais à son arrivée au corps
ctuel. Note prise le 2.\ : janvier 1899. Nous trouvons dans la note clinique prise alors que le malade était penché pour fauch
Troubles sensoriels. Pas de nystagmus. Pupilles égales, réa- 193 , CLINIQUE NERVEUSE. gissant bien à la lumière et à l'acco
n'a présenté de troubles des sphincters. ' ' - Etat actuel. Note clinique prise le 10 janvier 1899. -A cette épo- que, on
r : il y avait une amélioration. générale dans les : symptômes. 200 CLINIQUE NERVEUSE. Les réflexes étaient toujours exagéré
de volume, mais à l'examen il ne parait pas exister d'atrophie. 0 CLINIQUE NERVEUSE. Il existe quelques craquements dans l
laisser de traces. Chaque sujet'ne lui- imprime son individua- lité clinique que par des questions- de détail' : le père, frap
le seul signe présenté en commun par les trois sujets est une 204 CLINIQUE NERVEUSE. légère exquisse de Romberg. Mais du r
s qui ont été publiées sous ce nom s'écartent absolument du tableau clinique présenté par nos malades. Elle doit faire songe
ais, en pareil cas, la marche a été bien différente de révolution clinique que nous avons relatée. En effet, alors que- nous
it être retrouvée et admise pour l'axe spinal, rien dans le tableau clinique présenté ne nous autorise à trancher le différe
ie (Bd. X, 1880, p. ill). In thèse Lorrain, p. 62 et f05-lOG. 206 CLINIQUE NERVEUSE. et même. une altération légère des ce
et dans ce sens qu'il nous semble qu'on doive interpréter les faits cliniques que nous faisons- connaître. Nous pensons que l
1'octieosc%., 1885, p. 489 et 509. 8 Revue de Médecine, 1887. 2C8 CLINIQUE NERVEUSE. enfants, étaient frappées de crises p
., 1900, obs. II, p. 285. Archives, 2« série, t. XI. 1 1 210. ' CLINIQUE >NERVEUSE : - transformaièn parésie en même'
s se rapprochent sensiblement plus, à l'intensité près, des allures cliniques du tabes dorsal spasmodique familial. Nous croy
articulièrement bénigne et parfaitement curable. ENSEIGNEMENT Les Cliniques psychiatriques des Universités allemandes ' ;
57, 59 et 60, t. X, p. 103, 371 et 473, 61 ; t. XI, p. 27. ' LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 213 La durée des études médical
tre. La troisième et la qua- trième année sont employées aux études cliniques . Pour acquérir le droit d'exercer sur toute l'é
andidat doit justifier qu'il a suivi en qualité de Prakliknnt 1 les cliniques de chirurgie, de médecine et d'accou- chements,
il a fait deux accouchements, qu'il a fréquenté durant six mois une clinique ophtalmologique, comme Pruktilccntl, qu'il a pr
on 2. L'examen d'Etat se sub- divise en plusieurs examens, oraux ou cliniques : il ! anatomie ; 2° physiologie; 3° anatomie p
raldikanten ou élèves praticiens, sont des étudiants attachés à uue Clinique en qualité de stagiaires. Ils sont appelés à prat
n qualité de stagiaires. Ils sont appelés à pratiquer des exercices cliniques , en public, un certain nombre de fois par semestr
8 On voit qu'il n'y a pas, à Berlin, de stage obligatoire dans une Clinique psychiatrique. 2H i * ENSEIGNEMENT. l'exame
sous-officier et jouit d'une grande liberté (Progr. ? né(l.). LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. : 2 ! S Ajoutons que la- plupar
es au choix,sans concours; mais il est-évident que le professeur de clinique a tout : intérêt à-iiei choisir i pour collabora-
nserver son ^emploi d'assistant.tPlus tard il'peut être attaché. la clinique en qualité de médecin en second, -suppléant du
est-peu d'Universités allemandes dans lesquelles le stage dans; une clinique psychiatrique soit obligatoire 216 6 ENSEIGNEME
singer réclamait déjà un stage obligatoire de six mois auprès de la clinique psychiatrique. Le D1' Zinn demande que chaque é
ande que chaque étudiant accomplisse un stage de' six mois dans une clinique psychiatrique et neurologique et que les maladi
voudrait que tous les mé- decins praticiens aient à subir un examen clinique de psychiatrie. De cette façon, non seulement l
chiatrie; 2° d'une épreuve pratique consistant en l'examen d'un LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 217 blessé et d'un aliéné, en u
e brochure'. Dans les quatre ou cinq semestres consacrés aux études cliniques propre- ment dites, l'étudiant, dit M. Schultze
ait d'augmenter de deux le nombre des semestres réservés aux études cliniques . On rie saurait, à coup sûr, diminuer le temps
nt organisés les cours. Nous ajouterons seulement que les cours LES CLINIQUES 1 PSYCHIATRIQUES..219 des privat-docenten ne du
ntenant sur les éléments cons- 'tituants du personnel médical d'une clinique psychiatrique. Ce sont : ,10 le professeur'(ord
ordinaire) ; '2° les assistants ; 3° les médecins stagiaires. 'La clinique de Halle, par exemple, a, Tpour une population de
médecins en second, trois assistants; un médecin volontaire. A la clinique de Berlin (188 malades); le professeur : est seco
(assislenten)remplacent à' la, fois, les internes* et -les chefs de clinique de nos services. C'est parmi les assistants que
médical et les exigences de l'enseignement sont assu- rés dans les cliniques grâce au nombre élevé des assistants; rappe- lo
e au nombre élevé des assistants; rappe- lons, par exemple, qu'à la clinique de Wurzbourg, il y a. pour 60 malades, cinq ass
aigus, un médecin pour cinq à six aliénés aigus. Dans les autres cliniques , le nombre des assistants varie de deux à quatr
, mieux utilisés que les internes de nos asiles, les assistants des cliniques de psychiatrie ont aussi des fonctions moins su
une initiative profitable à tous, malades et chef de service (voy. Clinique de Munich). Les assistants sont enfin eux-mêmes
iaire qui intervient dans les accès d'agitation, etc. Dans quelques cliniques , les assistants, nous l'avons vu, sont logés da
ts ne s'intéressant nullement à l'aliénation mentale; qu'il met LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 221 Cours de vacances. Les « co
(honoraires : 30 marks) l'un donné par le Dr Leppmann (psychiatrie clinique , exercices de diagnostic, rédaction de rapports
par le Dr Koeppen, également trois fois par semaine (psy- chiatrie clinique avec ses applications à la médecine légale) ; six
pre, ce sont les cours de vacances, qui se donnent, dans toutes les cliniques et' policliniques de la ville, en. mars et en s
'autant diminuée2e " Conditions' d'admission des^ malades dans les' cliniques psychia- triques. Les conditions- d'admission v
nécessaires pour l'admission des malades- dans- les- ' Jayle.. Les cliniques , et les grands hôpitaux de Berlin. {Gazelle des,
ume, Grand-Duché, etc.) dans lequel ! se trouve l'Université. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 223 3 cliniques : Kraep.lin se
l ! se trouve l'Université. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 223 3 cliniques : Kraep.lin se plaint cependant (1897) des diffic
difficultés qu'il éprouve au renouvellement de la population de la clinique badoise v de Heidelberg. Il n'en est pas de mêm
un certificat de. médecin; sous la responsabilité' du professeur de clinique . Les cliniques, étant. des établissements unive
de. médecin; sous la responsabilité' du professeur de clinique. Les cliniques , étant. des établissements universitaires, reço
s mêmes, peuvent être hospitalisés grâce. aux crédits attribués aux cliniques à cet effet ! par les univer- sités. Dans la pl
conséquences qu'il faut attribuer, en Allemagne, à. la création. de cliniques .psychiatriques. (Le nouvel asile des aliénés à
s.psychiatriques. (Le nouvel asile des aliénés à Genève, z.) « La clinique : psychiatrique, de lleidelbùrg1 a..été inaugurée
.été inaugurée le 15 octobre 1878, à proximité immédiate des autres cliniques . Le professeur, docteur, Fïirstner, a publié da
ultés : iuhérentas à : toule nouvelle institution à ses débuts,. la clinique a pleinement rempli, la. tâche qui lui était dé
, la. tâche qui lui était dévolue. ' propos de l'organisation des cliniques chirurgicales des Cuiver- sités allemandes, le
rg, 1884.. 24 ENSEIGNEMENT. « A Leipzig, où fut fondée la seconde clinique , les résultats n'en furent pas moins heureux. D
t pronon- cée négativement sur l'opportunité de créer à Leipzig une clinique suivant les vues de Griesinger. Mais le gouvern
cet avis et chargea le professeur Flechsig de l'organisation de la clinique , qui fut ouverte le 2 mai 1882 l. « Voici la co
arrivé après cinq années d'observations : 1 « Les résultats de la clinique démontrent suffisamment que les objections fait
e Berlin (qui offre sous beaucoup de rapports des analogies avec la clinique de Leipzig) la conviction de la possibilité d'u
partout, je n'en doute pas, dans un temps prochain. » La nouvelle clinique psychiatrique de Strasbourg fut inaugurée le 29
ve à des conclusions analogues et insiste sur le rôle important des cliniques psychiatri- ques et des asiles urbains au point
t de vue de l'enseignement et de l'assistance des aliénés. ' « La clinique psychiatrique de Triboztry-eza-Brisgctzt, dit M.
'annonce qu'il publiera les résultais très encoura- geants de cette clinique lorsque les dix premières années seront accompl
s dix premières années seront accomplies. A Halle, on inaugura la clinique des maladies mentales et ner- veuses, placée à
ique des maladies mentales et ner- veuses, placée à côté des autres cliniques , le 29 avril 1891 ; enfin à 11'ürbourg, la nouv
utres cliniques, le 29 avril 1891 ; enfin à 11'ürbourg, la nouvelle clinique psychiatrique s'ouvrait le il" juin 1893. « C
eloppement progressif du plan primitif tracé par Griesinger. Aucune clinique psychiatrique n'est la copie fidèle d'autres éta-
Hitzig, de Halle, qui avait reconnu les inconvénients des leçons cliniques données dans l'asile provincial des aliénés de Ni
von Dr Paul Flechsig, professeur de psychiatrie et directeur de la clinique (mit zwei Plunen). Leipzig, 1888. LES CLINIQUES
et directeur de la clinique (mit zwei Plunen). Leipzig, 1888. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 223 z de l'indépendance complèt
ES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 223 z de l'indépendance complète de la clinique psychiatrique, dans l'in- térêt des malades aus
n que dans celui de l'enseignement. Il considère l'inauguration des cliniques urbaines comme le début d'une nouvelle période
cadémique de neuro- pathologie dans les universités prussiennes. La clinique psychia- trique, dit M. Hitzig, est certainemen
aravant), iï- Br- avait pas un tiers du matériel nécessaire pour la clinique . C ? exactement comme si l'on plaçait les profe
clinique. C ? exactement comme si l'on plaçait les professeurs des clinique ^ médicales et chirurgicales à la tête d'hospice
iatrie a été élevée, du moins en Alle- magne, au rang d'une science clinique . Dès lors l'enseignement de cette science prend
us en plus considé- rable 1. ' Le médecin français qui visite les cliniques allemandes est quelque peu désorienté par la di
ssurés du succès. C'est ainsi que vont les choses dans les branches cliniques anciennes... Mais le voyageur, comme le guide,
ctivité scientifique personnelle n'est nulle part dans aucune autre clinique aussi indispensable que dans la psychiatrie. Ce
ut-à fait isolée, souvent obscure, à peine indiquée dans les autres cliniques . Dans celles-ci on apprécie sans doute aussi pa
récisément la condition sine qua non de son enseignement. - « Les cliniques psychiatriques ont ainsi un double problème à e
éveloppement psychique : A. L'i7nIJG'Cillilé. - B. L'idiotie. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 227 7 résoudre, dont l'un est l
ire les élèves et de les introduire dans sa science spéciale. « Les cliniques psychiatriques, ajoute le professeur Wernicke, so
tâche de fournir les moyens pour trans- former de plus en plus les cliniques psychiatriques en cliniques des maladies nerveu
pour trans- former de plus en plus les cliniques psychiatriques en cliniques des maladies nerveuses... Sans un choix de mala
et soigneux des malades, et sans les recherches nécroscopiques, les cliniques psy- chiatriques restent incomplètes et insuffi
our être de vrais instituts scientifiques. a La seconde tâche des cliniques psychiatriques est de servir d'institution d'en
un second mémoire exclusivement consacré aux asiles urbains et aux cliniques psychiatriques, Wernicke montre que Breslau a p
Breslau a pleinement réalisé l'idéal de Griesinger, et possède une clinique des maladies mentales et nerveuses offrant pour l
ts et aigus qu'on ne pourrait sou- haiter meilleur. En outre, cette clinique rend à la ville les services les plus avantageu
Quels services, dit M. Wernicke, la ville demande-t-elle à un asile clinique ? Un établissement semblable doit être une statio
ris dans leurs familles après un séjour plus ou moins prolongé à la clinique . Ensuite les incurables non dangereux qui sont tr
des curables chro- niques et les aliénés périodiques. » « L'asile clinique est essentiellement une station transitoire. Da
ils doivent entrer. La durée moyenne 'du séjour des malades dans la clinique est surtout augmentée parce qu'on y garde les p
r la ville. A Breslau, le tiers environ de la population de l'asile clinique est formé par les paralytiques géné- raux. Que
s et de surveillance sont nécessaires pour ces malheureux ! L'asile clinique réunit ainsi les tâches les plus diffi- ciles q
en organisé. » (Wernicke.) Hitzig- avait déjà fait remarquer que la clinique psychiatrique n'a nullement la prétention de fa
psychiatrique n'a nullement la prétention de faire concurrence à la clinique mé- dicale, en admettant, comme cette dernière,
ent plus rapide et plus libre des malades, qui est particulier à la clinique psychia- trique, a écarté déjà pour elle ces di
ur elle ces difficultés. Aujourd'hui on ensei- gne partout dans ces cliniques la pathologie cérébrale tout entière. La cliniq
partout dans ces cliniques la pathologie cérébrale tout entière. La clinique médicale et la clinique psychiatrique contribuent
es la pathologie cérébrale tout entière. La clinique médicale et la clinique psychiatrique contribuent ainsi toutes deux par
ladies de la moelle épinière et du sys- tème nerveux en général. La clinique psychiatrique doit nécessai- rement comprendre
logie ner- veuse tout entière, non pas comme rivalité inutile de la clinique médicale, mais comme terrain d'observation indi
n indispensable à l'étude des psychoses. Dans les universités où la clinique psychia- trique a atteint son complet développe
- « Tandis que Wernicke et Binswanger, ajoute M. Ladame, ont LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 229 envisagé les cliniques psyc
ute M. Ladame, ont LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 229 envisagé les cliniques psychiatriques surtout au point de vue des prog
on aussi bien comprise de l'enseignement psychiatrique. C'est à ces cliniques qu'il faut, en grande partie, attribuer l'essor
'assistance des aliénés. Au point de vue scientifique, l'action des cliniques des maladies mentales est incontestable : vingt
(médecins fonction- naires) et des médecins praticiens, le rôle des cliniques n'est pas moins important. Leur personnel est c
aires et extraordinaires, des privat-docenten sont nombreux. Chaque clinique est une pépinière de médecins compé- tents et a
médecins-experts. Au point de vue de l'assistance des aliénés, les cliniques psychia- triques agissent aussi d'une façon trè
s à une surveillance attentive et à un exa- men quotidien. Si les cliniques psychiatriques donnent des résultats féconds au
ofesseur Meschede fait remarquer avec raison que le public a de LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 231 - et aussi les médecins en
t est à créer. Aucune de nos Universités provinciales ne possède de Clinique psychiatrique autonome, ni quelque établissemen
autonome, ni quelque établissement qu'on puisse comparer aux belles Cliniques de Halle, de Wurzhourg, etc. Que les admirables
sent de consi- dérer l'enseignement des maladies mentales comme une clinique accessoire, d'importance secondaire; qu'ils ne
dans un hôpital de traitement pour les maladies mentales, dans une clinique psychiatrique, dans un établissement où l'on obti
e, en Italie, en Autriche, en Russie, existent des établisse- ments cliniques , modèles. Des villes universitaires aussi considé
cipauté allemande, qui vient de dépenser plus d'un million pour une clinique psychia- trique de cent lits. - Nous avons di
- Nous avons dit plus haut les services multiples que rendent les cliniques de psychiatrie : il est superflu d'insister sur l
eux suivants : 1° Fondation, dans chaque ville universitaire, d'une clinique psychiatrique autonome, de 60 à 100 lits. Cette
ire, d'une clinique psychiatrique autonome, de 60 à 100 lits. Cette clinique située dans la ville même (hôpital urbain), ou
pour les malades placés d'office ou volontairement. Annexions à la clinique psychiatrique d'une section spéciale de neuropa
c. 2° Personnel médical nombreux : un médecin (y compris chefs de clinique , internes, externes ou stagiaires) pour dix malad
re, des concours par la concurrence. ' . 4° Organisation de cours cliniques payants d'une durée de trois semaines environ,
versités étrangères, pour renseignement pratique de la psychia- LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 233 trie, de la neuropathologie
asile des aliénés à Genève. Genève, 1895. Ladame. Une visite ti la clinique psychiatrique de Giessen. Annal, médico-psychol
e de Giessen. Annal, médico-psychol., nov. 1898. ' P. Sérieux. La clinique de psychiatrie de l'Université de WM)'2- bourg
, abdominal et plantaire) sont normaux. En présence de ce tableau clinique , l'auteur déclare qu'il ne peut s'agir ici que
iuscnavc Ci,4Y. .. 244 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI. Relation clinique d'un cas d'hémorrhagie de la protubérance suivi
envahi le noyau du moteur oculaire. A la seconde visite, le tableau clinique indiquait la propagation de l'hémorrhagie au tr
nions qu'il vient d'émettre sur la neurasthénie avec les variétés cliniques de cette maladie telles qu'elles ont été établies
(sauf la marche thermique) la fièvre typhoïde. Les manifestations cliniques de l'inflammation nerveuse périphérique varient d
) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI1. Néoplasmes cérébraux : analyse clinique de seize cas person- nels (quinze tumeurs et un
érébelleux le dia- gnostic a été fait, et confirmé. Au point de vue clinique , nous croyons que les symptômes se sont montrés
téressant au point de vue anatomo-patholo- gique qu'au point de vue clinique . Par suite d'un choc d'une extrême violence, la
s points intéressants de l'observation tant anatomopathoiogique que clinique . Il y avait une congestion intense des méninges
du Congrès international de 1900, des comptes rendus de recherches cliniques sur ce sujet ne pou- vaient manquer de venir pr
autre à Lille par M. de Caste- ras. La première abonde en documents cliniques positifs relatifs aux modifications du poids du
ur être aliéniste, il faudrait que le magistrat eût une éduca- tion clinique spéciale, approfondie ; pour connaître les aliéné
aliénés serait imposé aux candidats au diplôme spécial; un examen clinique servirait à contrôler leur degré d'instruction.
Dr Heerman qui, dès 1837, réclamait un stage d'un semestre dans une clinique psychiatrique. M. de Fontaubert propose d'utilise
une telle opinion, ignorent le puissant con- cours qu'apportent la clinique et l'anatomo-pathologie, à l'ana- tomie et à la
s ont été fermées à trois mois. 30. L'enfant nous arrive de l'Asile clinique avec de la fièvre (38°). Le corps offre un état
ransfert. Il y aurait un intérêt d'humanité à agir partout de même. CLINIQUE NERVEUSE. Abcès du lobe temporal droit du cerve
nt duré quelques nuits à peine. Archives, 2' série, t. NI. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. La maladie actuelle aurait débuté pou
excitations (lumière et accommodation) très rapidement et 'sans 292 CLINIQUE NERVEUSE. 1 paresse. Pas de nystagmus, nous avo
ade demeure toujours les yeux fermés dans une apathie Fig. 8. 294 CLINIQUE NERVEUSE. complète; il répond toujours correcte
tre mois, elle avait été parfois accompagnée de signes d'une valeur clinique considérable : migraine ophtalmique à droite, a
dans l'espèce, compression intéressant le pédoncule cérébral 96 - CLINIQUE NERVEUSE. - '0 ! < (parésie et troubles de l
attirée du côté du lobe tem- li. l0. - t : oupe frontale. - .298 CLINIQUE NERVEUSE. poral droit où l'on voit un point de
ons maintenant reconstituer la physiologie pathologique de ce cas clinique : Le lobe temporal droit, siège de l'abcès, se
ga- nisées, dans la plupart des cas, qu'au bout d'un mois et, 300 CLINIQUE NERVEUSE. d'ailleurs, les premiers symptômes ac
ion qu'il fit en 1861 à l'Académie de médecine ' et dans ses leçons cliniques 2 porta à la « congestion cérébrale » le coup l
te d'une façon géné- rale. » Dans un pareil débat, les observations cliniques sont les seuls arguments valables ; c'est à ce
lectique dans ses rapports avec l'épilepsie. ' Trousseau. Leçons de clinique médicale de l'Hôtel Dieu, 5« édit., t. 11, p. 6
à la rage; malgré cette confirmation expérimentale du dia- gnostic clinique M. Sano déclare que l'examen histologique des c
ts pour étudier les maladies mentales par leur côté exclusivement clinique ont aussi manifestement échoué que ceux delà psyc
longer outre mesure cette analyse, à donner pour chacun des groupes cliniques énumérés plus haut, le poids spécifique de la s
pologie. li. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 327 X1\'1. Faits cliniques : 1° Hystérie post-épileptique. 2° Aberra- tion
e épiblastique. Il y a donc un fondement ana- tomique à la doctrine clinique suivant laquelle les anomalies cuta- nées indiq
rapide qu'en six semaines on peut voir se suivre toutes ces formes cliniques ». ' Les hallucinations de la vue et de l'ouïe
ie. En un historique rapide, il montre que le remarquable tableau clinique de la lypémanie, tracé par Esquirol. beaucoup tro
somme, comme Régis et Gaide l'avaient établi sur un simple exa- men clinique , ces deux autopsies prouvent que la maladie du
de rendre des services adminis- tratil's à son asile. VARIA. La clinique de Tuuingen. Une notice du Professeur Siemerlin
esseur Siemerling fournit les renseignements suivants concernant la Clinique psychiatrique de Tubingen 1. Le z dont dispose
rnant la Clinique psychiatrique de Tubingen 1. Le z dont dispose la Clinique a une superficie de 1 hectare 30 ares, dont 36
30 ares, dont 36 ares pour le terrain d'assiette des bâtiments. La Clinique possède'en outre un terrain de près de 3 hectares
Siemerlino;.ll;ade mischen Revue oct. 1893. Voir 1'. Sérieux. Les Cliniques psychiatriques des Universités alle- mandes. (a
s. (arcs. de Neurologie, 1900, iio 30, p. 476.) 360 - varia. ` La Clinique est placée dans une situation admirable, sur une
ndue, et à proximité des autres établissements universitaires : les cliniques de méde- ' cine et de gynécologie sont à 4 minu
t à 4 minutes de distance; l'institut d'anatomie pathologique et la clinique chirurgicale sont à quelques pas. Un n'a pas
adopté le système des pavillons séparés : toutes h s parties de la Clinique sont reliées entre elles dans un même bâti- men
d'examen, est munie de tous les appareils nécessaires pour l'examen clinique . Il y a encore un dortoir de G lits, une. chamb
t à la vapeur à basse pression. Eclairage au gaz (Bec Auer). A la Clinique de Tubingen les conditions d'admission sont les
Bruxelles) ; 2° Pathologie mentale : Du délire aigu au point de vue clinique , anotonio-patliologique et bactériologique. Rap
imp.-3-l'JO1. Vol. XI. Mai 1901. NO 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE.. «, L'Épilepsie partielle. Pathogénie
M6dGcnidûIaëa ! pti'iôre. ' Messieurs · En interrogeant les faits cliniques , pour en dégager le substratum anatomo-patholog
étermine la contraction d'un groupe isolé de 1 Leçon extraite de la Clinique des maladies du système nerveux, t. V (sous pre
professeur F. llaymond. ' ? ' ARCHIVES, 2- Série, t. XI. 24 .370 CLINIQUE NERVEUSE. muscles, préposé à tel ou tel mouveme
hrift fitt' Chirurgie, 1898, 1. XLVIII, fasc. 2 et 3, p. 223. 372 CLINIQUE NERVEUSE. - L'extirpation DES centres corticaux
es pyramidales, et une condensation du tissu névro- glique. ' 374 CLINIQUE NERVEUSE. 8° Doyen-Raymond (Il s'agit du cas du
icale dont l'excitation produisait des contractions du pouce et 376 CLINIQUE NERVEUSE. des mouvements dans l'articulation du
ntôt la tête se tournait vers la gauche ; les doigts de la main 378 CLINIQUE NERVEUSE. gauche se relâchaient; le malade ouvr
nvahi par des secousses involontaires, auxquelles fit suite une 380 CLINIQUE NERVEUSE. - attaque d'épilepsie. Ce même jour,
ta dans l'extirpation du centre cortical des mouvements de la 382 ) CLINIQUE NERVEUSE. main gauche. Deux jours après, on con
PosT..Boston médical and su)-gical journal, 7 jan- vier 1892. 384 CLINIQUE NERVEUSE. STARR, loc. cit ? obs. 3. DANA et C
enne. D'autres ont incriminé la Ancltmes, 28 série, t. Xf. 25 386 CLINIQUE NERVEUSE. compression de la zone rolandique, pa
troisième paire ou de son noyau, et elle peut être la seule preuve clinique appréciable d'une paralysie pré-existante de la
com- plète à droite, incomplète à gauche. R. C. LVI. Contribution clinique et anatomo-pathologique à l'étude de l'acroméga
nopsie. Dans les trois observations non suivies d'autopsie l'examen clinique avait révélé des signes d'artério- sclérose. Lo
cas rare dans la littérature médicale, compre- nant une description clinique complète et une autopsie avec exa- men microsco
- laire. (Nouv. Inconogr. de la Salpétrière, n° 1, 1900.) Tableau clinique et anatomo-pathologique complet de cette affect
utive a ! la trépanation. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 401 vue clinique , début tardif des symptômes ; au point de vue ana
s ranger dans le cadre de cette curieuse affection, dont le tableau clinique peut-être résumé comme suit : développement pro
e pré- sentant, en dehors du symptôme arthropathie, qu'un tableau clinique presque nul, et conduisant l'auteur aux conclusio
lynévrite syphilitique il parait donc possible de tracer l'histoire clinique de cette affection : apparition de troubles ner
it ans, guérie par la suggestion hypnotique et dont l'ob- servation clinique est enrichie de 'tracés cinématographiques dont
ctile, de la sensibilité à la douleur et du sens musculaire ; or la clinique est d'accord ici avec la théorie, et ces symptô
une terminai- son invariablement funeste. L'auteur après ce tableau clinique se propose d'insister sur le diagnostic et le t
XXXIX. Une forme dégénérescente-de folie syphilitique, avec types cliniques ; par G.-A. Welsch. (Tite Journal of Mental Scienc
mitivement les cellules nerveuses, et qui, par ses manifesta- tions cliniques rappelle de très près la paralysie générale, avec
de cette maladie est relative au mode d'action du virus : les faits cliniques indiquent un processus de dégé- nérescence et i
des toxines dans la syphilis est démontrée par les manifesta- tions cliniques de la maladie, et d'une façon plus concluante enc
quia éclaté dans nos asiles parce qu'elle en présente les symptômes cliniques et les lésions anatomo-pathologiques. Mais les sy
ne vertébrale dans la syringomyélie. Il s'agit d'une malade de la Clinique , paysanne âgée de quarante ans, qui présentait
a syringomyélie gliomateuse (et à elle seule) correspond un tableau clinique bien caractéristique (la triade d'Iloffnian). Les
omateuse doit être mise à part et différenciée tant au point de vue clinique qu'anatomo-pathologique ; 4° La syringomyélie g
té à côté d'une hydro- myélie peut ne se lévéler par aucun symptôme clinique , tandis que le tableau clinique de la syringomy
ut ne se lévéler par aucun symptôme clinique, tandis que le tableau clinique de la syringomyélie gliomateuse'répond à un sub
de psychologie expérimentale. M. le D" Antheaume, ancien chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de Médecine, f
a Faculté de Médecine, fera, à l'issue du cours, des démonstrations cliniques . Des conférences complémentaires, accompagnées
1 - PL. Ilf. Vol. XI. Juin 1901. N, 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. 1 Un nouveau cas de paralysie généré
cine, séance du 20 mai 1893.) , Archives, 2« série, t. XI. 29 450 CLINIQUE mentale. d'aliénistes autorisés de tous les pay
u- près unanimement acceptée, avec les caractères étiologiques et cliniques que nous lui avions tracés dès le début. OBSERV
n, également plus marquée àlgauche. Le fond de l'oeil, examiné à la clinique ophtalmologique du professeur liadal, ne révèle
compagne même de trémulation de l'orbieulaire des lèvres et 452 . CLINIQUE mentale. des muscles de la face. Après un insta
reconnue à l'examen, par M. le professeur Lanelongue et son chef de clinique le D1' de Boucaud, comme une hernie musculaire
inguale et labiale sont très accusées, etc. Seule, 1 Fig. li. 454 CLINIQUE MENTALE. l'exagération du réflexe rotulien du c
psie qui ne pourra, je crois, que confirmer le résultat de l'examen clinique . Ce que je voudrais, c'est relever et commenter
ysie générale des adolescents. (Thèse de Bor- deaux, 1899.) 456 ' CLINIQUE MENTALE. aine, antérieur à la syphilis paternel
se surve- nue chez mon malade pendant sou séjour au régiment. 458 CLINIQUE MENTALE. - - - Les conditions dans lesquelles s
malade, que le professeur Lannelongue de Bordeaux et son chef de clinique le D de Boucaud ont bien voulu examiner et véri
présente et survient avec cet intervalle, est considérée'dans la clinique comme une conséquence de la dégénération secon-
isque l'atrophie des muscles contractures n'existe pas. Les faits cliniques démontrant que le syndrome, exagéra- tion des r
ermettraient de faire une thèse très intéres- sante au point de vue clinique et social. SÉMÉIOLOGIE. Un nouveau signe phys
uaud » mieux que nous n'avons pu le faire, et en montrent la valeur clinique . Nous avons simplement voulu attirer l'attentio
s phénomènes qui provoquent cette modification urinaire, le tableau clinique des symptômes qui l'accompagnent est maintenant
hez deux paranoïaques et un hypochondriaque. J. SÉGLAS. LV. Étude clinique sur les psychoses névralgiques; par Muigazziki
coce. M. Briand, dit-il, fait remarquer que ce qui crée le syndrome clinique c'est surtout le syndrome anatomique. Je ne cro
raits essentiels les déductions que j'avais tirées de l'observation clinique de ce malade. Il existe bien un syndrome consis
aladie de luiedreiclr, et des signes se rattachant à ces deux t pes cliniques . 1111. Crsr.w et Iwnotr montrent les radiograph
2° Ophtalmojilégie aiguë d'origine syphilitique, ayant l'apparence clinique d'une affection parenchymateuse systématisée. Phé
de corrélation absolue entre le délire et les attaques. Le tableau clinique aurait dû être complété de cette constatation q
de M. Vignot. Inutile d'insister sur l'importance, au point de vue clinique , des résultats auxquels est arrivé l'auteur, en
émence précoce. Paul Sérieux. ». Le co nple rendu des travaux de la clinique des maladies ner- veuses et psychiques du profe
ployer de la violence. Les statistiques des malades traités dans la clinique du profes- seur Becliterell'coiicertieiit les m
s plus grande que parmi les gens normaux. Des malades morts dans la clinique de M. Bekhtereff 45,2 p. 100 sont morts à la su
de neuro psychose. Les bromures sont lar- gement appliqués dans la clinique du profes-eur russe. On donne parfois le chlora
ee. Parkes Mu seum. 1 REY ? %UD (G.) et Audibert (V.). Recherches cliniques et radiogra- phiques sur six cas d'usléo-arlhro
et Alonuisset, 513. CL4RIÇ University, \urcesler, lasts, 446 Cliniques psychiatriques des Uni- versités allemandes, pa
2 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'Ulll.ll'F. SOUS LA DIRECTION DR MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie ! de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Aunc). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-Aunc). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facili
mes. 1900 Vol. X. Juillet 1900. Nu 55. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Sur un cas d'hémorrhagie méningée sou
arachnoïdienne ; Par MM. Paul COURMONT et CADE. {Travail de la clinique de tll. le professeur 73o·zclet.) L'histoire et
le professeur 73o·zclet.) L'histoire et particulièrement l'histoire clinique des diverses variétés d'hémorrhagies méningées
sous le nom d'apoplexie méningée. Archives, 2' série, t. X. 1 "2 CLINIQUE NERVEUSE. rencier des autres hémorrhagies péri-
ncier des autres hémorrhagies péri-encéphaliques, mais son histoire clinique est restée encore bien obscure malgré le nombre
Peut-être arrivera-t-on ainsi à expliquer la variabilité du tableau clinique , variabilité très frappante lorsqu'on parcourt
égie flasque gauche (facial inférieur et membres) persiste aussi. 4 CLINIQUE NERVEUSE. Il y a toujours un état de contractur
ou moins foncée allant du rouge franc au rose pâle et parsemées 6 CLINIQUE NERVEUSE. de quelques rares noyaux. Ces flaques
nous allons exposer, considérations d'ordre anatomo-patho- logique, clinique et thérapeutique. If. - Considérations- général
i- gine artérielle et rhémorrhagie eérébrale se poursuit encore 8 CLINIQUE NERVEUSE. lorsqu'on examine de plus près le mod
ulier, le rôle pathogénique des dilatations anévrysmales. L'étude clinique de notre observation et la lecture des faits pl
ruyante, or si o,m ânalys un à un chacun des éléments de ce tableau clinique on marque non sans étonnement qu'un certain nom
onnais- sances )2 éclico- chii,ii ? q ic(t 1(,s, 1839, p. 55.) 10 CLINIQUE NERVEUSE. , moitié droite du corps. Ces contrac
côté de la lésion ne constituent point une anomalie-dans l'histoire clinique des lésions méningées, et il y a de nombreuses
ettement de cet exposé critique des symptômes qui marquent la scène clinique des hémorrhagies sous-arachnoïdiennes, c'est la
t. La scène change donc avec l'acteur. Mais ce n'est pas tout. 12 CLINIQUE NERVEUSE. Chez un même sujet on la voit subir d
ons insister sur cette variabilité d'un moment à l'autre du tableau clinique chez le même sujet, variabilité qui, jointe à l
s d'une pupille tantôt aux dépens de l'autre. Ainsi donc le tableau clinique change d'aspect avec une grande facilité, et en
s régiront le mode parfois variable d'installa- tion des phénomènes cliniques . Le siège de l'hémorrhagie est assurément le fa
e les phénomènes spasmodiques occupaient le premier plan du tableau clinique . Enfin nous avons trouvé un point d'effraction
ombien il est difficile de porter ce diagnostic et de l'af- 14 -fit CLINIQUE NERVEUSE. firmer. Tous les auteurs sont unanime
ple, la diffusion de l'épanchement rend une intervention inutile. CLINIQUE MENTALE. Du sens génital étudié chez les mêmes
es sur lesquelles l'attention n'a Aiiciuves, 2e série, t. X. 2 18 CLINIQUE MENTALE. pas été, croyons-nous, suffisamment at
vrage de M. l\lickle que la perte des facultés génitales a été 20 CLINIQUE MENTALE. notée dans quelques cas comme symptôme
me il suit au point de vue de l'anormalité et de la normalité. 22 CLINIQUE MENTALE. est parfois perverti; mais sans indiqu
ossibilité d'éjaculation par la masturbation. Il ne nous a pas ,)Il CLINIQUE MENTALE. été possible de nous renseigner exacte
s se répartissent aux trois périodes de la paralysie générale. 26 CLINIQUE MENTALE. alités, incapables de se tenir sur leu
lmes ou agitées ? Le tableau suivant répond à cette question : 28 CLINIQUE MENTALE. Un premier fait intéressant fourni par
organes. SCLÉROSE TUBÉREUSE. 37 38 RECUEIL DE FAITS. symptômes cliniques qui permettent de distinguer l'idiotie symptoma
les éléments d'un diagnostic différentiel. Si parfois le tableau clinique est identique à celui de la paralysie générale, i
ménopause virile ; par le Dr Miguel Bombarda. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, novembre 1899.) Chez l'homm
on indus- trielle des imbéciles. R. de MUoGllAYE CLAY. XI. Etudes cliniques de psychothérapie; par le U'' SEIr. (Zeitschrift
icale, 27 janvier 1900.) Le raisonnement et, jusqu'ici du moins, la clinique tendent à démontrer que le remède contre l'alco
uits. C'est ce qu'on a fail à Burghoelzli près Zurich (Forel), à la clinique d'aliénés d'Heidelberg, à Wuhlgarten, près Berlin
tué est destiné à l'étude des maladies mentales et à l'enseignement clinique . Il contient 100 malades environ, des deux sexe
s assure que ce cas rentre parfaitement dans l'un des trois types cliniques qu'il a décrits, la lésion centrale ici n'est poi
Professeur : 1 l'insllluL llIédico-pédagogitlllC. III. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
oses. Telle est la première partie. La seconde partie, toute à la clinique , à la thérapeutique, à l'anatomie pathologique,
Midi (Montpellier, MM. Ricue et Pélissier). M. de Fursac, chef de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine d
rancs. - l'arts, 1900. z : .7 Librairie Carré et Naud. - Raymond. Clinique des maladies du système nerveux (hospice de la
if. Bennecke et Warda2 apportent les résultats . observés dans la clinique de Binswanger. Le premier, sur 15 cas, a eu 15
il dans mon travail intitulé « Exercices ». (Recueil de leçons de clinique , de R. Volkmann, 1897.) Ce sont des jeux de pou
Charité l'enfant fut trans- férée d'office à l'Admission de l'Asile Clinique d'où elle passa immédiatement à Villejuif dans
yphilitique avec signe d'Argyll-Robertson ; Par CESTAN. Chef dç clinique à la Salpèfricrc. Nous avons pu observer dans l
logistes. Aussi ne devons-nous pas nous éloigner du terrain de la clinique . Dans cet ordre d'idées, nos malades diffèrent es
est tout autrement si les re- flexes tendineux persistent, modalité clinique que l'on peut observer dans le tabes. Dans ce d
l'adolescence. - Un second arriéré. Un troisième interné si l'Asile clinique . - Un frère mort de méningite. Pas de consang
ohérence et enfantillage. » - Le lendemain de l'arrivée à l'Asile Clinique , M. Magnan, signait le certificat suivant : « A
e étant enfant. L'autre, aliéné, est actuellement interné à l'Asile Clinique . Voici, à son sujet, les renseignements qui nou
le Dr Paul Dubuisson : « Bar-... a été placé trois fois à l'Asile Clinique : La première fois du 19 juin 1892 au 23 avril
lorer son pardon du bon Dieu... etc. » Durant son passage à l'Asile Clinique , elle aurait offert les mêmes symp- tômes. Et
riedreich sous le nom général d'ataxie héréditaire, les différences cliniques tiennent à l'étendue et à la prédominance en di
ces auteurs à la société des neuropathologistes et aliénistes de la clinique de Saint- Pétersbourg. (V. Progrès médical, 18
manières, mais ont eu concurremment un même résultat. La même forme clinique de l'alcoolisme se produira dans tel cas où", l
HAMELINE donne communication d'un travail accompagné d'observations cliniques sur l'hérédité dans la paralysie générale et en
é bien entendu à d'autres symptômes, présente une certaine valeur clinique . Sclérose pupillaire double. - M. B.uussm prése
enteur à venir nous en faire la démonstration. BIBLIOGRAPHIE. VI. Clinique des maladies du système nerveux (quatrième série)
s en couleurs. (Libr. 0. Doin, 1900.) La quatrième série des Leçons cliniques du professeur Raymond contient des leçons faite
ée. L'étude des paralysies alternes fournit chaque jour des types cliniques nouveaux. M. Raymond présente à ses élèves une pa
de Erb-Goldflam commence à être bien connu dans ses manifestations cliniques ; mais sa place nosographique est encore à déte
n trente-sept coupes, monté pour la démonstration et la description clinique dans l'autopsie des'maladies du cerveau), par l
eau), par le or Hughes de Saint-Louis (États- Unis). - Contribution clinique et anatomo-pathologique à l'étude de la confusi
entre la criminalité des enfants et l'alcoolisme des parents. Etude clinique , par l\1ne Louise Robinovitch, docteur en médec
ement à l'hôpital Cochin, d'où il sera dirigé plus tard sur l'Asile Clinique . (Le Matin, 5 juin 1900.) Un Vacher poitevin
di à 9 Il. 1/2. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BouRXEVtLLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
Septembre 1900. N° 57. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ENSEIGNEMENT Les Cliniques psychiatriques des Universités allemandes ; .
iers ; . Réformes dans l'organisation du service médical : .' LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 195 Organisation de l'assistanc
es écoles d'infirmières ; Grand développement donné à renseignement clinique des mala- ,lies mentales. Dans les pages qui
étroitement liées, des petits hôpitaux de traitement urbains et des cliniques psychiatriques universitaires. Ayant eu l'occas
aient peut-être curieux de posséder quelques renseignements sur les cliniques psychia- triques des Universités allemandes don
L'étude de la constitution matérielle et de l'organisation de ces cliniques nous paraît d'ailleurs une question d'actualité.
chacune de ces universités, ce qui nécessitera la construction de cliniques psychiatriques universitaires. D'autre part, cert
ciaux d'agités, ces questions ont été tranchées dans la plupart des cliniques allemandes, et cela conformément aux desiderata
arties. Dans la première, nous examinons successivement chacune des cliniques psychiatriques d'Allemagne en donnant à notre d
semble, les traits les plus intéres- sants de l'organisation de ces cliniques . Le nombre des universités allemandes est de vi
en, Wurzbourg. Chaque université, sauf celle de Kiel, possède une clinique psychiatrique. 196 ENSEIGNEMENT. - Université
emagne, l'Université bavaroise de Wùrzbourg organisa, dès 1818, une clinique de psychiatrie. Long- temps installée dans les
ulius,où existait depuis trois -siècles un quartier d'aliénés 2, la clinique abandonna-, en 1888, le vieil hôpital pour deve
le leur juin 1893 que furent inaugurés les bâtiments de la nouvelle clinique (Psy- chiatrisçhe' Klinik der Universitàt Viii,
s du professeur Rieger . Conçue sur un plan tout à fait nouveau, la clinique de Wûrzbourg est 1'(i-uvre, non pas d'un .archi
nt la psychiatrie contemporaine. C'est en effet le professeur de la clinique psychia- trique lui-même, le Dr Rieger, qui a é
n Allemagne,. Arch. de Neurologie, 1895; n° t05. - C'est la seconde clinique psychiatrique de l'Empire allemand dont la créa
atisfaire les exigences de l'enseignement et de la science. L'autre clinique est celle de l'Université de' Halle (Prusse).
uzeboztrg. Klinisches Jahrbuch. V liand, 1894 (avec un plan). LES CLINIQUES -PSYCHIATRIQUES. J97 ment modèle, donnons-en br
97 ment modèle, donnons-en brièvement les caractères principaux : Clinique de soixante lits pour malades aigus ; -'deux pavi
d'examen, laboratoires pour le personnel médical (le professeur de clinique et cinq médecins) et un certain nombre d'étudia
ain, d'une superficie de deux hectares.) Le nombre des lits de la clinique (60) paraîtra peut-être insuffisant, comparé à
que (60) paraîtra peut-être insuffisant, comparé à celui des autres cliniques psychiatriques universitaires d'Allemagne (100-
rzbourg, on dispose pour l'enseignement, en outre des malades de la clinique , de 88 sujets incurables (40 aliénés et 48 épil
s et 48 épileptiques), hospitalisés à l'hôpital Julius. Le matériel clinique disponible est donc en réalité de 150 sujets en
lités que dans les services de médecine interne ou de chirurgie. La clinique sert de bureau d'admission pour l'asile de dist
nt les chroniques et les cas sans intérêt pour l'enseignement. La clinique se compose essentiellement de trois pavillons d
exclusivement à l'enseignement et aux recher- ches scientifiques ou cliniques . Les deux autres pavillons, symé- triquement di
ue sexe. (Voir la fit.6.) -. . Les locaux les plus importants de la clinique étant situés au rez-de-chaussée, nous dirons qu
l et du premier étage. Le sous-sol des trois pavillons composant la clinique est assez élevé. En partie aménagé pour servir
des cours pour cent auditeurs assis ; 2° deux salles pour l'examen clinique des ma- lades avec installation électrothérapiq
D TMccrOEt ? coej-. 1 £ .n, \0kamôrcs d'examen; Fi ? ri. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 199 seur; 3" les bureaux; G. un
mpte des conditions spéciales dans lesquelles devait fonctionner la clinique psychiatrique de Wùrsbourg. Les locaux devaient
systématique de cette méthode avec les exigences de l'enseignement clinique , de façon à ce que le traitement ne fut pas int
en cellule, ni emploi habituel des « calmants ». Et cependant, la clinique devait recevoir un nombre considérable de cas aig
ec le concours du D1' Sommer, aujourd'hui titulaire de la chaire de clinique psychiatrique à l'université de Giessen, M. Rie
linique psychiatrique à l'université de Giessen, M. Rieger, dont la clinique , nous le répétons, sert de bureau d'admission p
nvient à ce propos de rappeler l'opinion formulée, il y a long- LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 20J M. Rieger examine ensuite l
'examen du plan des pavillons, comment M. Rieger remplace, pour les cliniques universitaires, cet isolement acoustique par ce
r chaque fois qu'éclate un accès de ce genre, de même que, dans une clinique obstétricale, le médecin est appelé pour survei
A-t-on affaire à un agité furieux, absolument égaré, dans un - LES CLINIQUES l'bYCHI.a'l'RIQUt;S. 03 ' état de conl'ubion pr
açon automatique. Une organisation de ce genre, excellente pour une clinique universitaire de soixante lits, présenterait de
ique et affectée aux sujets bruyants ou agités'. Population de la clinique (1"' janvier 1898) : 51 malades (19 hom- mes, 3
' Ladame et à M. le D1' Loehr, les éléments de la description de la clinique de psychiatrie de Giessen, une des plus récente
linique de psychiatrie de Giessen, une des plus récentes (1890) des cliniques de ce genre en Allemagne 2. La clinique psych
plus récentes (1890) des cliniques de ce genre en Allemagne 2. La clinique psychiatrique (l'schiutnische Klinik zze Giessen)
tudiants peuvent ainsi, sans perte de temps, suivre les différentes cliniques , qui n'ont pas lieu comme en France; à la même
prend le professeur, M. le De Sommer, qui est aussi directeur de la clinique , trois assistants et deux médecins volontaires,
clinique, trois assistants et deux médecins volontaires, logés à la clinique . Le nombre des lits est de 80. La proportion de
un pour trois malades. - ? Voir sur cette question : P. Sérieux. La clinique de psychiatrie de l'université de 1--VÜ/'zboU/'
cellulaires . Revue de psychiatrie, avril 1898. - * De Boeck. La clinique de psychiatrie de l'université de Giessen (Bul-
de Belgique, décembre 1896, p. 393-399). Ladame. Une visite à la clinique psychiatrique de Giessecz. Annal, méd. psycholo
trique de Giessecz. Annal, méd. psycholog., nov. 1898. - -- , LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 205 L'établissement se compose
baigner les malades agités près de leur lit. Comme dans les autres cliniques , le non-restreint est rigoureu- sement appliqué
e non-restreint est rigoureu- sement appliqué. Lesavantages de la clinique de Giessensontles suivants : 10 Abon- dance des
à Giessen un infirmier pour 2,5 à 3 malades. Outre le professeur de clinique , qui remplit les fonctions de directeur-médecin
lement, les appareils ont coûté 150 000 francs. L'Etat fournit à la clinique une subvention annuelle de 77 000 francs. Le pr
ns, le directeur s'inspire avant tout des besoins de l'enseignement clinique ; il peut recevoir gratuitement 10 malades, dont
reculé devant l'énorme dépense de plus d'un million pour créer nne clinique psychiatrique modèle. Espérons que nos université
pérons que nos universités provinciales suivront cet exemple. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 207 Le professeur Sommer est l'
fesseurs extraordinaires ; 5 privat-docenten ; 20} étudiants.) La clinique psychiatrique de l'université d'Iéna, fondée en 1
ce propos, M. Harlan fait les remarques suivantes : Au point de vue clinique , il est facile de diviser les cas de cécité hys
La paralysie de Landry n'existe pas comme entité morbide. t11 la clinique , ni l'anatomie pathologique, ni l'étiologie ne sa
étiologie ne sauraient établir son individualité. Au point de vue clinique , aucun des symptômes décrits par Landry n'est f
htalmique n'est vraisemblablement pas une maladie, mais un syndrome clinique que des causes, peut-être multiples, peuvent fa
nt de vue psychique. LwOrF. IV. Contribution à l'étude de la valeur clinique et médico-légale de certains délires systématis
anifestations morbides ont marqué un notable progrès. Cette méthode clinique donne à chaque phénomène le rang qui lui revien
hniques, l'expérimentation physiologique confirmant et éclairant la clinique , ont fait faire un grand pas à l'étude des loca
'investigation, et quelle vive lumière elles ont jeté sur des côtés cliniques restés jusqu'ici obscurs. Ce n'est pas tout,
s grandes envolées, quel que soit l'essort de notre imagination, la clinique immuable, rebelle aux hypothèses, fournit chaqu
ychiques qui survivent à l'accès peuvent affecter toutes les formes cliniques depuis la manie et la mélancolie, depuis les déli
puisse affirmer qu'il existe une folie de la puberté à physionomie clinique spéciale. M. Tokarski (Moscou) pense que les ra
s premières sont banales. Les autres semblent avoir une physionomie clinique se 246 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. rap
6° Malades perdus de vue après le premier accès, 30 cas. L'aspect clinique du premier cas observé permet de les confondre, a
iode terminale de la paralysie générale présente donc deux variétés cliniques : l'une avec contractures et impotence, d'aulre
deux ordres de motifs : les conditions étiologiques, les symptômes cliniques . En ce. qui concerne les conditions étiologique
t pour ou contre la névrose d'angoisse. En revanche les symptômes cliniques se rencontrent, en pratique, tels que les a déc
e névrose d'angoisse, ne saurait douter que le tableau et la marche cliniques diffèrent absolument de la neurasthénie à stig-
es centres nerveux sous la forme d'îlots disséminés; les recherches cliniques de Charcot et Vulpian nous apprenaient à distingu
données éparses existent, glanées dans le domaine de l'observation clinique , qui nous garantissent l'espoir que les voies i
ancs. Paris, 1900. Librairie Carré et Naud. BOURNEvILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
. Bien que le régime au lit était appliqué en 1895 également à la clinique psychiatrique que je dirige et où, comme le mon
depuis ce temps restent complètement inoccupées, l'expérience de la clinique , comme d'un hôpital en petit et particulièremen
nt fait des recherches relatives à ce régime, sur les malades de la clinique psychiatrique de Saint-Pétersbourg, où il avait
e détails, tels que, par exemple, l'améliora- tion de l'observation clinique et, comme conséquence, une meilleure applicatio
nous, le docteur Govséiew à Ekaterinoslaw, par exemple, et moi à la clinique de Moscou, et nous avons réussi l'un et l'autre
lus grande garantie de la sécurité, l'amélioration de l'observation clinique et du traitement des malades; d'aulres y ajoute
grande faci- lité pour leur donner des soins et pour l'observation clinique ; usage restreint des chambres isolées ; le syst
ction, une haute température et chez les personnes très épuisées. CLINIQUE NERVEUSE. Syndrome de Basedow post-typhoïdique
scillant entre 110 et 120. Ai-.r.nnE : , e sél ie, t. X. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. Cette complication attira l'attention
pital le 13 du même mois pour une recrudescence de ses pal- 292 1-) CLINIQUE NERVEUSE. pitations, amenée par quelques tentat
ves de médecine et de pharmacie militaires, 189G.) Charvot. Etude clinique sur les goitres sporadiques infectieux. (Revue
9.) * Roger et Garnier. Société de biologie, 30 juillet 185S. 294 CLINIQUE NERVEUSE. de vue, nous ne relevons aucune propa
ns les maladies infectieuses, Thèse de Paris, 5 février 1809. 296 CLINIQUE NERVEUSE. tation de volume de la glande thyroïd
papilles fungiformes. Le Dr Archibald Garrod (Transactions, Société clinique de Londres, vol. 30, 1899) a appelé l'attention
1111EBZEJI\I\'SKI, membre du Conseil médical, ancien professeur de clinique mentale à Saint-Pétersbourg. La classification
rt des déviations de développement ulté- ' t3ourneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
r leurs troubles, Wernicke et Broadbent ont fourni la démonstration clinique que les fonctions du centre moteur du langage s
conductrices de la substance blanche. En tenant compte des réalités cliniques connues, nous arrivons, d'après ces principes,
e motrice pure n'ont pas encore levé tous les doutes sur sa réalité clinique .) B. Aphasies motrices complexes. Lésions combi
-mêmes plus ou moins atteints par la lésion. (Les diverses variétés cliniques de l'aphasie motrice ordi- naire, avec ou sans
chite tuber- culeuse. Au moment de son entrée dans le service de la Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtriè
es affections des centres postérieurs d'association ; l'observation clinique s'établit, justifiant la légitimité de notre di
on sénile peuvent écla- ter des psychoses déterminées dont l'aspect clinique porte la trace des processus de régression qui
tions délirantes ont un contenu tout à fait absurde. C'est la forme clinique décrite sous le nom de Wahnsinn dépressif. Tout
nger dans la mélancolie certaines formes, analogues au point de vue clinique , qui sont en rapport avec la grossesse, ou la l
Tablettes des Deux-Charentes, 8 septembre.) Bourneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
so-méca- nothérapique, tel que nous l'avons pratiqué soit dans la clinique de notre très distingué maître, M. le professeur
er et Cestan ont montre dans leur intéressant travail, fait dans la clinique du professeur Raymond, que, normalement, l'homm
ule l'énorme cour qui sépare l'infirmerie de la Sal- pêtrière de la clinique Charcot. Si les bons effets du traite- ment éta
plus de vingt ans nous employons les exercices des jointures . LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 371 Le traitement est à la port
vices à la popu- lation, à la médecine et surtout aux élèves de nos cliniques médicales de Paris '. . ENSEIGNEMENT Les Cl
lèves de nos cliniques médicales de Paris '. . ENSEIGNEMENT Les Cliniques psychiatriques des Universités allemandes 2 ;
en. C'est, en Saxe, à Leipzig, qu'a pris naissance l'enseignement clinique des maladies mentales en Allemagne. Ileinroth, él
ofesseur de psychiatrie. Il continua ses leçons jusqu'en 1843. La clinique universitaire actuelle et la seconde clinique psy
ons jusqu'en 1843. La clinique universitaire actuelle et la seconde clinique psychia- trique construite, en Allemagne, en vu
établissement est devenu, par arrêté ministériel d'avril 1888, la « Clinique de psychiatrie et des maladies ner- veuses » (l
9t0 000 francs; terrain : 200 000 fr.). Il est vrai de dire que la clinique saxonne, dont le terrain d'assiette a une super
uperficie de 3,3 hectares, et qui est située à proximité des autres cliniques universitaires, peut être considérée comme un é
s emprunterons un certain nombre de renseignements et le plan de la Clinique au travail du Dr Buffet, A travers asiles, Luxemb
ue au travail du Dr Buffet, A travers asiles, Luxembourg, 1888. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 373 cubes dans les salles de ré
eu. Un réseau téléphonique dessert tous les locaux importants de la clinique . Un fil spécial met en communication l'établissem
ession. En outre de la grande construction affectée aux malades, la clinique comprend encore quatre bâtiments : 1° Le bâti
s. Statistique. - Lors de notre visite (1894) la population de la clinique était de 150 malades (chiffre normal : 435).- Nom
p. cent.- Décès 9 2 p. cent. Personnel médical. Le professeur de clinique est directeur médecin en chef de l'établissemen
se de quinze lits gratuits, précieuse ressource pour l'enseignement clinique . Il peut ainsi admettre les malades intéressant
programme des quatre cours est le suivant : 1° cours de psychiatrie clinique ; 2° cours de diagnostic psychiatrique; 3° cours
présentation de malades; 4° cours de physiologie du cerveau. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 375 Les cours du professeur son
haut intérêt, très fréquenté. Nous avons assisté à une conférence clinique . Le professeur, qu'accompagne un seul des trois a
trente-cinq ans, il était professeur ordinaire et directeur de la Clinique . La plupart des travaux qui ont rendu son nom c
de Halle, ne disposa, pendant plusieurs années, pour l'enseignement clinique des maladies mentales, que de l'asile provincia
e de la ville. C'est en 1879 que le professeur Ilitzig y ouvrit une clinique psychiatrique. En raison des incon- vénients mu
vénients multiples de cet état de choses, on installa, en 1885, une clinique psychiatrique provisoire dans deux bâtiments en l
comprenant 10 lits. ' En 1888, l'Université, voulant construire une clinique modèle 376 G ENSEIGNEMENT. pour les maladies
2,5 hectares situé dans la ville même, à treize minutes des autres cliniques universi- taires. Le p"ix de revient des constr
. Le p"ix de revient des constructions s'éleva à 832 000 francs. La clinique de Halle, dont le chiffre normal des lits est de
10, fut inaugurée le 29 avril 1891. C'est, en Prusse, la première clinique de psychiatrie constituant un établissement tout
tablissement tout à fait autonome, et placée à proximité des autres cliniques universi- taires. (Künigliche Psychiatrische un
ofesseur Ilitzig fut chargé d'en élaborer le plan. Jusqu'alors, les cliniques psychiatriques des universités d'Alle- magne, c
semble massif de bâtiments étroitement unis les uns aux antres, ces cliniques ne répondent plus à la conception qu'on se fait
me sont toujours restés ceux d'une caserne. » Hitzig, ajoute que la clinique psychia- trique doit remplir dan3 l'assistance
Hitzig à adopter le système des pavillons détachés, à segmenter la clinique en un certain nombre de bâtiments séparés par d
que en un certain nombre de bâtiments séparés par des jardins. La clinique de Halle se compose de onze pavillons répar- ti
Le nouvel asile des aliénés il Genève. Genève, 1S'J ? p. i-i6. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 377 -i ailes, à rez-de-chaussée
s pavillons pour chaque sexe 2). Le jour de notre visite (1894), la clinique comptait en tout 129 ma- lades. L'établisseme
mbler à une prison. On a tenu compte aussi dans l'aménagement de la clinique de la grande proportion des admis- sions de mal
s au cours de notre visite, et nous résumerons la description de la clinique de Halle, tracée d'après un rappoit, de M. le p
ori/ 1 de. E Ci(-, ' (7 .B(Ïtime71¿ principal'. l'ig. 11. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 37U la loge du concierge, le lo
ez-de-chaussée, qui sert de vestiaire aux auditeurs des cours de la clinique . La salle des conférences (Auditorium) située a
des bâtiments à rez-de-chaussée. Aussi la plupart des malades de la clinique sont-ils logés au rez-de-chaussée. Sur 110 mala
est elle-même partagée verticalement en trois segments. Le seg- LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 381 ment moyen, plus large qu
à clef. Firl. 14. 382 . ENSEIGNEMENT. Toutes les fenêtres de la clinique , sauf celles des chambres d'iso- lement, sout c
au séjour provisoire des maniaques qui doivent être présentés à la clinique . La salle de surveillance et les cinq chambres
mbres à coucher sont orientées vers l'Est et le Sud et un petit LES CLINIQUES PSYCIII.%I'IIIQ--ES. 383 nombre vers l'Ouest. L
ascule. Les fenêtres sont construites sur le modèle de celles de la clinique de Strasbourg : elles se composent d'un châssis
on- cierge, on a placé un avertisseur qui met en communication la clinique avec le poste central de pompiers de la ville. Le
piers de la ville. Le système du tout à l'égout à été appliqué à la clinique de Halle. Les appareils des water-closets sont
Chaque pavillon possède son vestiaire. Le personnel médical de la clinique est ainsi composé : le direc- teur-médecin en c
Le personnel de surveillance comprend 9 infirmières et une sur- LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 3g5 veillante en chef pour 56 m
lll1 ! fl, iindseiiie forensische l3ecleulung. Leipzig, 1895. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 387 M. Hitzig, en outre du trai
d'hystérie, de neurasthénie sont assez fréquem- ment observés à la clinique , le professeur Hilzig étant habituelle- ment dé
; le prix de revient en est peu élevé. M. llitzig a organisé à la clinique de psychiatrie une école d'infir- utiers et d'i
tales. Un appareil ingénieux, dit à 11. Ilitzig, est employé à la clinique pour l'examen du sens de la pesanteur (tabès, e
quelques renseignements sur le régime alimentaire des malades de la Clinique de Halle. Ceux-ci sont groupés en trois catégorie
. Uiagtoslil der Krankheilen des Nervensyslems, Berlin, l89ï. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 389 deuxième classe est identiq
régime était ample- ment suffisant '. En 1898, la situation de la clinique était la suivante : Population : 123 malades (6
aordinaires; 11 Privat-docenten ; 400 étudiants.) La création d'une clinique psychiatrique universitaire remonte à l'année 1
clinique psychiatrique universitaire remonte à l'année 1882. Cette clinique a été installée à l'asile provincial de Bonn (R
E. et Ed. Ilitzig. L'alimentation des malades el du personnel de la Clinique de psychiatrie el de médecine nerveuse de l'Unive
de la Société de médecine mentale de Belgique, 1897, p. 350. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 391 Université de Kônigsberg (P
igsberg (Stiidtische Kranken-Anstalt) sert, depuis octobre 1893, de clinique psychiatrique universitaire ; mais des conféren
psychiatrique universitaire ; mais des conférences de psychiatrie clinique y furent données dès 1879. Un pavillon d'agités y
avillon d'agités y a été construit en 1879. Un agrandissement de la clinique est pro- jeté. Le nombre des malades (fin 189
pas été construit en vue de servir spécialement à l'ensei- gnement clinique . Son plan rappelle d'ailleurs celui de tous les
grains : 8 grammes ; lait : 250 grammes; sucre : 10 grammes. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 393 Un petit pain de 85 grammes
rmières de 50. Le professeur fait, chaque semaine, deux conférences cliniques à l'asile (de 4 à 6 heures), et deux leçons thé
l'université (de 5 à 6 heures). 1 Nous avons assisté à une leçon clinique . Une centaine d'étu- diants sont réunis dans la
ogatoire. Lorsque l'élève a terminé, le professeur reprend l'examen clinique , et le fait durer fort longtemps, ne négligeant
désordonnées de l'épi- lepsie. Si l'on s'en tient au point de vue clinique , l'hallucination motrice verbale peut se présen
s ne s'en sont pour le moment pas assurés. V. Capriati, aide à la Clinique pychiatrique de Naples a étudié l'influence de
été faites sur des personnes saines, infir- miers ou médecins de la Clinique , jeunes hommes de vingt-quatre à trente sept an
maximum et que tout mouvement devient par ce fait impossible. La clinique lui a fourni depuis de nouveaux moyens de contrôl
it intéressant aussi de rechercher quels résultats peut donner en clinique l'expérience d'Hermann sur la contraction provoqu
ènes mécaniques de l'activité musculaire. On a donc tout intérêt en clinique à analyser les différentes manifestations de l'
résultats d'un examen anatomo- palhologiq.ue avec les constatations cliniques . Je parlerai seulement de l'anatomie des fibres
s, 2 série, t. X. 27 418 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. Etude clinique de la fonction kinesthésique (sens musculaire). M
ans déplacement du membre, que l'on peut étudier très facilement en clinique courante avec le petit appareil décrit dans cet
appareil produit un allongement réel de la moelle. Les observations cliniques démontrent des modifications symptomatiques trè
Paris). Je voudrais ramener la question, un instant, sur le terrain clinique . En 1885, j'ai publié, dans la Revue de médecin
s touchent la sexualité. M'accordant aux vues de l'Ecole de l'Asile clinique , je définis l'obsession « un mode d'activité cé
syndromes de cette dégénération. Cou-talés comme tels, on a la base clinique et solide pour exami- ne : ' l'action en elle-m
es perversions sexuelles. La ques- tion, éclairée par des documents cliniques de très grande valeur, interprétée, dès lors, d
de les préciser et d'interpréter le syndrome avec toute la rigueur clinique dési- rable : choix d'un endroit déterminé, d'u
thymus et du corps thyroïde, et les tables de décès avec un résumé clinique et anatomo-pathologique de chaque observation.
que se consacre Bourneville. La seconde partie est attribuée à la clinique et à l'anatomie pathologique. Le traitement de
aitement faites des cerveaux per- mettent de se rendre compte de la clinique et de la lésion. Les deux planches que nous rep
. 10-1900. Vol. X. Décembre 1900. N° 60. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Clinique psychiatrique DE Montpellier
Décembre 1900. N° 60. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Clinique psychiatrique DE Montpellier. (Service du profe
e générale ; AI;DIN-DGLTL : II,, et T Il. IlOU'I);R>;, Chef de clinique , médecin adjoint Aide d'analomie, interne proviso
'aull. des hôpll"u\ de Monlpellier. I. Il n'est pas d'investigation clinique , dans le domaine des affections nerveuses, qui
qu'ils fournissent, une très grande importance tant au point de vue clinique pur, qu'au point de vue de la recherche des pro
par la pénurie des travaux sur Archives, 2° série, t. X. 29 - 150 CLINIQUE NERVEUSE. cette dernière question, mais aussi p
comme aide au diagnostic dans les maladies mentales, 189G. 452 li CLINIQUE NERVEUSE. neurologie de Bruxelles (1897), dans
bliée dans les comptes rendus de la Société de biologie et dans une clinique médicale faite Li l'hôpital de la Pitié et publ
Cestan dit : « Dans la paralysie générale et surtout dans la forme clinique désignée sous le nom de paralysie générale asso
5' 1 1 d 1 m 1 1 1 1 5 m 1 1 1 z 458 CLINIQUE NERVEUSE. vant la technique que nous venons d'i
ré. L'exagération du réflexe se rencontre : ait beaucoup plus 460 CLINIQUE NERVEUSE. fréquemment i : t cette période que l
ysie, 1898-1899-1900.) Charles IW rr-S.wcu : . ENSEIGNEMENT Les Cliniques psychiatriques des Universités allemandes ' ;
sseurs extraordinaires; 0 Privat-docenteu ; 1,3-13 étudiants). La clinique des maladies mentales et nerveuses de l'Universit
lisa le premier, en 1818, son service d'aliénés pour l'enseignement clinique . Ce quartier spécial fut érigé, en 1832, en un
utonome que l'on confia à W. Ideler. Ce médecin fit des conférences cliniques sans cepen- dant donner un enseignement régulie
es leçons de psychiatrie. C'est seulement en 1SG3 que renseignement clinique des maladies men- tales fut organisé d'une faço
d Griesinger fut nommé professeur de psychiatrie et directeur de la clinique . L'influence de ce savant aliénisle fut considéra
importantes réformes : introduction du non-restreint, annexion à la clinique d'une section de neuropathologie, réorganisation
ale, l'agoraphobie, l'inversion sexuelle. 1\'eslphal adjoignit à la clinique universitaire un important service de policlini
la clinique universitaire un important service de policlinique. La clinique de psychiatrie de Berlin a été une pépinière d'
ent piofesseur à Strasbourg (1873-1890). Le personnel médical de la clinique universitaire se compose, pour la section de ps
ofesseur Jolly donne, chaque semaine, trois leçons de psy- chiatrie clinique (lundi, mardi, vendredi, de 9 à 10 heures) et une
conférence de neuropathologie (jeudi, de 11 à 12 h. 112) avec poli- clinique . La policlinique des maladies nerveuses de la Cha
e assuré à Berlin (18\H-) par de nombreux cours : Les conférences cliniques de neuropathologie, de psychiatrie et de médeci
e ner- veux, par les professeurs Oppenheim, Mendel et Kuppen; LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 475 les leçons (gratuites) sur
riesinger en 186, et le traite- ment par le lit sont appliques à la clinique de Berlin. Il y a des salles de surveillance co
linique de Berlin. Il y a des salles de surveillance continue. La clinique psychiatrique a, jusqu'en 1892, servi de bureau d
de 20 jours, et, pour les femmes, de 21 jours. La population de la clinique était, le 1er avril 1889, de 152 alié- nés et d
: 5 ? 1 . Nous ne dirons rien de l'organisation matérielle de cette clinique , qui est située dans un vaste bâtiment à deux é
étages dont la cons- truction remonte au siècle dernier (1798). La clinique psychia- trique et neurologique de l'Université
ile provincial de Greisswald, trans- formé, le le, avril 1889, en « Clinique royale psychiatrique». (liüni- gliche psychiatr
s, 24 fem- mes). Le professeur, Ut' IL Arndt, est directeur de la clinique ; il est assisté de deux médecins. 476 ENSEIG
57 étudiants.) L'Université de Kiel décide (1897) la création d'une clinique de psychiatrie, située à proximité de la ville,
ont 100 pour aliénés du régime commun, et 20 pour pensionnaires. La clinique a été construite aux frais de l'Etat. Elle adme
es provinciaux. Le Dr Siemerling vient d'être nommé professeur de clinique psychiatrique à l'Université de Kiel (1900).
211 étudiants.) C'est l'asile provincial de Goettingen qui sert de clinique psychia- trique universitaire. Celle-ci a été f
remière moitié du siècle par le professeur von lschenmaycr, mais la clinique psychiatrique est de date toute récente (1891).
e date toute récente (1891). Elle est située à proximité des autres cliniques . ' Le professeur Ludwig Meyer, décédé le 8 févr
er, décédé le 8 février 1900, a été rem- placé par M. Cramer. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 4ï7 Population normale : 120 ma
ensionnaires de 1"° et de 2° classe. Le prix de revient total de la clinique a été de lu.000 francs se décomposant ainsi : -
Privat-docent ; 338 étudians.) Il n'y a pas lieu d'insister sur la clinique psychiatrique de cette Université, puisqu'elle'
est en effet l'asile d'aliénés d'Erlangen qui sert à l'enseignement clinique . La création de la chaire des maladies mentales à
tales à l'Uni- versité d'Erlangen remonte à l'année 1850. L'asile clinique , construit en 1846 en forme de croix, agrandi e
0 (100 hom- mes, 94 femmes). Personnel médical : le professeur de clinique , Dr Specht et sept médecins. Nombre des lits
t inaugurée, sous la direction du professeur Fiirstner, la nouvelle clinique de p"ychiatrie (UniveI'siLLits-1rrenklinik), situ
hiatrie (UniveI'siLLits-1rrenklinik), située à proximité des autres cliniques universitaires. C'est la première clinique psyc
à proximité des autres cliniques universitaires. C'est la première clinique psychiatrique universitaire construite en Allemag
compose du professeur de psychiatrie, en même temps directeur de la clinique , le Dl' Kraepelin, d'un médecin en second qui e
Kraepelin, qui considère les quartiers de surveillance continue LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 479 comme des organes indispens
479 comme des organes indispensables au bon fonctionnement d'une clinique psychiatrique, estime que le nombre des lits de c
ivat-docent en ; 216 étudiants.) L'Université a fondé, en 1877, une clinique psychiatrique qui a été installée à l'asile d'a
Il n'y a pas de galeries couvertes, sauf pour relier les pavillons cliniques au bâtiment central. Pas de quartier d'isolemen
, Privat-docent, deux assis- tants, deux médecins volontaires. La clinique psychiatrique étant à 2 kilomètres de la ville, l
ofesseurs extraordinaires; 13 Privat-docenten; 327 étudiants.) La clinique psychiatrique de Fribourg (Psychiatrische Klinik
sseurs extraordinaires; 16 Privat-docenten ; 287 étudiants.) - La clinique psychiatrique a été fondée en 1877. Elle est inst
siles. 1888 et Laehr, Die Ileil- und Pflege .lzcslallen, etc. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. li 81 Nombre des admissions (18
ofesseurs extraordinaires; 10 Privat-docenten; 233 étudiants.) La clinique des maladies mentales et nerveuses de l'Universit
de Stiasbourga été fondée en 1872, agrandie en 1877. La nouvelle clinique , construite, en partie du moins, conformément aux
système des pavillons détachés à rez-de-chaussée. Le bâtiment de la clinique , construc- tion massive, est situé à proximité
construc- tion massive, est situé à proximité des autres instituts cliniques . Dans les chambres d'isolement les fenêtres son
nés et 30 épilep- tiques ou nerveux. Au point de vue économique, la clinique dépend de l'hôpital civil. Elle reçoit les alié
res districts et des pays voisins, aux frais du fonds spécial de la clinique psychiatrique. La clinique admet aussi un certa
oisins, aux frais du fonds spécial de la clinique psychiatrique. La clinique admet aussi un certain nombre de malades transf
faisant allusion aux desiderata formulés par Griesinger, et dont la clinique de Strasbourg était la réalisation, déclarait q
isation, déclarait que les établissements destinés à l'enseignement clinique de la psychiatrie devaient être séparés des gra
ires et placés dans les villes, en intime connexion avec les autres cliniques . 11 montrait le rôle important que peuvent remp
et pour tout hôpital d'une certaine importance. La population de la clinique était, au commencement de 1889 : aliénés, 73 ;
rveux » : 123. Consultations, en 1889 : 564 cas. Population de la clinique (juillet 1895) : 120 malades. Personnel médical
tributs de la plus complète virilité. Il faut chercher ailleurs. La clinique , elle, semble mieux nous guider. Elle nous mont
ible. Tout en tenant compte des variations que peut subir le type clinique (Krafft-Ebing), il importe avant tout d'en reteni
'isolent si nettement du vice. C'est en visant spécialement ce type clinique , qu'on peut définir l'inversion génitale : Une
en effet, de constater que l'inculpé se juxtapose à l'un des types cliniques connus pour le déclarer irresponsable 486 CONGR
et groupées pour constituer le membre fantôme. D'après les faits cliniques que j'ai observés, un amputé ne sent pas seulem
n. Séance du jeudi malin 9 août. - Présidence DE )1. Contribution clinique el analomo-palhologique ci l'élude de la con- f
entre la criminalité des enfants et alcoolisme des parents ; élude clinique ; par M. ROI3l"OWITCli (de New-Yotk). Conditions
ons trauma- tiques de la moelle cervicale ou dorsale est une preuve clinique que la substance grise de la moelle lombaire es
ique. Les vrais réflexes tendineux n'ont pas autant d'importance en clinique que les pseudo-réflexes (phénomènes tendineux,
et réflexes tendineux; par Van Gehuchten (de Louvain). Des faits cliniques exposés, V. G... fait ressortir l'indépendance
u'on n'aura pas fourni un cas d'aphasie motrice pur au point de vue clinique comme au point de vue anatomique, c'es-à-dire v
air de santé, il n'existe pas de troubles trophiques. Les symptômes cliniques du tabès : les douleurs, l'ataxie, les troubles
t que sous le nom de tabes nous confondons des états anatomiques et cliniques très différents et pense qu'il y aurait lieu de
maladie, il se produit des tableaux différents ou des modifications cliniques , mais le processus anatomique reste au fond le
irect au moyen des voies sanguines. C'est en ce sens là que les cas cliniques que l'auteur a mention- nés, selon lui, s'expli
rijumeau à la face et à la muqueuse buccale en étudiant les allures cliniques de l'anesthésie et de l'analgésie de ces régions
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine, asile clinique , asiles de Vaucluse, Ville-Evrard, Villejuif et M
uée à l'é- tude des mouvements, par P. ni- cher et [.onde, 334. Clinique des maladies du système, nerveux, par le Pr Lta
ienne guérie par la ciàmectomie, par 13ul'l'ag-an, 49. Recherches cliniques sur l' -, 536 TABLE DES MATIERES. l'hystéri
n, 58. Hystérie. Traitement de l' -, par Stockley, 16. Recherches cliniques sur l'épilepsie, Il - et l'idiotie, par Bourn
. Traitement des en Belgique, par Ley, 147. Idiotie. ' Recherches cliniques sur l'épilepsie, l'hystérie et l' -, par Bour
3 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ltl.ll : li SOUS LA UItIILCIION UR 1111. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la de médecine de
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique z F. RAYMOND Professeur «le clinique des
ecine Médecin de l'Asile clinique z F. RAYMOND Professeur «le clinique des maladies du système nerveux à la Facult
terstitielle et donne la parole à l'anatomie microscopique. ÉTUDE CLINIQUE Sur les 84 paralytiques généraux avérés qui se
l'examen ophthalmoscopique. , ANATOMIE PATHOLOGIQUE Notre étude clinique , bien qu'intéressante, n'aurait pas revêtu l'im
autopsies arrivées à point nous ont permis de corro- borer l'examen clinique ; ce sont celles : 1° de deux malades présentant
fication profonde dans la struc- ture de la papille, et que examens clinique et histologique LE FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARA
las of i ? ie(lical ophtali ? îosco2)y, Loiidon, 1879. Boy. Étude clinique du fond de l'oeil dans la paralysie générale. T
flammés. D'où la nécessité de l'Hospitalisation des Epileptiques. CLINIQUE MENTALE. Note sur l'évolution des obsessions et
rition d'un véritable délire. A plusieurs reprises, dans mes leçons cliniques , à la Société médico- psychologique, j'ai expri
Janet émet aussi le même avis. AITCIIIVES, 2- Série, t. XV. 3 34 CLINIQUE MENTALE. Ici, comme en toutes choses, il faut l
état de discuter ses obsessions et bientôt apparaissent sponta- 36 CLINIQUE MENTALE. nément des idées délirantes de culpabi
, tantôt l'autre de ces deux éléments qui prédomine dans le tableau clinique . L'état de torpeur intellectuelle peut être plu
vus durer beaucoup plus longtemps, pendant plusieurs semaines. 38 CLINIQUE MENTALE. J'ai observé un jeune homme de dix-sep
inement les choses et se dit : « Suis-je bête (sic) d'avoir eu 40 0 CLINIQUE MENTALE. ces idées. » Ce qui ne l'empêche pas d
s s'accentuent et les délires revêtent la forme que nous avons 42 CLINIQUE MENTALE. - décrite sous le nom de variété psych
S'il est très difficile d'établir des rapports entre la forme 44 Il CLINIQUE MENTALE. de l'obsession et son évolution vers l
es impulsives avec illusions ou hallucina- 1 Voir J. Sé-las. Leçons cliniques et Soc. mécl, psclc" février 1001. 1. ÉVOLUTION
e à son obsession, cet envahissement devient tel qu'il absorbe 46 CLINIQUE MENTALE. momentanément à son profit presque tou
des hôpitaux, Chef du senice de rééducation et kinésithérapie de la Clinique Cliarcot (Salpêtrière). Il n'est plus aujourd
a neuropathologie existait à peine encore, que la plupart des types cliniques qui nous sont aujourd'hui fami- liers étaient i
ssi parce que, tant qu'un syndrome n'est connu qu'au point de vue clinique , sans qu'on en connaisse en même temps les élém
t exposée ses élèves 54 ik THÉRAPEUTIQUE. Meige et Feindel ; à la clinique Charcot, les procédés de rééducation sont maint
malade, c'est 64 THÉRAPEUTIQUE. faire une oeuvre essentiellement clinique et par conséquent variable avec chaque cas part
abitude des maladies nerveuses et connaissant les difficultés de la clinique , par un spécialiste familier avec la thérapeu-
, pour se montrer efficaces, doivent être adaptés aux besoins de la clinique , aux symp- tômes et aux localisations de ces sy
stes obtenues chez plusieurs ma- lades, consacra deux de ses leçons cliniques à l'exposé de la nouvelle méthode dont il étudi
s viennent les thèses deLeclerc et de Riche, / enfin nous-même à la clinique Charcot, nous sommes parti- culièrement consacr
a marche des ataxiques, même les mieux faites et les plus utiles en clinique pour le diagnostic de la maladie, sont insuffis
siologie normale et pathologique et de l'observation des conditions cliniques : ce n'est qu'à ce prix qu'on pourra espérer de
é de l'hérédo-ataxie de Friedreich, présente aujourd'hui un tableau clinique complet, mais le tableau anatomo-pathologique d
bilité nerveuse portant sur le cervelet et ses voies ; les troubles cliniques commenceront à se manifester et à s'accentuer a
e par l'auteur lui per- met de conclure, de concert avec le tableau clinique , à une polyné- vrite infectieuse du cheval. La
lumière, tandis qu'elle réagit normalement à l'accommodation et la clinique ne permettant pas de dire que l'excitation physio
d'un malade mort tuberculeux et n'ayant présenté comme seul signe clinique de la série tabétique que le signe d'Argyll-Rober
iques avérés un certain nombre de malades qui n'ont pour tout signe clinique que l'Argyll-ltobertson. M. Dejerine chez un su
s. M. Lépinay. Il résulte de la discussion qu'avant les symptômes cliniques de la tuberculose, on peut observer des perturbat
culose commence à évoluer, sans cependant présenter des symp- tômes cliniques , évidemment moins faciles à observer que chez les
férentielle de W. Stern. La méthode qui lui convient est la méthode clinique , la méthode déductive ris- querait de substitue
des magistrats. Le livre se termine par l'exposé de nombreux faits cliniques dans lesquels les poursuites judiciaires ont ét
ses fig. dans le texte. Lisbonne 1902). Cet ouvrage est entièrement clinique . En dehors de la préface, qui propose des réfor
ation et statistique de l'asile d'aliénés de Santiago du Chili. Cas cliniques spéciaux et faits médico-légaux. Remarques thér
de l'Intérieur; Membres titulaires : M. le De Mairet, professeur de clinique des maladies mentales la Faculté de Médecine de
a Faculté de Médecine de Montpellier; le Dr Rémond, professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de
é de médecine de Bordeaux; le Dr Magnan, médecin en chef de l'Asile clinique (Sainte-Anne); le Drltousset, médecin en chef d
mme on le voit, ce concours pèche par l'absence de toute épreuve de clinique mentale. Asile d'aliénés DE la SEINE : Concours
çu docteur avec une thèse intitulée : « « Coizt2-ibiitioizà l'étude clinique de la syryngo- myélie. » Il s'adonna plus spéci
spécialement à la neuro-pathologie et suivit assidûment les leçons cliniques de Charcot puis celles du professeur Raymond. A
liénés. Mouvement en novembre. -NI. GUILLOT, direc- teur de l'Asile clinique est promu à la classe exceptionnelle du cadre.
feu (Var) est nommé à l'asile de Marseille (poste créé). Cours de clinique des maladies mentales et des maladies de l'eizcé-
de l'eizcé- phale. M. le professeur Joffroy a commencé le cours de clinique des maladies mentales le lundi 17 novembre 1902
17 novembre 1902, à 2 heures et demie, à l'amphithéâtre de l'asile clinique (Saint-Anne) et le conti- nue les vendredis et
conditions d'admissibilité et le programme du concours. Nouvelle clinique des maladies nervuses. L'Université de Buda- Pe
s maladies nervuses. L'Université de Buda- Pest vient de fonder une clinique de maladies nerveuses et a dési- gné comme prof
- 12-1902. Vol. XV. Février 1903. ? 86. ARCHIVES 'DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE, Contribution fui, l'étude des folies p
sujet et de donner un même point de départ aux différentes variétés cliniques qui ont été décrites. Elle a un deuxième avanta
aécl. psyclc., 1885, p. ? 1 ? ). Archives, 21 série, t. XV. 9 130 CLINIQUE MENTALE. ce genredefolie, qu'il dénomme folie c
). La Psychologie morbide, 2° partie, ch. i, 1859. Dagron. Archives cliniques des maladies mentales el nerveuses, 1863. 8 Mar
ntyel que revient l'honneur d'avoir décrit les différentes variétés cliniques de folie à deux et d'avoir étudié d'une façon a
e à deux. Mais la publication la plus instructive au point de vue clinique est celle de M. Arnaud (de Vanves). Il admet, c
emblance du délire. Comme ce dernier, il reconnaît les trois formes cliniques décrites ; mais pour lui la folie imposée se di
communiquée par l'intensité de la transmission et, au point de vue clinique , par la per- sistance de la maladie chez le suj
que, 1893, p. il6). 3 Arnaud. La folie la deux, ses diverses formes cliniques (Annales méd.-psycliol., mai-juin 1893). 4 Ma
n de iliontyel. De la folie à deux el de ses trois grandes variétés cliniques (Gaz. des Hôpitaux, 1894, p. 75, 79, 80, 81). L
mation (Jalrobücher f. l'sycltiatrie, v. XVI, 3a f., 1897). 13 ï- CLINIQUE MENTALE. auteurs tendent à faire rentrer dans l
familiales (Trénel', Fouque2, Sorel) ; d'autres, de nouveaux faits cliniques sur la transmission de certains troubles mentau
tion inlermenlale (Arch. d'anlhrop. criminelle, 1901, p. 168). '136 CLINIQUE MENTALE. L'imitation, dit M. Marandon, « est le
bides seront acceptées de façon différente. Ce fait est démontré en clinique dans les folies imposées, où la suggestion a mo
on. Ces causes peuvent se diviser en trois groupes : un pre- '13s CLINIQUE MENTALE. mier groupe qui accentue l'élément sug
sécution. IV. Toute folie par contagion se réduit à deux éléments cliniques bien individualisés par les auteurs : un sujet ac
es. Comme MM. Marandon et Arnaud, nous reconnaîtrons trois formes cliniques : lafolie imposée, type Lasègue-Falret; la foli
. ' Sérieux et Capgras. ? M/. méd. -psychol., mai-juin 1902. '140 CLINIQUE MENTALE. Dans ces trois formes, les éléments pa
s complètement remis et très conscient de la mauvaise influence 142 CLINIQUE MENTALE. de sa maîtresse. La jeune femme sortit
folie communiquée dont M. Ma- randon a bien précisé les caractères cliniques . Ce qui la caractérise et la différencie d'une
té de celles que lui communique le sujet actif. Les deux facteurs cliniques sont ici en .présence. Le sujet actif aliéné qu
passif sur les phéno- mènes délirants peut faire varier le tableau clinique : ou bien il y a simplement exagération des idé
bides surajoutés peuvent prendre le dessus et former toutle tableau clinique au milieu duquel disparaissent les troubles com
la suggestion morbide du sujet actif, peut faire varier le tableau clinique offert par le sujet passif. Cette continuité de
et surtout elle augmentera la puissance vésanique du sujet 144 ik CLINIQUE MENTALE. passif en l'activant sans cesse. Clini
dans les folies communiquées a donc sa nécessité. Dans le tableau clinique présenté par le sujet passif, trois éléments so
, car elle ne peut plus dormir. Archives, 2° série, t. XV. 10 146 CLINIQUE MENTALE. Sa mère influencée la suit. Ses ennemi
sont dus à l'amabilité de mon collègue et ami, le D Ameliue. 148 CLINIQUE MENTALE. II. Agent passif. Alcoolisme chronique
ois d'août, moment où le délire du sujet passif est entré dans lu ' CLINIQUE MENTALE. une phase active, que le sujet actif c
de temps à autre sa sortie sans grande suite dans les idées. 152 CLINIQUE MENTALE. Au mois de décembre 1901, elle est tou
olie communiquée fait bien ressortir la patho- génie et l'évolution clinique de cette affection. Il met en évidence l'influe
e responsables de leurs actes. Com- Nina Rodriguès. Loc. cil. 154 CLINIQUE MENTALE. ment, cependant, considérer comme resp
mises, étant donnée la coïncidence fréquente de ces divers tableaux cliniques . ' Travail fait dans le Service de M. le D, )1.
liniques. ' Travail fait dans le Service de M. le D, )1.GNAN(,%Sile clinique Sainte- Anne), qui avec une extrême bienveillan
la manière dont ces syndromes doivent être envisagés aujourd'hui en clinique . ' « L'obsession, dit M. Magnan, est un mode d'
IONS ET IMPULSIONS. 159 morbides, appelés syndromes épisodiques. En clinique la succession et l'enchaînement de ces phénomèn
lication de toutes ces manifestations telle, qu'elle se présente en clinique , n'est que l'image fidèle de l'histoire complèt
maison spéciale. C'est dans ces conditions qu'elle entre à l'asile clinique dans le service de M. Magnan. A l'asile, la mal
de troubles oculaires, sauf un certain degré de myopie. L'intérêt clinique de cette observation réside dans le particulari
différentes objections dont elles sont susceptibles au point de vue clinique . OBs. IV. Dégénérescence mentale; impulsions (t
ace m'attire, nous dit-elle. Il y a un an elle fut amenée à l'asile clinique à la suite d'une chute qu'elle fit volontaireme
ec préoccupations hypo- condriaques marquées. - Voilà donc que la clinique nous montre trois espèces de troubles- qui, quo
. bides. De cet exposé enfin, tel qu'il nous est montré par la clinique , nous croyons devoir faire ressortir quelques par
areil aspect ; elle ne constitue qu'un syndrome qui peut exister en clinique , soit isolément, soit parfois associée au délir
part, elle nous permet de nous placer sur le terrain solide de la clinique dans l'appréciation médico-légale des actes dél
Z. (Nouv. Icoraogu. de la Sal- pétrière, n" 5, 1901.) Observation clinique suivie d'un examen nécropsique et histolo- bidu
ouvé le chi- rurgien qui eût opéré. Il analyse aussi les phénomènes cliniques en rapport avec cette localisation. IL pense qu
ine hérédo-syphilitique des scléroses cérébrales dont la traduction clinique répond au diverses affections spasmo-paralytiqu
Séance du 15 janvier 1903. Présidence de M. P. RICHER Sur une forme clinique et <tM<omo-pa<AoogMe de inditi71go-encé-
nt. SOCIÉTÉS SAVANTES. -03 3 M. 1UYMOKD a observé, en effet, à la clinique , des faits ana- logues et des phénomènes cloniq
urement amyotrophique. Elle démontre à nouveau combien le diaguostc clinique de la névrite amyotrophi- que et de la poliomyé
eront accompagnées de présenta- tions de malades, de démonstrations cliniques de psychothérapie, de démonstrations expériment
adies du système rrcrveux.-111. Gilbert Ballet reprendra ses leçons cliniques {Traitement des maladies nerveuses), le Dimanch
imp. i-1903. Vol. XV. Mars 1903. N° 87. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Nouvelle contribution à l'étude des ps
eurs ont envisagé des côtés différents de la question* , des leçons cliniques 2 sont venues consacrer d'une façon officielle
ois (I3ullelin néclical, 1898). Archives, 2' série, t. XV. 14 210 CLINIQUE MENTALE. est de montrer le chemin parcouru depu
qu'en apparence, elle a pour nous le grave inconvénient d'amener en clinique la confusion la plus regrettable en rangeant so
ait personne ne niera qu'il y a des opérés délirants après un 212 CLINIQUE MENTALE. traumatisme opératoire qui sont envoyé
sseur Joffroy a soutenu la même opinion dans son intéressante leçon clinique . La plupart des aliénistes d'ailleurs déclarent
rmes de la forme ' M. Lucien Picqué. Soc. de chirurgie, 1897, 214 CLINIQUE MENTALE. infectieuse ou septicémique où la préd
ans l'observation qui nous a été communiquée par M. Mignot, chef de clinique de la Faculté (obs. VIII), nous avons peu de re
hirurgien ' Les idées morbides et les délires de persécution. 216 CLINIQUE MENTALE. de savoir que chez une classe de dégén
t-on se demander si l'opération, n'a pas fait éclater les symptômes cliniques jus- qu'alors latents. Les mêmes réflexions peu
par la perte de sang ou les préoccupations morales, détermi- 218 CLINIQUE MENTALE. ner de la dépression mélancolique ou u
l'un de nous a eu souvent l'occasion de le voir, peut trouver 220 CLINIQUE MENTALE. son application : tantôt, à la suite d
e à connaître puisqu'en la connaissant davantage ils pourront 222 CLINIQUE MENTALE. diminuer le nombre de ces psychoses en
ôt après l'opération un délire mélancolique avec des idées de 224 CLINIQUE MENTALE. négation, des hallucinations et des id
hloroforme, elle croyait sentir Archives, 2o série, t. XV. la 226 CLINIQUE MENTALE. sa tête emportée par un train. L'opéra
- meil était devenu mauvais. Obsédé constamment par des idées 228 CLINIQUE MENTALE. chimériques de misère et de ruine, M..
le couper en morceaux, etc., elc. Au bout d'un mois de séjour à la clinique , vingt et un jours après l'opération (le malade
olique ; mais il reste déprimé. Le gâtisme intermittent dont le 230 CLINIQUE MENTALE. .naïade a conscience annonce l'anesthé
extrernis, tant l'amoindrissement était considérable et tout 233 CLINIQUE MENTALE. ressort disparu, la situation s'amélio
Je l'engageai après plusieurs jours à se faire opérer, et dans une clinique de Paris, il subit la cystotomie sus-pubienne.
e l'opération. On l'opère sous chloroforme le 4 octobre 1899. 234 CLINIQUE MENTALE. Quinze jours après l'opération, elle c
estin. A la fin, une très vive hémorrhagie complica l'ablation 23b' CLINIQUE MENTALE. de l'arrière-faix fixé aux annexes gau
us vives félicitations à notre collaborateur et ami, le Dr Régis. CLINIQUE NERVEUSE. Travail du Service D'ELEC'CROTIiÉR 1P
CLINIQUE NERVEUSE. Travail du Service D'ELEC'CROTIiÉR 1PIE de la Clinique CII.IRCOT Sur quelques particularités cliniques
'CROTIiÉR 1PIE de la Clinique CII.IRCOT Sur quelques particularités cliniques de la névralgie faciale et son traitement par l
de cette affection qui se sont présentés à la consul- tation de la clinique Charcot (P'' Raymond). La modalité électrique q
, et nous avons été frappés par un certain nombre de particularités cliniques qui, sans avoir toutefois le mérite de l'inédit
du moins assez intéressantes pour valoir une courte analyse. 238 clinique , nerveuse. z I. sur quelques particularités cli
analyse. 238 clinique, nerveuse. z I. sur quelques particularités cliniques de la névralgie FACIALE On reconnaît générale
ins aigus. Quelquefois ces paroxysmes aigus manquent PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 239 totalement. Dans l
et remontant « leur cours » avec plus ou moins de rapidité 240 0 CLINIQUE NERVEUSE. jusqu'au tronc principal et aux centr
e s'est-il montré franche- ment accusé que 4 fois. PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 241 Le caractère diffé
ence du froid ou de l'humidité, Archives, 2° série, t. XV. 16 242 CLINIQUE NERVEUSE. mais le passage brusque d'une tempéra
our être signalée'. Telles sont les quelques particularités d'ordre clinique que nous avons pu relever chez une série de mal
ême signification que les douleurs flilpi- rantes. PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 243 faciale il y aura
thérapie a paru donner quelques bons résultats (pulvérisa- 12 Il. r CLINIQUE NERVEUSE. tion de chlorure de méthyle, stypage)
passer pendant quelques instants seulement en chan- PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 245 géant les tampons
eints de névralgie faciale. Nous avons eu recours à cet effet 246 CLINIQUE NERVEUSE. au même manuel opératoire, mais nous
ppliquer les électrodes et à manoeuvrer la batterie. PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 247 bien en main, de v
ace. Une feuille d'étain souple découpée d'après le modèle de 248 CLINIQUE NERVEUSE. Bergonié et recouverte de plusieurs é
e quantité de son eau, on pourra en exprimant sur sa PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 249 partie supérieure
. Dans un cas entre autres, la névralgie trifaciale datait de 250 CLINIQUE NERVEUSE. dix-huit ans. Un mois de traitement a
imètre carré, de surface, cutanée. C'est ce que l'on PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NEVRALGIE FACIALE. 25 ! appelle la densit
elle suffisante lorsqu'on applique des intensités élevées, mais 252 CLINIQUE NERVEUSE. lorsqu'on se contente d'une intensité
ation cutanée quelconque. Il n'est pas rare qu'après PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 253 quelques séances i
trois mois, si l'on juge l'amélioration suffisante, on pourra - 254 CLINIQUE NERVEUSE. interrompre le traitement, mais non p
Société de Médecine de -Ya ? ! cy, 26 janvier 1898. PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 2oS Non, d'après Bergo
e l'on veuille bien se reporter aux quelques considérations d'ordre clinique que nous avons développées plus haut, et où nou
roduit à un moment donné un ou plusieurs épisodes douloureux, 256 CLINIQUE NERVEUSE. épisodes il est vrai très supportable
ltaïsation autre chose qu'une action pal- liative. PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 257 Il arrive en effet
arqué que le courant continu. archives, 20 série, t. XV. 17 258 CLINIQUE NERVEUSE. G. Mode d'action. Ces résultats sont-
ion est con- servé : Hermann a, d'ailleurs, publié des observations cliniques d'ageustie partielle chez les épileptiques et l
eurologique, juillet 1901.) E. B. XXV. Sur la question de la valeur clinique de la contraction idio- musculaire dans les mal
présentaient aussi des altérations chromatiques. Au point de vue clinique , l'intéressant cas rapporté par les auteurs pré
ns le rhumatisme chronique une affection plutôt une au point de vue clinique et anatomique, mais dont l'étiologie peut être
otale soit d'emblée, soit à très bref délai. G. D. XLI. La valeur clinique de la dissociation des réflexes tendineux et cu
formes. il. C. L1X. Contribution à l'étude anatomo-pathologique et clinique de l'amyotrophie Charcot-Marie; par P. Sainton.
ymptomatiques chez les individus jeunes; 4° il n'y a pas de raisons cliniques suffisantes pour distinguer une astasie sénile
amiliale, le trouble moteur résume à lui tout seul tout le syndrome clinique , et ce trouble moteur est lui-môme constitué pa
ans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 287 auparavant avec le tableau clinique d'une hémiplégie spasmo- dique avec un léger tr
t;o : <e, oct. 1902). E. B. LXX. Tabes dorsalis et aortite. Note clinique ; par le Du Arullani. D'après les recherches
t qu'il était intéressant de mettre en relief tous les carac- tères cliniques de la trépidation par lésion organique. M. Babi
e de l'alexie dans ses cas ne s'accorde pas avec la manière de voir clinique et anatomique généralement adoptée. Archives, 2
nistratives ayant trait à l'assistance des aliénées, ses recherches cliniques , ses publications portant sur la thérapeutique de
les ait pas consultés du tout. Aux cellules, dont celles de l'Asile clinique sont une copie, nous avons vu, dans le couloir,
fournis. La note ne donnait aucun renseignement sur les épreuves cliniques . Or, ces épreuves ont eu lieu à l'Asile clinique,
sur les épreuves cliniques. Or, ces épreuves ont eu lieu à l'Asile clinique , chaque jour, pendant une semaine. Cette épreuv
é; aussi doit-on ériger à côté des établissements de ce genre des cliniques ouvertes où ces malades, dès le début et les prem
mme traitement externe par consulta- tion ouverte. Ces institutions cliniques spéciales seraient outillées selon les dernière
LETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Hôtel-Dieu. M. G. Ballet a repris ses leçons cliniques (Trai- tement des maladies nerveuses), le Diman
rance. In-18 de 232 pages. Prix : fi-aiics. GnAssET(J). Leçons de clinique médicale, 4 ? série. 1 vol, iii-80 de 756 pages
2. CLINIQUE-NERVEUSE. Travail DU SERVICE D'ÉLECTnOTHÉnA.PtE DE la Clinique CILARCOT Sur quelques particularités cliniques
LECTnOTHÉnA.PtE DE la Clinique CILARCOT Sur quelques particularités cliniques de la névralgie faciale et son traitement par l
tervention est exempte de dangers (névrectomie). » PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NEVRALGIE FACIALE. 335 Contrairement à ce
eil. La question est donc de savoir actuellement, si, en pré- 336 CLINIQUE NERVEUSE. sence des risques de lagasserectomie,
réuni 41 cas avec 6 morts opératoires. Tiffany donne PARTICULARITÉS CLINIQUES bE LA NEVRALGIE FACIALE. 337 î une statistique
endant, elle s'était aperçue Aucmvn.s, 2" série, t. XV. 22 1- 338 CLINIQUE NERVEUSE. d'une certaine gêne avec fourmillemen
asme, une sorte de « constriction qui remonte ». La PARTICULARITÉS " CLINIQUES DE LA NEVRALGIE FACIALE. 339 face est congestio
des cuissons insignifiantes'; les règles viennent sans douleur. 340 CLINIQUE NERVEUSE. A partir de septembre, la malade ne v
eu quelques migraines depuis ses premières règles. PARTICULARITÉS CLINIQUES DE L\ NÉVR-11,GIIP FACIALE. 341 La malade a une
a malade déclare avoir eu quelquefois des crises qui paraissent 342 CLINIQUE NERVEUSE. avoir été des crises d'hystérie frust
des règles, les douleurs deviennent plus fortes. La PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 343 glande sous-maxill
Elle continue à venir de temps en temps. Les douleurs sont très 344 CLINIQUE NERVEUSE. supportables; elles sont rares et n'a
complète. Le moindre mouvement pendant le sommeil en PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 345 provoque le retour
ris subitement d'une douleur semblable aune décharge électrique 346 CLINIQUE NERVEUSE. excessivement violente. Il a été soig
et accès est composé d'une série de crises analogues PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA. NÉVRALGIE FACIALE..347 revenant en moyen
ureux » pendant vingt-cinq jours, mais à partir du 21 juillet 3118. CLINIQUE NERVEUSE. 1901, et après une crise douloureuse
tachycardie, et un peu de tremblement mais sans exophtalmie. 350 CLINIQUE NERVEUSE. A l'examen physique on constate de la
i provoquait à coup sûr une crise. Chose remarquable PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 351 les crises se succ
qu'aucun traitement médical n'a réussi à faire dis- PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 353 paraitre. Cette né
gie à une cause précise. Il Archives, 2e série, t. XV. 23 3 ? j 4 CLINIQUE NERVEUSE. faut noter que la malade a eu des den
traitement. Elle retourne à Dijon où elle habite. PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 355 OBS. XII. 11m P ?
hystérie, tabes, etc). Pas de troubles oculaires, pas de signe 356 CLINIQUE NERVEUSE. d'it,-yll. Syphilis improbable. La se
trois mois; la deuxième année deux mois, et en 1900, PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 357 depuis octobre, la
est accompagnée de troubles vaso-moteurs, injection de la face, 358 CLINIQUE NERVEUSE. chaleur gênante, rougeur des paupière
itives qui se déga- gent de l'examen des cas publiés.. Le tableau clinique des troubles intellectuels chez la malade avait
ons se présentent-elles sous l'as- pect unilatéral ? Ni les preuves cliniques ni les preuves anatomi- quées invoquées ne sont
s net. Le trai- tement spécifique n'a donné aucun résultat. Etude clinique de la forme tabétique des scléroses combinées.
hié ainsi que la totalité de la pyramide correspondante, les signes cliniques pen- dant la vie n'étaient pas adéquats à une p
s. B. Mouiuvieff. A. BEftNES1'EIN. BIBLIOGRAPHIE. XII. Recherches cliniques el thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
indispensables à connaître. La troisième partie est consacrée à la clinique , la thérapeutique et l'anatomie pathologique. D
ntes qui, le plus souvent, ne sont expliquées que par l'igno- rance clinique et pathogénique absolue en l'espèce du chirurgien
valeur, c'est la richesse de sa documen- tation bibliographique et clinique et la clarté de son exposition. Ce ne sont pas
nip. - 3-1003. Vol. XV. Mai 1903. N 89 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Clinique psychiatrique DE l'Université
. XV. Mai 1903. N 89 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Clinique psychiatrique DE l'Université DE MOSCOU Étude s
ent à l'Université de Moscou, et Pierre GANNOUCHKINE, médecin de la Clinique psychiatrique. Les recherches actuelles sont fo
actuelles sont fondées sur le matériel qui s'était accumulé dans la Clinique psychiatrique de Moscou concernant la question
rté l'une des maladies sus-nom- Arcuives, 2- série, t. XV. 26 402 CLINIQUE mentale. mées, que cette maladie ne se répétera
ales préliminaires, nous passons maintenant à l'analyse du matériel clinique , qui a servi de sujet au travail actuel; nous n
naires ainsi que ceux des malades de la consultation externe de la Clinique . Le nombre général des malades, enregistrés dan
de la Clinique. Le nombre général des malades, enregistrés dans la Clinique psychiatrique de Moscou presque depuis son exis
oins grand que celui des hommes aliénés ; d'après les données de la Clinique pour la période de temps sus-indiqué, le rappor
cinquante-six ans 2 fois ; il faut encore noter que parmi 404 ik CLINIQUE MENTALE. notre matériel il n'y avait pas un seu
res." Ainsi par exemple, Zielieît dit que sur 100 admissions à la Clinique psychiatrique de Jena, il revient 3-4 cas de mani
t 3-4 cas de manie. Gad,iaislc ? r, qui a examiné le matériel de la Clinique psy- chiatrique de Saint-Pétersbourg dans la pé
es malades stationnaires aussi) par la consul- tation externe de la Clinique psychiatrique de Moscou. Il est indubitable que
logie légale. Année IX, fasc., II. 2 Mendel. Die Manie, 1881. 406 CLINIQUE MENTALE. ainsi que de nos données, est confirmé
ropathiques dissemblables, on risque de lui'enlever toute précision clinique et presque toute valeur. D'ailleurs, il parait
thénie un groupe de symp- tômes bien délimité et d'en faire un type clinique autonome sous le nom de « Névrose d'Angoisse ».
te et qu'il redoute, et qui va fondre sur lui à l'improviste; 408 CLINIQUE MENTALE. 3° Des crises d'angoisse aiguë, dans l
es obsessions ! Tel est, dans sa plus grande simplicité, le tableau clinique de la névrose d'angoisse. Ces différents symptô
t découragée, la malade se rend compte de la fausseté de ses il. 10 CLINIQUE MENTALE. scrupules et de l'inanité de ses crain
A ce moment, la malade se remarie et reprend sa vie sexuelle. 412 CLINIQUE MENTALE. Moins de trois semaines plus tard, tou
ë. Il a des accès de peur à propos de tout : un rien l'émo- 414 ! i CLINIQUE MENTALE. tionne.Un choc en chemin de fer, une i
rencontré des exemples authen- tiques, et reconnaissent la réalité clinique du syndrome de Freud. Ainsi, MM. Pitres et Régi
diffère de la nôtre. On peut donc, en somme, considérer le syndrome clinique de la névrose d'angoisse comme réel et générale
et par moi-même. La plupart des auteurs qui ont reconnu sa réalité clinique , MAL Pitres et Régis, Ballet, Lalanne, etc., se
el Neurologistes. Grenoble, 1902. Bouveret. La Neurasthénie. 416 CLINIQUE MENTALE. Paris. Baillière, édit.. 1891. - Briss
ctions corticales chez ces malades. P. Keuaval. XXXIX. Contribution clinique à l'étude de la topographie des atrophies muscu
s de la méthode expéri- mentale, les auteurs donnent 4 observations cliniques détaillées, deux de syringomyélie et deux de pa
lleurs à toutes les images sensorielles. L'analyse étiologique et clinique , le cyto-diagnostic céphalo- rachidien autorise
tés d'étudiants. Nulle perte de temps, les malades sont amenés à la clinique , les élèves sont conduits par groupes aux lits
de présenté est un trafiquant de quarante-deux ans.Ason entrée à la clinique , 10 décembre 1901, avant tout saute aux yeux l'
trique de Moscou, et de 85 malades de la consultation externe de la Clinique . Dans ce nombre entrent seulement les cas où le
(névrose d'angoisse type) sont intéressantes au double point de vue clinique et psychologique. Les sujets qui en sont attein
lèteet les auteurs nous donnent dans leur monographie des documents cliniques des plus intéressantes et des aperçus ingénieux
ibition souvent victorieuse (obses- sions impulsives). Les formes cliniques des impulsions sont nombreuses : impul- sions a
ns séduisantes par leur clarté et toujours basées sur l'observation clinique . Aliénistes, neurologues, psychologues, tous ce
inip. -.4-IDOJ. Vol XV. Juin 1903. N"90. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Note sur un cas de bestialité chez la
sdzzsensgénilal,1898, p. 268. Arscmves, 2· série, t. XV. 32 498 CLINIQUE NERVEUSE. On est très porté à la considérer com
se rassura quand on lui eut donné des explications. A partir de 500 CLINIQUE NERVEUSE. cette époque elle éprouva surtout que
rêves spéciaux, qui n'ont cessé que environ cinq ans après la g02 CLINIQUE NERVEUSE. menstruation, à cinquante-six ans. Il
manifestations morbides que les neu- rologistes, d'un commun accord clinique , appellent hysté- riques. Il essayé de trouver
exemples, que nous pourrions multiplier, ne sont que l'illustration clinique de la définition émise par l'auteur puisque ces
et optimisme curateur que l'on trouve en tête de chaque observation clinique dans les deux livres qui ont pour titre De la s
« ture de nos observations dont il constitue comme une « synthèse clinique , j'ai cherché à établir l'origine psychique « d
montré toute la valeur de la suggestion dans les manifesta- tions cliniques de l'hystérie et dans la thérapeutique. Nous ne
doit garder au mot suggestion son sens étymologique défavorable. CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 513 D
veau s'il doit ou non être dénommé hystérique'. ENSEIGNEMENT. La clinique psychiatrique de l'Université de Giessen (Grand
universitaire autonome pour les aliénés curables»; il proposait une clinique de 50 à 00 lits, et insistait sur l'utilité de
aine- ment de passer en revue cet ouvrage. 2 Voir P. Sérieux, les Cliniques psychiatriques des Universités alle mandes. Arc
stitut psychiatrique. Ce n'est qu'en 1890 que la construction de la clinique commença. Le plan primitif de Ludwig, directeur
les'indications du professeur Sommer, qui fut nommé directeur de la clinique au moment où les construc- tions commençaient à
sition, qui devait si heureusement transformer la physionomie de la clinique , eut aussi pour résultat une économie de 190 00
e prix de revient du lit est de 11 000 francs. L'inauguration de la clinique de Giessen eut lieu en 18961. l. Avant d'aborde
rder la description détaillée des divers pavillons qui composent la clinique de Giessen, nous résumerons les caractéris- tiq
closets dans les salles mêmes. Installation de chambres d'examen clinique à proximité des salles de surveillance. ' Pro
essen compte 17 Professeurs et Privat- Docenten et 149 étudiants. CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITE DE GIESSEN. 818 C
malades; cinq médecins pour 80 à 100 malades). Installation de la clinique . Plan D'ENSEMBLE. La clinique de Giessen (Psych
100 malades). Installation de la clinique. Plan D'ENSEMBLE. La clinique de Giessen (Psychiatrische Kli- tzik zu Giessen
carrés; la superficie des constructions est d'environ 3,780 mq. La clinique est complètement isolée, point important pour un
trique. Non loin s'élèvent le nouvel institut d'hygiène, les autres cliniques (de gynécologie, de médecine interne, d'ophtalm
nts peuvent ainsi, sans perte de temps, suivre les différents cours cliniques . Ajoutons que ces cours n'ont pas lieu, comme à
re de transférer les malades des autres services hospitaliers at la clinique psychiatrique et récipro- quement, dans les mei
o- quement, dans les meilleures conditions. Cette situation de la clinique est encore très favorable au point de vue de l'en
des heures de cours et de se familiariser comme on le fait dans les cliniques d'accouchement avec diverses manifes- tations p
la salle des conférences. SI 6 . ENSEIGNEMENT. Des jardins de la clinique , on jouit d'une belle vue sur les bois et les r
autour du bâtiment principal et de la cuisine situés au milieu delà clinique ; mais on a cherché à masqner la symétrie au lie
nous l'avons vu, n'ont rien de commun avec les préaux de certains CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. SI 7
t et la cuisine. Isolée des services ru' 1 S' ENSEIGNEMENT. de la Clinique , la villa du Professeur, de vastes proportions, e
à sa partie médiane se trouve l'escalier. L'entrée principale de la clinique , située entre la loge du concierge et celle d'u
ent réservée au transport des corps ; enfin, il sert de laboratoire clinique pour la Policlinique. Dans le sous-sol sont sit
mbres pour le médecin assistant chargé de la division des femmes. clinique psychiatrique DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 319 L
le et de la moelle, M. Sommer possède une riche collection de types cliniques des diverses affections du système nerveux c de
alades «nerveux» qui entrent facilement de leur propre volonté à la Clinique dès qu'ils sont assurés de ne pas être confondu
deux chambres de pensionnaires pour 2 et 8 lits chacune, commuai- CLINIQUE psychiatrique DE L'UNIVERSITÉ DE CIESSEN. 821 q
s des jalousies qui se manoeuvrent de l'intérieur de la salle, la CLINIQUE psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 823 f
une chambre d'in- firmière, des water-closets et une salle d'examen clinique , où le médecin peut interroger individuellement
main tous les instruments qui peuvent lui être utiles pour l'examen clinique : appareil photographique avec lampe au magnésium
utres malades : alimentation à la sonde, etc. Ces salles d'exa- men clinique , dit M. Dannemann, facilitent considérablement le
et un appareil de chauffage à gaz grâce auquel on peut donner aux CLINIQUE psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 528 m
vue, le classement des aliénés est organisé ainsi qu'il suit, à la clinique de Giessen, pour chaque division d'hom- mes et
e. Une cellule pour aliéné criminel (pavillon d'isolement IV). La clinique de Giessen, avec ses sept sections distinctes rép
quartier de classement de plus que n'en demande Flechsig pour une clinique psychiatrique. Le professeur de Leipzig réclame e
Giessen la proximité du pavillon d'isolement pour contagieux de la clinique de médecine permet de se passer d'une installat
périeurs. Le chauffage est réglé à volonté. Chaque bâtiment de la clinique possède dans le grenier un réser- voir d'eau en
L'eau chaude est distribuée aux bains, aux lavabos et à l'office. clinique psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 527 E
e. clinique psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 527 Eau. La clinique est alimentée en eau de source par la dis- trib
centrale qui distribue également la lumière aux autres instituts cliniques du voisinage. Les câbles sont placés à 2 mètres d
me. 11 faut noter que les parquets de la plupart des locaux de la clinique sont revêtus de linoléum (Ankermark-Delmenhorst)
. 3° Réseau téléphonique principal réunissant tous les pavillons, CLINIQUE psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 52U l
rma- nente avec la salle de surveillance du pavillon d'agités. La clinique possède en tout 13 postes téléphoniques et 10 sta
hambres d'isolement de ces divers pavillons, dans la salle d'examen clinique du rez-de-chaussée, dans une chambre d'infirmie
aires. G. Carrier. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 533 LXXV. Formes cliniques du tremblement dans la paralysie agitante, par
M. Collet cite à l'appui des observations de ces différentes formes cliniques du tremblement. G. C. LXXVI. Paralysies et cris
thénar et hypothénar, interosseux et lembricaux avec ses symptômes cliniques ; l'atro- phie respecte les avant-bras. 2° Un
'auteur montre ce qu'il y a de vague et d'incertain dans le tableau clinique et anatomo-pathologique de cette affection, il
nalcow), le rappor- teur trouve possible (1) d'instituer le tableau clinique , consistant en symptômes basilaires et accessoi
ans aucun autre signe de tabès ou de méningo-encé- phalite. Etude clinique et expérimentale sur le fonctionnement du nerf dé
nt que le système nerveux suit définitivement lésé et que des faits cliniques l'ex- priment clairement, une phase que l'auteu
en déduction l'auteur a) rive à cette conclusion : « à côté du type clinique de l'alcoolisme chronique (nettement pathologique
irecteur-administratif, M. Pichon, Pharmacien, M. Valeur. A l'Asile clinique , 1 directeur-adminis- tratif, M. Guillot. pharm
hilippe, 103. Contri- bution à l'étude anatomo-patho- lo.i(lue et clinique de l' Cliar- cot ? lat-ie. par Sainton, 1). 282
ing, 275. Les idées érotiques dans l ? par Marie, 377. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l' -, l'hys- térie et l
ICII. Maladie (le - ethérédo- sylaills, par liayet, 274. Giessen. Clinique psychiatrique de l'Université -, par Sérieux, 3
par Guillam, 385. MALADIES mentales. Sur la question de la valeur clinique de la con- traction idio-miiseulaire dans les
lo-rachidien, 1lt.smco-GCI : PH\I.1TF tuberculeuse. Sur une forme clinique et ana- tomo-pathologique de , par An- glade
vralgie. Voir Sympathique ceî,- uical. Sur quelques panicularités cliniques de la faciale et son traitement par l'électrici
es périphériques, par Bl'ISSil1111 et et Bruandet, 278. La valeur clinique (le la dissociation ries tendi- neux et cutan
z tard pour la vision binoculaire droite, par Ballet, 287. Elude clinique de la forme tabétique des combinées, par P. M
phique, par Chrétien et Thomas, 181, - dorsatis et aortite. Note clinique , par Arnllani, 287. -, Voir Liquide céphalo-rac
4 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
T ' FUItLIf : E SOUS I.A DIIIKC11ON DE A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). MM. : F. RAYMOND Professeur d
e l'Asile clinique (Ste-Anne). MM. : F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facult
f 1904 Vol. XVII. Janvier 1904. N° 97. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Tumeur cérébrale avec abolition des r
tumeur cérébrale; c'est sur ces phénomènes, sur leur signification clinique , pathogénique et anatomopathologique que j'insi
MM. les D6 Philippe et Lejonne. Archives, 21 série, t. XVII. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. Il s'agit d'une jeune femme de vingt-
'odo- rat, on la néglige un peu en général ; vous voyez qu'elle 4 CLINIQUE NERVEUSE. nous révèle cependant un nouveau symp
'en faire sortir, et même si je lui adresse une question très S 6 CLINIQUE NERVEUSE. .simple, j'obtiens une bonne réponse;
tiens aujourd'hui, et dès maintenant, à vous souligner un symptôme clinique très intéressant présenté par notre malade, la
al correspondant et des tubercules quadrijumeaux voisins. ' l . 8 CLINIQUE NERVEUSE. . Une digression est ici nécessaire :
utit à une véritable sclérose pseudo-tabé- tique. Au point de vue clinique , les lésions de la moelle se mani- festent pres
fisamment d'accord dans leurs descriptions anatomo-pathologiques et cliniques , il n'en est plus de même quand il s'agit de dé
ement soutenues depuis les premières constatations histologiques et cliniques ; qu'il me suffise de vous déclarer que pas une
. Auparavant, je tiens encore à vous dire que d'autres régions 10 CLINIQUE NERVEUSE. 1 de la moelle peuvent être atteintes
s ! à parois minces et peu résistantes, si bien qu'en dernière 12 CLINIQUE NERVEUSE. analyse les tubes nerveux eux-mêmes s
de Montdevergues (Vaucluse), est promu à la il" classe du cadre. CLINIQUE MENTALE. Contribution à l'étude de la démence c
tableau décrit par cet investigateur comme un symptomo- complexe clinique à part, qui entre dans les troubles psy- chique
divers auteurs, sous le nom de catatonie, comprennent des formes cliniques tout à fait différentes, je dois m'arrêter sur ce
- nies et n'ont aucune liaison avec la pathogénie des symp- tômes cliniques ; c'est pourquoi nous nous arrêterons exclusive
ues ; c'est pourquoi nous nous arrêterons exclusivement sur le côté clinique de son ouvrage. L'auteur en question regarde co
Neisser (11 et 23), Jensen (12), Sommer (13), Fschige ('111,), 16 CLINIQUE MENTALE. Aschaffenburg (24), Ilsberg (26)], et
finissent toujours par passer dans la démence. Dans la description clinique , Schüle s'associe à l'opinion de Kahl- baum. Le
re, du temps et de l'endroit où Archives, 2° série, t. XVIT. 2 18 CLINIQUE MENTALE. il il se trouve. Lorsqu'on le question
ger avec le même appétit. La nuit, le malade dort dans son lit, 20 CLINIQUE MENTALE. , r mais durant la journée il ne se
e de réflexes concernant l'entourage, est très faible aussi. 1 22 CLINIQUE MENTALE. Nous avons eu l'occasion d'observer le
hose aiguë a apparu la forme secondaire ? Par conséquent, l'analyse clinique de la période initiale de la maladie doit occup
ert, secondement, nous avons déjà noté que d'une mélancolie 24 ik CLINIQUE MENTALE. initiale, légère, avec idées délirante
os, à ce qu'il paraît. Un balancement automatique en avant et en 26 CLINIQUE MENTALE. arrière, en se tenant près d'un mur. O
chez le malade deux états, état de dépression et état d'exci- 28 CLINIQUE MENTALE. tation, mais toujours avec la prédomin
uter au commencement de la maladie, maintenant corres- pond au type clinique de Kahlbaum. Des formes pures de la démence héb
lace son matelas, déchirait ses habits, barbouillait les murs. 30 . CLINIQUE MENTALE. Dès le premier temps, on observa déja
la période initiale, la stéréotypie du cours de la maladie et 32 CLINIQUE MENTALE. l'affaiblissement très marqué de la ca
comme nous avons déjà eu l'occasion de l'in- diquer dans nos Leçons cliniques relativement aux formes infectieuses, il se com
tivement aux formes infectieuses, il se compose : 1° D'un tableau clinique défini et d'un cours typique et constant de la
nclusion en nous basant sur des Archives, 2- série, t. XVII. 3 34 CLINIQUE MENTALE. combinaisons du caractère général. En
et trop incomplètes. Une autopsie d'un catatonique, faite dans la clinique du professeur Fehige, à Jourieff (Derpt), démon
i influent sur le caractère orga- nique de la psychose. 1 Du côté clinique , les ennemis de l'indépendance de la catatonie
lle forme, nous devons nous diriger seulement d'après des .humées cliniques . La seconde objection est plus grave. Mais est
t. Nous posons la question ainsi : Pour combien et de quelle 36 ' CLINIQUE MENTALE. manière la sphère motrice est-elle int
"tôme. Dans une autre forme morbide et dans une autre expression clinique ces phénomènes sont connus de nous dans les mal
ades se trouvant en état de stupeur ou en état comateux malgré 38 CLINIQUE MENTALE. le phénomène ordinaire de disjonction
variables en dépendance de l'un ou l'autre centre cortical. Du côté clinique on ne peut pas tracer de limite très accentuée
d'inhibition que d'exhibition. De sorte que d'après le caractère clinique général, la cata- lepsie ne contredit pas non p
e contredit pas non plus les autres phénomènes catatoniques. 40 " CLINIQUE MENTALE. L'argument le plus persuasif, qui peut
la catatonie ainsi que la dysar- trie paralytique (voyez nos Leçons cliniques , vol. II, p. 153- 154) comme un symptôme du tro
e par lui encore en 1874, concernant l'unité génétique du tableau clinique décrit par lui. Pourtant nous devons dire d'ava
onie » satisfait parfaitement à la première condition de la forme clinique , à {'unité du symptomocomplexe. Pour ce qui con
unité du symptomocomplexe. Pour ce qui concerne le second phénomène clinique : la constance du cours de la maladie, on peut
re, d'un autre côté Kahlbaum décrit lui-même l'intégrité du tableau clinique , en admettant la possibilité de l'enlèvement de
a de Meynert, nous aurions envisagé le défaut mental très pré- 42 CLINIQUE MENTALE. coce et très stable qui ressort nettem
tonie comme un groupe nosologique indépendant, ou comme une forme clinique , qui entre dans un autre groupe de maladies plu
pendants, vu la versatilité des commentaires concernant les données cliniques , et vu l'indétermination de la nosologie et de
énératives, dans d'autres cas nous disposons seulement de complexes cliniques déterminés et d'un cours déterminé. De ce point
rès probable que cette lésion, à son tour, se basant sur son type clinique , peut entrer dans le vaste groupe de dégénéres-
iques et présenter parmi elles une forme mor- bide dont les limites cliniques , qui ont été marquées pour la première fois enc
e la queue de cheval et du segment infé- rieur de la moelle ; leçon clinique de M. le Dr RAYMOND (Nouv. . lconogr. de la Sal
LOGIE PATHOLOGIQUES. question de troubles psychiques. Les symptômes cliniques obser- vés sont expliqués par la lésion bilatér
ire de l'atrophie démontre qu'on ne doit pas considérer le syndrome clinique cérébelleux comme étant tou- jours le représent
comme intérêt dominant, l'absence de parallélisme entre le syndrome clinique et le tableau anatomo-pathologique. La première
ÈSTARAc(7Vb«u. Iconogn. delà Salpêtrière, n° 5, 1902). Discussion clinique au sujet de deux malades présentant une symptom
n corticales et sous-corticales, comme ne répondant ni à la réalité clinique , ni à la réalité anatomo-pathologique. M. Ladam
ans ; cette observation présente un double intérêt au point de vue clinique et au point de vue anatomique. D'une part, en e
'abduction associée des orteils me paraît avoir une significa- tion clinique de même ordre que l'abduction réflexe, mais il fa
MM. DUPRÉ, Haosen et SÉBILEAU rapportent l'histoire anatomique et clinique d'un cas de méningo-encéphalomyélite subaiguë, in
tubercule inférieur n'a eu qu'un rôle secondaire dans le tableau clinique ayant probablement entrainé la faiblesse du côté
re de grossesse et arrive, ayant analysé un certain nombre de faits cliniques très intéressants, à conclure : que le dé- lire
a description du délire de grossesse n'a pas, à mon avis, la valeur clinique que l'on voudrait lui donner ; ce délire ne mérit
à la conduite immédiate à tenir par le médecin en présence d'un cas clinique urgent de médecine, de chi- rurgie ou d'obstétr
de la gêne. Enfermé comme fou, à la suite de son attentat à l'asile clinique puis à BicêLi e,,il parvint à s'évader et à pas
12-1903. Vol. XVII. Février 1904. N, 98. ARCHIVES DE NEUROLO"1^ CLINIQUE NERVEUSE. Epilepsie : Pathogénie et indications
elle de l'épilepsie vraie, de Archives, 2' série, t. XVII. 7 98 ' CLINIQUE NERVEUSE. l'épilepsie stéréotypée en quélquesor
ons sont faciles a expliquer, comme on le verra par la suite. 100 CLINIQUE NERVEUSE. tiques ; en Suède el en Norvège, la f
il. , Hurlurenu. Art. Epilepsie du Dict. Dechamble, page 109. 102 CLINIQUE NERVEUSE. ou bien des idées exaltées ; quelques
me endémiques il Rosières-aux-Salines (meurtre). Nancy, 1831. 104 CLINIQUE NERVEUSE. ' dances à l'ivrognerie, tel autre de
tuelles, tel on le retrouvera pour ainsi dire chaque jour; 106 Il CLINIQUE NERVEUSE. l'épileptique, au contraire, est esse
i lesquels, par conséquent, on peut compter les goitreux, qui 108 CLINIQUE NERVEUSE. ont le moins d'attaques convulsives e
nfu- sion mentale beaucoup plus accusée qu'elles ne l'avaient 110 CLINIQUE NERVEUSE. jamais présentée; elles étaient très
que le crétinisme et l'épilepsie ont des pathogénies essen- 1H - CLINIQUE NERVEUSE. tiellement différentes, et partir de
une glande à sécrétion interne (corps thyroïde). Mais l'observation clinique , qui accuse assez nettement cette influence de
ptiques. Paris, Alcan, 1890. Archives, 20 série, t. XVII. S 114 ' CLINIQUE NERVEUSE. grins, perte de son mari, troubles in
le déclin de la vie. Il me reste enfin à répondre par l'observation clinique à une dernière objection qui pourrait être tiré
plus ; la preuve ne nous en est-elle pas fournie chaque jour par la clinique même ? J'observe tout parti- culièrement, depui
J'ajoute qu'au contraire, l'étude attentive des deux observa- 118 CLINIQUE NERVEUSE. tions, bien que très sommaires, condu
livre de Grasset et pour ne nous occuper que du côté théo- rique et clinique de leur conception, nous avons à envisager les
chéma du centre 0 et du polygone, n'est pas confirmée par les faits cliniques . Et nous voudrions insister en terminant sur le
ski revient, selon nous, l'honneur d'avoir sollicité cette revision clinique par l'exposé d'une définition précise qui conti
nal of Mental Science. Octobre 1902). Il résulte des considérations cliniques , pathologiques et chimi- ques exposées dans ce
stitution psychique. La mélancolie intermittente n'est qu'une forme clinique de la psychose périodique, pouvant être alterne
OGG. (The New-York Médical Journal, 16 juillet 1902). - Les faits cliniques et les conclusions de ce travail ont été résumés
ndamentale dans les processus de formation mentale. Au point de vue clinique , les actes histrioniques sont spontanés et invo
U1'1l. de neurologie, 1903, n° 7). , ' Des recherches faites à la clinique psychiatrique de Moscou les auteurs concluent q
ssante observation d'une malade de quarante-neuf ans qui entre à la clinique psychiatrique de Moscou en état de dépression,
istance à tout ce qu'on lui proposait. Puis, assez vite, le tableau clinique changea ; la malade commença à' manger ; l'émot
uifs ; par le D1' PiLcz. L'auteur s'est proposé de rechercher, à la clinique psychiatrique du professeur von Wagner, à Vienn
rret, de la paralysie générale proprement dite, par des différences cliniques ainsi que par sa marche et sa terminaison. Au
niques ainsi que par sa marche et sa terminaison. Au point de vue clinique , le tabétique mégalomaniaque ou per- sécuté, ou
réflexe, opi- nion qui est bien établie aujourd'hui au'point de vue clinique et par l'expérimentation. L'épilepsie réflexe a
ux. Les psychoses de la fièvre typhoïde n'ont de caractéristiques cliniques ni anatomiques : infection, intoxication, hyperth
ience et au point de vue purement médical. C'est le côté pu- rement clinique que j'entends discuter. Autrefois le choc trauma-
. Traitement de l'alcoolisme à l'ambulance psychothérapique de la clinique de l3eclatereiu. M. PEWNiTZRt (de St-Pétersbour
pprochement s'impose natu- - rellement avec les faits d'observation clinique que la réunion de deux agents, l'un infectieux,
rs ou originaux. Pierre Roy. 182 BIBLIOGRAPHIE. / VII. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
es dévoués collaborateurs. ' · La deuxième partie, consacrée à la clinique , thérapeutique et anatomie pathologique, fait c
plètes et les plus importantes qui aient été publiées. Observation clinique minutieusement prise ; examen histologiqne, reche
s de notre Maître, à qui revient tout le mérite de cette découverte clinique . Plusieurs pages, fort intéressantes, sont cons
exes tendineux, cutanés et pupillaires, les plus importants pour la clinique . La maladie des tics est le plus souvent incura
vol in-8- de 102 pages, imp. Kreiss, Nancy. ' HÈmssEY (Paul). Etude clinique sur les troubles trophiques dans la paralysie g
. - I-100f. Vol. XVII. Mars 1904. N° 99. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. L'état du fond de l'oeil chez les para
3L août 1903, page 826. ' Archives, 2' série, t. XVII. 13 194 -il CLINIQUE mentale. de dépression mélancolique avec quelqu
té suivis de parésie linguale et de bégaiement pendant quelques 196 CLINIQUE MENTALE. jours. 'Au moment de l'entrée, accès d
ne réagissent plus ni à la lumière, ni à l'accommo- dation. 0 198 CLINIQUE MENTALE. L'examen du fond de l'oeil permet de c
mplètement nécrosée ; elle n'existe plus; bien plus, sa mala- 200 - CLINIQUE MENTALE. die s'est propagée à tout l'univers, a
parole fort embarrassée. Pas d'inégalité pupillaire; les pu-. 202 . CLINIQUE MENTALE. pilles moyennement dilatées ne réagiss
articulés. Aucun trouble sensoriel. Le gâtisme a disparu. 204 .. CLINIQUE MENTALE. , A l'ophthalmoscope, la papille droit
mal. Marche difficile. Gâtisme. - A l'ophthalmoscope, vieilles 206 CLINIQUE NERVEUSE. lésions de myopie avec astigmatisme a
de 61 p. 100 de lésions du fond de l'oeil d'origine paralytique. CLINIQUE NERVEUSE. Epilepsie : Pathogénie et indications
ne semble.t-elle pas accuser nettement que l'accroissement de 208 CLINIQUE NERVEUSE. - l'activité fonctionnelle du corps t
erge. Loc. cit., page 17, - . Archives, 21 série, t. XVII. 14 210 CLINIQUE NERVEUSE. cas d'épilepsie ; on ne peut donc pas
faible cause puisse ainsi avoir de grands effets; un ensemble 212 - CLINIQUE NERVEUSE. de circonstances, impressionnabilité
s de l'idiotie ou de l'imbécillité avec épilepsie sont consécu- 214 CLINIQUE NERVEUSE. ' tives à l'épilepsie et non causes d
cations thérapeutiques dont nous montrerons la valeur par des faits cliniques insérés à la fin de ce mémoire. Pathogénie. -
re, page 182. ' L'homme et l'intelligence. Alcan, édit. ' . 216 CLINIQUE NERVEUSE. ' serait-elle pas absolument justifié
ement la rareté de l'éclosion de.l'épilepsie à un âge avancée ` 218 CLINIQUE NERVEUSE. remarques relativement aux excrétions
ussi que l'ingestion du corps thyroïde aggrave l'épi- lepsie. 220 CLINIQUE NERVEUSE. ' taire, ce poison jouera un rôle adj
épilepsies et les épileptiques. Paris, Alcan, 1890 page 231. 222 CLINIQUE NERVEUSE. M. Bourneville a tiré les plus précie
llité, ont fait croire jusqu'à ce jour que c'était l'idiotie ou 224 CLINIQUE NERVEUSE. l'imbécillité ou leurs causes organiq
êtent, le plus souvent, que I Archives, 2' série, t. XVII. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE. quelques caractères plus ou moins inc
u'une excitence faible sur un système nerveux originellement 228 ^ CLINIQUE NERVEUSE. moins taré ne donneront pas des effet
accumulations accidentels de toxines, etc..... - Nos observations cliniques montreront que. nous avons utilisé assez/ heure
llaires et mal de Pott; par les Drs Thomas et HausER. Observation clinique et anatomique d'altérations médullaires dans un
eil cas. ' Pour M. Bard, le signe de l'orbiculaire a une importance clinique de premier ordre ; il est appelé à accentuer la
acteur, l'hérédité joue un rôle prépondérant. De par les recherches cliniques ,, histologiques et étiologiques, on peut ad- me
folie de l'adolescence. Si l'on considère maintenant les caractères cliniques de la folie chez ces malades, on constate qu'il
mémoires ont été envoyés : 1° Contribution à l'étude de l'évolution clinique et pathologique des traumatismes du crâne guéri
ralisé et aurait voulu que de tels cas soyent plus limités du côté clinique , ainsi que du côté anatomique. \V. I. ROTII sou
au cours des diverses affections qui composent ces deux catégories cliniques . C'est ce que l'auteur s'attache à démontrer en
sement intellectuel et peuvent servir à différencier une modalité clinique , spéciale; dans les délires de persécution où ell
ui font de cette thèse une contribution importante à la séméiologie clinique des idées hypochondriaques de la négation. . J.
0 francs. - Question : Des sorties à titre d'essai, au point de vue clinique , administratif et législatif. NOTA. - Les mém
ille. Vol. XVII. Avril 1904. N° 100. CI' ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Hospice DE la Salpêtrière. M. le prof
qu'étrangère embryologiquement Archives. z série, t. XVII. 18 274 clinique NERVEUSE. au système nerveux, elle peut atteind
lle donne naissance, comme chez notre pauvre malade à des syndromes cliniques , en apparence si nets et si précis, qu'en les c
vers syndrômes nerveux réa- lisés chez elle, quelle est leur valeur clinique au double point de vue du diagnostic et du pron
oux pénible s'installe; la respiration est gênée, avec sensa- 276 C CLINIQUE NERVEUSE. , tion de constriction thoracique ; e
I Les réflexes tendineux sont généralement exagérés, parti-' 278 CLINIQUE NERVEUSE. culièrement les réflexes rotuliens et
s. , Tout d'abord, et en ceci nous suivons la chronologie des 280 CLINIQUE NERVEUSE. faits, c'est l'impotence douloureuse
ouffrances et, pour ce faire, il n'a pas le choix des moyens. 282 CLINIQUE NERVEUSE. . Messieurs, vous avez vu que, dans
sacré à ce sujet plusieurs observations que vous trouverez dans mes cliniques . Je vous demanderai donc la permission de passe
c la permission de passer en revue avec vous les principales formes cliniques de l'atteinte du système nerveux périphérique p
le (ii-,uve due j, l'obligeance de la llevue ncurolo- gique). 284 CLINIQUE NERVEUSE. L'envahissement des nerfs est un phén
erminaisons nerveuses les plus fines. L'observation anatomique et clinique , la première en date et la seule jusqu'à ce jou
cancéreuse généralisée, type Obertbür. Voici d'ailleurs les faits cliniques et les constatations histologiques qui en résulte
nt. Dans le courant de l'année 1900, au mois de mai, entrait à la clinique Charcot, une malheureuse femme dans un état des
reusement les renseignements sur l'aspect de l'expectoration 286 " CLINIQUE NERVEUSE. 1 sont vagues. Le soir on constate pr
rosée ; la surface de section des muscles en était littérale- 288 CLINIQUE NERVEUSE. ment criblée. La plupart de ces granu
l'1l1dtion des gaines sarculemuaauques en acini glandulaires. 290 ' CLINIQUE NERVEUSE. Tout autre est la condition des termi
de diagnostic était dans l'espèce presque fatale. Parmi les types cliniques des localisations du cancer sur le système nerv
st en rapport avec de nombreuses masses ganglionnaires. 292 - : - CLINIQUE NERVEUSE. - Une grande partie de celles-ci reço
Fig. 9. Aspect du plexus brachial engainé par la tumeur. 294 " - CLINIQUE NERVEUSE.' - " - Dans certains points, les lési
ein des travées carcinoma- lenses, coloration Pal-carmin. 296 . - CLINIQUE NERVEUSE. de l'utérus, les mélastases du côté d
« intra-vertébrate des nerfs rachidiens ne donne pas des « tableaux cliniques identiques à celle des nerfs définitive- « ment
art quelques branches anaslolnotiqlles- dès son origine, confond en clinique ses symptomalogiesra- diculaire et périphérique
- lules ganglionnaires entourées d'éléments épithéhaux. \ , 298 CLINIQUE NERVEUSE. z étroite analogie entre la pathogéni
ade vint il y a quelques années se présenter à notre examen à cette clinique pour une paralysie faciale droite totale à type
ion ? Au cours d'un cancer du sein, par exemple, souvent à la 300 CLINIQUE NERVEUSE. suite d'une intervention chirurgicale
laire, mais encore au sein même de la gaine de Schwann par un 302 CLINIQUE NERVEUSE. mécanisme analogue à celui des gaines
ue du rachis. Le tissu osseux n'est ni friable, ni spongieux. 304 CLINIQUE NERVEUSE. La dure-mère est épaisse, surtout au
issement du cylindrwe; D, dégénérescence hyaline du cylindraxe. 306 CLINIQUE NERVEUSE. Ici même, dans cet amphithéâtre, j'ai
de vous exposer, sera votre guide le plus sûr. Les divers. aspects cliniques seront fonction de la distribution topographiqu
e aigüe, véritable 1leW'o-rnyo. ! site généralisée dont les allures cliniques sont celles d'une polynévrite sensitivo-motrice
lysies radiculaires classiques par arrachement, avec leurs 308 - CLINIQUE NERVEUSE. oedèmes, leurs troubles vasculaires,
périphérique déterminée. Aussi conçoit-on la variabilité du tableau clinique : on a même publié des cas de paralysie limitée
érale : Gazette des hôpitaux. 7 février 1903. 1 Ballet. Leçons de clinique médicale, 1897. * Raymond. Cliniques du système
ier 1903. 1 Ballet. Leçons de clinique médicale, 1897. * Raymond. Cliniques du système nerveux : 1895-90; Leçons sur les po
aissant très facilement traverser par les rayons X. Au point de vue clinique , les fractures des syringomyéliques ressemblent
diffuse, ainsi que la lymphocytose, est commune à toutes les formes cliniques de la syphilis nerveuse. Elle ne peut donc pas
oi formulée par Wernicke. Il croit donc que lorsqu'on a des raisons cliniques suffisantes pour croire à de la cécité corticale,
de l'incontinence urinaire. Elle est morte le 14 février 1902 à la clinique infantile. M. Weiil insiste sur un point limité
ur six observations personnèlles, étudie à un point de vue purement clinique la variété délirante. ' L'auteur pense que la f
tique, pas plus que l'urémie déli- rante ne constituent des entités cliniques . Dans l'un et l'autre cas, il s'agit, croit-il,
que, un état spécial permanent du système nerveux dont l'expression clinique est : le caractère moral hystérique, les troubl
e nerveuse. . Voilà pourquoi l'hystérie qui, chez les malades de la clinique d'Heidelberg affectées de folie simple, interve
use des spiritueux. , P. KERAVAL. LUX. De l'examen de psychologie clinique des aliénés; parG.-C. FERRARI. (Centralblatt f.
ie générale vérifiée à l'autopsie, ayant présenté à l'ob- servation clinique , en plus d'un délire de persécution et de gran-
cinations et de symptômes de lésions en foyer surajontés au tableau clinique commun de la P. G. d'écarter, comme on l'a fait
iscussion développée par 1 au- teur, à propos de trois observations cliniques de démence précoce avec catatonie, confirme l'i
il constituerait une variété particulière. il. C. LU. Observations cliniques et expérimentales sur la katatonie; par Lewis C
ctobre 1903.) Les conclusions tirées par l'auteur de ses recherches cliniques et expérimentales sont les suivantes : 1° la ka
de crimes. II. DE IOSGIi.IVE-CL : 1Y. LV. Nouvelles observations cliniques sur la manie aiguë et parti- culièrement la man
(de Saint-Pétersbourg) rapporte l'observation de sept malades de la clinique de Bechterew et corrobore l'opinion de 346 SOCI
s d'excellentes conditions. M. BERILLO1V. J'ai 11101-llléllle, à ma clinique , essayé toutes sor- tes d'anesthésiques ou d'hy
e nerveux : - - 10 En 1902 : Ch. Achard et Léopold Lévi. Recherches cliniques sur l'élimination de l'éther par les poumons. P
ier, 1904, M. le Dr AKTHE\uME (André-Alphone-Louis), ancien chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine
. - 3-1904, Vol. XVII. Mai 1904. N° 101. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Des signes oculaires dans la pàralysie
dans la pàralysie générale; Par A. JOFFROY (Leçon faite à l'Asile Clinique , le 17 novembre 1902 et recueillie par le Dr Sc
frent rien de caractéristique. Archives, 2'série, t. XVII. 23 354 CLINIQUE MENTALE. Il convient cependant de reconnaître q
aralytiques généraux s'impose comme étant de la plus grande utilité clinique . Mais quels sont, parmi ces troubles oculaires,
les troubles iriens qui sont de beaucoup les plus fréquents. 356 CLINIQUE MENTALE. Le premier signe, noté depuis longtemp
ale. L'un, le réflexe lumineux, est très fréquemment atteint, 358 CLINIQUE MENTALE. on peut dire presque constamment; l'au
s. Ce dernier malade est sorti du service peu après, mais' il 360 CLINIQUE MENTALE. est probable que dans un temps plus ou
ire avec Mickle (1886) que chez les paralytiques généraux : 362 ? CLINIQUE MENTALE. 1° On trouve très fréquemment l'immobi
tro- phies commençantes), 22 aspects flous de la papille avec 364 CLINIQUE MENTALE. bords indécis. En somme 42 fois des lé
s et leur ordre d'apparition leur donnent la plus grande importance clinique ; mais si à propos de la ponction lombaire dont
vations que nous avons prises, nous aurions de longues descriptions cliniques à écrire, qui dépas- seraient par trop le cadre
ement. - R. de Musgrave-Chï. LVII. Observations bactériologiques et cliniques sur le sang dans les cas de manie aiguë continu
eurs mettent en évidence la forme psycho-paralytique de l'évolution clinique , bien décrite par Brault et Loeper, mais font r
ment moral et appel en faveur de celui-ci. Snw : 1, LXVIII. Notes cliniques et pathologiques; par M.-J. MOLAN, (fin - Journ
roduire inté- gralement. La première partie est consacrée à l'étude clinique et hygiénique de la phthisie dans les asiles ;
s divers asiles. Nous donnons ici simplement le résumé de la partie clinique de ce rapport : « La phtisie règne dans les asi
11 n'est pas seulement contraire à la philosophie, mais aussi à la clinique de lui refuser la valeur d'un facteur étiologiq
ence fré- quente et considérable de l'hérédité est la démonstration clinique REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 409 de cette pro
phénomène secondaire et une résultante. 9° Il n'y a dans l'histoire clinique et pathologique des maladies mentales aucun phéno
x points de vue très différents, M. Clouston ,au point de vue de la clinique et de la psychologie, l'orateur au point de vue
aroles courtoises du Président. Il. DE MUSGW 1'E-CLT. LXXX. Etude clinique sur les troubles de la conscience dans l'état p
nt leur dépait de l'hôpital pour le bureau d'admission ou à l'Asile clinique et de la prendre aussi il l'asile Clinique au m
d'admission ou à l'Asile clinique et de la prendre aussi il l'asile Clinique au moment du transfert de cet asile clans les a
Le traitement des troubles mentaux à leur début; son ensei- gnement clinique dans les salles des hôpitaux généraux; par Sir
l est de signaler l'insuffisance actuelle des moyens d'enseignement clinique des maladies mentales, et les moyens d'y remédi
arfaitement donné dans les écoles de médecine ; mais l'enseignement clinique est in- suffisant, ainsi que l'a signalé le pre
de nature auto-toxique, le delirium tre- mens, dont les caractères cliniques ont été souvent bien mis en évidence par de nom
préter sainement les lésions du delirium tremens qui, au pointdevue clinique , est un épisode aigu et accidentel, ne pou- van
consacré au traitement de l'aliénation mentale, soit comme chefs de clinique ou internes des hôpitaux nommés au concours. Le
ints en vue de l'admissibilité des candidats aux épreuves orales et cliniques . Ces épreuves sont éliminatoires. 4° Une questi
s d'exposition ;le maximun des points sera de 20 ; - Go Une épreuve clinique écrite. Cette épreuve portera sur un seul malad
consultation écrite; le maximum des points sera de 20. Les épreuves cliniques auront lieu à l'asile clinique Sainte-Anne. A
des points sera de 20. Les épreuves cliniques auront lieu à l'asile clinique Sainte-Anne. A partir du le,,juin 1904, Usera i
a été nommé médecin assistant au service de l'admission de l'Asile clinique . Nous adressons nos félicitations à notre disti
imp.4[04 Vol. XVII. Juin 1904. ' N° 102. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Un cas de forme fruste de démence préc
de M. le Dr Sérieux. Archives, 2' série, t. XVII. ' ? 8 . 131· li CLINIQUE MENTALE. faible affection pour le reste de sa f
Nous arrivons aux faits qui ont motivé sa dernière entrée. De- 436 CLINIQUE MENTALE. puis le mois de février 1902, nI. 1\..
ales, paroles prononcées pour ainsi dire automatiquement, etc., 438 CLINIQUE MENTALE. etc.) Remarquons enfin que les percept
1. N... ne semble guère ressentir les émotions bien profondé- 440 ' CLINIQUE MENTALE. ment. Il est assez difficile d'étudier
e ne se fixe spontanément sur rien, il n'a pas de souvenirs 442 "-) CLINIQUE MENTALE. spontanés, il ne songe'pas à sa vie pa
l quel, est en désaccord avec ce que nous apprend le malade sur 444 CLINIQUE MENTALE. sa pensée spontanée. Mais je crois que
ention ne s'exerce jamais à vide et on ne peut l'étudier qu'à 446 6 CLINIQUE MENTALE. travers une autre fonction. M. Binet f
alors la réponse est inexacte et il ne cherche pas à la cor-' 448 8 CLINIQUE MENTALE. riper ; à la fin de l'exercice, il ne
ient rares chez lui. i. Archives, 2' série, t. XVII. 2'.) . 450 CLINIQUE MENTALE. d'un épisode hallucinatoire confus sur
l'éclosion de la psychose observée; mais il ne s'agit pas là 452 ) CLINIQUE MENTALE. de prédisposition héréditaire, il s'ag
- sion illégitime d'un mot) de la dégénérescence acquise. L'étude clinique de la psychose permet d'ailleurs d'éli- miner l
assez riche en conceptions, fugaces d'ailleurs et peu précises, 484 CLINIQUE MENTALE. le second en a été extrêmement pauvre,
ation du capital intellectuel existant encore. C'est là une 4S6 6 ' CLINIQUE MENTALE. simple hypothèse, mais elle mérite d'ê
des êtres imaginaires qui en voulaient à ses jours, et qu'il a 458 CLINIQUE MENTALE. - cherché une nuit à se jeter par une
de soixante trois-ans, tous les deux jouissent d'une assez 460 ' · CLINIQUE MENTALE. bonne santé. D'après eux, pas de malad
précis à ce sujet. Père mort d'accident, mère en bonne santé. 462 CLINIQUE MENTALE. Antécédents personnels. A eu la rougeo
acteur étiologique, autre que le syndrome paralysie générale. 464 CLINIQUE MENTALE. Baillarger soutenait que quand il y a
uditive éthylique; , Par le D, A. PAPADAKI, Ancien assistant à la clinique psychiatrique de Genève. Dans une récente stati
à la clinique psychiatrique de Genève. Dans une récente statistique clinique des alcooliques traités pendant 'les années 190
éthyliques proprement dites, classification basée sur l'observation clinique : In Revue médicale de la Suisse romande, no 12
allucinose auditive, ne paraît pas tou- jours être confirmée par la clinique . En effet, sur 12 cas d'hallucinose auditive, n
lles, l'exagération du tremblement, tout cet ensemble des symptômes cliniques du delirium tremens succède au délire systémati
aiguë, qui se prête à quelques considérations intéressantes d'ordre clinique , cytologique, histologique et thérapeutique.
bres supérieurs s'étaient pris à leur tour, de sorte que le tableau clinique avait été celui d'une paralysie ascendante aigu
as de mélancolie simple et récidivante qui ont été observés dans la Clinique Psychiatrique de Moscou (chez les malades stati
-J. PII.IBYTKOFF se souvient d'un cas de couches, observées dans la Clinique des maladies nerveuses de Moscou en 1892 chez u
ance DU 20 décembre 1902 S.-S. MOLODENKOFF a montré un malade de la Clinique des maladies nerveuses atteint d'achondroplasie
, probablement, à d'autres. W. A. nlOURATOPD dit que tout le côté clinique de l'épilepsie parle d'une manière très express
° l'apparition des troubles mentaux à l'adolescence; 2° l'évolution clinique qui évolue à travers des épisodes variés vers u
tous les intermédiaires se rencontrent entre elles et cerlains cas cliniques peuvent même évoluer en passant par des formes di
yroïdienne, gastro-intestinale, etc., puissent réaliser le syndrome clinique de la démence précoce. Il suffirait alors d'un
s, 95. Traite- ment de l'- à l'ambulance psy- chothérapique de la clinique de Bechterew, par Pewnitzki, 175. de l'enfanc
. Les - en Roumanie, par Zosin, 267. De l'examen de psy- chologie clinique des -, par Fer- rari, 334. De l'action possible
ire de la -, par Arndt, 333. Voir Démence pré- coce. Observations cliniques et expérimentales sur la -, par Bruce, 335. N
an- cats 136. - d'origine na',]." par Lilllnllls, 158. Recherches cliniques et rip et l'i-liolie, par ! 3ùnrnpvdle, 182
d'angoisse, par Captas, 414. 0 , Névrosés. Voir Réflexe. Notes. Cliniques pathulogiques, pal' Molan, 400. Nursings Home
- diabolique au Japon, par lieitz, 148. l'oST-ÉPILFP11QU ? Etude clinique sur les troubles de la conscience dans l'état
dromique.nar Feront. le, Sang. Observations bactériologiques et cliniques sur le - dans les cas de marne aigue continue,
325. Le traitement des mentaux à leur début, son ensei- gnelllent clinique dans les salles des hôpitaux généraux, par l'il
5 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
T PUNLIfiE SOUS I.A DIRECTION UR plpl. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facult
s. 1903 Vol. XVI. Juillet 1903. N° 91. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. i Délire et petit brightisme ; FIR
ite insuffisance hépatique. Celle-ci se manifeste par des symptômes cliniques plus discrets et se traduit expérimentalement p
ue de psychiatrie, septembre 1902). 2 Acliard et Castaine; L'xav7ea clinique des fondions rénales par l'éli- 1)ilialion pi-o
lialion pi-ovoqziée, Masson 1900. Archives, 2- série, t. XVI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. nous avons injecté un centimètre cube
ntant à mesure que se perfectionneront les moyens d'in- vestigation clinique appliqués aux aliénés. Sans parler de l'examen
t pratiqué, nous avons recherché chez tous nos malades les signes cliniques manifestant l'insuffisance rénale. Il s'agit bi
Joffroy. Leçons delà &t<p<'7;'t'e, 11 décembre 1890. 4 CLINIQUE NERVEUSE. sujets du troisième groupe rentrent d
permettant de le recon- naître en l'absence de tout autre symptôme clinique . Il est des cas, dit M. le professeur Dieulafoy
rmittents de mélancolie survenant depuis 9 ans. D'après leur allure clinique les troubles délirants d'origine ' Koeppen. De
approche du délire du rêve de Lasègue dont ils ont la physionomie clinique . Or, le délire par insuffisance rénale rentre com
les maladies mentales (Rapport-Congrès de la Roclielle, 1893). 6 CLINIQUE NERVEUSE. décrit par M. Waler chez un individu
xaminer, il faut s'adresser aux procédés d'expérimentation les plus cliniques : l'examen des urines, leur analyse aussi rigou
eulafoy, Manuel de pathologie interne, 7° édition. T. III. p. 75. 8 CLINIQUE NERVEUSE. ainsi qu'au début. Comme le fait rema
es hommes de l'Asile de Vaucluse, le 31 mai 1902, venant de l'Asile clinique ; avec le diagnostic suivant : Délire mé- lancol
t 1 Dieulafoy, Société médicale des hôpitaux, 10 juillet 188à. 10 CLINIQUE NERVEUSE. porté le diagnostic : Alcoolisme, hal
régu- lièrement à la selle et mange avec assez d'appétit. '1 il, CLINIQUE NERVEUSE. Ses urines recueillies le 2 juin ont
fois, le foie parait à la percussion diminué de volume. L'examen clinique des urines révèle une quantité notable d'albumine
enfance et il est allé chez le commissaire s'accuser de ce vol. 14 CLINIQUE NERVEUSE. Des camarades le traitent de prussien
d'urine a donné dans les grandes lignes les résultats suivants : CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITE DE GIESSEN. 15 dé
d'insuffisance rénale passagère. " (d suivre.) ENSEIGNEMENT. La clinique psychiatrique de l'Université de Giessen (Grand
n en chef de la Maison de santé de Ville-Evrard. Organisation de la Clinique . Organisation du service médical. Le professeur
n de la Clinique. Organisation du service médical. Le professeur de Clinique psychiatrique, M. le docteur li. Sommer, est di
assistants et un stagiaire (VotoKu'/tausa) ? ) qui habitent tous la Clinique . Lors de notre visite le personnel médical était
ire appartenant au corps de santé militaire. Tous sont logés à la Clinique . Le premier médecin assistant est chargé de la di
deux médecins de chaque divi- sion doit toujours être présent à la Clinique ; de plus les deux mé- decins chargés du servic
atoires. Chacun d'eux est de service à tour de rôle pour les leçons cliniques . La Clinique disposant de 80 à 100 lits, c'est
d'eux est de service à tour de rôle pour les leçons cliniques. La Clinique disposant de 80 à 100 lits, c'est donc 20 à 25 ma
phones et enfin de l'organisation de trois salles de surveillance CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 17 co
Rapport de surveillance du pavillon. Date : fait par l'infirmier CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 19 20
ier, un concierge et deux garçons de bureau. Fonctionnement DE la clinique . La clinique, dit M. Danne- mann, a pour but le
erge et deux garçons de bureau. Fonctionnement DE la clinique. La clinique , dit M. Danne- mann, a pour but le traitement e
e l'enseignement doivent présider à l'admission des malades. Si une clinique psychiatrique doit avant tout être un établisse
présentent certaines affections incurables. Pour avoir un matériel clinique nombreux, une clinique doit disposer de lits gr
ffections incurables. Pour avoir un matériel clinique nombreux, une clinique doit disposer de lits gratuits en nombre suffis
sentant de l'autorité civile ou militaire, le directeur d'une autre clinique , le président d'une société de secours mutuels,
rédige un rapport concluant ou non au maintien. En résumé : 10 la clinique peut recevoir des malades de toute classe sans
e certificat d'internement, l'intervention du médecin expert pré- CLINIQUE psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 21 se
t décharge le directeur de la responsabilité de l'ad- mission. La clinique n'est pas dans l'obligation d'admettre tous les a
acés d'office. Les agents de police qui conduisent un ma- lade à la clinique doivent être en civil. ' Les prix de pension de
de à la clinique doivent être en civil. ' Les prix de pension de la clinique varient de 1 à 6,50 mark. Le prix habituel de l
s une entente entre la direction et la famille. L'Etat fournit à la clinique une subvention annuelle de 77.000 francs. La
ournit à la clinique une subvention annuelle de 77.000 francs. La clinique évacue ses malades dans les asiles de Heppenheim
des transférés dans les asiles peuvent être ramenés de nouveau à la clinique , avec l'autorisa- tion de la famille; cette fac
ns organi- ques du système nerveux et 20 aliénés. Statistique. La clinique de Giessen, ouverte le 25 février 1896, a admis
té après l'amélioration d'un accès passager d'excitation; 3° que la clinique est fréquemment appelée à fournir des rapports
(paralysie générale, complications organiques). La population de la clinique s'élevait, au Il, janvier 1898, à 56 malades (2
re classés ainsi au point de vue de la nature de leur affection : CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 23 to
urs cérébrales, artério-sclérose, etc.), à l'aide de démonstrations cliniques et de préparations anatomiques. Il a insisté
t. Dans la seconde semaine, eurent lieu des conférence avant tout cliniques : présentation de malades atteints de psychoses s
a psychatrie, sur l'organisation des asiles et par une visite de la clinique . ZD Laboratoires. La création de laboratoires d
a méthode expérimentale et de combler ainsi les lacunes de l'examen clinique des faits par l'observation. On a voulu faire b
réoscope met bien en relief les traits pathologiques de l'image. La clinique de Gies- sen possède déjà un grand nombre de ce
l'aliéné rend aussi, dit 111. Ladame, des ser- vices appréciés à la clinique de Giessen. On peut ainsi reproduire ' Kurze Mi
grapiiische. Monatschrift furMedicin. Baud IV, août 1897, p. 113. CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 25 à
sants du Règlement sur l'admission et la sortie des malades à la clinique psychiatrique de Giessen, du 14 janvier 1896. I
, du 14 janvier 1896. I. Destinatioît de l'établissement. § 1*1. La clinique psychiatrique a pour but le traitement et l'ass
s des deux sexes ainsi que l'enseignement de la psychiatrie. A la clinique psychiatrique est annexée une clinique externe po
ment de la psychiatrie. A la clinique psychiatrique est annexée une clinique externe pour les nerveux atteints de troubles p
atteints de troubles psychiques. II. Admission des malades. § 2. La clinique est destinée en premier lieu à recevoir les Hes
de renseignement. § 3. L'admission est faite par le directeur de la clinique , qui peut refuser d'admettre les cas ne présent
e et les ' infirmités, par l'autoiité militaire, le directeur d'une clinique . La demande d'admission peut être faite par le
xe les conditions des frais de séjour, variables suivant les cas. CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 29 §8
des frais de séjour. § 14. Les placements d'office ont lieu à la clinique : 1° par arrêté de l'autorité policière : malad
tiaire : détenus devenus aliénés. III. Transfert des malades à la clinique . § 16. Il est interdit aux agents de police qui
e d'être en uniforme. § 17. Les frais du transport des malades à la clinique incombent à la personne qui est responsable du
le du paiement des frais de séjour. § 18. Les malades conduits à la clinique doivent toujours être accom- pagnes par une per
pable de fournir tous renseignements pou- vant être demandés par la clinique dans l'intérêt du malade. Les paragraphes 19, 2
ournir par les malades, l'entretien du trousseau. IV. Sorties de la clinique . § 22. La sortie des malades, sauf les cas prév
a sortie, le malade peut, en cas d'aggravation, être réintégré à la clinique , après avis donné au Directeur. §24. Après l'ex
tés prescrites pour la première admission. § 25. Le Directeur de la clinique , lorsqu'il a décidé la sortie d'un malade, prév
rs définitive. § 27. Les malades qui ne peuvent être conservés à la clinique par suite de l'encombrement ou pour des considé
ar le représentant du malade, serait refusée par le Directeur de la clinique dans l'intérêt du patient ou de la sécurité pub
.039.020 ha- bitants. Le nombre des asiles publics, sans compter la clinique de Giessen, est de trois : Asile de Hofheim,
ation actuellement dépasse 1.200.000 habitants, possédera alors une clinique psychiatrique, quatre asiles d'aliénés, un étab
u troisième asile d'aliénés. Cet asile sera situé à proximité de la clinique de Giessen dans le but de faciliter le transfer
monographie de M. le professeur A. Dannemann, médecin en chef à la clinique , Die psychiatrische Htt7c zie Giessen. Karger,
ien voulu nous renseigner. RACHITISME CONGENITAL AVEC NANISME. 31 cliniques de psychiatrie. L'Université de Giessen est une d
reculé devant l'énorme dépense de plus d'un million pour créer une clinique psychiatrique modèle. On ne peut que déplorer de
les si peu disposées à suivre cet exemple. Depuis l'année 1878, dix cliniques psychiatriques auto- nomes ont été fondées dans
llemandes. En France nous ne pouvons signaler que la création de la clinique des maladies mentales de Paris (1879). RECUEI
ce du corps calleux est-elle capable d'expliquer les manifestations cliniques qui accompagnent l'hydrocéphalie interne ? Les
cliniques qui accompagnent l'hydrocéphalie interne ? Les phénomènes cliniques de cette dernière sont très complexes et polymo
d'un côté chez un malade) ; et des signes communs à ces deux types cliniques (nystagmus, déviation vertébrale, absence de tr
nfirment une conclusion déjà énoncée par d'autres : au point de vue clinique , ces paraplégies présentent peu de varia-' tion
de malades atteints de tics m'a conduit à faire quelques remarques cliniques , qui offrent un cer- tain intérêt au point de v
e toutes les vertus de la suggestion. Discussion du rapport « Etude clinique de l'agnoscie et de l'asym- bolie » ; par 111.
aire part de quelques remarques qui m'ont été suggérées par l'étude clinique des tics que je poursuis depuis une dizaine d'a
lière sur le cerveau, de cette infection. V. Contribution à l'étude clinique et médico-légale de la folie systé- matisée pro
té très marqué au début, comme l'indique des faits de l'observation clinique (persistance de la fontanelle) et les parti- cu
utre côté. L'examen histologique est venu confirmer le diagnostic clinique et nous a décelé les lésions ordinaires de l'atro
'il s'est donné la mort. (Le Progrès de Lyon, 10 juil- let 1903.) CLINIQUE NERVEUSE. Délire et petit brightisme; PU !
urent obligées de se séparer de lui. Il ne fit que passer à l'asile clinique où M. le Dr Magnan porta le diagnostic suivant
, depuis six mois il suivait un régime approprié au cet état. 138 CLINIQUE NERVEUSE. Il arrive dans le service le 3j janvi
'examen complet des urines a donné les résultats suivants : . 140 CLINIQUE NERVEUSE. que s'aggraver jusqu'à sa mort surven
pupillaires sont conservés, mais faibles, surtout le réflexe 1.4'2 CLINIQUE NERVEUSE. lumineux. La langue est animée d'un t
ation de la région mésocardiaqueest beaucoup plus obscure. L'examen clinique des urines qui sont peu abondantes et forte- me
eules les préoccu- pations hypochondriaques s'effacèrent du tableau clinique et lais- sètent la place à un état euphorique c
horique et inconscient, s'affaiblissant de plus en plus. L'examen clinique des urines, pratiqué dans les premiers jours d'
tobre donne les résultats suivants pour vingt-quatre heures : 144 CLINIQUE NERVEUSE. Le coeur est volumineux (450 gr.). Le
iblisse- ment intellectuel et euphorie, syphilis ancienne. L'examen clinique des urines fut négatif au moment de l'admission
e avec une grande rapidité. Par de nombreux dosages avec un procédé clinique particulier reposant sur la formation d'iodures
motifs se produise autrement que dans les condi- tions normales. La clinique vient d'ailleurs à l'appui de cettecon- ception
itz, Burzio, Vaegelin) et enfin dans la sénilité. Ainsi des preuves cliniques de provenance diverse conduisent à des conclusi
, mais aussi spinale. Chez le malade faisant l'objet de cette leçon clinique , on retrouve bien les traits fondamentaux du sy
chroniques, en particulier l'alcoolisme. est un fait de séméiologie clinique aujourd'hui bien connu. Il n'en est pas de même d
rofesseur Raymond (Presse Médicale, 8 octobre 1902). Intéressante clinique sur un cas de syndrome cérébelleux, dont Tétiol
aumatique. On n'a pas voulu classer les malades d'après les schémas cliniques usuels voulant se rendre compte expérimen- tale
ériphérique. Cette variété de néoplasie évolue avec une physionomie clinique spéciale, signes de tumeur cérébrale avec titul
aroxystique et itérative a composé chez la même malade une histoire clinique fort intéressante. Leméningisme, affirmé par l'al
ppareil méningo-vasculaire aux ensemencements microbiens. L'étude clinique et cytodiagnostique de ce cas prouve combien 18
cerveau accepte trop vite et réalise donc trop rapidement Comme cas cliniques , tirés de ma pratique, je citerai : un cas d'ova
x; par F. LWYMOonD, membre de l'Académie do médecine, professeur de clinique des maladies nerveuses à la Faculté de médecine
0. Doin, éditeur. L'année qui a suivi son accession à la chaire de Clinique des maladies du système nerveux, à la Salpétriè
u'au bout. Ce programme il le résumait ainsi : « Partir d'un fait clinique pour envisager les problèmes de pa- thotogie ne
te oeuvre, passa- sablemenl vaste, qu'embrassent les six volumes de clinique parus depuis l'année 1896. Les deux cents leçon
ulaires progressives, en- visagée à un point de vue essentiellement clinique . La méthode adoptée par le professeur Raymond s
re essentiellement lactice de la pathologie descriptive, la réalité clinique telle qu'elle se dégage de l'observation impart
e, alasymptomatotogie, à l'anatomie pathologique. Or, l'observation clinique a démontré qu'on avait mis trop de hâte à confé
e placer une remarque qui a son intérêt ; sans doute, les leçons de clinique du professeur Raymond s'adressent en première lig
gressives. Aussi n'hésitons-nous pas à déclarer que les leçons de clinique du professeur Raymond s'imposent à l'attention de
d'un médecin très érudit. Une revue rapide de différentes formes cliniques d'amnésies et de leurs causes les plus fiéquentes
1003. Vol. XVI. Septembre 1903. N° 93. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ' CLINIQUE MENTALE. Obsession et délire ' ; Par le D' E.
et leur passage au délire. Archives, 2- série, t. XVI. ' 13 . 194 CLINIQUE MENTALE. tardives de son oncle paternel sur son
ea à mettre son fils pensionnaire. Au dernier moment, il ne se '196 CLINIQUE MENTALE. sentit pas la force de se séparer de l
de lypémanie sont rares, elles se constatent encore quelquefois. Clinique Psychiatrique DE L'UNI'ElIbITL de Moscou Contri
ssions morbides. [Revue de Psychiatrie. 1903. n° 1, janvier). 198 CLINIQUE MENTALE. psychiques obsédants est étudiée à un
x phobies; dans l'esprit de la malade surgit une peur que son 200 CLINIQUE MENTALE. mari peut lui être infidèle; en ramass
rès prononcée. En parlant de divers symptômes, se rencontrant 202 CLINIQUE NERVEUSE. dans de semblables cas, il faut pourt
u'on peut considérer comme une forme psychopathologique autonome. CLINIQUE NERVEUSE. Délire et petit brightisme ' ; S A.
a donné dans une période d'euphorie les résultats suivants : 20 i CLINIQUE NERVEUSE. attitude suspecte. Il passa par la su
ible. Les urines ne contiennent ni sucre ni albumine et leur examen clinique n'attire pas l'atten- tion du côté de l'apparei
bruit de galop a dédoublement du premier temps. Le pouls est 206 CLINIQUE NERVEUSE. tendu et vibrant. Le foie est gros, s
. Elle se décida, en conséquence, à faire enirer sa fille à l'Asile clinique , d'où elle fut dirigée sur la Fondation Vallée.
de Paris); A. Marie, Toulouse (de Villejuif) ; Vallon (de l'asile clinique ) ; Cullerre, Giraud, Doutrebente, Viel, Anglade,
es qu'ils mettent en évidence sont conçues d'après la vraie méthode clinique . A ces points de vue, le syndrome catatonique,
s aban- donnés à la seule pesanteur. En répétant cette expérience clinique plusieurs fois de suite, si SOCIÉTÉS SAVANTES.
ns corticales insuffisantes ou inopportunes. Une seconde expérience clinique , qui peut' se faire dans les mêmes conditions,
e générale commence et finit là où commence et où finit le syndrome clinique . Trois groupes de paralysies générales s'observ
et qui peuvent servir à l'interprétation des symptômes notés pur la clinique . L'irritation, ou l'inflammation, se traduit pa
re, qu'après que la paralysie générale a traversé toutes ses phases cliniques , l'histologie n'arrive pas à le reconnaître ? D
ent infectieux sur telle ou telle portion de territoire, les formes cliniques que peut revêtir la para- lysie générale. » E
érale : suractivité désordonnée, convulsions, etc. Au surplus, la clinique ne s'oppose pas à ce que la paralysie générale
fondée sur l'anatomie pathologique, répond à tous les besoins de la clinique . M. L.11GNEL-LAV.1ST11E (de Paris). J'ai examin
ompense de leur persévérance et de leur dévouement. Au point de vue clinique , le diagnostic idiotie peut être remplacé les p
moyens de mesurer le tonus. L'insuffisance du procédé employé en clinique et consistant à évaluer la résistance passive opp
tion, mais les , malades corresponddnts présentement des caractères cliniques tout spéciaux. 3° Chez les hypertonique*, le* c
ies des cavités ? zaso-phÉi ? ,Yiîgie2nes. M. ROYET, ancien chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de Lyon. De
l'érythro- mélalgie et de la maladie de Haynaud est un fait rare en clinique (cas de Mills, Potain, Morel-Lavallée, L. Lévi)
eur de l'Asile de Clermont. Faculté DE médecine DE Paris. Chef de clinique des maladies zzervezcses. - 111. Guillain; chef
e la colonie de la Ferme Sainte-Anne ou s'élève aujourd'hui l'Asile clinique ..N'ombre d'épileptiques y figuraient à demeure
e confus, l'anxieux, le dément agité, etc., présentent des tableaux cliniques trop connus. De plus, pour expo- ser et appréci
re. leur défaut, en se basant, là encore, sur la pure obser- vation clinique , on peut chercher à établir un certain nombre de
comitants n'a guère été mesurée d'une façon précise au point de vue clinique . Pourtant Obersteiner a ' )1. de Fleury. L'inso
il était indispen- sable : d'établir les données physiologiques et cliniques sur les- quelles peuvent être basées les divers
céder cette revue thérapeutique de l'exposé des principales données cliniques et physiologiques générales sur l'agitation et
de cette entité morbide. Nous avons eu l'occasion d'observer un cas clinique de polio- myélite antérieure aiguë chez une jeu
'ancienne amyotrophie Aran- Duchenne. Des observations personnelles cliniques et anatomiques et des recherches sur les cas ju
'exagération des réflexes et à l'extension des orteils : un tableau clinique simulant presque complètement la sclérose amyot
iagnostic de la démence. M. M.4ss\UT (Charleroi). A défaut de types cliniques à évolu- tion déterminée, il serait très précie
io- giques ou non, d'altération psychique. Les différentes formes cliniques peuvent donner à la démence certains caractères
cas, lorsqu'il est chronique, le puérilisme représente une modalité clinique particulière des états démentiels. Quelle que
essaire de l'analyser en soi, de le dis- tinguer dans les complexus cliniques dont il faitpartie, de le diffé- rencier de l'i
M. le Professeur Thomsen (Bonn). Aperçus sur l'étendue du tableau clinique delà folie maniaque dépressive. Formes prolon-
breux composé de médecins et d'étudiants en médecine, et des leçons cliniques sur la psychothérapie avec présentations de mal
ipeuse et presque dépourvu de poils ; elle réalise bien le portrait clinique de l'infantilisme myxoedémateux. Elle est indiffé
de l'infantilisme myxoedémateux. Le spasme facial ; ses caractères cliniques distinctifs. M. Henry Meige (de Paris). - En de
toute notion étio- logique et anatomo-pathologique, des caractères- cliniques pure- ment objectifs psrmettent de reconnaître
ions. C'est une contracture frémissante. Enfin, un troisième aspect clinique se trouve réalisé'lorsque les crises précédente
, d'ailleurs elle-même inexpressive. Telles sont les phy- sionomies cliniques que revêt le spasme facial à ses différents deg
ssements parcellaires, comme on l'observe dans les tics. Ce tableau clinique est soumis à des variations individuelles. Selo
ment à l'hys- térie. Mais il ne faut pas oublier que la physionomie clinique d'un phénomène morbide porte toujours le cachet
t tant de variantes indi- viduelles qu'on rencontre à chaque pas en clinique et dont le spasme facial n'est pas plus exempt
raité des autopsies de M. Letulle. A La Haye, nous avons fait de la clinique psychiatrique devant le Saiil de llembrandt.
énérezlel sur celui de Tabes. poslsyphililica en particulier. Notes cliniques de la Fin. 30. - UN CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE
e pouvions faire moins pour les déshérités qu'on nous a confiés'. CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude de la catatonie
ement. Adopté. - Nous reviendrons sur cette question. (ü.) .) 410 CLINIQUE MENTALE. miers faits ci-dessous relatés succinc
s une longue période de préoccupations, d'idées tristes, et 412 ) CLINIQUE MENTALE. après un état intermédiaire de confusi
Après un alitement de plusieurs mois (avec quelques interrup- 414 r CLINIQUE MENTALE. tiens) et une amélioration de l'état p
s d'altération de la santé physique ; des idées tristes ou du 416 CLINIQUE MENTALE. délire mélancolique ne tardent pas à a
regard fixe, sans expression ; Archives, 2° série, t. XVI. 21 418 CLINIQUE MENTALE. se tient immobile au milieu de malades
athologiques les plus différents. La variété capricieuse du tableau clinique de la syringomyélie s'explique par la variété des
ales, ou aux amauroses brightiques et nicotiniques. Les symptômes cliniques paraissent ici être peu nombreux : ils se réduise
. de ces centres qui a été primitivement atteint. Au point de vue clinique il est intéressant de noter le succès du traiteme
1902, nez 22). La première partie de ce travail basée sur l'étude clinique de 10 cas de démence précoce juvénile a déjà ét
ées persiste excellente. P. Keraval. IV. Contribution à l'analyse clinique de l'état de négation (négativisme) chez les al
l'Ecole de la Salpètrière, qu'illustra pour jamais son enseignement clinique , et où savants, philoso plies, médecins, accour
Salpêtrière, le champ de travail de Charcot, et les attributs de la clinique ; sur l'autre, les armoiries de Lamalou et les a
s nous montrent, sur la première colonne, Charcot faisant une leçon clinique à la Salpèlrière ; sur la seconde un ataxique q
ns les asiles publies d'idio- nés du département de la Seine (Asile clinique , asiles de Validas*1, Ville-Evrard, Ville juif
(Syndrome de Brown-Sequard). l R 3111. PEUGNIEZ Professeur de clinique chirurgicale à 1'l-lcLile de médecine cl'\miens
celles du sens musculaire ne se croisent pas, niais les expériences cliniques ne permettent pas d'en déterminer le siège sur
e systémati- que ? Nous avons pensé qu'un cas, dont l'observation clinique avait pu être répétée plusieurs fois à plusieur
elle épinière. En voici l'histoire, brièvement résumée. Les détails cliniques en ayant été présenlés au Vie Congrès de chirur
lésion primitive. Il est intéressant de rapprocher de l'observation clinique du malade les constatations faites au laboratoi
ue initial. Nous en avons la preuve dans la com- plexité des signes cliniques présentés dès cette époque par le malade, et da
tations. (La Démocratie vendéenne du dimanche 15 novembre 1903). CLINIQUE MENTALE Hospice de l31céGne. Service du Dr J. S
Hospice de l31céGne. Service du Dr J. Séglas Contribution à l'étude clinique des monologues chez les aliénés : Par D.lltC\
secondari, in Riv. quiiid. di psicologia, fasc. 1 et 2, 1899 480 CLINIQUE MENTALE. mulalion, les réticences du sujet ; av
mouvement stéréotypé qu'il associe généralement à tel mot, ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 481 ou telle p
même individu. Tel aliéné, tel Archives, 2' série, t. XVI. 31 482 CLINIQUE MENTALE. paralytique général, parle en public à
ent ou habituel, caractères qui se définissent d'eux-mêmes. ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 483 Enfin tand
x d'Israël et un gobelet d'argent. Quand on a écrit, c'est du ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIENES. 485 crayon, un
lé, comment t'appelles-tu ? Marie-Rose. A1, ah, Marie-Rosé, » 486 CLINIQUE MENTALE. il. ETUDE psychologique D'une façon
n'y a que des voleurs en France et moi je n'ai pas joué. M ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIENES. 487 « Il chant
n pour les colonnes pour le personnel à droite et à gauche. » 488 CLINIQUE MENTALE. Il prête l'oreille et dit : « Entrez
tomatique. Notre maître M. Séglas en a rap- porté dans ses « Leçons cliniques » un bel exemple : « Inconsciente. llime Dubois
s pas, je ne puis parler. « I. Elle est prêtre cette fille. ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 481) « C. Moi
soit plus rare. Généralement c'est à la suite d'une crise, d'un 490 CLINIQUE MENTALE. vertige qu'on les voit monologuer ; il
, le monologue a son point de départ immédiat dans l'affai- ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 491 bassement
nc cette petite lettre, je suis satisfait de vous voir... » , * 493 CLINIQUE MENTALE. On peut remarquer que les mômes phrase
a et sera nommé empereur, roi... Je suis le père Eternel. » ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 493 III. Valeu
Nous avons déjà dit d'ailleurs au début que le monologue 494 -il CLINIQUE MENTALE. est encore le moyen le plus sûr de con
. Je n'ai jamais été soldat. Je ne veux pas que l'on me sonne ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 49S dans l'air
rante), homme instruit, dont la préoccupation unique était la 496 CLINIQUE mentale. crainte d'avoir la syphilis et de la t
ma vérole. Il n'est plus temps. Que je suis malheureux ! » ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 497 I Plus lar
forme d'une conversation ou Archives, 2» séiie, t. XVI. 32 498 8 CLINIQUE MENTALE. d'un dialogue suivi ; ils indiquent al
le monologue de la manie aiguë et celui du délire chronique ÉTUDE CLINIQUE DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 499 de persécu
usu, incohérent, lors-, qu'il entre dans la phase de démence. 500 CLINIQUE MENTALE. Relations des maladies unilatérales de
n léger écoulement séro-purulent du côté gauche et rien du côté 502 CLINIQUE MENTALE. droit. Sous l'influence de lavages bor
ctions d'innervations (Traité de Physiologie Moral et Doyon). 504 CLINIQUE MENTALE. par des associations d'idées, des habi
ations uetnantes (Annales mcdico-psycho- logiques, mai 1902). 506 CLINIQUE MENTALE. les interprétations délirantes; dans l
lt;'M//ttt ? utf de l'ouie. Rapport au Congrès de Nancy, 18%. 508 CLINIQUE MENTALE. raies sont « loin d'avoir toute la por
ue temporairement, le place- ment dans l'établissement ouvert. La clinique mentale et nerveuse de St-Pétersbourg réunit sous
unit sous le même toit, sous la même direction, l'asile fermé et la clinique ner- veuse : celle-ci est reliée à la clinique
l'asile fermé et la clinique ner- veuse : celle-ci est reliée à la clinique mentale par une galerie fermée. Il existe conjo
leur fournissant le moyen de se familiari- ser avec la psychiatrie clinique . Depuis vingt ans, le médecin-chef (qui est aus
vingt ans, le médecin-chef (qui est aussi professeur de Psychiatrie clinique ) fait des leçons ré- gulirres, et qui, depuis p
ont les délirants chroniques, et dont M. Vallon donnera l'histoite clinique complète dans une prochaine séance. Délire ha
ont succombé avec le syndrome de la paraplégie flasque. L'histoire clinique de ces deux malades est analogue ; elle peut se
r- sale postérieure droite. Dans l'un et l'autre cas, l'évolution clinique se divise en trois actes : cancer viscéral, col
la genèse de-s phénomènes hystériques. M. Huyghe (ancien chef de clinique médicale à la Faculté de Lille). Parmi les état
que sur les principes. En étudiant l'hérédité de mes malades (des cliniques et des hôpitaux de Moscou), je notais, dans leurs
lier des recherches et de juger en dernier ressort, au point de vue clinique , les considérations théoriques qui nous avaient
sychiatrie. Trois observations servent à en préciser les caractères cliniques : un premier garçon de 7 ans, présente une agit
), avec 12 planches (95 dessins); par le D'' José T. Borda, chef de clinique de psychiatrie. Buenos-Aires, 1902. Travail trè
les paroles émues qu il a prononcées mardi à l'amphi- théâtre de la Clinique des maladies nerveuses, à la Salpêtrière : Mess
Un événement douloureusement imprévu vient de mettre en deuil la clinique . Mon ancien interne, Philippe, mon chef de labo-
iques, il faut s'en rapporter toujours, et en dernier ressort, à la clinique . C'est dans cet esprit qu'il dirigea le laboratoi
qu'il lut nommé chef du laboratoire d'anatomie pathologique de la clinique Charcot, à la Salpêtrière, situation qu'il n'avai
ie dans les maladies mentales, par Trénel, 313. Acnoscrc. - Elude clinique de l'- et de l'asymbolie , par 88. ALCOOLIS\I
tuberculeux. Voir Pavillon d'isolement. Contribution à l'analyse clinique de l'état de négation (négntiusme) chez les a
) chez les aliéné», par Liinriborg, ff4. Con- tribution à l'élude clinique des monologues chez les , par Dar- canne, 479
riques, par Husghe, 531 La-et son UaUement, 1);it- Uomuor, 516. Clinique . Voir Gressen. Colonie tuiilule. La- d Ainay-le
die nerveuse. Ganglions sympathiques. Voir < ? 0t. GIESSEn. La clinique psychiatrique de l'Université de par Sérieux,
6 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
.. et tous ceux de ses organes qui sont accessibles à l'exploration clinique paraissent être en 'excellent état : il boit, m
que (Annales ! He'6 ! ! eo-psyc/M ! y : MS. K" de novembre 1888). ' CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES
/M ! y : MS. K" de novembre 1888). ' CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
ne doivent même pas prendre part à la constitution de cette forme clinique d'accidents spinaux. A. Symptômes positifs. On
nce à la démarche spasmodique. Là l'évolution s'arrête et 21 ,. . CLINIQUE NERVEUSE. le syndrome spasmodique fait sa stati
a longueur du membre. La même sensation se produit par le con- 26 CLINIQUE NERVEUSE. tact. L'application du froid ne produ
re plus tard, il n'y a pas un seul symptôme qui figure au tableau clinique . - Pour peu qu'on fixe son attention sur la sym
par un com- plexus symptomatique presque invariable pour tous 28 CLINIQUE NERVEUSE. les cas, C'(',St-21-dll'e, paralysie
eure l'uniformité devient presque mono- tone ; en effet, le tableau clinique aboutit à un fond commun existant chez tous les
ée en scène polymorphe et uniformité du dénouement comme caractères cliniques généraux; les nuances cliniques spéciales de sy
té du dénouement comme caractères cliniques généraux; les nuances cliniques spéciales de symptômes du début, l'intervalle s
iser notre forme centrale spinale postéro-latérale. Car son tableau clinique , tel qu'il existe pour cette forme ne se rencon
membres et même du tronc jusqu'au cou aurait été complètement 30 CLINIQUE NERVEUSE. abolie. Dans les jambes, il avait des
sorte que, à la fin du mois d'avril, ses Archives, t. XVII. 3 31 CLINIQUE NERVEUSE. membres ont recouvré leurs fonctions.
ment remonter comme d'habitude. Le malade affirme que, dans le 36 CLINIQUE NERVEUSE. cours de l'année précédente, il avait
lés : alors, je les ai détachés avec une grande facilité et sans 38 CLINIQUE NERVEUSE. la moindre douleur. » Maintenant les
r et savant ami et confrère M. Pierre Marie, chef préparateur de la clinique du système nerveux à la Salpêtrière. Par son
servation, il nous a grandement secondé dans l'étude de cette forme clinique etje suis heureux de lui en témoigner ici ma vi
cas, sans avoir l'importance du nombre, sont cependant d'un intérêt clinique extrême, car la symptomatologie spinale et l'év
a' le droit de dire que tous présentent presque la même physionomie clinique . Appuyés sur ces trois cas, essayons d'esquisse
on, tandis que chez les nôtres, quelque temps après, une heure 40 CLINIQUE nerveuse. pour celui de l'OBSBR1'1TION XXI, et
hyse xyphoïde très violentes, au point qu'il poussait des cris 42 CLINIQUE NERVEUSE. pitoyables. Ces douleurs n'étaient ac
elle heure ? Il nous est naturellement impossible de le déter- 44 CLINIQUE NERVEUSE. miner. Il est temps maintenant de pas
Cette période commence immédiatement après la disparition de 116 CLINIQUE NERVEUSE. toute trace de paralysie. On distingu
qui peuvent, et dont quel- ques-uns même doivent figurer au tableau clinique , et B). Symptômes négatifs, c'est-à-dire des sy
rs tous les mois presque à la même date. Plus tard, les crises 48 CLINIQUE NERVEUSE. gastriques de ce malade étaient deven
XII). La chute n'a été précédée d'aucune Archives, t. XVII. Il 50 CLINIQUE NERVEUSE. cause locale, soit traumatique, soit
temps de la période paralytique : à ce 'moment, sa place au tableau clinique est secondaire, la paralysie étant l'élément qu
t qui domine de la situa- tion du malade. Petit à petit, le tableau clinique change considérablement d'aspect et ce qui étai
l'état mala- dif ne cessant pas un instant de changer son aspect clinique toujours dans le même sens, il arrive en défi-
ence à rétrograder peu à peu, et le syndrome tabétoïde avec 82 li CLINIQUE NERVEUSE. son ataxie est considérablement amend
citation érotique, ni par des rêves lascifs, etc., quelquefois 34 CLINIQUE NERVEUSE. même il lui arrivait d'avoir des cris
encore plus prononcée chez nos trois malades. En effet, le tableau clinique dégagé de sa paralysie après quelque temps, abo
ormité de l'étape ultérieure comme caractères généraux, les nuances cliniques spéciales des symptômes du début, l'intervalle
n° 115 du 14 août 1883). C'est ce qui a amené aussi M. Reynaud 56 CLINIQUE NERVEUSE. dans son intéressant travail à accept
ous avons conslalé des retards dans la sensibilité; 5-6 secondes 58 CLINIQUE NERVEUSE. s'écoulaient entre l'excitation et la
rmes spinales nous donne le droit de s'y attendre. Or, le tableau clinique est représenté seulement par la symptomatologie
dorso- lombaire de la moelle. Cette lésion doit être certaine- 60 CLINIQUE NERVEUSE. ment très légère, ce qui est parfaite
ès le programme que nous suivons et qui nous paraît essentiellement clinique , nous rapporterons les observations cliniques,
paraît essentiellement clinique, nous rapporterons les observations cliniques , et puis, appuyé sur elles, nous établirons la
pilepsie spinale, qui même alors ne se manifeste que faiblement. 62 CLINIQUE NERVEUSE. Quelques secousses surviennent parfoi
u G1 usrlHC décompression, douleurs violentes à Aucune, t. MIL 66 CLINIQUE NERVEUSE. l'estomac, s'irradianl aux côtes.- Au
onctions des autres organes paraissent se faire régulièrement. bb CLINIQUE NERVEUSE. PATHOLOGIE DE LA FORME' INTIIAMTÉLITI
dé de cinq minutes la perte de connaissance du malade de l'OB- 70 CLINIQUE NERVEUSE. SERVATION XXIV, et les douleurs aux d
e altérée qu'une seule fois, Observation XXVI et encore incom- 72 CLINIQUE NERVEUSE. plètement, le malade étant forcé de p
sitifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuvent figurer au tableau clinique et des symptômes négatifs qui ne peuvent et ne
e iutra- myélitique unilatérale, je me crois donc autorisé par la clinique à poser la loi suivante : « Presque toutes, pour
tensité variable, suivall t l'exci ta hil i té myél itique. Tous 74 CLINIQUE NERVEUSE. les réflexes crémastériens, plantaire
z qui, une fois arrivé à ce point de développement, il n'a pas 76 CLINIQUES NERVEUSES. rétro-ressé, mais il n'a pas non plu
quc, remplacé par une uniformité caractérisée par un complexus 78 CLINIQUE NERVEUSE. clinique très simple, qui est le même
ne uniformité caractérisée par un complexus 78 CLINIQUE NERVEUSE. clinique très simple, qui est le même pour tous les cas,
rme. A ces caractères généraux, si nous ajoutons les particularités cliniques spéciales des symptômes de la période du début,
a-spinale OU EXTRA-MYËLlTIQUE DE la forme unilatérale Cette forme clinique doit être trop rare pour que nous ne soyons en
il ne toussait pas et n'avait pas mangé avant son im- mersion. 80 CLINIQUE .NERVEUSE. Immédiatement après la décompression
radient au moignon de l'épaule droite. La Archive, t. XII. , 6 82 CLINIQUE NERVEUSE. pression au niveau de l'apophyse tran
t naître de nouveaux phénomènes qui viennentse joindre au tableau clinique ; ce sont la paralysie et, un peu plus tard, la
et, un peu plus tard, la myatrophie du membre supérieur droit. 84 CLINIQUE NERVEUSE. A une étape ultérieure de la maladie,
aphie, prise à titre de curiosité parle garçon de laboratoire de la clinique de M. Charcot. De plus, nous donnons une figure
dies du coeur était compris entre C70 et 70 ans. 7° Les symptômes cliniques du reflux mitral chez les aliénés vivants, et c
s mentales proprement dites. Il se place à un point de vue purement clinique . L'élève qui aborde un malade doit en effet, s'
, expliquées les nombreuses recherches expérimentales et les études cliniques de l'auteur. Qu'on nous pardonne de parler ains
it ultérieurement décidé que la place de médecin adjoint de l'Asile clinique (Sainte-Anne) serait donnée à lasuite d'un Conc
onditions pour les places des médecins, chefs de service de l'Asile clinique (Sainte-Anne) seraient les mêmes que celles qui
candidats serait supérieur ci trois pour une place; 3° Une épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé 168 V
udié non seulement la pathologie mentale, mais encore et surtout la clinique mentale. Tel est, monsieur le Ministre, le résu
andidats serait supérieur à trois pour une place ; 3° Une épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé trent
: Etiologie et pro- phylaxie de la fièvre typhoïde; Panaris. 3° Ep. Clinique : Deux malades aliénés. Le concours s'est termi
itre, 8 sur 10; Ep. écrite, 2 : : sur 30; Ep. orale, 14 sur 20; Ep. clinique , 26 sur 30. Région delà Facultéde médecine de P
Asile D'.1LIÉ1ÉS. - Nominations : M. le Dl ROUILL.In1), chef de la clinique des maladies mentales à l'asile clinique (SaitiLe
Dl ROUILL.In1), chef de la clinique des maladies mentales à l'asile clinique (SaitiLe-Aiine), est nommé, par arrêté du 12 no
édecine DE MoNTPELLIER. M. Mairet, vient d'être nommé professeur de clinique des maladies mentales et nerveuses. Médecins al
entouré d'une telle obscu- rité que, avant de décrire les symptômes cliniques de la surdité verbale, je me propose de faire u
tion ont pu être envoyées dans un asile de fous. Les observateurs cliniques soigneux d'aujourd'hui tomberont difficile- men
ts. La forme de cécité corticale qu'on a l'occasion d'observer en clinique , n'est pas une vraie cécité, en . ce sens qu'el
de était en observation depuis un temps considérable, les symptômes cliniques ont pu être étudiés dans des conditions excepti
pie homonyme latérale droite '. D'après l'analyse de cette histoire clinique , on voit que le malade avait perdu toute notion
isant la cécité ver- bale est encore à établir par les observations cliniques et par les examens post-mortem. A une certain
onnais- sent le même siège dans le cerveau, les deux phéno- mènes cliniques devraient à peu près toujours se mon- trer asso
lisation peuvent seulement être mises d'accord par des observations cliniques et anatomo-pathologiques plus considérables et
iques plus considérables et plus soignées. Norwich, avril 1888. CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES
lus soignées. Norwich, avril 1888. CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
1 FJ j n° 18. p. 246; u" 49, p. 22. ARCHIVES, t. XVII. 15 226 6. CLINIQUE NERVEUSE. ques minutes, quelques heures, ou que
aire de petits pas à l'aide de deux appuis. A 10 heures, possi- 228 CLINIQUE NERVEUSE. bilité de marcher à l'aide d'un seul
qu'il nous sera facile d'analyser les cas complexes dont le tableau clinique est constitué par des symptômes appartenant aux
ons les voir non plus à titre de symptômes, mais à titre de forme clinique . Les troubles de la parole font alors à eux seu
ubles de la parole font alors à eux seuls tous les frais du tableau clinique . Ce sont eux qui constituent toute la symptomat
5 brasses, même séjour et même décompression brusque. Il se 230 ' " CLINIQUE NERVEUSE. fait remonter et immédiatement après
mièie immersion, profondeur de 32 brasses, séjour de quatre mi- 232 CLINIQUE NERVEUSE. nutes, décompression brusque. Immédia
Ce nouveau trouble du langage, qui consistait dans l'impossibi- 234 CLINIQUE NERVEUSE. lité de parler, tandis qu'il comprena
le de la parole a atteint le malade, exactement sous le même aspect clinique que les trois autres. Après cinq minutes enviro
ns sa famille, pas d'antécédents personnels , il aurait eu dans 336 CLINIQUE NERVEUSE. son enfance la coqueluche. Il a comme
llaud-Broca). Par contre, chez l'homme de t'OBSERVA'noN XXXV, 238 CLINIQUE NERVEUSE. la facultas signatrix de Kant n'a été
s peuvent survenir chez les plongeurs à scaphandre à titre de forme clinique spéciale, autre- ment dit, ces symptômes peuven
eté vraiment remarquables, et ils constituent alors tout le tableau clinique . Il nous a été donné d'observer cette forme sen
la durée totale chez le premier a été d'une demi-heure ; I)l 110 CLINIQUE NERVEUSE. et le deuxième de quatre semaines. En
aurait eu ni perte de connaissance, ni paralysie aucune. Le tableau clinique était exclusivement constitué par les troubles
s observations qui précèdent, aussi bien que dans celles du tableau clinique , la cécité figure comme symptôme du début et no
cécité provenant de l'emploi des scaphandres, soit à titre de forme clinique spéciale, soit à titre de symp- tôme. Ces carac
on ; chez tous nos malades, l'invasion Archives, t. XVII. 16 .242 CLINIQUE NERVEUSE. a été brusque ; 2° les troubles ocula
ériode de début. Nous allons main- tenant les voir à titre de forme clinique spéciale, la symptomatologie de ce genre d'acci
ruissement continu qu'il compare au murmure d'un vent léger. '244 CLINIQUE NERVEUSE. Au bout de deux heures environ, il' a
surdité était excessive. Les malades n'entendaient rien, pas, 246 CLINIQUE NERVEUSE. même les bruits les plus forts. Voici
s il ne sait pas ce qu'il a. On se met à le déshabiller pour le 248 CLINIQUE NERVEUSE. frictionner. On n'avait pas encore en
ulement de douleurs lancinantes, qui siégeaient aux différentes 2S0 CLINIQUE NERVEUSE. régions du côté paralysé. Cette scène
une demi-heure, au bout de laquelle elle a disparu tout à fait. 252 CLINIQUE NERVEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. b). Pa
QUE GRAND ET PETIT HYPNOTISME'; Par J. BABINSKI, Ancien chef de clinique à la Salpètrière. Autrefois, nous voulons dire
s ne sont pas entre-croisées tandis;que les faits physiologiques et cliniques prouvent que la sensibilité cutanée est croisée
ne s'était traduite par aucun symptôme pendant la vie. Le tableau clinique était celui d'une myélite aiguë et transverse.
gnétisme- donnant des représentations, directeurs de journaux et de cliniques magnétiques, somnambules extra-lucides dont la
le Jnrh61tcher. f. Psych 1. M. Wernicke présente deux malades de sa clinique . C'est d'abord un cas d'aphasie maniaque caract
11. Wernicke communique à l'assemblée qu'après avoir trans- féré la clinique psychiatrique au nouvel asile d'aliénés de la vil
possible de soumettre à l'étamine de l'analyse les matériaux de la clinique et en même temps d'apprendre aux jeunes médecin
decin de Sainte-Anne pour reconnaître aux dégé- nérés trois aspects cliniques : l'état mental, l'état syndromique, l'état dél
. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 3 i 1 laboratoire etdes données de la clinique , et cela grâce à la collaboration d'un physiolo
tel que Seppilli. Ici aussi l'expérimentation sur les animaux et la clinique de l'homme marchent du même pas. Mais, comme
centres corticaux psycho-sensoriels (1879) suivis de leurs-Etudes cliniques sur les centres corticaux senso- riels (1879)".
Seppilli ont intitulée : Introduction à la méthode expérimentale et clinique des centres fonction- nels du cerveau, est une
a science-, les diverses méthodes expérimentales, l'obser- vation clinique et l'interprétation des phénomènes qui servent
la destruction de cette partie de l'écorce cérébrale. De même en clinique . Les mêmes lois doivent diriger le savant dans
ne saurait être uniquement édifiée sur les données de l'observation clinique . Seppilli, qui paraît prendre ici la parole à s
l repose toute la biologie moderne... L'importance des observations cliniques n'est pas diminuée' pour cela. Elles ne sont pa
Charcot et Pitres ont revendiqué, on le sait, pour les recherches cliniques , une sorte d'autonomie. « Les études patho- log
hologie cérébrales. 1 J.-M. Charcot et A. Pitres. Etude critique et clinique des localisa- tions motrices Paris, 1883, p. 3.
tenant dissipée. Voyons comment Seppilli juge applicables aux cas cliniques des lésions localisées du cerveau humain les rè
des effets négatifs. Il ne s'applique pas sans restriction aux cas cliniques . On connaît la méthode des cas négatifs d'Exner
(mais il faudrait un temps très long pour ras- sembler assez de cas cliniques de cette nature), on devrait s'en tenir aux cas
tère, celui des lésions successives, n'ayant guère d'application en clinique . Une nouvelle critique d'Exner et de sa méthode
liens dont nous parlons, les ' Charcot et Pitres. Elude critique el clinique de la doctrine des locah- sations motrices, p.
motrices, p. M, ôo, 1., p. 20. 35H physiologie. 167 observations cliniques dont s'est servi Exner pour construire ses diag
ajoute : « Mais eux-mêmes, ils ont encore emprunté à quelques cas cliniques et aux autopsies de ces cas, leurs résultats 4
n. On peut, si l'on est dili- gent, rassembler une vingtaine de cas cliniques pour prouver que le centre moteur du bras siège
a comparaison doivent, pour être régulières, se rapporter à des cas cliniques comparables entre eux à tous égards ; 2° les lé
elle n'était point la suite de dégénérations secondaires. Les cas cliniques de Charcot et de Pitres remplissent- ils ces co
animaux par la méthode des ' Charcot et Pitres, Etudes critiques et cliniques de la doctrine, p, 55. 360 PHYSIOLOGIE. vivis
es expériences physiologiques sur le cerveau du singe. Les études cliniques ont toutefois une importance capitale pour l'in
ion seraient demeurés obscurs et de signification incertaine, si la clinique n'avait mis en relief, et sur- tout Kussmaul, l
té psychique, et qui per- mettent seuls de bien interpréter les cas cliniques d'aphasie sensorielle (Wernicke) ou de surdité
mes ophthalmiques qui jouent un rôle si impor- tant dans le tableau clinique de tabès ; pourtant, en nous arrêtant sur les c
s ajouter ici que ces parésies observées : i souvent dans letableau clinique nommé pseudo-tabes, ont donné, non sans fondeme
us de considérations, si l'on ad- met l'existence d'une telle unité clinique à laquelle ou puisse donner le nom de pseudo-ta
d'après ce que nous avons dit, ne se rapproche pas de ce tableau clinique ou du moins, ne doit absolu- ment pas être rang
, il y a quelques années, j'ai eu à examiner très en détail dans la clinique de 111. le professeur Kojew- nikoff en cas de p
cette réaction, avec les nerfs périphériques. Moscou, mai 1888. CLINIQUE i\'El l V 1 ? U S l,«, RECHERCHES CLINIQUES ET
s. Moscou, mai 1888. CLINIQUE i\'El l V 1 ? U S l,«, RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
se succèdent avec une telle rapidité, elles sont si mobiles et 394 CLINIQUE NERVEUSE. si incohérentes qu'il est difficile d
de, et nous tâcherons d'expliquer alors les éléments de son tableau clinique . La forme mentale peut-elle revêtir d'autres ty
ut parmi les symptômes de la période du début des diverses formes cliniques . Il ne me serait pas difficile de multiplier à
tiplier à l'infini les cas qui appartiennent aux différentes formes cliniques et dont la symptoma- tologie du début ait prése
à titre de symptôme d'importance secondaire, mais à titre de forme clinique dans laquelle le ver- tige est le symptôme prin
n moN sans le moindre amendement, mais au bout de ce Leiii : )s 398 CLINIQUE NERVEUSE. la titubation se dissipe complètement
e et une pathogénie spéciale devrait présenter ses particularités cliniques , qui servent -CI le différencier du syndrome de
s an- térieure, au sur et à mesure que l'affection progresse, 400 CLINIQUE NERVEUSE. que nous voyons les paroxysmes établi
ère d'autre origine, si elle n'est pas Ancuiviis, t. XVII. 26 4(M CLINIQUE NERVEUSE. enrayée dans sa marche par les médica
nce figure parmi les symp- tômes les plus fréquents dans le tableau clinique des différents accidents survenant par l'emploi
figurer, non pas à titre de symp- tôme, mais bien à titre de forme clinique distincte. Elle constitue alors, à elle seule,
clinique distincte. Elle constitue alors, à elle seule, le tableau clinique de l'accident. Voici ces deux observations :
nt, les symptômes céphaliques ne sont plus fugitifs, mais 404 - - CLINIQUE NERVEUSE. bien permanents, ils ne durent plus d
e de notre très estimé et excellent maître, M. le profes- seur de clinique médicale Karamitsas, qui suppléait à ce moment
mouvait avec rage ses membres, il aboyait et se jetait sur ceux 406 CLINIQUE NERVEUSE. ' qui l'entouraient pour les mordre,
ous avons affaire à une affection cérébro-spinale, car le tableau clinique est constitué aussi bien par des symp- tômes sp
temps suf- fisant au développement des symptômes spastiques,' 408 CLINIQUE NERVEUSE. sont spasmodiques ». La marche de la
it démontrer que la manie transitoire peut exister à titre de forme clinique à part, consti- tuant à elle seule tout le tabl
e forme clinique à part, consti- tuant à elle seule tout le tableau clinique de l'accident, même chez des personnes qui ne s
e majorité des cas, ne dépasse pas les vingt-quatre heures. 11.10 CLINIQUE NERVEUSE. Cet accident est si bien connu que no
us l'avons déjà bien des fois rencontré, mais bien à titre de forme clinique à part, c'est-à-dire que l'élément douleur cons
que l'élément douleur constitue alors exclusivement le ta- bleau clinique de l'accident. Lesautreslocalisationsextra-nerv
s la symptomatologie des malades appartenant aux différentes formes cliniques . Je dis seulement qu'il est rare de voir une lo
'accidents survenant par l'emploi des scaphandres dont le tableau clinique soit constitué exclusivement et uniquement par
rnée de la sclérotique. Il n'y avait aucune trace de paralysie. 412 CLINIQUE NERVEUSE. Si on le pinçait, on le frottait, on
hôpitaux de Nantes, dans son travail inti- tulé : « Trois mois à la clinique chirurgicale de l'école de plein exercice à Nan
ifférentes DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 413 formes cliniques , isolées de tout mélange, et déga- gées de tout
tour peut, isolée de tout autre symptôme, figurer à titre de forme clinique . Ces trois symptômes, dis-je, l'aphasie, la sur
il était descendu tout d'abord à une profondeur de dix brasses, 414 CLINIQUE NERVEUSE. pour arriver graduellement à des prof
en- tion d'urines qui, elle aussi, peut survenir à titre de forme clinique à part, formant alors à elle seule le ta- bleau
plupart à l'état de simplicité, d'isolement, constituent les formes cliniques spéciales, peuvent coexister, se succéder, se g
Cinq minutes après l'enlèvement du casque, il a été atteint 41(5 ' CLINIQUE NERVEUSE. d'une brûlure dans les yeux qu'il fro
secrets du génie de Charcot, secret qui Archives, t. XVII. 27 418 CLINIQUE ER1 EUSE. a conduit cet illustre maître à éclai
otilité des quatre membres. 11 ne pouvait bouger que la tête. 420 0 CLINIQUE NERVEUSE. Pas d'autres symptômes. Au bout de de
de profondeur, dix minutes de séjour au fond et décompression 132 CLINIQUE NERVEUSE. brusque. Accident cérébral complexe (
novembre 1883. Rien. Guérison com- plète et définitive. li ^2 't CLINIQUE NERVEUSE. Ce scaphandrier, comme on l'a remarqu
La perte de connaissance qui peut figurer toute seule au tableau clinique d'un accident survenant par l'emploi des sca- p
a perte de connaissance qui, à elle seule, constituait le tableau clinique de l'accident. Le troisième est un accident com
t, il arrive à Calymnos où le voit le Loc. cit. Loe. cit. 't-26 CLINIQUE NERVEUSE. Dr Pélicanos. A ce moment il est comp
eulement jusqu'aux cuisses. Je lui ordonnai le traitement ordi- 428 CLINIQUE NERVEUSE. naire, l'application des ventouses sc
urs après elle. Quels sont les symptômes qui constituent le tableau clinique de ces terribles accidents ? Ma description ser
oir que trois plongeurs à scaphandre sont morts subitement en 430 CLINIQUE NERVEUSE. quittant le travail sous-marin. Pas d
et demandait à ses compagnons si ses yeux étaient ' Loc. cil. 4,3 CLINIQUE NERVEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. rouges
autonomie spéciale. REVUE STATISTIQUE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME "NERVEUX Professeur : C
ixtes, elle se localise presque aux filets sensitifs. Les symptômes cliniques sont des névralgies avec hypéresthésie et anest
gée (en collaboration avec M. Rosenbach). 11-Rosenbacli, chef de clinique du professeur Mierjiewsky, nous a montré des pr
nerf, il existe une forme déterminée de la striation. VIII. FAITS CLINIQUES . . Je relate les principaux faits cliniques que
triation. VIII. FAITS CLINIQUES. . Je relate les principaux faits cliniques que j'ai observés pour deux raisons : 1° La plu
tabès dorsalis compliqué de paralysie générale des aliénés. A la clinique de M. Mierjiewsky, à Saint-Pétersbourg, le D''
n enfant de douze ans atteint d'un gliome de la moelle : le tableau clinique était celui d'une hémisection gauche de la moel
n.,fasc.lli88ï. Cioug)iusky. Un cas de paraplégie urinaire. Recueil clinique du prof. Popoff, 1886. Danilewsky. De l'asthm
es. Arch. de liouctlc2o'slai, t. IX, n° 3, t887. Roruilotl. Etude clinique de l'oybtalmopléie externe. Journ. tleAlie,jicw
nt-Pétersbourg, 1888. Un cas de tumeur du cervelet (avec autopsie). Clinique intertzationale, n° 3. Levine. Contribution à
Ruppert. Un cas d'hémorrhagie médullaire (avec autopsie). Recueil clinique de Popoff, 1886. Serebrennikowa. Etude sur l'él
de charger une nomenclature de donner une place à ces hasards de la clinique . En somme, M. Ma- randon de Montyel, malgré de
périodes systématiquement étagées, grâce enfin à toutes ces données cliniques précieuses fournies par l'étude plus attentive,
lusion témoignent de l'activité constante et féconde de cette école clinique d'observations à laquelle la science psychiatri
médico-psychologique. Vice-président : M. BaLL (B.), professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine
7 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
géants, on s'attend presque toujours à voir confirmer le diagnostic clinique de gigantisme par la persistance des cartilages
alies d'accroissement m'ont permis de con- tr6ler de nombreux faits cliniques et de démontrer quelques points jusqu'à présent
crois pas inutile de relater ici même, le résumé d'une observation clinique ayant trait à un cas typique d'acromégalie. Il s'
étation soit trop ha- sardée ; il suffit de se rappeler l'évolution clinique de ce cas et de consi- dérer son état hypophysa
alie. Il y aurait donc là un point obscur que toutes les recherches cliniques , jusqu'à présent entreprises, n'ont pas encore
es organes génitaux. Rev. neurol., 1900, p. 901. Brissaud. - Geçous cliniques sur les maladies nerveuses, 1899, 2' série, p. 44
f. Psych., t. 2, 1908. INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE dirigée par M. le Professeur
M. A. BAUER SUR CE SUJET, PAR le Dr ETTORE LÉVI, Assistant à la Clinique Médicale Générale. Une note que M. Bauer a fait
nfantiles vrais que les individus présentant les caractères du type clinique décrit par M. Brissaud (infan- tilisme dysthyro
n comme de faux infantiles, mais propose, comme nouvelle définition clinique le mot chétivisme qui, selon lui, suggérerait l'i
on clinique le mot chétivisme qui, selon lui, suggérerait l'image J clinique du syndrome et fixerait la note dominante du tabl
u type Lorain, ne me semble ni utile, ni parfaitement exact au sens clinique du mot, et surtout je tiens ai t affirmer une f
ud, n'est pas, à mon avis, acceptable. Avant tout, le nouveau terme clinique proposé par M. Bauer me sem- ble imparfait, car
m- ble imparfait, car il ne suggère pas du tout, selon moi, l'image clinique du type morbide en question ; les infantiles du
cette cause s'il s'élait agi d'une simple question de nomenclature clinique , quoique je crois qu'en général il faut toujour
i bien l'un que l'autre présentait le tableau classique de la forme clinique de Lorain ; forme clinique que je continuerai à
sentait le tableau classique de la forme clinique de Lorain ; forme clinique que je continuerai à appeler « Infantilisme »,
la publication de M. Bauer, que sur la foi de mes anciens documents cliniques et sur les 24 4 ETTORE LÉVI- observations nou
x propositions suivantes : W réserver le nom d'infantilisme au type clinique décrit par Brissaud ; 2° remplacer par le nouve
Meige de dégager de la confusion 1 qui régnait alors, le vrai type clinique de l'infantile, l'infantile dysthy- i roïdien.
e Lorain, ils voulurent avant tout mettre en relief les différences cliniques essentielles, jusque-là méconnues, qui distinguen
gique qui, avec raison, tendait surtout à mettre en vedette le type clinique si spécial, si frappant qu'est l'infanti- lisme
ie sur un terrain très solide. Fût-il un jour démontré que le' type clinique de l'infantilisme de Brissaud peut être fonction
'hypothèse dès 1895 (dystropliie 1 d'origine testiculaire), ce type clinique n'en resterait pas moins distinct | des types c
re), ce type clinique n'en resterait pas moins distinct | des types cliniques groupés sous le nom d'infantilisme de Lorain. 1
e de l'acromégalie révélé par M. Pierre Marie représente une entité clinique définitive ; quelle que soit l'origine réelle du
vi contre la proposi-. tion de réserver le mot infantilisme au type clinique de Brissaud, repo- sent aussi, me semble-t-il,
en reste pas moins qu'il est impossible d'assimiler un tel ensemble clinique l'infan- tilisme de Brissaud en se basant sur l
trophiques de Lorain voisinent de près, mais que ces deux syndromes cliniques ne sauraient être confondus si, au lieu de consid
e côte à côte des syndromes par trop distincts tant au point de vue clinique qu'au point de vue pathogénique. D'ailleurs, chac
ts dystrophi- ques qui constituent actuellement le chétivisme, type clinique ayant des caractères bien distincts : les carac
phie musculaire progressive, manifestée par tant de formes ou types cliniques . Entre toutes les formes de dystrophie musculaire
plasie et le rachitisme, sont au moins bien connues sous le rapport clinique et leur étude sous les autres rapports va nous
llaires. Quant à ces derniers ils rappellent tout à fait le tableau clinique d'une myélite transverse. Les symptômes entrent e
s diagnosti- quer la nature de la maladie que lorsque les symptômes cliniques et l'existence de tumeurs dans d'autres régions
tébraux dans des cas qui durant la vie ne décelaient aucun symptôme clinique . Dans le tableau décrit ci-dessus nous avons do
c.). Il faut attirer l'attention sur ce point encore que le tableau clinique même des tumeurs malignes peut être interrompu
ême que dans ceux décrits par Bielschovsky, Schlesinger, le tableau clinique se déve- loppa très lentement et donna en fin d
le d'urée de 5 ans dans le cas d'Oppenheim et Krause). Le tableau clinique dans d'autres formes de tumeurs (échinocoque, a
e partie du tableau morbide) ; b) qu'il y a des cas dont le tableau clinique simule entièrement celui d'une tumeur vertébral
HOPITAL MAJEUR DE SAINT-JEAN-BAPTISTE ET DE LA VILLE DE TUR1N ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE DÉGÉNÉRATIVE
e qu'elle mérite en raison dés lacunes inévi- tables que l'histoire clinique des malades doit contenir. Il va sans dire que
le début de cette étude, n'ont qu'une importance secondaire pour la clinique ; toutefois je ne peux m'empêcher de remarquer com
on ami le Dr Ferrari, qui eu l'amabilité de me procurer ce matériel clinique intéressant, et qui me fut un guide infatigable d
n isolé de cette maladie familiale transporté par ha- sard dans une clinique d'hôpital. Cest le 15 avril de cette année que
à caractères tout à fait exceptionnels. Avant de relater l'histoire clinique de chacun de mes malades, je don- nerai ici que
t t i) . Masson & Cie, Éditeurs 11.0toi,l.,e nNlh.111 ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE z)9 présente
aquit en parfait état de sauté. Venue au monde dans les meil- ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 101 leures c
tolotti). Masson & Cie, Éditeurs. Phototypie Berthiud ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 103 tion du
c une teinte blanche bleuâtre très caractéristique. Les bords ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 105 de la pa
e de ses quatre extrémités. Si on examine la malade de par l'examen clinique et électrique, on peut t constater que cette at
rtolotti). Masson & Cie, Editeurs PhototTjne Berthaud ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 107 beaucoup
lètement inexcitables avec le plus fort courant électrique. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 109 Les nerf
çon exagérée, en laissant apparaître non seulement les dénis. ÉTUDE CLINIQUE SUll TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 1'll 1 mais
un peu amaigri, mais parfaitement mobile dans tous les sens. ÉTUDE CLINIQUE SUll TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 113 On rema
nts des pieds sur la jambe sont complètement abolis, les mou- ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 115 vements
actuel. Elisabeth présente encore une mine rose et rondelette ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 117 7 (V. PI
ttend les bonbons que je lui avais promis la première fois. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 119 9 En rés
aucune trace ni de rigidité musculaire, ni de contracture. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 121 Tous les
122 BERTOLOTTI A présent que nous avons relaté en détail l'histoire clinique de nos observations, il s'agit d'en discuter la
s la forme amyotrophique spino-neurotique de Charcot-Marie. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 123 Existe-t
a littérature médicale ? Nous avons passé en revue les observations cliniques des maladies fami- liales parues dans ces derni
ordre et ils rappellent la forme de Charcot-Marie avec une analogie clinique tellement évidente que nous devons logiquement no
arrêter. Voyons donc à présent en détail quelles sont les analogies cliniques qui existent entremes observations personnelles
93. ' (2) SESLIGMULLER, Deutche Médical Wochenscrift, 1876. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 125 L'atroph
la forme Charcot-Marie est dans le cas actuel du plus haut intérêt clinique . Les symptômes atypiques, c'est-à-dire les symp
la forme Charcot-Marie considérés à tort jusqu'ici d'une importance clinique secondaire. Parmi tous les troubles atypiques d
ic atrophy. Journ. of new. and meut. dit seases, juin 1903. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 127 symptôme
del sislema nervoso, Rivista critica di clinica medica, 1907. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 12H des atro
La conclusion de notre travail, basé sur de nombreuses observations cliniques , était justement que en réalité les réflexes osse
a Société de Neurologie de Paris, séance du 12 janvier 190. ÉTUDE CLINIQUE SUR TKOIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 1 ï1 1 profo
cette atrophie qui était du reste assez évidente à un simple examen clinique . En effet l'atrophie des extrémités dans mes ca
ie, Archiv sur Psych. u. Nervenkranh., t. XX, p. 660, 1859. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 133 A ce pro
COLONNE VERTÉBRALE 163 avec troubles urinaires. Depuis, le tableau clinique ne présenta pas de rémission, et trois semaines
dans le canal rachidien en provoquant l'exacerbation des symptômes cliniques . L'examen microscopique démontra qu'il s'agissa
supérieurs de la moelle. 172 ' FLATAU Dans ce cas les symptômes cliniques dépendaient de différentes causes anatomo-patho
table d'autopsie que le diagnostic devenait clair. Quant au tableau clinique de l'affection, il dépend entièrement de la loc
erfs, le cubital par exemple, peuvent prendre place dans le tableau clinique . Tous ces phénomènes peuvent se limiter d'abord
a nuque ; dans le cas de Schultze, du plexus brachial. Le tableau clinique dans ces cas ressemble à celui décrit plus haut a
t d'un coup éclatent les phénomènes médullaires. Souvent le tableau clinique se dé- veloppe rapidement en simulant ta myélit
ns anatomo-patholo- giques n'expliquent pas suffisamment le tableau clinique et il pense que certaines substances toxiques p
Même quand les symptômes médullaires prennent place dans le tableau clinique la guérison peut être complète puisque, comme n
uvent se servir des médicaments symptomatiques. (A suivre). ASILE CLINIQUE DE BEL-AIR (GENÈVE) LA BASE ANATOMIQUE DES PSYC
ion correspond assez bien à celle que l'on a l'habitude de faire en clinique mentale, lorsque l'on parle des psychoses dites f
De la comparaison des données fournies par le microscope et par la clinique , on pourra peut-être saisir la corrélation que ce
lépreuse, disions-nous, celte psychose présente des particularités cliniques qui l'individualisent de toutes les autres psy-
évritiques, Ce sont : le début tardif plusieurs mois après le début clinique de la polynévrite.-Le pronostic fatal car l'appar
de leurs sujets, de leurs élèves. C'est réelle- ment un diagnostic clinique qu'il s'agit d'établir. Cette opération comporte
normale. Le squelette des membres est tout à fait normal à l'examen clinique et radiographique,sauf l'ano- malie des doigts
HÉRÉDITAIRE ? QUATRE CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ DES ADULTES. ÉTUDE CLINIQUE ET RADIOGRAPHIQUE, PAR R Giuseppe FRANCHINI e
ndants, ni chez les collatéraux, rien de remarquable. (1) La partie clinique et critique de ce travail revient à M. Giuseppe F
e : Crâne. - L'examen radiographique montre, comme l'a déjà fait la clinique , un développement énorme de la voûte en com- pa
tion des métacarpiens. Main droite. Ainsi qu'il résulte de l'examen clinique , l'index de cette main se présente plus long qu
éral ne l'ait que confirmer ce qui a déjà été constaté par l'examen clinique , c'est-à-dire l'augmentation de volume des épip
'ALIÉNÉS DE HOME Directeur : Prof. G. 111'(GA7.lIN[. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA. SYPHILIS CÉRÉBRALE PRÉCOCE ET MALIGNE
Motter. T3eanloin n'a pas recueilli moins de 26 ohser- OBSERVATIONS CLINIQUES SUIT LA SYPHILIS CKRÉBRADS ' 287 vations de syp
s par les données anatomo-patholo- giques des observations purement cliniques . Kahler, à l'autopsie d'un individu mort de syp
ite, des dysarthries, des troubles psychiques, et mal- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 289 gré un traitement
ique, qui deux ans après l'infection, soignée au moyen OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 291 de composés mercu
ns, pris d'une hémiplégie gauche, dix mois après l'in- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 293 fection syphiliti
ulcère dur, et coexistant avec une éruption maculo-pa- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 295 puleuse diffuse.
à 8 centimètres de j'épitrochiée : 22 centimètres. Le OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 297 patient ne réus
Même dans des essais spéciaux, la suggestion est évi- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 299 dente, mais en de
gissait réellement de syphilis et selon toute probabi- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 301 lité, d'une arter
des cas résumés plus haut, et qui a déjà été remarqué OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 303 par d'autres aute
pide succession de ra- mollissements et d'hémorragies et le tableau clinique y relatif des paré- sies ou paralysies qui s'en
itementnul, insuffisant ou énergique a la même valeur. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 305 Rnmpf, au contrai
au ou il en apparaît d'autres qui sont rebelles à tout OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 307 traitement et qui
l. et de Syphiligr., 1869, et Leçons sur la syphilis, 1813 ; Leçons cliniques sur la syphilis. Paris, 1881. GA ! K)EW;cx. Syp
er NalurforFcher und Ærzle. Vienne, 1894. Tageblatt. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 309 Juscurscuswo. - U
er Lues. Mediz. Klinik, 1907, no 52. Lannois et FouMiEH. Deux faits cliniques , elc. Hevue de médecine, 1896, p. 51. LANG et S
flammatoires. Ce cas était assez facile à diagnostiquer. Le tableau clinique y était typi- que pour une affection connue sou
que, malgré des lésions très- prononcées de la moelle,les symptômes cliniques étaientsi minimes qu'on ne pensai même pas à un
n'est que post hoc qu'on pouvait expliquer les différents symptômes cliniques : les fortes et tenaces douleurs des membres in
ommes diffuses dans la moelle épinière peuvent donner des symptômes cliniques et. peine consta- tables. L'examen microscopi
e ; il y a huit ans, il a été pris d'hémiplégie, considérée dans la clinique de Vienne comme organique, et néanmoins guérie ap
acente, tous les au- tres étaient capsulaires. le Paul R... Notes cliniques . S8 ans, hémiplégie droite complète avec aphasi
mplète et à la dégénérescence pigmentaire. 2° Eftichie A... Notes cliniques . 60 ans, hémiplégie droite complète avec troubl
t également en réaction (fig. 6, PI. XXXIX). 3° Hélène T... Notes cliniques . 17 ans, hémiplégie gauche plus prononcée au me
tiers supérieur et dans le lobule paracentral. 40 Ana. G... Notes cliniques . - 75 ans, hémiplégie droite complète avec dysa
ormales ; d'autres sont en voie d'atrophie. Sa Alexandre C... Notes cliniques . 71 ans, hémiplégie gauche incomplète avec hémi
randes pyramidales de la couche sous-granulaire. 6° Jean P... Notes cliniques . - 60 ans, hémiplégie droite avec aphasie. Duré
us-granuleuses sont éga- lement en réaction. 7° Tudora I... Notes cliniques . 50 ans,hémiplégie gauche complète. Durée de la
le paracentral que dans la frontale ascendante. 8° Marie A... Notes cliniques .- 60 ans, hémiplégie gauche complète. Durée de
formée, présentant la dégénérescence pigmentaire. 9° Gh. 1... Notes cliniques . -48 ans, hémiplégie droite avec aphasie. Durée
s manifestes que dans le lobule paracentral. iûo Marin B... Notes cliniques . - 50 ans, hémiplégie gauche incomplète. Durée
etz, ni des grandes cellules sous-granulaires. 11° Betty J... Notes cliniques . 60 ans, hémiplégie droite complète avec aphasi
2, 3 et 5 ont disparu presque complètement. 12' Démètre J.. Notes cliniques . 71 ans, hémiplégie droite incomplète avec apha
e nombre des cellules normales est minime. 13° Joséphine M... Notes cliniques . -- 21 ans, hémiplégie gauche incom- plète, int
laires de la pariétale ascendante persistent. 14° Jean M... Notes cliniques . 46 ans, hémiplégie gauche complète. Durée de l
te et du lobule paracentral du côté droit. 15° Alexandre D... Notes cliniques . z 52 ans, hémiplégie gauche com- plète. Durée
rares cellules grandes sous-gra- nulaires. 16° Gherson B... Notes cliniques . - 7 ans, hémiplégie gauche avec trou- bles de
ellules présentent encore l'aspect normal. 17° Armenia B... Notes cliniques .- 35 ans, hémiplégie droite sans aphasie. Le ma
ore quelques cellules ayant l'aspect normal. 18° Anica N... Notes cliniques . 60 ans, hémiplégie gauche complète. Du- rée de
ale ascendante et du lobule paracentral droit. 19° Marin 13...Notes cliniques .- 87 ans ; 7 ans auparavant il a eu un ictus su
tantes est beaucoup plus grand. 388 MARINESCO 20° Leibu H...Notes cliniques .- 64 ans, hémiplégie gauche avec contracture in
AIRES 389 B. Paralysies PSEUDO-BULBAIRES. 4' Alexandre P... Notes cliniques . 45 ans ; il y a un an et demi que le malade a
ntes sont en réaction et beaucoup ont disparu. 2° Tudora J... Notes cliniques . - 64 ans,en octobre 1899 elle a un premier ict
e voit plus aucune trace des cellules de Betz. 3° Leanca S... Notes cliniques . 50 ans, en août 1898 un ictus suivi d'une hémi
atrophie sont plus intenses du côté droit. · 4° Sofia I... Notes cliniques . 60 ans, début avec ictus suivi d'hémiparésie d
s moyen et inférieur de la frontale ascendante. 5° Manda M... Noies cliniques . -41 ans, début lent trois ans avant l'exitus.
iers inférieur elles ont complètement disparu. 6° Mihail P... Notes cliniques . A eu un premier ictus il y a 4 ans suivi d'hém
s beaucoup de séries on n'en voit plus aucune. 7° Jean G... Notes cliniques . 46 ans ; premier ictus suivi d'hémiplégie droi
ons on ne voit plus trace de cellules de Betz. 8° Pauna T ? Noies cliniques . 45 ans, début lent ayant commencé six ans et d
. C. Paralysies par LÉSIONS IÉSENCÉPIIALIQUES. 10 Jean A... Notes cliniques . 30 ans, hémiplégie droite et paralysie fa- cia
ulaires. D. Paraplégies D'ORIGINE médullaire. 1° Chira P... Notes cliniques . 40 ans, paraplégie flasque consécutive à une f
moyen et inférieur de la frontale ascendante. 2° Nicolas M... Notes cliniques . 28 ans, paraplégie flasque consécutive à une f
action dans le reste des frontales ascendantes. 3° Pauna P... Notes cliniques . 28 ans, tétraplégie à la suite d'une lésion de
ULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 393 40 Tudora A... Noies cliniques . - 36 ans, paraplégie flasque consécutive à une
Le reste de ces circon- volutions est normal. 5° Ivan P... Notes cliniques . 20 ans, paraplégie flasque avec eschares multi
s dans les grandes cellules sous-graaulaires. 6° Moïse P... Notes cliniques . 40 ans, paraplégie au commencement spasmodique
us-gra- nulaires ne présentent pas de lésions. 7°EnacheD... Notes cliniques . - 5 ans, mal de Pott avec paraplégie spasmodiq
Pas de lésions dans les frontales ascendantes. 8° Albert J... Notes cliniques . - 7 ans, paraplégie flasque consécutive à un m
ut à fait supérieure des frontales ascendantes. 9° Marin G... Notes cliniques . - 19 ans, paraplégie spasmodique avec con- tra
cellules de Betz des lobules para- centraux. 10° Lilia B ? Notes cliniques . 56' ans, paraplégie au commencement spasmodiqu
phiées et pigmentées ou en chro- matolyse. 11° Démètre G... Notes cliniques . 20 ans, paraplégie-spasmodique à la suite d'un
celles de la frontale ascendante sont normales. 42° Savu T... Notes cliniques . - 26 ans, paraplégie spasmodique par com- pres
conservées, quelques-unes semblent altérées. 13° Lazar T... Notes cliniques . 45 ans, paraplégie à début spasmodique ensuite
elques pyramides géantes ont l'aspect normal. 14° Simon R...Notes cliniques . 62 ans, paraplégie spasmodique avec trou- bles
lésions dans les frontales ascendantes. 15° Constantin M... Noies cliniques . 41 ans, paraplégie spasmodique extrêmement acc
mentaire. E. SCLÉROSE latérale amyotrophique. 1° Cosma S... Notes cliniques . 45 ans, sclérose latérale amyotrophique, typiq
ntes sont con- servées (fig. 8, PI. XXXIX). 2° Georges D... Notes cliniques . 48 ans, avec atrophies intenses aux mem- bres
capsulaire. F. - AIYOTROPIIIE ARAN-UUCFIENNE. 1° Tili S... Notes cliniques . 27 ans, atrophies musculaires de la ceinture s
tales ne modifie pas ma façon de comprendre cette question, l'élude clinique d'un groupe de faits pathologiques pouvant parf
e bifide. On (l) BALZER et ALQUISR, Les dermatoses linéaires, étude clinique et pathogénique, Archi- ves générales de médeci
ra- cines poslérieures des nerfs, de la moelle et du cerveau. Et en clinique nous retrouvons constamment cette connexité ent
à faire connaître un cas récent, qu'il m'a été donné d'étudier à la clinique des maladies nerveuses, dirigée par le Professe
ues, et par conséquent sur l'examen objectif, et sur les critériums cliniques ; b) Ceux où le diagnostic est appuyé par un ex
rtébrale'. Ces douleurs lombaires, comme cela résulte de l'histoire clinique , n'avaient pas le caractère lancinant, mais ell
le doigt était enfoncé de 1 cm. 5 entre les deux voisins et l'aspect clinique en tous point comparable à celui que nous avons
uersal. 446 CHEVALLIER ble bien mettre en évidence les caractères cliniques de la brachymétacarpie, mais l'absence de détai
sumé. Une femme, âgée de 40 ans, raconte que les premiers symptômes cliniques sont apparus 9 mois 1/4 avant l'opération exécu
dernière opinion. Si nous prenons en considération tout le tableau clinique de la maladie, dans lequel au premier plan ress
sent travail n'a pas pour but la description détaillée des tableaux cliniques des tumeurs intra-vertébrales. Nous voulons uniqu
ype de Brown-Séquard a pu prendre la première place dans le tableau clinique . Nous répétons encore une fois que le syndrome
e syndrome de Brown-Séquard n'est pas indispensable dans le tableau clinique des tumeurs méningées. Son absence même complèt
ard. Peu à peu les symptômes unilatéraux s'effa- cent et le tableau clinique se rapproche toujours de plus en plus du type d
ées (Ward, Boettiger). En décrivant tous les stades dans le tableau clinique des tumeurs méningées, nous avons voulu plutôt
Nous croyons que la connaissance de cette richesse de combinaisons cliniques facilitera le diagnostic dans les cas un peu co
e l'histoire de la maladie et le développement graduel du ta- bleau clinique et se basant sur cette connaissance, poser le dia
rause). La tumeur localisée dans la moelle dorsale donne un tableau clinique où les douleurs névralgiques et les paresthésie
'annonce la plupart du temps par un développement rapide du tableau clinique , par l'absence presque complète des douleurs, l'a
symptômes suivants : une intensité moyenne des douleurs, un tableau clinique rappelant la myélite aiguë ou subaiguë, le type a
rs intra et extramédullaires et indique les symptômes et le tableau clinique tout entier caractéristiques de chacune de ces de
de la tumeur intramédullaire doivent parler par contre un ta- hleau clinique irrégulier, l'apparition rapide de phénomènes ina
. Les douleurs peuvent prendre la place domi- nante dans le tableau clinique . Dans un cas de Batten les douleurs ont duré 10
gomyélie). Oppenheim et Stertz font encore remarquer que le tableau clinique de la tumeur mé- dullaire se complète grâce aux
érents. Nous croyons pourtant que plus s'enrichissent nos matériaux cliniques , plus nous sera facilité le travail de diagnost
presque complètement à l'endroit comprimé tandis que les symptômes cliniques sont très prononcés. Ce l'ait est souligné tout
hôpitaux en 1870, in- terne en 1871, médaille d'or en 1875, chef de clinique en 1877, médecin des Hôpitaux l'année suivante,
lorsque survint la disparition soudaine de Charcot. La chaire de Clinique des maladies du système nerveux, à la Salpê- tr
sa thèse de docto- rat (1876) : Etude anatomique, physiologique et clinique de l'hémichorée, de l'laémianestlaésie et des t
ferment de curieuses obser- vations psycho pathologiques. Enfin ses Cliniques de la Salpêtrière ont été réunies en plusieurs
unies en plusieurs volumes où sont amassés d'importants docu- ments cliniques , anatomiques et bibliographiques. 1 En prenant
miques et bibliographiques. 1 En prenant possession de la chaire de clinique des maladies du système NÉCROLOGIE 491 1 nerv
1899. A chaque séance, il faisait présenter plusieurs malades de sa clinique et les meilleurs travaux de son laboratoire. Me
rd. Il était commandeur de la Légion d'Honneur. , Dans ses leçons cliniques , le professeur F. Raymond apportait une conscie
sympathie. Le professeur Raymond s'est efforcé de suivre la méthode clinique 1( ? trée par Charcot ; il y est resté fidèle d
après l'absolutisme de Charcot, une réaction était inévitable : en clinique , comme dans toutes les sciences biologiques, le
Marne). Le gérant : P. Boucncz. UNIVERSITÉ DE ROME CONTRIBUTION CLINIQUE ET ANATOMO- PATHOLOGIQUE A L'ÉTUDE DE L'APHASIE
les colorant avec l'hématoxyline (2). Je résume d'abord l'histoire clinique : D'Auria Pasquale, 60 ans ; sait lire et écrir
ongénitales, dont l'origine et la portée, aussi bien anatomique que clinique , sont encore loin d'être définitivement établie
, 22, 9 juin 1910. Institut D'G'TUD1;SSUPLRILilRES de Florence, , clinique médicale générale dirigée par M. le Professeur
SOMIE ESSENTIELLE 11ÉRËDO-FAMILIALE. ' DISTINCTION DE CETTE forme CLINIQUE d'avec LES nanismes, ' LES infantilismes ET LES
e, ont été l'objet^ dans ces dernières années, de nombreuses études cliniques et inatomo-patholociques qui ont singulièrement é
cli- niciens de tous pays, qui en ont différencié plusieurs formes cliniques ayant probablement aussi une pathogénie différe
ôté de la catégorie des infanti- tilismes, une aulre grande famille clinique , celle des nanismes, beau- coup moins étudiée,
e et dont quelques formes échap- pent encore à toute identification clinique . C'est à ce chapitre de pathologie encore si in
si confuse des caractères différentiels entre les grandes familles cliniques des in- fantilismes, des nanismes et des micros
surrénale, et ces rares cas aussi présentent les carac- téristiques cliniques de l'infantilisme ; toutesces formes n'ontdonc au
termes qui loin d'être synonymes, expriment au contraire deux types cliniques n'ayant entre eux rien de commun, dans les cas pu
t rendre évidente la dis- tinction entre les trois grandes familles cliniques dont l'existence nous semble prouvée : c'est-à-
d'arrêt de développement t somatique,cependant que ces deux formes cliniques doivent étrenettement séparées par les caractèr
formes cliniques doivent étrenettement séparées par les caractères cliniques très nets qui les différencient dans les cas pu
tes maladies qui ont déterminé chez eux le nanisme, La personnalité clinique de ces trois grandes catégories de dystrophies
us trouvons juste tout ce que cet auteur dit àpropos des caractères cliniques propres aux sujets appartenant à la catégorie de
en que M. Pellizzi ils n'en dé- finissent aucunement les caractères cliniques . Voilà comme M. Launois s'exprime à ce sujet :
ypotrophique congénitale donne le plus souvent lieu soit au tableau clinique de l'idiotie, soit à celui de l'épilepsie pure.
n dans cette étude qui se rapporte à des sujets dont la physionomie clinique est donnée surtout par la microsomie, cependant
documents historiques et artistiques que sur de bonnes descriptions cliniques ; en outre, les quelques observations que nous
'état de développement du squelette qui cons- titue une des données cliniques les plus importantes. Cependant nous avons cru
ique et leurs observations ne sont point détaillées au point de vue clinique , ce qui rend leur utili- sation impossible. C
uteur nous donne malheureusement très peu de renseignements d'ordre clinique sur ces individus qu'il dit normalement conform
ui nous in- téresse prouve suffisamment, à notre avis, qu'une étude clinique pro- fonde et systématique de cette forme de mi
ile étudié avec tant dé soin et avec un si parfait sens critique et clinique par M. De Sanctis. Cela nous entraînerait trop
a peine d'être lu en entier, car il nous donne la seule bonne étude clinique qui existe sur un cas que nous croyons devoir ê
avons à peine besoin de faire remarquerau lecteur que les documents cliniques sur cette dernière forme font complètement dé-
érédo-familiale, dont nous allons à présent donner les observations cliniques . Observation I (PI. LV11, LVIII) Magro Santo,
r les inférieurs, sont courts, mais ils sont harmonieux et l'examen clinique ne décèle pas d'iné- galité entre les os d'un m
tuberculeuse; tendance aux anomalies osseuses. Une des expressions cliniques , peut-on supposer, de la « dégénérescence atavi
on épiphysaire. Steinberg rappelle les recherches expérimentales et cliniques de Vogt (2), de Uffelmann (3) ; le développemen
pathogénie de la brachymélie métapodiale congénitale. L'analogie clinique est frappante entre cette affection et le doigt 1
e d'une bacillose foetale. Le raccourcissement est la conséquence clinique d'une lésion modérée du disque proliférant. Que
avant d'inciser la dure-mère. Il faut se rappeler que les symptômes cliniques peuvent dépendre non seulement de la compressio
e malade, atteint de sclérose en plaques, classique au point de vue clinique , existait une dissémination médullaire des plaque
re la sclé- rose périventriculaire dans la constitution du syndrome clinique . Au point de vue anatomo-pathologique, le fait
Privat-docent à l'Université de Genève, Médecin adjoint à l'asile clinique de Bel-Air (Genève). C'est à propos des recherc
iniquement. Je me bornerai à une simple esquisse des particularités cliniques de ces cas et je ferai une élude d'ensemble des
ble des renseignements [obtenus sur le malade, tant au point de vue clinique qu'au point de vue des données de l'autopsie.
des commémorati fs complets, c'est-à-dire des données étiologiques, cliniques et anatomiques, que l'on parvient à formuler un
les altérations aortiques analysées dans cette étude. OBSERVATIONS CLINIQUES . T ? cas. Il s'agit d'un homme de 42 ans, ayant
à l'asile : 2 mois. Il meurt dans un ictus paralytique. Diagnostic clinique et anatomique : Paralysie générale. Ce cas est
iformes. Son état psychique grave nécessita l'internement. L'examen clinique , confir- mé par l'examen anatomique, permit de
après trois ans de séjour, dans le marasme paralytique. Diagnostic clinique : Paralysie générale. L'AORTITE MOYENNE GOMME
IE ESSENTIELLE 11ÉRÉDO-FAMILIA LE. 4 DISTINCTION DE CETTE forme CLINIQUE d'avec LES nanismes, LES INFANTILISMES ET LES F
érature relative- à ce chapitre, qu'il n'existe pas un seul exemple clinique d'une micro- somie essentielle étudié systémati
ntielle étudié systématiquement par les modernes méthodes d'analyse clinique . L'observation détaillée de nos cas nous permet
longueur des extrémités inférieures. Afin d'établir les caractères cliniques propres à cette forme de microso- mie essentiel
ous permet de constater qu'il existe entre eux plusieurs caractères cliniques communs,soit positifs soit négatifs, caractères
t en commun et qui nous semblent pouvoir ai- der à l'identification clinique decette forme de nanisme. Chez les deux, en eff
ères phalanges des doigts. - Ayant ainsi décrit tous les caractères cliniques néga ti fs et posi ti fs (nor- maux et patholog
ulation métacarpo- phalangienne du pouce, ce qui constitue l'indice clinique d'une ossifica- tion absolument normale, car da
aits que nous venons d'énoncer. Nous sommes habitué à considérer en clinique que toutes les grandes dystrophies sont plus ou
u moins pour ce que nous savons aujourd'hui de leurs manifestations cliniques . Nous n'avons rien, en effet, qui puisse nous f
mation, c'est-à-dire considérer le nanisme total comme l'expression clinique extrême de l'infantilisme de Lorain. Ou bien
devraient présenter à un degré extrêmement prononcé les caractères cliniques d'infantilisme qui sont plus oumoins apparents
il vouloir engendrer une confusion déplorable entre les syn- dromes cliniques de l'infantilisme et de la microsomie pure. A)a
eux aucun de ces symptômes que nous sommes habitués à considérer en clinique comme d'origine dysthyroïdienne. - ' De quel
lue, il nous reste un fait fondamental qui ressort de l'observation clinique , c'est-à- dire que le défaut de tous les symptô
es nains sur lesquels malheureusement il il ne nousdonneaucundétail clinique ; il seborneà dire : « L'infantilisme et le nani
é de la façon suivante : « L'hy- pothèse que ces différentes formes cliniques soient toutes dépendantes d'une lésion primitiv
ories unitaires ne nous semble suffisamment ap- puyée par des faits cliniques et anatomiques assez clairs,et nous croyons que
nt controversé de la ques- tion des nanismes. On parle souvent en clinique de nanisme mitral ; selon nous cette dé- nomina
e par MAL Klippel et Cha- brol. Eh bien ! toutes les observations cliniques sur lesquelles se fondent ces auteurs sont, sel
ue ces individus n'ont absolument rien qui puisse rappeler le cadre clinique du nanisme (voir surtout le malade de l'observa
ui nous semble être un exemple très inté- ressant d'une association clinique du syndrome infantilisme au syn- drome microsom
s, car le très jeune âge de ce sujet ne nous a pas permis une étude clinique complète. Notre deuxième sujet est un spécimen
s une étude clinique complète. Notre deuxième sujet est un spécimen clinique à tout point de vue très intéressant; issu d'un
pas de doute,en effet,que notre petit sujet nous représente un type clinique différent de celui qui nous est montré par le pèr
ard léger de la seconde dentition. D'autre part bien des caractères cliniques propres à l'infantilisme de Brissaud font défau
du syn- drome microsomie, est la cause de l'anornzalité du tableau clinique qui nous est offert à ce sujet. Nous affirmon
ROSOMIE ESSENTIELLE HNRKDO-FAMILIALE 683 ments de différenciation clinique entre les trois grandes catégories des dystroph
rchivio di Ortopedia, 1908, fasc. 2. Dwust. et Philippe. Extrait de clinique , Bruxelles, 2 août 1902, n° 31. Garnier. Les na
ite gommeuse (2 pi.), par CH. LADA3]E, 622. Aphasie [Contribution clinique et anatomo- pathologique de l'- chez les gauche
ison) (1 pl.), par MAR- CHAND, 135. Familiale dégénérative (Etude clinique sur trois cas de maladie - du système ner- ve
me ner- veux) (3 pl.), par BERTOLOTTI, 97. Gauchers [Contribution clinique et ana- tomo-pathologique de l'aphasie chez les
rosomie essentielle hérédo- familiale. Distinction de celte forme clinique d'avec les nanismes, les - et les formes mixtes
(Contribution à la connaissance de la . Distmction de celte forme clinique d'avec les nanismes, les infantilismes et les
(Etudes sur les -) (4 pi.), par André-Thomas, 562. Nerveux (Etude clinique sur trois cas de maladie familiale dégété ? ,at
énie), par Bernard, 224. Syphilis cérébrale précoce (Observations cliniques sur la et maligne), par COSTANTINI, 286. Tabé
l'étude du gi- gantisme acromégalo-infantile (4 pl.), 1. 1. Eludé clinique sur trois cas de mala- die familiale dégénérati
tions digitales (13 pl.), 233,429, 5-il, 685. CosTwTm. Observations cliniques sur la syphilis cérébrale précoce et maligne,
microsomie essentielle héredo-familiale. Distinction de cette forme clinique d'avec les nanismes, les infantilismes et les f
ans la sclérose en plaques (1 pi.), 613. Mingazzini. Contribution clinique et ana- tomo-pathologique à l'étude de l'apha-
héréditaire ? Quatre cas d'achondro- plasie chez des adultes, étude clinique et radiographique (10 pl.), 244. Zoom. Un cas
8 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es de cette circulation collatérale par voie nerveuse ou les signes cliniques qui pourraient la révéler. Mais, dans ce champ
dents nerveux, reconnaissent, sans doute, une telle pathogénie. 1 CLINIQUE MENTALE DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUT
ation de cet intéressant persécuté. Voir Ann., jan- vier 1882. 36 CLINIQUE MENTALE. jamais nié; mais ces idées venaient et
st, depuis 188C, séquestré à Charenlon. Déjà, avant le crime, il 38 CLINIQUE MENTALE. , avait été, pendant plusieurs mois, t
e nette et définie; cependant cela me semble peu pro- bable. , 40 CLINIQUE MENTALE. · Il en est autrement du malade dont j
an- deur, in Ann., mars 1890. Doutrebente, Id., mai 1890. 42 , .. CLINIQUE MENTALE. > ' son argumentation. J'éviterai à
comme hiver, il couche la fenêtre ouverte; je n'en finirais pas 44 CLINIQUE MENTALE. d'énumérer ses bizarreries; cependant
Il finit par m'expliquer que être sère, c'est être pris par der- 46 CLINIQUE MENTALE. rière (pédérastie) : c'est là ce qu'on
ut-être une explication plausible des diffé- rences d'aspect que la clinique nous fait découvrir chez les persécutés. - PA
USE ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ'; (TRAVAIL DE LI CLINIQUE DE M. LE PROFESSEUR CHARCOT) PAR R Georges GU
E PROFESSEUR CHARCOT) PAR R Georges GUINON, A. SOUQUES, Chef de clinique . Interne (médaille d'or) des hôpitaux. III. N
n 66, p. 305. ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 49 à la clinique , soit dans la clientèle privée de M. le pro- fe
cune altération appréciable. Depuis son entrée dans le service delà clinique , le malade a été soumis au régime et au traitem
arfaitement établie. Elle repose du reste sur ce fait d'observation clinique que les juifs sont particulièrement atteints de
émorrhagie du cerveau, suivie de ramollissement 1 )) ? . Trousseau. Clinique médicale, 5° édit., t. II, p. 812. Archives, t.
citer des exemples personnels. Mais nous voulons faire une place clinique aux cas d'association, qui la méritent bien. '
dans aucun d'eux, éliminer le diagnostic de tabes. » (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE HOSPICE DE la Salpêtrière. SERVICE DE
MALADIES DES CENTRES NERVEUX ' ; MESSIEURS, . Les hasards de la clinique ont réuni dans le service un certain nombre de
un extrait dans la Semaine médi- cale du 15 septembre 1886. - 70 CLINIQUE NERVEUSE. du palais, pharynx, etc. Au point de
, peut, sans changer de caractère nosographique et de signification clinique , se présenter sous des formes très variées, trè
Chorée du larynx (Gazette hebdomadaire, n 42, p. 692, 1883). - 12 CLINIQUE NERVEUSE. donnée en 1854, de la toux hystériq
s l'acception la plus étroite du mot des phénomènes d'hystérie 74 CLINIQUE NERVEUSE. locale. Ils ont, en d'autres termes,
es furent au pis. Alors survinrent de l'insomnie, de l'inappé- 76 CLINIQUE NERVEUSE, tence, des crises convulsives et déli
i ont été caractérisés, paraît-il, par le médecin, sous le nom 78 CLINIQUE NERVEUSE. d'embarras gastrique et c'est huit jo
atoire et non expiratoire. Le bruit se répète à toute heure du 80 CLINIQUE NERVEUSE. jour, sans cesse et sans trêve ; il n
fortune, et aussi dans le paramyoclonus multiplex, dont mon chef de clinique M. Marie vous pré- sentait naguère un beau spéc
's Hand- 61(c/i,XXI,Bd. 2, p. 408. , . Archives, t. XXIII. 6 82 CLINIQUE NERVEUSE. ne pas confondre les exclamations, cr
t de per- sonnes, éduquées, bien élevées. Le nommé Bont...che, 84 CLINIQUE NERVEUSE. : que je vous présente, à ce propos, co
artificiellement endormie, t Traité de l'hystérie, 1). 317. - 86 CLINIQUE NERVEUSE. présente les phénomènes du grand hypn
a donc a établir ici une importante distinction nosographique et clinique sur laquelle j'appelle toute votre attention. L
rganes sensoriels fonctionnent très régulière- ment. Cet ensemble clinique met l'hémiatrophie faciale progressive, dans ce
rva- tion de Homen) peuvent également déterminer le même syndrome clinique . Il est probable qu'une analyse détaillée pourrai
(arc. f. Psych., XXII, 1.) Observation complète (au point de vue clinique et analomo-pa- thologique) d'aphasie sensoriell
vidu dont le cervelet pesait seulement 80 grammes. ' 2° Des faits cliniques et anatomo-pathologiques recueillis dans ce tra
e part, les altérations tabétiques n'ont pas déter- miné le tableau clinique du tabes syphilitique, mais la présence, au voi
diminuée dans tous ses modes. La marche de la maladie et l'ensemble clinique militent en faveur d'une lésion centt'.1le.A l'
s supérieur de la protubérance peuvent se traduire, au point de vue clinique , par les mêmes symptômes que les lésions de la
lui-même ne paraît pas démonstratif. Que de fois, alors que le type clinique semblait être myopathique, ne trouve-t-on pas d
ntral, par E. SIEUERLING. (Archiv f. Psychiat., XXII, 1-2.) Etude clinique et anatomo-pathologique de trois observations de
é reprise au cours de ces dernières années, et, dans la psychiatrie clinique de Schüle, nous retrouvons de nouveau deux form
ariétés de la forme aiguë. En résumé, à mesure que les observations cliniques se sont accu- mulées, on a vu se produire la te
présente une série d'observations de la forme aiguë prises dans la clinique du pro- fesseur Mierzejewski. Le caractère gé
P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 119 III. Observations CLINIQUES DE l'asile provincial d'aliénés DE KREUZ80URG ¡
ui comporte quelques exceptions. ' M. -B. BIBLIOGRAPHIE 1. Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, d'après l'enseign
sant, que cet exposé n'est pas exclusivement dogmatique, mais aussi clinique ; les méthodes d'investigation s'y trouvent décri
liés au dynamisme cérébral. L'auteur repousse l'opinion de l'entité clinique de l'athétose double, qu'il considère comme une
; Faucher, médecin de l'asile de la Charité; Pierrot, professeur de clinique mentale; suppléant, Dr Fabre, médecin de l'asil
ier, pharmaciens des hôpitaux; Quesneville, pharma- cien de l'Asile clinique , et Thibault. 19 candidats se sont fait ins- cr
II. Mars 1892. -. N" 68. 1 s 1 .. , 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE '. CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PARALYSIE GENERALE PROGR
ue dans le n" G du Mercredi Médical. Archives, t. XXIII. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE. pie, que de pouvoir constater la para
gé de seize ans, a été admis à la Salpêtrière dans le service de la clinique , le 20 décembre 1891. Antécédents héréditaires.
ides progrès, que l'intelligence s'affaiblit de plus en plus. 148 clinique NERVEUSE. Il y a deux mois environ, on s'est ap
ion notable des réilexes rotuliens, sans trépidation spinale. 150 CLINIQUE NERVEUSE. - On ne constate pas de troubles de l
rédi- taire soit acquise, ni une autre maladie infectieuse ne 152 CLINIQUE NERVEUSE. sauraient être invoqués dans le cas p
e passer comme dans la paralysie générale des femmes. Il en a 154 CLINIQUE NERVEUSE. été ainsi dans des observations préci
1 Marcé. - Traité pratique des maladies mentales, 1862, p. 469. 156 CLINIQUE NERVEUSE. conforme à la réalité des choses, qu'
en tant que entité morbide spéciale, dans nombre de circonstances cliniques , l'aliéné est poussé au meurtre. Ces circonstan
tances cliniques, l'aliéné est poussé au meurtre. Ces circonstances cliniques , on est arrivé à les bien limiter, on a reconnu
nes psychoses et qu'elle ne se manifeste que dans des circonstances cliniques bien détermi- nées. , Quelles sont maintenant
me. Nous devons nous : naintenir absolument dans le domaine de la clinique , et nous n'aborderons aucun problème d'ordre sp
E ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ 1 ; (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DE M.' LE PROFESSEUR CHARCOT) PAR GEORGES GUI
' LE PROFESSEUR CHARCOT) PAR GEORGES GUI\0, A. SOUQUES, Cher de clinique . Interne (médaille d'or) des hôpitaux. IV. Il
chacune de nos obser- vations. - Deux cas peuvent se présenter en clinique : tantôt, au cours d'un diabète authentique, su
tés distinctes sont en jeu, ou bien une seule. C'est là un problème clinique dont la solution exacte intéresse à la fois le
èvent du vrai tabes ou du pseudo-tabes diabétique. Mais le problème clinique se présente en outre sous cette seconde face :
ut s'adresser pour arri- ver à la probabilité, sinon à la certitude clinique . La glycosurie diabétique s'accompagne générale
ut. Nous voici en mesure de répondre aux diverses exigences de la clinique et du problème qui doit être posé et résolu de
la marche à suivre pour arriver à la solution de ce double problème clinique . Nous nous croyons, en conséquence, pleinement
ène symétrique des extrémités a présenté très exactement le tableau clinique décrit jadis par Maurice Raynaud ; il est à rem
bsence de faisceau pyramidal. ' Il y a en somme analogie entre la clinique humaine et l'expéri- mentation animale. Il n'es
ations avec autopsie et même avec examen microscopique. L'évolution clinique , d'une gra- vité exceptionnelle, permettait de
t pas complètement abolie. M. le Dr MOUR.ATOFF présente une étude clinique et anatomique détaillée d'un cas de paralysie a
e, une demi-année après le début de la mala- die. A son entrée à la clinique : nerfs douloureux à la pression et oedème des
neuro-musculaire. En Archives, t. XXIII. 17 258 bibliographie. clinique , il importe avant tout de déterminer le locus mor
cation anatomique du Dr Mouratoff. Un certain ensemble de symptômes cliniques caractérise mieux l'action d'un agent morbide q
'importance de la classifi- cation anatomique pour une appréciation clinique plus exacte de différents cas. P. KËRAVAL. BI
aitement sont intimement liés à la solution exacle de ces problèmes cliniques . Cette question des syndromes hystériques « sim
ls présentent ainsi réunis, au point de vue de la pathologie, de la clinique , de l'ana- tomie pathologique, etc.) contribue
édecin- adjoint : M. Legras; Internes : Lutas et ViGouRoux. Asile clinique (Sainte-Anne), Directeur : M. le DT TAULE ; - S
. Internes : MM. PÉCIIARYAN et TARGOWLA. - Service de M. le P BALL ( clinique ). Chef de clinique : M. P.\CTET; Chef de cliniq
CIIARYAN et TARGOWLA. - Service de M. le P BALL (clinique). Chef de clinique : M. P.\CTET; Chef de clinique adjoint : M. SOL
de M. le P BALL (clinique). Chef de clinique : M. P.\CTET; Chef de clinique adjoint : M. SOLDER ; Interne : M. BOETEAU. Ser
terne : M. DAGONET, médecin-adjoint de l'Asile. - Laboratoire de la clinique . Chef : M. le Dr BLIPPEL ; Aides : MM. BOETTAU
ollicité au mois de novembre l'internement de votre fille à l'Asile clinique . Est-ce exact ? . R. Oui, monsieur. - 111 ? D
n arrêté ordonnant le transfert de 1\plue Louise Dourches à l'Asile clinique où elle fnt examinée par le D'' Magnan, puis en
ncs; clôture du concours : 1er février 1893. Elucider par des faits cliniques et au besoin par des expériences, la pathogénie
nvier : Le docteur Bérillon a donné hier matin, à neuf heures, à la clinique de la rue Saint-André-des-Arls une très curieus
ges. Washington, 1891. Gover- nment printing office. c Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
imp.- 32. Vol. XXIII. Mai 1892. Nu 69, ARCHIVES DE NEUROLOGIE- CLINIQUE MENTALE. SOMNAMBULISME SPONTANÉ DANS SES RAPPOR
que la démonstration scientifique reposait tout entière sur l'étude clinique , je cherchais de nou- veaux malades pour multip
clientèle dont il voyait l'état s'ag- ARCU1VES, t. XXIII. 19 290 CLINIQUE mentale. graver chaque jour; et me demanda de l
nt nous allons retracer les caractères les plus manifestes. 292 ' ' clinique mentale. Après une demi-heure de sommeil, la je
ble,.elle se lève pour tout remettre en place, puis se couche à 294 CLINIQUE MENTALE. , côté de sa mère, et passe une excell
Sur ce, elle se lève rapidement, se couvre d'un jupon, approche 296 CLINIQUE MENTALE. une chaise de sa table, et mange avec
se riait de leurs efforts, et ridiculisait très spirituelle- 298 CLINIQUE MENTALE. ment leurs personnes. Son médecin lui-
écédait les crises, à cette différence près que ce sommeil ne 300 CLINIQUE MENTALE. durait jamais plus de cinq minutes, pu
it de la singularité de sa maladie; de lui répondre si elle lui 302 CLINIQUE MENTALE. disait qu'elle ne guérirait pas - qu'e
t bap- tisées du nom d'extraordinaires ! ! ! Basés sur ces études cliniques , sur ces observations et sur quelques autres du
voir : que ces manifestations multiples dérivent de la grande 304 CLINIQUE MENTALE. névrose; et dire que : quelle que soit
erment et se dévelop- pent sur un fonds commun, l'hystérie. Asile clinique (SAINTE-ANNE). M. Magnan HÉRÉDITAIRES DEGENERES
qui fut emprisonné pour avoir, poussé Archives, t. XXIII. DU 30() CLINIQUE MENTALE. par sa perversion sexuelle, volé des c
onc faire entrer dans le groupe des hérédi- taires ces faits que la clinique désigne, quoique assu- rément la dénomination d
sisti- blement poussé à compter et à recompter les fleurs, : 'iU8 CLINIQUE MENTALE. les lignes d'une tapisserie, et il eut
ue, aplatie d'avant en arrière. HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 309 310 CLINIQUE MENTALE. Le front est plat sur toute son étendu
nt libre sur la zone des centres sensoriels et des instincts. 3t2 CLINIQUE MENTALE. Les physiologistes ne sont pas d'accor
cord sur le siège précis des différents centres perceptifs; mais la clinique et l'anatomie pathologique ont fourni déjà de p
est de même pour le centre dépositaire des images visuelles que la clinique permet de localiser sur le pli courbe. Quand ce
cts et comme ils sont privés du contrôle et de l'action modé- 314 CLINIQUE MENTALE. ratrice des centres -supérieurs, ils s
etta, notre grand patriote, notre puissant orateur, quoique 316 ' CLINIQUE MENTALE. le poids du cerveau ne dépassât pas la
ens actuels d'inves- tigation, car les troubles fonctionnels que la clinique révèle sont tellement nets, ils ont un tel air
était épileptique et avait des crises qui étaient suivies de 318 CLINIQUE MENTALE. délire et d'actes inconscients. Enfin,
de con- duite, elle est entrée dans uu' couvent. La mère est 320 CLINIQUE MENTALE. bien portante. L... aurait eu le carre
catrices presque entièrement effacées. Archives, t. XXIII. 21 322 CLINIQUE MENTALE. HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. Quelquefois, i
jours les mêmes, quelle que soit l'étrangeté de ce syn- drome. CLINIQUE NERVEUSE. Clinique DES Maladies DU système NERV
uelle que soit l'étrangeté de ce syn- drome. CLINIQUE NERVEUSE. Clinique DES Maladies DU système NERVEUX. M. CHARCOT. L'
e comme àla pathologie. Ily ades doctrines proprement psycho- 324 CLINIQUE NERVEUSE. logiques qui sont passées dans l'ense
ue M. Charcot ait désiré entendre exposer dans l'amphithéâtre de la clinique des études nouvelles sur l'état mental des hyst
chologiques ne s'écarteront pas de la vérité médicale, de la vérité clinique , à laquelle tout ici doit être subordonné. Je s
de tous que j'ai rencontrées ici, m'a rendu cher le service de la clinique , et si mes humbles travaux peuvent ajouter quelqu
s ici même pour rester toujours dans la spéculation abs- l' 326 ' CLINIQUE NERVEUSE. traite. Je vous décrirai des faits et
vérifier nos suppositions. Partir de la cli- nique et revenir à la clinique en traversant pour un moment le champ des hypot
, que je n'ai pas la prétention de vous décrire tous les caractères cliniques de cette anesthésie que vous connaissez parfait
le faire dans une leçon. 'Mesnet. - Automatisme, 1871, p. 19. 32 CLINIQUE NERVEUSE. ' que la lampe apportée par elle avai
tomatisme psychologique, p. 287. 'Gilles de la Tourette. - Traité clinique et thérapeutique de l'hysté- l'ie, 18 ! H, p. 1
cit., t. I, p. î 4, et Gilles de la Tourelle, op. cit.. p. 161. 330 CLINIQUE NERVEUSE. fait souvent autrefois, qu'elles port
vec un rétrécissement double de 1° ? Est-ce que Messieurs les 332 ' CLINIQUE NERVEUSE. .médecins oculistes ont suffisamment
tout le corps et ne présentait plus nulle part aucune trace du 334 CLINIQUE NERVEUSE. sens musculaire. Comme une malade que
médical, 1889, p. 777. 1 Revue de l'hypnotisme, 1887, p. 68. 336 CLINIQUE NERVEUSE. suivi des recherches dans le même sen
'on la cons- tate et qu'on l'admet couramment dans les observations cliniques . Archives, t. XXIII. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE
mment dans les observations cliniques. Archives, t. XXIII. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE. un tampon à tenir et avecl'autre tamp
s ? Berthe a-t-elle un champ visuel rétréci ? Ce sont des questions cliniques que je .vous pose et vous voyez que leur intérê
l faut sortir de ces explications grossières et puisque l'in- 340 ' CLINIQUE NERVEUSE. sensibilité comme la sensibilité sont
ec la notion vaste et antérieure de la personnalité : Fig. 1. 342 CLINIQUE NERVEUSE. C'est seulement après cette opération
ans se préoccuper des impressions tactiles qui con- Fig. 3. ' 344 CLINIQUE NERVEUSE. tinueront à l'assaillir; au deuxième
n l'a démontré l'année 'Cf. Pitres, op. cit., t. I, p. 71. 1. 346 CLINIQUE NERVEUSE. dernière au moyen d'un appareil fort
la main gauche un petit bou- 1 ri 1/1011/. l ? ych,, p, 295. 348 CLINIQUE NERVEUSE. quet de fleurs, et vous m'avez fait s
it, qui était tout à l'heure sensible, et elle ne s'en aperçoit 350 clinique nerveuse. aucunement. Son champ de conscience s
lec- tivité, le groupement plus ou moins grand des phénomènes 3n2 CLINIQUE NERVEUSE. subconscients qui peuvent faire varie
e vaso-dilatation qu'il est possible d'évaluer approximativement en clinique par le cya- nose de la face; - 20 d'idiosyncras
il faut encore montrer que le meurtre en question est un phénomène clinique , faisant partie d'un état mental morbide connu,
infirme dont je viens de parler, du cerveau en dégénérescence.' La clinique apprend, en effet, que les impulsions de ce gen
la fois sur l'observation et sur l'expérience, c'est-à-dire sur la clinique et sur la physiologie cérébrale. La forme de
ur qu'il soit, dès à pré- sent, permis d'en déduire des conclusions cliniques . .Archives, t. XXIII. 25 RECUEIL DE FAITS.
ssoires; elles peuvent alors modifier considérable- ment le tableau clinique de la mélancolie. Peut-être bien qu'ici il ne s
celle-ci existe et imprime de même un caractère spécial au tableau clinique , il y a lieu de rechercher si la mélancolie n'e
s nerveux n'ont en rien pris part au pro- cessus. Au point de vue clinique , tare héréditaire, symptômes d'hyper- pression
illettes de, 'quinze et seize années, l'au- teur a constitué l'état clinique suivant. Epilepsie Jacksonnienne unilatérale av
s-corticaux. Mais Munk, par la physiologie, et les médecins, par la clinique montrent que, lorsque les centres sous-corticau
de quelques malades atteints de névrose traumatique. De cette étude clinique , M. Freund tire que, de même que Charcot, il ne
1.V° SESSION A BRESLAU. Séance du 2 mars 1881. M. Lissauer. Elude clinique et anatomique des symptômes de lésions en foyer
ies générales à complexus ordinaire peu accusé, tandis que l'aspect clinique sera celui de l'épilepsie Jacksonnienne, de l'a
alysie des muscles postérieurs; il explique pourtant les phénomènes cliniques qui BIBLIOGRAPHIE. 441 viennent d'être mentio
spéciale de la lésion cérébrale. BIBLIOGRAPHIE. VII. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
lte voie thérapeutique. La seconde partie du mémoire, intitulée : Clinique et anatomic pathologique, fourmille d'observati
a des paraplégies, il y a des idioties. L'idiotie est le complexus clinique ultime qui succède à BIBLIOGRAPHIE. 443 des l
examen et de diagnostic nécessaires. Se basant exclusivement sur la clinique , MM. Blocq et Onanoff ont suivi l'ordre dans le
art des chapitres, on trouvera, à côté de considéra- tions purement cliniques , un examen critique des opinions pro- fessées p
re philosophique, que beaucoup regardent à tort comme inutiles à la clinique . 444 VARIA . On trouvera tout particulièremen
s avaient été strictement limitées aux anciens internes et chefs de clinique de M. Charcot et aux chefs de services auxiliai
e clinique de M. Charcot et aux chefs de services auxiliaires de la clinique des maladies nerveuses (électrothérapie, ophtal
les de la Tourette (1884) ; G. Guinon (1885) et l3abinslci, chef de clinique ; Berbez (1886); Blocq (1887); - Huet (1888) - D
menait de front, se completant, s'expliquant l'une par l'autre, la clinique et l'anatomie pathologique. La pièce qui nous s
t de nos grands médecins, et dont le plus éminent est Laënnec. La clinique pure est aussi, elle, une science, car elle possè
ouvelles seront déterminées; mais là, le plus souvent, nos méthodes cliniques n'ont pas la rigueur des méthodes employées en
ensée humaine, on appelle le génie, la faculté de trouver les faits cliniques nouveaux, de les comparer entre eux et avec les
hommes, qui vous entourent, sont venus se former, est-elle l'Ecole clinique par VARIA. 447 excellence des maladies nerveu
ge au peu de progrès que la médecine proprement dite a faits par la clinique pure depuis cinquante ans, on admire davantage
ument nouveau, comme laryn- goscope ou l'ophtalmoscope, la médecine clinique proprement dite est restée très stationnaire. J
ication de l'histo- logie ou de la bactériologie, mais j'entends la clinique proprement dite. Eh bien ! quels progrès a-t-el
é de tous ces vaillants qui, à des titres divers internes, chefs de clinique , chefs de laboratoire, etc. se sont, depuis tre
c'est encore presque une nouveauté, dans ce temps-là, d'éclairer la clinique et de la transformer même, si possible, sans ja
NIE1\. Int. : MM. Lucas et Vigoureux. faits DIVERS. 457 2,° Asile clinique (Sainte-Anne). Service de M. Magnan (admis- sio
on). Int. : MM. Pécharman et Targowla. Service de M. le prof. BALL ( clinique ;. Chef de clinique : M. Pactet. Chef de clin. adj
harman et Targowla. Service de M. le prof. BALL (clinique;. Chef de clinique : M. Pactet. Chef de clin. adj., M. Sollier. In
rothérapique externe. - Méd.-adj., M. DA- GaN ET. Laboratoire de la clinique . Chef, M. KLIPPEL. Aides : MM. Boëteau et Champ
dans la 3° classe. (Arrêté du 24 février.) Le Dr PACTET, chef de la clinique des maladies mentales à l'asile Sainte-Anne (1er
rleret, âgé de trente-deux ans, docteur en médecine, ancien chef de clinique ophtalmologique, habitant Lyon, rue Saint-Josep
rès médical. Pour les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). Clinique des maladies du système nerveux de la Salpétriè
-90 et 1890-91, publiés sous la direction de Georges GUION, chef de clinique , avec la collaboration de MM. GILLES DE la TOUH
cal. Pour les abonnés des Archives, 8 fr. Bourneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie l'hystérie et
onnés : 6 fr. DUCHESNEAU (G.). Contribution à l'étude anatomique et clinique de l'acromégalie et en particulier d'une forme
psychopa- thie dans la , par Kurella, 439. Bibliographie : traité clinique et thérapeutique de l'hvstérie, par Gilles de
et observations sur l'idio- ! ie, par Bourneville, 261 ; recherches cliniques et thérapeu- tiques, sur l'épilepsie, l'hystéri
9 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
RGOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE M.I. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des mendies du système nerveux à à la Facul
ET PATHOLOGIQUES 3 ; Par le D" SERGE SOUKIIANOFF, , Médecin de la clinique psychiatrique de Moscou. II La vie psychique,
de Little appliqué à ce cas; mais ce n'est là que le diagnostic clinique , quel est le diagnostic anatomi- que, de quel
o- trophique, à début bulbaire. Mais ce n'est là qu'un diagnostic clinique les relations qui existent entre la paralysie lab
l'atrophie musculaire doit être faite sur- tout par le point de vue clinique , les symptômes sont autres, autres surtout le m
rmer le diagnostic de sclérose latérale amyotro- phique, diagnostic clinique n'impliquant pas anatomiquement, malgré leur ét
(Normandie médicale, n° 2. 1896.) Crises typiques au point de vue clinique survenant chez un homme de quarante-cinq ans :
glutition ; le 28 juillet de l'année 1893, à l'entré du malade à la clinique des maladies nerveuses, on constata : un abaiss
alade s'améliora graduellement. Le 28 septembre le malade quitta la clinique et revint à ses occu- pations habituelles; mais
s; mais le 27 janvier de l'année 1894 il entra de nouveau à la même clinique dans un état encore plus grave et pour cette fo
CIÉTÉS SAVANTES. fut que le 4 octobre 1894, que le malade quitta la clinique . pour reprendre ses occupations. Au mois d'octo
ix. Le 4 octobre de l'année 1894, lorsque la malade fut placée à la clinique des mala- dies nerveuses, outre les phénomènes
. Uu côté des yeux (l'examen a eu lieu à SOCIÉTÉS SAVANTES. 75 la clinique des maladies des yeux), on constate une faiblesse
ut distinguer que le goût salé. Pendant le séjour de la malade à la clinique , il y avait une oscillation continuelle de tous
après un mois. Le cas donné, d'après l'auteur, présente un tableau clinique très compliqué et de certaines particularités,
phie qui restait sta- tionnaire pendant le séjour de la malade à la clinique , les jours derniers commença à diminuer et au l
Mouratoff. Paralysie cérébrale bilatérale congénitale, comme entité clinique . Le rapporteur a observé douze cas de maladie 7
upérieur. Six semaines après le premier accès, elle fut placée à la clinique de M. le privat-docent, G. Rossolimo et le jour m
FF, A. FOKARSKY. Archives, 2e série, t. IV. 6 BIBLIOGRAPHIE. I. Clinique des maladies du système nerveux (2° série); par l
méthode si fructueuse de son maître Charcot, M. Raymond part de cas cliniques , rappro- chés et discutés, pour établir l'état
changé singulièrement la face de cette question. A propos d'un fait clinique des plus intéressants (pendant une première pér
des affections du neurone moteur péri- phérique. Si sur le terrain clinique il y a intérêt pratique à distin- guer ces mala
tions est considérable. Le professeur Raymond étudie d'abord un cas clinique de polynévrite sulfocarbonée, les para- lysies
très souvent de troubles de l'intelligence et revê- tant les formes cliniques variés de poliomyélite antérieure, de pseudo-ta
La seconde partie de l'ouvrage est consacrée à l'analyse de faits cliniques isolés. La XIX" leçon est consacrée à une paralys
vements a donné à son auteur des résultats très satisfaisants. A la clinique de la Salpêtrière ce traitement a été systématiqu
térieurs du même auteur, est frappé au coin de la bonne observation clinique ; les recherchet dirigées avec l'habileté, la p
chline (de Paris) : « Communication sur un sujet de neuropathologie clinique . » Professeur J. Crocq (de Bruxelles) : « Un no
hie sur la question. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Aimi : (IL). Élude clinique du dynamisme psychique. - In-8° de 258 pages. P
francs. Paris, 1897. Librairie 0. Doin. BOUIiNGVILLC. Teclzerclres cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
hors texte. Napoli, 1897. Rifornza medica. MASSY (A.l. Formulaire clinique d'électrothérapie spéciale appli- quée. Volume
rlin, 1897. Verlag von S. Karger. 96 AVIS A NOS abonnés. RAYMOND. Clinique des maladies du système nerveux (hospice de la
, imp. - 791. Vol. IV. Août 1897. N° 20. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE médicale DE l'hôpital SAINT-
IV. Août 1897. N° 20. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE médicale DE l'hôpital SAINT-ELOI DE MONTPELLIER.
LEÇONS cliniques' recueillies ET publiées Par le Dr VEnEL, chef de clinique . . Messieurs, A propos de plusieurs malades
? 189G, 1" série, p. 28 à 187. Archives, 2''surie, t. IV. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. vation, presque de création, est cara
es des racines antérieures et postérieures; mais la neuropathologie clinique était bien embryonnaire : vous en jugerez par l
ode a été si puissamment féconde que, sur bien des points, c'est la clinique qui a ouvert la voie de la physiologie elle-mêm
ériphériques, in Clin, (les du syst. nerf., 9c série, lss7. , iuo CLINIQUE NERVEUSE. tables à une intoxication ou à une in
rio-scléreux, in Lef. (le clin, méd., 1" sétic, 1891, p. 522. 104 CLINIQUE NERVEUSE. râles ronflants et sibilants dissémin
reaux (Hôtel-Dieu) : arthritisme. -Avril 1895, Cornil (Hôtel- 106 ' CLINIQUE NERVEUSE. Dieu) : encéphalomyélite. - Juillet 1
peu d'hypesthésie de la cornée. A la face dorsale du deuxième 108 CLINIQUE NERVEUSE. orteil gauche existe une ulcération a
pancréas cirrhose, (le-1. 7t ? i Wocli, 1896, p. ` ? oui,) Il (1 CLINIQUE NERVEUSE. n° 33 de la salle Fouquet un tabétiqu
rt sur le traitement du tabes au Congrès de Moscou (1897). 11 : 2 CLINIQUE NERVEUSE. De plus, si l'on peut placer dans ce
(monts. méd., 1880, XLIV, 483). Aucuives, 2e série, t. IV. 8 114 CLINIQUE NERVEUSE. D'autres causes collaborent souvent a
s, s'engourdissent facilement ; et les crampes sont fréquentes Ho CLINIQUE NERVEUSE. dans les mollets. Il n'y a ni paralys
die bradytrophiques) dont nous avons étudié déjà la caractéristique clinique l'al- coolisme chronique, le saturnisme, le tab
médullaire. 1 Leçons de clin, méd., 2c série, 1890. p. 671. 118 8 CLINIQUE NERVEUSE. Tout ce que nous venons de dire de la
scléroses. (Encyclop. scieulif. des Aides mém.). 1897, p. 95. 120 CLINIQUE NERVEUSE. tissu interstitiel hypertrophié au ti
avoue que je la croyais plus profonde, et entre médecins d'autorité clinique telle, que cela me peinait de ne pas être de l'
s bien symptomatiquement : l'accord est complet sur le point de vue clinique . Mais il existe un désaccord, au moins apparent
' que l'artérios- 1 Leçons de clin, Ire série, p. 522 et 535. 122 CLINIQUE NERVEUSE. clérose forme « le lien initial commu
hensive, la sclérose multiple disséminée, tout en gardant sa '124 CLINIQUE NERVEUSE. grande unité clinique et nosologique,
sséminée, tout en gardant sa '124 CLINIQUE NERVEUSE. grande unité clinique et nosologique, a des variétés. Nous en soulign
os connaissances étiologiques et de l'ensemble de nos connaissances cliniques sur les maladies du système nerveux. RECUEIL
n ans. - Description des symptômes par Trousseau (2° volume de la Clinique médicale, 7e édition, p. 689). - Mort de pneumoni
processif (querulantenwahnsinn) qui ne s'applique pas à une entité clinique bien définie. Le délire processif se rencontre
ure. (Voir les expériences sur le tubercule de Rolando et les faits cliniques qui ont montré d'une part la dissociation des s
de médecins en chef. Thomas (A.). Le Cervelet. Étude anatomique, clinique , physiologique, vol. in-8° de x-356 pages, avec
·-^ Par CL. PIIILIPPE, Chef des travaux anatomo-pathologiques la Clinique de la Salpètrière. Ce travail se propose d'expo
ve de Du- chenne. Ces recherches ont un double hut, anatomique et clinique : elles s'occupent d'abord de la formule histolo-
ctères histo- logiques'. , ' Mais, en système nerveux surtout, la clinique doit trou- ver son compte dans tout travail ana
eau pyramidal ' Cl. Philippe. Contribution il l'élude anatomique et clinique du labes dorsalis. (Th. iuaug. Paris, 1897.)
génération rétrograde. 20 : 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. Sur le terrain clinique , le gros problème à résoudre est celui de la su
ici quelques faits qui nous ont paru ressortir de ces recher- ches cliniques . Dans la symptomatologie du tabes, on peut dist
ariée dans ses localisations anatomiques, comme dans son expression clinique , malgré que certaines lois président et à ses l
ant : localisations anatomiques, multiples et variées ; expressions cliniques , multiples et variées ? Est-il possible de four
é de nos recherches sur quelques points de l'histoire anatomique et clinique , de la maladie de Duchenne; et nous conservons
al, février 189 i.) Ce cas fournit à l'auteur l'objet d'une leçon clinique où abon- dent d'intéressants points de pratique
x sur les hallucinations et les illusions, la merveilleuse sagacité clinique dont il fait preuve dans son mémoire sur l'alié-
oit être très clairvoyant, sans cesse éclairé par le flambeau de la clinique . Notre bienveillance à l'égard des infortunés c
que les deux ordres de symptômes soient représentés dans le tableau clinique , au moins par les plus essentiels d'entre eux.
atisfait personne et correspond par sa signification même à un état clinique complexe lié à des lésions nécropsiques très di
Pourquoi n'en serait-il pas de même des péricérébrites ? Les faits cliniques et les autopsies semblent justifier cette manière
tes, néo- mernbraues. ll appartient aux études nosologiques et à la clinique d'étendre et de mieux préciser ces variétés dan
e mieux préciser ces variétés dans l'avenir. M. Arnaud. - Les faits cliniques ne plaident pas en faveur de la théorie de M. P
ssité de demander à l'anatomie pathologique l'explication des faits cliniques qui à l'heure actuelle sont susceptibles d'in-
e générale d'ori- gine syphilitique diffère par certains caractères cliniques de la para- lysie générale classique. , Neu1'
le est tout entière résumée dans le nom de Charcot. Dans ses leçons cliniques de la Salpêtrière il en est une, celle du mardi
treize, quatorze, dix-sept et dix-neuf ans. En 1889 paraissent les cliniques d'Ollivier, qui mettent en vue l'urticaire et l
1894 la thèse de Fischer « sur l'hystérie infantile, observée à la clinique des enfants de la Faculté de Médecine de Nancy
de M. le profes- seur agrégé Rispal, qui était alors notre chef de clinique et qui voulait bien nous remplacer à ce moment)
lequel nous aurons à revenir, en rappelant, au chapitre des formes cliniques , les cas de ce genre, cités par Ollivier, si im
Bosc rapporte z 1 Nous publierons prochainement un nouveau travail clinique de M. Terrou sur le même sujet. La Revue de pat
affirmait récemment M. le professeur Joffroy dans une de ses leçons cliniques il Sainte-Anne, nous affir- mons par contre que
oin- tements du receveur et de l'économe '. 1. Dans les asiles de cliniques , situés dans les villes où il existe une Facult
s les villes où il existe une Faculté de médecine, le professeur de clinique deviendrait directeur-médecin, ayant à sa dispo
yant à sa disposition deux médecins adjoints, dont l'un, le chef de clinique , serait chargé spécialement des besoins de l'en
pourrait être doublé par des assistants choisis par le profeseur de clinique , parmi les docteurs en médecine ayant été interne
lance. M. Christian dit que les chroniques seuls travaillent : à la Clinique , ce sont les aigus et aussi les alcooliques qui f
c'est là leur point de ressemblance. Dans ce travail privé de base clinique , M. le D'' Vial demande à ce qu'on fasse rentre
grés de l'obsession, et au lieu d'en indiquer longuement les formes cliniques il reproduit le récit d'un obsédé, qui est l'un
ommission est en route pour cette étude, attendons. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE. PÉRIODES TERMINALES ET MORT DANS LES S
matique. Il me ' Archives de Neurologie, numéro de juin 1897. 298 CLINIQUE mentale. semble qu'il serait utile, indispensab
nsidérés jusqu'à présent comme secondaires, ou passant inaperçus. CLINIQUE NERVEUSE. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE; Par l
- blissais la fréquence de cette névrose dans cette partie du 300 CLINIQUE NERVEUSE. Bocage, les formes multiples sous les
n de l'Académie de médecine, 1°' décembre 1891.) .) Ollivier. Cours cliniques sur les maladies des enfants, 1889; 17, 18, 19,
Helsingfors, 1888. Coutdrie. Thèse Paris, 1896. 3 Charcot. Leçons cliniques sur les maladies du système nerveux, t. I, II,
me nerveux, t. I, II, III. Leçons du mardi, 1887-1888 et 1888-1889. Cliniques des maladies du système nerveux, leçons publiée
pilepsie chez les jeunes garçons, (l'rogrès médical.) lieclcerclres cliniques sur l'hystérie et épilepsie, 1880-1881. (Ar- ch
rologie, 1883-1889.) - Jules Simon. Conférences thérapeu- tiques et cliniques sur les maladies des enfants (2e édition, 1887).
dies des enfants (2e édition, 1887). -Gilles de la Tourette. Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, 1891. HYSTÉRIE
ces faits de quelques réflexions que m'aura suggé- rées leur étude clinique . J'aurais pu classer mes observations d'après l
Antécédents personnels. On n'a rien de particulier à noter. 302 ' CLINIQUE NERVEUSE. Pas de maladies depuis la naissance.
espiratoire, aucune crise de suffocation : c'était de l'aphonie 304 CLINIQUE NERVEUSE. hystérique. Cet accident dura trois j
dais plus parler de cet enfant, Archives, 2e série, t. IV. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE lorsque, un an après, on le ramène dan
2 mai, la contracture a cessé. Elle a donc duré trois jours. 308 CLINIQUE NERVEUSE Le 8 mai, on me rappelle près de l'enf
n et de la douleur dans les hanches. Claudication qui s'est 3110 () CLINIQUE NERVEUSE effacée, paraît-il, au bout de deux mo
agitation, cris, véritables cris hydrencéplialiques, constipa- 312 CLINIQUE NERVEUSE tion, ventre rétracté; mais pas de vom
petit et en plus agité, la température n'est pas abaissée. c 316 CLINIQUE NERVEUSE Quelle était la nature de ce diabète i
Densité il + 15° = -) ? 002 Réaction très faiblement acide. 318 CLINIQUE NERVEUSE cependant que ne l'est la soif, il uri
evue neurologique,' mars 1897.) E. B. XVIII. Contribution A l'étude CLINIQUE DE la migraine OPIITALMOPLÉGIQUE; par le De J.-
dant les pre- mières années de la vie et présentant le même tableau clinique que la rigidité spasmodique spinale des enfants
naissance : elle ne s'est extériorée qu'assez tard, au point de vue clinique , sous une influence indéter- minée. (Revue neur
our- cissement cubital des doigts. Pour confirmer la ressemblance clinique de l'entité morbide, décrite par Sachs et Féré,
la face, principalement les masticateurs. A l'entrée du malade à la clinique du professeur Kojewnikolf tous ces phénomènes é
ion de créatinine et de sarcine. Pendant le séjour du malade à la clinique , les mouvements des extrémités devinrent plus l
encore un cas de myotonie, observé dans l'ambulatoire de cette même clinique avec tous les symptômes caractéristiques de la
e difficulté ; souvent la ressemblance est telle, que le diagnostic clinique est même impos- sible (Cassier). Dans ce cas l'
ite est affaiblie. A l'examen du malade, lorsqu'il se trouvait à la clinique de M. Rossolimo, on put constater un développem
teur pour l'étude présente. Un malade de seize ans, observé dans la clinique du rapporteur, a présenté les symptômes suivant
ce, rire et pleurs involontaires. A la fin du séjour du malade à la clinique il se déclara subitement une paralysie complète
ux et de ceux de Furk. Ayant cité, en abrégé, encore deux cas de sa clinique , ayant rapport la question, l'auteur formula le
ces cas avec les observations de Mann, de Kortum et de Cohn (de la clinique de Mendel) le rapporteur communique en détail u
le professeur KORSAKOFF, M. Mouratoff. De certaines particularités cliniques , dans la lésion cérébrale circonscrite d'origin
la propagande privée anti-alcoolique. Anselme Schwartz. V. Etude clinique du dynamisme psychique; par le Dr Henri Aimé (T
Doin, éditeur (in-8° de 256 p.), 1897. Ce travail est avant tout clinique , comme M. Aimé a soin de le faire remarquer dan
l'anteur dans les nombreuses observations qui' composent la partie clinique , très intéressante et variée. L'élément dynamiq
a publié un nombre considérable d'observations et de recherches en clinique mentale, en médecine légale, en anthropologie. La
. - 1007. Vol. IV. Novembre 1897. N° 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDGE1; Par
ives de Neurologie, no 22. . Archives, 2e série, t. l1'. 21 r 370 CLINIQUE NERVEUSE. Malheureusement, je n'ai pas l'analys
n des fois j'ai été appelé à les constater dans ma clientèle. 372 CLINIQUE NERVEUSE. grande intensité; l'enfant, le visage
ue moi il en a guéri heaucoup par la suggestion hypno- tique. 374 CLINIQUE NERVEUSE. vaincre, bien qu'il m'en coûte encore
s avec autant d'aisance les yeux fermés que les yeux ouverts. 376 CLINIQUE NERVEUSE. hystérique dont la durée variait de q
il a eu fréquemment des crises de dyspnée avec toux croupale. 378 CLINIQUE NERVEUSE. Nous trouvons donc ici association d'
festations qui ne relèvent en rien de la névrose. Si l'impres- 380 CLINIQUE NERVEUSE. sionnabilité, toute spéciale d'un jeu
l. (Thèse Barde), 189,3, et Fabvre, 1883, Marseille médical.) 382 CLINIQUE NERVEUSE. lion 23, thèse Burdol) ; mais, pourmo
carac- téristique. ' Hystérie en Vendée, p. 471, ibid. , 384 - CLINIQUE NERVEUSE. On n'a donc, le plus souvent, devant
dose très raisonnable au paysan Archives, 2e série, t. IV. 25 386 CLINIQUE NERVEUSE. du Bocage. Or, il est fréquent de con
e d'un élément de diagnostic. Je viens de dire le résultat. 388 ' CLINIQUE NERVEUSE. Donc de la prudence dans l'emploi de
patt et dans nos Comptes rendus de Bicêtre de 1880 à ce jour. 13. CLINIQUE MENTALE. LES TROUBLES TIIOPIIIQUES DANS LA PARA
édecin adjoint à l'asile d'aliénés de Marcoutza (Bucarest), Chef de clinique mentale ù la Faculté. Les troubles trophiques s
uite de ces othématomes qui reconnaissent comme pathogénie ou 392 CLINIQUE MENTALE. une lésion nerveuse (racines nerveuses
eaucoup d'autres malades et le personnel médical. Le malade est 394 CLINIQUE MENTALE. renfermé seul dans une chambre où il c
mère. Le liquide céphalo-rachidien est abondant et rougeâtre. 39G CLINIQUE MENTALE. congestionnés. Le corps pituitaire pet
. Nous n'avons voulu considérei dans le présent travail que lu côté clinique de la question, nous serons heureux pourtant d'
qu'il ne craint pas de fournir, à l'appui de son opinion, des faits cliniques , rapportés sans aucune omission; 7° il croit av
s habiles à l'employer, du moins ne repoussent-ils plus les preuves cliniques placées sous leurs yeux : la lecture des livres
l'obsession et nous fournit à son sujet les éléments d'une divisiou clinique rationnelle. Si l'émotion est, en effet, l'élém
ase autre et dans un ordre progressif plus complet, au point de vue clinique , la division des états obsédants en phobies et
es. La variété accidentelle de phobie systématisée à des caractères cliniques différents. Tout d'abord, elle survient chez de
avons établie dans la maladie au point de vue de la symptomatologie clinique : 1° état obsédant panophobique ou phobie diffu
urs symptômes ayant un caractère d'irrésistibilité après leur étude clinique doivent être rangés dans les divers cadres des
ractère irrésistible (obsédantes) leur appréciation au point de vue clinique est néces- saire. . Sur les obsessions; par l
e reproduit l'ensemble symptomatique si bien décrit dans les leçons cliniques de M. Raymond. Ce qu'il y a de nouveau dans cet
se diviser en deux on trois parties. ? VII. Quant aux phénomènes cliniques , en dehors de la perte du réflexe rotulien, déj
t le plus innocent pour la cure des névralgies périphériques. Etude clinique et anatomo-pathologique d'un cas d'hématomyélie
de ce cas que l'hématomyélie centrale peut simuler, au point de vue clinique et anatomo-patholoique, certaines formes de syr
sculaire hypertrophique est démontré de nouveau par l'obser- vation clinique de trois soeurs, qui descendent d'une famille neu
mais leurs combinaisons diffèrent pour les deux sexes. Le tableau clinique chez les femmes offre certaines singularités qui
élevé par Kahler, Schultze et Schle- singer, quelques observations cliniques sont notées, qui méritent de l'intérêt à cause
ent les poussées scléreuses. Ces périodes sont surtout marquées, en clinique , par une recrudescence de crises doulou- reuses
s de feu au niveau des lésions présumées. Il y a alors des éléments cliniques précis dans chaque cas particulier, pour décide
unité et le : lieu d'application des pointes de feu : quand l'analyse clinique révé- lera l'existence d'une poussée névritique
ns différents cas il est impos- sible d'établir, suivant le tableau clinique de l'atrophie, une sépa- ration nette entre les
udieux, avide de s'instruire, il observait avec curiosité les faits cliniques qui se déroulaient jour- nellement sous ses yeu
p. - 1191. Vol. IV. Décembre 1897. N° 24 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. RECHERCHES CLINIQUES SUR L'ALCALESCEN
897. N° 24 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. RECHERCHES CLINIQUES SUR L'ALCALESCENCE DU SANG ET LES INJECTIONS DE
chez la femme et l'enfant que chez l'homme (Jacob). Dans le domaine clinique , des observateurs ont éta- bli que l'alcalinité
la femme et l'enfant que chez Archives, 2e série, t. 1 V, 30 466 CLINIQUE NERVEUSE. l'homme (Beau, Delasianve, Statistiqu
adaire des accès épileptiques heure par heure pour 130 malades. 468 CLINIQUE NERVEUSE. U3.G p. 100, 21,3 p. 100, soit ensemb
(Examens répétés à différentes heures sur 21> épileptiques.) 470 CLINIQUE NERVEUSE. régulièrement isochrones et inverseme
NCE DU SANG CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 471 2° Solution à '1 /'1 : 472 CLINIQUE NERVEUSE. Le 13, injection de 30 cent. cubes. L
à mar- cher. Les attaques restent isolées et peu fréquentes. 474 CLINIQUE NERVEUSE. Le 2 juillet, injection de 20 cent. c
pratiqué du 1 ? au 7 juillet, donne les résultats suivants : 478 CLINIQUE NERVEUSE. des attaques. Élévation transitoire d
sique bon. Examen du sang et des urines du 1 ? au 7 juillet : 480 CLINIQUE NERVEUSE. En résumé, 32 injections comptant 1,0
Il Cl c C 1 z Q 1 1 m 1 1 S C 00 484 CLINIQUE NERVEUSE. immédiatement après une attaque =111.
COLIE ET GOITRE EXOPHTALMIQUE; Par le D' F. DEVAY, Ancien chef de clinique des maladies mentales, médecin à ILl m.lison de s
r et Aldren Turner. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Oc3 Les faits cliniques ne sont pas plus probants. Il n'est pas rapport
tiologie de la syringo- mvélie. La grande ressemblance du tableau clinique des deux affections n'autorise nullement l'admi
ue dans chaque maladie à l'exclusion des autres, ont une importance clinique très grande. La syringomyélie parait admissible
plexus brachial autant en regard de leurs causes quede leurs formes cliniques . - 3. L'auteur passe en revue beaucoup de remèd
ystématisé. En le faisant ils ont cherché à isoler dans le syndrome clinique de la mélancolie ce qui lui appartient en propr
C'est ce dernier que cette' étude a pour but d'isoler en une entité clinique comparable à la maladie de Lasègue. De la sug
n'en a pas encore été faite suffisamment. Quelques-uns des faits cliniques que nous avons rencontrés dans notre pratique p
olontaires, qui présentent un certain intérêt au point de vue de la clinique et de la physiologie pathologique. Il s'agit, d
Tory et 1 ? TV (de Lyon). Résumé. Le délire chonique est une rareté clinique , en ce sens que les diverses phases de cette ma
t de contracture. ASILES D'ALIÉNÉS. Nouvelle réglementation DE la CLINIQUE DES maladies mentales A l'Asile CLINIQUE : situ
velle réglementation DE la CLINIQUE DES maladies mentales A l'Asile CLINIQUE : situation DU chef DE CLINIQUE A la séance du
QUE DES maladies mentales A l'Asile CLINIQUE : situation DU chef DE CLINIQUE A la séance du '1 CI' juin de la Commission de
e : . Article premier. Le professeur titulaire de la chaire de la clinique des maladies mentales à l'Asile clinique (Sainte-
tulaire de la chaire de la clinique des maladies mentales à l'Asile clinique (Sainte-Anne) remplira les fonctions médicales
ier des aliénés de la Salpêtrière sera accordée au professeur de la clinique comme médecin en chef d'un service public d'ali
T. 4. - En cas d'absence ou d'empêchement du professeur, le chef de clinique remplira les obligations imposées au médecin en
ancs). Dans le cas d'absence simultanée du professeur et du chef de clinique , le chef de clinique adjomt rem- plira par inté
absence simultanée du professeur et du chef de clinique, le chef de clinique adjomt rem- plira par intérim les fondions dévo
, en date du 13 avril 1897, réglementant à nouveau le service de la clinique des maladies mentales à l'Asile clinique. Vous
à nouveau le service de la clinique des maladies mentales à l'Asile clinique . Vous vous rappelez qu'aux termes de l'arrêté d
sait nominalement les fonctions dé médecin en chef du service de la clinique . Mais il était, au point de vue administratif,
nt faisant fonction de médecin en chef, étaient dévolues au chef de clinique , qui se trouvait par là bénéficier de la situatio
is par M. le Ministre de l'Intérieur, le professeur titulaire de la clinique des maladies mentales à l'Agile clinique rempli
professeur titulaire de la clinique des maladies mentales à l'Agile clinique remplira les fonctions médi- cales et administr
t qu'en cas d'absence ou d'empêchement du professeur que le chef de clinique satisfera aux obligations imposées au médecin-c
demandé si la suppléance du médecin en chef qui incombe au chef de clinique aux fermées du récent arrêté n'était pas de nat
pinion ferme de la Commission était d'obliger à l'avenir le chef de clinique qui voudrait faire sa carrière dans nos asiles
ifs des chefs de service, de véritables collaborateurs des chefs de clinique . Les fonctions que le règlement de 1814 attribu
iffuse 538 , bibliographie. qui se présente alors avec un tableau clinique spécial. Le nombre des cas de paralysie général
er, 1896-1897, n° 30.) L'auteur pense que la chorée est un syndrome clinique qui reconnaît pour origine une maladie infectie
e méd. de la Suisse romande, n° 9, p. 620. 540 / varia. à l'Asile clinique (Sainle-Anne)-pour accès de folie. Les époux Du
prenant en consi- dération tous les aspects d'un homme ; 4° L'étude clinique de la psy- chiatrie est la base naturelle de l'
le la plus effective ? 8" Avez-vous eu des expériences pratiques et cliniques dans cette matière ? 9° Pourrait-on décréter un
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine. Asile clinique , asiles de Vaucluse, Ville-Evrard et Villejuif.
ndi 8 novembre 1897, à une heure précise, il a été ouvert à l'Asile clinique , rue Cabanis, n° 1, à Paris, un concours pour la
ements cloniques dans la , par Uarinesco, 526. ' Système nerveux. Cliniques des ma- ladies du -, par Raymond, 82. Tabac I
10 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es. 1886 Vol XII. Juillet 1886. N" 34. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE L'ATROPHIÉ MUSCULAIRE DANS LES PARA
S LES PARALYSIES HYSTERIQUES ' 1 Par le Dr J. BABINSKI, Chef de clinique de la Faculté (le médecine, a Id Salpètrierc '
Progrès médical, an- née 1886, no 6. - Archives, t. XII. 1 , , CLINIQUE NERVEUSE. bles trophiques dans l'hystérie sembl
ont la plupart ont été ana- lysées par M. - Charcot dans ses leçons cliniques , et nous chercherons à démontrer que les malade
an- gère - cela se passe en 188>. Il reste un an en Afrique. 4 CLINIQUE NERVEUSE. A la fin de 1883, on l'envoie au Tonk
ong du corps ; les doigts, sont dans -, l'extension et ils pré,- si CLINIQUE NERVEUSE. sentent un peu de raideur. - Le membr
la Salpêtrière ; nous le remercions vivement de son obligeance. 8 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. t0 CLINIQ
n obligeance. 8 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. t0 CLINIQUE NERVEUSE. mord son bras; la jambe droite est fl
n même temps aux doigts et à la main du côté opposé les mêmes 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. mouvements; au bout de quelques insta
de nouveau au bout d'une heure ; mais la motilité persiste. 1 14 CLINIQUE NERVEUSE. 25 avril. -Depuis plus d'un mois la m
actère est déjà tout à fait en rapport avec l'idée d'hystérie. 16 CLINIQUE NERVEUSE. Nous venons de supposer que les crise
ecueillies par 11111. lltarie et Guinon. Archives, t. XII. 2 18 ' CLINIQUE XERVELSE, pendant quelques jours, sur ses colèr
. La face ne présente pas de troubles de la motilité. ,Le côté 20 CLINIQUE NERVEUSE. gauche est plus grêle que le droit ;
er et de flageller le malade. Les flagellations sont faites par 2 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 23 '»4 le
es par 2 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 23 '»4 le CLINIQUE NERVEUSE. M. Gautiez sur la région pariétale dr
e lé- sion organique, l'affaiblissement des réflexes tendineux 26 CLINIQUE ! OERYEUSE, - DE l/ ATROPHIE MUSCULAIRE. et la
ue l'unité du syndrome morbide que nous avons trouvé sur le terrain clinique . Cela posé, arrive uue autre question, qui me p
endre compte il n'y a qu'à se rappeler ce qui se passe pour ce type clinique si admirablement DU TABES COMBINÉ. 33 arrêté
u tabes combiné. Pour constituer légitimement un de ces syndromes cliniques , qui prennent rang parmi les maladies de la moe
sont encore trop peu nombreux pour permettre d'écrire une histoire clinique complète du tabes combiné. La description dét
incoordina- tion chez un sujet présentant d'autre part le tableau clinique du tabes spasmodique indiqueront aussi un tabes
de- vons insister ici que sur ce qui appartient en propre au type clinique que nous étudions. Ainsi les indications tirées
urent dans nos tableaux me paraissent établir l'existence d'un type clinique , distinct des autres ma- ladies de la moelle, q
des myélites diffuses et de la sclérose en plaques : les caractères cliniques sont assez tranchés pour rendre possible le dia
DE L'HYPNOTISME 2 Par le D= ERNEST JENDRASSIK Assistant de la 1,- clinique médicale de Buda-Pest. L'opinion la plus généra
DENTS AU BOUT DE TROIS MOIS ET DEMI ; par le Dr E. DUFOURT, chef de clinique . (Lyon méd., 1885, t. XLVUI.) Cette observation
indication de la trépana- TION ; par.-Ni. le Dr GOULLIOUD, clef de clinique . (Lyon méd., 1885, t. XLVI11.) IV. DES CRISES
1 XI. Deux cas de lésion cérébrale; par le Dr A. Brousse, chef de clinique de la faculté de Montpellier. (Gaz. mid, de Paris
alisations cérébrales DE L HERPÉTISÜE par le Dr LAN- CEREAUX, leçon clinique recueillie par M. OEïTiNGER. (Union méd., 1885,
générale au début, l'auteur fait remarquer qu'il y a la un terrain clinique encore peu ou point exploré, et que beaucoup de
, avril 1884.) Voici les points les plus saillants de l'observation clinique : L» amnésie avec agraphie; 2° parésie des memb
'intérêt de cette observation, très complète, au triple pointde vue clinique , analomo-pathologique, histologique nit dans les
, XVI, 2.) M. Konrad sous ce titre prétend constituer une entité clinique souvent méconnue et confondue par les auteurs a
lectuels, émotions morales), comme il n'existe aucune différence - clinique entre la paralysie générale qui succède à la syph
nerveux central. Examen à ce point de vue plus de 200 malades à la clinique neuropsychiatrique de Berlin. On rencontre ces
ervalles, tout à fait après le badigeonnage à la cocaïne (cas de la clinique de Gerhardt). Si l'on rapproche l'ob- servation
iomyélite qui datent de plu,ieurs mois se traduisent par un tableau clinique exactement semblable à celui de la névrite. Qua
pinion de M. Christian, qui s'est lui-même préoccupé de ce point de clinique ; elle mérite donc que nous donnions un aperçu d
u'on ne l'a cru jusqu'ici. CH. F. VII. Recherches expérimentales et cliniques sur l'action somnifère de la boldo-glueine ; pa
pé- rimentation physiologique ont été confirmés par l'observation clinique : le boldo, administré à des malades agités, ne d
est, à la même période, en décroissance sensible; 3° les recherches cliniques montrent que le taux de l'urée, bien que subiss
opsie donne avec une remarquable netteté la clef des manifestations cliniques observées depuis des années chez le roi de Bavi
8g. Vol. XII. Septembre 1886. N° 35. ARCHIVES DE NEUROLOGIE r ! CLINIQUE NERVEUSE DE L'IDIOTIE COMPLIQUÉE DE CACHEXIE PA
abseuce de cette giande et l'existence du Archives, t. XII. 10 13 CLINIQUE NERVEUSE. myxoedème, ou de la cachexie pachyder
thyroïde et l'existence de la cachexie pachydermique décelée par la clinique et l'anatomie pathologique. Nous sommes donc am
nte. 2 Voir plus loin les observations de Th... est de Gra .. 140 CLINIQUE NERVEUSE. Observation II. Idiotie. Gonflements
il perça ses premières dents à deux ans; il n'es- - I·'iJ. à. 142 CLINIQUE nerveuse : ". saya de marcher pour la première
nal of mental Science, vol. XXII, 18 îG, p. 2f1). l'rg. 6. il ? CLINIQUE NERVEUSE. l'étal normal ; il présentait sur ses
s de cachexie pachydermi- que. Le sujet de droife est Gr... - 148 CLINIQUE NERVEUSE. chondres, une saillie marquée en deho
isselle et semble un peu moins lourd : on supprime les douches. 150 CLINIQUE NERVEUSE. 28 décembre. - Nous voyons le frère e
e. Partout ailleurs le ventre est médiocrement douloureux; il 152 " CLINIQUE NERVEUSE. existe un tympanisme léger. - Langue
IES HYSTÉRIQUES'; (suite et fin). , Par le Dr BABLNSKI, Chef de clinique des maladies nerveuses à lu Sdtpctriere. Observ
iseases ; par Eastes Wilks. 2 France médicale, )),année 1884. 156 CLINIQUE NERVEUSE. plus essentiel à noter dans cette obs
genou du malade et qui est fixé au pourtour de son corps par 158 CLINIQUE NERVEUSE. un cerceau d'acier; lorsque le malade
aisant des mensura- tions : . DE l'atrophie musculaire. 15j 160 CLINIQUE NERVEUSE. de l'atrophie musculaire. 161 t ses
tion est atteint d'une paralysie hystérique avec amyotrophie. 162 CLINIQUE NERVEUSE. Nous commencerons par établir que cet
Todd. Lect. on diseases of Nel'V01tS System. (Lcct. 1, p. 20.) 161 CLINIQUE NERVEUSE. paralysé après elle, comme s'il s'agi
u membre supérieur, reparurent; la sensibilité reparut de son 166 clinique NERVEUSE. côté, tant la sensibilité générale qu
at il se trouve : . le membre supérieur gauche n'est plus para- 168 CLINIQUE NERVEUSE. lysé; les mouvements des divers segme
fisant à lui seul pour établir son exis- ARCHIVES, t. XII. 12 170 CLINIQUE NERVEUSE. tence. Dans le cas actuel cette bémia
de l'extrémité interne de la clavicule et à l'omoplate. 1711. 1· CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 175 176 C
. 1711. 1· CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 175 176 CLINIQUE NERVEUSE. Les divers segments du membre sont ma
ctères qui permettent d'affirmer qu'elle est de nature hysté- 178 CLINIQUE NERVEUSE. rique, et qu'elle ne peut relever d'u
si affaibli, et le malade ne s'en servait qu'avec difficulté. 180 CLINIQUE NERVEUSE. Le malade au bout de treize jours peu
publiés par M. Charcot et dont nous avons déjà parlé. Nous ne 182 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 183 18 \
us ne 182 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 183 18 \ CLINIQUE NERVEUSE. discuterons même pas le diagnostic. I
ui concerne l'atrophie du membre supérieur gauche, qu'elle ne 188 clinique NERVEUSE. semble pas porter particulièrement su
nt, acquiert en peu de temps le maximum de son développement, 190 CLINIQUE nerveuse. reste alors stationnaire, lors même q
façon bien- évidente que cette diminution dans le volume des 192 CLINIQUE NERVEUSE. muscles appartient à la catégorie des
d'en observer deux autres semblables qui sont encore inédits. 194 CLINIQUE NERVEUSE. blir, au moyen de ces observations, q
oyez aussi 13oui'ne\ille. Comptes rendus de Birgtre, 1880-1885. 196 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. Nos malades
PARALYSIE SPINALE ASCENDANTE AIGUË (Paralysie LANDRY), observé à la clinique thérapeutique du professeur Lacnxcmrcu ; Par
copiques de la moelle épinière expliquent suffisamment le tableau clinique de la maladie, quoique notre cas s'éloigne peut
âgé de cinquante-quatre ans, pro- fesseur de piano, est entré à la clinique , le 5 novembre 1884, en se plaignant de la pert
tipé. Tel était l'état du malade le novembre, jour où il entra à la clinique thérapeu- tique. Le malade a une taille au-de
té élec- trique des muscles, dans les premiers jours de séjour à la clinique , n'offre aucun changement; au contraire, la vei
nière ont été constatées, il n'en est pas moins vrai que le tableau clinique conclusif de la maladie qui a conduit Maro- zof
sclérose des faisceaux et cornes posté- rieures. Dans le tableau clinique nous trouvons à signaler la con- servation comp
eurs se succède assez régulièrement, et la palhogénie des symptômes cliniques en rapport avec eux présente un attrait légitim
réditaire de Friedreich, il est impossible d'établir d'autres types cliniques à moins d'utiliser à cet effet les symptômes ra
'un jeu ridicule. Il. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 221 XXX. Clinique et anatomie pathologique de la maladie de thomsen
ien se montrer invariablement affectés si l'on possédait des moyens cliniques de juger exactement de leur force; sur la légèr
ème si com- plexe dont nous discutons les termes, il y a une partie clinique sur laquelle nous sommes bien près de nous ente
l'examen facile des uns, s'expli- quer l'attitude des autres. La clinique nous offre du reste parfois plusieurs de ces syn-
du malade. Dans le second groupe, nous trouvons d'abord l'aspect clinique de la paralysie générale ultérieurement remplacée
- lysie générale complicatrice d'une stupeur, ou les deux aspects cliniques doivent-ils être tenus pour des stades successifs
X A L'ÉCOLE DÉPARTEMNTALE D'INFIR- miÈaEs ET D'INFIRMIERS A L'ASILE CLINIQUE (SAINTE-ANNE). La distribution des prix aux élè
P - 086. Vol. XII. Novembre 1886. N" 36, ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUP
vent donner lieu, et cela arrive en effet, aRCHmES, t. xo. 18 266 CLINIQUE NERVEUSE. à une fausse interprétation de la mal
astre. Du 21 novembre/3 décembre au 14/26 décembre 1881, a été à la clinique de l'hôpital militaire de Pétersbourg. Les accès,
e même, il est impossible d'expliquer autrement que le sujet, 268 CLINIQUE NERVEUSE. privé de la faculté de remuer les jam
rieurs de la cuisse, qui fléchissent la jambe, et rigidité des 270 CLINIQUE NERVEUSE. pieds. Voici le cours de la maladie :
pieds se déjetaient convulsivement de côté, tantôt ils s'ac- 272 CLINIQUE NERVEUSE. crochaient l'un à l'autre. Le 19 mars
rde sa faculté de mouvement; le dynamomètre marque 60; le ma- 274 CLINIQUE NERVEUSE. lade peut remuer les doigts de la mai
vingt-trois ans, entré à l'hô- pital le 22 février 1885. L'histoire clinique , avec laquelle S... arrive, note ainsi le comme
as gauches. Ce qui fait une différence bien tranchée avec les 276 CLINIQUE NERVEUSE. hémiplégies ordinaires, c'est que le
pesanteur spécifique de l'urine est de 1.014; on n'y trouve ni 278 CLINIQUE NERVEUSE. albumine, ni sucre. La polyurie dure
un peu plus faciles; l'extension des jambes n'est que passive 280 CLINIQUE NERVEUSE. jusqu'à un certain degré, et amène al
nt l'examen, il est arrivé un . AI(CIIIVES, t. Xll. 1. 19 282 --) CLINIQUE NERVEUSE. trouble convulsif suivant : le malade
e classique, régulièrement rhythmiques, dégénèrent subitement 284 CLINIQUE nerveuse. en opisthotonus ou plcurosthotonus, d
omplète pour les deux oreilles, ensuite pour la droite seule; 286 CLINIQUE NERVEUSE. 4. Des troubles de la vision sous for
avant l'accès, le malade se couche, tombe en état de stupeur, 288 CLINIQUE NERVEUSE. les yeux ouverts, fixés sur un point,
es cas, elle resta normale, ou 37°,6 - 37°,7. Ainsi, les phénomènes cliniques de l'hystérie des hommes ne sont pas moins vari
e ma- 1 C'est là une température tout à l'ait anormale (B). 290 0 CLINIQUE NERVEUSE. nière que la constitution physique n'
fficilement. Je dois ajouter, pour conclure, que les maladies 292 CLINIQUE NERVEUSE. hystériques dans les troupes ne sont
fille, bien développée, dix-sep tans, intelligente, s'exprimant 29' CLINIQUE NERVEUSE. très nettement ; traits réguliers, fi
n regard indifférent et son Fig. 16. Th... à l'âge de 20 ans. 29S CLINIQUE NERVEUSE. extrême apathie lui ont fait donner p
Voir à l'autopsie la description du crâne. Archives, LXII. 20 298 CLINIQUE NERVEUSE. Aujourd'hui, la face bouffie parait a
, il restait confiné au lit une grande partie de la journée, il 300 CLINIQUE NERVEUSE. parvient aujourd'hui, après avoir été
étendue ainsi que le gonflement, qui va latéralement jusqu'à 302 CLINIQUE NERVEUSE. l'antitragus et en avant envahit les
a rougeur e^t limitée à la main et au poignet droits, les 30Î- le . CLINIQUE NERVEUSE. autres parties atteintes sont en voie
Soir : 31l,6. 11. Même état. T. R. 37°,4 . - Soir : 31°, . 306 CLINIQUE NERVEUSE. 12. - La tuméfaction des joues a dimi
res après le décès : 30°. Poids après décès : 21 kilogr. 400. 308 CLINIQUE NERVEUSE. Note complémentaire. - Les cheveux so
t », « chier ». Voici quelques mensurations supplémentaires : 310 CLINIQUE NERVEUSE. partie moyenne, elle mesure 5 centimè
nglionnaires, et un ganglion isole dans une masse graisseuse. 312 CLINIQUE NERVEUSE. Le larynx est étroit et présente un l
épare le lobule orbitaire de la deuxième Archives, t. XII. 21 314 CLINIQUE NERVEUSE. circonvolution frontale est trèsprofo
insula, viennent se perdre dans le lobule pariétal inférieur. 316 CLINIQUE NERVEUSE. La première scissure tempol'o-occipit
Le lobe temporal est bien développé; sa première circonvolu- 318 CLINIQUE NERVEUSE. tion (T,) se confond avec la partie p
es qui nous ont été transmises : 1 Analyse de Af. Yvon : .' 320 CLINIQUE NERVEUSE. Dans les antécédents héréditaires de
it subi un véritable arrêt de dévelop- pement. Voilà pour le côté clinique . Si maintenant nous examinons les faits princip
péri- phérie d'une façon diffuse avec le tissu adipeux sous- 322 CLINIQUE NERVEUSE. cutané environnant. Elles avaient tou
ournal des sciences médicales de Lille, 1853, 5 et 20 décembre. 324 CLINIQUE NERVEUSE. renseignements que ceux qui concernen
s sent difficilement au poignet. Ceux du coeur sont également 326 6 CLINIQUE NERVEUSE. très faibles, mais réguliers. Quant a
ndue, près du coeur surtout et dans l'intérieur des carotides à 328 CLINIQUE NERVEUSE. un degré moindre, on trouve une multi
myxoedème ou cachexie pachydep- mique. Archives, t. XII. 22 330 CLINIQUE NERVEUSE. la face; tuméfaction des paupières; é
sur la moitié droite du corps; à la région lombaire il avait 332 CLINIQUE NERVEUSE. deux centimètres d'épaisseur à droite
. Le premier appartient à M. Coxwell et a été présenté à la Société clinique de Londres comme étant celui d'un enfant présen
fille cessa de ' Médical Presse and Circulai', 14 niai 1884. 334 CLINIQUE NERVEUSE. grandir, mais elle devint plus grosse
hez le vieillard dont les facultés intellectuelles déclinent. 336 CLINIQUE NERVEUSE. quantité normale 10,S grammes. Ce rés
rela- tion avec la famille de ce malade, nous avons fait une 338 CLINIQUE NERVEUSE. enquête minutieuse auprès d'elle; de
roche heaucoup plus de celle du père que de celle de la mère. 340 CLINIQUE NERVEUSE. Pas de consanguinité. Cinq enfants
e possède que 19 dents, Fig. 22. - Le crétin des Batignolles. 342 CLINIQUE NERVEUSE. dont 9 la mâchoire supérieure et 10 à
un fouet qu'il fait claquer sans cesse. Diamètres du crâne : 344 CLINIQUE NERVEUSE. Dimensions du thorax : IDIOTIE AVEC
TIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 345 Dimensions des membres : 346 CLINIQUE NERVEUSE. de la Société d'anthropologie de Pari
vice de Bicèlre et qui présentait encore plus, peut-être, que 348 CLINIQUE NERVEUSE. celui deM. Bail, les attributs caract
levé chez nos deux malades l'existence de hernies inguinales. 350 CLINIQUE NERVEUSE. un développement défectueux du cervea
et se rapportant à des enfants (cas de Sliattock, etc.). 352 -1) CLINIQUE NERVEUSE. à l'âge de quatorze ou quinze ans. A
sentent en tout cas pas d'hy- pertrophie du corps thyroïde. 35 '( CLINIQUE NERVEUSE. tions de malade encore vivants chez l
ttgard), décédé le 13 août 1884, d'une attaque apoplectifornle à la clinique de Tubingue à l'âge de vingt-huit ans. Il mesurai
rque généralisé moyen. l'ig. 23. - Niahide opéré par M. Sick. 356 CLINIQUE NERVEUSE. Les extrémités supérieures et inférie
ent suffisamment saines pour remplir leur rôle physiologique. 360 CLINIQUE NERVEUSE. 1° Baillarger 1. - Fille de vingt-qua
résente une opérée (cas 9) de 11. Kocher et sa soeur jumelle. 362 CLINIQUE NERVEUSE. en mars 1883 : « Ma femme ne peut écr
nsi que sur quelques autres cas qu'il aurait observés depuis. 364 CLINIQUE NERVEUSE. d'oedème marqué, mais épaississement
elques-uns sans aucun détail (cas d'Occhini, de Huggi, etc.). 366 CLINIQUE NERVEUSE. Si la plupart des chirurgiens admette
uent). - Le tableau suivant donne la proportion selon l'âge : 368 CLINIQUE NERVEUSE. malades de MM. Reverdin, quatre de le
ysiologistes sont venues confirmer ée qu'avait du reste démontré la clinique ; on peut au surplus consi- dérer la thyroïdecto
uf die E ? eugllng de* Diabètes. WU ! 'x- bnrri, 18S5, p. 61. 370 CLINIQUE NERVEUSE. pérature, etc., tous les symptômes en
nde, un 2, 15 février issu, p. ruz et n" S, 15 août 1884.) ,) 372 CLINIQUE NERVEUSE. mie totale et simultanée, au contrair
pte rendu de la Société de Biologie, 8 novembre 188, p, 606.) 374 CLINIQUE NERVEUSE. 8 novembre de la même année. Les résu
t coniylio. (AI'ch, per le sczezzze mediche, vol. IX, n" 11). 376 CLINIQUE NERVEUSE. elle peut être le siège, en empêchant
réflexions comme elles se présentent naturellement dans l'histoire clinique , cependant je récapitulerai à la fin les points
-ce pas la preuve qu'il y SOCIÉTÉS SAVANTES. 399 a là une variété clinique bonne à conserver sans nier qu'elle ait des car
e vue de la physiologie et de la pathologie. Charpentier. X. Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encéphale basé
e Le- crosnier, éditeurs.) Ce livre est un traité essentiellement clinique s'appuyant sur les faits que fournit l'observat
ette question à part, parce qu'il trouve qu'en définitive les faits cliniques seuls ont une im- portance prépondérante en mat
t un intérêt historique. On peut dire qu'elle apporte un appui à la clinique , en ce sens qu'elle lui fournit des faits décrits
travail nouveau, tout entier consacré à la description des types cliniques , de leurs variétés, des complexus séméiologiques
de Bavière, 135. Boldo-glucine (recherches expé- rimentales et cliniques sur l'action somnifère de la ! , par Juranvil
ions de principe en), par ltiueller, 91, 405. Encéphale (traité clinique des 1. maladies de l'), par Noth nagel, 414.
eanne Féry, 415. Protubérance (lésions de la), 227. Psychiatrie clinique , par Schuele, 414. , Psychoses (et érysipèle)
11 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
s le Big Head ? Ainsi donc, s'il est prouvé que certaines analogies cliniques unissent l'ostéite de Paget à la syphilis osseu
incontestable que ces malades étaient des artério-scléreux, au sens clinique du mot. Donc l'athérome est fréquent, sinon con
s osseuses ont été souvent jusqu'ici diffi- ciles à différencier en clinique ;il était intéressant de savoir si la radio- gr
ses dystrophiantes qui présentent entre elles certaines similitudes cliniques : d'une part maladie de Paget et syphilis osseuse
on qui assurément ne sera souvent que le complément d'un diagnostic clinique déjà fait, mais qui néanmoins pourra parfois pr
dans certains cas en apparence intermé- diaires où les déformations cliniques des os ne semblent pas très dissem- blables. L'
s fois par un distingué laryngologiste, M. Maltese, assistant de la clinique Gradeuigo,a donné les résultats suivants : Au
ustement à l'abri d'uue interprétation erronée. Plusieurs symptômes cliniques en effet avaient entraîné des chirurgiens très
à un faible courant d'un milliampère et demi. En résumant l'examen clinique du cas que nous avons relaté, voici ce que l'on
ultisance fonctionnelle du voile du palais et du larynx. L'examen clinique démontre une amyotrophie remarquable du trapèze,
ue. En effet, les médecins consultés en se basant sur les symptômes cliniques que nous avons rappelés, avaient porté le diagn
x- moteurs du nerf spinal et apporter d'autre part une contribution clinique sérieuse à ce problème autant discuté qu'incert
Turin,en étudiant le plo- sis de ta tête, c'est-à-dire le syndrome clinique dû à la paralysie des mus- cles extenseurs de l
lustrés d'une façon très soigneuse par Ferrio qui donna au syndrome clinique observé le nom de plosis de la tête. Voici le r
ouvait travailler avec ses mains laissées disponibles. A l'examen clinique on constate une amyotrophie énorme dans toute la
ation des muscles delà nuque et symptômes bul- baires. L'histoire clinique est suivie par des considérations intéressantes s
e du spinal chez l'homme. A ce propos il faut citer la contribution clinique très importante don- née par Walter Schlodtmann
nne que nous avons cités plus haut(1), nous retrou- vons l'histoire clinique d'un malade atteint de poliomyélite antérieure
à l'appui des précédents et en plus il se présente avec une netteté clinique remarquable et répond à une localisation systé-
ie aussi bien définie au point de vue anatomique qu'au point de vue clinique . Nous préférons donc, en résumé, le lerme de dy
stances, la crampe de la main droite n'apparaissait pas. A l'examen clinique , on constatait que, tandis que la pul- sation r
ogique, intéressent l'aliéniste au même titre que les photographies cliniques . Ce qui ne veut pas dire que telles figurations
première. Ici, la figuration de l'aliéné peut manquer d'exactitude clinique sans que pour cela l'oeuvre perde de sa valeur.
ent quelques types de fous représen- tés avec beaucoup d'exactitude clinique . On peut en dire autant de certains portraits i
e leur psychose. Ces do- cuments imagés sont vraiment des documents cliniques ^ dont la valeur diagnostique équivaut à celle d
ADIUM SUR LES TISSUS DU NÉVRAXE 111 1 ment avec les résultats de la clinique : on a fait souvent des applications de radium
té et de durée aussi voisines que pos- sible de celles réalisées en clinique . A titre de contrôle, la dose du sel radifère a
a moelle. Ces lésions n'avaient d'ailleurs déterminé aucun accident clinique . Qu'on nous permette, en terminant, un rapproch
sions peuvent, ou bien, comme dans nos cas, ne pas avoir d'histoire clinique , ou bien, comme dans ceux d'Obersteiner, s'accomp
uveau style 1908, à l'hôpital St-Spiridon de Jassy, dans le service clinique du pro- fesseur Dr Russ, où nous l'avons observ
faciale, en plein bulbe. Il faut éviter de confondre ces modalités cliniques et anatomiques avec d'au- tres manifestations é
ux neurologistes. Il ressort des faits expérimentaux, des matériaux cliniques réunis par 124 VIRÉS ET ANGLADA BETCHEREw, qu
urologie et Psychologie expérimentale, Ne 11, 1906. Barssnun : Leçons cliniques sur les maladies nerveuses, Paris, 1S95, leçon
OU ET DE LA CEINTURE SCAPULAIRE PAR Il L.RIMBAUD, et Chef de la Clinique médicale à la Faculté J. ANGLADA, Interne des
une extension plus grande des troubles musculaires, par une allure clinique plus délicate à interpréter, et prête aux quelq
urologie, 6 avril 1905. INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE, dirigée par 1VI. le Professe
ACHONDROPLASIE CHEZ L'ADULTE PAR a ETTORE LEVI Assistant à la clinique médicale de Florence. Les observations d'achond
ces auteurs. Nous nous bornerons, par conséquent, à la description clinique de notre cas, et à la discussion de quelques po
ouvent agrandi ; chez notre nain la macrocéphalie (sans aucun signe clinique d'hy- drocéphalie) est des plus évidentes et a,
ux affections qui, selon certains au- teurs, auraient des analogies cliniques et pathogéniques par opposition. , Le psychisme
u diagnostic de cette affection, mais aussi parce que les symptômes cliniques de la malade de Schrumpf et sur- tout les donné
ntré, par un certain nombre de preuves s'appuyant sur des documents cliniques , que, à côté de dyskinésies pro- fessionnelles
és de la main. Il suivit sans succès divers traitements. A l'examen clinique on cons- tatait un bruit de galop, une tension
e ressemblent. On peut cependant décrire un certain nombre de types cliniques : Duchenne, Zuber admettent deux formes : spasm
198 MACÉ DE LÉPINAY mes).Avec Benediktnous décrirons trois types cliniques : la forme spas- modique, la forme paralytique,
quitter cette forme, en donner une description tant au point de vue clinique qu'au point de vue graphologique, en rap- porta
ement ; il le fit alors entrer au serviee de M. le Par Baumel de la clinique des maladies des enfants, le 11 février 1902. A
yse des urines, faite par M. le Dr Florence, chef du laboratoire de clinique de l'hôpital général, donne : MYOPATHIE GÉNÉRAL
blable avec l'investigation radiographique, bien que les recherches cliniques nous portent à admettre dans le cas présent des
hir. trans., LXV, 1882, p. 225. 13. Huchard et t ! f\ET. Bull. Soc, clinique , Paris, 1882. 14. Il. moisis. - Trans. path. So
de Dupuytren est le trau- matisme et il s'appuie sur les recherches cliniques et anatomiques, il nie les autres moments étiol
formes intermédiaires différant plus ou moins par leurs caractères cliniques et leur pathogémie. (1) M. vIDE, Nouvelle Icono
upposait l'existence en se basant non seu- lement sur les symptômes cliniques , mais aussi sur les résultats de la radio- grap
i qui avait suivi mon premier examen. En ce qui concerne le tableau clinique , des douleurs atroces y figuraient en premier l
compli- quée de névrite. La psychalgie prédominait dans le tableau clinique à un tel point que, évidemment, le traitement d
YCHALGIE 285 précis de l'existence de la côte cervicale. Le tableau clinique et la marche de la maladie de leur côté témoign
ogie, Berlin, 1906). Mais dans ce livre la question de l'importance clinique des côtes cervicales, à mon avis, n'est éclairé
russe), 1905, v. II, l'auteur a réuni cin- quante-cinq observations cliniques ). Bogoluboff (Med. Obosr. (en russe), 1906, n° 17
des côtes cervicales a considérablement augmenté et leur importance clinique a fait l'objet de plusieurs travaux. Avant tout
on chirurgicale, sans avoir préalablement examiné à fond le tableau clinique en entier, vu que l'opération par elle-même peu
s (voir thèse de Pessard, Paris, 1908, La réédll- cation motrice la clinique Charcot). Le traitement commence toujours par d
r. kr. und analoge Zustdnde, th. Breslau, 1875. 157. WtTMER. Aspect clinique des névroses professionnelles. Phila. polyclin.,
1885. 240. PESSARD. - La rééducation motrice dans le service de la clinique Charcot. Th. de Paris, 1908. 240 bis. PoonE.
TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES, PAK E. BOINET, Professeur de clinique médicale, Agrégé des Facultés, Médecin des hôpi
harles, âgé de 52 ans, entre le 22 août 1902, dans notre service de clinique médicale de l'H6lel-Uieu pour un cancer pleuro-pu
IX). Muratore, italien, âgé de 53 ans, entre, dans notre service de clinique mé- (1) V. Ménétrier, Le cancer. Epithéliomes d
et, âgée de 34 ans, entre le 17 janvier 1905, dans notre service de clinique médicale de l'Hôtel-Dieu pour une hémiplégie dr
tte époque la malade a pris un embonpoint considérable. Evolution clinique . A son entrée, à l'Hôtel-Dieu, en janvier 1905, o
ie des nerfs moteurs oculaires commun et externe, en un mot le type clinique de Weber (hémiplégie alterne supérieure ou pé-
ologique. Pratiqué par le Dr Rouslacroix, chef du labora- toire des cliniques , cet examen nous montre les détails suivants :
ion règle-t-il une partie de la symp- tomatologie et de l'évolution clinique de l'affection. Malheureusement, à notre connai
uction des éléments nerveux dans la syphilis médullaire. Histoire clinique (résumée). Homme, 44 ans. Syphilis il y a dix ans
II. PI. XLII SYPHILIS DU NÉVRAXE A MARCHE RAPIDE (L. Alqitiei). CLINIQUE MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ D'UPSALA (SUÈDE) Servi
D'UPSALA (SUÈDE) Service de J11, le professeur K. Petren. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR R K. PETRÉN,
PAR R K. PETRÉN, Professeur. et L. EHRENBERG, Interne à la clinique . Introduction. par K. PETREN Au cours de ce
an (l'un se rapportant à l'anatomie pathologique, l'autre à l'élude clinique de la maladie). Ces travaux et un travail antérie
s grande. Cette conclusion est appuyée, d'un côté par l'observation clinique qui nous apprend que l'extension des troubles d
nception générale de la maladie n'est point du tout close. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 375 Nous avons eu l'o
LIOMYELITE AIGUË 375 Nous avons eu l'occasion d'observer dans notre clinique 15 cas de polio- myélite aiguë, tous (sauf une
nt les années antérieures à 1907, nous n'avons pas eu non plus à la clinique de cas de cette maladie dans la phase aiguë. De
itiaux de la maladie. Parmi les sujets que nous avons observés à la clinique , trois sont morts à la phase aiguë de la maladi
iguë de la maladie, tous les trois le surlendemain de l'entrée à la clinique . Un quatrième sujet a heureusement traversé la pr
es concernant la poliomyélite aiguë, à savoir : Quelles for- ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 377 mes différentes d
t les lésions ont amené trop rapidement la mort pour que le tableau clinique de cette affection ait pu se développer. » Ces
nous, un nouvel exemple de son intuition remarquable des problèmes cliniques . Nous trouvons encore des observations chez que
isté sur l'importance des symptômes de la méningite dans le tableau clinique de la période d'invasion ; de même, un autre Suéd
très nette, mais sous le nom de méningite spi- nale aigué. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 379 que les symptômes
is ans avant la publication de Na- geotte et Lévy-Valensi. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË < 3 381 ; v z on
elle. Comme on l'a déjà dit, les cas qui n'ont pas été traités à la clinique ont été observés par moi seul (P.) I. Observa
commencé à la fin de novembre 1906 par de la fièvre, vomis- ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 383 sements, obstruct
lleurs aucun signe de maladie. Nous l'avons traité deux mois à la clinique et la parésie ne s'est améliorée qu'assez faibl
servation II. L. F..., garçon, âgé de 18 ans, de Alunda, entre à la clinique le 9 novembre 1907. Après avoir été abattu et i
que ont disparu pendant le cours de la première semaine passée à la clinique . Au commencement de janvier 1908, l'incompétenc
fille, âgée de 7 ans et demi, de Bondkyrko- foersamling, entre à la clinique le 24 mars 1908. Cette fille est tombée malade
. Les muscles abdominaux sont normaux. La malade a été traitée à la clinique jusqu'au 12 juillet et la parésie s'est beaucou
on VI. - G. K..., fille, àgée de 2 ans et demi, de Tuna, entre à la clinique le 22 août 1908. Le 13 août cette fille s'est t
peut être assise sans difficulté. Elle peut maintenant faire ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 385 l quelques pas sa
amélioration faisait des progrès rapides, et quand la fille quitte la clinique , le 26 septembre, elle marchait bien et il n'y
ion X. - A. V. A..., fille, âgée de 7 ans, de Jaerlaasa, entre à la clinique le 19 mars 1908. - J La maladie a commencé le 1
l. XLIII POLIOMYÉLITE AIGUË (K. Petren et L. Ehrenberg). ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË S7 sans s'aider des b
J. L..., étudiant en médecine, âgé de 20 ans, de Upsala, entre à la clinique le 22 janvier 1909. Le patient a été indisposé
istent pas. Les mouvements respiratoires semblent maintenant ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 389 être normaux. Le
entir une certaine con- traction des deux grands droits. ' ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 391 1 La malade est t
Observation XIV. L. E..., fille, âgée de 5 ans, d'Upsala, entre à la clinique le 5 février 1908. Après avoir été dérangée p
ERVATION XVI. - H. L..., garçon, figé de 16 ans, d'Upsala, entre la clinique le 22 septembre 1907. Le 11 septembre il avait
mouvements, mais la force en est diminuée. Le malade a quitté la clinique déjà au bout de deux semaines. Quant à son état
tion XVII. - G. V. S..., garçon, âgé de 4 ans, d'Ultuna, entre à la clinique le 12 novembre 1907. ' Le 9 novembre il a été m
encé de marcher s'il est soutenu aux aisselles. Quand il sort de la clinique , le 6 mars, il y a encore une parésie considéra
demi, de Tuna (jumelle de la fille de l'observation VI), entre à la clinique le 22 août 1908. Le 7 août elle était indisposé
une numération des éléments cellulaires n'a pas été faite. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 393 La motilité de la
vation XIX. E. A. J..., fille, âgée de 16 ans, de Staby, entre à la clinique le 24 août 1908. Un frère de la jeune fille est
23 juin 1905. - Il y a une parésie des membres supérieurs et ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 895 inférieurs plus p
rmal. Le cas suivant a été observé pendant un temps assez long à la clinique médicale de l'Université de Lund. Des renseigne
nous ont été communiqués par M. le docteur Haff- ner, interne à la clinique , et nous lui en exprimons nos meilleurs remer-
t alors une parésie du tronc qui n'a pas disparu aussi vite. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 397 La fièvre a conti
et elles ont disparu beaucoup plus tôt. Le malade est traité à la clinique médicale de Lund du 7 janvier 1908 jusqu'au 1er
ouvrière à une fabrique de chaussures, âgée de 22 ans, entrée à la clinique le 9 novembre 1908. La patiente a été auparavan
le,a senti une faiblesse du bras droit. Elle a été transportée à la clinique le lendemain. Pendant les deux jours qu'elle a
s différentes. Cette méthode est très sensible et révèle des ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 399 troubles très pet
rès petits du seus musculaire. Elle est couramment employée à notre clinique depuis plusieurs années). La malade ne peut fai
eulement l'étal de la malade pendant les premiers temps passés à la clinique , la marche des troubles moteurs correspond parf
alysie d'un pur type flasque sans réflexes tendineux. Contre ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 401 ce diagnostic par
étant sans cause connue. Cependant, l'état de la malade a subi à la clinique des changements très remarquables. La paralysie
es cas pu- bliés de maladies de la moelle étudiés par l'observation clinique et anato- mique où il me paraissait probable, é
ies de la sensibilité, il faut conclure que le changement du ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 403 type de l'anesthé
POLIOMYÉLITE AIGUË 403 type de l'anesthésie qui s'est produit à la clinique (c'est-à-dire l'appari- tion des troubles nouve
auxquelles nous avons pensé pour expliquer cette curieuse histoire clinique . L'autre possibilité serait qu'il s'est agi dès
fin de mai). Revenons maintenant à la poliomyélite aiguë. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 405 Nous avons prêté
malade dans le lit, on constate qu'il n'est pas possible, à ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 407 cause des douleur
, il faut remarquer que je n'ai vu (P.) les cas non obser- vés à la clinique qu'assez longtemps après le début de la maladie.
ccord avec le fait que nous avons trouvé pour les cas observés à la clinique à la phase aiguë des cas avec symptômes méningi
épidémie, il est bien évidentque le diagnostic différentiel ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 409 entre la poliomyé
tats dans le tableau suivant. 410 O PETREN ET EHRENBERG '. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 411 semaine que dans
upé dans le tableau ci-dessous. 412 PETREN ET EHHENBERG ETUVE : ; CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 413 414 IP PETREN L'i
POLIOMYÉLITE AIGUË 413 414 IP PETREN L'i' LIFILIE.Nl3EI(-. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 41 H cales semble néc
r s'il existe des cas avec lymphocytose, mais sans autres symptômes cliniques d'une méningite. Si nous comparons les résult
eegaard, en étudiant la grande épidémie norvégienne au point de vue clinique etépidémiologique, en est venu à la même conclu
yélite et la méningite cérébro-spinale épidémique assez sim- ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 417 l - ple, et nous
rvation XXVII. -K.M. J..., garçon, âgé de ans, de Gryta, entre à la clinique le 16 janvier 1908. Il y a deux semaines, le ga
est présent (la flexion n'est possible qu'à un an- gle de 40). A la clinique , jamais de fièvre. Le 19 janvier, les pupilles
ier, tous les symptômes de raideur du dos ou de la nuque ont ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 41 U disparu, et le 4
UR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 41 U disparu, et le 4 février il quitte la clinique sans qu'on ne puisse trouver aucun symptôme.
embre. Observation XXIX. 0. A..., fille, âgée de 13 ans, entre à la clinique le 12 avril 1909. L'enfant s'était plaint que
. L'histoiredu cas XXVIII nous a paru parler, lors de l'entrée à la clinique , aussi hien pour une tumeur du cerveau ou du ce
ic le plus probable ; toutefois, il faut se rappeler qu'on a ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 421 1 observé chez de
YÉLITE AIGUË 421 1 observé chez des enfants des cas avec le tableau clinique d'une tumeur cérébrale causée par une affection
ns une proportion beaucoup plus élevée parmi les cas observés il la clinique et à la phase aiguë que parmi les autres -cas :
a phase aiguë que parmi les autres -cas : soit 10 cas sur les 15 de clinique et 5 cas sur les 14 autres. Wickman me semble
pendant la phase aiguë et la paralysie persistante. D'après ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 423 son opinion, on a
de et soient ainsi passés inaperçus. Dans nos six cas observés à la clinique et pendant la phase aiguë, où il y avait parési
vité abdominale (l'état des muscles obliques n'est pas clair ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 425 d'après la descri
s abdominaux ou d'une parésie se rapportant, autant que nous ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 417 l'ayons constaté,
ation XXX. F. B.. , fils d'un paysan, 20 ans, de Tolfta, entré à la clinique le 11 juin 1908. Après avoir eu mal à la tète e
s). Duchenne a observé que l'ombilic se déplace si l'on fait ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 429 contracter par le
ion d'examiner la malade, qui avait depuis longtemps déjà quitté la clinique , 12 mois après le début de la maladie. Les gran
iant quelle résistance ils peuvent vaincre en se relevant. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 431 Dans le cas XXV,
vésicule thyroïdienne primitive. Nous n'insisterons pas sur le côté clinique de cette observation : on y retrouve en effet t
. Phototypie Btrthaud INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE (Directeur : Prof. Sénateur P
ont été publiées à une époque à laquelle les méthodes de recherche clinique étaient beaucoup moins avancées qu'elles ne sont
si une lacune absolue de la pathologie de cette affection. Résumé clinique (PI. XLIX et L). Gigantisme acromégaliqne chez
etite, légèrement atrophique. Signes d'arrêt de déve- (1) La partie clinique , radiographique et critique de ce travail revient
es conditions il entre le 18 décembre 1908, sur notre demande, à la clinique médicale de Florence, pour être objet d'une obser
EPPE FRANCHINI . misère la plus absolue, il n'accepte d'entrer à la clinique qu'après une très longue hésitation quoique nou
(selon Wassermann) a été nettement positive. Cet ensemble de faits cliniques peut être interprété de façon très dif- férente
xis- tence chez M. Palazzi du virus syphilitique et le raisonnement clinique 468 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHINI nous po
ant, à la lueur de toutes ces notions pathogéniques, certains types cliniques restaient encore inexpliqués, tels ces noevi en b
avait, d'autre part, depuis longtemps déjà, que certaines analogies cliniques réunissent le zona et le noevus (6). Aussi est-
palhogénique n'est pas absolument superposable à la classification clinique admise par tous les ailleurs récents, et basée
de ces malades dont nous avons rapporté précédemment l'observation clinique (obs. 6, malade du Dr Launois), nous avons cons
iétés. Schlesinger, tout en admettant deux maladies au point de vue clinique , croit que le type anatomo-pathologique est le
ra découvert des formes intermédiaires, car, en réalité, le tableau clinique et les lésions anatomiques trouvées, parlent pl
de notre cas, à quelle maladie nous avons affaire. Au point de vue clinique , ce cas présente des symptômes qu'on trouve dans
téo-sclérose au lieu de l'ostéo- porose. Ainsi, aux points de vue clinique et allatomo-pathologique, notre cas présente qu
rhumatisme vertébral ankylosant ? Teissier lui attribue les signes cliniques suivants : la colonne vertébrale devient toute
nous l'avons dit plus haut, notre cas se rapproche par son tableau clinique et par l'étiologie de la forme deBechterew. Quelq
cale sont consignés très peu de cas dans lesquels, à la description clinique , s'ajoute une radiographie nettement démonstrat
talmoscopique le blanchissement de la papille est évident. L'examen clinique , fait au mois de janvier 1909, a permis de releve
s cas, qui ne sont pas très rares, où l'interprétation du complexus clinique présente des difficultés plus ou moins grandes.
oins grandes. Il n'est pas inutile que j'indique brièvement des cas cliniques dont on a pu avoir l'autopsie, puisque les alté
deux examens nécrosco- piques de malades dont on possède l'histoire clinique . Un lui publié pour la première fois par G. Pet
ation, rap- portée cependant par Abadie, car elle manque de données cliniques . Dans le cas de Petit, on trouvailles altératio
s ostéoarthropathies capables de donner lieu à des manifesta- tions cliniques . Voyons maintenant, non moins brièvement, ce qu
e radiogra- phie, dans les cas où l'on peut admettre que les signes cliniques d'une ostéo-arthropathie vertébrale sont conséc
téoporose). 7° Le cas étudié par moi, dont j'apporte ici l'histoire clinique , la photogra- phie et la radiographie est certa
ensibilité osseuse (ltev. Neurol., 1908, n° 8, 30 avril, page 345). CLINIQUE MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ DE PISE dirigée par M.
dystrophiques osseuses. Je passe de suite à l'exposé de l'histoire clinique . Observation (PI. LVII, LVIII) Lippi Carlo, â
Lippi Carlo, âgé de 58 ans, charpentier, marié dePisa. Il entre à la clinique le 27 janvier 1909. Son père mourut à l'âge d
ont devenus rapidement alarmants. Pour ces faits il entre dans la clinique le 27 janvier 1909. Examen objectif. Homme d'un
y eut ja- mais de fièvre. Le malade ne voulant pas mourir dans la clinique nous quitta aux premiers jours de mars. Voula
opie et la radiographie confirment ce qu'on a relevé par l'exa- men clinique : de plus on constate une condensation de la subs
ographie a contrôlé et confirmé les constatations faites à l'examen clinique ; je ne voudrais pas demander l'interprétation de
de Wassermann pour la syphilis. Dès qu'elle fut introduite dans la clinique on a eu la confirmation biochimique du lien pal
ue du lien palhogénique, déjà affirmé sur la base de considérations cliniques , qui relie la syphilis et les maladies parasyph
de notre malade ne nous paraît pas dénuée d'intérêt au point de vue clinique . Observation (PI. LIX). Br..., âgé de 27 ans
B... ne paraît avoir ni idées délirantes ni troubles sensoriels. CLINIQUE MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ D'UPSALA (SUÈDE) Servi
TÉ D'UPSALA (SUÈDE) Service de D. le professeur K. PETRÉN, ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR K. PETRÉN, Pr
Ë PAR K. PETRÉN, Professeur. et L. EHRENBERG, Interne nia clinique . (Suite) Sur les troubles de la respiration.
staux. La conséquence, c'est qu'on aurait, dans tous les cas ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 547 7 présentant l'ex
VATION XXXI. E. J..., garçon âgé de 15 ans, de Froetuna, entre à la clinique le 8 novembre 1907, mort le 9 novembre. Le 3 no
faible, avec une fréquence de 120. Il est mort à 8,30 du suir. A la clinique il n'y avait jamais de fièvre. Observation XXXI
on XXXII,. - A. W..., caissier, âgé de 36 ans, d'Upsala, entre à la clinique le 30 septembre 1907, mort le 1er octobre. Le m
e 30 septembre. Il ne reste que quelques mouvements extrême- érodes CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 549 ment faibles dans
. P..., âgé de 20 ans, étudiant à l'Université d'Upsala, entré à la clinique le 29 janvier, mort le 30 janvier. (L'état du m
à cause de la difficulté de la déglutition,on l'a mis d'abord à la clinique chirurgicale ; là on a trouvé une cyanose très
l'état général du malade. Le malade a été en- suite transporté à la clinique interne. Flat le ^janvier vers 11 heures du mal
une très grande difficulté à parler. Le trait qui domine le tableau clinique , c'est la difficulté énorme à respirer. En l'ex
rs de ce jour la conscience se trouble progressivement et le ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 551 pouls devient plu
cas XXXIII, j'ai observé également une paralysie, tant de la ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 553 respiration abdom
ns un cas de gliome du cervelet chez un enfant observé d'abord à la clinique médicale chez qui plus tard mon collègue, le pr
tinué de fonctionner tout ce temps-là. Puis la mort est venue. A la clinique j'ai abservé presque la même chose dans quelques
dans quelques autres cas que je veux brièvement citer ici. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 555 2° Chez une femme
IOMYÉLITE AIGUË 555 2° Chez une femme âgée de 21 ans, observée à la clinique , chez qui le dia- gnostic était encore indécis
sement du cervelet. 3° Chez une femme âgée de 30 ans, observée à la clinique , et pour laquelle j'ai fait le diagnostic de tu
ion. C'est encore un cas de tumeur du cervelet observé d'abord à la clinique médicale,et dans lequel plus tard mon collègue, M
nitive entraînant la mort, reste, selon moi, encore ouverte. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 557 Sur les troubles
observations ; mais, si nous ne regardons que les cas observés à la clinique et pendant la phase aiguë de la maladie, ce sym
exclure, pour juger de la mortalité, tous les cas non observés à la clinique ; car dans ces cas, il s'agissait d'indivi- dus
y a pas de cas mortels parmi ceux-là : Sur les 15 cas observés à la clinique , il y a 3 morts, c'est-à-dire 20 0/0 ; cependan
(En outre, il est incertain s'il faut ou non exclure le cas ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË z) XIX, où la malade
iguë étaient âgés de 15, 20 et 36 ans. Sur les 15 cas observés à la clinique , 8 ont plus de ')4 ans ; en conséquence, pour c
on de cette question, car il n'a pas fait ses observations dans une clinique et n'a pu suivre le développement postérieur de
s phases de la maladie. Par conséquent ces observations nous ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 561 démontrent que la
la grande fréquence des symptômes méningitiques (à l'ob- servation clinique ) et d'une infiltration cellulaire des méninges (à
comme très important d'examiner soigneusement force de tous ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE A1GUE 563 les mouvements de
l'âge où la maladie a commencé : 564 PETREN ET EHRENBERG ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 565 les cas sporadiqu
t les lésions ont amené trop rapidement la mort pour que le tableau clinique de cette affection ait pu se développer ». Pour
aiguë. (A suivre.) INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE . CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE (Directeur : Prof. Sénateur P
. Dans un second examen des urines fait au retour du malade dans la clinique , sur une quantité de 1.500 centimètres cubes en
s ressemblances et ces identités rapprochées à tout ce que l'examen clinique nous a appris sur l'unicité possible des deux aff
(dont la publication va suivre bientôt) et chez lesquels l'histoire clinique était négative pour la syphilis héréditaire ; l'u
ne nouvelle preuve éclatante. Chez notre patient, en effet, l'étude clinique , les recherches radiographi- ques, celles sur l
. XIV, 1907. Franchini E GIGLIOLI. Encore sur l'acromégalie ; notes cliniques . Nouvelle Icon. de la Salp., 1908, p. 324. GA
érant : P. Bouchez. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (hospice DE la
xistence d'une sclérose en plaques; l'insuffisance de l'observation clinique nous oblige il rester dans le doute ; nous avon
l'existence de tumeurs encéphaliques. Observation. I. - EVOLUTION clinique DE l'affection. Examen fait au début de l'année
ment cellulaire anormal. Peu après le malade fut transféré dans une clinique particulière où il fut encore examiné par le Dr
rtueuses, souvent moniliformes. On a l'impression- et l'évo- lution clinique est là pour l'affirmer,- que les cylindraxes parv
es constatations nécropsiques des différentes étapes de l'évolution clinique de ce cas. Il paraît certain que le début du pr
t la paralysie de tous les noyaux bulbaires et la mort. L'évolution clinique pouvait-elle mettre sur la voie du diagnostic exa
mensurations sont faites à l'entrée du malade dans le service de la clinique (août 1905), à l'ye de 15 ans, les secondes en no
Observation IL A. D..., âgée de 16 ans, entre dans le service de la clinique des maladies du système nerveux en 1903. A son
ière, ainsi que l'exa- men microscopique nous l'a montré. Ces cas cliniques , assez démonstratifs, viennent d'être confirmés p
des atrophies musculaires tardives, je rapporte l'histoire d'un cas clinique qui, pour certaines particularités, mérite une me
buer à l'hérédité pathologique ; ce fait déjà mis en relief par la clinique , vient à consolider les idées de Strumpell sur
myolrophies secondaires. Thèse de Montpellier, 1875. COUDOIN. Etude clinique de la paralysie spinale aiguë et de l'atrophie mu
sive chez le même individu. Thèse de Paris, 1819. Quinquauii. Elude clinique de la paralysie spinale aiguë el de l'atrophie mu
ogressive . Gazette médicale de Paris, 1881, p. 154. SAUZE. - Etude clinique sur la paralysie spinale aiguë de l'adulte. Thèse
nfantile. Revue de médecine, 1884. SATTLER. Contribution Il l'étude clinique de quelques accidents spinaux consécutifs à la
e infantile. Revue de médecine, 1893. t. 1, p. 1. Gnnrrnov. - Étude clinique sur les relations de l'atrophie musculaire progre
53. ODDO. - Maladies de la moelle et du bulbe. Paris, Doin, 1908. CLINIQUE MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ D'UPSALA (SUÈDE) Servi
D'UPSALA (SUÈDE) Servit de ! If, le professeur K. Petren. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR K. PETRÉN, Pr
PAR K. PETRÉN, Professeur. et L. EHRENBEFG, Interne à la clinique . (fin) Sur la relation entre la poliomyélite
ite (en ayant l'occasion d'observer dans une grande ville, soit aux cliniques , soit aux consultations publiques des hôpitaux, u
hémisphères trouvées dans la poliomyélite aiguë et, d'autre ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 663 part, celles qu'o
nt en effet remarquables. Je ne veux que brièvement rappeler ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 668 ceux que j'emprun
môme si l'issue de la maladie ou les symptômes indiqués ci- ÉTUDES CLINIQUES SUR H POLIOMYÉLITE AIGUË 667 dessus ne peuvent
is cas de polyné- vrite qui ont été traités ces derniers temps à la clinique . Observation XXXIV. - B. M..., étudiant, d'Upsa
ion XXXIV. - B. M..., étudiant, d'Upsala, âgé de 24 ans, entre à la clinique le 11 octobre 1908. Avant cette maladie, il n'a
es des extrémités des membres. A la lin de mars, quand il quitte la clinique , il peut marcher assez bien, monter des escalie
vation XXXV. G. S ? cocher, âgé de 61 ans, de Skutskaer, entre à la clinique le 11 février 1909. Auparavant il a eu en génér
ulaire est normal. Pendant les deux premières semaines passées à la clinique , la faiblesse aug- mente encore un peu et les r
exécuter l'opposition du (lt.Iuce, mais pas tout à fait dans ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 669 son extension nor
XXVI. -J. A. L..., ouvrier, de Villberga, âgé de 19 ans, entre à la clinique le 10 décembre 1908. Rien d'intéressant dans so
quand il est assis, se jeter en arrière et en opposant de la ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 671 t résistance, il
normale des muscles du tronc, au moment où le malade est entré à la clinique . En outre, la répartition de la paralysie entre
lite. Dans la polynévrite il peut également n'y avoir aucune ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 673 anesthésie, et je
la répartition très étendue des lésions anatomiques le long ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 675 de toute la moell
Geirsvold, des diplocoques; Pasteur, roulerton et Maccormac, ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 677 des diplocoques ;
und Hermann (0.), Ueber Bauchmuskellâhmung bei Poliomyelitis ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 679 anlerior acuta im
llihmung), Jahrbuch sur Kinderheilk. Bd. XXII, p. 173, 1885. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 681 100. Ueber primci
II UN CAS D'EC'l-RONIP.1,IE (Markeloff) Masson et O, Editeurs CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX DE L'UNIVERSITÉ
11, LXXIJI) Th. W..., âgée de 50 ans, célibataire, se présente à la clinique des maladies nerveuses se plaignant de maux de
t) (1 pl.), par Vires et ANGLAUA, 119. Poliomyélite aigué (Eludes cliniques sur la - ), par Petren et EnnEXBERG, 372, 546,
e gliome bul- bo-protubérantiel, 620. Ehrenberg et Petren. Etudes cliniques sur la poliomyélite aiguë (1 pl.), 373, 546,
déformante de Paget (4 pL), 253. Petren et 1",IIRE-IBEIIC. Etudes cliniques sur la poliomyélite aiguë (1 pl.), 373, 546,
12 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES maladies i min mm M. le Professeur CHAR
et 1890-91 et publiés sous la direction de GEORGES GUÏNON chef de clinique Avec la collaboration de MM. Gilles de la. Tour
rmentier, Souques, Hallion, jtf.-B. Charcot et Meige, anciens chef de clinique , internes et interne provisoire de la Clinique.
Meige, anciens chef de clinique, internes et interne provisoire de la Clinique . TOME I Avec 47 figures et 3 planches. PARI
AVANT-PROPOS J'ai confié à M. Georges Guinon, qui a été mon chef de clinique pendant les années scolaires 1889-90 et 1890-91,
ravaux les plus intéressants qui ont été publiés clans mon service de clinique et sous ma direction pendant cette période de tem
fants et adultes épileptiques simples), nous avons la direction de la clinique proprement dite comprenant une centaine de lits r
oliclinique que j'entretiens le mouvement fort actif du service de la clinique proprement dit. Les hasards cle la clinique fou
actif du service de la clinique proprement dit. Les hasards cle la clinique fournissent ainsi chaque année soit à moi-même, s
es de l'anesthésie. Différences avec la syringomyelic au point de vue clinique et anato-mo-pathologique. Relation d'un cas typ
spécialement d'une affection tout récemment introduite (1883) dans la clinique , où son autonomie est encore discutée par quelque
e maladie de Morvan, qui se trouve actuellement dans le service de la clinique , grâce à l'obligeance de mon collègue, M. Hanot.
du moins pas encore. Mais restons, Messieurs, dans le côté purement clinique de la question. Trois phénomènes sont ici caracté
dans la Gazette hebdomadaire. M. Morvan y fonde tout d'abord le type clinique qui porte son nom et le défend ensuite avec une g
vers auteurs. Enfin, tout récemment, un travail de Heckel d'après une clinique de Jûrgensen (de Tubingue) (Berlin. Kl. Wochensch
s confîrmatifs. C'est donc d'après lui que nous ferons la description clinique , tout en remarquant chemin faisant que certains é
s'il existe des différences entre les deux affections au point de vue clinique , il en existe aussi au point de vue anatomo-patho
si au point de vue anatomo-pathologique. Mais ceci n'a pas trait à la clinique et ce n'est qu'une affaire de diagnostic post-mor
tout ces anesthésies sensorielles qui ne font point partie du tableau clinique de la parésie analgésique à panaris ? Ici, en eff
es plus grossières de la moelle épinière. Mais,restant sur le terrain clinique , vous trouvez dans la syringomyélie les atrophies
ons aujourd'hui nous occuper de quelques points relatifs à l'histoire clinique du tremblement ou mieux des tremblements hystériq
13, et Leçons du Mardi, t. I, p. 398. avec M. P. Marie, mon chef de clinique d'alors, qu'un do ses caractères est de paraître
889). de malades rassemblés par nous à cet effet dans le service de clinique . Ce travail, non encore publié, a été présenté pa
es ou purement névropathiques. Combien ne sera-t-il pas important, en clinique , de savoir que tel ou tel tremblement n'est pas p
écède, M. le professeur Charcot montrait, dans une de ses conférences cliniques (1), un nouveau malade atteint de la forme intent
ommé Mas..., âgé de 39 ans, cultivateur, est entré dans le service de clinique des maladies nerveuses le 1G janvier 1890. On n
ésent, que sous peu ce syndrome s'installera définitivement dans la clinique neuropathologique. ( Vous aurez bientôt l'occas
ueillie dans mon service , M. Parinaud et M. Marie, alors mon chef de clinique , avaient décrit la névralgie oculaire a retour pé
ent et qui mérite bien d'être considéré comme se rapportant à un type clinique ,. * J'en viens maintenant à la description qu
il n'en est qu'une variété, mais assez importante et se présentant en clinique avec des caractères assez tranchés pour mériter u
z. des Hôp., 1880, III, 561-563. (2) Fabre. — Nouveaux fragments de clinique médicale. L'hystérie viscérale. Paris, 1883. Dela
de 22 ans, Mlle Marguerite F... ,qui est entrée dans le service de la clinique le 15 avril dernier. Vous reconnaissez tout de su
Roth. — De la gliomatose médullaire (Arch, de Neurol.. 1838). tères cliniques les plus importants de la syringomyélie, mais peu
, âgée de 23 ans, qui est déjà depuis longtemps dans le service de la clinique . Cette jeune fille est atteinte de grande hystéri
evient anesthé-sique comme par devant. Il y a six mois, mon chef de clinique , M. Georges Guinon, avait déjà fait cette même ex
tion. Il y avait en effet, à ce moment, dans les salles du service de clinique , (1) Au mois de mai 1891, c'est-à-dire un an ap
ntes ont été faites par M. le Professeur Charcot, dans une des leçons cliniques de cette année). Notre jeune fille compta parmi l
, que M. le Pr Charcot avait présentés antérieurement dans ses leçons cliniques (le 24 février 1890). Le premier est un exemple
e M. le P1* Charcot a présentées et analysées dans son ensei -gnement clinique . Nous ne nous attarderons pas à décrire la dist
estion de compression survenue dans le bassin, bien que les symptômes cliniques soient absolument les mêmes. Enfin elle est en co
nt nous rapportons plus loin l'histoire ont fait le sujet d'une leçon clinique de M. le Pr Char-cot (2). A la suite de cette leç
observation. Ces cinq malades font tous partie soit du service de la clinique , soit de la policlinique de M. le Pr Charcot. O
nt d'ailleurs confirmer complètement les résultats de l'investigation clinique . Les muscles tibial antérieur et extenseur commun
rofessent Charcot lorsqu'il présenta ce malade dans une de ses leçons cliniques . Du groupement de tous ces faits que noub venon
de publier l'observation d'une malade actuellement dans le service de clinique de la Salpêtrière, d'autant plus que l'examen de
rs, Je désire attirer votre attention sur un malade dont l'histoire clinique vous intéressera certainement, et vous montrer de
cas plus vulgaires quelque phénomène inattendu qui modifie le tableau clinique habituel. Nous en avons la preuve dans l'histoire
e a retrouvé le sommeil et l'appétit, j'en aurai fini avec l'histoire clinique . Ma tâche n'est qu'à moitié remplie, car il me
tte description offre quelques points de ressemblance avec le tableau clinique que je vous ai exposé tout à l'heure, je dois vou
e, ou faciès oVHutchinson; ses caractères, son diagnostic. Caractères cliniques de l'oplithalmoplégie externe : intégrité des mus
avec vous dans la leçon d'aujourd'hui et de mettre en valeur deux cas cliniques dans lesquels vous trouverez le syndrome « Ophtha
placer sous vos yeux un de nos deux malades. Chez lui, les apparences cliniques de F ophthalmoplégie externe sont parfaitement ac
tituer des lésions secondaires et d'une importance secondaire pour la clinique , il faut toujours compter, lorsqu'il survient de
ions les plus typiques du groupe. Nous allons entrer dans l'analyse clinique de ces deux cas et vous reconnaîtrez que dans l'u
git, mais bien de poliomyélite antérieure subaiguë, répondant au type clinique de la paralysie spinale antérieure subaiguë, qui,
sur un ordre de faits qui paraît devoir, quelque jour, tenir dans la clinique une place intéressante. Il ne s'agit encore actue
ltiplier rapidement, et que d'importantes questions nosographiques et cliniques ne manqueront pas d'être soulevées à leur sujet;
uées par M. le Dr Vi-gouroux, chef du service électrothérapique de la clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière. Nous e
de Morvan, deux formes noso-graphiques récemment introduites dans la clinique neuropathologique, et vous n'ignorez certainement
d'éléments relativement rares, exceptionnels, dans le tableau du type clinique : syringomyélie. Voilà ce que nous chercherons à
osité anatomique, mais qui aujourd'hui a acquis une grande importance clinique . Ce résultat est dû, vous le savez, aux travaux d
s, tantôt à la physiologie expérimentale, tantôt à l'anatomie et à la clinique , ce que seront ces symptômes? Oui incontestableme
es préliminaires, j'esquisserai maintenant la symptomatologie du type clinique fondamental de la syringomyélie, telle qu'elle a
tiques), la scoliose, enfin une (1) Les recherches entreprises à la clinique sur l'existence du rétrécissement du champ visuel
alade de la Salpêtrière, qui n'avait pas, à l'époque où il était à la clinique , le champ visuel rétréci, ainsi que cela est ment
i que nous l'avions relevé, n'est pas absolument spécifique, toute la clinique de la syringomélie serait dans le désarroi. * *
s, malgré tout, soutient M. Morvan, il n'y a pas identité, et dans la clinique les deux.affections peuvent être distinguées l'un
fait remarquer que le syndrome de Morvan, doué de tous les caractères cliniques essentiels qu'on lui prête, s'est rencontré un pe
ussion, après tout ce qui précède. Il est devenu clair que, de par la clinique comme de par l'anatomie pathologique, syringomyél
rant et habile qui a su la faire sortir du chaos et lui donner la vie clinique . Je vous proposerai, en conséquence, d'appliquer
ributs fondamentaux. La présence, laprédominance même dans le tableau clinique des panaris analgésiques ne change rien au fond d
es lésions qui dans ce cas ont présidé à la production des phénomènes cliniques : lésions de la corne grise postérieure gauche da
écembre 1889. Sur un cas de paraplégie diabétique l. point de vue clinique , et cela d'une façon tout à fait formelle, en 186
on a trop souvent à appliquer sans hésitation à la pathologie et à la clinique les données du laboratoire. C'était en effet le
d'idées, que lorsqu'elles ont été soumises à l'épreuve de la critique clinique , qui seule peut juger en dernier ressort si la no
ement cérébral, lorsqu'il y avait eu une autopsie, et au point de vue clinique des hémiplégies transitoires, des monoplégies à d
me paraissent réaliser un type nosogra-phique défini, dont le tableau clinique pourrait, si je ne me trompe, être caractérisé pa
ue j'ai fait placer sous vos yeux. Mais avant d'arriver à l'analyse clinique de ce cas, je désire entrer encore dans quelques
les réflexes tendineux sont absents. Mais quelle est la signification clinique de ce fait? Quelle est sa signification physiolog
névrites périphériques. Eh bien, Messieurs, me fondant sur l'examen clinique du cas que je vais vous montrer, j'émets l'avis q
é exécutées par M. Grenouillet, interne en pharmacie du seivice de la clinique , qui a également dressé les courbes qui sont repr
tique. Depuis cette époque, le malade est resté dans le service de la clinique pour y être soigné tant de son diabète lui-même q
ées à cet effet M. Grenouillet, interne en pharmacie du service de la clinique . Depuis lors il s'est encore notablement accentué
haque jour un motif d'étonnement, a pris une place importante dans la clinique des hôpitaux 1 Leçon du mois de mai 1891. de
ques-uns. Je vous renverrai d'abord à l'article de mon ancien chef de clinique , M. P. Marie, aujourd'hui médecin des hôpitaux et
aux, a observé plus de 20 cas d'hystérie mâle dans le seul service de clinique générale dirigé par M. le professeur Pitres 2, da
cée. Il faut être, cela se conçoit, en possession d'un grand matériel clinique , tant général que spécial pour observer journelle
fficile peut-être l'appréciation véritablement scientifique des faits cliniques . Attendons patiemment que de ce côté la lumière s
prendre, je vous l'ai dit, un casbanal; seulement, vous le savez, la clinique attentive trouve à peu près toujours à signaler,
que l'a fait fort justement remarquer M. Georges Guinon, mon chef de clinique , dans son ouvrage sur les agents provocateurs de
rai que M. Gilles de la Tourette avait, alors qu'il était mon chef de clinique , publié déjà un travail sur la superposition des
fille de dix-huit ans dont le cas m'a paru offrir un certain intérêt clinique . Vous vous souvenez sans doute que cette jeune fi
lé siégeant dans le pédoncule cérébral gauche avait amené le syndrome clinique en question. Il va sans dire qu'une lésion située
w-York, 1873. 3 Perroud. — Lyon médical, n° 22, 1874. * Andrai. — Clinique méd., Paris, 1840, 4e edit., t. V, p. 326. 5 Gi
à la lésion). Pour connaître, Messieurs, les raisons de ce syndrome clinique , il est nécessaire de faire intervenir l'analo-mi
e la lésion qui déterminent la nature et le nombre des manifestations cliniques . J'en ai fini, Messieurs, avec ces notions quel
elles me paraissaient indis- pensables comme introduction à l'étude clinique qu'il nous reste à entreprendre. Elles m'ont du r
dehors des syndromes de Weber et de Millard-Gubler, d'autres variétés cliniques , mais ce ne sont en général que des variétés de c
ornée du côté intéressé. C'est là un caractère que mon ancien chef de clinique , M. Gilles de la Tourette1, a parfaitement mis en
fin de cette longue histoire. Vous voyez, Messieurs, quelle est en clinique générale l'importance d'une connaissance approfon
lanches adjacentes et, de ce fait, il est permis d'admettre une forme clinique en quelque sorte typique et caractérisée par des
s'adresse à M. Brissaud, chargé, pendant les vacances, du service de clinique à la Salpêtrière. Il lui raconte tout d'abord que
e pure et simple. Il n'est pas à notre connaissance que cette forme clinique ait encore été signalée. En dehors de ce fait q
rocessus de sclérose bien spécial qui répond à ce que l'on désigne en clinique sous le nom de tumeur dorsale du carpe. Il n'y a
invoqués de part et d'autre, empruntés exclusivement à l'observation clinique , seraient dépourvus de sanction anatomique. Il
deux cas, fort différents en apparence, du moins au seul point de vue clinique , la nécropsie et l'examen histologique du système
nc à l'anatomie pathologique de prononcer en dernier ressort. Mais la clinique ne doit pas pour cela abdiquer. En admettant même
lérose fasciculée postérieure n'a pas enrayé, tant s'en faut, l'étude clinique de l'ataxie locomotrice. Il en serait de même dan
l'a fait pour les cas frustes du tabès, clans le cadre élargi du type clinique fondamental. D'ailleurs si le syndrome de Morvan
second. Messieurs, Je vais vous montrer aujourd'hui un caractère clinique qui, pour simple qu'il soit, n'en a pas moins une
ous lire un passage d'un livre trop oublié de Todd, intitulé : Leçons cliniques sur la paralysie et sur certaines maladies du cer
Le second a la même allure, quoique moins accusée. Mais reprenons la clinique de Todd. « L'autre malade, ajoute-t-il, ne marche
a langue et perd involontairement ses urines. Il est un principe en clinique neuropathologique, un principe qu'il ne faut jama
ous sommes menacés d'accidents cérébraux plus graves dont l'apparence clinique : aphasie, épilepsie, variera naturellement suiva
que je veux dire, c'est que toutes les fois que vous rencontrerez en clinique une telle céphalée, vous pourrez affirmer à coup
o caractère syphilitique de la céphalée est établi par sa description clinique ; de l'autre, en étudiant la question de plus prè
tre, du reste, ces accidents d'aujourd'hui n'ont, dans leur apparence clinique , rien qui les distingue de ceux qui pourraient ré
tir devant vous certains détails de cette observation que mon chef de clinique , M. Georges Guinon, a recueillis avec soin, depui
mmense majorité des cas. J'excepte, en effet, car il faut toujours en clinique faire quelques réserves, certains cas très except
e puisse faire défaut. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le tableau clinique de la sclérose en plaques se trouve clans certa
fragable, trouver le moyen de reconnaître sur le vivant ces anomalies cliniques et contrôler le diagnostic à l'autopsie. L'occasi
s (20 au lieu de 17 0/0). Il y a actuellement dans le service de la Clinique deux malades atteints de sclérose en plaques anor
e en plaques. Th. de Paris, 1883. (2) Babinski. Etude anatomique et clinique de la sclérose en plaques. Th. de Paris, 1885.
streint des puristes. Ces formes sont le plus souvent représentées en clinique par une paraplégie spasmo-dique simple ou compliq
M. le Pr Charcot, qui a présenté cette malade dans une de ses leçons cliniques , a insisté sur ces déviations particulières de l'
'est le diagnostic qui a été porté par M. le Pr Charcot dans la leçon clinique qu'il a consacrée à l'examen de cette malade et à
8, dans laquelle M. le professeurCharcot présenta aux auditeurs de la Clinique la malade qui fait l'objet de notre première obse
harcot. Trois d'entre elles ont été recueillies dans le service de la Clinique . Nous pouvons en conclure, en nous basant surtout
domestique, est entrée le 7 août 1888 à la Salpêtrière, service de la Clinique des maladies du système nerveux. Antécédents hé
la consultation de la Salpêtriôre et fut admise dans le service de la Clinique . Actuellement, le phénomène prédominant est le
ontine M,.., dix-neuf ans, se présente à la consultation externe delà Clinique des maladies du système nerveux, avriH890. Anté
.., âgée de trente ans, employée, sè présente à la consultation de la Clinique des maladies du système nerveux, au mois de mai 1
s de l'anesthésie. Différences avec la syrin-gomyélie au point de vue clinique et anatomo-pathologique. Relation d'un cas type
ne ou fades d'Hutchinson ; ses caractères, son diagnostic. Caractères cliniques de l'ophthalmoplégie externe : intégrité des musc
par'.s. — imp. v. goupy et jourdan, rue de ren'n'es, "i. Charcot. Clinique des maladies du système nerven-. T. I. IM. I.
. Clinique des maladies du système nerven-. T. I. IM. I. Charcot. Clinique des maladies du système nerveux. T. I. Pl. II.
itre d urine après traitement. (V. n° XIII, p. 2S7 à £84.) Charcot. Clinique des maladies du système nerveux. T. I. Pl. m.
13 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
VILLE PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE Vlf. A.JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté* de méde
. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecindel'Asile clinique ; | (Ste-Anne). COLLABORATEURS PRINCIPAUX :
Ste-Anne). COLLABORATEURS PRINCIPAUX : F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facult
s 1906 Vol. XXI Janvier 1906 NI- 121 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Deux cas de méningo-encéphalite chroni
s pathologiques congénitaux ou acquis, paraissant offrir un tableau clinique sembla- ble, mais se traduisant par des lésions
rs jours de la naissance. Archives, 2° série, 1906, L. XXI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. A partir de décembre 1897, marche pro
ge de 6 ans, jusqu'en décembre 1897; elle apprend assez bien. 4 CLINIQUE NERVEUSE. La malade n'a jamais fait de maladie
érale. 20 mai. La malade est passée en chirurgie dans le ser- 6 CLINIQUE NERVEUSE. vice de M. le Dr MONOD, où on décide
crâne, dans le but d'améliorer la vue » et un certificat de l'Asile clinique , du Dr Dagonet, comportant : « est atteinte de
et pose le talon d'abord sur le sol. Etant assise, elle exécute 8 CLINIQUE NERVEUSE. assez bien avec ses jambes les mouvem
relet qui existe autour de la brèche est bien plus saillant, 10 CLINIQUE NERVEUSE. ne se continue pas avec la frontale a
èrébr3.ux et cérébelleux n'ont fait découvrir aucune tumeur. 12 CLINIQUE NERVEUSE. Cou et Titoi@ax. - Persistance du thy
parce qu'il peut être retardé par l'insouciance des parents. 14 CLINIQUE NERVEUSE. sort de l'hôpital pour entrer quelque
ne «'accordait pas avec sa femme; l'a quittée il y a 12 aus 16 CLINIQUE NERVEUSE. et, depuis, on ne sait ce qu'il est d
complètement aveugle en Archives, 2" série, 1906, I. XXI. 2 18 CLINIQUE NERVEUSE. l'espace de deux ans, pendant son séj
e longues années», et un certificat de M. le Dr lllagmn, de l'Asile clinique Sainte-Anne), mentionnant : « est atteint d'idi
is à droite. Pas de signe de Babinski : l'enfant cric quand on 20 CLINIQUE NERVEUSE. excite la plante du pied, mais ne fai
ue; tuberculose pulmonaire; congestion pulmonaire terminale. 24 clinique nerveuse. V.La sein ])le avoir débuté vers 11
t l'envoi des malades d'un hôpital au bureau d'admission de l'Asile clinique , puis de l'envoi de cet asile dans un autre éta
Si la température avait été prise la veille du départ pour l'Asile clinique , on n'aurait pas transféré cet enfant, on lui a
rait laissé mourir tranquillement à l'hôpital. VII. Les symptômes cliniques prédominaient il droite, les lésions à gauche :
les deux présentassent des lésions tuber- culeuses des poumons. CLINIQUE MENTALE Dégénérescence mentale et maladie de
athiques évoluer même pour leur propre compte et dominer le tableau clinique chez de pa- reils malades. Ces manifestations s
ns sont des plus variées et ne se rattachent en vérité à aucun type clinique défini. Ce sont des syndromes psychiques tantôt
préférence l'époque des règles et intéressant une moitié de la 28 CLINIQUE MENTALE. face 1)liéiioiiii-ii(s %asi)-iiiol eu
nitenLe,susoelLille de diminuer lé; : èl·e111cUL sous un taxis 3U CLINIQUE MENTALE. doux.On perçoit à son niveau un frémis
ention d'une névrose associée peut apporter sa note dans le concert clinique , il titre épisodique ou accidentel. Ces restric
e. Summum Jus, summa Injuria. Par le D' E. COULONJOU Ex-chef de clinique il la Faculté, médecin des asiles publies d'alién
aliénés de la Seine ; 4° la création de l'enseignement à l'Asile clinique ; 5° la création, il y a 25 ans, du concours d'
quelle tous les symptômes ont disparu. En présence de ce tableau clinique on avait songé à une méningite anormale à march
Meus. (Journ. de Neurologie, 1905, ne14.) Relation exclusivement clinique d'un cas de maladie de Thomsen chez un jeune ho
st probable que cette der- nière forme est susceptible de modalités cliniques corres- pondant aux psychoses chroniques. Il
le qu'une certaine unité pathogénique plane sur toutes ces variétés cliniques de psychose aiguë en ce sens que la marche aigu
dont les trois frères étaient dipsomanes. G. D. VIII. - Relations cliniques de la cécité avec la paralysie générale et le t
, Professeur adjoint à l'Université de Bordeaux, chargé de cours de Clinique psy- chiatrique. (Ouvrage couronné par la Facul
urs, ce qui 70 bibliographie. importe davantage, la description clinique que l'auteur en donne est excellente, et contri
consacré au traitement de l'aliénation mentale, soit comme chefs de clinique ou internes des hôpitaux nommés au concours. Le
ts en vue de l'admissibilité des candidats aux épreuves orales et cliniques . Ces épreuves sont éliminatoires. 4° Une questi
s d'exposition ; le maximum des points sera de 20. 5° Une épreuve clinique orale. Cette épreuve portera sur un seul malade
utes d'exposition. Le maximum des points sera de 20. 6- Une épreuve clinique écrite. Cette épreuve portera sur un seul malad
x frères. Vol. XXI Février 1909 No 122 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Pachyméningite interne post-traumatiqu
ingite interne post-traumatique. 1',\1\ [<'ÉLI.\ BOSE, Chef de clinique adjoint à la Faculté. [Travail de la cliniq lie
de la cliniq lie des112alad ¡es nerveuses Salpêtrière.) L'histoire clinique des fractures de la colonne verté- brale, leur
hèse de Paris, 1905. ' Archives, 2. série, 100(3, t, XXI. li 82 CLINIQUE NERVEUSE. La malade, dont les antécédents tant
l, le 3 août 1905, c'est-à- dire un mois après >on entrée. 4 CLINIQUE NERVEUSE. Autopsie. - Raclas : La partie postér
e femme qui, ans avant son entrée, subit un traumatisme, in- Su CLINIQUE NERVEUSE. tense en apparence, de la colonne lom
sente plusieurs côtés intéressants au point de vue de son évolution clinique et des constata- tions anatomiques. Auparavan
que celui de la pachyméningite consécutive. Le shock, que 88 ' CLINIQUE NERVEUSE. l'on voit, dans certains cas, durer j
uniqué précédemment par Touche, Thomas et Lortat-Jacoù. L évolution clinique de cette pachyméningite tuberculeuse post-traum
croyons ainsi expliquer d'une manière satisfaisante l'é-; volution clinique un peu particulière de ces cas. \ Pour terminer
u- meurs endocraniennes en général sont assez rares. C'est 90 CLINIQUE NERVEUSE. à ce titre, et en raison de particula
En dehors des moments où elle se trouve sous l'influence de 92 CLINIQUE NERVEUSE. troubles épileptiques, elle reste cal
nombreux avec quelques séries de 4 à 5 crises quotidiennes. 91 CLINIQUE NERVEUSE. de la malade s'aggrave tous les jours
ale de la faux du cerveau jusqu'à son insertion postérieure. 96 CLINIQUE NERVEUSE. Cette tumeur affecte la forme d'un se
a sont également peu altérées. 2 ? (*i-ii. 1906. t. XXI. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. La face plane déprimée comprend F2Ft
roisossiliées, masse caseeuse consistante, liquide citrin (histoire clinique du malade avant même certaine ressemblance avec
Neurologie de 1900. ( : 1) Ami. Méd. pysclrol., 1902, n" 2. 104 CLINIQUE NERVEUSE. semble 128 cas, et, dans six mois de
et que ces derniers apparaissent (1) 13ouwew ? >;. -Reclrerches cliniques . 1881, 1885, 1SS11, ]8\1 : 3, 18(1. (2) Communi
le. 3° Dans le cas actuel, la myotonie constitue une infir- 112 CLINIQUE MENTALE. mité gênante mais qui n'empêche pas no
xercices d'ensemble, la parades, le mal serait encore plus grand. CLINIQUE MENTALE Mal perforant et paralysie générale :
'iodure de potassium par Archives, 2' série 1900; t. XXI. 8 114 CLINIQUE MENTALE. M. Ileurteloup (t) au Midi. Depuis 15
uans la paralysie générale ». {Union médicale, 1882.) - ' 110 . CLINIQUE MENTALE. drait pas adopter, en ce qui concerne
- 11, a observé lui-même un de ces cas de' suppuration pro- US CLINIQUE MENTALE. longée et apporté des observations de
et on n'a eu guère a enregistrer que des échecs. Tableau. 120 CLINIQUE MENTALE. Les premiers succès obtenus dans les i
re- micp temps de l'urjnation doit, comme le montre l'observation clinique , être le relâchement du sphincter et nop pas seul
caractères de ce qu'on appelle un réflexe, en physiologie comme en clinique ». P. Keraval. XVlll. Des courants magnéto-él
est une thérapeutique a examiner. : P. Keraval. < 1 ? Recherches cliniques sur l'auscultation du muscle, par B. Lcvl : . (
fait depuis des siècles mais la physiologie. L. Wahl. XXV. Etude clinique et anatomo-pathologique sur les lacunes de dési
eptiformes; par Toi.oT. (Revue de Mrd., n d'oc- tohre 1905.) Fait clinique et anatomo-patholoâirlue provenant de la clini-
qui relient le nerf cocbléaire au facial (Bechlerevvl . Utilisation clinique (I1e(.lllel'e\\'). Il manque cOll1pli'LplUl'nl da
r M. 1..\STWA TZATOUROW. (Obo;;¡'{iniè psichiatrii, X, 1905.1 Elude clinique et anatomique du tabès, de l'atrophie muscu- la
ant le sommeil peut succéder un rêve, on est porté à admettre et la clinique montre que cette in- duction est fondée, que de
médecine, numéros de février et mars 1903.) Travail important de la clinique médicale du prof. Bernheim, de Xancy. Sous l'in
Wahl. XI. La myoclonie familiale d'Unverricht est-elle une entité clinique justifiée en nosologie ? par Il. LU¡';DBORG {Ne
la mentalité, pourtant si personnelle, du prof. Benedikt : ' « La Clinique d'Oppolzer, dit-il, était pour nous le séjour d
sa direction la fièvre puerpérale BIBLIOGRAPHIE. 157 ravagea la clinique , seules les femmes qui accouchaient dans la rue
gréable. Stéphane LEDUC. \ - La démence précoce dans l'armée (étude clinique el médi- co-1(galc) ; par K KAGt. (Thèse de Bor
s militaires au double point de vue, de la difficulté du diagnostic clinique et de sa ressem- 158 VARIA. hlancc avec des
aura lieu du 2 au 7 avril 190G, à l'Université de Giesseii,dans la clinique des maladies mentales et nerveuses, sous la dir
traitées : 1° Les formes d ifférentes de l'idiotie, au point de vue clinique et anatomique. 2° Les causes, la prophylaxie, e
nos visites du sa- medi où nous montrons un certain nombre de types cliniques , de cerveaux, etc ; quelques leçons du cours de
b et Thiron. Vol. XXI Mars 1906 N° 123 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Hospice DE Bicêtre. Service du Dr S1GL.
la sitiophobic dans la Archives, 2, série, 1906, t. XXI. 11 162 clinique mentale. démence précoce résulte d'une quantité
s deux mois, se dit courbature.Ne prend rien de la journée. 164 CLINIQUE MENTALE. 11 août 1900. S. : Même état : reste c
état de demi-stupeur, avec confusion des idées, et faisait t 166 CLINIQUE MENTALE. tout a\cclcnlcmcxtl'pme. A chaquc inst
là sonde, ousi on oublie sciemment de la huiler, la malade se 16S CLINIQUE MENTALE débat et pousse des cris plaintifs, pui
On put néanmoins la transporter à la campagne*; elle y reprit 170 CLINIQUE MENTALE. immédiatement ses habitudes anciennes,
t serait plus exact et conviendrait bien mieux à ce genre d'état. CLINIQUE NERVEUSE Grossesse et puerpéralité chez une é
pu nous convaincre que, si l'attention s'est portée depuis 172 CLINIQUE NERVEUSE. quelques années sur l'existence de tr
e nous présentons dans ce tra- vail, et que nous avons observé à la clinique obstétricale de la Faculté de médecine de Toulo
montrer l'observation. Germaine S ? 35 ans, primipare, entrée à la Clinique d'accou- chements, le 8 février H)Q5. Elle prés
ogatoire ne fournit pas d'autres indications. La malade arrive à la Clinique avec le diagnostic d'épilcpsie. Pas d'alcoolism
n to- lérée, n'amène pas la moindre, exaspérai ion motrice. 174 CLINIQUE NERVEUSE. La sensibilité est conservée ; pas d'
crispent en exagérantleur flexion. Si les bras étaient allon- 176 CLINIQUE NERVEUSE. gés le long du corps, ils sont soulev
agéré ; les autres ré- .RCmvr.s. ? ".éri. 1906, i. \t. 12 178 8 CLINIQUE NERVEUSE. flexes tendineux sont normaux. Les ré
aient d'elle. Elle a une crise qui a pu être observée par l'aide de clinique . Début par une douleur assez vive dans les memb
tant. Voici le résultat de l'analyse pratiquée au Laboraloirc des cliniques , le t8 mars : 180 CLINIQUE NERVEUSE. chômen
nalyse pratiquée au Laboraloirc des cliniques, le t8 mars : 180 CLINIQUE NERVEUSE. chôment annonce la fin de la crise qu
soudaine avec perte de connaissance, écume aux commissures 182 CLINIQUE NERVEUSE. labiales, mais sans cyanose du visage
n. Le 25 avril, S ? reçoit 2 lave- ments de chloral. Elle quitte la clinique le lendemain, dans un état de calme relatif : l
gne totalement de la chorée des femmes enceintes, tant par sa forme clinique que par son évolution. Chez notre malade, les m
, où ils sont plus fréquents que dans le reste du corps. La forme clinique affectée par l'affection choréique de notre mal
e lié àla double névrose. C'est sur cetcrrain que nousavons 184 CLINIQUE NERVEUSE. vu évoluer une grossesse : il était i
ntes au cours du 9e mois : la plus forte que l'on ait observée à la clinique s'est produite un jour avant le début du travai
gi- ques dans le placenta ; c'estenfin l'albuminurie légère 186 CLINIQUE NERVEUSE, apparue dans le dernier mois de la gr
(Nouv. Ieo7aog>. de la Salpêtrière, 1905, n° 2.) Les troubles cliniques déterminés par les fumeurs cérébrales paraissen
donc destructives de la glande ; or n'est, une chose acquise, parla clinique et l'expérimentation que les lésions destructives
a Salpctrière. i ! )On. no' 2 et : 3. 1 L'auteur établit la parenté clinique très étroite qui existe entre 1'111'licail'c, l
on des adhérences. F. T. XL11. Contribution anatomo-pathologique et clinique à l'étude des rapports de la syphilis et de la
et de la paralysie générale ; il insiste surtout sur les recherches cliniques de Four- nier, recherches qui ont amené cet aut
aux recherches expérimen- tales sur les animaux et aux observations cliniques sur l'homme, recherches contrôlées par les anal
xe et de la pie-mère. En terminant, l'auteur attribue les symptômes cliniques de cette affection aux lésions diffuses que l'o
hes sur le lapin, la brebis elle cheval, complétant l'observa- Lion clinique par des études microscopiques de la moelle au niv
, du Nissl au bleu de l Ilinuine, et au Van Oiesuu. Au point du vuu clinique , on observe surtout des troubles mo- teurs et t
mentale. Florence, juillet 1905, vol. X, fasc. 7.) De ses études cliniques et expérimentales, l'auteur conclut que, dans l
PPHU, (Lyon Médical, n 4a, 5 novembre 1905.) .. Dans l'évolution clinique delà méningite tuberculeuse de l'en- fant le dé
allucinatoire dans le troisième. Ils consta- tent seulement le fait clinique , sans tirer des conclusions fermes sur le déter
eur rapporte deux cas, surtout intéressants en ce sens que l'examen clinique put être complété par l'étude analomo- patholog
on des gaines rétro- oculaires avec ces symptômes constitue un type clinique que M. L. Dor dit avoir rencontré fréquemment e
ique. Leur coexistence, loin d'être géné- rale, esl plutôt rare. Eu clinique courante, on constate tantôt la présence, tantô
ur, dans unesériu du chapitres, décrit l'étiologie, puis les formes cliniques du la myélite syphilitique, adoptant pour cela
r le IPE. R. Daiche, (mai 1905), 95 pages. Ce travail, exécuté à la Clinique infantile, a en vue l'étude des troubles mentau
. Daichp, qui conclut un tes rattachant à la confusion. Culte forme clinique de la confusion est-elle spéciale à l'enfance ?
s du transition, variétés l'lLOI'{'O-H 1 hllo- siques. Si ces types cliniques sont variés, les causes sont, égale- ment nombr
l'oncluDI. Cancl,dans le rapport entre l'étiologie et l'expression clinique , pas plus qu'il n'y a de lésion anatomique part
ble. (Histoire de France par J. Miche- lel. V. pages 43, 44, 45.) CLINIQUE MENTALE Folies traumatiques et accidents du tra
ismes crâniens, 1905. Archives, 2" série, 1903, t. XXI. ? 0 306 clinique mentale. La question du diagnostic des psychose
e interne) éclairer le terrain ; l'adjonction du chirurgien 30S CLINIQUE MENTALE. au psychiatre paraît ici indispensable
soir. Deux mois après, sa figure se contractait par instant, 310 CLINIQUE MENTALE. , surtout à droite. Puis, peu à peu, l
. ' Que si on objectait que, chez plusieurs, l'affaiblisse- 312 CLINIQUE MENTALE. ment démentiel fùt plutôt fonction d'é
e courses, atteint de paralysie générale considérée comme 314 ' CLINIQUE MENTALE. consécutive à une série de chutes prof
amabilité de nous adresser les notes suivantes à son sujet. 316 CLINIQUE MENTALE. « Peu après son admission à Tournay, C
nine. Le paragraphe II des articles 1 et 20 de la circulaire sis CLINIQUE MENTALE. du Ministre de la Justice, en date du
rouillantes et muettes. On a montré la possibilité d'un tel tableau clinique avec une insuffisance rénale sans éthylisme pro
nstamment élbylique des délires lraumaliqucs de ce genre. 320 . CLINIQUE MENTALE. malgré les recherches attentives et n'
L. LX1. - La microgyrie ; par le 1)1' M. 01.CONObIAKIS, chef delà clinique neurologique de l'Université d'Athènes. Résume
n ébrieuse de la marche. Quatorze ans après (janvier 1898) l'examen clinique décèle un ensemble de signes très complexe ; ti
facile ; ils sont dus aux lésions cérébelleuses. Les autres signes cliniques devaient faire penser- il une sclérose en plaque,
brightiques au cours d'accidents graves. 11 n'existe pas de moyen clinique analogue pour l'examen du liquide labyrinthique
'il participe aux mômes changements de pression et de composition clinique . De plus, au point de vue de la sécrétion de l'ur
amyotrophique, après avoir suivi i l'évolution de l'affection à la clinique de la Salpètrière. Ils in- diquent les renseign
de la Salpètrière. Ils in- diquent les renseignements étiologiques, cliniques et anatomiques qui se dégagent d'une statistiqu
ce de toute étiologie saisissahle, par l'ensemble de ses caractères cliniques et évolutifs, par sa terminaison mor- telle, pa
t par le con- trasteentre le caractère spinal diffus de l'évolution clinique et la survenance rapide d'accidents bulbaires m
e ou moral ; par le D1' Longpretz. (Nancy, janvier 2 ,l( ? ) A la Clinique de son maître Bernheim,i)l. Longpretz a cherché,
ns. C'est là une hypothèse récente rendue acceptable par l'examen clinique et à laquelle un chapitre biologique apporte les
e et originale conclut en interprétant de nombreuses obser- vations cliniques , et distingue quatre variétés de névroses dites
e mars 1906, ont été nommés médecins-adjoints : MM. VuRPAs;(chef de clinique à Sainte-Anne) : Dromard (nommé médecin-adjoint
médecine. Hommage au 1)1' Magnan. Le D,MAGNAN. médecin de l'Asile Clinique (Sainte-Anne), membre de l'Académie de Médecine
l, rue Casimir-Delavigne, Zimmern (A.). Eléments d'éleclrolhérapie clinique . 1 vol. in-8" de 293 pages. Prix : 8 fr. Librai
et'l'hiron. Vol. XXI. Mai 1906 Nu 125 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Folies traumatiques et accidents du tra
Voir n.12-1, page 305. Archives, 2' série, 1906, l. XXI. 23 354 CLINIQUE MENTALE. hies, des idées fixes et de persécutio
L'amnésie que nous observons chez lui ne rentre dans aucun cadre clinique . Son caractère d'intermittence lui donne un cac
étal dans lequel se trouve Rous ? ; voici tout ce que l'observation clinique nous permet d'affirmer. 356 CLINIQUE MENTALE.
tout ce que l'observation clinique nous permet d'affirmer. 356 CLINIQUE MENTALE. Oas. XV. M. Tissot a présenté, le 28 d
ivil de Valenciennes, audience du 20 no- vembre 1905.) L'histoire clinique de la malade montre chez elle une prédispositio
, Observation \'1 111azill ? trente-quatre ans, célibataire 358 CLINIQUE MENTALE. maréchal ferrant, interné pour paralys
l'extension de fait. « Nous voyons tous les jours, dit-il (Leçons cliniques de l'IIôtel-Dieu, 1903), des gens, domestiques
ée. Il faut qu'il y ait eu quelque modification dans l'état 362 CLINIQUE MENTALE. \ mental du malade, ou tout au moins u
é ap- parente des conséquences psychiques immédiates recou- 364 CLINIQUE MENTALE. vre souvent une altération lente mais
t l'hémi- cranie ; la convulsion n'est pas davantage le seul fait clinique de l'épilepsie. Dans le domaine moteur, il faut
qui comprenait les vomissements comme la partie d'un tout. Le lien clinique de ces deux phéno - mènes pathologiques ne saur
es oculogyres ne peut pas être soutenue, on peut préten- dre que la clinique confirme déplus en plus cette proposition déjà
nées de Lailleul (Nord). FAITS DIVERS Hôpital de la Pitié. Leçons cliniques sur les maladies du système nerveux. - M, le Dr
et Thiron. Vol. XXI. Juin 1906 No 126 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Troubles mentaux dans la sclérose latér
s fréquents et comme formant, en quel- que sorte, partie du tableau clinique de cette affection : ce seraient surtout des ph
telligence, crédulité, niaiserie. Le Professeur Raymond, dans ses Cliniques , considère ces phénomènes comme exceptionnels.
uit cas de sclérose latérale amyotrophique appartenant aux formes cliniques les plus diverses, MM. Raymond et Cestan dé- cl
olobique,30 mai 1905.) Archives, 2° série, 1906, l. XXI. 30 434 CLINIQUE MENTALE. Des ouvrages de psychiatrie les plus r
s malades. C'est donc, en quelque . sorte, un nouveau chapitre de clinique mentale que j'entreprends d'amorcer dans les pa
Du côté de la face, il y a une hémiatrophie de la langue très 43G Clinique mentale. marquée à gauche ;la pointe est déviée
les. A mesure que l'affection progresse, de nouveaux signes 438 CLINIQUE MENTALE. psychopathiques se font jour; c'est un
de dyspnée énorme et passagère ; en ? é ! l\C temps on cons- 440 CLINIQUE MENTALE. tate de l'albumine dans les urines. El
us ceux qui l'entourent. Devenu tout à fait impotent, il suc- 442 CLINIQUE MENTALE. comba le 19 août 1896 à des accidents
Les renseignements de .police délivrés, sur son compte font 444 CLINIQUE MENTALE. connaître ce qui suit : « 11 y a quelq
et actes instinctifs de nature impulsive. Le soupçon qui 440 . CLINIQUE MENTALE a pesé sur le malade, d'avoir à deux re
aux membres gauches. La circonférence du bras droit est de 34 448 CLINIQUE MENTALE. cm. ; celle du gauche de 32 cm. la cir
dons latéraux, dans la Archives, 2. série, 1906, t. XXI. 31 450 CLINIQUE MENTALE. maladie de Charcot, se poursuit au-del
ont que des syndromes, des associa- tions -de symptômes, expression clinique de quelque état général d'infection ou d intoxi
s médullaires, bul- baires et cérébro-psychiques. (1) F. Raymond. Clinique des maladies du système nerveux, pre. mière sér
r centrale de la moelle ; par L. FERRIO. De nombreuses observations cliniques ont démontré l'existence de relations important
topsie d'un malade atteint de vitiligo qui ne présentait à l'examen clinique aucun signe d'affection du système nerveux. Mai
igus ; d) dans la cachexie phtisique.il rap- porte des observations cliniques et anatomo-pathologiques de ces différents cas
2° des lésions légères ; 3° des lésions très légè- res, l'affection clinique est d'autant plus rapidement mortelle que les l
Les auteurs rappellent et précisent la technique de l'hématolo- gie clinique ,puis ils passent en revue les résultats des reche
ome thalamiquc. ml. DéjeriNe et llbussy en précisent les caractères cliniques : la Une lésion intéressant le noyau externe du
er- tolotti, 198. Canalicules. Voir Cellules. Cécité. Relations cliniques de la la paralysie générale et le labes, par
après Iluon de Villeneuve, 427. Désintégration cérébrale. Etude clinique et anatomo-palhologi- que sur les lacunes de -,
IIneL et Lejonne. ,154. - Contribution anatomo-patholo- gique et clinique il l'élude des rapports de la syphilis et de la
14 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ILII.( : S()US LA DIIiRC'l'ION 11F : mn. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Agile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Agile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système lier* eux a lu facu
es 1899 Vol. VIII. Juillet 1899. N° 43 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. L'IDEE FIXE; Par le 1), P. KEHAVAL,
e terme est passé tel quel dans Archives, '2" série, t. VIII. 1 2 CLINIQUE MENTALE. toutes les langues en subissant à pein
d ' L'Idée fixe et son rôle en pathologie mentale. Ville, 1898. 4 CLINIQUE MENTALE. un enfant fixe à son avenir le but de
- tions d'idées, présentent déjà un élément de fixité. Si l'une 6 CLINIQUE mentale. d'elles prend une importance exception
ne machine à traction ; il plaçait des chevaux dans l'intérieur 8 1 CLINIQUE MENTALE. d'un wagon ; on les faisait tourner ou
l'idée délirante pouvait émaner de l'intelligence ou des sens, 10 CLINIQUE MENTALE. il n'y avait qu'un pas. Faux jugements
précie ses conceptions ad valorent d'après leur teinte senti- 12 li CLINIQUE MENTALE. mentale, d'après la spécificité des vi
qu'il en est de même d'un jugement normal, c'est possible. Et, 14 CLINIQUE MENTALE. en tout cas, il est certain qu'à l'idé
cutent un acte anor- mal. Ces opinions corroborent les nôtres. 16 CLINIQUE MENTALE. Étude clinique. A. Physiologie patho
. Ces opinions corroborent les nôtres. 16 CLINIQUE MENTALE. Étude clinique . A. Physiologie pathologique. - L'idée fixe pat
mmes placé, tout à fait nécessaire d'établir, s'il y a, dans un cas clinique donné, idée prévalente anormale, ou idée préval
e, dans le cadre même de cette Archives, 21 série, t. VIII. 2 lao CLINIQUE mentale. théorie du trouble affectif inhérent a
son erreur, il est incapable de s'en servir utilement ; car, ce 20 clinique mentale. qu'il considérait jadis comme vrai, lu
ntérieure ; exemple, l'obsession par névralgie ou toute autre 22 '2 clinique mentale. sensation physique d'organes. Invariab
sse- ment du jugement, et dominant toutes les pensées,-absence 24 CLINIQUE mentale. de lutte et de rébellion contre l'idée
qui a pu la provoquer. En cet état pas de gué- rison possible. 26 CLINIQUE mentale. Cet avis est aussi celui de Wernicke.
vec le plus d'impartialité possible. l'idée fixe. 27 E. Documents cliniques . Les preuves de l'étude précé- dente sont assez
...., inspecteur de gare, quarante et un ans, marié, est amené à la clinique de Gratz, le 14 aoùl 1882 ; il se croyait le chef
réfléchi 1 Traité de psychiatrie. Édition française, page 536. z8 CLINIQUE MENTALE. .longuement sur la question de savoir
oins et à un bon sommeil, il se remet rapidement et peut quitter la clinique , le 20 août guéri, sauf quelques malaises neura
Loco cilalo. (.Allgemeine Zeitschrift (il Psychiatrie, LI, 1.) 30 CLINIQUE MENTALE. Observation III. Idée fixe dans la mig
otome scintillant exclusif, ne se répercutant point sur le corps 32 CLINIQUE MENTALE.. / ou le cerveau, quelque soit le débu
ution historique, on le voit, est conforme à la gradation des faits cliniques . Cette évolution, hâtons- nous de le dire, n'es
citée les cas pathologiques que nous fournissent l'histoire et la clinique , on verra qu'ils viennent à l'appui de la théorie
u corps. On détacha ce malheureux, on le trans- porta aussitût à la clinique impériale. Aucune plaie n'était mortelle : Lora
alescence de la fièvre typhoïde, peut se présenter sous trois types cliniques , trois syndromes, traduisant l'action élective
aient quelques lésions tuberculeuses si peu prononcées que l'examen clinique n'avait pu les révéler. La maladie avait débuté
teurs de l'autre mémoire, MM. Rodier et Ameline, internes à l'Asile clinique . En 1901, les candidats auront à traiter Du dél
l de la folie sympathique. M. le professeur Joffroy, dans une leçon clinique très remar- quable, a traité incidemment la que
e que substantiel dans le fond, constitue une suite de descriptions cliniques enchai- nées dans un ordre méthodique et simple
ne certaine mesure, aux descriptions, à l'établisse- ment des types cliniques de la syphilis médullaire, » L'auteur glisse ra
judicieux éclairent la bizarrerie et la multiplicité des symptômes cliniques , la difficulté fréquente des commémoratifs étio
ologiske studier over psykisk udviklingsmangler /tûs6o ? 'H (Etudes cliniques et étiologiques sur le développement défectueux
u 28 mai 1899.) Pourquoi ne pas l'avoir dirigé de suite sur l'Asile clinique puis- qu'il u'y avait pas de doute sur la réali
lieu de le trimballer à l'infirmerie du dépôt et de là audit Asile clinique ? 2 FAITS DIVERS. UN bébé TUÉ par UNE fillett
ev, imp. 799 Vol. VIII. Août 1899. N° 44 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. L'IDÉE FIXE ' ; ; Par le 1K P. KRRAV
dévoué, « Napoléon, ç , Il Piiiice Impérial des Français. Il 84 CLINIQUE MENTALE. «Voici mon nom sous lequel j'ai toujou
sélytisme ne duraient pas longtemps, car on se moquait de lui. 86 CLINIQUE MENTALE. Il y a plusieurs années, en 1878, en t
théâtrale parce que la position de comédienne ne lui paraissait 88 CLINIQUE MENTALE. pas assez distinguée. Elle se peint el
cette idée morbide. 'fout entière à ses pensées du moment, elle 90 CLINIQUE MENTALE. ne s'était jamais donné la peine de ré
rd moins systématique et même diffus, ne vint à leur succéder. 92 CLINIQUE MENTALE. Observation X (Personnelle). Dégénéré.
parlé tout à l'heure, et maintenant, cela ne fait aucun doute 94 i CLINIQUE MENTALE. dans mon esprit, il descendait certain
C'est surtout à l'idée fixe du délirant chronique que se rap- 96. CLINIQUE MENTALE. portent les développements nosographiq
ie, on voulut l'assassiner. ' Archives, 2" série, t. VIII. 7 98 CLINIQUE MENTALE. C'est vers cette époque, c'est-à-dire
au même endroit à une personne de sa connaissance, et sur son 100 CLINIQUE MENTALE. compte, il en est convaincu bien qu'il
rbons à la maison desquels les la Trémoille étaient attachés. 102 CLINIQUE MENTALE. Voici d'ailleurs ce qu'il écrit il ce
êtises que j'avais commises, j'allais être roué vif ou brûlé. 104 CLINIQUE MENTALE. « Il faut vous dire que ce n'est que d
t elle exerce sa profession dans une école particulière où elle 106 CLINIQUE mentale. plait par son activité et sa diligence
t point une exagération, mes souffrances sont intolérables. ' 108 CLINIQUE MENTALE. « La machine fait craquer mes os, brid
'est muni de ce pouvoir qu'il a accaparé toutes ses affaires. 110 CLINIQUE MENTALE. Son état actuel est celui du délire de
bservées dans certaines monstruosités'; mais une simple observation clinique sans examen anatomique ne comporte pas une pare
ens internes. Chez cette imbécile, entrée à l'asile avec les signes cliniques d'une paralysie générale associée, le cerveau p
lus consistants, plus durs, peut-être aussi uu peu gonflés. Du côté clinique , la forme de Déjerine se distingue par son évolut
delimiter exactement au point de vue histologique. Au point de vue clinique la malade de M. Toulouse se présente jusqu'à l'
céphalite diffuse. Il n'y a donc pas de concordance entre les faits cliniques et l'autopsie. Il ne croit pas qu'il s'agisse d
e dans une période d'évolution, au point de vue de l'histologie, la clinique en est faite. Le diagnostic, qui semble s'appli
ngestion de ce sel a été la cause du délire observé. Considérations cliniques sur l'avenir des convulsifs infantiles. M. Dufo
un degré plus marqué mêmes troubles diurnes. Le raisonnement, la clinique , l'expérimentation sont d'accord et semblent ét
. ' 9. L'éncrvement ; par le D1' ! lhnGA1N. Il existe un syndrome clinique possible à déterminer et répon- dant à ce que l
s. Leipzig, 1899. Librairie Veit and C°. 130un...EvILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
in que ces données concordent également avec ce que nous apprend la clinique et l'anatomie patholo- gique.. Voilà donc une
Troubles de la sensibilité dans les hémiplégies corticales (Leçons cliniques , 1895). 188 PHYSIOLOGIE. pour point de départ
é paralysé (Revil- lod). Brissaud et Souques ont contesté la valeur clinique de ce symptôme, en observant qu'à l'état normal
observations sont extrêmement intéressantes et réalisent un tableau clinique tout particulier et qui mérite de retenir l'att
pissée par une membrane jaune. » Observation IV (Grasset, in Leç. cliniques , 1898, p. 494). Homme de quarante-cinq ans, ent
ur invoquer un cas d'An- derlya 2 : il s'agissait d'un malade de la clinique de Leyden. âgé de cinquante-deux ans, charpenti
Tournier, Magnus et Grasset, pour établir l'existence d'un tableau clinique tout particulier caractérisé par l'abolition de
celui de Thomson, avait parfaitement -vu .tout l'intérêt du tableau clinique que nous avons décrit. Il assimile absolument c
onclusions. 1° L'anatomie normale, l'expérimentation, l'observation clinique et anatomo-pathologique, s'accordent à démontre
teurs antérieurs ou leurs fibres de projec- tion produit un tableau clinique tout particulier caractérisé par l'abolition de
n 1 (M. Mossé) '. - Femme, soixante-dix-sept ans, hospitalisée à la Clinique des vieillards, service de M. Mossé. Ne prése
edel). C... Léon, cinquante-cinq ans, tailleur d'habits, entre à la clinique du professeur Grasset le 18 février 1898, salle
résumé, si l'ingTavescent apoplexy peut constituer au point de vue clinique une forme d'apoplexie, elle doit cette distinct
en en rapport avec ce que nous avait laissé penser certains faits cliniques qui nous montraient des intermédiaires entre l'
et donne la notion de la position du corps. Voici les confirmations cliniques . Observation I. H..., de quarante-trois ans, to
Le massage combiné avec la gymnastique est bien en vigueur dans la clinique de Hoffa pour les malades atteints REVUE DE THÉ
ystématique de la marche. L'auteur a observé bien longtemps dans la clinique de Hoffa deux enfants chez lesquels les résulta
ique depuis l'âge de vingt ans, qui fut autrefois interné à l'Asile clinique et qui était atteint d'agoraphobie, et en outre
t aussi actif que le suc ovarien de truie. 2° De ses observations cliniques et de celles des auteurs. : les symptômes pénib
te capacité et cette respon- sabilité varient donc suivant la forme clinique du délire et son intensité et aussi, dans chaqu
outes les obsessions, l'obses- sion-inhibition peut se présenter en clinique sous les formes les plus variées : parmi les pl
irrésistible et d'éveil sexuel, chez une petite fille observée à la clinique des maladies mentales de la Faculté. 17. Moye
oblitération artérielle. Bourggraff (Paul). Contribution ci l'étude clinique et pathogénique du syndrome de l3use ! toiu. -
e gravidique. - Delorme (Lubin-Émile). Contribution à l'étude de la clinique de la - morphinomanie. - Del Pozo (Octave). Du
(Raymond). La puberté et les premiers troubles mens- lruels. Etude clinique . Fauvet (Adolphe). Du traitement de la neurasth
ralysie générale. Rebière-Laborde (Léon). t-ontribtttiolz à l'étude clinique de la fausse angine de poitrine des hystériques
. - qt'fI Vol. VIII. Octobre 1899. N° 46 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE
e. Séance du 1" mars 1898.) Archives, 2' série, t. V111. 17 ï 258 CLINIQUE MENTALE. les cas dans lesquels le délire ne rel
vrais troubles psychiques post-opératoires répondent à un même type clinique : la confusion mentale. Sur ce fond de confusio
Pro- fesseur Jott'roy. Troubles psychiques post-opératoires. (Leçon clinique publiée dans La Presse médicale, 19 mars 1898.)
Discussion au Congrès des médecins aliénistes. Angers, 1898.) 260 CLINIQUE MENTALE. Seule, la clinique peut trancher défin
cins aliénistes. Angers, 1898.) 260 CLINIQUE MENTALE. Seule, la clinique peut trancher définitivement la question. Mais
rès sérieusement compromise; en effet, la plaie opératoire s'in- 26 CLINIQUE MENTALE. fecta, une fièvre intense apparut, et
prête que par intervalles une attention vague et fugitive à ce 264 CLINIQUE MENTALE. qui se passe autour de lui. Toute l'at
mais encore que, dans une certaine mesure, il se rendait compte 266 CLINIQUE MENTALE. de sa position, et que son esprit étai
l'axillaire; l'amnésie ne porte que sur les événements qui ont 268 CLINIQUE MENTALE. suivi l'opération; elle parait être ab
rielles, et sur le délire entretenu par ces derniers symptômes. 270 CLINIQUE MENTALE. Mais lorsqu'on le questionne sur la na
infectieux ou auto- toxiques, dit M. Régis ', ont tous pour formule clinique la confusion mentale. Le délire toxi-infectieux
s les cas, à une intoxication, et semble en être la caractéristique clinique . » Il nous paraîl donc légitime de penser qu'il
-intoxication et d'infection. (Presse médicale, 3 août 1898.) 272 CLINIQUE MENTALE. une relation de cause à effet. Mais, d
nt dans la genèse de ces trou- ÀRCmvES, 2' série, t. VIII. 18 i 4 CLINIQUE MENTALE. bles psychiques; cet élément, c'est la
gulières d'agitation et de dépression, qui auraient pu, par- 276 CLINIQUE MENTALE. moments, faire prendre pour des vésani
omplètement guéri, sans affaiblissement intellectuel appréciable. CLINIQUE NERVEUSE. DEUX OBSERVATIONS D'HÉMIPLÉGIE AVEC H
rent aucun intérêt, était en traitement pour troubles dyspep- 17S 8 CLINIQUE NERVEUSE. tiques consécutifs à une distension d
côté paralysé. Les mouvements imprimés aux articulations du 280 0 CLINIQUE NERVEUSE. membre supérieur déterminent de vives
' ! % ig. 5. a. substance grise; b, ,eulriculc5j c, lésions. 282 CLINIQUE NERVEUSE. le segment rétro-lenticulaire et le t
sensibilité de la con- jonctive palpébrale du côté parahsé. 284 CLINIQUE NERVEUSE. Il n'a pas été possible de prendre le
e la nature et de la palhogénie de ces phénomènes ; peut-être 28G CLINIQUE NERVEUSE. trouverait-on dans certains cas la ra
vingt ans, qui avait toujours été bien réglée ; 5° une manie 288 CLINIQUE NERVEUSE. intermittente, chez une malade de vin
is, outre qu'il est difficile Archives, 20 série, t. VIII. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. d'imaginer qu'un état congestif du ce
Montréal, avec présentation du malade guéri. Très fine observation clinique sur un cas diagnostiqué tubes par un professeur
ves. M. Marinesco pense avoir démontré que la conception analomo- clinique de la névrite ascendante est absolument fondée. L
ent à établir des variétés fixées par la prédominance des symptômes cliniques : tabes dorsalis, tabes supérieur. L'auteur tro
ntée sans le moindre résultat. A. M. XXXI. Sclérose en plaques. - Clinique du P1' de Rrnzi. (1'coua Riuislc clinico thercc
-unes l'auteur regarde comme démontrée, fondée sur des observations cliniques , l'existence d'une psycho- névrose syphilitique
s la parole et guérit com- plètement. Après analyse des symptômes cliniques F... s'arrête au diagnos- tic d'encéphalite, et
en s'appuyant sur de nombreux documents personnels, empruntés à la clinique du professeur Raymond ou au service de M. Bourn
Bourneville à l'hospice de Bicêtre. Sur le terrain de l'observation clinique , l'étiologie et les symp- tômes de la maladie d
, renforcer cette con- clusion unicistc, basée sur les observations cliniques . L'auteur commence logiquement son étude par de
d'eux, M. Cestan a su donner sa note originale, basée sur des faits cliniques et anatomo-pathologiques, très heureusement cho
de la Faculté de Méde- cine de Montréal, est riche en observations cliniques et en discus- sions casuistiques. Bien que le n
27 juillet). BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Bourneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
. - 1099 Vol. VIII. Novembre 1899. N° 47 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. SYNDROME DE LANDRY PAU LÉSIONS EXCLUS
st dans ce but que nous publions cette observation, recueillie à la clinique du professeur Bondet, avec des résultats histol
dérations générales que ce cas nous a suggérées. , I. Observation clinique . Observation. - R... Guillaume, cinquante-huit
lade est apporté à l'hôpital Archives, `3° série, t. VIII. 23 354 CLINIQUE NERVEUSE. complètement paralysé. Il vivait seul
bulbe rachidien 1 Fait au laboratoire d'histologie générale. 356 CLINIQUE NERVEUSE. (noyaux de l'hypoglosse et du vague)
inférieur du névraxe : ce que faisait prévoir du reste, l'évolution clinique de J'affec- tion. Au niveau du renflement lom
plusieurs observateurs (Ballet et Marinesco) qui ont étudié les 358 CLINIQUE NERVEUSE. lésions secondaires des cellules d'or
entrifuges des racines posté- rieures, (Thèse de Lyon. 189î.) 360 CLINIQUE NERVEUSE. de leur protoplasma. Après fixation p
out dendrilc. Or nous n'avons pu trouver de relation constante 36 CLINIQUE NERVEUSE. entre cette disparition, cet aspect c
d'autres fois tout le corps cellulaire et allant même jusqu'à 364 CLINIQUE NERVEUSE. masquer le noyau. Suivant les différe
en diffère absolument par la longue végétabihté des cultures 366 CLINIQUE NERVEUSE. - en bouillon que nous avons pu réens
1898. Épidémie de paralysie ascendante d'origine infectieuse. 368 CLINIQUE NERVEUSE. pression exercée sur la moelle par la
re altération du système nerveux, ce qui explique la pureté du type clinique : myélite ascendante aiguë à forme exclusivemen
n'existe pas, croyons-nous, où les lésions des éléments 1 Raymond. Clinique des maladies du système nerveux, 1896. , Giraud
Josué. Presse médicale, 1898. Archivas, 2» série, t. VIII. 't 370 CLINIQUE NERVEUSE. nobles ne soient accompagnées d'altér
ment encore, Krewer2 a tenté d'établir, d'après quatre observations cliniques et anatomo-pathologiques que la maladie de Land
pcs ' Bodin. Les paralysies ascendantes. (Thèse Paris, 189G.) 373 CLINIQUE NERVEUSE. cliniques. Sans doute une telle divis
ralysies ascendantes. (Thèse Paris, 189G.) 373 CLINIQUE NERVEUSE. cliniques . Sans doute une telle division, outre qu'elle aur
le de créer plutôt que d'éviter une confusion, puisque des tableaux cliniques assez différents et des lésions anatomiques mul
e un peu tard de vouloir ratta- cher à autre chose qu'à un syndrome clinique . En tout cas il n'est pas sans intérêt (quitte
entant cet avan- tage de correspondre, comme la nôtre, à un tableau clinique bien net, sans adjonction de symptômes accessoi
nguer des types pathologiques extrêmes différenciés par leur allure clinique et leur systématisation anatomo-pathologique, n
ptômes uniquement moteurs. ' Raymond. Presse médicale, 1896, p. 29. Clinique des maladies du système nerveux, 1896. HALLUC
de vue pathogénique ces affections de la moelle et des méninges. CLINIQUE MENTALE. LES HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VER
llucina- tions dans ses recherches sur les maladies mentales. 374 CLINIQUE MENTALE. sous. le n4)m d'hallucinations psychiq
ologie, 1892, mars et mai). II Roubinovitch. Contribution à l'étude clinique des hallucinations verbales psycho-motrices (An
es étudier dans les différentes formes de vésanies, au hasard de la clinique . Sont-elles d'abord compatibles avec la raison
ations unilatérales (Arch. de neurologie, 1896). * Magnan. Leçons cliniques sur les maladies mentales, 1897, p. 17. 3 maiso
tions, p. 578. 6 Ballet. Le langage intérieur, 1886, p. 64. 331(6 CLINIQUE MENTALE. MM. Séglas et Londe' ont publié des ob
La malade s'étonnait que la voix intérieure parlât en son nom, 378 CLINIQUE MENTALE. répondant comme pour elle; mais souven
psycho- motrice verbale. facteur il Paris, tlente-six ans. 380 CLINIQUE MENTALE. Père alcoolique, mort; s'enivrait souv
e trouvant très malade, on le fit interner. Il est arrivé à l'Asile clinique le 1-j mars 180T, nous l'examinons le lendemain
ession du poison. 01l-"IIV.TIO-i III (Service de M. Magnan, asile clinique ). Dégrnr- rescence mentale et lourde hérédité :
rature, lisait beaucoup de romans, et aimait bien la musique. 382 CLINIQUE MENTALE. On voit que T... chargé par une lourde
fait a été observé plusieurs fois. Comme le malade de M. Val- 384 CLINIQUE MENTALE. Ion ', notre malade a eu des idées mys
ups de sifflet. Il a remarqué Archives, 21 séi ie, t. VIII 25 38G CLINIQUE MENTALE. que le coup de sifflet perçu par l'ore
à mort chez lui. Il fut arrêté et envoyé au dépôt. Arrivé à l'Asile clinique le 25 juillet 1897, nous le voyons le troi- siè
1880, p. 100. a Séglas, Progrès médical, 1888, p. 125. 388 v ' CLINIQUE MENTALE. Il est indispensable de voir ce qui se
rs de la parole articulée. (Bulletin médical, 2U juin ]89 ? ) 390 CLINIQUE MENTALE. ou des états faibles d'innervation pér
n a appelée à tort pigment et qui dérive par voie de transformation clinique , des éléments chromatophiles. Cette réaction de
weuthal, Auerbach, Quensel, Held, Monakow, Molt et les observations cliniques de Bruns, Pa- trick, Hoche, de Soelder. Dans no
premier cas, tabes dorsal au stage paralytique, il y avait évidence clinique d'un excès de liquide cérébro-spinal. Après la
tion partout où il en est sorti ; telle est la base scientifique et clinique du traitement. Tout le succès du traitement c
anciens internes des asiles de la Seine, ont été nommés chefs de la clinique des maladies mentales, à la suite du dernier co
. - 1199 Vol. VIII. Décembre 1899. N° 48 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. FOYERS DE RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET
à relever dans le mémoire des Archives, 2. série, t. VIII. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. auteurs, car elle montre que la quest
, c'est que le résultat, auquel conduit l'analyse de tous les faits cliniques , est franchement nul. Un seul résultat positif
u par excitation, pression, dégé- nérescence secondaire. Le tableau clinique est, dans ces cas, celui de l'imbécillité progr
en foyer, remarquables autant par la localisation des lésions 436 CLINIQUE NERVEUSE. que par leur étendue. Cinq des malade
ue considérable de l'infarctus, il ne se traduit par aucun symptôme clinique localisé du côté des appareils de relation, tan
énie de ces différents ramollissements et en restant sur le terrain clinique . Observation I. Femme de quarante ans, sans hér
es, particulièrement de la vue et du goût. Contractures du côté 438 CLINIQUE NERVEUSE. gauche, suivies d'une inertie absolue
violente avec hallucinations terrifiantes et fièvre qui a dis- 440 CLINIQUE NERVEUSE. paru au moment de l'admission. Il ne
, aux recherches qui ont été faites sur l'anatomo- pathologie et la clinique somatique du ramollissement céré- bral. Il n'es
rdent de généraliser hâtivement et de chercher à dresser le tableau clinique de l'état mental qui accompagne les foyers de r
z des alcooliques - nous autorisera, toutes autres con- sidérations cliniques mises à part, à considérer comme très probable
pandirent rapidement en Allemagne : Reil (1759-1813), professeur de clinique interne à Berlin, demande que les asiles d'alié
berg bei Kaisersxverlh, 1883, p. 3.\, et ï : i, ' Scliùle. Traité clinique des maladies mentales, 18li. (l'raLlllct. fran-
ses élèves Bernstein et Rybakov expérimen- tent cette méthode à la clinique psychiatrique de Moscou. A. Bernstein publie, e
ialr., 189G, p. 5.) LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES. 457 A la clinique de l'Académie militaire de médecine de Saint-Pé
services de MM. Magnanà l'admission de Sainte-Anne, Joilroy à la clinique des maladies mentales, Briand et Toulouse à l'a
PROPOS DE QUELQUES TRAVAUX RÉCENTS; - Par llewu VERGER, Chef de clinique médicale à l'Unhcl'sile de Bordeaux. L'étude du
° La notion des mouvements actils perçue à l'occasion 1 Abba. Elude clinique des troubles de la sensibilité générale, des sens
aisé de voir que si cette division répond à des nécessités d'examen clinique , elle doit être simplifiée au point de vue phys
ations musculaires antérieurement perçues. Or, ' .1. Pitres. Leçons cliniques siii l'hystérie. Paris, 1891, \ol. I, p. 110.
eur, la névrite était purement motrice et localisée, comme l'examen clinique avait permis de le constater, au nerf sciatique
les régions antérieure et interne. Au point de vue du diagnostic clinique , lorsque, chez un épilep- tique avéré ou indivi
. HExscuEa. (Neurolog. Cet'ft ? XVII, 1898.) Observation purement clinique . Homme de soixante-dix ans ayant été l'objet de
ll'olog. Centralbl., XVII, 1898.) En sous-titre : Contribution à la clinique des névrites optiques pures et concomitantes.
ubital et médian) s'anastomosent les uns avec les autres; les faits cliniques semblent donc indiquer, que dans un assez grand
La malade présentait une paralysie radiale, qui, par sa physionomie clinique et surtout par ses réac- tions électriques (sig
ésion bulbaire constante dans .la syringomyélie avancée : sa valeur clinique pour la palho- génie des anesthésies syringomyé
à la premiere classe du cadre; M. le D1' Taule, directeur à l'Asile clinique (Sainte-Anne), admis à faire valoir ses droits
néral du Ministère de l'In- térieur, est nommé directeur de l'Asile clinique (Sainte-Anne) 528 FAITS DIVERS. (septembre);
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine, asile Clinique , asiles de Vaucluse, Ville-Evrard et Villejuif. L
undi 6 novembre 1899, à 1 heure précise, il a été ouvert, à l'Asile Clinique , rue Cabanis, n°l, à Paris, un concours pour la
hi- rurgien de Beaujon. M. Thiroloix, médecin des hôpitaux. Asile clinique . Clinique. des maladies mentales : M. le pro- f
ien de Beaujon. M. Thiroloix, médecin des hôpitaux. Asile clinique. Clinique . des maladies mentales : M. le pro- fesseur Jof
r Joffroy, mercredi et samedi, à 9 h. 1/2. - ai. Magnan : Exercices cliniques sur le diagnostic de la folie, le vendredi à 9 1/
Toulouse. - Le mercredi à 9 h. 1/2 visite du service. Confé- rences cliniques au lit des malades. Hospice de la SALPÊTRIÈRE.
cliniques au lit des malades. Hospice de la SALPÊTRIÈRE. - Cours de clinique des maladies du système nerveux (Professeur M.
M. Gilles de la Tou- rette, chargé de cours, a commencé le cours de clinique des ma- ladies du système nerveux le vendredi 2
périeure gauche, par Ka- lischer, 320. Convulsifs. Considérations cliniques sur l'avenir des infantiles, par Du four, Mar
- chez les aliénés, par Téré et Lance, 140. Développement. Eludes cliniques et étiologiques sur le défectueux de l'intell
15 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ISLIIsN SOUS LA DIfIF : C'l'ION DR 1111. A. JOFFROY Piolesscur de clinique des ma1nùles mentales à la (-'acuité de méd
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Allllc). F. RAYMOND Professeur de clin
ecin de l'Asile clinique (Sle-Allllc). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facult
04 II, Vol. XVIII. Juillet 1904. N° 103. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE, , .' Médiumnité délirante; i. 1 .
i- rilisme 1, mais il faut en compléter le cadre pathologique. La clinique permet toujours de relever des détails restés d
Spiritisme devant la Science. Archives, 2' série, t. XVIII. 1 2 CLINIQUE mentale. cation rationnelle et critique de leur
les nommer Allan Kardec dans le livie e des médiums, p. 310. , 4 CLINIQUE MENTALE. entraînement spirite préalable du suje
ande influence sur la marche de ses Phénomènes dans la suite. 0 6 CLINIQUE MENTALE. '- Au printemps 1901, l'état nerveux d
la céphalée, des crises de larmes, une fatigue précoce et doulou- 8 CLINIQUE MENTALE. reuse au moindre effort, des troubles
apparent pendant lesquels tout allait si bien qu'elle put faire 10 CLINIQUE MENTALE. venir sa fille auprès d'elle, Cam...,
oigner. Mais à l'arrivée de cette parente et avant de l'avoir 14 Il CLINIQUE MENTALE. vue, Cam... prétendit qu'elle avait vu
u un dessin médianimique accompagné d'un message. Ce graphique 16 CLINIQUE MENTALE. est constitué par un point noir, arron
, t. XVIII. 2 l'ig. - Dessin médianimique (novembre 1901). ,1,8 » CLINIQUE MENTALE. Tous les dessins de cette époque, comb
té), on ne la voit pas de la terre, elle est superbe d'éclat » 20 CLINIQUE MENTALE. par quelques mots seulement : « Fouet
ations immédiatement après. MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 23 Fig. 7. 24 CLINIQUE MENTALE. « nement dans l'amonr appelé perfectio
" aux âmes qu'on juge les hommes, non aux corps, seuls signes 26 CLINIQUE MENTALE. « distinctifs des races, les questions
tan. 11 fait, dans ce travail, une étude indiquant la phy- sionomie clinique , la place en histologie pathologique et la parent
rologique, août 1903). E. B. XIV. Le spasme facial ; ses caractères cliniques distinctifs ; par Henry Meige. Ce travail rel
PANEGROSSI, (Riv. Sp. difren. 1903, fasc. 1, t. II). Observations cliniques et étude d'ensemble constituant une véritable m
Iconog. de la Salpêtrière, n° 1, 1903.) Les nombreuses observations cliniques qui constituent à l'heure actuelle le domaine d
ument intactes, et que la trophicité seule est altérée. Ce syndrome clinique per- met d'éliminer, dans la recherche de la ca
Myopathique typique par son histoire et l'ensemble des carac- tères cliniques : absence de caractère familial, mais hérédité ne
psie d'un paralytique général; par MM. Joffroy et Gombault. Etude clinique et anatomopathologique des plus intéressantes d
ache d'ordinaire au niveau du trou auditif interne. Au point de vue clinique , le principal élément de diagnostic, celui qui
s atteints de spondylose rhyzomélique typique, tant au point de vue clinique qu'anatomique. Ils présentaient en outre des lé
adipose douloureuse doit être couservée en nosographie. Ce syndrome clinique a peut-être des rapports avec les lipomes symét
CrERATH) décrivent des cas de psychose de KOHSAKOFF sans phénomènes cliniques neuritiques, mais il faut remarquer que dans pa
clusion, les rapporteurs ont cité un cas de ce genre, observé à la Clinique Psychiatrique de Moscou, où il y avait un tableau
s la représentons. Pour la poliomyélite est néces- saire le tableau clinique ainsi que le tableau anatomique, et dans le cas
- 6-1904. Vol. XVIII. Août 1904. N° 104. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES MALADIES NEUVE USES. - L
I. Août 1904. N° 104. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES MALADIES NEUVE USES. - LA SALP1 : TIIIGItE
20 mai 1901, recueillie et publiée par le "' COi7S1'EMSOUX, chef de clinique adjoint. Archives, 21 série, t. XVIII. 7 98 c
OUX, chef de clinique adjoint. Archives, 21 série, t. XVIII. 7 98 clinique nerveuse. été, au moyen âge, dans notre pays, u
et les réactions qu'il provoque dans les tissus donne au tableau clinique telle physionomie particulière; du même coup on
n- tique. Procédons maintenant à l'examen des symptômes que 100 CLINIQUE NERVEUSE. nous observons au membre supérieur ga
nce moniliforme. Ces altérations sont particulièrement accen- 102 CLINIQUE NERVEUSE. tuées au niveau du cubital et du médi
us relevons encore, de ce côté, nombre de symptômes Fig 15. 104 , CLINIQUE NERVEUSE. importants, intéressant à la fois la
vif de cette affection ne faisait ici défaut. 1 1 Fig. 17. tUb CLINIQUE NERVEUSE. La région sus-orbitaire droite, au ni
la paupière supérieure : cette infiltration est Fig 1 ! 1. 108 . CLINIQUE NERVEUSE. assez accentuée pour empêcher l'occlu
e et à souffrir du bas-ventre, en même temps que de nouvelles 110 CLINIQUE NERVEUSE. plaques apparaissent au niveau des br
examen des réactions électriques, corroborant les résul- tats de la clinique , accusait une diminution de l'excitabilité l'ar
o- interne du bras droit, une large macule brunâtre que nous ll . CLINIQUE NERVEUSE. , avons vue depuis desquamer et pâlir
age des malléoles. Archives, 2- série, t. XVIII. 8 . li. '1 114 CLINIQUE NERVEUSE. i L'étude de la sensibilité n'était p
aissant à sa suite une ulcération cratériforme, 1'ér. 25. lui[8 m CLINIQUE NERVEUSE., 1 laquelle a persisté. Ces symptômes
. Ces symptômes ont été les seuls qui .soient venus modifier l'état clinique de notre malade. Si vous comparez entre elles l
aux et avec retentissement sur l'état général : quant aux symptômes cliniques eux-mêmes, ils sont remarquablement identiques
devrons analyser de près chacun des éléments que nous fournit la clinique afin d'y pouvoir répondre de façon affirmative :
elle comme chez les deux précédents nous avons les mêmes caractères cliniques objectifs, les mêmes troubles des réac- tions é
i- liales n'étaient point encore décrites ; 2° que les caractères cliniques de l'hystérie, surtout .pour ce qui concerne les
est plus en présence de la maladie type de Duchenne, que vous 120 CLINIQUE NERVEUSE. vous trouvez. Ici nous n'avons pas à
e progressive pour que, jusqu'en 1882. tout au moins sur le terrain clinique , on l'ait confondue avec cette dernière : je ve
s ces dernières années et combien variés sont aujourd'hui les types cliniques décrits par les auteurs. Il en est un que je ve
le nom de paréso-analgésie d extrémités supérieures. L'association clinique de la paralys des analgésies et des troubles tr
avérées peuvent réaliser du côté des membres supérieurs un tableau clinique rappelant de tous points la maladie de Morvan,
lépreux, la lèpre affectant dans cette région une forme lar- 122 CLINIQUE NERVEUSE. vée spéciale, mais demeurant par sa n
i de la signification du syndrome de Morvan. En face d'un tableau clinique caractérisé par des paralysies-et des atrophies m
lois relatives au mariage des lépreux. Mais c'est sans contre- 124 CLINIQUE NERVEUSE. dit au moyen âge, à l'époque des croi
et pénétreraient dans l'épaisseur de la peau à la laveur des 126 CLINIQUE NERVEUSE. ,\ moindres érosions : je vous signal
de semblables lésions au point de vue de la structure et. du 128 CLINIQUE NERVEUSE. fonctionnement des tubes nerveux. Agi
mportante et régulière dont t Archives, 2' série, t. xV111. 9 130 CLINIQUE MENTALE. a bénéficié notre malade dans ces dern
a diffusion d'une maladie contagieuse et par conséquent évitable. CLINIQUE MENTALE. Médiumnité délirante 1 ; r PAR R
que naguère elle condensait en style sentencieux pour com- /' 132 CLINIQUE MENTALE. poser son recueil de pensées. Ce manus
e " soi-même sans attendre seulement ma venue, car je demeure 134 CLINIQUE MENTALE. " « ici pour semer nos idées. Il me di
établit la cadence. Sa poésie fourmille de fautes semblables. 136 CLINIQUE MENTALE. ses travaux poétiques, elle l'appelle
prenons en employant même les termes et les menaces qui sont 138 CLINIQUE MENTALE. les nôtres. Au mois de janvier, par ex
ctuellement tout reste dans l'ordre depuis juillet 1902. Cam... 140 CLINIQUE MENTALE. ne parle plus de faire tourner des tab
e pas suivi dans sa longue convalescence, pendant laquelle se 142 CLINIQUE MENTALE. sont continuées ses manifestations méd
des prédispositions à ces délires est étonnant quand on y 144 Il CLINIQUE MENTALE. regarde de près, beaucoup n'y glissent
changé qu'après son coup de AncmvLS, 2« série, t. XVIII. 10 146 . CLINIQUE MENTALE. soleil, il devenait de plus en plus ir
nde si c'est la mort qui va l'atteindre. Dans la uuit l'esprit. 148 CLINIQUE MENTALE. de D... se manifeste et lui dit : «Lai
la transition entre son état de névrose antérieur, caractérisé ho CLINIQUE MENTALE. par ses grandes phobies ' et son délir
problèmes d'histologie pure. Pour arriver à rattacher la modalité clinique à la lésion, il faut, avant tout, interpréter cor
roduits, de rattacher chacun de ces détails évolutifs aux symptômes cliniques . L'expérimentation n'a-t-elle pas éclairé les i
liser les éléments nerveux affectés, non pas à rattacher les signes cliniques à la lésion anatomique, mais bien à rechercher
et moteur du sous-épineux, mais vous n'avez pas dé- celé le réflexe clinique dont la nature a été élucidée par mes expérienc
uë, S.-N. DEIÆKTORSKY, - Le malade, de quinze ans, s'adressa à la Clinique des maladies nerveuses le 11 janvier 1903, se pla
pas les tiraillements « fibrillaires », mais présentent le tableau clinique décrit par SCHULTT,E sous le nom de myokymie. Le
veau s'est associé après. Cela donne à penser que dans le cas de la clinique du professeur BECHTEREFF, où les nerfs périphér
bre chez le même malade. La proportion serait, par malade : . 202 CLINIQUE MENTALE. il concluait que la pathogénie de ces
apide, ni leur nombre aug- menté dans les cas de maladie du foie. CLINIQUE MENTALE, La phobie du regard ; Par le Dr P. H
pour Protéger leurs prunelles contre les regards d'autrui. , 204 CLINIQUE MENTALE. Tel est à peu près, à son degré d'inte
crus mourir de honte. Que n'avais-je lu alors le « Rouge et le 206 CLINIQUE MENTALE. Noir ». J'étais dans le même milieu qu
Ce sont les regards fixés sur son visage qui lui sont les plus 208 CLINIQUE MENTALE. pénibles. Afin d'être moins aperçue, e
s nou- velles en psychiatrie. Nous exposerons d'abord les raisons cliniques , anatomiques et étiologiques qui empêchent de c
re actionnée par des causes accidentelles pour réaliser le syndrome clinique de la démence précoce et nous avons émis l'hypo
ades dont ils ont examiné les centres nerveux. Après les réserves cliniques que nous venons de faire, il est peut- être un
e pardonnera SOCIÉTÉS SAVANTES. 221 d'être bref sur les arguments cliniques qui peuvent être invoqués à l'appui de l'origin
rte com- plète de l'intelligence. Parfois, du reste, les caractères cliniques de ce déficit intellectuel, qui s'affirme encor
anatomie patho- logique nous permettront de faire, pour le syndrome clinique de la démence, ce qui a été si heureusement réa
quables travaux de Bourneville et de ses élèves, pour le syndrome clinique de l'idiotie. En s'appuyant sur ces considérati
linique de l'idiotie. En s'appuyant sur ces considérations purement cliniques , on serait donc en droit de nier aujonrd'hui l'
is longtemps, l'anatomie pathologique avait devancé sur ce point la clinique , en établissant l'existence, dans tous les cas
on entre les démences organiques et les démences vésaniques. » La clinique nous ayant déjà fourni la même réponse, c'est à
logie est incertaine, sa pathogénie difficile à établir; son exposé clinique enfin n'est que partiellement exact. Il est cer
émence précoce, tout en reconnaissant que ce sont surtout des faits cliniques qu'il a observés, et bien observés, mais que le
eux, où sont exposés avec précision tous les faits expérimentaux et cliniques apportés par les diffé- rents auteurs et par le
nécessaire de créer des termes pour ces offices bulbaires, dont la clinique ne note .que les défaillances, les variations n
mentale entre le tic, phénomène psychique, cortical, aux caractères cliniques si particuliers et le spasme, phénomène organiq
mérites du radium en thérapeuti- que nerveuse. Sur l'exploration clinique du sens musculaire. M. le Dr En. Claparède. (de
mesurer l'état de la sensibilité profonde, il est le plus simple en clinique , de faire comparer des poids; on peut aussi fai
'auteur a examiné la suggestibi- lité chez les nerveux soignés à la clinique du Professeur Dubois, de Berne, en les soumetta
n, la latéro-station droite n'a donné que des insuccès. Relations cliniques de la cécité avec la paralysie générale et le t
ventail. Nous, croyons donc que ce dernier signe n'a pas une valeur clinique \ 0 SOCIÉTÉS SAVANTES. 263 aussi importante
le moment de la fécondation jusqu'à celui de la délivrance. Forme clinique des tics unilatéraux de la face. M. CROCHET (de
ordre professionnel. L'auteur'étudie successivement les cinq formes cliniques de ces tics unilatéraux et montre qu'à chacune
é- nérescence chez l'animal, en particulier chez le cheval (étude clinique .) , MM. Fernand RUDLER et C. CHOMEL. La dégénér
u caractère ; 5° Aux phobies et hallucinations. Cette énumération clinique suffit à établir l'identité entre les stigmates
ship, Pari- naud, Pagenstecher, Ramirez, Ripault, etc. La réalité clinique de la lésion optique (névrite ou atrophie) au c
omènes inflammatoires par propa- gation, explique toutes les formes cliniques , suivant que les lésions mécaniques et inflamma
anneau osseux. ci) Dans le premier cas, il existe des phénomènes cliniques très nets : papillite avec ou sans oedème, vein
en faveur de la nature myopa- thique de cette dernière. Remarques cliniques et thérapeutiques sur quelques tics de l'enfance.
ses attitudes, son langage, sa marche, présente des ressem- blances cliniques frappantes avec les sujets atteints d'hémiplégie
oreille interne. A la suite de nombreuses recherches anatomiques et cliniques j'ai reconnu que, très souvent, les états verti
a déjà fait l'objet d'études nombreuses, mais presque uniquement cliniques . J'apporte au Congrès l'histoire d'un cas dans le
J'apporte au Congrès l'histoire d'un cas dans lequel l'observation- clinique de l'état mental ayant été suivie de l'étude hi
-1904. Vol. XVIII..Octobre 1904. N° 106. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Obsessions et vie sexuelle; P\n LE D
rs ont constaté dans notre Archives, 2' série, t. XVIII. 19 290 . CLINIQUE mentale. pays, et de faire connaître ce 'que no
s punitions corporelles étaient en honneur, mais son père avait 292 CLINIQUE mentale. défendu de les lui appliquer. Au premi
Il en fut ainsi pendant cinq ans. A trente-deux ans, X... dut 294 , CLINIQUE mentale. - changer de résidence, et se séparer
e vis et qu'avec une entière franchise sur mes questions, il me 296 CLINIQUE mentale. fournit tous les détails que j'ai rapp
la prédilection de son collègue dont le souvenir ne l'avait pas 298 CLINIQUE MENTALE. quitté, et il comprit qu'il avait eu t
la Marine, une colonie intertropicale. Dès son arrivée sous les 300 CLINIQUE MENTALE. tropiques, son incontinence nocturne d
s et qu'il couvrait de baisers et léchait un de ses pieds. Y... 302 CLINIQUE MENTALE. ne songea plus à changer, et durant tr
ous un prétexte quelconque se faire sonder par son collègue de la clinique chirurgicale qui lui passa la plus grosse sonde s
ne pratiquait pas, sa clientèle étant exclusivement de Médecine 304 CLINIQUE MENTALE. ordinaire, il avait compris mes raison
e à leurs compagnes, et ils ne cachent rien. PATHOLOGIE MENTALE CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE l'Université DE MOSCOU. Sur le
ement, du contenu des pro- Archives, 2' série, t. XVIII. 20 306 . CLINIQUE MENTALE. cessus obsédants; secondement, cela dé
sur le terrain de la constitution idéo-obsessive donne un tableau clinique particulier de mélancolie avec idées obses- siv
roles et de telles phrases qui contredisaient tout à. fait, sa. 308 CLINIQUE MENTALE. manière de voir. Les idées obsessives
d'une forme hallucinatoire des obsessions morbides ; mais il 310 CLINIQUE MENTALE. n'y avait point ici d'illusions ou d'h
Bien des malades, chez qui on rencontre les symp- tômes psychiques cliniques analogues, sont loin de vouloir parler de si bo
contenu obscène, indécent et cynique. 1 Dans un cas,* observé à la clinique psychiatrique de Moscou, les associations obséd
I., XX, 1901). Observation, sans autopsie, rapprochée des documents cliniques et expérimentaux des auteurs. Il s'agit d'un fo
ypothèse à laquelle Cassirer a essayé d'apporter la première preuve clinique . Son observasion de parésie des neu- vième, dix
903). Nous ne pouvons donner que les conclusions des observations cliniques et des recherches expérimentales de ce mémoire qu
tiformes. Le diagnostic de paralysie générale ressort et du tableau clinique , et des lésions macroscopiques. Les convulsions
extrait glycériné de pancréas. Je crois que cet état est une entité clinique distincte, une nouvelle maladie qui n'a pas été
moires ont été présentés : 1° Contribution à l'étude de l'évolution clinique et anatomo- pathologique des traumatismes du cr
rimentale de irenatria. E. W EIL (Antonin-Clerc). La leucocytose en clinique , vol. in-8° de 182 pages avec 4 figures hors te
0. Vol. XVIII. Novembre 1904. N° 107. ARCHIVES DE NEURO* " " '" CLINIQUE NERVEUSE Epilepsie, pathogénie et indications t
98, p. 97 ; n° 99, p. 206. Archives, 2" série, t. XVIII. 24 370 ' CLINIQUE NERVEUSE. interprétation. Ils prouvent que le b
ciale, nous pouvons cependant assez fréquemment, nos observations cliniques nous permettraient presque de dire toujours, mo
t citoyen de posséder un casier judiciaire vide, il n'est pas 372 CLINIQUE NERVEUSE. moins utile de posséder pour bien agi
re que le dévelop- pement physique et intellectuel progresse. 374 CLINIQUE NERVEUSE. C'est aussi pour prévenir le plus pos
croît d'irritation méningo-cérébrale directe que pour éviter 376 CLINIQUE NERVEUSE. - les conséquences de la vie sédentai
nstruelles, car cette 1 Dont nous verrons plus loin l'action. 378 CLINIQUE NERVEUSE. périodicité régulière permettra d'ins
é d'épilepsie que l'on prend cure de' l'enfant pour lequel on 380 CLINIQUE NERVEUSE. redoute des accidents de nature syphi
ti- nuaient volontiers leurs services. Ce moyen thérapeutique 382 CLINIQUE NERVEUSE. complémentaire utilisé par elles chaq
ions thyroïdiennes ? Il paraît, du reste, ratifié par les résultats cliniques que j'ai obtenus. Donné dans une certaine quant
ion antiseptique . dont bénéficie un peu le tube digestif ? ` 384 CLINIQUE NERVEUSE. Les améliorations obtenues grâce au r
et contrôlés par l'autopsie ou simplement déduits de l'observation clinique et de l'expérimentation, ont établi que les mou
de quinze ans. Cet auteur analysant ' Cité par Nothnagel, in Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encéphale, trad
pé par un kyste rempli de liquide et ' Cité par Nothnagel in Traité clinique , etc., p. 201. 2 Communication faite au 2' Cong
èse sous-corticale de spasmes musculaires isolés. Contribution à la clinique des tumeurs des tubercules quadriju- meaux, ave
O. (Neurol. Centralbl, XXI, 1902, lr, 15, iG, 17.) ,) Observation clinique accompagnée d'étude anatomique et histo- logiqu
logiques actuelles, édifiées sur l'expérimentation et l'observation clinique relatives aux formes convulsives en rapport ave
rminent les états d'idiotie. On connaît bien, grâce à l'observation clinique , le crétinisme et l'idiotie myxoedémateuse qui
thyroïde. Il n'en est pas de même au point de vue de la description clinique des autres états d'idiotie. Au point de vue ana
systèmes de faisceaux. Par l'époque de son appa- rition, son aspect clinique général, sa marche foudroyante, son caractère f
ou d'irradiation, et montre que le premier est réalisé surtout en clinique dans les périlonites, le second dans la colique d
épatiques ou néphrétiques. Il paraît donc légitime mainte- nant, en clinique , en présence de certains syndromes, d'émettre a
Chez cinq d'entre eux, il fut impos- sible de trouver des éléments cliniques clairs. Les cinq autres se décomposent en : une
de l'aliéné et ses mensurations craniennes doivent acquérir un sens clinique , diagnostique et ana- tomopathologique, voire p
lométrie, dp celles qui conviennent à la craniométrie. L'expérience clinique devra déterminer les diamètres et autres mesure
nonce la publication prochaine d'un mémoire sur la question dû à la Clinique de Fribourg. Nonne a vu une guérison dans un ca
cas de tumeur cérébrale. Schünborn a ponctionné 100 malades à la clinique de Ileidelberg. Chez 25 tabétiques il a trouvé
automatiques imités avec coprolalie. L'Ano% n'est pas une espèce clinique ; il comprend des états d'excitation divers avec t
de méd. mentale de Belgique, 1902, nos 104, 105 et 106.) . Etude clinique basée sur 40 cas de démence précoce observés su
véronal ; par 0. M\TTHEY (Neurolog. Cenlralbl. XXII, 1903.) Essais cliniques avec le véronal ; par W. SPIELMlènR (Centralbl.
us les moyens de contrainte sont supprimés. G. D. VI. Statistique clinique des alcooliques traités à l'asile de Bel-Air, e
ivé à notre collègue, le Dr Vallon, le distingué médecin de l'Asile clinique , ramène l'attention sur la ques- tion du régime
En réalité, nous croyons qu'il faut s'en tenir à la distinc- tion clinique en aliénés présumés curables et incurables. Aux
ciaux pour les alié- nés dits criminels et sur la rélégation. 13. CLINIQUE NERVEUSE. Imbécillité; hémiplégie gauche; épile
antes et le lobe pariétal (Soc. Anatomique, 1876, p. 558) , - Notes cliniques sur l'épilepsie partielle (Icono ! ! 1' pho- lo
oumat of Insunily, I, 03, p. 515-525. 3 planches). Après l'exposé clinique et anatomo-pathologique (la moelle ne parait pa
tions sont pour eux de véritables spasmes présentant les caractères cliniques et l'allure évolutive d'une affection organique
é à la piqûre dans le territoire cutané du trijumeau. Ces données cliniques permettent d'affirmer le caractère orga- nique
a systématisation anatomique, de son étiologie et de ses caractères cliniques , il touche en certains cas à l'épilepsie jackso
THOLOGIE NERVEUSE. MM. Pic et Bonnamour mettent en évidence un type clinique rarement observé et qui est constitué par une p
rome artériel. C'est pour cette raison qu'ils désignent ce syndrome clinique sous le nom de parésie spasmodique des vieillar
continuent la discussion diagnostique tendant à établir le tableau clinique de la névrose spéciale dite psychasthénique. LX
vation chez un même sujet jeune fille de dix-huit ans des symptômes cliniques de deux affections différentes, résul- tant de
ymptomatologie des quatre.cas que s'il y a analogie au point de vue clinique , il n'en est pas de même au point de vue pa- th
Iconogr. de la S Ipé(niè : 'e, n° 6, 1903). Intéressante étude de clinique comparée dont voici les conclu- sions : De mê
e conduisant à uneinterventionchirurgicale. L'analyse des symptômes cliniques conduit d'autre part à formuler le dia- gnostic
. XXXVII. Paralysie générale aiguë avec une observation, histoire clinique et anatomie pathologique ; par'' Stewart PATON et
-huit heures après le décès par M. le docteur Ollive, professeur de clinique médicale de l'Ecole de Nantes. Le médecin légis
était inutile..... LE martyrologe DES asiles. L'attentat de l'Asile clinique . La série rouge dont nos asiles s'ensanglantent
Allemagne, de la.. main d'un de ses malades ; et voici qu'à l'asile clinique , le Dr Vallon tombe frappé d'une lame à la nuqu
umas. 435. L'- 'de Galk- hausen, par de Maëre, 435. Sta- tistique clinique des alcooliques traités à l'- de Bel-Air en 190
ovembre, 525. L'affaire de l'- de Nantes : 514. L'attentat de 1'- clinique , 523. Assistance des idiots ; 4-i3. - à domic
e dans le départe- ment de l'Orne, par Coulonjou, 2-i2. Relations cliniques de la cé- cité avec la générale et le ta- bès
. A propos du soi-disant - , par Claparède, 67. Sur l'exploration clinique du musculaire, par Claparède, 245. Sensibil
iel ou idbpathique, - par F¡,ke, 51. Le - facial ; ses caractères cliniques dlstictifs, par Meige, 54. - professionnel, par
nèse sous-corticale de - muscu- laires isolés. Contribution à la clinique des tumeurs des tubei- cules quadrijumeaux avec
tone des sinus, par Good. 322. Tibia. Voir Tabétique. Tics. Forme clinique des - unila- téraux de la face, par Cruchet,
nique des - unila- téraux de la face, par Cruchet, 264. Remarques cliniques et thé- rapeutiques sur quelques de l'enfance
, 428. ' Véronal. Communications sur le-, parMatthey, 432. Essais cliniques avec le -, par Spielmeyer, 432. Expériences a
16 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
T. PUBLIÉE SOUS I.A DIIIEC'IION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Agile clinique (Sle-Annc) F. RAYMOND Professeur de cliniqu
Médecin de l'Agile clinique (Sle-Annc) F. RAYMOND Professeur de clinique Jcs m;nl,nJics du svstemc nerveux à LW'acul
1898 Vol. VI. Juillet 1898. , N° 31 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉN
POSTÉRIEURS ; , . 1 . , ' l'AR ¡ . A. JOFFROY, Professeur de clinique des maladies mentales. ET T Et. RAISAUD, ¡
. RAISAUD, ¡ Chef du laboratoire d'analomic \ ' pathologique à la clinique des maladies * mentales. La question des rapp
ulogne qui, le premier vers 18(i0, tenta d'établir le diagnos ? tic clinique différentiel des deux affections qu'il dit avoir
des aliénistes. Toulouse, 1897. Archives, 2e série, t. VI. t 2 CLINIQUE MENTALE. différente. Baillarger', un peu plus t
chez les médullaires délirants, car, dans ces cas, le diagnostic clinique n'est pas toujours vérifié à l'autopsie. Nous fer
(Annales médico-psychologiques, 1885.) ' Ibidem, p. 191. 1 4 z CLINIQUE MENTALE. quelques-unes de ses observations Cé s
u tabes et de la paralysie générale, les résultats fournis par la clinique et par l'anatomie pathologique sont le plus souve
êter au diagnostic de tabes spinal postérieur. Observation. Asile clinique (Sainte-Anne). , , Service du professeur JOFFRO
fait d'excès alcooliques. . Ce malade a été le sujet d'une leçon clinique : Sur un cas de para- lysie générale juvénile à
pinal, publiée dans la Revue de Psy- clriïrtnie. juin 1S9S. 6 ' CLINIQUE MENTALE. Evolution de la maladie. Le 24 octobre
artères sylviennes, ne présentent pas'de lésions apparentes. 8 CLINIQUE MENTALE.- ' grisâtre et paraissent présenter un
ont normalement constituées; 1 Fi[/. 1. - Moelle lombaire. ) 10 CLINIQUE MENTALE. les fibres ne sont diminuées ni en nom
E, il J Fig. 3. Moelle dorsale. Fig. i. Moelle dorsale. 12 1. CLINIQUE MENTALE» , 1 .vers la périphérie de la moelle;
nt il vient d'être question. Cette Pig. 3. - Moelle dorsale. 14 CLINIQUE MENTALE.. bande malade naît en avant presque im
sseaux est manifeste. FI ? 7. - Moelle cervicale supéie ure. 16 CLINIQUE MENTALE. Écorce cérébrale. L'examen des coupes
oyaux. Le bulbe est sain. Nous ne reviendrons pas sur les détails cliniques . La mala- die a débuté par une paraplégie : l'i
matisation actuellement observée Archives, 2G série, t. M. 2 18 CLINIQUE MENTALE. avec celle du tabes dorsalis pour ce q
bout, nous pourrions dire que la maladie d'un neurone n'est 20 CLINIQUE MENTALE. pas appréciable à son début, lorsqu'il
urs dégéné- rescences. (Archives de Neurologie, L896, no G.) 22 CLINIQUE MENTALE. d'invraisemblable à admettre que la lé
voir en dehors de la sénile des psychoses primaires ' More). Études cliniques , t. II, obs. II. 40 REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
e guérison avec déficiences. Enfin l'auteur rapporte deux histoires cliniques empruntées à l'asile de Newengaarden (à Bergen)
ssement de la cachexie strumiprive. En effet, rapprochant les faits cliniques des faits expérimentaux, M. Brissaud est amené
r E. Bonardi. (Il Morgagni, n°8, 1807.) Observation et discussion cliniques intéressantes parle côté pa- thogénie, Après av
eur E. BO : ÜItOI, (Il Morgagni, n° 10, 1897.) Il s'agit d'un cas clinique , dont l'analyse très détaillée conduit l'auteur
eurt dans le coma un mois après l'accident. En regard des symptômes cliniques minutieusement observés, l'auteur déve- loppe l
ts principaux de ces recherches sont : A. Il n'existait aucun signe clinique permettant d'affirmer le diagnostic de contusion
v. Icoaogr. de la Salpétrière, n° 1, 1898.) Au cours de cette leçon clinique , l'auteur passe en revue les diffé- rentes form
réflexe parti du coeur ou de l'aorte peut détermi- ner le syndrome clinique du goitre exophtalmique. A. FENAYROU. XIV. 11
és de tumeur du corps calleux, se demandent s'il y aquelques signes cliniques permettant de diagnostiqueur la localisation de
(Bull. delle Scienzemediche, n° 4, 1897.) Anamnesliques, histoire clinique , autopsie et examen histolo- gique de la moelle
vers degrés des lésions des centres Irophiques, que l'observation clinique permet de placer dans la substance grise entouran
Dr Grasset. (Nouv. Icono01'. de la Salpétrière, nez3, 1897.) Leçon clinique sur le cas suivant : un homme qui a exercé long
de néphrite subaiguë récente. Chez ces deux malades, la combinaison clinique des deux syn- dromes, méningisme et catalepsie,
froide dans la pra- tique médicale, l'auteur rapporte plusieurs cas cliniques (aphasie hystérique, coxalgie hystérique, rhuma
titielle et 1)(ii-eiteltyni(t- SOCIÉTÉS SAVANTES. 67 teuse), la clinique peut fournir des probabilités en faveur de l'une
), correspondant de l'Académie de Médecine, et le Dr Vires, chef'de clinique . Le livre que MM. Mairet et Vires viennent de c
importance, car il est l'expression d'un très grand nombre de faits cliniques soigneusement analysés et groupés; c'est dire q
s'applique à une conception cli- nique et anatomique. C'est le côté clinique qui a permis à MM. Mairet et Vires de faire de
ue, ils cherchent si l'action de la cause ne donne pas à chaque cas clinique un cachet spécial. De cette délicate analyse de
le processus morbide réalisé par la diathèse. La caractéristi- que clinique de cette paralysie générale diathésique, c'est la
té par attaques, peut être une cause de paralysie générale. L'étude clinique établit que les paralysies générales, par ramol
ique peut produire la 76; bibliographie. paralysie générale; la clinique a confirmé les résultats de l'expéri- mentation
un ou dans l'autre cas se marque de phénomènes de dépression, et la clinique et l'anatomie pathologique décèlent l'artério-s
on diffuse et de dégénération cellulaire, et, par suite, le tableau clinique de la maladie reste le même dans son fond.» S'il
acquises, malgré la non-identité du processus, on retrouve l'imité clinique de la paralysie générale. Derrière cette unité
e l'imité clinique de la paralysie générale. Derrière cette unité clinique , que trouve-t-on comme travail anatomique ? On
nts nobles et sur les autres parties du cerveau ». Malgré l'unité clinique , la paralysie générale n'est pas une dans sa na
auteurs, il faut, avec eux, analyser et synthé- thiser les éléments cliniques qui ont formé leur conviction. - " DUCAMP. VA
à la constatation des lésions spinales de la paralysie générale. La clinique nous laisse entrevoir que cette affection doit
au- tant plus de raison que nous étions en parfait accord avec la clinique . Nous ne l'avons pas fait et nous avons écarté de
s cette maladie. Belmondo2, qui en a étudié 20 cas, au point de vue clinique et anatomique, a trouvé dans la moelle épinière
r Fournier. Quelle cause eut jamais de meilleurs avocals ? Donc, la clinique nous oblige à tenir compte de la syphilis dans
et de la phlébite suspectes. Mais comment ne pas reconnaître que la clinique et l'anatomie pathologique se prêtent ici un mu
'instant, que signaler ces faits curieux à plus 1 Ballet. Leçons de clinique médicale, 1897. Doin, éditeur. . Pal, cité par
communes à un grand nombre de maladies bien différentes, et que la clinique ne saurait tirer aucun profit de leur connaissa
Et, s'il en est ainsi, nous aurons à en tenir compte dans l'examen clinique de nos malades. En effet, puisqu'ils pré- sente
rait sa raison d'être s'il existait une névrite périphérique que la clinique dénonce et que l'anatomie pathologique soupçonn
éraux, par les poisons organiques ou par les toxines. Or, de par la clinique , le paralytique semble bien être intoxiqué, pui
es ana- tomopathologiques de la maladie. De leur connaissance, la clinique peut tirer quelque profit. Puisque la lésion des
; par d : àNGEnIO. (Riv. clinica e therap., n° 3, 1897.) Histoire clinique d'un jeune homme de vingt-quatre ans,qui, par ses
111. SANDER. (Neurolog, Ceitralbl. XVI, 1897.) Longue observation clinique . Démence paralytique compliquée à plusieurs rep
: « Le gigantisme et l'acromégalie ne sont que deux manifestations cliniques d'un même processus ana- tomique. Le gigantisme
thésie hystérique disparaissait donc lais- sant à jour le complexus clinique d'une paralysie par compression. P. KERAVAL.
satisfait l'es- prit, en mettant d'accord les faits anatomiques et cliniques , et en expliquant les résultats curatifs de la
profite de cette étude, et pour les étudiants l'importance de cette clinique externe est des plus grandes : là, en effet, il
sera annexée à chaque hôpital général, comme l'est aujourd'hui une clinique d'optalmologie, par exemple. A. VIGOUROUX.
au sympathique annexé au trijumeau et au pneumogastrique. Les faits cliniques démontrent que c'est une erreur de croire que l
de Vanves. Interne des hôpitaux en 185J., docteur en 1858, chef de clinique de Bouillaud ¡lIa Faculté de Médecine de Paris
tschrift 1 ¡il' hypnotismus, t. V, fasc. 1.) L'auteur a fondé une clinique d'hypnotisme, il Amsterdam, après avoir visité
ndé une clinique d'hypnotisme, il Amsterdam, après avoir visité les cliniques similaires en France. Il nous apprend que l'éco
: 5 francs. Paris, 1897. Librairie 0. Uoin. Grasset (J.). Leçons de clinique médicale faites il l'Hôpital Saint- Eloi de dlo
Jlllp. - 898. Vol. VI. Septembre 1898. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. SYRIi\GOJIYÉLIE ET SARCOMA TOSE DE LA
PATUOGÉNIE DES EXCAVATIONS INTHAMÉDULLAfRES ' 1 Par S. ORLOWSKI. ( Clinique des maladies nerveuses ci la faculté de Moscou.)
que par son extrême rareté. P... (Anne), quatorze ans, entrée à la clinique des maladies ner- veuses le 18 janvier 1896.
ce du 28 novembre 1897. - ' Archives, 2e série, t. VI. 11 f 162 CLINIQUE NERVEUSE. qu'à la maladie actuelle, elle a joui
anés disparaissent. Le 18 de ce mois, la malade est transférée à la clinique des maladies nerveuses. Etat du 18 janvier 18
res très vastes, ulcère profond dans le pli inguinal droit. 164 CLINIQUE NERVEUSE. L'état général de la malade a beaucou
laces on voit des blocs d'une apparence presque amorphe, sans 166 CLINIQUE NERVEUSE. affinité pour les colorants; il paraî
roglie épaisse contenant des blocs de myéline, des corps gra- 168 CLINIQUE NERVEUSE. nuleux, des globules sanguins et un d
dense, riche en faisceaux conjonctifs et en vaisseaux. A ce 170 - CLINIQUE NERVEUSE. niveau nous voyons donc les deux lési
erritoires parait être composé de cellules lymphoïdes à grand 172 CLINIQUE NERVEUSE. noyau mal coloré, de corps granuleux,
sur les parties latérales de la moelle sans pénétrer dans sa 174 CLINIQUE NERVEUSE. substance. Néanmoins les altérations
et infiltrations embryonnaires énormes. A la surface ventrale 176 CLINIQUE NERVEUSE. on voit la néoformation, riche en vai
llal 3, de Busch' et d'Ollivicr ; dans les deux premiers le tableau clinique était 1 olivier, Traité des maladies de la moel
nheilk. 1892, Bd. II, H. ), 6. ARCHIVES, 3'série, t. VI. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE. voie du diagnostic clinique. Le fait
S, 3'série, t. VI. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE. voie du diagnostic clinique . Le fait est que de douze cas con- nus, dans un
e sarcomateuse fut re- connue ultérieurement ; néanmoins le tableau clinique simu- lait si complètement la sclérose en plaqu
ne affection de la colonne vertébrale. A l'entrée de la malade à la clinique , on n'a pu constater qu'une lésion médullaire s
'apercevoir qu'elle prédomine notablement dans l'âge jeune. 180 CLINIQUE NERVEUSE. nous croyons indispensable de résumer
gressif. C'est la dégénération hyaline qui prédomine ; les 18 : 2 CLINIQUE NERVEUSE. parois vasculaires s'épaississent, de
que les coupes au niveau de l'excavation toute développée 184 . CLINIQUE NERVEUSE. (la sixième racine dorsale), mais une
e Syringomyélie. Eille Monographie. Leipzig und Wien, 1895. 186 CLINIQUE NERVEUSE. mière et dernière phase d'un seul pro
w'l, in Folge BllIl- stattug. 1'irchow's Archiv, Bd. LXXXV. 188 CLINIQUE NERVEUSE. chronique produit souvent une dilatat
à quelle forme appartient le cas soumis à l'examen; cette précision clinique est au debut de toute expertise médico- légale
ors que nous voyons apparaître successivement les deux remarquables cliniques du professeur Ma iret, de Montpellier, et la th
deux importantes leçons à l'hôpital Necker, établit une différence clinique très précise entre le delirium tremens et le dé
ndant ces trois, dernières années.. < Nous arrivons enfin à la clinique du professeur Joffroy en mars 212 2 SOCIÉTÉS
scou. Le Congrès a répondu par le télégramme suivant : Professeur Clinique psychiatrique Université impériale. Moscou. «
OCIÉTÉS SAVANTES. 223 «possession b, Cette psychose est une variété clinique de la <t manie «processive » ou paranoïa qll
ouvait être la cause d'une transformation aussi complète du tableau clinique ? C'est seulement l'autopsie qui nous en donna
ssive semblable à celle que nous avons décrite, mais dont la pureté clinique se perdra dans les ma- nifestations morbides an
cation que nous avons inséré plus haut in extenso (p. 189). Etude clinique sur l'obsession. MM. 1\1.-\.RIE et ViGouROUx. L
ompte de dépense met le prix de journée total à 1 fr. 40. Une étude clinique accompagne ce travail cherchant à catégoriser les
logique s'inspirât de ces données physiologiques, expérimentales et cliniques , pour la déter- mination définitive des centres
ât à l'étudiant un stage, si court qu'il soit, dans un asile ou une clinique d'aliénés; il faudrait que l'on s'appliquât à pré
l'on s'appliquât à présenter de temps en temps un aliéné à l'examen clinique ; il se ferait ainsi un peu de décentralisation
UX (de Dun-sur-Auron) communiquent un certain nombre d'observations cliniques concernant des malades ayant présenté des troub
une relation étroite entre l'opération et le délire ; mais l'examen clinique de la malade, son observation complète révèlent
bien choisis, instruits, habiles et spécialement stylés, à l'Asile clinique où l'on prendrait le personnel nécessaire pour
p. - 998. Vol. VI. Octobre 1898. No 34 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. SYRINGOMYELIE; Par Cire L. UHRIOLA
qui ne présente, même dans ses formes les plus bénignes, ses traits cliniques caractéristi- ` ques. Il croit donc qu'il y a e
AlI1wal, art. Leprosy. 1897. Archives, 2e série, t. VI. 18 274 CLINIQUE NERVEUSE. la même lèpre orientale. S'il est vra
s muscles affectés, contractions qui aujourd'hui Fi[l, O, 216 6 CLINIQUE NERVEUSE. encore sont visibles dans divers musc
cutanée. L'analgésie règne dans les deux mem- Fifj. -21. 1. 278 CLINIQUE NERVEUSE. bres supérieurs, sauf dans un espace
us et de phosphates. Au début de ces troubles le malade , , 280 CLINIQUE NERVEUSE. ne pouvait uriner qu'en prenant la mê
Leçons sur les maladies nerveuses. 1 Fi[l, 23. Fig, 2f. 282 CLINIQUE NERVEUSE. bien que la dissociation de la sensib
ercepita come una stunu- lazione fortisima (iperestesia) ». 284 CLINIQUE NERVEUSE. du complexe symptomatique de la malad
on descrita. (La Ri forma Medica, vol. II. n" 61 à 65, 1894.) ' CLINIQUE MENTALE. TUBERCULOSE ET ALIENATION MENTALE CO
er ici. Ils montrent une fois de plus l'importance de l'observation clinique , l'utilité de l'étude complète de toutes les ci
habite, ni le temps qu'elle a passé à l'hôpital, etc... Elle 286 CLINIQUE MENTALE. : refuse absolument de se nourrir et a
des deux sommets,- constatée, du reste, par trois pro- fesseurs de clinique médicale. Au point de vue psychique, nous noton
er- médiaire du nerf pharyngien. D'accord avec la physiologie, la clinique montre qu'il existe des faits de paralysie du v
conclusions, mais M. Lermoyez regarde néanmoins comme une exception clinique celle association d'une paralysie du voile avec
inflammatoire des centres nerveux vis-à-vis du parasite. Le tableau clinique de celte affection a été, d'une façon géné- ral
alcoo lique; par A. Luppi. (Il Morgagni, n° 3, 1898.) Observation clinique non suivie d'autopsie. Il s'agit d'un homme de
maladie de Duchenne et celle de Charcot comme de simples modalités cliniques (Leyden, Kakler et Pick) d'une même - affection
teur périphérique et neurone moteur intercalaire) ; au point de vue clinique , l'existence des phénomènes spasmodiques et la ra
ine arthritique héréditaire de l'affection. A. Marie. LXVI. Notes cliniques SUR la maladie D'rDDISON; par B. BrAU- WELL. (B
ssique établie par l'école de la Salpêtrière, avec les trois phases cliniques , tonique, clonique et excitation émotionnelle f
e l'intoxication (tétanos). Elles donnent lieu à des manifestations cliniques , lorsque, par suite de leur confluence progress
ômes sont trop complexes pour permettre de formuler une description clinique applicable aux tumeurs du bulbe. Cette complexi
des éléments nerveux du bulbe. Et cette notion éclaire l'évolution clinique présentée par le malade. La tumeur s'insinuant
ui ne rentre dans aucune des catégories connues, ni au point de vue clinique , ni au point de vue anatomique. Ce n'est ni une
E PATHOLOGIQUES. rieures. On constale encore l'absence de symptômes cliniques en rapport avec une série d'altérations analomi
érables pour l'excitation (Wertheimer et Salomonson). ' C. Etudes cliniques . - 1° Quelle est l'importance diagnostique des
. le professeur Joffroy l'occasion d'étudier dans une de ses leçons cliniques l'étiologie des troubles psychiques post-opératoi
cardio-vascu- laire, ils exposent le résultat de leurs observations cliniques . Chez certains malades neurasthéniques, ils ont
rit et présenta des troubles gastro-intestinaux. Elle entra dans la clinique psychiatrique, où l'on procéda au sevrage rapid
et pyélonéphrite avec fièvre. Mort le 14 février 1896. Diagnostic clinique : tabes dorsales. A1'autopsie on constate : uro
même ordre et du plus haut intérêt. Lorsque fut créée la chaire de Clinique des maladies du système nerveux en 1882, Richer
vince. Sont nommés par acclamation : 111111. Pierret, professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de Lyon, méd
- 1098. Vol. VI. Novembre 1898. N° 35 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. HÉPATISME ET PSYCHOSES ; Par le D' A
'ordre du jour. Ayant eu récemment l'occasion d'observer deux faits cliniques où ce problème d'étiologie et de patho- génie s
arthritiques ont souvent une Archives, 2° série, t. \'1. 23 354 CLINIQUE mentale. prédisposition héréditaire aux. troubl
du foie et folie (Société de biologie, 30 juil- let 1892). 356 CLINIQUE MENTALE. délires des alcooliques surtout que l'
et la folie brightique, de naissance plus ancienne et dont l'étude clinique , à tous égards plus avancée, peut servir de mod
s-y les signes physiques, d'ailleurs inconstants, tirés de l'examen clinique du foie : la tuméfac- tion et la douleur. Il ne
dres psychiques. ' Société méd. des hôpitaux, janvier 1896. 358 CLINIQUE MENTALE. - II. Notre première observation con
cilement, mais sans idées délirantes au moins en apparence. 360 CLINIQUE MENTALE. 31. Malgré nos objurgations, et tout c
biliaire. M. Léopold Lévy a publié il y a deux ans, dans les 362 CLINIQUE MENTALE. ' Archives générales de médecine, l'ob
dans le cas d'auto- intoxication hépatique, puisse revêtir la forme clinique qu'il a chez l'alcoolique, et les délires des n
unani- mement reconnue depuis que les hommes boivent du vin ? La clinique nous offre de temps en temps cette observation
le, l'alcool est essentiellement investi d'un pouvoir excito- 364 CLINIQUE MENTALE. délirant, nous dirions presque à l'inv
ns cette observation si différente de la précédente au point de vue clinique , nous retrouvons la coïncidence d'un état de so
ous assistons successivement, au cours de ces derniers, à une 368 CLINIQUE MENTALE. phase d'acholie, à l'envahissement de
mari qu'elle accuse de faire Archives, 2e série, t. VI. 24 '370 CLINIQUE MENTALE. le mal, de se charger des péchés des a
ate ne parait pas beaucoup augmentée de volume ; sa capsule 372 ) CLINIQUE MENTALE. est opaque, épaissie, recouverte d'une
que la physionomie de l'état mental soit en rien modifiée. 374 CLINIQUE MENTALE. 28 niai. -Décédée dans le plus complet
dont nous les avons accompa- gnées constituent un ensemble purement clinique qui ne comporte pas de conclusions et que nous
OGIE NERVEUSE. LXXXVI. Troubles 'gastriques DE nature hystérique. - Clinique du Professeur DE RENZ) ; par le Dr ScoTT assist
nature à démontrer que sa théorie est en désac- cord avec les faits cliniques , anatomiques ou anatomo-palliolo- giques. (Revu
entissement péri- phérique. J. SÉGLAS. CIL Contribution A l'étude CLINIQUE ET anatomique DE la méningite syphilitique céré
s cela ne suffit pas pour en infirmer l'existence en tant que forme clinique indépen- dante. Ce syndrome se rencontre avec u
éditaires ou fami- liales se rapprochent plus ou moins des tableaux cliniques des maladies nerveuses communes, mais sont beau
les que produit l'absinthe et qui sont démontrées par l'observation clinique et l'expérimentation sur les animaux. 'Mais les
LAY. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. DE L'ÉPILEPSIE, au POINT DE VUE CLINIQUE ET biÉDICO-Li : GAL; par le professeur ! \OVALE
M. Funaioli sur la paralysie géné- raie. C'est une étude à la fois clinique et statistique qui renferme de nombreux documen
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine (Asile clinique , AsilesdeVaucluse,Ville-Gyrard et Villejuif et l'
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine (Asile clinique , Asiles de Vaucluse, Ville- Evrard et Villejuif
jeudi 10 novembre 1898, à une heure précise, sera ouvert à l'Asile clinique , rue Cabanis, n° 1, à Paris, un concours pour l
rcice ou honoraires, et le médecin du Bureau d'admission de l'Asile clinique ; et trois membres tirés au sort parmi les médec
Seine, en exercice, et le médecin du Bureau d'admission de l'Asile clinique ne peuvent être portés sur la liste des membres p
erveux, pour laquelle il sera accordé trois heures ; 2° une épreuve clinique commune sur un malade. - IL sera accordé au can
on devant le jury, après cinq minutes de réflexion ; 3° une épreuve clinique sur les maladies mentales : un seul malade. -IL
u rapport.sera faite au début de la séance suivante; 5° une épreuve clinique sur deux malades d'un service d'aliénés. Le can
l suit : pour la première épreuve écrite, 30 points; pour l'épreuve clinique commune, 20 points; pour l'épreuve elini- 4W
points ; pour la deuxième épreuve écrite, 30 points; pour l'épreuve clinique sur deux malades, 30 points. La joie qui TUE
éjerine à Bicêtre, fut faite l'autopsie d'un cas dont le diagnostic clinique porté avait été : paralysie pseudo-bulbaire, cr
l que l'anatomie et l'histologie pathologiques du cas. L'histoire clinique de la maladie en rapport avec la topographie des
personnels se répartissent comme suit : deux cas sans his- toire clinique dont l'un (observ. XIV) publié déjà par Fried-
cas. Mais, fait important à signaler, c'est l'étiologie, l'histoire clinique de ces maladies qui fait l'objet presque consta
sant sur la présence ou l'ab- sence de fièvre ou tel autre symptôme clinique , ou enfin sur l'étiologie. Il nous semble qu'un
videntes que celles des facultés intellectuelles mais l'observation clinique montre que ce n'est qu'une question de degré; que
les médico- psychologiques, juin 1898.) E. B. XII. Considérations cliniques SUR la parenté DES névroses et DES PSYCHOSES ;
ar l'auteur ont trait à deux malades, X... et Y..., dont 1'liistoit clinique , différente par le détail, présente cependant d
VI, 1897.) Il s'agit d'un idiot soigné pendant quelques années à la clinique psychiatrique de Strasbourg et mort de pneumoni
peu à peu les tics disparus depuis. P. IiERAVat. XXVI. Observations CLINIQUES ET anatomiques SUR LES DÉMENCES POST- apoplecti
Maïs si ces deux théories peuvent être soutenues dans le domaine clinique , l'expérimentation ne permet d'admettre que la th
. (Revue neurologique, jan- vier 1898.) " K. B. XLI. CONTRIBUTION CLINIQUE ET anatomique A L'ÉTUDE DU cysticerque du cerve
Centralbl., XVI, 1897.) Après avoir résumé l'état de la question clinique dans ses rap- ports avec les localisations anat
ment. C'est, en outre, un résumé pratique fortement rehaussé de cas cliniques qui eu précisent encore la valeur pour le pratici
nois, z et pa- ralysie générale, par Péan, 328. - au point de vue clinique etmé- dico-lénal, par liovalewshy, 4J3. sénil
- nésie à la suite d'un coup, par \oecl.e, 53. Obsession. Etude clinique suri' par .Marie A. et Vigouroux, 210. OCLI.0
17 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la seule gliomatose ; d'autres symptômes complètent le tableau clinique de cette maladie, et aucun n'est en contradicti
qu'occasion- nent ces lésions; en d'autres termes, l'étude anatomo- clinique 40 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des maladies du cer
et. anatomiq. 1874, et th. agrég. Paris, 1875, Cl. de Boyer. Etudes cliniques sur les lésions corticales des hémisphères céré
ue, t. I, p. 432, 1838. 8 Peter. De l'aphasie, d'après les leçons cliniques du Prof. Trousseau, in Arch. géit. dc vlléd., 1
n doit dire, en effet, avec M. F. Franck que, malgré quelques faits cliniques antérieurs aux importants travaux de Fritsch et
des résultats d'Exner dans : Charcot et Pitres. Etude critique e t clinique de la doctrine des localisations motrices dans l'
ial inférieur d'après l'expérimentation* et quelques faits anatomo- cliniques 1, commun à la branche motrice du Trijumeau 1.
linerions volontiers à penser 1 Maudsley. Loc. cit. Morel (Etudes cliniques , t. II, p. 285 et suiv.) rapporte sous le nom de
description se rapproche beaucoup plus, à notre avis, de la réalité clinique , En résumé, pour créer la catatonie, Kalhbaum i
B. KuESSIER et F. BROSIN. (Arch. f. Psych., XVII, 1.) Observation clinique très détaillée. Un homme bien portant, de vingt
n décrits de Hebold, on ne leur a pas assigné une grande importance clinique . Mais les DKoehler et Spitzka de New-York, ont
survenue sur un terrain alcoolique ; aussi en résulte-t-il un type clinique spé- cial modifié. On constate alors un stade p
ns syphilitiques ? M. Rumpf. Il y avait eu antérieurement symptômes cliniques desyphilis.-11. de Recklinghausen. Il existe de
escription des locaux,, installations et agencements de la nouvelle clinique psychiatrique dans la salle de cours dans laque
question. En commun avec K. Middetdorpf, M. Kast s'est efforcé à la clinique chirurgicale de Fribourg d'exa- miner des cas r
res- sant au point de vue anatomo-pathologique qu'au point de vue clinique . Aussi ne comprenons-nous pas pourquoi l'auteur s
nt en passant, et n'y insiste même pas quand il traite des variétés cliniques de l'épilepsie Jackson- nieune. Son étude lui a
ions de MM. Pitres et Vaillard. Le mode d'évolu- tion anatomique et clinique des névrites périphériques fait l'objet d'un se
: les notions écologiques y sont exposées avec soin, mais la partie clinique pure nous parait insuffisamment traitée. Les né
raison d'être de ces divergences anatomiques et de ces différences cliniques . Les expé- riences ont porté sur les sciatiques
t un groupe nosologique bien distinct, à caractères étiologiques et cliniques spé- ciaux. L'amnésie toxique est précédée d'hy
ur tous les étudiants EN médecine de suivre des COURS THÉORIQUES et CLINIQUES DE MEDECINE PSYCHOLOGIQUE ; par Edward MOOIIE.
(A). Histoire d'une hystérique hypnotisable (Contribution à l'étude clinique des caractères somatiques fixes des attaques ri
-- 788. Vol. XVI. Septembre 1888. N" 47 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES
1888. N" 47 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
t été publiés jusqu'à présent sur les accidents en question; II. La clinique qui constitue, on va le voir, une véritable ili
e pathologie nouvelle, pathologie qui pré- ? ncmvFS, t. XVI. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE. sente plusieurs formes morbides dont
rcu- lation et les sécrétions sous l'influence du séjour dans 148 CLINIQUE NERVEUSE. l'air comprimé. Le reste de son trava
allons en insérer l'histoire in extenso dans notre cha- pitre de clinique et l'autre au bout de trois mois par le fait de
re- froidi ; mais c'est, comme on le verra , à un moment - 150 - CLINIQUE NERVEUSE. tout à fait différent et opposé, à sa
la pré- cision scientifique qui est réclamée aujourd'hui dans 15 CLINIQUE NERVEUSE. ce genre de recherches. L'étude, surt
e genre de recherches. L'étude, surtout des diverses manifestations cliniques sous lesquelles se présentent ces. accidents et
mble de l'anatomie pathologique, expliquer . les différentes formes cliniques qui seront décrites par nous, en d'autres terme
e patholo- gique, enfin revoir et compléter la thérapeutique. Il. CLINIQUE . La clinique des plongeurs à scaphandre compren
que, enfin revoir et compléter la thérapeutique. Il. CLINIQUE. La clinique des plongeurs à scaphandre comprend deux catégo
elles constituant une affection particulière à laquelle les nuances cliniques spéciales donnent un cachet d'originalité. Ces
Jean Marcos, pas d'antécédents, âgé de trente ans, travaille 154 CLINIQUE NERVEUSE. depuis douze ans dans l'air comprimé.
mps. En effet, au bout d'un quart d'heure environ, un nouvel aspect clinique se présente. Soudain le malade se sent affaissé
ance pendant trois minutes seulement. Revenu à lui, le malade a 156 CLINIQUE NERVEUSE. les membres de nouveau complètement p
ur. Il sait seulement que c'était à la deuxième immersion. L'aspect clinique de cet accident ne différait absolument en rien
selles ayant nécessité l'emploi de la sonde et des purgatifs.' 158 CLINIQUE NERVEUSE. La monoplégie du membre supérieur dro
tion dépression avec constriction à la nuque, comme si, dit-il, 1G0 CLINIQUE NERVEUSE. une main le pressait et le serrait fo
minutes; la décompression a été assez Archives, t. XVI. 11 1 162 CLINIQUE NERVEUSE. brusque, moins d'une demi-minute. Not
Constantin Colovolis, âgé de trente-huit ans, pas d'antécédents 164 CLINIQUE NERVEUSE. héréditaires ou personnels, a commenc
t quelquefois d'une façon isolée, constituant à lui seul le tableau clinique de l'accident sans aucun autre symptôme quel qu
fond; décompression brusque, une minute. Symptômes d'invasion; 166 CLINIQUE NERVEUSE. ' perte de connaissance et serrement
it la mimique. Il ne savait ni lire ni écrire. Pas d'aphonie. 168 CLINIQUE NERVEUSE. Au bout de dix minutes, ses douleurs
psie spinale. Rien du côté des organes génitaux. Enfin, le seul 170 CLINIQUE NERVEUSE. signe qui existait comme souvenir pou
dans la marche, ce qui la rendait bien plus difficile encore. '172 CLINIQUE NERVEUSE. Etat actuel le 15 juillet 1886. Le ma
u sol et faire avancer sans pencher le tronc à droite, etc. - 174 CLINIQUE NERVEUSE. Si l'on fait mouvoir les membres du m
quantité considérable. La constipation a nécessité l'emploi de 176 CLINIQUE NERVEUSE. purgatifs drastiques (huile de croton
ait pas et n'avait pas mangé avant cette Archives, t. XVI. 12 478 CLINIQUE NERVEUSE. immersion. Ajoutons aussi qu'il n'ava
ffet, il marchait sans bâton, ses membres lui paraissaient plus 180 CLINIQUE NERVEUSE. légers, les érections, sans être tout
- rieures ont commencé à recouvrer leur motilité. Les membres 182 CLINIQUE NERVEUSE. inférieurs restent dans le même état.
des réflexes, surtout du membre droit, constituait tout le tableau clinique . 186 CLINIQUE NERVEUSE. Les treize observatio
urtout du membre droit, constituait tout le tableau clinique. 186 CLINIQUE NERVEUSE. Les treize observations qui viennent
uffisent amplement pour constituer les grandes lignes de l'histoire clinique de notre forme spinale centrale latérale. , O
compression et le début de l'accident paraplégique. Au point de vue clinique descriptif, nous devons diviser en trois grande
perte de connaissance a été variable, toutefois assez courte, 188 CLINIQUE NERVEUSE. elle a varié entre une heure (OBS. IX
ertiges qui ont été présentés par nos deux malades sont d'un aspect clinique différent. Chez le malade de l'OBSERVATION I, l
compre- naient parfaitement bien ce qu'on disait autour d'eux 190 CLINIQUE NERVEUSE. sans pouvoir y répondre. Le seul moye
trouble du langage. Nous revien- drons plus loin sur les caractères cliniques spéciaux de cette aphasie, que nous décrirons c
est le symptôme le plus fréquent, car elle a figuré six fois 192 CLINIQUE NERVEUSE. parmi nos observations ; tantôt ce so
endant ces trois heures il n'y avait pas Archives, t. XVI. 13 194 CLINIQUE NERVEUSE. - ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. trac
inière, '198 PATHOLOGIE NERVEUSE. et que la plupart des symptômes cliniques énumérés est sans doute liée à la lésion anatom
ibuent d'une manière considérable à la bigarrure de son ta- bleau clinique . Nous ne nous arrêterons pas non plus sur l'exa
à notre point de vue, constitue déjà une com- plication du tableau clinique pur. Des complications semblables par des phéno
ateau jumelle, comme on le fait actuellement de Calais à Londres. CLINIQUE NERVEUSE DE 1,'ÉI)ILI ? PSII PROCURSIVE'; Par
. A la naissance la tête serait restée trois quarts d'heure., 236 CLINIQUE NKRVEUSE. au passage et, de plus, l'enfant avai
ant des supérieures. Voûte palatine et gencives normales. 238 8 CLINIQUE NERVEUSE. 28 décembre. Amélioration très notabl
emi- adhérent. , Fig. 20. DE l'épilepsie PROCURSR'1;. 239 240 CLINIQUE NERVEUSE. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 241 sill
riangulaire de la troisième frontale. La Archives, t. XVI. 16 242 CLINIQUE NERVEUSE. deuxième scissure frontale, très irré
cissure frontale, profonde, sinueuse postérieurement est inter- 244 CLINIQUE NERVEUSE. · rompue en avant par un des plis de
u- coup plus prononcé d'ailleurs dans d'autres cas d'idiotie. 246 CLINIQUE NERVEUSE. Au-dessous de ces points très lésés,
de moins que le gauche; aussi le cerveau ne recouvrait-il le 248 CLINIQUE NERVEUSE. - DE l'épilepsie PROCURSIVE. cervelet
LOVER. D'après les résultats obtenus tant par la méthode anatomo- clinique que par la méthode expérimentale, nous sommes t
u reste facile de suppléer par l'imagination. * Nothnagel. Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encé- phale bas
(Janv. et fév. 1880.) 3 Ballet. Voir les Recherches anatonziques et cliniques sur le faisceau sensitif. In th. Paris, 1881, e
pyramidaux sont surtout intéressantes à con- naître au point de vue clinique . Flechsi-1 en admet trois : '1" variété : varié
d'ano- malies apparentes dans la manifestation d'un fait anatomo- clinique correspondant à chaque variété'. 3° Après la dé
ent aidée et complétée dans ses résultats par la méthode anatomo- clinique , que sont nettement individualisés les faisceaux
nnellen Nervenkrankh. Berlin, 1871, p. 379. * Veyssière. Recherches cliniques et expérimentales sur l'hémianesthésie c de cau
aractères réunis, on peut se rendre compte que les faits anatomo- cliniques sont assez nombreux pour trancher la question de
° Charcot. Leçons, t. I, 1880. Leçons VIII. Veyssière. Recherches cliniques et expérimentales sur l'laénzianeslhésie de cause
à moelle, etc.) De plus, certaines lésions de la moelle révélées en clinique sur- tout par des troubles de la sensibilité, p
tastrophes criminelles, et présentant par conséquent une importance clinique et médico- légale de la plus haute valeur. » .
nerveux si fréquents et si variables qu'on observe dans le tableau clinique de l'intoxication arsenicale aiguë ou chro- niq
Atrophie dégénéralive des muscles en rapport avec la manifestation clinique de la réaction dégénéralive partielle. Les deux
ire ou le ptosis en de semblables cas ne renverse pas le diagnostic clinique , pas plus que ces manifesta- lions ne permetten
e optique, et se retrouve dans la moitié droite du chiasma. L'étude clinique avait révélé : à gauche, une amau- rose totale;
raient toujours et rien que persécutés, ont leurs analogues dans la clinique générale. 4° On a aussi objecté l'obscurité de
est presque aussi fréquente que l'acétonurie, sans que l'évolution clinique diffère.Dans le diabète même, il peut arri- 've
r la dissertation. Le maximum des points sera de 20. 3° Une épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé 30 mi
épreuves du concours ins- titué par le présent arrêté le chef de la clinique des maladies mentales organisée à l'asile Saint
i elle était juste pour Paris, il faudrait l'appliquer aux chefs de cliniques des autres Facultés. Limitée t Paris c'est une
d'être nommé chef de cli- nique titulaire ; M. Semelaigne, chef de clinique adjoint. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Avis aux A
deux groupes méritent bien l'étiquette de folie communiquée, et la clinique les différencie totalement de la première catég
dée par un esprit malin. En même temps, se dévelop- pait un tableau clinique des plus curieux qui n'était que l'expres- sion
créée. Si le délire du ma- lade passif échappe à toute description clinique , celui du malade actif rentre forcément dans un
ral, bien dirigé, produit géné- ralement les meilleurs résultats. CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES
ralement les meilleurs résultats. CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
forme spinale, on est certainement frappé aussi bien de leur 348 CLINIQUE NERVEUSE. extrême variabilité et de leur multip
des symptômes de plusieurs groupes peuvent cons- tituer le tableau clinique du début : comme par exemple à ! 'OBSERVATioN I
mes associés. A. Mode d'invasion. L'invasion de la paraplégie 350 CLINIQUE NERVEUSE. est presque toujours brusque. Dans l'
qui consistaient en troubles : 1° de la sensibilité, 2° de 382 ' CLINIQUE NERVEUSE. la vessie, 3° du rectum, 4° des organ
it par contre une impuissance complète. Archives, t. XV. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE. 5). Douleurs aux lombes. C'est un sym
t-à-dire divers groupes de symptômes qui peuvent figurer au tableau clinique de notre forme ; B), des cortèges symptomatique
e la main droite, la jambe se projette d'une façon brusque et 356 CLINIQUE NERVEUSE. spasmodique, mais une seule fois; tan
avancée et suivant le moment où l'on examine le malade. Les allures cliniques de la démarche spasmodique de la paraplégie spa
èrent certainement en rien de celles qui s'observent dans les 358 CLINIQUE NERVEUSE. paraplégies spasmodiques ayant une to
escription de la démarche spasmodique de nos malades. Les allures cliniques de cette démarche, quand elles existent, sont t
syndrome avorté commence à rétrograder et devient de plus en 360 CLINIQUE NERVEUSE. plus faible, de plus en plus fruste,
mblement survenant à chaque pas et très intense; contractures 362 CLINIQUE NERVEUSE. passagères fortes, etc. Ici encore, l
n'arrive jamais au terme de son développement complet et une 364 CLINIQUE NERVEUSE. fois arrivée aux points que nous avon
tives, la vessie ayant recouvré complètement l'intégrité par- 366 CLINIQUE NERVEUSE. faite de ses fonctions. En outre, le
tions incomplètes suivies plusieurs fois de pertes séminales. 368 CLINIQUE NERVEUSE. B). Symptômes négatifs. A côté du gra
ar ils ne manquent jamais et ne doivent pas manquer dans le tableau clinique et d'autres d'une importance moindre, car ils p
blable à elle-même, et enfin de compte, elle aboutit à un complexus clinique pres- que uniforme pour tous les cas. Précisons
es symptômes disparus, l'uni- formité se manifeste par un complexus clinique toujours identique, à savoir troubles moteurs s
lysie, troubles de la sensibilité sous AIICIIIVES, t. XVI. 21 370 CLINIQUE NERVEUSE. forme d'anesthésie et troubles de la
ou évolution uniforme, voilà les deux grands carac- tères généraux cliniques que nous désirons mettre en relief. Ces deux gr
ractères généraux, joints aux caractères partiels, tels que nuances cliniques spéciales des symptômes du début, intervalle sp
es, dis-je, donnent notre forme centrale spinale latérale un cachet clinique tout à fait spécial qui ne se rencontre dans au
nitaux. Le 4 novembre, c'est-à-dire 3j jours après l'accident 372 q CLINIQUE NERVEUSE. durant lesquels il était resté au lit
tinuité de 1 illusion visuelle au fond de la mer. Perte de con- 374 CLINIQUE NERVEUSE. naissance, au moment (4 heures et dem
e gauche, qui, étant plus dégagée, peut se détacher du sol et 376 6 CLINIQUE NERVEUSE. s'avancer sans inclination du corps.
diverses régions des membres paralysés. Le sens musculaire est 380 CLINIQUE NERVEUSE. fortement troublé. Il perd très souve
la gauche qu'il soulève et avance sans aucune difficulté appa- 382 CLINIQUE NERVEUSE. rente. Après une longue course, le me
ésie, incontinence d'urines et de selles, secousses, clonus des 384 CLINIQUE NERVEUSE. pieds, contractures passagères, crise
eur droit, suivie de rétention d'urines. Archives, t. XVI. 25 386 CLINIQUE NEIIVEUSE. Le 17 mars, il a pu uriner seul. L'é
r, nous allous essayer d'esquisser les grandes lignes de l'histoire clinique de notre forme centrale spinale postéro-latéral
ois à quatre minutes pour t'OasERYATioN XIX. La bonne description clinique nous impose, croyons- nous, de distinguer trois
ar ils se présentent au clinicien, presque sous les mêmes allures cliniques que dans la forme centrale spinale latérale. En
constitutifs. , - A. Syndrome des symptômes céphaliques. Ces 388 CLINIQUE NERVEUSE. symptômes ont une place prépondérante
ut, aussi bien eu raison de leur fré- quence que de leur importance clinique ; en effet, nous les voyons figurer dans cinq ob
ertes, en lisant cette observation, on a dû être frappé des allures cliniques très origi- nales que ce symptôme a présentées.
e heures. Nous expliquerons plus loin le mécanisme de ces allures cliniques . La durée totale de la perte de connaissance, d
e grandeur surnaturelle. L'illusion a continué durant la com- 390 CLINIQUE NERVEUSE. pression de la cinquième immersion; p
sance, la céphalalgie se combinent aux douleurs à l'épaule 393 »1 CLINIQUE NERVEUSE. droite. La même chose se passe à I'Ob
ite et com- plète dès le moment de son invasion, accompagnée 39'1 CLINIQUE NERVEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. de la
is en partie sur les particularités pathogéniques et les tableaux cliniques de la maladie; il faut seulement ne pas ou- bli
aminons et de tâcher, autant que possible, de relier les phénomènes cliniques aux alté- rations anatomiques. Parmi les proces
topsie faite par Schultz". Les cas correspondant à notre tableau clinique se rapportent justement à cette quatrième catég
l'homme. En attendant de nouveaux faits anatomiques, l'ana- lyse clinique doit éclairer un peu le champ des inves- Archiv
ipal et le point de départ du proces- sus hyperplastique. Des faits cliniques nous obligent aussi de rattacher l'anesthésie à
cas 20, ne correspondant pas rigoureusement parlant au ta- bleau clinique de la forme analysée ici la mort est survenue p
ogique pré- cède de plusieurs années ses premières manifestations cliniques . On peut supposer que ces causes premières sièg
ointes de feu paraissent être utiles. Bien entendu que l'expérience clinique ultérieure nous aidera à classer d'après leur m
legmon, la pyémie) menaçant la vie du malade. La maladie, à l'étude clinique de laquelle j'ai con- sacré ma communication, n
caractère et la localisation de l'anesthésie et d'autres symptômes cliniques . 11 faut être toujours prêt à profiter du matér
uer que cette observation diffère un peu des nôtres au point de vue clinique , car les accidents procursifs qui précédaient e
ômes en rapport avec la maladie encéphalique. » (Jaccoud. Leçons de clinique médicale de Lariboisière, Paris, 1873, p. liO.)
ille (épidémie d'hystérie). (Rilliet et Barthez. Traité pratique et clinique des maladies des enfants ; 2° édition, t. 1(, p
me nerveux cérébro-spinal. Paris, 1865, p. 616. Nothnagel. Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encc- phale bai
a donné la . photographie, prise parle garçon de laboratoire de la clinique de la Salpêtrière, d'une jeune fille de Bonneva
l'écorce et se termine par les éléments non corticaux. L'apparence clinique d'après laquelle l'état tonique paraît résulter
e précisent les lieux et les territoires nerveux. Sept observations cliniques sont données comme exemples d'application de ce
n penche pour la couche optique. P. K. XXII. Contribution A l'étude clinique de la névrite alcoolique D1ULTILOCULAIBI : ; pa
is examiner comparativement les nerfs périphériques au point de vue clinique et les pièces anatomiques. Ce qu'on peut affirm
HOPP3f.\\N. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Cinq observations purement cliniques : Elles concernent surtout les crises gastrique
soudaine d'une modalité psychopalhique en une autre au point de vue clinique ' . M. Bastelberg. De l'emploi de l'hyoscyamine
que de la sclérose en plaques et du tabes. Les principales formes cliniques qui expriment cette altération de la moelle son
lais. L'auteur a laissé de côté volontairement la physiologie et la clinique de cette portion si importante de l'é- corce et
rt. Lecrosnier et Babé, 4888. Le DTllforicourt qui a été le chef de clinique du Dr Burq rend aujourd'hui hommage aux idées e
xpériences dont on vient de voir l'importance et d'abondantes notes cliniques fait preuve d'un très réel talent littéraire.
tifi- cielle dans l'tclampsie puerpérale. Le Etude sur les formes cliniques de la paralysie saturnine. Dupain : Eludes clin
r les formes cliniques de la paralysie saturnine. Dupain : Eludes cliniques sur le délire religieux. Essai de sémèiologie. De
ment de son traitement par 1'ttizilgésiie. Arnaud Léon : Recherches cliniques sur la paralysie générale chez l'homme. Colin :
ndineux dans le diabète sucré. - Ilamaide : Contribution ci l'étude clinique des anesthésies dépendant de lésions en foyer d
ème artériel chez les alcooliques. Sattier : Contribution à l'étude clinique de quelques accidents consécutifs à la z antéri
elacroix : Contribution à l'élude du strophantus. 13oisvert : Etude clinique des formes atténuées de la paralysie alcoolique
épreuves du concours ins- titué par le présent arrêté le chef de la clinique des maladies mentales organisée à l'asile Saint
une nouvelle faveur à celles dont on a déjà comblé le professeur de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine
decins adjoints de ces asiles y seront données aux anciens chefs de clinique . Il n'est jamais venu à personne l'idée de conf
tres permettent de tenir compte des services rendus parles chefs de clinique . 490 bulletin bibliographique. pour leur écha
Gutili,t, 1SSS. - Tipogialia Calderini e Figlio. 1 Z (11). Traité clinique des maladies mentales. 3e édition tra- duite pa
18 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'UI31le,E SOUS I.A D111KC11ON ne niat. A. JOFFROY Fiofes·eur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-anuc). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-anuc). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux a l.i Facul
1899 Vol. VII. Janvier lbV9. ? IN au ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ÉTAT DU FACIAL SUPERIEUR ET UU M
alysé, au même litre et au même ,lttcumrs, 2 série, t. VII. I 2 CLINIQUE NERVEUSE. degré que le facial inférieur (Gibott
de cause cérébrale, et d'avoir établi cette opi- nion sur des faits cliniques avec autopsie. Ilency (1874) signale l'impossib
nal. Qu'il reçoive l'expression de notre vive reconnaissance. 4 CLINIQUE NERVEUSE. fermeture synergique volontaire et ré
l reçoive l'assurance de notre bien cordiale reconnaissance ! i 6 CLINIQUE NERVEUSE. En examinant avec soin le malade, en
nt un peu plus petite que celle du côté opposé. L'élévation des 8 CLINIQUE NERVEUSE. sourcils ce fait aussi facilement d'u
s à droite Le sourcil droit est abaissé par rapport au gauche, 10 CLINIQUE NERVEUSE. environ d'un demi-centimètre, Pas de
e le droit. Aucun des deux yeux ne peut se fermer isolément. 12 CLINIQUE NERVEUSE. Observation XIX. IL M..., quarante-ci
gie droite, avec hëmianesthésie incomplète datant de deux an-. 14 CLINIQUE NERVEUSE. Paralysie du facial inférieur droit.
seulement parésiés, le facial supérieur est pour ainsi dire 16 CLINIQUE NERVEUSE. , indemne, et c'est à peine si l'on n
ontraction, le retard du mus- jRciiivEs, 2° série, t. VII. 2 18 CLINIQUE NERVEUSE. cle paralysé sur son congénère et la
alomique, 1874, p. 59. - In Pugliese et Alilla, loco. cit. 30 0 CLINIQUE NERVEUSE. de trois des malades qui ont servi de
ultérieure le cerveau de cet homme, décédé dans son service. 22 CLINIQUE NERVEUSE. le noyau lenticulaire montre dans son
gale à d'autres. Dans ces cas il s'agit évidemment, au point de vue clinique , d'un ptosis d'origine cérébrale. Sans vouloir
hèse Lille, 1886. " Houeix de la Brousse. Thèse Paris, 1888. 24 CLINIQUE NERVEUSE. convaincu que si l'on a l'esprit atti
la fente palpébrale dans la paralysie faciale périphérique, il 26 CLINIQUE NERVEUSE. est impossible d'expliquer cette cont
nt du centre du bras, au-dessus de celui de la face. Nos recherches cliniques nous inciteraient à admettre cette opinion. Dep
ne psychomotrice. PATHOLOGIE MENTALE. LES MÉLANCOLIQUES. (ÉTUDE clinique ) ; Par le D' Alex. ATIIANASSIO, Ancien chef d
(ÉTUDE clinique) ; Par le D' Alex. ATIIANASSIO, Ancien chef de clinique mentale, Médecin adjoint à l'hospice d'Aliénés
les mélancoliques forment un groupe à part de malades par l'aspect clinique , l'attitude et LES MELANCOLIQUES. 2U les al
ce sans rien sentir et sans y prêter attention. La première forme clinique constitue la mélancolie simple ou la mélancolie
27 août 1898.) MM. Hordier et Frenkel (de Lyon) ont décrit un signe clinique nouveau des paralysies faciales d'origine périp
dans uu certain degré d'excitation. Mais diverses particularités cliniques tendent à faire rejeter cette hypothèse. A. FENnY
V. Méningite cérébro-spinale épidémique. Quelques cas observés à la clinique du professeur C.-P. Delyannis; par M. D. Assnns
oudroyante. Six malades sur seize ont succombé. Une parti- cularité clinique digne de remarque réside dans ce fait que la pr
: il cons- titue, en outre, le premier apport de l'Italie au bilan clinique de plus en plus riche de la maladie. · REVU
ayer de chercher une explication complète dans les mani- festations cliniques et anatomiques du tabes. C'est ce qu'a fait M.
cent cinquante malades, soit à l'établissement d'Heiden, soit à la clinique de Charcot-Raymond à la Salpêtrière. REVUE DE
, il en vient à la théorie qui lui parait rationnelle. Deux faits cliniques renversent la théorie centrale d'un centre coor
ades, deux hommes, furent inscrits dans le service de l'auteur à la clinique universitaire. Leur âge est de vingt-sept ans ;
al of in- sahity, octobre 1897.) E. B. 111. Rapport préliminaire, clinique et pathologique, sur un cas de démence progress
mence progressive ; par les D,s K. Mils et A, SCIIIVELY. L'histoire clinique de la malade était la suivante : femme de soixa
RAYMOND, qui a brillamment succédé à Charcot dans son enseignement clinique à la Salpêtrièrs, et M. le professeur Cornil, u
lent ami et collaborateur, M. le Dr Gombault. BIBLIOGRAPHIE. I. Clinique des maladies du système nerveux ; par le professe
e professeur Raymond fait paraître la troisième série de ses leçons cliniques , professées pendant l'année scolaire 1897-1898. L
au point de vue de la physiolo- gie, de la médecine légale et de la clinique , le syndrome de Brown-Séquard (Anal, in Archive
he extensive qui la rappro- chait de la maladie de Landry, syndrome clinique plutôt qu'entité morbide. L'autopsie a montré u
res et dignes de l'Ecole de la Salpêtrière. Miraillé. II. Leçons de clinique thérapeutique sur les maladies du système nerve
par Gilles DE la Tourette. Pion et Nourrit, éditeurs. Ces leçons de clinique thérapeutique portent comme tous les ouvrages d
toutes les affections dont il s'occupera dans ce volume, un aperçu clinique et diagnostique où nous rencontrerons fréquemme
nédites sur la structure des artères cérébrales, suivi d'un tableau clinique de l'attaque d'apoplexie. Le pronostic se fera su
ral. Il cite ensuite des exemples illustrant les différentes formes cliniques de cérébrasthénie etdomyélasthé- nie et montre
tic douloureux de la face et de la migraine. S'appuyant sur un fait clinique , M. Gilles de la Tourelle décrit les symptômes
Sixième leçon. La morphinomanie et son traitement. Après un exemple clinique de démorphinisation rapide l'auteur passe rapi-
e vertige de illenière et son traitement. L'au- teur avec des faits cliniques à l'appui fait une étude détaillée, du vertige
es synoviales de l'avant-pied et du talon. Neuvième leçon. Formes cliniques et traitement des myélites syphi- litiques. Cet
é rapide et insuffisant de cette leçon qui contient une description clinique détaillée et des notions pathogéniques et anato
s vivants nés à terme ou avant terme, présentant les manifestations cliniques d'une syphilis congénitale de la moelle épinièr
ale et l'incoordi- nation motrice. J.-B. CHARCOT. III. Recherches cliniques et thérapeutiques snr l'épilepsie, l'hystérie e
'édifica- tion du cinquième asile de la Seine. La seconde partie { Clinique et anatomie pathologique) , se compose de seize
s. New- York, 1898. Chez l'auteur. Gilles de la Tourette^ Leçons de clinique thérapeutique sur les maladies du système nerve
Chez l'auteur. ICOYALEVSIiY (P.). - De l'épilepsie au point de vue clinique et médico- légal. Brochure in-S de 57 pages. Pa
net (P.). Névroses et idées fixes. Tome II : Frag- ments des leçons cliniques sur les névroses, les maladies produites par le
hes en couleur. Prix : 18 francs. Paris, On. Doin, éditeur. Revue clinique des maladies nerveuses, à l'usage des praticiens,
Vol. VII. Février 1899. ? 30 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. RECHERCHES SUR L'ANALGÉSIE DU CUBITAL
e2vrologisles Cenlralblall, 1894. Archives, 2e série, t. VU. 98 CLINIQUE MENTALE. douleur, voire même des exclamations d
ntiel. Cramer, en discutant ces données au Congrès psychia- 100 CLINIQUE MENTALE. trique de Berlin (1895) exposa ses étu
période de leur maladie, les résultats sont les suivants : 102 CLINIQUE MENTALE. Le nombre de nos paralytiques généraux
diagnostic. PATHOLOGIE' MENTALE. LES MÉLANCOLIQUES '. (étude clinique ) ; Par le D' ALEX. ATIIANASSIO, Ancien chef d
(étude clinique) ; Par le D' ALEX. ATIIANASSIO, Ancien chef de clinique mentale, Médecin adjoint à l'hospice d'Aliénés
de la paralysie générale ; ici la mélancolie n'a été que le tableau clinique extérieur (l'Itabitus clinique) d'une paralysie
la mélancolie n'a été que le tableau clinique extérieur (l'Itabitus clinique ) d'une paralysie générale dépressive à début mé
la présence de ces bactéries comme cause spécifique. Les recherches cliniques de l'auteur et ses études microscopiques sur le
ou ovarienne exerce parfois une influence importante sur l'histoire clinique d'une affection nasale. Les recherches de Fle
m de zones génitales. L'auteur a pu observer un grand nombre de cas cliniques relatifs à ces rapports entre le nez et l'appar
s expériences nombreuses faites sur les animaux et les observations cliniques ; l'auteur arrive aux conclusions suivantes : 1°
le chat, quatorze pour le cochon d'Inde ; 3° chez l'homme, des cas cliniques montrent que la femme peut être fécondée par un
, il constitue surtout un système de projection. N'empêche que la clinique ne montre la relation de troubles de la sensibi
l'auteur à la Société des Neuro- pathologistes et Aliénistes de la clinique de Saint-Pétersbourg, en novembre 1896. Voyez P
BIBLIOGRAPHIE. IV. Le Myxoedème; par G. Tiil.BIERGE. (Monographie clinique , n° 12, Paris, 1898, G. Masson, éditeur.) L'a
formations, de traumatismes, de maladies diverses. Après un tableau clinique , tracé de main de maitre, du myxoedème spontané
tre, du myxoedème spontané de l'adulte, l'auteur décrit les aspects cliniques du myxoedème opératoire, du myxoedème infantile
ort de l'héré- (lité, th. de Montpellier, 1855. Fdville. Recherches cliniques et sialis- tiques sur la transmission héréditai
178 physiologie pathologique. derniers temps, physiologiques et cliniques , démontrent pourtant qu'une intoxication existe
délire alcoolique est le type; 2° ces délires ont tous pour formule clinique la confusion mentale, sous l'une quelconque de
s les cas, à une intoxication, et semble en être la caractéristiqae clinique . A. t' N\.11'ROU. VI. Les formes atténuées de
que ces types se distinguent néanmoins par leur lésion, leur aspect clinique , leur diagnostic. Les altérations périphériques
eim ; la Diète ne les acceplapas. En 1874 fut proposé le plan d'une clinique d'aliénés à Heidelbkrg, qui fut terminée en 1878.
Heidelbkrg, qui fut terminée en 1878. Les projets simultanés d'une clinique à Fribourg et d'un petit asile pour chroniques,
également des difficultés, de sorte qu'en 1886 on construisit la clinique DE Fribourg, et en 1s89 le grand asile d'aliénés
eut les recevoir couramment, les transferts des incurables des deux cliniques et de l'asile d'Illeiiau dans les asiles de Pfo
aliénés méritent une réforme, principalement en ce qui concerne les cliniques . Nous n'avons pas l'admission volontaire. Un ma
pour se faire traiter de troubles intellectuels conscients dans une clinique . Aucun établis- sement d'aliénés n'a le droit d
es confier d'emblée à l'assistance régulière et bien ordonnée d'une clinique ou d'un asile. Les transferts comportent des mo
d'un REVUE D'ASSISTANCE ET DE LÉGISLATION. 241 grand asile. La clinique ne doit contenir que des psychoses à mar- che r
dow présente une jeune femme qu'il avait d'abord exa- minée dans la clinique du professeur Kojewnikow. Son affection a début
is; abus d'alcool; chancre mou il y a un an. Pendant un séjour à la clinique a pré- senté une série des troubles du côté de
étiologie, à l'inter- vention de l'alcoolisme. B. UNE VISITE A la clinique psycuutrique DE GIESSEN (Grand duché de Hesse)
se) ; par le Dr LAMAME. D'après M. Sommer, les avantages de l'asile clinique de Giessen, où le no-restraint est en honneur,
iessen un infirmier pour trois malades et qu'outre le professeur de clinique , qui remplit les fonctions de directeur-médecin
IP. - 399 Vol. VII. Avril 1899. ? 40 ARCHIVES DE NEUROLOGIE . CLINIQUE MENTALE. MYSTICISME ET FOLIE 1 ; ! Par le D'
ontrent des conceptions délirantes de nature religieuse à des types cliniques mieux définis, dont les délires mystiques ne so
, 15, et 1898, n°5 29 et 30. Archives, 21 série, t. Vil. 17 2S8 CLINIQUE mentale. par Calmeil dans un traité de la folie
' La Roche-Gandon. Rapport 91, p. 12, D's Friese et Marie. 260 CLINIQUE mentale. Ajoutons la débilité physique par priv
imitive; il en étudie les variétés religieuses7. ' Magnan. Leçons cliniques . (l'ro. Dléd., 1887, p. 182.) 5 Griesinger. Mal
Id.,1879, Bd. lI, - lrl., 1881 et 1888. - Irrenfreund, XX. 262 CLINIQUE mentale. Kroepelin distinguant aussi des formes
les névropalhies. Gand, 1852. ' Magnan et Sérieux, p. 110. 264 CLINIQUE mentale. dérant avec Morel la période d'inquiét
psychologique de Morel. Pour lui, le délire religieux peut 266 " CLINIQUE MENTALE. résulter effectivement, soit de] l'exa
! Moreau de Tours. Psychologie morbide, p. 227. 3 J. Fabret. Etudes cliniques sur les maladies mentales, P., 1889. 4 Calmeil.
on donc, en principe.) ' Cottird. Loc. cit., p. 422 et 423. 268 CLINIQUE MENTALE. L'éréthisme moteur des anxieux, présen
(Thèse, Paris, 1890.) Christian. Archives de Neurologie. 270 CLINIQUE MENTALE. Bien que cela paraisse une assertion p
. 500. 4 B.-A. More). Traité des maladies mentales, p. 701. 272 CLINIQUE MENTALE. que l'inactivité de ces malades est fr
887), puis les Malades et les difformes dans l'Ai-1 (1889), l'Elude clinique sur la grande hystérie, et l'Hystérie dans l'Hi
Soeur Jeanne des Anges, supérieure des Ursulines à ' Magnan. Leçons cliniques sur l'épilepsie, 1883, p. 44. ' Krafït-Ebing. L
e ? ' ? ? la Dernière sorcière de Genève. Ajoutons le récent Traité clinique de l'hystérie (Gilles de la Tourette). Nous n
résume en ce mot gros de conséquence : la suggestibilité (Traité clinique de l'Hystérie, p. 492-493). M. P. Janet a bien
fférence des débiles, ou des hyslériques sugguables. Les phénomènes cliniques que pré- sentent ceux-ci, sont alors, le reflet
sont alors, le reflet, la copie plus ou moins exacte des symptômes cliniques essentiels de ceux-là. Il est difficile, rétros
e cette distinction avec des Archives, 1° série, t. VII, is 274 CLINIQUE MENTALE. documents historiques insuffisants. Ce
ris, 1886, p. 27. Aî,chives de N'eiii-oloqie, 1897, 11- 15. 276 CLINIQUE MENTALE. nage; puis s'y adjoignirent, les prati
er- Lavaure furent les premiers initiateurs, l'un au point de vue clinique , l'autre au point de vue expérimental. Séduisan
e et simplement comme corollaire ou complément de l'obser- vation clinique . Quant à l'analyse chimique, à laquelle on semb
réalisés dans les cérébropathics toxhémiques'. N C'est encore la clinique qui constitue ici l'élément d'étude le plus imp
s important et le plus fructueux. On a vu comment, tout d'abord, la clinique fut négligée pour l'expérimentation et comment
es sur la détermination de la toxicité urinaire des aliénés. Or, la clinique ne tarda pas à prendre sa revanche et tandis qu
ant tenu moins qu'elle n'avait promis, passait au second plan, la clinique , elle, s'élevait d'emblée au premier en raison de
87 / z donné par Chaslin. La confusion mentale est donc le type clinique des psychoses d'auto-intoxication. Ce type lui
une différence du plus au moins. Nous venons d'établir que la forme clinique des psychoses d'auto-intoxication est la confus
à la pseudo-paralysie générale. C'est absolument le même tableau clinique . Nous arrivons donc déjà à cette première conclus
es infections. Je poursuis actuellement et depuis longtemps l'étude clinique du délire dit fébrile ou infectieux, dont l'obs
de voir. Nous l'avons exposée tout à fait en détail dans nos leçons cliniques de 1893-1896 sur les délires toxiques et infec-
rapports de ressemblance, basés essentiellement sur des caractères cliniques communs. Et devant ce fait que la notion du « s
prolongé » comme caractéristique du délire alcoolique. Les exemples cliniques abondent ici et nous n'aurions que l'embarras d
ire de recourir à l'internement. Cependant, et c'est là un point de clinique intéressant qui mériterait d'être examiné, les
ntre les images objectives et les images phonétiques (les mots). La clinique nous apprend la loca- lisation cérébrale en div
hématique qui nécessiterait une épure à une grande échelle. Les cas cliniques classiques des auteurs sont illustrés par ces rés
ndry avec lésions, il n'y a pas de parallélisme entre l'évolu- tion clinique et l'état anatomique. (Revue neurologique, oct. 1
té en rapport avec l'atrophie céré- belleuse, mais, au point de vue clinique aucun signe ne permet- tait de songer à une aff
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. d'une description clinique des plus complètes, toutes les raisons anatomiq
du trapèze) qui, par sa fréquence, son mécanisme et ses caractères cliniques , mérite une place spéciale dans le cadre des pa
noyau lenticulaire et de la capsule interne : parmi les symp- tômes cliniques , la disproportion entre la fonction musculaire et
modalités de cette curieuse « maladie de Munchmeyer », ses variétés cliniques et les opinions diverses auxquelles elle a donn
1.000 francs. Question : Des myélites infectieuses au point de vue clinique et expérimental. L'Académie décerne le prix à M
msser, imp. - 499 Vol. VII. Mars 1899. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT 1VÉYROPA1
LiUI : LL1;, Interne des asiles de la Seine. (Service de M. Asile clinique Sainte-Anne.) Mm0 IL ? Marie, âgée de trente-ci
malcoordonnés, véritableg Archives, 2° série, t. l'II, . 22 338 CLINIQUE MENTALE. réflexes de défense, en rapport avec s
A partir du 13 mai, on supprime définitivement jusqu'au 23 le 340 CLINIQUE MENTALE. chloral de la nuit et on fait prendre
relatif, et dure encore actuellement, offrant généralement 342 1) CLINIQUE MENTALE. le même caractère pénible. Les nuits c
i peuvent se discuter, à ne s'en tenir simplement qu'à ce tableau clinique . , De la Mélancolie, il ne peut en être questio
psdelirium, de la Folie asthénique, de la Démence aiguë. Le tableau clinique que trace Krcepe- lin de cette maladie correspo
hnsinn uns ihr Venlauf. ( ? i)'6«e/t. fiii, Ilsych ? 1880.) 344 CLINIQUE MENTALE. mière fois par Fritsch', d'autres aute
le. 7Hi') : Me/i.rc/;M ! < ? e. Leipzig, 1886. * Magna.n. Leçons cliniques sur les maladies mentales. Paris, 1897. 346 C
a.n. Leçons cliniques sur les maladies mentales. Paris, 1897. 346 CLINIQUE MENTALE. de connaissance, avec contracture géné
an. L'étal mental des dégénérés. {Revue Neurologique, 4891.) Leçons cliniques sur les maladies mentales, 1893, 1897. 2 Magnan
1871. Leçons sur les maladies men taies. Paris, 1893, 1897. 348 CLINIQUE MENTALE. La première est une femme de trente-de
EIL DES MÉLANCOLIQUES; Par le D' ALeX. ATOANASSIO, Ancien chef de clinique mentale, médecin adjoint à l'asile d'aliénés Marc
100 de la population totale des aliénés. Nous savons l'importance clinique qu'offre l'examen de l'oeil chez les paralytiqu
ique (lui caractérise la maladie de Marie et d'en faire une analyse clinique minutieuse. Le tableau classique décrit par Mar
r RAYMOND. (Nouv. Iconogr. delà Scclpcstoière, n° 1, 1899.) Leçon clinique fort intéressante tendant à répandre cette notion
point de vue géné- ral et pharmaceutique, l'autre plus spécialement clinique et concer- nant l'action de la thyroglandine da
e. Amélioration par le suc musculaire; par Félix ALLARD. Histoire clinique d'une myopathie primitive progressive chez un e
les faits observés par Sauze et les remarquables considérations, cliniques qui les accompagnent sont de toute actualité, pui
faire de la psychologie pure. L'auteur a voulu faire de la-synthèse clinique . Les opinions et les faits, discutés à la lumière
folie à double forme, aux névroses et aux intoxications. La réalité clinique de ces formes psychopa- thiques est admise par
dont l'existence ne saurait être mise en doute, offrent un intérêt clinique considérable. Ils proviennent de la mélancolie et
? On doit comprendre sous ce nom des troubles mentaux à physionomie clinique variée qui s'associent d'habitude aux lésions e
troubles polynévritiques, soit les troubles céré- braux. Les formes cliniques de la psychose polynévritique peuvent se ramene
dant il ne présente aucun symptôme d'hystérie. 2° La deuxième forme clinique est la confusion men- tale dans sa forme classi
t si on ne fait appel qu'aux événements du moment. Ces trois formes cliniques se confondent souvent et forment des variétés i
reux d'entendre M. Ballet adopter sans res- triction les caractères cliniques du délire onirique, caractères qui se reproduis
tique, ces trois délires ne sont que les variétés d'une même espèce clinique : la confusion mentale avec son symp- tôme fond
choses post-éclamptiques ou polyné- vritiques n'ont aucun caractère clinique spécial, ce sont des psychoses infectieuses, el
s aliénés doit se préoccuper de réserver aux abords de la ville une clinique pour l'enseignement des maladies mentales. Le p
très manifeste. Les auteurs, après avoir indiqué les particularités cliniques du cas, insistent sur SOCIÉTÉS SAVANTES. 403
citation violente, la fureur ont été suspendues. Des observations cliniques nouvelles sont à recueillir, des expé- riences
Deux cas d'astasie et d'abasie : M. Grasset (de Riom). Recherches cliniques sur la chorée de Scler7lvanc : M. le Dr ODDO. T
Faculté de Bordeaux. Je porte encore la santé du De Taty, chef de clinique du pro- fesseur Pierret (de Lyon), l'un de nos
ien originale ; ceci a d'autant plus d'importance que les symptômes cliniques de polynévrite peuvent souvent être très peu pr
cas de syphilis cérébro-spinale, tant au point de vue des symptômes cliniques , qu'en raison du succès du trai- tement spécifi
rouver dans les états diver=, a cependant une sorte de personnalité clinique . La symptomatologie permet de la considérer ind
re combler une lacune dans la description des différentes modalités cliniques qui relèvent de l'intoxication par les boissons
marquée par des conditions biologiques noimales. Au point de vue clinique , les malades diffèrent : chez les dégé- nérés h
» Cela demande sans doute une grande habitude des malades, un sens clinique exercé ; mais le professeur russe exige encore
Psychoses in Traité de médecine Charcol- l3ouclarcl. Séglas. Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, et comm
ns ses rapports avec l'état mental antérieur du sujet, le tableau clinique actuel, l'analyse précise des symptômes considéré
ne importance très secondaire, du moins en ce qui concerne la forme clinique revêtue par les troubles déli- rants. En effet,
udes logopathologiques d'un côté', et des observations personnelles cliniques de l'autre (1050 cas de vices de la parole)-, n
lice, P... est examiné par M. le D1' Garnier qui l'envoie à l'Asile clinique avec le certificat suivant : a Mélancolie. Lame
l doit se réhabiliter par le travail dans la prison. » De l'Asile clinique , P... est transféré le lendemain a Villejuif avec
e Briquet, un de Marlow, un de Wundermann ; un de Lévy observé à la clinique de Mendel. Presque toujours la cécité hystériqu
se en revue la littérature de son sujet, riche déjà au point de vue clinique , assez pauvre au point de vue anatomo-pathotogi
vations com- plètes sur lesquelles s'appuie son travail. L'histoire clinique ne permet pas de douter qu'il s'agisse dans l'u
ocalisation tout particulier de ce micro-organisme, au point de vue clinique , de le désigner sous le nom de d/po6MC<( ! )
te-sept ans ayant eu deux attaque-; nerveuses présentant le tableau clinique com- plet de la paralysie pseudo-bulbaire de Rr
tuberculose pulmonaire aiguë, offrant le type de la grauulie à type clinique d'embarras gastrique fébrile. Le 18 août, cépha
l chloroformique. Le 15 septembre 1898, il entre dans le service de clinique médicale dont nous étions chargé. Le membre sup
suicide ( statistique Silbald). Extraits de rate et de thyroïde en clinique (Bois et Kerr). Troubles oculaires et paralysie
al dans la - chronique téré- ditaire, Ilispal, 401. Recller- ches cliniques sur la - de Syde- nham, par Oddo, 405. Circon
Oddo, 405. Circoncision. Hérédité et -, I)at- 'J'al- bot, 226. Clinique PSSCIILI7111QLE. Une visite à 1.1 - de Giessen,
es, Traitement des - et des épileptiques,256. Idiotie. Recherches cliniques et thé- rapeutiques sur l'épilepsie, l'Il,s-
ite Cél'éb ! '0-Splilale épidémi- que. Quelques cas observés à la clinique du professeur P. Delati- nis, par Assimis, 61.
n- dues des uelfs crâniens, par Pres- ton, 61. Système nerveux. Clinique des ma- ladies du -, par Raymond, 16 Leçons d
nerveux. Clinique des ma- ladies du -, par Raymond, 16 Leçons de clinique thérapeutique sur les maladies du -, par Gilles
19 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
RCOT PUBLIÉE SOUS I.A DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Aune). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-Aune). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facult
mptômes de la folie impulsive et les décri- vait avec une précision clinique absolue. L'exemple de simu- lation, que je me p
es persécutions dont le rapport médi- cal m'avait donné la relation clinique , et aussitôt Cing..., se mettant à rire, m'avou
s les idées ambitieuses avec hallucinations variées était une forme clinique inconnue par son exagération même. Et en effet,
arché de l'objection. Je crus donc, avec la plus entière conviction clinique , que non seulement l'inculpé n'était pas aliéné
traitement t par le lit, préconisé par il1. le D1' Magnan,a l'Asile clinique , il peut paraître téméraire de parler de quarti
oint de départ d'eschares, d'érysipèle, etc. Dans son service de la Clinique , 111. le D1' Magnan a adopté ce système de couc
pos de quelques travaux récents ' ; ; Par Henri VERGER, Chef de clinique médicale à l'Université de Bordeaux. IL- LOCALI
res, etc., vinrent bientôt confirmer cette manière de voir. Un type clinique particulier était dès lors cons- titué : c'étai
es ont un relai au moins partiel au niveau de la couche optique. La clinique montre en tout cas que dans l'hémi plégie céréb
examinant ses observations il croit pouvoir établir dans les types cliniques les divisions suivantes : 1° Anesthésie tactile
sibilité générale dans l'hémiplé- gie cérébrale vulgaire. (Archives cliniques de Bordeaux, 1897.) SENS MUSCULAIRE. 37 exist
les yeux fermés ni l'étendue, ni la direction. Ces seules preuves cliniques , encore bien incomplètes, sont heu- reusement c
e lui que la perte du toucher actif soit un symptôme négligeable en clinique , juste- ment parce que cette perte révèle une l
de la prison devrait disposer d'une autorité plus grande. Des notes cliniques plus complètes devraient être prises dans la pr
mbiner; 6° Les particularités signalées plus haut donnent à l'image clinique de la paralysie générale chez la femme un cachet
s modifications a, dans ces dix dernières années, subies le tableau clinique de la paralysie générale des aliénés ; par E. N
ntisyphilitique antérieur, car qu'il ait eu lieu on non, le tableau clinique demeure le même ; on ne saurait davantage, argu
mes d'aliénation mentale; par 1\1. A. Voisin. (Revue de psychologie clinique et théra- peutique, février 1898.) 11. Voisin
s vrais; par le professeur Cesare AGOSTINI. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, mars 1899.) L'auteur considèr
hui; par le D''Miguel Bombarda (de Lisbonne). (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, janvier 1899.) Le problème
xpertise judiciaire ; par le D1' Joanny Roux. (Revue de psychologie clinique et thémpeu- tique, février 1899.) L'auteur si
de tic sans angoisse; par M. P. IIartenberg. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, janvier 1899.) Observation
eutique sug- gestive ; par le Dr P. Valentin. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, septembre 1898.) L'auteur d
y (de Kiew) (Traduit du russe par M. Bramson. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, novembre et décembre 1898.)
résistance de l'être humain. A. rwannou. VI. Résultats obtenus à la clinique de psychothérapie d'Amsterdam, de 1893 à 1897 ;
1893 à 1897 ; par le D' W. Van Rentergueu. (Revue de psi cho- logie clinique et thérapeutique, mars et avril 1898.) L'auteur
apeutique; par 11. A.-A. Liébault (de Nancy). (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, décembre 1897.) M. Liébault
on fonctionnelle; par le D' P. IIartenberg. (Revue de psy- chologie clinique et thérapeutique, juillet 1898.) Il s'agit d'un
ies; par MM. IIartenberg et VALENTI : '1. (Revue de psy- . chologie clinique et thérapeutique, décembre 1897 et janvier 1898
i court que quarante-neuf heures. IL DE Musgraye-Clay. XIX. Etude clinique de vingt-quatre cas de paralysie agitante, avec
nal, 8 juillet 1899.) On n'a pas ajouté grand'chose au point de vue clinique à la description que Parkinson a donné de la pa
'he New York Médical Journal, 19 août 1899.) Bien que les symptômes cliniques dans les quatre cas rapportés par l'auteur indi
ans pigmen- tations. L'un de ceux-ci a fait récemment l'objet d'une clinique de 1\1. Dieulafoy. Existe-t-il une troisième
M. Toulouse. Le mercredi à 9 h. 1/2 visite du service. Conférences cliniques au lit des malades. Suicide d'enfant. - A la su
spéciale, distincte, nette- ment caractérisée, qui forme une espèce clinique à part dans le groupe des chorées. Avant de tra
on remarqua surtout la diminution sensible de sa mémoire. Symptômes cliniques . Status en novembre 1897. Le malade d'apparence
e collègue Greppin publie l'intéressante observation qu'il fit à la clinique psychiatrique de Bâle et 1 il-) 2 PATHOLOGIE NE
tobre 1897, le professeur Binswan- ger de Iéna, a cité un cas de sa clinique dans lequel on aurait trouvé à l'autopsie les s
ie générale, ajoutant qu'un cas semblable aurait été observé à la clinique de lIitzig. Greppin, tout en constatant la dispar
plication des Plancues sera donnée à la fin du numéro de juin.] ' CLINIQUE MENTALE Conditions biologiques des familles des
dité vésanique ou de la folie, mais l'hérédité cérébrale ou, 122 , CLINIQUE MENTALE. comme disait M. Doutrebente, l'hérédit
ces résultats : Ages moyens des grands-parents réunis : 76. -124 CLINIQUE MENTALE. En se plaçant à un point de vue moins
celui de 6,20. Le détail pour chaque famille est le suivant : 120 CLINIQUE MENTALE. Troisième génération (frère et soeur).
uivante, au point de vue de l'âge auquel ils ont succombé : 128 8 CLINIQUE MENTALE. 2° Dans les familles normales. PARAL
familles normales. PARALYTIQUES GENERAUX. 129 MORBIDITE 130 . CLINIQUE MENTALE. Sur 1565 individus, \111. Ball et Régi
. Le traitement des aliénés violents par le séjour au lit à l'Asile clinique de Paris; par Louise G. HOBINOVITCII. (The New-
PHILIPPE et Oberthur communiquent des recherches histo- logiques et cliniques , pour aider à la classification des cavités int
e. M. Samuel 13EnrruEm, s'appuyant sur un certain nombre de faits cliniques et expérimentaux tire les conclusions suivantes :
dant quatre jours. , M. BERILLOIV. J'ai étudié, de mon côté, à ma clinique , l'action de certaines substances comme adjuvan
ution frontale gauche; elle date de 1861 et dérive de l'observation clinique et de l'anatomie pathologique de l'aphémie. « Q
ux pyramidaux. Van Gehuclrlen a dégagé de nombreuses obser- vations cliniques la loi d'après laquelle la zone motrice du télenc
1 b r Vol. IX. Mars 1900. ' N° 51. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Polyurie et Pollakiurie hystériques ;
qui pourront servir, pour leur Archives, 2* série, t. IX. 13 194 CLINIQUE NERVEUSE. petite part, à la solution du problèm
de croit à une affection de son canal de l'urèthre, et se rend à la clinique des maladies des voies urinaires. Le passage de
pas constants, quand ils se produisent, ils sont normaux. Les 196 CLINIQUE NERVEUSE. réflexes rotuliens sont eux aussi nor
x maux de tète, n'a jamais d'absences ou de Fig G. Firl. i. 198 CLINIQUE NERVEUSE. vertiges. Jamais il n'a eu d'attaques
ne ana- lyse rigoureuse. Voici le résultat de cette analyse : 200 CLINIQUE NERVEUSE. moindre que celle des deux autres sym
es choses que nous avons constatées chez notre malade. - L'histoire clinique de notre polyurique serait, en somme, bien simp
où la fréquence des mictions. Mais la vessie peut être tolé- 202 -) CLINIQUE NERVEUSE. rante au delà de sa capacité physiolo
tion de la muqueuse du col de la vessie. Guyon par l'obser- vation clinique , Mosso et Pellacani par l'expérimentation démon
hystérique, il existe une autre vessie irritable hystérique, 204 CLINIQUE NERVEUSE. dont la pollakiurie impérieuse peut ê
. dont la pollakiurie impérieuse peut être l'unique manifestation clinique . · Quoi qu'il en soit, notre malade ne réclamai
ulière des pilules. POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTERIQUES. 20 206 CLINIQUE NERVEUSE. . cacité de ce médicament M... a vu
volume total et soumis à l'ana- lyse. En voici le résultat : 208 CLINIQUE NERVEUSE. POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTÉRIQUES.
a bu moins d'un litre et demi. Voici le détail de l'analyse : 210 CLINIQUE NERVEUSE. pensé, apparaît menaçant le besoin d'
hystériques, dont la pollakiurie impérieuse est la seule traduction clinique . La polyurie, la pollakiurie impérieuse peuvent
sentielle. Craniectomie ; Par le D' Cil. MIRALLIÉ. Dans une leçon clinique faite il l'Hôpital Saint-Jacques de Nantes', no
la craniectomie. Nous nous bornons ici à rapporter son his- toire clinique et à donner des renseignements sur ce qui est a
racturé ; pendant huit jours le malade reste sans connaissance à la clinique chirurgicale où l'on constate une fracture du crâ
moins rapidement vers la chronicité. J. Séglas. XX. Contribution clinique à la doctrine de la démence précoce; par les DI
raité de psychia- trie. Ils pensent, qu'en s'en tenant au critérium clinique qui classe les maladies mentales suivant l'ense
nsemble de leur évolution et leur terminaison, il existe des formes cliniques qui ne peuvent rentrer logiquement dans les des
l'unique forme décrite jusqu'à ce jour, présentant des caractères cliniques identiques est l'hébéphrénie de Hecker. Ces carac
cliniques identiques est l'hébéphrénie de Hecker. Ces caractères cliniques fondamentaux se résumant dans une forme particuli
ucinatoire) et de démence paranoïde de Kroepelin. D'où la nécessité clinique de les comprendre sous une même dénomination no
es formes de démence juvénile qui présen- tent les mêmes caractères cliniques fondamentaux que la maladie décrite par Hecker.
vue thérapeutique est ici soigneusement développé au dépend du côté clinique que le grand nombre des cas invo- qués semblait
tal, soit ap- paraître quelque temps après la naissance. Le tableau clinique du crétinisme endémique et du crétinisme sporad
- nation un état particulier, analogue par beaucoup de ses traits cliniques , au crétinisme endémique, apparaissant soit penda
17 septembre 1898.) Ce travail est la reproduction de deux leçons cliniques faites par M. Patrick; il constitue un exposé c
. R. M. C. XXXIX. Etude sur l'histoire naturelle des manifestations cliniques et des altérations pathologiques dans les malad
quelle les crachats contenaient d'innombrables bacilles. Le tableau clinique rappelait absolument ce que l'on décrivait nagu
ce paralytique constitue une désignation commode des manifestations cliniques d'un grand nombre de processus morbides différe
hies où un épanchement presque toujours sanguin constitue l'élément clinique essentiel et qui semblent d'un pronostic assez
AVANTES.. 261 J les données anatomiques et en les rapprochant de la clinique et de l'expérimentation (méthode d'équivalents
chant de la clinique et de l'expérimentation (méthode d'équivalents cliniques ). Discussion. M. S. KORNILOFF croit que les lés
s, conducteur de chemin de fer, âgé de trente-trois ans, entra à la clinique pour des phénomènes névritiques récents aux mem
afin d'obtenir le transfert de son opéré de son service il l'Asile clinique . J'ai encore dans ma section cinq autres épilep
de Foville, de Morel et de Magnan, la critique porte sur le terrain clinique et pathologique et plus encore sur l'étiolo- gi
rites cortica : la. : Par le Dr Serge SOUKHANOFF ', Médecin de la Clinique psjcbialmiue de Moscou. Les prolongements proto
chez l'homme, le chien, le chat, le cobaye, 4 Du laboratoire de la clinique psychiatrique de l'Université de Moscou. Archiv
dendrites cor- ticales chez l'homme doit correspondre à un tableau clinique de démence. Nous sommes venu à cette combinaiso
méthode de Golgi). (,17-chives (russes) tleptithologies de médecine clinique et de bactériologie, 1899, ni l.) IhBAKOFF (F.)
ANISCIiEW SEY. Voir le Messager neurologique (russe), 1898, t. III. CLINIQUE MENTALE Les objets de piété comme instruments d
réquent si j'en crois ma propre Archives, 2e série, t. IX. 19 290 CLINIQUE MENTALE. expérience, car j'ai observé successiv
genre peu ordinaire. Je donnerai ici la relation de ces trois faits cliniques qui, tous les trois, appartiennent à la forme a
t évolution progressive. (Archives de Neurologie, 1897.) . - , 92 CLINIQUE MENTALE. manie. Meurtre de son enfant par suffo
tantôt gai. Elle rit des heures entières, voit son mari auprès 294 CLINIQUE MENTALE. d'elle, lui parle; voit aussi un potea
logue à celui-là. Cependant Bail rapporte succinc- tement, dans ses cliniques , une observation d'infanticide accompli dans de
d'injections reconstituantes mais le délire, qui s'était calmé, 296 CLINIQUE MENTALE. s'est réveillé. L'agitation est assez
heures et quart, vomissements abondants de sang pur que l'on 298 CLINIQUE MENTALE. peut évaluer en volume à 7j centilitre
pilepsie. Trépanation accidentelle; Par le D' G. JACQUIN, Chef de clinique mentale à l'Unirersité de Lon. Sommaire. - Anté
d'un cas de clientèle observé par hasard, et où les investigations cliniques sont forcément très restreintes. Le caractère d
ra soupçonner une tumeur du genou du corps calleux quand le tableau clinique est dominé longtemps avant l'apparition des tro
n noyau original dans le noyau de l'oculomoteur commun (Mendel). La clinique et la physiologie expérimentale ont déjà mis en
des images motrices; par le Dr P. HARTENBERG. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, avril 1899.) L'auteur définit
ie de la suggestion; par M. P. Harten- BERG. (IE7l21 de psychologie clinique et thérapeutique, août 1898.) La suggestion, di
ilités ; par le Dr Crocq fils (de Bruxelles). (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, juin et juillet 1898.) L'aute
Yin. Suggestion et mesmérisme; par E. BOIRAC. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, mai 1898.) L'auteur ne partag
de la suggestion; par J. P. DURAND (de Gros). (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, mars et avril 1898.) Tout e
me; par M. le Professeur Bernheim (de Nancy). (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, janvier 1898.) « Il n'y a p
t de l'hypnotisme ; par M. A. DUMONTP.1LLIER. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, décembre 1897.) Contrairement
Marche. - Des arrêts momentanés; pas de rétrocession. Le tableau clinique montre qu'il s'agit là d'un trouble purement mo
nd mental disease, février 1899.) L'auteur rapporte une observation clinique dans laquelle il y a combinaison de symptômes m
ions méningées sont suffisantes pour les expliquer. Au point de vue clinique , on est en droit de supposer que ces altération
mégaliques, 58 fois on trouva l'hypophyse malade ; 2° l'histoire clinique : chez un très grand nombre de cas d'acromégalie
raison de l'ex- trême rareté des faits de ce genre. Au point de vue clinique il s'agit d'un paralytique général, sans délire
ue, car, sauf les pseudo-méralgies tabétiques, elles relèvent de la clinique : en présence d'une pseudo-méralgie radi- culai
es, pronostic, diagnostic et traitement, telles sont avec des faits cliniques et des considérations médico-légales très dével
l'.lsile elmiyae (Sainle-.W ne). , (1835-1900) Médecin de l'asile clinique depuis trente-trois ans, le Dr Gustave Bouchere
les hémiplégies anciennes (1866), il met à profit ses connaissances cliniques et anatomo-pathologiques de la Salpêtrière; deu
laboration avec Magnan deux mémoires d'un vif intérêt historique et clinique , car ils révèlent d'une façon saisissante l'inf
a population ; mais une imposante cérémonie avait eu lieu à l'Asile clinique où un catafalque avait été installé dans le ser
es de Bouchereau, et M. Dagonet, au nom du corps médical de l'Asile clinique (Sainte-Anne). Les cordons du poêle pendant l
(Sainte-Anne). Les cordons du poêle pendant le trajet de l'Asile clinique à la gare d'Orléans étaient tenus par M. Pellet
de Biologie, agrégé de la Faculté, M. Dubuisson, médecin de l'Asile clinique , M. Meuriot, président de Y Association mutuell
ateur d'une rare sagacité, il acquit rapidement des connais- sances cliniques très étendues en médecine mentale et ner- veuse
es qui lui manquaient et c'est à ce moment que s'achevait l'asile clinique , édifié sur le terrain de la ferme Sainte-Anne. C
e que manifestaient les anciennes malades de son service de l'Asile clinique lorsqu'elles le reconnaissaient au cours des vi
e ceux que tu as aimés. Discours de M. DAGONET, médecin à l'Asile clinique . Messieurs, Cédant à la demande qui m'en a ét
aire en 1865, il avait été, en 1867, lors de l'ouverture de l'asile Clinique (Sainte-Anne), nommé médecin de l'administratio
Les docteurs en médecine nommés par la voie du concours chefs de clinique 1 ou internes dans les hôpitaux sont assimilés au
ui remplissent l'une ou l'autre de ces fonctions dans un ' Chefs de clinique ... dans les hôpitaux, c'est plutôt chefs de clini
un ' Chefs de clinique... dans les hôpitaux, c'est plutôt chefs de clinique des Facultés de médecine qu'il faudrait dire.
la dissertation. Le maximum des points sera de 20. 3° Une épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera ac- cordé tre
ux épreuves du concours insti- tué par le présent arrêté le chef de clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encé
struction publique et des beaux-arts, du 12 juin 1899. Le chef de clinique se trouvera par ce fait dans les mêmes condi- t
ats qui auront concouru antérieure- ment à sa nomination de chef de clinique '. Art. 9. Le conseiller d'État, directeur de l
, imp ? r1000. Vol. IX. Mai 1900. N° 53. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Hyperesthésie corticale dans l'alcooli
serva cette hyperesthésie : Archives, 2' série, t. IX. 25 . : 386 CLINIQUE MENTALE. il fit naître des hallucinations visue
thèse inaugurale3. Un alcoolique persécuté trouve , Magnan. Leçons cliniques sur les maladies mentales, 1S97, p. 207. . Mier
ception des paroles proférées par les espions, en les rendant 388 CLINIQUE MENTALE. plus intelligibles et plus nettes. Voi
us avons signalée dans nos observations, pour rester fidèles à la clinique . Toutefois, bien qu'il y ait hyperesthésie aux
a névrite alcoolique, bien étudiée par Charcot et ses élèves. 390 CLINIQUE MENTALE. Le cerveau, qui réagit sous le moindre
Antécédents héréditaires. Père charbonnier, mort il y a deux 392 CLINIQUE MENTALE. ans; alcoolique, buvait surtout du vin
sans cesse dans son délire. S --nlême état. Transférée il l'Asile clinique . Voilà donc une première malade dont le père ét
ant. La dipsomanie apparaît surtout quand une cause physiolo- 394 CLINIQUE MENTALE. gique, les menstrues, intervient, augm
bien, et dites-moi ce que vous entendez . » « C'est un bourdon- 396 CLINIQUE MENTALE. nement lointain, répond-il, qui se rap
réveillent plus, quelle que soit l'excitation. Transféré à l'Asile clinique . Cet homme, L..., a une légère tare, mais une t
ps, il répond avec réticence, de même du reste qu'il avoue dif- 398 CLINIQUE MENTALE. ficilement ses excès, il signale cepen
ol. Nous nous expliquerons plus tard sur ces points. (.1 suivre.) CLINIQUE NERVEUSE. Notes cliniques de la section des mal
plus tard sur ces points. (.1 suivre.) CLINIQUE NERVEUSE. Notes cliniques de la section des maladies nerveuses à l'hôpita
Il y a plus de dix-sept ans que je suis professeur des mala- 400 CLINIQUE NERVEUSE. dies nerveuses : d'abord je l'étais à
ns l'organisme. Pendant cette Archives, 2° série, t. IX. ' 26 402 CLINIQUE NERVEUSE. période de son séjour temporaire dans
De cette manière, je pouvais laisser de cinq six semaines mes 404 CLINIQUE NERVEUSE. malades sous l'influence d'une assez
issu conjonctif dans les divers organes, étaient devenues plus- 406 CLINIQUE NERVEUSE. fréquentes ce qui n'était jamais arri
ues eux-mêmes. En effet, trouvez actuellement un syphilologue 408 CLINIQUE NERVEUSE. qui, après plusieurs traitements merc
ant électrique continu et celle de l'appareil génito-vésical, 410 CLINIQUE NERVEUSE. par le courant faradique ou par l'éle
ion provoquant une extension considérable des racines de la 412 ) CLINIQUE NERVEUSE. moelle épinière, agit certainement, d
cette psychose. Il s'agit du phénomène de la corde. On désigne en clinique sous ce nom un phénomène normal appelé par les
ernow. Et le concours de l'altération osseuse et de la localisation clinique implique l'origine traumatique des accidents du
ssion au niveau de la deuxième paire dorsale, mais dont l'évolution clinique n'a pas été communiquée. Le faisceau de Schultz
ervous and mental diseuse, mars 1899.) De l'étude de certains faits cliniques observés par lui-même, d'accord avec les observ
nts de ressemblance entre les deux catégories de cas. L'observation clinique nous apprend que d'une manière générale les att
t ; mais c'est du moins l'hypothèse qui explique le mieux les faits cliniques que l'on rencontre dans certains cas rares de s
once la mort de M. le Docteur Bouchereau, médecin en chef à l'Asile clinique . Plusieurs discours ont été prononcés à l'Asile
à l'Asile clinique. Plusieurs discours ont été prononcés à l'Asile clinique par MM. Pelletier, au nom du Préfet de la Seine
nes de M. Bouchereau ; Jules Dagonet au nom des Médecins de l'asile clinique '. M. LE Secrétaire général donne communication
omalacie). - N... présente l'observation d'un malade (paysan) de la clinique atteint de syrin- gomyélie. Dissociation de la
'abcès s'amincit et donna issue à du pus. A l'entrée du malade à la clinique on constate une augmentation considérable du vo
formes localisées peuvent aussi exister seules) elle n'a de valeur clinique que liée à l'agnoscie visuelle, malgré l'intérêt
asse du cadre; Dr Dubuisson (Paul-Émile), médecin en chef à l'Asile clinique (hommes) passe en la même qualité au ser- vice
cin en chef à Villejuif (Seine), passe en la même qualité à l'Asile clinique (hommes), en remplacement de Dr Du- buisson ; -
ologie interne : Des crises gastri- ques. Pustule maligne. - Formes cliniques de l'urémie. Patho- logie externe : Symptômes e
e 58 pages. Dijon, 1899. Imprimerie Prodot-Carré. Grasset. Analomie clinique des centres nerveux. Volume in-16, cartonné, de
servation suivante a pour caractère d'être complète au point de vue clinique et d'être appuyée par une étude histologique dé
être pour le moment, de livrer ce fait à la publicité. Observation clinique . Brout... (Lucien-Henri), né le 20 octobre 1856
à protoplasme souvent imperceptible, dans tout le cortex et 476 . CLINIQUE MENTALE. principalement au niveau des circonvol
régulièrement distribuée; nerfs périphériques à peu près intacts. CLINIQUE MENTALE. Hyperesthésie corticale dans l'alcooli
les observait avant l'expérience, puis elles cessent. t. ' . 478 CLINIQUE MENTALE. Si F..., ayant les yeux fermés, on lui
usé. Le malade est transféré à Ste-Anne à six heures du soir. 480 CLINIQUE MENTALE. Le goût seul a réagi ici, et très désa
aire de police pour les arrêter. » 1[ est admis d'urgence à l'Asile clinique , où nous l'avons vu le lende- main matin 4 avri
et il sourit au souvenir de ses Archives, 2° seie, t. JX 31 l 482 CLINIQUE MENTALE. hallucinations d'hier. Pourtant par la
sent fort, nous dit-il, c'est de l'encre, ça sent l'encre. » 484 CLINIQUE MENTALE. La langue est impressionnée sous l'act
a voix d'un individu qui l'appelait « assassin, assassin. » . 486 CLINIQUE MENTALE. Vue. - Procédé Liepmann : il voit une
Motet, etc.), pour ne citer que les principales, on est arrivé 488 CLINIQUE MENTALE. avec le progrès de la science physiolo
rence logique, malgré les faits physiologiques, et les observations cliniques , des maîlres, comme MM. Ballet et Vallon, n'acc
oo- liques ont eu des hallucinations, analysons, au point de .vue clinique , les caractères intrinsèques de ces hallucination
clinique, les caractères intrinsèques de ces hallucinations, 490 CLINIQUE MENTALE. relativement à leur point de départ, e
- cale alcoolique se rencontre surtout chez les prédisposés, 12 ' CLINIQUE MENTALE. 1 voyons si la nature des boissons y a
the donne aux buveurs, tôt ou tard, des attaques épileptiformes. La clinique est là, et les expé- riences de laboratoire ne
xpé- riences de laboratoire ne pourront jamais détruire ce que la clinique a établi. Nous concluons donc que ce sont surtout
atations histologiques trouvent leur confirmation dans divers faits cliniques : cas de lésions alrophiques du noyau du facial
al diseuse, janvier 1899.) Cette maladie a des caractères à la fois cliniques et anatomiques très spéciaux, et elle mérite sa
à la dernière période : liquide séreux, abondant, stérile. Tableau clinique ressemble à celui des méningites, les seules di
lpétrière, n° 6, 1899.) Observation présentant les mêmes caractères cliniques que celles de Meige, mais avec cette particular
5 août 1899.) M. le professeur Raymond a consacré une de ses leçons cliniques à la discussion du cas d'un enfant de six ans,
loi sur la folie et l'internement des -, par Lyon, 246. Etudes cliniques et pathologique;; des ma- ladies des poumons ch
nerveuse. L'influence du climat sur les -, par Brown, 162. Notes cliniques de la section (les - l'hôpital militaire de I
. - chez un enfant de 9 ans, par Spiller, 343. Paralysie. Etude clinique sur la - aritante, par Collines et Moskens, 7
ez la I*etnine,pai,('rei(letibei-g '6 Trans- formation du tableau clinique de la -, par menuet. 50. Pachymé- ningite hém
nfec- tieuse, par Ballet, 258. Psïciiothérapie. Résultats de la clinique de - d'Amsterdam, par van Renterghem, 63. Pup
20 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
le professeur Hitzig (1). M. Hitzig a fait plusieurs constatations cliniques de haute valeur et il a fait ressortir, lui-mêm
saient bien établies quand Bastian est venu démontrer par des faits cliniques qu'à la suite de sections complètes de la moelle,
, présente delà paraplégie flasque. Alors tout paraît tomber, et la clinique ancienne, et la physiologie. Bastian démontre q
sans que le membre supérieur participe à l'hémiplégie. Cette forme clinique est rare ; on a même nié son existence et émis ré
férieur sont anatomiquement et physiologiquement distinctes. Si, en clinique , leur paralysie isolée s'observe rarement, l'ex
(1) Dans un travail publié avec Guillain sous le titre Exisle-t-il en clinique des ocalisations dans la capsule interne (Semai
bre inférieur, sans perte complète de la motilité, et ces symptômes cliniques sont bien en con- cordance avec l'état anatomiq
ètement détruite on est étonné de ne pas trouver dans les symptômes cliniques , en même temps que l'état dystrophique de ce me
s motrices suppléance anatomique en même temps que physiologique. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX Hospice de la S
ÉTIOLOGIE INCONNUE. PAR F. RAYMOND et H. GOUGEROT Professeur de Clinique des maladies nerveuses Interne de la clinique Cha
OUGEROT Professeur de Clinique des maladies nerveuses Interne de la clinique Charcot. à la Salpêtrière Dans le groupe des
mique appréciable du système vasculaire » ; il croyait à une entité clinique parfaitement indi vidualisée.Mais l'étiologie dev
ste et complexe, la maladie de Raynaud devint peu à peu un syndrome clinique , observé dans les circonstances les plus diverses
tés. On ne doit pas céder à cette tendance de rapporter à un groupe clinique connu des faits non classés qui s'en rapprochen
rangers, le Dr J... de la Haye, âgé de 48 ans ; il a été amené à la Clinique Charcot par le Or Rosenthal, ancien élève du se
nt été essayés, prescrits par des méde- cins de tous les pays. A la clinique Charcot le malade a été traité par le Dr Huet,
ot le malade a été traité par le Dr Huet, chef du laboratoire de la clinique . « Le malade a été soumis au commencement de ju
A MAIN A TYPE DE RHUMATISME CHRONIQUE. PAR FÉLIX ROSE Chef de clinique à la Faculté. « Observation. Mme G..., veuv
n- naître l'histoire de ce dernier. On peut, sans nuire à l'unité clinique du trophoedème chronique, le diviser au point d
hommes contre 39 femmes sur un total de 67 sujets). Au point de vue clinique , nous relevons les particularités suivantes : L
s fibreuses. Celle image radiographique concorde bien avec l'aspect clinique de la peau d'orange ; elle est curieuse à rapproc
ons à étiologie si différente, montrent seulement les ressemblances cliniques qui rapprochent certains types d'oedème nerveux
on la maladie qui le provo- que. Je dirai mieux : que le traitement clinique d'une maladie et de l'autre, examine légèrement
contestablement l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne. L'histoire clinique des anévrysmes de la sylvienne est fort obscure.
ge dilaté. L'intérêt de cette observation est d'ordre anatomique et clinique à la fois. il,) 2 SOUQUES . Au point de vue
e calibre nor- mal d'une branche de la sylvienne. Au point de vue clinique , l'intérêt du cas est encore plus frappant. Il
ctives de la colonne vertébrale ; sur les 950 autopsies faites à la clinique depuis la fin de 1895, le fait actuel est le seul
une compression de la moelle et des plexus brachiaux; le diagnostic clinique avait été celui de mal de Pott tuberculeux. L
hôpitaux de Paris. L'intérêt de l'observation suivante est double, clinique et anatomique. En clinique, les troubles sensit
êt de l'observation suivante est double, clinique et anatomique. En clinique , les troubles sensitifs et moteurs de la queue de
riangle de Gombault et Philippe. En résumé, il s'agit du syndrome clinique de l'hémi-queue de cheval par dégénérescence as
s se comptent (1), sug- gère quelques réflexions. Au point de vue clinique , depuis qu'ont été individualisés les syndro- m
d., 5 oct. 1904 ; Revue de méd., 10 nov. 1905. {LABORATOIRE DE LA CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DU PROF. E. TANZI) A PROPOS D'UN
ENDANT PAR It G. CATOLA Assistant à l'Asile des aliénés et à la Clinique psychiatrique de Florence. On peut dire que jus
les.sensitifs. Depuis lors les observations de ces différents types cliniques se sont notablement multipliées et ont fourni d'a
utant plus que notre cas était caractérisé par des par- ticularités cliniques et par des faits anatomiques que nous avons estim
s que nous avons estimés dignes d'un certain intérêt. Observation clinique . Brussi Catherine, 18 ans, entrée à l'Asile des
ropos de suicide,on l'interna à l'Asile le 3 sep- tembre 1903. A la clinique psychiatrique, où elle fut admise à son entrée, e
opique. A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 133 Résumé clinique . ? Jeune fille de 18 ans, démente précoce. Au cou
esellschaft f. Psych. u. Nervenkrankh., 1819. 15. PETER. - Leçon de clinique médicale, t. II, p. 389, 1879. 16. EISENr,01111
Des névrites périphériques dans la tuberculose pulmonaire. Archives cliniques de Bordeaux, 1896. 49. Rwfoxr'. Clinique des ma
se pulmonaire. Archives cliniques de Bordeaux, 1896. 49. Rwfoxr'. Clinique des maladies du système nerveux, 2° série, p. 126
ction des infections. Thèse de Paris, 1903. 82. S.wn (R.). Histoire clinique et 'examen histologique d'un cas de sclérose médu
é- dullaire, mais elles sont suffisantes pour pouvoir se diriger en clinique . Le phénomène de multi-muscularité que nous avo
qui resteront non excités, ce qui sera contraire à nos observations cliniques sur la propagation des réflexes. Même difficulté
ature de la peau rougie était de 99° 4 F. prise avec un thermomètre clinique ordi- naire maintenu sous une lame de coton alo
e . OEDÈME PERSISTANT HÉRÉDITAIRE 197 petits points de différence cliniques n'indiquent en aucune manière des différences d
evue critique des troubles psychiques observés dans les syn- dromes cliniques dus à des perturbations des glandes à sécrétion i
solée ; elle aurait une action cardio-vasculaire. Au point de vue clinique , ce qui caractérise les thyroïdes et les para-
armi les symptômes liés aux perturbations thyroïdiennes, deux types cliniques bien définis émergent immédiatement : le myxoedèm
myxoedème et le goitre exophtalmique, chefs de file de deux séries cliniques , la série myxoedèma- teuse et la série basedowi
nt pas synonymes, car, non seulement les uns désignent des tableaux cliniques et les autres des modalités secréloires, mais l'u
lités secréloires, mais l'un, le myxoedème, n'est qu'une expression clinique de l'insuffisance thyroï- dienne qui peut ne pa
pas y aboutir, et l'autre, le'syndrome de Basedow, est une réalité clinique que personne ne discute, tandis que l'excitation
ghe, Bertrand, Delore, Ausset, IIautefeuille, etc., au point de vue clinique , et de Roger et Garnier qui l'ont produit expér
hyroïdien. Interprétation. L'expérimentation vient s'ajouter à la clinique pour démontrer le rôle de l'insuffisance thyroï
troubles psychiques myxoedémateux font partie intégrante du tableau clinique et dépendent directement de l'insuffisance thyr
l'enfant. Dans le second groupe, la ressemblance de certains traits cliniques des syndromes avec le myxoedème fait soupçonner
itation THYROÏDIENNE. Nous venons de voir'que dans les divers types cliniques qui ressortis- sent, les uns certainement et le
yroïdienne, qui parait à l'origine d'un certain nombre de syndromes cliniques , dont les uns sont classiques et d'autres à pei
au myxoedème. 1. Les troubles psychiques des basedowiens. L'étude clinique des troubles psychiques des basedowiens peut être
tion. Aussi., après avoir groupé autour de quelques types les faits cliniques , passerai-je en revue les théories émises pour le
plus contestable. Sa démonstration s'appuie sur une série de faits cliniques et expéri- mentaux. Chez certains basedowiens
rt s'appuie, d'une part, sur la quasi-cons- tance de la coïncidence clinique à tel point que ces symptômes psychiques font p
stérie, de neurasthénie et de nervosisme. En plus des ressemblances cliniques , ce sont les résultats remarquables souvent de
n trouble dela véritable sécré- tion interne. Le myxoedème, terme clinique , n'est donc pas synonyme d'insuffisance thyroïd
e la psychose ; mais dans certains cas il me paraît démontré par la clinique et l'opothérapie que la psychose est directemen
yxoedémateux. Nouv. Icon. de la Salp., 1897, p. 240. Classification clinique des infantiles. Leçons sur les maladies nerveuses
228 LAIGNEL-LAVASTINE E DIEUL \FOY. Un cas de maladie de Basedow. Cliniques . 1896, p. 184. Dinkler. - Histoire et anatomie
ier 1907. Bull, gén. de thérapeutique, 1907, p. 324. Trousseau. - Cliniques . TouLOUSe. - Gaz. des hôp., 1892. WEBER. - Ra
, les mo- 236 NERI dalités spéciales de la douleur, les analogies cliniques considérables avec la coxalgie organique, pour
ixé leur attention à ce sujet. Ainsi, M. Duplay, dans ses Leçons de clinique chirurgicale, à propos de l'attitude et de la d
ère paradoxal dans un cas d'hystérie traumatique dans les Leçons de clinique médicale de M. le professeur Grocco de Florence.I
es. CIIARGOT. Leçons sur les maladies du syslème nerveux. DuPLAY. Clinique chirurgicale de V 116 tel-Dieu, 1897. DE LA DÉM
rocco. - Lezioni di clinica medica. Gilles DE la TOURETTE. - Eludes cliniques et physiologiques sur la marche. - L'altitude e
arliculaires de la hanche simulant la coxalgie. P.1GET. - Leçons de clinique chirurgicale. ' OppENHEU ! . Ti-aitato delle nz
i in Rapport de M. J. Teissier au Congrès de Liège sur les for- mes cliniques du rhumatisme chronique. LES DESSINS DE LA «
e et l'habileté dans la reproduction de tous les documents figurés, cliniques et artistiques, ont entrepris une publication r
us venons aujourd'hui relater un nouveau cas personnel. Observation CLINIQUE . Lucie M... entre à la Clinique infantile à l'â
ouveau cas personnel. Observation CLINIQUE. Lucie M... entre à la Clinique infantile à l'âge de 19 mois, le 20 no- vembre
le réflexe controlatéral plantaire hétérogène n'est qu'une modalité clinique ; que l'exagération plus marquée de l'ex- citab
olonne verté- brale de spondylose rhizomélique, l'autre est d'ordre clinique : coexis- tence d'un rhumatisme vertébral ankyl
ence d'un rhumatisme vertébral ankylosant et de tabes. Si les faits cliniques de spondylose rhizomélique se comptent aujour-
que le résumé de trois observations dans (1) BECIITEREV et RAYMOND, Cliniques des maladies du système ne ? veux, 5, série, p.
lose du rachis avec examen analomo- pathologique. Conférences de la clinique neurologique de Pétersbourg, 1" janvier 1899, p
a traduntur medicis, jam pectine negro. i (3) DUPRÉ, Les caractères cliniques de l'insuffisance testiculaire. Th. de Paris, i 9
-Dizier (Haute-Marne). INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE. CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE DIRIGÉE PAR III. LE PROFESSEUR
L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN PAR ETTORE LEVI Assistant à la Clinique médicale générale de Florence. On a beaucoup éc
le française qui en a largement éclairé la pathogénie et le tableau clinique . Cependant, malgré tant d'études et de recherch
tilisme somatique et psychique, mais même sur l'origine et l'entité clinique des différentes formes d'arrêt de déve- loppeme
loppement. Nous croyons par conséquent que tout nouveau document clinique , dûment analysé, a aujourd'hui encore une grand
'objet de ce mémoire sont caractérisées par quelques particularités cliniques bien dignes de mention en tant qu'elles nous pe
nfant de 10 à 11 ans. Le 21 janvier 1907, Marguerite fut reçue à la Clinique médicale générale de Florence où je pus prendre
ète- j ment impubère. Je ne publie pas ici in extenso l'observation clinique corres- ' pondant à cette époque, car l'ayant r
le. . Le volume du coeur et des grands vaisseaux paraît, à l'examen clinique et radioscopique, normal et proportionné aux au
rriver à présent avec toute facilité à la détermination de la forme clinique présentée par nos cas et à l'interprétation la
à la discussion des formes purement néces- saires. . (A suivre) CLINIQUE MÉDICALE DE FLORENCE DIRECTEUR : PROFESSEUR GRO
DIRECTEUR : PROFESSEUR GROCCU » ENCORE SUR L'ACROMEGALIE NOTES cliniques (') PAR GIUSEPPE FRANCHINI et G. J. GIGLIOLI
pas d'être prises en considération. D'autre part, les recherches cliniques et anatomo- pathologiques expé- rimentales nous
le myxooedème,où l'ex- périmentation confirma complètement ceque la clinique availfait admettre. En effet,dans toutes les te
utile de les faire connaître ; je me bornerai, quant à l'exposition clinique , à la partie plus intéressante de l'anamnèse et
cessation plus ou moins rapide du tétanos. Le malade, sorti de la clinique , y est revenu le 18 mars 1908 , il se maintient
'est à ce détail qu'on attri- bua tout. La malade fut admise à la clinique le 7janvier 1908. Examen objectif. -Les caractè
sait une forte cépha- lée, on l'envoya, quelques années après, à la Clinique ophtalmologique, où l'examen ophtalmoscopique e
ts fonctionnels. Même con- clusion si l'on veut comparer le tableau clinique de la maladie de Flajani- Basedow avec les résu
s de vraisemblance, serait d'accord avec les symptômes et les faits cliniques . Mais je préfère m'arrêter ici, car ce n'est pa
d, 7 Auflae. 336 GIUSEPPE FRANCHINI ET G. GIGLIOLI quelques faits cliniques ; j'ai dit que de l'intestin peuvent partir des
ues autres, c'est-à-dire la théorie de la distinction de deux types cliniques et (1) Nouv. Icon. de la Salpêtrière, n. 6. 190
nuée d'intérêt. Ici je me bornerai à reporter un résumé de l'examen clinique relatif aux trois cas dont j'ai donné l'histoir
stin sur la formation del'indican, car dans cette maladie les faits cliniques (fréquents dérangements gastro-intes- tinaux, c
lli, Daddi et Baduel (2), de Scordo et Franchini (3), exécutés à la clinique de Florence, sont instructifs à cet égard. Les
tité pri- mitive de la chaux. Cela d'accord encore avec les faits cliniques qui, d'imposants et tumul- tueux à la première
E une photographie d'un crâne typique chez un sujet dont l'histoire clinique n'a pu être reconstituée, mais qui ne paraît pa
ÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). , Observation X CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GENÈVE DE QUEL
i à la jambe. Atro- phie accentuée des nerfs optiques. Discussion clinique . Il suffit de jeter un coup d'oeil surles clichés
ulose pulmonaire et intestinale.Tumeur cérébrale. Notre observation clinique est, je dois l'avouer, fort pauvre ; mais peut-êt
cela explique sans aucun doute le manque de netteté des phénomènes cliniques . Malgré le peu d'exagération de la pression, l'
érée peut, à elle seule et en peu de temps, produire des phénomènes cliniques analogues. Pour les expliquer on ne saurait inv
E CHEZ UN DÉMENT PRÉCOCE DÉGÉNÉRÉ, PAR E. RÉGIS Professeur de Clinique Psychiatrique à l'Université de Bordeaux. Obser
n (1) (PI. LXIII LXV). Pierre X..., 28 ans, cultivateur, entre à la clinique psychiatrique (Hôpital St-André), le 3 avril 19
al de Bordeaux. C'est dans ces conditions que Pierre est entré à la clinique psychiatrique (Hôpital Saint-André), te 3 avril
ierre peut être considéré comme caractéristique de ce se- cond type clinique , dont l'existence et les particularités spéciales
tervention du système nerveux. Cela résulte non seulement des faits cliniques et tératologiques, mais encore des faits ex- pé
isson, Hoffa, Hedard). INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE. CLINIQUE MÉDICALE GÉNÉRALE DIRIGÉE PAR LE PROFESSEUR SE1\.
DU TYPE LORAIN (suite el fin) PAR ETTORE LEVI Assistant à la Clinique médicale générale de Florence. La conception cl
ssistant à la Clinique médicale générale de Florence. La conception clinique de l'infantilisme remonte à Andral, Tardieu et
ment chez eux l'établissement intégral de la puberté ». Cette forme clinique a été étudiée par Brouardel, ./o ? '0 ? Z ? a)'e,
i a été le premier à défi- nir par des exemples classiques, le type clinique de l'infantilisme mi- tral, lequel, à la différ
donc quelles sont, selon Meige et Bris- saud, les caractéristiques cliniques opposées du type Lorain etdu type Brissaud- : .
de quelques formes frustes de passage, cependant que les caractères cliniques extrêmes des deux types son si bien différenciabl
génie des infantilismes. Un point essentiel pour la différenciation clinique entre le type Lorain et le type Brissaud devrai
es des deux soeurs Ser... et aux traits principaux de leur histoire clinique , suffira à nous convaincre que, par leur aspect
Brissaud fait défaut. S'il nous a été facile d'exclure cette forme clinique , la tâche nous sera beaucoup plus aisée pour le
selon les auteurs français, ne serait point compris dans le tableau clinique de l'infantilis- me de Lorain. Cette donnée a
puisse parler d'un infantilisme rachitique qui formerait une entité clinique autonome. Sur ce sujet je m'accorde pleinement
si l'on doit conserver jusqu'à preuve du contraire, une distinction clinique entre les formes qui ont une empreinte myxoedém
ste) et celles où celle empreinte fait totalement défaut à l'examen clinique . ' M. Brissaud est revenu récemment sur cette q
ème s'ajoute à la dystrophie préexistante. La complexité du tableau clinique ne permet plus de reconnaître la part de responsa
tion d'âge puisse avoir une si grande importance dans la conception clinique de l'infantilisme : tout âge de la vie a son in
tilisme et en conséquence nous ne pouvons admettre pour cette forme clinique que la définition suivante : « l'infantilisme est
ent prouvée . M. Brissaud admet qu'on ne peut, par le simple examen clinique sur le vivant, se faire aucune idée des conditi
royons pas qu'il soit juste de nier toute valeur aux observa- tions cliniques et aux expériences physiologiques qui parlent en
vaste et compliqué des résultats non m'oins contradictoires que la clinique . ' " On a constaté expérimentalement l'hypertro
ns obligé de faire rentrer dans le giron de la dysthyroïdie les cas cliniques les plus dissemblables et chaque syndrome d'inf
e, de Levy et Rothschild, etc., il n'y aurait bientôt plus de forme clinique qui ne put rentrer dans ce giron beaucoup trop va
ntilisme nous sem-, Irle la plus en harmonie avec nos connaissances cliniques et physiologi- ques ; elle est un peu vague et
tile ni suffisamment fondée. L'hypothèse que ces différentes formes cliniques soient toutes dépendan- tes d'une lésion primit
héories unitaires ne nous semble suffisamment appuyée par des faits cliniques et physio-patholoaiques assez clairs et nous croy
on, selon nous par trop simple et pas assez prou- vée, tous les cas cliniques qui parlent contre la doctrine qu'il soutient et
ondérante de l'une ou de l'autre glande dans les différentes formes cliniques est claire dans quelques cas et obscure dans d'
Il en est de même d'ailleurs de nos connaissances sur chaque entité clinique et nous voyons en effet que seulement l'aurore de
voyons en effet que seulement l'aurore de nos études sur une forme clinique déterminée, il nous est-possible d'en enfermer la
etc. Ce fait qui est vrai en général pour toute forme d'observation clinique s'applique d'autant plus à l'analyse psychique
hématologiques d'une légère anémie simple pendant que tout symptôme clinique d'anémie grave manquait totalement; cette hypot
la thyroïde et des testicules. L'auteur ne dit pas de quelle forme clinique d'infantilisme il s'agissait dans son cas : mai
aire était pré- valente. Voilà donc que sur la base de documents - cliniques assez clairs nous devons renoncer à formuler av
ssez clairs nous devons renoncer à formuler avec sûreté l'hypothèse clinique que dans notre cas une tumeur de l'hypophyse so
ostic de tumeur de l'hypophyse on peut invoquer enfin des arguments cliniques vulgaires : dans notre cas on n'eut pas d'hémia-
notable de la selle turcique) pendant que tous les autres symptômes cliniques parlent contre une telle supposition diagnostiq
d'hydrocéphalie idiopathique a écrit récemment quelques magistrales cliniques , affirme que la marche caracté- risée par de lo
nuelle à l'amélioration. Nous avons donc vu que tous les caractères cliniques déposent en faveur de notre dernière hypothèse
hérédo-syphi- litique dans les deux autres. ' Tous les caractères cliniques que nous avons mis en relief chez ces trois 464
ses n'est aucunement à considérer comme une de ses caractéristiques cliniques . ' Sur la foi de nombreuses observations cliniq
ractéristiques cliniques. ' Sur la foi de nombreuses observations cliniques nous croyons en outre ne pas pouvoir encore acc
thyroïdienne de l'infanti- lisme est établie et basée sur des faits cliniques et expérimentaux indiscu- tables u. Nous avon
tables u. Nous avons vu au contraire qu'aussi bien les observations cliniques que les résultais de l'expérimentation physiopa
- Insuffisance pluriglaudulaire endocrinienne . lndividuali, sation clinique . Observation anatomique et histologique. Journal
ité accrue ou diminuée de l'encéphale explique facilement ces faits cliniques intéressants. Divers faits dans l'observation c
ces faits cliniques intéressants. Divers faits dans l'observation clinique sont à signaler. Tout d'abord c'est la rareté d
0 au moins. Le tabes également est loin d'être une simple curiosité clinique , puisque aux 47 cas retenus par Hirtz et Lemair
Toulouse, en effet, deux ordres de symptômes caractérisent ce type clinique . C'est un affaiblissement simple de l'intellige
NÉES CHEZ LES SUJETS HYSTÉRIQUES. CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LA CLINIQUE ET SUR LA DÉFINITION DE L'HYSTÉRIE par - I.
tion d'aliments solides. Dans notre service j'ai poursuivi l'examen clinique complet de la jeune fille. Du côté du système n
ons que j'ai relaté mon observation dans le traité de rÕntgénulogie clinique que j'étais en train de publier (1907). Il s'ag
impossible de pratiquer l'autopsie. I Telle est mon observation clinique . Malheureusement, il s'agit seule- ment d'obser
tion clinique. Malheureusement, il s'agit seule- ment d'observation clinique : nous n'avons pas d'examen nécroscopique qui n
de dans le diagnostic, et nous devons nous borner à des argu- ments cliniques . 486 VALOBRA 1° Joséphine était un sujet hyst
trisation de la gorge ; les accès con- vulsifs typiques. L'histoire clinique parle encore d'une liéillillypoesillésie d'un c
hogénie de ces phénomènes, mais cela ne diminue pas leur importance clinique pour le diagnostic de l'hystérie. 2 Joséphine p
es respirations pour chaque malade dans le but d'avoir une histoire clinique complète ; où, selon l'habitude des services de
tion de la pathogénie ; je désire de m'arrêter sur le terrain de la clinique . Il me suffit d'avoir démontré qu'il ne s'agit
s des autres varié- tés de gangrène spontanée de la peau connues en clinique médicale, et que les plaques de notre malade pr
notion de l'existence de ces troubles avec toutes ses modifications cliniques . Il existe particulièrement en France toute une
puisque ce phénomène ne se pré- sente pas avec les mêmes modalités cliniques en dehors de l'hystérie, nous pouvons affirmer
ute possible, de nature hystérique ? D'autre part, toute l'histoire clinique de ce syndrome parle pour une auto- suggestion.
qui ne nous expliquent rien. Il faut rester sur le terrain purement clinique . Néanmoins, à ce propos, on peut rappeler que l
nomène, non plus qu'expliquer la pathogénie des autres phénomè- nes cliniques de l'hystérisme. D'autre part, est-ce qu'on con
iscussion est inutile. L'hystérie, particulièrement,est un syndrome clinique , exclusivement clinique ; elle ne possède pas enc
'hystérie, particulièrement,est un syndrome clinique, exclusivement clinique ; elle ne possède pas encore un chapitre d'anat
tit traumatisme initial. Elle présente chez ces sujets une démarche clinique spéciale, telle qu'on ne l'observe dans aucune
e de la suggestion. 4° Nous ne possédons pas encore les documents cliniques nécessaires pour répondre à la demande : « Cett
lien d'interdépendance avec l'hystérie, et il fait part du syndrome clinique de l'hystérie ; quoique rien ne prouve jusqu'à
i guérissent par persuasion) appartiennent au pithiatisme, syndrome clinique qui se substitue à l'an- cien syndrome hystériq
ye de réagir contre la tendance à faire de l'hystérie un syn- drome clinique où l'on place tout ce qui ne trouve pas place dan
érisme artificiel, fruit de la suggestion médicale. Avec son talent clinique merveilleux, M. Babinski ment un blépharospasme
ne d'entrer en ligne de compte lorsqu'on étudie la definition et la clinique de l'hystérie, bien digne de porler le nom de s
- Traité de Aléd. de 13·ouardel-Gtlberl, p. 254. ' Ilucnnan. Traité clinique des maladies du coeur, Paris. 111,NT,Nr,ll. Arc
des conférences à la Pitié et à l'Ecole de Médecine, des Leçons de clinique infantile et de pathologie in- terne (1814.-18S
et de certains états convulsif s. Appelé, en 1893, à la chaire de Clinique des Maladies Mentales, le Professeur Joffroy co
tions étiologiques de cette maladie, mais il précisa ses caractères cliniques et anato- mo-palholoiques. Il défendit vivement
, 200. ' I·'ICwcuw et Giglioli. Encore sur l'acromé- galie, noies cliniques (2 pl.), 325. l'aEacu et HOPE. 1)Edéme persista
ës (1 Pl.), 177. et Franciiint. Encore sur l'acro- mégalie. notes cliniques (2 pl.), 325. GouGEROT et ITAYNIO-ND. Gangrène
nale (2 pi.), par 'VICI<EISSHHI\IBIi, 396. Âcromégalie ; notes cliniques (2 pi.), par FRA\CIII111 et GIGLIOLI, 324. Al
fabes et paralysie yénéralechez un enfant de 15an ? élude allaLomo clinique (1 pl.), par l3oorcarv·m.Le. KINODEIIG et Riche
21 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
PIJIIII(-.1 SOUS I.A ootFCnon urs MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales 3 la [''acuité de méd
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Annc). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Ste-Annc). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Farult
de l'avant- bras, opérés dans les services de M. Magnan, à l'Asile clinique , et de ji'tn /. Eléments parasitaires du sang c
ypophyse ou dans la glande pinéale. (Archives t Bohèmes de médecine clinique , a, 1902, t.,III, fascicule 4). ? 1 1 SAVANTES
présente un petit appareil qu'il a expéri- menté dans le service de clinique de M. le professeur Joffroy pour la recherche e
u moins volumineuse dans le cerveau. Leur description anatomique et clinique , bien qu'elles'aient été signalées cà et là ant
ieillards une hémiplégie à symptomatologie particulière. Le tableau clinique est le suivant : ictus sans perte de connaissan
médico-pédagogique bien conduit et longtemps. De ce fait la valeur clinique du livre est très diminuée. Pourquoi par exempl
consacré au traitement de l'aliénation mentale, soit comme chefs de clinique ou internes des hôpitaux nommés au concours. /
es d'exposition ; le maximum des points sera de 20 ; 4° une épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé trent
ints en vue de l'admissibilité des candidats aux épreuves orales et cliniques . , VARIA. 73 Art. 5. = Le nombre des places m
e l'article 8 du 7 mars 1900, qui dispensait du concours le chef de clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encé
imp. G-1902. Vol. XIV. Août 1902. N° 80. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE ? Sur un cas de papillome épithélioïde
M. le Professeur RAYMOND et M. Raymond CESTAN, Ancien Chef de Clinique à la SalpéLrire. [Clinique nerveuse de la Salpê
et M. Raymond CESTAN, Ancien Chef de Clinique à la SalpéLrire. [ Clinique nerveuse de la Salpêtrière) Des théories imagin
s devient des plus importants, Archives, 2' série, t. XIV. t 6 82 CLINIQUE NERVEUSE. r sinon même tout à fait exceptionnel
bras droit (Photographie instantanée pendant la marche). 84 -il - CLINIQUE NERVEUSE. 1 , 4 , bisme externe n'étaient absol
ement dans la Fig. 6. Paralysie du droit supérieur gauche. 86 ' ' CLINIQUE NERVEUSE. marche; le malade talonne de cette ja
ance de 3 à 4 millimètres environ. Son extrémité supé- Fin. 7. 88 CLINIQUE NERVEUSE. rieure n'atteint pas la couche optiqu
iable avec les moyens de recherche ordi- naires. Ii J. 9. 92 1) CLINIQUE NERVEUSE. ' , Au surplus, ce noyau cancéreux se
structive pour les parties du système nerveux envahi. Son centre 94 CLINIQUE NERVEUSE. · est en effet occupé par des masses
ogue à-la description donnée par M. Babinski. Ces troubles mo- 96 CLINIQUE NERVEUSE. 1 teurs ont été signalés depuis longt
as et de la jambe ; on voit donc qu'on ne peut confondre cet aspect clinique avec le syn- drome de Benedikt, qui est un synd
ergie, il est vrai, occupait.les Archives, 2- série, t. XIV. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. membres du côté de la lésion ; ces fa
tre modératrice. La première aurait son centre d'origine dans 100 CLINIQUE NERVEUSE. le mésocéphale, en particulier dans l
avait là autre chose qu'un symptôme isolé, un véritable syndrome clinique plus ou moins complexe qu'il nous a paru intéres-
tions du système nerveux, et nous avons tenté, d'après leur tableau clinique , de les enchaîner aux grandes affections mieux
exceptionnels. Récemment M. le pro- fesseur Raymond et son chef de clinique M. Cestan en pré- sentaient un cas intéressant,
nous 'n'avons entrepris ce travail qu'à un point de vue purement clinique et les hypothèses que nous allons maintenant fair
l'hystérie, celle qui présente la forme la plus classique, la plus clinique pour parler en médecin, celle dont les accident
.IVE-CL41'. VU. Trois cas de mélancolie avec symptômes d'un intérêt clinique peu ordinaire ; par 13.-R. LE>;Pl : n. (Tlte
z lui un locus minoris résislentiz. G. D. V. Contribution à l'étude clinique des aphasies, par A. VA ? GEHUCUTEX. (Journal d
ulbe) ; par F. Sano. (Journal de Neurologie, 1900, n° 5. Histoire clinique d'une femme qui fut atteinte successivement à l
hypothèse parait nécessaire notamment pour expliquer les phénomènes cliniques de la syringomyélie. Il existe au moins quatre
l'a plus revue (photogra- pies). " P. Keraval. XIII. Contribution clinique et expérimentale à la question de la sécrétion
ijumeau qui préside à la sécrétion des larmes ? Voici ce que dit la clinique . Dans la paralysie faciale, on observe, du même
rellement sans trouble conco- mitant du goût. D'autres observations cliniques permettent de for- muler que les fibres lacryma
composent et de manière à préciser certaines données, pour l'examen clinique des aphasies d'évocation et de la confusion men
orce et de la substance blanche. La connaissance de cette variété clinique et anatomo-patholo- gique de la paralysie génér
ure, MM. Vigouroux et Juquelier rap-' pellent les signes habituels ( cliniques et urinaires) de la petite insuffisance hépatiq
ons radiculaires et médulaires. L'on s'explique ainsi les analogies cliniques qui exis- tent entre la paralysie infantile et
ne de tissu pathologique qui entoure la moelle^ quant à l'évolution clinique , elle est caractéri- sée par l'apparition, troi
alytique et les diverses paralysies générales. Très mûri, d'un sens clinique très sûr, d'une observation très approfondie, c
s travaux ont été réunis en deux volumes, sous le titre de : Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, et les
lissements et la composition du personnel. A. Marie. VI. Analomie clinique des centres nerveux ; par le professeur Gras- S
organes pour faire oeuvre utile en médecine pratique. L'anatomie clinique , avec sa méthode propre, tout en se rapprochant b
la pathologie nerveuse. Après avoir fait le tableau de l'anatomie clinique générale des centres nerveux telle qu'elle se p
vue de dissociation cérébrale accidentelles et acquises. La partie clinique de l'étude, de beaucoup' la plus importante, éc
bre 1902. , 1 N 81. * ? 7 z ARCHIVES DE NEUROLO^È le, X - CLINIQUE MENTALE. La paralysie générale d'après les donn
CLINIQUE MENTALE. La paralysie générale d'après les données de la clinique psychiatrique de l'Université de Moscou ; PAR l
S0UKUA3 OFF, Privat-doccnt de la faculté de médecine, médecin de la clinique psychiatrique 1 de Moscou. Et Pierre G1NNOUCI
nombre des malades qui ont visité la salle de consul- tation de la clinique psychiatrique de Moscou, depuis sa fon- dation,
années, nous recevrons les données suivantes : Tableau I - 194 CLINIQUE mentale. Ces données ont été examinées par nous
e années nous aurons les résultats suivants : Tableau III 196 ' CLINIQUE mentale.. du nombre des femmes paralytiques les
de seize ans, paysanne, s'adressa à la salle de consultation de la clinique psychiatrique de : llloscou le 10 mars 1899. So
vingt ans, paysanne, s'adressa dans la salle de consultation de la clinique psychiatrique 198 CLINIQUE-MENTALE. le 24 jan
e boutique de viande, s'adressa dans la salle de consultation de la clinique psychiatrique de Moscou, le 10 mars 1892. Son p
lle, peuvent être répartis ainsi : PARALYSIE GÉNÉRALE. '199 200 . CLINIQUE MENTALE. sion qui répond aux opinions des autre
hommes et 67 femmes ont été répartis de la manière suivante : 202 CLINIQUE MENTALE. La période la plus longue (dans un cas
des données con- cernant ce sujet un peu autres ; de 75 cas : 204 CLINIQUE MENTALE. vait constater alors, entre autres, l'
ous avons constaté que chez les paralytiques hommes (528 cas) 206 CLINIQUE MENTALE. 1 s'étaient adressés dans la salle de
té des pupilles. 1 Concernant la mobilité des pupilles, on nota : CLINIQUE NERVEUSE. Dépression kératique et états encépha
illimètres de large, fusiforme, légèrement plissée dans le sens 308 CLINIQUE NERVEUSE. de la longueur et située à l'union de
surexcita- Archives, 2' série, t. XIV. 14 1% ig. 13 à 16. 210 0 CLINIQUE NERVEUSE. tion générale avec loquacité, déclama
une certaine malfaisance impulsive et féline à 1% 17. 17 20. 212 CLINIQUE NERVEUSE. l'égard de ses gardiennes, par une ex
ée droite, l'une en dehors, l'autre en dedans. 1 ir. 25 à 28. 214 CLINIQUE NERVEUSE. 2° Une troisième, de forme ovalaire,
lement effarouché par la présence des gens qui F ? 29&32. 216 CLINIQUE NERVEUSE. - -- " passent, préoccupé de les évit
maladie est avancée, la dilatation diminue et l'oeil reprend sa 218 CLINIQUE NERVEUSE/* dimension habituelle ; la contractio
t dessiné un mouvement très net qui tend à unir la psychologie à la clinique . La question des états anxieux dans les maladie
neurasthénie et auquel on a reconnu un certain nombre de symptômes cliniques . Au point de vue étiologique, la névrose d'ango
M. Roubinovitcii, empêché, dépose une note intitulée : Contribution clinique à l'étude des auto-intoxications dans les états
, double fait en apparence contradictoire, vérifié cependant par la clinique ; les tiqueurs réprimeraient en- tièrement leurs
ssaud, Meige et Feindel reconnaissent d'une part qu'au point de vue clinique il n'y a aucune différence entre les tics et le
et de coordonner les impressions venues de la périphé- rie. Ce fait clinique comporte un enseignement pratique : dans le tra
ntale. C'est une maladie psychique, ainsi que le montrent l'analyse clinique et l'expérimentation pyscho- logique. La médeci
elle du cadre à dater du ler octobre 1902. M. le De Mignot, chef de clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encé-
-1902. Vol. XIV. `Octobre 1902. - No 82. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Infirmerie spéciale. Service DE M. Pau
de médecine, septembre 1877). Archives, 2- série, t. XIV. 19 290 CLINIQUE . MENTALE. contagion des idées délirantes est tr
, t. I, p. 557. Quelques exemples de folie communiquée, 1890. 292 CLINIQUE MENTALE. , pas. Enfin l'organe passif ne tarde
eur, dirige en ' Baillarger, loc. cil. Régis, thèse, p. 22. 294 CLINIQUE MENTALE.. quelque sorte et soutientle délire, j
de profession : fabricant de soieries en province, il devient 296 , CLINIQUE MENTALE. ' marchand de confections à Paris zig)
attitude même est typique ; assise, elle se plie sur elle-même, 298 CLINIQUE MENTALE. non pas se reposant, mais tout le corp
ans une affection mutuelle. Nous avons continué d'habiter l'ap- 300 CLINIQUE MENTALE. partement où elle est morte, en repren
ien su. Mais nous avons eu parla suite les preuves d'un complot 302 CLINIQUE MENTALE. contre lui. Nous avons eu des présompt
entré le 0 juin 1899 dans le service de M. Magnan (Admission Asile clinique ) aété arrêté sur la voie publique en plein déli
sseuse). » Et M. Vigoureux, bien .qu'ignorant tout de l'observation clinique , conclut fort justement : « C'est une forme non
peut toujours dire il est vrai que la syphilis a échappé à l'examen clinique ou que G... était un syphilitique héréditaire,
e héréditaire, mais alors nous tombons dans l'ar- gumentation. La clinique montre ceci : un homme jusque là bien portant f
t leur statistique personnelle et des exemples empruntés aux leçons cliniques faites à l'asile Sainte-Anne pendant l'année sc
tte opération, les méthodes d'examen du liquide, les renseignements cliniques qu'une ponction peut donner en neuro- logie et
paralysie'générale ne semble pas progresser en raison des symptômes cliniques tant physiques que psychiques. Nous avons ponct
aux variations de la formule leucocytaire avec les diverses phases cliniques ou les ictus de la paralysie générale, nos obser-
i de la neurasthénie. En revanche, on constate les grands symptômes cliniques qui caractérisent la névrose d'angoisse : atten
orrompues, et dans les matières en voie de putréfaction ; les faits cliniques et les recherches anatomo- pathologiques faites
auto-accusateurs est actuellement assez riche en documents, d'ordre clinique et médico-légal, pour se prêter à une étude d'e
e d'ensemble a été exposée en deux parties : la pre- mière, d'ordre clinique , est consacrée à la définition de l'idée et du
- constances étiologiques, du mécanisme pathogénique, des allures cliniques et évolutives qui, dans chacun de ces états morbi
e des observations d'auto-accusa- teurs. La partie étiologique et clinique , qui constitue l'indispensable introduction à l
Régis, établit nettementles rapports réciproques des deux domaines, clinique et médico-légal, de l'auto-accusation. L'histoi
la vengeance. Dans les deux cas, le passage de l'aliéné du domaine clinique au domaine médico-légal du délire, est marqué p
des autres et offrent, dans leur auto-intoxication, la physionomie clinique la plus variable et la plus individuelle ; l'hi
t intervenir dans les moments étiologiques comme dans les modalités cliniques de l'auto-accusation. Le fac- teur étiologique
u, son éclosion étiologique, son mécanisme pathogénique, son aspect clinique , son allure évolutive, ses conco- mitants psych
suffisent à justifier, aux yeux du médecin et du magistrat, l'étude clinique et médico- légale des autoaccusateurs. Discus
elet paraisse atrophié primitivement ou secondairement. Le syndrome clinique cérébelleux en rapport avec cette atrophie ne d
faissement tardif des vertèbres la précocité de certains phénomènes cliniques , en particulier l'intensité des douleurs qui pr
oins grand nombre de nerfs donnant ainsi naissance à des tableaux cliniques très variables. Le début de ces névrites est le p
eux. M. J. Obertiiur. Nous avons pu examiner au laboratoire de la Clinique Charcot sept cas de gliome des centres nerveux. T
Sarcomes et sarcomatoses du système nerveux. Classification. Etude clinique ET AN : 1TOIO-P : TIIOLOG1QUES COUPES ET dessin
fication qui a l'avantage d'être basée à la fois sur les caractères cliniques et sur les lésions anatomiques de ces tumeurs.
ente le sarcome solitaire des méninges explique bien sa physionomie clinique , faite avant tout des symp- tômes de la- compre
, Bruns, P. Lereboullet, Nonne Schlagenhauser) permet de décrire en clinique et en anato- mie pathologique, une véritable mé
rochant nos constatations des descriptions 368 SOCIÉTÉS SAVANTES. cliniques et histologiques retrouvées dans la littérature,
omatose, certaines observations récentes avec autopsies et deux cas cliniques que nous avons pu recueillir dans le service du
ux d'entre eux. - L'autopsie des deux frères confirme le diagnostic clinique : , épaississement des méninges, adhérences à l
l'expérimentation prouve qu'elle n'est pas exacte chez le singe, la clinique démontre qu'elle est absolument fausse chez l'h
nelle » méritent absolument d'être con- servés comme individualités cliniques . Mais il faut bien s'entendre sur la significat
s bien connus sur lesquels il est inutile d'insister. C'est un type clinique très net. A côté des états neurasthéniformes et
diagnostic n'est délicat qu'avec la période d'incubation du délire clinique à évolution sys- tématique, tel que l'ont décri
uté à sept ans; 2° le début mono, puis hémiplégique ; 3° le tableau clinique caractérisé par la prédominance exclusive et pe
t très accentuées, il y avait eu méningite tuberculeuse à évolution clinique classique. L'activité locale de la circulation
la pupille à la lumière chez tous les ' malades ayant fréquenté la clinique Charcot. Ils conseillent l'ins- tillation de co
10-1902. Vol. XIV. Novembre 1902. N° 83. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Contribution à l'étude de la pathogéni
misère. Pas d'al- coolisme. Archives, 2' série, t. XIV.. 2U 402 CLINIQUE MENTALE. Début de délire en janvier 1902. : J..
- ment de son innocence, chercher toujours à se démontrer 4<)4 CLINIQUE MENTALE. coupable. Pourquoi, si le rôle de la t
l'accalmie relative qui persiste ensuite : voilà ' 1 S11Gus. Leçons cliniques sur les maladies mentales, 4S95, p. 301. .. i -
de la plus jeune disparaissent, elle accepte plus volontiers 406 CLINIQUE MENTALE. les aliments. Bien qu'accessoire, l'in
à Lafond (Charente-Inférieure) est promu à la 4 classe du cadre. CLINIQUE MENTALE Infirmerie spéciale. Service DE M. PAUL
foule parisienne. D. Vous appelle-t-on aussi « Castors ` ? » 408 CLINIQUE mentale. R.- C'est ce qu'on nous reproche d'êtr
Il nous a conduites au commissariat pour avoir été injuriées. 410 CLINIQUE mentale. Durant leur séjour au Dépôt les trois
ppareil, elle engage ses soeurs à se bien tenir. Revues à l'Asile clinique , dans le service de M. le D1' Magnan, huit jour
contre l'un de nous quand nous voulûment les questionner sur 412 1) CLINIQUE MENTALE. divers points de leur aventure, leur a
ens possibles, continuaient leur oeuvre de destruction, car il lfl4 CLINIQUE MENTALE. - ne s'agissait de rien moins que de l
iste et fatigué, J... fils se présente dans l'attitude d'un mé- 416 CLINIQUE MENTALE. lancolique. Il paraît profondément déb
e précise. Si elle ne s'accommode pas toujours à la diversité de la clinique , c'est qu'ici comme partout ailleurs, il y a de
duraient quelques heures. Epilepsie acquise. Il est entré à l'Asile clinique , d'où il a été dirigé sur Bicétre : y est resté
est intacte. A la suite de ces faits, Albertineest placée à l'Asile clinique , d'où elle est envoyée à la Fondation Vallée, l
quatre ou cinq ans. L'auteur rapporte une série de six observations cliniques dont plusieurs avec autopsie et examen anatomo-
r de famille qui, mieux « que toute autre base, constitue un groupe clinique bien défini » et qui, quel que soit l'apport aj
à des âastropatbies ; ces troubles occupent parfois dans le tableau clinique une place si prépondérante, que, contrairement
que, novembre 1899.) L'auteur, dans un mémoire du plus haut intérêt clinique , décrit pour la première fois une forme de trou
ienne gauche, mort en trois jours. Consi- dérations sur l'évolution clinique des lésions cérébrales préco- ces de nature art
ervation met en relief deux faits intéressants : 1° Au point de vue clinique , l'apparition en pleine période secondaire d'un
n est absolument généralisée dans un cas où, d'ailleurs. les signes cliniques furent très accusés; elle est plus discrète dan
ès accusés; elle est plus discrète dans le second cas où les signes cliniques furent moins accusés. Les observations faites d'a
infecté, intoxiqué, et présentant, pour ces raisons, les accidents cliniques qui consti- tuent le tableau du délire des mala
nsidérations; par le Dr P. liA[tl'EN13EIIG. (Revue de psy- chologie clinique et thérapeutique, juin 1899.) L'auteur a été ap
ération de tous, le Dl' Henri Dagonet, médecin honoraire de l'Asile clinique , professeur agrégé de l'ancienne faculté de méd
' série, t. XIV. 29 Le Dr H. DAGONET Médecin honoraire de l'Asile clinique (Ste-Anne.) 450 NÉCROLOGIE. d'une thèse très
fils, 452 - - NÉCROLOGIE. aujourd'hui médecin en chef de l'Asile clinique , et du Dr Du- hamel ; et l'on peut voir dans la
en chef en 1879. - H. DAGONE'r. ' " 453 En 1877, des conférences cliniques de pathologie mentale furent organisées à l'Asi
di 9 septembre. La levée du corps avait eu lieu la veille à l'Asile clinique : tout le personnel et les nom- breux amis du d
taient présents. Parmi les couronnes on remarquait celle de l'Asile clinique et celle de l'asile de Sté- phansfeld, envoyée
s, l'un par le Dr Dubuisson, le successeur du D1' Dagonet à l'Asile clinique (lu parle D Quesneville), l'autre par le Dt L.
GRAPHIE. Lu liquide céphalo-l'achidien; par J.-A. Sicann, chef de clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière; I vol. d
és nerveuses ; ses conclusions confir- ment l'expérimentation et la clinique . M. J.-A. Sicard divisé son livre en quatre cha
concise, lira avec fruit un chapitre nouveau dont s'est enrichie la clinique dans le diagnostic des mala- dies nerveuses. L.
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine, Asile clinique , asiles de Vau- cluse, 171lle-Ev ? ,(ii-tl, Vil
10-1902. Vol. XIV. Décembre 1902. N" 84. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. \ CLINIQUE MEI\ITALE. 1 Des obsessio
écembre 1902. N" 84. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. \ CLINIQUE MEI\ITALE. 1 Des obsessions en pathologie menta
en pathologie mentale Par le D, ALEX. ATII1NAS10, Ancien chef de clinique mentale, médecin adjoint à l'hospice des aliénés
able au Prix CI Vl'leux. Archives, 2° série, t. XIV. 30 . 466 ? CLINIQUE MENTALE. représentations qui nous captivent et
la conscience, s'y. impose contre la volonté, ne se lais- , \ 468 CLINIQUE MENTALE. sant pas chasser, empêche et traverse
e de la malpropreté, puis celle des pièces de monnaie, etc. 4770' CLINIQUE MENTALE. D'autres ont à la fois, en même temps
me l'état obsédant avec anxiété systématisée ou monophobique; 472 CLINIQUE MENTALE. . 11lonophobies ou phobies proprement
protecteur qui semblait soulager la peur. L'obsession n'est lis 7 1 CLINIQUE MENTALE. souvent que la forme aggravée ou intel
cela veut dire non seulement aune la volonté n'a aucune action 476 CLINIQUE MENTALE. - sur elle, est impuissante à la chass
t que la conservation de la conscience est toute relative, et 478 CLINIQUE MENTALE. qu'il y a un commencement de désagréga
et qui y voient avec appréhension l'indice d'un affaiblissement 480 CLINIQUE MENTALE. mental. L'idée obsédante peut se modif
ujours simultanément affectées au début. C'est pourquoi le tableau, clinique varie, les conducteurs sensitifs de la peau, ce
des désordres psychiques ; par le Dr hmcuuorr (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, mai et juin 1899). La déter
l, 27 juillet 1901.) Après avoir relaté ou rappelé quelques faits cliniques , l'auteur fait remarquer que l'accord n'est pas
nt plutôt ceux qui relèvent de l'anémie cérébrale. Les observations cliniques paraissent con- lirmer ces vues a priori. Dans
2e série, t. XIV. 3S 5'14 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XV. Études cliniques sur le rêve pathologique ; par le professeur Pi
sme et folie; par les Drus Maeie et Vigouroux (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, juillet-août 1899). Les auteu
un- spasme ou une inhibition, elle cherche à expliquer les effets cliniques d'une obturation vasculaire ou d'une déchirure, s
ient cependant pour en modifier quelque peu la marche et le tableau clinique habituels. Dans un autre groupe de faits, l'aut
ants qu'elle tient sous sa dépendance, à qui elle imprime un aspect clinique tout à fait spécial ; car, sui- vant la remarqu
xistant, à titre d'épisode transitoire, de complication. Le tableau clinique de l'affection se trouve ainsi brusquement modi
toxication ; lorsque celle-ci a été en décroissance, la physionomie clinique des manifestations délirantes s'est modifiée à
isqu'il y a des moments où son intelligence est entière. Le tableau clinique se rapproche de celui des psychores par auto-in
devenant enceinte, serait encore plus considérable. Au joint de vue clinique : il est intéressant de voir que des indi- vidu
asynergie. 538 SOCIÉTÉS SAVANTES. 11 résulte de mes observations cliniques qu'il existe une fonction spéciale appartenant
Utilisant ces 40 observations personnelles, l'auteur fait une élude clinique des plus intéressantes de la démence précoce, pas
ico-légal, par Gar- nier, 335. Aphasies. Contribution à l'étude clinique des -, par Van Gehuch- ten, 159. Apoplexie cé
lution de la-, par Il 119arlnesco, 500. Centres nerveux. Anatomie clinique des -, par Grasset, 185. Contri- bution à l'é
colie aiguë. Voir Folie. Trois cas de avec symptômes d'un intérêt clinique peu ordinaire, par Leeper, 153. La localisation
La - générale d'après 853 table des matières . les données de la clinique psy- chiatrique de l'Université demis- cou ;
iire contra-latéral, par C'artron, 502. HLVE pathologique. Etudes cliniques sur le ? par Picic, 51'r. Rolando. Quelques a
europathique, par Buck, 158. SÉCRÉTION DES LARMES. Couttibution clinique et expérimentale )a question de la -, par Kcest
22 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CTION DE ù111. A. JOFFROY Pt-uresseut'dechtnque 1 Professeur de clinique des maladies mentales à I, Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (SIe-Ali lie). F. RAYMOND Piofasseur de cli
es. 1898 Vol. V. Janvier 1898. ` N° 25 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL \ e
nature des désordres anatomiques. Archives, 2° série, t. V. " 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. La richesse symptomatique de la syphi
n ne trouve nulle part, au contraire, c'est la description de types cliniques superposables aux variétés anatomiques. Pour be
anatomiques. Pour beaucoup d'auteurs même, la création de ces types cliniques serait impossible : chacun des symptômes de la
tention des cliniciens qui se sont efforcés de lui créer un tableau clinique spécial. La littérature est assez riche à cet é
e syphilis cérébrale, et réciproquement. L'édification d'un tableau clinique spécial doit donc se baser : 1 ° sur l'analyse
roubles de la motilité, de la sensibilité, de l'intelligence. 4 ' CLINIQUE NERVEUSE. A. Troubles moteurs. Ce que l'on obse
nt dues à l'action directe du virus syphilitique sur les nerfs. 6 ¡ CLINIQUE NERVEUSE. C. Troubles intellectuels. Là encore
ement. Cette hémiplégie peut même débuter par un ictus apoplec- 8 CLINIQUE NERVEUSE. tiforme et. cependant être encore due
ui ne sont pas assez importants pour ustifier la création d'un type clinique . ' Knapp (de Kew-York). Arch. of isc. and pract
litique. 'S)ji)tmann. .l ? t.c/eerMft<o/. et syphil., 1886. 10 CLINIQUE NERVEUSE. II. Période des accidents incurables.
uit un excès de pression considérable. ' Loc. cil., p. 607. 12 '2 CLINIQUE NERVEUSE. Charier et Klippel' décrivent de plus
yphilis méningée. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 13 14 ? CLINIQUE NERVEUSE. ' · absolument indolent. On trouve de
hyperesthésie à la douleur : les piqûres sont plus vivement sen- 16 CLINIQUE NERVEUSE. ties qu'à l'état normal. La sensibili
non seulement le diagnostic pen- Archives, 2e série, t. V ? 2 18 CLINIQUE NERVEUSE. dant la vie, mais l'interprétation ap
1893. 2 11¡¡l1Jo : Jd, - Mal. du syst. nerveux, 1896, p. 363. 20 CLINIQUE NERVEUSE. Le faisceau pyramidal étant atteint-a
uto-intoxication, favorisée par l'ischémie cérébrale. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE. LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSI
MENTALE. LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE (ÉTUDE CLINIQUE ET STATISTIQUE) Par il. Il. COLOLIAN, Interne
CLINIQUE ET STATISTIQUE) Par il. Il. COLOLIAN, Interne de l'Asile clinique (Sainte-Anue). CHAPITRE PREMIER R Historique.
22), et Traité des maladies du cerveau et des membranes, 1825. 22 CLINIQUE MENTALE. lysie générale comme entité morbide, e
ue les névropatholo- gistes s'occupent des névrites au point de vue clinique et anatomo-pathologique, et c'est depuis que le
nuel pratique de médecine mentale, 1885, p. 318. Il. Schule. Traité clinique des maladies mentales, 1888,p. 342. 3 A. Culler
ytiglles généraux (Archives de neurologie, juin 1897, p. 441). 24 CLINIQUE MENTALE. terminale de la paralysie générale, di
me nerveux central. Nous sommes forcés ici de sortir de notre cadre clinique et statistique, pour faire un court aperçu sur
vaso-motrice de la paralysie générale, au point de vue de la marche clinique de la maladie, insiste sur 'les paralysies vasc
sympathique. C'est encore M. Magnan* qui en 1878, dans ses Leçons cliniques , signala les lésions nerveuses de la paralysie gé
nerfs de la paralysie générale (Gaz. des Hôpitaux, mars 1871). 26 CLINIQUE MENTALE. raie et attira l'attention sur les rap
malades n'ont pas été choisis, nous les avons pris au hasard de la clinique . Nous avons suivi d'abord toutes les paralytiqu
n 24 femmes et 33 hommes atteints de paralysie progressive : 28 8 CLINIQUE MENTALE. Sur ces 57 paralytiques, neuf n'ont pr
tement des maladies de la peau, 2e édit., Paris, 1892, p. 820. 30 CLINIQUE MENTALE. paralytiques généraux, sans qu'il y ai
aient être constatés deux à trois ans avant l'apparition des signes cliniques ordinaires de la paralysie générale. La pupille
rale (Vol. LI, p. 301, i, American Journal of insanity, 1895). 32 CLINIQUE MENTALE. 1 normal qu'un état pathologique, » di
faits sont rares, les auteurs ont été favorisés par le hasard de la clinique . CHAPITRE III Troubles trophiques de la peau
s) et Briand (femmes) à Villejuif. Archives, 2e série, t. V. 3 34 CLINIQUE MENTALE. dimension d'une pièce de 50 centimes s
jaune brun, d'une dimension variable entre la lentille et une 36 CLINIQUE MENTALE. pièce de 50 centimes. On en compte une
zona chez les paralytiques généraux (Thèse de Paris, 1889). , 38 CLINIQUE MENTALE. 57 malades. La statistique de M. Ramad
l couché depuis deux semaines qu'on constata un commencement 40 . CLINIQUE MENTALE. d'eschare sacrée. Actuellement l'escha
ns la paralysie générale (Thèse de Paris, 1876). ' Loc. cil. 42 CLINIQUE MENTALE. L'eschare peut apparaître dès le début
, et la paralysie marchait à grands pas. ' Zacher. Loc. cit. 44 CLINIQUE MENTALE. Observation XIII. - Eschare. Phlyctène
ssociées de l'ouïe, du tact, de la vue. Toutes les, personnes de la clinique , complotant contre elle (c'est elle qui parle),
'ayant jamais eu de maladie du système nerveux. De nombreux examens cliniques pourrraient seuls aussi indiquer si les hétéro-
e pouvoir de régénération des tissus. ' A. FENAYaou. XXIII. ÉTUDE CLINIQUE du dynamisme psychique; par H. Aimé. ,. Paris,
iciel. Les partisans de cette théorie se basent sur certains faits' cliniques s'accompagnant d'abolition du goût, alors que l
tales : par S. KALISCHER. (Neurolog. Centralbl., XV, 1896.) Etude clinique comparative et différentielle de deux observa-
s de la moelle. Il est probable, d'après les documents acquis de la clinique , et de la physiologie expérimentale, que le cor
ou bien diminués dans leur élasticité et leur contractilité. Or la clinique apprend que l'arté- riosclérose généralisée s'a
95-96, la méthode du séjour au lit dans le service des femmes de la clinique psychiatrique de Moscou. Ce système a présenté
olis mental présentent toujours et invariable- ment le même tableau clinique . Ils sont presque tous mathémati- quement super
médicale, 3 mars 1897.) L'auteur, s'apuyant sur des considérations cliniques et sur des faits thérapeutiques, est amené à co
thropologie criminelle a plus spé- cialement de commun les méthodes cliniques d'observation et d'évaluation des désordres psy
iale et médicale et avec la neuropathologie en espèce, les méthodes cliniques d'observation et d'évaluation des désordres fon
sychique du malade est tout à fait normale. Dans ce cas, le tableau clinique de la cécité corticale s'explique parfaitement
M. le professeur Kojewnikoff a relevé la signification de l'étude clinique détaillée de pareils cas, dont le diagnostic est
hes bleues. Le 12 sep- tembre 1896, la malade entra de nouveau à la Clinique des mala- dies nerveuses dans un état très péni
: Il- Vol. V. Février 1898. i N° 36' z ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL EN
oir Archives de Neurologie, n° 25. Archives, 2e série, t. V. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. - lésions sont et restent purement mé
ubles analogues dus à l'ischémie dans la syphilis artérielle. 100 CLINIQUE NERVEUSE. Ces troubles de la sensibilité, par l
. virus syphilitique lui-même, ou bien à une infection secon 't02 CLINIQUE NERVEUSE. daire ou associée ? Il nous est impos
évrisme basal, associé à une thrombose de la sylvieuue opposée. 104 CLINIQUE NERVEUSE. Observation II. Sommaire : Syphilis p
mplètement disparu ; celle-ci est remplacée par une large tache 106 CLINIQUE NERVEUSE. blanchâtre, faisant légèrement sailli
tinué à être très agitée, à délirer et à crier. Depuis quelques 108 CLINIQUE NERVEUSE. jours elle est plus calme et on a pu
Les vaisseaux de la base ne présentent pas de lésions macrosco- 110 CLINIQUE NERVEUSE. piques : leur calibre est normal et r
comparera utilement à celui de la syphilis artérielle : . 'H 2 - CLINIQUE NERVEUSE. Les gommes du cerveau, ainsi comprise
t leur action sur une substance Archives, 2c série, t. V. 8 11 Il CLINIQUE NERVEUSE. cérébrale mise en état de moindre rés
, en passant par de la congestion intense ou de l'encéphalite. La clinique nous autorise à faire cette hypothèse, et sans
s intoxications intercurrentes nous apporterons un dernier argument clinique . On sait que l'or=dème de la pupille (Slauungs-
récente. ' Gamel (de Marseille). Thèse Montpellicr, 1871. ,1,1 (; CLINIQUE NERVEUSE. l'observation, nous fûmes surpris de
en a cité des cas. § 12. Evolution. Nous n'établirons pas de types cliniques : ce serait faire l'histoire des tumeurs cérébr
parties voisines, création de nou- ' Revue de médecine, 1897. 118 CLINIQUE NERVEUSE. velles associations entre les neurone
l n'y a pas de paralysie musculaire,pas d'asthénie bien pronon- 120 CLINIQUE NERVEUSE. cée; la malade résiste assez bien aux
uniquement par les antiseptiques intestinaux. Il s'est produit 122 CLINIQUE NERVEUSE. une amélioration très rapide, dispari
ucun trouble du côté des yeux, si ce n'est à l'examen ophtal- J24 4 CLINIQUE NERVEUSE. moscopique qui montre des lésions abs
c. Tous ces ordres sont exécutés immédiatement et fidèlement. 126 CLINIQUE NERVEUSE. La malade n'a pas non plus d'aphasie
ins inspiré et des travaux de nos devanciers et de notre expérience clinique person- nelle. On nous objectera sans doute que
es plus complexes résultant de l'association de lésions diverses. CLINIQUE MENTALE. LA PARALYSIE GENERALE'; Par le Dr Al
ngrès de médecine mentale et neurologie de Bruxelles, 1897. 128 , CLINIQUE MENTALE. pouvoir rattacher clairement à une cau
ion à leur affecter ; c'est ainsi Archives, 2e série, t. V. 9 130 CLINIQUE MENTALE. que l'on a créé les pseudo-paralysies
t encore les cliniciens et par la diversité des rémissions, et ')32 CLINIQUE MENTALE. par les variations symptomatiques, et
réoccupation des rapports étiologiques et symptomatiques ? 1 j4 - CLINIQUE MENTALE. Il n'y a donc pas plus lieu, à mon sen
r conséquent, ne peuvent pas logique- ment être prises comme unités cliniques , ainsi que je le disais déjà dans une communica
hrodisme psychique. Notes SUR la PERVERSION SESUELLB, AVEC DEUX CAS CLINIQUES D'INVERSION SEXUELLE ; par le Dr W. LEE Howard.
t et sont des cas mixtes, comme on en rencontre si fréquem- ment en clinique : persécuteurs raisonnants au début, persécutés
t que cette théorie s'accorde bien avec les données étiologiques et cliniques ; en effet la confusion mentale apparaît très fr
t dans la convales- cence des maladies infectieuses, et son tableau clinique ressemble assez exactement à celui des délires
ortée dans le Buit. med. journ., en 1891. A. V. XIII. Observation CLINIQUE D'UN cas DE psoriasis traité par l'extrait thyr
l'examen du 18 janvier 1896, époque de la rentrée de la malade à la clinique des maladies nerveuses, on a constaté : paraplégi
Seine en exercice et le médecin du bureau d'admission de l'Asile clinique de Sainte-Anne. ne pourront être portés sur la li
mandeur de la Légion d'honneur; M. le D'' F. RAYMoND, professeur de clinique nerveuse, médecin de la Salpêtrière, a été nomm
ins titulaires et adjoints des asiles de la Seine, du professeur de clinique des maladies mentales et de MM. Terrier et '1^G
de la Faculté de médecine de Paris pour étudier le transfert de la clinique de Sainte-Anne à la Salpêtrière et pour organis
mp. - 298. Vol. V. Mars 1898. NG : 2.7 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSI
LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉ\R : i ? i ? -1 (étude CLINIQUE ET statistique), .. ' ' ' Par P. C'OLOLAN, 1
ET statistique), .. ' ' ' Par P. C'OLOLAN, 1 Interne de l'Asile clinique (Sainte-Anne). · (Suite e11 fin.) ' II. Troub
it., p. 821. , . , . au , . , .. Archives, 2e série, t. V. 12 178 CLINIQUE mentale. se parcheminé. Plus tard, elle se desq
Alopécie en clairière sur les tempes. La peau des mains et des 180 clinique mentale. doigts est lisse, brillante; les poils
voit la pulpe, jaune, entourée d'un tissu blanc grisâtre. , . 182 ' clinique mentale. Observation XXIV. Déformation et color
ffritent en minces lamelles. Les ongles des orteils et celui du 184 CLINIQUE MENTALE. deuxième doigt du pied droit ont compl
alors une peau brillante, unie, lisse (calvitie). Dans quelques 186 CLINIQUE MENTALE. cas l'alopécie est symétrique, commenc
1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteinte 188 CLINIQUE MENTALE. de paralysie générale avec idées de sa
, congestionné, apathique et inconscient. Inégalité pupillaire. 190 CLINIQUE MENTALE. Embarras de la parole très marqué. Idé
disséminée sur tout le cuir chevelu. Dents légèrement usées. 192 CLINIQUE MENTALE. CHAPITRE IV . Troubles trophiques du
Rev, deméd. de l'Est, 1890.) Archives, 2e série, t. V. , 13 194 CLINIQUE MENTALE. vations sont rares et les travaux peu
ptômes spéciaux. (Aclr. cle médecine expér·inrenlale,lS91.) 196 . CLINIQUE MENTALE. Observation LXVII. Eruption de phlyctè
e se colore, il ' Déjerine. Archives de physiologie, 1876. , '198 CLINIQUE MENTALE. devient obèse. Mais ce faux embonpoint
ara- lysie générale. Nous les avons notés pour rester fidèle à la clinique . En clinique, principalement en clinique de méd
nérale. Nous les avons notés pour rester fidèle à la clinique. En clinique , principalement en clinique de médecine men- ta
pour rester fidèle à la clinique. En clinique, principalement en clinique de médecine men- tale, les renseignements des m
ar, nous l'avons dit déjà, la moindre négligence est préjudi- 200 . CLINIQUE MENTALE. ciable à l'épiderme si sensible du par
s sont de ca ractère différent et que le plus souvent les symptômes cliniques de ces lésions médullaires sont cachés par la g
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 213 XLII. Étude CLINIQUE ET anatomique, relative A UN cas DE diplégie, s
lente de la moelle dorsale sont les suivantes : 1° Au point de vue clinique , a) dans les cas de lésion transver- sale compl
s d'amaurose hystérique unilatérale ont servi de base à cette leçon clinique . M. Ballet mentionne les caractères qui permett
er, février et mars 1807.) M. le Dr Thouvenet, chargé du cours de clinique médicale à l'Ecole de médecine et de pharmacie
, observés par M. Thouvenet chez des ouvriers poudreurs, le tableau clinique se rapprochait beaucoup de celui de la méningite
trois observations est que la maladie de Friedreich est une entité clinique très distincte de l'alaxie locomotrice, dé la s
.;e médicale, 7 juillet 1897.) Les auteurs rapportent l'observation clinique et les résultats de l'autopsie d'une malade âgé
lgré les lésions classiques de la soi-disant méningite, aucur signe clinique n'avait permis de diagnostiquer ces lésions. Si
. Le terme de méningite sert pour couvrir un certain nombre de cas cliniques à pronostic défavorable : il serait préférable de
es et de don- ner une autre appellation pour décrire les conditions cliniques . (The alienist and Neurologist, avril 1897.) E.
, Atwood, Rose, Frischer), l'auteur apporte douze cas observés à la clinique psychiatrique de Moscou. Il appelle surfont l'a
i pour les asiles de Vaucluse et de Ville-Evrard. Quant à l'asile clinique , il a, lui, son médecin-adjoint, poste dont nous
s des médecins, remplir auprès d'eux le rôle de véritables chefs de clinique . Ceci dit, nous reproduisons l'extrait du procè
t l'auteur. 2. Du délire raisonnant de dépossession au point de vue clinique ' ' et médico-légal ; par Charles CncuoN. Le
re les deux. Le délire de dépossession, intéressant au point de vue clinique , est plus intéressant encore au point de vue mé
11. Les persécutés mélancoliques; par G. LALANNE. Importante thèse clinique , de plus de 200 pages, avec observa- lions pers
mogène dans lequel on peut distinguer un certain nombre de variétés cliniques . Ils sont caractérisés dans leurs traits généra
ilepsie; par J. Voisin. Paris, in-8, 1897. F. Alcan, éditeur. Etude clinique parfaite, nourrie d'observations à méditer avec
1.000 francs. Question : Des myélites infectieuses au point de vue clinique et expérimental. Pria ? Alvccrezgc de Piauhy (B
ey, imp. - 398. Vol. V. Avril 1898. ? 28 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA DESCENDAN
phique, 189î, t. XLIII, p. 494.) AHCI11VC, 2e série, t. V. 18 274 CLINIQUE MENTALE. agissant sur les conditions de milieu,
ontribution à l'hygiène de l'inversion sexuelle. (Revue générale de clinique et de thérapeutique, journal des praticiens, 18
Ellis. Sludies in the psychology of sex, 1897, 1.1, I, p. 140. 276 CLINIQUE MENTALE. L'existence d'invertis, normaux au poi
l'instinct sexuel est un caractère de dégénérescence au pre- 278 CLINIQUE MENTALE. mier chef, puisqu'elle a pour suite né
voir des hommes nus, et ses premières excitations génitales se 280 CLINIQUE MENTALE. manifestèrent à celte vue. Lorsque la
igue, et ne paraissent pas avoir affaibli l'intelligence. A ces 282 CLINIQUE MENTALE. absences se sont ajoutés depuis le moi
ucun accident nerveux jusqu'à la puberté qui s'est établie nor- 284 CLINIQUE MENTALE. malement à onze ans et demi sans jamai
d'elle. Les grossesses et les accouchements n'ont amené aucun 286 . CLINIQUE MENTALE. changement ni dans les sensations ni d
es. (The alienist and ne2c·ologist, oct. 97.) E. B. XXXIII. Aspects cliniques DE l'auto-intoxication ; par le û1' HcRD. L'aut
bué à ces mouvements le qualificatif de folie des muscles. Cinq cas cliniques , avec tracés, cités par l'au- teur lui servent
toiogique qu'au point de vue pathologique, elle présente un tableau clinique des mieux marqués dont l'auteur donne le résumé
e diagnostic de la neurasthénie simple est facile ; mais le tableau clinique se trouve singulièrement compliqué quand la neura
faire croire la description récente de Binswanger : son expression clinique est une fatigue nerveuse dont les symptômes, su
urs. Cette longue en- quête est donc surtout'pbysiologique, les cas cliniques qui la com- posent équivalent à autant d'expéri
Annales médico-psychologiques, oct. 9-j.) E. B. XXXII. DES variétés CLINIQUES du délire de persécution ; parles D's TATY et T
s conclusions suivantes : Le délire des persécutions se présente en clinique avec une évo- lution presque toujours régulière
ielles. Toutes les fois qu'il y a délire de persécution, le tableau clinique reste sensiblement le même et les grands traits
t que l'on a accordé au délire grave une place définie comme entité clinique , dans la classification des maladies mentales.
e mentale de Belgique, septembre 1897.) En qualité de professeur de clinique psychiatrique, M. Francotte propose de grouper
e ne devrait être qu'un supplément de la classe et de l'instruction clinique . Une innovation heureuse introduite dans certai
à une intoxication. 17. Le délire prophétique. Elude historique et clinique ; par M. paouvosr. Le délire prophétique, tel
tes et sur l'ensemble des sensations kinesthésiques. Les recherches cliniques , portant sur des lésions chirurgicales faites p
bles circulatoires. Régis et V. lioBERr. VIII. Essais de neurologie clinique ; neurasthénie de Beard et étals nezcrnsthénifor
ls comportent, la première partie de ce travail constitue une élude clinique sérieuse, qui ne peut être consultée qu'avec fr
ar PAUL GLATZ. Genève et Lyon, Georg et Co, 1 vol. in-12. Analyse clinique extrêmement fine et précise, établissant rigou-
on peut distinguer différents degrés constituant autant de variétés cliniques , mais pouvant aussi se montrer successivement c
' ! Tome 1, p. 405. 3 Fragm. psych., 183, p. 433. * Luys. Traité clinique et pratique des maladies mentales, 1881, p. 239
en les accentuant. Ceux-ci en arrivent peu à peu à envahir la scène clinique au point de lui donner un cachet particulier qu
déjà pour une nutrition autonome des fibres de ces faisceaux; en clinique , l'anesthésie et la paralysie résultent quelquefo
alades de cette catégorie. Si j'ai tenu à insister sur les signes cliniques de la maladie, c'est que le diagnostic lui-même
une hystérique, c'est qu'il me semble constituer presque une rareté clinique . « La dyschromatopsie de telle ou telle manière
t qui ne l'a guère observée plus sou- vent que Briquet (voir Leçons cliniques sur les troubles de la vision chez les hystériq
ont elle a été fréquem- ment atteinte 1. 1 BourneviUe. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hyslérie
(IV021'U. ICOit0y9'. de la Salpêtrière, n° 2, 1897.) Observation clinique suivie d'autopsie et d'examen histologique de l
ticipation des altérations aux épi- physes ; l'absence de symptômes cliniques d'ordre nerveux (hormis la douleur localisée au
sant d'hémisection traumatique de la moelle, mais encore l'histoire clinique complète de cette lésion peu fré- quente et les
iple point de vue de la physiologie, de la médecine légale et de la clinique pure. Observation. Jeune homme de vingt-huit an
lent quelques déductions pratiques importantes : A. au point de vue clinique et pour se guider dans le diagnostic, le pronos
de nier l'hémisection de la moelle, quels que soient les symptômes cliniques observés ; 2° qu'en général toute intervention
rofesseur Grasset. A l'aide d'une série d'arguments physiologiques, cliniques et ana- tomiques, M. Grasset indique synthétiqu
état général n'a pas encore subi d'atteinte grave et que le tableau clinique n'est pas encore au summum de son évolution : l
rrégu- lière ; mort le 11. Après avoir analysé et discuté le côté clinique de ces observa- tions, les auteurs s'efforcent
que l'encéphalite aigu hémorrhagique répond toujours à cette forme clinique qu'on peut considérer comme bien définie et bie
réparations). Une femme, âgée de vingt-neuf ans, fut admise dans la clinique des maladies nerveuses, le 24 novembre 1895, av
tion fut notée dans le premier temps du séjour de la malade dans la clinique ; mais à la fin du mois de janvier 1896 survint
ves dans la région de la tige cérébrale. Si l'on compare le tableau clinique au tableau ana- tomique, on peut admettre qu'il
mettre, en effet, que le syndrome de Basedow est la mani- festation clinique d'un trouble nerveux fonctionnel primitif, d'une
rendit ensuite à Paris. Là il fréquenta assidûment les différentes cliniques et en particulier les cours de Brown- Séquard e
t près d'une quinzaine d'années, E.-C. Séguin a été pro- fesseur de clinique nerveuse à la Faculté du Collège des médecins e
, médecin adjoint, est nommé sur place méde- cin en chef de l'asile clinique (Sainte-Anne) (24 mars ;) M. le Dr Sérieux, méd
le suivant, que nous avons étudié d'une façon complète depuis la clinique jusqu'à l'examen histologique. Mais le fait que
'. 1 Brown-Séquard. ilrclc.l'Jcys., 1891, p. 195. Au point de vue clinique , le syndrome de Brown-Séquard conserve ARCIIIVE
ux anciens démonographes et nous terminerons par une série de faits cliniques . « Il n'est pas rare, dit Griesinger, d'observe
e vérité psycholo- gique. » Cherchant à déterminer les caractères cliniques de la démonopathie, Calmeil dit qu'après être d
l'invasion de sa maladie, etc. Si maintenant nous passons aux faits cliniques , nous en trouvons qui répondent aux différentes
C'est ce dernier que cette étude a pour but d'isoler en une entité clinique comparable à la maladie de Lasègue, ainsi qu'av
ablir le foyer primitif, cela serait indispensable. Au point de vue clinique , les paralysies faciales unilatérales qui, datant
ings- Jackson. Intellectual Aura. (Brain XI. 1889, p. 185). L'étude clinique de l'épilepsie, ou mieux, desépilepsies, fut re
connue. : DARDEZ. 508 BIBLIOGRAPHIE. XIV. Contribution à l'étude clinique de la méningite spinale syphili- tique; par le
et nerveuses durant l'année scolaire 1896-1897. Aba (Isaac). Étude clinique des troubles de la sensibilité géné- rale des s
ue et anatomique. - Bourdicaud-Dumay (Hippolyte-Pierre)' Recherches cliniques sur les troubles de la sensibilité générale du
anique. Cache (Eugène). Tabès. Syn- drome. Crises gastriques. Elude clinique . Campos (Moïse). Recherches expérimentales et c
iques. Elude clinique. Campos (Moïse). Recherches expérimentales et cliniques sur les nerfs sécréteurs des larmes. Carrez (He
ns musculaire et le sens des attitudes. Clavey (Eugène). Recherches cliniques sur les groupes musculaires 510 () BIBLIOGRAPHI
ue dans ses rapports avec les professions.- Ingelrans (Léon). Étude clinique des formes anormales du tabes dorsalis. Iovanov
ndrcfme de Landry). Etude lilsto- rique et critique. (Travail de la clinique des maladies du système nerveux). Marty (Albert
gaïacol, le carbonate de gaïcol et le gaïacyl.Oguse (Joseph). Etude clinique du coeur dans la chorée. Griot (Emile). Contrib
oitre exophtalmique. Thomas (André). Le cervelet. Elude anatomique, clinique et physiologique. Thouvenet(Prosper). Considéra
que l'on peut conférer à cette affection une certaine individualité clinique . La symptomato- logie est peu variée. On consta
Questions générales par Clarke, 311. I. Autointoxication. Aspects cliniques de 1' , par Hurd, 311. Automatisme dans la sy
23 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
(1T PIIIM1KE SOUS LA DiiiFcrioN nE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales ? [J\ Faculté de l11édP
hléJecm nle l'Aile clmiyue (Sie-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facult
190' ? Vol. XIII. Janvier 1902. N° 73. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. - . Paraplégie spasmodique dans un
édicale, 10 mai 1899, p. 218.) Archives, 2' série, t. XIII. 1 2 " CLINIQUE NERVEUSE. étage de l'axe, nées sur place à la s
. Et c'est déjà, faute de mieux, une grosse partie de notre tâche clinique . Voyons donc comment M. Van Gehuchten croyait d
ification de M. Van Gehuchten. Elle établit des catégories de faits cliniques qui ne sont pas abso- lument tranchées et qui m
paraplégies en question. Passons à l'interprétation des phénomènes cliniques . Ici une subdivision s'impose. Abstraction fait
la sensibilité, p. 81. 2 Van Gehuchten. Presse méd., loc. cil. 4 CLINIQUE NERVEUSE. cides par fracture vertébrale, par se
e gauche beaucoup plus facilement qu'il ne fait pour la droite. 6 CLINIQUE NERVEUSE. La sensibilité au tact est un peu dim
cuisses; 3, sensations thermiques : perverties surtout à gauche. 8 CLINIQUE NERVEUSE. Le 28 avril, la contracture permanent
ur la jambe droite ; sensibilité thermique légèrement troublée 10 CLINIQUE NERVEUSE. sur la jambe droite, diminuée et comp
prolifération se retrouve sur une grande hauteur de la moelle. 12 CLINIQUE NERVEUSE. Les coupes permettent de reconnaitre
te surtout par les os déplacés et effondrés 1. Les renseignements cliniques sont, il est vrai, un peu écourtés. L'auteur di
899, p. 4 Í6. 0 Rummo. Riforma medica, 14 fév. 1899, p. 439. 16 CLINIQUE NERVEUSE. C'est encore une paraplégie spasmodiq
s avons étudié dans son service et que nous avons introduit dans la clinique de notre maître, le professeur Raymond, y sert
M. IIaushalter et Adam sont également d'avis ' Professeur Raymond : Clinique des maladies du système nerveux. Deuxième série
de de traitement des maladies nerveuses. (Recueil des travaux de la clinique des maladies nerveuses de Saint-Pétersbour, t. II
pinale en dehors de la dure-mère ; Par A. COCHEZ, Professeur de clinique médicale à l'École de Médecine d'Alger. L'hémor
s de l'hérédité similaire et l'époque de leur début, leur évolution clinique , leur tableau symptomatique restent à peu de ch
le à une autre, d'où l'impossibilité de leur reconnaître des formes cliniques nettement définies. G. DE<'iY. REVUE DE PATH
Salpétrière, n° 5, 1900.) Observation intéressante au point de \ue clinique « non seule- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 51
ter réunies les quelques considé- rations générales au point de vue clinique , étiologique, médico- légal, qui se trouvent ép
chorée est encore très obscure et n'a encore pu être localisée ; la clinique reste en attendant le meil- leur moyen d'invest
L'observation est rapportée très en détail, tant au point de vue clinique qu'au point de vue anatomo-pathologique (5 figure
E. XXVIII. Polynévrite tuberculeuse motrice; par Glorieux. (Poli- clinique de Bruxelles, janvier 1900.) Affection s'étant
ly,'4900, p. 21 à 37.) L'auteur fait une' revue complète des études cliniques et des recherches anatomo-pathologiques sur la
rologist, octobre 1899, p. 586-610.) La migraine présente des types cliniques extrêmement divers, sans doute à cause de la di
ions de l'une en l'autre; Mobius trace un parallèle de leurs formes cliniques ; Fère en fait deux équivalents. Tous les cas ci
amais indépendamment d'elles, et qui démon- trent bien la connexion clinique en même temps qu'elles laissent à penser combie
l'hémicranie est acquise (non héritée) et tardive; 4° la liaison clinique avec l'épilepsie paraît exclusivement concerner l
le puisse jouer un tel rôle. 5° Le signe externe de l'homogénéité clinique de la migraine et de l'épilepsie est principale
en connues, il serait rendu facile de voir clair dans l'homogénéité clinique des deux types neurotiques. Il ne peut être dou
t être douteux que cette aura visuelle est un symptôme d'une entité clinique . Il est possible que des phénomènes senso- riel
64 -il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLIV. Contribution à l'étude clinique des intoxications par les dérivés du benzol et
es des autres produisent, au point de vue toxique, des phéno- mènes cliniques différents. L'expérimentation sur les animaux ten
psichiatrii, V, 1900). L'intérêt de l'observation gît dans l'étude clinique et radiosco- pique du pouce de la main gauche.
L9R1TS. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 1, 1901). Observation clinique d'nn syndrome bulbaire apparu brusque- ment che
lysie. L'auteur serait disposé à admettre que ces différents stades cliniques sont les manifestations de lésions intéressant
mbre de manifestations nerveuses de nature hystérique. Dis- cussion clinique portant sur le diagnostic et la pathogénie et rés
imatives. J. SÉGLAS. IL Sur l'importance à la fois médico-légale et clinique du dia- gnostic précoce de certaines affections
abilité du criminel. : BIBLIOGRAPHIE. I. Contribution à l'étude clinique du syndrome de Landry post- grippal; par le Dr
raissent pen- dant la convalescence. L'auteur reconnaît deux formes cliniques assez nettes : 1° L'une caractérisée par un déb
2-1901. Vol. XIII. Février 1902. N° 74. ARCHIVES DE NEUROLOGIE- CLINIQUE NERVEUSE.. Travail DE la clinique DE M. LE prof
° 74. ARCHIVES DE NEUROLOGIE- CLINIQUE NERVEUSE.. Travail DE la clinique DE M. LE professeur A. Pitres. ' , ... ? 1 i
re, à première vue. Les six autres se présentèrent avec des allures cliniques .tout à fait différentes. Les malades de ce gro
e manifestations névropathiques Archives, 2e série, t. XIII. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. et n'ayant pas subi de traumatismes v
héréditaires. - Rien à retenir dans ses antécédents Fiff. 12. 100 CLINIQUE NERVEUSE. héréditaires. Père et mère vivants en
ent 10 au dynamomètre. Si l'on demande au malade de Fif}. 13. 102 CLINIQUE MENTALE. tapoter des deux mains sur la table, c
motrice du nerf cubital percuté au-dessus de la gouttière. Rien 104 CLINIQUE NERVEUSE. - à signaler dans les grands organes
sition du membre paralysé. La percussion des muscles Fig. 15. 106 CLINIQUE NERVEUSE. donne lieu à des réactions normales.
ntacts sur le rythme du métronome, cependant que M. Abadie, chef de clinique , manipule sous l'oeil attentif du malade les in
lecture des observations qui précèdent montre com- . Fig. 16. 108 CLINIQUE NERVEUSE. bien est uniforme et monotone le tabl
suivant donne un aperçu des différentes mensura- tions faites à la clinique Charcot : , TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES.
'amélioration de l'incoordination. Sur 207 cas d'amé- ' F. Raymond. Clinique des maladies du système nerveux, 1897. 8 P. Mar
LADIES NERVEUSES. 129 « minutes à 40° et 50°. La malade quitta la clinique au mois d'avril complètement guérie. Nous l'avo
d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. résumé par eux. Examen clinique : paralysie spinale à marche lente et progressi
r pathologique, extrême sensibilité aux toxines de l'écorce grise), cliniques (analogie des Archives, 2° série, t. XHI. 10
10 146 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. tableaux cliniques des encéphalopathies toxiques, de l'urémie, du
de discours, à l'occasion de l'anniversaire de l'inauguration de la clinique des maladies mentales et nerveuses de Saint-Pét
en tout cas, les produits de l'expérimentation et de l'observation clinique mettent en évidence que l'écorce du cerveau est
se de données expérimentales exactes et sur beaucoup d'observations cliniques excellentes. Depuis trente ans, la théorie des
ées de celles qui proviennent des cellules commissu- rales, mais la clinique et l'expérimentation fournissent des argu- ment
moitié gauche de la face. Au mois de septembre la malade entre à la clinique où l'on con state : hypo-esthésie des trois bra
question. De l'ensemble de leurs théories et de leurs observations cliniques , on peut conclure que les souvenirs sont locali
t lui, et donné sur chacun une opinion personnelle et étayée sur la clinique . Avec tous les auteurs, M. Gélineau pense qne'
être attribué au meilleur mémoire original et inédit sur l'Histoire clinique et le traitement de l'Epilepsie. Ne sont admis
1-1902. , Vol. XIII. Mars 1902. - N° 75. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE-. L'obsession de la rougeur ou éreutho
la direction du Dr Toulouse.) Archives, 21 série, t. XIII. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE. phal dans son mémoire sur les obsessi
ourquoi rougit-on ? (Revue des Deux Mondes, 1" octobre 1893.) 480 CLINIQUE NERVEUSE. été communiqué au Congrès français de
lilin. Woclzens- christ, -1599, 118.) 18. Friedlander. Le tableau clinique de la prétendue Erythrophobie. 182 CLINIQUE NER
Friedlander. Le tableau clinique de la prétendue Erythrophobie. 182 CLINIQUE NERVEUSE. Au surplus, après nous avoir contesté
- geur présentait de l'intérêt non seulement par sa physiono- mie clinique , mais encore et surtout peut-être par l'excellent
on de certains points fon- damentaux de psychologie, physiologie et clinique . (Congrès annuel des AtiGnistes allemands, Fran
zialria, vol. XXVI, fasc. 23, p. 512.) 20. Hartenberg. Les formes cliniques d'éreulhophobie. (Congrès inter- national de mé
ngrès des Aliénistes et Neurologistes, Limoges, août 1901.) - 184 CLINIQUE NERVEUSE. Nous avions, dans notre mémoire, émis
onfirmer, nous semble-t-il, un fait déjà suffisamment établi par la clinique . ' Vaschide et Marchand. Loc. cil. * Hartenbe
Loc. cil. * Hartenberg. Les timides et la timidité. Chap. Il. 186 CLINIQUE NERVEUSE. Mais cela ne prouve pas que l'Ereutho
us venons d'indiquer sont à continuer parallèlement avec les études cliniques et psychologiques. Un dernier point. Nous nous
santes, que nous n'hésitons pas à les reproduire intégralement. 188 CLINIQUE NERVEUSE. ' alors que la facilité de rougir, sa
moi destiné à être toujours malheureux par cette maladie, s'em- 190 CLINIQUE NERVEUSE. parent de vous, et la crise se résout
pas troublé comme par l'abord d'un homme supérieur. Et pour- '192 ' CLINIQUE NERVEUSE. tant, si je veux accoster une femme,
is afin de puiser en moi des AnclII\'F. 2' série, I. XIII. 13 194 CLINIQUE MENTALE. forces de résistance, de me donner du
e constitution physique et psychique. 1 - Pans, le 7 mars 1897. CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude des réactions de
variations des réactions de la peau aux trois périodes de la 198 - CLINIQUE MENTALE. paralysie générale et pour cela de sui
tion de la peau croissent parallèlement à l'évolution du mal. 200 CLINIQUE MENTALE. par rapport à l'intermédiaire de 31,4
c. de ' Jléd. ment, de Be1gique, mars 1901.) Etude statistique et clinique basée sur l'observation de 485 alié- nés crimin
' le sens de la suppression des garderies et de la constitution des cliniques de traitement type Giessen, avec organisation par
eM)-t'o;7; Médical Record. 6 janvier 1900 ) L'auteur nie l'entité clinique de la folie puerpérale. Les diverses psychoses
ment de la lactation. Les 218 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. signes cliniques sont ceux du délire aigu pouvant s'amender bien
la folie est souvent un stade mélancolique. Puis après ces tableaux cliniques qui montrent la 'ressemblance, il se demande ce q
ratiques : méthodes de traitement; 2° Des questions scientifiques : cliniques et laboratoires. Péterson indique d'abord quelq
éviter toute infection sceptique. SIUGN. XXIV. Progrès des études cliniques en psychiatrie; par Edward CowLEs. (American Jo
sa durée. L'honneur d'avoir appelé l'attention sur ces connexions cliniques entre la névralgie et l'aliénation transitoire
, il y a parfois des périodes, plus ou moins courtes, où le tableau clinique est très voisin de celui de la paralysie généra
vations collectionnées dans le service de rééducation institué à la clinique Charcot. par M. le Pr Raymond, en 1896, et auss
sions vraiment scientifiques : toutes les données acquises dans les cliniques et les laboratoires psychiatriques par les étud
oon (Bordeaux- Gironde ; M. le Dr Magnan, médecin en chef à l'asile clinique Sainte-Anne, nommé officier de la Légion d'honn
. Carré et Naud, 18J9,-t. If, p. 1333 et suiv. - ' Séglas. Leçons cliniques sur les maladies mentales. Paris, 1895, p. 80.
ompromis. L'obsession est, avant tout, une maladie de la volonté. CLINIQUE MENTALE. Biographie d'une idée fixe. Observat
et il disparut prestement. Cette histoire de sa vie et de sa 272 CLINIQUE MENTALE. maladie suscita chez moi un très vif i
ttais Riga où je laissais Archives, 2" série, t. XIII. 18 S 274 4 CLINIQUE MENTALE. une soeur bien-aimée. Je ne me plus pa
rès de mes meilleurs amis et même de ma soeur, et personne ne 276 CLINIQUE MENTALE. savait me venir en aide : je lâchais d
en présence du monde j'étais pris d'un sentiment d'oppression, 278 CLINIQUE MENTALE. je rougissais sans cesse, ce qui m'obl
concevais la pensée d'aller, mon examen terminé, en pays étran- 280 CLINIQUE MENTALE. ger : là je deviendrai tout autre » me
des images terrifiantes dont je ne pouvais me défendre. J'avais 282 CLINIQUE MENTALE. les sens très irrités, j'étais incapab
de me faire mourir ; j'ai même tenté un suicide raffiné; je 284 -il CLINIQUE MENTALE. . voulais me rendre malade, me ruiner
chez moi après quelque temps, je procédai tout d'abord à un examen clinique rigoureux , dont le résultat fut que ce trouble
Ainsi se développe en une flamme qui consume la vie, l'étin- 286 , CLINIQUE MENTALE. celle d'une manie enfantine couvant so
en ce sens que la pièce anatomique laisse- rait supposer un tableau clinique semblable à celui de la pachy- méningite hémorr
e à celui de la pachy- méningite hémorrhagique, tandis que l'exposé clinique indique une métastase circonscrite du cerveau a
e, mais de tout le per- sonnel, y compris les internes, mon chef de clinique et moi-même. C'est mon chef de laboratoire qui
our de véritables hallucinations se présen- tent sous trois aspects cliniques distincts : 1° Des interprétations t;yisodirues
oriels, constituer un syndrome commun à un certain nombre d'espèces cliniques et susceptible de se pré- senter sous une forme
des caractères bien tranchés qui permettent d'en faire une espèce clinique autonome. Cette psychose est, en effet, caracté
intellectuelles (pas de période de démence). C'est à cette forme clinique déjà signalée en France par quel- ques auteurs
ents plus précis. et d'ordre nosolo.iclue. existe notamment des cas cliniques où la syphilis cérébro-spinale se 'complique d'
rer comme étant d'oiigine parasyphilitique. De même dans le tableau clinique , on trouve des phénomènes qui correspondent à c
agers et transi- 342 sociétés savantes. toires. D'après leur type clinique , ces ictus sont tout à fait de nature paralytiq
Discussion. 11. ToKASKy trouve que les particularités du ta- bleau clinique que présentent les observations de M. Monratoff,
as assisté à l'éclosion de la paralysie générale ni au point de vue clinique , ni au point de vue ana- tomique. M. BER1\STE
ittentes par l'acide urique et il étayait son hypothèse sur ce fait clinique que l'urine des épileptiques contient moins d'a
s et neurologistes. ' D'' FnEEMAN, XIII. Essai sur les phénomènes cliniques qui peuvent s'associer à la respiration de CheY
Imp. 3-1902. Vol. XIII. Mai 1902. N° 77 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Note sur un cas d'hystéro-épilepsie à
resque toutes les semaines Archives, 2- série, t. XIII. 23 3 3tVt CLINIQUE NERVEUSE. quelques gouttes de sang ; 'elle n'y
jusqu'ici; elle se trouve très bien de ce changement de régime. 356 CLINIQUE NERVEUSE. Son poids, qui était encore de 65 kg.
. 24. La malade a eu des selles abondantes après son lavement 358 CLINIQUE NERVEUSE. et se sent beaucoup mieux aujourd'hui
et regardant pendant quelques secondes d'un air hagard derrière 360 CLINIQUE NERVEUSE. ... 5 elle (comme lors de l'attaque
Mardi à la Salpêtrière, t. I, 22' leçon, et t. II, IS' leçon. 362 CLINIQUE NERVEUSE. constater alors une ovarie bien carac
ent au bout de quel- ' Die Epilepsie (Wien, 1899), p. 218. ! Traité clinique el thérapeutique de l'hystérie, t. II, chap. X. -
ation analogue dans un cas de Martin, cité par Mora. * Recherches cliniques el thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
re que, exceptionnellement, l'accès hystérique soit aussi suivi 364 CLINIQUE NERVEUSE. continu, soit le type intermittent, o
Gilles de la Tourette, Op, cit., t. II, chap. XI ; Chauveau, Forme clinique et pathogénie de la fièvre hystérique (Thèse de
celle de notre excellent confrère et ami, le Dr Perruchet, chef de clinique chirur- gicale de l'École, chargé du service ra
pparente; c'est surtout la constitution chez chacun d'eux d'un type clinique rigoureusement identique : mêmes idées délirant
ilité. , . P. KERAVAL. L.T\\III. Contribution à l'étude de la place clinique de l'érythro- phobie ; par A. Friedlaender. (Ne
. Cestan. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 4, 1901.) L'étude clinique et anatomo-pathologique du nanisme conduit à co
être toujours irréparables. Enfin, l'extrême variabilité du tableau clinique a beau être bien connue, il faut y y insister,
quatre observations d'ataxie spinale aiguë, dans lesquelles l'étude clinique des malades ne permet guère de doutes sur la na
ici s'il ne présentait deux symptômes en opposition avec le tableau clinique aujourd'hui classique de la myopathie et avec l
t des contractions librillaires. " En somme, aucun des caractères cliniques de dystrophie muscu-' Archives, 21 série, t. XI
dans cette maladie que des symptômes, et c'est par l'obser- vation clinique que nous sommes amenés à supposer l'existence d
4° Une lésion occupant un côté du bulbe peut produire un syndrome clinique ou plutôt une association de syndromes clini- q
a méningite cérébro-spinale métapneu- monique. Elude séméiologique, clinique , bactériologique ; par le De TALABÈRE. (Th. Lyo
st rapide et peut même être foudroyante. L'auteur cite comme formes cliniques : une forme de dissociation à marche typique po
s une argumentation serrée et s'appuyant sur des faits anatomiques, cliniques et anatomo-pathologiclues, l'auteur prouve qu'o
Nicollet. (Th. Lyon, 1900-1901). Restant strictement sur le terrain clinique , M. Nicollet a cherché dans sa thèse, si dans l
N BIBLIOGRAPHIQUE. DE LaPEnsowe(F.).-Leço2z d'ouverture du cours de clinique ophlal- ? i1ologique de la faculté de Médecine de
. - 4-1902. Vol. XIII. Juin 1902. N° 78. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES. - PR
II. Juin 1902. N° 78. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES. - PROFESSEUR RAYMOND. S
émianopsie est dite homonyme, Archives, 2' série, t. XIII. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. quand elle porte sur les deux moitiés
mianopsie simple, unilatérale, limitée à Fig. 20. Fi[J. 21. 436 CLINIQUE NERVEUSE. un seul côté, à l'hémianopsie bilatér
gment polygonal, quadrangulaire, du champ visuel. Premier exemple CLINIQUE . - Cela dit, je vais vous présen- ter une premi
u nombre de trois, en l'espace d'une l'année. Dans ces condi- 438 CLINIQUE NERVEUSE. tions, nous avons soumis la malade à
, susceptible d'éveiller le soupçon d'une paralysie 1'ig. 23. 440 CLINIQUE NERVEUSE. générale commençante. Elle n'a pas, n
ations - accidents épileptiformes, diminution de l'intel- 442 '1) . CLINIQUE NERVEUSE. ligence et de la mémoire - ne nous fo
lectuelles de' la malade n'aille en progressant. Deuxième exemple clinique . Ce premier cas est à mettre SUR trois cas d'hé
Cette fois encore, elle n'a eu ni convulsions, ni paralysie. 444 CLINIQUE NERVEUSE. Le lendemain, C... était rétablie et
logique, à cela près que, dans les mouvements de laté- Fig. 24. f CLINIQUE NERVEUSE. ralité, les globes oculaires étaient
s parlent en faveur de ce siège unilatéral du processus mor-, 448 CLINIQUE NERVEUSE. ' bide, à savoir : l'hémiparésie droi
gitudi- nal inferieur. Cal, scissure calcarine. - Cu, cuneus. 450 CLINIQUE NERVEUSE. les fibres nerveuses qui tirent leur
aux. Les fibres de cette seconde catégorie concourraient donc 452 CLINIQUE nerveuse. à la perception des impressions visue
s, à transmission centrifuge. Si on s'en rapporte aux données de la clinique et de l'anatomie pathologique, cela me paraît d
li, faisceau longitudinal inférieur. Cal, scissure calcarine. 454 CLINIQUE NERVEUSE. .postérieur de la couche optique, de
s fibres nerveuses issues de la région de la tache jaune, est 456 clinique nerveuse. alimenté à la fois par deux artères d
es, dépendant d'une lésion de même siège, vous trouverez men- 458 CLINIQUE NERVEUSE. tionnés dans les ouvrages qui traiten
e la vision. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 459 Troisième exemple clinique . Le malade en question, un nommé L..., est âgé
servation de la vision centrale (ftg. 27). Elle existe pour 460 . CLINIQUE NERVEUSE. ` toutes les couleurs. La réaction pu
ieu, quand l'aphasie est liée à la cécité verbale. Fig. 27. 462 CLINIQUE NERVEUSE. Indépendamment de l'aphémie, on peut
Aussi bien, l'hémiplégie droite, survenue à la suite d'un 464 -11 . CLINIQUE NERVEUSE. . ictus apoplectique, est l'indice
malades présentés en premier Archives, 2' série, t. XIII. 30 466 CLINIQUE NERVEUSE. lieu. Or, comme l'a fait justement re
entent la zone de distribution de l'artère cérébrale moyenne. 468 CLINIQUE NERVEUSE. l'hémianopsie, lorsque la lésion, don
elette, elle produira une hémianopsie unilatérale, à savoir : 470 CLINIQUE NERVEUSE. Une hémianopsie temporale' du côté op
gitudi- nal inférieur. - Cal, scissure calcarine. Cu, cuneus. 472 CLINIQUE NERVEUSE. port avec des lésions de l'hémisphère
des hallucina- tions psycho-motrices, ni rappeler leur description clinique , ce sont là des questions bien connues de tous,
avons remarqué que certaines hallucinations, présentant t le type clinique complet des hallucinations dites psycho- motric
. XXXIX. Un cas de psychose post-opératoire ; par M. Orlon, de la clinique ophtalmologique de l'Université de Kazan. (Neurol
augmenta : l'opérée déchira son pansement, tenta de se sauver de la clinique . L'agi- tation commença régulièrement à deux he
a : le lendemain de l'opération elle se sentit entrainée loin de la clinique ; ensuite elle aperçut une vieille femme laide q
blement à l'atrophie de la papille. Du moins c'est ce qu'indique la clinique . La parole est à l'anatomie microscopique. P. K
olo- gique décidera. F. BOISSIER. BIBLIOGRAPHIE. XX. Recherches cliniques et thérapeutiques sur' l'épilepsie, l'hystérie
l'hospice de Bicêtre. La seconde partie contient les observations cliniques les plus intéressantes du service. Le premier c
en mis en lumière leur signifi- cation au double point de vue de la clinique et de la psychologie. Paul SÉRIEUX. XXII. Du
aitement de la chorée de Sydcnham par le cacodylate de Soude. Elude clinique ; par A. DETCIlEFF. (TA. Lyon, 1900-1901.) M. De
médicament de choix et éviterait tout accident. Appuyant son étude clinique sur de nombreuses observations favo- rables, l'
ttente est plus efficace et sans inconvénient. G. C. XXIII. Etude clinique des formes unilatérales de la paralysie agi- ta
Allcuaun. (Th. Lon,1900-1901.) La thèse de M. Michaud est une étude clinique où il insiste sur le diagnostic des formes unil
G. CARRIER. XXVII. L'aliénation mentale chez les prostituées. Etude clinique ; par François Gaaz. (Th. Lyon, 1900-1901). Le
les auteurs. G. C. VARIA LE BUT ET LES MOYENS DE LA PSYCHIATRIE CLINIQUE ; par KRAEPELIN. (AU. Zeitsch. f. Psychiatrie, t
e. On admet actuellement qu'il y a une 528 varia. série d'espèces cliniques dont les particularités sont dues soit à leur l
poisons, l'alcool, la morphine, la cocaïne, déterminent des formes cliniques qui présentent des caractères identiques dans l
e des intoxications. Le difficile est de distinguer dans les formes cliniques les symptômes essentiels des signes accessoires
ni- festations jusqu'ici utilisées pour le groupement des espèces cliniques : hallucinations, conceptions délirantes, modific
endre, l'excitation motrice, les phénomènes d'arrêt, etc. L'analyse clinique montre des différences importantes entre des ma
r jeter un coup d'oeil d'ensemble sur les résultats de l'expérience clinique . L'auteur a eu soin de tenir compte de tous les
Paris est chargé jusqu'à la fin de l'année scolaire, d'un cours de clinique des maladies mentales. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE
is, 177. EIiYTIi0110PIIOBIF. Contribution à l'é- tude de la place clinique de l ? par Frredlaender, 391. Exostoses symét
tation d'une grande- par Bérillon et P. Magnun, 246. Re- cherches cliniques pt thélapeu- tiques sur l'eptlepsie l' - et l
les enfants, par Lotiise Itoblnovitcll, 215. Voir Mensonge. Etude clinique et ana- tomo-pathologique sur 1' par 1 l'ehzz
e et ana- tomo-pathologique sur 1' par 1 l'ehzzi. 348. Recherches cliniques etthérapeuttques sur l'épilepsie et l' - par
La ponction lombaire en -, par 1)u(los, 311. But et moyen de la- clinique , par Kraepelin, 527. Psychotographie du manteau
24 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie e de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facult
1901 Vol. XII. Juillet 1901. - N° 67. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Hallucinations psycho-motrices dans la
- sives ; elles sont assez souvent persistantes et identiques à 4 CLINIQUE MENTALE. elles-mêmes dans les formes dépressive
qui persiste durant assez longtemps ne permet pas l'investi- gation clinique , tandis que le mélancolique ou le persécuté vie
lysie générale. b) Leur association étroite avec des convulsions 6 CLINIQUE MENTALE. , des muscles masticateurs. c) Leur ap
tions senso- rielles soit auditives, soit visuelles. . .Les faits cliniques d'hallucinations psycho-motrices ver- bales, ob
des zones corticales-motrices. Tels sont les documents que nous 8 CLINIQUE MENTALE. 1 avons pu rassembler dans la littérat
oyages multiples faits ensemble auparavant (délire rétrogade). 12 CLINIQUE MENTALE. Cet état n'a persisté que quelques sem
III. 13r..., trente-huit ans, entré à Villejuif, venant de l'Asile clinique avec le diagnostic de paralysie générale, G mar
avant d'entrer à l'asile; mais. il ne la désigne pas autrement. 14 CLINIQUE MENTALE. Quand on l'interroge, il répond assez
paralytiques généraux. Le tableau sui- vant nous l'apprendra : 16 CLINIQUE MENTALE. vrai de prétendre que la self-satisfac
gésique étant altéré, cas qui fournissent le tableau suivant : 18 CLINIQUE MENTALE. les ont vivement frappés ; si, comme n
issant et il reste tel d'ailleurs jusqu'à la mort. Or en février 20 CLINIQUE MENTALE. et mars 189, il eut durant deux mois d
il a d'abord un délire génital dépressif puis expansif. A ces 22 CLINIQUE MENTALE. conceptions délirantes de grandeurs et
souvent normal que les troubles moteurs étaient moins accusés. 24 CLINIQUE MENTALE. On sait combien à la seconde période s
géra- tion ou au contraire l'affaiblissement et l'impuissance. 26 CLINIQUE MENTALE. · V. En dehors de ces trois troubles f
des hémisphères. Si la physiologie expérimen- tale et l'observation clinique ont quelquefois affecté de ne relever que d'ell
sley, Flechsig t. La psychologie expéri- mentale, aussi bien que la clinique et l'anatomie normale et pathologique, ont bien
ute le plus souvent par des phénomènes dorso- lombaires. La forme clinique la plus fréquente de la paralysie générale post
ue serait donc sclérose cérébro-spinale disséminée et le diagnostic clinique : tremblement sénile avec symptômes de sclérose
temps l'organe de la Société ; 2° d'exposer dans l'auditoire de la Clinique psychiatrique, qui sert également de salle des
3,6 p. 100 des cas. Sur 13 autres cas notés dans les archives de la clinique , il le trouve dans 69,2 p. 100 des cas. Mais ce
éories hypothétiques, point de controverses doctrinales, mais de la clinique toujours, clinique basée sur la physiologie, te
s, point de controverses doctrinales, mais de la clinique toujours, clinique basée sur la physiologie, telle est la formule
, qui en facilitent la pra- tique pour le grand bien des malades. CLINIQUE NERVEUSE. Sur un cas d'amnésie continue, conséc
le service de M. le docteur Magnan.au bureau d'admission de l'Asile clinique (Sainte-Anne), le 3 avril 1900, pour des troubles
l'infirmerie spéciale du dépôt d'où il arriva le 3 avril à l'Asile clinique dans le service de M. Magnan où nous pûmes l'ex
nt. En dehors de quelques symptômes d'artériosclérose énumérés 88 CLINIQUE NERVEUSE. plus haut, on ne trouve aucune tare p
nt les sensations perçues que l'on cherche à faire revivre,on se 90 CLINIQUE NERVEUSE. heurte au même défaut de précision, o
l'écart et cherchais à tuer le temps en jouant aux cartes et aux 92 clinique nerveuse. dominos,etc... » et plus loin : « Je
intoxications oxydai,- bouées. (Ann. 7)zécl. psch., 1900.) 94 -il CLINIQUE NERVEUSE. réveillés; mais on peut aussi se dema
e suicide par pendaison. (arc. cli- niques de Bordeaux, 1895.) 96 CLINIQUE NERVEUSE. Féré signalent également des cas d'am
g1Ji, 1900, janvier.) Les auteurs ont eu l'occasion d'examiner à la clinique de Pise * un cas d'crythromélalgie typique qui
chent du type du suicide alcoolique, confir- mant ainsi les preuves cliniques du rôle prédominant que joue l'alcoolisme dans
aux condi- tions organiques du sujet. Si l'on passe du point de vue clinique et statistique au point de vue social, on voit
tistique sont en parfait accord avec les inductions de l'expérience clinique . Le suicide REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 133
. XVII. Lésions de chiasma optique, avec la relation de trois cas cliniques ; par William M. LESZYNSKY, (Jot/1'Il. of Nerv. a
ent. Desease, Mars 1900). Après la relation de trois observations cliniques W. Leszynsky 142 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
e par l'hypnotisme. Ce dernier caraclère a une importance à la fois clinique et médico-légale. L'automatisme de la neuras- t
^. moins momentanée. Dans ces deux cas on nota les particularités cliniques et anatomiques suivantes : Premier cas. Malade
, et en même temps invitent à quelques remarques sur les caractères cliniques delà maladie. Les lésions pathologiques montren
oint de vue pathologique, elle est ces deux choses; au point de vue clinique , elle diffère du type habituel de l'une et l'au
stérieurs sont insignifiantes. Discussion. La comparaison des faits cliniques avec les recherches anatomiques, permet quelque
seul côté - condition qui peut s'expliquer par le fait que l'étude clinique fut faite quelques années avant la mort, et, da
ects. L'auteur pense que cette conclusion, contraire à l'expérience clinique , n'est pas suffisamment établie par les expérie
e pris, ce que l'auteur n'a pas personnellement observé. « Marche clinique . Durée de quelques semaines ou même des mois, q
r la nature des facteurs qui créent l'astéréognose et sur la valeur clinique de ce symptôme. Facteurs de l'asté1'éognose : 1
fisantes pour prévenir la perte du sens stéréognostic. Importance clinique de ce symptôme : Il est certain que l'asté- réo
mporale. Cette localisation diffère de celles trouvées dans des cas cliniques semblables par les observateurs précédents (parti
t pas faciles à déterminer pour l'instant, mais dès maintenant la clinique et l'anatomie pathologiques permettent d'admettre
montre différents états existant du cerveau, et leurs conséquences cliniques en rapport avec leur distribution topographique
us ou moins considérable des phénomènes spasmodiques constatés en clinique . La maladie de Friedreich est bien une affection
ganes thoraciques et abdominaux. L'ordre d'apparition des symptômes cliniques plaide déjà en faveur de cette manière de voir.
C'est sur le désir exprimé par les étudiants qui fréquen- taient sa clinique et pour leur être utile qu'il a écrit ce livre.
DO 1. Vol. XII. Septembre 1901. ' N° 69. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DE M, LE professeur André Mo
tembre 1901. ' N° 69. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DE M, LE professeur André Moussons. Hystérie ju
ussant plus loin l'examen, on passe en revue les diffé- rents modes cliniques sous lesquels se présente cette hystérie, on es
st pourquoi, sur les conseils Archives, 2' série, t. XII. 12 el78 CLINIQUE NERVEUSE. de notre maître M. le Prof. André Mou
le-même qui servit le client. Le lendemain 18 juin, elle vient à la clinique ophtalmologique de M. le professeur Badal, où e
- ment des deux côtés. Pas de lésion ophtalmoscopique, pas de 180 CLINIQUE NERVEUSE. trouble de la vision des couleurs. L'
onfondent. On prie alors le père de la malade de la reconduire à la clinique dès qu'elle présentera une nouvelle crise. Ce
r à la maison. C'est à la suite de cette crise qu'elle revient à la clinique ophtal- mologique de M. le professeur Badal. Il
le moment; quelques jours après, le 18 juil- let, elle revient à la clinique complètement guérie et raconte qu'elle a recouv
. M. Aubaret, qui la revoit à ce moment, essaie de 'nouveau les z CLINIQUE NERVEUSE. mêmes manoeuvres que précédemment, en
'abdomen est souple, se laisse facilement déprimer sous lamain. 184 CLINIQUE NERVEUSE. Le foie ne dépasse pas les fausses cô
si nerveuse (réaction douloureuse nulle par pression du cubi- 'LÔ(j CLINIQUE NERVEUSE. tal), ainsi que ligamenteuse et artic
a moitié anesthésique soit dans l'autre moitié. Si on pro- ' Leçons cliniques sur l'hystérie, t. I, p. 111-12. 190 CLINIQUE N
i on pro- ' Leçons cliniques sur l'hystérie, t. I, p. 111-12. 190 CLINIQUE NERVEUSE. duit la même excitation sur le côté a
laquelle les crises avaient complètement cessé pendant trois. 1 92 CLINIQUE NERVEUSE. mois, a été prise brusquement, au mom
(Brain, 1883, p. 4G3- Gi.) , Archives, 2° série, t. XII. 13 194 CLINIQUE NERVEUSE. est incomplète ». C'est l'opinion de
1897. ' 10 7'milé de palhol. générale, 1901, t. V, p. 1125. · 196 CLINIQUE NERVEUSE. temps, huit mois (Mendel), quatre moi
ucus. Manuel d'ophtalmologie, 2c édit. française. 1897, p. 630. 198 CLINIQUE NERVEUSE. vision binoculaire est encore plus ra
toutes particulières, comme celles qui ont amené notre malade à la clinique de M. Badal, pour qu'on puisse étudier la visio
ux, na 27, 8 juillet 1900, p. 486.) ° Loc. cil., p. 225-26. ' 200 CLINIQUE NERVEUSE. - vont se passer, ne suffit pas toujo
- rience va nous répondre. Un carton avec deux pains à cache- 202 CLINIQUE NERVEUSE. ter rouges, distants de 6 centimètres
51. 2 Journal of ne1'VOllS and mental diseases, 2 fév. 1886. 204 CLINIQUE NERVEUSE. la vision binoculaire, qui semble con
e, mais rigoureusement basée, au contraire, sur de nombreux faits cliniques . Nous nous sommes contentés de voir les faits, de
lle n'existait pas réellement, et qu'on la considère comme telle en clinique . ' Loc. cil., p. 226-28. 2 Loc. cit., p. 227.
de Parinaud. (Art. cité des Annales d'oculistiq., p. 36-37. ' 206 CLINIQUE NERVEUSE. * Et cependant la persistance de la s
e renseignements sur ses antécédents hérédi- taires et sur le passé clinique et psychologique de sa famille. La malade passa
emme de ses compagnes. Elle l'ut soignée successive- ment à l'asile clinique (Sainte-Anne) (un an), à la Salpêtrière (qua- t
risse. Ces hallucinations naissen t brusquempnl. Dans les examens cliniques longs et répétés qu'il nous a été donné de pratiq
auses du désordre nous sont parfaitement connues. Dans quel cadre clinique placer ce tableau symptomatique ? Ce cas de psy-
n sait que la confusion mentale présente elle-même plusieurs formes cliniques dont la forme maniaque, c'est la place qu'on lu
sent toujours récentes en raison même de la rapidité de l'évolution clinique . Ce fait justifie l'absence contradictoire de c
her et très calcifiée, surtout dans le lobe droit » L'observa- tion clinique de cette malade fut décrite, il y a deux ans, dan
imples malfaiteurs. Ces tristes temps ne sont plns. L'observa- tion clinique , mieux disciplinée et plus complètement soustrait
fectionnements de la technique, j'entends aussi hien la tech- nique clinique et expérimentale que la technique histologique. I
connaissons, grâce aux efforts réunis de l'expérimentation et de la clinique , la part que prennent les intoxications et les
, n'est-elle pas elle-même, le plus souvent, comme le montrent la clinique et l'expérimentation, le résultat d'une intoxicat
r). -PRÉSIDENCE DE 1\1. E. BRISSAUD. Du délire aigu au point de vue clinique , azatonzo-patizologique et bactériologique. -Ru
nnent corrobo- rer d'une façon très nette l'assertion que les faits cliniques ont fait émettre au rapporteur : que le délire
nouvelle dans l'his- toire du délire àigu. S'appuyant sur l'aspect clinique de cette affection et sur des recherches anatom
nvisager comme un syn- drome dû à des phénomènes toxi-infectieux. Clinique . - Tableau filmique. Le délire aigu peut être pri
sio7d'une-vésanic : - . SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 D'après le tableau clinique , M. Carrier reconnaît deux formes au délire aig
- nesco. La marche des lésions histologiques répond à l'évolution clinique . Au premier temps, envahissement des éléments ner
mportance capitale : c'est que le délire aigu est une manifestation clinique toxi-infectieuse. Les recherches bactériologiqu
M. Régis. Il résulte du remarquable rapport de M. A. Carrier que la clinique , l'anatomie pathologique, la bactériologie, sont
igu est un état de nature toxique. Il me semble que c'est encore la clinique qui apporte le meilleur élément de preuves de c
qui vient de se pas- ser, tantôt elle est antérograde. En somme, la clinique nous permet bien d'affirmer que le délire aigu
s, en se basant sur des obser- vations personnelles, décrit un type clinique qui est le suivant : un fond de confusion menta
nirs antérieurs. L'observation que je rapporte rentre dans ce cadre clinique . ' V..., 24 ans, cultivateur, ne présente dans
la suite de l'infection syphilitique. Recherches expérimentales et cliniques sur l'hédonal, hynoptique du groupe des uréthan
à la faculté de médecine de Paris, et, d'autre part, des recherches cliniques poursuivies dans le service du Dr Landrieux, à
de l'intelligence ni des organes de la phonation. L'anatomie et la clinique démontrent l'indépen- dance des troubles de la
normaux et son inter- prétation physiologique. ` Des observations cliniques rapportées par M. Le Merle, et clas- sées en gr
es systématisés secondaires. Etude psychologique, pathogénétique et clinique ; par le Dr Louis PROUST, ex-interne de l'asile
et les délires systématisés secondaires, il existe des différences cliniques importantes. Ces différences portent : 1° sur l
fluence des îlots analgésiques primitifs. Ces premières conclusions cliniques ont été déjà publiées dans une note communiquée
jusqu'à la pariétale ascendante. Figures. P. KERAVAL. XXX. Etude clinique des symptômes oculaires dans la sclérose postér
E NERVEUSE. 301 La « forme spinale » se voit moins souvent dans les cliniques ophtalmologiques, plus souvent dans les cliniqu
souvent dans les cliniques ophtalmologiques, plus souvent dans les cliniques de maladies nerveuses. Pendant une longue pério
s semblent quelquefois prendre une place importante dans le tableau clinique de la maladie, tandis que les manifestations mo
ans l'intervalle des attaques rendent très caractérisque le tableau clinique . L'examen d'une parcelle de muscle, prise à la
ation détaillée, se range à l'opinion de Frend quant l'indépendance clinique de cette forme de névrose mais fait des réserve
lexes ten- dineux et cutanés est fréquent et possède une importance clinique indéniable, il examine enfin les modifications
Les recherches expérimentales de l'auteur, ainsi que les don- nées cliniques , prouvent clairement que ce rapport n'est pas con
vent clairement que ce rapport n'est pas cons- tant. L'indépendance clinique du tonus et des réflexes confirme leur indépend
ontrée par deux séries de preuves. La première comprend des preuves cliniques : elle réside dans ce fait que souvent dans la
me parait être conforme ni aux faits physiologiques ni aux données cliniques . L'acte réflexe doit être considéré comme une p
, dont la production dépend de l'intensité de l'irritant. Les faits cliniques ne parlent pas non plus tout à fait en faveur de
ou moins complexes. Du reste, il existe déjà quelques observations cliniques , dans lesquelles une lésion de la partie cervical
s restreinte d'autant plus que les moyens d'investigation usités en clinique pour déterminer les réflexes sont très défectueux
une théorie de la contracture capable d'en expliquer les modalités cliniques . Mon opinion n'a pas changé et je n'accepte pas
ue. La théorie de M. Crocq ne saurait donc expliquer tous les faits cliniques . Con- trairement à M. Crocq, j'attribue une gro
organique. M. Babinski a montré au contraire combien sur le terrain clinique elle en était différente. Séance du samedi 3 ao
es. MM. L. Marchand et Cl. VURPAS. L'observation de plusieurs cas cliniques ont engagé les auteurs à entreprendre quelques ex
t lire un grand nombre d'observations dé- taillées, au point de vue clinique et anatomique, dans les Comptes rendus de Bicêt
se rendre compte de l'identité des lésions. Ce syndrome anatomo- clinique parait relativement fréquent. t. La psychose d'
IOE"ILLE. En raison de l'organisation défectueuse de l'enseignement clinique , beaucoup de médecins n'ont qu'une con- naissan
chambre, etc. En un mot, il réalise de façon complète le tableau clinique de la Catatonie de Kahlbaum. La nature des phén
que l'insolation provoque un état d'intoxication ainsi que l'aspect clinique des troubles mentaux semble le mon- trer. Ast
trois formes : simple, associee, mixte. Au point de vue de l'aspect clinique , ils reconnaissent deux formes, l'une con- tinu
arfois un peu aggravé. Des conséquences importantes au point de vue clinique découlent de ce fait clinique : 1° Au point de
séquences importantes au point de vue clinique découlent de ce fait clinique : 1° Au point de vue du pronostic : un accès ai
me. - L'INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL. 383 384 CLINIQUE MENTALE. surtout à l'irritation des organes sen
e à ce point de vue, et elle entraîne l'intoxication. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE, Contribution à l'étude des réactions d
ciles et des idiots... f . . Archives, 2° série, t. XII. 25 386 . CLINIQUE MENTALE. Voici ce très instructif tableau : R
raphie était aussi accentuée en avant qu'en arrière et six '388 · " CLINIQUE MENTALE. C 'fois beaucoup plus à la poitrine qu
ld étaient en réalité aussi sains qu'ils le prétendent et s'ils 390 CLINIQUE MENTALE. n'auraient pas été porteurs d'un nervo
rdre de fréquence les différences que nous avons relevées : 392 . CLINIQUE MENTALE. - Mais si ces tableaux nous permettent
- sément MM. Féré et Lance sur 19 alcooliques n'ont rencontré 394 CLINIQUE MENTALE. aucun cas de dermographie. Mais nous n
M n M f M M t" Fi. Z H. en M co va 396 . CLINIQUE MENTALE. 23 p. 100 ; inférieure, par conséquent
ononce en faveur de ce mouvement, et, dans ses dernières Recherches cliniques et thérapeutiques, M. Bourneville réclame la cr
ent el éducation des enfants idiots et dégénérés, 1891;-Reclaerc%es cliniques et thérapeutiques de 1890 à 1900. REVUE DE PA
ale des alcooliques, et il se borne à indiquer que les observations cliniques d'homicide alcoolique démontrent excellem- ment
e personnelle, est loin d'être commune, il existe des preuves, tant cliniques qu'ana- tomo-pathologiques, que la syphilis est
eint d'affec- tion organique congénitale du cerveau, avec symptômes cliniques consistant en un abaissement des facultés menta
elles qu'avait depuis longtemps préconisées Parchappe, des sections cliniques , mais c'est à Alt-Scherbitz qu'on vit pour la p
es grands avantages que retirent les villes universitaires de leurs cliniques psychiatriques, non seulement au point de vue de
irmerie spéciale des aliénés, reprendra la série de ses conférences cliniques de psychiatrie médico-légale, le ven- dredi 8 n
péciale, 3, quai de l'Horloge. Après trois mois d'assiduité à cette clinique , un certificat de stagemédico- légal psychiatri
QUE. Carrier (G.) et'M.4,BTIN (E.).. Du délire aigu au point de vue clinique , anatomo-pathologique et bactériologique, avec
6 pages. Prix : 1 fr. 50. Librairie J.-B. l3aillière. Baymond (F.). Clinique des maladies du système nerveux, hospice de la
0-1901. Vol. XII. Décembre 1901. N° 72`. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Délire aigu et urémie ; Par le D' A.
sions du Congrès, je présenterai ici sommairement deux observations cliniques qui, entre autres, me paraissent particulièreme
été ainsi formulé : « État Archives, 20 série, t. XII. 23 ,450 1 CLINIQUE MENTALE. démentiel avec confusion complète des
ptômes trop éloquents pour être révoqués en doute. D'autre part, la clinique autorise à admettre qu'elle existait même avant
des asiles publics d'aliénés du département de la Seine, à l'Asile clinique ; Par Lucien PICQUÉ, Chirurgien en chef des as
Magnan, membre de l'Académie ; MM. Dubuisson et Vallon, de l'Asile clinique ; MM. Briand, Marie, Pactet et Tou- louse, médec
irecteur de l'asile de Villejuif ; M. Guillot, directeur de l'Asile clinique ; M. Gillet, économe, 1\1. Péronne, architecte,'
architecte,' sont venus visiter le pavillon de chirurgie de l'Asile clinique . Ce pavillon se distingue de tous les pavillons
onditions qui ont été réalisées au pavillon de chirurgie de l'Asile clinique . - De plus, les deux services septique et asept
ischen Zustiinde, Leipzig, 1896, II' partie. 8 Krafft-Ebing. Traité clinique de psychiatrie, traduit sur la 5° édition allem
a ruine mentale du sujet, les stéréotypies ' ' J. P. Falret. Leçons cliniques de médecine mentale (faites à l'hospice de la S
e trop tardive de la maladie, pour pouvoir préciser leur origine. CLINIQUE NERVEUSE. Le mutisme hystérique dans l'histoire
grand nombre de faits qui répondent aux carac- tères de ce syndrome clinique . » - 1 Les faits relatés ici n'ont pas la valeu
Valère Maxime, liv. 1, cl1ap. vin. 5 Gilles de la ïourette. Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, tome II. 508
Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, tome II. 508 ' . CLINIQUE NERVEUSE. Perte de l'ouïe pendant deux ans et d
par M. Planque, docteur en médecine, liv. II, obs. V, 1698. 510 - CLINIQUE NERVEUSE. On trouve dans Bartholin une histoire
es. A peine a-t-elle cessé de boire qu'elle parle. 1 Pitres. Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I. 512 CLINI
Pitres. Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I. 512 CLINIQUE NERVEUSE. - On a cru que la vertu des vulnérair
miques ou nerveuses, 1859. - " Archives, 2e série, t. XII. 33 514 CLINIQUE NERVEUSE. teurs du XVIIE siècle ; la plupart so
es accidents aigus intercurrents et la prédomi- nance des symptômes cliniques dans le sens moteur ou sensitif. - , li. C. L
le paludisme n'est ni plus sûre ni plus invariable. - Ce phénomène clinique , rapproché de ce que nous savons sur la bactéri
ux ? - - A. M. VI. Traitement de la maladie de Little. Observations cliniques ; par D : 1N1&L. (Policlinique, Bruxelles,
eprix Esquirol est décerné à. Petit, interne en médecine, à l'Asile clinique , et une mention très honorable est accordée à M
folie non myxoedémateuse dans lesquels, pour des raisons d'analogie clinique , certains médecins ont institué, avec succès, l
is avant sa mort, avait présenté un état mélancolique d'une forme clinique un peu spéciale. M. ViGouRoux se demande si l'o
Archives, 2' série, t. XII. 35 546 avis A NOS abonnés. COURS DE CLINIQUE DES maladies mentales ET DES maladies DE l'encé
LINIQUE DES maladies mentales ET DES maladies DE l'encéphale, asile clinique . M. le Pr JoFFROY a commencé le cours de Cliniq
'encéphale, asile clinique. M. le Pr JoFFROY a commencé le cours de Clinique des maladies mentales le lundi 18 novembre 1901,
novembre 1901, à deux heures et demie, à l'Amphithéâtre de l'Asile clinique , et le continuera les vendredis et lundis suiva
s, avant le cours, par MM. les docteurs Mignot et Mercier, chefs de clinique ; 2° Exercices ophtalmolo- giques sur les malade
médecin en chef de l'Infirmerie spéciale des aliénés : conférences cliniques de psychiatrie médico-légale le mercredi et le
péciale, 3, quai de l'Horloge. Après trois mois d'assiduité à cette clinique , un certificat de stage médico-légal physchiatl'i
ble de la -, par Rossolimo, 62. Délire. Du aigu au point de vue clinique , anatomo-pathologique, et bactériologique, par
25 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
PU]31,IÉC SOTIS LA i)inr.CTION DE lli. A. JOFFRUY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médec
V. IYIAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND l'rof ? cur de clini
decin de l'Asile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND l'rof ? cur de clinique des maladies du système ner%eux à la Facult
1 ! ) 0 .-¡ Vol. XX Juillet 1905 Ne 115 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Morphinisme familial par contagion ,
se plus ou moins manifeste Archives, 2" série, 1903, l. XX. 1 2 ' CLINIQUE N8RVEUSE. des facultés intellectuelles et moral
dé- tenteur et dispensateur des faveurs de la déesse ; en bon 4. CLINIQUE NERVEUSE. égoïste calculateur, s'il s'en réserv
in- génieux et peut s'appeler « le coup de la bonteittc » : il Ci CLINIQUE NERVEUSE. - consiste il substituer au flacon qu
. C'est lorsque la société se sent débordée par le flot montant 8 CLINIQUE NERVEUSE. a du crime, qu'elle proclame le plu
no- manic ? Peut-être yscrail-il admis s'il prouvait contre le 10 CLINIQUE NERVEUSE. médecin la faute professionnelle qui,
l serait temps dc'lutter autrement que par une guerre platonique. CLINIQUE MENTALE La phobie du regard ; Par le prof. W.
Rr.w. Revue de Psychiatrie, 189 ? p. 449 0t Xeur. Cenlr. 1900. 12 CLINIQUE MENTALE. mon défaut physique et moral éveilla e
tement nerveux ; sc l'L'oal1l ingul'ri ? nlJlc il voulut se Ui- i l CLINIQUE " MENTALE. cider. Il se conduisait très bien à l
réable, qui provoque une forte contraction des paupières et des '10 CLINIQUE MENTALE. muscles du globe oculaire et des contr
ntiment désagréable ou son souvenir y joue un grand rôle. Dans la Clinique , où le malade esl entré eu 1\1().le 28 octobre,
e sensation désagréable. En 1904, jusqu'au jour de son départ de la clinique , le 11 avril, on n'a pas conslate d'amélioratio
ps bien portant physiquement, quoique un peu pâle. ' Il quitta la clinique pour continuer le traitemcnt,ala.cam])a- : : ne,
e expression épou- ,\nCJJ ! VFS, 2" sé1'Ïe 1005, 1. XX. - > 18 CLINIQUE MENTALE. vanlablc » à son regard, et il semble
- rais uriner en présence des autres lorsque les regards d'au- 20 CLINIQUE MENTALE. trui sont fixés sur moi. Il faut dire
rir de la phobie du regard d'autrui. D'abord, elle s'imaginait t 22 CLINIQUE AMENTALE. qu'on la tenait pour folle ; ensuite
favorable. Il m'arrivait aussi que je rougissais chaque fois que 21 CLINIQUE MENTALE. j'entrais dans la chambre ; cela dura,
ent s'est formée chez la malade (1) Mois d'une romance russe. '23 CLINIQUE MENTALE. ' - l'idée et la sensation d'avoir l'e
encontre avec des personnes étrangères, pour éviter le danger de 2S CLINIQUE MENTALE. me montrer ridicule par ce clignotemen
et ncrrrologistes français X", 1896 ; Archiv, de 1'eur., 1897. 30 CLINIQUE MENTALE.. - . irrésistible des paupières et des
s publics d'aliénés ; Par le D' Lucien LAGHIFFE, Ancien chef de clinique il la Faculté, médecin des Asiles publies d'ali
mme internes d'asiles, soit comme internes des hôpitaux ou chefs de clinique . Enfin, ces médecins-adjoints sont âgés, tous o
donnée de bromure a été invariable.) Au premier abord, cet insuccès clinique paraît devoir servir d'argument contre la théor
son opinion : qu'on a tort de faire actuellement des quatre formes cliniques décrites de la démence précoce des variantes d'
cesse son Tm re. La seconde partie de l'ouvrage est, consacrée à la clinique et à l'anatomie pathologique. Elle commence par
e de M. Godlewski est une oeuvre fort complète tant au point de vue clinique qu'au point de vue thérapeutique. Un pre- - mie
, disons cependant qu'ils sont remarquablement décrits avec un sens clinique parfait. La pathogénie de l'état neurasthénique
rie Daix frères. Vol. XX Août 1905 ? 116 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE c 1 sur un cas ae lésion ae ia que
e sacrée ; Par le D' ITALO BOSS ! . (Travail du Laboratoire de la Clinique du Pr R.muow.) Dans la littérature neurologique
hirurgie, 1903, XI Bd.) , . Archives, 2° série, 1905, l, XX, 6 82 CLINIQUE NERVEUSE. ,rurgiens nous, démontrent cependant
sacrée ou lombo-sacrée, on parle si rarement, tant au point de vue clinique qu'ana- tomo-pathologique, de lésion de la queu
queue de cheval. A la suite, ont été publiées quelques observations cliniques complètes sur la lésion de la queue de cheval c
de Bartels (3). Peut- être la rareté d'observations, même purement cliniques , ¡le ce genre dépend encore du fait que ces mal
ore du fait que ces malades sont pourlapluparthospitalisés dans des cliniques chirurgica- les. Maintenant que nous avons des
kiego (.Iahresbericli6 sur Neur. und Psyschiatrie, 1901, 497.) 84 CLINIQUE NERVEUSE. travaux cités plus haut, sur la possi
sacrée avec lésion secondaire de la queue de cheval. Observation clinique (résumée d'après les notes prises dansle servic
ion clinique (résumée d'après les notes prises dansle service de la Clinique ). M. \\ ? 3,1 ans, mécanicien, entré à laSal- p
biceps, triceps) forts des deux côtés. flaccidité et,peut-être, 86 CLINIQUE NERVEUSE. très léger amaigrissement des muscles
ns dilatés et remplis de caillots tibrineux : pas de tubercules. 88 CLINIQUE NERVEUSE. Le tissu épidural, au niveau de la fa
. En aucun point on constate de l'infil- tralion embryonnaire. 90 CLINIQUE NERVEUSE. Moelle. Les coupes faites au niveau d
rses hauteurs, sont en grande majorité normales- ; on retrouve 92 CLINIQUE NERVEUSE. seulement quelques rares cellules ave
heval se fasse, dans le sac durai même, par les masses caséeu- 94 CLINIQUE NERVEUSE.. ses du tissu épidural ou par un abcè
de cheval par tuberculose sacrée ou lombo-sacrée. Au point de vue clinique aussi, notre cas offre des par- ticularités int
es lésions radiculaires s'accordent d'ailleurs avec les symptômes cliniques ; avec un tableau symptomatique constitué presq
as avec autopsie, de Ces- tan et ]3aboniieix, dans les observations cliniques de Du- four, Bregmann, Cestan-13abonneix, Barte
re ou de la symphyse sacro-iliaque; cyphose des dernières ver- 96 CLINIQUE NERVEUSE. tèbres lombaires, pression douloureus
aque. C'est ainsi que, dans une des deux complètes observa- tions cliniques de Bartels, il existait, aux environs de la sym
ne d'être publié par ce qu'il se rapporte à une forme anatomique et clinique particulière sous laquelle peut se présenter l'
la queue de cheval secondaire à l'ostéite tuberculeuse du sacrum. CLINIQUE MENTALE Cholémie et mélancolie ; Par le docte
adies mentales, Paris, 1802. Archives, 2° série 1905, t. XX. 7 98 CLINIQUE MENTALE. Le mauvais fonctionnement d'un organe,
t. Lorsqu'on examine les organes des mélancoliques par les moyens cliniques et les procédés de laboratoire, on constate que
dès le début de la mélancolie, avant même l'apparition du syndrome clinique , de la dépres- sion psychique. On observe le ra
Hépalo-loxémie nerveuse. (A i-cil. gérr, de Médecine, 1896.) 100 CLINIQUE mentale. nous pouvons citer IIammond (1), qui,
e les mélancoliques présentent des troubles physiques et des signes cliniques , qui attestent bien que le foie est lésé et par
iuesingeu - Tmilé des maladies mentales. Trad. Doumic, 18fi3. 102 CLINIQUE MENTALE. L' impuissance génitale des cholémique
mptômes d'une dégénérescence men- tale et, d'autre part, les signes cliniques d'une affection biliaire familiale. La dégéné
ations soignées. Vomi- ci d'abord le bilan de 1 8 cas ci diagnostic clinique indubitable pour lesquels il a étépratiqué 103
, qui ne peut être utilisé qu'en le rapprochant des autres « signes cliniques . Le résultat cytologique n'a sent de rien pour
'ia et(I'liys[éi,ie.])epuis les huit années qu'elle est observée la clinique , les deux pupilles, égales, de dimensionsmoyennes
lis héréditaire. L'inertie pupillaire existe depuis son entrée à la clinique : il avait alors 17 ans. La même inertie existe c
uvelle contribution à l'anatomie pathologique de la tétanie ; étude clinique des vaisseaux de l'encé- phale calcifiés; parA.
chez les aliénés ; par A. 1'ZARIÉGRADSICI. Contribution à la valeur clinique de l'onde musculaire ; par E. X. Ivvanovv. (Obo
laire est'diminuée ou perdue temporairement ou pour toujours. 5. La clinique men- tale ou nerveuse enregistre ce qui suit :
ation précise, on put retrouver chez le malade quel- ques symptômes cliniques de myotonie, notamment une légère raideur au dé
té mentale ; à M. Petit pour sa thèse intitulée : Revue critique et clinique des atrophies musculaires progressives. M. 13.
dans les Comptes-rendus de Bicètre (1880.It1U1) et dans nos Etudes cliniques et thermométriques dans les maladies nerveuses, l
souvent du côté opposé au siège de la douleur ; c'est un argument clinique en faveur de l'entrecroisement des libres sensith
l'uni- forme et des insignes militaires. , Dr Berillon. Pédagogie clinique ; l'éducation de la peur et le traitement psych
infirmier en moyenne. Mais, comme le dit parfaitement, pour l'Asile Clinique , le Dr Dubuis- son, c'est là une moyenne qui ne
le nom de névrite ascendante à un processus à la fois anatomique et clinique . Les congressistes se réunirent ensuite, au nom
importe, ce n'est pas tant l'é- tvde historique, ni la description clinique , mais bien plutôt l'ori- gine et la situation n
tout d'abord à l'étude palhogénique de l'idée hypochondriaque, base clinique invaria- ble, nécessaire et incontestée de tout
éraux dans l'hypochondrie à l'aide d'un grand nombre de documents cliniques et anatomo-pathologiques. En dehors des travaux
t, qu'il me soit permis de relever une petite erreur de séméiologie clinique commise par -NI. Roy ; d'après lui, le délire d
hystériques proprement dits. Ici, il s'agit bien d'une moda- lité clinique particulière de l'hystérie elle-même, il s'agit
nier genre. Les caractères princi- paux sont : As Au point de vue clinique : a) l'unilatéralité ; b) l'asso- ciation, dans
douteux cependant que les réactions histologiques et les symptômes cliniques ne soient, dans ces cas, d'ordre bien différent
rique). b) 11'ervo-conductibilité microbienne (virus rabique). La clinique , l'expérimentation, l'anatomie pathologique. lé
étape (étape radiculo-médullaire) n'est confir- mée par aucun fait clinique ou anatomo-pathologique. Cer- tains faits de sy
s le bénéfice de ces réserves, je dois ajouter que les observations cliniques des malades chez lesquels ont eu lieu les const
ssAO. Je suis convaincu que MM. Sicard et Léri mettront d'accord la clinique et l'anatomo-pathologie, car il faut qu'en sort
dante et de savoir si l'on doit entendre par ces mots un syndrome clinique très bien défini par M. Sicard et auquel il a for
oit une lésion médullaire. Cette vue de l'esprit est une réalité en clinique : en effet, nous avons trouvé le signe de Kerni
. De la galvanisation cérébrale. Signification thérapeu- tique et clinique . Dur FOVEAU de GouRMEt.LEs (de Paris). Les cour
les variations de la formule leucocytaire avec les diverses phases cliniques ou les ictus de la paralysie générale, l'albumo
vantes' « La ponction lombaire a fait ses preuves ; ses résul- tats cliniques , diagnostiques, pronostiques et thérapeutiques
le range. Nulle thérapeutique ne réclame plus de sens d'opportunité clinique , une conception plus synthétique et plus coordo
onisme qui existe encore entre les sciences dites accessoires et la clinique , dans l'enseignement de nos Facultés de médecin
théra- pie il l'hôpital Laennec, n° (il ! . Installation il l'Asile clinique d'un service de hains et d'hydrothérapie destin
t, enfin, la nécessité d'instituer dans les hôpi- taux des cours de clinique hydrothérapique, dans lesquels les élèves, inte
cin, et il me semble qu'on va trop loin (1) Traité thérapeutique et clinique d'hydrothérapie, 186G, p. 224. BALNÉATION ET HY
de l'insuffisance' diaphragmati- que. Dans les cas légers, l'examen clinique ne révèle que l'a- maigrissement, l'émaciation
ntres corticaux régulateurs de la respira- lion ? P Les résultats cliniques sont d'ailleurs évidents. L'attention, l'intell
ncore d'une jeune idiote aveu- gle-née, morte dans le service de la clinique du professeur Pierre[. Les pièces étant encore
NGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. lité de celte forme clinique en lui donnant comme base ana- tomique une méni
es d'hérédo-syphilis. Le traitement a confirmé la relation que la clinique tendait à établir entre la syphilis et l'amyotr
ais neres. Vol. XX Octobre 1905 " Nu 118 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Sur un cas de délire métabolique de l
t;tlc de Gill)ert BtlIeL Archives, 2« série, 190.ï, t. XX. 17 258 CLINIQUE MENTALE. bolique coexistaient, quoiqu'à des deg
hez la- malade dont- nous relatons ci-dessous l'histoire. L'étude clinique et analytique que nous en avons faite permet, c
dit-elle, du l'empoisonner pour la punir de l'avoir abandonné. 260 CLINIQUE MENTALE. (Peut-être s'agit-il là d'une interpré
is il est facile de se rendre compte au ton de ses réponses que 262 CLINIQUE MENTALE. - le fonctionnement de ses viscères ne
devons maintenant chercher à interpréter. En présence du tableau clinique dont nous venons de reproduire les principaux t
it.1. 1S93. L'Orientation, 1000. Le Sens des altitudes, 1904. 204 CLINIQUE MENTALE. pondre au moins dans une certaine mesu
ont nous avons publié antérieurement l'observation. Les différences cliniques relevées dans les deux cas sont dues uniquement
if des régions correspondantes de l'écorce cérébrale, ne sont 200 CLINIQUE MENTALE. plus adéquates a leurs excitants norma
e et les psychoses de la convalescence. 2° Symptomatologie. Le type clinique des psychoses dans toutes les infections aiguës
ymptômes mentaux et somatiques de la paralysie générale. Le tableau clinique est le même et cet état ne diffère de la paraly
cité des cas de ce genre, dans lesquels rien ne manquait au tableau clinique : em- barras de la parole, tremblement ataxifor
jours qu'ils impliquent une désagrégation (1) KIIAFFT-EDING. Traité clinique de Psychiatrie. Trad. franc., Laurent, Paris 18
médecins, un ensemble ne pensant plus qu'a ce concours et plus à la clinique . Ce concours serait-il il généralisé à toute la
a pas inté- rêt à approprier chaque médecin à cette spécialisation clinique ? - ? Il n'est pas prouvé que le département de
ince et le niveau du concours s'est élevé. Nous avons vu un chef de clinique accepter un poste de médecin-adjoint dans un as
st venu disputer au dernier concours la première place à un chef de clinique de Paris. L'administration et le ministère sont
ison de leur nomi- nation comme médecins-adjoints ou comme chefs de clinique , les années d'adjm at ou de clinicat seront com
r les médecins malades ou en congé. (2) Pourquoi exclure le chef de clinique des Maladies nerveuses '' Celle-ci et les Malad
entale pour laquelle il sera accordé quatre heures. Il. Une épreuve clinique sur des malades d'un service d'aliénés. Le cand
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 313 myopathie et sont un bon argument clinique en faveur de la na- ture myopathique de la mala
Le Professeur applique aux ataxies familiales l'essai de syn- thèse clinique qui a été tenté pour d'autres affections et qui e
é du type classi- que de Friedreich, un type spécialau point de vue clinique et ca- ractérisé anatomiquement par l'atrophie
spinale et la forme cérébelleuse, ne possè- dent pas de caractères cliniques et histologiques suffisamment in- dividuels pou
de troisfrères et soeur d'une même famille chez lesquels le tableau clinique et les lésions cons- tatées furent presque iden
e, 1904, no 4.) A la suite de "Ioeli, ilolden, et par des arguments cliniques et anatomiques, Léri combat la théorie de l'ori
cas pst rapproché par Boucarut de celui d'un ma- lade présenté à la Clinique du P1" Lépine en 1893-94 et dont il ré- sume l'
ation de névrose traumatique comporte un double élément, un élément clinique et un élément étiologique. Le pre- mier consist
omyélie qui ne présente rien que de très classique dans son tableau clinique et l'aspect macrosco. copique des lésions, mais
ingomyélie, il y a des syringomyélies qui ont de commun le syndrome clinique elle développement de cavités médullaires, mais
et non isolément surles ré- sultats fournis par la statistique, la clinique , l'anatomie patholo- gique, l'expéri mentation.
la Légion d'hon- neur : M. le Dr Vallon, médecin en chef de l'asile clinique (Sainte-Anne). Officier de l'Instruction publiq
aix frères. Vol. XX Novembre 1905 N" 119 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude de la démence il
augmenté progressivement Archives, 2- série, 1905, t. XX. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE. (vin, absinthe). Il a eu dans l'enfan
unc blépharite ciliaire à 9 ans. Température à l'entrée. ' 340 ' CLINIQUE NERVEUSE. contre l'oreiller. Les yeux se tourne
place. Il perd ses crayons, plu- . Fig. Il.- nar... Juin 9SW. 342 CLINIQUE NERVEUSE. mes et porte-plumes et accuse les aut
che ouverte à peu près constamment. . rr ? 13. - Mars 1897. 344 CLINIQUE NERVEUSE. Fig. 14. Août 1897. Fig. 15.- Octob
cile. Par moments. H syllabe à peine. La parole s'embarrasse 346 CLINIQUE NERVEUSE. de plus en plus. Il hésite toujours u
u rit de tout. L'attitude 1'ir. 19. - l3ar... cu .eoul 1J01.- 348 CLINIQUE NERVEUSE. , devient de plus en plus mauvaise. L
Fig. 21. - Ilar... en janvier 1fK)\. - Mesures de la tête. 352 CLINIQUE NERVEUSE. accès ont continué malgré un traiteme
use tic répilepsie. Archives, 2° série, 1905, t. XX. - 23 35-1 -1 clinique nerveuse. Aùdoll ! Cl1. -Foie cl rate l'OIl8'l'
and les accès sont très fréquents. (Voir le tableau, p. 351) (1). CLINIQUE MENTALE Cholémie et Mélancolie {Fin) (2). l\i
n'est point là une division schématique, mais bien une constatation clinique . Il faut donc se baser non sur l'intensité de l
manquent, mais nous savons que sur 10 enfants, 5 sont morts en 364 CLINIQUE MENTALE bas-àge, de 2 il 5 ans, de méningite. E
e perceptible.. Les urines ne con- tiennent plus d'urobiline. SUS CLINIQUE MENTAL 13. La température est normale, sans inv
en premier lieu ; la cholémie a diminué avant qu'au- cun changement clinique , au point de vue mental, ait pu faire pressenti
urée, la disparition des si- gnes de cholémie été très nette. 3G8 CLINIQUE MENTALE. Il nous est donc permis de conclure qu
n do cette session,de concert avocat. X. Francotte, professeur de clinique des maladies mentales a l'Université de Liège, on
e confirmé parles éludes actuellement en cours au Laboratoire de la clinique . Pour Aixhenner, le processus histologique de l
at,iondu profes>eurde.Cene\eesLu ! ) nouvel exemple de ce l'ait. clinique que des lésions périphérique» peuvent retentir
atomie pathologique (lésions périphériques et centrales) et pour la clinique des sym- ptômes polynévritiques des membres.
ice ou honorai- res, et le médecin du Bureau d'admission de l'Asile clinique ; et Irois membres tirés au sort parmi les médec
veux, pour laquelle il sera accordé lrois lu : nres; 2° une épreuve clinique commune sur un malade. Il sera accordé au candi
nl le Jury, après cinq minutes de 1'('. Il e,\ ion ; 3° une épreuve clinique sur les maladies mentales : un seul malade. Il
apport sera faite au début de.la séance suivante ; ,')0 une épreuve clinique ·nr ilruv malades d'un service d'aliénés.Lecand
: pou l' la pl'em ière épreuve écrite : 30 points ; pour l'épreuve clinique commune : 20 points ; pour l'épreuve clinique s
ints ; pour l'épreuve clinique commune : 20 points ; pour l'épreuve clinique sur les maladies mentales, à un seul malade : 2
ints ; pour la deuxième épreuve écrite : 30 points ; pour l'épreuve clinique sur deux malades : 30 points. Cette affiche dat
de Pott ; l'Ail le D' 1T.\LO HüSS1 (Travail du Laboratoire de la Clinique de M. le Prof. R m'ntovu). Il n'est pas de ques
de l'effusion de la lymphe par stase lymphatique. Sur le terrain clinique etanatomo pathologique,1a théo- rie inflammatoi
ésenté des troubles médullaires. Ces cas ont été recueillis dans la clinique de M. le prof. Raymond auquel nous sommes heure
ant l'exposé de chaque cas qu'un résumé succinct de son observation clinique , d'après les notes prises dans le service. Nous
c lindr<l'o.l' nn peu tuméfie. isolé, ou entouré d'une gaine m\ clinique forlement dilatée, irrégulière, se colo- rant t
t référer à d'autres causes,nous terminerons par un résumé du cas clinique correspondant. - Le malade examiné, M. A. était
facilement agglutiner par le sérum normal. M. Sicard, alors chef de clinique à la Salpêtrière, en partant soit de mes cultur
é 37 cas dans ces derniers temps, dont j'ai étudié les ca- ractères cliniques . La face est caractérisée surtout par l'aplatis
de l'inflammation de la tin roule. Le D'Hayon a eu l'occasion, à,la clinique de Wurxhurg, d'étu- dier les glandes thyroïdes
C'est cette étude qui a été entreprise par un des ancienschefs de clinique de M..toilroy, M. IeD Bogues de Fursac, déjà conn
e exécution irréprochable. C'est assez dire la richesse du matériel clinique auquel a dû puiser l'auteur pour mener à bien b
fait hon- neur à la fois au 1) Bogues de Fursac et à l'Ecole de la Clinique de Sainte-Anne dont il aété et, dont il reste u
il reste un des plus brillants représentants. G. DrNY. XX. -Etude clinique et essai de classification des névralgies inter-
igantisme (1903). Cette thèse fut couronnée par la Faculté. Chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de Pa- ris d
ans. (Soc. anatomique., 2S février 190 ? ) 8. Nouvelles recherches cliniques sur le processus angineux dans la scarlatine chez
ARIA ENSEIGNEMENT de la NEUROLOGIE et de la psychiatrie. Cours de CLINIQUE des maladies DU système nerveux. M. le ! )''UAY
adies DU système nerveux. M. le ! )''UAYMONn a commencé le cour» de clinique des maladies du sli'I11e llL'r'\L'U'i : , le ma
et pathologie du système nerveux, M. le Ur Alquier ; Psvcho- loiiic clinique , M. le Dr Janet, ; Elecirodiagnoslie et élecLroLh
jours et heures de ces conférences complémentaires. 500 varia. Clinique des maladies DU système nerveux, (il. le Prof. 1
,' avec le concours et la collaboration de .\1.\1. Lejonne. chef de clinique de la Fa- culté. Dupuy-Dutemps, chef du service
à 5 heures de l'a- près-midi, à la Salpêtrière, salle d'examen delà clinique . Les leçons auront un caractère essentiellement
t n° 3) les mardis, jeudis, same- dis, de midi 3 heures. COURS DE clinique des maladies mentales et des maladies de l'encé
npFROY a commencé le cours de n¡ 1 s nlvr. as. : )01 , .... . t clinique des maladies mentale^ le samedi 18 novembre 1 ! 1
nts, à la même heu- re.- 1" les 1)'a ,luquelier et Vurpas, chefs de clinique , com- menceront un cours théorique de psychiatr
Thomas et Lecn- hardt, p. 491. Compte rendu. Voir Recher- ches cliniques et thérapeute- ques. Concours de l'adjuvat- d
313. Galvanisation cérébrale. , Signification thérapeutique et clinique , par Foveau de Courmelles, p. 202. Gangrènes
, p. 70. Neurologie. Enseignement de la - et de la psychiatrie. Clinique des maladies du système nerveux par Ray- mond
ie. Traitement de 1 faciale rebelle, par Ost- watt, p. 483. Etude clinique et essai de classification des - - intercosta
aliénés, par Tzariégradski, p. 128. Contribution à la va- leur clinique de 1' , par 7tvanow, p. 128. De J' daus la4 I
, p. 247. médical. Asile Saint- Robert, p. 334. Peur. Pédagogie clinique , l'é- ducation de la et le trai- tement psych
lecture des pensées et les - , par Hannistc, p. 326. Recherches cliniques ET Tlif- rapeutiques sur l'épilepsie, l'hysté
ouvelle contribu- tion à l'anatomie pathologi- que de la -, étude clinique . 33 514 TAULE DES MATIÈRES. des vaisseaux
26 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste- : lune). F. RAYMOND Professeur de cli
cin de l'Asile clinique (Ste- : lune). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies 1 du système nerveux à la Facu
e simple contribution au traitement d'abord, et accessoirement à la clinique de l'Incontinence essentielle d'urine. En l'esp
dents héréditaires et personnels des malades, et des particularités cliniques qui ont plus particu- lièrement attiré notre at
abord ; nous exposerons ensuite nos observations avec les remarques cliniques et les résultats thérapeutiques qu'elles compor
utiles, et nous passons immédiatement à l'exposé sommaire des faits cliniques qui servent de base à ce travail. Mais une chos
'assurer. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Athétose double. Leçon clinique de M. le professeur SPEHL, recueillie par M. le
ÉStAT0TtIYÉLIE DU cône terminal; par M. F. RAYMOND, profes- seur de clinique des maladies du système nerveux. Leçon faite il
la Salpêtrière, le 24 mai 1895, recueillie par M. Souques, chef de clinique . (Nouv. Iconographie de la Salptïrière, 1895, n°
nt, de chaque côté, même forme et même étendue. Cette description clinique peut, en dernière analyse, se résumer ainsi : p
VIDUS BIEN PORTANTS ; par M. Paul Richer, chef du laboratoire de la clinique des maladies du système nerveux, à la Salpêtriè
ière le 14 juin 1895 et recueillie par M. le Dr A. Souques, chef de clinique . (Nouv. incolzogl·. de la Salpêtrière, 1895, n° 5
ue. (Nouv. incolzogl·. de la Salpêtrière, 1895, n° 5.) Dissertation clinique sur le cas d'un enfant, à antécédents per- sonn
n a pour complément une autre observation identique. Suit une élude clinique et critique à la lumière d'obscr- vations empru
eloppées avec rapidité, en deux jours, et reproduisaient le tableau clinique de la paralysie générale à sa période termi- na
savoir la suppression brusque de l'opium c'est encore l'observation clinique qui a déterminé Flechsig à l'essayer. Il avait
compense de 1,000 francs est attribuée à MM. Tatty et Toy, chefs de clinique à la faculté de Lyon. La Société met au concour
ications chroniques leur marche pst fort différente au point de vue clinique ; en outre il y un grand nombre de modifications
hloralose, etc., etc. Puis il s'attache plus spécialement à l'étude clinique du trional et du tétronal, à leurs effets dans
et diagnostic; Péricardite, symp- tômes et traitement. Les épreuves cliniques ont eu lieu à l'asile d'Armentières. ' Le con
(3°). Epreuve écrite : Faisceau pyramidal ; .épreuve orale : Formes cliniques de l'urémie. Pour la région de Paris : 11114. L
ta, 1896. Archivio di Psichialria. Roubinovitcii (J.). Des variétés cliniques de la folie en France et en Allemagne, avec une
lll.wu f)UOUI;, Ancien iritei ne des hôpitaux. , TRAVAIL DE L\ \ CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈ\lE NERVEUX. Laboratoire d
e longueur, sur 0 ? 04 de largeur dans son milieu. La description clinique de la maladie, son évolution', la nature histol
ui de celles de Bondurant. Pour conclure : dans une telle situation clinique , quand le cerveau est intéressé sur toute sa co
ictus multiples, s'il y a quelque sujet d'hésitation étiologique ou clinique , il faut dans le dia- gnostic réserver une plac
; Par M. P. YVON, Chef du laboratoire de tlidi-apetilicltie de la Clinique des maladies nerveuses à la S,dpêlrièl'c. Par
ement scientifique, élayé sur la psychologie plus encore que sur la clinique . Les auteurs, qui se proclament disciples de M.
ngers, si bien, que leurs rapports sont de véritables dissertations cliniques très intéressantes souvent. Je crois que cela e
accès de folie dont il été atteint est, on l'a vu par ladescriplion clinique qui en est donnée ci-dessus, un accès de confusio
6.) E. B. IX. UN cas DE folie morale; par le D'' Gorton. Histoire clinique intéressante d'un cas type de folie morale. A p
notions de psychiatrie; et pour cela il faudrait que l'enseignement clinique des maladies mentales devint obligatoire et que
partie du programme des examens, et un stage d'un semestre dans une clinique des maladies mentales doit être exigé des candi
groupe de faits d'ailleurs non identiques enlre eux au point de vue clinique . M. Koppen insiste sur quelques symptômes parti
ZIG n'admet pas que la folie des persécuteurs ne soit pas une forme clinique , qu'il n'y ait pas de « querulantenwahnsinn ».
ues différents, on peut en dire autant de presque toutes les formes cliniques . Si, en outre, on invoque cet argument qu'il y
squels les idées délirantes passent au second plan, dans le tableau clinique , devant la prédo- minance des anomalies du cara
tion générale, tout en refusant à ce mot de repré- senter une forme clinique unique et tout en le rejetant au point de vue m
réclamations, car cette expression est appuyée sur des observations cliniques excellentes. A 111. Bruns je répondrai 148 SOCI
teurs étiologiques divers ne prouve rien contre l'unité de la forme clinique que ce mot désigne. Ce délire peut constituer une
au cours de diverses psychoses, mais il est avant tout une variété clinique de la paranoïa. Cette forme apparaît sur un fond
n- sidérer. La folie des persécuteurs, qu'il s'agisse de la forme clinique spé- ciale désignée habituellement sous ce nom
E. Séance du 29 juin 1896. Présidence de M. Charpentier. Variétés cliniques de délire de persécution. M. Falret. Il existe
e de persécution classique, à quatre périodes, n'est qu'une variété clinique du délire de persécution. Le délire de persécut
délire de persécution se présente, en effet, sous plusieurs formes cliniques et l'on peut admettre cinq variétés. Nous connais
élire de grandeur. Enfin la démence est loin de composer le tableau clinique de la dernière période. A ce moment, c'est plut
xisté-t-il des rapports entre les variétés du début et les variétés cliniques des périodes ultérieures ? Quels sont-ils ? tel e
n- nants, en un mot, tous les représentants des diverses variétés cliniques , dans le cadre des persécutés dégénérés dont il g
nche, singulièrement nuisible en pathologie spéciale, et surtout en clinique . A l'époque où vivait Lasègue, on voyait des pe
sparaître. Aujourd'hui, ce qu'il faut diagnostiquer, c'est la forme clinique du délire. Puisque l'anatomie pathologique nous
ant quels autres caractères avons-nous pour distinguer les variétés cliniques et modifier le pronostic suivant ses variétés ?
s tromperions plus souvent. MARCEL 13RIAND. BIBLIOGRAPHIE. III. Clinique des Maladies du Système nerveux ; par le professe
éthode de son maître, M. Raymond étudie d'abord lon- guement le cas clinique , et profile de ces cas pour étudier dans ses po
a queue de cheval comprend deux intéressantes leçons. Deux exemples cliniques servent de point de départ. M. Raymond en profi
une symplomatologie très détaillée, il insiste sur les groupements cliniques variables suivant la localisa- tion différente
s forme deux chapitres intéressants de cet ouvrage. Entre les types cliniques , il existe des types intermédiaires nombreux pe
. ? l'¡jÉc'lIilOI (J.). Reclierches bibliographiques, statistiques et cliniques 1 sti ? 'lês' maladies : mentales d'origine tra
ages. --Paris, 1896. Librairie H. Jouve. ? - BOÜR : 11LLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hysté¡;ie;
lume in-8° de xv-288 pages. Prix : 5 francs. Krafft-Ebing. Traité clinique de psychiatrie, traduit sur la 5° édi- tion all
talement progressive et irrémédiable dans toutes ses manifestations cliniques était tellement puissante, que malgré la haute
. Wochènschr., 1892, n° 17. Archives, 2° série, t. Il. 11 i 162 CLINIQUE NERVEUSE. remarque, c'est encore au même maître
paraît un travail sur le même sujet du Dr Ostankoff 2, fait dans la clinique du professeur Bechterew à Saint-Peters- bourg.
és dif- férents, etc. 1) j 1 Leytlell. - I,nc. cil. ' 164 ' " CLINIQUE NERVEUSE. Mouvements coordonnés compliqués : ma
les genoux fléchis exécuter avec les bras des mouvements de 166 . ' CLINIQUE NERVEUSE. gymnastique; z,161, se tenir sur une
térieur à notre publication (,N'eiii-ol. Centrb., n° 13, 1893). 168 clinique NERVEUSE. et repris confiance dans leurs jambes
e même sujet nous avons insisté sur ce.fait, que tous les symptômes cliniques que pré- sente un tabétique ne doivent pas être
devrait trouver un autre mot pour caractériser les troubles de 170 CLINIQUE NERVEUSE. l'équilibre, dont ces malades souffre
sensibilité tactile et de la sensibilité musculo-articulaire. 172 CLINIQUE NERVEUSE. ' On sait que les organes qui, par le
n de la sensibilité. Chez nos malades nous avons toujours vu, 174 CLINIQUE NERVEUSE. que la sensibilité ne s'améliorait qu
nomène plantaire chez le tabétique Revue de Neurologie, 1895. 176 clinique NERVEUSE. thésie tactile plantaire, et elle a l
pouvait à l'aide d'une canne Archives, 2° série, t. II. 12 - 178 clinique NERVEUSE. circuler seul dans l'appartement, et
our juger de sa valeur réelle, il faut choisir des cas capables 180 CLINIQUE NERVEUSE. de bénéficier des bienfaits de ce tra
r des poussées. En examinant les malades pendant ces poussées 182 CLINIQUE NERVEUSE. on constate toujours une aggravation
onc il est à noter une sensation très pénible de constrictibn 184 , CLINIQUE NERVEUSE. dans la région thoracique gauche. Auc
e sous la main. Entré à la Salpêtrière en 1889-1890, puis à l'Asile clinique (25 juin 1890) avec le diagnostic suivant : Dégén
rogènes. Relâché de Bicêlre, il reparaît une seconde fois à l'Asile clinique le 16 juin 1892 pour son excitation et ses impuls
ns nul esprit de suite, il reprend de lui-même le chemin de l'Asile clinique , escomptant sans doute son transfert à Ville-Ev
vous demandez instamment l'étroite communauté de la chaire et de la clinique ; M. le docteur J oll'roy, à l'ouverture de vot
ans leur genèse l'hérédité patholo- gique. Il traça dans ses leçons cliniques et dans son admirable ouvrage sur les dégénéres
hallucinations aperceptives (Kalbaum). S'appuyant sur l'observation clinique , l'auteur passe en revue, à propos des hallucin
usse perception. Indirectement, d'ailleurs, on peut prouver, par la clinique , l'intervention de ces multiples éléments cortica
nt pas sans objet, il ne peut y avoir hallucination au point de vue clinique , cette différenciation entre l'illusion et l'hall
tions psychiques, celles de l'écorce seule. MM.MARiEetBoNNET.Fatt clinique pour servir à l'étude anatomo- pathologique des
oïde, sa valeur séméiologique est très grande, parce que sou aspect clinique est nettement défini et que, de plus, elle corr
iants en médecine, qui pourraient y venir puiser cet ensei- gnement clinique spécial, plus étendu, qu'on réclame de tous côt
imp. 996. Vol. II. Octobre 1896.. N° 10. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE TROUBLES MOTEURS PRÉCÉDANT L'ARTICULATI
e la diphtérie en bas âge. Archives, 2e série, t. II. j 7 2§8 · CLINIQUE mentale. A. K... avait douze ans lorsque son pè
lsions dans l'enfance et il aurait été épargné par les maladies 260 CLINIQUE mentale. infectieuses habituelles à cet â2e ; l
bras gauche, mais cependant bien plus atténués qu'à droite. , 262 CLINIQUE mentale. La plupart du temps l'épaule gauche, s
qu'après que le malade a parlé ou un temps relativement long. 264 CLINIQUE mentale. Les troubles respiratoires se montrent
se sont montrées dans l'état de A. K... depuis son entrée à l'Asile clinique . Les troubles moteurs étaient, à son arrivée, t
hervin. Bégaiement et autres défauts de prononciation, page 35. 266 CLINIQUE mentale. de les signaler au cours de l'histoire
it nécessaire d'insister sur leur signification pathologique. 268 CLINIQUE mentale. K... présente en outre à l'état d'ébau
ne explication tout hypothétique. Cependant l'examen du ta- bleau clinique présenté par le malade K..., éveille logique- m
sse d'abord * . » Ceci dit, si nous nous reportons à la description clinique des accidents présentés par K..., voici brièvem
des médecins de l'hôpital ayant suivi avant de se spécialiser, les cliniques d'un hôpital général ? 20. Les .internes reçoiv
r le trai- tement des malades. 23. Fait-on à l'hôpital des leçons cliniques sur les maladies men- tales à des étudiants en
tc.). Quelque- fois, d'autres professeurs viennent faire des leçons cliniques à l'hôpital. 1. 25. Quelques médecins ont pub
et même obscènes nos procédés d'examen, conformes à l'enseignement clinique qui se fait partout, ont fait preuve, non seule
ROPOS DE deux cas DE ces affections; par nI. RAYfoND, professeur de clinique des maladies du système nerveux. (Nouvelle icon
aymond est un des plus étendus, il renferme de nombreuses remarques cliniques ingénieuses et déli- cates, obligé d'être bref,
n partie et progressivement la malade arrive à présenter le tableau clinique actuel noté à son entrée à la Sal- pêtrière. Tr
décrit. C'est Wilis le premier qui, en 1678, en a tracé un tableau clinique exact et qui en a compris la nature. Le sein
M. le Dr 1. NAGEOTTE, chef des travaux d'anatomie pathologique à la clinique de la Salpêtrière. (Nouv. Iconog. de la Salpêtr
1896, n° 1). (Leçon recueillie par M. le Dr J.-B. CHARCOT, chef de clinique .) Observation. Femme, trente-huit ans, père tom
are profonde à extension rapide. En résumé donc, c'est le tableau clinique classique de la syrin- gomyélie, sauf sous le r
ombo-sacrée. Dans les cas de syphilis précoce ou tardive, les types cliniques deviennent variés. La raison en est dans ce fai
- ment de l'artérite gommeuse proprement dite. En somme, le champ clinique s'élargit de plus en plus, et il semble qu'à part
UR avec conservation DES RÉFLEXES; par M. E. LENOBLE, interne de la clinique des maladies nerveuses. (Nouv. iconogr. de la S
malade, ainsi que leur mode de succession constituent l'expression clinique du tabes de la partie supérieure de la moelle.
on; par le professeur DE RENzI, de l'Univer- sité de Naples. (Leçon clinique faite à l'Université de Naples.) Observation. J
-il, le tremblement de la maladie de Parkinson, tous ces phénomènes cliniques ne se rencontrent jamais dans la paralysie agit
s, 1895, n° 3.) Camuset. XXXVIII. Trois cas DE HOQUET hystérique; clinique du Dr de Renzi, de Naples. Premier cas. Femme
rophie musculaire progressive. Nous arrivons ici à une dissertation clinique , claire et intéressante; la valeur des symptôme
1.) Camuset. .\L. l'ACHY)IÍNINGITE CERMCALK hypertrophique : Leçon clinique du professeur de Renzi. Observation. Homme, t
ux ; par ' le professeur DE RENZI, de l'Université de Naples (Leçon clinique du professeur DE Renzi.) Observation. Femme,
elle n'ouvrait plus facile- ment les mains. A l'examen actuel, à la clinique : mains à demi fléchies sur les avant-bras, doi
ale ; parle professeur DE l3EVZr, de l'Université de Naples. (Leçon clinique du professeur DE RENZI.) Observation. Jeune hom
, perte de la parole, asymétrie de la face et stupeur. Amené à la clinique en cet état, on note la pléiade ganglionnaire des
inférieures; parle professeur de RENZI, de l'Université de Naples. ( Clinique du professeur de Renzi.) Observation. Jeune fil
peuvent donner lieu à des troubles psy- chiques dont la physionomie clinique est bien différente. Dans la plupart des cas on
OGIE PATHOLOGIQUES. 315 On a cherché récemment à expliquer l'aspect clinique particulier de ces symptômes en foyer, comme on
s'ils sont isolés. Les signes très prononcés ont une grande valeur clinique , laquelle augmente encore s'ils sont accompagné
de la voie motrice périphérique en toute sa longueur. L'expression clinique de cette forme, c'est l'amaigrisse- ment rapide
amyo- trophies toxiques, et l'amyotrophie tabétique. L'expression clinique de ces altérations lentes et progressives des c
e séance, il est procédé à l'élection de M. Soukanof, médecin de la clinique psychiatrique de Moscou, candidat au titre de m
rte d'introduction. L'auteur y insiste sur l'importance de l'examen clinique en psychiatrie, comme le seul capable de mettre
apide chez les t'pt7ep- tiques. M. Auguin (Gabriel) : Signification clinique du ménin- gisme clans la grippe. M. Tiberi (Col
. - 1090. Vol. II. Novembre 1896. N° 11. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE, TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES
r Archives de Neurologie, n° 9. Archives, 2e serie, t. II. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE. étant à son travail fut subitement pr
es de la malade qu'elle arrive peu à peu par des efforts de vo- 340 CLINIQUE NERVEUSE. lonté à amener des contractions dans
e à la partie externe des genoux et grande comme une pièce de 342 CLINIQUE NERVEUSE. 5 francs a conservé la sensibilité ta
ependant à force d'exercices et d'une patience, dont nous avons 344 CLINIQUE NERVEUSE. droit d'être fiers, nous sommes tout
signes de tabes (Westphal, Romberg), impossibilité de marcher 348 CLINIQUE NERVEUSE. sans appui et sans se tenir aux meubl
ans d'une maladie de coeur. Une soeur du malade était atteinte 350 CLINIQUE NERVEUSE. de tabes dorsalis dès l'âge de vingt-
ade, la rapidité avec laquelle les symptômes tabétiques se sont 332 CLINIQUE NERVEUSE. développés, l'intensité des phénomène
ni quand il a fini d'uriner. Il Archives, 2e série, t. IL 23 3S4 CLINIQUE NERVEUSE. faut qu'il voie, ou qu'il entende pou
Antécédents personnels. - Le malade était toujours maigre et 350 CLINIQUE NERVEUSE. d'une santé délicate, mais il n'a jam
rd externe. Les deux pieds sont continuellement agités de mou-' 358 CLINIQUE NERVEUSE. vements. De temps en temps la pointe
Yeux. - Pas de blépharoptose, ni de strabisme. Pas de diplopie. 360 CLINIQUE NERVEUSE. y Les pupilles sont moyennement dilat
générescence; par le D1' Iflvitl NEEF. L'auteur publie quelques cas cliniques destinés à montrer la pré- sence de signes phys
t congénital. Il n'adopte d'autre classification que la distinction clinique entre l'inversion simple et l'hermaphrodisme ps
s, et ensuite parce qu'elles évoluent, souvent rapidement, dans les cliniques d'ophtalmologie. Aussi est-ce aux oculistes qu'
comme la plupart des sujets qui se présentent à la consultation des cliniques , appartenait aux classes sociales inférieures;
sses sociales inférieures; il était d'un âge avancé. Il arrive à la clinique persuadé qu'on va lui rendre la vue immédiatement
des sujets jeunes; en outre il y a des différences au point de vue clinique . Récemment Mendel a placé l'opération de la cat
ES symptômes oculaires dans la paralysie générale ET DE leur valeur CLINIQUE ; pal' BEV.\N-LEWIS. (l3ritislc médical Journal,
ue de son départ jusqu'au moment actuel où on l'ob- selve à l'asile clinique , il se couvrit progressivement d'une quan- tité
Gennaio 1895.) L'auteur veut établir qu'il existe, au point de vue clinique , une forme particulière d'attaque épileptique,
Trousseau, Duval, Jaccoud, Charcot, etc., la symptomatologie et la clinique de l'aphasie ont été bien établies. Wernickeen 18
essivement. A \a.période d'état, la surdité verbale domine la scène clinique , le malade entend distinctement mais ne compren
n raison directe des troubles intellectuels. Tels sont les signes cliniques que présente un malade frappé d'une lésion de l
arguments psycho- physiologiques ne reçoivent l'appui d'aucun fait clinique nettement observé. < BIBLIOGRAPHIE. 40S
expose ceux contraires à l'exislence de ce centre. Se basant sur la clinique , il affirme que l'agraphie pure, non reliquat d'u
analyse, ils sont le résultat d'une connaissance trop exacte de la clinique et de l'anatomie cérébrales pour ne pas perdre
lor septembre t8 ! J6; M. le Dr TOULOUSE, médecin-adjoint à l'Asile clinique (Sainte-Anne), est élevé à la classe exceptionn
. - 1196. Vol. II. Décembre 1896. N° 12. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES A ÉVOLUTION
s mentales. Paris, 1862, p. 366. Archives, 2e série. t. IL 27 418 CLINIQUE MENTALE. police et cette croyance, si commune c
nts. 1° Période commune d'incubation. Inquiétudes vaques. 420 0 ' CLINIQUE MENTALE. Les mélancoliques poursuivis par le dé
1886. , 3 Séglas et Besançon. Ann. Méd. l'sch., janvier 1889. 422 CLINIQUE MENTALE. tive des idées délirantes et des troub
Berlin, 1874, 38-2. 2 Calmeil. De la Folie, t. I, p. 37-82. 424 CLINIQUE , MENTALE. aux divers souverains de l'Univers ;
tableau, ou une statue ' Sémerie. Th. Paris 1867, p. 35. /1 il 6 CLINIQUE MENTALE. longtemps contemplée antérieurement, o
angage humain. ' P. Garnier. De la Mégalomanie, th. de Paris. 428 CLINIQUE MENTALE. l'espace, ils n'étaient rien, ils en a
rré de Montgeron, t. il. Calmeil, De la Folie, 2' vol., p. 354. 430 CLINIQUE MENTALE. moi, mais en dehors de lui. Plus tard
sur les hallucina- lions. 2 Baillarger T. I, p. 310 et 311. 132 CLINIQUE MENTALE. On peut rapprocher de ce qui précède l
joute- rons à ce qui précède le résumé succinct de quelques faits cliniques , que nous ferons suivre d'observations empruntées
ieurs délires, obs. XIII, 1886. Archives, 2e série, t. II. 28 434 CLINIQUE MENTALE. ciel un vaisseau lumineux, où Dieu' lu
toutes bien. L'auteur compare cet ensemble symptomatique au tableau clinique classique de la compression de la moelle, et il
1. Névrite tuberculeuse SYMÉTRIQUE ; par le Dr RENZI, professeur de clinique à l'Université de Naples. Observation. Homme, t
e Naples. Observation. Homme, trente-cinq ans, en traitement à la clinique , atteint de tuberculose aux sommets des poumons,
ont une grande part dans la pathogénie des diverses manifestations cliniques de la tuberculose. (Rivista elinica e tempeutie
, dans le service du D1' Abba- mondi, qui relève les particularités cliniques suivantes : Dépression, faiblesse générale, muq
RVEUSE. 467 468 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Toute l'observation clinique du malade pourrait se résumer dans la phrase qu
ient ou se superpo- saient sans se confondre. Celte détermination clinique présente une véritable importance anatomo-patho
ens apportent à leurs expertises, ils en font de véri- tables cours cliniques . Ainsi, ce rapport du Dr Motti est très étendu,
tiques ; on traite tous les sujets qui peuvent se présenter dans la clinique journalière. Pour terminer on fait passer aux é
piller Dr Char Henry Brown, 25, West 45 th St., à New-York. Asile clinique (3ainte-Atiiie. - Clinique des maladies mentales
n, 25, West 45 th St., à New-York. Asile clinique (3ainte-Atiiie. - Clinique des maladies mentales : le professeur A. JOPRRO
OPRROY. Mercredi et samedi, à 0 Ji. 1/2. Hospice DE la Salpêtrière. Clinique des maladies du Système nerveux. M. le professe
e, par leD'' 1111et; samedi 10 h. 1/2, alternativement, psychologie clinique , DJauet; Examen de l'oreille, du larynx et du n
ALLIANI Chiromancienne, Somnambule, Cartomancienne. Diplômée à la clinique du Dr Ciiarcot, professeur de magnétisme à la Sal
t ? He. 7° Hémorragies cérébrales', hypnotisme, No ? & ? e ? 81 Clinique des maladies du système nerveux (2 volumes). 9°
8 fr. , Prix relié demi-chagrin, 90 fr. BOURNEVILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques, sur l'épilepsie, l'hystérie et
YI.LIt : , par Raymond, 301 -. par f3remnn, 171. Système nerveux. Cliniques des ma- ladies du -. par llamoncl, 151. Tares
27 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
PU13LIÉE SOUS LA DIIIECTION DE 1)1. A. JOFFROY I Professeur de clinique z des maladies mentales . a là Faculté de m
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Aillie). F. RAYMOND Pioïeascur de clin
ecin de l'Asile clinique (Ste-Aillie). F. RAYMOND Pioïeascur de clinique lies m.il.uiicb du système nerveux de Paris
és, ses éxèè : , StpLle21eTJ ';ufn- t.T ·no vrrr y ? 'U ? 'rOY1 4 CLINIQUE MENTALE. 9G .tmt^ tfi fi`lrf" aFr gp^ t^v , nnn
out gAe,elq,qliez des prédisposé^ àiprq-og pos.de 1.'urémie Mais la clinique ne, de ces ,distinction s,. d'aille u rsl,l égi
héniques,- etc.; les, maladies de la, persoii- nalite, etc. (Etudes cliniques à Ï hôpital, par M. üal)1 rPi ôfûsi eûr ..1..rv
iropathie tabétique DES deux hanches ; par M. LoNDE, interne de, la clinique des maladies du système ner- veux. (Nouv. Icono
spinal sont autant de mots qui sont loin de répondre à un syndrome clinique caractéristique. Indépendamment des anamnestiqu
le cas diffère en certains points des cas typiques dont le tableau clinique est esquissé plus, haut. C'est ainsi que les os
là seconde observation. . Ces , paralysies flasques ont des allures cliniques , très variables. Certaines d'entre elles se gén
' Mais M. Guinon, dans cet article, démontre directement et parla clinique , que ce - type 1 Landouzy-Déjeritie (atrophie myo
' ... .. i in f "; XXVII. DE la MÉNIXGO-MYËHTE syphilitique. Étude clinique ET ANA- T0310-PATHOLOGIQUE ; par M. Lamy. (jyot
s, poursuivies par d'autres auteurs, ont confirmé plusieurs données cliniques et surtout anatomiques, avancées par M. Lamy. &
ipation à l'affection des méninges de la base du cerveau; ce que la clinique fait,, du reste, prévoir. (exemple, la 2° obser
s des méninges et des'vaisseaux (exemple,- la 1 observation). II. Clinique : - Des trois observations inédites'et détaillées
nombreuses et suc- cessivement relatées; l'auteur tire les données cliniques suivantes -. Les formes les mieux caractérisées
raitement. Les questions restées dans l'urne ont été pour l'épreuve clinique : Localisations corticales des centres moteurs
' KLIPPEL et AZOULAY. Travail du laboratoire du Professeur JOFFROY ( clinique des maladies mentales). La méthode histologique
M. J..., valet de chambre, âgé de trente-trois ans, entré à l'asile clinique (Sainte-Anne) le 8 octobre 1892. Décédé le 5 av
nité pour le paludisme franc ; et d'un autre côté, vu la différence clinique qui sépare notre neurasthénie et le paludisme f
IONS NERVEUSES DE L'ARSÉNICISME CHRONIQUE, Par LUCIEN BECO, chef de clinique médicale de l'Université de Liège. (Laboratoi
s médullaires primitives, très nettes et très étendues. Le syndrome clinique avait du reste fait admettre la participation d
ausée par la lésion nerveuse elle-même. C'est en réalité le tableau clinique , sauf la douleur de certaines myélopathies comm
érale émane, en chaque cas particulier, des éléments probants de la clinique ; 4° si, en un cas donné,» il est très probable
dmettre, en résumé, que la démence apathique, dont les carac- tères cliniques sont l'affaiblissement et la privation des foncti
. Etude très documentée sur les conditions étiologiques et sur la clinique de la paralysie générale chez la femme. Les concl
ante ans. 5° 11 n'existe pas de formes différentes dans l'évolution clinique de la maladie, dans l'un ou l'autre sexes, et i
veau de certaines régions cérébrales elle peut provoquer le tableau clinique qui ressemble à la paralysie générale ; c'est l
système nerveux est profondément débilité. Vient ensuite une étude clinique 'des symptômes : hypothermie qui rappelle beauc
érie d'importants symptômes qui leur sont communs au point de vue clinique et au point de vue pathogénique. a. Les symptôm
et hospice où leurs maîtres avaient déjà fait école, l'enseignement clinique et public des mala- dies mentales, à une époque
in il a proclamé la nécessité de créer désormais, par l'observation clinique , des espèces naturelles de maladies men- tales,
ces affections. L'autre, Baillarger, a publié de nombreuses études cliniques sur la mélancolie avec stupeur, sur les halluci
omme testament scientifique, ce même et suprême enseignement : La clinique doit être la véritable base de la pathologie ment
spensables, doivent lui servir d'appuis, mais non la dominer, et la clinique seule peut contribuer à son avancement et à ses p
evant les auditeurs les pages vivantes et les plus émouvantes de la clinique mentale; et comme le disait Lasègue qui se plai
et ensei- gnement familier était conforme à la destination de toute clinique , dont le programme vrai est d'être, plutôt que
rda pas à son tour à inaugurer ses leçons, à la fois dogmatiques et cliniques , qui eurent plus tard tant de retentissement.
siologie des centres nerveux, la physiologie, la pathologie et la clinique mentales, la thérapeutique et la médecine légale
lasse exceptionnelle; M. le Dr Dubuisson, médecin en chef à l'asile clinique (Sainte- Anne) est promu à la ire classe; - M.
OUSI, ont été nommés ex-xquo et dans l'ordre alphabétique, chefs de clinique de la chaire de clinique mentale à l'Asile clin
quo et dans l'ordre alphabétique, chefs de clinique de la chaire de clinique mentale à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Nous
tique, chefs de clinique de la chaire de clinique mentale à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Nous adressons à tous deux nos f
Depuis le premier novembre 1879, il était chargé du cours annexe de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine
pas permis d'en avoir le graphique. M. le D'' Dutil, danssonetude clinique des Tremblements hys- tériques (Thèse de doctor
graphique ordinaire >; ce n'est donc pas un procédé pratique en clinique . Tous ces procédés ne permettent pas d'enregist
tesse lente du cylindre enregistreur, à régulateur de Foucault. ' CLINIQUE NERVEUSE AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGRADE A TYPE CONTI
ement vermiculaire de la langue dans la - paralysie générale. 168 CLINIQUE NERVEUSE. M. Arnozan ? Charcot et M. Féré en on
trouva une place de concierge, et ce fut le seul travail auquel 170 CLINIQUE NERVEUSE. elle se livra avant d'entrer à l'asil
Bull. de la Soc. méd. ment, de Belgique, 1893, p. 161.) , 172 G), CLINIQUE NERVEUSE. deux pointes de l'aesthésiométre, car
ersonnes qui sont venues la prévenir, ni ce qu'elle a fait dans 174 CLINIQUE NERVEUSE. - les heures qui ont suivi, ni enfin
iquat c'est circonscrire exactement l'éten- due de l'amnésie. 176 CLINIQUE NERVEUSE La malade peut me citer sans erreur to
chique qui, bien qu'étroite, a encore Archives, t. XXVIII. 12 178 CLINIQUE , NERVEUSE. un certain horizon. Et c'est en cela
t difficilement à mes examens et qu'elle se les rappelle, non 180 ' CLINIQUE NERVEUSE. pas dans les détails, mais dans l'éta
de certains moments, avaient une physionomie nettement fonc- 182 CLINIQUE NERVEUSE. '' "' tionnelle. Faut-il pour cela ad
le diagnostic et complètent les renseignements fournis par l'examen clinique . Dans le présent mémoire l'auteur attire l'atte
d'évolution comme les espèces morbides dont ils sont la traduction clinique . Le mot folie a été pris tour à tour dans un se
spéciale et sa physionomie propre ? En aucune façon. L'observation clinique , même tout empirique, suffit déjà sinon à circo
à nous montrer les principaux des troubles qui la constituent. En clinique , en effet, on ne se trompe plus sur la valeur et
nces sur la nature de l'hystérie. C'est à la lumière de ces notions cliniques ou psychologiques qu'il de- vient possible de d
antes qui, en s'isolant ou se prolongeant, prennent dans le tableau clinique une part exclusive ou au moins prépondérante. C
onscient. Le refus d'aliment est une conséquence qui se présente en clinique isolée des antécédents qui l'expliquent. Par di
ce mentale. Cela n'empêche pas l'hystérie d'avoir son individualité clinique , mais cela lui fixe une place dans nos classifi
aits de placer entre elles une limite précise ; 3° Il y a lieu en clinique de conserver à l'hystérie son individua- lité e
rvice à l'hôpital Saint-André, de Bordeaux, une malade dont l'étude clinique m'a permis d'étudier, dans des conditions très
s dans les auto-intoxications. Je poursuis depuis longtemps l'étude clinique du délire dit fébrile ou infectieux et j'ai été
néraux qu'on a attribués à l'hystérie sont basés sur des recherches cliniques ; ils sont vrais, ils doivent être conservés. Le
Morel, n'a pas des caractères absolument déterminés, mais une étude clinique attentive et prolongée per- met d'affirmer que
pas en quoi les données de psycho-physio- logie peuvent nuire à la clinique . Si je me suis appuyé sur les enseignements de
) prend la défense de la psychologie expé- rimentale appliquée à la clinique psychiatrique ; il montre à ce sujet la- possib
s nerveux l'agent morbide. Tout d'abord, au seul point de vue de la clinique , un certain nombre de faits donnent sinon la pr
des. Ceux qu'on nous envoie-ils nous viennent du Dépôt ou del'Asile clinique après avoir été ramassés sur la voie publique s
mène au Dépôt; comme il n'y a pas de place, on les envoie à l'Asile clinique et de là à Villejuif. J'ai dans mon service un
? Ce qui arrive dans beaucoup d'asiles et en particulier à l'Asile clinique où j'ai mon service. Le médecin prescrit l'abst
. BIBLIOGRAPHIE. V. Du traitement électrique du tabès. Recherches cliniques ; par le Dr Simon LABORDE.' (Thèse de Bordeaux,
n LABORDE.' (Thèse de Bordeaux, iio 79.) Les résultats obtenus à la clinique du professeur Bergonié démon- BIBLIOGRAPHIE. 27
imus modifié sur un point, la direction du courant. On emploie à la clinique électrothérapique de Bordeaux des cou- rants co
hez une classe parti- culière d individus, les hystériques. L'étude clinique de ces malades permet de constater chez eux un
p. 991 Vol. XXVIII. Octobre 1894. N° 92. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ASILE CLINIQUE (SAINTE-ANI4F). - M. MAG
obre 1894. N° 92. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ASILE CLINIQUE (SAINTE-ANI4F). - M. MAGNAN. DES DÉLIRES SYSTÉM
e fragmente le grand complexus symptomatique par ' Leçon faite à la Clinique , recueillie par le D Pécharman, médecin adjoint
s de la circonscription de Paris. - . Archives, t. XXVIII. 18 274 CLINIQUE MENTALE. lequel se traduisent les maladies de l
, brigthique, syphi- litique, etc. Ces descriptions, qu'une saine clinique repousse, sont sédui- santes par leur simplicit
mais c'est tout ; aller au delà, c'est consacrer une erreur. 276 CLINIQUE MENTALE. Un exemple va vous faire mieux compren
retomber les jours d'après dans une relative tranquillité. 278 Ô CLINIQUE MENTALE. A l'autre extrémité de la pathologie m
e, folie inter- mittente, dégénérescence mentale sont des synthèses cliniques à caractères fixes, des psychoses nettement déf
ur les limites se montrent les cas hybrides, comme en présente la clinique dans toutes les maladies, mais ces faits exceptio
dent-ils ce cerveau jusque-là valide apte à l'éclosion'de la 280 , CLINIQUE MENTALE. folie ? Quoiqu'il soit, au moment préc
- reuses et plus tenaces. L'alcoolique chronique, dépourvu au 282 CLINIQUE MENTALE. début de prédisposition, peut donc avo
re avec vous l'étude et dont l'énoncé constitue presque un paradoxe clinique : les délires systématisés dans la paralysie gé
alement sur la justesse de leurs appréciations, en face des données cliniques actuelles, nous n'ayons pu nous procurer le rap
e générale spinale ayant simulé le tabès aussi bien au point de vue clinique qu'au point de vue anatomo-patholo- gique que j
omo-patholo- gique que j'ai eu affaire dans ce cas. Au point de vue clinique , il faut remarquer l'amélioration si remarquabl
fit à faire disparaître tous les troubles nerveux simulant l'aspect clinique du rein flottant douloureux. sociétés savante
, des termes caractérisant des groupes établis sur des distinctions cliniques . ' Dans l'état actuel de la science, je crois q
S microcéphales. M. 130URNEVILLE. Ma communication a surtout un but clinique et thérapeutique, à savoir la démonstration de
nous-mème déjà deux mé- moires sur la microcéphalie au point de vue clinique et anatomo- pathologique. Dans le premier ', no
ui fournit les renseignements les plus intéressants au point de vue clinique . On sait que dans toute perception nette la per
et ci- dessus. Position de la question. L'intérêt au point de vue clinique est dans la richesse de la cause prédisposante
neuropatho- logic s'est singulièrement accru. De nouveaux syndromes cliniques ont vu le jour et de nouvelles entités morbides
profondes et de véritables transformations sur certains points. La clinique , l'ana- tomie normale et pathologique, l'histol
dices, deux très récentes leçons de M. Grasset sur les vieux dogmes cliniques devant la pathologie microbienne. L'auteur dé
ières recherches bactériologiques, en rajeunissant les vieux dogmes cliniques , ont mis « de plus en plus en lumière l'activit
anière méthodique et claire, en parfait accord avec les découvertes cliniques et pathologiques les 350 FAITS DIVERS. plus r
Lyon, 1894. - Volume in-8" de 138 pages. BOCIINGVILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie,
pages. Priv : 1 fr. Pour nos abonnés, 0 fr. 70. Magnan (V.). Leçons cliniques sur les maladies mentales faites « l'asile clin
n (V.). Leçons cliniques sur les maladies mentales faites « l'asile clinique (Sainte-Anne). Recueillies et publiées par Biiian
- 1094 Vol. XXVIII. Novembre 1894. ? 93 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE HYSTÉRIE. - CONFUSION MENTALE ET AMNÉS
de Clermont-Ferrand. (Août 1894.) Archives, t. XXVIII. - 23 384 clinique NERVEUSE. musculaire et articulaire, des notion
irconstances différentes, donnant ainsi lieu à des constatations de clinique psychologique d'une grande 3513 ? V' 5 CLINIQUE
es constatations de clinique psychologique d'une grande 3513 ? V' 5 CLINIQUE NERVEUSE. - --importance au point de vue de la
tout reste dans le même état. Mais si on les maintient ouvertes 358 CLINIQUE NERVEUSE. alors la malade tourne la tête, fait
d'une façon plus précise les mouvements qu'on lui commande. - 360 CLINIQUE NERVEUSE. Tels sont les symptômes observés à la
s- tances spéciales : par exemple, dans le somnambulisme pro- 362 CLINIQUE NERVEUSE. voqué par les moyens ordinaires ou pa
tractures,, modifications respiratoires, frémissement des pau- 364 CLINIQUE NERVEUSE. pières... Mais, en revanche, nous con
érale ; 2 °la variation de cette constitution moyenne avec la forme clinique de la paralysie générale ; 3° la variation de l
iode. Nous n'avons pas, en effet, eu l'occasion d'étudier à l'asile Clinique (et il en est ainsi dans tous les asiles d'alié
ssi grâce à la bonne volonté du personnel de l'asile Sainte-Anne ( clinique de la Faculté). Peut-être dans quelques cas, he
ne sont déposés, lors de leur enlèvement au garde-meuble de l'Asile clinique . Voici comment on procède relativement à ces en
enlevés dans ces conditions sont déposés au garde-meuble de l'Asile clinique . Pour le trans- port de ces mobiliers l'adminis
sident du tribunal civil de la Seine. Cette vente a lieu à l'asile clinique par les soins d'un commissaire-priseur. Si le cer
ques la quinine et la pilocarpine. A. Marie. LII. CONTRIBUTION A la CLINIQUE DE la syringomyélie ; par H. Scelesinger. (Neur
pneumogastrique. (Revue neurologique, 1893.) E. BLIN. LVI. Archives cliniques . (l3ritislv médical journal, janvier, no 1726.)
de de cinq observations, l'auteur essaie de constituer le complexus clinique caractérisé par les phénomènes suivants : 4° Im
modiques des mouvements des extrémités. ' Il y en a quatre formes cliniques : 1° raideur généralisée (para- lysie spinale s
(sénilité, athérome). Le délire syslématique aigu a les caractères cliniques du délire chronique, mais c'est une paranoïa ab
restraiut, et Graeser. Nous y traitâmes des questions anatomiques, cliniques , statistiques. Nouvelle réunion pendant l'automne
e très nombreuse; nous sommes à Heppen- licini ; des professeurs de clinique et de neurologie d'Heidelberb ainsi que le phys
ie de ces quinze dernières années. Ques- tions d'administration, de clinique , d'anatomie, de psychologie, de médecine légale
ire. Mais il n'en faut tenter l'essai que lorsque les autres signes cliniques parlent en faveur d'un début d'amélioration ; 7
ient d'ailleurs nos princi- paux établissements de Villejuif, Asile clinique , Ville-Evrard, Rouen, Charenton, etc. Ils nous
s l'inspiration de M. le professeur Pitres, est une étude à la fois clinique et psychologique des fugues morbides dans les t
ans les Asiles publies d'aliénés du département de la Seine : Asile clinique , Asiles de Vaueluse, Ville-Evrard et Villejuif
r les règlements, un traitement annuel fixe de 800 francs à l'asile Clinique et de 1,100 francs aux asiles de Vaucluse, de V
jour d'au moins une année sur trois dans un des services de l'asile Clinique , situé dans l'enceinte de Paris, ou de Villejui
s les Asiles publics d'alié- nés du département de la Seine : Asile clinique , Asiles de Vaucluse, Ville-Evrard et Villejuif.
di 12 novembre 1894, à une heure précise, il sera ouvertà à l'Asile clinique , rue Cabanis, no 1, Paris, un concours pour la no
rnes au moins une année sur trois dans un des services de l'Asile Clinique , situé dans l'enceinte de Paris. ' Un interne n
r les règlements, un traitement annuel fixe de 800 francs à l'Asile Clinique , de 1,100 francs aux Asiles de Vau- cluse , de
ment conclu à la transformation et à l'agrandissement des quartiers cliniques actuels, ainsi qu'à ceux des habitations de mal
p. 1094 Vol. XXVIII. Décembre 1894. ? 94 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ASILE CLINIQUE (SAINTE-ANNE). M. AIAGNA
cembre 1894. ? 94 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ASILE CLINIQUE (SAINTE-ANNE). M. AIAGNAN. DES DÉLIRES SYSTÉMAT
on recueillie par M. le D' Pecharman. Archives, t. XXVIII. 28 434 CLINIQUE MENTALE. logue, dialogue, écho de la pensée. Sy
ire ne saurait à lui seul servir de base à la création de groupes cliniques homogènes. Il faut connaître à la fois, pour fixe
ns maladives. Mais cette pensée tenace, continue, toujours la 436 CLINIQUE MENTALE. même, cette pensée qui écoute toujours
actères différents suivant le côté affecté ; les hallucinations 438 CLINIQUE MENTALE. pénibles cantonnées d'abord dans une o
i ; c des témoins ! mais on m'empêche d'en trouver ! » s'écrie- 442 CLINIQUE MENTALE. t-elle. Les voix continuent de se fair
u sortir de leurs ateliers; ils ne parlent pas, ils ne font que 444 CLINIQUE MENTALE. chuchoter sur son passage, « rigoler,
des yeux, elle entend aussitôt ce qu'elle lit; elle entend même 446 CLINIQUE MENTALE. la phrase entière avant qu'elle ait fi
pensée latente (Camuset, Garnier), il n'en reste pas moins ce fait clinique absolu qu'à une certaine époque de sa maladie,
jours font place aux empereurs, aux présidents de ' Magnan. Leçons cliniques , 278. 448 8 CLINIQUE MENTALE. République, aux
pereurs, aux présidents de ' Magnan. Leçons cliniques, 278. 448 8 CLINIQUE MENTALE. République, aux inventeurs, etc. Certa
LA PATHOGÉNIE DE LA POLYURIE HYSTÉRIQUE; Par A. SOUQUES, Chef de clinique des maladies nerveuses, à la Salpètrière. Il y
rie hystérique. Thèse de Paris, 1893. Archives, t. XXVIII. 29 450 CLINIQUE MENTALE. était assez étendue. 11 dessinait bien
de paralysie oculaire, pas de lésions du fond de l'oeil. Acuité 452 CLINIQUE MENTALE. visuelle normale. Le malade se plaint
densité très faible. Elle ne renferme ni albumine, ni sucre. 454 CLINIQUE MENTALE. phaturie. Les chlorures seuls sont aug
thésie, etc., nous dispenseront d'insister sur ce diagnostic. 456 CLINIQUE MENTALE. Mais sa polyurie est-elle aussi de nat
x. De la Polyurie (diabète insipide). Th. d'Agrég., 1869. Leçons de clinique médicale. Paris, 1892, p. 467. ZD 458 . CLINIQU
1869. Leçons de clinique médicale. Paris, 1892, p. 467. ZD 458 . CLINIQUE MENTALE. à faire connaître la polyurie dite ess
très critiquable. Dans tous les cas, l'assimilation au point de vue clinique nous semble impossible. En somme, il ressort de
bost. De la Polyurie chez les dégénérés. Tit. de Paris, 1892. 460 CLINIQUE MENTALE. cernent des hommes. D'ailleurs, la pré
d'origine génito-urinaire. Sur une seule des dix-sept observa- 462 CLINIQUE MENTALE. tions étudiées par Ehrhardt, les antéc
agéré, nous n'oserions affirmer que l'anatomie patho- logique et la clinique l'aient encore donnée. Nous nous sommes efforcé
nelles. RECHERCHES PERSONNELLES. Elles ont porté sur la partie clinique et analomo-pathologique du sujet. Enfin nous avon
sions vasculaires dans les myélopathies syphiliti- ques. I. Étude clinique . La division suivante nous parait la plus confo
? ! yë/<<e présente deux phases distinctes dans son évolution clinique : a. La période prodromique ou méningitique rép
que : a. La période prodromique ou méningitique répond au tableau clinique de la méningite spinale. Dans certains cas, ell
riété pré- cédente, font défaut ou sont insignifiants. Les formes cliniques les plus communes, de beaucoup ont une marche c
ines, quelques jours. On peut reconnaître dans leurs manifestations cliniques l'ensemble des phénomènes que l'on considère gé
. A. La pachyméningite propagée à la moelle correspond aux formes cliniques dans lesquelles les prodromes méningés ont été
laires dans les formes qui rappellent, aussi bien au point de vue clinique (fig. 16) qu'au point de vue anatomique, les myél
a contre-expérience et déterminé expé- rimentalement les phénomènes cliniques produits par la compres- sion ; il emploie un p
rst.) A. Marie. XXIV. CONTRIBUTION A la méthode de l'olfactosiétrie clinique ; par ZwaARDEMAEER. (Neurolog. Centrcclbl., 1893
i-Passy; Froehlich; Aroi)ssohii; Henry; Saveliew. Au point de vue clinique , il faut : 1° commencer par les plus faibles ex
tales à lésions qui permettent de relier entre eux les phé- nomènes cliniques . Jamais en tout cas, on ne doit asseoir de défi
e atteint de confusion mentale, on eût essayé de constituer Je type clinique , si on avait tenté, d'après les traits et les s
Neisser. Il me paraît important de faire observer que les éléments cliniques sur lesquels chacun des orateurs s'appuie pour
llégation de Westphal point matière à une nouveauté pathologique ou clinique spéciale. C'était une thèse de pathologie génér
onceptions morbides. Westphal savait fort bien que cette généralité clinique ne tranchait pas l'histoire symptomatique de ch
oeuvre de pathologie générale. Pour arriver, en se tenant dans la clinique pure, à distinguer et à grouper les maladies, i
olution; on obtiendra ainsi certains exemples probants et des types cliniques d'une exactitude permanente, à la condition que
ble simples, lim- pides, univoques. Mais cela est difficile, car la clinique fourmille de formes de transition, de formes mi
ces formes mixtes, on est obligé de laisser de côté le guidon de la clinique pure et de s'efforcer d'évaluer certains symptô
e et à faire comprendre les questions relatives à la classification clinique , ont leur source non pas dans les variétés sémé
se polynévritique n'est pas une entité morbide. Dr DEVAY. Chef de clinique des maladies mentales. V. Contribution à l'étud
'hypnose et sa valeur thérapeutique. J. Roubinovitch. VIII. Élude clinique de la mélancolie sénile chez la femme; par E. T
rches en France ont tant fait pour les progrès de l'étude à la fois clinique et anatomo-pathologique de la question. Le résumé
usion de toute pratique vraiment médicale et de toute investigation clinique sérieuse. Les superintendants étant eux-mêmes a
de la Saxe. Cela est d'autant plus aisé qu'à Leipzig il existe une clinique mentale remarquable. Qu'on oblige donc les cand
is, 10 ; - sensoiielle avec agraphie, par Tomlcins, 207. Archives cliniques , 395. Arsenicisme, les manifestations ner- ve
s de l'-et de J'épiiel)- sie, par G. rllartin, 129. Olfactométhie clinique , par Zwaard- maher, 452, Opium, usage de l'-
28 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
189 : ; Vol. XXV. Janvier 1893. Nu 73. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. HÔPITAL SAINT-ÉLOI DE MONTPELLIER. CL
NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. HÔPITAL SAINT-ÉLOI DE MONTPELLIER. CLINIQUE MÉDICALE. DU VERTIGE DES ATAXIQUES (Signe DE RO
XIQUES (Signe DE ROllBEIIG); Par le Professeur J. GRASSET. LEÇONS CLINIQUES RECUEILLIES ET PUBLIÉES Par le D' J. SaCIZE, ch
ÇONS CLINIQUES RECUEILLIES ET PUBLIÉES Par le D' J. SaCIZE, chef de clinique médicale. I. MESSIEURS, Au n° 30 de la sall
es sensibilités, même la sensibilité muscu- Archives, t. XXV. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. laire sont fort bien conservées. Il y
tige cnrclio-vasculaire, ou vertige des arlério-scléreux. Leçons de Clinique médicale, 1891, p. 522. ' Loc. cit., p. 528.
re ancienne manière de voir, en lui fournissant une nouvelle preuve clinique . Avant d'aller plus loin, je vais vous résumer
Séméiologie et diagnostic des maladies nerveuses. 1892, p. 62. 4 CLINIQUE NERVEUSE. joué ici un rôle quelconque. Le père
. 3 Pierre Marie. Leçons sur les maladies de la moelle, 1892. ' 6 CLINIQUE NERVEUSE. syphilis l'origine unique et constant
Voir Nouveau Montpellier médical, décembre 1892 et janvier 1893. 8 CLINIQUE NERVEUSE. ' façon plus accentuée, et perd l'équ
ambes, avec une hérédité ner- veuse. C'est sur ce point de départ clinique que nous étudierons, dans la prochaine leçon, l
ronique par excellence, le plus souvent hérédi- 1 ' A. Trousseau. Clinique médicale de l'Ilôtel-Dieu de Paris, t. II, 4" é
produit à intervalles très irréguliers. Ainsi ' A. Pitres. - Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I, p. 318.
L ENTRE L'HYS- TÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU; Notes cliniques recueillies par le Dr F. GHILARDUCCI, de Jh izz
délire, la présence des zones hystérogènes, donnent à l'observation clinique une signification diagnostique presque mathémat
rès difficile et nous avons préféré nous maintenir sur le ter- rain clinique . En continuant donc l'analyse de nos cas, nous
rétablie dans tout le côté droit. - Le 4 novembre, il entra dans la clinique de M. Potain où il fut soumis au régime lacté,
é donnée par M. Charcot est très juste et conforme à la physionomie clinique de la grande névrose. Il équipare l'apoplexie h
malade. La constatation du spasme glosso-labié a une signification clinique presque spéci- fique en faveur de l'hystérie, p
x. MARCHE DE la maladie. A partir du moment de son entré* dans la clinique , les conditions de santé de B... se sont progress
es parait toujours s'ac- compagner d'hypotoxicité. CONSIDÉRATIONS CLINIQUES , PATHOGÉNIQUES ET THERAPEUTIQUES. Nous venons d
uvera l'histoire complète de ces troubles trophiques dans le Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, de mon ancien che
aité clinique et thérapeutique de l'hystérie, de mon ancien chef de clinique , M. Gilles de la Tourette. (T. I, Paris, 1891 ; i
is. Issue : guérison fréquente. P. KERAVAL. XXVIII.COMMU,NICATIO,NS cliniques ; par N. OSTERMAYER. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat
s persécutés n'auraient jamais de stigmates physiques, alors que la clinique semble démontrer le contraire. Quelques auteurs a
s qui font preuve d'un grand dévouement '. Contribution à l'étude clinique des hallucinations verbales psycho- motrices. M
a été déjà suffisamment éta- blie, se demande quelle est sa valeur clinique et dans quelles formes vésaniques elle s'observ
semblent être un symp- tôme saillant de la maladie. Par leur aspect clinique général, ces derniers, difficiles à ranger dans
e-mère joue, comme je le crois moi-même, un rôle dans les symptômes cliniques mis en évidence. La sensibilité des sutures ser
KAJEWNIKOW. - Les recherches du rapporteur offrent un grand intérêt clinique . Elles prouvent entres autre qu'au cours d'une
fesseur Kaorsakow serait plutôt d'avis que la similitude du tableau clinique de la maladie dans les différents cas indique-
partie cervicale ; après cette con- tusion se développe le tableau clinique d'une myélite ex ecmpres- sione (à évolution le
tose médullaire. M. le professeur KOJRVNIKOFF a à son service de la clinique un malade, atteint de syringomyélie. Il présent
hagie dans le noyau du nerf hypoglosse, car il a eu une observation clinique , où l'apoplexie se suivit par des troubles bul-
nimal, ce dernier survit jusqu'au développement de manifesta- tions cliniques stables et est alors soumis à l'action de la coca
logique. B. V. La pathologie des émotions, études physiologiques et cliniques ; par le Dr Ch. Féré, médecin de BieCLre. (Paris
cteur, professeur de psychiatrie à l'Université, avec deux chefs de clinique , a sous la main les deux quartiers d'ob- servat
ch. f. Psychiat., X, 1.) 1° Fréquentation obligatoire d'un cours de clinique psychiatrique par les étudiants en médecine ava
50. Bureaux des Archives de Neurologie. -Boukneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'hystérie et l'idiotie.
Féré (Ch.). La pathologie des émotions (Études physiologiques et cliniques ). Volume in-8° de 620 pages. Prix : 12 fr. Paris,
n'ont été ni analysés, ni résumés dans aucune autre publication. CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES maladies DU système NERV
s, ni résumés dans aucune autre publication. CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES maladies DU système NERVEUX. M. CHARCOT SCL
nce l'un de l'autre pour être étudiés parallèlement, les caractères cliniques qui distinguent la sclérose laté- rale amyotrop
homogène, s'est aujourd'hui par les efforts de l'analyse anatomo- clinique disloqué, décomposé en un certain nombre d'espè
n de la moelle peuvent reproduire assez fidèlement les caractères cliniques de l'atrophie musculaire progressive. M. Ray- m
peut encore se rencontrer dans le cours du tabès. Mais alors 164 CLINIQUE NERVEUSE. le diagnostic est trop facile, je n'a
s d'origine 1 Duchenne (de Boulogne), 3° édit,, ISï2; p. 503. 166 CLINIQUE NEItVEUSE. spinale, qui toutes figuraient dans
ont eu le mérite, dans leur description, de préciser les caractères cliniques de cette forme, et de montrer qu'indépendante d
ndre et qui était de vous retraccr les grandes lignes du dai- 168 CLINIQUE NERVEUSE. gnosticdiuerentiel des formes spinale
subi un commencement d'atrophie, qu'ils sont le siège de con- 172 CLINIQUE NERVEUSE. tractions fibrillaires manifestes et
à priori s'attacher à une pareille proposition pour des audi- 174 CLINIQUE NERVEUSE. teurs peu familiarisés avec les diffi
iagnostic que crée l'intervention fréquente de l'hystérie dans la clinique neuropathologique, je dois vous déclarer qu'une
avons réservées. Telle est, messieurs, l'attitude si je ne 176 6 CLINIQUE NERVEUSE. me trompe, véritablement médicale, vé
INIQUE NERVEUSE. me trompe, véritablement médicale, véritablement clinique que vous auriez à prendre dans un cas sem- blab
fut gai, reprit son entrain habituel. Archives, t. XXV. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE. De retour à Paris le 11 janvier, il a
XIQUES (Signe de ROMBEnG)' J Par le Professeur J. GRASSET. LEÇONS CLINIQUES RECUEILLIES ET PUBLIEES P,Ir le D' J. SACAZE, c
ONS CLINIQUES RECUEILLIES ET PUBLIEES P,Ir le D' J. SACAZE, chef de clinique médicale. \ II. Le signe de Romberg, ainsi
4 Voy. Archives de Neurologie, n° 73, p. 1. ' 8 Rosenthal. Traité clinique des maladies du système nerveux, trad. franc, d
, 2° partie. . Vanlair. - Manuel de pathologie interne, 1890. 180 CLINIQUE NERVEUSE. yeux, ou mieux du passage brusque de
. Maladies de la moelle épinière ; trad. franç., 1885, p. 224. '182 CLINIQUE NERVEUSE. cela les prive peu de ne plus les voi
aité de Pathol. interne, t. I de la 7° édition, 18S3, p. 651. 184 CLINIQUE NERVEUSE. même toute l'ataxie aux troubles de l
, ces troubles de la coor- ' Duchenne, loc. cit., p. 781. , . 186 CLINIQUE NERVEUSE. dination étaient encore augmentés, ca
es hystériques qui nous fournissent cette démonstration. Dans les cliniques de Trousseau 3, vous trouverez l'observa- tion
. encyclop., t. VII, l8Gi. ers, loc. cit., p. 162. 3 Trousseau. Clinique médicale de l'Hôtel-Dieu de Paris, 7° édition,
de méd., 1SG'r, et Etudes znéd., 1884, t. II, p. 25, 35, 37.) 188 CLINIQUE NERVEUSE. Ce dernier élément que je n'hésitais
eprises, M. le profes- seur Charcot la présenta aux auditeurs de la Clinique 1, comme un exemple très caractéristique de cet
Georges Guinon. Contribution ù l'élude de quelques unes des formes cliniques de la myopathie primitive progressive. (Revue d
rence si spéciale de ces systèmes, encore si peu connus. L'histoire clinique de notre malade et la relation nécrosco- pique
. Si l'on embrasse l'ensemble des 810 observations récoltées à la clinique de cette année à la Salpêtrière, on est vivement
de l'oreille, au point de vue pathogénique. De même on apprend à la clinique otologique à ne pas trop facilement conclure en
diagnostic étiologique. Je compte 12 à 15 de ces cas par année à la clinique , en- voyés comme atteints de vertiges de Ménièr
de la protubérance ainsi que la paralysie croisée l'indique déjà. CLINIQUE OTOLOGIQUE ANNEXE STATISTIQUE 1891-1892. 222
t, nous le repétons, les grouper et les interpréter au point de vue clinique et chercher quelle est leur valeur diagnostique
eur base le diagnostic de syphilis sur l'évolution et les accidents cliniques , l'apparition du premier ictus à l'âge de trent
érale tabétique; par M. BRASCH. (Neurol. Centralbl., 1891.) Elude clinique , anatomo-patbologique et microscopique très com
(Rev. med. delà Suisse Romande, 1891.) G. D. XII. Deux observations CLINIQUES relatives A l'aphasie; par le D L. de Rode. (l3
reich n'est point une mala- die essentielle ni une véritable entité clinique ; 2° c'est un syn- drome commun à plusieurs clas
e Friedreich et de Morvan qui n'est pour lui qu'une mani- festation clinique particulière d'une perturbation dynamique ou d'
observation la preuve qu'il est néces- saire d'étudier les variétés cliniques du délire de la persécution dont plusieurs sont
VVER111ChE. M. CL. NEISSER. Critique de laparanoïa au point de vue clinique . (Publié hl-extenso dans le Centralbl. f. Ne1'v
u 15 décembre 1890), l'auteur la traite aujourd'hui au point de vue clinique et pratique. Voici 100 femmes aliénées qui se d
amyle dilate les vaisseaux et fait baisser la pression du sang ; la clinique a permis de constater que ce médicament faisait
onsciente. Il passe ensuite en revue les hallucinations verbales en clinique mentale. Il montre que contrairement à ce qu'on
ù ils se rencon- trent. En tout ce qui touche au contraire l'aspect clinique et la pathogénie de ces différents troubles, no
sances. Mais le fond est resté le même, et il est essen- tiellement clinique . Les faits bien observés gardent toujours leur
deux ordres, les unes tirées de l'expérimentation, les autres de la clinique . Après quelques pages judicieuses consacrées au
ito-urinaires. De nombreuses observations apportent leur témoignage clinique aux assertions de l'auteur, qui, avec son talen
la paralysie générale est titubante et paralytique, etc. Les types cliniques de la démarche étant ainsi connus, M. Blocq en
COURS POUR l'internat dans LES asiles d'aliénés DE la SEINE. (Asile clinique , asiles de Vaucluse, Ville-Evrard et Villejuif et
cin-adjoint : M. Legras; internes : MM. Pécharmant et Pribat. Asile clinique (Sainte-Anne), 1, rue Cabanis. 914 lits. - Serv
s. 914 lits. - Service de M. Bail, sup- pléé par M. Ballet; chef de clinique : M. Pactet; interne : M. Han- nion. Laboratoir
de clinique : M. Pactet; interne : M. Han- nion. Laboratoire de la clinique : M. Klippel, service de M. Ma- gnan (admission
et chirurgie). Mention honorable à M. Pitres (de Bordeaux) : Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypno- tisme. Prix Barbie
M. A. RoGER. La question posée était : Recherches expérimentales et cliniques sur les phénomènes inhibiloires du système nerv
FAITS DIVERS. Le concours sur épreuves se compose : 1° de l'examen clinique d'un malade à propos duquel on doit faire le di
v. 1893.) , Magnan (V.) ? yVach'M mentales. Leçons faites à l'asile clinique (Sainte- Anne), recueillies et publiées par Bri
srv lmp - 8p3 Vol. XXV. Mai 1893. N, 75. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE
es difficultés de diagnostic. , An : anws, t. XXV. 21 1 322 1), CLINIQUE NERVEUSE. Antécédents héréditaires. -Père, aube
ébut de la flexion, la main se met en supination. Ce n'est donc 324 CLINIQUE NERVEUSE. pas le biceps qui produit ce mouvemen
. ? Sens spéciaux. C»il. Pas de différence dans les pupilles. 326 CLINIQUE NERVEUSE. Réactions normales. Pas de différence
noplégie brachiale et localiser cette monoplégie dans le côté 328 - CLINIQUE NERVEUSE. droit. Il a dû dans sa personnalité c
ès Médical, 1890, 2' s., t. XII, 1103 41, 42, p. 259, 275.) 1 330 CLINIQUE NERVEUSE. tôt à des altérations de la sensibili
Goût très émoussé. Dyschromatopsie monoculaire gauche etachro- 332 CLINIQUE NERVEUSE. matopsie même pour le rouge. Le champ
s du membre supérieur droit sont tout à fait libres. Fig. 42. 334 CLINIQUE NERVEUSE. L'hypoesthésie au niveau du poignet a
e ophthalmique avec l'hystérie. Thèse de Paris, juillet 1891. 336 CLINIQUE NERVEUSE. Début. A quelque temps de là (1886),
scle de la Ira,in. Voici la mesure des circonférences du bras : 338 CLINIQUE NERVEUSE. La sensibilité pharyngée est abolie.
. Charcot. - Leçons du mardi, policlinique, Il décembre 1888. 340 CLINIQUE NERVEUSE. En ce qui concerne l'existence chez n
e n'est guère possible. Il a été reconnu dans le service même de la clinique qu'il était bien réellement atteint de cette af
ons auxquelles se rattachait la paralysie de ses muscles. 1 342 CLINIQUE NERVEUSE. 3S2 CLINIQUE NERVEUSE. REFLEXIONS S
ait la paralysie de ses muscles. 1 342 CLINIQUE NERVEUSE. 3S2 CLINIQUE NERVEUSE. REFLEXIONS SUR LES CAS DE MONOPLÉGIE
ode; dans les autres cas, les choses, ont été comme il suit : 384 CLINIQUE NERVEUSE. de la paralysie brachiale un autre me
alique. (Archives de Ne¡¡- rl),lce, l. Xl V, 1337, p. 1;' 7.) 356 CLINIQUE NERVEUSE. 19. Journée. Monoplégie /t< ? M)'o
ique. (Archives de Neurologie, t. XX, 1890, p. 231.) 28. Charcot. Clinique des maladies du système nerveux, t. 1, Pa- ris,
MYOPATHIE PRIMITIVE ATROPHIQUE; . Par le D' J. SACAZE, Chef de clinique médicale à la Faculté de Montpellier. Des trava
Une de ses soeurs, sans enfants, présente tantôt des névralgies 358 CLINIQUE NERVEUSE. et tantôt des manifestations herpétiq
jambe gauche paraît légèrement plus amaigrie. De chaque côté 360 CLINIQUE NERVEUSE. des creux poplités, on sent une saill
ôté opposé. Le sternum est porté de droite à gauche. Fig. 45. 362 CLINIQUE NERVEUSE. , L'extrémité du sacrum et le coccyx
hérédité d'abord, et puis à cause du cachet spécia Fig. 16. 364 ' CLINIQUE NERVEUSE de l'atrophie qui n'a été précédée que
ne découvrons aucun des autres signes habituels (déformations 366 CLINIQUE NERVEUSE. du thorax, nouures épiphysaires, incu
où le tremblement en gardant le caractère dominant dans le tableau clinique de la maladie apparaissait périodiquement comme
S..., paysan, vingt et un an, est passé de l'hôpital d'Ujordow à ma clinique pour être démontré aux étudiants; comme un cons-
tique déjà décrit. En considérant le caractère singulier du tableau clinique de la maladie, on peut aisément conclure que no
s'étendait qu'au membre inférieur, où par con- séquence le tableau clinique rappelait notre cas sous plusieurs rapports. ,
de ce type mental, l'auteur donne une esquisse précise de l'aspect clinique de la confusion mentale primitive. Après un s
e de la dure-mère, de liquides irritants. R. M.-C. LUI. Observation clinique DE deux cas DE paraplégie ataxique; par F.-S.-J
tement le nom de paranoia aiguë. Malgré la grande variété de formes cliniques intermédiaires entre le délire sensoriel et la
s deux familles observées, pas même le rhu- matisme ; les symptômes cliniques sont tellement identiques à ceux de la choree r
la lésion, on est amené à lui attribuer le même siège; les types cliniques varient suivant les familles observées; la questi
tions (en collaboration avec M. CHAMBARD); Leçons professées à la Clinique des maladies mentales; Erythème symptomatique des
les maladies des vieillards (1866). B. BIBLIOGRAPHIE X. Leçons cliniques sur les maladies mentales; par le Dr Magnan Les
ns cliniques sur les maladies mentales; par le Dr Magnan Les leçons cliniques sur l'épilepsie, sur la dipsomanie, sur la folie
ui carac- térise sa méthode d'analyse rigoureuse et essentiellement clinique , présente l'histoire de la manie et des états m
e une manie type, franche, essentielle, véritable entité morbide et clinique , la manie simple. Ce qui domine dans la manie,
lades profondément débilités. Telle est la manie dans sa simplicité clinique . Or, les vrais ma- niaques sont assez rares. Il
s. C'est le côté social psychologique et, pour tout dire, la partie clinique . La quatrième partie aborde le problème des ori
rois ans; il avait été successivement interne des Asiles et chef de clinique des maladies mentales et médecin du bureau de b
e. (Archives de Neurologie, 1891. Extrait p. 8.) 3 Pitres. Leçons cliniques sur l'hystérie, 1891, t. I, p. 4. 4 Gilles de l
s sur l'hystérie, 1891, t. I, p. 4. 4 Gilles de la Tourette. Traité clinique et thérapeutique de l'hys- lérie, 1891. DÉFIN
les expliquer d'anciens travaux de Brodie 2 et 1 Briquet. - Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, 18.ï9, p. 3. =
nce des explications banales. Ayant donc assuré son point de départ clinique , M. Charcot a pu montrer, en étudiant l'origine
up de modération, bornant leur rôle à l'explication de quelques cas cliniques bien déterminés. Il restait à géné- raliser un
417. Paul Richer, La grande hystérie, 1885, p. 301. Pitres, Leçons cliniques sur l'hystérie, 1891, t. 11, p. 235. ' * Aulo
térie. M. Laurent, dans un tra- vail paru d'abord dans les Archives cliniques de Bordeaux 2, et reproduit plus tard avec déve
ystériques d'après les théories psychologiques actuelles. (Archives cliniques de Bordeaux, septembre 1892.) 3 L. Laurent. D
s regrettons de ne pas connaître ce travail. ' A. Pitres.- Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I, p. 300. P
e; aussi, le rétrécissement a été constaté par les moyens usités en clinique . Toutefois, dans le moment, grâce à l'obligeanc
à l'emploi de doses réitérées. R. M.-C. IX. NOTES DE thérapeutique CLINIQUE dans LES maladies mentales ; » ? par AKGnisANi.
le Dr PELLIZZI. (Rio. sp. di fren., fasc. Ill-IV, 1892.) Les faits cliniques et anatomiques, les observations bactério- logi
e prochain prix, qui sera dis- tribué, en 1895 : Etude des variétés cliniques du délire des persé- cutions. Marcel BRIAND.
es de Marinesco aboutissent aux mêmes conclusions. Les observations cliniques prouvent que les névrites les plus graves ne so
la périphérie. Il est dis- posé à expliquer beaucoup de phénomènes cliniques par cette influence simultanée, plutôt que par
ntité morbide en question, il faut ou bien limiter à cette modalité clinique l'emploi du mot paranoïa, c'est-à-dire réserver
mot paranoïa, c'est-à-dire réserver le mot paranoïa pour une forme clinique ' Voy. Archives de Neurologie, séance de 1891.
ue paranoïa, c'est-à-dire Ver- rückliteit, est non point une espèce clinique , mais un complexus symptomatique qui se rencont
UND NaTOiISCHP : BEITR1GE ZUR Pathologie DES GEHIRNS. Contributions cliniques et anatomiques à la pathologie cérébrale) ; par
ents pays. Dans ce volume, l'auteur avait exposé des obser- vations cliniques exactes suivies de recherches macroscopiques et
nctions. Faculté de médecine de >110NTPELLIE(l. M. Bosc, chef de clinique médicale, est institué chef de clinique des mal
TPELLIE(l. M. Bosc, chef de clinique médicale, est institué chef de clinique des maladies mentales, en remplacement de M. LA
ORGES GUiNON. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Bourneville. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
Blocq, 306; syphilis du système nerveux, par Gowers, 308; leçons cliniques sur les maladies mentales, par Iagnan, 40 ? ;
légies cérébrales de l'enfance, par Rosenthal, 479; contributions cliniques et anato- miques à la pathologie cérébrale, p
29 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
s. 1890 Vol. XIX. Janvier 1890. N" 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIA
la sciatique, Th. Paris, 1888, tio 150. ARCHIVES, f,. XIX. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. d'une cause organique locale, netteme
ues. Lasègue et Landouzy ont insisté sur la différence des formes cliniques et établi une distinction fondamen- tale entre
la préci- sion avec laquelle ils décrivent, môme par-dessus 4 , . CLINIQUE NERVEUSE. leurs vêtements, le trajet douloureux
t chez tel autre. C'est pourtant de leur pré- Fig. 5. Fit. 6. 8 CLINIQUE NERVEUSE. sence ou de leur absence que résulten
surface. L'attitude n'est pas aussi constante, il s'en faut de 10 CLINIQUE NERVEUSE. beaucoup, que ne le prétend M. Babins
elle existe. Il est d'abord de toute évidence que la déviation 12 CLINIQUE NERVEUSE. est le résultat d'une action musculai
es lois physiologiques de Pflùgersont impres- criptibles. Les faits cliniques ne leur ont jamais donné aucun démenti. Reste
jambe gauche porte le poids du corps tout entier. Si les deux 14 CLINIQUE NERVEUSE. jambes restent parallèles, comme dans
arrive donc insensiblement à appliquer sur Fig, 11. Fig. 12. 16 CLINIQUE NERVEUSE. le sol la plante du pied du côté mala
soin de bien obser- Archives, t. XIX. 2 Fig. 13. Fig. 14. 18 CLINIQUE NERVEUSE. ver et de bien décrire les cas que le
r Gilles de la Tournette, in NUe Icoto,q. de la Salpêtrière IL 20 CLINIQUE NERVEUSE. cloche-pied, la colonne vertébrale s'
st un fait des plus ordinaires et il est incontestable qu'elle 22 CLINIQUE NERVEUSE. s'étend, comme nous l'avons plusieurs
nférieur gauche ; il en indique si nettement le siège qu'il est' 24 CLINIQUE NERVEUSE. impossible de douter que ce ne fût un
t toujours impossible ; le pied gauche reste tourné en dedans. 20 CLINIQUE NERVEUSE. Le 16 juin, l'amélioration s'est conf
, nous nous sommes assuré que l'existence de points douloureux 28 CLINIQUE NERVEUSE. du côté opposé à la sciatique n'est p
t peut-être moins invraisemblable. Il manquait toutefois au tableau clinique de la coxalgie hystérique l'élément essentiel d
le dire, si caractérisés qu'ils soient, ne nous semblent avoir 30 CLINIQUE NERVEUSE. ici qu'une importance fort secondaire
distribu- tion indécise. C'est pour ces névralgies que Piorry 32 CLINIQUE NERVEUSE. · et Brown-Séquard ont adopté la déno
é vers le côté sain ne Archives t. XIX. 3 Fig.17. Fig. 18. 34 CLINIQUE NERVEUSE. peutpas s'effectuer, comme dans les c
mbre des muscles innervés par le sciatique ; elles peuvent ce- 36 CLINIQUE NERVEUSE. pendant envahir tout le territoire de
cidité rela- tive du membre malade, c'est-à-dire du membre sur 38 CLINIQUE NERVEUSE. lequel on ne s'appuie pas. Celui-ci e
devient donc impossible; il peut être rétabli cependant, à la 40 CLINIQUE NERVEUSE. condition que le malade porte la plus
Le malade, qui fut présenté par M. Charcot dans une de ses leçons cliniques \ n'offrait aucun trouble de la sensibilité ni
recueillies par L. Bourget, (Olottpellier médical, mars 1889). 42 CLINIQUE NERVEUSE. et me remettre en route, car les Indi
eurs au dos, douleurs rongeantes dans la région lombaire supé- 44 CLINIQUE NERVEUSE. rieure, qui m'empêchaient de rester a
il lève ses bras en l'air et renverse un peu la tête, comme s'il 46 CLINIQUE NERVEUSE. venait de recevoir un coup inattendu
eneris, mais bien un syndrome de la grande névrose protéiforme 48 CLINIQUE NERVEUSE. qui s'appelle l'hystérie, à moins qu'
a- bilité avec laquelle il m'a toujours reçu, dans son service de clinique , où l'on trouve tant de sujets d'études qui, so
ux beaux travaux de l'école célèbre de la Salpêtrière. RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
700 grammes d'urine par le cathétérisme; Archives, t. XIX. 4 50 . CLINIQUE NERVEUSE. fourmillement dans les membres inféri
un certain nombre de tubes nerveux restés intacts au milieu du 52 ' CLINIQUE NERVEUSE. - tisssu sclérotique ; il m'a été imp
ale est nettement délimitée. Dans quelques endroits de la région 54 CLINIQUE NERVEUSE. dégénérée, dans les cordons postérieu
oelle. L'ischémie spinale par embolie est déjà aussi établie par la clinique . A preuve, par exemple, les faits de Furkvell e
cerveau et rien à la moelle malgré la grande quantité de'bul-; 56 CLINIQUE NERVEUSE. lettes de gaz que l'on y voit embolis
du tissu conjonctif sous-jacent et de la tunique musculaire. » 58 CLINIQUE NERVEUSE. ' Pour être complet, on ne peut pas o
urs irrégulièrement ovale. Le tissu çircpnvQisin des cordons 60 - ' CLINIQUE NERVEUSE. postérieurs offrait plus ou moins les
au point de vue phy- siologico-pathologique les différentes formes cliniques que revêtent les accidents des scaphandriers ?
pliquer une à une les formes cérébrales. oc). Forme aphasique. La clinique est arrivée, on le sait bien, à distinguer quat
on gazeuse de la branche de l'artère sylvienne qui se porte en 62 CLINIQUE NERVEUSE. avant pour se rendre en particulier à
emporaires. Nous avons surpris plus d'une fois le mécanisme de 64 CLINIQUE NERVEUSE. ce phénomène vraiment curieux sur le
qui fait le sujet de ]'ÜnsEuvATION XLVIIL Archives, t. XIX. 5 66 CLINIQUE NERVEUSE. L'embolie et l'ischémie du rameau que
c'est la zone motrice et par analogie aux lésions matérielles 68 CLINIQUE NERVEUSE. organiques de l'épilepsie partielle b
on. Or, le nerf de l'espace une fois comprimé, la sensation de 70 CLINIQUE NERVEUSE. l'équilibre disparaît, les troubles l
- sion intralabyrinlhique, explique aisément les particu- larités cliniques propres au syndrome de Ménière, pro- venant de
rti- culations etc. ; c'est la raison pour laquelle nous avons 72 CLINIQUE NERVEUSE. appelé ces symptômes extrinsèques. L'
asses, trois minutes. De 30 à 32 brasses, une seule minute. On ï4 CLINIQUE NERVEUSE. ne dépasse jamais cette profondeur. C
ygène conseillée par Paul Bert est d'un emploi très difficile, 76 CLINIQUE NERVEUSE. sinon impossible, pour les scaphandri
tre. Je citerai seulement les récentes études expérimen- tales et cliniques de Giulio Masini, Sur les centres moteurs corti
truit témoigne sans doute que les rapports croisés 1 Dans la partie clinique de son travail, .Masini constate la persistance
nt des expériences, à l'effet de contrôler les observations de la clinique et de vérifier les résultats de la physiologie.
antes de la tête (1885). IV. Les résultats actuels des recherches cliniques et anatomo-pathologiques de Seppilli sur la nat
en de la sensibilité cutanée 1 Charcot et Pitres. Etude critique et clinique de ta doctrine des localisations motrices, Pari
nelles. Quoi qu'il en soit, et en laissant la question ouverte en clinique , il est certain qu'il a suffi d'attirer l'atten
ions affectaient les différentes régions du cerveau dans les 47 cas cliniques recueillis par Sep- oilli : 92 ' PHYSIOLOGIE.
tradictoires à la doc- trine des localisations n. Etude critique et clinique , etc., p.. 16. ' Livio Viucenzi. Sulla sclerosi
té cutanée et de la mo- tilité se montrent quelquefois dissociés en clinique , tout porte à croire que les aires corticales d
D'après Nothnagel, ce seraient lesP, et P2. Seulement, dans les cas cliniques connus, sauf deux, ceux de Grasset et de Kahler
on s'étendait uniquement à la zone motrice. Si les obser- vations cliniques confirment un jour ces vues, si les ' Eu regard
vues, si les ' Eu regard de ces objections, faites du point de vue clinique , nous devons rappeler que, au point de vue expé
, la seconde coïncidant avec la zone dite motrice. Les observations cliniques recueillies jus-' qu'ici montrent en effet que
les paralyse, une lésion irritative les exalte'. Les observations cliniques d'altération de la sensi- bilité générale relev
, etc. A cet effet, Seppilli a réparti eu ciuq groupes : 1° les cas cliniques d'altérations de la sensi- bilité de la face et
van- cér, parce que cela ressort avec évidence des obser- vations cliniques réparties en cinq groupes par Sep- pilli, ainsi
i journée. De là, il a été expédié au bureau d'admission de l'Asile clinique , puis à Bicêtre. Envoyé en congèle 1er juillet,
: myélite par compression (tumeur syphilitique ? ) Les fluctuations cliniques s'expliquent à l'autopsie parles modifications
es ces anomalies forme les paramnésies. Considéré au point de vue clinique , l'hallucination du souvenir se décompose en :
lié in extenso. Le temps avancé s'oppose à la visite de la nouvelle clinique ; ce soin est remis à la prochaine séance de fév
es résultats par lui obtenus avec le chlorhy- drate d'hyoscine à la clinique psychiatrique de Strasbourg. 1° Vingt-trois mal
est renvoyée à la prochaine séance. BIBLIOGRAPHIE. I. - Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, par le
résente publication à des considéra- tions à peu près exclusivement cliniques . Il se propose,- dans un' ouvrage qui paraîtra
pharmacien de 1° classe, au poste de chef-adjoint du laboratoire de clinique des maladies cutanées et syphilitiques à la Fac
té DE médecine DE Montpellier. - M. le Dr LAFON est nom- mé chef de clinique des maladies mentales (emploi nouveau). Faculté
argé, pour l'année scolaire 1889-90, d'un cours complémentaire de clinique des maladies mentales. La vente DE la morphine
Boehm. BOURiir,vILI.E, COURBARIEN, RAOULT ET SOLLIER. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
bonnés : 2 fr. 75. - Bureaux du Progrès médical. Falret (J.) Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. Volume
r. LEGR.\lN (M,). - Hérédité et alcoolisme. [Etude psychologique et clinique sur les dégénérés buveurs et les familles d'ivr
ans, 1889. Aux bureaux de l'Encéphale. 0 SCHI ! LE (H.). - Traité clinique des maladies mentales. - 3° édition traduite pa
Paris, 1888. - Librairie Lecrosnier et Babé. SocA (F.-V.). - Etude clinique sur la maladie de Fi-ied7,eich. Vo- lume in-8°
ilup - 290. Vol. XIX. Mars 1890. N, 56. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDES SUR L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE D
ement par le carmin : elles sont formées Archives, t. XIX. 11 162 CLINIQUE NERVEUSE. par un feutrage serré de fibres, au m
rizontale du T, le sillon longitudinal postérieur et Fit. 20. 164 CLINIQUE NERVEUSE. l'extrémité antérieure des cordons de
( ! il' Psychiatrie, t. X, p. 200. 8 1.oco citalo, 1. 366. . 166 CLINIQUE NERVEUSE. l'exception d'un seul où l'on avait a
précisément en rapport avec les fonctions que la physiologie et la clinique ont attribuées à ces régions. Toutefois, nous
devraient au contraire être également intacts. Mais les matériaux cliniques manquaient à Cattaneo. Les résultats des expéri
nissent déjà une base anatomique à ces recherches expérimentales et cliniques . Nous ne saurions passer ainsi en revue tous le
urtout la tétanie, par le D'' Anton von Eiselsberg, assistant de la clinique du professeur Billroth. Dans son travail M. Eis
us à signaler ce travail important comme un remarquable chapitre de clinique physiologique en même temps que de philosophie
iste entre la polyurie et la polydipsie, si l'on prend des exemples cliniques d'un autre ordre (voy. dans le mémoire deux cas
les rameaux cutanés sont peut-être plus altérés que dans la névrite clinique ordinaire. On trouve aussi une vraie névrite in
nt été déjà publiées. Il en résulte qu'il y a lieu, au point de vue clinique et en ce qui concerne l'anatomie pathologique, de
es myopathiques. Il faut préalablement s'attachera la dis- tinction clinique des dystrophies pures et des altérations spinales
ntéressants, il faut en déterminer les conditions expérimentales et cliniques et arriver a préciser les cas dans lesquels on
de morphine désinfectent le tube digestif ainsi que le montrent la clinique et la stabilité du liquide médicamenteux; les f
ut étudier minutieusement les effets dans le silence du laboratoire clinique et ne pas la confier au malade, de crainte d'ac
tion étiologique peut-elle on non servir d'élément de distinction clinique ? 2 Le Congrès se sépare après avoir visité le
Code pénal '. . M. Wernicke discute le plan et l'organisation de sa clinique offi- cielle2. Visite de l'établissement par le
oubles intellecluels s'améliorent et vice versa. Tel est le tableau clinique qui dure pendant plusieurs semaines. A ce moment
en obligés de nous contenter d'un même cadre. En ce qui concerne la clinique , il me parait établi que, dans les temps modern
ancien in- terne des hôpitaux, est nommé chef du laboratoire de la clinique des maladies mentales, en remplacement de M. Be
Vienne, mort d'urémie à l'âge de 57 ans. On lui doit un traité ,de clinique des faits divers. 301 maladies du système ner
Alcan. Bournevili.e. COURüARIE, UAOUL1 1 : 1' SOLLIEH, - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'Izystérie
cé à l'Ecole départemental d'infirmiers et d'infirmières de l'Asile clinique . - Volume in-8 de 74 pages, avec 3 planches hor
abonnés : 2 fr. 75. Bureaux du Progrès médical. FALRET(J.). Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. Volume
, iiap - 39o. Vol. XIX. Mai 1890. N, 57 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE,. - M. CHARC
APLÉGIE DIABÉTIQUE' 1 (Leçon recueillie par Georges GUINON, chef de clinique ). Messieurs , La leçon d'aujourd'hui sera con
- chai (de Calvi) a le premier attiré l'attention au point de vue clinique , et cela d'une façon tout à fait formelle, en 1
trop souvent à appliquer sans hésitation à la pathologie et à la clinique les données du laboratoire. C'était en 1 Leçon
C'était en 1 Leçon du 13 décembre 1889. Archives, t. s1. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE. effet le moment où venaient d'être in
ées, que lorsqu'elles ont été sou- mises à l'épreuve de la critique clinique qui seule peut juger en dernier ressort si la n
ent cérébral, lorsqu'il y avait eu une autopsie, et au point de vue clinique des hémiplégies transitoires, des monoplégies à
chez les diabétiques Arch. de Netrol., 1883, t. IV, p. 336.) 308 CLINIQUE NERVEUSE. de départ du diabète. Remarquez qu'on
ue j'ai depuis longtemps reconnu chez ces malades l'existence 310 CLINIQUE NERVEUSE. de la claudication intermittente, pro
paraissent réaliser un type nosogra- phique défini, dont le tableau clinique pourrait, si je ne me trompe, être caractérisé
ue j'ai fait placer sous vos yeux. Mais avant d'arriver à l'analyse clinique derce cas, je désire entrer encore dans quelque
Diabète we;< ! < ? e)'< : . lalellbl., 1885, n° il. 312 CLINIQUE NERVEUSE. Il ne faudrait pas prendre au pied de
l'avancement des sciences, Congrès de Blois. septembre 1884.) 314 CLINIQUE NERVEUSE. ques ressemblent aux tabétiques. Mais
E DIABÉTIQUE. li 1 z sont absents. Mais quelle est la signification clinique de ce fait ? Quelle est sa signification physio
t admet- tent l'existence dans le diabète d'une forme paraly- 316 CLINIQUE NERVEUSE. tique ou mieux paraplégique et plus p
para- lysie musculaire portant principalement sur les exten- 318 CLINIQUE NERVEUSE. seurs du pied, de telle sorte que l'a
aux membres supérieurs. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de 320 0 CLINIQUE NERVEUSE. maux de tête. Rien du côté de l'estom
sé les courbes qui sont reproduites ici. Archives, t. XIX. 21 322 CLINIQUE NERVEUSE. comme énormes. D'après Bouchardat en
ue, probable- ment parvenue à un haut degré de développement. 324 CLINIQUE NERVEUSE. Vous voyez à quel point cela ressembl
ssieurs, 3 Vous vous rappelez sans doute un malade fort inté- 326 CLINIQUE NERVEUSE. ressant que je vous ai montré il y a
que. Depuis cette époque, le malade est resté dans le service de la clinique pour y être soigné tant de son diabète lui-même
à cet effet M. Grenouillet, interne en pharmacie du service de la clinique . Depuis lors il s'est encore notablement accent
s notre malade rendait jusqu'à 180 grammes d'urée par jour. 328 ' CLINIQUE NERVEUSE. Aujourd'hui il n'en excrète plus guèr
, la tem- pérature n'est nullement augmentée dans la région à 330 CLINIQUE NERVEUSE. ces moments et même bien souvent, il
fait toutefois de très rapides progrès en ce qui concerne sa partie clinique . C'est au point que les derniers travaux n'ont,
ui fournit ultérieurement à M. Charcot le sujet d'une de ses leçons cliniques . Les pièces provenant de ce malade qui, après a
tébrale, scoliose assez prononcée. Addendum. - La malade entre à la clinique en 1887, et à cette époque, on peut compléter l
les malades, 'qui en étaient atteints, comme simulateurs. Dans la clinique des maladies nerveuses de notre excellent maîtr
on est sortie du laboratoire de suggestion en dehors de toute étude clinique . Nous nous permet- trons de donner un exemple q
point de vue, aucun éclaircissement, attendu que l'observa- tion clinique n'a point été recueillie. Mais, peut-être, cont
prouvés. M. ROSSB.1CII (de léna). Communications empruntées à la clinique médicale de léna. - 9 Du centre cortical qui pr
vasculaire et épicérébral. . 1\1. Mindel (de Berlin). Contributions cliniques à l'étude de la mé- lancoliel. (Publié in exte7
d'un élément, leur marche et leur pathogénie révèlent, il l'analyse clinique attentive, une différence frappante. Prenons l'
rchives de Neurologie, t. XIII, p. 65-221-393). 1 La mème confusion clinique a eu lieu pour la Verrucktheit et la Pa- ranoïa
mentale, la tendance com- mune la plus forte, tant au point de vue clinique qu'au point de vue psychologique, est la tendan
s détourné l'ensei- gnement et la pratique du service médical de la clinique vraiment rationnelle. « D'un autre côté, l'hy
s. Prix : 2 fr. Pour nos abonnés, 1 fr. 60. SEVESTRE. - Etudes de clinique infantile. - (Syphilis héréditaire pré- coce, l
), par Vigouroux, 110; par Eulenburg, 110. Bibliographie : Etudes cliniques sur les maladies mentales et ner- veuses, par
30 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIREC-110-4 DE A.JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). ' F. RAYMOND Professeur de clin
ecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). ' F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies 'du système nerveux à la Facul
s 1905 5 Vol. XIX . Janvier 1905 N"109 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hospice de H S.1LL1;7RI1 : RI;, Cliniq
S DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hospice de H S.1LL1;7RI1 : RI;, Clinique des maladies nerveuses. Paralysie faciale pér
ntérêt, c'est l'origine et la nature de cette tumeur. Observation clinique . La malade, hospitalisée iL la Salpe- Il'ii'l'e
lil'. L ? \Li(llbilill' gallanique .li;come, 2^ cri·, l. \I\. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. des m use les est rurll'l1JellL dill1
lJll1 bU-IwU Lu hl' l'an 1 ie 1. on extrémité inférieure ric.2. 4 CLINIQUE NERVEUSE. légèrement effilée, affleure le bas d
tis- su fibreux ; un faisceau nerveux, demeuré visible au cen- 8 CLINIQUE NERVEUSE. tre de la tumeur, présente l'aspect t
llons rapporter et dont à la fin nous relèverons les particularités cliniques et anato- mo-pathologiques. SCLÉROSE ATROPHIQ
minée, par E. RWCKE, (Neurolog. Centralbl., tlll, 190 i.) . Etude clinique , anatomopathologique et histologique (figures),
our celle raison seule, des trousseaux régénérés, bien que l'allure clinique des cas de Fick- ler soit très favorable à cett
stance cimenlaire très analogue, au point de vuehislogé- nétique et clinique , au manchon de myéline qui entoure les neuro-li
axiles de l'acide fibrillaire. L'anatomie confirme en effet un fait clinique fort ancien ; la conservation prédominante des
ubles psychiques offerts par le malade correspondaient au ta- bleau clinique que certains auteurs décrivent encore sous le nom
jet que jadis. - P. KERAVAL. X. - Nouvelle contribution à l'étude clinique de l'idio- tie amaurotico-paralytique familiale
Sur le mode d'action des alcaloïdes on sait peu de choses. L'étude clinique parfaite des psychoses toxiques doit servir d'in-
té du Ministre de l'Intérieur, le docteur Antheaume, ancien chef de clinique de la Faculté, inspecteur adjoint des asiles d'
la S1LPÉTR1ERE. - \l. le I> Jules Voisin, com- menacé ses leçons cliniques sur les maladies mentales et ner- veuses le jeu
urs peu commune, plus fréquente chez les femmes que chez les 5G , CLINIQUE MENTALE hommes, el choz les premières, le phéno
Il y a quinze jours, elle éprouve un grand «saisissement à la 90 CLINIQUE MENTALE suite d'une discussion avec une voisine
ques, de puérilisme mental, suivant l'heureuse expression ent- 94 CLINIQUE MENTALE llluyéc lctr 11. I : . 1)uyr ; une phas
valles de santé psy- chique. C'est sous le bénéfice de cette notion clinique vainement niée aujourd'hui que nous donnons l'o
ousse de- nerni-sement- et des cris d'angoisse. Soudain, le '2'2 OU CLINIQUE MUXIALIÎ mai il se met à se masturber avec une
laits que j'ai obser- " vés. Bien qu'appartenant il des catégories cliniques dil'- ierentes. ils ne sont pas sans avoir quel
anxiété et excitation génitale, relève, quels que soient les cas cliniques où on l'observe, d'un mécanisme identique. La t
ique, 29 lévrier 1904)... , Archives, 2' série 1905, l. XIX. 7 08 CLINIQUE MENTALE z gancs superposés, couches optiques, b
même étant syphilitique et alcoolique. par lk ])' Simoun (Asile clinique . Service de l'Admission.) Un des faits les plus
dmission.) Un des faits les plus propres à montrer que les éludes cliniques ne sont pas restées en psychiatrie plus stéri-
ical des Asiles d'Aliénés. Par le D' E. COULONJOU. Ancien chef de Clinique à la Faculté de Médecine, Médecin-adjoint des A
s quc le concours des asiles nous donnerait le droit de faire de la clinique mentale ! Sans doute, je paraîtrai quelque peu
x de son métier, aliénisle dans l'âme, veut malgré tout faire de la clinique et, trai- ter ses pensionnaires ; ou bien, héla
l'étude de la folie put cons- tiluer une branche différenciée de la clinique médicale. 118 asiles d'aliénés. Les jeunes do
asiles et sur la législation des aliénés ; il y a deux épreuves de clinique mentale, et une sur ti- tres, où il est tenu le
s sont L nommés; ils débarquent, pleins d'enthousiasme et de zèle clinique , dans un asile, persuadés qu'un vaste champ d'ex-
, étonnés, les nouveaux adjoints proposent de partager la besogne clinique . en se consacrant à certains malades : « Quoi d
ner, étouffer, oublier les pathologies qu'il ne peut transformer en cliniques , par suite de l'absence de malades. Cela dure 9
oup d'oeil sur les ré- sultats obtenus en Allemague,< ! al1s les cliniques psychia- triques, où passent la plupart des ali
assent la plupart des aliénés , on trouve : il, Strasbourg, dans la clinique du Professeur Fuerts- ner 65 % de guérisons : à
à Leipsig, chez Flechsig, jusqu'à 82 % de gué- risons. (Bémond. Les cliniques psychiatriques en Alle- magne et à Toulouse, 18
Allemagne, on soigne les aliénés : les médecins foisonnent dans les cliniques , et c'est avec un sourire de pitié méprisante q
aître Rémond (de Metz) il son retour d'un voyage d'études clans les cliniques allemandes, en ]80S : il en revint illuminé, ma
s dans les papilles. ' Deux cenl-qualre cascoiislituent le matériel clinique . Cent trente-quatre d'entre eux concernaient un
e proemine au moins de 2/3 de mill. (2 Dioptries). Parmi les signes cliniques il ne faut pas oublier : les obscurcissements p
ment dans un institut d'arriérés. .. j -' L. W. IX. -Contribution clinique et critique à l'étude de la ca- tatonie ; par E
portant travail. La catatonie tlo laallllrnlno n'est pas une entité clinique ou analmno- palhologique. Les symptômes décrits
nsi s'exprime l'auteur, après avoir procédé à l'analyse des espèces cliniques de l'alexie. Il termine. Généralement, la rep
syndrome de Kahlbauill connu sous le nom de.catatonie, L'évolution clinique el la symplomalologie permettent d'en admettre
malgré les ;, asiles d'élal, Illenau, En11rÍendingen, Pfurzitciin, cliniques d'iieiduthers et de Fribourg ensemble 2395 lils
des malades en rap- port avec leur destination. Les professeurs de clinique mentale et les neurologistes n'ont pas fait par
aliénés criminels d'Eu- rope (Allemagne, Italie) et d'Amérique. Les cliniques psychia- triques 'universitaires d'Allemagne, d
allemandes est de vingt. Chaque université possède actuellement une clinique psychia- trique ; parmi celles-ci, quelques-une
- niques psychiatriques autonomes ont utilisé pour l'enseignement clinique des maladies mentales les asiles provinciaux, can
cielle de cet enseignement. Nous ne possédons quequatrechaires de clinique des maladies mentales et dans aucune de nos unive
voeux suivants : 1° fondation dans chaque ville universitaire d'une clinique psychiatrique autonome ; 2° un personnel médi-
ion du recrutement du corps ensei- gnant ; 4° organisation de cours cliniques payants et de cours gratuits ; 5° organisation
éation d'un concours spécial pour les places de médecins des asiles cliniques ; io réforme de l'organisation du service médica
l, décédé. (Semeur de l'Oise, 110 lIu 20 janvier 190a.) Hôtel-Dieu { Clinique des maladies nerveuses). - Jl. Gilbert ¡; \LLET
'autre une partie du lobe lingual, laissant entr'eux un pont de (1) Clinique Psychiatrique de Genève, avril 1901. Archives,
petit travail; nous le remercions vivement pour ses indications. CLINIQUE MENTALE Etude clinique sur la stéréotypie des d
remercions vivement pour ses indications. CLINIQUE MENTALE Etude clinique sur la stéréotypie des déments . précoces; .
lic- nomène dans un assez grand nombre d'observations ; les 190 ' CLINIQUE MENTALE autres - et ce sont les plus intéressan
x, et à cet effet nous adopterons la division la plus simple. 192 clinique mentale de l'activité musculaire, aussi bien qu
ir prononcé la phrase Aucun I : c, 2" férié, 100 ? I. XIX, 13 194 CLINIQUE MENTALE. - stéréotypée qui lui est familière et
Jlllom ' ? - Vous êtes docteur ; je lui donne sa bénédiction. 196 CLINIQUE MENTALE. « Saer-vous le nom de l'établissement
eur ensemble l'un des chapitres les plus intéressants de l'histoire clinique des déments précoces, et la stéréotypie apporte
eindre et toucher ceux qui liassent il portée de leurs mains. 200 CLINIQUE ME,{1'ALI : . d) Stéréotypies de la marche. Le
e ne préside il l'acte, et nous n'avons jamais observé que la 202 CLINIQUE MENTALE. vue de l'autre sexe filt susceptible d
cessante des (\) Revue de Psychiatrie, n^ 2, lévrier 1001. 1. 204 clinique mentale. mêmes mouvements monotones pendant la
défaut de plasticité cellulaire, et por- tent, même au point de vue clinique , le cachet tout spé- cial qu'ils doivent à leur
semble donc que les attitudes et les mouvements en question. 203 CLINIQUE MEN1AL1Î. contemporains de la période d'intoxic
grossi- bilité nous a invité à les séparer, tant ou point (le vue clinique qu'au point de vue psychologique, des atti- tud
- toircs pendant la période aiguë de l'affection ; et nous ne 208 CLINIQUE mentale. devons pas manquer d'ajouter que cette
ils avaient un caractère Archives, 2° série 1905, t. XIX. 14 210 CLINIQUE MENTALE. intentionnel : plus forte raison est-i
s for- cément pour elles une apparition aussi tardive qu'on n 212 CLINIQUE MENTALE. pourrait le croire. En effet si elles
t de son résidu ? N'est-il pas vrai, d'autre part, que l'expression clinique de pareilles modifications morbides sera comman
if, si bien que lorsqu'il ne se trouve pas éclipsé par l'expression clinique de ces der- nières, il peut être mis en évidenc
lle se présente avec une pureté toujours croissante, à mesure 214 CLINIQUE MENTALE. * \ que progresse la déchéance] de l
me toute la vie motrice de nos dé- ments retraités. ' III. Valeur clinique . A. Fréquence. S'il est vrai qu'un signe cliniq
. ' III. Valeur clinique. A. Fréquence. S'il est vrai qu'un signe clinique a d'autant, plus de valeur qu'il oc- cupe une p
de fréquence s'accroît si, au lieu d'en- visager chacune des formcs cliniques en bloc, on les con- sidère suivant la période
3. Causes d'erreur. Pour conserver à la stéréotypie toute sa valeur clinique , il importe d'en marquer les li- ' mites d'une
interpréter le contenu psy- chologique de ces manifestations. `1G CLINIQUE MENTALE. Pour qu'il y ait stéréotypie, il ne su
langage. Enfin le mutisme lui-même, que nous avons considéré 218 CLINIQUE MENTALE. comme ressortissant parfois au cadre d
s la paralysie générale ; mais elle prend chez lui, au point de vue clinique , une grande importance. Sa prédominance, surtou
avec difficulté de chacune d'elles, c'est qu'il existe, en un 220 CLINIQUE MENTALE. mol, derrière son agitation, un profon
de- grés hiérarchiques les plus opposés de notre activité mo- 222 CLINIQUE MENTALE. trice, et n'en déduisent aucune signif
s conservent un certain degré d'affaiblissement relatif, si 22l t CLINIQUE MENTALE. bien qu'il serait plus juste de les co
ossible de donner une localisation anato- mique exacte au phénomène clinique de la pupille tabétique. L. W. XXXIX. Hérédit
myélite à marche suraigue qui se rapproche plus ou moins du tableau clinique dressé par Landry et qui est certainement de na
iciliano. (Rivisla critica di clinica mediea, 1904, u 6). Admise en clinique , l'existence de ces nerfs était niée dans les l
l'excitation et non de la dépres- sion. Pour Ducceschi et Sergi, la clinique démontrerait que l'a- taxie cérébelleuse ne ser
canal cen- tral, poliomyélite antérieure ». Gualdi rapporte un cas clinique sans autopsie où les lésions classiques de la m
ue non seulement toutes les altérations anatomiques, maille tableau clinique . P. Keraval. XXXVIII. -Des symptômes cérébrau
ile, démontrant l'impossibilité d'établir et de sérier les tableaux cliniques de l'hystérie. Les symptômes sont éminemment ch
autopsies de tahl'liqul' aveugles. Ce malade offre une confirmation clinique du l'ail anatomique que nous avons avancé. Il e
et beaucoup moins souvent. Cet enfant présente assez de caractères cliniques pour qu'on puisse affirmer chez lui l'épilepsie
araît éclairée par les (1) A.STEr.M : \ER.Co; ! tr;&. à l'étude clinique des paroxysmes psy- chiques épileptiques chel l
Ch.). L'hérédité de /'o6M)'.(/r.;<' de ntédecinc,19U2,p. 338.) CLINIQUE NERVEUSE Asile Clinique SamTr3 .4vNr. - Bureau
'.(/r.;<' de ntédecinc,19U2,p. 338.) CLINIQUE NERVEUSE Asile Clinique SamTr3 .4vNr. - Bureau d'admission. Hystérie av
F..., cuisinière, àgée de 48 ans, entre à l'ad- mission de l'Asile clinique , le 17,juin t9O'j, pour la huitième fois. Incul
u après expertise. 'Elle est entrée pour la première fois à l'Asile clinique le 20 juillet 1889, à l'Age de 31 ans, sous le no
La malade prétend ne se rappeler nullement l'inculpation dont 2Gi clinique nerveuse. elle a élé l'objet, ni sonpassageàlaP
n même temps la voix de son ami lui faire des propositions. - 266 CLINIQUE NERVEUSE. Pendant qu'évoluaient ainsi les troub
elles circonstances elle a commis le délit de grivèlerie pour 26S CLINIQUE NERVEUSE. lequel elle a été arrêtée) : enfin en
à l'occasion d'une nouvelle entrée au bureau d'admission de l'Asile clinique , le 1ti janvier 1905. F... s'était remise il tr
t la localisation et le développement sont déterminés pas à pas. La clinique disait, et l'autopsie continua : tumeur occupant
tre la légitimité de leur division au point de vue physiologique et clinique .. L'a- nalyse graphique de ces différents mouve
Meige. (Nouo. Iconogr. delà Salpêtriére, n° J, 1904.) Description clinique d'un sujet de 30 ans qui présente il la fois le
ort '21- heures après le traumatisme..La comparaison des si¡ ! 1H's cliniques -observés relativement à la sensibilité eLilla
d'apparition et de fréquence, la première place parmi les variétés cliniques . Les variétés cliniques fondamentales de la tlé
uence, la première place parmi les variétés cliniques. Les variétés cliniques fondamentales de la tlémenccltt'11711Livese réd
tif de ceux dans lesquels c'est un simple phénomène dans un tableau clinique plus ou moins complexe comme chez l'al- cooliqu
N.v- MOUR. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n° , 10'I). Tableau clinique complet de la maladie de F. avec les particula-
alcoolique ayant introduit des élé- ments étrangers dans le tableau clinique de la syphilis cérébrale. P. Keraval. LXV. De
d'écueils. Il est vrai que, sur 281 aliénés criminels traités à la clinique d'Ileidelberg, dont 45 anciens détenus eL33 vag
11), UonL onze pactceberccilos ? - BIBLIOGRAPHIE. 331 les progrès cliniques et anatomo-pathologiques faits dans l'étude de
ossesse, accouchement, lactation) peuvent se traduire en un tableau clinique identique, développé sous l'influence de causes
ie D.ilx frères. Vol. XIX Mai 1905 N 113 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Sur l'amblyopie hystérique monoculaire
(à pro- pos d'un nouveau cas) ; Par le 1)' R. CHCCIIET, Chef de Clinique * il l'Université de nmdcnux. Depuis les travaux
rinaud, Chariot, Pitres. Bernheim. Pierre Janct, les particularités cliniques de l'amblyopie hystérique, surtout monoculaire,
e neurologie, 1901 n° G9. Archives, 2' série, 1905, t XIX. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE. gère, devient constante, correspondan
e médecin qui la voit le lendemain lui dit de ne pas se baigner 340 CLINIQUE NERVEUSE. et ordonne des lofions de l'oeil mati
r avec un drap mouillé et des frictions avec un gant de crin. 342 CLINIQUE NERVEUSE. Au bout de 8 jours, on constate un mi
éances de la Soc. de Biol., Paris, 11 février 190.'), p. 28d. 344 CLINIQUE NERVEUSE. maie à gauche. La pression du globe o
d'un oeil, du droit par exemple, ce n'est pas un prisme qui me '346 CLINIQUE NERVEUSE. rendra la vue de cet oeil : et je ne
tres se détachent en rose et avec leur grandeur réelle ; enfin, 348 CLINIQUE NERVEUSE. si les deux yeux sont ou verts, elle
ferme l'oeil droit, elle ne voit que la lettre F; si elle ferme 350 CLINIQUE NERVEUSE. l'oeil gauche, elle ne voit rien avec
tre question de vision binoculaire, que si les deux yeux per- 352 CLINIQUE NERVEUSE, , çoivent ensemble un même objet ou l
typique de ce genre (lac. cit.1 .lncnIVr, 2^ çric, I. I\. 23 351' CLINIQUE NERVEUSE. Celle expérience se montrait par suit
i [ellH'11 1. i.io lui dis de l'l'l'lIH'1' ¡"l'il gauche, le : 33l. CLINIQUE NERVËUSU. . droit devient aussitôt amblyope et
umière blanche qui n'arrivent plus jusqu'à lui (action physique). CLINIQUE MENTALE Auto-identification romanesque. (Illu
P. » La malade se révèle dans son propre passé comme une per- 3G2 CLINIQUE MENTALE. , sonne peu normale. Elle a toujours e
temps avant la rencontre du boulevard des Italiens, cet homme ·ul1 CLINIQUE MENTALE. avait dû l'épier, el à ce momentnième
, à établir d'après eux des observations analogues aux observations cliniques , et à comparer ces observations j'ai analysé de
'1Ïè psichiatrii, \'111. 1901. ) De la localisation et de la valeur clinique de la sensibilité osseuse ou vibratoire, par L.
preuve, ni quanta la précision desdon- nées, ni quant aux résultats cliniques jusqu'ici obtenus. ' Cela tient principalement
céphalée. G. C. XCI. - Le liquide céphalo-rachidien dans la rage clinique et expérimentale, cytologie ; virulence ; par M
MATAGNE, CORRESPONDANCE Personnel médical et secondaire à l'Asile Clinique . Paris, le 21 février 1905. ' Mon cher 1\1. B
çus au concours, qui occuperont effectivement les postes de chef de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine
11S Il'it'CS. Vol. 11 ? Juin 1305 No 114 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Le réflexe lumineux dans la paralysie g
sions que de 30 su- Arciiives, 2' .i·ir, 100,i, I. XIX. 2 d' 41.8 CLINIQUE MENTALE jets, nombre insuffisant pour permettre
e- ment et on obtiendra comme nous, à peu de chose près, i'24 i 1 CLINIQUE MENTALE. l'égalité de fréquence des deux altéra
iverses espèces d'altérations aux trois périodes les voici : 4=28 CLINIQUE MENTALE. La succession durant les périodes des
entanées. LI : 1(1'1,1.1- : \1 : 1.1 UIvJ L.1 l'IIULYII : 429 430 CLINIQUE MENTALE. - lysie générale, ceux-ci n'exerceraie
x catégories de malades donnant lieu chacune à des considérations cliniques et thérapeutiques particulières : D'une part, on
n de la sensibilité générale. Enfin, il cette absence de si- gnes cliniques s'ajoute, pour augmenter la difficulté du diagn
d'un malade du service de Pierre Marie, très courte au point de vue clinique mais dont l'anatomie patholo- gique a été étudi
c les accidents névritiques. La ponction lombaire juinte aune étude clinique plus minutieuse amontré que les cas légers ne son
hes spasniodique. Il y a un certain parallé li",ll1e entre la forme clinique elles lésion*. - t - IIèmot'l'hayie sous-pin-nx
n laboratoire de psychologie expérimentale doit être annexé à toute clinique psychiatrique. Voir Progrès médical du 11 avril
apprécié, il alla écouter Magnan, et devint un disciple de l'Asile clinique . Ce fut là que sa vocation se décida, et sa car
second en qualité de médecin adjoint pendant troisannées. Son sens clinique se trouvait à l'aise dans ce milieu si riche d'
s, combien lui furent utiles les en- seignements de cette admirable clinique qu'est l'Infirme- rie spéciale du dépôt de la P
e sérieux profits. Nous savions. en effet, avec quelle intelligence clinique , avec quel souci de la vérité, il examinait les
'étude de la folie ne saurait se cantonner dans l'exclu- sif examen clinique ou médico-légal de l'aliéné ; elle sou- lève tr
irection qu'il apprit à n'accep- ter que les faits confirmés par la clinique . Comme il le répétait sans cesse à ses auditeur
s cas obscurs qui y abondent. 11 fallait voir avec quelle dextérité clinique , il savait écarter les broussailles qui encombr
s y survivez, car vos suc- cesseurs se heurteront à des difficultés cliniques qui vous feront apparaître à leurs yeux,qui évo
al collège des médecins ; ses travaux comprenaient les instructions cliniques sur l'aliéna- tion mentale, Ghcelat Cottages as
de notre distingué collaborateur, M. ! loger mignon, ancien chef 'de clinique de la Faculté, médecin- adjoint des asiles publ
mentales Dr D[\Y, le jeudi il 10 heures (section Rambuleau). ,1 Clinique des maladies DU système nerveux. M. le professeur
'anatomie pathologique au laboratoire d'anatomie pathologique de la clinique des maladies nerveuses, à la Salpétriere. Ce co
par Bastogli,237. CLmonI.o-nACmDtEV. Le liquide I - dans la rage clinique et expérimentale, cytologie ; vi- ! , rulence
otique. Voir Sys- tème nerveux. Nouvelle con- tribution à l'étude clinique de l'- amaurotico - paralytique familiale de
asiles d'alié- nés par Deswarte, 254. -- et secondaire à l'Asile clinique par Dubuisson, 411. Phénomène de « déjà vu ».
d et Zum- mern, 324. Rage. Recherches sur la , par I)oddi, 235. clinique . Voir Céphalo-rachidien. Rapport médical, pou
de la , par Schtscherbak, 378. De la localisation et de la valeur clinique de la os- seuse ou vibratoire, par Minor, 379
0. Statistique. Voir Enfants idiots. S'1'Én(;O'1'\ l'If : . Etude clinique sur la des déments précoces, par Dromard, 189
31 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
EVILLE PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE MM. A.JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté Je médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique | (Ste-Anne). COLLAOaA7EUR5 PRINCIPAUX : F.
(Ste-Anne). COLLAOaA7EUR5 PRINCIPAUX : F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système neneux la Faculté d
II 0 6 VoJ. XXII. Juillet 1906 NI, 127 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE \> Hospice de la S.LP>Jrltlialc
Folie MMU ! Mg-6 ? rg.s- AncllIY¡ ? 2' série 19Ce, '. XXII 1 2 CLINIQUE MENTALE. sive, je vous demande la permission, a
ALE. sive, je vous demande la permission, avant d'aborder l'étude clinique decette affection,de vous exposer briè- vement
les rapprocher et à les fondre dans une même espèce morbide. 4 Clinique mentale. IL Période française (1831-1899). On p
me. Ce qui prouve l'exactitude de celte interprétation, c'est 0 CLINIQUE MENTALE. la phrase suivante extraite de son mém
isolé delà manie et de la mélancolie classiques une nouvelle entité clinique à laquelle ces auteurs ont respectivement donné
inguer des cas de manie récidivante ou intermittente, Ivre;- 10 CLINIQUE MENTALE. pelin émit l'opinion que la manie clas
e définitivement exclue du cadre des maladies mentales, comme forme clinique indépendante, et que tous les états d'excitatio
es de Kroepelin aient apporté quelque chan- gement à la physionomie clinique de la maladie ». Gilbert Ballet, dans le Xc vol
d'invo- lution « Cette théorie unitaire peut sembler sédui- 12 CLINIQUE MENTALE santé au premier abord ; cependant, ell
.wur-li0ci : wOt'ITCn ? Atlas manuel de t'·ychiat ie, l. 306. il, CLINIQUE MENTALE. même plus loin et met en doute l'exist
u'elle est trop effacée, surtout li on la compare à l'autre. 16 CLINIQUE MENTALE. En d'autres termes, les accès de manie
cale, 1902, p. 4G2. Archives 2- série, 190G, t. XXII. 1. 2 18 CLINIQUE MENTALE. naturel ultérieurement, je me borne à
er à des lésions anatomiques. Elle constitue donc une simple entité clinique , dont la place naturelle est à côté de la folie
pour lire un radiogramme, il faut des connaissances anatomiques et cliniques qui ne sont point le fait du premier venu. Des ig
Il a < rmntgéniso » un certain nombre de femmes enceintes à la clinique Baudelocque sans avoir jamais vu d'accident ni da
tions de physique et de géométrie, qu'à un physicien d'apprendre la clinique . M. Lahbé et 31. Drouardel font remarquer qu'il
tive médullaire peut se faire en des points différents Le tableau clinique révélateur de la lésion tabétique a passé inaperç
le tabès juvénile. En présence de ces constatations anatomiques et cliniques , il de-, ient nécessaire de rechercher la série
x pyramidaux. On est donc en droit de se de- mander si cet ensemble clinique n'est pas un simple syndrome et non une maladie
n et de la fréquence des ictus dans cet hémisphères Les expressions cliniques les plus intéressantes de ces diverses lésions
infectieuses. sem- ble rationnel de lui rapporter toute l'histoire clinique de ce cas : elle est la cause de la rupture art
lippel conclut en définissant la paralysie générale : « un s5mlrome clinique , caractérisé par un ensemble de signes et une é
et incurable. La psellùo-paral) sie générale diabétique est un fait clinique réel et on doit l'ajouter aux autres formes de
soigneuse- ment, ni antécédents organiques. 2° Dans une évolution clinique qui frappe par sa très grande simplicité et qui
e explication purement hypothétique, il pense que c'est un point de clinique qui révèle peut-être un signe important dans le
as est une arthrite mélacarpo-phalangienne ayant tous les attributs cliniques et radiographiques du rhumatisme chroni- que ;c
ynergiedes mouvements et à lutter contre l'inertie. Certains signes cliniques se rapportent à cette dernière fonction : ainsi
e et a déjà remporté de brillants succès dans les diverses variétés cliniques du vomissement, en particu- lier les vomissemen
hiatrie a été extrêmement avantageux à la connaissance des tableaux cliniques des maladies mentales et des méthodes pour les
le que moyen- nant l'examen du vaste matériel offert par l'histoire clinique d'en- tières descendances de famille. Une parti
,(1-1')i-issau(l (t. IX, p. 408 414, 1904). Dans le cas d'Amiral ( Clinique médicale, t. V, p. 713, 4e édit. cité d'après T
e- mières scissure ? (calcarine,limbique, etc.),apparaissent 90 CLINIQUE MENTALE. vers le milieu du quatrième mois ; peu
'hémiagénésie céré- belleuse, du moins d'une origine postérieure. CLINIQUE MENTALE Les symptômes oculaires de la Paralys
Interne de l'Asile de Monlilevergttes P. PANSIER Ancien chef de clinique ophtalmologique de la Faculté de Médecine de
(1) TOULOUSE et UIlPA3. ? Journal de Neurologie, n° 3, 1904. 92 CLINIQUE MENTALE commodation, est rarement pur, mais se
nt aux paralysies qui se présentent au cours de la paralysie 94 CLINIQUE MENTALE. générale leur valeur diagnostique spéc
tal- ;I) Jean Gai.I'.zoxyski. Thèse de l'nris, Juin 1901. 1. 96 CLINIQUE MENTALE. moscopiques est liée à thémianestluisi
logie générale, 1904. Archives, 2' série, 190f, t. XXII. 7 . 98 CLINIQUE MENTALE. là encore un clément précieux de diagn
affections du système nerveux. Thèse de Paris, juin 1904. 100 , CLINIQUE MENTALE. complet des yeux du paralytique généra
u contraire ne surviennent qu'à la fin. De sorte que le ta- bleau clinique des troubles visuels du paralytique géné- ral e
tatations de labora- toire ont confirmé ce qu'avait fait prévoir la clinique ; le dé- lire des infections et des intoxicatio
ques que le délire qui donnent à cette affection sa valeur d'entité clinique . Les connaissances sur la physiologie pathologi
t à un âge avancé de ce qu'elles sont à l'âge adulte. III. Aperçu clinique . - A. NEUROLOGIE. - L'arté- rio-sclérose cérébr
epsie sénile. L'épilepsie sénile peut présenter toutes les variétés cliniques de l'épilepsie juvénile, avec ou sans quelques
du cerveau sénile,pour ten- ter enfin une superposition des données cliniques aux alté- rations anatomiques. Il est vrai qu
e vue neurologique, il y a également quelques lacunes dans l'exposé clinique de M. Léri. Le cerveau sénile traduit sa sénili
gie, il existe des paraplégies vraies d'emblée, qui forment un type clinique parfaitement dis- tinct. Les paraplégies myél
ntative de superposition des lésions anatomiques et des syn- dromes cliniques ; en dehors d'un petit nombre de faits, cette s
té obligé de se contenter de faire de fréquentes incursions dans la clinique à propos de l'étude anatomique 3t dans l'anatom
propos de l'étude anatomique 3t dans l'anatomie à propos de l'étude clinique .S'il n'a pas com- mencé l'étude du cerveau séni
malade, mais il est tou- jours possiblede retrouver dans le tableau clinique la part de chacun des fadeurs surajoutés. La re
uteurs plaide en faveur de cette conception, puisqu'au point de vue clinique elle se présen- tait avec tous les caractères d
a disparu avec lui. G, 1). 156 BIBLIOGRAPHIE. IV. Contribution clinique et anatomique 11. l'étude de la chorée de Hunti
'1°eniat·ia, 1904. \'01. XXX, J'asc. Il, III,) L'élude étiologique, clinique et anatomique de la chorée de Iluntinglon a occ
M. Hos51 rapporte une observation de celle affec- tion, avec examen clinique et histologique. Ayant exposé les ré- sultats d
sseaux ca- pillaires. En terminant, il fait remarquer les affinités cliniques et anatomo-paLltologillues qui existent entre l
hésies psychiques dites nerveuses ou hystériques. Etude historique, clinique , expérimentale et critique. 1 vol. In-8" de 320
paees Bergmann à \Viesbadn. HomuHUËZ-MotN ? Contribution à l'étude clinique de la parti; : rsie générale en Espagne In-8° de
RECHERCHES SUR LE T11.11T1 : >ILN T DU L'ÉPILEPSIE, 169 170 CLINIQUE NERVEUSE. de régime sans sel et sans bromure, d
icables également le plus souvent aux adolescents de Hi à 18 ans. CLINIQUE NERVEUSE Un cas de compression de la moelle ave
présente des lésions de dégénérescence des faisceaux pyramidaux, en clinique encore, quand on se trouve en face de pareils s
ements limités do flexion et d'extension dans les genoux. \ 172 CLINIQUE NERVEUSE. Les mouvements passifs dans toutes le
fracture du rachis. Paraplégis spasmodique ; laminectomie. 174 CLINIQUE NERVEUSE. la spasmodicité, avec clonus et exten
sente un nouveau cas. On peut déduire de ces faits que les signes cliniques de spasmodicité ne coïncident pas toujours avec
bablement qu'avec le temps il disparaîtra aussi. En somme, ce signe clinique ne nous autorisait pas, chez notre malade, à di
Cestan. (Soc. anatomique, février 1899.) (2) Etude anatomique et clinique sur la srlérrose en plaques, par J. l3;rhinsl :
lérrose en plaques, par J. l3;rhinsl : i. Thèse de Paris, 1889. CLINIQUE MENTALE Délire de persécution à base de fausse
alcoolique; . par il I&#x152;MOXU (de lleLz), Professeur de clinique des ma- ladics men laI cs à l'enh"cl'- sité d
sité de Toulouse. eL L , Lucien LIGItII 1 I : , Ancien chef de clinique des ma- ladies menlales, médecin des asiles.
es était « un des faits les plus « propres à montrer que les études cliniques ne sont pus « restées,en psychiatrie.plus stéri
peuvent présenter ce que nous pourrions appeler les élégances de la clinique , en raison de la diversité de . pronostic des d
matière d'observation, à conserver une bonne tenue aux descriptions cliniques . Il y a plus : il existe en psychiatrie tout un
unanime pour reconnaître l'exis- tence, l'autonomie, la régularité clinique de la manie, de la mélancolie, de la paralysie
. -Le 17 juin 1901, Antoine C ? se présente à la consultation de la Clinique des maladies mentales de Toulouse, se plaignant
étudiant en philoso. .lttcnrvrs, 2' série, 1OG, 1. XXII 12 178 CLINIQUE MENTALE. 1 ]'hie ; il nous donne sur sa maladie
rver plus longuement; nous l'engageons à solliciter son entrée à la Clinique , où il est placé dès le lendemain. Malheureusem
il reste de 1890 à 1894. Cette période est caractérisée par 180 CLINIQUE MENTALE. un ensemble de préoccupations religieu
er une gratuité d'inscriptions,les nécessités administratives 182 CLINIQUE MENTALE. coutumières dont on lui parle, et les
à haute voix : « Il a tait sa mai. » .le suis convaincu que 181 ' CLINIQUE MENTALE. ma mère est morte et. que mon absence
l est névropathique ; nous notons de l'hy- perexcitnbililé. 186 CLINIQUE MENTALE. Au moment de l'examen, pas d'hallucina
s voit trop grossiers, et ne se considère point comme étant 190 CLINIQUE MENTALE. né pour cultiver la terre, alors qu'en
le est un peu nerveuse, perdre une partie de ses moyens. L'examen clinique , en révélant l'étendue des anesthésies et dss i
- niâtre, les troubles psychographiques complètent les tableaux \ cliniques . Les crises d'inertie avec leur aspect clinique
t les tableaux \ cliniques. Les crises d'inertie avec leur aspect clinique spécial et les rires morbides, explosifs, incoe
formes de nymphomanie. M. Gilbert Ballet. 11 existe de nombreux cas cliniques denymphomanie tout à fait différents de la desc
stème nerveux est rendue plus ma- nifeste par l'etude de l'histoire clinique de certains états pa- thologiques. Elle est émi
n chondrale et le défaut d'ossification périostale. Au point de vue clinique , on note le moindre volume de la tète, l'absenc
L'étude de ces paramètres pourra donc être utilisée à l'avenir en clinique nerveuse pour reconnaître l'origine et le siège d
insensiblement de l'un à l'autre. Lés auteurs rapportent le tableau clinique d'une affection familiale spasmodique qui tient
ose rapportées par les auteurs de ce travail. A défaut d'expression clinique précise, il faut dépister la névrose en étudian
dont les conclusions sont appuyées à la fois pardes considérations cliniques et par des faits expérimen- taux ; ils ouvrent
OUS et PAGNIFZ. (Nouv. Icon. Sal- pêtrière, 1905, n" 6.) Histoire clinique d'une famille frappée à trois générations d'oph
ois ilsontun myxoedème fruste, des tics. On ren- contre trois types cliniques . Dans le premier le nystagmus estle seul symptô
e la bouche, renversement de la tète en arrière, etc. Ces tics tous cliniques , sauf les renverse- ment dota tète en arrière,
asiles d'aliénés. ment de l'aliénation mentale, soit comme chefs de cliniques ou internes des hôpitaux nommés au concours.
es d'exposition. Le maximum des points sera de 20. 5° Une épreuve clinique orale. Celte épreuve portera sur un seul malade
utes d'exposition. Le maximum des points sera de 20. 6° Une épreuve clinique écrite. Cette épreuve portera sur un seul malad
il a in- diquées. C'estdonc, ici comme partout en psychiatrie, la clinique , c'est-à-dire la constatation des faits qui doit
à-dire la constatation des faits qui doit fournir la réponse. Or la clinique a répondu que la folie gémellaire de Bail exist
une dans ce mémoire. Qui sait ce que leur réserve l'avenir et si la clinique ne les comblera pas ? L'auteur, à ma connaissan
est M. Serge Sou- khanoff, privat-docent,et médecin assistant à la clinique psychiatrique de Moscou ; son mémoire a paru en
onfusion dans la question. Il est à désirer que les hasards de la clinique favori- sent M. Serge Soukhanoff et lui fournis
bord à cause de l'autorité de son auteur qui fut profes- seur de Clinique mentale à la Faculté de Médecine de Pa- ris, et
ons pas publiée plus tût, espérant toujours que les hasards de la clinique nous en fourniraient d'autres; mais notre espoir
rches psychologiques restent en parfait accord avec les expériences cliniques des in- fluences psychiques du brome. PATHOLO
. Plus récemment Clouston, en ayant re- cours seulement à l'examen, clinique , évaluait a27 °/&#x201e; la proportion moye
Iill que 127 cas de tuberculose furent constatés alors que l'examen clinique n'en avait dépisté que 67. Un relevé statistiqu
proportion de deux tuberculoses mécon- nues sur une reconnue par la clinique , ce qui infirme singulièrement les déclarations
outre, à donner au personnel des indications détaillées louchant la clinique psychiatrique et les soins spéciaux que réclame
hystérisables. Dans le deuxième chapitre, il étudie les caractères cliniques de l'anesthésie suggérée et il donne le résulta
iron. vol. xjai Novembre 1906. N 131 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Mutisme, aphonie, amnésie, aphasie apha
n ouvrier, estimé de ses Archives 2- série 190G 1. XXII. 22 338 CLINIQUE MENTALE. patrons, il ne buvait pas, se conduisa
ardez,mon bras est revenu, leur dit-il, nous allons descendre 34b CLINIQUE MENTALE. et prier » . Il allume la lampe et des
région temporo-pariétale gauche : « J'ai toujours mal là ». 342 CLINIQUE MENTALE. D. Depuis quand ? - R. Je ne sais pas.
attirée/cherche pendant cinq minutes et ne retrouve pas. 314 . CLINIQUE MENTAL ? 3 3 mai. Trois minutes après lui avoir
de choses à signaler sur les modifications de l'intonation. 346 CLINIQUE MENTALE. Lorsque D ? reparla à voix haute on pu
e 1 » 15 avril. L'amusie est un peu moins absolue ; lorsque 31S CLINIQUE MENTALE. l'on siffle la Marseillaise, le malade
en scandant chacun de ces mots. Nous lui montrons le chiffre 350 CLINIQUE MENTALE 2. il le dit aussitôt; puis le chiffre
ase, avec des arrêts fréquents, après sa, il arrête plusieurs 352 CLINIQUE MENTALE, secondes il savait bien nous dit-il, q
ubles du caractère si dncnlvss, 2' série 1906, t. XXII. ·'3 354 CLINIQUE MENTALE. fréquents chez les hystériques, peu at
15 centimètres, un autre il est perçu jusqu'à 25 centimètres. 356 CLINIQUE MENTALE. Lorsqu'il est plus troublé, le malade
che que la photographie reproduite ici permet de constater. 3JS CLINIQUE MENTALE. Le muscle frontal gauche se contractai
léger traumatisme de l'épaule droite à la suite duquel une 360 CLINIQUE MENTALE. paralysie flasque du bras droit s'inst
stic précoce à l'admission dont peut disposer l'aliéniste, moyens cliniques qui s'augmentent chaque jour de nou- velles mét
el à des moyens d'inves- tigation accessoires, empruntés moins à la clinique qu'au laboratoire, et que nous trouvons résumés
ître la technique et qu'on vou- drait voir entrer davantage dans la clinique . Après dessiccation à l'air et fixation, par le
eptique peut précéder de quelques jours l'explo- sion des symptômes cliniques caractéristiques d'un état de mal grave. 6° L
EVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. paranoide et la paranoïa. La conception clinique de Kraepelin de la démence paranoide simple et
mence précoce, est sans doute une des plus importantes acquisitions cliniques de] ces derniers temps, mais il a, selon l'aute
elon l'auteur,une trop grande tendance à vouloir élcr- gir le cadre clinique de la démence précoce ; et cette tendance l'a a
général possible. ,1. Si';GLAS. XV111. Recherches statistiques et cliniques sur le suicide chez les alcooliques ; par LORRN
ulation s'est élevée de 580 en 1896 à 686 en 1905 : au point de vue clinique les admissions sont rangées sous trois grandes
niement plus difficile. Cela explique, me semble-t il, pourquoi, en clinique , on a si rarement recours à l'ergographe, et, q
ues éléments de dia- gnostic. Or, quand il s'agit de diagnostic, la clinique ne rcculepas devant un examen minutieux et déli
tes. 421 1 PSYCHOLOGIE. Un vaste champ d'études s'ouvre donc en clinique . L'examen des paramètres des courbes des neuras
Iu ? li"tell1elll après l'exposé du Parallèle en queslion. 426 CLINIQUE MENTALE bel (Sarthe), le 22 mai 1889 ; entrée à
d'épilepsie. Ecolage : l'enfant est d'une nullité complète. 432 CLINIQUE MENTALE. les mouvements : assis, debout, en ava
itale. 433 Tableau comparatif du poids et de la taille. , 434 CLINIQUE MENIALE. cg. ; puis à partir du 4 juin la dose
Entre l'extrémité antérieure de l'hélix et la branche infé- 438 CLINIQUE MENTALE. rieure de l'anthélix, existe dans cett
aitement par la glande thyroïde. Cott ? pèse alors 24 k. 4 ! 40 - CLINIQUE . MENTALE. 500 et mesure 1 mètre 17. L'administr
taille pendant le troisième tl ait ! 11/el, t thyroïdien. ii2 CLINIQUE MENTALE. surtout avec ses compagnes. Elle a fai
ce semestre, l'enfant a encore gagné un cenli- mètre. 11111, '¡ CLINIQUE MENTALE. de septembre. On suspend alors le trai
le 1/3 moyen, foyers de congestion avec râles très fins. z in CLINIQUE MENTALE. La respiration est superficielle, rapi
u. 8 juillet. Aggravation, soif intense, Cott.. demande à ii8 CLINIQUE MENTALE. boire 1/4 d'heure encore avant sa mort
isseaux courent à Archives, 2* série, 1900, t. XXII. 2 .) - 100 clinique Mentale. sa surface et semblent l'envelopper d'
initie de LaloucLLe aLLcignamL presque le sommet des lobes. 452 CLINIQUE MENTALE. Abdomen. Pas de liquide à l'ouverture
une tante morte de méningite, une soeur de tuberculose. 4 : J't CLINIQUE MENTALE. II. Vers la fin de la grossesse, au dé
s en plus, le phénomène du genou qui luisem- ble lié fréquemment en clinique ,ne se manifeste pas ; il convient donc de les d
res et respiratoires d'origine otiquo ou nasale s'ohsencntsomenl en clinique . L'angoisse est parfois la conséquence des (rou
ntrée. Leptoméningite aiguë suppurée diffuse, prouvée parle tableau clinique et la ponction lombaire (liquide séro-pu- rulen
r la production des abcès cérébelleux otogè- nes. Au point de vue clinique cette observation est un cas d'amélio- ration m
els que présente au triple point de vue pathogénique, anatomique el clinique la méningite oto- gène en ce qui concerne surto
ment au niveau du bord alvéolaire et présentent bien les caractères cliniques de cette lésion. Sur le côté gauche et à peu pr
des lésions de leploméningite dif- fuse. Certaines particularités cliniques montrent l'influence du rhu- matisme dans l'ori
i l'influence curieuse des surmenages locaux. La véritable analogie clinique entre le rhumatisme chronique et la paralysie a
32 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Vol. XXII. Juillet 1891. N" 64 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hospice de la S1L.I ? fItIItC. M. le p
RÉDITÉ NERVEUSE, · Leçon recueillie par Georges GUINON, ' Chef de clinique . Sommaire. Progrès réalisés dans la connaissanc
vient chaque jour un motif d'étonnement, a Archives, t. XXII. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. pris- une place importante dans la cl
. XXII. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. pris- une place importante dans la clinique des hôpitaux de Palis, où l'on a appris à conna
-uns. Je vous renverrai d'abord à l'article de mon aucien chef de clinique , M. P. Marie, aujourd'hui médecin des hô- pitau
x, a observé plus de 20 cas d'hystérie mule dans le seul service de clinique générale dirigé par M. le professeur Pitres % d
eur Pitres si t hôpital ,Sainl-Imlré clc Bordeaux, '1'11. 1890. 4 CLINIQUE NERVEUSE. chester ont beaucoup contribué faire
e. Il faut être, cela se conçoit, en possession d'un grand matériel clinique , tant général que spécial pour observer journel
out, c'est le reflet d'une attitude préalable, d'une résolution " CLINIQUE NERVEUSE. prise a priori qui pourra rendre diff
ile peut-être l'ap- préciation véritablement scientifique des faits cliniques . Attendons patiemment que de ce côté la lumière
rendre, jevous l'ai dit, un cas banal; seulement, vous le savez, la clinique attentive trouve à peu près toujours à signaler
oncours de causes provocatrices diverses à démontrer que, ainsi 8 CLINIQUE NERVEUSE. que je le soutiens depuis longtemps,
ans Fig. 1. Anesthésie dans le domaine du facial inférieur. ' -10 CLINIQUE NERVEUSE. les deux yeux, sans scotome central.
t rentre plus vraisemblable- ment dans celui de l'alcoolisme. '12 CLINIQUE NERVEUSE. Maintenant c'est sur les caractères d
l lectures on panalysis, etc. 1° édition. Loiulon, 186, p. 20. li CLINIQUE NERVEUSE. souvent tordue, enroulée sur elle-mêm
lùp., 1890. J Chantemesse. sou. ucérl. cles h(ili., 1890. 16 () ' CLINIQUE NERVEUSE. chez l'homme. Il faisait remarquer qu
i que M. Gilles de la Tourette avait, alors qu'il était mon chef de clinique , pu- blié déjà un travail sur la superposition
se produisent jamais bien nettement. .\1\CI11HS, L. XXII. 2 18 CLINIQUE NERVEUSE. Passons maintenant à l'autre point qu
usc aux yeux verts » comme l'appelle une chanson de carrefour. 20 CLINIQUE NERVEUSE. Il fut soigné comme blessé à l'hôpita
'a plus de grandes attaques, mais seulement de petits vertiges 22 CLINIQUE NERVEUSE. qui le prennent quelquefois sur les r
rts qui sont inhérents, paraît- il, à la profession de tonnelier. CLINIQUE MENTALE NOTE SUR LE DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNA
nsultation externe de la Salpêtrière, le 17 dé- cembre 1888. 26 # CLINIQUE MENTALE. Antécédents héréditaires. - Mère, mort
et remonte dano la gorge jusque dessous la langue, - Comme elle 28 CLINIQUE MENTALE. n'a plus de pensée, il y en a un qui l
ons psycho-sensorielles, intéresse les centres sensoricls-corti- 30 CLINIQUE MENTALE. eaux. J'ai déjà rapporté dans des étud
n son entier, et l'on se trouve aujourd'hui en présence d'un type clinique parfaitement défini, à symptômes précis et quasi
âges différents des animaux, ou celui d'une faute de l'observation clinique et de la recherche anatomique ? La première sup
l'Ecole pratique des Hautes-Etudes. · I. L'étude expérimentale et clinique que les Italiens ont faite de l'épilepsie corti
es circonscrits, comme dans l'épi- lepsie expérimentale et la forme clinique de l'épilepsie partielle; 20 ces convulsions, a
brale, ainsi qu'on le suppose d'ordinaire ? Seppilli, dans une note clinique publiée en 1888, a cité quatre cas dans lesquel
jackso- nienne exclusivement motrice) : la démonstration anatomo- clinique est faite. Dans le second cas, ces phénomènes ser
o-palpé- braux. Unverricht, dans ses Recherches expérimentales et cliniques sur l'épilepsie ('1883), avait montré aussi qu'
ches faites par Danillo 1 A. Pitres. Etude sur quelques équivalents cliniques de l'épilepsie partielle ou jacksonienne. - Ite
ticale, reparaissent, avec plus de netteté, dans les observations cliniques recueillies par Seppilli. Quant au siège des lési
ielle ; il peut être d'abord 1 Charcot et Pitres.-Etude critique et clinique de la doctrine des locali- sations motrices, 18
époque, quoique avec moins de puissance, porté sur le terrain de la clinique les résultats des études nouvelles sur les locali
de l'épilepsie générale. Qu'enseignent maintenant les observations cliniques re- cueillies par Seppilli relativement à la pa
courants aux ganglions infra-cor- ticaux 2. Dans une observation clinique , suivie d'autopsie, Toma- ' Th. Ziehen. Ueber d
le l'indépendance et la succession des accès. Donc, au point de vue clinique aussi, la zone exci- ' B. Tomaschewski. Zur Fra
é et la diffusion de l'accès 1. Pour être applicable à tous les cas cliniques possibles, la théorie corticale de l'épi- lepsi
ière. Les ganglions opto-striés étaient normaux. Des considérations cliniques et anatomo-pathologiques aux- quelles pourrait
E PROGRESSIVE; par SEEUSMUELLER. (Neurol. Centralbl., 1889.) Type clinique de poliomyélite chronique avec polioencéphalite
UTION A L'ÉTUDE DE l'épilepsie JACKSO- N1ENNE ET DE ses équivalents cliniques ; par L. LOEWENFELD. (Arch. f. Psych., XXI, 1, 2
h) pour arriver au long et substantiel travail de Loewenfeld. Types cliniques divers de l'épi- lepsie partielle (douze observ
e la moelle); par G. Rosso- LIMO. (Arch.f. Psych., XXI, 3.) Etude clinique et anatomopathologique consciencieuse, avec pla
ECK.. (Arch. f. Psych., XXI, 3.) ? Voici une autopsie, sans étude clinique préalable, où l'on voit : Archives, t. XXII. 9
rimentations antérieures. P. IERAV-1L. Xi. Contribution .1 L'ÉCUDl3 clinique et AiV.ITOMO-P.1THOLOO1QUE DE LA NÉVRITE ALCOOL
riques ; légère dégénérescence des muscles. Observation IL Allures cliniques de l'ataxie locomotrice progressive : douleurs en
'expérimentation (voyez Al'chives de Neurologie, t. XIX, p. 270) la clinique . Cette seconde partie du mémoire (voy. Archives
as possible de déve- lopper dans un compte rendu concis les détails cliniques et ana- tomiques de ces cas, ainsi que les conc
eur Kojewnikof fait remarquer l'intérêt de la question en ce que la clinique des maladies nerveuses est éclairée à l'électri
ère ». Ce travail est fondé sur ses recherches antérieures dans les cliniques de Charcot et de Westphal et une nouvelle obser
folie; elle tend à démontrer que dans la multiplicité des for- mes cliniques en aliénation mentale, l'élément individuel joue
aient d'après l'auteur moins des causes que des effets. Les types cliniques sont : 1° La neurasthénie féminine par suite de
nt deux éléments que l'on trouve souvent en présence sur le terrain clinique ; tout en conservant leurs caractères propres,
a été ouvert le lundi 22 juin 1891, à une heure précise, à l'Asile clinique (Sainte-Anne), rue Cabanis ? à Paris. CONGRÈS
nde et pour raisons de-santé à M. le docteur Pierret, professeur de clinique de maladies men- tales. M. le docteur Weill, ag
agrégé, est chargé, du 1er avril au31 oc- tobre 1891, d'un cours de clinique des maladies mentales. , Faculté DE médecine D'
- Lyon, 1891, Association typo- graphique. Magnan (V.). - Leçons cliniques sur les maladies mentales (Le délire chronique
Prix : 3 fr. 50 ; pour nos abonnés, 2 fr. 75. Magnan (V.). Leçons cliniques sur les maladies mentales, faites à l'Asile cli
(V.). Leçons cliniques sur les maladies mentales, faites à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Recueillies et publiées par Briand
- 701. Vol. XXII. Septembre 1891. N" 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PARALYSIE RADICULAIRE DE
ls je fais allusion, 1 5, mai 1891. ' Archives, t. XXII. 11 162 CLINIQUE NERVEUSE. ne sont pas rares, ils réclament une
re qui s'accentue trois semaines plus tard, quand survient de 164 CLINIQUE NERVEUSE. la raideur du membre. Bientôt la main
on de dégénération de l'éminence thénar et de quelques autres 166 CLINIQUE NERVEUSE. petits muscles de la main; les contra
e, la pupille en est plus petite, la face est aplatie du même 168 CLINIQUE NERVEUSE. côté. Ces symptômes ne sont pas excep
euse, Dnitsch. arch. f. Kli2z. Ile(l. Vol. 17" fasc. 3 et i.) 170 CLINIQUE NERVEUSE. cédez -moi qu'ici la zone d'anesthési
sa.branche cutanée interne. - Cire, ciroâf flexe. C, cubital. 172 CLINIQUE NERVEUSE. innervation purement motrice ; 3° au
ita- tion latente, d'inflammation lente, d'où résulte la fra- 174 CLINIQUE NERVEUSE. gilité de ce côté du corps vertébral.
dienne. . Nouvelle iconographie de la Salpêtrière. 1888-89. 176 CLINIQUE NERVEUSE. J'espère vous avoir montré, par cette
essivement le lobule paracentral droit, Archives, t. XXII. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE. puis pénétra dans les troisième et qu
e pus sort suffisamment par la plaie; l'introduction d'un drain 180 CLINIQUE NERVEUSE. placé avec les plus grandes précautio
de l'appétit. Depuis deux jours, le malade est atteint d'hémi i 182 CLINIQUE NERVEUSE. plégie gauche, et parle avec beaucoup
, scissure perpendiculaire interne. - 7, scissure calcanne. ' 184 CLINIQUE NERVEUSE. et très intimes à la faulx du cerveau
ules. Ce travail pathologique doit correspondre à la crise du 186 CLINIQUE NERVEUSE. '22 novembre, date de la paralysie de
fronto-pariétale, devient motrice, et correspond, d'arrière en 188 CLINIQUE NERVEUSE. avant, au centre des mouvements des m
gique qui seule peut-être pourrait la trancher fait défaut, et la clinique nous paraît insuffisante dans l'étude d'affection
, non seulement sur la physiologie expérimentale, mais aussi sur la clinique et l'anatomie patholo- gique. Cependant, même
n, il y a aussi V organe le plus faible. D'autre part, que donne la clinique ? Dans un premier cas, l'on a affaire, et c'est
dire que les pseudo-paralysies alcoo- liques sont repoussées par la clinique et que l'alcoolisme chronique conduit habituell
lontaires et, au premier rang, l'alcoolisme. Les premiers symptômes cliniques de la para- lysie générale correspondent à une
. Il repousse toute assimilation. M. Mairet rappelle les caractères cliniques qui résultent de l'al- coolisme concomitant à l
a parole pour rappeler que l'on observe en SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 clinique le passage insensible de l'alcoolisme chronique à
lésions alcooliques, en dépit de leurs antécédents et des symptômes cliniques précités. De ces recherches nécropsiques l'aute
jet de cette communication rentre dans la catégorie des documents cliniques et statistiques relatifs à l'étiologie de la para
us du dément sénile que du dément paralytique (tant au point de vue clinique qu'au point de vue anatomique). M. Magnan exp
do-paralysies générales qui offrent un moyen pratique de classer en cliniques des affections d'un dia- gnostic délicat sans p
confirmée par l'au- topsie ou diagnostiquée sûrement par un examen clinique bien fait, observé des troubles vésicaux. Dans
ures. Voyez le l eurol. Centralbl : de 1800. M. SIEUERLING. Etude clinique et anatomique sur la syphilis de la moelle. Voy
asile de Dorpal. Ces observations se décomposent, au point - de vue clinique , en huit groupes : SOCIÉTÉS SAVANTES. 279 9 à
infectieuse. Quelle a été l'action de l'influenza sur l'atti- tude clinique ou somatique du complexus pathogène ? Toutes me
érit complètement. Elle exerce aujourd'hui ses fonc- tions dans une clinique chirurgicale privée. Discussion. M. ScHUELE se
Evidemment il n'y a rien là de la porencéphalie ni au point de vue clinique ni au point de vue anatomique. Discussion. Mi)l
destructives du cerveau et Sapilli (d'Imola), faisant l'application clinique de cette méthode. BIBLIOGRAPHIE. 287 7 A pr
ntre de la vision dans la région pariéto-occipitale; les recherches cliniques de Sapilli sont venues confirmer ces expé- rien
f ; - à la 20 classe : M. le Dr DunUloN, médecin en chef de l'Asile clinique (Sainte-Anne); à la classe exceptionnelle : M.
créé) et maintenu dans la 2° classe ;M. le Dr ROUILLARD, chef de la clinique des maladies mentales, médecin-adjoint à l'asile
A. Storck. j Fournier (A.). - L'llérédité syphilitique. (Leçons cliniques recueillies et rédigées par le D' P. POnTALIEn.
nés : 2 fr. 75. Bureaux du Progrès médical. TOULOUSE (Ed.). - Etude clinique sur la mélancolie sénile chez la femme. Brochur
- - 001. Vol. XXII. Octobre 1891. N, 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE
QUE NERVEUSE ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ'; DE la clinique DE H. LE professeur CHARCOT) PAR Georges Guig
nique DE H. LE professeur CHARCOT) PAR Georges Guignon, Chef de clinique . A. SOUQUES, Interne (médaille d'or) des hôpi
deux termes s diabète et glycosurie. Archives, t. XXII. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE. l'urine de certains tabétiques. Dans
e nom de glyco-- surie d'origine tabétique. Ce sont Jà des formes cliniques du tabes et du diabète indiscutables, parfaitem
ut confirmée par les recherches ultérieures de MM. Landouzy [Leçons cliniques de la Charité, 1882), Rosenstein 2, P. Marie et
t/'ie (J'Î ! 'chow's .9rclt., XXIX DI ? 1885, p. 2( ! ) . 308 ' ' CLINIQUE NERVEUSE. On avait donc, avant Oppenheim, signa
et nous pourrons du reste les appuyer sur une série d'observations cliniques . Dans un leçon récente', notre maitre, M. le pr
ue. (Archiv. de Neurol., t. XIX, p. 305, 1890.) . - .. 4 310 ,' . CLINIQUE NERVEUSE. placer ud second. Dans celui-ci il s'
s inflammatoires et gangreneux des diabétiques . Paris, 1861. 312 CLINIQUE NERVEUSE. tiques un assez grand nombre étaient
ante observation de Lèjroux. La voici résumée : TABLEAU III 314 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU VI : . X... 70 ans. Epileps
ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 315 TABLEAU X' 316 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU XIV ASSOCIATION DU TABES AV
enier. - Diabète et hystérie. (Archiv. génér. de méd., 1888.) 318 . CLINIQUE NERVEUSE. reste fournir ici un exemple de celle
s devons encore à M. le professeur Charcot 2 : - TABLEAU XV 320 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU XVII ASSOCIATION DU TABES A
s de ce malade de la façon suivante : ARCHIVES, t. XXII. 21 323 CLINIQUE NERVEUSE. TABLEAU XXI ASSOCIATION DU TABES AV
ce. (Prix Civrieux, 1883, et Annales méd. psych., 1881, p. 29.) 324 CLINIQUE NERVEUSE. ASSOCIATION DU TABES, ETC. haut que M
.1 pieu /on the ncurolic Iheory of goût. il, 1880, t. 111, p. 1.) CLINIQUE MENTALE DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUT
chés; plus d'un attend encore sa solution définitive que, seule, la clinique pourra donner. « C'est à la statistique, disait
de) du Dictionnaire ' Ann. ? aéd. psychol" 1887, VI, p. 302. 326 CLINIQUE MENTALE. de Dechambre, par le Dr A. Ritti. Auss
ol., 1878, XX, p. 117, et, dans le même volume, p. 208. '- Études cliniques , II, passim; p. 112; obs., 7, 8, 10, etc. , DES
signaler la transformation possible du délire de persécution 328 CLINIQUE MENTALE. en délire des grandeurs. Mais il n'a j
ication de Sérieux 2. Séglas était entré dans cette voie : dans ses cliniques de la Salpêtrière, il discute le diagnostic des
ution systématisés, dont il décrit plusieurs variétés 3. ' Leçons cliniques sur les maladies mentales, Paris, 1891. * Le Dé
ypes morbides. ' 1890, YII, n°' 2 et 3 (sept. et nov.). ..J 330 CLINIQUE MENTALE. Ce n'est pas l'hallucination de l'ouïe
s idées de persécution. Art. Folie, du Diction, de Dechambre. 332 CLINIQUE MENTALE. III. C'est assurément l'une des partic
Société médico-psychologique. Voir ans., sept. 1887. p. 292. 334 CLINIQUE MENTALE. pose à nous et malgré nous d'une façon
e expliquer l'ap- parition des idées de grandeur', il reste ce fait clinique , que beaucoup de persécutés, à un moment donné,
rovoque en duel, ne sort plus qu'armé, et annonce qu'il fera un 336 CLINIQUE MENTALE. exemple. C'est alors (1873) qu'il fut
e provoquer en duel. C'est à l'occasion Archives, t. XXII. 22 338 CLINIQUE MENTALE. de ces démarches que la maladie parut
d'exaltés. Lui-même a toujours été d'un caractère bizarre, mais 340 CLINIQUE MENTALE. d'une intelligence remarquable. Il a é
it dans cette ville pour y recueillir des documents. Puis aban- 342 CLINIQUE MENTALE. donnant cette idée, il s'installa à Ei
les premières observations; les idées religieuses se sont déve- 344 CLINIQUE MENTALE. loppées parallèlement à elles, se fort
mais par une pseudo-démence, qui, offrant tous les caractères 346 CLINIQUE NERVEUSE. extérieurs de la démence, en diffère
ment du cerveau, etc.) : j'en ai rencontré des cas. ' (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE IIEMIATROPHIE FACIALE PROGRESSIVE; P
phie progressive d'une moitié de la face était aussi le symp- tôme clinique le plus éminent. Depuis lors, la soi-disant hém
aso-moteurs dont maintes fois elle est accompagnée, tout le tableau clinique se réduit à une affection du nerf sym- pathique
ases of hemiatrophia facialis. (St-Barthol. Hosp. Rep., XVIII.) 348 CLINIQUE NERVEUSE. enfance, s'est toujours bien portée,
e détermine pas avec une rigueur suffisante le caractère du tableau clinique . En effet, la connaissance même superficielle d
ès rapide dans les derniers mois sont dignes d'être signalés. 350 CLINIQUE NERVEUSE. n'avons qu'à indiquer les matériaux,
. Ce processus ne diffère ni par son étiologie ni par son caractère clinique de ce qu'on observe également dans les autres p
en aiiatonio-pathologiqtie insuffisant, sont sans importance. 382 CLINIQUE NERVEUSE. épileptique; de pareilles attaques re
oilà comment s'explique l'évolution plus ou moins rapide du tableau clinique , d'une part, et, d'autre part, ses particularit
ticipation de ce nerf soit moins évi- Archives, t. XXII. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE. dente, le tableau clinique est, en be
Archives, t. XXII. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE. dente, le tableau clinique est, en beaucoup de points, semblable à celui q
d'un membre, l'atrophie de la langue, etc., et traite les tableaux cliniques correspondants dans des chapitres séparés, selo
raître. Elle n'a aucune raison d'être dans la science exacte. 386 CLINIQUE NERVEUSE. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. DES1ME. - He
sorte le résumé d'une leçon faite par M. le professeur Charcot à la clinique de la Salpêtrière le 14 mars 1887, leçon à laqu
is, issu d'une famille de meuniers solides. Rien d'héréditaire, 358 clinique NERVEUSE. d'autre part aucune maladie antérieur
gions autres que celles qui sont atteintes chez notre malade. 360 CLINIQUE NERVEUSE. L'analyse attentive des symptômes nou
it au dépôt, où il serait resté deux ou trois jours, puis à l'Asile clinique sur le certificat du D1' Garnier portant : c Ep
eurs sont dispersés dans les cordons médullaires. Au point de vue clinique , ce pigeon ne présentait pas de troubles de la
R. (Jahrbuech. f. Psychiat., IX. 1 et 2.) Sur 1,500 aliénés de la clinique psychiatrique de Vienne (six ans 1 Voyez Archiv
. f. Psych. IX, 1 et 2.) Trente et une observations empruntées à la clinique psychiatri- que de Vienne ou de Dobran. A la su
s sont connus, et que l'épilepsie consécu- tive a eu pour complexus clinique le tableau morbide classique. On n'observe, ni
ds des asiles ressemblant plutôt aux hôpi- taux. P. S. XII. Etude clinique sur la mélancolie sénile chez la femme; . par l
icultés presque insurmontables si l'on veut se livrer à une analyse clinique plus approfondie et donner à l'administration,
y en a eu, à Berlin, 147. La plupart des chefs de service dans les cliniques attribuent ces suicides à l'abus croissant du s
; Faucher, médecin de l'asile de la Charité; Pierret, professeur de clinique mentale ; sup- pléant, Dr Fabre, médecin de l'a
Aix;Boubila, médecin de l'asile de Marseille; mairet, professeur de clinique mentale à la Faculté ; suppléant, Dr Maunier, m
ar Minet, 440 ; Les aliénés criminels, par Allaman, lit ; - Etude clinique sur la mé- lancolie sénile chez la femme, par
33 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
science un très grand service le jour où il a soumis à une étude clinique rigoureuse l'aphasie des hystériques. Les carac
ns chercher à mettre en relief et l'individualité et l'importance cliniques , n'est parfois qu'un dérivé, un aboutissant de
une note qu'a bien voulu nous adres- ser M. Capitan, ancien chef de clinique de M. Sée, que le malade fut d'abord considéré
e la place dominante et pour ainsi dire exclusive dans le tableau clinique . Nosoloiquemeut la distinction n'a peut-être qu
distinction n'a peut-être qu'un intérêt secondaire; au point de vue clinique et dia- gnostique, elle nous semble en avoir un
ité de la langue (parésie, déviation spasmodique, tremblement). ' CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS
pellier) '. Recueillies et publiées par le Dr G. RAUZIEH, Chef du clinique médicale '. Il est entré tout récemment dans le
u'elle a été la première 1 Leçons faites du 3 au lt mars 1890. 28 CLINIQUE nerveuse. en date dans le service, et, en outre
t article Parali/sie du Dictionnaire encyclopédique, p. 560. ' 30 clinique NERVEUSE. marche par exemple ; par conséquent i
e mâle avec astasie-abasie, in Montpellier médical, mars 1889. 32 CLINIQUE NERVEUSE. - - rythmiques, dans des muscles déte
eaucoup du paramyoclonus, au point que cer- Archives, t. XX. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE. ;ains auteurs ont voulu l'identifier
rière, a consacré au diagnostic des tics avec l'hystérie, une leçon clinique dans la Semaine médicale de 1886 (n° 37) et plu
e, résumée d'après les notes qui m'ont été fournies par mon chef de clinique , M. Rau- zier : . Le père de la malade est rh
. Enfin, comme terme ultime et actuel à cette symptomatologie' 36 CLINIQUE NERVEUSE. variée, sont survenus les mouvements
paralysie choréique. L'enfant est arrivé avec une hémiparésie 38 CLINIQUE NERVEUSE. très accentuée dont la nature ne pouv
entrent pas encore dans la termino- logie usuelle de l'enseignement clinique et qui résument le langage habituel, heureuseme
On prétend qu'il existe des transitions insensibles entre ces 42 CLINIQUE NERVEUSE. stigmates atténués et les véritables
ésagréable. Tel autre est obligé de répéter 2,3, 10 fois le même 14 CLINIQUE NERVEUSE. mouvement, de tourner dix fois le bo
re chez un épileptique, il y a quelqueintérêtàindi- quer le tableau clinique présenté par le sujet atteint simulta- - nément
ns et opter pour un mal de Pott. G. D. IV. Contribution A l'étude CLINIQUE DES TUMEURS DU cervelet; par les Drs BERNHEm et
ans) permet de penser à ce diagnostic sans qu'on ait de certitudes cliniques , ni d'éléments microscopiques concluants. P. KE
13OETTIG8R. (Arch. PS1jch. XXI, 2.) Mémoire intéressant par l'étude clinique , anatomo-pathologique, et critique d'une observ
aire précoce. C'est le pivot qui peut servir de base à une division clinique distinguant, suivant l'évolution, des formes de
r ZACHER. (Arch. f. Psych. XVIII, 1-2.) Mémoire donnant la relation clinique , atiatomopatliologique et histologique de treiz
psychoses; par .1. WAGNOE. (J,¡h1'büch. ? Pychiut., VII, 1-2.) La clinique enseigne qu'il arrive souvent qu'une maladie men-
primerie du Midi. 1889. Ce travail est le résumé de quelques leçons cliniques faites par' l'auteur sur la chorée molle. Il y
hebdomadaire de médecine et de chirurgie.) A l'occasion des études cliniques récentes consacrées à la syrin- gomyélie, et do
, malgré les différences qu'elles peuvent présenter au point de vue clinique , elles ont une pathogénie commune. Qu'on ail af
de les rappeler. Connus superficiellement jusqu'ici au point de vue clinique , M. Féré a eu le°nrérite de les démontrer avec
i est fait, mais encore ce qu'il y a à faire. - P. S. X. Etudes cliniques sur les maladies nerveuses et mentales; par le
ysies générales, sur leur diagnostic différentiel, sur les variétés cliniques de la paralysie générale; puis son étude de bib
r la dissertation. Le maximum des points sera de 20; 3° Une épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé 30 mi
prohibition ne s'étend pas aux démonstrations qui se font dans les cliniques , sans autres spectateurs que les médecins et ét
eurs que les médecins et étudiants en médecine; mais l'en- trée des cliniques est interdite à tout individu n'appartenant pas à
cientifiques. NÉCROLOGIE.- M. le Dr Maia BETTENCOURT, professeur de clinique psychiatrique à la faculté de médecine de Bhid;
de médecine de Bhid; M. le Dr Via- GNUS Huss, ancien professeur de clinique interne à la faculté de médecine de Stockholm,
LtOPIILQUE DANS LE DOMAINE DU POPLITÉE) Par Ceorges GUINON, chef de clinique à la Salpètrière, etls'nLL. PARMENTIKR, interne
professeur Charcot a présentées et analysées dans son enseignement clinique . Nous ne nous attarderons pas à décrire la dist
tion de compression survenue dans le bassin, bien que les symptômes cliniques soient absolument les mêmes. Enfin elle est en
nous rapportons plus loin l'histoire ont fait le sujet d'une leçon clinique de M. le professeur Charcot'. A la suite de cet
servation. Ces cinq malades font tous partie soit du service, de la clinique , soit de la policlinique de M. le professeur Ch
d'ailleurs confirmer complètement les résultais de l'investigation clinique . Les muscles tibial antérieur et extenseur comm
fesseur Charcot lorsqu'il présenta ce malade dans une de ses leçons cliniques . ' Du groupement de tous ces faits que nous ven
présence d'une névrite avec atrophie dé- générative des muscles.. CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS
pellier ) . Recueillies et publiées par le Dr G. Rnuzien, Chef de clinique médicale . II. Nous arrivons maintenant à la
e et alerte, mais elle ' Voy. Arch. de Neuool., t. XX, p. 27. 188 CLINIQUE NERVEUSE. n'accuse aucun phénomène nerveux bien
minute, 48 fois la main droite et 36 fois la main gauche à sa 190 CLINIQUE NERVEUSE. bouche, sans que le tremblement const
es facultés intellectuelles et parfois à la démence complète. 192 CLINIQUE NERVEUSE. On a beaucoup discuté sur la nature d
ser, et quelle est sa signification ? Archives, t. XX. 13 3 194 - CLINIQUE NERVEUSE. Je n'ai nullement l'intention de vous
né, on voit bientôt l'organe se dévier involontairement de la 196 CLINIQUE NERVEUSE. direction indiquée. Cette manoeuvre e
ents constitue un troisième type dont notre cas démontre la réalité clinique . Cette variété séméiologique pourrait être appe
ns cette modalité symptromatique. Voici, en effet, les carac- tères cliniques du tremblement sénile , d'après Démange, qui l'
nt sur l'oreiller. 11 est nul également pen- dant le sommeil. 198 CLINIQUE NERVEUSE. Mais, si l'on fait asseoir le malade
la. Revue de Médecine.}], conclut que le tremblement dit sénile 200 CLINIQUE NERVEUSE. n'est point lié à la sénilité. S'il e
Les tremblements trépidatoires sont habituellement localisés à 202 CLINIQUE NERVEUSE. un membre inférieur. Ils sont constit
ments hystériques (1890, n° 1 et suiv.)... , , , .. - 1 ' 304 . - CLINIQUE NERVEUSE. lations par seconde, comme Chambard e
un grand intérêt la lecture d'un mémoire de M. Sacaze, interne à la clinique des vieillards, surles diverses pathogénies du tr
Dans la paralysie agitante, les choses paraissent aussi se' 206 ' CLINIQUE NERVEUSE.' r. passer différemment. Au mois de j
pétées, portant sur l'urine de deux parkinsonniens appartenant à la clinique des vieillards, que cette urine, com- parée à c
on. considère le fond morbide; mais les formes symptomatiques 208 CLINIQUE NERVEUSE. sont variées à l'excès, mobiles, fuga
glutie pendant le jour, n'est plus avalée Archives, t. XX. 14 210 CLINIQUE NERVEUSE. pendant le sommeil, alors que la volo
duré, dont on alternera l'emploi avec celui du chlorure d'or. 212 CLINIQUE NERVEUSE. DES PARALYSIES CONSÉCUTIVES A L'EMPOI
ervations sont trop peu . nombreuses et trop incomplètes, l'analyse clinique des symptômes fait défaut dans la plupart des c
reaux. - Leç. clin, de la Pitié. (Ballet. 31ëd., 30 déc. 1888.) 214 CLINIQUE NERVEUSE. recueilli une trentaine environ; un p
. - Comhy. Cécité cl hémiplégie droite (France : )Id., 1SS3). 216 6 CLINIQUE NERVEUSE. premières observations sont dues à Bo
de Médec. interne de Berlin (Sem. déclic., 16 janvier 1889.) 218 CLINIQUE NERVEUSE. la fesse et en ce point une plaque ro
s diminuée. Contractilité galvanique : DELTOÏDE ANTÉRIEUR. '220 CLINIQUE NERVEUSE. devenu hémiplégique à la suite d'une
ft, juin 1882.) 3 Lancereaux, in Thèse de Simon, Paris, 1883. 223 CLINIQUE NERVEUSE. mais ce ne sont pas elles qui ont pro
r l'oxyde de carbone (Archiv /ür Psychiatrie, Bd. I. S. 260). 224 CLINIQUE NERVEUSE. du cerveau est presque la règle dans
entaires péri-axiles sert de base aujour- Archives, t. XX. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE. d'hui à la théorie périphérique de la
même y avoir une diminution du ' Simon. - Thèse, Paris, 1883. 228 CLINIQUE NERVEUSE. - nombre des globules, une anémie vra
ed, C01'1'esp, blalt cité dans Wirchow /«/M'M6e;-icA ? 1868). 230 CLINIQUE NERVEUSE. - PARALYSIES. présenta à la suite d'u
liénés de la Seine. M. le professeur Charcot a démontré par l'étude clinique et expérimentale des paralysies hystéro-traumat
degré par un processus d'auto-suggestion (Char- cot). L'observation clinique et surtout l'expérimentation sur les sujets en
de l'excita- bilité musculaire, ce qui ne nuit en rien à la valeur clinique de l'allure de ces réflexes dans des conditions
dit M. Caspari, infiniment fréquente. L'auteur en fournit un résumé clinique qui est le fruit da l'observation de plusieurs
XXI. LES PSEUDOHALLUC1NATIONS ET LES considérations CRITIQUES ET CLINIQUES DE VICT. KANDINSEY SUR LES HALLUCINATIONS SENSORI
le. L'hérédité donne cependant à un paralytique général un cachet clinique : avant d'être franchement malade, le paralytique
sans troubles psychiques, puis finalement, longtemps après, tableau clinique de la para- lysie générale. Le premier cas seul
e nerveux central, par F. TUCZEK. (Arch. f. Psych, XVIII, 2.) Suite clinique et anatomopathologique de l'épidémie de Fran- k
ILLARD lit un travail sur la statistique et le fonctionnement de la clinique de l'Asile Sainte-Anne et fait remarquer la diffi
u côté droit qui présente plusieurs parti- cularités anatomiques et cliniques intéressantes. L'hémisphère gauche du cerveau d
ainsi qu'à M. Sakaki pour son rapport intéressant relativement à sa clinique officielle de Tokio. Il exalte les mérites de f
ter communique à la Société sept nouvelles observations prises à la clinique de Mendel ou empruntées à la clientèle de M. G.
serions volontiers tenté de les intituler : Introduction à l'étude clinique de la neuropathologie. Et encore conviendrait-i
ations thérapeutiques. C'est la dissection méthodique du substratum clinique . Puis, l'expé- rience encyclopédique de M. Char
r la dissertation. Le maximum des points sera de 20. 3° Une épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé trent
os abonnés 4 fr. BOUP\EVILLE, SOLLIER et PILLIET (A.). - Recherches cliniques et théra- peutiques sur l'épilepsie, l'hystérie
BIBLIOGRAPHIQUE- Garnier (P.) La folie à Paris. Etude statistique, clinique médico- z légale. Avec une préface de J.-C. Bar
. Prix : 3 fr. 50. Pour nos abonnés. 2 fr. 75 SEVESTRE. - Etudes de clinique infantile. Syphilis héréditaire pré- coce, lary
)mp. 990. Vol. XX. Novembre 1890. N" 60 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE LA MIGRAINE OPIITHÂLMIQUE HYSTÉRIQU
IGRAINE OPIITHÂLMIQUE HYSTÉRIQUE; Par J. BÀBINSKI, Ancien chef de clinique de la Faculté à la Salpêtrière, Médecin des hôp
joue cette névrose dans la neuro-patholo- Archives, t. XX. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE. gie. Cette évolution, progressivement
ies et hypéresthésies hystériques se manifestent par des caractères cliniques beaucoup plus fixes et bien moins soumis aux va
arcot, publiées par Bourneville, t. III, p. 249 et suivantes. 308 CLINIQUE NERVEUSE. pêtrière, d'agrandir sans cesse et sa
ché à une névrose autre que l'hystérie, on peut, à bon droit, 310 CLINIQUE NERVEUSE. porter, même dans ce cas, le diagnost
ient à cette névrose, quelques caractères particuliers qu'une 312 CLINIQUE NERVEUSE. analyse plus rigoureuse permettra un
eau. - La nutrition dans l'hy térie. (Progrès médical, 1890.) 314 CLINIQUE NERVEUSE. loppent avec rapidité, mais non souda
e organique du système nerveux, on obtient souvent une repro- 316 CLINIQUE NERVEUSE. duction qui peut paraître parfaite à
t il s'agit. On cherche, par exemple, à faire reproduire les signes cliniques de l'hémiplégie faciale périphérique, soit en m
sme, par Babinski (Archives et nelll'ol., 1889, nos 49 et 50. 318 CLINIQUE NERVEUSE. nant sans difficulté, en signalant si
nt : la périphérie est formée par une ligne eu zigzags, faisant 320 CLINIQUE NERVEUSE. un tour incomplet, une sorte de roue
renseignements plus précis sur les caractères de son scotome. 324 CLINIQUE NERVEUSE. Observation III. - Jeune fille dgée d
produire ; elles apparaissaient tous les huit jours, aussi bien 326 CLINIQUE NERVEUSE. le jour que la nuit, puis tous les qu
p. 202) et dans un mémoire, de MM. Marie et Guinon, sur les formes cliniques de la myopathie progressive (Revue de Médecine
yait plus que la moitié droite des objets qu'elle fixait, et en 328 CLINIQUE NERVEUSE. même temps du côté gauche elle aperce
isuel est un des stigmates les plus communs de cette névrose. 330 CLINIQUE NERVEUSE. sentés par ces malades pour qu'il ne
- nogène. Enfin, dans l'OBSERVATION IV, voici les arguments 332 CLINIQUE NERVEUSE. qu'on peut invoquer : 1° Les attaques
e sens, à la Salpêtrière, par M. Parinaud, sur plusieurs cen- 334 CLINIQUE NERVEUSE. DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE. taines d
nvolution de l'ourlet. » - (A suivre.) PHYSIOLOGIE RECHERCHES CLINIQUES SUR LA PSYCHOPHYSIQUE ÉTUDE SUR LA PERCEPTIBILI
Par Maurice MENDELSSOHN et F.-C. 11ULLEI1-LYER. A.. - Recherches cliniques SUR la perceptibilité DIF- FÉRENTIELLE DU sens
la VUE chez l'homme sain ET MALADE ' . III. Observations et faits cliniques . Avant d'aborder la discussion de faits qui se
éunis dans le service de M. le professeur Charcot à la Salpêtrière ( Clinique , infirmerie, bâtiments) ainsi (1) Voy. t. XIV,
s rapports entre les phénomènes psycho-physiques et les symptômes cliniques dans les différentes maladies des centres nerve
roit, OG -- oeil gauche, YB vision binocu- laire. Les malades de la clinique sont des hommes, d'autres malades sont pour la
d'aborder la discussion de faits qui se dégagent de nos expériences cliniques , nous allons exposer ici les résultats des rech
Valeur absolue de la perceptibilité différentielle. Nos recherches cliniques montrent que la percepti- bilité différentielle
de des ombres chez un nommé Lip...tz atteint d'hystéro-épilepsie ( Clinique n° 6). Comme pour l'oeil normal, on voit éga- l
cusés ; mais, quant à savoir si l'inverse Archives, t. XX. 25 386 CLINIQUE MENTALE. a lieu, c'est une question dont la sol
s facilement la détermina- tion de troubles chromatiques faibles. CLINIQUE MENTALE FOLIE PUERPÉRALE; AMNÉSIE; ASTASIE ET A
ure, qu'elle a été, dans une existence antérieure, un des juges 388 CLINIQUE MENTALE. de l'Inquisition, et que les souffranc
Dubois, puis quinze jours après, elle fut conduite il l'hôpital 390 CLINIQUE MENTALE. Tenon. Là, elle s'ennuyait beaucoup de
es fosses temporales sont très profondes, le front très étroit. 392 CLINIQUE MENTALE. jambes, depuis la tubérosité du tibia
» moi aussi je l'entends tous les soirs frapper chez moi. » 394 . CLINIQUE MENTALE. Comme nous l'avons dit, son mari est u
près la mort de son premier mari, elle reprit son métier de : J96 . CLINIQUE MENTALE. reperceuse. Elle ne sait ni où, ni com
au sensorium. Or, chez notre ' Archives de Neurologie, 1888. 398 CLINIQUE MENTALE. malade, les altérations profondes de l
perdu le souvenir de la cou- leur et de ce qui y était écrit. 400 CLINIQUE MENTALE. Ces faits prennent encore bien plus d'
. Quand cela était-il ? Hier. (Inexact.) Aucmvra, I. XX, 26 402 CLINIQUE MENTALE. Quel jour sommes-nous ? Lundi, puisque
le est très attachée. Si nous lui'faisions lire notre nom, nous 404 CLINIQUE mentale. lui donnions en même temps l'espérance
rine des localisations, n'avait aucune base solide. Au point de vue clinique cependant, ils pré- sentaient continuellement d
en dehors de la théorie de la localisation ; et les observateurs cliniques , comme Bouillaud lui-même, Andral et d'autres sus
ysiologie expéri- mentale 1. Buuillaud 2 rassemblé certains faits cliniques qui semblent. indiquer un rapport entre des lés
ons de Broca ont été depuis amplement confirmées par les recherches cliniques et pa- thologiques et expliquées par l'expérime
malades; variétés d'aspects statistiques anato- mopathologiques, ou cliniques de la question. P. KERAVAL. LI. DE l'action D
el, une sorte d'hypermétropie peuvent nuire à la netteté du tableau clinique ; il faut aussi savoir distinguer le scolome névr
e Lombroso propose d'adopter. P. K. LU. Communications PUISÉES A la CLINIQUE psychiatrique DE PRAGUE; par A. Pack. (Jah1'büc
de types abstraits, artificiels, mais d'individus malades; elle est clinique . P. K. LIV. CONTRIBUTIONS cliniques A la connai
d'individus malades; elle est clinique. P. K. LIV. CONTRIBUTIONS cliniques A la connaissance de l'affaiblissement général
istorique de la question; le quatrième est spécialement dévolu à la clinique et rempli de la description de ces faits intére
il constitue une bonne mise au point de cette véri- table nouveauté clinique . Paul BLOCQ. XXI. Springende Thrombose der Extr
ecine DE NAl'iCY. M. LANCLOIS est chargé du cours complémentaire de clinique des malades mentales. Distinctions honorifiques
nos abonnés 4 fr. BOUKNEVILLE, SOLDER et Pilliet (A.). - Recherches cliniques et théra- peutiques sur l'épilepsie, l'hystérie
nés. 2 fr. 75 BULLETIN bibliographique. 463 SEVESTRE. - Etudes de clinique infantile. Syphilis héréditaire pré- coce, lary
ion des personnes chez les ? , par Alt, 259 ; - Statistique de la clinique d ? de Sainte-Anne, par liouillard, 275 ; - la
é. 121 ; - manuel d'anthropométrie, par Benediht, t, 125 ; études cliniques sur les maladies nerveuses et mentales, et le
ubérance (Tubercule de la), par Bruns, 80. Psychiatrie, cas de la clinique de- de Prague, par Pick, 439. Psychiqui : (Fa
34 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
RCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MJI. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sie-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sie-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facult
uillet 1895. N° 101 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE. CLINIQUE médicale DE l'Hôpital SAINT-ÉLOI DE VIONTPELLIER.
VATION ET AUTOPSIE; PAR L. GALA. VIELLE, et H. VILLARD, Chef de clinique intérimaire Interne des hôpitaux à la Faculté d
même substance grise sur une assez grande étendue. Les phénomènes cliniques qui ont révélé la présence de cette production
cularités anatomo-pathologiques, bien plus que sur les carac- tères cliniques que nous insisterons, soit dans l'observation e
cerveau lui-même, soit dans la cavité cranienne. Quant à la marche clinique , elle nous paraît trop classique pour que nous
ans les résultats expérimentaux vient donc s'ajouter à l'analogie clinique . Ici comme dans l'éclampsie puerpérale n'est-il
e l'accès paroxystique est généralement pré- ' A. Voisin. Recherche clinique sur le bromure de potassium, 18G6. DE L'INTOXIC
is dans une note il ajoute que depuis qu'il a rédigé cette analyse, clinique et ses con- clusions anatomiques, certains symp
leur affection. Krafft-Ebing a fait voir, par la seule observation clinique , que chez les fous périodiques la maladie est p
es nerveux sont très variés et ne réalisent que rare- ment l'aspect clinique d'une maladie déterminée (neurasthénie, hystéri
rasthénie revêt le plus souvent la forme hypocondriaque; le tableau clinique est parfois modifié par l'existence de troubles
que d'une ménin- gite cervicale, laquelle a la plus grande analogie clinique avec la pachyméningite cervicale hypertrophique
signes de réaction de dégénérescence qui sont leurs manifestations cliniques et qui rendent le cas anormal. C. XII. ARTHROPA
ent dans les tabes dits sensitifs. M. Brissaud en donne des preuves cliniques , en présentant plusieurs malades dont les obser
tabès avec la paralysie générale. 91. B. BIBLIOGRAPHIE. I. Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie; par le Dr Gilles
. Dans la préface que le professeur Charcot a consacrée au Traité clinique et Thérapeutique de 1'11ystél'ie, par le Dr Gille
avait poussé M. Charcot à faire partie du même tout des phénomènes cliniques aussi différents les uns des autres que les con
été relevée dans 17 cas p. 100. M. Pierson a utilisé les matériaux cliniques de son établissement pour apporter sa contribut
nstruction publique vient d'autoriser le Dr Rou- hinovitch, chef de clinique à Sainte-Anne, à faire des conférences sur l'al
es a été consigné dans un rapport dont nous allons donner la partie clinique et les conclusions. Ce n'est pas, disons-le tou
iennent lieu ? Du reste cette question, à reprendre au point de vue clinique et physiologique, est toute secondaire, pour le
iminution DE fonction DES organes DES SENS) A la lumière DES études CLINIQUES ET expérimentales; par W. DE B8CHTEREW. (Neurol
. (Nouvelle iconogr. de la Salpêtrière, 1894, n° 3.) Considérations cliniques et physiologiques sur la station et la marche c
ces sur les animaux d'une part, cor- roborées par cinq observations cliniques suivies d'examen histo- logiques complets concl
r la mort, elle n'a guère été inférieure à cinq ans. Les caractères cliniques de la maladie ont été tels qu'on les a décrits
u'on n'a pas encore différencié les unes des autres bien des formes cliniques vésaniques illégitimement réunies. Et puis l'on
une de ces deux circonstances, c'est l'une ou l'autre de ces formes cliniques qui se montre le plus souvent ? C'est que le fact
la réaction parti- culière à chaque individu embrouille les aspects cliniques . Tel supportera bien l'alcool, qui sombrera à l
- 795. Vol. XXX. Septembre 1895. N° 103 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA TUBERCUL
SE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE; Par le D' L. HASKOVEC, Assistant à la Clinique psychiatrique tchèque de Prague. La tuberculose
ère et de ses mala- dies, Paris, 1827. Archives, t. XXX. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE. fuleuse du rachis. » Olivier dit que
Klinik der Rüclcezzmarlcslcranlcheitezz, 1874,1, Dd., p. 473. 180 . CLINIQUE NERVEUSE. nique, elle se manifeste soit sous le
la méningite et méningomyélite tubercu- leuse, tant au point de vue clinique qu'au point de vue anato- mique. Williams s rap
te compliquée de méningite basale et, jugeant d'après les symptômes cliniques , croit que les enveloppes rachidiennes sont plu
formes de leptomyélites tuberculeuses. (Revue de méd., 1886.) 182 CLINIQUE NERVEUSE. Hellich' a décrit chez un homme de qu
tuber- culose nodulaire de la moelle, présentant au point de vue clinique les symptômes d'une myélite chronique. Dans son
-6.) LA TUBERCULOSE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 183 d'examiner dans la clinique de notre maître très regretté et très illustre,
ments. Je remercie vivement mon ami, M. le Dr Dutil, ancien chef de clinique , qui a bien voulu mettre à ma disposition les p
pièces anatomiques et qui m'a communiqué les résultats de l'examen clinique . Observation. Mm. P..., vingt-six ans, sans pro
rès complète des membres inférieurs. La malade est incapable de 184 CLINIQUE NERVEUSE. soulever ses jambes au-dessus du plan
e. III. Une portion prise sur la limite qui sépare la F1g,6. 1 86 CLINIQUE NERVEUSE. moelle cervicale de la moelle dorsale
la surface entière du cordon latéral droit parsemée de petites 188 CLINIQUE NERVEUSE. agglomérations de leucocytes qui sont
s une autre coupe, on trouve, sur le côté externe des Fig. 8. 190 CLINIQUE NERVEUSE. racines antérieures droites, un tuber
D. Partie lombaire. On trouve seulement dans cette partie une 192 CLINIQUE NERVEUSE. légère augmentation des noyaux et des
rculisation de la moelle. En récapitulant la marche des symptômes cliniques . et en les comparant avec les résultats anatomi
des lésions autour du canal central. Archives, t. XXX. 13 194 . CLINIQUE NERVEUSE. nodulaire de la moelle, toujours coex
s carie des ver- tèbres, combinée avec la myélite transverse. 196 CLINIQUE NERVEUSE. La tuberculose peut envahir toutes le
(Voir Voisenet, loc. cit., et Raymond, loc. cil.) Au point de vue clinique , la tuberculose nodulaire de la moelle se prése
lente. Les cas subaigus seule- ment se ressemblent au point de vue clinique . Le malade qui est déjà atteint de tuberculose
s tuberculeux en quantité considérable. Voir Hellich, loc. eti. 198 CLINIQUE NERVEUSE. l'aspect clinique est si différent et
idérable. Voir Hellich, loc. eti. 198 CLINIQUE NERVEUSE. l'aspect clinique est si différent et, d'autre part, pourquoi il
rouvées sur les méninges expliquent suffisamment tous les symptômes cliniques . Les deux cas dont il est question sont, au poi
cliniques. Les deux cas dont il est question sont, au point de vue clinique , en accord très apparent avec ceux de la tuberc
quelconque. De cette manière, on peut espérer qu'à l'avenir l'étude clinique de la tuberculose nodu- laire de la moelle sera
extrémités inférieures et sont très exagérés; ils se montrent 1 200 CLINIQUE NERVEUSE. apparents même spontanément. - 17. Il
chronicité du proces- sus morbide, comme le prouve aussi la marche clinique . La moelle a été certainement atteinte en 1886,
enn man sich auf die makros- kopische Untersuchung beschrà,nkt. * CLINIQUE MENTALE. PSYCHOSES SUR UN FOND DE DÉGÉNÉRESCENC
, atteindre parfois un âge avancé sans qu'aucun accident men- 202 CLINIQUE MENTALE. tal grave vienne attirer l'attention.
2, une prédisposition faible, d'où netteté moins grande du tableau clinique . Les deux observations que nous rapporterons ic
n sur laquelle on trouvera les renseignements bibliographiques et cliniques les plus complets dans la thèse récente de notre
les cliniquement quand l'état intellectuel leur ' Magnan. -- Leçons cliniques et recherches sur les centres nerveux, . 113 ?
quelque ampleur. C'est en effet moins le détail du délire, sa forme clinique , qui offre ici de l'intérêt que l'âge auquel on
AVIII, en donnant des dates exactes sans la moindre hésitation; 204 CLINIQUE MENTALE. elle exprime les idées les plus sensée
, janvier, il y eut chez elle un dîner de famille, et qu'elle y 206 CLINIQUE MENTALE. a fait peut-être quelques excès de vin
t suivie d'exécution, fait qui n'est pas ici sans importance. 208 CLINIQUE MENTALE. Si nous ne nous attachons qu'à l'évolu
cé- dents, les deux tentatives de suicide ont complété l'ensemble clinique . Si l'on synthétise tous ces faits, on obtient en
éfend un certain temps; la malade disait Archives, t. XXX. 14 210 CLINIQUE MENTALE. parfois : « Ah merci Catherine, Cather
veut se réfugier ; son excitation augmentant, on la place à l'Asile clinique (Sainte-Anne), dans le service de M. Magnan. Pe
squ'en 1891, en effet, notre malade, comme la précédente, z) 1 1 1) CLINIQUE MENTALE. était restée saine d'esprit ; aucun in
chez l'autre, que leur histoire présente quelque intérêt, au moins clinique . Enfin nous ferons remarquer que le trait le pl
s ferons remarquer que le trait le plus saillant dans ces histoires cliniques est la forme hallucinatoire qu'a revêtu le déli
es Facultés de province n'ont pas encore, comme celle de Paris, une clinique spécialement consacrée à l'étude des maladies n
é de médecine; le D''Tissié (de Bordeaux), et Roubinovitch, chef de clinique à la Faculté de médecine de Paris, sont nommés
tain nombre, avant d'essayer de résoudre les questions multiples de clinique et de doctrine qu'ils soulèvent. Chez ce malade
ues-uns seulement de ces centres sont excités ou inhibés le tableau clinique sera incomplet et fruste et de même qu'il existe
de cette explication se fera peut-être physiologique- ment. Mais la clinique et l'anatomie pathologique sont encore peu expl
. Ce sont là des observations physiologiques de haute portée que la clinique a pu corroborer dans un petit nombre de cas. Qu
lhyroïdisation expérimentale, pourrait expliquer aussi certains cas cliniques où l'on a vu les symptômes du myxoedème succéde
a eu en outre de l'exophtalmie. Ces symptômes rappellent le tableau clinique de la maladie de Basedow sauf l'augmentation de
ns employé chez un SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 malade du service de la Clinique des maladies mentales le trai- tement préconisé
Elle n'a jamais cessé d'être en puissance d'hystérie et les signes cliniques qu'elle présente encore aujourd'hui permettent
et aux manifestations délirantes. Il y a là un groupement de faits cliniques où l'hystérie joue le rôle pré- pondérant. On r
t en défaut. M. GLEY, à ce propos, vient confirmer les observations cliniques de M. Babinski par des faits d'expérimentation
-Béarn). -Je crois devoir appeler l'attention du Congrès sur un cas clinique que j'ai observé récem- ment. 11 s'agit d'une m
iques. M. Vallon a, systématiquement, pendant deux ans, à l'Asile clinique , essayé d'endormir des aliénés, jamais il ne réus
logramme d'animal tuent. ' M. Jolfroy décrit ensuite la physionomie clinique de l'action de ces corps; les convulsions dues
roblème : existe-t-il des caractères anato- miques, étiologiques ou cliniques ; qui permettent d'affirmer l'exis- tence de la
s. Mais il y a d'autres causes que la syphilis. Parmi les symptômes cliniques , aucun n'est pathognomonique. Il faut séparer
e générale typique deux formes qui s'en distinguent au point de vue clinique et anatomique : 1° l'en- céphalite sous-cortica
t la subs- tance des hémisphères plus que l'écorce. Au point de vue clinique , symptômes de lésions en foyer (l'auteur a obse
- nuiie, et parfois une dégénérescence des reins. Au point de vue clinique . on observe une variabilité des symptômes, un éta
e trouver une délimitation de la paralysie générale au point de vue clinique . Parmi les formes qui doivent être séparées de
. Discussion : M. Binswanger. - On peut observer dans cette forme clinique des idées délirantes et des états hallucinatoires
per à la faveur de l'altération vasculaire qui caractérise la forme clinique qui vient d'être décrite. z M. Siotr. - Ces mal
ereuses par l'Aca- démie de Médecine. BouR'<E\iLLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
mp. - 05. Vol. XXX. Octobre 1895. N° 104 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. ÉTUDE SUR LA \fÉNI\GO-11YL,LITE DIFFU
Par le Dur NAGEOTTE, Chef des travaux d'anatomie pathologique de la Clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière '. Le
dans un certain : groupe de maladies nerveuses chroniques, dont la clinique . nous montre Travail du laboratoire de M. le P'
il du laboratoire de M. le P' RAYMOND. Archives, t. XXX. " 18 274 CLINIQUE NERVEUSE. les rapports particulièrement étroits
est couvert de granulations fines. Le cerveau est peu atrophié. 276 CLINIQUE NERVEUSE. Les méninges molles, oedémateuses et
triques, dont les ondulations, loin d'être parallèles, circons- 278 CLINIQUE NERVEUSE. crivent par leur juxtaposition, une s
estent bien colorées ; c'est ainsi qu'on peut voir Fig. 10. , 280 CLINIQUE NERVEUSE. 3, 4, 5 noyaux colorés sur une coupe
moelle et localisées à ce niveau presque exclusivement sur les 282 CLINIQUE NERVEUSE. méninges, ne représentent qu'une évol
es. Antécédents personnels. Blennorrhagie à dix-sept ans, pas 284 CLINIQUE NERVEUSE. d'histoire de syphilis Marié en 1882,
rès fines. Dans la région cervicale elles sont moins malades. 286 CLINIQUE NERVEUSE. Les cornes postérieures, bien que pri
lébite; j7EL'ÎLLLI('I'1 ! 0. - lG'9Yt(C0.2,' ? lillB el éosine. 288 CLINIQUE NERVEUSE. éléments nobles, sont le siège, surto
djonction de méningite spinale et traces Archives, t. XXX. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. manifestes de méningo-encéphalite . L
vical, la dégénérescence est absolue dans la moitié postérieure 292 CLINIQUE NERVEUSE du cordon de Goll; la moitié antérieur
te il tendance t ! Odulait'e.7f<;n)n<o.t ? i;;cc<(W)f. 294 CLINIQUE NERVEUSE. ont leurs parois infiltrées; cette lé
quer qu'elle est séparée de la méninge, dans presque toute son 296 CLINIQUE NERVEUSE. étendue, par une mince couche de fibr
ingite; lésions des capillaires. - J/émaloxyline et éosine. ' 298 CLINIQUE NERVEUSE. intégrante du processus de méningo-my
eut concevoir à priori qu'elle aurait pu amener des complications cliniques très appréciables, si elle avait été autrement lo
ue à toute la moelle, constituée comme chez nos tabétiques. 300 . CLINIQUE NERVEUSE. Si l'on rapproche dé ces faits la pet
là évidemment sa tendance. On pourrait s'étonner de voir une 302 CLINIQUE NERVEUSE. inflammation garder si longtemps des
ait précédé le tabes. Il ne faut d'ailleurs pas trop compter sur la clinique pour nous aider sur ce point, car l'observation
e de savoir si elle seule est capable de lui donner naissance. La clinique nous montre bien que 90 p. 100 des tabétiques et
ite vasculaire diffuse peut -jouer dans le tabes. Au point de vue clinique , il ne nous est pas possible de distinguer les sy
clinique, il ne nous est pas possible de distinguer les symp- 304 CLINIQUE NERVEUSE. tomes qui lui appartiennent au milieu
e de l'élément noble, 'entraîner des complications ana- tomiques et cliniques considérables. La preuve en est dans le cas déc
unique lui donne naissance ; en tout cas il est certain, de par la clinique , que dans la grande majorité des cas c'est de l
au même âge, vingt-six ans, et de la même façon. Au point de vue clinique , il y a une grande similitude de symptômes entre
ns dégénératives. Pourtant, comment expliquer l'analogie du tableau clinique ? le cervelet est-il touché dans la maladie de
trouble psychique isolé : elles peuvent se manifester sous la forme clinique d'une épilepsie sensorielle surajoutée à'une ? '"
à-dire du tabes dorsal spasmodique de Charcot. Les considérations cliniques et anatomiques tirées des cas de Krafft Ebing e
anneau fibreux pachyméningitique sur la moelle épinière, Le tableau clinique diffère de celui de la 36 SOCIÉTÉS SAVANTES.
.syringomyéliques secondaires. Mais, dans ces cas, aux symptômes cliniques de la syringomyélie s'ajoutent des phénomènes ins
s'agit là d'hydromyélie et cela ne correspond nul- lement aux faits cliniques que l'on s'accorde à classer sous le nom de syr
ment de la névroglie néoplasiée; 2° quant à la genèse des symptômes cliniques connus sous le nom de dissociation syringomyéli
à l'étude du chlorhydrate d'apocodérzie; par M. le Dr Toy, chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de Lyon. Il
aient être suspects, il publiera cinq observations recueillies à la Clinique de la Salpêtrière dont deux furent suivies d'auto
issements destinés aux incurables (1811), Reil, alors professeur de clinique interne à Berlin, déclare que ces asiles doiven
En même temps que s'organisait à Leipzig et à Berlin l'enseignement clinique des maladies mentales, Nasse fondait à Bonn en
un an. Dans les villes universitaires, cet hôpital devait servir de clinique de psychiatrie '. Les vues émises par Griesinge
reau d'admission, d'hôpital de traitement, et, le cas échéant, de clinique de psychiatrie. Les autres, plus vastes, installé
que dans les asiles ordinaires (59,79 d'aliénés curables à l'asile clinique de Koenigsberg). Il en conclut que le public ma
inue à Brème, et L. Meyer organise en'1877, à Marbourg, une section clinique de surveillance. Il en est de même à l'asile de
Wiesbaden, et tout récemment par M. Kraepelin, qui a organisé à la clinique de Heidelberg, une section de surveillance cont
us de liberté. Les asiles de Marburg (1876), de Dalldorf (1880); la clinique de Halle (1891); l'asile de Herzberge (Ber- lin
riphérique. Pineles donne quatre observations nouvelles prises à la clinique de la faculté de médecine de Vienne. Les deux p
héorique sur les localisalions. De l'examen comparé des symp- tômes cliniques et des lésions, il tire les conclusions qui parai
nt sus au furieux et le tuent. P. K. XLII. ETUDES statistiques ET CLINIQUES POUR SERVIR A la connaissance DE LA PARALYSIE G
alcool. L'auteur se place sur le terrain de la physiologie et de la clinique . C'est bien la question de l'alcool qu'il enten
tion physiologique de l'alcool s'expliquent une série de phénomènes cliniques : l'ivresse, la fureur alcoolique, les actes cr
La suppression de ces boissons a donné d'excellents résultats à la clinique de Heidelberg, non seule- ment dans l'épilepsie
ue. Peut-être ces faits sont-ils en rapport avec certaines variétés cliniques de la maladie. Si le fait se confirme de l'atroph
Th. P. 1891, Steinheil.) C'est un travail de recherches, à la fois' cliniques et anatomo- pathologiques. Etudiant la fréquenc
hez l'auteur. School for fublemin- dord. BOURF.vILLF., Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
et un petit laboratoire où se feraient les analyses chimiques de la clinique courante et où seraient déposés les appareils d
sies, amyotrophies, troubles de la sensibilité), présente une forme clinique bien définie. Il est essentiellement caractéris
t en grande abondance révèle un rapport biologiqne entre la forme clinique et leur présence dans le sang, en ce sens qu'ils
and il est de courte durée, non seulement parce que l'observation clinique attentive montre toujours la préexistence d'une p
nés, au moment d'une rechute, quelle que soit d'ail- leurs la forme clinique de la psychose, seuls, à l'insu de tous, sans a
tique; par le Dr P. SOLLIER. - Intéressante observation du syndrome clinique décrit par Kor- sakoff sous le nom de psychose
ment du tra- vail de l'auteur que l'élément passionnel est un signe clinique dont il faut tenir plus grand compte, lorsqu'il
.) E. B. 474 l1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. LTI1. Considérations cliniques SUR l'étiologie ET la nature DE l'épilepsie tar
remière partie de son travail, l'auteur apporte de nou- veaux faits cliniques à l'appui de ses idées sur la folie blennorrha-
élément infectieux des écoulements purulents non gonococciques ? La clinique répond affirmativement, car elle est bien connu
lose des centres nerveux, que de véritables néoplasmes. Leur allure clinique , leur structure histologique font soupçonner un
sychiatrie. Le malade est mort de pneumonie deux ans après l'examen clinique de Lissauer. Aucune modification ne s'était pro-
que sur la lésion qui pouvait être admise comme cause du syn- drome clinique , avait-il supposé l'existence d'un foyer situé à
M. Wernicke (de Breslau). Sur les psychoses à forme anxieuse. z La clinique exisie la description d'un groupe spécial de psyc
chose à forme anxieuse n'est que le premier stade d'une autre forme clinique qui se greffe sur la première au cours de la co
rable. Les hallucinations et l'anxiété paraissent, dans cette forme clinique , être dans un rapport de dépendance inverse par
buveurs sur le lac de Constance, et par le Dr Fùrer, assistant à la clinique psychia- trique de Heidelherg. Ces deux travaux
AEHR a recherché le signe du cubital chez trente tabé- tiques de la clinique de la Charité. Il ne l'a constaté que dans la m
présente des préparations d'un cas de Rolioencéphalite observé à la clinique de la Charité. En outre des hémorragies habitue
ULOUSE. (Société d'édit. scientif., 1890.) M. Ed. Toulouse, chef de clinique des maladies mentales de la Faculté de médecine
aquelle on n'a pas de mesure; il avoue néanmoins qu'au point de vue clinique les types de M. Magnan diffèrent nettement des
nnelle des médecins. (Dr F. Meschlde. Leçon d'ouverture faite ci la clinique psychiatrique de l'Université de Konigsberg, 29
cessoire et de l ? par Turner et Bulloch, 154. HYSTÉRIE. Traité clinique et théra- peutique de l ? par Gilles de la To
35 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DU TRONC CAUSÉE PAR LA SCIATIQUE; Par le Dr J. BABINSKI, clief de clinique de la Faculté de médecine il la-Salpêtrière.
depuis, nous avons plusieurs fois vu M. Charcot, dans ses leçons cliniques , annoncer à distance chez les malades présentan
eut déterminer son degré de fréquence. M. Charcot insiste, dans ses cliniques , sur l'importance, en neuropathologie, de ce ge
tasie ET DE l'abasie. 25 5 diverses reprises le sujet de ses leçons cliniques . Ce sont, du reste, ces leçons mêmes, jointes a
e la coordination volontaire,' c'est-à-dire du sens musculaire ; en clinique elle se distingue par les résultats négatifs de
parler du cas dont il s'agit. On s'en tient à la diffé- renciation clinique rigoureuse du type morbide et à son étude appro
r M. Miliotti. M. Charcot y établit formellement les ca- ractères cliniques de cette affection en même temps qu'il en esqui
ser aucune trace. Mais je ne pus donner aucune raison d'une forme clinique aussi étrange. Sur un lit, on voyait un jeune enf
. Observation X. (Communiquée par mon ami le Dr BABINSKI, chef de clinique de la Faculté.) Mm0 C..., âgée de vingt-deux an
nt d'amélioration sensible dans l'état de la' malade. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE DES ÉPHIDROSES DE LA FACE; Par M. PA
branche qui ait été dans ces dernières années étudiée et mer- 52 CLINIQUE NERVEUSE. veilleusement élucidée, c'est assurém
variés qu'envisageait avant eux sans les pouvoir expliquer l'école clinique de 1830. Aujourd'hui les points principaux sont
nces fon- damentales. Nous terminerons enfin en discutant le 51 1 CLINIQUE NERVEUSE. diagnostic de la lésion qui chez notr
nq ans cependant il aurait eu une typhlite. Il y a un an, il est 56 CLINIQUE NERVEUSE. tombé d'une échelle sur le coude : il
eur appréciable du cou ni du thorax. Les urines sont normales. 58 CLINIQUE NERVEUSE. L'état général est bon. D... mange bi
enté et sont dues à une névralgie intercostale du côté droit.) 60 CLINIQUE NERVEUSE. lit. Passons maintenant en revue le
marqué des parois avec dégénérescence graisseuse de leur con- 62 CLINIQUE NERVEUSE. tenu. En somme sclérose ot dégénéresc
veines étaient inégalement dilatées par places. La plupart des 64 CLINIQUE NERVEUSE. cellules ganglionnaires ne présentaie
es variations successives de diamètre pu- Ancurves, t. XV. a 66 . CLINIQUE NERVEUSE. pillaire viendraient corroborer cette
emarqué qu'il ait fait avant de mourir le moindre mouve- ment. 68 CLINIQUE NERVEUSE. Autopsie. A l'ouverture du thorax on
s excito-sudorales qui accompagnent le facial ou le trijumeau. 70 CLINIQUE NERVEUSE. On connaît plusieurs exemples d'hypér
u'il mettait du sel sur le côté correspondant de sa langue qui 72 CLINIQUE NERVEUSE. était excoriée. Hartmann rappelle l'o
ordre de faits, c'est une émotion, une excitation psychique 74 1, CLINIQUE NERVEUSE. qui déterminent l'éphidrose. Parfois
l. XIV, Il"' 10 et il, p 55 et 23à, juillet et septembre 1887. 76 . CLINIQUE NERVEUSE. tion symptomatique entre les différen
en haut directe- ment, d'abord à droite, puis enfin à gauche. 78 CLINIQUE NERVEUSE. Période de stertor. Décomposition de
2 P M Il M M '1 : 1 a o e2 m en M rm 80 CLINIQUE NERVEUSE. DE l'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. Poids. 187
istre de l'intérieur. Nous, soussignés, J. Charcot, professeur de clinique des ma- ladies nerveuses à la faculté de médeci
ne de Paris, officier de la Légion d'honneur ; DUPRÉ, professeur de clinique médicale à la faculté de médecine de Montpellie
ateur, officier de la Légion d'honneur; PIERRrT (A.), professeur de clinique des maladies mentales à la faculté de médecine
S ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE Par GILLES DE LA TOUHËTTE Chefde clinique des maladies du S&tèIllL nerveux. I. « Un
n lit dans le Marteau des Sorciers qu'une femme s'alla dé- ' Etudes cliniques sur les maladies des femmes, 1817, 1). 197. 7'a
., 1., p. 61. 3 De mul. morb. llb. XXXVIII, obs. 35, 36. * Traite clinique et thérapeutique de l'hystéiie, 1859. DES ATTAQ
ep- tique et de ses principales variétés. Th. Paris, 1879. - Etudes cliniques sur la grande hystérie ou Ill/siéra-épilepsie,
évrose. Nous ne I nions pas pour cela le bien-fondé au point de vue clinique de I ces diverses appellations, mais nous croyo
é atteint de fièvre récurrente en février 1884; on l'apportait à la clinique le H juin 1884; il mourait le 9 juillet dans le
congrès aura lieu à Strasbourg, à raison de l'intérêt qu'offre la clinique psychiatrique nouvellement installée. Secrétaires
. assez rares, sont loin d'expliquer rationnellement les phénomènes cliniques . C'est Bourneville et ICundrat' qui ont fourni
n de polioencéphalitc qui correspondrait, d'après lui, au complexus clinique observé. Or Kast a observé les faits suivants :
nce, de la contradic- tion même des lésions et de leur localisation clinique dans le présent ou dans l'avenir, les observati
isation clinique dans le présent ou dans l'avenir, les observations cliniques actuelles relatives à la dyslexie conduisent in
fesseur de la faculté de médecine de Paris chargé de l'enseignement clinique des maladies mentales; un directeur du ministèr
ux aliénés (1805); - Du detirium tremens, etc. (1807); - Recherches cliniques et statistiques sur la transmission hérédi- tai
ici presque exclusivement dans un seul membre. Malgré le tableau clinique simulant une affection périphérique, nous n'avo
que celle des cas précédents, explique parfaitement les symptômes cliniques . Des altérations trophiques existent proba- ble
ec les symptômes fondamentaux de la maladie, contribue au tableau clinique de notre observation en lui prêtant ses traits
r, on sait que la paralysie hystérique se présente sous deux formes cliniques typiques qui, au premier abord, semblent séparé
e-aba- sie, dont nous avons essayé de déterminer les carac- tères cliniques . Il est utile, au préalable, de rappeler ici qu
tonome en quelque sorte, on comprend que le syndrome se présente en clinique parfaitement limité et indépendant de toute imm
n qu'il se produise dans le syndrome astasie-abasie, des variétés cliniques et physiologiques nombreuses, en DE L'ASTASIE e
e impuissance relative, dont l'incoordination est la tra- duction clinique . C'est de cette façon, du moins, que suivant no
forme objective ? Il n'est pas douteux, d'après les faits d'ordre clinique qui forment la substance de notre travail, que
e résolue sans doute bientôt à l'aide d'observations appropriées. CLINIQUE NERVEUSE DES ÉPHIDROS1 : S DE LA FACE ' ; Par
sudoraux, dans leurs expériences sur le sciatique du chat. Déjà en clinique , Eulembourg avait différencié les nerfs vascula
lure, lorsqu'on trouve sur un côté de la face et du cou ce syndrôme clinique , rou- geur, hyperthermie hypéridrose et myosis
es excito-sud. de la face. C. R. Acad. des sciences, 1879. z'18 8 CLINIQUE NERVEUSE. fibres homologues des deux derniers g
ir l'observation de Raymond et (Iieviie de 22zé(leciiie, 18S4.) -20 CLINIQUE NERVEUSE. rappeler les recherches de M. Pierret
n effet, montré qu'après avoir excité le ganglion cervical su- LI CLINIQUE NERVEUSE. périeur et premier thoracique, l'élec
t, il faut se garder d'y cher- cher l'explication de tous les faits cliniques . S'il en est qui se trouvent éclairés par telle
ent exagéré d'éléments fibreux étranglant les éléments nerveux. 2 CLINIQUE NERVEUSE. Mais il est probable que, dans ces de
rvical peuvent déterminer une éphidrose faciale. Celle-ci répond en clinique à deux types : 1° syndrome, éphidrose, myosis,
iales restent stationnaires et qu'on en a Archives, t. XV. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE. signalé qui, après plusieurs années,
et 41, p. 5j et 235, juillet et septembre 1887; vol. XV, p. 75. 228 CLINIQUE NERVEUSE. automatiques que l'on observe si fréq
z Grand-père et Grand'mère paternels pas de détails. - Grand- 230 CLINIQUE NERVEUSE. père maternel, mort d'une tumeur abdo
ale droite est peut-être un peu plus saillante que la gauche. 232 CLINIQUE NERVEUSE. gées ; manquent : deux petites molair
La sensibilité cutanée avait disparu, le réflexe tendineux 234 CLINIQUE NERVEUSE. rotulien était conservé sauf de suite
ri. Ce cri ne s'est pas renouvelé jusqu'à présent. T. R. 39°. 236 CLINIQUE NERVEUSE. 16" accès. En tout semblable au précé
heure après : 4'1° ; une heure après : 39°, ? . ! % ig. 22) 238 ' CLINIQUE NERVEUSE Poids. - 1886. Janvier. 57 kil. I. -
qui, quoique bien développée est par suite très irrégulière et 240 CLINIQUE NERVEUSE. mal délimitée du lobe temporal. -Tout
terpariétale, à la scissure parallèle. Archives, t. XV. G G . 242 CLINIQUE NERVEUSE. La presque totalité du lobule pariéta
before he fell in a lit. » ((;owers, On Epilepsg, p. 121.) : 2M" CLINIQUE NERVEUSE. montre la marche de la température da
her dans le lit de camp, comme si c'élait un véri- table lit. 246 CLINIQUE NERVEUSE. Observation XLIII. -Père, mort plzllh
. Du traitement de l'épilepsie; Paris, 1882, obs. X, p. 97. ' 248 CLINIQUE NERVEUSE. Nous avons ici affaire à un cas d'aut
(service de 31. Bourneville) et y est décédé le 15 avril 188. 250 CLINIQUE NERVEUSE. L'observation de ce malade a déjà été
n. Inaugural. Dissertation. Ber- lin, 1867. Observ. 1, p. 24. 2S2 CLINIQUE NERVEUSE. été atteint d'aucune maladie en dehor
t de maladie ainsi caractérisée se rapproche par sa signification clinique de la paralysie générale avec ou sans idées de gr
; 2° une autre liée à de l'arzé-m mie cérébrale comme on le voit en clinique d'après l'amélio- ration de la Catatonie marcha
, être liés à la marche de la névrose vaso-motrice. Au point de vue clinique , cette forme de Wahnsinn peut se di- viser en C
atatonie seule. Tout en voulant rester exclusivement sur le terrain clinique et même « empirique », il s'aventure aussi dans
TTAQUES DU SOMMEIL HYSTÉRIQUE3; Par GILLES DE LA TOURETTE Chef de clinique des maladies du sleIl1C : fier% eux. III. Il
ctions et, nous plaçant uniquement, comme toujours, au point de vue clinique , nous distinguerons deux groupes de faits : ceu
nt - et M. Charcot en a montré un fait indubitable dans une récente clinique nous ajouterons qu'elle présente des caractères
que l'anesthésie sensorielle ' Etude anatomique , physiologique et clinique sur ? tf'n ! : c/t0)'e'e, l'hé- mianesthésie et
lus souvent. Il. - Les diverses affections ou mieux les symptômes cliniques que nous venons de passer en revue, sont de beau-
lequel elle repose, indemne de toute tare dégénérative. Mais, en clinique , la distinction ne semble pas être aussi absolue
dromes épisodiques des héréditaires. D'ailleurs, dans les lésions cliniques de M. Magnan et dans les thèses faites sous son
eptiques de caractère varié. M. Ma- gnan, lui-même, dans ses leçons cliniques sur l'épilepsie résu- mées par M. Briand cite l
e au 31 décembre 624 malades (310 H., 314 F. et 4 lits vacants). 3° Clinique : Ma- lades présents au 1" janvier 1887. 152 (1
x de vous annoncer qu'aucun des symptômes qui ont figuré au tableau clinique si net et si saillant du malade, à savoir : les
.). Histoire d'une hystérique hypnolisable. (Contribution à l'étude clinique des caractères somatiques fixes des attaques de
Y, IIOp. - 388. Vol. XV. Mai 1888. N" 45 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES (symptôme
e en font une espèce morbide parfaitement Archives, L. XV. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE. distincte'. » Pour lui, la spécificit
esure, ceux de l'ataxie locomotrice pro- gressive. - Trousseau. - Clinique médicale de l'Hôtel-Dieu, t. II. Axeiifeld. Art
e encyclopédique des Sciences médicales. 1877, t. VII, p. 69. 340 CLINIQUE NERVEUSE. écrivait ces lignes on est parvenu à
i. Ce71ti-alblait sur Nerucnkeillacnde, von Erlenmeyer, 1881. 342 CLINIQUE NERVEUSE. des émotions résultant de la vie en c
gé cette erreur et à diverses reprises j'ai montré ce malade à ma clinique comme un exemple d'ataxie confirmée. Aussi ai-j
ngt ans, deux blennorrhagies sans gravite. Il affirme qu'il n'a 344 CLINIQUE NERVEUSE. jamais eu de chancres. Pendant la gue
'amour. Vers le mois d'août les érections devinrent incomplètes 346 CLINIQUE NERVEUSE. et inefficaces, mais il y avait de fr
it beaucoup de peine à se diriger dans l'usine, au milieu des 348 CLINIQUE NERVEUSE. machines, des foyers et de la fonte e
diennes qui paraissent tout à fait saines. Pas d'épaississement 350 CLINIQUE NERVEUSE. de la pie-mère. Pas de néo-membranes
ération organique de la moelle, ni des racines rachidiennes,- 352 CLINIQUE NERVEUSE. ni des nerfs périphériques. A peine t
n- ke-ankheilen, t. VIII, 1833) ; J. Babinski, Etude analonzique et clinique sur la sclérose en plaques (Th. doct. Paris, 18
d (V2,chows Archiv., Il·1 108, 1887), etc. Ancmves, t. XV. 23 354 CLINIQUE NERVEUSE. plaques ou de tabes, quoiqu'on ne tro
herché à démontrer, en res- tant exclusivement sur le terrain de la clinique , que dans toutes ces paralysies faciales, connu
et la tradition, est en contradiction flagrante avec l'observation clinique . Si cette doctrine, qui consiste à mettre au pr
lysie faciale, sont purement secondaires et qu'elles se trou- 356 CLINIQUE NERVEUSE. vent entièrement subordonnées à ce fa
nt aussi -les enseignements qui se dégagent pour nous des documents cliniques dont l'exposé va suivre. Observation I. L...
mais eu d'attaques de nerfs, ni de perte de connaissance; ? ni- 358 CLINIQUE NERVEUSE. graines fréquentes. Mariée depuis dix
es sans être, à vrai dire, douloureuses; pas d'a- nestliésie. 360 CLINIQUE NERVEUSE. L'hémiplégie faciale date du mois d'o
ion dans une maison de santé, où elle resta pendant trois mois. 362 CLINIQUE NERVEUSE. Antécédents personnels : Irrégulièrem
uche sont paralysés, les réactions électriques sont normales. 364 CLINIQUE NERVEUSE. En dehors de la valeur que les antécé
sans affection nerveuse ; père rhumatisant mort d'une affection 366 CLINIQUE NERVEUSE. cardiaque. Grand-père maternel aurait
oïncident fréquemment avec les maladies du système nerveux et 368 CLINIQUE NERVEUSE. leur combinaison avec les névropathie
ise en pleine lumière, c'est la paralysie Archives, t. XV. 24 370 CLINIQUE NERVEUSE. faciale se montrant sans interruption
tervention, sans autre levier, elle peut faire éclore le mal. 372 CLINIQUE NERVEUSE. Dans cette étude sur l'éliologie de l
ts de paralysie de la septième paire, on retrouve toujours, ' 374 CLINIQUE NERVEUSE. soit les grandes névroses, comme l'ép
lvanique et faradique. Le même auteur relate un autre cas qui 376 CLINIQUE NERVEUSE. avait les apparences d'une forme grav
riphéri- ques, un certain nombre d'hémiplégies de la septième 378 CLINIQUE NERVEUSE. paire dont le point de départ semble
ne peuvent atténuer en rien la valeur des arguments et des preuves cliniques qu'il nous a été donné de produire dans le cour
7; vol. XV, n°' 43 et 44, p. 75 et 227, janvier et mars 1888. 380 CLINIQUE NERVEUSE. de porter un diagnostic rétrospectif.
essofls de la moyenne. De plus la mère parle mal le français. 382 CLINIQUE NERVEUSE. Rougeole vers trois ans, puis beaucou
M' z 1 m M a 5 DE l'épilepsie PROCURSIVE. 383 ' * 386 CLINIQUE NERVEUSE. - On ne peut le faire parler, ni lui
roueâtre dans la cavité péricardique. La pointe du coeur est 388 CLINIQUE NERVEUSE. formée par le ventricule gauche surto
divisent presque entièrement, l'un même, médian, atteint' son 390 CLINIQUE NERVEUSE. bord postérieur ; il semble en ce cas
un peu chagrinées. Les scissures sont profondes et sinueuses. 392 CLINIQUE NERVEUSE. - DE l'épilepsie PROCURSIVE. La circo
s malade. ment. (trad. franc, de Doumic, 1865.) 9 More). - Etudes cliniques , t. Il, p. 27.'j et suiv. 292, 293. LA. CATATON
sprit (trad. franc, de Germont, 1883, p. 4 ï8.) * Ritti. - Traité clinique de la folie à double forme, 1883, Obs. XI, XII,
' Morel. Traité des mal, ment., 1860. Note de la page 191 et Etudes cliniques , t. 2 p. 178. 2 Guislain. -Loc. cit. 3 Morel.
cliniques, t. 2 p. 178. 2 Guislain. -Loc. cit. 3 Morel. Traité clinique des maladies mentales, 1860, p. 191. 4.\lichéa.
ces phénomènes, et en les considérant au point de vue pure- ment clinique , ils n'ont pas, à notre avis, l'importance que
, ital. per le mal. nerv., sep- tembre 1887.) , 3 Morel. - Eludes cliniques , t. 1, et Traité des mal. ment., p. 713. à Tanz
complet qui se termine par guérison ou démence. » C'est là un fait clinique incontes- table, signalé d'ailleurs depuis long
mond. Loc. cit. ' More). - Traité des mat. ment., p. 489, et Études cliniques , t. II, p. 257. 3 Griesinger. - Loc. cit., p.
olomew's Hospital Reports, vol. IX, p. 130, 1873); - Dulmont, Etude clinique sur l'athétose, 1878; - Cliffort-Albutt (Med. Tin
. Zeitsch. f. Psych., XLIII, 3). Sur 539 malades hommes entrés à la Clinique deLaipzig pendant les années in et 1885, il y a
14 syphilitiques. Il n'existe pas, d'après la statistique, de forme clinique particu- lière de paralysie générale syphilitiq
on argumentation, s'est placé sur un excellent terrain, celui de la clinique , et il nous donne- le résultat de son observati
s, ce qui du reste est fort heureux, voué fatalement à la folie. La clinique , sous ce rapport, fournit même des exemples très
dont les racines sont déjà très profondes ? Voilà, ce que dit la clinique et conséquemment l'observation VIII ainsi complét
'associer à du strabisme ou du bégaiement. Après cette discussion clinique , M. Séglas cherche à mettre en contradiction le
ar M. Legrain que le délire chronique peut se mon- ' Magnan. Leçons cliniques sur l'épilepsie recueillies et publiées par M.
écutées deviendraient ambitieuses. C'est précisé- ment parce que la clinique nous permet de reconnaître un groupe déterminé
des grandeurs. Ce délire d'énormité peut aboutir dans des cas très cliniques à de véritables idées de grandeur; l'apposition
vons encore en présence des mêmes difficultés, nous avons un groupe clinique , la mégalomanie, qui réunit des sujets ' A Fovi
linique, la mégalomanie, qui réunit des sujets ' A Foville. - Etude clinique de la folie avec prédominance d'idées de grande
uté qui ne change rien au fond de la maladie. Dans une discussion clinique , je ne puis assurément répondre que par les fai
deurs et nous pourrions ajouter un délire de persécution, mais la clinique nous enseigne, et c'est par là que je termine, qu
par M.le professeur Pitres (de Bor- deaux). C'est dire que le côté clinique de la doctrine localisatrice est loin d'avoir é
ie est consa- crée à l'exposé des principaux faits expérimentaux et cliniques accumulés dans ces dernières années et relatifs
Ferrier, etc., et montre, grâce à M. Charcot, l'intervention de la clinique qui vient confirmer pleinement les recherches p
par les lésions destructives, localisées, du cerveau; mais ici la clinique ne doit pas céder le pas à l'expérimentation, car
s texte. Paris, 1888. Librairie 0. Berthier. SCIIULI (H.). - Traité clinique des maladies mentales, 3e éclitioll (1886). Tra
36 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
coprolalie. P..., femme L..., âgée de cinquante ans entre à l'asile clinique (Sainte-Anne), le 30 octobre 1891. La mère ét
prononcer. L... (Berthe), âgée de trente et un an, entre à l'asile clinique (Ste-Anne) le 11 avril 1885. Son père est mort
sseur dans un collège, âgé de trente et un ans, est entré à l'asile clinique (Sainte-Anne), le 23 février 1891. Sa mère, név
crâne des tiraillements qui diminuent par la coupe ' Magnan. Etude clinique sur les impulsions et les actes des aliénés. (R
ter. Doute. R... (Jean), âgé de cinquante-deux ans, entre à l'asile clinique (Sainte-Anne), pour la troisième fois, le 20 oc
onstant), garçon de magasin, âgé de trente-six ans, entre à l'asile clinique (Sainte-Anne), le 2 novembre 1891. On ne sait r
ie. M..., femme H..., âgée de cinquante-deux ans, entre à l'asile clinique (Sainte-Anne), le 19 mars 1885. Bizarre, extrav
USE SUBAIGUE DE DUCHENNE. (DE BOULOGNE) REPRÉSENTE-T-ELLE UN TYPE CLINIQUE DISTINCT DE MYÉLITE DIFFUSE ? J. o '1 1 , ,,»,t
part de myélopathie. On y rencontre en effet : -1° le syn- drome, clinique de la paralysie générale spinale anté- rieure s
a moelle.' Vulpian, d'ailleurs; ne nie pas complètement l'existence clinique de la paralysie générale spinale diffuse subaig
ainsi que l'ensemble, la distribution et la symétrie des symptômes cliniques , rappellent de trop près l'analogie qui existe
cas comme un type de paralysie générale spinale diffuse subaiguë. CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES Maladies DU système nerv
e paralysie générale spinale diffuse subaiguë. CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES Maladies DU système nerveux. M. CHARC01'. L
ces, si tant est ' Voy. Archives de Neurologie, n° 69, p. 323. 30 CLINIQUE NERVEUSE. que l'on en puisse faire de décisives
. 1 Gilles de la Tourette. Traité de l'hystérie, 1891, p. 552. 32 CLINIQUE NERVEUSE. j'ai contre elle; elle avait absolume
l'abasie. (Archives de Neurologie, 1888.) Archives, t. XXIV. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE. servir de ses jambes, il ne sait plus
al dans le trai- tement des maladies nerveuses, 1810, p. 12. 36 . CLINIQUE NERVEUSE. moins complets chez quelques malades,
e. Il nous faut considérer dans la mémoire des opérations plus 38 CLINIQUE NERVEUSE. élémentaires : la première de toutes
ans un certain état où il retrouve les souvenirs cherchés. Cette 40 CLINIQUE NERVEUSE. . Mais, quand il s'agit de l'amnésie
ne lui rend pas ses souvenirs, mais qui montre leur existence. 42 CLINIQUE NERVEUSE Sion l'interroge directement, si je lu
mbulismes, etc., dont elles semblent n'avoii aucune mémoire. . 44 clinique nerveuse. qu'une sorte de synthèse réunisse les
sion tel ou tel cas particulier. Pourquoi donc, par exemple, 46 . CLINIQUE NERVEUSE. chez les malades qui n'ont pas des am
ge un certain nombre d'observa- tions tout à fait analogues. 48 . CLINIQUE NERVEUSE. et blancs Elle n'avait pas plus à la
1f. Paul Richer signalé, le premier je crois, ce phénomène : Etudes cliniques sur la grande hystérie, 1885, p. 707, mais il l'a
bsolument conforme à cette description. Archives, t. XXIV. 4 50 CLINIQUE NERVEUSE. images, quand elle a lieu, amène des
a période de sommeil qui suit la crise, que telle personne est 52 CLINIQUE NERVEUSE. venue près d'elle, que son père l'a e
double personnalité. (Revue scientifique, 1888, t. I, p. 616.) 54 CLINIQUE NERVEUSE. - L'AMNÉSIE HYSTÉRIQUE. mémoire est r
faut seulement l'intégrité des voies de communication AC et ACB. La clinique indique les espèces morbides suivantes : 1° Per
e à copier, sans en comprendre le sens. Conclusion. Sixième forme clinique de Lichtheim ' : interrup- tion des faisceaux n
es toxiques vraies. L'une d'elles est la rage humaine; le complexus clinique de cette maladie pré- sente une évolution dont
ossible de ne pas être frappé de ces contrastes quand on visite une clinique psychiatrique ou un asile d'aliénés pour la pre-
uffisamment pour qu'ils puissent vivre au dehors. M. MEYNERT. Les cliniques psychiatriques doivent jouir'd'une certaine lib
iel de l'enseignement. Il n'est pas pas possible de soustraire à la clinique les cas chroni- ques ; d'ailleurs le pronostic
bles qui ont guéri. » Tous les cas doivent pouvoir figurer dans une clinique . Il faut aussi qu'elle soit ratta- chée à une s
exemple les obsessions neurasthéniques. M. de IRAFFT-1 : BI11G. Une clinique psychiatrique doit présenter à l'auditeur tous
RT. La question me parait résolue si l'on décide de compléter toute clinique psychiatrique par une clinique de mala- dies ne
ue si l'on décide de compléter toute clinique psychiatrique par une clinique de mala- dies nerveuses. M. de KRAFFT-EBING.
sitions formulées par les congrès, à côté des sections intitulées : clinique interne, clinique d'accouchements, clinique chi
par les congrès, à côté des sections intitulées : clinique interne, clinique d'accouchements, clinique chirurgicale, figure un
s sections intitulées : clinique interne, clinique d'accouchements, clinique chirurgicale, figure une qua- trième clinique i
ique d'accouchements, clinique chirurgicale, figure une qua- trième clinique indépendante, sous le nom de clinique psychia-
icale, figure une qua- trième clinique indépendante, sous le nom de clinique psychia- trique. Adopté. M. le Président prop
s délirants a diminué de plus de moitié à l'asile d'aliénés et à la clinique psychiatrique de Breslau. M. OEBEAE. En maint
pitalisation passagère d'épileptiques vivant au dehors, avec poli- clinique . Des consultations verbales, ou par correspondanc
bien du pasteur et de l'instituteur que du personnel subalterne. La clinique et l'anatomie pathologique sont, comme chacun s
arole au cours de la discussion en analysant certains des symptômes cliniques de cette observation et les indi- cations théra
rès la ponction on a eu recours au drainage. - 1 Giraldès. Leçons cliniques sur les maladies chirurgicales des en- fants, r
l ne put dire « Papa et Maman qu'à un an et demi. Il fut admis à la clinique dans cet état, on lui fit une fois une ponction
e livre est connu. Il présente, ainsi que chacun sait l'image de la clinique (imaginem belli) avec toutes ses surprises et ses
dire en un mot, complétés par cette introduction merveilleuse à la clinique neuro pathologique, par cette clinique pratique
troduction merveilleuse à la clinique neuro pathologique, par cette clinique pratique enseignée par l'exemple. Desfigures, t
à ce volume. ' P. KERAVAL. IV. Contribution à l'étude anatomique et clinique de l'acromégalie; par le Dr G. Duchbsneau. Th.
Lyon. J.-B. Baillière, Paris, 1892. L'auteur nous expose l'histoire clinique et anatomique d'un cas observé par lui, qui dif
n observé vaut mieux que cent étudiés superficiellement. P. S. V. Clinique des maladies du système nerveux; par M. le profes
cquises à un cas particulier c'est le génie médical, dans son cadre clinique ; l'esprit de généralisation qui permet d'en ext
ns qui nous venaient à la lecture de cette nouvelle série de leçons cliniques . Elles se présenteront sans nul doute à l'espri
uence provocatrice de la syphilis sur certaines névroses, des types cliniques ainsi déter- minés, et des difficultés de diagn
en outre, la surveillance des archives qui sont déposées à l'asile Clinique . ART. 8. Les ressources de la Société se compos
de la Salpêtrière. - M. le Dr Aug. Voisin a repris ses conférences cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, le dima
cérébrale prit un essor nouveau. C'est par son esprit génial que la clinique des maladies mentales prit une direc- tion tout
eorges GmNON. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BouRNEVILLE. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie l'hystérie et
: 6 fr.; pour nos abonnés, prix : 4 fr. BOURNEVILLE. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'hysthérie et l'idiotie.
s médical. Pour les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). - Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtriè
-90 et 1890-91, publiés sous la direction de Georges GmNON, chef de clinique , avec la collaboration de MM. GILLES de la TOUR
, avait le privilège d'être sur le champ répété. 1 Magnan. Leçons cliniques sur les maladies mentales. Paris, 1891, p. 171.
complète de jour. 3 Deux attaques complètes de jour. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. CONTRIBUTIO
ifférents auteurs, a le défaut d'indiquer simplement une des formes cliniques , assez variables, selon lesquelles l'amblyopie
transitoire plus largement, d'en subordonner les différentes formes cliniques aux connaissances de la- physiopathologie des c
d'en esquisser la physiopathologie, d'après nos connaissances 204 CLINIQUE NERVEUSE. actuelles sur les centres de la visio
uelle forme, nous croyons préférable d'énumérer d'abord les types cliniques de l'amblyopie transitoire, à l'aide de quelques
ses rapports avec les différentes maladies nerveuses. 1er. FORMES CLINIQUES DE l'amblyopie transitoire. A la vérité, la cla
a Société d'ophtalm, de Paris, séance du 1" juil- let 1890. - 206 clinique nerveuse. côté de la vision, peut voir, par sui
i dans son ouvrage de 1877 (16), nous semble très importante. 208 CLINIQUE nerveuse.' Plusieurs cas d'amblyopie transitoir
erne la véritable hémiopie transitoire. Archives, t. XXIV. 14 210 CLINIQUE NERVEUSE. nue de même après des excès, se prolo
est toute la journée souffrante. Pesanteur dans la tête et les 212 CLINIQUE nerveuse. yeux, surtout lorsqu'une crise l'a pr
IFFÉ- RENTES maladies NERVEUSES. - Les principales névropa- 214 . clinique NERVEUSE. thies auxquelles peut se rattacher l'
au livre de M. Bouveret, et surtout à celui de) ! . Levillain. ' y6 CLINIQUE NERVEUSE. sique sur la neurasthénie, indique co
d'une zone hystérogène dûment constatée, et dont la pression 218 clinique NERVEUSE. suffit pour déterminer l'accès, la di
es douloureux; et dans ceux-ci l'analyse, en déterminant la formule clinique qui parait être pathogno- monique', permettrait
ait être exempt de migraine; d'autre part, les données de la chimie clinique sur l'hystérie ne sont pas encore si complètes
pas de rétrécissement concentrique permanent du champ visuel. 220 . CLINIQUE NERVEUSE. devient prédominante, même sans que l
il conserve toute sa lucidité d'esprit. Un jour on le conduit à la clinique pendant sa crise, qui s'était déclarée vers une
s de longues attaques de migraine ophtalmique et d'épilepsie 222. CLINIQUE NERVEUSE. partielle ou complète. En outre, Raul
en en lumière, nous nous servirons surtout de quelques observations cliniques , la plupart inédites, recueillies à la Salpêtri
je m'empresse de lui en adresser ici tous mes remerciements. 224 CLINIQUE NERVEUSE. il se lève pour mieux y résister et e
ises d'amblyopie transitoire non accoru ARCHIVES, t. XXIV. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE. pagnées de migraines, mais suivies de
partie inférieure et droite du champ visuel des deux yeux (même 228 clinique NERVEUSE en les fermant l'un ou l'autre) lui se
as publiés jusqu'à présent, et entre autres par deux observations cliniques très démonstratives deM.Lemos(47).Dans la seconde
Ce fait, que l'épilepsie sensitive puisse ouvrir le syndrome 230 . CLINIQUE NERVEUSE. de la paralysie générale, et, non com
les du côté opposé du corps. - Ce fut sans le secours de toute base clinique ou expérimentale, que s'établit la doctrine des
tation comparée, pas plus que la part respec- tive qui revient à la clinique ou à la physiologie dans ces décou- vertes. C'e
e compte des contradictions apparentes des résultats de la médecine clinique et des faits expé- rimentaux obtenus sur des an
, il est aisé par l'excitation électrique, de reproduire les phases cliniques de l'accès d'épilepsie, telles que convulsions
e ce soit toujours la cause première de l'affection. Les recherches cliniques ont en effet démontré que l'épilepsie peut enco
labyrinthe des maladies cérébrales, au milieu duquel l'observation clinique , aban- donnée à ses propres forces, était incap
ur de Loir-et-Cher, et de M. Bouchereau, médecin en chef de l'Asile clinique . M. Sainserre, préfet de Loir-et Cher, a souhai
mnation, de possession ou d'immortalité, et il en résulte un tabeau clinique particulier : mais bien souvent cette combinaison
de Cotard, M. Camuset montre qu'il en est d'autres dont le tableau clinique est différent. Sans aucun doute; mais est-ce un
de faire constater l'absence de ses organes, etc. Les caractères cliniques de ce délire sont tout à fait différents de ceu
ement des cas de mélancolie avec délire des négations dont l'aspect clinique et l'évolution diffèrent plus ou Archives, t. X
eut se rencontrer en dehors de la mélan- colie, avec des caractères cliniques tout différents. Certains cas sembleraient cons
bsolument légitime et conforme à la SOCIÉTÉS SAVANTES. 291 vérité clinique . Parmi les mélancolies il est des formes anxieuse
es anxieuses, communes, curables, et d'aulres présentant le tableau clinique de Cotard, raves, incurables en général, se ter
onnés sur son histoire pathologique. Or la plupart des observations cliniques , pour être complète», utiles, comportent la rel
t dans le public des journaux des observations, des faits de leçons cliniques destinées au seul public médical. M. Ronux. - 1
à Bicêtre la ferme de Sainte-Anne ou s'élève aujourd'hui l'Asile Clinique . Des malades y habitaient; d'autres y étaient env
des imbéciles. Sauf les séniles, dont il faudrait faire le portrait clinique et qui ne devraient pas être admis un instant d
r par l'une quelconque de ses expressions motrices. Les deux formes cliniques que je viens de décrire ont été jusqu'à présent
ion sur une question qui ne ressortit pas de la pathologie et de la clinique mentale, a pour but d'encouiager les médecins d
ltats immédiats pour servir de guide dans les autres cas. Dans la clinique des médecins et chirurgiens de Saint-Louis, d'avr
r le Dr Joseph RANSOHOFF, professeur d'anatomie et de chi- rurgie clinique à l'académie médicale d'Ohio. (The Médical News
brochure est une apologie justifiée de Laënnec comme professeur de clinique . L'auteur y publie deux lettres du savant médec
e son diagnostic, de sa valeur séméiologique tant au point de vue clinique pur, qu'au point de vue médico-légal. Certes un
xclut pas la recherche, est exposée cette im- portante myélopathie; clinique et anatomie-pathologique ont également bénéfici
e collaborateur et ami, M. Gilles DE la Tour- nETTE, ancien chef de clinique de M. le professeur Charcot, vient d'être nommé
d'être nommé officier d'Académie. Faculté DE médecine DE PARIS, - Clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encé
e l'encéphale. M. Gilbert Ballet, agrégé, a été chargé du cours, de clinique de pathologie mentale et des mala- dies de l'en
.-B. CHARCOT. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BOURNEVILLE. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
x : 6 fr.; pour nos abonnés, prix : 4 fr. BounNEViLLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'hystérie et l'idiotie.
rès médical. Pour les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtriè
90 et 1890-91, publiés sous la direction de Georges GUINON, chef de clinique , avec la collaboration de MM. Gilles DE la TOUR
permis d'insister sur un syndrome fort intéressant au point de vue clinique , l'obsession et l'impulsion n'ayant pour objet
L ENTRE L'HYS- TÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU; Notes cliniques recueillies par le D' F. GHILARDUCCI, , de Fivi
e ces deux groupes les symptômes similaires ont une physio- nomie clinique spéciale; ils ont même un développement, une év
plus grande partie des cas d'établir le diagnostic. 4 Travail de la clinique de M. le professeur CHARCOT. 388 pathologie ner
souvenir de la généreuse hospitalité qu'il nous a accordée dans sa clinique ne finira qu'avec notre vie.-Je saisis avec emp
pressement cette occasion pour remercier vivement M. Dutil, chef de clinique , dont l'expérience consommée m'a été très utile
ssante; on y trouve à une certaine période de son évolution un type clinique parfait d'épilepsie sensilive : engour- disseme
s'associer à toutes les ma- ladies organiques. C'est là un point de clinique bien illustré par mon éminent maître et sur leq
voluent alors chacune pour son compte en gardant leur individualité clinique . C'était bien de cette façon que l'on avait int
à cause de l'Exposition, 1 Pitres. Etudes sur quelques équivalents cliniques de l'épilepsie partielle. (Revue de Médecine, p
ns sa première ' L'amnésie hystérique est à présent l'objet dans la clinique de M. Charcot d'une étude très approfondie. Par
cissement a persisté pendant tout le temps passé par Cha... dans la clinique (douze jours), et pen- dant cette période le ma
is que ses effets immédiats ont eu de l'influence sur les modalités cliniques ultérieures de la névrose. Même sous ce rapport
ica-allolise in Riforma medica, 1891, n° 177. * Charcot. - Leçons cliniques sur les maladies du système nerveux, recueillie
ltérations localisées dans tel ou tel centre nerveux. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE. L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE ? 1 contrib
être ' goy. Arch. de Nei41,ol., n° 72, sept. 1892, p. 203. 424 4 CLINIQUE NERVEUSE. réfléchie sous forme d'incitation vas
nce appréciable entre le fond de l'oeil des deux côtés. " . 426 . CLINIQUE NERVEUSE. moteur dans le cerveau, par excitatio
t rentrer, il nous semble, dans l'ordre des hallucinations. 428 . CLINIQUE NERVEUSE. En effet, rien ne s'oppose à cette ma
st-à-dire liée à la perte de la mémoire (graphique) des mots. 430 . CLINIQUE NERVEUSE. mots (pied de la circonvolution de Br
énitale), très bien représentée par le schéma de Charcot. , 432 - CLINIQUE NERVEUSE. mique donné à la presque unanimité, p
mp visuel qu'une véritable hémiopie ! Archives, t. XXIV. ' 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. simplement prédisposés au trouble du
e scintillant) confirme qu'il s'agit de spasme vaso-moteur. 436 . CLINIQUE NERVEUSE. Nous savons, en effet, que le spasme
es dans les maladies de l'encéphale. Paris, 1880, p. 357-358. 438 CLINIQUE NERVEUSE. Et tout cela, même sans migraine et a
otale ou partielle, est en accord avec quelques autres observations cliniques mises de côté comme non expliquées par Charcot
l'oeil. ' 'Observations de Hosch, Wernicke, Forster, etc.. 440 . CLINIQUE NERVEUSE. puisque les cas de migraine vulgaire
t plus ou moins intenses et étendues dans la moitié du crâne. 442 CLINIQUE NERVEUSE. L'accès de migraine est souvent suivi
lésions organiques) plusieurs particularités qui établissent 444 CLINIQUE NERVEUSE. entre elle et les faits expérimentaux
ade le repos en décubitus horizontal avec occlusion des yeux. 446 CLINIQUE NERVEUSE. Souvent le bromure de potassium ou de
t chir., 1878.) L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 447 î 18. Baron. - Etude clinique sur les troubles de la vue chez les hystériques
et du cerveau. (Rec. d'opht., novembre 1889 et janvier 1890.) 448 CLINIQUE NERVEUSE. 43. Babinski. De la migraine ophtalmi
international de Berlin, 1891.) 48. Gilles de la Tourelle. - Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie. (Vol. 1, Hystér
ladies nerveuses (sémiologie et nosdiagtic). Paris, 1892, p. 131. CLINIQUE DES maladies DU système NERVEUX. - M. CHARCOT.
e femme, dont je vous parlais dernière- Archives, t. XXIV. 29 450 CLINIQUE NERVEUSE. ment, a vu, une fois dans sa vie, un
ilosophique, 1888, I, 224.) , ! Automatisme psychologique, 203. 452 CLINIQUE NERVEUSE. vous montrer quelques exemples sont f
phénomènes dans l'Automatisme psychologique, 1889, p. 200. 454 . CLINIQUE NERVEUSE. rement, chez une personne normale, ce
cet acte, disons-nous, et je pense que cette action est en rap- 456 CLINIQUE NERVEUSE. port avec mon caractère, mes sentimen
suggestion. Je répète cela, car c'est capital, nous avons tous mis CLINIQUE NERVEUSE. des habitudes, des souvenirs, des ass
e plus de la faiblesse de l'attention chez les hystériques. ' 460 CLINIQUE NERVEUSE. lisent, elles n'ont jamais l'esprit à
dées fixes. (Revue philosophique, 1891, t. I, p. 258 et 384.) 462 CLINIQUE NERVEUSE. prétation des symptômes, mais sur le
irconstances dernières l'ont faite. Ces deux catégories d'actes 464 CLINIQUE NERVEUSE. existent toujours en nous, et notre s
uite d'une suggestion. Une expérience Archives, t. XXIV. 30 466 ' CLINIQUE NERVEUSE. curieuse, faite autrefois sur la mala
mp de conscience. Voir Automatisme psychologique, 1880, p. 185. 468 CLINIQUE NERVEUSE. haut point, Un peu grâce àmoije le di
avec toutes sortes d'autres faits, en l'analysant comme un symptôme clinique , nous croyons être fidèle à la méthode qui a fa
s cas que l'expert sera heureux de pouvoir abriter ses incertitudes cliniques derrière une conclusion mitigée d'irresponsabil
es intellectuels qui n'est point conforme aux enseignements de la clinique . Le premier ne peut rien prouver ou plutôt milite
tif gagnait l'axe du nerf. Cette localisation rapprochée de l'étude clinique permet de conclure à une amblyopie nicotinique
aiguë prend, après une durée de dix mois, un aspect scléreux. La clinique vient à l'appui de cette opinion. La myélite chro
ré un schéma artificiel des maladies de la moelle, on a sacrifié la clinique à l'analyse anatomique des états cadavériques e
EBOVE. Rueff, éditeur. - Prix : 3 fr. 50. BOURNEVILLE. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
x : 4 fr. Aux bureaux du Progrès médical. BoURNEvILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'hystérie et l'idiotie.
s médical. Pour les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). - Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtriè
0 et 1890-91, publiés sous la direction de Georges Guignon, chef de clinique , avec la collaboration de MM. GILLES DE la TOUR
mentales, par J. Shaw, 137 ; Leçons du mardi, par Charcot, 138; - Clinique des maladies du système nerveux, par Charcot,
37 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTEME NERVEUX Imp. Vve Lourdo
es, Paris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA /O \ SALPÊTRIÈRE \ CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX FONDÉE PAR LE
LES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE DE MÉDECIN DES HÔPITAUX LA CLINIQUE ANCIEN CHEF DE CLINIQUE ALBERT LONDE DIRECTEU
F DU LABORATOIRE DE MÉDECIN DES HÔPITAUX LA CLINIQUE ANCIEN CHEF DE CLINIQUE ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHI
Professeur Fournier). Parmi les nombreux malades qui fréquentent la Clinique des maladies cutanées et syphilitiques de l'hôp
dont l'anatomie pathologique est presque tout à faire, mais dont la clinique peut être nettement établie ainsi qu'il suit. Déb
revêtent le plus sou- vent la forme de paraplégies ont des allures cliniques beaucoup plus va- riées que la forme commune de
ourd'hui nous sommes bien fixés sur leurs allures et leur évolution clinique . Mais nous n'en saurions dire autant en ce qui
tomie pathologique. GILLES de la TOURETTE. HUDELO, Ancien chef de clinique des maladies Chef de clinique des maladies du s
e la TOURETTE. HUDELO, Ancien chef de clinique des maladies Chef de clinique des maladies du système nerveux. cutanées et sy
e leçon publiée en mars 1885, M. le professeur Charcot, par l'étude clinique de plusieurs cas rassemblés dans son service^ mon
eorges Guinon. Contribution à l'élude de quelques-unes des for- mes cliniques de la myopathie progressive primitive ; paralysie
capulo-humérale de Landouzy-Déjérine, identité résultant de l'étude clinique , de l'évolution, de l'hérédité, de la familiali
ges Guinon, mémoire cité, page 836), mais seulement au point de vue clinique . Or aucun cas de ce genre n'avait encore été décr
'oppose, il me semble, à ce que l'on (1) Voir à ce sujet : Charcot, Clinique des maladies du système nerveux ; leçons du pro-
atation est précisément faite d'une façon Certaine, au point de vue clinique , dans le cas de M. Brissaud et dans lé 20 NOUVE
tre observation II, penser à une lésion cérébrale affectant le type clinique de l'hémiplégie spasmodique infantile et comment
il y a dissociation et isolement des divers phénomènes du syndrome clinique habituel. « Il peut arriver, dit M. Charcot (1) t
us venons de rapporter, nous sommes loin évi- demment d'un syndrome clinique qu'on puisse rapprocher de l'hémiplégie spasmod
t à constater pour comprendre parfaite- ment les diverses modalités cliniques de l'aphasie, c'est l'indépendance re- lative,
sceptibilité. M. G. Ballet a donné le premier une bonne description clinique du bégaiement hystérique (2) ; ses observations s
longtemps que l'expérimentation physiologique, s'ai- dant des faits cliniques et de l'embryologie, a permis de suivre le trajet
ésion possible de l'écorce cérébrale. Ce qui n'est pas très rare en clinique , c'est de voir certains sujets et en particulie
FÛ55ÉDÉ NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Hôpital Necker. Clinique chirurgicale (t) ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NER
insuffisante pour entraîner le mouvement. Pour terminer cet examen clinique , nous nous assurons que le malade n'offre aucun
ctions in- complètes des nerfs est bien démontrée par l'observation clinique et par l'expérimentation sur les animaux, et si
bsolue et complète dans la maladie de Morvan. Mais les observations cliniques ont montré depuis que la dissociation pouvait a
s au point de vue médical, trouveront ces faits développés dans une clinique de M. Char- cot publiée dans la Gazette hebdoma
d'un nerf dans un moignon d'amputé. A. LE DENTU, Professeur de clinique chirurgicale. Clinique médicale de l'Université
non d'amputé. A. LE DENTU, Professeur de clinique chirurgicale. Clinique médicale de l'Université de Genève. TROIS CAS D
t. 1, 1888, Pl. X. Dr L. REVILTIOD, Dr H. AUDEOUD, Professeur de Clinique médicale à l'Université de Genève. leur assistant
Genève. leur assistant. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire
ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système nerveux (t) En présen
Ladreit de La Carrière 2), Zambaco (3) ont traité surtout la partie clinique de la question. Depuis cette époque, la connais
rt el Lion, Archives gén. de médecine, 1889. (8) Lancereaux, Leçons cliniques , 1892. 88 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
rtent la très grande majorité des cas de syphilis médullaire que la clinique met journellement sous nos yeux. Les tumeurs go
alisations dans les altérations médullaires et dans les symptô- mes cliniques qui les traduisent. C'est donc à un même proces
i n'ont pas été conservées. (A suivre.) H. Lanlr, Interne de la Clinique des maladies du système nerveux. DE L'HYSTÉRIE
centres corticaux), il est indispensable de marquer la sépara- tion clinique entre les paralysies périphériques et les paralys
104 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Deux ordres de faits cliniques peuvent être utilisés pour cela. La para- lysie
s crâniennes. Nous avons insisté de préférence sur leurs caractères cliniques qui sont, même au point de vue de la localisati
X (inédite). , Communiquée par M. le D K.1LT, médecin-adjoint il la Clinique ophtalmologique des Quinze- Vingts. Ptosis ps
qui en sont la conséquence offrent, nous l'a- vons dit, un tableau clinique très différent. Les unes en effet, celles qui r
on moins sérieuses, et certes, plus importantes, dans le diagnostic clinique de cette affection ? L'erreur est surtout facil
accrocher aux barreaux du lit; mais sur l'ordre sé- vère du chef de clinique , elle se décide à marcher et avance en effet fort
te à l'origine vascu- laire des autres lésions de l'encéphale. La clinique vient confirmer cette division dans la majorité d
tres types par son origine, sa nature et certains de ses caractères cliniques . C'est à ce type que M. Marie croit devoir rattac
res et abdominaux sont nor- maux. Examen électrique pratiqué à la clinique de M. le Professeur Bergonié par M. Regnier.
ine (1); dès lors, convaincus que les seules ressources de l'examen clinique étaient insuffisantes à éclaircir ce cas, nous
la syringomyélie au point de donner le change, môme après un examen clinique des plus complets. Il en a été publié un certai
Pitres. Leçons sur les anesthésies hystérique, Bordeaux 1887. Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme 1891. Charcot. L
tres, J. SABRAZÈS, Doyen de la Faculté .. Cher du laboratoire de la Clinique . de médecine de Bordeaux. NOTE SUR UN CAS D'I
l'ayons recherchée attentivement (2). - P. Londe Interne de la Clinique des maladies du système nerveux. (1) Bacakakis,
. 221, traduct. Dutil). DE LA MËMNGO-MYËLITE SYPHILITIQUE ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire
ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système nerveux (Suite) (I).
erons que cette forme anatomique correspond le plus souvent au type clinique de la myélite transverse dorsale, c'est-à-dire qu
tés très nombreuses dans l'intensité des symp- tômes et l'évolution clinique . Le sujet étant ainsi nettement délimité nous s
I nous paraissent de nature à donner une (1) LANCEREAUX, Leçons de clinique médicale (Paris, 1892). DE LA MÉNINGO-MYÉLITB S
es nerveux de leur malade. (A suivre.) II. Lancr, Interne de la clinique des maladies du système nerveux. Le gérant : Lo
les symptômes principaux de cette maladie et peut servir de modèle clinique . On lui donne la dénomination de démence apathi
affectent l'écorce cérébrale. Cette conclusion fondée sur les faits cliniques est bien conforme à celle que M. Schütz avait tir
On peut donc admettre que la démence apathique, dont les caractères cliniques sont l'affaiblissement et la privation des foncti
ès, toujours la môme figure. Chaque année, on oint se présentera la clinique de pauvres diables misérablement vêtus. Leur fa
constamment par le besoin de voyager, d'aller de ville en ville, de clinique en clinique, à la recherche d'un traitement nou
par le besoin de voyager, d'aller de ville en ville, de clinique en clinique , à la recherche d'un traitement nouveau, d'un rem
aître alors que le Juif-Errant de la Légende, et le Juif-Errant des cliniques ne sont qu'un seul et même type : un névro- pat
(A suivre) IIENRY MEME DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire
ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système nerveux (Suite) (1).
re, cette observation diffère des deux précédentes. Au point de vue clinique , les accidents médullaires se montrent à une époq
t celte évolution particulière se traduit souvent très nettement en clinique . Les méninges rachidiennes sont intéressées ici
it être question, en l'étal actuel, de décrire chacune des for- mes cliniques de la syphilis médullaire en regard d'une forme a
, ainsi que nous le verrons dans la suite, il est de certains types cliniques , aujourd'hui bien connus, qui se reproduisent s
ngourdissements dans les membres. M. le professeur Charcot dans une clinique toute récente à la Salpê- trière (1), montrait
en et tout spécialement d'un des nerfs moteurs de l'oeil. (1) Cette clinique a été publiée depuis (Médecine moderne, 17 juin 1
brale localisée a la base principalement. Mais voici que le tableau clinique se transforme, et que la maladie entre dans une
e par le M. le prof. Charcot ; le malade a fait l'objet d'une leçon clinique il la Salpêtrière). . Syphilis certaine (plaque
ive- ment bénins, disparaître sans laisser de traces; et le tableau clinique se rapporter à un moment donné, à une affection
dit-elle est bien portant. Son dernier accouchement a eu lieu il la Clinique delà rue d'Assas d'une fa- çon absolument norma
inière ont contribué pour une large part à l'édification de ce type clinique de la myélite transverse. Ce n'est point là tou
s syphilitiques graves. (A suivre.) H. Lamy, Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux. SUR UNE ESQUIS
ntre tous, il attira l'attention de Rayer qui le prit comme chef de clinique . Rayer occupait alors la situation pré- pondéra
le savent, un malade, une série de malades, en recueille l'histoire clinique avec une précision incom- parable, accumule les
rmé, il l'avait fait à bon escient après des études approfondies de clinique et de laboratoire. Qui lui a ja- mais démontré
rose. Combien de fois, alors que j'étais son interne ou son chef de clinique , n'ai-je pas entendu dire au courant d'une disc
matin, jour de grande leçon (le vendredi il en faisait une autre de clinique extemporanée), il revoyait une dernière fois le
pièce microscopique qu'il apportait à l'appui de sa démonstra- tion clinique . De même, décrivant les grandes attaques hystériq
- Gilles de la TOURETTE. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire
ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies , du Système nerveux (Suite et fin
e forme de paralysies syphilitiques répond, avons-nous dit, au type clinique de la myélite tralmerse dorsale telle que nous la
rveuse que la localisation d'une lésion en régit les manifestations cliniques bien plutôt que la na- lure de celle-ci ? Tou
ues bien plutôt que la na- lure de celle-ci ? Toutefois l'analyse clinique ne saurait être faite de trop près ici ; et, ne
que les paraplégies syphilitiques le plus communément observées en clinique lui paraissaient présenter des caractères assez
dans la règle d'impuissance sexuelle. Tel esten résumé le tableau clinique de la paralysie spinale syphilitique d'Erb. L'a
mais il re- connaît qu'elle est souvent combinée à d'autres formes cliniques de la sy- philis spinale ou cérébro-spinale. En
gager des autres com- plexus plus ou moins analogues une des formes cliniques incontestable- ment les plus fréquentes de para
du côté opposé (syndrome de Brown-Séquard ébauché). Un tel ensemble clinique doit faire soupçonner et rechercher avec soin l
ocié, soit dans le passé soit dans le présent, à des particularités cliniques de peu d'importance en apparence, mais qui n'en
ntenterons de prouver, par une observation nouvelle, que le tableau clinique de la paraplégie sy- philitique de Erb peut se
la syphilis médullaire. Sans vouloir envisager ici ces divers types cliniques qui se relient entre eux par des transitions inse
observations de paraplégie syphilitique qui se rappor- tent au type clinique envisagé ici. En voici une du même genre que no
s avons pu observer le malade, nous avions sous les yeux un tableau clinique très analogue à celui du tabès dorsal spasmodiq
olution des différents symptômes n'est pas changé ; mais le tableau clinique est singu- lièrement plus accentué. Les trouble
s de la malade de Julliard (1). M. Lancereaux (), dans ses Leçons cliniques , a récemment appelé l'atten- tion sur ces forme
rmes (1) Julliard (loc. cil., page 50). (2) LANCEREAUX. Leçons de clinique médicale, Paris, 1892, p. 213. 270 NOUVELLE ICO
coup les plus importantes et les plus fréquentes des manifestations cliniques de la mé- ningo-myélite syphilitique. Il est ce
ns paralysie à proprement parler (1). Ces variantes dans le tableau clinique sont évidemment en relation avec l'étendue, la pr
), un autre à Brasch (3), deux à Eisenlohr (4). Bien que le tableau clinique , dans ces cas, ait rappelé à s'y méprendre celu
ment écarté. Il est hors de doute que ces particularités du tableau clinique tiennent à la localisation fortuite des lésions
s, dans les formes les plus com- munes, se présentent sous l'aspect clinique d'une myélite transverse dor- sale de moyenne g
longtemps émis des doutes sur ce point. II. LAMY, Interne de la clinique des maladies du système nerveux. LE JUIF-ERRANT
pré- sentait à la Salpêtrière où il a été admis dans le service de clinique . Il faisait vraiment peine à voir; déguenillé,
vation nous a été communiquée par notre ami M. le Dr Dutil, chef de clinique à la Salpêtrière que nous remercions Lien vivemen
êtant M. Charcot tous les jours dans le service, ou bien le chef de clinique , les internes, les externes ; heureux quand il po
uée par notre excellent ami M. le Dr Georges Guinon, ancien chef de clinique à la Salpêtrière. La seconde partie (1893) nous
l'occasion jusqu'ici de publier leurs résul- tats. Comme chef de clinique de M. Lau{enaner j'ai eu la bonne fortune d'é-
rt de thème à ma communication ayant déjà passé par tous les stades cliniques de son développement. En décrivant séparément F
doivent être regardés, dans l'appréciation de ce cas, comme l'effet clinique général d'une seule et même maladie. Le tableau
s indiquerons ceux qui ont été solidement éta- blis au point de vue clinique . Ces troubles comprennent des modifications de
à tout le squelette ou principalement aux côtes, enfin les entités cliniques et anatomo-pathologiques telles que l'otématome
n, se basant sur des considérations théoriques et sur l'observation clinique de trois cas d'affection simultanée de psychose e
a maladie cérébrale et la lésion des articulations. Au point de vue clinique , cette communication est trop incomplète et trop
ine de l'otématome chez les aliénés; et cependant, les observations cliniques et anatol1lo-patho]ogi- ques récentes démontren
r cette affection à une lésion de la moelle épinière, les symptômes cliniques propres à ce genre de lésions faisant défaut. C
nature sont-elles ? c'est ce que l'avenir nous apprendra. L'examen clinique des cas analogues et l'étude attentive du tableau
enfaits de sa première cure. Elle repartira alors vers de nouvelles cliniques , et recommencera à vagabonder d'un médecin à l'
ssié, Les aliénés voyageurs, 0. Doin, 1887. (2) E. Duponchel, Elude clinique et méd. légale. - Des impulsions morbides Il la
s pour cela les honnir. Et il faut avoir pour les Juifs-Errants des cliniques , un peu de cette pitié des bourgeois de Bruxell
ntier de la main de Renaudot est notre premier traité de diagnostic clinique , débarassé des préjugés d'alors et du rationali
renciers pour les sciences dites accessoires, un Laboratoire et une Clinique . Mais un tel succès devait rencontrer des jalou
philanthrope du XVIIe siè- cle. GEORGES GUINON, Ancien chef de Clinique a la Salpêtrière. NOUVELLE Iconographie DE la S
38 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rayeur causée par la vue d'un homme épileptique. Trousseau, dans sa clinique , rapporte une observation de paralysie faciale
ion et l'auteur l'a étayée sur de nombreux documents empruntés à la clinique . La paralysie faciale dite a frigore ne fait pa
de l'esprit : elles nous ont été suggérées par l'étude des .faits cliniques . Nos observations sont au nombre de 17. Ce ne s
c'est-à-dire neuf mois après le début de la paralysie. Les faits cliniques que nous venons de relater nous paraissent suff
est sans cesse démentie par les faits. PSYCHOPHYSIQUE RECHERCHES CLINIQUES SUR LA PSYCHOPHYSIQUE : ÉTUDE SUR LA PERCEPTIBI
hodes positives de l'observation médicale. ' Travail du laboratoire clinique de M. le professeur Charcot à la Salpê- trière.
exacte partie de la psycho- logie, n'a pas encore pris pied dans la clinique et, au moment où nous avons entrepris les reche
É LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE 49 née 1886, dans le laboratoire clinique de M. Charcot à la Salpêtrière, une série de re
e et revendiquer pour cette science le même droit de cité dans la clinique , que la physiologie pathologique y a conquis dé
en particulier dans les maladies du système nerveux. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE1; Par BOUR
Voy. Archives de Neurologie, vol. XIII, no 39, mai 1887, p. 321. 56 clinique nerveuse. coordonnés ! de Romberg, etc., etc.,
ralysie agitante. 1 Tulpius. 06 ! e''M. naéd. Amsterdam, 1672. 58 CLINIQUE NERVEUSE. Dans sa Pratiqzieden2édecine spéciale
x, 1742, p. 2. 3 Welsch. Deet7c ? <i. Iena, 1719, p. 26-27. 60 CLINIQUE NERVEUSE. Les cas de Sauvages et de Gaubius, de
, s'étant ' Journal de Hureland, juin 1811, vol. XXXII, p. 88. 62 CLINIQUE NERVEUSE. refroidi à l'âge de dix ans, avait ét
sorte que, le 18 février 1822, il fut obligé d'entrer à l'institut clinique de Berlin. Voici quel était' son état : Taill
' Lau. Hufeland's Journal, vol. L, vu, décembre, p. 61, 1823. 64 CLINIQUE NERVEUSE. le tenait pendant quelque temps, il l
ine, 182,ï, ao année, t. VIlI, p. 385-t01.) Ancmves, t. XIV. 5 66 CLINIQUE NERVEUSE. publiques; il resta, malgré l'usage d
; mais Roth, puis Berger ont publié l'observation com. plète. 68 CLINIQUE NERVEUSE. ne se détournant ni à droite ni à gau
ve, en soutenant qu'il n'y avait pas lieu de considérer cette forme clinique comme appartenant à l'épi- lepsie. » ' Bérard
< ? ? nous aurons lieu plus tard, au chapitre de l'Anatomie 70 CLINIQUE NERVEUSE. pathologique, de revenir sur ce cas e
uement. Depuis l'apparition de la chorée, l'épilepsie ne s'est 72 . CLINIQUE NERVEUSE. en rien modifiée ; la menstruation a
' Salgues. Revue nzédico-chirurgicale de Paris, 1827, p. 168. 74 CLINIQUE NERVEUSE. mois, suspension, d'ailleurs, dont la
Hammond 2 relate deux observations dans son Traité. ' Trousseau. Clinique médicale de l'HGtel-Dieu. 4e édition, 1873, t.
té des maladies nerveuses; traduction française, 1876, p. 785. 76 CLINIQUE NERVEUSE. Observation XVIII. - Accès ordinaires
. Dans un autre cas, il s'agissait d'une petite fille amenée à ma clinique de l'hôpital Bellevue pendant l'été de 1869. Elle
raensystems, 4, 2.) Unregelmdssige Formai der anfcïlle, p. 2 il. 78 CLINIQUE NERVEUSE. - DE L'ÉPILEPSIE. ment un cas d'épile
f, dans sa Physiologie des muscles et des nerfs, Trousseau dans ses Cliniques sur l'ataxie locomotrice, émettent sur le sens
résultat ou le prodnit de la contraction musculaire; l'observation clinique m'a démontré que cette sensation est un phénomè
xiques rentrent- elles dans le même cadre. Mais comme les symptômes cliniques dé- pendent non pas du processus pathologique,
ment dans les livres classiques, quoiqu'on ait publié des histoires cliniques à différentes époques depuis le Dr Lettsom, il
nom du candidat récompensé et proclame lauréat M. Pichou, chef de clinique à Sainte-Anne. Eloge de Moreau (de Tours). La f
dissimule pas d'ailleurs que, considéré isolement, chacun des faits cliniques et anatomo-pathogiques sur lesquels son diagnosti
apport M. KOJEVNIKOFF aborde l'intéressante question d'enseignement clinique des maladies mentales. Sa communication est int
les. Sa communication est intitulée ainsi : Sur la construction des cliniques psychiatriques en général et de celle de Moscou
. Après avoir indiqué les conditions auxquelles doit satisfaire une clinique universitaire spécialement consacrée à l'enseig
l'enseignement de la patho- logie mentale, l'auteur s'arrête sur la clinique de Moscou qui vient d'êtreconstruite avec des r
oprié- taire, 1-1 Morozoff. Il vaut mieux, dit-il, avoir une petite clinique mais bien appropriée qu'un hospice ordinaire mê
mais bien appropriée qu'un hospice ordinaire même très grand. Cette clinique doit être en communication intime avec les autres
Cette clinique doit être en communication intime avec les autres cliniques aussi bien à cause des rapports qui unissent ta p
use de la facilité qu'on aurait dans ce cas de fréquenter plusieurs cliniques à la fois sans perdre inutilement son temps. El
s hospices du département et de la ville. Une annexe spéciale de la clinique doit être réser- vée pour le placement prélimin
de l'examen des aliénés. Toutes ces conditions sont remplies par la clinique de Moscou. A cette communication M. Kowalewsky
a fait observer que dans les facultés de province qui n'ont pas de cliniques psychiatriques à part, il faudrait imposer aux
nel et non criminel est l'effet d'un simple hasard. Au point de vue clinique aucune distinction ne saurait être établie entr
érience pratique qu'on ac- quiert seulement en travaillant dans les cliniques et les maisons d'aliénés, considérant, en somme
rganes des sens et les zones hystérogènes des muqueuses. Recherches cliniques . Volume in-8- de 182 pages. - Prix : 3 fr. - Pari
is d'insister sur certaines monoplégies partielles dont les allures cliniques sont assez spéciales, encore incomplètement con
ques du membre su- périeur, afin d'être bien fixé sur leurs allures cliniques . Les monoplégies complètes du bras et de l'avan
Traumatisme et névropathie, 1886. . Méchin. Contribution à l'étude clinique des monoplégies bra- chiales hystériques. Thèse
sité du choc joue en réa- lité un rôle secondaire, et que les faits cliniques nous montrent la monoplégie brachiale succédant
mportance. Les modifications dans la perception des couleurs, signe clinique moins facile- ment palpable, mais très topique
mand, ne serait-ce que pour faire voir les lacunes, au point de vue clinique , d'une éducation mé- dicale basée exclusivement
les autres hypo- thèses ne s'adaptent pas mieux aux particularités cliniques de ce cas. Ainsi, il ne peut être question d'un
iveau des exsudats inflam- matoires. Il serait facile, au nom de la clinique et de l'anato- 202 PATHOLOGIE NERVEUSE. mie p
que nous sommes moins prompts, en France, à tirer des conclusions cliniques . II. Rendu. PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES SUR
qui ne sont pas de taille à supporter « le combat pour la vie ». CLINIQUE NERVEUSE DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE' ; Par BOU
vol. XIII, n 39, mai 1887, p. 321, et vol. XIV, n" 40, p. 55. 236 CLINIQUE NERVEUSE. " vingt et un ans d'une pneumonie ; -
lt;¡ue, dans la rue, t'accès n'était pas précédé de course. 238 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 239 leur
aussi des scènes de colère à éprouver de son mari, ce qui lui 240 CLINIQUE NERVEUSE. était d'autant plus sensible qu'elle
une portion de la circonvolution qui est indurée, blanche, for- 244 CLINIQUE NERVEUSE. mant un léger relief; même hypertroph
on tant sur le rapport moral vis-à-vis des enfants de son âge 246 CLINIQUE NERVEUSE. que sous le rapport des dégâts matéri
re et qu'elle a pu apprendre le catéchisme. Elle a appris à 248 CLINIQUE NERVEUSE. coudre et à tricoter, mais est incapa
Un cousin germain du côté paternel est atteint d'épilepsie.] 250 CLINIQUE NERVEUSE. Consanguinité : le père et le mère du
gts ans, est tout à fait valide et possède encore ses facultés. 252 CLINIQUE NERVEUSE. 4 septembre. Purgatif. G. 3 capsules
xiste une ecchymose; elle est mince, mais s'enlève facilement 256 CLINIQUE NERVEUSE. sans entraîner de substance grise, si
un pli de passage maigre, à niveau, à la Archives, t. XIV. 17 238 CLINIQUE NERVEUSE. circonvolution du corps calleux. Le l
quer la première scissure temporo-occipitale avec la seconde. 260 CLINIQUE NERVEUSE. Lobe frontal. - La scissure calloso-m
sionnable, très colérique, elle l'est devenue de plus en plus 262 . CLINIQUE NERVEUSE. par les ennuis que lui a causé son ma
tres. On ne croit pas qu'il ait eu la rougeole; il semblerait 264 CLINIQUE NERVEUSE. avoir eu la rubéole ? Coqueluche pend
a- riétale ascendante, 12 centimètres. Longueur de ce dernier 266 CLINIQUE NERVEUSE. point à l'extrémité postérieure du lo
OORE. L'auteur attire l'attention de ses auditeurs dans une leçon clinique , sur certains troubles nerveux qu'il a observés c
t » de même qu'à la « Charité » de Berlin et dans beaucoup d'autres cliniques européennes. La camisole, a dit cet orateur, do
léments de médecine suggestive, hyp- notisme et suggestion. - Faits cliniques . - Volume in-18 de 306 pages. - Prix : 4 ir. -
Iscii-Wall, BAUMGAItTEN, hILLIET, Couriurien et BKICON. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, ? hystérie et
sssr, un ? Vol. XIV. Octobre 1887. N" 42 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE HISTOIRE DUNE HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE
USE HISTOIRE DUNE HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE (contribution A l'étude clinique DES caractères SOI1TIQUES fixes DES attaques DE
uées CHEZ LES hystériques); Par les Drs J. GRASSET, professeur de Clinique médicale, et A. BROUSSE, professeur agrégé à la
er. Parmi les points encore incomplètement élucidés de l'histoire clinique de l'hypnotisme, il en est un qui a un intérêt
pres- que continue depuis trois ans. Archives, t. XIV. 21 322 ) CLINIQUE nerveuse. C'est incontestablement M. Charcot qu
mais fort abondantes, ayant une durée de quatre à cinq jours et 321 CLINIQUE nerveuse. s'accompagnant de violentes coliques
uence morale s'exerce avec la plus grande facilité. Le même 1 Notes cliniques sur ? ty ! <c''o-e ! 7qM ! e. (Gaz. hebd. des
! e. (Gaz. hebd. des Se. naéd. de Montpellier, 1886, p. 122.) 326 CLINIQUE NERVEUSE. effet est produit par l'influence de
tre le 4 juin 1884 à l'Hôtel-Dieu Saint-Eloi, dans le service de la Clinique médicale, dirigé alors par M. le professeur agr
alternativement en pronation et en supination ; de nouveau les 328 CLINIQUE NERVEUSE. bras s'élèvent au-dessus de la tête,
cacher sous son traversin et de la rendre le lende- main au chef de clinique ; elle exécute bien la première par- tie de l'or
jour, son caractère capricieux ne lui permettant que difficile- 330 CLINIQUE NERVEUSE. ment de se plier à la discipline de l
er, M. Mosséla faisant venir de temps en temps au laboratoire de la clinique : on apprend ainsi qu'elle a toujours des métrorr
jeudi suivant, 4, à 3 heures et demie du soir, au laboratoire de la clinique . Le 4, elle arrive à l'heure fixée et à l'endro
. Pendant quelle est endormie, nous lui ordonnons de revenir à la clinique le 6 novembre, mais auparavant de se rendre le ma
ent de venir ; ne sachant pas l'adresse de M. Grasset, elle l'a 332 CLINIQUE NERVEUSE. demandée, on lui a dit, rue Basse, 6,
ore endormie, la malade rappelle que lors de sa dernière venue à la clinique , on lui a donné rendez-vous pour le 6 novembre
arrive, à l'heure qui lui avait été désignée, au laboratoire de la clinique . Dès son arrivée, elle tombe endormie comme d'hab
donné de revenir le 5 décembre. Le 24, elle vient spontanément à la clinique pour nous consul- ter : depuis deux jours, la v
decins qui l'ont vu ont constaté les mêmes phénomènes que nous. 334 CLINIQUE NERVEUSE. Ce n'est que le 30 mai 1885 que nous
ps, F... se décide à rentrer le 24 novembre 1886 dans le service de Clinique médicale de M. le.professeur Grasset'. Elle a
exécuter mais n'en ' Rédigé d'après les notes du Dr Sarda, chef de clinique . 336 CLINIQUE NERVEUSE. exécute aucun. Cela s
'en ' Rédigé d'après les notes du Dr Sarda, chef de clinique. 336 CLINIQUE NERVEUSE. exécute aucun. Cela se comprend facil
Quelques jours après, nous appliquons un Archives, t. XIV. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE. hypnoscope semblable, mais non aimant
rière), Richer (Traité de l'ligst6,ro- épilepsie) et Pitres {Leçons cliniques de 1885), ne sont pas très fréquentes et leur d
toniques dans la face et les membres et des signes de congés- 340 CLINIQUE NERVEUSE. tion cérébrale avec gêne de la respir
culiers. Il vaut mieux énoncer dans chaque cas la caractéristique clinique de l'attaque de sommeil. Ainsi chez F... il y a
Ainsi chez F... il y a des attaques de sommeil avec contrac- 342 CLINIQUE NERVEUSE. tures fixes généralisées, conservatio
deux degrés. En dehors de ces deux types d'attaques, qui sont 344 CLINIQUE NERVEUSE. de beaucoup les plus fréquentes, nous
tanée de notre malade n'est pas absolument banale dans son histoire clinique . Passons maintenant à l'étude de la névrose pro
lade ne rentre pas du tout dans le cadre du grand hypnotisme, 346 CLINIQUE NERVEUSE. magistralement étudié et décrit à la
qué, telle qu'elle la présente, ne peut être assimilée ni à la z8 CLINIQUE NERVEUSE. catalepsie, ni à la léthargie, ni au
ntal. Pour la motililé, il y a des contractures fixes qui im- 350 CLINIQUE NERVEUSE. mobilisent le corps et qui ne rappell
es malades de Paris, F... a des stigmates moteurs, des caractères cliniques somatiques fixes, autres que ceux qu'on lui sug
ù la placer, comme pierre d'attente pour les faits analogues que la clinique pourra révéler ulté- rieurement ? Une premièr
cisme ou le nervosisme simple). Chez les premiers, le sommeil 352 CLINIQUE NERVEUSE. provoqué peut s'accompagner de phénom
-même que nous avons publiée ci-dessus. PSYCHOPHYSIQUE RECHERCHES CLINIQUES SUR LA PSYCHOPIIYSIQUE ÉTUDE SUR L\ PERCEPTIBIL
Nous avons examiné jusqu'à ce jour environ deux cents malades à la clinique de M. Charcot à la Salpê- trière. Afin d'éviter
le quatrième, de parésie, le cinquième, d'un ensemble de symptômes cliniques , qui encore aujourd'hui porte le nom d'atrophie
rra et Curiosa, et ne trouve pas possible de donner une description clinique bien définie, de ces formes et de les diagnosti
NERVEUSE. nous avons dû renoncer à essayer de peindre le tableau clinique , correspondant à quelqu'une des formes ana- tom
Si d'un côté, les cadres anatomiques restaient vides de documents cliniques correspondants, d'un autre côté, on rencontrait
ion et par la marche de la maladie, correspondait aux symp- tômes cliniques de son malade. Le cas du professeur Schultze ",
us laissons de côté les altérations cérébrales et les symp- tômes cliniques correspondants, nous voyons en ce qui concerne
dans l'espace de deux ans et demi. Remalc (1884.) 19 décrit un fait clinique de gliomatose centrale, carac- térisée par la p
ns anatomiques, Schultze donna en 1885, une description de deux cas cliniques présentant avec un complexus symptomatique qui
ais attirer votre atten- tion. Mais d'abord toutes les observations cliniques citées par nous, se rapportent à un groupe peu
e peu consi- DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 375 dérable à symptômes cliniques nettement accusés, dont le diagnostic semblait
malgré l'état incomplet de nos connaissances actuel- les du tableau clinique de la maladie. D'un autre côté, parmi des cas p
et de syringomyélie; et dans cinq observations il peint le tableau clinique caractéristique qui nous intéresse en ce moment
ction de ce genre, et réunit ainsi un grand nombre d'observations cliniques . Pour notre part, ayant affaire surtout à des n
ULLAIRE. 377 trouve assez d'observations se rapportant aux formes cliniques d'apparences les plus variées, décrites à cause
u, retrouver encore dans la littérature médicale des observations cliniques , d'autres cas qui avaient été perdus, dans lesq
ons pour but, de classer (peut-être provisoirement), sous une forme clinique type, le plus grand nombre des cas de la maladi
hérapeutique de cette affec- tion. ' Je rapporte mes observations cliniques , quelques- unes en résume, d'autres succinctes,
abcès, les tumeurs, les traumatismes de l'encéphale, etc.. L'aspect clinique est toujours le même malgré la diversité des co
intensité jusqu'à obtenir la tétanisation. P. 13LOCQ, VIII. Etude clinique de la céphalée neurasthénique ; par G. LAFossE.
affections. Aussi M. Lafosse s'est-il cru en droit de créer un type clinique , qu'il appelle la céphalée neurasthénique. Aprè
résumé de toutes les observations de neurasthénie recueillies à la clinique des maladies nerveuses pendant l'année 1886. Ce
ne névrite périphérique. P. B. 420 BIBLIOGRAPHIE. X. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
mettent la désinfection immé- diate du linge sale. Dans la partie clinique , signalons un très remarquable travail de MM. B
rmi les autres cas intéressants suivis d'autopsie dont l'his- toire clinique est ici rapportée, plusieurs ont trait à des idio
démoniaques dans l'art, par Charcot et Richer, 126 ; re- cherches cliniques et thérapeuti- ques sur l'épilepsie, l'hystérie
on des prix à l'école' d'infir- miers et d'infirmières de l'asile clinique (Sainte-Anne), 412. TABLE DES AUTEURS ET DES
39 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
sio de CASTRO, Professeur de Physiologie à la Faculté Professeur de Clinique médicale à la de médecine de Rio de Janeiro, Fa
de et de Gougerot, du sénilisme de Ciauri et de tant d'autres types cliniques encore, le problème des dystrophies mono et plu
hies mono et pluriglandulaires a fourni l'occasion d'investigations cliniques , anthropologiques, morphologiques, bio-chimique
e dimensions insignifiantes. Etat mental enfantin. (.4 suivre.) CLINIQUE PSYCIIIATIiIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GENÈVE Profe
n'a pu déceler de lésions orga- niques, si bien qu'au point de vue clinique ces attitudes sont purement fonctionnelles. A
ettait à lui seul d'affirmer l'origine organique des manifestations cliniques souvent passagères. Quelle est la pathogénie de
T MALADIE DE RECKUNGHAUSEN PAR Aloysio de CASTRO, Professeur de Clinique médicale à la Faculté de Rio de Janeiro. Nous a
A cette époque nous avons appelé l'attention sur cette association clinique ; et l'évolution des éludes endocrinologiques de
ull de la Soudière (3) ont discuté la question de cette association clinique particu- lière et en citant les observations pu
sonisme. J'ai rassemblé tous ces cas pour plusieurs raisons : 1° En clinique , ces cas forment une chaîne ininterrompue : entre
ttention concentrée sur la fonction musculaire même. Répétons qu'en clinique tous ces cas forment une série ininterrompue av
cherches. Depuis un certain temps, je me suis occupé d'études de clinique expé- rimentale sur la pression des carotides c
emps une psychopathie. En mai de la même année, a été amené à notre clinique .Voici en quel état il s'est présenté. Physiquem
du réflexe rotu- lien. Pendant les 18 jours qu'il est resté dans ma clinique , il n'a présenté qu'une légère mélancolie pour
importe de bien connaître. Avant de distinguer les différents types cliniques , il est utile de décrire l'attitude de la main
es ettrophi- ques caractéristiques. On doit distinguer deux types cliniques : A. Les paralysies complètes. B. Les paralys
alysies incomplètes des nerfs médian et cubital réalisent des types cliniques variés : les schémas que nous publions en donnero
ent un aperçu suffi- samment exact. Nous considérerons cinq types cliniques principaux : PREMIER TYPE. - Le type le plus fr
retiendrons seize de ces observations. Leur lien est grossièrement clinique et morphologique. Il limite ces petits troubles m
s comme signes des troubles moteurs d'ordre réflexe. A. Physionomie clinique spéciale. - A ce point de vue, nous constatons
° et 90 ; à la face pal- (1) Henri MEIGE et Mme BÉNISTY, Les signes cliniques des lésions de l'appareil sym- pathique et de l
me, grosse congestion locale, etc.), soit simplement par les signes cliniques (pouls filiforme, pression artérielle diminuée,
l'humérus) ; tous les autres signes de paralysie radiale complète, cliniques et électriques ; on trouva un nerf dont les deu
Marie et MineBéiiis[y dans leur article capital sur L'individualité clinique des nerfs périphériques (1). La règle n'est p
multanéité sont autant d'anomalies qui nous semblent rendre le fait clinique intéressant en lui-même. Nous ne pouvons malheu
e la macro- dactylie acquise se présente avec une tout autre allure clinique , avec d'autres troubles associés, ne répondant
IQUES DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES PAR G. ETIENNE, Professeur de Clinique médicale à la Faculté de médecine de Nancy. Dep
ations est cependant intéressant au point de vue épidémiologique et clinique . Elles appartiennent à deux groupes, le premier
ébuts d'une partie des observations. Voici d'abord les observations cliniques . Observation I. Lav... Paul, 37 ans, infirmie
de la plus extrême gravité, et posant les plus troublants problèmes cliniques : à 11 heures, cet homme est arrivé à l'hô- pit
ies sembleraient ainsi présenter parfois une certaine individualité clinique . Je n'insisterai pas ici sur le diagnostic à la
(observation D'UN cas mortel) PAR Karl PETREN Professeur à la Clinique médicale de l'Université de Lund (Suède). A dif
intoxication mercurielle. Il y a quelques années, j'ai observé à la clinique un cas, où le problème du diagnostic différentiel
suis revenu à mon observation déjà un peu ancienne avec le tableau clinique d'une polynévrite. Bien que la question du dia-
te mercurielle. Observation. N. F..., homme de 23 ans. Entré à la clinique médicale d'Upsal (où j'étais DE LA POLYNÉVRITE
4 ou 5 in- jections, la dernière deux semaines avant l'entrée à la clinique . Le malade raconte que depuis un mois il a des
ne semaine, il prend de l'iodure de potassium. Etat à l'entrée à la clinique . Il se plaint de douleurs des jambes. On ne tro
e. La température n'a pas dépassé 37°5. Le malade est sorti de la clinique le 8 août et depuis il est traité chez lui. Il
e mercure (3 injec- tions) ( ? ). . 18. Le malade est revenu à la clinique . Les douleurs des jambes ne sont pas diminuées.
de Babinski,. 5 septembre. Pas d'albumine. 6. - Dès l'entrée à la clinique , le sommeil a été très mauvais. Les douleurs au
ique qui pouvait expliquer le développement de cette cachexie. A la clinique , nous avons observé une stomatite ; cependant ce
lle n'a été que léger, et il est bientôt passé spontanément. A la clinique encore les symptômes d'une néphrite sont apparus,
qui est due à une intoxication mercurielle. D'ailleurs le tableau clinique a été dominé surtout par les symptômes du côté
e, mais je me contenterai de citer très brièvement les observations cliniques qui peuvent contribuer à mettre en lumière cett
tions, il y en a où on retrouve un trait corres- pondant au tableau clinique : Oppenheim (symptômes le plus développés aux m
lières, il faut se de- mander s'il ne peut, en ces cas d'un tableau clinique différent du type ordinaire, s'agir d'une autre
curielle, mais des symptômes qui correspondent très bien au tableau clinique d'une polynévrite (obs. 142). Si l'on veut acce
consi- dérable d'albumine dans les urines et d'ailleurs le tableau clinique d'une poly- névrite avec douleurs très vives da
le et de Vernesco) où les symptômes ont bien correspondu au tableau clinique d'une polynévrite, mais ils n'ont envahi que les
ents sur la forme de mercure qui a été employée avant l'entrée à la clinique . Comme les injections n'ont été faites qu'une f
vation, je m'en occuperai en quelques mots. Le malade est venu à la clinique à cause de douleurs fortes aux jambes. Il pouva
de syphilis, il y avait trois mois. Mes collègues, de service à la clinique , cette fois ont hésité pour l'explica- tion des
rielle. Comme les douleurs étaient le phénomène dominant du tableau clinique cette fois et comme il n'y avait pas d'autres sym
t du malade avait empiré pendant le traitement mercuriel donné à la clinique , mes collè- gues l'ont arrêté (déjà avant que j
- gues l'ont arrêté (déjà avant que j'eusse repris mon service à la clinique le 1er septembre après les vacances). Je ne p
ne autre conclusion qu'à celle-ci, que le traitement mercuriel à la clinique a été un facteur qui a contribué à l'issue mor-
DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 249 du malade à la clinique . D'un autre côté, j'espère que la revue des ob-
d ment dis., vol. 25, p. 594, 1898. Gilles DE la TOURETTE. - Formes cliniques et traitement des myélites syphilitiques, Paris
liner klin. Wochenschrift, 1905, p. 1019 ; 1912, p. 105. RAYMOND. - Clinique des maladies du système nerveux, 4* série. Paris,
te syphilitique amyotrophique n, sou- vent pure dans son expression clinique , simule d'autres fois la sclérose latérale amyo
il. DIPLÉGIE FACIALE PAR J. BAUMEL, et G. LARDENNOIS, Chef de Clinique médicale Chirurgien des hôpitaux à l'Université
hie acquise ne semblent non plus très sembla- bles ni par leur côté clinique ni par leur côté pathogénétique. Nous n'in- sis
e côté droit, 11 cas du côté droit pour 9 du côté gauche. SERVICE CLINIQUE DU PROF. AUSTREGESIGO, RIO-DE-JANEIRO SUR UN CA
ENDES, et MONTE-SERRA, Assistant surnuméraire, ancien Interne de la Clinique . neurologique, de la Faculté de Médecine de
thique. Ainsi conçue, cette théorie trouve son appui dans les faits cliniques . C'est ainsi que nous voyons non seulement le s
une réalité, chaque jour mieux confirmée par la présence des faits cliniques jusqu'alors mal observés. Parmi nous, la maladi
. - Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1899 et 1903. RAYMOKD. Clinique de maladies du système nerveux. G. BALLET. - Jo
can Journal of the medical Sciences, 1902. AUS'IREGES1LU. - Travaux cliniques , Rio-de-Janeiro. Lemos ToRRs. Thèse de Rio-de-J
UR QUELQUES CAS D'HÉMIMÉUE PAR Aloysio de CASTRO, Professeur de Clinique médicale à la Faculté de médecine de Rio-de-Janei
ssi. Revue des se. psy- chol., 1913, Il, année ; BENON (B.), Traité clinique et médico-légal des troubles psy- chiques et né
e spasmodique (PI. LV). R... Marie, âgée de 10 ans, est entrée à la Clinique Infantile le 24 janvier 1917. Elle est née à la
rontale ou région de Broca. / ' L'enfant a été transférée dans la Clinique de Chirurgie pour une,appendicite, Elle a été o
circulation. Elle nous avait été amenée pour la première fois à la Clinique Infantile, elle était alors âgée de 9 ans, c'étai
ontale. (1) \'oy, Revue neurologique, 1912, 2" semestre, p. ".19. CLINIQUE MÉDICALE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE LUND Méde
UR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES, Par R ' Sven INGVAR, interne à la clinique médicale. - 4p La ponction lombaire de Quinck
moderne, lorsqu'il s'agit d'une étude approfondie de la pathologie clinique du système nerveux, a de beaucoup élargi lecham
de la ponction lombaire se généra- lise dans les méthodes d'examen' cliniques , que la littérature devient de plus en plus ric
ette étude est basée sur quelques cas, que nous avons observés à la clinique interne de M. le professeur Karl Pétren, lesquels
ennent compléter la collection. . 1'0 Observation I. Diagnostic clinique : Néphrite interstitielle chronique avec urémie.
bandelette optique droite. E. R..., domestique, 34 ans, entrée à la clinique médicale le 22 novembre 191 't. - La malade a
dresse. Pas de convulsions. Température : 37°o. - Est entrée à la clinique le 22 novembre à 3 heures. Femme de constitutio
impossible durant la plus grande partie du séjour de la malade à la clinique , par l'interven- tion des règles. L'épanchement
r être suivi du coma qui a amené la mort. Du reste, les symptômes cliniques ont tous trouvé leur explication. Il n'est pas
a suite. Obseuvation III. E. W..., mariée, 53 ans. - Diagnostic clinique : Néphrite chronique interstitielle. Hémorragie c
ne gauche avec hémorragie méningée sous-arachnoïdienue. Entrée à la clinique le 8 décembre 1915. La patiente semble avoir ét
IV. E. L..., employé de chemin de fer, âgé de 37 ans. Diagnostic clinique : Hémorragie cérébrale. Diagnostic pathologique
uent deux hémorra- gies d'âge différent, parallèle du développement clinique de la maladie. Les contractures généralisées de
traversant l'épendymé, inonde le système ventriculaire. Le tableau clinique dé contractures généralisées avec des convulsions
e la pathogénèse de la catastrophe léthale. Pendant son séjour à la clinique , on a cru qu'il s'agissait d'une néphrite inter
idant avec le début d'une période menstruelle. La symptomatologie clinique des hémorragies méningées est le mieux étudié d
aire). A ce sujet, il faut étudier à fond 338 INGVAR . le tableau clinique et toute l'allure de la maladie pour arriver à un
IQUE Auaénr (Jean). - Les hémorragies méningées. Revue étiologique, clinique et diagnos- tique. Thèse de Paris, 1912. Bauh
pupille (1) André Odoul, Les syndromes oculo-sympallcignes : types cliniques . Thèse 1910, fil 408, 66 p. (2) Laignel-Lavas
; ce qui est. fruste dans ces syndromes, ce n'est pas l'expression clinique , c'est la cause nerveuse qui ne peut être mise
ui ne peut être mise en évidence que par des recherches minutieuses cliniques et électriques. L'étiologie de ces cas est asse
lles-ci s'ankylosent, sedéfonment, s'élargissent, prennent l'aspect clinique du rhumatisme chronique. La radiographie montre e
èse des troubles obser- vés peut être mise en lumière par un examen clinique plus soigneux et par les nouvelles méthodes d'é
sibles. En tous cas, cette hyperesthésie constitue la constatation, clinique fondamentale du syndrome, celle qui empêche l'e
ons, syndrome fruste d'irritation qui n'a, d'autre part, comme base clinique qu'un phénomène subjectif, la douleur. 1° La dé
révélaient aucune lésion. Ces constata- tions corroborent la donnée clinique que fournit l'hyperslhésie des troncs nerveux à
nouspamis. sent donc avoir une existence démontrée. Au point de vue clinique , ils rappellent avec atténuation ce que l'on vo
nous voyons disparaître cette anomalie, la coexistence de symptômes cliniques impor- tants avec des réactions électriques nor
é musculaire à la percussion. Nos observa- tions ont une expression clinique beaucoup plus atténuée. Ce qui domine, ce sont
s'agit de phénomènes de même nature se présentant sous deux aspects cliniques différents. Il est par conséquent légi time de
blablement d'ailleurs tous les intermédiaires entre ces deux formes cliniques extrêmes, c'est ce que l'avenir nous apprendra.
ation des réactions électriques par les méthodes classiques. Aspect clinique du syndrome Babinski ? romeal. La participation
exe radial, il est peut-être un peu moins fort à gauche. L'examen clinique ne révèle aucune lésion qui soit susceptible de r
r les méthodes ordinaires ne révèle, malgré l'importance des signes cliniques , que des symptômes insigni- fiants. Tous les mu
et au niveau du médian détermine une sensation douloureuse, preuve clinique de l'atteinte nerveuse. Î . Il n'a pu être prat
oculo-cardiaque. Comme nous allons le voir dans la suite, les faits cliniques que nous apportons contribuent à confirmer sur
lyse bibliographique au point et nous devons nous borner à l'exposé clinique . Nous tenterons à l'occasion du diagnostic de d
ychiatrique où nous avons fait les constatation suivantes. Examen clinique . L'attitude du malade attire l'attention : au rep
ionnent régulièrement. Nous aurons épuisé le malade au point de vue clinique lorsque nous aurons signaléune certaine tristes
syndrome de Marie et le sien. Devant nous cantonner sur le terrain clinique ? Nous ne signalerons que pour mémoire la lèpre
uveaux documents nous permettant de juger légitime, au point de vue clinique , l'isolement d'un type nouveau de névrite hyper-
plus complète de la question avec des documents histo- logiques et cliniques nouveaux. (1) Déjerine, Revue de médecine, 1896
ées ayant évolué sous la forme de la daclylite spécifique, syndrome clinique bien différent de celui que nous présentons. Ce
solument identique pour toutes les articulations, et les caractères cliniques généraux sont les mêmes : hydarthrose, indolence,
se distingue net- tement de la tumeur blanche de par le seul examen clinique : à l'hydar- throse qui évolue depuis six ans.n
rose fut pour chacune des articulations la première mani- festation clinique , et actuellement encore constitue le symptôme dom
te, cette polyarthropathie syphilitique tertiaire constitue un type clinique offrant une certaine individualité, qui méritera
et Aloysio de CASTRO, Professeur de Physiologie de la Professeur de Clinique médicale de la Faculté de médecine de Rio-de-Ja
ssociation on secondairement, et ainsi se créent d'autres modalités cliniques il côté des types de dystrophie génito-glandula
ri-glandulaires) hypophysaire V Dans ces différents schémas types cliniques , que certains caractères cons- tants permettent
ritable « lipoïdémie ». Des études ultérieures, expé- rimentales et cliniques , nous éclaireront définitivement sur ce point.
ons dans la suite en --quel sens elles se procèdent selon les types cliniques différents. 396 SOUZA ET DE CASTRO En rapport
avoir signalé les éléments sur lesquels s'appuie la caractérisation clinique générale des types différents, nous passerons mai
type infantile pour désigner d'un mot plus bref les cas où l'aspect clinique est d'infantilisme. Il est nécessaire d'établir
400 SOUZA ET DE CASTRO la glande génitale peut avoir dans ce type clinique , ainsi que nous le soutenons également dans le
crétion interne du-testicule, l'auteur cité conclut : « Les raisons cliniques et expérimentales que j'ai invoquées plus haut me
ande génitale, on peut admettre avec Souques trois principaux types cliniques : a) infantilisme prépubère; b) infantilisme pu
e nous défen- dons. Il s'agissait d'un sujet présentant le syndrome clinique de l'infan- tilisme thyroïdien, selon les trava
yroïdien, selon les travaux de Brissaud et IL Meige. Comme l'examen clinique du malade n'avait pas réussi par la palpation à v
attu. Ainsi au Congrès, réuni à Lyon en 1911, défendant l'autonomie clinique de l'infantilisme régressif, ces observateurs s
s que lorsqu'elle est seule intéressée, elle ne réalise pas le type clinique de l'infantilisme tardif, mais bien le tableau
e l'on peut constater. Somme toute, dans la constitution de ce type clinique , la dysorchidie, qu'elle soit primitive ou seco
ons de distinguer un infan- (1) Cordier et Rebattu, Sur l'autonomie clinique el la pathogénie de l'infantilisme régressif :
99, p. 93 et suiv., et M. SOURDEL, Contribution à l'étude analo- mo clinique des syndromes pluriglandulaires. Pav., 1912, p. 5
andes. Une telle conception est selon nous contredite par les faits cliniques , appuyés sur la vérification des lésions et des
malies endocrines, en attendant que les pro- grès de la'séméiologie clinique et Uistopathologique des glandes à sécrétion in
nom de geroderma genilo-dys- trophica, ont signalé en 1897 un type clinique , subordonné, comme - l'indiquait le nom proposé
nce, et qui forment une triade très caractéristique de cette espèce clinique : hyperdistensibilité héréditaire des doigts et
camptocor- mie ou de plicature du tronc. Il en existe deux variétés cliniques : l'une, pure et isolée, l'autre, associée à un
traumatique, à une rétraction des muscles psoas, etc... L'exa- men clinique (qui montre que, dans le décubitus horizontal, le
s certains cas de camptocormie. Nous n'avons, en effet, aucun moyen clinique de distinguer la simulation de l'hystérie. « S'
'évapore incontinent. Et il nous fait une leçon de pathogénie et de clinique , nous apprenant que les blessures du cerveau pe
40 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ES D'UNE NOUVELLE TRYPANOSOMTASE 3 accompagnent résulte un syndrome clinique presque toujours de grande intensité et très bi
ar le TI ? pa1l0soma Cruzi. i CHAGAS mine l'apparition des signes cliniques d'une méllingo-encéphalite aiguë, rapidement mo
sus voisins. Des observations que nous possédons jusqu'ici, des cas cliniques de cette nature, résulte l'extrême gravité du p
de diplégie cérébrale sont, presque toujours, accompagnés de signes cliniques de la paralysie pseudo-bulbaire. Celle-ci se pr
olumineux, nous n'avons jamais observé^ dans les différentes formes cliniques de la main- (i chagas die, pas même dans cell
nt, nous sem- hie-t-il, moins d'un dixième de l'ensemble des formes cliniques dans les- quelles nous divisons la maladie. L
tais de cet examen anatomique. viennent confirmer les données de la clinique et en vérifier tous points de notre diagnostic. I
nos pièces de laboratoire, les cerveaux de deux malades dont l'état clinique a été très soigneusement observé. Les lésions q
combinée sénile. Les renseignements que nous possédons sur son état clinique ne laissent rien à désirer, car cet homme était
os- sible d'expliquer, dans une certaine mesure, les manifestations cliniques que nous avons observées chez notre malade. Il
ard, il nous semble que l'oedème fu- gace expliquerait ce phénomène clinique mieux que toute autre cause. La prochaine quest
u l'occasion d'observer, il y a quelques années, et dont l'histoire clinique se superpose exactement à celle de la malade dont
ibue également à faciliter la distinction entre les divers tableaux cliniques souvent très compliqués, à l'époque du processu
Vers la fin de 1910, après avoir été mis en obser- vation dans une clinique à l'étranger pendant un mois, le malade subit la
e l'appendice xyphoïde, jusqu'aux pieds inclusivement. Le tableau clinique (6 mois après le commencement de la maladie) pr
ité ainsi que le rôle prépondérant dans le développement du tableau clinique des douleurs persistantes au côté droit, à type
orythmie et ary- thmie). Dans l'ensemble des symptômes du tableau clinique , avant le traitement, les phénomènes principaux
oedème au haut de l'endroit comprimé. Dans l'évolution du tableau clinique après le traitement, en dehors de la persistanc
'ensemble des symptômes indiqués formant progressivement un tableau clinique en tout pareil au cours de la maladie avant l'opé
uleurs ont joué un rôle secondaire dans le développement du tableau clinique et dans le cours de la maladie, pourquoi elles n'
fèces. Tel est dans les termes généraux le développement du tableau clinique d'une maladie de la moelle, par laquelle passe
de nous (1) a récemment fixé les limites d'un nouveau groupe- ment clinique où l'interprétation passionnée, opposée à ['inter
udice, et, comme l'un de nous le montrera prochainement, les formes cliniques en sont fournies par l'association avec d'autre
infantilisme hypophysaire. Il importe auparavant d'étudier les cas cliniques et les résultats expé- rimentaux qui viennent c
ilisme hy- pophysaire. Nous citerons, successivement : 1° Les cas cliniques sans contrôle histologique; 2° Les cas clinique
ent : 1° Les cas cliniques sans contrôle histologique; 2° Les cas cliniques avec contrôle histologique ; 3° Les faits expér
s avec contrôle histologique ; 3° Les faits expérimentaux. I. Cas cliniques sans CONTRÔLE histologique. Cas de 7A</io. F
ale avec atrophie optique. 76 SOUQUES ET STEPIIEN CHAUVET II. Cas CLINIQUES avec contrôle IIISTOLOGIQUE. Cas de Bartels. -
étermine le syndrome infantilisme ' ? Il semble, de par les données cliniques et expérimentales, qu'il faille mettre en cause
l. du syst. nerv., 1892, p. 363). . (2) G. de la TOURKTTE, Etudes cliniques et physiologiques sur la marclie, Paris, 1885 (
de Kny (1888) ont même été présentées sous le titre : « Sur un type clinique voisin du paramyoclonus multiplex » Morvan est
e. Quant à présent nous devons seulement constater les faits que la clinique nous impose. Dans le groupe des myoclonies symp
surprendre et à reconnaître ; mais tous les médecins ont vu des cas cliniques où elle est bien évidente. En outre, les liqueu
ypercinésies des lies qui ont aujour- d'hui une autre signification clinique . D'un autre côté, le cadre symptô- malique des
z. medica lombarda, 1859. TONASSI. il Morgani, 1864. Trousseau. - Clinique médicale de l'Hôtel-Dieu, 1865. SpniriG. Chorée
Aa5Al.(IIVGO. - La riforma medica, 1892, p. 41t. BRISSACU. - Leçons cliniques , 1893. Schultze. Deutsche Zeit. f. Nervenk, 189
été anat., avril 1895. Raymond Leçon du 15 février 1895, vol. 1 des Cliniques des maladies du Syst. nerveux. LucAno. - Rev.
jour ; il l'a vu vieillir sans changement no- table dans le tableau clinique . Antécédents. - Nous tenons les renseignements
purement narratives, nous ont permis de poser certains diagnostics cliniques et de faire la critique d'affirmations contradi
J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). R. UNIVERSITÉ DE PARME. - CLINIQUE MÉDICALE dirigée par M. le prof. A. limn. ACH
rof. A. limn. ACHONDROPLASIE ET CHONDROHYPOPLAS11; , CONTRIBUTION CLINIQUE PAR FERRUCCIO RAVENNA Chef de clinique, pri
PLAS11; , CONTRIBUTION CLINIQUE PAR FERRUCCIO RAVENNA Chef de clinique , privat-docent de Pathologie interne. Ce n'est
nterne. Ce n'est pas un grand intérêt qu'offrirait une contribution clinique à la question de l'achondroplasie si elle se bo
nombreuses observations d'achondroplasiques accompagnées d'examens cliniques très minutieux. Du côté morphologique on ne pou
s formes typiques, il y en a d'autres déjà décrites dont le tableau clinique est beaucoup moins complet et caractéristique, ou
ervé. Voici, sans m'étendre plus longuement, l'histoire el l'examen clinique au complet de mon premier sujet. Observation
e légère, de laquelle on pourra aisément passer à d'autres tableaux cliniques , où les signes d'achondroplasie sont si peu pro
que ces sujets sonl atteints d'achondroplasie. Seulement un examen clinique et radioscopique très diligent et précis peut p
un examen histologique. Toutefois, faute de celui-ci, les arguments cliniques peuvent fournir de solides présomptions. Chez F
aine ressemblance, d'autant plus qu'il s'agit encore d'observations cliniques sans examen anatomique. Du reste, quoique la co
ports entre l'hypophyse et l'acromégalie soit débattue, les données cliniques el expérimentales s'accordent pour faire admett
a cause à l'une plutôt qu'à l'autre de ces glandes ; ni les examens cliniques , ni les examens histologiques n'ont pu jusqu'ic
NTRIBUTION A L'ÉLUDE DE L'ACHONDROPLASIE C.PARHON Professeur de clinique des maladies nerveuses et men- tales à la Fac
essante à plusieurs points de vue. D'abord au point de vue purement clinique on peut observer cer- taines variations, compli
ître et dont on devra- chercher la raison. Toujours au point de vue clinique il est intéressant d'étudier l'état psy- chique
Le but de ce travail est d'apporter quelques modestes contributions cliniques et anatomo-palhologiques à l'étude de l'achondrop
mentaires. ' (Le malade prétend qu'il a fait l'objet d'une leçon clinique du Professeur Stricker, dé.Breslau). OBSERVAT
aussi cet examen. Nous donnerons d'abord un résumé de l'observation clinique de ce malade. N. R., 57 ans (en 1905). Les pare
UN cas d'achondroplasie PAR a J. BAUMEL et J. MARGAROT Chefs de clinique à la Faculté de médecine de Montpellier. La pat
'achondroplasie est encore incertaine. Cependant, malgré son aspect clinique spécial qui lui donne une place à part dans le
ile d'accorder au syndrome présenté par la malade une individualité clinique précise, il est plus malaisé d'en déterminer l'ét
plasie, on obtient un complexus, symptomatique ayant les caractères cliniques de l'atéliose. Ce dernier 208 BAUMEL ET MARGARO
EC SYMPTOMES BULBAIRES PAR le P' PUBLIO CIUFFINI Assistant à la Clinique Royale Médicale. C'est un fait maintenant connu
à de remarquables diffi- cultés. J'ai toutefois jugé utile l'étude clinique du casque j'ai observé, soit pour la riche symp
e de l'encé- phale. Je commence par l'exposition de l'observation clinique : Observation Di M. Costantino, de 8 ans, ent
ion clinique : Observation Di M. Costantino, de 8 ans, entra à la Clinique le 26 mai 1912, prove- nant d'Otricoli. Le père
tête, ni de vertige. C'est dans ces conditions qu'il fut porté à la Clinique neuropathologique, où fut pratiqué l'examen obj
en pratiqué le 26 mai fait constater à la charge du crâne les notes cliniques , pas très marquées, de l'hydrocéphalie chroniqu
éjà nommés ont complètement disparu. Le 29 juin un rigoureux examen clinique permet de constater le retour aux conditions no
alement absents. ' Si actuellement, étant donnés la symptomalologie clinique , le cours, la guérison du petit malade, grâce a
d'elles ne pouvait donner suffisamment raison de la symptomatologie clinique . La première idée fut que nous nous trouvions e
lui, était aphone et avait un spasme de la phonation. Le tableau clinique ne pourrait donc être plus ressemblant à celui pr
rté- brale et du tronc basilaire, peut produire une symptomatologie clinique telle qu'elle ressemble sur divers points à cel
tion, au contraire, bien dif- férente par l'évolution des symptômes cliniques , il manquait en outre stase papillaire, céphala
aider, et ils y aidèrent de fait, d'accord avec la symptomatologie clinique spéciale du cas, à exclure le néoplasme pour le
iguë ascendante (forme de Lan- dry), qui a beaucoup de ressemblance clinique avec la polynévrite.pouvait à cause de cela s'e
a été atteint d'infection mala- rienne. Cependant, au point de vue clinique , on n'avait, de cette dernière, les caractérist
dernières atteintes. Cet ensemble de raisons et de considérations cliniques m'entraîne à ad- mettre le diagnostic exposé pl
breux. Peu d'autres considérations me sont permises au point de vue clinique . Les troubles de la parole et les symptômes cér
ur de physique médicale L. NOVÉ-JOSSERAND, Chef de laboratoire de clinique a la faculté de médecine de Lyon. Dans la cli
laboratoire de clinique a la faculté de médecine de Lyon. Dans la clinique du Prof. G. Roque, nous avons observé le cas suiv
ostic de névrite peut par- faitement être accepté. Considérations cliniques . Ce malade présente une paralysie du mou- vemen
s non plus, une paralysie d'origine cérébrale corticale. Le tableau clinique qu'a tracé des paralysies corticales du pouce L
e névrites multiples. Thèse de OETTINGEII, Paris, 1885. (2) Etude clinique des formes atténuées de la paralysie alcoolique :
trois moelles dorsales, appartenant à trois malades dont l'histoire clinique est cilée plus loin. Après avoir traité nos moe
amen microscopique, nous ex- poserons d'abord brièvement l'histoire clinique de nos trois malades. Premier cas. M. N..., jui
che à gauche. Hémi- (1) Pour la description détaillée de l'histoire clinique de ce cas, req. Neurolog. Cen tralblatt, 1908,
out à fait particu- lier grâce à leurs relations avec ies histoires cliniques . Le maximum de lésions nous le trouvons dans le
des (gliomes, gliosarcomes, tubercules) (1). Les premiers symptômes cliniques de la maladie se sont déclarés quatre mois avan
propres cas. Ceci est tout naturel, puisque la durée de la période clinique de la maladie ne peut pas nous donner l'expressio
l'éclosion d'un grand nombre de travaux. De toutes parts, des faits cliniques bien observés ont été apportés. On a pu indivi-
ule, basées sur l'expérimentation, les constatations histologiques, cliniques et anatomo-pathologiques, nous per- mettent de
inition préalable, car il n'ex- prime pas, de lui-même, le symptôme clinique important que présente le sujet; 2° et surtout
d'une manière uniforme, mais peuvent réaliser de véritables formes cliniques . En ce qui concerne nos deux cas, par exem- ple
tions sont nécessaires pour mieux pré- ciser ces diverses modalités cliniques . Les cas de gigantisme eunuchoïde pU ? dus à de
e testiculaire pur on passe ainsi à un syndrome pluriglandulaire. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (Hôpital PATEI.
ioration de toutes les deux. i Raymond (6) présente, dans une leçon clinique , un nouveau cas, observé également par Jeanselm
(2), il s'agit d'une femme de 59 ans, qui avait été reçue, dans la clinique d'Erb, 4 ans auparavant, avec le diagnostic de
ir noté des modifications du corps thyroïde appréciables à l'examen clinique des malades. (1) L. Liciitwitz, Ueber einen Fai
is, Raymond, Grasset et Brissaud ont insisté longuement, dans leurs cliniques , sur les rapports étroits de la sclérodermie avec
n de notre travail, et abordons directement notre sujet par l'élude clinique et radiologique d'un cas de sclérodermie généra
pothèse. Divers points sont à prendre en considération dans l'étude clinique de notre cas : nous toucherons d'abord quelques
arait donc démontré, soit parle côté expérimental, soit par le côté clinique , que les altérations thyroï- diennes peuvent re
die de Recklinghausen, de même dans un cas de Profichet le syndrome clinique de Recklinghausen pouvait être discuté. Mais pl
e calcium, mêlé à de la substance cornée. Le résultat de cet examen clinique est donc très intéressant et nous montre commen
r Brissaud (1) avait attiré l'attention dans ses magistrales leçons cliniques . Ce cas est en outre intéressant au point de vu
bue il des morsures de chien. La malade entre dans le service de la Clinique médicale pour des phéno- 310 O BACALOGLU ET PAR
étation exacte et complète. BIBLIOGRAPHIE 1. Brissaud. - Leçons cliniques , 1899. 2. GAUCIIEII. - Etiologie du mtilign, Re
surface el en profondeur (1). Observation 1 (PI. LI) (2). Examen clinique . - Cécile B. Fourn., âgée de 27 ans, entre le 12
aucune trace de lésion. Observation II (PI. XLIX, L) (1). Examen clinique . Antoinette Ch.... âgée de 33 ans, entre salle Vu
la première fois, cinq ans après le début des accidents, le tableau clinique était celui de l'aphasie motrice de Broca- ; el
thénie, s'associer à d'au- tres états morbides, créant des tableaux cliniques complexes. Voici un exemple d'byperstbénie chez
ustement sa tante. Seule la mas- turbation s'est ajoutée au tableau clinique vers l'âge de 8 à 10 ans. Durant des heures ent
: il danse, saute, rit, chante, crie, se masturbe, etc. Le tableau clinique surajouté à l'idiotie est uniquement constitué
Boulogne) a décrit avec une remarquable préci- sion les caractères cliniques de cette contracture tardive. Les muscles du cô
ge, Babinski, etc., nous ont fait connaître les curieuses modalités cliniques . Or, nous avons remarqué que, dans un certain nom
vit très régu- lièrement trois fois par semaine pendant 7 mois à la clinique de M. le profes- seur Bergonié. A la suite de c
facial primitif. (1) Henry Meige, Le spasme facial, ses caractères cliniques distinctifs, Revue neu- rologique, 30 octobre 1
sifs port-paralytiques de la face, malgré la différence des aspects cliniques sous lesquels ils se montrent, se rangent par con
nvulsives faciales et les mou- vements des paupières, que l'analyse clinique permettait déjà d'affirmer dans la première obs
alade n'a pu être pratiqué, mais, d'après M. André-Thomas, l'aspect clinique était celui de l'hémispasme secondaire à une pa
à la phase dite de contracture. Cette contracture se mani- feste en clinique par une hypertonicité permanente qui entraîne les
PLES DU CERVEAU ET DES MÉNINGES PAR Ur.KAUZiER, Professeur de clinique médicale J. BAUMEL, Chef de clinique ae la
Ur.KAUZiER, Professeur de clinique médicale J. BAUMEL, Chef de clinique ae la Faculté ae meaecme ae Montpellier. Obse
ne antérieure. Le symptôme le plus important relevé dans l'histoire clinique que nous venons de rapporter est sans contredit
tic rigoureusement exact était impossible à atteindre par l'analyse clinique seule. Notons que, parmi les moyens thérapeutiq
avons recherché dans les publications de Bourne- ville (recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
on- forme au casque nous avons observé. Voici d'abord l'observation clinique (résumée) : Guerr..... Valentin, né en 1908,
us importants est l'infantilisme, dont on avait, au nom de la seule clinique , isolé plusieurs modalités assez tranchées, et
omplète de la question. (3) J. Grasset, Traité de physio-palhologie clinique , 1910, t. 1, p. 630. DIABÈTE INSIPIDE ET INFANT
métaboliques à type de diabète insipide. Certaines particu- larités cliniques , et notamment cette coexistence de diabète insipi
cas, par analogie avec les données positives d'autres observations cliniques analogues. La description de M. Burnier, celle
s citent à l'appui de leur observation personnelle six observations cliniques dont l'analogie, contrairement à ce qui distingue
mémoire, ainsi que dans le précédent, une bibliographie des travaux cliniques , anatomo-pathologi- ques et expéiimenlaux conce
e diabète juvénile et d'in- fantilisme). A côté de ces cas purement cliniques , ils en rangent neuf autres avec contrôle anato
t par une aciion mal dé- terminée sur le rein. Or, certains faits cliniques , en harmonie avec ces expériences sur le rôle d
une acromégalie typique ; mais ce sont deux cas d'ordre pure- ment clinique qui appellent par conséquent quelques réserves. C
nous occupe qu'en l'espèce il est plus probable, de par l'évolution clinique , que la tuberculose pu ? - - monaire est venue
ardif, Journ. de médecine interne, novembre 1910. (32) BAHRAHIN, La clinique , 21 octobre 1911. (33) SCllilLLEH, Supplément.
r il la Faculté de Médecine de Rio de Janeiro. Dans nos services de clinique les cas d'atrophie musculaire ne sont pas rares
trique des muscles atrophiés, fait par le Il Silva, assistant de la clinique , a donné une diminution de l'excitation galvaniqu
ns du système nerveux furent plus tard vérifiées. Tous les signes cliniques , donnés pour distinguer les amyotrophies protop
es dont elle forme la continuation. Pour finir, revenons au tableau clinique du cas donné el prononçons nous sur l'origine d
général, jouent à ce qui parait non le dernier rôle dans le tableau clinique de la démence précoce. Même le grossissement extr
yndromes ou de vraies maladies, présente toujours un gros inté- rêt clinique , même dans les cas où de tels syndromes et de tel
mp; Cie, Editeurs ACROMÉGALIE ET TABES 471 i sortes de phénomènes cliniques : des symptômes acromégaliques et des symptômes
ons que présentent leurs pieds et qui semblent répondre à des types cliniques bien différents (Pl. LXXII). Chez le premier ma
une réaction de dégénérescence. Assez différente par ses caractères cliniques nous semble être la défor- mation du pied que p
ue pratiqué par M. Bourguignon vient à l'appui de ces constatations cliniques : il montre à droite des traces de réaction de
après une démonstration faite le 26 janvier 1913 devant l'Association clinique à Rotterdam. (2) Nouvelle Iconographie de la
rganes génitaux de ce genre de malades. 482 BOCKS i TABLEAU CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (Hôpital PANTEU
ation diffuse des méninges, sans pouvoir - du moins au point de vue clinique - déterminer aucune espèce de localisation. -Dans
avec absence de lymphocytose. Nous passons maintenant à l'histoire clinique des quatre malades que nous avons eu ^occasion
pu épuiser avec ces quatre malades presque toutes les possibilités cliniques et pathogéniques du syndrome. En effet la major
te qu'il était complète- ment guéri après 3 mois. Au point de vue clinique , nous nous trouvons donc presque toujours en fa
de céphato-rachidien dans les néo- plasmes rachidiens. Le tableau clinique du quatrième malade n'indique nullement une com
pas uniformément attirés, de sorte que, en général, à chaque cadre clinique correspond une composition déterminée du liquide
ogène dans les espaces sous-arachnoïdiens, considérant les données " cliniques et (1) Dernièrement Nonne a communiqué à la Soc
se ». En effet, basé sur des arguments physiologiques, chimiques et cliniques , il conclut que le syndrome de la xantochromie et
ES MATIÈRES Achondroplasie et cllOndrohl/poplasie, contri- bulton clinique , par Ravenna, 157. - (Nouvelle contribution), p
l3nontEr" 397 Chondrohypoplasie (Achondroplasie et . Contributron clinique ), pur Ravenna, 157. Coagulation massive du liqu
ide Parme). Achon- droplasie et chondrohypoplasie. Contri- bution clinique . 157 Rebattu J.1 et Gravier (L.) (de Lyon). Gi-
rohypoplasie (Ravenna), XXIV à XXVI. Achondroplasie, contribution clinique (Parhon et SCHUNDA), XXVII â XXXIII. Achondro
41 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
de l'année passée ce qu'ont été nos leçons du mardi. Essentiellement cliniques , elles ne changeront pas de caractère cette année
ulu 1 que ce soient justement ceux-ci surtout qui fréquentent les cliniques delà Salpêtrière et en face d'eux je ne sens aucu
ncé que je vais faire de ce qui me reste à dire concernant l'histoire clinique de cette malade. Je vous rappellerai que notre
ormation, je vous engage à consulter un mémoire de mon ancien chef de clinique M. le docteur Babinski, où la question est traité
dica. T. II, p. I. De ischiade nervosa. — Na-poli 1827). L'histoire clinique de l'afíection dont il s'agit n'a pas après Cotug
uelque fût leur siège sans reconnaître suffisamment ce que l'histoire clinique de chacune d'elles possède de spécial, et on peut
gitime, et nécessaire, trop oubliée parfois cependant, cle la méthode clinique dans toutes les questions de ce genre. Il a bien
traumatisme qui marque le début de la seconde partie de son histoire clinique . Donc, il y a cinq mois, en déchargeant un wago
gourdi, somnolent et vous aurez réuni un certain nombre de caractères cliniques qui révèlent suffisamment chez notre malade l'exi
e et l'hystérie d'origine traumatique se séparent par aucun caractère clinique fondamental de celles qui ont été déterminées par
ssayer maintenant de compléter par quelques interrogations l'histoire clinique de notre sujet. A la mère : Votre enfant a-t-el
r par exemple la fabrication du caoutchouc vulcanisé. L'hygiène et la clinique ont à s'occuper de ces industries en raison de ce
osés aux vapeurs qu'il dégage, une intoxication se traduisant dans la clinique par des caractères vraiment particuliers et qui p
messieurs, je crois devoir vous en prévenir immédiatement : l'analyse clinique ne nous conduira pas à trouver exactement ce que
core de rechercher avec minutie la présence d'une série de caractères cliniques concomitants de l'impuissance motrice, qui seuls
nous allons tout à l'heure chercher la justification dans l'histoire clinique de notre malade, expliquera de plus comment, par
t insensible à toutes les excitations auxquelles les assistants de la clinique le soumettait. Evidemment c'est le syndrome de Br
ianeslhésie croisée, déterminé avec le plus grand soin les caractères cliniques . Il lui a été facile ensuite de montrer que ces c
spinale) — plusieurs des données qui vont suivre sont empruntées à la clinique de l'homme, postérieure, sur ce point, aux études
sonno). La malade, lorsque je l'ai présentée dans cette occasion à la clinique , dormait déjà depuis sept jours ; elle a continué
lter les documents que je viens d'indiquer ; et j'en arrive à l'étude clinique régulière des phénomènes qui s'offrent en ce mome
as d'un employé de télégraphe qui a fait l'objet d'une -de mes leçons cliniques (T. III, 2e leçon). Chez ce malade qui.lui aussi,
eu près tous les deux jours au service électro-thérapique annexé à la clinique . La situation, sans doute, s'améliore peu à peu
ions qui s'y rattachent n'ont pas encore pénétré suffisamment dans la clinique . J'ai eu, en effet, Messieurs, plusieurs fois l'o
ement, un sujet fort singulier, fort original et qui, au point de vue clinique , ofïre un cas complexe assez difficile à débrouil
la paralysie alcoolique. Pour ne pas entrer à propos des caractères cliniques de cette espèce de paralysie, dans une descriptio
neuropathique. Tout ce que nous avançons là repose sur nombre défaits cliniques en ce qui concerne l'influence de l'alcool ; on p
s et nous pouvons affirmer qu'elles portent avec elles des caractères cliniques tellement précis qu'on ne saurait hésiter un inst
nt. Tels sont les trois grands éléments pathologiques que l'analyse clinique nous conduit à distinguer chez notre malade. Vo
allation dans cet hospice de la consultation externe et du service de clinique , notre matériel d'observations, en ce qui concern
t nuit et jour, sans cesse ni sans trêve. Voici d'ailleurs l'histoire clinique de la maladie telle qu'elle s'est déroulée depuis
t sur la demande de sa mère le malade est admis dans les salles de la Clinique . Les difficultés qui se sont produites un instant
servées. Après l'âge de 12 ou 14 ans, il se produit dans l'histoire clinique de la chorée une évolution fort remarquable, car
grossesse. C'est à juste titre que la chorée de la grossesse porte en clinique un renom fâcheux, non pas qu'il s'agisse là d'une
vulgaire qui est en jeu, aggravée par les conditions de la grossesse.( Clinique de la Charité p. 476). Les deux seuls cas de chor
les vésaniques. On pourrait formuler ces résultats de l'observation clinique en disant que ce sont, chez l'adulte, les chorées
es d'une lésion quelconque appréciable par nos moyens d'investigation clinique . La plupart des auteurs qui se sont occupés de la
notre pauvre malade. J'en viens maintenant à compléter son histoire clinique antérieure aux phénomènes actuels, par quelques d
èse nerveuse s'associent volontiers l'une avec l'autre pour créer, en clinique , les combinaisons les plus variées, sans qu'on pu
e le rétrécissement se montre le plus prononcé. 1. Le service de la Clinique , à la Salpêtrière comprend environ 160 épileptiqu
rme assez accentuée, assez typique,pour devenir l'objet d'une analyse clinique . M. V...lois est âgé de cinquante-six ans. Il e
voir, àpropos d'un cas qu'il m'a communiqué et que j'ai présenté à la clinique de l'an passé (leçons du mardi ; Policlinique 188
surtout les cas typiques, il n'en est pas tout à fait de même dans la clinique où ce sont principalement les cas anormaux par qu
s ou types morbides, offrent, dans la combinaison de leurs caractères cliniques une véritable fixité, une originalité réelle qui
e, là part qui lui revient légitimement. La voie des investigations cliniques était désormais toute tracée. L'examen de la se
placés en mesure d'apprécier comme il convient l'intérêt des détails cliniques qui vont, chemin faisant, se dérouler devant vous
ade a été admise à la Salpêtrière en mars 1888, dans le service de la Clinique . Il s'agit chez elle d'attaques de grande hystéri
s ne sont point confondus cependant et qu'il est permis par l'analyse clinique de faire la part de chacun des deux groupes. Qu
s, et ils constituent même jusqu'à un certain point un des caractères cliniques de la maladie. Ils peuvent se produire, vous le s
esque chaque année une fois, l'occasion de présenter B...otà la leçon clinique comme un exemple de paraplégie par mal de Pott su
us conseille la lecture attentive, il s'appuie, dis-je, sur des faits cliniques probants (1). La plupart des chirurgiens, en effe
'est là une particularité reconnue depuis longtemps par l'observation clinique , et qui établit un contraste avec ce qui a lieu d
ainsi que vous allez le voir, un examen plus attentif des phénomènes cliniques devait nous conduire à reconnaître que la part de
je vous l'ai bien souvent fait remarquer, constitue un des caractères cliniques les plus intéressants des paralysies hystéro-trau
toute difformité, constitue suivant les auteurs (2) un des caractères cliniques du mal de Pott. D'après la description donnée p
névropathiques actuelles. Il conviendra aussi de compléter le tableau clinique par l'exposé de quelques nouveaux traits. Je vo
sées chez un jeune maçon âgé de vingt-cinq ans que j'ai présenté â la Clinique il y a deux ans (1) ; ce jeune homme était devenu
s poursuivons depuis trois mois environ, ici, dans le service de - la Clinique , d'un traitement, nouveau pour nous, de l'ataxie
à la thérapeutique — à la hauteur de nos connaissances anatomiques et cliniques et c'est à juste titre, hélas I que la maladie en
nom. Je leur dois également d'avoir bien voulu nous aider mon chef de clinique , M. Gilles de la Tourrette et moi, de leurs conse
Je vous l'ai présenté en effet.une fois déjà, cette année même, à la clinique (Leçon du mardi 13 novembre 1888) ; mais alors, n
ps que j'ai appelé l'attention sur la nécessité de bien distinguer en clinique le vertige ab aure Isesa, à crises distinctes, de
rs et avril 1887. 2. Leçons du mardi, 1887-88, p. 378. Ces traits cliniques qui caractérisent le tremblement de la maladie de
il aurait appris à connaître les dégradations que peut subir le type clinique qu'il a découvert,et il se serait placé en mesure
aractères qui sont maintenant entre nos mains. En réalité, l'histoire clinique de la maladie de Basedow devait subir la même évo
u moins ou grande partie. Il s'agit d'une thèse intitulée : « Etude Clinique sur le goitre exophtalmique», soutenue à la Facul
ssieurs, rien qu'à entendre la rapide énumération des quelques traits cliniques que je viens de relever à l'instant, ceux d'entre
. La suppression isolée de chacune de ces mémoires est représentée en clinique par autant de formes de l'aphasie, à savoir : l'a
te de la grande attaque hystéro-épileptique, non: 1. Richer. Éludes cliniques sur la grande Hystérie, 2e édition, 188 , p. 245.
ux un jeune garçon âgé de 12 ans que j'ai dans le temps présenté à la clinique . C'est le petit hypnotisme sans doute qu'ils obte
tredisons pas ; mais d'un autre côté, n'est-il pas clair qu'une étude clinique approfondie, et par conséquent nullement à la por
omme partout ailleurs. J'ai reçu ces jours-ci dans le service de la clinique un groupe de cinq cas bien propres à justifier le
uisitions les plus récentes à la fois et les plus envahissantes de la clinique (1). I. Mais ce sont là des questions sur lesqu
e D' Parinaud, pour l'année 1888, par Morax, externe du service de la clinique ). In Archives de Neurologie, 1889, p. 436. cica
e l'ancien « nervosisme» et qu'il a fait pénétrer dans le cadre de la clinique neuropathologique où il occupe actuellement une l
amille. l'occasion de relever plus d'une fois en étudiant les faits cliniques qu'il nous reste à examiner. Que dire de notre
nerveux qui ouvrirent la scène. Quelques jours plus tard, le tableau clinique était constaté tel que nous pouvons l'étudier auj
tation alimentaire ; et il est à remarquer, car c'est là un caractère clinique important que cette régurgitation se fait sans na
environ que ces vomissements ont été observés clans le service de la clinique (du 13 décembre au 17 janvier) on a plusieurs foi
pour en venir à ce point, de bien établir au préalable les caractères cliniques de cette contracture et de préciser les circonsta
e est donc hystérique? Cela certes n'est pas douteux : les caractères cliniques de la contracture, survenue épisodiquement parle
ernière leçon : il s'agissait, vous ne l'avez pas oublié, de la forme clinique complexe que je vous proposais de désigner par le
mendée toutefois, et il nous est possible d'en étudier les caractères cliniques qui sont fort accentués et fort significatifs.
point de vue de la psychologie pathologique qu'au point de vue de la clinique , sont exactement les mêmes chez l'homme hystériqu
tout à l'heure et pour le moment, j'en reviens, à l'exposé des faits cliniques . Donc l'accès du 15 mars 1887, le premier de to
d'être relevé, tant au point de vue psychologique qu'au point de vue clinique . Il se retrouve, si j'en juge d'après quelques ob
ncore, une fois de plus, vous le voyez, par l'ensemble des phénomènes cliniques , Il ne me reste plus, pour terminer la tâche qu
er en passant comme devant figurer sur l'ar-rière-plan dansle tableau clinique que j'ai voulu placer sous vos yeux toute une col
osé d'adopter pour le caractériser. 1. Paris. Doin 1887. 2. Etude clinique et médico-légale. Des impulsions morbides à la dé
e; après cela, nous pourrons entreprendre avec plus de profit l'étude clinique du cas de notre malade. I L'existence possibl
la brusque cessation des accidents constituent également un caractère clinique prédominant. C'est ici le lieu de relever que,
t cette période, et cette circonstance contribue, avec les caractères cliniques si originaux que présentent ces crises considérée
ur mettre en relief avec une admirable sagacité les grands caractères cliniques de ces crises. C'était en 1842, c'est-à-dire à
rme typique. Il semble que lorsqu'on est en présence de cette forme clinique si accentuée, si originale, on ne puisse en aucun
elle sorte que, malgré la confiance absolue que j'ai dans la sévérité clinique de M. Leyden, mon impression est, après la lectur
que je vous l'ai fait remarquer bien des fois, il faut s'attendre en clinique à voir les descriptions toujours un peu artificie
oir, ont, dès le commencement, joué un rôle important dans l'histoire clinique de notre sujet. Je fais allusion ici à une hype
e présentait à la Salpêtrière où il a été admis dans le service de la clinique . Il faisait vraiment peine à voir; déguenillé,
est un exemple de plus à citer parmi ceux qui montrent qu'une analyse clinique délicate a souvent le pouvoir de dégager des fait
vous trouverez exposée et discutée dans le compte rendu de mes leçons cliniques de cette année-là, publiées en langue italienne p
es de l'abasie ou de l'astasie ne se manifestent pas toujours dans la clinique sous le même aspect; à cet égard il y a à considé
variétés sans doute fort nombreuses qui pourront se présenter dans la clinique . Abasie . . a. Paralytique ou Parétique. As
à la Société médicale des hôpitaux par M. Rendu est, au point de vue clinique , particulièrement intéressante à consulter. Les p
et dont l'incoordination abasique sera en quelque sorte la traduction clinique . C'est ainsi que dans ce domaine où l'élément psy
te ans, que nous avons admise à la Salpétrière, dans le service de la clinique le 20 février dernier, c'est-à-dire il y a une vi
ègue M. le docteur Briand, pour en faire le sujet d'une démonstration clinique . Donc, l'étude de la paraplégie en question va
ut-être retrouverons-nous dans l'étude plus minutieuse des phénomènes cliniques présentés par notre malade, quelques nouveaux tra
J'ai insisté sur le rôle important que jouent ces rétractions dans la clinique des paralysies alcooliques, dans une leçon que le
es. Nous voilà donc déjà, par la seule considération des phénomènes cliniques , amenés à conclure que, suivant toute vraisemblan
e paraplégie alcoolique. Mais peut-être, en poursuivant notre analyse clinique , rencontrerons-nous encore de nouveaux documents
é que nous venons de relever, nous avons de quoi compléter le tableau clinique de la paralysie alcoolique. C'est bien d'elle qu'
sieurs, faire passer sous vos yeux, pour les soumettre à votre examen clinique , deux malheureuses créatures bien dignes d'excite
e est la raison pour laquelle il est venu demander son admission à la Clinique . Voici du reste son histoire : son père avait p
avant d'entrer dans les détails, je dois vous prévenir que l'histoire clinique de notre homme figure déjà dans la science deux f
effet les lésions qu'on peut rencontrer clans les cas qui portent en clinique cette dénomination d'atrophie musculaire progress
mes amyotrophiques se trouveront en quelque sorte surajoutés, dans la clinique , à ceux de la maladie spinale primitive. On com
, non pas comme espèces distinctes à mon avis, mais bien comme formes cliniques intéressantes à considérer séparément, le type ju
ie infantile, Thèse de Genève 1886. — Sattler. Contribution à l'étude clinique de quelques accidents spinaux consécutifs à la te
la leçon a été recueillie par M. Dutil, interne dans le service de la Clinique . Venons à son histoire personnelle. Il avait 7
chirurgien major assisté dans l'observation d'un médecin attaché à la clinique d'Heidelberg, et le sujet un grenadier de l'armée
remier rang les paralysies. Mais quels sont exactement les caractères cliniques de ces paralysies des foudroyés ou kerauno-paraly
le cas pouvait nous intéresser. Il a été admis dans le service de la clinique le 22 mai, c'est-à-dire seize jours après la fulg
n peut juger, au moment même où il a ressenti le choc. Ses caractères cliniques , en effet, nous le verrons dans un instant, conco
concordants pour qu'on puisse relever un certain nombre de caractères cliniques qui paraissent propres à ce genre de paralysies.
peu scrupuleux, vous le voyez, dans le choix des moyens de recherche clinique . Il espérait se convaincre, paraît-il, et convain
e faits qui sortent évidemment du cadre. En portant l'investigation clinique en dehors de la sphère des membres,nous avons rec
et vous aurez rassemblé une collection de faits dont la signification clinique ne saurait vous échapper. Evidemment, nos derni
it de la fulguration, ne porte pas avec elle, dans ses manifestations cliniques , de marques vraiment spéciales, capables de dénon
vement et de la sensibilité dans la main. Le malade est sorti de la clinique , guéri, quatre mois seulement après. A l'époque o
s intéressante observation est restée fort incomplète au point de vue clinique . Pourquoi n'avoir pas recherché l'anesthésie par
ers fort communément orduriers, et vous aurez accumulé des caractères cliniques tellement particuliers qu'ils paraissent devoir p
s tics; B, chorée chronique. (Communiqués par M. Dutil, interne de la Clinique des maladies du système nerveux.) vements invol
phénomènes qui s'y rattachent ne se manifestent pas toujours dans la clinique sous le même aspect et, à cet égard, il y a, ajou
été ces jours-ci admis dans le service. Vous voyez comment des faits cliniques , qu'on croyait des plus rares, semblent tendre à
i le syndrome abasie, et de chercher à en déterminer la signification clinique , si possible. Pour ce faire, il nous faut exposer
dante. Mais je ne voudrais pas insister plus longuement sur ce fait clinique , dont l'intérêt principal est qu'il nous conduit
la marche considérés en eux-mêmes et indépendamment des autres faits cliniques qui s'y observent, le cas de notre homme, en ce q
mples d'une maladie organique spinale nouvellement introduite dans la clinique neuropathologique, où elle devra désormais occupe
é la Syringomyélie (1). Je viens de dire que l'introduction dans la clinique de la maladie en question était de date toute réc
bles fonctionnels ou organiques qui, lorsqu'ils se présentent dans la clinique , permettent d'annoncer l'existence de 1. « Syri
désormais la feront reconnaître de tous, de communiquer enfin la vie clinique et nosographique à tout un groupe de phénomènes q
de la Société médicale des hôpitaux (22 février 1889), les caractères cliniques , aujourd'hui devenus classiques, de la syringomyé
avitaire, ne viendront pas, quelque jour, figurera leur tour, dans la clinique . Il est même fort vraisemblable qu'il en sera ain
sous l'aspect de la paraplégie cervicale qu'elle se présente dans la clinique . Elle peut aussi envahir le bulbe où elle reste l
t lentement progressive ; mais, autant qu'on en peut juger d'après la clinique qui fait constater dans l'évolution du mal des ha
fondements hypothétiques, trouveront leur justification dans l'exposé clinique . II Le plus souvent, les symptômes d'atrophie
périphériques. Ces troubles trophiques sont vulgaires dans l'histoire clinique de la syringomyélie ; ils offrent, en particulier
ie spasmodique venir se surajouter en proportions diverses au tableau clinique propre à la syringomyélie et embarrasser peut-êtr
ommaire que j'ai tenu à vous présenter de l'histoire nosographique et clinique de la syringomyélie, il.me reste à vous dire un m
agi. Il est vrai que ces erreurs datent de l'époque où les caractères cliniques de celle-ci étaient à peu près complètement ignor
plus ou moins vives, constam 1. M. Gharcot a récemment montré à la clinique un nommé Schwei..,.ei-, autrefois traité par Duch
e crois utile de placer sous vos yeux, pour les soumettre à l'analyse clinique deux malades chez lesquels vous trouverez présent
n a, à juste titre,fait jouer un rôle capital dans la caractéristique clinique de la syringomyélie ne lui appartient cependant p
is reléguée parmi les cas rares, elle devra désormais occuper dans la clinique une large place ; car, incontestablement, les sta
es que nous avions constatés pendant son séjour dans le service de la Clinique . Il a toujours des attaques, une ou deux par sema
Il est difficile, en vérité, de ne pas reconnaître dans l'histoire clinique du cas de railway-spine qui précède, l'associatio
éjà existante. Celle-ci a précédé un moment celle-là. La dissociation clinique des deux névroses lorsqu'elles se combinent ainsi
de l'idée relativement fausse que l'on se fait en général du tabieau clinique de l'hystérie chez la femme. Chez le mâle, en eff
ritablement aucun qui ne soit connu déjà comme appartenant au tableau clinique , soit de la neurasthénie, soit de l'hystérie. L
2. Extrait d'un travail publié par M. Dutil, interne du service de la clinique à la Salpê-trière. dans la GazelteMédicale du sam
re 1889. 3. Leçon de M. Charcot recueillie par M. Babinski, chef de clinique et publiée par le Bulletin médical ; mars 1887, p
acon d'ammoniaque. Le 9 août au matin, s'adressant aux élèves de la clinique , M. Ballet déclare en présence du malade, de faço
Classe ouvrière (Pronostic des maladies nerveuses dans la), 261. Clinique (de la Méthode), 25. Combemale, 94. Commissur
42 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
LEGON S Leçon d'ouverture. Sommaire. — Création de la chaire de clinique des maladies du système nerveux. — Moyens d'étude
nt aujourd'hui, non sans une réelle émotion, je l'avoue, la chaire de clinique des maladies du système nerveux, mes premières pa
position pour nos recherches pathologiques et pour notre enseignement clinique . Les services que peuvent rendre les études et
t faits dans ces conditions ne sont certes pas à dédaigner. Les types cliniques s'offrent à l'observation représentés par de nomb
s. Ces malades ne se refusent pas, tant s'en faut, aux démonstrations cliniques . Ils comprennent que plus ils sont minutieusement
officiellement confié. Comme par le passé, ^s'agira surtout ici de clinique , ou, autrement dit, de pratique. C'est dire que n
décrite depuis longtemps par Cruveilhier, put être rapportée au type clinique . Néanmoins, quelques auteurs continuaient à pen
évroses, et que, là aussi, on doit chercher à compléter l'observation clinique en pensant anatomiquement et physiologiquement.
'hystérie. Voilà un élément que nous rencontrons à chaque pas dans la clinique de cette névrose et qui jette, il n'y a pas à se
ant, la juridiction suprême devra toujours appartenir à l'observation clinique . Par cette déclaration, je me place sous le pat
trophie musculaire rhumatismale. Thèse de 1873. — J. Paget, Leçons de clinique chirurgicale. Trad. Petit, 1877. — E. Valtat, D
De Vatrophie musculaire consécutive aux maladies articulaires (étude clinique et expérimentale), Thèse de 1877. — Darde, Des at
lus intéressant, tant au point de vue pathologique qu'au point de vue clinique . Le clinicien doit en effet être prévenu de cet
à adopter ces dénominations. fiestera à déterminer la signification clinique de cette réaction. Venons-en au traitement du m
cles de la face chez une hystérique. — Simulation. Le service de la clinique renferme, en ce moment, quelques cas fort intéres
aint-Pétersbourg, âgée de quinze ans, non réglée, qui fréquente notre clinique depuis environ six semaines. Elle est venue cherc
e l'arthrite sèche est le subslratum anato-mique de toutes ces formes cliniques ; mais, à chacune d'elles répond une modification
ce sujet, il me reste à vous montrer que, 1. Dubrueil. — Leçons de clinique chirurgicale, Montpellier, 1880, p. 5. ainsi qu
on analogue à celle du rhumatisme chronique (fig. 40). Un élève de la clinique de la II. C'en est assez sur les contractures s
cette leçon, de vous entretenir d'un jeune garçon qui fréquente notre clinique , depuis quelques semaines, et qui présente une sé
anesthésie, phénomène qui occupe une place importante dans l'histoire clinique de l'hystérie et qui se rencontre assez communéme
emarquable, et par le soin 1. Bourneville et d'Ollier. — Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
le moyen de la démasquer. On ne saurait évidemment, dans les études cliniques relatives à l'hystérie, s'entourer de trop de gar
er ses nuits assis sur une chaise, et nous aurons complété un tableau clinique qui pourrait s'appliquer parfaitement à un cas de
eux qui président à l'érection et à l'éjaculalion. Eh bien, les faits cliniques établissent que, chez noire malade, ces deux cent
ettez-moi, Messieurs, de vous faire quelques remarques relatives à la clinique du cancer vertébral : 1° Il est rarement primit
utérus, etc. 4° Les douleurs pseudo-névralgiques sont la révélation clinique la plus habituelle du cancer vertébral. Mais, il
eurs, de vous rappeler en quelques mots les caractères anatomiques et cliniques de cette affection, tels que je les ai esquissés
des leçons qui vont suivre, d'entreprendre avec vous quelques études cliniques relatives à l'aphasie i. C'est vous dire que nous
s exceptionnellement favorables à l'analyse physiologique. L'exposé clinique de l'un de ces cas fera l'objet de la leçon d'auj
Trousseau, Kussmaul, Magnan, etc. — Etudes de 16 observations. — Cas cliniques . — Cas suivis d'autopsies. — Localisation. — Fréq
ateurs dans l'étude, encore peu vulgarisée parmi nous, de cette forme clinique . Notre cas, ajoutai-je, se distingue de la plupar
naître ». Une des observations dont Trousseau parle dans une de ses cliniques 4 appartient à cette catégorie. «Yoici, dit ce gr
ue, p. 43', T. I, 1838. 4. Peter. — De l'aphasie a'après les leçons cliniques du professeur Trousseau (In. Arch. gén. deméd., 1
doit d'avoir relevé que la cécité des mots peut se présenter dans la clinique , pour ainsi dire, à l'état d'isolement, et qu'ell
stion plus loin, et deux autres bien détaillées, mais bornées au côté clinique : Tune appartient à M. Armaignac 4, l'autre à M.
es mots dans Vaphasie. jrhèse de Paris, 1881. 4. Armaignac. — Revue clinique du Sud-Ouest, 1882. .5. Bertholle. — Asyllabie
16, qui viennent d'être signalées, fournissent, en ce qui concerne la clinique de la cécité verbale quelques enseignements qui n
troisième à MM. d'Heilly et Chantemesse3. Malheureusement, l'histoire clinique de tous ces cas a laissé à désirer, parce que la
l'existence d'un phénomène qui joue un rôle important dans l'histoire clinique de notre cas ; je veux parler du phénomène de l'h
st-à-dire la région du lobule pariétal inférieur, les deux phénomènes cliniques devraient à peu près toujours se montrer associés
'une lésion de la bandelette; il pourrait bien être un des caractères cliniques de l'hémianopsie de cause cérébrale. Pour en fi
nd soin par M. le Dr Parinaud, dans le cabinet ophthalmologique de la clinique : Pas de lésions oculaires ni de troubles fonctio
t, dans mes dernières leçons sur Y aphasie1, me fondant sur l'analyse clinique d'un certain nombre de cas appropriés, je me suis
la myopathie progressive primitive. Messieurs, Les hasards de la clinique ont fait que nous trouvons en ce moment rassemblé
avail de MM. Marie et Guinon, intitulé : Sur quelques-unes des formes cliniques de la myopathie progressive primitive. (Revue de
un instant à mon enseignement d'il y a 10 ans. La dénomination toute clinique d'atrophie musculaire progressive comprend, disio
ette classe d'amyotrophies spinales, qu'il est généralement facile en clinique de rattacher aux maladies dont elles dépendent. E
itives sont plus nombreuses et plus variées dans leurs manifestations cliniques qu'on ne l'avait soupçonné tout d'abord. Mais c
artiste en neuro-nosographie, s'éloigne tellement, par ses caractères cliniques , des amyotrophies progressives spinales, que rare
L'affection dont il est atteint et qui revêt chez lui les caractères cliniques de la paralysie myosclérosique de Duchenne, a déb
moins, elle n'existe pas, ainsi que me l'a fait remarquer mon chef de clinique , M. Marie, que cette particularité avaitfrappé. C
ion de volume des muscles ne saute Kj. il. aux yeux. Le seul fait clinique dominant chez lui, par conséquent, c'est la dimin
cause non spinale. Nous voici donc déjà en présence de trois formes cliniques , à savoir : la paralysie pseudo-hypertrophique, l
fillette, en effet, fut placée dans une des salles de femmes de notre Clinique ; les deux garçons s'en furent dans l'unique salle
ois déjà, c'est que nous possédons actuellement dans le service de la clinique une collection vraiment remarquable de malades, q
t, a pu rassembler 218 cas du même genre dont 9 appartiennent à notre clinique l. L'hystérie mâle n'est donc pas, tant s'en fa
est l'idée relativement fausse que l'on se fait en général du tableau clinique de cette névrose chez la femme. Chez le mâle, en
de notre leçon d'aujourd'hui. Nous allons procéder par démonstration clinique , en étudiant ensemble, avec quelques détails, un
itions que Rig... a été admis à la Salpêtrière, dans le service de la clinique , et, à son entrée, nous constatons l'état suivant
t typique, j'y relèverai encore quelques particularités que l'analyse clinique vous a fait reconnaître. En premier lieu, je si
e dans les cas précédents, chez trois autres malades du service de la clinique . DIX-NEUVIÈME LEÇON A propos de six cas d'hys
s, comme je l'ai fait l'autre jour, surtout par voie de démonstration clinique . Notre matériel d'hystériques mâles est loin d'êt
jà. Le nommé Mar..., âgé de 16 ans, est entré dans le service de la clinique , le 29 avril 1884, c'est-à-dire il y a un on. Il
y..., maçon, âgé de 22 ans, est entré à la Salpêtrière, service de la clinique , le 24 mars 1885. Il est né à la campagne, aux en
près régulièrement toutes les nuits. Lors de l'entrée du malade à la clinique de la Salpêtrière, on constate ce qui suit: anest
Elle a été, d'ailleurs, l'an passé, de la part de mon ancien chef de clinique , M. le Dr Ballet, actuellement médecin des hôpita
ment complet de de la monoplégie que P... entra dans le service de la clinique , à la Salpêlrière. Nous rétablissions alors les a
antécédents tels que je viens de vous les dire et, de plus, un examen clinique minutieux nous fournissait les résultats que voic
préter le cas comme un exemple d'hystérie. D'ailleurs, les caractères cliniques de la monoplégie, son origine traumatique elle-mê
rare ; qu'elle peut, par conséquent, se présenter, çà et là, dans la clinique vulgaire où seuls des préjugés d'un autre âge pou
ues 2. Messieurs, La leçon d'aujourd'hui sera consacrée à l'étude clinique d'un cas de monoplégie brachiale droite, survenue
r qu'elles existent 1. Leçon recueillie par M. P. Marie, chef de la clinique , et G. Guinon, interne du service. 2. Leçon fai
profession de cocher de fiacre et qui est entré dans le service de la clinique le 15 avril dernier. L'affection remonte à plus d
eurs, en dehors de ce qui concerne la monoplégie, bien d'autres faits cliniques très ntéressanls; mais ils ne frappent pas les ye
r minutieusement et dont nous connaissons actuellement les caractères cliniques ? Relève-t-elle d'une lésion plus ou moins grave d
ration, sur l'étendue 1. Leçon recueillie par MM. Marie, chef de la clinique , et G. Guinon, interne du service. et sur le mo
i complète et aussi durable 1. Çharcot et Titres, Elude critique et clinique de la doctrine des localisations motrices dans Vé
est démontré après tant d'autres faits relevés par mon ancien chef de clinique , M. le Dr Ballet, dans sa dissertation inaugurale
ue. Mais je tiens à vous faire remarquer, qu'en somme, les caractères cliniques de la monoplégie de Porcz... ne diffèrent pas de
faire appel à toute une série d'épreuves et d'arguments qu'une étude clinique attentive et minutieuse pouvait seule fournir. C'
e, vous allez le constater bientôt, par un grand nombre de caractères cliniques communs qui rendent souvent le diagnostic très di
un excellent travail où sont traités leur étiologie, leurs caractères cliniques , ainsi que les moyens de traitement qu'il faut le
réalise en effet, objectivement, s'offrant ainsi à nos investigations cliniques . J'ajouterai, et c'est là un point qui nous int
dont il nous faut à présent déterminer minutieusement les caractères cliniques ; car peut-être cette monoplégie est-elle assimil
in, la perte totale du sens musculaire. Or, Messieurs, ces caractères cliniques , vous le reconnaissez immédiatement, sont exactem
'intimité des phénomènes. 1. Leçon recueillie par M. Marie, chef de clinique , et G. Guinon, interne du service. Pour en veni
ccessives, reproduit jusque dans les moindres détails, les caractères cliniques que présente la monoplégie de notre malade Porcz_
dessein chez nos hystériques, sont, en ce qui concerne les caractères cliniques , non pas seulement comparables entre elles, mais,
s haut degré et se présente alors avec tout l'ensemble des caractères cliniques que vous savez. Ainsi la ressemblance entre les
attitude du malade ; forme de la fesse et du pli fessier. — Analogies cliniques considérables avec la vraie coxalgie organique. —
affection of Joints, 3e lecture. London, 1867. — Sir Paget, Leçons de clinique chirurgicale. Trad, du Dr L.-II. Petit. 3e leçon,
crois utile, en matière d'introduction, et pour rendre notre analyse clinique plus facile, de vous rappeler au préalable très s
s à grands cris une intervention 1. M.-A.-C. Robert, Conférences de clinique chirurgicale, recueillies par le Dr Doumic. Chap.
notre malade, il s'agit de la hanche. Voici les principaux caractères cliniques de ces arthralgies signalés par les auteurs, qui,
elevés par quelques auteurs' comme présentant une certaine importance clinique . En réalité, ce contraste entre les deux fesses
udrez l'appeler. Cette forme mixte existe-t-elle en réalité dans la clinique ? Oui, très certainement, et peut-être est-elle mê
a présidé à son développement. Yoici, en quelques mots, l'histoire clinique de ce malade : C'est un homme de 30 ans, nommé Du
ue décrivait récemment le professeur Verneuil, dans une de ses leçons cliniques . Ici, à la suite d'une contusion toujours intense
travaux. Je me bornerai seulement à relever que, parmi les caractères cliniques qui distinguent la contracture signalée par M. Yo
lle appréciable cérébrale ou spinale, à l'aide de certains caractères cliniques . C'est ainsi, par exemple, que, dans les premiers
de récentes études dont les résultats ont été exposés par mon chef de clinique , M. le Dr Babinski, d'abord dans le Progrès médic
par le traumatisme et comparable à tous égards, quant aux caractères cliniques et au mécanisme, aux monoplégies hystéro- traumal
es recherches que nous avons entreprises à cet égard, à propos du cas clinique que nous venons d'étudier, nous ont convaincu que
27 hommes), les uns actuellement en traitement, dans le service de la clinique , les autres fréquentant la consultation externe.
réflexes. Par ce côté, comme, du reste, par l'ensemble des caractères cliniques , la contracture provoquée chez les hystériques à
es contrastes et, partant, de mettre en pleine lumière les caractères cliniques distinctifs des deux ordres d'affections. Somma
me hystérique et en font 1. Voir I'Appendice V, p. 483. un groupe clinique vraiment autonome, original, reconnais-sablé entr
grandes chances d'erreur. Si j'insiste encore une fois sur ce fait clinique , c'est parce que les muets hystériques, plus enco
ieu. Il fut placé là sous la direction de M. le Dr Capitan, chef de clinique de la Faculté qui nous a donné les renseignements
° Sa respiration 1. Observation recueillie par M. Babinski, chef de clinique de la Faculté. 2. Voir Leçon XXV, p. 414 et Seq
calisation puisse, chez divers sujets, se traduire par des phénomènes cliniques différents, suivant qu'il s'agira d'individus app
térie. Tous ces malades ont été présentés par M. Charcot à ses leçons cliniques . Un travail ultérieur comprendra l'exposé complet
pitaux du 12 janvier 1886). répondent aux caractères de ce syndrome clinique . L'histoire du fils de Crésus, rempli de perfecti
t, son indépendance ne saurait être mise en doule. Rappelant que la clinique était arrivée à isolerjm,alre élé-men tsjoujûteur
r base l'indépendance de ces centres vis-à-vis les uns des autres. La clinique d'ailleurs, ici comme toujours, fournit des argum
RE LEÇON. leçon d'ouverture. Sommaire. — Création de la chaire de clinique des maladies du système nerveux. — Moyens d'étude
Trousseau, Kussmaul, Magnan, etc. — Etudes de 16 observations. — Cas cliniques . Cas suivis d'autopsies. — Localisation. — Fréque
attitude du malade; forme de la fesse et du pli fessier. — Analogies cliniques considérables avec la vraie coxalgie organique. —
, 357, 392, 393, 402. Système nerveux (Organisation de la chaire de clinique des maladies du), i. T Tic non douloureux de
43 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE E LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX Imp. Vvc LouRno
tignolles, 33, Paris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIEE SOUS LA
L RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE ' ANCIEN CHEF DE CLINIQUE ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHI
ès bien établis et qui, autant que le permet de dire l'expé- rience clinique , n'a que fort peu de chance de devenir autre chos
vasculaires, l'autre doit être imputée à la méthode elle- même. La clinique et l'expérimentation nous enseignent que la suspe
était traitée à la TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 35 clinique duDl' Motschoutko-\sky. Elle nous a dit av oir re
. Encyclop. des Sci. Méd. art. Névroses. (2) Loc. cit. (3) Traité clinique des maladies du système nerveux, (4) Bail, Mala
ns le visage; ils ont le délire sitôt qu'ils ferment les (1) Traité clinique des maladies du système nerveux, page 495. - ·
quement, comme hystérique, parce quela malade entra dans le service clinique attaquée d'une pneumonie migra- trice. La malad
gnolles, Paris. - NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE ('Cli \\'.111, DE LA CLIN
ÊTRIÈRE ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE ('Cli \\'.111, DE LA CLINIQUE DES MALADIES SERVEUSES, SERVICE DE M. LE l'1t01 ?
pages 561-566). (3) Ollivier. Chorée el alhélose double. (Leçons cliniques sur les maladies des enfants, 1889, page 165).
ella. Athetosis bilalemlis. (Centralblatt f. Xcrvenli, 1881). ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 59 malades de Massalongo
A l'Occasion DE la Parole VVE BABÉ & CIVE ÉDITEURS ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATIIÉTOSE DOUBLE. Gl le travail avec des
mouvements athétosiques des doigts deviennent plus forts. Ce- ÉTUDE CLINIQUE SI" ! \ I : ATn(>TOS1 : Dot 63 pendant il ne
rrégulière, involontaire, exagérée et puissante en apparence. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 65 qu'ils offraient quel
thèse de Paris, 1888-89). (2) Audry, Athélose double, 1892. ÉTUDE CLINIQUE SUR 1,'A'IUlel'OSF DOUBLE. (j7 Un certain nombr
es bras (1) Warner, l3ritis)z /IIpd.j01ll'/lal, sept. 1883. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. dans la même direction,
re. Nous avons déjà signalé l'influence des mouvements volon- ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATUÉTOSE DOUBLE. 71 taires sur les convul
RCHE DANS L'ATHÉTOSE DOUBLE VVE BABÉ & C'E ÉDITEURS ÉTUDE CLiNIQUE SUR L'ATUÉTOSE DOUBLE. 73 Grand'mère maternelle
; ils se fléchissent soit dans toute leur articulation, soit ÉTUDE CLINIQUE SUR LATHÉTOSE DOUBLE. 75 isolément. Mémo lenteu
rtes. Les bras assez forts. M. P. Richer, chef de laboratoire de la clinique des maladies nerveuses, a exa- miné notre malad
t les suivantes : La taille est égale à peu de choses près. ÉTUDE CLINIQUE SUR T.'ATII1;TOS); DOUBLE. 77 Déformations du t
n question de celui des malades atteints de chorée intense. ÉTUDE CLINIQUE SUR 1,'ATnÉTOSE DOUBLE. 79 Oulmont nous expliqu
uence bien accessoire et bien effacée. Mais revenant sur le terrain clinique nous constatons que les malades sont atteints à
movements in childl'ell (Brain, V.X, an- née 1887, p. 237). ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 81 Nous verrons encore c
d with epilepsy (British, Med. Journ., London 1879, p. 81). ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATIIÉTOSE DOUBLE. 88 formation crânienne,
CHE DANS L'ATHETOSE DOUBLE V°ç BABE & Cive ÉDITEURS ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHËTOSE DOUBLE. 83 terne de la Salpêtriè
t se confondent avec les convulsions de l'enfance et qu'on ne ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 87 peut avoir recours qu
disparition graduelle. (A suivre) E. Huet, Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux. Nouvelle icono
début du l'abcs ataxique. ( Leçon recueillie par A. Dutil, chef de clinique ). Messieurs, Je veux aujourd'hui appeler vot
sur un cas qui nous a beau- coup préoccupé, ces jours-ci . L'étude clinique que nous allons en faire avec vous, vous intére
réambule, quelques observations sur certains points de l'his- toire clinique et nosographique du tabes considéré en général.
variées repré- sentent, schématiquement, pour ainsi dire, toute la clinique du tabes. v 9 122 NOUVELLE iconographie de la
exes rotuliens ; 4° la parésie vésicale, qui constituent le tableau clinique de la période préataxique. Mais, Messieurs, il n'
dans l'es- pèce ce chapitre est très chargé. Alors les difficultés cliniques commencent. Or, retenez bien ceci, il n'est auc
té jusqu'au 20 janvier, jour de son admission dans le service de la clinique . C'est pendant son séjour à l'hôpital Tenon qu'il
Robertson tout comme chez notre homme. Il y a ainsi dans l'histoire clinique du faites quelques groupements de symptômes, qu
nt les lésions anatomiques qui se traduisent par les manifestations cliniques que nous venons d'étudier. Vous en jugerez vous-m
iologique considérable. Cette question n'intéresse pas seulement la clinique . Cas particulier des rapports qui unissent l'ét
ujet précédent. L'un et l'autre malade ont fait l'objet d'une leçon clinique de M. Char- cot dans le courant de cette année.
ÈRE. autre genre de déviations, ressemblant davantage, comme aspect clinique , il ce qu'on trouve dans la syringomyélie et la
de leur importance, nous donnerons un court résumé des observations cliniques de Pitres et Vaillard et de Kroenig. Elles prés
ons qui précèdent sont succinctes en ce qui concerne les caractères cliniques des lésions rachidiennes. Le mode de début est in
Les faits de Kroenig sont plus complètement étudiés au point de vue clinique ; ils paraissent ressortir a des cas de fractures
les qui existaient à n'en pas douter dans les observations purement cliniques de Kroenig, rentrent dans la catégorie des trou
minance ? Un dessin de M. P. ficher, qui ligure dans le musée de la clinique des maladies nerveuses, et qui représente une f
un exemple. Mais c'est un mémoire de M. Babinski (1), alors chef de clinique il la Salpètrière, qui, en 1888, attire l'atten
oire dans les cas très prononcés. I IALLIUN, Ancien Interne de la Clinique îles maladies du système nerveux. CONTRIBUTION
térieurs de la cuisse. (A suivre) E. HUET, Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux. ÉTUDE CLINIQUE
ien interne de la Clinique des maladies du système nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE D
tème nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES, SERVICE DE M. LE PROrr CH
Il paraît d'après cela qu'il n'y a pas un rapport bien net ni ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 187 bien constant entre
se font pas avec les moelleux comme clans la chorée chroni- 1 ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 189 que ; au lieu de s'a
; sur trois de mes malades parmi lesquels, ceux dont l'observation clinique et anatomo-pathologique m'a été si aimablement co
de la chirurgie moderne, paraissent nous encourager à la dis- ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 191 cussion d'une interv
centrique, en un mot c'est la folie musculaire des auteurs.. 'ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 193 Aux membres inférieu
nts volontaires ; elles sont très appréciables aussi dans les ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 195 muscles de la face s
multiplo, (Riforma medica et Bull. de clin., Milans, 1886). ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 197 de diminuer ou même
Le (1) Gilles de la Tourette, Arch. Neurol., 1884 et 1885. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 199 pouce en adduction v
ription de cet auteur; le cas a été communiqué en 1890 à la Société clinique par notre ami Lebon, alors notre collègue dans
variétés de scoliose sciatique. Un sujet entre dans le service de la clinique dans le courant de l'année dernière, pour une d
e, dont nous avons communiqué récemment l'observation il la Société clinique (2), présentait au contraire, à un degré très lég
ntenterons de quelques remarques. On peut, de l'identité des formes cliniques , conclure avec beaucoup de probabilité à l'iden
vérification pos- sible des théories par la comparaison des formes cliniques de déviations névropathiques les unes avec les
cine générale provisoirement créé dans cet hospice et rattaché à la Clinique des maladies nerveuses, un exemple intéressant de
nique insuffisam- ment justifiée. HALLION, Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux. NOTE SUR QUELQ
lvani- ques de muscles normaux recueillie sur un autre malade de la clinique (homme hystérique). Les deux premières lignes r
é ces troubles de la contractilité musculaire sur un ma- lade de la Clinique de la Salpètrière, qui a été l'objet d'un cours d
agnostic de maladie de Thomsen. - E. HUET, Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux. ÉTUDE CLINIQ
ien interne de la Clinique des maladies du système nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE D
tème nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES. SERVICE DE M. LE PROF'' C
ois, le sujet frappe à coups répétés sur un objet imaginaire, ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 253 imitant le geste des
toujours dans le tabes dorsal spasmodique ; s'ils s'observent ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 255 par hasard quelquefo
int noire avis, el nous croyons que c'esl possible de prouver ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 257 que les mouvements i
ne et l'autre maladie, il nous semble qu'il existe, au point de vue clinique entre les unes et les autres, des différences a
w, 1876. (2) Revue de médecine, 1887. (3) Cité par Audry. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 259 Ce sont les mouvemen
auteurs ont notes dans les antécédents, des malades atteints ÉTUDE CLINIQUE sur l'athétose DOUBLE. 261 d'affections nerveus
herches. A ma demande, M. Gilles de la Tourette, mon ancien chef de clinique , voulut bien continuer à surveiller les expérie
es excitations électriques. GILLES DE la TOURETTE, Ancien chef de clinique des maladies du système nerveux. DEUX CAS D'ANO
rbide ; elle n'est plus à l'heure actuelle qu'une forme, qu'un type clinique de la syringomyélie. Les deux autopsies de MM.
nt inébranlables. A. SOUQUES, Ancien interne, médaille d'or de la clinique des maladies du système nerveux. ÉTUDE CLINIQ
daille d'or de la clinique des maladies du système nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE D
tème nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES. SERVICE DE M. LE PROF'' C
nelle appréciable. (1) Voyez les numéros 2, 3 et 4, 1892. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 393 Presque tous les aut
cependant la façon de voir des auteurs qui se sont préoccupés ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 295 de la question et do
la tête qui pourrait faire croire à la maladie de Friedreich. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 297 Membres supérieurs.
as d'abord et surtout le gauche se tournaient. Sommeil bon. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 290 Pas de bronchite. Pa
saisir un objet il fait la même manière que la main droite. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 301 On arrive à fixer l'
latéraux, on ne trouve trace ni sur la moelle, de sclérose. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 303 Parole nulle, mais l
ion en dedans. Les orteils sont légèrement fléchis. Même rai- ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 305 deur et même émaciat
raphique suivant en don- nera l'indication. (N. D. L. R.) e ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATUËTOSE DOUBLE. 307 CONCLUSIONS. 1° L'
opposition le nom de mou- vements athétoïdes. 3° Au point de vue clinique les mouvements athétoïdes se distingueront des
v. Heine. Spinale Kinderloehmung Monographie, 1865. Henoch. Leçons cliniques sur les maladies des enfants. C. H. Hughes. A uni
acl. of the obsl. Soc. of London, 1863). Loevenfeld. Ein Fall ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 309 multipler Neuritis m
., 1878). Ollivier, prof. agrégé. Chorée et athétose double (Leçons cliniques sur les maladies des enfants, 1889). W. Osier. Th
The Journal of Nerv. and ment. Diseuse N.-Y.). - P. Oulmont. Étude clinique sur l'athétose (Thèse de Paris, 1878). De l'ath
and ment. Disease, N.-Y., 1891). Raymond. Étude anat., physiol. et clinique sur l'hémichorée (Thèse de Paris, 1876). Remak.
fixée sur la branche B. PAUL BICHER, Chef du laboratoire de la Clinique des maladies du système nerveux. Le gérant :
des un cas complexe d'hystérie qui simulait à s'y méprendre le type clinique spécial de l'hémiplégie spas- modique infantile
des autres. Ce mode de répartition des lé- sions domine le tableau clinique et commande les symptômes. S'agit-t-il de lésio
les plus justement appréciés restent encore l'honneur de la vieille clinique française et que le Traité clinique et théra- p
encore l'honneur de la vieille clinique française et que le Traité clinique et théra- peutique de l'hystérie de Briquet, pa
de la Tourette et qu'il a consignées avec tant d'art dans son Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie. Il ressort de s
es leçons magistra- les de M. le professeur Charcot, les Recherches cliniques de Bourneville et de ses divers collaborateurs
n compte et en maints endroits de ses Conférences thérapeutiques et cliniques , on peut le trouver enrichi d'intéressants et nou
son de dire plus haut que la question de l'hys- (1) Briquet, Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, p. 90. MALADIES
fois bien curieuses (1) ». M. le professeur Pitres, dans ses Leçons cliniques , consacre une courte étude à ce qu'il appelle «
en (1) Id. Bulletin médical, 30 juillet 1890. (2) Pitres. Leçons cliniques sur l'hystérie, 1891, t. I, p. 37. 338 NOUVELLE
on ou la nature des symptô- mes. Elles correspondent à des variétés cliniques mal définies, et non pas à des espèces nosologi
roses, et que, là aussi, on doit chercher à compléter l'observation clinique , en pensant anatomiquement et physio- logiqueme
tose hystérique. Plus (1) Achard, Thèse Paris, 1887. (2) Charcot, Clinique des malad. du syst. nerv. G. Guinon, 1892, t. 1,
du, 1889, loco citato. (8) Pitres, Progrès médical, 1889, et Leçons cliniques sur l'hystérie, 1891. (9) Charcot, Clin, des ma
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. par M. Rochon-Duvignaud, chef de clinique de M. Panas, qui nous a remis la note suivante
suivants : 1° Par quels signes notre malade se rapproche du type clinique de l'hé- miplégie spasmodique infantile, avec l
syndrome hystérique. Les signes qui plaidaient en faveur du type clinique de l'hémiplégie spas- modique.infantile, tel qu
cette erreur, et par quels signes notre malade s'éloignait du type clinique de l'hémiplégie spasmodique infantile. Les si
* A. ORREGO Luco, Directeur de l'Ecole de médecine et professeur de Clinique des maladies du système nerveux : l Santiago (C
gré efficace dans l'hyperémie des poumons ; j'en donnerai l'épreuve clinique plus loin. Dans son trajet à travers la cavité
rate, de la matrice, etc. .. Nous passons maintenant aux preuves cliniques qui justifient les lignes précédentes et aux in
s que contiennent mes publications russes. J'ai commencé mes études cliniques sur la faradisation vaso-constrictrice thérapeu
ce physiologique n'est pas aussi prononcé que dans nos observations cliniques . Il en ressort qu'il est plus facile de provoquer
e l'anatomie pathologique justifie son opinion. Mais quelques faits cliniques ne sont pas en accord avec l'hypothèse de l'ill
upérer leur fonction. Cette supposition est d'accord avec les faits cliniques . On voit en effet la contracture tardive dans l
ations et les cautérisations. J'affirme en m'appuyant sur des faits cliniques que la faradisation de la région claviculaire e
ements qu'elle comportait. PAUL Richer, Chef du Laboratoire de la Clinique des maladies du système nerveux. (1) Parmenti
LE & CI" ÉDITEURS TABLE DES MATIÈRES Athétose double (Etude clinique sur 1' ), 1 par Michaïlowski, 57, 183, 251, 292
44 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
gagner à être étudié scientifiquement, dans les hôpitaux ou dans les cliniques particulières, par des hommes ayant donné des gag
e des expériences que j*ai faites à ce sujet : Le 9 juin 1888, à la clinique de M. le Dr Liébeault, j'endors Mme M..., très bo
e faisant mention que pour mémoire des études de Ch. West, des Leçons cliniques d'Henoch sur les maladies de l'enfance, ainsi que
eaucoup de personnes qui n'ont jamais été (1) J. Simon, Conférences cliniques sur les maladies des enfants. (2) Bourdin, Les
tient pas aux tribunaux de décider si le (1) James pajet, Leçons de clinique chirurgicale. — Traduction de L. H. Petit, p. 246
Georce] Simon. NOUVELLES Hospice de la Salpêtrière. — Court de clinique des maladies du système nerveux : M. le professeu
dredi, à 9 heures. Cours libre. — M le Dr Edgar Bérillon fait a- sa clinique . 40 bis, rue de Rivoli, les jeudis à 4 heures, un
sa clinique. 40 bis, rue de Rivoli, les jeudis à 4 heures, une leçqn clinique sur les applications thérapeutiques de l'hypnotis
'est absurde ! » Je doute que les hypnotiseurs qui opèrent dans les cliniques arrivent jamais à produire des résultats plus com
ent parler, c'est à titre de phénomène pathologique, de manifestation clinique , de symptôme, qu'elle se produit, et c'est comme
plaintes qui ont pu déjà frapper son oreille, soit les manifestations cliniques dont le hasard l'a rendu témoin. Eh bien, avec
e ans, l'autre de treize, se présentent quinze jours consécutifs à la clinique d'Eross, se plaignant, celle-ci de douleurs tempo
G. Burckhardt.— Neufchâtel. broch. in-8°, 1888. Traité pratique et clinique d'hydrothérapie, par Duval. médecin en chef de l'
ouverons pas de» analogies qui corroborent encore cette assertion. La clinique serait évidemment la contre-épreuve désirable, et
ntal particulier qui, sous le rapport psvchologiquc, phvsiologique et clinique , se rapproche indubitablement des psychoses, et q
aug., p. «3, l88l. Paris. diagnostic étant bien établi. la marche clinique n'évolue jamais d'une manière spontanée et rapide
ar le Dr E. Monin. — 0. Doin, in-12, 1888, Études expérimentales et cliniques sur la tuberculose publiées sous la direction de
ins moments de l'intolérance gastrique. > Lûrman, assistant à la clinique de Kiel. a publié le cas d'une jeune fille de vin
rdit la pratique de l'hypnotisme aux savants, aux médecins dans leurs cliniques et dans leurs leçons. C'est a ce point de vue q
dans la veille et le somnambulisme. Dans une de ses récentes leçons cliniques de l'hôpital Necker, M. le LV Gilbert Ballet vien
séquence de celle-là. Mais ce sont là questions d'ordre exclusivement clinique ; le diagnostic posé, l'origine du mal spécifiée,
e celles que nous venons d'analyser. Ici, les considérations d'ordre, clinique s'erlacent. La physiologie, l'hygiène, puis la pé
(0 Dklasuuvi. Traite de Vifiteftie. p. an; 1854. Paris. (i) Gow»i, Clinique de tf/ôfital national des épiieptiquet à Londret
national des épiieptiquet à Londret (3) Liciaxq du > v v : ; 1, Clinique de la Salpétrier; 'Cir des hôpitaux, 1S8*, p. 407
trand commença ses investigations à Stockholm, après avoir visité les cliniques de Nancy. Aujourd'hui, sa statistique porte sur 7
souffrant de céphalalgie; de ce nombre, 05 furent guéris. Dans notre clinique , la proportion n'est pas si avantageuse. J'ai eu
s n'a pas très bien réussi dans les cas de neurasthénie : à notre clinique , une grande partie des malades sont atteints de c
ésence d'un nombreux auditoire d'étudiants et de médecins, ses leçons cliniques sur les maladies du système nerveux. Conforméme
(ort intéressants sur l'hypnotisme, dont les applications faites à la clinique de la Salpctrière diffèrent Je celles qu'ont rapp
ants, a la même heure, M. le professeur Ball commencera le cours de clinique des maladies mentales, le dimanche 11 novembre
u'elle oppose la moindre résistance. Cela posé, je prie mon chef de clinique de l'endormir et de lui suggérer que je serai de
cours pratique de chimie et de micrographie médicales, appliqué à la clinique , à l'hygiène et à la thérapeutique. J Il trai
omnambulisme, la suggestion a causé du mieux. N'a pas été ramené à ma clinique . J'ai eu quelques raisons de croire qu'il a été g
is ne rentre plus. cours et conférences /attaque de sommeil Leçon clinique de M. Ic professeur Ciuscot Recueillie par M. le
e de M. Ic professeur Ciuscot Recueillie par M. le D' Bcrikj, chef de clinique adjoint. J'ni fait apporter devant vous une fem
en repos. NOUVELLES M. Mairet, agrégé, est nommé professeur de clinique des maladie» mentale* ci nerveuses à la Faculté d
ellier. Faccltk de «koïcine dk Nascr. — M. Bernheiro, professeur de clinique médicale, membre du Conseil general des Facultés,
onne de ces deux termes par l'observation des faiis physiologiques et cliniques . Pour qu'une impression sensorielle devienne co
que. Le cas s'étant présenté à l'Hôpital maritime, dans la salle de clinique médicale, les faits que nous publions eurent pour
trées dans nos hôpitaux. Pendant ses derniers séjours, les chefs de clinique ont consigné sur sa feuille l'histoire détaillée
ies paralysées. M. le docteur Cunéo, médecin en chef, professeur de clinique médicale à l'école de Toulon, après avoir, à notr
ronique à forrae. (1) Nous reproduisons les termes de la feuille de clinique , sans préjuger en r;« des constatations histologi
uble nutritif, peu accusé, du reste. Réflexions. — De l'observation clinique publiée antérieurement extenso ex brièvement
suggestion presque aniauroiiquc, avec les signes ophtalmoscopiques et cliniques de l'atrophie grise progressive. Inversement, l
de chaque semestre, aussi bien qu'aux travaux pratiques et aux leçons cliniques . A la fin de chaque semestre, l'étudiant est tenu
subir ce second examen, il leur laut fréquenter un certain temps les cliniques et les laboratoires spéciaux; puis ils font conna
se en France, et particulièrement h Paris, où il existe une chaire de clinique des maladies nerveuses et une chaire de clinique
existe une chaire de clinique des maladies nerveuses et une chaire de clinique des maladies mentales, en Russie l'enseignement d
nement ne commencera que l'année prochaine (1888-1889). A Karkoff, la clinique des maladies mentales et nerveuses se trouve dans
ppartenant au docteur Platonoff; il n'existe pjs encore de service de clinique à l'Université. La nouvelle clinique des maladies
'existe pjs encore de service de clinique à l'Université. La nouvelle clinique des maladies mentales et nerveuses à Moscou vient
les frais des constructions et de l'ameublement (400.000 francs). La clinique porte le nom de clinique Morosoff. {A suivre?)
ons et de l'ameublement (400.000 francs). La clinique porte le nom de clinique Morosoff. {A suivre?) RECUEIL DE FAITS SURD
, est l'effet d'un acte inhibàoire. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Clinique de» maladies nerveuses. M. le docteur Bérillon,
pnotisme, commencera le jeudi 21 février, à dix heures du matin, à la Clinique des maladies nerveuses, 55, rue Saint-Andrc-des-A
maladies nerveuses, 55, rue Saint-Andrc-des-Arts, une série de leçons cliniques sur les applications de l'hypnotisme a la thérape
tation de leur carte. Des consultations gratuites sont données à la clinique les mardis, jeudis, vendredis, de dix heures à
tanatomie pathologique, éclairée et comme vivifiée par l'observatioi clinique , tandis que celle de M. BrowD-Scquard sera surtou
artements, 36 fr.; étranger, 08 fr. ".• NOUVELLES Des conférence» cliniques auront lieu à lHôtel-Dîeu. dans le laboratoire da
facile sur les sujets susceptibles de les produire repose sur l'étude clinique la plus circonspecte, sont le témoignage de l'inf
iés jusqu'à ce jour, que j'ai contrôlés cent fois dans mes recherches cliniques , et qui offrent toutes les garanties d'une rigour
ont été construits sous la direction de M. Kojewnîkoff, professeur de clinique des maladies mentales et nerveuses a Moscou. Ces
res et même confortables. Le bâtiment est entouré d'un grand parc. La clinique contient cinquante lits, ce qui est suttsant pour
est suttsant pour l'enseignement des maladies nerveuses. Une autre clinique , encore en construction, se trouve à Saint-Péters
euses ; cet hôpital contient trois cents lits. L'organisation des cliniques , dans les Facultés russes. diffère complètement d
dans les Facultés russes. diffère complètement de l'organisation des cliniques de la Faculté de médecine de Paris. Les hôpitau
e utilité pour les leçons. les démonstrations et les recherches de la clinique , ils sont évacués dans Icsautrcs hôpitaux, pour l
pour leur traitement ultérieur. Les vacances sont générales dans les cliniques de la Faculté; elles commencent le 20 mai. et à c
niques de la Faculté; elles commencent le 20 mai. et à cette date les cliniques sont fermée*, les malades sont dirigés sur les hô
et leurs aides sont libres jusau au 20 3oût. date de l'ouverture des cliniques . Cette évacuation des cliniques et ces vacances o
u au 20 3oût. date de l'ouverture des cliniques. Cette évacuation des cliniques et ces vacances ont été établies dans un but écon
ls faisaient des démarches dans le but d'obtenir la non-fermeture des cliniques pendant l'été. Pour les cliniques autres que cell
but d'obtenir la non-fermeture des cliniques pendant l'été. Pour les cliniques autres que celles des maladies du système nerveux
éjà, d'ailleurs, un progrès a cet égard a été réalisé à Moscou, où la clinique des maladies mentales et nerveuses est restée ouv
s a affirmé que cet exemple serait suivi peu à peu et que la nouvelle clinique du quartier de Viborg ne sera pas fermée pendant
les vacances. 11 faut remarquer pourtant que, malgré la fermeture des cliniques , on travaille beaucoup dans les laboratoires .1;
ents, même pendant les vacances, ainsi que j'ai pu m'en assurer. La clinique la plus importante, en Russie, en matière d'ensei
eures. Comme complément de l'enseignement donné * l'intérieur de la clinique ont lieu, deux fois par semaine, des consultation
e quatrième et de cinquième année. Trois docents sont attachés â !a clinique des maladies mentales et ncr- veuses, ils som
ils choisissent eux-mêmes. Tout ce qui est relatif à l'enseignement clinique : salles des malades, amphithéâtres des cours, la
à l'étudiant des pertes de temps considérables. Les professeurs de clinique des maladies mentales et nerveuses dans les Facul
rveuses, en Russie, ce sont les laboratoires annexés aux services des cliniques . Chaque clinique des maladies mentales et nerveus
, ce sont les laboratoires annexés aux services des cliniques. Chaque clinique des maladies mentales et nerveuses possède un vas
re faites dans le champ d'investigations qu'offrent les malades de la clinique . Ces laboratoires sont composés d'un certain nomb
s laboratoires, j'ai joint ù mon rapport le plan du laboratoire de la clinique du professeur Kojcw-nikolf. Quoique l'enseignem
ssie, toutes les Facultés d'une même Université, ainsi que toutes les cliniques , se trouvent réunies dans le même édifice. La nou
liniques, se trouvent réunies dans le même édifice. La nou- velle clinique du quartier de Viborg, à Saint-Pétersbourg, fait
x deux Facultés de médecine et de sciences. Mais les laboratoire* des cliniques sont exclusivement réserves aux services de ces c
atoire* des cliniques sont exclusivement réserves aux services de ces cliniques , à l'enseignement et aux travaux des étudiant* en
ignement, et des plus précieux : [ !• Le Messager de la Psychiatrie clinique et légale et de la .\europatho-togie, sous la dir
u dix-neuvième siècle. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Enseignement clinique de 1 hypnotisme. Le jeudi ¿1 mai, a dix heures,
Le jeudi ¿1 mai, a dix heures, le docteur Be'rillon a inauguré à la clinique des maladies nerveuses, rue Saint-André-des-Arts,
adies nerveuses, rue Saint-André-des-Arts, 5?. la série de ses leçons cliniques sur les applications thérapeutiques de l'hypnotis
maladies nerveuses, que le l>" Bérillon a cru devoir fonder cette clinique . Le grand nombre des malades qui viennent spontan
brillants résultat!, a fait entrer plusieurs malades. Après un examen clinique complet destiné à prouver l'indication de la sugg
quel-ques applications de la suggestion à la pédiatrie. Les leçons cliniques ont lieu tous tes jeudis, à dix heures; elles son
ées aux médecins et aux étudiants qui veulent s'initier à la pratique clinique de l'hypnotisme. — E. C. Association médicale m
ucrin, Vjgouroux, Barazer et Tar-gowla. Hospice de h Salpétrikre. — Clinique des maladies nerivuscs. — m. le professeur Charco
— m. le professeur Charcot fait les mardis, a 9 heures 1/2, une leçon clinique sur les maladies du système nerveux. Les vendredi
vendredis, à g heures 1/3, examen des malades. Asile Sainte-Aune. — Clinique des maladies mentales. — m. le professeur Balen f
m. le professeur Balen fait, les dimanches et les jeudis, des leçons cliniques sur les maladies mentales. Hôpital de la Charit
t le jeudi matin, dans son laboratoire de la Charité, des conférences cliniques sur l'iivpnctisme expérimental. Cours libre. —
onférences cliniques sur l'iivpnctisme expérimental. Cours libre. — Clinique des maladies nerveuses. 55, rue Saint-Andrc-des-A
— M. le D' Bérillon fait tous les jeudis, à. 10 heures 1/2, une leçon clinique sur les applications de l'hypnotisme et de la sug
che 10 mars, en présence d'un nombreux auditoire, une série de leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. Dans la
me. Paralysies hystéro-traumatiques. Dans une des récentes leçons cliniques faites avec tant d'autorité, à la Salpciricre, pa
a réussi de tout point. » NOUVELLES Hospice: de la Salpêtrière. — Clinique des maladies neveuses. — M. le professeur Charcot
le professeur Charcot fait les vendredis, à 9. heures 1/2, une leçon clinique sur les maladies du système nerveux. Asile Sain
clinique sur les maladies du système nerveux. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales. — Clinique des maladies me
ème nerveux. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales. — Clinique des maladies mentales. — M. le professeur Balen f
M. le professeur Balen fait, les dimanches et les jeudis, des leçons cliniques sur les maladies mentales. Hopital de la Charit
t le jeudi matin, dans son laboratoire de la Charité, des conférences cliniques sûr l'hypnotisme expérimental. Cours libre — Cl
conférences cliniques sûr l'hypnotisme expérimental. Cours libre — Clinique des maladies nerveuses, 55. rue Saint-André-des-A
.— M. le Dr Berillon fait tous les jeudis, a 10 heures 1/2. une leçon clinique sur les applications de 1 hypnotisme et de la sug
uguste Voisin fait, le dimanche, à 9 h. 1/2 du matin, des coaférences cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. Congrès
bleue, 7. REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE CLINIQUE MÉDICALE DE L'HOPITAL SÀ1ST-ELOI DE MONTPELLIER
té à votre connaissance une série de faits observés, les uns. dans la clinique , les autres (déjà nombreux aujourd'hui), en dehor
(1) Histoire d'une hystérique hypnotisable ; contribution à l'étude clinique doc phénomènes somaiiques rixe* de l'hypnotisme.
Pareille proportion n'est pas, à mon avis, en rapport avec la réalité clinique des choses. Quelques citations vous démontreron
e attention, et qui retrouve ici une application directe : Jamais, en clinique , deux observations faites par defl hommes égaleme
nfluences locales, pour essayer de trouver ce terrain de conciliation clinique et pour rechercher, sans parti pris, ce qu'il y a
lières. Voilà, je crois, où se trouve la vérité ; telle est la note clinique juste. — Je vous indique aujourd'hui mon sentimen
théories sont trop absolues, qu'il existe un terrain de conciliation clinique . Examinons d'abord la première série d'objectio
cliniqoe de Paris. La malade dont je désire entretenir la Société clinique ne présente pas dans sa famille d'antécédents ner
professeur Bail. Marie femme C..., âgée de Sa ans, est entrée à la Clinique des maladies mentales le 3o janvier dernier. Ce
e à Sainte-Anne sans qu'elle s'en doutât. » Depuis qu'elle est à la Clinique , Mme C... a lait preuve du plus exécrable caractè
rait que les questions se rapportant aux applications physiologiques, cliniques et médico-légales de l'hypnotisme, et il serait s
psie auxquelles la malade était sujette depuis de longues années. CLINIQUE MÉDICALE DE L'HOPITAL SAtNT-ÉLOI DE MONTPELLIER
j'énonce formellement, ressort avec une netteté parlaite (1) Leçon clinique sur un cas d'hystérie mâle avec astasie-abasie (M
rer pour l'hypnotisme de Nancy une infériorité contraire à la réalité clinique . LES OUVRAGES DE REICHENBACH Plus on avance d
ront reparties en trois groupes : i» Applications thérapeutiques et cliniques de l'hypnotisme et de la suggestion ; a* Applic
. Brigands et magnétiseurs, 63. Charité et dégradation sociale. 93. Clinique des maladies nerveuses. 454. Colère (pression art
nt (l'astuce chez l'), par Collineau. 25, 60, 80, 122. Enseignement clinique de l'hypnotisme. 285. Epileptiques (pression ar
45 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. MGNtIN \ Membre de l'Académie de médecine. 1 Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). I 1> l'il (l 1 ? à -% Professe
Asile clinique (Ste-Anne). I 1> l'il (l 1 ? à -% Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de
suivante, nous a paru digne d'intérêt comme contribution à l'élude clinique des oedèmes dans la paralysie générale. A... Ju
dans la paralysie générale (Thèse Paris, 1884). 16) Ukhissey. Elude clinique sur les troubles trophiques dans la paralysie g
altérations du centre vaso-moteur dans la pathogénie et l'évolution clinique de la maladie. Klippel et Dumas ont signalé les
tical ou sous- cortical du foyer) par C. E. van V ALKENB URG, de la clinique de Monakow, à Zurich (Neurol. Centralbl, XXV, f
é verbale ; par SCII1VARTZ (L'Encéphale, 1906, n° 6.) Observation clinique avec autopsie. XVIII. Les aphasies musicales ;
alp. 1906, n° 4.) , Charcot est le premier à avoir établi les bases cliniques des amu- sies : il l'a fait dans cinq leçons qu
onnelles de ces centres,les amusies présentent les mêmes va- riétés cliniques que les aphasies : comme pour celles-ci d'ailleur
t et au début les centres de projection. F. TISSOT X. Observation clinique et anatomo-pathologique des yeux d'une paralyti
BussARD : Des sorties provisoires à titre d'essai, au point de vue clinique , législatif et administratif. Le placement des
reproche, avec quelque malice, de n'a- voir pas indiqué les moyens cliniques d'apprécier la norma- lité ou la maladie des ne
és de la même entité morbide. Ces deux auteurs tracèrent le tableau clinique de la nouvelle ma- ladie, en fixèrent l'étiolog
ie de Kraepelin est la seule qui cadre avec les faits d'observation clinique . On ne peut faire qu'un seul reproche au nom de
, de Pa à la zone, motrice corticale. Nervosisme thyroïdien. Formes cliniques ; , par les Drs Léopold Lève et H. DE ROTHSCHIL
imen- tation animale, le thyroïdisme alimentaire chez l'homme, la clinique , permettent de rattacher l'état de santé à la mal
Cette définition doit être exclusive- ment basée sur des caractères cliniques . J'ai pensé qu'il y avait lieu d'établir une cl
atiques, se distinguent des troubles du second groupe et aucun fait clinique ne permet de rattacher ces deux groupes l'un à
élevons un peu au-dessus des faits bruts, de l'atmosphère purement clinique , afin de les envi- sager non seulement au point
tits vaisseaux et les capillaires de l'écorce. Certains symp- tômes cliniques et certains faits anatomiques la font distin- g
alysie générale avec laquelle on peut la confon- dre. Les symptômes cliniques principaux de la syphilis céré- brale diffuse s
affection. M. L. LÉvi. - J'ai grande tendance, comme des exemples cliniques m'en ont fOL rni la preuve, à m3 ranger à l'opini
courants alternatifs : les faits de labo- ratoire peuvent avoir en clinique humaine une sanction pra- tique. llyosclérose
s de donner ce nom, qui synthétise les grands caractères anatomo- cliniques de l'affection, à la maladie entrevue par M. Hayo
énomène des orteils. M. Noïca (de Bucarest) apporte une observation clinique à l'ap- pui de son opinion émise antérieurement
Vol. II. 3e Série. Septembre 1907. N° 9 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Les auras visuelles des épileptiques ;
es. Thèse de Paris, 1885. Archives, 3' série, 1907, L. II. 12 178 clinique nerveuse. entre une demi-heure avant l'accès et
79. (2) Axenfeld et 1 IUCIL112U. - Traité des névroses, 1883. 180 CLINIQUE nerveuse. ce serait même le rouge,la seule coul
siN. - Art. Epilepsie du Dictionnaire Jaccoud. (5) BAL7,. Leçons de clinique mentale. (6) M.\nxAx. Leçons sur l'cpilcpsic.
ons de clinique mentale. (6) M.\nxAx. Leçons sur l'cpilcpsic. 182 CLINIQUE NERVEUSE. au début de ses' attaques les'objets-
de quelques instants, il tombait, perdant connaissance. Dans ses cliniques à l'Infirmerie du Dépôt, Paul Gar- nier insista
comme « si le temps se. faisait sombre ». La malade.se trouve 184 CLINIQUE NERVEUSE. alors dans une sorte de- crépuscule,
émence précoce ; Pah riche, barbé, WICKERSHEIMER. La conception clinique de la démence précoce,telle du moins qu'elle es
rbide en appuyant sur des données certaines ce que cette conception clinique pou- vait avoir de hardi et de discutable. Il
il pourrait être question dans nombre d'observations de syndromes cliniques catatoniformes plutôt que de catatonie véri- ta
n'a rien à voir avec les lésions démentielles. D'après le résumé clinique des observations étudiées par nous on s'aperçoi
e nous avons cités, nous voyons que sur un total de 22 observations cliniques on en trouve 7 dont la cause de mort n'est pas
pour la- quelle il sera cccordé quatre heures ; - 2° Une épreuve clinique sur deux malades d'un service d'alié- nés. Le c
nés pour laquelle il sera accordé deux heures ; 5° Une épreuve de clinique médicale ordinaire portant sur un ma- lade. Il
es copies, désigne les services où doivent être subies les épreuves cliniques , fixe le choix des ma- lades qui seront l'objet
Le confrère d'Ilollander écrivait 1 écemment que la visite de la clinique de Ivraepelin à Munich, l'avait frappé par le fai
ctions délirantes, par la fixité régionale et l'absence d'évolution clinique du syndrome. De l'influence exercée par les sel
hez les neurasthéniques vrais, chez ces malades nombreux et de type clinique très net, qui présentent, à la suite d'une into
orteur : Dr 1,AIGNr--L-LkVASTINE (Pa- ris). 2° Diagnostic et formes cliniques des névralgies. Rap- pqrteur : Dr VERGER (Borde
areils sont complètement d'accord avec les faits obser- vés dans la clinique psychiatrique ; plus les parents s'alcoolisent,
ente ans, par mon excellent Maître, M. le Docteur V. Magnan (Leçons Cliniques sur les Maladies Mentales) ; ces expériences fu-
. Les accidents nerveux présentés par ce malade réalisent le type clinique de beaucoup le plus fréquemment observé, la forme
au fond une maladie du neurone moteur périphérique avec des ty- pes cliniques différents. G. C. XXIV.- Coexistence d'un rétré
vent mettre sur la piste du diagnostic. Pour lui, le vrai caractère clinique , qui doit, d'après les observations publiées at
familles, souvent l'insuffisance des médecins peu au courant de la clinique de l'enfance anormale, ne connaissant pas ou ne
n : Vol. II. 3'Série. Octobre 1907. N 10 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE z Contribution à l'étude des perversion
ne autre femme ; mais les Archives, 3° série, 1907, t. II. 17 258 CLINIQUE MENTALE. rapports sexuels de son mari avec une
de déve- loppement du sens génésique doivent être considérés, 260 clinique mentale.- certainement, comme un stigmate psych
science ou à la « faiblesse de ses nerfs» de laquelle profitent 262 CLINIQUE MENTALE les hommes; une autre fois elle dit qu'
e et d'un caractère très précis (l'aspect d'un homme excité). 264 CLINIQUE MENTALE. Par conséquent, l'anomalie décrite ci-
tandis que la coquetterie pa- thologique fétichiste a le caractère clinique bien indé- pendant et est intimement liée, comm
observations à propos de coquetterie pathologique dans mes « Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et mentales Il. Var-
nerveuses et mentales Il. Var- sovie 1901, p. 482 (en russe.) 266 CLINIQUE MENTALE sons d'admettre que cette « bizarrerie
un vif désir secret de les garrotter ou de les mettre aux fers. 268 CLINIQUE MENTALE. A partir de cette époque, selon l'expr
La représentation des parties sexuelles de la femme en géné- 270 CLINIQUE MENTALE. rai produit chez notre malade un senti
sa- tisfaction complète de ses tendances sadistiques : le ré- 272 CLINIQUE MENTALE. sultat était tout à fait analogue à la
i est tout à fait analogue à Archives, série, 1907, 1. II. 1S 274 CLINIQUE MENTALE. l'acte d'accouplement d'un homme avec
com- pagne et lui ayant déjà une fois ligoté les mains, il se zig CLINIQUE MENTALE. disait que cette fois-ci il serait plu
pas seulement de l'activité de quelques titulaires d'une chaire de clinique mentale ; il est, est-il besoin d'y insister da
les. C'est beaucoup plus naturellement encore la simple et banale clinique de l'aliénation, qui, sous peine de végéter dan
sais bien que l'on me répondra que ce sont là des pro- fesseurs de clinique , et que, pour la plupart ils n'appar- tiennent
uation ne changera pas ? Qui ne souhaiterait de voir les chaires de clinique mentale occupées toutes par des méde- cins du c
du reste, en dehors de l'exemple déjà réalisé des pro- fesseurs de cliniques , n'avons nous pas les titulaires des quartiers
méningite cérébro-spinale purulente ; Par le D' D. l'AGIlATONI { Clinique psychiatrique de Genève) Parmi les complication
fut renouvelée avec le même succès dans le dos. M. P AMART.- A le clinique du Dr Bérillon, toutes les fois qu'un malade es
e Saint- Yon ; Vice-président , M. le Dr Vallon, médecin de l'Asile clinique (Sainte-Anne) ; Secrétaire-trésorier, M. le Dr
. joint de l'asile de Pienefeu ; Vurpas, médecin adjoint, chef de clinique à la Faculté de Paris. Les membres du comité él
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine. Asile clinique , asiles de Vaucluse, Ville-Evrard, Villejuif et
li janvier 1 ! ils, à une heure précise, il sera ouvert, à l'asile clinique , rue Cahanis no 1, à Paris, un Concours pour la n
Vol. II. 3= Série. Novembre 1907. N° Il ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE; , Sur un cas de délire à deux avec mod
elle, crut se rétablir ne Archives, 3' série. 1907, t. II. 21 322 CLINIQUE mentale falsifiant des titres frappés d'opposit
manucure et peut-être autre chose encore, quand se présenta Mme 324 CLINIQUE MENTALE. Granet, qui, après quelques mots lui d
cherchions d'où pouvait venir cet espionnage, nous ne savions 326 CLINIQUE MENTALE. rien, nous pensions que cela finirait.
rs 1904, elle trouye un emploi chez une jeune femme, qui reçoit z28 CLINIQUE MENTALE des messieurs et à qui elle tire quelqu
reviens de la chasse »,' aussitôt ses doutes disparaissent, le 330 CLINIQUE MENTALE. coffre-fort est bien à elle. De telles
s, ce qui n'a d'ailleurs nullement amoindri leur influence. 332 CLINIQUE MENTALE. Accessoirement, ils sont intervenus da
ai été autrefois domestique chez un chirurgien des hôpitaux, il 334 CLINIQUE MENTALE. était peut-être avec ces gens. » Dix j
le sien sans auxiliaire, que tout au plus Marie Forel l'a ai- 336 CLINIQUE MENTALE. dée à en mieux prendre conscience, à l
t pas non plus l'écho Archives, 3° série, 1907, l. 11. 22 338 ' ' CLINIQUE MENTALE. de la pensée ni le langage des choses.
à la peinture de moeurs presque autant qu'à la psychia- trie. 8o CLINIQUE MENTALE., V. Il nous reste à dire quelques mo
Le lecteur se rappelle sans doute que durant sa période de nar- 342 CLINIQUE MENTALE. cose, notre malade u cru se sentir opé
Lors de notre premier entretien, il était admis que le Comte de 344 CLINIQUE MENTALE. Cambert avait soudoyé des individus da
ns un certain état de doute au sujet de ses tourments passés. 346 CLINIQUE MENTALE. r a Je me trompe peut-être, on peut se
ur le délire d'interprétation, qu'ils considè- rent comme une forme clinique spéciale. Nous avons eu l'occasion, durant notr
s en rapportons ici une observation, que nous avons prise à l'Asile Clinique . Observation, Idées délirantes de persécution ;
progressive. ' Louise K., veuve D ? âgée de 34 ans, entre à l'Asile clinique le 26 juillet 1907 ; elle a exercé les diverses
s. En dehors de la débilité mentale qui n'est pas un diagnos- tic clinique , mais un diagnostic étiologique, nous élimine-
jà admise par Goldflam, s'accorderait tout à fait avec l'expérience clinique qui démontre la fréquence du phé- nomène électr
serait, d'après S., radicalement distincte, au double point de vue clinique et anatomique, de l'idiotie de Sachs. Chez deux
té ; ce dernier facteur résulte des deux autres mais son importance clinique est telle qu'il peut nous frapper d'une manière
r paru dans l'Encéphale 1907, n° 3 et où l'auteur expose les effets cliniques et les désordres anato- miques que peut produir
moteur. L. WAIIL. XLII. Hyperesthésie en pathologie générale et en clinique ; par M. LEVEN. (Bull. méd., n° 19, 1907.) De
u système nerveux. Il y a lieu de tenir compte de ces phénomènes en clinique ce qui est assez générale- ment négligé aujourd
tale de la moelle qui la détermine n'est presque jamais réalisée en clinique . C'est donc sur- tout des formes partielles, at
Encéphale 1907, n° 7.) . Revue générale où les auteurs font l'étude clinique ,anatomo-pa- thologique et pathogénique des troi
érison par l'hypno Lisrne. F. TISSOT. LIX. Contribution à l'étude clinique de l'équivalent épilep- tique (manie transitoir
sie sensorielle accompagnée d'anarthrie. F. TISSOT. LXII. - Etude clinique et anatomo-pathologique d'un cas de sclé- rose
ettra cependant de faire remar- quer que cet essai de démonstration clinique , comme l'appelle Mairet, ne réfute nullement le
r cette lâche, deux suppléants : 1. le 1)1' J.cc2urn ancien chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine
Orthopédie : Dr GOURDON. FAITS DIVERS Hospice de la Salpêtrière. Clinique des maladies du système nerveux. M. le Professe
ses leçons de neuropathologie avec démons- trations anatomiques et cliniques , le mardi 7 janvier 1908 à 4 'heures (amphithéâ
cliniques, le mardi 7 janvier 1908 à 4 'heures (amphithéâtre de la Clinique de la Salpêtrière). Le Dur Jules Voisin commenc
de la Salpêtrière). Le Dur Jules Voisin commencera ses conférences cliniques sur les mala- dies mentales et nerveuses, spéci
Vol. II. 3- Série. Décembre 1907. N° 12 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Empoisonnement par les homards conserv
naces : d'abord de ,\Clll\ï : S, 3' 3" série, 100T, 1. Il. 2G 402 CLINIQUE NERVEUSE. nature alimentaire puis bilieux et en
si prononcé que sa lettre était très difficile il lire) ; les 401 i clinique Nerveuse. paresthésies des mains et des pieds,
reusement, ne se dis- tingue pas par sa plénitude et son exactitude cliniques , n'est pas néanmoins dépourvue d'intérêt. Quant
les douleurs et les paresthésies locales, les troubles objec- 40S CLINIQUE NERVEUSE. tifs locaux de la sensibilité, de la
venons d'énumérer appa- raissent dans notre cas comme un complément clinique de l'acronévrite et tous ces symptômes ont quel
amen), au moment où l'amélioration a commencé, le même carac- 410 CLINIQUE NERVEUSE. tère partiel persistait toujours ; 8
filets ner- veux dont l'affection est démontrée par les symptômes cliniques dans notre cas. Dans ce cas, simultanément, son
ement et la sensation de direction de ce mouvement pissociees). 412 CLINIQUE NERVEUSE. cipalement certaines petites branches
tral. « L'ataxie aiguë » en soi n'est pas, sans doute, une forme clinique déterminée, au contraire, ce n'est qu'un symptô
opter le diagnostic de l'ataxie polyizévritique aiguë. La connexion clinique étroite qui existe entre l'ataxie généralisée e
iguë dans notre cas doit être exclue aussi à cause du carac- tère clinique de l'ataxie même et à cause de l'abolition grad
e aigu) associée à l'acronévrite des mains et des pieds. Au tableau clinique particulier de la polynévrite cor- respond auss
ière. Cliniquement, le lien étiologique existant entre la po- 41u CLINIQUE rttvLUSC. lynévritc et l'empoisonnement aigu pa
géné- ral et surtout de l'intoxication par les huîtres. Les faits cliniques qui concernent l'empoisonnement par les homards
de llléd. ci de fJll(/r11l. militaires, 1886, v. 9, p. 11. , 416 CLINIQUE NERVEUSE. consommés frais, soit par les conserv
as les plus légers de gastro-entérite simple jusqu'aux ta- bleaux cliniques graves, rappelant la dysenterie et le choléra.
'est épanché en petite quantité dans l'intestin grêle. Le tableau clinique de l'empoisonnement aigu chez notre malade prés
eût été si grave que les médecins craignirent pour sa vie. Ce signe clinique très important, cette particularité de la march
t l'hémorrhagie intestinale qui se présente comme une particularité clinique de lagastro- entérite aiguë infectieuse dans no
oxications, 1961, p. 360. . Archives, 3" série, 1907, t. Il. 7 ho CLINIQUE NERVEUSE. poisonnement non par les homards frai
de convulsions ; pas de rhumatismes, pas de chorée ; pas de 4' ? 0 clinique nerveuse. fièvre typhoïde ; aucun indice de syp
s ont duré 36 heures. C'est à la suite de ces convulsions que li 22 CLINIQUE NERVEUSE. l'enfant aurait eu de la paraplégie;
es de sommeil. Epilepsie ; tableau des accès et dos vertiges. 424 CLINIQUE NERVEUSE. normale ; les selles sont régulières,
M > r R. 1 P M - 4 t5 C. M .r, et c 12c CLINIQUE NERVEUSE. Face allongée, pas de cicatrices. Arc
pousse un cri plaintif et ses membres supérieurs et inférieurs 4 ? CLINIQUE NERVEUSE. sont animés de violentes secousses cl
atteignant la tempé- rature ambiante 9 heures après la mort. 430 CLINIQUE nerveuse. en forme de grosse amande allongée, p
s et 188 vertiges. La coexistence des accès et des vertiges - t32 clinique nerveuse. semble lui faire perdre le peu d'inte
grand nombre de cas. Archives. 3- série, 1PC7, t. II. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE. Dans d'autres cas, après cette périod
respectivement consa- crées à la sémiologie générale, aux « formes cliniques de la folie » et à l'étude médico-légale des ét
ns aux états extrêmes ; ils n'ont pas non plus méconnu les parentés cliniques des accès pour lesquels on emploie aujourd'hui
accablement insurmontable du moi font partie essentielle du tableau clinique : pas de confusion ; erreurs senso- rielles rar
es trois formes classiques et l'on mentionne seulement les parentés cliniques , la multiplicité des symptômes et la variété d'
e, fournissait 70 à 80 pour cent de la population des asiles et des cliniques , et qui maintenant ne comprend guère que le cen
ettent en relief l'im- portance de la numération dans les cas où la clinique et un exa- men imparfait du liquide céphalo-rac
rs de suite, 3, 4, 5 ou 6, suivant la gravité des cas, l'expérience clinique ayant montré l'efficacité de cette facon de pro
sition à des troubles mentaux, surtout de prévoir vers quelle forme clinique celle-ci évoluera. Jusqu'ici, en effet, c'est s
alades atteints d'idioties à des degrés divers. Des cons- tatations cliniques comme aussi des recherches expérimentales, -il
alluci- nations.dans la P.G. justifie la distinction de deux formes cliniques de-cette maladie : la forme sensorielle et la f
s nécessitent plus particulièrement l'intervention de la compétence clinique du médecin. Rejeter la sociétés savantes. 467
adjoints ayant subi avec succès le concours d'adjuvat, les chefs de clinique de pathologie mentale et des maladies de l'encé-
mentale. pour laquelle il sera accordé quatre heures 2° Une épreuve clinique sur deux malades d'un service d'aliénés. Le can
énés. pour laquelle il sera accordé deux heures ; 5° Une épreuve de clinique médicale ordinaire, portant sur un malade. Il s
es copies, désigne les services où doivent ètre subies les épreuves cliniques , fixe le choix des malades qui seront l'objet d
al ; il convient donc de demander aux pouvoirs publics : 1" que des cliniques psychiatriques largement organisées permet- ten
ar Bohin, p, 379. 1 IVl'EHES111 É'IE cn pathologie générale et en clinique , par Le\'en, p, 378. 1 Ivrao'r csnrL. 1.' --
ons. Crâniens. Voir fractures . NEltVOSIS\1E thyroïdien. Formes cliniques , pm'L. Lévi et 1 I. de Rothschild, p. 1 t 1. '
amyotrophique à début tardif, par Rossi et Roussy, p. 168. Etude, clinique et anatomo-pathologique d'un cas de en plaque
opti- que de -. par Dupuys-Du- tcmps, p. 167. Yeux. Observation clinique et anatomo-pathologique des d'une paralytique
46 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
depuis peu d'années, a fait son appari- tion dans le domaine de la clinique et de la pathologie, engage dans une large mesu
point qu'il n'y a plus entre celle-ci et celle-là de diffé- ronces cliniques appréciables. La gravité de la maladie est telle
tation de la malade (régime lacté pres- que exclusif). L'histoire clinique de cette malade est donc des plus caractéristique
i tous les cas que nous fournissent journellement les hasards de la clinique ? Chez tel malade c'est à peine si la thyroïde
rations épithéliales,la maladie se manifeste par autant de variétés cliniques ? Cette question de l'infantilisme partiel nous
une synthèse dont la nature n'est pas coutumière. Pas davantage la clinique n'est coutumière des synthèses ou des schémas p
synthèses ou des schémas pathologiques. D'ailleurs, la nature et la clinique (c'est tout un) sont versatiles et quelquefois mo
ème s'ajoute à la dystrophie préexistante. La complexité du tableau clinique ne permet plus de reconnaître la part de responsa
n'est pas rare cependant de noter par intervalles, dans le tableau clinique si varié de la paralysie générale, quelques sym
ant « non, non, faut pas les lever ». HOSPICE DE LA SALPÈTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX SUR UN CAS DE R
D, et M. L. BABONNEIX, Professeur à la Faculté de médecine. Chef de clinique de la Faculté. L'histoire des affections vertéb
assiques décrivaient minutieuse- ment les caractères anatomiques et cliniques du mal de Pott ; ils mon- traient en détail com
e la Salpêtrière (1), M. Forestier a tenté d'isoler un nouveau type clinique qui, par quelques points, pourrait être rapproché
gation plus ou moins accentuée vers la dure-mère. ' Entre ce type clinique , dont l'existence d'ailleurs a été contestée (Ver
de n'est pas une rhumati- sante ; elle ne présente aucun des signes cliniques décrits par M. Fores- tier ; elle accuse par co
n° 2, p. 8S, 100, mars- avril 1904. ' (2) VfipfI00aEN, Les formes cliniques du rhumatisme chronique, Congrès de Liège, 1905
s cas ! Nous admettrons donc que,de par l'anatomie comme- de par la clinique , notre observation mérite d'être considérée comme
ent restreint, en les mettant en comparaison avec les autres formes cliniques des maladies dites familiales ou d'évolution, on
avoir, croyons- nous, quelque intérêt documentaire : Observation clinique . D... Pernette, née en 1836. Antécédents héré
t en partie transformé en tissu réticulé. Résumé de L'OBSERVATION clinique . - Pas d'antécédents héréditaires. Déséquilibre
examen histologique d'un des cas qui avaient servi à la description clinique de Charcot et Marie. Les lésions sont complexes
ujets jeunes, ainsi qu'il le prouvait dans une nouvelle observation clinique (2). Des lésions des nerfs périphériques (hyper
mises au premier rang et démontrer l'origine spinale de celle forme clinique . Inversement, des observations comparables à ce
d'autres que montrer une nouvelle forme de passage à côté des types cliniques que l'on croyait autrefois nettement distincts
ension des plus variables qui expliquent la multiplicité des formes cliniques . Pour ne citer que les cas résumés plus haut et o
e et progressive, absence de syphilis dans les antécédents l'aspect clinique n'était cependant pas le même chez chacun d'eux
hez chacun d'eux, M. Crouzon fut amené à en dégager plusieurs types cliniques . C'est ainsi qu'il décrit un type parélo-spasmo
et, enfin, un type ataxo-cérébello-spasmodique dans lequel l'aspect clinique particulier présenté par deux malades était donné
PHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 67 du cervelet, la forme clinique qui nous occupe ne laisse pas de subsister avec
d'un certain intérêt de donner ici, en même temps que l'observation clinique de notre cas, le résumé de celles des deux autr
s diversités existent entre elles, celles-ci concernent des détails cliniques d'ordre secondaire. Les symptômes principaux, c
entée par les malades et qui caractérisent pour ainsi dire l'aspect clinique sont les mêmes chez les trois malades, ainsi qu
ns les obser- tions d'atrophies cérébelleuses. Dans l'observatibn clinique il est dit que le malade présentait une démarch
gue à celles de notre cas s'observent souvent sans se manifester en clinique par aucun symptôme, ne sont pas sans nous laisser
ur les rapports qui peuvent exister entre ces lésions et les signes cliniques d'ordre secondaire qu'on retrouve dans le tableau
signes cliniques d'ordre secondaire qu'on retrouve dans le tableau clinique de notre cas en dehors de ceux appartenant au s
de donner lieu à un syndrome cérébel- i leux ont un certain intérêt clinique et anatomique pour la pathologie nerveuse en gé
DE NEUROLOGIE DE PARIS (SÉANCE DU 6 DÉCEMBRE 1906) [Travail de la Clinique des maladies nerveuses, à la Salpêtrière ) OSTÉ
ment surtout au niveau du tibia droit les constatations de l'examen clinique (Pl. XI). )1 On voit en effet très nettement la
articulaires et périarticulaires, et qui présentent les caractères cliniques de tuméfaction globuleuse et d'ankylose. Comme le
leur et par une élévation de la température locale. Dans quel cadre clinique devons-nous ranger ces déformations squelet- ti
iresque de l'hyper- trophie vraie des extrémités. ? Si le tableau clinique des malformations squelettiques de cette malade
elle rentrer dans le cadre de la syphilis osseuse ? Au point de vue clinique , ces déformations ostéo-articulaires, font pens
essus ostéo- articulaire syphilitique, se rattachant par son aspect clinique au syndrome défor- mant que l'on désigne sous-l
émise par Gerdy, puis par Cruveilhier. Charcot, qui créait alors la clinique nerveuse, se trouvait chaque jour aux prises av
orphologique normale ont trouvé immé- diatement leur application en clinique : elles ont servi à élucider les causes des ano
orme humaine n'a pas suffi pour faire découvrir plus vite des types cliniques aujourd'hui partout reconnus, comme l'acromé- g
nelongue a payé d'exemple en préconisant un procédé d'investigation clinique dont il a pu enregistrer les bienfaits et qui est
tion se fait sans effort du cada- vre au vivant, de l'anatomie à la clinique (PI. XIII à XVIII). Que semblable transition so
endant nier, nous le verrons, que si au point de vue étiologique et clinique de nombreux faits ont été apportés à l'appui de c
héoriques tirées de la pathologie générale et d'après des analogies cliniques et surtout étiologiques que cette analogie anatom
iterons, qu'il existe des observations prouvant, que ces deux types cliniques peuvent se retrouver chez diverses personnes d'un
me et elles relèvent des mêmes processus anatomiques. Observation clinique . Bois..., âgé de 30 ans, entré à l'hospice de Bic
as il semble donc exister une concordance parfaite entre le tableau clinique particulier, donné par l'association aussi nette
ques ti- rées de la pathologie générale, appuyées sur l'observation clinique et l'étude anatomique,ont amené des tentatives
andes analogies, des identités même pourrait-on dire, étiologiques, cliniques et anatomiques. Strümpell (1), en 1884, frappé
s et anatomiques. Strümpell (1), en 1884, frappé par les caractères cliniques de certaine forme de l'hémiplégie cérébrale inf
gie cérébrale infantile, fut amené à penser qu'à ces particularités cliniques devait correspondre aussi un processus anatomi-
us généralisés qu'ils ne le sont ultérieurement. De ces analogies cliniques Strümpell fut amené à considérer sa variété d'h
ne motrice de l'encéphale est le siège de l'affection dans la forme clinique d'hémiplégie cérébrale infan- tile dont il est
stion, résiderait pour cet auteur non seulement dans les phénomènes cliniques (distribution de la paralysie, crises épileptifor
deux affections ; pour Pierre Marie l'analogie n'est pas seulement clinique (pour le mode de début et l'évolution), et anatom
brale infantile et précisément de la forme ayant les particularités cliniques déjà men- tionnées, et il propose le nom d'encé
si entre elles une analogie étiologique qui, avec les ressemblances cliniques de début et d'évolution relevées par Vizioli, S
en faveur de la doctrine de ces auteurs. Les liens étiologiques et cliniques de ces deux affections trouvent leur meilleure
nfirmation et dans les observations qui prouvent que ces deux types cliniques peuvent se retrouver chez diverses personnes de l
mes paralytiques qui chez deux d'en- tre eux affectèrent le tableau clinique de la paralysie spinale infantile, chez le troi
t pas d'une manière aussi frappante la juxta- position des tableaux cliniques , avec leurs caractères distinctifs si tran- ché
e faiblesse du réflexe rotulien gauche était la seule manifestation clinique de la poliomyélite. ' Dans le cas de Williams (
e paralysie cérébrale infantile, n'est pas seulement étiologique et clinique , mais aussi anatomique; la lésion primitive éta
hémorragique, analogue à celle de l'adulte, dont l'étiolo- gie, la clinique et l'anatomie pathologique nous est aujourd'hui c
localisés dans la zone motrice, auraient pu donner lieu au tableau clinique de la paralysie cérébrale infantile. Il est inu
analogue à celle de l'adulte. Il existe des rapports étiologiques, cliniques et anatomiques entre les diverses formes d'encé
ysie cérébrale infantile, des analogies étiologiques (infection) et cliniques (pour le début et révolution), qui trouvent leur
Professeur agrégé à la Faculté de médecine de Nancy, chargé de la Clinique des maladies des vieillards. OBSERVATION 1 (1)
araît pas douteuse, et cette affirmation est basée sur l'impression clinique que nous ont laissée toute une série de faits voi
s. Dans deux cas que nous avons eu l'occasion de suivre, l'as- pect clinique ressemblait vraiment beaucoup aux cas de trophoed
e absolument du trophoedèmes et par sa fuga- cité et par son aspect clinique , au moins dans un cas très remarquable, à local
lui-même périodique. (t) HAUSHALTEH, ETIENNE, L. SDLLMANN et Tmnx. Cliniques iconographiques, 1900, obs. 124, PI. 31, fig. 1
n 1891, alors que j'étais chargé de la consultation ex- terne de la clinique du professeur Heydenreich. , Observation II E
me chronique, en même temps que nous com- prenons ses ressemblances cliniques avec l'aspect des autres oedèmes chroniques, de
edèmes familiaux de Meige, le mécanisme d'établissement et l'aspect clinique sont assez semblables pour exiger que ces deux gr
E CONGÉNITAL (1) PAR E. LONG ' (de Genève). ' 1 L'observation clinique du cas sur lequel nous avons pu faire cet examen
sèques ; et nous rappelons que le Dr Rapin dit dans son observation clinique que la malade, lingère de profession, ma- niait
te sur coupes microscopiques sériées, présente un intérêt à la fois clinique et anatomique. L'intérêt clinique de ce cas,
, présente un intérêt à la fois clinique et anatomique. L'intérêt clinique de ce cas, dû à l'association très rare d'une par
pur.Nous chercherons à les faire ressortir à la suite de l'histoire clinique et de l'étude anatomique que nous allons exposer.
nique et de l'étude anatomique que nous allons exposer. Observation CLINIQUE . Moi...mécanicien, âgé de 57 ans,entre à l'hosp
profondes (3°, 4e, 5e couches). 196 ROSSI ET ROUSSY Résumé. 1° Clinique . - Chez un homme, syphilitique, âgé de 32 ans, es
r est avant tout intéressant pai reté. Si en effet les observations cliniques ou anatomo-cliniques ue syn- drome de Weber son
l'association morbide en question. Rudnieur (1) admet pour son cas clinique l'un ou l'autre de ces*méca- nismes pathogéniqu
e l'oblitération de l'artère cérébrale postérieure. Une observation clinique analogue a été rapportée par Joffroy (3) ; chez
uer l'hémianopsie à la lésion de la bandelette optique dans le fait clinique qu'il rapporte et dans lequel l'association morbi
e. Le manque de renseignements précis à ce sujet dans l'observation clinique est regrettable, car nous trouvons remplies dans
de la bandelette optique. De. même, il n'existe pas dans l'histoire clinique de notre malade de renseignements sur l'état de
dans la Revue de Médecine, j'ai exposé très sommairement les faits cliniques que j'ai constatés chez 260 scaphandriers malad
processus myélitique. L'examen de cinq moelles et l'étude des faits cliniques se trouvent en harmonie avec cette inter- préta
ux dans la substance même. Les lésions anatomiques et les symptômes cliniques nous prouvent qu'il s'agit de myélite chez les
it, les lésions médullaires passent à la sclérose, et les symptômes cliniques de la myé- lite aux symptômes de la paraplégie
profonds de la sensibilité objective. HOSPICE DE LA Salpêtrière CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX MYOPATHIE PSEUD
s a paru intéressant de revenir sur quelques points de son histoire clinique , en particulier d'insister sur les données que no
s apportons ici concerne un malade de 44 ans présentant le syndrome clinique d'infantilisme vrai, d'infantilisme thyroï- die
, n'était apparu aucun des caractères sexuels secondaires. L'examen clinique du malade ne permettant pas de déceler, par la pa
les colorations afin de pouvoir affirmer qu'elles n'existaient pas. CLINIQUE OPHTALMOLOGIQUE DE LA FACULTÉ DE BORDEAUX MYDRI
AUX MYDRIASE HYSTÉRIQUE PAR Ch. LAFON ET M. TEULIÈRES Chef de clinique , Interne des hôpitaux. Nous avons eu la bonne f
ion. Observation Albert R..., âgé de 34 ans, horloger, vient a la clinique le 19 mars 1907 pour une mydriase droite. Il
ns que dans les cas de mydriase paralytique. Ici encore, ce tableau clinique ne répond pas à celui que nous avons observé.
ous connaissons bien ces deux for- mes, que l'on observe souvent en clinique , et qu'il est facile d'étudier par l'expériment
TROPHIQUES INTENSES, par F. RAYMOND et P. LEJONNE Professeur de Clinique Chef de clinique des Maladies du Système Nerveu
ES, par F. RAYMOND et P. LEJONNE Professeur de Clinique Chef de clinique des Maladies du Système Nerveux à la Salpêtrièr
i accentuée; celle association fait le principal intérêt de l'étude clinique que nous entreprenons ici. ? Observation. ' L
s et de la corde vocale du même côté. En face d'un pareil tableau clinique , qui a évolué peu à peu, sournoi- sement, et a
des erreurs. Un point particulièrement intéressant dans le tableau clinique présenté par F..., c'est l'intensité des troubl
t articulaires qu'il faut faire jouer le prin- cipal rôle. L'examen clinique , confirmé par la radiographie, montre qu'il 1 n
une façon absolument rigoureuse à ce sujet (12), toutefois l'examen clinique combiné avec la radiographie nous donne des résul
ettent pas encore les recherches anatomiques entreprises jusqu'ici. CLINIQUE PSYOUATHIQUE DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS
intraventriculaire et veineux. Il n'est peut-être pas sans intérêt clinique de rappeler que le bras et la jambe droite du m
prosecteur provisoire à la Faculté. CHAPITRE PREMIER L'histoire clinique du sujet hémimèle dont nous publions ici la disse
e à l'Académie de médecine de Turin en 1905 (1). Voici l'histoire clinique de ce cas que nous devons à l'extrême obli- gea
lique à gauche. En présence de ces symptômes, on pose le diagnostic clinique de sténose du cardia, probablement de nature sp
omo-pathotogique, puisqu'elle échappe très facilement au diagnostic clinique . Seulement dans trois cas : cas de Haybaum, de
l'appui de l'examen radiologique. Nous retrouvons dans l'histoire clinique de ces trois cas les mêmes symptômes qu'on a co
l'hôpital, on aurait pu de cette façon compléter mieux son histoire clinique et tenter l'endoscopie de l'oesophage. De tou
cin de l'asile d'aliénés de Port-Arthur, actuellement Médecin de la clinique des maladies du système nerveux à ICie(f. A par
onne, que le cervelet sénile n'a pas à proprement parler d'histoire clinique , que son anatomie pathologique est à faire. San
. (2) Thomas, thèse de Paris, 1897 : Le cervelet, élude anatomique, clinique et ylzysiolo- gique, Ch. vi, p. 159, Observatio
tomique, clinique et ylzysiolo- gique, Ch. vi, p. 159, Observations cliniques , atrophie, sclérose. (3) LÉRI, loc. cit., p. 41
silaire rend difficile leur embolie.» Cependant Andral (5), dans sa Clinique médicale, développe treize observations de (1)
inique médicale, développe treize observations de (1) CATOLA, Etude clinique et anatomo-pathologique sur les lacunes de désint
ine de Bouchard et Brissaud, 2' édition, t. IX, p. 399. (5) ANDRAL, Clinique ^ médicale, t. V, Maladies de l'encéphale. SUR L
e et l'étendue de ces lésions cérébelleuses dans le cas de syndrome clinique sénile, permettent de mieux comprendre sinon d'ex
bles de l'équilibration ne sont pas négligeables dans les symptômes cliniques de la sénilité cérébrale ; que les vertiges en fo
urs de l'encéphale, le cas se distingue par quelques particularités cliniques qui seront soulignées, chemin faisant. Bér...
nt il nous a été impos- ble de reconstituer entièrement l'évolution clinique ,en raison de l'affaiblissement intellectuel de
pographie des lésions. Nous ne trouvons d'autres causes au syndrome clinique observé, que des lacunes de désintégration mult
ndrome pseudo-bulbaire sont céré- brales, et M. Raymond a, dans ses Cliniques (tome V, p. 332), publié une autopsie où les la
lbaire apoplectiforme : il existe, d'ailleurs, entre les deux types cliniques , de nombreuses formes intermédiaires. Du fait
d'interpréter la genèse de ce phénomène pathologique. OBSERVATION CLINIQUE . Dans les antécédents du malade, maçon de son é
ociété de Neurologie par MM. Raymond et G, Guillain (6), le tableau clinique était le suivant. Au bras droit il existait une
rmale et nullement désordonnée. Ainsi que le montrait déjà l'examen clinique , il s'agit ici d'un cas de syringomyélie classi
z notre malade en effet, de même que l'éruption dans cet autre type clinique , la teinte ecchymotique générale et surtout les p
asie est une affection aujourd'hui bien connue tant dans son aspect clinique que dans ses caractères anatomiques, grâce aux no
artie quelconque. Et il ne s'est fait aucune trépanation dans notre clinique , sans que nous utilisions, et avec les meilleur
r les défauts de cet appa- reil, particulièrement sensibles dans la clinique et qui rendent les recher- ches longues et minu
ative, l'emploi de l'encéphalomètre est absolument impossible. A la clinique ce défaut a une grande importance. Ces deux inc
à égale distance du front et de l'occiput. (2) Pour les travaux de clinique nous croyons qu'il est suffisant de se servir de
ré de la tête figurant comme élément presque essen- tiel du tableau clinique ne peut s'expliquer par une dystrophie du carti-
eaucoup écrit sur l'acromégalie, et nous possédons tellement de cas cliniques que la description d'un nouveau cas serait superf
ne pas formuler d'hypothèses ; il suffit de faire remarquer ce fait clinique insolite, lequel pourrait nous conduire à admettr
égalie et le gigantisme, rapports qui ont été établis par les faits cliniques et par les résultats de l'observation de l'anatom
lie, mérite d'être signalée ; elle contribue à compléter l'histoire clinique de la maladie de Pierre Marie. .SUR UN NOUVEAU
su conjonctif sous-cutané. Toutes ces formes représentent des types cliniques séparés, quoique liés par des cas de passage. M
hyroïde et son absence ou ses troubles nous expliqueront le tableau clinique complet ou à peu près de l'insuffisance thyroïdie
age opératoire ». LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL (HISTOIRE clinique ET thérapeutique). PAR HENRY MEIGE. Voici b
convulsifs reste encore entourée de difficultés. De nouveaux faits cliniques aideront peut-être à les résoudre, et, dans le
nt, dit-on, les meilleures ; et c'est vrai, même pour les histoires cliniques . Or, celle qui suit est longue, très longue Dan
que, dans le cas particulier, le malade a été un bon collaborateur clinique . Il a été enfin un collaborateur thérapeutique
s après la cessation de ce traitement. 16 décembre 1902. - Examen clinique . Au premier coup d'oeil le sterno-masloïdien dr
considérés, peut-être à tort, comme se- condaires. Une observation clinique ne doit pas se limiter à la recher- che et à l'
omène on a recours à des faits d'ordre physiologique, anatomique et clinique . MM. Bordier et Frenkel 14.j disent que dans un
le tronc du troisième nerf cérébral. On a rapporté aussi des cas cliniques pour confirmer ce qui avait été vu par Mendel.
héréditaire (5p1.),437. INFROIT, VOISIN et Macé de Lépinay. Élude clinique et radiographique d'un cas de dnostose cleïdo-c
11"III"e (1 pl.), 238. Voisin, Macé de 1 EPIN \ et Infroit. Etude clinique et radiogiaptiique il un cas de dysostose cleid
ar ANGLADE et Cal- mettes, 357. Dysostose cléido-crânienne (Etwle clinique el nariographrque) (4 pl.), par' Voisin, Macé
- LINIO, 431. TOI.a. ol" mental (les péripéties d'un). Histuire clinique et thérapeutique (3 fig.), par HENHY Meige, 461
47 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DR E LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX 4740. - Imprime
MoTTEnoz, directeurs. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA
AUL RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE ANCIEN CHEF DE CLINIQUE ALBERT LONDE GEORGES GUINON DIRECTEUR DU SERV
RT LONDE GEORGES GUINON DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHIQUE CHEF DE CLINIQUE PAUL BLOCQ. CHEF DES TRAVAUX ANATOMO-PATHOLOG
rvice de M. le professeur Charcot et ont fait l'objet de ses leçons cliniques . Le premier d'entre eux est un exemple typique de
les trophiques depuis que le malade est entré dans le service de la Clinique . Voici en quoi ils consistent : , Tous les mo
Cliiiiqlie des .. Ancien maladies du système nerveux. interne do la Clinique . RHUMATISME ARTICULAIRE. CHRONIQUE DÉFORMANT
us de l'os de la pommette. PAUL RICfIER Chef du laboratoire de la Clinique des maladies du système nerveux. CONTRIBUTION A
la Clinique des maladies du système nerveux. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES I L'existence
notre tâche en nous aidant de ses conseils dans ce travail fait à la Clinique des maladies du système nerveux. 28 NOUVELLE
4. Ormerod. British médical journal, décembre 1887, p. 1216. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 29 Nous pourrions
oscillations lentes, dit encore textuellement : 1. Briquet. Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, p. 478. 2. Char
la Société médicalé des hôpitaux de Paris (12 avril 1889). ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 31 ce nous semble
sont très rapides, véritablement vibratoires. Entre ces deux ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 33 modalités extr
existe parmi les hystériques trembleurs un certain nombres de types cliniques assez bien tranchés. Nous essayerons de les met
t constater maintes fois chez quelques hystériques du service de la Clinique . Par contre, il y a des sujets chez lesquels ce
e qui- frappe dès l'abord. Qu'il soit debout ou assis, il est ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 35 agité d'une tr
Mais les malades ne sont nullement gênés dans l'accomplisse- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 37 ment des autre
est pas le seul. Chez une hystérique dont l'observation a été ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 39 rapportée par
e do M. Londc, chef du laboratoire do photographie du service de la Clinique , qui a bien voulu nous prêter le concours préci
du serment) : oscillations de 9 à 1; ? par seconde (Hacq..) ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 41 l'attitude du
aralysie générale. Fie. 23. Trace VU. \Ial,mlie'Je Basedow. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 43 contraire, dan
atre ans, chauffeur de locomotives, est entré dans le service de la Clinique le 17 avril 1889. Antécédents héréditaires. - L
ts dans les membres. A. DUTIL, (A suivre.) Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux. LA QUEUE DES
inions un peu particulières. Lorsqu'on les rencontre dans les faits cliniques , les auteurs, décrivant par exemple l'hystérie co
es Leçons sur les maladies du système nerveux, et dans ces archives cliniques incomparables qui s'appellent les Leçons du mar
aussi ces ecchymoses spontanées dont nous avons esquissé l'histoire clinique . Qu'on relise les épidémies de possession, chemin
d'une hystérie locale. Un exemple puisé dans nos observations de la Clinique rendra mieux notre pensée. Une grosse fille de
çons du mardi (loc. ci ? ), 1888-1889, p. 9.1, et ibid., p. 175. 2. Clinique médicale, t. 11, 1875, p. 3t : l. 72 NOUVELLE I
tat mental des hystériques. Gilles DE la TOURETTE, Anrien Chef de clinique des maladies du système nerveux. UN CAS DE CARC
e ce fait. M. le professeur Charcot a fait voir clans ses. leçons cliniques une colonne lombaire cancéreuse dont nous repro
ans, couturière, est entrée à la Salpêtrière dans le service de la clinique des maladies du système nerveux, le 1 février 189
dece cas,parun simple raisonnement. Quoi qu'il en soit, l'évolution clinique est ici bien caractéristique et ne permet point
et les tremblements sym- plomatiques, th. 1876. - P. Oulmont, Elude clinique sur l'athétose, titi. 1878. - P. Marie, Art. Hé
iculaires des fléchisseurs et des extenseurs CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite,) Vers
r droit. A l'exploration dynamométrique on obtient en effet : ÉTUDE CLINIQUE DES TREMI1LEMENTS HYSTÉRIQUES. 89' d'aslasie-ab
s subintrantes, quelquefois plus; elle apparaissent générale- ÉTUDE CLiNIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 91 ment le soir,
7 août, attaque à 8 heures. Depuis son entrée dans le service de la Clinique , l'état du malade, en dépit du traitement auque
profession d'artiste dra- matique, est entré dans le service de la Clinique , le 10 mai 1889. Antécédents héréditaires. - Se
coup que quelque chose lui montait il la gorge, il étouffait. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 93 Quelques insta
aujourd'hui « depuis huit mois ». A. Dutil, Ancien interne de la Clinique des maladies du système norvew. (A suivre.) U
es de Vienne et de Munich. GILLES DE la TOURNETTE, Ancien Chef de clinique des maladies du système nerveux. Le gérant : Em
ns laquelle M. le professeur Charcot présenta aux audi- teurs de la Clinique la malade qui fait l'objet de notre première ob
rcot. Trois d'entre elles ont été recueillies dans le service de la Clinique . Nous pouvons en conclure, en nous basant surto
mestique, est entrée le 7 août 1888, à la Sapêtrière, service de la Clinique des maladies du système nerveux. Antécédents
consultation de la Salpêtrière et fut admise dans le service de la Clinique . Actuellement, le phénomène prédominant est le
hystérique proprement dit. GILLES DE la TOURETTE, 11UET, GUINON, Clinique des maladies du système nerveux. UN CAS DE M T
ivi sont loin de répondre complètement, pour la plupart, au tableau clinique qu'en a tracé Kahlbaum lui- même, et l'on est e
e M..., dix-neuf ans, se présente à la con- sultation externe de la Clinique des maladies du système nerveux, avril 1890.
, âgée de trente ans, employée, se présente à la consultation de la Clinique des maladies du système nerveux, au mois de mai
PAUL SOLLIER, A. SOUQUES, Interna ah) Satpctriere. Interne de la Clinique des maladies du système nerveux. MODIFICATION
0 mars 1889, un très grand nombre de malades se sont présentés à la Clinique des maladies du système nerveux pour être trait
nous avons déjà formulées. GILLES DE la TOURETTE, Ancien chef de Clinique des maladies du système nerveux. DEUX BAS-RELIE
s à la polynévrite qui revêtent jusqu'à un certain point l'appareil clinique de la paralysie spinale aiguë. D'autre part, il
naires. Le cas qu'on vient de lire est indiscutable au point de vue clinique comme au point de vue anatomique. L'existence e
es à gauche qu'à droite. Nous n'insisterons pas sur le diagnostic clinique à propos de cette observation. Il nous suffira
n fait resté jusqu'ici sans pareil, comme netteté dans l'expression clinique , et comme netteté dans les résultats fournis pa
tion qu'on va lire, est malheureusement incomplète, au point de vue clinique , mais elle ne laisse rien à désirer au point de
'observation qui suit a trait à une malade rencontrée par nous à la clinique de M. de Lapersonne à l'hôpital Saint-Sauveur (Se
revêtir alors une marche plus rapide. ' Dr IL SUR111ONT, Chef de Clinique à la Faculté de médecine de Lille. NOTE SUR LA
tions aucun rapport de cause à effet. - GEORGES Guinon, Chef de clinique des maladies du système nerveux. ÉTUDE PHYSIOLO
se de l'emphysème pulmonaire est en accord parfait avec les données cliniques , puisqu'une inspiration forcée, prolongée, peut L
affection du système nerveux, et les observations recueillies à la Clinique de la Salpêtrière que nous exposons dans le pré
NE. 187 point de vue anatomique qu'au point de vue expérimental. La clinique est du reste d'accord avec l'anatomie et l'expé
'étude des cas complexes, rappelons en quelques mots les caractères cliniques de l'ophthalmoplégie externe. D'ordinaire, les
r croit à une lésion centrale nucléaire. GEORGES GUIGNON, Chef de clinique à la Salpêtrière. (A suivre.) ENIILE PAHMENTÏ
dites, nous ne pouvons tirer un parti suffisant des quelques notes cliniques qui nous ont été remises sur la malade qui a fa
ABES ET DISSOCIATION SYRINGOMYÉLIQUE DE LA SENSIBILITÉ L'histoire clinique que nous rapportons est celle d'un malade atteint
question sans vouloir la résoudre. Er. PAUMENTIER, Interne de la Clinique des maladies du syslème nerveux NOTE SUR UN CAS
agnostic qui a été porté par M. le professeur Charcot dans la leçon clinique qu'il a consacrée à l'examen de cette malade et à
lhallllologilllte Chef de Clillit1110 des maladies nerveuses, de la clinique des maladies nerveuses. SUR DEUX CAS DE GUÉRISO
it soupçonner, rechercher et découvrir. M. Babinski alors chef de clinique à laSalpêtriére, ajoutant trois nou- velles obs
lle qu'il a constaté cette affection la première fois en 1878, à la clinique chirurgicale de Liège, qu'il en a vu à cette ép
décembre, le malade rentre à la Salpêtrière, dans le service de la clinique . Etat actuel. - Jeune homme de taille élevée (1
ré primitif. ' 1 Le 6 février 1890, il est renvoyé du service de la clinique pour cause de désordre dans la salle. Sa déviat
discuter. Nous avons hâte d'exposer brièvement quelques réflexions cliniques . L'observation I que nous avons rapportée avec
oratoire de M. le professeur Charcot - (Suite el fini) L'histoire clinique si soigneusement recueillie par M. le professeur
e. Rappelons que cet éminent clinicien fait reposer le dia- gnostic clinique de cette dernière forme sur les bases suivantes :
d'une myopa- thie primitive, au sens attribué à ce mot : l'histoire clinique , comme la distribution anatomique des lésions p
galement des cas présentant avec les premiers une certaine analogie clinique , et dans lesquels on ne peut déceler d'altérati
faits présentent-ils entre eux d'autres rapports que les analogies cliniques que nous avons signalées ? A cet égard, l'étude d
a été mise en évidence par un ensemble de faits d'ordre anatomique, clinique et expérimental. On sait, au point de vue anato
intéresse, que la participation des centres corticaux au complexus clinique a été attestée dans toutes les observations de
de quelques atrophies, d'autre part la constance des manifestations cliniques d'ordre cérébral dans le tableau de cette varié
2. En résumé : 1° Il existe des formes morbides dont l'expression clinique corres- pond exactement à la maladie décrite pa
raux dont la participation au processus est attestée par les signes cliniques jouent un rôle pathogène dans les cas de ce gen
n de cette rareté relative et surtout de certaines particu- larités cliniques intéressantes que nous rapportons l'observation q
dessins sont dus à l'obligeance de M. Escat, externe du service de la Clinique . Fie. ï 4. 284 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
on étiologie, de son siège, de son évolution et de ses carac- tères cliniques . Il y a vingt ans, premier accès éléphantiasiqu
édente a trait à un cas d'éléphantiasis intéressant au point de vue clinique . Comme dans de nombreux exemples, les condition
pèce de conclusion. . A. Souques, Interne (médaille d'or) de la Clinique des maladies du système nerveux. 1. Résilier, l
s son mémoire donne la suite de l'observation). La malade quitta la clinique médicale de Berne avec la mention « état absolu
S..., cocher, âgé de trente ans, se présente le G juillet 1803 il la clinique des Quinze-Vingts, l'oeil fixe, immobile, regar
Ce malade est nettement rhumatisant et a déjà les 1. Uuboys, Bull, clinique des Quinze-Xingls, 1883, p. 125. DE L'01'II'l'1
de la parole, gêne des mouvements de la langue. Elle est reçue à la clinique le G mai. Ptosis double accusé, moins cependa
les extenseurs des mains, faiblesse des jambes. La malade quitte la clinique . (.(Evidemment, elleest morte de paralysie bul-
s allons analyser de façon il bien mettre en lumière les caractères cliniques et différentiels de cette intéressante affectio
Travaux anatomo-pathologiquea Chef du Service photographique de la Clinique des maladies du système nerveux. NOUVELLE ICONO
r Gilles de la Tourette, Huet, Guinon, 97 (Contribution à l'étude clinique des trem- blements -), par A. Dutil, 27, 87.
48 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
COT l'UI31lCE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Mcmlire de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Sle- : lnne). F. RAYMOND Professeur de cli
cin de l'Asile clinique (Sle- : lnne). F. RAYMOND Professeur de clinique ' des maladies du système nerveux à la Facu
s. 1895 Vol. XXIX. Janvier 1895. ? 95. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE
s névroses vaso-motrices des extrémités. Archives, t. XXIX. - 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. A. IL EST CERTAINE FORME DE MALADIE D
Sous l'influence des disputes qui se répétaient entre elle et son 4 CLINIQUE NERVEUSE. mari, son caractère impressionnable s
accomplit bien. Il existe quelques craquements dans les genoux. 6 CLINIQUE NERVEUSE. Réflectivité. Les réflexes patellaire
La première séance eut lieu le 1er avril ; les séances d'abord 8 CLINIQUE NERVEUSE. rapprochées, tous les jours ou tous l
rise le plus souvent de syncope locale, rarement d'asphyxie. , 10 CLINIQUE NERVEUSE. En outre, à l'état de veille, la mala
rendues régulières des menstrues revenant 2 fois par mois.... 12 CLINIQUE NERVEUSE. FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE.
phénomènes vaso-moteurs : sueurs abondantes, oedème de la face. 14 CLINIQUE NERVEUSE. rie légère persistante. Les crises de
e Médecine, t. V, p. 510. 3 De Saint-Germain, th. Paris, 1893. 16 CLINIQUE NERVEUSE. débute l'asphyxie locale des extrémit
tra inver- sement pendant l'hypnose. (À suiv ? ,e.) (A suivre.) CLINIQUE MENTALE. ASILE CLINIQUE (s AINTE- ANNE) . M. MA
t l'hypnose. (À suiv ? ,e.) (A suivre.) CLINIQUE MENTALE. ASILE CLINIQUE (s AINTE- ANNE) . M. MAGNAN. DES DÉLIRES SYSTÉM
rs, Deux malades vont nous permettre de donner une consécra- tion clinique à cette esquisse didactique de la période des g
Leçon recueillie par M. le D' Pécharman. Archives, t. XXIX. 2 18 CLINIQUE MENTALE.. plus en plus étroite : Spirites ; mar
litière. Elle est la victime de l'optimisme et il y a des opli- 20 CLINIQUE MENTALE. mistes partout; elle se plaint de faib
e charbonnière avec une sorte de fronde qu'elle a fabriquée avec 22 CLINIQUE MENTALE. un fragment d'obus; elle gifle des gam
la ses idées de vengeance; dès qu'elle sera proclamée, elle fera 24 CLINIQUE MENTALE. passer la loi sur le divorce; fatiguée
alorische Verivirrlheit) ' Voir Archives de Neurologie, n" 94. 26 CLINIQUE MENTALE. présenteavec la primoere Yerrücktlteit
r par des allégories les sensations morbides qu'ils éprouvent. 28 CLINIQUE MENTALE. La Paranoia, au contraire, toujours d'
de même que dans le délire systématique chronique, il s'effec- 30 CLINIQUE MENTALE. tue souvent des rémissions et des exac
sonnalité, une interprétation pathologique et élaboration mor- 5 CLINIQUE MENTALE. bide des impressions externes et inter
ons en s'appuyant à la fois sur l'anatomie normale et sur les faits cliniques dans lesquels il y a lésion limitée de la moelle
ier les contradictions qui existent encore entre les différents cas cliniques d'hémiopie pour établir le siège cortical exact d
ES. 51 d'idiots. Fritsch. Mélancolie irritable. DFSOELDEit. Etude clinique d'une observation de tumeur de la protubérance. L
dence de M. WERNicKE. ' M. Wernicke présente quatorze malades de sa clinique ; les deux premiers constituent des exemples d'i
de compte an début cer- tains facteurs étiologiques. L'observation clinique nous montre, à mon sens, assez souvent l'additi
le Dr Magnan, médecin en chef du service de l'admission de l'asile clinique ; M. Gérard, économe de l'asile de BULLETIN BIBL
195 Vol. XXIX.. Février 1895., > ? 96 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE QUELQUES OBSERVATIONS DU TROUBLE DE L
éd. des Hôpitaux, 17 novembre 1893. , . Archives, t. XXIX. 6 82 ) CLINIQUE NERVEUSE. Observation I. Del..., soixante-sept
tense et le plus douloureux retentissement. Pendant quinze jours 84 CLINIQUE NERVEUSE. après cette révolution, j'eus de viol
de cinq minutes de suite, et encore ne peut-il répéter cet exer- 86 CLINIQUE NERVEUSE. cice plusieurs fois en un jour sans é
infiniment moins marqués que chez le sujet précédent : M. M... 88 CLINIQUE NERVEUSE. était simplement contraint de se repo
s de la vascularisation cutanée prédominent beaucoup à gauche. 90 CLINIQUE nerveuse. Atrophie de la cuisse et de la jambe
sta plus tard à nouveau, sous l'in- fluence d'un refroidissement. CLINIQUE MENTALE. LES DÉLIRES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉ
it, s'ap- peler de la confusion mentale. Meynert, dans ses leçons cliniques sur la psychiatrie (en '1890) consacre au sujet
890) consacre au sujet qui nous occupe de longues pages d'a- nalyse clinique et théorique. Il prétend établir l'existence d'un
conscience, subit 1 Voir Archives de Neurologie, 11°' 91, Ou. 92 CLINIQUE MENTALE. les perceptions sans les comprendre. L
cfa·onisc'e p ? ,imoe7,e Verrücklheil), Meynert adopte les opinions cliniques deSnell, Sanderet Westphal. Ici iln'y a pas d'a
préparation morale, ni sans réllexion préalables, il ne tend pas 94 CLINIQUE MENTALE. à rien expliquer comme dans la mélanco
un produit du travail intellectuel, tombés en désuétude. Quand 96 CLINIQUE MENTALE. l'obnubilation de la conscience est lé
issipe le plus souvent peu à peu. Elle se Archives, t. XXIX. 7 98 CLINIQUE MENTALE. montre exclusivement chez les hérédita
tant, et c'est pourquoi les auteurs ont décrit des accès de ! 00 CLINIQUE MENTALE. confusion mentale qu'ils ont divisés e
adie, sont éclairés par sa cause. L'intérêt n'est pas exclusivement clinique : La pathogé- nie de la maladie de Raynaud pour
eule cause visible des accidents céré- braux. D'après les symptômes cliniques on peut se demander si les malades succombèrent
WOOLICOMBE. (British Médical Journal, 23 juin 1884.) Observation clinique suivie d'autopsie avec examen histologique. La
Observation clinique suivie d'autopsie avec examen histologique. La clinique confirme les données déjà exposées sur le sujet p
ologie infectieuse DE L'HYSTÉRIE, par le professeur Grasset; leçons cliniques recueillies et publiées par le Dr GALAVIERLE. (
é et spé- cialement l'hérédité névropathique. En maintenant l'unité clinique de l'hystérie, on peut bien admettre des types
ant l'unité clinique de l'hystérie, on peut bien admettre des types cliniques divers. « Il est impossible de nier que l'hysté
t en s'aggravant et elle mourut dans l'espace de deux ans. L'aspect clinique était celui d'une sclérose combinée. Les lésion
st syphilitique. P. S. XXV. NÉVRITE diabétique avec UNE DESCRIPTION CLINIQUE ET ANAT0310- pathologique DE TROIS cas DE PSEUD
diabète insipide est rare chez les hystériques femmes. Le tableau clinique de la polyurie hystérique est d'une grande simp
e Morvan. Or, on voit que, même si on se place au seul point de vue clinique , l'identité n'est pas parfaite entre la maladie
SE. 133 ne fournit pas plus les éléments de certitude que refuse la clinique : le bacille de Hansen n'a pu être démontré dan
rmie, à la maladie de Raynaud; il s'agit de savoir si la similitude clinique doit, dès aujourd'hui, entraîner la notion d'iden
nelle, d'une hématomyélie. Au point de vue 134 SOCIÉTÉS savantes. clinique , il ne manquait aucun des symptômes de l'hématomy
s la paralysie générale. M. LEGR.11N. Il parait ressortir des faits cliniques que les ictus épileptiformes, dont l'esprit est
ent indiqué, mais nous avons aussi montré que, tant au point de vue clinique , qu'au point de vue théorique, il n'y avait pas
ire un groupe à part. Il y a au contraire entre les divers tableaux cliniques de la paranoïa des rapports étroits, d'ailleurs
confusion mentale. Il serait à désirer qu'on établit les élé- ments cliniques de ces deux formes. Le même travail est encor S
pour arriver à s'entendre, il faudrait étiqueter les obser- vations cliniques qui servent de canevas à la description d'ensembl
qui est le cas le plus fréquent) ou non. M. Cramer. Communication clinique . L'analgésie du cubital à la pression soit dans
résidence DE M. GERSTENBERG. M. Bruns. Présentations anatomiques et cliniques . - Voici d'abord une fillette de deux ans et de
les bien connaître. Mon éducation se fit d'abord bien plus par la clinique , par l'observation, que par la lecture des ouvrag
ar une curieuse coïncidence, elle donnait une sorte de consécration clinique aux travaux que notre ami Magnan poursuivait al
l'un avec les ressources du laboratoire, l'autre avec l'observation clinique , arrivaient au même résultat. A ce moment, M.
aractères d'aucune maladie mentale connue, n'ont pas d'analogues en clinique . Certains propos de l'inculpé pourraient faire
VI, interne des hôpitaux de Paris. ni. Y a-t-il au point de vue clinique dans la maladie de Ray- naud hystérique des car
ibreux périarticulaire et une rétraction tendineuse. Si les faits cliniques indiscutables ne sont pas assez nom- breux pour
aensc., 1892. l'ixarsewsky. Gazella Lekai,ska, 1891. Féré, etc. ' Clinique des maladies du système nerveux, t. I, 1892. '
s, ce ne sont pas des individualités propres, mais la signification clinique d'un grand nombre d'états patholo- giques susce
r la cause immédiate de l'affec- tion et de procurer la guérison. CLINIQUE MENTALE. LES DÉLIRES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉ
imerait toute ' Voir Archives de Neurologie, n°' 94, 95, z. , 188 CLINIQUE MENTALE. équivoque. Mais il nous paraît préféra
par M. Magnan concernant des faits exceptionnels (Christian) 190 CLINIQUE MENTALE. C'est aussi l'avis de M. Bail qui crit
, qui doit être attribuée à l'épuisement rapide et brusque du 192 CLINIQUE MENTALE. système nerveux central (très souvent
Amadei et Tonnini présentent la classification suivante : -. 194 CLINIQUE MENTALE. ' DE LA PARANOÏA. 195 quant à la par
- tion satisfaisant par sa forme essentielle aux nécessités de la clinique . Le tableau de la classification nouvelle de M.
hamp ses manières de voir. ' Kours psichiatrii. Moscou, 1893. 196 CLINIQUE MENTALE. PREMIÈRE CLASSE. DÉSORDRES PSYCHIQUE
PSYCHIQUES, SYMPTOMATIQUES ET ÉPHÉMÈRES. DE LA PARANOÏA. 197 198 CLINIQUE MENTALE. - DE LA PARANOÏA. 199 Dans la grande
ciation d'idées incorrectes; il en résulte des assemblages sem- 200 CLINIQUE MENTALE. blables à des idées fausses (superstit
omparaison DU béribéri avec LA névrite ALC00- LIQUE au POINT DE vue clinique ; par le Dr DE SACEUDA. La confusion entre la po
ces agents toxiques serait en rapport avec les diffé- rentes formes cliniques de la paralysie générale. Quant aux paralysies
nutrition de ces cellules et donne lieu à la production de composés cliniques qui jouent le rôle de véritables toxines. Dans
S'appuyant sur un certain nombre de considérations théoriques et cliniques , l'auteur établit dans cette note que, dans l'éta
es et dans les actes, agitation incessante, insomnie, le diagnostic clinique ne laissait pas que d'offrir de grandes difficu
rapports avec la folie n'avaient pas été établis par l'observation clinique , bien qu'il soit depuis longtemps démontré que
aractère moteur constituent le symptôme le plus saillant du tableau clinique et dirigent la scène pathologique. Ce sont ces
age à comprendre avec les agités les infirmes. M. ICItD;PELI1.-A la clinique deux quartiers de surveillance sont utilisés pe
que le médecin rompe avec l'apologie physiologique de l'alcool; la clinique psychiatrique nous apprend d'une façon indiscut
tômes, l'évolution psychologique (folie des négations) et la marche clinique . Dans un chapitre des plus intéressants, il en
s est un des rares aliénistes qui cherche, grâce aux lumières de la clinique , le mécanisme psycho- logique des délires. C'es
délirants est, du reste, expo- sée depuis longtemps dans les leçons cliniques de M. le professeur Pierret et dans les nombreu
asile de Saint-Robert); Charon (asile de Bailleul); Toulouse (asile clinique ); Anglade (asile de Braqueville). M. le Dr KÉRA
endant il y a inversion des phosphates. (Analyse suivante). , 274 CLINIQUE j MENTALE. se,présente,sous,forme d'un magma ou
- sième, quia pour caractère apparent une manifestation symp- 276 CLINIQUE MENTALE. tomalique suraiguë.' Nous y rencontron
ons qui domine, et, avec elle, le plus ordinairement déjà, ij2.18 8 CLINIQUE MENTALE. .,une incohérence obnubilant'la consci
li- '"miner'la notion du délire chronique de Magnan ? " " ' ' 280 CLINIQUE MENTALE. .L'étude de la bibliographie démontre
ême à une période avancée, fort avancée, de celle-ci; en pareil 2 8 CLINIQUE ''MENTALE. cas, la' confusion"" mentale- revêt
en effet que, pour établir les dénomi- nations et fixer les entités cliniques , les auteurs s'appuient, qui sur l'association
tomatologie correspo,ndant,à,,la,,vâriété.desllésiols., Depuis, 284 CLINIQUE mentale. on a pu déterminer cliniquement et mic
noïa, de même que de celles de la manie et de la mélancolie. 386 t» CLINIQUE .} MENTALE.* r De même, également que les maladi
permanentes' et lucmatioiis.1'' ' '" '' "'constantes. ' ? '' 288 CLINIQUE MENTALE. PARANOÏAS .mélancolie manie Fureur r
er l'état de la terminologie appuyée par le gros des considérations cliniques qui vont de pair avec les termes adoptés. Du
ussions, on ne tardera pas à s'apercevoir d'une certaine hésitation clinique . C'est cette même hésitation qui s'était déjà m
suivantes : PSYCHOSES FONCTIONNELLES SIMPLES. (3 GROUPES.) 290 CLINIQUE MENTALE. BIBLIOGRAPHIE. «ESTPIL1L. Allgemeine
. - La Paranoia. Archives de Neurologie, 1887, p. 65. MoREL. Etudes cliniques , 1852. MOREL. Traité des maladies mentales, 186
1852. MOREL. Traité des maladies mentales, 1860. Fo1'ILLE. Elude clinique sur la folie avec prédominance de délire des gr
ues dans la démence paralytique; par le Dr Hoyt. , . r. Une étude clinique et auatomo-pathologique des troubles va : o- RE
entité morbide dans un système de classification basé sur les faits cliniques . (American journal of insanily, 1894.) E. L3 : i
ARCHIVES ' DE - NEUROLOGIE w j-j j"-i ; t ? , 1 .r ? Y, ? 4" - ' CLINIQUE NERVEUSE' ! il, ' ' *' ;. ,o .. , ", UN CAS
efforts pour conserver et accroître là vieille réputation de'l'a clinique . " " " ' ul , " "l " ',l , , 1 1 Mon maître M.
n mot d'une hémia- nopsie hystérique. Archives, t. XXIX. 22 338 clinique NERVEUSE. I. Ce symptôme aurait été signalé i
' Déjerine et Vialet. -Société de Biologie, 28 juillet 1894. 340 CLINIQUE NERVEUSE. donc en opposition avec la plupart de
er des hémorragies utérines considérables au moment de '342 1 ? ( 1 CLINIQUE NERVEUSE. ·E é,5 ? épôques. Inquiet de ces hémo
ais il faut le constater tel - . -1' 1 1 xi Fig. 1 ? . ",Il 344 CLINIQUE NERVEUSE. qu'il est. Nous avons donc affaire à
e hypoesthésie. 3 r 9p3 ? r'· ? ^^a1ucs d'hjpcrcslhesic. n % 346 - CLINIQUE NERVEUSE. facilement que les sons très violents
ée fixe. (Revue philosophique, février 1894, p. 147.) 348 3ti, ., CLINIQUE NERVEUSE. ,, . de phénomènes oculairestrèsivari
hique; 1887, I, 467.) 3 Archives de Neurologie, mai 1892. 350 ' ' CLINIQUE NERVEUSE. ' -- pour déterminer définitivement l
champ t isuc) subconscient. .. (T < fn ? . -1 v 1.1 1 -1 352 ' CLINIQUE NERVEUSE. ' gulier qui préside à sa-1 formation
champ visuel pour la couleur rouge. YÎ111 a ? t t ' i . * 354 fl CLINIQUE , NERVEUSE. » , raître, telle., personne,, tel ,
ait de la suggestion et de l'idée fixe. Depuis que l'on examine 358 CLINIQUE NERVEUSE. l'hémiopie de Justine, il me semble q
peuvent»; cependant servir.bien, que leur précision suffisante. en clinique ne soit,pas w ',1U^| J X ? ? p· · r uc *v.'x "&
poussées et arriver à cette même démence terminale; mais ce tableau clinique du tabès spasmo- dique, de la diplégie cérébral
. 377 évidemment des spasmodiques au plus haut degré; leur aspect clinique tout à fait frappant et caractéristique fait pens
la Salpêtrière le 19 janvier 1894, ont montré des cas où le tableau clinique de la diplégie cérébrale apparaissait tardiveme
E MENTALE. . La moelle entière fut examinée ; d'après les symptômes cliniques et l'état de la capsule interne ainsi que des p
forme est liée à des hydro- pisies ventriculaires. Au point de vu-- clinique je crois qu'on peut faire le diagnostic de l'ét
ES. M. LIEBiANN. Cleorée et aliénation mentale. M. TnoMSEN. Elude clinique sur l'obsession. Cinq observations montrent que
avaux publiés en Allemagne et dans les autres pays. C'est une étude clinique des plus complètes ; elle contribuera à dissipe
tômes fondamentaux et des symptômes secondaires dont la description clinique , dit Ziehen (Nezar. Centrnlbl., 15 mars 1895) con
'ellesuccède à l'épi- lepsie, le saturnisme, etc... Au point de vue clinique , cette dis- tinction nous paraît d'une importan
és, tantôt, c'est le trouble mental qui prédomine dans le tableau clinique , la confusion ou le ralentissement intellectuel e
ivre du Dr Chaslin est une monographie très com- plète et une étude clinique très approfondie, édifiée sur de nom- breux doc
des asiles de Bicêtre et de la Salpêtrière depuis 1878 ; a l'asile Clinique depuis 1882, et des écoles dans les trois autres
ourd'hui, et qui compte de nombreux défenseurs. Du reste, les faits cliniques et l'étude de l'hérédité ne peuvent guère laiss
t organe; l'appétit disparaît, la bouche est amère et pâteuse. La clinique nous montre que bientôt les manifestattons convul
ie parue dans les Archives d'électricité médicale expérimentales et cliniques et intitulée : La Résistance des nerfs et leur
, 17 mai 1894). ' Archives d'électricité médicale expérimentales et cliniques , n° 24, déc. 1874. REVUE d'électrothérapie. 4
'auto-conduction décrite par M. d'Arsonval. Voici leurs conclusions cliniques qui viennent con- firmer les découvertes du sav
. A ce résultat, n'ont pas peu contribué, depuis 1860, les cours et cliniques psychiatriques orga- nisés dans des universités
ns les uni- versités. C'est en 1859 que Balinski ouvrit la première clinique 480 bibliographie. psychiatrique russe à l'ac
on de tous les cas, mais une hypothèse que justifient d'une part la clinique et l'expérimentation et d'autre part l'insuf- f
ntale ne peut pas être donnée expérimentalement, mais l'observation clinique nous donne les plus grandes présomptions; 5° ou
malades valides. M. Legrain parce qu'il n'apportait pas de preuves cliniques , n'a pas eu la bonne fortune de persuader ses c
tre de l'Intérieur, Signé : Leygues. Nouvelles constructions pour cliniques psychiatriques; par 13>ECEn. (Cenlralbl. f.
; par 13>ECEn. (Cenlralbl. f. Nervenheilk. N. F. V. 1894.) Une clinique doit : 1° traiter les cas récents; 2° surveiller
e de près l'agité comme s'il s'agissait d'un accouchement. En toute clinique , il faut un médecin par dix à douze malades. La
. En toute clinique, il faut un médecin par dix à douze malades. La clinique de Wurzbourg a pour qua- rante à soixante malad
ARIA. DE QUELQUES QUESTIONS d'organisation ET DE construction DES cliniques psychiatriques ; par Riéger. (Centralbl. f. Nerve
I. La question préjudicielle' est la question d'argent. Pour qu'une clinique ait beaucoup de malades, il faut que ce soit l'Et
e budget de l'enseignement. Il n'est pas bon que le directeur de la clinique c'est-à-dire le pro- fesseur ait de vastes char
ment scientifique, partout. Aussi l'Etat doit-il venir en aide à la clinique qui servira, par un juste retour, à l'examen de
lar Réânier, 380; - et aliénation mentale, par Lieb- mann, 402. Cliniques psychiatriques, par Rie- ger, 495. Colonie de
Derode, 201. Obsessions, théorie des , par Grashey, 39,ï; étude clinique de l' -, par Tlomson, 102. OEdème angionervou
49 (1911) La pratique neurologique
TIQUE NEUROLOGIQUE 1 COLLABORATEURS D' O, CROUPON, ancien chef de clinique de la Faculté. D' G. DELAMARE, ancien préparate
taux.. - .. D' Et HUET, chef du laboratoire d'électrothérapie de la clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière. D''
didactiques de Neurologie, elles ne reproduisent réellement pas la clinique elle-même, avec toutes ses surprises, avec l'infi
pour lui- même, ainsi que pour la place qu'il tient dans le tableau clinique de telle ou telle affection; et par cela même i
telle espèce botanique. Les choses vont quelque peu différemment en clinique ; il n'existe pas encore de machine dont on puis
t celte conception a été exécutée. Voilà pour les méthodes d'examen clinique , tant au point de vue de la Neurologie générale
nts qui peuvent être utiles, non seulement pour poser le diagnostic clinique d'une maladie nerveuse, mais encore pour en pos
notions psychiatriques a* YIII PRÉFACE. indispensables pour la clinique journalière, et aussi tous les renseignements n
e. D'autre part, M. Huet, chef du service éfectrothérapique de la Clinique de la Salpêtrière, dans une importante contributi
tôme hémianopsie. Nous ver- rons ensuite quels sont les aspects cliniques variables de ce sym- ptôme suivant le siège
associés, peut, suivant le siège des lésions, présenter des aspects cliniques multiples. La nature, variable également, des l
produire est. elle aussi, susceptible d'apporter des modifications cliniques . II importe au plus haut point de les bien conn
volumi- neuses, à de gros tubercules, qui provoquent les symptômes cliniques de la tumeur cérébrale; elle peut aussi produir
rs à elle et en rechercher l'existence, non seulement par un examen clinique méticuleux du malade, mais encore par tous les
d'elles fait défaut dans le muscle paralysé (Voir à la suite Aspect clinique des paralysies) . Aspects cliniques suivant le
ralysé (Voir à la suite Aspect clinique des paralysies) . Aspects cliniques suivant le siège DE la lésion. Diagnostic du si
sont pas encore exactement déterminés; cependant, les constatations cliniques jointes à des recherches physiologiques ont per
s ou chute de la paupière supérieure se pré- sente sous des aspects cliniques variés, il peut être unilatéral ou bilaté- ral,
nes myopathies progressives (fig. 60). Diagnostic du siège. Aspects cliniques variables suivant le siège. Du mésocéphale à la
es fonctions de l'écorce cérébrale. Diagnostic de la cause. Aspects cliniques variables suivant la cause. - Étiologie. - Les
tinu dans certains cas, il est intermittent dans d'autres. L'aspect clinique du nystagmus nie semble trop variable pour que la
n motrice; les réflexes rotuliens disparais- sent. C'est le tableau clinique de la maladie de Friedreich. Le nystagmus de 1'
ets sécréteurs centrifuges. Mais c'est la une simple opinion que la clinique n'a point encore bien contrôlée. Elle est d'ail
des. degrés très divers, et il n'y a qu'une lointaine ressemblance clinique entre le malade qui ne se doute pas de sa surdi
aite ensemble est basée sur environ 70 cas auatomo-patboiogiques ou cliniques et sur 44 cas où il y eut intervention. Ce qui
l'l1l'r. On trouvera ailleurs l'analomic pathologique et l'histoire clinique de ces complications; rappelons seulement ici q
rél1exe passe par la moelle, par un centre réflexe otu-sltinal. En clinique , il n'est pas rare de voir une otite unilatéral
ques résultats intéressants, mais qui n'avaient pu pénétrer dans la clinique journalière. Il a donné lieu récem- ment à une
marquable rapport de Lannois et Chavanne (de Lyon) sur les « formes cliniques du syndrome de Ménière » ; cet important travail
émontré, par ses très intéressantes constatations expérimentales et cliniques , que cette der- 1. Bii31îsKi. Sur les mouvement
. 48. Vertige voltaïque (d'après Zimmern, Eléments d'.Éleél1'olhémpie clinique ), a) Les deux pôles d'un appareil galvanique so
le pôle, négatif, ces deux actions s'additionnant dans la recherche clinique habi- tuelle, l'action répulsive du pôle négati
es expériences par les importantes remarques déjà faites par lui en clinique humaine, remar- ques qui ont donné aux modifica
ïque subit une perturbation analogue à celle qui a été constatée en clinique humaine. (Babinski. Soc. de hiot., H mars l ! )
vertige n'est qu'un élément accessoire dans l'ensemble 'du tableau clinique , de la maladie infectieuse. 4° Le vertige n'est
amphibologie n'est encore intervenue. D'autre part, au point de vue clinique , il n'est, aucun avantage à vouloir séparer les
état d'assoupissement spécial qui lui est consécutif. Description clinique de l'apoplexie. -L'apoplexie est un accident so
ue est. connue dans l'ictus laryngé, extrêmement brève. Description clinique du coma. Les pages précédentes où, dans une mêm
la sclérose en plaques. Ces troubles font aussi partie du syndrome clinique du pouls lent permanent. Enfin, la grande crise
point de départ. INSOMNIE L'insomnie présente plusieurs modalités cliniques : ou bien le som- meil larde à venir, ou bien l
degré plus ou moins accusé d'aphasie de Wernicke, réalise l'aspect clinique complexe du syndrome connu sous le nom d'aphasi
Ce mode d'investiga- tion des fonctions psychiques n'est nullement clinique . Ainsi que le dit- fort justement Séglas, comme
t. On étu- diera leurs écrits. Dans les laboratoires et élans les cliniques spéciales, on peut compléter 1 examen des alién
des aliénés est indispensable pour préciser le diagnostic des types cliniques en psychiatrie. Il est impossible, dans , LES A
es modalités de la conduite des aliénés, sur les différentes formes cliniques de la pathologie men- tale. - 1° Actes concer
ladies infectieuses intercurrentes donnent souvent peu de symptômes cliniques appréciables, elles restent latentes et les démen
ouvent un début. brusque et sont cura- bles. Elles se présentent en clinique sous différentes modalités. Dans l'amnésie syst
les idées obsédantes ou obsessions. Les obsessions se présentent en clinique avec des caractères très nets qui permettent to
ation ont, à cause de cet état démentiel et de l'amnésie, un aspect clinique spécial ; les déments séniles ont plus de sensi
s la mélancolie, sont alors sou- vent prédominantes dans le tableau clinique et réalisent une forme spé- ciale de cette affe
moyen âge des cas nombreux de démonopathie; aujourd'hui ces formes cliniques de la paranoïa sont beaucoup plus rares. Les th
IES par le D' CROUZON On désigne sous le nom d idiotie un tableau clinique caractérisé par un déficit ou une absence des f
us passerons ensuite en revue les variétés d'idioties basées sur la clinique , sur l'étiologie et i anatomie pathologique. Pa
e cardiaque congénitale; avec cyanose chez un idiot mongol (Société clinique de Londre's, avril - 1&98). , Variétés, d
s cas où la paralysie générale' infantile' a pu prendre les allures cliniques de l'idiotie. Tel est le cas de Toulouse et Mar
logique de l'étude de la sensibilité, comme méthode d'investigation clinique , se conçoit donc d'elle-même. L'apparition de n
es nerfs spécialement affectés aux sensations doloriques. Les faits cliniques de dissociation de la sensibilité observés chez
la moelle est loin cependant d'être absolue, et de nom- breux faits cliniques ou expérimentaux viennent l'infirmer. Aussi voyon
sensibilité générale n'ont de raison d'être que dans l'observation clinique . CHAPITRE I. z TROUBLES DE LA SENSIBILITE OBJ
UR LA RECHERCHE DES TROUBLES . DE LA SENSIBILITÉ . - La recherche clinique des troubles de la sensibilité, si facile qu'elle
ée. L'emploi de ces appareils est souvent inutile, dans nn examen clinique ; il est préférable de se contenter des résulta
vé. La recherche des cercles de. Weber a une grande importance en clinique ; elle permet, dans les cas ou les sensibilités
prix élevé l'ont qu'ils ne sont guère employés dans les recherches cliniques courantes. Dans certaines affections du système
perçues séparément. Aussi est-il naturel que lors- qu'on observe en clinique la prolongation des sensations, on doive éga- l
Moiclioukovsky. leclttercw, etc.), dont l'usage est peu fréquent en clinique . Lorsqu on constate en une région du corps une
on ettem intensité avec les troubles tactiles. Il arrive parfois en clinique , dans la syringomyélie par exemple, (pie la sen
e pour les autres sensibilités superficielles, on peut observer, en clinique , soit de la diminution (tlterlno-hypoesthésie), s
ait à souhaiter qu'il fùt plus souvent employé dans' les recherches cliniques / Dans les cas d'analgésie, la sensibilité élect
ement due il la sensibilité articulaire. Il n'existe pas de moyen clinique pour étudier isolément la sensibilité articulai
; elle s'observe dans les névrites. D'autres fois, au contraire, en clinique on peut rencontrer de t'anesthesic des troncs ner
t à fait indépendant. 11 est arrivé à ce résultat par l'observation clinique en constatant chez un certain nombre de malades
distinctes de sensibilité qui peuvent être nettement dissociées en clinique . Pour Strümpell, la sensi- bilité à la pression
égion à explorer; cette méthode élémentaire suffit ordinairement en clinique . Pour obtenir plus de précision, on se sert d'a
tions chirurgicales. L'application de la sensibilité osseuse à la clinique est de notion récente (Egger, '189') : -. Dej
de la sensibilité osseuse ou vibratoire s'observent fréquemment en clinique ; tantôt elles marchent de pair avec les troubl
le terme de sens, musculaire reste le plus communément employé en - clinique , et sous ce nom on doit comprendre les quatre n
tre ces sensations locales. On recherche la notion de position en clinique , en faisant fermer les yeux aux malades et en i
ont guère susceptibles d'être appréciées par les moyens employés en clinique . Par contre la notion du poids est, facile à étud
es en foyer. Séméiologie. La perte du sens musculaire accompagne en clinique la perte des sensibilités profondes (articulair
s ce sens que le terme de sens stéréognostique doit être employé en clinique . Certains auteurs cependant, considérant avec l
ment une division aussi schématique est difficilement applicable en clinique , d'autant plus que l'on peut ad- mettre que Y a
description des altérations sensitives que l'on peut rencontrer en clinique au cours des différentes affections du svstème
udier les altérations sensitives susceptibles d'être rencontrées en clinique : '1" dans les affections de ['encéphale (hémi-
plus admise au- jourd'hui, et cela pour les raisons anatomiques et cliniques suivantes : 1° La participation des sens spécia
t carrefour sensitif devait être abandonnée; il existe en effet, en clinique , des cas de lésions du segment postérieur de la
encore fort mal connues. L'hémianesthésie thalamique présente, en clinique , très sensiblement les mêmes caractères que les
organique à type cérébral (corticale ou centrale) offre souvent en clinique de grosses difficultés; celles-ci s'expliquent
anesthésie d'origine protubérantielle l'ait enfin partie du tableau clinique du « syndrome prolubéranliel supérieur » de Raymo
otilité. L'hémiplégie sensitive spinale ne revêt pas fréquemment en clinique une disposition topographique aussi schématique
qu'à celles de la moelle épinière, mais comme le plus sou- vent, en clinique , lésions médullaires et radiculaires marchent de
ent ils existent seuls (paralysie radi- culaire sensitive pure). La clinique montre que, s'il est possible de conslater des
racines soient prises en même temps et constituent ainsi des types cliniques reconnus aujour- d'hui comme classiques. I. P
uniradiculaire. Les paralysies com- plexes sont très fréquentes en clinique ; l'anesthésie, de même que la paralysie motric
paralysies radiculaires du plexus lombaire, ou sacré s'observent en clinique , soit à la suite de violents traumatismes porta
onné ' [ROUSSY.] : 540 - ' ' - . ? . SÉNStBmiTE. .; ? : ' "' en clinique par une lésion intéressant. les segments, de la m
ns la sé- méiotogie de la sensibilité. Mais il faut remarquer qu'en clinique les para- lysies radiculaires sensitives 100ubo
ntéressée ? 3° Racines et moelle sont -elles prises ensemble ? En clinique , la solution de ces différents problèmes est loin
aractérisées par la dégénérescence des éléments nerveux. - Formes cliniques . De même que pour les névrites, on peut classer
liniques. De même que pour les névrites, on peut classer les formes cliniques des radiculites, suivant leur topographie régiona
c et le traitement est incontestable. Valeur séméiologique. L'étude clinique des radiculites est impor- [ROUSSY.] 54G " ..
raphiques %de troubles sensitifs susceptibles d'être rencontrées en clinique , suivant que tel ou telnerf crânien ou rachidien
elèvent dune lésion organique du système nerveux. Ils revê- tent en clinique des caractères particuliers qui permettent de fai
naître enfin les TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 557 signes cliniques particuliers aux troubles sensitifs hystériques,
? ïcs</tës ! e. C'est elle qu'on observe le plus fréquemment en clinique . Les troubles moteurs affectent le plus habitue
statation de ces laits pourrait avoir des applications pratiques en clinique et constituerait une méthode qui servirait à déte
tômes sensitifs ou moteurs, elles concourent à compléter le tableau clinique d'un grand nombre d'affections du système nerve
dans un grand nombre d'affections; aussi sa valeur séméiologique en clinique est-elle grande. Nous n'avons il envisager ici
. En se basant sur leur nature pathogénique et sur leurs caractères cliniques , on peut les diviser en deux groupes distincts
courent à orienter dans une direction déterminée les investigations cliniques . Nous ne faisons ([ne signaler ici, pour les él
aud, les dysesthésies prennent une place importante dans le tableau clinique ; elles sont ordinairement le [ROUSSY.] fit.47
uses ou toxiques; dans les névralgies. Elles font partie du tableau clinique de l'affection dite méralgie paresthésique (Roth)
s névralgies ne constituent pas des maladies; ce sont des syndromes cliniques caractérisés par des douleurs continues et paroxy
issent avoir sur les nerfs une action susceptible de se traduire en clinique par le syndrome névralgie. - le donnerai plus l
ar le syndrome névralgie. - le donnerai plus loin quelques tableaux cliniques schématiques des névralgies les plus fréquemmen
ption répond plus souvent à un schéma anatomique qu'à 1 une réalité clinique . Les troubles de la sensibilité objective, obse
. NOSOQRAPHIE SCHÉMATIQUE DES PRINCIPALES NÉVRALGIES OBSERVÉES EN CLINIQUE NÉVRALGIE DU TRIJUMEAU La névralgie du trijum
l'qupnoe du zona dans la névralgie intercostale. Parmi les variétés cliniques des névralgies intercostales, on peut citer Yép
ilr'o-scrotale; il faut dans cette affection distinguer deux formes cliniques : tantôt il s'agit d'une névralgie des branches
scrotales ou labiales, des névralgies fmo-perïa/cs. Dans une forme clinique spéciale ces névral- gies génitales sont accomp
se fatigue très facilement. On a opposé l'une à l'autre deux formes cliniques : la sciatique- névralgie et la sciatique-névri
nerf de la troisième paire du côté de l'hëmicrànie, c'est la forme clinique encore appelée; paralysie oculo-motrice périodi
ur les détails du traitement de chacune des névralgies observées en clinique . Les résul- tais du traitement des névralgies p
embres supérieurs. Nous examinerons les réflexes les plus usuels en clinique , et nous prendrons connue type de notre descripti
XES DANS LES MALADIES A) Abolition des réflexes. - Dans la pratique clinique , l'abo- lition des réflexes a une valeur bien d
nce qui contribue il donner a la maladie de hricclreicll cet aspect clinique singulier consistant dans une sorte de mélange
e diabétique, dans laquelle l'abolition des réflexes donne l'aspect clinique connu sous le nom de pseudo-tabes diabétique. C
r successivement la valeur semiologique de chacune de ces modalités cliniques . 1" Exagération des réflexes des membres inféri
calisée aux muscles fléchisseurs et au muscle pectine. Ce tableau clinique s'oppose à celui de la myélite transverse syphili
a neurologie et une des plus importantes acquisitions récentes delà clinique . Signe de l'éventail. Plusieurs années après la
t : 111. Hémiplégie cérébrale infantile. Au point de vue purement clinique , il y aurait lieu de distinguer Y hémiplégie ré
e dans celle des adultes, et elle lui parut avoir une signification clinique de même ordre que l'abduction réflexe. Phénom
membre inférieur et supérieur du côté gauche était le seul symptôme clinique , en l'absence de syphilis, le diagnostic de cet
phéno- mène n'a rien de constant. Paraplégie flasque. Le tableau clinique est ici tout différent de ce que nous avions re
ratique, on se gardera de vouloir les faire cadrer avec l'évolution clinique d'un malade étudié. La ponction lombaire ne déc
rvicale hYPl'1't¡,oplâqlll'. Cette affection présente un syn- drome clinique caractérisé par une tétraplégie. La paralysie est
0 f1'ro y . Nous sommes amenés ainsi il nous préoccuper du tableau clinique de la compression par tumeur intra-lnédallairc,
sensi- bilité. La syringomyélie proprement dite présente un tableau clinique des plus nets. Les membres inférieurs présenten
yélites syphilitiques. La syphilis médullaire présente des tableaux cliniques variables. Comme dans le mal de Pott, la moelle
tes transverses chroniques. Les types le plus souvent rencontrés en clinique sont du reste d'origine syphilitique, et l'on p
le diagnostic de polio- myélite ou de polynévrite. Un tel problème clinique est peu ardu sans doute en des cas aussi antino
e. Cette atrophie est et demeure une des principales manifestations cliniques de tout un groupe d'affections de causes diverses
issance véritable. On peut définir cette affection, au point de vue clinique , un tabès débutant dans le jeune âge; Du tab.es
s froid, luxa- tions, séquestres, etc. Dans la plupart des tableaux cliniques , il est le plus souvent difficile de préciser c
riétale ascendante à la zone motrice. De toutes ces constatations cliniques et expérimentales, il me semble résulter que l'
rase sa concep- tion des centres corticaux du cerveau : « De par la clinique et de parla physiologie les centres corticaux s
LAIRE MOTRICE Les lésions de la moelle se traduisent fréquemment eh clinique par le syndrome paraplégie dont les modalités c
équemment eh clinique par le syndrome paraplégie dont les modalités cliniques , différentes suivant la cause, l'étendue et la
mitées uniquement à un segment de membre. On ne rencontre jamais en clinique une atrophie , TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. 599 m
le Klumpkc a toujours vu la contraction du grand pectoral. Le cas clinique de Rose a la valeur aussi d'une véritable expérie
sies radiculaires du plexus brachial. Paris, 11)01). Il existe eu clinique trois variétés principales de paralysies radicu-
e brachial antérieur, le long supinateur. Presque toujours l'examen clinique et surtout l'examen électrique permettent de con-
radiculaire totale n'est pas la variété le plus souvent observée en clinique . Kilo est le plus f'réquem- ment consécutive il
segment inférieur du plexus. Ces paralysies sont très fréquentes en clinique , elles ne se prêtent pas à une description didact
ec facilité des paralysies du type e radiculaire. Quelques formes cliniques parmi les pai alysies radiculaires du plexus br
insi que les troubles des racines basses soient presque toujours en clinique moins prononcés, passagers et réparables. Dan
schématiques de paralysie motrice ne se rencontrent pas toujours en clinique , de même les types schématiques de paralysie se
que les troubles moteurs, ils sont moins durables. Ces faits que la clinique montre, nos expériences les expliquent. En effe
iques ont quitté la racine. Chez les enfants très jeunes l'examen clinique est difficile. C'est sur- tout en excitant la p
sensibilité que le diagnostic de ces para- lysies peut se faire on clinique . On trouvera daiis le tableau que j'ai reprodui
aloinistes, ne s'observe jamais; le syndrome hémiplégie traduit, en clinique les lésions même limitées de la capsule interne
RANIENS La paralysie faciale périphérique présente plusieurs formes cliniques dépendant du siège de la lésion. La paralysie f
a lésion siège au-dessus du ganglion géniculé on observe le tableau clinique précédent, il l'exception toutefois des trouble
iale a (rigore, qui est la forme la plus habituellement observée en clinique , il s'agit vraisemblablement d'une névrite infe
bulbaires. On pourrait d'ailleurs schématiser les différents types cliniques des paralysies de la branche motrice du trijume
rice du trijumeau, de même que l'on schématise les différents types cliniques des paralysies faciales et décrire ainsi des pa
as précisée, car la paralysie isolée de ce nerf ne s'observe pas en clinique , il est lésé en général en même temps que le pn
orable , la guérison complète survient toujours. Parmi les formes cliniques de la paralysie radiale, une des plus inté- res
lités à la douleur et au contact : témoins ces malades de certaines cliniques laryngologiques qui se laissent toucher sans di
LÉRI.] progressive comprend la pseudo-hypertrophie dans son tableau clinique ordinaire et dans sa dénomination même. Aussi,
ressive spinale, ne doit être admise que pour conserver un syndrome clinique , différencié seulement de la paralysie vraie pa
ration des paralysies et des amyotrophies d'origine spinale. FORMES CLINIQUES . - CLASSIFICATION - L'atrophie musculaire est u
moyens actuels d'investigation. Comme, d'autre part, aucun symptôme clinique ne permet d'affirmer avec certitude que les voi
dinairement, en myopalhiques, myélopathiques et neurotiques. FORMES CLINIQUES . CLASSIFICATION'. 665 Les diverses atrophies mu
s atrophies musculaires présentent des différences et des ensembles cliniques qui nous paraissent pouvoir servir de base à une
aire. L'amyotrophie progressive de l'adulte peut être le seul signe clinique d'une maladie, ces cas sont tout il fait except
is une entité morbide compacte et indi- vise ; c'était l'expression clinique de l'inflammation systématique des cornes antér
rvé un cas où les muscles respirateurs ont paru atteints à l'examen clinique , mais Landouzy et Dejerine font des réserves sur
OPUIE CIIARCO'I'-11AII11 ? gaz Variétés. Les signes différentiels cliniques de l'atrophie Charcot-Marie et de l'atrophie We
tait qu'une variété de l'amyotrophie Charcot- Marie : les symptômes cliniques que nous venons d'énumérer sont am- plement suf
e plus souvent l'amyotrophie n'est qu'un symp- tôme dans un tableau clinique : les signes associés montrent que d'autres par
déterminer parfois de véritables mouvements involontaires. L'examen clinique ne révèle, à aucun moment de l'évolution, aucune
IIG\\I ? iIIAV. Le syndrome d'Aran-Duchenne l'ait partie du tableau clinique habituel de la sclérose latérale amyotrophique,
otre opinion (') a été basée sur plusieurs examens anatomiques et cliniques personnels et sur la lecture des observations a
à la séreuse méningée sa véritable importance.. Plusieurs signes cliniques différentiels avaient été donnés de la méningo-
nous croyons avec Pierre Marie que son existence en tant qu'entité clinique ne doit pas encore être acceptée sans quelques
si est-ce l'amyotrophie qui prend dans la sy, 1111) toiiit t ologie clinique l'importance prépondérante ; et, comme elle a t
ouvent comme une névrite généralisée; la similitude de ces tableaux cliniques , l'appareil fébrile ordinaire du début font pen
agit d'un nerf mixte) se paralysent, puis s'atrophient : le tableau clinique est complet en un ou deux mois. Plus rarement l
an-Duchenne chez lequel le traitement a confirmé la relation que la clinique tendait à établir entre la syphilis et l'amyotr
ttitudes vicieuses. [A. LÉRI.] TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES DES ATROPHIES MUSCULAIRES I. ATROPHIES MUSCUL
as de troubles du développement. TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES . 755 2. Variétés analomo- cliniques : . 1. Ty
LEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES. 755 2. Variétés analomo- cliniques : . 1. Type Charcot-Marie : 2" enfance; début p
la diminution considérable de la contractilité musculaire. VARIÉTÉS CLINIQUES L'hypertrophie musculaire vraie est aussi rare
), toute une série de faits dissemblables tant parleur localisation clinique que par leur étiologie et leur pathogenic. Cert
ur que le muscle apparaisse clinique- ment hypertrophié : aussi, en clinique , l'hypertTophie musculaire préa- trophique est
Les indications histologiques que nous avons ajoutées à notre étude clinique nous ont semblé indispensables pour montrer ce qu
ppenheim, Brissaud, Dejerine; elle est ap- puyée sur les recherches cliniques et anatomo- pathologiques de ces auteurs et sur
des tabéti- ques ; nous étudierons ensuite rapidement les variétés cliniques que l'on peut observer suivant la cause et le s
fs périphériques : elles déterminent ainsi l'apparition de tableaux cliniques fort semblables au tabes et dont l'ataxie fait, p
ne provoquent pas d'ataxie ou que l'ataxie n'entre dans le tableau clinique que d'une façon tout à fait accessoire et minim
s); dans ce cas, les symptômes oculaires font défaut, et le tableau clinique évolue beaucoup plus rapidement que le tabes.
signe de Romberg, abolition des réflexes, qui réalisent un tableau clinique très semblable à celui du tabes : on admet géné
uide, se met il nager. L'Iiémiat;iYie ne fait pas partie du tableau clinique habituel de l'hémi- plégie cérébrale infantile;
raux, l'incoordination cérébelleuse se pré- sente sous deux aspects cliniques très différents : A) La titubation céré- helleu
ons à y revenir. Quant à la titubation elle-même, si ses caractères cliniques ont été parfaitement décrits par Duchenne de Bo
A. LÉRI.] 782 INCOORDINATIONS. TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES DES INCOORDINATIONS 1 (Perte de l'harmonie en
e synergie des muscles des différents segments du corps. Variétés cliniques : a) Grande asynergie : démarche asynergiquc ty
aire; puis, groupant les signes mor- bides conformément aux données cliniques usuelles, nous décrirons les syndromes bulbaire
Cheyne-Stokes : cela est fort rare à la vérité. Évolution et formes cliniques . Certains malades présentent surtout des troubl
extension et sa systé- matisation justifient une individualisation clinique . Myasthénies épisodiques. -Nous rangerons dans
me banale) et hypertrophiques (forme Thom- sen). Toutes ces entités cliniques semblent être des variétés d'une ma- ladie cong
d -nombre de maladies, n'ont pas d'unité, complète dans leur allure clinique et empruntent divers caractères à leurs condition
ne thérapeutique d'urgence. A cet égard, des diffé- rences d'allure clinique , de pronostic et d'indications thérapeutiques n
ONVULSIVES. - 825 confirmée, on les reconnaît facilement aux signes cliniques concomitants, céphalalgie, contracture, strabis
onvulsives, l'épilepsic et l'hystérie, d'une série de circonstances cliniques où le praticien pourra être fort embarrassé. Da
gistrement du tremblement est le complément néces- saire de l'élude clinique qu'on en a fait; nous n'entrerons pas ici dans le
mblement hystérique a fait l'objet des éludes de Charcot (leçons de clinique ). Il a fait l'objet d'une clinique de Rendu, et
des éludes de Charcot (leçons de clinique). Il a fait l'objet d'une clinique de Rendu, et enfin il est le sujet de la thèse in
pas aujourd'hui spécialement à telles ou telles de ces moda- lités cliniques , mais ne sert qu'à désigner le symptôme commun il
symptôme commun il toutes ces affections et d'autres particularités cliniques ont servi à diffé- rencier chacun des types mor
rcherons enfin à donner il chacune des chorées ses caractéristiques cliniques . Description. La chorée est caractérisée avant
anifester suivant les deux formes différentes, et les deux tableaux cliniques que nous venons de décrire, nous voulons parler
esi B,UiO.NrÇEIX. Société médicale des Hôpitaux, 1904. - DIEULAPOY. Clinique médicale de l'Hôtel-Dieu. LÉAuTlL Thèse de Pari
ce syndrome à sa véritable cause, et c'est par l'élude des tableaux cliniques qui vont suivre que l'on pourra faire cette dif
n. Diagnostic de la variété des chorées. La chorée varie d'aspect clinique suivant l'âge du sujet qui en est atteint, ou, po
cours de la chorée chronique et même peut la précéder. Le tableau clinique est celui d'une chorée, mais différente par les p
édité nerveuse que s'observent ces myoclonies, M. Ray- mond (Leçons cliniques , 1 rI' série) a montré que toutes les myoclonies
ainsi dire schématique. Nous aurons il tracer les caractéristiques cliniques des deux grandes variétés d athetose, nous voul
vons déjà signalées. Avant d'aborder la description de ces variétés cliniques , nous pouvons nous baser sur les caractères gén
lons cependant donner une rapide description de chacun de ces types cliniques . - 1. Athétose double. L'athétose double est li
uvements ; nous nous contenterons de décrire les principaux aspects cliniques qui se rencontrent dans t'athetose double. Le mal
ance; aussi, comme 1. BRISS,\VD. Tics et spasmes de la face. Leçons cliniques , 1895. 2. MEME et TcNn ? Les tics et leur trait
ue chez certains hystériques et idiots, ou bien ils forment un type clinique tout à fait spécial (« rythmies » de Cruchet).
t. lnrtAseT. Congrès de Grenoble, 1902. [A. LÉRI ] 886 VARIÉTÉS CLINIQUES . qu'ils sont ou paraissent plus ou moins volont
l'influence d'une altération accidentelle des neurones. VARIÉTÉS CLINIQUES Les variétés cliniques des tics s'étendent il l
tion accidentelle des neurones. VARIÉTÉS CLINIQUES Les variétés cliniques des tics s'étendent il l'infini et sont très souv
r altération des fonctions de succion, de [A. LÉRi.] 888 VARIÉTÉS CLINIQUES . mastication, de déglutition, de phonation, de
ychique. Il a relaté plusieurs cas de spasme du cou ayant un aspect clinique identique à celui du torticolis mental et dépenda
torticolis spasmodiques, d'après leur cause et d'après leur aspect clinique . Il distingue : des torticolis névralgiques et de
al périphérique post-piral y tique. Revive iieiii-ol., Idem. Formes cliniques des tics unilatéraux de la face. Congrès des alié
re préférable, il est le seul qui ne préjuge en rien ni de la forme clinique des troubles moteurs ni de leur pathogénie : or
aits aussi disparates dans leur pathogénie que dans leur expression clinique , il s'agit d'un syndrome aux limites encore peu
[A. LÉRI.] 'OO CRAMPES FONCTIONNELLES ET PROFESSIONNELLES. ÉTUDE CLINIQUE ET PATHOGÉNIQUE La « crampe des écrivains » est
de l'épaule, etc., rendront récriture tout aussi impossible' ÉTUDE CLINIQUE ET P : 1'l'110Gi;1(ltiF. 901 1 que celle des fl
e Bordeaux, 1 Uo;j. 5. Dkstaisac. lieu. neltl"ill.,1 (JO 1. ÉTUDE CLINIQUE ET PATIIOGÉNIQUE. 90 ? tic du pied. HaskovccC)
u professionnel. Aussi pensons-nous que si, dans ses manifestations cliniques multiples, la crampe des écrivains peut être tr
facilement par la suggestion, méritent une place à part. - ÉTUDE CLINIQUE ET PATHOGÉNIQUE. flou les cas, le pronostic et
ais ces cas sont encore d'ordinaire fort malaisés à différencier en clinique . B) Crampes professionnelles diverses. Les cram
très- variées; tout ce que nous venons de dire à propos de l'étude clinique et pathogénique de la crampe des écrivains s'ap
lade atteint de tabes que nous avons pris comme type de description clinique . C'est il Levden (18C5) et surtout il Frenkel (
une dys- trophie glandulaire, peut-être thyroïdienne ? Le tableau clinique de la maladie de Dercum est assez variable pour
de névralgie, vraie, par congestion intense de l'organe. Le tableau clinique n'est pas toujours aussi sombre, et on voit des
duites depuis Lallemand et Trousseau, elle repose sur une erreur de clinique ; les corpuscules, le nuage floconneux ainsi déc
une syncope peut même survenir dans ces conditions. Le diagnostic clinique du symptôme est rarement facile. 11 est plus dé
insi une zone hystérogène à l'épigastre. Un certain nombre de types cliniques sont faciles à distinguer dans ce groupe. Le vo
onne et le pouls régulier. Dans certains cas au contraire, l'allure clinique est exagérée, l'allure trop tapageuse; un malad
a. Tympanite. - En général, le météorisme ne prend pas une allure clinique aussi aiguë que celle précédemment décrite, et le
t J.-Ch. Roux) chez lequel des phobies viennent aggraver le tableau clinique . Ce neurasthénique dégénéré, phobique, nous fourn
pures, sans phénomènes démentiels, tantôt il fait partie du tableau clinique d'une psychopathie. Gâtisme et maladies non d
e et maladies non démentielles. Le conta est à coup sur le syndrome clinique le plus fréquemment accompagné de gâtisme. Nous
toujours la simplicité [A LÉRI.] 1014 . SÉMÉIOLOGIE DE LA MAIN. clinique qui en permettrait un diagnostic immédiat : des d
ce relative de ces déformations complexes, il est souvent facile en clinique . jusqu'à une période plus ou moins tardive, de
es acromégaliques. 01 ! -observe d'ailleurs tous les intermédiaires cliniques entre le géant infantile dont le développement
t hippocratique. Bien qu'elles ne cons- iituent pas des entités cliniques , mais de sim- ples symptômes, cer- taines dif
x, qui peut présenter les mêmes déformations des mains à l'examen clinique , mais dont les déterminations étiologiques so
1. P. Marie et A. Liini. he rapport du Pr Teissier sur « les formes cliniques du rhumatisme chronique u. Congrès de médecine.
ou bleus des hystériques ne sont nullement un symptôme d'un entité clinique ; ils sont toujours provoqués par des manoeuvre
é, on n'admet plus guère que la maladie de Morvan soit une entité clinique ; les cas doivent en être répartis entre deux
e exagération des réflexes et une extension des orteils; le tableau clinique simule alors une sclérose latérale amyotrophiqu
d généralement aux autres segments du membre. L'ensemble du tableau clinique est très caracté- ristique. P ! I.\TlQUE : OE
combinaisons cli- niques principales. A. PIEDS-BOTS a) Variétés cliniques . Les pieds-bots sont congénitaux ou acquis; dan
es caractères différentiels de ces pieds-bols n'ont pas toujours en clinique une netteté absolue : ainsi, la plupart sont asse
tions fibreuses ou les déformations osseuses aient modifié l'aspect clinique . Les cas typiques s'observent dans les lésions
rmes, elles peuvent être très variées. [il. LERI.] ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE - par le Dr MOUTIER L'Anthropométrie est l'ét
ntre les chiffres précédents. ... ' Ce chapitre est essentiellement clinique . Nous ne nous occuperons que des mensurations l
ns encore un conseil important; un chiffre en soi ne ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . -1061 signifie rien, el cela parce que les var
de relever les dimensions des [F. JI1OUTIER] 1062 ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . membres, des diamètres transverses du thorax,
? Indice ('('1' 1 : 1 /(111(' = 15 ? 1.111.. lo3 ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . 10671 Ce chiffre : 2. Hi. qui est l'indice, n'
ogique de commencer l'étude suivante par l'examen du corps, mais en clinique , ce que le médecin désire mensurer le plus souv
chir au compas serré cette plus [F. MOUTIER.] 1064 ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . grande largeur-, et si la mensuration est bien
abaissé chez les infantiles. Mastoïdien et accru en ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . lOlï'3 même temps, il traduit ' un faible déve
des yeux (Manouvrier), . - [F. MOUTIER.] - 1066 . ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . - on met la branche supérieure bien horizontal
n classe comme suit les. sujets examinés. (Broca). ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . 1067 diminuer de deux unités les indices obt
e la taille les influencent fort peu. ' ' 1070 , ' ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . - repère, l'ongle marque la limite. On y place
loppement anormal des muscles masticateurs. fOi2 . ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . - , ' L'opération se résume alors en une addit
t pas la longueur réelle de l'os, mais Jbien la Ion- ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . 1075 gucur, les proportions des formes et des
ur des malléoles internes. 68 [F. MOUTIER.] 1074 ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . Les diamètres suivants sont à noter. 131-acr
iaque à l'autre, sur la lèvre externe de la crête. ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . 1075 Quant au D. bitrochantérien, il convient
cale de la toise. TRONC A TAILLE =100 (FHHË) J 07G ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . De l'examen de ces chiffres, on conclut que la
les D. thoraciques donnent, d'après Topinard : . .ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . 1077 7 Rapportés à la taille = 100, les diamèt
nous donnent (Bertillon), chez des hommes : . )078 ANTHROPOMÉTRIE CLINIQUE . H convient de noter le poids du sujet. On pe
aphie des articulations. ' GIGANTISME. 1051 Infantilisme. Le type clinique étudié se rencontre surtout chez l'iiomme. Nous
, des épiphyses. Quoi qu'il en .oi ? ke·aisté à coup sur deux types cliniques différents, et nous ne chercherons pas plus lon
nt la plagiocéphalie, l'ac1'o- et l'oxcéplzalie. (V. Anthropométrie clinique .) La micro- et Y hydrocéphalie .sont encore des t
ure et la taille, la jambe et l'avant-bras, etc. (Y. Anthropométrie clinique ), les anomalies des aponévroses (Féré), du nomb
les dents sont retardées, la croissance est pénible et l'en- semble clinique se traduit par le mot infantilisme ; quelquefois
moins éloignés pendant plusieurs années; cela dépendra de la forme clinique et de l'évolution du cas observé. Le traitement
ts employés varieront suivant l'âge de l'enfant et suivant la forme clinique de la syphilis. Des recherches récentes sont
o-spinale. Méthode cryoscopique de Bard. -Bard a proposé un procédé clinique de détermination de l'isotonicité du liquide cé
ntité et de pression) peuvent être soupçonnées non seulement par la clinique (signes d'hypertension intra- cranienne) mais e
ndaires. le syndrome inflammatoire ressemble étrangement au tableau clinique de la maladie du sommeil qui, à côté de lésions
ite mor- bifique. Dans le dessein de serrer de plus près la réalité clinique , nous allons, maintenant, passer en revue les d
ylvienne et rhomboïdale; nous rechercherons s'il existe un syndrome clinique de l'épendymite médullaire et, après avoir consac
en tour), de cécité, de surdi-mutité, d'idiotie ('). Les symptômes cliniques imposent le diagnostic d'hydrocéphalie. La ponc
lIutcliinson : en l'absence de commémoratifs précis ou de stigmates cliniques nets, on ne manquera pas d'utiliser la réaction d
à démontrer la provenance épendymaire et à établir une distinction clinique entre cette hydrocéphalie et les autres hydrocé
ie. Lorsque le liquide ventriculaire est, malgré les pressentiments cliniques , rose, rouge ou ocreux et qu'il ne s'agit pas d
ux leucocytes poly et mononucléaires (Delamare et Merle). Rare en clinique humaine où l'on ne rencontre guère que des épen-
(Cushing et Sladen, Fischer). Épendymite pseudo-suppurative, à type clinique d'abcès cérébral. L'invasion est assez brutale
obiclue. On ne peut s'empêcher d'insister sur le singulier paradoxe clinique qui veut que certaines épendymites séreuses se
rois ou quatre mois et aboutit à une idiotie complète. Ce tableau clinique ne diffère de celui d'une méningite que par des
oscopie et par la cytologie du liquide céphalo-rachidien. Ce type clinique qui parait résulter plutôt des épendymites séreus
eil cas, se présente naturellement à l'esprit. * Ependymite à forme clinique de tumeur cérébrale.- Le syndrome pseudo-tumora
mois /après les premiers symptômes. 11 est probable que ce tableau clinique encore très rudimentaire ne manquera pas de se
que les épendymites suppurées peuvent donner naissance à un tableau clinique assez semblable. Le début, il est vrai, a été p
tance blanche sont susceptibles de donner naissance il un comptexus clinique analogue. La paraplégie de la dourine s'expliqu
l soit possible de leur attribuer, sans hésitation, une conséquence clinique aussi importante. Il est, par contre, possible
certains syndromes syringomyéliques sont véritablement l'expression clinique , tardive d'une hydromyélie toxi-infectieuse, lent
tres nerveux voisins et, par conséquent, présenter une physionomie- clinique différente suivant qu'elles sont céré- branles,
sèches SYNDROMES VENTRICULAIRES. Util peuvent avoir une histoire clinique , les épendymites cérébrales restent frustes ou
ux moyen d'investigation, susceptible non de suppléer au diagnostic clinique , mais de lui faire suite en le complétant. Les
ssus irradiés. 1 t I. RADIODIAGNOSTIC t (Emploi des rayons X en clinique neurologique). A. GÉNÉRALITÉS , 1" Classifica
ble dans ces différents cas pour permettre d'en faire le diagnostic clinique ; la radio- graphie lui viendra puissamment en a
erveau : si le trait de fracture a été préalablement reconnu par la clinique ou par la radio- graphie et si son siège corres
abcès est, généralement trop volumineux déjà pour que le diagnostic clinique n ait encore pu être fait. La constatation de c
toutes les apparences d'un spina veutosa : récidive et même aspect clinique six mois après sur le 1° métatarsien ; récidive n
gnale de même une forme articulaire 1J\'l"labl;tiqup ayant l'aspect clinique de l'hydarthrose, un début brusque, et présenta
d'ailleurs, le radiodiagnostic ne fait que confirmer un diagnostic clinique .facile : il s'agit de déformations portant pri
ire ; à une polyarthrite, et présentant des analo- gies à la fois cliniques et radiologi- ques avec l'achondroplasie vraie.
NERVEUX par E. HUET ' Chef dit Service d'Élcclrothérapie de la Clinique des .Maladies du système nerveux a ta la Salpètii
eurs ou de piles. On pr ? ff¡ ? NI(;.lJ. les accumulateurs pour des cliniques ou pour des inst<d ! a<n)s< ? <jr'<
es constatations fournies par l'examen des malades. Au point de vue clinique nous aurons à distinguer la manière dont se compo
n de la DR qu'il est im- portant de connaître pour les applications cliniques . Période initiale de la DR. Avant d'aboutir à l
ésions plus ou moins prononcées des nerfs et qu'on peut observer en clinique dans certains cas, par exemple à la suite de lési
es de l'électro-diagnostic des autres données fournies par l'examen clinique , on peut souvent formuler un diagnostic précis.
erritoires nerveux périphériques atteints, et les autres conditions cliniques et étio- logiques doivent intervenir pour perme
tance du corps et en retirer les indications qu'elle peut donner en clinique , nous croyons important de chercher à se placer
vec les courants faradiques n'a-t-il pas été utilisé jusqu'alors en clinique . Modifications de la résistance galvanique dans
lire, troubles ataxo-adynann- ques, principalement, dans les formes cliniques dites cérébrales de ces maladies (lièvre typhoï
des dé- générés et aliénés, 1005. Anosmie, 148. Anthropométrie clinique , 1060. In- struments, 1061. Termes employés,
ie hystérique, traitement électrique 1551. Apoplexie. Description clinique , 177. et coma, I 77. - Diagnostic différentiel,
éfinition, 657. Signes, 658. Diagnostic différentiel, 661. Formes cliniques , classification, 662. Tableau de classification
eau de classification, 66-lui. Tableau des caractères et variétés cliniques des atrophies musculaires, 752. Traitement des
ude des nerfs périphériques, Il-) 72. 1572. . Coma. Description clinique , 182. Dia- gnostic différentiel, 185. Ponction
. - fonctionnelles el pro- /e.M : OK71e/M. Définition, 899. Étude clinique , 900. Diagnoslic avec les tics, 894. Traitement
ive à type d'abcès cérébral. pseudoméningilique, 1151·. - à forme clinique de tumeur cérébrale, 1155. I : pendymo-choroïdi
. d'origine vasculaire, 745. Tableau des caractères et va- riétés cliniques des hypertrophies mus- culaires, 749. Hypoaco
777. - dans les névroses, 781. Tableau des caractères et variétés cliniques des incoordinations, 782. - Traitement par la r
ification du diagnostic, 68. - Diagnostic du siège, 68. - Aspects cliniques suivant le siège de la lésion. Paralysie d'un m
omène des orteils, 452. - Examen du malade. Description et formes cliniques , 486. - Classification, 491. - Diagnostic diffé
raphie radicu- laire. Radiculites. Causes, 544. Lésions. Formes cliniques . Valeur séméiologique, 545. - Réaction de dégén
vue du pronostic, 12151. Radiodiagnostic. Emploi des rayons \ en clinique neurologique. Généralités. Classification des c
, Anatomie et Physiologie pathologiques, Séméiologie, Patho- logie, Clinique , Psychiatrie, Médecine légale, Thérapeutique) par
s fidèles et les plus perfectionnés. Sa collection de photographies cliniques et microscopiques est peut-être unique en son g
50 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
ences précises, mais ils peuvent être constatés par l'obser- vation clinique la plus simple. Les hystériques, marchent, cour
on sait, extrêmement contestables, mais de sim- ples constatations cliniques , les piqûres ne saignent pas, les pincements mê
méde- cins et les psychologues sur l'état mental des hystériques. CLINIQUE NERVEUSE, QUELQUES CONSIDERATIONS POUR UNE ÉTUD
voulu, il cette époque, me confier le soin de faire une étude 30 CLINIQUE NERVEUSE. comparative des paralysies motrices o
paralysies motrices organiques, d'ailleurs généralement admises. La clinique nerveuse reconnaît deux sortes de para- lysies
s. » La différence essentielle de ces deux sortes de paralysies, en clinique , est la suivante : La paralysie périphéro-spina
brales par sa plus grande aptitude à la.dissociation, présente 32 CLINIQUE NERVEUSE. cependant toujours le caractère d'une
que qui se rattache à la dernière. Bien que très importants dans la clinique , ces signes n'ont pas la portée théorique qu'il
a cuisse, de la jambe, etc., et on peut assez souvent retrouver, en clinique , ces paralysies isolées, en contradiction avec
nce, la jambe doit ètre traînée en masse. AucatvES, t. XXVI. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE. organique, elle reproduit l'aphasie m
ralysie hystérique peut, au contraire, fort bien réaliser, comme la clinique le montre chaque jour. Elle affecte par exemple
elle ténacité la sensibilité persiste en cas de lésion nerveuse. 36 CLINIQUE NERVEUSE. Si. l'on sectionne un nerf périphériq
ie de projection et celle de représentation. De même, chaque détail clinique de la paralysie de représentation peut trouver
ersa nous pouvons déduire la construction du cerveau des caractères cliniques des paralysies. Nous croyons à un parallélisme
mon étude critique sur l'aphasie, parce qu'il ne s'agit pas de 38 CLINIQUE NERVEUSE. centres séparés, mais d'un territoire
e. Les associations remarquables qu'on observe si souvent dans la clinique des paralysies corticales : aphasie motrice et
es fibres du nerf optique dans le chiasma; elle en est l'expression clinique , comme tous les détails des paralysies cérébral
omme tous les détails des paralysies cérébrales sont l'expres- sion clinique d'un fait anatomique. Comme il ne peut y avoir
it la vraie et comme elle trouve son expression dans les caractères cliniques des paralysies cérébrales, il est évidem- ment
niers numéros des Archives de Neurologie ; les paralysies hys- 40 CLINIQUE NERVEUSE. tériques en donnent la preuve aussi b
ffective est effacée. Alors la conception du bras existe dans le 42 CLINIQUE NERVEUSE. substratum matériel, mais elle n'est
st la seule théorie qui puisse correspondre en même temps aux faits cliniques et aux constatations anatomo-pathologiques. Qua
es de Neurologie. Revues analy- tiques, n° 66.) En résumé le type clinique de la maladie se compose ainsi qu'il suit : ver
con- sécutif du système artériel. J.-B. CHARCOT. XXI. Observation CLINIQUE ET ANATOMO-PATIJOLOGIQUE D'UN cas DE POLlOM1ÉL
e en photogravure : malheu- reusement il manque, dans l'observation clinique , quelques détails importants. L'autopsie et les
, Kojevnikof, Rossolimo et Korsakof qui, se basant sur l'expérience clinique , réfutent l'hypothèse du rapporteur et trou- ve
f. - BIBLIOGRAPHIE. I. Aliénation mentale syphilitique. - Leçoils cliniques , par Mairet. (Montpellier, 1893.) L'auteur di
'au terme folie. L'aliénation mentale syphilitique a pour critérium clinique les troubles moteurs et sensitifs de la syphili
on ou la situation politique et sociale, 1849 ; - De l'enseignemedt clinique dans les hôpitaux, 1858; De l'hallucination au
874 ; Du double caractère des phénomènes psy- chiques, 1877 ; De la clinique à domicile et de l'enseignement qui s'y rattach
des maladies mentales ayant pour double base la psycho- logie et la clinique , 1877 ; Distribution des prix à l'école des enf
LIOGRAPHIQUE. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Bourneville. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
s classiques de la sensibilité. Le diagnostic, égaré par un tableau clinique insolite, a mené à une intervention chirurgical
contracture généralisée ont emporté le malade. Les particularités cliniques et les résultats de l'examen ana- tomique, inté
xistence de l'une ou l'autre de ces affections parce que le tableau clinique que j'avais sous les yeux s'écartait par plusie
ne anomalie ou plutôt un symptôme qui ne rentre pas dans le tableau clinique , tel qu'on l'avait entrevu tout d'abord; je veu
ltats expérimentaux il faut mettre en parallèle ceux fournis par la clinique , qui sont plus en- courageants. La célèbre obse
plique la'parésie et la contracture intense qui a dominé le tableau clinique uri' moment donné. C'est cette con- tracture qu
ouva à l'autopsie les lésions de la syringomyélie ? Les seuls faits cliniques qui pendant la'vie avaient pu faire songer un "
deux' affections comme très' t voisines au fond, bien que d'aspect clinique un'peu" différent ? toute la différence se born
'une agraphie d'origine sensorielle,* caractérisée' au point de vue clinique par la perte de'tous les modes' de l'écriture e
"'lI (n ? f1 Í- ,(l'I(I') f . ri r I., CRANIECTOMIE LI"\IIl ? leçon clinique faite , à , l'hôpital du ,.conilà d'Arapahoe, l
iJ t . 1 , \ 1 -..., i , , ! ( j...., c J ' ' 'un' ' 'XlI'TRoÍs cas cliniques ; par Clarke. 1 annn.t`a ·n --i ' " w I ifi il'
poir' d'amélioration.' 1\1 : Clarke 'publie à ce propos trois' cas' cliniques intéressants,'où le'résultat afété tout différe
ées sur l'anatomie, l'embryologie, la patho- logie et l'observation clinique , m'out convaincu que dans la microcé- phalie no
usqu'à la fin de l'année scolaire 1892-1893, aide du laboratoire de clinique des maladies mentales, en remplacement de M. Cham
ements suivants : Concours 1893-1895. Faire l'étude pathogénique et clinique des névroses traumatiques. Prix : 600 francs. C
cours 1891-4894 ? Prix fondé par un anonyme. Elucider par des faits cliniques , et au besoin par des expériences, la pathogénie
anc de port, au secrétariat de l'Académie, à Bruxelles. Chaire DE clinique des maladies mentales. La Faculté de méde- cine
en première ligne, notre ami M. Joffroy, agrégé, pour la chaire de clinique des maladies mentales laissée vacante parle déc
aste Renaudot. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BOURNEVILLE. 7{ec/Mrc/tM cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
9 celles qu'il a faites sur l'importance de la thermométrie dans la clinique des maladies des vieillards =, et faisons remar
là d'une branche des sciences médicales qui n'a pas l'attrait de la clinique , Lpar exemple, il sut attirer et retenir à son
il con- vient, quant à présent, de s'attacher à saisir les signes cliniques , les caractères physiologiques facilement ap- p
En 1882, le but poursuivi par le Maître est réalisé. Une chaire de clinique des maladies nerveuses est créée pour lui, à la
vroses et que, là aussi, on peut chercher à compléter l'observation clinique en pensant anatomiquement et physiologiquement
elle épinière, d'autres travaux sur l'aphasie au point de vue de la clinique et de la psychologie physiologique, sur l'layst
malades, de séméiologie et de diagnostic ', et les deux volumes. de Clinique des mala- dies du système nerveux qui réunissen
scienti- fiques ». Ajoutons enfin que la plupart de ses leçons de clinique se terminent par un exposé du traitement'. M. C
liés dans les autres journaux. Revue de médecine : Étude antique et clinique de la doctrine des localisations motrices dans
on artérielle probablement d'origine syphilitique (1891) ; Formes cliniques des névrites périphériques (1892). Tribune médi
ology and Electricity », en 1874 ; Membre honoraire de la Société clinique de Londres, en 1874; Membre correspondant de la
nus par ces aliénistes, car ce mémoire est un travail exclusivement clinique destiné à faire connaître ce qu'une longue et m
dans quatre cas, mais il ne sait pas encore les résultats. (Société clinique de Londres, 26 fév. 1892, d'après The Lancet, d
ances : MM. Colin, médecin de l'asile de Lafond, et Pactet, chef de clinique des maladies men- tales à la Faculté de Paris.
irecte et médiate par les toxines qu'ils sécrètent; au point de vue clinique , elles peuvent se présenter à deux moments diff
la mi- sère et l'hygiène défectueuse, etc., etc. Au point de vue clinique , on rencontre dans tous ces cas le même ensembl
qui ne diffèrent qu'en intensité. La maladie revêt toujours le type clinique décrit sous Je nom de con- fusion mentale primi
M. LEGRAIN appelle plus particulièrement l'attention sur le rôle clinique de la question et cherche à établir d'une part qu
rophique. Cliniquement, la maladie s'est présentée, au point de vue clinique , sous la forme de la confusion mentale avec dél
rappelle le cas de ce malade mort d'étranglement interne à l'Asile clinique , pour lequel une enquête fut faite, un autre al
tion d'une statue du savant psychiatre dans la salle de cours de sa clinique il l'hôpi- tal général. Ce Comité fera des prop
raits organiques, la transfusion nerveuse. Physiologie, indications cliniques et thérapeutiques. Technique. Volume in-18 de 282
m.p, 993. Vol. XXVI. Octobre 1893. N" 80 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CONTRIBUTION A L'ETUDE DES TUMEURS DU
ompression cérébrale. Voici cette observation, qui, au point de vue clinique , a été d'une régularité et d'une simplicité pre
'une simplicité presque schématiques : Ancull'Es, t. XXVI. 18 274 CLINIQUE NERVEUSE. 0 S ERVATION. Céphalalgie violente av
sur son compte, on porte le diagnostic de tumeur cérébrale. Les 76 CLINIQUE NERVEUSE. troubles de l'équilibre et les symptô
ongement en arrière dans la circonvolution crètée, sa cavité. 278 CLINIQUE NERVEUSE. substance blanche : c'est un prolonge
oupe pratiquée suivant la ligne ce' des (lgtll'es 13 et 1 L 580 - CLINIQUE NERVEUSE. coupes après durcissement prolongé da
ionnaires reconnaissables à leur volume énorme, à leurs pro- 282 . , CLINIQUE NERVEUSE. longements nombreux, à leur protoplas
rait s'effectuer. ' 11'1 .Il.... ,,1. 'i : o dll ,1(l Á}\ Y"" 2o4 CLINIQUE NERVEUSE. 4 . 19.11 ` . ` 1/ · t > - " fi. '
picrocarmin et hématoxyline. (Immers. 1/10, Vérick, oc.) 1 286 " CLINIQUE NERVEUSE. ; ' ceaux parcourent le tissu dans to
au collodion; hématoxyline et éosine. (Obj. 7, Vérick, oc. 3.) '288 CLINIQUE NERVEUSE. l'aplatissement subi par le centre bl
lusion au collodion; coloration de Pal. (Grandeur naturelle.) 290 CLINIQUE NERVEUSE. . de coupes colorées par la méthode é
es fibres tangentielles des couches superficielle et moyenne. 292 CLINIQUE NERVEUSE. assez mal fournies. Dans la par- ti
cune sorte. Quelques stigmates d'hystérie ne jouent dans le tableau clinique qu'un rôle très effacé. La mort survient au bou
ion des fibres à myéline tangentielle. D'autre part, la subs- t 294 CLINIQUE NERVEUSE. tance blanche du lobe frontal droit e
ur une coupe horizontale. (Soc. méd. des 116 ? 24 juin 1892.) 296 CLINIQUE NERVEUSE. dois ajouter qu'à l'état, normal, ain
tangentielles de l'écorce de l'hémisphère droit. (Loc. cit.) 298 1 CLINIQUE NERVEUSE. petites tumeurs renferment quelquefoi
a- lors aucune anomalie psychique, me portent à croire' qu'il 300 CLINIQUE NERVEUSE. s'agit d'une tumeur primitivement dév
deux catégo- ries : 1° les alcooliques vrais, présentant les signes cliniques de l'in- toxication aiguë ou chronique (tremble
n des systèmes mus- culaire et vasculaire; 7° de nombreuses preuves cliniques nous montrent qu'une alimentation très fortemen
fférentes de myélite chronique peuvent se traduire par le complexus clinique de la paralysie spinale spasmodique. Mais cela
inés et par suite, qu'il ne soit pos- sible d'établir, des variétés cliniques . La sclérose multicolaire de la moelle peut, du
et le diagnostic qui repose en réalité sur le concert de l'analyse clinique et des altérations correspondantes localisées e
ns combinées de certains cordons de la moelle produisent un tableau clinique constant, qu'il y a par exemple affection combi
aques purement spi- '- nale. Celle-ci ne représente qu'un complexus clinique correspon- dant au tableau morbide des autres c
on de même nature. C'est pourquoi j'ai voulu démontrer le caractère clinique des déviations, de la langue et de la face d'ori-
1° La maladie des tics convulsifs doit occuper en tant que forme clinique , une place distincte.. · 2° On ne doit pas conf
é, la maladie des tics convulsifs et la myoclonie sont trois formes cliniques distinctes. ' Cette communication a été l'objet
ofesseur Charcot a .déjà plusieurs fois attiré l'attention dans ses cliniques et dont l'histoire, est encore peu connue. , -
toujours .« la même figure. Chaque année, on voit se présenter à la clinique « de la Salpêtrière de pauvres diables misérabl
CES BULBO-PROTUBÉRANTIELLES PAR MSI. H. ROYET J. COLLET Chef de clinique des maladies mentales Préparateur du cours de Pat
'autopsie d'un ma- lade, du service du Dr Garel, dont l'observation clinique a été publiée par l'un de nous', alors son inte
Archives, t. XXVI. 23 3ü4 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des symptômes cliniques de la maladie et des lésions bulbo- protubérant
Ce cas et celui que nous publions ici offrent tant au point de vue clinique qu'au point de vue anatomo-patholo- gique de tr
que nous faisions remarquer en terminant l'exposé de l'observation clinique , ne relevaient d'aucune lésion médullaire, et c
blié par M. Pierret et le nôtre, se retrouvent sur le terrain de la clinique . Dans les deux cas, longue durée de la maladie;
- Bulletin de la Société Anatomique. Mai et janvier 1862. 8 Andral. Clinique médicale. Appendice, p. 37. Menzel,. - Loc. cit
Par MM. François BOISSIER et GEORGEs LACHAUX, Internes à l'Asile clinique (Sainte-Anne). I. Souvent les tribunaux ont j
es, le malade a déjà fait un long séjour à l'Admis- sion de l'Asile clinique . Le petit drame avait eu lieu dans une rue peu
gnes ont été écrites par B... le jour même de son arrivée à l'Asile clinique . II était encore alors dominé par la crainte d'un
lement les dégénérés lucides coupables de tels actes. Leur histoire clinique et psychologique est encore la même que celle d
n'être jamais surpris, et ce n'est pas ce qui l'a conduit à l'Asile clinique . Jules T... a continué à s'alcooliser, et progr
tal science. Juillet 1890.) Après des considérations historiques et cliniques dans lesquelles, faute de place, il nous est im
v. f. Psychiat., XXIII, 23.) A. Première série de quinze cas (étude clinique et anatomo- pathologique). Etude de la topograp
elation des altérations anatomiques de la moelle avec les symptômes cliniques . Relation des parties des cordons postérieurs l
des parties des cordons postérieurs lésés avec chacun des symptômes cliniques . C'est à la moelle seule qu'il convient de ratt
ce, âgée de cinquante-quatre ans, soignée pendant plus d'un an à la Clinique psychiatrique de Moscou. L'anamnèse dénote l'in
es relatives à cette forme, le rapporteur présente une malade de sa clinique , âgée de quatre ans et demi, sans tare hérédita
mes et demi deux fois par jour. Le 19 janvier, la malade entra à la clinique des enfants. Sous l'ac- tion du bromure de sodi
résente à la Société deux malades qui se trouvent actuellement à la clinique psychiatrique de Moscou ; ces malades offrent d
la moelle épinière ne suffit pas pour expliquer tous les phénomènes cliniques . Le D''Minor fait remarquer que, faute de donné
extenso dans les Archiv. f. Psychiat. 1. Discussion. M. REM.\K. La clinique a fourni à M. Moeli une para- lysie unilatérale
e souvent, dans la pratique, de rattacher tel ou tel cas observé en clinique à l'une des formes de Krafft-Ebing. Quant à la
ndi 27 novembre 1893, à une heure précise, il sera ouvert à l'Asile Clinique , rue Cabanis, n° i, à Paris, un concours pour l
rne titu- laire en pharmacie vacanter au le' juillet 1894 à l'Asile Clinique , aux Asiles de Vaucluse, Ville-Evrard, et Ville
t1 ! ri. Vol. XXVI. Décembre 1893. N- 82 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE PERSÉCUTÉS AUTO -ACCUSATEURS ET PERSÉCU
i- cation, de vous présenter un mémoire détaillé sur les variétés cliniques du délire des persécutions. Notre but est plus mo
rir quelques particu- larités dignes d'intérêt. I C'est un fait clinique aujourd'hui bien connu que le délire des perséc
ession de la Roclielle, août 1893.) Aitcilivus, t. XXVI. 28 434 clinique mentale. idées de persécution. Les idées de per
s, je n'ai rien dit de semblable. Si, si ! j'ai bien entendu. 436 CLINIQUE mentale. 1 Ces phrases que vous m'attribuez, le
s pratiquées sur elle nous ont donné les résultats suivants : 438 CLINIQUE MENTALE. Ces caractères sont reliés à une origi
u début, elle ne comprenait rien à tout cela ; ce sont les voix 440 CLINIQUE MENTALE. - qui lui ont donné la raison de ces m
tu vois des flammes de feu, c'est qu'on allume des allumettes 442 CLINIQUE MENTALE. devant mes yeux; si l'on me tue, tu mo
es de persécution. C4 ! Mt. médic. psch. janv. 1893, p. 111.) 444 CLINIQUE MENTALE. avec elle qu'on arrive à lui faire res
&., janv. t893, p. 112.) R Houbinowitch. ( Ibid., p. 98.) 446 CLINIQUE MENTALE. nous a pu observer deux cas semblables
ours à la suggestion à l'état de veille, qui fournit d'excel- 448 ' CLINIQUE MENTALE. lents résutats, en donnant aux divers
s hôpitaux de Paris, 11 nov. 1892.) , Archives, t. XXVI. 29 450 CLINIQUE MENTALE. sans bégaiement qu'on lui donne à boir
se faisait qu'avec peine, d'autant qu'il existait une faiblesse 432 CLINIQUE MENTALE. musculaire très marquée dans les deux
omme avait fini par copier sa difformité, son sterno-mastoïdien 4S4 CLINIQUE MENTALE. s'étant subitement contracture. Un aut
uliste, qu'elle était allée consulter dans cette circonstance. li56 CLINIQUE MENTALE. langue, nécessaires pour l'articulatio
malade et dans une séance de cinq minutes je fais disparaitre 458 CLINIQUE MENTALE. immédiatement les troubles psychiques.
dicament quelconque très anodin, de l'eau avec un peu de sirop 460 CLINIQUE MENTALE. 'd'écorces, mais en ayant soin de reno
tion dans le n° de janvier 1893 des Archives de Neu- rologie. 462 CLINIQUE MENTALE. par son grand âge, les membres inférie
fficace que dans l'hystérie, que partout ailleurs ses résultats 464 CLINIQUE MENTALE. étaient nuls ou à peu près nuls, que s
acent instantanément et le résultat est Archives, t. XXVI. 30 466 CLINIQUE MENTALE. durable, la neurasthénie, elle, n'est
trophie mais pas d'atrophie, les éminences thénar et hypothénar 468 CLINIQUE MENTALE. ont conservé leur relief. Pas d'amaigr
ndis ma suggestion aux douleurs et à la marche et le résultat 470 0 CLINIQUE MENTALE. fut complet. Les douleurs que les poin
affections par cette médication psychique. Je dirai également qu'en clinique men- tale l'hypnotisme n'est d'aucun secours. T
s de bons résultats. Depuis quelque temps j'en arrive même à ne 472 CLINIQUE MENTALE. plus prendre la peine d'endormir mes s
théniques toujours en quête, comme nous le savons, de trouver 474' CLINIQUE MENTALE. un remède aux souffrances qu'ils endur
ns spinaux des modifications biologiques,' probablement ! de nature clinique , qui exercent une influence trophique sur les f
t . ,i i ' >* 1 » XLIX. Examens du sens olfactif au point DE vue clinique ; par il " r N. SAVELIEw. (11'eterolog. Centralb
omique.' ''Puis, il 'en'rapporte'une'forme associée au tabès; étude clinique et`taâatomo-paiholoa;qe; prépa- râtions ët déss
logie de ces diplégiesl. Il avoue qu'elles ne forment qu' une unité clinique provisoire et ne présentent pas une unité anato
tuberculeuse ; par E. RIBEROLLES. (Extrait de la Revue générale de clinique et de thérapeutique, 3 mai 1893.) Cette courte
, par Liebmann, 155; aperçu sur la systéma- tique au point de vue clinique , par Neisser, 318; un cas de associée à la ch
tch; 201 ? r o, nv OLFACTn ? ' Examens..dusehs) ? au point de vue clinique llar5aveliér, . 482.q '1- . '¡ : : : ) r t ? b
51 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'UISL11·,E SOUS LA DIRECTION DE bl3l. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie - dctncdccme Médecin de l'Asile clinique (SIe-Anne). F. RAYMOND I'ofescur de cliniqu
Médecin de l'Asile clinique (SIe-Anne). F. RAYMOND I'ofescur de clinique des m.dlltlies du système nerveux à L Faèul
ntir, à manipuler, i-E. Régis. - Pessimisme et neurasthénie (leçons cliniques ), thèse de Reneurel, Bordeaux, 1896. '12 PATH
de les appuyer sur l'étude expérimentale des réflexes vaso- 26 . CLINIQUE MENTALE. moteurs dans la série des divers états
il était comme un cristal transparent, ne s'appartenant plus, 1)8 clinique mentale. n'ayant plus un mouvement de libre (dé
aliénation mentale dans les cam- pagnes, p. 166. 3 Magnan. Leçons cliniques , p. 2G9. 30 CLINIQUE MENTALE. Une autre malad
les cam- pagnes, p. 166. 3 Magnan. Leçons cliniques, p. 2G9. 30 CLINIQUE MENTALE. Une autre malade de M. Magnan, rapport
p. 6. ' V. Théâtre sacré des Céve.ines, Londres, 1707, in-12. 32 CLINIQUE MENTALE. « Ces théomanes, dit .Montgeron (théom
. 4 De la volonté, p. 131-132. Archives, 2° série, t. III. 3 34 CLINIQUE MENTALE. a L'extase, suivant saint Martin, a po
ation étiologique des mala- dies mentales présente un grand intérêt clinique , l'auteur divise, pour son étude, les maladies
nantes, il faut encore considérer le terrain. Dans les observations cliniques données par Wernicke l'auteur n'a pas séparé l'
épressive D'UNE folie cyclique; par le D' UMBERTO Steffani, aide de clinique des maladies mentales à l'Université de Padoue.
S'; par le D'' V. Parant. Parmi les tremblements qui intéressent la clinique des mala- dies mentales, celui de la langue des
x. La constatation de ce Lemblement, intéressante au point de vue clinique , présente aussi son imporlance au point de vue du
nulations. En somme il existe dans ce cas une combinaison de signes cliniques avec des modifications du système nerveux centr
ionomie de lapériode finale. On pourrait donc établir deux variétés cliniques dans la para- lysie générale à son déclin. L'un
Théophile Roussel. MARCEL Briand. BIBLIOGRAPHIE. 1. Des variétés cliniques de la folie en France et en Allemagne; par J. R
conte la lé- gende de la tour de Babel ; comme Babel, en effet, la clinique psychiatrique est gênée dans son essor par la c
ents, des classifications dissemblables sont appliqués à des unités cliniques identiques ou analogues. M. Roubinovitch a entrep
eu aisé qui consiste à rapprocher, à comparer les diverses variétés cliniques de la folie telles qu'elles sont décrites en Fran
latter, de Baie, au xvni0 siècle, inaugure le goût de l'observation clinique dans le domaine de l'aliénation mentale et par
gonisme du sensualisme et de l'animisme. La méthode d'observation clinique et anatomique donna lieu en France aux travaux
e ne se guider que sui les trois principes suivants : l'évo- lution clinique , l'étiologie et l'anatomie pathologique. A l'appu
et de Sclrüle. M. Roubinovitch aborde alors l'étude des variétés cliniques alle- mandes et cherche leurs équivalents dans
vue, cotte sérieuse critique qui parallèlement aborde les variétés cliniques de la folie eu France et en Allemagne, se basant
aire est appliqué uniformément à Montelupo, sans distinction de cas cliniques : il n'y a ni réfectoire, ni salles de réunion.
aliénés criminels en deux catégories repose cependant sur une base clinique . D'une part, l'aliéné qui a commis un crime sou
paient des impôts. A la colonie sera établi un centre de recherches cliniques et patholo- giques sur l'épilepsie. (Annales mé
cin directeur d'un asile public d'aliénés ou par un pro- fesseur de clinique psychiatrique. § 6. L'admission dans un asile p
decin qui par la fréquentation prolongée d'un asile public ou d'une clinique psychiatrique universitaire, a acquis les conna
ologie avec les résultats de l'expérimentation physiologique, de la clinique et de l'anatomie pathologique. Mais il révoque en
nce ascendante de la moelle; étude anatomo- pathologique sans étude clinique . Nombreuses gravures. Carcino- nome occupant la
jumeau et grossissent à mesure que l'on s'élève veis le cerveau. La clinique ayant paru indiquer que le ruban de Reil contie
n Manuel inscrit sous le n° 2, et M. le D1' Ed. Tou- louse, chef de clinique des maladies mentales à la Faculté de mé- decin
prix est dé- cerné à MM. les Drs Roubinovitch et Toulouse, chefs de clinique à l'Asile Sainte-Anne, Paris, auteurs du mémoir
on honorable est accordée à llIll. les J. Toy et Th. Taty, chefs de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine
y a pas d'é- pilepsie essentielle. L'épilepsie n'est qu'un syndrome clinique qui peut être sous la dépendance de facteurs di
consécutives aux opérations gyné- cologiques qui entrent à l'Asile clinique ou se rendent aux consultations de l'Asile. (B.
llectuels. Il établit, dans un parallèle à la fois psychologique et clinique , que,. comme le neurasthénique, le pessi- miste
enri Meunier, dans un travail fort remarquable, en se basant sur la clinique et sur l'anatomie pathologique et en s'aidant d
ion de se développer librement sur le terrain qui lui est livré. En clinique : 4° la localisation de l'infection (unilatéralit
liénés, a été noumé professeur ordinaire de psychiatrie (théorie et clinique ), en remplacement de M. le professeur Olivet. d
et hallucination obsédante. (Comm. à la Soc. méd. psych., in Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, p. 107,
ublement de la per- sonnalité dans la folie systématique, in Leçons cliniques , etc., p. 563 et Ann. méd. psych., juillet-août
ependant l'interprétation (erronée à notre avis) de l'auteur. 176 CLINIQUE MENTALE. sourds-muets spécialement pour l'étude
har- monie avec les diverses formes de leur langage particulier. CLINIQUE MENTALE. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES A ÉVOLUTION
des maladies mentales, p. 155. Archives, 2° série, t. III. 12 178 CLINIQUE MENTALE. natoires d'un côté, c'est dans le côté
cidents, non seulement chez lui mais chez toute la famille. 180 . CLINIQUE MENTALE. Cette fois, grâce aux conseils du Méde
lle manque. Tout ce qu'on peut dire en restant sur le terrain de la clinique , c'est que les malades qui ont une hérédité trè
isible peut ' Binet et Ferré. - Sensations et mouvements. , 182 . CLINIQUE MENTALE. alors me faire parler et agir. C'est a
nous venons de le voir, ces syndromes peuvent s'observer à 184 . CLINIQUE MENTALE. l'état permanent et incorporés à un dé
génito- spinal excité. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 185 L'aspect clinique est alors très analogue à celui des possé- dés
t l'hémisphère céré- bral gauche, fournit l'explication du syndrome clinique : état de mal convulsif, hémiplégie et idiotie,
données d'ordre et d'origine pure- ment scientifiques, mais dont la clinique est venue confirmer l'exactitude. Il faut d'abo
lève d'une dégénérescence des éléments nerveux). L'observation tant clinique que nécroscopique d'un grand nombre de cas a mo
OTTE. (Journ. de Neurologie et d'Hypnologie, juillet 1896.) Leçon clinique consacrée à l'examen des principaux remèdes et
. Sollier correspond bien en réalité à un type, ce n'est qu'un type clinique d'un des nombreux intermédiaires qui sépa- rent
ur déduit que si la paralysie générale correspond bien à une entité clinique , beaucoup de cas « limites » se présentent avec
cusé ne permit de découvrir aucune donnée se rapportant à une forme clinique quel- conque d'aliénation mentale. La pensée de
tion. En somme, la maladie dont il s'agit possède une physionomie clinique suffisamment nette pour que M. Sachs désire lui v
maladie, l'expérience des choses médicales et les méthodes d'examen clinique sont nécessaires. De simples témoignages ne peu
s. Le pronostic était déjà à ce moment fort sombre, mais le tableau clinique ne présentait pas (comme l'a dit M. Weber) d'an
phie accentuée de presque tous les nerfs craniens. Au point de vue clinique on avait voté une marche lente des symptômes dont
ychiques ayant débuté cinq ans auparavant, et présentant le tableau clinique de la démence secondaire. En novembre 1895 l'ét
ns quelques formes de troubles mentaux, par Clarkee; - Observations cliniques sur l'usage de la glande thyroïde dans l'alié-
vent être améliorés et même guéris. 1\IAG : >AN (V.). - Leçons cliniques SUI' les maladies mentales, faites à l'Asile cl
.). - Leçons cliniques SUI' les maladies mentales, faites à l'Asile clinique (Sainte-Anne), 1 ecuellhes et publiées par le 1)'
CLE, Parla. Vol. III. Avril 1897. N° 16. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. DGS TROUBLGS DU GOUT I : T DG L'ODO)t
s auteurs dans leurs traités : Archives, 2e série, 1. HT. 17 î 58 CLINIQUE NERVEUSE. Vulpian 1, dans son traité des maladi
Le docteur de Mas- sary 8 dans sa thèse récente indique les leçons cliniques du professeur Raymond comme contenant quelques
? 18S6, n<" 43 et li, cité par de Mas- sary dans sa thèse. 2GO CLINIQUE NERVEUSE. moment un tabétique percevait une ode
lus préciser, qu'il s'agit lit de symp- lûmes souvent rencontrés en clinique . Symptômes. Pour plus de clarté et pour abréger
élire de persécution des tabétiques.) B. Sensibilité générale. 26 CLINIQUE NERVEUSE. Abolition du réflexe olfactif. Dimi
ueuses. Une telle distinction, d'ail- leurs quelquefois réalisée en clinique , est surtout avantageuse pour la description di
que relativement peu ou pas du tout au cours de leurs coryzas. z CLINIQUE NERVEUSE. Du côté du goût les réflexes sont dif
l'aura précédant l'éternuement par accès et ce sont ses bran- 266 CLINIQUE NERVEUSE. ches de la pituitaire qui sont intére
its, de rapprocher de ces troubles l'état physique de la langue 268 CLINIQUE NERVEUSE. et l'état des fonctions digestives. I
decine mentale. Blois, 1893, et la thèse de M. Rogipr (Lyon). 270 CLINIQUE NERVEUSE. complet : l'hallucination est présent
i- culièrement sujets aux pervertions du goût et de l'odorat. 272 CLINIQUE NERVEUSE. Marche des symptômes. Les troubles du
ses. Dans un cas il y avait en Archives, 2e série, t. III. 18 274 CLINIQUE NERVEUSE. outre une soif intense et une polyuri
ès qui d'ailleurs n'avait jamais laissé aucun doute au point de vue clinique . Les glandes salivaires ont été trouvées énorme
re ner- Fig. il, - Ganglions d'Andersch (glosso-phal'yngien). 276 CLINIQUE NERVEUSE. veux. Des deux côtés ces fibres sont
s s 1 w Iz r-13 m N 5 *D S I 1 ec z 278 CLINIQUE NERVEUSE. peuvent-elles expliquer les symptômes
grité de la nutrition de la pituitaire ou de la muqueuse lin- 280 CLINIQUE NERVEUSE. guale sont des conditions indispensab
des myélites va en se retrécissant depuis les nouvelles recherches cliniques et anatomo-pathologiques. Les paraplégies aiguë
à l'aide d'injections de morphine : l'animal a présenté le tableau clinique du tabès; à l'autopsie on a trouvé une dégénéra
n du processus dégénératif. Ce fait est d'ac- cord avec les données cliniques qui montrent que par exemple la marche du tabes
s-mêmes de date peu éloignée. Pas de' microorganismes. Le tableau clinique et l'examen histologique montrent que -dans ce
hystérie infantile. Rapporteur : M. le D1' Rézy, chargé du cours de clinique infantile à la Faculté de médecine de Toulouse.
ponsabilité partielle. Rapporteur : M. le Dr de Boeck, chargé de la clinique de psychiatrie à l'hôpital Saint-Jean, Bruxelle
MAUX ET PATHOLOGIQUES ; Par te'D' Serge SOUKUANOFF, Médecin de la clinique psychiatrique de Moscou. Nos connaissances de l
ravail de la consultation externe et du laboratoire de chimie de la clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière
leurs artificielles. Il s'agit d'une femme qui s'est présentée à la clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtriè
ésultats intéressants que nous publions à la suite de l'observation clinique . La nommée Jeanne B... âgée de trente-deux ans.
on du fonctionne- ment des centres moteurs s'accorde avec les faits cliniques . On sait que chez l'homme tous les mouvements n
viennent soutenir ni la physiologie expérimentale, ni la médecine clinique . Tout se résout par une question de degré pour l'
ire (méningite). La rétraction de la fontanelle a une grande valeur clinique ; elle se rattache souvent à une diminution des
il se rallie à l'opinion de Régis, et pense avec lui que les faits cliniques récents, tels que les rémissions, la paralysie
l, pour symptômes prodromiques, des troubles neurasthéniques : à la clinique des maladies mentales de Heidelberg, sur cent-
e série de cas dans lesquels, malgré une analyse précise du tableau clinique , il n'est pas possible, du moins à l'aide de no
unis à d'autres, aient une signi- fication spéciale au point de vue clinique . Parmi les symptômes qui ont été le plus étudié
ore citer la paralysie générale. Il y a trois ans, se trouvait à la Clinique un homme pré- sentant de la façon la plus nette
a Clinique un homme pré- sentant de la façon la plus nette l'aspect clinique de la paranoïa : délire de persécution systémat
le cours des six dernières années, se présentent tous sous l'aspect clinique de manifestations hystériques survenues chez de
psychoses épileptiques que celles qui correspondent à un des types cliniques aujourd'hui bien établis et qui sont développées
ileptlyues et SOCIÉTÉS SAVANTES. 391 équivalents. Au point de vue clinique , on observe surtout des états de stupeur ou de
uteur, après avoir insisté sur la nécessité de délimiter des formes cliniques en se basant surtout sur le pronostic, déclare qu
n plus porté à considérer la catatonie de Kahlbaum comme une entité clinique réelle. Sans doute le diagnostic est souvent di
ns les grandes villes. M. FURSTNEll. Dans les asiles urbains et les cliniques le personnel est peu stable : à Strasbourg, par
ce qu'on fait pour les anciens militaires. M. ËMMiNGHAus. Dans les cliniques , on n'a pas à se préoccuper de cette question :
rescence colloïde qu'il a observés, ce sont présentés sous l'aspect clinique d'une tumeur cérébrale ou de la paralysie général
as de tumeur cérébrale. - En général les médecins qui s'occupent de clinique interne ont, plus que les aliénistes, l'occasio
e ait déterminé chez eux des troubles psychiques. Au point de vue clinique , on a observé chez les sujets certaines manifesta
sbourg, dans lesquels des apoplexies répétées ont réalisé une forme clinique analogue à la paralysie générale. La plupart de
une lésion accessoire. Au point de vue du diagnostic différentiel clinique , il faut citer, comme signes importants, les re
e générale d'une part, et la démence sénile de l'autre, une forme clinique bien caractérisée, la démence apoplectique, qui d
intérieur de la galerie, ainsi que cela vient d'être fait à l'Asile Clinique dans les nouvelles cellules du pavillon Leuret.
du dernier type de cellule, approuvée par la Com- mission à l'Asile Clinique . L'Administration a tenu, pour l'élabo- ration
lésions expliquent suivant le point où elles prédominent les formes cliniques très variées qui ont été observées depuis les q
ie subite du cerveau peut provo- quer une attaque épileptique. La clinique de son côté fournit des arguments nombreux retrou
e une attaque épilep- tique, il est difficile de ne pas accorder la clinique avec l'expéri- mentation ; d'autant plus que l'
. Cette théorie peut donc tout expliquer, tout en s'appuyant sur la clinique et sur l'expérimentation. En résumé, quelle que
alcooliques (23 mars); M. le or TOULOUSE, médecin-adjoint à l'Asile Clinique , bulletin bibliographique. 431 est nommé avec
« Sains 1). BULLETIN, BIBLIOGRAPHIQUE. Ballet (G.) - Leçons de clinique médicale (Psychoses et affections nerveuses). -
aris, 1891. - Librairie 0. Doin. Boncoui ! (G.-P.) - Considérations cliniques et lliérapeuliques sur les pleurésies purulente
2 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Granet (J.) et 1'cnEt (V.). - Leçons de clinique médicale faites il l'Itô- pital Saint-Lloi de M
a et Bonfigli. Leonardo Vasard], Milano, 1886. 2 II. Schule. Traité clinique des maladies mentales. Traduction Dagonet et Du
Duhamel. Paris, Lecrosnier et Babé, 1888. 3 Krafft-Ebing. - Traité clinique de psychiatrie, 5° édition. Traduction E. Laure
ossible de dé- duire des faits exposés quelques résultats utiles en clinique . Tous mes malades étant des hommes, c'est à la
ue, dans l'épuisement, dans le marasme total. Mais la phy- sionomie clinique de son affection était bien spéciale. Après avo
variété méconnue. Il me reste maintenant à montrer les applications cliniques que me semblent comporter les chiffres et les f
l, d'après ces données, établir deux grandes variétés dans l'aspect clinique de la paralysie générale à son déclin : une pre
tomie pathologique nous donnera sans doute l'explication de ce fait clinique , qu'il n'est pas indifférent pour le médecin de
sumer de la façon suivante : ce cas fournit une exacte contrepartie clinique du cas primitivement publié par Landry et prése
s de Landry et avec quelques cas ultérieurs en ce que les symptômes cliniques sont imputables à des lésions très étendues, in
e il parait impossible de distinguer, à l'aide des seuls phénomènes cliniques les divers types de lésions. R. DE Musgrave-Cla
rticulièrement, que le nombre des cas de neurasthénie, traités à la clinique d11e]singfors, augmenta consi- dérablement aprè
chives, 2e série, t. III. 30 466 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la clinique médicale d'Helsingfors, démontrant qu'il n'y avai
localisation qui explique exactement les deux facteurs du syndrome clinique , à savoir l'hé- miplégie droite et la paralysie
ec la peau blanche, les jambes enflées, et présenta tous les signes cliniques d'une anémie pernicieuse. L'examen de ce cas,
tabès, tabès spasmodique, syringo- myélie. P. RBLLAY. LXXX. Faits CLINIQUES ET AN.1T0)10-l'.1TIIOLOGIQUES pour SERVIR A la
états dépressifs de concentration, d'expecta- tion) dans le tableau clinique de la neurasthénie. 1° D'après l'opinion unanim
éorie de S. Freud qui pro- pose de détacher complètement du tableau clinique de la neuras- thénie le complexus symptomatique
l Sérieux. BIBLIOGRAPHIE. X. Contribution à l'étude anatomique et clinique du Tabès dorsalis, par le Dr Cl. Philippe (avec
Le chapitre iv traite des conclusions générales et des applications cliniques . L'auteur fait une étude synthétique des syndrome
(sensitifs, sensoriels, moteurs, trophiques), d'après des documents cliniques puisés dans le service de M. le professeur Raym
'évolution de la maladie tabétique est polymorphe; ce polymorphisme clinique s'accorde avec le polymorphisme des localisatio
délires systématisés dans les diverses psychoses, faites à l'Asile Clinique par V. Magnan, recueillies et publiées par le D
Londres, 1897. Jar- rold and sons. Boun\c\ [1.1.1 : , Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
'acide phosphorique dans la - cyclique, par Stettam, 39. Variétés cliniques de la - en France et en Allemagne, par Ilou-
52 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
urés, la dure-mère mise à nu. Il guérit. Dupuytren le présenta à sa clinique un an après sa grave blessure (Vidal, de Cassis),
le plus grand soin : ce sont les preuves anatomiques et les preuves cliniques . Preuves anatomiques. a). Lésions constatées il
a chaudière en ébullition, et fut apporté couvert de brûlures, à la clinique du professeur Ehrmann. Il y mourut de tétanos.
ment, au cours d'une étude à la fois ana- tomique, expérimentale et clinique , sur les origines centrales du nerf optique et
connu. Ils s'étaient proposé de rechercher si l'examen des faits cliniques confirme, ou contredit les résultats expériment
à la théorie des centres psychomoteurs de l'écorce, au point de vue clinique , les Leçons de Charcot sur les localisations da
localisations céré- brales. Tout était à refaire. Sur quarante cas cliniques , accompagnés d'un examen anatomo-pathologique,
urent donc aussi amenés à conclure, sur le terrain de l'observation clinique et de l'examen anatomo-patho- logique, que les
s. « Nous ne pouvons dissimuler, ajoutaient-ils, qu'on rencontre en clinique un grand nombre de faits négatifs relativement
iques, comme nous l'avons noté chez les chiens. Biais l'observation clinique n'appuie en rien ce mode d'explication : les af
ions encéphaliques malades. Puis, comme on rencontre des variétés cliniques qui s'écartent des formes con- nues, il n'est p
expériences, d'ailleurs en si profond accord avec les observations cliniques . C'est grâce à ces recherches des physiologiste
lement ces deux formes de réactions ner- veuses. Les observations cliniques et anatomo-patholo- giques établissaient-elles
dédaigne pas les ré- sultats de la physiologie expérimentale, de la clinique et de l'anatomie pathologique, et qui invoque s
basilaires de l'audition, assez bien connus aujourd'hui. L'étude clinique et anatomo-pathologique du centre cortical de l
s que Ferrier ou Nothnagel, Seppilli n'a pu trouver une observation clinique décisive de surdité par lésion corticale du lob
les à l'expression des idées. » Voilà ce que la physiologie et la clinique ont trouvé touchant les fonctions et les rappor
eur livre en langue italienne; mais, si l'on remarque que la partie clinique et anatomo-pathologique du travail de Seppilli,
dans l'étude expérimentale et ana- Silvio Venturi a publié une note clinique intéressante sur l'Audition chez les épileptiqu
x ruminants, qu'aux singes anthropoïdes et à l'homme. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET 1 ? XPÉit LES
thropoïdes et à l'homme. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET 1 ? XPÉit LES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
été hiedico-psychalogique de Paris. III. Patuogénie. Si la partie clinique de ces accidents était une terre 1 Voir Archive
ssion pour n'être démasquées qu'au moment de la décompression. La clinique de ces accidents ne concorde nullement avec Ann
série, t. I, p. 2Íl-27 ! J 1851. 1. Archives, t. XVIII. 6 8 : l CLINIQUE NERVEUSE. cette théorie : on a certes été frapp
bablement pour qu'elle devînt inoffensive de la pratiquer avec 84 CLINIQUE NERVEUSE. une grande lenteur, beaucoup plus len
l expose ainsi : « L'accroissement de pression du milieu nm- 86 . CLINIQUE NERVEUSE. biant produit son maximum d'effet sur
sque et sur l'iiijec- lion d'air dans le artères. Nancy, 1879. 88 CLINIQUE NERVEUSE. brisant les petits vaisseaux, et prod
st peut-être pas la seule ni la véritable cause de ces hémorrha- 90 CLINIQUE NERVEUSE. gie8, ou du moins d'un certain nombre
s du travail dans l'air com- primé des plongeurs à scaphandre. 92 CLINIQUE NERVEUSE. Il est vraiment curieux de trouver ce
édecins. » ' Cette hypothèse de l'influence funeste des gaz du Ut CLINIQUE NERVEUSE. sang puissamment combattue par le tra
comme chez les sept autres. » Tout naturellement, et pour être 96 CLINIQUE NERVEUSE. conséquent avec lui-même, notre savan
ts vaisseaux de la conjonctive injectés; Archives, t. XVIII. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE. même à l'oeil nu, on voit des bullett
bués les accidents que nous avons déjà si longuement décrits ? La clinique déjà seule suffit simplement à y répondre : c'e
e : c'est bien le dégagement de gaz dans le système artériel ')02 CLINIQUE NERVEUSE. qui est la cause prochaine, immédiate
telle ou telle région, ces accidents revêtent telle ou telle forme clinique . Les expériences de Paul Bert, de Feltz, de A.
CIDENTS PAR L'EMPLOI CES SCAPHANDRES. 103 pas oublié que le tableau clinique d'un certain nombre de mes observations contien
la cause directe et immédiate des accidents en ques- tion. Or la clinique , à qui il faut toujours laisser dire le dernier
La pathologie expérimentale vient à son tour confirmer ce que la clinique a fait si justement observer. Par une réflexion
ion suivante : ' Sociél. de biol., 187a, iio 1. page 58. , '104 CLINIQUE NERVEUSE. « A dose très forte, l'injection d'ai
par ' Gaz hebd. de méd. et de chir., t. XII, 21 série, 1875. '106 CLINIQUE NERVEUSE. distension, chose dont la possibilité
est pour bien peu de chose dans les accidents en question. Or, la clinique , non moins que l'expérience établis- sent d'une
ression, il se combine avec l'hémoglobine et, à des pressions 108 CLINIQUE NERVEUSE. plus élevées, la proportion de l'oxyg
UES TRAITÉS PAR LA SUSPENSION; Par GILLES DE LA TOURETTE, chef de clinique , et S.-C. L.1OU1).IhIS, externe de la Clinique
LA TOURETTE, chef de clinique, et S.-C. L.1OU1).IhIS, externe de la Clinique des malades du système nerveux. Dans sa Policli
tion obtenue ayant acheté un appareil et n'ayant plus été revu à la clinique Observation I. - Model, cinquante-un ans. - A n
discussion et des observations soit inédites, soit empruntées à la clinique du professeur Charcot ou à ses élèves. Toutes c
masquée, plus insaisissable. Avec un grand nombre d'obser- vations cliniques à l'appui, tirées des travaux de Pinel, Legrand d
odifications sur les phéno- mènes de la vie psychique. Les exemples cliniques prouvent, en effet, d'une façon formelle, que s
organes des sens, et les zones htéroèrlPS des muqueuses; recherches clinique *; par le Dr L. Lichtviiz (Paris 1887). Dans c
r. BOUR : 'OEVILLE, COlllt]3AtIF,.N, RAOULT et SaLUER. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
ui suivent ont, d'ailleurs, été publiés à la suite des observations cliniques correspondantes dans les Bul- letins de la Soci
; ils seront indiqués chacun à sa place. N'ayant pas fait d'étude clinique , et apportant sim- plement quelques faits, nous
TIA\ Médecin de la Maison nationale de Cliaretitoti. V. Preuves cliniques . et). Troubles des facultés intellectuelles (ar
père il faut se rattacher pour avoir chance de trouver la vérité. CLINIQUE NERVEUSE. RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALE
avoir chance de trouver la vérité. CLINIQUE NERVEUSE. RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
6; n° 49, p. 22 j n° 50, p. 225; n° 51, p. 392; n° 52, p. 80. 208 CLINIQUE NERVEUSE. tenant, nous entrons en plein dans l'
pour nous du moins, une importance vraiment incom- parable, est la clinique , l'observation chez l'homme, et l'autre qui con
ant la décompression tant de gaz au point de faire éclater : 21'2 CLINIQUE NERVEUSE. l'accident. Le nombre des immersions
te évi- dence aussi que la seule et unique cause de, cet ac cl Il CLINIQUE NERVEUSE. cident est la durée prolongée du séjo
ne heure. A preuve nous insérons le passage suivant de son histoire clinique : « Il avait fait plusieurs immersions à la mêm
t par l'emploi des scaphandres sont dus à la durée du séjour. 216 CLINIQUE NERVEUSE. Pour surcroît de preuves de ce fait n
t les résultats concordent parfaitement bien avec les données de la clinique . Je me contenterai de rapporter les suivantes,
mersion que les accidents sont survenus. Les accidents de nos 218 CLINIQUE NERVEUSE. chiens doivent donc être directement
ne peut être question du nombre des immersions comme cause de 220 CLINIQUE NERVEUSE. l'accident, car c'est à la suite de l
s. Elle est, en outre, d'une très grande fréquence. Ce nouvel 222 CLINIQUE NERVEUSE. élément étiologique c'est le nombre d
uccessives. y). Accident de /'Observation XI. - La seule et 14 t. CLINIQUE NERVEUSE. unique cause de cet accident est le n
à une profondeur de 22 à 24 brasses, Archives, t. XVI 11. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE. la durée du séjour n'ayant pas dépass
tra- vail sans accident. Etant donné en outre que ce plon- 238 8 CLINIQUE NERVEUSE. geur était parfaitement bien portant,
us venons d'étudier, agissent, nous l'avons déjà démontré, en 280 CLINIQUE NERVEUSE. favorisant le développement de l'agen
nutes et avec une rapidité de décompression tout à fait égale 232 CLINIQUE NERVEUSE. en durée à celle de l'immersion qui a
lmonaire; ce sont les accidents des Observations XXIX et LXI. 234 CLINIQUE NERVEUSE. a). Accident de /'Observation XXIX. C
ttaqué. Pour finir avec les causes qui agissent en s'opposant 236 CLINIQUE NERVEUSE. à l'élimination de l'excès des gaz de
eu lieu. Encore bien moins peut-on considérer dans l'étiolo- 1238 CLINIQUE NERVEUSE. gie de ces accidents les causes qui a
e- vons appeler l'attention sur deux faits d'une haute importance clinique : si l'on étudie un peu à fond le tableau précé
qu'il n'y a pas du tout de relation entre les différentes formes cliniques de ces accidents et les conditions causales de
les mêmes éléments étiologiques pouvant donner lieu à des formes cliniques les plus différentes; cela indique qu'il n'y a
séjour, décompression brusque et il est attaqué; notons bien 240 CLINIQUE NERVEUSE. qu'il est déjà antérieurement descend
is pour montrer d'une ma- nière péremptoire la puissance de ce fait clinique , il suffit de rapporter l'observation suivante
u bout desquelles son esto- AIICIIIVC<, t. XVI11. 16 .) If il, CLINIQUE NERVEUSE. mac se gonfla faisant saillie; en mêm
les divers individus que chez la même personne. 1 Le second fait clinique c'est une prédiposition incon- testable à être
les explorations furent faites en trois directions différentes. La clinique des maladies internes, traitant le myxoedème mê
ièvement les donnéespubliées parlesauteurs, savoir : 1° les données cliniques sur les symptômes du myx- oedème; po les donnée
t, par William Gull', qui, en l'an 1873, rapporta devant la Société clinique de Londres l'histoire de cinq cas de cette mala
sique chez une femme. Depuis lors parut une quantité d'observations cliniques du myxoedème, que nous tàcherons de rapporter e
me où le malade se remit entièrement. Voici toutes les descriptions cliniques que je connais. II. A l'époque où le myxoedème
n tout onze observations, dont dix numérotées, à l'appui de l'étude clinique . P. ICEaavaL. IX. LES psychoses dans LES pénite
LES psychoses dans LES pénitenciers, au POINT DE vue étiole- GIQUE, clinique , MÉDICO-LGAL; par ICoIN(All3. Zeitsch. f. Psych.,
ications thérapeu- tiques doit être introduit dans le programme des cliniques de psychiatrie et des connaissances en la matiè
e qu'il appelle les symp- tômes procéduriers font partie du tableau clinique de l'hystérie. Un ouvrier traumatisé conserve s
après durcissement et on la décrira en détail. M. S1GMERLING. Etude clinique et statistique sur la paralysie pro- gressive c
oLOGOE. DARio l\IARIGLÎANO, directeur de l'asile d'aliénés et de la clinique psychiatrique de Gênes. - THÉODORE ])moN ancien
ecteur de l'asile d'aliénés de Saint-Nicolas et médecin enchef à la clinique des maladies mentales. 0. WELLER" directeur de
: 4 fr. nOURlOEVILI.E, COURB.\RlEN, IIAOULT ET Sollier. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'epilepsie, l'hystérie e
our nos abonnés, i fr. 0 RADZISZE\VSKI (St.). Quelques observations cliniques . (Anoplitalniie, pustule maligne et gangrène sp
r M. le D' Paul BLOCQ, Chef des travam anatomo-palholo¡{iques de la Clinique des maladies du svstemc uerveuc. Constituée p
ogénique un grand intérêt pour le-pathologiste et au point de vue clinique une non moindre valeur pour le médecin. M. le p
érence, néoplasme etc. Aussi s'expliquerait-on que ce même appareil clinique soit susceptible de se montrer au cours de mala
t la parenté avec la migraine ophtalmique est établie tant par la clinique que par la thérapeutique. Ce n'est que six mois
à indiquer. Le syndrome peut, par son ingérence dans le ta- bleau clinique , donner lieu à de notables difficultés de diagn
ne migraineuse, il deviendra très malaisé de déter- miner la valeur clinique de ce symptôme, connaissant ces rapports de la
y avoir beaucoup de doutes à cet égard. En effet : au point de vue clinique , les connexions qui existent entre les phénomèn
Je quatre ans. On pourra se reporter aux détails de son observation clinique , qui a été publiée. Il était atteint de convuls
tait des accidents à leur début; ce qui concorde avec l'observation clinique . On peut donc ainsi saisir le stade de néoforma
ions nous en servir pour échafauder les hypothèses applicables à la clinique et entreprendre d'écrire l'his- toire de l'anat
, faits bien démontrés depuis les expériences et les observations cliniques d'Aronsohn et de Sachs, de Girard, d'Ott et Col
ale observés dans un cas d'hémiplégie motrice droite, l'observation clinique et anatomo-pathologique qu'ils rapportent n'est
et du cerveau. En somme, les résultats de la physio- logie et de la clinique seraient jusqu'ici plus favo- rables aux vues d
i se perpétue dans l'idée, dénuée de tout fondement expérimental ou clinique , de ces « centres psychiques », admis encore pa
t point ' C'est ce qui vient d'être encore vérifié au point de vue clinique . V. Horsley, Clinwat observations during the ya
ne manière spéciale, à la région rolan- dique, si elle est utile en clinique , ne lui paraît pas fondée au point de vue physi
la lésion. Ces résultats expérimentaux concordent avec les faits cliniques . Chez l'homme, en effet, les troubles de la mot
erveau, qui servent de fondement aux célèbres Recherches analomo- cliniques qu'il a publiées sur ce sujet, et que nous avons
onformation du tissu. Après avoir étudié plus profondément l'aspect clinique du mxyaedème et les phénomènes cliniques qui l'
plus profondément l'aspect clinique du mxyaedème et les phénomènes cliniques qui l'accompagnent, le professeur Virchow trouv
mes honorables collègues sur mon travail. Jusqu'à présent l'étude clinique et expérimentale du myxoedème nous démontre son
la maladie de Basedow et le myxoe- dème, en analysant les symptômes cliniques do ces deux maladies, nous ne saurions les éloi
89, p. 149). ' Bournlvillk. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. NOTES cliniques SUR LES HÉIIORRHAGIES dans L1 paralysie GÉNÉ- R
récision la cause de la mort ; dans ce cas, en effet, l'observation clinique conduisait naturellement à admettre la suffocatio
font entièrement défaut. Le troisième type présente au point de vue clinique la forme générale de la respiration de Cheyne-S
ulter quelque confusion de cette svnonvmie inexacte. Le phénomène clinique décrit par l'auteur est le suivant : la respira
ant la vie, cette tumeur n'avait décelé sa présence par aucun signe clinique , sans doute parce qu'elle n'intéressait le cerv
modification; quarante-neuf furent améliorés ; cinq moururent à la clinique ; vingt-quatre guérirent. Et cepen- dant, la bib
ndouzy et Déjerine). Ces quatre groupes sont empreints de syndromes cliniques univoques; môme localisation du processus morbi
ne, Landouzy et Déjerine, Zimmerlin, Scbulize). De même que l'unité clinique , l'unité anatomo-pathologique semble faite. Les
paralysie bulbaire aiguë. L'auteur, après avoir fait la description clinique de son malade, insiste sur la difficulté de dis
s son mode, ni da.is sa compositio n à chaque séance. Une analyse clinique consciencieuse a révélé que les accidents con-
trie cra- iiiucéphalique (méthode, instrumentation) à l'usage de la clinique , de remanie avec le concours de l'auteur par le
53 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
de Neurologie » auront pour objets principaux la nosographie et la clinique ; mais elles offriront une large place aux reche
ation, les procédés des sciences physiques adaptés aux choses de la clinique viennent offrir leur concours à l'observation p
ophone est un instrument nouvellement employé dans les explorations cliniques . L'un de nous a inventé un appareil de ce genre
effets sont atténués par une contraction maximum de ces muscles. CLINIQUE MENTALE DE LA COEXISTENCE DE PLUSIEURS DÉLIRES
Par le Dur MAGNAN, médecin de l'asile Sainte-Anne. ' I. Les faits cliniques , en aliénation mentale, ne s'offrent pas toujou
plus complexes, mais l'espèce nosologique elle-même peut, 4 50 CLINIQUE MENTALE. dans certaines circonstances, se prése
alcoolique. Ce n'est point là une hypothèse, c'est bien une réalité clinique , curieuse assurément, mais qui n'est pas rare e
de montrer dans mes leçons. Une analyse attentive de cette synthèse clinique per- met de faire la part de chacun des trois é
e spéciale. II. Pour aller du simple au composé, des faits qui 52 CLINIQUE MENTALE. s'imposent à tous, aux observations qu
s les troubles toxiques. L'épileptique, en effet, qui s'al- 54 le CLINIQUE MENTALE. coolise présente peu à peu les signes
pleine conscience. A 26 ans, après plusieurs attaques épilep- 56 CLINIQUE MENTALE. tiques, se développe un accès maniaque
de délire alcoolique très différent de l'accès dipsomaniaque. 58 CLINIQUE MENTALE. Le dipsomane, avant de boire, se trouv
l'estomac se serre et l'impulsion à boire se développe. L'analyse clinique chez cette malade, permet donc de voir trois ét
s n'offrent pas, on le voit, de difficultés très grandes, l'analyse clinique réclame un peu plus d'attention lorsqu'il s'agi
gique tracée par les ascendants. La grand'mère paternelle était 60 CLINIQUE mentale. mélancolique, le grand-père paternel s
lancolique, pendant lequel elle exprime des idées mystiques ; 62 CLINIQUE MENTALE. elle avale des épingles et cherche à s
ue l'analyse en devient des plus simples. Pour compléter le tableau clinique , il eût été nécessaire de déterminer l'antécéde
deux maladies, ils peuvent même ne pas présenter de dis- B1· li, CLINIQUE MENTALE. positions névropathiques. Quelquefois
rien perdu de leurs caractères pénibles et désa- gréables. 5 66 CLINIQUE MENTALE. Les trois états pathologiques, folie é
l'injurie, on la menace, elle se croit poursuivie; tout brûle 68 CLINIQUE MENTALE. dans sa maison, elle se sent entourée
symptomatiques propres. Mais il n'en est pas toujours ainsi, et la clinique mentale ne s'offre pas constamment à nous avec
r, fré- quentant les malades de plus longue date, il nous sera 70 CLINIQUE MENTALE. facile de nous rendre compte de l'infl
- sente, à un centimètre de chaque commissure, .une encoche de 72 CLINIQUE MENTALE. 4 à 5 millimètres environ, sorte d'esq
- sentée par deux lames indépendantes l'une de l'autre et très 74 CLINIQUE MENTALE. obliquement disposées, à peine plus la
jambes, des taches bleues qui ont disparu sous l'influence des 76 CLINIQUE MENTALE. bains sulfureux.-Aucun accident nerveu
. Traces méningitiques très prononcées. Rien à l'auscultation. 78 CLINIQUE MENTALE. - La tête est dans l'extension, bien q
r toute sa longueur. - Le lobe paracentral est irrégulier; son 80 CLINIQUE MENTALE. sillon est vertical et séparé jusqu'au
tte observation alors que nous remplacions M. Delasiauve. 6 82 - CLINIQUE MENTALE. Rensei{JneJ'iJfrrs(OU1'n1'sp(ll' sa mè
ils sont toujours de médiocre intensité. Elle ne prend que des 84 CLINIQUE MENTALE. aliments liquides. Tendance à l'assoup
avril. Vingt-huit petits accès. T. R. 37°. Soir : T. R. 37°,2. 86 CLINIQUE MENTALE. 26 aur<7.La malade est prise d'un a
e et la PL. III ont été dessinées par notre ami, M. E. Brissaud. 88 CLINIQUE mentale. Hémisphère cérébral droit. Même aspect
symptômes et le traitement de l'épilepsie hémiplégique. * * Notes cliniques sur l'épilepsie partielle (Iconogr. phologr. de l
. anatomique, juillet 1876 ; Gaz. médicale, 1876, p. 595 et 610. 90 CLINIQUE MENTALE. comparable à celui de l'épilepsie comm
LICH, (traduction Labadie-Lagrave), Paris. - Essais de Thermométrie clinique ; par Da COSTA ALVanEVCa, (édi- tion française).
logie'pure. La note de M. Broca eut donc le mérite d'appliquer à la clinique un mode d'exploration cérébrale nouveau dans se
de température céphalique. I. Avant d'en arriver à des applications cliniques , la thermo- métrie de la tête avait attiré l'at
llèle avec celles des cliniciens, on peut dire que les applications cliniques de la thermométrie cépha- lique étaient nulles
de la périphérie du crâne. Dans ses Recherches de .The2,2noînétî,ie clinique générale, M. Da Costa Alvarenga a recherché la
clusions de notre travail. DE LA THERMOMETRIE CEPHALIQUE. 105 clinique cérébrale quand il donnait en 1877 : d'une part,
raison des divergences observées : on est habitué, en thermométrie clinique , à ne tenir aucun compte de la température exté
té par M. P. Bert, Soc. Biol., janvier 1879.) Au point de vue de la clinique cérébrale, nous en trouvons des applications da
éricain. Il y a donc là une idée nouvelle, originale, véritablement clinique , et le travail de M. Amidon peut être considéré
es adversaires des localisations cérébrales. Et cependant les faits cliniques que nous rapportions dans les pages précédentes
e qu'il s'agit là d'une méthode nouvelle qui appelle des recherches cliniques nom- breuses, et doit par conséquent être prise
bercule au niveau du noyau de la sixième paire. Cette observation clinique portales auteurs à étudier à nouveau les dispos
fibres motrices n'a lieu qu'en dessous du bulbe. L'expérience et la clinique semblent d'ail- leurs confirmer cette manière d
e B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Leçon D'OUVERTURE DU COURS DE CLINIQUE DES maladies mentales ; par M. le professeur BA
ales ; par M. le professeur BALL. En ouvrant la série de ses leçons cliniques M. Ball a voulu faire connaître d'abord les vue
é- sumé est loin de renseigner sur les tendances du professeur de clinique des maladies mentales. Quand il parle de la néces
, car il se plaît à chercher « plus haut et plus loin » que dans la clinique , c'est-à-dire dans la philosophie, les ori- gin
ons se réduisent au respect des ancêtres, au culte de l'observation clinique et au scepticisme. Le respect des ancêtres est
t louable, et encore faut-il s'en défier. Le culte de l'observation clinique ne vaut, comme tous les cultes, que par l'espri
ette déclaration est fort naturelle dans la bouche du professeur de clinique , mais elle ne remplace pas l'exposé de principe
s et descen- 164 BIBLIOGRAPHIE. dantes de la moelle, dont le type clinique a été primitivement donné par M. Charcot à prop
me oculaires étant donnés, quelle sera leur valeur séméiologique en clinique céré- brale, quels sont les faits publiés sur l
re constaté ? La thèse, faite dans ce sens ou selon tout autre plan clinique , eût coûté moins de travail à l'auteur et eût,
existe, à un degré plus ou moins marqué, chez l'homme sain. En clinique , on fait ordinairement apparaître le ré- flexe
i , 1 f , -i ¡ , lr' ! I)T j, (fIW 1 f Id '* ^1 j, J,rujqb ^ ? CLINIQUE MENTALE 00 'nb' .1) .Jlf )1 ''11'1 " j'¡j' o'
suspendu'. » i Journal de médecine mentale, 1861, p. 110-111. 214 CLINIQUE MENTALE. Telle est la démence. Parmi les causes
n intensité, soit en étendue, et cela, bien que, 1 au point de vue' clinique , on n'eût pas observé de dif- férences bien sen
nfant était âgée de 10 ans, lorsqu'on s'aperçut qu'elle se 216 ,, , CLINIQUE ; MENTALE. , 3,j trouvait malade') temps,en tem
e », aurait été malade un * TpjTiaj)"5 J1 ¡T3 'i 1,1 ii- 4L 220 , CLINIQUE MENTALE. *,«. ? .h 220 il 9b 19 <¡fl1 : jfjO
220 , CLINIQUE MENTALE. *,«. ? .h 220 il 9b 19 <¡fl1 : jfjOfi CLINIQUE C91 dlh/o -ta J'1;ç¡I¡¡fll ? 1' 1 ? HJD an; n'é
a thèse de M. A. Leroy : De l'état de mal épileptique, p. 18. 224 CLINIQUE MENTALE. qu'elle a succombé à un état de mal le
. Mort le 26 mai. - Voici qu'elle a été la marche des accès : 226 CLINIQUE mentale. Cervelet et isthme. Poids : 1 0 gr.
ment aux approches de ses règles des étourdissements de quel- 228 CLINIQUE MENTALE. ques secondes de durée; la mémoire s'a
notre malade, est né à terme : au deuxième mois de cette der- 230 CLINIQUE MENTALE. nière grossesse, la mère eut une fraye
; 257 en 1878 ; 406 en 1879 et 102 dans les 40 premiers jours 232 CLINIQUE MENTALE. de 1880. Ajoutons que T.. avait des ve
complet. Des lignes tracées sur le ventre avec l'ongle rou- 234 i CLINIQUE MENTALE. gissent et deviennent très apparentes
vellent en moyenne 7 ou 8 fois par jour : le malade tombe or- 236 CLINIQUE MENTALE. dinaircmcnt sur la face; il est agité
t plus volumineuse que la droite, qui est filiforme. 1;s23g r ' . clinique mentale. lIJp Au niveau de. l'hexagone, la comm
olution des symptômes complexes auxquels sont sujets les épi- 240 CLINIQUE MENTALE. leptiques de cette sorte. D'autre part
qu'elles s'adressent à des faits, tels que^ceux dont la description clinique précède; car la, technique de l'histologie céré
es élastiques qui semblent englobées dans la couche la 16 242 ? CLINIQUE MENTALE. T ' plus superficielle de' la' substan
a été reconnu par nous sur quelques points de l'écorce grise, 244 CLINIQUE MENTALE. JI 1 11 loti 1."J "T '¡"<;Jf. Ht J.
ssance des faits signalés dans le "fl'J() Tg.u i; ,"1 ,p .lÜ 26 ô CLINIQUE MENTALE. , - .. 211f1f' IStJ "11 'r.y ) ? twr'.
s transparente et moins condensée que la substance corticale. 2t8 CLINIQUE MENTALE. o ? TII ! 1'Q'.IdTtt5l iLIr11f¡ : cla
ra- mifiés est considérablement plus restreint que celui 250 . r. CLINIQUE 'MENTALE./ , aa des éléments araignéespropremen
de suivre attentivement, ne laissent aucun doute à cet égard. 256 CLINIQUE 'mentale. EXPLICATION DES PLANCHES PLANCnE V
etc. Mais, ce qui est plus important, c'est la haute signification clinique reconnue par M. Burq; le premier a deux symptôm
intéresse pour l'instant dans son mémoire, c'est non pas la partie clinique , composée de 82 observations, mais MÉTALLOSCOPI
us avons pris soin d'établir leur réelle existence par des tableaux cliniques aussi complets que possible. C'est précisémen
rapport direct avec les muscles. XIII. Recherches expérimentales ET cliniques sur L'ANES- THÉSIE PRODUITE par LES lésions DES
ique prendront a. pareils faits le jour où, ^ 1fne,p,bl.. seryation clinique . précise; pol< ? sèjoindré un protocole d'au-
;,¡t ... .> \5/ 4-i £ v j- oïl-if et e> ibôn^ol^ q XIX. NOTES CLINIQUES [Sur la,, névralgie ,sciatique .causée gi iirii
779) ? trois cas'deiCirillo (1803), r u9-¡ p : s;J.de Lallemand (La clinique de Montpellier, 1 8'i-3) un" cas de Lacombe [Un
tion 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. grand nombre de faits cliniques et pathologiques », dit M. Amidon, en débutant;
rlaobl <J'li ? I'1 fro ].1\) ,iniJl, tLm ,.rl,han XXVIL,rETUDErf, CLINIQUE SUR-,L'ABOLITION. DU RI·'LEX>;,TINDZ- - a' N
-j 1 ' ' t . li , 11 Il ,rp 1 (1 ... r .. , j . XXX. Observations CLINIQUES SUR LES variations DE TEMPÉ- ! » RATURE, LE DÉCUB
V. ETUDE CLINIQUE SUR QUELQUES POINTS DE LA LYPEMANIE ; ' XV. Etude clinique sur quelques points À de , la 1, par M. H. Mabi
dre sa position vicieuse. Le malade a été montré un mois après à la clinique du. docteur Seguin ; il marchait sans peine ; l
e. 333 XI. Suture du NERF médian DIVISÉ; par le Dr 11ULRE. [Société clinique de Londres, et the Lancet, février 1880, p. 288
tes, ne considérer la température céphalique que comme une donnée clinique intéressante et parfois utile plutôt que comme un
rties anesthésiées; ces recherches sont le 1 Etudes de thermométrie clinique dans l'hémorrhagie cérébrale et dans quelques a
res maladies de l'encéphale. Thèse de Paris, 1870, n° 213. 2 Etudes cliniques et thermométriques sur les maladies du système
erveux, pour laquelle il sera accordé trois heures ; 2° une épreuve clinique commune sur un malade. Il sera accordé au candi
ion devant le Jury après cinq minutes de réflexion ; 3° une épreuve clinique sur les maladies mentales : un seul malade. Il
rapport sera faite au début de la séance suivante ; 5° une épreuve clinique sur deux malades d'un service d'aliénés. Le can
l suit : Pour la première épreuve écrite, 30 points. Pour l'épreuve clinique commune, 20 points. Pour l'épreuve cli- nique s
points. Pour la deuxième épreuve écrite, 30 points. Pour l'épreuve clinique sur deux malades, 30 points. Asile DE BLOis.
ecine, est,provi-1. soirement délégué dans les fonctions de chef de clinique de patho- logie mentale eu remplacement de AL'
islain. Clô- ture du Concours 4 °= mars 1882. Etablir par des faits cliniques les relations existant entre les lésions cadavé
la méningite tuberculeuse, mais il manquait cependant au tableau clinique , le vomissement, la constipation opiniâtre, l'a
professionnelle ni à une insolation ou à un trau- matisme. 1- , CLINIQUE MENTALE Il CONTRIBUTION. A L'ETUDE DE L'IDIOTIE
ant à la Pl. IV, dessinée avec le plus grand soin par M. Leuba. 392 CLINIQUE MENTALE. Observation IV. ATROPHIE CEREBRALE :
lais, assez large, médio- crement profond, parait symétrique. 394 CLINIQUE MENTALE. , 1 Les oreilles sont longues ; leur p
atrophiées, réduites à un, deux ou trois millimètres de largeur 396 CLINIQUE mentale. diminuée notablement de hauteur. Ce fo
jours, des convulsions qui prédominaient dans le côté droit. 398 CLINIQUE MENTALE. 15 jours , et les convulsions repriren
e communicante antérieure est double; les autres artères sont 400 CLINIQUE MENTALE. normales, ainsi que les différentes pa
le correspondant, beaucoup plus volumineuse que les par- 26 402 CLINIQUE MENTALE. ties similaires gauches. L'oreillette
de 6 millimètres. (Dubrueil. - Anomalies artérielles, p. 23). 404 CLINIQUE MENTALE. Sur le bord droit du tronc pulmonaire,
la Soc. anat., 1880, p. 1, et Progrès médical, 1880, p. 163. 406 CLINIQUE MENTALE. rha,gie dans le lobe frontal de l'hémi
ull, de la Société médicale de la Suisse romande, 1875, p. 375. 408 CLINIQUE MENTALE. cerveau, dontparle également Strümpell
aque à 4 0/0. Or, ce que les coupes, colorées au picrocarmin, 410 CLINIQUE MENTALE. nous ont permis de constater, peut se
hro- nique, très lent, dont le point de départ réside dans la 412 CLINIQUE MENTALE. névroglie de la substance grise cortic
n. La méthode habituellement employée par M. Charcot dans l'étude clinique de l'achromatopsie est, on le voit, celle connue
considérations anatomo-physiologiques, rapprochées de quelques cas cliniques , avec autopsie, dans lesquels les mala- des aff
tronc nerveux. R. BL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XL. Tableau CLINIQUE DES dégénérations secondaires DES faisceaux CÉR
sme des contractures tardives. Il n'envisage d'ailleurs que le côté clinique de l'affection, et tout 442 REVUE DE pathologie
outenue par M. Hitzig. Elle est fon- dée, dans le domaine des faits cliniques , sur les observations évidemment très nombreuse
é, devenus hyperexcitables. M. Charcot a fait voir, dans ses leçons cliniques de la Salpêtrière, plusieurs femmes hémiplégiqu
racture a frappé également le membre inférieur et le membre supé- Clinique de la Charité, p. 562. REVUE DE PATHOLOGIE NERV
ps leur existence nous enseigne que, si elles ont déterminé le type clinique de la chorée izei4- 452 REVUE DE PATHOLOGIE NER
Schultz, les observations de deux malades qui présentaient le type clinique complet de la sclérose latérale primitive, et à
et l'arrêt de la ma- ladie à deux reprises indiquerait qu'une forme clinique grave est compatible avec des lésions peu avanc
ympans tout à fait normaux. Ces deux cas concordent avec le tableau clinique tracé par Voltolini, Toynbee et von Troeltsch.
la forme et le siège exceptionnel de cette tumeur. Au point de vue clinique , on peut remarquer les variations qu'ont subies
mbaire et cérébelleux, appellations qui représenteraient des formes cliniques bien définies, l'auteur insiste sur les divers
le docteur Ley. Il rapporte aussi un cas de tétanie, cité dans les cliniques de Trous- seau. Remarquant alors que, dans ces
des écrivains qui, chez les neurosthéniques, affecterait une forme clinique particulière, caractérisée par des sensations d
gitation, le12mai ; au milieu de juin, on constate chez lui le type clinique complet de la paralysie générale. Le 25 janvier 1
atégorie des folies avec conscience ». H. D'O. XXXVIII. UNE LEÇON CLINIQUE SUR la paralysie générale; par A.-E. MACDONALD.
d, 7 février 1880.) L'auteur donne dans cette leçon une description clinique complète de la paralysie générale en présentant
temps sur les circonvolutions psychiques et motrices. M. XL. NOTE CLINIQUE SUR UN mouvement anormal QU'ON OBSERVE CHEZ QUE
septembre 1880.) 486 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XLIII. Archives CLINIQUES .- 1 Observation de AI. Régis : folie circulaire
ysie générale. (Annales médico-psycholog ., sept. 1880.) XLIV. La CLINIQUE DES maladies mentales ET la psychologie ; par M
es », et il a entrepris de démontrer l'impossibilité de faire de la clinique en aliénation mentale sans avoir recours à la p
ent hystériques. (Annales méd.-psych., nov. 1880.) XLVI. Archives CLINIQUES . 1° Observation de Lélut : Manie aiguë sans alt
tus intermédio-latéral. La deuxième partie est consacrée aux études cliniques : M. Brissaud n'admet pas l'existence des hémip
êtrière, et M. Deny prendra la place de médecin-adjoint de Bicêtre. CLINIQUE des maladies mentales. Concours pour un emploi de
CLINIQUE des maladies mentales. Concours pour un emploi de chef de clinique titulaire. - Ce concours a eu lieu à la Faculté l
t fait reconnaître, et nous terminerons par quelques considérations cliniques et anatomo- pathologiques. Sur la face intern
40 (lui) t4libiliJ-JJ un concernent. L'anatomie pathologique,, la. clinique , - Oi) '3'iUO 8-M ? ? Jj't Lvt.Li 2 'G0m ? i 1
tant d'efforts expérimentaux eU ° J . V 91 "Of0>' ' ttU lBr«0 cliniques , est compris dans la masse, ganglionnaire de ,
e sous-cutané et l'embolie graisseuse ressort de trois autres faits cliniques corroborés par les preuves ana- tomiques ; deux
ès son entrée, tandis qu'elle racontait les détails de son histoire clinique , elle s'écria : « Oh ! mère, que pensez-vous que
: telles sont les réflexions de M. Stenger. P. K. LXXVIII. Leçons CLINIQUES SUR LES tumeurs INTR.1-CRANIENNES par Bïrom Bra
minés. Le docteur Sch. fait ressortir la corrélation des phénomènes cliniques et ana- tomiques avec les études de Ferrier (at
si s'additionner pour en déterminer une. L'ensemble de ces facteurs cliniques etpatho- géniques émane de 2 observations publi
envisagées parl Dr Schmidt, lui permettent de caractériser le type clinique , dans ces con- ditions, par une phase prodromiq
de trente-six ans qui présenta successi- vement les manifestations cliniques de la sclérose cérébrospi- nale -.tremblements,
algré l'intégrité évidente du poumon. P. K. LIV. CONTRIBUTIONS A la CLINIQUE DES maladies mentales; par le Dr ARNOLD PICK, m
ych. u. ! 1'ervenlcrarrk., 1880.) Il s'agit de décider de la valeur clinique et nosographique des accès d'agitation périodiq
ment toutes ces questions, mais n'en résout aucune. LXI. Archives cliniques . (Ami. Méd. Psych., janvier 188t.) Paralysie gé
bord un éloge du chloral qui, depuis dix ans, subit l'épreuve de la clinique . Mais on croyait qu'il ne s'éta- blissait pas d
pathogénie des illusions et des hallucinations. 2° Nouvelles études cliniques sur le délire des grandeurs : alcoolisme expans
eurologie, ïVI. Ilâmmônd a 'réuni une sérié'de mémoires et'de'faits cliniques intéressants, '' dot"nous' rendrons compte dans
de la pratique ^personnelle des auteurs, 'et' le compte rendu de la clinique ? j ' ' ? Il 'I1rft.. i'i ? .'f ï ' '11\., £ 1',
sage successivement le /" point de vue physiologique et celui de la clinique . L'étude do l'embolie cérébrale est faite au mo
pérature s'élevait. Ce travail est donc intéressant au point de vue clinique et en particulier à celui de la pathologie ment
ns le travail de M. Descosse qui porte surtout sur les phénomènes cliniques (probablement névritiques) observés après des lés
ier me tenait- il au, courant de ses projets d'avenir. A ses éludes clinique », (31 se» travaux de laboratoire, il voulait aj
énales, le goitre exophthalmique et les autres maladies du cerveau. Clinique : 1° Folie à double forme ; 2° L'influence des
M. nIOTTE1'; -fréso7'ier : M. J. RoDYNS. Asile Sainte-Anne ; leçons cliniques M. Magnan a recommencé ses leçons cliniques sur
le Sainte-Anne ; leçons cliniques M. Magnan a recommencé ses leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses le diman
redis suivants, à la même heure. Hospice de la Salpélrié7'e; leçons cliniques .-1\L A. VOISIN a commencé le dimanche 30 janvie
er, à 9heures 1/2 du matin, ses conférences 648' ` FAITS 'DIVERS. cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, et les co
en chef à l'asile d'aliénés; est transféré dans la nouvelle' chaire clinique ^ (Décret duO, décembre,t880) ? ,(f, ? .'J' ,;¡
directeur médecin de l'asile d'Armentières, est chargé du cours'de clinique dès mata- ) " ...... "t' ? f, "1" ° l" .......0
fr.), (12 janvier 1881). Asile de Bnoa. - M. leur Brun, chef de la clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine
lière et CIe, 108, bou- levard Saint-Germain. Rtcuen (J.). Etudes cliniques sur l'hystéro-épilepsie ou grande lzys- térie,
randi (traitement de l'éclamp- sie par le), par Hunt, 620. Leçons cliniques de Bail, 1 ? de .tagnon, Voisin, 617. Législa
ns cas de céphalalgie réflexes, par Read, 616. Lypémanie (étude clinique sur la), par Mabille, 148. Lypémanie, par ill
âniennes du pont de Varole (syphilis), par Stenger, 588 ; (leçons cliniques sur les), par B. Bramwell, SS9. Ursulines (Ep
54 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ille, nous le louons surtout de la peine qu'il a prise de visiter une clinique de l'hypnotisme avant d'en parler et de ne pas av
la Salpêtriere. — Le docteur Augnite VoUin reprendra ses conférence* clinique », »ur les maladie» mentale» et nerveuse», le dima
lon fait ton» Ici samedis, de 10 heur» à 11 heure» i,ï do matin, à la clinique de» maladie» nerveuse». 55. rue Seint-André-de*-A
55. rue Seint-André-de*-Art*, une leçon pratique sur le» applications clinique » et medieo-leg.les de l'bypaoti»»-*. Ce» leçon» s
ion psychique de la suggestion. Hier encore, dans une de ses leçons cliniques , M. Bernheim ne démontrait-il pas victorieusement
STOIRE ET DANS LE PRÉSENT Par le Docteur E. REGIS. Ancien chef de clinique de la Faculté, Médecin de la Maison de Santé de
ées anthropologiques de la nouvelle école, soit au point de vue de la clinique proprement dite Anthropologiquement, cette étud
logique pour être tout à fait exacte et c'est ici. comme ailleurs, la clinique seule qui offre le véritable terrain d'appui. En
in pied: mais la plupart n'attendent (1) Dr A. Journire, Recherches cliniques sur le délire hypoconériaque, p. 19. Thèse. Paris
ON Depuis quelques mois nous avons eu l'occasion d'observer à notre clinique un assez grand nombre de malades chez lesquels le
inuant l'étude de ces monomanics. comme on les (1) Leçon faite à la clinique des maladies neveuse ,rue Saint-André-des-Arts,55
suivre.) REVUE CRITIQUE LA FOLIE A PARIS (1) Etude statistique, clinique et médico-légrale Par le Docteur Paul garnier
es d'aliénation, le Dr P. Garnier groupe un grand nombre de documents cliniques choisis avec le plus grand soin et marqués de par
ologiques fort remarquables. Poursuivant ses études et observations cliniques , l'auteur démontre que la sphère génitale n'échap
gal les questions consacrées dans la deuxième partie à la description clinique . Sans vouloir faire autre chose que d'eflleurer
. Pour I'ovate. Jet sciences. Parit. 1&s9. FAHZI (E.), (aide de clinique de M. le profe*seur Monelli) : Ricerche termo-ele
ins exclusifs que le professeur de Vienne, nous pensons, nous, que la clinique et l'anatomie pathologique doivent se prêter un m
atteinte de syringomyélie nettement caractérisée se présente á notre clinique . Entre autres symptômes, elle accuse depuis deux
domine tout. L'alcool crée la tendance dipsoma- 1. Leçon faite à la clinique des maladies, nerveuses, rue Saint-André des Ars,
éveil. Depuis lors, elle a été hypnotisée à plusieurs reprises â la clinique . Sons l'influence des suggestions son état nerv
tes ces manifestations variées qui font autant d'espèces d epilepsies cliniques . M. Feré n'en a pas. pour cela, négligé cet aut
vre une description très complète et détaillée des différentes formes cliniques du syndrome épileptique. Ce syndrome se présent
és du syndrome épileptique convulsif ordinaire. Toutes ces variétés cliniques dont la symptomatologie apparente est Si diverse,
sorlissent à l'hystérie. Cette année, une série de leçons faites â la clinique de Montpellier par le professeur Grasset (2) sur
oslic. Au lit de chacun de ses deux mala-des, le savant professeur de Clinique médicale de Montpellier, s'y est évertué. Chez
t à la genèse de l'hystérie. Revenons seulement aux deux observations cliniques sur lesquelles repose l'expose des vues générales
ris). -- Il est parmi les diverses psychoses systématisées une espèce clinique qui, par sa nature, son début, son évolution et s
es variétés, nous devons, pour nous conformer aux enseignements de la clinique , proposer la division suivante : Astasie- abast
idérables qui existent entre ces deux moda- lités au point de rue clinique pur. je me contenterai de faire observer au point
e le compte-rendu des résultats obtenus par eux. de 1887 à 1889. à la Clinique de psychothérapie suggestive d'Amsterdam. Leurs s
nal reposent sur des observations personnelles recueillies dans notre Clinique des maladies nerveuses uniquement consacrée â la
Âgée de vingt-quatre ans. demoiselle de magasin, est envoyée à notre clinique , le 20 mars 1890, par le docteur Dubousquet-Labor
spasme hystérique Mlle D..., âgée de vingt ans. se présente à noire clinique le 26 mars 1889, Elle y est adressée par le docte
ns succès, un grand nombre de traitements. Lorsqu'elle vient à la clinique , outre son blépharospasme hystérique dont le débu
ingomyélie Mlle Sch.... âgée de 24 ans. brocheuse, se présente à la clinique le 24 février 1882, pour y être traitée d'une atr
ctuelle a frappé d étonnement les médecins qui nous assistent à notre clinique . Il importe de noter que le vitíligo a disparu
ois séances de suggestion. Chez un malade de 18 ans, adressée a notre clinique par le Dr Moutie de Paris, l'incontiuence cédait
PITRES '(de Bordeaux) Leçon recueillie par M. Dr Emile Bilot, chef de clinique .(1) Un évènement tragique s'est produit tout de
rs, ce que nous enseigne sur ce point l'observation directe des faits cliniques . II 8ur les cent malades dont nous avons recu
eux contre laquelle témoignent à la fois le bon sens et l'observation clinique . Les hystériques sont très souvent mobiles, fanta
ant oublia d'appuyer ses arguments sur quelques faits ou observations cliniques . Il faisait ainsi la part belle et rendait la v
ter à une crise d'hystérie. Les médecins qui suivent assidûment notre clinique , où un nombre relativement considérable de malade
rté par plusieurs des médecins les plus compétents. 6e plus, dans une clinique ou les malades sont soumis a l'examen d'un certai
soit cre: un asile spécial pour es aliénés criminels. » NOUVELLES CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES, 55. Rue Saint André dis A
llion commencera le samedi 25 octobre à 16 h. 1/2 une série de leçon» cliniques sur applications de 'l'hypnotisme et de la sugg
s continuera les. Samedis suivants à la même heure. On s'inscrit à la clinique , 55 rue St André des Arts. Les consultations gr
s envoyons cette lettre â tous ceux de nos confrères qui ont suivi la clinique de Nancy, bien persuadés qu'ils accueilleront ave
és ultérieurement dans ces deux catégories. La première observation clinique détaillée qui rentre sans conteste dans le délire
qui démontrent nettement, une fois de plus. la complète indépendance clinique de la folie du doute et du délire du toucher. L
uni sous la rubrique Zwangsvorstellungen une vrai macédoine de formes cliniques , voudrait qu'on en sortit la folie du doute (das
t dans une série d'études très remar-ejoable. (i) Les diverses formes cliniques des obsessions et des impulsions décrites par les
n distinctes. Et Falret ajoute qu'il faut admettre, comme une variété clinique , méritant une descrip, cription à part, la folie
même plus loin et nous demanderons que l'on sépare, en deux variétés cliniques distinctes, la folie du doute et le délire du tou
ni versilo de Turin a. celle de Gènes, et qui occupe les chaires de clinique des maladies mentales et d'anthropologie, accueil
ce, ils sodi toujours instructifs à rappeler. 1 NOUVELLES Cours — CLINIQUES DES MALADIES DU SYSTÉME NERVEUX. —M. le professeu
frères qui depuis plusieurs années m'ont i";dt l'honneur de suivre ma clinique . Si vous avez vu un Seul fait qui atteste un inco
à la suggestion ce qui est dû à l'inncité. c'est commettre une erreur clinique contre laquelle proteste ma longue expérience. Pa
estination et les autres au déterminisme (l) Leçons professées à la clinique des maladies nerveuses, 55, rue Saint-André-des A
oureusement à la réalité. Dernièrement encore, dans une de ses leçons cliniques de la Salpêtrière. M. Charot avait l'occasion" de
eut être que M. Magnan ne parait disposé à l'accorder, comme variétés cliniques , dans la folie des dégénérés héréditaires. Les ob
convient, dès lors, â mon avis, de leur conserver, au point de vue clinique , une importance qui n'est pas suffisamment reconn
ême heure. Cours libres — Psychiatrie et neurologie. — applications cliniques de l'hypnotisme. docteur BÉRILLON. — Le samedi à
cliniques de l'hypnotisme. docteur BÉRILLON. — Le samedi à 10 heures ( clinique des maladies nerveuses, 55 rue st André des Arts.
n cette occurence, la nécessité de livrer la bataille. Sur le terrain clinique et thérapeutique, clic a gardé ses positions. Ell
éfère m'arréter et laisser 1 qui de droit le soin de tirer, des faits cliniques sur lesquels je viens d'appeler votre attention,
polémiques odieuses. C'est un traité à la fois théorique. pratique et clinique . On y trouve l'explication des phénomènes, l'indi
r les produire, et la relation détaillée de plus de cent observations cliniques , véritable trésor. Je n'en dirai mot. A chacun pr
rères qui, depuis plusieurs années, m'ont fait l'honneur de suivre ma clinique . Si vous avez un seul fait qui atteste un inconve
à la suggestion ce qui est du à l'innéité, c'est commettre une erreur clinique contre laquelle proteste ma longue expérience. Pa
nous avions eu à préciser an point de vue scientifique les caractère* cliniques dn sommeil provoqué chez Gabrielle Bompard, de no
bien graves, et notre très distingue collègue de la Revue générale de clinique et de thérapeutique appuie sur de nombreux argume
Russie, en Autriche el partout ailleurs, choix des chefs ou aides de clinique (docteurs en médecine) par les chefs de service.
x, l'anatomie pathologique, la bactériologie, la pro-pédeutique el la clinique , la thérapeutique expérimentale et clinique, etc.
, la pro-pédeutique el la clinique, la thérapeutique expérimentale et clinique , etc. 4° Rerutement des médecins, chirurgiens e
ient se consacrer a renseignement, et utiliser les énormes ressources clinique » mises à leur disposition Ainsi, la médecine prat
ra les jeudis suivants, à la même heure. Hôpital Saint-Antoine. — Clinique médicale.— M. le Dr Brissaud. Conférences cliniqu
l Saint-Antoine. — Clinique médicale.— M. le Dr Brissaud. Conférences cliniques tous les mercredis, à neuf heures trois quarts.
ois quarts. Cours libre.— Psychiatrie et Neurologîe. — Applications cliniques de l'hypnotisme. — M. le Dr Bérillon. — Le same
es de l'hypnotisme. — M. le Dr Bérillon. — Le samedi, à dix heures ( Clinique des maladies nerveuses, 55, rue Saint-André-des-A
se fait fort de suggestionner les 9/10 des malades de son service de clinique (2) : tuberculeux, brightiques, rhumatisants, etc
8° 1801, passim et particulièrement Leçon IX. (2) M. Bitot, chef de clinique de M. le prof. Pitres, de Bordeaux, écrit (Note s
et Potain. qui ont leur service à l'hôpital à titre de professeur de clinique à la Faculté, conserveront ce service tant qu'ils
né en 1828, et M. Le Fort, né en 1829, étant tous deux professeurs de clinique à la Faculté, peuvent garder leurs services penda
nt intenter une action contre le Dr Carlier. BIBLIOGRAPHIE Études cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. — Les Ali
et la médecine légale des aliénés. Le premier volume, consacré à la clinique , renferme les articles suivants : Principes à sui
un état pathologique provoqué; 2° Qu'aux points de vue chimique et clinique , l'hypnotisme et l'hystérie ont de nombreux liens
ations instinctives qui livrent l'homme, (1) Leçons professées a la Clinique des maladies nerveuses, 55, rue Saim-André-dcs-Ar
iquement établis jusqu'à ce jour. A tous ceux qui voudront visiter ma clinique , je m'engage à démontrer expérimentalement la vér
nus d'étudier les malfaiteurs dans les prisons, transformées ainsi en cliniques de criminologie. C'est le vœu de M. Lacassagne et
de Paris, a fait à l'Hospice des Enfants assistés, dans le service de clinique de M. le professeur Grancher, une leçon sor les a
es suivantes: Psychologie physiologique et pathologique. Applications cliniques de l' Hypnotisme. Le Dr Bérillon commencera ce
médecin adjoint de l'asile de Bailleul. Hospice de la Salêtrière. — Clinique de» maledite nerveuses : N. Charcot, mardi, à 9
es mouvements du bras, M. Von Winivarter, mon collègue, professeur de clinique chirurgicale, le lui (I) G. Chaigneau. — Etude
ue j'ai constatés à Nancy, chez le docteur Bernheim, el à Paris, à la clinique du docteur Bérillon. J'ai choisi quelques-uns de
t de les renier, au moins en thèse générale. Nous voici à la partie clinique proprement dite, la symptomatologie et le diagnos
ur étude. Cest de cette série de symptômes et de leurs combinaisons cliniques variées que vient la diversité des formes cliniqu
eurs combinaisons cliniques variées que vient la diversité des formes cliniques de la neurasthénie qui constituent la forme céréb
et suivant: Psychologie physiologique et pathologique. — Applications cliniques de l'hypnotisme. Il continuera le cours les samed
heures à midi. Les médecins et les élèves régulièrement inscrits à la clinique j sont exercés à la pratique de l'hypnotisme et d
4, rue Antoine-Dubois. Paris, 1891. Radziszewski (D* S.). — Études Cliniques et Bactériologiques, in-S", 66 pages. — Olller-He
e n'est que cela, et ceux-là qui voudront suivre quelques jours notre clinique , en seront vite convaincus. Beaucoup de médecin
prend à devenir maître du sujet. En procédant ainsi, j'arrive, à ma clinique , à hypnotiser presque tous les malades, indiffére
gorie que nous voulons étudier. M. Magnan a insisté dans ses leçons cliniques sur les troubles fonctionnels relevant de la désé
it-il pas qu'on lui demande de jouer une (1) Leçon» professée* à la Clinique de» maladies nerveascs, 55. rue Saint-André-de»-A
le professeur Chabcot (1). M. le professeur Charcot a examiné à sa clinique deux malades extrêmement intéressantes au point d
t suivant : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications cliniques de l'hypnotisme. La leçon du mardi 19 mai sera
n commencera, le dimanche 24 mai, à 9 heures 1/2, une série de leçons clinique * sur les Maladies mentales. — 11 continuera son c
l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales. Clinique de psyco-THerapeutihique suggestive de Bruxelles.
ve de Bruxelles. — M. le Dr Peelers vient de fonder, â Bruxelles, une clinique destinée anx applications cliniques de la suggest
vient de fonder, â Bruxelles, une clinique destinée anx applications cliniques de la suggestion hypnotique. Ecole paratique de
herches expérimentales sur l'hypnotisme et à l'étude des applications cliniques de cette science. — Des consultations gratuite; o
heures à midi. Les médecins et tes élèves régulièrement inscrits à la Clinique y sont exercés à la pratique de l'hypnotisme et d
tention de prendre un repos bien mérité et de fermer, cette année, la clinique de psychothérapie où tant de praticiens sont venu
e reconnaissance. L'appel adressé aux médecins qui avaient suivi la clinique de M. Liébeault était signé par plusieurs de nos
ans la matinée, ils ont assisté à l'hôpital civil, dans le service de clinique de la Faculté, à une démonstration des doctrines
de Malines. — Dr Bartholeme, de Liège. — Dr Peeters, directeur de la Clinique psycho-thérapique de Bruxelles. Brésil : Dr Joa
O'Turreil, de Dublin. Hollande : Dr Van Renterghem, directeur de la Clinique psycho-thérapique d'Amsterdam. — Dr Van Eeden, d'
omnambulique provoqué. Le traité : De la Suggestion, du professeur de clinique médicale de Nancy; ses savantes : Leçon* clinique
n, du professeur de clinique médicale de Nancy; ses savantes : Leçon* cliniques sur ta psychothérapie, ont vulgarisé la doctrine
de la première heure qui — soit en expérimentant, soil en ouvrant des cliniques de thérapeutique suggestive, ainsi que l'a fait M
x, etc., etc. L'examen de la vision, pratiqué par le Dr Kalt, chef de clinique de la Faculté, fait constater une amblyopie due à
t intellectuel, culte idéal, exagéré, où n'entre (1) Maosax. Leçon* clinique * sur le délire chronique à étolulion systématique
troubles, et de ne pas confondre sous un même nom des malades que la Clinique nous montre foncièrement dissemblables. De cett
M. Auguste Voisin a consacre La seconde partie de sa première leçon clinique à l'étudo expérimentale des suggestions criminell
mencé le dimanche 31 mai, à neuf heures et demie, une série de leçons cliniques sur les Maladies mentales. — Il continuera son co
l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales. Clinique db psycho-thbbapectiqub suggestive db Bruxelles.
les. Clinique db psycho-thbbapectiqub suggestive db Bruxelles. — La clinique dirigée par M. le Dr Peelers est destinée aux app
a clinique dirigée par M. le Dr Peelers est destinée aux applications cliniques de la suggestion hypnotique. Clinique db psycho
st destinée aux applications cliniques de la suggestion hypnotique. Clinique db psycho-thbrapbutiqub suggestive d'Amsterdam. —
ique. Clinique db psycho-thbrapbutiqub suggestive d'Amsterdam. — La clinique d'Amsterdam, dirigée par Mil. les Drt Van Renterg
herches expérimentales sur l'hypnotisme et à l'étude des applications cliniques de cette science. — Des consultations gratuites o
heures à midi. Les médecins et les élèves régulièrement inscrits à la clinique y sont exercés à la pratique de l'hypnotisme et d
naturel, avec pre- diction et lucidité, par A. Forel, 359. Études cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, 254. Ex
r l'hypnotisme, par Bugney, 180. Folie à Paris : étude statistique, clinique et médico-légale, par Paul Garnie r, 52. Folie
55 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
le prof. Brissaud (et sans en tout cas la né- gliger) les variétés cliniques de l'infantilisme. 30 MAGALHAES LEMOS par l'â
que des dégénérés. J'ai émis cette opinion en l'étayant sur un cas clinique que je crois assez démonstratif, et j'ai été he
; et il y a lieu d'en prendre note dans l'ex- plication du tableau clinique que le gigantisme présente dans chaque cas part
énérale. Nous avons eu l'occasion d'étudier, au double point de vue clinique et anatomo-pathologique, plusieurs cas (l'ostéo
UTION A L'ÉTUDE DE L'OSTÉOMALACIE 47 Moebius (6) cite l'observation clinique d'une femme de 48 ans ayant eu 4 grossesses et
oint de vue de l'état du corps thyroïde, 33 cas d'ostéomalacie à la Clinique du Professeur llofmeier (il Wurzburg), et voici
réactions de la moelle osseuse dans les différentes modifi- cations cliniques ou expérimentales de l'équilibre endocrinique.
oïdectomisés. D'autres auteurs tels que Rise) (160) au point de vue clinique , Mac Callum et Voegtelin, Frouin (161) ont conf
lus- sation der Bande nach vorne. 2. 1)upuytre\. Leçons orales de clinique chirurgicale, t. I, p. 164, Paris, 1832. 3. Mu.
èse de Paris, 1904, n- 425. 23. I)EI.13FT. Carpus curvus, Leçons de clinique chirurgicale, Paris, 1899, p. 161. 24. JACOULET
ue nous avons observé nous-mème à l'hôpital de S.-Spirito. Histoire clinique . Antonio Caso, âgé de trente ans, né à Sinescola
a observée qu'une seule fois sur 10.000 malades des hôpitaux et des cliniques , et Fort éga- lement une seule fois sur ' ! 1..
résentations de malades à la Société de Psychiatrie et à la Societé clinique de Médecine mentale. Nous avons eu l'occasion d
critique de la Presbyophrénie, Avant d'envisager les applications cliniques de cette conception noso- logique nouvelle, il
t qu'en psychiatrie, on ne peut établir de rapport entre le tableau clinique et l'étiologie, que dans les cas où des formes
le tableau clinique et l'étiologie, que dans les cas où des formes cliniques bien nettes se manifestent couramment à la suite
te du fait que nous pouvons rencontrer exac- tement le même tableau clinique , sans polynévrite. Un cas de ce genre m'est rap
des psy- choses symptomatiques ou d'inanition, présente un tableau clinique analogue à celui de la psycho-polynévrite ; mai
que, relève de cette étiologie. Vous vous souve- nez que ce tableau clinique , dans ses traits importants, ressemble à celui de
la sénilité; il lui assigne, comme à une entité morbide, des formes cliniques , une évolution propre et un diagnos- tic différ
ion, et de la mé- moire en général. « Nous désignerons ce tableau clinique très particulier, sous le nom de pres- ,hyopUré
disparaître et, par le retour de la lucidité, reproduire le tableau clinique antérieur. «D'autre part,dans la presbyophrénie
ce simple et stupide. « De temps il autre, on voit aussi le tableau clinique de la presbyophrénie durer des années, à peu pr
et de Kraepelin sur la Presbyophrénie. Kraepelin, dans le tableau clinique qu'il trace de la Presbyophrénie, isole donc, p
byophrénie, pour Kraepe- lin, n'est plus, semble-t-il, qu'une forme clinique de la démence sénile, non une affection autonom
es élèves, ont, à leur tour, insisté sur la confor- mité du tableau clinique de la Presbyophrénie avec la symptomatologie de
auteurs,se présente fréquemment, mais non toujours, comme une forme clinique de la psychose de Korsakoff, et, en règle géné-
association morbide est d'ailleurs conforme aux enseignements de la clinique qui démontre les grandes analogies qui existent e
(2) offre, avec le syndrome psycbopotynévritique, les ressemblances cliniques les plus frappantes : amnésie continue, désorient
sénile sont, l'une et l'autre, susceptibles de réaliser le tableau clinique de la Presbyophrénie. Voilà donc la synthèse no
ne entité morbide, a été considérée, tour à à lour, comme une forme clinique de la démence sénile ou de la psychose de Korsa
, et permettant de l'isoler comme « une affection cérébrale au sens clinique et anatomique », ces sphu;rolrichi auraient été
de l'expérience, tombent et dispa- raissent. Par contre, les faits cliniques communs aux diverses descriptions se dégagent e
prétendent plus, semble-t-il, qu'à décrire les lésions d'une forme clinique et non d'une entité morbide. La conception de
tité morbide. La conception de Kraepelin, la Presbyophrénie forme clinique delà dé- mence sénile, réunit, en Allemagne et
tainement heureuse, et relativement originale, à l'étude des formes cliniques de la démence sénile. Celte conception est, en
Au lieu de restreindre le diagnostic de Presbyophrénie, à une forme clinique de la démence sénile, on peut observer au contr
rsakoff, par exemple, que dans la démence sénile ; et si le tableau clinique d'ensemble est différent, dans les deux affection
r trop vite, et comme de parti pris, le tableau morbide à une forme clinique de la démence sénile. Transformée en syndrome,
thologique d'une entité morbide esl possible, si celle d'une forme clinique , quelque différenciée soit-elle, est très conte
byophrénie doit, logiquement, perdre son nom ; en effet, le tableau clinique , n'étant plus spécial à une variété de démence
Camus) (1). Mais la notion de syndrome une fois dégagée, l'analyse clinique peut être poussée encore plus loin et s'appliqu
on et de la confabulation, et de préciser les différentes modalités cliniques de celle confabulation. L'amnésie de fixation e
Discussion de la communication de MM. Brissot et Hamel. Société de clinique mentale, 18 juillet 1910. O. (2) Trenel et LI8E
enel et LI8EIIT, Paralysie générale sénile el piesbyophrénie. Société clinique de médecine mentale, 18 juillet 1910. (3) Kli
sent. Cette désorientation allopsychique peut être le seul résultat clinique de l'amnésie de fixation. Les cas sont fréquent
ctivité mythique du sujet. Pour préciser davantage les conditions cliniques de la fabulation, il y a intérêt, croyons-nous,
chez les amnésiques de fixation, essayons d'analyser les modalités cliniques par- ticulières de cette fabulation ; tâchons d
ence (entre 30 et 40 ans). Dans d'autres cas, on observe le tableau clinique du Puérilisme, décrit par Dupré (1) et qui se r
constitutionnel. De l'analyse de nos observations, un dernier fait clinique se dégage : c'est la croyance presque constante
à réaliser sesassociations d'idées. El, dès lors, la signification clinique du syndrome se trouve précisée. Le sujet 1 est
t électivemeut sur la mémoire et l'imagination. Cette signification clinique est d'autant plus intéressante que l'apparente
« presbyophrénique » dans son mécanisme psychologique, ses variétés cliniques ou ses conséquences médico-légales, son princip
sensibilité objective. En se basant exclusivement sur des symptômes cliniques et sur l'évolu- tion de la maladie, M. P. Marie
la publication du premier article de M. P. Marie, les observations cliniques ont été nombreuses, mais les au- topsies, par c
e et dans la jambe droite. S'est fait traiter pendant l'an 1903 à la clinique privée du Dr Kourdumoil à Moscou. Il est malade
l'immobilité du dos. La malade est morte le 14 mai 1905. Diagnostic clinique : tabes dorsalis, spondylose rhizomélique. L'hi
ler mars 1909. Il séjourna à l'hôpital pendant 29 jours. Diagnostic clinique : Spondylose rhizomélique. Tuberculosis pulmonum.
l. 1. Observation XVI. A. S..., 19ans,élëvedecollège,admisdaus la clinique privée du Dr Kotirdumoff le 19 mars 1902. Le ma
rapport réciproque de ces deux symptômes constitue tout le tableau clinique de la maladie. 7° Le début de la maladie peut ê
ure de ces dernières. Dans toutes les autres observations, l'examen clinique n'a permis de déceler aucune exostose. 20° No
toutes les autres observations, le système nerveux, au point de vue clinique et anatomique, ne présente aucun trouble objectif
nte à plusieurs points de vue ; il s'agit d'un des malades de notre clinique , chez qui nous avons observé une arthropathie d
ÉE 141 pelle, à Page de 48 ans. Trois mois avant son entrée à notre clinique , étant allé, comme d'ordinaire, s'asseoir à un
ant ce temps, ne s'est pas élevée à plus de 37 5. Il est entré à la clinique le 9 avril 1910, avec 38°, pouls 115, et un étal
sur les principaux organes eL sur le système nerveux. L'observation clinique de celle malade a été publiée ici même par M. P
morragies pourraient expliquer les variations rapides des symptômes cliniques . On distingue, dans le tableau clinique de l'ap
ions rapides des symptômes cliniques. On distingue, dans le tableau clinique de l'apoplexie, les symptômes initiaux des rési
rd la paralysie fut si forte qu'elle domina complètement le tableau clinique . On sait que l'on a déjà cherché à expliquer le
RATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 1 si 1 notre observation X qui se rend en clinique hémiplégique et à peu près aveugle. Pourtant ce
point de vue médical, car il renferme une foule de rensei- gnements cliniques et thérapeutiques. Il ne peut, à noire avis, avoi
onne pour la vérole une liste de synonymes qui n'ont point cours en clinique (4) et dont un. petit nombre se trouvent aussi
me âge. ' J'ai eu l'occasion d'en observer deux cas dont l'histoire clinique est obscure et présente des lacunes. Ce sont de
urquoi la plupart d'entre eux ne ne sont manifestés par aucun signe clinique appréciable et ont permis une longue survie.
de tendance a envahir les espaces sous-arachnoïdiens. L'histoire clinique est très obscure. Le diagnostic n'a pas été fait
e BOVERI, Pnvat-docent à la Faculté de Médecine de Pavie. Chef de Clinique On sait que la syringomyélie est, parmi les mal
ble de noter la grande variété de ces troubles dans leur expression clinique . La main type Morvan, la main chéiromégalique d
ait été placé, et voici les notes prises au moment où il était à la clinique . 2o juillet 1891. Renseignements fournis par le
ttitudes cataleptiques. (1) Quelques jours avant son entrée dans la clinique Charcot, il avait manifesté à un premier examen
tienté. Ne pa- rait pas halluciné. Fin septembre 1891. Sort de la clinique Charcot. 25 mars 1892. - Après avoir travaillé
uel, il ne semble pas qu'il puisse y avoir d'hésitation. Le tableau clinique , dans son ensemble, est très caractéris- tique
t se rencontrer dans des affections mentales diverses.C'est un fait clinique sur lequel nous avons insisté il y a déjà plus
ait particulier, comme d'ailleurs les détails principaux du tableau clinique , se retrouvaient, depuis le début de la maladie
ntrent aussi toute la complexité de cette ques- tion de nosographie clinique . Ce sont ces considérations qui ont amené certa
és rappelle beaucoup nos propres observations. Ce sont là des faits cliniques dont il importe de tenir compte ; car ils peuve
lonne vertébrale. Sur le tableau ci-après sont réunies les variétés cliniques les plus proches de la spondylose rhizomélique.
forme dernière avec celle de la spondylose rhizomélique. Les signes cliniques différentiels sont : l'aplatissement de la lord
liférante. Lipome arborescent;. Ces déformations, au point t de vue clinique , produisent tout un ensemble de symptômes : une i
Spondylose myopathique. - Le professeur Senator et Cassirer, de la clinique d'Oppenheim de Berlin ont décrit des cas d'immobi
l satisfaisant. Tous ces symptômes, bien que constituant un tableau clinique particulier, rappellent de très près la formed'
t-être, pourront être utiles, à ceux qui aborderont ces pro- blèmes cliniques : Voici notre observation : 314 MOSSÉ Obser
s diverses affections. Il semble donc qu'il représente une modalité clinique atypique qui reste encore à préciser et à classer
d'un classement et d'une interprétation difficiles au point de vue clinique comme au point de vue pathogénique. Il y aurait
! part à : cause de la description souvent insuffisante de la forme clinique de la maladie. C'est la psychose maniaque dépre
se (le Paris, 1908. 10. GRAGE. Münch. Med. Woch., 1905. '1 ri CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES DE ROMPE Directeur : Pro
G. FUMAROLA Assistant. t. Dans la salle de visite annexée à la clinique des maladies nerveuses dont le directeur est le
éristiques spéciales qui méritent d'être mises en lumière. Histoire clinique . E. Attilio, âgé de 27 ans, cordonnier. Il a son
é de Babinski-Jarkowski. LE MECANISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE ÉTUDE CLINIQUE P\R NOICA (de llllC31'csl). Il nous sembl
imiter le terrain des recherches aux troubles que l'on a décrits en clinique sous ce nom ; car, si nous avons l'intention d'
it-il, à l'expérimentation électro-physiologique et à l'observation clinique , arrivait à cette conclusion que généralement, po
ste avec une corser- vation de la force musculaire, (A suivre), CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES DE L'UNiVERSiTÉ DE MOSCOU
euré en observation pendant de longues années dans le service de la Clinique des maladies nerveuses de l'Université de Moscou.
inale. Le tableau anatomique correspondant à une telle complication clinique se montra, comme on s'y attendait, extrêmement
cription systématique et complète du cas considéré au point de vue clinique et au point de vue anatomique. Je n'envisagerai q
alade remplit à elle seule plusieurs cahiers d'obser- vations de la Clinique ; le professeur Roth et plusieurs de ses assistan
atrophies de la moelle et de l'encéphale ; à plus forte raison, la clinique serait-elle incapable de grouper un syndrome quel
ACULTÉ DE MÉDECINE DE LYON UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE (ÉTUDE CLINIQUE ET radiographique), 1 PAR J. REBATTU, Che
(ÉTUDE CLINIQUE ET radiographique), 1 PAR J. REBATTU, Chef de clinique médicale adjoint à la Faculté de Lyon. Depuis q
GIQUE ? PAR ' J. EUZIÈRE et J. DELMAS Professeur agrégé Chef de clinique à la Faculté de médecine de Montpellier. Le p
ue son instruction et son état de fesseur Vires, chargé du cours de clinique ; nous remercions ce dernier d'avoir bien voulu
ÉGRESSIF OU TARDIF PAR Victor CORDIER et Jean REBATTU Cller. de Clinique adjointe a la Faculté de médecine de Lyon. I. H
oedème. Enfin ils esti- maient que l'édification d'une telle entité clinique était prématurée, et que, plus sagement, on pou
e de l'infan-. tilisme de Gandy. Nous croyons à son individualité clinique , et nous tenterons d'en déga- ger les symptômes
en particulier celle de Karakascheff qui ne com- porte aucune étude clinique , mais simplement des résultats d'autopsie. Enfi
réent pas de troubles comparables. Bref, ni l'expérimentation ni la clinique ne nous fournissent d'élé- ments assez probants
ations thyroïdiennes. 111. Diagnostic. Reste à situer ce syndrome clinique , à déterminer sa place au milieu des types anal
quer le fémi- nisme des castrés. IV. Pathogénie. La description clinique , la classification et la dénomination même du s
u contraire, l'infantilisme régressif a véritablement une autonomie clinique , s'il mérite d'être isolé de la famille des « syn
rement, et dans lesquels aucun symptôme saillant ne domine la scène clinique et ne lui imprime une allure particulière. An
anger dans ce groupe si compréhen- sif, des syndromes d'une netteté clinique incontestable, sous le prétexte qu'à l'autopsie
la surrénale, de l'hypophyse, qui, tout en modifiant un peu le type clinique , doivent le faire rentrer dans le gi- ron des s
à une interprétation pathogénique et nullement à une descrip- tion clinique . D. Le second point à débattre est le suivant :
l d'une dysor- chidie ou d'une dysthyroïdie ? L'étude anatomique et clinique nous a en effet permis de mettre au premier pla
ression des érections et l'atrophie testiculaire ouvrirent la scène clinique dans le cas de Sainton et Dupré. La lésion tes-
embres, une légère infériorité intellectuelle et morale. Le tableau clinique ne rappelle en rien celui de l'infantilisme myxcc
i d'après une vingtaine d'observations complètes. Au point de vue clinique , cet infantilisme régressif ou de Gandy appa- r
ituée que par un protocole d'autopsie et ne comporte pas d'histoire clinique . Quant aux autres, nous les avons résumées, 'et
tomatique : ainsi l'on pourra mieux comparer entre eux les tableaux cliniques relatés par les auteurs, retrouver plus facilem
e à l'Hôtel-Dieu dans le service du professeur Courmont, enfin à la clinique médicale du professeur Roque. Cinq frères et so
rmal. Pas de dyschromatopsie (Examen obligeant du Dr Genet, chef de clinique oph- talmologique). 1 - Urines sans sucre ni
Lyon Médical, 1°r janvier 1911. Cordier et Rebattu. De l'autonomie clinique de l'infantilisme régressif. Congrès français d
ves internationales de chirurgie, 1903, p. 81. Dupré Les caractères cliniques de l'insuffisance tesaculuire. Thèse de Paris, 19
NDULAIRE INTERNE TI1YR0-TESTICUL0- SURRÉNALE NOUVELLE OBSERVATION CLINIQUE ET ANATOMIQUE. Par MM, Ii. GOUGEROT et A. GY
OMIQUE. Par MM, Ii. GOUGEROT et A. GY Professeur agrégé Chef de clinique à la Faculté de Médecine de Paris. Le syndrom
erot en 1907 et il servit àces auteurs pour donner la démonstration clinique et anatomique de l'existence des syndromes d'in
aire interne (endocrinienne), il faut comprendre tous les syndromes cliniques dus à l'insuffisance asso- ciée de plusieurs gl
lésion de chacune d'elles » (clade et Gougerot). La démonstration clinique et anatomique de cetteconception a été donnée p
athologie générale »en mai 1908. « Le premier détaillait l'histoire clinique de ce syndrome, et insistait sur la multiplicit
Insut finance ]1l", {glandulaire endocrinienne. Individualisa- tion clinique -.la, mémoire) : Confirmation analomique des fait
a- tion clinique -.la, mémoire) : Confirmation analomique des faits cliniques : observations anatomique et Itis/uloyi'lue 2'
le malade avait le même habitus, le même faciès ; les ressemblances cliniques sont si frappantes qu'on pourrait confondre les
ont donné la preuve anatomo-clinique. Nouvelle OBSERVATION ANATI,fO clinique d'insuffisance PLURIGLANDULA1RE interne TLIYRUï
ncréas, du rein. L'observation est démonstrative, car l'observation clinique a été suivie de longs mois et l'autopsie a pu ê
autopsie pratiquée 28 heures après la mort confirme le dia- gnostic clinique en montrant des lésionsthyroïdiennes,testiculaire
yse... L'autopsie et l'examen histologique confirment le diagnostic clinique , les altérations pluriglandulaires étant plus mar
ulaires étant plus mar- quées encore que ne le laissait supposer la clinique . La pathogénie et l'étiologie de ce syndrome se
urréna 1 ; elle confirme entièrement nos conclusions de 1907 : « La clinique et l'a- natomie pathologique, disions-nous avec
luriglandulaire interne qui est pathogénique apparaît conforme à la clinique , à l'analomie pathologique, à la pathologie gén
hologie générale. « Telle est la conception qui se dégage des faits cliniques et anatom; - ques. « Avec la conception des i
êné par les interprétations pathogéni- ques, sans forcer les cadres cliniques , ni changer les définitions classiques des term
- gées : 1° L'anomalie doit-elle être considérée comme une entité clinique et pathologique sui generis ? 2° La microméli
r compte dans l'évaluation de l'incapacité professionnelle. Faits cliniques . Observation I (publiée dans la thèse de Sans)
e est complète, l'impotence est absolue. Nous portons le diagnostic clinique de luxation ancienne du semi-lunaire, diagnostic
t accord avec l'exa- men aux rayons X. * .... Dans ce cas, la clinique a réalisé une véritable expérience de labora- t
'attribuer à ces deux ordres de lésions une origine identique. La clinique , l'expérimentation, l'anatomie pathologique ayant
écanisme de l'ataxie. Malheureusement pour cette théorie, des faits cliniques sont survenus après et dernièrement c'est Egger q
56 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
coordonner les faits et à les développer à l'aide de mes documents cliniques , anatomiques et radiologiques, sans toutefois p
vaste. groupement des faits pathologiques qui constituent toute la clinique , je vais essayer de prendre des éléments différ
e soit donc permis de me borner à une simple exposition de synthèse clinique . Je me propose d'étudier ici le syndrome oxycép
ystro- phie lymphatique 1)olyylatîdztl(tire. On verra, par l'exposé clinique de tous les cas étudiés par moi, que dans le sy
pluriglandulaire. Il est curieux de voir à présent comment ce type clinique de l'oxycé- phalie, si étendu en réalité, est r
ans le tableau que nous désirons bien mettre en lumière, c'est à la clinique qu'il faut s'adresser si l'on veut reconstituer d
eurs alle- mands du nom de Thurmschædel ou crâne en tour. Ce type clinique , caractérisé par une lésion des nerfs optiques el
raité d'ophtalmologie de Graefe Soemisch, établir nettement le type clinique . En France et en Italie les premiers travaux pa
n relative de la vision dans l'oxycéphalie présente comme caractère clinique important qu'il est utile de bien retenir. Au p
é de Neurologie de Paris (1), sur des recherches radiographiques et cliniques que je poursuis depuis quelque temps sur l'o,Tycé
ital ophtalmologi- que de la Ville où le Dr Perrod, assistant de la clinique , fit un examen complet de l'acuité visuelle et
ino-pharynx pratiqué par le Profes- seur Gradenigo, Directeur de la Clinique otoiatrique de Turin : Nez. - Il existe un cert
ge et très courtoise qu'il m'a donnée en m'aidant dans mes recherches cliniques sur les aveugles de son service. , z 2 BERTOL
à l'hypertension cérébrale. Le Professeur Raymond, Directeur de la Clinique ophtalmique de Turin le vit à son tour en consult
isuelle. Voici les résultats de \ 'examen du rhinopharynx fait à la clinique otorhino- laryngologique de Turin : Nez : il
i, l'hydrocéphalie et l'oxycéphalie, tout en étant deux syn- dromes cliniques parfaitement différents, dépendent tous les deux
de prodromique d'hypertension endo-cranienne. En effet, l'évolution clinique de l'oxycéphalie est ahso- lument analogue à ce
e initiale. Les raisons qui m'ont conduit à celle constatation sont cliniques et ana- tomiques : Cliniquement j'ai constaté q
hitique, et non seulement ce fait est démontré par mes observations cliniques ou anatomiques, mais aussi par la tendance qu'il
parler du rachitisme. J'étais en train de rassembler mes documents cliniques et anatomiques sur cet argument, lorsque je pri
catégoriques, mais il a eu le mérite, à mon avis, d'aborder le côté clinique de la question, et il a constaté la dialhèse ra
nclut en disanl que, ni dans les commémoratifs. ni dans l'évolution clinique , on ne peut trouver aucune infection qui ait un
iathèse rachitique donc est constante dans \'oxycéphalie et ce fait clinique , joint aux considérations anatomiques que j'ai dé
t Goldstein, dans un travail intéressant (2), ont relaté l'histoire clinique de deux cas suivis d'autopsie chez lesquels l'h
inophiles et vaisseaux dilatés) pemet- taient de mettre le syndrome clinique sous la dépendance de l'altération hypophysaire
était très intéressant de contribuer à la compréhension de l'allure clinique de ce tableau morbide, il fallait relever comment
uel était très rétréci à l'oeil gauche (côté nasal). Les phénomènes cliniques que nous venons d'exposer nous ontconduit au di
n publiant ce cas, je me propose surtout de signaler la coexistence clinique de la neurofibromatose généralisée avec l'acromég
é des manifestations du processus dystro- phique. D'autre part la clinique a maintes fois démontré l'origine pluriglandu-
s deux cas précédents ajoutés à celui dont nous publions l'histoire clinique prouvent que, loin de constituer une éventualité
l'autopsie nous fournissait les pièces d'une tuberculose banale. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX DE L'HOP1TAL PA
rnie, qui n'est pas satisfai- sant, trouve cependant son utilité en clinique . Depuis quelques années, on tend à isoler du gr
ement à l'hôpital. Le malade accepte d'entrer dans le service de la clinique des maladies nerveuses de l'hôpital Pantélimon,
uant à s'aggraver, son père l'amène à Bucarest dans le ser- vice de clinique des maladies nerveuses, le 2 octobre 1910. Etat
différents processus pathologiques qui donnent naissance au tableau clinique d'une tumeur cérébrale, et nous nous limiterons
ie nerveuse, une oeuvre de syn- thèse qui tend à faire de ces types cliniques et des variétés intermédiaires les formes syndr
nsibilité, sans nystagmus ni déformations squelettiques. Discussion clinique . Il ne peut être ici question de tabès : outre qu
t, elles el les formes de transition qui les relient, des modalités cliniques d'un même processus nosologique inté- ressant l
ffisants dès presque la naissance. (TRAVAIL DU LABORATOIRE ET DE LA CLINIQUE DU PROFESSEUR ROCQUE A LYON.) DE LA CONSERVAT
UES TABÉTIQUES l'III MM. J. CHALIER, L. NOVÉ-JOSSERAND, chef de clinique . chef des travaux d'anatomie pathologique. C'es
ue considérable ; sa recherche n'est jamais négligée dans un examen clinique tant soit peu approfondi ; et l'on pourrait s'éto
ne s'avisait de remarquer qu'elle semble justifiée par l'expérience clinique . Celle-ci montre en effet que le signe de Westp
récocité du signe, Erb dit l'avoir trouvé dans des cas où le début ( clinique , sans doute) du Labes ne remontait pas à plus d
n qu'il se trouve des circonstances où nos moyens d'in- vestigation clinique ne nous donnent pas la mesure exacte, mais seule-
t leurs causes, ces lésions prennent part sans doute il ,1 la scène clinique . Mais dans quelle mesure ? Sont-elles nécessaires
de Sabbatsberg. et D' Harald FROEDERSTROM Chef de service à la clinique de psychiatrie de l'Asile de Konradsberg aocx
séparerait les lobes temporal et occipital. Tant par l'évolution clinique de la maladie que par la détermination approxim
ions de l'hémisphère intéressé. Cependant, le tableau des symptômes cliniques semble prouver que le processus des- tructeur a
DERSTROM L'examen des oreilles auquel s'est livré le Dr Boivie à la Clinique d'au- rologie de l'Hôpital de Sabbatsberg démon
qu'il s'agit de pertes de substance cérébrale réelles. L'expérience clinique tend prouver que dans ces cas l'alexie aussi es
tre a-t-elle ses racines dans sa naissance même ? III. - Histoire clinique . Hérédité. - Louis-Victor A..., a une hérédité
t. Nous nous contenterons d'ajouter qu'au cours de son séjour il la Clinique , le malade est devenu un peu plus calme. Touj
es,et la majorité des auteurs sont arrivés à s'entendre sur un type clinique défini. C'est un nanisme caractérisé par le racco
imaux (rhizoméliques) alors le tronc reste normal ; au point de vue clinique , par un trouble d'ossifica- tion enchondrale, u
genou. Il y a en outre des signes qui ne font pas partie du tableau clinique de l'acliondroplasie : l'absence de soudure des
RE BLANCHE ET MÉLANIQUE A TYPE « PIE » PAR Jean ANGLADA Chef de clinique médicale à l'Université de Montpellier. L'obser
s donnons ici deux photographies ne comportera pas déconsidérations cliniques très étendues. Cet homme fit t un séjour rapide
d'ensemble. Il ressemble étrangement à ces malades dont l'histoire clinique est publiée (dans la race noire) sous le titre
du malade ne nous l'a pas permis. Si l'on résume les particularités cliniques qui sont fournies par cet état pathologique on
lus exactement. Il est certain qu'il manque ici certains éléments cliniques et bactério- logiques nets pour prouver cette h
hée à une affection déterminée, tabès ignoré par exemple. Un examen clinique complet suffit ici à montrer l'ori- gine pathol
ectivité en est, au jour où elle est constatée, la seule expression clinique , soit que l'affection ait toujours été et doive
xe achilléen ou le réflexe rotulien. Dans quelques cas, uu examen clinique complet décèle une affection organique du systè
l'absence des réflexes acliilléens et rotuliens dans les cas où la clinique ne suffit pas à la révéler. Ces réflexes ne man
compte dans l'observation scientifique, l'expertise médicale, et la clinique . Après avoir constaté la nullité d'un réflexe e
il faut rechercher, par l'étude des antécé- dents et par un examen clinique complet, les causes possibles d'irréflec- tivit
'être préci- sés, nous les avons étudiés : ' Par l'examen direct, clinique . Par la radioscopie et la radiographie. Exame
'une petite quantité de liquide que nous avait déjà révélé l'examen clinique et une ponction explora- trice. L'autre répon
r davantage. Donc, en résumé, l'examen radioscopique comme l'examen clinique nous révèle une cage thomcique remontant jusqu'
as sur les lésions des organes qui con- firment pleinement l'examen clinique ,' ne voulant étudier que la disposition du sque
de nous demander si celle triade symptomatique, véritable syndrome clinique que l'on remarque quelquefois chez des su- jets
ol. de Paris, 1905. 9. R. Voisin, Macé DE LÉPINAY et Infroit. Etude clinique et radiographique d'un cas de dysostose cléido
e myxcedèma. Revue internationale de thérapeutique, 1908, et Leçons cliniques . 42. MARINESCO, PAR liON et l\hl'OEA, Contribut
nués de tout désir de se faire remarquer. Bien que les observations cliniques manquent complètement pour toute la durée de la
re les plus grandes différences qu'elles présentent au point de vue clinique ; seule- ment, le tableau des symptômes de l'un
ITIQUE (second cas SUIVI d'autopsie) PAR E. LONG. Observation clinique (1). Brandt Lucien, né en 1848, monteur de boit
lé- gers troubles parétiques de la main droite, relevés à l'examen clinique antérieur, se sont aggravés. L'opposition incom
ion graisseuse dans les muscles examinés. Résumé DE l'observation clinique . - Début de l'atrophie musculaire à l'âge de 53
ime abord difficile à classer. Elle se rapproche par ses caractères cliniques d'une série d'obser- vations attribuées à l'amy
sion duquel il existe un certain nom- bre de documents. DOCUMENTS cliniques Les mémoires de Charcot et Marie (1886), de Too
tents et d'inten- sité variable. Par droit de priorité, cette forme clinique est restée clas- sique et a sa place dans les o
rs le fait a été confirmé à plusieurs reprises. De ces observations cliniques la première, celle d'Eulenburg (début de l'atro
lus intéressanls encore que , parla juxtaposition de deux modalités cliniques dans une môme famille. Un des sujets est attein
a même époque, a été publiée dans la thèse de Ilânel (2) l'histoire clinique d'une famille présentant 22 cas d'atrophie muscul
log. Central- blatt, 1901, p. ' ! 73. 294 LONG Ces observations cliniques (1), et d'autres que nous retrouverons avec les
fin d'en déduire une formule anatomique correspon- dant à un groupe clinique nettement défini. Deux problèmes, notamment, on
s opinions très divergentes. Les lésions essentielles de ces formes cliniques sont-elles spinales ou périphériques ? Doit-on y
ow (2). - Cette observation ne comportait d'autres ren- seignements cliniques que ceux du caractère héréditaire de l'atrophie
t de faire des réserves sur la valeur globale de ces observa- tions cliniques dépourvues d'examen histologique. La topographie
phie neurotique, est en réalité une myopathie de par ses caractères cliniques et anatomiques. 3° Les observations de névrite
oncs nerveux, appréciable à la palpation, et qui constitue un signe clinique de grande importance. Mais nous rappelons que n
n dans laquelle cette hypertrophie faisait défaut en tant que signe clinique ; or les .coupes histologiques montraient dans de
du tissu conjonctif intra-fasciculaire. Nous reproduisons le résumé clinique el anatomique de cette obser- vation : Femme
perpo- sable à celle que nous publions aujourd'hui. Au point de vue clinique , il faut noter avec le cas actuel (Brandi) la p
s trouvées ont été ob- servées à plusieurs reprises dans des formes cliniques limitées, comme les nôtres, à des désordres tro
que leur anatomie pathologique, aussi bien que leurs manifestations cliniques , sont essentiellement varia- bles. Ainsi, dans
MATOSE SECONDAIRE PAR ANDRÉ-THOMAS et J. JUMENTIÉ. Observation clinique . - D... Charles, maître d'hôtel, âgé de 51 ans, e
Charles, maître d'hôtel, âgé de 51 ans, entre dans le service de la Clinique des maladies nerveuses le 21 juillet 1911 pour
PROGRESSIVE HÉMILA TÉRALE (TYPE h'AClO-SCAPULO HUVIH;RAL Etude clinique , PAR le P' G. MINGAZZINI, Professeur de cli
IH;RAL Etude clinique, PAR le P' G. MINGAZZINI, Professeur de clinique des maladies nerveuses à l'Université de Rome.
ndre enfance, il m'a semblé qu'il était bon d'en publier l'histoire clinique . Observation. Battiata Andréa, âgé de 16 ans,
ophie progressive de la face (et du corps), puisque les différences cliniques entre cette maladie et celle de notre sujet son
res et nombreuses. Au contraire, le malade nous fournit un syndrome clinique qui corres- pond (au point de vue de l'évolutio
é de Neurologie un malade qui offrait de très grandes ressemblances cliniques avec une ma- ladie de Paget localisée à la jamb
droite ? s'agit- il d'une ostéopathie traumatique ayant même aspect clinique et radiogra- phique qu'une maladie de Paget loc
fl..éqLlence relative, l'importance et l'autonomie de cette entilé clinique . Dans l'intervalle et surtout depuis lors, on e
n qu'ils en soient en réalité fort différents, même au point de vue clinique . Nous n'avons en effet eu en vue jusqu'ici que
our établir ensuite,' par un certain nombre d'observations purement cliniques , la fréquence relative du type auquel elles se
malheureusement pas vu le malade nous-mêmes, et les renseignements cliniques qui nous ont été fournis sont très succincts. Le
donc, dans l'enfance et dans l'adolescence l'apparition du tableau clinique de la carie des vertèbres se marque avant tout
le mal de Pott sans gibbosité, lâche de distinguer plusieurs formes cliniques principales de l'affection et d'en compléter la
squ'à un certain point ce fait que si du vivant du sujet le tableau clinique peut don- ner des symptômes très caractéristiqu
ns en parallèle les changements histo-pathologiques avec le tableau clinique dans sa marche initiale et dans sa période de dév
nes de com- pression. Si nous représentons l'ensemble des symptômes cliniques obser- vés lors du passage du malade à l'hôpita
vieillards atteints de tuberculose vertébrale. Sur 15 observations cliniques d'Alquier, vérifiées ensuite par l'autopsie, le
nce continue de gibbosité, ont mis en évidence dans l'ob- servation clinique des symptômes tels que l'atrophie des muscles de
poser. Dans le cours subséquent de la maladie, alors que le tableau clinique pouvait suggérer l'idée d'un processus comprima
BILATÉRALE DU RÉFLEXE DU RADIUS PAR C. PASTINE (Assistant à la Clinique Médicale du Pr. E. Alaregliano, à Gênes) Le cas
no, à Gênes) Le cas que nous publions présente plusieurs caractères cliniques et ana- tomiques intéressants, autant qu'on peu
Ce trouble date de l'année dernière. Le malade est entré dans la Clinique médicale de Gênes, section du Profes- seur Barl
re du rhumatisme chronique de la colonne ver- tébrale, des variétés cliniques et anatomiques indépendantes les unes des autre
s, d'après les auteurs, sont trop connus. Une étude très détaillée, clinique et histologique, a été récemment consacrée à cet
de Neurologie de Lewandowsky, une très intéressante différenciation clinique et anatomique entre la spondylose rhizomélique
rre Marie et A. Léri, Nouv. Icon., 1906, n° 1 ; A. Léri, Diagnostic clinique et anatomique des maladies tcn7tlosanEes de la co
lonne vertébrale, Iteview of Neurology and Psychiatry, 1908. . La Clinique , 1908, nos 40 et 41 ; llandbucla der Neurologie,
(2) Nous prions M. le Professeur V. Maragliano, radiologiste de la Clinique et de l'hôpital, d'agréer tous nos remerciement
u'il s'agit d'un sujet du sexe féminin, ce qui constitue une rareté clinique . II. La longue durée de la maladie, qui a embra
ndante. Grosse augmentation de l'albumine ra- chidienne. Histoire clinique . Elle comprend deux parts : Une hémiparésie dro
re des artérioles. Observation III Sur ce cas, les renseignements cliniques manquent, le malade n'ayant pas rrc. 8. - Obs.
ans chez un syphilitique avec Wassermann positif, sans autre signe clinique de syphilis des centres nerveux. Observation VI
'éminence tbénar et hypothénar et les muscles interosseux. L'examen clinique a été confirmé par l'examen électrique dû à l'obl
arquables par leur constance, permettant d'individualiser une forme clinique d'amyotrophie isolée non progressive. Ce sont :
de nos cas anatomo-cliniques, dans S sur G de nos cas exclusivement cliniques . Les 2 cas où l'amyotrophie est manifestement b
ressive et diffuse des lésions achèvera de dissocier les 2 tableaux cliniques . L'atteinte globale de la main est loin d'aille
ype se rattachent nos 3 cas anatomo-cliniques et 4 sur 6 de nos cas cliniques . Le type thénar peut être pur. C'est à lui que
emple. L'erreur est d'ailleurs facile à éviter par le simple examen clinique . Nous arrivons maintenant aux éléments variable
ibilité. Ces troubles manquent également dans nos (i cas uniquement cliniques . Par contre les troubles de la sensibilité subj
niques. Elles existent égale- ment dans 4 sur 6 de nos cas purement cliniques . Quant à l'étude des réflexes, elle est quelque
par son siège, ses réactions électriques, son évolution, une enfilé clinique parfaitement définie. De tels faits n'ont pas
liniques, 2 sont d'origine sûrement syphilitique. . Parmi nos 6 cas cliniques , 3 présentent des signes de syphilis nerveuse.
emblée soupçonnée, et reconnue par les procédés ordinaires : examen clinique général, procédés de laboratoire (ponction lomb
ons de néphrite subaiguë. Voilà les grands traits de celte histoire clinique , en voici le compte-rendu détaillé. Observati
dans le coma. (1) DucuasSNEAu, Contribution à l'élude analomique et clinique de l'acromégalie et en particulier d'une forme
ions rénales. Comment donc pourtant concilier la gravité du tableau clinique avec la faible rétention uréique dans le sang ?
médecin en phef de l'Hospice Marcoutza. C. PARHON, Professeur de Clinique des Maladies Nerveuses et Mentales à la Faculté d
'infantilisme, mais chez ces derniers il (t) L. BARRAQUER, Histoire clinique d'un cas d'atrophie du tissu cellulo-adipeux, L
e chez beaucoup de femmes et qui s'individualise parfois en un type clinique ,voisin de celui que nous présentons aujourd'hui
t l'étiologie de l'affection qui nous occupe, elle répond à un type clinique qu'on ne saurait confondre avec : . Les lipomes
57 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t multiples; et bien que, dans ces dernières années les études tant cliniques qu'auatomo- pathologiques aient multiplié les e
l aliéné. Sa fille a des vertiges épileptiques. 1 Tliébeault. Etude clinique sur le tremblement sénile. (Thèse, 1S82.) '- G.
llaudsley. -- Pathologie de l'esprit, p. 2\6. 2 Bouvier. -- Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locom
pe des écrivains. (Progrès médical, 1577, p. 546.) = Duelos. Eludes cliniques pour servira l'histoire des convulsions de l'en
gnz. Zeitsch. f. psych., Bd. 3 3 H., 1871.) 9 Pli. Rey. - Consid. cliniques sur quelques cas d'ataxie locomotrice dans l'al
ale. (Ann. méd. psych., 187 ? lie série, t. XIV.) 3 Gruet. - Etudes cliniques sur les troubles intellectuels dans l'ataxie lo
. M. Charcot professe depuis longtemps que l'hérédité 'Trousseau, Clinique nzécl. de t'lIJ ! el-Dtell de Paris, 4c édit., 18
éroses péri-vasculaires) ; Par MM. les D" G. BALLET, ancien chef de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de
é de Paris, et L. MINOR, de Moscou. fCi.tr,til du laboratoire de la clinique des maladies du système 11er' cm..) I. Une pa
loppent et évoluent isolément dans les conditions habituelles de la clinique . Mais peuvent-elles se combiner et se trouver r
y arrête. Un cas récemment observé par nous dans le service de la clinique des maladies du système nerveux, et que nous av
nous contenterons de renvoyer à ce travail. VI. Considérations cliniques . SJnahtomalologie des lé- sions combinées des c
cordons postérieurs et laté- raux, quelles sont les manifestations cliniques prédo- minantes, celles qui ressortissent aux p
antes, cas dans lesquels, en dépit de cette propagation, le tableau clinique est resté celui de l'ataxie locomotrice la plus
ède, qu'on ne saurait éta- blir de loi uniforme au sujet du tableau clinique que présentent des scléroses diffusées aux deux
cal, 1880, p. 949; Ibid., 1882, p. 6'.3; Ibid., 1883, et Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
ent quelque analogie, ils doivent, au point de vue physiologique et clinique être absolument distin- gués l'un de l'autre.
oins, les symptômes de l'épilepsie partielle. Sans doute le tableau clinique s'est ultérieurement modifié; on a vu apparaîtr
mittante. Dans les deux cas, on se trouvait en pré- sence d'un type clinique nouveau. L'avenir a donné raison à ceux qui inc
malade actuellement en cours d'ob- servation dans le service de la clinique des maladies du système nerveux, à la Salpêtriè
s plus tard. s'efforça de prouver dans ses Études expérimentales et cliniques sur les traumatismes cérébraux, que les cas de
at en phar- macie. Le concours s'est ouvert le 10 courant à l'asile clinique (Ste-Anne). Les membres du jury étaient : MM. B
ident ; Vialla, pharmacien do Bicêlre; Buurduelot, pharmacien de la clinique d'accouchements; Quesneville, pharmacien de Sai
rie Masson. Leven (11.). -Esloznac et cerveau. Etude physiologique, clinique et thérapeutique. Un volume in-8° de 257 pages.
aussi, il faut bien le dire, par l'observation de quelques faits cliniques , à étendre à l'insula le territoire du langage.
de la Société anatomique, 1874), très intéres- sant au point de vue clinique . Mais le fait n'est pas en- core hors de contes
ervations nouvelles ont paru : celle de Kirchoff, re- cueillie à la clinique du professeur Quincke, à Berne, et publiée dans
rchhoff, dans les Archiv de Psychiatrie, Bd. XL, et recueillie à la Clinique de Berne, dans le service du professeur Quincke
sous-jacent à la frontale ascendante) se traduisent par le syndrome clinique de la paralysie labio-glosso-laryngée. Le fai
hoires ». Les lésions de ce faisceau, qui donnent lieu au tableau clinique de la paralysie glosso-labiée, sont le plus sou
? 1879, pp : : i;3 à 557.) > W . Fleury. Traité thérapeutique et clinique d'hydrothérapie, 4a 6dit. 1875, p. 1055. ..I n
ons entre l'hystérie et le 7-hu- matisme. Thèse, 1808. · 3 leude. Clinique médicale de l'Hôtel-Dieu de Roveza, 187'" p. 123.
ier. prat., t. III, 1865, p. 645, 662, 664.) N. Guéneau de Mussy. - Clinique médicale, t. I, p. 293. - J. Simon. - Gaz. hebd
tte articulaire$. M. Fouqué, dans sa thèse % rap- 1 Charcot. Leçons cliniques sur les maladies des vieillards, 2e édit., 1874
maladies des vieillards, 2e édit., 1874, p. 65. - ' Troûsseau. - Clinique de l'Hôtel-Dieu, t. III, p. 365. 3 FouqUH. Elud
ûsseau. - Clinique de l'Hôtel-Dieu, t. III, p. 365. 3 FouqUH. Elude clinique sur quelques spasmes d'origine lujstè- rique. T
urnal of Neurology and psychology, 1883, t. II, p. 144. , Graves. Clinique médicale. Trad. Jaccoud, 1871, t I, p. 612. 3 C
anifes- tations se transforme : ! t ou s'excitent réciproquement. CLINIQUE NERVEUSE DE L'11G111.1'l'ltOl'Illh : DE LA LANG
TABES DORSAL ATAX1QUE; Par le Der GILBERT BALLET, ancien chef de clinique de la Faculté. L'atrophie de certains groupes m
ot. Leçons sur lre maladies du système nerveux, t Il, p. 233. 192 CLINIQUE NERVEUSE. non plus que la marche pour ainsi dir
ance du 12 juin 1875, il ! Pruqrès médical. L. t. VII. 13 19 le CLINIQUE Nh¡t\ BUSB. minence thénar de la main droite. C
he devint raide et augmenta notablement de volume ; mais cotte 19 CLINIQUE NEUN EUl11. f ? ' ? "'J ? h.1 -¡ ! dt.-... tu
ur l'epilepsie, etc., compte rendu il service on 4881, p. 67. 200 CLINIQUE NERVEUSE. être une manifestation courante de l'
e de l'ataxie, ne doit plus être envisagée comme une pure curiosité clinique . Les deux faits qui suivent présentent, avec ce
la langue du côté gauche, dont il existe, dans la collection de la clinique , un beau dessin que nous avons fait reproduire
ommuniqués à M. Blum par M. Charcot avaient été recueillis. 202 2 . CLINIQUE NERVEUSE. artistiques très développées; lui-mêm
atrophiée représente Fig. z. Amyotrophie de la main gauche. 20t CLINIQUE NERVEUSE. une sorte de petit croissant, circons
ngue, loin de rétrocéder, continua à progresser. En l'absence 206 CLINIQUE NERVEUSE. de toute trace de syphilis ancienne,
. Or, l'hémiatrophie linguale ne se voit pas très fré- quemment en clinique , et les affections susceptibles de la produire
rke. - A treuluc on the cleseases of the longue London, 1873. 208 CLINIQUE ? LR%EUS1 ? unilatérale de la langue, et Clarke
bès dorsalis. Thèse de Pans, 1876. .lucutvr.s, L. Vil. I i : 10 CLINIQUE NERVEUSE. tabes, c'est de les rapprocher des ph
e Naples), dans la Iteueatre clmslca e <et'ap<M<tca. 212 CLINIQUE NERVEUSE. les limites du système sensitif, pour
ur. Cette dernière proposition trouve sa démonstration dans l'étude clinique des malades atteints de paralysie, et dans quel
des muscles de la langue (Trousseau), sans parler de celles 21 lé CLINIQUE NERVEUSE. des muscles oculaires qui sont de not
surviennent dans des conditions analogues, revêtent des caractères cliniques identiques; il est dès lors naturel de penser q
potences fonctionnelles permanentes des muscles des yeux. Les faits cliniques d'ailleurs plaident ici dans le même sens que l
que a démontré qu'il en était ainsi de la lésion; l'explora- tion clinique attentive établira, nous en avons la con- victi
état mental et des convulsions générales, dont 1 F. Guyon. - Leçons cliniques sur les maladies des voies urinaires, 1881, p.
s l'espèce à croire à la nature infectieuse de la maladie. Remarque clinique : la violence et la durée de la névralgie conco
par l'exposé de recherches expérimentales personnelles et de faits cliniques iné- dits. Nous insisterons principalement sur
par la pré- sence de phénomènes précurseurs : en outre, le tableau clinique y est moins uniforme. On y retrouve comme accid
de fer, complètent l'ensemble patho- logique. - Après cet exposé clinique , l'auteur passe en revue les moyens thérapeutiq
saient que tous pou- vaient devenir dangereux à un moment donné; la clinique nous montre que cette opinion est trop exclusiv
QUET. Thèse de Paris, 1883. Estomac et cerveau (étude physiologique clinique et thérapeutique), par Leven. (llasson, 1884.)
K". unp. - 384. Vol VII. Mai 1884. Nu 21 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ' ; ,H ¡ 1 4f' ? L^. -PERTE DE LA VISIO
imple exposé des faits,' sans autre but que de déterminer la valeur clinique du symp- tôme et sa place en pathologie mentale
ître, M. le professeur Charcot, et Archives, l. VU. I ! 1 foi 290 CLINIQUE mentale. publiée par M. Bernard, dans le Progrè
ppelé, il y a quelques semaines, auprès d'un homme d'une 292 -) ' CLINIQUE MENTALE. quarantaine d'années, dont l'état ment
rprétation maladive du phénomène. Malheu- reusement, les recherches cliniques propres à élucider ce problème sont fort diffic
secours qu'y ont trouvé les mystiques. Parmi les philosophes, 294 CLINIQUE MENTALE. Aug. Comte' a attaché la plus grande i
ES. les membres et le facial inférieur du côté gauche, en- semble clinique qui rappelle jusqu'à un certain point celui de
publier l'observation sui- vante, malgré l'insuffisance du tableau clinique de la ma- ladie et l'absence totale d'un minuti
désordre dénutrition des parties sous- jacentes et, au point de vue clinique , par des maux de tête et des troubles dans les
ous y avons constatée ne pouvait rester ina- perçue dans le tableau clinique de la maladie, ce qui estévident parla distensi
s un certain degré de tension du muscle et de son tendon. Les faits cliniques n'imposent aucunement l'hypothèse d'un processu
moire est consacrée à l'anatomie pathologique du tabes dorsalis. La clinique nous apprend, dit l'au- teur, que cette affecti
, névrite optique spécifique). Mais il n'existe aucune différence clinique ou anatomique entre le tabes ordinaire et le tabe
Psych., III, 3.) Il est des cas dans lesquels, bien que l'examen clinique con- clue à l'existence d'une lésion en foyer,
- chement au point de vue anatamo-pathologique et au point de vue clinique . Les divergences symptomatiques qui caractérisent
'autre plus petit sur les points douloureux. Il ressort des données cliniques et des expériences physiologiques que la direct
guments en faveur de l'opinion que c'est là une forme de transition clinique et ana- tomique entre la myélite parenchymateus
hode sans préjudice des régimes et médications indiqués par l'élude clinique . Les quatre observations rapportées témoignent de
e générale, que, depuis quatre ans, il s'est ouvert trois nouvelles cliniques de mé- decine mentale (Heidelberg, 1879; Bonn,
s supérieures de Fribourg et Koenigsberg ont institué des leçons de clinique psychiatrique. Seules, les universités de Giessen
, les universités de Giessen, Kiel, Rostock manquent d'enseignement clinique de cet ordre, et il est probable qu'une décisio
es examens, ils fussent astreints à fréquenter pendant six mois une clinique médico-psy- chologique. En ce qui a trait au pl
hondriaques. Chez un quatrième malade non aliéné, actuellement à la clinique , on notait, avec la parésie de tous les muscles d
l'absence du phé- nomène du genou chez les paralysés généraux de la clinique du professeur allemand (20 p. 100). Sur ces tre
sie de trois des autres, dont SOCIETES SAVANTES. 3(;j celui de la clinique , sont venus appuyer les propositions précé- den
n crû : Un homme de trente ans, observé par lui plusieurs fois à sa clinique en -1$70-71, mou- rait un an plus tard des suit
ucoup trop d'importance aux cellules ; il en appelle aux phénomènes cliniques qui, pour lui, traduisent moins des lésions cel
e Baillarger (Annales médico-psychologiques, 1835 et 1882. Archives cliniques , 1861) ; mais il s'agit d'un simple examen macr
cessus anatomo-pathologiques ne puissent se traduire par le tableau clinique de la paralysie générale, mais le rapport est e
swanger entre les groupes de petites cellules et les manifestations cliniques de la paralysie générale. Mais l'origine de ces
ntenir les malades en ob- servation pendantunmois, pour des raisons cliniques et financières que nous allons voir développées
u délire. Ce dernier groupe est le plus important au point de vue clinique , car il comprend non seulement des alcooliques av
Giuseppe GnnnEmso, Milan, 1883. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. 1197 Etude clinique et expérimentale sur la vision mentale; par Gnoui
la vision mentale; par Gnoui- GNEAU. Thèse de Paris, 1883. Etude clinique et expérimentale sur l'acétonémie ; par DE GENRES
'épilepsie pleurétique; par RorERT. Thèse de Pa- ris, 1884. Etude clinique sur une forme de contracture infantile intéressan
ke a su utiliser les matériaux dont il dispose pour un enseignement clinique . Les leçons ont lieu le dimanche. Malheureuseme
moins qu'il n'ait rempli pendant deux ans les fonctions de chef de clinique des maladies mentales, nommé au concours dans une
laces de médecins chefs de service parce que le nombre des chefs de clinique est à peu près égal à celui des vacances qui se p
égal à celui des vacances qui se produi- sent ; 2° que les chefs de clinique de médecine et de chirurgie, bien qu'ayant subi
e, bien qu'ayant subi des épreuves semblables à celles du chef de clinique mentale, n'en sont pas moins obligés de subir de
eux ans; tous les médecins adjoints des asiles et tous les chefs de clinique des maladies mentales relevant d'une Faculté de
auront rempli les fonctions de médecin-adjoint auront été chefs de clinique , nommés au concours auprès d'une chaire de maladi
; le jury déterminera le temps accordé pour la rédaction). 3° Leçon clinique de 20 minutes sur deux malades aliénés (après 10
SALPÊTRIÈRE. 1° Epreuve écrite (3 heures), 30 points. 2° Epreuve clinique sur un malade atteint d'une maladie ordinaire (
es d'examen; 20 minutes pour la leçon orale), 20 points. 3" Epreuve clinique sur les maladies mentales; un seul malade (20 mi-
édaction du rapport et de la consultation), 30 points. 50 Epreuve clinique sur deux malades aliénés (1S minutes pour cha-
r la dissertation), 30 points. MÉDECINS DES HÔPITAUX. 1.0 Epreuve clinique sur un malade (10 minutes d'examen, 15 minutes
écrite sur un sujet de pathologie (3 heures), 30 points. 5a Epreuve clinique sur deux malades (20 minutes pour l'examen des
couragera sérieuse- ment les jeunes gens à se livrer aux recherches cliniques , aux tra- vaux de laboratoire; en un mot,à fair
Ir.; pour nos abonnés, 2 fr. 50. Bourneville et D'OLIER. Recherches cliniques et thêmpniliques sur l'épilepsie, l'hystérie et
24 avril 1882. Brochure in-so de 24 pages. Ritti (Ant.). - Traité clinique de la folie à double forme. (Folie cir- culaire
. Delahaye et E. Lecrosmer. Prix : 3 fr. 50. Hetvnor (H.). Notes de clinique médicale (huitième année). Brochure in-8" de 28
58 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t cette dernière désignation trop étendue pour exprimer la nature clinique des phénomènes qu'ils étudient. Ceux-ci sont to
é de faire de la fantaisie. C. GOLGI'. » (La fin prochainement .) CLINIQUE NERVEUSE SUR L'ASTASIE-ABASIEI; Par le D' TIl
délia am- bulatisne. (Gazetta degli ospitali, n° 76, p. 605.) 60 CLINIQUE NERVEUSE Mais jusque-là toutes ces observations
isehen Klinik zu Jhia. '' Moebius. Ueber Astasie-abasie, 1889. 62 clinique NERVEUSE continue à marcher très bien à cloche-
mélioration notable, et en mai, la station et la marche sont re- 64 CLINIQUE NERVEUSE devenues possibles, quoique toujours s
de L..., lorsqu'il a été présenté par M. le professeur Charcot à la clinique de la Salpêtrière, n'était plus atteint, que d'
oco citato. - ? Loco citato. Loco citato. ARCHERS, t. XaI. 5 66 CLINIQUE nerveuse. maître de musique et compositeur de 3
stincts a été depuis confirmée par des recherches physiologiques et cliniques , et j'ai la satisfaction de penser que les erre
nt en partie à la situation assignée à ces centres par les méthodes cliniques et expérimentales les plus dignes de confiance.
autant qu'on en peut juger par les expériences et les observations cliniques , esten faveur de l'hy- pothèse que les autres f
thérapeutique en 1886 par MM. A. Cahn et E. IIeppe, assistants à la clinique de Kusmaiil, ils l'ont désignée sous le nom d'a
deux de ces malades : mais il n'existe, dit M. Zacher, aucun signe clinique qui caractérise la paralysie géné- rale syphili
les particularités qui s'en dégagent, M. Werner obtient un dossier clinique de 45 observations soigneu- sement analysées. I
Wagner. (Jahrbttch. . Psych., VIII, 1, 2.) D'une analyse éminemment clinique des faits connus rapprochés de cinq observation
circonscrite en train de devenir diffuse. Intégrité macroscopique, clinique , et microscopique du système nerveux, artérite de
ère de voir sur la névrose traumatique. Il en a observé 24 cas à la clinique du professeur Erb. 11 les divise en trois group
éalisés par ce mé- decin si remarquablement doué pour l'observation clinique . Du BIBLIOGRAPHIE. 143 premier volume, je dét
autres d'ordre synthétique. Les premiers comprennent ses recherches cliniques et anatomo-patho- logiques, les seconds ses vig
ois partie ? la plus belle comme la plus incontestée, est la partie clinique . Elle embrasse treize mémoires dont six réalisè
en inspirer dans leur thérapeutique. Des sept autres publications cliniques qui enrichissent ce second volume, une a trait
cté. Gilles DE la TOULtETTE. BIBLIOGRAPHIE.. 151 III. Leçons de clinique médicale faites à l'hôpital de la Pitié; par LA
ne saurait ne pas reconnaître les grandes qua- lités d'observation clinique qui font de ce volume un recueil de faits des p
erce avec tant d'autorité et de compétence. (Lyon médical.) Asile Clinique (Sainte-Anne) M. Magnan a repris dans l'Am- phi
M. Magnan a repris dans l'Am- phithéâtre de l'admission, ses leçons cliniques , les dimanches et mercredis, à la même heure. L
. le Dr Rabow est nommé professeur extraordinaire de psychiatrie et clinique psychiatrique à Lausanne. Il existait autrefois
os abonnés ' 4 fr. Bourneville, SOLLIER et Pilliet (A.). Recherches cliniques et thera- peutiques sur l'épilepsie, l'hystérie
pages. Prix : 8 fr. Pour nos abonnés 6 fr. Grasset (J.). Leçons de clinique médicale faites a l'hôpital Saint-Eloi de Montp
trop. - lit 1 Vol. XXI. Mars 1891. Nu 62 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE L'INFLUENCE DES CENTRES TROPHIQUES
sécrétoires. ' Leçon du 8 août 1890. Archives, t. XXI. 11 '162 CLINIQUE NERVEUSE. Vous avez constaté chez un de nos mal
plaques du tégument, très voisines les unes des autres, super- 164 CLINIQUE NERVEUSE. N 1 posées, à la face interne du tibi
est qu'apparente ; du moins elle ne répond qu'à une variation 166 CLINIQUE NERVEUSE. d'intensité des phénomènes rparétique
un remar- quable ouvrage, va nous renseigner sur ce point. - 168 CLINIQUE NERVEUSE. , Le relief en question s'appelle le
teuse. C'était un zona, représenté par deux groupes Fig. 1 i. 170 CLINIQUE nerveuse : r importants de vésicules, dont l'un
ont les origines radiculaires peuvent être encore plus étroite- 172 CLINIQUE NERVEUSE. ment circonscrites entre la deuxième
jamais, ainsi que l'a fait remarquer M. Charcot, au cours de 174 CLINIQUE NERVEUSE. la paralysie alcoolique. C'est d'abor
les symp- ' Consultera ce sujet une bonne thèse de Boisvert : Elude clinique des formes atténuées de la paralysie alcoolique
teints de'paralysie radiale, comment, en effet, expliquer l'in- 176 CLINIQUE NERVEUSE. tégrité presque constante du muscle l
La découverte des téphromyélites antérieures, dont le carac- tère clinique fondamental est la paralysie amyotrophique permit
. Lorsqu'on se trouve en présence d'un Archives, t. XXI. 12 2 178 CLINIQUE NERVEUSE. de ces faits singuliers de polynévrit
rites, et l'autopsie démontre, dans un certain nombre de cas, 180 1 CLINIQUE NERVEUSE. que les cellules des cornes antérieur
simple » » La même démonstration ressort, au point de vue purement clinique , des notions qui nous ont été fournies par M. C
autre expérience, qui par bien des côtés est assimilable à un fait clinique , plaide dans le même sens : « Lorsque, dit M. R
381, et Déroche. - Tu. Paris, 1870 (Des amyotrophies réflexes). 182 CLINIQUE NERVEUSE. CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE. Quoi
onsidérables qui existent entre ces deux modalités, au point de vue clinique pur, je me contenterai de faire remar- quer, au
faits dus à la méthode expérimentale et à l'observation anatomo- clinique , elle s'est maintenue à égale distance des doc-
ement opposés. De sorle que l'on ne peut pas dire que l'observation clinique donne un appui absolu à la théorie qui veut que
t) de cette région qui atteint surtout le pli courbe. La discussion clinique est particulièrement à lire. L'auteur groupe en
t les faits du mémoire. Il existe, d'après M. Freund, trois espèces cliniques 1° une aphasie optiqne avec hémianopsie concomi
ue. - Tableau statistique de cent observations et neuf descriptions cliniques . Planches à l'appui. III. Allure clinique des t
ons et neuf descriptions cliniques. Planches à l'appui. III. Allure clinique des troubles de la vue. Champ visuel. Vingt-qua
hements bibliographiques , d'enseignements anatomo-pathologiques et cliniques . Nous en résumons l'essen- tiel. Les altérati
tralbl., 1889.) L'observation, qui laisse à désirer au point de vue clinique , n'en impose pas moins le diagnostic sus-désign
cathétomètre OPTIQUE craniométrique; par M. CENE- DIKT. - RÉSULTATS CLINIQUES DE LA CRANIOMÉTRIE ET DE LA CÉPHA- LOMÉTRIE; pa
A V AL. XXIII. Contribution A la connaissance ET A la signification CLINIQUE DE la réaction IDIOMUSCULAIRE EN bourrelet ou c
autopsie. , P. K. XXV. QUELQUES MOTS D'ANATOMIE pathologique ET DE CLINIQUE SUR LES TRACTUS CONDUCTEURS DES IMAGES VISUELLE
emande : la malade était-elle gauchère ? C'est ce que l'observation clinique laisse dans l'ombre. II. - Dans le second cas,
liser d'une façon exacte le siège de la tumeur d'après les données cliniques , qui, il faut bien le reconnaître, harmonisaient
ermédiaire d'une cérébration directrice. Paul BLOCQ. VIII. Etudes cliniques et bactériologiques; par St. Radziszewski. (Par
ans l'urémie et dans la fièvre typhoïde. Paul BLOCQ. X. Leçons de clinique médicale; par H. Rendu. Paris, 1890. 0. Doin, é
et, surtout, exagéré par les mouvements volontaires, une discussion clinique du diagnostic montre que l'hystérie est en jeu.
leur marche, et aux symptômes concomitants. En résumé, les leçons cliniques de M. Rendu tiennent amplement les promesses de
semblent accaparer les efforts des travailleurs au détriment de la clinique . Paul BLOcQ. XI. Hypnotisme et Croyances ancien
a la classe exceptionnelle, M. le Dr Taule, directeur de l'asile clinique (Sainte-Anne) ; à la 1 '° classe, M. je Dr Briand
Maine- et-Loire, est compris dans la 2° classe. Travaux A l'asile clinique (Sainte-Anne). -Dans sa séance du 29 décembre d
1 s'y construirait des maisons qui dimi- nueraient le service de la clinique et seraient une source inces- sante de désagrém
du cerveau, à la physiologie des syndromes de la folie, à l'analyse clinique des vésanies et à l'exa- men judicieux des form
......... . 1 fr. Bourneville, SOLLIEn et PILLiET (A.). Recherches cliniques et théra- peutiques sur l'épilepsie, l'hystérie
tmp. - 3 ! H. Vol. XXI. Mai 1891. N" 63 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hospice DE la SALPÈ1RIÈRE. - M. LE PRo
ille de dix-huit ans dont le cas m'a paru offrir un certain intérêt clinique . Vous vous souvenez sans doute que cette jeune
fille se ' Leçon du 24 février 1891. Archives, t. XXI. 2l 322 ) CLINIQUE NERVEUSE. plaignait d'avoir, depuis quelques an
. NKa<., mars 1877. 3 Gubler. Gazette hebdom., n° 6, 1859. 324 CLINIQUE NERVEUSE. l'observation de Gubler est la premiè
siégeant dans le pédoncule cérébral gauche avait amené le syndrome clinique en question. 11 va sans dire qu'une lésion situ
1 cliniquement par le syndrome de Weber, c'est-à-dire 1 Amiral. - Clinique méd., Paris, 1840, 4° édit., t. V, p. 320. ' Gi
chenne. Electrisation localisée. Paris, 1SG1, 2° édit., p. 376. 326 CLINIQUE NERVEUSE. par une paralysie alterne de l'oculo
lésion). Pour connaître, Messieurs, les raisons de ce syn- drome clinique , il est nécessaire de faire intervenir l'auatom
arait animer un des muscles de l'oeil, et, d'autre part, le 328 8 CLINIQUE NERVEUSE. trajet intrapédonculaire des fibres q
cérébral droit. Gazelte >néd. de Pars, n° 7, p. 555, 1870. 330 CLINIQUE NERVEUSE. mination qui aura encore ici, comme d
ésion qui déterminent la nature et le nombre des manifesta- tions cliniques . ' J'en ai fini, Messieurs, avec ces notions qu
elles me paraissaient indis- pensables comme introduction à l'étude clinique qu'il nous reste à entreprendre. Elles m'ont du
des syndromes de Weber et de Alillard-Gubler; d'au- tres variétés cliniques , mais ce ne sont en général 332 CLINIQUE NERVEU
er; d'au- tres variétés cliniques, mais ce ne sont en général 332 CLINIQUE NERVEUSE. que des variétés de ces deux types fo
ppli- quait de ce côté. Cette hémiplégie droite, vous dis-je, 3H4 CLINIQUE NERVEUSE. a guéri complètement sans laisser auc
entuant lorsque le malade fait effort pour ouvrir son oeil et 336 CLINIQUE NERVEUSE. que, quand on cherche à la relever de
la Salpêtrière, 1889, p. 1 tO et 118. Archives, t. XXI. ' il 338 CLINIQUE NERVEUSE. , nombre de photographies anciennes d
née du côté intéressé. C'est là un caractère que mon ancien chef de clinique , M. Gilles de la Tourette', a parfaitement mis
cou chez les hystériques. [Nouvelle Ico- nogr., 1889, p. 107. 340 CLINIQUE NERVEUSE. sommes donc en possession de plus de
fin de cette longue histoire. Vous voyez, Messieurs, quelle est en clinique gé- nérale l'importance d'une connaissance appr
is longtemps de « crises gastralgirlues e qui s'accompagnent de 342 CLINIQUE NERVEUSE. sensation de strangulation et d'étouf
démar- che des hémiplégiques hystériques (démarche de Todd). 344 CLINIQUE NERVEUSE. Pendant cette longue période hémiplég
SSIONNELLE DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE; . Par Georges GUINON, chef de clinique des maladies nerveuses, et SOPHIE WOLTKE (d'Ode
il me re- vient, M. Z... (Il s'agit de divers internes ou chefs de clinique de M. le professeur Charcot.) Ah ! là, là ! pou
Déjà avant nos recherches, M. le professeur Charcot dans une leçon clinique avait montré qu'en s'adressant au sens de l'ouï
professeur Pitres, de Bordeaux, vient de fane tout récemment, à sa clinique de l'hôpital St-André, une leçon sur le mustism
pas tout à fait les mêmes habitudes de procéder dans l'observation clinique . M. Chervin voit un malade dé- labré et cela lu
emblerait que M. Chervin connaisse mal cette maladie et les aspects cliniques multiples sous lesquels elle se présente ; sans
rée dans le langage courant. Ceux qui sont au fait des choses de la clinique savent ce qu'elle signifie. Et c'est là la qualit
aux Leçon V. Monsieur LE Président, Messieurs, Les recherches cliniques et pathologiques semblent montrer que dans leur
eindre que par des méthodes qui entraînent une plus ou 1 Recherches cliniques et expérimentales sur l'hémianestésie de cause
non seulement avec l'hémisphère du même côté, mais il y a des faits cliniques qui sont difficiles à expliquer autrement qu'en
gauche et le goût du côté droit de la langue.) - Il y a peu de cas cliniques et pathologiques, relativement en faveur de la
au. Ce sujet demande donc de nouvelles recher- ches. Il y a des cas cliniques qui sont en faveur du rapport direct de la nari
dans les pyramides des deux côtés. Ces faits comme les observations cliniques chez l'homme montrent que, même pour les membre
ana Lissa 6, ont essayé de mon- trer, par l'examen des observations cliniques de maladie céré- brale, que les centres moteurs
utes ces considérations, il ré- sulte qu'un examen des observations cliniques puisées indistincte- ment à toutes les sources
es. Dans une intéressante communication intitulée : Contributions cliniques sur la mélancolie, faite à Berlin, le professeur
à Berlin, le professeur Mendel propose une classification des types cliniques de la mélancolie fondée sur les considérations
en (de Giesen), qui le premier a publié les pre- mières expériences cliniques sur la digestion stomacale dans les maladies me
Daniiet s'est proposé d'étudier pour en tracer uue sorte de tableau clinique et pour montrer qu'il n'est pas une espèce part
mêmes idées que M. Magnan, croit devoir admettre comme une variété clinique méritant une description à part, la folie du do
a- lescence. Tandis que les psychoses fébriles offrent un tableau clinique assez monotone, on voit les psychoses de la con
sychoses de la convalescence présenter une grande variété d'aspects cliniques . Dans ces dernières, la prédispo- sition indivi
une affection fébrile algue, de bien distinguer quelle est la forme clinique de la psy- chose. D 13r.m. REVUE DE PATHOLOGI
jour où le choc traumatique l'a rompu. P. K. XXXVIII. Contributions cliniques A la mélancolie; par E. MENDFL (Allg. Zeitsch.
uents dans l'épilepsie, au saut, par exemple. Un autre malade de la clinique du professeur Pick présente ce même type de cur
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. 437 à l'avantage des dernières. La genèse clinique du délire, quel qu'il soit, consiste dans la vi
bres musculaires. Chaque espèce d'atrophie musculaire a son tableau clinique et son substratum anatomo-pathologique propre;
es d'atrophies musculaires qui diffèrent aussi bien au point de vue clinique qu'au point de vue anatomopathologique. La prem
lésion de la région motrice de l'écorce cérébrale. Au point de vue clinique , les atrophies musculaires d'origine cérébrale pe
à d'autres amyotrophies progressives. L'analyse des particularités cliniques de l'atrophie musculaire progressive jointes au
lique fondé sur de nombreuses observations personnelles. Le tableau clinique de la paralysie alcoolique se caractérise par u
rable de travaux consacrés à l'étude de ces formes, leurs limites cliniques dans la série des autres psychoses n'ont pas enco
gnifie confusion, démence. Après avoir décrit brièvement le tableau clinique de la folie aiguë M. Roasvxorr a proposé d'en d
très variables d'ordre physique qui donnent à l'ensemble du tableau clinique un aspect multicolore. La marche de la confusio
être acceptés par les aliénistes qu'après avoir été vérifiés par la clinique . M. Dounaovmr considère le terme dysnoia comme
où. la lésion cérébrale étant absolument la même, les phé- nomènes cliniques sont excessivement variables selon leur dépen-
e les jeunes sujets dont il vient de parler présentaient le tableau clinique de la confusion aiguë, d'amentia. Quant à la pr
orski prouve, au contraire, la dépendance com- plète des phénomènes cliniques de la localisation et de la propa- gation du pr
veau. La psychiatrie con- temporaine doit ramener toutes les formes cliniques sur le terrain anatomo-physiologique ; son succ
qu'il constitue unebonne mise nu point de cette véritable nouveauté clinique . PAUL BLOC( ? . VARIA ASILE DES ALCOOLIQUES E
300; - Etude de psycho-physio- logie par Slgaud, 301 ; - études cliniques et bactériologiques, par RadziszenskI, 301 ; -
301 ; - Lavage de l'organisme humain, par Sahli, 302; - Leçons de clinique médi- cale par Rendu 302 ; -Hypnotisme et cro
59 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
ier avec vous quelques points peu connus de l'his-toire anatomique et clinique de l'ataxie locomotrice progres-sive. C'est surto
e de l'ataxie locomotrice progres-sive. C'est surtout au point de vue clinique que je compte me placer dans ces entretiens. On
rnes antérieures. On sait encore que la majorité des cas, désignés en clinique sous le nom atrophie musculaire progressive, se r
où les douleurs fulgurantes composent à elles seules tout le tableau clinique , sans accompagnement d'incoordination motrice ; a
on parviendra, tôt ou tard, — par la comparaison attentive des faits cliniques , avec les résul-tats microscopiques, — à reconnaî
r suffiront pour vous mettre à même d'appré-cier tout le parti que la clinique peut tirer des études anatomi-mes délicates, diri
nus ou insuffisamment connus, — je le crois du moins, — de l'histoire clinique de l'a-taxie locomotrice progressive. Si les ca
ème cérébro-spinal, et il y a lieu de distinguer, dans la description clinique des deux affections : 1° des symptômes spinaux ;
ecevoir la désignation de période dincoordination motrice, le tableau clinique se compose, en premier lieu, des symptômes de la
eules toute la maladie. Quelques symptômes signalés dans le tableau clinique de l'alcoolisme chronique rappellent la descripti
tômes. — Différences qui la séparent de l'amaurose tabétique. — Faits cliniques démontrant l'importance des signes fournis par l'
à la lésion de ces mêmes nerfs dans la sclérose en sortir l'intérêt clinique qui s'attache à leur étude, —peuvent précéder par
ssi, offrent des particularités très-dignes d'intérêt au point de vue clinique — ils permettraient de diagnostiquer l'ataxie ou
n grise de ce même nerf chez les tabétiques. Recherchons donc dans la clinique des données plus décisives. épaisseur. — Pour c
vos yeux l'intérêt qui s'attache à l'étude ophthalmoscopique dans la clinique des maladies des centres nerveux. Je ne saurais d
'arthropathie des ataxiques évolue, au contraire, avec des caractères cliniques tout spéciaux, comme vous allez le reconnaître, e
des faits analogues *. Envisageons tout d'abord, Messieurs, le côté clinique . M. Bail, auquel on doit plusieurs travaux import
l'Hôtel-Dieu qui a été, de la part de M. Bail', le sujet d'une leçon clinique intéressante, fait exception à la règle. Sixièm
qu'il s'agisse là d'une arthrite sèche ; mais, de par les caractères cliniques , je main-tiens que cette arthrite sèche est toute
ttention, l'arthropathie des ataxiques, comme un fait pathologique et clinique d'une réelle valeur. En ce qui concerne le premie
es, voire même des tumeurs parasitaires, etc. Au point de vue de la clinique , ces lésions, d'origines si variées,doivent êtr
ne, les lésions dont il s'agit ont parfois une histoire anatomique et clinique qui leur est propre. Or, c'est surtout cette hist
sont des plus vulgaires, et, par conséquent, au premier rang dans la clinique usuelle. La carie vertébrale ou mal de Pott, le c
cer verté-bral se présente cependant assez fréquemment encore dans la clinique . Nous le rencontrons assez souvent à la Salpêtriè
bres nerveuses dans la moelle, ne s'observent presque jamais, dans la clinique , complète-ment isolés. A peu près toujours, il s'
ie. C'est là une circon-stance capable de devenir l'occasion, dans la clinique , d'une foule d'erreurs qu'il faut s'efforcer d'év
descendre dans le concret et montrer l'intérêt qui s'attache dans la clinique à l'étude de ces symptômes. Nous les exami-nerons
dire, dans l'espèce, le fait de la compression des nerfs est, pour la clinique , beaucoup plus intéressant que ne Test le fait de
est là une particularité re-connue depuis longtemps par l'observation clinique et qui éta-blit un contraste avec ce qui a lieu d
à présent, mieux que toute autre, les faits révélés par l'observation clinique . Ainsi que je vous le disais tout à l'heure, da
ique qui leur a donné naissance. Pendant longtemps, au point de vue clinique , l'intérêt a été surtout chirurgical, car la sect
d. chir. Transact. 1839, t. XXXII, p. 141. 2 Un cas, recueilli à la clinique d'Oppolzer par M. Schott, et un autre cas observé
s, constituant pour ainsi dire, pendant ce temps, la seule révélation clinique de l'affection spinale. a) Vous n'ignorez pas q
es trois premières dorsales. Un fait recueilli par M. E. Rollet, à la clinique d'Oppolzer3, est, dans l'espèce, particulièrement
point, parce qu'il n'a pas encore été, que je sache, l'objet d'études cliniques suffi-santes. Les seuls faits à relever pour le c
irer de la connais-sance des faits que nous avons enregistrés dans la clinique des maladies de la moelle épinière. Je me vois fo
cusées, sont, ainsi que je vous l'avais fait pressentir, le caractère clinique prédominant des maladies qui composent le groupe
de quelques auteurs allemands) par un ensemble imposant de caractères cliniques et nécroscopiques. Qu'il me suffise pour le momen
ont il s'agit, ne serait pas, tant s'en faut absolument rare, dans la clinique de l'adulte 1. Le pronostic, cependant, ainsi q
visu. Quant à l'absence, constamment relevée dans les observa-tions cliniques , de troubles durables de la sensibilité cutanée,
ve spinale protopathique (Type Duchenne-Aran). Sommaire. — Variétés cliniques des cas désignés sous le nom d'atrophie muscu lai
endra cette appellation sont aujourd'hui encore souvent confondues en clinique sous la dénomination commune d'atrophie muscu-lai
es lésions spinales qu'on peut rencontrer dans les cas qui portent en clinique cette dénomination d'atrophie musculaire progress
i, de longue date, a commencé, en se pla-çant surtout au point de vue clinique , ce travail d'épuration. Les jalons, posés par ce
nosographiques fondamentaux, c'en est assez. Messieurs, pour le côté clinique . Nous avons recueilli, chemin faisant, des matéri
squelles l'amyotrophie progressive se serait montrée conforme au type clinique Duchcnne-Aran, sans l'accompagne-ment des lésions
rois m'en être assuré, des observations qui pèchent, soit par le côté clinique , soit parle côté analomique. Eu égard à ce dernie
t, dans ce groupe, une individualité qui, en raison de son importance clinique , — à la vérité jusqu'ici à peu près méconnue, — e
rconstance que je ne man-querai pas de mettre en relief dans l'exposé clinique , à savoir que l'atrophie musculaire, dans la form
a caractérisent anatomiquement. Aujourd'hui, elle a pris rang dans la clinique usuelle. En outre des faits qui me sont propres
eul coup. Ainsi, autant qu'on peut en juger par les révélations de la clinique , elle intéresse tout d'abord le département qui e
re séance, j'ai essayé de prouver, en me fondant sur les données delà clinique , que, dans la sclé-rose latérale amyotrophique, l
systématique, et fait pressentir des varia-tions dans les phénomènes cliniques . Cependant, je le répète, l'ensemble symptomatiqu
, jusqu'à ce jour, n'a pas la place qui lui re-vient de droit dans la clinique usuelle. Pourquoi ? Je ne saurais le dire, car le
s le nom de crises gastriques, à propos de l'ataxie locomotrice. La clinique , d'après ce qui précède, désigne pour ce type une
ssi chez l'adulte. Quoi qu'il en soit, il y a lieu, au point du vue clinique , d'y distinguer deux périodes, reconnues du reste
de M. Duchenne). Je ne puisque renvoyer, pour ce qui concerne le côté clinique , aux travaux que je viens de citer. Relativement
si l'on peut ainsi dire, du même pas, dans une étroite connexion, la clinique et l'anatomie pathologique. Il me paraît opportun
complexes, celles-ci pouvant être, à leur tour, à l'aide de l'analyse clinique , décomposées en leurs éléments constitutifs. L'
a pas sans doute à être nettement déterminé et à prendre rang dans la clinique usuelle ; 2° les zones radiculaires postérieures
s antérieures i, a été anatomiquement constatée et dans lesquelles la clinique avait, pendant la vie, révélé l'existence de symp
e tabès spasmodique n'a encore d'existence réelle que dans le domaine clinique , ainsi que cela a eu lieu d'ailleurs pendant long
groupe hétérogène, sous le nom de myélite chronique et que l'analyse clinique , éclairée par l'anatomie pathologique, tend chaqu
cette description, j'aurai à chaque pas, devant les yeux, l'his-toire clinique de l'ataxie locomotrice, qui nous servira en quel
lution ; leur isolement surtout, d'où résulte la monotonie du tableau clinique si particulière à la maladie, devra être envisagé
dont je me suis appliqué dans le temps à faire ressortir l'importance clinique , et dont l'intérêt, dans la catégorie que nous en
l me reste, en dernier lieu, à signaler les rapports de res-semblance clinique qui, dans certains cas, peuvent exister entre le
parfois, faire défaut. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le tableau clinique de la sclérose en plaques se trouve dans certains
aires !. Sommaire. — Préambule. — Point de vue théorique. — Réalité clinique des paraplégies urinaires. — Définition. — Les fa
en général, à établir sur des observations régu-lières les caractères cliniques et anatomo-pathologiques de ces affections spinal
Vous pressentez, par ce qui précède, que c'est sur le ter-rain de la clinique et de l'anatomie pathologique que je vou-drais vo
e coïncidence fortuite. Mais, lorsqu'on veut spécifier les caractères cliniques ou ana-tomiques de ces paraplégies et indiquer le
eux-là. 11 n'en est plus de même pour ce qui concerne les carac-tères cliniques . Ils diffèrent radicalement, ainsi que je vous l'
rimental mettra quelque jour sur la voie de l'inter-prétation du fait clinique . IV. 11 existe, ainsi queje vous l'ai annoncé
Pendant longtemps, la malade Afin de ne point surcharger un tableau clinique déjà fort complexe, j'ai négligé à dessein de vou
ions tracées de main de maître par Trousseau en divers endroits de la Clinique médi-cale de lHôtel-Dieu (t. II, p. 28 ; t. III,
adie de Ménière ne soient pas rares, tant s'en faut, au moins dans la clinique civile, ils sont à peu près toujours méconnus, ra
Je n'entrerai pas dans de longs développements à propos de l'histoire clinique de ce cas ; vous pouvez la lire dans le Progrès m
et suivants, octobre), a confirmé ce point qui intéresse à la fois la clinique et la physiologie pathologique. Quant au vertig
ost-hémiplégique. Sommaire. — Hémichorée post-hémiplégique. — Faits cliniques . — Trou-bles de la sensibilité générale et spécia
The American Journal of the med. Sciences, oct. 1874, 342. 2 Leçons cliniques sur les maladies du système nerveux, t. I, 1884,
t la ligne de conduite que je me suis tracée en repre-nant ces leçons cliniques — que je voudrais comparer en quel-que sorte aux
'hémichorée. Une analyse anatomo-pathologique délicate, guidée par la clinique , parviendra peut-être quelque jour à circonscrire
ucher du doigt cer-taines particularités qu'offre souvent cette forme clinique de la syphilis cérébrale. Mais j'aurai surtout à
cereaux dans son Traité de la syphilis s. Malheureuse-ment, les faits cliniques que ces figures sont destinées à illus-trer laiss
tbeaucoup à désirer. En dehors de l'épilepsie partielle, des formes cliniques très diverses de la syphilis cérébrale peuvent re
La décharge sera suivie d'un épuisement mo-mentané dont la traduction clinique est la paralysie tempo-raire avec flaccidité, qui
eu l'occasion d'observer quelques faits se rattachant à ce même type clinique : tout récem-ment en recherchant ce qui pouvait av
épileptiformes n'ont plus re-paru. » Dans ses dernières conférences cliniques de la Salpêtrière (décembre 1870), M. Charcot est
récemment observés par lui et qui appartiennent évidemment au groupe clinique dont il s'agit. Yoici l'exposé sommaire de ces de
(Voyez : Leçon XI, p. 212). On retrouvera les principaux caractères cliniques qui per-mettent de reconnaître pendant la vie l'a
t d'être relatée reproduit assez exactement les principaux caractères cliniques que nous avons assignés à l'atrophie musculaire s
qui ne sauraient modifier en rien d'es-sentiel l'ensemble du tableau clinique . Il nous faut montrer maintenant que l'étude de
bservation que je vais rapporter dans ses détails se rattache au type clinique créé par M. Duchenne(de Boulogne) sous le nom de
ant.la vie, l'é-paule gauche était le seul point du corps où l'examen clinique pûtconstater une atrophie partielle quelque peu p
on physiologique. Mais, il n'est nullement certain que tous les faits cliniques auxquels cette dénomina-tion peut être prêtée soi
ce de M. Bergeron, à la suite d'une maladie intercurrente. L'histoire clinique du petit malade dont il s'agit est bien con-nue :
dans la station verticale 3. Je renvoie pour ce qui concerne le côté clinique 1 Bulletins et mémoires de la Société médicale
ccessoire. Cette première phase paraît répondre à la première période clinique signalée par tous les observateurs, période dans
pour plus de détails : Raymond. — Etude anatomique, physiologi-que et clinique de Vhêmichorée, etc., p. 69. — Bourneville et Reg
tômes. — Différences qui la séparent de l'amaurose tabétique. — Faits cliniques démontrant l'impor-tance des signes fournis par l
e spinale protopathique. (type duchenne-aran). Sommaire. — Variétés cliniques des cas désignés sous le nom d'atrophie muscu-lai
rinaires. Sommaire. — Préambule. —Point de vue théorique. — Réalité clinique des paraplégies urinaires. — Définition. — Les fa
OST-HÉMIPLÉGIQUE. Sommaire. — Hémichorée post-hémiplégique. — Faits cliniques . — Trou-bles de la sensibilité générale et spécia
,62, 396. — Fréquence, 63, 69. — Epo-que d'apparition, 8, 69. — Faits cliniques , 64, 366. — Température, 67. — Formes et symptôme
s-trique, 311. — De Ménière, 3 9, 350, 409. — Laryngé, 407. — Faits cliniques , 407, 409. — Causes : affections la-ryngo-bronchi
60 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
V. MAC.NIXN Membre de l'Académie de médecine. Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). I-- ITllES Professeur de clinique
Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). I-- ITllES Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de
rmes 1907 Vol. I. Janvier 1907. Ne 1 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude de l'oeil chez l
ile d'Amiens Médecin aide-major de 1" classe, ancien assistant de clinique ophtalmologique. Contrôler les résultats des no
s de ses conseils autorisés. Nos recherches ont porté dans le champ clinique mis à notre disposition sur toutes les catégori
es, au moins au bout de quel- AnctnvLC, 3° séria, 1907, t. I. 1 2 CLINIQUE MENTALE. ques-unes, des renseignements exacts e
ations de lajvue. - Ous. 122. Fig. 2. O. G. Elal de dépression. 4 CLINIQUE MENTALE. tique du trouble hallucinatoire, porta
G. Hallucination della vue. OBS. 67. Fin. 7. - Etal dépressif. 8 CLINIQUE MENTALE. générale. a. Etats mélancoliques délir
(fig. 11,'et 12). , Ons. 17. FIG. 11. OBs. 17. FIG. 12. 12 CLINIQUE MENTALE. Le tracé il pris le 15 septembre repré
7). ). - OBs. 117. Fac. 16. 0. G. OBS. 117. Fir. 17. O. G. 16 CLINIQUE MENTALE. Le tracé 16, pris le 20 octobre, est p
ques heures à vingt-quatre Archives, 3' série, 1907, t. I. 2 18 CLINIQUE MENTALE. heures les ascensions de l'agitation.
con- traire, nous avons trouvé des vaisseaux un peu fins, mais 30 CLINIQUE MENTALE, ces différences de calibre pourraient
au- cune autre modification se soit produite du côté de la pa- 32 CLINIQUE MENTALE. pille. Enfin, presque toujours, en mêm
ous avons noté la déco- Archives, 3' série. 107, L. XXIII. - 3 34 CLINIQUE MENTALE loration du segment externe et le bord
champ visuel se traduit par un élargissement global. Conclusions CLINIQUES . - Il serait évidemment té- méraire de chercher
méraire de chercher à tirer des faits qui précèdent des conclusions cliniques définitives ; et nous n'avons pas la prétention
remar- quer que, chez le plus grand nombre d'aliénés que nous 36 CLINIQUE MENTALE. avons examinés, et en particulier dans
dans des cas d'inter- mittences irrégulières, où aucun autre signe clinique ne laissait entrevoir une modification prochain
chez les paralytiques généraux. Obezrénié psychiatrii, 1900. - 3S CLINIQUE MENTALE. SANE NI (de). Nouvelles recherches et
Les délires ambulatoires et les fugues » p. 592. Grasset, Leçons de clinique médicale, ? série (1895-98) p. 137. LES FUGUES
nts au point de vue social n'a ' pas eu d'importance pratique. 40 CLINIQUE MENTALE. Pour ètrejuste, M. Tissié a parlé des
motif ». Si tous nos malades partent et vagabondent sans motif, 42 CLINIQUE MENTALE. étudier des vagabonds d'habitude avec
es malades et qu'on peut les rattacher individuellement à des types cliniques connus. Charcot qui avait remarqué que l'hystér
eureux de pouvoir lui témoigner ici toute ma reconnaissance. 44 f CLINIQUE MENTALE. liques ne sont pas des fugues. Les fug
alysée par P. Keraval in Arch. Neur. 2° s. XII, 1901, lr. 130, 46 CLINIQUE MENTALE. ans maladie infectieuse indéterminée a
ue spécial de la présence de l'indoxyl dans l'urine et de sa valeur clinique ; par Arthur A. D. TowSED. (The Journal of Ment
ie double; par lcHa&n. (Bullelcn médical, n° 28, 1906.) Leçon clinique de l'hôpital Tenon. Un sujet présente de la para-
Il n'est pas facile dans ce cas dont l'auteur publie l'observation clinique d'expliquer la perte soudaine et bilatérale de la
ner dans des hôpitaux spéciaux. R. de Musgrave-Clay. ,\ IV.' Note clinique sur un cas de constipation rebelle causée ^"par
vec tous ses détails dans le numéro d'octobre 1904. Il.- Une note clinique sur l'automatisme alcoolique; par W. C. Sulliva
r soit positive soit néga- tive. R. DE nIUSGItAVE-CLAY. III. Note clinique sur un cas de manie aiguë pour servir à l'histo
universellement connue dans les rues de Londres. IX. Observations cliniques de psychose de KoRsAKow; par J. ToTE. (The Jour
vif intérêt des neuropathologues. Une masse de documents venant des cliniques concernant ce mal et son jumeau, le tabes dorsa
discours d'étudier la « para- noïa » sa situation en tant qu'entité clinique , ses rapports avec 'les autres troubles mentaux
du traitement des malades qui guérissent. Il s'occupe ensuite des cliniques psychiatriques et des asiles, et espère que le
consti- tuer, à l'autopsie. le principal caractère diagnostique. Clinique : 1° l'âge moyen lors de l'entrée à l'asile est d
qu'elles résu- men les points les plus importants de l'observation clinique elle- même que nous ne pouvons reproduire dans
veux de l'ordre le plus élevé et le plus vulnérable. Un autre point clinique curieux, c'est que, environ un an avant l'entré
connaître qu'il est des cas de pathologie nerveuse où le diagnostic clinique est à peu près impossible. R. de Musgrave CLAY.
era peut-être' exaucer leurs \ ceux. Bernard P. » ? *" IV, - Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et mentales, par le
eprésente comme une monographie entière de cette intéressante forme clinique . , L'auteur donne beaucoup de détails surtout p
opathiques déterminés, qu'on doit strictement distinguer des formes cliniques , c'est-à-dire des maladies mentales ; l'auteur
pertise psychiatrique ne doit présenter « rien d'autre qu'une leçon clinique bien exposée dans les termes les plus simples et
e physiologique du tronc cérébral étudiée au moyen de l'observation clinique », repré- sente non seulement les meilleurs mat
ur s'initiera l'appréciation purement scientifi- que des phénomènes cliniques .. Les trois leçons suivantes sont consacrées à
de fixer la forme fondamentale. Alexandre AQUMAN, Assistant à la Clinique des Maladies nerveuses et mentales (Varsovie).
a faculté de médecine de \ancy ; Vallon, médecin en chef de l'asile clinique (Sainte Anne) ; Girma, directeur médecin à l'as
3 et 34, qui terminent la section, sont de pure forme (A suivre.) CLINIQUE MENTALE Les fugues dans les psychoses et les dé
(1) Voir Archives de Neurologie, n° 1, janvier 1901, page 38. ) 122 CLINIQUE MENTALE. sentent des accès légers de manie dans
froides aux deux mains « lesjambes glacées jusqu'aux genoux o 124 CLINIQUE MENTALE. la tête congestionnée, les yeux brilla
2° Quelque temps après, il part de Paris à 2 hem es de l'après- 126 CLINIQUE MENTALE midi, se rend à la gare Saint-Lazare, p
dit une mort prochaine. Interné à nouveau pendant' deux mois. 128 CLINIQUE MENTALE. Rentré chez lui, il reste inactif, se
tant qu'il n'a pas exécuté Aucun-ES, 3' série, 1007, t. 1. 9 130 clinique mentale. l'acte dont il a l'idée. Il cède tout
lyti- que générale, entrée il l'asile de Vauclusc au mois de 132. CLINIQUE MENTALE. mai 1904 et dont Mlle la doctoresse C.
stations simples des formes névrosiques jusqu'aux diver- ses formes cliniques , parmi lesquelles il faut citer la maladie de T
ense qu'il faut distinguer dans ces divers cas plusieurs catégories cliniques . / 1° Représentations obsédantes h1,llni/¡ xtoi
n nom personnel et au nom de M. DOUTRT : BEN7-E, les particularités cliniques et anatomo-pa- thologiques présentées par un dé
voir ainsi déblayé le terrain, 1. Grasset tenle une dé- monslration clinique de la demi-folie. Il rappelle d'abord Trélat, e
dont ai. Parant a déjà dit qu'elle ne cor- respond pas aux notions cliniques de la psychiatrie, est suivie de l'analyse des
nes. 2° Maison de santé du Dr Parant : Dr Parant; pas d'interne. 3° Clinique d'observation à l'hospice de la Grave, à Toulou
X... ; 2 internes. SAVOIE (Haute-). -Pas d'asile. SEINE. 1° Asile clinique : Directeur, AI. Guillot ; Médecins en chefs, D
TET,médecin en chef à Villejuif, DAGONET, médecin en chef a l'Asile clinique (Sainte-Anne), promus à la classe exceptionnell
Prix ...»-. 4 fr. Pour nos abonnés 3 fr. BOURNEVILLE. Recherches cliniques et thérapeu- tiques sur l'épilepsie, l'hystérie
mpris les d'eux volumes des LEÇONS DU MARDI, et les deux volumes de CLINIQUES des maladies du système nerveux sont vendues au
courte durée : un mois, dit la loi. Or je prétends, et l'expérience clinique le démontré, qu'un aliéné d'ordinaire agité peu
. La conception à laquelle nous a conduit l'observation des faits cliniques peut s'exposer par une comparaison. L'équilibre t
le-même une va- riété ù hyperthyroidie secondaire. IX. Conception clinique , anatomique et pathologique des idioties méning
anatomique et pathologique des idioties méningitiques. Observations cliniques et anatomo-pa- thologiques ; par Al. PRLI.IZZI.
1905, Vol. XXXI, fasc. III, IV.) Ou peut distinguer au point de vue clinique trois formes clini- ques de l'idiotie : une for
etc., Toutes ces variétés correspondent certainement à des formes cliniques et anatomiques variées. Au point de vue clinique,
ment à des formes cliniques et anatomiques variées. Au point de vue clinique , l'idiotie méningitique peut être congénitale,o
recherches ci-dessus analysées. J. S. XI. - Etude nosographique et clinique des infantilismes ; par 11. Santé de SYNCT;S.([
ixtes ou combinés ; 5° pathogénie des infantilismes ; 6° conception clinique fondamentale des infantilismes : 7° diagnotics
s professeurs des facultés de mé- decine, chargés de l'enseignement clinique des maladies mentales, qui sont de droit médeci
ans les Asiles publics d'aliénés du département de la Seine : Asile Clinique , Asiles de Vaucluse, Ville-Evrard, Villejuif, M
la conduite immédiate à tenir par le médecin en présence d'un cas clinique urgent de médecine, de chirurgie ou d'obstétrique
on. Vol. 1. 3e Série. Avril 1907. No 4 ARCHIVES DE ..NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE Formes mélancoliques de la démence préc
ctuellement que cette opi- nion ne correspond pas il tous les faits cliniques et qu'il y a des maladies mentales dont le débu
et la dépression morale. Archives. 3° sério, 1007, l I. 18 '274 clinique mentale. En étudiant ces états dépressifs prodr
soires et variables. Ces phénomènes secon- daires revotent l'aspect clinique de toutes les psychoses aiguës. Ainsi, on renco
s dans la démence pré- coce. Thèse de Paris, 1 <.JO : ; , . 76 CLINIQUE MENTALE. ' 3 cas : confusions mentales. 2 cas
précoce ; on l'y trouve à tous les degrés et sous tous les aspects cliniques . On peut rencontrer sur une série de malades di
que c'est d'elles que dépendent toutes les modalités et les nuances cliniques de la période prodromique. Les dill'érences de
la démence précoce. <Presse\médicale, 19 jan\ ier 1907). - 278 CLINIQUE MENTALE telligence. Les épreuves de Masselon (1
ui se plaignent spontanément se prêtent plus facilement il l'examen clinique . Il faut alors les écouter parler et analyser l
écoces. Mais pour être sur du diagnostic, il faut faire des examens cliniques répétés, on peut même dire qu'il est impossible
période. (1) Iiltmr. Maladies de la pérsoll11alité, page. 01. 282 CLINIQUE MENTALE Idées de négation. Les idées de négatio
n'ont aucune valeur diagnostique. Pourtant leur étude m'a a 28 i CLINIQUE MENTALE. , permis de distinguer certains caract
t de stu- peur. L'auteur met en évidence avec beaucoup de finesse clinique une série de nuances spéciales il la démence pr
'obligeance de \IU. Lwo(l' et 13cnon. (1) Lo= cit , p. 277. , 280 CLINIQUE MENTALE. Résumé : Anxiété extrême. Prédominance
lirants n'uni laissé aucun souvenir dans son esprit, elle reste 288 CLINIQUE MENTALE. comme obnubilée el inconsciente de son
empereur a parlé de lui. Archives, 3' série, 1007, t. I. , 19 290 CLINIQUE MENTALE. A son entrée, le malade n'est pas du t
e monde sera heureux quand il sera mort. l'en- dant son séjour à la clinique , il l'l"te dans un état de dépression prolonde-
. Ces phases de dépression sont interrompues brusquement par ? ü2 CLINIQUE MENTALE. des impulsions violente.11 s'est jeté
l'écorce motrice vraie est un de ceux qui, à en juger par les faits cliniques et anatomo-patlhologiques, est facilement attei
s de la Fondation Vallée : la 2e partie plus technique, comprend la clinique , la thérapeutique et l'anatomie pathologique. N
mon diffus; complications abdominales de la fièvre typhoïde. Formes cliniques de la variole ; fractures de côtes. Diagnos- ti
Jacques iiouBINOVITGII, médecin de la Sal- pêfrière ancien chef de clinique de la faculté de médecine de Paris, expert près
hiron. Vo'. 1. 3e Série. Mai 1907, ? S 5 ARCHIVES DE-NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil ( \ \ <\ \ /l
, I élixAlcan,15J7, 2 vol. Archives, 3* série, 1007, t. 1. 23 354 CLINIQUE NERVEUSE. mieux que tout ce que je pourrais en
ne. s'agit pas d'aboulie, mais de distraction. Le malade est 356 CLINIQUE NERVEUSE. paralysé parce qu'il est distrait. Il
son bras, ainsi que la volonté et le désir de le récupérer ; 358 CLINIQUE NERVEUSE. ou,si elle est le résultat d'une abou
le siège du trouble hystérique - capabled'expliquer à la fois 300 clinique nerveuse. les manifestations 'somatiques et psy
;)7. In 131bIioLl. de philos, contemporaine, Paris, (' ..llcan. 362 CLINIQUE NERVEUSE. représentation. C'est ce qui arrive d
lèle avec la théorie psychologique, ou plutôt avec les inter- 3G4 CLINIQUE NERVEUSE. prétations psychologiques multiples q
de l'in- somnie complète des grandes hystériques à manifesta- 366 CLINIQUE NERVEUSE. tions multiples et surtout viscérales
ans l'ordre' même de la vie du sujet, et cela ramène tous les 268 CLINIQUE NERVEUSE. événements que l'on a vus se dérouler
recteur d'établisse- ment ; les loisirs que lui laissent le service clinique peu- vent être fructueusement employés à faire
PRÉ et Camus. (L'Encéphale, 1000, n° 5.) Observation dont l'intérêt clinique réside dans l'association d'un état onirique tr
choses consécutives aux méningites cérébro- spinales est une vérité clinique admise par tout le monde, mais à laquelle manqu
elle, il semble, que la classifica- tion d'Ireland, qui est surtout clinique et étiologique, demeure la plus commode. 2" I
ctivement le même. Clouston a dit que la tendance pathologique et clinique la plus forte de toute forme de maladie mentale
ssus parallèle de dissolution psychique et physique, ayant l'aspect clinique décrit par Sankey ; on verra aussi que nous n'a-
ile étaient déjà tuberculeux quand ils y sont entrés. Les symptômes cliniques et les signes physiques de la tuberculose pulmo
s la race Juive. Th. Paris 1907, par le Dr VULFING- LUER. L'étude clinique de la pathologie nerveuse et mentale des Juifs
de Saint- Venant (Pas-de-Calais) ; Dupouv,main- tenu comme chef de clinique des maladies mentales à l'Asile cli- nique (Sei
à 10 heures (section Ilamhuteau) une nouvelle série de conférences cliniques sur les maladies mentales elles continuera les
IIRON. Vol. 1. 3e Série. Juin 1907. N° 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil (Théorie physiol
ties de l'écorce cérébrale. A;cames, 3° série, 1907, t. I. 29 450 CLINIQUE NERVEUSE. modification de la sensibilité object
s cérébraux sont avant tout des centres dynamiques. Leur siège, 452 clinique NERVEUSE. Les phénomènes psychiques de l'hystér
ca- (1) Voir : L'hystérie et son traitement». F. Alcan, 19ùl. 454 CLINIQUE NERVEUSE. nothérapie. C'est alors qu'on assiste
gi- lambules, et que les réactions provoquées par ces excita- 456 CLINIQUE nerveuse. tions locales dans des cas de trouble
oi consiste le sommeil pour reconnaître qu'il dort, et savoir 458 CLINIQUE NERVEUSE. comment le réveiller. Et s'il se réve
l'état d'arrêt se traduit à un moment donné par des manifes- 460 CLINIQUE NERVEUSE. tations fonctionnelles, d'ordre génér
je les fais (1) « Les troubles de la mémoire a ? HuPff, 1893. 462 CLINIQUE NERVEUSE. disparaître en me bornant simplement
e du sommeil cérébral spécial à l'hystérie, et que, au point de vue clinique , l'assimila- tion de ces deux états de sommeil
ce (1) Les Phénomènes d'autoscopie ». Paris, F. Alcan, 1903. 461 CLINIQUE NERVEUSE. fut une surprise pour moi de voir des
à cette manière de voir. Archives. 3' série 1907, t. I. 30 466 CLINIQUE NERVEUSE. En résumé, la théorie physiologique q
a seule qui repose sur l'expérimentation en mê- me temps que sur la clinique . Elle consiste essentielle- ment en ceci : l'hy
le-ci apprend à écrire. · Grasset (J.).-Plan d'une physiopathologie clinique des centres nerveux, Montpellier médical, XIX,
s des abcès. « Il est intéressant de rapprocher la double évolution clinique des accidents de la double évplution anatomi- q
t revêtir, en'.l'absence de toute lésion méningée, une ex- pression clinique que l'on qualifie de méningitique, alors qu'elle
e manifestation du rachitisme tardif. F. T. . XXXIV. Quelques notes cliniques sur les analyses d'urine et leurs résultats ; p
TOMIE ET' DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 493 XXXVIL-La signification clinique de l'indoxyl dans Purine;par M. Lewis C. Bruce.
lus la durée d'un processus pathologique que sa cause et son aspect clinique qui modifie l'histologie du cortex. F. TISSOT.
te chronique diffuse, peu connue parce que confondue avec des types cliniques voisins (rhumatisme chronique, sclérose médulai
ne proli- fération de tissu conjonctive-adipeux. Les particularités cliniques et anatomiques de cette affection la différenci
te, est une cause de grandes difficultés du diagnostic ou d'erreurs cliniques , tous les syndromes de compres- sion de la moel
ssionnée avec laquelle ce médecin aliéniste, si at- taché à l'étude clinique de la paralysie générale, de l'épilepsie de l'h
autres peuvent être améliorés et même guéris suivant les modalités cliniques ; les uns doivent être traités dans des interna
éprrs- .sion mélancolique. Voir Psychose. Automatisme. Une note clinique sur l'- alcoolique ; par Sulli- van, p. 63.
is- - l'ment; par Lionec Dauriae, ]J, 2 ! J. Constipation. Noie clinique sur un cas dercbcUccauseepar une accumulation
cial de la présence de l'in- doxyl dans l'urine et de sa va- leur clinique ; par '1'0\\ mend, p. 50. Dercum. Un cas de m
- massive ; par Féré, p. 144. -- Voir Ilémor- rhagies. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'- : par Bourneville,
as d'- amauro- tique de famille ; par Burnet, 'p. 145. Conception clinique , anatomique et pathologique de méningitiques.
ue, anatomique et pathologique de méningitiques. Observa- tions cliniques et anatomo- pathologiques ; par Pellizzi, p.
NDUSTRIE. Voir Alcoolisme. Infantilisme. Etude nosogra- phique et clinique des ; par Sante de Sanctis, p. 249. el dégéné
. 65. Langage. De la confusion du : par Kéraval, p. 148. Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et mentales ; par
un idiot épileptique ; par Ilamel et Wahl, p. 148. Manie. Note clinique sur un cas de aiguë pour servir à l'his- toir
ir Sérum. Réactions nerveuses. Voir "[dl/p- falioLL. Recherches cliniques . Voir Epi- lepsie. RECKLINGHAUSEX. Un cas de
ues à la pré- sence de ; par Weber, p. 488. Urine. Quelques notes cliniques sur les analyses d'- et leurs résultats ; par
61 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
s. C'est alors qu'il créa, en 1888, rue Saint-André-des-Arts, 55, une clinique de psychothérapie, la première fondée à Paris, de
tion répondait tellement à un besoin, que bientôt on vit affluer à la clinique de la rue Saint-André-des-Arts, non seulement les
cet enseignement, M. le Dr Bérillon dut transférer ses services de sa clinique au n° 49 de la rue Saint-André-des-Arts, dans l'h
largit et, sous le titre d'Institut Psycho-physiologique de Paris, la clinique devient à la fois une véritable école pratique de
ypnotisme employé comme méthode d'investigation psychologique ; 2° la clinique des maladies nerveuses et mentales ; 3° la pédago
; 2° la clinique des maladies nerveuses et mentales ; 3° la pédagogie clinique ; 4° tous les procédés d'analyse et de psychométri
oubles dynamiques du système nerveux, quelles qu'en soient les formes cliniques et les complications d'ordre somatique ou d'ordre
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiquesde l'hypnotisme.Il est secondé dan
et pédagogiquesde l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
HYPNOTISME AGENT THÉRAPEUTIQUE par M. le Dr Desplats, Professeur de clinique médicale a la Faculté libre de Lille. C'est, en
illante attention quelques réflexions personnelles sur la psychologie clinique et thérapeutique de ces troubles, dont la palhogé
ntôt cette théorie psycho-biologique des phobies, pardes observations cliniques , sans oublier la contre-épreuve thérapeutique qu'
iatres, on étudie les faits à la lumière impartiale de la psychologie clinique et thérapeutique, on en vient à regarder les phob
o-physiologique de Paris, Fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dûpemaire neurologique et
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé danssesdémonstrations cliniques par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenbcrg, Lajoie, et d
section. Les réceptions organisées au Club des chasseurs et dans les cliniques ont été des plus cordiales et laisseront aux memb
er que nous avons admiré, sans réserves, l'organisation des nouvelles cliniques de Neurologie (professeur Kojénikofî) et de Psych
, comme l'affirmait récemment M. le Pr Joffroy dans une de ses leçons cliniques à Sainte-Anne, nous affirmons par contre que l'hy
lié en 1888 les Emotions chei les hypnotiques et, en 1889, les Leçons cliniques sur tes principaux phénomènes de l'hypnotisme), s
crites et auxquelles on a donné le nom de corpus Luysii. Son Traité clinique et pratique des maladies mentales (1881) avait ét
e s'était résigné qu'avec peine à abandonner le champ de bataille, sa clinique hospitalière. On peut dire que ce laborieux est
. Les Neorologistes russes et français. M. Raymond, professeur de clinique des maladies nerveuses à la Faculté de médecine d
o-physiologique do Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'éléj par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme.11 est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.11 est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Paul Parez, Rchns. et dans ses démo
a, en outre, en 1895, sur une jeune personne, autrefois endormie à la clinique de M. Liébeault, retrouvé, après dis années, l'em
rier, la résolution -de se faire soigner. Il vient, dans ce but, à la Clinique des maladies nerveuses, qui est annexée à l'Insti
ent. Le jour même où Fernand F.... vient pour la première fois à la Clinique , on lui fait fixer quelques instants un fauteuil
e jeudi suivant. En effet, un certain jeudi, il n'a pas pu venir à la clinique , et quinze jours se sont écoulés sans qu'il fût s
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pedagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pedagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Paul Farez, Rehns, et dans ses
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Paul Farez, Hehns, et dans ses démo
udi 25 novembre, à l'Institut psychophysiologique, des démonstrations cliniques de phonendoscopie. M. le docteur Dagincourtù fa
udi 2 décembre, à l'Institut psycho-physiologique, des démonstrations cliniques de radioscopie et de radiographie. Conférences
t Dumontpallier). Cette conférence sera accompagnée de démonstrations cliniques expérimentales et de projections à la lumière oxy
rsité de Berlin. — M. le Dr Roncati est nommé professeur ordinaire do clinique psychiatrique à la Faculté de Bologne. — M. le Dr
ère communication, sur un terrain inattaquable, celui de la pédagogie clinique . Tel fut le sentiment qui nous inspira dans la ré
ous ne craignons pas de dire que ce sont nos expériences de pédagogie clinique , entreprises en 1886 et poursuivies par nous sans
ité consciente. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. PÉDAGOGIE PSYCHOLOGIQUE ET CLINIQUE 1* Bérillox. — De la suggestion envisagée au po
'émotion. SuggestibLUtè à l'état de veille et dans l'hypnose. Faits cliniques . Par ie docteur Bocnnoa, de K-ira (Oise). « L
qui revient à l'usage du miscros-cope dans les travaux de la médecine clinique . C'est à lui que nous devons la première descri
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM.WoIf, Paul Farez, Faure, et dans ses démon
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations cliniques de psychothérapie, de démonstrations expérimental
érimentales et de présentations d'appareils. Faculté de Médecine. — Cliniques des maladies nerveuses: M. le professeur Raymond,
fesseur Raymond, les mardis et vendredis, à 9 h. 1/2 (Salpétrière). Clinique des maladies mentales : M. le professeur Joffroy,
t nne malade, suivie depuis trois ans et traitée actuellement à notre clinique , par mon collaborateur et ami, le Dr P. Valentin,
re des expériences de laboratoire est close ; l'ère de la psychologie clinique et thérapeutique promet d'être féconde. DISCUSS
si bien associer le culte de la philologie à celui de la psychologie clinique et thérapeutique, s'était mis dans le cas d'être
l'aulo-suggcstion et tous les appareils appliqués dans un service de clinique chirurgicale n'avaient déterminé aucune améliorat
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladiesnerveuses (dispensaire neurologique et
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Paul Farez, Faure, et dans ses démo
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations cliniques de psychothérapie, de démonstrations expérimental
. Delhœuf n'était peut-être pas son Idéal I a Or, j'ai obtenu, à la clinique de M. Liébeault, un résultat tout contraire. Fais
une employé de commerce, très bon somnambule, que j'ai rencontré à la clinique de M. Liébeault, et avec qui j'ai pu, Tannée préc
vous ! Vous volerez (aj ! » Quelques jours plus tard, M. F..., à la clinique qu'il fréquentait depuis longtemps, raconta, sans
dérations tout autres, nous regrettons de ne pas avoir la statistique clinique du traitement Barberini, car, bien qu'on en ait d
) ; aussitôt après commença l'opération, en présence des élèves de ma clinique ; le malade ne donnait pas le moindre signe de do
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiquesde l'hypnotisme.Il est secondé dan
et pédagogiquesde l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les D'* Henry Lemesle.F. La-raya, Coatarm
t suivant : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications cliniques de l'hypnotisme. Co Cours commencera lu mardi 1
ence, de la sagesse avec laquelle Mesnet poursuivait ses observations cliniques . Dans ce travail se révèle la science profonde
, pour s'exercer, les différents moyens employés aujourd'hui dans les cliniques modernes. Ici interviennent les grimoires, manu
ppartements secrets d'un mage du quinzième siècle, rappelant assez la clinique de nos psychotérapeutes, mais avec des engins plu
ations de M. Jules Bois les évocations du diable par les sujets de la clinique . La suggestion dans l'état d'hypnose en fait tous
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'élude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses {dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les D™ Henry Lemesle.F. La- raya, Coa
de l'hypnotisme. Suggestion. Auto-hypnotisât ion. 2e Partie : Etude clinique et médico-légale de l'hypnotisme et de la suggest
ggestion. 3e Partie : L'hypnotisme et la suggestion au point de vue clinique . Psychothérapie. 4e Partie : Etats médianiques.
ypnose. 13 avril : (Congé de Pâques.) 20 avril: Hystérie. Etude clinique de. l'éjal mental des hystériques. L'hystérie e
ecine (amphithéâtre Cruvcilbier), un cours libre sur les applications cliniques et thérapeutiques de l'hypnotisme. II le contin
s générales sur la valeur de l'hypnotisme comme moyen d'Investigation clinique et comme agent thérapeutique. — L'hypnotisme et l
de présentations d'appareils. Il sera complété par des démonstrations cliniques à l'Institut psycho-physiologique, 49, rue Saint-
comme médecin hypnotiseur. Il installa à la rue de Bellevue, n°4, une clinique gratuite où l'on n'ordonnait pas de remèdes, mais
r de commandement suivi d'obéissance passive, qu'elle avail subi à la clinique de M le D' Liéheault. Me trouvant de ¦passage à S
Janet, ne sont pas assez avancées pour donner la raison des symptômes cliniques , et nous disons simplement que, pour le moment, c
l, etc., — en un mot, dans toute l'étendue du domaine de la pédagogie clinique , de l'orthopédie mentale et de l'hygiène morale (
logie physiologique. Trentième anniversaire de la fondation de la clinique des maladies mentales à Saint-Pétersbourg. A ce
uverts et contiendront: 1° Les plans et photographies des asiles et cliniques neurologiques ou psychiatriques; les photographie
t autres préparations anatomiques. 3° Les appareils usités dans les cliniques spéciales. 4° Les documents concernant l'histoi
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'élude des applications cliniques , médico-légales el psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie el un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladie» nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par M M. les D" Henry Lemcsle.F. La-raya, Coatarm
era comme paralysé. » Or, il advint que la malade, en revenant à la clinique , se plaignit d'avoir ressenti un engourdissement
eçues au Congrès seront divisées en quatre groupes : P Applications cliniques et thérapeutiques de l'hypnotisme et de la sugges
ppréciés, vient d'entreprendre la publication d'un important « Manuel clinique de Neuropathologie ». Ce manuel est en cours d'im
'hypnotisme ; son but a été de montrer par de nombreuses observations cliniques toute l'importance d'un agent thérapeutique qui j
iculier l'état actuel de la thérapeutique psychique d'après des faits cliniques observes chez MM. Aug. Voisin, Berheim, Forel, vo
o-physiologique de paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique rie maladies nerveuses (dispensaire neurologique
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les D" Henry Leincsje, F, La-raya. Coatar
Année psychologique (1'), 341. Anniversaire de la fondation de la clinique des maladies mentales à Saint Pétersbourg, 349.
les), 93. Oraisons et conjurations, 221. Pédagogie psychologique et clinique (index bibliographique), 167. Pédugogie suggest
62 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
DEUX MOIS PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES MALADIES MENTALES A. FOURN1ER PROFESSE
UR DE CLINIQUE IDES MALADIES MENTALES A. FOURN1ER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR
t-Germain (6e) 1904 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA.
ui vous en mon- treront les différents degrés et les divers aspects cliniques . L'histoire de ces (1) Leçon faite à la Salpêtr
us avez pu voir, parmi les nombreux parkinsoniens qui viennent à la clinique , et que je vous ai présentés à mes leçons du mard
rai-je pas davantage. Mais je désire, en terminant ce rapide exposé clinique , vous présenter rapidement un dernier malade, q
rt avec l'absence de cachexie. OBs. IL Femme de 37 ans ; diagnostic clinique : paralysie générale, atro- phie des nerfs opti
paralysie générale, atro- phie des nerfs optiques. L'observation clinique ayant été égarée, je n'ai pu savoir si les réflex
ce de M. P. Marie à l'hospice de Bicètre. Résumé de l'observation clinique : Père syphilitique, serait mort ataxique. Le m
cédent. Ce malade fut le premier chez lequel on fit le diagnos- tic clinique de sclérose combinée tabétique. - Cas. II. - Dé
que de P. Marie et Guillain, 1 FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX. CLINIQUE DE M. LE PROFESSEUR A. PITRES, ETUDE GRAPHIQUE
s'ac- cordent à leur reconnaître ; leur exploration a pris place en clinique à côté de celle des réflexes tendineux. Nos r
nous parait encore légitime au double point de vue physiologique et clinique . Nous allons essayer de le démontrer physiologi
es graphiques, nous réser- vant de faire plus tard la démonstration clinique . ' 1 La reproduction graphique des trois mouv
xplique pourquoi les auteurs, se ba- sant sur la simple observation clinique , ont pu affirmer que le réflexe des orteils se
du pied peut donner un certain nombre de renseignements utiles à la clinique . Les empreintes prises dans la station peuvent
embres inférieurs, th. Lyon, 1901. (2) Gilles DE la TOURETTE, Etude clinique et physiologique sur la marche, th. 1886. (3)
de sciatiques avec scoliose au contraire très fréquents. La forme clinique de cette sciatique offre également, une particula
hives générales de médecine, juillet 1901) est d'une part leur type clinique , d'autre part leur étiologie. Au point de vue
pe clinique, d'autre part leur étiologie. Au point de vue du type clinique ces 3 malades permettent de fixer l'iconographi
anté- rieurement des arthropathies des membres ayant les caractères cliniques 2 1) forestier du rhumatisme diathésique suba
is cas'de spondylose sont intéressants tant au point de(mlét4, type clinique qu'au point de vue de l'étiologie. <1""< :
t une question de milieu où l'on observe. Au point de vue du type clinique , ces trois cas présentent également plusieurs p
cure. L'évolution de.la spondylose rhumatismale est encore un point clinique que ces 3 cas mettent bien en évidence. Le proc
articulations du spondyle. Aux autres points de vue pathogénique, clinique , il serait intéressant de la comparer avec les
ons normales. Sur le conseil du Dr S. Soukhanoff, assistant de la clinique psychia- trique de Moscou, nous avons entrepris
MOELLE PAR RAPPORT AU CERVELET, PAR Edmond CORNU Interne à la Clinique des maladies mentales de la Faculté de Lyon. Le
s de la Faculté de Lyon. Le cas dont nous rapportons ici l'histoire clinique et anatomo-patho- logique nous a semblé intéres
envoyée à l'Asile de Bron où elle est admise dans le service de la Clinique des Maladies mentales. Son certificat d'entrée po
out le névraxe. Nous appellerons l'attention sur les particularités cliniques de l'affection et nous essaierons de montrer co
ble symptomatique présentant plus d'un trait commun avec le tableau clinique des états démentiels or- ganiques. Nous ne retr
uses et de symptômes relevant d'une lésion en foyer. Cette analogie clinique totale et non plus seule- ment la ressemblance
Yoliclinico, 15 juillet 1897. 120 CORNU présente avec le tableau clinique de la paralysie générale progressive, il réside
té Brouardel, 1902. (3) Iconographie de la Salpêtrière, 1901. (4) Cliniques 3e série), p. 110 ; Thomas, Le Cervelet (Thèse, P
s du syst. nerveux, p. 185. (2) Progrès médical, 1880. (3) Traité clinique du syst. nerveux. (4) l\1ediz-Jarhbücher, 1865.
trajet de ces fibres au delà du noyau rouge. Quoi qu'il en soit, la clinique confirme ces constatations : dans les lésions a
) montrent l'importance de ces lésions secondaires dans l'évolution clinique des tumeurs de l'encéphale et décrivent non seu
familial avait manqué. Charcot (4), la même année, dans ses leçons cliniques du mardi, présente deux malades atteints de malad
ble de déceler le moindre caractère familial. Raymond (5), dans ses cliniques , en rapporte trois cas sur cinq malades. Ladame
emps avant la mort, elle avait changé de type, (1) PETIT, Journ. de clinique inf., 30 juin 1898. (2) VnnIOT, Journ. de clini
PETIT, Journ. de clinique inf., 30 juin 1898. (2) VnnIOT, Journ. de clinique inf., 1898. (3) PIIILIPPS et OBERTIIUR, Revue n
e d'une série de causes insuffisamment élucidées par la recher- che clinique , nous observons que les maladies mentales présent
ent à la perfection. Toutes les maladies soignées dans les autres cliniques sont liées pres- que toujours à une certaine im
ive. z - 144 BIANCHINI TABLEAU III. - Proportion entre les formes cliniques totales et les travailleurs. ERGOTHÉRAPIE ET
T PSYCHOTHÉRAPIE 145 TABLEAU V. Femmes. Proportion entre les formes cliniques et les travailleurs. 146 BIANCHINI TABLEAU
oir qu'une importance secondaire à l'égard du critère exclusivement clinique qui forme la base de l'ergothérapie. Le médecin
ent des aliénés. CONCLUSIONS . Au-dessus des méthodes strictement cliniques , savoir d'intervention médi- camenteuse directe
t des artistes. Sur quelques points même, nos constatations d'ordre clinique venaient donner un appui scientifique à certain
e, il s'est trouvé un homme pour observer et reproduire ces détails cliniques , dont plusieurs apparaissent pour la première foi
elles, pas plus que chez le possédé de Reichenau, des carac- tères cliniques précis comme chez celui de la miniature du Mont-C
iature du Mont-Cassin, et par contre, nous y rencontrons des traits cliniques qui ne repaîtront qu'à l'époque de la Renaissance
qu'il a des chances de s'acromégaliser avec le temps. L'observation clinique et la radiographie soit d'accord pour confir- m
uons ainsi comment il a pu être atteint de glycosurie, alors que la clinique et l'expérimentation s'accordent pour montrer l
ES (Loeper et Cromjm). Masson & CI', Éditeurs TRAVAIL DE LA CLINIQUE MÉDICALE DE L'HOTEL-DIEU SERVICE DE M. LE PROFE
es vasomoteurs et trophiques observés par eux dans l'hémiplégie. La clinique nous fournit donc de nombreux exemples d'oedème
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU THOPHOEDËME PAR PAUL SAINTON; Chef de clinique . ET ROGER VOISIN, Interne à l'Hôpital Beauj
e jeune fille qui a fait plusieurs années après l'objet d'une leçon clinique du Professeur Debove. Prothon, Rapin, Ilerlooli
encore incer- taines, nous réclamons pour elle la valeur d'un fait clinique peu commun. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE 111. LE P
ction. Les travaux sur le tabes s'accumulent, les procédés d'examen clinique et anatomo-pathologique se perfectionnent, des
tel brouhaha, il y avait quelque témérité à essayer de faire de la clinique . Au milieu de ce fleuve humain aux vagues sautil-
prouva tout naturellement le désir de faire connaître les richesses cliniques et iconographiques accumulées depuis de longues
signalé à la Neurologie. Gilles de la Tourelle était alors chef de clinique . Il s'offrit pour annexer à cette documentation i
s'offrit pour annexer à cette documentation imagée les observations cliniques et les travaux anatomo-pathologiques correspond
arque une date dans l'histoire de la Neuropathologie est son Traité clinique et théra- peutique de l'Hystérie, d'après l'ens
amment déterminés, soit parce que les descriptions pathologiques et cliniques n'en sont pas assez connues, ou que son diagnos
à Paris, Wiesbaden,Buenos- Ayres et Montévidéo. Voici l'histoire clinique de ce cas : N. N... est une fille de 35 ans, cé
aire, un repos, (1) Le professeur Ilaymond, dans un de ses exemples cliniques , indique le procédé suivant : Quand les yeux du
ale du moteur oculaire commun. Ceci s'accorde avec mes observations cliniques . (Hevista Médica de l'Uruguay, Jacqueca oftalmo-
t le traitement le plus efficace. HOSPICE DE LA SLPI;'T1t11;tiE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . PARALYSIE DES
, âgé de 33 ans, sellier, vient consulter, en novem- bre 1903, à la clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière pour une
x est allongé. La radiographie confirme les données fournies par la clinique , en mettant en évidence : 1° l'allongement du 2
ent, ne peut être résolue que sur la voie des nombreuses recherches cliniques suivies d'autopsies. Le cas que nous voulons ra
Nous nous permettons de donner ici un court résumé de l'observation clinique et de l'examen radiologique du frère aîné et de
nakow particulièrement réduit en volume. Voilà,enfin, l'observation clinique du frère cadet des deux précédents, de Luis Han
oyaux, ne présentent pas anomalies. En comparant les observations cliniques de ces trois membres de la UNE FORME D'HÉRÉDO-A
analogues. Il nous semble qu'il faut, en présence de ces symptômes cliniques et de ces données anatomiques, envisager ces tr
nombre des autopsies n'est point une excep- tion. Au point de vue clinique nous savons que la. scoliose et l'attitude patho-
était combinée avec une sorte de myopathie. En comparant ces faits cliniques avec les données anatomiques citées plus haut,
ité des muscles. Loin de constituer une règle dans le développement clinique et dans les autopsies de l'ataxie héréditaire,
genouillé (1) De Gnosz, Soc. hong. des sc. nature., 10r mars 1898. Clinique ophtalmol., 10 sep- tembre 1899 et Congrès d'Ut
ptique, les cellules multipolaires de la rétine. Quelques remarques cliniques et ophtalmoscopiques que nous avions faites ant
rétine. Nos constatations anatomiques confirment en somme ce que la clinique et l'examen ophtalmoscopique nous avaient permi
nière dont travaillent les ma- lades affectés de différentes formes cliniques et l'application de ceux qui sont affligés de d
ffligée ; ainsi elle est persuadée que la police se présentera à la clinique à son premier appel, que « In police répondra d
es fluc- tuations pendant tout le temps que la malade séjourne à la clinique jusqu'au 18 juin 1903. Malgré la réserve de la
n niant énergiquement son mal, il de- mande à être interné dans une clinique psychiatrique où il espère échapper à ses ennem
première fois. L'expérience du régime du travail introduit dans les cliniques psychiatriques permet actuellement de considére
autour d'elle. Depuis avril 1883 à mai 1804 elle est internée à la clinique de l'arrondissement de Kazan. Rendue à la liber
enricus Hondius en 1640. Charcot l'a commenté et reproduit dans ses Cliniques (t. 1, p. 158), puis avec Paul Richer dans les
e torticolis enfin, peut-être torticolis mental - voilà de la bonne clinique en image. S'agit-il de chorée de Sydenham ? On
ée N° 5 Septembre-Octobre UNIVERSITÉ DE MONTPELLIER TRAVAIL DE LA CLINIQUE MÉDICALE DE M, LE PROFESSEUR GRASSET SPASME BIL
AL . DES MUSCLES DU COU ET DE LA FACE PAR M. GAUSSEL, Chef de clinique médicale à la Faculté de Montpellier. Les spasm
muscles innervés par le facial n'interve- naient pas. Le tableau clinique présenté par notre malade ne saurait être confond
notre article. Nous avons peu de choses à ajouter à l'obser- vation clinique , à laquelle nous prions de se reporter. L'état du
tes au niveau des muscles, nous paraissent expliquer les caractères cliniques assez parti- culiers de notre observation. L'
porté du vivant du malade ; mais surtout il explique les caractères cliniques si particuliers de l'observation ; en effet, la r
une place à une forme plus rare il est vrai, mais donc l'existence clinique et anatomique nous parait établie, la forme scl
dans un certain nombre de cas le début d'un processus que l'examen clinique n'avait pas encore laissé supposer. Nous avons
lle était fort peu marquée malgré une disparition (1) L'observation clinique de ces malades a été publiée dans notre travail :
s malades a été publiée dans notre travail : Cécité et Tabes. Étude clinique , 1904. Nouvelle Iconographie de la SALPêTRIèRE
expli- que la persistance si longue, qui nous a frappé dans l'étude clinique , de l'état c demi-voyant », l'état qui permet a
e trouvent connrmésetexpii- quéspar l'examen anatomique. A la phase clinique d'évolution aiguë cor- respond la phase anatomi
concentrique inégal ou le rétrécissement en secteurs. A la phase clinique d'évolution chronique correspond la phase anato-
s d'arrêt, presque de réparation, que d'un pro- cessus évolutif. La clinique répond à ces constatations, et nous avons pu vo
médullaires, nous avons pu- blié (1), il y a deux ans, la relation clinique et histologique d'un cas qui nous parut établir
ue de syringomyélie que nous avons pu étudiera fond au point de vue clinique et anatomique nous met en mesure de revenir sur c
gomyélie elle-même. Etudions d'abord le résumé de cette observation clinique et les résultats de l'examen histologique (2).
inique et les résultats de l'examen histologique (2). Observation clinique . ' Dlme Poclr ? cardeuse,entrée à la Salpêtrièr
atteignant et pénétrant la corne antérieure , (1) Cette observation clinique a été relatée déjà à propos des troubles de la se
comprendre la physiologie pathologique de la plupart des symptômes cliniques . La clinique nous montre un état spasmodique, u
physiologie pathologique de la plupart des symptômes cliniques. La clinique nous montre un état spasmodique, une exagération
postérieures sous-jacentes. En somme il n'y a ni dans l'observation clinique , ni dans l'ensemble et l'as- 382 TUOMAS ET HAUS
en tirer. Discussion générale. Voilà donc une observation que la clinique et l'aspect macroscopique des lé- sions permett
e du processus qui évoluera sous le type hydro ou syringomyélie. La clinique même est invoquée à l'appui de cette thèse et,
bien de syringomyélie authentique qu'il s'agit et ces observations cliniques sont-elles valables dans la discussion d'un pro-
idée qu'on peut se faire de la syringomyélie. Dénuée de spécificité clinique , elle perd aussi toute spécificité anatomique e
not, Saint-Dizier (Haute-Marne). 17e ANNÉE N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES {ASILE DE SAIN1E-AN};E)
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX (1) A. JOFFROY Professeur de la Clinique des Maladies Mentales. Messieurs, Il y a plus
quelques-uns des nombreux malades qui ont servi à la démonslration clinique des troubles de la parole, de la lecture et de l'
s la paralysie générale. Aussi, comme nous faisons avant tout de la clinique , vais-je attirer votre attention sur les troubles
s qui nous permet de comprendre la grande variabilité des symptômes cliniques . Mais revenons à l'examen direct des malades.
pu de plus examiner les différents nerfs et muscles. L'observation clinique et anatomique du malade vaut, ce nous semble, d
ue celle de droite, ce qui répondait parfaitement aux constatations cliniques . Ces foyers avaient absolument l'aspect des foy
pour leur propre compte, leur participation à la genèse du syndrome clinique a été assurément tout à fait accessoire ; on en e
prédominante à gauche, répondait entièrement à la sympto- matologie clinique . Ce cas démontre donc d'une façon indubitable la
6nitale de la ma- ladie de Thomsen. J'ai, cet hiver. dans une leçon clinique , montré à la fois aux élèves le malade en quest
indiscutable l'existence de la myotonie alrophique au point de vue clinique et même au point de vue anatomo-pathologique.
du courant. Il me semble inutile d'insister davantage sur l'intérêt clinique des faits que je viens de rapporter. Ils établi
évident entre la myo- tomie et la myopathie et sont un bon argument clinique en faveur de la nature myopathique de la maladi
omplet, les stigmates hystériques qu'on recherche habituellement en clinique . On constate en différents points des cicatrice
trophiques est la signature de graves altérations des neurones. La clinique précède ici l'anatomie-patholo- giqueet la conf
i l'anatomie-patholo- giqueet la confirme. (1) P. HÉRissEY, Elude clinique sur les troubles trophiques dans la paralysie gén
ÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL, EN PARTICULIER CHEZ LE CHEVAL (1). ÉTUDE CLINIQUE PAR FERNAND RUDLER, Médecin-major de 2o cla
nu à Pau, 1-1 août 1004 (présentée par M. Henry Meige). Cette étude clinique fait partie d'un travail d'ensemble sur la « Dé
é des dégénérescences de l'espèce humaine, f 857 ; - Magnan, Leçons cliniques , sur les maladies mentales, 1882-1891 ; Magnan et
alement du cheval. Nous n'envisageons, dans ce travail, que l'étude clinique de ces stigmates, et nous exposerons successive
De l'examen morphologique chez les aliénés et les idiots »i Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses. Salpètr.
e cheval d'ordre anatomique, physiologique et psychique. L'histoire clinique des équidés dégénérés offre une identité parfai
des stigmates de dégénéres- cence du cheval intéresse à la fois la clinique à qui elle apporte des faits nouveaux de pathol
Des stigmates physiques psychologiques et psychiques de la),étude clinique , par Run>;R et CIIOMEL, 471. Démence précoce
générescence chez l'animal, en parti- culier chez le cheval ; étude clinique ,471. Cornu. Un cas de tumeur cérébrale à form
générescence chez l'animal, en par- ticulier chez le cheval ; étude clinique , 471. RYDRL. Sur l'anatomie pathologique d'un
63 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aréville, More ! l'avait cité dans le deuxième volume de ses Etudes cliniques . Renaudin, qui a suivi la maladie après eux, le
'est résignée et elle se croit guérie. Sa conversation me prouve 26 CLINIQUE NERVEUSE. importante a été vaguement constatée.
le ressort, .trait distinctif, des données de notre nomenclature. CLINIQUE NERVEUSE NOTE SUR L'ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉ
entre l'affaiblissement musculaire et la véritable paralysie. 28 CLINIQUE NERVEUSE. J'ai fait depuis quelques années de n
ré- brale. Je me proposais en les commençant d'étudier les signes cliniques des altérations bilatérales de la moelle, qui,
les chiffres sont notablement moins élevés ; la moyenne est : 30 CLINIQUE NERVEUSE. Hémiplégies, droites. ÉTAT DES 1·'O
DES 1·'OKCGS CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 3t Hémiplégies gauches . 32 CLINIQUE NERVEUSE. Des observations résumées dans les ta
l de la façon suivante. Pendant la période apoplectique, toute 34 CLINIQUE NERVEUSE. exploration dynamométrique est imposs
hémi- plégié est tellement variable qu'il n'y a aucun avantage 36 CLINIQUE NERVEUSE. à établir des moyennes pour les compa
embres d'un côté du corps obéissent imparfaitement aux incita- 38 CLINIQUE NERVEUSE. tions volontaires. Ils peuvent, il es
DANS LES CAS DE LÉSIONS CÉRÉBRALES; Par Gilbert BALLET, Chef de clinique à la Faculté de médecine. BIBLIOGRAPHIE : 1.
ses fonctions et ses maladies. G. Ballet, Recherches anatomiques et cliniques sur le faisceau sensitif et les troubles de la
Quand nous avons abordé la question, on savait déjà par les faits cliniques et expérimentaux que le faisceau sensitif occupe
ns avaient été formulées avant que nous ayons trouvé dans les faits cliniques leur confirmation. Ceci dit, afin d'éviter l'ac
se- conde, après l'étude attentive d'un assez grand nombre de cas cliniques . Nouspensons, en effet, que la zone corticale sen
le, consécutive aux lé- sions de la capsule interne, les caractères cliniques qu'elle af- fecte, les conditions pathogéniques
Turck (1859), Charcot (187-2), Magnan (1873) dans le domaine de la clinique , de Veyssière (1873), et de Raymond (1876) sur
faits, en conciliant, comme nous l'avons montré, les particularités cliniques avec les détails anatomiques. Les observations
absolue dans laquelle nous nous trouvons relativement aux relations cliniques entre les altérations de l'écorce et les troubl
tions auditives et visuelles. On voit donc que sur le terrain de la clinique , les localisa- teurs n'ont pu jusqu'à ce jour f
oins la conclusion qui res- sort pour nous de l'étude anatomique et clinique que nous avons poursuivie. REVUE DE PATHOLOGI
SYMP- TOMES de .LA paralysie progressive; par BECHËTRÈW. [Gazelle clinique hebdomadaire [russe), 1881, n°S 8-10.) L'auteur
e), 1881, n°S 8-10.) L'auteur rapporte l'histoire d'un malade de la clinique de M. le professeur Mierzejewsky, qui présenta
le professeur Mierzejewsky, qui présenta pendant la vie le tableau clinique de la paralysie générale, avec quelques parti-
ique) isolés et de la combinaison de la névrose avec un des types cliniques connus (mélancolie, folie systématique, paralysie
des injections de morphine, s'appelle le morphinisme. Le tableau clinique du morphinisme est vaste, car, d'ordi- naire, t
qui, quelques jours après un accès de delirium tremens, sort de la clinique soi-disant guéri. Seul, un traitement de long
(10 obser- vations à l'appui). Il n'y aurait d'ailleurs aucun signe clinique différentiel entre ces formes nécroscopiques, l
les voit-on sévir au delà de trente ans, revêtant, quelque masque clinique qu'ils assument, et ils les adoptent tous, une ex
t sous la forme de la mélancolie anxieuse. Tel est aussi l'aspect clinique de ceux de la convalescence en rapport avec l'ané
, à la genèse des phénomènes nerveux, c'est encore à la distinction clinique qu'il convient d'avoir recours alors que les RE
accident d'ailleurs passager. L'évo- lution de toutes ces modalités cliniques ne dépasse pas d'habi- tude quelques heures à u
mois à un an .et même davantage en 38 p. 100 des faits. Les entités cliniques obser- vées se ramènent aux quatre rubriques sy
. L'ignorance où l'on est de la nature et des causes de cette forme clinique explique 116 G SOCIÉTÉS SAVANTES. l'impossibi
ons des circonvolu- tions temporales, inclinerait, si les résultats cliniques n'y contredi- saient pas, à penser à un trouble
édecin en chef de l'a- sile d'aliénés et professeur chargé du cours clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine
(1879). L. Lagar- delle avait inauguré à Niarseille des conférences cliniques sur les maladies mentales. Statue DE Pu. Pine
sultats analogues renversés, en trois électrisations successives. CLINIQUE MENTALE DU DÉLIRE DES NÉGATIONS; - . Par M. C
ns délirantes et ses hallucinations, et qu'il en est arrivé à 156 CLINIQUE MENTALE. vivre dans un monde imaginaire, mais s
ala- dives plus profondes où réside la différence essentielle 158 CLINIQUE MENTALE. entre les persécutés et les autres mél
hoses -CI travers le même prisme qu'autrefois ». (J. Falret.) 160 CLINIQUE MENTALE. Dans ces cas légers, il existe déjà co
ulier la croyance eu Dieu, disparaissent souvent, quelquefois 161 CLINIQUE MENTALE. de très bonne heure. Griesinger a sign
-et, i ... 1 , , ,> , partout des flammes, des incendies. 166 CLINIQUE MENTALE. L'état hallucinatoire 'des mélancoliqu
où de ruine moins intense, choisissent dans leurs aliments : 168 CLINIQUE MENTALE. ils ne mangent que du pain sec par pén
de ce travail, ou peut dire que le délire des négations est' I 70 CLINIQUE MENTALE. DU DEHRb DES NÉGATIONS. un état de chr
délits et les crimes. Il suivre.) PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FRÉQUENCE DES MALADIES SEXUELLES CHEZ LE
SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES; Par le Dr S. DANILLO, médecin (le la Clinique de Samt-Pétershourg. L'influence des affections
Leçons orales sur les p/t;e'(0a</tte.s', 1880. J. Falret. Leçons cliniques sur les maladies mentales, 18G4. larcl. Sur la
dans les maladies utérines. Thèse de Paris, 1880. 3 Boyé. - Essai clinique sur les rapports des troubles génitaux à la folie
observées dans les autopsies. D'après mes propres recherches' à la Clinique des maladies mentales de mon maître, M. le prof
par les altérations des organes sexuels. , v "" - Les recherches cliniques des autres auteurs sur, cette question sont trè
aginal. La forme de la maladie mentale est définie par l'exa- men clinique de la malade et les données des feuilles d'obse
dier les malades de la Salpêtrière et de l'asile Sainte-Anne [asile clinique ). RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FOLIE AVEC CONSCI
alpêtrière et de l'asile Sainte-Anne [asile clinique). RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FOLIE AVEC CONSCIENCE; Par le D E. MARAX
os avait été râpé. Le grand tro- 1 Ch. Féré. Étude expérimentale et clinique sur quelques fractures du bassin. (Progrès médi
; l'autre naturel, intelligible, simplement faux. Au point de vue clinique , il admet trois formes, selon que les conceptions
la lypémanie (délire d'antoaccusation, plaintes, etc.). Le tableau clinique doit être complété par les symptômes nerveux ou
tude nuageuse des définitions sur la connaissance au regard du fait clinique précis que traduit l'expression perdre connaiss
ansférer la bibliothèque de la Société dans la salle de cours de la clinique psychiatrique de l'hôpital général, de la rendr
ncée sur la stupeur, à la lumière d'une observation recueillie à la clinique de MEYNERT. La publication en sera effectuée in
ges souvent éloquentes et toujours em- preintes d'un profond esprit clinique ; et dans les additions consi- dérables que les
tranger qu'en France pouvaient lui fournir. Toutes les observations cliniques , toutes les théories physiologiques, toutes les
erdrier. Thèse de Paris, 1882. L'auteur conclut de ses recherches cliniques et expérimentales que les lésions absolument lo
vancée ou des indurations plus ou moins marquées. Cn. F. V. Etude clinique sur l'absinthisme chronique; par L. Gautier. Th
raphie photographique de la Salpêtrière et M. Riche dans ses Eludes cliniques de /ti/s<ët'o-] ! 7epSM n'avaient observé ces
des paralysies ré/fees; par OLLIGn. Tlièse de Paris, 1882. Etude clinique sur les troubles intellectuels dans l'ataxie loco
e de 1*hémori,h(igie i ? iéninqée expéi,ime ? îtale avec déductions cliniques ; par P.-N. BoNNOT. Thèse de Paris, 1882. FAITS
douches aux malades du dehors qui vont a la consultation de l'asile clinique (asile Sainte-Anne) et de l'hôpi- tal Cochin, a
Pt. III. Vol. IV. Novembre 1882. N" 12. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE CLINIQUE DU VERTIGE DE àlÉNIÈRE
bre 1882. N" 12. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE CLINIQUE DU VERTIGE DE àlÉNIÈRE DANS SES RAPPORTS AVEC L
re. Il ne perd pas connaissance; à peine Archives, L IV. 18 - 27' CLINIQUE NERVEUSE. t-il quelques secondes de surprise et
Les thèses de Voury, de Bonnenfarit, de Lhuissier et de Léo, les cliniques de M. Charcot; l'éludé récente de MM. Féré et D
escriptions de pièces et j'ai dit que ce travail est abso- . Jument clinique . On sait au reste combien sont incom- plètes et
preuve de la multiplicité et de Fa différence des lésions 276 ô . CLINIQUE NERVEUSE. étiologiques dans ces cas qui n'entra
er- vateurs, et ils ont conclu qu'il fallait chercher ailleurs 27 CLINIQUE NERVEUSE, la solution de la* question, à moins
ez l'homme. On sait les expé- riences dé P. Bert sur les lapins. La clinique montre DU .VERTIGE DE 111L\I);RE. 279 les con
si que, au moyen d'une poire à air, en poussant le tympan et, 280 CLINIQUE NERVEUSE. tout l'appareil conducteur du son ver
ère est satisfaisante, car il existe un- trop grand nombre de faits cliniques DU VERTIGE DE MÉNIÈRE. 281 où l'on n'a pu avo
dans son intensité, quand on, change l'état;, de tension, par 282 CLINIQUE NERVEUSE. influence, de l'appareil de transmiss
fenêtres ovale et ronde et de la platine de l'étrier. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE DU DÉLIRE DES NÉGATIONS (Suite)1; Par
mariée, mère de famille, est placée le 12 juin 18G3 à la maison 38t CLINIQUE MENTALE. de santé de Vanves, après avoir fait p
es. M"° S... prétend que personne ne meurt plus, que personne 286 CLINIQUE MENTALE. ne se marie plus, que personne ne nait
mars 1880, nouvel accès, début assez rapide, préoccupations; 288 CLINIQUE MENTALE. relatives à des questions d'argent, pe
'a pas de testicules, il faut le tuer. Aucun e*, L IV. l'.l 290 CLINIQUE MENTALE. Deuxième catégorie. i , Observation
ncertitude de la démarche,inégalité pupillaire.. , ? y ,rsn,l 229 CLINIQUE MENTALE. Ces symptômes de paralysie générait !
ution se concentrèrent sur la personne de son gendre ; elle j 1.. . CLINIQUE MENTALE. répétait pendant des heures entières :
121, 407 et stiiv. Traite- ment moral, p. 274, 281. Mobel. Etudes cliniques , t. II, p. 37 et M 8. > Macario. Annales ? n
? KedtCO-psyc/t0o ? y : fes, 8o2, t. IV, p. 1 46. ' Petit. Archives cliniques , p. 59. Miciiéa. Du délire /t ? /poc/t07td<'
s son esprit cette, grotesque image. Toutes ces obsessions, dont la clinique , fournit des exemples si variés, ne sont après
faits ne saurait donc être négligée, puisque en dehors de l'intérêt clinique il s'agit d'éclai- rer la justice et de défendr
de toutes ces recherches. A notre tour, pour compléter cette étude clinique et pour bien montrer que la forme des obsession
ns répugance à cette même boîte pour son déjeuner. " (Magnan. Etude clinique sur les impulsions et les actes des aliénés. Le
s, mais bien un moyen indispensable pour compléter ses observations cliniques , contrôler l'interpré- tation des phénomènes pa
eut dire si fréquemment, chez les diabétiques, est surtout utile en clinique . C'est sur leur des- cription que nous nous arr
culaire'dont Marchai (de Calvi) a le premier montré toute la valeur clinique . Elle ne dépend pas de l'amaigrissement muscula
de ces paralysies, c'est qu'elles sont souvent incomplètes. Dans sa Clinique de 1'llôtel-,Oieit de liouen, M. Leudet cite un
de lassitude pour l'époque d'apparition, la fréquence et la valeur clinique . On les observe surtout aux membres inférieurs,
le plus près de la vérité. Voici à cet égard, la statistique de la clinique de Galozowsky, d'après Kiwatkowski. i Kiwatkows
ts des sensations douloureuses de cette région, de nombreux faits cliniques les constatent tant que la destruction n'a pas fa
rois heures seront accordées pour cette rédaction) ; 2° une épreuve clinique consistant dans l'examen de deux malades, chois
l sera ouvert à cette faculté un concours pour une place de chef de clinique des maladies mentales. Concours POUR l'internat
sur l'ly- giène des), par Pomponne, 26 'i . Aliénées (recherches cliniques sur la fréquence des maladies sexuel- les che
on au bout de trois ans d'un accès de - ). 391. llénière (Etude clinique du vertige de dans ses rapports avec les lési
as de lésions cérébrales, par Ballet, 67. Sexuelles (recherches cliniques sur la fréquence des maladies chez les aliéné
64 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
de veille ne lui furent d'aucune utilité. Traitement.— Il vint à la clinique de M. le Ur Dérillon en Février 1899. — ? l'exame
ssive cl ou bout de six séances notre malade put tout seul venir à la clinique et même se promener sur les grands boulevards. Da
des agents, il lui sembla qu'il sortait d'un rôvo. Dans ses leçons cliniques , M. Magnan insiste sur les troubles fonctionnels
e guérie par suggestion pnr M. lo D' t*niil Fahcu. Les recherches cliniques ont prouvé depuis longtemps que la plupart des ma
o—physiologique de Paris, fondé en 1880 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme.!! est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.!! est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les D" Henry Lemcsle, Vlavïanos, Faure, W
ité n'acceptera que des communications se rapportant aux applications cliniques , médico-légales, psycho* physiologiques, pédagogi
s communications seront divisées en quatre groupes: 1. Applications cliniques et thérapeutiques de l'hypnotisme et de la sugges
ine d'Athènes. Hollande. M. le Dr Van Kentërghem, directeur de la clinique psychothérapique, à Amsterdam. Italie. MM. le
ce délire a une symp-tomatologie très nette; ce qui domine le tableau clinique , c'est une croyance morbide dans l'adultère de l'
) reparut comme la première fois. C'est alors que la malade vint k la clinique du D'Bérillon, le 8 juin. J'ai pensé aussitôt à
rares et nous n'avons pas pu en voir un seul pendant son séjour à la Clinique . Après cette troisième séance nous l'avons perdue
encore à la Salpétriere où elle est entrée cn 1879. J'ai été chef de clinique de Charcot, de 1885 à 1887; c'est vous dire que j
L'hémianesthésie d'origine cérébrale se présente avec des caractères cliniques qui permettent de ne pas la confondre avec l'hémi
sa destinée, le menant vers ses découvertes futures. Un jour, à la clinique , le maître du jeune Liébeault provoqua chez un ma
la s'est fait sans tapage, sans réclame, dans le silence d'une petite clinique de pauvres, par la seule magie d'une volonté fort
uxième période s'épanouit, que nous pouvons appeler la première Ecole clinique française du XIX* siècle. I'1 11 La première
mière Ecole clinique française du XIX* siècle. I'1 11 La première Clinique française avait été fondée à Montpellier par Baum
résentée par Charles-Louis Dumas. A Paris, le premier professeur de clinique médicale est Cor-visart. Ce grand médecin fait co
ue et peu répandue, même en Autriche. En même temps, il fonde l'élude clinique des/page> page n="106"> maladies du cœu
m domine et personnifie, en quelque sorte, toute cette première École clinique . Une découverte comme ceile de l'auscultation s
nec, dont l'œuvre anatomopatho-logique n'est pas inférieure à l'œuvre clinique ; les deux se complétant sans se nuire et se dével
cette unité de la tuberculose que Laônnec avait établie, au nom ds la clinique et de l'anatomie pathologique? Enfin, Messieurs
it d'autant. C'est là l'œuvre que nous appellerons la. deuxième Ecole clinique du XIXmu siècle, quatrième période de notre histo
Dès le début, l'anatomie pathologique parut être un danger pour la clinique : l'abus qu'on en fit, et qui en dénatura la vale
est encore aujourd'hui. Ils ont merveilleusement appliqué l'analyse clinique et la méthode anatomoclinique, ils ont dégagé et
quemcnt. Je n'hésite donc pas â dire que, dans cette deuxième École clinique qui constitue notre quatrième période, Andral est
f de la première période (application de l'anatomic pathologique à la clinique ), Trousseau le chef delà deuxième (séméio-logie e
la psychologie expérimentale; 2e Applications de l'hypnotisme à la clinique et à la thérapeutique (hypno-diagnostic et psycho
nt, presque de parti pris, cette infinie variété de faits qu'offre la clinique médicale. (1) Après quelques autres en France,
psychothérapie et un laboratoire do psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavianos, Faure, W
et de psychologie. — M. le Dr Bériilon reprendra s.>n enseignement clinique de l'hypnologie et de la psychologie, le jeudi 2?
psychologie, le jeudi 2? Octobre courant, u 10 heures et demie, à la clinique des maladies nerveuse», 49, rue Saint-André-des-A
s pratiques pour les recherches de psychologie dans les asiles ot les cliniques , rapporteur: Dr Ferrari; 20 Rapports entre les
physiologie humaine ; c'est la sûreté impeccable de ses observations cliniques , préparant à la fols le cadre et les éléments d'u
. D'après The Lancet. M. W. 11. Bermett a cité, dans une conférence clinique tenue à Saint-George's Hospital, deux cas très pr
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavîanos, Lapinski
e et do psychologie. — M. le Df Bérillon reprendra son enseignen: :nt clinique de l'hypnologie et de la psychologie, le jeudi 26
psychologie, le jeudi 26 Octobre L-ourant, à 10 heures et demie, à la clinique des maladies nerveuses, 49, rue Saint-André-des-A
r Charles Bixet-Sanglé. L'histoire est à la sociologie ce qu'est la clinique à la pathologie. Après avoir essayé de faire œuvr
o-physiologique do Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie ¦expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
:v.édecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. XI est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. XI est secondé dans se-, demonstrations cliniques par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavïanos, Lapinski
gie et de psychologie. — M. le Dr Bérillon reprendra son enseignement clinique de l'hypnologie et de la psychologie, le jeudi 14
psychologie, le jeudi 14 Décembre courant, à 10 heures et demie, à la clinique des maladies nerveuses, 49, rue Saint-André-dcs-A
e. Lo lendemain de la communication de Velpeau, Azam, assîstantà la clinique de Trousseau, lui demanda s'il avait connaissance
C'est par là que la psychométrie peut rendre de précieux services en clinique mentale et nerveuse, aussi bien qu'en psychologie
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légaleset physiologiques de l'hypnotisme^
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensairo neurologique e
de médecine (aemosirc d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogique de l'hypnotisme. Il est secondé da
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations cliniques de psychothérapie, de démonstrations expérimental
ne. Un médecin espagnol, le Dr Abdon Sanchez Herrero, professeur de clinique médicale à la Faculté de médecine de Valladolid,
s. M. BnitiLLOx. — H y a quelques années, j'ai moi-même étudié â ma clinique le secours que pourraient nous apporter les narco
une syncope mortelle. Et puis, lorsque les malades viennent duns une clinique ou duns le cabinet du médecin, peut-on être sûr q
aucune discussion, je désire rapporter uncertain nombre de documents cliniques . Obs. I. — "Mlle Alice D..., 20 ans, modiste, i
e proposé uu suicide commun./page> page n="245"> A l'examen clinique , je trouve une hypertrophie notable des ganglions
eut-être est-on en mesure do le démontrer non seulement par des faits cliniques mais encore expérimenta! cm en t./page> page
eptocoque ou le bacille deNicolaîer? D'autre part, les nombreux faits cliniques personnels et autres que j'ai rapportés ne sont p
s maladies mentales me semble à piéscnt ressortir nettement des faits cliniques d'abord, ensuite des analogies décisives qu'on ne
érents faits précis, je désire encore examiner brièvement deux points cliniques assez curieux : 1° comment évolue la folie chez l
ton, dont j'ai cilé plus haut une observation, a fait une description clinique spéciale complète de l'aliénation mentale des pht
uberculose pulmonaire./page> page n="252"> Quant aux formes cliniques des psychoses chez les tuberculeux, il est diffic
s communications seront divisées en quatre groupes: 1. Applications cliniques et thérapeutiques de l'hypnotisme et de la sugges
o-physiologique do Paris, fondé en 1839 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l'hypno-/pag
psychothérapie et un laboratoire do psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispeiisaire neurologique-
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il eslsecondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme. Il eslsecondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavianos, Lapinski
seront accompagnée:* cic présentations de malades, de démonstration? clinique * de psychothérapie, de démonstra--tlons expérimen
e, a été inspirée par le Dr Babinski dont elle reflète l'enseignement clinique . L'appréciation des symptômes subjectifs est fort
pentier s'est attaché à mettre en lumière en s'appuyant sur des faits cliniques , thérapeutiques et statistiques. Voici les conclu
conirac-/page> page n="282"> turcs musculaires. Le tableau clinique reproduit celui de l'épilepsie jacksonienne; en o
communications seront divisées en quatre groupes : 1. Applications cliniques et thérapeutiques d'hypnotisme et de la suggestio
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques dcl'hypno-n'épr
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavianos, Lapinski
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations cliniques de psychothérapie, de démonstrations expérimental
1899, p. 395. — Cf. :iussi : P. Marie et R-ibinson. Sur un syndrom-j clinique et urologique se montrant dan* le liiabète et car
communications seront divisées en quatre groupes : 1. Applications cliniques et thérapeutiques d'hypnotisme et de la suggestio
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavianos, Lapinski
le. Salpetrière. — M. le professeur Raymond reprendra ses leçons de clinique des maladies du système nerveux le mardi 20 mars
dépend d'une idée obsédante. (1) Présentation de malades faite à la Clinique des maladies du système nerveux, à lo Salpetrière
is l'examen anatomo-pathologique est venu confirmer les données de la clinique et c'est â juste titre que la maladie de Jules Vo
communications seront divisées en quatre groupes : 1. Applications cliniques et thérapeutiques d'hypnotisme et de la suggestio
dent du comité, M. le docteur Chauvet, le plue ancien de ses chefs de clinique , M. Lépine a dit qu'en mettant sous ses yeux l'im
ses élèves avaient sans doute voulu l'encourager à mener de front la clinique et l'expérimentation. Cette association, à laquel
formé de longues générations d'élèves; c'est le riche matériel de la clinique lyonnaise qu'il a utilisé dans ses nombreuses pub
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavïanos, Lapinski
ouillée, Pierre Janet, Vogl. — Les laboratoires de psychologie et les cliniques d'hypnologie. — La technique de l'hypnotisme expé
es actions psycho-mécaniques, etc.. — Organisation et outillage d'une clinique de psychothérapie et d'hypnothérapic. Vendredi 25
Babinski, médecin à l'hôpital de la Pitié, reprendra ses conférences cliniques sur les maladies du système nerveux, samedi 28 av
grand nombre d'états nerveux. La durée des séances de sommeil à notre clinique est d'environ une heure. Les malades considèrent
Si nous nous bornions à faire la suggestion à l'état de veille, notre clinique serait bientôt désertée. Ce que les malades vienn
es, ayant un impérieux besoin {1} Présentation de malade faite à la Clinique ùc* mnladios du système nerveux, à la Salpétriere
e menu le tableau symptoniatologîque, M. Voisin, àl'nide do l'analyse clinique , a fait d'une manière complète et lumineuse, le d
nseignements auprès d'un maître si clair, si méthodique, dont le sens clinique est si sûr et si précis. Règlement du deuxième
communications seront divisées en quatre groupes : 1. Applications cliniques et thérapeutiques d'hypnotisme et de la suggestio
65 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
es malades que nous avons observés appartenaient aux différents types cliniques de la folie ; sans entrer dans l'étude raisonnée
ût pour la morphine. Discussion. Tanzi (Palerme). — En 1889, à la clinique psychiatrique de Génes, j'ai eu recours à l'emplo
par le lavage de l'estomac. M. Bianchi (Naples). — Au point de vue clinique il me parait important de faire la distinction en
morphinistes et les morphinomanes présente un intérêt au point de vue clinique ; elle n'en n'a aucun au point de vue thérapeuti
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
urbations psychiques, cela tient à ce que les difficultés de l'examen clinique résultent de l'instabilité môme de l'état mental
t heureusement un caractère transitoire, comme dans le cas du chef de clinique et de l'interne de Trousseau qui éprouvèrent de l
ci actuellement. Il existe en effet, à l'hôpital Saint-Sauveur, une clinique ophtalmologique, une consultation spéciale pour l
gie et de laryngologie existent également, ainsi que plusieurs autres cliniques libres; mais rien jusqu'ici n'avait été fait pour
lté de médecine. Il y créa aussi, après Baillarger, un enseignement clinique qu'ont suivi des élèves devenus maitres à leur to
our, tels que Billod, Ch. Bernard, Morel, Lasègue, etc. ; cette phase clinique de sa vie scientifique fut la période la plus act
ecin, et il a prouvé que les craintes conçues par les adversaires des cliniques , relativement à la présence des visiteurs dans le
s défavorablement influencés par les divers faits qui composent une Clinique qu'on ne le supposerait au premier abord, et il s
lle était en même temps doucement suggestive. C'est dans ses leçons cliniques que Falret a développé ses idées sur la non-exist
d'hui a conquis principalement sa fortune scientifique par les leçons cliniques qu'il a faites à la Salpé-trière sur les maladies
s et de beaucoup de médecins influents. C'est dans cet enseignement clinique continué pendant 20 ans et suivi assidûment par d
ous tous les maladies mentales par une méthode précise, fondée sur la clinique et l'anatomie pathologique associées. Baillarge
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
permettra la dissociation et le réduira à la valeur d'une expression clinique ; il n'en est pas moins vrai que ce type a une per
ntes, qui en s'isolant ou en se prolongeant, prennent dans le tableau clinique la place exclusive ou au moins, prépondérante.
conscience dans la genèse des phénomènes hystériques ; 2° Relations cliniques et psychologiques entre l'hystérie et la dégénére
de certains délires ; 6° Y a-t-il une manie hystérique ? Caractères cliniques , formes diverses. Relations avec les attaques et
ie avec la folie manquerait de base et perdrait à la fois son intérêt clinique et psychologique, si on n'avait au préalable préc
Jolly 12 traite la même question en s'appuyant sur une démonstration clinique . II suggère aussi avec succès à une patiente, l'é
tisme. Un médecin américain, le Dr Alfred Warthin, démonstrateur de clinique médicale à l'Université de Michîgan, a eu l'idée
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
née écoulée. Comme on peut le voir dans les rapports mensuels de la clinique hypnothérapeutique de la Charité de Paris, instal
s leurs expériences. Nous-mêmes, chaque année, nous traitons, à notre clinique , des centaines de malades atteints d'affections n
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
re. L'enseignement comprendra les cours suivants ; « Applications cliniques de l'hypnotisme et de la suggestion », M. le D' B
ereaux, de Paris, et M. le professeur Lépine, de Lyon. De la valeur clinique du chimisme stomacal. — Rapporteurs : MM. les pro
on du 9 juillet 1894, receuillie par M. E. Vénot, interne du service ( clinique de M. le professeur Pitres. — Hôpital Saint-André
VII. Craignant que vous n'ayez pas saisi tout l'intérêt d'expériences cliniques très nombreuses, pratiquées au jour le jour, parf
ogie et de psychologie, fondée en 1889, pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
ublics d'aliénés, commencera, le jeudi 1" décembre, à 10 h. i/2, à sa clinique , 49, rue Saint-André-des-Arts, une série de leçon
uera les jeudis suivants, à 10 h. 1/2. Faculté de Paris. — Cours de clinique des maladies du système nerveux. — M. le professe
u système nerveux. — M. le professeur lîaymond a commencé le cours de clinique des maladies du système nerveux, le vendredi 16 n
tinuera les mardis et vendredis suivants, à la même heure, Cours de clinique des maladies mentales. — M. le professeur Joffroy
Ed. Brissaud et G. Ballet font, pendant le semestre d'hiver, un cours clinique de pathologie nerveuse. Les leçons ont lieu, le d
circonstances empêchent le malade de suivre un tel traitement. Des cliniques de psycho-thérapie devront être fondées d'abord d
on du 9 juillet 1894, recueillie par M. E. Vénot, interne du service, clinique de M. le professeur Pitres (Hôpital St-André de B
matin, Louise G... par la fixation du regard; et, comme notre chef de clinique M. le Dr Sabrazès, avait pratiqué la veille, dans
ce, n'avaient jamais cessé de se ronger les ongles. Les indications cliniques de l'Hypnotisme par M. le professeur Morselli,
vembre, M. Raymond, successeur de M. Charcot, a inauguré son cours de clinique des maladies nerveuses à la Faculté de médecine d
s destinées. Au sortir de l'internat, en 1853, il fut nommé chef de clinique auprès du professeur Pîorry. En 1856, il concoura
autres branches des sciences biologiques. En possession de matériaux cliniques , il se borna, pendant une série d'années, à vulga
ser les données acquises après de longues années sur le terrain de la clinique . C'est pourquoi Charcot n'hésita pas à recourir à
sa doctrine en même temps que la démonstration de la suprématie de la clinique sur l'expérimentation pathologique — où l'étude d
Conformément à un vœu maintes fois exprimé par Charcot, une chaire de clinique des maladies du système nerveux fut créée à la Sa
gérer leur valeur. Il a introduit en France l'usage de lathermométrie clinique et, l'un des premiers, il a contribué â faire con
s représentants des hommes qui ont fait ou complété leurs études à la clinique de la Salpétrière et qui répandent, de par le mon
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ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
ous les jeudis à dix heures et demie, des leçons sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. M. le Dr !.. \
Bethlem Hospital de Londres, un cours très suivi sur les applications cliniques de l'hypnotisme. Ecole des hautes-études. — Psy
e homme de science. M. le Dr Liébeault a formé plus d'élèves, dans sa clinique particulière à Nancy, que beaucoup des professeur
Hodez ; Paul Richer, lauréat de l'Institut, chef de laboratoire à la clinique des maladies nerveuses; Saint-Hilaire, médecin de
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypno-tism
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
ous les jeudis à dix heures et demie, des leçons sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Ecole des Haut
, professeur agrégé, médecin de la Salpétrière, a commencé ses leçons cliniques sur les maladies nerveuses le jeudi 24 janvier, à
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ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
ous les jeudis à dix heures et demie, des leçons sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Cours a l'Ecol
t suivant : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications cliniques de l'hypnotisme. Ce cours commencera le lundi 29
vendredis suivants à la même heure. Faculté de médecine de Paris. — Clinique de pathologie mentale, M. Joffroy, mercredi et sa
mentale, M. Joffroy, mercredi et samedi à 9 heures (asile Ste-Anne).— Clinique de maladies du système nerveux, M. Raymond, mardi
» indiquait déjà un savoir étendu; En 1865, il était nommé chef de clinique de la Faculté et il publiait en 1868 un ouvrage s
alcools », avec le Dr Audigé en 1889. Et en 1878-1883, des leçons de clinique thérapeutique. Tous ces travaux lui ouvraient l
eurs dans l'hypnose avec le concours de M. F. Fraipont, professeur de clinique obstétricale à l'Université de Liège, et jamais l
'être son élève, il ne vous livrait pas seulement sa vaste expérience clinique et son érudition, il vous ouvrait son cœur, son a
s dans le Midi pour étudier à Lourdes ce que je pourrais appeler la clinique de Lourdes. Je rencontrai, d'abord à Saint-Jean
Pour revenir au livre de M. Boissarie, où il est aussi question de la clinique de Lourdes, j'y vois bien la composition du burea
. aucune n'est valable. Si j'avais l'honneur d'être à la tête d'une clinique comme celle de Lourdes, je voudrais convaincre le
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ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
ous les jeudis à dix heures et demie, des leçons sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Cours a l'Ecol
t suivant : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications cliniques de l'hypnotisme. Ce cours commencera le lundi 29
t les raisons qui m'ont déterminé à publier dans The Lancet les faits cliniques d'un cas, déjà entouré d'une auréole romanesque,
es règles reviennent régulièrement. Voici donc brièvement les faits cliniques de ce cas. Une jeune fille, vue par moi en avril
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ous les jeudis à dix heures et demie, des leçons sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Sorbonne. — M.
ecine, (amphithéâtre Cruvelhier), un cours libre sur les applications cliniques et médico-légales de Vhypnotisme. Il le continuer
— Valeur de l'hypnotisme comme moyen d'Investigation psychologique et clinique . 2° Etude physiologique de l'hypnotisme. — Les
déontologie. n. D. — Le cours sera complété par des démonstrations cliniques a l'Institut ps.vcho-plivsio-logique, 49, rue Sal
igoureuses de contrôle possible. Justement, il venait de sortir de ma clinique un vieillard, M. F.., ancien notaire, qui ne manq
d'une indisposition. Mais, quand quelque temps après il reparut à ma clinique , il eut hâte de me raconter que le jeune N.... qu
ancy. Après avoir fait l'exposé des erreurs auxquelles nous expose la clinique lorsqu'elle se borne à l'exploration des organes,
organes, il a conclu en démontrant la nécessité de joindre à l'examen clinique , tel qu'il est pratiqué habituellement, une étude
ur, il devient, dans un grand nombre de cas, un moyen d'investigation clinique des plus précieux, capable de faciliter le diagno
Barrier, professeurs à l'Ecole dentaire, Lowenthal et Loup, chefs de clinique , Delaunay et Billebaut, démonstrateurs, etc., etc
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'élude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
s les jeudis à cinq heures, des leçons pratiques sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il sera assisté
decine (amphithéâtre Cruvelhier), un cours libre sur les applications cliniques et médico-légales de l'hypnotisme. Il le continue
ique assez rare et dont la description seule est intéressante pour la clinique . Il y a trois ans, Charcot préparait un cours q
certains cas, les idées fixes, ne me semble pas une simple curiosité clinique . Cette étude est importante à bien des points de
t, directeurs de la Province Médicale, de l'Assistance, du Journal de Clinique et Thérapeutique infantiles, et des Archives géné
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ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
jeudis à cinq heures, par des leçons pratiques sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est assisté d
elbœuf, 225. 260. Hypnose prolongée. 34?. Hypnotisme (les indications cliniques de 1'), par Morselli. 180. Hypnotisme obtenu pa
Inauguration des bustes de Baillarger et de Falret, 59. Indications cliniques de l'hypnotisme (les), 180. Influence des imp
66 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE ? LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX z ? -Imprimerie
Motteroz, directeurs. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA
AUL RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE ANCIEN CHEF DE CLINIQUE ALBERT LONDE GEORGES GUINON DIRECTEUR DU SERV
RT LONDE GEORGES GUINON DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHIQUE CHEF DE CLINIQUE PAUL BLOCQ CHEF DES TRAVAUX ANATOMO-PAT110LOG
nt encore livrés aux hypothèses. En ne considérant même que le côté clinique , on pourra encore écrire -de nombreux volumes s
roses, et que, là aussi, on doit chercher à compléter l'observation clinique , en pensant anatomiquement et physiologiquement
lateurs ; c'est le nom sous lequel nous pouvons désigner ces formes cliniques de la névrose. On conçoit donc que, dans ces co
cultés puissent être considérables. Deux cas peuventse présenter en clinique ; tantôt le malade présente des stigmates actuel
'affection spinale le moindre vestige orga- nique, la moindre trace clinique ? C'est une affirmation qu'il serait bien impru
cause banale. Et ici le raisonnement est en parfait accord avec la clinique ; il est bien difficile de concevoir la disparit
atomo-pathologiques, se donner la représentation mentale des formes cliniques de la sclé- rose en plaques. Il suffit, pour ce
là, il y a lésion.. Et en attendant le contrôle de l'histologie, la clinique a un rôle prépondérant à remplir; elle doit const
aujourd'hui six ans; il est entré l'an dernier dans le service de la clinique pour des attaques d'hystérie. L'autre qui est n
serait en droit, mais alors seulement, de créer une nouvelle entité clinique . Nous croyons, pour notre part, que le cadre de
rale. La maladie dont il s'agit rentre certainement, par son aspect clinique , dans le cadre des scléroses en plaques dissémi
blement anormal ou plutôt de ces mouvements tremblants, on fit à la clinique d'Eichhorst le diagnostic non de sclérose en plaq
qués par la seule névrose hystérique. OBS. XIX (Rendu, in Leçons de clinique médicale, 1890, t. II, p. 500). - Un homme de c
e en plaques anomale. A. SOUQUES, Interne (Médaille d'or) de la Clinique des maladies dusystemcnervou'c. (A suivre.) 1
e, en eflet, sont multiples, et elles cadrent bien avec le syndrome clinique que nous venons d'analyser. Nous ferons remarquer
us silence, nous contentant de la dire en quelques mots, l'histoire clinique de chacune d'elles, fort chargée en général en ce
ée en 1886 dans le servicede M. le professeur Charcot. Son histoire clinique est des plus chargées. Outre tous les stigmates
it percevoir. GEORGES GUI\0\, SOI'IIIE WoLTKE (D'ODESSA), Chef de clinique des maladies nerveuses. Docteur en médecine. Le
éphaliles, limitées ou diffuses, rappelant plus ou moins le tableau clinique de ! a paralysie générale de l'adulte; ce sont le
YSTÉRIQUE LECROSNIER & BASÉ ÉDITEURS CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite') 1) En
ier type de tremblement hystérique qui, en raison de ses caractères cliniques et graphiques, de ses analogies étroites avec c
aurait toujours suffire à elle seule pour indiquer leur physionomie clinique . Et cela est particulièrement vrai pour cette c
ne l'est le degré de rapidité des oscillations. Ce sont eux qui, en clinique , impriment à chaque espèce de tremblement son a
re, son aspect particuliers. Or, on conçoit aisément que tous ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 109 ces caractère
à l'état de repos. Les hystériques trembleurs qui répondent au type clinique que nous avons en vue sont constamment agités,
ovoqué par un mouvement t intentionnel du membre supérieur. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 111 membres, le c
ue au tremblement de la sclérose en plaques. La confusion est ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 113 dès lors poss
e, Loc. cit. 4. Charcot, Progrès médical, G septembre 1890. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 115 mulé son opin
s plus on sera conduit à reconnaître que la très grande majo- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 117 rite de ces t
demeura trois mois et demi. Pendant ce second séjour à l'hô- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 11J pital, il eut
roît. Il en est de même lorsque le malade accomplit un morve- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 121 ment volontai
z lui une foule de détails qui sont évidemment étrangers au tableau clinique que présente le tremblement de la sclérose en p
us a été communiquée très obligeamment par notre ami Bitot, chef de clinique médicale à la Faculté de Bordeaux). M. X ? deJ.
ce malade figure résumée dans la note de Mi Rendu, loc. cil. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 123 Les jours sui
le seul cas de tremblement hystérique localisé aux deux mem- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1M bres inférieur
emblement de la sclérose en plaques, est une variété rarement ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 127 observée. Nou
jusqu'à plus ample informé, tenus en légitime sus- picion. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 129 L'absence du
lement de la sclérose en plaques. A.DUTIL, Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux. (A suivre.)
alysies hystériques, Thèse de Paris, 1852, p. 34. 3. Leyden, Traité clinique des maladies de la moelle épinière. Traduction pa
iblie. Expérience III. Henriette R..., treize ans, est entrée il la clinique pour un pied bot hystérique guéri actuellement.
r la voie du diagnostic. A. SOUQUES, Interne (Médaille d'or) de Clinique des m<t1",dic., du sstème nerveux. (il suivr
s, fille d'un artisan de Nudcrsthof, près Wit- tenberg, entrée à la Clinique des maladies nerveuses le 16 janvier 1889. Elle
tes jusqu'à présent. GEORGES GUINON, EMILE PARlIIENTIEI1, Chef de clinique à la Salpêtrière. Intorno (médaille d'or des hôpi
e la région mentonnière, ces caractères sont CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite et (iu')
nous venons de citer en leur appliquant le procédé d'interprétation clinique dont s'est servi M. Oppenheim, nous aurions pu bâ
été au nombre de 14. 10 sont morts la plupart jeunes, 2 avec ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 181 des convulsio
semble alors qu'elle a dans la poitrine une grosse boule qui ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1M l'étouffé ; c'
enir, quand elle se rendait à pied de sa salle au laboratoire de la clinique .. Peu à peu les forces revenaient dans les memb
usculaire affaibli. » A. Souques et J.-B. Charcot, internes de la clinique des maladies du système nerveux. 1. Charcot, Le
de la clinique des maladies du système nerveux. 1. Charcot, Leçons cliniques sur les maladies des vieillards, 2' édit. Paris,
2. Charpentier, Annales médico-psychologiques, décembre 1881. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 191 que sa jambe
que nous avions constatés pendant son séjour dans le service de la clinique . Il a toujours des attaques, une ou deux par se
blement s'apaisa et disparut. Quelques jours après il reparut ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 189 une chute dan
it accentué de même que la céphalée constrictive ; il sentait ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1S7 Au sortir de
ssus de souche névropathique. A l'âge de dix-huit ans, il fit ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 185 Les réflexes
s prodromes qui avaient marqué le début de la première crise. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 199 nique rendent
ans un couvent. Aussitôt la malade se tourmente, cela la cha- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 197 sauce, il pou
ours persisté depuis. Le 6 juin, Cah... entre dans le service de la clinique . État du malade (le 10 juin 1889). Le sujet est
té des aspects sous lesquels ils peuvent se présenter en cli- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 19 ? Motilité. Le
aume de la main lournéc en dehors. Il avait toute sa connais- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 193 de nouveau, p
. Il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel notamment. ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 201 grine beaucou
t le membre supérieur, s'éteignent souvent après une série de ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 203 quelques légè
rès une séance d'électrisation ou d'aimantation, tantôt après ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 20j suggestion (b
nos malades n'étant hypnotisable. A. DUTIL, Ancien interne de la Clinique des maladies du svalème nerveux. DE L'EXAMEN
se que nous avons moins de (1) Ces leçons sont extraites d'un cours clinique élémentaire sur l'examen général des aliénés, f
quer cet examen et qui pourront il l'occasion vous servir autant en clinique qu'en médecine légale. De tous les modes d'in
ur la question qui nous occupe dans la collection de ses recherches cliniques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie'. D'
dans cet exposé en (1) More), Traité des dégénérescences et Eludes cliniques . (2) Morselli, Semejolica délie malattie mental
rière jusqu'à la nuque. Nous n'avons à nous occuper dans cet examen clinique que de la voûte du crâne, la base étant inacces
nes des déformations crâniennes les plus fréquentes au point de vue clinique . 1. l3cuuncvillc et Sullicr, Progrès médical, i
lite inférieure et supérieure et d'une poliomyélite. Sortie de la clinique le 26 mai. Elle avait eu le jour précédent une
taient M. le Dr Vigouroux, chef du service cloctrotliérapiquc de la clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière. 1. D
calisation de ces lésions anatomiques établit seule les différences cliniques . OBS. XXXVII. - Tabès avec ophthalmoplégie (Jam
ommença il devenir mauvaise deux ou trois ans avant son entrée à la clinique . Il eut successive- ment un ptosis droit et gau
ectique avec convulsions généralisées. C'est alors qu'il entra à la clinique des maladies nerveuses où l'on constata ce qui
une nouvelle observation, ce qui fait au total sept cas. L'histoire clinique de cette affection peut se résumer ainsi. Les m
ssement inflammatoire. GEORGES GUiNON, EMILE PARN);NT1ER, Chef de clinique a la Salpêtrière. Interne (médaille d'or des hôpi
ces morbides distinctes; ne s'agissait-il pas plutôt de deux formes cliniques d'une même espèce nosologique ? Les avis étaien
notre maître, M. le professeur Charcot, vientd'en donner la preuve clinique , à propos d'un malade qu'il a présenté à ses audi
évidence leurs analogies, réduit à néant les soi-disant différences cliniques et anatomo-pathologiques, montre en 1. Joffroy
lie et conclut en ces termes : « Il est devenu clair que, de par la clinique comme de par l'anatomie pathologique, syringomy
nt et habile qui a su la faire sortir du chaos et lui donner la vie clinique . Je vous proposerai, en conséquence, d'appliquer
s fondamentaux. La présence, la prédominance même dans le tableau clinique des panaris analgésiques ne change rien au fond d
myélie type Morvan 2. A. Souques, Interne (Médaille d'or) de la Clinique des maladies du système nervoux. 1. FonrniCI',
utahenorrlaagica(Kojewnilcofi9). Le 23 février 1886 entrait à notre clinique Victor G..., coiffeur, âgé de qua- rante et un
u malade empira de plus en plus, le 23 février, il fut apporté à la clinique dans l'état suivant : État actuel. Le malade es
-Aran (poliomyélite antérieure chronique), tantôt avec ceux du type clinique de la paralysie spinale antérieure subaiguë. 1
eut être précisée. , GEORGES GUINON, EMILE PARMENTIEH, 1 Clief de clinique ^à li Salpdtcière. Interne (médaille d'or des hôpi
e glosso- labié. Ces. XXXI (inédite) (Extrait des registres de la Clinique ). Jeanne R...zé, dix-neuf ans et demi, entre da
tous les méfaits. Ons. XLIII (inédite) (Extrait des registres de la clinique ). Lucie D......ville, dix-neuf ans, domestique.
dans les mains. Entrée le 20 février au soir dans le service de la clinique , elle avait le lendemain une attaque que l'on p
tière. Ce sont là des faits qui se présentent assez souvent dans la clinique , et qui donnent lieu à des méprises appelées à
diagnostic certain. Ons. XLV (inédite) (Extrait du Registre de la Clinique ). - Angel... D..., vingt-sept ans, piqueuse de
s, piqueuse de bottines, enlre le 4 juin 1887 dans le service de la Clinique . Antécédents. - Rougeole et scarlatine pendant
ynolds. (A suivre.) A. Souques, Interne (Médaille d'or) de la Clinique des maladies du système nerveux. NOUVELLE Icono
auteur donne la photographie d'un garçon de douze ans, observé à la clinique de Zurich, porteur d'un thorax infun- dibulifor
hez Doin, éditeur. N. D. L. Il. 2. M. Charcot, dans ses conférences cliniques (1878), a le premier employé la dénomina- tion
tracture, in Gaz-, méd. de Paris, °-9 juillet 1882. Brunet, Elude clinique et physiologique de l'état d'opportunité de contr
athèse de contracture, in Progr. méd ? 188G, p. 835. Pitres, Leçons cliniques sur l'hystérie, 1891, t. 1", p. 377. DIATHÈSE D
ermanents de l'hystérie. PAUL Richer, Chef du laboratoire de la Clinique des maladies du système nerveux. NOTE SUR L'A
us rarement de l' oCltlo-motetl1' externe. " 1. Nuthnagel, Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encéphale. Traduc
bacillaire. A. SOUQUES, Interne (médaille d'or) du service de la Clinique des maladies du système nCl'\Cl1'1 : . 1. Par
. Barié, Bullet. de la Soc. méd. des hôp., 1886. 5. Chameau, Formes cliniques et palllOg. de la fièvre hystérique. Th. de Paris
hystérique. Je sais que nulle part ni moi ni mon excellent chef de clinique , M. Oulmont, n'avons trouvé de plaque d'anesthé
sais que la malade a eu la syphilis et que vous tous et mon chef de clinique lui-même croyez à une paraplégie syphilitique (pu
considérer séparément les deux ordres de faits qui se présentent en clinique , à savoir : 1° les paraplégies hystériques avec s
certain nombre d'affections morbides qui peuvent offrir un tableau clinique analogue à celui de la maladie de Duchenne. C'est
'est pas exceptionnel, et qu'il mérite bien de constituer une forme clinique spéciale. Dans tous les cas, quel que soit son de
loco- motrice progressive, Paris, 18G4, p. 57. 6. Leyden, Traité clinique des maladies de la moelle. Traduct. française, 18
e tabétique de mille manières, on aura constitué autant de variétés cliniques du tabes. Ici les symptômes se dégradent ou s'e
e doctrine que nous n'avons pas à envisager ici. C'est le seul côté clinique qui nous intéresse, et, à ce point de vue, la l
ières années ayant jeté un jour tout nouveau sur les manifestations cliniques de la névrose'. Il ne nous reste plus maintenan
reilles lésions n'avaient donné lieu durant la vie à aucun symptôme clinique . Siemerling veut bien attribuer en majeure part
ales du système nerveux central ne se tra- duisent pas forcément en clinique par des signes révélateurs. D'autre pari, une m
xemple. En effet, nous observons en ce moment dans le service de la clinique deux myopathiques chez les- quels la coexistenc
u types mor- bides offrent, dans la combinaison de leurs caractères cliniques , une 1. Levy, Aciiies tdrttliclres Irresein (Al
léro-t3bétiques» comportent quelques considé- rations théoriques et cliniques que nous ne pouvons passer sous silence et qui
es analogues. Nous devons toutefois faire remarquer que l'existence clinique des syndromes hystériques simulateurs du tabes
AMYOTROPIHQUES SIMULATEURS DES AMYOTROPHIES SPINALES Les formules cliniques ne sont ni immuables ni absolues. Dans la grand
e une des manifestations de l'hystérie. M. Babinski ', son clief de clinique d'alors, s'attacha à l'étude de cette question
, .i13 ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans ses leçons cliniques du premier semestre de l'année 1889-1 890, M. l
de l'année 1886, elle entre à la Salpêtrière, dans le service de la Clinique , où nous l'avons vue durant quelques mois. C'ét
vingt-quatre ans, tailleur de pierre. Voilà assurément une histoire clinique franchement hystérique. L'amyotrophie ne peut r
accidents ; elle ne saurait résister à la lecture de l'observation clinique pas plus qu'aux divers arguments que nous venon
pas à considérer ici. Nous rappel- lerons simplement que la « phase clinique » de la syringomyélie est due il Schùltxoet il K
s 1882, la reconnurent sur le vivant et en tracèrent les caractères cliniques . La thèse récente de M. Brühl ren- ferme un his
'est jamais inévitable. A. Souques, Interne (Médaille d'or) de la Clinique des maladies du système nerveux. 9 : Fabre, Nou
e des maladies du système nerveux. 9 : Fabre, Nouveaux 1%ral/nr. de clinique lIIéd. L'hystérie viscérale. Paris, 1S83. 2. \1
, mcW., 11 octobre 1890). Leçon re- cueillie par G. Guinun, chef de clinique . 5. 'frinüanan, 1)e l'oedèllle hystérique. Thès
favorables opposent des faits négatifs, aux preuves anatomiques et cliniques de l'action réelle qu'exerce la suspension leur
de l'action réelle qu'exerce la suspension leurs propres recherches cliniques et anatomiques qui tendent à démon- trer que l'
pondre; si, actuel- lement, nousne sommes pas assez riches en faits cliniques pour donner à la suspension une place nettement
fesseur Charcot (2). Les malades qui se sont mis au traitement à sa clinique étaient au nombre de ! 14. Dès les premiers jou
, il suffira de se rappeler due le D` Charcot, malgré les richesses cliniques qu'il aé sa disposition,n'apu l'observer. Quelq
l'oedème hieu,parl ! oix, G5. Hystériques (Contribution à l'élude clinique des tremblements -), ), par Dutil, 107, 179.
67 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
PUBLICATIONS DU PROGRÉS MEDICAL HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX M. le Profe
et 1890-91 et publiés sous la direction de GEORGES GUINON chef de clinique Avec la collaboration de MM. Blocq, Souques et
collaboration de MM. Blocq, Souques et J.-B. Charcot, internes de la Clinique . TOME ii PARIS aux bureaux du PROGRÈS MÉD
Je suis convaincu qu'il y a là, pour nous, une source d'instruction clinique dont nous ne devons pas nous éloigner avant d'y a
re d'autopsie qu'elle a été faite. Il a suffi d'une bonne observation clinique suivie d'une bonne autopsie, entre les mains d'un
de Neurol. 1883, p. 273. (2) Charcot et Pitres. — Etude critique et clinique de la doctrine des localisations, etc.. Revue de
e ces connaissances ne sont en quelque sorte que la synthèse de faits cliniques contrôlés par les résultats anatomo-pathologiques
e, car, particulièrement dans les faits de syphilis, les observations cliniques semblent plus fréquentes ; je me rappelle en avoi
, loc. cit. (5) Dérignao, in (Jharcot et Pitres : Essai critique et clinique de la doctrine des localisations. — 1883, p. 52 d
ort belle observation publiée par M. Rendu dans son recueil de leçons cliniques (1). Deux monoplégies crurales, vous le compren
encéphalique qui a déterminé l'issue fatale. (I) Rendu. — Leçons de clinique médicale. — Tome II,p.4Q0, Paris, 1890. Que peu
son de la localisation étroite et bien limitée signalée par letableau clinique , ne pourrait-onpas songer, dans quelques cas, à l
-même, il vient apporter, en raison de la régularité de l'observation clinique et de la limitation étroite de l'unique lésion né
tre a bien souvent, depuis plusieurs années, montrées dans ses leçons cliniques au point de vue des phénomènes du grand hypnotism
sous silence, nous contentant de la dire en quelques mots, l'histoire clinique de chacune d'elles, fort chargée en général en ce
ans, entrée en 1886 dans le service de M. le P* Charcot. Son histoire clinique est des plus chargées. Outre tous les stigmates q
ond, il me revient, M. Z... (Il s'agit de divers internes ou chefs de clinique de M. le Pr Oharcot.) Ah ! là, là 1 pourquoi so
Déjà, avant nos recherches, M. le professeur Charcot dans une leçon clinique avait montré qu'en s'adressant au sens de l'ouïe
discontinuités de la vie psychique normale. C'est pourquoi les signes cliniques offriront actuellement plus de prise pour entrepr
sée en détails. (G. G.) Nous exposons, en premier lieu, la division clinique que vient de formuler M. Charcot, car il nous ser
ociées de l'attaque, la période (1) Paul Blocq. — Revue générale de clinique et de théra peutique, 1889, p. 768. des attitud
me nerveux, 1S80, t. I, p. 373 et 432. — Voir aussi P. Richer. Etudes cliniques sur la grande hystérie ou hystéro-épilepsie, 1885
particulier sur la forme délirante de l'attaque (1). Dans ses leçons cliniques , M. Charcot avait fait remarquer maintes fois com
sa consultation de la ville. Néanmoins, M. Dutil, alors interne de la clinique des maladies nerveuses, fut prendre son observati
nt observées et dont la recherche est faite moins systématiquement en clinique . Les unes peuvent être produites par quelque circ
Ses idées sur ce sujet furent exposées par lui dans plusieurs leçons cliniques de cette même année. C'est en nous inspirant de c
4 ans, entrée le 24 janvier 1888 à la Salpêtrière, dans le service de clinique des maladies du système nerveux (1). Antécédent
M. Huet, qui l'a recueillie en 1888, alors qu'il était interne de la clinique de M. Charcot. Nous lui adressons nos meilleurs r
et ne revenait plus que par accès. Elle resta dans le service de la clinique jusqu'au mois de juillet 1887. A cette époque, el
e heure et demie, pendant laquelle (1) Il s'agit d'anciens chefs de clinique ou internes de M. le Pr Charcot, qu'elle a connus
x... » Il est bon de faire remarquer qu'il y avait dans le service de clinique , au moment où nous commençâmes nos expériences, u
ssionnelles de la grande attaque hystérique (1) P. Richer. — Etudes cliniques sur la grande hystérie ou hystéro-èpilepsie. 2e é
uand ceux-ci ont puisé les éléments de leurs travaux dans un matériel clinique tout à fait étranger à la Salpêtrière? Dans cet o
façon de réagir tant en paroles qu'en actions à (1) Pitres. —Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, 1891, II, p. 287.
C'est presque la reproduction de la formule de (1) Briquet.— Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, Paris, 1853, p. 4
runte à un travail que vient de publier mon ancien interne et chef de clinique M. Ballet, actuellement agrégé de la Faculté, et
u service actuel, mais elle décline les noms des internes et chefs de clinique qui se sont succédé de 1880 à 1885. Elle ne sai
e dans leur étude nous n'en sommes encore qu'à la phase d'observation clinique . Au point de vue nosographique, mon opinion est q
enter le somnambulisme hystérique. Mais ce n'est pas le seul aspect clinique que peut revêtir la troisième phase de l'attaque
, et que l'on n'avait point consulté l'élément mémoire, qui, clans la clinique courante, constitue le meilleur, pour ne pas dire
rmettant de conclure à l'identité des deux phénomènes. Des recherches cliniques nouvelles, dirigées systématiquement dans ce sens
é à entreprendre avec l'aide de Mlle S. Feinkind, élève du service de clinique de M. Charcot, seraient nécessaires pour arriver
le mois de mars 1890. Elle est encore actuellement dans le service de clinique . Ces deux malades ont été présentées à diverses r
ont été présentées à diverses reprises par M. Oharcot dans ses leçons cliniques (1) et c'est d'après son enseignement et aidé de
parmi les nombreux médecins étrangers qui fréquentaient le service de clinique , se trouvait un homme, qui s'était présenté à nou
et qui ont été décrits plusieurs fois par M. Charcot dans ses leçons cliniques (1) et ont fait l'objet d'un travail de MM. Marie
rière même elle ne connaît pas M. Féré, M. Ballet (interne et chef de clinique à l'hospice avant 1885). Elle a connu un peu M. M
85). Elle a connu un peu M. Marie, en 1885, alors qu'il était chef de clinique , mais point auparavant. Inutile de dire qu'elle c
aît et se rappelle bien la succession des divers internes et chefs de clinique de M. Charcot. Il en est de même pour les malad
s et moi ! » Elle connaît bien M. Ballet : « C'est l'ancien chef de clinique . Maintenant c'est M. Marie qui est chef de cliniq
l'ancien chef de clinique. Maintenant c'est M. Marie qui est chef de clinique ..., tiens ! où donc est-il?... il est sans doute
d pas non plus pour un autre individu ignorant (1) Pitres. — Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme. Paris, 1891, t. I
ie : morceau d'attaque hystérique transformée. Messieurs, L'étude clinique à laquelle nous allons nous livrer dans la leçon
sforme souvent et que cette transformation peut revêtir des modalités cliniques très différentes. Vous savez que le somnambulisme
ent établi (1) Par MM. Georges Guinon" et A. Souques. Travail de la Clinique de M. le professeur Charcot, publié dans les numé
ous le nom de glycosurie d'origine tabétique. Ce sont là des formes cliniques du tabès et du diabète indiscutables, parfaitemen
fut confirmée par les recherches ultérieures de MM. Landouzy [Leçons cliniques de la Chanté, 1882), Rosenstein2, P. Marie et Geo
r, et nous pourrons du reste les appuyer sur une série d'observations cliniques . Dans une leçon récente \ notre maître, M. le p
ons que nous allons rapporter ont été recueillies par nous, soit à la clinique , soit dans la clientèle privée de M. le professeu
une altération appréciable. Depuis son entrée dans le service de la clinique , le malade a été soumis au régime et au traitemen
parfaitement établie. Elle repose du reste sur ce fait d'observation clinique que les juifs sont particulièrement atteints de m
morrhagie du cerveau, suivie de ramollissement1 »? (1) Trousseau. — Clinique méd., 5° édit., t. II, p. 812. Savage ne déclar
e en citer des exemples personnels. Mais nous voulons faire une place clinique aux cas d'association, qui la méritent bien. Da
gnent chacune de nos observations. Deux cas peuvent se présenter en clinique : tantôt au cours d'un diabète authentique, survi
tités distinctes sont en jeu, ou bien une seule. C'est là un problème clinique dont la solution exacte intéresse à la fois le pr
elèvent du vrai tabès ou du pseudo-tabes diabétique. Mais le problème clinique se présente en outre sous cette seconde face : Et
l faut s'adresser pour arriver à la probabilité, sinon à la certitude clinique . La glycosurie diabétique s'accompagne générale
haut. Nous voici en mesure de répondre aux diverses exigences de la clinique . En fait, le problème doit être posé et résolu de
, la marche à suivre pour arriver à la solution de ce double problème clinique . Nous nous croyons, en conséqueuce, pleinement au
s de MM. Desnos (5), Féréol (6) et Hallo-peau (7). Mais cette forme clinique do la paralysie de ce nerf a été surtout parfaite
é surtout parfaitement étudiée par M. Graux (8), tant au point de vue clinique qu'au point de vue anatomique et physiologique. A
ulaire commun. Les examens microscopiques ont montré qu'à des faits cliniques ainsi caractérisés correspondaient, en effet, des
Si elle en diffère sur quelques points peu importants au point de vue clinique , elle lui correspond exactement au point de vue a
que dans le cas précédent, on peut dire cependant que les deux faits cliniques sont à peu près identiques. Obsebvation. — Para
2 ans, typographe, entre à l'hospice de la Salpêtrière, service de la clinique des maladies du système nerveux, au mois de janvi
ud, qui avait envoyé ce malade à la Salpêtrière après l'avoir vu à sa clinique particulière, au commencement de janvier 1890. A
ffre, de plus, certaines particularités intéressantes au point de vue clinique dont peuvent rendre compte, à notre avis, les dét
Dans une leçon publiée en mars 1885, M. le P1 Charcot, par l'étude clinique de plusieurs cas rassemblés dans son service, mon
Georges Guinon. — Contribution à l'étude de quelques-unes des formes cliniques de la myopathie progressive primitive ; paralysie
apulo-humé-mérale de Landouzy-Dejerine, identité résultant de l'étude clinique , de l'évolution, de l'hérédité, de la familialité
orges Guinon, mémoire cité, page 836), mais seulement au point de vue clinique . Or, aucun cas de ce genre n'avait encore été déc
{Arch . géh. de méd., juillet 1891). (2) Voir à ce sujet : Charcot. Clinique des maladies du système nerveux; leçons du profes
statation est précisément faite d'une façon certaine, au point de vue clinique , dans le cas de M. Brissaud et dans le mien. On e
opathiques de toutes formes, actuellement présents dans le service de clinique de notre maître, M. le Pr Charcot, nous l'avons o
phiques musculaires qui constituent la myopathie progressive. Etude clinique sur l'aura de l'accès épileptique (1). On sait
en le malade, au moment où il est sous le coup de (1) Travail de la clinique de M. le Pr ChâRCOT, par Georges Guinon et Raïchl
tériques qu'il a observés, alors qu'il avait l'honneur d'être chef de clinique de M. le Pr Charcot, l'un de nous ne l'a vue manq
ions bien sincèrement, tant à sa policlinique que dans son service de clinique , à la Sal-pêtrière. Sur ces soixante et onze cas,
l nous avons entendu plusieurs fois M. le Pr Charcot, dans ses leçons cliniques , attirer l'attention. C'est la sensation de coliq
tion du mardi, constitue l'une des parties les plus importantes de la clinique de M. le Pr Charcot à la Salpêtrière. Il comprend
lupart du temps les malades intéressants qui font le sujet des leçons cliniques de M. Charcot, une fois qu'il les a admis à l'hos
important d'études pour tous les médecins et étudiants attachés à la clinique . En effet, on voit plus là en quelques semaines q
ermet à tous de profiter de ces nom (1) Par Georges Guinon, chef de clinique (Inédit). (2) Voir à ce sujet la préface de M.
e sa leçon du jour. Une fois la leçon finie, vient le tour du chef de clinique , qui, aidé de quelques externes du service, finit
ivers services annexes qui sont de première nécessité au point de vue clinique et thérapeutique. La plupart des cas de tabès, de
e ou des renseignements d'é-lectro-diagnostic d'un intérêt capital en clinique . On ne saurait trop, insister sur l'importance
saurait trop, insister sur l'importance de ces branches annexes de la clinique et sur les services nombreux qu'elles rendent tou
malades nouveaux. Parmi ces derniers, 60 appartenaient au service de clinique de l'hospice; il restait donc 167 malades venant
rcourir les statistiques de M. Gellé pour se rendre un (1) Gellé..— Clinique otologique annexe du service de M. le Pr Charcot;
on suivante : (1) P. Marie et Azoulay. — Consultation externe de la clinique des maladies du système nerveux ; 1er semestre 18
le Pr Charcot insiste souvent sur ces considérations dans ses leçons cliniques (1) et je suis heureux de pouvoir apporter ici qu
sidérable qu'a acquise aujourd'hui le service de policlinique dans la clinique neuropathologique de M. le Pr Charcot à la Salpê-
es maladies des centres nerveux (2). Messieurs, Les hasards de la clinique ont réuni dans le service un certain nombre de fa
lé, peut, sans changer de caractère nosographique et de signification clinique , se présenter sous des formes très variées, très
fortune, — et aussi dans le paramyoclonus multiplex, dont mon chef de clinique M. Marie vous présentait naguère un beau spécimen
Il y a donc à établir ici une importante distinction nosographique et clinique sur laquelle j'appelle toute votre attention. L
vail de MM. Georges Guinon et A. Souques). . . . 384 XXXVI. Etude clinique sur l'aura de l'accès épileptique. (Travail de
M. le Pr Charcot à la Salpêtrière, 430 ; Organisation de la —, 431 ; Cliniques annexes de la —, 432; Nombre des malades traités
68 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
es ses promesses. xix 1 HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE ET DU LABORATOIRE DE il. LE PROFESSEUR RAYMOND.
ET DIAGNOSTIC) PAR L. ALQUIER Chef des travaux anatomiques à la Clinique des Maladies Nerveuses. Au cours du mal de Pott
nous nous proposons d'exposer succinctement les principales formes cliniques des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gib
dont chacune d'elles peut être la cause. § 1. Principales formes cliniques . Il serait extrêmement important de pouvoir éta
ne saurait, à l'heure actuelle, tenter une classification anatomo-- clinique basée sur les observations publiées, celles-ci ét
lésions, suivant les progrès de la maladie, il faudrait des examens cliniques aussi rapprochés que possible de la mort du sujet
iser les accidents nerveux du mal de Pott, d'après leur seul aspect clinique , en 3 groupes : 1° Cas avec signes de compressi
ne s'exercer qu'au-dessus de la localisation indiquée par l'examen clinique . La rétention des urines permettait, tout au moin
retenir ; ils permettent de concevoir un grand nombre de modalités cliniques plus ou moins difficiles à interpréter, pouvant r
otre malade. § 2. - Diagnostic. Tel sont les principaux aspects cliniques des troubles nerveux dans le mal de Pott; ils p
ce nous est donc de conclure que, si dans bien des cas, une analyse clinique minutieuse permet d'arriver à diagnostiquer le ma
« affection singulière caractérisée essentiellement au point de vue clinique par une ankylose à peu près complète de la colonn
is droit de cité dans les traités classiques. Mais, en dehors de la clinique , l'étude de la spondylose n'a guère pro- gressé
génique elles ont dû s'appuyer uniquement, en dehors de l'évolution clinique , sur des données étiologiques. II ' Or Ntiolo
aumatiques, il n'y avait qu'un pas. Aussi, malgré les différen- ces cliniques , symptomatiques et évolutives, très nettes, certa
justifiée cette hypothèse, nous nous appuyions sur des ar- guments cliniques et anatomiques. Cliniquement, nous avions pu co
la friabilité osseuse, et ce n'est que par des déductions de faits cliniques et de faits anatomiques que nous avions pu être
justifiaient pleinement et expliquaient ce que, d'après des examens cliniques , nous avions supposé en 1899 (1) : « La cyphose
cessus différent tant au point de vue anatomique qu'au point de vue clinique , et nous avons eu la vive satis- faction de voi
s ; et, au sur et à mesure qu'on approfondit son étude, le problème clinique , loin de s'éclaircir et de se simplifier, sembl
NÉRESCENCE PSYCHIQUE 53 insister dans ce travail en étudiant un cas clinique dans lequel elle s'im- pose à première vue : j'
e à type infantile, qu'on ne saurait pas nier sans forcer les faits cliniques . Si je ne me trompe, cetle association morbide
LISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 65 vais pousser plus loin l'étude clinique du malade au point de vue des asso- ciations mo
certaine valeur. « Etpuis, dit M. Brissaud, se rapportant à un cas clinique de Hertoghe, jugeons, par les résultats du traite
é aux membres hypertrophiés correspon- dent parfaitement au tableau clinique de cette maladie remarquable. Le peau des jambe
alement. La faiblesse musculaire considérable appartient au tableau clinique de l'acromégalie et le muscle du coeur semble par
... dans la groupe des acromégalies, lors même que toute altération clinique de la figure et du crâne manquent. Mais nous dist
ue de la figure et du crâne manquent. Mais nous distinguons dans la clinique des cas typiques et atypiques : les premiers prév
encontre la croissance anormale, plutôt excessive, car l'expérience clinique , l'observation des malades a déjà démontré cela.
rations dans la fonction de l'autre : l'expérience et l'observation clinique nous ont appris cela. Si on détruit ou enlève c
isme n'est pas tout à fait incompréhensible. , Enfin l'expérience clinique nous apprend que l'acromégalie, maladie de Ba-
ies du cerveau . Paris, 1816. (2) Ballet, Recherches analomiques et cliniques sur le faisceau semitif, etc., Th. Paris, 1881.
éral, des scolioses avec gibbosité très accusée dominant le tableau clinique , constituée avec une rapidité spéciale, et que
qui compo- sent cet os, ce muscle, ce nerf, etc. et au point de vue clinique sans aucun autre trouble fonctionnel que ceux q
on dé- crit des états pathologiques assez analogues au point de vue clinique et caractérisés essentiellement parun développe
ve et ces lésions pathologiques des nerfs ajoutés à d'autres signes cliniques décrits (1) Le morceau du nerf enlevé, a été mi
ose, type dermato-fibreux, et non de neuro-fibro-sarcomatose. (Voir clinique de M. le Pr Raymond,in Revue internat, de méd.
et sous-cutanées multiples (3), plus curieux encore par son allure clinique puisqu'à l'ovariotomie succéda la diminu- tion
à des encéphalopathies histologiquement diffuses, dont l'expression clinique trahit le caractère général et la nature toxique.
rdres de lésions successives, mais différentes, éclaire l'évolution clinique en deux temps d'une encéphalopathie complexe à fo
ques centraux. Il est intéressant de rapprocher la double évolution clinique des acci- dents, de la double évolution anatomi
outes les séreuses cérébrales chez un sujet qui a offert le tableau clinique classique de la méningo-bacillose. Cette consta
uvent revêtir,en l'absence de toute lésion méningée, une expression clinique que l'on qualifie ordinairement de mé- ningitiq
n clas- sique de l'histoire des abcès cérébraux, c'est le caractère clinique presque latent de cette double lésion centrale,
l'hémisphère gauche. Cette évolution en deux temps des accidents cliniques s'éclaire par les constatations nécroptiques qu
s nécroptiques qui permettent de superposer aux deux actes de drame clinique les deux étapes du processus anatomique. CLINIQ
actes de drame clinique les deux étapes du processus anatomique. CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS
us tard sur ce mécanisme. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE ET DU LABORATOIRE DU PROFESSEUR RAYMOND. ÉTUDE
onique diffuse dont nous voulons exposer aujourd'hui les caractères cliniques et anatomiques. Pour n'être pas exceptionnelle,
beaucoup attiré l'attention des médecins. Confondue avec des types cliniques assez voisins, il«est vrai, au point de vue objec
on la trouve dans ce fait que les auteurs qui ont constaté ce type clinique l'ont classé d'emblée dans (1) P. LEJONNE et J,
e de cause myopathique. Si cette paraplégie dont la caractéristique clinique est de s'accompagner de rétractions musculo-ten
r les modifications dans les fonctions organiques ». Si le syndrome clinique décrit par Empis devait rester, les conclusions
nous venons de parler, mais cependant en raison de leurs caractères cliniques très spéciaux, de leur évolution et des lésions
à une crise d'asystolie. La durée de la maladie fut de (1) Jaccoud, Clinique de la Charité. PARAPLÉGIES PAR RÉTRACTION CHEZ
s'il ne s'agissait pas là d'un syndrome spécial par sa physionnomie clinique et ses lésions. Depuis, nous avons continué ces
ue nos malades étaient indemnes de toute tare rhumatismale. Étude clinique (Pl. XLI). C'est à un âge très avancé que début
ste en pleine connaissance à sa déchéance progressive. Diagnostic clinique . Le diagnostic des paraplégies qui s'accompa- g
férencient donc de la manière la plus complète ce syndrome anatomo- clinique d'une part des paraplégies dont la cause revient
la cachexie démentielle sans avoir jamais présenté le moindre signe clinique de tabes dorsal. , A l'autopsie, l'examen de la
CLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS PAR GIUNIO CATOLA Assistant à la Clinique psychiatrique de Florence. L'opinion prédominan
u'à un certain point, le nom de sclérose diffuse. « Au point de vue clinique , cette forme morbide se distingue également par
s paraît pas suffisamment concluante pour en dé- montrer la réalité clinique . » Dans sa critique Ladame considère ce cas com
reparu. Pas de céphalalgie. Dans les jours qui suivent le tableau clinique s'aggrave de nouveau. z Le malade se trouve dan
es plaques de la sclérose multiple légitime. Dans ce cas le tableau clinique était dominé par une paraplégie spasmo- dique q
égitime. Sans vouloir aborder ici la discussion sur les différences cliniques exis- tant entre la myélite syphilitique dissém
aut penser que ces symptômes peuvent ne pas figurer dans le tableau clinique de la syphilis spinale, ce qui rend alors extrê
ysio- logie normale et pathologique, 1885. 3. Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques, Paris, 1885. 4. BAL
ervations de Charcot. On avait déjà nettement défini la psychologie clinique des aphasies, leur anatomie pathologique et leu
comme un simple épiphénomène de cette dernière, et manque d'intérêt clinique : le sujet qui ne parle pas, ne chante pas ; celu
sérieux pour l'individu. C'est pourquoi, les premières observations cliniques se rapportent à des sujets musicalement éduqués
tous les vers. En 4883-4884., Charcot posa définitivement les bases cliniques des aphasies musicales ; ce fait mérite qu'on s
'étude minutieuse de Charcot, attribuent à Knoblauch l'instauration clinique des amusies. Blocq lui-même, disciple de Charco
juin, 20 juin,. 27 juin), traçant les grandes lignes de son tableau clinique . Ces leçons, publiées en Italie par Miliotti, son
(2) fut le premier qui se décida à unifier et classifier ces faits cliniques , et en ajouta d'autres non encore observés, mais
ore observés, mais qui, logi- quement, devaient compléter le groupe clinique des amusies, d'après ce que l'on savait déjà de
n des désordres du langage musical. Cet auteur distingue six formes cliniques : 1° L'amusie motrice (ou aphémie musicale) : l
usicale : impossibilité d'exécution instrumentale. Ce tableau, plus clinique que celui de Knoblauch, fut adopté par Blocq et
io- logie de ce trouble. En se basant sur de nouvelles observations cliniques , il compléta la description des amusies, en les
c un son guttural, etc. Dans notre service de l'hôpital Saint-Roch ( clinique du professeur Ramos Mejia) nous avons . pu pers
stériques sont les premières ayant été l'objet d'une sérieuse étude clinique (2).. Dans les amusies pures les fonctions du l
canisme des apha- sies et des amusies. VII. Nouvelle nomenclature clinique . Les amusies peuvent cliniquement se présenter
Elle est claire et simple ; nous l'adopterons dans toute la partie clinique de cette monographie. 1° La perturbation du lan
l'amusie est incomplète. On comprend que ces types se combinent en clinique , et que les varié- tés suivantes peuvent en rés
n absolue. Par ces exemples on peut facilement induire le caractère clinique des autres types mentionnés dans la nomenclatur
r l'examen du langage musical. Ballet (1) recommande, pour l'examen clinique de la parole chez les aphasiques l'étude des hu
t les traces d'illustres névro- logistes et psychologues. Les faits cliniques sont nombreux, et permet- tent des inductions b
ne seule nouvelle forme de dissociation du langage musical, dans la clinique neuropathologique de l'hôpital Saint- Roch, à B
Neuropatologia. Rome, 15 Luglio, 1897. 380 1NGEGNIEROS Ce groupe clinique comprendrait aussi certains cas de verve, d'imagi
- bides, etc. 382 11VGEGNIEItOS De nos jours, ce sont les faits cliniques qui sont appelés à résoudre les nombreuses inco
si- cale. Sur ces bases claires et certaines, nous ferons l'étude clinique des trou- bles du langage musical d' origine hy
nt,les recher- ches entreprises à ce sujet, tànt expérimentales que cliniques n'ont pas abouti. Cependant, on sait que de tel
P. PARISOT ET ' G. ETIENNE Professeur à la Faculté de Chargé de la Clinique des maladies médecine de Nancy. des vieillards.
le rhu- matisme noueux, d'où l'intérêt d'en indiquer les caractères cliniques . La fréquence de cette déformation dans un'hosp
illard bien conservé, déjà signalé comme ne présentant pas l'aspect clinique rapporté (fig. 4, PI. LVI) : on voit que les ex
ophie n'est pas un rhumatisme déformant. Le diagnostic différentiel clinique se base : 1° Sur l'aspect clinique ; notre défo
nt. Le diagnostic différentiel clinique se base : 1° Sur l'aspect clinique ; notre déformation ne s'accompagne d'aucune dé
ochainement- contrôler. UNIVERSITÉ DE MONTPELLIER TRAVAIL DE LA CLINIQUE DE M. PROFESSEUR GRASSET. UN CAS D'ACROMÉGALIE
DE L'HYPOPHYSE ET DE LA SELLE TURCIQUE. PAR , GAUSSEL. Chef de clinique médicale à l'Université de Montpellier. Bien qu
xistence d'une lésion du corps pituitaire doit être soupçon- née en clinique et doit être recherchée à l'autopsie. Elle nous a
été faites les préparations. Voici d'abord le résumé de l'histoire clinique du malade : Le nommé Etienne R..., âgé de 69 an
issant s'améliorer ce malade est envoyé un matin au laboratoire des cliniques pour y être radiographié et photographié, mais
e et des lésions pleuro-pulmonaires (vérification des constatations cliniques ). Du côté du crâne les lésions sont plus intére
t fait à l'âge adulte Il s'agissait donc bien d'un acromégalique. CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE BUDAPEST SERVI
ON A L'ÉTUDE DE L'OSSIFICATION . par CHARLES HUDOVERNIG Chef de clinique psychatrique à Budapest. En 1903 j'ai publié da
erfonction de l'hy- pophyse. Un grand nombre de faits dans l'examen clinique de Charles II... viennent à l'appui de cette op
arités bien con- nues de l'ossification. Un grand nombre de faits cliniques et anatomo-pathologiques prouve que la croissan
nnes de ces cartilages sont déjà complètement ossifiés. Les faits cliniques et le résultat de la radiographie prouvent donc q
une année de médecine, vous entriez finalement, en 1878, dans cette clinique de la Salpêtrière où vous deviez passer tant d'an
ivant le mot de Térence, sont dignes de notre intérêt. Vos Etudes cliniques sur la grande hystérie (1881), puis votre livre s
t de Charcot : « On fait le diagnostic sur ces statuettes. » Chaque clinique devrait en posséder la série, tant est péné- tr
a Faculté de Médecine Professeur du Laboratoire de- de Bucarest. la Clinique des maladies nerveuses. La question de la régén
atrice de la moelle sectionnée. HOPITAL DES ENFANTS MALADES ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE D'UN CAS DE POLIOMYÉLIT
ALE D'HOFFMANN) PAR 1\ P. ARMAND-DELILLE, G. BOUDET, Chef de la clinique à l'Hôpital Interne des hôpitaux. des Enfants M
e et de nature familiale, quatre cas dont t il donne la description clinique ; dans l'un d'entre eux, il a pu l'aire l'autops
bsolument semblables à celles que nous avons observées, l'évolution clinique fut très analogue, mais l'affection débuta plus
s faudrait signaler aussi celui de Mya et Luisada, mais bien que la clinique donne des symptômes très analogues à ceux des cas
congenila di Oppenheim. UNIVERSITÉ DE MONTPELLIER TRAVAIL DE LA CLINIQUE DE M. LE PROFESSEUR GRASSET. SYRINGOMYÉLIE OU L
ET. SYRINGOMYÉLIE OU LÈPRE PAR ' GAUSSEL, et A. LÉVY, Chef de clinique à l'Université de .. Externe des hôpitaux. Mont
élie et la lèpre anesthésique est souvent assez délicat pour que la clinique ne puisse à elle seule trancher la ques- tion.
e rapporter à une névrite tépreusetesaccidents nerveux constatés en clinique . Nous avons eu l'occasion de voir traiter dans
ation biopsique, il nous a paru intéressant de rapporter l'histoire clinique de ce cas, en joignant à notre exposé des photo
lié un cas semblable (1). M. le professeur Raymond, dans une de ses cliniques (2), mettant en re- lief ces cas où l'épilepsie
r cérébelleuse et épilepsie. Congrès de Limoges, 1901. (2) RAYMOND, Clinique des maladies du système nerveux, 1897-1898, ; 3'
ation suivante nous a été procuré par M. Pécard,chef des travaux de clinique à l'École d'Alfort. Observation. - Chien de tai
s systèmes appartenant surtout au côté droit. mu 31 TRAVAIL DE LA CLINIQUE DU PROFESSEUR RAYMOND A LA SALPÊTRIÈRE. ? DYSTROP
ans profession. Sa mère l'a amenée consul- ter le 5 juin 1906, à la clinique des maladies nerveuses, à la Salpêtrière, pour
aucun symptôme anormal. Le pouls est à 90°. Il n'existe aucun signe clinique de chloro-anémie. ' L'examen du sang fournit le
rrons aux travaux publiés par l'un de nous sur ce sujet. Le tableau clinique est celui d'un ataxique atrophique avec cypho-sco
nsibilité peuvent être très accusés et c'est encore là un caractère clinique de cette affection que nous tenons à mettre en
n est de même de la puissance génitale. Cesontlà des particularités cliniques importantes que nous avons déjà signalées autre
ive de l'enfance, Revue de Médecine, novembre 1896. (3) F. Raymond, Clinique des maladies du système nerveux, t. 6, p. 184.
VRITE INTEhSTITIELLE HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 507 cliniques sont donc suffisamment tranchées pour que les deu
une démarcation très nette entre elles deux. Récemment, dans ses Cliniques de 1903, Raymond,se ralliant aux idées de Bernh
onsistance des nerfs ne peut être considérée comme telle, les faits cliniques montrent qu'elle est inexacte. La scission s'im
cela parce que l'observation de Virchow est sommaire aupoint devue clinique et que l'autopsie a été faite à une époque où l
les observations de Friedreich compor- tent quelques particularités cliniques , telles que la pseudohyperlrophie des muscles d
ans les muscles des mem- bres supérieurs, qui s'écartent du tableau clinique ordinaire à la maladie. C'est cependant en s'ap
de la moelle.- L'observation de Dubreuilh (1), qui au point de vue clinique rentre tout à fait dans le cadre de la maladie, d
terminer, nous attirerons l'attention sur quelques particu- larités cliniques . Chez notre malade l'atrophie musculaire avait ga
RVEUSES ' PAR ) L. ALQUIER, , Chef des travaux anatomiques à la Clinique des Maladies nerveuses. Pour expliquer les acci
faites dans ces 15 cas. ' Pour me rapprocher le plus possible de la clinique et afin de ne rien préjuger des lésions, je div
I. - Mal de Pott dorsal. Cas. I (cas 880 du Laboratoire). Evolution clinique en 2 ans et 4 mois. Compression osseuse nette.
espondant aux racines malades. Ces deux faits présentent un intérêt clinique sur lequel nous n'insiste- rons pas. Anatomiq
es masses lardacées. Il n'y a donc pas concordance absolue entre la clinique et l'anatomie pathologique : l'englobement des
rsales, et cepen- dant, il n'y avait dans ce cas, aucun autre signe clinique de compres- sion du plexus brachial inférieur,
ment défaut dans les observations IX et XI, et pourtant l'évolution clinique n'avait duré que mois environ pour l'observation
la 4e, une ménin- gite cérébro-spinale terminale, ayant les allures cliniques de la méningite tuberculeuse, vient compliquer
itées à une partie seulement de l'épaisseur des corps vertébraux. CLINIQUE MEDICALE DE LAENNEC SERVICE DE : 11. LE PROFESS
- GÉNÉRESCENCE MÉDULLAIRE PAR 1 M. LAIGNEL-LAVASTINE. Chef de clinique La rareté des autopsies dans les cas d'hémiasyn
nce relative de ce syndrome morbide, ne sont pas très nombreux ; la clinique explique leur origine nerveuse par certains arg
phénomènes nerveux : l'anatomie pathologique a confirmé les notions cliniques en constatant l'existence de lésions dans la su
en, d'après ces faits, peut être considérée comme une manifestation clinique de la syringomiélie. Il nous est permis, pourta
assification d'une grande quantité de syndromes plus théoriques que cliniques , n'ont pas fait allusion à la possibilité d'une
fait des progrès, on trouve l'explication anatomi- que du phénomène clinique . Sans doute, lorsqu'il s'agit des régions dont
nfirmation nouvelle et une application plus générale. Aux arguments cliniques déjà cités à son appui : familialité, hérédité
nnaissance de l'artério-sclérose médullaire dans ses manifestations cliniques et anatomo-pathologiques, en particulier pour c
qui correspond au faisceau pyramidal direct ? La physiologie et la clinique nous enseignent que contraire- ment à ce qui se
69 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
nait le prix Montyon pour un mémoire sur le même sujet. Nommé chef de clinique à la Faculté. Il collaborait aux deux éditions de
chef de clinique à la Faculté. Il collaborait aux deux éditions de la clinique médicale de l'Hôtel-Dicu de Paris du professeur T
De 1876à 1886, il faisait à l'hôpital de la Pitié des conférences de clinique médicale sur Les applications de l'hypnotisme à t
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
urs à l'Ecole pra- tique par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
ur de la méthode connue sous le nom de phonendoscopie, par la Société clinique des praticiens et par le Syndicat général des méd
ns reconnu MM. les Drs Boisleux, secrétaire général de la Société clinique des praticiens, Cornet, secrétaire général du Syn
decins de Paris et de la Seine. Jouin, ancien président de la Société clinique , Bilhaut, chirurgien de l'hôpital international,
dial et surtout les renseignements dont ils ont besoin. Le Bureau des cliniques , à l'organisation duquel travaille depuis un an e
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
Charles Richet est né à Paris, le 26 Août i85o. Fils du professeur de clinique chirurgicale A. Richet, bien connu de la générati
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'élude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypno-
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
complote. Peu à peu ses yeux se reposent avec complaisance sur cette clinique de l'assassinat, et il va s'assimilant tacitement
ière vue toute idée de tumeur maligne ou de tuberculose. A l'examen clinique , je constate un degré moyen de dilatation avec pt
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladiesnerveuses [dispensaire neurologique et
son cours à l'Ecole pratique par des conférences surles applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. II est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. II est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations cliniques de psychothérapie, de démonstrations expérimental
'apparition de l'état d'hypnose. Après avoir constaté par un examen clinique les modifications survenues sous la seule influen
application de la méthode graphique, fournie par l'association de la clinique et de l'intervention hypnotique, permet de déduir
rsonnes témoins de ces expériences, entre autres M. W., interne de la clinique du docteur Bérillon. M. \V. était venu chez moi,
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypno-
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiquesde l'hypnotismcll est secondé dans
es et pédagogiquesde l'hypnotismcll est secondé danssesdémonstrations cliniques par MM.Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et da
d'aliénés, commencera le jeudi 3 décembre, à 10 heures et demie, à sa clinique . 49, rue Saint-André-des-Arts, un cours pratique
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations cliniques de psychothérapie, de démonstrations expérimental
olonté, les lundis à 3 heures et les vendredis à 3 h. 1/4, salle 5. Clinique nationale des Quinze-Vingts. — Le concours pour u
nationale des Quinze-Vingts. — Le concours pour une place de chef de clinique s'est terminé par la nomination de M. le Dr Darie
nze-Vingts. Cet article est destiné à montrer par quelques exemples cliniques le parti qu'on peut tirer de la suggestion thérap
le jour de la nuit. Quand la malade se présente à notre examen, à la clinique nationale des Quinze-Vingts, elle reconnaît une v
o-physiologique de Paris, fpndé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
iénés, a commencé le jeudi 3 décembre, à 10 heures et demie, à sa clinique , 49, rue Saint-André-des-Arts, un cours pratique
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations cliniques de psychothérapie, de démonstrations expérimental
que. C'est le dosage de cette médication qui nécessite la création de cliniques de psychothérapie dans lesquelles les médecins et
es Voisin, à la Salpétrière. L'auteur y étudie les différentes phases cliniques de l'épilepsie, et rapporte les expériences qu'il
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
d'aliénés, a commencé le jeudi 3 décembre, à 10 heures et demie, à sa clinique , 49, rue Saint-André-des-Arts, un cours pratique
le traitement fut interrompu. Depuis il me consulta fréquemment à ma clinique . J'appris un jour, par les journaux, qu'il venait
morphinomanie réside dans une intoxication accompagnée de phénomènes cliniques ; pour les autres, morphinomanie ou morphinisme o
e s'y être souvent livré plusieurs fois dans la journée. A l'examen clinique , je note de la bronchite chronique légère, avec s
ar mon excellent confrère et ami M. le Dr Alfred Jean, ancien chef de clinique Je la Faculté, en présence de M. le Dr Eid, du Ca
par un pasteur inspiré, ou que, plus moderne, il se soumette dans une clinique de psychothérapie à l'action scientifique et rati
e sur « les Psychoses do la ménopause », M. Nordau traçait le tableau clinique connu des troubles mentaux accompagnant souvent l
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques dé l'hypno-
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
Investigation psychologique. — Les laboratoires de psychologie et les cliniques de psychothérapie. — Interprétation des phénomène
r et l'inhibition. Samedi 10 Avril. — La pédagogie psychologique et clinique . — Le traitement psycho-mécanique des habitudes a
Charles Verdin, constructeur. II sera complété par des démonstrations cliniques à l'institut psycho-physiologique, 49, rue Saint-
d'aliénés, a commencé le jeudi 3 décembre, à 10 heures et demie, à sa clinique , 49, vue Saint-André-des-Arts, un cours pratique
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations cliniques de psychothérapie, de démonstrations expérimental
Babinski, médecin de l'hôpiial de la Pitié, a repris ses conférences cliniques sur les maladies du système nerveux, samedi 20 fé
matiez minérale; M. Bérillon: Psychologie physiologique, applications cliniques de l'hypnotisme. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Df
éris par la suggestion hypnotique Par M. DE Bourgon, Ancien chef de clinique aux Quinze-Vingts. Chirurgien-chef du service d'o
thèses physiologiques, voici, sans plus long préambule, l'observation clinique de deux cas de blépharospasme tonique bilatér
mental propre aux hystériques, et je n'insisterai pas sur cette étude clinique , me contentant de dire que j'eus la bonne fortune
es quinze jours. Observation II.— J'ai décrit trop en détail le cas clinique d'Eugénie B... pour ne pas tracer en]quelques mot
s'est maintenue. Considérations théoriques. — Ces deux observations cliniques sont intéressantes, ce me semble, à plusieurs poi
Arch. oph. da. Lisboa, mai-juin 1882.) Gille de la Tourettb. — Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, Tome 1, p. 390
née, le professeur étudie l'hypnotisme envisagé dans ses applications cliniques et thérapeutiques ; l'année suivante, le cours es
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
sychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme.11 est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.11 est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Lagelouze, Harlenberg, Lajoie, et d
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
. Suggestion. Auto-hypnotlsation. 3e Partie. — Etude médico-légale, clinique , thérapeutique de l'hypnotisme et de la suggestio
re à ces braves gens l'aumône d'une consultation à domicile. L'examen clinique , hématologique et bactériologique le conduit au d
de la conscience, a fini par reconstituer de toutes pièces le tableau clinique des lésions qui avaient rendu la castration néces
les premiers jours du mois prochain. * * * Telle est l'histoire clinique de cette malade. Elle nous montre l'évolution pro
ans lesquelles il n'est pas de retour complet à la santé. Pédagogie clinique : Deux cas de pusillanimité traités avec succès p
Novembre 1896, l'enfant Marius G., âgé de 12 ans, fut adressé à notre clinique par M. le docteur Manouvrier, professeur à l'Ecol
l se montra absolument réfractaire. On insista pour qu'il revint à la clinique trois fois par semaine. Au bout d'un mois, s'étan
son état inspirait de sérieuses inquiétudes. Quand on l'amena à la clinique , il se mita pousser des gémissements et on s'appl
ar notre confrère M. Albin Rousselet. REVUE BIBLIOGRAPHIQUE Étude clinique sur le dynamisme psychique (Thèse, Nancy, 1897)
partie de l'ouvrage de M. Aimé. Elles sont déduites de l'observation clinique , qui permet de classer de cette façon le psycho-d
qui, préparant le terrain, il ouvre l'accès. Trois grands chapitres cliniques , bourrés de faits commentés, démontrent la vérité
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé
dagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dansses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
. Suggestion. Auto-hypnotisation. 3e Partie. — Etude médico-légale, clinique , thérapeutique de l'hypnotisme et de la suggestio
), autant d'individualités. Néanmoins, pratiquement au point de vue clinique , les individualités sont groupables. D'unefaçon g
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiquesde l'hypnotisme.11 est secondé dan
et pédagogiquesde l'hypnotisme.11 est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
ce de la Salpètrière. — Le dr Auguste Voisin a repris ses conférences cliniques sur les maladies mentales et nerveuses, le jeudi
à la même heure. Plusieurs leçons seront consacrées aux applications cliniques de l'hypnotisme. Corps de santé de la marine. —
Rochefort (la) par Albin Rousselet, 349. Dynamisme psychique (étude clinique sur le), par le Dr H. Aimé, de Nancy, 350.
(quelques observations sur les), par le Dr Gélineau, 51. Pédagogie clinique : deux cas de pusillanimité traités avec succès p
70 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
gage articulé. Pour apprécier comme il convient les observations cliniques qui se rapportent aux faits anatomo-patholo- gi
veloppent sur cet espace. II. Interrogeons maintenant les faits cliniques sur le bien fondé de la description qui précède
ctorat en médecine, Paris, 1879. 1 E. Gintrac. Cours théorique et clinique de pathologie interne et de thérapie médicale.
ète sur la partie blanche adjacente, mais elle 1 Cours théorique et clinique de pathologie interne et de thérapie médi- cale
lle conduit à une divergence forcée dans l'interprétation des faits cliniques . Ainsi, pour nous, dans l'observation de M. Die
tant considéré par nous comme une base solide, tant sous le rapport clinique qu'au point de vue anatomique, tout fait quelco
erche du centre du langage articulé, Broca le plaça, par droit de clinique et d'anatomo-pathologie, dans l'écorce du pied
e interne. 3, Fond de la. scissure précentrale. 4, Lentille. 22 CLINIQUE MENTALE. 5, Avant-mur. F, S, Ligne fornicato-
rfs optiques. 7'. c, Ti,igone cérébral. V. m, Ventricule moyen. CLINIQUE MENTALE 1NCURABILITÉ ET GUÉRISONS TARDIVES EN A
ropos du divorce, ont mis à l'ordre du jour une importante question clinique , celle de la valeur des uérisons tardives et du
s à l'état absolument normal. La prédisposition, en effet, - 2 se CLINIQUE MENTALE. loin de s'épuiser en fomentant des dés
les au- tres variétés, l'application, par exemple, des principes cliniques si sages formulés par Guislain facilitera la di
ine de M. le D' Luys ne se trouve-t-elle pas en dé- saccord avec la clinique ? Les choses sont loin de mar- cher toujours co
tré dans les services publics de ces vieuxmalades, aliénés de- 26 CLINIQUE MENTALE. puis vingt ou vingt-cinq ans et frappé
justifierait le divorce, avec celle que je crois plus conforme à la clinique , il serait in- dispensable d'en diagnostiquer a
érigé en principe, quand il s'agit d'une loi comme le divorce. 28 CLINIQUE MENTALE. Seuls, les signes perçus par raisonnem
vigueur de l'intelligence, ni la même fraîcheur de sentiments. 30 CLINIQUE MENTALE. J'ai passé en revue la prédisposition,
ie aiguë que la famille attribueàdes Archives, t. VIII. 3 34 liez CLINIQUE MENTALE. chagrins domestiques. L'agitation surv
crits, apparurent de nouveau pour faire place, en février, aune 36 CLINIQUE MENTALE. DE L'ALIÉNATION MENTALE. amélioration
nature à jeter un peu de lumière sur la pathogénie 1 Duclos. Études cliniques sur les convulsions de l'enfance. Thèse, 1847.
t au point de vue de l'hérédité. Thèse de Lyoii, 1883. à Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
nvulsions chez les femmes enceintes,etc. 1824 P. 16. 3 Trousseau. Clinique méd. 4e édit., 1873, t. II, p. 197. à C. Handfi
rchison. Brit. nied. Journ., 1876, t. II, p. 6. 3 Hervietix. Traité clinique et pratique des maladies puerpérales; suites de
Eclampsioe. (Ziemssen, t. XIV, 1878, p. 306. 3 Bourneville. Éludes cliniques et thermométriques sur les maladies du système
ilepsie ne doivent pas seulement être rapprochées par des analogies cliniques (Vogel, Jacque- mier, Rosenthal', etc.); mais q
effet, souventse développer chez des sujets 1 Iloseiitlitl. Traité clinique des maladies du système nerveux. Édit. Ir0.nÇ.,
s percep- tions auditives transmises par l'autre oreille. Intégrité clinique et anatomique de l'oreille droite. Intégrité an
Ka S Z) constituerait dans les paralysies atrophiques un symptôme clinique de bon présage en ce sens qu'elle indique avec ce
ive; par llll. 11EA7E- JEWSKY et FIILIZKY. (Messuger de Psychiatrie clinique et légale et de 1(t Neitiol)ttlhologie (russes)
cine et de chirurgie pratiques, t. LUI, 188 ? .) Dans cette leçon clinique , l'auteur rapporte : 4 quelques exemples d'idio
r a la loi DE 1838; {France médicale, t. I, 1a82.) Dans une leçon clinique faite à l'hospice de la Salpêtrière, 11. Voisin
tablissement d'aliénés complet, aménagé pour l'enseigne- ment de la clinique ; le terrain et les plans sont déjà prêts. Tou-
nce blanche ne subit point de changement T. KAHN. III. Observations cliniques sur l'emploi des injections hypodermiques de st
deux médecins-adjoints. Le di- recteur actuel fait un enseignement clinique de psychiatrie à l'établissement; chaque semest
(116,4-,g fr.. P. Kéraval. (A suivre.) BIBLIOGRAPHIE 1. Leçons cliniques sur les maladies du système nerveux; par Thomas
as besoin qu'un malade présente dans toute son extension le tableau clinique de l'ataxie BIBLIOGRAPHIE. 119 locomotrice, q
utent encore à la clarté de cet ouvrage. P. Marie. II. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
ra par là de l'intérêt que peut offrir une étude basée sur l'examen clinique et anatomique d'un grand nombre d'observations
: il était l'auteur d'une excellente thèse ayant pour titre : Etude clinique sur le pouls lent permanent avec attaques syncopa
le De Villernin, membre de l'Aca- démie de médecine, professeur de clinique médicale à l'école d'application de médecine et
- 784. Vol. VIII. Septembre 1884. N" 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A FORME D'ÉPIL
tat de mal i : PILEI'TIFOIillE Par le Dr Gilbert BALLET, ex-chef de clinique de la Faculté, et Gaston CRESIIIN, interne des
eux et à mettre en relief leur valeur. Archives, t. VU). l. 9 130 CLINIQUE NERVEUSE. Quaud l'hystérie revêt la physionomie
é de la face ou à l'un des membres. Dans le premier cas, le tableau clinique était celui de l'épilep- sie jacksonnienne à fo
ez les individus atteints de lésion cérébrale 1 P. nicher. - Eludes cliniques sur l'hi/aléro-épilepsie, p. 293. A maintes rep
été décrits et comparés à ceux de l'épilepsie (Bourneville). 132 CLINIQUE NERVEUSE. corticale. Mais l'examen attentif et
sse quelquefois sortir la langue. L Fig. 1 ? Phase tonique. 13V CLINIQUE nerveuse. A droite, le membre supérieur rigide
on drap; mais elle ne prononce aucune parole. Ces hallucina- 13f; CLINIQUE NERVEUSE. tions durent de cinq à dix minutes. A
ous étions occupés a rédiger ce mémoire, notre ami P.Marie, chef de clinique de la faculté, observait dans' le 'service1 rie -
n'approche pas, on le voit, de celui relevé dans le casde Rosa. 138 CLINIQUE NERVEUSE. pour le blanc et les couleurs. Les au
tre que quelques jours plus tard). Une seule particularité, iio 0 CLINIQUE NERVEUSE. capitale à la vérité, différenciait c
mométrique. Dans les deux cas, on se trouvait en présence d'un type clinique nouveau. L'avenir a donné raison à ceux qui inc
taques'revêtent le plus souvent, Archives, t. VIII. 10 " -· 146 CLINIQUE nerveuse. chez Foisn..., les caractères que nou
et le : nôubrefds accès constituant chaque série.,( ? r - 1 1 14S CLINIQUE NERVEUSE. Il est une autre particularité à rele
Voir aussi Bulletins de la Société anatomique, novembre 1882. .150 CLINIQUE NERVEUSE. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. cas'.dijuesr
ANATOMIE PATHOLOGIQUE. y 08 Iwqi a^n 9 c Observation' XII (Peter, clinique de Trousseau.) aaot 'woo 1 193 m f Femme de q
vésanies. Avant de rapporter les quelques observations prises à sa clinique , nous avons cru devoir retracer les points sail
tion délit .'E930T'3n ? K "'oiwie Ir li -33 , . 1 1 Magnan. Leçon clinique . (Joiii-iial de n4édecine,ci-tiqlitili-,zggz"e,
oise), âgée de qua- rante-cinq ans, entre pour la seconde'fois'à la clinique ; de l'admission, avec le certificat suivant : «
gagé des autres formes delà vésanie, et, en simplifiant le problème clinique , il a réalisé un progrès consi- dérable dans l'
e médecine, 9883'). · , .. r .. t ..\ vren·, z Etude, critique et clinique de la doctrine des localisations motrices dans
qui existe entre la théorie qui vient d'être exposée et le tableau clinique de la para- lysie générale. - R. M. C. r ' '
6mes"6pinions sur la pâ- ralysie1 générale alcoolique.JSoii tableau clinique ne correspond pas : a' 'celui db là'paralysiélg
ho-sl;i ter- f miner pan l'appréciation jsuivante. Au point de vue. clinique , lés 8 symptômes, de paralysie, générale, se mo
encore, la démence arrive et la mort a lieu au milieu du tableau clinique de la paralysie générale. Autopsie. Adhérences co
cile à comprendre que celle du lombo-sacré. Ch. F. . VIII. Etudes cliniques de JV ? n'opt</t0ote; par José Armangué y Tu
nerveux pour laquelle il sera accordé trois heures; 2° une épreuve clinique commune sur un malade. 11 sera accordé au candi
ion devant le jury, après cinq minutes de réflexion; 3° une épreuve clinique sur les maladies mentales : un seul malade. Il
u rapport sera faite au début de la séance suivante; 51 une épreuve clinique sur deux malades d'un service d'aliénés. - Le c
l suit : Pour la première épreuve écrite, 30 points. Pour l'épreuve clinique commune, 20 points. Pour l'épreuve clinique sur
points. Pour l'épreuve clinique commune, 20 points. Pour l'épreuve clinique sur les maladies mentales, à un seul malade, 20
points. Pour la deuxième épreuve écrite, 30 points. Pour l'épreuve clinique sur deux malades, 30 points. Un Fou. - Le Dr C,
W.-C. ' Boukxevillc, Boorteu, Borrvame, Leflaive et Z Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'él)ilepsie, l'hystérie et
- 884. Vol. VIII, Novembre 1884. Nu 24. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUS MALADIF. DU THOMSEN ET PARALYSIE PSEUDO
llarie, Revue de nid- decine 1881,. Archives, t. VIII. 18 8 37t CLINIQUE NERVEUSE. dont l'apparence est plutôt un peu gr
vrent que lentement et difficilement, tandis que les bras et 376 CLINIQUE NERVEUSE. l'avant-bras sont contracturés. Le sp
ÉTAT DE MAL' ÉPILEPTIFORME)1 J Par le D' Gilbert BALLET, ex-chef de clinique de la Faculté, et Gaston CRESPIN, interne des h
sement très accusé du champ visuel (Fig. 8, 8, a et b). ' . , 280 CLINIQUE NERVEUSE. III. Points douloureux. Les seuls poi
as de convulsion clo Fig. 9. - Attaque de Rosa G...(Oss.I.) 282 CLINIQUE NERVEUSE. nique, pas de contractions imprimant
atérale ou bilatérale, pratiquée avec la main ou à l'aide de 281 le CLINIQUE NERVEUSE. la ceinture compressive, a toujours é
Dans une seule matinée, on a vu le manège du membre supérieur 288 CLINIQUE NERVEUSE. gauche se reproduire six fois de suit
hôpitaux. Observation V. (Communiquée par M. E. BRISSAUD, chef de clinique de la Faculté.) Epilepsie Jacksonnieeîne de natur
époque, elles reviennent environ toutes ARCHIVES, t. V111. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. les cinq à huit minutes; elles sont p
Puis la malade fond en larmes, gémit quelques instants et est 292 CLINIQUE NERVEUSE. ' prise aussitôt après d'un fou rire.
ervalles, empiètent les unes sur les autres, de façon que les 29t CLINIQUE NERVEUSE. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. diverses pér
sont des symptômes de paralysie générale qui constituent le tableau clinique ; la marche typique aboutit en deux années à une
ues n'ont pas été examinés. L'une d'elles est, en fait de complexus clinique , un exemple de paralysie ascendante aiguë ayant
ssent pas être absolument parallèles à l'im- portance des symptômes cliniques de* déficit; qu'enfin c'est le mi- croscope qui
-Arch. f. Psych., llV, 2.) - L'observationprésentéeapour caractères cliniques : un affai- blissement croissant, suivi d'atrop
galement du côté le moins affecté (côté gauche). Deux circonstances cliniques plaide- deraientau contraire en faveur de la fo
n, qui concerne un homme de cinduante-cinq ans,rit, au point de vue clinique , dans la mobilité et le vague des accidents sym
re, nous reproduirons simplement ses conclusions : Il l'observation clinique ne nous fournit que peu ou point de raisons de
ffections mentales évoluant côte à côte, chacun suivant la modalité clinique qui lui est propre et en dehors de toute subord
té est laissée aux concurrents pour étendre selon les hasards de la clinique , leur étude à l'observation des délires com- pl
sur les faisceaux pyramidaux. L'auteur croit, tant au point de vue clinique qu'au point de vue anatomique, que la désignati
AEUILER (de Fribourg) montre des photographies d'une ma- lade de sa clinique atteinte de maladie de Basedow qui présentait,
(de Stuttgart). Sur la dyslexie. Il a observé cinq fois un complexe clinique dans lequel le symptôme prédominant, le symptôm
ommsen pense que les phénomènes d'excitation observés dans l'emploi clinique de ces essences (du camphre, par exemple) dépen
albuminurie transitoire dans les états convulsifs. Une malade de la clinique de Fribourg était en proie à des accès répétés
ion pupillaire. Du 10 au 16 octobre 1883, se développe le complexus clinique de l'ophthal- moplégie externe complète, abouti
n conséquence divers processus seraient la cause des manifestations cliniques . 11f.11tosES place sous les yeux des membres de
onsables de l'hémianopsie, aux symptômes périmétriques décrits ? La clinique a parlé. L'anatomie et la physiologie patho- lo
effet, l'évolution des psychose, dont il s'agit ici, représente la clinique pure, ou du moins cette partie de la clinique s
it ici, représente la clinique pure, ou du moins cette partie de la clinique sur laquelle M. Arndt base sa classification, p
ui sont consignées ne laisse échapper aucune variélé, aucune feinte clinique . Nous regrettons simplement que l'auteur n'ait pa
nouvelle variété d'état de mal), 129, 277. Epilepsie (recherches cliniques et tliét-apeiititlues sui- l' - 1'livs- térie
aralytiques gé- néraux), par Tuczek, 336. Neuropathotogie (études cliniques de), par Armangué Y Tuset (An. Marie), 268.
71 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
ut fait prévoir que. sans cependant sortir du domaine positif de la 1 clinique et de la médecine légale, elles présenteront un g
ur le conseil de leur propre médecin, viennent frapper à la porte des cliniques de psychothérapie. C'est d'abord la légion des hy
. M. le docteur Babinski, invité par M. le professeur Charcot, à la clinique des maladies nerveuses, à exposer les doctrines p
anes-thésies, tous le» symptômes, en un mot, qui dominent le tableau clinique de l'hystérie. Or, la suggestion, à elle-seule. s
jets aurait une violente attaque de nerfs avant de frapper le chef de clinique avec une arme supposée, les spectateurs ont pu co
Souhaitons que bientôt la même entente puisse se faire sur le terrain clinique et thérapeutique. chronique et correspondance
herches expérimentales sur l'hypnotisme cl à l'étude dos applications cliniques de cette science. — Des consultations gratuites o
heures à midi. Les médecins et les élèves régulièrement inscrits à la clinique y sont exercés à la pratique de l'hypnotisme et d
ste Voisin continue le dimanche, à neuf heures et demie, ses leçons cliniques sur les Maladies mentales. M. Voisin fait, pend
des maladies mentales. cours. — M. le Dr Léglas a commencé un cours clinique sur les Maladies mentales. Ce cours a lieu tous l
p de Mars. (1) J.-B. Baillière, Paris, 1891, I fr. — Une nouvelle clinique de maladies mentales et nerveuses vient d'être in
Levé, 17, rue Cassette. Paris. 1891. Bonamaison (Dr I..). — Annales cliniques de l'Institut hydrothérapique de Saint-Didier (Va
, professeur et doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux. — Leçons cliniques sur l'Hystérie et l'Hypnotisme faites ù l'hôpital
SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE Fondée en 1889, pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'Hypnotisme
re de 72 et je ne les avais nullement choisis. Chargé d'un service de clinique interne, mes malades (tuberculeux, emphysémateux,
autres du même genre. M. Bouveret y fait preuve d'un sens crilique et clinique très développé, et on voit qu'il connaît à fond l
0 appartenaient à la classe des prolétaires et furent soignés dans ma clinique . Ceux-ci appartenaient, en moyenne, à la classe p
rtune, ne pouvaient payer l'honoraire de mes consultations. Dans ma clinique , la moyenne des susceptibles à l'hypnose, fut de
qu'à 83 à 8i % Des premiers 150 malades exclusivement traités dans ma clinique , il n'y en eut que trois absolument réfraclaires;
alades dans le même espace de lemps. La différence du chiffre de ma clinique et de ma clientèle privée, je crois pouvoir l'att
il y en a eu, à Berlin, 147. La plupart des chefs de servico dans les cliniques attribuent ces suicides à l'abus croissant du sch
es dites de laboratoire, c'est-à-dire faites dans des hôpitaux ou des cliniques sur des sujets habitués à être hypnotisés, ne pro
n a prit d'avance la résolution. Chez les malades des hôpitaux ou des cliniques qui, en raison de la confiance qu'ils ont en l'ex
ut à rencontre de certaines idées particulières bien invétérées. A ma clinique de La Haye, je soigne beaucoup d'Israélites attei
heures, commencera une série de leçons pratiques sur les applications cliniques de l'hypnotisme et sur les travaux récents de psy
é si célèbre de Boerhaarepour arrêter la contagion des crises dans sa clinique . Mais ce qui m'ouvrit définitivement les yeux, c'
t que la pratique civile ne lui fournit guère autant de succès que la clinique hospitalière. Pourquoi? Parce que le client instr
le de Nancy (page 37 et suivantes), que ce moyen m'avait réussi, à la clinique de M. Li.'beault. auprès de deux clientes qui se
sont produites sans faire mention du moindre contrôle expérimental et clinique , et sans démontrer qu'il a pris des précautions c
. L'hypnotisme et tes états analogues; Paris, 1S87. (S) fumes. Études cliniques sur Chuttéro-epilepsie; Paris, pag. W4. (1) UlL
ntractures des hystériques à rétat de veille présentent des modalités cliniques , qui correspondent aux diverses variétés qu'on ob
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveuses est annexée â l'Institut ps
s les samedis, à 10 heures, des leçons pratiques sur les applications cliniques de l'hypnotisme el eur (et travaux récents de pey
ution littéraire dans tes rapporte avec l'état social et politique. Clinique psycho-thérapique de La Haye (Lange Voorhont). —
nt). — M. IeDr a. de Joug fait pendant le semestre d'hiver des leçons cliniques sur 1 "hypnotisme. Clinique de psycho-thérapeut
pendant le semestre d'hiver des leçons cliniques sur 1 "hypnotisme. Clinique de psycho-thérapeutique suggestive d'Amsterdam. —
ive d'Amsterdam. — MM. les Dn Van Henierghem et Van Eeicn font à leur clinique un cour* permanent de psjcho-lhcrapie. Istitut
s'est rendu à Nancy que pour assister à une séance d'hypnotisme à la clinique du docteur Bernheim. NÉCROLOGIE M. Félix Héme
....., âgé de trente-trois ans, voyageur de commerce, vient à notre clinique (1). 11 marche appuyé sur deux cannes. Il présent
l'incoordination motrice caractéristique du tcites dorsalis. L'examen clinique révèle les particularités suivantes : Le malade n
en portants. En 1884, il a eu une fièvre typhoïde pour laquelle (I) Clinique des maladies nerveuses, 49, rue Saint-André-des-A
t toujours désignée sous le nom de tabès. Si nous résumons le tableau clinique présenté par le malade lorsque nous l'avons exami
uvai encore amélioré. Mon collègue, le Dr Lajoie, et les élèves de la clinique avaient continué les suggestions pendant mon abse
ccasion de l'examiner alors qu'il venait pour les premières fois à la clinique de la rue Saint-André-des-Arts. Or, à cette époqu
asme. Même le Dr Pitres, dans son dernier ouvrage si complet : Leçons cliniques sur l'Hystérie et l'Hypnotisme, tombe dans l'erre
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'élude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
s les samedis, à 10 heures, des leçons pratiques sur les applications cliniques de l'hypnotisme et sur Us travaux re-centode psyc
gique. Asile Sainte-Anne. — M. le professeur Bail fait son cours de clinique des maladies mentales,à l'asile Sainte-Anne, les
— M. Magnan a repris, dans l'amphithéâtre de l'admission, ses leçons cliniques , les dimanches et mercredis, à 10 heures. Les con
a Société d'bypnologic, fondée en 1891, pour l'élude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
19, rue Hautefeuille, Paris, 1891.) Gilles de La Tourette. — Traité clinique et thérapeutique de Vhystérie fSalpétrière). (U
infraction punissable. La loi va même plus loin : un professeur de clinique ne pourra plus, sans se mettre en contravention,
nd nombre de fois, soit à la campagne, soit à la ville, et dans notre clinique . Nous étant approché d'un enfant, sans lui avoir
ent quelconque Je dis à l'enfant B..., âgé de onze ans, traité à la clinique pour une incon- linca ce d'urine, qu'il csl arr
entant C...t âgé de douze ans, se présente pour la première fois à la clinique le 15 octobre. À brûle-pourpoint, je lui dis : e
ie intelligente et noté à l'école eomrae un bon élève, est amené à la clinique pour une incontinence nocturne d'urine. M. Zakrev
n un mol à la dipsomanie morphinique, qui ue se rencontre pas dans la clinique . L'ancienne dénomination a donc été conservée.
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
s les samedis, à 10 heures, des leçons pratiques sur les applications cliniques de (hypnotisme et sur Us travaux récents de psych
ique à la pédiatrie et à la pédagogie. Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies du système nerveux. — M. le professe
neurasthénie Par M. le professeur BERNHEIM, de Nancy. L'histoire clinique que je veux retracer devant vous présente un gran
je trouve déjà le mot névrosthénie employé pour désigner cet ensemble clinique dans le Traité de pathologie interne de Mofineret
moibide dont il est question; c'est qu'il avait voulu décrire un état clinique sans faire d'hypothèse d'interprétation patbogéni
mot sur une hypothèse physiologique mais sur une série d'observations cliniques ; c'est que, en effet, il ne faut pas croire, par
t venue plus tard et elle n'a fait que confirmer la justesse de» vues cliniques du praticien de New-York. Je ne puis exposer ic
ne unité morbide, aujourd'hui incontestable. J'ajoute que la valeur clinique du type neurasthénie n'est pas moins nettement dé
ais il ne faut pas faire dégénérer la discussion en étendant le cadre clinique , déjà si étendu, de la neurasthénie ; pour ma par
im dans la série de Béard. Il n'en possède ni l'étiologic ni l'allure clinique ; il se rapprocherait beaucoup plus, de l'hystérie
Béard a décrite, c'est la Vénus de Milo de cet habile statuaire de la clinique ; elle est aussi incontestable que celle du Louvr
eprésente sont puissamment justifiés par l'observation éliologique el clinique des malades auxquels on prétend l'appliquer. Sé
site encore à reconnaître l'intérêt qu'ils présentent au point de vue clinique et thérapeutique. RECUEIL DE FAITS Note sur u
ut un matin qu'elle pleurait du sang. Mais donnons d'abord l'histoire clinique . Nous verrons ensuite à discuter les faits. Obs
- physiologique de Paris, fonde en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légal et et psychologiques de l'hypnotism
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveu*** est annexée a l'Institut ps
rits sont admis à y assister. Le samedi, à dix heures et demie, ltçou clinique . Hospice db la Salpêtrière— MM. les Dn Joffroy
Hôpital Lariboisière. — M. le D' F. Raymond a repris ses conférences clinique * a l'hôpital Lariboisière, le samedi, à dix heure
assez curieux, se développant sur le tégument externe, bien connu des cliniques spéciales soit de dermatologie, soit de maladies
Baumgarlen. (12) Paul Raymond. : Remarques anatomo-pathologiques et cliniques sur l'eut dermo-graphique de la peau. Communicati
ques sur l'eut dermo-graphique de la peau. Communication a la Société clinique de Paris, 1890. avait raison jusqu'à un certain
. de G. et E. Darin, I880, p. 162. (6) Bazin : Leçons théoriques et cliniques sur les affections génériques de la peau, L. 2, p
catalepsie, te somnambulisme sont des états distincts dont la réalité clinique ne saurait être légitimement contestée. Mais ces
inence presque complète. Il y avait plusieurs mois (1) Pnus. Leçons clinique * sur ChytUric et thypnotiiou. Paria, t. I. p. q
r provoquer les manifestations du grand hypnotisme n'a réussi. A la clinique , pendant qu'elle dort, je décris devant elle les
pprenant que son père venait de se casser la jambe. Elle revient à la clinique le 22 septembre, se plaignant d'une gastralgie, m
éristiques du grand hypnotisme cl elle peut servir à la démonstration clinique des périodes décrites à U Salpétrière. Obs. V.
lement ceci : Deux écoles ayant leurs autorités, leurs savants, leurs cliniques , leurs partisans convaincus et leurs adversaires
atique de la Faculté de Médecine, un cours libre sur les applications cliniques et tnèdico-Ugales de l'hypnotisme, et le continue
a Cours : Psychologie physiologique et pathologique, — Applications cliniques e.' médico-légales de Chypnotisme. I. La psycholo
M. Joûroy s'est fait l'interprète des agrégés; M. Dutil, des chefs de clinique ; enfin M. le professeur Corail, sénateur, dans un
ne pourrait l'endormir, excepté mes deux amis el moi, se rendit à la clinique de M. Liébcaull. Ce dernier, sur son désir, leva
ère observation. — Bel... P..., mulôtre, vient nous consulter à notre clinique particulière pour un abcès du maxillaire supérieu
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médieo-Iégales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiant* un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveu*e» est annexée à l'Institut ps
nscrits sont admis à y assister. «amedl, à dix heures et demie, leçon clinique . cocas libre. — M. le D' Bérillon, licencié en
cine (amphithéâtre Cruveilhier}, un cours libre sur les application)» clinique * et médico-légales -te l'hypnotisme, et le contin
ndances toutes naturelles chez l'inculpée. El je le répète, ce que la clinique médico-légale nous a appris su sujet des voleurs
té prises dans une clientèle appartenant à la société et non dans une clinique ; j'ai donc été forcé de me contenter des découve
nésie rétrograde et antérograde. — Leçon de M. le professeur Chakcot ( clinique de la Salpêtrière). M. le professeur Charcot a
d'an cas des plus rares, mais aussi de» plus curieux au point de vue clinique comme au point de vue psychologique; nous entrero
eu plus circonstanciés que nous le faisons d'habitude dans ces revues cliniques , car ce cas est complexe et «on exposition est un
on dans le ca* que je viens de vous rapporter est un* nouvel argument clinique en faveur de leur façon de voir. VARIÉTÉS Les
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveuses esi annexée a l'Institut ps
rits sont admis à y assister. Le samedi, à dix heures et demie, leçon clinique . Le Dr Bérillon fera, à partir do samedi 14 mai
relatives au cervelet. Salpétrière. — MM. les Dr A. Dutil, chef do clinique , et Paul Blocq, chef des travaux anaiomo-patholog
travaux anaiomo-pathologiques. commenceront à la Salpetrière un cours clinique sur tes maladies du système nerveux, a partir du
rses. Les archives des procès de sorcellerie renferment mie véritable clinique fossile des affections du système nerveux. Lorsqu
ène, dont nous avons déjà cité un cas, est bien connu dans l'histoire clinique des maladies nerveuses; on l'appelle coprotafie).
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
rits sont admis à y assister. Le samedi, à dix heures et demie, leçon clinique , Salpbtrièrb. — M. le Dr Auguste Voisin commenc
s et nerveuses. Plusieurs leçons seront consacrées aux applications cliniques de l'hypnotique. Clinique médicale de l'Univers
eçons seront consacrées aux applications cliniques de l'hypnotique. Clinique médicale de l'Université de Palerme. — M. le prof
l'Université de Palerme. — M. le professeur Lugatto, direcieur de la Clinique médicale de Païenne, a fait, le 26 mars 1S92, dan
icale de Païenne, a fait, le 26 mars 1S92, dans l'am-phithéâtre de la Clinique chirurgicale de l'hôpital de la Conception, une c
72 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
ur les maladies des vieillards. Ce vo-lume se compose : 1° Des Leçons cliniques sur les mala-dies des vieillards et les maladies
6, et recueillies par M. B. Bail; — 2° des Leçons sur la thermométrie clinique dans les maladies des vieil-lards, faites en 1869
out enseignement théorique. Nous ne négligerons pas toutefois le côté clinique , et nous espérons bien pouvoir vous mon-trer, au
leur rôle, en tant qu'il s'agit d'observation 1. « Les observations cliniques recueillies de nos jours ne sont supérieures aux
s animée, plus vivante, et tend à se fondre plus étroite-ment avec la clinique . Et cependant, messieurs, devant un trouble fon
l me serait facile de vous prou-ver qu'en combinant les données de la clinique avec celles que nous fournissent l'anatomie et l'
erfectionnée par l'intervention des procédés nouveaux, l'ob-servation clinique doit s'allier aux sciences générales et se rappro
tardée et comme stéréotypée. » Béhier, Le-çon d'ouverture du cours de clinique médicale,^. 19, Paris 1867, 2. H. Ilorn — Darst
n des méthodes fran-çaises et leur intervention dans le domaine de la clinique . Puis ce fut le tour de Tanatomie pathologique, b
telligence collective de l'espèce ne s'endort jamais » 1. Leçons de clinique médicale, traduction du Dr Jaccoud, 1.1. p. 53, 1
llez assister sont destinées à faire passer devant vos yeux les faits cliniques les plus in-téressants, que présente à notre obse
s-unes cependant ont connu des jours meilleurs. Au point de vue de la clinique médicale, qui seule doit fixer notre attention, e
que nous trouvons les matériaux qui nous serviront à faire l'histoire clinique des affections de l'âge sénile. La seconde catégo
aître que si la pathologie de l'enfance se prête à des considérations cliniques d'un ordre spécial, et qu'il est indispensable de
combler ; cependant, à l'époque où il écrivait son Traité de médecine clinique , l'hospice de la Salpétrière avait déjà reçu l'or
24. — Fischer. Tractatus de senio. 1766. 2. Pinel. — Traité de méd. clinique . Paris, 1815. Introduction, p. xiij. 3. Landré-
et asile et qui devront fixer votre attention plus tard. Les leçons cliniques faites à la Salpétrière par Rostan, vers 1830, eu
de Gillette (2), sur les maladies des vieillards, ainsi que le Traité clinique publié en 1854 par M. Du-rand-Fardel. Nous pourri
nous ferons de nombreux emprunts. Le premier est le volumineux Traité clinique des maladies des vieil-lards, dû à la plume de M.
du Saint-Esprit, à Nuremberg. Le second est un Recueil d'observations cliniques , rédigé par M. le docteur Me/t-tenheimer, à l'hos
resque tous ces écrits sont de date récente et appartien- 1. Etudes cliniques sur les maladies des vieillards (Journal de médec
vieillards. — Qu'est-ce que la fièvre ?— Importance delà thermométrie clinique . — Du frisson chez les vieil-lards. — Courbes de
e cette étude, en nous maintenant exclusive-ment sur le terrain de la clinique . Non seulement il existe pour le vieillard des
aissons de côté ces cas peu fréquents pour n'envisager que ceux de la clinique or-dinaire, nous sommes amenés à reconnaître qu'e
éfinitivement nos idées à cet égard. Nous avons nommé la thermométrie clinique . Bien que les critiques ne lui aient pas été épar
temps n'est pas loin où son emploi sera généralement répandu dans la clinique usuelle. On dit que le célèbre Hollandais Swamm
lusion bien des fois, parce qu'on l'observe très fré-quemment dans la clinique du vieillard ; c'est qu'au moment même où la peau
is, ceux surtout de Roger (1844), ont fait pressentir toute la portée clinique de ce moyen d'investigation. Toutefois, "c'est en
sprung, de Traube, de Michaël, de Wunderlich surtout, la thermométrie clinique a subi une transformation radicale. Il ne s'agiss
nt on pouvairétablir que ces tracés ont une réelle importance dans la clinique ; qu'ils permettent, — mieux peut-être que tout a
llards placés sous notre direction dans cet hospice, les observations cliniques dont il s'agit ; on s'était généralement borné, j
us montrer tout le parti qu'on peut tirer de la thermo-métrie dans la clinique des vieillards. 11 est à peine néces-saire de rap
marquées, pendant un certain nombre de jours, constitue un caractère clinique important de la pneumonie lobaire, surtout dans V
pporter à ce que nous obser-vons à la Salpôtrière. Aussi l'importance clinique de ce fait ne saurait être exagérée, surtout lors
urs, je crois vous avoir montré toute l'importance de la thermométrie clinique dans l'étude des maladies des vieillards, et l'ut
ens appliquaient à la goutte, est fondée en réalité sur l'observation clinique ; nous retrouvons dans l'étude rigoureuse des f
péra-tions chimiques très délicates, qui ne sont pas du domaine de la clinique . 11 est un procédé plus simple et d'une applica
ique a pour effet de faire disparaître l'acide urique. L'importance clinique de ce procédé est aisée à comprendre : c'est, cla
l.Todd.—Praclical remarks on Gout. Londres 1443,p. 45. — Trousseau. Clinique méd. de l'Hôtel-Dieu, t. III, p. 328. simultané
certain nombre de considérations, dont l'importance, au point de vue clinique , ne saurait être contestée : 1° Remarquons d'ab
od a su montrer tout le parti qu'on en pouvait tirer, sous le rapport clinique . Ces petits dépôts siègent en général sur le re
e la pathologie comparée puisse vous paraître un peu étrangère à la clinique , il ne faut point vous étonner de l'importance qu
t supporter le moindre bruit. Ici, messieurs, se termine l'histoire clinique de la goutte ré-gulière. Cette forme de lamaladie
vues d'ensemble, et peu soucieux d'analyser minutieusement les faits cliniques , les médecins des siècles passés ont eu toujours
es qui l'en séparent. Mais, avant de descendre sur le terrain de la clinique pour aborder la description des faits particulier
e peuvent déterminer les divers phénomènes qui constituent l'histoire clinique de cette affec-tion ; en un mot, nous chercherons
vons dans les auteurs modernes, pour se convaincre qu'au point de vue clinique , la goutte est toujours restée fidèle à son type
es données de la physiologie de celles que nous fournit l'observation clinique . Il ne faut pas d'ailleurs nous flatter d'obtenir
ière et le vin, ce qui est d'accord avec les données de l'observation clinique . 1. Beneke, Nord See Bad.. 1855, p. 85. — Genth
ses lésions. — Modifications qui correspondent aux principales formes cliniques de la maladie. Messieurs, Après avoir approfo
ous avons eu déjà l'occasion de citer. C'est donc une véritable étude clinique que nous allons entre-prendre ici, et j'aurai sou
ule et même source. Il est toutefois indispensable, au point de vue clinique , d'étudier séparément les principales variétés du
nous aurons l'occa-sion, dans la suite, de légitimer au point de vue clinique la séparation de ce types particuliers. Nous no
cales ; nous poursuivrons ces recherches au double point de vue de la clinique et de l'anatomie pathologique, mais en in-sistant
rmes qu'elle peut revêtir se distinguent surtout par leurs caractères cliniques , et présentent, sous le rapport des altérations l
s il existe de nombreuses modifications à cet égard, suivant la forme clinique du rhumatisme qu'on en-visage et suivant quelques
mes de comparaison des cas subaigus, qui établissent, au point de vue clinique comme au point de vue anatomique, une transition
loin de s'exclure réciproquement. Cependant, quelques particularités cliniques et l'influence décisive du traitement spécifique,
normal. Nous croyons avoir établi : 1° l'unité des diverses formes cliniques du rhumatisme articulaire chronique au point de v
aire aigu. Nous voulons, en effet, soute- nir dans le domaine de la clinique le parallèle que nous avons institué, sous le rap
de vue anatomique, et que nous allons bientôt étudier au point de vue clinique , sja^loin de consti-tuer exclusivement le rhumati
ieurs, comme nous l'avons vu pour la goutte. Enfin, l'un des traits cliniques les plus essentiels de cette affection est la mob
nne lieu à des embolies capillaires. C'est là un côté essentiellement clinique de la question, et un côté tout nouveau, bien qu'
ucune oblitération dans les artères de la base (1). 1. Trousseau. — Clinique médicale de l'Hôtel-Dieu, t. II, p. 587. — Bou-ch
les faits se sont mul-tipliés. Il y a quelques années, dans une leçon clinique , Beau faisait ressortir, chez une jeune fille, la
nt l'objet de son éludes: mais il est temps d'aborder le poiutdevue clinique , et de placer sous vos yeux l'appareil symptomati
es cas, ne parviennent pas à guérir. DEUXIÈME PARTIE Thermométrie clinique dans les maladies des vieillards. PREMIÈRE LEGÓ
llards. PREMIÈRE LEGÓN De l'importance de la thermométrie dans la clinique des vieillards. Sommaire. — Préliminaires. — Di
rienter au milieu des écueils sans nombre qui s'offrent à lui dans la clinique des vieillards. Il n'est plus nécessaire aujour
urd'hui de dépenser beaucoup d'éloquence en faveur de la thermométrie clinique ; la mé-thode a fait son chemin, et elle s'est ré
exclusivement propre aux re-cherches scientifiques. La thermométrie clinique , est, vous le savez, un moyen physique d'explorat
r s'élève au-delà du taux normal, que l'importance de la thermométrie clinique peut être aisément mise en relief; il est cependa
s courbes axillaire et rectale, se rencontre très fréquemment dans la clinique des sujets âgés. Telle est la raison principale
au-dessous du taux normal. — Mes-sieurs, il est dans la thermométrie clinique un certain nom-bre de faits fondamentaux dont la
fièvre. DEUXIÈME LEÇON De l'importance de la thermométrie dans la clinique des vieillards (Suite). Sommaire. — Caractères
(Fig. 25). Fig. 25. Tout à l'heure, je ferai ressortir l'utilité clinique de la ther-mométrie dans les faits de ce genre ;
une con-firmation, ils pourraient être utilement rapprochés des faits cliniques . TROISIÈME LEÇON De l'importance de la thermo
iques. TROISIÈME LEÇON De l'importance de la thermométrie dans la clinique des vieillards Sommaire. — Abaissement do la te
ties sphacélées peuvent être une source d'in-fection. C'est ce que la clinique avait reconnu déjà ; mais l'expérience de Kussmau
underlieh (1), auxquels on doit une remarquable étude-sur ce point de clinique parmi nous trop négligé (2). Mais le syndrome col
tir tout l'intérêt qui s'attache aux études thermomé-triques clans la clinique en général et dans celle des vieil-lards en parti
trou-vions, et nous avons recueilli un certain nombre d'observations cliniques et nécroscopiques, qui font la base de notre trav
le rhumatisme ; thèse soutenue en 1813. — Chomel et Requin. Leçons de clinique médicale, t. II, 1837. — Bouillaud. Nosoyraphie m
Hayliartli l'ait évidemment allusion aux mêmes cas dans son Histoire clinique des nodosités des jointures (2). Le début habit
qui me paraissent propres à éclairer plu-sieurs points de l'histoire clinique et nécroscopique de la goutte proprement dite ; j
ssent au contraire, devoir tenir une place importante dans l'histoire clinique de la goutte. En effet, d'après les recherches de
urates en grande abondance. Tels sont les caractères anatomiques et cliniques sur les-quels s'appuie le docteur Todd pour diffé
écrits inédits de C. Hillier Parry (3), recueil riche d'ob-servations cliniques intéressantes, et qui révèlent presque tou-jours
le. plusieurs exemples (On Gout, p. 545); Trousseau en cite un cas ( Clinique médicale, t. III, p. 375). «Fonctions utérines.
supérieures, ne se distin-guent pas essentiellement, au point de vue clinique , de celles qui se produisent si communément dans
., S. 604), 0' Ferrai (Provincial Journal, 6 feb. 1849) et Trousseau ( Clinique médicale de VHôtel-Dieu, t. III. p. 345), ont ins
. H. Parry, London, 1825, t. I, p. 243), recueil riche d'observations cliniques inté-ressantes, et qui révèlent presque toujours
un individu atteint de paralysie saturnine se trouve dans les leçons cliniques du même auteur, sur les maladies du sys-tème nerv
m-bre desquels prédominent les urates et l'acide urique. (Trous-seau, Clinique médicale, t. III, p. 351, 1865) (p. 333). Influ
s, un fait inté-ressant rapporté par le docteur Todd, dans ses Leçons cliniques sur les maladies des voies urinaires (loc. cit.,
a été reproduit avec quelques détails complémentaires dans les leçons cliniques du docteur Todd {Clinical lectures on paralysis
er que M. Garrod n'ait pas étayé cette assertion par des observations cliniques détaillées, car c'est à peine s'il existe, dans l
nique. — Gazette médicale de Paris, 1864, n° 36, 38, 39. — Trousseau, Clinique médicale, t. III, p. 391, 1895. — Vergely, Essai
affection organique du cœur. — Il y a quelques années, dans une leçon clinique (Gazette des hôpitaux, 19 juillet 1864), M. Beau
es aiguës, subai-guës et chroniques du rhumatisme. — Des observations cliniques assez nombreuses me portent au contraire à penser
ase biliaire, de la gravelle urique et de la goalie. —? L'observation clinique démontre que la lithiase bi-liaire coexiste assez
'histoire a été rap-portée par M. Traube (de Berlin), dans une de ses cliniques (Berliner klinisch. Wochenschr., 27 nov. 1865, u°
de latéralité), tantôt et alternativement l'un ou l'autre de ces 1. Clinique médicale de l'Hôtel-Dieu de Paris, 4e édition, t.
eillards. — Qu'est-ce que la fièvre ? — Importance de la thermométrie clinique . — Du frisson chez les vieillards. — Courbes de t
s lésions. — Modifications qui correspondent aux principales formes cliniques de la maladie.......................,..........
. . ,...........................272 DEUXIÈME PARTIE Thermométrie clinique dans les maladies des vieillards. PREMIÈRE LEÇO
....293 DEUXIÈME LEÇON DE l'IMPORTANCE DE la THERMOMÉTRIE dans LA CLINIQUE DES VIEILLARDS (Sllite). Caractères thermiques
.. 272 TROISIEME LEÇON de l'importance de la thermométrie dans la clinique des vieillards. Abaissement de la température c
avec le rhumatisme articulaire aigu, 178; — unité des diverses formes cliniques , 191 ; — cardiopathies dans le —, 211 ; — pleurés
affections or-ganiques ou fonctionnelles du cœur, 340 Thermomètrie clinique , 26 ; — son im-portance chez le vieillard, 292, 3
microscopique, 401 ; siège, 56, 420 ; — volume, 420 ; — caractères cliniques , 83 ; — con-sistance, 421 ; — mode d'apparition,
73 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
ité n’acceptera que des communications se rapportant aux applications cliniques , médico-légales, psycho-phvsiologiques, pédagogiq
communications seront divisées en quatre groupes : 1. Applications cliniques et thérapeutiques d’hypnotisme et de la suggestio
renforcer les suggestions précédentes; par un artifice enseigné à la clinique du Dr Bérillon, pour remplacer l’idée obsédante e
sent, affirmer ce diagnostic (I) Présentation de malade faite :i la Clinique des maladies du système nerveux, h la Salpûtrièr*
obtenus par le sommeil hypnotique! Il y a quelques jours, venait à la clinique de M. le Dr Bérillon une jeune fille, hystérique
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les Dr* Henry Lemesle, Iiellemanière, Wat
ière. — M. le Dr Jules Voisin, fait tous les jeudis, à 10 heures, une clinique sur les maladies mentales et neigeuses. Société
(de Melbourne) s’est placé sur le terrain de l'expé-périence et delà clinique . Ainsi qu’il l’a expliqué dans une communication
e manqua pas de se présenter au Dr Legrain et qui est allé aussi à la clinique du Dr Bérillon faire ses offres de service. Il
u réveil, ne s'est pas reconnue; elle n'aurait rien su de (1) Leçon clinique û la Salpétriêre. ce qui s’était passé si on
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications cliniques , médico-légales et phj-siologiques de l’hypnotism
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les Dr* Henry Lemesle, Bellemanière, Watt
1828, successivement externe, interne, lauréat des hôpitaux, chef de clinique , médecin de la Pitié dès 1806, Dumontpallier fut
me, chaque année, de 1876 à 1886, il (it sur ce sujet des conférences cliniques devant un nombreux Dumontpallier auditoire. L
peu commune, il fut externe en 1870, second interne en 1872, chef de clinique de !a Faculté en 1877, médecin des hôpi-teauxen 1
i fera époque ; on peut en juger par la lecture des quatre volumes de Clinique déjà publiés, lesquels sont des monuments d’érudi
publiés, lesquels sont des monuments d’érudition impeccable, de sens clinique , de critique sagace, de synthèse compréhensive et
enseignement permanent de tout ce qui relève de l hypno-logie. A sa clinique de la rue Saint-André-des-Arls, il lait des merve
l'hypnotisme, améliorés ou définitivement guéris. Il y a plus ; cette clinique est une véritable Ecole de Psychothérapie, où de
iébeault et son école, numéro de novembre 1808. «ire à la modeste clinique de la rue de Bellevue. Le professeur rie la Facul
endant un, deux, trois jours, (1) Présentation de malade faite à la Clinique des maladies du «ystômo nerveux* la Salpétricrc.
lement accueillis et même fêtés. Le professeur Raymond, son chef de clinique , et les chefs des différents laboratoires, nous o
différents laboratoires, nous ont fait les honneurs du service de la clinique et de ses dépendances, avec une bonne grâce et un
ancien interne des hôpitaux, Paris. M. le Dr Raymond, professeur de clinique des maladies nerveuses à la Faculté de Paris. M
professeur à la faculté de Jassy. M. le Dr Marinesco, professeur de clinique des maladies nerveuses à la faculté de Bukarest.
ses à la faculté de Bukarest. M. le DrThomas Tonesco, professeur de clinique à la faculté de Bukarest, délégué du gouvernement
us le nom significatif de psychothérapie. Les recherches de pédagogie clinique entreprises en 188G, et poursuivies sans relâche
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l’hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l’hypnotisme. II.est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. II.est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les Df‘ Henry Lemesle, Bellemanière, Watt
s international de Moscou. On doit à Korsakoff l'organisation de la Clinique psychiatrique de Moscou, un traité complet de psy
tats obtenus par le docteur F. van ÏCedcr. et par moi-même dans notre clinique de psychothérapie d’Amsterdam pendant les deux pr
e avec M. Van Eedcn à Amsterdam (15 Août 1887), nous avions fondé une clinique pour le traitement des maladies nerveuses par la
a nomination, sous condition que l’Etat mettrait à sa disposition une clinique ad hoc. Cette promesse cependant ne fut pas rem
t les honneurs du titre alors que le gouvernement en le privant d’une clinique le mettait dans l’impossibilité de donner un ense
orbé par les exigences de l’enseignement, de la direction de ses deux cliniques , de ses expérimentations psychologiques, il ne lu
Ziehen et Winkler, le docteur P. Bierens de Haan a cr é à Utrecht une clinique de psychothérapie et s'abstient dans le traitemen
aisir de vous annoncer que le 1er Novembre dernier les services de ma clinique ont été transférés dans un hôtel expressément bât
ma, la Neerlande septentrionale. w * 4 Depuis la création de la clinique de psychothérapie d’Amsterdam jusqu’à ce jour, tr
le sont devenus les amis d’aujourd’hui. Les malades qui affluent à ma clinique en sont le témoignge vivant puisque pour une gran
e ne pouvait toucher certains objets, en particulier des (1 j Leçon clinique faite à la Salpfitrière. couteaux. Leur conta
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l’hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les D" Ilenry Lemesle, Bellemaniere, Watt
udis suivants à dix heures. — Il sera secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les Dr‘ Ilenri Lemesle, Bellema-nière, Ja
, scs instruments, scs plaques microscopiques ; et M. Cestan, chef de clinique , avec une bonne grâce vraiment méritoire, donne à
à la guérison, ainsi que nous l’a démontré le docteur Voisin dans sa clinique ? Voici, par exemple, une jeune fille en proie à d
l’étude d'une léthargique comme celle de Thenclles à un simple examen clinique . De même les fameux jeûneurs Succi et Merlatti
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l’hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé dans ses démonsh*ations cliniques par MM. les D* Henry Lemesle, Bellemanière, Watea
ypnotisme employé comme méthode d'investigation psychologique ; 2* la clinique des maladies nerveuses et mentales : 3° la pédago
; 2* la clinique des maladies nerveuses et mentales : 3° la pédagogie clinique ; 4* tous les procédés d'analyse et de psychométri
gastro-intestinale. — (Troisième chapitre du même mémoire. (Archives cliniques de Bordeaux, 1899. n# 9 et 10). — La psychose é
es de Bordeaux, 1899. n# 9 et 10). — La psychose éclamptique, leçon clinique . (Revue mensuelle de Gynécologie, d'obstétrique e
de médecine. Aucun n’avait plus de titre à cette distinction. Chef de clinique et collaborateur de Charcot, il est celui qui a é
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les Dri Henry Lemesle, Bellemanière, Wate
Bdil. de J.-B. Th. Baumes, 1846, t. H. p. 65. (2; IintQGgr : Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, Paris, 1859. (3
ision et de la clarté que grâce à deux hommes, dont l’un a apporté en clinique la sagacité du psychologue, et dont l’autre a abo
de San Paulo (Brésil). Parmi les nombreux malades qui viennent à la clinique de l’institut psycho-physiologique de Paris, fond
Voici dans quel état se trouvait cette malade, lorsqu’elle vint à la clinique , le 20 novembre 1900: Frayeurs de tous les instan
son cerveau, le calme, la confiance dans les procédés suivis dans la clinique . Après le réveil, nous prenons des renseignements
t Paul Farez. Mme D... n’a jamais manqué à aucune des séances de la clinique , soit mardi, jeudi et samedi. Toujours nous la
ersuasion et à la suggestion. (1) Présentation de malade faite à la clinique des maiaüies du systùoie nerveux à la Salpétrière
rmé contre un arrêt de la cour (1) Présentation de malade faite» la clinique dea maladies du tyslèioo nerveux à la Salpêtrière
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l’hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire :neurologique
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les Dr* Henry Lemesle, Bellemanicre, Wate
libre sur : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications cliniques de l'hypnotisme. Le Dr Bérillon étudiera spéciale
crise hystérique franchement (t) Présentation de malode fniie à la Clinique des maladies du système nerveux, h la Salpôtrière
clonus multiplex, par M. !e D*- V. P. PanvouCHINE, Conférence de la Clinique neurologique de Kajait, 10 janvier 1809. - En 1
n cas d’hystérie grave, par M. le I> E.-A. GuiZE, Conférence de la Clinique neurologique de Saint-Pétersbourg, 21 janvier 189
hologie nerveuse, mais d’ « exposer la méthode à suivre dans l'examen clinique du malade et la façon de grouper les symptômes po
ces, analyser les troubles morbides, déterminer leur véritable valeur clinique , les faire converger vers un diagnostic anatomiqu
ins hypothétiques, bourré de faits, de statistiques et d'observations cliniques , se répartit en sept chapitres ainsi intitulés :
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l’hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les Dr* llenry Lemesle, Bellemanière,
libre sur : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications cliniques de l’hypnotisme. Le Dr Bérillon étudiera spéciale
a suggestion. N. B. — Le cours sera complété par des démonstrations cliniques à l’Ir.stitut psycho-physiologique, 49, rue St-An
us limpides du monde, l’éminent médecin de Sainte-Anne, professeur de Clinique des maladies mentales à la Faculté, donne à qui l
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications cliniques , médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine semestre d’été) par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de 1 hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de 1 hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations cliniques par MM. les Dr* Iienry Lemesle, Bellemanière, Wat
libre sur : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications cliniques de l’hypnotisme. Le Dr Bérillon étudiera spéciale
a suggestion. N. B. — Le cours sera complété par des démonstrations cliniques à l’institut psycho-physiologique, 49, rue St-And
A l'appui de cette manière de voir, l’auteur relate six observations cliniques des plus concluantes. Elles concernent des enfant
les lésions du système nemeux dans la paralysie diphtérique. Chef de clinique en 1879 à l’hôpital de la Charité, il était nommé
ies qu’il a plus spécialement étudiées. Il fit de nombreuses études cliniques et anatomiques sur l’aphasie, sur les localisatio
l’histoire de la médecine, et qu’il occupe bientôt une des chaires de clinique médicale pour laquelle ses aptitudes et sa valeur
74 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
S LA DIRECTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE D
RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIE
OURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIES MENTALES DES MALADIES
GÉ A LA FACULTÉ DIRECTEUR Honore DU LABORATOIRE DE DE MÉDECINE LA CLINIQUE MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE DIRECTEUR D
'anévrysme des artères de la base du cerveau n'ont point d'histoire clinique . Ils ne sont découverts le plus souvent que sur l
précède offre un très grand intérêt, non seulement au point de vue clinique , mais aussi et surtout quant aux lésions anatomo-
uite de la compression. La (1) D. H. Reinhold (méd. assistant de la clinique médicale de Fribourg-en-Brisgau), Beilraege Hur
ions anatomiques offrent un intérêt aussi grand que les symptô- mes cliniques . Plusieurs auteurs ont étudié récemment les consé
le sensorielle du (1) ANDRé (Thomas, Le cervelet (étude anatomique, clinique et pathologique). Paris, 1897. (2) L. EDINGER
eaux qu'il nous a été donné d'étudier chez ce malade. Observation clinique . Antécédents héréditaires. - Père mort de fièvr
ion ne réside pas seulement dans ce fait qu'elle réalise le tableau clinique , aussi complet que possible de la « neu- rofibr
andes lignes bien connu aujourd'hui et l'un de nous dans ses leçons cliniques de l'Il6tel- Dieu, a suffisamment insisté sur l
ns cliniques de l'Il6tel- Dieu, a suffisamment insisté sur l'allure clinique de celte affection pour que nous puissions nous
liniquement, il s'agit donc d'une neurofibromatose acquise. Ce fait clinique répond-il à la réalité, et ne peut-on pas, eu éga
ait tous ses maux; elle aurait joué le même (1) P. Maiiie, Leçon de clinique médicale, Masson, 1890. NEUROFIBROMATOSE GÉNÉRA
a- tion du tibia droit en lame de sabre. Dans une autre observation clinique de JGANSGL111G (2), il s'agissait d'une femme d
ant à l'unité originelle toutes les manifestations anato- miques et cliniques de la polyfibromatose, faisant de la polyfibromat
erveuse de la fibromatose -qui réalise l'uni té patlio('éiiiqtie et clinique de l'affection désignée, sous le nom de « neurofi
888, nous croyons avoir suffisamment mis en évidence les caractères cliniques et anatomo-patho- logiques de cette affection.
RIÈRE) UN CAS D'ANOREXIE HYSTERIQUE PAR GEORGES GASNE Chef de clinique à la Salpêtrière. Il est toujours intéressant d
par- fois jusqu'à des menaces d'asphyxie. Quelquefois le tableau clinique est bien moins dramatique : il s'agit alors, so
aité des névroses, 1883. p. 1020. 13. GILLES de la Tourette. Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, III, p. 344.
ue et thérapeutique de l'hystérie, III, p. 344. 14. ANDHÉ. Précis clinique des maladies du système nerveux, 1895, p. 65. 1
nnant, les nodules indurés de volume variable que décelait l'examen clinique . Le stroma de la tumeur est conjonctif et infil
pomateuse plus ou moins considérable. L'im- possibilité de l'examen clinique de la face postérieure de la colonne, masquée p
esseur à la Faculté de Médecine de Montevideo. J'ai observé dans ma clinique de Montévidéo (Hôpital de la cas dont les trait
on avait toujours essayé dans les observations ce travail d'analyse clinique , ce sujet serait certainement moins obscur qu'i
la durée du coma aurait atteint plusieurs mois; mais l'observation clinique est si résumée qu'on ne sait pas au juste s'il
malade paraît la contredire. Un mois avant l'examen pra- tiqué à ma clinique la vue était subjectivement intacte. Elle a comme
être absolue. Une dernière réflexion. On se rappellera que l'examen clinique n'a pas montré la moindre trace de paralysie oc
ifs ou négatifs de tumeur de la fosse moyenne. Or dans notre cas,la clinique permettait d'affirmer que la tumeur, s'il y en
d'autres signes imposent. Si le fait est connu, rarement un exemple clinique l'aura établi d'une façon plus nette. C'est à c
enter ces quelques réflexions. FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX ( Clinique de il. LE l'ROI·'ESSEUIIPITItES LES OSTÉO-ARTHR
s ses leçons, il fixait, d'une façon presque définitive, la formule clinique et anatomique de cette complication de l'ataxie l
s les attitudes que leur impriment les lésions vertébrales. L'étude clinique de- ces faits est complète, mais elle n'est sui
ractures de la colonne vertébrale ». Il donne un résumé de l'examen clinique des cinq malades, groupe les traits essentiels
eich. Il cite un dessin de P. Richer qui figure dans le musée de la clinique des maladies nerveuses, représentant une tabétiqu
égende porte « fracture des vertèbres ». L'absence de tout document clinique se rapportant à cet image rend ce diagnostic osé,
opathies de la colonne vertébrale dans le tabes : deux observations cliniques avec autopsie, de Pitres el Vaillard, et trois ca
ations cliniques avec autopsie, de Pitres el Vaillard, et trois cas cliniques de 1\.1'03- nig. Devant ce nombre infime, tous
musée de la Salpêtrière. La deuxième série renferme les do- cuments cliniques sans contrôle anatomo-pathologique direct ; dans
le dessin de la scolastique de P. Pitres. II A. - Observations cliniques avec autopsie. La première observation que nous
spé- rités. L'observation précédente manque totalement de détails cliniques . Il nous a été impossible de retrouver la trace
et aucune nouvelle manifestation n'était venue s'ajouter au tableau clinique précédent, lorsque, en janvier 1898, la ma- lad
nt facilement. (A suivre.) FACULTÉ DE MÉDECINE DE MONTPELLIER. ( CLINIQUE DE M. LE P' GRASSET). LES AR TRHOPATHIIJS TABÉT
IIJS TABÉTIQUES ET LA RADIOGRAPHIE, PAR LE D' GIBERT, Chef de clinique médicale à l'Université de Montpellier. La radi
s elles ont dominé par leur brutalité et leur monstruosité la scène clinique . C'est pour leurs arthropathies que nos sujets
ouve dans un territoire médullaire voisin de l'appareil sensitif. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE LA
PÊTRIÈRE. LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE, PAR R. CESTAN, Chef de Clinique des maladies du Système Nerveux. A l'heure actu
années et de nombreux travaux nous ont appris aussi bien le tableau clinique que les détails histologiques des dif- férentes
ole pour l'axe cérébro-spinal ; d'ailleurs, la bénignité du tableau clinique des manifestations périphériques que fait souve
lle (Service de M. le professeur Raymond, à la Salpêtrière). Résumé clinique : Syphilis ,grave le 1. cr mai 4899, apparition d
De l'examen de ces malades dont nous venons de rapporter l'histoire clinique , une constatation se dégage aussitôt, la diversit
nalgésie totale au cours de la période secondaire et sa description clinique ne permet pas de rattacher cette analgésie à un
les lésions anatomiques de radiculile syphili- tique et le tableau clinique qui en découle sont très différents de ceux de
ions névritiques, nous trouvons cependant trop complexes l'histoire clinique des deux malades de Taylor et Sorrentino pour l
n de documents suffisanls et in- discutables pour tracer le tableau clinique de la polynévrite syphilitique ? Rien ne serait
té du problème pathogénique à tel point, qu'avant toute description clinique , il nous parait indispensable d'élucider le poi
tion du problème palhogénique doit être exclusivement demandée à la clinique . Or le tableau clinique est souvent complexe. A
nique doit être exclusivement demandée à la clinique. Or le tableau clinique est souvent complexe. Avant l'apparition des tr
nous sera dès mainte- nant possible de tracer rapidement l'histoire clinique de la polynévrite^ syphilitique. Les troubles
baiguës ou chroniques (Thèse de Poussard). Il n'existe pas un signe clinique certain pour trancher la question, cependant da
int délicat de pathogénie et démontré qu'il n'existait pas de signe clinique différentiel ni dans la physionomie des trouble
orance sur leur formule histologique ; cependant leur phy- sionomie clinique ne paraissant pas différer essentiellement de cel
toxiques et infectieuses, il est à présumer que cette ressemblance clinique doit avoir pour substratum une ressemblance ana-
E SEGMENTAIRE (G. Gasne et G. GioV/ntH M : ¡S50n A CI Fditll\l" CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
le. Aussi il nous a paru intéressant de rapporter brièvement ce cas clinique . Il s'agit d'une femme de soixante-trois ans d'
adiographie dans l'interprétation de ce cas dont les manifestations cliniques peuvent être considérées comme rares et d'un di
lipome sus-claviculaire survenu chez une femme de 27 ans. L'aspect clinique était celui d'un volumineux lipome dans le- que
de Rehns nous devons signaler : 3 cas observés par Péan, Leçons de clinique chirurgicale, t. IX, page 1089, et Tribune médica
l'homme et qui est remarquable par la cons- tance de ses caractères cliniques . Une malade de M. Lejars présente toute- fois l
prochée de celle de Grosch. Son point de départ est histologique et clinique : l'histologie démontre, dit-il, entre les dépô
cellules adipeuses isolées, disposées en traînées ; d'autre part la clinique constate la coexistence fréquente de la polysar
tique. Il invoque à son appui un certain nombre de parti- cularités cliniques ; mais, fait curieux à constater, plusieurs sont
le Prof. Ilayem est d'ail- leurs revenu sur son opinion et dans la Clinique médicale de l'hôpital St-Antoine (Masson et Cie
ins nombreux. Cette constatation a été faite soit par l'exploration clinique (1) soit au cours des opérations. Ainsi, chez l
ontrent l'anatomie pathologique, l'étiologie et surtout l'évolution clinique . Pour nous, les productions lipomateuses ont po
it des expériences cadavériques destinées à rendre compte des faits cliniques . Nous avons consigné ces expériences et dessiné
sauf au premier, aux différents points de vue de l'étiologie, de la clinique et de la pathologie, nous y ajouterons quelques
choc. Ces considérations nous ramènent précisément à l'observation clinique . On peut en effet constater que de nombreuses hém
nts associés, comme celui qui est décrit dans l'observation III. La clinique offre naturellement toutes les variétés d'inten
t lire et écrire aussi bien qu'avant son accident. ~ Enfin l'examen clinique des autres appareils n'a révélé rien d'anormal.
Bordeaux. Les photographies ont été prises dans le laboratoire des cliniques par M. le Dr SABRAZÈs (Pl. XXXVI, b,c,d). Jules
du sang a été pratiqué par ]II. le D S(ibi@azès,au laboratoire des cliniques , le H novembre 1899, le malade étant à ieun. L'
ance d'un garçon et d'une fille. FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX ( clinique DE M. LE professeur Pitres) LES OS'rÉ0-ARTIIROP
JEAN ABADIE Interne des hôpitaux de Bordeaux. II OBSERVATIONS CLINIQUES SANS AUTOPSIES. En tête de cette deuxième série
t quatre observations per- sonnelles. Nous avons joint à l'histoire clinique et à la description des déviations vertébrales
alpêtrière, n° 2, 1900, p. ne. (2) Gilles de la Touiiette, Eludes cliniques et physiologiques sur la marche. La 294 GILLES
ns d'atrophie du cervelet qui présentent les plus grandes analogies cliniques mais qui diffèrent sensiblement les unes des au
la voix très nasonnée. Il est inutile d'insister sur les analogies cliniques qui rapprochent ces deux observations ; le diag
observer un malade atteint de la même affection, dont l'observation clinique et l'examen anatomique ont été rapportés par l'
es nystagmiformes, l'exagération des réflexes complètent le tableau clinique qui rentre dans le cadre du syndrome cérébelleux
davantage animée d'oscillations de large amplitude. A cet ensemble clinique si singulier correspondent chez notre premier m
trophie cérébelleuse est une affection assez rare, le type anatomo- clinique que nous venons de rapporter l'est encore bien da
e peu de celle qui fait le sujet du travail actuel, au point de vue clinique par un léger degré d'ataxie (1) LAN\OIS et Pavi
), Arndt (14-). Thomas (obs. V) (G) présentent de grandes analogies cliniques et anato- miques avec les observations précéden
; cependant il existe entre elles quelques différences anatomiques, cliniques et étiologiques. La malade de Menzel présentait
séquent que pour le malade de Menzel et^bien que les renseignements cliniques sur les différents membre(fua famille soient as
4 J. DEJERINE ET A. THOMAS quelques différences d'ordre anatomique, clinique et étiologique que nous avons signalées nous em
cause de l'atrophie ; alors malgré quelques nuances anatomiques et cliniques cette observation se placerait à côté des nôtres,
aser; si certaines analogies dans la symptomatologie ou l'évolution clinique permettent un rapprochement, il ne saurait être m
lérotiques suffit à différencier les unes et les autres. L'histoire clinique et les lésions anatomiques comprises dans ces d
ion de Miura peut être rapprochée de celle de Nonne : les analogies cliniques et anatomiques sont frappantes, l'hérédité et le
sont nettement signalés ; elles diffèrent cependant au point de vue clinique par l'état des réflexes patellaires qui sont exag
ouer un rôle important (obs. de Spiller). En réalité, le diagnostic clinique des atrophies cérébelleuses entre elles est des
d'autre part rien dans ses antécédents personnels, dans l'évolution clinique ou dans l'exa- men anatomique ne permet d'envis
des grandes analogies symptomatiques et de quelques particularités cliniques , il nous a paru intéressant de la reproduire.
ation anatomique nous semble la meilleure parce que le même tableau clinique et peut-être les mêmes données étiologiques leu
'atrophie du cervelet ; d'après Londe, il y a des cas où le tableau clinique réduit de part et d'autre (maladie de Friedreic
h, qu'il compare tant au point de vue anatomique qu'au point de vue clinique . Les mêmes troubles de l'é- quilibration qui le
iste trois types principaux : le type (t) Dejerine et Thomas, Elude clinique et anatomique des accidents nerveux déve- loppé
, 1891. (3) Euoea, Troubles vestibulaires. Etude physiologique et clinique . Revue interna- tionale de Rhin. otoi. Laryngol
quarante-sept cas. Il ne nous est pas possible d'en tirer un signe clinique quant au siège de la lésion, car nous n'avons t
raiment pas suf- fisant pour proposer cette coïncidence comme signe clinique . Hutchinson explique cette dilatation de la pup
ups donnés à cette place sont ceux que l'on constate fréquemment en clinique . Sur chaque figure, on voit que l'ébranlement se
ntrée demeurait intacte ; elle ne tomba que plus tard. ' Le tableau clinique que peuvent présenter les blessures du cerveau pa
poser le diagnostic du trajet de la balle, en l'inférant des signes cliniques observés, du point d'entrée du projectile et en
sang et de substance cérébrale. Mais, en s'aidant de l'observation clinique et des rayons X on peut déduire le trajet, à peu
temporal à la place où la bandelette optique en sort. Ce diagnostic clinique correspond à la situation de la cicatrice.... à
e n'est pas loin d'être lésé. Voilà qui corres- pond bien aux faits cliniques . La figure VII, PI. LUI, représente une coupe d
auche) assez semblables à la précédente,sont l'image fidèle des cas cliniques déjà cités et correspondent exactement au diagn
e bas en haut. Les résultats obtenus ne correspondent pas aux faits cliniques , cependant, on pourra constater sur la figure 1
reproduisent les photographies, faites au laboratoire du service de clinique de la Salpêtrière. 11 nous a paru intéressant d
CHVOSPEIC, Wiener klin. Wochenschrift, 2nov. 1899, n 441, p. 1086. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
ASNE. Le malade dont je rapporte ici l'observation présente un type clinique qui me paraît unique jusqu'à présent dans les a
à donner telle que je l'ai recueillie à son entrée au service de la clinique des maladies nerveuses, l'histoire de ce singulie
prendre place. Observation. C... Louis, âgé de Il ans, entre à la clinique des maladies des enfants dans le service de M.
analogies telles qu'elles peuvent contribuer à une rapide esquisse clinique et servir de base à quelques conclusions anatom
ues. Mais pour légitimer cette division et pour prouver l'existence clinique de cette deuxième catégorie, il donne un dessin s
toujours alors cette dernière. Décrire par conséquent un seul type clinique de compensation vertébrale des lésions localisé
oivent rendre fréquentes. En raison de l'insuffisance des détails cliniques , nous ne saurions les décrire avec quelque exac
3e Année N° 5. Septembre-Octobre FACULTÉ DE MÉDECINE DE BUDAPEST ( CLINIQUE DE M. LE PROFESSEUR LAUFENAUER) UN CAS DE P
AIRE SUPÉRIEURE CHRONO Par R Charles HUDOVERNIG, Assistant à la clinique des maladies du système nerveux de Budapest.
évié au dehors. C'est l'état de cet oeil qui a amené la malade à la clinique ; du reste elle jouit d'une santé excellente ; el
ons ne se manifeste- ront plus unilatéralement. LABORATOIRE DE LA CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE MOSCOU. CONT
F et F. GEIER, Privat-docent à la Faculté de médecine Médecin de la clinique psychiatrique de Moscou. de Moscou. L'anatomi
il n'y avait point de dégénérescence nette. En comparant le tableau clinique avec les données histopatholoiques, Starlinger
somme c'est un fait qui présente un certain intérêt au point de vue clinique non seulement par la localisation alterne des deu
a trente ans par Charcot est déjà riche de documents anatomiques et cliniques de tout genre. Si l'observation suivante nous a
terprétation sont intéressants à rapprocher des données de l'examen clinique . La Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière n'a
la Salpètrière, au laboratoire de photogra- phie du D' Londe, à la clinique de M. le professeur Raymond. L'examen des clich
la capsule et les ligaments. * Le rapprochement des constatations cliniques et des révélations radio- graphiques est ici fo
des Pis Brissaud et Grasset, on est en droit* au nom de l'ana- lyse clinique , de distinguer dans la symptomatologie si riche e
ens d'union, est pour nous suffisamment démontrée par l'observation clinique : ces modifications précoces sont assurément de
ppenheim, qui voient dans les arthropathies du tabès une résultante clinique de névrites périphériques dont la fréquence est s
lle, en général et dans ce cas particulier, la majo- rité des faits cliniques et anatomiques, nous ne pouvons cependant prend
terme même de son affection, parcourir différentes éta- pes que la clinique nous a appris à désigner sous le nom de période d
s molles, suivant le mode que nous avons déjà appris à connaître en clinique . Dans cette longue explication de la genèse des
s des os longs. Nous avons ainsi la raison pathogénique d'une série clinique dont nous n'avons pu faire cependant la preuve
22 décembre 1895 dans une bataille. Transporté aussitôt après à la clinique , il s'assit pendant quelques instants sur le ba
V. Ficher, Deutsche medicinische Wochenschrift, n° 52, 1898. A la clinique royale de Breslau se présenta un ouvrier de 35 an
e manière général s'était affaibli. La recherche et l'observation cliniques confirmèrent ces dires. La faiblesse de la main
sur le temporal gauche . Hémiplégie droite avec aphasie. Leçons de clinique chirurgicale, 8° sér., Paris, p. 577. ' 1888. 1
ffisant. Je dois pourtant ajouter que lorsqu'on compare les données cliniques des observations de. myélite aiguë avec l'exame
llak et Kepmner. On trouve souvent incriminés dans les observations cliniques , surtout dans la phase prébactérienne de la myé
te aiguë par le fait que la maladie, après avoir réalisé le tableau clinique de la myélite aiguë, a pris une marche subaiguë
ve de classification que nous nous sommes attachés. Au point de vue clinique , on peut les diviser en : a) paralysies isolées
on du nombre considérable de mus- cles atteints et des physionomies cliniques variées qui peuvent dépendre du degré plus ou m
n (1889), de Vossius (1892) apportent chacune quelque particularité clinique intéressante : nous signalerons surtout celles de
ment une tante d'un malade était atteinte de strabisme. Description clinique (1). Les parents qui accompagnent les jeunes ma
Schenkl, 1er et 3e cas de Gourfein). Telles sont les considérations cliniques concernant l'état de l'oeil dans 17 cas d'ophta
tique, nous nous sommes surtout attachés à faire une classification clinique . Elle peut se résumer dans la proposition suivant
is une place à part dans la pathologie, en raison de sa physionomie clinique bien spé- ciale et vraiment curieuse. UNE OBS
des faits à laquelle il s'est livré pour arriver à isoler la forme clinique du trophoe- dème chronique héréditaire. Je me c
75 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
l'existence de tumeurs adénoïdes du pharynx nasal. Dans ses [leçons cliniques . M. le professeur Charcot insiste sur la présence
re l'observation rigoureuse tics fails. Or. actuellement, les examens cliniques portant Mir plusieurs rentables d'onychophagcs no
t seulement les ongles, Les six enfants me sont amenés â la fois à la clinique de la rue Saiul-André-des-Arls. Les quatre petite
hahiliules'.' Un cas de somnambulisme. M. Charcol a montré, à sa clinique , une malade présentant un état de somnambulisme s
nce dédaigneuse que les modernistes apportent n l'étude des symptômes cliniques , devenus pour eux terre-à-terre, surannés, vieux-
hysiologique de Paris, fondé en lSî'l psiur l'étutle des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hvpnolisme
relèvent de l'hvpno-tisme el de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
i, à dix heures et demie. par M. le Dr Bérillon. sur les applications cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. M. le
e des professeurs a dressé la liste de présentation pour la chaire de clinique des maladies mentales, vacante par suite du décès
de la méthode expérimentale se relromc a chaque page dans les Eludes cliniques sur la grande hystérie. Dans In préface de ce liv
o-phvsîologiquc de Paris; fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
relèvent de l'hypno tisme et de la psveliologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
i, à dix heures et demie, par M. le Dr Bérîllon. sur h-s applications cliniques de la suggestion et de Chypnotisme, etc. M. le
sombre, lu lèvre dédaigneuse, se levait et prenait la parole dans su clinique de lu Salpétrîère dont il avait su faire le rende
tes les enceintes comme dans celles des congres saventsou celles îles cliniques étrangères, qu'il se plaisait à visiter. L'œuvr
l'Aeadémie de mède, cine en 1873. il fut nommé ru 1886 professeur de clinique des mala-dies nerveuses, chaire créée spécialemen
M. Cloquet. Charcitl laisse un hiurd bagage seieutifique. Outre ses Cliniques des maladies du système nerveux, ses travaux publ
sommeil profond des dormeurs ordinaires. J'ai vu. dans leur lit. à la clinique de ce professeur, des malades donnant de ce somme
o-phvsiologiquc de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques île l'hypnotism
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
, à dix heures et demie, par M. le Dr Bérillion, sur les applications cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Une sér
, etc. Une série de leçons commencera le 5 octobre. Ou s'inscrit à la Clinique . M. Ie Dr J.-O. Jcunîngs fera le samedi des dém
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
i relèvent de l' hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
, à dix heures et demie, par M. le Dr liérillon, sur les applications cliniques de Ut suggestion et île Chypnotîsinc, etc. Une sé
, etc. Une série de leçons commencera le 19 octobre-On s'inscrit à la Clinique . M. le D'J.-O. Jennings fem le samedi des démon
Le savant médecin de la Salpétrière a écrit un livre essentiellement clinique . C'est l'enseignement au lit du malade, fixé dans
MawroukAKis. Permettez-moi de vous présenter une malade venue à la clinique du Dr Bérillou le 15 juin, pour nous consulter po
aiment dignes de remarque. Chaque annuée. on voit se présenter à la clinique de pauvres diables misérablement vêtus; leur face
r le besoin de se déplacer, d aller de ville en ville, de rliuique en clinique , à la recherche d'un traitement inconnu, d'un rem
vous tenir nu courant des détails de l'organisation à Bruxelles d'une clinique de psycholhéraphïe. Il y a deux ans je vous ava
suggestion était solidement basée sur les faits nombreux vus â votre clinique et it celle de M. Bernheim et aussi sur beaucoup
tiera la pratique de la psychothérapie sont également assistants à la clinique . Parmi mes premiers élèves se trouve M. le Df Ver
e j'ai eu l'honneur d'être, pendant six mois, l'élève assidu de votre clinique et de vos leçons, je n'ai pas perdu mon temps.
s stéréotypés d'incrédulité, nous saurons faire reconnaître la valeur clinique «le la psychothérapie. Pour terminer cette corr
pie. Pour terminer cette correspondance, je vous rappelle que notre clinique est libéralement ouverte aux médecins qui désiren
t chargé pendant l'année 1802-93. de la suppléance et de la chaire de clinique des maladies nerveuses. M. le Dr Wogislaw Soubo
o-phvsiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
i, à dix heures et demie, par M. le Dr Bérillon, sur les applications cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Ou s'in
cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Ou s'inscrit à la Clinique . M. le DrJ.-0. Jennings fera le samedi des démo
le D' Morîcourt. ancien interne des hôpitaux de Paris, ancien chef de clinique du docteur Burq. recommencera ses conférences cli
ancien chef de clinique du docteur Burq. recommencera ses conférences cliniques sur le traitement des maladies nerveuses et du di
érapie, le dimanche 5 novembre, de neuf heures à dix heures, à sa clinique , 9. rue de Chanaleilles. et les continuera tous l
s'est éclairée des lumières de l'observation. Les enseignements de la clinique battant en brèche le merveilleux, nous ont appris
rop bon observateur pour ne pas en tirer parti. Aussi dans ses leçons cliniques il ne négligeait pas de payer lui-même son tribal
obtenir une guérison. discussion M. A. ir Jonc (de la Haye).—A ma clinique psychothérapique de la Haye, je reçois un nombre
o-physiologique de Paris, fondé eu 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée s l'Institut ps
i, à dix heures et demie, par M. le D- Bérillon, sur les applications cliniques de la suggestion et de riiypnolisme, etc. Série d
me, etc. Série de leçons commencera le 25 novembre. On s'inscrit à la Clinique . M. le Dr J.-O. Jenuîngs fera le samedi des dém
— M. Magnan a repris, dans l'Amphi-théâtre de l'admission, ses leçons cliniques , et les continuera les lundis et samedis à quatre
». Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet reprendra ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse, â l'hôpita
1 juin 1893). Arnaud (K.-L.). — I.a folie à deux, ses diverses formes cliniques (Ann. médieo- psvchol.. t. XVII, 7e série. 3. 1
ation personnelle. Ce faisant, il a eu cent fois raison, parce que la clinique lui a révélé un grand nombre de phénomènes qui to
récisément ce soin qu'a prît M. Mesnet de se maintenir sur le terrain clinique et de se mettre en garde contre toute interprétat
évélation. Cette dernière publication, au double point de vue de la clinique et de la médecine légale, fixe, et cela d'une man
ont soif de ht vérité. Comment ne serait-on pas frappé de I exposé clinique qui est donné du somnambulisme spontané, que pers
timidement s la Société de biologie le» résultats de mes expériences cliniques sur l'action des agents physiques chez les hystér
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée â l'Institut ps
i, à dix heures et demie, par M. le Dr Bèrillon. sur les applications cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Série d
me, etc. Série de leçons commencera le 25 novembre. On s'inscrit à la Clinique . M. le Dr J.-0. Jennings fera le samedi des dém
le samedi des démonstrations pratiques d'électro-physiologie. Asile clinique (Sainte-Aune). — Maladies nerveuses et mentales.
née, sur les délires systématisés dans Us diverses psychoses. Asili clinique . — Cours de cliniqur des maladies mentales et des
cine mentale en quinze leçons sera fait par M. le Dr I'actet, chef de clinique . Hôpital Saist-Astoise. — Pathologie mentale et
thologie mentale et nerveuse. — M. Gilbert Ballet a repris ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse, à l'hôpita
moderne (in-8». 36 pages. Alais. 1892). . Bourneville. — Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie. l'hystérie et
ent la prétention de discuter les opinions existantes au point de vue clinique . Ce qui me parait avoir une très grande portée
enkran-kheiten. III Baad. 2 Heft. 1872. (2) legrand du saulle Etude clinique sur ta peur des espaces. Paris. 1878. (3) Après
ables révélations, qu'il a eu grand soin de les établir sur des bases cliniques indiscutables, bases qui sont exposées avec de gr
ntre malade. Mlle Gabriclle H..., atteinte d'hvstérie. qu venait à la clinique «lepuîs déjà un mois et qu'on croyait comme réfra
t pour les faire rire. Je bu lai w la responsabilité de l'observation clinique . Plaie d'arme blanche. — Je me porterais plus v
o-physiologique de Paris, fondé en 189l pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
i relèvent de l' hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
i, à dix heures et demie, par M. le dr Bérillon, sur les applications cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Série d
me, etc. Série de leçons commencera le 25 novembre. On s'inscrit à la Clinique . M. le Dr J.-O. Jennings fera le samedi des dém
s libre de pathologie nerveuse et de psychiatrie sur les applications cliniques de Chypno-tisme, et le continuera les lundis et l
x de Munich, tome VI, par le ï)r L. Friedrich, ancien assistant de la clinique du professeur Zicmssen, de Munich. Voici les co
est basé sur vingt observations de malades traités par l'auteur â La clinique , d'après ma méthode, dit-il expressément; et me v
ette opinon l'exemple de Mlle H....qui se trouve en ce moment dans la clinique de notre savant secrétaire M. le Dr Bérillon : ay
t observés, mais encore sont expliqués par les expériences physiques, cliniques ou autres. Ceux qui nous restent à étudier son co
Paris, le client s'en alla consulter un antre médecin ancien chef de clinique de Bouillaud, qui se crut obligé de Invertir qu'i
» allé cher, le II' V... pareeque je savais qn'il a été cotre ehel de clinique ¦ Bouillaud lui répondit en sonrianl : • Calignla
-physiologiquc île Paris, fonde en 1891 pour l'élude des applications cliniques , médico-légales cl psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l hypnotisme el de In psychologie physìologiquc. une clinique de maladies nerveuses est annexée à I Institut ps
n de lu consultation des maladies nerveuses. L'installation de sa clinique est très confortable. M, le professeur Morselli y
s libre de pathologie nerveuse es de psychiatrie sur les applications cliniques de l'hypno-tisme, et le continuera les lundis et
de Paris — M. Itayiunnd vient d'être nommé professeur à. la chaire de Clinique des maladies du système nerveux en remplacement d
t célèbres et qui devaient ouvrir la voie à de nouvelles applications cliniques : chacun se rappelle les belles expériences sur l
vec une logique troublante, à l'asile d'aliénés ou tout au moins à la clinique de psychiatrie. Est-ce à dire que toutes les affi
nces que dans les familles térntologiques ou pathologiques. Des faits cliniques cl expérimentaux semblent indiquer que l'on peut,
hophysiologique de Paris, fonda en 1891 pour l'étude des applications clinique *, médico-légales et psychologiques de l'hypnotism
ui relèvent de l'hypnotisme et do la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée â l'Institut ps
a Salpêtriére. — Le Docteur Auguste Voisin, reprendra ses conférences cliniques sur les maladies et les affections nerveuses, le
'été et surtout pendant les temps sombres et pluvieux. Elle vint a la clinique , le 15 août 1893; une amélioration évidente se ma
l n'a pas eu une crise épileptique. La troisième fois qu'il vînt a la clinique de M. le D' Bérillon, une de nos malades a eu une
tives inlructucuscs d'extraction, vint, au bout de douze heures, à la clinique ; on lui tit immédiatement l'œsophagotomie extern
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude dc« applications cliniques . médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et do la psychologie psysiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
a Salpetriére. - Le docteur Auguste Voisin a repris ses conférences cliniques sur les maladies et les affections nerveuses , le
s .Ma même heure quelques leçons seront consacrées aux applications cliniques a l'hypnotisme. Académie des sciences. — l'Acad
76 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ies. 1886 Vol. XI. Janvier 1885. N" 31 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES MANIFESTATIONS \IF11NGITIQUES ET C
ure infectieuse. Cette opinion s'impose, au point de vue purement clinique , par le seul fait des allures mobiles de la ma-
s oreillons va se localiser sur les séreuses Archives, t. XI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. articulaires ou cardiaques, chez tel
onguement sur ces faits en raison des indécisions de la description clinique et de l'absence de constations anatomo-patholog
compliqués d'accidents cérébraux (Bull. de Thérap., mai, É884). 4 CLINIQUE NERVEUSE. Behr rapporte le fait d'un homme qui,
e- ment après une nuit tranquille et un sommeil profond. La leçon clinique de Trousseau', si remarquable et si souvent cit
, t. XXI, 1856, p. 29n. à Trousseau. - Arch. géit. de méd., 1854 et Clinique de l'Hdtel-Diezi, 1, p. 252, 5e édition. MANI
se de Paris, 1875, Laveran. Art. Oreillons in dict. Decliambre. 6 CLINIQUE NERVEUSE. trop longue pour le lecteur et qu'on
é- 1 Janson-Zuède. Ann. de la Soc. méd.-ch. de Liège, mai 1884. 8 CLINIQUE NERVEUSE. vulsifs, etc.), les accidents s'amend
. Le corps est dans la résolution, mais on constate facilement 10 CLINIQUE NERVEUSE. une paralysie absolue du mouvement da
mot de métastase, qui suffisait aux anciens auteurs, n'est en 12 CLINIQUE NERVEUSE. somme qu'une étiquette qui ne peut no
rieur de a circonvolution frontale ascendante droite et n'a 14 le CLINIQUE NERVEUSE. entraîné qu'une hémiplégie faciale ga
ET PARALYSIE OCULAIRE A RETOUR PÉRIODIQUE, CONSTITUANT UN SYNDROME CLINIQUE SPÉCIAL; Par II. PARINAUD et P. MARIE. L'affe
le professeur Charcot que nous avons eu l'occasion de voir et 16 CLINIQUE NERVEUSE. d'étudier la malade dont nous publion
ux symptômes, la névralgie et la paralysie AIHI3,.t, XI. 2 t8 : . CLINIQUE NERVEUSE. des'muscles de l'oeil ; ou verra que,
4m : alen. Nous n'avons pas eu ce recueil à notre disposition. 20 CLINIQUE NERVEUSE. interné et inférieur, immobilité pupi
ischer Oculomotorius-Lcthmung. Berl. Klin. Woch., 1885, no 40. 22 CLINIQUE NERVEUSE. ' - L'emploi du courant constant aura
nous semble peu probable étant donné l'âge de la malade. ' . , 24 CLINIQUE NERVEUSE. celles-ci (1 ou fois par an, tous les
tosis, se reis ? Wiener Med. lvoclieîischr., 25 avril. 1885. 26 - CLINIQUE NERVEUSE. montrèrent de la mydriase, l'absence
re et - chez lequel une double névrite optique, de la céphalée 28 CLINIQUE NERVEUSE. avec vomissements et d'autres symptôm
examinée. Réflexions. Nous nous bornerons, rapprochant des faits cliniques les altérations cadavériques, aux remarques sui-
s frontales, nous en avons observé : 1 G. Le Blat. Rech. anatom. et cliniques sur le faisceau sensitif. DES ZONES cérébrales
l'exagération de ce réflexe, qui accompagne d'ordinaire le syndrome clinique des para- 1 Voy. les travaux de Pitres, Issarti
aire, quelques remarques nous paraissent utiles sur la traduc- tion clinique des faits anatomiques. L'apoplexie d'emblée est
pathogénique- ment l'urémie ? Est-ce autre chose qu'une expression clinique ? Abstraction faite de toutes les théories, don
nature dont nous avons formé notre première catégorie. II. FORMES CLINIQUES DU COMA DIABÉTIQUE I. Coma diabétique simple ou
mis d'en faire des formes distinctes. La constitution de variétés cliniques , au point de vue de la marche des accidents, es
sych., XV, 2.) Deux observations très intéressantes au point de vue clinique , avec discussion analytique, critique, et diagn
n accompagnée - à' autopsie et d'analyse histolo- gique. Caractères cliniques . Marche ascendante de la paraly- sie ; troubles
spéciale aussi bien au point de vue anatomique qu'au point de vue clinique dans son étiologie, ses symptômes, son évolution.
liques, la sclérose multiloculaire, la névrose de Weatphal (tableau clinique de la dégénéres- cence grise cérébro-spinale sa
orielle dans les affections qui évoluent en pré- sentant le tableau clinique d'une affection en foyer cérébro-spinale multil
t d'ordinaire qu'un rôle secondaire. M. 11dI3LB.UM. Sur une forme clinique de la folie morale. L'hébéphrénie de l'auteur r
des violences de leurs gardiens. Par conséquent, au point de vue clinique comme au point de vue histologique, rien ne dém
cherait comme variétés les autres formes morbides que l'observation clinique ne révèle. En conséquence, M. Lefebvre proposai
ngrès, en présence des faits d'ordre anatomique, phy- siologique et clinique , qui démontrent l'utilité de recherches à faire
Enfin une proposition de M. l3r.nemhn, tendantà l'établissement de cliniques criminalistes dans les prisons pour servir à l'éd
N" 32. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE CONSIDÉRATIONS CLINIQUES A PROPOS D'UN CAS D'ALIÉNA- TION MENTALE INTIME
al. D'abord plus généralisé, ainsi que l'indique la physio- nomie clinique de l'aliénation mentale, il se localise davanta
par l'oreille externe, revêtant ainsi, ce me semble, la modalité clinique d'un abcès sous-piriostfque de la région tempor
e perversions sensorielles que, m'appuyant sur la physiologie et la clinique , j'ai dési- gnées ailleurs ' sous le nom d'illu
nt de l'aliénation mentale; en présence de l'absence d'observations cliniques , suffisamment précises, démontrant la tendance
que les méningites catar- rhales sont connues et que l'observation clinique affirme leur existence; il y a longtemps que St
ou SCLÉROSE POSTËRO-LATËRALE DE LA MOELLE (CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DES MYÉLITES MIXTES) ; Par le professeur GRASSE
ions sont complexes, et sur les modifications qu'apporte au tableau clinique habituel des lésions simples la combinaison de
. DU TARES COMBINÉ. 157 groupes on a caractérisé les grands types cliniques , comme l'ataxie locomotrice progressive, la scl
cher de les grouper entre eux et de constituer ainsi quelques types cliniques nouveaux. Ce travail ne peut qu'être utile s'il
t avec pru- dence et basé sur les seules données de l'observation clinique . L'heure nous paraît venue de commencer cette é
s séparer de l'Ecole française, pour admettre l'existence d'un type clinique bien défini, distinct des autres myélites, que
eut pas confondre avec la masse des lésions diffuses; c'est ce type clinique que nous proposons d'appeler tabès combiné. D'a
fin la nécessité de mieux étudier ces faits, au double point de vue clinique et anatomique. Dans son livre' paru bientôt apr
onomie propre du tabes se dégageait de plus en plus dans le tableau clinique . » A la même époque cependant, Raymond' publie
induisent de la non- systématisation des lésions à la non-existence clinique du type morbide, et ils dissocient et éparpille
. C'est du reste un travail beaucoup plus ana- tomopaihotogique que clinique , mais qui marque une étape importante dans l'hi
étudiés au point de vue anatomo-pathologique, qu'au point de vue clinique . Presque tous les mémoires cités dans notre His
TOLOGIE. Pour donner immédiatement une idée d'ensemble du tableau clinique du tabes combiné, je vais d'abord résumer l'his
ies. Après cette courte introduction, je passe aux considérations cliniques et pathologiques de mon travail, qui s'appuient s
lle peut, avec quelques améliorations, ser- vir pour l'enseignement clinique . (Ce diagramme fut montré à la Société le jour
autres. En ce qui concerne les théories purement hypothétiques nu cliniques touchant le trajet des fibres optiques, la plus
stre maître n'a pas été confirmée parles résultats de l'observation clinique et de l'examen anatomo-pathologique. Je ne conn
tout au moins, n'est en opposition avec aucun fait physiologique ou clinique . L'analyse d'un pareil mémoire n'est guère poss
s usages thcrapeuliques ; 2- édit., Paris, 1875. 2 Petrovitz. Elude clinique du bromure de camphre ; thèse de Mont- pellier,
malade ; par J. Donath (Arch. f. Psych., XV, 3). Travail fait à la clinique des maladies nerveuses de la Charité de Berlin.
de la discussion.) M. Cotard rend hommage à la vérité des tableaux cliniques présentés par MM. Falret etMagnan; mais il crit
mner les subdivisions à l'infini, qui sont en contradiction avec la clinique , mais il importe aussi de ne pas créer de group
thode chi- noise combinée à la balnéothérapie et au massage. A la clinique de l'université (Daigaku) de Tôkiô, il n'existe,
lement les malades dans une chambre à part, afin deles exhiber à la clinique . Au reste, on projette d'effectuer, surtout dan
te; l'auteur n'en a observé que deux cas, en près de deux ans, à la clinique du professeur Belz; il s'agissait, dans ces deu
es phases de la maladie ou pour chacune de ces phases, quand l'état clinique variait. La conclusion est que, à l'exception d
urgicalement au niveau de la dépression. Ren- seignements pris à la clinique de Francfort. Douleurs occipitales continues ex
bes. (En allemand.) Il existe des guérisons complètes (dans le sens clinique du mot) de cette maladie; mais on ne saurait en
éfinition de ces termes. C'est à l'expérimentation rapprochée de la clinique qu'il appartient de faire cesser le vague, de bie
tués par l'atrophie et l'hypertrophie faciales unilatérales, formes cliniques pures, à rapprocher des mêmes accidents portant
d'une bande adjacente à la périphérie postérieure. Au point de vue clinique , dans trois observations, on constate de l'héré
pandus sur toute l'écorce; on peut, malgré la netteté des symptômes cliniques , trouver des cellules nerveuses complètement in
ophie des nerfs optiques avee du tabès . L'association du complexus clinique en question et du tabès est du reste sujette à
, tantôt les troubles de la parole. Forel a, sur cette constatation clinique , basé sa division de la paralysie générale en t
atoires. Durée totale de la maladie : neuf mois environ. Diagnostic clinique . Lésion des cordons postérieurs consécutive à l
laiterie. Dépenses : 200,000 marks (2o0,000 fr.). Royaume de Saxe. Clinique psychiatrique de Leip : ;ig. On t'agrandit par
partageront l'hospitalisation des aliénés. 2° La construction d'une clinique psychiatrique à l'Université de Fribourg. On y
és passent parle Bureau d'admission des asiles, annexe de l'asile Clinique (Sainte-Anne). Voici quel a été le mouvement de l
ure peuvent être produites par la diphthérie. Toutefois la marche clinique des accidents observés chez le malade offre une
'IITP\0'l'IS111.; Par le Dr Euxest JENDKASSIK Assistant de la lr0 clinique médicale de Buda-Pest - Si on compare les expér
SCLÉROSE POSTÉRO-LATÉRALE DE LA MOELLE 1 (contribution A l'étude clinique DES myélites mixtes); Par le professeur GRASSET
oires de malades ne peuvent que donner une idée générale du tableau clinique du tabes com- biné. Mais elles ne peuvent pas s
intéressante faite par Kahler et Pick, mais sans aucune observation clinique . Nous pouvons donc dire, en somme, que dans tou
ique. Voilà donc un premier élément établi pour la cons- titution clinique du type « tabes combiné » ; c'est l'élément « t
symptôme du tabes spasmo- dique. On peut donc dire, déjà de par la clinique , que ces cas appartiennent à un type spécial, q
e la prévenue devait être aussi nettement établie. Les recherches cliniques ont été plus spécialement dirigées par M. le pr
e qu'elles reproduisent tous les points importants de l'observation clinique . La congestion cérébrale idiopathique, terminée
nce de liquide sous-arachnoidien) concordaient avec les symptômes cliniques , et pourraient être considérés comme favorables à
aiguë, il convient de distraire un groupe qui constitue une entité clinique et pathologique bien définie. 2° Ce groupe est
lusions qu'elles paraissent comporter. R. M. C. XXI. Observations cliniques sur LE sang des aliénés ; par S. Ru- THERFORD A
omorphine dans certains troubles nerveux; parle Dl E. Weil, chef de clinique médicale (Lyozz 7nétl., 1884, t. XLYII.) Il res
uences qu'elle comporte nécessaire- ment. P. CHASLIN. III. Etudes cliniques sur la grande hystérie ou hysléro-épilepsie ; par
celte question si neuve et si importante. Charpentier. IV. Etude clinique sur les aliénés héréditaires. (Thèse de doctorat)
mortuum destiné à recueillir tous les faits inclassables. En bonne clinique , quand on est en présence de faits qu'on ne peu
subir la contagion du sui- cide. Ca. 1 . VI. Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques; par le Dr J. Babins
il d'apporter de nouveaux documents pour l'histoire anato- mique et clinique de cette affection. La première partie de cette
méthode de M. Weigert. Dans la deuxième partie consacrée à ['étude clinique , l'auteur, après avoir résumé brièvement l'état
sont toujours secondaires. Elles se présentent avec des caractères cliniques assez variables ; tantôt, comme dans la forme c
o-<a&M/'par LEVAL-PICQUECHEF. (Thèse de Paris, 1885.) Études cliniques et physiologiques sur les muscles ; par Gilles DE
le professeur Trousseau dont il publia presque toutes les leçons cliniques . Il fut l'un des fondateurs de la Société de méde
e, 1875; Etudes mé- dico-légales sur les épileptiques, 1877; -Etude clinique sur la peur des espaces (agoraphobie), 1878; Si
s. Paris, 1896. Librairie J.-B. Bailhère et lits. SAuny (H.). Etude clinique sur la folie héréditaire (Les dégénérés). Broch
100. Hypnotisme (de l'), par Jendrassik, 358. Hystérie (études cliniques sur la grande), par Richer, 152. Hystérie et
algie et paralysie - à retour périodique, constituant un syndrome clinique spécial, par Yarinautl et Marie, 15. Oreillon
par Souza Leite, 216. Sclérose en plaques (étude anato- mique et clinique sur la), par Babinsky, 455. Sclérose latérale
77 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des Écoles. 1883 Vol. V. Janvier 1883. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SPASME MUSCULAIRE AU DÉBUT DES MOUVEME
-e jour non décrit en France) ; -> Par Gilbert BALLET, chef de clinique de la Famille, cL Pierre MARIE, interne des hôp
tudier chez uu étranger qui eu est atteint, A)H.HI\'HS, l. V. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. probablement depuis son enfance, et q
d'abord saisie de raideur en flexion, puis quand cette raideur 4 CLINIQUE NERVEUSE. a cessé, c'est la jambe droite qui à
de celle obtenue comparativement chez un individu sain avec les 8 CLINIQUE NERVEUSE. mêmes appareils. Nous avons alors a
de deux minutes et cette fois le spasme ne s'est plus montré. 10 CLINIQUE NERVEUSE. Dans le tracé que nous venons d'analy
ns trouvé un certain nombre do renseigne- ments bibliographiques et cliniques qu'il nous a paru utile de rapprocher du fait q
e mettaient a fonctionner convenablement. Leyden, dans ses Leçons cliniques sur les maladies de la moelle, (trad. franc., p
la peau on amenait des contractions musculaires toniques ; de 12 CLINIQUE NERVEUSE. môme avec les excitations mécaniques
ole n'est nullement embarrassée. Etat psychique normal. Les 1 Il. CLINIQUE NERVEUSE. Muscles- des extrémités inférieures s
rait à l'âge de sept ans, le père est très affirmatif sur ce i (i CLINIQUE NERVEUSE. point; elle serait survenue après une
t telle qu'il est facile, dès aujourd'hui, d'en tracer le tableau clinique . Et tout d'abord, au point de vue de étiologie,
ui n'est pas prévenu sur ce sujet, puisque son observation est 20 CLINIQUE NERVEUSE. une des premières sinon la première c
, dans l'obser- vation de Thomsen, nous voyons que deux de ses 22 CLINIQUE NERVEUSE. ' oncles, qui présentaient les raideu
a qua- lification de paralysie spinale spasmodique hypertro- 2 1. CLINIQUE NERVEUSE. Me que propose Seeligmùller, car elle
ussi, nous avons cherché à faire dans ces quel- ques pages. ÉTUDE CLINIQUE DU VERTIGE DE : 1(I : NII : RE D1\S SES RAPPORT
ronde; car cette tension exagérée de tout l'appareil amène une 26 CLINIQUE NERVEUSE.. diminution brusque d'intensité du so
te du mouve- ment d'avaler, tantôt après un éternuement, ou un 28 CLINIQUE NERVEUSE. accès de toux; tantôt après un bâille
truction des trompes ; scélérose auriculaire ; montre entendue 30 CLINIQUE NERVEUSE. à gauche collée au méat, et non perçu
; épreuve des pressions à gauche, au premier coup, extinction 32 CLINIQUE NERVEUSE. nette du son du diapason posé sur le
bilité excessive au bruit et le vertige sont Archives, t. V. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE. facilement associés et dus à une lési
; mais douleur frontale vive. Voilà cinq jours que cela dure. 36 CLINIQUE NERVEUSE. L'audition de la montre est excellent
ions du son qu'elles produisent, ont suivi les phases diverses 38 CLINIQUE NERVEUSE. de l'affection, et des états organiqu
de vertige spontané. (il suivre.) PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FOLIE AVEC CONSCIENCE'; Par le D' E. MAR
que je n'ai pas à approfondir dans ces recherches exclusive- ment cliniques . Les délires sont généralement divisés en délir
intenir avec une lésion isolée de l'intellect. Il est toutefois, en clinique , un fait avéré, c'est la prédominance des délir
ues fruste; par C. Bouicli, interne des hôpitaux. Le hasard de la clinique amena à l'hospice de Bicetrc, dans les salles d
rfois faire défaut. -Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le tableau clinique se trouve, dans certains cas, réduit, à peu de
es à type classique, qu'appuyé aussi sur l'ensemble de l'appa- reil clinique qu'on avait en présence, on porta le diagnostic :
par l'autopsie. C'est une malade qui a été présentée dans sa leçon clinique du 23 dé- cembre 1877. Voici en résumé son hist
ablir l'existence d'une sclérose multiloculaire, dont la traduction clinique a pris le masque des formes appelées frustes par
Lateau ou la stigmatisée belge, Paris, 1875, et dans les Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'hystérie et l'épilep- s
nts et ses frèresetsoeurss'occupentounon d'elle; tel est le tableau clinique de cette enfant de un an à cinq ans environ. Il
t et limitée au cer- veau ; elle démontra la réalité des assertions cliniques , du moins en ce qui concerne l'examen macroscop
mais bien une sensation odorante phosphorée; même constata- tion clinique quand l'anesthésie du trijumeau permet l'appli-
ophie des éléments nerveux) témoigneraient que, dès la régression clinique , il ne s'est point effectué de nouvelle destructi
lontairement à ne pas tuer sa mère. Tel est, en raccourci le fait clinique et médico-légal qui me préoccupe en ce moment.
essoires, qu'on parvient à cons- tituer devant le juré une histoire clinique où tout s'enchaîne. Dans ces conditions le jury
ire du mot, il y a eu des obsessions qui ont bien aussi leur valeur clinique . M. Falret. Au point de vue scientifique, nous
tribués par Stark à la suppression des accès d'épi- lepsie. Étude clinique sur la myélite arsenicale, par AI. Seguin. Ce tra
E. imp. 183. Vol. V. Mars 1883. N" 14. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
tions, elle peut intéresser encore le cor- Archives, t. V. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE. don nerveux dans son trajet intra-cér
e nécessité, la pathologie le confirme, en nous montrant des formes cliniques qui répondent à la lésion de ces centres de coo
et montrent tout ce qu'il y a à faire dans cette voie et combien la clinique , l'anatomie et la physiologie sont appelées à b
VEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 147 ces travaux a été dans l'observation clinique . En 1858, la paralysie conjuguée latérale a été
é observée que sur le chat; mais elle rend si bien compte des faits cliniques , qu'il n'est point douteux qu'elle soit la même
ologie, 28 juin 1879) a signalé un nouveau filet nerveux, qui 148 CLINIQUE NERVEUSE. du noyau de la sixième paire va se re
ret, de Hitzig, Ferrier, Munck, ainsi que par les obser- vations cliniques de Landouzy et Grasset; mais on ne sait rien de
bien connus, on distinguera plus facilement les formes atté- 150 CLINIQUE NERVEUSE. nuées ou plus complexes. Le diagnosti
c) Mouvements de convergence ; . c Mouvements de divergence. 152 CLINIQUE NERVEUSE. A. Mouvements parallèles horizontaux.
nt moins prononcés à droite, et que la contraction des muscles 15le CLINIQUE NERVEUSE. s'accompagne de tressaillements qui n
cinquante-quatre ans. Service de M. Raymond (hospice d'Ivry). 156 CLINIQUE NERVEUSE. Symptômes oculaires. Impossibilité de
t paralysé, par exemple, lorsque l'on fait regarder à gauche, 158 CLINIQUE NERVEUSE. l'oeil droit sain se dévie brusquemen
pas cinquante-deux ou cinquante-quatre à la minute. Il existe 160 CLINIQUE NERVEUSE. un peu d'albumine dans les urines; pa
gauche, qui s'est reproduit plusieurs fois Archives, t. V. 11 162 CLINIQUE NERVEUSE. depuis huit jours et a laissé un cert
nt in- tellectuel et à l'impotence fonctionnelle des muscles. 164 CLINIQUE NERVEUSE. L'ophthalmoscope révèle l'existence d
te ans (Service de M. CHARCOT., salle Duchenne, de Boulogne). 166 CLINIQUE NERVEUSE. Symptômes oculaires. Diplopie pendant
et s'accompagnent de quelques saccades ; mais leur amplitude 168 CLINIQUE NERVEUSE. est normale dans toutes les direction
en que l'erreur soit probablement fréquente. Je l'ai moi-même 170 CLINIQUE NERVEUSE. commise, ainsi que j'ai pu m'en conva
ine l'existence d'un nerf spécial dit aer'de l'espace, annexé 172 CLINIQUE NERVEUSE. au nerf auditif, dont la lésion produ
és dans leurs rapports, de manière à produire du strabisme. ÉTUDE CLINIQUE DU VERTIGE DE \II : NIIaiI : D 1\S SES RAPPORTS
oir les Archives de Neurologie, no 12, p. 273, et 13, 1). 24. 17'l- CLINIQUE NERVEUSE. sans que le reste de la chaîne des os
pendant lesquelles le vertige ne la quitte pas. Chose curieuse, 176 CLINIQUE NERVEUSE. elle a remarqué qu'au plus fort de sa
qui perçoit l'extinction brusque du son ARCHIVES, t. V. 12 ) 178 CLINIQUE NERVEUSE. crânien tandis que l'observateur cons
le méat auditif causait immédiatement l'extinction de l'audi- 180 Clinique nerveuse. tion du son du diapason frontal, et a
t incapable de faire un pas; assourdi par le bourdonnement en 182 CLINIQUE NERVEUSE. jet de vapeur. S'il bouge, il se sent
é artificiellement vingt-deux fois sur ces cinquante-trois 184 le CLINIQUE NERVEUSE. malades. Sur les trente et un cas, où
t l'action des pressions centripètes ont pu être enregistrés. 186 CLINIQUE NERVEUSE. On doit conclure, malgré l'énorme dif
liquide sanguin à l'état sain, se trouve dans l'impossibilité 188 CLINIQUE NERVEUSE. de se prêter à en recevoir un surcroî
es de certains vertiges. Aux congestifs, j'ai donné avec suc- 190 CLINIQUE NERVEUSE. ces la médication émétique; à la plup
e, Leloir, etc., ont révélé plusieurs particularités anatomiques et cliniques du plus haut intérêt. Mais il est évident qu'il
est évident qu'il reste encore beaucoup à faire. Les hasards de la clinique nous ayant permis de recueillir dans le courant
ts volontaires du côté droit. Le 25 il semble sortir Renseignements cliniques communiqués par M. Doche, interne du service.
ptions de zona de siège et d'âge diffé- rents, mais sur l'évolution clinique desquelles nous ne possé- dons aucun renseignem
n appréciable. En résumé, sur le cadavre d'un sujet dont l'histoire clinique 218 pathologie nerveuse. J0 nous est malheu
leix, Calmeil, Hasse, Cliristian, etc.). Au point de vue purement clinique , il s'agit évidemment ici d'une méningite tuber
ère très 'Voir les Archives de Neurologie, n" 13, p. 66. 2 Etudes cliniques sur l'hystéro-épilepsie, p. 212. ' D L'tII3TGIt
delà Salpêtrière de MM. Bourneville et Regnard ou dans mes Etudes cliniques sur V hystéro-épilepsie. L'intérêt capital que pr
préciation d'hommes fort honorables, du reste, mais incompétents en clinique médicale ? M. Motet. Je ne me plaindrai jamais
z by \V. S. Plavfaiii. London, 1883. Recherches expérimentales et cliniques sur les atrophies des membres dans les affectio
cal ; par 6 ERIG UD. Thèse de Paris, 1882. Contribution à l'étude clinique des tumeurs de la région temporale; par Bottez.
rtaines maladies mentales ; par Rabec Thèse de Paris, 1881. Etude clinique et physiologique de l'opportunité de contracture
conseil d'admi- nistration. Nominations. M. le Dr Vallon chef de clinique de la chaire des maladies mentales à la Faculté
ésions du lobule paracentral.) Par le. D' Gilbert BALLET, Chef de clinique à la Faculté de médecine. Lors de la publicatio
frontales et pariétales ascendantes. 11 n'est pas très fréquent en clinique d'observer des monoplégies des membres inférieu
illie, l'année 'r lt ') 1 ' 1 1 t 4 à 1 Recherches analomiques et cliniques sur le faisceau sensilif et les troubles de la
l'étendue du lobt'ile paî,ace2 ? li,al; lrar\1VI. E. 13.mc, chef de clinique de lafarulté et Du Castel, chef des travaux ana
ert Th...., âgé de vingt-sept ans,'conducteur d'omnibus, entre à la clinique médicale de l'hôpital Nccker, salle Saint-Luc,
i Gèsundheilsdienst im Fcldzug gegen Daite- mark, 186-j. 2 Eludes cliniques sur les localisations corticales. Thèse de Paris,
u, - ! it-]il')fjot p;h ii/i ? i0o(|Jol. )t)')[t ! ' renseignements cliniques fournis par M. Priolcau, interne du service. DE
J'. t lit .<»,....' /i.- .i ? - 1 i, ' ..n n ." ''.'...,« ? ,,n, cliniques suivants. Les accès exerceraient par leur répétit
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -3jl sympathique après lésion cérébrale clinique (Nothnagel in Vir- claow's Archiv, t. LXVIII) e
·t I· ? , ! L : t 1 . m· ,il 1, r Une malade, observée par lui a la clinique de nI. le professeur Panas et bien/connue des n
es. Exagération des réflexes tendineux, delà 'T... a été revue à la clinique du professeur Panas, qui a pu, le 20 novembre 1
oeur, des reins, du cerveau), exigent la lecture des considérations cliniques par lesquelles l'auteur rattache la série des a
lète de paralysie générale ayant en oliti e 1)1'éSelzté 1c syndrome clinique de la paralysie spinale spasmodique, sans que l
racines a subi la destruction. » Quoi qu'il en soit des phénomènes cliniques , la 'lésion des cordons postérieurs,' palpable,
ines, utéro-ovariennes, nova- riennes ou tubaires, sans que l'étude clinique , défaits consciencieu- sement analysés lui aiti
entrerJ'dâns flesl détails1 nous'' résumerons les particularités : cliniques que`J111 ? Krafft=1 ! Jbinbâr relevées.dans l'e
'd'une'coïncidence fortuite. M. Westphal fait remarquer les allures cliniques des symptômes; c'est bien là du » ' . ' . / 1
s de psychopathie succédant aux blessures de la lêle. L'observation clinique permet seule d'établir des groupes. M. Furstner
ns dans l'écorce des reins (dépôts blancs et granulations). L'étude clinique avait permis de noter une insuffisance intellec-
fièvre hectique, coma. Mort le 26. C'est alors, sans que l'examen clinique ait pu le faire prévoir, que l'autopsie démontre
ations intellectuelles de l'hystérie, de la folie hystérique, de la clinique médico-légale de cet état morbide, et de son diag
de M. Legrand du Saulle sur la res- ponsabilité des hystériques. En clinique , trois degrés d'hystérie : hystérie légère, hys
'ouvrage que nous venons d'essayer d'analyser. Cn.uo'ETOEn. Étude clinique sur le tremblement sénile ; par CIL-L-l. 'fllnr.l
s sujets dont l'autopsie n'est pas rapportée. Charpentier. Traité clinique de la folie à double forme (folie circulaire, dél
, qui d'ailleurs n'a guère pu encore être étudiée. Cil. F. Leçons cliniques sur l'Épilepsie; par SI. V. Magnan, recueillies e
grès médical. Ces leçons, au nombre de six, contiennent un exposé clinique très complet de l'épilepsie; mais elles sont pl
coursde ce travail contribuent à lui donner un caractère éminemment clinique et rendent sa lecture des plus attachantes. DE'
décédé le 20 mars 1883, à l'âge de soixante-sept ans. Professeur de clinique médicale à la Faculté et médecin en chef del'infi
rir à l'âge de soixante et un ans. SI. le Ur Arthaud, professeur de clinique des maladies men- tales à la Faculté de médecin
liardt, 370; - et mala- dies de l'estomac, 398. Epilepsie (leçons cliniques sur l'), par Slagnan, 415. Epileptiques (soll
crose des canaux semi-circulaires, 239. Vertige de Meniere (étude clinique du) dans ses rapports avec les lésions des fe
78 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
se influence des étu-des anatomo-pathologiques sur les affaires de la clinique se fait le mieux sentir. C'est, en effet, sur le
omie normale, la physiologie expérimentale et enfin par l'observation clinique appuyée sur l'examen métho-dique et minutieux des
rechercher en se fondant, non plus sur l'expérimentation, mais sur la clinique et sur l'anatomie pathologique, l'existence dans
ébraux. — Lobule para-central. — Circonvolutions ascendantes. — Faits cliniques et expérimentaux relatifs au développement des ce
dans les maladies chez l'homme. — Nécessité d'une bonne observa-tion clinique et d'une autopsie régulière. Histoire naturelle
onditions fondamentales sont les suivantes : Io une bonne observation clinique recueil-lie, autant que possible, à la lumière de
emiers pas par l'expéri-mentation chez les animaux et éclairée par la clinique , l'ana-tomie pathologique est parvenue chez l'hom
s symptomatiques ou syndromes qui leur ont fait prendre place dans la clinique , et ainsi ont été constituées, dans la pathologie
nce des lésions vasculaires, ne le cèdent en rien par leur importance clinique , à ceux qui surviennent dans les parties superfic
u'il en soit, les seules localisations de ce genre, acces-sibles à la clinique , sont ici encore, comme pour le cas du ramollisse
viens de signaler à votre attention se rencontre fréquemment dans la clinique de l'hémorrhagie intra-cérébrale ; elle crée, vou
ie pure. C. Le moment est donc venu de faire intervenir les preuves cliniques et anatomo-pathologiques. Aujourd'hui, les argu-m
nkheiten, 2° As ft. Stuttgart, 1875. (3) R. Veyssière. — Recherches cliniques et expérimentales sur l'hémia-nesihésie de cause
it défaut. Cesdonnées,fournies , par l'anatomie patholo-' gique et la clinique , offrent incontestable-ment par elles-mêmes ; et
roposition non-seulement sur des faits d'a-natomie pathologique et de clinique , mais encore sur des faits d'expérimentation. J'a
Permettez-moi tout d'abord de résumer en quelques mots les caractères cliniques de cette espèce d'hémianesthésie que je vous ai p
lace. Vous savez comment l'existence, tantde fois constatée dans ta clinique , de ce singulier phénomène, a depuis longtemps su
eur trajet profond, intra-cérébral (en L 0 G, L 0 D) ? A mon sens, la clinique et l'anatomie pathologique contredisent cette ass
forme très simple les faits assez complexes révélés par l'observation clinique . ONZIÈME LEÇON Origine des parties cérébrales
ière, dans l'épaisseur des lobes occipitaux et sphénoïdaux. Les faits cliniques conduisent à supposer qu'il s'y mêle aussi des fi
tuel des choses, je ne vois pas commentées cas divers, révélés par la clinique , peuvent être anatomique-ment expliqués dans l'hy
fois, qu'elle s'adapte assez bien aux faits relevés par l'observation clinique chez l'homme; j'ajouterai qu'elle n'est en rien c
leurs, donne des résultats conformes à ceux fournis par l'observation clinique , en mon-trant que les excitations partielles du n
atérale. Cette assimilation peut être poursuivie sur le terrain de la clinique . On sait, en effet, que l'impuis-sance motrice, u
er fut, par les recherches de MM. Bourdon et Luys, rap-portée au type clinique . Mais quelques auteurs pensaient en-core que l'af
onnelle. Pour éclairer la question, c'est ici le lieu d'interroger la clinique . L'obser- (1) Intervention de l'acide osmique.
e pathologique, c'est, mettant à profit les données de l'ob-servation clinique et s'éclairant des données expérimentales, établi
core l'anatomie pathologique mise au service de la nosologie et de la clinique , appliquée, en un mot, à la solution de tous les
e anatomique normale, mise eu relief par l'anatomie patholo gique, la clinique et l'anatomie de développement. Recherches de P
hysiologiquement, ces mêmes régions que l'anatomie pathologique et la clinique ont déjà mises en relief. Cette démonstration,
l'anatomie pathologique pure ; il s'y rattache un en-semble de faits cliniques qui les rendent dignes de toute l'at-tention des
autonomie réelle, et il s'y rattache quelque-fois toute une histoire clinique qui se surajoute à l'histoire de la maladie origi
pliquées que nous avons jusqu'ici pour-suivies. C'est donc l'aspect clinique des dégénérations secondaires que nous allons mai
herches expérimentales. Nous pouvons maintenant aborder avec fruit la clinique des dégônérations secondaires, ONZIÈME LEÇON
ose d'envisager aujourd'hui les dégénérations secondaires par le côté clinique . Autrement dit, je vais essa-yer de vous présente
ncore le clonus du pied. Mais c'est là un signe qui appartient à la clinique française. Dès 1863, ainsi qu'en témoignent des o
EÇON De la contracture tardive des hémiplégiques et de ses variétés cliniques . Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent
rdre réflexe ; c'est un réflexe spinal, et déjà quelques observations cliniques permettraient de le prévoir. Ainsi, M. Erb a fait
précieuses que peut fournir au point de vue même de l'interprétation clinique , l'analyse graphique de ces contractions musculai
EÇON De la contracture tardive des hémiplégiques et de ses variétés cliniques . Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent
tance grise par deux sys-tèmes diastaltiques distincts. L'observation clinique démon-tre, en effet, que si ces deux modes d'acti
ons de ces cellules. — Elles sont de nature irritative. -- Phénomènes cliniques : actes réflexes. — Théo-ries relatives à la path
ellerai après cela comment, me fondant sur des considérations d'ordre clinique , j'ai été amené à vous faire remarquer que les di
la paraplégie spasmodique peut assez fréquemment se présenter dans la clinique sous une forme qui pendant bien longtemps n'a pas
aractère particulier de bon nombre de ces cas qui affectent dans la clinique cette forme de la paralysie spasmodique ; et j'ai
yélite transverse syphilitique ou autre, il est clair que l'autonomie clinique n'est qu'une apparence. La question n'est donc
e pratique, et dont vous trouverez maintes fois l'application dans la clinique des maladies cérébro-spinales. I. 1° Notre at
ant, Messieurs, il existe et il n'est pas rare de ren-contrer dans la clinique un certain nombre de cas où les symptômes de la p
, pour le moment, de considérer l'affection exclusivement par le côté clinique . D'abord, nous devons relever, ainsi qu'on deva
a-ladie particulière, le tabès dorsalspasmodique. 1° La description clinique peut être tracée d'ailleurs enquel-quesmots. Lama
viens de dire que le tabès spasmodique n'a encore d'exis-tence qu'en clinique et que si, en réalité, comme je le crois, il s'ag
de réellement la signification qui leur a été donnée. _ Par le côté clinique , ce sont des cas de myélite vulgaire par compress
uis plu aie reconnaître hautement, à l'occasion d'un cas présentée ma clinique comme un exemple de tabès spasmodique. L'au-topsi
de ce groupe, ainsi qu'on pouvait le prévoir, se présen-tent dans la clinique avec un certain nombre de traits com-muns et prop
ieures systématiques renferme des affections qui appartiennent à la clinique jour-nalière, et auxquelles le médecin doit s'int
par la forme d'amyotrophie dont Aran et Duchenne ont tracé le tableau clinique et à laquelle ils ont donné le nom d'atrophie mus
ns dans sa première période, que M. Charcot, en inaugurant ses leçons cliniques de cette année, a cru devoir présenter un exemple
mptôme morbide d'une importance réelle, tant au point de vue purement clinique qu'au point de vue de la théorie phy-siologique.
e que M. Charcot avait signalé, en 1874, comme étant la détermination clinique d'une lésion médul-laire, caractérisée par une sc
es si nombreuses et si variées des affections qu'on rencontre dans la clinique des centres nerveux. L'ar-rangement, l'enchaîneme
sur lesquels repose la description de M. Charcot. Aussi, les signes cliniques et anatomiques qui donnent à la sclérose latérale
appui de la même thèse, les observations sans autopsie, où le tableau clinique est tellement ressemblant, que le diagnostic ne s
bré-gée vient d'être rapportée, sont, à part la durée de l'évolu-tion clinique , de tous points semblables à l'observation de la
ieux ; ils doivent même être consultes avec fruit, comme des exemples cliniques de para-lysie spasmodique, où l'ensemble des symp
tre rempli par MM. Pick et Kahler, dans l'observation dont la par-tie clinique a été résumée plus haut: « Dans la partie externe
M. Charcot(Pick). On le voit, tout concourt à confirmer l'autonomie clinique et anatomo-pathologique de la sclérose latérale a
7), M. Charcot, re-venant sur les conditions anatomo-pathologiques et cliniques de l'hémianesthésie sensitivo-sensorielle produit
lyopie croisée. A l'appui de cette proposition, voici une observation clinique assez démonstrative pour se passer de commentaire
tirée vers la gauche. Le malade fut alors admis dans le service de clinique de la Salpêtrière où Ton constata les symptômes s
ébraux. — Lobule para-central. — Circonvolutions ascendantes. — Faits cliniques et expérimentaux relatifs au développement des ce
dans les maladies chez l'homme. — Nécessité d'une bonne observa-tion clinique et d'une autopsie régulière. Histoire naturelle
e anatomique normale, mise en relief par l'anatomie patholo-gique, la clinique et l'anatomie de développement. Recherches de P
N. DE la contracture tardive des hémiplégiques et de ses variétés cliniques . Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent
N. De la contracture tardive des hémiplégiques et de ses variétés cliniques . Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent
ons de ces cellules. — Elles sont de nature irritative. -- Phénomènes cliniques : actes réflexes. — Théo-ries relatives à la path
lite antérieure, 340 ; — — systématiques, 379 ; — leurs ca-ractères cliniques , 380 et suiv. ; — aigus et subaigus, 383 ; — ch
e anatomique normale, mise en relief par l'anatomie patholo-gique, la clinique et l'anatomie de développement, 191 et suiv. ; —
79 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
IICOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maindies mentales à la Faculté de médec
Y. MAGNAN 1 Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique · (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de clin
ecin de l'Asile clinique · (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facult
t la paralysie générale. Mais, sur ce point, l'étude statistique et clinique a devancé de beaucoup l'étude anatomique, et -l
a marche et l'évolution de ces lésions médullaires; au point de vue clinique le tableau change du tout au tout suivant que l
ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 3 luer sous les allures cliniques d'une atrophie musculaire pro- gressive : c'est
n- céphalite interstitielle peuvent donner naissance à un tableau clinique qui ressemble d'une façon frappante à celui de la
utopsie, je joindrai le résumé de deux autres observations purement cliniques , qui sont intéressantes au point .de vue de la
AU POINT DE VUE . NOSOGRAHIQUE; , Par Paul SOLLIER, - Clief de clinique adjoint des maladies mentales à la l'acuité. . i
qu'ils distinguent entre ce - deux termes extrêmes au point de vue clinique . Tout en me conformant à cet usage dans mon liv
est d'insister sur cette différence radicale, en m'appuyant sur la clinique et l'anatomie patholo- gique. , ' In Bibl. de
ts au' point de vue' psyçhoJ.ogiqüè`et'sociâl ? Sôus lé.râpport f i clinique et anatomo-pathblogique la distihctionn'est pa's'
, tant au point de vue psychologique'1 et social qu'au point de vue clinique et anatomo7patnologiqùe. Jusqu'à ce qu'on ait a
M ? i 1 ab a fil B. IX. La folie A DEUX,'< ses . diverses formes cliniques ; ti i-itun : 'tpar le Dr L. Z ? ') b - Mettan
rit.' «.t t'"iu-( . ;il 1 ? tL "n ,,uo>ti-'ii' ,Au point de, vue clinique on peut considérer trois formes de folie à deux
omprenne, à côté des grands asiles, les nombreux asiles privés, les cliniques et les petits asiles de l'Etat' : C'est ce que
,.... - , . ? rl ordinaires par un certain nombre de particularités cliniques , mises . en relief par Cotard, sous le nom'de d
dans'un asile. C'est ce qui fut fait. Le prévenu a préféré l'Asile clinique à' la prison. ' ' t - . ? -,^.~,-.... ? -il ' '
question très controversée, il apporte à sa solution des documents cliniques importants; il est de ceux qui instruisent et i
ceux qui instruisent et intéressent. Paul Sérieux. IL Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
la partie sans contredit la plus attrayante de' l'ouvrage'la partie clinique , qui, sous forme de recueil d'observations, ren
l'année 1892 : ) comprennent1' toutes "> une 'série'de' types-1 cliniques ? les plus inté ? ressants,' depuis*" l'idiotie
unnn -.» Il 4cln.s ? 1 'La''marche, )'évo)ution''deees divers types cliniques sont étudiées'" avec le plus grand soin à l'aid
a Société DE médecine mentale DE BELGIQUE. Première question. Etude clinique des maladies mentales transitoires ou permanent
) départementale d'infirmiers et d'infirmières,- annexée àl'Asile £ clinique : Lllea été inauguréenle 14. février 1882, par-
vention de 1.000 francs dans le même but. ' FAITS DIVERS. Asile clinique (Sainte-Anne). Maladies nerveuses ci mentales.
ur les délires systématisés dans les diverses psychoses. Cours de clinique des maladies mentales et des maladies de l'en-
l'en- céphale. M. le professeur JoFFROY. Amphithéâtre de l'asile Clinique , les mercredis et samedis, à 9 heures trois quart
ine mentale en quinze leçons sera fait par M. le De Pactet, chef de clinique . On est prié de s'inscrire à l'Asile clinique.
le De Pactet, chef de clinique. On est prié de s'inscrire à l'Asile clinique . Hôpital S.11NT-A : TOiNE. Pathologie mentale e
thologie mentale et nerveuse. M. Gilbert Ballet a repris ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse, à l'hôpi
es appréciables ? Si l'on s'en tient exclusivement aux observations cliniques ,, on inclinera vers la négative, . attendu que
irritation mécanique. '' ' ! '' aM -' " ' 6° Quant aux conséquences cliniques de la mésopérineurite, elles sont actuellement
la place qui lui con-t vient logiquement, dans les ca- dres de la clinique et de l'ana- li,to'mie,, patholocique,2tels6,q
ecteur; à- uneide- mesjquo.. .. p , r ? i, ft r -1 . ! conférences, cliniques de l'an dernier. (Paralysie. générale chez l'ig
* PATHOLOGIE NERVEUSE. - ·"ITnÎlstt la' femme, 'Revue générale de clinique et de thérapeutique, 1893). De plus, la malade.
ma ) tn ,r· 5Y ). D'ailleurs, rien n'est variable comme l'évolution clinique de la syphilis cérébrale ; mais sur ce sujet il
sur la Syphilis du cerveau, livre empreint d'une si grandet science clinique . Les symptômes douloureux du début, puis les pa
post-fébriles quelconques, c'est le polymorphisme de'leurs tableaux cliniques . La proportion ' des modalités mentales est ain
. .j)' i . - ' . , <h. XXXVIII. Contribution A la connaissance CLINIQUE DU délire de jalousie chez l'homme; par R. \VER
que périodique; par KAuscH. (Archiv. f. Psychiat., XXIV, 3.) Type clinique assez rare, dont voici un nouvel exemple. Concl
, si on donne à ce terme de maladie mentale la signification que la clinique lui reconnaît. L'hystérique en effet, grâce à l
onc mieux laisser à l'expression de maladie mentale son ancien sens clinique , et dire que les travaux récents sur l'hystérie
sont lésées alors que généralement elles sont épar- gnées. L'étude clinique de la poliomyélite antérieure chronique est exc
rétaire du Comité; le D1' Georges Guinon, ancien interne et chef de clinique de M. Charcot, secré- taire de la Commission ex
de M. Charcot; Aug. Dreyfus; te Dr Dutil, ancien interne et chef de clinique de M. Charcot; le D'' Feré, ancien interne de M
es hôpitaux ; le Dr Parinaud, chef du service ophtalmologique de la clinique de M. Charcot; le Dr Parmentier, ancien interne d
ien ministre du commerce; le Dr Souques, ancien interne, chef de la clinique de 11. Charcot ; Vallery-Radot, homme de lettre
- 291 i G Vol. XXVII. Mars 1894.. ? 85 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ; Par V
plus important de ce qu'on appelle les héréditaires, si bien qu'en clinique mentale les deux termes sont souvent pris comme
plane sur ces affections (les maladies Archives, t. XXVII. il 1G2 CLINIQUE MENTALE. mentales), on en cache plus soigneusem
azaum, notre malade ne s'étant jamais livré 1 cette pratique. 164 CLINIQUE MENTALE. 1 des filles ou même de leur parler de
de ce qui est arrivé : je vous certifie qu'il n'y a pas ' f - 166 CLINIQUE MENTALE. de ma faute ». -Nous aurions donc gran
nerveuse, prédominance tantôt d'un centre tantôt d'un autre, et en clinique mentale, déséquilibré n'est-il pas synonyme de
er- mettait évidemment de donner à son enfant une instruction 168 CLINIQUE MENTALE. " soignée.' » Nous trouvons là l'indic
son délire, qu'on voit son visage s'animer en parlant de la 170' . CLINIQUE MENTALE. haute personnalité, il devient rouge,
ir. Mais nous croyons qu'en insistant on découvrirait chez lu 172 CLINIQUE MENTALE. bien d'autres stigmates de cette natur
ui, étant donnée l'intensité de sa prédisposition héréditaire, '174 CLINIQUE MENTALE. TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. auront vi
les -héréditaires; mais c'est à 141 : Manan'1-' qu'on doit l'étude clinique 'db"gmatiqùé'1dé< ce point de'la psy ? chiat
tale; des 'doctrines généï : âles'aûsavânt'irlédeciri rde'l'Asile"' clinique ^ et e est en meconformant''de'm6nieux aux'theo
par les anam- iïestiquës",lâ,déjénérëscencé `qûeilescircoristanëés cliniques avaiènt; rendue 1. évidente ? Certains, yrppôme
tard confirmer toutes' les propositions-* déduites de' l'ana- lyse clinique , constitue,' malgré les apparences; un cas normal
3n ? dn .ltlas £ j j'oj '.j'T f M XXIII. PARAIYSIE AGIT1NTE. ETUDE clinique ET : 1NAT0110-PATIIOLOGIQUE ,f ? t avec le- RÉ3
i il'o'ter; souvent ecra enieiit,, la,p IÏ o-p 1 ia ut,ie. L'examen clinique au sang a ) "k J'l..91 t ? t -' '*I"'d*ii'uti6* '
cas réside' presque tout entier dans l'autopsie, car l'observation clinique fait4à peu près complètement défaut. >jL g9j
o-pathologique et de sa rareté, bien plutôt qu'à cause de sa valeur^ clinique ; car. le .diagnostic, avant l'autopsie, était
ait-il plus tracé de sang ? ? ,il ' '' ' ' , it, Au point de' vue clinique , il s'agissait de deux cas de paralysie général
ipliqùé),leidéfautf.de, concordance entre les lésions et le tableau clinique , et surtout la conservation ou la faible atteinte
des différents viscères. Cela résulte'du fait. z que les symptômes cliniques de, l'infection commencent à se mani- festerseu
e, mais sans caractère progressif. P. K. IL Notes DE thérapeutique. clinique dans LEStII : ILADIES mentales ; par AUGRISANI.
riginal et son seul but. est. de ·guider,les débutants dans l'étude clinique des affections nerveuses.i,^.vz,lt 10 ? 'd Lpjtt
, .i'jjUÙK. In 9) ' ! 1'pi ''Ce travailtest consacré à,, l'étude - clinique d'une -observation' que lai plupart des symptôm
asile;enfin : icettetconsultation externe deviendrait, une sorte de clinique , très=profitable à l'ensei- gnement,,etoù} lest
? i^'L.; . r.' in ? ? depuis un certain nombre'd'années à 1 asile, Clinique , à Bicêtre ? 1" 1 1 Jijzo -' t 1 i. Wn 4, Jeu4·
e la législation pénale. FACULTÉ DE médecine de paris. La chaire de clinique des mala- dies'du système nerveux de la Faculté
e de Paris, vient enfin d'être déclarée vacante. : '' .. .. 1 ? Clinique des maladies mentales (Asile clinique). Le person
rée vacante. : '' .. .. 1 ? Clinique des maladies mentales (Asile clinique ). Le personnel auxiliaire du laboratoire de cli
entales (Asile clinique). Le personnel auxiliaire du laboratoire de clinique des maladies mentales de- la Faculté de médecin
maux. La physiologie a longtemps eu la prétention de régenter la clinique . Elle n'y a aucun droit. Ses méthodes ne sont pas
ÉRÉBRALES. 51 au contraire, affermies. Nous croyons toujours que la clinique doit rester autonome. La physiologie peut lui c
fi61t 81 $'r6(Ta' .in,- ' "-,«.>, · Par MM.iV. PRAUTOIS, chef de clinique médicale à la faculté de Nancy, Par 1M.IV*l et
'- Lion faiblement alçâliye, a tété> faite, au. Laboratoire.'des cliniques par M.' le peofesseûr'âgréélGuérin : ,Sa;consti
Il nous paraît superflu d'insister sur l'insuffisance des détails cliniques de ces observations. En pareille circonstance,
^l Sftl, O , ff Ol " ' ,' ln .O bw . XLVII1. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE clinique des rapports DE L IMPALUDISMI* 1 et de L'ALCOOL
'i393.) p ar .-C. SULLI ? 4 lîa en , 'avril'1893.)- L'observation clinique .du malade montre nettement que 'la per- versio
nservation : . deux facultés donl l'absence constitue un caractère, clinique de l'idiotie-(Sollier).a, 'Par ces tentatives p
la région sotts-thalanzi- que, dû à M. le Dr Mabain, assistant'dë' clinique médicale à l'Uni- versité de Liège, dont le nom
fr. Pour nos abonnés, 1 fr. 50. - Grasset (.T.). Les vieux dogmes cliniques devant loi pathologie microbienne . Brochure in
imp. 494' * Vol. XXVII. Mai 1894. N° 87 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE mentale SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VE
le de Belgique, séance d'avril 1894. Archives, t. XXVII. 21 322 CLINIQUE MENTALE. mois d'idées de persécution très activ
itation ne faisant ) qu'augmenter nécessite l'internement à l'asile clinique (Sainte- Anne), le 15 mai 1891. Elle y séjourne
le est tranquille, réservée et a conscience de la période ; q loi · CLINIQUE MENTALE. f ., ,T>, délirante qu'elle vient d
? f. t ! ? "' : >^»ai ? j · .n )6 ! > - < * 330 1 - 1 " ' CLINIQUE MENTALE.'^ j '·- *&' "Typ intelligente... v
; ne, croyons'pas- devoir insister sur le - -'3d4 ' '- 1 1 ' ! j-r' clinique -mentale. '" "' '" * '7"' ? diagnostic de paral
ale. '" "' '" * '7"' ? diagnostic de paralysie générale. L'histoire clinique de la malade est .par elle-même- suffisamment ?
lesquelles' il' nous faut insister par suite de leur grand intérêt clinique mous voulons parler de l'apparition,. au. cours
ilrcot- Dcbovc 1892. j'fil - 1 ' " ? l ' " 1' ." 336 T3 s ? a 3 : CLINIQUE , mentale.^ ,tJ T"· 5% 0 l'articulation des mots
la langue qui semble au sujet , Archives, t. XXVII. 22 - 338 y , CLINIQUE MENTALE. 0 >- ,a ,Lt SIU2 être le siège des
sychiatrie; t; XLIX, p.° lf3-159.' Berlin 1892. 342* · * · > ? ? CLINIQUE MENTALE. "\" Il -' iet, ^ -3 s'agit d'épilepsie
'é'n4"'a'r"rlë'r'e dti"'é*'e'ntre' dù' là'X'y'nx'. Les observations cliniques confirment ces données expérimen- tales e5'Rapp
d'origine cérébrale. (Revue de médecine, 1882.) 340 ^ .. < , ...[ CLINIQUE MENTALE ? r ? JTt3 - t. - - - .. ? le' r >j.
diqûes et'du pied'des fr : ômtalès 1 : L : . `m' 1.1 ` De ces'faits cliniques et expérimentaux ^on, peut conclure a l'existen
iés ''par (notre, rmaitre ? M ! Magnan ? Dans- sesvdernièrés leçons cliniques , M. Magnan a montré, en effet" qu'au '"début de
cal, 29 no- vembre 1893.) ,}» ..e ? -i % ? > . t - lui ? 3tJ'O CLINIQUE MENTALE.. l'amélioration augmentait; à'deux rep
ensé, Dieu, je suis coupable.... mettez-moi au cachot. » Ce tableau clinique n'est pas sans analogie avec les faits observés
ix, de Loudun, de Lou- viers, au double point'de vue étiologiqùe et clinique ; la seule différence'appréciable qui puisse la
te maladie et qu'il est préférable de, lui, laisseï- encore son nom clinique . En 1 ce , qui concerne la lésion primitive de
ijj ja'[.ie)n." *i>aq L'auteur, appliquant ces distinctions à la clinique , rapporte plu- sieurs observations détaillées,
a photographie. Les faits tirés de l'hypnotisme et de l'observation clinique des hémi- plégiques permettent de penser qu'il
passer leurs examens, à fréquenter pendant six mois au moins ? une clinique psychiatrique et introduire dans les examens en
sités," celles dé Bruxeltes, de Liège et de Louvain,' possèdent une clinique psychiatrique. L'organisaton de ces trois clini
,' possèdent une clinique psychiatrique. L'organisaton de ces trois cliniques psychiatrique serait des plus défectueuses; elles
ectée aux né- cropsies. z M. Francotte se plaint en outre que les cliniques psychiatriques sont délaissées par les étudiant
nt, usant de cette autorisation, ont subi un' examen'spécial sur la clinique psychiatrique et ont obtenu le certificat const
r M. Francotte, que le cer- SOUSCRII'T10N' CiLIRCOT. 399 tincatde clinique .psychiatrique constituât un litre sérieux pour
men par exemple, avant la thèse, l'assiduité duement constatée à la clinique des maladies mentales, durant au moins un mois.
jeudi 15 mars, la Faculté de médecine a présenté, pour la chaire de clinique des maladies nerveuses laissée ivacante par la
imn. - 494 Vol. XXVII. Juin 1894. N° 88 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE , SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE A
. (Bulletin médical du 11 juin 1893.) Archives, t. XXVII. 26 2. CLINIQUE NERVEUSE. -, , Ir Y. -1. M. V..., quarante-troi
squ'au leude- " ? » ? '" .. ''>}> lî>"' t 1JJW 404 ;5 "· CLINIQUE NERVEUSE. ' ! " a" ' ' ,,l- 'Al, -*', <iu .
é les résultats suivants : r=nwb..r ,of;m)uf)T i ? 408 .'r'r ? ;-3. CLINIQUE NERVEUSE. viîâilàa ^ICYOA^W q -Le trouble menta
on. En d'autres termes, et pour adopter le langage , 1 A,,1.3;, o ? CLINIQUE ,NERVEUSE. "· ,Y ? ? du jour, .il. s'agirait. d'un
1 : Charcot. - Le,rons du mardi, 1888-1889, p : 3é0. 412 'il;,), 3, CLINIQUE NERVEUSE ? q leurs vives, brûlantes, se produis
decine et de Chirurgie pratique, 10 avril 1894. ' ' ` " > 1G G , CLINIQUE NERVEUSE. * : y ? . se passeraient pas toujours
evant de l'une ou l'autre affection, 4'u'il ? a'p'pàrtient" à",Ia ? clinique de.'déterminer, en faisant la, part es symptôme
ION DU MUSCLE . pP ? s " ' > M ' t, Dans ce travail, fait à la clinique électrothérapique de M. le pro- fesseur Bergoni
iculier ? Quatre cent'cinquante1 aliénées ont été examinées à Iéna ( clinique psychopathique)sous ce rapport. 'Voici ce qu'on
es de les renseigner, les uns à tous les points de vue (anatomique, clinique , thérapeutique et pédagogique), les autre's"plu
haque service comportait jusqu'ici un médecin en chef et un chef de clinique ; on y ajoute maintenant un interne (assistant)
par lllenereul,' 380. a ·- ? IMPALUDISME, contribution'a' l'étude clinique de' 1'4 *- et"de l'alcoo- llsme, par Marandon d
,.t e 4 e .»,. w· . - Mi. '" Kleptomanie, contribution à l'étude clinique de la ? par, Boissier et Lachaux, 379HFs. T°° '
cation-,^ des'^', par lirnbius, 39; note sur,. 6 la téràpeutiqtie clinique 'dans les - , par Augrisani,, 225 ? , ? yrr,t·
ribution àl'étude de la -, par,Bernhardt, 189; des manifestations cliniques de la -, ? par Schlesinger, 191 ;, - ou dys- tr
80 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ions. Le Professeur RAYMOND a tenu à perpétuer la tradition de la Clinique des maladies du système nerveux en continuant à o
u passé que dési- reuse de témoigner son attachement permanent à la Clinique . Grâce au Professeur JOFFROY, qui a si largemen
ement à la publication des travaux de neurologie illustrés d'images cliniques ou analomi- ques, cette Revue fait aussi bon ac
un plus grand nombre de travailleurs. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. MALADIE DE FRI
HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE \1) PAR F. RAYMOND, Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Messieurs, P
liée par M. CHARTIER, interne des Hôpitaux. (2) Professeur RAYMOND, Clinique des maladies du système nerveux, ! r série, p. Õ2
ui ne s'observe pas dans le regard vers le haut. Tel est le tableau clinique de Louise V... Vous avez pu remarquer qu'elle n
sont d'une intensité absolument variable. Ces différentes modalités cliniques pourront sans doute trouver leur explication da
fes- seur Senator, de Berlin, se plaçant à un point de vue purement clinique , soutenait que la maladie de Friedreich devait
nt par des différences essen- 16 Ô RAYMOND tielles anatomiques et cliniques , une affection dont P. Marie a donné la premièr
croscopiques du cervelet dans deux cas récemment étudiés dans cette clinique , qui nous amènera, dans notre prochaine leçon,
RSE, SEGMENTAIRE, DORSOLOMBAIRE GAUCHE, MÉTATIfAUIIIATIQUE. FORME CLINIQUE CURABLE. Fracture DU PIED DROIT. Quatorze MOIS
t la longue liste des travaux sur les névrites ascendantes, l'étude clinique et expérimentale de la moelle des amputés et des
se dont les symptô- mes spinaux sont en quelque sorte la traduction clinique ». Si l'on s'est beaucoup occupé du tabès métat
ons chroniques de la moelle en particulier. C'est donc là une forme clinique bien réelle,bien spéciale sur laquelle cepen- d
ne Meningeate Blutung herbei- gefuhrt sein. » Heureusement l'examen clinique démontre qu'il s'agissait plu- tôt d'un hémator
mé par l'expérimentation (Ilayem, Soc. de Biologie, 1873) et par la clinique (Chauffard, Froin et Boidin, Formes curables des
9. (2) Grasset (de Montpellier), Revue neurologique, novembre 1902. Clinique médicale, Leçon XIV. 30 RÉVILLIOD A Heidelb
la Société de Neurologie de Paris. Séance du 3 novembre 1904. (2) Clinique de la Pitié, 6 janvier 1885. 32 SCHERB les si
s notions d'anatomie comparée, et sur quelques expériences et faits cliniques , a émis l'opinion que le vermis et les hémisphère
ter l'étude et le classement des formes plus ou moins complexes. En clinique il est rare en effet de se trouver en présence
olidarité fonctionnelle mise en lumière par les recherches anatomo- cliniques . De plus les lésions peuvent intéresser soit les
trajet, soit les fibres de projection. De là ces nombreuses formes cliniques observées chaque jour, de là l'existence de var
98, nds 21, 22, 24, 26, 28, 31. L'Aphasie amnésique et ses variétés cliniques . APHASIE AMNÉSIQUE 37 comprend ce qu'on dit;
insula, la capsule externe, l'avant-mur (PI. V, B). Au point de vue clinique nous relevons dans l'observation les points sui-
l en soit, il est un point intéressant à relever dans l'observation clinique , c'est la di- minution progressive et la dispos
semble-t-il ressortir autant de l'étude étiologique que de l'examen clinique , ce sont des déformations relevant uniquement d'u
rencontrer chez le vieillard. Après avoir procédé à la description clinique des malades dont nous nous occupons ici, il con
ns leurs grandes lignes les mensurations sont conformes aux données cliniques , et d'accord avec ce que nous donnera plus loin l
iniment plus rares (1). Les résultats sont d'accord avec l'examen clinique , on a bien affaire à un tho- rax tourmenté, irr
duite. Ceci encore une fois confirme et explique ensemble ce que la clinique et les mensurations nous avaient fait entrevoir (
x unités conventionnelles. 78 MOCQUOT ET MOUTIER nées de l'examen clinique et en général le maximum des altérations indiquée
idération anatomo-pathologique, il est très aisé par le seul examen clinique de distinguer de l'ostéite déformante le syndro
emment très différents de ceux que nous avons envisagés. L'histoire clinique de l'ostéoporose sénile se résumait en un seul sy
nnaires (5). En somme, il est bien évident que tant au point de vue clinique qu'au point (1) DEBOVE, De l'ostéoporose progre
malades ont eu des fractures du col. C'est surtout au point de vue clinique que Durand Fardel étudie certaines déforma- tio
ar les anciens auteurs, chez les- quels on retrouve notés des faits cliniques absolument semblables à ceux dont j'ai entrepri
male et morbide. Le témoignage des anciens auteurs et l'observation clinique s'accordent donc pour démontrer l'existence, pa
durable, sans étiologie occasionnelle saisissable, dans le tableau clinique des démences organiques. Ces deux séries de cas
de figurer dans cette Revue d'art et de médecine, où l'observation clinique trouve dans le document plastique la vérité et
en que s'effacèrent chez elle progressivement les trails du tableau clinique . Aujourd'hui, la malade, absolument démente, es
A. Marie insistait sur la fréquence et l'intérêt de cette modalité clinique de la démence sénile. J'ai indiqué ailleurs (
indiqué ailleurs (1) les différents aspects que confère au tableau clinique des démences en général, la combinaison, dans le
-A9arne). 18e Année N° 2 Mars-Avril IIOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX MALADIE DE FRIE
CÉRÉBELLEUSE (1)1 [suite et fin), PAR F.RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Messieurs, D
leuse, un certain nombre d'observations reliées par leurs analogies cliniques , et devant toutes relever d'un même substratum
onne vertébrale. Pour résumer, je peux ainsi synthétiser le tableau clinique de ce ma- lade. Désordres de la marche assez
progressive, mais peut présenter des rémissions. » Or, ce tableau clinique n'est pas, vous le voyez, Messieurs, directement
assement nosologique, elles ont eu l'avantage de nous montrer qu'en clinique , il n'existait pas de démarcation entre les deu
vous reparlerai tout à l'heure el que j'ai déjà présentée dans mes Cliniques de 1897 (2), Mélie F..., dont la soeur, atteint
Messieurs, ces faits vous démontrent nettement l'insuffisance de la clinique seule pour la classification exacte des formes hy
ique, 1903, Deux autopsies de maladie de Friedreich. (2) RAYMOND, Cliniques , 3e série. NOUTIILLE Iconographie DE la Salpêtr
Miura qui puisse être rapprochée de celle de Nonne au point de vue clinique , et qui, comme cette dernière, présentait à l'exa
elleux direct, principalement dans la région cervicale. L'évolution clinique des malades de Klippel et Durante pouvait déjà
sa relation est faite tout au long dans le troisième volume de mes cliniques . Il s'agissait donc d'une jeune femme, Mélie F.
ration. C'est une ataxie famaliale dutypeFriedreich au point de vue clinique , réalisant le tableau morbide de cette affectio
des lésions, pas plus qu'elle n'est ressortie de ses manifestations cliniques . Il semble donc bien difficile, à l'heure actue
est venu combler le fossé qui semblait les séparer et les modalités cliniques différentes se trouvent tou- tes reliées aujour
différentes avaient exercé leur action. Nous ne toucherons le côté clinique de nos observations qu'en tant qu'il présente un
8 ans, avait présenté jusque dans les moindres détails le ta- bleau clinique d'une épilepsie essentielle et que nous avions ét
jusque-là. Nous nous permettons d'intercaler ici quelques remarques cliniques : il est hors de doute que les hallucinations d
me. D'accord avec cela absence de démence prononcée dans le tableau clinique . OSERVATION IV. K... Fritz est né en 1881. Sa m
ta alors de troubles de la marche qui nécessitèrent son entrée à la clinique médicale de Berne (déc. 1895). On constata que
perdent bientôt dans la tumeur (Fig. 8). Certains des phénomènes cliniques notés trouvent sans difficultés leur explicatio
t rien d'anormal. Si nous cherchons à nous expliquer les phénomènes cliniques , nous remar- quons immédiatement qu'il y a là t
ce de cette dégénérescence* allant jusqu'à la destruction totale. CLINIQUE DU PROFESSEUR GRAZIADEI, HOPITAL 1JAURIZIANO, TUR
ive. Ce syndrome particulier, remarquable par la fixité de son type clinique , était déterminé, dans les trois cas de MM. Ray
160 GRUNER ET BERTOLOTTI qui peuvent servir à bien établir son type clinique et sa localisation anatomique. Tout d'abord,
te médicale de Nantes, 1899, ne 29, p. 227. (4) It.wwo;vo, Leçons cliniques des maladies du système nerveux, VIe série, 1903.
insenlohr, etc.). Enfin, chaque fois que pendant la vie, le tableau clinique fut dominé par les paralysies oculaires, on vit
aussi le pied du pédoncule gauche. L'anatomie pathologique et la clinique ont bien prouvé l'existence de paralysies parti
ricules latéraux et le canal de l'épendyme. En étudiant l'évolution clinique des symptômes présentés par le malade, nous avo
SURRÉNALES PAR GILBERT BALLET et LAIGNEL-LAVASTINE. Le tableau clinique de l'acromégalie est aujourd'hui bien fixé dans s
- leurs été déjà exprimée par Schupfer qui, se basant sur des faits cliniques et expérimentaux, montre que les lésions destru
CAS d'acromégalie 191 Celle hypothèse expliquerait les coexistences cliniques d'acromégalie et de goitre exophtalmique (1), d
ental sont aujourd'hui connus, de même que leurs relations anatomo- cliniques . La thyroïde normale dans l'acromégalie est assez
le, et Groenouw en donne une courte description, mais les documents cliniques que nous avons pu recueillir dans la littératur
rtie après avoir dé- montré et documenté dans la première les liens cliniques étroits existant entre les trois formes en ques
erons de la donner.Nous nous poserons comme but d'établir les liens cliniques qui existent entre les trois formes morbides :
lexus lombo-sacré. Charcot en a montré de nombreux exem- ples à ses cliniques . Ballet, Babinski, S. Texier, Lamy, Souques, Hall
'hui, on admet couramment, avec M. Brissaud,qu'il existe deux types cliniques : la scoliose croisée, dans laquelle le tronc s'i
surtout aux sciatiques spasmodiques. , Il existe un troisième type clinique , moins connu que les précédents, décrit sous le
important que dans le cas précédent. ' Dans le 3e cas, où syndromes cliniques paralytique et tabétique ont évolué rapidement
tituer une idée plus large faisant des affections nerveuses, que la clinique distingue, de simples syndromes à correspondanc
e, le rein, forme une unité réactionnelle que l'étude des processus cliniques , cicatriciels, a fragmentée à l'excès, mais qui
érébelleux gauche, méningo-encéphalite diffuse subaiguë. 1° Étude clinique . Il s'agit d'un chien cocker âgé de 2 ans 1/2 au
S DANS UN CAS D HÉMIPLÉGIE DE L'ADULTE PAR A. GAUSSEL Chef de clinique médicale à la Faculté de Montpellier. La contra
e ont des caractères or- dinairement bien tranchés, et une histoire clinique nettement définie. Nous avons eu l'occasion d'o
modification ne s'est produite dans son état. Telle est l'histoire clinique de notre malade. Il s'agit en somme d'une femme
dents. Or,non seulement l'étude soigneuse de la malade (observation clinique , essais thérapeutiques infruc- tueux, en partic
de toute étiologie saisissable, par l'ensem- ble de ses caractères cliniques et évolutifs, par sa terminaison mortelle même,
le diffère des cas précédents par deux moments, deux particularités cliniques importantes. La première est cette sorte de con
traste qui existe entre le caractère spinal diffus de l'évo- lution clinique et la nature bulbaire des accidents ultimes ; la
squels on trouvera l'indication très complète de tous les documents cliniques et anatomiques : OPPENHEim, Die niyasienische P
expression presque purement myélopathique. La seconde particularité clinique est l'existence de cette hypotonie qui représen
celle de la peau voisine. Diagnostic. Nous avons vu les caractères cliniques de l'oedème de Quinke ; comment le diagnostique
nke aux mains, aux pieds, aux paupières. Cassirer (13) a vu dans la clinique d'Oppen- heim deux malades acroparesthésiques p
s une même famille » a été observée (Apert) (12). Au point de vue clinique les rapports intimes entre les deux formes me s
ssons part la question de la pathogénie. Mais au point de vue de la clinique , les liens entre l'oedème de Quinke et le trophoe
nes aux autres. Pour ce qui concerne les caractères étiologiques et cliniques , nous avons vu allant de l'urticaire à l'aedème
: hémifacies succulenta ». A présent, avec ce bagage d'observations cliniques et anatomiques, nous pouvons aborder l'argument
ion des chlorures dans les oedèmes néphritiques). Notre observation clinique expérimentale que l'introduction, même en grande
atique, l'oedème. Mais à la théorie de Cohnstein, de nombreux faits cliniques et expéri- mentaux s'opposent. Si l'augmentatio
précéder très souvent le trophoedème, ni les analogies et les liens cliniques que Meige lui-même avait vus avec la maladie de
ire, à savoir sur le tissu conjenctif. La conclusion de notre étude clinique des trois formes morbides en parole ' a été qu'
l'urticaire paludique. Annal, de dermat., 1882. 52. DBSCHnmrs. - La clinique ophtalm., 10 août 1898. 53. FOLLET. - Thèse de
as aient été constatés dans une même famille. Malgré les recherches cliniques , histologiques et chimiques, mal- gré les nombr
pathogénie de cette curieuse maladie. Nous apportons l'observation clinique de trois cas nouveaux. Nos trois malades appart
e, t. III, p. 52, 1880. 3. HUCHARD ET Binet, Bulletin de la Société clinique de Paris, 1882. 4. RoGiEn, Thèse Paris, 1884.
février 1895 ; Loire médicale, ma r s 189 19. Dubreuilh, Archives cliniques de Bordeaux, 1895, IV, p. 44. 20. Gilles de la
uillet 1901. 26. Cadet, Thèse Paris, octobre 1901. 27. DIEULAFOY, Clinique Hôtel-Dieu, 170 leçon, 1902 ; Manuel de pathologi
renseignements très exacts, complétés par plu- sieurs observations cliniques . 1° Le peaucier est intact. 2" Les insertions
dont souffrait également une autre soeur qui est morte. Le tableau clinique présenté par ces malades ne se couvre exactement
eurologie, séance du 2 mars 1905. Ils ont fait le sujet d'une leçon clinique du dimanche (Hôtel-Dieu, avril 1905). NOUVELL
er l'idée d'une sclérose en pla ques familiale ou plutôt du tableau clinique que MM. Cestan et Guillain ont essayé d'isoler
pasmodique familiale. C'est avec ce dernier syndrome que le tableau clinique de Henri et de Jeanne II... a le plus de ressem
emander maintenant à quelle lésion anatomique correspond ce tableau clinique . Ici, le souvenir du tabes dorsal spasmodi- que
ment peut faire penser à une affection 'spasmodique. ' Le tableau clinique présenté par nos malades, tout en se superposant
anatomique trop précis, sans être absolument exact au point de vue clinique . Distinguer entre cette forme et la forme parap
nc être bon,au point de vue purement pratique, de décrire des types cliniques définis,il faut se rappeler que ceux-ci n'ont pas
s tics des spasmes, que l'hémispasme facial présente des caractères cliniques qui lui sont spéciaux', qui sont étrangers à la s
tion doit être maintenant posée. L'hémispasme avec les carac- tères cliniques particuliers que je viens de passer en revue reco
caractérisant un ralentissement évident de la nutrition, expression clinique de neuro-arthritisme n'étant pas d'ailleurs propr
be en position vicieuse. Telles sont les principales considérations cliniques auxquelles prête le torticolis hystériqne. Il e
ux, à la mensuration aussi bien qu'à l'oeil. De toute notre étude clinique ressortait cette donnée générale que l'attitude
du développement embryon- naire. Mais, par suite des progrès de la clinique et surtout de nos connaissances anatomo-patholo
ce qui n'a pas peu contri- bué à rendre singulièrement complexes la clinique et surtout l'anatomie patho- logique de cette m
d'achondroplasie, une affection bien distincte dont les caractères cliniques étaient : la micromélie, les lésions du crâne,
des lésions observées dans les différents cas. Si, au point de vue clinique , ces cas présentent certaines analogies, les ex
rales. Comme ces variétés reposent non seulement sur des caractères cliniques propres, mais aussi sur des lésions histologiqu
qui persiste lui donne une physionomie spéciale. A. Symptomatologie clinique . 1° Nouveau-né. - L'aspect clinique de l'enfant
spéciale. A. Symptomatologie clinique. 1° Nouveau-né. - L'aspect clinique de l'enfant achondroplasique est aujour- d'hui
naître les lésions sura- joutées qui compliquent parfois le tableau clinique et seraient susceptibles de dérouter un observa
sceptibles de dérouter un observateur non prévenu. Les caractères cliniques essentiels de l'achondroplasie sont, non pas le n
oyenne, était la meilleure élève de la classe. 3° Adulte. - L'étude clinique de l'achondroplasie chez l'adolescent et l'adul
ent le rachitisme et le myxoedème, peuvent donner lieu à cet aspect clinique . L'ossification se complète peu à peu, mais len
, offrent des caractères plus pathognomoniques que les seuls signes cliniques qui peuvent être réalisés, au moins en partie, pa
dro- plasie en y faisant rentrer des cas ayant des caractères, tant cliniques qu'histo- logiques, parfois opposés les uns aux
hies osseuses et cherchent à établir leurs caractères différentiels cliniques et histologiques. Nous n'avons pas à décider s'
rie si l'examen histologique avait été pratiqué. A. Au point de vue clinique ces enfants sont, en général, également des lIl
térieur. IV DIAGNOSTIC Pris isolément, les principaux symptômes cliniques qui caractérisent l'aclrou- droplasie ne sont p
e siège de prédilection est les côtes, existent avant tout symptôme clinique (Kassovitz, Spillmann). L'absence de signes A c
s'agissait de rachitisme type. 518 PORAK ET DURANTE Le diagnostic clinique du nain rachitique s'établira sur l'aspect généra
térin. Ces derniers, il est vrai, se dis- tinguaient par un tableau clinique généralement incomplet et des caractères partic
ormaux et 26 rachitiques (89,7 0/0). En se basant sur les symptômes cliniques seuls, Schwarz relève 80 0/0 de rachitiques ; Fay
vérifié histologique- 1 ment qu'il ne donne pas toujours le tableau clinique classique et peut entraîner, } en particulier,
uvera l'élé- ment essentiel du diagnostic, mais dans les caractères cliniques et surtout histologiques. Il est, à vrai dire
pas, en effet, pousser singulièrement loin la simplification de la clinique que de réunir de parti pris tous les faits dont l
entiel est difficile ? ` ? Dans le cas particulier, le diagnostic clinique est, croyons-nous, toujours possible en se basa
ique plus habituellement infectieuse. 6° Possédant des caractères cliniques propres et relevant de lésions his- tologiques
e des autres formes de nanisme et lui ont donné une indivi- dualité clinique . Chez notre malade nous trouvons tous les caractè
ière. Et si l'on se donne la peine d'analyser un peu les caractères cliniques de ces troubles de la croissance, on voit tout de
rie, 1903. In CAAUETTE. Thèse. 20. L. VILAIltr-CA]31CIIE. - Etude clinique de l'achondroplasie. Thèse de Paris, 1902 21. M
tantes. - Si nous nous rappelons les données que l'expérience et la clinique nous fournissent à propos de la syndactylie et
ux, respiration difficile. Le malade meurt le lende- main. Résumé CLINIQUE . Raideur progressive dans les jambes, tremblement
i est de même ordre), on a cru pouvoir indiquer quelques caractères cliniques propres à l'atrophie myélopathique syphili- tiq
u'on ne saurait exagérer : ils démontrent avec évidence que le type clinique de l'atrophie musculaire myélopathique Aran-Duc
ale se traduit par des signes indiscutables. Sans doute, le tableau clinique n'est pas complet; certains signes font défaut; o
e, c'est-à-dire dès le début même de la méningite. Les observations cliniques nous appren- nent, en effet, que dans le cours
onnées ana tomiques, d'autre part sur les données physiologiques et cliniques , nous som- mes en droit de considérer les phéno
. A la vérité, tous n'étaient pas mé- decins de leur vivant, et les Cliniques rudimentaires d'alors étaient sans doute fermée
n ont confirmé tout d'abord une don- née établie par les recherches cliniques et anatomo-patholobiques, à savoir l'affinité t
Médecine, 1901. (3) Latour, Des exostoses infectieuses, recherclies cliniques et expérimentales. Thèse de Lyon, 1900. 634 L
ditairement prédisposés. 11 est un dernier chapitre de l'histoire clinique de la maladie exostosi- que qu'il nous resterai
écieuse bibliothèque annexée à l'Institut dont il a la direction. CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE GENÈVE PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE
E ET HÉRÉDITAIRE (I) PAR J. CHAILLOUS et P. PAGNIEZ. Le tableau clinique de l'ophtalmoplégie congénitale est aujourd'hui
nt encore assez rares pour justifier la publication de l'his- toire clinique d'une famille que nous avons pu étudier à la cons
e spécifique de l'ophtalmoplégie que nous étudions. Au point de vue clinique , il est à remarquer que les paralysies oculai-
noyaux moteurs de l'oeil. A ne s'en tenir qu'aux arguments d'ordre clinique en ce qui concerne nos observations, le carac-
trophies sont essentiellement conventionnelles. Le nombre des types cliniques est vraiment excessif et il est bien peu de cas r
, segmen- laire, dorso-lombaire gauche, onélatrau- matique, forme clinique curable (6 fig.), par RÉVILLIOD, 17. Sclérose
verse segmentaire, dorso-lombaire gau- che, métatraumatique ; forme clinique curable (6 fig.), 17. Ruiler. Sainl-Pantaléon
81 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEU
EUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR
t-Germain (6e) 1903 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE MÉDICALE .DE GENÈVE (Professeur L. Bard). L'A
s radiographiques. Pendant un séjour de quelques semaines fait à la clinique de M. le professeur Bard, j'ai pu suivre un cas
il. Je suis aussi fort reconnaissant à M. G. Humbert, interne de la clinique , qui m'a fourni les détails de l'observation et
très peu accusé. Le malade était tuberculeux. De par ces éléments cliniques , on pouvait penser à établir une analogie entre
nd d'un succès, certain d'ailleurs. C'est qu'en effet si les signes cliniques de l'aci-o-oyanose chronique hypertrophiante pe
de rhumatisme tubercu- leux, dont le polymorphisme et la fréquence clinique ont été bien mises en lumière récemment par le
à des points de vue différents elle n'en garde pas moins son unité clinique et symptomatique. Mais quant à l'interprétati
Rev. génér. Sem. médic., 1900, p. 1). (2) LMMDE, loc. cil., p. 4. CLINIQUE MÉDICALE DE L'IFOPITAL SAINT-ÉLOI, DE VIONTPELLlE
MfATROPHI FACIALE PROGRESSIVE PAR CALMETTE, ET , PAGES, Chef de clinique médicale. interne des hôpitaux. Observation.
le célèbre Otto Schwann qui vivait en s'exhibant dans les diverses cliniques et en vendant la pho- tographie de ses deux pro
o-spinal ; c'est cette théorie qu'a exposée Brissaud dans une belle clinique sur les trophonévroses céphaliques. Quelle es
n nerveuse doit être transportée de la périphérie dans les centres. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
UIS ET PROGRESSIF PAR J. A. SICARD, LAIGNEL LA.VASTINE, chef de clinique Interne à la Salpêtrière. Parmi les nombreuse
mes chroniques classiques, ceux sanctionnés depuis longtemps par la clinique et qui sont sous la dépen- dance directe des ca
ro- gressive a débuté il y a plus de deux ans. Tel est le tableau clinique . Quel diagnostic nosologique porter ? : ' Il ne
ens musculaire telle qu'elle res- sort des travaux expérimentaux et cliniques de ces dernières années. J'ai longtemps hésité
psychologie ne doit ses progrès qu'à ceux de la physiologie, de la clinique , de l'anatomo-pathologie. Elle a devancé depuis
et GEORGES GUILLAJN. Professeur agrégé, Médecin de Bicêtre Chef de clinique à l'hospice Ste-Anne Nous avons observé, au cou
s par M. Dejerine qui a bien voulu nous communiquer son observation clinique . Nous sommes très heureux d'adresser à M. Dejer
l'autopsie, nous ne voulons pas essayer d'interpréter les symptômes cliniques par les résultats anatomiques. Toutefois nous fer
ARDIVE A FORME CINLB10-SPINAL>;, PAR RICHON Ancien Chef de clinique médicale. La syphilis héréditaire, précoce ou t
tion étiologique nous fasse complè- tement défaut et que l'histoire clinique abrégée nous donne des rensei- gnements insuffi
dans les membres. Le malade mourut trois ans et demi après le début clinique de la maladie (juillet 1901). Autopsie. - Symph
e- mander : Quelle est la nature du processus d'après Y évolution clinique , el sur- tout d'après les caractères anatomique
hie des circonvolutions atteintes, et paral- lèlement les symptômes cliniques d'irritation corticale, puis d'hémiplégie. Les
caractéristiques avec toutes les divergences secondaires, fatales en clinique et que nous voudrions noter rapidement. Si no
les lésions tuberculeuses des centres nerveux. A défaut de signes cliniques , le diagnostic peut être établi avec cer- titud
leurs ma- nifestations. D'autres exemples suggèrent au point de vue clinique la même comparaison (2). L'évolution complète
ffisantes. L'apparition, au sein des amyotrophies de quelques types cliniques nouveaux : amyotrophie Charcot-Marie ^atrophie
er, dans leur enseignemenl, le retour à la théo- rie uniciste. La clinique donne de plus en plus raison aux partisans de la
forcenl, chaque jour l'union de tous les types (1) Brissaud, Leçons cliniques , t. I. (2) RAYMOND, Leçons cliniques. MYOPATH
s types (1) Brissaud, Leçons cliniques, t. I. (2) RAYMOND, Leçons cliniques . MYOPATHIE ATROP111QUE PROGRESSIVE 109 d'amyo
ns de myopathie, bien classiques par l'ensemble de leurs caractères cliniques ,mais auxquelles s'ajoutent des symptômes qui im
nage des myopathies. On l'a ren- contré souvent dans les deux types cliniques que nous citons plus haut. De plus, il manque s
uvés dans des atrophies d'autre nature. Bref, dans bien des cas, la clinique a révélé des anomalies symptomati- ques un peu
bjectifs et subjectifs de la sensibilité. L'ensemble des caractères cliniques impose bien dans ce cas le diagnos- tic de myop
bsence de contractions fibrillaires forment un faisceau d'arguments cliniques en faveur de celte affection. Il est vrai qu'il
s malades 116 LANNOIS ET POROT cités par Brissaud dans ses Leçons cliniques avait des douleurs vives, atro- ces, généralisé
ractère mixte; mal- gré ses anomalies, nous lui gardons l'étiquette clinique de myopathie. Comme le fait remarquer Brissaud,
disparates une nouvelle répartition plus conformeaux données de la clinique et de l'anatomie pathologique ». FACULTÉ DE MÉD
à droite. L'examen des yeux pratiqué par M. C. Fromaget, ex-chef de clinique d'oph- talmologie, a donné les résultats suivan
xistence du tabès et de stigmates d'hérédo-syphilis. Les caractères cliniques de ce ta- bes rappellent le tableau du tabes in
TE NÉOPLASIQUE PAR MM. P. SPILLMANN et L. HOCHE Professeur de clinique médicale Chef des travaux d'anatomie pathologique
produisirent dans le membre inférieur gauche. La malade entre à la clinique le 21 novembre 1898. C'est une fille de con- st
ion de cette lésion méritent quelques considérations anatomiques et cliniques . - Considérations anatomiques. Nous avons vu
ent par le tissu névroglique néoplasique lui-même. Considérations cliniques . Les lésions médullaires étant connues, il nous
étant connues, il nous est loisible de reprendre un à un les signes cliniques et de chercher il les rapporter à leur cause pr
us pouvons ajouter celles-ci : 1° La tumeur a d'après l'évolution clinique débuté vers les racines C : . 'III et D.I. 2"
de l'hôpital Tenon le 29 mai 1902, à l'âge de 36 ans. Son histoire clinique a été publiée par nos collègues dans la Nouvelle
, 1888, p. 251 et 1889, p. 235. (4) DUCNESNEAU, Etude anatomique et clinique de l'acromégalie, Thèse de Lyon, 1891-1892. (
rre Roy, Glycosurie el hypophyse. Arch. gén. de méd., 5 mai 1903. CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE BUDAPEST (SERV
UX (1), PAR Charles HUDOVERNIG, et Uros Pétry POPOVITS, Chef de clinique . Interne. Dans son travail Sur le Gigantisme, p
hyse, dont l'importance physiologique aussi bien que les phénomènes cliniques causés par ses altérations pathologiques, échappe
rps similaire au sucre se sont seulement rencontrées. Les symptômes cliniques ne démontrent pas avec certitude l'agrandissement
et peut-être aussi des or- ganes génitaux. Si de nombreux rapports cliniques et pathologiques ten- dent à prouver que la cro
-Marne). Un accouchement simiesque. 17° Année N° 4 Juillet-Août CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (HOSPICE DE LA
er, à propos de deux malades qui ont été présen- tés récemment à la clinique de la Salpêtrière, un problème de diagnostic et
sibilité profonde des muscles : c'est le contraire de la conception clinique d'une contracture hystérique. Les paralysies et
es corticaux correspondants, et, dans les deux cas, la constatation clinique d'anesthésie. Enfin, dernière remarque, il n'es
, mais qui ont cepen- dant une grande fréquence et une grande unité clinique . Ce sont les symptômes de la psychasthénie, név
dans les urines élimine, indépendamment de la différence de tableau clinique , l'idée de névrite des diabétiques. L'irrégular
teurs de l'épaule et rotateurs du bras répond mieux à l'observation clinique . Les antécé- dents héréditaires du malade, son
rte pas moins d'établir entre ces deux affections une dis- tinction clinique aussi nette que possible. Les spasmes fonctionn
type Bl·issa2ld, sont aujourd'hui bien connus (1). C'est une forme clinique dont les exemples se montrent cha- que jour plu
dans le sens de la largeur totale. FACULTÉ DE MEDECINE DEjLYON CLINIQUE DU PROFESSEUR JABOULAY ARTHROPATHIE NERVEUSE TR
IE NERVEUSE TRAITÉE PAR LA RÉSECTION PAR Maurice PATEL, Chef de clinique chirurgicale. ET Paul CAVAILLON, Interne de
ever au sujet de cette observa- tion, soit au point de vue purement clinique , soit au point de vue chirur- gical ; ce sont s
tes de lésions est encore des plus discutées. I. De tous les signes cliniques décrits dans cette observation on peut conclure
s acci- dents infectieux et thermiques arrivent é, dominer la scène clinique et à 262 PATEL ET CAVA1LLO1V " . imposer l'in
umière. Il est vrai que Babinski a singulièrement diminué la valeur clinique de ce signe depuis qu'il a montré sa fréquence ch
(Na- geotte), nous ne pouvons pas nous contenter d'un simple examen clinique pour accepter ou rejeter les formes de tabes et
inie, d'autant que Klippel préfère la définir : « ..... un syndrome clinique commun à des toxines diverses, en- traînant des
ofesseur Brissaud, qui avec tant de bienveillance m'a admis dans sa clinique et dans son laboratoire, et m'a permis la publi
EC (de Piaâue). J'ai publié dans les Archives bohèmes de médecine clinique (t. III) un cas d'hystérie et un cas de névrast
t précisés, et que les malades étaient soumis à un véritable examen clinique . On recherchait surtout chez eux l'existence de
infil- tration graisseuse dissociant les faisceaux. . Observation clinique . Grâce à une heureuse coïncidence, nous avons p
neuses ; enfin par l'existence de fibres divisées en Y. L'évolution clinique , cette ébauche de tissu plexiforme, ces tubes e
ratiquer qu'une seule au- topsie chez une malade dont l'observation clinique se trouve dans la thèse de Chenais (1). Cette f
oco cilalo, Obs. XIII. 360 MAURICE DIDE tude de cette distinction clinique très importante. D'autre part, la stupeur catat
EL et qui disparaît au pâturage ne saurait répondre à la définition clinique du tic : trouble psychomoteur. Un tic de léchag
n outre excès d'intensité des con- tractions musculaires. L'étude clinique établira à quelle catégorie de troubles moteurs a
MM. Séglas, Henry Meige et Feindel, est confirmée, au point de vue clinique et étiologique, par un cas de stéréotypie humaine
ues, troubles de réflec- tivité, etc., stigmates physiques. Étude CLINIQUE . . 1. Phénomènes moteurs. - Le cheval atteint d
typies » (3). Nous ne voudrions pas pousser plus loin les analogies cliniques entre les mouvements stéréotypés des chevaux lé
me et de subconscience des actes moteurs des animaux, l'observation clinique autorise du moins cette tentative d'interprétat
que nous avons faites sur le cheval, que les plus grandes analogies cliniques et étio- logiques existent entre les stéréotypi
nt de l'Université de Moscou. ET Jean WEDENSKY, Médecin de la Clinique psychiatrique de Moscou. Le délire alcoolique
ces malades avaient eu des accès de delirium tremens. Le tableau clinique du délire alcoolique continu au début se développ
a été mentionnée par le professeur S. S. Korsakoff dans les examens cliniques des malades; S. S. Korsakoff pensait que les ma-
être fondé sur des bases solides. Si le malade présente le tableau clinique de delirium tremens avec prédominance des hallu
re d'une manière très prononcée de cette der- nière par son tableau clinique , par son cours et par son pronostic. La littéra
eurs ou paranoïa alcoolique ». A.-F. Erlitzky (3) dans ses « Leçons cliniques sur les maladies mentales », sans examiner le d
e légale, 1900, t.II, Moscou (en russe). (3) A.-F. ERLITZKY, Leçons cliniques sur les maladies mentales, Saint-Pétersbourg, 1
maladie susnommée (lésion de l'appareil auditif) et dans le tableau clinique (caractère différent des hallucinations, existe
s anglais, il faut indiquer Clouston (2), parlant dans ses « Leçons Cliniques » de la possibilité pour le delirium tremens, sur
ous forme de folie partielle. Passant à l'analyse du matériel de la Clinique Psychiatrique de Moscou concernant le délire al
al, nous trouvons que sur 4813 malades psychiques, enregistrés à la Clinique Psychiatrique de Moscou, depuis 1887 jusqu'au 1
ne; il faut remarquer que quelques-uns de ces malades ont visité la Clinique pendant bien des années. La plus grande majorit
ces malades (1) Magnan, L'alcoolisme, 1874. (2) CLOUSTON, Leçons cliniques sur les maladies mentales, Traduction russe. Sain
ET WEDENSKY par rapport à la totalité des malades psychiques de la Clinique Psychia- trique (4813), pour définir la fréquen
fel P. Gannoucllkille. Ces auteurs, se basant sur le matériel de la Clinique Psychiatrique de Moscou, ont pu établir que la pr
B. Gannouchkine et S. A. Soukhaiiof (`2), étudiant la signification clinique de la contraction idio-musculaire dans les mala
ins états hallucinatoires. (1) A. Bernstein, Sur la signification clinique de la contraction idio-musculaire chez les alié
IlKINE et S. SOUKHANOFF, Contribution à l'étude de la signification clinique de la contraction idio-musculaire dans les maladi
raction idio-musculaire dans les maladies mentales, Journal (russe) clinique , 1901, no 5. LE MAILLOT DE L'ENFANT D'APRÈS L
scientifiques qu'elle a publiés, la collection de ses photographies cliniques et microscopiques, ses articles d'histoire et d
ues chez le chef de l'Ecole de la Salpêtrière. A côté des documents cliniques , il sut faire une place aux oeuvres d'art dans
rateur de Charcot, M. Paul Richer, publia, à la suite de ses Eludes cliniques sur la Grande Hystérie (2), un appendice (15fi pa
ait Charcot, celle qui orne depuis plus de vingt ans les murs de la Clinique de la Salpêtrière, et que tant d'étrangers ont pu
82 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
AVEC ALIÉNATION MENTALE TRANSITOIRE ; par le I)rll. BLAISE, chef de clinique a la Faculté de médecine de Montpellier. 'Y')
0. DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 61 24 octobre 1873, à la société clinique de Londres, est basé sur cinq cas observés par
de déterminer la nature et les lésions anatomiques de ce syndrome clinique . Les malades de Gull ne présentaient d'ailleurs
s d'étudier les lésions anatomiques. C'est toujours le même tableau clinique . Mais il ressort de l'examen nécroscopique que
es ou des lépreux. Et cependant rien de semblable ne s'observe en clinique . Il y a mieux, les malades atteints de myxoedèm
liatif. Le 12 novembre 1880, Dyce Duckworth présente à la Société clinique de Londres, une note sur deux nou- veaux cas de
l'état cachectique de la malade. Dans la même séance de la Société clinique de Lon- dres, M. Maddon parle d'un cas qu'il a
olution de Broca. L'ana- tomie pathologique, aidée et guidée par la clinique , l'a établi ; et, récemment, l'étude du somnamb
M. Peter, où les lésions corres- pondent exactement aux phénomènes cliniques observés pen- dautla vie : l'anomalie n'était q
r les cas oùles auteurs, comme M. Farte, s'appuient sur des faits cliniques seulement, sans avoir les pièces anatomiques en
elTedz'cal Sciences, n° de janvier 1881.) / Cette étude historique, clinique et expérimentale se termine par les conclusions
n ne trouve pas, à l'appui de son, existence, une seule observation clinique complète; mais comme on a observé l'amaurose sy
rique elprali- '< que des maladies mentales'; cours "donné à la, clinique des établissements d'aliénés' à Gand, t par z %
uera une monomanie ou une monophrénie. Replacé sur le terrain de la clinique , il se montre, comme toujours, observateur plei
ions de malades on ne peut plus heureuses. Au nombre des tableaux cliniques les plus réussis et les plus vrais, il faut cit
s (thèse de Paris, 1881). De la contraction idio-nztscul(ii),e en clinique ; par D. L B13É, (thèse de Paris, 1881). Rech
re de travaux scientifiques parmi lesquels nous citerons son Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, 48,ï0. M. le Dr
ALIÉNATION MENTALE TRANSITOIRE ' ; 1; Par la D H. BIAISE, chef de clinique u la Faculté de médecine de Montpellier. Nous
lingère, âgée de trente-quatre ans et née à Montpellier, entre à la clinique des vieillards (service de M. Grasset), au mois
philitiques, on avait institué, quelque temps après son entrée à la clinique , un traitement spécifique. Pendant environ troi
is les documents sont encore insuffisants pour édifier une histoire clinique complète. Cependant, les observations nouvelles
enses progrès réalisés par le microscope, n'est-on pas obligé, en clinique mentale, d'invoquer à chaque pas l'alté- ration
è- rement les idées émises par notre savant maître dans une leçon clinique faite à l'occasion de notre malade. 31. le prof
uu t`uua pulUieruua p`uclt,`tnu- `uenl. (1'ote cle la eclactaou.) CLINIQUE NERVEUSE \Ol'RS I'O(;lt aCR\'Ili .1 L'lll : i'l
e sait pas reconnaître même les lettres, il est difficile d'ap- 164 CLINIQUE NERVEUSE. précier au juste son acuité visuelle
x mains, regarde fixement, demande « à boire, à boire », tou- 166 CLINIQUE NERVEUSE. jours sans avoir repris ses sens, com
rnhkique, t, t, 187f,, p G. 11f1. I I ; I. lll. ISn, p. l'.i. 168 CLINIQUE NERVEUSE. applique un vésicatoire volant large
t ? fpo ? N'yMec ? N/- f/)' ! <'rf,lS7C-)8 ! iO,t.),Uet)n. 170 CLINIQUE NERVEUSE. il est impossible d'après ces deux fa
ant enfant, elle a eu des douleurs de croissance. 1 Briquet. Traité clinique rt thérapeutique de <'Av ! /f')';f, )Mf., DE
jonctive sans provoquer aucun réflexe, ni mouvement des pau- 172 CLINIQUE NERVEUSE. pières ou de l'oeil, ni sécrétion de
convolutions voisines. Aussi ne connait-on pas encore les symptômes cliniques qui répondent aux lésions du lobule de l'insula
jours. Il serait difficile, en présence de cette pénurie de données cliniques , d'affirmer s'il s'agit dans ce cas d'épilepsie
rdieu. Étude médico-légale sur la folie, Paris, 1880. Morel. Éludes cliniques .- ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 195 d'une hyst
et demi jusqu'à dix ans et demi une cépha- Jules Simon. Conférences cliniques et thérapeutiques sur les mala- dies des enfant
Gueneau de Mussy. Erotisme de la ménopause. (Gaz. hebd,, 1870, et Clinique médicale, t. 11, 343; Paris, 1875. 14 210 REV
érer comme microcéphales, c'est-à-dire comme idiots au point de vue clinique , que les individus pré- sentant une atrésie pro
sur les aliénés criminels. M. CHRISTIAN, se plaçant sur le terrain clinique , ne veut pas revenir sur les objections qui ont
uve aucun embarras à être de l'avis de M. Christian au point de vue clinique , mais en me plaçant comme le fait le magistrat
hebdomadaire de 1877 et 78), fait ressortir les différen- ciations cliniques de ces deux observations. Elles ont de commun l
y (de Strasbourg). Par les recherches entreprises sur ce sujet à la clinique du professeur, M. Lehmann se proposait de contr
cérébrale passagère, qui, éphémère, échappe à nos in- vestigations cliniques . Quant aux troubles de la vue d'une durée quelc
perception, hallucinations). Aussi doit-il avouer que le symptôme clinique en question est extrêmement rare à l'état de pure
u pneumogastrique ? Est-ce à l'anémie du bulbe ? Ca. F. VI. Etude clinique sur la névralgie iléo-lombaire symptomatique des
passage montre que, depuis longtemps, on a remarqué deux phénomènes cliniques souvent signalés par nous, à savoir l'haleine f
TEINTURIER. FAITS DIVERS Faculté DE médecine DE Paris. Chaire de clinique des maladies nerveuses. Par arrêté, en date du
ltes, il est créé, à la Faculté de médecine de Paris, une chaire de clinique des maladies du système nerveux. Par un autre d
médecine de Paris, est transféré, sur sa demande, dans la chaire de clinique des maladies du système nerveux. Faculté de méd
^, 1881, Barth et C"=. Breslau. Bourneville et d'Ouïr. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
lau, imp. Gen, Ursuli- nerstrasse, iiù 1. LELOIR (H.). Recherches cliniques et anatomo-palhologiques sur les affections cut
umsx, imp. -382. Vol. III. Mai 1882. ? 9 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE UN CAS D'IIG111LÈSION DE LA MOELLE ÉPI
peres- thésie plus ou moins étendue au-dessus de la zone 18 27t CLINIQUE NERVEUSE. anesthésique ; 5° élévation absolue o
-même ; et en J876, dans une thèse intitulée Contribution à l'étude clinique des lésions unilatérales de la moelle épinière,
moelle. Les causes qui sont susceptibles d'engendrer le ta- bleau clinique tracé par M. Brown-Séquard sont très variées ;
u mamelon sont hyperosthésiés : la piqûre superficielle d'une 276 CLINIQUE NERVEUSE. épingle est douloureusement ressentie
ne est normale (1,500 gr.). Le pouls est toujours irrégulier. 278 CLINIQUE NERVEUSE. Le 20 mars, le retour des fonctions m
nducteurs spéciaux pour chaque mode spécial de sensibilité. 280 ' CLINIQUE NERVEUSE. La paralysie vaso-motrice avait les m
e survenir le neuvième jour, n'a- différé ni par ses carac- tères cliniques , ni par sa localisation, des arthro- pathies re
bé à une nouvelle attaque de rhumatisme compliqué de pleurésie 2812 CLINIQUE NERVEUSE. s'étend non seulement à la peau et au
nverse de celui suivant lequel elles l'ont recouvrée; mais le 28 il CLINIQUE NERVEUSE. l'insensibilité revient d'abord sur u
ionnels de la vision par les lésions cérébrales. Paris, 18S9. 286 CLINIQUE NERVEUSE. est diminuée. Cette dysesthésie peut,
récie, tantôt dilatée ; 31. Gowers, dans son traité tout Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'leystéro-épileysee et l'h
éi-ie, 1876, p 120, 157; et Iconogi-. de la Stilpét-zèi-e. 2 Etudes cliniques sur ? ty<M;'0-3 ! p ? e, 1881, p. 38. 288 cl
. 2 Etudes cliniques sur ? ty<M;'0-3 ! p ? e, 1881, p. 38. 288 clinique nerveuse. récent, manque de clarté et de précis
t tout à fait caractéristiques dans l'hystéro-épilepsie, 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. quand j'aurai dit qu'ils sont netteme
l lueination. 1 Ch. Féré. Société de biologie, décembre 1SS1. 292 CLINIQUE NERVEUSE. Nous sommes parti de cette idée pour
e. il, 1('ieuer med. 1l'oclemsck., 1J60, u 3 : .> ct 33. 2M se CLINIQUE NERVEUSE. une irritation du centre oculo-pupill
. 328. - 1liéoiie physiologique de l'hallucination, 1881, p. 8. 296 CLINIQUE NERVEUSE. du globe oculaire, ce même dédoubleme
ambridge, 1878. (Bi-ilish. med Journ. August 28, 1878, p 329. 298 CLINIQUE NERVEUSE. sujets, dont le caractère particulier
sse. Le travail a commencé dans la nuit du t9 au 20 novembre, 300 CLINIQUE NERVEUSE. vers neuf heures et demie du soir. Qu
l'épine et à 2 centimètres en dessous de la ligne bi-iliaque. 302 CLINIQUE NERVEUSE. Le 20 décembre, les points douloureux
e des sensations dont nous venons de parler, est suivie d'une 30t clinique nerveuse. attaque de contracture analogue aux p
qu'il permettait d'ar- 1 Progrès médical, 1878, p. 993. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE. rèter l'attaque aussi longtemps que l
ue gauche, en place. (D'après une photographie de M. Loreau.) 308 clinique nerveuse. considérable pour se rendre maître d'
n nombre de classes différant les unes des autres par des symptômes cliniques et par des lésions anatomo-patho- logiques. A c
l'idiotie (Archives de neurologie, t. 1, p. 69, 391), et Recherches cliniques et </tn'6). sur l'epilepsie, l'hystérie l'id
mentation ne peut que servir à guider et à corroborer l'observation clinique . Les faits tirés de la pathologie humaine sont
ésion manque de précision. Si nous considérons l'ensemble des faits cliniques dans les- quels nous trouvons des défauts visue
diqué ailleurs '. Lorsqu'il s'agit d'amblyopie cérébrale, les faits cliniques purs ont presque la même valeur que les faits s
sion qui produit les autres symptômes cérébraux. Les faits purement cliniques d'hémianopsie qui peuvent, comme l'amblyopie, s
possible que la syphilis puisse imiter l'ataxie; mais les symptômes cliniques du tabes syphilitique ou non syphilitique sont
me. Mais il ne faut pas s'attendre à y rencontrer de nouveaux faits cliniques ou expérimentaux, attendu que l'oeuvre entière
idences des lésions dans un certain nombre de cas, où les relations cliniques présentaient une analogie étroite, sinon une id
ital cl celui de l'oeil dans le lobe frontal. » E. li. XIII. Etudes cliniques sur ? M/4<d ! 'o-t'pepStC ou grande hystérie;
robabilités en fa\eur ou non d'une corrélation entre lès phénomènes cliniques et les lésions. s'agissait,en second lieu, de d
ellules pyramidales. (\111. 13oucliard et Sommer.) La corrélation clinique avec localisation spéciale une fois établie, l'
t en juger, par son anatomie pathologique. Cu. F. XVII..RM/iO'c/tes cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie ; par Martial
es enveloppes ; 1r Emm. 13c thèse de Paiis, 1881. 1. Considérations cliniques sur la folie épileptique et particulièrement sur
gramme des concours. foi2élé2)a, un anonyme. Elucider par des faits cliniques et au besoin par des expériences la et la théra
e du), har Bauney, 3r"i. Cervelet (atrophie du), 360. Chaire de clinique des maladies du système nerveux, 268. Cloree
at mental des), par Hucbard, 187. 111'SLet'O-i'1111el1Sle (étmlcs cliniques suri'),par Richer, 371 ; - (notes llour servi
83 (1934) Oeuvre scientifique
aussi bien qu'à l'hôpital et de me cantonner dans le domaine de la clinique . Je ferai passer devant vous un certain nombre
surtout de vous enseigner la sémiologie qui est le fondement de la clinique . J'estime que les erreurs de diagnostic provienne
l'état mono-symp- tomatique ce signe ne semble pas avoir de valeur clinique . Il n'en a pas non plus quand il coïncide avec
flexes tendineux est, comme vous le savez, une pratique courante en clinique neurologique; il est essentiel, en effet, de co
is que l'on veut résoudre le problème qui se présente si souvent en clinique , de distinguer des manifestations hysté- riques
r confiance. Il QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR L'INTERROGATOIRE EN CLINIQUE ET LES SYMPTOMES SUBJECTIFS. [J. Babinski.] C
re entretien avec lui, il a de temps en temps des INTERROGATOIRE EN CLINIQUE ET SYMPTÔMES Sf7/ ! JSCV7FS 17 7 sursauts occas
cas où la tromperie serait singulièrement aisée : INTERROGATOIRE EN CLINIQUE ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS 19 tel sujet atteint au
'avaient pas encore été soumis à des examens ocu- INTERROGATOIRE EN CLINIQUE ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS si laires. Nous n'avons
ès tout ce qui lui avait été dit par les médecins INTERROGATOIRE EN CLINIQUE ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS 23 appelés à la soigner
ratifs. Mais ce que j'ai dit s'applique à toutes les branches de la clinique , entre lesquelles, d'ailleurs, il n'y a pas de cl
cette relation était soit incontestablement établie par l'ensemble clinique ou par un examen nécroscopique ultérieur, soit tr
ante. Nous aurons à revenir sur ce fait et à montrer son importance clinique à propos de « l'inversion du réflexe du radius
ullaires avec une approximation suffisante pour les exigences de la clinique . On trouvera groupées dans le tableau ci-dessou
boli. La gravité de pareilles erreurs est proportionnée à la valeur clinique du symptôme en question. L'erreur qui consiste
ge; nous préférons une classification moins physiologique mais plus clinique , semble-t-il. Au point de vue qui nous occupe
plusieurs départements, demeure indéfiniment la seule manifestation clinique du tabès. D'autres formes de la maladie se trad
nes, par une abolition des réflexes tendineux ; 2" des observations cliniques où les réflexes tendineux et la sensibilité s'a
tion idio-musculaire. 64 SEMIOLOGIE ' ' Toutes ces manifestations cliniques que nous venons de décrire per- mettent nous y
tension réflexe du gros orteil. En se plaçant au point de vue de la clinique , je crois qu'il est préférable de dissocier ces
uels ils peuvent s'associer ou se disso- cier ont une signification clinique qu'il me parait intéressant d'indiquer. Dans le
une dégéné- ration du faisceau pyramidal ; l'autre a des analogies cliniques avec la rigidité de la maladie de Wilson(') ; e
c'est, du moins, ce qui semble ressortir des observations anatomo- cliniques recueillies jusqu'à ce jour. Je reviens à la cl
s anatomo- cliniques recueillies jusqu'à ce jour. Je reviens à la clinique . La rigidité musculaire de cette forme de para-
La question me paraît donc définitivement jugée. Au point de vue clinique , il était essentiel de la résoudre, et c'est pour
orté généralement, même chez un sujet jeune atteint d'hé- (') Leçon clinique faite à l'hôpital de la Pitié. 92 SÉMIOLOGIE
comme capable d'engendrer des paralysies identiques au point de vue clinique à celles qui dépendent d'une lésion de l'encéph
n de leur localisation spéciale, présentent quelques particularités cliniques relatives à la motilité, qui contribuent encore
s occupant l'hémisphère droit ? VIII RÉFLEXES DE DÉFENSE. ÉTUDE CLINIQUE rJ. Babinski.] Publié dans la Revue Neurologi
dans une série de communications, contribué à pré- ciser la valeur clinique des réflexes de défense et j'ai cherché à tirer d
irer de leur étude des indications pratiques : c'est sur ce terrain clinique que je veux rester dans cet article, mettant ab
uestion n'a, du reste, qu'une importance secondaire au point de vue clinique ) et je considé- rerai les réflexes de défense p
es, il nous a été possible d'établir plu- sieurs fois un diagnostic clinique de tumeur extra-dure-mérienne. Depuis le début
pou- voir dire que la question est fort simple en ce qui regarde la clinique , les moyens qu'il faut employer pour mettre en
n des plus communs et l'on a couramment l'occasion de l'observer en clinique . On le constate ordinairement chez des malades
ur ce qui vient d'être dit, des médecins encore peu expérimentés en clinique neurologique et n'ayant pas la vision précise d
e d'être d'une exploration très facile et d'avoir une grande valeur clinique puisqu'il décèle l'existence d'une perturbation d
de la triple flexion. Mais envisageant la question du point de vue clinique et, comme je l'ai dit dans mon travail sur les
'il y a de mystique à se cantonner dans le domaine de l'observation clinique ; j'aurai plutôt mérité le reproche d'être « te
cité autrefois, à l'appui de mon.opinion, une Observation anatomo- clinique relatée par Dejerine, Lévi-Valensi et Long(') : i
ent occupés, j'ai cherché d'abord à faire une description des faits cliniques suffisante pour bien délimiter mon sujet. Je croi
es anglais et les ont inspirés dans leurs interprétations des faits cliniques observés. Le nom de Philipson, collaborateur de
de relation directe, constante entre la gravité des manifestations cliniques et la dégénération descendante secondaire. Une
paraplégie, celle en extension et celle en flexion, des caractères cliniques distinctifs, au milieu desquels les réflexes de d
anatomo-cliniques recueillies jusqu'à ce jour. « Je reviens à la clinique . La rigidité musculaire de cette forme de para-
nts de vue, cette conception pathogénique cadre avec la description clinique que j'ai faite antérieurement de la paraplégie en
proposons d'établir dans cette étude, c'est que la distinction, en clinique , entre les mouvements réflexes et les mouvements
énomène que nous venons de décrire a, selon nous, une signification clinique de quelque importance. Cette réapparition de la
e tra- vail, la description des phénomènes que l'on observe dans la clinique humaine ; toutefois, il nous a paru indispensab
eloppement dans des cas où l'hypotonie, telle qu'on la recherche en clinique , faisait complètement défaut. Nous ne saurions ad
ASYNERGIE CÉRÉBELLEUSE. Nous avons été conduit par l'observation clinique à rassembler, sous la dénomination d'asynergie
lité des troubles observés chez l'animal à une période donnée. En clinique humaine le terme ataxie a été pris dans des accep
imparfaite- ment. Il est à désirer qu'à l'avenir les descriptions cliniques , et particulière- ment en ce qui concerne ladit
eut, dans certaines conditions exceptionnelles, reproduire l'aspect clinique de l'ataxie locomotrice. « Au préalable, écri
tendu, que de la sensibilité consciente telle qu'on la recherche en clinique , car comment déceler des troubles de sensibilit
vés chez les cérébelleux diffèrent essentiellement dans leur aspect clinique et dans leur mécanisme pathogénique de ceux qui
nimal exé- cutait des actes compensateurs venant changer le tableau clinique . Il rechercha « les modifications que subit l'a
t la section des racines postérieures. Il reconnait dans le tableau clinique présenté par le chien, outre les symptômes qu'i
qui ont été soumis à la réfrigération. C'est à l'étude des faits cliniques que M. Bordier s'attache surtout. Il a observé,
erse : il a conduit quelques observateurs à dénier toute importance clinique à la lenteur de la secousse quand elle disparaît
e à ce qu'on publie de préférence les observations où le diagnostic clinique a été vérifié par l'examen pratiqué à l'autopsie
x prati- ciens qui ne sont pas familiarisés avec les finesses de la clinique neuro- logique et de la chirurgie crânienne.
le spasme musculaire. Si maintenant on considère que les caractères cliniques du spasme du cou chez le malade que je vous pré
al et des exostoses ostéogé- niques. Voici, résumée, son histoire clinique : C... Emile a 17 ans 1/2. Antécédents hérédita
sistèrent et se compliquèrent d'un procolis. (1) Voir Kirmisson, la Clinique , rer mars igia. Attitude scoliotique provoquée pa
, regarde la cuisse par sa (') Les photographies de l'article de la Clinique montrent que le membre supérieur avait, il y -a a
est atteint, d'une part, d'un torticolis ayant tous les caractères cliniques du torticolis dit mental, d'autre part, de mouv
texte de la Revue neurologique, la relation des différents examens cliniques , de spécialités, de laboratoire et des tests biol
refois, sur deux ordres d'arguments, les uns théoriques, les autres cliniques . En ce qui concerne les arguments de la Ire cat
ulbaires unilatérales. Nous allons exposer les faits anatomiques et cliniques , en partie nou- veaux, qu'il nous a été donné d
ire du côté opposé. Les faits anatomiques s'adaptent bien aux faits cliniques . L'hémianes- thésie droite doit être sous la dé
se inaugurale (t885) à la sclérose en plaques : Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques (i vol., 15o pages, ch
érieurs, de paraplégie spasmodique, qui se distingue par son aspect clinique et ses caractères anatomiques. Voici d'abord l'
es autres, on doit remarquer que les trois malades, au point de vue clinique , à côté de quelques particularités individuelle
ant encore la déformation. Il y a lieu de rechercher si cette forme clinique de paralysie spasmo- dique correspond à un état
tout au plus que partiellement altérés (2). (1) Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques, par J. Babinski. Thès
ire ressortir les qualités, je la mettrai en parallèle avec le type clinique décrit par Erb sous la dénomination de paraplég
eut être liée à des processus anatomiques variés, constitue un type clinique qu'il est permis d'opposer, à certains égards, au
lié dans la Revue Neurologique, n° 12, décembre 1921. L'observation clinique que nous rapportons est celle d'une malade de d
osseuse. En terminant, nous ferons remarquer que cette observation clinique met en évidence l'indépendance de la sécrétion
l ressort qu'il y a intérêt à rechercher systématique- ment dans la clinique des maladies nerveuses le réflexe du tendon d'A
ysionomie des crises gastriques tabétiques, en dehors de tout signe clinique et biologi- que de tabes ; 2° Les caractères
tieuse, parce que les troubles oculaires présentent les caractères cliniques appartenant à cette névrite. Parinaud a obser
nalogies pouvant induire en erreur, se distingue par des caractères cliniques bien tranchés du tabes, ainsi que du pseudo-tab
xer, en réunissant de nombreuses observations, le type ou les types cliniques que peut revêtir le rétrécissement du champ vis
suel. Dans la quarantaine d'observations qui forment notre matériel clinique , nous constatons que dans la grande majorité de
. Du rétrécissement hémiopique du champ visuel chez les tabétiques ( Clinique ophtalmologique, igo2). Kahler. Les symptômes p
ltats de cet examen anatomique viennent confirmer les données de la clinique et en vérifier tous points de notre diagnostic. I
ions de la moelle sont déjà très étendues, et si, grâce aux données cliniques anciennes jointes à celles qui ont été récemmen
y préalablement fondue. Le Dr Géraudel, chef du laboratoire de la clinique du Pr Vaquez, a bien voulu examiner la pièce. V
ges de la notocorde. Le Dr Herrenschmidt, chef du laboratoire de la clinique du Par Delbet, après avoir examiné les préparat
pas sur la concordance entre les données fournies par l'exploration clinique (niveau de l'anesthésie, niveau de la zone des
e du 15 décembre ig2 ('). Nous rapportons aujourd'hui l'observation clinique de cette malade et nous chercherons à interprét
re des constatations anatomiques, cherchons à interpréter les faits cliniques observés. Ces faits peuvent être divisés en deux
union ou par les traits qui leur sont propres, réalisent un tableau clinique spécial. Lorsqu'elles sont arrivées à un terme
ence des mouvements spasmodiques. On pourrait appeler cette variété clinique : paraplégie spasmodique, type « extension-flexio
n de la moelle échappent à cette définition ; mais là où ce tableau clinique se trouve réalisé la compression ne sau- rait g
ntra-médullaire, soit à une pachymé- ningite limitée, où le tableau clinique paraissait semblable à celui des (') J. Babinsk
tion doit être maintenant posée. L'hémispasme avec les carac- tères cliniques particuliers que je viens de passer en revue reco
'est tout bonnement une question d'observation et d'expérimentation cliniques . Je prévois une objection que l'on pourrait me
e, c'est que j'ai observé au préalable d'autres cas ayant un aspect clinique identique et tout à fait spécial, que j'ai pu rep
paravant observé des cas de monoplégie ayant les mêmes carac- tères cliniques , qu'il nous a été possible de guérir exclusivemen
un cas, par persuasion, et que l'on démontre qu'il a des caractères cliniques spéciaux, distinctifs ; on sera ensuite, mais a
devoir vous rappeler certaines défini- nitions plus théoriques que cliniques qui ont été proposées. Selon Moëbius, on peut r
si l'on veut rester dans le domaine des faits, sur le terrain de la clinique , ce sont les manifestations hystériques seules qu
tiel de l'hémiplégie organique et de l'hémiplégie hystérique. Leçon clinique faite par J. Babinski à la Pitié (Gazette des Hôp
abord abstraction de toute idée théorique, se placer sur le terrain clinique . Quand disons-nous qu'un individu est hypnotisé ?
la Salpêtrière, où j'eus l'honneur d'être de 1885 à 1887 le chef de clinique de Charcot, je fus, à mes débuts, imprégné des id
mais cette impuissance tient peut-être à ce que nos investigations cliniques n'ont pas été encore assez pénétrantes, et il e
stériques en apparence spontanés n'a jamais été niée; l'observation clinique l'établit avec une telle évidence qu'une pareil
ives hystériques ». Toutefois, s'appuyant sur certains carac- tères cliniques et sur l'étude « des moyens de provoquer et de fa
nombre de neurologistes, et que je crois solidement fondées sur la clinique et la logique. Pour ce motif, j'ai cru devoir p
avec Charpentier, Jarkowski et Plichet, et qui, par certains côtés cliniques , éveillent l'idée de phénomènes hystériques, dont
rte le nom qu'on leur donne pourvu qu'on sache par quels caractères cliniques ils se dis- tinguent). Il ne me paraît pas néce
ques que j'ai connues il la Salpê- trière alors que j'étais chef de clinique , et que j'ai pu suivre durant des années. 52(
le service du professeur Pitres, en quatre années, dans une salle de clinique générale de 38 lits, passaient 22 cas d'hystéri
i que nous sommes avertis, l'hystérie a à peu près disparu de notre clinique hospitalière, pour se réduire à un substratum men
s déjà suffisamment expliqués à cet égard. ' Quelle signification clinique convient-il de leur attribuer ? Ils ont exacte-
ofonde, ni de la réflectivité, ni de la vaso-motricité. Aucun signe clinique ne permet de les distinguer des contractions vo
groupe de faits assez nombreux qui . se présentent sous des aspects cliniques particuliers, et qui ont une véritable autonomi
e même de chacun des éléments constituants. Il en résulte des types cliniques divers qui, malgré leurs dissemblances, paraiss
suivirent; la thèse inaugurale de Valtat C) qui comprend une étude clinique , une étude expérimentale et un historique détai
atrophie musculaire consécutive aux maladies des articulations (Etude clinique et expérimentale), Thèse, Paris, 1872. (1) J.
ces descriptions plu- sieurs des éléments fondamentaux du syndrome clinique que nous étudions : l'atrophie musculaire avec
e nerveux. Voici ce que A. Pitres écrivait en 1891, dans ses Leçons cliniques sur l'hystérie à propos d'un malade atteint d'a
e la secousse musculaire obtenue par percussion et sa signification clinique (étude par la méthode graphique), Société de Neur
e de dégager au milieu des diversités symptomatiques quelques types cliniques qui s'imposent à l'attention : la paralysie amy
aphique, vient confirmer le résultat de nom- breuses investigations cliniques , elle montre que la lenteur de la secousse musc
la secousse musculaire obtenue par per- cussion et sa signification clinique (élude par la méthode graphique). Société de Neur
de Neurologie, 2 mars Ig 1 G. C) G. Guillain et J.-A. Barré, Forme clinique de la névrite ascendante. Presse Médicale, 3 avri
que nous avions vu nous-même à la Salpêtrière. Nos hystériques de la Clinique Charcot qui présentaient une hémi-anesthésie cl
u membre blessé. Dans le cas que nous venons de relater le problème clinique était extrêmement simple ; il était très facile
t de les étudier à l'état d'isolement, il ne faut pas oublier qu'en clinique les faits sont ordinairement moins simples et l
aut pas se croire tenu à formuler un diagnostic simple. Le problème clinique consiste ordinairement à discerner les divers é
is longtemps frappés et dont nous avons cherché à faire une analyse clinique précise, dénote, d'une manière évidente, l'entrée
re cependant de faire des réserves sur l'assimilation de ce tableau clinique à ce que l'on observe en expérimentation : dans c
culato ? 're sur le fonctionnement de l'appareil musculaire. L'étude clinique nous a montré que les perturbations vaso-motric
à première vue, y avoir une certaine contradiction entre les faits cliniques que nous observons et les faits expérimentaux pui
diminuent progressive- ment d'étendue. Ainsi donc, dans les faits cliniques étudiés par nous, l'amplitude de la secousse mu
rturbation. » A la lumière de ces données physiologiques, les faits cliniques sur les- quels nous avons attiré l'attention s'
ant de terminer cette étude de pathogénie. Quelques-unes des formes cliniques : main figée, main d'accoucheur, acro- contract
ndant qu'il s'agissait d'un cas de méningite. C'est surtout l'étude clinique des malades des observations I, II, III, IV, V,
stée obscure. Il s'agissait probablement de méningites dont l'étude clinique aidée par l'examen cytologique n'a pas permis d
cifique, contrastent trop avec la lenteur habituelle de l'évolution clinique des névrites dues à une ménin- gite syphilitiqu
normale et pathologique, 15 février 1885). 13. Ktude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques (Thèse, Paris, 1885, c
février 1888). 22. De la paralysie pyocyanique. Etude anatomique et clinique (en collaboration avec Charrin. Id., io mars 18
ociété de Neurologie, 4 mars 1915). 217. Réflexes de défense. Etude clinique (Revue neurologique, 15 mars 1 9 1 5). 218. Név
cembre 192/1). 28r. Quelques considérations sur l'interrogatoire en clinique et les symptômes sub- jectifs (Reunion neurolog
decine légale 3 Il. Quelques considérations sur l'interrogatoire en clinique et les symptômes subjectifs 15 DEUXIÈME PARTI
sie) .... , ................ 112 2 VIII. Réflexes de défense. Etude clinique 115 IX. - Réflexes de défense 126 w X. - Sur
84 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
OGIE PATHOLOGIE NERVEUSE COMMOTION DE LA MOELLE éPINIèRE 'ETUDE CLINIQUE ET CRITIQUE Par les Drs L. DTJMÉNIL, professeur
'ETUDE CLINIQUE ET CRITIQUE Par les Drs L. DTJMÉNIL, professeur de clinique chirurgicate à l'École de médecine, et PEfEL, c
e à la place de la cellule qu'un amas de granu- lationsjaunâtres. CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARAC
x connu. 3 Bouteille. Traité de la chorée, iSI8. Avant-propos. 20 CLINIQUE NERVEUSE. 1818, de grands progrès ont été accom
. Qu'il nous soit per- mis dès maintenant de citer ce passage de la Clinique médicale' : « Ces tics sont en quelques cas acc
ées laryngées ou diaplcrcrmatilzles peuvent constituer 1 Trousseau. Clinique médicale de l'Hilel-Dieil, t. II, Se édit., p.
inique médicale de l'Hilel-Dieil, t. II, Se édit., p. 267-268. 22 CLINIQUE NERVEUSE. tout le tic. Ce sont, non seulementun
ne croons pas qu'il existe d'autres documents importants sur 2t. le CLINIQUE NERVEUSE. 013SLIRVITION' I. Première partie :
personnes présentes de la société. L'explication qu'elle donne - 26 CLINIQUE NERVEUSE. de la préférence que sa langue, dans
ment les jambes, surtout la droite, se fléchissent et se redres- 28 CLINIQUE NERVEUSE. sent alternativement, le pied droit v
orduriers, mais il est encore écholalique; si on l'appelle dans 30 CLINIQUE NERVEUSE. la rue, il ne manque que rarement de
niques, le séjour à la campagne, où l'enfant a passé huit mois 32 CLINIQUE NERVEUSE. consécutifs, a paru avoir d'abord un
se. Dès l'âge de huit à neuf ans, sans cause appréciable, sont 3t CLINIQUE NERVEUSE. survenus des mouvements involontaires
fièvre muqueuse dont il a souffert à l'âge de treize ans et qui 36 CLINIQUE NERVEUSE. a duré environ quinze jours autant qu
plissent parfaitement : il est peu avancé au point de vue des 3S CLINIQUE NERVEUSE. études que ses nombreux séjours à la
déjà disparu : le malade n'avait plus qu'un tic, qui consistait 40 CLINIQUE NERVEUSE. dans un clignement d'yeux très fréque
muscles de la face, des épaules et du tronc. Mais assez souvent 42 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'INCOORDINATION MOTRICE. les seco
) ? Klin. Wochens- chrijt, nos et 9, 9867). 2Rosentlial. - Traité clinique des maladies du système nerveux, trad. de Luban
Arch. f. Psych., XIV, 2.) Les auteurs essaient de tracer le tableau clinique de la forme anatomo-pathologique en question, à
'atteinte de la substance blanche, elle est secondaire et le masque clinique correspondant ne présente pas, après la destruc
ératite neuro-paralytiqne en général, à la lumière de l'observation clinique . Or, la clinique montre que la théorie de sa ge
alytiqne en général, à la lumière de l'observation clinique. Or, la clinique montre que la théorie de sa genèse mécanique, p
r des conférences spéciales. P. K. XI. Recherches expérimentales ET cliniques sur l'épilepsie; par Unveriucht. (Arch. f. Psyc
ants; 240 Quant à la marche des convulsions, les acquisitions de la clinique ac- tuelle s'accordent avec nos expériences; ou
sont intéressés sur l'autre moitié du corps, n'a pas d'analogue en clinique . Ce n'est que pour l'appareil musculaire de la
lisme subaigu ». Cette distinction est importante au point de vue clinique . MAHCEL Briand. IX- CONGRÈS DES NEUROLOGUES ET
es récentes de Bercer. L'auteur vient d'en observer un exemple à sa clinique (autopsie). On les distingue de la vraie paraly
ite, tantôt congénitale, tantôt (rarement) acquise. Au point de vue clinique , d'après les observations connues jusqu'ici, on
ue; plus tard, il réunit tousles dessins optitttatmoscopiques de la clinique médicale riche surtout en hystériques. On conço
muscles du squelette, mais il n'existe pas de fait physiologique ou clinique qui laisse le moins du monde supposer l'existen
x par une charge modérée, on rend le tonus évident. Les arguments cliniques invoqués contre l'identité du réflexe tendineux
ième ven- tricule. Discussion : .' M. J.ILST110WIT7. Le tableau clinique des cysticerques est encore assez vague; bien d
sticerques peuvent occuper l'encéphale sans engendrer de phénomènes cliniques caractéristiques. MM. Loeiir et Zinn remettent
insi que Seliuelu (Dysphrénie névralgique), après avoir observé, en clinique , les sensations pathologiques, arrive à ce résu
ilbrand (Wiesbaden, 1884). Ce travail n'est pas seulement une étude clinique , comme son titre semble l'indiquer; il est même
de M. Witbrand constitue une synthèse assez exacte des gros faits cliniques et qu'elle introduit un certain ordre dans des co
méthode d'ailleurs est excellente, car il n'est pas douteux que la clinique doive servir très efficace- ment la physiologie
origine bulbaire, le Dr Semmola (de Naples) signale un nouveau type clinique de maladie du coeur dont il fait la description
ical de L8S3,p, 57, li seconde partie (le ces nouveaux fragments de clinique médicale. Elle traite des t7ao7MCfyy ? 0 ? HO
nommé directeur de l'asile Sainte-Anne. M. le D Gilson, chef de la clinique de pathologie mentale, médecin-adjoint à l'asil
djoint à l'asile Sainte-Anne, est appelé à remplir, dans la section clinique dudit asile, toutes les obligations imposées aux
nat des asiles (bourse de voyage) a eu lieu le 3 novembre à l'asile clinique Sainte-Anne. Le sujet tiré était : Estomac (anato
opto-strié (anatomie et physio- logie); de l'hémiplégie. L'épreuve clinique a eu lieu le mercredi suivant. -nI. Victor Véta
rade. 1 il FAITS DIVERS. llo,i,icp, de la SvLi'ÈraifeuE. Cours de clinique des maladies du ! ! )/s<entC) ! erue ! <j ?
) ! erue ! <j ? AL le professeur Cuvrcot a commencé les cours de clinique des maladies du système nerveux, le vendredi 14
des maladies mentales. M. le professeur BALL a commencé le cours de clinique des maladies mentales, le dimanche 9 novembre à
E CLI\IQI : I : FI' CIiITI(ll : ^ Parles D L.DUIÉ\IL, professeur de clinique cllirurgicale à l'École de médecine, et PETEL,
Archives, t. IX. 10 0 t 16 6 pathologie nerveuse. l'observation clinique établit l'analogie avec les faits de la catégor
leur nombre et par l'auto- rité des hommes qui les ont observés. CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARAC
- même et tombe; mais il ne perd jamais connaissance, n'urine 160 CLINIQUE NERVEUSE. jamais ; màisinui arrive ilê'se'mcird
es syllabes. Archives, t. IX. 1 1 RÉSUMÉ ANALYTIQUE DE NEUF 164 CLINIQUE NERVEUSE. I. Les cas que nous avons observés
ropatlcique. (Archives de Neurologie, 1884, janvier et mars.) 166 CLINIQUE NERVEUSE. Obs. VIII. Le père a un tic non doulo
t, le faisaient sauter à sept ou huit pieds de la place qu'il 168 CLINIQUE nerveuse. occupait lorsqu'il était debout, ou l
ent d'un sommeil de plomb dont il était très difficile de les 170 CLINIQUE NERVEUSE. tirer. Il est fort probable que l'éno
ctions générales ne pussent être altérées, mais comme elle 172 -) CLINIQUE NERVEUSE. s'établit peu à peu, progressivement,
à combien le diagnostic diffé- rentiel s'en trouvera éclairé. 174 CLINIQUE NERVEUSE. § IL I. Les symptômes que nous avon
le besoin presque irrésistible de répéter un mot, un bout de 176 CLINIQUE NERVEUSE. phrase qui venaient de me frapper dav
ozcah ordinaire; un malade s'approche delui, L. L. 1\.. - 1"2 178 CLINIQUE NERVEUSE. et essaye d'imiter une de ses contors
l'ins- tar du cook, à bercer dans ses bras un billot de bois. 180 CLINIQUE NERVEUSE. Puis ce matelot jeta son billot sur u
rement, cette coprolalie est éga- lement des plus manifestes. 183 CLINIQUE nerveuse. à son service ; aussitôt, tout en fai
ement compter le lieutenant de vaisseau, cité par M. Laurent, 184 clinique nerveuse. et deux autres observations, ce qui n
à fait complète, radicale : la maladie sommeille, elle n'est 186 CLINIQUE NERVEUSE. pas disparue. Toujours il reste des s
s parler 1 V. Archives de Neurologie, juillet 1881, p. 68-75. 188 CLINIQUE NERVEUSE. avaient trait à l'affection que nous
yons rap- portés des symptômes très analogues à ceux que nous 190 CLINIQUE NERVEUSE. avons décrits est due à M. O'Brien, u
uelle celui-ci a soutenu l'identité avec le jumping de Beard. 192 CLINIQUE NERVEUSE. autant de fois qu'on les répétait...
e nous avons fait de la maladie. L'individu : xcmvta, t. 1\. 13 191 CLINIQUE NERVEUSE. qu'elle atteint n'est pas menacé dans
r hasard notre malade a une secousse, il jettera son verre au 196 CLINIQUE NERVEUSE. loin, mais il faut que cette secousse
chorée ; dans celle-ci, les divers muscles phonateurs ou res- 198 CLINIQUE NERVEUSE. pirateurs peuvent être affectés , et
ont échoué. Une seule méthode a paru amender les symptômes et 200 CLINIQUE NERVEUSE. amener ces périodes de rémission si f
rdu au point de vue de l'intelligence. Bien d'autres particularités cliniques très intéressantes pourraient encore être relev
de la vision, l'hémianop- des troubles DE la vision. 223 sie. La clinique humaine au contraire, nous démontre que si on p
rapporter quelques nouvelles observations avec autopsie. La partie clinique de la première figure déjà dans notre précédent
leaz nerven systeii. (drch. f. ps;/cA., Bd. XV, H. 2. 2 La partie clinique est résumée d'après l'observation de AI. Bernard
nommée Carpenlier cinquante-deux ans, admise salle Du- 1 La partie clinique de cette observation est résumée d'après îles noi
nous offre à relever deux points intéres- sants : Au point de vue clinique , elle présente une particularité importante qui
amblyopie d'origine cérébrale est nette- ment établie par des faits cliniques et anatumo-pathologiques. Elle reconnaît ordina
e de ce travail a trait à des observations anatomo-pathologiques et cliniques , pris chez l'homme. Elle n'est pas encore entiè
. f. Psych., XIV, 3.) Aux cas déjà signalés ' témoignant du tableau clinique de la dégénérescence grise cérébro-spinale mult
1'liyper-ènèse du tissu conjonctif fibrillaire. Les manifestations cliniques qui émanent de la lésion combinée des cordons p
nversion du sens génital; par Tarnowsky. (Messager de psy- chidtrie clinique et légale et de Neuropathologie, par Mierze- je
Le travail du professeur Tarnowsky est très 1 elle en observations cliniques , les unes personnelles d'autres em- pruntées à
l'appui de ses subdi- visions du premier groupe offrent un intérêt clinique tout parti- culier. Tel est, par exemple le mal
alent psychique d'un accès épileptique. Il cite à l'appui les faits cliniques suivants : Le premier(observation de Tarnowsky)
s, nous le répétons, l'alcoolisme dominait en maître sur le terrain clinique ; il servit à expliquer la sénilité prématurée.
, 48, 4, 3. 8Ranke. - Compte-rendu des opérations pratiquées à la clinique chi- )-Mt-.9 : ca<e(<e Groningen. (Arch.
tique améliora la dé- marche. Weltrubsky1 (1882) entreprit, dans la clinique du professeur Lussenbauer, toute une série de t
3 ETUDE CLINIQUE ET CRITIQUE Par les D" L. DUMÉNIL, professeur de clinique clirurgicale a l'École de médecine, et PETEL, c
THÉRAPEUTIQUE. sant, nous relèverons brièvement les particularités cliniques les plus intéressantes. Observation XVIL Epil
ités principales de cette observation très curieuse au point de vue clinique et au point de vue anatomo- pathologique. 0 a
ai eu l'occasion d'observer cette année, est en 1 f3ecVterew. Essai clinique sur la température dans quelques formes de mala
ue ont porté sur trois groupes de maladies fonc- ' ' Magnan. Leçons cliniques sur l'alcoolisme. (Gazette des hôpitaux, 10, 17
e manière de voir n'est pas, selon M. Rosenbach, conforme aux faits cliniques . Il avance qu'une analyse attentive des idées d
ement que ces noms désignent une forme morbide qui, au point de vue clinique , constitue un groupe limité parmi les psychoses
ie des nerfs optiques. Le matériel d'observa- tion a été puisé à la clinique de Schoeler; il se chiffre par 154 cas. Il est
ornes antérieures. Rien aux cordons antéro-latéraux. Le complexus clinique rappelle les faits de syringomyélie. Présentati
ogie du tabes. Quatre-vingt-six cas ont élé rassemblés par lui à la clinique des maladies nerveuses de la Charité de Berlin
hilis) sans compter d'autres facteurs inconnus, et que le complexus clinique est incapable de nous indiquer quelle est la la
phique assez étendu termine ce volume. P. Marie. XIII. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
le, etc.; la seconde est exclusivement constituée par des documents cliniques . Dans la première partie, M. Bourneville et ses
ille et Bricon, 320. Epilepsie, hystérie et idiotie (re- cherches cliniques et thérapeu- tiques sur), par Bourneville, Bo
85 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSE
UR DE CLINIQUE IDES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR
RE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE DIRECTEUR HONre DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE GILLES DE la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE NERVEUSE DE 11. LE PROFESSEUR RAYMOND ( z CON
CLINIQUE NERVEUSE DE 11. LE PROFESSEUR RAYMOND ( z CONTRIBUTION CLINIQUE A L'ÉTUDE TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES
S MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES par MM. K. UNSIAN ancien chef de clinique E. HUET Directeur des Laboratoires de la Cl
ncien chef de clinique E. HUET Directeur des Laboratoires de la Clinique Charcot. Depuis 1898, les localisations spinale
res du plexus brachial à la syringomyélie. Mais dès 189o les leçons cliniques du professeur Brissaud attiraient l'at- tention
ine ilsembledoncpréférablede recourir encore à cettemélhodeanatomo- clinique qui a fait découvrir les localisations cérébrales
istologique. Or, selon Déjerine (Séméiologie du système nerveux) la clinique n'a jamais montré chez l'homme un cas d'atrophi
e la corne antérieure. Nous croyons utile de résumer ici l'histoire clinique de deux malades, dont l'observation a déjà été
seul groupement cellulaire d'un segment médullaire. Au pointde vue clinique , ces foyers destructifs déterminent des paralysie
orter l'observation suivante de paralysie infantile recueillie à la Clinique Charcot dans le service de notre maître le prof
groupements voisins. Or nous avons voulu faire simple- ment oeuvre clinique et pratique. On a pu croire à un moment que la di
nt radicu- laire. Une importante conséquence se dégage de ces faits cliniques : la seule topographie des atrophies musculaire
les plus frappants. La Pl. V réunit plusieurs de ces particularités cliniques . A. Face d'un myopathique chez lequel existait
Pierre Marie. Revue neurologique 1901. (2) Pierre Marie. Leçons de clinique médicale, 1896. (3) Voy. Brsssaun.Leçons sur le
ype facio-scapulo-hnméral de Landouzy et Déje- rine d'autres formes cliniques : type juvénile d'Erb, types de Leyden- Môbius,
mment des cas qui retracent bien dans ses grandes lignes le tableau clinique de la myopathie atrophique pro- gressive,mais a
membre inférieur droit. Rentrée en Suisse, elle fut soignée à la clinique chirurgicale de Lausanne où le diagnostic de co
nifestement le résultat de l'exercice musculaire prolongé. L'examen clinique du coeur, des reins, du tube digestif et de ses a
TRACTIONS FAMILIALES - PAR - R. CESTAN, LEJONNE, Ancien chef de clinique à la Salpétrière. Interne des hôpitaux. [Travai
de clinique à la Salpétrière. Interne des hôpitaux. [Travail de la Clinique nerveuse de la Salpêtrière) En même temps que s
u professeur Grasset. Les deux cas que nous publions, observés à la clinique de notre maître le professeur Raymond, nous ont p
ulu se charger M. Huet, chef du laboratoire d'électrothérapie de la clinique Charcot. Membres inférieurs. « Les résultats
ue de l'amplitude des contractions » (Muet) : 1 - Mais l'histoire clinique de ces myopathies présente cependant un "gros i
degré de rétraction musculaire, quelle que soit d'ailleurs le type clinique de la myopathie, juvénile ou tardive, types Ley
udié cette pseudo-contracture. Plusieurs malades myopathiques de la clinique Charcot nous en offrent des exemples : c'est un
dont le professeur Grasset a rapporté l'observation dans ses leçons cliniques . D'ailleurs, l'histoire de sa maladie nous prou
e que dans quelques années les deux frères ne présentent un tableau clinique identique, avec des déformations aussi accentué
ain degré de rétraction des avant-bras sur le bras. B. - 0135. dans clinique de Grasset, 1891 (Obs. du Dr Bourguet). Jean N.
erre Marie. Observation (Planche IX). Célédonia de Vaz entre à ma clinique de la Caridad le 28 mars 1901 et oc- cupe le li
6 ans, qui aurait eu largement le temps de déve- lopper son tableau clinique . Serait-ce par hasard une polynévrite ? En tout
er l'étiquette de « type Charcot-Marie )) Au reste, au point de vue clinique , on sera très souvent obligé de se passer de l'at
Observation B. L... cuisinier, âgé de 37 ans, est entré dans notre clinique le 12 janvier 1901 ; marié, a 3 enfants vivants
ition. L'atrophie des fibres, qu'on a supposé se basant sur l'étude clinique , était démontrée pour la première fois par l'ex
circons- tance seule, sans parler d'autres considérations vraiment cliniques , fait éloigner toute idée, sauf la seule possib
ute-Marne ) 5e Année N° 2. Mars-Avril HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX sun LES AFFECTI
éde- cins. En m'inspirant de considérations d'ordre essentiellement clinique , j'avais proposé de fixer cette limite entre le
l, j'avais étéguidépar des considérations d'or- dre essentiellement clinique . Aussi bien, les lésions du cône terminal consi
la capsule (1) Nous avons consacré un travail d'ensemble à l'étude clinique et anatomique des lacunes cérébrales : Cf. Jean
n observe dans les parois artérielles : (1) Ilucii,&Ri), Traité clinique des maladies du coeue, et des vaisseaux. LACUNE
umen- taire, artistique, et morphologique de Il. Meige, les .éludes cliniques nous ont révélé l'existence de différents types
ses élio- logiques, répondent la pluralité et le mélange des effets cliniques . L'observation que nous rapportons est un docum
sé pat- deux phases successives : une phase anatomique et une phase clinique . La première, presque entièrement due aux anato
as est, du reste, curieux et comporte quelques commentaires d'ordre clinique et pathogé- nique. Le voici, en détail : Pom.
OME DE LITTLE 139 Raymond et Cestan ont montré que si les symptômes cliniques offrent des points communs, la lésion anatomiqu
ion anormale des cellules motrices de la moelle. Pour la faci- lité clinique , on avait fait de la maladiedeLittle une affectio
nt dans de très étroites conditions d'équi- libre physiologique. La clinique nous montre tous les jours que l'intelligence e
sterai point sur les localisations douloureuses : elles abondent en clinique . Partout où s'éveille une sensibilité, elle est l
itoire psychique donné, et on en connaît des exemples réalisés par la clinique . . Mais les choses n'ont pas cette brutalité sy
e d'attitude ( ? ) (l),nous le renvoyons aux faits expérimentaux ou cliniques si nombreux qui montrent que la faculté de loca
ption de forme se main- tieudra.On a beaucoup confondu dans l'étude clinique du sens stéréognostique la conscience d'une ana
dit-il, je l'ai posée et résolue à l'aide de plusieurs observations cliniques dont trois avec autopsie. Les conclusions sont on
nt (p. 6) : « Or,selon Dejerine (Sémiologie du système nerveux), la clinique n'a jamais montré chez l'homme un cas d'a- trop
QUES 183 Notre but était principalement d'apporter une contribution clinique à la topographie des atrophies musculaires myél
tatations anatomiques, nous sommes restés avant tout sur le terrain clinique , mais nous avons cherché à en rapprocher les do
r un trajet direct des cellules motrices de la corne antérieure; la clinique a montré à M. Dejerine et à nous-mêmes que des
de l'Académie de médecine, Directeur honoraire du laboratoire de la clinique de la Salpêtrière. De tout temps l'examen des u
de gliome circonscrit remar- quable surtout par cette particularité clinique que bien qu'il ait altéré profondément la 3e ci
imait le pied dela3e frontale,et qui depar sa nature et l'évolution clinique de l'affection, parait s'être développée assez
juin 1900, la sage-femme de la commune de X... amenait à Nancy à la clinique des maladies des enfants une petite fille « monst
ed droit) était normale. Pendant les fk semaines de son séjour à la clinique , la petite Z... fut nourrie au biberon, avec to
'AKATHISIE (Raymond et Pierre Janet). HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX LE SYNDROME PSY
chirurgical, notant et relevant simple- ment quelques observations cliniques . Le côtéanatomo-chirurgical a cons- titué en ef
III, pages 37-65. En dehors de quelques renseignements sur le passé clinique des sujets que nous avons nous-mêmes pu recueil
s actuelle- ment de traces visibles de cette affection. Un examen clinique minutieux ne revèle maintenant rien d'anormal, si
FROIT ET REITZ plus fréquente que celle du tibia, et ses caractères cliniques seraient or- dinairement les suivants : l - L
8). UN CAS D'LUNT1CI-1TS11C FAMILIAL PAR PAUL SAINTON Chef de clinique adjoint à la Faculté de médecine de Paris. Les
avec elle était évidente. (1) Ce malade a fait l'objet d'une leçon clinique du Professeur Debove (Médecine Moderne, 4 mai 1
phie de la Salpêtrière qui pourra donner l'interprétation du « fait clinique » que nous apportons et qui offre, pen- sons no
nt pas aussi com- plets que l'eût exigé l'importance des phénomènes cliniques et des cons- (1) Société de Neurologie de Paris
paralysie de certains centres sensoriels ont dominé tout le tableau clinique . Il s'agissait d'un homme âgé de 41 ans, à inte
tive des régions antérieures, donnèrent l'explication des symptômes cliniques . Voici d'ailleurs le relevé topographique des lés
ce blanche (lésion de Baillarger). Le connaissance de cette variété clinique et anatomo-pathologique de la paralysie général
in, 1874. DÉMENCE PRÉCOCE ET CATATONIE 331 En raison de sa marche clinique , de sa symptomatologie spéciale, la catatonie e
spéciale, la catatonie est considérée par Kahlbaum comme une entité clinique spéciale qu'il oppose à la paralysie générale.
de maladies mentales; 2° il ne constitue jamais à lui seul un cadre clinique ; il n'est pas toute la maladie et occupe seuleme
p d'analogie avec l'hébéphrénie. Il se peut que les progrès de la clinique psychiatrique nous amènent dans l'avenir à modi
ste à côté d'autres éléments qui donnent au syndrome sa physionomie clinique spéciale. Une autre opinion, qui a le plus gé
ires, démence sénile, para- lysie générale, hystérie, c'est un fait clinique désormais acquis. Nous y avons déjà insisté, da
s offrent dans leur évolution et leur symptomatologie, avec le type clinique dont cet auteur avait voulu faire une entité mo
double coïncidence ne constitue-t-elle pas comme la démonstra- tion clinique de la théorie de Kroepelin qui considère la catat
a démence précoce, la variété catatonique. 1° Il est encore un fait clinique que ces observations mettent bien en évidence.
i diffé- rents se trouve déjà mise en évidence par les observations cliniques qui, comme les précédentes, nous montrent leur
s très marqués nous a paru rendre plus insoluble encore le problème clinique , déjà si complexe, qui s'était posé devant nous.
resta pendant six mois. Pen- dant ce long séjour dans le service de clinique chirurgicale, il subit plusieurs opérations ave
més par M. le Dr De- moulin, chirurgien des hôpitaux, alors chef de clinique à l'Hôtel-Dieu. De 1895 à 1902, D..., ayant émi
ême sur les données de l'anatomie pathologique. Mais certains faits cliniques bien connus tendent à établir qu'il existe réelle
197. Le gérant : P. Bouchez. 160 Année N° 5. SEPTEMBRE-OCTOBRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX £ HOSPICE DE LA
ALE DANS LA MALADIE DE PARKINSON ra Il J. A. SIGARD Chef de Clinique et L. ALQUIER Interne des Hôpitaux. Ayant
LQUIER Interne des Hôpitaux. Ayant eu 1 occasion d observer, a la Clinique cle la oalpetnere, un-- - certain nombre de cas
arcot, par M. Londe, et que l'on peut voir dans la collection de la Clinique de là Salpêtrière. Enfin, il existe, au Musée C
adie de Parkinson, et qui puisse expliquer ces déviations. L'examen clinique ne permet pas de soup- çonner une affection oss
orbides différents. Malgré sa physionomie bien spéciale, le tableau clinique offert par nos malades, rappelle par certains t
geur remontant jusqu'à mi-jambe. Dans l'état actuel, cet ensemble clinique pourrait être pris, à un exa- men superficiel,
dictée. M. Raymond fait la même remarque dans un cas de Friedreich ( Cliniques , t896-9' ? , p. 352). (4) Il y a aussi des mo
qui) se décide à venir à Toulouse, pour se faire traiter. Examen clinique . - Vig. est d'une taille au-dessous de la moyenne
402 DESTARAC - On peut prévoir d'ailleurs le moment où les types cliniques , déjà isolés dans la classe des maladies hérédi
us, des contractions fibrillaires qui ne font pas partie du tableau clinique des névrites et nous porteraient plutôt à mettr
présentent cependant la plus grande ressem- blance au point de vue clinique . Pour notre part, en l'absence de constatations
es qui se présentent tout d'abord comme extrêmement atrophiées : la clinique laisse cependant soupçonner un tel contraste; l
DE L'AMYOTROPHIE TYPE CHARCOT MARIE ? TAU Paul SAINTON Chef de Clinique à la Faculté de Médecine de Paris. Dans le prem
e, il est vrai, la confirmation de l'autopsie ; mais les caractères cliniques de la maladie sont assez nets, pour que l'on pu
enot, Saint-Dizier (lïie-Mrne). 16" Année N° 6. Novembre-Décembre CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
s l'acception restreinte que je viens de spécifier. Premier exemple CLINIQUE . La malade en question, une nommée Maria F...,
rappeler ce que nous savons, de par les don- nées de l'observation clinique , relativement à la superposition des centres mo
à l'administration interne de la noix vomique. Troisième exemple clinique . Voici un troisième malade, dont le cas est à m
n syndrome lié à une lésion bulbaire uni- latérale, dont les traits cliniques essentiels sont des vertiges, une hémi- plégie
e malade est mort très peu de temps après l'apparition des troubles cliniques . Or il existe des lésions déjà anciennes, général
foyers de mortification dont dépendent exclusive- ment les troubles cliniques qui ont été observés, et c'est au mode spécial
tion anatomo-patlrologique nous paraît s'adapter aux particularités cliniques . Nous avons déjà indiqué précédemment'comment o
aires, la voie médiane et la voie latérale, cadre bien avec ce fait clinique que la sensibilité était atteinte dans presque
obscur, ni de décrire à nouveau le symptôme asynergie, pour l'étude clinique duquel nous renvoyons aux travaux antérieurs de
i n'est pas sans permettre une déduction importante au point de vue clinique . Il en résulte, en effet, que le syndrome céréb
effet, que le syndrome cérébelleux, tout en conservant son intérêt clinique , ne doit pas toujours être considéré comme synony
ire de l'atrophie démontre qu'on ne doit pas considérer le syndrome clinique cérébelleux comme étant tou- jours le représent
représentant d'une lésion primitive du cervelet. LABORATOIRE DE LA CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE MOSCOU. SUR
conservés dans les muséums, n'étant pas accompagnés de descriptions cliniques , il est assez difficile de déterminer l'âge des
es. Testicules petits. Marche de la maladie. - Le malade resta à la clinique du 24 mai 1894 au 23 septembre 1896, date de sa
sorte de classification des nains dans l'art (1), d'après les types cliniques observés de nos jours : nains rachitiques, myxo
ar CESTAN et HULT, 182. Atrophie muscu'aire myélupatltique (Elude clinique de la topographie). (1 (¡g. 4 pl.), par Cestax
l. en pholocollogr. 8 dessins), 201. CESTAX et HUET. Contribution clinique à l'é- tude de la topographie des atrophies mus
86 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facult
891 au 24 décembre 1893, Delannoy a été placé quatre fois à l'Asile clinique (Sainte-Anne), comme aliéné. Pendant son dernie
ai dù rêve-, nir à pied à Paris. En arrivant je suis allé à l'Asile Clinique pour toucher mon pécule. M. Quesneville a envoy
le D' M. KLIPPEL. Chef de laboratoire de la Faculté de médecine. ( Clinique du professeur Joffroy.) La question du début de
ême lorsque les malades ont présenté depuis peu de temps des signes cliniques et qu'ils viennent à succomber une affection in
ue nous allons décrire chez des sujets n'ayant présenté aucun signe clinique . Nous avons déjà eu l'occasion d'étudier cette
rs avec évidence comme une première phase tandis qu'au point de vue clinique , elle a évolué silencieuse- ment. Elle se renco
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. La surdi-mutité au point DE vue clinique ; par James KERR Love. (British médical journal,
u avancé relativement, l'extension en ait pu produire des symptômes cliniques accentués. Une tumeur cérébelleuse les 1 Nous c
par Rolleston dans les deux numéros de Mars. , A. M. X. Archives cliniques . (dondon Clinical Society.) l. Observation de S
rée. R. 11. C. XX. Trépanation dans un cas d'épilepsie; observation clinique ) ; par T. DUNCAN GREEi'\LEES. (The Journal of M
s les articles originaux).7fA't)'c/t/f'M de Pathologie, de Médecine clinique el de Bactériologie publieront : I. Des travaux o
American Médical .'ioc;'a/;o< ! 7'<'M. SÉGLAS (J.). Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses (Salpêtr
lS8EY, tmp. - 1 ? 5. Vol. I. Février 1896. N° 2 ARCHIVES DE NEU CLINIQUE MENT^ ? Asile CLINIQUE (SAINTE-ANNE . PROFESSEU
l. I. Février 1896. N° 2 ARCHIVES DE NEU CLINIQUE MENT^ ? Asile CLINIQUE (SAINTE-ANNE . PROFESSEUR JOFFROY. LES HALLUCIN
ONS UNILATÉRALES ; LEÇON recueillie par EDOUARD TOULOUSE, Chef de clinique , médecin de l'Asile Sainte-Anne. Sommaire : I.
nements excellents, peut-être même Archives, 2e série, t. 1. 7 98 CLINIQUE MENTALE. trop optimistes, ont eu pour rejetons
- ficile à un observateur de localiser des phénomènes de ce 100 ' CLINIQUE MENTALE. genre dans l'oeil droit ou dans l'oeil
comme une erreur de l'activité cérébrale qui s'est manifestée 102 CLINIQUE MENTALE. tout à fait en dehors des conditions h
s. Ouvrage cité, p. 68 et smv. 1 Bail. Encéphale, 1892, p. 1. 104 CLINIQUE MENTALE. ces deux ordres de phénomènes morbides
. Analysé in Neurologisclies Cen- tralblall, 1889, p. 22. ' . 106 CLINIQUE MENTALE. mais il y a lieu de se demander par qu
XI, p. 256. ' Hughes Bennett. The Lancel, 1889, t. I, p. 674. 108 CLINIQUE MENTALE. auras sensorielles unilatérales peuven
nt conservé la forme pyramidale ou triangulaire et possédant '112 CLINIQUE MENTALE. un noyau à contours nets; elles ont de
ons morbides dans le grand appareil nerveux de contrôle. Des signes cliniques indéniables montrent que c'est ce système qui e
cusées des nerfs~périphériques, et qu'il ne manquait pas de preuves cliniques pour démontrer que l'apparition de ces lésions
rares, dont Bevan Lewis a pu dire qu'ils témoignent par leur allure clinique de l'analogie bien nette, sinon de l'identité d
ons sensorielles internes et externes. XXIV. Contribution A l'étude clinique DES idées obsédantes ET DES états psychiques an
re qu'il y a parallélisme dans les cas de stupeur; 3o les symptômes cliniques sont pleinement en rapport avec la possibilité
comme une intoxication plutôt que comme une infection. Le tableau clinique du délire initial des typhiques, présente de no
uvent oublier que les hôpitaux de Paris leur offrent des ressources cliniques considé- rables, et qu'ils y trouveront des maî
rage et la nourriture, un traitement annuel de 800 francs à l'asile clinique (Sainte- Anne), de 1,000 francs à la Préfecture
de l'asile proprement dit, et deux assistants pour le service de la clinique de psychiatrie (300 malades). A Niet- leben il
r près de 1,500 malades (1895). , 'Il convient de mettre à part les cliniques de psychiatrie dont voici l'effectif : BIBLIO
L DANS LA POLYNÉVRITE; Par le D' SERGE SOUKIIANOFF, Médecin de la Clinique psychiatrique de Moscou. Peu de temps après que
re et en partie du bulbe. Le malade âgé de vingt-un ans, entre à la clinique psychia- trique de Moscou, le 26 mars de l'anné
eux mois avant l'entrée du 182 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. malade à la clinique psychiatrique, les personnes qui l'entouraient
fut obligé de garderie lit. Un mois et demi avant son entrée à la clinique psychiatrique il cessa de boire. Etat présent.
épond pas toujours également. Les jours suivants de son séjour à la clinique psychiatrique, les phénomènes paralytiques s'ag
t une percussion. ' Après quelques jours de l'entrée du malade à la clinique , on trouva dans sa pituite les bacilles de Koch
et du bulbe et aussi des parties situées plus haut, les symptômes cliniques du côté du cerveau (les vomissements et l'état me
ivement peu, mais.la névrite multiple est accompagnée des symptômes cliniques caractéristiques pour la lésion du cerveau. P
DE; , Par M. YVON, (Travail du laboratoire de thérapeutique de la Clinique des maladies nerveuses.) L'action et l'efficaci
ont il s'agit avait quarante-trois ans en 1877 ; les renseignements cliniques que l'on a pu obtenir sont assez maigres; ils n
étude de leurs conditions étiologiques respectives. Au point de vue clinique , il est impossible de méconnaître que certaines a
ux de l'intestin. P. K. XXI. DE la craniotonoscopie ET DE sa valeur clinique ; par W. lIIULIANJ131f. (Neurolog. Ceatnal6l.,
râne. Des expériences établies par l'auteur et rapprochées d'études cliniques ont indiqué à M. Murawjetf que la craniotonosco
e 1,100 francs dans les asiles extra-muros, de 800 francs à l'asile clinique (Sainte-Anne) où la plupart n'arrivent que la d
Y, imp. - 396. Vol. I. Avril 1896. N° 4. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENT DÉMENCE VÉSANIQDE, RAMOLLISSEMENT DU CER
e que le ramollissement cérébel- ARCHIVES, 2° série, t. I. 17 258 CLINIQUE mentale. Jeux est encore plus rare, et il ajout
la dure-mère. Celle-ci incisée donne issue à environ 00 grammes 260 CLINIQUE MENTALE. de sang rouge provenant des artères ca
la base du thorax appuyée et comprimée sur les poings. Les signes cliniques et anatomo-pathologiques indiquent que dans not
c les observations'de Bourneville qui, dans ses remarquables Eludes cliniques et thermométriques sur les maladies du système
deux crises d'affaiblissement de la respiration. Tel est le résumé clinique de ce cas qui a commencé par une paralysie unil
saillantes a droite qu'à gauche. Rapprochons maintenant les faits cliniques des faits anato- miques. Cliniquernent : dévelo
d'assurer, la station. Passant de la physiologie expérimentale à la clinique , l'auteur recherche dans quelle mesure les fait
tale à la clinique, l'auteur recherche dans quelle mesure les faits cliniques s'accordent avec les faits expérimentaux, et po
auche et le lobe moyen dans cas. Au point de vue des manifestations cliniques , les quatre grands symptômes que l'on a coutume
velet. R. DE MUSGRAVE CLAY. XLVIII. La syphilis cérébrale : étude clinique ; par Léo STIEGLITZ. (The New-York Médical Journ
très probable pour le second. L'auleur insiste sur les différences cliniques et anatomo-patho- logiques, par lesquelles ses
le cerveau peuvent participer aux lésions comme le démontre l'étude clinique et. microscopique des deux cas en question. Ada
laes et qui s'anastomosent avec les rameaux terminaux du iacial. La clinique montre du reste qu'en l'espèce, le facial n'est p
les deux syndromes à la même source, de reconnaître dans le tableau clinique com- plexe et polymorphe une seule maladie, une
i.. * : . : III. Les névroses traumatiques. Etude pathologique et clinique ; par le Dr CROCQ fils. (In-8°, 1896, Société d
ement un in- térêt énorme à deux points de vue bien différents : la clinique et la médecine légale. « Les troubles nerveux
Valparaiso, 1894. - Imprenta y litografia central. ' R.1Y3(OND. - Clinique des maladies du système nerveux. - Hospice de l
e a provoqués se contre-balancent. Dans les cas durables le tableau clinique et l'anatomie pathologique de l'oedème présente
volue avec des symptômes graves adynamiques et l' ' tous les signes cliniques classiques. La température reste au-dessus de 4
nt au cours de la maladie indiquent une étroite relation, à la fois clinique et pathologique, avec la forme d'affection médu
ez les nègres elle atteint 40 à 45 p. 100. D'autre part le registre clinique de l'asile montre que la tuberculose revêt, che
on directe de l'intensité du ver- tige; 3° Jneh' quc.les : .çause's cliniques du vertige soient de nature très diverse, elles
ccord avec les données expérimentales et on fournit une explication clinique satisfaisante quand on considère le vertige com
e qui n'échappera à personne.. R. \1.-C. XXXII. SUR les relations cliniques ET pathologiques DE la paralysie générale des a
à aucun point de vue une maladie spécifique, mais bien une variété clinique d'encéphalite chronique diffuse intersti- tiell
nation de paralysie générale comme désignant suffisam- ment un type clinique bien accusé ; mais en comparant cette maladie a
urs ont agi simultanément, et l'auteur développe, d'après les faits cliniques observés, les raisons qui le conduisent à admet
début, du mode de la marche ultérieure. C'est bien affaire d'espèce clinique et non de nosographie. P. K. XLVI. Partie supér
chéma, de ces rapports au point de vue anatomique, physiologique et clinique . Les troubles ampullaires sont intéressants à c
on réflexe issue de l'appareil ampullaire, et téaliser les tableaux cliniques les plus complexes. Il faut donc, en présence d
fs et moteurs, dont l'inté- grité était, d'ailleurs, prouvée par la clinique , et cependant elles sont identiques avec celles
égénérescence du nerf optique et de l'oculomoteur gauches. L'examen clinique ayant fait con- stater une paralysie complète d
oculaire. 404 SOCIÉTÉS SAVANTES. Discussion : M. BENNECICE. A la clinique du professeur Binswanger (Iéna), il est mort, d
açon à per- mettre cette surveillance. C'est ce qui a été fait à la clinique de Wurtzbourg. Quant à M. Hoppe, après avoir co
iraE (1. Steinheil, éditeur, Paris, 1895). L'auteur, dans une étude clinique très documentée, passe en revue les délires tox
896. Société d'édi- tions scientifiques. Grasset (.1.). Leçons de clinique médicale faites t't l'hôpital Sainl- Éloi de Mo
DÉGÉNÉRESCENCES I'ar le D' A1. KLIPPEL, Chef de laboratoire de la Clinique des maladies mentales. La pathologie a générale
est l'exposé de leçons que nous avons faites en février 1896, à la Clinique de notre maître, le professeur Jolfroy. Nous somm
° les deux neurones sont dégénérés simultanément. Un type morbide clinique correspond très particulièrement à chacune de c
à chacune de ces éventualités. Chacun de ces types a été décrit en clinique comme évoluant isolément bien avant qu'on con-
est qu'en raison de cette doctrine chacune de ces grandes modalités cliniques correspond justement à la lésion isolée ou comb
trépidation épileptoïde et de la contracture. Ce grand syn- drome clinique est le résultat de toutes Jes affections qui fr
orne antérieure au muscle, donnent lieu, de leur côté, à un tableau clinique dont les lignes ne sont pas moins connues et pr
édents soient LES NEURONES. 429 .ésés l'un et l'autre, le tableau clinique sera encore différent et nous fournira le trois
oisième des grands syndromes moteurs que nous montre chaque jour la clinique , celui de la sclérose latérale amyotrophique. O
lus le professeur JoITroy a fait sur le même sujet plusieurs leçons cliniques (1891, 1893 et 1896) à l'Asile clinique (Sainte-
ême sujet plusieurs leçons cliniques (1891, 1893 et 1896) à l'Asile clinique (Sainte- Anne). LES NEURONES.. 433 Sans dou
e plus apparent. Mais en somme cela n'a qu'un intérêt relatif. La clinique a déjà cherché à mettre en opposition le tabès
paréso-analgésie des extrémités supérieures n'était qu'une variété clinique de la syringomyélie. MM. A. Joffroy et Achard,
ervice et ils ont confirmé notre diagnostic. 1 Grasset, - Leçons de clinique médicale, 11° s6ne, MontpeUier et Paris, 1896.
i.i'U. di pat. nerv. et ment., fasc. 2, 1896.) XCII. Observations CLINIQUES ET anatomo-pathologiques relatives A un cas peu
ue, à son extension, à l'augmentation de la paralysie, aux variétés cliniques , au traitement. Il semble que le processus anat
xcessif du système nerveux. La forme anatomique comme les symptômes cliniques sont, dans tous les cas, identiques et par suit
cas les distin- guer en l'absence d'un critérium bactériologique ou clinique .- Le point de départ du processus anatomique pa
s que l'extension de la civilisation entraîne avec elle. Les formes cliniques sont très variables, mais il est difficile de l
it pas être faite avec routine, mais doit se modeler sur chaque cas clinique . J. S. LXIII. LE choléra CHEZ LES aliénés; par
ue, infectieux comme la syphilis, etc. J. S. LXVI. LES caractères cliniques différentiels ENTRE la paralysie générale syphi
ontre. L'astasie-abasie est fréquente, mais chaque cas a son allure clinique spéciale. On observe surtout des formes paralyt
ériques chez l'enfant et chez l'adulte. M. BOULER. Considérations cliniques sur les rapports de la syphilis et des maladies
s psychi- ques provoqués par l'alcool, est de 15 p. 100. Les formes cliniques observées sont les suivantes : paranoia, démenc
ie, t. LII, fasc. 3.) P. SÉRIEUX. BIBLIOGRAPHIE. XII. Leçons de clinique médicale; par le professeur J. Grasset, de Mont
rofesseur Grasset a eu l'heureuse inspiration de publier les leçons cliniques qu'il a faites à l'hôpital Saint-Eloi, de novembr
le professeur Grasset expose en une succession de leçons le tableau clinique de l'hystérie chez l'homme et de la neurasthéni
sion. A propos de deux obser- vations, M. Grasset établit un groupe clinique qu'il caractérise ainsi : maladie infectieuse a
onostic de 1' par hémorragie cérébrale, par Barrs, 49. Archives cliniques , 47. Arriérés. Enfants par Jiourne- ville, 17
ique. par Crocq, 309. Neurones par Khppel, 417. Obsédantes. Etude clinique des idées -, par Thomsen, 143. Obsession. Ten
ections chro- niques des reins, par Bristowe, 311, 351. Relations cliniques et pathologiques de la-, pai-Fari-ar. - assoc
87 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
actères d'une loi psychologique : Lorsqu'on amène deux enfants à ma clinique (frères ou sœurs ou enfants de la même école), je
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
ours à l'Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. MM. les DrsVal
ine-Inférieure), est désigné pour remplacer M. le Dr Pactet à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Belgique. — Une souscription est
tiques. Le Dr Cramer, d'Eberswalde, est nommé médecin en chef de la clinique psychiatrique de Göttingue et va s'établir Privat
année. — n» 2. Août 1895. LA SUGGESTION THÉRAPEUTIQUE conférence CLINIQUE Par M. le Professeur Bernheim. Ce petit jeune h
m'aperçois que l'enfant résiste. Déjà la veille au soir, mon chef de clinique n'était pas arrivé à l'endormir. Il cherche à rou
é d'une façon si merveilleuse les douleurs abdominales, notre chef de clinique a essayé en vain d'endormir le malade. Le lendema
é. Dans les cas de contracture hystérique, il est de règle, à notre clinique , de malaxer les muscles contracturés en même temp
ent de l'ataxie locomotrice. M. Bérillon (Paris). — Des expériences cliniques que nous avons instituées résulte la démonstratio
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'élude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
ours à l'Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applications cliniques cl pédagogiques de l'hypnotisme. MM. les Drs Va
ONTRE-SUGGESTION La suggestion thérapeutique. Deuxième conférence clinique , par M- le professeur Bersiieiu, de Nancy. Pour
itivement sa douleur. Voici l'autre jeune homme, qui est entré à la clinique le 8 décembre. Confiseur, âgé de 17 ans, il est m
nes d'auto-suggestion. Terrassier, âgé de 26 ans, il est entré à la clinique le 17 novembre, malade depuis quinze jours. L'aff
physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude . des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique e
ours à l'Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. MM. les D" Val
chure iii-8», 31 pages. Paris, 1895. D' Edmond Chaumier. — Etude de clinique infantile. Brochure in-4*4. 36 pages. Tourangelle
E SUGGESTIVE DANS LES AFFECTIONS PULMONAIRES Troisième conférence clinique sur la suggestion thérapeutique Par le Professe
attention dans une thèse qu'un de mes élèves, M. Lorber, a faite à la clinique . Quelquefois c'est une vraie névropathie douloure
menté progressivement, surtout depuis trois ans. Elle est entrée à la clinique le 24 octobre dernier, le quatrième jour d'une pn
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses {dispensaire neurologique e
ours à l'Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
nécessaire par les confusions incessantes que nous observons dans la clinique . Quand j'ai, dans un autre travail (1) cherché au
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
férence sur L'éducation intégrale du cerveau. Faculté de Médecine : Clinique des maladies du système nerveux,— M. le professeu
du système nerveux,— M. le professeur Raymond a commencé le cours de clinique des maladies du système nerveux le vendredi 15 no
et le continuera les vendredis et mardis suivants, à la même heure. Clinique des maladies mentales et des maladies de l'encéph
ies de l'encéphale. — M. le professeur Joffroy a commencé le cours de clinique des maladies mentales le samedi 9 novembre 1895,
sais de cette façon afin de pouvoir amener la malade à se rendre à ma Clinique de gymnastique médicale et, pour cela, de travers
suggestion renforcée par un parfum, je parvins à la faire venir à ma Clinique . Je pus alors commencer le véritable trailement,
si bien qu'elle n'avait plus peur. Mlle P... suit régulièrement la Clinique , où elle m'est devenue une aide précieuse pour le
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
conférence sur : l'œil névropathique. Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies du système nerveux. — M. Raymond. Le
M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les maladies nerveuses tous les jeudis à S b.
ir du 5 décembre. Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon clinique sur les maladies nerveuses, le dimanche à 10 heur
rologiste le plus éminent de la Russie. On lui doit la création de la clinique des maladies nerveuses et mentales, d'un musée ne
n, pas plus que d'auto-suggestion... Plus tard, après ma visite aux cliniques de Nancy, quand j'ai vu les merveilleux résultats
, sous la direction de M. W. Bechterew, professeur et directeur de la Clinique des maladies mentales et nerveuses à Saint-Péters
d'hypnologie, sous la direction de M. Xavier Francotte, professeur de clinique neurologique et psychiatrique à l'Université de L
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
onférence sur : L'œil nèvropathique. _ Hospice de la SalpÈtrière. — Clinique des maladies du système nerveux. — M. Raymond. Le
M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les maladies nerveuses tous les jeudis à 5 h.
heures du matin. Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon clinique sur les maladies nerveuses, le dimanche, à 10 heu
le dimanche, à 10 heures. M. Richer, ancien chef du laboratoire de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de m
f honoraire dudit laboratoire ( Arr. du 3 Janv. 1896.) La Société clinique des Praticiens de France a renouvelé son bureau p
res de Liège. Pendant son traitement, il est venu plusieurs fois à la clinique de M. le professeur von Winiwarter, et les élèves
connaissent pas. Mes élèves et les médecins qui ont vu ces faits à ma clinique les obtiennent les mêmes dans d'autres cliniques
ont vu ces faits à ma clinique les obtiennent les mêmes dans d'autres cliniques ou dans la clientèle privée. Voici maintenant l
s un historique rapide de la question, l'auteur étudie les caractères cliniques des pseudo-angines qu'il divise en pseudo-angines
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psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
e conférence sur : Vœil névropathique. Hospice de la Salpètriére. — Clinique des maladies du système nerveux. M. Raymond. Les
M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les maladies nerveuses tous les jeudis à 5 h.
rmission et de n'obéir qu'à vos seules suggestions. Au point de vue clinique , ce cas nous prouve l'influence salutaire que peu
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psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
t suivant : Psychologie physiologique et pathologique- — Applications cliniques et médico-légales de VhypnoÎisme. M. le Dr Béri
e de pages, d'un style sobre, clair et précis, les réflexions d'ordre clinique et thérapeutique que lui suggèrent un certain nom
de sommeil, une nutrition insuffisante. Le substratum des symptômes cliniques est évidemment le trouble grave de l'activité chi
este incomplète par suite du manque de sommeil. Quant aux symptômes cliniques , ce sont les phénomènes d'entraves qui prédominen
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'élude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications cliniques et pédagogiques dc l'hypnotisme. Pendant le sem
apeutique psychique a étudié l'hypnotisme comme moyen d'investigation clinique et comme agent thérapeutique. Un grand nombre de
utique psychique. — L'hypnotisme envisagé comme moyen d'investigation clinique et comme agent thérapeutique. — Les états analogu
médico-légnl. X. B. —Le cours sera complété par des démonstrations cliniques à l'Institut psycho-physiologique, 49, rue Saint-
iai mon excellent confrère et mon ami, le Dr Trousseau, médecin de la Clinique des Quinze-Vingts, de venir examiner avec moi ce
e pratique de la Faculté de Médecine, l'enseignement qu'il donne à sa Clinique et les démonstrations expérimentales qu'il y fait
rêves sur les actes accomplis à l'état de veille. Le hasard de la clinique me conduisit, il y a dix ans, en 1886, devant le
attache à son nom, en est une preuve nouvelle et indubitable. Si la clinique ne doit s'inquiéter que des phénomènes extérieurs
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
je priai M. le professeur Pinard de la prendre dans son service, à la Clinique Baudeloque, en lui demandant de consentir à me la
nie psychique et obsession. — Traitement par la suggestion. Leçon clinique par M. le Prof* Raymosd médecin de la Salpétrière
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications cliniques , médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
sychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférences sur les applications cliniques et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
tographies). Hospice de la Salpètrière. — M. Auguste Voisin. Leçons cliniques tous les jeudis, à 10 heures (section Rambuleau),
88 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX Imp. Vve Lourdo
S LA DIRECTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE D
RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIE
OURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIES MENTALES DES MALADIES
EUR DU LABORATOIRE DE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE LA CLINIQUE DE PARIS MÉDECIN DES HÔPITAUX . ALBERT LONDE
n'a pas de représentant plus autorisé que le nouveau professeur de clinique des Maladies du Système NCl'Oell.1 ! . L'Ic01tO-
artenant à la même École,, M. A. Joffroy, titulaire de la chaire de clinique des Maladies Mentales à laquelle l'ont porté le
GATION DES DEUX NERFS CIRCONFLEXES par F. RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux. 1 Leçon faite
lpêtrière, le 23 novembre 1894, recueillie par A. SOUQUES Chef de Clinique . Messieurs, J'ai l'intention de soumettre auj
de l'entrée de ce malade dans le service, M. Souques, mon' chef de clinique , a constaté l'existence d'une paralysie deltoïdie
dia- gnostic se trouve, d'ailleurs, corroboré par les données de la clinique . La paralysie motrice, chez notre malade, s'acc
ale d'une pareille monoplégie bidel- toïdienne. Tous les caractères cliniques que nous avons relevés, chemin faisant, chez no
nt en novembre 1893, accompagné de sa mère, à la consultation de la Clinique des maladies cutanées et syphilitiques, hôpital
ÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE '> PAR - A. JOFFROY, PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES. L'étude des relations du
mp- tômes de la myélite chronique précèdent l'apparition du tableau clinique de la paralysie générale. « Il existe certainem
chenne eut donné à l'ataxie locomotrice pro- gressive son autonomie clinique , confirmée^ .bientôt par l'anatomie. patho- log
thieu ont apporté à l'appui de cetle manière de voir quelques faits cliniques . D'autre part M. Ballet et moi, nous avons sout
se systématique du système psycho-mo- teur, donnant lieu au tableau clinique de la démence paralytique pure ou paralysie gén
nombre de symptômes communs qui figurent à la fois dans le tableau clinique du tabes et de la paralysie gé- nérale, invoqua
e du tabes et de la paralysie gé- nérale, invoquant aussi les faits cliniques dans lesquels paralysie géné- rale et tabes s'a
faites sur la paralysie générale et j'ai pu citer plu- sieurs faits cliniques ou anatomiques faisant voir la question sous ce j
rvations qu'un certain nombre, et probablement la plupart des faits cliniques considérés jusqu'alors comme des associations d
CZVTKOWSKI, Professeur des maladies du système nerveux à l'Institut clinique de St-Pétersbourg. Dans le nombre des méthodes
Dans le nombre des méthodes malheureusement inexactes des exa- mens cliniques , rentrent également les méthodes d'examen de tous
ction, cet appareil n'est pres- que nulle part employé, ni dans les cliniques , ni dans la clientèle privée. A l'aide du coura
ngle a de nouveau repris son ancienne place d'honneur, même dansdes cliniques dans lesquelles on cherche à tra-' - duire en c
cherche à tra-' - duire en chiffres tous les 'résultais d'un examen clinique . On peut natu- rellement dans beaucoup de cas o
de l'idéal que nous cherchons pour nos méthodes physiques d'examen clinique . Môme un de nos appareils 46 NOUVELLE ICONOGRAP
me un de nos appareils 46 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE cliniques le plus précis, le thermomètre, donne aussi des i
qui craignent la douleur. SUR L'I,PIDIlYIlC SKIN DISE A SE. ÉTUDE CLINIQUE ET IIISTOLOGIQUE PAR . THOMAS D. SAVILL Méd
. SAVILL Médecin en chef de Paddington Infirmary (Londres). Étude clinique . Le nommé George Cookson, âgé de 49 ans, fut ad
X NERFS CIRCONFLEXES. - PAR A. SOUQUES et J.-B. CHARCOT Chef de Clinique des maladies Interne de la Clinique des maladies
OUQUES et J.-B. CHARCOT Chef de Clinique des maladies Interne de la Clinique des maladies du système nerveux du système nerv
ervi de thème, que nous allons relater, en nous bornant aux détails cliniques du cas et renvoyant, pour tout ce qui concerne
cé par des organes génitaux d'enfant. A ces exemples fournis par la clinique , comparons les oeuvres d'art. Les Hermaphrodite
OS DE DEUX CAS DE CES AFFECTIONS . PAR F. RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Leçons faites
uche. , t 1 Voici, en quelques mots, les principales particularités cliniques cons- tatées à cette époque parM. Barth et l'un
nouvelles depuis. \ Vous voyez, Messieurs, que les deux tableaux cliniques que je , viens de vous tracer ont enlre eux des
e poplité externe. * Ce qui, en somme, constitue la caractéristique clinique de ces deux cas, c'est la coexistence de troubl
i secondaires ainsi que Clarcot l'a démontré (1). - (1) CIIARCOT, Clinique des maladies du système nerveux, t. I, p. 179.
ômique s'impose, avant que j'aborde cette étude de pathologie et de clinique . Je le ferai aussi concis que possi- ble, en ne
es qui constituent le canal rachidien. ' Au point de vue de l'étude clinique que nous allons entreprendre au- jourd'hui, il
la dure-mère. Peu importe d'ailleurs au pointde vue de notre étude clinique (1). En résumé, au renflement lombaire, qui s'é
préliminaires anatomiques. Je vais aborder mainte- nant l'histoire clinique des affections de la queue de cheval el, du cône
ée d'en- semble très complète des éléments qui composent le tableau clinique des affections de la queue de cheval. Cela di
vation de Charcot, qui a fait l'objet d'une très intéressante leçon clinique , et où, selon toute vraisemblance, un foyer de
Comme j'ai à coeur' de me placer à un point de vue essentiellement clinique , j'envisagerai d'a- bord les faits que vous ave
nt de nouveaux faits. Watson (4) s'exprime ainsi qu'il suit dans sa Clinique médicale : « Les chirurgiens connaissent bien l
a peau ou plus particulièrement du mamelon, signe si pré- cieux, en clinique , des tumeurs malignes du sein. Nous ne connaiss
cutané, son irritation suffise pour 1'llyperestliésier. L'histoire clinique de notre malade semble le prouver, et dès lors, d
ÈRE HÉMATOMYÉLIE DU CONE TERMINAL par F.RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Leçon faite à
la Salpêtrière, le 24 mai 1895, recueillie par A. Souques Chef de Clinique . Messieurs, Dans mes leçons du semestre derni
s sciatiques et honteux internes, puisse reproduire le même tableau clinique . Dans celle seconde hypothèse, il s'agirait d'une
s que je viens de vous rappeler amènerait fa- tulemcllt le syndrome clinique en question et ne produirait que ce syn- drome.
rieures de la moelle épinière et, plus encore, par les observations cliniques qui démon- trent que les modifications trophiqu
de l'eczéma chronique, j'ai chargé le Dr Nikolski, assistant de ma clinique , d'examiner avec le plus grand soin l'état du sys
te, attendu que cette coïncidence se rencon- (t) Leloir, Recherches cliniques e<atta<OH ! o-jM ? 0o ? tM.'w les affection
la sensibilité est normale, et que, d'autre part, les observations cliniques démontrent clairement que les soins les' plus m
) z PAR Madame Anna GOUKOVSKY, d'Odessa (Russie) {Travail de la Clinique médicale de Genève. Prof. LLON REVILLIOn). Les
jouter la paralysie alterne de la VIe paire qui a été observée à la clinique de Genève et qui figure dans sa collection de pho
l'hypoglosse peut t (1) Dublin, Med. Journ. 1918. Nolhnagel, Traité clinique de diagnostic des maladies de l'r.rzcr'phale. T
N (D'après les notes recueillies par le Dr Audeoud, assistant de la clinique ). J... figé de 60 ans, sans antécédents morbide
îné la mort le 22 février 1891. ' - , ' \ (1) C'est l'usage à' la clinique de Genève de représenter l'ouverture pupillaire p
é anatomique vient donc confirmer les données fournies par l'examen clinique . Il s'agissait en effet d'un foyer de ramollissem
malade dont l'un de nous, avec M. Mag- delaine, a donné l'histoire clinique dans le numéro de janvier 1894 de la Nouvelle I
aissance provoquera désormais, nous l'espérons, l'examen minutieux ( clinique et anatomique) du système nerveux jusqu'alors ass
ère le 14 Juin 1895 et recueillie par M. le Dr A. Souques Chef de clinique . Messieurs, / Le petit malade, qui est assis
ion originelle, il me semble nécessaire de vous exposer l'évolution clinique des accidents. La connaissance de ces données e
ose ? Encore que l'apparition insidieuse et progressive du syndrome clinique plaide pour l'existence du ramollissement, je n
mée par des recherches anatomiques nouvelles. Dans tous les cas, la clinique plaide pour l'indépendance rela- tive des centr
vons eu récemment l'occasion d'observer une femme dont l'his- toire clinique est susceptible croyons-nous de jeter un certain
on, une certaine gêne dans les (1) Gilles DE 1..\ TOU1SSTTE, Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, 2e partie, il,
cture des extrémités ou tétanie. Th. Paris, 18 : ;2. (4) Trousseau, Clinique méd. de l'Hôtel-Dieu, éd. de 1862, p. 112. 278
nt l'ohservation a été recueillie par M. Lamy, ancien interne de la Clinique (5). Et si, à la vérité, d'autres faits de téta
lin. Wochens., 1892, p. i ? li.) (4) Gilles liE la Tourette, Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, 2'' partie, t.
e âgé de 20 ans dont nous désirons aujourd'hui rapporter l'histoire clinique in extenso, renvoyant à la leçon précitée de no
le Vieux ou le Drôle Peintre flamand (1530-1569).. Abandonnant la clinique du féroce Doyen de Ronse, où gémissent tant de
le D' J. NAGEOTTE, chef des travaux d'anatomie pathologique à la Clinique de la Salpêtrière. Les deux observations qui su
ors que nous avions l'honneur d'être son interne. Les hasards de la clinique réunissaient ainsi sous nos yeux deux cas dont
t ces deux cas calqués l'un sur l'autre, aussi bien au point de vue clinique qu'au point de vue anatomique. Ces ressemblance
très remarquables et dont l'étude est instructive. Au point de vue clinique , sans parler de l'absence de commémoratifs chez
e extrême de la série, variée à l'infini, des formes anatomiques et cliniques de cette affection. A l'autre extrémité de la s
t isché- ? nique. (1) Soi tas, Contribution à l'élude anatomique et clinique des paralysies spinales syphilitiques, th. de P
il l'écrit lui-même à propos de son 4° accès. (1) Duponchel, Elude clinique et médico-légale des impulsions morbides à la déa
s de cette maladie, et l'on peut l'appliquer à presque tous les cas cliniques . Dans l'ensemble, les sujets atteints de maladi
les différences d'ordre secondaire inhérentes à la variété des cas cliniques , il y a lieu de pousser plus à fond l'analyse d
e, 1880, p. 165. · (3) Voy. le remarquable travail sur les formes cliniques et le diagnostic de la mala- die de Parkinson d
ée depuis 3 ans à la Salpêtrière, nous a paru représenter le schéma clinique presque parfait de la maladie de Parkinson. D
stoire que nous a obligeamment communiquée M. Dufour, interne de la clinique . Observation. Gell, journalière, âgée de 58 ans
11. Il ne faut pas oublier cependant que dans certai- nes formes cliniques des maladies de Parkinson, le tronc et la tête
Salpêtrière, OH ? qui a souvent servi autrefois aux démonstrations cliniques de M. le profes- seurCharcot. Sur les photograp
89 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntrent que l'acétophénone n'est pas un hypno- tique. Nos recherches cliniques nous donnent donc des résultats aussi négatifs
ément d'appréciation directe lui ferait défaut. Les hasards de la clinique m'ont mis à même depuis deux ans d'exa- miner c
llera ses crimes. Quoi qu'il en soit de ces considérations, un fait clinique reste indéniable : les pyromanes se recrutent p
s la folie systématisée dans les ouvrages de Morel. Dans ses Etudes cliniques 3 (1852), il donne des obser- vations de la tra
Vochenschr... 1876. ' LasÈuB- Arch. demed., 1852. ' Morel. Etudes cliniques 1852, t. 1, p. 163 à 106 et 363 à 367. à Morel.
ec lacune dans la première circonvolution temporale gauche. Détails cliniques , aiiatoilio-palliologiques , microscopiques (t
x, rats, chiens, etc.), ainsi que sur une analyse de certains faits cliniques , pense devoir affirmer que les couches optiques
terno de la couche optique. Quant à la sphère visuelle de Munck, la clinique et l'anatomie pathologique sem- blent indiquer
allons essayer de résumer. Du délire chronique.-111. P. Gan,cn. En clinique mentale, comme en pathologie ordinaire, il exis
cin dn Saint- Yen, reprise et développée avec une si grande rigueur clinique par Ai. Magnan, n'est point universellement acc
, quel que soit le point de vue pathogénique auquel on se place, la clinique ,.elle, nous autorise pleinement à englober, en
la menace d'un nouveau paroxysme. Combien différent, est le tableau clinique , lorsque, nous aban- donnons les dégénérés héré
e chef-d'oeuvre d'analyse de psychologie morbide et d'obser- vation clinique . Un complexus symptomatique tiré des groupes co
un point de vue généralisateur, une conception que l'observation clinique légitime et qui ne peut être que féconde en résul
sur la population des individus non séquestrés. M. BIN3WANGeR. A la clinique de Iéna, il est très rare, quand on fouille les
la terminologie de ces districts corticaux, l'a- bondance des faits cliniques chez l'homme me parait si chargée, ils sont en
t aux objections de M. de Gudden, elles n'empêchent pas les faits cliniques . ' Voyez Kussmaul {Stoerïmgen der spreche) ; Ch
losophie et du droit. M. Witkowski. Contribution à la psychiatrie clinique . Il y a neuf ans, appuyé sur la statistique, je
l trace-ensuite une étude d'ensemble sur la sympto- matologie et la clinique de l'albuminurie transitoire (chap. Il), ainsi
lades ordinaires. On ne leur applique pas les règles communes de la clinique ; on ne les traite ni de la même manière, ni dan
: à partir du 4°= no- vembre 4886. M. le Dr RUEFF, ancien chef de clinique adjoint de la Faculté de Paris, est nommé deuxi
titien interne de l'asile de Bron, est nommé pour deux ans, chef de clinique des maladies mentales à la Faculté mixte de méd
pa succes- sivement et avec distinction la fonction d'assistant des cliniques médicales du collège, de premier assistant de l
tant des cliniques médicales du collège, de premier assistant de la clinique du DT Séguin, de professeur de clinique médical
de premier assistant de la clinique du DT Séguin, de professeur de clinique médicale àla même école. Il s'appliqua spéciale
ilité dans le tabès. Prix de l'hygiène de l'Enfance. 1837 - Etude clinique sur l'athrepsie. Prix Lefèvre. 1887 De la mél
se de voyage (2,000 fr.) a été accordée à M. le Dr PicaHON,'chef de clinique de la Faculté. Les candidats ont eu à traiter l
e et l'agraphie. Si l'on se place à un point de vue exclusivement clinique , on peut être tenté de repousser ce morcel- lem
e d'elles est relativement rare; 2° dans un même fait, le tableau clinique peut varier d'un instant à l'autre, au point qu
propositions précé- dentes, est-on en droit de condamner l'analyse clinique et physiologique qui a permis de distinguer les
elles ont pour but, non pas de séparer les uns des autres des faits cliniques dont les analogies sont évidentes, mais de mieu
utile de pousser plus loin qu'on ne l'a fait généralement l'analyse clinique , et de distinguer, par exemple, dans chacun des
ndromes devenus classiques de l'aphasie, un certain nombre de types cliniques plus simples et non moins faciles à. caractéris
o- rique ; il faut partir des faits eux-mêmes, de l'ob- servation clinique , chercher des formes, des types bien distincts
actuel est l'étude et l'interprétation d'un certain nombre de faits cliniques appartenant à la surdité verbale. D'après M.
considérations, je définirai donc la surdité verbale : « Une forme clinique de l'aphasie qui consiste dans l'impossibilité
1 G. l3alltt. - Loc, cil., p. Ci. 182 PATHOLOGIE NERVEUSE. nalyse clinique peut distinguer un certain nombre de syndromes
des images orales, et, dans tous les cas, elle constitue une forme clinique spéciale. On peut même y distinguer deux variét
M SM)' <e /'at ! ceaM MKS/< ? 'Voir G. Ballet. Rech. anat. et cliniques sur le faisceau sensitif, 1881, et Cli. l'Wé. T
à cette conception, il devient bien facile de s'expliquer les faits cliniques de surdité verbale, avec répétition brute des m
ntre de Broca, io, et par la voie iod, ia parole est répétée; 200 CLINIQUE NERVEUSE. cette parole ne sera pas comprise s'i
a saisie nettement et comprise par la voie Paefmo IV. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE UN CAS DE PARAMYOCLONUS MULTIPLE; Pa
tré le 18 novembre 1886 dans le service de= maladies nerveuses delà clinique de l'Université à Helsing- fors. Son père, mort
Voici ce que nous avons noté de l'état du malade à son entrée a la clinique : Constitution vigoureuse, muscles bien développé
ire tenir au malade un objet à la main en étendant le bras ; il 202 CLINIQUE NERVEUSE. arrive quelquefois que l'objet est fo
flexes tendineux, et en particulier aux réflexes rotuliens, ils 204 CLINIQUE NERVEUSE. étaient évidemment plutôt diminués. M
ue l'intensité des secousses est en raison directe de leur fré- 206 CLINIQUE NERVEUSE. quence et qu'il arrive quelquefois qu
nt, ' Loc. cit. 'Revue de Médecine, janvier 1886, p. 71. 1. 208 CLINIQUE NERVEUSE. comme le veut Remak, être rapportés a
tographique des hôpitaux, 1869, p. 153, 161. Etudes de thermométrie clinique dans l'hémorrhagie cérébrale et dans quelques mal
tschi,ifl, n'" 43 et 44, oct. 1886. . Archives, t. XIII. 14 210 ' CLINIQUE NER4'I· : USE. de pathologie, de ncurotogie, de
ulier qu'un petit nombre d'expériences : ce sont celles-là seu- 212 CLINIQUE NERVEUSE. lementque parait connaître M. Witkows
ière.. DE LA TEMPERATURE CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 2)3 3 - 21 le CLINIQUE NERVEUSE. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS 1/ÉPI
. Voici d'abord le tableau des cas de la première catégorie : 216 CLINIQUE NERVEUSE.TEMPERATURE DANS L'ÉPILEPSIE. UN CAS D
yer. En somme, cette observation réalise presque, au point de vue clinique , un schéma du genre, et c'est plus à cet égard
ce fait que le malade a conscience de son état '. Quant à la nature clinique de ces délires, Morselli et Buccola les placent
s n'existe pas plus que la mégalomanie. Ce ne sont plus des entités cliniques irréductibles; ils ne sont l'un et l'autre que
cette expres- sion, il ne fallait pas prétendre désigner une unité clinique là où il n'y a qu'une phase déterminée d'une vé
ce n'est pas se mettre en désaccord avec les principes d'une saine clinique ; c'est simplement consacrer le fait capital de
révélé et, quand on réfléchit après coup, on ne voit aucun symptôme clinique qui l'eût pu dénoncer. 11 est vrai que le malad
pathologique de la Salpêtrière, et la création du cours officiel de clinique des mala- dies nerveuses que par son énergie, s
iénés de l'empereur Alexandre III, méd.-dir. : M. Niki- foroff ; 5° Clinique des maladies mentales de l'Académie médico-chir
contagion nerveuse; par KREUSER. Le Dl Kreuser rapporte l'histoire clinique d'une famille qui fournit un curieux exemple de
r, irap. 387. Vol. XIII. Mai 1887. N" 39 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE; Par BOURN
ologique, qu'elle semble devoir être Archives, t. XIII. 21 322 -) clinique nerveuse. classée parmi les épilepsies symptoma
lace l'épilepsie vulgaire. Cette succession possible des phénomènes cliniques explique pour- quoi les auteurs ont considéré l
nière évasion : vagabondage, tentative de vol. Arrestation, 3 2 si CLINIQUE NERVEUSE. Condamnation à un an et un jour d'emp
volontaire ; pas de folie. L'intelligence et la mémoire n'au- 326 CLINIQUE NERVEUSE. raient pas diminué. Il ne serait pas
écouvrable. Méat légèrement étroit. Poils abondants à l'anuc. 328 CLINIQUE NERVEUSE. pendant trois ou quatre jours de suit
ales. 27 août. Hier Grandid... a dérobé une chaîne d'acier au 330 CLINIQUE NERVEUSE. malade Mart ? et, comme celui-ci la r
uelques instants, la face est pâle et la physionomie hébétée. 332 CLINIQUE NERVEUSE. Il parait ne pas s'être rendu compte
a Sûreté il couchait dans le dortoir du préau, et qu'il en pro- 331 CLINIQUE NERVEUSE. fitait pour se livrer à des actes de
des torchons (Grand... avait conservé lesbandesdont on enve- 336 CLINIQUE NERVEUSE. loppait une de ses jambes contusionné
dressa à M. Grévy la requête suivante : Archives, t. XIII. 22 338 CLINIQUE nerveuse. Monsieur le Président, ' Je viens s
mblement bilatéral de la tète et d'un bourdonnement résultant 342 CLINIQUE NERVEUSE. du tremblement labial; frottement de
; premiers accès huit jours plus tard; convulsions limitées à 344 CLINIQUE NERVEUSE. gauche. Excès de boisson. Deux tentat
s et fort. Il aurait commencé à parler vers huit à dix mois ; 346 CLINIQUE NERVEUSE. parole courante dans le cours de la s
rillon sous le pied. Pas d'onanisme, pas de rapports sexuels. 348 CLINIQUE NERVEUSE Durant l'interrogatoire de sa mère, co
e mesure par suite de la constitution vasculaire de l'organe. 350 clinique NERVEUSE. fauteuil; aussitôt le membre inférieu
rois secondes tout est ter- miné. Les pupilles sont dilatées. 352 CLINIQUE NERVEUSE. Il s'écoule quelques minutes, puis Va
épilepsie observées chez 'ce malade. ARCIIIVES, t. XIII. 23 354 clinique mentale. CAS DE MÉLANCOLIE AVEC STUPEUR. 355
circonvolu- Baillarner. Annales médico-psychologiques, 1S 13. 356 CLINIQUE MENTALE. tions splaéuo-occiilales. (Cette obser
c intermittences cardiaques et oedème des membres inférieurs. 358 CLINIQUE MENTALE, 29 Janvier. On supprime les injections
raideur musculaire est la même. Mais le visage a un peu chan- 360 CLINIQUE MENTALE. gé d'aspect. Il est légèrement coloré,
t maintenue. Le malade répond de temps en temps aux questions 362 CLINIQUE MENTALE. qu'on lui pose. Mange le plus souvent
- touraient et qui avaient été posés là depuis sa maladie : 36'(- CLINIQUE MENTALE. L'amélioration mentale du sujet, coïnc
ître que par la multiplicité de cas semblables. ' Luys. - ri-aile clinique et pratique des maladies illeilltiles, 1881. 36
s pourraient surgir. PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DE LA SURDITÉ VERBALE (Suite 1) Par le Dr il.
(Suite 1) Par le Dr il. ARNAUD (de la Jasse). VI. Quelques faits cliniques que j'ai eu l'occasion d'observer m'ont conduit
ent articulés dans une langue in- connue. C'est par l'observation clinique quej'ai été conduit 380 PATHOLOGIE NERVEUSE.
e cette preuve irré- cusable, j'ai dû me contenter de l'observation clinique et de la physiologie pathologique. En admettant
commode de fixer facilement dans la mémoire les dif- férents types cliniques de la surdité des mots, je vais, en terminant,
ux et de Leudet, qui, en 1865, non seulement tracèrent un tableau clinique de ces paralysies, auquel il restait peu de cho
chez, des sujets héréditairement tarés. ' ''Ach. Foville. - Elude clinique sur la folie avec prédominance du délire des gr
ême auteur est revenu sur ce sujet et l'a développé dans ses leçons cliniques ou dans les discussions sur la folie héréditair
son en est que le processus ne datait que de trois mois. - Obs. IV. Clinique . Anatomie pathologique. Histologie. D'abord une
ons d'encéphalite granulo-tubéreuse étudiées au double point de vue clinique et anatomopathoiogique. Les anamnestiques décèl
(Obs. I) témoigne d'un foyer bulbaire en rapport avec les accidents cliniques relatés. Les auteurs insistent sur le diagnosti
alades ; Fr., persécuté depuis vingt ans, « présenté dans plusieurs cliniques comme type de persécuté » qui n'a ja- mais eu a
mme « type de persécuté sans idées ambitieuses », M. Régis, chef de clinique de M. Bail, publiait l'observation très complèt
nt au groupé des héréditaires dégénérés. M. décrit dans ses cours cliniques le délire des persécu- tions comme une espèce n
avec discernement et prudence ». R. XXII. Contribution tt l'étude clinique de la méningite tuberculeuse à forme de deliriu
ne, 172 ; de la Société médico- psychologique, 318. Psychiatrie clinique , par Wit- kowski, 114. Psychoses consécutives
ments à distance), par J. Voi- sin, 94. Surdité verbale (étude clinique ), par Arnaud, ')77, 366. Surveillance (instal
90 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEU
EUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR
LITIQUES PAR PAUL RICHER DIRECTEUR Honte DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE GILLES DE la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA
rd Saint-Germain 1897 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU srSTtMEEREU. (HOSPICE DE LA SAL
LE 1 (SYNDROME DE BROWN-SÉQUARD) par F. RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux à la Salpêtrièr
ie, au point de vue de la médecine légale, et au point de vue de la clinique pure. Pour ne pas laisser votre curiosité en su
a jambe gauche. Vous voilà au courant de toutes les circonstances cliniques du cas. N'avez-vous pas été frappés, messieurs,
TS . par PAUL RICHER Directeur honoraire du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système nerveux, à la Salpêtrière
MËL1L CHEZ UN FILS DE SYPHILITIQUE par G. GASNE Interne de la Clinique des Maladies du Système Nerveux, . il la Salpêt
lésions spécifiques. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX X UN CAS D'HÉ
E. par ALBERT LONDE Directeur du service photographique de la Clinique des Maladies du Système Nerveux, à la Salpêtrière
ats que l'on peut légitimement espérer au point de vue chirurgical, clinique et même thérapeutique ; qu'il nous suffise d'in
ux, avec une exactitude que les procédés ordinaires d'investigation clinique ne permettent pas d'obtenir. Et, s'il y a lieu
ma- nifestations diffuses. On ne peut attendre d'elles un syndrome clinique aussi remarquablemenlprécisque celui qui décèle
ne symptomatologie essentiellement ca- pricieuse, et leurs variétés cliniques ne restent pas cantonnées dans l'un ou l'autre
mer l'existence d'un néoplasme qu'en vertu d'une cer- taine logique clinique toujours sujette à caution, nous n'arrivions pas
n de ses bouts et produisait des réactions vaso-motrices. Les faits cliniques d'oedème des mains au décours des affections spin
on qu'on doit efl'acer les différences qui existent entre des types cliniques nettement caractérisés; mais au point de vue pa
des variations de la température du 'milieu ambiant. (A suivre.) CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX UN CAS DE CONTR
S DU TRONC PAUL RICHER Directeur honoraire du Laboratoire de la clinique . ET A. SOUQUES Chef du Laboratoire de la
ire de la clinique. ET A. SOUQUES Chef du Laboratoire de la clinique . La contracture hystérique des muscles du tronc
fO'TiAUMATIQU¡'; DES MUSCLES DU TRONC. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX UN CAS D'OSTÉ
iques du côté des os ». Depuis, M. Pic (1) de Lyon, au point de vue clinique , a pensé que l'ostéite de Paget était une dystrop
rs de la maladie de Paget. Reste à remarquer l'absence de symptômes cliniques d'ordre nerveux (hormis les douleurs localisées
ie qui ne modifie pas la forme générale de l'os. (1) Démange, Étude clinique et ttnatomo-palhologique sur la vieillesse. Paris
nique. En 1888, celui-ci confiait à l'un de nous, alors son chef de clinique , le soin d'expé- rimenter dans son service le n
procurait cette importante technique. TRAVAIL DU LABORATOIRE DES CLINIQUES DE LA FACULTÉ DE BORDEAUX. NOTE - SUR LES
MAINE PAR J. SABRAZÈS et C. CABANNES Agrégé de médecine Chef de clinique à la Faculté de Bordeaux. On pensait autrefoi
s de l'Institut Pasteur, 1892. (2) D. S. Ramon y Cajal. Loc. cit. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. (HOSPICE DE LA
ROME DE BROWN-SEQUARD) (Suite) . PAR F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies' du système nerveux. II Messieur
ystème nerveux. II Messieurs, Les questions que soulève le côté clinique de cette étude sont multi- ples. La première, d
t vous allez bien vite saisir l'intérêt est relative à l'expression clinique : chez l'homme, victime d'un attentat, comme ch
aux faits de 6 grou- pes. Il est vrai que dans ce cas l'expression clinique s'est notablement écartée du schéma du syndrome
lié- misection de la moelle siégeait à ce même niveau. L'expression clinique différait du syndrome de Brown-Sequard en ce qu
les sensitifs et sur les troubles moteurs. A vrai dire l'expression clinique , dans son ensemble, différait assez notablement d
edans et à gauche de la protubérance occipitale externe; expression clinique probablement différente du syn- drome de Brown-
hui de trente-six ans, présentent cette infir- (1) Leçons orales de clinique chirurgicale, faites à l'Hôtel-Dieu de Paris par
duisante qu'elle paraisse à première vue. (1) JACCOUD, Leçons de Clinique médicale faites à l'hôpital de la Ckct·ité,1867.
nt parmi les stigmates tératologiques. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES MALADIES 1 DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE
erne lauréat des Hôpitaux Directeur du service photographique de la Clinique des Maladies du Système Nerveux. A propos d'u
dies nerveuses. Paris, 1895, p. 22;i. (2) Gilbert Ballet. Leçons de clinique médicale. Paris, 1897, p. 404. MAIN SUCCULENTE
yélie compliquée de pachyméningite. J'arrive maintenant à l'étude clinique de l'atrophie musculaire telle qu'elle résulte
les-mêmes présentant un as- pect dissemblable. En appliquant à la clinique les données de l'anatomie pathologique qui m'on
in de prédicateur. J'ai dit intégrité relative, parce que les faits cliniques nous montrent que ces muscles quoique atrophiés c
e ? A ce point de vue on n'aura qu'à interroger la méthode anatomo- clinique . Depuis les premiers travaux de Charcot et Joffro
u'on ait observé la main de prédicateur. On voit donc que les faits cliniques et l'anatomie pathologique ne sont pas très fav
le précèdent fascicule, page 200. 10° Année N 4 Juillet-Août 1897 CLINIQUE MEDICALE DE L'HOPITAL SAINT-ÉLOI DE 110NTPELLIE1.
(SPASME polygonal POST-PROFESSIONNEL) PAR Le Pr GRASSET Leçons cliniques recueillies et publiées (1) PAR LE D' VEDEL,
ns cliniques recueillies et publiées (1) PAR LE D' VEDEL, chef de clinique . Messieurs, Au n° 32 de notre salle Fouquet e
gauche. C'est là un spasme du cou, à forme spéciale, dont l'analyse clinique est déjà intéressante et dont l'observation pri
ui ont tous ces caractères : parole volontaire, écri- (1) Leçons de clinique médit, 3e série, 1er rase., 1896. Des diverses va
s de clinique médit, 3e série, 1er rase., 1896. Des diverses variétés cliniques de l'aphasie, p. 5 et De l'automatisme psycholo
pourriez certainement pas vous en tenir là. Les faits d'observation clinique eux-mêmes qui dominent les doctrines et leur surv
ces. On peut cependant rester enfant totalement, corps et (1) Leçon clinique faite à l'Hôpital Saint-Antoine. DE L'INFANTILI
s adultes ; et MM. Mar- fan et L. Guinon concluaient que le tableau clinique du myxoedème spontané des adultes peut s'observ
hyreopriva. Lais- sez le mot et retenez la chose. Un des caractères cliniques les plus frappants de l'infantilisme c'est l'ar
totale du corps thy- roïde. Or il semble, d'après les indications cliniques et physiologiques, qu'on peut dès à présent les
ommée B..., âgée de 15 ans, se présente au mois d'octobre 1890 à la Clinique de M. le professeur Spillmann. Nous ne relevons
e présente en février 1896 à la consul- tation externe annexée à la clinique de M. le professeur Spillmann, at- teinte d'une
ensitives et motrices dans la moelle épinière et leurs applications cliniques . Semaine médicale, 1896, p. 259. Meissner. - Ue
s nous ont semblé trop nombreuses pour répondre à des faits qui, en clinique , se présentent toujours sous le même aspect, et
, recueillis un à un, n'é- taient pas dus aux hasards heureux de la clinique , nous avons, du 20 au 24 mars 1897, recueilli à
ie est un peu déconcertante et semble en contradiction avec les cas cliniques observés. Cependant rien n'est impossible à ce ge
de goître qui s'accompagne d'un facies aisément re- connaissable en clinique , et dont l'étrangeté aurait pu attirer l'attentio
r, St-Dizier (Haute-Marne). 10e Année N° 5 SEPTEMBRE-OCTOBRE 1897 CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. (HOSPICE DE LA
ROWN-SEQUARD) (Suite et fin.) (i) PAR F.RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux ? - -- III Me
y a lieu de soupçonner l'existence d'une hémisection, l'expression clinique est dominée par ce double trait fondamental : hém
ompression ; déductions pratiques. Il est un point, relatif au côté clinique de la question, qui mérite de fixer notre atten-
vec le fait que nous tenons à la fois de l'expérimentation et de la clinique : apparition d'une hémi-anesthésie croisée, à l
, être définie dans les termes suivants : L'expérimentation et la clinique nous apprennent qu'une hémisection de la moelle
hèses, qui nous sont imposées par des don- nées expérimentales et cliniques d'un caractère irrécusable, appellent 1 des r
z l'homme, vous avez été frappés, Messieurs, de ce que l'expression clinique est sujette à des variantes nom- breuses, qui p
ervice de M. Marie à l'Hôtel-Dieu en mai 1894. Il fut présenté à la Clinique . Au mois de janvier 1895, le malade rentra chez
. - Dr SM"T, Un cas de purpura hémol'1'ha.r¡ique par choc moral. La Clinique , Bruxelles, 1888, p. loi. (3) J. IIoTCmxsor, Ar
LXXXIX, p. 94. (5) DUDOIS-IL1VE\ITII, Dermatoses par choc moral. La Clinique , Bruxelles, 1888, p. 164. - CHUYL, Affection cu
IONS DE LA CELLULE NERVEUSE PAR SERGE SOUKHANOFF, Médecin de la clinique psychiatrique de Moscou. Il s'est produit,ces d
pique par la méthode de Marchi et par celle de Nissl. Observation CLINIQUE . Le malade M., âgé de 28 ans, entra à la cliniq
sl. Observation CLINIQUE. Le malade M., âgé de 28 ans, entra à la clinique psychiatrique de Moscou le 19 mars 1897. Il y
la température. L'examen des yeux pendant le séjour du malade à la clinique , fait par le docteur Golowine, révéla l'existen
zier (Hte-Marne). Fin. 5. 100 Année N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE 1897 CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
TRIE DU CORPS CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE (f) F. RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux. PAR ET P
ET PIERRE JANET. Directeur du laboratoire de Psychologie de la Clinique . Voici l'histoire d'une jeune fille, Fa..., âgé
d'apparence rhumatoïde Il PAR R PAUL LONDE Ancien Interne de la Clinique des Maladies Nerveuses. Quand Charcot démontra
pathie, qui est exclusivement de nature nerveuse par ses caractères cliniques (Charcot la décrivit d'abord sans l'aide de l'ana
t. Il nous a paru intéressant de tenter une classification purement clinique qui aura peut-être l'avantage de faire ressorti
n (1) Leçons sur les maladies nerveuses, tS9o, p. 313. (2) Traité clinique des maladies du système nerveux (trad. de LuBAisK
nutile de dire qu'il n'y a aucun rapport entre la cause et la forme clinique . Les formes de l'arthropathie consécutive à une
affectées, etc., etc. Quant à la nature des arthropathies l'examen clinique ne peut les dif- férencier des diverses formes
ant mais non ex- clusif. L'existence de formes éliologiques et même cliniques n'infirme pas encore la théorie de l'unité. v
inconnu, se trouvait rapidement détruit. (2) RAYMOND, Voir Leçons cliniques , ire série. - BUZZARD, Clinical lectures on di-
ie de Brodie, où la contraction musculaire est le fait essentiel. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
MÉDIUS ET INDEX DE LA MAIN GAUCHE PAR R. CESTAN. Interne de la Clinique des Maladies du Système Nerveux. Le développeme
ion lorsque parut dans cette revue (juillet et août 1897, n° 4) une clinique du professeur Grasset sur un spasme poly- gonal
incipaux caractères de la maladie. La comparaison de la description clinique au- jourd'hui bien précisée avec les signes rep
t anciens pourraient rivaliser en exactitude avec les photographies cliniques que l'on fait aujourd'hui. On pourrait évidemme
s de l'Art, en se basant uniquement sur les données de l'inspection clinique . Certains signes ne constituent que des présomp
tracturée dont les doigts forment une griffe conforme il la réalité clinique de la Lèpre. Derrière lui, un second malade, le
re du XVe siècle un tableau plus précis et plus complet du syndrome clinique de la paralysie faciale ? . Ce n'est pas tout.
côté, avec participation du facial supérieur : c'est là un ensemble clinique assez rare. Mais l'ar- tiste n'était pas tenu d
exécutée par un artiste peu exercé aux difficultés de l'observation clinique , surtout lorsqu'il s'agit d'une oeuvre de date
l'attitude sont presque pathognomoniques. Et à la vérité, ce type clinique est assez saisissant pour avoir pu frapper un p
91 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
és, pourrait devenir un jour le siège d'un ensei-gnement théorique et clinique vraiment utile (1). Sans doute, Messieurs, le c
ganisés en vue des investigations scientifiques et de l'ensei-gnement clinique , nous posséderons àParis, je n'hésite pas à le di
n'ignorez pas que de grands progrès ont été accomplis dans l'histoire clinique des paralysies sous l'influence des tra-vaux de M
ment à la suite de la lésion d'un nerf sont, ainsi que l'ex-ploration clinique l'a souvent démontré, le premier terme d'une séri
ième jour, dans les muscles frappés de paralysie (3). L'observation clinique démontre, vousnel'ignorezpas, qu'en 1. W. Erb.
somme, du parallèle que nous venons de vous présenter, que les faits cliniques , observés cependant avec le plusgrand soin, sont,
ences relatives aux sec-tions de nerfs chez les animaux, tandis qu'en clinique , suivant la méthode de M. Duchenne, l'exploration
les paralysies par lésions des nerfs que nous offre ordinai-rement la clinique et les paralysies qu'on détermine chez l'ani- 1
, en un mot, toute la série des phénomènes que dévoile l'obser-vation clinique dans les cas qui nous occupent. L'affaiblisseme
par l'enchaînementhabituel des phénomènes révé-lés par l'observation clinique , cette altération delà fibre con-tractile, manife
ve avec laquelle elle est quelquefois confondue, bien à tort, dans la clinique . La première se sépare cependant nette-ment de la
er, pour le moment à enregistrer les faits tels que nous les offre la clinique éclairée par l'anatomie pathologique et à constat
de la peau, à laquelle revient un rôle très important dans l'histoire clinique d'un bon nombre de maladies du cer-veau et de la
tées soit séparément, soit simul-tanément, il en résulte que, dans la clinique , le décubitus aigu et l'atrophie musculaire aiguë
Séquard, et dont j'ai fait connaître les caractères anatomiques et cliniques , appartient, si je ne me trompe, à cette même cat
athésique. Ainsi, tout en reconnaissant l'exactitude des descriptions cliniques de M. Alison, je ne saurais souscrire à la théori
rdinaire des hémiplégiques (Cas d'Hubert. Voir Bourne-ville. — Études cliniques et thermométriques sur les maladies du système ne
de la coexistence de ces manifestations articulaires. Les caractères cliniques , qui rendraient facilement reconnaissables lesârt
née a trouvé beaucoup d'incrédules. Un mot d'abord sur les caractères cliniques de Y arthropathie des ataxiques (1). ci se mont
eu soin de faire remarquer, en effet, me fondant sur des observations cliniques , bien des fois répé-tées, que l'affection articul
e musculaire progressive des arthropathies, qui, par leurs caractères cliniques , se rappro-chent beaucoup de l'arthropathie des a
e l'amyotrophie dans la majorité des cas qu'on désigne d'habitude, en clinique , sous le nom d'artrophie musculaire progressive.
t M. Guéneau de Mussy l'a fait remarquer avec justesse dans une leçon clinique publiée récemment par la Gazette des Hôpitaux (
les deux affections qui doivent faire l'objet de nos premières études cliniques , la paralysie agitante et la sclé-rose en plaques
raiment de la paralysie agitante ou avait-on sous les yeux le tableau clinique de la sclérose en plaques ? Le fait est parfaitem
ées, on ne sait trop pourquoi, dans la version adoptée, dans sa leçon clinique , par Trousseau. Les considérations qui précèden
te pas, pour l'instant sur ce sujet, j'ai hâte de terminer l'histoire clinique de la paralysie agitante, en vous exposant ce que
de la sclérose en plaques. A côté, vous pourrez lire les observations cliniques auxquelles elles se rat-tachent. Jeprofite de cet
ouvrage dans les hôpitaux de Paris, ne re-late à ce propos aucun fait clinique . Même aujourd'hui, je ne crois pas que la scléros
proposant d'insister plus tard sur ceux quicontiennent des dé-tails cliniques . Aux renseignements que nous donneront les au-teu
de siège motivent des divisions importantes que nous retrouve-rons en clinique . Tantôt les plaques occupent exclusivement la moe
Messieurs, nous avons hâte de laisser l'anatomie pathologique pour la clinique , et de vous montrer par quel appareil de symptôme
rsité d'aspect de la sclérose en plaques disséminées, au point de vue clinique .— Causes d'erreurs de diagnostic. Examen cliniq
, au point de vue clinique.— Causes d'erreurs de diagnostic. Examen clinique d'un cas de sclérose en plaques. — Du tremblement
omme, n'est pas rare, ait échappé durant un temps si long à l'analyse clinique . Hien n'est plus simple cependant, j'espère vou
ignaler en premier lieu la diversité d'aspects sous lesquels, dans la clinique , il est pos-sible de la rencontrer; c'est là, en
de la sclérose en plaques, était venu le visiter dans le service de clinique dont il est actuellement chargé. Pour lui faire h
pas à déclarer que sa dissertation marque un progrès sérieux dans la clinique des maladies chroniques du système nerveux. Dan
e phénomène que j'ai été conduit à considérer comme un des caractères cliniques les plus importants de la sclérose en plaques cér
que, avant la publication des travaux qui l'ont fait admettre dans la clinique usuelle, la sclérose en plaques a été quelquefois
naître d'abord. En ce qui concerne ce point particulier, l'histoire clinique de Mlle V... a été traversée par certains acciden
ne se sont pas produites, jusqu'ici, chez Mlle V,.., dont l'histoire clinique est d'ailleurs si complèteàbeaucoupd'égards; mais
sions. Mais, en somme, toutes tes variétés de forme que l'observation clinique a fait reconnaître, — je ne veux envisager ici qu
es eompl., t. IX, p. 91). — Voyez aussi Charcot. — Leç.sur la thermo. clinique , publiées par Joffroy. (Gaz. hebd., 1869, p. 32i,
, 742, 821 et Œuvres compl. t. VII, p. 293). — Bon rue ville : Études cliniques et thermométriques sur les maladies du système ne
te le type normal, celui que nous rencontrons le plus souvent dans la clinique . La sclérose multiloculaire cérébro-spinale acc
'ne Routier, qui, durant plus de quinze mois, figura, vers 1810, à la clinique du professeur Leroux. Le malade avait offert d'ab
a été publié récemment par M. Paget dans les Bulletins de la Société clinique de Londres (3). Bien que l'anurie fût absolue, le
à entreprendre la réhabilitation de l'ischurie hystérique comme fait clinique réel. Les mêmes acci-dents, du reste, devaient re
t de la précédente leçon a été publiée in-extenso dans nos Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie,
erger, je crois qu'il est péremptoirement 1. Briquel (P.). — Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie. Paris, 1859. dé
ésie hystéri-que qui méritent tout notre intérêt, tantau point de vue clinique qu'au point de vue de la théorie, heëmembranes mu
L'hémianesthésie, telle qu'elle vient d'être décrite, est, dans la clinique de l'hystérie, un symptôme d'autant plus impor-ta
doctrine qui invoque d'ailleurs à lafois les données de l'observation clinique et celles fournies par l'expérimentation chez les
e résolue d'une manière définitive qu'à l'aide de bonnes observations cliniques , auxquelles viendra s'adjoindre le contrôle d'étu
soin de la chercher. Voici sur quoi je me fonde. Il existe dans la clinique des maladies organiques des centres nerveux un ap
sthésie d'ori-gine encéphalique, ont trouvé une nouvelle confirmation clinique dans un cas que nous avons recueilli dans le serv
les expériences faites chez les animaux par M. Veyssièrc. (Recherches cliniques el expérimentales sur Vhémianesthésie de cause cé
éré-brale. (Paris, 1874. — Ce travail contient aussi des observations cliniques intéressantes.) (Note de la 2e édition.) (B.).
mbre. Conclusion au point de vue de la thérapeutique. —Observations cliniques . Messieurs, Par la dénomination assez pittore
t un qui, en raison du rôle prédominant qu'à mon sens il joue dans la clinique de certaines formes de l'hystérie me paraît mérit
voir que Brodie, qui, le premier peut-être, a reconnu tout l'intérêt clinique de l'étude de Vhystérie locale, ne traite pas d'u
e senspratique des chirurgiens anglais soit attiré par les dificultés cliniques que présentent les symptômes locaux de l'hystérie
cer-tain degré de gonflement de l'abdomen, et vous aurez l'ensem-ble clinique de la fausse péritonite, — spurious peritonitis d
yélite. Vous n'ignorez pas qu'en pathologie expérimentale ces faits cliniques trouvent jusqu'à un certain point leur interpréta
ade dans le Progrès médical (Nos 16-33, 1874), et dans nos Recherches cliniques el thérapeut. sur l'épilepsie et l'hystérie, p. 1
n IX, p. 275. — On trouvera son histoire complète dans nos Recherches cliniques et thérapeutiques sur Vépilepsie et Vhystérie, p
i, Messieurs, rien déplus simple, je le répète, que l'in-terprétation clinique de ces deux cas, en ce qui concerne le diagnostic
ignalerai encore une particularité fort intéressante, au point de vue clinique : chez cette jeune malade, les atta-ques hystériq
eptique. —Elat de mal hystéro-épileptique : ses phases. — Caractè-res cliniques de l'état de mal hystéro-épileptique. — Gravité d
Observation de Wunderlich. Messieurs, Dans la courte description clinique que je vous ai donnée à propos de chacune des mal
l exemple, le parti qu'on peut tirer de ce mode d'exploration dans la clinique des maladies du système nerveux. Ce n'est pas,
avons déjà parlé de cette malade, p. 342. 2. Bourneville. — Études cliniques et thermo-métriques sur les maladies du système n
gnée tout au long, jusqu'à la date du 26 ma;'.s 1872, dans nos Études cliniques et thermom. sur les maladies du système nerveux.
sansprêliminaires, sans préambule enenirantde plein pied dans l'étude clinique , qui est d'ailleurs l'objet prin-cipal que nous p
illeurs fort bien portante, est âgée de 19 ans à peine ; son histoire clinique antérieure est cepen-dant déjàfort longue, fort a
ui a eu lieu il y a 2 ans, n'a modifié en rien d'essentiel le tableau clinique . Les paroxys-mes convulsifs et les phénomes locau
évidemment à cette catégorie. Il relève, avec raison, 1. Recherches cliniques et thérap. sur l'épilepsie et l'hystérie et Icono
e observation (Planches VII et VIII.) Dans l'une de ses conférences cliniques de l'an dernier à la Salpêtriere, M. Charcot a fa
pe, et ces combinaisons trouvent chaque jour leur réalisation dans la clinique . Il est bien entendu que ces troubles visuels d
s cas, vulgaires. Une combinaison très intéressante au point de vue clinique et que M. Charcot a rencontrée plusieurs fois est
, l'achromatopsie est absolue pour les 1. Bourneville. — Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie,
rsité d'aspect de la sclérose en plaques disséminées, au point de vue clinique . — Causes d'erreurs de diagnostic. Examen clini
au point de vue clinique. — Causes d'erreurs de diagnostic. Examen clinique d'un cas de sclérose en plaques. — Du tremblement
'un membre. Conclusion au point de vue thérapeutique.— Observations cliniques . . . 320 DOUZIÈME LEÇON de la contracture hys
ptique. — Etat de mal hystéro-épileptique ; ses phases. — Caractè-res cliniques de l'état de mal hystéro-épileptique. — Gravité d
orique, 113; — mode de début, note, 113; — lésions, 120; — caractères cliniques , 119. Articulations (Affections trophiques des)
304, 321, 394, 3%. — Fréquence, 321. — Historique, 321. — Carac-tères cliniques ,324.— Lésions ana-tomiques de l'ovaire, 329. — Co
— Lésions ana-tomiques de l'ovaire, 329. — Con-clusions, 338. — Faits cliniques , 340, 346, 373. Hystérie (V. Epidémie, Hémianes
Simulation, 281. — Elle diffère de l'ischurie calculeuse, 283. — Fait clinique . 285. — Tracé indicatif des vo-missements et des
92 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE i : LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX 3873. - Imprime
es, B, rue Mignon, 2. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA
AUL RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE ANCIEN CHEF DE CLINIQUE ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHI
n, je me bornerai dans ce tra- vail à un simple exposé de documents cliniques . Aussi est-ce sous le titre qu'on a lu, qui ne
et un ans, femme de ménage, venue il la consultation externe de la Clinique en janvier 1888. Antécédents héréditaires. Son
e côté droit. Que si maintenant nous coordonnons en une description clinique les traits primordiaux fournis par le tableau s
le et comparativement avec les précédents, des points de similitude clinique importants à relever, ainsi que des par- ticula
t rappeler à cette, occasion que M. Joffroy.1 a-rapporté des- faits cliniques analogues; et a montré, entré autres, qu'après un
hysiologie, 1879. 2. Cette observation a été présentée à la Société clinique à la séance du 8 novembre 1888. 1 : ! NOUVELLE
examen anatomique, du moins presque indé- niables par l'exploration clinique , névrites unilatérales à l'appari- tion desquel
s et les précédentes où l'affection se présente avec des caractères cliniques semblables, mais cette fois symétrique. Si l'affe
semble, en conséquence, qu'elles forment, grâce à leurs caractères cliniques et à leur évolution toujours semblables, un vér
s toutefois les inductions que nous paraît autoriser la seule étude clinique sur la nature de ces faits. Il semble bien qu'o
. C'est pourquoi, quelque caractéristique que paraisse le tableau clinique si uniforme dans chacune de nos observations, nou
dans 1 es cadres nosographiques. PAUL BLOCQ, Ancien interne de la clinique des maladies du s)slème nervoux. 1. Contribut
ès, il n'était pas difficile de découvrir des différences 1. Etudes cliniques sur la grande hystérie. 2. Les Démoniaques dans
rapportés. Notre ami, M. le docteur Gilles de la Tourette, chef de clinique des maladies du système nerveux à la Salpêtrièr
he. Amélioration progressive. Marie D..., dix ans, est entrée il la clinique des maladies du sytème ner- veux, service de M.
ve dans la commu- nication de MM. Haddcn et Ball,lIlce à la Société clinique de Londres, 1888.) FIG. 15 (Obs. XII). 16 NOU
tanés de la face, des mains et des pieds. - Communiqué à la Société clinique de Londres le 23 janvier 1885. Clinical Societg
écrétiou de la sueur; pas d'aneslhésie. - A la séance de la Société clinique de Londres, le 13 avril 1888, MM. IIadden et Ba
cas, le fait vaut la peine d'être signalé. Pendant son séjour à la clinique , la malade eut deux accès de migraine avec vomi
re connaître, avec le mode opératoire, M. le D Onanoff, élève de la Clinique , son compagnon de voyage. Le traitement a été m
raitement a été mis en oeuvre par M. Gilles de la Tourette, chef de clinique , qui a surveillé toutes les opérations et recueil
de la leçon du 15 janvier 1889, par M. Gilles de la Tourette, chef de clinique . - Cet article a paru dans le Progrei médical,
us n'insisterons pas sur les résultats jusqu'à présent obtenus à la Clinique , résultats consignés dans la leçon que nous avons
é, être totalement inoffensif. » GILLES DE la TOURETTE, , Chef de clinique des maladies du système nerveux. NOTE SUR UNE A
a Salpêtrière, au mois de novembre 1887, nos fonc- tions de chef de clinique de M. le professeur Charcot, nous avons trouvé
tions hystéri- ques des muscles oculaires2, M. le Dr Borel, chef de clinique de 1. Archives d'ophtalmologie, iioveml)re-déce
ode d'investigation qui peut permettre de déterminer si un syndrome clinique est oui ou non sous la dépendance de l'hystérie
.-itl. Charcot, Spasme glosso-labié unilatéral des hystériques. Leçon clinique in Semaine médicale, 2 février 1887. 2. Cette
e nous attarderons nous pas à tracer plus complètement l'his- toire clinique et thérapeutique du blépharospasme. Nous avons bi
OLOGIQUE DE l'acromégalie l Après avoir rapporté les observations cliniques et étudié les symp- tômes et les caractères par
s nets ni moins stables que ceux qui la distinguent au point de vue clinique . Autopsie de l'Observation V (Saucerotte). -A l
ans le chaos ; autant au point de vue anatomique qu'au point de vue clinique elle a perdu son autonomie. Mais même pour ceux q
e générale (Ann. méd. psych., 1882, t. 1111, p. 230). ' 4, Traité clinique des maladies mentales, p. 3.t3, 5. Charcot et r
rps tiennent, on le sait, une place fort importante dans le tableau clinique de la maladie de Par- kinson. Peu d'affections
n paralytique agitant qu'il présenta, l'an dernier, dans une de ses cliniques du mardi '. Il proposa de la désigner sous le n
a été présentée par M. Charcot à ses ; auditeurs dans la conférence clinique du 19 juillet. Il s'agit d'un cas de paralysie
itude qui aient été jusqu'ici mentionnés. A. Dutil, Interne de la Clinique des maladies du 5%stèitic nerveux. DE LA SUPERP
rvée sur Lelog... chez une jeune Russe admise dans le service de la Clinique , en 18882, pour une contracture des muscles de
eux autres qui, à notre avis, présentent également, au point de vue clinique , pour le diagnostic différentiel, un intérêt de p
la sensibilité articulaire. N'aura-t-on pas, alors que l'évolution clinique a été douteuse, un bon point de repère pour le
le plus grand bien des malades. Gilles DE la TOURETTE, Clii-f de clinique deb maladies du système nerveux. Il. 11 A.AT0
tribut de respectueuse admiration. GILLES DE la TOURETTE, Chef de clinique des maladies du système ne) ? )t\. Le gérant :
équente 1. Spasme ¡(losso-lauié unilatéral des hystériques. - Leçon clinique in Semaine médi- cale, 2 février 1887. 2. De
somnambulique, et je me contenterai de donner le résumé du tableau clinique que j'ai tracé de la forme cérébrale dans le tr
tractures d'appréhension ou d'adaptation. Peut-être au point de vue clinique y a-t-il similitude complète ; en tous les cas,
ion pendant le sommeil. PAUL RICI3ER, Chef du laboratoire de la Clinique dés maladies du système nerveux, . SUR UN CAS D
détails morphologiques. PAUL RICIIER, Chef du laboratoire de 1.» Clinique de* maladies du ytemc nonvu-c ANATOMIE PATHOLOG
senti au musée de Bolognc, ce qui explique l'absence (l'observation clinique et d'examen des viscères, , ANATOMIE PATHOLOGIQ
e époque de l'existence, et nous observons encore en ce moment à la Clinique une femme de soixante-dix ans, Aurél... qui, depu
égie cérébrale. Cette dernière hypothèse doit être éliminée, car la clinique nous a appris depuis longtemps que l'hémorragie
irconstance des eschares du « decubitus acutus » 'ï 1 . 1. hludes cliniques et physiologiques sur la marche. - La marche dans
-t ! . Charcot. Spasme -Iosso-lahié unilatéral des hystériques. Leçon clinique in Semaine médicale, 2 lévrier 1887. Brissaud e
ons en citer des exemples. C'est en 1886 que M. Babinski, chef de clinique , suivant en cela l'en- seignement de M. le prof
egarde à proprement parler l'atrophie musculaire. Dans ses Leçons cliniques du premier semestre de l'année 1. G'atroa muscu
grandes attaques et hypnotisable, a séjourné dans le service de la Clinique pendant 2 ans, en 1879 et 1880; 1 hystérique à
rès un assez long séjour à 131eêtre est entré dans le service de la Clinique , le 0 juin 1889. Il était, alors comme aujourd'
on. Elle était déjà entrée à la Sal- pêlrière dans le service de la Clinique . Aussitôt elle remarqua au niveau de l'éminence
de M. le professeur Damaschino l. En 1883, A. Fabre9, professeur de clinique à l'Ecole de Marseille, qui connaît parfaitemen
.. et Obs. II) qui, avec les pré- cédents, constitueront l'ensemble clinique sur lequel devra s'asseoir la description de l'
érie (Gazette des hôpitaux, 1888, p. 561). 2. Nouveaux Fragments de clinique médicale. - L'hystérie viscérale. Paris, Delahaye
que tous les autres réunis... Il s'appe- lait ? .. Il a été chef de clinique à la Pitié, je ne sais où, je ne me rappelle plus
avec la névrose. GILLES DE la Tourette, A. DUTIL, Ancien chef de Clinique Interne de la Cliniquc deamaladic, du système n
un travail publié en 1888 nous nous efforcions de tracer l'histoire clinique des attaques de sommeil hystérique. Les faits q
état de mal de sommeil au contraire, rien qui indique le réveil. La clinique a donc tout à gagner à posséder un procédé perm
sa Leçon du 5 février, d'occuper un rang de première importance en clinique , n'est pas le simple fait d'une dénu- trition b
ts obtenus. GILLES DE la TOURETTE, H. CATHELINEAU, Ancien chef de clinique des maladies nerveuses. Chef du laboratoire de ch
2. ]tact. De la chorée chronique. Th. Paris, 1889, p. 174. 3. Étude clinique sur la fièvre du goitre exophtalmique et, compara
ppelaient d'autres recherches. Nous avions, dans les salles de la Clinique , trois malades atteintes de goitre exophtalmiqu
exemple. Gilles DE la touretTe, II. C.1TIIEL1NEAU, Ancien chef de Clinique des maladie* Chef du laboratoire de l'1limÏt' d
a été présenté par M. le professeur Charcot dans une de ses Leçons cliniques du mois de novembre 1889. M. Charcot fit alor
on électrique. Gilles DE la Tourette, ZAGUEL1111N\ Ancien chef de Clinique Externe de la Clinique. des maladies du système
DE la Tourette, ZAGUEL1111N\ Ancien chef de Clinique Externe de la Clinique . des maladies du système ncrvcuc. j 0 L'HYSTÉ
ptôme de son affection. » GILLES DE la Tourette, Ancien chef de Clinique des maladies du ssstème nerveux. ANATOMIE PATHO
93 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es. 1883 Vol. VI. Juillet 1883. N° 16, ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS; Par
ont rencontrées sur la plupart des points. Archives, t. VI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. jusqu'alors l'attention des auteurs.
ie persista. Je lui prescrivis alors une dose de 1 gramme 50 de 4 CLINIQUE NERVEUSE. chloral, le soir, au moment de se cou
s nous reprimes les douches froides aussitôt que la guérison du 8 CLINIQUE NERVEUSE. genou nous parut suffisamment consoli
propre, l'enfant n'en persista pas moins dans ses études, et il 12 clinique nerveuse. eut neuf nominations à la distributio
s douleurs n'ont pas cessé pendant cette interruption, et que 14 le CLINIQUE NERVEUSE. l'enfant est plein d'ardeur pour ses
blier notre travail prochainement, avec les nombreuses observations cliniques qui nous ont amené précisément il ces conclusio
ducation sociale et privée, morale et physique. ' More). - Etudes cliniques . Traité théorique et pratique des maladies ment
mentale,. ou, physique.ll\Iorellpurtant;;c1pnt, l' ex pé ! L rience clinique était; si vaste, ^-présenté; ce fait» comme 1,
ésa U*Iqties,héréd 1 taires; il' en a. donné, i dans L ses 1Étllde1 cliniques ,¡,plu-) ! . sieurs] exemples;^ dont un'; très
dance' quand' on lui 'parle. Voilà, réalisé devant nous, un exemple clinique des plus instructifs, surtout lorsqu'on vient à
18'-1 ntf, ! f l' "+ 1 -, i 1 . v o, '1 t) ..r- ? r,.J RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FOLIE AVEC CONSCIENCE'; rw r;1 t il- --
urs, si, abandonnant, pour quelques - instants le terrain purement- clinique sur, lequel mous nous sommes placé jusqu'à prés
: La seconde, où la question sera examinée surtout au point de vue clinique , le sera ultérieurement. 1 ¡ M.rMài : çaé'ci
lt; ? U ? ) ? L examen histologique a confirme les prévisions de la clinique ., )n ? m ? n)f",P .rfr)9'7'ir » . ! t n, fn I»
se faite par lui au Congrès dé' Bàac en '1881'. ]1 complète l'étude clinique de.1l\I. Siemens* et relate les i · I 1 ·,·- ll
seconde, }(3 ? iÓFn'ys antérieures cd )Í\1lI).9lIe..c,rvical'JJ¡La clinique .et. la pnysiologierperme,tient.deicroire/que de
des localisations; par, exemple, choisir de. préférence les'faits; cliniques simples et,' autant que, possible,, observés, 4
fficiels que, dans l'observation directe de la.nature et qu'un fait clinique bien constaté par des-, témoins impartiaux; àt
ue'de la'Salpé' trière, 1. III, ! P,] 1149. - P. B.icher ? Etudes.* cliniques sûr la* grande hystérie, iu-8^, 158t. , i" ' a
dico-légales. Il veut des épreuves orales et la fréquentation d'une clinique , conformément aux décisions de la Commission co
chondriaque des idées délirantes serve au fond à déterminer le rang clinique de la psychose. Enfin, la mélancolie dite hypoc
f 1 f -¡'"J , 1 ," l ! )J) M, ' ! \1EYNERT présente un malade de sa clinique 'et* montre qu'il agrémenté* une 'prétendue 'pe
j-V-i '. j ? y'»*/ 0)3 '(.», M. Meynert présente deux malades de sa clinique : ui5csiÿté- ressantd aphasie; un cas de démenc
e temps qui peut-être n'est pas loin, nous posséderons, des entités cliniques de l'idiotie en correspon- dance avec les,modal
" f" 1 ,1f,I'¡t, Il P Ii. Le délire chronique, son évolution (étude clinique ) ; par, GÉRENTE. Thèse de Paris, 1883. ;" ? ( ?
on de M. le professeur J. Mierzejewski, porte le nom de Messager de clinique mentale et nerveuse (Wiestuick psyckiatrii, nervo
ns faites à l'asile Sainte-Anne, 1881. (Inédites.) 'More ! . Eludes cliniques , etc., t. I, p. 163 et sni"" 362 etsoiv. 3 Magn
élirant, * même arrivé à la période de systématisation. Ces faits cliniques ont leur importance au point de vue de cer- tai
; et l'on saura toujours alors le reconnaître derrière chaque cas clinique particulier. Or, nous estimons qu'une étude cli
e chaque cas clinique particulier. Or, nous estimons qu'une étude clinique attentive pourra distinguer toujours, parmi ses
hives de Neurologie, ! f 14, p. 191, et il- 15, p. 290. Observation clinique résumée d'après les notes recueillies par M. Pr
isseur du derme et du tissu cellulo- 1 Résumé d'après l'observation clinique communiquée par M. le pro- fesseur Vergely. 1
sser à notre travail le caractère d'un simple recueil de faits. . CLINIQUE NERVEUSE DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS'; Par
a maladie, nous le constaterons de même 'v. o· " ic, 1,. 1. 20 1. CLINIQUE nerveuse. pour le siège et la nature de la doul
Chaque fois qu'il s'agit de troubles purement fonctionnels. - 306 CLINIQUE NERVEUSE. S'il était bien démontré que les modi
s maladies de l'enfance. Jules Simon. Conférences thérapeutiques et cliniques sur les mala- dies de l'enfance, p. 110. Fous
ance, p. 110. Foussagrives. - Hygiène de l'enfance. . 2 Gossclin. Clinique chirurgicale de la Charité, t. le. 3 Bouchard.
ard. - Des maladies par ralentissenzent de la nutrition, p. 37. 208 CLINIQUE NERVEUSE. nifester à cet âge entre l'apport nut
peut pas encore s'appliquer à l'étude. Archives, t. VI. 14 210 CLINIQUE NERVEUSE. nuer leurs études, et ils le peuvent,
tempes; ils n'accusaient point de douleur au front. Ils- ,)Il) 2 CLINIQUE NERVEUSE. ne pouvaient ni écrire, ni lire, ni s
ade du Dr Blache. M. Bucquoy nous audit avoir constaté les 31t le CLINIQUE NERVEUSE. bons effets des eaux de Saint-Nectair
ore de temps en temps au traitement pour assurer sa guérison. 216 CLINIQUE NERVEUSE. CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. Les observa
NCE GRISE, AVEC EPILEPSIE PARTIELLE (Jacksonienne) COMME SYNDROME CLINIQUE ; par M. S.-F. D.\nlLLO. (Laboratoire delà Clini
COMME SYNDROME CLINIQUE; par M. S.-F. D.\nlLLO. (Laboratoire delà Clinique des maladies du système nerveux de M. CHARCOT.)
nes pathologiques susmentionnés. N'ayant pas à nous occuper de la clinique de ce cas, nous nous bornerons à en mentionner
- gner sous le nom placé en tète de notre mémoire ? Comme données cliniques , les faits principaux sont les sui- vants : , ,
endant les attaques. : La dernière série d'attaques a commencé à la clinique , le 19 octobre 1882, par les phénomènes déjà én
données notées par M. Féré sur le cahier anatomo-pathologique de la clinique , d'où nous les reproduisons, sont les suivantes
nde rapi- dité et l'enfant ne tarda pas à offrir tous les symptômes cliniques de l'idiotie complète : parole embarrassée, mém
symptômes et sa marche. Cependant, nous préférons réserver l'étude clinique pour la seconde partie de notre travail; où les
itifs, moteurs, trophiques,se rencontrent dans les deux moda- lités cliniques ; toutes deux peuvent aboutir aux mêmes termi- n
anifestée chez le produit. M. LEGRAKD du Saulle rapporte l'histoire clinique d'une petite fille qui, à la suite d'une fièvre
maladie dans l'ancienne littérature japonaise), qu'au point de vue clinique et anatomo-pathologique ; l'auteur rapporte un
adolescence (maximum de fréquence, t3 à 2 : i ans). Au point de vuc clinique , l'auteur distingue quatre formes de kak-kè : u
dans un cas, ' la regarde comme secondaire. D'ailleurs, l'aspect'^ clinique ! dé'1 la maladie'accuse bien' sa- naturé''péri
uérison a toujours eu lieu rapidement (27 jours à l'hôpital, 8 à la clinique ). Les malades ont été pansés d'après les règles l
aculté de médecine de Paris. - Le concours pour la place de chef de clinique des maladies du système nerveux vient de se ter-
s, à cette occasion, qu'il existe depuis plusieurs années à l'asile clinique Sainte-Anne et à la Salpêtrière, et enfin que, à
Projets, plans, modèles relatifs à la construction des asiles, des cliniques psychiatriques, des sections pour idiots, pour ag
BIBLIOGRAPHIQUE. t BOUR-NLVILLL, Bowamc et \1'mLr ? mé. Recherches cliniques et lhéra- peittiqîtes sur l'épilepsie, l'hystér
fr. Paris. Vol. VI. Novembre 1883. N" 18 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE AFFECTIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DU
elles n'étaient pas Fq. 3. Artliropa- thie du niecl droit. 308 CLINIQUE NERVEUSE. seules en jeu, et que les os aussi de
técédents héréditaires l'existence d'une tante et d'un oncle 312 ' CLINIQUE NERVEUSE. maternels aliénés. Elle-même n'a jama
t. Sensation de constriction thoracique en cuirasse, s'exa- 31 Id CLINIQUE NERVEUSE. gérant par moments. Rarement elle se
ienne permît de soupçonner des altérations plus complexes, l'examen clinique des faits ne suf- fisait pas, à lui seul, à éta
ndre longtemps la solution de la question. Un cas analogue : 1 ¡¡ CLINIQUE NERVEUSE. à ceux que nous venons de relater s'é
3 '" 11- n - .J U,¡ ? U J o : : J o : : J fI') ta lEg 318 CLINIQUE j'OEI{YEUS[ ! . Nous n'insisterons pas longueme
lan- gage oral s'effectue pas à pas; chaque jour son réper- 33(i CLINIQUE MENTALE. toire s'enrichit d'expressions nouvell
devient à l'instant plein de sens et rigoureusement conséquent. CLINIQUE MENTALE DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES DE CARAC
st qu'en effet, ce syndrome, qu'on l'envisage au point de vue de la clinique , de la physiologie patho- logique, de l'histoir
héa. Du délire des sensations, p. 106. Archives, t. VI. 2*2 338 . CLINIQUE mentale. du dédoublement et de l'indépendance f
on inquiète par les mots : « Je n'ai jamais eu de chance» . 31O ' CLINIQUE MENTALE. A vingt-six ans, le délire s'accuse; l
la- die ; l'hémisphère droit répondant au côté gauche dis- 312' ' CLINIQUE MENTALE. posé à la joie et faisant presque enti
iscours orduriers et l'on par- lait des obscénités du diable. 344 CLINIQUE MENTALE. Ce malade adonné à l'absinthe a présen
lcoolique et de leur traitement. Paris, 1874, p. 68 et 255. 3 if, CLINIQUE MENTALE. chez tous les trois, nous voyons comme
nation se poursuit, si c'est la paupière gauche P. Richer. - Etudes cliniques sur ? t)/f)'o-p ! 7e;M ! e, 1882. : 1 Í8 CLINIQ
ans quelle région de l'hémisphère doit-on les localiser ? ` ? 350 CLINIQUE MENTALE. Lorsque M. Baillarger1 publia son rema
les de Fritsch, d'Hitzig2 de Ferriez, de Munck°, et depuis que la clinique étayée par l'anatomie pathologique est venue pr
nis par la physiologie expérimentale en faveur de cette théorie, la clinique vient tous les jours ajouter de nouvelles preuv
cine, 1882.) 1 Fritsch. Wiener ltlcdlcinische Presse, 1880. 352 CLINIQUE MENTALE. (service de Meynert) et le mien' qui d
iels de l'écorce qu'il faut les rattacher. AncmVES; t. VI. 23 354 CLINIQUE MENTALE. Dans un travail sur les hallucinations
tisme de l'hystérie corroborent de tout point les résul- tats de la clinique . RECUEIL DE FAITS CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE A1
. le P' A. KOJEWNIKOFF (de Moscou). Le 7 septembre 1880, entra à la clinique des maladies ner- veuses Wassily Mennschof, cor
S DE SCLÉROSE LATÉRALE ASIY0TR0FHIQUE. 359 Le malade est resté à la clinique à peu près un mois (il eri est sorti le 18 octo
s étaient devenus un peu plus libres. Bientôt après la sortie de la clinique , le dérangement dans les mouvements redevint le
eil, il se vit obligé, le 22 septembre 1881, d'entrer derechef à la clinique des maladies nerveuses. Etal actuel (22 septe
qui était, du reste, en harmonie complète avec les manifestations cliniques . La substance grise du bulbe était de même tout à
males et en nombre complet. A la suite de l'examen des phénomènes cliniques et anato- rnopathologiqucs que présentait notre
onnes latérales seules. Pendant le second séjour de Mennschof il la Clinique , lorsque l'atrophie des muscles de la main se déc
sincère reconnaissance à M. leur Wladimir Rolh, mon ancien chef de clinique , qui a bien voulu m'aider dans ce travail. Mo
dans - 3 1 Voir aussi : lîounieville et Bounaire. - lleche/'ches cliniques et thé- rupeutiqucs sur l'épilepsie, l'hystérie
Psych. Il. Nervenk. XIII, 3.) Après un résumé historique des faits cliniques prouvant que les malades avaient conscience de
xtrême; à ce moment, dévination conjuguée desyeux en haut. Le stade clinique entraîne une dilatation forte mais non plus exa
MENDEL,. (Neurol. Centrnlbl., 1882.) Observation dont le tableau clinique était tel que le diagnostic porté fut : mélanco
finir avec ce mot qui ne veut rien dire et qui constitue une erreur clinique . On est paraly- tique ou on ne l'est pas. Il y
à ce moment l'accès convulsif (équivalent psychique). Confirmation clinique ultérieure. L'auteur rapproche de ces deux obse
ésenter rien de particulier quant à l'étiologie, offrent un tableau clinique précis, à raison de la netteté de la pathogénie
diabète, en se basant sur la physiologie, l'anatomie pathologie, la clinique . La théorie gastro-intestinale, sans être suffisa
avec les données actuelles de l'anatomie pathologique et même de la clinique . M. Dreyfous montre que si l'illustre physiolog
che à un ralentisse- ment de la nutrition, reposent sur des données cliniques et étiolo- giques de la plus haute valeur : pou
gie et une anatomie pathologique toujours la môme pour une modalité clinique déterminée. Certains auteurs sont déjà entrés d
cluse, situés en dehors Paris. Nécrologie. M. PARROT, professeur de clinique des maladies des enfants, est décédé le ;¡ août
e de la substance grise avec épilepsie partielle comme syn- drome clinique , par Danillo, 217. Encéphalopathie saturnine, 1
94 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
SALPETRIERE FONDÉE par J. M. CHARCOT . F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOU
E NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEU
EUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES CUTANEES ET SYPHILITIQUES PAR
L'ACADÉMIE DE MÉDECINE DIRECTEUR H0 ! <" DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE GILLES DE la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA
t-Germain 1899 NOUVELLE ICONOGRAPHIE'^* DE LA SALPÊTRIÈRE - CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTEME NERVEUX. (HOSPICE DE LA
E). POLYNÉVRITE ET POLIOMYÉLITE PAR F. RAYMOND, Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Messieurs, L
ne de jours. Voici l'étal présent, qui a été relevé par mon chef de clinique M.Gasne, le 29 septembre, jour de l'entrée du m
nsultation, soutenu par deux personnes. A première vue, mon chef de clinique a été frappé de l'immobilité des traits de la f
re. * .... - Depuis le 29 septembre, date de son entrée dans la clinique , le malade a été traité par l'électrisation et
cas de X... diffère, néanmoins par certains côtés, des divers types cliniques de myopathie décrits jusqu'à ce jour. Il ne resse
ignement on a cru devoir décrire des types nettement déterminés, la clinique nous apprend que l'on observe tous les jours de
aire progressive. II n'eu est rien. En même temps que l'observation clinique des faits devient plus attentive et plus précis
use, Paris, 1893. TROIS CAS D'ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 23 dans notre clinique aux mois de février et de mars 1898 (la première
ù se trouvent condensées les données des antécédents et de l'examen clinique . Nom. Olga S. (2e enfant). Michel S. Nicolas S.
rigé droite. Cette diplopie fut - également consta- tée dans la clinique de M. le prof. Ko- . jewnikow en 1895 , (le
ces au sujet de la symptomatologie de la Maladie de Marie. xn 3 CLINIQUE DERM0-SYPIIILIGRAPI11QUE DE NAPLES LE SYNDROME
T LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR TOMMASI DE AMICIS Professeur à la Clinique dermo-syphiligraphique de Naples. Histoire clin
Professeur à la Clinique dermo-syphiligraphique de Naples. Histoire clinique . Antécédents. Pierre, 3 ans, fils de Innocent e
Du' W. Weidengammer, qui m'a aidé de ses conseils. LABORATOIRE DES CLINIQUES DE L'UNIVERSITÉ DE BORDEAUX DOCUMENTS CLINIQU
LABORATOIRE DES CLINIQUES DE L'UNIVERSITÉ DE BORDEAUX DOCUMENTS CLINIQUES ET NrOM'0-rMZ.OGQ ! 7J ? S A VEC I'110T 05T RI;
P,vrs 1111. SABRAZÈS ET BRENGUES Agrégé, Chef du laboratoire des Cliniques Assistant du laboratoire des Cliniques de l'Uni
grégé, Chef du laboratoire des Cliniques Assistant du laboratoire des Cliniques de l'Université de Bordeaux. Observation. G
a eu une maladie grave (1) Les particularités intéressantes d'ordre clinique et anatomo-pathologique de cette observation so
ière inférieure et les joues. L'examen des yeux a été pratiqué à la clinique ophtalmologique de M. le professeur Badal par M.
Médecin de l'Hôpital Saint-Antoine. Messieurs, Beaucoup de faits cliniques et, en particulier, des faits empruntés à l'his
nce des de1'111alo-neill'oses ou trophonévroses cutanées. (1) Leçon clinique extraite pour la Nouvelle Iconographie de la Salp
r rapport à l'axe du tronc et des membres, il faut admettre - et la clinique en fail foi que ces départements super- posés s
Cette question, je la réserve provisoirement, mais les observations cliniques prépareront d'elles-mêmes la réponse. 11 suffit
appliqué à démontrer cette différence par des faits anatomiques et cliniques . 74 E. BRISSAUD gros l'ensemble des faits con
resse toujours d'établir ses classifications d'après les caractères cliniques les plus apparents, a distingué trois formes prin
t d'une hyperplasie systématisée. Et maintenant, au point de vue clinique , quels sont les attributs de la trophonévrose c
on de la syphilis des parents n'ayant pu être acquise. Toutefois la clinique montrant les phénomènes pathologiques améliorés
arfaite intégrité des tissus dans leur voisinage. LABORATOIRE DES CLINIQUES DE LA FACULTE DE BORDEAUX. ATROPHIE MUSCULAIRE
; tendance la trépidation épileptoïde des deux c8- tés. Histoire clinique . V... Alfred, Age de 27 ans, exerçant le métier d
eur éry- thémateuse de la conjonctive qui nécessita son entrée à la clinique ophtalmo- logique de M. le Professeur Badal. Le
pothèse, mais elle nous est suggérée par l'interprétation des faits cliniques et expérimentaux les plus récents relatifs à la
QUE - PAR PIERRE BONNIER. On a presque totalement abandonné, en clinique , le terme de tabès dorsal. Ces mots ne peuvent
ment déterminé tabès sans ataxie, ce mot tabes reste insuffisant en clinique , car il ne nous indi- que que* le genre de l'af
II y aurait dans ce cas une si vive différenciation des caractères cliniques , selon le siège plus ou moins élevé de la lésion
la moelle ne se retrouveront pas dans le cerveau, sous une formule clinique corres- pondant à l'extrême variation morpholog
eil labyrinthique, conducteurs et centres. En effet cette recherche clinique et anatomo-pathologique peut se faire en dehors
que celle de n'importe quel appareil spinal ; - parce que enfin la clinique nous montre qu'aucun appareil n'est plus constamm
je pense qu'il sera difficile de se refuser à admettre l'existence clinique d'un labes Iabyrinlhique net- tement défini, et
s de l'anatomie normale et pathologique, de la physiologie et de la clinique . Anatomie. De tous les ganglions crâniens, aucu
LABYRINTHIQUE 135 ditifs tiennent relativement peu de place dans la clinique nerveuse. Les troubles labyrinthiques tiendront
que soit la théorie pa- thogénique ; et nous verrons dans la partie clinique de cette étude qu'en donnantà la symptomatologi
du sens des attitudes segmentaires. On le confond communément, en clinique , avec le problématique et mal défini sens muscu
dire l'incapacité de se tenir immobile, correctement droit ; or, la clinique nous montre que ces oscillations autour de la v
sculaire, ce qu'on appelle le sens musculaire dans les observations cliniques ? Comment, on cherche à placer le malade dans une
à se re- prendre pour suivre ce mouvement qu'il ne connaît plus. Clinique . Dans la première observation de tabes du mémoire
que ces deux signes, sans être infaillibles, ont une grande valeur clinique d'u- sage. , Ce nystagmus peut devancer et mê
pourrons systématiser et classer les anatomies individuelles que la clinique nous force à tout instant de considérer comme t
réflexe issue de l'appareil ampullaire, et réa- liser les tableaux cliniques les plus complexes, parfois durables. Il faut d
'une si grande vogue au XVIe siècle, dans les Pays-Bas. L'étrange clinique du « doyen de Ronse », c'est le nom que porte s
bandonne, épuisé, aux soins d'une aide, infirmière de cette étrange clinique , grosse femme à coiffe blanche qui noue à tour de
ize cas. Somme toute, celte paralysie isolée constitue une rareté clinique . Du- (1) Velpeau, Anatomie chirurg., 1835, p. 3
et F, pl. XXVII). Camille P..., 7 ans. Vue il la consultation de la clinique infantile le 4e avril 1898. Père bien portant,
dermie congéni- tale ne présente pas d'ailleurs la même physionomie clinique que les faits de Neumann et de Cruse. A ces 5
C, pl. 11VI). - Augustine D..., 11 ans, vue à la consultation de la Clinique infantile le 29 mars 1898. Père 58 ans, journal
été publiées à l'étran- ger. Elles ne font que confirmer la réalité clinique de la description des premiers auteurs. Jusqu'à
phie type Claa·cot-ltaie et pour tracer il grands traits le tableau clinique et analomo-palbologique de la maladie. Ces cons
les peintres du mal d'amour ont mis en évidence certains caraclères cliniques de la chlorose. Et nous entendons par chlorose,
acher aux funestes conséquences du mal 1 d'amour. Dans l'histoire clinique de la chlorose, on décrit longuement Jes trou-
avons vu que l'oeil du peintre avait su percevoir plus d'un détail clinique , plus d'une nuance psychologique, qui témoignen
Dr E. HERTOGHE, d'Anvers. Je me propose de faire la description clinique de ce qu'on appellera le mY : l'oedèllle fruste
(2) Cette monographie fait partie de la collection des Monographies cliniques sur les questions nouvelles en médecine, chirur
de l'examen du système nerveux était peu avancée : au point de vue clinique , les symp- tômes signalés chez les malades ne s
ie : aucun doute ne peut être élevé sur la légitimité du diagnostic clinique . Voici le résumé des lésions qui ont été consta
ue les symptômes observés chez le malade offraient, au point de vue clinique , des différences vraiment trop grandes avec ceu
de l'amyotrophie Charcot-Marie sont des plus évidentes, son tahleau clinique est aussi caractéristique. Depuis quelques années
uté dans l'adolescence. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ÉTUDE SUR LES
érant : P. Bouchez. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
E NOTE SUR DEUX TICS DU PIED PAR F. RAYMOND. Professeur de la Clinique des Maladies du Système Nerveux. ET PIERRE
ET PIERRE JANET. Directeur du Laboratoire de Psychologie de la Clinique . Nous avons déjà, à plusieurs reprises, insisté
es et idées fixes, 11,-ch, IV, p. 5. FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY CLINIQUE DE 111. LE PROFESSEUR .S7/7\W. SUR LES ATROPHIE
es; il ne peut y avoir syringomyélie, la principale caractéristique clinique manquant ; et d'ailleurs l'autopsie a tranché- la
12e212e. Pravel... Just..., 25 ans, employé de commerce, entre à la clinique le 22 juin 1891 (PI. LXI, fig. C). ATROPHIES
nce médicale continue. , Le 1 avril 18S)5, Geof... se présente à la clinique , montrant une tumeur grosse comme une tête de f
s anciennes. 25 octobre. Le malade absolument impotent, rentre à la clinique . L'atrophie musculaire est au maximum, état squ
(1) Etudiant ici l'atrophie musculaire myélopathique au point de vue clinique , je renvoie aux figures reproduisant ces lésion
ir de famille, qui, mieux que toute autre base, constitue un groupe clinique bien défini. Que la syringomyélie, que d'autres
- pes cellulaires des cornes antérieures, lui empruntent son aspect clinique , cela s'observe ; mais il n'en reste pas moins
oint de vue général, ils constituent t une seule maladie. ni 26 CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
alade que nous allons examiner nous four- nira le motif d'une étude clinique intéressante. Il appartient en effet à un group
... . Nous n'avons pas cru devoir développer plus cette observation clinique qui somme toute peut se résumer facilement. Il
qu'elle avait diminué de volume. A son entrée dans le service de la clinique , plusieurs mois après le traumatisme, on constata
a amené la production d'atrophies musculaires ayant des caractères cliniques (1) VALTAT, De l'atrophie musculaire consécutiv
tre malade pour rappeler rapidement la nature et la symptomatologie clinique des atrophies musculaires réflexes. Chez un ma-
ux, goitreuse elle-même). Le Pr Joffroy (14) fait en 1895 une leçon clinique sur une femme de 58 ans, acromégalique depuis 4
Revue de médecine, 1889. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ETUDE SUR LES
intéresse toutes les manières de la sensibilité. D'un autre celé la clinique aidée par l'anatomie pathologique montre que le
héorie des amnésies partielles n'explique pas. Après une discussion clinique approfondie, M. Pitres montre combien sont rare
récemment deux cas d'aphasie amnésique avec paraphasie : leur étude clinique , que l'état mental des malades n'a malheureusemen
Luys) avec agramma- (i) Pitres, L'aphasie amnésique el ses variétés cliniques . Progrès médical, n 21 et sq., 1S98. 11 I 2U
remière temporale, lésion qui ne répond sinon à aucun des symptômes cliniques enregistrés, car il y a un léger af- faiblissem
s faits sur les figures établies par M. Gruzelle. Au point de vue clinique nous ferons les remarques suivantes : La malade
u- tres causes de cachexie oedémateuse. D'ailleurs les caractères cliniques de l'enflure, sa dureté, son indo- lence, sa ré
ences de l'éléphantiasis tropical. Et précisément un des caractères cliniques de l'éléphantiasis, qu'il soit tropical ou de nos
vé dans les cas d'élé- phantiasis nostras, on admet que le syndrome clinique de la maladie peut être réalisé par un autre ag
dans cette catégorie que nous allons trouver bientôt des caractères cliniques com- parables à ceux que nous avons observés.
HENHY MEIGE l'acromégalie, tout en présentant certaines apparences cliniques de l'une et l'autre de ces affections. Ce cas
pourrait conservée. Tout récemment, Duckworth présenté à la Société clinique de Londres (13 janvier 1899) une jeune fille de
UE HÉRÉDITAIRE 471 t A tous ces exemples, où parfois les caractères cliniques , et en particu- lier la localisation de l'oedèm
é aux pieds et aux jambes, et s'arrêtant au genou. Les caractères cliniques de cette affection sont résumés ainsi : 1° Elle
mais paraissant appartenir au même groupe nosographique. Les faits cliniques démontrent qu'il existe un oedème chronique, blan
snos, Iligier, Milroy et nous-même (1). IV En présence de faits cliniques encore fort clairsemés, toute discussion sur le
nous n'insisterons pas davantage. * .. Quelques rapprochements cliniques peuvent avoir leur utilité. Le tropltaedème éta
médecine, 1894, p. 757. FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX DOCUMENTS CLINIQUES AVEC PIIOTOSTÉRÉOGRAPH1ES SYRINGOMYÉLIE AVEC
icl' (Haute-Marne),' TABLE DES AUTEURS 503 tomo-pathologique et clinique de l'amyo- trophie Charcot-Marie (13 phot.), 20
95 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX IX ¡"'p. G. S
. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIES PROFESSEU
EUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIES PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES . PA
TIQUES . PAR PAUL RICHER DIRECTEUR HONre DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE GILLES DE LA TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA
la Salpêtrière. Leçon recueillie parle Dur J.-B. CHARCOT Chef de Clinique . , Messieurs. La malade, qui va faire l'objet
de l'observation relevés par M. Souques qui était alors mon chef de clinique , ceux sur lesquels je désire attirer spécialement
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Reportons-nous donc au tableau clinique que nous avions devant nous à l'époque dont je
e chronique peut être écartée rien qu'en tenant compte des éléments cliniques et étiologiques du cas et des caractè- res de l
ypothèse d'une syringomyélie cadre parfaitement avec manifestations cliniques que nous relevons chez cette femme et.avec l'év
st une affection essentiel- lementpolymorphe quant à son expression clinique . J'ai insisté là-dessus dans une de mes leçons
r un peu; je vais donc passer en revue les principaux. L'histoire clinique de la syringomyélie date d'une dizaine d'années à
xemple de syringo- myélie, depuis qu'on est fixé sur les caractères cliniques el anatomo-pa- thologiques de celle affection.
AVEC CONSERVATION DES RÉFLEXES. PAR E. LENOBLE , Interne de la Clinique des Maladies du Système Nerveux. Observation. L
ngite basilaire ou gomme. Nous ne relevons en effet dans l'histoire clinique de V..... aucun signe précis de la participation
ollègue Nageolle, chef du laboratoire d'anatomie pathologique de la clinique , (1) Ostwalt, Chorio-rétinites und ihre Bez. zu
à Moscou. Dans le courant des deux dernières années, pour l'examen clinique de nos malades, nous nous sommes servi du Clono
en propre à l'homme et à la femme est fait conformément à la vérité clinique ; les attributs sexuels sont toujours peu accent
forme pathologique ; elle nous a fourni, aussi bien au point de vue clinique qu'au point de vue anatomidne, des indications du
ome physiologique complexe, constaté au lit du malade (1). Résumé clinique : Début aJ1oJ1lectifo1'1ne. Syndrome de Brozvtt-S
ulaires ne paraissent pas atrophiées. ' En présence de ce tableau clinique , et en se basant sur la limite de la paralysie,
ans notre cas. A ces faits matériels s'ajoutent des raisons d'ordre clinique , qui sans être aussi positives, n'en ont pas moin
ses faits. IL Considérations PHYSIOLOGIQUES. . Notre diagnostic clinique , basé sur l'analyse des symptômes nerveux prése
aire se superpose schématiquement à l'anatomie pathologique et à la clinique . Mais nous ne devons pas laisser dans l'ombre u
la substance grise elle-même. Or si nous rapprochons les symptômes cliniques des faits anatomiques, nous croyons que tout s'
conditions, n'ont vécu que quelques jours ou quelques semaines. La clinique n'a presque rien à voir avec ces faits qui comp
s vivants nés à terme ou avant terme, présentant les manifestations cliniques d'une syphilis congénitale de la moelle épinièr
83 philis avec lésions cutanées et bronchiques, sans autres détails cliniques . On notait, au niveau de l'entrecroisement des
nt la mère présentait des accidents secondaires. Pas de description clinique . L'autopsie montre une augmentation de volume d
à un enfant de 25 jours né d'une mère syphilitique. Pas de détails cliniques . Rien macroscopiquement, si ce n'est un affaiss
psie, des manifestations viscérales, osseuses ou autres. Les signes cliniques font donc complètement défaut. Laissant de cô
succombé à la syphilis congénitale et dont M. Iludelo (1), chef de clinique du professeur Fournier, a donné une excellente in
ants, nés avant terme ou à terme et pre- sentant des manifestations cliniques se rapportant à la syphilis congénitale de la m
e, ce qui ne laissera pas, on le comprend, de rendre-la description clinique malaisée. Les discussions même ne feront pas dé
ituelle de ses localisations anatomiques et de ses mani- festations cliniques classe généralement dans les maladies de la moell
is, pour le diagnostic, il ne saurait en être de même. Le ta- bleau clinique est nettement celui de la sclérose cérébrale (ave
orvo semble indéniable, il ne s'en- suit pas, d'après les symptômes cliniques observés, que les accidents doi- vent être attr
de Jürgens que nous avons réservé (loc. cit.), bien que l'ensemble clinique soit ici un peu différent. ' Il s'agit d'un e
rant de la discussion nous dispensera de chercher à établir un type clinique des manifestations que nous venons d'étudier. C
s comme signes de la possession démoniaque. (1) PAUL Richer, Etudes cliniques sur la grande hystérie. Appendice, 2e partie. Par
de nystag- mus ? etc., et l'on pourra concevoir combien le tableau clinique sera varié malgré l'air de famille que les suje
u moins généralisée aux 4 membres 'qui constitue la caractéristique clinique du syndrome de Little. 1 L'observa lion I de
rigides par la paralysie. , .. · En somme, actuellement, l'aspect clinique est celui d'une paraplégie spasmodique sans par
processus qui affecte la moelle épinière. La variété des symptômes cliniques augmente de plus en plus et rend difficiles les
es que la syphilis. Le cycle anatomique est alors complet. Le champ clinique s'en élargi davantage et, sous ce rap- portai n
et surtout tardive, ne diffère pas sensiblement, dans ses for- mes cliniques , des expressions si Variées delà syphilis acquise
lité, au moins du côté gauche. Bartlelt (2) communique à la Société clinique de Londres,le 12 novem- bre 1869, l'observation
tte instructive observation, dont, nous l'avons dit, l'expres- sion clinique a surtout trait à des manifestations cérébrales,
récidives (alternati- ves de guérison et de paralysie) et l'absence clinique de symptômes céré- In'aux. -^ . - z « Cette f
uel la science est redevable d'un très important travail, à la fois clinique et anatonio-pathologique, sur la sy- philis méd
re exclusivement médullaire et l'affection revêt en outre un type ' clinique qu'il n'est pas souvent donné d'observer. OBs.
- sertses ou autres qui ne permettaient guère la survie. Les signes cliniques font donc complètement défaut. Les lésions qu
INIÈRE 151 Si l'enfant touché congénitalement survit, les symptômes cliniques ap- paraissent. Ceux-ci sont le plus souvent do
lombo-sacrée. Dans ces cas de syphilis précoce ou tardive les types cliniques devien- nent beaucoup plus variés que dans la s
que la syphilis. Le cycle anatomique est alors com- plet. Le champ clinique s'en élargit davantage et, sous ce rapport, il
indice de la généralisation initiale du processus, dans ses formes cliniques la syphilis héréditaire précoce et surtout tard
ndex a donc, contrairement à ce que pouvait faire supposer l'examen clinique , ses trois phalanges, la première étant rentrée
(2), Ilielil (3), Mc Cready (li.), Liiele (5), Kocli (6)1; variétés cliniques , ostéites secondaires à des lésions des parties m
celle d'un petit malade présenté à la consul- tation externe de la Clinique des Maladies du Système Nerveux. Notre maître,
s d'une circonstance, un sérieux embarras pour faire rentrer un cas clinique , observé à loisir et avec toutes les ressources
res fonctionnels. De tous les procédés d'examen dont on dispose, en clinique un seul est applicable aux oeuvres d'art : l'in
e. Les documents du passé cadrent bien sur ce point avec la réalité clinique . La vie des nains nous fait connaître les nombr
r FRENKEL de IIeiden (Suisse). et MAURICE FAURE Interne de la Clinique des Maladies du Système Nerveux. Nous nous pr
ons. \ A cette analyse physique et chimique, succède une discussion clinique très serrée des différents symptômes présentés
des Batignolles, Paris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE MÉDICALE DE L'lIOPITAG SAINT-ÉLOI DE MONTPELLIER
phique de la peau, des muscles, des os), par LE Pr GRASSET. Leçon clinique faite le 16 novembre 1890, recueillie et publiée
le 16 novembre 1890, recueillie et publiée par le Dr VEDEL, chef de clinique . Messieurs, Je vous présente, en passant, une
T TREMBLEMENT lÉlYl7UE DE LA LANGUE PAR R J.-B. CHARCOT Chef de clinique à la Salpêtrière. ET HENRI DUFOUR - Ancie
Enfin nous signalerons aussi pour plus loin en tirer une déduction clinique le fait plus récent de Vlorton Prince (5), où exi
ette incoordination de la langue. « Dans ses nouvelles recherches cliniques et analomiques, dit Pierret, sur l'ataxie locom
raité des maladies de la moelle. (2) Barré, Cotitribulion à l'élude clinique de l'arthropathie chez les ataxiques. Thèse Par
, 1893. (8) Chipault, Arthropatlzies nerveuses. Traité de Chirurgie clinique et opératoire, t. 111, 189G. (9) R. Verhoogen
ALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR G. GASNE. Interne de la clinique des maladies du système nerveux. M. Gilles de l
y- philis avec lésions cutanées et bronchiques, sans autres détails cliniques . « On notait au niveau del'entrecrpisement des
: UNI ! peint en 1678. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE L
ux de Paris, 1896, no 241 p. 56, et no 26, p. 93. (3) F. Raymond, Clinique des maladies du système nerveux, ire série, Paris
ée scolaire, je vous ai longuement entretenu des diverses modalités cliniques de la polynévrite alcoolique. Je vous ai montré
ALES DE la SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR G. GASNE, Interne de la Clinique des Maladies du Système nerveux. (Suite et fin.
ET DE LA MALADIE DE RAYNAUD PAR GABRIEL DELAMARE Externe de la Clinique des Maladies du Système nerveux. Il a paru inté
Observation 1 (H ! Jstél'igue ? ). * Marie B..., 18 ans, vient à la clinique des maladies du système nerveux pour des lésion
t pas parasitaire [nous devons à l'obligeance de M. Gastou, chef de clinique du professeur Fournier, la certitude de cette aff
L'ACROMÉGALIE PAR Le Dr A. SOUQUES. 1 Chef de laboratoire de la Clinique des Maladies du Système nerveux, à la Salpêtriè
P. Marie, Thèse de Paris, 1890, p. 49. - (2) P. Marie, Leçons de clinique médicale (Hôtel-Dieu, 1S91-1S95), Paris, tS96,
96 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR . L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉR
, les places manquant à Bicêtre et le bureau d'admission de l'Asile clinique étant encombré, de môme nous avons accepté, san
à titre de placements volontaires, au bureau d'admission de l'Asile clinique , et il demande à la Commission d'émettre le voe
n seulement d'encombrer de nouveau le bureau d'admission de l'Asile clinique , mesure contre laquelle le Con- seil général et
y fussent plus admis. Le Conseil n'entend pas qu'on créée à l'Asile clinique , un service permanent d'enfants : mais il admet
s quartiers d'enfants seront au complet, M. le Directeur de l'Asile clinique inscrira sur un registre les demandes de placem
ntaires. LXXI toutefois faire observer à M. le Directeur de l'Asile clinique que la Commission ne saurait admettre qu'aucun
iles extérieurs, où l'air est pur et vivifiant, plutôt qu'à l'Asile clinique (Sainte-Anne) ou à la Salpêtrière. M. BAILLY.
e aux transferts. III. Placements volontaires d'enfants à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Ajournement de l'avis de la Com-
ville relative- ment aux placements volontaires d'enfants à l'Asile clinique (Sainte-Anne). M. BOURNEVILLE Dans la discuss
sition, à la séance du 12 mars dernier, M. le Directeur de l'asile clinique et notre collègue M. Bailly ont présenté des obse
ission, à titre de placement volontaire, M. le Directeur de l'Asile clinique inscrirait les demandes et aviserait à tour de
éfecture du Police d'où elle a été dirigée le même jour sur l'Asile clinique où elle n'n séjourné que vingt-quatre heures. L
M. le Directeur de Bicêtre de demander à M. le Directeur de l'Asile clinique s'il y avait, des cas de diphtérie, soit à l'as
ite épidémie de diphtérie, ni au domicile de l'enfant, ni à l'Agile clinique , ni dans la commune de Gentilly, ni à la fondat
s appris que la voiture qui sert au transport des aliénés à l'Asile clinique était désinfectée toutes les semaines en été, m
ovembre. Or, cette voiture fait non seulement le service de l'agile clinique , mais sert encore aux enfants que l'on conduit
pouvaient être admis directement au bureau d'admission de l'Asile clinique et envoyés, dans les vingt-quatre heures, dans
seront reçus comme par le passé au bureau d'admission de l'Asile clinique . Un prospectus mentionnant les pièces à pro- du
acements volontaires d'enfants se font comme par le passé à l'Asile clinique . Le relevé des placements d'enfants que je me s
s de lits vacants. Ce jour-là, faites établir un registre à l'Asile clinique où l'on inscrira les demandes de placement d'en
aurons de la place. L'Administration fera même installer à l'Asile clinique un registre d'inscription des demandes qui lui
recteur déclare que les enfants continueront à être reçus à l'asile clinique , au sur et à mesure des vacvnces dans les servi
es ont été refusés catégoriquement par M. le Direc- teur de l'agile clinique , ainsi que le démontre absolument la statistiqu
ienne pratique : l'admission des placements volontaires à l'Asile clinique . Le vote de ma proposition ne saurait donc consti
çus, par placements volontaires, au bureau d'admission de l'Asile Clinique , où ils ne feraient que passer, pour être envoyés
une placé comme aliéné dans mon service à Bicêtre venant de l'asile clinique avait deux ans et cinq jours (Lob., né à Pontoi
éfecture de Police, et leur transfert de cette infirmerie à l'Asile clinique . ; , Un extrait du procès-verbal concernant ces
inconvénients signalés au sujet du transfert des enfants à l'asile clinique en même temps que les adultes, M. le Préfet de
transport des aliénés, de l'Infirmerie spéciale du Dépôt à l'Asile clinique , lors delà visite que la commission a faite au
de police etleur mode de transport de cette infirme- rie à l'Asile clinique . En réponse à cette communication, j-e me borne
nt lier..., et un adulte; il est parti à quatre heures pour l'Asile clinique . La voiture contenait deux enfants placés dans
les gardiens. Quand il a fallu le des- cendre de voiture à l'Asile clinique , il a proféré les injures les plus grossières.
ait des coups de poing dans la porte. B... est parti pour l'Asile clinique à six heures du soir et a été placé dans une des
ant que l'Administration facilitât les placements directs à l'Asile clinique , nous cherchions à améliorer le Dépôt en diminu
, de l'infirmerie du Dépôt près la Préfecture de police, iL l'Asile clinique (Sainte-Anne), Snr la proposition de M. le D' Fal
ons résultats et de rendre des servi- .ces. DEUXIÈME PARTIE p CLINIQUE BOURN6YILLE, Bicêtre, 1591. 1 Deux nouvelles
it au dépôt, où il serait resté deux ou trois jours, puis à l'Asile clinique sur le certificat du Dr Garnier portant : c Epi
physiologie pathologiques, et qu'il termine par quelques remarques cliniques dont la plus importante vise les modifications
à l'occa- sion d'un fait incomplet, de mettre en doute une notion clinique qui s'appuie sur des faits très nombreux. II.
et Société anatomique, t869, p. 152. ' (2) Éludes de thermométrie clinique dans l'hémorrlragie cérébrale et dans quelques
s maladies de l'encéphale. Thèse de Paris, 1870, p. 108. (3) Éludes cliniques et thermométriques sur les maladies du système ne
wski(L,),- De (a fièvre épileptique et de quelques autres questions cliniques concernant l'épilepsie. (Berline¡' Klin. Wochensc
and ils ont cessé. » Nous n'avons pas à refaire' ici la description clinique de l'état de mal ; nous devons nous borner a'l'
que le clitoris. Hymen boursouflé. 8 juin. Al'arrivée de l'Asile clinique (Ste-Anne), état typhoï- de très prononcé.- Bou
sa fille fut envoyée le même jour au bureau d'admission de l'Asile clinique . Peu après elle fut tranférée à l'asile de Vill
tte observation pourra être rapprochée utile- ment, au point de vue clinique , de quelques autres publiées précédemment par l
t offrirait les autres caractères du diabète. , Roger (Recherches cliniques sur les maladies de l'enfance, t. Il, p. 510j a
bout d'une quinzaine de jours il (1) Barthez et A. Sanné. - Traité clinique et pratique des maladies des. enfants. 3"" édit
97 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
MENTS DE LA TÈTE ET DES YEUX, PAR R M. CHIRAY, Ancien chef de Clinique de la Faculté La physiologie pathologique de la
ocratique et l'ostéopathie hypertrophiante, il n'existe aucun signe clinique différentiel, et des erreurs ont été commises par
ur de Turin, Docent-privé à la Faculté. Depuis quelques années la clinique et le laboratoire se sont associés pour étudier
égaliques et que tout t dernièrement le docteur Rozabal, aide de la clinique médicale de Madrid, a publié l'observation de d
sionnelles surajoutées. Nous allons commencer par l'exposé d'un cas clinique du plus haut intérêt et nous croyons qu'il soit
ntés et assez friables. Examen du fond de l'oeil (Dr Grignolo de la clinique ophtalmologique de Turin) : Rétinite pigmenta
graphie du crâne vient confirmer exactement les données de l'examen clinique . On remarque au pre- mier abord un degré très p
est encore possible de constater que dans plusieurs cas le tableau clinique de l'insuffisance pitnitaire ne cor- respond pa
tavo ARTOM' * Privat-Docent à l'Université de Rome ' Assistant à la clinique Neuropathologique Le spasme facial, dont la pat
tile dans cette distinction, nous en faisons l'objet de cette étude clinique . Observation. Joseph B..., âgé de 12 ans, éco
estion anato- mique n'est pas résolue, la question physiologique et clinique ne donne pas lieu à discussion. En admettant do
s cas, décrits sous le nom de pseudo-sclérose, qui dans leur aspect clinique offrent beaucoup de caractères communs avec les
et Fontaine au Congrès de Bruxelles (2). Il semble toujours que la clinique , en associant ces phénomènes somatiques à des tro
défaut de la photographie, le dessin est venu d7abord en miss â la clinique , témoins les illustrations des ouvrages médicara
. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). LABORATOIRE DE LA CLINIQUE MÉDICALE DE GE : (Professeur I. L. BAIID) @ S
e paraplégie en flexion qui ont pu être l'objet d'une double étude, clinique et anatomique est encore restreint, et ce fait do
ense cet auteur,quelles jouent un certain rôle dans la constitution clinique delà forme de paraplégie dont nous nous occupon
anquille, mais seulement lorsqu'elle avait un appui. Des épreuves cliniques démontrèrent que les mouvements cessaient lorsque
d'ordre su- périeur ont produit un(réaction positive. Et surtout la clinique nous dit liés clairement que l'insuffisance lab
du système périphéri- que ; je crois ce sujet, les meilleurs types cliniques qui offrent le plus fréquemment l'inslahililé s
n rapport très intime les connaissances dérivées de l'obser- vation clinique avec celles qui ressortent de l'expérimentation.
s eux, Touth (1) Conférence faite à l'hd,itn Saint-An'oine, dans la clinique de M. le professeur Chauffard, le 30 avril 1914
- sant, de rappeler les plus importants, concernant soit l'histoire clinique , soit 1 histoire anatomique de cette affection.
t se faire, en effet, par les (1) MASHANKA : Contribution ù l'élude clinique de l'amyotrophie Charcot-Marie, Thèse Paris, 19
uis l'enfance. Celle amyotrophie peut se présenter sous des aspects cliniques divers. A côlé de la forme classique que je vie
famille citée par Hanel. - Je ne mentionnerai à côté de ces formes cliniques , déterminées par le siège initial ou par l'arrê
du premier qu'il faut le placer. Les différences qu'on trouve en clinique enlre'l'amyotrophie Charcot- Marie et la névrit
t de névrite hypertrophique, ils présentent de telles dissemblances cliniques qu'on ne conçoit guère qu'on puisse confondre de
s en fa- veur de l'unité de ces deux affections ? Leurs différences cliniques , dit-on, ne tiendraient qu'à des'variations fam
myotro- phie Charcot-Marie où. sans qu'il y ait li.%1)ei-li-ol)liie clinique des nerfs, l'examen hislologique révélerait des
ce travail, il nous parait utile d'exposer quelques considérations cliniques , lesquelles nous ont été suggérées de par nos c
le fonctionnement purement automatique de ce noyau. Quanta l'aspect clinique si différent que revêt chacun de ces troubles d
t choréiformes, les tremble- ments post-hémiplégiques, etc. ÉTUDE CLINIQUE , RADIOLOGIQUE ET BIOLOGIQUE D'UN CAS D'ACROMÉGA
mparable par conséquent aux énormes glycosuries que l'on observe en clinique dans le diabète dit hypophysaire. De plus, sur
lo-rachidien d'un acromégalique. ETUUE D'UN cas d'acromégalie 239 clinique ,. et, à ce titre, celui de notre malade sollicite
réaction endocranienne et par suite en raison de la symptomatologie clinique , la très grande probabilité d'une hypertrophie
mènes hystériques eux-mêmes, tels qu'ils nous sont présentés par la clinique , en envisageant surtout leur mécanisme intime.
insi dans la physiologie l'incertitude est aussi grande que dans la clinique . Il me semble que l'état actuel du problème de
as, on pourrait pensera une poliomyélite antérieure isolée; mais la clinique montre souvent la participation des méninges et
des lésions diffuses analogues aux précédentes. Aussi, au nom de la clinique et au nom de l'anatomie pathologique, est-on au
musculaire progressive Aran-Duchenne, qui répondent aux deux types cliniques pré- (1) LmouoE, Les atrophies musculaires prog
GMENTAIRE, DORSO-LOMBAIRE GAUCHE, 1111 : TATRAUtV9ATIQUL. . FORME CLINIQUE CURABLE - Par le Professeur Léon RÉVILLIOD
verse, segmentaire, dorso- lombaire gauche mélatrazcnzatique. Forme clinique curable. - Fracture du pied droit, limais plus ta
oite étant plus proéminente que la gauche, etc. Mme X... reste à la clinique Dubois jusqu'au 20 décembre, soutenue par la pr
pu être formulé par la grande autorité d'autres praticiens. Puis la clinique , qui constate que jamais deux faits ne se ressemb
roubles produits par l'insuffisance de l'hypophyse se traduisent en clinique par le syndrome hypophysaire adiposo-génital (Lau
faciliter l'exposition de notre cas, nous reproduisons en résumé la clinique et la palhogénèse de celle dystrophie, en renvoya
inique, nous ajouterons, après ce que nous avons dit dans l'aperçu clinique du syndrome, que parmi vingt tumeurs constatées
tions. Lss troubles morphologiques sont ici la dominante du tableau clinique . La taille est normale, il n'y a pas d'asymétri
if, il y avait encore une autre grande catégorie, où les phénomènes cliniques ne permettaient pas de diagnosti- quer autre ch
cas, il est encore très difficile maintenant de fixer, sur une base clinique , quel est l'organe malade. Nous rencontrons que
s long, presque toujours possible, en s'appuyant sur des recherches cliniques , de fixer la cause primitive de la maladie et,
s donnons l'étiquette « épilepsie » et que, d'après les symp- tûmes cliniques , nous désignons sous le nom d' « épilepsie essent
-, ce groupe renferme cependant deux maladies qui, au point de vue clinique , se ressemblent parfaitement et qui, pourtant,
ont absolument différentes l'une de l'autre et qui, au point de vue clinique , se ressemblent parfaitement : d'une part, un pro
quelques glandes à sécrétion interne. Grâce à de nombreux matériaux cliniques que j'ai pu contrôler, pendant longtemps, je me s
t il n'est pas encore possible, lout au moins sur une base purement clinique , de séparer ces deux groupes. Voyons com- ment
as d'épilepsie sans symptômes de foyer et que, comme les phénomènes cliniques pas plus que le cours ultérieur de la maladie n
ostique. Comme on l'a dit déjà à plusieurs reprises, les phénomènes cliniques ne 378 1 BOLTEN nous aident en rien ; seuleme
a dure-mère). Et pour- ' tant, en ne considérant que les phénomènes cliniques et non l'anamnèse, ces deux cas ressemblent com
de syphilis congénitale, il reste donc 40 cas qui, au point de vue clinique , s'imposaient comme épilepsie essen- PATHOGÉNIE
rébrales. Et contre ces 40 cas pour lesquels, sur une base purement clinique , on ne pouvait porter d'autre diagnostic - pour
autre, bien qu'elles se res- semblent beaucoup par leurs phénomènes cliniques . Il faudra, d'abord, se rendre compte de ce fai
nt, avant de pouvoir attribuer leur véritable valeur aux phénomènes cliniques . Quoi qu'il en soit, on est conduit à admettre
ous le permet, à l'examen plus détaillé de l'origine des phénomènes cliniques , tant dans l'épilepsie essentielle que dans l'épi
lentit donc le métabolisme des albuminoïdes. Une simple observation clinique peut le prouver : Napy a trouvé dans des cas de p
que la méthode d'Abderhalden est encore tout à fait impraticable en clinique . On pourrait dire la même chose de la teneur en
epsie est donc la suite des troubles thy- 394 BOLTEN roïdiens. La clinique confirme cela : on a constaté, à plusieurs repris
tatait alors des symptômes tant d'épilepsie que de tétanie. Ces cas cliniques , dans lesquels, à la suite de thyroïdeclomie, s
ïdes, comme facteur étiologique. Vraiment, nous pouvons dire que la clinique , les recherches microsco- piques et mes expérie
oïdes dans l'épilepsie essenlielle comme démontrée nettement par la clinique , par des recherches microscopiques anitomo-pathol
dulaire comme aljuuant du traite- ment bromure dans l'épilepsie. La Clinique , 26 avril 1912. CLAUDE (II.) et SCIiMlEIlGELD (
s le vaste cadre des maladies fonctionnelles, par leurs difficultés cliniques , les névroses se posent, sous le point de vue éti
nel, névrose, etc. ; quant à moi je préfère, pour ma nomenclature clinique personnelle, l'expression susdite. Caractères.
es névroses », et Lajgnol- Lavastine créa, pour éclaircir l'analyse clinique , lessyniliatlio5Qs, qui font partie du cadre de
ux. En résumé le nervosisme abdominal présente comme manifestations cliniques prédo- minantes la débilité digestive, la diath
ons endogènes et exogènes. Dans ma leçon inaugurale de la chaire de clinique des maladies ner- veuses, j'ai formulé la loi s
s. Messieurs, ce résumé est une systématisation des faits acquis en clinique et uniformisés par moi. C'est un concept nosologi
s notions que j'ai résumées dans un autre travail sur les réactions cliniques élé- mentaires du système nerveux général, et q
e la trophicité, etc,, mais je mets en rel ief les plus communes en clinique , et qu'à chaque pas l'on rencontre. N'importe q
toutes les autres indications curatrices. Contre l'épilepsie, la clinique thérapeutique s'est montrée moins effi- cace, p
abord, le pronostic semblait sombre. En conclusion : . Il y a en clinique des étals nerveux qui ne peuvent être classés dan
r à des accidents dystliéniques périodiques. (1) BENON (R.), Traité clinique et médico-légal des troubles psychiques et névros
cromégalie (Dystrophies giganliques sans -), par ADDA, 90. (Elude clinique , radiologique et biologi- que d'un casd'-), par
e, segmen- taire, dorso-lombaire gauche, métatrau- matique, forme clinique curable, par Révilliod, 307. Souvent femme va
mouvements de la tête et des yeux, 1. CLUZET et Lf : vr (L.). Etude clinique , radio- logique et biologique d'un cas d'acromé
4 TABLE DES AUTEURS dorso-lombaire gauche, métatraumatique, forme clinique curable, 307. BOU131NOVITCII et REGNAULT DE LA
98 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
S LA DIRECTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE D
RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES .MALADI
OURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES .MALADIES MENTALES DES MALADIE
FACULTÉ DE MÉDECINE DIRECTEUR HONre DU LABORATOIRE DE DE PARIS LA CLINIQUE MÉDECIN DES HÔPITAUX . ALBERT LONDE DIRECTEUR
EBER AVEC HÉMIOPIE PERMANENTE PAR A. JOFFROY Professeur de la Clinique des Maladies Mentales. Leçon recueillie par MM.
tandis qu'à gauche ils étaient interrompus (1) Mme Anna Goukowsky ( Clinique du professeur llevilliod). Un nouveau type d'hé-
lui de facial, ou de moteur oculaire externe, et si au point de vue clinique les différen- ces sont plus accusées, c'est sim
atiqué par leD" Sau- vineau, chef des travaux ophtalmologiques à la clinique de St-Anne. « Paralysie du releveur de la paupi
acun donné naissance à un foyer distinct de ramollissement. L'étude clinique peut établir la probabilité d'un tel diagnostic,
GILLES DE LA TOURETTE ET GEORGES GASNE Professeur agrégé, Chef de clinique Médecin des hôpitaux. à la Salpêtrière. Dans
er jusqu'à deux centimètres. Nous rappellerons que nos observations cliniques faites à l'aide d'un appareil spécial, poursuiv
'hui une nouvelle série d'observations faites dans le service de la Clinique des maladies du système nerveux la Salpêtrière du
des aperçus nouveaux sont sortis des mémorables recherches anatomo- cliniques et expérimentales faites dans ce domaine. En pr
eau s'est énormément agrandi par la découverte de ses équi- valents cliniques et des épilepsies aiguës. En ce qui concerne la
roduit, et qu'en conséquence il faut rejeter de cette étude, ce cas clinique mérite d'être relaie, parce que la tumeur, de f
es centres- moteurs corticaux chez l'homme. (2) NOT11riAGEL, Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encéphale, p. 404
appliqués sans contrôle la pathologie humaine ». « Seuls les faits cliniques , dit à son tour Nolhnagel, ont une importance p
s paralysies corticales avec les ataxies a bien l'air d'une méprise clinique . Mais, vouloir attribuer ces paralysies à t'ane
x conclusions de Luciani, on peut opposer les ensei- gnemenls de la clinique , qui nous apprend que les lésions des circonvo-
atomiquement et physiologiquement séparés des centres sensitifs. La clinique nous apprend encoreque les per- turbations de l
, Leçons sur les maladies nerveuses, p. 5.i2, (2) Nothnagel, Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encéphale, p. 438
ur ne sont point nombreuses, et rien qu'à ce point de vue notre cas clinique a déjà une certaine valeur ; mais les condition
ues de grand mal. La physiologie expérimentale est d'accord avec la clinique en démon- trant que l'excitation électrique de
r l'étude des anomalies digitales (1). Ce procédé d'inves- tigation clinique , permet d'élucider aujourd'hui, rapidement et exa
ÉOGNOSTIQUE-ET CENTRES D'ASSOCIATION PAR GEORGES GASNE, Chef de clinique à la Salpêtrière. L'hystérie réalise parfois de
ntaire. Certes il est difficile de tirer d'un fait d'ordre purement clinique un argument en faveur d'une thèse anatomique. I
A LA VARIOLE, CHEZ UN FELLAH PAR J. B. CHARCOT. Ancien chef de clinique de la Faculté. Assouan, 17 janvier 1898. Etan
orsalis et constitue souvent un symptôme précoce. Cependant les cas cliniques , où ce signe a fait défaut, sont loin d'être rare
omotrice (thèse de Paris, 1881). Si CQ. ACHARD ET L. LÉVI tions cliniques à la loi do Westphal sont fréquentes. On peut dir
PAR A. LINDETREM Prat. agrégé à l'Université St-Wladimir de la Clinique dermatologique du Pr Stoukovensloff (Kiew). L'é
ient incomplets. Ce n'est que tout récemment, en amassant les faits cliniques dont on puisse faire des déductions sur l'étiol
A. Polotebnoff, qui durant toute sa pratique comme professeur de la clinique , cherchait à re- cueillir un matériel précieux
etE. Wilson lui-même dut en convenir. Les nom- breuses observations cliniques parlent en faveur de cette opinion car on trouv
modifications, qui ont été solidement établies par ces observations cliniques . Dans tous les traités des maladies de la peau
de Jacquet. Remesolf décrit en détails un cas de lichen ruber de la clinique du professeur A. Polotebnoff qui est instructif
s'inlé- ressant qu'au côté morphologique du lichen ruber. Dans la clinique de feu le professeur M. Stoukovenkoff nous avons
lution des explorations ultérieures. En nous basant sur les faits cliniques , nous sommes bien persuadés que dans un avenir
thyroïdes. « Or il semble, dit M. Brissaud, d'après les indications cliniques et physiologiques qu'on peut dès à présent mett
nomination « d'ossification des apo- névroses dorsales ». Dans la clinique de son maître de Dusch, Munchmeyer observa, pen-
e basant sur une série de traits typiques anatomo- pathologiques et cliniques qu'offrent tous ces faits et qu'il a retrouvés
on congénitale et d'un agent provocateur immédiat spécial. Par la clinique , il arrive à des données iiia Loiiio-pi [Ilo 1 oc
chmeyer et Nicoladoni tiraient leurs conclu- sions des observations cliniques et des autopsies de Testelin et Dambressi et de
que nous venons de décrire, sont surtout distincts au point de vue clinique ; anatomiquement, ils n'ont pas de limites aussi
A. WEIL ET J. NISSIM sont déjà assez avancées, et cela, parce qu'en clinique les différentes pério- des deviennent plus obtu
tes, une copie fidèle d'un modèle vivant pris dans le service de la Clinique des Ma- ladies du Système Nerveux, à la Salpêtr
apportée tout au long par M. le Pr Ray- mond dans une de ses leçons cliniques de la Salpêtrière (1). Nous la ré- sumerons trè
SES ÉPILEPTIFORMES CONCOMITANTES PAR M. LOUIS SPILLMANN Aide de clinique à la Faculté de Médecine de Nancy. L'histoire d
it d'une jeune fille de 16 ans, observée le 5 avril 1884 à la poli- clinique . C'est une nerveuse, présentant, ainsi que sa mèr
ture inflammatoire de l'affection. Munchmeyer, en s'appuyanl sur la clinique , admit qu'il s'agissait d'une inflammation chro
et huit ans, d'autres, au contraire, voient les premiers phénomènes cliniques se manifester il )'age de quinze, seize et dix-
e quinze, seize et dix-huit ans. Il existe même des cas où ce début clinique se fait à une époque beaucoup plus tardive, à v
e du début, nous paraissent intéressants à relever. Au point de vue clinique , nous avons noté des douleurs fulgurantes. Cela
nalées dans un certain nombre d'observations. D'ailleurs Char- cot ( Cliniques 1888) les admettait hien que rares, et depuis, d'
à début tardif. Th. de Paris, 1898. (2) Id. (3) BE7.oLD, Elude clinique sur la Maladie de Friedreich. Th. Elangen, 1894.
seur, Saint-Dizier (Haute-Maine) il° Année N° 4 Juillet-Août 1898 CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX, (HOSPICE DE LA
SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET PAR R F. RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux. Messieurs, J
rs cérébrales. Ce sera pour moi l'occasion d'entreprendre une étude clinique des localisa- tions cérébrales. Cette étude doi
G,doit figurer dans le IIIe vo- lume, actuellement sous presse, des Cliniques des maladies du système nerveux du Pr RAMOxn. P
AS DE TUMEUR DU CERVELET (F. Raymond.) l3Wr,ut du IIl° volume des Cliniques des Maladies du Système nerveux. SUR UN CAS DE
cines inférieures des trijumeaux.- 10, faisceaux pyramidaux (Raymond, Cliniques des maladies du système nerveux, t. 111) - 22
is longuement étendu sur les opérations palliatives (I) F. Raymond, Clinique des maladies du système nerveux. Deuxième série,
PEAU. ALGÉSIMÉTRIE PAR MOCZUTKOWSKY, Professeur à l'Institut Clinique de Saint-Pétersbourg. En septembre 1894, dans l
smettre la sensation de la douleur (nerf sympathique). Les moyens cliniques et physiologiques usités pour examiner les sensa-
vec la profondeur de la lésion ont une grande importance. Le fait clinique que quelques degrés de la sensibilité calorique o
et 2) donne seulement quel- ques indications indispensables pour la clinique . Pour mes déductions j'utilisais un autre dessi
LES IIL`R1;D0-S7 PIIILITI[1UES il t PAR EDMOND FOURNIER Chef de Clinique à l'tlùpital Saint-Louis. Les dystrophies crâni
ter de droite à gauche une portion du globe crânien. Mieux.que la clinique , l'anatomie pathologique rend parfois compte de
ible d'hérédo-syphilis. Or, celle question, d'essence exclusivement clinique , me parait devoir être résolue par l'affirmativ
(3) Manuel pratique des maladies de l'enfance, 1880. (i) Recherches cliniques sur les maladies de l'enfance, 1883, t. II, p. 63
u (1) « C'est le malade dont j'ai raconté 1 histoire dans une leçon clinique (Des ostéites tMMO-c;'att : 6 ? : Ke d'origine
litique. Thèse de Paris, 1896. V. Obs. V, X, XVII, etc. (2) Leçon clinique de l'Hôpital Saint-Louis. ATROPHIE DES CENTRES
comparable dans les deux cas. Ce qui déjà facilitera la distinction clinique , c'est l'exis- tence, dans l'aplasie d'origine
osseuse, semblent devoir être rapportés les deux grands phénomènes cliniques de la spondylose rhizomélique : la soudure, et
l'autopsie d'une fillette de aus, dont il avait retracé l'histoire clinique à la même Société en 1895. C'était alors une enfa
s, infections, intoxications, hérédité, consanguinité ? L'en- quête clinique ne relève qu'une seule fois une chute sans gravit
ntisme, de l'acromégalie et de l'hérnihypertrophie faciale. » ÉTUDE CLINIQUE ET 1'.\TI ! OGl ? iIQUE DES CAS ACQUIS. CONCLUS
ative aux conditions de leur développement. Quand les commémoratifs cliniques autorisent à mettre en cause le tri- jumeau, l'
our l'accueil sympathique et cordial que nous avons rencontré dans sa clinique et 111JI. V. Weidengallllller et S. SavkpanoIT
ONUMENT Professeur RAYMOND, successeur de Charcot dans la chaire de Clinique des Maladies du Système Nerveux à la Salpèlrièr
hologie du système nerveux, il observa dans le silence avec un sens clinique merveilleux. Puis par la parole, par des démons
e M. le professeur RAYMOND, successeur de Charcot dans la chaire de Clinique des Maladies du Système Nerveux, el la Salpêtri
de cette doctrine. Au service de l3ouillaud, de Dax, de 13roca, la clinique , c'est-a-dire la simple observa- tion des malad
érigea en système l'application de cette méthode appelée ana- tomo- clinique , parce qu'elle consiste essentiellement à recherc
de la physiologie, il était l'un des premiers à les appliquer à la clinique . Il était mû par la passion obstinée et ardente d
s audi- teurs. Assurément, les faits tirés de l'anatomie ou de la clinique doivent être étu- diés séparément, par des méth
n et le poumon restent de véritables modèles. Sans perdre de vue la clinique , il n'en développait pas moins avec tous leurs
ctions logiques et la synthèse qu'il en tirait. La création de la clinique de la Salpêtrière laissait vacante la chaire qu'i
as de paralysie périphérique du nerf spinal, conclut de leur examen clinique que la partie de la branche externe du spinal,
t, en outre, sur le terrain de la pathologie expérimentale et de la clinique . Nous avons relaté, en effet, les travaux de Re
apèze, il est nécessaire d'analyser et d'interpréter les caractères cliniques de cette para- lysie. Ces caractères se tirent
du trapèze) qui, par sa fréquence, son mécanisme et ses caractères cliniques , mérite une place spéciale dans le cadre des pa
he Journ. of mental se, 1897, XLIII, p. 321). (2) J. OousE, Etude clinique du eceter dans la chorée, th. Paris, 189 î Favier
e forme primitive de dyspnée, qui, parmi celles qui sont expression clinique de l'hystérie, la caractérise plus particulièreme
e aussi curieuse que complexe que nous avons pu observer dans notre clinique de La Caridad et qui a fait le sujet d'une leço
aut bien chercher ailleurs l'explication de ces apparents paradoxes cliniques . Quelle est donc l'origine de cette déconcertan
ée en apparence de la pleurésie diaphragmatique, comme expres- sion clinique de la congestion pleuro-pulmonaire ? Cela serait
son cours pour se porter au se- cours de la cliente de son chef de clinique . A peine a-t-il examiné la malade que Lasègue
, pour fixer le souvenir d'une préparation microscopique, enfin, en clinique , pour faire ressortir telle ou telle anomalie mor
malisalion de la lllOCllc, s\lIthl'C" ('111111 toutes ses créations cliniques . Les cas particuliers se fusionnent à ses CIlX.
i 1l1OYCli de traduire sa pensée. De même qu'au cours de ses leçons cliniques on le voyait parfois remplacer la parole par la
ce de ceux qui ont lancée. Cbarcot faisait comparaître à ses leçons cliniques toits les malades qui en étaient l'objet. Paral
'analoinicpure, d'histologie normale ou pathologique, d'observation clinique " ou d'un chapitre de nosographie, toujours une
ts figurés du passé ? Quelle intéres- sante collection de documents cliniques en images ! Ainsi pensa Charcot, et. de concert
par des lectures préalables. Et de même qu'il n'abordait une leçon clinique qu'après une longue docu- mentation, de même, e
ureuse observation de. l'espèce humaine qu'il appliquait, lui, a la clinique . El, chez le comédien, il goûtait le naturalisme
huit ans, venait de ter- miner son internat et d'être nommé chef de clinique . Un soir, assisté d'un de ses collègues, docteu
roquis à la plume, fait en 1875, par E. BRISSAUD, alors externe de la Clinique . Masson et Ce, Éditeurs. nient, s'écria-l-il,
99 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
ux causes qui l'ont provoquée ; enfin tournant les yeux du côté de la clinique , il faut encore déterminer, autant que possible,
que là aussi, comme dans l'atrophie aiguë, on observe des phénomènes cliniques se rapportant au syndrome ictère grave. Yaurai so
ir suivi dans la première partie de sa thèse. A défaut d'observations cliniques suffisamment nombreuses, on a pro-cédé par la mét
parenchymateuses (2). M. Hirtz, cependant, m'a dit avoir observé à la clinique de Strasbourg un cas où un épileptique, soumis du
es maladies du foie, nous a été révélé tout d'abord par l'observation clinique . Les observations dont il s'agit ont conduit natu
donc, d'après cela, à deux catégories distinctes : Io faits d'ordres clinique et nécroscopique ; 2° faits observés chez les ani
ôt à Tordre expérimental. Io Avant d'entrer dans l'exposé des faits cliniques , je crois devoir commencer par un mot d'historiqu
cas dans lesquels, autant qu'on en peut juger d'après les phéno-mèmes cliniques , le foie n'est pas le siège de lésions organi-que
s frappants encore que les précé-dents. D'après la relation des faits cliniques et surtont d'après les autopsies, il y a lieu de
ies du foie 7 en ce qui a trait particulièrement à la détermination clinique et nécroscopique, toutes les garanties, désirable
que le foie présentait une certaine augmentation de volume. Le trait clinique caractéristique consiste en une fièvre intermitte
, très significatives déjàpar elles-mêmes, fournies par l'observation clinique et l'anatomie pathologique combinées. ONZIÈME L
n est généralement considérée à juste titre comme une des révélations cliniques de cette espèce d'uricémie. Dans quelques cas, le
ysiologie expérimentale ont eu leur réalisation dans le domaine de la clinique . Un médecin dis-tingué des hôpitaux de Lyon, M. C
ve de parenchyme hépatique. L'expérience — il s'agit d'une expérience clinique — a consisté à faire prendre aux malades de 300 à
i l'on peut ainsi par-ler, la lithiase biliaire de tous ses attributs cliniques , en cher-chant à établir entre autres que, dans l
Du reste, la colique hépatique est loin d'être la seule révé-lation clinique de la lithiase biliaire. Celle-ci possède un do-m
la colique hépatique calcúlense. C'est, je le répète, la révélation clinique , pour ainsi dire vulgaire, du passage dans les vo
on qui n'embrasse pas moins de trois années. Vous comprenez que, en clinique , si l'on n'était pas prévenu de ces aspects si di
n, par ce fait même qu'ils n'ont pas exactement la même signification clinique . II. Les détails dans lesquels je suis entré,
existé de jaunisse. Je mentionnerai encore un fait consigné dans la Clinique de Trousseau ({). Dans ce cas, les coliques hépat
furcation, est la distension du (1) Voyez : Durand-Fardel. — Traité clinique et pratique des maladies des vieillards, p. 785 ;
à, vous le comprenez, une circonstance qui peut être utilisée dans la clinique pour le diagnostic. La sur-face du foie est lisse
ondus avec les abcès de l'infection purulente, ont un certain intérêt clinique . Quand ils sont superficiels, ils peuvent être le
es deux espèces de fièvre n'ont pas abso-lument la même signification clinique ; mais il n'est pas douteux qu'elles ne se rattach
son, loc. cit. (2) Gazette hebdom. de méd. et de chir., 1859. (3) Clinique médicale. (4) Soc. anal., 1852, p. 466. dans
ngiocholite primitive, la plus intéressante peut-être au point de vue clinique et qui a été décrite par M. Virchow (2). Elle con
temps et pourtant, il est loin d'être dénué d'intérêt au point de vue clinique . A. Les premières études régulières, relativeme
très méthodique et présenté au point de vue surtout des applications cliniques dans l'ouvrage de M. Murchison (loc. cit.,n. 340)
irrhose, qui est considérée comme un type du genre. 6° Un caractère clinique de ces inflammations qui mérite d'être relevé, c'
logique sur lequel j'appelle votre attention est représenté dans la clinique d'une manière assez imposante. Il comprend, en ef
ulgaire autant par les caractères ana-tomiques que par les caractères cliniques . Un changement analogue, dont je vous ai entreten
difications dans l'intensité de l'ictère si souvent observées dans la clinique . Voilà donc une forme particulière d'obstructio
nalée dans la description anatomo-pathologïque, reparaît dans l'étude clinique avec ses caractères spéciaux : la forme, le volum
exemples, l'utilité des notions anatomo-pathologiques dans les études cliniques . 4° Nous avons mentionné, parmi les caractères
ement que M. Paul Ollivier (1), se fondant surtout sur les caractères cliniques , a émis l'avis qu'il existe une forme de cirrhose
ondé sur l'intime rapprochement des données anato-mo-pathologiques et cliniques . La cirrhose hypertrophique, quant à présent, p
ue j'ai laissé entrevoir — jouent un rôle prédominant dans l'histoire clinique de la cirrhose atrophique et méritent par suite
rquables tant au point de vue anatomo-pathologique qu'au point de vue clinique , su-bies par le système porte abdominal sous l'in
ns ; — C. granuleux ; — C. cireux ; — C. épithéliaux. Signification clinique des cylindres urinaires. Vue d'ensemble de la m
est fort importante et elle enlève beaucoup de valeur à la recherche clinique des cylindres, puisque ceux dont il impor-terait
tration des diurétiques. C'est dire qu'ils n'ont pas, au point de vue clinique , une grande importance. c) Après ce que j'ai di
écède, il me reste peu de chose à ajouter concernant la signification clinique des diverses formes de cylindres urinaires. Je me
i aux remarques suivantes : 1° D'une manière générale, l'importance clinique des cylin-dres urinaires a été fort exagérée. Ce
vous indiquer, dans un aperçu sommaire, les caractères anatomiques et cliniques qui distinguent ces espèces dont je vous présente
, outre les faits anatomo-patholo-giques, un argument tiré du domaine clinique , argument très significatif à mon sens, et qui mé
s exception, des hydropisies à une époque quelconque de leur histoire clinique ; au contraire, la majorité de ceux qui succomben
déjà (1) Medico-ohir. Transaction , 1859, p. 156. au point de vue clinique (1861); M. Dickinson, dont le traité sur la patho
Grâce ; ce travail,1 à la fois critique et fondé sur des observations cliniques et anafo-miques personnelles, a été publié dans l
seux; —Rein gras granuleux; — Petit rein gras granuleux. Caractères cliniques : — Mode de début et circonstances étiologiques. —
éphrite parenchyma-teuse, deux formes bien distinctes au point de vue clinique : Io une forme aiguë ; 2° une forme chronique. Je
démarcation tranchée. Cette démarcation subsiste sur le terrain de la clinique . À. Le début de la forme de maladie de Bright,
nt dire que la lésion du gros rein blanc avec toutes ses conséquences cliniques , a souvent pour point de départ la scarlatine, da
des sur des coupes du rein. — Caractères macroscopiques. Phénomènes cliniques — Diagnostic fondé sur des considérations extrins
nuleux, l'autre par le gros rein blanc se séparent autant par le côté clinique que sous le rapport anatomo-pathologi-que. Je ter
rai d'une façon très sommaire) les principaux phénomènes qui, dans la clinique , conduisent à reconnaître l'altération amyloïde d
xemples de ce genre. Tout récemment encore le Journal hebdomadaire de clinique de Berlin (1) publiait un cas fort intéressant d'
es cardiaques et dont je vous parlais dans notre dernière réunion. La clinique montre, qu'en pareil cas, la quantité des urines
'urine est rare, plus l'albumine y est abondante. D'un autre côté, la clinique établit aussi une relation très étroite dans l'ap
Contradiction apparente des phé-nomènes expérimentaux avec les faits cliniques . — Polyurie albumineuse dans la néphrite insterst
clusion parait être tout d'abord en opposition avec ce qu'enseigne la clinique , dans le cas delà néphrite interstitielle, par ex
x. Cet ensemble de conditions se rencontre très vulgairement dans •la clinique , ainsi que nous le verrons tout à l'heure. Ces
s l'expérience d'Overbeck se trouvent fréquemment reproduites dans la clinique la plus vulgaire. Il s'agit des mo-difications de
ins ; — C. granuleux ; — C. cireux; — G. épithéliaux. Signification clinique des cylindres urinaires. Vue d'ensemble de la m
seux: —Rein gras granuleux; — Petit rein gras granuleux. Caractères cliniques : — Mode de début et circonstances étiologiques.
des sur des coupes du rein. — Caractères macroscopiques. Phénomènes cliniques — Diagnostic fondé sur des considérations extrins
Contradiction apparente des phé-nomènes expérimentaux avec les faits cliniques . — Polyurie albumineuse dans la néphrite insterst
pression et de la vi-tesse sur l'albuminurie, 429, 435; — Exemples cliniques de cette in-fluence, 435, 441 ; — Théorie ana-tom
s acecessoires, 375. — Ap-parences macroscopiques, 379. —? Caractères cliniques , 382. Rein blanc .Gros Gros rein lisse, rein de
100 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
IE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL' RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE
n- fant ; . « 4° Conduire le malade, avec ces pièces, à l'Asile clinique (Sainte-Annel, rue Cahanis, n" 1, le matin de 9
peut placer directement les aliénés, adultes ou enfants, à l'Asile clinique . Mais c'est surtout l'Administration qui est co
bution. Citons encore, comme relevant plus particulièrement de la clinique , les mémoires que nous avons faits ensemble : De
déclarant que « le bromure d'or était 1. Bourneville. - Recherches cliniques el thérapeutiques sur l'épilepsie. compte rendu
i le ter mai. Tableau des accès et des vertiges DEUXIEME PARTIE Clinique et Anatomie pathologique. Bourneville, Bicêtre,
du cer- veau ( ? ) ; 7° Idiotie symptomatique de méningite ou 52 CLINIQUE . de méningo-encéphalite chronique (idiotie méni
es observations qui ont servi de base à nos premiers travaux : 54 clinique . dans trois autres cas, l'autopsie du cou n'a p
etit- Vendol. (2) Emmet Holt. - L'indication a été égarée. ' 5G clinique . ivrognesse consommée est en traitement pour un
] Mère, 51 ans, passementière, assez grande, sobre, intelii- 5S . clinique . gence moyenne, caractère doux, aucun accident
Elle n'a jamais eu de tics ni d'onanisme, ni de vers, ni de co CLINIQUE . gourme. Quelque temps après sa chute, elle aur
Circonférence au niveau de l'appendice typhoïde 52 cent. 05. gaz CLINIQUE . L'épaule gauche est un peu plus saillante et p
alion n'offrent rien de particulier. Pouls petit, régulier à 72. 64 CLINIQUE . Digestion. - W... mange seule, se sert de la f
ILLE, Bicêtre., 18S9. 5 Fig. 2. - W..., à 14 ans (mai 1839). G6 CLINIQUE . n'ont pas grossi; le pénil est glabre, ainsi q
dimensions de la tête et des membres prises en 1887 et 1889. ' 68 CLINIQUE . IDIOTIE myxoedémateuse. 69 te1'lwlle morte a
divers sens, mais aujourd'hui, elle se tient assez bien. Durant 70 clinique .' * les premières années, la tête et la langue
serait sortie vers vingt mois. Fig. G. - ... ..., en 1889. 72 CLINIQUE . Le cou est gros et court. - Le tronc serait as
achy- dermiqcce : physionomie typique, cheveux brun-roux; per- 74 CLINIQUE . sistance cle la fontanelle antérieure ; gonfle
aliments, ni eau, ni lait (jeûnes). Si on le faisait boire de 76 CLINIQUE . force, il vomissait. - Il a bavé jusqu'à 18 mo
s. - Le front a 4 cen- Fig. 9. - l3our..., F., il ans et demi. 78 CLINIQUE . timètres à peine de hauteur; il est étroit, dé
rien de particulier. Fig. 10. - 13our..., F., à 4 ans et demi. 80 CLINIQUE . Il tient bien la cuiller et la fourchette, mai
ner à cette simple indication. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1889. 6 82 CLINIQUE . Voici maintenant l'histoire de la soeur de cet
is congénital, un peu saillant, d'un centimètre de diamètre. 84 CLINIQUE . IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 85 Le dos et le ve
sance). (Fig. 11 et 12). Fig. 12. - Bour..., 5..., à six mois. 86 CLINIQUE . L'enfant tette bien, ne vomit pas, est sujette
Absence complète de glande thyroïde. - Persistance du thymus. ' i CLINIQUE . Cab... Marie-Pauline, néeà Sedan, le 29 juille
paupières restaient constamment collées. ,- Elle a eu quelques 90 CLINIQUE . croûtes d'impétigo sur les tempes, de l'eczéma
heveux bruns et fins. Fig. 14. - Cab..., à 6 ans et 10 mois. 92 CLINIQUE . taires, qui sont comme aplaties en avant. En h
o l'ombilic . 16 cent. Fi[j. 16. - Cab..., à 6 ans et lU mois. 94 CLINIQUE . Les membres supérieurs sont gros et courts; le
) Des adhérences semblables ont été notées dans plusieurs cas. 9u ' CLINIQUE . rien de particulier. Il en est de même de la c
n observe chez les nouveau-nés 130UIINEVILLE, Bicélre, 1889. 7 98 CLINIQUE . très gras. - Le muscle sous-jacent est divisé
de Villejuif. Résultats pour cent grammes de substance (1) : 100 CLINIQUE . une arrière-grand'mère maternelle qui a succom
ont gros, courts et offrent d'habitude des incurvations rachU 104 CLINIQUE . tiques. Leurs articulations sont parfois noueu
n qu'âgé de 32 ans, la fontanelle antérieure persiste encore. lOG CLINIQUE . Maladies terminales. Les malades dont nous a
(expériences de Schiff) (2). w En résumé, les faits fournis par la clinique médicale et par la clinique chirurgicale, ainsi
w En résumé, les faits fournis par la clinique médicale et par la clinique chirurgicale, ainsi que les expériences des phy
de M. Horsley et de M. Schiff, dans notre premier mémoire. 108 . CLINIQUE . ces malades et leur absence chez les autres de
Mémoire sur le Goitre et le Crétinisme ; Paris, 1851, p. 59. 1110 CLINIQUE . Los vagues notions d'anatomie pathologique que
nuées. Absence de désirs vénériens, pas d'onanisme, pudeur. 112 CLINIQUE . Crétinisme. Idiotie m¡j.\ : oedumateusc. R
ui suivent ont, d'ailleurs, été publiés à la suite des observations cliniques correspondantes dans les Bul- letins de la Soci
ils seront indiqués chacun à sa place; . N'ayant pas fait d'étude clinique , et apportant sim- plement quelques faits, nous
Je quatre ans. On pourra se reporter aux détails de son observation clinique , qui a été publiée. Il était atteint de convuls
tait des accidents à leur début; ce qui concorde avec l'observation clinique . On peut donc ainsi saisir le stade de néoforma
ions nous en servir pour échafauder les hypothèses applicables à la clinique et entreprendre d'écrire l'his- toire de l'anat
i-journée. De là, il a été expédié au bureau d'admission de l'Asile clinique , puis à Bicêtre. Envoyé en congèle 1er juillet,
crotoxine.................................... 33 TROISIÈME PARTIE CLINIQUE ET ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 1. De t'idiotie )TH/A
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