TALES Fondiïiï par J.-M. CHARCOT PUH A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Sle-Anne). F. RAYMOND Pi ofesseur de clini
decin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Pi ofesseur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
ction centrifuge passant parles cordons postérieurs. Aussi bien, la
clinique
et l'expérimentation établissaient que, dans le
n très inégale au processus des deux côtés, dont la symptomatologie
clinique
fit longtemps croire à un tabès hémilatéral. »
ôtés de la moelle se manifestent également dans la. symptomatologie
clinique
. Dans la plupart des cas de tabes, les troubles
rfs périphériques, par exemple dans la polyné- vrite, où le tableau
clinique
peut ressembler beaucoup au tabes, il existe un
evue neu- rologique, 1698, p. 751. Archives, 2° série, t. XI. 2
CLINIQUE
NERVEUSE. Épilepsie et fièvre typhoïde. (Deux
ue, dont il représente l'aura vaso- 1 Séglas. Th. Paris, 1881. 20
CLINIQUE
NERVEUSE. motrice et l'éclosion d'une crise con
ut; il a depuis quelques jours de petites épistaxis, de la diar- 24
CLINIQUE
NERVEUSE. rhée, une langue grillée, la températ
rie; 1 P. C. C., potion cordiale avec 0,50 de caféiiie ? e % . 26
CLINIQUE
NERVEUSE. 1 premier, il s'est même esquissé une
73 pages. - AIARDELLIS (A.). Elude o,7zcttoi ? io-pathologiqtie et
clinique
des lésions du nerf optique dans les fractures de
-J.). Oreille et épilepsie. In-4° de 74 pages. ENSEIGNEMENT Les
Cliniques
psychiatriques des Universités allemandes ' ;
eine, chargé de missions. II 1 Considérations générales sur les
cliniques
psychiatriques allemandes. Résumons aussi bri
possible les points les plus inté- ressants de cette étude sur les
cliniques
psychiatriques d'Alle- magne. ' Nombre de ces
elle de Kiel, ne possédait pas, jusque dans ces derniers temps, une
clinique
de ce genre. Cette lacune vient d'être comblée.
fluence exercée, à des points de vue divers, par cette vingtaine de
cliniques
psychiatriques est aisée à concevoir. Grâce à c
pour l'éducation de futurs médecins aliénistes. De plus, toutes ces
cliniques
psychiatriques agissent d'une façon très favora
bénéficie de l'activité d'un centre universitaire dont le matériel
clinique
, les laboratoires, ' Voir Archives de Neurologi
men- tale et de l'assistance des aliénés '. Dates de création des
cliniques
. Depuis longtemps on s'est préoccupé de l'ensei
es cliniques. Depuis longtemps on s'est préoccupé de l'enseignement
clinique
des maladies mentales dans les universités alle
és ont organisé, dans le cours de la première moitié du siècle, une
clinique
de psychiatrie . Les autres ont, pour la plupar
clinique de psychiatrie . Les autres ont, pour la plupart, créé une
clinique
spéciale au cours de ces 20 dernières années. V
), Giessen (1896), Ros- tock (1896), Kiel (1900). Constitution de
cliniques
universitaires autonomes. Deux pé- riodes très
être distinguées dans l'histoire du développement de l'enseignement
clinique
des maladies mentales dans les universités alle
r. Dans la première, on se contente d'utiliser, pour l'enseignement
clinique
, les asiles provinciaux d'aliénés ou les quarti
iode, qui a débuté, il y a vingt ans à peine, par la création de la
clinique
de Heidelberg (1878), on se décide à construire
de la clinique de Heidelberg (1878), on se décide à construire des
cliniques
universitaires, des établissements autonomes, c
nt de petits asiles urbains d'une centaine de lits. Telles sont les
cliniques
de Leipzig (1882), de Strasbourg (1886), de Hal
6), de Kiel (1900). Ce progrès considérable dans l'organisation des
cliniques
psychiatriques est l'oeuvre de Griesinger, qui co
e où Griesinger commença d'exposer ses idées sur l'organisation des
cliniques
psychiatriques et des hôpitaux de ' Il faudrait
progrès dus, en grande partie, aux recherches poursuivies dans les
cliniques
de psychiatrie. Rappelons les noms de Mey- nert
Flechsig, Hitzig, Wernieke, Kraepelin, Ziehen. 2 La création de la
clinique
des maladies mentales à la faculté de Paris ne
é de Paris ne remonte âu8re au delà d'une vingtaine d'années. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 29 traitement urbains (1861), o
les cas aigus et devant servir, dans les villes universitaires, de
clinique
psychia- trique ; 2° une colonie agricole pour
iversitaire. L'hôpital de séjour transitoire pour les cas aigus, la
clinique
psychiatrique doit être situé en ville même, ou
es visites médicales fréquentes... » Il est enfin nécessaire que la
clinique
psychiatrique soit située aussi près que possib
inique psychiatrique soit située aussi près que possible des autres
cliniques
. La durée du séjour des aliénés dans l'asile ur
rte et ne pas dépasser un an. Ainsi que je l'ai montré ailleurs les
cliniques
de psychia- trie des Universités allemandes ne
ncore formulé 2 sur l'organisation et le mode de fonctionnement des
cliniques
psychiatriques quelques desiderata que nous all
sychiatriques quelques desiderata que nous allons résumer : « Les
cliniques
psychiatriques doivent être placées sur le même
psychiatriques doivent être placées sur le même pied que les autres
cliniques
universitaires. Cette assimilation doit porter
rter sur les points suivants : 1° Assistance obligatoire aux leçons
cliniques
. Le stage doit être exigé pour la clinique psyc
obligatoire aux leçons cliniques. Le stage doit être exigé pour la
clinique
psychiatrique comme pour les autres, et cela, n
Centralblatt f. Nervenheilleunde und Psychiatrie, déc. 1893. LES /
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 31 tation de trois cliniques (i
e, déc. 1893. LES /CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 31 tation de trois
cliniques
(interne, chirurgicale, obstétricale) et en le
chirurgicale, obstétricale) et en le laissant libre de négliger la
clinique
psychiatrique, montre par le fait même qu'il ti
out à fait inutile. On devrait exiger un stage de six mois dans une
clinique
psychiatrique afin de pouvoir fournir aux fa- m
des médecins ayant quelques notions des maladies mentales. 2° La
clinique
de psychiatrie doit être assimilée aux autres c
les. 2° La clinique de psychiatrie doit être assimilée aux autres
cliniques
au point de.vue des méthodes d'instruction. L'étu
es de diagnostic. 3° Au point de vue du recrutement des malades, la
clinique
psy- chiatrique doit, comme les autres, s'inspi
s : les malades seront choisis soit parmi les cas aigus entrés à la
clinique
et passés à l'état chronique, soit dans un autr
si le malade dont il est question, peut être utile à l'enseignement
clinique
. Pour cela, un des médecins de la clinique, pré
e utile à l'enseignement clinique. Pour cela, un des médecins de la
clinique
, prévenu par télégramme ou autre- ment, qu'un i
lace, examine le patient, voit si celui-ci doit être transféré à la
clinique
, ou s'il s'agit d'un sujet non aliéné (ivresse,
vresse, excitation). A ce point de vue, il y a avantage à ce que la
clinique
soit à proximité de la ville.' La sortie du mal
ille.' La sortie du malade doit avoir lieu, comme dans les autres
cliniques
, quand celui-ci n'offre plus d'intérêts au point
au, 70 jours ; Wùrzbourô, 73 jours. 32 ' , ENSEIGNEMENT. matériel
clinique
indispensable, mais le temps et les loisirs. Un p
is parce qu'il est utile qu'il voit d'autres malades que ceux de la
clinique
(où certains états psychopathiques sont raremen
reau d'admission, d'hôpital de traitement, et, le cas échéant, de
clinique
de psychiatrie. Les autres, plus vastes, installé
que dans les asiles ordinaires (59, 79 d'aliénés curables à l'asile
clinique
de Konigsberg). Il en conclut que le public rec
s, tandis qu'il hésite moins longtemps à les faire traiter dans une
clinique
de malades curables. Or on sait que ces atermoi
monde se rallie à la conception des petits asiles urbains et des
cliniques
psychiatriques universitaires indépendantes. Si
liniques psychiatriques universitaires indépendantes. Situation des
cliniques
. Toutes les cliniques construites depuis une vi
s universitaires indépendantes. Situation des cliniques. Toutes les
cliniques
construites depuis une vingtaine d'années ont é
ns son voisinage immédiat, et d'autre part à proxi- mité des autres
cliniques
; les étudiants peuvent ainsi aller de l'une à l
es n'ont pas lieu, en Allemagne, à la même heure). Ajoutons que ces
cliniques
urbaines servent de bureau d'admission des alié
des aliénés pour les villes universitaires et leur banlieue. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 33 Policlinique. Le professeur
at de faire disparaître certains préjugés. Double destination des
cliniques
psychiatriques. La plupart des nouvelles cliniq
destination des cliniques psychiatriques. La plupart des nouvelles
cliniques
ne servent pas seulement à l'enseignement de la
(Breslau) et les quar- tiers d'hospice (Berlin) faisant fonction de
cliniques
psychiatri- ques. Leur population est, le plus
dernières varie en général entre 100 et 130. Citons par exemple la
clinique
de Halle avec 110 lits, celles de Leipzig avec
e Leipzig avec 135 lits, de Tubingen avec 140, de Kiel avec 120. La
clinique
de Wurzbourg n'en possède que 60, mais il convien
'aliénés chroniques de 88 lits, soit, en tout, de 148 ma- lades. La
clinique
de Greisswald ne possède qu'une cinquantaine, c
lits. En revanche, la cli- nique de Kiel a 200 lits, et la nouvelle
clinique
de Berlin aura éga- lement 200 lits. On estim
e de sujets atteints de psy- choses aiguës. Notons que toutes les
cliniques
admettent, en outre des aliénés,- et des « nerv
ait des sacrifices pécuniaires considérables pour orga- niser leurs
cliniques
psychiatriques. Le prix de revient du lit a Arc
ipzig, de 11200 francs : à Tubingen, de 11 000 francs environ. La
clinique
de Halle (110 lits) a coûté un million de francs
e d'années, et confor- mément aux conceptions de Griesinger (asiles
cliniques
urbains, autonomes, avec un maximum de 120 lits
villas » indépendantes. Nous nous arrêterons de préférence sur les
cliniques
créées depuis une dizaine d'années, d'après le sy
ent des maladies du cerveau, devait être organisée comme les autres
clinique
universitaires. Aucune clini- que psychiatrique
imple haie. A Halle, c'est une grille, et non un mur, qui sépare la
clinique
de la rue. L'open-door est appliqué dans la mes
villons, possèdent un premier étage; sur 110 malades, il n'y en LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 35 a que 17 qui ne sont pas log
nue. Le pavillon de traitement est l'organe le plus important d'une
clinique
de psychiatrie. Le quart, le tiers, ou même, su
ers, ou même, suivant certains auteurs, la moitié des malades de la
clinique
doivent y trouver place. En raison de l'importa
ont pris ces quartiers spéciaux dans les asiles et surtout dans les
cliniques
d'Allemagne, deux mots d'historique sont justif
Wiesbaden, et tout récemment par M. Kraepelin, qui a organisé à la
clinique
de Hei- delberg, une section de surveillance co
l'autre pour les agités. Nous avons déjà insisté sur ce point (voir
clinique
de Wurz- bourg). Le nombre des lits des pavillo
e total de la population ; mais pour les hôpitaux urbains, pour les
cliniques
psychiatriques, le nombre proportion- nel des l
aussi, cela va sans dire, du nombre des admis- sions. Il est des
cliniques
(Wurzbourg) dans lesquelles un assistant a son
les allées et venues du médecin. Rappelons une fois de plus qu'à la
clinique
de Wurzbourg, il y a dans le pavil- lon de trai
s en rapport étroit de contiguïté avec cette salle. Dans ces deux
cliniques
, les locaux et l'aménagement intérieur ont été
enl de la Seine. Annales 2néclico-psycholog., nov.-déc. 1895. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 37 ter assis dans son lit sans
s du lit, au-dessus du matelas est d'environ 0,75. Dans certaines
cliniques
(Wurzbourg), en vue du traitement par le lit et
u moment des repas. Suppression des quartiers d'isolement. Dans les
cliniques
les plus récemment construites, on a supprimé l
trop longuement insisté sur l'organisation à ce point de vue de la
clinique
de Wurzbourg pour y revenir. Rappelons seulemen
ces cellules et seulement pour quelques quarts d'heure. Pour une
clinique
plus considérable que celle de Wurzbourg (qui n
st difficile de parler de l'organisa- tion matérielle et morale des
cliniques
psychiatriques allemandes et plus particulièrem
pas à affirmer que ce procédé était appelé à prendre rang, avec LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 39 la suppression des moyens de
ment depuis près d'une tren- taine d'années dans un grand nombre de
cliniques
psychiatriques allemandes. Ces considérations s
ue nombre d'aménagements nouveaux et des plus importants dans les
cliniques
les plus récentes (Halle, Wurzbourg, etc.) ont
nt de ces affections. C'est dire combien considérable est, dans une
clinique
psychia- LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 41 tri
C'est dire combien considérable est, dans une clinique psychia- LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 41 trique, le nombre des sujets
de ce bâtiment s'est élevé à 137 000 francs. . Laboratoires. Les
cliniques
allemandes sont abondamment .pourvues de labora
es renseignements intéressants sur certains appareils en usage à la
clinique
de Gies- sen. ' « M. Sommer, dit M. Ladame, a
ions pratiques indispensables pour leur application usuelle dans la
clinique
. Cependant i. Sommer a déjà fait une série d'es
t bien en relief et grossit les traits pathologiques de l'image. La
clinique
de Giessen possède déjà un grand nombre de ces
bales ou vocales de l'aliéné rend aussi des services appréciés à la
clinique
de Giessen. On peut ainsi reproduire à volonté, a
» Logements des médecins et des surveillants. Dans la plupart des
cliniques
nouvelles, les logements des médecins assistants
e au plafond. Téléphone entre tous les .éléments constituants de la
clinique
, qui est elle-même reliée à la ville. Nombre
proportion est de un infirmier pour cinq ou pour six malades. A la
clinique
de Halle, par exemple, il y, a, pour 56 femmes,
e und Physiologie der sinne, XVI, p. 175. ' Ladame. Une visite à la
clinique
psychiatrique de Giessen. Annales méd. psychol.
portionnel de 1 p. 5 est considéré comme un minimum. Dans certaines
cliniques
, les pavillons de traitement possèdent un infir
cation avec le poste central de pompiers de la ville. A Leipzig, la
clinique
possède un pavillon d'isolement pour les maladi
duisons dans le tableau ci-dessous quelques chiffres concernant les
cliniques
psychiatriques universitaires ayant une existen
ovinciaux ou les quartiers d'hospice municipaux faisant fonction de
cliniques
psychiatriques. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
termine promptement par la démence : c'est l'ensemble de ces faits
cliniques
que l'auteur propose de désigner sous le nom de
s'attache à démontrer par l'observation des faits expérimentaux et
cliniques
, que cet état particulier existe réellement et qu
propose la classification suivante qui repose non seulement sur la
clinique
, mais sur l'étiologie et l'ana- tomie pathologi
s typiques de la maladie dont ils étaient atteints et leur histoire
clinique
se trouve tout au long dans les divers recueils
pyramidal. Quand on envisage les choses à un point de vue purement
clinique
, on est bien obligé d'établir une distinc- tion
sculaire progressive du type Aran- Duchenne nous est imposée par la
clinique
et par l'anatomie pathologique, il n'en existe
se généraliser dans une cer- taine mesure, en réalisant les traits
cliniques
de la paralysie géné- n«le spinale subaiguë. Da
ans le service de notre maitre le professeur Raymond. Observation
clinique
. Gulz... 45 ans. Absence d'antécédents hérédita
ant il n'a jamais vu double. A cette époque, en 1886, il entre à la
clinique
de Charcot qui porte le diagnostic d'hémiplégie
moyens de recherche habituels. Nous venons en effet d'observer à la
Clinique
de la Salpêtrière deux cas très intéressants da
limite supérieure du cône médullaire doit, après les observa- tions
cliniques
du professeur Raymond et les recherches anato-
du niveau de l'émergence de la troisième racine sacrée. Les signes
cliniques
des affections du cône se composent, d'un côté,
-I ? 1;100. Vol. XI. Fe-^% 3JSÛir rr s2. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. Deux nouveaux cas de folie gémellaire
mellaire connus jusqu'à ce jour. ' Archives, 21 série, t. XI 7 98
CLINIQUE
MENTALE. de les isoler et d'en former un groupe
M. Soukhanoff, de ranger tous les cas dans une seule caté- gorie
clinique
, répond à ces trois caractères : 1° Simultanéité
des héréditaires. C'est en effet ce que confirme, croyons-nous, la
clinique
. A. part les cas de psychose gémellaire vraie,
é. 3 Marro. La folie gémellaire, Annali di Freniatria, 1893. '100
CLINIQUE
MENTALE. : 1° G..., vingt-deux aus, admis pour
lico- psychologiques, mai 1900.) , , Séance du 29 mai 1899. 102
CLINIQUE
MENTALE. meille au fond de chacun de nous, est
ouvent entre eux. Sans pousser plus loin le paradoxe, revenons à la
clinique
, qui indubitablement enseigne, à qui sait obser
de la face est plus développée que celle du côté opposé. 104 ...
CLINIQUE
MENTALE. - . A son entrée, on constate une cert
de six ans, ayant débuté à peu près Fig. 3. - Célestine G... 106
CLINIQUE
MENTALE.. 1 . ' en même temps que celui de sa s
ective, puis en idées obsédantes l ig. i. - Prudence 13... 108 ..
CLINIQUE
mentale. ; : i de nature mélancolique et hypoco
Aussitôt qu'il se voit hors des murs de sa division, il prend - ho
CLINIQUE
MENTALE. la fuite à toutes jambes pour s'évader
nd à peu près cor Fig. 5. a. Constant T... b. IIenri T... 112 '
CLINIQUE
MENTALE. ' rectement aux questions qui concerne
effet existé, ce sont les excès Archives, 20 série, t. XI. 8 114
CLINIQUE
MENTALE. alcooliques, auxquels étaient portés l
antérieures de la moelle épinière, dans le tubes, a pour expression
clinique
une amyotrophie sans réaction de dégénéres- cen
Schaffer surprit donc une sorte de parallélisme entre le tableau
clinique
et l'état histologique de l'amyotrophie tabétique
d'un ouvrier en bronze de quarante-cinq ans, ni l'anamnèse, ni la
clinique
, ni l'autopsie n'ont permis de déceler la syphili
rs dans le labes coexistait avec ces lésions. D'autres observations
cliniques
(voit Monakow, Oppenheim) et expérimentales (St
rité des cornes antérieures et des nerfs périphériques Le tableau
clinique
diffère, quant à l'excitabilité galvanique du m
encontre « dans les deux tiers au moins des cas »'. Au point de vue
clinique
, des tabétiques avérés deviennent paralytiques
observations de Jenlrassik. Pour Leyden et Goldscheider, les faits
cliniques
, aussi bien que les faits anatomiques et statisti
à la fois de la biologie, de l'ethnologie, du développement, de la
clinique
et de la pathologie ; ils ont été sou- tenus da
e; l'auteur rappelle sur ce point les travaux de Retzius. Preuves
cliniques
. Dans l'insuffisance intellectuelle, c'est la c
iots. Preuves pathologiques. Les autopsies confirment les preuves
cliniques
; on peut ajouter que la fréquence et le degré de
iers; par le Dr J. 13ETnEN- COI;RT-fCRRCIR.1. (Renie de psychologie
clinique
et thérapeutique, octobre 1899.) L'auteur pen
ir les Il'- 57, 58, 59, 60 et 61. 154 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'examen
clinique
et une radiographie, sur l'omoplate et sur l'hu
sies radiculaires trau- matiques du plexus brachial au point de vue
clinique
et élec- trique. Ces paralysies ont reconnu des
e cadavre les divers mouvements qui avaient amené ces paralysies en
clinique
. Nous avons vu que dans l'élévation ou l'abaiss
is sont formées de substance cérébrale atrophiée. Au point de vue
clinique
cet enfant appartient au groupe des idiots micr
on présentent l'encéphale d'une enfant de huit ans, dont l'histoire
clinique
peut se résumer ainsi : idiotie profonde avec e
t les mêmes lésions à des degrés divers, correspondant à un tableau
clinique
spécial qu'ils résument par ces mots : idiotie
arait indemne. Pendant la vie, l'enfant avait tous les caractères
cliniques
de l'idiotie complète, il était incapable d'auc
ble de découvrir l'existence de ces dernières par une investigation
clinique
suffisante. - . 2° Le genre du début.' L'hémipl
part, et l'analyse des condi- tions pathogéniques et des symptômes
cliniques
de l'autre, nous permettent de distinguer deux
s organiques. Il y a une quantité d'hémiplégies qui au point de vue
clinique
se rangent parmi les hémiplégies organiques, ma
es antagonistes. Voici pourquoi, à mon avis, il ne faudrait pas, en
clinique
, s'appliquer surtout à déterminer la valeur abs
buer à l'artéi io-sclérose sans aller à rencontre de nombreux faits
cliniques
; la vieillesse ne prédispose pas à la neurasthé
ses persécuteurs. L'éclosion rapide, l'intensité et les caractères
cliniques
dès hal- lucinations auditives, peuvent trouver
qui leur sont tout à fait étrangères et qui nécessitent des études
cliniques
aussi spécialisées que prolongées. 111. Pactet,
sion symétrique des deux lobes temporaux con- firme la constatation
clinique
. 3- L'intégrité de la parole spontanée prouve q
emplacement de M. le D1' Joeaw : c. '- \I\1, les Des DaGoNFT (Asile
clinique
), PACTET (Villejuil'), Sérieux (Ville- Evrard),
raire des asiles publics d'aliénés. - M. Roque de 1'unsac, chef de
clinique
de pathologie mentale et des maladies de l'encéph
imp. - 1-1901. Vol. XI.- Mars 1901. Nu 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. Etude sur trois cas de maladie nerveu
ation ; car il nous sera pro- , Archives, 2° série, t. XI, 13 194
CLINIQUE
NERVEUSE. bablement impossible d'avoir jamais s
ldat et a fait un an de service militaire au 103° de. ligne, à '19G
CLINIQUE
NERVEUSE. Alençon ; mais à son arrivée au corps
ctuel. Note prise le 2.\ : janvier 1899. Nous trouvons dans la note
clinique
prise alors que le malade était penché pour fauch
Troubles sensoriels. Pas de nystagmus. Pupilles égales, réa- 193 ,
CLINIQUE
NERVEUSE. gissant bien à la lumière et à l'acco
n'a présenté de troubles des sphincters. ' ' - Etat actuel. Note
clinique
prise le 10 janvier 1899. -A cette épo- que, on
r : il y avait une amélioration. générale dans les : symptômes. 200
CLINIQUE
NERVEUSE. Les réflexes étaient toujours exagéré
de volume, mais à l'examen il ne parait pas exister d'atrophie. 0
CLINIQUE
NERVEUSE. Il existe quelques craquements dans l
laisser de traces. Chaque sujet'ne lui- imprime son individua- lité
clinique
que par des questions- de détail' : le père, frap
le seul signe présenté en commun par les trois sujets est une 204
CLINIQUE
NERVEUSE. légère exquisse de Romberg. Mais du r
s qui ont été publiées sous ce nom s'écartent absolument du tableau
clinique
présenté par nos malades. Elle doit faire songe
ais, en pareil cas, la marche a été bien différente de révolution
clinique
que nous avons relatée. En effet, alors que- nous
it être retrouvée et admise pour l'axe spinal, rien dans le tableau
clinique
présenté ne nous autorise à trancher le différe
ie (Bd. X, 1880, p. ill). In thèse Lorrain, p. 62 et f05-lOG. 206
CLINIQUE
NERVEUSE. et même. une altération légère des ce
et dans ce sens qu'il nous semble qu'on doive interpréter les faits
cliniques
que nous faisons- connaître. Nous pensons que l
1'octieosc%., 1885, p. 489 et 509. 8 Revue de Médecine, 1887. 2C8
CLINIQUE
NERVEUSE. enfants, étaient frappées de crises p
., 1900, obs. II, p. 285. Archives, 2« série, t. XI. 1 1 210. '
CLINIQUE
>NERVEUSE : - transformaièn parésie en même'
s se rapprochent sensiblement plus, à l'intensité près, des allures
cliniques
du tabes dorsal spasmodique familial. Nous croy
articulièrement bénigne et parfaitement curable. ENSEIGNEMENT Les
Cliniques
psychiatriques des Universités allemandes ' ;
57, 59 et 60, t. X, p. 103, 371 et 473, 61 ; t. XI, p. 27. ' LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 213 La durée des études médical
tre. La troisième et la qua- trième année sont employées aux études
cliniques
. Pour acquérir le droit d'exercer sur toute l'é
andidat doit justifier qu'il a suivi en qualité de Prakliknnt 1 les
cliniques
de chirurgie, de médecine et d'accou- chements,
il a fait deux accouchements, qu'il a fréquenté durant six mois une
clinique
ophtalmologique, comme Pruktilccntl, qu'il a pr
on 2. L'examen d'Etat se sub- divise en plusieurs examens, oraux ou
cliniques
: il ! anatomie ; 2° physiologie; 3° anatomie p
raldikanten ou élèves praticiens, sont des étudiants attachés à uue
Clinique
en qualité de stagiaires. Ils sont appelés à prat
n qualité de stagiaires. Ils sont appelés à pratiquer des exercices
cliniques
, en public, un certain nombre de fois par semestr
8 On voit qu'il n'y a pas, à Berlin, de stage obligatoire dans une
Clinique
psychiatrique. 2H i * ENSEIGNEMENT. l'exame
sous-officier et jouit d'une grande liberté (Progr. ? né(l.). LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. : 2 ! S Ajoutons que la- plupar
es au choix,sans concours; mais il est-évident que le professeur de
clinique
a tout : intérêt à-iiei choisir i pour collabora-
nserver son ^emploi d'assistant.tPlus tard il'peut être attaché. la
clinique
en qualité de médecin en second, -suppléant du
est-peu d'Universités allemandes dans lesquelles le stage dans; une
clinique
psychiatrique soit obligatoire 216 6 ENSEIGNEME
singer réclamait déjà un stage obligatoire de six mois auprès de la
clinique
psychiatrique. Le D1' Zinn demande que chaque é
ande que chaque étudiant accomplisse un stage de' six mois dans une
clinique
psychiatrique et neurologique et que les maladi
voudrait que tous les mé- decins praticiens aient à subir un examen
clinique
de psychiatrie. De cette façon, non seulement l
chiatrie; 2° d'une épreuve pratique consistant en l'examen d'un LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 217 blessé et d'un aliéné, en u
e brochure'. Dans les quatre ou cinq semestres consacrés aux études
cliniques
propre- ment dites, l'étudiant, dit M. Schultze
ait d'augmenter de deux le nombre des semestres réservés aux études
cliniques
. On rie saurait, à coup sûr, diminuer le temps
nt organisés les cours. Nous ajouterons seulement que les cours LES
CLINIQUES
1 PSYCHIATRIQUES..219 des privat-docenten ne du
ntenant sur les éléments cons- 'tituants du personnel médical d'une
clinique
psychiatrique. Ce sont : ,10 le professeur'(ord
ordinaire) ; '2° les assistants ; 3° les médecins stagiaires. 'La
clinique
de Halle, par exemple, a, Tpour une population de
médecins en second, trois assistants; un médecin volontaire. A la
clinique
de Berlin (188 malades); le professeur : est seco
(assislenten)remplacent à' la, fois, les internes* et -les chefs de
clinique
de nos services. C'est parmi les assistants que
médical et les exigences de l'enseignement sont assu- rés dans les
cliniques
grâce au nombre élevé des assistants; rappe- lo
e au nombre élevé des assistants; rappe- lons, par exemple, qu'à la
clinique
de Wurzbourg, il y a. pour 60 malades, cinq ass
aigus, un médecin pour cinq à six aliénés aigus. Dans les autres
cliniques
, le nombre des assistants varie de deux à quatr
, mieux utilisés que les internes de nos asiles, les assistants des
cliniques
de psychiatrie ont aussi des fonctions moins su
une initiative profitable à tous, malades et chef de service (voy.
Clinique
de Munich). Les assistants sont enfin eux-mêmes
iaire qui intervient dans les accès d'agitation, etc. Dans quelques
cliniques
, les assistants, nous l'avons vu, sont logés da
ts ne s'intéressant nullement à l'aliénation mentale; qu'il met LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 221 Cours de vacances. Les « co
(honoraires : 30 marks) l'un donné par le Dr Leppmann (psychiatrie
clinique
, exercices de diagnostic, rédaction de rapports
par le Dr Koeppen, également trois fois par semaine (psy- chiatrie
clinique
avec ses applications à la médecine légale) ; six
pre, ce sont les cours de vacances, qui se donnent, dans toutes les
cliniques
et' policliniques de la ville, en. mars et en s
'autant diminuée2e " Conditions' d'admission des^ malades dans les'
cliniques
psychia- triques. Les conditions- d'admission v
nécessaires pour l'admission des malades- dans- les- ' Jayle.. Les
cliniques
, et les grands hôpitaux de Berlin. {Gazelle des,
ume, Grand-Duché, etc.) dans lequel ! se trouve l'Université. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 223 3 cliniques : Kraep.lin se
l ! se trouve l'Université. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 223 3
cliniques
: Kraep.lin se plaint cependant (1897) des diffic
difficultés qu'il éprouve au renouvellement de la population de la
clinique
badoise v de Heidelberg. Il n'en est pas de mêm
un certificat de. médecin; sous la responsabilité' du professeur de
clinique
. Les cliniques, étant. des établissements unive
de. médecin; sous la responsabilité' du professeur de clinique. Les
cliniques
, étant. des établissements universitaires, reço
s mêmes, peuvent être hospitalisés grâce. aux crédits attribués aux
cliniques
à cet effet ! par les univer- sités. Dans la pl
conséquences qu'il faut attribuer, en Allemagne, à. la création. de
cliniques
.psychiatriques. (Le nouvel asile des aliénés à
s.psychiatriques. (Le nouvel asile des aliénés à Genève, z.) « La
clinique
: psychiatrique, de lleidelbùrg1 a..été inaugurée
.été inaugurée le 15 octobre 1878, à proximité immédiate des autres
cliniques
. Le professeur, docteur, Fïirstner, a publié da
ultés : iuhérentas à : toule nouvelle institution à ses débuts,. la
clinique
a pleinement rempli, la. tâche qui lui était dé
, la. tâche qui lui était dévolue. ' propos de l'organisation des
cliniques
chirurgicales des Cuiver- sités allemandes, le
rg, 1884.. 24 ENSEIGNEMENT. « A Leipzig, où fut fondée la seconde
clinique
, les résultats n'en furent pas moins heureux. D
t pronon- cée négativement sur l'opportunité de créer à Leipzig une
clinique
suivant les vues de Griesinger. Mais le gouvern
cet avis et chargea le professeur Flechsig de l'organisation de la
clinique
, qui fut ouverte le 2 mai 1882 l. « Voici la co
arrivé après cinq années d'observations : 1 « Les résultats de la
clinique
démontrent suffisamment que les objections fait
e Berlin (qui offre sous beaucoup de rapports des analogies avec la
clinique
de Leipzig) la conviction de la possibilité d'u
partout, je n'en doute pas, dans un temps prochain. » La nouvelle
clinique
psychiatrique de Strasbourg fut inaugurée le 29
ve à des conclusions analogues et insiste sur le rôle important des
cliniques
psychiatri- ques et des asiles urbains au point
t de vue de l'enseignement et de l'assistance des aliénés. ' « La
clinique
psychiatrique de Triboztry-eza-Brisgctzt, dit M.
'annonce qu'il publiera les résultais très encoura- geants de cette
clinique
lorsque les dix premières années seront accompl
s dix premières années seront accomplies. A Halle, on inaugura la
clinique
des maladies mentales et ner- veuses, placée à
ique des maladies mentales et ner- veuses, placée à côté des autres
cliniques
, le 29 avril 1891 ; enfin à 11'ürbourg, la nouv
utres cliniques, le 29 avril 1891 ; enfin à 11'ürbourg, la nouvelle
clinique
psychiatrique s'ouvrait le il" juin 1893. « C
eloppement progressif du plan primitif tracé par Griesinger. Aucune
clinique
psychiatrique n'est la copie fidèle d'autres éta-
Hitzig, de Halle, qui avait reconnu les inconvénients des leçons
cliniques
données dans l'asile provincial des aliénés de Ni
von Dr Paul Flechsig, professeur de psychiatrie et directeur de la
clinique
(mit zwei Plunen). Leipzig, 1888. LES CLINIQUES
et directeur de la clinique (mit zwei Plunen). Leipzig, 1888. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 223 z de l'indépendance complèt
ES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 223 z de l'indépendance complète de la
clinique
psychiatrique, dans l'in- térêt des malades aus
n que dans celui de l'enseignement. Il considère l'inauguration des
cliniques
urbaines comme le début d'une nouvelle période
cadémique de neuro- pathologie dans les universités prussiennes. La
clinique
psychia- trique, dit M. Hitzig, est certainemen
aravant), iï- Br- avait pas un tiers du matériel nécessaire pour la
clinique
. C ? exactement comme si l'on plaçait les profe
clinique. C ? exactement comme si l'on plaçait les professeurs des
clinique
^ médicales et chirurgicales à la tête d'hospice
iatrie a été élevée, du moins en Alle- magne, au rang d'une science
clinique
. Dès lors l'enseignement de cette science prend
us en plus considé- rable 1. ' Le médecin français qui visite les
cliniques
allemandes est quelque peu désorienté par la di
ssurés du succès. C'est ainsi que vont les choses dans les branches
cliniques
anciennes... Mais le voyageur, comme le guide,
ctivité scientifique personnelle n'est nulle part dans aucune autre
clinique
aussi indispensable que dans la psychiatrie. Ce
ut-à fait isolée, souvent obscure, à peine indiquée dans les autres
cliniques
. Dans celles-ci on apprécie sans doute aussi pa
récisément la condition sine qua non de son enseignement. - « Les
cliniques
psychiatriques ont ainsi un double problème à e
éveloppement psychique : A. L'i7nIJG'Cillilé. - B. L'idiotie. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 227 7 résoudre, dont l'un est l
ire les élèves et de les introduire dans sa science spéciale. « Les
cliniques
psychiatriques, ajoute le professeur Wernicke, so
tâche de fournir les moyens pour trans- former de plus en plus les
cliniques
psychiatriques en cliniques des maladies nerveu
pour trans- former de plus en plus les cliniques psychiatriques en
cliniques
des maladies nerveuses... Sans un choix de mala
et soigneux des malades, et sans les recherches nécroscopiques, les
cliniques
psy- chiatriques restent incomplètes et insuffi
our être de vrais instituts scientifiques. a La seconde tâche des
cliniques
psychiatriques est de servir d'institution d'en
un second mémoire exclusivement consacré aux asiles urbains et aux
cliniques
psychiatriques, Wernicke montre que Breslau a p
Breslau a pleinement réalisé l'idéal de Griesinger, et possède une
clinique
des maladies mentales et nerveuses offrant pour l
ts et aigus qu'on ne pourrait sou- haiter meilleur. En outre, cette
clinique
rend à la ville les services les plus avantageu
Quels services, dit M. Wernicke, la ville demande-t-elle à un asile
clinique
? Un établissement semblable doit être une statio
ris dans leurs familles après un séjour plus ou moins prolongé à la
clinique
. Ensuite les incurables non dangereux qui sont tr
des curables chro- niques et les aliénés périodiques. » « L'asile
clinique
est essentiellement une station transitoire. Da
ils doivent entrer. La durée moyenne 'du séjour des malades dans la
clinique
est surtout augmentée parce qu'on y garde les p
r la ville. A Breslau, le tiers environ de la population de l'asile
clinique
est formé par les paralytiques géné- raux. Que
s et de surveillance sont nécessaires pour ces malheureux ! L'asile
clinique
réunit ainsi les tâches les plus diffi- ciles q
en organisé. » (Wernicke.) Hitzig- avait déjà fait remarquer que la
clinique
psychiatrique n'a nullement la prétention de fa
psychiatrique n'a nullement la prétention de faire concurrence à la
clinique
mé- dicale, en admettant, comme cette dernière,
ent plus rapide et plus libre des malades, qui est particulier à la
clinique
psychia- trique, a écarté déjà pour elle ces di
ur elle ces difficultés. Aujourd'hui on ensei- gne partout dans ces
cliniques
la pathologie cérébrale tout entière. La cliniq
partout dans ces cliniques la pathologie cérébrale tout entière. La
clinique
médicale et la clinique psychiatrique contribuent
es la pathologie cérébrale tout entière. La clinique médicale et la
clinique
psychiatrique contribuent ainsi toutes deux par
ladies de la moelle épinière et du sys- tème nerveux en général. La
clinique
psychiatrique doit nécessai- rement comprendre
logie ner- veuse tout entière, non pas comme rivalité inutile de la
clinique
médicale, mais comme terrain d'observation indi
n indispensable à l'étude des psychoses. Dans les universités où la
clinique
psychia- trique a atteint son complet développe
- « Tandis que Wernicke et Binswanger, ajoute M. Ladame, ont LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 229 envisagé les cliniques psyc
ute M. Ladame, ont LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 229 envisagé les
cliniques
psychiatriques surtout au point de vue des prog
on aussi bien comprise de l'enseignement psychiatrique. C'est à ces
cliniques
qu'il faut, en grande partie, attribuer l'essor
'assistance des aliénés. Au point de vue scientifique, l'action des
cliniques
des maladies mentales est incontestable : vingt
(médecins fonction- naires) et des médecins praticiens, le rôle des
cliniques
n'est pas moins important. Leur personnel est c
aires et extraordinaires, des privat-docenten sont nombreux. Chaque
clinique
est une pépinière de médecins compé- tents et a
médecins-experts. Au point de vue de l'assistance des aliénés, les
cliniques
psychia- triques agissent aussi d'une façon trè
s à une surveillance attentive et à un exa- men quotidien. Si les
cliniques
psychiatriques donnent des résultats féconds au
ofesseur Meschede fait remarquer avec raison que le public a de LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 231 - et aussi les médecins en
t est à créer. Aucune de nos Universités provinciales ne possède de
Clinique
psychiatrique autonome, ni quelque établissemen
autonome, ni quelque établissement qu'on puisse comparer aux belles
Cliniques
de Halle, de Wurzhourg, etc. Que les admirables
sent de consi- dérer l'enseignement des maladies mentales comme une
clinique
accessoire, d'importance secondaire; qu'ils ne
dans un hôpital de traitement pour les maladies mentales, dans une
clinique
psychiatrique, dans un établissement où l'on obti
e, en Italie, en Autriche, en Russie, existent des établisse- ments
cliniques
, modèles. Des villes universitaires aussi considé
cipauté allemande, qui vient de dépenser plus d'un million pour une
clinique
psychia- trique de cent lits. - Nous avons di
- Nous avons dit plus haut les services multiples que rendent les
cliniques
de psychiatrie : il est superflu d'insister sur l
eux suivants : 1° Fondation, dans chaque ville universitaire, d'une
clinique
psychiatrique autonome, de 60 à 100 lits. Cette
ire, d'une clinique psychiatrique autonome, de 60 à 100 lits. Cette
clinique
située dans la ville même (hôpital urbain), ou
pour les malades placés d'office ou volontairement. Annexions à la
clinique
psychiatrique d'une section spéciale de neuropa
c. 2° Personnel médical nombreux : un médecin (y compris chefs de
clinique
, internes, externes ou stagiaires) pour dix malad
re, des concours par la concurrence. ' . 4° Organisation de cours
cliniques
payants d'une durée de trois semaines environ,
versités étrangères, pour renseignement pratique de la psychia- LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 233 trie, de la neuropathologie
asile des aliénés à Genève. Genève, 1895. Ladame. Une visite ti la
clinique
psychiatrique de Giessen. Annal, médico-psychol
e de Giessen. Annal, médico-psychol., nov. 1898. ' P. Sérieux. La
clinique
de psychiatrie de l'Université de WM)'2- bourg
, abdominal et plantaire) sont normaux. En présence de ce tableau
clinique
, l'auteur déclare qu'il ne peut s'agir ici que
iuscnavc Ci,4Y. .. 244 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI. Relation
clinique
d'un cas d'hémorrhagie de la protubérance suivi
envahi le noyau du moteur oculaire. A la seconde visite, le tableau
clinique
indiquait la propagation de l'hémorrhagie au tr
nions qu'il vient d'émettre sur la neurasthénie avec les variétés
cliniques
de cette maladie telles qu'elles ont été établies
(sauf la marche thermique) la fièvre typhoïde. Les manifestations
cliniques
de l'inflammation nerveuse périphérique varient d
) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI1. Néoplasmes cérébraux : analyse
clinique
de seize cas person- nels (quinze tumeurs et un
érébelleux le dia- gnostic a été fait, et confirmé. Au point de vue
clinique
, nous croyons que les symptômes se sont montrés
téressant au point de vue anatomo-patholo- gique qu'au point de vue
clinique
. Par suite d'un choc d'une extrême violence, la
s points intéressants de l'observation tant anatomopathoiogique que
clinique
. Il y avait une congestion intense des méninges
du Congrès international de 1900, des comptes rendus de recherches
cliniques
sur ce sujet ne pou- vaient manquer de venir pr
autre à Lille par M. de Caste- ras. La première abonde en documents
cliniques
positifs relatifs aux modifications du poids du
ur être aliéniste, il faudrait que le magistrat eût une éduca- tion
clinique
spéciale, approfondie ; pour connaître les aliéné
aliénés serait imposé aux candidats au diplôme spécial; un examen
clinique
servirait à contrôler leur degré d'instruction.
Dr Heerman qui, dès 1837, réclamait un stage d'un semestre dans une
clinique
psychiatrique. M. de Fontaubert propose d'utilise
une telle opinion, ignorent le puissant con- cours qu'apportent la
clinique
et l'anatomo-pathologie, à l'ana- tomie et à la
s ont été fermées à trois mois. 30. L'enfant nous arrive de l'Asile
clinique
avec de la fièvre (38°). Le corps offre un état
ransfert. Il y aurait un intérêt d'humanité à agir partout de même.
CLINIQUE
NERVEUSE. Abcès du lobe temporal droit du cerve
nt duré quelques nuits à peine. Archives, 2' série, t. NI. 19 290
CLINIQUE
NERVEUSE. La maladie actuelle aurait débuté pou
excitations (lumière et accommodation) très rapidement et 'sans 292
CLINIQUE
NERVEUSE. 1 paresse. Pas de nystagmus, nous avo
ade demeure toujours les yeux fermés dans une apathie Fig. 8. 294
CLINIQUE
NERVEUSE. complète; il répond toujours correcte
tre mois, elle avait été parfois accompagnée de signes d'une valeur
clinique
considérable : migraine ophtalmique à droite, a
dans l'espèce, compression intéressant le pédoncule cérébral 96 -
CLINIQUE
NERVEUSE. - '0 ! < (parésie et troubles de l
attirée du côté du lobe tem- li. l0. - t : oupe frontale. - .298
CLINIQUE
NERVEUSE. poral droit où l'on voit un point de
ons maintenant reconstituer la physiologie pathologique de ce cas
clinique
: Le lobe temporal droit, siège de l'abcès, se
ga- nisées, dans la plupart des cas, qu'au bout d'un mois et, 300
CLINIQUE
NERVEUSE. d'ailleurs, les premiers symptômes ac
ion qu'il fit en 1861 à l'Académie de médecine ' et dans ses leçons
cliniques
2 porta à la « congestion cérébrale » le coup l
te d'une façon géné- rale. » Dans un pareil débat, les observations
cliniques
sont les seuls arguments valables ; c'est à ce
lectique dans ses rapports avec l'épilepsie. ' Trousseau. Leçons de
clinique
médicale de l'Hôtel Dieu, 5« édit., t. 11, p. 6
à la rage; malgré cette confirmation expérimentale du dia- gnostic
clinique
M. Sano déclare que l'examen histologique des c
ts pour étudier les maladies mentales par leur côté exclusivement
clinique
ont aussi manifestement échoué que ceux delà psyc
longer outre mesure cette analyse, à donner pour chacun des groupes
cliniques
énumérés plus haut, le poids spécifique de la s
pologie. li. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 327 X1\'1. Faits
cliniques
: 1° Hystérie post-épileptique. 2° Aberra- tion
e épiblastique. Il y a donc un fondement ana- tomique à la doctrine
clinique
suivant laquelle les anomalies cuta- nées indiq
rapide qu'en six semaines on peut voir se suivre toutes ces formes
cliniques
». ' Les hallucinations de la vue et de l'ouïe
ie. En un historique rapide, il montre que le remarquable tableau
clinique
de la lypémanie, tracé par Esquirol. beaucoup tro
somme, comme Régis et Gaide l'avaient établi sur un simple exa- men
clinique
, ces deux autopsies prouvent que la maladie du
de rendre des services adminis- tratil's à son asile. VARIA. La
clinique
de Tuuingen. Une notice du Professeur Siemerlin
esseur Siemerling fournit les renseignements suivants concernant la
Clinique
psychiatrique de Tubingen 1. Le z dont dispose
rnant la Clinique psychiatrique de Tubingen 1. Le z dont dispose la
Clinique
a une superficie de 1 hectare 30 ares, dont 36
30 ares, dont 36 ares pour le terrain d'assiette des bâtiments. La
Clinique
possède'en outre un terrain de près de 3 hectares
Siemerlino;.ll;ade mischen Revue oct. 1893. Voir 1'. Sérieux. Les
Cliniques
psychiatriques des Universités alle- mandes. (a
s. (arcs. de Neurologie, 1900, iio 30, p. 476.) 360 - varia. ` La
Clinique
est placée dans une situation admirable, sur une
ndue, et à proximité des autres établissements universitaires : les
cliniques
de méde- ' cine et de gynécologie sont à 4 minu
t à 4 minutes de distance; l'institut d'anatomie pathologique et la
clinique
chirurgicale sont à quelques pas. Un n'a pas
adopté le système des pavillons séparés : toutes h s parties de la
Clinique
sont reliées entre elles dans un même bâti- men
d'examen, est munie de tous les appareils nécessaires pour l'examen
clinique
. Il y a encore un dortoir de G lits, une. chamb
t à la vapeur à basse pression. Eclairage au gaz (Bec Auer). A la
Clinique
de Tubingen les conditions d'admission sont les
Bruxelles) ; 2° Pathologie mentale : Du délire aigu au point de vue
clinique
, anotonio-patliologique et bactériologique. Rap
imp.-3-l'JO1. Vol. XI. Mai 1901. NO 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE.. «, L'Épilepsie partielle. Pathogénie
M6dGcnidûIaëa ! pti'iôre. ' Messieurs · En interrogeant les faits
cliniques
, pour en dégager le substratum anatomo-patholog
étermine la contraction d'un groupe isolé de 1 Leçon extraite de la
Clinique
des maladies du système nerveux, t. V (sous pre
professeur F. llaymond. ' ? ' ARCHIVES, 2- Série, t. XI. 24 .370
CLINIQUE
NERVEUSE. muscles, préposé à tel ou tel mouveme
hrift fitt' Chirurgie, 1898, 1. XLVIII, fasc. 2 et 3, p. 223. 372
CLINIQUE
NERVEUSE. - L'extirpation DES centres corticaux
es pyramidales, et une condensation du tissu névro- glique. ' 374
CLINIQUE
NERVEUSE. 8° Doyen-Raymond (Il s'agit du cas du
icale dont l'excitation produisait des contractions du pouce et 376
CLINIQUE
NERVEUSE. des mouvements dans l'articulation du
ntôt la tête se tournait vers la gauche ; les doigts de la main 378
CLINIQUE
NERVEUSE. gauche se relâchaient; le malade ouvr
nvahi par des secousses involontaires, auxquelles fit suite une 380
CLINIQUE
NERVEUSE. - attaque d'épilepsie. Ce même jour,
ta dans l'extirpation du centre cortical des mouvements de la 382 )
CLINIQUE
NERVEUSE. main gauche. Deux jours après, on con
PosT..Boston médical and su)-gical journal, 7 jan- vier 1892. 384
CLINIQUE
NERVEUSE. STARR, loc. cit ? obs. 3. DANA et C
enne. D'autres ont incriminé la Ancltmes, 28 série, t. Xf. 25 386
CLINIQUE
NERVEUSE. compression de la zone rolandique, pa
troisième paire ou de son noyau, et elle peut être la seule preuve
clinique
appréciable d'une paralysie pré-existante de la
com- plète à droite, incomplète à gauche. R. C. LVI. Contribution
clinique
et anatomo-pathologique à l'étude de l'acroméga
nopsie. Dans les trois observations non suivies d'autopsie l'examen
clinique
avait révélé des signes d'artério- sclérose. Lo
cas rare dans la littérature médicale, compre- nant une description
clinique
complète et une autopsie avec exa- men microsco
- laire. (Nouv. Inconogr. de la Salpétrière, n° 1, 1900.) Tableau
clinique
et anatomo-pathologique complet de cette affect
utive a ! la trépanation. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 401 vue
clinique
, début tardif des symptômes ; au point de vue ana
s ranger dans le cadre de cette curieuse affection, dont le tableau
clinique
peut-être résumé comme suit : développement pro
e pré- sentant, en dehors du symptôme arthropathie, qu'un tableau
clinique
presque nul, et conduisant l'auteur aux conclusio
lynévrite syphilitique il parait donc possible de tracer l'histoire
clinique
de cette affection : apparition de troubles ner
it ans, guérie par la suggestion hypnotique et dont l'ob- servation
clinique
est enrichie de 'tracés cinématographiques dont
ctile, de la sensibilité à la douleur et du sens musculaire ; or la
clinique
est d'accord ici avec la théorie, et ces symptô
une terminai- son invariablement funeste. L'auteur après ce tableau
clinique
se propose d'insister sur le diagnostic et le t
XXXIX. Une forme dégénérescente-de folie syphilitique, avec types
cliniques
; par G.-A. Welsch. (Tite Journal of Mental Scienc
mitivement les cellules nerveuses, et qui, par ses manifesta- tions
cliniques
rappelle de très près la paralysie générale, avec
de cette maladie est relative au mode d'action du virus : les faits
cliniques
indiquent un processus de dégé- nérescence et i
des toxines dans la syphilis est démontrée par les manifesta- tions
cliniques
de la maladie, et d'une façon plus concluante enc
quia éclaté dans nos asiles parce qu'elle en présente les symptômes
cliniques
et les lésions anatomo-pathologiques. Mais les sy
ne vertébrale dans la syringomyélie. Il s'agit d'une malade de la
Clinique
, paysanne âgée de quarante ans, qui présentait
a syringomyélie gliomateuse (et à elle seule) correspond un tableau
clinique
bien caractéristique (la triade d'Iloffnian). Les
omateuse doit être mise à part et différenciée tant au point de vue
clinique
qu'anatomo-pathologique ; 4° La syringomyélie g
té à côté d'une hydro- myélie peut ne se lévéler par aucun symptôme
clinique
, tandis que le tableau clinique de la syringomy
ut ne se lévéler par aucun symptôme clinique, tandis que le tableau
clinique
de la syringomyélie gliomateuse'répond à un sub
de psychologie expérimentale. M. le D" Antheaume, ancien chef de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de Médecine, f
a Faculté de Médecine, fera, à l'issue du cours, des démonstrations
cliniques
. Des conférences complémentaires, accompagnées
1 - PL. Ilf. Vol. XI. Juin 1901. N, 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. 1 Un nouveau cas de paralysie généré
cine, séance du 20 mai 1893.) , Archives, 2« série, t. XI. 29 450
CLINIQUE
mentale. d'aliénistes autorisés de tous les pay
u- près unanimement acceptée, avec les caractères étiologiques et
cliniques
que nous lui avions tracés dès le début. OBSERV
n, également plus marquée àlgauche. Le fond de l'oeil, examiné à la
clinique
ophtalmologique du professeur liadal, ne révèle
compagne même de trémulation de l'orbieulaire des lèvres et 452 .
CLINIQUE
mentale. des muscles de la face. Après un insta
reconnue à l'examen, par M. le professeur Lanelongue et son chef de
clinique
le D1' de Boucaud, comme une hernie musculaire
inguale et labiale sont très accusées, etc. Seule, 1 Fig. li. 454
CLINIQUE
MENTALE. l'exagération du réflexe rotulien du c
psie qui ne pourra, je crois, que confirmer le résultat de l'examen
clinique
. Ce que je voudrais, c'est relever et commenter
ysie générale des adolescents. (Thèse de Bor- deaux, 1899.) 456 '
CLINIQUE
MENTALE. aine, antérieur à la syphilis paternel
se surve- nue chez mon malade pendant sou séjour au régiment. 458
CLINIQUE
MENTALE. - - - Les conditions dans lesquelles s
malade, que le professeur Lannelongue de Bordeaux et son chef de
clinique
le D de Boucaud ont bien voulu examiner et véri
présente et survient avec cet intervalle, est considérée'dans la
clinique
comme une conséquence de la dégénération secon-
isque l'atrophie des muscles contractures n'existe pas. Les faits
cliniques
démontrant que le syndrome, exagéra- tion des r
ermettraient de faire une thèse très intéres- sante au point de vue
clinique
et social. SÉMÉIOLOGIE. Un nouveau signe phys
uaud » mieux que nous n'avons pu le faire, et en montrent la valeur
clinique
. Nous avons simplement voulu attirer l'attentio
s phénomènes qui provoquent cette modification urinaire, le tableau
clinique
des symptômes qui l'accompagnent est maintenant
hez deux paranoïaques et un hypochondriaque. J. SÉGLAS. LV. Étude
clinique
sur les psychoses névralgiques; par Muigazziki
coce. M. Briand, dit-il, fait remarquer que ce qui crée le syndrome
clinique
c'est surtout le syndrome anatomique. Je ne cro
raits essentiels les déductions que j'avais tirées de l'observation
clinique
de ce malade. Il existe bien un syndrome consis
aladie de luiedreiclr, et des signes se rattachant à ces deux t pes
cliniques
. 1111. Crsr.w et Iwnotr montrent les radiograph
2° Ophtalmojilégie aiguë d'origine syphilitique, ayant l'apparence
clinique
d'une affection parenchymateuse systématisée. Phé
de corrélation absolue entre le délire et les attaques. Le tableau
clinique
aurait dû être complété de cette constatation q
de M. Vignot. Inutile d'insister sur l'importance, au point de vue
clinique
, des résultats auxquels est arrivé l'auteur, en
émence précoce. Paul Sérieux. ». Le co nple rendu des travaux de la
clinique
des maladies ner- veuses et psychiques du profe
ployer de la violence. Les statistiques des malades traités dans la
clinique
du profes- seur Becliterell'coiicertieiit les m
s plus grande que parmi les gens normaux. Des malades morts dans la
clinique
de M. Bekhtereff 45,2 p. 100 sont morts à la su
de neuro psychose. Les bromures sont lar- gement appliqués dans la
clinique
du profes-eur russe. On donne parfois le chlora
ee. Parkes Mu seum. 1 REY ? %UD (G.) et Audibert (V.). Recherches
cliniques
et radiogra- phiques sur six cas d'usléo-arlhro
et Alonuisset, 513. CL4RIÇ University, \urcesler, lasts, 446
Cliniques
psychiatriques des Uni- versités allemandes, pa
l'Ulll.ll'F. SOUS LA DIRECTION DR MM. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie ! de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Sle-Aunc). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-Aunc). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facili
mes. 1900 Vol. X. Juillet 1900. Nu 55. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. Sur un cas d'hémorrhagie méningée sou
arachnoïdienne ; Par MM. Paul COURMONT et CADE. {Travail de la
clinique
de tll. le professeur 73o·zclet.) L'histoire et
le professeur 73o·zclet.) L'histoire et particulièrement l'histoire
clinique
des diverses variétés d'hémorrhagies méningées
sous le nom d'apoplexie méningée. Archives, 2' série, t. X. 1 "2
CLINIQUE
NERVEUSE. rencier des autres hémorrhagies péri-
ncier des autres hémorrhagies péri-encéphaliques, mais son histoire
clinique
est restée encore bien obscure malgré le nombre
Peut-être arrivera-t-on ainsi à expliquer la variabilité du tableau
clinique
, variabilité très frappante lorsqu'on parcourt
égie flasque gauche (facial inférieur et membres) persiste aussi. 4
CLINIQUE
NERVEUSE. Il y a toujours un état de contractur
ou moins foncée allant du rouge franc au rose pâle et parsemées 6
CLINIQUE
NERVEUSE. de quelques rares noyaux. Ces flaques
nous allons exposer, considérations d'ordre anatomo-patho- logique,
clinique
et thérapeutique. If. - Considérations- général
i- gine artérielle et rhémorrhagie eérébrale se poursuit encore 8
CLINIQUE
NERVEUSE. lorsqu'on examine de plus près le mod
ulier, le rôle pathogénique des dilatations anévrysmales. L'étude
clinique
de notre observation et la lecture des faits pl
ruyante, or si o,m ânalys un à un chacun des éléments de ce tableau
clinique
on marque non sans étonnement qu'un certain nom
onnais- sances )2 éclico- chii,ii ? q ic(t 1(,s, 1839, p. 55.) 10
CLINIQUE
NERVEUSE. , moitié droite du corps. Ces contrac
côté de la lésion ne constituent point une anomalie-dans l'histoire
clinique
des lésions méningées, et il y a de nombreuses
ettement de cet exposé critique des symptômes qui marquent la scène
clinique
des hémorrhagies sous-arachnoïdiennes, c'est la
t. La scène change donc avec l'acteur. Mais ce n'est pas tout. 12
CLINIQUE
NERVEUSE. Chez un même sujet on la voit subir d
ons insister sur cette variabilité d'un moment à l'autre du tableau
clinique
chez le même sujet, variabilité qui, jointe à l
s d'une pupille tantôt aux dépens de l'autre. Ainsi donc le tableau
clinique
change d'aspect avec une grande facilité, et en
s régiront le mode parfois variable d'installa- tion des phénomènes
cliniques
. Le siège de l'hémorrhagie est assurément le fa
e les phénomènes spasmodiques occupaient le premier plan du tableau
clinique
. Enfin nous avons trouvé un point d'effraction
ombien il est difficile de porter ce diagnostic et de l'af- 14 -fit
CLINIQUE
NERVEUSE. firmer. Tous les auteurs sont unanime
ple, la diffusion de l'épanchement rend une intervention inutile.
CLINIQUE
MENTALE. Du sens génital étudié chez les mêmes
es sur lesquelles l'attention n'a Aiiciuves, 2e série, t. X. 2 18
CLINIQUE
MENTALE. pas été, croyons-nous, suffisamment at
vrage de M. l\lickle que la perte des facultés génitales a été 20
CLINIQUE
MENTALE. notée dans quelques cas comme symptôme
me il suit au point de vue de l'anormalité et de la normalité. 22
CLINIQUE
MENTALE. est parfois perverti; mais sans indiqu
ossibilité d'éjaculation par la masturbation. Il ne nous a pas ,)Il
CLINIQUE
MENTALE. été possible de nous renseigner exacte
s se répartissent aux trois périodes de la paralysie générale. 26
CLINIQUE
MENTALE. alités, incapables de se tenir sur leu
lmes ou agitées ? Le tableau suivant répond à cette question : 28
CLINIQUE
MENTALE. Un premier fait intéressant fourni par
organes. SCLÉROSE TUBÉREUSE. 37 38 RECUEIL DE FAITS. symptômes
cliniques
qui permettent de distinguer l'idiotie symptoma
les éléments d'un diagnostic différentiel. Si parfois le tableau
clinique
est identique à celui de la paralysie générale, i
ménopause virile ; par le Dr Miguel Bombarda. (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, novembre 1899.) Chez l'homm
on indus- trielle des imbéciles. R. de MUoGllAYE CLAY. XI. Etudes
cliniques
de psychothérapie; par le U'' SEIr. (Zeitschrift
icale, 27 janvier 1900.) Le raisonnement et, jusqu'ici du moins, la
clinique
tendent à démontrer que le remède contre l'alco
uits. C'est ce qu'on a fail à Burghoelzli près Zurich (Forel), à la
clinique
d'aliénés d'Heidelberg, à Wuhlgarten, près Berlin
tué est destiné à l'étude des maladies mentales et à l'enseignement
clinique
. Il contient 100 malades environ, des deux sexe
s assure que ce cas rentre parfaitement dans l'un des trois types
cliniques
qu'il a décrits, la lésion centrale ici n'est poi
Professeur : 1 l'insllluL llIédico-pédagogitlllC. III. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
oses. Telle est la première partie. La seconde partie, toute à la
clinique
, à la thérapeutique, à l'anatomie pathologique,
Midi (Montpellier, MM. Ricue et Pélissier). M. de Fursac, chef de
clinique
des maladies mentales de la Faculté de médecine d
rancs. - l'arts, 1900. z : .7 Librairie Carré et Naud. - Raymond.
Clinique
des maladies du système nerveux (hospice de la
if. Bennecke et Warda2 apportent les résultats . observés dans la
clinique
de Binswanger. Le premier, sur 15 cas, a eu 15
il dans mon travail intitulé « Exercices ». (Recueil de leçons de
clinique
, de R. Volkmann, 1897.) Ce sont des jeux de pou
Charité l'enfant fut trans- férée d'office à l'Admission de l'Asile
Clinique
d'où elle passa immédiatement à Villejuif dans
yphilitique avec signe d'Argyll-Robertson ; Par CESTAN. Chef dç
clinique
à la Salpèfricrc. Nous avons pu observer dans l
logistes. Aussi ne devons-nous pas nous éloigner du terrain de la
clinique
. Dans cet ordre d'idées, nos malades diffèrent es
est tout autrement si les re- flexes tendineux persistent, modalité
clinique
que l'on peut observer dans le tabes. Dans ce d
l'adolescence. - Un second arriéré. Un troisième interné si l'Asile
clinique
. - Un frère mort de méningite. Pas de consang
ohérence et enfantillage. » - Le lendemain de l'arrivée à l'Asile
Clinique
, M. Magnan, signait le certificat suivant : « A
e étant enfant. L'autre, aliéné, est actuellement interné à l'Asile
Clinique
. Voici, à son sujet, les renseignements qui nou
le Dr Paul Dubuisson : « Bar-... a été placé trois fois à l'Asile
Clinique
: La première fois du 19 juin 1892 au 23 avril
lorer son pardon du bon Dieu... etc. » Durant son passage à l'Asile
Clinique
, elle aurait offert les mêmes symp- tômes. Et
riedreich sous le nom général d'ataxie héréditaire, les différences
cliniques
tiennent à l'étendue et à la prédominance en di
ces auteurs à la société des neuropathologistes et aliénistes de la
clinique
de Saint- Pétersbourg. (V. Progrès médical, 18
manières, mais ont eu concurremment un même résultat. La même forme
clinique
de l'alcoolisme se produira dans tel cas où", l
HAMELINE donne communication d'un travail accompagné d'observations
cliniques
sur l'hérédité dans la paralysie générale et en
é bien entendu à d'autres symptômes, présente une certaine valeur
clinique
. Sclérose pupillaire double. - M. B.uussm prése
enteur à venir nous en faire la démonstration. BIBLIOGRAPHIE. VI.
Clinique
des maladies du système nerveux (quatrième série)
s en couleurs. (Libr. 0. Doin, 1900.) La quatrième série des Leçons
cliniques
du professeur Raymond contient des leçons faite
ée. L'étude des paralysies alternes fournit chaque jour des types
cliniques
nouveaux. M. Raymond présente à ses élèves une pa
de Erb-Goldflam commence à être bien connu dans ses manifestations
cliniques
; mais sa place nosographique est encore à déte
n trente-sept coupes, monté pour la démonstration et la description
clinique
dans l'autopsie des'maladies du cerveau), par l
eau), par le or Hughes de Saint-Louis (États- Unis). - Contribution
clinique
et anatomo-pathologique à l'étude de la confusi
entre la criminalité des enfants et l'alcoolisme des parents. Etude
clinique
, par l\1ne Louise Robinovitch, docteur en médec
ement à l'hôpital Cochin, d'où il sera dirigé plus tard sur l'Asile
Clinique
. (Le Matin, 5 juin 1900.) Un Vacher poitevin
di à 9 Il. 1/2. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BouRXEVtLLE. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
Septembre 1900. N° 57. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ENSEIGNEMENT Les
Cliniques
psychiatriques des Universités allemandes ; .
iers ; . Réformes dans l'organisation du service médical : .' LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 195 Organisation de l'assistanc
es écoles d'infirmières ; Grand développement donné à renseignement
clinique
des mala- ,lies mentales. Dans les pages qui
étroitement liées, des petits hôpitaux de traitement urbains et des
cliniques
psychiatriques universitaires. Ayant eu l'occas
aient peut-être curieux de posséder quelques renseignements sur les
cliniques
psychia- triques des Universités allemandes don
L'étude de la constitution matérielle et de l'organisation de ces
cliniques
nous paraît d'ailleurs une question d'actualité.
chacune de ces universités, ce qui nécessitera la construction de
cliniques
psychiatriques universitaires. D'autre part, cert
ciaux d'agités, ces questions ont été tranchées dans la plupart des
cliniques
allemandes, et cela conformément aux desiderata
arties. Dans la première, nous examinons successivement chacune des
cliniques
psychiatriques d'Allemagne en donnant à notre d
semble, les traits les plus intéres- sants de l'organisation de ces
cliniques
. Le nombre des universités allemandes est de vi
en, Wurzbourg. Chaque université, sauf celle de Kiel, possède une
clinique
psychiatrique. 196 ENSEIGNEMENT. - Université
emagne, l'Université bavaroise de Wùrzbourg organisa, dès 1818, une
clinique
de psychiatrie. Long- temps installée dans les
ulius,où existait depuis trois -siècles un quartier d'aliénés 2, la
clinique
abandonna-, en 1888, le vieil hôpital pour deve
le leur juin 1893 que furent inaugurés les bâtiments de la nouvelle
clinique
(Psy- chiatrisçhe' Klinik der Universitàt Viii,
s du professeur Rieger . Conçue sur un plan tout à fait nouveau, la
clinique
de Wûrzbourg est 1'(i-uvre, non pas d'un .archi
nt la psychiatrie contemporaine. C'est en effet le professeur de la
clinique
psychia- trique lui-même, le Dr Rieger, qui a é
n Allemagne,. Arch. de Neurologie, 1895; n° t05. - C'est la seconde
clinique
psychiatrique de l'Empire allemand dont la créa
atisfaire les exigences de l'enseignement et de la science. L'autre
clinique
est celle de l'Université de' Halle (Prusse).
uzeboztrg. Klinisches Jahrbuch. V liand, 1894 (avec un plan). LES
CLINIQUES
-PSYCHIATRIQUES. J97 ment modèle, donnons-en br
97 ment modèle, donnons-en brièvement les caractères principaux :
Clinique
de soixante lits pour malades aigus ; -'deux pavi
d'examen, laboratoires pour le personnel médical (le professeur de
clinique
et cinq médecins) et un certain nombre d'étudia
ain, d'une superficie de deux hectares.) Le nombre des lits de la
clinique
(60) paraîtra peut-être insuffisant, comparé à
que (60) paraîtra peut-être insuffisant, comparé à celui des autres
cliniques
psychiatriques universitaires d'Allemagne (100-
rzbourg, on dispose pour l'enseignement, en outre des malades de la
clinique
, de 88 sujets incurables (40 aliénés et 48 épil
s et 48 épileptiques), hospitalisés à l'hôpital Julius. Le matériel
clinique
disponible est donc en réalité de 150 sujets en
lités que dans les services de médecine interne ou de chirurgie. La
clinique
sert de bureau d'admission pour l'asile de dist
nt les chroniques et les cas sans intérêt pour l'enseignement. La
clinique
se compose essentiellement de trois pavillons d
exclusivement à l'enseignement et aux recher- ches scientifiques ou
cliniques
. Les deux autres pavillons, symé- triquement di
ue sexe. (Voir la fit.6.) -. . Les locaux les plus importants de la
clinique
étant situés au rez-de-chaussée, nous dirons qu
l et du premier étage. Le sous-sol des trois pavillons composant la
clinique
est assez élevé. En partie aménagé pour servir
des cours pour cent auditeurs assis ; 2° deux salles pour l'examen
clinique
des ma- lades avec installation électrothérapiq
D TMccrOEt ? coej-. 1 £ .n, \0kamôrcs d'examen; Fi ? ri. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 199 seur; 3" les bureaux; G. un
mpte des conditions spéciales dans lesquelles devait fonctionner la
clinique
psychiatrique de Wùrsbourg. Les locaux devaient
systématique de cette méthode avec les exigences de l'enseignement
clinique
, de façon à ce que le traitement ne fut pas int
en cellule, ni emploi habituel des « calmants ». Et cependant, la
clinique
devait recevoir un nombre considérable de cas aig
ec le concours du D1' Sommer, aujourd'hui titulaire de la chaire de
clinique
psychiatrique à l'université de Giessen, M. Rie
linique psychiatrique à l'université de Giessen, M. Rieger, dont la
clinique
, nous le répétons, sert de bureau d'admission p
nvient à ce propos de rappeler l'opinion formulée, il y a long- LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 20J M. Rieger examine ensuite l
'examen du plan des pavillons, comment M. Rieger remplace, pour les
cliniques
universitaires, cet isolement acoustique par ce
r chaque fois qu'éclate un accès de ce genre, de même que, dans une
clinique
obstétricale, le médecin est appelé pour survei
A-t-on affaire à un agité furieux, absolument égaré, dans un - LES
CLINIQUES
l'bYCHI.a'l'RIQUt;S. 03 ' état de conl'ubion pr
açon automatique. Une organisation de ce genre, excellente pour une
clinique
universitaire de soixante lits, présenterait de
ique et affectée aux sujets bruyants ou agités'. Population de la
clinique
(1"' janvier 1898) : 51 malades (19 hom- mes, 3
' Ladame et à M. le D1' Loehr, les éléments de la description de la
clinique
de psychiatrie de Giessen, une des plus récente
linique de psychiatrie de Giessen, une des plus récentes (1890) des
cliniques
de ce genre en Allemagne 2. La clinique psych
plus récentes (1890) des cliniques de ce genre en Allemagne 2. La
clinique
psychiatrique (l'schiutnische Klinik zze Giessen)
tudiants peuvent ainsi, sans perte de temps, suivre les différentes
cliniques
, qui n'ont pas lieu comme en France; à la même
prend le professeur, M. le De Sommer, qui est aussi directeur de la
clinique
, trois assistants et deux médecins volontaires,
clinique, trois assistants et deux médecins volontaires, logés à la
clinique
. Le nombre des lits est de 80. La proportion de
un pour trois malades. - ? Voir sur cette question : P. Sérieux. La
clinique
de psychiatrie de l'université de 1--VÜ/'zboU/'
cellulaires . Revue de psychiatrie, avril 1898. - * De Boeck. La
clinique
de psychiatrie de l'université de Giessen (Bul-
de Belgique, décembre 1896, p. 393-399). Ladame. Une visite à la
clinique
psychiatrique de Giessecz. Annal, méd. psycholo
trique de Giessecz. Annal, méd. psycholog., nov. 1898. - -- , LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 205 L'établissement se compose
baigner les malades agités près de leur lit. Comme dans les autres
cliniques
, le non-restreint est rigoureu- sement appliqué
e non-restreint est rigoureu- sement appliqué. Lesavantages de la
clinique
de Giessensontles suivants : 10 Abon- dance des
à Giessen un infirmier pour 2,5 à 3 malades. Outre le professeur de
clinique
, qui remplit les fonctions de directeur-médecin
lement, les appareils ont coûté 150 000 francs. L'Etat fournit à la
clinique
une subvention annuelle de 77 000 francs. Le pr
ns, le directeur s'inspire avant tout des besoins de l'enseignement
clinique
; il peut recevoir gratuitement 10 malades, dont
reculé devant l'énorme dépense de plus d'un million pour créer nne
clinique
psychiatrique modèle. Espérons que nos université
pérons que nos universités provinciales suivront cet exemple. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 207 Le professeur Sommer est l'
fesseurs extraordinaires ; 5 privat-docenten ; 20} étudiants.) La
clinique
psychiatrique de l'université d'Iéna, fondée en 1
ce propos, M. Harlan fait les remarques suivantes : Au point de vue
clinique
, il est facile de diviser les cas de cécité hys
La paralysie de Landry n'existe pas comme entité morbide. t11 la
clinique
, ni l'anatomie pathologique, ni l'étiologie ne sa
étiologie ne sauraient établir son individualité. Au point de vue
clinique
, aucun des symptômes décrits par Landry n'est f
htalmique n'est vraisemblablement pas une maladie, mais un syndrome
clinique
que des causes, peut-être multiples, peuvent fa
nt de vue psychique. LwOrF. IV. Contribution à l'étude de la valeur
clinique
et médico-légale de certains délires systématis
anifestations morbides ont marqué un notable progrès. Cette méthode
clinique
donne à chaque phénomène le rang qui lui revien
hniques, l'expérimentation physiologique confirmant et éclairant la
clinique
, ont fait faire un grand pas à l'étude des loca
'investigation, et quelle vive lumière elles ont jeté sur des côtés
cliniques
restés jusqu'ici obscurs. Ce n'est pas tout,
s grandes envolées, quel que soit l'essort de notre imagination, la
clinique
immuable, rebelle aux hypothèses, fournit chaqu
ychiques qui survivent à l'accès peuvent affecter toutes les formes
cliniques
depuis la manie et la mélancolie, depuis les déli
puisse affirmer qu'il existe une folie de la puberté à physionomie
clinique
spéciale. M. Tokarski (Moscou) pense que les ra
s premières sont banales. Les autres semblent avoir une physionomie
clinique
se 246 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. rap
6° Malades perdus de vue après le premier accès, 30 cas. L'aspect
clinique
du premier cas observé permet de les confondre, a
iode terminale de la paralysie générale présente donc deux variétés
cliniques
: l'une avec contractures et impotence, d'aulre
deux ordres de motifs : les conditions étiologiques, les symptômes
cliniques
. En ce. qui concerne les conditions étiologique
t pour ou contre la névrose d'angoisse. En revanche les symptômes
cliniques
se rencontrent, en pratique, tels que les a déc
e névrose d'angoisse, ne saurait douter que le tableau et la marche
cliniques
diffèrent absolument de la neurasthénie à stig-
es centres nerveux sous la forme d'îlots disséminés; les recherches
cliniques
de Charcot et Vulpian nous apprenaient à distingu
données éparses existent, glanées dans le domaine de l'observation
clinique
, qui nous garantissent l'espoir que les voies i
ancs. Paris, 1900. Librairie Carré et Naud. BOURNEvILLE. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
. Bien que le régime au lit était appliqué en 1895 également à la
clinique
psychiatrique que je dirige et où, comme le mon
depuis ce temps restent complètement inoccupées, l'expérience de la
clinique
, comme d'un hôpital en petit et particulièremen
nt fait des recherches relatives à ce régime, sur les malades de la
clinique
psychiatrique de Saint-Pétersbourg, où il avait
e détails, tels que, par exemple, l'améliora- tion de l'observation
clinique
et, comme conséquence, une meilleure applicatio
nous, le docteur Govséiew à Ekaterinoslaw, par exemple, et moi à la
clinique
de Moscou, et nous avons réussi l'un et l'autre
lus grande garantie de la sécurité, l'amélioration de l'observation
clinique
et du traitement des malades; d'aulres y ajoute
grande faci- lité pour leur donner des soins et pour l'observation
clinique
; usage restreint des chambres isolées ; le syst
ction, une haute température et chez les personnes très épuisées.
CLINIQUE
NERVEUSE. Syndrome de Basedow post-typhoïdique
scillant entre 110 et 120. Ai-.r.nnE : , e sél ie, t. X. 19 290
CLINIQUE
NERVEUSE. Cette complication attira l'attention
pital le 13 du même mois pour une recrudescence de ses pal- 292 1-)
CLINIQUE
NERVEUSE. pitations, amenée par quelques tentat
ves de médecine et de pharmacie militaires, 189G.) Charvot. Etude
clinique
sur les goitres sporadiques infectieux. (Revue
9.) * Roger et Garnier. Société de biologie, 30 juillet 185S. 294
CLINIQUE
NERVEUSE. de vue, nous ne relevons aucune propa
ns les maladies infectieuses, Thèse de Paris, 5 février 1809. 296
CLINIQUE
NERVEUSE. tation de volume de la glande thyroïd
papilles fungiformes. Le Dr Archibald Garrod (Transactions, Société
clinique
de Londres, vol. 30, 1899) a appelé l'attention
1111EBZEJI\I\'SKI, membre du Conseil médical, ancien professeur de
clinique
mentale à Saint-Pétersbourg. La classification
rt des déviations de développement ulté- ' t3ourneville. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
r leurs troubles, Wernicke et Broadbent ont fourni la démonstration
clinique
que les fonctions du centre moteur du langage s
conductrices de la substance blanche. En tenant compte des réalités
cliniques
connues, nous arrivons, d'après ces principes,
e motrice pure n'ont pas encore levé tous les doutes sur sa réalité
clinique
.) B. Aphasies motrices complexes. Lésions combi
-mêmes plus ou moins atteints par la lésion. (Les diverses variétés
cliniques
de l'aphasie motrice ordi- naire, avec ou sans
chite tuber- culeuse. Au moment de son entrée dans le service de la
Clinique
des maladies du système nerveux de la Salpêtriè
es affections des centres postérieurs d'association ; l'observation
clinique
s'établit, justifiant la légitimité de notre di
on sénile peuvent écla- ter des psychoses déterminées dont l'aspect
clinique
porte la trace des processus de régression qui
tions délirantes ont un contenu tout à fait absurde. C'est la forme
clinique
décrite sous le nom de Wahnsinn dépressif. Tout
nger dans la mélancolie certaines formes, analogues au point de vue
clinique
, qui sont en rapport avec la grossesse, ou la l
Tablettes des Deux-Charentes, 8 septembre.) Bourneville. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
so-méca- nothérapique, tel que nous l'avons pratiqué soit dans la
clinique
de notre très distingué maître, M. le professeur
er et Cestan ont montre dans leur intéressant travail, fait dans la
clinique
du professeur Raymond, que, normalement, l'homm
ule l'énorme cour qui sépare l'infirmerie de la Sal- pêtrière de la
clinique
Charcot. Si les bons effets du traite- ment éta
plus de vingt ans nous employons les exercices des jointures . LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 371 Le traitement est à la port
vices à la popu- lation, à la médecine et surtout aux élèves de nos
cliniques
médicales de Paris '. . ENSEIGNEMENT Les Cl
lèves de nos cliniques médicales de Paris '. . ENSEIGNEMENT Les
Cliniques
psychiatriques des Universités allemandes 2 ;
en. C'est, en Saxe, à Leipzig, qu'a pris naissance l'enseignement
clinique
des maladies mentales en Allemagne. Ileinroth, él
ofesseur de psychiatrie. Il continua ses leçons jusqu'en 1843. La
clinique
universitaire actuelle et la seconde clinique psy
ons jusqu'en 1843. La clinique universitaire actuelle et la seconde
clinique
psychia- trique construite, en Allemagne, en vu
établissement est devenu, par arrêté ministériel d'avril 1888, la «
Clinique
de psychiatrie et des maladies ner- veuses » (l
9t0 000 francs; terrain : 200 000 fr.). Il est vrai de dire que la
clinique
saxonne, dont le terrain d'assiette a une super
uperficie de 3,3 hectares, et qui est située à proximité des autres
cliniques
universitaires, peut être considérée comme un é
s emprunterons un certain nombre de renseignements et le plan de la
Clinique
au travail du Dr Buffet, A travers asiles, Luxemb
ue au travail du Dr Buffet, A travers asiles, Luxembourg, 1888. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 373 cubes dans les salles de ré
eu. Un réseau téléphonique dessert tous les locaux importants de la
clinique
. Un fil spécial met en communication l'établissem
ession. En outre de la grande construction affectée aux malades, la
clinique
comprend encore quatre bâtiments : 1° Le bâti
s. Statistique. - Lors de notre visite (1894) la population de la
clinique
était de 150 malades (chiffre normal : 435).- Nom
p. cent.- Décès 9 2 p. cent. Personnel médical. Le professeur de
clinique
est directeur médecin en chef de l'établissemen
se de quinze lits gratuits, précieuse ressource pour l'enseignement
clinique
. Il peut ainsi admettre les malades intéressant
programme des quatre cours est le suivant : 1° cours de psychiatrie
clinique
; 2° cours de diagnostic psychiatrique; 3° cours
présentation de malades; 4° cours de physiologie du cerveau. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 375 Les cours du professeur son
haut intérêt, très fréquenté. Nous avons assisté à une conférence
clinique
. Le professeur, qu'accompagne un seul des trois a
trente-cinq ans, il était professeur ordinaire et directeur de la
Clinique
. La plupart des travaux qui ont rendu son nom c
de Halle, ne disposa, pendant plusieurs années, pour l'enseignement
clinique
des maladies mentales, que de l'asile provincia
e de la ville. C'est en 1879 que le professeur Ilitzig y ouvrit une
clinique
psychiatrique. En raison des incon- vénients mu
vénients multiples de cet état de choses, on installa, en 1885, une
clinique
psychiatrique provisoire dans deux bâtiments en l
comprenant 10 lits. ' En 1888, l'Université, voulant construire une
clinique
modèle 376 G ENSEIGNEMENT. pour les maladies
2,5 hectares situé dans la ville même, à treize minutes des autres
cliniques
universi- taires. Le p"ix de revient des constr
. Le p"ix de revient des constructions s'éleva à 832 000 francs. La
clinique
de Halle, dont le chiffre normal des lits est de
10, fut inaugurée le 29 avril 1891. C'est, en Prusse, la première
clinique
de psychiatrie constituant un établissement tout
tablissement tout à fait autonome, et placée à proximité des autres
cliniques
universi- taires. (Künigliche Psychiatrische un
ofesseur Ilitzig fut chargé d'en élaborer le plan. Jusqu'alors, les
cliniques
psychiatriques des universités d'Alle- magne, c
semble massif de bâtiments étroitement unis les uns aux antres, ces
cliniques
ne répondent plus à la conception qu'on se fait
me sont toujours restés ceux d'une caserne. » Hitzig, ajoute que la
clinique
psychia- trique doit remplir dan3 l'assistance
Hitzig à adopter le système des pavillons détachés, à segmenter la
clinique
en un certain nombre de bâtiments séparés par d
que en un certain nombre de bâtiments séparés par des jardins. La
clinique
de Halle se compose de onze pavillons répar- ti
Le nouvel asile des aliénés il Genève. Genève, 1S'J ? p. i-i6. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 377 -i ailes, à rez-de-chaussée
s pavillons pour chaque sexe 2). Le jour de notre visite (1894), la
clinique
comptait en tout 129 ma- lades. L'établisseme
mbler à une prison. On a tenu compte aussi dans l'aménagement de la
clinique
de la grande proportion des admis- sions de mal
s au cours de notre visite, et nous résumerons la description de la
clinique
de Halle, tracée d'après un rappoit, de M. le p
ori/ 1 de. E Ci(-, ' (7 .B(Ïtime71¿ principal'. l'ig. 11. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 37U la loge du concierge, le lo
ez-de-chaussée, qui sert de vestiaire aux auditeurs des cours de la
clinique
. La salle des conférences (Auditorium) située a
des bâtiments à rez-de-chaussée. Aussi la plupart des malades de la
clinique
sont-ils logés au rez-de-chaussée. Sur 110 mala
est elle-même partagée verticalement en trois segments. Le seg- LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 381 ment moyen, plus large qu
à clef. Firl. 14. 382 . ENSEIGNEMENT. Toutes les fenêtres de la
clinique
, sauf celles des chambres d'iso- lement, sout c
au séjour provisoire des maniaques qui doivent être présentés à la
clinique
. La salle de surveillance et les cinq chambres
mbres à coucher sont orientées vers l'Est et le Sud et un petit LES
CLINIQUES
PSYCIII.%I'IIIQ--ES. 383 nombre vers l'Ouest. L
ascule. Les fenêtres sont construites sur le modèle de celles de la
clinique
de Strasbourg : elles se composent d'un châssis
on- cierge, on a placé un avertisseur qui met en communication la
clinique
avec le poste central de pompiers de la ville. Le
piers de la ville. Le système du tout à l'égout à été appliqué à la
clinique
de Halle. Les appareils des water-closets sont
Chaque pavillon possède son vestiaire. Le personnel médical de la
clinique
est ainsi composé : le direc- teur-médecin en c
Le personnel de surveillance comprend 9 infirmières et une sur- LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 3g5 veillante en chef pour 56 m
lll1 ! fl, iindseiiie forensische l3ecleulung. Leipzig, 1895. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 387 M. Hitzig, en outre du trai
d'hystérie, de neurasthénie sont assez fréquem- ment observés à la
clinique
, le professeur Hilzig étant habituelle- ment dé
; le prix de revient en est peu élevé. M. llitzig a organisé à la
clinique
de psychiatrie une école d'infir- utiers et d'i
tales. Un appareil ingénieux, dit à 11. Ilitzig, est employé à la
clinique
pour l'examen du sens de la pesanteur (tabès, e
quelques renseignements sur le régime alimentaire des malades de la
Clinique
de Halle. Ceux-ci sont groupés en trois catégorie
. Uiagtoslil der Krankheilen des Nervensyslems, Berlin, l89ï. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 389 deuxième classe est identiq
régime était ample- ment suffisant '. En 1898, la situation de la
clinique
était la suivante : Population : 123 malades (6
aordinaires; 11 Privat-docenten ; 400 étudiants.) La création d'une
clinique
psychiatrique universitaire remonte à l'année 1
clinique psychiatrique universitaire remonte à l'année 1882. Cette
clinique
a été installée à l'asile provincial de Bonn (R
E. et Ed. Ilitzig. L'alimentation des malades el du personnel de la
Clinique
de psychiatrie el de médecine nerveuse de l'Unive
de la Société de médecine mentale de Belgique, 1897, p. 350. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 391 Université de Kônigsberg (P
igsberg (Stiidtische Kranken-Anstalt) sert, depuis octobre 1893, de
clinique
psychiatrique universitaire ; mais des conféren
psychiatrique universitaire ; mais des conférences de psychiatrie
clinique
y furent données dès 1879. Un pavillon d'agités y
avillon d'agités y a été construit en 1879. Un agrandissement de la
clinique
est pro- jeté. Le nombre des malades (fin 189
pas été construit en vue de servir spécialement à l'ensei- gnement
clinique
. Son plan rappelle d'ailleurs celui de tous les
grains : 8 grammes ; lait : 250 grammes; sucre : 10 grammes. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 393 Un petit pain de 85 grammes
rmières de 50. Le professeur fait, chaque semaine, deux conférences
cliniques
à l'asile (de 4 à 6 heures), et deux leçons thé
l'université (de 5 à 6 heures). 1 Nous avons assisté à une leçon
clinique
. Une centaine d'étu- diants sont réunis dans la
ogatoire. Lorsque l'élève a terminé, le professeur reprend l'examen
clinique
, et le fait durer fort longtemps, ne négligeant
désordonnées de l'épi- lepsie. Si l'on s'en tient au point de vue
clinique
, l'hallucination motrice verbale peut se présen
s ne s'en sont pour le moment pas assurés. V. Capriati, aide à la
Clinique
pychiatrique de Naples a étudié l'influence de
été faites sur des personnes saines, infir- miers ou médecins de la
Clinique
, jeunes hommes de vingt-quatre à trente sept an
maximum et que tout mouvement devient par ce fait impossible. La
clinique
lui a fourni depuis de nouveaux moyens de contrôl
it intéressant aussi de rechercher quels résultats peut donner en
clinique
l'expérience d'Hermann sur la contraction provoqu
ènes mécaniques de l'activité musculaire. On a donc tout intérêt en
clinique
à analyser les différentes manifestations de l'
résultats d'un examen anatomo- palhologiq.ue avec les constatations
cliniques
. Je parlerai seulement de l'anatomie des fibres
s, 2 série, t. X. 27 418 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. Etude
clinique
de la fonction kinesthésique (sens musculaire). M
ans déplacement du membre, que l'on peut étudier très facilement en
clinique
courante avec le petit appareil décrit dans cet
appareil produit un allongement réel de la moelle. Les observations
cliniques
démontrent des modifications symptomatiques trè
Paris). Je voudrais ramener la question, un instant, sur le terrain
clinique
. En 1885, j'ai publié, dans la Revue de médecin
s touchent la sexualité. M'accordant aux vues de l'Ecole de l'Asile
clinique
, je définis l'obsession « un mode d'activité cé
syndromes de cette dégénération. Cou-talés comme tels, on a la base
clinique
et solide pour exami- ne : ' l'action en elle-m
es perversions sexuelles. La ques- tion, éclairée par des documents
cliniques
de très grande valeur, interprétée, dès lors, d
de les préciser et d'interpréter le syndrome avec toute la rigueur
clinique
dési- rable : choix d'un endroit déterminé, d'u
thymus et du corps thyroïde, et les tables de décès avec un résumé
clinique
et anatomo-pathologique de chaque observation.
que se consacre Bourneville. La seconde partie est attribuée à la
clinique
et à l'anatomie pathologique. Le traitement de
aitement faites des cerveaux per- mettent de se rendre compte de la
clinique
et de la lésion. Les deux planches que nous rep
. 10-1900. Vol. X. Décembre 1900. N° 60. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. Clinique psychiatrique DE Montpellier
Décembre 1900. N° 60. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE.
Clinique
psychiatrique DE Montpellier. (Service du profe
e générale ; AI;DIN-DGLTL : II,, et T Il. IlOU'I);R>;, Chef de
clinique
, médecin adjoint Aide d'analomie, interne proviso
'aull. des hôpll"u\ de Monlpellier. I. Il n'est pas d'investigation
clinique
, dans le domaine des affections nerveuses, qui
qu'ils fournissent, une très grande importance tant au point de vue
clinique
pur, qu'au point de vue de la recherche des pro
par la pénurie des travaux sur Archives, 2° série, t. X. 29 - 150
CLINIQUE
NERVEUSE. cette dernière question, mais aussi p
comme aide au diagnostic dans les maladies mentales, 189G. 452 li
CLINIQUE
NERVEUSE. neurologie de Bruxelles (1897), dans
bliée dans les comptes rendus de la Société de biologie et dans une
clinique
médicale faite Li l'hôpital de la Pitié et publ
Cestan dit : « Dans la paralysie générale et surtout dans la forme
clinique
désignée sous le nom de paralysie générale asso
5' 1 1 d 1 m 1 1 1 1 5 m 1 1 1 z 458
CLINIQUE
NERVEUSE. vant la technique que nous venons d'i
ré. L'exagération du réflexe se rencontre : ait beaucoup plus 460
CLINIQUE
NERVEUSE. fréquemment i : t cette période que l
ysie, 1898-1899-1900.) Charles IW rr-S.wcu : . ENSEIGNEMENT Les
Cliniques
psychiatriques des Universités allemandes ' ;
sseurs extraordinaires; 0 Privat-docenteu ; 1,3-13 étudiants). La
clinique
des maladies mentales et nerveuses de l'Universit
lisa le premier, en 1818, son service d'aliénés pour l'enseignement
clinique
. Ce quartier spécial fut érigé, en 1832, en un
utonome que l'on confia à W. Ideler. Ce médecin fit des conférences
cliniques
sans cepen- dant donner un enseignement régulie
es leçons de psychiatrie. C'est seulement en 1SG3 que renseignement
clinique
des maladies men- tales fut organisé d'une faço
d Griesinger fut nommé professeur de psychiatrie et directeur de la
clinique
. L'influence de ce savant aliénisle fut considéra
importantes réformes : introduction du non-restreint, annexion à la
clinique
d'une section de neuropathologie, réorganisation
ale, l'agoraphobie, l'inversion sexuelle. 1\'eslphal adjoignit à la
clinique
universitaire un important service de policlini
la clinique universitaire un important service de policlinique. La
clinique
de psychiatrie de Berlin a été une pépinière d'
ent piofesseur à Strasbourg (1873-1890). Le personnel médical de la
clinique
universitaire se compose, pour la section de ps
ofesseur Jolly donne, chaque semaine, trois leçons de psy- chiatrie
clinique
(lundi, mardi, vendredi, de 9 à 10 heures) et une
conférence de neuropathologie (jeudi, de 11 à 12 h. 112) avec poli-
clinique
. La policlinique des maladies nerveuses de la Cha
e assuré à Berlin (18\H-) par de nombreux cours : Les conférences
cliniques
de neuropathologie, de psychiatrie et de médeci
e ner- veux, par les professeurs Oppenheim, Mendel et Kuppen; LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 475 les leçons (gratuites) sur
riesinger en 186, et le traite- ment par le lit sont appliques à la
clinique
de Berlin. Il y a des salles de surveillance co
linique de Berlin. Il y a des salles de surveillance continue. La
clinique
psychiatrique a, jusqu'en 1892, servi de bureau d
de 20 jours, et, pour les femmes, de 21 jours. La population de la
clinique
était, le 1er avril 1889, de 152 alié- nés et d
: 5 ? 1 . Nous ne dirons rien de l'organisation matérielle de cette
clinique
, qui est située dans un vaste bâtiment à deux é
étages dont la cons- truction remonte au siècle dernier (1798). La
clinique
psychia- trique et neurologique de l'Université
ile provincial de Greisswald, trans- formé, le le, avril 1889, en «
Clinique
royale psychiatrique». (liüni- gliche psychiatr
s, 24 fem- mes). Le professeur, Ut' IL Arndt, est directeur de la
clinique
; il est assisté de deux médecins. 476 ENSEIG
57 étudiants.) L'Université de Kiel décide (1897) la création d'une
clinique
de psychiatrie, située à proximité de la ville,
ont 100 pour aliénés du régime commun, et 20 pour pensionnaires. La
clinique
a été construite aux frais de l'Etat. Elle adme
es provinciaux. Le Dr Siemerling vient d'être nommé professeur de
clinique
psychiatrique à l'Université de Kiel (1900).
211 étudiants.) C'est l'asile provincial de Goettingen qui sert de
clinique
psychia- trique universitaire. Celle-ci a été f
remière moitié du siècle par le professeur von lschenmaycr, mais la
clinique
psychiatrique est de date toute récente (1891).
e date toute récente (1891). Elle est située à proximité des autres
cliniques
. ' Le professeur Ludwig Meyer, décédé le 8 févr
er, décédé le 8 février 1900, a été rem- placé par M. Cramer. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 4ï7 Population normale : 120 ma
ensionnaires de 1"° et de 2° classe. Le prix de revient total de la
clinique
a été de lu.000 francs se décomposant ainsi : -
Privat-docent ; 338 étudians.) Il n'y a pas lieu d'insister sur la
clinique
psychiatrique de cette Université, puisqu'elle'
est en effet l'asile d'aliénés d'Erlangen qui sert à l'enseignement
clinique
. La création de la chaire des maladies mentales à
tales à l'Uni- versité d'Erlangen remonte à l'année 1850. L'asile
clinique
, construit en 1846 en forme de croix, agrandi e
0 (100 hom- mes, 94 femmes). Personnel médical : le professeur de
clinique
, Dr Specht et sept médecins. Nombre des lits
t inaugurée, sous la direction du professeur Fiirstner, la nouvelle
clinique
de p"ychiatrie (UniveI'siLLits-1rrenklinik), situ
hiatrie (UniveI'siLLits-1rrenklinik), située à proximité des autres
cliniques
universitaires. C'est la première clinique psyc
à proximité des autres cliniques universitaires. C'est la première
clinique
psychiatrique universitaire construite en Allemag
compose du professeur de psychiatrie, en même temps directeur de la
clinique
, le Dl' Kraepelin, d'un médecin en second qui e
Kraepelin, qui considère les quartiers de surveillance continue LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. 479 comme des organes indispens
479 comme des organes indispensables au bon fonctionnement d'une
clinique
psychiatrique, estime que le nombre des lits de c
ivat-docent en ; 216 étudiants.) L'Université a fondé, en 1877, une
clinique
psychiatrique qui a été installée à l'asile d'a
Il n'y a pas de galeries couvertes, sauf pour relier les pavillons
cliniques
au bâtiment central. Pas de quartier d'isolemen
, Privat-docent, deux assis- tants, deux médecins volontaires. La
clinique
psychiatrique étant à 2 kilomètres de la ville, l
ofesseurs extraordinaires; 13 Privat-docenten; 327 étudiants.) La
clinique
psychiatrique de Fribourg (Psychiatrische Klinik
sseurs extraordinaires; 16 Privat-docenten ; 287 étudiants.) - La
clinique
psychiatrique a été fondée en 1877. Elle est inst
siles. 1888 et Laehr, Die Ileil- und Pflege .lzcslallen, etc. LES
CLINIQUES
PSYCHIATRIQUES. li 81 Nombre des admissions (18
ofesseurs extraordinaires; 10 Privat-docenten; 233 étudiants.) La
clinique
des maladies mentales et nerveuses de l'Universit
de Stiasbourga été fondée en 1872, agrandie en 1877. La nouvelle
clinique
, construite, en partie du moins, conformément aux
système des pavillons détachés à rez-de-chaussée. Le bâtiment de la
clinique
, construc- tion massive, est situé à proximité
construc- tion massive, est situé à proximité des autres instituts
cliniques
. Dans les chambres d'isolement les fenêtres son
nés et 30 épilep- tiques ou nerveux. Au point de vue économique, la
clinique
dépend de l'hôpital civil. Elle reçoit les alié
res districts et des pays voisins, aux frais du fonds spécial de la
clinique
psychiatrique. La clinique admet aussi un certa
oisins, aux frais du fonds spécial de la clinique psychiatrique. La
clinique
admet aussi un certain nombre de malades transf
faisant allusion aux desiderata formulés par Griesinger, et dont la
clinique
de Strasbourg était la réalisation, déclarait q
isation, déclarait que les établissements destinés à l'enseignement
clinique
de la psychiatrie devaient être séparés des gra
ires et placés dans les villes, en intime connexion avec les autres
cliniques
. 11 montrait le rôle important que peuvent remp
et pour tout hôpital d'une certaine importance. La population de la
clinique
était, au commencement de 1889 : aliénés, 73 ;
rveux » : 123. Consultations, en 1889 : 564 cas. Population de la
clinique
(juillet 1895) : 120 malades. Personnel médical
tributs de la plus complète virilité. Il faut chercher ailleurs. La
clinique
, elle, semble mieux nous guider. Elle nous mont
ible. Tout en tenant compte des variations que peut subir le type
clinique
(Krafft-Ebing), il importe avant tout d'en reteni
'isolent si nettement du vice. C'est en visant spécialement ce type
clinique
, qu'on peut définir l'inversion génitale : Une
en effet, de constater que l'inculpé se juxtapose à l'un des types
cliniques
connus pour le déclarer irresponsable 486 CONGR
et groupées pour constituer le membre fantôme. D'après les faits
cliniques
que j'ai observés, un amputé ne sent pas seulem
n. Séance du jeudi malin 9 août. - Présidence DE )1. Contribution
clinique
el analomo-palhologique ci l'élude de la con- f
entre la criminalité des enfants et alcoolisme des parents ; élude
clinique
; par M. ROI3l"OWITCli (de New-Yotk). Conditions
ons trauma- tiques de la moelle cervicale ou dorsale est une preuve
clinique
que la substance grise de la moelle lombaire es
ique. Les vrais réflexes tendineux n'ont pas autant d'importance en
clinique
que les pseudo-réflexes (phénomènes tendineux,
et réflexes tendineux; par Van Gehuchten (de Louvain). Des faits
cliniques
exposés, V. G... fait ressortir l'indépendance
u'on n'aura pas fourni un cas d'aphasie motrice pur au point de vue
clinique
comme au point de vue anatomique, c'es-à-dire v
air de santé, il n'existe pas de troubles trophiques. Les symptômes
cliniques
du tabès : les douleurs, l'ataxie, les troubles
t que sous le nom de tabes nous confondons des états anatomiques et
cliniques
très différents et pense qu'il y aurait lieu de
maladie, il se produit des tableaux différents ou des modifications
cliniques
, mais le processus anatomique reste au fond le
irect au moyen des voies sanguines. C'est en ce sens là que les cas
cliniques
que l'auteur a mention- nés, selon lui, s'expli
rijumeau à la face et à la muqueuse buccale en étudiant les allures
cliniques
de l'anesthésie et de l'analgésie de ces régions
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine, asile
clinique
, asiles de Vaucluse, Ville-Evrard, Villejuif et M
uée à l'é- tude des mouvements, par P. ni- cher et [.onde, 334.
Clinique
des maladies du système, nerveux, par le Pr Lta
ienne guérie par la ciàmectomie, par 13ul'l'ag-an, 49. Recherches
cliniques
sur l' -, 536 TABLE DES MATIERES. l'hystéri
n, 58. Hystérie. Traitement de l' -, par Stockley, 16. Recherches
cliniques
sur l'épilepsie, Il - et l'idiotie, par Bourn
. Traitement des en Belgique, par Ley, 147. Idiotie. ' Recherches
cliniques
sur l'épilepsie, l'hystérie et l' -, par Bour
ltl.ll : li SOUS LA UItIILCIION UR 1111. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la de médecine de
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
z F. RAYMOND Professeur «le clinique des
ecine Médecin de l'Asile clinique z F. RAYMOND Professeur «le
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
terstitielle et donne la parole à l'anatomie microscopique. ÉTUDE
CLINIQUE
Sur les 84 paralytiques généraux avérés qui se
l'examen ophthalmoscopique. , ANATOMIE PATHOLOGIQUE Notre étude
clinique
, bien qu'intéressante, n'aurait pas revêtu l'im
autopsies arrivées à point nous ont permis de corro- borer l'examen
clinique
; ce sont celles : 1° de deux malades présentant
fication profonde dans la struc- ture de la papille, et que examens
clinique
et histologique LE FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARA
las of i ? ie(lical ophtali ? îosco2)y, Loiidon, 1879. Boy. Étude
clinique
du fond de l'oeil dans la paralysie générale. T
flammés. D'où la nécessité de l'Hospitalisation des Epileptiques.
CLINIQUE
MENTALE. Note sur l'évolution des obsessions et
rition d'un véritable délire. A plusieurs reprises, dans mes leçons
cliniques
, à la Société médico- psychologique, j'ai expri
Janet émet aussi le même avis. AITCIIIVES, 2- Série, t. XV. 3 34
CLINIQUE
MENTALE. Ici, comme en toutes choses, il faut l
état de discuter ses obsessions et bientôt apparaissent sponta- 36
CLINIQUE
MENTALE. nément des idées délirantes de culpabi
, tantôt l'autre de ces deux éléments qui prédomine dans le tableau
clinique
. L'état de torpeur intellectuelle peut être plu
vus durer beaucoup plus longtemps, pendant plusieurs semaines. 38
CLINIQUE
MENTALE. J'ai observé un jeune homme de dix-sep
inement les choses et se dit : « Suis-je bête (sic) d'avoir eu 40 0
CLINIQUE
MENTALE. ces idées. » Ce qui ne l'empêche pas d
s s'accentuent et les délires revêtent la forme que nous avons 42
CLINIQUE
MENTALE. - décrite sous le nom de variété psych
S'il est très difficile d'établir des rapports entre la forme 44 Il
CLINIQUE
MENTALE. de l'obsession et son évolution vers l
es impulsives avec illusions ou hallucina- 1 Voir J. Sé-las. Leçons
cliniques
et Soc. mécl, psclc" février 1001. 1. ÉVOLUTION
e à son obsession, cet envahissement devient tel qu'il absorbe 46
CLINIQUE
MENTALE. momentanément à son profit presque tou
des hôpitaux, Chef du senice de rééducation et kinésithérapie de la
Clinique
Cliarcot (Salpêtrière). Il n'est plus aujourd
a neuropathologie existait à peine encore, que la plupart des types
cliniques
qui nous sont aujourd'hui fami- liers étaient i
ssi parce que, tant qu'un syndrome n'est connu qu'au point de vue
clinique
, sans qu'on en connaisse en même temps les élém
t exposée ses élèves 54 ik THÉRAPEUTIQUE. Meige et Feindel ; à la
clinique
Charcot, les procédés de rééducation sont maint
malade, c'est 64 THÉRAPEUTIQUE. faire une oeuvre essentiellement
clinique
et par conséquent variable avec chaque cas part
abitude des maladies nerveuses et connaissant les difficultés de la
clinique
, par un spécialiste familier avec la thérapeu-
, pour se montrer efficaces, doivent être adaptés aux besoins de la
clinique
, aux symp- tômes et aux localisations de ces sy
stes obtenues chez plusieurs ma- lades, consacra deux de ses leçons
cliniques
à l'exposé de la nouvelle méthode dont il étudi
s viennent les thèses deLeclerc et de Riche, / enfin nous-même à la
clinique
Charcot, nous sommes parti- culièrement consacr
a marche des ataxiques, même les mieux faites et les plus utiles en
clinique
pour le diagnostic de la maladie, sont insuffis
siologie normale et pathologique et de l'observation des conditions
cliniques
: ce n'est qu'à ce prix qu'on pourra espérer de
é de l'hérédo-ataxie de Friedreich, présente aujourd'hui un tableau
clinique
complet, mais le tableau anatomo-pathologique d
bilité nerveuse portant sur le cervelet et ses voies ; les troubles
cliniques
commenceront à se manifester et à s'accentuer a
e par l'auteur lui per- met de conclure, de concert avec le tableau
clinique
, à une polyné- vrite infectieuse du cheval. La
lumière, tandis qu'elle réagit normalement à l'accommodation et la
clinique
ne permettant pas de dire que l'excitation physio
d'un malade mort tuberculeux et n'ayant présenté comme seul signe
clinique
de la série tabétique que le signe d'Argyll-Rober
iques avérés un certain nombre de malades qui n'ont pour tout signe
clinique
que l'Argyll-ltobertson. M. Dejerine chez un su
s. M. Lépinay. Il résulte de la discussion qu'avant les symptômes
cliniques
de la tuberculose, on peut observer des perturbat
culose commence à évoluer, sans cependant présenter des symp- tômes
cliniques
, évidemment moins faciles à observer que chez les
férentielle de W. Stern. La méthode qui lui convient est la méthode
clinique
, la méthode déductive ris- querait de substitue
des magistrats. Le livre se termine par l'exposé de nombreux faits
cliniques
dans lesquels les poursuites judiciaires ont ét
ses fig. dans le texte. Lisbonne 1902). Cet ouvrage est entièrement
clinique
. En dehors de la préface, qui propose des réfor
ation et statistique de l'asile d'aliénés de Santiago du Chili. Cas
cliniques
spéciaux et faits médico-légaux. Remarques thér
de l'Intérieur; Membres titulaires : M. le De Mairet, professeur de
clinique
des maladies mentales la Faculté de Médecine de
a Faculté de Médecine de Montpellier; le Dr Rémond, professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médecine de
é de médecine de Bordeaux; le Dr Magnan, médecin en chef de l'Asile
clinique
(Sainte-Anne); le Drltousset, médecin en chef d
mme on le voit, ce concours pèche par l'absence de toute épreuve de
clinique
mentale. Asile d'aliénés DE la SEINE : Concours
çu docteur avec une thèse intitulée : « « Coizt2-ibiitioizà l'étude
clinique
de la syryngo- myélie. » Il s'adonna plus spéci
spécialement à la neuro-pathologie et suivit assidûment les leçons
cliniques
de Charcot puis celles du professeur Raymond. A
liénés. Mouvement en novembre. -NI. GUILLOT, direc- teur de l'Asile
clinique
est promu à la classe exceptionnelle du cadre.
feu (Var) est nommé à l'asile de Marseille (poste créé). Cours de
clinique
des maladies mentales et des maladies de l'eizcé-
de l'eizcé- phale. M. le professeur Joffroy a commencé le cours de
clinique
des maladies mentales le lundi 17 novembre 1902
17 novembre 1902, à 2 heures et demie, à l'amphithéâtre de l'asile
clinique
(Saint-Anne) et le conti- nue les vendredis et
conditions d'admissibilité et le programme du concours. Nouvelle
clinique
des maladies nervuses. L'Université de Buda- Pe
s maladies nervuses. L'Université de Buda- Pest vient de fonder une
clinique
de maladies nerveuses et a dési- gné comme prof
- 12-1902. Vol. XV. Février 1903. ? 86. ARCHIVES 'DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE, Contribution fui, l'étude des folies p
sujet et de donner un même point de départ aux différentes variétés
cliniques
qui ont été décrites. Elle a un deuxième avanta
aécl. psyclc., 1885, p. ? 1 ? ). Archives, 21 série, t. XV. 9 130
CLINIQUE
MENTALE. ce genredefolie, qu'il dénomme folie c
). La Psychologie morbide, 2° partie, ch. i, 1859. Dagron. Archives
cliniques
des maladies mentales el nerveuses, 1863. 8 Mar
ntyel que revient l'honneur d'avoir décrit les différentes variétés
cliniques
de folie à deux et d'avoir étudié d'une façon a
e à deux. Mais la publication la plus instructive au point de vue
clinique
est celle de M. Arnaud (de Vanves). Il admet, c
emblance du délire. Comme ce dernier, il reconnaît les trois formes
cliniques
décrites ; mais pour lui la folie imposée se di
communiquée par l'intensité de la transmission et, au point de vue
clinique
, par la per- sistance de la maladie chez le suj
que, 1893, p. il6). 3 Arnaud. La folie la deux, ses diverses formes
cliniques
(Annales méd.-psycliol., mai-juin 1893). 4 Ma
n de iliontyel. De la folie à deux el de ses trois grandes variétés
cliniques
(Gaz. des Hôpitaux, 1894, p. 75, 79, 80, 81). L
mation (Jalrobücher f. l'sycltiatrie, v. XVI, 3a f., 1897). 13 ï-
CLINIQUE
MENTALE. auteurs tendent à faire rentrer dans l
familiales (Trénel', Fouque2, Sorel) ; d'autres, de nouveaux faits
cliniques
sur la transmission de certains troubles mentau
tion inlermenlale (Arch. d'anlhrop. criminelle, 1901, p. 168). '136
CLINIQUE
MENTALE. L'imitation, dit M. Marandon, « est le
bides seront acceptées de façon différente. Ce fait est démontré en
clinique
dans les folies imposées, où la suggestion a mo
on. Ces causes peuvent se diviser en trois groupes : un pre- '13s
CLINIQUE
MENTALE. mier groupe qui accentue l'élément sug
sécution. IV. Toute folie par contagion se réduit à deux éléments
cliniques
bien individualisés par les auteurs : un sujet ac
es. Comme MM. Marandon et Arnaud, nous reconnaîtrons trois formes
cliniques
: lafolie imposée, type Lasègue-Falret; la foli
. ' Sérieux et Capgras. ? M/. méd. -psychol., mai-juin 1902. '140
CLINIQUE
MENTALE. Dans ces trois formes, les éléments pa
s complètement remis et très conscient de la mauvaise influence 142
CLINIQUE
MENTALE. de sa maîtresse. La jeune femme sortit
folie communiquée dont M. Ma- randon a bien précisé les caractères
cliniques
. Ce qui la caractérise et la différencie d'une
té de celles que lui communique le sujet actif. Les deux facteurs
cliniques
sont ici en .présence. Le sujet actif aliéné qu
passif sur les phéno- mènes délirants peut faire varier le tableau
clinique
: ou bien il y a simplement exagération des idé
bides surajoutés peuvent prendre le dessus et former toutle tableau
clinique
au milieu duquel disparaissent les troubles com
la suggestion morbide du sujet actif, peut faire varier le tableau
clinique
offert par le sujet passif. Cette continuité de
et surtout elle augmentera la puissance vésanique du sujet 144 ik
CLINIQUE
MENTALE. passif en l'activant sans cesse. Clini
dans les folies communiquées a donc sa nécessité. Dans le tableau
clinique
présenté par le sujet passif, trois éléments so
, car elle ne peut plus dormir. Archives, 2° série, t. XV. 10 146
CLINIQUE
MENTALE. Sa mère influencée la suit. Ses ennemi
sont dus à l'amabilité de mon collègue et ami, le D Ameliue. 148
CLINIQUE
MENTALE. II. Agent passif. Alcoolisme chronique
ois d'août, moment où le délire du sujet passif est entré dans lu '
CLINIQUE
MENTALE. une phase active, que le sujet actif c
de temps à autre sa sortie sans grande suite dans les idées. 152
CLINIQUE
MENTALE. Au mois de décembre 1901, elle est tou
olie communiquée fait bien ressortir la patho- génie et l'évolution
clinique
de cette affection. Il met en évidence l'influe
e responsables de leurs actes. Com- Nina Rodriguès. Loc. cil. 154
CLINIQUE
MENTALE. ment, cependant, considérer comme resp
mises, étant donnée la coïncidence fréquente de ces divers tableaux
cliniques
. ' Travail fait dans le Service de M. le D, )1.
liniques. ' Travail fait dans le Service de M. le D, )1.GNAN(,%Sile
clinique
Sainte- Anne), qui avec une extrême bienveillan
la manière dont ces syndromes doivent être envisagés aujourd'hui en
clinique
. ' « L'obsession, dit M. Magnan, est un mode d'
IONS ET IMPULSIONS. 159 morbides, appelés syndromes épisodiques. En
clinique
la succession et l'enchaînement de ces phénomèn
lication de toutes ces manifestations telle, qu'elle se présente en
clinique
, n'est que l'image fidèle de l'histoire complèt
maison spéciale. C'est dans ces conditions qu'elle entre à l'asile
clinique
dans le service de M. Magnan. A l'asile, la mal
de troubles oculaires, sauf un certain degré de myopie. L'intérêt
clinique
de cette observation réside dans le particulari
différentes objections dont elles sont susceptibles au point de vue
clinique
. OBs. IV. Dégénérescence mentale; impulsions (t
ace m'attire, nous dit-elle. Il y a un an elle fut amenée à l'asile
clinique
à la suite d'une chute qu'elle fit volontaireme
ec préoccupations hypo- condriaques marquées. - Voilà donc que la
clinique
nous montre trois espèces de troubles- qui, quo
. bides. De cet exposé enfin, tel qu'il nous est montré par la
clinique
, nous croyons devoir faire ressortir quelques par
areil aspect ; elle ne constitue qu'un syndrome qui peut exister en
clinique
, soit isolément, soit parfois associée au délir
part, elle nous permet de nous placer sur le terrain solide de la
clinique
dans l'appréciation médico-légale des actes dél
Z. (Nouv. Icoraogu. de la Sal- pétrière, n" 5, 1901.) Observation
clinique
suivie d'un examen nécropsique et histolo- bidu
ouvé le chi- rurgien qui eût opéré. Il analyse aussi les phénomènes
cliniques
en rapport avec cette localisation. IL pense qu
ine hérédo-syphilitique des scléroses cérébrales dont la traduction
clinique
répond au diverses affections spasmo-paralytiqu
Séance du 15 janvier 1903. Présidence de M. P. RICHER Sur une forme
clinique
et <tM<omo-pa<AoogMe de inditi71go-encé-
nt. SOCIÉTÉS SAVANTES. -03 3 M. 1UYMOKD a observé, en effet, à la
clinique
, des faits ana- logues et des phénomènes cloniq
urement amyotrophique. Elle démontre à nouveau combien le diaguostc
clinique
de la névrite amyotrophi- que et de la poliomyé
eront accompagnées de présenta- tions de malades, de démonstrations
cliniques
de psychothérapie, de démonstrations expériment
adies du système rrcrveux.-111. Gilbert Ballet reprendra ses leçons
cliniques
{Traitement des maladies nerveuses), le Dimanch
imp. i-1903. Vol. XV. Mars 1903. N° 87. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. Nouvelle contribution à l'étude des ps
eurs ont envisagé des côtés différents de la question* , des leçons
cliniques
2 sont venues consacrer d'une façon officielle
ois (I3ullelin néclical, 1898). Archives, 2' série, t. XV. 14 210
CLINIQUE
MENTALE. est de montrer le chemin parcouru depu
qu'en apparence, elle a pour nous le grave inconvénient d'amener en
clinique
la confusion la plus regrettable en rangeant so
ait personne ne niera qu'il y a des opérés délirants après un 212
CLINIQUE
MENTALE. traumatisme opératoire qui sont envoyé
sseur Joffroy a soutenu la même opinion dans son intéressante leçon
clinique
. La plupart des aliénistes d'ailleurs déclarent
rmes de la forme ' M. Lucien Picqué. Soc. de chirurgie, 1897, 214
CLINIQUE
MENTALE. infectieuse ou septicémique où la préd
ans l'observation qui nous a été communiquée par M. Mignot, chef de
clinique
de la Faculté (obs. VIII), nous avons peu de re
hirurgien ' Les idées morbides et les délires de persécution. 216
CLINIQUE
MENTALE. de savoir que chez une classe de dégén
t-on se demander si l'opération, n'a pas fait éclater les symptômes
cliniques
jus- qu'alors latents. Les mêmes réflexions peu
par la perte de sang ou les préoccupations morales, détermi- 218
CLINIQUE
MENTALE. ner de la dépression mélancolique ou u
l'un de nous a eu souvent l'occasion de le voir, peut trouver 220
CLINIQUE
MENTALE. son application : tantôt, à la suite d
e à connaître puisqu'en la connaissant davantage ils pourront 222
CLINIQUE
MENTALE. diminuer le nombre de ces psychoses en
ôt après l'opération un délire mélancolique avec des idées de 224
CLINIQUE
MENTALE. négation, des hallucinations et des id
hloroforme, elle croyait sentir Archives, 2o série, t. XV. la 226
CLINIQUE
MENTALE. sa tête emportée par un train. L'opéra
- meil était devenu mauvais. Obsédé constamment par des idées 228
CLINIQUE
MENTALE. chimériques de misère et de ruine, M..
le couper en morceaux, etc., elc. Au bout d'un mois de séjour à la
clinique
, vingt et un jours après l'opération (le malade
olique ; mais il reste déprimé. Le gâtisme intermittent dont le 230
CLINIQUE
MENTALE. .naïade a conscience annonce l'anesthé
extrernis, tant l'amoindrissement était considérable et tout 233
CLINIQUE
MENTALE. ressort disparu, la situation s'amélio
Je l'engageai après plusieurs jours à se faire opérer, et dans une
clinique
de Paris, il subit la cystotomie sus-pubienne.
e l'opération. On l'opère sous chloroforme le 4 octobre 1899. 234
CLINIQUE
MENTALE. Quinze jours après l'opération, elle c
estin. A la fin, une très vive hémorrhagie complica l'ablation 23b'
CLINIQUE
MENTALE. de l'arrière-faix fixé aux annexes gau
us vives félicitations à notre collaborateur et ami, le Dr Régis.
CLINIQUE
NERVEUSE. Travail du Service D'ELEC'CROTIiÉR 1P
CLINIQUE NERVEUSE. Travail du Service D'ELEC'CROTIiÉR 1PIE de la
Clinique
CII.IRCOT Sur quelques particularités cliniques
'CROTIiÉR 1PIE de la Clinique CII.IRCOT Sur quelques particularités
cliniques
de la névralgie faciale et son traitement par l
de cette affection qui se sont présentés à la consul- tation de la
clinique
Charcot (P'' Raymond). La modalité électrique q
, et nous avons été frappés par un certain nombre de particularités
cliniques
qui, sans avoir toutefois le mérite de l'inédit
du moins assez intéressantes pour valoir une courte analyse. 238
clinique
, nerveuse. z I. sur quelques particularités cli
analyse. 238 clinique, nerveuse. z I. sur quelques particularités
cliniques
de la névralgie FACIALE On reconnaît générale
ins aigus. Quelquefois ces paroxysmes aigus manquent PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 239 totalement. Dans l
et remontant « leur cours » avec plus ou moins de rapidité 240 0
CLINIQUE
NERVEUSE. jusqu'au tronc principal et aux centr
e s'est-il montré franche- ment accusé que 4 fois. PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 241 Le caractère diffé
ence du froid ou de l'humidité, Archives, 2° série, t. XV. 16 242
CLINIQUE
NERVEUSE. mais le passage brusque d'une tempéra
our être signalée'. Telles sont les quelques particularités d'ordre
clinique
que nous avons pu relever chez une série de mal
ême signification que les douleurs flilpi- rantes. PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 243 faciale il y aura
thérapie a paru donner quelques bons résultats (pulvérisa- 12 Il. r
CLINIQUE
NERVEUSE. tion de chlorure de méthyle, stypage)
passer pendant quelques instants seulement en chan- PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 245 géant les tampons
eints de névralgie faciale. Nous avons eu recours à cet effet 246
CLINIQUE
NERVEUSE. au même manuel opératoire, mais nous
ppliquer les électrodes et à manoeuvrer la batterie. PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 247 bien en main, de v
ace. Une feuille d'étain souple découpée d'après le modèle de 248
CLINIQUE
NERVEUSE. Bergonié et recouverte de plusieurs é
e quantité de son eau, on pourra en exprimant sur sa PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 249 partie supérieure
. Dans un cas entre autres, la névralgie trifaciale datait de 250
CLINIQUE
NERVEUSE. dix-huit ans. Un mois de traitement a
imètre carré, de surface, cutanée. C'est ce que l'on PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NEVRALGIE FACIALE. 25 ! appelle la densit
elle suffisante lorsqu'on applique des intensités élevées, mais 252
CLINIQUE
NERVEUSE. lorsqu'on se contente d'une intensité
ation cutanée quelconque. Il n'est pas rare qu'après PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 253 quelques séances i
trois mois, si l'on juge l'amélioration suffisante, on pourra - 254
CLINIQUE
NERVEUSE. interrompre le traitement, mais non p
Société de Médecine de -Ya ? ! cy, 26 janvier 1898. PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 2oS Non, d'après Bergo
e l'on veuille bien se reporter aux quelques considérations d'ordre
clinique
que nous avons développées plus haut, et où nou
roduit à un moment donné un ou plusieurs épisodes douloureux, 256
CLINIQUE
NERVEUSE. épisodes il est vrai très supportable
ltaïsation autre chose qu'une action pal- liative. PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 257 Il arrive en effet
arqué que le courant continu. archives, 20 série, t. XV. 17 258
CLINIQUE
NERVEUSE. G. Mode d'action. Ces résultats sont-
ion est con- servé : Hermann a, d'ailleurs, publié des observations
cliniques
d'ageustie partielle chez les épileptiques et l
eurologique, juillet 1901.) E. B. XXV. Sur la question de la valeur
clinique
de la contraction idio- musculaire dans les mal
présentaient aussi des altérations chromatiques. Au point de vue
clinique
, l'intéressant cas rapporté par les auteurs pré
ns le rhumatisme chronique une affection plutôt une au point de vue
clinique
et anatomique, mais dont l'étiologie peut être
otale soit d'emblée, soit à très bref délai. G. D. XLI. La valeur
clinique
de la dissociation des réflexes tendineux et cu
formes. il. C. L1X. Contribution à l'étude anatomo-pathologique et
clinique
de l'amyotrophie Charcot-Marie; par P. Sainton.
ymptomatiques chez les individus jeunes; 4° il n'y a pas de raisons
cliniques
suffisantes pour distinguer une astasie sénile
amiliale, le trouble moteur résume à lui tout seul tout le syndrome
clinique
, et ce trouble moteur est lui-môme constitué pa
ans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 287 auparavant avec le tableau
clinique
d'une hémiplégie spasmo- dique avec un léger tr
t;o : <e, oct. 1902). E. B. LXX. Tabes dorsalis et aortite. Note
clinique
; par le Du Arullani. D'après les recherches
t qu'il était intéressant de mettre en relief tous les carac- tères
cliniques
de la trépidation par lésion organique. M. Babi
e de l'alexie dans ses cas ne s'accorde pas avec la manière de voir
clinique
et anatomique généralement adoptée. Archives, 2
nistratives ayant trait à l'assistance des aliénées, ses recherches
cliniques
, ses publications portant sur la thérapeutique de
les ait pas consultés du tout. Aux cellules, dont celles de l'Asile
clinique
sont une copie, nous avons vu, dans le couloir,
fournis. La note ne donnait aucun renseignement sur les épreuves
cliniques
. Or, ces épreuves ont eu lieu à l'Asile clinique,
sur les épreuves cliniques. Or, ces épreuves ont eu lieu à l'Asile
clinique
, chaque jour, pendant une semaine. Cette épreuv
é; aussi doit-on ériger à côté des établissements de ce genre des
cliniques
ouvertes où ces malades, dès le début et les prem
mme traitement externe par consulta- tion ouverte. Ces institutions
cliniques
spéciales seraient outillées selon les dernière
LETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Hôtel-Dieu. M. G. Ballet a repris ses leçons
cliniques
(Trai- tement des maladies nerveuses), le Diman
rance. In-18 de 232 pages. Prix : fi-aiics. GnAssET(J). Leçons de
clinique
médicale, 4 ? série. 1 vol, iii-80 de 756 pages
2. CLINIQUE-NERVEUSE. Travail DU SERVICE D'ÉLECTnOTHÉnA.PtE DE la
Clinique
CILARCOT Sur quelques particularités cliniques
LECTnOTHÉnA.PtE DE la Clinique CILARCOT Sur quelques particularités
cliniques
de la névralgie faciale et son traitement par l
tervention est exempte de dangers (névrectomie). » PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NEVRALGIE FACIALE. 335 Contrairement à ce
eil. La question est donc de savoir actuellement, si, en pré- 336
CLINIQUE
NERVEUSE. sence des risques de lagasserectomie,
réuni 41 cas avec 6 morts opératoires. Tiffany donne PARTICULARITÉS
CLINIQUES
bE LA NEVRALGIE FACIALE. 337 î une statistique
endant, elle s'était aperçue Aucmvn.s, 2" série, t. XV. 22 1- 338
CLINIQUE
NERVEUSE. d'une certaine gêne avec fourmillemen
asme, une sorte de « constriction qui remonte ». La PARTICULARITÉS "
CLINIQUES
DE LA NEVRALGIE FACIALE. 339 face est congestio
des cuissons insignifiantes'; les règles viennent sans douleur. 340
CLINIQUE
NERVEUSE. A partir de septembre, la malade ne v
eu quelques migraines depuis ses premières règles. PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE L\ NÉVR-11,GIIP FACIALE. 341 La malade a une
a malade déclare avoir eu quelquefois des crises qui paraissent 342
CLINIQUE
NERVEUSE. avoir été des crises d'hystérie frust
des règles, les douleurs deviennent plus fortes. La PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 343 glande sous-maxill
Elle continue à venir de temps en temps. Les douleurs sont très 344
CLINIQUE
NERVEUSE. supportables; elles sont rares et n'a
complète. Le moindre mouvement pendant le sommeil en PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 345 provoque le retour
ris subitement d'une douleur semblable aune décharge électrique 346
CLINIQUE
NERVEUSE. excessivement violente. Il a été soig
et accès est composé d'une série de crises analogues PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA. NÉVRALGIE FACIALE..347 revenant en moyen
ureux » pendant vingt-cinq jours, mais à partir du 21 juillet 3118.
CLINIQUE
NERVEUSE. 1901, et après une crise douloureuse
tachycardie, et un peu de tremblement mais sans exophtalmie. 350
CLINIQUE
NERVEUSE. A l'examen physique on constate de la
i provoquait à coup sûr une crise. Chose remarquable PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 351 les crises se succ
qu'aucun traitement médical n'a réussi à faire dis- PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 353 paraitre. Cette né
gie à une cause précise. Il Archives, 2e série, t. XV. 23 3 ? j 4
CLINIQUE
NERVEUSE. faut noter que la malade a eu des den
traitement. Elle retourne à Dijon où elle habite. PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 355 OBS. XII. 11m P ?
hystérie, tabes, etc). Pas de troubles oculaires, pas de signe 356
CLINIQUE
NERVEUSE. d'it,-yll. Syphilis improbable. La se
trois mois; la deuxième année deux mois, et en 1900, PARTICULARITÉS
CLINIQUES
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 357 depuis octobre, la
est accompagnée de troubles vaso-moteurs, injection de la face, 358
CLINIQUE
NERVEUSE. chaleur gênante, rougeur des paupière
itives qui se déga- gent de l'examen des cas publiés.. Le tableau
clinique
des troubles intellectuels chez la malade avait
ons se présentent-elles sous l'as- pect unilatéral ? Ni les preuves
cliniques
ni les preuves anatomi- quées invoquées ne sont
s net. Le trai- tement spécifique n'a donné aucun résultat. Etude
clinique
de la forme tabétique des scléroses combinées.
hié ainsi que la totalité de la pyramide correspondante, les signes
cliniques
pen- dant la vie n'étaient pas adéquats à une p
s. B. Mouiuvieff. A. BEftNES1'EIN. BIBLIOGRAPHIE. XII. Recherches
cliniques
el thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
indispensables à connaître. La troisième partie est consacrée à la
clinique
, la thérapeutique et l'anatomie pathologique. D
ntes qui, le plus souvent, ne sont expliquées que par l'igno- rance
clinique
et pathogénique absolue en l'espèce du chirurgien
valeur, c'est la richesse de sa documen- tation bibliographique et
clinique
et la clarté de son exposition. Ce ne sont pas
nip. - 3-1003. Vol. XV. Mai 1903. N 89 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. Clinique psychiatrique DE l'Université
. XV. Mai 1903. N 89 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE.
Clinique
psychiatrique DE l'Université DE MOSCOU Étude s
ent à l'Université de Moscou, et Pierre GANNOUCHKINE, médecin de la
Clinique
psychiatrique. Les recherches actuelles sont fo
actuelles sont fondées sur le matériel qui s'était accumulé dans la
Clinique
psychiatrique de Moscou concernant la question
rté l'une des maladies sus-nom- Arcuives, 2- série, t. XV. 26 402
CLINIQUE
mentale. mées, que cette maladie ne se répétera
ales préliminaires, nous passons maintenant à l'analyse du matériel
clinique
, qui a servi de sujet au travail actuel; nous n
naires ainsi que ceux des malades de la consultation externe de la
Clinique
. Le nombre général des malades, enregistrés dan
de la Clinique. Le nombre général des malades, enregistrés dans la
Clinique
psychiatrique de Moscou presque depuis son exis
oins grand que celui des hommes aliénés ; d'après les données de la
Clinique
pour la période de temps sus-indiqué, le rappor
cinquante-six ans 2 fois ; il faut encore noter que parmi 404 ik
CLINIQUE
MENTALE. notre matériel il n'y avait pas un seu
res." Ainsi par exemple, Zielieît dit que sur 100 admissions à la
Clinique
psychiatrique de Jena, il revient 3-4 cas de mani
t 3-4 cas de manie. Gad,iaislc ? r, qui a examiné le matériel de la
Clinique
psy- chiatrique de Saint-Pétersbourg dans la pé
es malades stationnaires aussi) par la consul- tation externe de la
Clinique
psychiatrique de Moscou. Il est indubitable que
logie légale. Année IX, fasc., II. 2 Mendel. Die Manie, 1881. 406
CLINIQUE
MENTALE. ainsi que de nos données, est confirmé
ropathiques dissemblables, on risque de lui'enlever toute précision
clinique
et presque toute valeur. D'ailleurs, il parait
thénie un groupe de symp- tômes bien délimité et d'en faire un type
clinique
autonome sous le nom de « Névrose d'Angoisse ».
te et qu'il redoute, et qui va fondre sur lui à l'improviste; 408
CLINIQUE
MENTALE. 3° Des crises d'angoisse aiguë, dans l
es obsessions ! Tel est, dans sa plus grande simplicité, le tableau
clinique
de la névrose d'angoisse. Ces différents symptô
t découragée, la malade se rend compte de la fausseté de ses il. 10
CLINIQUE
MENTALE. scrupules et de l'inanité de ses crain
A ce moment, la malade se remarie et reprend sa vie sexuelle. 412
CLINIQUE
MENTALE. Moins de trois semaines plus tard, tou
ë. Il a des accès de peur à propos de tout : un rien l'émo- 414 ! i
CLINIQUE
MENTALE. tionne.Un choc en chemin de fer, une i
rencontré des exemples authen- tiques, et reconnaissent la réalité
clinique
du syndrome de Freud. Ainsi, MM. Pitres et Régi
diffère de la nôtre. On peut donc, en somme, considérer le syndrome
clinique
de la névrose d'angoisse comme réel et générale
et par moi-même. La plupart des auteurs qui ont reconnu sa réalité
clinique
, MAL Pitres et Régis, Ballet, Lalanne, etc., se
el Neurologistes. Grenoble, 1902. Bouveret. La Neurasthénie. 416
CLINIQUE
MENTALE. Paris. Baillière, édit.. 1891. - Briss
ctions corticales chez ces malades. P. Keuaval. XXXIX. Contribution
clinique
à l'étude de la topographie des atrophies muscu
s de la méthode expéri- mentale, les auteurs donnent 4 observations
cliniques
détaillées, deux de syringomyélie et deux de pa
lleurs à toutes les images sensorielles. L'analyse étiologique et
clinique
, le cyto-diagnostic céphalo- rachidien autorise
tés d'étudiants. Nulle perte de temps, les malades sont amenés à la
clinique
, les élèves sont conduits par groupes aux lits
de présenté est un trafiquant de quarante-deux ans.Ason entrée à la
clinique
, 10 décembre 1901, avant tout saute aux yeux l'
trique de Moscou, et de 85 malades de la consultation externe de la
Clinique
. Dans ce nombre entrent seulement les cas où le
(névrose d'angoisse type) sont intéressantes au double point de vue
clinique
et psychologique. Les sujets qui en sont attein
lèteet les auteurs nous donnent dans leur monographie des documents
cliniques
des plus intéressantes et des aperçus ingénieux
ibition souvent victorieuse (obses- sions impulsives). Les formes
cliniques
des impulsions sont nombreuses : impul- sions a
ns séduisantes par leur clarté et toujours basées sur l'observation
clinique
. Aliénistes, neurologues, psychologues, tous ce
inip. -.4-IDOJ. Vol XV. Juin 1903. N"90. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. Note sur un cas de bestialité chez la
sdzzsensgénilal,1898, p. 268. Arscmves, 2· série, t. XV. 32 498
CLINIQUE
NERVEUSE. On est très porté à la considérer com
se rassura quand on lui eut donné des explications. A partir de 500
CLINIQUE
NERVEUSE. cette époque elle éprouva surtout que
rêves spéciaux, qui n'ont cessé que environ cinq ans après la g02
CLINIQUE
NERVEUSE. menstruation, à cinquante-six ans. Il
manifestations morbides que les neu- rologistes, d'un commun accord
clinique
, appellent hysté- riques. Il essayé de trouver
exemples, que nous pourrions multiplier, ne sont que l'illustration
clinique
de la définition émise par l'auteur puisque ces
et optimisme curateur que l'on trouve en tête de chaque observation
clinique
dans les deux livres qui ont pour titre De la s
« ture de nos observations dont il constitue comme une « synthèse
clinique
, j'ai cherché à établir l'origine psychique « d
montré toute la valeur de la suggestion dans les manifesta- tions
cliniques
de l'hystérie et dans la thérapeutique. Nous ne
doit garder au mot suggestion son sens étymologique défavorable.
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 513 D
veau s'il doit ou non être dénommé hystérique'. ENSEIGNEMENT. La
clinique
psychiatrique de l'Université de Giessen (Grand
universitaire autonome pour les aliénés curables»; il proposait une
clinique
de 50 à 00 lits, et insistait sur l'utilité de
aine- ment de passer en revue cet ouvrage. 2 Voir P. Sérieux, les
Cliniques
psychiatriques des Universités alle mandes. Arc
stitut psychiatrique. Ce n'est qu'en 1890 que la construction de la
clinique
commença. Le plan primitif de Ludwig, directeur
les'indications du professeur Sommer, qui fut nommé directeur de la
clinique
au moment où les construc- tions commençaient à
sition, qui devait si heureusement transformer la physionomie de la
clinique
, eut aussi pour résultat une économie de 190 00
e prix de revient du lit est de 11 000 francs. L'inauguration de la
clinique
de Giessen eut lieu en 18961. l. Avant d'aborde
rder la description détaillée des divers pavillons qui composent la
clinique
de Giessen, nous résumerons les caractéris- tiq
closets dans les salles mêmes. Installation de chambres d'examen
clinique
à proximité des salles de surveillance. ' Pro
essen compte 17 Professeurs et Privat- Docenten et 149 étudiants.
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITE DE GIESSEN. 818 C
malades; cinq médecins pour 80 à 100 malades). Installation de la
clinique
. Plan D'ENSEMBLE. La clinique de Giessen (Psych
100 malades). Installation de la clinique. Plan D'ENSEMBLE. La
clinique
de Giessen (Psychiatrische Kli- tzik zu Giessen
carrés; la superficie des constructions est d'environ 3,780 mq. La
clinique
est complètement isolée, point important pour un
trique. Non loin s'élèvent le nouvel institut d'hygiène, les autres
cliniques
(de gynécologie, de médecine interne, d'ophtalm
nts peuvent ainsi, sans perte de temps, suivre les différents cours
cliniques
. Ajoutons que ces cours n'ont pas lieu, comme à
re de transférer les malades des autres services hospitaliers at la
clinique
psychiatrique et récipro- quement, dans les mei
o- quement, dans les meilleures conditions. Cette situation de la
clinique
est encore très favorable au point de vue de l'en
des heures de cours et de se familiariser comme on le fait dans les
cliniques
d'accouchement avec diverses manifes- tations p
la salle des conférences. SI 6 . ENSEIGNEMENT. Des jardins de la
clinique
, on jouit d'une belle vue sur les bois et les r
autour du bâtiment principal et de la cuisine situés au milieu delà
clinique
; mais on a cherché à masqner la symétrie au lie
nous l'avons vu, n'ont rien de commun avec les préaux de certains
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. SI 7
t et la cuisine. Isolée des services ru' 1 S' ENSEIGNEMENT. de la
Clinique
, la villa du Professeur, de vastes proportions, e
à sa partie médiane se trouve l'escalier. L'entrée principale de la
clinique
, située entre la loge du concierge et celle d'u
ent réservée au transport des corps ; enfin, il sert de laboratoire
clinique
pour la Policlinique. Dans le sous-sol sont sit
mbres pour le médecin assistant chargé de la division des femmes.
clinique
psychiatrique DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 319 L
le et de la moelle, M. Sommer possède une riche collection de types
cliniques
des diverses affections du système nerveux c de
alades «nerveux» qui entrent facilement de leur propre volonté à la
Clinique
dès qu'ils sont assurés de ne pas être confondu
deux chambres de pensionnaires pour 2 et 8 lits chacune, commuai-
CLINIQUE
psychiatrique DE L'UNIVERSITÉ DE CIESSEN. 821 q
s des jalousies qui se manoeuvrent de l'intérieur de la salle, la
CLINIQUE
psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 823 f
une chambre d'in- firmière, des water-closets et une salle d'examen
clinique
, où le médecin peut interroger individuellement
main tous les instruments qui peuvent lui être utiles pour l'examen
clinique
: appareil photographique avec lampe au magnésium
utres malades : alimentation à la sonde, etc. Ces salles d'exa- men
clinique
, dit M. Dannemann, facilitent considérablement le
et un appareil de chauffage à gaz grâce auquel on peut donner aux
CLINIQUE
psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 528 m
vue, le classement des aliénés est organisé ainsi qu'il suit, à la
clinique
de Giessen, pour chaque division d'hom- mes et
e. Une cellule pour aliéné criminel (pavillon d'isolement IV). La
clinique
de Giessen, avec ses sept sections distinctes rép
quartier de classement de plus que n'en demande Flechsig pour une
clinique
psychiatrique. Le professeur de Leipzig réclame e
Giessen la proximité du pavillon d'isolement pour contagieux de la
clinique
de médecine permet de se passer d'une installat
périeurs. Le chauffage est réglé à volonté. Chaque bâtiment de la
clinique
possède dans le grenier un réser- voir d'eau en
L'eau chaude est distribuée aux bains, aux lavabos et à l'office.
clinique
psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 527 E
e. clinique psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 527 Eau. La
clinique
est alimentée en eau de source par la dis- trib
centrale qui distribue également la lumière aux autres instituts
cliniques
du voisinage. Les câbles sont placés à 2 mètres d
me. 11 faut noter que les parquets de la plupart des locaux de la
clinique
sont revêtus de linoléum (Ankermark-Delmenhorst)
. 3° Réseau téléphonique principal réunissant tous les pavillons,
CLINIQUE
psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 52U l
rma- nente avec la salle de surveillance du pavillon d'agités. La
clinique
possède en tout 13 postes téléphoniques et 10 sta
hambres d'isolement de ces divers pavillons, dans la salle d'examen
clinique
du rez-de-chaussée, dans une chambre d'infirmie
aires. G. Carrier. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 533 LXXV. Formes
cliniques
du tremblement dans la paralysie agitante, par
M. Collet cite à l'appui des observations de ces différentes formes
cliniques
du tremblement. G. C. LXXVI. Paralysies et cris
thénar et hypothénar, interosseux et lembricaux avec ses symptômes
cliniques
; l'atro- phie respecte les avant-bras. 2° Un
'auteur montre ce qu'il y a de vague et d'incertain dans le tableau
clinique
et anatomo-pathologique de cette affection, il
nalcow), le rappor- teur trouve possible (1) d'instituer le tableau
clinique
, consistant en symptômes basilaires et accessoi
ans aucun autre signe de tabès ou de méningo-encé- phalite. Etude
clinique
et expérimentale sur le fonctionnement du nerf dé
nt que le système nerveux suit définitivement lésé et que des faits
cliniques
l'ex- priment clairement, une phase que l'auteu
en déduction l'auteur a) rive à cette conclusion : « à côté du type
clinique
de l'alcoolisme chronique (nettement pathologique
irecteur-administratif, M. Pichon, Pharmacien, M. Valeur. A l'Asile
clinique
, 1 directeur-adminis- tratif, M. Guillot. pharm
hilippe, 103. Contri- bution à l'étude anatomo-patho- lo.i(lue et
clinique
de l' Cliar- cot ? lat-ie. par Sainton, 1). 282
ing, 275. Les idées érotiques dans l ? par Marie, 377. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l' -, l'hys- térie et l
ICII. Maladie (le - ethérédo- sylaills, par liayet, 274. Giessen.
Clinique
psychiatrique de l'Université -, par Sérieux, 3
par Guillam, 385. MALADIES mentales. Sur la question de la valeur
clinique
de la con- traction idio-miiseulaire dans les
lo-rachidien, 1lt.smco-GCI : PH\I.1TF tuberculeuse. Sur une forme
clinique
et ana- tomo-pathologique de , par An- glade
vralgie. Voir Sympathique ceî,- uical. Sur quelques panicularités
cliniques
de la faciale et son traitement par l'électrici
es périphériques, par Bl'ISSil1111 et et Bruandet, 278. La valeur
clinique
(le la dissociation ries tendi- neux et cutan
z tard pour la vision binoculaire droite, par Ballet, 287. Elude
clinique
de la forme tabétique des combinées, par P. M
phique, par Chrétien et Thomas, 181, - dorsatis et aortite. Note
clinique
, par Arnllani, 287. -, Voir Liquide céphalo-rac
T ' FUItLIf : E SOUS I.A DIIIKC11ON DE A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Ste-Anne). MM. : F. RAYMOND Professeur d
e l'Asile clinique (Ste-Anne). MM. : F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
f 1904 Vol. XVII. Janvier 1904. N° 97. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. Tumeur cérébrale avec abolition des r
tumeur cérébrale; c'est sur ces phénomènes, sur leur signification
clinique
, pathogénique et anatomopathologique que j'insi
MM. les D6 Philippe et Lejonne. Archives, 21 série, t. XVII. 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. Il s'agit d'une jeune femme de vingt-
'odo- rat, on la néglige un peu en général ; vous voyez qu'elle 4
CLINIQUE
NERVEUSE. nous révèle cependant un nouveau symp
'en faire sortir, et même si je lui adresse une question très S 6
CLINIQUE
NERVEUSE. .simple, j'obtiens une bonne réponse;
tiens aujourd'hui, et dès maintenant, à vous souligner un symptôme
clinique
très intéressant présenté par notre malade, la
al correspondant et des tubercules quadrijumeaux voisins. ' l . 8
CLINIQUE
NERVEUSE. . Une digression est ici nécessaire :
utit à une véritable sclérose pseudo-tabé- tique. Au point de vue
clinique
, les lésions de la moelle se mani- festent pres
fisamment d'accord dans leurs descriptions anatomo-pathologiques et
cliniques
, il n'en est plus de même quand il s'agit de dé
ement soutenues depuis les premières constatations histologiques et
cliniques
; qu'il me suffise de vous déclarer que pas une
. Auparavant, je tiens encore à vous dire que d'autres régions 10
CLINIQUE
NERVEUSE. 1 de la moelle peuvent être atteintes
s ! à parois minces et peu résistantes, si bien qu'en dernière 12
CLINIQUE
NERVEUSE. analyse les tubes nerveux eux-mêmes s
de Montdevergues (Vaucluse), est promu à la il" classe du cadre.
CLINIQUE
MENTALE. Contribution à l'étude de la démence c
tableau décrit par cet investigateur comme un symptomo- complexe
clinique
à part, qui entre dans les troubles psy- chique
divers auteurs, sous le nom de catatonie, comprennent des formes
cliniques
tout à fait différentes, je dois m'arrêter sur ce
- nies et n'ont aucune liaison avec la pathogénie des symp- tômes
cliniques
; c'est pourquoi nous nous arrêterons exclusive
ues ; c'est pourquoi nous nous arrêterons exclusivement sur le côté
clinique
de son ouvrage. L'auteur en question regarde co
Neisser (11 et 23), Jensen (12), Sommer (13), Fschige ('111,), 16
CLINIQUE
MENTALE. Aschaffenburg (24), Ilsberg (26)], et
finissent toujours par passer dans la démence. Dans la description
clinique
, Schüle s'associe à l'opinion de Kahl- baum. Le
re, du temps et de l'endroit où Archives, 2° série, t. XVIT. 2 18
CLINIQUE
MENTALE. il il se trouve. Lorsqu'on le question
ger avec le même appétit. La nuit, le malade dort dans son lit, 20
CLINIQUE
MENTALE. , r mais durant la journée il ne se
e de réflexes concernant l'entourage, est très faible aussi. 1 22
CLINIQUE
MENTALE. Nous avons eu l'occasion d'observer le
hose aiguë a apparu la forme secondaire ? Par conséquent, l'analyse
clinique
de la période initiale de la maladie doit occup
ert, secondement, nous avons déjà noté que d'une mélancolie 24 ik
CLINIQUE
MENTALE. initiale, légère, avec idées délirante
os, à ce qu'il paraît. Un balancement automatique en avant et en 26
CLINIQUE
MENTALE. arrière, en se tenant près d'un mur. O
chez le malade deux états, état de dépression et état d'exci- 28
CLINIQUE
MENTALE. tation, mais toujours avec la prédomin
uter au commencement de la maladie, maintenant corres- pond au type
clinique
de Kahlbaum. Des formes pures de la démence héb
lace son matelas, déchirait ses habits, barbouillait les murs. 30 .
CLINIQUE
MENTALE. Dès le premier temps, on observa déja
la période initiale, la stéréotypie du cours de la maladie et 32
CLINIQUE
MENTALE. l'affaiblissement très marqué de la ca
comme nous avons déjà eu l'occasion de l'in- diquer dans nos Leçons
cliniques
relativement aux formes infectieuses, il se com
tivement aux formes infectieuses, il se compose : 1° D'un tableau
clinique
défini et d'un cours typique et constant de la
nclusion en nous basant sur des Archives, 2- série, t. XVII. 3 34
CLINIQUE
MENTALE. combinaisons du caractère général. En
et trop incomplètes. Une autopsie d'un catatonique, faite dans la
clinique
du professeur Fehige, à Jourieff (Derpt), démon
i influent sur le caractère orga- nique de la psychose. 1 Du côté
clinique
, les ennemis de l'indépendance de la catatonie
lle forme, nous devons nous diriger seulement d'après des .humées
cliniques
. La seconde objection est plus grave. Mais est
t. Nous posons la question ainsi : Pour combien et de quelle 36 '
CLINIQUE
MENTALE. manière la sphère motrice est-elle int
"tôme. Dans une autre forme morbide et dans une autre expression
clinique
ces phénomènes sont connus de nous dans les mal
ades se trouvant en état de stupeur ou en état comateux malgré 38
CLINIQUE
MENTALE. le phénomène ordinaire de disjonction
variables en dépendance de l'un ou l'autre centre cortical. Du côté
clinique
on ne peut pas tracer de limite très accentuée
d'inhibition que d'exhibition. De sorte que d'après le caractère
clinique
général, la cata- lepsie ne contredit pas non p
e contredit pas non plus les autres phénomènes catatoniques. 40 "
CLINIQUE
MENTALE. L'argument le plus persuasif, qui peut
la catatonie ainsi que la dysar- trie paralytique (voyez nos Leçons
cliniques
, vol. II, p. 153- 154) comme un symptôme du tro
e par lui encore en 1874, concernant l'unité génétique du tableau
clinique
décrit par lui. Pourtant nous devons dire d'ava
onie » satisfait parfaitement à la première condition de la forme
clinique
, à {'unité du symptomocomplexe. Pour ce qui con
unité du symptomocomplexe. Pour ce qui concerne le second phénomène
clinique
: la constance du cours de la maladie, on peut
re, d'un autre côté Kahlbaum décrit lui-même l'intégrité du tableau
clinique
, en admettant la possibilité de l'enlèvement de
a de Meynert, nous aurions envisagé le défaut mental très pré- 42
CLINIQUE
MENTALE. coce et très stable qui ressort nettem
tonie comme un groupe nosologique indépendant, ou comme une forme
clinique
, qui entre dans un autre groupe de maladies plu
pendants, vu la versatilité des commentaires concernant les données
cliniques
, et vu l'indétermination de la nosologie et de
énératives, dans d'autres cas nous disposons seulement de complexes
cliniques
déterminés et d'un cours déterminé. De ce point
rès probable que cette lésion, à son tour, se basant sur son type
clinique
, peut entrer dans le vaste groupe de dégénéres-
iques et présenter parmi elles une forme mor- bide dont les limites
cliniques
, qui ont été marquées pour la première fois enc
e la queue de cheval et du segment infé- rieur de la moelle ; leçon
clinique
de M. le Dr RAYMOND (Nouv. . lconogr. de la Sal
LOGIE PATHOLOGIQUES. question de troubles psychiques. Les symptômes
cliniques
obser- vés sont expliqués par la lésion bilatér
ire de l'atrophie démontre qu'on ne doit pas considérer le syndrome
clinique
cérébelleux comme étant tou- jours le représent
comme intérêt dominant, l'absence de parallélisme entre le syndrome
clinique
et le tableau anatomo-pathologique. La première
ÈSTARAc(7Vb«u. Iconogn. delà Salpêtrière, n° 5, 1902). Discussion
clinique
au sujet de deux malades présentant une symptom
n corticales et sous-corticales, comme ne répondant ni à la réalité
clinique
, ni à la réalité anatomo-pathologique. M. Ladam
ans ; cette observation présente un double intérêt au point de vue
clinique
et au point de vue anatomique. D'une part, en e
'abduction associée des orteils me paraît avoir une significa- tion
clinique
de même ordre que l'abduction réflexe, mais il fa
MM. DUPRÉ, Haosen et SÉBILEAU rapportent l'histoire anatomique et
clinique
d'un cas de méningo-encéphalomyélite subaiguë, in
tubercule inférieur n'a eu qu'un rôle secondaire dans le tableau
clinique
ayant probablement entrainé la faiblesse du côté
re de grossesse et arrive, ayant analysé un certain nombre de faits
cliniques
très intéressants, à conclure : que le dé- lire
a description du délire de grossesse n'a pas, à mon avis, la valeur
clinique
que l'on voudrait lui donner ; ce délire ne mérit
à la conduite immédiate à tenir par le médecin en présence d'un cas
clinique
urgent de médecine, de chi- rurgie ou d'obstétr
de la gêne. Enfermé comme fou, à la suite de son attentat à l'asile
clinique
puis à BicêLi e,,il parvint à s'évader et à pas
12-1903. Vol. XVII. Février 1904. N, 98. ARCHIVES DE NEUROLO"1^
CLINIQUE
NERVEUSE. Epilepsie : Pathogénie et indications
elle de l'épilepsie vraie, de Archives, 2' série, t. XVII. 7 98 '
CLINIQUE
NERVEUSE. l'épilepsie stéréotypée en quélquesor
ons sont faciles a expliquer, comme on le verra par la suite. 100
CLINIQUE
NERVEUSE. tiques ; en Suède el en Norvège, la f
il. , Hurlurenu. Art. Epilepsie du Dict. Dechamble, page 109. 102
CLINIQUE
NERVEUSE. ou bien des idées exaltées ; quelques
me endémiques il Rosières-aux-Salines (meurtre). Nancy, 1831. 104
CLINIQUE
NERVEUSE. ' dances à l'ivrognerie, tel autre de
tuelles, tel on le retrouvera pour ainsi dire chaque jour; 106 Il
CLINIQUE
NERVEUSE. l'épileptique, au contraire, est esse
i lesquels, par conséquent, on peut compter les goitreux, qui 108
CLINIQUE
NERVEUSE. ont le moins d'attaques convulsives e
nfu- sion mentale beaucoup plus accusée qu'elles ne l'avaient 110
CLINIQUE
NERVEUSE. jamais présentée; elles étaient très
que le crétinisme et l'épilepsie ont des pathogénies essen- 1H -
CLINIQUE
NERVEUSE. tiellement différentes, et partir de
une glande à sécrétion interne (corps thyroïde). Mais l'observation
clinique
, qui accuse assez nettement cette influence de
ptiques. Paris, Alcan, 1890. Archives, 20 série, t. XVII. S 114 '
CLINIQUE
NERVEUSE. grins, perte de son mari, troubles in
le déclin de la vie. Il me reste enfin à répondre par l'observation
clinique
à une dernière objection qui pourrait être tiré
plus ; la preuve ne nous en est-elle pas fournie chaque jour par la
clinique
même ? J'observe tout parti- culièrement, depui
J'ajoute qu'au contraire, l'étude attentive des deux observa- 118
CLINIQUE
NERVEUSE. tions, bien que très sommaires, condu
livre de Grasset et pour ne nous occuper que du côté théo- rique et
clinique
de leur conception, nous avons à envisager les
chéma du centre 0 et du polygone, n'est pas confirmée par les faits
cliniques
. Et nous voudrions insister en terminant sur le
ski revient, selon nous, l'honneur d'avoir sollicité cette revision
clinique
par l'exposé d'une définition précise qui conti
nal of Mental Science. Octobre 1902). Il résulte des considérations
cliniques
, pathologiques et chimi- ques exposées dans ce
stitution psychique. La mélancolie intermittente n'est qu'une forme
clinique
de la psychose périodique, pouvant être alterne
OGG. (The New-York Médical Journal, 16 juillet 1902). - Les faits
cliniques
et les conclusions de ce travail ont été résumés
ndamentale dans les processus de formation mentale. Au point de vue
clinique
, les actes histrioniques sont spontanés et invo
U1'1l. de neurologie, 1903, n° 7). , ' Des recherches faites à la
clinique
psychiatrique de Moscou les auteurs concluent q
ssante observation d'une malade de quarante-neuf ans qui entre à la
clinique
psychiatrique de Moscou en état de dépression,
istance à tout ce qu'on lui proposait. Puis, assez vite, le tableau
clinique
changea ; la malade commença à' manger ; l'émot
uifs ; par le D1' PiLcz. L'auteur s'est proposé de rechercher, à la
clinique
psychiatrique du professeur von Wagner, à Vienn
rret, de la paralysie générale proprement dite, par des différences
cliniques
ainsi que par sa marche et sa terminaison. Au
niques ainsi que par sa marche et sa terminaison. Au point de vue
clinique
, le tabétique mégalomaniaque ou per- sécuté, ou
réflexe, opi- nion qui est bien établie aujourd'hui au'point de vue
clinique
et par l'expérimentation. L'épilepsie réflexe a
ux. Les psychoses de la fièvre typhoïde n'ont de caractéristiques
cliniques
ni anatomiques : infection, intoxication, hyperth
ience et au point de vue purement médical. C'est le côté pu- rement
clinique
que j'entends discuter. Autrefois le choc trauma-
. Traitement de l'alcoolisme à l'ambulance psychothérapique de la
clinique
de l3eclatereiu. M. PEWNiTZRt (de St-Pétersbour
pprochement s'impose natu- - rellement avec les faits d'observation
clinique
que la réunion de deux agents, l'un infectieux,
rs ou originaux. Pierre Roy. 182 BIBLIOGRAPHIE. / VII. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
es dévoués collaborateurs. ' · La deuxième partie, consacrée à la
clinique
, thérapeutique et anatomie pathologique, fait c
plètes et les plus importantes qui aient été publiées. Observation
clinique
minutieusement prise ; examen histologiqne, reche
s de notre Maître, à qui revient tout le mérite de cette découverte
clinique
. Plusieurs pages, fort intéressantes, sont cons
exes tendineux, cutanés et pupillaires, les plus importants pour la
clinique
. La maladie des tics est le plus souvent incura
vol in-8- de 102 pages, imp. Kreiss, Nancy. ' HÈmssEY (Paul). Etude
clinique
sur les troubles trophiques dans la paralysie g
. - I-100f. Vol. XVII. Mars 1904. N° 99. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. L'état du fond de l'oeil chez les para
3L août 1903, page 826. ' Archives, 2' série, t. XVII. 13 194 -il
CLINIQUE
mentale. de dépression mélancolique avec quelqu
té suivis de parésie linguale et de bégaiement pendant quelques 196
CLINIQUE
MENTALE. jours. 'Au moment de l'entrée, accès d
ne réagissent plus ni à la lumière, ni à l'accommo- dation. 0 198
CLINIQUE
MENTALE. L'examen du fond de l'oeil permet de c
mplètement nécrosée ; elle n'existe plus; bien plus, sa mala- 200 -
CLINIQUE
MENTALE. die s'est propagée à tout l'univers, a
parole fort embarrassée. Pas d'inégalité pupillaire; les pu-. 202 .
CLINIQUE
MENTALE. pilles moyennement dilatées ne réagiss
articulés. Aucun trouble sensoriel. Le gâtisme a disparu. 204 ..
CLINIQUE
MENTALE. , A l'ophthalmoscope, la papille droit
mal. Marche difficile. Gâtisme. - A l'ophthalmoscope, vieilles 206
CLINIQUE
NERVEUSE. lésions de myopie avec astigmatisme a
de 61 p. 100 de lésions du fond de l'oeil d'origine paralytique.
CLINIQUE
NERVEUSE. Epilepsie : Pathogénie et indications
ne semble.t-elle pas accuser nettement que l'accroissement de 208
CLINIQUE
NERVEUSE. - l'activité fonctionnelle du corps t
erge. Loc. cit., page 17, - . Archives, 21 série, t. XVII. 14 210
CLINIQUE
NERVEUSE. cas d'épilepsie ; on ne peut donc pas
faible cause puisse ainsi avoir de grands effets; un ensemble 212 -
CLINIQUE
NERVEUSE. de circonstances, impressionnabilité
s de l'idiotie ou de l'imbécillité avec épilepsie sont consécu- 214
CLINIQUE
NERVEUSE. ' tives à l'épilepsie et non causes d
cations thérapeutiques dont nous montrerons la valeur par des faits
cliniques
insérés à la fin de ce mémoire. Pathogénie. -
re, page 182. ' L'homme et l'intelligence. Alcan, édit. ' . 216
CLINIQUE
NERVEUSE. ' serait-elle pas absolument justifié
ement la rareté de l'éclosion de.l'épilepsie à un âge avancée ` 218
CLINIQUE
NERVEUSE. remarques relativement aux excrétions
ussi que l'ingestion du corps thyroïde aggrave l'épi- lepsie. 220
CLINIQUE
NERVEUSE. ' taire, ce poison jouera un rôle adj
épilepsies et les épileptiques. Paris, Alcan, 1890 page 231. 222
CLINIQUE
NERVEUSE. M. Bourneville a tiré les plus précie
llité, ont fait croire jusqu'à ce jour que c'était l'idiotie ou 224
CLINIQUE
NERVEUSE. l'imbécillité ou leurs causes organiq
êtent, le plus souvent, que I Archives, 2' série, t. XVII. 15 226
CLINIQUE
NERVEUSE. quelques caractères plus ou moins inc
u'une excitence faible sur un système nerveux originellement 228 ^
CLINIQUE
NERVEUSE. moins taré ne donneront pas des effet
accumulations accidentels de toxines, etc..... - Nos observations
cliniques
montreront que. nous avons utilisé assez/ heure
llaires et mal de Pott; par les Drs Thomas et HausER. Observation
clinique
et anatomique d'altérations médullaires dans un
eil cas. ' Pour M. Bard, le signe de l'orbiculaire a une importance
clinique
de premier ordre ; il est appelé à accentuer la
acteur, l'hérédité joue un rôle prépondérant. De par les recherches
cliniques
,, histologiques et étiologiques, on peut ad- me
folie de l'adolescence. Si l'on considère maintenant les caractères
cliniques
de la folie chez ces malades, on constate qu'il
mémoires ont été envoyés : 1° Contribution à l'étude de l'évolution
clinique
et pathologique des traumatismes du crâne guéri
ralisé et aurait voulu que de tels cas soyent plus limités du côté
clinique
, ainsi que du côté anatomique. \V. I. ROTII sou
au cours des diverses affections qui composent ces deux catégories
cliniques
. C'est ce que l'auteur s'attache à démontrer en
sement intellectuel et peuvent servir à différencier une modalité
clinique
, spéciale; dans les délires de persécution où ell
ui font de cette thèse une contribution importante à la séméiologie
clinique
des idées hypochondriaques de la négation. . J.
0 francs. - Question : Des sorties à titre d'essai, au point de vue
clinique
, administratif et législatif. NOTA. - Les mém
ille. Vol. XVII. Avril 1904. N° 100. CI' ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. Hospice DE la Salpêtrière. M. le prof
qu'étrangère embryologiquement Archives. z série, t. XVII. 18 274
clinique
NERVEUSE. au système nerveux, elle peut atteind
lle donne naissance, comme chez notre pauvre malade à des syndromes
cliniques
, en apparence si nets et si précis, qu'en les c
vers syndrômes nerveux réa- lisés chez elle, quelle est leur valeur
clinique
au double point de vue du diagnostic et du pron
oux pénible s'installe; la respiration est gênée, avec sensa- 276 C
CLINIQUE
NERVEUSE. , tion de constriction thoracique ; e
I Les réflexes tendineux sont généralement exagérés, parti-' 278
CLINIQUE
NERVEUSE. culièrement les réflexes rotuliens et
s. , Tout d'abord, et en ceci nous suivons la chronologie des 280
CLINIQUE
NERVEUSE. faits, c'est l'impotence douloureuse
ouffrances et, pour ce faire, il n'a pas le choix des moyens. 282
CLINIQUE
NERVEUSE. . Messieurs, vous avez vu que, dans
sacré à ce sujet plusieurs observations que vous trouverez dans mes
cliniques
. Je vous demanderai donc la permission de passe
c la permission de passer en revue avec vous les principales formes
cliniques
de l'atteinte du système nerveux périphérique p
le (ii-,uve due j, l'obligeance de la llevue ncurolo- gique). 284
CLINIQUE
NERVEUSE. L'envahissement des nerfs est un phén
erminaisons nerveuses les plus fines. L'observation anatomique et
clinique
, la première en date et la seule jusqu'à ce jou
cancéreuse généralisée, type Obertbür. Voici d'ailleurs les faits
cliniques
et les constatations histologiques qui en résulte
nt. Dans le courant de l'année 1900, au mois de mai, entrait à la
clinique
Charcot, une malheureuse femme dans un état des
reusement les renseignements sur l'aspect de l'expectoration 286 "
CLINIQUE
NERVEUSE. 1 sont vagues. Le soir on constate pr
rosée ; la surface de section des muscles en était littérale- 288
CLINIQUE
NERVEUSE. ment criblée. La plupart de ces granu
l'1l1dtion des gaines sarculemuaauques en acini glandulaires. 290 '
CLINIQUE
NERVEUSE. Tout autre est la condition des termi
de diagnostic était dans l'espèce presque fatale. Parmi les types
cliniques
des localisations du cancer sur le système nerv
st en rapport avec de nombreuses masses ganglionnaires. 292 - : -
CLINIQUE
NERVEUSE. - Une grande partie de celles-ci reço
Fig. 9. Aspect du plexus brachial engainé par la tumeur. 294 " -
CLINIQUE
NERVEUSE.' - " - Dans certains points, les lési
ein des travées carcinoma- lenses, coloration Pal-carmin. 296 . -
CLINIQUE
NERVEUSE. de l'utérus, les mélastases du côté d
« intra-vertébrate des nerfs rachidiens ne donne pas des « tableaux
cliniques
identiques à celle des nerfs définitive- « ment
art quelques branches anaslolnotiqlles- dès son origine, confond en
clinique
ses symptomalogiesra- diculaire et périphérique
- lules ganglionnaires entourées d'éléments épithéhaux. \ , 298
CLINIQUE
NERVEUSE. z étroite analogie entre la pathogéni
ade vint il y a quelques années se présenter à notre examen à cette
clinique
pour une paralysie faciale droite totale à type
ion ? Au cours d'un cancer du sein, par exemple, souvent à la 300
CLINIQUE
NERVEUSE. suite d'une intervention chirurgicale
laire, mais encore au sein même de la gaine de Schwann par un 302
CLINIQUE
NERVEUSE. mécanisme analogue à celui des gaines
ue du rachis. Le tissu osseux n'est ni friable, ni spongieux. 304
CLINIQUE
NERVEUSE. La dure-mère est épaisse, surtout au
issement du cylindrwe; D, dégénérescence hyaline du cylindraxe. 306
CLINIQUE
NERVEUSE. Ici même, dans cet amphithéâtre, j'ai
de vous exposer, sera votre guide le plus sûr. Les divers. aspects
cliniques
seront fonction de la distribution topographiqu
e aigüe, véritable 1leW'o-rnyo. ! site généralisée dont les allures
cliniques
sont celles d'une polynévrite sensitivo-motrice
lysies radiculaires classiques par arrachement, avec leurs 308 -
CLINIQUE
NERVEUSE. oedèmes, leurs troubles vasculaires,
périphérique déterminée. Aussi conçoit-on la variabilité du tableau
clinique
: on a même publié des cas de paralysie limitée
érale : Gazette des hôpitaux. 7 février 1903. 1 Ballet. Leçons de
clinique
médicale, 1897. * Raymond. Cliniques du système
ier 1903. 1 Ballet. Leçons de clinique médicale, 1897. * Raymond.
Cliniques
du système nerveux : 1895-90; Leçons sur les po
aissant très facilement traverser par les rayons X. Au point de vue
clinique
, les fractures des syringomyéliques ressemblent
diffuse, ainsi que la lymphocytose, est commune à toutes les formes
cliniques
de la syphilis nerveuse. Elle ne peut donc pas
oi formulée par Wernicke. Il croit donc que lorsqu'on a des raisons
cliniques
suffisantes pour croire à de la cécité corticale,
de l'incontinence urinaire. Elle est morte le 14 février 1902 à la
clinique
infantile. M. Weiil insiste sur un point limité
ur six observations personnèlles, étudie à un point de vue purement
clinique
la variété délirante. ' L'auteur pense que la f
tique, pas plus que l'urémie déli- rante ne constituent des entités
cliniques
. Dans l'un et l'autre cas, il s'agit, croit-il,
que, un état spécial permanent du système nerveux dont l'expression
clinique
est : le caractère moral hystérique, les troubl
e nerveuse. . Voilà pourquoi l'hystérie qui, chez les malades de la
clinique
d'Heidelberg affectées de folie simple, interve
use des spiritueux. , P. KERAVAL. LUX. De l'examen de psychologie
clinique
des aliénés; parG.-C. FERRARI. (Centralblatt f.
ie générale vérifiée à l'autopsie, ayant présenté à l'ob- servation
clinique
, en plus d'un délire de persécution et de gran-
cinations et de symptômes de lésions en foyer surajontés au tableau
clinique
commun de la P. G. d'écarter, comme on l'a fait
iscussion développée par 1 au- teur, à propos de trois observations
cliniques
de démence précoce avec catatonie, confirme l'i
il constituerait une variété particulière. il. C. LU. Observations
cliniques
et expérimentales sur la katatonie; par Lewis C
ctobre 1903.) Les conclusions tirées par l'auteur de ses recherches
cliniques
et expérimentales sont les suivantes : 1° la ka
de crimes. II. DE IOSGIi.IVE-CL : 1Y. LV. Nouvelles observations
cliniques
sur la manie aiguë et parti- culièrement la man
(de Saint-Pétersbourg) rapporte l'observation de sept malades de la
clinique
de Bechterew et corrobore l'opinion de 346 SOCI
s d'excellentes conditions. M. BERILLO1V. J'ai 11101-llléllle, à ma
clinique
, essayé toutes sor- tes d'anesthésiques ou d'hy
e nerveux : - - 10 En 1902 : Ch. Achard et Léopold Lévi. Recherches
cliniques
sur l'élimination de l'éther par les poumons. P
ier, 1904, M. le Dr AKTHE\uME (André-Alphone-Louis), ancien chef de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médecine
. - 3-1904, Vol. XVII. Mai 1904. N° 101. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. Des signes oculaires dans la pàralysie
dans la pàralysie générale; Par A. JOFFROY (Leçon faite à l'Asile
Clinique
, le 17 novembre 1902 et recueillie par le Dr Sc
frent rien de caractéristique. Archives, 2'série, t. XVII. 23 354
CLINIQUE
MENTALE. Il convient cependant de reconnaître q
aralytiques généraux s'impose comme étant de la plus grande utilité
clinique
. Mais quels sont, parmi ces troubles oculaires,
les troubles iriens qui sont de beaucoup les plus fréquents. 356
CLINIQUE
MENTALE. Le premier signe, noté depuis longtemp
ale. L'un, le réflexe lumineux, est très fréquemment atteint, 358
CLINIQUE
MENTALE. on peut dire presque constamment; l'au
s. Ce dernier malade est sorti du service peu après, mais' il 360
CLINIQUE
MENTALE. est probable que dans un temps plus ou
ire avec Mickle (1886) que chez les paralytiques généraux : 362 ?
CLINIQUE
MENTALE. 1° On trouve très fréquemment l'immobi
tro- phies commençantes), 22 aspects flous de la papille avec 364
CLINIQUE
MENTALE. bords indécis. En somme 42 fois des lé
s et leur ordre d'apparition leur donnent la plus grande importance
clinique
; mais si à propos de la ponction lombaire dont
vations que nous avons prises, nous aurions de longues descriptions
cliniques
à écrire, qui dépas- seraient par trop le cadre
ement. - R. de Musgrave-Chï. LVII. Observations bactériologiques et
cliniques
sur le sang dans les cas de manie aiguë continu
eurs mettent en évidence la forme psycho-paralytique de l'évolution
clinique
, bien décrite par Brault et Loeper, mais font r
ment moral et appel en faveur de celui-ci. Snw : 1, LXVIII. Notes
cliniques
et pathologiques; par M.-J. MOLAN, (fin - Journ
roduire inté- gralement. La première partie est consacrée à l'étude
clinique
et hygiénique de la phthisie dans les asiles ;
s divers asiles. Nous donnons ici simplement le résumé de la partie
clinique
de ce rapport : « La phtisie règne dans les asi
11 n'est pas seulement contraire à la philosophie, mais aussi à la
clinique
de lui refuser la valeur d'un facteur étiologiq
ence fré- quente et considérable de l'hérédité est la démonstration
clinique
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 409 de cette pro
phénomène secondaire et une résultante. 9° Il n'y a dans l'histoire
clinique
et pathologique des maladies mentales aucun phéno
x points de vue très différents, M. Clouston ,au point de vue de la
clinique
et de la psychologie, l'orateur au point de vue
aroles courtoises du Président. Il. DE MUSGW 1'E-CLT. LXXX. Etude
clinique
sur les troubles de la conscience dans l'état p
nt leur dépait de l'hôpital pour le bureau d'admission ou à l'Asile
clinique
et de la prendre aussi il l'asile Clinique au m
d'admission ou à l'Asile clinique et de la prendre aussi il l'asile
Clinique
au moment du transfert de cet asile clans les a
Le traitement des troubles mentaux à leur début; son ensei- gnement
clinique
dans les salles des hôpitaux généraux; par Sir
l est de signaler l'insuffisance actuelle des moyens d'enseignement
clinique
des maladies mentales, et les moyens d'y remédi
arfaitement donné dans les écoles de médecine ; mais l'enseignement
clinique
est in- suffisant, ainsi que l'a signalé le pre
de nature auto-toxique, le delirium tre- mens, dont les caractères
cliniques
ont été souvent bien mis en évidence par de nom
préter sainement les lésions du delirium tremens qui, au pointdevue
clinique
, est un épisode aigu et accidentel, ne pou- van
consacré au traitement de l'aliénation mentale, soit comme chefs de
clinique
ou internes des hôpitaux nommés au concours. Le
ints en vue de l'admissibilité des candidats aux épreuves orales et
cliniques
. Ces épreuves sont éliminatoires. 4° Une questi
s d'exposition ;le maximun des points sera de 20 ; - Go Une épreuve
clinique
écrite. Cette épreuve portera sur un seul malad
consultation écrite; le maximum des points sera de 20. Les épreuves
cliniques
auront lieu à l'asile clinique Sainte-Anne. A
des points sera de 20. Les épreuves cliniques auront lieu à l'asile
clinique
Sainte-Anne. A partir du le,,juin 1904, Usera i
a été nommé médecin assistant au service de l'admission de l'Asile
clinique
. Nous adressons nos félicitations à notre disti
imp.4[04 Vol. XVII. Juin 1904. ' N° 102. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. Un cas de forme fruste de démence préc
de M. le Dr Sérieux. Archives, 2' série, t. XVII. ' ? 8 . 131· li
CLINIQUE
MENTALE. faible affection pour le reste de sa f
Nous arrivons aux faits qui ont motivé sa dernière entrée. De- 436
CLINIQUE
MENTALE. puis le mois de février 1902, nI. 1\..
ales, paroles prononcées pour ainsi dire automatiquement, etc., 438
CLINIQUE
MENTALE. etc.) Remarquons enfin que les percept
1. N... ne semble guère ressentir les émotions bien profondé- 440 '
CLINIQUE
MENTALE. ment. Il est assez difficile d'étudier
e ne se fixe spontanément sur rien, il n'a pas de souvenirs 442 "-)
CLINIQUE
MENTALE. spontanés, il ne songe'pas à sa vie pa
l quel, est en désaccord avec ce que nous apprend le malade sur 444
CLINIQUE
MENTALE. sa pensée spontanée. Mais je crois que
ention ne s'exerce jamais à vide et on ne peut l'étudier qu'à 446 6
CLINIQUE
MENTALE. travers une autre fonction. M. Binet f
alors la réponse est inexacte et il ne cherche pas à la cor-' 448 8
CLINIQUE
MENTALE. riper ; à la fin de l'exercice, il ne
ient rares chez lui. i. Archives, 2' série, t. XVII. 2'.) . 450
CLINIQUE
MENTALE. d'un épisode hallucinatoire confus sur
l'éclosion de la psychose observée; mais il ne s'agit pas là 452 )
CLINIQUE
MENTALE. de prédisposition héréditaire, il s'ag
- sion illégitime d'un mot) de la dégénérescence acquise. L'étude
clinique
de la psychose permet d'ailleurs d'éli- miner l
assez riche en conceptions, fugaces d'ailleurs et peu précises, 484
CLINIQUE
MENTALE. le second en a été extrêmement pauvre,
ation du capital intellectuel existant encore. C'est là une 4S6 6 '
CLINIQUE
MENTALE. simple hypothèse, mais elle mérite d'ê
des êtres imaginaires qui en voulaient à ses jours, et qu'il a 458
CLINIQUE
MENTALE. - cherché une nuit à se jeter par une
de soixante trois-ans, tous les deux jouissent d'une assez 460 ' ·
CLINIQUE
MENTALE. bonne santé. D'après eux, pas de malad
précis à ce sujet. Père mort d'accident, mère en bonne santé. 462
CLINIQUE
MENTALE. Antécédents personnels. A eu la rougeo
acteur étiologique, autre que le syndrome paralysie générale. 464
CLINIQUE
MENTALE. Baillarger soutenait que quand il y a
uditive éthylique; , Par le D, A. PAPADAKI, Ancien assistant à la
clinique
psychiatrique de Genève. Dans une récente stati
à la clinique psychiatrique de Genève. Dans une récente statistique
clinique
des alcooliques traités pendant 'les années 190
éthyliques proprement dites, classification basée sur l'observation
clinique
: In Revue médicale de la Suisse romande, no 12
allucinose auditive, ne paraît pas tou- jours être confirmée par la
clinique
. En effet, sur 12 cas d'hallucinose auditive, n
lles, l'exagération du tremblement, tout cet ensemble des symptômes
cliniques
du delirium tremens succède au délire systémati
aiguë, qui se prête à quelques considérations intéressantes d'ordre
clinique
, cytologique, histologique et thérapeutique.
bres supérieurs s'étaient pris à leur tour, de sorte que le tableau
clinique
avait été celui d'une paralysie ascendante aigu
as de mélancolie simple et récidivante qui ont été observés dans la
Clinique
Psychiatrique de Moscou (chez les malades stati
-J. PII.IBYTKOFF se souvient d'un cas de couches, observées dans la
Clinique
des maladies nerveuses de Moscou en 1892 chez u
ance DU 20 décembre 1902 S.-S. MOLODENKOFF a montré un malade de la
Clinique
des maladies nerveuses atteint d'achondroplasie
, probablement, à d'autres. W. A. nlOURATOPD dit que tout le côté
clinique
de l'épilepsie parle d'une manière très express
° l'apparition des troubles mentaux à l'adolescence; 2° l'évolution
clinique
qui évolue à travers des épisodes variés vers u
tous les intermédiaires se rencontrent entre elles et cerlains cas
cliniques
peuvent même évoluer en passant par des formes di
yroïdienne, gastro-intestinale, etc., puissent réaliser le syndrome
clinique
de la démence précoce. Il suffirait alors d'un
s, 95. Traite- ment de l'- à l'ambulance psy- chothérapique de la
clinique
de Bechterew, par Pewnitzki, 175. de l'enfanc
. Les - en Roumanie, par Zosin, 267. De l'examen de psy- chologie
clinique
des -, par Fer- rari, 334. De l'action possible
ire de la -, par Arndt, 333. Voir Démence pré- coce. Observations
cliniques
et expérimentales sur la -, par Bruce, 335. N
an- cats 136. - d'origine na',]." par Lilllnllls, 158. Recherches
cliniques
et rip et l'i-liolie, par ! 3ùnrnpvdle, 182
d'angoisse, par Captas, 414. 0 , Névrosés. Voir Réflexe. Notes.
Cliniques
pathulogiques, pal' Molan, 400. Nursings Home
- diabolique au Japon, par lieitz, 148. l'oST-ÉPILFP11QU ? Etude
clinique
sur les troubles de la conscience dans l'état
dromique.nar Feront. le, Sang. Observations bactériologiques et
cliniques
sur le - dans les cas de marne aigue continue,
325. Le traitement des mentaux à leur début, son ensei- gnelllent
clinique
dans les salles des hôpitaux généraux, par l'il
T PUNLIfiE SOUS I.A DIRECTION UR plpl. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
s. 1903 Vol. XVI. Juillet 1903. N° 91. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. i Délire et petit brightisme ; FIR
ite insuffisance hépatique. Celle-ci se manifeste par des symptômes
cliniques
plus discrets et se traduit expérimentalement p
ue de psychiatrie, septembre 1902). 2 Acliard et Castaine; L'xav7ea
clinique
des fondions rénales par l'éli- 1)ilialion pi-o
lialion pi-ovoqziée, Masson 1900. Archives, 2- série, t. XVI. 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. nous avons injecté un centimètre cube
ntant à mesure que se perfectionneront les moyens d'in- vestigation
clinique
appliqués aux aliénés. Sans parler de l'examen
t pratiqué, nous avons recherché chez tous nos malades les signes
cliniques
manifestant l'insuffisance rénale. Il s'agit bi
Joffroy. Leçons delà &t<p<'7;'t'e, 11 décembre 1890. 4
CLINIQUE
NERVEUSE. sujets du troisième groupe rentrent d
permettant de le recon- naître en l'absence de tout autre symptôme
clinique
. Il est des cas, dit M. le professeur Dieulafoy
rmittents de mélancolie survenant depuis 9 ans. D'après leur allure
clinique
les troubles délirants d'origine ' Koeppen. De
approche du délire du rêve de Lasègue dont ils ont la physionomie
clinique
. Or, le délire par insuffisance rénale rentre com
les maladies mentales (Rapport-Congrès de la Roclielle, 1893). 6
CLINIQUE
NERVEUSE. décrit par M. Waler chez un individu
xaminer, il faut s'adresser aux procédés d'expérimentation les plus
cliniques
: l'examen des urines, leur analyse aussi rigou
eulafoy, Manuel de pathologie interne, 7° édition. T. III. p. 75. 8
CLINIQUE
NERVEUSE. ainsi qu'au début. Comme le fait rema
es hommes de l'Asile de Vaucluse, le 31 mai 1902, venant de l'Asile
clinique
; avec le diagnostic suivant : Délire mé- lancol
t 1 Dieulafoy, Société médicale des hôpitaux, 10 juillet 188à. 10
CLINIQUE
NERVEUSE. porté le diagnostic : Alcoolisme, hal
régu- lièrement à la selle et mange avec assez d'appétit. '1 il,
CLINIQUE
NERVEUSE. Ses urines recueillies le 2 juin ont
fois, le foie parait à la percussion diminué de volume. L'examen
clinique
des urines révèle une quantité notable d'albumine
enfance et il est allé chez le commissaire s'accuser de ce vol. 14
CLINIQUE
NERVEUSE. Des camarades le traitent de prussien
d'urine a donné dans les grandes lignes les résultats suivants :
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITE DE GIESSEN. 15 dé
d'insuffisance rénale passagère. " (d suivre.) ENSEIGNEMENT. La
clinique
psychiatrique de l'Université de Giessen (Grand
n en chef de la Maison de santé de Ville-Evrard. Organisation de la
Clinique
. Organisation du service médical. Le professeur
n de la Clinique. Organisation du service médical. Le professeur de
Clinique
psychiatrique, M. le docteur li. Sommer, est di
assistants et un stagiaire (VotoKu'/tausa) ? ) qui habitent tous la
Clinique
. Lors de notre visite le personnel médical était
ire appartenant au corps de santé militaire. Tous sont logés à la
Clinique
. Le premier médecin assistant est chargé de la di
deux médecins de chaque divi- sion doit toujours être présent à la
Clinique
; de plus les deux mé- decins chargés du servic
atoires. Chacun d'eux est de service à tour de rôle pour les leçons
cliniques
. La Clinique disposant de 80 à 100 lits, c'est
d'eux est de service à tour de rôle pour les leçons cliniques. La
Clinique
disposant de 80 à 100 lits, c'est donc 20 à 25 ma
phones et enfin de l'organisation de trois salles de surveillance
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 17 co
Rapport de surveillance du pavillon. Date : fait par l'infirmier
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 19 20
ier, un concierge et deux garçons de bureau. Fonctionnement DE la
clinique
. La clinique, dit M. Danne- mann, a pour but le
erge et deux garçons de bureau. Fonctionnement DE la clinique. La
clinique
, dit M. Danne- mann, a pour but le traitement e
e l'enseignement doivent présider à l'admission des malades. Si une
clinique
psychiatrique doit avant tout être un établisse
présentent certaines affections incurables. Pour avoir un matériel
clinique
nombreux, une clinique doit disposer de lits gr
ffections incurables. Pour avoir un matériel clinique nombreux, une
clinique
doit disposer de lits gratuits en nombre suffis
sentant de l'autorité civile ou militaire, le directeur d'une autre
clinique
, le président d'une société de secours mutuels,
rédige un rapport concluant ou non au maintien. En résumé : 10 la
clinique
peut recevoir des malades de toute classe sans
e certificat d'internement, l'intervention du médecin expert pré-
CLINIQUE
psychiatrique DE l'université DE GIESSEN. 21 se
t décharge le directeur de la responsabilité de l'ad- mission. La
clinique
n'est pas dans l'obligation d'admettre tous les a
acés d'office. Les agents de police qui conduisent un ma- lade à la
clinique
doivent être en civil. ' Les prix de pension de
de à la clinique doivent être en civil. ' Les prix de pension de la
clinique
varient de 1 à 6,50 mark. Le prix habituel de l
s une entente entre la direction et la famille. L'Etat fournit à la
clinique
une subvention annuelle de 77.000 francs. La
ournit à la clinique une subvention annuelle de 77.000 francs. La
clinique
évacue ses malades dans les asiles de Heppenheim
des transférés dans les asiles peuvent être ramenés de nouveau à la
clinique
, avec l'autorisa- tion de la famille; cette fac
ns organi- ques du système nerveux et 20 aliénés. Statistique. La
clinique
de Giessen, ouverte le 25 février 1896, a admis
té après l'amélioration d'un accès passager d'excitation; 3° que la
clinique
est fréquemment appelée à fournir des rapports
(paralysie générale, complications organiques). La population de la
clinique
s'élevait, au Il, janvier 1898, à 56 malades (2
re classés ainsi au point de vue de la nature de leur affection :
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 23 to
urs cérébrales, artério-sclérose, etc.), à l'aide de démonstrations
cliniques
et de préparations anatomiques. Il a insisté
t. Dans la seconde semaine, eurent lieu des conférence avant tout
cliniques
: présentation de malades atteints de psychoses s
a psychatrie, sur l'organisation des asiles et par une visite de la
clinique
. ZD Laboratoires. La création de laboratoires d
a méthode expérimentale et de combler ainsi les lacunes de l'examen
clinique
des faits par l'observation. On a voulu faire b
réoscope met bien en relief les traits pathologiques de l'image. La
clinique
de Gies- sen possède déjà un grand nombre de ce
l'aliéné rend aussi, dit 111. Ladame, des ser- vices appréciés à la
clinique
de Giessen. On peut ainsi reproduire ' Kurze Mi
grapiiische. Monatschrift furMedicin. Baud IV, août 1897, p. 113.
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 25 à
sants du Règlement sur l'admission et la sortie des malades à la
clinique
psychiatrique de Giessen, du 14 janvier 1896. I
, du 14 janvier 1896. I. Destinatioît de l'établissement. § 1*1. La
clinique
psychiatrique a pour but le traitement et l'ass
s des deux sexes ainsi que l'enseignement de la psychiatrie. A la
clinique
psychiatrique est annexée une clinique externe po
ment de la psychiatrie. A la clinique psychiatrique est annexée une
clinique
externe pour les nerveux atteints de troubles p
atteints de troubles psychiques. II. Admission des malades. § 2. La
clinique
est destinée en premier lieu à recevoir les Hes
de renseignement. § 3. L'admission est faite par le directeur de la
clinique
, qui peut refuser d'admettre les cas ne présent
e et les ' infirmités, par l'autoiité militaire, le directeur d'une
clinique
. La demande d'admission peut être faite par le
xe les conditions des frais de séjour, variables suivant les cas.
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GIESSEN. 29 §8
des frais de séjour. § 14. Les placements d'office ont lieu à la
clinique
: 1° par arrêté de l'autorité policière : malad
tiaire : détenus devenus aliénés. III. Transfert des malades à la
clinique
. § 16. Il est interdit aux agents de police qui
e d'être en uniforme. § 17. Les frais du transport des malades à la
clinique
incombent à la personne qui est responsable du
le du paiement des frais de séjour. § 18. Les malades conduits à la
clinique
doivent toujours être accom- pagnes par une per
pable de fournir tous renseignements pou- vant être demandés par la
clinique
dans l'intérêt du malade. Les paragraphes 19, 2
ournir par les malades, l'entretien du trousseau. IV. Sorties de la
clinique
. § 22. La sortie des malades, sauf les cas prév
a sortie, le malade peut, en cas d'aggravation, être réintégré à la
clinique
, après avis donné au Directeur. §24. Après l'ex
tés prescrites pour la première admission. § 25. Le Directeur de la
clinique
, lorsqu'il a décidé la sortie d'un malade, prév
rs définitive. § 27. Les malades qui ne peuvent être conservés à la
clinique
par suite de l'encombrement ou pour des considé
ar le représentant du malade, serait refusée par le Directeur de la
clinique
dans l'intérêt du patient ou de la sécurité pub
.039.020 ha- bitants. Le nombre des asiles publics, sans compter la
clinique
de Giessen, est de trois : Asile de Hofheim,
ation actuellement dépasse 1.200.000 habitants, possédera alors une
clinique
psychiatrique, quatre asiles d'aliénés, un étab
u troisième asile d'aliénés. Cet asile sera situé à proximité de la
clinique
de Giessen dans le but de faciliter le transfer
monographie de M. le professeur A. Dannemann, médecin en chef à la
clinique
, Die psychiatrische Htt7c zie Giessen. Karger,
ien voulu nous renseigner. RACHITISME CONGENITAL AVEC NANISME. 31
cliniques
de psychiatrie. L'Université de Giessen est une d
reculé devant l'énorme dépense de plus d'un million pour créer une
clinique
psychiatrique modèle. On ne peut que déplorer de
les si peu disposées à suivre cet exemple. Depuis l'année 1878, dix
cliniques
psychiatriques auto- nomes ont été fondées dans
llemandes. En France nous ne pouvons signaler que la création de la
clinique
des maladies mentales de Paris (1879). RECUEI
ce du corps calleux est-elle capable d'expliquer les manifestations
cliniques
qui accompagnent l'hydrocéphalie interne ? Les
cliniques qui accompagnent l'hydrocéphalie interne ? Les phénomènes
cliniques
de cette dernière sont très complexes et polymo
d'un côté chez un malade) ; et des signes communs à ces deux types
cliniques
(nystagmus, déviation vertébrale, absence de tr
nfirment une conclusion déjà énoncée par d'autres : au point de vue
clinique
, ces paraplégies présentent peu de varia-' tion
de malades atteints de tics m'a conduit à faire quelques remarques
cliniques
, qui offrent un cer- tain intérêt au point de v
e toutes les vertus de la suggestion. Discussion du rapport « Etude
clinique
de l'agnoscie et de l'asym- bolie » ; par 111.
aire part de quelques remarques qui m'ont été suggérées par l'étude
clinique
des tics que je poursuis depuis une dizaine d'a
lière sur le cerveau, de cette infection. V. Contribution à l'étude
clinique
et médico-légale de la folie systé- matisée pro
té très marqué au début, comme l'indique des faits de l'observation
clinique
(persistance de la fontanelle) et les parti- cu
utre côté. L'examen histologique est venu confirmer le diagnostic
clinique
et nous a décelé les lésions ordinaires de l'atro
'il s'est donné la mort. (Le Progrès de Lyon, 10 juil- let 1903.)
CLINIQUE
NERVEUSE. Délire et petit brightisme; PU !
urent obligées de se séparer de lui. Il ne fit que passer à l'asile
clinique
où M. le Dr Magnan porta le diagnostic suivant
, depuis six mois il suivait un régime approprié au cet état. 138
CLINIQUE
NERVEUSE. Il arrive dans le service le 3j janvi
'examen complet des urines a donné les résultats suivants : . 140
CLINIQUE
NERVEUSE. que s'aggraver jusqu'à sa mort surven
pupillaires sont conservés, mais faibles, surtout le réflexe 1.4'2
CLINIQUE
NERVEUSE. lumineux. La langue est animée d'un t
ation de la région mésocardiaqueest beaucoup plus obscure. L'examen
clinique
des urines qui sont peu abondantes et forte- me
eules les préoccu- pations hypochondriaques s'effacèrent du tableau
clinique
et lais- sètent la place à un état euphorique c
horique et inconscient, s'affaiblissant de plus en plus. L'examen
clinique
des urines, pratiqué dans les premiers jours d'
tobre donne les résultats suivants pour vingt-quatre heures : 144
CLINIQUE
NERVEUSE. Le coeur est volumineux (450 gr.). Le
iblisse- ment intellectuel et euphorie, syphilis ancienne. L'examen
clinique
des urines fut négatif au moment de l'admission
e avec une grande rapidité. Par de nombreux dosages avec un procédé
clinique
particulier reposant sur la formation d'iodures
motifs se produise autrement que dans les condi- tions normales. La
clinique
vient d'ailleurs à l'appui de cettecon- ception
itz, Burzio, Vaegelin) et enfin dans la sénilité. Ainsi des preuves
cliniques
de provenance diverse conduisent à des conclusi
, mais aussi spinale. Chez le malade faisant l'objet de cette leçon
clinique
, on retrouve bien les traits fondamentaux du sy
chroniques, en particulier l'alcoolisme. est un fait de séméiologie
clinique
aujourd'hui bien connu. Il n'en est pas de même d
rofesseur Raymond (Presse Médicale, 8 octobre 1902). Intéressante
clinique
sur un cas de syndrome cérébelleux, dont Tétiol
aumatique. On n'a pas voulu classer les malades d'après les schémas
cliniques
usuels voulant se rendre compte expérimen- tale
ériphérique. Cette variété de néoplasie évolue avec une physionomie
clinique
spéciale, signes de tumeur cérébrale avec titul
aroxystique et itérative a composé chez la même malade une histoire
clinique
fort intéressante. Leméningisme, affirmé par l'al
ppareil méningo-vasculaire aux ensemencements microbiens. L'étude
clinique
et cytodiagnostique de ce cas prouve combien 18
cerveau accepte trop vite et réalise donc trop rapidement Comme cas
cliniques
, tirés de ma pratique, je citerai : un cas d'ova
x; par F. LWYMOonD, membre de l'Académie do médecine, professeur de
clinique
des maladies nerveuses à la Faculté de médecine
0. Doin, éditeur. L'année qui a suivi son accession à la chaire de
Clinique
des maladies du système nerveux, à la Salpétriè
u'au bout. Ce programme il le résumait ainsi : « Partir d'un fait
clinique
pour envisager les problèmes de pa- thotogie ne
te oeuvre, passa- sablemenl vaste, qu'embrassent les six volumes de
clinique
parus depuis l'année 1896. Les deux cents leçon
ulaires progressives, en- visagée à un point de vue essentiellement
clinique
. La méthode adoptée par le professeur Raymond s
re essentiellement lactice de la pathologie descriptive, la réalité
clinique
telle qu'elle se dégage de l'observation impart
e, alasymptomatotogie, à l'anatomie pathologique. Or, l'observation
clinique
a démontré qu'on avait mis trop de hâte à confé
e placer une remarque qui a son intérêt ; sans doute, les leçons de
clinique
du professeur Raymond s'adressent en première lig
gressives. Aussi n'hésitons-nous pas à déclarer que les leçons de
clinique
du professeur Raymond s'imposent à l'attention de
d'un médecin très érudit. Une revue rapide de différentes formes
cliniques
d'amnésies et de leurs causes les plus fiéquentes
1003. Vol. XVI. Septembre 1903. N° 93. ARCHIVES DE NEUROLOGIE '
CLINIQUE
MENTALE. Obsession et délire ' ; Par le D' E.
et leur passage au délire. Archives, 2- série, t. XVI. ' 13 . 194
CLINIQUE
MENTALE. tardives de son oncle paternel sur son
ea à mettre son fils pensionnaire. Au dernier moment, il ne se '196
CLINIQUE
MENTALE. sentit pas la force de se séparer de l
de lypémanie sont rares, elles se constatent encore quelquefois.
Clinique
Psychiatrique DE L'UNI'ElIbITL de Moscou Contri
ssions morbides. [Revue de Psychiatrie. 1903. n° 1, janvier). 198
CLINIQUE
MENTALE. psychiques obsédants est étudiée à un
x phobies; dans l'esprit de la malade surgit une peur que son 200
CLINIQUE
MENTALE. mari peut lui être infidèle; en ramass
rès prononcée. En parlant de divers symptômes, se rencontrant 202
CLINIQUE
NERVEUSE. dans de semblables cas, il faut pourt
u'on peut considérer comme une forme psychopathologique autonome.
CLINIQUE
NERVEUSE. Délire et petit brightisme ' ; S A.
a donné dans une période d'euphorie les résultats suivants : 20 i
CLINIQUE
NERVEUSE. attitude suspecte. Il passa par la su
ible. Les urines ne contiennent ni sucre ni albumine et leur examen
clinique
n'attire pas l'atten- tion du côté de l'apparei
bruit de galop a dédoublement du premier temps. Le pouls est 206
CLINIQUE
NERVEUSE. tendu et vibrant. Le foie est gros, s
. Elle se décida, en conséquence, à faire enirer sa fille à l'Asile
clinique
, d'où elle fut dirigée sur la Fondation Vallée.
de Paris); A. Marie, Toulouse (de Villejuif) ; Vallon (de l'asile
clinique
) ; Cullerre, Giraud, Doutrebente, Viel, Anglade,
es qu'ils mettent en évidence sont conçues d'après la vraie méthode
clinique
. A ces points de vue, le syndrome catatonique,
s aban- donnés à la seule pesanteur. En répétant cette expérience
clinique
plusieurs fois de suite, si SOCIÉTÉS SAVANTES.
ns corticales insuffisantes ou inopportunes. Une seconde expérience
clinique
, qui peut' se faire dans les mêmes conditions,
e générale commence et finit là où commence et où finit le syndrome
clinique
. Trois groupes de paralysies générales s'observ
et qui peuvent servir à l'interprétation des symptômes notés pur la
clinique
. L'irritation, ou l'inflammation, se traduit pa
re, qu'après que la paralysie générale a traversé toutes ses phases
cliniques
, l'histologie n'arrive pas à le reconnaître ? D
ent infectieux sur telle ou telle portion de territoire, les formes
cliniques
que peut revêtir la para- lysie générale. » E
érale : suractivité désordonnée, convulsions, etc. Au surplus, la
clinique
ne s'oppose pas à ce que la paralysie générale
fondée sur l'anatomie pathologique, répond à tous les besoins de la
clinique
. M. L.11GNEL-LAV.1ST11E (de Paris). J'ai examin
ompense de leur persévérance et de leur dévouement. Au point de vue
clinique
, le diagnostic idiotie peut être remplacé les p
moyens de mesurer le tonus. L'insuffisance du procédé employé en
clinique
et consistant à évaluer la résistance passive opp
tion, mais les , malades corresponddnts présentement des caractères
cliniques
tout spéciaux. 3° Chez les hypertonique*, le* c
ies des cavités ? zaso-phÉi ? ,Yiîgie2nes. M. ROYET, ancien chef de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de Lyon. De
l'érythro- mélalgie et de la maladie de Haynaud est un fait rare en
clinique
(cas de Mills, Potain, Morel-Lavallée, L. Lévi)
eur de l'Asile de Clermont. Faculté DE médecine DE Paris. Chef de
clinique
des maladies zzervezcses. - 111. Guillain; chef
e la colonie de la Ferme Sainte-Anne ou s'élève aujourd'hui l'Asile
clinique
..N'ombre d'épileptiques y figuraient à demeure
e confus, l'anxieux, le dément agité, etc., présentent des tableaux
cliniques
trop connus. De plus, pour expo- ser et appréci
re. leur défaut, en se basant, là encore, sur la pure obser- vation
clinique
, on peut chercher à établir un certain nombre de
comitants n'a guère été mesurée d'une façon précise au point de vue
clinique
. Pourtant Obersteiner a ' )1. de Fleury. L'inso
il était indispen- sable : d'établir les données physiologiques et
cliniques
sur les- quelles peuvent être basées les divers
céder cette revue thérapeutique de l'exposé des principales données
cliniques
et physiologiques générales sur l'agitation et
de cette entité morbide. Nous avons eu l'occasion d'observer un cas
clinique
de polio- myélite antérieure aiguë chez une jeu
'ancienne amyotrophie Aran- Duchenne. Des observations personnelles
cliniques
et anatomiques et des recherches sur les cas ju
'exagération des réflexes et à l'extension des orteils : un tableau
clinique
simulant presque complètement la sclérose amyot
iagnostic de la démence. M. M.4ss\UT (Charleroi). A défaut de types
cliniques
à évolu- tion déterminée, il serait très précie
io- giques ou non, d'altération psychique. Les différentes formes
cliniques
peuvent donner à la démence certains caractères
cas, lorsqu'il est chronique, le puérilisme représente une modalité
clinique
particulière des états démentiels. Quelle que
essaire de l'analyser en soi, de le dis- tinguer dans les complexus
cliniques
dont il faitpartie, de le diffé- rencier de l'i
M. le Professeur Thomsen (Bonn). Aperçus sur l'étendue du tableau
clinique
delà folie maniaque dépressive. Formes prolon-
breux composé de médecins et d'étudiants en médecine, et des leçons
cliniques
sur la psychothérapie avec présentations de mal
ipeuse et presque dépourvu de poils ; elle réalise bien le portrait
clinique
de l'infantilisme myxoedémateux. Elle est indiffé
de l'infantilisme myxoedémateux. Le spasme facial ; ses caractères
cliniques
distinctifs. M. Henry Meige (de Paris). - En de
toute notion étio- logique et anatomo-pathologique, des caractères-
cliniques
pure- ment objectifs psrmettent de reconnaître
ions. C'est une contracture frémissante. Enfin, un troisième aspect
clinique
se trouve réalisé'lorsque les crises précédente
, d'ailleurs elle-même inexpressive. Telles sont les phy- sionomies
cliniques
que revêt le spasme facial à ses différents deg
ssements parcellaires, comme on l'observe dans les tics. Ce tableau
clinique
est soumis à des variations individuelles. Selo
ment à l'hys- térie. Mais il ne faut pas oublier que la physionomie
clinique
d'un phénomène morbide porte toujours le cachet
t tant de variantes indi- viduelles qu'on rencontre à chaque pas en
clinique
et dont le spasme facial n'est pas plus exempt
raité des autopsies de M. Letulle. A La Haye, nous avons fait de la
clinique
psychiatrique devant le Saiil de llembrandt.
énérezlel sur celui de Tabes. poslsyphililica en particulier. Notes
cliniques
de la Fin. 30. - UN CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE
e pouvions faire moins pour les déshérités qu'on nous a confiés'.
CLINIQUE
MENTALE Contribution à l'étude de la catatonie
ement. Adopté. - Nous reviendrons sur cette question. (ü.) .) 410
CLINIQUE
MENTALE. miers faits ci-dessous relatés succinc
s une longue période de préoccupations, d'idées tristes, et 412 )
CLINIQUE
MENTALE. après un état intermédiaire de confusi
Après un alitement de plusieurs mois (avec quelques interrup- 414 r
CLINIQUE
MENTALE. tiens) et une amélioration de l'état p
s d'altération de la santé physique ; des idées tristes ou du 416
CLINIQUE
MENTALE. délire mélancolique ne tardent pas à a
regard fixe, sans expression ; Archives, 2° série, t. XVI. 21 418
CLINIQUE
MENTALE. se tient immobile au milieu de malades
athologiques les plus différents. La variété capricieuse du tableau
clinique
de la syringomyélie s'explique par la variété des
ales, ou aux amauroses brightiques et nicotiniques. Les symptômes
cliniques
paraissent ici être peu nombreux : ils se réduise
. de ces centres qui a été primitivement atteint. Au point de vue
clinique
il est intéressant de noter le succès du traiteme
1902, nez 22). La première partie de ce travail basée sur l'étude
clinique
de 10 cas de démence précoce juvénile a déjà ét
ées persiste excellente. P. Keraval. IV. Contribution à l'analyse
clinique
de l'état de négation (négativisme) chez les al
l'Ecole de la Salpètrière, qu'illustra pour jamais son enseignement
clinique
, et où savants, philoso plies, médecins, accour
Salpêtrière, le champ de travail de Charcot, et les attributs de la
clinique
; sur l'autre, les armoiries de Lamalou et les a
s nous montrent, sur la première colonne, Charcot faisant une leçon
clinique
à la Salpèlrière ; sur la seconde un ataxique q
ns les asiles publies d'idio- nés du département de la Seine (Asile
clinique
, asiles de Validas*1, Ville-Evrard, Ville juif
(Syndrome de Brown-Sequard). l R 3111. PEUGNIEZ Professeur de
clinique
chirurgicale à 1'l-lcLile de médecine cl'\miens
celles du sens musculaire ne se croisent pas, niais les expériences
cliniques
ne permettent pas d'en déterminer le siège sur
e systémati- que ? Nous avons pensé qu'un cas, dont l'observation
clinique
avait pu être répétée plusieurs fois à plusieur
elle épinière. En voici l'histoire, brièvement résumée. Les détails
cliniques
en ayant été présenlés au Vie Congrès de chirur
lésion primitive. Il est intéressant de rapprocher de l'observation
clinique
du malade les constatations faites au laboratoi
ue initial. Nous en avons la preuve dans la com- plexité des signes
cliniques
présentés dès cette époque par le malade, et da
tations. (La Démocratie vendéenne du dimanche 15 novembre 1903).
CLINIQUE
MENTALE Hospice de l31céGne. Service du Dr J. S
Hospice de l31céGne. Service du Dr J. Séglas Contribution à l'étude
clinique
des monologues chez les aliénés : Par D.lltC\
secondari, in Riv. quiiid. di psicologia, fasc. 1 et 2, 1899 480
CLINIQUE
MENTALE. mulalion, les réticences du sujet ; av
mouvement stéréotypé qu'il associe généralement à tel mot, ÉTUDE
CLINIQUE
DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 481 ou telle p
même individu. Tel aliéné, tel Archives, 2' série, t. XVI. 31 482
CLINIQUE
MENTALE. paralytique général, parle en public à
ent ou habituel, caractères qui se définissent d'eux-mêmes. ÉTUDE
CLINIQUE
DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 483 Enfin tand
x d'Israël et un gobelet d'argent. Quand on a écrit, c'est du ÉTUDE
CLINIQUE
DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIENES. 485 crayon, un
lé, comment t'appelles-tu ? Marie-Rose. A1, ah, Marie-Rosé, » 486
CLINIQUE
MENTALE. il. ETUDE psychologique D'une façon
n'y a que des voleurs en France et moi je n'ai pas joué. M ÉTUDE
CLINIQUE
DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIENES. 487 « Il chant
n pour les colonnes pour le personnel à droite et à gauche. » 488
CLINIQUE
MENTALE. Il prête l'oreille et dit : « Entrez
tomatique. Notre maître M. Séglas en a rap- porté dans ses « Leçons
cliniques
» un bel exemple : « Inconsciente. llime Dubois
s pas, je ne puis parler. « I. Elle est prêtre cette fille. ÉTUDE
CLINIQUE
DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 481) « C. Moi
soit plus rare. Généralement c'est à la suite d'une crise, d'un 490
CLINIQUE
MENTALE. vertige qu'on les voit monologuer ; il
, le monologue a son point de départ immédiat dans l'affai- ÉTUDE
CLINIQUE
DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 491 bassement
nc cette petite lettre, je suis satisfait de vous voir... » , * 493
CLINIQUE
MENTALE. On peut remarquer que les mômes phrase
a et sera nommé empereur, roi... Je suis le père Eternel. » ÉTUDE
CLINIQUE
DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 493 III. Valeu
Nous avons déjà dit d'ailleurs au début que le monologue 494 -il
CLINIQUE
MENTALE. est encore le moyen le plus sûr de con
. Je n'ai jamais été soldat. Je ne veux pas que l'on me sonne ÉTUDE
CLINIQUE
DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 49S dans l'air
rante), homme instruit, dont la préoccupation unique était la 496
CLINIQUE
mentale. crainte d'avoir la syphilis et de la t
ma vérole. Il n'est plus temps. Que je suis malheureux ! » ÉTUDE
CLINIQUE
DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 497 I Plus lar
forme d'une conversation ou Archives, 2» séiie, t. XVI. 32 498 8
CLINIQUE
MENTALE. d'un dialogue suivi ; ils indiquent al
le monologue de la manie aiguë et celui du délire chronique ÉTUDE
CLINIQUE
DES MONOLOGUES CHEZ LES ALIÉNÉS. 499 de persécu
usu, incohérent, lors-, qu'il entre dans la phase de démence. 500
CLINIQUE
MENTALE. Relations des maladies unilatérales de
n léger écoulement séro-purulent du côté gauche et rien du côté 502
CLINIQUE
MENTALE. droit. Sous l'influence de lavages bor
ctions d'innervations (Traité de Physiologie Moral et Doyon). 504
CLINIQUE
MENTALE. par des associations d'idées, des habi
ations uetnantes (Annales mcdico-psycho- logiques, mai 1902). 506
CLINIQUE
MENTALE. les interprétations délirantes; dans l
lt;'M//ttt ? utf de l'ouie. Rapport au Congrès de Nancy, 18%. 508
CLINIQUE
MENTALE. raies sont « loin d'avoir toute la por
ue temporairement, le place- ment dans l'établissement ouvert. La
clinique
mentale et nerveuse de St-Pétersbourg réunit sous
unit sous le même toit, sous la même direction, l'asile fermé et la
clinique
ner- veuse : celle-ci est reliée à la clinique
l'asile fermé et la clinique ner- veuse : celle-ci est reliée à la
clinique
mentale par une galerie fermée. Il existe conjo
leur fournissant le moyen de se familiari- ser avec la psychiatrie
clinique
. Depuis vingt ans, le médecin-chef (qui est aus
vingt ans, le médecin-chef (qui est aussi professeur de Psychiatrie
clinique
) fait des leçons ré- gulirres, et qui, depuis p
ont les délirants chroniques, et dont M. Vallon donnera l'histoite
clinique
complète dans une prochaine séance. Délire ha
ont succombé avec le syndrome de la paraplégie flasque. L'histoire
clinique
de ces deux malades est analogue ; elle peut se
r- sale postérieure droite. Dans l'un et l'autre cas, l'évolution
clinique
se divise en trois actes : cancer viscéral, col
la genèse de-s phénomènes hystériques. M. Huyghe (ancien chef de
clinique
médicale à la Faculté de Lille). Parmi les état
que sur les principes. En étudiant l'hérédité de mes malades (des
cliniques
et des hôpitaux de Moscou), je notais, dans leurs
lier des recherches et de juger en dernier ressort, au point de vue
clinique
, les considérations théoriques qui nous avaient
sychiatrie. Trois observations servent à en préciser les caractères
cliniques
: un premier garçon de 7 ans, présente une agit
), avec 12 planches (95 dessins); par le D'' José T. Borda, chef de
clinique
de psychiatrie. Buenos-Aires, 1902. Travail trè
les paroles émues qu il a prononcées mardi à l'amphi- théâtre de la
Clinique
des maladies nerveuses, à la Salpêtrière : Mess
Un événement douloureusement imprévu vient de mettre en deuil la
clinique
. Mon ancien interne, Philippe, mon chef de labo-
iques, il faut s'en rapporter toujours, et en dernier ressort, à la
clinique
. C'est dans cet esprit qu'il dirigea le laboratoi
qu'il lut nommé chef du laboratoire d'anatomie pathologique de la
clinique
Charcot, à la Salpêtrière, situation qu'il n'avai
ie dans les maladies mentales, par Trénel, 313. Acnoscrc. - Elude
clinique
de l'- et de l'asymbolie , par 88. ALCOOLIS\I
tuberculeux. Voir Pavillon d'isolement. Contribution à l'analyse
clinique
de l'état de négation (négntiusme) chez les a
) chez les aliéné», par Liinriborg, ff4. Con- tribution à l'élude
clinique
des monologues chez les , par Dar- canne, 479
riques, par Husghe, 531 La-et son UaUement, 1);it- Uomuor, 516.
Clinique
. Voir Gressen. Colonie tuiilule. La- d Ainay-le
die nerveuse. Ganglions sympathiques. Voir < ? 0t. GIESSEn. La
clinique
psychiatrique de l'Université de par Sérieux,
.. et tous ceux de ses organes qui sont accessibles à l'exploration
clinique
paraissent être en 'excellent état : il boit, m
que (Annales ! He'6 ! ! eo-psyc/M ! y : MS. K" de novembre 1888). '
CLINIQUE
NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES
/M ! y : MS. K" de novembre 1888). ' CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES
CLINIQUES
ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
ne doivent même pas prendre part à la constitution de cette forme
clinique
d'accidents spinaux. A. Symptômes positifs. On
nce à la démarche spasmodique. Là l'évolution s'arrête et 21 ,. .
CLINIQUE
NERVEUSE. le syndrome spasmodique fait sa stati
a longueur du membre. La même sensation se produit par le con- 26
CLINIQUE
NERVEUSE. tact. L'application du froid ne produ
re plus tard, il n'y a pas un seul symptôme qui figure au tableau
clinique
. - Pour peu qu'on fixe son attention sur la sym
par un com- plexus symptomatique presque invariable pour tous 28
CLINIQUE
NERVEUSE. les cas, C'(',St-21-dll'e, paralysie
eure l'uniformité devient presque mono- tone ; en effet, le tableau
clinique
aboutit à un fond commun existant chez tous les
ée en scène polymorphe et uniformité du dénouement comme caractères
cliniques
généraux; les nuances cliniques spéciales de sy
té du dénouement comme caractères cliniques généraux; les nuances
cliniques
spéciales de symptômes du début, l'intervalle s
iser notre forme centrale spinale postéro-latérale. Car son tableau
clinique
, tel qu'il existe pour cette forme ne se rencon
membres et même du tronc jusqu'au cou aurait été complètement 30
CLINIQUE
NERVEUSE. abolie. Dans les jambes, il avait des
sorte que, à la fin du mois d'avril, ses Archives, t. XVII. 3 31
CLINIQUE
NERVEUSE. membres ont recouvré leurs fonctions.
ment remonter comme d'habitude. Le malade affirme que, dans le 36
CLINIQUE
NERVEUSE. cours de l'année précédente, il avait
lés : alors, je les ai détachés avec une grande facilité et sans 38
CLINIQUE
NERVEUSE. la moindre douleur. » Maintenant les
r et savant ami et confrère M. Pierre Marie, chef préparateur de la
clinique
du système nerveux à la Salpêtrière. Par son
servation, il nous a grandement secondé dans l'étude de cette forme
clinique
etje suis heureux de lui en témoigner ici ma vi
cas, sans avoir l'importance du nombre, sont cependant d'un intérêt
clinique
extrême, car la symptomatologie spinale et l'év
a' le droit de dire que tous présentent presque la même physionomie
clinique
. Appuyés sur ces trois cas, essayons d'esquisse
on, tandis que chez les nôtres, quelque temps après, une heure 40
CLINIQUE
nerveuse. pour celui de l'OBSBR1'1TION XXI, et
hyse xyphoïde très violentes, au point qu'il poussait des cris 42
CLINIQUE
NERVEUSE. pitoyables. Ces douleurs n'étaient ac
elle heure ? Il nous est naturellement impossible de le déter- 44
CLINIQUE
NERVEUSE. miner. Il est temps maintenant de pas
Cette période commence immédiatement après la disparition de 116
CLINIQUE
NERVEUSE. toute trace de paralysie. On distingu
qui peuvent, et dont quel- ques-uns même doivent figurer au tableau
clinique
, et B). Symptômes négatifs, c'est-à-dire des sy
rs tous les mois presque à la même date. Plus tard, les crises 48
CLINIQUE
NERVEUSE. gastriques de ce malade étaient deven
XII). La chute n'a été précédée d'aucune Archives, t. XVII. Il 50
CLINIQUE
NERVEUSE. cause locale, soit traumatique, soit
temps de la période paralytique : à ce 'moment, sa place au tableau
clinique
est secondaire, la paralysie étant l'élément qu
t qui domine de la situa- tion du malade. Petit à petit, le tableau
clinique
change considérablement d'aspect et ce qui étai
l'état mala- dif ne cessant pas un instant de changer son aspect
clinique
toujours dans le même sens, il arrive en défi-
ence à rétrograder peu à peu, et le syndrome tabétoïde avec 82 li
CLINIQUE
NERVEUSE. son ataxie est considérablement amend
citation érotique, ni par des rêves lascifs, etc., quelquefois 34
CLINIQUE
NERVEUSE. même il lui arrivait d'avoir des cris
encore plus prononcée chez nos trois malades. En effet, le tableau
clinique
dégagé de sa paralysie après quelque temps, abo
ormité de l'étape ultérieure comme caractères généraux, les nuances
cliniques
spéciales des symptômes du début, l'intervalle
n° 115 du 14 août 1883). C'est ce qui a amené aussi M. Reynaud 56
CLINIQUE
NERVEUSE. dans son intéressant travail à accept
ous avons conslalé des retards dans la sensibilité; 5-6 secondes 58
CLINIQUE
NERVEUSE. s'écoulaient entre l'excitation et la
rmes spinales nous donne le droit de s'y attendre. Or, le tableau
clinique
est représenté seulement par la symptomatologie
dorso- lombaire de la moelle. Cette lésion doit être certaine- 60
CLINIQUE
NERVEUSE. ment très légère, ce qui est parfaite
ès le programme que nous suivons et qui nous paraît essentiellement
clinique
, nous rapporterons les observations cliniques,
paraît essentiellement clinique, nous rapporterons les observations
cliniques
, et puis, appuyé sur elles, nous établirons la
pilepsie spinale, qui même alors ne se manifeste que faiblement. 62
CLINIQUE
NERVEUSE. Quelques secousses surviennent parfoi
u G1 usrlHC décompression, douleurs violentes à Aucune, t. MIL 66
CLINIQUE
NERVEUSE. l'estomac, s'irradianl aux côtes.- Au
onctions des autres organes paraissent se faire régulièrement. bb
CLINIQUE
NERVEUSE. PATHOLOGIE DE LA FORME' INTIIAMTÉLITI
dé de cinq minutes la perte de connaissance du malade de l'OB- 70
CLINIQUE
NERVEUSE. SERVATION XXIV, et les douleurs aux d
e altérée qu'une seule fois, Observation XXVI et encore incom- 72
CLINIQUE
NERVEUSE. plètement, le malade étant forcé de p
sitifs, c'est-à-dire des symptômes qui peuvent figurer au tableau
clinique
et des symptômes négatifs qui ne peuvent et ne
e iutra- myélitique unilatérale, je me crois donc autorisé par la
clinique
à poser la loi suivante : « Presque toutes, pour
tensité variable, suivall t l'exci ta hil i té myél itique. Tous 74
CLINIQUE
NERVEUSE. les réflexes crémastériens, plantaire
z qui, une fois arrivé à ce point de développement, il n'a pas 76
CLINIQUES
NERVEUSES. rétro-ressé, mais il n'a pas non plu
quc, remplacé par une uniformité caractérisée par un complexus 78
CLINIQUE
NERVEUSE. clinique très simple, qui est le même
ne uniformité caractérisée par un complexus 78 CLINIQUE NERVEUSE.
clinique
très simple, qui est le même pour tous les cas,
rme. A ces caractères généraux, si nous ajoutons les particularités
cliniques
spéciales des symptômes de la période du début,
a-spinale OU EXTRA-MYËLlTIQUE DE la forme unilatérale Cette forme
clinique
doit être trop rare pour que nous ne soyons en
il ne toussait pas et n'avait pas mangé avant son im- mersion. 80
CLINIQUE
.NERVEUSE. Immédiatement après la décompression
radient au moignon de l'épaule droite. La Archive, t. XII. , 6 82
CLINIQUE
NERVEUSE. pression au niveau de l'apophyse tran
t naître de nouveaux phénomènes qui viennentse joindre au tableau
clinique
; ce sont la paralysie et, un peu plus tard, la
et, un peu plus tard, la myatrophie du membre supérieur droit. 84
CLINIQUE
NERVEUSE. A une étape ultérieure de la maladie,
aphie, prise à titre de curiosité parle garçon de laboratoire de la
clinique
de M. Charcot. De plus, nous donnons une figure
dies du coeur était compris entre C70 et 70 ans. 7° Les symptômes
cliniques
du reflux mitral chez les aliénés vivants, et c
s mentales proprement dites. Il se place à un point de vue purement
clinique
. L'élève qui aborde un malade doit en effet, s'
, expliquées les nombreuses recherches expérimentales et les études
cliniques
de l'auteur. Qu'on nous pardonne de parler ains
it ultérieurement décidé que la place de médecin adjoint de l'Asile
clinique
(Sainte-Anne) serait donnée à lasuite d'un Conc
onditions pour les places des médecins, chefs de service de l'Asile
clinique
(Sainte-Anne) seraient les mêmes que celles qui
candidats serait supérieur ci trois pour une place; 3° Une épreuve
clinique
sur deux malades aliénés. Il sera accordé 168 V
udié non seulement la pathologie mentale, mais encore et surtout la
clinique
mentale. Tel est, monsieur le Ministre, le résu
andidats serait supérieur à trois pour une place ; 3° Une épreuve
clinique
sur deux malades aliénés. Il sera accordé trent
: Etiologie et pro- phylaxie de la fièvre typhoïde; Panaris. 3° Ep.
Clinique
: Deux malades aliénés. Le concours s'est termi
itre, 8 sur 10; Ep. écrite, 2 : : sur 30; Ep. orale, 14 sur 20; Ep.
clinique
, 26 sur 30. Région delà Facultéde médecine de P
Asile D'.1LIÉ1ÉS. - Nominations : M. le Dl ROUILL.In1), chef de la
clinique
des maladies mentales à l'asile clinique (SaitiLe
Dl ROUILL.In1), chef de la clinique des maladies mentales à l'asile
clinique
(SaitiLe-Aiine), est nommé, par arrêté du 12 no
édecine DE MoNTPELLIER. M. Mairet, vient d'être nommé professeur de
clinique
des maladies mentales et nerveuses. Médecins al
entouré d'une telle obscu- rité que, avant de décrire les symptômes
cliniques
de la surdité verbale, je me propose de faire u
tion ont pu être envoyées dans un asile de fous. Les observateurs
cliniques
soigneux d'aujourd'hui tomberont difficile- men
ts. La forme de cécité corticale qu'on a l'occasion d'observer en
clinique
, n'est pas une vraie cécité, en . ce sens qu'el
de était en observation depuis un temps considérable, les symptômes
cliniques
ont pu être étudiés dans des conditions excepti
pie homonyme latérale droite '. D'après l'analyse de cette histoire
clinique
, on voit que le malade avait perdu toute notion
isant la cécité ver- bale est encore à établir par les observations
cliniques
et par les examens post-mortem. A une certain
onnais- sent le même siège dans le cerveau, les deux phéno- mènes
cliniques
devraient à peu près toujours se mon- trer asso
lisation peuvent seulement être mises d'accord par des observations
cliniques
et anatomo-pathologiques plus considérables et
iques plus considérables et plus soignées. Norwich, avril 1888.
CLINIQUE
NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES
lus soignées. Norwich, avril 1888. CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES
CLINIQUES
ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
1 FJ j n° 18. p. 246; u" 49, p. 22. ARCHIVES, t. XVII. 15 226 6.
CLINIQUE
NERVEUSE. ques minutes, quelques heures, ou que
aire de petits pas à l'aide de deux appuis. A 10 heures, possi- 228
CLINIQUE
NERVEUSE. bilité de marcher à l'aide d'un seul
qu'il nous sera facile d'analyser les cas complexes dont le tableau
clinique
est constitué par des symptômes appartenant aux
ons les voir non plus à titre de symptômes, mais à titre de forme
clinique
. Les troubles de la parole font alors à eux seu
ubles de la parole font alors à eux seuls tous les frais du tableau
clinique
. Ce sont eux qui constituent toute la symptomat
5 brasses, même séjour et même décompression brusque. Il se 230 ' "
CLINIQUE
NERVEUSE. fait remonter et immédiatement après
mièie immersion, profondeur de 32 brasses, séjour de quatre mi- 232
CLINIQUE
NERVEUSE. nutes, décompression brusque. Immédia
Ce nouveau trouble du langage, qui consistait dans l'impossibi- 234
CLINIQUE
NERVEUSE. lité de parler, tandis qu'il comprena
le de la parole a atteint le malade, exactement sous le même aspect
clinique
que les trois autres. Après cinq minutes enviro
ns sa famille, pas d'antécédents personnels , il aurait eu dans 336
CLINIQUE
NERVEUSE. son enfance la coqueluche. Il a comme
llaud-Broca). Par contre, chez l'homme de t'OBSERVA'noN XXXV, 238
CLINIQUE
NERVEUSE. la facultas signatrix de Kant n'a été
s peuvent survenir chez les plongeurs à scaphandre à titre de forme
clinique
spéciale, autre- ment dit, ces symptômes peuven
eté vraiment remarquables, et ils constituent alors tout le tableau
clinique
. Il nous a été donné d'observer cette forme sen
la durée totale chez le premier a été d'une demi-heure ; I)l 110
CLINIQUE
NERVEUSE. et le deuxième de quatre semaines. En
aurait eu ni perte de connaissance, ni paralysie aucune. Le tableau
clinique
était exclusivement constitué par les troubles
s observations qui précèdent, aussi bien que dans celles du tableau
clinique
, la cécité figure comme symptôme du début et no
cécité provenant de l'emploi des scaphandres, soit à titre de forme
clinique
spéciale, soit à titre de symp- tôme. Ces carac
on ; chez tous nos malades, l'invasion Archives, t. XVII. 16 .242
CLINIQUE
NERVEUSE. a été brusque ; 2° les troubles ocula
ériode de début. Nous allons main- tenant les voir à titre de forme
clinique
spéciale, la symptomatologie de ce genre d'acci
ruissement continu qu'il compare au murmure d'un vent léger. '244
CLINIQUE
NERVEUSE. Au bout de deux heures environ, il' a
surdité était excessive. Les malades n'entendaient rien, pas, 246
CLINIQUE
NERVEUSE. même les bruits les plus forts. Voici
s il ne sait pas ce qu'il a. On se met à le déshabiller pour le 248
CLINIQUE
NERVEUSE. frictionner. On n'avait pas encore en
ulement de douleurs lancinantes, qui siégeaient aux différentes 2S0
CLINIQUE
NERVEUSE. régions du côté paralysé. Cette scène
une demi-heure, au bout de laquelle elle a disparu tout à fait. 252
CLINIQUE
NERVEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. b). Pa
QUE GRAND ET PETIT HYPNOTISME'; Par J. BABINSKI, Ancien chef de
clinique
à la Salpètrière. Autrefois, nous voulons dire
s ne sont pas entre-croisées tandis;que les faits physiologiques et
cliniques
prouvent que la sensibilité cutanée est croisée
ne s'était traduite par aucun symptôme pendant la vie. Le tableau
clinique
était celui d'une myélite aiguë et transverse.
gnétisme- donnant des représentations, directeurs de journaux et de
cliniques
magnétiques, somnambules extra-lucides dont la
le Jnrh61tcher. f. Psych 1. M. Wernicke présente deux malades de sa
clinique
. C'est d'abord un cas d'aphasie maniaque caract
11. Wernicke communique à l'assemblée qu'après avoir trans- féré la
clinique
psychiatrique au nouvel asile d'aliénés de la vil
possible de soumettre à l'étamine de l'analyse les matériaux de la
clinique
et en même temps d'apprendre aux jeunes médecin
decin de Sainte-Anne pour reconnaître aux dégé- nérés trois aspects
cliniques
: l'état mental, l'état syndromique, l'état dél
. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 3 i 1 laboratoire etdes données de la
clinique
, et cela grâce à la collaboration d'un physiolo
tel que Seppilli. Ici aussi l'expérimentation sur les animaux et la
clinique
de l'homme marchent du même pas. Mais, comme
centres corticaux psycho-sensoriels (1879) suivis de leurs-Etudes
cliniques
sur les centres corticaux senso- riels (1879)".
Seppilli ont intitulée : Introduction à la méthode expérimentale et
clinique
des centres fonction- nels du cerveau, est une
a science-, les diverses méthodes expérimentales, l'obser- vation
clinique
et l'interprétation des phénomènes qui servent
la destruction de cette partie de l'écorce cérébrale. De même en
clinique
. Les mêmes lois doivent diriger le savant dans
ne saurait être uniquement édifiée sur les données de l'observation
clinique
. Seppilli, qui paraît prendre ici la parole à s
l repose toute la biologie moderne... L'importance des observations
cliniques
n'est pas diminuée' pour cela. Elles ne sont pa
Charcot et Pitres ont revendiqué, on le sait, pour les recherches
cliniques
, une sorte d'autonomie. « Les études patho- log
hologie cérébrales. 1 J.-M. Charcot et A. Pitres. Etude critique et
clinique
des localisa- tions motrices Paris, 1883, p. 3.
tenant dissipée. Voyons comment Seppilli juge applicables aux cas
cliniques
des lésions localisées du cerveau humain les rè
des effets négatifs. Il ne s'applique pas sans restriction aux cas
cliniques
. On connaît la méthode des cas négatifs d'Exner
(mais il faudrait un temps très long pour ras- sembler assez de cas
cliniques
de cette nature), on devrait s'en tenir aux cas
tère, celui des lésions successives, n'ayant guère d'application en
clinique
. Une nouvelle critique d'Exner et de sa méthode
liens dont nous parlons, les ' Charcot et Pitres. Elude critique el
clinique
de la doctrine des locah- sations motrices, p.
motrices, p. M, ôo, 1., p. 20. 35H physiologie. 167 observations
cliniques
dont s'est servi Exner pour construire ses diag
ajoute : « Mais eux-mêmes, ils ont encore emprunté à quelques cas
cliniques
et aux autopsies de ces cas, leurs résultats 4
n. On peut, si l'on est dili- gent, rassembler une vingtaine de cas
cliniques
pour prouver que le centre moteur du bras siège
a comparaison doivent, pour être régulières, se rapporter à des cas
cliniques
comparables entre eux à tous égards ; 2° les lé
elle n'était point la suite de dégénérations secondaires. Les cas
cliniques
de Charcot et de Pitres remplissent- ils ces co
animaux par la méthode des ' Charcot et Pitres, Etudes critiques et
cliniques
de la doctrine, p, 55. 360 PHYSIOLOGIE. vivis
es expériences physiologiques sur le cerveau du singe. Les études
cliniques
ont toutefois une importance capitale pour l'in
ion seraient demeurés obscurs et de signification incertaine, si la
clinique
n'avait mis en relief, et sur- tout Kussmaul, l
té psychique, et qui per- mettent seuls de bien interpréter les cas
cliniques
d'aphasie sensorielle (Wernicke) ou de surdité
mes ophthalmiques qui jouent un rôle si impor- tant dans le tableau
clinique
de tabès ; pourtant, en nous arrêtant sur les c
s ajouter ici que ces parésies observées : i souvent dans letableau
clinique
nommé pseudo-tabes, ont donné, non sans fondeme
us de considérations, si l'on ad- met l'existence d'une telle unité
clinique
à laquelle ou puisse donner le nom de pseudo-ta
d'après ce que nous avons dit, ne se rapproche pas de ce tableau
clinique
ou du moins, ne doit absolu- ment pas être rang
, il y a quelques années, j'ai eu à examiner très en détail dans la
clinique
de 111. le professeur Kojew- nikoff en cas de p
cette réaction, avec les nerfs périphériques. Moscou, mai 1888.
CLINIQUE
i\'El l V 1 ? U S l,«, RECHERCHES CLINIQUES ET
s. Moscou, mai 1888. CLINIQUE i\'El l V 1 ? U S l,«, RECHERCHES
CLINIQUES
ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
se succèdent avec une telle rapidité, elles sont si mobiles et 394
CLINIQUE
NERVEUSE. si incohérentes qu'il est difficile d
de, et nous tâcherons d'expliquer alors les éléments de son tableau
clinique
. La forme mentale peut-elle revêtir d'autres ty
ut parmi les symptômes de la période du début des diverses formes
cliniques
. Il ne me serait pas difficile de multiplier à
tiplier à l'infini les cas qui appartiennent aux différentes formes
cliniques
et dont la symptoma- tologie du début ait prése
à titre de symptôme d'importance secondaire, mais à titre de forme
clinique
dans laquelle le ver- tige est le symptôme prin
n moN sans le moindre amendement, mais au bout de ce Leiii : )s 398
CLINIQUE
NERVEUSE. la titubation se dissipe complètement
e et une pathogénie spéciale devrait présenter ses particularités
cliniques
, qui servent -CI le différencier du syndrome de
s an- térieure, au sur et à mesure que l'affection progresse, 400
CLINIQUE
NERVEUSE. que nous voyons les paroxysmes établi
ère d'autre origine, si elle n'est pas Ancuiviis, t. XVII. 26 4(M
CLINIQUE
NERVEUSE. enrayée dans sa marche par les médica
nce figure parmi les symp- tômes les plus fréquents dans le tableau
clinique
des différents accidents survenant par l'emploi
figurer, non pas à titre de symp- tôme, mais bien à titre de forme
clinique
distincte. Elle constitue alors, à elle seule,
clinique distincte. Elle constitue alors, à elle seule, le tableau
clinique
de l'accident. Voici ces deux observations :
nt, les symptômes céphaliques ne sont plus fugitifs, mais 404 - -
CLINIQUE
NERVEUSE. bien permanents, ils ne durent plus d
e de notre très estimé et excellent maître, M. le profes- seur de
clinique
médicale Karamitsas, qui suppléait à ce moment
mouvait avec rage ses membres, il aboyait et se jetait sur ceux 406
CLINIQUE
NERVEUSE. ' qui l'entouraient pour les mordre,
ous avons affaire à une affection cérébro-spinale, car le tableau
clinique
est constitué aussi bien par des symp- tômes sp
temps suf- fisant au développement des symptômes spastiques,' 408
CLINIQUE
NERVEUSE. sont spasmodiques ». La marche de la
it démontrer que la manie transitoire peut exister à titre de forme
clinique
à part, consti- tuant à elle seule tout le tabl
e forme clinique à part, consti- tuant à elle seule tout le tableau
clinique
de l'accident, même chez des personnes qui ne s
e majorité des cas, ne dépasse pas les vingt-quatre heures. 11.10
CLINIQUE
NERVEUSE. Cet accident est si bien connu que no
us l'avons déjà bien des fois rencontré, mais bien à titre de forme
clinique
à part, c'est-à-dire que l'élément douleur cons
que l'élément douleur constitue alors exclusivement le ta- bleau
clinique
de l'accident. Lesautreslocalisationsextra-nerv
s la symptomatologie des malades appartenant aux différentes formes
cliniques
. Je dis seulement qu'il est rare de voir une lo
'accidents survenant par l'emploi des scaphandres dont le tableau
clinique
soit constitué exclusivement et uniquement par
rnée de la sclérotique. Il n'y avait aucune trace de paralysie. 412
CLINIQUE
NERVEUSE. Si on le pinçait, on le frottait, on
hôpitaux de Nantes, dans son travail inti- tulé : « Trois mois à la
clinique
chirurgicale de l'école de plein exercice à Nan
ifférentes DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 413 formes
cliniques
, isolées de tout mélange, et déga- gées de tout
tour peut, isolée de tout autre symptôme, figurer à titre de forme
clinique
. Ces trois symptômes, dis-je, l'aphasie, la sur
il était descendu tout d'abord à une profondeur de dix brasses, 414
CLINIQUE
NERVEUSE. pour arriver graduellement à des prof
en- tion d'urines qui, elle aussi, peut survenir à titre de forme
clinique
à part, formant alors à elle seule le ta- bleau
plupart à l'état de simplicité, d'isolement, constituent les formes
cliniques
spéciales, peuvent coexister, se succéder, se g
Cinq minutes après l'enlèvement du casque, il a été atteint 41(5 '
CLINIQUE
NERVEUSE. d'une brûlure dans les yeux qu'il fro
secrets du génie de Charcot, secret qui Archives, t. XVII. 27 418
CLINIQUE
ER1 EUSE. a conduit cet illustre maître à éclai
otilité des quatre membres. 11 ne pouvait bouger que la tête. 420 0
CLINIQUE
NERVEUSE. Pas d'autres symptômes. Au bout de de
de profondeur, dix minutes de séjour au fond et décompression 132
CLINIQUE
NERVEUSE. brusque. Accident cérébral complexe (
novembre 1883. Rien. Guérison com- plète et définitive. li ^2 't
CLINIQUE
NERVEUSE. Ce scaphandrier, comme on l'a remarqu
La perte de connaissance qui peut figurer toute seule au tableau
clinique
d'un accident survenant par l'emploi des sca- p
a perte de connaissance qui, à elle seule, constituait le tableau
clinique
de l'accident. Le troisième est un accident com
t, il arrive à Calymnos où le voit le Loc. cit. Loe. cit. 't-26
CLINIQUE
NERVEUSE. Dr Pélicanos. A ce moment il est comp
eulement jusqu'aux cuisses. Je lui ordonnai le traitement ordi- 428
CLINIQUE
NERVEUSE. naire, l'application des ventouses sc
urs après elle. Quels sont les symptômes qui constituent le tableau
clinique
de ces terribles accidents ? Ma description ser
oir que trois plongeurs à scaphandre sont morts subitement en 430
CLINIQUE
NERVEUSE. quittant le travail sous-marin. Pas d
et demandait à ses compagnons si ses yeux étaient ' Loc. cil. 4,3
CLINIQUE
NERVEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. rouges
autonomie spéciale. REVUE STATISTIQUE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME "NERVEUX Professeur : C
ixtes, elle se localise presque aux filets sensitifs. Les symptômes
cliniques
sont des névralgies avec hypéresthésie et anest
gée (en collaboration avec M. Rosenbach). 11-Rosenbacli, chef de
clinique
du professeur Mierjiewsky, nous a montré des pr
nerf, il existe une forme déterminée de la striation. VIII. FAITS
CLINIQUES
. . Je relate les principaux faits cliniques que
triation. VIII. FAITS CLINIQUES. . Je relate les principaux faits
cliniques
que j'ai observés pour deux raisons : 1° La plu
tabès dorsalis compliqué de paralysie générale des aliénés. A la
clinique
de M. Mierjiewsky, à Saint-Pétersbourg, le D''
n enfant de douze ans atteint d'un gliome de la moelle : le tableau
clinique
était celui d'une hémisection gauche de la moel
n.,fasc.lli88ï. Cioug)iusky. Un cas de paraplégie urinaire. Recueil
clinique
du prof. Popoff, 1886. Danilewsky. De l'asthm
es. Arch. de liouctlc2o'slai, t. IX, n° 3, t887. Roruilotl. Etude
clinique
de l'oybtalmopléie externe. Journ. tleAlie,jicw
nt-Pétersbourg, 1888. Un cas de tumeur du cervelet (avec autopsie).
Clinique
intertzationale, n° 3. Levine. Contribution à
Ruppert. Un cas d'hémorrhagie médullaire (avec autopsie). Recueil
clinique
de Popoff, 1886. Serebrennikowa. Etude sur l'él
de charger une nomenclature de donner une place à ces hasards de la
clinique
. En somme, M. Ma- randon de Montyel, malgré de
périodes systématiquement étagées, grâce enfin à toutes ces données
cliniques
précieuses fournies par l'étude plus attentive,
lusion témoignent de l'activité constante et féconde de cette école
clinique
d'observations à laquelle la science psychiatri
médico-psychologique. Vice-président : M. BaLL (B.), professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médecine
géants, on s'attend presque toujours à voir confirmer le diagnostic
clinique
de gigantisme par la persistance des cartilages
alies d'accroissement m'ont permis de con- tr6ler de nombreux faits
cliniques
et de démontrer quelques points jusqu'à présent
crois pas inutile de relater ici même, le résumé d'une observation
clinique
ayant trait à un cas typique d'acromégalie. Il s'
étation soit trop ha- sardée ; il suffit de se rappeler l'évolution
clinique
de ce cas et de consi- dérer son état hypophysa
alie. Il y aurait donc là un point obscur que toutes les recherches
cliniques
, jusqu'à présent entreprises, n'ont pas encore
es organes génitaux. Rev. neurol., 1900, p. 901. Brissaud. - Geçous
cliniques
sur les maladies nerveuses, 1899, 2' série, p. 44
f. Psych., t. 2, 1908. INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE
CLINIQUE
MÉDICALE GÉNÉRALE dirigée par M. le Professeur
M. A. BAUER SUR CE SUJET, PAR le Dr ETTORE LÉVI, Assistant à la
Clinique
Médicale Générale. Une note que M. Bauer a fait
nfantiles vrais que les individus présentant les caractères du type
clinique
décrit par M. Brissaud (infan- tilisme dysthyro
n comme de faux infantiles, mais propose, comme nouvelle définition
clinique
le mot chétivisme qui, selon lui, suggérerait l'i
on clinique le mot chétivisme qui, selon lui, suggérerait l'image J
clinique
du syndrome et fixerait la note dominante du tabl
u type Lorain, ne me semble ni utile, ni parfaitement exact au sens
clinique
du mot, et surtout je tiens ai t affirmer une f
ud, n'est pas, à mon avis, acceptable. Avant tout, le nouveau terme
clinique
proposé par M. Bauer me sem- ble imparfait, car
m- ble imparfait, car il ne suggère pas du tout, selon moi, l'image
clinique
du type morbide en question ; les infantiles du
cette cause s'il s'élait agi d'une simple question de nomenclature
clinique
, quoique je crois qu'en général il faut toujour
i bien l'un que l'autre présentait le tableau classique de la forme
clinique
de Lorain ; forme clinique que je continuerai à
sentait le tableau classique de la forme clinique de Lorain ; forme
clinique
que je continuerai à appeler « Infantilisme »,
la publication de M. Bauer, que sur la foi de mes anciens documents
cliniques
et sur les 24 4 ETTORE LÉVI- observations nou
x propositions suivantes : W réserver le nom d'infantilisme au type
clinique
décrit par Brissaud ; 2° remplacer par le nouve
Meige de dégager de la confusion 1 qui régnait alors, le vrai type
clinique
de l'infantile, l'infantile dysthy- i roïdien.
e Lorain, ils voulurent avant tout mettre en relief les différences
cliniques
essentielles, jusque-là méconnues, qui distinguen
gique qui, avec raison, tendait surtout à mettre en vedette le type
clinique
si spécial, si frappant qu'est l'infanti- lisme
ie sur un terrain très solide. Fût-il un jour démontré que le' type
clinique
de l'infantilisme de Brissaud peut être fonction
'hypothèse dès 1895 (dystropliie 1 d'origine testiculaire), ce type
clinique
n'en resterait pas moins distinct | des types c
re), ce type clinique n'en resterait pas moins distinct | des types
cliniques
groupés sous le nom d'infantilisme de Lorain. 1
e de l'acromégalie révélé par M. Pierre Marie représente une entité
clinique
définitive ; quelle que soit l'origine réelle du
vi contre la proposi-. tion de réserver le mot infantilisme au type
clinique
de Brissaud, repo- sent aussi, me semble-t-il,
en reste pas moins qu'il est impossible d'assimiler un tel ensemble
clinique
l'infan- tilisme de Brissaud en se basant sur l
trophiques de Lorain voisinent de près, mais que ces deux syndromes
cliniques
ne sauraient être confondus si, au lieu de consid
e côte à côte des syndromes par trop distincts tant au point de vue
clinique
qu'au point de vue pathogénique. D'ailleurs, chac
ts dystrophi- ques qui constituent actuellement le chétivisme, type
clinique
ayant des caractères bien distincts : les carac
phie musculaire progressive, manifestée par tant de formes ou types
cliniques
. Entre toutes les formes de dystrophie musculaire
plasie et le rachitisme, sont au moins bien connues sous le rapport
clinique
et leur étude sous les autres rapports va nous
llaires. Quant à ces derniers ils rappellent tout à fait le tableau
clinique
d'une myélite transverse. Les symptômes entrent e
s diagnosti- quer la nature de la maladie que lorsque les symptômes
cliniques
et l'existence de tumeurs dans d'autres régions
tébraux dans des cas qui durant la vie ne décelaient aucun symptôme
clinique
. Dans le tableau décrit ci-dessus nous avons do
c.). Il faut attirer l'attention sur ce point encore que le tableau
clinique
même des tumeurs malignes peut être interrompu
ême que dans ceux décrits par Bielschovsky, Schlesinger, le tableau
clinique
se déve- loppa très lentement et donna en fin d
le d'urée de 5 ans dans le cas d'Oppenheim et Krause). Le tableau
clinique
dans d'autres formes de tumeurs (échinocoque, a
e partie du tableau morbide) ; b) qu'il y a des cas dont le tableau
clinique
simule entièrement celui d'une tumeur vertébral
HOPITAL MAJEUR DE SAINT-JEAN-BAPTISTE ET DE LA VILLE DE TUR1N ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE DÉGÉNÉRATIVE
e qu'elle mérite en raison dés lacunes inévi- tables que l'histoire
clinique
des malades doit contenir. Il va sans dire que
le début de cette étude, n'ont qu'une importance secondaire pour la
clinique
; toutefois je ne peux m'empêcher de remarquer com
on ami le Dr Ferrari, qui eu l'amabilité de me procurer ce matériel
clinique
intéressant, et qui me fut un guide infatigable d
n isolé de cette maladie familiale transporté par ha- sard dans une
clinique
d'hôpital. Cest le 15 avril de cette année que
à caractères tout à fait exceptionnels. Avant de relater l'histoire
clinique
de chacun de mes malades, je don- nerai ici que
t t i) . Masson & Cie, Éditeurs 11.0toi,l.,e nNlh.111 ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE z)9 présente
aquit en parfait état de sauté. Venue au monde dans les meil- ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 101 leures c
tolotti). Masson & Cie, Éditeurs. Phototypie Berthiud ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 103 tion du
c une teinte blanche bleuâtre très caractéristique. Les bords ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 105 de la pa
e de ses quatre extrémités. Si on examine la malade de par l'examen
clinique
et électrique, on peut t constater que cette at
rtolotti). Masson & Cie, Editeurs PhototTjne Berthaud ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 107 beaucoup
lètement inexcitables avec le plus fort courant électrique. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 109 Les nerf
çon exagérée, en laissant apparaître non seulement les dénis. ÉTUDE
CLINIQUE
SUll TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 1'll 1 mais
un peu amaigri, mais parfaitement mobile dans tous les sens. ÉTUDE
CLINIQUE
SUll TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 113 On rema
nts des pieds sur la jambe sont complètement abolis, les mou- ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 115 vements
actuel. Elisabeth présente encore une mine rose et rondelette ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 117 7 (V. PI
ttend les bonbons que je lui avais promis la première fois. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 119 9 En rés
aucune trace ni de rigidité musculaire, ni de contracture. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 121 Tous les
122 BERTOLOTTI A présent que nous avons relaté en détail l'histoire
clinique
de nos observations, il s'agit d'en discuter la
s la forme amyotrophique spino-neurotique de Charcot-Marie. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 123 Existe-t
a littérature médicale ? Nous avons passé en revue les observations
cliniques
des maladies fami- liales parues dans ces derni
ordre et ils rappellent la forme de Charcot-Marie avec une analogie
clinique
tellement évidente que nous devons logiquement no
arrêter. Voyons donc à présent en détail quelles sont les analogies
cliniques
qui existent entremes observations personnelles
93. ' (2) SESLIGMULLER, Deutche Médical Wochenscrift, 1876. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 125 L'atroph
la forme Charcot-Marie est dans le cas actuel du plus haut intérêt
clinique
. Les symptômes atypiques, c'est-à-dire les symp
la forme Charcot-Marie considérés à tort jusqu'ici d'une importance
clinique
secondaire. Parmi tous les troubles atypiques d
ic atrophy. Journ. of new. and meut. dit seases, juin 1903. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 127 symptôme
del sislema nervoso, Rivista critica di clinica medica, 1907. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 12H des atro
La conclusion de notre travail, basé sur de nombreuses observations
cliniques
, était justement que en réalité les réflexes osse
a Société de Neurologie de Paris, séance du 12 janvier 190. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TKOIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 1 ï1 1 profo
cette atrophie qui était du reste assez évidente à un simple examen
clinique
. En effet l'atrophie des extrémités dans mes ca
ie, Archiv sur Psych. u. Nervenkranh., t. XX, p. 660, 1859. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 133 A ce pro
COLONNE VERTÉBRALE 163 avec troubles urinaires. Depuis, le tableau
clinique
ne présenta pas de rémission, et trois semaines
dans le canal rachidien en provoquant l'exacerbation des symptômes
cliniques
. L'examen microscopique démontra qu'il s'agissa
supérieurs de la moelle. 172 ' FLATAU Dans ce cas les symptômes
cliniques
dépendaient de différentes causes anatomo-patho
table d'autopsie que le diagnostic devenait clair. Quant au tableau
clinique
de l'affection, il dépend entièrement de la loc
erfs, le cubital par exemple, peuvent prendre place dans le tableau
clinique
. Tous ces phénomènes peuvent se limiter d'abord
a nuque ; dans le cas de Schultze, du plexus brachial. Le tableau
clinique
dans ces cas ressemble à celui décrit plus haut a
t d'un coup éclatent les phénomènes médullaires. Souvent le tableau
clinique
se dé- veloppe rapidement en simulant ta myélit
ns anatomo-patholo- giques n'expliquent pas suffisamment le tableau
clinique
et il pense que certaines substances toxiques p
Même quand les symptômes médullaires prennent place dans le tableau
clinique
la guérison peut être complète puisque, comme n
uvent se servir des médicaments symptomatiques. (A suivre). ASILE
CLINIQUE
DE BEL-AIR (GENÈVE) LA BASE ANATOMIQUE DES PSYC
ion correspond assez bien à celle que l'on a l'habitude de faire en
clinique
mentale, lorsque l'on parle des psychoses dites f
De la comparaison des données fournies par le microscope et par la
clinique
, on pourra peut-être saisir la corrélation que ce
lépreuse, disions-nous, celte psychose présente des particularités
cliniques
qui l'individualisent de toutes les autres psy-
évritiques, Ce sont : le début tardif plusieurs mois après le début
clinique
de la polynévrite.-Le pronostic fatal car l'appar
de leurs sujets, de leurs élèves. C'est réelle- ment un diagnostic
clinique
qu'il s'agit d'établir. Cette opération comporte
normale. Le squelette des membres est tout à fait normal à l'examen
clinique
et radiographique,sauf l'ano- malie des doigts
HÉRÉDITAIRE ? QUATRE CAS D'ACHONDROPLASIE CHEZ DES ADULTES. ÉTUDE
CLINIQUE
ET RADIOGRAPHIQUE, PAR R Giuseppe FRANCHINI e
ndants, ni chez les collatéraux, rien de remarquable. (1) La partie
clinique
et critique de ce travail revient à M. Giuseppe F
e : Crâne. - L'examen radiographique montre, comme l'a déjà fait la
clinique
, un développement énorme de la voûte en com- pa
tion des métacarpiens. Main droite. Ainsi qu'il résulte de l'examen
clinique
, l'index de cette main se présente plus long qu
éral ne l'ait que confirmer ce qui a déjà été constaté par l'examen
clinique
, c'est-à-dire l'augmentation de volume des épip
'ALIÉNÉS DE HOME Directeur : Prof. G. 111'(GA7.lIN[. OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA. SYPHILIS CÉRÉBRALE PRÉCOCE ET MALIGNE
Motter. T3eanloin n'a pas recueilli moins de 26 ohser- OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUIT LA SYPHILIS CKRÉBRADS ' 287 vations de syp
s par les données anatomo-patholo- giques des observations purement
cliniques
. Kahler, à l'autopsie d'un individu mort de syp
ite, des dysarthries, des troubles psychiques, et mal- OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 289 gré un traitement
ique, qui deux ans après l'infection, soignée au moyen OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 291 de composés mercu
ns, pris d'une hémiplégie gauche, dix mois après l'in- OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 293 fection syphiliti
ulcère dur, et coexistant avec une éruption maculo-pa- OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 295 puleuse diffuse.
à 8 centimètres de j'épitrochiée : 22 centimètres. Le OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 297 patient ne réus
Même dans des essais spéciaux, la suggestion est évi- OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 299 dente, mais en de
gissait réellement de syphilis et selon toute probabi- OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 301 lité, d'une arter
des cas résumés plus haut, et qui a déjà été remarqué OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 303 par d'autres aute
pide succession de ra- mollissements et d'hémorragies et le tableau
clinique
y relatif des paré- sies ou paralysies qui s'en
itementnul, insuffisant ou énergique a la même valeur. OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 305 Rnmpf, au contrai
au ou il en apparaît d'autres qui sont rebelles à tout OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 307 traitement et qui
l. et de Syphiligr., 1869, et Leçons sur la syphilis, 1813 ; Leçons
cliniques
sur la syphilis. Paris, 1881. GA ! K)EW;cx. Syp
er NalurforFcher und Ærzle. Vienne, 1894. Tageblatt. OBSERVATIONS
CLINIQUES
SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 309 Juscurscuswo. - U
er Lues. Mediz. Klinik, 1907, no 52. Lannois et FouMiEH. Deux faits
cliniques
, elc. Hevue de médecine, 1896, p. 51. LANG et S
flammatoires. Ce cas était assez facile à diagnostiquer. Le tableau
clinique
y était typi- que pour une affection connue sou
que, malgré des lésions très- prononcées de la moelle,les symptômes
cliniques
étaientsi minimes qu'on ne pensai même pas à un
n'est que post hoc qu'on pouvait expliquer les différents symptômes
cliniques
: les fortes et tenaces douleurs des membres in
ommes diffuses dans la moelle épinière peuvent donner des symptômes
cliniques
et. peine consta- tables. L'examen microscopi
e ; il y a huit ans, il a été pris d'hémiplégie, considérée dans la
clinique
de Vienne comme organique, et néanmoins guérie ap
acente, tous les au- tres étaient capsulaires. le Paul R... Notes
cliniques
. S8 ans, hémiplégie droite complète avec aphasi
mplète et à la dégénérescence pigmentaire. 2° Eftichie A... Notes
cliniques
. 60 ans, hémiplégie droite complète avec troubl
t également en réaction (fig. 6, PI. XXXIX). 3° Hélène T... Notes
cliniques
. 17 ans, hémiplégie gauche plus prononcée au me
tiers supérieur et dans le lobule paracentral. 40 Ana. G... Notes
cliniques
. - 75 ans, hémiplégie droite complète avec dysa
ormales ; d'autres sont en voie d'atrophie. Sa Alexandre C... Notes
cliniques
. 71 ans, hémiplégie gauche incomplète avec hémi
randes pyramidales de la couche sous-granulaire. 6° Jean P... Notes
cliniques
. - 60 ans, hémiplégie droite avec aphasie. Duré
us-granuleuses sont éga- lement en réaction. 7° Tudora I... Notes
cliniques
. 50 ans,hémiplégie gauche complète. Durée de la
le paracentral que dans la frontale ascendante. 8° Marie A... Notes
cliniques
.- 60 ans, hémiplégie gauche complète. Durée de
formée, présentant la dégénérescence pigmentaire. 9° Gh. 1... Notes
cliniques
. -48 ans, hémiplégie droite avec aphasie. Durée
s manifestes que dans le lobule paracentral. iûo Marin B... Notes
cliniques
. - 50 ans, hémiplégie gauche incomplète. Durée
etz, ni des grandes cellules sous-granulaires. 11° Betty J... Notes
cliniques
. 60 ans, hémiplégie droite complète avec aphasi
2, 3 et 5 ont disparu presque complètement. 12' Démètre J.. Notes
cliniques
. 71 ans, hémiplégie droite incomplète avec apha
e nombre des cellules normales est minime. 13° Joséphine M... Notes
cliniques
. -- 21 ans, hémiplégie gauche incom- plète, int
laires de la pariétale ascendante persistent. 14° Jean M... Notes
cliniques
. 46 ans, hémiplégie gauche complète. Durée de l
te et du lobule paracentral du côté droit. 15° Alexandre D... Notes
cliniques
. z 52 ans, hémiplégie gauche com- plète. Durée
rares cellules grandes sous-gra- nulaires. 16° Gherson B... Notes
cliniques
. - 7 ans, hémiplégie gauche avec trou- bles de
ellules présentent encore l'aspect normal. 17° Armenia B... Notes
cliniques
.- 35 ans, hémiplégie droite sans aphasie. Le ma
ore quelques cellules ayant l'aspect normal. 18° Anica N... Notes
cliniques
. 60 ans, hémiplégie gauche complète. Du- rée de
ale ascendante et du lobule paracentral droit. 19° Marin 13...Notes
cliniques
.- 87 ans ; 7 ans auparavant il a eu un ictus su
tantes est beaucoup plus grand. 388 MARINESCO 20° Leibu H...Notes
cliniques
.- 64 ans, hémiplégie gauche avec contracture in
AIRES 389 B. Paralysies PSEUDO-BULBAIRES. 4' Alexandre P... Notes
cliniques
. 45 ans ; il y a un an et demi que le malade a
ntes sont en réaction et beaucoup ont disparu. 2° Tudora J... Notes
cliniques
. - 64 ans,en octobre 1899 elle a un premier ict
e voit plus aucune trace des cellules de Betz. 3° Leanca S... Notes
cliniques
. 50 ans, en août 1898 un ictus suivi d'une hémi
atrophie sont plus intenses du côté droit. · 4° Sofia I... Notes
cliniques
. 60 ans, début avec ictus suivi d'hémiparésie d
s moyen et inférieur de la frontale ascendante. 5° Manda M... Noies
cliniques
. -41 ans, début lent trois ans avant l'exitus.
iers inférieur elles ont complètement disparu. 6° Mihail P... Notes
cliniques
. A eu un premier ictus il y a 4 ans suivi d'hém
s beaucoup de séries on n'en voit plus aucune. 7° Jean G... Notes
cliniques
. 46 ans ; premier ictus suivi d'hémiplégie droi
ons on ne voit plus trace de cellules de Betz. 8° Pauna T ? Noies
cliniques
. 45 ans, début lent ayant commencé six ans et d
. C. Paralysies par LÉSIONS IÉSENCÉPIIALIQUES. 10 Jean A... Notes
cliniques
. 30 ans, hémiplégie droite et paralysie fa- cia
ulaires. D. Paraplégies D'ORIGINE médullaire. 1° Chira P... Notes
cliniques
. 40 ans, paraplégie flasque consécutive à une f
moyen et inférieur de la frontale ascendante. 2° Nicolas M... Notes
cliniques
. 28 ans, paraplégie flasque consécutive à une f
action dans le reste des frontales ascendantes. 3° Pauna P... Notes
cliniques
. 28 ans, tétraplégie à la suite d'une lésion de
ULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 393 40 Tudora A... Noies
cliniques
. - 36 ans, paraplégie flasque consécutive à une
Le reste de ces circon- volutions est normal. 5° Ivan P... Notes
cliniques
. 20 ans, paraplégie flasque avec eschares multi
s dans les grandes cellules sous-graaulaires. 6° Moïse P... Notes
cliniques
. 40 ans, paraplégie au commencement spasmodique
us-gra- nulaires ne présentent pas de lésions. 7°EnacheD... Notes
cliniques
. - 5 ans, mal de Pott avec paraplégie spasmodiq
Pas de lésions dans les frontales ascendantes. 8° Albert J... Notes
cliniques
. - 7 ans, paraplégie flasque consécutive à un m
ut à fait supérieure des frontales ascendantes. 9° Marin G... Notes
cliniques
. - 19 ans, paraplégie spasmodique avec con- tra
cellules de Betz des lobules para- centraux. 10° Lilia B ? Notes
cliniques
. 56' ans, paraplégie au commencement spasmodiqu
phiées et pigmentées ou en chro- matolyse. 11° Démètre G... Notes
cliniques
. 20 ans, paraplégie-spasmodique à la suite d'un
celles de la frontale ascendante sont normales. 42° Savu T... Notes
cliniques
. - 26 ans, paraplégie spasmodique par com- pres
conservées, quelques-unes semblent altérées. 13° Lazar T... Notes
cliniques
. 45 ans, paraplégie à début spasmodique ensuite
elques pyramides géantes ont l'aspect normal. 14° Simon R...Notes
cliniques
. 62 ans, paraplégie spasmodique avec trou- bles
lésions dans les frontales ascendantes. 15° Constantin M... Noies
cliniques
. 41 ans, paraplégie spasmodique extrêmement acc
mentaire. E. SCLÉROSE latérale amyotrophique. 1° Cosma S... Notes
cliniques
. 45 ans, sclérose latérale amyotrophique, typiq
ntes sont con- servées (fig. 8, PI. XXXIX). 2° Georges D... Notes
cliniques
. 48 ans, avec atrophies intenses aux mem- bres
capsulaire. F. - AIYOTROPIIIE ARAN-UUCFIENNE. 1° Tili S... Notes
cliniques
. 27 ans, atrophies musculaires de la ceinture s
tales ne modifie pas ma façon de comprendre cette question, l'élude
clinique
d'un groupe de faits pathologiques pouvant parf
e bifide. On (l) BALZER et ALQUISR, Les dermatoses linéaires, étude
clinique
et pathogénique, Archi- ves générales de médeci
ra- cines poslérieures des nerfs, de la moelle et du cerveau. Et en
clinique
nous retrouvons constamment cette connexité ent
à faire connaître un cas récent, qu'il m'a été donné d'étudier à la
clinique
des maladies nerveuses, dirigée par le Professe
ues, et par conséquent sur l'examen objectif, et sur les critériums
cliniques
; b) Ceux où le diagnostic est appuyé par un ex
rtébrale'. Ces douleurs lombaires, comme cela résulte de l'histoire
clinique
, n'avaient pas le caractère lancinant, mais ell
le doigt était enfoncé de 1 cm. 5 entre les deux voisins et l'aspect
clinique
en tous point comparable à celui que nous avons
uersal. 446 CHEVALLIER ble bien mettre en évidence les caractères
cliniques
de la brachymétacarpie, mais l'absence de détai
sumé. Une femme, âgée de 40 ans, raconte que les premiers symptômes
cliniques
sont apparus 9 mois 1/4 avant l'opération exécu
dernière opinion. Si nous prenons en considération tout le tableau
clinique
de la maladie, dans lequel au premier plan ress
sent travail n'a pas pour but la description détaillée des tableaux
cliniques
des tumeurs intra-vertébrales. Nous voulons uniqu
ype de Brown-Séquard a pu prendre la première place dans le tableau
clinique
. Nous répétons encore une fois que le syndrome
e syndrome de Brown-Séquard n'est pas indispensable dans le tableau
clinique
des tumeurs méningées. Son absence même complèt
ard. Peu à peu les symptômes unilatéraux s'effa- cent et le tableau
clinique
se rapproche toujours de plus en plus du type d
ées (Ward, Boettiger). En décrivant tous les stades dans le tableau
clinique
des tumeurs méningées, nous avons voulu plutôt
Nous croyons que la connaissance de cette richesse de combinaisons
cliniques
facilitera le diagnostic dans les cas un peu co
e l'histoire de la maladie et le développement graduel du ta- bleau
clinique
et se basant sur cette connaissance, poser le dia
rause). La tumeur localisée dans la moelle dorsale donne un tableau
clinique
où les douleurs névralgiques et les paresthésie
'annonce la plupart du temps par un développement rapide du tableau
clinique
, par l'absence presque complète des douleurs, l'a
symptômes suivants : une intensité moyenne des douleurs, un tableau
clinique
rappelant la myélite aiguë ou subaiguë, le type a
rs intra et extramédullaires et indique les symptômes et le tableau
clinique
tout entier caractéristiques de chacune de ces de
de la tumeur intramédullaire doivent parler par contre un ta- hleau
clinique
irrégulier, l'apparition rapide de phénomènes ina
. Les douleurs peuvent prendre la place domi- nante dans le tableau
clinique
. Dans un cas de Batten les douleurs ont duré 10
gomyélie). Oppenheim et Stertz font encore remarquer que le tableau
clinique
de la tumeur mé- dullaire se complète grâce aux
érents. Nous croyons pourtant que plus s'enrichissent nos matériaux
cliniques
, plus nous sera facilité le travail de diagnost
presque complètement à l'endroit comprimé tandis que les symptômes
cliniques
sont très prononcés. Ce l'ait est souligné tout
hôpitaux en 1870, in- terne en 1871, médaille d'or en 1875, chef de
clinique
en 1877, médecin des Hôpitaux l'année suivante,
lorsque survint la disparition soudaine de Charcot. La chaire de
Clinique
des maladies du système nerveux, à la Salpê- tr
sa thèse de docto- rat (1876) : Etude anatomique, physiologique et
clinique
de l'hémichorée, de l'laémianestlaésie et des t
ferment de curieuses obser- vations psycho pathologiques. Enfin ses
Cliniques
de la Salpêtrière ont été réunies en plusieurs
unies en plusieurs volumes où sont amassés d'importants docu- ments
cliniques
, anatomiques et bibliographiques. 1 En prenant
miques et bibliographiques. 1 En prenant possession de la chaire de
clinique
des maladies du système NÉCROLOGIE 491 1 nerv
1899. A chaque séance, il faisait présenter plusieurs malades de sa
clinique
et les meilleurs travaux de son laboratoire. Me
rd. Il était commandeur de la Légion d'Honneur. , Dans ses leçons
cliniques
, le professeur F. Raymond apportait une conscie
sympathie. Le professeur Raymond s'est efforcé de suivre la méthode
clinique
1( ? trée par Charcot ; il y est resté fidèle d
après l'absolutisme de Charcot, une réaction était inévitable : en
clinique
, comme dans toutes les sciences biologiques, le
Marne). Le gérant : P. Boucncz. UNIVERSITÉ DE ROME CONTRIBUTION
CLINIQUE
ET ANATOMO- PATHOLOGIQUE A L'ÉTUDE DE L'APHASIE
les colorant avec l'hématoxyline (2). Je résume d'abord l'histoire
clinique
: D'Auria Pasquale, 60 ans ; sait lire et écrir
ongénitales, dont l'origine et la portée, aussi bien anatomique que
clinique
, sont encore loin d'être définitivement établie
, 22, 9 juin 1910. Institut D'G'TUD1;SSUPLRILilRES de Florence, ,
clinique
médicale générale dirigée par M. le Professeur
SOMIE ESSENTIELLE 11ÉRËDO-FAMILIALE. ' DISTINCTION DE CETTE forme
CLINIQUE
d'avec LES nanismes, ' LES infantilismes ET LES
e, ont été l'objet^ dans ces dernières années, de nombreuses études
cliniques
et inatomo-patholociques qui ont singulièrement é
cli- niciens de tous pays, qui en ont différencié plusieurs formes
cliniques
ayant probablement aussi une pathogénie différe
ôté de la catégorie des infanti- tilismes, une aulre grande famille
clinique
, celle des nanismes, beau- coup moins étudiée,
e et dont quelques formes échap- pent encore à toute identification
clinique
. C'est à ce chapitre de pathologie encore si in
si confuse des caractères différentiels entre les grandes familles
cliniques
des in- fantilismes, des nanismes et des micros
surrénale, et ces rares cas aussi présentent les carac- téristiques
cliniques
de l'infantilisme ; toutesces formes n'ontdonc au
termes qui loin d'être synonymes, expriment au contraire deux types
cliniques
n'ayant entre eux rien de commun, dans les cas pu
t rendre évidente la dis- tinction entre les trois grandes familles
cliniques
dont l'existence nous semble prouvée : c'est-à-
d'arrêt de développement t somatique,cependant que ces deux formes
cliniques
doivent étrenettement séparées par les caractèr
formes cliniques doivent étrenettement séparées par les caractères
cliniques
très nets qui les différencient dans les cas pu
tes maladies qui ont déterminé chez eux le nanisme, La personnalité
clinique
de ces trois grandes catégories de dystrophies
us trouvons juste tout ce que cet auteur dit àpropos des caractères
cliniques
propres aux sujets appartenant à la catégorie de
en que M. Pellizzi ils n'en dé- finissent aucunement les caractères
cliniques
. Voilà comme M. Launois s'exprime à ce sujet :
ypotrophique congénitale donne le plus souvent lieu soit au tableau
clinique
de l'idiotie, soit à celui de l'épilepsie pure.
n dans cette étude qui se rapporte à des sujets dont la physionomie
clinique
est donnée surtout par la microsomie, cependant
documents historiques et artistiques que sur de bonnes descriptions
cliniques
; en outre, les quelques observations que nous
'état de développement du squelette qui cons- titue une des données
cliniques
les plus importantes. Cependant nous avons cru
ique et leurs observations ne sont point détaillées au point de vue
clinique
, ce qui rend leur utili- sation impossible. C
uteur nous donne malheureusement très peu de renseignements d'ordre
clinique
sur ces individus qu'il dit normalement conform
ui nous in- téresse prouve suffisamment, à notre avis, qu'une étude
clinique
pro- fonde et systématique de cette forme de mi
ile étudié avec tant dé soin et avec un si parfait sens critique et
clinique
par M. De Sanctis. Cela nous entraînerait trop
a peine d'être lu en entier, car il nous donne la seule bonne étude
clinique
qui existe sur un cas que nous croyons devoir ê
avons à peine besoin de faire remarquerau lecteur que les documents
cliniques
sur cette dernière forme font complètement dé-
érédo-familiale, dont nous allons à présent donner les observations
cliniques
. Observation I (PI. LV11, LVIII) Magro Santo,
r les inférieurs, sont courts, mais ils sont harmonieux et l'examen
clinique
ne décèle pas d'iné- galité entre les os d'un m
tuberculeuse; tendance aux anomalies osseuses. Une des expressions
cliniques
, peut-on supposer, de la « dégénérescence atavi
on épiphysaire. Steinberg rappelle les recherches expérimentales et
cliniques
de Vogt (2), de Uffelmann (3) ; le développemen
pathogénie de la brachymélie métapodiale congénitale. L'analogie
clinique
est frappante entre cette affection et le doigt 1
e d'une bacillose foetale. Le raccourcissement est la conséquence
clinique
d'une lésion modérée du disque proliférant. Que
avant d'inciser la dure-mère. Il faut se rappeler que les symptômes
cliniques
peuvent dépendre non seulement de la compressio
e malade, atteint de sclérose en plaques, classique au point de vue
clinique
, existait une dissémination médullaire des plaque
re la sclé- rose périventriculaire dans la constitution du syndrome
clinique
. Au point de vue anatomo-pathologique, le fait
Privat-docent à l'Université de Genève, Médecin adjoint à l'asile
clinique
de Bel-Air (Genève). C'est à propos des recherc
iniquement. Je me bornerai à une simple esquisse des particularités
cliniques
de ces cas et je ferai une élude d'ensemble des
ble des renseignements [obtenus sur le malade, tant au point de vue
clinique
qu'au point de vue des données de l'autopsie.
des commémorati fs complets, c'est-à-dire des données étiologiques,
cliniques
et anatomiques, que l'on parvient à formuler un
les altérations aortiques analysées dans cette étude. OBSERVATIONS
CLINIQUES
. T ? cas. Il s'agit d'un homme de 42 ans, ayant
à l'asile : 2 mois. Il meurt dans un ictus paralytique. Diagnostic
clinique
et anatomique : Paralysie générale. Ce cas est
iformes. Son état psychique grave nécessita l'internement. L'examen
clinique
, confir- mé par l'examen anatomique, permit de
après trois ans de séjour, dans le marasme paralytique. Diagnostic
clinique
: Paralysie générale. L'AORTITE MOYENNE GOMME
IE ESSENTIELLE 11ÉRÉDO-FAMILIA LE. 4 DISTINCTION DE CETTE forme
CLINIQUE
d'avec LES nanismes, LES INFANTILISMES ET LES F
érature relative- à ce chapitre, qu'il n'existe pas un seul exemple
clinique
d'une micro- somie essentielle étudié systémati
ntielle étudié systématiquement par les modernes méthodes d'analyse
clinique
. L'observation détaillée de nos cas nous permet
longueur des extrémités inférieures. Afin d'établir les caractères
cliniques
propres à cette forme de microso- mie essentiel
ous permet de constater qu'il existe entre eux plusieurs caractères
cliniques
communs,soit positifs soit négatifs, caractères
t en commun et qui nous semblent pouvoir ai- der à l'identification
clinique
decette forme de nanisme. Chez les deux, en eff
ères phalanges des doigts. - Ayant ainsi décrit tous les caractères
cliniques
néga ti fs et posi ti fs (nor- maux et patholog
ulation métacarpo- phalangienne du pouce, ce qui constitue l'indice
clinique
d'une ossifica- tion absolument normale, car da
aits que nous venons d'énoncer. Nous sommes habitué à considérer en
clinique
que toutes les grandes dystrophies sont plus ou
u moins pour ce que nous savons aujourd'hui de leurs manifestations
cliniques
. Nous n'avons rien, en effet, qui puisse nous f
mation, c'est-à-dire considérer le nanisme total comme l'expression
clinique
extrême de l'infantilisme de Lorain. Ou bien
devraient présenter à un degré extrêmement prononcé les caractères
cliniques
d'infantilisme qui sont plus oumoins apparents
il vouloir engendrer une confusion déplorable entre les syn- dromes
cliniques
de l'infantilisme et de la microsomie pure. A)a
eux aucun de ces symptômes que nous sommes habitués à considérer en
clinique
comme d'origine dysthyroïdienne. - ' De quel
lue, il nous reste un fait fondamental qui ressort de l'observation
clinique
, c'est-à- dire que le défaut de tous les symptô
es nains sur lesquels malheureusement il il ne nousdonneaucundétail
clinique
; il seborneà dire : « L'infantilisme et le nani
é de la façon suivante : « L'hy- pothèse que ces différentes formes
cliniques
soient toutes dépendantes d'une lésion primitiv
ories unitaires ne nous semble suffisamment ap- puyée par des faits
cliniques
et anatomiques assez clairs,et nous croyons que
nt controversé de la ques- tion des nanismes. On parle souvent en
clinique
de nanisme mitral ; selon nous cette dé- nomina
e par MAL Klippel et Cha- brol. Eh bien ! toutes les observations
cliniques
sur lesquelles se fondent ces auteurs sont, sel
ue ces individus n'ont absolument rien qui puisse rappeler le cadre
clinique
du nanisme (voir surtout le malade de l'observa
ui nous semble être un exemple très inté- ressant d'une association
clinique
du syndrome infantilisme au syn- drome microsom
s, car le très jeune âge de ce sujet ne nous a pas permis une étude
clinique
complète. Notre deuxième sujet est un spécimen
s une étude clinique complète. Notre deuxième sujet est un spécimen
clinique
à tout point de vue très intéressant; issu d'un
pas de doute,en effet,que notre petit sujet nous représente un type
clinique
différent de celui qui nous est montré par le pèr
ard léger de la seconde dentition. D'autre part bien des caractères
cliniques
propres à l'infantilisme de Brissaud font défau
du syn- drome microsomie, est la cause de l'anornzalité du tableau
clinique
qui nous est offert à ce sujet. Nous affirmon
ROSOMIE ESSENTIELLE HNRKDO-FAMILIALE 683 ments de différenciation
clinique
entre les trois grandes catégories des dystroph
rchivio di Ortopedia, 1908, fasc. 2. Dwust. et Philippe. Extrait de
clinique
, Bruxelles, 2 août 1902, n° 31. Garnier. Les na
ite gommeuse (2 pi.), par CH. LADA3]E, 622. Aphasie [Contribution
clinique
et anatomo- pathologique de l'- chez les gauche
ison) (1 pl.), par MAR- CHAND, 135. Familiale dégénérative (Etude
clinique
sur trois cas de maladie - du système ner- ve
me ner- veux) (3 pl.), par BERTOLOTTI, 97. Gauchers [Contribution
clinique
et ana- tomo-pathologique de l'aphasie chez les
rosomie essentielle hérédo- familiale. Distinction de celte forme
clinique
d'avec les nanismes, les - et les formes mixtes
(Contribution à la connaissance de la . Distmction de celte forme
clinique
d'avec les nanismes, les infantilismes et les
(Etudes sur les -) (4 pi.), par André-Thomas, 562. Nerveux (Etude
clinique
sur trois cas de maladie familiale dégété ? ,at
énie), par Bernard, 224. Syphilis cérébrale précoce (Observations
cliniques
sur la et maligne), par COSTANTINI, 286. Tabé
l'étude du gi- gantisme acromégalo-infantile (4 pl.), 1. 1. Eludé
clinique
sur trois cas de mala- die familiale dégénérati
tions digitales (13 pl.), 233,429, 5-il, 685. CosTwTm. Observations
cliniques
sur la syphilis cérébrale précoce et maligne,
microsomie essentielle héredo-familiale. Distinction de cette forme
clinique
d'avec les nanismes, les infantilismes et les f
ans la sclérose en plaques (1 pi.), 613. Mingazzini. Contribution
clinique
et ana- tomo-pathologique à l'étude de l'apha-
héréditaire ? Quatre cas d'achondro- plasie chez des adultes, étude
clinique
et radiographique (10 pl.), 244. Zoom. Un cas
es de cette circulation collatérale par voie nerveuse ou les signes
cliniques
qui pourraient la révéler. Mais, dans ce champ
dents nerveux, reconnaissent, sans doute, une telle pathogénie. 1
CLINIQUE
MENTALE DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUT
ation de cet intéressant persécuté. Voir Ann., jan- vier 1882. 36
CLINIQUE
MENTALE. jamais nié; mais ces idées venaient et
st, depuis 188C, séquestré à Charenlon. Déjà, avant le crime, il 38
CLINIQUE
MENTALE. , avait été, pendant plusieurs mois, t
e nette et définie; cependant cela me semble peu pro- bable. , 40
CLINIQUE
MENTALE. · Il en est autrement du malade dont j
an- deur, in Ann., mars 1890. Doutrebente, Id., mai 1890. 42 , ..
CLINIQUE
MENTALE. > ' son argumentation. J'éviterai à
comme hiver, il couche la fenêtre ouverte; je n'en finirais pas 44
CLINIQUE
MENTALE. d'énumérer ses bizarreries; cependant
Il finit par m'expliquer que être sère, c'est être pris par der- 46
CLINIQUE
MENTALE. rière (pédérastie) : c'est là ce qu'on
ut-être une explication plausible des diffé- rences d'aspect que la
clinique
nous fait découvrir chez les persécutés. - PA
USE ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ'; (TRAVAIL DE LI
CLINIQUE
DE M. LE PROFESSEUR CHARCOT) PAR R Georges GU
E PROFESSEUR CHARCOT) PAR R Georges GUINON, A. SOUQUES, Chef de
clinique
. Interne (médaille d'or) des hôpitaux. III. N
n 66, p. 305. ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 49 à la
clinique
, soit dans la clientèle privée de M. le pro- fe
cune altération appréciable. Depuis son entrée dans le service delà
clinique
, le malade a été soumis au régime et au traitem
arfaitement établie. Elle repose du reste sur ce fait d'observation
clinique
que les juifs sont particulièrement atteints de
émorrhagie du cerveau, suivie de ramollissement 1 )) ? . Trousseau.
Clinique
médicale, 5° édit., t. II, p. 812. Archives, t.
citer des exemples personnels. Mais nous voulons faire une place
clinique
aux cas d'association, qui la méritent bien. '
dans aucun d'eux, éliminer le diagnostic de tabes. » (A suivre.)
CLINIQUE
NERVEUSE HOSPICE DE la Salpêtrière. SERVICE DE
MALADIES DES CENTRES NERVEUX ' ; MESSIEURS, . Les hasards de la
clinique
ont réuni dans le service un certain nombre de
un extrait dans la Semaine médi- cale du 15 septembre 1886. - 70
CLINIQUE
NERVEUSE. du palais, pharynx, etc. Au point de
, peut, sans changer de caractère nosographique et de signification
clinique
, se présenter sous des formes très variées, trè
Chorée du larynx (Gazette hebdomadaire, n 42, p. 692, 1883). - 12
CLINIQUE
NERVEUSE. donnée en 1854, de la toux hystériq
s l'acception la plus étroite du mot des phénomènes d'hystérie 74
CLINIQUE
NERVEUSE. locale. Ils ont, en d'autres termes,
es furent au pis. Alors survinrent de l'insomnie, de l'inappé- 76
CLINIQUE
NERVEUSE, tence, des crises convulsives et déli
i ont été caractérisés, paraît-il, par le médecin, sous le nom 78
CLINIQUE
NERVEUSE. d'embarras gastrique et c'est huit jo
atoire et non expiratoire. Le bruit se répète à toute heure du 80
CLINIQUE
NERVEUSE. jour, sans cesse et sans trêve ; il n
fortune, et aussi dans le paramyoclonus multiplex, dont mon chef de
clinique
M. Marie vous pré- sentait naguère un beau spéc
's Hand- 61(c/i,XXI,Bd. 2, p. 408. , . Archives, t. XXIII. 6 82
CLINIQUE
NERVEUSE. ne pas confondre les exclamations, cr
t de per- sonnes, éduquées, bien élevées. Le nommé Bont...che, 84
CLINIQUE
NERVEUSE. : que je vous présente, à ce propos, co
artificiellement endormie, t Traité de l'hystérie, 1). 317. - 86
CLINIQUE
NERVEUSE. présente les phénomènes du grand hypn
a donc a établir ici une importante distinction nosographique et
clinique
sur laquelle j'appelle toute votre attention. L
rganes sensoriels fonctionnent très régulière- ment. Cet ensemble
clinique
met l'hémiatrophie faciale progressive, dans ce
rva- tion de Homen) peuvent également déterminer le même syndrome
clinique
. Il est probable qu'une analyse détaillée pourrai
(arc. f. Psych., XXII, 1.) Observation complète (au point de vue
clinique
et analomo-pa- thologique) d'aphasie sensoriell
vidu dont le cervelet pesait seulement 80 grammes. ' 2° Des faits
cliniques
et anatomo-pathologiques recueillis dans ce tra
e part, les altérations tabétiques n'ont pas déter- miné le tableau
clinique
du tabes syphilitique, mais la présence, au voi
diminuée dans tous ses modes. La marche de la maladie et l'ensemble
clinique
militent en faveur d'une lésion centt'.1le.A l'
s supérieur de la protubérance peuvent se traduire, au point de vue
clinique
, par les mêmes symptômes que les lésions de la
lui-même ne paraît pas démonstratif. Que de fois, alors que le type
clinique
semblait être myopathique, ne trouve-t-on pas d
ntral, par E. SIEUERLING. (Archiv f. Psychiat., XXII, 1-2.) Etude
clinique
et anatomo-pathologique de trois observations de
é reprise au cours de ces dernières années, et, dans la psychiatrie
clinique
de Schüle, nous retrouvons de nouveau deux form
ariétés de la forme aiguë. En résumé, à mesure que les observations
cliniques
se sont accu- mulées, on a vu se produire la te
présente une série d'observations de la forme aiguë prises dans la
clinique
du pro- fesseur Mierzejewski. Le caractère gé
P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 119 III. Observations
CLINIQUES
DE l'asile provincial d'aliénés DE KREUZ80URG ¡
ui comporte quelques exceptions. ' M. -B. BIBLIOGRAPHIE 1. Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, d'après l'enseign
sant, que cet exposé n'est pas exclusivement dogmatique, mais aussi
clinique
; les méthodes d'investigation s'y trouvent décri
liés au dynamisme cérébral. L'auteur repousse l'opinion de l'entité
clinique
de l'athétose double, qu'il considère comme une
; Faucher, médecin de l'asile de la Charité; Pierrot, professeur de
clinique
mentale; suppléant, Dr Fabre, médecin de l'asil
ier, pharmaciens des hôpitaux; Quesneville, pharma- cien de l'Asile
clinique
, et Thibault. 19 candidats se sont fait ins- cr
II. Mars 1892. -. N" 68. 1 s 1 .. , 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE '.
CLINIQUE
NERVEUSE SUR UN CAS DE PARALYSIE GENERALE PROGR
ue dans le n" G du Mercredi Médical. Archives, t. XXIII. 10 146
CLINIQUE
NERVEUSE. pie, que de pouvoir constater la para
gé de seize ans, a été admis à la Salpêtrière dans le service de la
clinique
, le 20 décembre 1891. Antécédents héréditaires.
ides progrès, que l'intelligence s'affaiblit de plus en plus. 148
clinique
NERVEUSE. Il y a deux mois environ, on s'est ap
ion notable des réilexes rotuliens, sans trépidation spinale. 150
CLINIQUE
NERVEUSE. - On ne constate pas de troubles de l
rédi- taire soit acquise, ni une autre maladie infectieuse ne 152
CLINIQUE
NERVEUSE. sauraient être invoqués dans le cas p
e passer comme dans la paralysie générale des femmes. Il en a 154
CLINIQUE
NERVEUSE. été ainsi dans des observations préci
1 Marcé. - Traité pratique des maladies mentales, 1862, p. 469. 156
CLINIQUE
NERVEUSE. conforme à la réalité des choses, qu'
en tant que entité morbide spéciale, dans nombre de circonstances
cliniques
, l'aliéné est poussé au meurtre. Ces circonstan
tances cliniques, l'aliéné est poussé au meurtre. Ces circonstances
cliniques
, on est arrivé à les bien limiter, on a reconnu
nes psychoses et qu'elle ne se manifeste que dans des circonstances
cliniques
bien détermi- nées. , Quelles sont maintenant
me. Nous devons nous : naintenir absolument dans le domaine de la
clinique
, et nous n'aborderons aucun problème d'ordre sp
E ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ 1 ; (TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
DE M.' LE PROFESSEUR CHARCOT) PAR GEORGES GUI
' LE PROFESSEUR CHARCOT) PAR GEORGES GUI\0, A. SOUQUES, Cher de
clinique
. Interne (médaille d'or) des hôpitaux. IV. Il
chacune de nos obser- vations. - Deux cas peuvent se présenter en
clinique
: tantôt, au cours d'un diabète authentique, su
tés distinctes sont en jeu, ou bien une seule. C'est là un problème
clinique
dont la solution exacte intéresse à la fois le
èvent du vrai tabes ou du pseudo-tabes diabétique. Mais le problème
clinique
se présente en outre sous cette seconde face :
ut s'adresser pour arri- ver à la probabilité, sinon à la certitude
clinique
. La glycosurie diabétique s'accompagne générale
ut. Nous voici en mesure de répondre aux diverses exigences de la
clinique
et du problème qui doit être posé et résolu de
la marche à suivre pour arriver à la solution de ce double problème
clinique
. Nous nous croyons, en conséquence, pleinement
ène symétrique des extrémités a présenté très exactement le tableau
clinique
décrit jadis par Maurice Raynaud ; il est à rem
bsence de faisceau pyramidal. ' Il y a en somme analogie entre la
clinique
humaine et l'expéri- mentation animale. Il n'es
ations avec autopsie et même avec examen microscopique. L'évolution
clinique
, d'une gra- vité exceptionnelle, permettait de
t pas complètement abolie. M. le Dr MOUR.ATOFF présente une étude
clinique
et anatomique détaillée d'un cas de paralysie a
e, une demi-année après le début de la mala- die. A son entrée à la
clinique
: nerfs douloureux à la pression et oedème des
neuro-musculaire. En Archives, t. XXIII. 17 258 bibliographie.
clinique
, il importe avant tout de déterminer le locus mor
cation anatomique du Dr Mouratoff. Un certain ensemble de symptômes
cliniques
caractérise mieux l'action d'un agent morbide q
'importance de la classifi- cation anatomique pour une appréciation
clinique
plus exacte de différents cas. P. KËRAVAL. BI
aitement sont intimement liés à la solution exacle de ces problèmes
cliniques
. Cette question des syndromes hystériques « sim
ls présentent ainsi réunis, au point de vue de la pathologie, de la
clinique
, de l'ana- tomie pathologique, etc.) contribue
édecin- adjoint : M. Legras; Internes : Lutas et ViGouRoux. Asile
clinique
(Sainte-Anne), Directeur : M. le DT TAULE ; - S
. Internes : MM. PÉCIIARYAN et TARGOWLA. - Service de M. le P BALL (
clinique
). Chef de clinique : M. P.\CTET; Chef de cliniq
CIIARYAN et TARGOWLA. - Service de M. le P BALL (clinique). Chef de
clinique
: M. P.\CTET; Chef de clinique adjoint : M. SOL
de M. le P BALL (clinique). Chef de clinique : M. P.\CTET; Chef de
clinique
adjoint : M. SOLDER ; Interne : M. BOETEAU. Ser
terne : M. DAGONET, médecin-adjoint de l'Asile. - Laboratoire de la
clinique
. Chef : M. le Dr BLIPPEL ; Aides : MM. BOETTAU
ollicité au mois de novembre l'internement de votre fille à l'Asile
clinique
. Est-ce exact ? . R. Oui, monsieur. - 111 ? D
n arrêté ordonnant le transfert de 1\plue Louise Dourches à l'Asile
clinique
où elle fnt examinée par le D'' Magnan, puis en
ncs; clôture du concours : 1er février 1893. Elucider par des faits
cliniques
et au besoin par des expériences, la pathogénie
nvier : Le docteur Bérillon a donné hier matin, à neuf heures, à la
clinique
de la rue Saint-André-des-Arls une très curieus
ges. Washington, 1891. Gover- nment printing office. c Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
imp.- 32. Vol. XXIII. Mai 1892. Nu 69, ARCHIVES DE NEUROLOGIE-
CLINIQUE
MENTALE. SOMNAMBULISME SPONTANÉ DANS SES RAPPOR
que la démonstration scientifique reposait tout entière sur l'étude
clinique
, je cherchais de nou- veaux malades pour multip
clientèle dont il voyait l'état s'ag- ARCU1VES, t. XXIII. 19 290
CLINIQUE
mentale. graver chaque jour; et me demanda de l
nt nous allons retracer les caractères les plus manifestes. 292 ' '
clinique
mentale. Après une demi-heure de sommeil, la je
ble,.elle se lève pour tout remettre en place, puis se couche à 294
CLINIQUE
MENTALE. , côté de sa mère, et passe une excell
Sur ce, elle se lève rapidement, se couvre d'un jupon, approche 296
CLINIQUE
MENTALE. une chaise de sa table, et mange avec
se riait de leurs efforts, et ridiculisait très spirituelle- 298
CLINIQUE
MENTALE. ment leurs personnes. Son médecin lui-
écédait les crises, à cette différence près que ce sommeil ne 300
CLINIQUE
MENTALE. durait jamais plus de cinq minutes, pu
it de la singularité de sa maladie; de lui répondre si elle lui 302
CLINIQUE
MENTALE. disait qu'elle ne guérirait pas - qu'e
t bap- tisées du nom d'extraordinaires ! ! ! Basés sur ces études
cliniques
, sur ces observations et sur quelques autres du
voir : que ces manifestations multiples dérivent de la grande 304
CLINIQUE
MENTALE. névrose; et dire que : quelle que soit
erment et se dévelop- pent sur un fonds commun, l'hystérie. Asile
clinique
(SAINTE-ANNE). M. Magnan HÉRÉDITAIRES DEGENERES
qui fut emprisonné pour avoir, poussé Archives, t. XXIII. DU 30()
CLINIQUE
MENTALE. par sa perversion sexuelle, volé des c
onc faire entrer dans le groupe des hérédi- taires ces faits que la
clinique
désigne, quoique assu- rément la dénomination d
sisti- blement poussé à compter et à recompter les fleurs, : 'iU8
CLINIQUE
MENTALE. les lignes d'une tapisserie, et il eut
ue, aplatie d'avant en arrière. HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 309 310
CLINIQUE
MENTALE. Le front est plat sur toute son étendu
nt libre sur la zone des centres sensoriels et des instincts. 3t2
CLINIQUE
MENTALE. Les physiologistes ne sont pas d'accor
cord sur le siège précis des différents centres perceptifs; mais la
clinique
et l'anatomie pathologique ont fourni déjà de p
est de même pour le centre dépositaire des images visuelles que la
clinique
permet de localiser sur le pli courbe. Quand ce
cts et comme ils sont privés du contrôle et de l'action modé- 314
CLINIQUE
MENTALE. ratrice des centres -supérieurs, ils s
etta, notre grand patriote, notre puissant orateur, quoique 316 '
CLINIQUE
MENTALE. le poids du cerveau ne dépassât pas la
ens actuels d'inves- tigation, car les troubles fonctionnels que la
clinique
révèle sont tellement nets, ils ont un tel air
était épileptique et avait des crises qui étaient suivies de 318
CLINIQUE
MENTALE. délire et d'actes inconscients. Enfin,
de con- duite, elle est entrée dans uu' couvent. La mère est 320
CLINIQUE
MENTALE. bien portante. L... aurait eu le carre
catrices presque entièrement effacées. Archives, t. XXIII. 21 322
CLINIQUE
MENTALE. HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. Quelquefois, i
jours les mêmes, quelle que soit l'étrangeté de ce syn- drome.
CLINIQUE
NERVEUSE. Clinique DES Maladies DU système NERV
uelle que soit l'étrangeté de ce syn- drome. CLINIQUE NERVEUSE.
Clinique
DES Maladies DU système NERVEUX. M. CHARCOT. L'
e comme àla pathologie. Ily ades doctrines proprement psycho- 324
CLINIQUE
NERVEUSE. logiques qui sont passées dans l'ense
ue M. Charcot ait désiré entendre exposer dans l'amphithéâtre de la
clinique
des études nouvelles sur l'état mental des hyst
chologiques ne s'écarteront pas de la vérité médicale, de la vérité
clinique
, à laquelle tout ici doit être subordonné. Je s
de tous que j'ai rencontrées ici, m'a rendu cher le service de la
clinique
, et si mes humbles travaux peuvent ajouter quelqu
s ici même pour rester toujours dans la spéculation abs- l' 326 '
CLINIQUE
NERVEUSE. traite. Je vous décrirai des faits et
vérifier nos suppositions. Partir de la cli- nique et revenir à la
clinique
en traversant pour un moment le champ des hypot
, que je n'ai pas la prétention de vous décrire tous les caractères
cliniques
de cette anesthésie que vous connaissez parfait
le faire dans une leçon. 'Mesnet. - Automatisme, 1871, p. 19. 32
CLINIQUE
NERVEUSE. ' que la lampe apportée par elle avai
tomatisme psychologique, p. 287. 'Gilles de la Tourette. - Traité
clinique
et thérapeutique de l'hysté- l'ie, 18 ! H, p. 1
cit., t. I, p. î 4, et Gilles de la Tourelle, op. cit.. p. 161. 330
CLINIQUE
NERVEUSE. fait souvent autrefois, qu'elles port
vec un rétrécissement double de 1° ? Est-ce que Messieurs les 332 '
CLINIQUE
NERVEUSE. .médecins oculistes ont suffisamment
tout le corps et ne présentait plus nulle part aucune trace du 334
CLINIQUE
NERVEUSE. sens musculaire. Comme une malade que
médical, 1889, p. 777. 1 Revue de l'hypnotisme, 1887, p. 68. 336
CLINIQUE
NERVEUSE. suivi des recherches dans le même sen
'on la cons- tate et qu'on l'admet couramment dans les observations
cliniques
. Archives, t. XXIII. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE
mment dans les observations cliniques. Archives, t. XXIII. 22 338
CLINIQUE
NERVEUSE. un tampon à tenir et avecl'autre tamp
s ? Berthe a-t-elle un champ visuel rétréci ? Ce sont des questions
cliniques
que je .vous pose et vous voyez que leur intérê
l faut sortir de ces explications grossières et puisque l'in- 340 '
CLINIQUE
NERVEUSE. sensibilité comme la sensibilité sont
ec la notion vaste et antérieure de la personnalité : Fig. 1. 342
CLINIQUE
NERVEUSE. C'est seulement après cette opération
ans se préoccuper des impressions tactiles qui con- Fig. 3. ' 344
CLINIQUE
NERVEUSE. tinueront à l'assaillir; au deuxième
n l'a démontré l'année 'Cf. Pitres, op. cit., t. I, p. 71. 1. 346
CLINIQUE
NERVEUSE. dernière au moyen d'un appareil fort
la main gauche un petit bou- 1 ri 1/1011/. l ? ych,, p, 295. 348
CLINIQUE
NERVEUSE. quet de fleurs, et vous m'avez fait s
it, qui était tout à l'heure sensible, et elle ne s'en aperçoit 350
clinique
nerveuse. aucunement. Son champ de conscience s
lec- tivité, le groupement plus ou moins grand des phénomènes 3n2
CLINIQUE
NERVEUSE. subconscients qui peuvent faire varie
e vaso-dilatation qu'il est possible d'évaluer approximativement en
clinique
par le cya- nose de la face; - 20 d'idiosyncras
il faut encore montrer que le meurtre en question est un phénomène
clinique
, faisant partie d'un état mental morbide connu,
infirme dont je viens de parler, du cerveau en dégénérescence.' La
clinique
apprend, en effet, que les impulsions de ce gen
la fois sur l'observation et sur l'expérience, c'est-à-dire sur la
clinique
et sur la physiologie cérébrale. La forme de
ur qu'il soit, dès à pré- sent, permis d'en déduire des conclusions
cliniques
. .Archives, t. XXIII. 25 RECUEIL DE FAITS.
ssoires; elles peuvent alors modifier considérable- ment le tableau
clinique
de la mélancolie. Peut-être bien qu'ici il ne s
celle-ci existe et imprime de même un caractère spécial au tableau
clinique
, il y a lieu de rechercher si la mélancolie n'e
s nerveux n'ont en rien pris part au pro- cessus. Au point de vue
clinique
, tare héréditaire, symptômes d'hyper- pression
illettes de, 'quinze et seize années, l'au- teur a constitué l'état
clinique
suivant. Epilepsie Jacksonnienne unilatérale av
s-corticaux. Mais Munk, par la physiologie, et les médecins, par la
clinique
montrent que, lorsque les centres sous-corticau
de quelques malades atteints de névrose traumatique. De cette étude
clinique
, M. Freund tire que, de même que Charcot, il ne
1.V° SESSION A BRESLAU. Séance du 2 mars 1881. M. Lissauer. Elude
clinique
et anatomique des symptômes de lésions en foyer
ies générales à complexus ordinaire peu accusé, tandis que l'aspect
clinique
sera celui de l'épilepsie Jacksonnienne, de l'a
alysie des muscles postérieurs; il explique pourtant les phénomènes
cliniques
qui BIBLIOGRAPHIE. 441 viennent d'être mentio
spéciale de la lésion cérébrale. BIBLIOGRAPHIE. VII. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
lte voie thérapeutique. La seconde partie du mémoire, intitulée :
Clinique
et anatomic pathologique, fourmille d'observati
a des paraplégies, il y a des idioties. L'idiotie est le complexus
clinique
ultime qui succède à BIBLIOGRAPHIE. 443 des l
examen et de diagnostic nécessaires. Se basant exclusivement sur la
clinique
, MM. Blocq et Onanoff ont suivi l'ordre dans le
art des chapitres, on trouvera, à côté de considéra- tions purement
cliniques
, un examen critique des opinions pro- fessées p
re philosophique, que beaucoup regardent à tort comme inutiles à la
clinique
. 444 VARIA . On trouvera tout particulièremen
s avaient été strictement limitées aux anciens internes et chefs de
clinique
de M. Charcot et aux chefs de services auxiliai
e clinique de M. Charcot et aux chefs de services auxiliaires de la
clinique
des maladies nerveuses (électrothérapie, ophtal
les de la Tourette (1884) ; G. Guinon (1885) et l3abinslci, chef de
clinique
; Berbez (1886); Blocq (1887); - Huet (1888) - D
menait de front, se completant, s'expliquant l'une par l'autre, la
clinique
et l'anatomie pathologique. La pièce qui nous s
t de nos grands médecins, et dont le plus éminent est Laënnec. La
clinique
pure est aussi, elle, une science, car elle possè
ouvelles seront déterminées; mais là, le plus souvent, nos méthodes
cliniques
n'ont pas la rigueur des méthodes employées en
ensée humaine, on appelle le génie, la faculté de trouver les faits
cliniques
nouveaux, de les comparer entre eux et avec les
hommes, qui vous entourent, sont venus se former, est-elle l'Ecole
clinique
par VARIA. 447 excellence des maladies nerveu
ge au peu de progrès que la médecine proprement dite a faits par la
clinique
pure depuis cinquante ans, on admire davantage
ument nouveau, comme laryn- goscope ou l'ophtalmoscope, la médecine
clinique
proprement dite est restée très stationnaire. J
ication de l'histo- logie ou de la bactériologie, mais j'entends la
clinique
proprement dite. Eh bien ! quels progrès a-t-el
é de tous ces vaillants qui, à des titres divers internes, chefs de
clinique
, chefs de laboratoire, etc. se sont, depuis tre
c'est encore presque une nouveauté, dans ce temps-là, d'éclairer la
clinique
et de la transformer même, si possible, sans ja
NIE1\. Int. : MM. Lucas et Vigoureux. faits DIVERS. 457 2,° Asile
clinique
(Sainte-Anne). Service de M. Magnan (admis- sio
on). Int. : MM. Pécharman et Targowla. Service de M. le prof. BALL (
clinique
;. Chef de clinique : M. Pactet. Chef de clin. adj
harman et Targowla. Service de M. le prof. BALL (clinique;. Chef de
clinique
: M. Pactet. Chef de clin. adj., M. Sollier. In
rothérapique externe. - Méd.-adj., M. DA- GaN ET. Laboratoire de la
clinique
. Chef, M. KLIPPEL. Aides : MM. Boëteau et Champ
dans la 3° classe. (Arrêté du 24 février.) Le Dr PACTET, chef de la
clinique
des maladies mentales à l'asile Sainte-Anne (1er
rleret, âgé de trente-deux ans, docteur en médecine, ancien chef de
clinique
ophtalmologique, habitant Lyon, rue Saint-Josep
rès médical. Pour les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.).
Clinique
des maladies du système nerveux de la Salpétriè
-90 et 1890-91, publiés sous la direction de Georges GUION, chef de
clinique
, avec la collaboration de MM. GILLES DE la TOUH
cal. Pour les abonnés des Archives, 8 fr. Bourneville. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie l'hystérie et
onnés : 6 fr. DUCHESNEAU (G.). Contribution à l'étude anatomique et
clinique
de l'acromégalie et en particulier d'une forme
psychopa- thie dans la , par Kurella, 439. Bibliographie : traité
clinique
et thérapeutique de l'hvstérie, par Gilles de
et observations sur l'idio- ! ie, par Bourneville, 261 ; recherches
cliniques
et thérapeu- tiques, sur l'épilepsie, l'hystéri
RGOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE M.I. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des mendies du système nerveux à à la Facul
ET PATHOLOGIQUES 3 ; Par le D" SERGE SOUKIIANOFF, , Médecin de la
clinique
psychiatrique de Moscou. II La vie psychique,
de Little appliqué à ce cas; mais ce n'est là que le diagnostic
clinique
, quel est le diagnostic anatomi- que, de quel
o- trophique, à début bulbaire. Mais ce n'est là qu'un diagnostic
clinique
les relations qui existent entre la paralysie lab
l'atrophie musculaire doit être faite sur- tout par le point de vue
clinique
, les symptômes sont autres, autres surtout le m
rmer le diagnostic de sclérose latérale amyotro- phique, diagnostic
clinique
n'impliquant pas anatomiquement, malgré leur ét
(Normandie médicale, n° 2. 1896.) Crises typiques au point de vue
clinique
survenant chez un homme de quarante-cinq ans :
glutition ; le 28 juillet de l'année 1893, à l'entré du malade à la
clinique
des maladies nerveuses, on constata : un abaiss
alade s'améliora graduellement. Le 28 septembre le malade quitta la
clinique
et revint à ses occu- pations habituelles; mais
s; mais le 27 janvier de l'année 1894 il entra de nouveau à la même
clinique
dans un état encore plus grave et pour cette fo
CIÉTÉS SAVANTES. fut que le 4 octobre 1894, que le malade quitta la
clinique
. pour reprendre ses occupations. Au mois d'octo
ix. Le 4 octobre de l'année 1894, lorsque la malade fut placée à la
clinique
des mala- dies nerveuses, outre les phénomènes
. Uu côté des yeux (l'examen a eu lieu à SOCIÉTÉS SAVANTES. 75 la
clinique
des maladies des yeux), on constate une faiblesse
ut distinguer que le goût salé. Pendant le séjour de la malade à la
clinique
, il y avait une oscillation continuelle de tous
après un mois. Le cas donné, d'après l'auteur, présente un tableau
clinique
très compliqué et de certaines particularités,
phie qui restait sta- tionnaire pendant le séjour de la malade à la
clinique
, les jours derniers commença à diminuer et au l
Mouratoff. Paralysie cérébrale bilatérale congénitale, comme entité
clinique
. Le rapporteur a observé douze cas de maladie 7
upérieur. Six semaines après le premier accès, elle fut placée à la
clinique
de M. le privat-docent, G. Rossolimo et le jour m
FF, A. FOKARSKY. Archives, 2e série, t. IV. 6 BIBLIOGRAPHIE. I.
Clinique
des maladies du système nerveux (2° série); par l
méthode si fructueuse de son maître Charcot, M. Raymond part de cas
cliniques
, rappro- chés et discutés, pour établir l'état
changé singulièrement la face de cette question. A propos d'un fait
clinique
des plus intéressants (pendant une première pér
des affections du neurone moteur péri- phérique. Si sur le terrain
clinique
il y a intérêt pratique à distin- guer ces mala
tions est considérable. Le professeur Raymond étudie d'abord un cas
clinique
de polynévrite sulfocarbonée, les para- lysies
très souvent de troubles de l'intelligence et revê- tant les formes
cliniques
variés de poliomyélite antérieure, de pseudo-ta
La seconde partie de l'ouvrage est consacrée à l'analyse de faits
cliniques
isolés. La XIX" leçon est consacrée à une paralys
vements a donné à son auteur des résultats très satisfaisants. A la
clinique
de la Salpêtrière ce traitement a été systématiqu
térieurs du même auteur, est frappé au coin de la bonne observation
clinique
; les recherchet dirigées avec l'habileté, la p
chline (de Paris) : « Communication sur un sujet de neuropathologie
clinique
. » Professeur J. Crocq (de Bruxelles) : « Un no
hie sur la question. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Aimi : (IL). Élude
clinique
du dynamisme psychique. - In-8° de 258 pages. P
francs. Paris, 1897. Librairie 0. Doin. BOUIiNGVILLC. Teclzerclres
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
hors texte. Napoli, 1897. Rifornza medica. MASSY (A.l. Formulaire
clinique
d'électrothérapie spéciale appli- quée. Volume
rlin, 1897. Verlag von S. Karger. 96 AVIS A NOS abonnés. RAYMOND.
Clinique
des maladies du système nerveux (hospice de la
, imp. - 791. Vol. IV. Août 1897. N° 20. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. CLINIQUE médicale DE l'hôpital SAINT-
IV. Août 1897. N° 20. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE.
CLINIQUE
médicale DE l'hôpital SAINT-ELOI DE MONTPELLIER.
LEÇONS cliniques' recueillies ET publiées Par le Dr VEnEL, chef de
clinique
. . Messieurs, A propos de plusieurs malades
? 189G, 1" série, p. 28 à 187. Archives, 2''surie, t. IV. 7 98
CLINIQUE
NERVEUSE. vation, presque de création, est cara
es des racines antérieures et postérieures; mais la neuropathologie
clinique
était bien embryonnaire : vous en jugerez par l
ode a été si puissamment féconde que, sur bien des points, c'est la
clinique
qui a ouvert la voie de la physiologie elle-mêm
ériphériques, in Clin, (les du syst. nerf., 9c série, lss7. , iuo
CLINIQUE
NERVEUSE. tables à une intoxication ou à une in
rio-scléreux, in Lef. (le clin, méd., 1" sétic, 1891, p. 522. 104
CLINIQUE
NERVEUSE. râles ronflants et sibilants dissémin
reaux (Hôtel-Dieu) : arthritisme. -Avril 1895, Cornil (Hôtel- 106 '
CLINIQUE
NERVEUSE. Dieu) : encéphalomyélite. - Juillet 1
peu d'hypesthésie de la cornée. A la face dorsale du deuxième 108
CLINIQUE
NERVEUSE. orteil gauche existe une ulcération a
pancréas cirrhose, (le-1. 7t ? i Wocli, 1896, p. ` ? oui,) Il (1
CLINIQUE
NERVEUSE. n° 33 de la salle Fouquet un tabétiqu
rt sur le traitement du tabes au Congrès de Moscou (1897). 11 : 2
CLINIQUE
NERVEUSE. De plus, si l'on peut placer dans ce
(monts. méd., 1880, XLIV, 483). Aucuives, 2e série, t. IV. 8 114
CLINIQUE
NERVEUSE. D'autres causes collaborent souvent a
s, s'engourdissent facilement ; et les crampes sont fréquentes Ho
CLINIQUE
NERVEUSE. dans les mollets. Il n'y a ni paralys
die bradytrophiques) dont nous avons étudié déjà la caractéristique
clinique
l'al- coolisme chronique, le saturnisme, le tab
médullaire. 1 Leçons de clin, méd., 2c série, 1890. p. 671. 118 8
CLINIQUE
NERVEUSE. Tout ce que nous venons de dire de la
scléroses. (Encyclop. scieulif. des Aides mém.). 1897, p. 95. 120
CLINIQUE
NERVEUSE. tissu interstitiel hypertrophié au ti
avoue que je la croyais plus profonde, et entre médecins d'autorité
clinique
telle, que cela me peinait de ne pas être de l'
s bien symptomatiquement : l'accord est complet sur le point de vue
clinique
. Mais il existe un désaccord, au moins apparent
' que l'artérios- 1 Leçons de clin, Ire série, p. 522 et 535. 122
CLINIQUE
NERVEUSE. clérose forme « le lien initial commu
hensive, la sclérose multiple disséminée, tout en gardant sa '124
CLINIQUE
NERVEUSE. grande unité clinique et nosologique,
sséminée, tout en gardant sa '124 CLINIQUE NERVEUSE. grande unité
clinique
et nosologique, a des variétés. Nous en soulign
os connaissances étiologiques et de l'ensemble de nos connaissances
cliniques
sur les maladies du système nerveux. RECUEIL
n ans. - Description des symptômes par Trousseau (2° volume de la
Clinique
médicale, 7e édition, p. 689). - Mort de pneumoni
processif (querulantenwahnsinn) qui ne s'applique pas à une entité
clinique
bien définie. Le délire processif se rencontre
ure. (Voir les expériences sur le tubercule de Rolando et les faits
cliniques
qui ont montré d'une part la dissociation des s
de médecins en chef. Thomas (A.). Le Cervelet. Étude anatomique,
clinique
, physiologique, vol. in-8° de x-356 pages, avec
·-^ Par CL. PIIILIPPE, Chef des travaux anatomo-pathologiques la
Clinique
de la Salpètrière. Ce travail se propose d'expo
ve de Du- chenne. Ces recherches ont un double hut, anatomique et
clinique
: elles s'occupent d'abord de la formule histolo-
ctères histo- logiques'. , ' Mais, en système nerveux surtout, la
clinique
doit trou- ver son compte dans tout travail ana
eau pyramidal ' Cl. Philippe. Contribution il l'élude anatomique et
clinique
du labes dorsalis. (Th. iuaug. Paris, 1897.)
génération rétrograde. 20 : 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. Sur le terrain
clinique
, le gros problème à résoudre est celui de la su
ici quelques faits qui nous ont paru ressortir de ces recher- ches
cliniques
. Dans la symptomatologie du tabes, on peut dist
ariée dans ses localisations anatomiques, comme dans son expression
clinique
, malgré que certaines lois président et à ses l
ant : localisations anatomiques, multiples et variées ; expressions
cliniques
, multiples et variées ? Est-il possible de four
é de nos recherches sur quelques points de l'histoire anatomique et
clinique
, de la maladie de Duchenne; et nous conservons
al, février 189 i.) Ce cas fournit à l'auteur l'objet d'une leçon
clinique
où abon- dent d'intéressants points de pratique
x sur les hallucinations et les illusions, la merveilleuse sagacité
clinique
dont il fait preuve dans son mémoire sur l'alié-
oit être très clairvoyant, sans cesse éclairé par le flambeau de la
clinique
. Notre bienveillance à l'égard des infortunés c
que les deux ordres de symptômes soient représentés dans le tableau
clinique
, au moins par les plus essentiels d'entre eux.
atisfait personne et correspond par sa signification même à un état
clinique
complexe lié à des lésions nécropsiques très di
Pourquoi n'en serait-il pas de même des péricérébrites ? Les faits
cliniques
et les autopsies semblent justifier cette manière
tes, néo- mernbraues. ll appartient aux études nosologiques et à la
clinique
d'étendre et de mieux préciser ces variétés dan
e mieux préciser ces variétés dans l'avenir. M. Arnaud. - Les faits
cliniques
ne plaident pas en faveur de la théorie de M. P
ssité de demander à l'anatomie pathologique l'explication des faits
cliniques
qui à l'heure actuelle sont susceptibles d'in-
e générale d'ori- gine syphilitique diffère par certains caractères
cliniques
de la para- lysie générale classique. , Neu1'
le est tout entière résumée dans le nom de Charcot. Dans ses leçons
cliniques
de la Salpêtrière il en est une, celle du mardi
treize, quatorze, dix-sept et dix-neuf ans. En 1889 paraissent les
cliniques
d'Ollivier, qui mettent en vue l'urticaire et l
1894 la thèse de Fischer « sur l'hystérie infantile, observée à la
clinique
des enfants de la Faculté de Médecine de Nancy
de M. le profes- seur agrégé Rispal, qui était alors notre chef de
clinique
et qui voulait bien nous remplacer à ce moment)
lequel nous aurons à revenir, en rappelant, au chapitre des formes
cliniques
, les cas de ce genre, cités par Ollivier, si im
Bosc rapporte z 1 Nous publierons prochainement un nouveau travail
clinique
de M. Terrou sur le même sujet. La Revue de pat
affirmait récemment M. le professeur Joffroy dans une de ses leçons
cliniques
il Sainte-Anne, nous affir- mons par contre que
oin- tements du receveur et de l'économe '. 1. Dans les asiles de
cliniques
, situés dans les villes où il existe une Facult
s les villes où il existe une Faculté de médecine, le professeur de
clinique
deviendrait directeur-médecin, ayant à sa dispo
yant à sa disposition deux médecins adjoints, dont l'un, le chef de
clinique
, serait chargé spécialement des besoins de l'en
pourrait être doublé par des assistants choisis par le profeseur de
clinique
, parmi les docteurs en médecine ayant été interne
lance. M. Christian dit que les chroniques seuls travaillent : à la
Clinique
, ce sont les aigus et aussi les alcooliques qui f
c'est là leur point de ressemblance. Dans ce travail privé de base
clinique
, M. le D'' Vial demande à ce qu'on fasse rentre
grés de l'obsession, et au lieu d'en indiquer longuement les formes
cliniques
il reproduit le récit d'un obsédé, qui est l'un
ommission est en route pour cette étude, attendons. (A suivre.)
CLINIQUE
MENTALE. PÉRIODES TERMINALES ET MORT DANS LES S
matique. Il me ' Archives de Neurologie, numéro de juin 1897. 298
CLINIQUE
mentale. semble qu'il serait utile, indispensab
nsidérés jusqu'à présent comme secondaires, ou passant inaperçus.
CLINIQUE
NERVEUSE. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE; Par l
- blissais la fréquence de cette névrose dans cette partie du 300
CLINIQUE
NERVEUSE. Bocage, les formes multiples sous les
n de l'Académie de médecine, 1°' décembre 1891.) .) Ollivier. Cours
cliniques
sur les maladies des enfants, 1889; 17, 18, 19,
Helsingfors, 1888. Coutdrie. Thèse Paris, 1896. 3 Charcot. Leçons
cliniques
sur les maladies du système nerveux, t. I, II,
me nerveux, t. I, II, III. Leçons du mardi, 1887-1888 et 1888-1889.
Cliniques
des maladies du système nerveux, leçons publiée
pilepsie chez les jeunes garçons, (l'rogrès médical.) lieclcerclres
cliniques
sur l'hystérie et épilepsie, 1880-1881. (Ar- ch
rologie, 1883-1889.) - Jules Simon. Conférences thérapeu- tiques et
cliniques
sur les maladies des enfants (2e édition, 1887).
dies des enfants (2e édition, 1887). -Gilles de la Tourette. Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, 1891. HYSTÉRIE
ces faits de quelques réflexions que m'aura suggé- rées leur étude
clinique
. J'aurais pu classer mes observations d'après l
Antécédents personnels. On n'a rien de particulier à noter. 302 '
CLINIQUE
NERVEUSE. Pas de maladies depuis la naissance.
espiratoire, aucune crise de suffocation : c'était de l'aphonie 304
CLINIQUE
NERVEUSE. hystérique. Cet accident dura trois j
dais plus parler de cet enfant, Archives, 2e série, t. IV. 20 306
CLINIQUE
NERVEUSE lorsque, un an après, on le ramène dan
2 mai, la contracture a cessé. Elle a donc duré trois jours. 308
CLINIQUE
NERVEUSE Le 8 mai, on me rappelle près de l'enf
n et de la douleur dans les hanches. Claudication qui s'est 3110 ()
CLINIQUE
NERVEUSE effacée, paraît-il, au bout de deux mo
agitation, cris, véritables cris hydrencéplialiques, constipa- 312
CLINIQUE
NERVEUSE tion, ventre rétracté; mais pas de vom
petit et en plus agité, la température n'est pas abaissée. c 316
CLINIQUE
NERVEUSE Quelle était la nature de ce diabète i
Densité il + 15° = -) ? 002 Réaction très faiblement acide. 318
CLINIQUE
NERVEUSE cependant que ne l'est la soif, il uri
evue neurologique,' mars 1897.) E. B. XVIII. Contribution A l'étude
CLINIQUE
DE la migraine OPIITALMOPLÉGIQUE; par le De J.-
dant les pre- mières années de la vie et présentant le même tableau
clinique
que la rigidité spasmodique spinale des enfants
naissance : elle ne s'est extériorée qu'assez tard, au point de vue
clinique
, sous une influence indéter- minée. (Revue neur
our- cissement cubital des doigts. Pour confirmer la ressemblance
clinique
de l'entité morbide, décrite par Sachs et Féré,
la face, principalement les masticateurs. A l'entrée du malade à la
clinique
du professeur Kojewnikolf tous ces phénomènes é
ion de créatinine et de sarcine. Pendant le séjour du malade à la
clinique
, les mouvements des extrémités devinrent plus l
encore un cas de myotonie, observé dans l'ambulatoire de cette même
clinique
avec tous les symptômes caractéristiques de la
e difficulté ; souvent la ressemblance est telle, que le diagnostic
clinique
est même impos- sible (Cassier). Dans ce cas l'
ite est affaiblie. A l'examen du malade, lorsqu'il se trouvait à la
clinique
de M. Rossolimo, on put constater un développem
teur pour l'étude présente. Un malade de seize ans, observé dans la
clinique
du rapporteur, a présenté les symptômes suivant
ce, rire et pleurs involontaires. A la fin du séjour du malade à la
clinique
il se déclara subitement une paralysie complète
ux et de ceux de Furk. Ayant cité, en abrégé, encore deux cas de sa
clinique
, ayant rapport la question, l'auteur formula le
ces cas avec les observations de Mann, de Kortum et de Cohn (de la
clinique
de Mendel) le rapporteur communique en détail u
le professeur KORSAKOFF, M. Mouratoff. De certaines particularités
cliniques
, dans la lésion cérébrale circonscrite d'origin
la propagande privée anti-alcoolique. Anselme Schwartz. V. Etude
clinique
du dynamisme psychique; par le Dr Henri Aimé (T
Doin, éditeur (in-8° de 256 p.), 1897. Ce travail est avant tout
clinique
, comme M. Aimé a soin de le faire remarquer dan
l'anteur dans les nombreuses observations qui' composent la partie
clinique
, très intéressante et variée. L'élément dynamiq
a publié un nombre considérable d'observations et de recherches en
clinique
mentale, en médecine légale, en anthropologie. La
. - 1007. Vol. IV. Novembre 1897. N° 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDGE1; Par
ives de Neurologie, no 22. . Archives, 2e série, t. l1'. 21 r 370
CLINIQUE
NERVEUSE. Malheureusement, je n'ai pas l'analys
n des fois j'ai été appelé à les constater dans ma clientèle. 372
CLINIQUE
NERVEUSE. grande intensité; l'enfant, le visage
ue moi il en a guéri heaucoup par la suggestion hypno- tique. 374
CLINIQUE
NERVEUSE. vaincre, bien qu'il m'en coûte encore
s avec autant d'aisance les yeux fermés que les yeux ouverts. 376
CLINIQUE
NERVEUSE. hystérique dont la durée variait de q
il a eu fréquemment des crises de dyspnée avec toux croupale. 378
CLINIQUE
NERVEUSE. Nous trouvons donc ici association d'
festations qui ne relèvent en rien de la névrose. Si l'impres- 380
CLINIQUE
NERVEUSE. sionnabilité, toute spéciale d'un jeu
l. (Thèse Barde), 189,3, et Fabvre, 1883, Marseille médical.) 382
CLINIQUE
NERVEUSE. lion 23, thèse Burdol) ; mais, pourmo
carac- téristique. ' Hystérie en Vendée, p. 471, ibid. , 384 -
CLINIQUE
NERVEUSE. On n'a donc, le plus souvent, devant
dose très raisonnable au paysan Archives, 2e série, t. IV. 25 386
CLINIQUE
NERVEUSE. du Bocage. Or, il est fréquent de con
e d'un élément de diagnostic. Je viens de dire le résultat. 388 '
CLINIQUE
NERVEUSE. Donc de la prudence dans l'emploi de
patt et dans nos Comptes rendus de Bicêtre de 1880 à ce jour. 13.
CLINIQUE
MENTALE. LES TROUBLES TIIOPIIIQUES DANS LA PARA
édecin adjoint à l'asile d'aliénés de Marcoutza (Bucarest), Chef de
clinique
mentale ù la Faculté. Les troubles trophiques s
uite de ces othématomes qui reconnaissent comme pathogénie ou 392
CLINIQUE
MENTALE. une lésion nerveuse (racines nerveuses
eaucoup d'autres malades et le personnel médical. Le malade est 394
CLINIQUE
MENTALE. renfermé seul dans une chambre où il c
mère. Le liquide céphalo-rachidien est abondant et rougeâtre. 39G
CLINIQUE
MENTALE. congestionnés. Le corps pituitaire pet
. Nous n'avons voulu considérei dans le présent travail que lu côté
clinique
de la question, nous serons heureux pourtant d'
qu'il ne craint pas de fournir, à l'appui de son opinion, des faits
cliniques
, rapportés sans aucune omission; 7° il croit av
s habiles à l'employer, du moins ne repoussent-ils plus les preuves
cliniques
placées sous leurs yeux : la lecture des livres
l'obsession et nous fournit à son sujet les éléments d'une divisiou
clinique
rationnelle. Si l'émotion est, en effet, l'élém
ase autre et dans un ordre progressif plus complet, au point de vue
clinique
, la division des états obsédants en phobies et
es. La variété accidentelle de phobie systématisée à des caractères
cliniques
différents. Tout d'abord, elle survient chez de
avons établie dans la maladie au point de vue de la symptomatologie
clinique
: 1° état obsédant panophobique ou phobie diffu
urs symptômes ayant un caractère d'irrésistibilité après leur étude
clinique
doivent être rangés dans les divers cadres des
ractère irrésistible (obsédantes) leur appréciation au point de vue
clinique
est néces- saire. . Sur les obsessions; par l
e reproduit l'ensemble symptomatique si bien décrit dans les leçons
cliniques
de M. Raymond. Ce qu'il y a de nouveau dans cet
se diviser en deux on trois parties. ? VII. Quant aux phénomènes
cliniques
, en dehors de la perte du réflexe rotulien, déj
t le plus innocent pour la cure des névralgies périphériques. Etude
clinique
et anatomo-pathologique d'un cas d'hématomyélie
de ce cas que l'hématomyélie centrale peut simuler, au point de vue
clinique
et anatomo-patholoique, certaines formes de syr
sculaire hypertrophique est démontré de nouveau par l'obser- vation
clinique
de trois soeurs, qui descendent d'une famille neu
mais leurs combinaisons diffèrent pour les deux sexes. Le tableau
clinique
chez les femmes offre certaines singularités qui
élevé par Kahler, Schultze et Schle- singer, quelques observations
cliniques
sont notées, qui méritent de l'intérêt à cause
ent les poussées scléreuses. Ces périodes sont surtout marquées, en
clinique
, par une recrudescence de crises doulou- reuses
s de feu au niveau des lésions présumées. Il y a alors des éléments
cliniques
précis dans chaque cas particulier, pour décide
unité et le : lieu d'application des pointes de feu : quand l'analyse
clinique
révé- lera l'existence d'une poussée névritique
ns différents cas il est impos- sible d'établir, suivant le tableau
clinique
de l'atrophie, une sépa- ration nette entre les
udieux, avide de s'instruire, il observait avec curiosité les faits
cliniques
qui se déroulaient jour- nellement sous ses yeu
p. - 1191. Vol. IV. Décembre 1897. N° 24 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. RECHERCHES CLINIQUES SUR L'ALCALESCEN
897. N° 24 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. RECHERCHES
CLINIQUES
SUR L'ALCALESCENCE DU SANG ET LES INJECTIONS DE
chez la femme et l'enfant que chez l'homme (Jacob). Dans le domaine
clinique
, des observateurs ont éta- bli que l'alcalinité
la femme et l'enfant que chez Archives, 2e série, t. 1 V, 30 466
CLINIQUE
NERVEUSE. l'homme (Beau, Delasianve, Statistiqu
adaire des accès épileptiques heure par heure pour 130 malades. 468
CLINIQUE
NERVEUSE. U3.G p. 100, 21,3 p. 100, soit ensemb
(Examens répétés à différentes heures sur 21> épileptiques.) 470
CLINIQUE
NERVEUSE. régulièrement isochrones et inverseme
NCE DU SANG CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 471 2° Solution à '1 /'1 : 472
CLINIQUE
NERVEUSE. Le 13, injection de 30 cent. cubes. L
à mar- cher. Les attaques restent isolées et peu fréquentes. 474
CLINIQUE
NERVEUSE. Le 2 juillet, injection de 20 cent. c
pratiqué du 1 ? au 7 juillet, donne les résultats suivants : 478
CLINIQUE
NERVEUSE. des attaques. Élévation transitoire d
sique bon. Examen du sang et des urines du 1 ? au 7 juillet : 480
CLINIQUE
NERVEUSE. En résumé, 32 injections comptant 1,0
Il Cl c C 1 z Q 1 1 m 1 1 S C 00 484
CLINIQUE
NERVEUSE. immédiatement après une attaque =111.
COLIE ET GOITRE EXOPHTALMIQUE; Par le D' F. DEVAY, Ancien chef de
clinique
des maladies mentales, médecin à ILl m.lison de s
r et Aldren Turner. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Oc3 Les faits
cliniques
ne sont pas plus probants. Il n'est pas rapport
tiologie de la syringo- mvélie. La grande ressemblance du tableau
clinique
des deux affections n'autorise nullement l'admi
ue dans chaque maladie à l'exclusion des autres, ont une importance
clinique
très grande. La syringomyélie parait admissible
plexus brachial autant en regard de leurs causes quede leurs formes
cliniques
. - 3. L'auteur passe en revue beaucoup de remèd
ystématisé. En le faisant ils ont cherché à isoler dans le syndrome
clinique
de la mélancolie ce qui lui appartient en propr
C'est ce dernier que cette' étude a pour but d'isoler en une entité
clinique
comparable à la maladie de Lasègue. De la sug
n'en a pas encore été faite suffisamment. Quelques-uns des faits
cliniques
que nous avons rencontrés dans notre pratique p
olontaires, qui présentent un certain intérêt au point de vue de la
clinique
et de la physiologie pathologique. Il s'agit, d
Tory et 1 ? TV (de Lyon). Résumé. Le délire chonique est une rareté
clinique
, en ce sens que les diverses phases de cette ma
t de contracture. ASILES D'ALIÉNÉS. Nouvelle réglementation DE la
CLINIQUE
DES maladies mentales A l'Asile CLINIQUE : situ
velle réglementation DE la CLINIQUE DES maladies mentales A l'Asile
CLINIQUE
: situation DU chef DE CLINIQUE A la séance du
QUE DES maladies mentales A l'Asile CLINIQUE : situation DU chef DE
CLINIQUE
A la séance du '1 CI' juin de la Commission de
e : . Article premier. Le professeur titulaire de la chaire de la
clinique
des maladies mentales à l'Asile clinique (Sainte-
tulaire de la chaire de la clinique des maladies mentales à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne) remplira les fonctions médicales
ier des aliénés de la Salpêtrière sera accordée au professeur de la
clinique
comme médecin en chef d'un service public d'ali
T. 4. - En cas d'absence ou d'empêchement du professeur, le chef de
clinique
remplira les obligations imposées au médecin en
ancs). Dans le cas d'absence simultanée du professeur et du chef de
clinique
, le chef de clinique adjomt rem- plira par inté
absence simultanée du professeur et du chef de clinique, le chef de
clinique
adjomt rem- plira par intérim les fondions dévo
, en date du 13 avril 1897, réglementant à nouveau le service de la
clinique
des maladies mentales à l'Asile clinique. Vous
à nouveau le service de la clinique des maladies mentales à l'Asile
clinique
. Vous vous rappelez qu'aux termes de l'arrêté d
sait nominalement les fonctions dé médecin en chef du service de la
clinique
. Mais il était, au point de vue administratif,
nt faisant fonction de médecin en chef, étaient dévolues au chef de
clinique
, qui se trouvait par là bénéficier de la situatio
is par M. le Ministre de l'Intérieur, le professeur titulaire de la
clinique
des maladies mentales à l'Agile clinique rempli
professeur titulaire de la clinique des maladies mentales à l'Agile
clinique
remplira les fonctions médi- cales et administr
t qu'en cas d'absence ou d'empêchement du professeur que le chef de
clinique
satisfera aux obligations imposées au médecin-c
demandé si la suppléance du médecin en chef qui incombe au chef de
clinique
aux fermées du récent arrêté n'était pas de nat
pinion ferme de la Commission était d'obliger à l'avenir le chef de
clinique
qui voudrait faire sa carrière dans nos asiles
ifs des chefs de service, de véritables collaborateurs des chefs de
clinique
. Les fonctions que le règlement de 1814 attribu
iffuse 538 , bibliographie. qui se présente alors avec un tableau
clinique
spécial. Le nombre des cas de paralysie général
er, 1896-1897, n° 30.) L'auteur pense que la chorée est un syndrome
clinique
qui reconnaît pour origine une maladie infectie
e méd. de la Suisse romande, n° 9, p. 620. 540 / varia. à l'Asile
clinique
(Sainle-Anne)-pour accès de folie. Les époux Du
prenant en consi- dération tous les aspects d'un homme ; 4° L'étude
clinique
de la psy- chiatrie est la base naturelle de l'
le la plus effective ? 8" Avez-vous eu des expériences pratiques et
cliniques
dans cette matière ? 9° Pourrait-on décréter un
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine. Asile
clinique
, asiles de Vaucluse, Ville-Evrard et Villejuif.
ndi 8 novembre 1897, à une heure précise, il a été ouvert à l'Asile
clinique
, rue Cabanis, n° 1, à Paris, un concours pour la
ements cloniques dans la , par Uarinesco, 526. ' Système nerveux.
Cliniques
des ma- ladies du -, par Raymond, 82. Tabac I
es. 1886 Vol XII. Juillet 1886. N" 34. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE DE L'ATROPHIÉ MUSCULAIRE DANS LES PARA
S LES PARALYSIES HYSTERIQUES ' 1 Par le Dr J. BABINSKI, Chef de
clinique
de la Faculté (le médecine, a Id Salpètrierc '
Progrès médical, an- née 1886, no 6. - Archives, t. XII. 1 , ,
CLINIQUE
NERVEUSE. bles trophiques dans l'hystérie sembl
ont la plupart ont été ana- lysées par M. - Charcot dans ses leçons
cliniques
, et nous chercherons à démontrer que les malade
an- gère - cela se passe en 188>. Il reste un an en Afrique. 4
CLINIQUE
NERVEUSE. A la fin de 1883, on l'envoie au Tonk
ong du corps ; les doigts, sont dans -, l'extension et ils pré,- si
CLINIQUE
NERVEUSE. sentent un peu de raideur. - Le membr
la Salpêtrière ; nous le remercions vivement de son obligeance. 8
CLINIQUE
NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. t0 CLINIQ
n obligeance. 8 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. t0
CLINIQUE
NERVEUSE. mord son bras; la jambe droite est fl
n même temps aux doigts et à la main du côté opposé les mêmes 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. mouvements; au bout de quelques insta
de nouveau au bout d'une heure ; mais la motilité persiste. 1 14
CLINIQUE
NERVEUSE. 25 avril. -Depuis plus d'un mois la m
actère est déjà tout à fait en rapport avec l'idée d'hystérie. 16
CLINIQUE
NERVEUSE. Nous venons de supposer que les crise
ecueillies par 11111. lltarie et Guinon. Archives, t. XII. 2 18 '
CLINIQUE
XERVELSE, pendant quelques jours, sur ses colèr
. La face ne présente pas de troubles de la motilité. ,Le côté 20
CLINIQUE
NERVEUSE. gauche est plus grêle que le droit ;
er et de flageller le malade. Les flagellations sont faites par 2
CLINIQUE
NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 23 '»4 le
es par 2 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 23 '»4 le
CLINIQUE
NERVEUSE. M. Gautiez sur la région pariétale dr
e lé- sion organique, l'affaiblissement des réflexes tendineux 26
CLINIQUE
! OERYEUSE, - DE l/ ATROPHIE MUSCULAIRE. et la
ue l'unité du syndrome morbide que nous avons trouvé sur le terrain
clinique
. Cela posé, arrive uue autre question, qui me p
endre compte il n'y a qu'à se rappeler ce qui se passe pour ce type
clinique
si admirablement DU TABES COMBINÉ. 33 arrêté
u tabes combiné. Pour constituer légitimement un de ces syndromes
cliniques
, qui prennent rang parmi les maladies de la moe
sont encore trop peu nombreux pour permettre d'écrire une histoire
clinique
complète du tabes combiné. La description dét
incoordina- tion chez un sujet présentant d'autre part le tableau
clinique
du tabes spasmodique indiqueront aussi un tabes
de- vons insister ici que sur ce qui appartient en propre au type
clinique
que nous étudions. Ainsi les indications tirées
urent dans nos tableaux me paraissent établir l'existence d'un type
clinique
, distinct des autres ma- ladies de la moelle, q
des myélites diffuses et de la sclérose en plaques : les caractères
cliniques
sont assez tranchés pour rendre possible le dia
DE L'HYPNOTISME 2 Par le D= ERNEST JENDRASSIK Assistant de la 1,-
clinique
médicale de Buda-Pest. L'opinion la plus généra
DENTS AU BOUT DE TROIS MOIS ET DEMI ; par le Dr E. DUFOURT, chef de
clinique
. (Lyon méd., 1885, t. XLVUI.) Cette observation
indication de la trépana- TION ; par.-Ni. le Dr GOULLIOUD, clef de
clinique
. (Lyon méd., 1885, t. XLVI11.) IV. DES CRISES
1 XI. Deux cas de lésion cérébrale; par le Dr A. Brousse, chef de
clinique
de la faculté de Montpellier. (Gaz. mid, de Paris
alisations cérébrales DE L HERPÉTISÜE par le Dr LAN- CEREAUX, leçon
clinique
recueillie par M. OEïTiNGER. (Union méd., 1885,
générale au début, l'auteur fait remarquer qu'il y a la un terrain
clinique
encore peu ou point exploré, et que beaucoup de
, avril 1884.) Voici les points les plus saillants de l'observation
clinique
: L» amnésie avec agraphie; 2° parésie des memb
'intérêt de cette observation, très complète, au triple pointde vue
clinique
, analomo-pathologique, histologique nit dans les
, XVI, 2.) M. Konrad sous ce titre prétend constituer une entité
clinique
souvent méconnue et confondue par les auteurs a
lectuels, émotions morales), comme il n'existe aucune différence -
clinique
entre la paralysie générale qui succède à la syph
nerveux central. Examen à ce point de vue plus de 200 malades à la
clinique
neuropsychiatrique de Berlin. On rencontre ces
ervalles, tout à fait après le badigeonnage à la cocaïne (cas de la
clinique
de Gerhardt). Si l'on rapproche l'ob- servation
iomyélite qui datent de plu,ieurs mois se traduisent par un tableau
clinique
exactement semblable à celui de la névrite. Qua
pinion de M. Christian, qui s'est lui-même préoccupé de ce point de
clinique
; elle mérite donc que nous donnions un aperçu d
u'on ne l'a cru jusqu'ici. CH. F. VII. Recherches expérimentales et
cliniques
sur l'action somnifère de la boldo-glueine ; pa
pé- rimentation physiologique ont été confirmés par l'observation
clinique
: le boldo, administré à des malades agités, ne d
est, à la même période, en décroissance sensible; 3° les recherches
cliniques
montrent que le taux de l'urée, bien que subiss
opsie donne avec une remarquable netteté la clef des manifestations
cliniques
observées depuis des années chez le roi de Bavi
8g. Vol. XII. Septembre 1886. N° 35. ARCHIVES DE NEUROLOGIE r !
CLINIQUE
NERVEUSE DE L'IDIOTIE COMPLIQUÉE DE CACHEXIE PA
abseuce de cette giande et l'existence du Archives, t. XII. 10 13
CLINIQUE
NERVEUSE. myxoedème, ou de la cachexie pachyder
thyroïde et l'existence de la cachexie pachydermique décelée par la
clinique
et l'anatomie pathologique. Nous sommes donc am
nte. 2 Voir plus loin les observations de Th... est de Gra .. 140
CLINIQUE
NERVEUSE. Observation II. Idiotie. Gonflements
il perça ses premières dents à deux ans; il n'es- - I·'iJ. à. 142
CLINIQUE
nerveuse : ". saya de marcher pour la première
nal of mental Science, vol. XXII, 18 îG, p. 2f1). l'rg. 6. il ?
CLINIQUE
NERVEUSE. l'étal normal ; il présentait sur ses
s de cachexie pachydermi- que. Le sujet de droife est Gr... - 148
CLINIQUE
NERVEUSE. chondres, une saillie marquée en deho
isselle et semble un peu moins lourd : on supprime les douches. 150
CLINIQUE
NERVEUSE. 28 décembre. - Nous voyons le frère e
e. Partout ailleurs le ventre est médiocrement douloureux; il 152 "
CLINIQUE
NERVEUSE. existe un tympanisme léger. - Langue
IES HYSTÉRIQUES'; (suite et fin). , Par le Dr BABLNSKI, Chef de
clinique
des maladies nerveuses à lu Sdtpctriere. Observ
iseases ; par Eastes Wilks. 2 France médicale, )),année 1884. 156
CLINIQUE
NERVEUSE. plus essentiel à noter dans cette obs
genou du malade et qui est fixé au pourtour de son corps par 158
CLINIQUE
NERVEUSE. un cerceau d'acier; lorsque le malade
aisant des mensura- tions : . DE l'atrophie musculaire. 15j 160
CLINIQUE
NERVEUSE. de l'atrophie musculaire. 161 t ses
tion est atteint d'une paralysie hystérique avec amyotrophie. 162
CLINIQUE
NERVEUSE. Nous commencerons par établir que cet
Todd. Lect. on diseases of Nel'V01tS System. (Lcct. 1, p. 20.) 161
CLINIQUE
NERVEUSE. paralysé après elle, comme s'il s'agi
u membre supérieur, reparurent; la sensibilité reparut de son 166
clinique
NERVEUSE. côté, tant la sensibilité générale qu
at il se trouve : . le membre supérieur gauche n'est plus para- 168
CLINIQUE
NERVEUSE. lysé; les mouvements des divers segme
fisant à lui seul pour établir son exis- ARCHIVES, t. XII. 12 170
CLINIQUE
NERVEUSE. tence. Dans le cas actuel cette bémia
de l'extrémité interne de la clavicule et à l'omoplate. 1711. 1·
CLINIQUE
NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 175 176 C
. 1711. 1· CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 175 176
CLINIQUE
NERVEUSE. Les divers segments du membre sont ma
ctères qui permettent d'affirmer qu'elle est de nature hysté- 178
CLINIQUE
NERVEUSE. rique, et qu'elle ne peut relever d'u
si affaibli, et le malade ne s'en servait qu'avec difficulté. 180
CLINIQUE
NERVEUSE. Le malade au bout de treize jours peu
publiés par M. Charcot et dont nous avons déjà parlé. Nous ne 182
CLINIQUE
NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 183 18 \
us ne 182 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 183 18 \
CLINIQUE
NERVEUSE. discuterons même pas le diagnostic. I
ui concerne l'atrophie du membre supérieur gauche, qu'elle ne 188
clinique
NERVEUSE. semble pas porter particulièrement su
nt, acquiert en peu de temps le maximum de son développement, 190
CLINIQUE
nerveuse. reste alors stationnaire, lors même q
façon bien- évidente que cette diminution dans le volume des 192
CLINIQUE
NERVEUSE. muscles appartient à la catégorie des
d'en observer deux autres semblables qui sont encore inédits. 194
CLINIQUE
NERVEUSE. blir, au moyen de ces observations, q
oyez aussi 13oui'ne\ille. Comptes rendus de Birgtre, 1880-1885. 196
CLINIQUE
NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. Nos malades
PARALYSIE SPINALE ASCENDANTE AIGUË (Paralysie LANDRY), observé à la
clinique
thérapeutique du professeur Lacnxcmrcu ; Par
copiques de la moelle épinière expliquent suffisamment le tableau
clinique
de la maladie, quoique notre cas s'éloigne peut
âgé de cinquante-quatre ans, pro- fesseur de piano, est entré à la
clinique
, le 5 novembre 1884, en se plaignant de la pert
tipé. Tel était l'état du malade le novembre, jour où il entra à la
clinique
thérapeu- tique. Le malade a une taille au-de
té élec- trique des muscles, dans les premiers jours de séjour à la
clinique
, n'offre aucun changement; au contraire, la vei
nière ont été constatées, il n'en est pas moins vrai que le tableau
clinique
conclusif de la maladie qui a conduit Maro- zof
sclérose des faisceaux et cornes posté- rieures. Dans le tableau
clinique
nous trouvons à signaler la con- servation comp
eurs se succède assez régulièrement, et la palhogénie des symptômes
cliniques
en rapport avec eux présente un attrait légitim
réditaire de Friedreich, il est impossible d'établir d'autres types
cliniques
à moins d'utiliser à cet effet les symptômes ra
'un jeu ridicule. Il. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 221 XXX.
Clinique
et anatomie pathologique de la maladie de thomsen
ien se montrer invariablement affectés si l'on possédait des moyens
cliniques
de juger exactement de leur force; sur la légèr
ème si com- plexe dont nous discutons les termes, il y a une partie
clinique
sur laquelle nous sommes bien près de nous ente
l'examen facile des uns, s'expli- quer l'attitude des autres. La
clinique
nous offre du reste parfois plusieurs de ces syn-
du malade. Dans le second groupe, nous trouvons d'abord l'aspect
clinique
de la paralysie générale ultérieurement remplacée
- lysie générale complicatrice d'une stupeur, ou les deux aspects
cliniques
doivent-ils être tenus pour des stades successifs
X A L'ÉCOLE DÉPARTEMNTALE D'INFIR- miÈaEs ET D'INFIRMIERS A L'ASILE
CLINIQUE
(SAINTE-ANNE). La distribution des prix aux élè
P - 086. Vol. XII. Novembre 1886. N" 36, ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUP
vent donner lieu, et cela arrive en effet, aRCHmES, t. xo. 18 266
CLINIQUE
NERVEUSE. à une fausse interprétation de la mal
astre. Du 21 novembre/3 décembre au 14/26 décembre 1881, a été à la
clinique
de l'hôpital militaire de Pétersbourg. Les accès,
e même, il est impossible d'expliquer autrement que le sujet, 268
CLINIQUE
NERVEUSE. privé de la faculté de remuer les jam
rieurs de la cuisse, qui fléchissent la jambe, et rigidité des 270
CLINIQUE
NERVEUSE. pieds. Voici le cours de la maladie :
pieds se déjetaient convulsivement de côté, tantôt ils s'ac- 272
CLINIQUE
NERVEUSE. crochaient l'un à l'autre. Le 19 mars
rde sa faculté de mouvement; le dynamomètre marque 60; le ma- 274
CLINIQUE
NERVEUSE. lade peut remuer les doigts de la mai
vingt-trois ans, entré à l'hô- pital le 22 février 1885. L'histoire
clinique
, avec laquelle S... arrive, note ainsi le comme
as gauches. Ce qui fait une différence bien tranchée avec les 276
CLINIQUE
NERVEUSE. hémiplégies ordinaires, c'est que le
pesanteur spécifique de l'urine est de 1.014; on n'y trouve ni 278
CLINIQUE
NERVEUSE. albumine, ni sucre. La polyurie dure
un peu plus faciles; l'extension des jambes n'est que passive 280
CLINIQUE
NERVEUSE. jusqu'à un certain degré, et amène al
nt l'examen, il est arrivé un . AI(CIIIVES, t. Xll. 1. 19 282 --)
CLINIQUE
NERVEUSE. trouble convulsif suivant : le malade
e classique, régulièrement rhythmiques, dégénèrent subitement 284
CLINIQUE
nerveuse. en opisthotonus ou plcurosthotonus, d
omplète pour les deux oreilles, ensuite pour la droite seule; 286
CLINIQUE
NERVEUSE. 4. Des troubles de la vision sous for
avant l'accès, le malade se couche, tombe en état de stupeur, 288
CLINIQUE
NERVEUSE. les yeux ouverts, fixés sur un point,
es cas, elle resta normale, ou 37°,6 - 37°,7. Ainsi, les phénomènes
cliniques
de l'hystérie des hommes ne sont pas moins vari
e ma- 1 C'est là une température tout à l'ait anormale (B). 290 0
CLINIQUE
NERVEUSE. nière que la constitution physique n'
fficilement. Je dois ajouter, pour conclure, que les maladies 292
CLINIQUE
NERVEUSE. hystériques dans les troupes ne sont
fille, bien développée, dix-sep tans, intelligente, s'exprimant 29'
CLINIQUE
NERVEUSE. très nettement ; traits réguliers, fi
n regard indifférent et son Fig. 16. Th... à l'âge de 20 ans. 29S
CLINIQUE
NERVEUSE. extrême apathie lui ont fait donner p
Voir à l'autopsie la description du crâne. Archives, LXII. 20 298
CLINIQUE
NERVEUSE. Aujourd'hui, la face bouffie parait a
, il restait confiné au lit une grande partie de la journée, il 300
CLINIQUE
NERVEUSE. parvient aujourd'hui, après avoir été
étendue ainsi que le gonflement, qui va latéralement jusqu'à 302
CLINIQUE
NERVEUSE. l'antitragus et en avant envahit les
a rougeur e^t limitée à la main et au poignet droits, les 30Î- le .
CLINIQUE
NERVEUSE. autres parties atteintes sont en voie
Soir : 31l,6. 11. Même état. T. R. 37°,4 . - Soir : 31°, . 306
CLINIQUE
NERVEUSE. 12. - La tuméfaction des joues a dimi
res après le décès : 30°. Poids après décès : 21 kilogr. 400. 308
CLINIQUE
NERVEUSE. Note complémentaire. - Les cheveux so
t », « chier ». Voici quelques mensurations supplémentaires : 310
CLINIQUE
NERVEUSE. partie moyenne, elle mesure 5 centimè
nglionnaires, et un ganglion isole dans une masse graisseuse. 312
CLINIQUE
NERVEUSE. Le larynx est étroit et présente un l
épare le lobule orbitaire de la deuxième Archives, t. XII. 21 314
CLINIQUE
NERVEUSE. circonvolution frontale est trèsprofo
insula, viennent se perdre dans le lobule pariétal inférieur. 316
CLINIQUE
NERVEUSE. La première scissure tempol'o-occipit
Le lobe temporal est bien développé; sa première circonvolu- 318
CLINIQUE
NERVEUSE. tion (T,) se confond avec la partie p
es qui nous ont été transmises : 1 Analyse de Af. Yvon : .' 320
CLINIQUE
NERVEUSE. Dans les antécédents héréditaires de
it subi un véritable arrêt de dévelop- pement. Voilà pour le côté
clinique
. Si maintenant nous examinons les faits princip
péri- phérie d'une façon diffuse avec le tissu adipeux sous- 322
CLINIQUE
NERVEUSE. cutané environnant. Elles avaient tou
ournal des sciences médicales de Lille, 1853, 5 et 20 décembre. 324
CLINIQUE
NERVEUSE. renseignements que ceux qui concernen
s sent difficilement au poignet. Ceux du coeur sont également 326 6
CLINIQUE
NERVEUSE. très faibles, mais réguliers. Quant a
ndue, près du coeur surtout et dans l'intérieur des carotides à 328
CLINIQUE
NERVEUSE. un degré moindre, on trouve une multi
myxoedème ou cachexie pachydep- mique. Archives, t. XII. 22 330
CLINIQUE
NERVEUSE. la face; tuméfaction des paupières; é
sur la moitié droite du corps; à la région lombaire il avait 332
CLINIQUE
NERVEUSE. deux centimètres d'épaisseur à droite
. Le premier appartient à M. Coxwell et a été présenté à la Société
clinique
de Londres comme étant celui d'un enfant présen
fille cessa de ' Médical Presse and Circulai', 14 niai 1884. 334
CLINIQUE
NERVEUSE. grandir, mais elle devint plus grosse
hez le vieillard dont les facultés intellectuelles déclinent. 336
CLINIQUE
NERVEUSE. quantité normale 10,S grammes. Ce rés
rela- tion avec la famille de ce malade, nous avons fait une 338
CLINIQUE
NERVEUSE. enquête minutieuse auprès d'elle; de
roche heaucoup plus de celle du père que de celle de la mère. 340
CLINIQUE
NERVEUSE. Pas de consanguinité. Cinq enfants
e possède que 19 dents, Fig. 22. - Le crétin des Batignolles. 342
CLINIQUE
NERVEUSE. dont 9 la mâchoire supérieure et 10 à
un fouet qu'il fait claquer sans cesse. Diamètres du crâne : 344
CLINIQUE
NERVEUSE. Dimensions du thorax : IDIOTIE AVEC
TIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 345 Dimensions des membres : 346
CLINIQUE
NERVEUSE. de la Société d'anthropologie de Pari
vice de Bicèlre et qui présentait encore plus, peut-être, que 348
CLINIQUE
NERVEUSE. celui deM. Bail, les attributs caract
levé chez nos deux malades l'existence de hernies inguinales. 350
CLINIQUE
NERVEUSE. un développement défectueux du cervea
et se rapportant à des enfants (cas de Sliattock, etc.). 352 -1)
CLINIQUE
NERVEUSE. à l'âge de quatorze ou quinze ans. A
sentent en tout cas pas d'hy- pertrophie du corps thyroïde. 35 '(
CLINIQUE
NERVEUSE. tions de malade encore vivants chez l
ttgard), décédé le 13 août 1884, d'une attaque apoplectifornle à la
clinique
de Tubingue à l'âge de vingt-huit ans. Il mesurai
rque généralisé moyen. l'ig. 23. - Niahide opéré par M. Sick. 356
CLINIQUE
NERVEUSE. Les extrémités supérieures et inférie
ent suffisamment saines pour remplir leur rôle physiologique. 360
CLINIQUE
NERVEUSE. 1° Baillarger 1. - Fille de vingt-qua
résente une opérée (cas 9) de 11. Kocher et sa soeur jumelle. 362
CLINIQUE
NERVEUSE. en mars 1883 : « Ma femme ne peut écr
nsi que sur quelques autres cas qu'il aurait observés depuis. 364
CLINIQUE
NERVEUSE. d'oedème marqué, mais épaississement
elques-uns sans aucun détail (cas d'Occhini, de Huggi, etc.). 366
CLINIQUE
NERVEUSE. Si la plupart des chirurgiens admette
uent). - Le tableau suivant donne la proportion selon l'âge : 368
CLINIQUE
NERVEUSE. malades de MM. Reverdin, quatre de le
ysiologistes sont venues confirmer ée qu'avait du reste démontré la
clinique
; on peut au surplus consi- dérer la thyroïdecto
uf die E ? eugllng de* Diabètes. WU ! 'x- bnrri, 18S5, p. 61. 370
CLINIQUE
NERVEUSE. pérature, etc., tous les symptômes en
nde, un 2, 15 février issu, p. ruz et n" S, 15 août 1884.) ,) 372
CLINIQUE
NERVEUSE. mie totale et simultanée, au contrair
pte rendu de la Société de Biologie, 8 novembre 188, p, 606.) 374
CLINIQUE
NERVEUSE. 8 novembre de la même année. Les résu
t coniylio. (AI'ch, per le sczezzze mediche, vol. IX, n" 11). 376
CLINIQUE
NERVEUSE. elle peut être le siège, en empêchant
réflexions comme elles se présentent naturellement dans l'histoire
clinique
, cependant je récapitulerai à la fin les points
-ce pas la preuve qu'il y SOCIÉTÉS SAVANTES. 399 a là une variété
clinique
bonne à conserver sans nier qu'elle ait des car
e vue de la physiologie et de la pathologie. Charpentier. X. Traité
clinique
du diagnostic des maladies de l'encéphale basé
e Le- crosnier, éditeurs.) Ce livre est un traité essentiellement
clinique
s'appuyant sur les faits que fournit l'observat
ette question à part, parce qu'il trouve qu'en définitive les faits
cliniques
seuls ont une im- portance prépondérante en mat
t un intérêt historique. On peut dire qu'elle apporte un appui à la
clinique
, en ce sens qu'elle lui fournit des faits décrits
travail nouveau, tout entier consacré à la description des types
cliniques
, de leurs variétés, des complexus séméiologiques
de Bavière, 135. Boldo-glucine (recherches expé- rimentales et
cliniques
sur l'action somnifère de la ! , par Juranvil
ions de principe en), par ltiueller, 91, 405. Encéphale (traité
clinique
des 1. maladies de l'), par Noth nagel, 414.
eanne Féry, 415. Protubérance (lésions de la), 227. Psychiatrie
clinique
, par Schuele, 414. , Psychoses (et érysipèle)
s le Big Head ? Ainsi donc, s'il est prouvé que certaines analogies
cliniques
unissent l'ostéite de Paget à la syphilis osseu
incontestable que ces malades étaient des artério-scléreux, au sens
clinique
du mot. Donc l'athérome est fréquent, sinon con
s osseuses ont été souvent jusqu'ici diffi- ciles à différencier en
clinique
;il était intéressant de savoir si la radio- gr
ses dystrophiantes qui présentent entre elles certaines similitudes
cliniques
: d'une part maladie de Paget et syphilis osseuse
on qui assurément ne sera souvent que le complément d'un diagnostic
clinique
déjà fait, mais qui néanmoins pourra parfois pr
dans certains cas en apparence intermé- diaires où les déformations
cliniques
des os ne semblent pas très dissem- blables. L'
s fois par un distingué laryngologiste, M. Maltese, assistant de la
clinique
Gradeuigo,a donné les résultats suivants : Au
ustement à l'abri d'uue interprétation erronée. Plusieurs symptômes
cliniques
en effet avaient entraîné des chirurgiens très
à un faible courant d'un milliampère et demi. En résumant l'examen
clinique
du cas que nous avons relaté, voici ce que l'on
ultisance fonctionnelle du voile du palais et du larynx. L'examen
clinique
démontre une amyotrophie remarquable du trapèze,
ue. En effet, les médecins consultés en se basant sur les symptômes
cliniques
que nous avons rappelés, avaient porté le diagn
x- moteurs du nerf spinal et apporter d'autre part une contribution
clinique
sérieuse à ce problème autant discuté qu'incert
Turin,en étudiant le plo- sis de ta tête, c'est-à-dire le syndrome
clinique
dû à la paralysie des mus- cles extenseurs de l
lustrés d'une façon très soigneuse par Ferrio qui donna au syndrome
clinique
observé le nom de plosis de la tête. Voici le r
ouvait travailler avec ses mains laissées disponibles. A l'examen
clinique
on constate une amyotrophie énorme dans toute la
ation des muscles delà nuque et symptômes bul- baires. L'histoire
clinique
est suivie par des considérations intéressantes s
e du spinal chez l'homme. A ce propos il faut citer la contribution
clinique
très importante don- née par Walter Schlodtmann
nne que nous avons cités plus haut(1), nous retrou- vons l'histoire
clinique
d'un malade atteint de poliomyélite antérieure
à l'appui des précédents et en plus il se présente avec une netteté
clinique
remarquable et répond à une localisation systé-
ie aussi bien définie au point de vue anatomique qu'au point de vue
clinique
. Nous préférons donc, en résumé, le lerme de dy
stances, la crampe de la main droite n'apparaissait pas. A l'examen
clinique
, on constatait que, tandis que la pul- sation r
ogique, intéressent l'aliéniste au même titre que les photographies
cliniques
. Ce qui ne veut pas dire que telles figurations
première. Ici, la figuration de l'aliéné peut manquer d'exactitude
clinique
sans que pour cela l'oeuvre perde de sa valeur.
ent quelques types de fous représen- tés avec beaucoup d'exactitude
clinique
. On peut en dire autant de certains portraits i
e leur psychose. Ces do- cuments imagés sont vraiment des documents
cliniques
^ dont la valeur diagnostique équivaut à celle d
ADIUM SUR LES TISSUS DU NÉVRAXE 111 1 ment avec les résultats de la
clinique
: on a fait souvent des applications de radium
té et de durée aussi voisines que pos- sible de celles réalisées en
clinique
. A titre de contrôle, la dose du sel radifère a
a moelle. Ces lésions n'avaient d'ailleurs déterminé aucun accident
clinique
. Qu'on nous permette, en terminant, un rapproch
sions peuvent, ou bien, comme dans nos cas, ne pas avoir d'histoire
clinique
, ou bien, comme dans ceux d'Obersteiner, s'accomp
uveau style 1908, à l'hôpital St-Spiridon de Jassy, dans le service
clinique
du pro- fesseur Dr Russ, où nous l'avons observ
faciale, en plein bulbe. Il faut éviter de confondre ces modalités
cliniques
et anatomiques avec d'au- tres manifestations é
ux neurologistes. Il ressort des faits expérimentaux, des matériaux
cliniques
réunis par 124 VIRÉS ET ANGLADA BETCHEREw, qu
urologie et Psychologie expérimentale, Ne 11, 1906. Barssnun : Leçons
cliniques
sur les maladies nerveuses, Paris, 1S95, leçon
OU ET DE LA CEINTURE SCAPULAIRE PAR Il L.RIMBAUD, et Chef de la
Clinique
médicale à la Faculté J. ANGLADA, Interne des
une extension plus grande des troubles musculaires, par une allure
clinique
plus délicate à interpréter, et prête aux quelq
urologie, 6 avril 1905. INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE
CLINIQUE
MÉDICALE GÉNÉRALE, dirigée par 1VI. le Professe
ACHONDROPLASIE CHEZ L'ADULTE PAR a ETTORE LEVI Assistant à la
clinique
médicale de Florence. Les observations d'achond
ces auteurs. Nous nous bornerons, par conséquent, à la description
clinique
de notre cas, et à la discussion de quelques po
ouvent agrandi ; chez notre nain la macrocéphalie (sans aucun signe
clinique
d'hy- drocéphalie) est des plus évidentes et a,
ux affections qui, selon certains au- teurs, auraient des analogies
cliniques
et pathogéniques par opposition. , Le psychisme
u diagnostic de cette affection, mais aussi parce que les symptômes
cliniques
de la malade de Schrumpf et sur- tout les donné
ntré, par un certain nombre de preuves s'appuyant sur des documents
cliniques
, que, à côté de dyskinésies pro- fessionnelles
és de la main. Il suivit sans succès divers traitements. A l'examen
clinique
on cons- tatait un bruit de galop, une tension
e ressemblent. On peut cependant décrire un certain nombre de types
cliniques
: Duchenne, Zuber admettent deux formes : spasm
198 MACÉ DE LÉPINAY mes).Avec Benediktnous décrirons trois types
cliniques
: la forme spas- modique, la forme paralytique,
quitter cette forme, en donner une description tant au point de vue
clinique
qu'au point de vue graphologique, en rap- porta
ement ; il le fit alors entrer au serviee de M. le Par Baumel de la
clinique
des maladies des enfants, le 11 février 1902. A
yse des urines, faite par M. le Dr Florence, chef du laboratoire de
clinique
de l'hôpital général, donne : MYOPATHIE GÉNÉRAL
blable avec l'investigation radiographique, bien que les recherches
cliniques
nous portent à admettre dans le cas présent des
hir. trans., LXV, 1882, p. 225. 13. Huchard et t ! f\ET. Bull. Soc,
clinique
, Paris, 1882. 14. Il. moisis. - Trans. path. So
de Dupuytren est le trau- matisme et il s'appuie sur les recherches
cliniques
et anatomiques, il nie les autres moments étiol
formes intermédiaires différant plus ou moins par leurs caractères
cliniques
et leur pathogémie. (1) M. vIDE, Nouvelle Icono
upposait l'existence en se basant non seu- lement sur les symptômes
cliniques
, mais aussi sur les résultats de la radio- grap
i qui avait suivi mon premier examen. En ce qui concerne le tableau
clinique
, des douleurs atroces y figuraient en premier l
compli- quée de névrite. La psychalgie prédominait dans le tableau
clinique
à un tel point que, évidemment, le traitement d
YCHALGIE 285 précis de l'existence de la côte cervicale. Le tableau
clinique
et la marche de la maladie de leur côté témoign
ogie, Berlin, 1906). Mais dans ce livre la question de l'importance
clinique
des côtes cervicales, à mon avis, n'est éclairé
russe), 1905, v. II, l'auteur a réuni cin- quante-cinq observations
cliniques
). Bogoluboff (Med. Obosr. (en russe), 1906, n° 17
des côtes cervicales a considérablement augmenté et leur importance
clinique
a fait l'objet de plusieurs travaux. Avant tout
on chirurgicale, sans avoir préalablement examiné à fond le tableau
clinique
en entier, vu que l'opération par elle-même peu
s (voir thèse de Pessard, Paris, 1908, La réédll- cation motrice la
clinique
Charcot). Le traitement commence toujours par d
r. kr. und analoge Zustdnde, th. Breslau, 1875. 157. WtTMER. Aspect
clinique
des névroses professionnelles. Phila. polyclin.,
1885. 240. PESSARD. - La rééducation motrice dans le service de la
clinique
Charcot. Th. de Paris, 1908. 240 bis. PoonE.
TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES, PAK E. BOINET, Professeur de
clinique
médicale, Agrégé des Facultés, Médecin des hôpi
harles, âgé de 52 ans, entre le 22 août 1902, dans notre service de
clinique
médicale de l'H6lel-Uieu pour un cancer pleuro-pu
IX). Muratore, italien, âgé de 53 ans, entre, dans notre service de
clinique
mé- (1) V. Ménétrier, Le cancer. Epithéliomes d
et, âgée de 34 ans, entre le 17 janvier 1905, dans notre service de
clinique
médicale de l'Hôtel-Dieu pour une hémiplégie dr
tte époque la malade a pris un embonpoint considérable. Evolution
clinique
. A son entrée, à l'Hôtel-Dieu, en janvier 1905, o
ie des nerfs moteurs oculaires commun et externe, en un mot le type
clinique
de Weber (hémiplégie alterne supérieure ou pé-
ologique. Pratiqué par le Dr Rouslacroix, chef du labora- toire des
cliniques
, cet examen nous montre les détails suivants :
ion règle-t-il une partie de la symp- tomatologie et de l'évolution
clinique
de l'affection. Malheureusement, à notre connai
uction des éléments nerveux dans la syphilis médullaire. Histoire
clinique
(résumée). Homme, 44 ans. Syphilis il y a dix ans
II. PI. XLII SYPHILIS DU NÉVRAXE A MARCHE RAPIDE (L. Alqitiei).
CLINIQUE
MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ D'UPSALA (SUÈDE) Servi
D'UPSALA (SUÈDE) Service de J11, le professeur K. Petren. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR R K. PETRÉN,
PAR R K. PETRÉN, Professeur. et L. EHRENBERG, Interne à la
clinique
. Introduction. par K. PETREN Au cours de ce
an (l'un se rapportant à l'anatomie pathologique, l'autre à l'élude
clinique
de la maladie). Ces travaux et un travail antérie
s grande. Cette conclusion est appuyée, d'un côté par l'observation
clinique
qui nous apprend que l'extension des troubles d
nception générale de la maladie n'est point du tout close. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 375 Nous avons eu l'o
LIOMYELITE AIGUË 375 Nous avons eu l'occasion d'observer dans notre
clinique
15 cas de polio- myélite aiguë, tous (sauf une
nt les années antérieures à 1907, nous n'avons pas eu non plus à la
clinique
de cas de cette maladie dans la phase aiguë. De
itiaux de la maladie. Parmi les sujets que nous avons observés à la
clinique
, trois sont morts à la phase aiguë de la maladi
iguë de la maladie, tous les trois le surlendemain de l'entrée à la
clinique
. Un quatrième sujet a heureusement traversé la pr
es concernant la poliomyélite aiguë, à savoir : Quelles for- ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 377 mes différentes d
t les lésions ont amené trop rapidement la mort pour que le tableau
clinique
de cette affection ait pu se développer. » Ces
nous, un nouvel exemple de son intuition remarquable des problèmes
cliniques
. Nous trouvons encore des observations chez que
isté sur l'importance des symptômes de la méningite dans le tableau
clinique
de la période d'invasion ; de même, un autre Suéd
très nette, mais sous le nom de méningite spi- nale aigué. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 379 que les symptômes
is ans avant la publication de Na- geotte et Lévy-Valensi. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË < 3 381 ; v z on
elle. Comme on l'a déjà dit, les cas qui n'ont pas été traités à la
clinique
ont été observés par moi seul (P.) I. Observa
commencé à la fin de novembre 1906 par de la fièvre, vomis- ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 383 sements, obstruct
lleurs aucun signe de maladie. Nous l'avons traité deux mois à la
clinique
et la parésie ne s'est améliorée qu'assez faibl
servation II. L. F..., garçon, âgé de 18 ans, de Alunda, entre à la
clinique
le 9 novembre 1907. Après avoir été abattu et i
que ont disparu pendant le cours de la première semaine passée à la
clinique
. Au commencement de janvier 1908, l'incompétenc
fille, âgée de 7 ans et demi, de Bondkyrko- foersamling, entre à la
clinique
le 24 mars 1908. Cette fille est tombée malade
. Les muscles abdominaux sont normaux. La malade a été traitée à la
clinique
jusqu'au 12 juillet et la parésie s'est beaucou
on VI. - G. K..., fille, àgée de 2 ans et demi, de Tuna, entre à la
clinique
le 22 août 1908. Le 13 août cette fille s'est t
peut être assise sans difficulté. Elle peut maintenant faire ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 385 l quelques pas sa
amélioration faisait des progrès rapides, et quand la fille quitte la
clinique
, le 26 septembre, elle marchait bien et il n'y
ion X. - A. V. A..., fille, âgée de 7 ans, de Jaerlaasa, entre à la
clinique
le 19 mars 1908. - J La maladie a commencé le 1
l. XLIII POLIOMYÉLITE AIGUË (K. Petren et L. Ehrenberg). ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË S7 sans s'aider des b
J. L..., étudiant en médecine, âgé de 20 ans, de Upsala, entre à la
clinique
le 22 janvier 1909. Le patient a été indisposé
istent pas. Les mouvements respiratoires semblent maintenant ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 389 être normaux. Le
entir une certaine con- traction des deux grands droits. ' ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 391 1 La malade est t
Observation XIV. L. E..., fille, âgée de 5 ans, d'Upsala, entre à la
clinique
le 5 février 1908. Après avoir été dérangée p
ERVATION XVI. - H. L..., garçon, figé de 16 ans, d'Upsala, entre la
clinique
le 22 septembre 1907. Le 11 septembre il avait
mouvements, mais la force en est diminuée. Le malade a quitté la
clinique
déjà au bout de deux semaines. Quant à son état
tion XVII. - G. V. S..., garçon, âgé de 4 ans, d'Ultuna, entre à la
clinique
le 12 novembre 1907. ' Le 9 novembre il a été m
encé de marcher s'il est soutenu aux aisselles. Quand il sort de la
clinique
, le 6 mars, il y a encore une parésie considéra
demi, de Tuna (jumelle de la fille de l'observation VI), entre à la
clinique
le 22 août 1908. Le 7 août elle était indisposé
une numération des éléments cellulaires n'a pas été faite. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 393 La motilité de la
vation XIX. E. A. J..., fille, âgée de 16 ans, de Staby, entre à la
clinique
le 24 août 1908. Un frère de la jeune fille est
23 juin 1905. - Il y a une parésie des membres supérieurs et ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 895 inférieurs plus p
rmal. Le cas suivant a été observé pendant un temps assez long à la
clinique
médicale de l'Université de Lund. Des renseigne
nous ont été communiqués par M. le docteur Haff- ner, interne à la
clinique
, et nous lui en exprimons nos meilleurs remer-
t alors une parésie du tronc qui n'a pas disparu aussi vite. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 397 La fièvre a conti
et elles ont disparu beaucoup plus tôt. Le malade est traité à la
clinique
médicale de Lund du 7 janvier 1908 jusqu'au 1er
ouvrière à une fabrique de chaussures, âgée de 22 ans, entrée à la
clinique
le 9 novembre 1908. La patiente a été auparavan
le,a senti une faiblesse du bras droit. Elle a été transportée à la
clinique
le lendemain. Pendant les deux jours qu'elle a
s différentes. Cette méthode est très sensible et révèle des ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 399 troubles très pet
rès petits du seus musculaire. Elle est couramment employée à notre
clinique
depuis plusieurs années). La malade ne peut fai
eulement l'étal de la malade pendant les premiers temps passés à la
clinique
, la marche des troubles moteurs correspond parf
alysie d'un pur type flasque sans réflexes tendineux. Contre ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 401 ce diagnostic par
étant sans cause connue. Cependant, l'état de la malade a subi à la
clinique
des changements très remarquables. La paralysie
es cas pu- bliés de maladies de la moelle étudiés par l'observation
clinique
et anato- mique où il me paraissait probable, é
ies de la sensibilité, il faut conclure que le changement du ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 403 type de l'anesthé
POLIOMYÉLITE AIGUË 403 type de l'anesthésie qui s'est produit à la
clinique
(c'est-à-dire l'appari- tion des troubles nouve
auxquelles nous avons pensé pour expliquer cette curieuse histoire
clinique
. L'autre possibilité serait qu'il s'est agi dès
fin de mai). Revenons maintenant à la poliomyélite aiguë. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 405 Nous avons prêté
malade dans le lit, on constate qu'il n'est pas possible, à ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 407 cause des douleur
, il faut remarquer que je n'ai vu (P.) les cas non obser- vés à la
clinique
qu'assez longtemps après le début de la maladie.
ccord avec le fait que nous avons trouvé pour les cas observés à la
clinique
à la phase aiguë des cas avec symptômes méningi
épidémie, il est bien évidentque le diagnostic différentiel ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 409 entre la poliomyé
tats dans le tableau suivant. 410 O PETREN ET EHRENBERG '. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 411 semaine que dans
upé dans le tableau ci-dessous. 412 PETREN ET EHHENBERG ETUVE : ;
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 413 414 IP PETREN L'i
POLIOMYÉLITE AIGUË 413 414 IP PETREN L'i' LIFILIE.Nl3EI(-. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 41 H cales semble néc
r s'il existe des cas avec lymphocytose, mais sans autres symptômes
cliniques
d'une méningite. Si nous comparons les résult
eegaard, en étudiant la grande épidémie norvégienne au point de vue
clinique
etépidémiologique, en est venu à la même conclu
yélite et la méningite cérébro-spinale épidémique assez sim- ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 417 l - ple, et nous
rvation XXVII. -K.M. J..., garçon, âgé de ans, de Gryta, entre à la
clinique
le 16 janvier 1908. Il y a deux semaines, le ga
est présent (la flexion n'est possible qu'à un an- gle de 40). A la
clinique
, jamais de fièvre. Le 19 janvier, les pupilles
ier, tous les symptômes de raideur du dos ou de la nuque ont ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 41 U disparu, et le 4
UR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 41 U disparu, et le 4 février il quitte la
clinique
sans qu'on ne puisse trouver aucun symptôme.
embre. Observation XXIX. 0. A..., fille, âgée de 13 ans, entre à la
clinique
le 12 avril 1909. L'enfant s'était plaint que
. L'histoiredu cas XXVIII nous a paru parler, lors de l'entrée à la
clinique
, aussi hien pour une tumeur du cerveau ou du ce
ic le plus probable ; toutefois, il faut se rappeler qu'on a ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 421 1 observé chez de
YÉLITE AIGUË 421 1 observé chez des enfants des cas avec le tableau
clinique
d'une tumeur cérébrale causée par une affection
ns une proportion beaucoup plus élevée parmi les cas observés il la
clinique
et à la phase aiguë que parmi les autres -cas :
a phase aiguë que parmi les autres -cas : soit 10 cas sur les 15 de
clinique
et 5 cas sur les 14 autres. Wickman me semble
pendant la phase aiguë et la paralysie persistante. D'après ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 423 son opinion, on a
de et soient ainsi passés inaperçus. Dans nos six cas observés à la
clinique
et pendant la phase aiguë, où il y avait parési
vité abdominale (l'état des muscles obliques n'est pas clair ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 425 d'après la descri
s abdominaux ou d'une parésie se rapportant, autant que nous ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 417 l'ayons constaté,
ation XXX. F. B.. , fils d'un paysan, 20 ans, de Tolfta, entré à la
clinique
le 11 juin 1908. Après avoir eu mal à la tète e
s). Duchenne a observé que l'ombilic se déplace si l'on fait ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 429 contracter par le
ion d'examiner la malade, qui avait depuis longtemps déjà quitté la
clinique
, 12 mois après le début de la maladie. Les gran
iant quelle résistance ils peuvent vaincre en se relevant. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 431 Dans le cas XXV,
vésicule thyroïdienne primitive. Nous n'insisterons pas sur le côté
clinique
de cette observation : on y retrouve en effet t
. Phototypie Btrthaud INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE
CLINIQUE
MÉDICALE GÉNÉRALE (Directeur : Prof. Sénateur P
ont été publiées à une époque à laquelle les méthodes de recherche
clinique
étaient beaucoup moins avancées qu'elles ne sont
si une lacune absolue de la pathologie de cette affection. Résumé
clinique
(PI. XLIX et L). Gigantisme acromégaliqne chez
etite, légèrement atrophique. Signes d'arrêt de déve- (1) La partie
clinique
, radiographique et critique de ce travail revient
es conditions il entre le 18 décembre 1908, sur notre demande, à la
clinique
médicale de Florence, pour être objet d'une obser
EPPE FRANCHINI . misère la plus absolue, il n'accepte d'entrer à la
clinique
qu'après une très longue hésitation quoique nou
(selon Wassermann) a été nettement positive. Cet ensemble de faits
cliniques
peut être interprété de façon très dif- férente
xis- tence chez M. Palazzi du virus syphilitique et le raisonnement
clinique
468 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHINI nous po
ant, à la lueur de toutes ces notions pathogéniques, certains types
cliniques
restaient encore inexpliqués, tels ces noevi en b
avait, d'autre part, depuis longtemps déjà, que certaines analogies
cliniques
réunissent le zona et le noevus (6). Aussi est-
palhogénique n'est pas absolument superposable à la classification
clinique
admise par tous les ailleurs récents, et basée
de ces malades dont nous avons rapporté précédemment l'observation
clinique
(obs. 6, malade du Dr Launois), nous avons cons
iétés. Schlesinger, tout en admettant deux maladies au point de vue
clinique
, croit que le type anatomo-pathologique est le
ra découvert des formes intermédiaires, car, en réalité, le tableau
clinique
et les lésions anatomiques trouvées, parlent pl
de notre cas, à quelle maladie nous avons affaire. Au point de vue
clinique
, ce cas présente des symptômes qu'on trouve dans
téo-sclérose au lieu de l'ostéo- porose. Ainsi, aux points de vue
clinique
et allatomo-pathologique, notre cas présente qu
rhumatisme vertébral ankylosant ? Teissier lui attribue les signes
cliniques
suivants : la colonne vertébrale devient toute
nous l'avons dit plus haut, notre cas se rapproche par son tableau
clinique
et par l'étiologie de la forme deBechterew. Quelq
cale sont consignés très peu de cas dans lesquels, à la description
clinique
, s'ajoute une radiographie nettement démonstrat
talmoscopique le blanchissement de la papille est évident. L'examen
clinique
, fait au mois de janvier 1909, a permis de releve
s cas, qui ne sont pas très rares, où l'interprétation du complexus
clinique
présente des difficultés plus ou moins grandes.
oins grandes. Il n'est pas inutile que j'indique brièvement des cas
cliniques
dont on a pu avoir l'autopsie, puisque les alté
deux examens nécrosco- piques de malades dont on possède l'histoire
clinique
. Un lui publié pour la première fois par G. Pet
ation, rap- portée cependant par Abadie, car elle manque de données
cliniques
. Dans le cas de Petit, on trouvailles altératio
s ostéoarthropathies capables de donner lieu à des manifesta- tions
cliniques
. Voyons maintenant, non moins brièvement, ce qu
e radiogra- phie, dans les cas où l'on peut admettre que les signes
cliniques
d'une ostéo-arthropathie vertébrale sont conséc
téoporose). 7° Le cas étudié par moi, dont j'apporte ici l'histoire
clinique
, la photogra- phie et la radiographie est certa
ensibilité osseuse (ltev. Neurol., 1908, n° 8, 30 avril, page 345).
CLINIQUE
MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ DE PISE dirigée par M.
dystrophiques osseuses. Je passe de suite à l'exposé de l'histoire
clinique
. Observation (PI. LVII, LVIII) Lippi Carlo, â
Lippi Carlo, âgé de 58 ans, charpentier, marié dePisa. Il entre à la
clinique
le 27 janvier 1909. Son père mourut à l'âge d
ont devenus rapidement alarmants. Pour ces faits il entre dans la
clinique
le 27 janvier 1909. Examen objectif. Homme d'un
y eut ja- mais de fièvre. Le malade ne voulant pas mourir dans la
clinique
nous quitta aux premiers jours de mars. Voula
opie et la radiographie confirment ce qu'on a relevé par l'exa- men
clinique
: de plus on constate une condensation de la subs
ographie a contrôlé et confirmé les constatations faites à l'examen
clinique
; je ne voudrais pas demander l'interprétation de
de Wassermann pour la syphilis. Dès qu'elle fut introduite dans la
clinique
on a eu la confirmation biochimique du lien pal
ue du lien palhogénique, déjà affirmé sur la base de considérations
cliniques
, qui relie la syphilis et les maladies parasyph
de notre malade ne nous paraît pas dénuée d'intérêt au point de vue
clinique
. Observation (PI. LIX). Br..., âgé de 27 ans
B... ne paraît avoir ni idées délirantes ni troubles sensoriels.
CLINIQUE
MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ D'UPSALA (SUÈDE) Servi
TÉ D'UPSALA (SUÈDE) Service de D. le professeur K. PETRÉN, ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR K. PETRÉN, Pr
Ë PAR K. PETRÉN, Professeur. et L. EHRENBERG, Interne nia
clinique
. (Suite) Sur les troubles de la respiration.
staux. La conséquence, c'est qu'on aurait, dans tous les cas ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 547 7 présentant l'ex
VATION XXXI. E. J..., garçon âgé de 15 ans, de Froetuna, entre à la
clinique
le 8 novembre 1907, mort le 9 novembre. Le 3 no
faible, avec une fréquence de 120. Il est mort à 8,30 du suir. A la
clinique
il n'y avait jamais de fièvre. Observation XXXI
on XXXII,. - A. W..., caissier, âgé de 36 ans, d'Upsala, entre à la
clinique
le 30 septembre 1907, mort le 1er octobre. Le m
e 30 septembre. Il ne reste que quelques mouvements extrême- érodes
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 549 ment faibles dans
. P..., âgé de 20 ans, étudiant à l'Université d'Upsala, entré à la
clinique
le 29 janvier, mort le 30 janvier. (L'état du m
à cause de la difficulté de la déglutition,on l'a mis d'abord à la
clinique
chirurgicale ; là on a trouvé une cyanose très
l'état général du malade. Le malade a été en- suite transporté à la
clinique
interne. Flat le ^janvier vers 11 heures du mal
une très grande difficulté à parler. Le trait qui domine le tableau
clinique
, c'est la difficulté énorme à respirer. En l'ex
rs de ce jour la conscience se trouble progressivement et le ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 551 pouls devient plu
cas XXXIII, j'ai observé également une paralysie, tant de la ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 553 respiration abdom
ns un cas de gliome du cervelet chez un enfant observé d'abord à la
clinique
médicale chez qui plus tard mon collègue, le pr
tinué de fonctionner tout ce temps-là. Puis la mort est venue. A la
clinique
j'ai abservé presque la même chose dans quelques
dans quelques autres cas que je veux brièvement citer ici. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 555 2° Chez une femme
IOMYÉLITE AIGUË 555 2° Chez une femme âgée de 21 ans, observée à la
clinique
, chez qui le dia- gnostic était encore indécis
sement du cervelet. 3° Chez une femme âgée de 30 ans, observée à la
clinique
, et pour laquelle j'ai fait le diagnostic de tu
ion. C'est encore un cas de tumeur du cervelet observé d'abord à la
clinique
médicale,et dans lequel plus tard mon collègue, M
nitive entraînant la mort, reste, selon moi, encore ouverte. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 557 Sur les troubles
observations ; mais, si nous ne regardons que les cas observés à la
clinique
et pendant la phase aiguë de la maladie, ce sym
exclure, pour juger de la mortalité, tous les cas non observés à la
clinique
; car dans ces cas, il s'agissait d'indivi- dus
y a pas de cas mortels parmi ceux-là : Sur les 15 cas observés à la
clinique
, il y a 3 morts, c'est-à-dire 20 0/0 ; cependan
(En outre, il est incertain s'il faut ou non exclure le cas ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYELITE AIGUË z) XIX, où la malade
iguë étaient âgés de 15, 20 et 36 ans. Sur les 15 cas observés à la
clinique
, 8 ont plus de ')4 ans ; en conséquence, pour c
on de cette question, car il n'a pas fait ses observations dans une
clinique
et n'a pu suivre le développement postérieur de
s phases de la maladie. Par conséquent ces observations nous ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 561 démontrent que la
la grande fréquence des symptômes méningitiques (à l'ob- servation
clinique
) et d'une infiltration cellulaire des méninges (à
comme très important d'examiner soigneusement force de tous ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE A1GUE 563 les mouvements de
l'âge où la maladie a commencé : 564 PETREN ET EHRENBERG ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 565 les cas sporadiqu
t les lésions ont amené trop rapidement la mort pour que le tableau
clinique
de cette affection ait pu se développer ». Pour
aiguë. (A suivre.) INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE .
CLINIQUE
MÉDICALE GÉNÉRALE (Directeur : Prof. Sénateur P
. Dans un second examen des urines fait au retour du malade dans la
clinique
, sur une quantité de 1.500 centimètres cubes en
s ressemblances et ces identités rapprochées à tout ce que l'examen
clinique
nous a appris sur l'unicité possible des deux aff
(dont la publication va suivre bientôt) et chez lesquels l'histoire
clinique
était négative pour la syphilis héréditaire ; l'u
ne nouvelle preuve éclatante. Chez notre patient, en effet, l'étude
clinique
, les recherches radiographi- ques, celles sur l
. XIV, 1907. Franchini E GIGLIOLI. Encore sur l'acromégalie ; notes
cliniques
. Nouvelle Icon. de la Salp., 1908, p. 324. GA
érant : P. Bouchez. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne).
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (hospice DE la
xistence d'une sclérose en plaques; l'insuffisance de l'observation
clinique
nous oblige il rester dans le doute ; nous avon
l'existence de tumeurs encéphaliques. Observation. I. - EVOLUTION
clinique
DE l'affection. Examen fait au début de l'année
ment cellulaire anormal. Peu après le malade fut transféré dans une
clinique
particulière où il fut encore examiné par le Dr
rtueuses, souvent moniliformes. On a l'impression- et l'évo- lution
clinique
est là pour l'affirmer,- que les cylindraxes parv
es constatations nécropsiques des différentes étapes de l'évolution
clinique
de ce cas. Il paraît certain que le début du pr
t la paralysie de tous les noyaux bulbaires et la mort. L'évolution
clinique
pouvait-elle mettre sur la voie du diagnostic exa
mensurations sont faites à l'entrée du malade dans le service de la
clinique
(août 1905), à l'ye de 15 ans, les secondes en no
Observation IL A. D..., âgée de 16 ans, entre dans le service de la
clinique
des maladies du système nerveux en 1903. A son
ière, ainsi que l'exa- men microscopique nous l'a montré. Ces cas
cliniques
, assez démonstratifs, viennent d'être confirmés p
des atrophies musculaires tardives, je rapporte l'histoire d'un cas
clinique
qui, pour certaines particularités, mérite une me
buer à l'hérédité pathologique ; ce fait déjà mis en relief par la
clinique
, vient à consolider les idées de Strumpell sur
myolrophies secondaires. Thèse de Montpellier, 1875. COUDOIN. Etude
clinique
de la paralysie spinale aiguë et de l'atrophie mu
sive chez le même individu. Thèse de Paris, 1819. Quinquauii. Elude
clinique
de la paralysie spinale aiguë el de l'atrophie mu
ogressive . Gazette médicale de Paris, 1881, p. 154. SAUZE. - Etude
clinique
sur la paralysie spinale aiguë de l'adulte. Thèse
nfantile. Revue de médecine, 1884. SATTLER. Contribution Il l'étude
clinique
de quelques accidents spinaux consécutifs à la
e infantile. Revue de médecine, 1893. t. 1, p. 1. Gnnrrnov. - Étude
clinique
sur les relations de l'atrophie musculaire progre
53. ODDO. - Maladies de la moelle et du bulbe. Paris, Doin, 1908.
CLINIQUE
MÉDICALE DE L'UNIVERSITÉ D'UPSALA (SUÈDE) Servi
D'UPSALA (SUÈDE) Servit de ! If, le professeur K. Petren. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR K. PETRÉN, Pr
PAR K. PETRÉN, Professeur. et L. EHRENBEFG, Interne à la
clinique
. (fin) Sur la relation entre la poliomyélite
ite (en ayant l'occasion d'observer dans une grande ville, soit aux
cliniques
, soit aux consultations publiques des hôpitaux, u
hémisphères trouvées dans la poliomyélite aiguë et, d'autre ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 663 part, celles qu'o
nt en effet remarquables. Je ne veux que brièvement rappeler ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 668 ceux que j'emprun
môme si l'issue de la maladie ou les symptômes indiqués ci- ÉTUDES
CLINIQUES
SUR H POLIOMYÉLITE AIGUË 667 dessus ne peuvent
is cas de polyné- vrite qui ont été traités ces derniers temps à la
clinique
. Observation XXXIV. - B. M..., étudiant, d'Upsa
ion XXXIV. - B. M..., étudiant, d'Upsala, âgé de 24 ans, entre à la
clinique
le 11 octobre 1908. Avant cette maladie, il n'a
es des extrémités des membres. A la lin de mars, quand il quitte la
clinique
, il peut marcher assez bien, monter des escalie
vation XXXV. G. S ? cocher, âgé de 61 ans, de Skutskaer, entre à la
clinique
le 11 février 1909. Auparavant il a eu en génér
ulaire est normal. Pendant les deux premières semaines passées à la
clinique
, la faiblesse aug- mente encore un peu et les r
exécuter l'opposition du (lt.Iuce, mais pas tout à fait dans ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 669 son extension nor
XXVI. -J. A. L..., ouvrier, de Villberga, âgé de 19 ans, entre à la
clinique
le 10 décembre 1908. Rien d'intéressant dans so
quand il est assis, se jeter en arrière et en opposant de la ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 671 t résistance, il
normale des muscles du tronc, au moment où le malade est entré à la
clinique
. En outre, la répartition de la paralysie entre
lite. Dans la polynévrite il peut également n'y avoir aucune ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 673 anesthésie, et je
la répartition très étendue des lésions anatomiques le long ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 675 de toute la moell
Geirsvold, des diplocoques; Pasteur, roulerton et Maccormac, ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 677 des diplocoques ;
und Hermann (0.), Ueber Bauchmuskellâhmung bei Poliomyelitis ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 679 anlerior acuta im
llihmung), Jahrbuch sur Kinderheilk. Bd. XXII, p. 173, 1885. ÉTUDES
CLINIQUES
SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 681 100. Ueber primci
II UN CAS D'EC'l-RONIP.1,IE (Markeloff) Masson et O, Editeurs
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX DE L'UNIVERSITÉ
11, LXXIJI) Th. W..., âgée de 50 ans, célibataire, se présente à la
clinique
des maladies nerveuses se plaignant de maux de
t) (1 pl.), par Vires et ANGLAUA, 119. Poliomyélite aigué (Eludes
cliniques
sur la - ), par Petren et EnnEXBERG, 372, 546,
e gliome bul- bo-protubérantiel, 620. Ehrenberg et Petren. Etudes
cliniques
sur la poliomyélite aiguë (1 pl.), 373, 546,
déformante de Paget (4 pL), 253. Petren et 1",IIRE-IBEIIC. Etudes
cliniques
sur la poliomyélite aiguë (1 pl.), 373, 546,
PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES maladies i min mm M. le Professeur CHAR
et 1890-91 et publiés sous la direction de GEORGES GUÏNON chef de
clinique
Avec la collaboration de MM. Gilles de la. Tour
rmentier, Souques, Hallion, jtf.-B. Charcot et Meige, anciens chef de
clinique
, internes et interne provisoire de la Clinique.
Meige, anciens chef de clinique, internes et interne provisoire de la
Clinique
. TOME I Avec 47 figures et 3 planches. PARI
AVANT-PROPOS J'ai confié à M. Georges Guinon, qui a été mon chef de
clinique
pendant les années scolaires 1889-90 et 1890-91,
ravaux les plus intéressants qui ont été publiés clans mon service de
clinique
et sous ma direction pendant cette période de tem
fants et adultes épileptiques simples), nous avons la direction de la
clinique
proprement dite comprenant une centaine de lits r
oliclinique que j'entretiens le mouvement fort actif du service de la
clinique
proprement dit. Les hasards cle la clinique fou
actif du service de la clinique proprement dit. Les hasards cle la
clinique
fournissent ainsi chaque année soit à moi-même, s
es de l'anesthésie. Différences avec la syringomyelic au point de vue
clinique
et anato-mo-pathologique. Relation d'un cas typ
spécialement d'une affection tout récemment introduite (1883) dans la
clinique
, où son autonomie est encore discutée par quelque
e maladie de Morvan, qui se trouve actuellement dans le service de la
clinique
, grâce à l'obligeance de mon collègue, M. Hanot.
du moins pas encore. Mais restons, Messieurs, dans le côté purement
clinique
de la question. Trois phénomènes sont ici caracté
dans la Gazette hebdomadaire. M. Morvan y fonde tout d'abord le type
clinique
qui porte son nom et le défend ensuite avec une g
vers auteurs. Enfin, tout récemment, un travail de Heckel d'après une
clinique
de Jûrgensen (de Tubingue) (Berlin. Kl. Wochensch
s confîrmatifs. C'est donc d'après lui que nous ferons la description
clinique
, tout en remarquant chemin faisant que certains é
s'il existe des différences entre les deux affections au point de vue
clinique
, il en existe aussi au point de vue anatomo-patho
si au point de vue anatomo-pathologique. Mais ceci n'a pas trait à la
clinique
et ce n'est qu'une affaire de diagnostic post-mor
tout ces anesthésies sensorielles qui ne font point partie du tableau
clinique
de la parésie analgésique à panaris ? Ici, en eff
es plus grossières de la moelle épinière. Mais,restant sur le terrain
clinique
, vous trouvez dans la syringomyélie les atrophies
ons aujourd'hui nous occuper de quelques points relatifs à l'histoire
clinique
du tremblement ou mieux des tremblements hystériq
13, et Leçons du Mardi, t. I, p. 398. avec M. P. Marie, mon chef de
clinique
d'alors, qu'un do ses caractères est de paraître
889). de malades rassemblés par nous à cet effet dans le service de
clinique
. Ce travail, non encore publié, a été présenté pa
es ou purement névropathiques. Combien ne sera-t-il pas important, en
clinique
, de savoir que tel ou tel tremblement n'est pas p
écède, M. le professeur Charcot montrait, dans une de ses conférences
cliniques
(1), un nouveau malade atteint de la forme intent
ommé Mas..., âgé de 39 ans, cultivateur, est entré dans le service de
clinique
des maladies nerveuses le 1G janvier 1890. On n
ésent, que sous peu ce syndrome s'installera définitivement dans la
clinique
neuropathologique. ( Vous aurez bientôt l'occas
ueillie dans mon service , M. Parinaud et M. Marie, alors mon chef de
clinique
, avaient décrit la névralgie oculaire a retour pé
ent et qui mérite bien d'être considéré comme se rapportant à un type
clinique
,. * J'en viens maintenant à la description qu
il n'en est qu'une variété, mais assez importante et se présentant en
clinique
avec des caractères assez tranchés pour mériter u
z. des Hôp., 1880, III, 561-563. (2) Fabre. — Nouveaux fragments de
clinique
médicale. L'hystérie viscérale. Paris, 1883. Dela
de 22 ans, Mlle Marguerite F... ,qui est entrée dans le service de la
clinique
le 15 avril dernier. Vous reconnaissez tout de su
Roth. — De la gliomatose médullaire (Arch, de Neurol.. 1838). tères
cliniques
les plus importants de la syringomyélie, mais peu
, âgée de 23 ans, qui est déjà depuis longtemps dans le service de la
clinique
. Cette jeune fille est atteinte de grande hystéri
evient anesthé-sique comme par devant. Il y a six mois, mon chef de
clinique
, M. Georges Guinon, avait déjà fait cette même ex
tion. Il y avait en effet, à ce moment, dans les salles du service de
clinique
, (1) Au mois de mai 1891, c'est-à-dire un an ap
ntes ont été faites par M. le Professeur Charcot, dans une des leçons
cliniques
de cette année). Notre jeune fille compta parmi l
, que M. le Pr Charcot avait présentés antérieurement dans ses leçons
cliniques
(le 24 février 1890). Le premier est un exemple
e M. le P1* Charcot a présentées et analysées dans son ensei -gnement
clinique
. Nous ne nous attarderons pas à décrire la dist
estion de compression survenue dans le bassin, bien que les symptômes
cliniques
soient absolument les mêmes. Enfin elle est en co
nt nous rapportons plus loin l'histoire ont fait le sujet d'une leçon
clinique
de M. le Pr Char-cot (2). A la suite de cette leç
observation. Ces cinq malades font tous partie soit du service de la
clinique
, soit de la policlinique de M. le Pr Charcot. O
nt d'ailleurs confirmer complètement les résultats de l'investigation
clinique
. Les muscles tibial antérieur et extenseur commun
rofessent Charcot lorsqu'il présenta ce malade dans une de ses leçons
cliniques
. Du groupement de tous ces faits que noub venon
de publier l'observation d'une malade actuellement dans le service de
clinique
de la Salpêtrière, d'autant plus que l'examen de
rs, Je désire attirer votre attention sur un malade dont l'histoire
clinique
vous intéressera certainement, et vous montrer de
cas plus vulgaires quelque phénomène inattendu qui modifie le tableau
clinique
habituel. Nous en avons la preuve dans l'histoire
e a retrouvé le sommeil et l'appétit, j'en aurai fini avec l'histoire
clinique
. Ma tâche n'est qu'à moitié remplie, car il me
tte description offre quelques points de ressemblance avec le tableau
clinique
que je vous ai exposé tout à l'heure, je dois vou
e, ou faciès oVHutchinson; ses caractères, son diagnostic. Caractères
cliniques
de l'oplithalmoplégie externe : intégrité des mus
avec vous dans la leçon d'aujourd'hui et de mettre en valeur deux cas
cliniques
dans lesquels vous trouverez le syndrome « Ophtha
placer sous vos yeux un de nos deux malades. Chez lui, les apparences
cliniques
de F ophthalmoplégie externe sont parfaitement ac
tituer des lésions secondaires et d'une importance secondaire pour la
clinique
, il faut toujours compter, lorsqu'il survient de
ions les plus typiques du groupe. Nous allons entrer dans l'analyse
clinique
de ces deux cas et vous reconnaîtrez que dans l'u
git, mais bien de poliomyélite antérieure subaiguë, répondant au type
clinique
de la paralysie spinale antérieure subaiguë, qui,
sur un ordre de faits qui paraît devoir, quelque jour, tenir dans la
clinique
une place intéressante. Il ne s'agit encore actue
ltiplier rapidement, et que d'importantes questions nosographiques et
cliniques
ne manqueront pas d'être soulevées à leur sujet;
uées par M. le Dr Vi-gouroux, chef du service électrothérapique de la
clinique
des maladies nerveuses à la Salpêtrière. Nous e
de Morvan, deux formes noso-graphiques récemment introduites dans la
clinique
neuropathologique, et vous n'ignorez certainement
d'éléments relativement rares, exceptionnels, dans le tableau du type
clinique
: syringomyélie. Voilà ce que nous chercherons à
osité anatomique, mais qui aujourd'hui a acquis une grande importance
clinique
. Ce résultat est dû, vous le savez, aux travaux d
s, tantôt à la physiologie expérimentale, tantôt à l'anatomie et à la
clinique
, ce que seront ces symptômes? Oui incontestableme
es préliminaires, j'esquisserai maintenant la symptomatologie du type
clinique
fondamental de la syringomyélie, telle qu'elle a
tiques), la scoliose, enfin une (1) Les recherches entreprises à la
clinique
sur l'existence du rétrécissement du champ visuel
alade de la Salpêtrière, qui n'avait pas, à l'époque où il était à la
clinique
, le champ visuel rétréci, ainsi que cela est ment
i que nous l'avions relevé, n'est pas absolument spécifique, toute la
clinique
de la syringomélie serait dans le désarroi. * *
s, malgré tout, soutient M. Morvan, il n'y a pas identité, et dans la
clinique
les deux.affections peuvent être distinguées l'un
fait remarquer que le syndrome de Morvan, doué de tous les caractères
cliniques
essentiels qu'on lui prête, s'est rencontré un pe
ussion, après tout ce qui précède. Il est devenu clair que, de par la
clinique
comme de par l'anatomie pathologique, syringomyél
rant et habile qui a su la faire sortir du chaos et lui donner la vie
clinique
. Je vous proposerai, en conséquence, d'appliquer
ributs fondamentaux. La présence, laprédominance même dans le tableau
clinique
des panaris analgésiques ne change rien au fond d
es lésions qui dans ce cas ont présidé à la production des phénomènes
cliniques
: lésions de la corne grise postérieure gauche da
écembre 1889. Sur un cas de paraplégie diabétique l. point de vue
clinique
, et cela d'une façon tout à fait formelle, en 186
on a trop souvent à appliquer sans hésitation à la pathologie et à la
clinique
les données du laboratoire. C'était en effet le
d'idées, que lorsqu'elles ont été soumises à l'épreuve de la critique
clinique
, qui seule peut juger en dernier ressort si la no
ement cérébral, lorsqu'il y avait eu une autopsie, et au point de vue
clinique
des hémiplégies transitoires, des monoplégies à d
me paraissent réaliser un type nosogra-phique défini, dont le tableau
clinique
pourrait, si je ne me trompe, être caractérisé pa
ue j'ai fait placer sous vos yeux. Mais avant d'arriver à l'analyse
clinique
de ce cas, je désire entrer encore dans quelques
les réflexes tendineux sont absents. Mais quelle est la signification
clinique
de ce fait? Quelle est sa signification physiolog
névrites périphériques. Eh bien, Messieurs, me fondant sur l'examen
clinique
du cas que je vais vous montrer, j'émets l'avis q
é exécutées par M. Grenouillet, interne en pharmacie du seivice de la
clinique
, qui a également dressé les courbes qui sont repr
tique. Depuis cette époque, le malade est resté dans le service de la
clinique
pour y être soigné tant de son diabète lui-même q
ées à cet effet M. Grenouillet, interne en pharmacie du service de la
clinique
. Depuis lors il s'est encore notablement accentué
haque jour un motif d'étonnement, a pris une place importante dans la
clinique
des hôpitaux 1 Leçon du mois de mai 1891. de
ques-uns. Je vous renverrai d'abord à l'article de mon ancien chef de
clinique
, M. P. Marie, aujourd'hui médecin des hôpitaux et
aux, a observé plus de 20 cas d'hystérie mâle dans le seul service de
clinique
générale dirigé par M. le professeur Pitres 2, da
cée. Il faut être, cela se conçoit, en possession d'un grand matériel
clinique
, tant général que spécial pour observer journelle
fficile peut-être l'appréciation véritablement scientifique des faits
cliniques
. Attendons patiemment que de ce côté la lumière s
prendre, je vous l'ai dit, un casbanal; seulement, vous le savez, la
clinique
attentive trouve à peu près toujours à signaler,
que l'a fait fort justement remarquer M. Georges Guinon, mon chef de
clinique
, dans son ouvrage sur les agents provocateurs de
rai que M. Gilles de la Tourette avait, alors qu'il était mon chef de
clinique
, publié déjà un travail sur la superposition des
fille de dix-huit ans dont le cas m'a paru offrir un certain intérêt
clinique
. Vous vous souvenez sans doute que cette jeune fi
lé siégeant dans le pédoncule cérébral gauche avait amené le syndrome
clinique
en question. Il va sans dire qu'une lésion située
w-York, 1873. 3 Perroud. — Lyon médical, n° 22, 1874. * Andrai. —
Clinique
méd., Paris, 1840, 4e edit., t. V, p. 326. 5 Gi
à la lésion). Pour connaître, Messieurs, les raisons de ce syndrome
clinique
, il est nécessaire de faire intervenir l'analo-mi
e la lésion qui déterminent la nature et le nombre des manifestations
cliniques
. J'en ai fini, Messieurs, avec ces notions quel
elles me paraissaient indis- pensables comme introduction à l'étude
clinique
qu'il nous reste à entreprendre. Elles m'ont du r
dehors des syndromes de Weber et de Millard-Gubler, d'autres variétés
cliniques
, mais ce ne sont en général que des variétés de c
ornée du côté intéressé. C'est là un caractère que mon ancien chef de
clinique
, M. Gilles de la Tourette1, a parfaitement mis en
fin de cette longue histoire. Vous voyez, Messieurs, quelle est en
clinique
générale l'importance d'une connaissance approfon
lanches adjacentes et, de ce fait, il est permis d'admettre une forme
clinique
en quelque sorte typique et caractérisée par des
s'adresse à M. Brissaud, chargé, pendant les vacances, du service de
clinique
à la Salpêtrière. Il lui raconte tout d'abord que
e pure et simple. Il n'est pas à notre connaissance que cette forme
clinique
ait encore été signalée. En dehors de ce fait q
rocessus de sclérose bien spécial qui répond à ce que l'on désigne en
clinique
sous le nom de tumeur dorsale du carpe. Il n'y a
invoqués de part et d'autre, empruntés exclusivement à l'observation
clinique
, seraient dépourvus de sanction anatomique. Il
deux cas, fort différents en apparence, du moins au seul point de vue
clinique
, la nécropsie et l'examen histologique du système
nc à l'anatomie pathologique de prononcer en dernier ressort. Mais la
clinique
ne doit pas pour cela abdiquer. En admettant même
lérose fasciculée postérieure n'a pas enrayé, tant s'en faut, l'étude
clinique
de l'ataxie locomotrice. Il en serait de même dan
l'a fait pour les cas frustes du tabès, clans le cadre élargi du type
clinique
fondamental. D'ailleurs si le syndrome de Morvan
second. Messieurs, Je vais vous montrer aujourd'hui un caractère
clinique
qui, pour simple qu'il soit, n'en a pas moins une
ous lire un passage d'un livre trop oublié de Todd, intitulé : Leçons
cliniques
sur la paralysie et sur certaines maladies du cer
Le second a la même allure, quoique moins accusée. Mais reprenons la
clinique
de Todd. « L'autre malade, ajoute-t-il, ne marche
a langue et perd involontairement ses urines. Il est un principe en
clinique
neuropathologique, un principe qu'il ne faut jama
ous sommes menacés d'accidents cérébraux plus graves dont l'apparence
clinique
: aphasie, épilepsie, variera naturellement suiva
que je veux dire, c'est que toutes les fois que vous rencontrerez en
clinique
une telle céphalée, vous pourrez affirmer à coup
o caractère syphilitique de la céphalée est établi par sa description
clinique
; de l'autre, en étudiant la question de plus prè
tre, du reste, ces accidents d'aujourd'hui n'ont, dans leur apparence
clinique
, rien qui les distingue de ceux qui pourraient ré
tir devant vous certains détails de cette observation que mon chef de
clinique
, M. Georges Guinon, a recueillis avec soin, depui
mmense majorité des cas. J'excepte, en effet, car il faut toujours en
clinique
faire quelques réserves, certains cas très except
e puisse faire défaut. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le tableau
clinique
de la sclérose en plaques se trouve clans certa
fragable, trouver le moyen de reconnaître sur le vivant ces anomalies
cliniques
et contrôler le diagnostic à l'autopsie. L'occasi
s (20 au lieu de 17 0/0). Il y a actuellement dans le service de la
Clinique
deux malades atteints de sclérose en plaques anor
e en plaques. Th. de Paris, 1883. (2) Babinski. Etude anatomique et
clinique
de la sclérose en plaques. Th. de Paris, 1885.
streint des puristes. Ces formes sont le plus souvent représentées en
clinique
par une paraplégie spasmo-dique simple ou compliq
M. le Pr Charcot, qui a présenté cette malade dans une de ses leçons
cliniques
, a insisté sur ces déviations particulières de l'
'est le diagnostic qui a été porté par M. le Pr Charcot dans la leçon
clinique
qu'il a consacrée à l'examen de cette malade et à
8, dans laquelle M. le professeurCharcot présenta aux auditeurs de la
Clinique
la malade qui fait l'objet de notre première obse
harcot. Trois d'entre elles ont été recueillies dans le service de la
Clinique
. Nous pouvons en conclure, en nous basant surtout
domestique, est entrée le 7 août 1888 à la Salpêtrière, service de la
Clinique
des maladies du système nerveux. Antécédents hé
la consultation de la Salpêtriôre et fut admise dans le service de la
Clinique
. Actuellement, le phénomène prédominant est le
ontine M,.., dix-neuf ans, se présente à la consultation externe delà
Clinique
des maladies du système nerveux, avriH890. Anté
.., âgée de trente ans, employée, sè présente à la consultation de la
Clinique
des maladies du système nerveux, au mois de mai 1
s de l'anesthésie. Différences avec la syrin-gomyélie au point de vue
clinique
et anatomo-pathologique. Relation d'un cas type
ne ou fades d'Hutchinson ; ses caractères, son diagnostic. Caractères
cliniques
de l'ophthalmoplégie externe : intégrité des musc
par'.s. — imp. v. goupy et jourdan, rue de ren'n'es, "i. Charcot.
Clinique
des maladies du système nerven-. T. I. IM. I.
. Clinique des maladies du système nerven-. T. I. IM. I. Charcot.
Clinique
des maladies du système nerveux. T. I. Pl. II.
itre d urine après traitement. (V. n° XIII, p. 2S7 à £84.) Charcot.
Clinique
des maladies du système nerveux. T. I. Pl. m.
VILLE PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE Vlf. A.JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté* de méde
. V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecindel'Asile
clinique
; | (Ste-Anne). COLLABORATEURS PRINCIPAUX :
Ste-Anne). COLLABORATEURS PRINCIPAUX : F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
s 1906 Vol. XXI Janvier 1906 NI- 121 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE Deux cas de méningo-encéphalite chroni
s pathologiques congénitaux ou acquis, paraissant offrir un tableau
clinique
sembla- ble, mais se traduisant par des lésions
rs jours de la naissance. Archives, 2° série, 1906, L. XXI. 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. A partir de décembre 1897, marche pro
ge de 6 ans, jusqu'en décembre 1897; elle apprend assez bien. 4
CLINIQUE
NERVEUSE. La malade n'a jamais fait de maladie
érale. 20 mai. La malade est passée en chirurgie dans le ser- 6
CLINIQUE
NERVEUSE. vice de M. le Dr MONOD, où on décide
crâne, dans le but d'améliorer la vue » et un certificat de l'Asile
clinique
, du Dr Dagonet, comportant : « est atteinte de
et pose le talon d'abord sur le sol. Etant assise, elle exécute 8
CLINIQUE
NERVEUSE. assez bien avec ses jambes les mouvem
relet qui existe autour de la brèche est bien plus saillant, 10
CLINIQUE
NERVEUSE. ne se continue pas avec la frontale a
èrébr3.ux et cérébelleux n'ont fait découvrir aucune tumeur. 12
CLINIQUE
NERVEUSE. Cou et Titoi@ax. - Persistance du thy
parce qu'il peut être retardé par l'insouciance des parents. 14
CLINIQUE
NERVEUSE. sort de l'hôpital pour entrer quelque
ne «'accordait pas avec sa femme; l'a quittée il y a 12 aus 16
CLINIQUE
NERVEUSE. et, depuis, on ne sait ce qu'il est d
complètement aveugle en Archives, 2" série, 1906, I. XXI. 2 18
CLINIQUE
NERVEUSE. l'espace de deux ans, pendant son séj
e longues années», et un certificat de M. le Dr lllagmn, de l'Asile
clinique
Sainte-Anne), mentionnant : « est atteint d'idi
is à droite. Pas de signe de Babinski : l'enfant cric quand on 20
CLINIQUE
NERVEUSE. excite la plante du pied, mais ne fai
ue; tuberculose pulmonaire; congestion pulmonaire terminale. 24
clinique
nerveuse. V.La sein ])le avoir débuté vers 11
t l'envoi des malades d'un hôpital au bureau d'admission de l'Asile
clinique
, puis de l'envoi de cet asile dans un autre éta
Si la température avait été prise la veille du départ pour l'Asile
clinique
, on n'aurait pas transféré cet enfant, on lui a
rait laissé mourir tranquillement à l'hôpital. VII. Les symptômes
cliniques
prédominaient il droite, les lésions à gauche :
les deux présentassent des lésions tuber- culeuses des poumons.
CLINIQUE
MENTALE Dégénérescence mentale et maladie de
athiques évoluer même pour leur propre compte et dominer le tableau
clinique
chez de pa- reils malades. Ces manifestations s
ns sont des plus variées et ne se rattachent en vérité à aucun type
clinique
défini. Ce sont des syndromes psychiques tantôt
préférence l'époque des règles et intéressant une moitié de la 28
CLINIQUE
MENTALE. face 1)liéiioiiii-ii(s %asi)-iiiol eu
nitenLe,susoelLille de diminuer lé; : èl·e111cUL sous un taxis 3U
CLINIQUE
MENTALE. doux.On perçoit à son niveau un frémis
ention d'une névrose associée peut apporter sa note dans le concert
clinique
, il titre épisodique ou accidentel. Ces restric
e. Summum Jus, summa Injuria. Par le D' E. COULONJOU Ex-chef de
clinique
il la Faculté, médecin des asiles publies d'alién
aliénés de la Seine ; 4° la création de l'enseignement à l'Asile
clinique
; 5° la création, il y a 25 ans, du concours d'
quelle tous les symptômes ont disparu. En présence de ce tableau
clinique
on avait songé à une méningite anormale à march
Meus. (Journ. de Neurologie, 1905, ne14.) Relation exclusivement
clinique
d'un cas de maladie de Thomsen chez un jeune ho
st probable que cette der- nière forme est susceptible de modalités
cliniques
corres- pondant aux psychoses chroniques. Il
le qu'une certaine unité pathogénique plane sur toutes ces variétés
cliniques
de psychose aiguë en ce sens que la marche aigu
dont les trois frères étaient dipsomanes. G. D. VIII. - Relations
cliniques
de la cécité avec la paralysie générale et le t
, Professeur adjoint à l'Université de Bordeaux, chargé de cours de
Clinique
psy- chiatrique. (Ouvrage couronné par la Facul
urs, ce qui 70 bibliographie. importe davantage, la description
clinique
que l'auteur en donne est excellente, et contri
consacré au traitement de l'aliénation mentale, soit comme chefs de
clinique
ou internes des hôpitaux nommés au concours. Le
ts en vue de l'admissibilité des candidats aux épreuves orales et
cliniques
. Ces épreuves sont éliminatoires. 4° Une questi
s d'exposition ; le maximum des points sera de 20. 5° Une épreuve
clinique
orale. Cette épreuve portera sur un seul malade
utes d'exposition. Le maximum des points sera de 20. 6- Une épreuve
clinique
écrite. Cette épreuve portera sur un seul malad
x frères. Vol. XXI Février 1909 No 122 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE Pachyméningite interne post-traumatiqu
ingite interne post-traumatique. 1',\1\ [<'ÉLI.\ BOSE, Chef de
clinique
adjoint à la Faculté. [Travail de la cliniq lie
de la cliniq lie des112alad ¡es nerveuses Salpêtrière.) L'histoire
clinique
des fractures de la colonne verté- brale, leur
hèse de Paris, 1905. ' Archives, 2. série, 100(3, t, XXI. li 82
CLINIQUE
NERVEUSE. La malade, dont les antécédents tant
l, le 3 août 1905, c'est-à- dire un mois après >on entrée. 4
CLINIQUE
NERVEUSE. Autopsie. - Raclas : La partie postér
e femme qui, ans avant son entrée, subit un traumatisme, in- Su
CLINIQUE
NERVEUSE. tense en apparence, de la colonne lom
sente plusieurs côtés intéressants au point de vue de son évolution
clinique
et des constata- tions anatomiques. Auparavan
que celui de la pachyméningite consécutive. Le shock, que 88 '
CLINIQUE
NERVEUSE. l'on voit, dans certains cas, durer j
uniqué précédemment par Touche, Thomas et Lortat-Jacoù. L évolution
clinique
de cette pachyméningite tuberculeuse post-traum
croyons ainsi expliquer d'une manière satisfaisante l'é-; volution
clinique
un peu particulière de ces cas. \ Pour terminer
u- meurs endocraniennes en général sont assez rares. C'est 90
CLINIQUE
NERVEUSE. à ce titre, et en raison de particula
En dehors des moments où elle se trouve sous l'influence de 92
CLINIQUE
NERVEUSE. troubles épileptiques, elle reste cal
nombreux avec quelques séries de 4 à 5 crises quotidiennes. 91
CLINIQUE
NERVEUSE. de la malade s'aggrave tous les jours
ale de la faux du cerveau jusqu'à son insertion postérieure. 96
CLINIQUE
NERVEUSE. Cette tumeur affecte la forme d'un se
a sont également peu altérées. 2 ? (*i-ii. 1906. t. XXI. 7 98
CLINIQUE
NERVEUSE. La face plane déprimée comprend F2Ft
roisossiliées, masse caseeuse consistante, liquide citrin (histoire
clinique
du malade avant même certaine ressemblance avec
Neurologie de 1900. ( : 1) Ami. Méd. pysclrol., 1902, n" 2. 104
CLINIQUE
NERVEUSE. semble 128 cas, et, dans six mois de
et que ces derniers apparaissent (1) 13ouwew ? >;. -Reclrerches
cliniques
. 1881, 1885, 1SS11, ]8\1 : 3, 18(1. (2) Communi
le. 3° Dans le cas actuel, la myotonie constitue une infir- 112
CLINIQUE
MENTALE. mité gênante mais qui n'empêche pas no
xercices d'ensemble, la parades, le mal serait encore plus grand.
CLINIQUE
MENTALE Mal perforant et paralysie générale :
'iodure de potassium par Archives, 2' série 1900; t. XXI. 8 114
CLINIQUE
MENTALE. M. Ileurteloup (t) au Midi. Depuis 15
uans la paralysie générale ». {Union médicale, 1882.) - ' 110 .
CLINIQUE
MENTALE. drait pas adopter, en ce qui concerne
- 11, a observé lui-même un de ces cas de' suppuration pro- US
CLINIQUE
MENTALE. longée et apporté des observations de
et on n'a eu guère a enregistrer que des échecs. Tableau. 120
CLINIQUE
MENTALE. Les premiers succès obtenus dans les i
re- micp temps de l'urjnation doit, comme le montre l'observation
clinique
, être le relâchement du sphincter et nop pas seul
caractères de ce qu'on appelle un réflexe, en physiologie comme en
clinique
». P. Keraval. XVlll. Des courants magnéto-él
est une thérapeutique a examiner. : P. Keraval. < 1 ? Recherches
cliniques
sur l'auscultation du muscle, par B. Lcvl : . (
fait depuis des siècles mais la physiologie. L. Wahl. XXV. Etude
clinique
et anatomo-pathologique sur les lacunes de dési
eptiformes; par Toi.oT. (Revue de Mrd., n d'oc- tohre 1905.) Fait
clinique
et anatomo-patholoâirlue provenant de la clini-
qui relient le nerf cocbléaire au facial (Bechlerevvl . Utilisation
clinique
(I1e(.lllel'e\\'). Il manque cOll1pli'LplUl'nl da
r M. 1..\STWA TZATOUROW. (Obo;;¡'{iniè psichiatrii, X, 1905.1 Elude
clinique
et anatomique du tabès, de l'atrophie muscu- la
ant le sommeil peut succéder un rêve, on est porté à admettre et la
clinique
montre que cette in- duction est fondée, que de
médecine, numéros de février et mars 1903.) Travail important de la
clinique
médicale du prof. Bernheim, de Xancy. Sous l'in
Wahl. XI. La myoclonie familiale d'Unverricht est-elle une entité
clinique
justifiée en nosologie ? par Il. LU¡';DBORG {Ne
la mentalité, pourtant si personnelle, du prof. Benedikt : ' « La
Clinique
d'Oppolzer, dit-il, était pour nous le séjour d
sa direction la fièvre puerpérale BIBLIOGRAPHIE. 157 ravagea la
clinique
, seules les femmes qui accouchaient dans la rue
gréable. Stéphane LEDUC. \ - La démence précoce dans l'armée (étude
clinique
el médi- co-1(galc) ; par K KAGt. (Thèse de Bor
s militaires au double point de vue, de la difficulté du diagnostic
clinique
et de sa ressem- 158 VARIA. hlancc avec des
aura lieu du 2 au 7 avril 190G, à l'Université de Giesseii,dans la
clinique
des maladies mentales et nerveuses, sous la dir
traitées : 1° Les formes d ifférentes de l'idiotie, au point de vue
clinique
et anatomique. 2° Les causes, la prophylaxie, e
nos visites du sa- medi où nous montrons un certain nombre de types
cliniques
, de cerveaux, etc ; quelques leçons du cours de
b et Thiron. Vol. XXI Mars 1906 N° 123 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE Hospice DE Bicêtre. Service du Dr S1GL.
la sitiophobic dans la Archives, 2, série, 1906, t. XXI. 11 162
clinique
mentale. démence précoce résulte d'une quantité
s deux mois, se dit courbature.Ne prend rien de la journée. 164
CLINIQUE
MENTALE. 11 août 1900. S. : Même état : reste c
état de demi-stupeur, avec confusion des idées, et faisait t 166
CLINIQUE
MENTALE. tout a\cclcnlcmcxtl'pme. A chaquc inst
là sonde, ousi on oublie sciemment de la huiler, la malade se 16S
CLINIQUE
MENTALE débat et pousse des cris plaintifs, pui
On put néanmoins la transporter à la campagne*; elle y reprit 170
CLINIQUE
MENTALE. immédiatement ses habitudes anciennes,
t serait plus exact et conviendrait bien mieux à ce genre d'état.
CLINIQUE
NERVEUSE Grossesse et puerpéralité chez une é
pu nous convaincre que, si l'attention s'est portée depuis 172
CLINIQUE
NERVEUSE. quelques années sur l'existence de tr
e nous présentons dans ce tra- vail, et que nous avons observé à la
clinique
obstétricale de la Faculté de médecine de Toulo
montrer l'observation. Germaine S ? 35 ans, primipare, entrée à la
Clinique
d'accou- chements, le 8 février H)Q5. Elle prés
ogatoire ne fournit pas d'autres indications. La malade arrive à la
Clinique
avec le diagnostic d'épilcpsie. Pas d'alcoolism
n to- lérée, n'amène pas la moindre, exaspérai ion motrice. 174
CLINIQUE
NERVEUSE. La sensibilité est conservée ; pas d'
crispent en exagérantleur flexion. Si les bras étaient allon- 176
CLINIQUE
NERVEUSE. gés le long du corps, ils sont soulev
agéré ; les autres ré- .RCmvr.s. ? ".éri. 1906, i. \t. 12 178 8
CLINIQUE
NERVEUSE. flexes tendineux sont normaux. Les ré
aient d'elle. Elle a une crise qui a pu être observée par l'aide de
clinique
. Début par une douleur assez vive dans les memb
tant. Voici le résultat de l'analyse pratiquée au Laboraloirc des
cliniques
, le t8 mars : 180 CLINIQUE NERVEUSE. chômen
nalyse pratiquée au Laboraloirc des cliniques, le t8 mars : 180
CLINIQUE
NERVEUSE. chôment annonce la fin de la crise qu
soudaine avec perte de connaissance, écume aux commissures 182
CLINIQUE
NERVEUSE. labiales, mais sans cyanose du visage
n. Le 25 avril, S ? reçoit 2 lave- ments de chloral. Elle quitte la
clinique
le lendemain, dans un état de calme relatif : l
gne totalement de la chorée des femmes enceintes, tant par sa forme
clinique
que par son évolution. Chez notre malade, les m
, où ils sont plus fréquents que dans le reste du corps. La forme
clinique
affectée par l'affection choréique de notre mal
e lié àla double névrose. C'est sur cetcrrain que nousavons 184
CLINIQUE
NERVEUSE. vu évoluer une grossesse : il était i
ntes au cours du 9e mois : la plus forte que l'on ait observée à la
clinique
s'est produite un jour avant le début du travai
gi- ques dans le placenta ; c'estenfin l'albuminurie légère 186
CLINIQUE
NERVEUSE, apparue dans le dernier mois de la gr
(Nouv. Ieo7aog>. de la Salpêtrière, 1905, n° 2.) Les troubles
cliniques
déterminés par les fumeurs cérébrales paraissen
donc destructives de la glande ; or n'est, une chose acquise, parla
clinique
et l'expérimentation que les lésions destructives
a Salpctrière. i ! )On. no' 2 et : 3. 1 L'auteur établit la parenté
clinique
très étroite qui existe entre 1'111'licail'c, l
on des adhérences. F. T. XL11. Contribution anatomo-pathologique et
clinique
à l'étude des rapports de la syphilis et de la
et de la paralysie générale ; il insiste surtout sur les recherches
cliniques
de Four- nier, recherches qui ont amené cet aut
aux recherches expérimen- tales sur les animaux et aux observations
cliniques
sur l'homme, recherches contrôlées par les anal
xe et de la pie-mère. En terminant, l'auteur attribue les symptômes
cliniques
de cette affection aux lésions diffuses que l'o
hes sur le lapin, la brebis elle cheval, complétant l'observa- Lion
clinique
par des études microscopiques de la moelle au niv
, du Nissl au bleu de l Ilinuine, et au Van Oiesuu. Au point du vuu
clinique
, on observe surtout des troubles mo- teurs et t
mentale. Florence, juillet 1905, vol. X, fasc. 7.) De ses études
cliniques
et expérimentales, l'auteur conclut que, dans l
PPHU, (Lyon Médical, n 4a, 5 novembre 1905.) .. Dans l'évolution
clinique
delà méningite tuberculeuse de l'en- fant le dé
allucinatoire dans le troisième. Ils consta- tent seulement le fait
clinique
, sans tirer des conclusions fermes sur le déter
eur rapporte deux cas, surtout intéressants en ce sens que l'examen
clinique
put être complété par l'étude analomo- patholog
on des gaines rétro- oculaires avec ces symptômes constitue un type
clinique
que M. L. Dor dit avoir rencontré fréquemment e
ique. Leur coexistence, loin d'être géné- rale, esl plutôt rare. Eu
clinique
courante, on constate tantôt la présence, tantô
ur, dans unesériu du chapitres, décrit l'étiologie, puis les formes
cliniques
du la myélite syphilitique, adoptant pour cela
r le IPE. R. Daiche, (mai 1905), 95 pages. Ce travail, exécuté à la
Clinique
infantile, a en vue l'étude des troubles mentau
. Daichp, qui conclut un tes rattachant à la confusion. Culte forme
clinique
de la confusion est-elle spéciale à l'enfance ?
s du transition, variétés l'lLOI'{'O-H 1 hllo- siques. Si ces types
cliniques
sont variés, les causes sont, égale- ment nombr
l'oncluDI. Cancl,dans le rapport entre l'étiologie et l'expression
clinique
, pas plus qu'il n'y a de lésion anatomique part
ble. (Histoire de France par J. Miche- lel. V. pages 43, 44, 45.)
CLINIQUE
MENTALE Folies traumatiques et accidents du tra
ismes crâniens, 1905. Archives, 2" série, 1903, t. XXI. ? 0 306
clinique
mentale. La question du diagnostic des psychose
e interne) éclairer le terrain ; l'adjonction du chirurgien 30S
CLINIQUE
MENTALE. au psychiatre paraît ici indispensable
soir. Deux mois après, sa figure se contractait par instant, 310
CLINIQUE
MENTALE. , surtout à droite. Puis, peu à peu, l
. ' Que si on objectait que, chez plusieurs, l'affaiblisse- 312
CLINIQUE
MENTALE. ment démentiel fùt plutôt fonction d'é
e courses, atteint de paralysie générale considérée comme 314 '
CLINIQUE
MENTALE. consécutive à une série de chutes prof
amabilité de nous adresser les notes suivantes à son sujet. 316
CLINIQUE
MENTALE. « Peu après son admission à Tournay, C
nine. Le paragraphe II des articles 1 et 20 de la circulaire sis
CLINIQUE
MENTALE. du Ministre de la Justice, en date du
rouillantes et muettes. On a montré la possibilité d'un tel tableau
clinique
avec une insuffisance rénale sans éthylisme pro
nstamment élbylique des délires lraumaliqucs de ce genre. 320 .
CLINIQUE
MENTALE. malgré les recherches attentives et n'
L. LX1. - La microgyrie ; par le 1)1' M. 01.CONObIAKIS, chef delà
clinique
neurologique de l'Université d'Athènes. Résume
n ébrieuse de la marche. Quatorze ans après (janvier 1898) l'examen
clinique
décèle un ensemble de signes très complexe ; ti
facile ; ils sont dus aux lésions cérébelleuses. Les autres signes
cliniques
devaient faire penser- il une sclérose en plaque,
brightiques au cours d'accidents graves. 11 n'existe pas de moyen
clinique
analogue pour l'examen du liquide labyrinthique
'il participe aux mômes changements de pression et de composition
clinique
. De plus, au point de vue de la sécrétion de l'ur
amyotrophique, après avoir suivi i l'évolution de l'affection à la
clinique
de la Salpètrière. Ils in- diquent les renseign
de la Salpètrière. Ils in- diquent les renseignements étiologiques,
cliniques
et anatomiques qui se dégagent d'une statistiqu
ce de toute étiologie saisissahle, par l'ensemble de ses caractères
cliniques
et évolutifs, par sa terminaison mor- telle, pa
t par le con- trasteentre le caractère spinal diffus de l'évolution
clinique
et la survenance rapide d'accidents bulbaires m
e ou moral ; par le D1' Longpretz. (Nancy, janvier 2 ,l( ? ) A la
Clinique
de son maître Bernheim,i)l. Longpretz a cherché,
ns. C'est là une hypothèse récente rendue acceptable par l'examen
clinique
et à laquelle un chapitre biologique apporte les
e et originale conclut en interprétant de nombreuses obser- vations
cliniques
, et distingue quatre variétés de névroses dites
e mars 1906, ont été nommés médecins-adjoints : MM. VuRPAs;(chef de
clinique
à Sainte-Anne) : Dromard (nommé médecin-adjoint
médecine. Hommage au 1)1' Magnan. Le D,MAGNAN. médecin de l'Asile
Clinique
(Sainte-Anne), membre de l'Académie de Médecine
l, rue Casimir-Delavigne, Zimmern (A.). Eléments d'éleclrolhérapie
clinique
. 1 vol. in-8" de 293 pages. Prix : 8 fr. Librai
et'l'hiron. Vol. XXI. Mai 1906 Nu 125 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE Folies traumatiques et accidents du tra
Voir n.12-1, page 305. Archives, 2' série, 1906, l. XXI. 23 354
CLINIQUE
MENTALE. hies, des idées fixes et de persécutio
L'amnésie que nous observons chez lui ne rentre dans aucun cadre
clinique
. Son caractère d'intermittence lui donne un cac
étal dans lequel se trouve Rous ? ; voici tout ce que l'observation
clinique
nous permet d'affirmer. 356 CLINIQUE MENTALE.
tout ce que l'observation clinique nous permet d'affirmer. 356
CLINIQUE
MENTALE. Oas. XV. M. Tissot a présenté, le 28 d
ivil de Valenciennes, audience du 20 no- vembre 1905.) L'histoire
clinique
de la malade montre chez elle une prédispositio
, Observation \'1 111azill ? trente-quatre ans, célibataire 358
CLINIQUE
MENTALE. maréchal ferrant, interné pour paralys
l'extension de fait. « Nous voyons tous les jours, dit-il (Leçons
cliniques
de l'IIôtel-Dieu, 1903), des gens, domestiques
ée. Il faut qu'il y ait eu quelque modification dans l'état 362
CLINIQUE
MENTALE. \ mental du malade, ou tout au moins u
é ap- parente des conséquences psychiques immédiates recou- 364
CLINIQUE
MENTALE. vre souvent une altération lente mais
t l'hémi- cranie ; la convulsion n'est pas davantage le seul fait
clinique
de l'épilepsie. Dans le domaine moteur, il faut
qui comprenait les vomissements comme la partie d'un tout. Le lien
clinique
de ces deux phéno - mènes pathologiques ne saur
es oculogyres ne peut pas être soutenue, on peut préten- dre que la
clinique
confirme déplus en plus cette proposition déjà
nées de Lailleul (Nord). FAITS DIVERS Hôpital de la Pitié. Leçons
cliniques
sur les maladies du système nerveux. - M, le Dr
et Thiron. Vol. XXI. Juin 1906 No 126 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE Troubles mentaux dans la sclérose latér
s fréquents et comme formant, en quel- que sorte, partie du tableau
clinique
de cette affection : ce seraient surtout des ph
telligence, crédulité, niaiserie. Le Professeur Raymond, dans ses
Cliniques
, considère ces phénomènes comme exceptionnels.
uit cas de sclérose latérale amyotrophique appartenant aux formes
cliniques
les plus diverses, MM. Raymond et Cestan dé- cl
olobique,30 mai 1905.) Archives, 2° série, 1906, l. XXI. 30 434
CLINIQUE
MENTALE. Des ouvrages de psychiatrie les plus r
s malades. C'est donc, en quelque . sorte, un nouveau chapitre de
clinique
mentale que j'entreprends d'amorcer dans les pa
Du côté de la face, il y a une hémiatrophie de la langue très 43G
Clinique
mentale. marquée à gauche ;la pointe est déviée
les. A mesure que l'affection progresse, de nouveaux signes 438
CLINIQUE
MENTALE. psychopathiques se font jour; c'est un
de dyspnée énorme et passagère ; en ? é ! l\C temps on cons- 440
CLINIQUE
MENTALE. tate de l'albumine dans les urines. El
us ceux qui l'entourent. Devenu tout à fait impotent, il suc- 442
CLINIQUE
MENTALE. comba le 19 août 1896 à des accidents
Les renseignements de .police délivrés, sur son compte font 444
CLINIQUE
MENTALE. connaître ce qui suit : « 11 y a quelq
et actes instinctifs de nature impulsive. Le soupçon qui 440 .
CLINIQUE
MENTALE a pesé sur le malade, d'avoir à deux re
aux membres gauches. La circonférence du bras droit est de 34 448
CLINIQUE
MENTALE. cm. ; celle du gauche de 32 cm. la cir
dons latéraux, dans la Archives, 2. série, 1906, t. XXI. 31 450
CLINIQUE
MENTALE. maladie de Charcot, se poursuit au-del
ont que des syndromes, des associa- tions -de symptômes, expression
clinique
de quelque état général d'infection ou d intoxi
s médullaires, bul- baires et cérébro-psychiques. (1) F. Raymond.
Clinique
des maladies du système nerveux, pre. mière sér
r centrale de la moelle ; par L. FERRIO. De nombreuses observations
cliniques
ont démontré l'existence de relations important
topsie d'un malade atteint de vitiligo qui ne présentait à l'examen
clinique
aucun signe d'affection du système nerveux. Mai
igus ; d) dans la cachexie phtisique.il rap- porte des observations
cliniques
et anatomo-pathologiques de ces différents cas
2° des lésions légères ; 3° des lésions très légè- res, l'affection
clinique
est d'autant plus rapidement mortelle que les l
Les auteurs rappellent et précisent la technique de l'hématolo- gie
clinique
,puis ils passent en revue les résultats des reche
ome thalamiquc. ml. DéjeriNe et llbussy en précisent les caractères
cliniques
: la Une lésion intéressant le noyau externe du
er- tolotti, 198. Canalicules. Voir Cellules. Cécité. Relations
cliniques
de la la paralysie générale et le labes, par
après Iluon de Villeneuve, 427. Désintégration cérébrale. Etude
clinique
et anatomo-palhologi- que sur les lacunes de -,
IIneL et Lejonne. ,154. - Contribution anatomo-patholo- gique et
clinique
il l'élude des rapports de la syphilis et de la
ILII.( : S()US LA DIIiRC'l'ION 11F : mn. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Agile
clinique
(Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Agile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système lier* eux a lu facu
es 1899 Vol. VIII. Juillet 1899. N° 43 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. L'IDEE FIXE; Par le 1), P. KEHAVAL,
e terme est passé tel quel dans Archives, '2" série, t. VIII. 1 2
CLINIQUE
MENTALE. toutes les langues en subissant à pein
d ' L'Idée fixe et son rôle en pathologie mentale. Ville, 1898. 4
CLINIQUE
MENTALE. un enfant fixe à son avenir le but de
- tions d'idées, présentent déjà un élément de fixité. Si l'une 6
CLINIQUE
mentale. d'elles prend une importance exception
ne machine à traction ; il plaçait des chevaux dans l'intérieur 8 1
CLINIQUE
MENTALE. d'un wagon ; on les faisait tourner ou
l'idée délirante pouvait émaner de l'intelligence ou des sens, 10
CLINIQUE
MENTALE. il n'y avait qu'un pas. Faux jugements
précie ses conceptions ad valorent d'après leur teinte senti- 12 li
CLINIQUE
MENTALE. mentale, d'après la spécificité des vi
qu'il en est de même d'un jugement normal, c'est possible. Et, 14
CLINIQUE
MENTALE. en tout cas, il est certain qu'à l'idé
cutent un acte anor- mal. Ces opinions corroborent les nôtres. 16
CLINIQUE
MENTALE. Étude clinique. A. Physiologie patho
. Ces opinions corroborent les nôtres. 16 CLINIQUE MENTALE. Étude
clinique
. A. Physiologie pathologique. - L'idée fixe pat
mmes placé, tout à fait nécessaire d'établir, s'il y a, dans un cas
clinique
donné, idée prévalente anormale, ou idée préval
e, dans le cadre même de cette Archives, 21 série, t. VIII. 2 lao
CLINIQUE
mentale. théorie du trouble affectif inhérent a
son erreur, il est incapable de s'en servir utilement ; car, ce 20
clinique
mentale. qu'il considérait jadis comme vrai, lu
ntérieure ; exemple, l'obsession par névralgie ou toute autre 22 '2
clinique
mentale. sensation physique d'organes. Invariab
sse- ment du jugement, et dominant toutes les pensées,-absence 24
CLINIQUE
mentale. de lutte et de rébellion contre l'idée
qui a pu la provoquer. En cet état pas de gué- rison possible. 26
CLINIQUE
mentale. Cet avis est aussi celui de Wernicke.
vec le plus d'impartialité possible. l'idée fixe. 27 E. Documents
cliniques
. Les preuves de l'étude précé- dente sont assez
...., inspecteur de gare, quarante et un ans, marié, est amené à la
clinique
de Gratz, le 14 aoùl 1882 ; il se croyait le chef
réfléchi 1 Traité de psychiatrie. Édition française, page 536. z8
CLINIQUE
MENTALE. .longuement sur la question de savoir
oins et à un bon sommeil, il se remet rapidement et peut quitter la
clinique
, le 20 août guéri, sauf quelques malaises neura
Loco cilalo. (.Allgemeine Zeitschrift (il Psychiatrie, LI, 1.) 30
CLINIQUE
MENTALE. Observation III. Idée fixe dans la mig
otome scintillant exclusif, ne se répercutant point sur le corps 32
CLINIQUE
MENTALE.. / ou le cerveau, quelque soit le débu
ution historique, on le voit, est conforme à la gradation des faits
cliniques
. Cette évolution, hâtons- nous de le dire, n'es
citée les cas pathologiques que nous fournissent l'histoire et la
clinique
, on verra qu'ils viennent à l'appui de la théorie
u corps. On détacha ce malheureux, on le trans- porta aussitût à la
clinique
impériale. Aucune plaie n'était mortelle : Lora
alescence de la fièvre typhoïde, peut se présenter sous trois types
cliniques
, trois syndromes, traduisant l'action élective
aient quelques lésions tuberculeuses si peu prononcées que l'examen
clinique
n'avait pu les révéler. La maladie avait débuté
teurs de l'autre mémoire, MM. Rodier et Ameline, internes à l'Asile
clinique
. En 1901, les candidats auront à traiter Du dél
l de la folie sympathique. M. le professeur Joffroy, dans une leçon
clinique
très remar- quable, a traité incidemment la que
e que substantiel dans le fond, constitue une suite de descriptions
cliniques
enchai- nées dans un ordre méthodique et simple
ne certaine mesure, aux descriptions, à l'établisse- ment des types
cliniques
de la syphilis médullaire, » L'auteur glisse ra
judicieux éclairent la bizarrerie et la multiplicité des symptômes
cliniques
, la difficulté fréquente des commémoratifs étio
ologiske studier over psykisk udviklingsmangler /tûs6o ? 'H (Etudes
cliniques
et étiologiques sur le développement défectueux
u 28 mai 1899.) Pourquoi ne pas l'avoir dirigé de suite sur l'Asile
clinique
puis- qu'il u'y avait pas de doute sur la réali
lieu de le trimballer à l'infirmerie du dépôt et de là audit Asile
clinique
? 2 FAITS DIVERS. UN bébé TUÉ par UNE fillett
ev, imp. 799 Vol. VIII. Août 1899. N° 44 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. L'IDÉE FIXE ' ; ; Par le 1K P. KRRAV
dévoué, « Napoléon, ç , Il Piiiice Impérial des Français. Il 84
CLINIQUE
MENTALE. «Voici mon nom sous lequel j'ai toujou
sélytisme ne duraient pas longtemps, car on se moquait de lui. 86
CLINIQUE
MENTALE. Il y a plusieurs années, en 1878, en t
théâtrale parce que la position de comédienne ne lui paraissait 88
CLINIQUE
MENTALE. pas assez distinguée. Elle se peint el
cette idée morbide. 'fout entière à ses pensées du moment, elle 90
CLINIQUE
MENTALE. ne s'était jamais donné la peine de ré
rd moins systématique et même diffus, ne vint à leur succéder. 92
CLINIQUE
MENTALE. Observation X (Personnelle). Dégénéré.
parlé tout à l'heure, et maintenant, cela ne fait aucun doute 94 i
CLINIQUE
MENTALE. dans mon esprit, il descendait certain
C'est surtout à l'idée fixe du délirant chronique que se rap- 96.
CLINIQUE
MENTALE. portent les développements nosographiq
ie, on voulut l'assassiner. ' Archives, 2" série, t. VIII. 7 98
CLINIQUE
MENTALE. C'est vers cette époque, c'est-à-dire
au même endroit à une personne de sa connaissance, et sur son 100
CLINIQUE
MENTALE. compte, il en est convaincu bien qu'il
rbons à la maison desquels les la Trémoille étaient attachés. 102
CLINIQUE
MENTALE. Voici d'ailleurs ce qu'il écrit il ce
êtises que j'avais commises, j'allais être roué vif ou brûlé. 104
CLINIQUE
MENTALE. « Il faut vous dire que ce n'est que d
t elle exerce sa profession dans une école particulière où elle 106
CLINIQUE
mentale. plait par son activité et sa diligence
t point une exagération, mes souffrances sont intolérables. ' 108
CLINIQUE
MENTALE. « La machine fait craquer mes os, brid
'est muni de ce pouvoir qu'il a accaparé toutes ses affaires. 110
CLINIQUE
MENTALE. Son état actuel est celui du délire de
bservées dans certaines monstruosités'; mais une simple observation
clinique
sans examen anatomique ne comporte pas une pare
ens internes. Chez cette imbécile, entrée à l'asile avec les signes
cliniques
d'une paralysie générale associée, le cerveau p
lus consistants, plus durs, peut-être aussi uu peu gonflés. Du côté
clinique
, la forme de Déjerine se distingue par son évolut
delimiter exactement au point de vue histologique. Au point de vue
clinique
la malade de M. Toulouse se présente jusqu'à l'
céphalite diffuse. Il n'y a donc pas de concordance entre les faits
cliniques
et l'autopsie. Il ne croit pas qu'il s'agisse d
e dans une période d'évolution, au point de vue de l'histologie, la
clinique
en est faite. Le diagnostic, qui semble s'appli
ngestion de ce sel a été la cause du délire observé. Considérations
cliniques
sur l'avenir des convulsifs infantiles. M. Dufo
un degré plus marqué mêmes troubles diurnes. Le raisonnement, la
clinique
, l'expérimentation sont d'accord et semblent ét
. ' 9. L'éncrvement ; par le D1' ! lhnGA1N. Il existe un syndrome
clinique
possible à déterminer et répon- dant à ce que l
s. Leipzig, 1899. Librairie Veit and C°. 130un...EvILLE. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
in que ces données concordent également avec ce que nous apprend la
clinique
et l'anatomie patholo- gique.. Voilà donc une
Troubles de la sensibilité dans les hémiplégies corticales (Leçons
cliniques
, 1895). 188 PHYSIOLOGIE. pour point de départ
é paralysé (Revil- lod). Brissaud et Souques ont contesté la valeur
clinique
de ce symptôme, en observant qu'à l'état normal
observations sont extrêmement intéressantes et réalisent un tableau
clinique
tout particulier et qui mérite de retenir l'att
pissée par une membrane jaune. » Observation IV (Grasset, in Leç.
cliniques
, 1898, p. 494). Homme de quarante-cinq ans, ent
ur invoquer un cas d'An- derlya 2 : il s'agissait d'un malade de la
clinique
de Leyden. âgé de cinquante-deux ans, charpenti
Tournier, Magnus et Grasset, pour établir l'existence d'un tableau
clinique
tout particulier caractérisé par l'abolition de
celui de Thomson, avait parfaitement -vu .tout l'intérêt du tableau
clinique
que nous avons décrit. Il assimile absolument c
onclusions. 1° L'anatomie normale, l'expérimentation, l'observation
clinique
et anatomo-pathologique, s'accordent à démontre
teurs antérieurs ou leurs fibres de projec- tion produit un tableau
clinique
tout particulier caractérisé par l'abolition de
n 1 (M. Mossé) '. - Femme, soixante-dix-sept ans, hospitalisée à la
Clinique
des vieillards, service de M. Mossé. Ne prése
edel). C... Léon, cinquante-cinq ans, tailleur d'habits, entre à la
clinique
du professeur Grasset le 18 février 1898, salle
résumé, si l'ingTavescent apoplexy peut constituer au point de vue
clinique
une forme d'apoplexie, elle doit cette distinct
en en rapport avec ce que nous avait laissé penser certains faits
cliniques
qui nous montraient des intermédiaires entre l'
et donne la notion de la position du corps. Voici les confirmations
cliniques
. Observation I. H..., de quarante-trois ans, to
Le massage combiné avec la gymnastique est bien en vigueur dans la
clinique
de Hoffa pour les malades atteints REVUE DE THÉ
ystématique de la marche. L'auteur a observé bien longtemps dans la
clinique
de Hoffa deux enfants chez lesquels les résulta
ique depuis l'âge de vingt ans, qui fut autrefois interné à l'Asile
clinique
et qui était atteint d'agoraphobie, et en outre
t aussi actif que le suc ovarien de truie. 2° De ses observations
cliniques
et de celles des auteurs. : les symptômes pénib
te capacité et cette respon- sabilité varient donc suivant la forme
clinique
du délire et son intensité et aussi, dans chaqu
outes les obsessions, l'obses- sion-inhibition peut se présenter en
clinique
sous les formes les plus variées : parmi les pl
irrésistible et d'éveil sexuel, chez une petite fille observée à la
clinique
des maladies mentales de la Faculté. 17. Moye
oblitération artérielle. Bourggraff (Paul). Contribution ci l'étude
clinique
et pathogénique du syndrome de l3use ! toiu. -
e gravidique. - Delorme (Lubin-Émile). Contribution à l'étude de la
clinique
de la - morphinomanie. - Del Pozo (Octave). Du
(Raymond). La puberté et les premiers troubles mens- lruels. Etude
clinique
. Fauvet (Adolphe). Du traitement de la neurasth
ralysie générale. Rebière-Laborde (Léon). t-ontribtttiolz à l'étude
clinique
de la fausse angine de poitrine des hystériques
. - qt'fI Vol. VIII. Octobre 1899. N° 46 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. RELATION D'UN CAS DE CONFUSION MENTALE
e. Séance du 1" mars 1898.) Archives, 2' série, t. V111. 17 ï 258
CLINIQUE
MENTALE. les cas dans lesquels le délire ne rel
vrais troubles psychiques post-opératoires répondent à un même type
clinique
: la confusion mentale. Sur ce fond de confusio
Pro- fesseur Jott'roy. Troubles psychiques post-opératoires. (Leçon
clinique
publiée dans La Presse médicale, 19 mars 1898.)
Discussion au Congrès des médecins aliénistes. Angers, 1898.) 260
CLINIQUE
MENTALE. Seule, la clinique peut trancher défin
cins aliénistes. Angers, 1898.) 260 CLINIQUE MENTALE. Seule, la
clinique
peut trancher définitivement la question. Mais
rès sérieusement compromise; en effet, la plaie opératoire s'in- 26
CLINIQUE
MENTALE. fecta, une fièvre intense apparut, et
prête que par intervalles une attention vague et fugitive à ce 264
CLINIQUE
MENTALE. qui se passe autour de lui. Toute l'at
mais encore que, dans une certaine mesure, il se rendait compte 266
CLINIQUE
MENTALE. de sa position, et que son esprit étai
l'axillaire; l'amnésie ne porte que sur les événements qui ont 268
CLINIQUE
MENTALE. suivi l'opération; elle parait être ab
rielles, et sur le délire entretenu par ces derniers symptômes. 270
CLINIQUE
MENTALE. Mais lorsqu'on le questionne sur la na
infectieux ou auto- toxiques, dit M. Régis ', ont tous pour formule
clinique
la confusion mentale. Le délire toxi-infectieux
s les cas, à une intoxication, et semble en être la caractéristique
clinique
. » Il nous paraîl donc légitime de penser qu'il
-intoxication et d'infection. (Presse médicale, 3 août 1898.) 272
CLINIQUE
MENTALE. une relation de cause à effet. Mais, d
nt dans la genèse de ces trou- ÀRCmvES, 2' série, t. VIII. 18 i 4
CLINIQUE
MENTALE. bles psychiques; cet élément, c'est la
gulières d'agitation et de dépression, qui auraient pu, par- 276
CLINIQUE
MENTALE. moments, faire prendre pour des vésani
omplètement guéri, sans affaiblissement intellectuel appréciable.
CLINIQUE
NERVEUSE. DEUX OBSERVATIONS D'HÉMIPLÉGIE AVEC H
rent aucun intérêt, était en traitement pour troubles dyspep- 17S 8
CLINIQUE
NERVEUSE. tiques consécutifs à une distension d
côté paralysé. Les mouvements imprimés aux articulations du 280 0
CLINIQUE
NERVEUSE. membre supérieur déterminent de vives
' ! % ig. 5. a. substance grise; b, ,eulriculc5j c, lésions. 282
CLINIQUE
NERVEUSE. le segment rétro-lenticulaire et le t
sensibilité de la con- jonctive palpébrale du côté parahsé. 284
CLINIQUE
NERVEUSE. Il n'a pas été possible de prendre le
e la nature et de la palhogénie de ces phénomènes ; peut-être 28G
CLINIQUE
NERVEUSE. trouverait-on dans certains cas la ra
vingt ans, qui avait toujours été bien réglée ; 5° une manie 288
CLINIQUE
NERVEUSE. intermittente, chez une malade de vin
is, outre qu'il est difficile Archives, 20 série, t. VIII. 19 290
CLINIQUE
NERVEUSE. d'imaginer qu'un état congestif du ce
Montréal, avec présentation du malade guéri. Très fine observation
clinique
sur un cas diagnostiqué tubes par un professeur
ves. M. Marinesco pense avoir démontré que la conception analomo-
clinique
de la névrite ascendante est absolument fondée. L
ent à établir des variétés fixées par la prédominance des symptômes
cliniques
: tabes dorsalis, tabes supérieur. L'auteur tro
ntée sans le moindre résultat. A. M. XXXI. Sclérose en plaques. -
Clinique
du P1' de Rrnzi. (1'coua Riuislc clinico thercc
-unes l'auteur regarde comme démontrée, fondée sur des observations
cliniques
, l'existence d'une psycho- névrose syphilitique
s la parole et guérit com- plètement. Après analyse des symptômes
cliniques
F... s'arrête au diagnos- tic d'encéphalite, et
en s'appuyant sur de nombreux documents personnels, empruntés à la
clinique
du professeur Raymond ou au service de M. Bourn
Bourneville à l'hospice de Bicêtre. Sur le terrain de l'observation
clinique
, l'étiologie et les symp- tômes de la maladie d
, renforcer cette con- clusion unicistc, basée sur les observations
cliniques
. L'auteur commence logiquement son étude par de
d'eux, M. Cestan a su donner sa note originale, basée sur des faits
cliniques
et anatomo-pathologiques, très heureusement cho
de la Faculté de Méde- cine de Montréal, est riche en observations
cliniques
et en discus- sions casuistiques. Bien que le n
27 juillet). BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Bourneville. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
. - 1099 Vol. VIII. Novembre 1899. N° 47 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. SYNDROME DE LANDRY PAU LÉSIONS EXCLUS
st dans ce but que nous publions cette observation, recueillie à la
clinique
du professeur Bondet, avec des résultats histol
dérations générales que ce cas nous a suggérées. , I. Observation
clinique
. Observation. - R... Guillaume, cinquante-huit
lade est apporté à l'hôpital Archives, `3° série, t. VIII. 23 354
CLINIQUE
NERVEUSE. complètement paralysé. Il vivait seul
bulbe rachidien 1 Fait au laboratoire d'histologie générale. 356
CLINIQUE
NERVEUSE. (noyaux de l'hypoglosse et du vague)
inférieur du névraxe : ce que faisait prévoir du reste, l'évolution
clinique
de J'affec- tion. Au niveau du renflement lom
plusieurs observateurs (Ballet et Marinesco) qui ont étudié les 358
CLINIQUE
NERVEUSE. lésions secondaires des cellules d'or
entrifuges des racines posté- rieures, (Thèse de Lyon. 189î.) 360
CLINIQUE
NERVEUSE. de leur protoplasma. Après fixation p
out dendrilc. Or nous n'avons pu trouver de relation constante 36
CLINIQUE
NERVEUSE. entre cette disparition, cet aspect c
d'autres fois tout le corps cellulaire et allant même jusqu'à 364
CLINIQUE
NERVEUSE. masquer le noyau. Suivant les différe
en diffère absolument par la longue végétabihté des cultures 366
CLINIQUE
NERVEUSE. - en bouillon que nous avons pu réens
1898. Épidémie de paralysie ascendante d'origine infectieuse. 368
CLINIQUE
NERVEUSE. pression exercée sur la moelle par la
re altération du système nerveux, ce qui explique la pureté du type
clinique
: myélite ascendante aiguë à forme exclusivemen
n'existe pas, croyons-nous, où les lésions des éléments 1 Raymond.
Clinique
des maladies du système nerveux, 1896. , Giraud
Josué. Presse médicale, 1898. Archivas, 2» série, t. VIII. 't 370
CLINIQUE
NERVEUSE. nobles ne soient accompagnées d'altér
ment encore, Krewer2 a tenté d'établir, d'après quatre observations
cliniques
et anatomo-pathologiques que la maladie de Land
pcs ' Bodin. Les paralysies ascendantes. (Thèse Paris, 189G.) 373
CLINIQUE
NERVEUSE. cliniques. Sans doute une telle divis
ralysies ascendantes. (Thèse Paris, 189G.) 373 CLINIQUE NERVEUSE.
cliniques
. Sans doute une telle division, outre qu'elle aur
le de créer plutôt que d'éviter une confusion, puisque des tableaux
cliniques
assez différents et des lésions anatomiques mul
e un peu tard de vouloir ratta- cher à autre chose qu'à un syndrome
clinique
. En tout cas il n'est pas sans intérêt (quitte
entant cet avan- tage de correspondre, comme la nôtre, à un tableau
clinique
bien net, sans adjonction de symptômes accessoi
nguer des types pathologiques extrêmes différenciés par leur allure
clinique
et leur systématisation anatomo-pathologique, n
ptômes uniquement moteurs. ' Raymond. Presse médicale, 1896, p. 29.
Clinique
des maladies du système nerveux, 1896. HALLUC
de vue pathogénique ces affections de la moelle et des méninges.
CLINIQUE
MENTALE. LES HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VER
llucina- tions dans ses recherches sur les maladies mentales. 374
CLINIQUE
MENTALE. sous. le n4)m d'hallucinations psychiq
ologie, 1892, mars et mai). II Roubinovitch. Contribution à l'étude
clinique
des hallucinations verbales psycho-motrices (An
es étudier dans les différentes formes de vésanies, au hasard de la
clinique
. Sont-elles d'abord compatibles avec la raison
ations unilatérales (Arch. de neurologie, 1896). * Magnan. Leçons
cliniques
sur les maladies mentales, 1897, p. 17. 3 maiso
tions, p. 578. 6 Ballet. Le langage intérieur, 1886, p. 64. 331(6
CLINIQUE
MENTALE. MM. Séglas et Londe' ont publié des ob
La malade s'étonnait que la voix intérieure parlât en son nom, 378
CLINIQUE
MENTALE. répondant comme pour elle; mais souven
psycho- motrice verbale. facteur il Paris, tlente-six ans. 380
CLINIQUE
MENTALE. Père alcoolique, mort; s'enivrait souv
e trouvant très malade, on le fit interner. Il est arrivé à l'Asile
clinique
le 1-j mars 180T, nous l'examinons le lendemain
ession du poison. 01l-"IIV.TIO-i III (Service de M. Magnan, asile
clinique
). Dégrnr- rescence mentale et lourde hérédité :
rature, lisait beaucoup de romans, et aimait bien la musique. 382
CLINIQUE
MENTALE. On voit que T... chargé par une lourde
fait a été observé plusieurs fois. Comme le malade de M. Val- 384
CLINIQUE
MENTALE. Ion ', notre malade a eu des idées mys
ups de sifflet. Il a remarqué Archives, 21 séi ie, t. VIII 25 38G
CLINIQUE
MENTALE. que le coup de sifflet perçu par l'ore
à mort chez lui. Il fut arrêté et envoyé au dépôt. Arrivé à l'Asile
clinique
le 25 juillet 1897, nous le voyons le troi- siè
1880, p. 100. a Séglas, Progrès médical, 1888, p. 125. 388 v '
CLINIQUE
MENTALE. Il est indispensable de voir ce qui se
rs de la parole articulée. (Bulletin médical, 2U juin ]89 ? ) 390
CLINIQUE
MENTALE. ou des états faibles d'innervation pér
n a appelée à tort pigment et qui dérive par voie de transformation
clinique
, des éléments chromatophiles. Cette réaction de
weuthal, Auerbach, Quensel, Held, Monakow, Molt et les observations
cliniques
de Bruns, Pa- trick, Hoche, de Soelder. Dans no
premier cas, tabes dorsal au stage paralytique, il y avait évidence
clinique
d'un excès de liquide cérébro-spinal. Après la
tion partout où il en est sorti ; telle est la base scientifique et
clinique
du traitement. Tout le succès du traitement c
anciens internes des asiles de la Seine, ont été nommés chefs de la
clinique
des maladies mentales, à la suite du dernier co
. - 1199 Vol. VIII. Décembre 1899. N° 48 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. FOYERS DE RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET
à relever dans le mémoire des Archives, 2. série, t. VIII. 28 434
CLINIQUE
NERVEUSE. auteurs, car elle montre que la quest
, c'est que le résultat, auquel conduit l'analyse de tous les faits
cliniques
, est franchement nul. Un seul résultat positif
u par excitation, pression, dégé- nérescence secondaire. Le tableau
clinique
est, dans ces cas, celui de l'imbécillité progr
en foyer, remarquables autant par la localisation des lésions 436
CLINIQUE
NERVEUSE. que par leur étendue. Cinq des malade
ue considérable de l'infarctus, il ne se traduit par aucun symptôme
clinique
localisé du côté des appareils de relation, tan
énie de ces différents ramollissements et en restant sur le terrain
clinique
. Observation I. Femme de quarante ans, sans hér
es, particulièrement de la vue et du goût. Contractures du côté 438
CLINIQUE
NERVEUSE. gauche, suivies d'une inertie absolue
violente avec hallucinations terrifiantes et fièvre qui a dis- 440
CLINIQUE
NERVEUSE. paru au moment de l'admission. Il ne
, aux recherches qui ont été faites sur l'anatomo- pathologie et la
clinique
somatique du ramollissement céré- bral. Il n'es
rdent de généraliser hâtivement et de chercher à dresser le tableau
clinique
de l'état mental qui accompagne les foyers de r
z des alcooliques - nous autorisera, toutes autres con- sidérations
cliniques
mises à part, à considérer comme très probable
pandirent rapidement en Allemagne : Reil (1759-1813), professeur de
clinique
interne à Berlin, demande que les asiles d'alié
berg bei Kaisersxverlh, 1883, p. 3.\, et ï : i, ' Scliùle. Traité
clinique
des maladies mentales, 18li. (l'raLlllct. fran-
ses élèves Bernstein et Rybakov expérimen- tent cette méthode à la
clinique
psychiatrique de Moscou. A. Bernstein publie, e
ialr., 189G, p. 5.) LE TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES. 457 A la
clinique
de l'Académie militaire de médecine de Saint-Pé
services de MM. Magnanà l'admission de Sainte-Anne, Joilroy à la
clinique
des maladies mentales, Briand et Toulouse à l'a
PROPOS DE QUELQUES TRAVAUX RÉCENTS; - Par llewu VERGER, Chef de
clinique
médicale à l'Unhcl'sile de Bordeaux. L'étude du
° La notion des mouvements actils perçue à l'occasion 1 Abba. Elude
clinique
des troubles de la sensibilité générale, des sens
aisé de voir que si cette division répond à des nécessités d'examen
clinique
, elle doit être simplifiée au point de vue phys
ations musculaires antérieurement perçues. Or, ' .1. Pitres. Leçons
cliniques
siii l'hystérie. Paris, 1891, \ol. I, p. 110.
eur, la névrite était purement motrice et localisée, comme l'examen
clinique
avait permis de le constater, au nerf sciatique
les régions antérieure et interne. Au point de vue du diagnostic
clinique
, lorsque, chez un épilep- tique avéré ou indivi
. HExscuEa. (Neurolog. Cet'ft ? XVII, 1898.) Observation purement
clinique
. Homme de soixante-dix ans ayant été l'objet de
ll'olog. Centralbl., XVII, 1898.) En sous-titre : Contribution à la
clinique
des névrites optiques pures et concomitantes.
ubital et médian) s'anastomosent les uns avec les autres; les faits
cliniques
semblent donc indiquer, que dans un assez grand
La malade présentait une paralysie radiale, qui, par sa physionomie
clinique
et surtout par ses réac- tions électriques (sig
ésion bulbaire constante dans .la syringomyélie avancée : sa valeur
clinique
pour la palho- génie des anesthésies syringomyé
à la premiere classe du cadre; M. le D1' Taule, directeur à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne), admis à faire valoir ses droits
néral du Ministère de l'In- térieur, est nommé directeur de l'Asile
clinique
(Sainte-Anne) 528 FAITS DIVERS. (septembre);
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine, asile
Clinique
, asiles de Vaucluse, Ville-Evrard et Villejuif. L
undi 6 novembre 1899, à 1 heure précise, il a été ouvert, à l'Asile
Clinique
, rue Cabanis, n°l, à Paris, un concours pour la
hi- rurgien de Beaujon. M. Thiroloix, médecin des hôpitaux. Asile
clinique
. Clinique. des maladies mentales : M. le pro- f
ien de Beaujon. M. Thiroloix, médecin des hôpitaux. Asile clinique.
Clinique
. des maladies mentales : M. le pro- fesseur Jof
r Joffroy, mercredi et samedi, à 9 h. 1/2. - ai. Magnan : Exercices
cliniques
sur le diagnostic de la folie, le vendredi à 9 1/
Toulouse. - Le mercredi à 9 h. 1/2 visite du service. Confé- rences
cliniques
au lit des malades. Hospice de la SALPÊTRIÈRE.
cliniques au lit des malades. Hospice de la SALPÊTRIÈRE. - Cours de
clinique
des maladies du système nerveux (Professeur M.
M. Gilles de la Tou- rette, chargé de cours, a commencé le cours de
clinique
des ma- ladies du système nerveux le vendredi 2
périeure gauche, par Ka- lischer, 320. Convulsifs. Considérations
cliniques
sur l'avenir des infantiles, par Du four, Mar
- chez les aliénés, par Téré et Lance, 140. Développement. Eludes
cliniques
et étiologiques sur le défectueux de l'intell
ISLIIsN SOUS LA DIfIF : C'l'ION DR 1111. A. JOFFROY Piolesscur de
clinique
des ma1nùles mentales à la (-'acuité de méd
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Sle-Allllc). F. RAYMOND Professeur de clin
ecin de l'Asile clinique (Sle-Allllc). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
04 II, Vol. XVIII. Juillet 1904. N° 103. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE, , .' Médiumnité délirante; i. 1 .
i- rilisme 1, mais il faut en compléter le cadre pathologique. La
clinique
permet toujours de relever des détails restés d
Spiritisme devant la Science. Archives, 2' série, t. XVIII. 1 2
CLINIQUE
mentale. cation rationnelle et critique de leur
les nommer Allan Kardec dans le livie e des médiums, p. 310. , 4
CLINIQUE
MENTALE. entraînement spirite préalable du suje
ande influence sur la marche de ses Phénomènes dans la suite. 0 6
CLINIQUE
MENTALE. '- Au printemps 1901, l'état nerveux d
la céphalée, des crises de larmes, une fatigue précoce et doulou- 8
CLINIQUE
MENTALE. reuse au moindre effort, des troubles
apparent pendant lesquels tout allait si bien qu'elle put faire 10
CLINIQUE
MENTALE. venir sa fille auprès d'elle, Cam...,
oigner. Mais à l'arrivée de cette parente et avant de l'avoir 14 Il
CLINIQUE
MENTALE. vue, Cam... prétendit qu'elle avait vu
u un dessin médianimique accompagné d'un message. Ce graphique 16
CLINIQUE
MENTALE. est constitué par un point noir, arron
, t. XVIII. 2 l'ig. - Dessin médianimique (novembre 1901). ,1,8 »
CLINIQUE
MENTALE. Tous les dessins de cette époque, comb
té), on ne la voit pas de la terre, elle est superbe d'éclat » 20
CLINIQUE
MENTALE. par quelques mots seulement : « Fouet
ations immédiatement après. MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 23 Fig. 7. 24
CLINIQUE
MENTALE. « nement dans l'amonr appelé perfectio
" aux âmes qu'on juge les hommes, non aux corps, seuls signes 26
CLINIQUE
MENTALE. « distinctifs des races, les questions
tan. 11 fait, dans ce travail, une étude indiquant la phy- sionomie
clinique
, la place en histologie pathologique et la parent
rologique, août 1903). E. B. XIV. Le spasme facial ; ses caractères
cliniques
distinctifs ; par Henry Meige. Ce travail rel
PANEGROSSI, (Riv. Sp. difren. 1903, fasc. 1, t. II). Observations
cliniques
et étude d'ensemble constituant une véritable m
Iconog. de la Salpêtrière, n° 1, 1903.) Les nombreuses observations
cliniques
qui constituent à l'heure actuelle le domaine d
ument intactes, et que la trophicité seule est altérée. Ce syndrome
clinique
per- met d'éliminer, dans la recherche de la ca
Myopathique typique par son histoire et l'ensemble des carac- tères
cliniques
: absence de caractère familial, mais hérédité ne
psie d'un paralytique général; par MM. Joffroy et Gombault. Etude
clinique
et anatomopathologique des plus intéressantes d
ache d'ordinaire au niveau du trou auditif interne. Au point de vue
clinique
, le principal élément de diagnostic, celui qui
s atteints de spondylose rhyzomélique typique, tant au point de vue
clinique
qu'anatomique. Ils présentaient en outre des lé
adipose douloureuse doit être couservée en nosographie. Ce syndrome
clinique
a peut-être des rapports avec les lipomes symét
CrERATH) décrivent des cas de psychose de KOHSAKOFF sans phénomènes
cliniques
neuritiques, mais il faut remarquer que dans pa
clusion, les rapporteurs ont cité un cas de ce genre, observé à la
Clinique
Psychiatrique de Moscou, où il y avait un tableau
s la représentons. Pour la poliomyélite est néces- saire le tableau
clinique
ainsi que le tableau anatomique, et dans le cas
- 6-1904. Vol. XVIII. Août 1904. N° 104. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. CLINIQUE DES MALADIES NEUVE USES. - L
I. Août 1904. N° 104. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE.
CLINIQUE
DES MALADIES NEUVE USES. - LA SALP1 : TIIIGItE
20 mai 1901, recueillie et publiée par le "' COi7S1'EMSOUX, chef de
clinique
adjoint. Archives, 21 série, t. XVIII. 7 98 c
OUX, chef de clinique adjoint. Archives, 21 série, t. XVIII. 7 98
clinique
nerveuse. été, au moyen âge, dans notre pays, u
et les réactions qu'il provoque dans les tissus donne au tableau
clinique
telle physionomie particulière; du même coup on
n- tique. Procédons maintenant à l'examen des symptômes que 100
CLINIQUE
NERVEUSE. nous observons au membre supérieur ga
nce moniliforme. Ces altérations sont particulièrement accen- 102
CLINIQUE
NERVEUSE. tuées au niveau du cubital et du médi
us relevons encore, de ce côté, nombre de symptômes Fig 15. 104 ,
CLINIQUE
NERVEUSE. importants, intéressant à la fois la
vif de cette affection ne faisait ici défaut. 1 1 Fig. 17. tUb
CLINIQUE
NERVEUSE. La région sus-orbitaire droite, au ni
la paupière supérieure : cette infiltration est Fig 1 ! 1. 108 .
CLINIQUE
NERVEUSE. assez accentuée pour empêcher l'occlu
e et à souffrir du bas-ventre, en même temps que de nouvelles 110
CLINIQUE
NERVEUSE. plaques apparaissent au niveau des br
examen des réactions électriques, corroborant les résul- tats de la
clinique
, accusait une diminution de l'excitabilité l'ar
o- interne du bras droit, une large macule brunâtre que nous ll .
CLINIQUE
NERVEUSE. , avons vue depuis desquamer et pâlir
age des malléoles. Archives, 2- série, t. XVIII. 8 . li. '1 114
CLINIQUE
NERVEUSE. i L'étude de la sensibilité n'était p
aissant à sa suite une ulcération cratériforme, 1'ér. 25. lui[8 m
CLINIQUE
NERVEUSE., 1 laquelle a persisté. Ces symptômes
. Ces symptômes ont été les seuls qui .soient venus modifier l'état
clinique
de notre malade. Si vous comparez entre elles l
aux et avec retentissement sur l'état général : quant aux symptômes
cliniques
eux-mêmes, ils sont remarquablement identiques
devrons analyser de près chacun des éléments que nous fournit la
clinique
afin d'y pouvoir répondre de façon affirmative :
elle comme chez les deux précédents nous avons les mêmes caractères
cliniques
objectifs, les mêmes troubles des réac- tions é
i- liales n'étaient point encore décrites ; 2° que les caractères
cliniques
de l'hystérie, surtout .pour ce qui concerne les
est plus en présence de la maladie type de Duchenne, que vous 120
CLINIQUE
NERVEUSE. vous trouvez. Ici nous n'avons pas à
e progressive pour que, jusqu'en 1882. tout au moins sur le terrain
clinique
, on l'ait confondue avec cette dernière : je ve
s ces dernières années et combien variés sont aujourd'hui les types
cliniques
décrits par les auteurs. Il en est un que je ve
le nom de paréso-analgésie d extrémités supérieures. L'association
clinique
de la paralys des analgésies et des troubles tr
avérées peuvent réaliser du côté des membres supérieurs un tableau
clinique
rappelant de tous points la maladie de Morvan,
lépreux, la lèpre affectant dans cette région une forme lar- 122
CLINIQUE
NERVEUSE. vée spéciale, mais demeurant par sa n
i de la signification du syndrome de Morvan. En face d'un tableau
clinique
caractérisé par des paralysies-et des atrophies m
lois relatives au mariage des lépreux. Mais c'est sans contre- 124
CLINIQUE
NERVEUSE. dit au moyen âge, à l'époque des croi
et pénétreraient dans l'épaisseur de la peau à la laveur des 126
CLINIQUE
NERVEUSE. ,\ moindres érosions : je vous signal
de semblables lésions au point de vue de la structure et. du 128
CLINIQUE
NERVEUSE. fonctionnement des tubes nerveux. Agi
mportante et régulière dont t Archives, 2' série, t. xV111. 9 130
CLINIQUE
MENTALE. a bénéficié notre malade dans ces dern
a diffusion d'une maladie contagieuse et par conséquent évitable.
CLINIQUE
MENTALE. Médiumnité délirante 1 ; r PAR R
que naguère elle condensait en style sentencieux pour com- /' 132
CLINIQUE
MENTALE. poser son recueil de pensées. Ce manus
e " soi-même sans attendre seulement ma venue, car je demeure 134
CLINIQUE
MENTALE. " « ici pour semer nos idées. Il me di
établit la cadence. Sa poésie fourmille de fautes semblables. 136
CLINIQUE
MENTALE. ses travaux poétiques, elle l'appelle
prenons en employant même les termes et les menaces qui sont 138
CLINIQUE
MENTALE. les nôtres. Au mois de janvier, par ex
ctuellement tout reste dans l'ordre depuis juillet 1902. Cam... 140
CLINIQUE
MENTALE. ne parle plus de faire tourner des tab
e pas suivi dans sa longue convalescence, pendant laquelle se 142
CLINIQUE
MENTALE. sont continuées ses manifestations méd
des prédispositions à ces délires est étonnant quand on y 144 Il
CLINIQUE
MENTALE. regarde de près, beaucoup n'y glissent
changé qu'après son coup de AncmvLS, 2« série, t. XVIII. 10 146 .
CLINIQUE
MENTALE. soleil, il devenait de plus en plus ir
nde si c'est la mort qui va l'atteindre. Dans la uuit l'esprit. 148
CLINIQUE
MENTALE. de D... se manifeste et lui dit : «Lai
la transition entre son état de névrose antérieur, caractérisé ho
CLINIQUE
MENTALE. par ses grandes phobies ' et son délir
problèmes d'histologie pure. Pour arriver à rattacher la modalité
clinique
à la lésion, il faut, avant tout, interpréter cor
roduits, de rattacher chacun de ces détails évolutifs aux symptômes
cliniques
. L'expérimentation n'a-t-elle pas éclairé les i
liser les éléments nerveux affectés, non pas à rattacher les signes
cliniques
à la lésion anatomique, mais bien à rechercher
et moteur du sous-épineux, mais vous n'avez pas dé- celé le réflexe
clinique
dont la nature a été élucidée par mes expérienc
uë, S.-N. DEIÆKTORSKY, - Le malade, de quinze ans, s'adressa à la
Clinique
des maladies nerveuses le 11 janvier 1903, se pla
pas les tiraillements « fibrillaires », mais présentent le tableau
clinique
décrit par SCHULTT,E sous le nom de myokymie. Le
veau s'est associé après. Cela donne à penser que dans le cas de la
clinique
du professeur BECHTEREFF, où les nerfs périphér
bre chez le même malade. La proportion serait, par malade : . 202
CLINIQUE
MENTALE. il concluait que la pathogénie de ces
apide, ni leur nombre aug- menté dans les cas de maladie du foie.
CLINIQUE
MENTALE, La phobie du regard ; Par le Dr P. H
pour Protéger leurs prunelles contre les regards d'autrui. , 204
CLINIQUE
MENTALE. Tel est à peu près, à son degré d'inte
crus mourir de honte. Que n'avais-je lu alors le « Rouge et le 206
CLINIQUE
MENTALE. Noir ». J'étais dans le même milieu qu
Ce sont les regards fixés sur son visage qui lui sont les plus 208
CLINIQUE
MENTALE. pénibles. Afin d'être moins aperçue, e
s nou- velles en psychiatrie. Nous exposerons d'abord les raisons
cliniques
, anatomiques et étiologiques qui empêchent de c
re actionnée par des causes accidentelles pour réaliser le syndrome
clinique
de la démence précoce et nous avons émis l'hypo
ades dont ils ont examiné les centres nerveux. Après les réserves
cliniques
que nous venons de faire, il est peut- être un
e pardonnera SOCIÉTÉS SAVANTES. 221 d'être bref sur les arguments
cliniques
qui peuvent être invoqués à l'appui de l'origin
rte com- plète de l'intelligence. Parfois, du reste, les caractères
cliniques
de ce déficit intellectuel, qui s'affirme encor
anatomie patho- logique nous permettront de faire, pour le syndrome
clinique
de la démence, ce qui a été si heureusement réa
quables travaux de Bourneville et de ses élèves, pour le syndrome
clinique
de l'idiotie. En s'appuyant sur ces considérati
linique de l'idiotie. En s'appuyant sur ces considérations purement
cliniques
, on serait donc en droit de nier aujonrd'hui l'
is longtemps, l'anatomie pathologique avait devancé sur ce point la
clinique
, en établissant l'existence, dans tous les cas
on entre les démences organiques et les démences vésaniques. » La
clinique
nous ayant déjà fourni la même réponse, c'est à
logie est incertaine, sa pathogénie difficile à établir; son exposé
clinique
enfin n'est que partiellement exact. Il est cer
émence précoce, tout en reconnaissant que ce sont surtout des faits
cliniques
qu'il a observés, et bien observés, mais que le
eux, où sont exposés avec précision tous les faits expérimentaux et
cliniques
apportés par les diffé- rents auteurs et par le
nécessaire de créer des termes pour ces offices bulbaires, dont la
clinique
ne note .que les défaillances, les variations n
mentale entre le tic, phénomène psychique, cortical, aux caractères
cliniques
si particuliers et le spasme, phénomène organiq
mérites du radium en thérapeuti- que nerveuse. Sur l'exploration
clinique
du sens musculaire. M. le Dr En. Claparède. (de
mesurer l'état de la sensibilité profonde, il est le plus simple en
clinique
, de faire comparer des poids; on peut aussi fai
'auteur a examiné la suggestibi- lité chez les nerveux soignés à la
clinique
du Professeur Dubois, de Berne, en les soumetta
n, la latéro-station droite n'a donné que des insuccès. Relations
cliniques
de la cécité avec la paralysie générale et le t
ventail. Nous, croyons donc que ce dernier signe n'a pas une valeur
clinique
\ 0 SOCIÉTÉS SAVANTES. 263 aussi importante
le moment de la fécondation jusqu'à celui de la délivrance. Forme
clinique
des tics unilatéraux de la face. M. CROCHET (de
ordre professionnel. L'auteur'étudie successivement les cinq formes
cliniques
de ces tics unilatéraux et montre qu'à chacune
é- nérescence chez l'animal, en particulier chez le cheval (étude
clinique
.) , MM. Fernand RUDLER et C. CHOMEL. La dégénér
u caractère ; 5° Aux phobies et hallucinations. Cette énumération
clinique
suffit à établir l'identité entre les stigmates
ship, Pari- naud, Pagenstecher, Ramirez, Ripault, etc. La réalité
clinique
de la lésion optique (névrite ou atrophie) au c
omènes inflammatoires par propa- gation, explique toutes les formes
cliniques
, suivant que les lésions mécaniques et inflamma
anneau osseux. ci) Dans le premier cas, il existe des phénomènes
cliniques
très nets : papillite avec ou sans oedème, vein
en faveur de la nature myopa- thique de cette dernière. Remarques
cliniques
et thérapeutiques sur quelques tics de l'enfance.
ses attitudes, son langage, sa marche, présente des ressem- blances
cliniques
frappantes avec les sujets atteints d'hémiplégie
oreille interne. A la suite de nombreuses recherches anatomiques et
cliniques
j'ai reconnu que, très souvent, les états verti
a déjà fait l'objet d'études nombreuses, mais presque uniquement
cliniques
. J'apporte au Congrès l'histoire d'un cas dans le
J'apporte au Congrès l'histoire d'un cas dans lequel l'observation-
clinique
de l'état mental ayant été suivie de l'étude hi
-1904. Vol. XVIII..Octobre 1904. N° 106. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. Obsessions et vie sexuelle; P\n LE D
rs ont constaté dans notre Archives, 2' série, t. XVIII. 19 290 .
CLINIQUE
mentale. pays, et de faire connaître ce 'que no
s punitions corporelles étaient en honneur, mais son père avait 292
CLINIQUE
mentale. défendu de les lui appliquer. Au premi
Il en fut ainsi pendant cinq ans. A trente-deux ans, X... dut 294 ,
CLINIQUE
mentale. - changer de résidence, et se séparer
e vis et qu'avec une entière franchise sur mes questions, il me 296
CLINIQUE
mentale. fournit tous les détails que j'ai rapp
la prédilection de son collègue dont le souvenir ne l'avait pas 298
CLINIQUE
MENTALE. quitté, et il comprit qu'il avait eu t
la Marine, une colonie intertropicale. Dès son arrivée sous les 300
CLINIQUE
MENTALE. tropiques, son incontinence nocturne d
s et qu'il couvrait de baisers et léchait un de ses pieds. Y... 302
CLINIQUE
MENTALE. ne songea plus à changer, et durant tr
ous un prétexte quelconque se faire sonder par son collègue de la
clinique
chirurgicale qui lui passa la plus grosse sonde s
ne pratiquait pas, sa clientèle étant exclusivement de Médecine 304
CLINIQUE
MENTALE. ordinaire, il avait compris mes raison
e à leurs compagnes, et ils ne cachent rien. PATHOLOGIE MENTALE
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE l'Université DE MOSCOU. Sur le
ement, du contenu des pro- Archives, 2' série, t. XVIII. 20 306 .
CLINIQUE
MENTALE. cessus obsédants; secondement, cela dé
sur le terrain de la constitution idéo-obsessive donne un tableau
clinique
particulier de mélancolie avec idées obses- siv
roles et de telles phrases qui contredisaient tout à. fait, sa. 308
CLINIQUE
MENTALE. manière de voir. Les idées obsessives
d'une forme hallucinatoire des obsessions morbides ; mais il 310
CLINIQUE
MENTALE. n'y avait point ici d'illusions ou d'h
Bien des malades, chez qui on rencontre les symp- tômes psychiques
cliniques
analogues, sont loin de vouloir parler de si bo
contenu obscène, indécent et cynique. 1 Dans un cas,* observé à la
clinique
psychiatrique de Moscou, les associations obséd
I., XX, 1901). Observation, sans autopsie, rapprochée des documents
cliniques
et expérimentaux des auteurs. Il s'agit d'un fo
ypothèse à laquelle Cassirer a essayé d'apporter la première preuve
clinique
. Son observasion de parésie des neu- vième, dix
903). Nous ne pouvons donner que les conclusions des observations
cliniques
et des recherches expérimentales de ce mémoire qu
tiformes. Le diagnostic de paralysie générale ressort et du tableau
clinique
, et des lésions macroscopiques. Les convulsions
extrait glycériné de pancréas. Je crois que cet état est une entité
clinique
distincte, une nouvelle maladie qui n'a pas été
moires ont été présentés : 1° Contribution à l'étude de l'évolution
clinique
et anatomo- pathologique des traumatismes du cr
rimentale de irenatria. E. W EIL (Antonin-Clerc). La leucocytose en
clinique
, vol. in-8° de 182 pages avec 4 figures hors te
0. Vol. XVIII. Novembre 1904. N° 107. ARCHIVES DE NEURO* " " '"
CLINIQUE
NERVEUSE Epilepsie, pathogénie et indications t
98, p. 97 ; n° 99, p. 206. Archives, 2" série, t. XVIII. 24 370 '
CLINIQUE
NERVEUSE. interprétation. Ils prouvent que le b
ciale, nous pouvons cependant assez fréquemment, nos observations
cliniques
nous permettraient presque de dire toujours, mo
t citoyen de posséder un casier judiciaire vide, il n'est pas 372
CLINIQUE
NERVEUSE. moins utile de posséder pour bien agi
re que le dévelop- pement physique et intellectuel progresse. 374
CLINIQUE
NERVEUSE. C'est aussi pour prévenir le plus pos
croît d'irritation méningo-cérébrale directe que pour éviter 376
CLINIQUE
NERVEUSE. - les conséquences de la vie sédentai
nstruelles, car cette 1 Dont nous verrons plus loin l'action. 378
CLINIQUE
NERVEUSE. périodicité régulière permettra d'ins
é d'épilepsie que l'on prend cure de' l'enfant pour lequel on 380
CLINIQUE
NERVEUSE. redoute des accidents de nature syphi
ti- nuaient volontiers leurs services. Ce moyen thérapeutique 382
CLINIQUE
NERVEUSE. complémentaire utilisé par elles chaq
ions thyroïdiennes ? Il paraît, du reste, ratifié par les résultats
cliniques
que j'ai obtenus. Donné dans une certaine quant
ion antiseptique . dont bénéficie un peu le tube digestif ? ` 384
CLINIQUE
NERVEUSE. Les améliorations obtenues grâce au r
et contrôlés par l'autopsie ou simplement déduits de l'observation
clinique
et de l'expérimentation, ont établi que les mou
de quinze ans. Cet auteur analysant ' Cité par Nothnagel, in Traité
clinique
du diagnostic des maladies de l'encéphale, trad
pé par un kyste rempli de liquide et ' Cité par Nothnagel in Traité
clinique
, etc., p. 201. 2 Communication faite au 2' Cong
èse sous-corticale de spasmes musculaires isolés. Contribution à la
clinique
des tumeurs des tubercules quadriju- meaux, ave
O. (Neurol. Centralbl, XXI, 1902, lr, 15, iG, 17.) ,) Observation
clinique
accompagnée d'étude anatomique et histo- logiqu
logiques actuelles, édifiées sur l'expérimentation et l'observation
clinique
relatives aux formes convulsives en rapport ave
rminent les états d'idiotie. On connaît bien, grâce à l'observation
clinique
, le crétinisme et l'idiotie myxoedémateuse qui
thyroïde. Il n'en est pas de même au point de vue de la description
clinique
des autres états d'idiotie. Au point de vue ana
systèmes de faisceaux. Par l'époque de son appa- rition, son aspect
clinique
général, sa marche foudroyante, son caractère f
ou d'irradiation, et montre que le premier est réalisé surtout en
clinique
dans les périlonites, le second dans la colique d
épatiques ou néphrétiques. Il paraît donc légitime mainte- nant, en
clinique
, en présence de certains syndromes, d'émettre a
Chez cinq d'entre eux, il fut impos- sible de trouver des éléments
cliniques
clairs. Les cinq autres se décomposent en : une
de l'aliéné et ses mensurations craniennes doivent acquérir un sens
clinique
, diagnostique et ana- tomopathologique, voire p
lométrie, dp celles qui conviennent à la craniométrie. L'expérience
clinique
devra déterminer les diamètres et autres mesure
nonce la publication prochaine d'un mémoire sur la question dû à la
Clinique
de Fribourg. Nonne a vu une guérison dans un ca
cas de tumeur cérébrale. Schünborn a ponctionné 100 malades à la
clinique
de Ileidelberg. Chez 25 tabétiques il a trouvé
automatiques imités avec coprolalie. L'Ano% n'est pas une espèce
clinique
; il comprend des états d'excitation divers avec t
de méd. mentale de Belgique, 1902, nos 104, 105 et 106.) . Etude
clinique
basée sur 40 cas de démence précoce observés su
véronal ; par 0. M\TTHEY (Neurolog. Cenlralbl. XXII, 1903.) Essais
cliniques
avec le véronal ; par W. SPIELMlènR (Centralbl.
us les moyens de contrainte sont supprimés. G. D. VI. Statistique
clinique
des alcooliques traités à l'asile de Bel-Air, e
ivé à notre collègue, le Dr Vallon, le distingué médecin de l'Asile
clinique
, ramène l'attention sur la ques- tion du régime
En réalité, nous croyons qu'il faut s'en tenir à la distinc- tion
clinique
en aliénés présumés curables et incurables. Aux
ciaux pour les alié- nés dits criminels et sur la rélégation. 13.
CLINIQUE
NERVEUSE. Imbécillité; hémiplégie gauche; épile
antes et le lobe pariétal (Soc. Anatomique, 1876, p. 558) , - Notes
cliniques
sur l'épilepsie partielle (Icono ! ! 1' pho- lo
oumat of Insunily, I, 03, p. 515-525. 3 planches). Après l'exposé
clinique
et anatomo-pathologique (la moelle ne parait pa
tions sont pour eux de véritables spasmes présentant les caractères
cliniques
et l'allure évolutive d'une affection organique
é à la piqûre dans le territoire cutané du trijumeau. Ces données
cliniques
permettent d'affirmer le caractère orga- nique
a systématisation anatomique, de son étiologie et de ses caractères
cliniques
, il touche en certains cas à l'épilepsie jackso
THOLOGIE NERVEUSE. MM. Pic et Bonnamour mettent en évidence un type
clinique
rarement observé et qui est constitué par une p
rome artériel. C'est pour cette raison qu'ils désignent ce syndrome
clinique
sous le nom de parésie spasmodique des vieillar
continuent la discussion diagnostique tendant à établir le tableau
clinique
de la névrose spéciale dite psychasthénique. LX
vation chez un même sujet jeune fille de dix-huit ans des symptômes
cliniques
de deux affections différentes, résul- tant de
ymptomatologie des quatre.cas que s'il y a analogie au point de vue
clinique
, il n'en est pas de même au point de vue pa- th
Iconogr. de la S Ipé(niè : 'e, n° 6, 1903). Intéressante étude de
clinique
comparée dont voici les conclu- sions : De mê
e conduisant à uneinterventionchirurgicale. L'analyse des symptômes
cliniques
conduit d'autre part à formuler le dia- gnostic
. XXXVII. Paralysie générale aiguë avec une observation, histoire
clinique
et anatomie pathologique ; par'' Stewart PATON et
-huit heures après le décès par M. le docteur Ollive, professeur de
clinique
médicale de l'Ecole de Nantes. Le médecin légis
était inutile..... LE martyrologe DES asiles. L'attentat de l'Asile
clinique
. La série rouge dont nos asiles s'ensanglantent
Allemagne, de la.. main d'un de ses malades ; et voici qu'à l'asile
clinique
, le Dr Vallon tombe frappé d'une lame à la nuqu
umas. 435. L'- 'de Galk- hausen, par de Maëre, 435. Sta- tistique
clinique
des alcooliques traités à l'- de Bel-Air en 190
ovembre, 525. L'affaire de l'- de Nantes : 514. L'attentat de 1'-
clinique
, 523. Assistance des idiots ; 4-i3. - à domic
e dans le départe- ment de l'Orne, par Coulonjou, 2-i2. Relations
cliniques
de la cé- cité avec la générale et le ta- bès
. A propos du soi-disant - , par Claparède, 67. Sur l'exploration
clinique
du musculaire, par Claparède, 245. Sensibil
iel ou idbpathique, - par F¡,ke, 51. Le - facial ; ses caractères
cliniques
dlstictifs, par Meige, 54. - professionnel, par
nèse sous-corticale de - muscu- laires isolés. Contribution à la
clinique
des tumeurs des tubei- cules quadrijumeaux avec
tone des sinus, par Good. 322. Tibia. Voir Tabétique. Tics. Forme
clinique
des - unila- téraux de la face, par Cruchet,
nique des - unila- téraux de la face, par Cruchet, 264. Remarques
cliniques
et thé- rapeutiques sur quelques de l'enfance
, 428. ' Véronal. Communications sur le-, parMatthey, 432. Essais
cliniques
avec le -, par Spielmeyer, 432. Expériences a
T. PUBLIÉE SOUS I.A DIIIEC'IION DE MM. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Agile
clinique
(Sle-Annc) F. RAYMOND Professeur de cliniqu
Médecin de l'Agile clinique (Sle-Annc) F. RAYMOND Professeur de
clinique
Jcs m;nl,nJics du svstemc nerveux à LW'acul
1898 Vol. VI. Juillet 1898. , N° 31 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉN
POSTÉRIEURS ; , . 1 . , ' l'AR ¡ . A. JOFFROY, Professeur de
clinique
des maladies mentales. ET T Et. RAISAUD, ¡
. RAISAUD, ¡ Chef du laboratoire d'analomic \ ' pathologique à la
clinique
des maladies * mentales. La question des rapp
ulogne qui, le premier vers 18(i0, tenta d'établir le diagnos ? tic
clinique
différentiel des deux affections qu'il dit avoir
des aliénistes. Toulouse, 1897. Archives, 2e série, t. VI. t 2
CLINIQUE
MENTALE. différente. Baillarger', un peu plus t
chez les médullaires délirants, car, dans ces cas, le diagnostic
clinique
n'est pas toujours vérifié à l'autopsie. Nous fer
(Annales médico-psychologiques, 1885.) ' Ibidem, p. 191. 1 4 z
CLINIQUE
MENTALE. quelques-unes de ses observations Cé s
u tabes et de la paralysie générale, les résultats fournis par la
clinique
et par l'anatomie pathologique sont le plus souve
êter au diagnostic de tabes spinal postérieur. Observation. Asile
clinique
(Sainte-Anne). , , Service du professeur JOFFRO
fait d'excès alcooliques. . Ce malade a été le sujet d'une leçon
clinique
: Sur un cas de para- lysie générale juvénile à
pinal, publiée dans la Revue de Psy- clriïrtnie. juin 1S9S. 6 '
CLINIQUE
MENTALE. Evolution de la maladie. Le 24 octobre
artères sylviennes, ne présentent pas'de lésions apparentes. 8
CLINIQUE
MENTALE.- ' grisâtre et paraissent présenter un
ont normalement constituées; 1 Fi[/. 1. - Moelle lombaire. ) 10
CLINIQUE
MENTALE. les fibres ne sont diminuées ni en nom
E, il J Fig. 3. Moelle dorsale. Fig. i. Moelle dorsale. 12 1.
CLINIQUE
MENTALE» , 1 .vers la périphérie de la moelle;
nt il vient d'être question. Cette Pig. 3. - Moelle dorsale. 14
CLINIQUE
MENTALE.. bande malade naît en avant presque im
sseaux est manifeste. FI ? 7. - Moelle cervicale supéie ure. 16
CLINIQUE
MENTALE. Écorce cérébrale. L'examen des coupes
oyaux. Le bulbe est sain. Nous ne reviendrons pas sur les détails
cliniques
. La mala- die a débuté par une paraplégie : l'i
matisation actuellement observée Archives, 2G série, t. M. 2 18
CLINIQUE
MENTALE. avec celle du tabes dorsalis pour ce q
bout, nous pourrions dire que la maladie d'un neurone n'est 20
CLINIQUE
MENTALE. pas appréciable à son début, lorsqu'il
urs dégéné- rescences. (Archives de Neurologie, L896, no G.) 22
CLINIQUE
MENTALE. d'invraisemblable à admettre que la lé
voir en dehors de la sénile des psychoses primaires ' More). Études
cliniques
, t. II, obs. II. 40 REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
e guérison avec déficiences. Enfin l'auteur rapporte deux histoires
cliniques
empruntées à l'asile de Newengaarden (à Bergen)
ssement de la cachexie strumiprive. En effet, rapprochant les faits
cliniques
des faits expérimentaux, M. Brissaud est amené
r E. Bonardi. (Il Morgagni, n°8, 1807.) Observation et discussion
cliniques
intéressantes parle côté pa- thogénie, Après av
eur E. BO : ÜItOI, (Il Morgagni, n° 10, 1897.) Il s'agit d'un cas
clinique
, dont l'analyse très détaillée conduit l'auteur
eurt dans le coma un mois après l'accident. En regard des symptômes
cliniques
minutieusement observés, l'auteur déve- loppe l
ts principaux de ces recherches sont : A. Il n'existait aucun signe
clinique
permettant d'affirmer le diagnostic de contusion
v. Icoaogr. de la Salpétrière, n° 1, 1898.) Au cours de cette leçon
clinique
, l'auteur passe en revue les diffé- rentes form
réflexe parti du coeur ou de l'aorte peut détermi- ner le syndrome
clinique
du goitre exophtalmique. A. FENAYROU. XIV. 11
és de tumeur du corps calleux, se demandent s'il y aquelques signes
cliniques
permettant de diagnostiqueur la localisation de
(Bull. delle Scienzemediche, n° 4, 1897.) Anamnesliques, histoire
clinique
, autopsie et examen histolo- gique de la moelle
vers degrés des lésions des centres Irophiques, que l'observation
clinique
permet de placer dans la substance grise entouran
Dr Grasset. (Nouv. Icono01'. de la Salpétrière, nez3, 1897.) Leçon
clinique
sur le cas suivant : un homme qui a exercé long
de néphrite subaiguë récente. Chez ces deux malades, la combinaison
clinique
des deux syn- dromes, méningisme et catalepsie,
froide dans la pra- tique médicale, l'auteur rapporte plusieurs cas
cliniques
(aphasie hystérique, coxalgie hystérique, rhuma
titielle et 1)(ii-eiteltyni(t- SOCIÉTÉS SAVANTES. 67 teuse), la
clinique
peut fournir des probabilités en faveur de l'une
), correspondant de l'Académie de Médecine, et le Dr Vires, chef'de
clinique
. Le livre que MM. Mairet et Vires viennent de c
importance, car il est l'expression d'un très grand nombre de faits
cliniques
soigneusement analysés et groupés; c'est dire q
s'applique à une conception cli- nique et anatomique. C'est le côté
clinique
qui a permis à MM. Mairet et Vires de faire de
ue, ils cherchent si l'action de la cause ne donne pas à chaque cas
clinique
un cachet spécial. De cette délicate analyse de
le processus morbide réalisé par la diathèse. La caractéristi- que
clinique
de cette paralysie générale diathésique, c'est la
té par attaques, peut être une cause de paralysie générale. L'étude
clinique
établit que les paralysies générales, par ramol
ique peut produire la 76; bibliographie. paralysie générale; la
clinique
a confirmé les résultats de l'expéri- mentation
un ou dans l'autre cas se marque de phénomènes de dépression, et la
clinique
et l'anatomie pathologique décèlent l'artério-s
on diffuse et de dégénération cellulaire, et, par suite, le tableau
clinique
de la maladie reste le même dans son fond.» S'il
acquises, malgré la non-identité du processus, on retrouve l'imité
clinique
de la paralysie générale. Derrière cette unité
e l'imité clinique de la paralysie générale. Derrière cette unité
clinique
, que trouve-t-on comme travail anatomique ? On
nts nobles et sur les autres parties du cerveau ». Malgré l'unité
clinique
, la paralysie générale n'est pas une dans sa na
auteurs, il faut, avec eux, analyser et synthé- thiser les éléments
cliniques
qui ont formé leur conviction. - " DUCAMP. VA
à la constatation des lésions spinales de la paralysie générale. La
clinique
nous laisse entrevoir que cette affection doit
au- tant plus de raison que nous étions en parfait accord avec la
clinique
. Nous ne l'avons pas fait et nous avons écarté de
s cette maladie. Belmondo2, qui en a étudié 20 cas, au point de vue
clinique
et anatomique, a trouvé dans la moelle épinière
r Fournier. Quelle cause eut jamais de meilleurs avocals ? Donc, la
clinique
nous oblige à tenir compte de la syphilis dans
et de la phlébite suspectes. Mais comment ne pas reconnaître que la
clinique
et l'anatomie pathologique se prêtent ici un mu
'instant, que signaler ces faits curieux à plus 1 Ballet. Leçons de
clinique
médicale, 1897. Doin, éditeur. . Pal, cité par
communes à un grand nombre de maladies bien différentes, et que la
clinique
ne saurait tirer aucun profit de leur connaissa
Et, s'il en est ainsi, nous aurons à en tenir compte dans l'examen
clinique
de nos malades. En effet, puisqu'ils pré- sente
rait sa raison d'être s'il existait une névrite périphérique que la
clinique
dénonce et que l'anatomie pathologique soupçonn
éraux, par les poisons organiques ou par les toxines. Or, de par la
clinique
, le paralytique semble bien être intoxiqué, pui
es ana- tomopathologiques de la maladie. De leur connaissance, la
clinique
peut tirer quelque profit. Puisque la lésion des
; par d : àNGEnIO. (Riv. clinica e therap., n° 3, 1897.) Histoire
clinique
d'un jeune homme de vingt-quatre ans,qui, par ses
111. SANDER. (Neurolog, Ceitralbl. XVI, 1897.) Longue observation
clinique
. Démence paralytique compliquée à plusieurs rep
: « Le gigantisme et l'acromégalie ne sont que deux manifestations
cliniques
d'un même processus ana- tomique. Le gigantisme
thésie hystérique disparaissait donc lais- sant à jour le complexus
clinique
d'une paralysie par compression. P. KERAVAL.
satisfait l'es- prit, en mettant d'accord les faits anatomiques et
cliniques
, et en expliquant les résultats curatifs de la
profite de cette étude, et pour les étudiants l'importance de cette
clinique
externe est des plus grandes : là, en effet, il
sera annexée à chaque hôpital général, comme l'est aujourd'hui une
clinique
d'optalmologie, par exemple. A. VIGOUROUX.
au sympathique annexé au trijumeau et au pneumogastrique. Les faits
cliniques
démontrent que c'est une erreur de croire que l
de Vanves. Interne des hôpitaux en 185J., docteur en 1858, chef de
clinique
de Bouillaud ¡lIa Faculté de Médecine de Paris
tschrift 1 ¡il' hypnotismus, t. V, fasc. 1.) L'auteur a fondé une
clinique
d'hypnotisme, il Amsterdam, après avoir visité
ndé une clinique d'hypnotisme, il Amsterdam, après avoir visité les
cliniques
similaires en France. Il nous apprend que l'éco
: 5 francs. Paris, 1897. Librairie 0. Uoin. Grasset (J.). Leçons de
clinique
médicale faites il l'Hôpital Saint- Eloi de dlo
Jlllp. - 898. Vol. VI. Septembre 1898. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. SYRIi\GOJIYÉLIE ET SARCOMA TOSE DE LA
PATUOGÉNIE DES EXCAVATIONS INTHAMÉDULLAfRES ' 1 Par S. ORLOWSKI. (
Clinique
des maladies nerveuses ci la faculté de Moscou.)
que par son extrême rareté. P... (Anne), quatorze ans, entrée à la
clinique
des maladies ner- veuses le 18 janvier 1896.
ce du 28 novembre 1897. - ' Archives, 2e série, t. VI. 11 f 162
CLINIQUE
NERVEUSE. qu'à la maladie actuelle, elle a joui
anés disparaissent. Le 18 de ce mois, la malade est transférée à la
clinique
des maladies nerveuses. Etat du 18 janvier 18
res très vastes, ulcère profond dans le pli inguinal droit. 164
CLINIQUE
NERVEUSE. L'état général de la malade a beaucou
laces on voit des blocs d'une apparence presque amorphe, sans 166
CLINIQUE
NERVEUSE. affinité pour les colorants; il paraî
roglie épaisse contenant des blocs de myéline, des corps gra- 168
CLINIQUE
NERVEUSE. nuleux, des globules sanguins et un d
dense, riche en faisceaux conjonctifs et en vaisseaux. A ce 170 -
CLINIQUE
NERVEUSE. niveau nous voyons donc les deux lési
erritoires parait être composé de cellules lymphoïdes à grand 172
CLINIQUE
NERVEUSE. noyau mal coloré, de corps granuleux,
sur les parties latérales de la moelle sans pénétrer dans sa 174
CLINIQUE
NERVEUSE. substance. Néanmoins les altérations
et infiltrations embryonnaires énormes. A la surface ventrale 176
CLINIQUE
NERVEUSE. on voit la néoformation, riche en vai
llal 3, de Busch' et d'Ollivicr ; dans les deux premiers le tableau
clinique
était 1 olivier, Traité des maladies de la moel
nheilk. 1892, Bd. II, H. ), 6. ARCHIVES, 3'série, t. VI. 12 178
CLINIQUE
NERVEUSE. voie du diagnostic clinique. Le fait
S, 3'série, t. VI. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE. voie du diagnostic
clinique
. Le fait est que de douze cas con- nus, dans un
e sarcomateuse fut re- connue ultérieurement ; néanmoins le tableau
clinique
simu- lait si complètement la sclérose en plaqu
ne affection de la colonne vertébrale. A l'entrée de la malade à la
clinique
, on n'a pu constater qu'une lésion médullaire s
'apercevoir qu'elle prédomine notablement dans l'âge jeune. 180
CLINIQUE
NERVEUSE. nous croyons indispensable de résumer
gressif. C'est la dégénération hyaline qui prédomine ; les 18 : 2
CLINIQUE
NERVEUSE. parois vasculaires s'épaississent, de
que les coupes au niveau de l'excavation toute développée 184 .
CLINIQUE
NERVEUSE. (la sixième racine dorsale), mais une
e Syringomyélie. Eille Monographie. Leipzig und Wien, 1895. 186
CLINIQUE
NERVEUSE. mière et dernière phase d'un seul pro
w'l, in Folge BllIl- stattug. 1'irchow's Archiv, Bd. LXXXV. 188
CLINIQUE
NERVEUSE. chronique produit souvent une dilatat
à quelle forme appartient le cas soumis à l'examen; cette précision
clinique
est au debut de toute expertise médico- légale
ors que nous voyons apparaître successivement les deux remarquables
cliniques
du professeur Ma iret, de Montpellier, et la th
deux importantes leçons à l'hôpital Necker, établit une différence
clinique
très précise entre le delirium tremens et le dé
ndant ces trois, dernières années.. < Nous arrivons enfin à la
clinique
du professeur Joffroy en mars 212 2 SOCIÉTÉS
scou. Le Congrès a répondu par le télégramme suivant : Professeur
Clinique
psychiatrique Université impériale. Moscou. «
OCIÉTÉS SAVANTES. 223 «possession b, Cette psychose est une variété
clinique
de la <t manie «processive » ou paranoïa qll
ouvait être la cause d'une transformation aussi complète du tableau
clinique
? C'est seulement l'autopsie qui nous en donna
ssive semblable à celle que nous avons décrite, mais dont la pureté
clinique
se perdra dans les ma- nifestations morbides an
cation que nous avons inséré plus haut in extenso (p. 189). Etude
clinique
sur l'obsession. MM. 1\1.-\.RIE et ViGouROUx. L
ompte de dépense met le prix de journée total à 1 fr. 40. Une étude
clinique
accompagne ce travail cherchant à catégoriser les
logique s'inspirât de ces données physiologiques, expérimentales et
cliniques
, pour la déter- mination définitive des centres
ât à l'étudiant un stage, si court qu'il soit, dans un asile ou une
clinique
d'aliénés; il faudrait que l'on s'appliquât à pré
l'on s'appliquât à présenter de temps en temps un aliéné à l'examen
clinique
; il se ferait ainsi un peu de décentralisation
UX (de Dun-sur-Auron) communiquent un certain nombre d'observations
cliniques
concernant des malades ayant présenté des troub
une relation étroite entre l'opération et le délire ; mais l'examen
clinique
de la malade, son observation complète révèlent
bien choisis, instruits, habiles et spécialement stylés, à l'Asile
clinique
où l'on prendrait le personnel nécessaire pour
p. - 998. Vol. VI. Octobre 1898. No 34 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. SYRINGOMYELIE; Par Cire L. UHRIOLA
qui ne présente, même dans ses formes les plus bénignes, ses traits
cliniques
caractéristi- ` ques. Il croit donc qu'il y a e
AlI1wal, art. Leprosy. 1897. Archives, 2e série, t. VI. 18 274
CLINIQUE
NERVEUSE. la même lèpre orientale. S'il est vra
s muscles affectés, contractions qui aujourd'hui Fi[l, O, 216 6
CLINIQUE
NERVEUSE. encore sont visibles dans divers musc
cutanée. L'analgésie règne dans les deux mem- Fifj. -21. 1. 278
CLINIQUE
NERVEUSE. bres supérieurs, sauf dans un espace
us et de phosphates. Au début de ces troubles le malade , , 280
CLINIQUE
NERVEUSE. ne pouvait uriner qu'en prenant la mê
Leçons sur les maladies nerveuses. 1 Fi[l, 23. Fig, 2f. 282
CLINIQUE
NERVEUSE. bien que la dissociation de la sensib
ercepita come una stunu- lazione fortisima (iperestesia) ». 284
CLINIQUE
NERVEUSE. du complexe symptomatique de la malad
on descrita. (La Ri forma Medica, vol. II. n" 61 à 65, 1894.) '
CLINIQUE
MENTALE. TUBERCULOSE ET ALIENATION MENTALE CO
er ici. Ils montrent une fois de plus l'importance de l'observation
clinique
, l'utilité de l'étude complète de toutes les ci
habite, ni le temps qu'elle a passé à l'hôpital, etc... Elle 286
CLINIQUE
MENTALE. : refuse absolument de se nourrir et a
des deux sommets,- constatée, du reste, par trois pro- fesseurs de
clinique
médicale. Au point de vue psychique, nous noton
er- médiaire du nerf pharyngien. D'accord avec la physiologie, la
clinique
montre qu'il existe des faits de paralysie du v
conclusions, mais M. Lermoyez regarde néanmoins comme une exception
clinique
celle association d'une paralysie du voile avec
inflammatoire des centres nerveux vis-à-vis du parasite. Le tableau
clinique
de celte affection a été, d'une façon géné- ral
alcoo lique; par A. Luppi. (Il Morgagni, n° 3, 1898.) Observation
clinique
non suivie d'autopsie. Il s'agit d'un homme de
maladie de Duchenne et celle de Charcot comme de simples modalités
cliniques
(Leyden, Kakler et Pick) d'une même - affection
teur périphérique et neurone moteur intercalaire) ; au point de vue
clinique
, l'existence des phénomènes spasmodiques et la ra
ine arthritique héréditaire de l'affection. A. Marie. LXVI. Notes
cliniques
SUR la maladie D'rDDISON; par B. BrAU- WELL. (B
ssique établie par l'école de la Salpêtrière, avec les trois phases
cliniques
, tonique, clonique et excitation émotionnelle f
e l'intoxication (tétanos). Elles donnent lieu à des manifestations
cliniques
, lorsque, par suite de leur confluence progress
ômes sont trop complexes pour permettre de formuler une description
clinique
applicable aux tumeurs du bulbe. Cette complexi
des éléments nerveux du bulbe. Et cette notion éclaire l'évolution
clinique
présentée par le malade. La tumeur s'insinuant
ui ne rentre dans aucune des catégories connues, ni au point de vue
clinique
, ni au point de vue anatomique. Ce n'est ni une
E PATHOLOGIQUES. rieures. On constale encore l'absence de symptômes
cliniques
en rapport avec une série d'altérations analomi
érables pour l'excitation (Wertheimer et Salomonson). ' C. Etudes
cliniques
. - 1° Quelle est l'importance diagnostique des
. le professeur Joffroy l'occasion d'étudier dans une de ses leçons
cliniques
l'étiologie des troubles psychiques post-opératoi
cardio-vascu- laire, ils exposent le résultat de leurs observations
cliniques
. Chez certains malades neurasthéniques, ils ont
rit et présenta des troubles gastro-intestinaux. Elle entra dans la
clinique
psychiatrique, où l'on procéda au sevrage rapid
et pyélonéphrite avec fièvre. Mort le 14 février 1896. Diagnostic
clinique
: tabes dorsales. A1'autopsie on constate : uro
même ordre et du plus haut intérêt. Lorsque fut créée la chaire de
Clinique
des maladies du système nerveux en 1882, Richer
vince. Sont nommés par acclamation : 111111. Pierret, professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de Lyon, méd
- 1098. Vol. VI. Novembre 1898. N° 35 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. HÉPATISME ET PSYCHOSES ; Par le D' A
'ordre du jour. Ayant eu récemment l'occasion d'observer deux faits
cliniques
où ce problème d'étiologie et de patho- génie s
arthritiques ont souvent une Archives, 2° série, t. \'1. 23 354
CLINIQUE
mentale. prédisposition héréditaire aux. troubl
du foie et folie (Société de biologie, 30 juil- let 1892). 356
CLINIQUE
MENTALE. délires des alcooliques surtout que l'
et la folie brightique, de naissance plus ancienne et dont l'étude
clinique
, à tous égards plus avancée, peut servir de mod
s-y les signes physiques, d'ailleurs inconstants, tirés de l'examen
clinique
du foie : la tuméfac- tion et la douleur. Il ne
dres psychiques. ' Société méd. des hôpitaux, janvier 1896. 358
CLINIQUE
MENTALE. - II. Notre première observation con
cilement, mais sans idées délirantes au moins en apparence. 360
CLINIQUE
MENTALE. 31. Malgré nos objurgations, et tout c
biliaire. M. Léopold Lévy a publié il y a deux ans, dans les 362
CLINIQUE
MENTALE. ' Archives générales de médecine, l'ob
dans le cas d'auto- intoxication hépatique, puisse revêtir la forme
clinique
qu'il a chez l'alcoolique, et les délires des n
unani- mement reconnue depuis que les hommes boivent du vin ? La
clinique
nous offre de temps en temps cette observation
le, l'alcool est essentiellement investi d'un pouvoir excito- 364
CLINIQUE
MENTALE. délirant, nous dirions presque à l'inv
ns cette observation si différente de la précédente au point de vue
clinique
, nous retrouvons la coïncidence d'un état de so
ous assistons successivement, au cours de ces derniers, à une 368
CLINIQUE
MENTALE. phase d'acholie, à l'envahissement de
mari qu'elle accuse de faire Archives, 2e série, t. VI. 24 '370
CLINIQUE
MENTALE. le mal, de se charger des péchés des a
ate ne parait pas beaucoup augmentée de volume ; sa capsule 372 )
CLINIQUE
MENTALE. est opaque, épaissie, recouverte d'une
que la physionomie de l'état mental soit en rien modifiée. 374
CLINIQUE
MENTALE. 28 niai. -Décédée dans le plus complet
dont nous les avons accompa- gnées constituent un ensemble purement
clinique
qui ne comporte pas de conclusions et que nous
OGIE NERVEUSE. LXXXVI. Troubles 'gastriques DE nature hystérique. -
Clinique
du Professeur DE RENZ) ; par le Dr ScoTT assist
nature à démontrer que sa théorie est en désac- cord avec les faits
cliniques
, anatomiques ou anatomo-palliolo- giques. (Revu
entissement péri- phérique. J. SÉGLAS. CIL Contribution A l'étude
CLINIQUE
ET anatomique DE la méningite syphilitique céré
s cela ne suffit pas pour en infirmer l'existence en tant que forme
clinique
indépen- dante. Ce syndrome se rencontre avec u
éditaires ou fami- liales se rapprochent plus ou moins des tableaux
cliniques
des maladies nerveuses communes, mais sont beau
les que produit l'absinthe et qui sont démontrées par l'observation
clinique
et l'expérimentation sur les animaux. 'Mais les
LAY. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. DE L'ÉPILEPSIE, au POINT DE VUE
CLINIQUE
ET biÉDICO-Li : GAL; par le professeur ! \OVALE
M. Funaioli sur la paralysie géné- raie. C'est une étude à la fois
clinique
et statistique qui renferme de nombreux documen
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine (Asile
clinique
, AsilesdeVaucluse,Ville-Gyrard et Villejuif et l'
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine (Asile
clinique
, Asiles de Vaucluse, Ville- Evrard et Villejuif
jeudi 10 novembre 1898, à une heure précise, sera ouvert à l'Asile
clinique
, rue Cabanis, n° 1, à Paris, un concours pour l
rcice ou honoraires, et le médecin du Bureau d'admission de l'Asile
clinique
; et trois membres tirés au sort parmi les médec
Seine, en exercice, et le médecin du Bureau d'admission de l'Asile
clinique
ne peuvent être portés sur la liste des membres p
erveux, pour laquelle il sera accordé trois heures ; 2° une épreuve
clinique
commune sur un malade. - IL sera accordé au can
on devant le jury, après cinq minutes de réflexion ; 3° une épreuve
clinique
sur les maladies mentales : un seul malade. -IL
u rapport.sera faite au début de la séance suivante; 5° une épreuve
clinique
sur deux malades d'un service d'aliénés. Le can
l suit : pour la première épreuve écrite, 30 points; pour l'épreuve
clinique
commune, 20 points; pour l'épreuve elini- 4W
points ; pour la deuxième épreuve écrite, 30 points; pour l'épreuve
clinique
sur deux malades, 30 points. La joie qui TUE
éjerine à Bicêtre, fut faite l'autopsie d'un cas dont le diagnostic
clinique
porté avait été : paralysie pseudo-bulbaire, cr
l que l'anatomie et l'histologie pathologiques du cas. L'histoire
clinique
de la maladie en rapport avec la topographie des
personnels se répartissent comme suit : deux cas sans his- toire
clinique
dont l'un (observ. XIV) publié déjà par Fried-
cas. Mais, fait important à signaler, c'est l'étiologie, l'histoire
clinique
de ces maladies qui fait l'objet presque consta
sant sur la présence ou l'ab- sence de fièvre ou tel autre symptôme
clinique
, ou enfin sur l'étiologie. Il nous semble qu'un
videntes que celles des facultés intellectuelles mais l'observation
clinique
montre que ce n'est qu'une question de degré; que
les médico- psychologiques, juin 1898.) E. B. XII. Considérations
cliniques
SUR la parenté DES névroses et DES PSYCHOSES ;
ar l'auteur ont trait à deux malades, X... et Y..., dont 1'liistoit
clinique
, différente par le détail, présente cependant d
VI, 1897.) Il s'agit d'un idiot soigné pendant quelques années à la
clinique
psychiatrique de Strasbourg et mort de pneumoni
peu à peu les tics disparus depuis. P. IiERAVat. XXVI. Observations
CLINIQUES
ET anatomiques SUR LES DÉMENCES POST- apoplecti
Maïs si ces deux théories peuvent être soutenues dans le domaine
clinique
, l'expérimentation ne permet d'admettre que la th
. (Revue neurologique, jan- vier 1898.) " K. B. XLI. CONTRIBUTION
CLINIQUE
ET anatomique A L'ÉTUDE DU cysticerque du cerve
Centralbl., XVI, 1897.) Après avoir résumé l'état de la question
clinique
dans ses rap- ports avec les localisations anat
ment. C'est, en outre, un résumé pratique fortement rehaussé de cas
cliniques
qui eu précisent encore la valeur pour le pratici
nois, z et pa- ralysie générale, par Péan, 328. - au point de vue
clinique
etmé- dico-lénal, par liovalewshy, 4J3. sénil
- nésie à la suite d'un coup, par \oecl.e, 53. Obsession. Etude
clinique
suri' par .Marie A. et Vigouroux, 210. OCLI.0
de la seule gliomatose ; d'autres symptômes complètent le tableau
clinique
de cette maladie, et aucun n'est en contradicti
qu'occasion- nent ces lésions; en d'autres termes, l'étude anatomo-
clinique
40 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des maladies du cer
et. anatomiq. 1874, et th. agrég. Paris, 1875, Cl. de Boyer. Etudes
cliniques
sur les lésions corticales des hémisphères céré
ue, t. I, p. 432, 1838. 8 Peter. De l'aphasie, d'après les leçons
cliniques
du Prof. Trousseau, in Arch. géit. dc vlléd., 1
n doit dire, en effet, avec M. F. Franck que, malgré quelques faits
cliniques
antérieurs aux importants travaux de Fritsch et
des résultats d'Exner dans : Charcot et Pitres. Etude critique e t
clinique
de la doctrine des localisations motrices dans l'
ial inférieur d'après l'expérimentation* et quelques faits anatomo-
cliniques
1, commun à la branche motrice du Trijumeau 1.
linerions volontiers à penser 1 Maudsley. Loc. cit. Morel (Etudes
cliniques
, t. II, p. 285 et suiv.) rapporte sous le nom de
description se rapproche beaucoup plus, à notre avis, de la réalité
clinique
, En résumé, pour créer la catatonie, Kalhbaum i
B. KuESSIER et F. BROSIN. (Arch. f. Psych., XVII, 1.) Observation
clinique
très détaillée. Un homme bien portant, de vingt
n décrits de Hebold, on ne leur a pas assigné une grande importance
clinique
. Mais les DKoehler et Spitzka de New-York, ont
survenue sur un terrain alcoolique ; aussi en résulte-t-il un type
clinique
spé- cial modifié. On constate alors un stade p
ns syphilitiques ? M. Rumpf. Il y avait eu antérieurement symptômes
cliniques
desyphilis.-11. de Recklinghausen. Il existe de
escription des locaux,, installations et agencements de la nouvelle
clinique
psychiatrique dans la salle de cours dans laque
question. En commun avec K. Middetdorpf, M. Kast s'est efforcé à la
clinique
chirurgicale de Fribourg d'exa- miner des cas r
res- sant au point de vue anatomo-pathologique qu'au point de vue
clinique
. Aussi ne comprenons-nous pas pourquoi l'auteur s
nt en passant, et n'y insiste même pas quand il traite des variétés
cliniques
de l'épilepsie Jackson- nieune. Son étude lui a
ions de MM. Pitres et Vaillard. Le mode d'évolu- tion anatomique et
clinique
des névrites périphériques fait l'objet d'un se
: les notions écologiques y sont exposées avec soin, mais la partie
clinique
pure nous parait insuffisamment traitée. Les né
raison d'être de ces divergences anatomiques et de ces différences
cliniques
. Les expé- riences ont porté sur les sciatiques
t un groupe nosologique bien distinct, à caractères étiologiques et
cliniques
spé- ciaux. L'amnésie toxique est précédée d'hy
ur tous les étudiants EN médecine de suivre des COURS THÉORIQUES et
CLINIQUES
DE MEDECINE PSYCHOLOGIQUE ; par Edward MOOIIE.
(A). Histoire d'une hystérique hypnotisable (Contribution à l'étude
clinique
des caractères somatiques fixes des attaques ri
-- 788. Vol. XVI. Septembre 1888. N" 47 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES
1888. N" 47 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES
CLINIQUES
ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
t été publiés jusqu'à présent sur les accidents en question; II. La
clinique
qui constitue, on va le voir, une véritable ili
e pathologie nouvelle, pathologie qui pré- ? ncmvFS, t. XVI. 10 146
CLINIQUE
NERVEUSE. sente plusieurs formes morbides dont
rcu- lation et les sécrétions sous l'influence du séjour dans 148
CLINIQUE
NERVEUSE. l'air comprimé. Le reste de son trava
allons en insérer l'histoire in extenso dans notre cha- pitre de
clinique
et l'autre au bout de trois mois par le fait de
re- froidi ; mais c'est, comme on le verra , à un moment - 150 -
CLINIQUE
NERVEUSE. tout à fait différent et opposé, à sa
la pré- cision scientifique qui est réclamée aujourd'hui dans 15
CLINIQUE
NERVEUSE. ce genre de recherches. L'étude, surt
e genre de recherches. L'étude, surtout des diverses manifestations
cliniques
sous lesquelles se présentent ces. accidents et
mble de l'anatomie pathologique, expliquer . les différentes formes
cliniques
qui seront décrites par nous, en d'autres terme
e patholo- gique, enfin revoir et compléter la thérapeutique. Il.
CLINIQUE
. La clinique des plongeurs à scaphandre compren
que, enfin revoir et compléter la thérapeutique. Il. CLINIQUE. La
clinique
des plongeurs à scaphandre comprend deux catégo
elles constituant une affection particulière à laquelle les nuances
cliniques
spéciales donnent un cachet d'originalité. Ces
Jean Marcos, pas d'antécédents, âgé de trente ans, travaille 154
CLINIQUE
NERVEUSE. depuis douze ans dans l'air comprimé.
mps. En effet, au bout d'un quart d'heure environ, un nouvel aspect
clinique
se présente. Soudain le malade se sent affaissé
ance pendant trois minutes seulement. Revenu à lui, le malade a 156
CLINIQUE
NERVEUSE. les membres de nouveau complètement p
ur. Il sait seulement que c'était à la deuxième immersion. L'aspect
clinique
de cet accident ne différait absolument en rien
selles ayant nécessité l'emploi de la sonde et des purgatifs.' 158
CLINIQUE
NERVEUSE. La monoplégie du membre supérieur dro
tion dépression avec constriction à la nuque, comme si, dit-il, 1G0
CLINIQUE
NERVEUSE. une main le pressait et le serrait fo
minutes; la décompression a été assez Archives, t. XVI. 11 1 162
CLINIQUE
NERVEUSE. brusque, moins d'une demi-minute. Not
Constantin Colovolis, âgé de trente-huit ans, pas d'antécédents 164
CLINIQUE
NERVEUSE. héréditaires ou personnels, a commenc
t quelquefois d'une façon isolée, constituant à lui seul le tableau
clinique
de l'accident sans aucun autre symptôme quel qu
fond; décompression brusque, une minute. Symptômes d'invasion; 166
CLINIQUE
NERVEUSE. ' perte de connaissance et serrement
it la mimique. Il ne savait ni lire ni écrire. Pas d'aphonie. 168
CLINIQUE
NERVEUSE. Au bout de dix minutes, ses douleurs
psie spinale. Rien du côté des organes génitaux. Enfin, le seul 170
CLINIQUE
NERVEUSE. signe qui existait comme souvenir pou
dans la marche, ce qui la rendait bien plus difficile encore. '172
CLINIQUE
NERVEUSE. Etat actuel le 15 juillet 1886. Le ma
u sol et faire avancer sans pencher le tronc à droite, etc. - 174
CLINIQUE
NERVEUSE. Si l'on fait mouvoir les membres du m
quantité considérable. La constipation a nécessité l'emploi de 176
CLINIQUE
NERVEUSE. purgatifs drastiques (huile de croton
ait pas et n'avait pas mangé avant cette Archives, t. XVI. 12 478
CLINIQUE
NERVEUSE. immersion. Ajoutons aussi qu'il n'ava
ffet, il marchait sans bâton, ses membres lui paraissaient plus 180
CLINIQUE
NERVEUSE. légers, les érections, sans être tout
- rieures ont commencé à recouvrer leur motilité. Les membres 182
CLINIQUE
NERVEUSE. inférieurs restent dans le même état.
des réflexes, surtout du membre droit, constituait tout le tableau
clinique
. 186 CLINIQUE NERVEUSE. Les treize observatio
urtout du membre droit, constituait tout le tableau clinique. 186
CLINIQUE
NERVEUSE. Les treize observations qui viennent
uffisent amplement pour constituer les grandes lignes de l'histoire
clinique
de notre forme spinale centrale latérale. , O
compression et le début de l'accident paraplégique. Au point de vue
clinique
descriptif, nous devons diviser en trois grande
perte de connaissance a été variable, toutefois assez courte, 188
CLINIQUE
NERVEUSE. elle a varié entre une heure (OBS. IX
ertiges qui ont été présentés par nos deux malades sont d'un aspect
clinique
différent. Chez le malade de l'OBSERVATION I, l
compre- naient parfaitement bien ce qu'on disait autour d'eux 190
CLINIQUE
NERVEUSE. sans pouvoir y répondre. Le seul moye
trouble du langage. Nous revien- drons plus loin sur les caractères
cliniques
spéciaux de cette aphasie, que nous décrirons c
est le symptôme le plus fréquent, car elle a figuré six fois 192
CLINIQUE
NERVEUSE. parmi nos observations ; tantôt ce so
endant ces trois heures il n'y avait pas Archives, t. XVI. 13 194
CLINIQUE
NERVEUSE. - ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. trac
inière, '198 PATHOLOGIE NERVEUSE. et que la plupart des symptômes
cliniques
énumérés est sans doute liée à la lésion anatom
ibuent d'une manière considérable à la bigarrure de son ta- bleau
clinique
. Nous ne nous arrêterons pas non plus sur l'exa
à notre point de vue, constitue déjà une com- plication du tableau
clinique
pur. Des complications semblables par des phéno
ateau jumelle, comme on le fait actuellement de Calais à Londres.
CLINIQUE
NERVEUSE DE 1,'ÉI)ILI ? PSII PROCURSIVE'; Par
. A la naissance la tête serait restée trois quarts d'heure., 236
CLINIQUE
NKRVEUSE. au passage et, de plus, l'enfant avai
ant des supérieures. Voûte palatine et gencives normales. 238 8
CLINIQUE
NERVEUSE. 28 décembre. Amélioration très notabl
emi- adhérent. , Fig. 20. DE l'épilepsie PROCURSR'1;. 239 240
CLINIQUE
NERVEUSE. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 241 sill
riangulaire de la troisième frontale. La Archives, t. XVI. 16 242
CLINIQUE
NERVEUSE. deuxième scissure frontale, très irré
cissure frontale, profonde, sinueuse postérieurement est inter- 244
CLINIQUE
NERVEUSE. · rompue en avant par un des plis de
u- coup plus prononcé d'ailleurs dans d'autres cas d'idiotie. 246
CLINIQUE
NERVEUSE. Au-dessous de ces points très lésés,
de moins que le gauche; aussi le cerveau ne recouvrait-il le 248
CLINIQUE
NERVEUSE. - DE l'épilepsie PROCURSIVE. cervelet
LOVER. D'après les résultats obtenus tant par la méthode anatomo-
clinique
que par la méthode expérimentale, nous sommes t
u reste facile de suppléer par l'imagination. * Nothnagel. Traité
clinique
du diagnostic des maladies de l'encé- phale bas
(Janv. et fév. 1880.) 3 Ballet. Voir les Recherches anatonziques et
cliniques
sur le faisceau sensitif. In th. Paris, 1881, e
pyramidaux sont surtout intéressantes à con- naître au point de vue
clinique
. Flechsi-1 en admet trois : '1" variété : varié
d'ano- malies apparentes dans la manifestation d'un fait anatomo-
clinique
correspondant à chaque variété'. 3° Après la dé
ent aidée et complétée dans ses résultats par la méthode anatomo-
clinique
, que sont nettement individualisés les faisceaux
nnellen Nervenkrankh. Berlin, 1871, p. 379. * Veyssière. Recherches
cliniques
et expérimentales sur l'hémianesthésie c de cau
aractères réunis, on peut se rendre compte que les faits anatomo-
cliniques
sont assez nombreux pour trancher la question de
° Charcot. Leçons, t. I, 1880. Leçons VIII. Veyssière. Recherches
cliniques
et expérimentales sur l'laénzianeslhésie de cause
à moelle, etc.) De plus, certaines lésions de la moelle révélées en
clinique
sur- tout par des troubles de la sensibilité, p
tastrophes criminelles, et présentant par conséquent une importance
clinique
et médico- légale de la plus haute valeur. » .
nerveux si fréquents et si variables qu'on observe dans le tableau
clinique
de l'intoxication arsenicale aiguë ou chro- niq
Atrophie dégénéralive des muscles en rapport avec la manifestation
clinique
de la réaction dégénéralive partielle. Les deux
ire ou le ptosis en de semblables cas ne renverse pas le diagnostic
clinique
, pas plus que ces manifesta- lions ne permetten
e optique, et se retrouve dans la moitié droite du chiasma. L'étude
clinique
avait révélé : à gauche, une amau- rose totale;
raient toujours et rien que persécutés, ont leurs analogues dans la
clinique
générale. 4° On a aussi objecté l'obscurité de
est presque aussi fréquente que l'acétonurie, sans que l'évolution
clinique
diffère.Dans le diabète même, il peut arri- 've
r la dissertation. Le maximum des points sera de 20. 3° Une épreuve
clinique
sur deux malades aliénés. Il sera accordé 30 mi
épreuves du concours ins- titué par le présent arrêté le chef de la
clinique
des maladies mentales organisée à l'asile Saint
i elle était juste pour Paris, il faudrait l'appliquer aux chefs de
cliniques
des autres Facultés. Limitée t Paris c'est une
d'être nommé chef de cli- nique titulaire ; M. Semelaigne, chef de
clinique
adjoint. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Avis aux A
deux groupes méritent bien l'étiquette de folie communiquée, et la
clinique
les différencie totalement de la première catég
dée par un esprit malin. En même temps, se dévelop- pait un tableau
clinique
des plus curieux qui n'était que l'expres- sion
créée. Si le délire du ma- lade passif échappe à toute description
clinique
, celui du malade actif rentre forcément dans un
ral, bien dirigé, produit géné- ralement les meilleurs résultats.
CLINIQUE
NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES
ralement les meilleurs résultats. CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES
CLINIQUES
ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
forme spinale, on est certainement frappé aussi bien de leur 348
CLINIQUE
NERVEUSE. extrême variabilité et de leur multip
des symptômes de plusieurs groupes peuvent cons- tituer le tableau
clinique
du début : comme par exemple à ! 'OBSERVATioN I
mes associés. A. Mode d'invasion. L'invasion de la paraplégie 350
CLINIQUE
NERVEUSE. est presque toujours brusque. Dans l'
qui consistaient en troubles : 1° de la sensibilité, 2° de 382 '
CLINIQUE
NERVEUSE. la vessie, 3° du rectum, 4° des organ
it par contre une impuissance complète. Archives, t. XV. 23 354 '
CLINIQUE
NERVEUSE. 5). Douleurs aux lombes. C'est un sym
t-à-dire divers groupes de symptômes qui peuvent figurer au tableau
clinique
de notre forme ; B), des cortèges symptomatique
e la main droite, la jambe se projette d'une façon brusque et 356
CLINIQUE
NERVEUSE. spasmodique, mais une seule fois; tan
avancée et suivant le moment où l'on examine le malade. Les allures
cliniques
de la démarche spasmodique de la paraplégie spa
èrent certainement en rien de celles qui s'observent dans les 358
CLINIQUE
NERVEUSE. paraplégies spasmodiques ayant une to
escription de la démarche spasmodique de nos malades. Les allures
cliniques
de cette démarche, quand elles existent, sont t
syndrome avorté commence à rétrograder et devient de plus en 360
CLINIQUE
NERVEUSE. plus faible, de plus en plus fruste,
mblement survenant à chaque pas et très intense; contractures 362
CLINIQUE
NERVEUSE. passagères fortes, etc. Ici encore, l
n'arrive jamais au terme de son développement complet et une 364
CLINIQUE
NERVEUSE. fois arrivée aux points que nous avon
tives, la vessie ayant recouvré complètement l'intégrité par- 366
CLINIQUE
NERVEUSE. faite de ses fonctions. En outre, le
tions incomplètes suivies plusieurs fois de pertes séminales. 368
CLINIQUE
NERVEUSE. B). Symptômes négatifs. A côté du gra
ar ils ne manquent jamais et ne doivent pas manquer dans le tableau
clinique
et d'autres d'une importance moindre, car ils p
blable à elle-même, et enfin de compte, elle aboutit à un complexus
clinique
pres- que uniforme pour tous les cas. Précisons
es symptômes disparus, l'uni- formité se manifeste par un complexus
clinique
toujours identique, à savoir troubles moteurs s
lysie, troubles de la sensibilité sous AIICIIIVES, t. XVI. 21 370
CLINIQUE
NERVEUSE. forme d'anesthésie et troubles de la
ou évolution uniforme, voilà les deux grands carac- tères généraux
cliniques
que nous désirons mettre en relief. Ces deux gr
ractères généraux, joints aux caractères partiels, tels que nuances
cliniques
spéciales des symptômes du début, intervalle sp
es, dis-je, donnent notre forme centrale spinale latérale un cachet
clinique
tout à fait spécial qui ne se rencontre dans au
nitaux. Le 4 novembre, c'est-à-dire 3j jours après l'accident 372 q
CLINIQUE
NERVEUSE. durant lesquels il était resté au lit
tinuité de 1 illusion visuelle au fond de la mer. Perte de con- 374
CLINIQUE
NERVEUSE. naissance, au moment (4 heures et dem
e gauche, qui, étant plus dégagée, peut se détacher du sol et 376 6
CLINIQUE
NERVEUSE. s'avancer sans inclination du corps.
diverses régions des membres paralysés. Le sens musculaire est 380
CLINIQUE
NERVEUSE. fortement troublé. Il perd très souve
la gauche qu'il soulève et avance sans aucune difficulté appa- 382
CLINIQUE
NERVEUSE. rente. Après une longue course, le me
ésie, incontinence d'urines et de selles, secousses, clonus des 384
CLINIQUE
NERVEUSE. pieds, contractures passagères, crise
eur droit, suivie de rétention d'urines. Archives, t. XVI. 25 386
CLINIQUE
NEIIVEUSE. Le 17 mars, il a pu uriner seul. L'é
r, nous allous essayer d'esquisser les grandes lignes de l'histoire
clinique
de notre forme centrale spinale postéro-latéral
ois à quatre minutes pour t'OasERYATioN XIX. La bonne description
clinique
nous impose, croyons- nous, de distinguer trois
ar ils se présentent au clinicien, presque sous les mêmes allures
cliniques
que dans la forme centrale spinale latérale. En
constitutifs. , - A. Syndrome des symptômes céphaliques. Ces 388
CLINIQUE
NERVEUSE. symptômes ont une place prépondérante
ut, aussi bien eu raison de leur fré- quence que de leur importance
clinique
; en effet, nous les voyons figurer dans cinq ob
ertes, en lisant cette observation, on a dû être frappé des allures
cliniques
très origi- nales que ce symptôme a présentées.
e heures. Nous expliquerons plus loin le mécanisme de ces allures
cliniques
. La durée totale de la perte de connaissance, d
e grandeur surnaturelle. L'illusion a continué durant la com- 390
CLINIQUE
NERVEUSE. pression de la cinquième immersion; p
sance, la céphalalgie se combinent aux douleurs à l'épaule 393 »1
CLINIQUE
NERVEUSE. droite. La même chose se passe à I'Ob
ite et com- plète dès le moment de son invasion, accompagnée 39'1
CLINIQUE
NERVEUSE. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. de la
is en partie sur les particularités pathogéniques et les tableaux
cliniques
de la maladie; il faut seulement ne pas ou- bli
aminons et de tâcher, autant que possible, de relier les phénomènes
cliniques
aux alté- rations anatomiques. Parmi les proces
topsie faite par Schultz". Les cas correspondant à notre tableau
clinique
se rapportent justement à cette quatrième catég
l'homme. En attendant de nouveaux faits anatomiques, l'ana- lyse
clinique
doit éclairer un peu le champ des inves- Archiv
ipal et le point de départ du proces- sus hyperplastique. Des faits
cliniques
nous obligent aussi de rattacher l'anesthésie à
cas 20, ne correspondant pas rigoureusement parlant au ta- bleau
clinique
de la forme analysée ici la mort est survenue p
ogique pré- cède de plusieurs années ses premières manifestations
cliniques
. On peut supposer que ces causes premières sièg
ointes de feu paraissent être utiles. Bien entendu que l'expérience
clinique
ultérieure nous aidera à classer d'après leur m
legmon, la pyémie) menaçant la vie du malade. La maladie, à l'étude
clinique
de laquelle j'ai con- sacré ma communication, n
caractère et la localisation de l'anesthésie et d'autres symptômes
cliniques
. 11 faut être toujours prêt à profiter du matér
uer que cette observation diffère un peu des nôtres au point de vue
clinique
, car les accidents procursifs qui précédaient e
ômes en rapport avec la maladie encéphalique. » (Jaccoud. Leçons de
clinique
médicale de Lariboisière, Paris, 1873, p. liO.)
ille (épidémie d'hystérie). (Rilliet et Barthez. Traité pratique et
clinique
des maladies des enfants ; 2° édition, t. 1(, p
me nerveux cérébro-spinal. Paris, 1865, p. 616. Nothnagel. Traité
clinique
du diagnostic des maladies de l'encc- phale bai
a donné la . photographie, prise parle garçon de laboratoire de la
clinique
de la Salpêtrière, d'une jeune fille de Bonneva
l'écorce et se termine par les éléments non corticaux. L'apparence
clinique
d'après laquelle l'état tonique paraît résulter
e précisent les lieux et les territoires nerveux. Sept observations
cliniques
sont données comme exemples d'application de ce
n penche pour la couche optique. P. K. XXII. Contribution A l'étude
clinique
de la névrite alcoolique D1ULTILOCULAIBI : ; pa
is examiner comparativement les nerfs périphériques au point de vue
clinique
et les pièces anatomiques. Ce qu'on peut affirm
HOPP3f.\\N. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Cinq observations purement
cliniques
: Elles concernent surtout les crises gastrique
soudaine d'une modalité psychopalhique en une autre au point de vue
clinique
' . M. Bastelberg. De l'emploi de l'hyoscyamine
que de la sclérose en plaques et du tabes. Les principales formes
cliniques
qui expriment cette altération de la moelle son
lais. L'auteur a laissé de côté volontairement la physiologie et la
clinique
de cette portion si importante de l'é- corce et
rt. Lecrosnier et Babé, 4888. Le DTllforicourt qui a été le chef de
clinique
du Dr Burq rend aujourd'hui hommage aux idées e
xpériences dont on vient de voir l'importance et d'abondantes notes
cliniques
fait preuve d'un très réel talent littéraire.
tifi- cielle dans l'tclampsie puerpérale. Le Etude sur les formes
cliniques
de la paralysie saturnine. Dupain : Eludes clin
r les formes cliniques de la paralysie saturnine. Dupain : Eludes
cliniques
sur le délire religieux. Essai de sémèiologie. De
ment de son traitement par 1'ttizilgésiie. Arnaud Léon : Recherches
cliniques
sur la paralysie générale chez l'homme. Colin :
ndineux dans le diabète sucré. - Ilamaide : Contribution ci l'étude
clinique
des anesthésies dépendant de lésions en foyer d
ème artériel chez les alcooliques. Sattier : Contribution à l'étude
clinique
de quelques accidents consécutifs à la z antéri
elacroix : Contribution à l'élude du strophantus. 13oisvert : Etude
clinique
des formes atténuées de la paralysie alcoolique
épreuves du concours ins- titué par le présent arrêté le chef de la
clinique
des maladies mentales organisée à l'asile Saint
une nouvelle faveur à celles dont on a déjà comblé le professeur de
clinique
des maladies mentales de la Faculté de médecine
decins adjoints de ces asiles y seront données aux anciens chefs de
clinique
. Il n'est jamais venu à personne l'idée de conf
tres permettent de tenir compte des services rendus parles chefs de
clinique
. 490 bulletin bibliographique. pour leur écha
Gutili,t, 1SSS. - Tipogialia Calderini e Figlio. 1 Z (11). Traité
clinique
des maladies mentales. 3e édition tra- duite pa
l'UI31le,E SOUS I.A D111KC11ON ne niat. A. JOFFROY Fiofes·eur de
clinique
des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Sle-anuc). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-anuc). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux a l.i Facul
1899 Vol. VII. Janvier lbV9. ? IN au ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. DE L'ÉTAT DU FACIAL SUPERIEUR ET UU M
alysé, au même litre et au même ,lttcumrs, 2 série, t. VII. I 2
CLINIQUE
NERVEUSE. degré que le facial inférieur (Gibott
de cause cérébrale, et d'avoir établi cette opi- nion sur des faits
cliniques
avec autopsie. Ilency (1874) signale l'impossib
nal. Qu'il reçoive l'expression de notre vive reconnaissance. 4
CLINIQUE
NERVEUSE. fermeture synergique volontaire et ré
l reçoive l'assurance de notre bien cordiale reconnaissance ! i 6
CLINIQUE
NERVEUSE. En examinant avec soin le malade, en
nt un peu plus petite que celle du côté opposé. L'élévation des 8
CLINIQUE
NERVEUSE. sourcils ce fait aussi facilement d'u
s à droite Le sourcil droit est abaissé par rapport au gauche, 10
CLINIQUE
NERVEUSE. environ d'un demi-centimètre, Pas de
e le droit. Aucun des deux yeux ne peut se fermer isolément. 12
CLINIQUE
NERVEUSE. Observation XIX. IL M..., quarante-ci
gie droite, avec hëmianesthésie incomplète datant de deux an-. 14
CLINIQUE
NERVEUSE. Paralysie du facial inférieur droit.
seulement parésiés, le facial supérieur est pour ainsi dire 16
CLINIQUE
NERVEUSE. , indemne, et c'est à peine si l'on n
ontraction, le retard du mus- jRciiivEs, 2° série, t. VII. 2 18
CLINIQUE
NERVEUSE. cle paralysé sur son congénère et la
alomique, 1874, p. 59. - In Pugliese et Alilla, loco. cit. 30 0
CLINIQUE
NERVEUSE. de trois des malades qui ont servi de
ultérieure le cerveau de cet homme, décédé dans son service. 22
CLINIQUE
NERVEUSE. le noyau lenticulaire montre dans son
gale à d'autres. Dans ces cas il s'agit évidemment, au point de vue
clinique
, d'un ptosis d'origine cérébrale. Sans vouloir
hèse Lille, 1886. " Houeix de la Brousse. Thèse Paris, 1888. 24
CLINIQUE
NERVEUSE. convaincu que si l'on a l'esprit atti
la fente palpébrale dans la paralysie faciale périphérique, il 26
CLINIQUE
NERVEUSE. est impossible d'expliquer cette cont
nt du centre du bras, au-dessus de celui de la face. Nos recherches
cliniques
nous inciteraient à admettre cette opinion. Dep
ne psychomotrice. PATHOLOGIE MENTALE. LES MÉLANCOLIQUES. (ÉTUDE
clinique
) ; Par le D' Alex. ATIIANASSIO, Ancien chef d
(ÉTUDE clinique) ; Par le D' Alex. ATIIANASSIO, Ancien chef de
clinique
mentale, Médecin adjoint à l'hospice d'Aliénés
les mélancoliques forment un groupe à part de malades par l'aspect
clinique
, l'attitude et LES MELANCOLIQUES. 2U les al
ce sans rien sentir et sans y prêter attention. La première forme
clinique
constitue la mélancolie simple ou la mélancolie
27 août 1898.) MM. Hordier et Frenkel (de Lyon) ont décrit un signe
clinique
nouveau des paralysies faciales d'origine périp
dans uu certain degré d'excitation. Mais diverses particularités
cliniques
tendent à faire rejeter cette hypothèse. A. FENnY
V. Méningite cérébro-spinale épidémique. Quelques cas observés à la
clinique
du professeur C.-P. Delyannis; par M. D. Assnns
oudroyante. Six malades sur seize ont succombé. Une parti- cularité
clinique
digne de remarque réside dans ce fait que la pr
: il cons- titue, en outre, le premier apport de l'Italie au bilan
clinique
de plus en plus riche de la maladie. · REVU
ayer de chercher une explication complète dans les mani- festations
cliniques
et anatomiques du tabes. C'est ce qu'a fait M.
cent cinquante malades, soit à l'établissement d'Heiden, soit à la
clinique
de Charcot-Raymond à la Salpêtrière. REVUE DE
, il en vient à la théorie qui lui parait rationnelle. Deux faits
cliniques
renversent la théorie centrale d'un centre coor
ades, deux hommes, furent inscrits dans le service de l'auteur à la
clinique
universitaire. Leur âge est de vingt-sept ans ;
al of in- sahity, octobre 1897.) E. B. 111. Rapport préliminaire,
clinique
et pathologique, sur un cas de démence progress
mence progressive ; par les D,s K. Mils et A, SCIIIVELY. L'histoire
clinique
de la malade était la suivante : femme de soixa
RAYMOND, qui a brillamment succédé à Charcot dans son enseignement
clinique
à la Salpêtrièrs, et M. le professeur Cornil, u
lent ami et collaborateur, M. le Dr Gombault. BIBLIOGRAPHIE. I.
Clinique
des maladies du système nerveux ; par le professe
e professeur Raymond fait paraître la troisième série de ses leçons
cliniques
, professées pendant l'année scolaire 1897-1898. L
au point de vue de la physiolo- gie, de la médecine légale et de la
clinique
, le syndrome de Brown-Séquard (Anal, in Archive
he extensive qui la rappro- chait de la maladie de Landry, syndrome
clinique
plutôt qu'entité morbide. L'autopsie a montré u
res et dignes de l'Ecole de la Salpêtrière. Miraillé. II. Leçons de
clinique
thérapeutique sur les maladies du système nerve
par Gilles DE la Tourette. Pion et Nourrit, éditeurs. Ces leçons de
clinique
thérapeutique portent comme tous les ouvrages d
toutes les affections dont il s'occupera dans ce volume, un aperçu
clinique
et diagnostique où nous rencontrerons fréquemme
nédites sur la structure des artères cérébrales, suivi d'un tableau
clinique
de l'attaque d'apoplexie. Le pronostic se fera su
ral. Il cite ensuite des exemples illustrant les différentes formes
cliniques
de cérébrasthénie etdomyélasthé- nie et montre
tic douloureux de la face et de la migraine. S'appuyant sur un fait
clinique
, M. Gilles de la Tourelle décrit les symptômes
Sixième leçon. La morphinomanie et son traitement. Après un exemple
clinique
de démorphinisation rapide l'auteur passe rapi-
e vertige de illenière et son traitement. L'au- teur avec des faits
cliniques
à l'appui fait une étude détaillée, du vertige
es synoviales de l'avant-pied et du talon. Neuvième leçon. Formes
cliniques
et traitement des myélites syphi- litiques. Cet
é rapide et insuffisant de cette leçon qui contient une description
clinique
détaillée et des notions pathogéniques et anato
s vivants nés à terme ou avant terme, présentant les manifestations
cliniques
d'une syphilis congénitale de la moelle épinièr
ale et l'incoordi- nation motrice. J.-B. CHARCOT. III. Recherches
cliniques
et thérapeutiques snr l'épilepsie, l'hystérie e
'édifica- tion du cinquième asile de la Seine. La seconde partie {
Clinique
et anatomie pathologique) , se compose de seize
s. New- York, 1898. Chez l'auteur. Gilles de la Tourette^ Leçons de
clinique
thérapeutique sur les maladies du système nerve
Chez l'auteur. ICOYALEVSIiY (P.). - De l'épilepsie au point de vue
clinique
et médico- légal. Brochure in-S de 57 pages. Pa
net (P.). Névroses et idées fixes. Tome II : Frag- ments des leçons
cliniques
sur les névroses, les maladies produites par le
hes en couleur. Prix : 18 francs. Paris, On. Doin, éditeur. Revue
clinique
des maladies nerveuses, à l'usage des praticiens,
Vol. VII. Février 1899. ? 30 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. RECHERCHES SUR L'ANALGÉSIE DU CUBITAL
e2vrologisles Cenlralblall, 1894. Archives, 2e série, t. VU. 98
CLINIQUE
MENTALE. douleur, voire même des exclamations d
ntiel. Cramer, en discutant ces données au Congrès psychia- 100
CLINIQUE
MENTALE. trique de Berlin (1895) exposa ses étu
période de leur maladie, les résultats sont les suivants : 102
CLINIQUE
MENTALE. Le nombre de nos paralytiques généraux
diagnostic. PATHOLOGIE' MENTALE. LES MÉLANCOLIQUES '. (étude
clinique
) ; Par le D' ALEX. ATIIANASSIO, Ancien chef d
(étude clinique) ; Par le D' ALEX. ATIIANASSIO, Ancien chef de
clinique
mentale, Médecin adjoint à l'hospice d'Aliénés
de la paralysie générale ; ici la mélancolie n'a été que le tableau
clinique
extérieur (l'Itabitus clinique) d'une paralysie
la mélancolie n'a été que le tableau clinique extérieur (l'Itabitus
clinique
) d'une paralysie générale dépressive à début mé
la présence de ces bactéries comme cause spécifique. Les recherches
cliniques
de l'auteur et ses études microscopiques sur le
ou ovarienne exerce parfois une influence importante sur l'histoire
clinique
d'une affection nasale. Les recherches de Fle
m de zones génitales. L'auteur a pu observer un grand nombre de cas
cliniques
relatifs à ces rapports entre le nez et l'appar
s expériences nombreuses faites sur les animaux et les observations
cliniques
; l'auteur arrive aux conclusions suivantes : 1°
le chat, quatorze pour le cochon d'Inde ; 3° chez l'homme, des cas
cliniques
montrent que la femme peut être fécondée par un
, il constitue surtout un système de projection. N'empêche que la
clinique
ne montre la relation de troubles de la sensibi
l'auteur à la Société des Neuro- pathologistes et Aliénistes de la
clinique
de Saint-Pétersbourg, en novembre 1896. Voyez P
BIBLIOGRAPHIE. IV. Le Myxoedème; par G. Tiil.BIERGE. (Monographie
clinique
, n° 12, Paris, 1898, G. Masson, éditeur.) L'a
formations, de traumatismes, de maladies diverses. Après un tableau
clinique
, tracé de main de maitre, du myxoedème spontané
tre, du myxoedème spontané de l'adulte, l'auteur décrit les aspects
cliniques
du myxoedème opératoire, du myxoedème infantile
ort de l'héré- (lité, th. de Montpellier, 1855. Fdville. Recherches
cliniques
et sialis- tiques sur la transmission héréditai
178 physiologie pathologique. derniers temps, physiologiques et
cliniques
, démontrent pourtant qu'une intoxication existe
délire alcoolique est le type; 2° ces délires ont tous pour formule
clinique
la confusion mentale, sous l'une quelconque de
s les cas, à une intoxication, et semble en être la caractéristiqae
clinique
. A. t' N\.11'ROU. VI. Les formes atténuées de
que ces types se distinguent néanmoins par leur lésion, leur aspect
clinique
, leur diagnostic. Les altérations périphériques
eim ; la Diète ne les acceplapas. En 1874 fut proposé le plan d'une
clinique
d'aliénés à Heidelbkrg, qui fut terminée en 1878.
Heidelbkrg, qui fut terminée en 1878. Les projets simultanés d'une
clinique
à Fribourg et d'un petit asile pour chroniques,
également des difficultés, de sorte qu'en 1886 on construisit la
clinique
DE Fribourg, et en 1s89 le grand asile d'aliénés
eut les recevoir couramment, les transferts des incurables des deux
cliniques
et de l'asile d'Illeiiau dans les asiles de Pfo
aliénés méritent une réforme, principalement en ce qui concerne les
cliniques
. Nous n'avons pas l'admission volontaire. Un ma
pour se faire traiter de troubles intellectuels conscients dans une
clinique
. Aucun établis- sement d'aliénés n'a le droit d
es confier d'emblée à l'assistance régulière et bien ordonnée d'une
clinique
ou d'un asile. Les transferts comportent des mo
d'un REVUE D'ASSISTANCE ET DE LÉGISLATION. 241 grand asile. La
clinique
ne doit contenir que des psychoses à mar- che r
dow présente une jeune femme qu'il avait d'abord exa- minée dans la
clinique
du professeur Kojewnikow. Son affection a début
is; abus d'alcool; chancre mou il y a un an. Pendant un séjour à la
clinique
a pré- senté une série des troubles du côté de
étiologie, à l'inter- vention de l'alcoolisme. B. UNE VISITE A la
clinique
psycuutrique DE GIESSEN (Grand duché de Hesse)
se) ; par le Dr LAMAME. D'après M. Sommer, les avantages de l'asile
clinique
de Giessen, où le no-restraint est en honneur,
iessen un infirmier pour trois malades et qu'outre le professeur de
clinique
, qui remplit les fonctions de directeur-médecin
IP. - 399 Vol. VII. Avril 1899. ? 40 ARCHIVES DE NEUROLOGIE .
CLINIQUE
MENTALE. MYSTICISME ET FOLIE 1 ; ! Par le D'
ontrent des conceptions délirantes de nature religieuse à des types
cliniques
mieux définis, dont les délires mystiques ne so
, 15, et 1898, n°5 29 et 30. Archives, 21 série, t. Vil. 17 2S8
CLINIQUE
mentale. par Calmeil dans un traité de la folie
' La Roche-Gandon. Rapport 91, p. 12, D's Friese et Marie. 260
CLINIQUE
mentale. Ajoutons la débilité physique par priv
imitive; il en étudie les variétés religieuses7. ' Magnan. Leçons
cliniques
. (l'ro. Dléd., 1887, p. 182.) 5 Griesinger. Mal
Id.,1879, Bd. lI, - lrl., 1881 et 1888. - Irrenfreund, XX. 262
CLINIQUE
mentale. Kroepelin distinguant aussi des formes
les névropalhies. Gand, 1852. ' Magnan et Sérieux, p. 110. 264
CLINIQUE
mentale. dérant avec Morel la période d'inquiét
psychologique de Morel. Pour lui, le délire religieux peut 266 "
CLINIQUE
MENTALE. résulter effectivement, soit de] l'exa
! Moreau de Tours. Psychologie morbide, p. 227. 3 J. Fabret. Etudes
cliniques
sur les maladies mentales, P., 1889. 4 Calmeil.
on donc, en principe.) ' Cottird. Loc. cit., p. 422 et 423. 268
CLINIQUE
MENTALE. L'éréthisme moteur des anxieux, présen
(Thèse, Paris, 1890.) Christian. Archives de Neurologie. 270
CLINIQUE
MENTALE. Bien que cela paraisse une assertion p
. 500. 4 B.-A. More). Traité des maladies mentales, p. 701. 272
CLINIQUE
MENTALE. que l'inactivité de ces malades est fr
887), puis les Malades et les difformes dans l'Ai-1 (1889), l'Elude
clinique
sur la grande hystérie, et l'Hystérie dans l'Hi
Soeur Jeanne des Anges, supérieure des Ursulines à ' Magnan. Leçons
cliniques
sur l'épilepsie, 1883, p. 44. ' Krafït-Ebing. L
e ? ' ? ? la Dernière sorcière de Genève. Ajoutons le récent Traité
clinique
de l'hystérie (Gilles de la Tourette). Nous n
résume en ce mot gros de conséquence : la suggestibilité (Traité
clinique
de l'Hystérie, p. 492-493). M. P. Janet a bien
fférence des débiles, ou des hyslériques sugguables. Les phénomènes
cliniques
que pré- sentent ceux-ci, sont alors, le reflet
sont alors, le reflet, la copie plus ou moins exacte des symptômes
cliniques
essentiels de ceux-là. Il est difficile, rétros
e cette distinction avec des Archives, 1° série, t. VII, is 274
CLINIQUE
MENTALE. documents historiques insuffisants. Ce
ris, 1886, p. 27. Aî,chives de N'eiii-oloqie, 1897, 11- 15. 276
CLINIQUE
MENTALE. nage; puis s'y adjoignirent, les prati
er- Lavaure furent les premiers initiateurs, l'un au point de vue
clinique
, l'autre au point de vue expérimental. Séduisan
e et simplement comme corollaire ou complément de l'obser- vation
clinique
. Quant à l'analyse chimique, à laquelle on semb
réalisés dans les cérébropathics toxhémiques'. N C'est encore la
clinique
qui constitue ici l'élément d'étude le plus imp
s important et le plus fructueux. On a vu comment, tout d'abord, la
clinique
fut négligée pour l'expérimentation et comment
es sur la détermination de la toxicité urinaire des aliénés. Or, la
clinique
ne tarda pas à prendre sa revanche et tandis qu
ant tenu moins qu'elle n'avait promis, passait au second plan, la
clinique
, elle, s'élevait d'emblée au premier en raison de
87 / z donné par Chaslin. La confusion mentale est donc le type
clinique
des psychoses d'auto-intoxication. Ce type lui
une différence du plus au moins. Nous venons d'établir que la forme
clinique
des psychoses d'auto-intoxication est la confus
à la pseudo-paralysie générale. C'est absolument le même tableau
clinique
. Nous arrivons donc déjà à cette première conclus
es infections. Je poursuis actuellement et depuis longtemps l'étude
clinique
du délire dit fébrile ou infectieux, dont l'obs
de voir. Nous l'avons exposée tout à fait en détail dans nos leçons
cliniques
de 1893-1896 sur les délires toxiques et infec-
rapports de ressemblance, basés essentiellement sur des caractères
cliniques
communs. Et devant ce fait que la notion du « s
prolongé » comme caractéristique du délire alcoolique. Les exemples
cliniques
abondent ici et nous n'aurions que l'embarras d
ire de recourir à l'internement. Cependant, et c'est là un point de
clinique
intéressant qui mériterait d'être examiné, les
ntre les images objectives et les images phonétiques (les mots). La
clinique
nous apprend la loca- lisation cérébrale en div
hématique qui nécessiterait une épure à une grande échelle. Les cas
cliniques
classiques des auteurs sont illustrés par ces rés
ndry avec lésions, il n'y a pas de parallélisme entre l'évolu- tion
clinique
et l'état anatomique. (Revue neurologique, oct. 1
té en rapport avec l'atrophie céré- belleuse, mais, au point de vue
clinique
aucun signe ne permet- tait de songer à une aff
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. d'une description
clinique
des plus complètes, toutes les raisons anatomiq
du trapèze) qui, par sa fréquence, son mécanisme et ses caractères
cliniques
, mérite une place spéciale dans le cadre des pa
noyau lenticulaire et de la capsule interne : parmi les symp- tômes
cliniques
, la disproportion entre la fonction musculaire et
modalités de cette curieuse « maladie de Munchmeyer », ses variétés
cliniques
et les opinions diverses auxquelles elle a donn
1.000 francs. Question : Des myélites infectieuses au point de vue
clinique
et expérimental. L'Académie décerne le prix à M
msser, imp. - 499 Vol. VII. Mars 1899. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT 1VÉYROPA1
LiUI : LL1;, Interne des asiles de la Seine. (Service de M. Asile
clinique
Sainte-Anne.) Mm0 IL ? Marie, âgée de trente-ci
malcoordonnés, véritableg Archives, 2° série, t. l'II, . 22 338
CLINIQUE
MENTALE. réflexes de défense, en rapport avec s
A partir du 13 mai, on supprime définitivement jusqu'au 23 le 340
CLINIQUE
MENTALE. chloral de la nuit et on fait prendre
relatif, et dure encore actuellement, offrant généralement 342 1)
CLINIQUE
MENTALE. le même caractère pénible. Les nuits c
i peuvent se discuter, à ne s'en tenir simplement qu'à ce tableau
clinique
. , De la Mélancolie, il ne peut en être questio
psdelirium, de la Folie asthénique, de la Démence aiguë. Le tableau
clinique
que trace Krcepe- lin de cette maladie correspo
hnsinn uns ihr Venlauf. ( ? i)'6«e/t. fiii, Ilsych ? 1880.) 344
CLINIQUE
MENTALE. mière fois par Fritsch', d'autres aute
le. 7Hi') : Me/i.rc/;M ! < ? e. Leipzig, 1886. * Magna.n. Leçons
cliniques
sur les maladies mentales. Paris, 1897. 346 C
a.n. Leçons cliniques sur les maladies mentales. Paris, 1897. 346
CLINIQUE
MENTALE. de connaissance, avec contracture géné
an. L'étal mental des dégénérés. {Revue Neurologique, 4891.) Leçons
cliniques
sur les maladies mentales, 1893, 1897. 2 Magnan
1871. Leçons sur les maladies men taies. Paris, 1893, 1897. 348
CLINIQUE
MENTALE. La première est une femme de trente-de
EIL DES MÉLANCOLIQUES; Par le D' ALeX. ATOANASSIO, Ancien chef de
clinique
mentale, médecin adjoint à l'asile d'aliénés Marc
100 de la population totale des aliénés. Nous savons l'importance
clinique
qu'offre l'examen de l'oeil chez les paralytiqu
ique (lui caractérise la maladie de Marie et d'en faire une analyse
clinique
minutieuse. Le tableau classique décrit par Mar
r RAYMOND. (Nouv. Iconogr. delà Scclpcstoière, n° 1, 1899.) Leçon
clinique
fort intéressante tendant à répandre cette notion
point de vue géné- ral et pharmaceutique, l'autre plus spécialement
clinique
et concer- nant l'action de la thyroglandine da
e. Amélioration par le suc musculaire; par Félix ALLARD. Histoire
clinique
d'une myopathie primitive progressive chez un e
les faits observés par Sauze et les remarquables considérations,
cliniques
qui les accompagnent sont de toute actualité, pui
faire de la psychologie pure. L'auteur a voulu faire de la-synthèse
clinique
. Les opinions et les faits, discutés à la lumière
folie à double forme, aux névroses et aux intoxications. La réalité
clinique
de ces formes psychopa- thiques est admise par
dont l'existence ne saurait être mise en doute, offrent un intérêt
clinique
considérable. Ils proviennent de la mélancolie et
? On doit comprendre sous ce nom des troubles mentaux à physionomie
clinique
variée qui s'associent d'habitude aux lésions e
troubles polynévritiques, soit les troubles céré- braux. Les formes
cliniques
de la psychose polynévritique peuvent se ramene
dant il ne présente aucun symptôme d'hystérie. 2° La deuxième forme
clinique
est la confusion men- tale dans sa forme classi
t si on ne fait appel qu'aux événements du moment. Ces trois formes
cliniques
se confondent souvent et forment des variétés i
reux d'entendre M. Ballet adopter sans res- triction les caractères
cliniques
du délire onirique, caractères qui se reproduis
tique, ces trois délires ne sont que les variétés d'une même espèce
clinique
: la confusion mentale avec son symp- tôme fond
choses post-éclamptiques ou polyné- vritiques n'ont aucun caractère
clinique
spécial, ce sont des psychoses infectieuses, el
s aliénés doit se préoccuper de réserver aux abords de la ville une
clinique
pour l'enseignement des maladies mentales. Le p
très manifeste. Les auteurs, après avoir indiqué les particularités
cliniques
du cas, insistent sur SOCIÉTÉS SAVANTES. 403
citation violente, la fureur ont été suspendues. Des observations
cliniques
nouvelles sont à recueillir, des expé- riences
Deux cas d'astasie et d'abasie : M. Grasset (de Riom). Recherches
cliniques
sur la chorée de Scler7lvanc : M. le Dr ODDO. T
Faculté de Bordeaux. Je porte encore la santé du De Taty, chef de
clinique
du pro- fesseur Pierret (de Lyon), l'un de nos
ien originale ; ceci a d'autant plus d'importance que les symptômes
cliniques
de polynévrite peuvent souvent être très peu pr
cas de syphilis cérébro-spinale, tant au point de vue des symptômes
cliniques
, qu'en raison du succès du trai- tement spécifi
rouver dans les états diver=, a cependant une sorte de personnalité
clinique
. La symptomatologie permet de la considérer ind
re combler une lacune dans la description des différentes modalités
cliniques
qui relèvent de l'intoxication par les boissons
marquée par des conditions biologiques noimales. Au point de vue
clinique
, les malades diffèrent : chez les dégé- nérés h
» Cela demande sans doute une grande habitude des malades, un sens
clinique
exercé ; mais le professeur russe exige encore
Psychoses in Traité de médecine Charcol- l3ouclarcl. Séglas. Leçons
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses, et comm
ns ses rapports avec l'état mental antérieur du sujet, le tableau
clinique
actuel, l'analyse précise des symptômes considéré
ne importance très secondaire, du moins en ce qui concerne la forme
clinique
revêtue par les troubles déli- rants. En effet,
udes logopathologiques d'un côté', et des observations personnelles
cliniques
de l'autre (1050 cas de vices de la parole)-, n
lice, P... est examiné par M. le D1' Garnier qui l'envoie à l'Asile
clinique
avec le certificat suivant : a Mélancolie. Lame
l doit se réhabiliter par le travail dans la prison. » De l'Asile
clinique
, P... est transféré le lendemain a Villejuif avec
e Briquet, un de Marlow, un de Wundermann ; un de Lévy observé à la
clinique
de Mendel. Presque toujours la cécité hystériqu
se en revue la littérature de son sujet, riche déjà au point de vue
clinique
, assez pauvre au point de vue anatomo-pathotogi
vations com- plètes sur lesquelles s'appuie son travail. L'histoire
clinique
ne permet pas de douter qu'il s'agisse dans l'u
ocalisation tout particulier de ce micro-organisme, au point de vue
clinique
, de le désigner sous le nom de d/po6MC<( ! )
te-sept ans ayant eu deux attaque-; nerveuses présentant le tableau
clinique
com- plet de la paralysie pseudo-bulbaire de Rr
tuberculose pulmonaire aiguë, offrant le type de la grauulie à type
clinique
d'embarras gastrique fébrile. Le 18 août, cépha
l chloroformique. Le 15 septembre 1898, il entre dans le service de
clinique
médicale dont nous étions chargé. Le membre sup
suicide ( statistique Silbald). Extraits de rate et de thyroïde en
clinique
(Bois et Kerr). Troubles oculaires et paralysie
al dans la - chronique téré- ditaire, Ilispal, 401. Recller- ches
cliniques
sur la - de Syde- nham, par Oddo, 405. Circon
Oddo, 405. Circoncision. Hérédité et -, I)at- 'J'al- bot, 226.
Clinique
PSSCIILI7111QLE. Une visite à 1.1 - de Giessen,
es, Traitement des - et des épileptiques,256. Idiotie. Recherches
cliniques
et thé- rapeutiques sur l'épilepsie, l'Il,s-
ite Cél'éb ! '0-Splilale épidémi- que. Quelques cas observés à la
clinique
du professeur P. Delati- nis, par Assimis, 61.
n- dues des uelfs crâniens, par Pres- ton, 61. Système nerveux.
Clinique
des ma- ladies du -, par Raymond, 16 Leçons d
nerveux. Clinique des ma- ladies du -, par Raymond, 16 Leçons de
clinique
thérapeutique sur les maladies du -, par Gilles
RCOT PUBLIÉE SOUS I.A DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Sle-Aune). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-Aune). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
mptômes de la folie impulsive et les décri- vait avec une précision
clinique
absolue. L'exemple de simu- lation, que je me p
es persécutions dont le rapport médi- cal m'avait donné la relation
clinique
, et aussitôt Cing..., se mettant à rire, m'avou
s les idées ambitieuses avec hallucinations variées était une forme
clinique
inconnue par son exagération même. Et en effet,
arché de l'objection. Je crus donc, avec la plus entière conviction
clinique
, que non seulement l'inculpé n'était pas aliéné
traitement t par le lit, préconisé par il1. le D1' Magnan,a l'Asile
clinique
, il peut paraître téméraire de parler de quarti
oint de départ d'eschares, d'érysipèle, etc. Dans son service de la
Clinique
, 111. le D1' Magnan a adopté ce système de couc
pos de quelques travaux récents ' ; ; Par Henri VERGER, Chef de
clinique
médicale à l'Université de Bordeaux. IL- LOCALI
res, etc., vinrent bientôt confirmer cette manière de voir. Un type
clinique
particulier était dès lors cons- titué : c'étai
es ont un relai au moins partiel au niveau de la couche optique. La
clinique
montre en tout cas que dans l'hémi plégie céréb
examinant ses observations il croit pouvoir établir dans les types
cliniques
les divisions suivantes : 1° Anesthésie tactile
sibilité générale dans l'hémiplé- gie cérébrale vulgaire. (Archives
cliniques
de Bordeaux, 1897.) SENS MUSCULAIRE. 37 exist
les yeux fermés ni l'étendue, ni la direction. Ces seules preuves
cliniques
, encore bien incomplètes, sont heu- reusement c
e lui que la perte du toucher actif soit un symptôme négligeable en
clinique
, juste- ment parce que cette perte révèle une l
de la prison devrait disposer d'une autorité plus grande. Des notes
cliniques
plus complètes devraient être prises dans la pr
mbiner; 6° Les particularités signalées plus haut donnent à l'image
clinique
de la paralysie générale chez la femme un cachet
s modifications a, dans ces dix dernières années, subies le tableau
clinique
de la paralysie générale des aliénés ; par E. N
ntisyphilitique antérieur, car qu'il ait eu lieu on non, le tableau
clinique
demeure le même ; on ne saurait davantage, argu
mes d'aliénation mentale; par 1\1. A. Voisin. (Revue de psychologie
clinique
et théra- peutique, février 1898.) 11. Voisin
s vrais; par le professeur Cesare AGOSTINI. (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, mars 1899.) L'auteur considèr
hui; par le D''Miguel Bombarda (de Lisbonne). (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, janvier 1899.) Le problème
xpertise judiciaire ; par le D1' Joanny Roux. (Revue de psychologie
clinique
et thémpeu- tique, février 1899.) L'auteur si
de tic sans angoisse; par M. P. IIartenberg. (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, janvier 1899.) Observation
eutique sug- gestive ; par le Dr P. Valentin. (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, septembre 1898.) L'auteur d
y (de Kiew) (Traduit du russe par M. Bramson. (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, novembre et décembre 1898.)
résistance de l'être humain. A. rwannou. VI. Résultats obtenus à la
clinique
de psychothérapie d'Amsterdam, de 1893 à 1897 ;
1893 à 1897 ; par le D' W. Van Rentergueu. (Revue de psi cho- logie
clinique
et thérapeutique, mars et avril 1898.) L'auteur
apeutique; par 11. A.-A. Liébault (de Nancy). (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, décembre 1897.) M. Liébault
on fonctionnelle; par le D' P. IIartenberg. (Revue de psy- chologie
clinique
et thérapeutique, juillet 1898.) Il s'agit d'un
ies; par MM. IIartenberg et VALENTI : '1. (Revue de psy- . chologie
clinique
et thérapeutique, décembre 1897 et janvier 1898
i court que quarante-neuf heures. IL DE Musgraye-Clay. XIX. Etude
clinique
de vingt-quatre cas de paralysie agitante, avec
nal, 8 juillet 1899.) On n'a pas ajouté grand'chose au point de vue
clinique
à la description que Parkinson a donné de la pa
'he New York Médical Journal, 19 août 1899.) Bien que les symptômes
cliniques
dans les quatre cas rapportés par l'auteur indi
ans pigmen- tations. L'un de ceux-ci a fait récemment l'objet d'une
clinique
de 1\1. Dieulafoy. Existe-t-il une troisième
M. Toulouse. Le mercredi à 9 h. 1/2 visite du service. Conférences
cliniques
au lit des malades. Suicide d'enfant. - A la su
spéciale, distincte, nette- ment caractérisée, qui forme une espèce
clinique
à part dans le groupe des chorées. Avant de tra
on remarqua surtout la diminution sensible de sa mémoire. Symptômes
cliniques
. Status en novembre 1897. Le malade d'apparence
e collègue Greppin publie l'intéressante observation qu'il fit à la
clinique
psychiatrique de Bâle et 1 il-) 2 PATHOLOGIE NE
tobre 1897, le professeur Binswan- ger de Iéna, a cité un cas de sa
clinique
dans lequel on aurait trouvé à l'autopsie les s
ie générale, ajoutant qu'un cas semblable aurait été observé à la
clinique
de lIitzig. Greppin, tout en constatant la dispar
plication des Plancues sera donnée à la fin du numéro de juin.] '
CLINIQUE
MENTALE Conditions biologiques des familles des
dité vésanique ou de la folie, mais l'hérédité cérébrale ou, 122 ,
CLINIQUE
MENTALE. comme disait M. Doutrebente, l'hérédit
ces résultats : Ages moyens des grands-parents réunis : 76. -124
CLINIQUE
MENTALE. En se plaçant à un point de vue moins
celui de 6,20. Le détail pour chaque famille est le suivant : 120
CLINIQUE
MENTALE. Troisième génération (frère et soeur).
uivante, au point de vue de l'âge auquel ils ont succombé : 128 8
CLINIQUE
MENTALE. 2° Dans les familles normales. PARAL
familles normales. PARALYTIQUES GENERAUX. 129 MORBIDITE 130 .
CLINIQUE
MENTALE. Sur 1565 individus, \111. Ball et Régi
. Le traitement des aliénés violents par le séjour au lit à l'Asile
clinique
de Paris; par Louise G. HOBINOVITCII. (The New-
PHILIPPE et Oberthur communiquent des recherches histo- logiques et
cliniques
, pour aider à la classification des cavités int
e. M. Samuel 13EnrruEm, s'appuyant sur un certain nombre de faits
cliniques
et expérimentaux tire les conclusions suivantes :
dant quatre jours. , M. BERILLOIV. J'ai étudié, de mon côté, à ma
clinique
, l'action de certaines substances comme adjuvan
ution frontale gauche; elle date de 1861 et dérive de l'observation
clinique
et de l'anatomie pathologique de l'aphémie. « Q
ux pyramidaux. Van Gehuclrlen a dégagé de nombreuses obser- vations
cliniques
la loi d'après laquelle la zone motrice du télenc
1 b r Vol. IX. Mars 1900. ' N° 51. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. Polyurie et Pollakiurie hystériques ;
qui pourront servir, pour leur Archives, 2* série, t. IX. 13 194
CLINIQUE
NERVEUSE. petite part, à la solution du problèm
de croit à une affection de son canal de l'urèthre, et se rend à la
clinique
des maladies des voies urinaires. Le passage de
pas constants, quand ils se produisent, ils sont normaux. Les 196
CLINIQUE
NERVEUSE. réflexes rotuliens sont eux aussi nor
x maux de tète, n'a jamais d'absences ou de Fig G. Firl. i. 198
CLINIQUE
NERVEUSE. vertiges. Jamais il n'a eu d'attaques
ne ana- lyse rigoureuse. Voici le résultat de cette analyse : 200
CLINIQUE
NERVEUSE. moindre que celle des deux autres sym
es choses que nous avons constatées chez notre malade. - L'histoire
clinique
de notre polyurique serait, en somme, bien simp
où la fréquence des mictions. Mais la vessie peut être tolé- 202 -)
CLINIQUE
NERVEUSE. rante au delà de sa capacité physiolo
tion de la muqueuse du col de la vessie. Guyon par l'obser- vation
clinique
, Mosso et Pellacani par l'expérimentation démon
hystérique, il existe une autre vessie irritable hystérique, 204
CLINIQUE
NERVEUSE. dont la pollakiurie impérieuse peut ê
. dont la pollakiurie impérieuse peut être l'unique manifestation
clinique
. · Quoi qu'il en soit, notre malade ne réclamai
ulière des pilules. POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTERIQUES. 20 206
CLINIQUE
NERVEUSE. . cacité de ce médicament M... a vu
volume total et soumis à l'ana- lyse. En voici le résultat : 208
CLINIQUE
NERVEUSE. POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTÉRIQUES.
a bu moins d'un litre et demi. Voici le détail de l'analyse : 210
CLINIQUE
NERVEUSE. pensé, apparaît menaçant le besoin d'
hystériques, dont la pollakiurie impérieuse est la seule traduction
clinique
. La polyurie, la pollakiurie impérieuse peuvent
sentielle. Craniectomie ; Par le D' Cil. MIRALLIÉ. Dans une leçon
clinique
faite il l'Hôpital Saint-Jacques de Nantes', no
la craniectomie. Nous nous bornons ici à rapporter son his- toire
clinique
et à donner des renseignements sur ce qui est a
racturé ; pendant huit jours le malade reste sans connaissance à la
clinique
chirurgicale où l'on constate une fracture du crâ
moins rapidement vers la chronicité. J. Séglas. XX. Contribution
clinique
à la doctrine de la démence précoce; par les DI
raité de psychia- trie. Ils pensent, qu'en s'en tenant au critérium
clinique
qui classe les maladies mentales suivant l'ense
nsemble de leur évolution et leur terminaison, il existe des formes
cliniques
qui ne peuvent rentrer logiquement dans les des
l'unique forme décrite jusqu'à ce jour, présentant des caractères
cliniques
identiques est l'hébéphrénie de Hecker. Ces carac
cliniques identiques est l'hébéphrénie de Hecker. Ces caractères
cliniques
fondamentaux se résumant dans une forme particuli
ucinatoire) et de démence paranoïde de Kroepelin. D'où la nécessité
clinique
de les comprendre sous une même dénomination no
es formes de démence juvénile qui présen- tent les mêmes caractères
cliniques
fondamentaux que la maladie décrite par Hecker.
vue thérapeutique est ici soigneusement développé au dépend du côté
clinique
que le grand nombre des cas invo- qués semblait
tal, soit ap- paraître quelque temps après la naissance. Le tableau
clinique
du crétinisme endémique et du crétinisme sporad
- nation un état particulier, analogue par beaucoup de ses traits
cliniques
, au crétinisme endémique, apparaissant soit penda
17 septembre 1898.) Ce travail est la reproduction de deux leçons
cliniques
faites par M. Patrick; il constitue un exposé c
. R. M. C. XXXIX. Etude sur l'histoire naturelle des manifestations
cliniques
et des altérations pathologiques dans les malad
quelle les crachats contenaient d'innombrables bacilles. Le tableau
clinique
rappelait absolument ce que l'on décrivait nagu
ce paralytique constitue une désignation commode des manifestations
cliniques
d'un grand nombre de processus morbides différe
hies où un épanchement presque toujours sanguin constitue l'élément
clinique
essentiel et qui semblent d'un pronostic assez
AVANTES.. 261 J les données anatomiques et en les rapprochant de la
clinique
et de l'expérimentation (méthode d'équivalents
chant de la clinique et de l'expérimentation (méthode d'équivalents
cliniques
). Discussion. M. S. KORNILOFF croit que les lés
s, conducteur de chemin de fer, âgé de trente-trois ans, entra à la
clinique
pour des phénomènes névritiques récents aux mem
afin d'obtenir le transfert de son opéré de son service il l'Asile
clinique
. J'ai encore dans ma section cinq autres épilep
de Foville, de Morel et de Magnan, la critique porte sur le terrain
clinique
et pathologique et plus encore sur l'étiolo- gi
rites cortica : la. : Par le Dr Serge SOUKHANOFF ', Médecin de la
Clinique
psjcbialmiue de Moscou. Les prolongements proto
chez l'homme, le chien, le chat, le cobaye, 4 Du laboratoire de la
clinique
psychiatrique de l'Université de Moscou. Archiv
dendrites cor- ticales chez l'homme doit correspondre à un tableau
clinique
de démence. Nous sommes venu à cette combinaiso
méthode de Golgi). (,17-chives (russes) tleptithologies de médecine
clinique
et de bactériologie, 1899, ni l.) IhBAKOFF (F.)
ANISCIiEW SEY. Voir le Messager neurologique (russe), 1898, t. III.
CLINIQUE
MENTALE Les objets de piété comme instruments d
réquent si j'en crois ma propre Archives, 2e série, t. IX. 19 290
CLINIQUE
MENTALE. expérience, car j'ai observé successiv
genre peu ordinaire. Je donnerai ici la relation de ces trois faits
cliniques
qui, tous les trois, appartiennent à la forme a
t évolution progressive. (Archives de Neurologie, 1897.) . - , 92
CLINIQUE
MENTALE. manie. Meurtre de son enfant par suffo
tantôt gai. Elle rit des heures entières, voit son mari auprès 294
CLINIQUE
MENTALE. d'elle, lui parle; voit aussi un potea
logue à celui-là. Cependant Bail rapporte succinc- tement, dans ses
cliniques
, une observation d'infanticide accompli dans de
d'injections reconstituantes mais le délire, qui s'était calmé, 296
CLINIQUE
MENTALE. s'est réveillé. L'agitation est assez
heures et quart, vomissements abondants de sang pur que l'on 298
CLINIQUE
MENTALE. peut évaluer en volume à 7j centilitre
pilepsie. Trépanation accidentelle; Par le D' G. JACQUIN, Chef de
clinique
mentale à l'Unirersité de Lon. Sommaire. - Anté
d'un cas de clientèle observé par hasard, et où les investigations
cliniques
sont forcément très restreintes. Le caractère d
ra soupçonner une tumeur du genou du corps calleux quand le tableau
clinique
est dominé longtemps avant l'apparition des tro
n noyau original dans le noyau de l'oculomoteur commun (Mendel). La
clinique
et la physiologie expérimentale ont déjà mis en
des images motrices; par le Dr P. HARTENBERG. (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, avril 1899.) L'auteur définit
ie de la suggestion; par M. P. Harten- BERG. (IE7l21 de psychologie
clinique
et thérapeutique, août 1898.) La suggestion, di
ilités ; par le Dr Crocq fils (de Bruxelles). (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, juin et juillet 1898.) L'aute
Yin. Suggestion et mesmérisme; par E. BOIRAC. (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, mai 1898.) L'auteur ne partag
de la suggestion; par J. P. DURAND (de Gros). (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, mars et avril 1898.) Tout e
me; par M. le Professeur Bernheim (de Nancy). (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, janvier 1898.) « Il n'y a p
t de l'hypnotisme ; par M. A. DUMONTP.1LLIER. (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, décembre 1897.) Contrairement
Marche. - Des arrêts momentanés; pas de rétrocession. Le tableau
clinique
montre qu'il s'agit là d'un trouble purement mo
nd mental disease, février 1899.) L'auteur rapporte une observation
clinique
dans laquelle il y a combinaison de symptômes m
ions méningées sont suffisantes pour les expliquer. Au point de vue
clinique
, on est en droit de supposer que ces altération
mégaliques, 58 fois on trouva l'hypophyse malade ; 2° l'histoire
clinique
: chez un très grand nombre de cas d'acromégalie
raison de l'ex- trême rareté des faits de ce genre. Au point de vue
clinique
il s'agit d'un paralytique général, sans délire
ue, car, sauf les pseudo-méralgies tabétiques, elles relèvent de la
clinique
: en présence d'une pseudo-méralgie radi- culai
es, pronostic, diagnostic et traitement, telles sont avec des faits
cliniques
et des considérations médico-légales très dével
l'.lsile elmiyae (Sainle-.W ne). , (1835-1900) Médecin de l'asile
clinique
depuis trente-trois ans, le Dr Gustave Bouchere
les hémiplégies anciennes (1866), il met à profit ses connaissances
cliniques
et anatomo-pathologiques de la Salpêtrière; deu
laboration avec Magnan deux mémoires d'un vif intérêt historique et
clinique
, car ils révèlent d'une façon saisissante l'inf
a population ; mais une imposante cérémonie avait eu lieu à l'Asile
clinique
où un catafalque avait été installé dans le ser
es de Bouchereau, et M. Dagonet, au nom du corps médical de l'Asile
clinique
(Sainte-Anne). Les cordons du poêle pendant l
(Sainte-Anne). Les cordons du poêle pendant le trajet de l'Asile
clinique
à la gare d'Orléans étaient tenus par M. Pellet
de Biologie, agrégé de la Faculté, M. Dubuisson, médecin de l'Asile
clinique
, M. Meuriot, président de Y Association mutuell
ateur d'une rare sagacité, il acquit rapidement des connais- sances
cliniques
très étendues en médecine mentale et ner- veuse
es qui lui manquaient et c'est à ce moment que s'achevait l'asile
clinique
, édifié sur le terrain de la ferme Sainte-Anne. C
e que manifestaient les anciennes malades de son service de l'Asile
clinique
lorsqu'elles le reconnaissaient au cours des vi
e ceux que tu as aimés. Discours de M. DAGONET, médecin à l'Asile
clinique
. Messieurs, Cédant à la demande qui m'en a ét
aire en 1865, il avait été, en 1867, lors de l'ouverture de l'asile
Clinique
(Sainte-Anne), nommé médecin de l'administratio
Les docteurs en médecine nommés par la voie du concours chefs de
clinique
1 ou internes dans les hôpitaux sont assimilés au
ui remplissent l'une ou l'autre de ces fonctions dans un ' Chefs de
clinique
... dans les hôpitaux, c'est plutôt chefs de clini
un ' Chefs de clinique... dans les hôpitaux, c'est plutôt chefs de
clinique
des Facultés de médecine qu'il faudrait dire.
la dissertation. Le maximum des points sera de 20. 3° Une épreuve
clinique
sur deux malades aliénés. Il sera ac- cordé tre
ux épreuves du concours insti- tué par le présent arrêté le chef de
clinique
de pathologie mentale et des maladies de l'encé
struction publique et des beaux-arts, du 12 juin 1899. Le chef de
clinique
se trouvera par ce fait dans les mêmes condi- t
ats qui auront concouru antérieure- ment à sa nomination de chef de
clinique
'. Art. 9. Le conseiller d'État, directeur de l
, imp ? r1000. Vol. IX. Mai 1900. N° 53. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. Hyperesthésie corticale dans l'alcooli
serva cette hyperesthésie : Archives, 2' série, t. IX. 25 . : 386
CLINIQUE
MENTALE. il fit naître des hallucinations visue
thèse inaugurale3. Un alcoolique persécuté trouve , Magnan. Leçons
cliniques
sur les maladies mentales, 1S97, p. 207. . Mier
ception des paroles proférées par les espions, en les rendant 388
CLINIQUE
MENTALE. plus intelligibles et plus nettes. Voi
us avons signalée dans nos observations, pour rester fidèles à la
clinique
. Toutefois, bien qu'il y ait hyperesthésie aux
a névrite alcoolique, bien étudiée par Charcot et ses élèves. 390
CLINIQUE
MENTALE. Le cerveau, qui réagit sous le moindre
Antécédents héréditaires. Père charbonnier, mort il y a deux 392
CLINIQUE
MENTALE. ans; alcoolique, buvait surtout du vin
sans cesse dans son délire. S --nlême état. Transférée il l'Asile
clinique
. Voilà donc une première malade dont le père ét
ant. La dipsomanie apparaît surtout quand une cause physiolo- 394
CLINIQUE
MENTALE. gique, les menstrues, intervient, augm
bien, et dites-moi ce que vous entendez . » « C'est un bourdon- 396
CLINIQUE
MENTALE. nement lointain, répond-il, qui se rap
réveillent plus, quelle que soit l'excitation. Transféré à l'Asile
clinique
. Cet homme, L..., a une légère tare, mais une t
ps, il répond avec réticence, de même du reste qu'il avoue dif- 398
CLINIQUE
MENTALE. ficilement ses excès, il signale cepen
ol. Nous nous expliquerons plus tard sur ces points. (.1 suivre.)
CLINIQUE
NERVEUSE. Notes cliniques de la section des mal
plus tard sur ces points. (.1 suivre.) CLINIQUE NERVEUSE. Notes
cliniques
de la section des maladies nerveuses à l'hôpita
Il y a plus de dix-sept ans que je suis professeur des mala- 400
CLINIQUE
NERVEUSE. dies nerveuses : d'abord je l'étais à
ns l'organisme. Pendant cette Archives, 2° série, t. IX. ' 26 402
CLINIQUE
NERVEUSE. période de son séjour temporaire dans
De cette manière, je pouvais laisser de cinq six semaines mes 404
CLINIQUE
NERVEUSE. malades sous l'influence d'une assez
issu conjonctif dans les divers organes, étaient devenues plus- 406
CLINIQUE
NERVEUSE. fréquentes ce qui n'était jamais arri
ues eux-mêmes. En effet, trouvez actuellement un syphilologue 408
CLINIQUE
NERVEUSE. qui, après plusieurs traitements merc
ant électrique continu et celle de l'appareil génito-vésical, 410
CLINIQUE
NERVEUSE. par le courant faradique ou par l'éle
ion provoquant une extension considérable des racines de la 412 )
CLINIQUE
NERVEUSE. moelle épinière, agit certainement, d
cette psychose. Il s'agit du phénomène de la corde. On désigne en
clinique
sous ce nom un phénomène normal appelé par les
ernow. Et le concours de l'altération osseuse et de la localisation
clinique
implique l'origine traumatique des accidents du
ssion au niveau de la deuxième paire dorsale, mais dont l'évolution
clinique
n'a pas été communiquée. Le faisceau de Schultz
ervous and mental diseuse, mars 1899.) De l'étude de certains faits
cliniques
observés par lui-même, d'accord avec les observ
nts de ressemblance entre les deux catégories de cas. L'observation
clinique
nous apprend que d'une manière générale les att
t ; mais c'est du moins l'hypothèse qui explique le mieux les faits
cliniques
que l'on rencontre dans certains cas rares de s
once la mort de M. le Docteur Bouchereau, médecin en chef à l'Asile
clinique
. Plusieurs discours ont été prononcés à l'Asile
à l'Asile clinique. Plusieurs discours ont été prononcés à l'Asile
clinique
par MM. Pelletier, au nom du Préfet de la Seine
nes de M. Bouchereau ; Jules Dagonet au nom des Médecins de l'asile
clinique
'. M. LE Secrétaire général donne communication
omalacie). - N... présente l'observation d'un malade (paysan) de la
clinique
atteint de syrin- gomyélie. Dissociation de la
'abcès s'amincit et donna issue à du pus. A l'entrée du malade à la
clinique
on constate une augmentation considérable du vo
formes localisées peuvent aussi exister seules) elle n'a de valeur
clinique
que liée à l'agnoscie visuelle, malgré l'intérêt
asse du cadre; Dr Dubuisson (Paul-Émile), médecin en chef à l'Asile
clinique
(hommes) passe en la même qualité au ser- vice
cin en chef à Villejuif (Seine), passe en la même qualité à l'Asile
clinique
(hommes), en remplacement de Dr Du- buisson ; -
ologie interne : Des crises gastri- ques. Pustule maligne. - Formes
cliniques
de l'urémie. Patho- logie externe : Symptômes e
e 58 pages. Dijon, 1899. Imprimerie Prodot-Carré. Grasset. Analomie
clinique
des centres nerveux. Volume in-16, cartonné, de
servation suivante a pour caractère d'être complète au point de vue
clinique
et d'être appuyée par une étude histologique dé
être pour le moment, de livrer ce fait à la publicité. Observation
clinique
. Brout... (Lucien-Henri), né le 20 octobre 1856
à protoplasme souvent imperceptible, dans tout le cortex et 476 .
CLINIQUE
MENTALE. principalement au niveau des circonvol
régulièrement distribuée; nerfs périphériques à peu près intacts.
CLINIQUE
MENTALE. Hyperesthésie corticale dans l'alcooli
les observait avant l'expérience, puis elles cessent. t. ' . 478
CLINIQUE
MENTALE. Si F..., ayant les yeux fermés, on lui
usé. Le malade est transféré à Ste-Anne à six heures du soir. 480
CLINIQUE
MENTALE. Le goût seul a réagi ici, et très désa
aire de police pour les arrêter. » 1[ est admis d'urgence à l'Asile
clinique
, où nous l'avons vu le lende- main matin 4 avri
et il sourit au souvenir de ses Archives, 2° seie, t. JX 31 l 482
CLINIQUE
MENTALE. hallucinations d'hier. Pourtant par la
sent fort, nous dit-il, c'est de l'encre, ça sent l'encre. » 484
CLINIQUE
MENTALE. La langue est impressionnée sous l'act
a voix d'un individu qui l'appelait « assassin, assassin. » . 486
CLINIQUE
MENTALE. Vue. - Procédé Liepmann : il voit une
Motet, etc.), pour ne citer que les principales, on est arrivé 488
CLINIQUE
MENTALE. avec le progrès de la science physiolo
rence logique, malgré les faits physiologiques, et les observations
cliniques
, des maîlres, comme MM. Ballet et Vallon, n'acc
oo- liques ont eu des hallucinations, analysons, au point de .vue
clinique
, les caractères intrinsèques de ces hallucination
clinique, les caractères intrinsèques de ces hallucinations, 490
CLINIQUE
MENTALE. relativement à leur point de départ, e
- cale alcoolique se rencontre surtout chez les prédisposés, 12 '
CLINIQUE
MENTALE. 1 voyons si la nature des boissons y a
the donne aux buveurs, tôt ou tard, des attaques épileptiformes. La
clinique
est là, et les expé- riences de laboratoire ne
xpé- riences de laboratoire ne pourront jamais détruire ce que la
clinique
a établi. Nous concluons donc que ce sont surtout
atations histologiques trouvent leur confirmation dans divers faits
cliniques
: cas de lésions alrophiques du noyau du facial
al diseuse, janvier 1899.) Cette maladie a des caractères à la fois
cliniques
et anatomiques très spéciaux, et elle mérite sa
à la dernière période : liquide séreux, abondant, stérile. Tableau
clinique
ressemble à celui des méningites, les seules di
lpétrière, n° 6, 1899.) Observation présentant les mêmes caractères
cliniques
que celles de Meige, mais avec cette particular
5 août 1899.) M. le professeur Raymond a consacré une de ses leçons
cliniques
à la discussion du cas d'un enfant de six ans,
loi sur la folie et l'internement des -, par Lyon, 246. Etudes
cliniques
et pathologique;; des ma- ladies des poumons ch
nerveuse. L'influence du climat sur les -, par Brown, 162. Notes
cliniques
de la section (les - l'hôpital militaire de I
. - chez un enfant de 9 ans, par Spiller, 343. Paralysie. Etude
clinique
sur la - aritante, par Collines et Moskens, 7
ez la I*etnine,pai,('rei(letibei-g '6 Trans- formation du tableau
clinique
de la -, par menuet. 50. Pachymé- ningite hém
nfec- tieuse, par Ballet, 258. Psïciiothérapie. Résultats de la
clinique
de - d'Amsterdam, par van Renterghem, 63. Pup
le professeur Hitzig (1). M. Hitzig a fait plusieurs constatations
cliniques
de haute valeur et il a fait ressortir, lui-mêm
saient bien établies quand Bastian est venu démontrer par des faits
cliniques
qu'à la suite de sections complètes de la moelle,
, présente delà paraplégie flasque. Alors tout paraît tomber, et la
clinique
ancienne, et la physiologie. Bastian démontre q
sans que le membre supérieur participe à l'hémiplégie. Cette forme
clinique
est rare ; on a même nié son existence et émis ré
férieur sont anatomiquement et physiologiquement distinctes. Si, en
clinique
, leur paralysie isolée s'observe rarement, l'ex
(1) Dans un travail publié avec Guillain sous le titre Exisle-t-il en
clinique
des ocalisations dans la capsule interne (Semai
bre inférieur, sans perte complète de la motilité, et ces symptômes
cliniques
sont bien en con- cordance avec l'état anatomiq
ètement détruite on est étonné de ne pas trouver dans les symptômes
cliniques
, en même temps que l'état dystrophique de ce me
s motrices suppléance anatomique en même temps que physiologique.
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX Hospice de la S
ÉTIOLOGIE INCONNUE. PAR F. RAYMOND et H. GOUGEROT Professeur de
Clinique
des maladies nerveuses Interne de la clinique Cha
OUGEROT Professeur de Clinique des maladies nerveuses Interne de la
clinique
Charcot. à la Salpêtrière Dans le groupe des
mique appréciable du système vasculaire » ; il croyait à une entité
clinique
parfaitement indi vidualisée.Mais l'étiologie dev
ste et complexe, la maladie de Raynaud devint peu à peu un syndrome
clinique
, observé dans les circonstances les plus diverses
tés. On ne doit pas céder à cette tendance de rapporter à un groupe
clinique
connu des faits non classés qui s'en rapprochen
rangers, le Dr J... de la Haye, âgé de 48 ans ; il a été amené à la
Clinique
Charcot par le Or Rosenthal, ancien élève du se
nt été essayés, prescrits par des méde- cins de tous les pays. A la
clinique
Charcot le malade a été traité par le Dr Huet,
ot le malade a été traité par le Dr Huet, chef du laboratoire de la
clinique
. « Le malade a été soumis au commencement de ju
A MAIN A TYPE DE RHUMATISME CHRONIQUE. PAR FÉLIX ROSE Chef de
clinique
à la Faculté. « Observation. Mme G..., veuv
n- naître l'histoire de ce dernier. On peut, sans nuire à l'unité
clinique
du trophoedème chronique, le diviser au point d
hommes contre 39 femmes sur un total de 67 sujets). Au point de vue
clinique
, nous relevons les particularités suivantes : L
s fibreuses. Celle image radiographique concorde bien avec l'aspect
clinique
de la peau d'orange ; elle est curieuse à rapproc
ons à étiologie si différente, montrent seulement les ressemblances
cliniques
qui rapprochent certains types d'oedème nerveux
on la maladie qui le provo- que. Je dirai mieux : que le traitement
clinique
d'une maladie et de l'autre, examine légèrement
contestablement l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne. L'histoire
clinique
des anévrysmes de la sylvienne est fort obscure.
ge dilaté. L'intérêt de cette observation est d'ordre anatomique et
clinique
à la fois. il,) 2 SOUQUES . Au point de vue
e calibre nor- mal d'une branche de la sylvienne. Au point de vue
clinique
, l'intérêt du cas est encore plus frappant. Il
ctives de la colonne vertébrale ; sur les 950 autopsies faites à la
clinique
depuis la fin de 1895, le fait actuel est le seul
une compression de la moelle et des plexus brachiaux; le diagnostic
clinique
avait été celui de mal de Pott tuberculeux. L
hôpitaux de Paris. L'intérêt de l'observation suivante est double,
clinique
et anatomique. En clinique, les troubles sensit
êt de l'observation suivante est double, clinique et anatomique. En
clinique
, les troubles sensitifs et moteurs de la queue de
riangle de Gombault et Philippe. En résumé, il s'agit du syndrome
clinique
de l'hémi-queue de cheval par dégénérescence as
s se comptent (1), sug- gère quelques réflexions. Au point de vue
clinique
, depuis qu'ont été individualisés les syndro- m
d., 5 oct. 1904 ; Revue de méd., 10 nov. 1905. {LABORATOIRE DE LA
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DU PROF. E. TANZI) A PROPOS D'UN
ENDANT PAR It G. CATOLA Assistant à l'Asile des aliénés et à la
Clinique
psychiatrique de Florence. On peut dire que jus
les.sensitifs. Depuis lors les observations de ces différents types
cliniques
se sont notablement multipliées et ont fourni d'a
utant plus que notre cas était caractérisé par des par- ticularités
cliniques
et par des faits anatomiques que nous avons estim
s que nous avons estimés dignes d'un certain intérêt. Observation
clinique
. Brussi Catherine, 18 ans, entrée à l'Asile des
ropos de suicide,on l'interna à l'Asile le 3 sep- tembre 1903. A la
clinique
psychiatrique, où elle fut admise à son entrée, e
opique. A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 133 Résumé
clinique
. ? Jeune fille de 18 ans, démente précoce. Au cou
esellschaft f. Psych. u. Nervenkrankh., 1819. 15. PETER. - Leçon de
clinique
médicale, t. II, p. 389, 1879. 16. EISENr,01111
Des névrites périphériques dans la tuberculose pulmonaire. Archives
cliniques
de Bordeaux, 1896. 49. Rwfoxr'. Clinique des ma
se pulmonaire. Archives cliniques de Bordeaux, 1896. 49. Rwfoxr'.
Clinique
des maladies du système nerveux, 2° série, p. 126
ction des infections. Thèse de Paris, 1903. 82. S.wn (R.). Histoire
clinique
et 'examen histologique d'un cas de sclérose médu
é- dullaire, mais elles sont suffisantes pour pouvoir se diriger en
clinique
. Le phénomène de multi-muscularité que nous avo
qui resteront non excités, ce qui sera contraire à nos observations
cliniques
sur la propagation des réflexes. Même difficulté
ature de la peau rougie était de 99° 4 F. prise avec un thermomètre
clinique
ordi- naire maintenu sous une lame de coton alo
e . OEDÈME PERSISTANT HÉRÉDITAIRE 197 petits points de différence
cliniques
n'indiquent en aucune manière des différences d
evue critique des troubles psychiques observés dans les syn- dromes
cliniques
dus à des perturbations des glandes à sécrétion i
solée ; elle aurait une action cardio-vasculaire. Au point de vue
clinique
, ce qui caractérise les thyroïdes et les para-
armi les symptômes liés aux perturbations thyroïdiennes, deux types
cliniques
bien définis émergent immédiatement : le myxoedèm
myxoedème et le goitre exophtalmique, chefs de file de deux séries
cliniques
, la série myxoedèma- teuse et la série basedowi
nt pas synonymes, car, non seulement les uns désignent des tableaux
cliniques
et les autres des modalités secréloires, mais l'u
lités secréloires, mais l'un, le myxoedème, n'est qu'une expression
clinique
de l'insuffisance thyroï- dienne qui peut ne pa
pas y aboutir, et l'autre, le'syndrome de Basedow, est une réalité
clinique
que personne ne discute, tandis que l'excitation
ghe, Bertrand, Delore, Ausset, IIautefeuille, etc., au point de vue
clinique
, et de Roger et Garnier qui l'ont produit expér
hyroïdien. Interprétation. L'expérimentation vient s'ajouter à la
clinique
pour démontrer le rôle de l'insuffisance thyroï
troubles psychiques myxoedémateux font partie intégrante du tableau
clinique
et dépendent directement de l'insuffisance thyr
l'enfant. Dans le second groupe, la ressemblance de certains traits
cliniques
des syndromes avec le myxoedème fait soupçonner
itation THYROÏDIENNE. Nous venons de voir'que dans les divers types
cliniques
qui ressortis- sent, les uns certainement et le
yroïdienne, qui parait à l'origine d'un certain nombre de syndromes
cliniques
, dont les uns sont classiques et d'autres à pei
au myxoedème. 1. Les troubles psychiques des basedowiens. L'étude
clinique
des troubles psychiques des basedowiens peut être
tion. Aussi., après avoir groupé autour de quelques types les faits
cliniques
, passerai-je en revue les théories émises pour le
plus contestable. Sa démonstration s'appuie sur une série de faits
cliniques
et expéri- mentaux. Chez certains basedowiens
rt s'appuie, d'une part, sur la quasi-cons- tance de la coïncidence
clinique
à tel point que ces symptômes psychiques font p
stérie, de neurasthénie et de nervosisme. En plus des ressemblances
cliniques
, ce sont les résultats remarquables souvent de
n trouble dela véritable sécré- tion interne. Le myxoedème, terme
clinique
, n'est donc pas synonyme d'insuffisance thyroïd
e la psychose ; mais dans certains cas il me paraît démontré par la
clinique
et l'opothérapie que la psychose est directemen
yxoedémateux. Nouv. Icon. de la Salp., 1897, p. 240. Classification
clinique
des infantiles. Leçons sur les maladies nerveuses
228 LAIGNEL-LAVASTINE E DIEUL \FOY. Un cas de maladie de Basedow.
Cliniques
. 1896, p. 184. Dinkler. - Histoire et anatomie
ier 1907. Bull, gén. de thérapeutique, 1907, p. 324. Trousseau. -
Cliniques
. TouLOUSe. - Gaz. des hôp., 1892. WEBER. - Ra
, les mo- 236 NERI dalités spéciales de la douleur, les analogies
cliniques
considérables avec la coxalgie organique, pour
ixé leur attention à ce sujet. Ainsi, M. Duplay, dans ses Leçons de
clinique
chirurgicale, à propos de l'attitude et de la d
ère paradoxal dans un cas d'hystérie traumatique dans les Leçons de
clinique
médicale de M. le professeur Grocco de Florence.I
es. CIIARGOT. Leçons sur les maladies du syslème nerveux. DuPLAY.
Clinique
chirurgicale de V 116 tel-Dieu, 1897. DE LA DÉM
rocco. - Lezioni di clinica medica. Gilles DE la TOURETTE. - Eludes
cliniques
et physiologiques sur la marche. - L'altitude e
arliculaires de la hanche simulant la coxalgie. P.1GET. - Leçons de
clinique
chirurgicale. ' OppENHEU ! . Ti-aitato delle nz
i in Rapport de M. J. Teissier au Congrès de Liège sur les for- mes
cliniques
du rhumatisme chronique. LES DESSINS DE LA «
e et l'habileté dans la reproduction de tous les documents figurés,
cliniques
et artistiques, ont entrepris une publication r
us venons aujourd'hui relater un nouveau cas personnel. Observation
CLINIQUE
. Lucie M... entre à la Clinique infantile à l'â
ouveau cas personnel. Observation CLINIQUE. Lucie M... entre à la
Clinique
infantile à l'âge de 19 mois, le 20 no- vembre
le réflexe controlatéral plantaire hétérogène n'est qu'une modalité
clinique
; que l'exagération plus marquée de l'ex- citab
olonne verté- brale de spondylose rhizomélique, l'autre est d'ordre
clinique
: coexis- tence d'un rhumatisme vertébral ankyl
ence d'un rhumatisme vertébral ankylosant et de tabes. Si les faits
cliniques
de spondylose rhizomélique se comptent aujour-
que le résumé de trois observations dans (1) BECIITEREV et RAYMOND,
Cliniques
des maladies du système ne ? veux, 5, série, p.
lose du rachis avec examen analomo- pathologique. Conférences de la
clinique
neurologique de Pétersbourg, 1" janvier 1899, p
a traduntur medicis, jam pectine negro. i (3) DUPRÉ, Les caractères
cliniques
de l'insuffisance testiculaire. Th. de Paris, i 9
-Dizier (Haute-Marne). INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE.
CLINIQUE
MÉDICALE GÉNÉRALE DIRIGÉE PAR III. LE PROFESSEUR
L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN PAR ETTORE LEVI Assistant à la
Clinique
médicale générale de Florence. On a beaucoup éc
le française qui en a largement éclairé la pathogénie et le tableau
clinique
. Cependant, malgré tant d'études et de recherch
tilisme somatique et psychique, mais même sur l'origine et l'entité
clinique
des différentes formes d'arrêt de déve- loppeme
loppement. Nous croyons par conséquent que tout nouveau document
clinique
, dûment analysé, a aujourd'hui encore une grand
'objet de ce mémoire sont caractérisées par quelques particularités
cliniques
bien dignes de mention en tant qu'elles nous pe
nfant de 10 à 11 ans. Le 21 janvier 1907, Marguerite fut reçue à la
Clinique
médicale générale de Florence où je pus prendre
ète- j ment impubère. Je ne publie pas ici in extenso l'observation
clinique
corres- ' pondant à cette époque, car l'ayant r
le. . Le volume du coeur et des grands vaisseaux paraît, à l'examen
clinique
et radioscopique, normal et proportionné aux au
rriver à présent avec toute facilité à la détermination de la forme
clinique
présentée par nos cas et à l'interprétation la
à la discussion des formes purement néces- saires. . (A suivre)
CLINIQUE
MÉDICALE DE FLORENCE DIRECTEUR : PROFESSEUR GRO
DIRECTEUR : PROFESSEUR GROCCU » ENCORE SUR L'ACROMEGALIE NOTES
cliniques
(') PAR GIUSEPPE FRANCHINI et G. J. GIGLIOLI
pas d'être prises en considération. D'autre part, les recherches
cliniques
et anatomo- pathologiques expé- rimentales nous
le myxooedème,où l'ex- périmentation confirma complètement ceque la
clinique
availfait admettre. En effet,dans toutes les te
utile de les faire connaître ; je me bornerai, quant à l'exposition
clinique
, à la partie plus intéressante de l'anamnèse et
cessation plus ou moins rapide du tétanos. Le malade, sorti de la
clinique
, y est revenu le 18 mars 1908 , il se maintient
'est à ce détail qu'on attri- bua tout. La malade fut admise à la
clinique
le 7janvier 1908. Examen objectif. -Les caractè
sait une forte cépha- lée, on l'envoya, quelques années après, à la
Clinique
ophtalmologique, où l'examen ophtalmoscopique e
ts fonctionnels. Même con- clusion si l'on veut comparer le tableau
clinique
de la maladie de Flajani- Basedow avec les résu
s de vraisemblance, serait d'accord avec les symptômes et les faits
cliniques
. Mais je préfère m'arrêter ici, car ce n'est pa
d, 7 Auflae. 336 GIUSEPPE FRANCHINI ET G. GIGLIOLI quelques faits
cliniques
; j'ai dit que de l'intestin peuvent partir des
ues autres, c'est-à-dire la théorie de la distinction de deux types
cliniques
et (1) Nouv. Icon. de la Salpêtrière, n. 6. 190
nuée d'intérêt. Ici je me bornerai à reporter un résumé de l'examen
clinique
relatif aux trois cas dont j'ai donné l'histoir
stin sur la formation del'indican, car dans cette maladie les faits
cliniques
(fréquents dérangements gastro-intes- tinaux, c
lli, Daddi et Baduel (2), de Scordo et Franchini (3), exécutés à la
clinique
de Florence, sont instructifs à cet égard. Les
tité pri- mitive de la chaux. Cela d'accord encore avec les faits
cliniques
qui, d'imposants et tumul- tueux à la première
E une photographie d'un crâne typique chez un sujet dont l'histoire
clinique
n'a pu être reconstituée, mais qui ne paraît pa
ÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). , Observation X
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GENÈVE DE QUEL
i à la jambe. Atro- phie accentuée des nerfs optiques. Discussion
clinique
. Il suffit de jeter un coup d'oeil surles clichés
ulose pulmonaire et intestinale.Tumeur cérébrale. Notre observation
clinique
est, je dois l'avouer, fort pauvre ; mais peut-êt
cela explique sans aucun doute le manque de netteté des phénomènes
cliniques
. Malgré le peu d'exagération de la pression, l'
érée peut, à elle seule et en peu de temps, produire des phénomènes
cliniques
analogues. Pour les expliquer on ne saurait inv
E CHEZ UN DÉMENT PRÉCOCE DÉGÉNÉRÉ, PAR E. RÉGIS Professeur de
Clinique
Psychiatrique à l'Université de Bordeaux. Obser
n (1) (PI. LXIII LXV). Pierre X..., 28 ans, cultivateur, entre à la
clinique
psychiatrique (Hôpital St-André), le 3 avril 19
al de Bordeaux. C'est dans ces conditions que Pierre est entré à la
clinique
psychiatrique (Hôpital Saint-André), te 3 avril
ierre peut être considéré comme caractéristique de ce se- cond type
clinique
, dont l'existence et les particularités spéciales
tervention du système nerveux. Cela résulte non seulement des faits
cliniques
et tératologiques, mais encore des faits ex- pé
isson, Hoffa, Hedard). INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE.
CLINIQUE
MÉDICALE GÉNÉRALE DIRIGÉE PAR LE PROFESSEUR SE1\.
DU TYPE LORAIN (suite el fin) PAR ETTORE LEVI Assistant à la
Clinique
médicale générale de Florence. La conception cl
ssistant à la Clinique médicale générale de Florence. La conception
clinique
de l'infantilisme remonte à Andral, Tardieu et
ment chez eux l'établissement intégral de la puberté ». Cette forme
clinique
a été étudiée par Brouardel, ./o ? '0 ? Z ? a)'e,
i a été le premier à défi- nir par des exemples classiques, le type
clinique
de l'infantilisme mi- tral, lequel, à la différ
donc quelles sont, selon Meige et Bris- saud, les caractéristiques
cliniques
opposées du type Lorain etdu type Brissaud- : .
de quelques formes frustes de passage, cependant que les caractères
cliniques
extrêmes des deux types son si bien différenciabl
génie des infantilismes. Un point essentiel pour la différenciation
clinique
entre le type Lorain et le type Brissaud devrai
es des deux soeurs Ser... et aux traits principaux de leur histoire
clinique
, suffira à nous convaincre que, par leur aspect
Brissaud fait défaut. S'il nous a été facile d'exclure cette forme
clinique
, la tâche nous sera beaucoup plus aisée pour le
selon les auteurs français, ne serait point compris dans le tableau
clinique
de l'infantilis- me de Lorain. Cette donnée a
puisse parler d'un infantilisme rachitique qui formerait une entité
clinique
autonome. Sur ce sujet je m'accorde pleinement
si l'on doit conserver jusqu'à preuve du contraire, une distinction
clinique
entre les formes qui ont une empreinte myxoedém
ste) et celles où celle empreinte fait totalement défaut à l'examen
clinique
. ' M. Brissaud est revenu récemment sur cette q
ème s'ajoute à la dystrophie préexistante. La complexité du tableau
clinique
ne permet plus de reconnaître la part de responsa
tion d'âge puisse avoir une si grande importance dans la conception
clinique
de l'infantilisme : tout âge de la vie a son in
tilisme et en conséquence nous ne pouvons admettre pour cette forme
clinique
que la définition suivante : « l'infantilisme est
ent prouvée . M. Brissaud admet qu'on ne peut, par le simple examen
clinique
sur le vivant, se faire aucune idée des conditi
royons pas qu'il soit juste de nier toute valeur aux observa- tions
cliniques
et aux expériences physiologiques qui parlent en
vaste et compliqué des résultats non m'oins contradictoires que la
clinique
. ' " On a constaté expérimentalement l'hypertro
ns obligé de faire rentrer dans le giron de la dysthyroïdie les cas
cliniques
les plus dissemblables et chaque syndrome d'inf
e, de Levy et Rothschild, etc., il n'y aurait bientôt plus de forme
clinique
qui ne put rentrer dans ce giron beaucoup trop va
ntilisme nous sem-, Irle la plus en harmonie avec nos connaissances
cliniques
et physiologi- ques ; elle est un peu vague et
tile ni suffisamment fondée. L'hypothèse que ces différentes formes
cliniques
soient toutes dépendan- tes d'une lésion primit
héories unitaires ne nous semble suffisamment appuyée par des faits
cliniques
et physio-patholoaiques assez clairs et nous croy
on, selon nous par trop simple et pas assez prou- vée, tous les cas
cliniques
qui parlent contre la doctrine qu'il soutient et
ondérante de l'une ou de l'autre glande dans les différentes formes
cliniques
est claire dans quelques cas et obscure dans d'
Il en est de même d'ailleurs de nos connaissances sur chaque entité
clinique
et nous voyons en effet que seulement l'aurore de
voyons en effet que seulement l'aurore de nos études sur une forme
clinique
déterminée, il nous est-possible d'en enfermer la
etc. Ce fait qui est vrai en général pour toute forme d'observation
clinique
s'applique d'autant plus à l'analyse psychique
hématologiques d'une légère anémie simple pendant que tout symptôme
clinique
d'anémie grave manquait totalement; cette hypot
la thyroïde et des testicules. L'auteur ne dit pas de quelle forme
clinique
d'infantilisme il s'agissait dans son cas : mai
aire était pré- valente. Voilà donc que sur la base de documents -
cliniques
assez clairs nous devons renoncer à formuler av
ssez clairs nous devons renoncer à formuler avec sûreté l'hypothèse
clinique
que dans notre cas une tumeur de l'hypophyse so
ostic de tumeur de l'hypophyse on peut invoquer enfin des arguments
cliniques
vulgaires : dans notre cas on n'eut pas d'hémia-
notable de la selle turcique) pendant que tous les autres symptômes
cliniques
parlent contre une telle supposition diagnostiq
d'hydrocéphalie idiopathique a écrit récemment quelques magistrales
cliniques
, affirme que la marche caracté- risée par de lo
nuelle à l'amélioration. Nous avons donc vu que tous les caractères
cliniques
déposent en faveur de notre dernière hypothèse
hérédo-syphi- litique dans les deux autres. ' Tous les caractères
cliniques
que nous avons mis en relief chez ces trois 464
ses n'est aucunement à considérer comme une de ses caractéristiques
cliniques
. ' Sur la foi de nombreuses observations cliniq
ractéristiques cliniques. ' Sur la foi de nombreuses observations
cliniques
nous croyons en outre ne pas pouvoir encore acc
thyroïdienne de l'infanti- lisme est établie et basée sur des faits
cliniques
et expérimentaux indiscu- tables u. Nous avon
tables u. Nous avons vu au contraire qu'aussi bien les observations
cliniques
que les résultais de l'expérimentation physiopa
- Insuffisance pluriglaudulaire endocrinienne . lndividuali, sation
clinique
. Observation anatomique et histologique. Journal
ité accrue ou diminuée de l'encéphale explique facilement ces faits
cliniques
intéressants. Divers faits dans l'observation c
ces faits cliniques intéressants. Divers faits dans l'observation
clinique
sont à signaler. Tout d'abord c'est la rareté d
0 au moins. Le tabes également est loin d'être une simple curiosité
clinique
, puisque aux 47 cas retenus par Hirtz et Lemair
Toulouse, en effet, deux ordres de symptômes caractérisent ce type
clinique
. C'est un affaiblissement simple de l'intellige
NÉES CHEZ LES SUJETS HYSTÉRIQUES. CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LA
CLINIQUE
ET SUR LA DÉFINITION DE L'HYSTÉRIE par - I.
tion d'aliments solides. Dans notre service j'ai poursuivi l'examen
clinique
complet de la jeune fille. Du côté du système n
ons que j'ai relaté mon observation dans le traité de rÕntgénulogie
clinique
que j'étais en train de publier (1907). Il s'ag
impossible de pratiquer l'autopsie. I Telle est mon observation
clinique
. Malheureusement, il s'agit seule- ment d'obser
tion clinique. Malheureusement, il s'agit seule- ment d'observation
clinique
: nous n'avons pas d'examen nécroscopique qui n
de dans le diagnostic, et nous devons nous borner à des argu- ments
cliniques
. 486 VALOBRA 1° Joséphine était un sujet hyst
trisation de la gorge ; les accès con- vulsifs typiques. L'histoire
clinique
parle encore d'une liéillillypoesillésie d'un c
hogénie de ces phénomènes, mais cela ne diminue pas leur importance
clinique
pour le diagnostic de l'hystérie. 2 Joséphine p
es respirations pour chaque malade dans le but d'avoir une histoire
clinique
complète ; où, selon l'habitude des services de
tion de la pathogénie ; je désire de m'arrêter sur le terrain de la
clinique
. Il me suffit d'avoir démontré qu'il ne s'agit
s des autres varié- tés de gangrène spontanée de la peau connues en
clinique
médicale, et que les plaques de notre malade pr
notion de l'existence de ces troubles avec toutes ses modifications
cliniques
. Il existe particulièrement en France toute une
puisque ce phénomène ne se pré- sente pas avec les mêmes modalités
cliniques
en dehors de l'hystérie, nous pouvons affirmer
ute possible, de nature hystérique ? D'autre part, toute l'histoire
clinique
de ce syndrome parle pour une auto- suggestion.
qui ne nous expliquent rien. Il faut rester sur le terrain purement
clinique
. Néanmoins, à ce propos, on peut rappeler que l
nomène, non plus qu'expliquer la pathogénie des autres phénomè- nes
cliniques
de l'hystérisme. D'autre part, est-ce qu'on con
iscussion est inutile. L'hystérie, particulièrement,est un syndrome
clinique
, exclusivement clinique ; elle ne possède pas enc
'hystérie, particulièrement,est un syndrome clinique, exclusivement
clinique
; elle ne possède pas encore un chapitre d'anat
tit traumatisme initial. Elle présente chez ces sujets une démarche
clinique
spéciale, telle qu'on ne l'observe dans aucune
e de la suggestion. 4° Nous ne possédons pas encore les documents
cliniques
nécessaires pour répondre à la demande : « Cett
lien d'interdépendance avec l'hystérie, et il fait part du syndrome
clinique
de l'hystérie ; quoique rien ne prouve jusqu'à
i guérissent par persuasion) appartiennent au pithiatisme, syndrome
clinique
qui se substitue à l'an- cien syndrome hystériq
ye de réagir contre la tendance à faire de l'hystérie un syn- drome
clinique
où l'on place tout ce qui ne trouve pas place dan
érisme artificiel, fruit de la suggestion médicale. Avec son talent
clinique
merveilleux, M. Babinski ment un blépharospasme
ne d'entrer en ligne de compte lorsqu'on étudie la definition et la
clinique
de l'hystérie, bien digne de porler le nom de s
- Traité de Aléd. de 13·ouardel-Gtlberl, p. 254. ' Ilucnnan. Traité
clinique
des maladies du coeur, Paris. 111,NT,Nr,ll. Arc
des conférences à la Pitié et à l'Ecole de Médecine, des Leçons de
clinique
infantile et de pathologie in- terne (1814.-18S
et de certains états convulsif s. Appelé, en 1893, à la chaire de
Clinique
des Maladies Mentales, le Professeur Joffroy co
tions étiologiques de cette maladie, mais il précisa ses caractères
cliniques
et anato- mo-palholoiques. Il défendit vivement
, 200. ' I·'ICwcuw et Giglioli. Encore sur l'acromé- galie, noies
cliniques
(2 pl.), 325. l'aEacu et HOPE. 1)Edéme persista
ës (1 Pl.), 177. et Franciiint. Encore sur l'acro- mégalie. notes
cliniques
(2 pl.), 325. GouGEROT et ITAYNIO-ND. Gangrène
nale (2 pi.), par 'VICI<EISSHHI\IBIi, 396. Âcromégalie ; notes
cliniques
(2 pi.), par FRA\CIII111 et GIGLIOLI, 324. Al
fabes et paralysie yénéralechez un enfant de 15an ? élude allaLomo
clinique
(1 pl.), par l3oorcarv·m.Le. KINODEIIG et Riche
PIJIIII(-.1 SOUS I.A ootFCnon urs MM. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales 3 la [''acuité de méd
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Ste-Annc). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Ste-Annc). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Farult
de l'avant- bras, opérés dans les services de M. Magnan, à l'Asile
clinique
, et de ji'tn /. Eléments parasitaires du sang c
ypophyse ou dans la glande pinéale. (Archives t Bohèmes de médecine
clinique
, a, 1902, t.,III, fascicule 4). ? 1 1 SAVANTES
présente un petit appareil qu'il a expéri- menté dans le service de
clinique
de M. le professeur Joffroy pour la recherche e
u moins volumineuse dans le cerveau. Leur description anatomique et
clinique
, bien qu'elles'aient été signalées cà et là ant
ieillards une hémiplégie à symptomatologie particulière. Le tableau
clinique
est le suivant : ictus sans perte de connaissan
médico-pédagogique bien conduit et longtemps. De ce fait la valeur
clinique
du livre est très diminuée. Pourquoi par exempl
consacré au traitement de l'aliénation mentale, soit comme chefs de
clinique
ou internes des hôpitaux nommés au concours. /
es d'exposition ; le maximum des points sera de 20 ; 4° une épreuve
clinique
sur deux malades aliénés. Il sera accordé trent
ints en vue de l'admissibilité des candidats aux épreuves orales et
cliniques
. , VARIA. 73 Art. 5. = Le nombre des places m
e l'article 8 du 7 mars 1900, qui dispensait du concours le chef de
clinique
de pathologie mentale et des maladies de l'encé
imp. G-1902. Vol. XIV. Août 1902. N° 80. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE ? Sur un cas de papillome épithélioïde
M. le Professeur RAYMOND et M. Raymond CESTAN, Ancien Chef de
Clinique
à la SalpéLrire. [Clinique nerveuse de la Salpê
et M. Raymond CESTAN, Ancien Chef de Clinique à la SalpéLrire. [
Clinique
nerveuse de la Salpêtrière) Des théories imagin
s devient des plus importants, Archives, 2' série, t. XIV. t 6 82
CLINIQUE
NERVEUSE. r sinon même tout à fait exceptionnel
bras droit (Photographie instantanée pendant la marche). 84 -il -
CLINIQUE
NERVEUSE. 1 , 4 , bisme externe n'étaient absol
ement dans la Fig. 6. Paralysie du droit supérieur gauche. 86 ' '
CLINIQUE
NERVEUSE. marche; le malade talonne de cette ja
ance de 3 à 4 millimètres environ. Son extrémité supé- Fin. 7. 88
CLINIQUE
NERVEUSE. rieure n'atteint pas la couche optiqu
iable avec les moyens de recherche ordi- naires. Ii J. 9. 92 1)
CLINIQUE
NERVEUSE. ' , Au surplus, ce noyau cancéreux se
structive pour les parties du système nerveux envahi. Son centre 94
CLINIQUE
NERVEUSE. · est en effet occupé par des masses
ogue à-la description donnée par M. Babinski. Ces troubles mo- 96
CLINIQUE
NERVEUSE. 1 teurs ont été signalés depuis longt
as et de la jambe ; on voit donc qu'on ne peut confondre cet aspect
clinique
avec le syn- drome de Benedikt, qui est un synd
ergie, il est vrai, occupait.les Archives, 2- série, t. XIV. 7 98
CLINIQUE
NERVEUSE. membres du côté de la lésion ; ces fa
tre modératrice. La première aurait son centre d'origine dans 100
CLINIQUE
NERVEUSE. le mésocéphale, en particulier dans l
avait là autre chose qu'un symptôme isolé, un véritable syndrome
clinique
plus ou moins complexe qu'il nous a paru intéres-
tions du système nerveux, et nous avons tenté, d'après leur tableau
clinique
, de les enchaîner aux grandes affections mieux
exceptionnels. Récemment M. le pro- fesseur Raymond et son chef de
clinique
M. Cestan en pré- sentaient un cas intéressant,
nous 'n'avons entrepris ce travail qu'à un point de vue purement
clinique
et les hypothèses que nous allons maintenant fair
l'hystérie, celle qui présente la forme la plus classique, la plus
clinique
pour parler en médecin, celle dont les accident
.IVE-CL41'. VU. Trois cas de mélancolie avec symptômes d'un intérêt
clinique
peu ordinaire ; par 13.-R. LE>;Pl : n. (Tlte
z lui un locus minoris résislentiz. G. D. V. Contribution à l'étude
clinique
des aphasies, par A. VA ? GEHUCUTEX. (Journal d
ulbe) ; par F. Sano. (Journal de Neurologie, 1900, n° 5. Histoire
clinique
d'une femme qui fut atteinte successivement à l
hypothèse parait nécessaire notamment pour expliquer les phénomènes
cliniques
de la syringomyélie. Il existe au moins quatre
l'a plus revue (photogra- pies). " P. Keraval. XIII. Contribution
clinique
et expérimentale à la question de la sécrétion
ijumeau qui préside à la sécrétion des larmes ? Voici ce que dit la
clinique
. Dans la paralysie faciale, on observe, du même
rellement sans trouble conco- mitant du goût. D'autres observations
cliniques
permettent de for- muler que les fibres lacryma
composent et de manière à préciser certaines données, pour l'examen
clinique
des aphasies d'évocation et de la confusion men
orce et de la substance blanche. La connaissance de cette variété
clinique
et anatomo-patholo- gique de la paralysie génér
ure, MM. Vigouroux et Juquelier rap-' pellent les signes habituels (
cliniques
et urinaires) de la petite insuffisance hépatiq
ons radiculaires et médulaires. L'on s'explique ainsi les analogies
cliniques
qui exis- tent entre la paralysie infantile et
ne de tissu pathologique qui entoure la moelle^ quant à l'évolution
clinique
, elle est caractéri- sée par l'apparition, troi
alytique et les diverses paralysies générales. Très mûri, d'un sens
clinique
très sûr, d'une observation très approfondie, c
s travaux ont été réunis en deux volumes, sous le titre de : Etudes
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses, et les
lissements et la composition du personnel. A. Marie. VI. Analomie
clinique
des centres nerveux ; par le professeur Gras- S
organes pour faire oeuvre utile en médecine pratique. L'anatomie
clinique
, avec sa méthode propre, tout en se rapprochant b
la pathologie nerveuse. Après avoir fait le tableau de l'anatomie
clinique
générale des centres nerveux telle qu'elle se p
vue de dissociation cérébrale accidentelles et acquises. La partie
clinique
de l'étude, de beaucoup' la plus importante, éc
bre 1902. , 1 N 81. * ? 7 z ARCHIVES DE NEUROLO^È le, X -
CLINIQUE
MENTALE. La paralysie générale d'après les donn
CLINIQUE MENTALE. La paralysie générale d'après les données de la
clinique
psychiatrique de l'Université de Moscou ; PAR l
S0UKUA3 OFF, Privat-doccnt de la faculté de médecine, médecin de la
clinique
psychiatrique 1 de Moscou. Et Pierre G1NNOUCI
nombre des malades qui ont visité la salle de consul- tation de la
clinique
psychiatrique de Moscou, depuis sa fon- dation,
années, nous recevrons les données suivantes : Tableau I - 194
CLINIQUE
mentale. Ces données ont été examinées par nous
e années nous aurons les résultats suivants : Tableau III 196 '
CLINIQUE
mentale.. du nombre des femmes paralytiques les
de seize ans, paysanne, s'adressa à la salle de consultation de la
clinique
psychiatrique de : llloscou le 10 mars 1899. So
vingt ans, paysanne, s'adressa dans la salle de consultation de la
clinique
psychiatrique 198 CLINIQUE-MENTALE. le 24 jan
e boutique de viande, s'adressa dans la salle de consultation de la
clinique
psychiatrique de Moscou, le 10 mars 1892. Son p
lle, peuvent être répartis ainsi : PARALYSIE GÉNÉRALE. '199 200 .
CLINIQUE
MENTALE. sion qui répond aux opinions des autre
hommes et 67 femmes ont été répartis de la manière suivante : 202
CLINIQUE
MENTALE. La période la plus longue (dans un cas
des données con- cernant ce sujet un peu autres ; de 75 cas : 204
CLINIQUE
MENTALE. vait constater alors, entre autres, l'
ous avons constaté que chez les paralytiques hommes (528 cas) 206
CLINIQUE
MENTALE. 1 s'étaient adressés dans la salle de
té des pupilles. 1 Concernant la mobilité des pupilles, on nota :
CLINIQUE
NERVEUSE. Dépression kératique et états encépha
illimètres de large, fusiforme, légèrement plissée dans le sens 308
CLINIQUE
NERVEUSE. de la longueur et située à l'union de
surexcita- Archives, 2' série, t. XIV. 14 1% ig. 13 à 16. 210 0
CLINIQUE
NERVEUSE. tion générale avec loquacité, déclama
une certaine malfaisance impulsive et féline à 1% 17. 17 20. 212
CLINIQUE
NERVEUSE. l'égard de ses gardiennes, par une ex
ée droite, l'une en dehors, l'autre en dedans. 1 ir. 25 à 28. 214
CLINIQUE
NERVEUSE. 2° Une troisième, de forme ovalaire,
lement effarouché par la présence des gens qui F ? 29&32. 216
CLINIQUE
NERVEUSE. - -- " passent, préoccupé de les évit
maladie est avancée, la dilatation diminue et l'oeil reprend sa 218
CLINIQUE
NERVEUSE/* dimension habituelle ; la contractio
t dessiné un mouvement très net qui tend à unir la psychologie à la
clinique
. La question des états anxieux dans les maladie
neurasthénie et auquel on a reconnu un certain nombre de symptômes
cliniques
. Au point de vue étiologique, la névrose d'ango
M. Roubinovitcii, empêché, dépose une note intitulée : Contribution
clinique
à l'étude des auto-intoxications dans les états
, double fait en apparence contradictoire, vérifié cependant par la
clinique
; les tiqueurs réprimeraient en- tièrement leurs
ssaud, Meige et Feindel reconnaissent d'une part qu'au point de vue
clinique
il n'y a aucune différence entre les tics et le
et de coordonner les impressions venues de la périphé- rie. Ce fait
clinique
comporte un enseignement pratique : dans le tra
ntale. C'est une maladie psychique, ainsi que le montrent l'analyse
clinique
et l'expérimentation pyscho- logique. La médeci
elle du cadre à dater du ler octobre 1902. M. le De Mignot, chef de
clinique
de pathologie mentale et des maladies de l'encé-
-1902. Vol. XIV. `Octobre 1902. - No 82. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. Infirmerie spéciale. Service DE M. Pau
de médecine, septembre 1877). Archives, 2- série, t. XIV. 19 290
CLINIQUE
. MENTALE. contagion des idées délirantes est tr
, t. I, p. 557. Quelques exemples de folie communiquée, 1890. 292
CLINIQUE
MENTALE. , pas. Enfin l'organe passif ne tarde
eur, dirige en ' Baillarger, loc. cil. Régis, thèse, p. 22. 294
CLINIQUE
MENTALE.. quelque sorte et soutientle délire, j
de profession : fabricant de soieries en province, il devient 296 ,
CLINIQUE
MENTALE. ' marchand de confections à Paris zig)
attitude même est typique ; assise, elle se plie sur elle-même, 298
CLINIQUE
MENTALE. non pas se reposant, mais tout le corp
ans une affection mutuelle. Nous avons continué d'habiter l'ap- 300
CLINIQUE
MENTALE. partement où elle est morte, en repren
ien su. Mais nous avons eu parla suite les preuves d'un complot 302
CLINIQUE
MENTALE. contre lui. Nous avons eu des présompt
entré le 0 juin 1899 dans le service de M. Magnan (Admission Asile
clinique
) aété arrêté sur la voie publique en plein déli
sseuse). » Et M. Vigoureux, bien .qu'ignorant tout de l'observation
clinique
, conclut fort justement : « C'est une forme non
peut toujours dire il est vrai que la syphilis a échappé à l'examen
clinique
ou que G... était un syphilitique héréditaire,
e héréditaire, mais alors nous tombons dans l'ar- gumentation. La
clinique
montre ceci : un homme jusque là bien portant f
t leur statistique personnelle et des exemples empruntés aux leçons
cliniques
faites à l'asile Sainte-Anne pendant l'année sc
tte opération, les méthodes d'examen du liquide, les renseignements
cliniques
qu'une ponction peut donner en neuro- logie et
paralysie'générale ne semble pas progresser en raison des symptômes
cliniques
tant physiques que psychiques. Nous avons ponct
aux variations de la formule leucocytaire avec les diverses phases
cliniques
ou les ictus de la paralysie générale, nos obser-
i de la neurasthénie. En revanche, on constate les grands symptômes
cliniques
qui caractérisent la névrose d'angoisse : atten
orrompues, et dans les matières en voie de putréfaction ; les faits
cliniques
et les recherches anatomo- pathologiques faites
auto-accusateurs est actuellement assez riche en documents, d'ordre
clinique
et médico-légal, pour se prêter à une étude d'e
e d'ensemble a été exposée en deux parties : la pre- mière, d'ordre
clinique
, est consacrée à la définition de l'idée et du
- constances étiologiques, du mécanisme pathogénique, des allures
cliniques
et évolutives qui, dans chacun de ces états morbi
e des observations d'auto-accusa- teurs. La partie étiologique et
clinique
, qui constitue l'indispensable introduction à l
Régis, établit nettementles rapports réciproques des deux domaines,
clinique
et médico-légal, de l'auto-accusation. L'histoi
la vengeance. Dans les deux cas, le passage de l'aliéné du domaine
clinique
au domaine médico-légal du délire, est marqué p
des autres et offrent, dans leur auto-intoxication, la physionomie
clinique
la plus variable et la plus individuelle ; l'hi
t intervenir dans les moments étiologiques comme dans les modalités
cliniques
de l'auto-accusation. Le fac- teur étiologique
u, son éclosion étiologique, son mécanisme pathogénique, son aspect
clinique
, son allure évolutive, ses conco- mitants psych
suffisent à justifier, aux yeux du médecin et du magistrat, l'étude
clinique
et médico- légale des autoaccusateurs. Discus
elet paraisse atrophié primitivement ou secondairement. Le syndrome
clinique
cérébelleux en rapport avec cette atrophie ne d
faissement tardif des vertèbres la précocité de certains phénomènes
cliniques
, en particulier l'intensité des douleurs qui pr
oins grand nombre de nerfs donnant ainsi naissance à des tableaux
cliniques
très variables. Le début de ces névrites est le p
eux. M. J. Obertiiur. Nous avons pu examiner au laboratoire de la
Clinique
Charcot sept cas de gliome des centres nerveux. T
Sarcomes et sarcomatoses du système nerveux. Classification. Etude
clinique
ET AN : 1TOIO-P : TIIOLOG1QUES COUPES ET dessin
fication qui a l'avantage d'être basée à la fois sur les caractères
cliniques
et sur les lésions anatomiques de ces tumeurs.
ente le sarcome solitaire des méninges explique bien sa physionomie
clinique
, faite avant tout des symp- tômes de la- compre
, Bruns, P. Lereboullet, Nonne Schlagenhauser) permet de décrire en
clinique
et en anato- mie pathologique, une véritable mé
rochant nos constatations des descriptions 368 SOCIÉTÉS SAVANTES.
cliniques
et histologiques retrouvées dans la littérature,
omatose, certaines observations récentes avec autopsies et deux cas
cliniques
que nous avons pu recueillir dans le service du
ux d'entre eux. - L'autopsie des deux frères confirme le diagnostic
clinique
: , épaississement des méninges, adhérences à l
l'expérimentation prouve qu'elle n'est pas exacte chez le singe, la
clinique
démontre qu'elle est absolument fausse chez l'h
nelle » méritent absolument d'être con- servés comme individualités
cliniques
. Mais il faut bien s'entendre sur la significat
s bien connus sur lesquels il est inutile d'insister. C'est un type
clinique
très net. A côté des états neurasthéniformes et
diagnostic n'est délicat qu'avec la période d'incubation du délire
clinique
à évolution sys- tématique, tel que l'ont décri
uté à sept ans; 2° le début mono, puis hémiplégique ; 3° le tableau
clinique
caractérisé par la prédominance exclusive et pe
t très accentuées, il y avait eu méningite tuberculeuse à évolution
clinique
classique. L'activité locale de la circulation
la pupille à la lumière chez tous les ' malades ayant fréquenté la
clinique
Charcot. Ils conseillent l'ins- tillation de co
10-1902. Vol. XIV. Novembre 1902. N° 83. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. Contribution à l'étude de la pathogéni
misère. Pas d'al- coolisme. Archives, 2' série, t. XIV.. 2U 402
CLINIQUE
MENTALE. Début de délire en janvier 1902. : J..
- ment de son innocence, chercher toujours à se démontrer 4<)4
CLINIQUE
MENTALE. coupable. Pourquoi, si le rôle de la t
l'accalmie relative qui persiste ensuite : voilà ' 1 S11Gus. Leçons
cliniques
sur les maladies mentales, 4S95, p. 301. .. i -
de la plus jeune disparaissent, elle accepte plus volontiers 406
CLINIQUE
MENTALE. les aliments. Bien qu'accessoire, l'in
à Lafond (Charente-Inférieure) est promu à la 4 classe du cadre.
CLINIQUE
MENTALE Infirmerie spéciale. Service DE M. PAUL
foule parisienne. D. Vous appelle-t-on aussi « Castors ` ? » 408
CLINIQUE
mentale. R.- C'est ce qu'on nous reproche d'êtr
Il nous a conduites au commissariat pour avoir été injuriées. 410
CLINIQUE
mentale. Durant leur séjour au Dépôt les trois
ppareil, elle engage ses soeurs à se bien tenir. Revues à l'Asile
clinique
, dans le service de M. le D1' Magnan, huit jour
contre l'un de nous quand nous voulûment les questionner sur 412 1)
CLINIQUE
MENTALE. divers points de leur aventure, leur a
ens possibles, continuaient leur oeuvre de destruction, car il lfl4
CLINIQUE
MENTALE. - ne s'agissait de rien moins que de l
iste et fatigué, J... fils se présente dans l'attitude d'un mé- 416
CLINIQUE
MENTALE. lancolique. Il paraît profondément déb
e précise. Si elle ne s'accommode pas toujours à la diversité de la
clinique
, c'est qu'ici comme partout ailleurs, il y a de
duraient quelques heures. Epilepsie acquise. Il est entré à l'Asile
clinique
, d'où il a été dirigé sur Bicétre : y est resté
est intacte. A la suite de ces faits, Albertineest placée à l'Asile
clinique
, d'où elle est envoyée à la Fondation Vallée, l
quatre ou cinq ans. L'auteur rapporte une série de six observations
cliniques
dont plusieurs avec autopsie et examen anatomo-
r de famille qui, mieux « que toute autre base, constitue un groupe
clinique
bien défini » et qui, quel que soit l'apport aj
à des âastropatbies ; ces troubles occupent parfois dans le tableau
clinique
une place si prépondérante, que, contrairement
que, novembre 1899.) L'auteur, dans un mémoire du plus haut intérêt
clinique
, décrit pour la première fois une forme de trou
ienne gauche, mort en trois jours. Consi- dérations sur l'évolution
clinique
des lésions cérébrales préco- ces de nature art
ervation met en relief deux faits intéressants : 1° Au point de vue
clinique
, l'apparition en pleine période secondaire d'un
n est absolument généralisée dans un cas où, d'ailleurs. les signes
cliniques
furent très accusés; elle est plus discrète dan
ès accusés; elle est plus discrète dans le second cas où les signes
cliniques
furent moins accusés. Les observations faites d'a
infecté, intoxiqué, et présentant, pour ces raisons, les accidents
cliniques
qui consti- tuent le tableau du délire des mala
nsidérations; par le Dr P. liA[tl'EN13EIIG. (Revue de psy- chologie
clinique
et thérapeutique, juin 1899.) L'auteur a été ap
ération de tous, le Dl' Henri Dagonet, médecin honoraire de l'Asile
clinique
, professeur agrégé de l'ancienne faculté de méd
' série, t. XIV. 29 Le Dr H. DAGONET Médecin honoraire de l'Asile
clinique
(Ste-Anne.) 450 NÉCROLOGIE. d'une thèse très
fils, 452 - - NÉCROLOGIE. aujourd'hui médecin en chef de l'Asile
clinique
, et du Dr Du- hamel ; et l'on peut voir dans la
en chef en 1879. - H. DAGONE'r. ' " 453 En 1877, des conférences
cliniques
de pathologie mentale furent organisées à l'Asi
di 9 septembre. La levée du corps avait eu lieu la veille à l'Asile
clinique
: tout le personnel et les nom- breux amis du d
taient présents. Parmi les couronnes on remarquait celle de l'Asile
clinique
et celle de l'asile de Sté- phansfeld, envoyée
s, l'un par le Dr Dubuisson, le successeur du D1' Dagonet à l'Asile
clinique
(lu parle D Quesneville), l'autre par le Dt L.
GRAPHIE. Lu liquide céphalo-l'achidien; par J.-A. Sicann, chef de
clinique
des maladies nerveuses à la Salpêtrière; I vol. d
és nerveuses ; ses conclusions confir- ment l'expérimentation et la
clinique
. M. J.-A. Sicard divisé son livre en quatre cha
concise, lira avec fruit un chapitre nouveau dont s'est enrichie la
clinique
dans le diagnostic des mala- dies nerveuses. L.
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine, Asile
clinique
, asiles de Vau- cluse, 171lle-Ev ? ,(ii-tl, Vil
10-1902. Vol. XIV. Décembre 1902. N" 84. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. \ CLINIQUE MEI\ITALE. 1 Des obsessio
écembre 1902. N" 84. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. \
CLINIQUE
MEI\ITALE. 1 Des obsessions en pathologie menta
en pathologie mentale Par le D, ALEX. ATII1NAS10, Ancien chef de
clinique
mentale, médecin adjoint à l'hospice des aliénés
able au Prix CI Vl'leux. Archives, 2° série, t. XIV. 30 . 466 ?
CLINIQUE
MENTALE. représentations qui nous captivent et
la conscience, s'y. impose contre la volonté, ne se lais- , \ 468
CLINIQUE
MENTALE. sant pas chasser, empêche et traverse
e de la malpropreté, puis celle des pièces de monnaie, etc. 4770'
CLINIQUE
MENTALE. D'autres ont à la fois, en même temps
me l'état obsédant avec anxiété systématisée ou monophobique; 472
CLINIQUE
MENTALE. . 11lonophobies ou phobies proprement
protecteur qui semblait soulager la peur. L'obsession n'est lis 7 1
CLINIQUE
MENTALE. souvent que la forme aggravée ou intel
cela veut dire non seulement aune la volonté n'a aucune action 476
CLINIQUE
MENTALE. - sur elle, est impuissante à la chass
t que la conservation de la conscience est toute relative, et 478
CLINIQUE
MENTALE. qu'il y a un commencement de désagréga
et qui y voient avec appréhension l'indice d'un affaiblissement 480
CLINIQUE
MENTALE. mental. L'idée obsédante peut se modif
ujours simultanément affectées au début. C'est pourquoi le tableau,
clinique
varie, les conducteurs sensitifs de la peau, ce
des désordres psychiques ; par le Dr hmcuuorr (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, mai et juin 1899). La déter
l, 27 juillet 1901.) Après avoir relaté ou rappelé quelques faits
cliniques
, l'auteur fait remarquer que l'accord n'est pas
nt plutôt ceux qui relèvent de l'anémie cérébrale. Les observations
cliniques
paraissent con- lirmer ces vues a priori. Dans
2e série, t. XIV. 3S 5'14 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XV. Études
cliniques
sur le rêve pathologique ; par le professeur Pi
sme et folie; par les Drus Maeie et Vigouroux (Revue de psychologie
clinique
et thérapeutique, juillet-août 1899). Les auteu
un- spasme ou une inhibition, elle cherche à expliquer les effets
cliniques
d'une obturation vasculaire ou d'une déchirure, s
ient cependant pour en modifier quelque peu la marche et le tableau
clinique
habituels. Dans un autre groupe de faits, l'aut
ants qu'elle tient sous sa dépendance, à qui elle imprime un aspect
clinique
tout à fait spécial ; car, sui- vant la remarqu
xistant, à titre d'épisode transitoire, de complication. Le tableau
clinique
de l'affection se trouve ainsi brusquement modi
toxication ; lorsque celle-ci a été en décroissance, la physionomie
clinique
des manifestations délirantes s'est modifiée à
isqu'il y a des moments où son intelligence est entière. Le tableau
clinique
se rapproche de celui des psychores par auto-in
devenant enceinte, serait encore plus considérable. Au joint de vue
clinique
: il est intéressant de voir que des indi- vidu
asynergie. 538 SOCIÉTÉS SAVANTES. 11 résulte de mes observations
cliniques
qu'il existe une fonction spéciale appartenant
Utilisant ces 40 observations personnelles, l'auteur fait une élude
clinique
des plus intéressantes de la démence précoce, pas
ico-légal, par Gar- nier, 335. Aphasies. Contribution à l'étude
clinique
des -, par Van Gehuch- ten, 159. Apoplexie cé
lution de la-, par Il 119arlnesco, 500. Centres nerveux. Anatomie
clinique
des -, par Grasset, 185. Contri- bution à l'é
colie aiguë. Voir Folie. Trois cas de avec symptômes d'un intérêt
clinique
peu ordinaire, par Leeper, 153. La localisation
La - générale d'après 853 table des matières . les données de la
clinique
psy- chiatrique de l'Université demis- cou ;
iire contra-latéral, par C'artron, 502. HLVE pathologique. Etudes
cliniques
sur le ? par Picic, 51'r. Rolando. Quelques a
europathique, par Buck, 158. SÉCRÉTION DES LARMES. Couttibution
clinique
et expérimentale )a question de la -, par Kcest
CTION DE ù111. A. JOFFROY Pt-uresseut'dechtnque 1 Professeur de
clinique
des maladies mentales à I, Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(SIe-Ali lie). F. RAYMOND Piofasseur de cli
es. 1898 Vol. V. Janvier 1898. ` N° 25 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL \ e
nature des désordres anatomiques. Archives, 2° série, t. V. " 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. La richesse symptomatique de la syphi
n ne trouve nulle part, au contraire, c'est la description de types
cliniques
superposables aux variétés anatomiques. Pour be
anatomiques. Pour beaucoup d'auteurs même, la création de ces types
cliniques
serait impossible : chacun des symptômes de la
tention des cliniciens qui se sont efforcés de lui créer un tableau
clinique
spécial. La littérature est assez riche à cet é
e syphilis cérébrale, et réciproquement. L'édification d'un tableau
clinique
spécial doit donc se baser : 1 ° sur l'analyse
roubles de la motilité, de la sensibilité, de l'intelligence. 4 '
CLINIQUE
NERVEUSE. A. Troubles moteurs. Ce que l'on obse
nt dues à l'action directe du virus syphilitique sur les nerfs. 6 ¡
CLINIQUE
NERVEUSE. C. Troubles intellectuels. Là encore
ement. Cette hémiplégie peut même débuter par un ictus apoplec- 8
CLINIQUE
NERVEUSE. tiforme et. cependant être encore due
ui ne sont pas assez importants pour ustifier la création d'un type
clinique
. ' Knapp (de Kew-York). Arch. of isc. and pract
litique. 'S)ji)tmann. .l ? t.c/eerMft<o/. et syphil., 1886. 10
CLINIQUE
NERVEUSE. II. Période des accidents incurables.
uit un excès de pression considérable. ' Loc. cil., p. 607. 12 '2
CLINIQUE
NERVEUSE. Charier et Klippel' décrivent de plus
yphilis méningée. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 13 14 ?
CLINIQUE
NERVEUSE. ' · absolument indolent. On trouve de
hyperesthésie à la douleur : les piqûres sont plus vivement sen- 16
CLINIQUE
NERVEUSE. ties qu'à l'état normal. La sensibili
non seulement le diagnostic pen- Archives, 2e série, t. V ? 2 18
CLINIQUE
NERVEUSE. dant la vie, mais l'interprétation ap
1893. 2 11¡¡l1Jo : Jd, - Mal. du syst. nerveux, 1896, p. 363. 20
CLINIQUE
NERVEUSE. Le faisceau pyramidal étant atteint-a
uto-intoxication, favorisée par l'ischémie cérébrale. (A suivre.)
CLINIQUE
MENTALE. LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSI
MENTALE. LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE (ÉTUDE
CLINIQUE
ET STATISTIQUE) Par il. Il. COLOLIAN, Interne
CLINIQUE ET STATISTIQUE) Par il. Il. COLOLIAN, Interne de l'Asile
clinique
(Sainte-Anue). CHAPITRE PREMIER R Historique.
22), et Traité des maladies du cerveau et des membranes, 1825. 22
CLINIQUE
MENTALE. lysie générale comme entité morbide, e
ue les névropatholo- gistes s'occupent des névrites au point de vue
clinique
et anatomo-pathologique, et c'est depuis que le
nuel pratique de médecine mentale, 1885, p. 318. Il. Schule. Traité
clinique
des maladies mentales, 1888,p. 342. 3 A. Culler
ytiglles généraux (Archives de neurologie, juin 1897, p. 441). 24
CLINIQUE
MENTALE. terminale de la paralysie générale, di
me nerveux central. Nous sommes forcés ici de sortir de notre cadre
clinique
et statistique, pour faire un court aperçu sur
vaso-motrice de la paralysie générale, au point de vue de la marche
clinique
de la maladie, insiste sur 'les paralysies vasc
sympathique. C'est encore M. Magnan* qui en 1878, dans ses Leçons
cliniques
, signala les lésions nerveuses de la paralysie gé
nerfs de la paralysie générale (Gaz. des Hôpitaux, mars 1871). 26
CLINIQUE
MENTALE. raie et attira l'attention sur les rap
malades n'ont pas été choisis, nous les avons pris au hasard de la
clinique
. Nous avons suivi d'abord toutes les paralytiqu
n 24 femmes et 33 hommes atteints de paralysie progressive : 28 8
CLINIQUE
MENTALE. Sur ces 57 paralytiques, neuf n'ont pr
tement des maladies de la peau, 2e édit., Paris, 1892, p. 820. 30
CLINIQUE
MENTALE. paralytiques généraux, sans qu'il y ai
aient être constatés deux à trois ans avant l'apparition des signes
cliniques
ordinaires de la paralysie générale. La pupille
rale (Vol. LI, p. 301, i, American Journal of insanity, 1895). 32
CLINIQUE
MENTALE. 1 normal qu'un état pathologique, » di
faits sont rares, les auteurs ont été favorisés par le hasard de la
clinique
. CHAPITRE III Troubles trophiques de la peau
s) et Briand (femmes) à Villejuif. Archives, 2e série, t. V. 3 34
CLINIQUE
MENTALE. dimension d'une pièce de 50 centimes s
jaune brun, d'une dimension variable entre la lentille et une 36
CLINIQUE
MENTALE. pièce de 50 centimes. On en compte une
zona chez les paralytiques généraux (Thèse de Paris, 1889). , 38
CLINIQUE
MENTALE. 57 malades. La statistique de M. Ramad
l couché depuis deux semaines qu'on constata un commencement 40 .
CLINIQUE
MENTALE. d'eschare sacrée. Actuellement l'escha
ns la paralysie générale (Thèse de Paris, 1876). ' Loc. cil. 42
CLINIQUE
MENTALE. L'eschare peut apparaître dès le début
, et la paralysie marchait à grands pas. ' Zacher. Loc. cit. 44
CLINIQUE
MENTALE. Observation XIII. - Eschare. Phlyctène
ssociées de l'ouïe, du tact, de la vue. Toutes les, personnes de la
clinique
, complotant contre elle (c'est elle qui parle),
'ayant jamais eu de maladie du système nerveux. De nombreux examens
cliniques
pourrraient seuls aussi indiquer si les hétéro-
e pouvoir de régénération des tissus. ' A. FENAYaou. XXIII. ÉTUDE
CLINIQUE
du dynamisme psychique; par H. Aimé. ,. Paris,
iciel. Les partisans de cette théorie se basent sur certains faits'
cliniques
s'accompagnant d'abolition du goût, alors que l
tales : par S. KALISCHER. (Neurolog. Centralbl., XV, 1896.) Etude
clinique
comparative et différentielle de deux observa-
s de la moelle. Il est probable, d'après les documents acquis de la
clinique
, et de la physiologie expérimentale, que le cor
ou bien diminués dans leur élasticité et leur contractilité. Or la
clinique
apprend que l'arté- riosclérose généralisée s'a
95-96, la méthode du séjour au lit dans le service des femmes de la
clinique
psychiatrique de Moscou. Ce système a présenté
olis mental présentent toujours et invariable- ment le même tableau
clinique
. Ils sont presque tous mathémati- quement super
médicale, 3 mars 1897.) L'auteur, s'apuyant sur des considérations
cliniques
et sur des faits thérapeutiques, est amené à co
thropologie criminelle a plus spé- cialement de commun les méthodes
cliniques
d'observation et d'évaluation des désordres psy
iale et médicale et avec la neuropathologie en espèce, les méthodes
cliniques
d'observation et d'évaluation des désordres fon
sychique du malade est tout à fait normale. Dans ce cas, le tableau
clinique
de la cécité corticale s'explique parfaitement
M. le professeur Kojewnikoff a relevé la signification de l'étude
clinique
détaillée de pareils cas, dont le diagnostic est
hes bleues. Le 12 sep- tembre 1896, la malade entra de nouveau à la
Clinique
des mala- dies nerveuses dans un état très péni
: Il- Vol. V. Février 1898. i N° 36' z ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL EN
oir Archives de Neurologie, n° 25. Archives, 2e série, t. V. 7 98
CLINIQUE
NERVEUSE. - lésions sont et restent purement mé
ubles analogues dus à l'ischémie dans la syphilis artérielle. 100
CLINIQUE
NERVEUSE. Ces troubles de la sensibilité, par l
. virus syphilitique lui-même, ou bien à une infection secon 't02
CLINIQUE
NERVEUSE. daire ou associée ? Il nous est impos
évrisme basal, associé à une thrombose de la sylvieuue opposée. 104
CLINIQUE
NERVEUSE. Observation II. Sommaire : Syphilis p
mplètement disparu ; celle-ci est remplacée par une large tache 106
CLINIQUE
NERVEUSE. blanchâtre, faisant légèrement sailli
tinué à être très agitée, à délirer et à crier. Depuis quelques 108
CLINIQUE
NERVEUSE. jours elle est plus calme et on a pu
Les vaisseaux de la base ne présentent pas de lésions macrosco- 110
CLINIQUE
NERVEUSE. piques : leur calibre est normal et r
comparera utilement à celui de la syphilis artérielle : . 'H 2 -
CLINIQUE
NERVEUSE. Les gommes du cerveau, ainsi comprise
t leur action sur une substance Archives, 2c série, t. V. 8 11 Il
CLINIQUE
NERVEUSE. cérébrale mise en état de moindre rés
, en passant par de la congestion intense ou de l'encéphalite. La
clinique
nous autorise à faire cette hypothèse, et sans
s intoxications intercurrentes nous apporterons un dernier argument
clinique
. On sait que l'or=dème de la pupille (Slauungs-
récente. ' Gamel (de Marseille). Thèse Montpellicr, 1871. ,1,1 (;
CLINIQUE
NERVEUSE. l'observation, nous fûmes surpris de
en a cité des cas. § 12. Evolution. Nous n'établirons pas de types
cliniques
: ce serait faire l'histoire des tumeurs cérébr
parties voisines, création de nou- ' Revue de médecine, 1897. 118
CLINIQUE
NERVEUSE. velles associations entre les neurone
l n'y a pas de paralysie musculaire,pas d'asthénie bien pronon- 120
CLINIQUE
NERVEUSE. cée; la malade résiste assez bien aux
uniquement par les antiseptiques intestinaux. Il s'est produit 122
CLINIQUE
NERVEUSE. une amélioration très rapide, dispari
ucun trouble du côté des yeux, si ce n'est à l'examen ophtal- J24 4
CLINIQUE
NERVEUSE. moscopique qui montre des lésions abs
c. Tous ces ordres sont exécutés immédiatement et fidèlement. 126
CLINIQUE
NERVEUSE. La malade n'a pas non plus d'aphasie
ins inspiré et des travaux de nos devanciers et de notre expérience
clinique
person- nelle. On nous objectera sans doute que
es plus complexes résultant de l'association de lésions diverses.
CLINIQUE
MENTALE. LA PARALYSIE GENERALE'; Par le Dr Al
ngrès de médecine mentale et neurologie de Bruxelles, 1897. 128 ,
CLINIQUE
MENTALE. pouvoir rattacher clairement à une cau
ion à leur affecter ; c'est ainsi Archives, 2e série, t. V. 9 130
CLINIQUE
MENTALE. que l'on a créé les pseudo-paralysies
t encore les cliniciens et par la diversité des rémissions, et ')32
CLINIQUE
MENTALE. par les variations symptomatiques, et
réoccupation des rapports étiologiques et symptomatiques ? 1 j4 -
CLINIQUE
MENTALE. Il n'y a donc pas plus lieu, à mon sen
r conséquent, ne peuvent pas logique- ment être prises comme unités
cliniques
, ainsi que je le disais déjà dans une communica
hrodisme psychique. Notes SUR la PERVERSION SESUELLB, AVEC DEUX CAS
CLINIQUES
D'INVERSION SEXUELLE ; par le Dr W. LEE Howard.
t et sont des cas mixtes, comme on en rencontre si fréquem- ment en
clinique
: persécuteurs raisonnants au début, persécutés
t que cette théorie s'accorde bien avec les données étiologiques et
cliniques
; en effet la confusion mentale apparaît très fr
t dans la convales- cence des maladies infectieuses, et son tableau
clinique
ressemble assez exactement à celui des délires
ortée dans le Buit. med. journ., en 1891. A. V. XIII. Observation
CLINIQUE
D'UN cas DE psoriasis traité par l'extrait thyr
l'examen du 18 janvier 1896, époque de la rentrée de la malade à la
clinique
des maladies nerveuses, on a constaté : paraplégi
Seine en exercice et le médecin du bureau d'admission de l'Asile
clinique
de Sainte-Anne. ne pourront être portés sur la li
mandeur de la Légion d'honneur; M. le D'' F. RAYMoND, professeur de
clinique
nerveuse, médecin de la Salpêtrière, a été nomm
ins titulaires et adjoints des asiles de la Seine, du professeur de
clinique
des maladies mentales et de MM. Terrier et '1^G
de la Faculté de médecine de Paris pour étudier le transfert de la
clinique
de Sainte-Anne à la Salpêtrière et pour organis
mp. - 298. Vol. V. Mars 1898. NG : 2.7 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSI
LES TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉ\R : i ? i ? -1 (étude
CLINIQUE
ET statistique), .. ' ' ' Par P. C'OLOLAN, 1
ET statistique), .. ' ' ' Par P. C'OLOLAN, 1 Interne de l'Asile
clinique
(Sainte-Anne). · (Suite e11 fin.) ' II. Troub
it., p. 821. , . , . au , . , .. Archives, 2e série, t. V. 12 178
CLINIQUE
mentale. se parcheminé. Plus tard, elle se desq
Alopécie en clairière sur les tempes. La peau des mains et des 180
clinique
mentale. doigts est lisse, brillante; les poils
voit la pulpe, jaune, entourée d'un tissu blanc grisâtre. , . 182 '
clinique
mentale. Observation XXIV. Déformation et color
ffritent en minces lamelles. Les ongles des orteils et celui du 184
CLINIQUE
MENTALE. deuxième doigt du pied droit ont compl
alors une peau brillante, unie, lisse (calvitie). Dans quelques 186
CLINIQUE
MENTALE. cas l'alopécie est symétrique, commenc
1896, avec le certificat suivant de M. Magnan : « Est atteinte 188
CLINIQUE
MENTALE. de paralysie générale avec idées de sa
, congestionné, apathique et inconscient. Inégalité pupillaire. 190
CLINIQUE
MENTALE. Embarras de la parole très marqué. Idé
disséminée sur tout le cuir chevelu. Dents légèrement usées. 192
CLINIQUE
MENTALE. CHAPITRE IV . Troubles trophiques du
Rev, deméd. de l'Est, 1890.) Archives, 2e série, t. V. , 13 194
CLINIQUE
MENTALE. vations sont rares et les travaux peu
ptômes spéciaux. (Aclr. cle médecine expér·inrenlale,lS91.) 196 .
CLINIQUE
MENTALE. Observation LXVII. Eruption de phlyctè
e se colore, il ' Déjerine. Archives de physiologie, 1876. , '198
CLINIQUE
MENTALE. devient obèse. Mais ce faux embonpoint
ara- lysie générale. Nous les avons notés pour rester fidèle à la
clinique
. En clinique, principalement en clinique de méd
nérale. Nous les avons notés pour rester fidèle à la clinique. En
clinique
, principalement en clinique de médecine men- ta
pour rester fidèle à la clinique. En clinique, principalement en
clinique
de médecine men- tale, les renseignements des m
ar, nous l'avons dit déjà, la moindre négligence est préjudi- 200 .
CLINIQUE
MENTALE. ciable à l'épiderme si sensible du par
s sont de ca ractère différent et que le plus souvent les symptômes
cliniques
de ces lésions médullaires sont cachés par la g
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 213 XLII. Étude
CLINIQUE
ET anatomique, relative A UN cas DE diplégie, s
lente de la moelle dorsale sont les suivantes : 1° Au point de vue
clinique
, a) dans les cas de lésion transver- sale compl
s d'amaurose hystérique unilatérale ont servi de base à cette leçon
clinique
. M. Ballet mentionne les caractères qui permett
er, février et mars 1807.) M. le Dr Thouvenet, chargé du cours de
clinique
médicale à l'Ecole de médecine et de pharmacie
, observés par M. Thouvenet chez des ouvriers poudreurs, le tableau
clinique
se rapprochait beaucoup de celui de la méningite
trois observations est que la maladie de Friedreich est une entité
clinique
très distincte de l'alaxie locomotrice, dé la s
.;e médicale, 7 juillet 1897.) Les auteurs rapportent l'observation
clinique
et les résultats de l'autopsie d'une malade âgé
lgré les lésions classiques de la soi-disant méningite, aucur signe
clinique
n'avait permis de diagnostiquer ces lésions. Si
. Le terme de méningite sert pour couvrir un certain nombre de cas
cliniques
à pronostic défavorable : il serait préférable de
es et de don- ner une autre appellation pour décrire les conditions
cliniques
. (The alienist and Neurologist, avril 1897.) E.
, Atwood, Rose, Frischer), l'auteur apporte douze cas observés à la
clinique
psychiatrique de Moscou. Il appelle surfont l'a
i pour les asiles de Vaucluse et de Ville-Evrard. Quant à l'asile
clinique
, il a, lui, son médecin-adjoint, poste dont nous
s des médecins, remplir auprès d'eux le rôle de véritables chefs de
clinique
. Ceci dit, nous reproduisons l'extrait du procè
t l'auteur. 2. Du délire raisonnant de dépossession au point de vue
clinique
' ' et médico-légal ; par Charles CncuoN. Le
re les deux. Le délire de dépossession, intéressant au point de vue
clinique
, est plus intéressant encore au point de vue mé
11. Les persécutés mélancoliques; par G. LALANNE. Importante thèse
clinique
, de plus de 200 pages, avec observa- lions pers
mogène dans lequel on peut distinguer un certain nombre de variétés
cliniques
. Ils sont caractérisés dans leurs traits généra
ilepsie; par J. Voisin. Paris, in-8, 1897. F. Alcan, éditeur. Etude
clinique
parfaite, nourrie d'observations à méditer avec
1.000 francs. Question : Des myélites infectieuses au point de vue
clinique
et expérimental. Pria ? Alvccrezgc de Piauhy (B
ey, imp. - 398. Vol. V. Avril 1898. ? 28 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA DESCENDAN
phique, 189î, t. XLIII, p. 494.) AHCI11VC, 2e série, t. V. 18 274
CLINIQUE
MENTALE. agissant sur les conditions de milieu,
ontribution à l'hygiène de l'inversion sexuelle. (Revue générale de
clinique
et de thérapeutique, journal des praticiens, 18
Ellis. Sludies in the psychology of sex, 1897, 1.1, I, p. 140. 276
CLINIQUE
MENTALE. L'existence d'invertis, normaux au poi
l'instinct sexuel est un caractère de dégénérescence au pre- 278
CLINIQUE
MENTALE. mier chef, puisqu'elle a pour suite né
voir des hommes nus, et ses premières excitations génitales se 280
CLINIQUE
MENTALE. manifestèrent à celte vue. Lorsque la
igue, et ne paraissent pas avoir affaibli l'intelligence. A ces 282
CLINIQUE
MENTALE. absences se sont ajoutés depuis le moi
ucun accident nerveux jusqu'à la puberté qui s'est établie nor- 284
CLINIQUE
MENTALE. malement à onze ans et demi sans jamai
d'elle. Les grossesses et les accouchements n'ont amené aucun 286 .
CLINIQUE
MENTALE. changement ni dans les sensations ni d
es. (The alienist and ne2c·ologist, oct. 97.) E. B. XXXIII. Aspects
cliniques
DE l'auto-intoxication ; par le û1' HcRD. L'aut
bué à ces mouvements le qualificatif de folie des muscles. Cinq cas
cliniques
, avec tracés, cités par l'au- teur lui servent
toiogique qu'au point de vue pathologique, elle présente un tableau
clinique
des mieux marqués dont l'auteur donne le résumé
e diagnostic de la neurasthénie simple est facile ; mais le tableau
clinique
se trouve singulièrement compliqué quand la neura
faire croire la description récente de Binswanger : son expression
clinique
est une fatigue nerveuse dont les symptômes, su
urs. Cette longue en- quête est donc surtout'pbysiologique, les cas
cliniques
qui la com- posent équivalent à autant d'expéri
Annales médico-psychologiques, oct. 9-j.) E. B. XXXII. DES variétés
CLINIQUES
du délire de persécution ; parles D's TATY et T
s conclusions suivantes : Le délire des persécutions se présente en
clinique
avec une évo- lution presque toujours régulière
ielles. Toutes les fois qu'il y a délire de persécution, le tableau
clinique
reste sensiblement le même et les grands traits
t que l'on a accordé au délire grave une place définie comme entité
clinique
, dans la classification des maladies mentales.
e mentale de Belgique, septembre 1897.) En qualité de professeur de
clinique
psychiatrique, M. Francotte propose de grouper
e ne devrait être qu'un supplément de la classe et de l'instruction
clinique
. Une innovation heureuse introduite dans certai
à une intoxication. 17. Le délire prophétique. Elude historique et
clinique
; par M. paouvosr. Le délire prophétique, tel
tes et sur l'ensemble des sensations kinesthésiques. Les recherches
cliniques
, portant sur des lésions chirurgicales faites p
bles circulatoires. Régis et V. lioBERr. VIII. Essais de neurologie
clinique
; neurasthénie de Beard et étals nezcrnsthénifor
ls comportent, la première partie de ce travail constitue une élude
clinique
sérieuse, qui ne peut être consultée qu'avec fr
ar PAUL GLATZ. Genève et Lyon, Georg et Co, 1 vol. in-12. Analyse
clinique
extrêmement fine et précise, établissant rigou-
on peut distinguer différents degrés constituant autant de variétés
cliniques
, mais pouvant aussi se montrer successivement c
' ! Tome 1, p. 405. 3 Fragm. psych., 183, p. 433. * Luys. Traité
clinique
et pratique des maladies mentales, 1881, p. 239
en les accentuant. Ceux-ci en arrivent peu à peu à envahir la scène
clinique
au point de lui donner un cachet particulier qu
déjà pour une nutrition autonome des fibres de ces faisceaux; en
clinique
, l'anesthésie et la paralysie résultent quelquefo
alades de cette catégorie. Si j'ai tenu à insister sur les signes
cliniques
de la maladie, c'est que le diagnostic lui-même
une hystérique, c'est qu'il me semble constituer presque une rareté
clinique
. « La dyschromatopsie de telle ou telle manière
t qui ne l'a guère observée plus sou- vent que Briquet (voir Leçons
cliniques
sur les troubles de la vision chez les hystériq
ont elle a été fréquem- ment atteinte 1. 1 BourneviUe. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hyslérie
(IV021'U. ICOit0y9'. de la Salpêtrière, n° 2, 1897.) Observation
clinique
suivie d'autopsie et d'examen histologique de l
ticipation des altérations aux épi- physes ; l'absence de symptômes
cliniques
d'ordre nerveux (hormis la douleur localisée au
sant d'hémisection traumatique de la moelle, mais encore l'histoire
clinique
complète de cette lésion peu fré- quente et les
iple point de vue de la physiologie, de la médecine légale et de la
clinique
pure. Observation. Jeune homme de vingt-huit an
lent quelques déductions pratiques importantes : A. au point de vue
clinique
et pour se guider dans le diagnostic, le pronos
de nier l'hémisection de la moelle, quels que soient les symptômes
cliniques
observés ; 2° qu'en général toute intervention
rofesseur Grasset. A l'aide d'une série d'arguments physiologiques,
cliniques
et ana- tomiques, M. Grasset indique synthétiqu
état général n'a pas encore subi d'atteinte grave et que le tableau
clinique
n'est pas encore au summum de son évolution : l
rrégu- lière ; mort le 11. Après avoir analysé et discuté le côté
clinique
de ces observa- tions, les auteurs s'efforcent
que l'encéphalite aigu hémorrhagique répond toujours à cette forme
clinique
qu'on peut considérer comme bien définie et bie
réparations). Une femme, âgée de vingt-neuf ans, fut admise dans la
clinique
des maladies nerveuses, le 24 novembre 1895, av
tion fut notée dans le premier temps du séjour de la malade dans la
clinique
; mais à la fin du mois de janvier 1896 survint
ves dans la région de la tige cérébrale. Si l'on compare le tableau
clinique
au tableau ana- tomique, on peut admettre qu'il
mettre, en effet, que le syndrome de Basedow est la mani- festation
clinique
d'un trouble nerveux fonctionnel primitif, d'une
rendit ensuite à Paris. Là il fréquenta assidûment les différentes
cliniques
et en particulier les cours de Brown- Séquard e
t près d'une quinzaine d'années, E.-C. Séguin a été pro- fesseur de
clinique
nerveuse à la Faculté du Collège des médecins e
, médecin adjoint, est nommé sur place méde- cin en chef de l'asile
clinique
(Sainte-Anne) (24 mars ;) M. le Dr Sérieux, méd
le suivant, que nous avons étudié d'une façon complète depuis la
clinique
jusqu'à l'examen histologique. Mais le fait que
'. 1 Brown-Séquard. ilrclc.l'Jcys., 1891, p. 195. Au point de vue
clinique
, le syndrome de Brown-Séquard conserve ARCIIIVE
ux anciens démonographes et nous terminerons par une série de faits
cliniques
. « Il n'est pas rare, dit Griesinger, d'observe
e vérité psycholo- gique. » Cherchant à déterminer les caractères
cliniques
de la démonopathie, Calmeil dit qu'après être d
l'invasion de sa maladie, etc. Si maintenant nous passons aux faits
cliniques
, nous en trouvons qui répondent aux différentes
C'est ce dernier que cette étude a pour but d'isoler en une entité
clinique
comparable à la maladie de Lasègue, ainsi qu'av
ablir le foyer primitif, cela serait indispensable. Au point de vue
clinique
, les paralysies faciales unilatérales qui, datant
ings- Jackson. Intellectual Aura. (Brain XI. 1889, p. 185). L'étude
clinique
de l'épilepsie, ou mieux, desépilepsies, fut re
connue. : DARDEZ. 508 BIBLIOGRAPHIE. XIV. Contribution à l'étude
clinique
de la méningite spinale syphili- tique; par le
et nerveuses durant l'année scolaire 1896-1897. Aba (Isaac). Étude
clinique
des troubles de la sensibilité géné- rale des s
ue et anatomique. - Bourdicaud-Dumay (Hippolyte-Pierre)' Recherches
cliniques
sur les troubles de la sensibilité générale du
anique. Cache (Eugène). Tabès. Syn- drome. Crises gastriques. Elude
clinique
. Campos (Moïse). Recherches expérimentales et c
iques. Elude clinique. Campos (Moïse). Recherches expérimentales et
cliniques
sur les nerfs sécréteurs des larmes. Carrez (He
ns musculaire et le sens des attitudes. Clavey (Eugène). Recherches
cliniques
sur les groupes musculaires 510 () BIBLIOGRAPHI
ue dans ses rapports avec les professions.- Ingelrans (Léon). Étude
clinique
des formes anormales du tabes dorsalis. Iovanov
ndrcfme de Landry). Etude lilsto- rique et critique. (Travail de la
clinique
des maladies du système nerveux). Marty (Albert
gaïacol, le carbonate de gaïcol et le gaïacyl.Oguse (Joseph). Etude
clinique
du coeur dans la chorée. Griot (Emile). Contrib
oitre exophtalmique. Thomas (André). Le cervelet. Elude anatomique,
clinique
et physiologique. Thouvenet(Prosper). Considéra
que l'on peut conférer à cette affection une certaine individualité
clinique
. La symptomato- logie est peu variée. On consta
Questions générales par Clarke, 311. I. Autointoxication. Aspects
cliniques
de 1' , par Hurd, 311. Automatisme dans la sy
(1T PIIIM1KE SOUS LA DiiiFcrioN nE MM. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales ? [J\ Faculté de l11édP
hléJecm nle l'Aile clmiyue (Sie-Anne). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
190' ? Vol. XIII. Janvier 1902. N° 73. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. - . Paraplégie spasmodique dans un
édicale, 10 mai 1899, p. 218.) Archives, 2' série, t. XIII. 1 2 "
CLINIQUE
NERVEUSE. étage de l'axe, nées sur place à la s
. Et c'est déjà, faute de mieux, une grosse partie de notre tâche
clinique
. Voyons donc comment M. Van Gehuchten croyait d
ification de M. Van Gehuchten. Elle établit des catégories de faits
cliniques
qui ne sont pas abso- lument tranchées et qui m
paraplégies en question. Passons à l'interprétation des phénomènes
cliniques
. Ici une subdivision s'impose. Abstraction fait
la sensibilité, p. 81. 2 Van Gehuchten. Presse méd., loc. cil. 4
CLINIQUE
NERVEUSE. cides par fracture vertébrale, par se
e gauche beaucoup plus facilement qu'il ne fait pour la droite. 6
CLINIQUE
NERVEUSE. La sensibilité au tact est un peu dim
cuisses; 3, sensations thermiques : perverties surtout à gauche. 8
CLINIQUE
NERVEUSE. Le 28 avril, la contracture permanent
ur la jambe droite ; sensibilité thermique légèrement troublée 10
CLINIQUE
NERVEUSE. sur la jambe droite, diminuée et comp
prolifération se retrouve sur une grande hauteur de la moelle. 12
CLINIQUE
NERVEUSE. Les coupes permettent de reconnaitre
te surtout par les os déplacés et effondrés 1. Les renseignements
cliniques
sont, il est vrai, un peu écourtés. L'auteur di
899, p. 4 Í6. 0 Rummo. Riforma medica, 14 fév. 1899, p. 439. 16
CLINIQUE
NERVEUSE. C'est encore une paraplégie spasmodiq
s avons étudié dans son service et que nous avons introduit dans la
clinique
de notre maître, le professeur Raymond, y sert
M. IIaushalter et Adam sont également d'avis ' Professeur Raymond :
Clinique
des maladies du système nerveux. Deuxième série
de de traitement des maladies nerveuses. (Recueil des travaux de la
clinique
des maladies nerveuses de Saint-Pétersbour, t. II
pinale en dehors de la dure-mère ; Par A. COCHEZ, Professeur de
clinique
médicale à l'École de Médecine d'Alger. L'hémor
s de l'hérédité similaire et l'époque de leur début, leur évolution
clinique
, leur tableau symptomatique restent à peu de ch
le à une autre, d'où l'impossibilité de leur reconnaître des formes
cliniques
nettement définies. G. DE<'iY. REVUE DE PATH
Salpétrière, n° 5, 1900.) Observation intéressante au point de \ue
clinique
« non seule- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 51
ter réunies les quelques considé- rations générales au point de vue
clinique
, étiologique, médico- légal, qui se trouvent ép
chorée est encore très obscure et n'a encore pu être localisée ; la
clinique
reste en attendant le meil- leur moyen d'invest
L'observation est rapportée très en détail, tant au point de vue
clinique
qu'au point de vue anatomo-pathologique (5 figure
E. XXVIII. Polynévrite tuberculeuse motrice; par Glorieux. (Poli-
clinique
de Bruxelles, janvier 1900.) Affection s'étant
ly,'4900, p. 21 à 37.) L'auteur fait une' revue complète des études
cliniques
et des recherches anatomo-pathologiques sur la
rologist, octobre 1899, p. 586-610.) La migraine présente des types
cliniques
extrêmement divers, sans doute à cause de la di
ions de l'une en l'autre; Mobius trace un parallèle de leurs formes
cliniques
; Fère en fait deux équivalents. Tous les cas ci
amais indépendamment d'elles, et qui démon- trent bien la connexion
clinique
en même temps qu'elles laissent à penser combie
l'hémicranie est acquise (non héritée) et tardive; 4° la liaison
clinique
avec l'épilepsie paraît exclusivement concerner l
le puisse jouer un tel rôle. 5° Le signe externe de l'homogénéité
clinique
de la migraine et de l'épilepsie est principale
en connues, il serait rendu facile de voir clair dans l'homogénéité
clinique
des deux types neurotiques. Il ne peut être dou
t être douteux que cette aura visuelle est un symptôme d'une entité
clinique
. Il est possible que des phénomènes senso- riel
64 -il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XLIV. Contribution à l'étude
clinique
des intoxications par les dérivés du benzol et
es des autres produisent, au point de vue toxique, des phéno- mènes
cliniques
différents. L'expérimentation sur les animaux ten
psichiatrii, V, 1900). L'intérêt de l'observation gît dans l'étude
clinique
et radiosco- pique du pouce de la main gauche.
L9R1TS. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 1, 1901). Observation
clinique
d'nn syndrome bulbaire apparu brusque- ment che
lysie. L'auteur serait disposé à admettre que ces différents stades
cliniques
sont les manifestations de lésions intéressant
mbre de manifestations nerveuses de nature hystérique. Dis- cussion
clinique
portant sur le diagnostic et la pathogénie et rés
imatives. J. SÉGLAS. IL Sur l'importance à la fois médico-légale et
clinique
du dia- gnostic précoce de certaines affections
abilité du criminel. : BIBLIOGRAPHIE. I. Contribution à l'étude
clinique
du syndrome de Landry post- grippal; par le Dr
raissent pen- dant la convalescence. L'auteur reconnaît deux formes
cliniques
assez nettes : 1° L'une caractérisée par un déb
2-1901. Vol. XIII. Février 1902. N° 74. ARCHIVES DE NEUROLOGIE-
CLINIQUE
NERVEUSE.. Travail DE la clinique DE M. LE prof
° 74. ARCHIVES DE NEUROLOGIE- CLINIQUE NERVEUSE.. Travail DE la
clinique
DE M. LE professeur A. Pitres. ' , ... ? 1 i
re, à première vue. Les six autres se présentèrent avec des allures
cliniques
.tout à fait différentes. Les malades de ce gro
e manifestations névropathiques Archives, 2e série, t. XIII. 7 98
CLINIQUE
NERVEUSE. et n'ayant pas subi de traumatismes v
héréditaires. - Rien à retenir dans ses antécédents Fiff. 12. 100
CLINIQUE
NERVEUSE. héréditaires. Père et mère vivants en
ent 10 au dynamomètre. Si l'on demande au malade de Fif}. 13. 102
CLINIQUE
MENTALE. tapoter des deux mains sur la table, c
motrice du nerf cubital percuté au-dessus de la gouttière. Rien 104
CLINIQUE
NERVEUSE. - à signaler dans les grands organes
sition du membre paralysé. La percussion des muscles Fig. 15. 106
CLINIQUE
NERVEUSE. donne lieu à des réactions normales.
ntacts sur le rythme du métronome, cependant que M. Abadie, chef de
clinique
, manipule sous l'oeil attentif du malade les in
lecture des observations qui précèdent montre com- . Fig. 16. 108
CLINIQUE
NERVEUSE. bien est uniforme et monotone le tabl
suivant donne un aperçu des différentes mensura- tions faites à la
clinique
Charcot : , TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES.
'amélioration de l'incoordination. Sur 207 cas d'amé- ' F. Raymond.
Clinique
des maladies du système nerveux, 1897. 8 P. Mar
LADIES NERVEUSES. 129 « minutes à 40° et 50°. La malade quitta la
clinique
au mois d'avril complètement guérie. Nous l'avo
d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. résumé par eux. Examen
clinique
: paralysie spinale à marche lente et progressi
r pathologique, extrême sensibilité aux toxines de l'écorce grise),
cliniques
(analogie des Archives, 2° série, t. XHI. 10
10 146 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. tableaux
cliniques
des encéphalopathies toxiques, de l'urémie, du
de discours, à l'occasion de l'anniversaire de l'inauguration de la
clinique
des maladies mentales et nerveuses de Saint-Pét
en tout cas, les produits de l'expérimentation et de l'observation
clinique
mettent en évidence que l'écorce du cerveau est
se de données expérimentales exactes et sur beaucoup d'observations
cliniques
excellentes. Depuis trente ans, la théorie des
ées de celles qui proviennent des cellules commissu- rales, mais la
clinique
et l'expérimentation fournissent des argu- ment
moitié gauche de la face. Au mois de septembre la malade entre à la
clinique
où l'on con state : hypo-esthésie des trois bra
question. De l'ensemble de leurs théories et de leurs observations
cliniques
, on peut conclure que les souvenirs sont locali
t lui, et donné sur chacun une opinion personnelle et étayée sur la
clinique
. Avec tous les auteurs, M. Gélineau pense qne'
être attribué au meilleur mémoire original et inédit sur l'Histoire
clinique
et le traitement de l'Epilepsie. Ne sont admis
1-1902. , Vol. XIII. Mars 1902. - N° 75. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE-. L'obsession de la rougeur ou éreutho
la direction du Dr Toulouse.) Archives, 21 série, t. XIII. 12 178
CLINIQUE
NERVEUSE. phal dans son mémoire sur les obsessi
ourquoi rougit-on ? (Revue des Deux Mondes, 1" octobre 1893.) 480
CLINIQUE
NERVEUSE. été communiqué au Congrès français de
lilin. Woclzens- christ, -1599, 118.) 18. Friedlander. Le tableau
clinique
de la prétendue Erythrophobie. 182 CLINIQUE NER
Friedlander. Le tableau clinique de la prétendue Erythrophobie. 182
CLINIQUE
NERVEUSE. Au surplus, après nous avoir contesté
- geur présentait de l'intérêt non seulement par sa physiono- mie
clinique
, mais encore et surtout peut-être par l'excellent
on de certains points fon- damentaux de psychologie, physiologie et
clinique
. (Congrès annuel des AtiGnistes allemands, Fran
zialria, vol. XXVI, fasc. 23, p. 512.) 20. Hartenberg. Les formes
cliniques
d'éreulhophobie. (Congrès inter- national de mé
ngrès des Aliénistes et Neurologistes, Limoges, août 1901.) - 184
CLINIQUE
NERVEUSE. Nous avions, dans notre mémoire, émis
onfirmer, nous semble-t-il, un fait déjà suffisamment établi par la
clinique
. ' Vaschide et Marchand. Loc. cil. * Hartenbe
Loc. cil. * Hartenberg. Les timides et la timidité. Chap. Il. 186
CLINIQUE
NERVEUSE. Mais cela ne prouve pas que l'Ereutho
us venons d'indiquer sont à continuer parallèlement avec les études
cliniques
et psychologiques. Un dernier point. Nous nous
santes, que nous n'hésitons pas à les reproduire intégralement. 188
CLINIQUE
NERVEUSE. ' alors que la facilité de rougir, sa
moi destiné à être toujours malheureux par cette maladie, s'em- 190
CLINIQUE
NERVEUSE. parent de vous, et la crise se résout
pas troublé comme par l'abord d'un homme supérieur. Et pour- '192 '
CLINIQUE
NERVEUSE. tant, si je veux accoster une femme,
is afin de puiser en moi des AnclII\'F. 2' série, I. XIII. 13 194
CLINIQUE
MENTALE. forces de résistance, de me donner du
e constitution physique et psychique. 1 - Pans, le 7 mars 1897.
CLINIQUE
MENTALE Contribution à l'étude des réactions de
variations des réactions de la peau aux trois périodes de la 198 -
CLINIQUE
MENTALE. paralysie générale et pour cela de sui
tion de la peau croissent parallèlement à l'évolution du mal. 200
CLINIQUE
MENTALE. par rapport à l'intermédiaire de 31,4
c. de ' Jléd. ment, de Be1gique, mars 1901.) Etude statistique et
clinique
basée sur l'observation de 485 alié- nés crimin
' le sens de la suppression des garderies et de la constitution des
cliniques
de traitement type Giessen, avec organisation par
eM)-t'o;7; Médical Record. 6 janvier 1900 ) L'auteur nie l'entité
clinique
de la folie puerpérale. Les diverses psychoses
ment de la lactation. Les 218 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. signes
cliniques
sont ceux du délire aigu pouvant s'amender bien
la folie est souvent un stade mélancolique. Puis après ces tableaux
cliniques
qui montrent la 'ressemblance, il se demande ce q
ratiques : méthodes de traitement; 2° Des questions scientifiques :
cliniques
et laboratoires. Péterson indique d'abord quelq
éviter toute infection sceptique. SIUGN. XXIV. Progrès des études
cliniques
en psychiatrie; par Edward CowLEs. (American Jo
sa durée. L'honneur d'avoir appelé l'attention sur ces connexions
cliniques
entre la névralgie et l'aliénation transitoire
, il y a parfois des périodes, plus ou moins courtes, où le tableau
clinique
est très voisin de celui de la paralysie généra
vations collectionnées dans le service de rééducation institué à la
clinique
Charcot. par M. le Pr Raymond, en 1896, et auss
sions vraiment scientifiques : toutes les données acquises dans les
cliniques
et les laboratoires psychiatriques par les étud
oon (Bordeaux- Gironde ; M. le Dr Magnan, médecin en chef à l'asile
clinique
Sainte-Anne, nommé officier de la Légion d'honn
. Carré et Naud, 18J9,-t. If, p. 1333 et suiv. - ' Séglas. Leçons
cliniques
sur les maladies mentales. Paris, 1895, p. 80.
ompromis. L'obsession est, avant tout, une maladie de la volonté.
CLINIQUE
MENTALE. Biographie d'une idée fixe. Observat
et il disparut prestement. Cette histoire de sa vie et de sa 272
CLINIQUE
MENTALE. maladie suscita chez moi un très vif i
ttais Riga où je laissais Archives, 2" série, t. XIII. 18 S 274 4
CLINIQUE
MENTALE. une soeur bien-aimée. Je ne me plus pa
rès de mes meilleurs amis et même de ma soeur, et personne ne 276
CLINIQUE
MENTALE. savait me venir en aide : je lâchais d
en présence du monde j'étais pris d'un sentiment d'oppression, 278
CLINIQUE
MENTALE. je rougissais sans cesse, ce qui m'obl
concevais la pensée d'aller, mon examen terminé, en pays étran- 280
CLINIQUE
MENTALE. ger : là je deviendrai tout autre » me
des images terrifiantes dont je ne pouvais me défendre. J'avais 282
CLINIQUE
MENTALE. les sens très irrités, j'étais incapab
de me faire mourir ; j'ai même tenté un suicide raffiné; je 284 -il
CLINIQUE
MENTALE. . voulais me rendre malade, me ruiner
chez moi après quelque temps, je procédai tout d'abord à un examen
clinique
rigoureux , dont le résultat fut que ce trouble
Ainsi se développe en une flamme qui consume la vie, l'étin- 286 ,
CLINIQUE
MENTALE. celle d'une manie enfantine couvant so
en ce sens que la pièce anatomique laisse- rait supposer un tableau
clinique
semblable à celui de la pachy- méningite hémorr
e à celui de la pachy- méningite hémorrhagique, tandis que l'exposé
clinique
indique une métastase circonscrite du cerveau a
e, mais de tout le per- sonnel, y compris les internes, mon chef de
clinique
et moi-même. C'est mon chef de laboratoire qui
our de véritables hallucinations se présen- tent sous trois aspects
cliniques
distincts : 1° Des interprétations t;yisodirues
oriels, constituer un syndrome commun à un certain nombre d'espèces
cliniques
et susceptible de se pré- senter sous une forme
des caractères bien tranchés qui permettent d'en faire une espèce
clinique
autonome. Cette psychose est, en effet, caracté
intellectuelles (pas de période de démence). C'est à cette forme
clinique
déjà signalée en France par quel- ques auteurs
ents plus précis. et d'ordre nosolo.iclue. existe notamment des cas
cliniques
où la syphilis cérébro-spinale se 'complique d'
rer comme étant d'oiigine parasyphilitique. De même dans le tableau
clinique
, on trouve des phénomènes qui correspondent à c
agers et transi- 342 sociétés savantes. toires. D'après leur type
clinique
, ces ictus sont tout à fait de nature paralytiq
Discussion. 11. ToKASKy trouve que les particularités du ta- bleau
clinique
que présentent les observations de M. Monratoff,
as assisté à l'éclosion de la paralysie générale ni au point de vue
clinique
, ni au point de vue ana- tomique. M. BER1\STE
ittentes par l'acide urique et il étayait son hypothèse sur ce fait
clinique
que l'urine des épileptiques contient moins d'a
s et neurologistes. ' D'' FnEEMAN, XIII. Essai sur les phénomènes
cliniques
qui peuvent s'associer à la respiration de CheY
Imp. 3-1902. Vol. XIII. Mai 1902. N° 77 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. Note sur un cas d'hystéro-épilepsie à
resque toutes les semaines Archives, 2- série, t. XIII. 23 3 3tVt
CLINIQUE
NERVEUSE. quelques gouttes de sang ; 'elle n'y
jusqu'ici; elle se trouve très bien de ce changement de régime. 356
CLINIQUE
NERVEUSE. Son poids, qui était encore de 65 kg.
. 24. La malade a eu des selles abondantes après son lavement 358
CLINIQUE
NERVEUSE. et se sent beaucoup mieux aujourd'hui
et regardant pendant quelques secondes d'un air hagard derrière 360
CLINIQUE
NERVEUSE. ... 5 elle (comme lors de l'attaque
Mardi à la Salpêtrière, t. I, 22' leçon, et t. II, IS' leçon. 362
CLINIQUE
NERVEUSE. constater alors une ovarie bien carac
ent au bout de quel- ' Die Epilepsie (Wien, 1899), p. 218. ! Traité
clinique
el thérapeutique de l'hystérie, t. II, chap. X. -
ation analogue dans un cas de Martin, cité par Mora. * Recherches
cliniques
el thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
re que, exceptionnellement, l'accès hystérique soit aussi suivi 364
CLINIQUE
NERVEUSE. continu, soit le type intermittent, o
Gilles de la Tourette, Op, cit., t. II, chap. XI ; Chauveau, Forme
clinique
et pathogénie de la fièvre hystérique (Thèse de
celle de notre excellent confrère et ami, le Dr Perruchet, chef de
clinique
chirur- gicale de l'École, chargé du service ra
pparente; c'est surtout la constitution chez chacun d'eux d'un type
clinique
rigoureusement identique : mêmes idées délirant
ilité. , . P. KERAVAL. L.T\\III. Contribution à l'étude de la place
clinique
de l'érythro- phobie ; par A. Friedlaender. (Ne
. Cestan. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 4, 1901.) L'étude
clinique
et anatomo-pathologique du nanisme conduit à co
être toujours irréparables. Enfin, l'extrême variabilité du tableau
clinique
a beau être bien connue, il faut y y insister,
quatre observations d'ataxie spinale aiguë, dans lesquelles l'étude
clinique
des malades ne permet guère de doutes sur la na
ici s'il ne présentait deux symptômes en opposition avec le tableau
clinique
aujourd'hui classique de la myopathie et avec l
t des contractions librillaires. " En somme, aucun des caractères
cliniques
de dystrophie muscu-' Archives, 21 série, t. XI
dans cette maladie que des symptômes, et c'est par l'obser- vation
clinique
que nous sommes amenés à supposer l'existence d
4° Une lésion occupant un côté du bulbe peut produire un syndrome
clinique
ou plutôt une association de syndromes clini- q
a méningite cérébro-spinale métapneu- monique. Elude séméiologique,
clinique
, bactériologique ; par le De TALABÈRE. (Th. Lyo
st rapide et peut même être foudroyante. L'auteur cite comme formes
cliniques
: une forme de dissociation à marche typique po
s une argumentation serrée et s'appuyant sur des faits anatomiques,
cliniques
et anatomo-pathologiclues, l'auteur prouve qu'o
Nicollet. (Th. Lyon, 1900-1901). Restant strictement sur le terrain
clinique
, M. Nicollet a cherché dans sa thèse, si dans l
N BIBLIOGRAPHIQUE. DE LaPEnsowe(F.).-Leço2z d'ouverture du cours de
clinique
ophlal- ? i1ologique de la faculté de Médecine de
. - 4-1902. Vol. XIII. Juin 1902. N° 78. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES. - PR
II. Juin 1902. N° 78. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE.
CLINIQUE
DES MALADIES NERVEUSES. - PROFESSEUR RAYMOND. S
émianopsie est dite homonyme, Archives, 2' série, t. XIII. 28 434
CLINIQUE
NERVEUSE. quand elle porte sur les deux moitiés
mianopsie simple, unilatérale, limitée à Fig. 20. Fi[J. 21. 436
CLINIQUE
NERVEUSE. un seul côté, à l'hémianopsie bilatér
gment polygonal, quadrangulaire, du champ visuel. Premier exemple
CLINIQUE
. - Cela dit, je vais vous présen- ter une premi
u nombre de trois, en l'espace d'une l'année. Dans ces condi- 438
CLINIQUE
NERVEUSE. tions, nous avons soumis la malade à
, susceptible d'éveiller le soupçon d'une paralysie 1'ig. 23. 440
CLINIQUE
NERVEUSE. générale commençante. Elle n'a pas, n
ations - accidents épileptiformes, diminution de l'intel- 442 '1) .
CLINIQUE
NERVEUSE. ligence et de la mémoire - ne nous fo
lectuelles de' la malade n'aille en progressant. Deuxième exemple
clinique
. Ce premier cas est à mettre SUR trois cas d'hé
Cette fois encore, elle n'a eu ni convulsions, ni paralysie. 444
CLINIQUE
NERVEUSE. Le lendemain, C... était rétablie et
logique, à cela près que, dans les mouvements de laté- Fig. 24. f
CLINIQUE
NERVEUSE. ralité, les globes oculaires étaient
s parlent en faveur de ce siège unilatéral du processus mor-, 448
CLINIQUE
NERVEUSE. ' bide, à savoir : l'hémiparésie droi
gitudi- nal inferieur. Cal, scissure calcarine. - Cu, cuneus. 450
CLINIQUE
NERVEUSE. les fibres nerveuses qui tirent leur
aux. Les fibres de cette seconde catégorie concourraient donc 452
CLINIQUE
nerveuse. à la perception des impressions visue
s, à transmission centrifuge. Si on s'en rapporte aux données de la
clinique
et de l'anatomie pathologique, cela me paraît d
li, faisceau longitudinal inférieur. Cal, scissure calcarine. 454
CLINIQUE
NERVEUSE. .postérieur de la couche optique, de
s fibres nerveuses issues de la région de la tache jaune, est 456
clinique
nerveuse. alimenté à la fois par deux artères d
es, dépendant d'une lésion de même siège, vous trouverez men- 458
CLINIQUE
NERVEUSE. tionnés dans les ouvrages qui traiten
e la vision. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 459 Troisième exemple
clinique
. Le malade en question, un nommé L..., est âgé
servation de la vision centrale (ftg. 27). Elle existe pour 460 .
CLINIQUE
NERVEUSE. ` toutes les couleurs. La réaction pu
ieu, quand l'aphasie est liée à la cécité verbale. Fig. 27. 462
CLINIQUE
NERVEUSE. Indépendamment de l'aphémie, on peut
Aussi bien, l'hémiplégie droite, survenue à la suite d'un 464 -11 .
CLINIQUE
NERVEUSE. . ictus apoplectique, est l'indice
malades présentés en premier Archives, 2' série, t. XIII. 30 466
CLINIQUE
NERVEUSE. lieu. Or, comme l'a fait justement re
entent la zone de distribution de l'artère cérébrale moyenne. 468
CLINIQUE
NERVEUSE. l'hémianopsie, lorsque la lésion, don
elette, elle produira une hémianopsie unilatérale, à savoir : 470
CLINIQUE
NERVEUSE. Une hémianopsie temporale' du côté op
gitudi- nal inférieur. - Cal, scissure calcarine. Cu, cuneus. 472
CLINIQUE
NERVEUSE. port avec des lésions de l'hémisphère
des hallucina- tions psycho-motrices, ni rappeler leur description
clinique
, ce sont là des questions bien connues de tous,
avons remarqué que certaines hallucinations, présentant t le type
clinique
complet des hallucinations dites psycho- motric
. XXXIX. Un cas de psychose post-opératoire ; par M. Orlon, de la
clinique
ophtalmologique de l'Université de Kazan. (Neurol
augmenta : l'opérée déchira son pansement, tenta de se sauver de la
clinique
. L'agi- tation commença régulièrement à deux he
a : le lendemain de l'opération elle se sentit entrainée loin de la
clinique
; ensuite elle aperçut une vieille femme laide q
blement à l'atrophie de la papille. Du moins c'est ce qu'indique la
clinique
. La parole est à l'anatomie microscopique. P. K
olo- gique décidera. F. BOISSIER. BIBLIOGRAPHIE. XX. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur' l'épilepsie, l'hystérie
l'hospice de Bicêtre. La seconde partie contient les observations
cliniques
les plus intéressantes du service. Le premier c
en mis en lumière leur signifi- cation au double point de vue de la
clinique
et de la psychologie. Paul SÉRIEUX. XXII. Du
aitement de la chorée de Sydcnham par le cacodylate de Soude. Elude
clinique
; par A. DETCIlEFF. (TA. Lyon, 1900-1901.) M. De
médicament de choix et éviterait tout accident. Appuyant son étude
clinique
sur de nombreuses observations favo- rables, l'
ttente est plus efficace et sans inconvénient. G. C. XXIII. Etude
clinique
des formes unilatérales de la paralysie agi- ta
Allcuaun. (Th. Lon,1900-1901.) La thèse de M. Michaud est une étude
clinique
où il insiste sur le diagnostic des formes unil
G. CARRIER. XXVII. L'aliénation mentale chez les prostituées. Etude
clinique
; par François Gaaz. (Th. Lyon, 1900-1901). Le
les auteurs. G. C. VARIA LE BUT ET LES MOYENS DE LA PSYCHIATRIE
CLINIQUE
; par KRAEPELIN. (AU. Zeitsch. f. Psychiatrie, t
e. On admet actuellement qu'il y a une 528 varia. série d'espèces
cliniques
dont les particularités sont dues soit à leur l
poisons, l'alcool, la morphine, la cocaïne, déterminent des formes
cliniques
qui présentent des caractères identiques dans l
e des intoxications. Le difficile est de distinguer dans les formes
cliniques
les symptômes essentiels des signes accessoires
ni- festations jusqu'ici utilisées pour le groupement des espèces
cliniques
: hallucinations, conceptions délirantes, modific
endre, l'excitation motrice, les phénomènes d'arrêt, etc. L'analyse
clinique
montre des différences importantes entre des ma
r jeter un coup d'oeil d'ensemble sur les résultats de l'expérience
clinique
. L'auteur a eu soin de tenir compte de tous les
Paris est chargé jusqu'à la fin de l'année scolaire, d'un cours de
clinique
des maladies mentales. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE
is, 177. EIiYTIi0110PIIOBIF. Contribution à l'é- tude de la place
clinique
de l ? par Frredlaender, 391. Exostoses symét
tation d'une grande- par Bérillon et P. Magnun, 246. Re- cherches
cliniques
pt thélapeu- tiques sur l'eptlepsie l' - et l
les enfants, par Lotiise Itoblnovitcll, 215. Voir Mensonge. Etude
clinique
et ana- tomo-pathologique sur 1' par 1 l'ehzz
e et ana- tomo-pathologique sur 1' par 1 l'ehzzi. 348. Recherches
cliniques
etthérapeuttques sur l'épilepsie et l' - par
La ponction lombaire en -, par 1)u(los, 311. But et moyen de la-
clinique
, par Kraepelin, 527. Psychotographie du manteau
ARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie e de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
1901 Vol. XII. Juillet 1901. - N° 67. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. Hallucinations psycho-motrices dans la
- sives ; elles sont assez souvent persistantes et identiques à 4
CLINIQUE
MENTALE. elles-mêmes dans les formes dépressive
qui persiste durant assez longtemps ne permet pas l'investi- gation
clinique
, tandis que le mélancolique ou le persécuté vie
lysie générale. b) Leur association étroite avec des convulsions 6
CLINIQUE
MENTALE. , des muscles masticateurs. c) Leur ap
tions senso- rielles soit auditives, soit visuelles. . .Les faits
cliniques
d'hallucinations psycho-motrices ver- bales, ob
des zones corticales-motrices. Tels sont les documents que nous 8
CLINIQUE
MENTALE. 1 avons pu rassembler dans la littérat
oyages multiples faits ensemble auparavant (délire rétrogade). 12
CLINIQUE
MENTALE. Cet état n'a persisté que quelques sem
III. 13r..., trente-huit ans, entré à Villejuif, venant de l'Asile
clinique
avec le diagnostic de paralysie générale, G mar
avant d'entrer à l'asile; mais. il ne la désigne pas autrement. 14
CLINIQUE
MENTALE. Quand on l'interroge, il répond assez
paralytiques généraux. Le tableau sui- vant nous l'apprendra : 16
CLINIQUE
MENTALE. vrai de prétendre que la self-satisfac
gésique étant altéré, cas qui fournissent le tableau suivant : 18
CLINIQUE
MENTALE. les ont vivement frappés ; si, comme n
issant et il reste tel d'ailleurs jusqu'à la mort. Or en février 20
CLINIQUE
MENTALE. et mars 189, il eut durant deux mois d
il a d'abord un délire génital dépressif puis expansif. A ces 22
CLINIQUE
MENTALE. conceptions délirantes de grandeurs et
souvent normal que les troubles moteurs étaient moins accusés. 24
CLINIQUE
MENTALE. On sait combien à la seconde période s
géra- tion ou au contraire l'affaiblissement et l'impuissance. 26
CLINIQUE
MENTALE. · V. En dehors de ces trois troubles f
des hémisphères. Si la physiologie expérimen- tale et l'observation
clinique
ont quelquefois affecté de ne relever que d'ell
sley, Flechsig t. La psychologie expéri- mentale, aussi bien que la
clinique
et l'anatomie normale et pathologique, ont bien
ute le plus souvent par des phénomènes dorso- lombaires. La forme
clinique
la plus fréquente de la paralysie générale post
ue serait donc sclérose cérébro-spinale disséminée et le diagnostic
clinique
: tremblement sénile avec symptômes de sclérose
temps l'organe de la Société ; 2° d'exposer dans l'auditoire de la
Clinique
psychiatrique, qui sert également de salle des
3,6 p. 100 des cas. Sur 13 autres cas notés dans les archives de la
clinique
, il le trouve dans 69,2 p. 100 des cas. Mais ce
éories hypothétiques, point de controverses doctrinales, mais de la
clinique
toujours, clinique basée sur la physiologie, te
s, point de controverses doctrinales, mais de la clinique toujours,
clinique
basée sur la physiologie, telle est la formule
, qui en facilitent la pra- tique pour le grand bien des malades.
CLINIQUE
NERVEUSE. Sur un cas d'amnésie continue, conséc
le service de M. le docteur Magnan.au bureau d'admission de l'Asile
clinique
(Sainte-Anne), le 3 avril 1900, pour des troubles
l'infirmerie spéciale du dépôt d'où il arriva le 3 avril à l'Asile
clinique
dans le service de M. Magnan où nous pûmes l'ex
nt. En dehors de quelques symptômes d'artériosclérose énumérés 88
CLINIQUE
NERVEUSE. plus haut, on ne trouve aucune tare p
nt les sensations perçues que l'on cherche à faire revivre,on se 90
CLINIQUE
NERVEUSE. heurte au même défaut de précision, o
l'écart et cherchais à tuer le temps en jouant aux cartes et aux 92
clinique
nerveuse. dominos,etc... » et plus loin : « Je
intoxications oxydai,- bouées. (Ann. 7)zécl. psch., 1900.) 94 -il
CLINIQUE
NERVEUSE. réveillés; mais on peut aussi se dema
e suicide par pendaison. (arc. cli- niques de Bordeaux, 1895.) 96
CLINIQUE
NERVEUSE. Féré signalent également des cas d'am
g1Ji, 1900, janvier.) Les auteurs ont eu l'occasion d'examiner à la
clinique
de Pise * un cas d'crythromélalgie typique qui
chent du type du suicide alcoolique, confir- mant ainsi les preuves
cliniques
du rôle prédominant que joue l'alcoolisme dans
aux condi- tions organiques du sujet. Si l'on passe du point de vue
clinique
et statistique au point de vue social, on voit
tistique sont en parfait accord avec les inductions de l'expérience
clinique
. Le suicide REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 133
. XVII. Lésions de chiasma optique, avec la relation de trois cas
cliniques
; par William M. LESZYNSKY, (Jot/1'Il. of Nerv. a
ent. Desease, Mars 1900). Après la relation de trois observations
cliniques
W. Leszynsky 142 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
e par l'hypnotisme. Ce dernier caraclère a une importance à la fois
clinique
et médico-légale. L'automatisme de la neuras- t
^. moins momentanée. Dans ces deux cas on nota les particularités
cliniques
et anatomiques suivantes : Premier cas. Malade
, et en même temps invitent à quelques remarques sur les caractères
cliniques
delà maladie. Les lésions pathologiques montren
oint de vue pathologique, elle est ces deux choses; au point de vue
clinique
, elle diffère du type habituel de l'une et l'au
stérieurs sont insignifiantes. Discussion. La comparaison des faits
cliniques
avec les recherches anatomiques, permet quelque
seul côté - condition qui peut s'expliquer par le fait que l'étude
clinique
fut faite quelques années avant la mort, et, da
ects. L'auteur pense que cette conclusion, contraire à l'expérience
clinique
, n'est pas suffisamment établie par les expérie
e pris, ce que l'auteur n'a pas personnellement observé. « Marche
clinique
. Durée de quelques semaines ou même des mois, q
r la nature des facteurs qui créent l'astéréognose et sur la valeur
clinique
de ce symptôme. Facteurs de l'asté1'éognose : 1
fisantes pour prévenir la perte du sens stéréognostic. Importance
clinique
de ce symptôme : Il est certain que l'asté- réo
mporale. Cette localisation diffère de celles trouvées dans des cas
cliniques
semblables par les observateurs précédents (parti
t pas faciles à déterminer pour l'instant, mais dès maintenant la
clinique
et l'anatomie pathologiques permettent d'admettre
montre différents états existant du cerveau, et leurs conséquences
cliniques
en rapport avec leur distribution topographique
us ou moins considérable des phénomènes spasmodiques constatés en
clinique
. La maladie de Friedreich est bien une affection
ganes thoraciques et abdominaux. L'ordre d'apparition des symptômes
cliniques
plaide déjà en faveur de cette manière de voir.
C'est sur le désir exprimé par les étudiants qui fréquen- taient sa
clinique
et pour leur être utile qu'il a écrit ce livre.
DO 1. Vol. XII. Septembre 1901. ' N° 69. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. CLINIQUE DE M, LE professeur André Mo
tembre 1901. ' N° 69. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE.
CLINIQUE
DE M, LE professeur André Moussons. Hystérie ju
ussant plus loin l'examen, on passe en revue les diffé- rents modes
cliniques
sous lesquels se présente cette hystérie, on es
st pourquoi, sur les conseils Archives, 2' série, t. XII. 12 el78
CLINIQUE
NERVEUSE. de notre maître M. le Prof. André Mou
le-même qui servit le client. Le lendemain 18 juin, elle vient à la
clinique
ophtalmologique de M. le professeur Badal, où e
- ment des deux côtés. Pas de lésion ophtalmoscopique, pas de 180
CLINIQUE
NERVEUSE. trouble de la vision des couleurs. L'
onfondent. On prie alors le père de la malade de la reconduire à la
clinique
dès qu'elle présentera une nouvelle crise. Ce
r à la maison. C'est à la suite de cette crise qu'elle revient à la
clinique
ophtal- mologique de M. le professeur Badal. Il
le moment; quelques jours après, le 18 juil- let, elle revient à la
clinique
complètement guérie et raconte qu'elle a recouv
. M. Aubaret, qui la revoit à ce moment, essaie de 'nouveau les z
CLINIQUE
NERVEUSE. mêmes manoeuvres que précédemment, en
'abdomen est souple, se laisse facilement déprimer sous lamain. 184
CLINIQUE
NERVEUSE. Le foie ne dépasse pas les fausses cô
si nerveuse (réaction douloureuse nulle par pression du cubi- 'LÔ(j
CLINIQUE
NERVEUSE. tal), ainsi que ligamenteuse et artic
a moitié anesthésique soit dans l'autre moitié. Si on pro- ' Leçons
cliniques
sur l'hystérie, t. I, p. 111-12. 190 CLINIQUE N
i on pro- ' Leçons cliniques sur l'hystérie, t. I, p. 111-12. 190
CLINIQUE
NERVEUSE. duit la même excitation sur le côté a
laquelle les crises avaient complètement cessé pendant trois. 1 92
CLINIQUE
NERVEUSE. mois, a été prise brusquement, au mom
(Brain, 1883, p. 4G3- Gi.) , Archives, 2° série, t. XII. 13 194
CLINIQUE
NERVEUSE. est incomplète ». C'est l'opinion de
1897. ' 10 7'milé de palhol. générale, 1901, t. V, p. 1125. · 196
CLINIQUE
NERVEUSE. temps, huit mois (Mendel), quatre moi
ucus. Manuel d'ophtalmologie, 2c édit. française. 1897, p. 630. 198
CLINIQUE
NERVEUSE. vision binoculaire est encore plus ra
toutes particulières, comme celles qui ont amené notre malade à la
clinique
de M. Badal, pour qu'on puisse étudier la visio
ux, na 27, 8 juillet 1900, p. 486.) ° Loc. cil., p. 225-26. ' 200
CLINIQUE
NERVEUSE. - vont se passer, ne suffit pas toujo
- rience va nous répondre. Un carton avec deux pains à cache- 202
CLINIQUE
NERVEUSE. ter rouges, distants de 6 centimètres
51. 2 Journal of ne1'VOllS and mental diseases, 2 fév. 1886. 204
CLINIQUE
NERVEUSE. la vision binoculaire, qui semble con
e, mais rigoureusement basée, au contraire, sur de nombreux faits
cliniques
. Nous nous sommes contentés de voir les faits, de
lle n'existait pas réellement, et qu'on la considère comme telle en
clinique
. ' Loc. cil., p. 226-28. 2 Loc. cit., p. 227.
de Parinaud. (Art. cité des Annales d'oculistiq., p. 36-37. ' 206
CLINIQUE
NERVEUSE. * Et cependant la persistance de la s
e renseignements sur ses antécédents hérédi- taires et sur le passé
clinique
et psychologique de sa famille. La malade passa
emme de ses compagnes. Elle l'ut soignée successive- ment à l'asile
clinique
(Sainte-Anne) (un an), à la Salpêtrière (qua- t
risse. Ces hallucinations naissen t brusquempnl. Dans les examens
cliniques
longs et répétés qu'il nous a été donné de pratiq
auses du désordre nous sont parfaitement connues. Dans quel cadre
clinique
placer ce tableau symptomatique ? Ce cas de psy-
n sait que la confusion mentale présente elle-même plusieurs formes
cliniques
dont la forme maniaque, c'est la place qu'on lu
sent toujours récentes en raison même de la rapidité de l'évolution
clinique
. Ce fait justifie l'absence contradictoire de c
her et très calcifiée, surtout dans le lobe droit » L'observa- tion
clinique
de cette malade fut décrite, il y a deux ans, dan
imples malfaiteurs. Ces tristes temps ne sont plns. L'observa- tion
clinique
, mieux disciplinée et plus complètement soustrait
fectionnements de la technique, j'entends aussi hien la tech- nique
clinique
et expérimentale que la technique histologique. I
connaissons, grâce aux efforts réunis de l'expérimentation et de la
clinique
, la part que prennent les intoxications et les
, n'est-elle pas elle-même, le plus souvent, comme le montrent la
clinique
et l'expérimentation, le résultat d'une intoxicat
r). -PRÉSIDENCE DE 1\1. E. BRISSAUD. Du délire aigu au point de vue
clinique
, azatonzo-patizologique et bactériologique. -Ru
nnent corrobo- rer d'une façon très nette l'assertion que les faits
cliniques
ont fait émettre au rapporteur : que le délire
nouvelle dans l'his- toire du délire àigu. S'appuyant sur l'aspect
clinique
de cette affection et sur des recherches anatom
nvisager comme un syn- drome dû à des phénomènes toxi-infectieux.
Clinique
. - Tableau filmique. Le délire aigu peut être pri
sio7d'une-vésanic : - . SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 D'après le tableau
clinique
, M. Carrier reconnaît deux formes au délire aig
- nesco. La marche des lésions histologiques répond à l'évolution
clinique
. Au premier temps, envahissement des éléments ner
mportance capitale : c'est que le délire aigu est une manifestation
clinique
toxi-infectieuse. Les recherches bactériologiqu
M. Régis. Il résulte du remarquable rapport de M. A. Carrier que la
clinique
, l'anatomie pathologique, la bactériologie, sont
igu est un état de nature toxique. Il me semble que c'est encore la
clinique
qui apporte le meilleur élément de preuves de c
qui vient de se pas- ser, tantôt elle est antérograde. En somme, la
clinique
nous permet bien d'affirmer que le délire aigu
s, en se basant sur des obser- vations personnelles, décrit un type
clinique
qui est le suivant : un fond de confusion menta
nirs antérieurs. L'observation que je rapporte rentre dans ce cadre
clinique
. ' V..., 24 ans, cultivateur, ne présente dans
la suite de l'infection syphilitique. Recherches expérimentales et
cliniques
sur l'hédonal, hynoptique du groupe des uréthan
à la faculté de médecine de Paris, et, d'autre part, des recherches
cliniques
poursuivies dans le service du Dr Landrieux, à
de l'intelligence ni des organes de la phonation. L'anatomie et la
clinique
démontrent l'indépen- dance des troubles de la
normaux et son inter- prétation physiologique. ` Des observations
cliniques
rapportées par M. Le Merle, et clas- sées en gr
es systématisés secondaires. Etude psychologique, pathogénétique et
clinique
; par le Dr Louis PROUST, ex-interne de l'asile
et les délires systématisés secondaires, il existe des différences
cliniques
importantes. Ces différences portent : 1° sur l
fluence des îlots analgésiques primitifs. Ces premières conclusions
cliniques
ont été déjà publiées dans une note communiquée
jusqu'à la pariétale ascendante. Figures. P. KERAVAL. XXX. Etude
clinique
des symptômes oculaires dans la sclérose postér
E NERVEUSE. 301 La « forme spinale » se voit moins souvent dans les
cliniques
ophtalmologiques, plus souvent dans les cliniqu
souvent dans les cliniques ophtalmologiques, plus souvent dans les
cliniques
de maladies nerveuses. Pendant une longue pério
s semblent quelquefois prendre une place importante dans le tableau
clinique
de la maladie, tandis que les manifestations mo
ans l'intervalle des attaques rendent très caractérisque le tableau
clinique
. L'examen d'une parcelle de muscle, prise à la
ation détaillée, se range à l'opinion de Frend quant l'indépendance
clinique
de cette forme de névrose mais fait des réserve
lexes ten- dineux et cutanés est fréquent et possède une importance
clinique
indéniable, il examine enfin les modifications
Les recherches expérimentales de l'auteur, ainsi que les don- nées
cliniques
, prouvent clairement que ce rapport n'est pas con
vent clairement que ce rapport n'est pas cons- tant. L'indépendance
clinique
du tonus et des réflexes confirme leur indépend
ontrée par deux séries de preuves. La première comprend des preuves
cliniques
: elle réside dans ce fait que souvent dans la
me parait être conforme ni aux faits physiologiques ni aux données
cliniques
. L'acte réflexe doit être considéré comme une p
, dont la production dépend de l'intensité de l'irritant. Les faits
cliniques
ne parlent pas non plus tout à fait en faveur de
ou moins complexes. Du reste, il existe déjà quelques observations
cliniques
, dans lesquelles une lésion de la partie cervical
s restreinte d'autant plus que les moyens d'investigation usités en
clinique
pour déterminer les réflexes sont très défectueux
une théorie de la contracture capable d'en expliquer les modalités
cliniques
. Mon opinion n'a pas changé et je n'accepte pas
ue. La théorie de M. Crocq ne saurait donc expliquer tous les faits
cliniques
. Con- trairement à M. Crocq, j'attribue une gro
organique. M. Babinski a montré au contraire combien sur le terrain
clinique
elle en était différente. Séance du samedi 3 ao
es. MM. L. Marchand et Cl. VURPAS. L'observation de plusieurs cas
cliniques
ont engagé les auteurs à entreprendre quelques ex
t lire un grand nombre d'observations dé- taillées, au point de vue
clinique
et anatomique, dans les Comptes rendus de Bicêt
se rendre compte de l'identité des lésions. Ce syndrome anatomo-
clinique
parait relativement fréquent. t. La psychose d'
IOE"ILLE. En raison de l'organisation défectueuse de l'enseignement
clinique
, beaucoup de médecins n'ont qu'une con- naissan
chambre, etc. En un mot, il réalise de façon complète le tableau
clinique
de la Catatonie de Kahlbaum. La nature des phén
que l'insolation provoque un état d'intoxication ainsi que l'aspect
clinique
des troubles mentaux semble le mon- trer. Ast
trois formes : simple, associee, mixte. Au point de vue de l'aspect
clinique
, ils reconnaissent deux formes, l'une con- tinu
arfois un peu aggravé. Des conséquences importantes au point de vue
clinique
découlent de ce fait clinique : 1° Au point de
séquences importantes au point de vue clinique découlent de ce fait
clinique
: 1° Au point de vue du pronostic : un accès ai
me. - L'INFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL. 383 384
CLINIQUE
MENTALE. surtout à l'irritation des organes sen
e à ce point de vue, et elle entraîne l'intoxication. (A suivre.)
CLINIQUE
MENTALE, Contribution à l'étude des réactions d
ciles et des idiots... f . . Archives, 2° série, t. XII. 25 386 .
CLINIQUE
MENTALE. Voici ce très instructif tableau : R
raphie était aussi accentuée en avant qu'en arrière et six '388 · "
CLINIQUE
MENTALE. C 'fois beaucoup plus à la poitrine qu
ld étaient en réalité aussi sains qu'ils le prétendent et s'ils 390
CLINIQUE
MENTALE. n'auraient pas été porteurs d'un nervo
rdre de fréquence les différences que nous avons relevées : 392 .
CLINIQUE
MENTALE. - Mais si ces tableaux nous permettent
- sément MM. Féré et Lance sur 19 alcooliques n'ont rencontré 394
CLINIQUE
MENTALE. aucun cas de dermographie. Mais nous n
M n M f M M t" Fi. Z H. en M co va 396 .
CLINIQUE
MENTALE. 23 p. 100 ; inférieure, par conséquent
ononce en faveur de ce mouvement, et, dans ses dernières Recherches
cliniques
et thérapeutiques, M. Bourneville réclame la cr
ent el éducation des enfants idiots et dégénérés, 1891;-Reclaerc%es
cliniques
et thérapeutiques de 1890 à 1900. REVUE DE PA
ale des alcooliques, et il se borne à indiquer que les observations
cliniques
d'homicide alcoolique démontrent excellem- ment
e personnelle, est loin d'être commune, il existe des preuves, tant
cliniques
qu'ana- tomo-pathologiques, que la syphilis est
eint d'affec- tion organique congénitale du cerveau, avec symptômes
cliniques
consistant en un abaissement des facultés menta
elles qu'avait depuis longtemps préconisées Parchappe, des sections
cliniques
, mais c'est à Alt-Scherbitz qu'on vit pour la p
es grands avantages que retirent les villes universitaires de leurs
cliniques
psychiatriques, non seulement au point de vue de
irmerie spéciale des aliénés, reprendra la série de ses conférences
cliniques
de psychiatrie médico-légale, le ven- dredi 8 n
péciale, 3, quai de l'Horloge. Après trois mois d'assiduité à cette
clinique
, un certificat de stagemédico- légal psychiatri
QUE. Carrier (G.) et'M.4,BTIN (E.).. Du délire aigu au point de vue
clinique
, anatomo-pathologique et bactériologique, avec
6 pages. Prix : 1 fr. 50. Librairie J.-B. l3aillière. Baymond (F.).
Clinique
des maladies du système nerveux, hospice de la
0-1901. Vol. XII. Décembre 1901. N° 72`. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. Délire aigu et urémie ; Par le D' A.
sions du Congrès, je présenterai ici sommairement deux observations
cliniques
qui, entre autres, me paraissent particulièreme
été ainsi formulé : « État Archives, 20 série, t. XII. 23 ,450 1
CLINIQUE
MENTALE. démentiel avec confusion complète des
ptômes trop éloquents pour être révoqués en doute. D'autre part, la
clinique
autorise à admettre qu'elle existait même avant
des asiles publics d'aliénés du département de la Seine, à l'Asile
clinique
; Par Lucien PICQUÉ, Chirurgien en chef des as
Magnan, membre de l'Académie ; MM. Dubuisson et Vallon, de l'Asile
clinique
; MM. Briand, Marie, Pactet et Tou- louse, médec
irecteur de l'asile de Villejuif ; M. Guillot, directeur de l'Asile
clinique
; M. Gillet, économe, 1\1. Péronne, architecte,'
architecte,' sont venus visiter le pavillon de chirurgie de l'Asile
clinique
. Ce pavillon se distingue de tous les pavillons
onditions qui ont été réalisées au pavillon de chirurgie de l'Asile
clinique
. - De plus, les deux services septique et asept
ischen Zustiinde, Leipzig, 1896, II' partie. 8 Krafft-Ebing. Traité
clinique
de psychiatrie, traduit sur la 5° édition allem
a ruine mentale du sujet, les stéréotypies ' ' J. P. Falret. Leçons
cliniques
de médecine mentale (faites à l'hospice de la S
e trop tardive de la maladie, pour pouvoir préciser leur origine.
CLINIQUE
NERVEUSE. Le mutisme hystérique dans l'histoire
grand nombre de faits qui répondent aux carac- tères de ce syndrome
clinique
. » - 1 Les faits relatés ici n'ont pas la valeu
Valère Maxime, liv. 1, cl1ap. vin. 5 Gilles de la ïourette. Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, tome II. 508
Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, tome II. 508 ' .
CLINIQUE
NERVEUSE. Perte de l'ouïe pendant deux ans et d
par M. Planque, docteur en médecine, liv. II, obs. V, 1698. 510 -
CLINIQUE
NERVEUSE. On trouve dans Bartholin une histoire
es. A peine a-t-elle cessé de boire qu'elle parle. 1 Pitres. Leçons
cliniques
sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I. 512 CLINI
Pitres. Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I. 512
CLINIQUE
NERVEUSE. - On a cru que la vertu des vulnérair
miques ou nerveuses, 1859. - " Archives, 2e série, t. XII. 33 514
CLINIQUE
NERVEUSE. teurs du XVIIE siècle ; la plupart so
es accidents aigus intercurrents et la prédomi- nance des symptômes
cliniques
dans le sens moteur ou sensitif. - , li. C. L
le paludisme n'est ni plus sûre ni plus invariable. - Ce phénomène
clinique
, rapproché de ce que nous savons sur la bactéri
ux ? - - A. M. VI. Traitement de la maladie de Little. Observations
cliniques
; par D : 1N1&L. (Policlinique, Bruxelles,
eprix Esquirol est décerné à. Petit, interne en médecine, à l'Asile
clinique
, et une mention très honorable est accordée à M
folie non myxoedémateuse dans lesquels, pour des raisons d'analogie
clinique
, certains médecins ont institué, avec succès, l
is avant sa mort, avait présenté un état mélancolique d'une forme
clinique
un peu spéciale. M. ViGouRoux se demande si l'o
Archives, 2' série, t. XII. 35 546 avis A NOS abonnés. COURS DE
CLINIQUE
DES maladies mentales ET DES maladies DE l'encé
LINIQUE DES maladies mentales ET DES maladies DE l'encéphale, asile
clinique
. M. le Pr JoFFROY a commencé le cours de Cliniq
'encéphale, asile clinique. M. le Pr JoFFROY a commencé le cours de
Clinique
des maladies mentales le lundi 18 novembre 1901,
novembre 1901, à deux heures et demie, à l'Amphithéâtre de l'Asile
clinique
, et le continuera les vendredis et lundis suiva
s, avant le cours, par MM. les docteurs Mignot et Mercier, chefs de
clinique
; 2° Exercices ophtalmolo- giques sur les malade
médecin en chef de l'Infirmerie spéciale des aliénés : conférences
cliniques
de psychiatrie médico-légale le mercredi et le
péciale, 3, quai de l'Horloge. Après trois mois d'assiduité à cette
clinique
, un certificat de stage médico-légal physchiatl'i
ble de la -, par Rossolimo, 62. Délire. Du aigu au point de vue
clinique
, anatomo-pathologique, et bactériologique, par
PU]31,IÉC SOTIS LA i)inr.CTION DE lli. A. JOFFRUY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médec
V. IYIAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Ste-Anne). F. RAYMOND l'rof ? cur de clini
decin de l'Asile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND l'rof ? cur de
clinique
des maladies du système ner%eux à la Facult
1 ! ) 0 .-¡ Vol. XX Juillet 1905 Ne 115 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE Morphinisme familial par contagion ,
se plus ou moins manifeste Archives, 2" série, 1903, l. XX. 1 2 '
CLINIQUE
N8RVEUSE. des facultés intellectuelles et moral
dé- tenteur et dispensateur des faveurs de la déesse ; en bon 4.
CLINIQUE
NERVEUSE. égoïste calculateur, s'il s'en réserv
in- génieux et peut s'appeler « le coup de la bonteittc » : il Ci
CLINIQUE
NERVEUSE. - consiste il substituer au flacon qu
. C'est lorsque la société se sent débordée par le flot montant 8
CLINIQUE
NERVEUSE. a du crime, qu'elle proclame le plu
no- manic ? Peut-être yscrail-il admis s'il prouvait contre le 10
CLINIQUE
NERVEUSE. médecin la faute professionnelle qui,
l serait temps dc'lutter autrement que par une guerre platonique.
CLINIQUE
MENTALE La phobie du regard ; Par le prof. W.
Rr.w. Revue de Psychiatrie, 189 ? p. 449 0t Xeur. Cenlr. 1900. 12
CLINIQUE
MENTALE. mon défaut physique et moral éveilla e
tement nerveux ; sc l'L'oal1l ingul'ri ? nlJlc il voulut se Ui- i l
CLINIQUE
" MENTALE. cider. Il se conduisait très bien à l
réable, qui provoque une forte contraction des paupières et des '10
CLINIQUE
MENTALE. muscles du globe oculaire et des contr
ntiment désagréable ou son souvenir y joue un grand rôle. Dans la
Clinique
, où le malade esl entré eu 1\1().le 28 octobre,
e sensation désagréable. En 1904, jusqu'au jour de son départ de la
clinique
, le 11 avril, on n'a pas conslate d'amélioratio
ps bien portant physiquement, quoique un peu pâle. ' Il quitta la
clinique
pour continuer le traitemcnt,ala.cam])a- : : ne,
e expression épou- ,\nCJJ ! VFS, 2" sé1'Ïe 1005, 1. XX. - > 18
CLINIQUE
MENTALE. vanlablc » à son regard, et il semble
- rais uriner en présence des autres lorsque les regards d'au- 20
CLINIQUE
MENTALE. trui sont fixés sur moi. Il faut dire
rir de la phobie du regard d'autrui. D'abord, elle s'imaginait t 22
CLINIQUE
AMENTALE. qu'on la tenait pour folle ; ensuite
favorable. Il m'arrivait aussi que je rougissais chaque fois que 21
CLINIQUE
MENTALE. j'entrais dans la chambre ; cela dura,
ent s'est formée chez la malade (1) Mois d'une romance russe. '23
CLINIQUE
MENTALE. ' - l'idée et la sensation d'avoir l'e
encontre avec des personnes étrangères, pour éviter le danger de 2S
CLINIQUE
MENTALE. me montrer ridicule par ce clignotemen
et ncrrrologistes français X", 1896 ; Archiv, de 1'eur., 1897. 30
CLINIQUE
MENTALE.. - . irrésistible des paupières et des
s publics d'aliénés ; Par le D' Lucien LAGHIFFE, Ancien chef de
clinique
il la Faculté, médecin des Asiles publies d'ali
mme internes d'asiles, soit comme internes des hôpitaux ou chefs de
clinique
. Enfin, ces médecins-adjoints sont âgés, tous o
donnée de bromure a été invariable.) Au premier abord, cet insuccès
clinique
paraît devoir servir d'argument contre la théor
son opinion : qu'on a tort de faire actuellement des quatre formes
cliniques
décrites de la démence précoce des variantes d'
cesse son Tm re. La seconde partie de l'ouvrage est, consacrée à la
clinique
et à l'anatomie pathologique. Elle commence par
e de M. Godlewski est une oeuvre fort complète tant au point de vue
clinique
qu'au point de vue thérapeutique. Un pre- - mie
, disons cependant qu'ils sont remarquablement décrits avec un sens
clinique
parfait. La pathogénie de l'état neurasthénique
rie Daix frères. Vol. XX Août 1905 ? 116 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE c 1 sur un cas ae lésion ae ia que
e sacrée ; Par le D' ITALO BOSS ! . (Travail du Laboratoire de la
Clinique
du Pr R.muow.) Dans la littérature neurologique
hirurgie, 1903, XI Bd.) , . Archives, 2° série, 1905, l, XX, 6 82
CLINIQUE
NERVEUSE. ,rurgiens nous, démontrent cependant
sacrée ou lombo-sacrée, on parle si rarement, tant au point de vue
clinique
qu'ana- tomo-pathologique, de lésion de la queu
queue de cheval. A la suite, ont été publiées quelques observations
cliniques
complètes sur la lésion de la queue de cheval c
de Bartels (3). Peut- être la rareté d'observations, même purement
cliniques
, ¡le ce genre dépend encore du fait que ces mal
ore du fait que ces malades sont pourlapluparthospitalisés dans des
cliniques
chirurgica- les. Maintenant que nous avons des
kiego (.Iahresbericli6 sur Neur. und Psyschiatrie, 1901, 497.) 84
CLINIQUE
NERVEUSE. travaux cités plus haut, sur la possi
sacrée avec lésion secondaire de la queue de cheval. Observation
clinique
(résumée d'après les notes prises dansle servic
ion clinique (résumée d'après les notes prises dansle service de la
Clinique
). M. \\ ? 3,1 ans, mécanicien, entré à laSal- p
biceps, triceps) forts des deux côtés. flaccidité et,peut-être, 86
CLINIQUE
NERVEUSE. très léger amaigrissement des muscles
ns dilatés et remplis de caillots tibrineux : pas de tubercules. 88
CLINIQUE
NERVEUSE. Le tissu épidural, au niveau de la fa
. En aucun point on constate de l'infil- tralion embryonnaire. 90
CLINIQUE
NERVEUSE. Moelle. Les coupes faites au niveau d
rses hauteurs, sont en grande majorité normales- ; on retrouve 92
CLINIQUE
NERVEUSE. seulement quelques rares cellules ave
heval se fasse, dans le sac durai même, par les masses caséeu- 94
CLINIQUE
NERVEUSE.. ses du tissu épidural ou par un abcè
de cheval par tuberculose sacrée ou lombo-sacrée. Au point de vue
clinique
aussi, notre cas offre des par- ticularités int
es lésions radiculaires s'accordent d'ailleurs avec les symptômes
cliniques
; avec un tableau symptomatique constitué presq
as avec autopsie, de Ces- tan et ]3aboniieix, dans les observations
cliniques
de Du- four, Bregmann, Cestan-13abonneix, Barte
re ou de la symphyse sacro-iliaque; cyphose des dernières ver- 96
CLINIQUE
NERVEUSE. tèbres lombaires, pression douloureus
aque. C'est ainsi que, dans une des deux complètes observa- tions
cliniques
de Bartels, il existait, aux environs de la sym
ne d'être publié par ce qu'il se rapporte à une forme anatomique et
clinique
particulière sous laquelle peut se présenter l'
la queue de cheval secondaire à l'ostéite tuberculeuse du sacrum.
CLINIQUE
MENTALE Cholémie et mélancolie ; Par le docte
adies mentales, Paris, 1802. Archives, 2° série 1905, t. XX. 7 98
CLINIQUE
MENTALE. Le mauvais fonctionnement d'un organe,
t. Lorsqu'on examine les organes des mélancoliques par les moyens
cliniques
et les procédés de laboratoire, on constate que
dès le début de la mélancolie, avant même l'apparition du syndrome
clinique
, de la dépres- sion psychique. On observe le ra
Hépalo-loxémie nerveuse. (A i-cil. gérr, de Médecine, 1896.) 100
CLINIQUE
mentale. nous pouvons citer IIammond (1), qui,
e les mélancoliques présentent des troubles physiques et des signes
cliniques
, qui attestent bien que le foie est lésé et par
iuesingeu - Tmilé des maladies mentales. Trad. Doumic, 18fi3. 102
CLINIQUE
MENTALE. L' impuissance génitale des cholémique
mptômes d'une dégénérescence men- tale et, d'autre part, les signes
cliniques
d'une affection biliaire familiale. La dégéné
ations soignées. Vomi- ci d'abord le bilan de 1 8 cas ci diagnostic
clinique
indubitable pour lesquels il a étépratiqué 103
, qui ne peut être utilisé qu'en le rapprochant des autres « signes
cliniques
. Le résultat cytologique n'a sent de rien pour
'ia et(I'liys[éi,ie.])epuis les huit années qu'elle est observée la
clinique
, les deux pupilles, égales, de dimensionsmoyennes
lis héréditaire. L'inertie pupillaire existe depuis son entrée à la
clinique
: il avait alors 17 ans. La même inertie existe c
uvelle contribution à l'anatomie pathologique de la tétanie ; étude
clinique
des vaisseaux de l'encé- phale calcifiés; parA.
chez les aliénés ; par A. 1'ZARIÉGRADSICI. Contribution à la valeur
clinique
de l'onde musculaire ; par E. X. Ivvanovv. (Obo
laire est'diminuée ou perdue temporairement ou pour toujours. 5. La
clinique
men- tale ou nerveuse enregistre ce qui suit :
ation précise, on put retrouver chez le malade quel- ques symptômes
cliniques
de myotonie, notamment une légère raideur au dé
té mentale ; à M. Petit pour sa thèse intitulée : Revue critique et
clinique
des atrophies musculaires progressives. M. 13.
dans les Comptes-rendus de Bicètre (1880.It1U1) et dans nos Etudes
cliniques
et thermométriques dans les maladies nerveuses, l
souvent du côté opposé au siège de la douleur ; c'est un argument
clinique
en faveur de l'entrecroisement des libres sensith
l'uni- forme et des insignes militaires. , Dr Berillon. Pédagogie
clinique
; l'éducation de la peur et le traitement psych
infirmier en moyenne. Mais, comme le dit parfaitement, pour l'Asile
Clinique
, le Dr Dubuis- son, c'est là une moyenne qui ne
le nom de névrite ascendante à un processus à la fois anatomique et
clinique
. Les congressistes se réunirent ensuite, au nom
importe, ce n'est pas tant l'é- tvde historique, ni la description
clinique
, mais bien plutôt l'ori- gine et la situation n
tout d'abord à l'étude palhogénique de l'idée hypochondriaque, base
clinique
invaria- ble, nécessaire et incontestée de tout
éraux dans l'hypochondrie à l'aide d'un grand nombre de documents
cliniques
et anatomo-pathologiques. En dehors des travaux
t, qu'il me soit permis de relever une petite erreur de séméiologie
clinique
commise par -NI. Roy ; d'après lui, le délire d
hystériques proprement dits. Ici, il s'agit bien d'une moda- lité
clinique
particulière de l'hystérie elle-même, il s'agit
nier genre. Les caractères princi- paux sont : As Au point de vue
clinique
: a) l'unilatéralité ; b) l'asso- ciation, dans
douteux cependant que les réactions histologiques et les symptômes
cliniques
ne soient, dans ces cas, d'ordre bien différent
rique). b) 11'ervo-conductibilité microbienne (virus rabique). La
clinique
, l'expérimentation, l'anatomie pathologique. lé
étape (étape radiculo-médullaire) n'est confir- mée par aucun fait
clinique
ou anatomo-pathologique. Cer- tains faits de sy
s le bénéfice de ces réserves, je dois ajouter que les observations
cliniques
des malades chez lesquels ont eu lieu les const
ssAO. Je suis convaincu que MM. Sicard et Léri mettront d'accord la
clinique
et l'anatomo-pathologie, car il faut qu'en sort
dante et de savoir si l'on doit entendre par ces mots un syndrome
clinique
très bien défini par M. Sicard et auquel il a for
oit une lésion médullaire. Cette vue de l'esprit est une réalité en
clinique
: en effet, nous avons trouvé le signe de Kerni
. De la galvanisation cérébrale. Signification thérapeu- tique et
clinique
. Dur FOVEAU de GouRMEt.LEs (de Paris). Les cour
les variations de la formule leucocytaire avec les diverses phases
cliniques
ou les ictus de la paralysie générale, l'albumo
vantes' « La ponction lombaire a fait ses preuves ; ses résul- tats
cliniques
, diagnostiques, pronostiques et thérapeutiques
le range. Nulle thérapeutique ne réclame plus de sens d'opportunité
clinique
, une conception plus synthétique et plus coordo
onisme qui existe encore entre les sciences dites accessoires et la
clinique
, dans l'enseignement de nos Facultés de médecin
théra- pie il l'hôpital Laennec, n° (il ! . Installation il l'Asile
clinique
d'un service de hains et d'hydrothérapie destin
t, enfin, la nécessité d'instituer dans les hôpi- taux des cours de
clinique
hydrothérapique, dans lesquels les élèves, inte
cin, et il me semble qu'on va trop loin (1) Traité thérapeutique et
clinique
d'hydrothérapie, 186G, p. 224. BALNÉATION ET HY
de l'insuffisance' diaphragmati- que. Dans les cas légers, l'examen
clinique
ne révèle que l'a- maigrissement, l'émaciation
ntres corticaux régulateurs de la respira- lion ? P Les résultats
cliniques
sont d'ailleurs évidents. L'attention, l'intell
ncore d'une jeune idiote aveu- gle-née, morte dans le service de la
clinique
du professeur Pierre[. Les pièces étant encore
NGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. lité de celte forme
clinique
en lui donnant comme base ana- tomique une méni
es d'hérédo-syphilis. Le traitement a confirmé la relation que la
clinique
tendait à établir entre la syphilis et l'amyotr
ais neres. Vol. XX Octobre 1905 " Nu 118 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE Sur un cas de délire métabolique de l
t;tlc de Gill)ert BtlIeL Archives, 2« série, 190.ï, t. XX. 17 258
CLINIQUE
MENTALE. bolique coexistaient, quoiqu'à des deg
hez la- malade dont- nous relatons ci-dessous l'histoire. L'étude
clinique
et analytique que nous en avons faite permet, c
dit-elle, du l'empoisonner pour la punir de l'avoir abandonné. 260
CLINIQUE
MENTALE. (Peut-être s'agit-il là d'une interpré
is il est facile de se rendre compte au ton de ses réponses que 262
CLINIQUE
MENTALE. - le fonctionnement de ses viscères ne
devons maintenant chercher à interpréter. En présence du tableau
clinique
dont nous venons de reproduire les principaux t
it.1. 1S93. L'Orientation, 1000. Le Sens des altitudes, 1904. 204
CLINIQUE
MENTALE. pondre au moins dans une certaine mesu
ont nous avons publié antérieurement l'observation. Les différences
cliniques
relevées dans les deux cas sont dues uniquement
if des régions correspondantes de l'écorce cérébrale, ne sont 200
CLINIQUE
MENTALE. plus adéquates a leurs excitants norma
e et les psychoses de la convalescence. 2° Symptomatologie. Le type
clinique
des psychoses dans toutes les infections aiguës
ymptômes mentaux et somatiques de la paralysie générale. Le tableau
clinique
est le même et cet état ne diffère de la paraly
cité des cas de ce genre, dans lesquels rien ne manquait au tableau
clinique
: em- barras de la parole, tremblement ataxifor
jours qu'ils impliquent une désagrégation (1) KIIAFFT-EDING. Traité
clinique
de Psychiatrie. Trad. franc., Laurent, Paris 18
médecins, un ensemble ne pensant plus qu'a ce concours et plus à la
clinique
. Ce concours serait-il il généralisé à toute la
a pas inté- rêt à approprier chaque médecin à cette spécialisation
clinique
? - ? Il n'est pas prouvé que le département de
ince et le niveau du concours s'est élevé. Nous avons vu un chef de
clinique
accepter un poste de médecin-adjoint dans un as
st venu disputer au dernier concours la première place à un chef de
clinique
de Paris. L'administration et le ministère sont
ison de leur nomi- nation comme médecins-adjoints ou comme chefs de
clinique
, les années d'adjm at ou de clinicat seront com
r les médecins malades ou en congé. (2) Pourquoi exclure le chef de
clinique
des Maladies nerveuses '' Celle-ci et les Malad
entale pour laquelle il sera accordé quatre heures. Il. Une épreuve
clinique
sur des malades d'un service d'aliénés. Le cand
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 313 myopathie et sont un bon argument
clinique
en faveur de la na- ture myopathique de la mala
Le Professeur applique aux ataxies familiales l'essai de syn- thèse
clinique
qui a été tenté pour d'autres affections et qui e
é du type classi- que de Friedreich, un type spécialau point de vue
clinique
et ca- ractérisé anatomiquement par l'atrophie
spinale et la forme cérébelleuse, ne possè- dent pas de caractères
cliniques
et histologiques suffisamment in- dividuels pou
de troisfrères et soeur d'une même famille chez lesquels le tableau
clinique
et les lésions cons- tatées furent presque iden
e, 1904, no 4.) A la suite de "Ioeli, ilolden, et par des arguments
cliniques
et anatomiques, Léri combat la théorie de l'ori
cas pst rapproché par Boucarut de celui d'un ma- lade présenté à la
Clinique
du P1" Lépine en 1893-94 et dont il ré- sume l'
ation de névrose traumatique comporte un double élément, un élément
clinique
et un élément étiologique. Le pre- mier consist
omyélie qui ne présente rien que de très classique dans son tableau
clinique
et l'aspect macrosco. copique des lésions, mais
ingomyélie, il y a des syringomyélies qui ont de commun le syndrome
clinique
elle développement de cavités médullaires, mais
et non isolément surles ré- sultats fournis par la statistique, la
clinique
, l'anatomie patholo- gique, l'expéri mentation.
la Légion d'hon- neur : M. le Dr Vallon, médecin en chef de l'asile
clinique
(Sainte-Anne). Officier de l'Instruction publiq
aix frères. Vol. XX Novembre 1905 N" 119 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE Contribution à l'étude de la démence il
augmenté progressivement Archives, 2- série, 1905, t. XX. 22 338
CLINIQUE
NERVEUSE. (vin, absinthe). Il a eu dans l'enfan
unc blépharite ciliaire à 9 ans. Température à l'entrée. ' 340 '
CLINIQUE
NERVEUSE. contre l'oreiller. Les yeux se tourne
place. Il perd ses crayons, plu- . Fig. Il.- nar... Juin 9SW. 342
CLINIQUE
NERVEUSE. mes et porte-plumes et accuse les aut
che ouverte à peu près constamment. . rr ? 13. - Mars 1897. 344
CLINIQUE
NERVEUSE. Fig. 14. Août 1897. Fig. 15.- Octob
cile. Par moments. H syllabe à peine. La parole s'embarrasse 346
CLINIQUE
NERVEUSE. de plus en plus. Il hésite toujours u
u rit de tout. L'attitude 1'ir. 19. - l3ar... cu .eoul 1J01.- 348
CLINIQUE
NERVEUSE. , devient de plus en plus mauvaise. L
Fig. 21. - Ilar... en janvier 1fK)\. - Mesures de la tête. 352
CLINIQUE
NERVEUSE. accès ont continué malgré un traiteme
use tic répilepsie. Archives, 2° série, 1905, t. XX. - 23 35-1 -1
clinique
nerveuse. Aùdoll ! Cl1. -Foie cl rate l'OIl8'l'
and les accès sont très fréquents. (Voir le tableau, p. 351) (1).
CLINIQUE
MENTALE Cholémie et Mélancolie {Fin) (2). l\i
n'est point là une division schématique, mais bien une constatation
clinique
. Il faut donc se baser non sur l'intensité de l
manquent, mais nous savons que sur 10 enfants, 5 sont morts en 364
CLINIQUE
MENTALE bas-àge, de 2 il 5 ans, de méningite. E
e perceptible.. Les urines ne con- tiennent plus d'urobiline. SUS
CLINIQUE
MENTAL 13. La température est normale, sans inv
en premier lieu ; la cholémie a diminué avant qu'au- cun changement
clinique
, au point de vue mental, ait pu faire pressenti
urée, la disparition des si- gnes de cholémie été très nette. 3G8
CLINIQUE
MENTALE. Il nous est donc permis de conclure qu
n do cette session,de concert avocat. X. Francotte, professeur de
clinique
des maladies mentales a l'Université de Liège, on
e confirmé parles éludes actuellement en cours au Laboratoire de la
clinique
. Pour Aixhenner, le processus histologique de l
at,iondu profes>eurde.Cene\eesLu ! ) nouvel exemple de ce l'ait.
clinique
que des lésions périphérique» peuvent retentir
atomie pathologique (lésions périphériques et centrales) et pour la
clinique
des sym- ptômes polynévritiques des membres.
ice ou honorai- res, et le médecin du Bureau d'admission de l'Asile
clinique
; et Irois membres tirés au sort parmi les médec
veux, pour laquelle il sera accordé lrois lu : nres; 2° une épreuve
clinique
commune sur un malade. Il sera accordé au candi
nl le Jury, après cinq minutes de 1'('. Il e,\ ion ; 3° une épreuve
clinique
sur les maladies mentales : un seul malade. Il
apport sera faite au début de.la séance suivante ; ,')0 une épreuve
clinique
·nr ilruv malades d'un service d'aliénés.Lecand
: pou l' la pl'em ière épreuve écrite : 30 points ; pour l'épreuve
clinique
commune : 20 points ; pour l'épreuve clinique s
ints ; pour l'épreuve clinique commune : 20 points ; pour l'épreuve
clinique
sur les maladies mentales, à un seul malade : 2
ints ; pour la deuxième épreuve écrite : 30 points ; pour l'épreuve
clinique
sur deux malades : 30 points. Cette affiche dat
de Pott ; l'Ail le D' 1T.\LO HüSS1 (Travail du Laboratoire de la
Clinique
de M. le Prof. R m'ntovu). Il n'est pas de ques
de l'effusion de la lymphe par stase lymphatique. Sur le terrain
clinique
etanatomo pathologique,1a théo- rie inflammatoi
ésenté des troubles médullaires. Ces cas ont été recueillis dans la
clinique
de M. le prof. Raymond auquel nous sommes heure
ant l'exposé de chaque cas qu'un résumé succinct de son observation
clinique
, d'après les notes prises dans le service. Nous
c lindr<l'o.l' nn peu tuméfie. isolé, ou entouré d'une gaine m\
clinique
forlement dilatée, irrégulière, se colo- rant t
t référer à d'autres causes,nous terminerons par un résumé du cas
clinique
correspondant. - Le malade examiné, M. A. était
facilement agglutiner par le sérum normal. M. Sicard, alors chef de
clinique
à la Salpêtrière, en partant soit de mes cultur
é 37 cas dans ces derniers temps, dont j'ai étudié les ca- ractères
cliniques
. La face est caractérisée surtout par l'aplatis
de l'inflammation de la tin roule. Le D'Hayon a eu l'occasion, à,la
clinique
de Wurxhurg, d'étu- dier les glandes thyroïdes
C'est cette étude qui a été entreprise par un des ancienschefs de
clinique
de M..toilroy, M. IeD Bogues de Fursac, déjà conn
e exécution irréprochable. C'est assez dire la richesse du matériel
clinique
auquel a dû puiser l'auteur pour mener à bien b
fait hon- neur à la fois au 1) Bogues de Fursac et à l'Ecole de la
Clinique
de Sainte-Anne dont il aété et, dont il reste u
il reste un des plus brillants représentants. G. DrNY. XX. -Etude
clinique
et essai de classification des névralgies inter-
igantisme (1903). Cette thèse fut couronnée par la Faculté. Chef de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de Pa- ris d
ans. (Soc. anatomique., 2S février 190 ? ) 8. Nouvelles recherches
cliniques
sur le processus angineux dans la scarlatine chez
ARIA ENSEIGNEMENT de la NEUROLOGIE et de la psychiatrie. Cours de
CLINIQUE
des maladies DU système nerveux. M. le ! )''UAY
adies DU système nerveux. M. le ! )''UAYMONn a commencé le cour» de
clinique
des maladies du sli'I11e llL'r'\L'U'i : , le ma
et pathologie du système nerveux, M. le Ur Alquier ; Psvcho- loiiic
clinique
, M. le Dr Janet, ; Elecirodiagnoslie et élecLroLh
jours et heures de ces conférences complémentaires. 500 varia.
Clinique
des maladies DU système nerveux, (il. le Prof. 1
,' avec le concours et la collaboration de .\1.\1. Lejonne. chef de
clinique
de la Fa- culté. Dupuy-Dutemps, chef du service
à 5 heures de l'a- près-midi, à la Salpêtrière, salle d'examen delà
clinique
. Les leçons auront un caractère essentiellement
t n° 3) les mardis, jeudis, same- dis, de midi 3 heures. COURS DE
clinique
des maladies mentales et des maladies de l'encé
npFROY a commencé le cours de n¡ 1 s nlvr. as. : )01 , .... . t
clinique
des maladies mentale^ le samedi 18 novembre 1 ! 1
nts, à la même heu- re.- 1" les 1)'a ,luquelier et Vurpas, chefs de
clinique
, com- menceront un cours théorique de psychiatr
Thomas et Lecn- hardt, p. 491. Compte rendu. Voir Recher- ches
cliniques
et thérapeute- ques. Concours de l'adjuvat- d
313. Galvanisation cérébrale. , Signification thérapeutique et
clinique
, par Foveau de Courmelles, p. 202. Gangrènes
, p. 70. Neurologie. Enseignement de la - et de la psychiatrie.
Clinique
des maladies du système nerveux par Ray- mond
ie. Traitement de 1 faciale rebelle, par Ost- watt, p. 483. Etude
clinique
et essai de classification des - - intercosta
aliénés, par Tzariégradski, p. 128. Contribution à la va- leur
clinique
de 1' , par 7tvanow, p. 128. De J' daus la4 I
, p. 247. médical. Asile Saint- Robert, p. 334. Peur. Pédagogie
clinique
, l'é- ducation de la et le trai- tement psych
lecture des pensées et les - , par Hannistc, p. 326. Recherches
cliniques
ET Tlif- rapeutiques sur l'épilepsie, l'hysté
ouvelle contribu- tion à l'anatomie pathologi- que de la -, étude
clinique
. 33 514 TAULE DES MATIÈRES. des vaisseaux
ARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Ste- : lune). F. RAYMOND Professeur de cli
cin de l'Asile clinique (Ste- : lune). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies 1 du système nerveux à la Facu
e simple contribution au traitement d'abord, et accessoirement à la
clinique
de l'Incontinence essentielle d'urine. En l'esp
dents héréditaires et personnels des malades, et des particularités
cliniques
qui ont plus particu- lièrement attiré notre at
abord ; nous exposerons ensuite nos observations avec les remarques
cliniques
et les résultats thérapeutiques qu'elles compor
utiles, et nous passons immédiatement à l'exposé sommaire des faits
cliniques
qui servent de base à ce travail. Mais une chos
'assurer. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Athétose double. Leçon
clinique
de M. le professeur SPEHL, recueillie par M. le
ÉStAT0TtIYÉLIE DU cône terminal; par M. F. RAYMOND, profes- seur de
clinique
des maladies du système nerveux. Leçon faite il
la Salpêtrière, le 24 mai 1895, recueillie par M. Souques, chef de
clinique
. (Nouv. Iconographie de la Salptïrière, 1895, n°
nt, de chaque côté, même forme et même étendue. Cette description
clinique
peut, en dernière analyse, se résumer ainsi : p
VIDUS BIEN PORTANTS ; par M. Paul Richer, chef du laboratoire de la
clinique
des maladies du système nerveux, à la Salpêtriè
ière le 14 juin 1895 et recueillie par M. le Dr A. Souques, chef de
clinique
. (Nouv. incolzogl·. de la Salpêtrière, 1895, n° 5
ue. (Nouv. incolzogl·. de la Salpêtrière, 1895, n° 5.) Dissertation
clinique
sur le cas d'un enfant, à antécédents per- sonn
n a pour complément une autre observation identique. Suit une élude
clinique
et critique à la lumière d'obscr- vations empru
eloppées avec rapidité, en deux jours, et reproduisaient le tableau
clinique
de la paralysie générale à sa période termi- na
savoir la suppression brusque de l'opium c'est encore l'observation
clinique
qui a déterminé Flechsig à l'essayer. Il avait
compense de 1,000 francs est attribuée à MM. Tatty et Toy, chefs de
clinique
à la faculté de Lyon. La Société met au concour
ications chroniques leur marche pst fort différente au point de vue
clinique
; en outre il y un grand nombre de modifications
hloralose, etc., etc. Puis il s'attache plus spécialement à l'étude
clinique
du trional et du tétronal, à leurs effets dans
et diagnostic; Péricardite, symp- tômes et traitement. Les épreuves
cliniques
ont eu lieu à l'asile d'Armentières. ' Le con
(3°). Epreuve écrite : Faisceau pyramidal ; .épreuve orale : Formes
cliniques
de l'urémie. Pour la région de Paris : 11114. L
ta, 1896. Archivio di Psichialria. Roubinovitcii (J.). Des variétés
cliniques
de la folie en France et en Allemagne, avec une
lll.wu f)UOUI;, Ancien iritei ne des hôpitaux. , TRAVAIL DE L\ \
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈ\lE NERVEUX. Laboratoire d
e longueur, sur 0 ? 04 de largeur dans son milieu. La description
clinique
de la maladie, son évolution', la nature histol
ui de celles de Bondurant. Pour conclure : dans une telle situation
clinique
, quand le cerveau est intéressé sur toute sa co
ictus multiples, s'il y a quelque sujet d'hésitation étiologique ou
clinique
, il faut dans le dia- gnostic réserver une plac
; Par M. P. YVON, Chef du laboratoire de tlidi-apetilicltie de la
Clinique
des maladies nerveuses à la S,dpêlrièl'c. Par
ement scientifique, élayé sur la psychologie plus encore que sur la
clinique
. Les auteurs, qui se proclament disciples de M.
ngers, si bien, que leurs rapports sont de véritables dissertations
cliniques
très intéressantes souvent. Je crois que cela e
accès de folie dont il été atteint est, on l'a vu par ladescriplion
clinique
qui en est donnée ci-dessus, un accès de confusio
6.) E. B. IX. UN cas DE folie morale; par le D'' Gorton. Histoire
clinique
intéressante d'un cas type de folie morale. A p
notions de psychiatrie; et pour cela il faudrait que l'enseignement
clinique
des maladies mentales devint obligatoire et que
partie du programme des examens, et un stage d'un semestre dans une
clinique
des maladies mentales doit être exigé des candi
groupe de faits d'ailleurs non identiques enlre eux au point de vue
clinique
. M. Koppen insiste sur quelques symptômes parti
ZIG n'admet pas que la folie des persécuteurs ne soit pas une forme
clinique
, qu'il n'y ait pas de « querulantenwahnsinn ».
ues différents, on peut en dire autant de presque toutes les formes
cliniques
. Si, en outre, on invoque cet argument qu'il y
squels les idées délirantes passent au second plan, dans le tableau
clinique
, devant la prédo- minance des anomalies du cara
tion générale, tout en refusant à ce mot de repré- senter une forme
clinique
unique et tout en le rejetant au point de vue m
réclamations, car cette expression est appuyée sur des observations
cliniques
excellentes. A 111. Bruns je répondrai 148 SOCI
teurs étiologiques divers ne prouve rien contre l'unité de la forme
clinique
que ce mot désigne. Ce délire peut constituer une
au cours de diverses psychoses, mais il est avant tout une variété
clinique
de la paranoïa. Cette forme apparaît sur un fond
n- sidérer. La folie des persécuteurs, qu'il s'agisse de la forme
clinique
spé- ciale désignée habituellement sous ce nom
E. Séance du 29 juin 1896. Présidence de M. Charpentier. Variétés
cliniques
de délire de persécution. M. Falret. Il existe
e de persécution classique, à quatre périodes, n'est qu'une variété
clinique
du délire de persécution. Le délire de persécut
délire de persécution se présente, en effet, sous plusieurs formes
cliniques
et l'on peut admettre cinq variétés. Nous connais
élire de grandeur. Enfin la démence est loin de composer le tableau
clinique
de la dernière période. A ce moment, c'est plut
xisté-t-il des rapports entre les variétés du début et les variétés
cliniques
des périodes ultérieures ? Quels sont-ils ? tel e
n- nants, en un mot, tous les représentants des diverses variétés
cliniques
, dans le cadre des persécutés dégénérés dont il g
nche, singulièrement nuisible en pathologie spéciale, et surtout en
clinique
. A l'époque où vivait Lasègue, on voyait des pe
sparaître. Aujourd'hui, ce qu'il faut diagnostiquer, c'est la forme
clinique
du délire. Puisque l'anatomie pathologique nous
ant quels autres caractères avons-nous pour distinguer les variétés
cliniques
et modifier le pronostic suivant ses variétés ?
s tromperions plus souvent. MARCEL 13RIAND. BIBLIOGRAPHIE. III.
Clinique
des Maladies du Système nerveux ; par le professe
éthode de son maître, M. Raymond étudie d'abord lon- guement le cas
clinique
, et profile de ces cas pour étudier dans ses po
a queue de cheval comprend deux intéressantes leçons. Deux exemples
cliniques
servent de point de départ. M. Raymond en profi
une symplomatologie très détaillée, il insiste sur les groupements
cliniques
variables suivant la localisa- tion différente
s forme deux chapitres intéressants de cet ouvrage. Entre les types
cliniques
, il existe des types intermédiaires nombreux pe
. ? l'¡jÉc'lIilOI (J.). Reclierches bibliographiques, statistiques et
cliniques
1 sti ? 'lês' maladies : mentales d'origine tra
ages. --Paris, 1896. Librairie H. Jouve. ? - BOÜR : 11LLE. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hysté¡;ie;
lume in-8° de xv-288 pages. Prix : 5 francs. Krafft-Ebing. Traité
clinique
de psychiatrie, traduit sur la 5° édi- tion all
talement progressive et irrémédiable dans toutes ses manifestations
cliniques
était tellement puissante, que malgré la haute
. Wochènschr., 1892, n° 17. Archives, 2° série, t. Il. 11 i 162
CLINIQUE
NERVEUSE. remarque, c'est encore au même maître
paraît un travail sur le même sujet du Dr Ostankoff 2, fait dans la
clinique
du professeur Bechterew à Saint-Peters- bourg.
és dif- férents, etc. 1) j 1 Leytlell. - I,nc. cil. ' 164 ' "
CLINIQUE
NERVEUSE. Mouvements coordonnés compliqués : ma
les genoux fléchis exécuter avec les bras des mouvements de 166 . '
CLINIQUE
NERVEUSE. gymnastique; z,161, se tenir sur une
térieur à notre publication (,N'eiii-ol. Centrb., n° 13, 1893). 168
clinique
NERVEUSE. et repris confiance dans leurs jambes
e même sujet nous avons insisté sur ce.fait, que tous les symptômes
cliniques
que pré- sente un tabétique ne doivent pas être
devrait trouver un autre mot pour caractériser les troubles de 170
CLINIQUE
NERVEUSE. l'équilibre, dont ces malades souffre
sensibilité tactile et de la sensibilité musculo-articulaire. 172
CLINIQUE
NERVEUSE. ' On sait que les organes qui, par le
n de la sensibilité. Chez nos malades nous avons toujours vu, 174
CLINIQUE
NERVEUSE. que la sensibilité ne s'améliorait qu
nomène plantaire chez le tabétique Revue de Neurologie, 1895. 176
clinique
NERVEUSE. thésie tactile plantaire, et elle a l
pouvait à l'aide d'une canne Archives, 2° série, t. II. 12 - 178
clinique
NERVEUSE. circuler seul dans l'appartement, et
our juger de sa valeur réelle, il faut choisir des cas capables 180
CLINIQUE
NERVEUSE. de bénéficier des bienfaits de ce tra
r des poussées. En examinant les malades pendant ces poussées 182
CLINIQUE
NERVEUSE. on constate toujours une aggravation
onc il est à noter une sensation très pénible de constrictibn 184 ,
CLINIQUE
NERVEUSE. dans la région thoracique gauche. Auc
e sous la main. Entré à la Salpêtrière en 1889-1890, puis à l'Asile
clinique
(25 juin 1890) avec le diagnostic suivant : Dégén
rogènes. Relâché de Bicêlre, il reparaît une seconde fois à l'Asile
clinique
le 16 juin 1892 pour son excitation et ses impuls
ns nul esprit de suite, il reprend de lui-même le chemin de l'Asile
clinique
, escomptant sans doute son transfert à Ville-Ev
vous demandez instamment l'étroite communauté de la chaire et de la
clinique
; M. le docteur J oll'roy, à l'ouverture de vot
ans leur genèse l'hérédité patholo- gique. Il traça dans ses leçons
cliniques
et dans son admirable ouvrage sur les dégénéres
hallucinations aperceptives (Kalbaum). S'appuyant sur l'observation
clinique
, l'auteur passe en revue, à propos des hallucin
usse perception. Indirectement, d'ailleurs, on peut prouver, par la
clinique
, l'intervention de ces multiples éléments cortica
nt pas sans objet, il ne peut y avoir hallucination au point de vue
clinique
, cette différenciation entre l'illusion et l'hall
tions psychiques, celles de l'écorce seule. MM.MARiEetBoNNET.Fatt
clinique
pour servir à l'étude anatomo- pathologique des
oïde, sa valeur séméiologique est très grande, parce que sou aspect
clinique
est nettement défini et que, de plus, elle corr
iants en médecine, qui pourraient y venir puiser cet ensei- gnement
clinique
spécial, plus étendu, qu'on réclame de tous côt
imp. 996. Vol. II. Octobre 1896.. N° 10. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE TROUBLES MOTEURS PRÉCÉDANT L'ARTICULATI
e la diphtérie en bas âge. Archives, 2e série, t. II. j 7 2§8 ·
CLINIQUE
mentale. A. K... avait douze ans lorsque son pè
lsions dans l'enfance et il aurait été épargné par les maladies 260
CLINIQUE
mentale. infectieuses habituelles à cet â2e ; l
bras gauche, mais cependant bien plus atténués qu'à droite. , 262
CLINIQUE
mentale. La plupart du temps l'épaule gauche, s
qu'après que le malade a parlé ou un temps relativement long. 264
CLINIQUE
mentale. Les troubles respiratoires se montrent
se sont montrées dans l'état de A. K... depuis son entrée à l'Asile
clinique
. Les troubles moteurs étaient, à son arrivée, t
hervin. Bégaiement et autres défauts de prononciation, page 35. 266
CLINIQUE
mentale. de les signaler au cours de l'histoire
it nécessaire d'insister sur leur signification pathologique. 268
CLINIQUE
mentale. K... présente en outre à l'état d'ébau
ne explication tout hypothétique. Cependant l'examen du ta- bleau
clinique
présenté par le malade K..., éveille logique- m
sse d'abord * . » Ceci dit, si nous nous reportons à la description
clinique
des accidents présentés par K..., voici brièvem
des médecins de l'hôpital ayant suivi avant de se spécialiser, les
cliniques
d'un hôpital général ? 20. Les .internes reçoiv
r le trai- tement des malades. 23. Fait-on à l'hôpital des leçons
cliniques
sur les maladies men- tales à des étudiants en
tc.). Quelque- fois, d'autres professeurs viennent faire des leçons
cliniques
à l'hôpital. 1. 25. Quelques médecins ont pub
et même obscènes nos procédés d'examen, conformes à l'enseignement
clinique
qui se fait partout, ont fait preuve, non seule
ROPOS DE deux cas DE ces affections; par nI. RAYfoND, professeur de
clinique
des maladies du système nerveux. (Nouvelle icon
aymond est un des plus étendus, il renferme de nombreuses remarques
cliniques
ingénieuses et déli- cates, obligé d'être bref,
n partie et progressivement la malade arrive à présenter le tableau
clinique
actuel noté à son entrée à la Sal- pêtrière. Tr
décrit. C'est Wilis le premier qui, en 1678, en a tracé un tableau
clinique
exact et qui en a compris la nature. Le sein
M. le Dr 1. NAGEOTTE, chef des travaux d'anatomie pathologique à la
clinique
de la Salpêtrière. (Nouv. Iconog. de la Salpêtr
1896, n° 1). (Leçon recueillie par M. le Dr J.-B. CHARCOT, chef de
clinique
.) Observation. Femme, trente-huit ans, père tom
are profonde à extension rapide. En résumé donc, c'est le tableau
clinique
classique de la syrin- gomyélie, sauf sous le r
ombo-sacrée. Dans les cas de syphilis précoce ou tardive, les types
cliniques
deviennent variés. La raison en est dans ce fai
- ment de l'artérite gommeuse proprement dite. En somme, le champ
clinique
s'élargit de plus en plus, et il semble qu'à part
UR avec conservation DES RÉFLEXES; par M. E. LENOBLE, interne de la
clinique
des maladies nerveuses. (Nouv. iconogr. de la S
malade, ainsi que leur mode de succession constituent l'expression
clinique
du tabes de la partie supérieure de la moelle.
on; par le professeur DE RENzI, de l'Univer- sité de Naples. (Leçon
clinique
faite à l'Université de Naples.) Observation. J
-il, le tremblement de la maladie de Parkinson, tous ces phénomènes
cliniques
ne se rencontrent jamais dans la paralysie agit
s, 1895, n° 3.) Camuset. XXXVIII. Trois cas DE HOQUET hystérique;
clinique
du Dr de Renzi, de Naples. Premier cas. Femme
rophie musculaire progressive. Nous arrivons ici à une dissertation
clinique
, claire et intéressante; la valeur des symptôme
1.) Camuset. .\L. l'ACHY)IÍNINGITE CERMCALK hypertrophique : Leçon
clinique
du professeur de Renzi. Observation. Homme, t
ux ; par ' le professeur DE RENZI, de l'Université de Naples (Leçon
clinique
du professeur DE Renzi.) Observation. Femme,
elle n'ouvrait plus facile- ment les mains. A l'examen actuel, à la
clinique
: mains à demi fléchies sur les avant-bras, doi
ale ; parle professeur DE l3EVZr, de l'Université de Naples. (Leçon
clinique
du professeur DE RENZI.) Observation. Jeune hom
, perte de la parole, asymétrie de la face et stupeur. Amené à la
clinique
en cet état, on note la pléiade ganglionnaire des
inférieures; parle professeur de RENZI, de l'Université de Naples. (
Clinique
du professeur de Renzi.) Observation. Jeune fil
peuvent donner lieu à des troubles psy- chiques dont la physionomie
clinique
est bien différente. Dans la plupart des cas on
OGIE PATHOLOGIQUES. 315 On a cherché récemment à expliquer l'aspect
clinique
particulier de ces symptômes en foyer, comme on
s'ils sont isolés. Les signes très prononcés ont une grande valeur
clinique
, laquelle augmente encore s'ils sont accompagné
de la voie motrice périphérique en toute sa longueur. L'expression
clinique
de cette forme, c'est l'amaigrisse- ment rapide
amyo- trophies toxiques, et l'amyotrophie tabétique. L'expression
clinique
de ces altérations lentes et progressives des c
e séance, il est procédé à l'élection de M. Soukanof, médecin de la
clinique
psychiatrique de Moscou, candidat au titre de m
rte d'introduction. L'auteur y insiste sur l'importance de l'examen
clinique
en psychiatrie, comme le seul capable de mettre
apide chez les t'pt7ep- tiques. M. Auguin (Gabriel) : Signification
clinique
du ménin- gisme clans la grippe. M. Tiberi (Col
. - 1090. Vol. II. Novembre 1896. N° 11. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE, TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES
r Archives de Neurologie, n° 9. Archives, 2e serie, t. II. 22 338
CLINIQUE
NERVEUSE. étant à son travail fut subitement pr
es de la malade qu'elle arrive peu à peu par des efforts de vo- 340
CLINIQUE
NERVEUSE. lonté à amener des contractions dans
e à la partie externe des genoux et grande comme une pièce de 342
CLINIQUE
NERVEUSE. 5 francs a conservé la sensibilité ta
ependant à force d'exercices et d'une patience, dont nous avons 344
CLINIQUE
NERVEUSE. droit d'être fiers, nous sommes tout
signes de tabes (Westphal, Romberg), impossibilité de marcher 348
CLINIQUE
NERVEUSE. sans appui et sans se tenir aux meubl
ans d'une maladie de coeur. Une soeur du malade était atteinte 350
CLINIQUE
NERVEUSE. de tabes dorsalis dès l'âge de vingt-
ade, la rapidité avec laquelle les symptômes tabétiques se sont 332
CLINIQUE
NERVEUSE. développés, l'intensité des phénomène
ni quand il a fini d'uriner. Il Archives, 2e série, t. IL 23 3S4
CLINIQUE
NERVEUSE. faut qu'il voie, ou qu'il entende pou
Antécédents personnels. - Le malade était toujours maigre et 350
CLINIQUE
NERVEUSE. d'une santé délicate, mais il n'a jam
rd externe. Les deux pieds sont continuellement agités de mou-' 358
CLINIQUE
NERVEUSE. vements. De temps en temps la pointe
Yeux. - Pas de blépharoptose, ni de strabisme. Pas de diplopie. 360
CLINIQUE
NERVEUSE. y Les pupilles sont moyennement dilat
générescence; par le D1' Iflvitl NEEF. L'auteur publie quelques cas
cliniques
destinés à montrer la pré- sence de signes phys
t congénital. Il n'adopte d'autre classification que la distinction
clinique
entre l'inversion simple et l'hermaphrodisme ps
s, et ensuite parce qu'elles évoluent, souvent rapidement, dans les
cliniques
d'ophtalmologie. Aussi est-ce aux oculistes qu'
comme la plupart des sujets qui se présentent à la consultation des
cliniques
, appartenait aux classes sociales inférieures;
sses sociales inférieures; il était d'un âge avancé. Il arrive à la
clinique
persuadé qu'on va lui rendre la vue immédiatement
des sujets jeunes; en outre il y a des différences au point de vue
clinique
. Récemment Mendel a placé l'opération de la cat
ES symptômes oculaires dans la paralysie générale ET DE leur valeur
CLINIQUE
; pal' BEV.\N-LEWIS. (l3ritislc médical Journal,
ue de son départ jusqu'au moment actuel où on l'ob- selve à l'asile
clinique
, il se couvrit progressivement d'une quan- tité
Gennaio 1895.) L'auteur veut établir qu'il existe, au point de vue
clinique
, une forme particulière d'attaque épileptique,
Trousseau, Duval, Jaccoud, Charcot, etc., la symptomatologie et la
clinique
de l'aphasie ont été bien établies. Wernickeen 18
essivement. A \a.période d'état, la surdité verbale domine la scène
clinique
, le malade entend distinctement mais ne compren
n raison directe des troubles intellectuels. Tels sont les signes
cliniques
que présente un malade frappé d'une lésion de l
arguments psycho- physiologiques ne reçoivent l'appui d'aucun fait
clinique
nettement observé. < BIBLIOGRAPHIE. 40S
expose ceux contraires à l'exislence de ce centre. Se basant sur la
clinique
, il affirme que l'agraphie pure, non reliquat d'u
analyse, ils sont le résultat d'une connaissance trop exacte de la
clinique
et de l'anatomie cérébrales pour ne pas perdre
lor septembre t8 ! J6; M. le Dr TOULOUSE, médecin-adjoint à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne), est élevé à la classe exceptionn
. - 1196. Vol. II. Décembre 1896. N° 12. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES A ÉVOLUTION
s mentales. Paris, 1862, p. 366. Archives, 2e série. t. IL 27 418
CLINIQUE
MENTALE. police et cette croyance, si commune c
nts. 1° Période commune d'incubation. Inquiétudes vaques. 420 0 '
CLINIQUE
MENTALE. Les mélancoliques poursuivis par le dé
1886. , 3 Séglas et Besançon. Ann. Méd. l'sch., janvier 1889. 422
CLINIQUE
MENTALE. tive des idées délirantes et des troub
Berlin, 1874, 38-2. 2 Calmeil. De la Folie, t. I, p. 37-82. 424
CLINIQUE
, MENTALE. aux divers souverains de l'Univers ;
tableau, ou une statue ' Sémerie. Th. Paris 1867, p. 35. /1 il 6
CLINIQUE
MENTALE. longtemps contemplée antérieurement, o
angage humain. ' P. Garnier. De la Mégalomanie, th. de Paris. 428
CLINIQUE
MENTALE. l'espace, ils n'étaient rien, ils en a
rré de Montgeron, t. il. Calmeil, De la Folie, 2' vol., p. 354. 430
CLINIQUE
MENTALE. moi, mais en dehors de lui. Plus tard
sur les hallucina- lions. 2 Baillarger T. I, p. 310 et 311. 132
CLINIQUE
MENTALE. On peut rapprocher de ce qui précède l
joute- rons à ce qui précède le résumé succinct de quelques faits
cliniques
, que nous ferons suivre d'observations empruntées
ieurs délires, obs. XIII, 1886. Archives, 2e série, t. II. 28 434
CLINIQUE
MENTALE. ciel un vaisseau lumineux, où Dieu' lu
toutes bien. L'auteur compare cet ensemble symptomatique au tableau
clinique
classique de la compression de la moelle, et il
1. Névrite tuberculeuse SYMÉTRIQUE ; par le Dr RENZI, professeur de
clinique
à l'Université de Naples. Observation. Homme, t
e Naples. Observation. Homme, trente-cinq ans, en traitement à la
clinique
, atteint de tuberculose aux sommets des poumons,
ont une grande part dans la pathogénie des diverses manifestations
cliniques
de la tuberculose. (Rivista elinica e tempeutie
, dans le service du D1' Abba- mondi, qui relève les particularités
cliniques
suivantes : Dépression, faiblesse générale, muq
RVEUSE. 467 468 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Toute l'observation
clinique
du malade pourrait se résumer dans la phrase qu
ient ou se superpo- saient sans se confondre. Celte détermination
clinique
présente une véritable importance anatomo-patho
ens apportent à leurs expertises, ils en font de véri- tables cours
cliniques
. Ainsi, ce rapport du Dr Motti est très étendu,
tiques ; on traite tous les sujets qui peuvent se présenter dans la
clinique
journalière. Pour terminer on fait passer aux é
piller Dr Char Henry Brown, 25, West 45 th St., à New-York. Asile
clinique
(3ainte-Atiiie. - Clinique des maladies mentales
n, 25, West 45 th St., à New-York. Asile clinique (3ainte-Atiiie. -
Clinique
des maladies mentales : le professeur A. JOPRRO
OPRROY. Mercredi et samedi, à 0 Ji. 1/2. Hospice DE la Salpêtrière.
Clinique
des maladies du Système nerveux. M. le professe
e, par leD'' 1111et; samedi 10 h. 1/2, alternativement, psychologie
clinique
, DJauet; Examen de l'oreille, du larynx et du n
ALLIANI Chiromancienne, Somnambule, Cartomancienne. Diplômée à la
clinique
du Dr Ciiarcot, professeur de magnétisme à la Sal
t ? He. 7° Hémorragies cérébrales', hypnotisme, No ? & ? e ? 81
Clinique
des maladies du système nerveux (2 volumes). 9°
8 fr. , Prix relié demi-chagrin, 90 fr. BOURNEVILLE. Recherches
cliniques
et thérapeutiques, sur l'épilepsie, l'hystérie et
YI.LIt : , par Raymond, 301 -. par f3remnn, 171. Système nerveux.
Cliniques
des ma- ladies du -. par llamoncl, 151. Tares
PU13LIÉE SOUS LA DIIIECTION DE 1)1. A. JOFFROY I Professeur de
clinique
z des maladies mentales . a là Faculté de m
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Ste-Aillie). F. RAYMOND Pioïeascur de clin
ecin de l'Asile clinique (Ste-Aillie). F. RAYMOND Pioïeascur de
clinique
lies m.il.uiicb du système nerveux de Paris
és, ses éxèè : , StpLle21eTJ ';ufn- t.T ·no vrrr y ? 'U ? 'rOY1 4
CLINIQUE
MENTALE. 9G .tmt^ tfi fi`lrf" aFr gp^ t^v , nnn
out gAe,elq,qliez des prédisposé^ àiprq-og pos.de 1.'urémie Mais la
clinique
ne, de ces ,distinction s,. d'aille u rsl,l égi
héniques,- etc.; les, maladies de la, persoii- nalite, etc. (Etudes
cliniques
à Ï hôpital, par M. üal)1 rPi ôfûsi eûr ..1..rv
iropathie tabétique DES deux hanches ; par M. LoNDE, interne de, la
clinique
des maladies du système ner- veux. (Nouv. Icono
spinal sont autant de mots qui sont loin de répondre à un syndrome
clinique
caractéristique. Indépendamment des anamnestiqu
le cas diffère en certains points des cas typiques dont le tableau
clinique
est esquissé plus, haut. C'est ainsi que les os
là seconde observation. . Ces , paralysies flasques ont des allures
cliniques
, très variables. Certaines d'entre elles se gén
' Mais M. Guinon, dans cet article, démontre directement et parla
clinique
, que ce - type 1 Landouzy-Déjeritie (atrophie myo
' ... .. i in f "; XXVII. DE la MÉNIXGO-MYËHTE syphilitique. Étude
clinique
ET ANA- T0310-PATHOLOGIQUE ; par M. Lamy. (jyot
s, poursuivies par d'autres auteurs, ont confirmé plusieurs données
cliniques
et surtout anatomiques, avancées par M. Lamy. &
ipation à l'affection des méninges de la base du cerveau; ce que la
clinique
fait,, du reste, prévoir. (exemple, la 2° obser
s des méninges et des'vaisseaux (exemple,- la 1 observation). II.
Clinique
: - Des trois observations inédites'et détaillées
nombreuses et suc- cessivement relatées; l'auteur tire les données
cliniques
suivantes -. Les formes les mieux caractérisées
raitement. Les questions restées dans l'urne ont été pour l'épreuve
clinique
: Localisations corticales des centres moteurs
' KLIPPEL et AZOULAY. Travail du laboratoire du Professeur JOFFROY (
clinique
des maladies mentales). La méthode histologique
M. J..., valet de chambre, âgé de trente-trois ans, entré à l'asile
clinique
(Sainte-Anne) le 8 octobre 1892. Décédé le 5 av
nité pour le paludisme franc ; et d'un autre côté, vu la différence
clinique
qui sépare notre neurasthénie et le paludisme f
IONS NERVEUSES DE L'ARSÉNICISME CHRONIQUE, Par LUCIEN BECO, chef de
clinique
médicale de l'Université de Liège. (Laboratoi
s médullaires primitives, très nettes et très étendues. Le syndrome
clinique
avait du reste fait admettre la participation d
ausée par la lésion nerveuse elle-même. C'est en réalité le tableau
clinique
, sauf la douleur de certaines myélopathies comm
érale émane, en chaque cas particulier, des éléments probants de la
clinique
; 4° si, en un cas donné,» il est très probable
dmettre, en résumé, que la démence apathique, dont les carac- tères
cliniques
sont l'affaiblissement et la privation des foncti
. Etude très documentée sur les conditions étiologiques et sur la
clinique
de la paralysie générale chez la femme. Les concl
ante ans. 5° 11 n'existe pas de formes différentes dans l'évolution
clinique
de la maladie, dans l'un ou l'autre sexes, et i
veau de certaines régions cérébrales elle peut provoquer le tableau
clinique
qui ressemble à la paralysie générale ; c'est l
système nerveux est profondément débilité. Vient ensuite une étude
clinique
'des symptômes : hypothermie qui rappelle beauc
érie d'importants symptômes qui leur sont communs au point de vue
clinique
et au point de vue pathogénique. a. Les symptôm
et hospice où leurs maîtres avaient déjà fait école, l'enseignement
clinique
et public des mala- dies mentales, à une époque
in il a proclamé la nécessité de créer désormais, par l'observation
clinique
, des espèces naturelles de maladies men- tales,
ces affections. L'autre, Baillarger, a publié de nombreuses études
cliniques
sur la mélancolie avec stupeur, sur les halluci
omme testament scientifique, ce même et suprême enseignement : La
clinique
doit être la véritable base de la pathologie ment
spensables, doivent lui servir d'appuis, mais non la dominer, et la
clinique
seule peut contribuer à son avancement et à ses p
evant les auditeurs les pages vivantes et les plus émouvantes de la
clinique
mentale; et comme le disait Lasègue qui se plai
et ensei- gnement familier était conforme à la destination de toute
clinique
, dont le programme vrai est d'être, plutôt que
rda pas à son tour à inaugurer ses leçons, à la fois dogmatiques et
cliniques
, qui eurent plus tard tant de retentissement.
siologie des centres nerveux, la physiologie, la pathologie et la
clinique
mentales, la thérapeutique et la médecine légale
lasse exceptionnelle; M. le Dr Dubuisson, médecin en chef à l'asile
clinique
(Sainte- Anne) est promu à la ire classe; - M.
OUSI, ont été nommés ex-xquo et dans l'ordre alphabétique, chefs de
clinique
de la chaire de clinique mentale à l'Asile clin
quo et dans l'ordre alphabétique, chefs de clinique de la chaire de
clinique
mentale à l'Asile clinique (Sainte-Anne). Nous
tique, chefs de clinique de la chaire de clinique mentale à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne). Nous adressons à tous deux nos f
Depuis le premier novembre 1879, il était chargé du cours annexe de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médecine
pas permis d'en avoir le graphique. M. le D'' Dutil, danssonetude
clinique
des Tremblements hys- tériques (Thèse de doctor
graphique ordinaire >; ce n'est donc pas un procédé pratique en
clinique
. Tous ces procédés ne permettent pas d'enregist
tesse lente du cylindre enregistreur, à régulateur de Foucault. '
CLINIQUE
NERVEUSE AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGRADE A TYPE CONTI
ement vermiculaire de la langue dans la - paralysie générale. 168
CLINIQUE
NERVEUSE. M. Arnozan ? Charcot et M. Féré en on
trouva une place de concierge, et ce fut le seul travail auquel 170
CLINIQUE
NERVEUSE. elle se livra avant d'entrer à l'asil
Bull. de la Soc. méd. ment, de Belgique, 1893, p. 161.) , 172 G),
CLINIQUE
NERVEUSE. deux pointes de l'aesthésiométre, car
ersonnes qui sont venues la prévenir, ni ce qu'elle a fait dans 174
CLINIQUE
NERVEUSE. - les heures qui ont suivi, ni enfin
iquat c'est circonscrire exactement l'éten- due de l'amnésie. 176
CLINIQUE
NERVEUSE La malade peut me citer sans erreur to
chique qui, bien qu'étroite, a encore Archives, t. XXVIII. 12 178
CLINIQUE
, NERVEUSE. un certain horizon. Et c'est en cela
t difficilement à mes examens et qu'elle se les rappelle, non 180 '
CLINIQUE
NERVEUSE. pas dans les détails, mais dans l'éta
de certains moments, avaient une physionomie nettement fonc- 182
CLINIQUE
NERVEUSE. '' "' tionnelle. Faut-il pour cela ad
le diagnostic et complètent les renseignements fournis par l'examen
clinique
. Dans le présent mémoire l'auteur attire l'atte
d'évolution comme les espèces morbides dont ils sont la traduction
clinique
. Le mot folie a été pris tour à tour dans un se
spéciale et sa physionomie propre ? En aucune façon. L'observation
clinique
, même tout empirique, suffit déjà sinon à circo
à nous montrer les principaux des troubles qui la constituent. En
clinique
, en effet, on ne se trompe plus sur la valeur et
nces sur la nature de l'hystérie. C'est à la lumière de ces notions
cliniques
ou psychologiques qu'il de- vient possible de d
antes qui, en s'isolant ou se prolongeant, prennent dans le tableau
clinique
une part exclusive ou au moins prépondérante. C
onscient. Le refus d'aliment est une conséquence qui se présente en
clinique
isolée des antécédents qui l'expliquent. Par di
ce mentale. Cela n'empêche pas l'hystérie d'avoir son individualité
clinique
, mais cela lui fixe une place dans nos classifi
aits de placer entre elles une limite précise ; 3° Il y a lieu en
clinique
de conserver à l'hystérie son individua- lité e
rvice à l'hôpital Saint-André, de Bordeaux, une malade dont l'étude
clinique
m'a permis d'étudier, dans des conditions très
s dans les auto-intoxications. Je poursuis depuis longtemps l'étude
clinique
du délire dit fébrile ou infectieux et j'ai été
néraux qu'on a attribués à l'hystérie sont basés sur des recherches
cliniques
; ils sont vrais, ils doivent être conservés. Le
Morel, n'a pas des caractères absolument déterminés, mais une étude
clinique
attentive et prolongée per- met d'affirmer que
pas en quoi les données de psycho-physio- logie peuvent nuire à la
clinique
. Si je me suis appuyé sur les enseignements de
) prend la défense de la psychologie expé- rimentale appliquée à la
clinique
psychiatrique ; il montre à ce sujet la- possib
s nerveux l'agent morbide. Tout d'abord, au seul point de vue de la
clinique
, un certain nombre de faits donnent sinon la pr
des. Ceux qu'on nous envoie-ils nous viennent du Dépôt ou del'Asile
clinique
après avoir été ramassés sur la voie publique s
mène au Dépôt; comme il n'y a pas de place, on les envoie à l'Asile
clinique
et de là à Villejuif. J'ai dans mon service un
? Ce qui arrive dans beaucoup d'asiles et en particulier à l'Asile
clinique
où j'ai mon service. Le médecin prescrit l'abst
. BIBLIOGRAPHIE. V. Du traitement électrique du tabès. Recherches
cliniques
; par le Dr Simon LABORDE.' (Thèse de Bordeaux,
n LABORDE.' (Thèse de Bordeaux, iio 79.) Les résultats obtenus à la
clinique
du professeur Bergonié démon- BIBLIOGRAPHIE. 27
imus modifié sur un point, la direction du courant. On emploie à la
clinique
électrothérapique de Bordeaux des cou- rants co
hez une classe parti- culière d individus, les hystériques. L'étude
clinique
de ces malades permet de constater chez eux un
p. 991 Vol. XXVIII. Octobre 1894. N° 92. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE ASILE CLINIQUE (SAINTE-ANI4F). - M. MAG
obre 1894. N° 92. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ASILE
CLINIQUE
(SAINTE-ANI4F). - M. MAGNAN. DES DÉLIRES SYSTÉM
e fragmente le grand complexus symptomatique par ' Leçon faite à la
Clinique
, recueillie par le D Pécharman, médecin adjoint
s de la circonscription de Paris. - . Archives, t. XXVIII. 18 274
CLINIQUE
MENTALE. lequel se traduisent les maladies de l
, brigthique, syphi- litique, etc. Ces descriptions, qu'une saine
clinique
repousse, sont sédui- santes par leur simplicit
mais c'est tout ; aller au delà, c'est consacrer une erreur. 276
CLINIQUE
MENTALE. Un exemple va vous faire mieux compren
retomber les jours d'après dans une relative tranquillité. 278 Ô
CLINIQUE
MENTALE. A l'autre extrémité de la pathologie m
e, folie inter- mittente, dégénérescence mentale sont des synthèses
cliniques
à caractères fixes, des psychoses nettement déf
ur les limites se montrent les cas hybrides, comme en présente la
clinique
dans toutes les maladies, mais ces faits exceptio
dent-ils ce cerveau jusque-là valide apte à l'éclosion'de la 280 ,
CLINIQUE
MENTALE. folie ? Quoiqu'il soit, au moment préc
- reuses et plus tenaces. L'alcoolique chronique, dépourvu au 282
CLINIQUE
MENTALE. début de prédisposition, peut donc avo
re avec vous l'étude et dont l'énoncé constitue presque un paradoxe
clinique
: les délires systématisés dans la paralysie gé
alement sur la justesse de leurs appréciations, en face des données
cliniques
actuelles, nous n'ayons pu nous procurer le rap
e générale spinale ayant simulé le tabès aussi bien au point de vue
clinique
qu'au point de vue anatomo-patholo- gique que j
omo-patholo- gique que j'ai eu affaire dans ce cas. Au point de vue
clinique
, il faut remarquer l'amélioration si remarquabl
fit à faire disparaître tous les troubles nerveux simulant l'aspect
clinique
du rein flottant douloureux. sociétés savante
, des termes caractérisant des groupes établis sur des distinctions
cliniques
. ' Dans l'état actuel de la science, je crois q
S microcéphales. M. 130URNEVILLE. Ma communication a surtout un but
clinique
et thérapeutique, à savoir la démonstration de
nous-mème déjà deux mé- moires sur la microcéphalie au point de vue
clinique
et anatomo- pathologique. Dans le premier ', no
ui fournit les renseignements les plus intéressants au point de vue
clinique
. On sait que dans toute perception nette la per
et ci- dessus. Position de la question. L'intérêt au point de vue
clinique
est dans la richesse de la cause prédisposante
neuropatho- logic s'est singulièrement accru. De nouveaux syndromes
cliniques
ont vu le jour et de nouvelles entités morbides
profondes et de véritables transformations sur certains points. La
clinique
, l'ana- tomie normale et pathologique, l'histol
dices, deux très récentes leçons de M. Grasset sur les vieux dogmes
cliniques
devant la pathologie microbienne. L'auteur dé
ières recherches bactériologiques, en rajeunissant les vieux dogmes
cliniques
, ont mis « de plus en plus en lumière l'activit
anière méthodique et claire, en parfait accord avec les découvertes
cliniques
et pathologiques les 350 FAITS DIVERS. plus r
Lyon, 1894. - Volume in-8" de 138 pages. BOCIINGVILLE. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie,
pages. Priv : 1 fr. Pour nos abonnés, 0 fr. 70. Magnan (V.). Leçons
cliniques
sur les maladies mentales faites « l'asile clin
n (V.). Leçons cliniques sur les maladies mentales faites « l'asile
clinique
(Sainte-Anne). Recueillies et publiées par Biiian
- 1094 Vol. XXVIII. Novembre 1894. ? 93 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE HYSTÉRIE. - CONFUSION MENTALE ET AMNÉS
de Clermont-Ferrand. (Août 1894.) Archives, t. XXVIII. - 23 384
clinique
NERVEUSE. musculaire et articulaire, des notion
irconstances différentes, donnant ainsi lieu à des constatations de
clinique
psychologique d'une grande 3513 ? V' 5 CLINIQUE
es constatations de clinique psychologique d'une grande 3513 ? V' 5
CLINIQUE
NERVEUSE. - --importance au point de vue de la
tout reste dans le même état. Mais si on les maintient ouvertes 358
CLINIQUE
NERVEUSE. alors la malade tourne la tête, fait
d'une façon plus précise les mouvements qu'on lui commande. - 360
CLINIQUE
NERVEUSE. Tels sont les symptômes observés à la
s- tances spéciales : par exemple, dans le somnambulisme pro- 362
CLINIQUE
NERVEUSE. voqué par les moyens ordinaires ou pa
tractures,, modifications respiratoires, frémissement des pau- 364
CLINIQUE
NERVEUSE. pières... Mais, en revanche, nous con
érale ; 2 °la variation de cette constitution moyenne avec la forme
clinique
de la paralysie générale ; 3° la variation de l
iode. Nous n'avons pas, en effet, eu l'occasion d'étudier à l'asile
Clinique
(et il en est ainsi dans tous les asiles d'alié
ssi grâce à la bonne volonté du personnel de l'asile Sainte-Anne (
clinique
de la Faculté). Peut-être dans quelques cas, he
ne sont déposés, lors de leur enlèvement au garde-meuble de l'Asile
clinique
. Voici comment on procède relativement à ces en
enlevés dans ces conditions sont déposés au garde-meuble de l'Asile
clinique
. Pour le trans- port de ces mobiliers l'adminis
sident du tribunal civil de la Seine. Cette vente a lieu à l'asile
clinique
par les soins d'un commissaire-priseur. Si le cer
ques la quinine et la pilocarpine. A. Marie. LII. CONTRIBUTION A la
CLINIQUE
DE la syringomyélie ; par H. Scelesinger. (Neur
pneumogastrique. (Revue neurologique, 1893.) E. BLIN. LVI. Archives
cliniques
. (l3ritislv médical journal, janvier, no 1726.)
de de cinq observations, l'auteur essaie de constituer le complexus
clinique
caractérisé par les phénomènes suivants : 4° Im
modiques des mouvements des extrémités. ' Il y en a quatre formes
cliniques
: 1° raideur généralisée (para- lysie spinale s
(sénilité, athérome). Le délire syslématique aigu a les caractères
cliniques
du délire chronique, mais c'est une paranoïa ab
restraiut, et Graeser. Nous y traitâmes des questions anatomiques,
cliniques
, statistiques. Nouvelle réunion pendant l'automne
e très nombreuse; nous sommes à Heppen- licini ; des professeurs de
clinique
et de neurologie d'Heidelberb ainsi que le phys
ie de ces quinze dernières années. Ques- tions d'administration, de
clinique
, d'anatomie, de psychologie, de médecine légale
ire. Mais il n'en faut tenter l'essai que lorsque les autres signes
cliniques
parlent en faveur d'un début d'amélioration ; 7
ient d'ailleurs nos princi- paux établissements de Villejuif, Asile
clinique
, Ville-Evrard, Rouen, Charenton, etc. Ils nous
s l'inspiration de M. le professeur Pitres, est une étude à la fois
clinique
et psychologique des fugues morbides dans les t
ans les Asiles publies d'aliénés du département de la Seine : Asile
clinique
, Asiles de Vaueluse, Ville-Evrard et Villejuif
r les règlements, un traitement annuel fixe de 800 francs à l'asile
Clinique
et de 1,100 francs aux asiles de Vaucluse, de V
jour d'au moins une année sur trois dans un des services de l'asile
Clinique
, situé dans l'enceinte de Paris, ou de Villejui
s les Asiles publics d'alié- nés du département de la Seine : Asile
clinique
, Asiles de Vaucluse, Ville-Evrard et Villejuif.
di 12 novembre 1894, à une heure précise, il sera ouvertà à l'Asile
clinique
, rue Cabanis, no 1, Paris, un concours pour la no
rnes au moins une année sur trois dans un des services de l'Asile
Clinique
, situé dans l'enceinte de Paris. ' Un interne n
r les règlements, un traitement annuel fixe de 800 francs à l'Asile
Clinique
, de 1,100 francs aux Asiles de Vau- cluse , de
ment conclu à la transformation et à l'agrandissement des quartiers
cliniques
actuels, ainsi qu'à ceux des habitations de mal
p. 1094 Vol. XXVIII. Décembre 1894. ? 94 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE ASILE CLINIQUE (SAINTE-ANNE). M. AIAGNA
cembre 1894. ? 94 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE ASILE
CLINIQUE
(SAINTE-ANNE). M. AIAGNAN. DES DÉLIRES SYSTÉMAT
on recueillie par M. le D' Pecharman. Archives, t. XXVIII. 28 434
CLINIQUE
MENTALE. logue, dialogue, écho de la pensée. Sy
ire ne saurait à lui seul servir de base à la création de groupes
cliniques
homogènes. Il faut connaître à la fois, pour fixe
ns maladives. Mais cette pensée tenace, continue, toujours la 436
CLINIQUE
MENTALE. même, cette pensée qui écoute toujours
actères différents suivant le côté affecté ; les hallucinations 438
CLINIQUE
MENTALE. pénibles cantonnées d'abord dans une o
i ; c des témoins ! mais on m'empêche d'en trouver ! » s'écrie- 442
CLINIQUE
MENTALE. t-elle. Les voix continuent de se fair
u sortir de leurs ateliers; ils ne parlent pas, ils ne font que 444
CLINIQUE
MENTALE. chuchoter sur son passage, « rigoler,
des yeux, elle entend aussitôt ce qu'elle lit; elle entend même 446
CLINIQUE
MENTALE. la phrase entière avant qu'elle ait fi
pensée latente (Camuset, Garnier), il n'en reste pas moins ce fait
clinique
absolu qu'à une certaine époque de sa maladie,
jours font place aux empereurs, aux présidents de ' Magnan. Leçons
cliniques
, 278. 448 8 CLINIQUE MENTALE. République, aux
pereurs, aux présidents de ' Magnan. Leçons cliniques, 278. 448 8
CLINIQUE
MENTALE. République, aux inventeurs, etc. Certa
LA PATHOGÉNIE DE LA POLYURIE HYSTÉRIQUE; Par A. SOUQUES, Chef de
clinique
des maladies nerveuses, à la Salpètrière. Il y
rie hystérique. Thèse de Paris, 1893. Archives, t. XXVIII. 29 450
CLINIQUE
MENTALE. était assez étendue. 11 dessinait bien
de paralysie oculaire, pas de lésions du fond de l'oeil. Acuité 452
CLINIQUE
MENTALE. visuelle normale. Le malade se plaint
densité très faible. Elle ne renferme ni albumine, ni sucre. 454
CLINIQUE
MENTALE. phaturie. Les chlorures seuls sont aug
thésie, etc., nous dispenseront d'insister sur ce diagnostic. 456
CLINIQUE
MENTALE. Mais sa polyurie est-elle aussi de nat
x. De la Polyurie (diabète insipide). Th. d'Agrég., 1869. Leçons de
clinique
médicale. Paris, 1892, p. 467. ZD 458 . CLINIQU
1869. Leçons de clinique médicale. Paris, 1892, p. 467. ZD 458 .
CLINIQUE
MENTALE. à faire connaître la polyurie dite ess
très critiquable. Dans tous les cas, l'assimilation au point de vue
clinique
nous semble impossible. En somme, il ressort de
bost. De la Polyurie chez les dégénérés. Tit. de Paris, 1892. 460
CLINIQUE
MENTALE. cernent des hommes. D'ailleurs, la pré
d'origine génito-urinaire. Sur une seule des dix-sept observa- 462
CLINIQUE
MENTALE. tions étudiées par Ehrhardt, les antéc
agéré, nous n'oserions affirmer que l'anatomie patho- logique et la
clinique
l'aient encore donnée. Nous nous sommes efforcé
nelles. RECHERCHES PERSONNELLES. Elles ont porté sur la partie
clinique
et analomo-pathologique du sujet. Enfin nous avon
sions vasculaires dans les myélopathies syphiliti- ques. I. Étude
clinique
. La division suivante nous parait la plus confo
? ! yë/<<e présente deux phases distinctes dans son évolution
clinique
: a. La période prodromique ou méningitique rép
que : a. La période prodromique ou méningitique répond au tableau
clinique
de la méningite spinale. Dans certains cas, ell
riété pré- cédente, font défaut ou sont insignifiants. Les formes
cliniques
les plus communes, de beaucoup ont une marche c
ines, quelques jours. On peut reconnaître dans leurs manifestations
cliniques
l'ensemble des phénomènes que l'on considère gé
. A. La pachyméningite propagée à la moelle correspond aux formes
cliniques
dans lesquelles les prodromes méningés ont été
laires dans les formes qui rappellent, aussi bien au point de vue
clinique
(fig. 16) qu'au point de vue anatomique, les myél
a contre-expérience et déterminé expé- rimentalement les phénomènes
cliniques
produits par la compres- sion ; il emploie un p
rst.) A. Marie. XXIV. CONTRIBUTION A la méthode de l'olfactosiétrie
clinique
; par ZwaARDEMAEER. (Neurolog. Centrcclbl., 1893
i-Passy; Froehlich; Aroi)ssohii; Henry; Saveliew. Au point de vue
clinique
, il faut : 1° commencer par les plus faibles ex
tales à lésions qui permettent de relier entre eux les phé- nomènes
cliniques
. Jamais en tout cas, on ne doit asseoir de défi
e atteint de confusion mentale, on eût essayé de constituer Je type
clinique
, si on avait tenté, d'après les traits et les s
Neisser. Il me paraît important de faire observer que les éléments
cliniques
sur lesquels chacun des orateurs s'appuie pour
llégation de Westphal point matière à une nouveauté pathologique ou
clinique
spéciale. C'était une thèse de pathologie génér
onceptions morbides. Westphal savait fort bien que cette généralité
clinique
ne tranchait pas l'histoire symptomatique de ch
oeuvre de pathologie générale. Pour arriver, en se tenant dans la
clinique
pure, à distinguer et à grouper les maladies, i
olution; on obtiendra ainsi certains exemples probants et des types
cliniques
d'une exactitude permanente, à la condition que
ble simples, lim- pides, univoques. Mais cela est difficile, car la
clinique
fourmille de formes de transition, de formes mi
ces formes mixtes, on est obligé de laisser de côté le guidon de la
clinique
pure et de s'efforcer d'évaluer certains symptô
e et à faire comprendre les questions relatives à la classification
clinique
, ont leur source non pas dans les variétés sémé
se polynévritique n'est pas une entité morbide. Dr DEVAY. Chef de
clinique
des maladies mentales. V. Contribution à l'étud
'hypnose et sa valeur thérapeutique. J. Roubinovitch. VIII. Élude
clinique
de la mélancolie sénile chez la femme; par E. T
rches en France ont tant fait pour les progrès de l'étude à la fois
clinique
et anatomo-pathologique de la question. Le résumé
usion de toute pratique vraiment médicale et de toute investigation
clinique
sérieuse. Les superintendants étant eux-mêmes a
de la Saxe. Cela est d'autant plus aisé qu'à Leipzig il existe une
clinique
mentale remarquable. Qu'on oblige donc les cand
is, 10 ; - sensoiielle avec agraphie, par Tomlcins, 207. Archives
cliniques
, 395. Arsenicisme, les manifestations ner- ve
s de l'-et de J'épiiel)- sie, par G. rllartin, 129. Olfactométhie
clinique
, par Zwaard- maher, 452, Opium, usage de l'-
189 : ; Vol. XXV. Janvier 1893. Nu 73. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. HÔPITAL SAINT-ÉLOI DE MONTPELLIER. CL
NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. HÔPITAL SAINT-ÉLOI DE MONTPELLIER.
CLINIQUE
MÉDICALE. DU VERTIGE DES ATAXIQUES (Signe DE RO
XIQUES (Signe DE ROllBEIIG); Par le Professeur J. GRASSET. LEÇONS
CLINIQUES
RECUEILLIES ET PUBLIÉES Par le D' J. SaCIZE, ch
ÇONS CLINIQUES RECUEILLIES ET PUBLIÉES Par le D' J. SaCIZE, chef de
clinique
médicale. I. MESSIEURS, Au n° 30 de la sall
es sensibilités, même la sensibilité muscu- Archives, t. XXV. 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. laire sont fort bien conservées. Il y
tige cnrclio-vasculaire, ou vertige des arlério-scléreux. Leçons de
Clinique
médicale, 1891, p. 522. ' Loc. cit., p. 528.
re ancienne manière de voir, en lui fournissant une nouvelle preuve
clinique
. Avant d'aller plus loin, je vais vous résumer
Séméiologie et diagnostic des maladies nerveuses. 1892, p. 62. 4
CLINIQUE
NERVEUSE. joué ici un rôle quelconque. Le père
. 3 Pierre Marie. Leçons sur les maladies de la moelle, 1892. ' 6
CLINIQUE
NERVEUSE. syphilis l'origine unique et constant
Voir Nouveau Montpellier médical, décembre 1892 et janvier 1893. 8
CLINIQUE
NERVEUSE. ' façon plus accentuée, et perd l'équ
ambes, avec une hérédité ner- veuse. C'est sur ce point de départ
clinique
que nous étudierons, dans la prochaine leçon, l
ronique par excellence, le plus souvent hérédi- 1 ' A. Trousseau.
Clinique
médicale de l'Ilôtel-Dieu de Paris, t. II, 4" é
produit à intervalles très irréguliers. Ainsi ' A. Pitres. - Leçons
cliniques
sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I, p. 318.
L ENTRE L'HYS- TÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU; Notes
cliniques
recueillies par le Dr F. GHILARDUCCI, de Jh izz
délire, la présence des zones hystérogènes, donnent à l'observation
clinique
une signification diagnostique presque mathémat
rès difficile et nous avons préféré nous maintenir sur le ter- rain
clinique
. En continuant donc l'analyse de nos cas, nous
rétablie dans tout le côté droit. - Le 4 novembre, il entra dans la
clinique
de M. Potain où il fut soumis au régime lacté,
é donnée par M. Charcot est très juste et conforme à la physionomie
clinique
de la grande névrose. Il équipare l'apoplexie h
malade. La constatation du spasme glosso-labié a une signification
clinique
presque spéci- fique en faveur de l'hystérie, p
x. MARCHE DE la maladie. A partir du moment de son entré* dans la
clinique
, les conditions de santé de B... se sont progress
es parait toujours s'ac- compagner d'hypotoxicité. CONSIDÉRATIONS
CLINIQUES
, PATHOGÉNIQUES ET THERAPEUTIQUES. Nous venons d
uvera l'histoire complète de ces troubles trophiques dans le Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, de mon ancien che
aité clinique et thérapeutique de l'hystérie, de mon ancien chef de
clinique
, M. Gilles de la Tourette. (T. I, Paris, 1891 ; i
is. Issue : guérison fréquente. P. KERAVAL. XXVIII.COMMU,NICATIO,NS
cliniques
; par N. OSTERMAYER. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat
s persécutés n'auraient jamais de stigmates physiques, alors que la
clinique
semble démontrer le contraire. Quelques auteurs a
s qui font preuve d'un grand dévouement '. Contribution à l'étude
clinique
des hallucinations verbales psycho- motrices. M
a été déjà suffisamment éta- blie, se demande quelle est sa valeur
clinique
et dans quelles formes vésaniques elle s'observ
semblent être un symp- tôme saillant de la maladie. Par leur aspect
clinique
général, ces derniers, difficiles à ranger dans
e-mère joue, comme je le crois moi-même, un rôle dans les symptômes
cliniques
mis en évidence. La sensibilité des sutures ser
KAJEWNIKOW. - Les recherches du rapporteur offrent un grand intérêt
clinique
. Elles prouvent entres autre qu'au cours d'une
fesseur Kaorsakow serait plutôt d'avis que la similitude du tableau
clinique
de la maladie dans les différents cas indique-
partie cervicale ; après cette con- tusion se développe le tableau
clinique
d'une myélite ex ecmpres- sione (à évolution le
tose médullaire. M. le professeur KOJRVNIKOFF a à son service de la
clinique
un malade, atteint de syringomyélie. Il présent
hagie dans le noyau du nerf hypoglosse, car il a eu une observation
clinique
, où l'apoplexie se suivit par des troubles bul-
nimal, ce dernier survit jusqu'au développement de manifesta- tions
cliniques
stables et est alors soumis à l'action de la coca
logique. B. V. La pathologie des émotions, études physiologiques et
cliniques
; par le Dr Ch. Féré, médecin de BieCLre. (Paris
cteur, professeur de psychiatrie à l'Université, avec deux chefs de
clinique
, a sous la main les deux quartiers d'ob- servat
ch. f. Psychiat., X, 1.) 1° Fréquentation obligatoire d'un cours de
clinique
psychiatrique par les étudiants en médecine ava
50. Bureaux des Archives de Neurologie. -Boukneville. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'hystérie et l'idiotie.
Féré (Ch.). La pathologie des émotions (Études physiologiques et
cliniques
). Volume in-8° de 620 pages. Prix : 12 fr. Paris,
n'ont été ni analysés, ni résumés dans aucune autre publication.
CLINIQUE
NERVEUSE. CLINIQUE DES maladies DU système NERV
s, ni résumés dans aucune autre publication. CLINIQUE NERVEUSE.
CLINIQUE
DES maladies DU système NERVEUX. M. CHARCOT SCL
nce l'un de l'autre pour être étudiés parallèlement, les caractères
cliniques
qui distinguent la sclérose laté- rale amyotrop
homogène, s'est aujourd'hui par les efforts de l'analyse anatomo-
clinique
disloqué, décomposé en un certain nombre d'espè
n de la moelle peuvent reproduire assez fidèlement les caractères
cliniques
de l'atrophie musculaire progressive. M. Ray- m
peut encore se rencontrer dans le cours du tabès. Mais alors 164
CLINIQUE
NERVEUSE. le diagnostic est trop facile, je n'a
s d'origine 1 Duchenne (de Boulogne), 3° édit,, ISï2; p. 503. 166
CLINIQUE
NEItVEUSE. spinale, qui toutes figuraient dans
ont eu le mérite, dans leur description, de préciser les caractères
cliniques
de cette forme, et de montrer qu'indépendante d
ndre et qui était de vous retraccr les grandes lignes du dai- 168
CLINIQUE
NERVEUSE. gnosticdiuerentiel des formes spinale
subi un commencement d'atrophie, qu'ils sont le siège de con- 172
CLINIQUE
NERVEUSE. tractions fibrillaires manifestes et
à priori s'attacher à une pareille proposition pour des audi- 174
CLINIQUE
NERVEUSE. teurs peu familiarisés avec les diffi
iagnostic que crée l'intervention fréquente de l'hystérie dans la
clinique
neuropathologique, je dois vous déclarer qu'une
avons réservées. Telle est, messieurs, l'attitude si je ne 176 6
CLINIQUE
NERVEUSE. me trompe, véritablement médicale, vé
INIQUE NERVEUSE. me trompe, véritablement médicale, véritablement
clinique
que vous auriez à prendre dans un cas sem- blab
fut gai, reprit son entrain habituel. Archives, t. XXV. 12 178
CLINIQUE
NERVEUSE. De retour à Paris le 11 janvier, il a
XIQUES (Signe de ROMBEnG)' J Par le Professeur J. GRASSET. LEÇONS
CLINIQUES
RECUEILLIES ET PUBLIEES P,Ir le D' J. SACAZE, c
ONS CLINIQUES RECUEILLIES ET PUBLIEES P,Ir le D' J. SACAZE, chef de
clinique
médicale. \ II. Le signe de Romberg, ainsi
4 Voy. Archives de Neurologie, n° 73, p. 1. ' 8 Rosenthal. Traité
clinique
des maladies du système nerveux, trad. franc, d
, 2° partie. . Vanlair. - Manuel de pathologie interne, 1890. 180
CLINIQUE
NERVEUSE. yeux, ou mieux du passage brusque de
. Maladies de la moelle épinière ; trad. franç., 1885, p. 224. '182
CLINIQUE
NERVEUSE. cela les prive peu de ne plus les voi
aité de Pathol. interne, t. I de la 7° édition, 18S3, p. 651. 184
CLINIQUE
NERVEUSE. même toute l'ataxie aux troubles de l
, ces troubles de la coor- ' Duchenne, loc. cit., p. 781. , . 186
CLINIQUE
NERVEUSE. dination étaient encore augmentés, ca
es hystériques qui nous fournissent cette démonstration. Dans les
cliniques
de Trousseau 3, vous trouverez l'observa- tion
. encyclop., t. VII, l8Gi. ers, loc. cit., p. 162. 3 Trousseau.
Clinique
médicale de l'Hôtel-Dieu de Paris, 7° édition,
de méd., 1SG'r, et Etudes znéd., 1884, t. II, p. 25, 35, 37.) 188
CLINIQUE
NERVEUSE. Ce dernier élément que je n'hésitais
eprises, M. le profes- seur Charcot la présenta aux auditeurs de la
Clinique
1, comme un exemple très caractéristique de cet
Georges Guinon. Contribution ù l'élude de quelques unes des formes
cliniques
de la myopathie primitive progressive. (Revue d
rence si spéciale de ces systèmes, encore si peu connus. L'histoire
clinique
de notre malade et la relation nécrosco- pique
. Si l'on embrasse l'ensemble des 810 observations récoltées à la
clinique
de cette année à la Salpêtrière, on est vivement
de l'oreille, au point de vue pathogénique. De même on apprend à la
clinique
otologique à ne pas trop facilement conclure en
diagnostic étiologique. Je compte 12 à 15 de ces cas par année à la
clinique
, en- voyés comme atteints de vertiges de Ménièr
de la protubérance ainsi que la paralysie croisée l'indique déjà.
CLINIQUE
OTOLOGIQUE ANNEXE STATISTIQUE 1891-1892. 222
t, nous le repétons, les grouper et les interpréter au point de vue
clinique
et chercher quelle est leur valeur diagnostique
eur base le diagnostic de syphilis sur l'évolution et les accidents
cliniques
, l'apparition du premier ictus à l'âge de trent
érale tabétique; par M. BRASCH. (Neurol. Centralbl., 1891.) Elude
clinique
, anatomo-patbologique et microscopique très com
(Rev. med. delà Suisse Romande, 1891.) G. D. XII. Deux observations
CLINIQUES
relatives A l'aphasie; par le D L. de Rode. (l3
reich n'est point une mala- die essentielle ni une véritable entité
clinique
; 2° c'est un syn- drome commun à plusieurs clas
e Friedreich et de Morvan qui n'est pour lui qu'une mani- festation
clinique
particulière d'une perturbation dynamique ou d'
observation la preuve qu'il est néces- saire d'étudier les variétés
cliniques
du délire de la persécution dont plusieurs sont
VVER111ChE. M. CL. NEISSER. Critique de laparanoïa au point de vue
clinique
. (Publié hl-extenso dans le Centralbl. f. Ne1'v
u 15 décembre 1890), l'auteur la traite aujourd'hui au point de vue
clinique
et pratique. Voici 100 femmes aliénées qui se d
amyle dilate les vaisseaux et fait baisser la pression du sang ; la
clinique
a permis de constater que ce médicament faisait
onsciente. Il passe ensuite en revue les hallucinations verbales en
clinique
mentale. Il montre que contrairement à ce qu'on
ù ils se rencon- trent. En tout ce qui touche au contraire l'aspect
clinique
et la pathogénie de ces différents troubles, no
sances. Mais le fond est resté le même, et il est essen- tiellement
clinique
. Les faits bien observés gardent toujours leur
deux ordres, les unes tirées de l'expérimentation, les autres de la
clinique
. Après quelques pages judicieuses consacrées au
ito-urinaires. De nombreuses observations apportent leur témoignage
clinique
aux assertions de l'auteur, qui, avec son talen
la paralysie générale est titubante et paralytique, etc. Les types
cliniques
de la démarche étant ainsi connus, M. Blocq en
COURS POUR l'internat dans LES asiles d'aliénés DE la SEINE. (Asile
clinique
, asiles de Vaucluse, Ville-Evrard et Villejuif et
cin-adjoint : M. Legras; internes : MM. Pécharmant et Pribat. Asile
clinique
(Sainte-Anne), 1, rue Cabanis. 914 lits. - Serv
s. 914 lits. - Service de M. Bail, sup- pléé par M. Ballet; chef de
clinique
: M. Pactet; interne : M. Han- nion. Laboratoir
de clinique : M. Pactet; interne : M. Han- nion. Laboratoire de la
clinique
: M. Klippel, service de M. Ma- gnan (admission
et chirurgie). Mention honorable à M. Pitres (de Bordeaux) : Leçons
cliniques
sur l'hystérie et l'hypno- tisme. Prix Barbie
M. A. RoGER. La question posée était : Recherches expérimentales et
cliniques
sur les phénomènes inhibiloires du système nerv
FAITS DIVERS. Le concours sur épreuves se compose : 1° de l'examen
clinique
d'un malade à propos duquel on doit faire le di
v. 1893.) , Magnan (V.) ? yVach'M mentales. Leçons faites à l'asile
clinique
(Sainte- Anne), recueillies et publiées par Bri
srv lmp - 8p3 Vol. XXV. Mai 1893. N, 75. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE SUR TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE
es difficultés de diagnostic. , An : anws, t. XXV. 21 1 322 1),
CLINIQUE
NERVEUSE. Antécédents héréditaires. -Père, aube
ébut de la flexion, la main se met en supination. Ce n'est donc 324
CLINIQUE
NERVEUSE. pas le biceps qui produit ce mouvemen
. ? Sens spéciaux. C»il. Pas de différence dans les pupilles. 326
CLINIQUE
NERVEUSE. Réactions normales. Pas de différence
noplégie brachiale et localiser cette monoplégie dans le côté 328 -
CLINIQUE
NERVEUSE. droit. Il a dû dans sa personnalité c
ès Médical, 1890, 2' s., t. XII, 1103 41, 42, p. 259, 275.) 1 330
CLINIQUE
NERVEUSE. tôt à des altérations de la sensibili
Goût très émoussé. Dyschromatopsie monoculaire gauche etachro- 332
CLINIQUE
NERVEUSE. matopsie même pour le rouge. Le champ
s du membre supérieur droit sont tout à fait libres. Fig. 42. 334
CLINIQUE
NERVEUSE. L'hypoesthésie au niveau du poignet a
e ophthalmique avec l'hystérie. Thèse de Paris, juillet 1891. 336
CLINIQUE
NERVEUSE. Début. A quelque temps de là (1886),
scle de la Ira,in. Voici la mesure des circonférences du bras : 338
CLINIQUE
NERVEUSE. La sensibilité pharyngée est abolie.
. Charcot. - Leçons du mardi, policlinique, Il décembre 1888. 340
CLINIQUE
NERVEUSE. En ce qui concerne l'existence chez n
e n'est guère possible. Il a été reconnu dans le service même de la
clinique
qu'il était bien réellement atteint de cette af
ons auxquelles se rattachait la paralysie de ses muscles. 1 342
CLINIQUE
NERVEUSE. 3S2 CLINIQUE NERVEUSE. REFLEXIONS S
ait la paralysie de ses muscles. 1 342 CLINIQUE NERVEUSE. 3S2
CLINIQUE
NERVEUSE. REFLEXIONS SUR LES CAS DE MONOPLÉGIE
ode; dans les autres cas, les choses, ont été comme il suit : 384
CLINIQUE
NERVEUSE. de la paralysie brachiale un autre me
alique. (Archives de Ne¡¡- rl),lce, l. Xl V, 1337, p. 1;' 7.) 356
CLINIQUE
NERVEUSE. 19. Journée. Monoplégie /t< ? M)'o
ique. (Archives de Neurologie, t. XX, 1890, p. 231.) 28. Charcot.
Clinique
des maladies du système nerveux, t. 1, Pa- ris,
MYOPATHIE PRIMITIVE ATROPHIQUE; . Par le D' J. SACAZE, Chef de
clinique
médicale à la Faculté de Montpellier. Des trava
Une de ses soeurs, sans enfants, présente tantôt des névralgies 358
CLINIQUE
NERVEUSE. et tantôt des manifestations herpétiq
jambe gauche paraît légèrement plus amaigrie. De chaque côté 360
CLINIQUE
NERVEUSE. des creux poplités, on sent une saill
ôté opposé. Le sternum est porté de droite à gauche. Fig. 45. 362
CLINIQUE
NERVEUSE. , L'extrémité du sacrum et le coccyx
hérédité d'abord, et puis à cause du cachet spécia Fig. 16. 364 '
CLINIQUE
NERVEUSE de l'atrophie qui n'a été précédée que
ne découvrons aucun des autres signes habituels (déformations 366
CLINIQUE
NERVEUSE. du thorax, nouures épiphysaires, incu
où le tremblement en gardant le caractère dominant dans le tableau
clinique
de la maladie apparaissait périodiquement comme
S..., paysan, vingt et un an, est passé de l'hôpital d'Ujordow à ma
clinique
pour être démontré aux étudiants; comme un cons-
tique déjà décrit. En considérant le caractère singulier du tableau
clinique
de la maladie, on peut aisément conclure que no
s'étendait qu'au membre inférieur, où par con- séquence le tableau
clinique
rappelait notre cas sous plusieurs rapports. ,
de ce type mental, l'auteur donne une esquisse précise de l'aspect
clinique
de la confusion mentale primitive. Après un s
e de la dure-mère, de liquides irritants. R. M.-C. LUI. Observation
clinique
DE deux cas DE paraplégie ataxique; par F.-S.-J
tement le nom de paranoia aiguë. Malgré la grande variété de formes
cliniques
intermédiaires entre le délire sensoriel et la
s deux familles observées, pas même le rhu- matisme ; les symptômes
cliniques
sont tellement identiques à ceux de la choree r
la lésion, on est amené à lui attribuer le même siège; les types
cliniques
varient suivant les familles observées; la questi
tions (en collaboration avec M. CHAMBARD); Leçons professées à la
Clinique
des maladies mentales; Erythème symptomatique des
les maladies des vieillards (1866). B. BIBLIOGRAPHIE X. Leçons
cliniques
sur les maladies mentales; par le Dr Magnan Les
ns cliniques sur les maladies mentales; par le Dr Magnan Les leçons
cliniques
sur l'épilepsie, sur la dipsomanie, sur la folie
ui carac- térise sa méthode d'analyse rigoureuse et essentiellement
clinique
, présente l'histoire de la manie et des états m
e une manie type, franche, essentielle, véritable entité morbide et
clinique
, la manie simple. Ce qui domine dans la manie,
lades profondément débilités. Telle est la manie dans sa simplicité
clinique
. Or, les vrais ma- niaques sont assez rares. Il
s. C'est le côté social psychologique et, pour tout dire, la partie
clinique
. La quatrième partie aborde le problème des ori
rois ans; il avait été successivement interne des Asiles et chef de
clinique
des maladies mentales et médecin du bureau de b
e. (Archives de Neurologie, 1891. Extrait p. 8.) 3 Pitres. Leçons
cliniques
sur l'hystérie, 1891, t. I, p. 4. 4 Gilles de l
s sur l'hystérie, 1891, t. I, p. 4. 4 Gilles de la Tourette. Traité
clinique
et thérapeutique de l'hys- lérie, 1891. DÉFIN
les expliquer d'anciens travaux de Brodie 2 et 1 Briquet. - Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, 18.ï9, p. 3. =
nce des explications banales. Ayant donc assuré son point de départ
clinique
, M. Charcot a pu montrer, en étudiant l'origine
up de modération, bornant leur rôle à l'explication de quelques cas
cliniques
bien déterminés. Il restait à géné- raliser un
417. Paul Richer, La grande hystérie, 1885, p. 301. Pitres, Leçons
cliniques
sur l'hystérie, 1891, t. 11, p. 235. ' * Aulo
térie. M. Laurent, dans un tra- vail paru d'abord dans les Archives
cliniques
de Bordeaux 2, et reproduit plus tard avec déve
ystériques d'après les théories psychologiques actuelles. (Archives
cliniques
de Bordeaux, septembre 1892.) 3 L. Laurent. D
s regrettons de ne pas connaître ce travail. ' A. Pitres.- Leçons
cliniques
sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I, p. 300. P
e; aussi, le rétrécissement a été constaté par les moyens usités en
clinique
. Toutefois, dans le moment, grâce à l'obligeanc
à l'emploi de doses réitérées. R. M.-C. IX. NOTES DE thérapeutique
CLINIQUE
dans LES maladies mentales ; » ? par AKGnisANi.
le Dr PELLIZZI. (Rio. sp. di fren., fasc. Ill-IV, 1892.) Les faits
cliniques
et anatomiques, les observations bactério- logi
e prochain prix, qui sera dis- tribué, en 1895 : Etude des variétés
cliniques
du délire des persé- cutions. Marcel BRIAND.
es de Marinesco aboutissent aux mêmes conclusions. Les observations
cliniques
prouvent que les névrites les plus graves ne so
la périphérie. Il est dis- posé à expliquer beaucoup de phénomènes
cliniques
par cette influence simultanée, plutôt que par
ntité morbide en question, il faut ou bien limiter à cette modalité
clinique
l'emploi du mot paranoïa, c'est-à-dire réserver
mot paranoïa, c'est-à-dire réserver le mot paranoïa pour une forme
clinique
' Voy. Archives de Neurologie, séance de 1891.
ue paranoïa, c'est-à-dire Ver- rückliteit, est non point une espèce
clinique
, mais un complexus symptomatique qui se rencont
UND NaTOiISCHP : BEITR1GE ZUR Pathologie DES GEHIRNS. Contributions
cliniques
et anatomiques à la pathologie cérébrale) ; par
ents pays. Dans ce volume, l'auteur avait exposé des obser- vations
cliniques
exactes suivies de recherches macroscopiques et
nctions. Faculté de médecine de >110NTPELLIE(l. M. Bosc, chef de
clinique
médicale, est institué chef de clinique des mal
TPELLIE(l. M. Bosc, chef de clinique médicale, est institué chef de
clinique
des maladies mentales, en remplacement de M. LA
ORGES GUiNON. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Bourneville. - Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
Blocq, 306; syphilis du système nerveux, par Gowers, 308; leçons
cliniques
sur les maladies mentales, par Iagnan, 40 ? ;
légies cérébrales de l'enfance, par Rosenthal, 479; contributions
cliniques
et anato- miques à la pathologie cérébrale, p
s. 1890 Vol. XIX. Janvier 1890. N" 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIA
la sciatique, Th. Paris, 1888, tio 150. ARCHIVES, f,. XIX. 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. d'une cause organique locale, netteme
ues. Lasègue et Landouzy ont insisté sur la différence des formes
cliniques
et établi une distinction fondamen- tale entre
la préci- sion avec laquelle ils décrivent, môme par-dessus 4 , .
CLINIQUE
NERVEUSE. leurs vêtements, le trajet douloureux
t chez tel autre. C'est pourtant de leur pré- Fig. 5. Fit. 6. 8
CLINIQUE
NERVEUSE. sence ou de leur absence que résulten
surface. L'attitude n'est pas aussi constante, il s'en faut de 10
CLINIQUE
NERVEUSE. beaucoup, que ne le prétend M. Babins
elle existe. Il est d'abord de toute évidence que la déviation 12
CLINIQUE
NERVEUSE. est le résultat d'une action musculai
es lois physiologiques de Pflùgersont impres- criptibles. Les faits
cliniques
ne leur ont jamais donné aucun démenti. Reste
jambe gauche porte le poids du corps tout entier. Si les deux 14
CLINIQUE
NERVEUSE. jambes restent parallèles, comme dans
arrive donc insensiblement à appliquer sur Fig, 11. Fig. 12. 16
CLINIQUE
NERVEUSE. le sol la plante du pied du côté mala
soin de bien obser- Archives, t. XIX. 2 Fig. 13. Fig. 14. 18
CLINIQUE
NERVEUSE. ver et de bien décrire les cas que le
r Gilles de la Tournette, in NUe Icoto,q. de la Salpêtrière IL 20
CLINIQUE
NERVEUSE. cloche-pied, la colonne vertébrale s'
st un fait des plus ordinaires et il est incontestable qu'elle 22
CLINIQUE
NERVEUSE. s'étend, comme nous l'avons plusieurs
nférieur gauche ; il en indique si nettement le siège qu'il est' 24
CLINIQUE
NERVEUSE. impossible de douter que ce ne fût un
t toujours impossible ; le pied gauche reste tourné en dedans. 20
CLINIQUE
NERVEUSE. Le 16 juin, l'amélioration s'est conf
, nous nous sommes assuré que l'existence de points douloureux 28
CLINIQUE
NERVEUSE. du côté opposé à la sciatique n'est p
t peut-être moins invraisemblable. Il manquait toutefois au tableau
clinique
de la coxalgie hystérique l'élément essentiel d
le dire, si caractérisés qu'ils soient, ne nous semblent avoir 30
CLINIQUE
NERVEUSE. ici qu'une importance fort secondaire
distribu- tion indécise. C'est pour ces névralgies que Piorry 32
CLINIQUE
NERVEUSE. · et Brown-Séquard ont adopté la déno
é vers le côté sain ne Archives t. XIX. 3 Fig.17. Fig. 18. 34
CLINIQUE
NERVEUSE. peutpas s'effectuer, comme dans les c
mbre des muscles innervés par le sciatique ; elles peuvent ce- 36
CLINIQUE
NERVEUSE. pendant envahir tout le territoire de
cidité rela- tive du membre malade, c'est-à-dire du membre sur 38
CLINIQUE
NERVEUSE. lequel on ne s'appuie pas. Celui-ci e
devient donc impossible; il peut être rétabli cependant, à la 40
CLINIQUE
NERVEUSE. condition que le malade porte la plus
Le malade, qui fut présenté par M. Charcot dans une de ses leçons
cliniques
\ n'offrait aucun trouble de la sensibilité ni
recueillies par L. Bourget, (Olottpellier médical, mars 1889). 42
CLINIQUE
NERVEUSE. et me remettre en route, car les Indi
eurs au dos, douleurs rongeantes dans la région lombaire supé- 44
CLINIQUE
NERVEUSE. rieure, qui m'empêchaient de rester a
il lève ses bras en l'air et renverse un peu la tête, comme s'il 46
CLINIQUE
NERVEUSE. venait de recevoir un coup inattendu
eneris, mais bien un syndrome de la grande névrose protéiforme 48
CLINIQUE
NERVEUSE. qui s'appelle l'hystérie, à moins qu'
a- bilité avec laquelle il m'a toujours reçu, dans son service de
clinique
, où l'on trouve tant de sujets d'études qui, so
ux beaux travaux de l'école célèbre de la Salpêtrière. RECHERCHES
CLINIQUES
ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
700 grammes d'urine par le cathétérisme; Archives, t. XIX. 4 50 .
CLINIQUE
NERVEUSE. fourmillement dans les membres inféri
un certain nombre de tubes nerveux restés intacts au milieu du 52 '
CLINIQUE
NERVEUSE. - tisssu sclérotique ; il m'a été imp
ale est nettement délimitée. Dans quelques endroits de la région 54
CLINIQUE
NERVEUSE. dégénérée, dans les cordons postérieu
oelle. L'ischémie spinale par embolie est déjà aussi établie par la
clinique
. A preuve, par exemple, les faits de Furkvell e
cerveau et rien à la moelle malgré la grande quantité de'bul-; 56
CLINIQUE
NERVEUSE. lettes de gaz que l'on y voit embolis
du tissu conjonctif sous-jacent et de la tunique musculaire. » 58
CLINIQUE
NERVEUSE. ' Pour être complet, on ne peut pas o
urs irrégulièrement ovale. Le tissu çircpnvQisin des cordons 60 - '
CLINIQUE
NERVEUSE. postérieurs offrait plus ou moins les
au point de vue phy- siologico-pathologique les différentes formes
cliniques
que revêtent les accidents des scaphandriers ?
pliquer une à une les formes cérébrales. oc). Forme aphasique. La
clinique
est arrivée, on le sait bien, à distinguer quat
on gazeuse de la branche de l'artère sylvienne qui se porte en 62
CLINIQUE
NERVEUSE. avant pour se rendre en particulier à
emporaires. Nous avons surpris plus d'une fois le mécanisme de 64
CLINIQUE
NERVEUSE. ce phénomène vraiment curieux sur le
qui fait le sujet de ]'ÜnsEuvATION XLVIIL Archives, t. XIX. 5 66
CLINIQUE
NERVEUSE. L'embolie et l'ischémie du rameau que
c'est la zone motrice et par analogie aux lésions matérielles 68
CLINIQUE
NERVEUSE. organiques de l'épilepsie partielle b
on. Or, le nerf de l'espace une fois comprimé, la sensation de 70
CLINIQUE
NERVEUSE. l'équilibre disparaît, les troubles l
- sion intralabyrinlhique, explique aisément les particu- larités
cliniques
propres au syndrome de Ménière, pro- venant de
rti- culations etc. ; c'est la raison pour laquelle nous avons 72
CLINIQUE
NERVEUSE. appelé ces symptômes extrinsèques. L'
asses, trois minutes. De 30 à 32 brasses, une seule minute. On ï4
CLINIQUE
NERVEUSE. ne dépasse jamais cette profondeur. C
ygène conseillée par Paul Bert est d'un emploi très difficile, 76
CLINIQUE
NERVEUSE. sinon impossible, pour les scaphandri
tre. Je citerai seulement les récentes études expérimen- tales et
cliniques
de Giulio Masini, Sur les centres moteurs corti
truit témoigne sans doute que les rapports croisés 1 Dans la partie
clinique
de son travail, .Masini constate la persistance
nt des expériences, à l'effet de contrôler les observations de la
clinique
et de vérifier les résultats de la physiologie.
antes de la tête (1885). IV. Les résultats actuels des recherches
cliniques
et anatomo-pathologiques de Seppilli sur la nat
en de la sensibilité cutanée 1 Charcot et Pitres. Etude critique et
clinique
de ta doctrine des localisations motrices, Pari
nelles. Quoi qu'il en soit, et en laissant la question ouverte en
clinique
, il est certain qu'il a suffi d'attirer l'atten
ions affectaient les différentes régions du cerveau dans les 47 cas
cliniques
recueillis par Sep- oilli : 92 ' PHYSIOLOGIE.
tradictoires à la doc- trine des localisations n. Etude critique et
clinique
, etc., p.. 16. ' Livio Viucenzi. Sulla sclerosi
té cutanée et de la mo- tilité se montrent quelquefois dissociés en
clinique
, tout porte à croire que les aires corticales d
D'après Nothnagel, ce seraient lesP, et P2. Seulement, dans les cas
cliniques
connus, sauf deux, ceux de Grasset et de Kahler
on s'étendait uniquement à la zone motrice. Si les obser- vations
cliniques
confirment un jour ces vues, si les ' Eu regard
vues, si les ' Eu regard de ces objections, faites du point de vue
clinique
, nous devons rappeler que, au point de vue expé
, la seconde coïncidant avec la zone dite motrice. Les observations
cliniques
recueillies jus-' qu'ici montrent en effet que
les paralyse, une lésion irritative les exalte'. Les observations
cliniques
d'altération de la sensi- bilité générale relev
, etc. A cet effet, Seppilli a réparti eu ciuq groupes : 1° les cas
cliniques
d'altérations de la sensi- bilité de la face et
van- cér, parce que cela ressort avec évidence des obser- vations
cliniques
réparties en cinq groupes par Sep- pilli, ainsi
i journée. De là, il a été expédié au bureau d'admission de l'Asile
clinique
, puis à Bicêtre. Envoyé en congèle 1er juillet,
: myélite par compression (tumeur syphilitique ? ) Les fluctuations
cliniques
s'expliquent à l'autopsie parles modifications
es ces anomalies forme les paramnésies. Considéré au point de vue
clinique
, l'hallucination du souvenir se décompose en :
lié in extenso. Le temps avancé s'oppose à la visite de la nouvelle
clinique
; ce soin est remis à la prochaine séance de fév
es résultats par lui obtenus avec le chlorhy- drate d'hyoscine à la
clinique
psychiatrique de Strasbourg. 1° Vingt-trois mal
est renvoyée à la prochaine séance. BIBLIOGRAPHIE. I. - Etudes
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses, par le
résente publication à des considéra- tions à peu près exclusivement
cliniques
. Il se propose,- dans un' ouvrage qui paraîtra
pharmacien de 1° classe, au poste de chef-adjoint du laboratoire de
clinique
des maladies cutanées et syphilitiques à la Fac
té DE médecine DE Montpellier. - M. le Dr LAFON est nom- mé chef de
clinique
des maladies mentales (emploi nouveau). Faculté
argé, pour l'année scolaire 1889-90, d'un cours complémentaire de
clinique
des maladies mentales. La vente DE la morphine
Boehm. BOURiir,vILI.E, COURBARIEN, RAOULT ET SOLLIER. - Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
bonnés : 2 fr. 75. - Bureaux du Progrès médical. Falret (J.) Etudes
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses. Volume
r. LEGR.\lN (M,). - Hérédité et alcoolisme. [Etude psychologique et
clinique
sur les dégénérés buveurs et les familles d'ivr
ans, 1889. Aux bureaux de l'Encéphale. 0 SCHI ! LE (H.). - Traité
clinique
des maladies mentales. - 3° édition traduite pa
Paris, 1888. - Librairie Lecrosnier et Babé. SocA (F.-V.). - Etude
clinique
sur la maladie de Fi-ied7,eich. Vo- lume in-8°
ilup - 290. Vol. XIX. Mars 1890. N, 56. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE ÉTUDES SUR L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE D
ement par le carmin : elles sont formées Archives, t. XIX. 11 162
CLINIQUE
NERVEUSE. par un feutrage serré de fibres, au m
rizontale du T, le sillon longitudinal postérieur et Fit. 20. 164
CLINIQUE
NERVEUSE. l'extrémité antérieure des cordons de
( ! il' Psychiatrie, t. X, p. 200. 8 1.oco citalo, 1. 366. . 166
CLINIQUE
NERVEUSE. l'exception d'un seul où l'on avait a
précisément en rapport avec les fonctions que la physiologie et la
clinique
ont attribuées à ces régions. Toutefois, nous
devraient au contraire être également intacts. Mais les matériaux
cliniques
manquaient à Cattaneo. Les résultats des expéri
nissent déjà une base anatomique à ces recherches expérimentales et
cliniques
. Nous ne saurions passer ainsi en revue tous le
urtout la tétanie, par le D'' Anton von Eiselsberg, assistant de la
clinique
du professeur Billroth. Dans son travail M. Eis
us à signaler ce travail important comme un remarquable chapitre de
clinique
physiologique en même temps que de philosophie
iste entre la polyurie et la polydipsie, si l'on prend des exemples
cliniques
d'un autre ordre (voy. dans le mémoire deux cas
les rameaux cutanés sont peut-être plus altérés que dans la névrite
clinique
ordinaire. On trouve aussi une vraie névrite in
nt été déjà publiées. Il en résulte qu'il y a lieu, au point de vue
clinique
et en ce qui concerne l'anatomie pathologique, de
es myopathiques. Il faut préalablement s'attachera la dis- tinction
clinique
des dystrophies pures et des altérations spinales
ntéressants, il faut en déterminer les conditions expérimentales et
cliniques
et arriver a préciser les cas dans lesquels on
de morphine désinfectent le tube digestif ainsi que le montrent la
clinique
et la stabilité du liquide médicamenteux; les f
ut étudier minutieusement les effets dans le silence du laboratoire
clinique
et ne pas la confier au malade, de crainte d'ac
tion étiologique peut-elle on non servir d'élément de distinction
clinique
? 2 Le Congrès se sépare après avoir visité le
Code pénal '. . M. Wernicke discute le plan et l'organisation de sa
clinique
offi- cielle2. Visite de l'établissement par le
oubles intellecluels s'améliorent et vice versa. Tel est le tableau
clinique
qui dure pendant plusieurs semaines. A ce moment
en obligés de nous contenter d'un même cadre. En ce qui concerne la
clinique
, il me parait établi que, dans les temps modern
ancien in- terne des hôpitaux, est nommé chef du laboratoire de la
clinique
des maladies mentales, en remplacement de M. Be
Vienne, mort d'urémie à l'âge de 57 ans. On lui doit un traité ,de
clinique
des faits divers. 301 maladies du système ner
Alcan. Bournevili.e. COURüARIE, UAOUL1 1 : 1' SOLLIEH, - Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'Izystérie
cé à l'Ecole départemental d'infirmiers et d'infirmières de l'Asile
clinique
. - Volume in-8 de 74 pages, avec 3 planches hor
abonnés : 2 fr. 75. Bureaux du Progrès médical. FALRET(J.). Etudes
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses. Volume
, iiap - 39o. Vol. XIX. Mai 1890. N, 57 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE,. - M. CHARC
APLÉGIE DIABÉTIQUE' 1 (Leçon recueillie par Georges GUINON, chef de
clinique
). Messieurs , La leçon d'aujourd'hui sera con
- chai (de Calvi) a le premier attiré l'attention au point de vue
clinique
, et cela d'une façon tout à fait formelle, en 1
trop souvent à appliquer sans hésitation à la pathologie et à la
clinique
les données du laboratoire. C'était en 1 Leçon
C'était en 1 Leçon du 13 décembre 1889. Archives, t. s1. 20 306
CLINIQUE
NERVEUSE. effet le moment où venaient d'être in
ées, que lorsqu'elles ont été sou- mises à l'épreuve de la critique
clinique
qui seule peut juger en dernier ressort si la n
ent cérébral, lorsqu'il y avait eu une autopsie, et au point de vue
clinique
des hémiplégies transitoires, des monoplégies à
chez les diabétiques Arch. de Netrol., 1883, t. IV, p. 336.) 308
CLINIQUE
NERVEUSE. de départ du diabète. Remarquez qu'on
ue j'ai depuis longtemps reconnu chez ces malades l'existence 310
CLINIQUE
NERVEUSE. de la claudication intermittente, pro
paraissent réaliser un type nosogra- phique défini, dont le tableau
clinique
pourrait, si je ne me trompe, être caractérisé
ue j'ai fait placer sous vos yeux. Mais avant d'arriver à l'analyse
clinique
derce cas, je désire entrer encore dans quelque
Diabète we;< ! < ? e)'< : . lalellbl., 1885, n° il. 312
CLINIQUE
NERVEUSE. Il ne faudrait pas prendre au pied de
l'avancement des sciences, Congrès de Blois. septembre 1884.) 314
CLINIQUE
NERVEUSE. ques ressemblent aux tabétiques. Mais
E DIABÉTIQUE. li 1 z sont absents. Mais quelle est la signification
clinique
de ce fait ? Quelle est sa signification physio
t admet- tent l'existence dans le diabète d'une forme paraly- 316
CLINIQUE
NERVEUSE. tique ou mieux paraplégique et plus p
para- lysie musculaire portant principalement sur les exten- 318
CLINIQUE
NERVEUSE. seurs du pied, de telle sorte que l'a
aux membres supérieurs. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de 320 0
CLINIQUE
NERVEUSE. maux de tête. Rien du côté de l'estom
sé les courbes qui sont reproduites ici. Archives, t. XIX. 21 322
CLINIQUE
NERVEUSE. comme énormes. D'après Bouchardat en
ue, probable- ment parvenue à un haut degré de développement. 324
CLINIQUE
NERVEUSE. Vous voyez à quel point cela ressembl
ssieurs, 3 Vous vous rappelez sans doute un malade fort inté- 326
CLINIQUE
NERVEUSE. ressant que je vous ai montré il y a
que. Depuis cette époque, le malade est resté dans le service de la
clinique
pour y être soigné tant de son diabète lui-même
à cet effet M. Grenouillet, interne en pharmacie du service de la
clinique
. Depuis lors il s'est encore notablement accent
s notre malade rendait jusqu'à 180 grammes d'urée par jour. 328 '
CLINIQUE
NERVEUSE. Aujourd'hui il n'en excrète plus guèr
, la tem- pérature n'est nullement augmentée dans la région à 330
CLINIQUE
NERVEUSE. ces moments et même bien souvent, il
fait toutefois de très rapides progrès en ce qui concerne sa partie
clinique
. C'est au point que les derniers travaux n'ont,
ui fournit ultérieurement à M. Charcot le sujet d'une de ses leçons
cliniques
. Les pièces provenant de ce malade qui, après a
tébrale, scoliose assez prononcée. Addendum. - La malade entre à la
clinique
en 1887, et à cette époque, on peut compléter l
les malades, 'qui en étaient atteints, comme simulateurs. Dans la
clinique
des maladies nerveuses de notre excellent maîtr
on est sortie du laboratoire de suggestion en dehors de toute étude
clinique
. Nous nous permet- trons de donner un exemple q
point de vue, aucun éclaircissement, attendu que l'observa- tion
clinique
n'a point été recueillie. Mais, peut-être, cont
prouvés. M. ROSSB.1CII (de léna). Communications empruntées à la
clinique
médicale de léna. - 9 Du centre cortical qui pr
vasculaire et épicérébral. . 1\1. Mindel (de Berlin). Contributions
cliniques
à l'étude de la mé- lancoliel. (Publié in exte7
d'un élément, leur marche et leur pathogénie révèlent, il l'analyse
clinique
attentive, une différence frappante. Prenons l'
rchives de Neurologie, t. XIII, p. 65-221-393). 1 La mème confusion
clinique
a eu lieu pour la Verrucktheit et la Pa- ranoïa
mentale, la tendance com- mune la plus forte, tant au point de vue
clinique
qu'au point de vue psychologique, est la tendan
s détourné l'ensei- gnement et la pratique du service médical de la
clinique
vraiment rationnelle. « D'un autre côté, l'hy
s. Prix : 2 fr. Pour nos abonnés, 1 fr. 60. SEVESTRE. - Etudes de
clinique
infantile. - (Syphilis héréditaire pré- coce, l
), par Vigouroux, 110; par Eulenburg, 110. Bibliographie : Etudes
cliniques
sur les maladies mentales et ner- veuses, par
CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIREC-110-4 DE A.JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Ste-Anne). ' F. RAYMOND Professeur de clin
ecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). ' F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies 'du système nerveux à la Facul
s 1905 5 Vol. XIX . Janvier 1905 N"109 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE Hospice de H S.1LL1;7RI1 : RI;, Cliniq
S DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hospice de H S.1LL1;7RI1 : RI;,
Clinique
des maladies nerveuses. Paralysie faciale pér
ntérêt, c'est l'origine et la nature de cette tumeur. Observation
clinique
. La malade, hospitalisée iL la Salpe- Il'ii'l'e
lil'. L ? \Li(llbilill' gallanique .li;come, 2^ cri·, l. \I\. 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. des m use les est rurll'l1JellL dill1
lJll1 bU-IwU Lu hl' l'an 1 ie 1. on extrémité inférieure ric.2. 4
CLINIQUE
NERVEUSE. légèrement effilée, affleure le bas d
tis- su fibreux ; un faisceau nerveux, demeuré visible au cen- 8
CLINIQUE
NERVEUSE. tre de la tumeur, présente l'aspect t
llons rapporter et dont à la fin nous relèverons les particularités
cliniques
et anato- mo-pathologiques. SCLÉROSE ATROPHIQ
minée, par E. RWCKE, (Neurolog. Centralbl., tlll, 190 i.) . Etude
clinique
, anatomopathologique et histologique (figures),
our celle raison seule, des trousseaux régénérés, bien que l'allure
clinique
des cas de Fick- ler soit très favorable à cett
stance cimenlaire très analogue, au point de vuehislogé- nétique et
clinique
, au manchon de myéline qui entoure les neuro-li
axiles de l'acide fibrillaire. L'anatomie confirme en effet un fait
clinique
fort ancien ; la conservation prédominante des
ubles psychiques offerts par le malade correspondaient au ta- bleau
clinique
que certains auteurs décrivent encore sous le nom
jet que jadis. - P. KERAVAL. X. - Nouvelle contribution à l'étude
clinique
de l'idio- tie amaurotico-paralytique familiale
Sur le mode d'action des alcaloïdes on sait peu de choses. L'étude
clinique
parfaite des psychoses toxiques doit servir d'in-
té du Ministre de l'Intérieur, le docteur Antheaume, ancien chef de
clinique
de la Faculté, inspecteur adjoint des asiles d'
la S1LPÉTR1ERE. - \l. le I> Jules Voisin, com- menacé ses leçons
cliniques
sur les maladies mentales et ner- veuses le jeu
urs peu commune, plus fréquente chez les femmes que chez les 5G ,
CLINIQUE
MENTALE hommes, el choz les premières, le phéno
Il y a quinze jours, elle éprouve un grand «saisissement à la 90
CLINIQUE
MENTALE suite d'une discussion avec une voisine
ques, de puérilisme mental, suivant l'heureuse expression ent- 94
CLINIQUE
MENTALE llluyéc lctr 11. I : . 1)uyr ; une phas
valles de santé psy- chique. C'est sous le bénéfice de cette notion
clinique
vainement niée aujourd'hui que nous donnons l'o
ousse de- nerni-sement- et des cris d'angoisse. Soudain, le '2'2 OU
CLINIQUE
MUXIALIÎ mai il se met à se masturber avec une
laits que j'ai obser- " vés. Bien qu'appartenant il des catégories
cliniques
dil'- ierentes. ils ne sont pas sans avoir quel
anxiété et excitation génitale, relève, quels que soient les cas
cliniques
où on l'observe, d'un mécanisme identique. La t
ique, 29 lévrier 1904)... , Archives, 2' série 1905, l. XIX. 7 08
CLINIQUE
MENTALE z gancs superposés, couches optiques, b
même étant syphilitique et alcoolique. par lk ])' Simoun (Asile
clinique
. Service de l'Admission.) Un des faits les plus
dmission.) Un des faits les plus propres à montrer que les éludes
cliniques
ne sont pas restées en psychiatrie plus stéri-
ical des Asiles d'Aliénés. Par le D' E. COULONJOU. Ancien chef de
Clinique
à la Faculté de Médecine, Médecin-adjoint des A
s quc le concours des asiles nous donnerait le droit de faire de la
clinique
mentale ! Sans doute, je paraîtrai quelque peu
x de son métier, aliénisle dans l'âme, veut malgré tout faire de la
clinique
et, trai- ter ses pensionnaires ; ou bien, héla
l'étude de la folie put cons- tiluer une branche différenciée de la
clinique
médicale. 118 asiles d'aliénés. Les jeunes do
asiles et sur la législation des aliénés ; il y a deux épreuves de
clinique
mentale, et une sur ti- tres, où il est tenu le
s sont L nommés; ils débarquent, pleins d'enthousiasme et de zèle
clinique
, dans un asile, persuadés qu'un vaste champ d'ex-
, étonnés, les nouveaux adjoints proposent de partager la besogne
clinique
. en se consacrant à certains malades : « Quoi d
ner, étouffer, oublier les pathologies qu'il ne peut transformer en
cliniques
, par suite de l'absence de malades. Cela dure 9
oup d'oeil sur les ré- sultats obtenus en Allemague,< ! al1s les
cliniques
psychia- triques, où passent la plupart des ali
assent la plupart des aliénés , on trouve : il, Strasbourg, dans la
clinique
du Professeur Fuerts- ner 65 % de guérisons : à
à Leipsig, chez Flechsig, jusqu'à 82 % de gué- risons. (Bémond. Les
cliniques
psychiatriques en Alle- magne et à Toulouse, 18
Allemagne, on soigne les aliénés : les médecins foisonnent dans les
cliniques
, et c'est avec un sourire de pitié méprisante q
aître Rémond (de Metz) il son retour d'un voyage d'études clans les
cliniques
allemandes, en ]80S : il en revint illuminé, ma
s dans les papilles. ' Deux cenl-qualre cascoiislituent le matériel
clinique
. Cent trente-quatre d'entre eux concernaient un
e proemine au moins de 2/3 de mill. (2 Dioptries). Parmi les signes
cliniques
il ne faut pas oublier : les obscurcissements p
ment dans un institut d'arriérés. .. j -' L. W. IX. -Contribution
clinique
et critique à l'étude de la ca- tatonie ; par E
portant travail. La catatonie tlo laallllrnlno n'est pas une entité
clinique
ou analmno- palhologique. Les symptômes décrits
nsi s'exprime l'auteur, après avoir procédé à l'analyse des espèces
cliniques
de l'alexie. Il termine. Généralement, la rep
syndrome de Kahlbauill connu sous le nom de.catatonie, L'évolution
clinique
el la symplomalologie permettent d'en admettre
malgré les ;, asiles d'élal, Illenau, En11rÍendingen, Pfurzitciin,
cliniques
d'iieiduthers et de Fribourg ensemble 2395 lils
des malades en rap- port avec leur destination. Les professeurs de
clinique
mentale et les neurologistes n'ont pas fait par
aliénés criminels d'Eu- rope (Allemagne, Italie) et d'Amérique. Les
cliniques
psychia- triques 'universitaires d'Allemagne, d
allemandes est de vingt. Chaque université possède actuellement une
clinique
psychia- trique ; parmi celles-ci, quelques-une
- niques psychiatriques autonomes ont utilisé pour l'enseignement
clinique
des maladies mentales les asiles provinciaux, can
cielle de cet enseignement. Nous ne possédons quequatrechaires de
clinique
des maladies mentales et dans aucune de nos unive
voeux suivants : 1° fondation dans chaque ville universitaire d'une
clinique
psychiatrique autonome ; 2° un personnel médi-
ion du recrutement du corps ensei- gnant ; 4° organisation de cours
cliniques
payants et de cours gratuits ; 5° organisation
éation d'un concours spécial pour les places de médecins des asiles
cliniques
; io réforme de l'organisation du service médica
l, décédé. (Semeur de l'Oise, 110 lIu 20 janvier 190a.) Hôtel-Dieu {
Clinique
des maladies nerveuses). - Jl. Gilbert ¡; \LLET
'autre une partie du lobe lingual, laissant entr'eux un pont de (1)
Clinique
Psychiatrique de Genève, avril 1901. Archives,
petit travail; nous le remercions vivement pour ses indications.
CLINIQUE
MENTALE Etude clinique sur la stéréotypie des d
remercions vivement pour ses indications. CLINIQUE MENTALE Etude
clinique
sur la stéréotypie des déments . précoces; .
lic- nomène dans un assez grand nombre d'observations ; les 190 '
CLINIQUE
MENTALE autres - et ce sont les plus intéressan
x, et à cet effet nous adopterons la division la plus simple. 192
clinique
mentale de l'activité musculaire, aussi bien qu
ir prononcé la phrase Aucun I : c, 2" férié, 100 ? I. XIX, 13 194
CLINIQUE
MENTALE. - stéréotypée qui lui est familière et
Jlllom ' ? - Vous êtes docteur ; je lui donne sa bénédiction. 196
CLINIQUE
MENTALE. « Saer-vous le nom de l'établissement
eur ensemble l'un des chapitres les plus intéressants de l'histoire
clinique
des déments précoces, et la stéréotypie apporte
eindre et toucher ceux qui liassent il portée de leurs mains. 200
CLINIQUE
ME,{1'ALI : . d) Stéréotypies de la marche. Le
e ne préside il l'acte, et nous n'avons jamais observé que la 202
CLINIQUE
MENTALE. vue de l'autre sexe filt susceptible d
cessante des (\) Revue de Psychiatrie, n^ 2, lévrier 1001. 1. 204
clinique
mentale. mêmes mouvements monotones pendant la
défaut de plasticité cellulaire, et por- tent, même au point de vue
clinique
, le cachet tout spé- cial qu'ils doivent à leur
semble donc que les attitudes et les mouvements en question. 203
CLINIQUE
MEN1AL1Î. contemporains de la période d'intoxic
grossi- bilité nous a invité à les séparer, tant ou point (le vue
clinique
qu'au point de vue psychologique, des atti- tud
- toircs pendant la période aiguë de l'affection ; et nous ne 208
CLINIQUE
mentale. devons pas manquer d'ajouter que cette
ils avaient un caractère Archives, 2° série 1905, t. XIX. 14 210
CLINIQUE
MENTALE. intentionnel : plus forte raison est-i
s for- cément pour elles une apparition aussi tardive qu'on n 212
CLINIQUE
MENTALE. pourrait le croire. En effet si elles
t de son résidu ? N'est-il pas vrai, d'autre part, que l'expression
clinique
de pareilles modifications morbides sera comman
if, si bien que lorsqu'il ne se trouve pas éclipsé par l'expression
clinique
de ces der- nières, il peut être mis en évidenc
lle se présente avec une pureté toujours croissante, à mesure 214
CLINIQUE
MENTALE. * \ que progresse la déchéance] de l
me toute la vie motrice de nos dé- ments retraités. ' III. Valeur
clinique
. A. Fréquence. S'il est vrai qu'un signe cliniq
. ' III. Valeur clinique. A. Fréquence. S'il est vrai qu'un signe
clinique
a d'autant, plus de valeur qu'il oc- cupe une p
de fréquence s'accroît si, au lieu d'en- visager chacune des formcs
cliniques
en bloc, on les con- sidère suivant la période
3. Causes d'erreur. Pour conserver à la stéréotypie toute sa valeur
clinique
, il importe d'en marquer les li- ' mites d'une
interpréter le contenu psy- chologique de ces manifestations. `1G
CLINIQUE
MENTALE. Pour qu'il y ait stéréotypie, il ne su
langage. Enfin le mutisme lui-même, que nous avons considéré 218
CLINIQUE
MENTALE. comme ressortissant parfois au cadre d
s la paralysie générale ; mais elle prend chez lui, au point de vue
clinique
, une grande importance. Sa prédominance, surtou
avec difficulté de chacune d'elles, c'est qu'il existe, en un 220
CLINIQUE
MENTALE. mol, derrière son agitation, un profon
de- grés hiérarchiques les plus opposés de notre activité mo- 222
CLINIQUE
MENTALE. trice, et n'en déduisent aucune signif
s conservent un certain degré d'affaiblissement relatif, si 22l t
CLINIQUE
MENTALE. bien qu'il serait plus juste de les co
ossible de donner une localisation anato- mique exacte au phénomène
clinique
de la pupille tabétique. L. W. XXXIX. Hérédit
myélite à marche suraigue qui se rapproche plus ou moins du tableau
clinique
dressé par Landry et qui est certainement de na
iciliano. (Rivisla critica di clinica mediea, 1904, u 6). Admise en
clinique
, l'existence de ces nerfs était niée dans les l
l'excitation et non de la dépres- sion. Pour Ducceschi et Sergi, la
clinique
démontrerait que l'a- taxie cérébelleuse ne ser
canal cen- tral, poliomyélite antérieure ». Gualdi rapporte un cas
clinique
sans autopsie où les lésions classiques de la m
ue non seulement toutes les altérations anatomiques, maille tableau
clinique
. P. Keraval. XXXVIII. -Des symptômes cérébrau
ile, démontrant l'impossibilité d'établir et de sérier les tableaux
cliniques
de l'hystérie. Les symptômes sont éminemment ch
autopsies de tahl'liqul' aveugles. Ce malade offre une confirmation
clinique
du l'ail anatomique que nous avons avancé. Il e
et beaucoup moins souvent. Cet enfant présente assez de caractères
cliniques
pour qu'on puisse affirmer chez lui l'épilepsie
araît éclairée par les (1) A.STEr.M : \ER.Co; ! tr;&. à l'étude
clinique
des paroxysmes psy- chiques épileptiques chel l
Ch.). L'hérédité de /'o6M)'.(/r.;<' de ntédecinc,19U2,p. 338.)
CLINIQUE
NERVEUSE Asile Clinique SamTr3 .4vNr. - Bureau
'.(/r.;<' de ntédecinc,19U2,p. 338.) CLINIQUE NERVEUSE Asile
Clinique
SamTr3 .4vNr. - Bureau d'admission. Hystérie av
F..., cuisinière, àgée de 48 ans, entre à l'ad- mission de l'Asile
clinique
, le 17,juin t9O'j, pour la huitième fois. Incul
u après expertise. 'Elle est entrée pour la première fois à l'Asile
clinique
le 20 juillet 1889, à l'Age de 31 ans, sous le no
La malade prétend ne se rappeler nullement l'inculpation dont 2Gi
clinique
nerveuse. elle a élé l'objet, ni sonpassageàlaP
n même temps la voix de son ami lui faire des propositions. - 266
CLINIQUE
NERVEUSE. Pendant qu'évoluaient ainsi les troub
elles circonstances elle a commis le délit de grivèlerie pour 26S
CLINIQUE
NERVEUSE. lequel elle a été arrêtée) : enfin en
à l'occasion d'une nouvelle entrée au bureau d'admission de l'Asile
clinique
, le 1ti janvier 1905. F... s'était remise il tr
t la localisation et le développement sont déterminés pas à pas. La
clinique
disait, et l'autopsie continua : tumeur occupant
tre la légitimité de leur division au point de vue physiologique et
clinique
.. L'a- nalyse graphique de ces différents mouve
Meige. (Nouo. Iconogr. delà Salpêtriére, n° J, 1904.) Description
clinique
d'un sujet de 30 ans qui présente il la fois le
ort '21- heures après le traumatisme..La comparaison des si¡ ! 1H's
cliniques
-observés relativement à la sensibilité eLilla
d'apparition et de fréquence, la première place parmi les variétés
cliniques
. Les variétés cliniques fondamentales de la tlé
uence, la première place parmi les variétés cliniques. Les variétés
cliniques
fondamentales de la tlémenccltt'11711Livese réd
tif de ceux dans lesquels c'est un simple phénomène dans un tableau
clinique
plus ou moins complexe comme chez l'al- cooliqu
N.v- MOUR. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, n° , 10'I). Tableau
clinique
complet de la maladie de F. avec les particula-
alcoolique ayant introduit des élé- ments étrangers dans le tableau
clinique
de la syphilis cérébrale. P. Keraval. LXV. De
d'écueils. Il est vrai que, sur 281 aliénés criminels traités à la
clinique
d'Ileidelberg, dont 45 anciens détenus eL33 vag
11), UonL onze pactceberccilos ? - BIBLIOGRAPHIE. 331 les progrès
cliniques
et anatomo-pathologiques faits dans l'étude de
ossesse, accouchement, lactation) peuvent se traduire en un tableau
clinique
identique, développé sous l'influence de causes
ie D.ilx frères. Vol. XIX Mai 1905 N 113 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE Sur l'amblyopie hystérique monoculaire
(à pro- pos d'un nouveau cas) ; Par le 1)' R. CHCCIIET, Chef de
Clinique
* il l'Université de nmdcnux. Depuis les travaux
rinaud, Chariot, Pitres. Bernheim. Pierre Janct, les particularités
cliniques
de l'amblyopie hystérique, surtout monoculaire,
e neurologie, 1901 n° G9. Archives, 2' série, 1905, t XIX. 22 338
CLINIQUE
NERVEUSE. gère, devient constante, correspondan
e médecin qui la voit le lendemain lui dit de ne pas se baigner 340
CLINIQUE
NERVEUSE. et ordonne des lofions de l'oeil mati
r avec un drap mouillé et des frictions avec un gant de crin. 342
CLINIQUE
NERVEUSE. Au bout de 8 jours, on constate un mi
éances de la Soc. de Biol., Paris, 11 février 190.'), p. 28d. 344
CLINIQUE
NERVEUSE. maie à gauche. La pression du globe o
d'un oeil, du droit par exemple, ce n'est pas un prisme qui me '346
CLINIQUE
NERVEUSE. rendra la vue de cet oeil : et je ne
tres se détachent en rose et avec leur grandeur réelle ; enfin, 348
CLINIQUE
NERVEUSE. si les deux yeux sont ou verts, elle
ferme l'oeil droit, elle ne voit que la lettre F; si elle ferme 350
CLINIQUE
NERVEUSE. l'oeil gauche, elle ne voit rien avec
tre question de vision binoculaire, que si les deux yeux per- 352
CLINIQUE
NERVEUSE, , çoivent ensemble un même objet ou l
typique de ce genre (lac. cit.1 .lncnIVr, 2^ çric, I. I\. 23 351'
CLINIQUE
NERVEUSE. Celle expérience se montrait par suit
i [ellH'11 1. i.io lui dis de l'l'l'lIH'1' ¡"l'il gauche, le : 33l.
CLINIQUE
NERVËUSU. . droit devient aussitôt amblyope et
umière blanche qui n'arrivent plus jusqu'à lui (action physique).
CLINIQUE
MENTALE Auto-identification romanesque. (Illu
P. » La malade se révèle dans son propre passé comme une per- 3G2
CLINIQUE
MENTALE. , sonne peu normale. Elle a toujours e
temps avant la rencontre du boulevard des Italiens, cet homme ·ul1
CLINIQUE
MENTALE. avait dû l'épier, el à ce momentnième
, à établir d'après eux des observations analogues aux observations
cliniques
, et à comparer ces observations j'ai analysé de
'1Ïè psichiatrii, \'111. 1901. ) De la localisation et de la valeur
clinique
de la sensibilité osseuse ou vibratoire, par L.
preuve, ni quanta la précision desdon- nées, ni quant aux résultats
cliniques
jusqu'ici obtenus. ' Cela tient principalement
céphalée. G. C. XCI. - Le liquide céphalo-rachidien dans la rage
clinique
et expérimentale, cytologie ; virulence ; par M
MATAGNE, CORRESPONDANCE Personnel médical et secondaire à l'Asile
Clinique
. Paris, le 21 février 1905. ' Mon cher 1\1. B
çus au concours, qui occuperont effectivement les postes de chef de
clinique
des maladies mentales de la Faculté de médecine
11S Il'it'CS. Vol. 11 ? Juin 1305 No 114 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE Le réflexe lumineux dans la paralysie g
sions que de 30 su- Arciiives, 2' .i·ir, 100,i, I. XIX. 2 d' 41.8
CLINIQUE
MENTALE jets, nombre insuffisant pour permettre
e- ment et on obtiendra comme nous, à peu de chose près, i'24 i 1
CLINIQUE
MENTALE. l'égalité de fréquence des deux altéra
iverses espèces d'altérations aux trois périodes les voici : 4=28
CLINIQUE
MENTALE. La succession durant les périodes des
entanées. LI : 1(1'1,1.1- : \1 : 1.1 UIvJ L.1 l'IIULYII : 429 430
CLINIQUE
MENTALE. - lysie générale, ceux-ci n'exerceraie
x catégories de malades donnant lieu chacune à des considérations
cliniques
et thérapeutiques particulières : D'une part, on
n de la sensibilité générale. Enfin, il cette absence de si- gnes
cliniques
s'ajoute, pour augmenter la difficulté du diagn
d'un malade du service de Pierre Marie, très courte au point de vue
clinique
mais dont l'anatomie patholo- gique a été étudi
c les accidents névritiques. La ponction lombaire juinte aune étude
clinique
plus minutieuse amontré que les cas légers ne son
hes spasniodique. Il y a un certain parallé li",ll1e entre la forme
clinique
elles lésion*. - t - IIèmot'l'hayie sous-pin-nx
n laboratoire de psychologie expérimentale doit être annexé à toute
clinique
psychiatrique. Voir Progrès médical du 11 avril
apprécié, il alla écouter Magnan, et devint un disciple de l'Asile
clinique
. Ce fut là que sa vocation se décida, et sa car
second en qualité de médecin adjoint pendant troisannées. Son sens
clinique
se trouvait à l'aise dans ce milieu si riche d'
s, combien lui furent utiles les en- seignements de cette admirable
clinique
qu'est l'Infirme- rie spéciale du dépôt de la P
e sérieux profits. Nous savions. en effet, avec quelle intelligence
clinique
, avec quel souci de la vérité, il examinait les
'étude de la folie ne saurait se cantonner dans l'exclu- sif examen
clinique
ou médico-légal de l'aliéné ; elle sou- lève tr
irection qu'il apprit à n'accep- ter que les faits confirmés par la
clinique
. Comme il le répétait sans cesse à ses auditeur
s cas obscurs qui y abondent. 11 fallait voir avec quelle dextérité
clinique
, il savait écarter les broussailles qui encombr
s y survivez, car vos suc- cesseurs se heurteront à des difficultés
cliniques
qui vous feront apparaître à leurs yeux,qui évo
al collège des médecins ; ses travaux comprenaient les instructions
cliniques
sur l'aliéna- tion mentale, Ghcelat Cottages as
de notre distingué collaborateur, M. ! loger mignon, ancien chef 'de
clinique
de la Faculté, médecin- adjoint des asiles publ
mentales Dr D[\Y, le jeudi il 10 heures (section Rambuleau). ,1
Clinique
des maladies DU système nerveux. M. le professeur
'anatomie pathologique au laboratoire d'anatomie pathologique de la
clinique
des maladies nerveuses, à la Salpétriere. Ce co
par Bastogli,237. CLmonI.o-nACmDtEV. Le liquide I - dans la rage
clinique
et expérimentale, cytologie ; vi- ! , rulence
otique. Voir Sys- tème nerveux. Nouvelle con- tribution à l'étude
clinique
de l'- amaurotico - paralytique familiale de
asiles d'alié- nés par Deswarte, 254. -- et secondaire à l'Asile
clinique
par Dubuisson, 411. Phénomène de « déjà vu ».
d et Zum- mern, 324. Rage. Recherches sur la , par I)oddi, 235.
clinique
. Voir Céphalo-rachidien. Rapport médical, pou
de la , par Schtscherbak, 378. De la localisation et de la valeur
clinique
de la os- seuse ou vibratoire, par Minor, 379
0. Statistique. Voir Enfants idiots. S'1'Én(;O'1'\ l'If : . Etude
clinique
sur la des déments précoces, par Dromard, 189
EVILLE PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE MM. A.JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté Je médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
| (Ste-Anne). COLLAOaA7EUR5 PRINCIPAUX : F.
(Ste-Anne). COLLAOaA7EUR5 PRINCIPAUX : F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système neneux la Faculté d
II 0 6 VoJ. XXII. Juillet 1906 NI, 127 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE \> Hospice de la S.LP>Jrltlialc
Folie MMU ! Mg-6 ? rg.s- AncllIY¡ ? 2' série 19Ce, '. XXII 1 2
CLINIQUE
MENTALE. sive, je vous demande la permission, a
ALE. sive, je vous demande la permission, avant d'aborder l'étude
clinique
decette affection,de vous exposer briè- vement
les rapprocher et à les fondre dans une même espèce morbide. 4
Clinique
mentale. IL Période française (1831-1899). On p
me. Ce qui prouve l'exactitude de celte interprétation, c'est 0
CLINIQUE
MENTALE. la phrase suivante extraite de son mém
isolé delà manie et de la mélancolie classiques une nouvelle entité
clinique
à laquelle ces auteurs ont respectivement donné
inguer des cas de manie récidivante ou intermittente, Ivre;- 10
CLINIQUE
MENTALE. pelin émit l'opinion que la manie clas
e définitivement exclue du cadre des maladies mentales, comme forme
clinique
indépendante, et que tous les états d'excitatio
es de Kroepelin aient apporté quelque chan- gement à la physionomie
clinique
de la maladie ». Gilbert Ballet, dans le Xc vol
d'invo- lution « Cette théorie unitaire peut sembler sédui- 12
CLINIQUE
MENTALE santé au premier abord ; cependant, ell
.wur-li0ci : wOt'ITCn ? Atlas manuel de t'·ychiat ie, l. 306. il,
CLINIQUE
MENTALE. même plus loin et met en doute l'exist
u'elle est trop effacée, surtout li on la compare à l'autre. 16
CLINIQUE
MENTALE. En d'autres termes, les accès de manie
cale, 1902, p. 4G2. Archives 2- série, 190G, t. XXII. 1. 2 18
CLINIQUE
MENTALE. naturel ultérieurement, je me borne à
er à des lésions anatomiques. Elle constitue donc une simple entité
clinique
, dont la place naturelle est à côté de la folie
pour lire un radiogramme, il faut des connaissances anatomiques et
cliniques
qui ne sont point le fait du premier venu. Des ig
Il a < rmntgéniso » un certain nombre de femmes enceintes à la
clinique
Baudelocque sans avoir jamais vu d'accident ni da
tions de physique et de géométrie, qu'à un physicien d'apprendre la
clinique
. M. Lahbé et 31. Drouardel font remarquer qu'il
tive médullaire peut se faire en des points différents Le tableau
clinique
révélateur de la lésion tabétique a passé inaperç
le tabès juvénile. En présence de ces constatations anatomiques et
cliniques
, il de-, ient nécessaire de rechercher la série
x pyramidaux. On est donc en droit de se de- mander si cet ensemble
clinique
n'est pas un simple syndrome et non une maladie
n et de la fréquence des ictus dans cet hémisphères Les expressions
cliniques
les plus intéressantes de ces diverses lésions
infectieuses. sem- ble rationnel de lui rapporter toute l'histoire
clinique
de ce cas : elle est la cause de la rupture art
lippel conclut en définissant la paralysie générale : « un s5mlrome
clinique
, caractérisé par un ensemble de signes et une é
et incurable. La psellùo-paral) sie générale diabétique est un fait
clinique
réel et on doit l'ajouter aux autres formes de
soigneuse- ment, ni antécédents organiques. 2° Dans une évolution
clinique
qui frappe par sa très grande simplicité et qui
e explication purement hypothétique, il pense que c'est un point de
clinique
qui révèle peut-être un signe important dans le
as est une arthrite mélacarpo-phalangienne ayant tous les attributs
cliniques
et radiographiques du rhumatisme chroni- que ;c
ynergiedes mouvements et à lutter contre l'inertie. Certains signes
cliniques
se rapportent à cette dernière fonction : ainsi
e et a déjà remporté de brillants succès dans les diverses variétés
cliniques
du vomissement, en particu- lier les vomissemen
hiatrie a été extrêmement avantageux à la connaissance des tableaux
cliniques
des maladies mentales et des méthodes pour les
le que moyen- nant l'examen du vaste matériel offert par l'histoire
clinique
d'en- tières descendances de famille. Une parti
,(1-1')i-issau(l (t. IX, p. 408 414, 1904). Dans le cas d'Amiral (
Clinique
médicale, t. V, p. 713, 4e édit. cité d'après T
e- mières scissure ? (calcarine,limbique, etc.),apparaissent 90
CLINIQUE
MENTALE. vers le milieu du quatrième mois ; peu
'hémiagénésie céré- belleuse, du moins d'une origine postérieure.
CLINIQUE
MENTALE Les symptômes oculaires de la Paralys
Interne de l'Asile de Monlilevergttes P. PANSIER Ancien chef de
clinique
ophtalmologique de la Faculté de Médecine de
(1) TOULOUSE et UIlPA3. ? Journal de Neurologie, n° 3, 1904. 92
CLINIQUE
MENTALE commodation, est rarement pur, mais se
nt aux paralysies qui se présentent au cours de la paralysie 94
CLINIQUE
MENTALE. générale leur valeur diagnostique spéc
tal- ;I) Jean Gai.I'.zoxyski. Thèse de l'nris, Juin 1901. 1. 96
CLINIQUE
MENTALE. moscopiques est liée à thémianestluisi
logie générale, 1904. Archives, 2' série, 190f, t. XXII. 7 . 98
CLINIQUE
MENTALE. là encore un clément précieux de diagn
affections du système nerveux. Thèse de Paris, juin 1904. 100 ,
CLINIQUE
MENTALE. complet des yeux du paralytique généra
u contraire ne surviennent qu'à la fin. De sorte que le ta- bleau
clinique
des troubles visuels du paralytique géné- ral e
tatations de labora- toire ont confirmé ce qu'avait fait prévoir la
clinique
; le dé- lire des infections et des intoxicatio
ques que le délire qui donnent à cette affection sa valeur d'entité
clinique
. Les connaissances sur la physiologie pathologi
t à un âge avancé de ce qu'elles sont à l'âge adulte. III. Aperçu
clinique
. - A. NEUROLOGIE. - L'arté- rio-sclérose cérébr
epsie sénile. L'épilepsie sénile peut présenter toutes les variétés
cliniques
de l'épilepsie juvénile, avec ou sans quelques
du cerveau sénile,pour ten- ter enfin une superposition des données
cliniques
aux alté- rations anatomiques. Il est vrai qu
e vue neurologique, il y a également quelques lacunes dans l'exposé
clinique
de M. Léri. Le cerveau sénile traduit sa sénili
gie, il existe des paraplégies vraies d'emblée, qui forment un type
clinique
parfaitement dis- tinct. Les paraplégies myél
ntative de superposition des lésions anatomiques et des syn- dromes
cliniques
; en dehors d'un petit nombre de faits, cette s
té obligé de se contenter de faire de fréquentes incursions dans la
clinique
à propos de l'étude anatomique 3t dans l'anatom
propos de l'étude anatomique 3t dans l'anatomie à propos de l'étude
clinique
.S'il n'a pas com- mencé l'étude du cerveau séni
malade, mais il est tou- jours possiblede retrouver dans le tableau
clinique
la part de chacun des fadeurs surajoutés. La re
uteurs plaide en faveur de cette conception, puisqu'au point de vue
clinique
elle se présen- tait avec tous les caractères d
a disparu avec lui. G, 1). 156 BIBLIOGRAPHIE. IV. Contribution
clinique
et anatomique 11. l'étude de la chorée de Hunti
'1°eniat·ia, 1904. \'01. XXX, J'asc. Il, III,) L'élude étiologique,
clinique
et anatomique de la chorée de Iluntinglon a occ
M. Hos51 rapporte une observation de celle affec- tion, avec examen
clinique
et histologique. Ayant exposé les ré- sultats d
sseaux ca- pillaires. En terminant, il fait remarquer les affinités
cliniques
et anatomo-paLltologillues qui existent entre l
hésies psychiques dites nerveuses ou hystériques. Etude historique,
clinique
, expérimentale et critique. 1 vol. In-8" de 320
paees Bergmann à \Viesbadn. HomuHUËZ-MotN ? Contribution à l'étude
clinique
de la parti; : rsie générale en Espagne In-8° de
RECHERCHES SUR LE T11.11T1 : >ILN T DU L'ÉPILEPSIE, 169 170
CLINIQUE
NERVEUSE. de régime sans sel et sans bromure, d
icables également le plus souvent aux adolescents de Hi à 18 ans.
CLINIQUE
NERVEUSE Un cas de compression de la moelle ave
présente des lésions de dégénérescence des faisceaux pyramidaux, en
clinique
encore, quand on se trouve en face de pareils s
ements limités do flexion et d'extension dans les genoux. \ 172
CLINIQUE
NERVEUSE. Les mouvements passifs dans toutes le
fracture du rachis. Paraplégis spasmodique ; laminectomie. 174
CLINIQUE
NERVEUSE. la spasmodicité, avec clonus et exten
sente un nouveau cas. On peut déduire de ces faits que les signes
cliniques
de spasmodicité ne coïncident pas toujours avec
bablement qu'avec le temps il disparaîtra aussi. En somme, ce signe
clinique
ne nous autorisait pas, chez notre malade, à di
Cestan. (Soc. anatomique, février 1899.) (2) Etude anatomique et
clinique
sur la srlérrose en plaques, par J. l3;rhinsl :
lérrose en plaques, par J. l3;rhinsl : i. Thèse de Paris, 1889.
CLINIQUE
MENTALE Délire de persécution à base de fausse
alcoolique; . par il IŒMOXU (de lleLz), Professeur de
clinique
des ma- ladics men laI cs à l'enh"cl'- sité d
sité de Toulouse. eL L , Lucien LIGItII 1 I : , Ancien chef de
clinique
des ma- ladies menlales, médecin des asiles.
es était « un des faits les plus « propres à montrer que les études
cliniques
ne sont pus « restées,en psychiatrie.plus stéri
peuvent présenter ce que nous pourrions appeler les élégances de la
clinique
, en raison de la diversité de . pronostic des d
matière d'observation, à conserver une bonne tenue aux descriptions
cliniques
. Il y a plus : il existe en psychiatrie tout un
unanime pour reconnaître l'exis- tence, l'autonomie, la régularité
clinique
de la manie, de la mélancolie, de la paralysie
. -Le 17 juin 1901, Antoine C ? se présente à la consultation de la
Clinique
des maladies mentales de Toulouse, se plaignant
étudiant en philoso. .lttcnrvrs, 2' série, 1OG, 1. XXII 12 178
CLINIQUE
MENTALE. 1 ]'hie ; il nous donne sur sa maladie
rver plus longuement; nous l'engageons à solliciter son entrée à la
Clinique
, où il est placé dès le lendemain. Malheureusem
il reste de 1890 à 1894. Cette période est caractérisée par 180
CLINIQUE
MENTALE. un ensemble de préoccupations religieu
er une gratuité d'inscriptions,les nécessités administratives 182
CLINIQUE
MENTALE. coutumières dont on lui parle, et les
à haute voix : « Il a tait sa mai. » .le suis convaincu que 181 '
CLINIQUE
MENTALE. ma mère est morte et. que mon absence
l est névropathique ; nous notons de l'hy- perexcitnbililé. 186
CLINIQUE
MENTALE. Au moment de l'examen, pas d'hallucina
s voit trop grossiers, et ne se considère point comme étant 190
CLINIQUE
MENTALE. né pour cultiver la terre, alors qu'en
le est un peu nerveuse, perdre une partie de ses moyens. L'examen
clinique
, en révélant l'étendue des anesthésies et dss i
- niâtre, les troubles psychographiques complètent les tableaux \
cliniques
. Les crises d'inertie avec leur aspect clinique
t les tableaux \ cliniques. Les crises d'inertie avec leur aspect
clinique
spécial et les rires morbides, explosifs, incoe
formes de nymphomanie. M. Gilbert Ballet. 11 existe de nombreux cas
cliniques
denymphomanie tout à fait différents de la desc
stème nerveux est rendue plus ma- nifeste par l'etude de l'histoire
clinique
de certains états pa- thologiques. Elle est émi
n chondrale et le défaut d'ossification périostale. Au point de vue
clinique
, on note le moindre volume de la tète, l'absenc
L'étude de ces paramètres pourra donc être utilisée à l'avenir en
clinique
nerveuse pour reconnaître l'origine et le siège d
insensiblement de l'un à l'autre. Lés auteurs rapportent le tableau
clinique
d'une affection familiale spasmodique qui tient
ose rapportées par les auteurs de ce travail. A défaut d'expression
clinique
précise, il faut dépister la névrose en étudian
dont les conclusions sont appuyées à la fois pardes considérations
cliniques
et par des faits expérimen- taux ; ils ouvrent
OUS et PAGNIFZ. (Nouv. Icon. Sal- pêtrière, 1905, n" 6.) Histoire
clinique
d'une famille frappée à trois générations d'oph
ois ilsontun myxoedème fruste, des tics. On ren- contre trois types
cliniques
. Dans le premier le nystagmus estle seul symptô
e la bouche, renversement de la tète en arrière, etc. Ces tics tous
cliniques
, sauf les renverse- ment dota tète en arrière,
asiles d'aliénés. ment de l'aliénation mentale, soit comme chefs de
cliniques
ou internes des hôpitaux nommés au concours.
es d'exposition. Le maximum des points sera de 20. 5° Une épreuve
clinique
orale. Celte épreuve portera sur un seul malade
utes d'exposition. Le maximum des points sera de 20. 6° Une épreuve
clinique
écrite. Cette épreuve portera sur un seul malad
il a in- diquées. C'estdonc, ici comme partout en psychiatrie, la
clinique
, c'est-à-dire la constatation des faits qui doit
à-dire la constatation des faits qui doit fournir la réponse. Or la
clinique
a répondu que la folie gémellaire de Bail exist
une dans ce mémoire. Qui sait ce que leur réserve l'avenir et si la
clinique
ne les comblera pas ? L'auteur, à ma connaissan
est M. Serge Sou- khanoff, privat-docent,et médecin assistant à la
clinique
psychiatrique de Moscou ; son mémoire a paru en
onfusion dans la question. Il est à désirer que les hasards de la
clinique
favori- sent M. Serge Soukhanoff et lui fournis
bord à cause de l'autorité de son auteur qui fut profes- seur de
Clinique
mentale à la Faculté de Médecine de Pa- ris, et
ons pas publiée plus tût, espérant toujours que les hasards de la
clinique
nous en fourniraient d'autres; mais notre espoir
rches psychologiques restent en parfait accord avec les expériences
cliniques
des in- fluences psychiques du brome. PATHOLO
. Plus récemment Clouston, en ayant re- cours seulement à l'examen,
clinique
, évaluait a27 °/„ la proportion moye
Iill que 127 cas de tuberculose furent constatés alors que l'examen
clinique
n'en avait dépisté que 67. Un relevé statistiqu
proportion de deux tuberculoses mécon- nues sur une reconnue par la
clinique
, ce qui infirme singulièrement les déclarations
outre, à donner au personnel des indications détaillées louchant la
clinique
psychiatrique et les soins spéciaux que réclame
hystérisables. Dans le deuxième chapitre, il étudie les caractères
cliniques
de l'anesthésie suggérée et il donne le résulta
iron. vol. xjai Novembre 1906. N 131 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE Mutisme, aphonie, amnésie, aphasie apha
n ouvrier, estimé de ses Archives 2- série 190G 1. XXII. 22 338
CLINIQUE
MENTALE. patrons, il ne buvait pas, se conduisa
ardez,mon bras est revenu, leur dit-il, nous allons descendre 34b
CLINIQUE
MENTALE. et prier » . Il allume la lampe et des
région temporo-pariétale gauche : « J'ai toujours mal là ». 342
CLINIQUE
MENTALE. D. Depuis quand ? - R. Je ne sais pas.
attirée/cherche pendant cinq minutes et ne retrouve pas. 314 .
CLINIQUE
MENTAL ? 3 3 mai. Trois minutes après lui avoir
de choses à signaler sur les modifications de l'intonation. 346
CLINIQUE
MENTALE. Lorsque D ? reparla à voix haute on pu
e 1 » 15 avril. L'amusie est un peu moins absolue ; lorsque 31S
CLINIQUE
MENTALE. l'on siffle la Marseillaise, le malade
en scandant chacun de ces mots. Nous lui montrons le chiffre 350
CLINIQUE
MENTALE 2. il le dit aussitôt; puis le chiffre
ase, avec des arrêts fréquents, après sa, il arrête plusieurs 352
CLINIQUE
MENTALE, secondes il savait bien nous dit-il, q
ubles du caractère si dncnlvss, 2' série 1906, t. XXII. ·'3 354
CLINIQUE
MENTALE. fréquents chez les hystériques, peu at
15 centimètres, un autre il est perçu jusqu'à 25 centimètres. 356
CLINIQUE
MENTALE. Lorsqu'il est plus troublé, le malade
che que la photographie reproduite ici permet de constater. 3JS
CLINIQUE
MENTALE. Le muscle frontal gauche se contractai
léger traumatisme de l'épaule droite à la suite duquel une 360
CLINIQUE
MENTALE. paralysie flasque du bras droit s'inst
stic précoce à l'admission dont peut disposer l'aliéniste, moyens
cliniques
qui s'augmentent chaque jour de nou- velles mét
el à des moyens d'inves- tigation accessoires, empruntés moins à la
clinique
qu'au laboratoire, et que nous trouvons résumés
ître la technique et qu'on vou- drait voir entrer davantage dans la
clinique
. Après dessiccation à l'air et fixation, par le
eptique peut précéder de quelques jours l'explo- sion des symptômes
cliniques
caractéristiques d'un état de mal grave. 6° L
EVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. paranoide et la paranoïa. La conception
clinique
de Kraepelin de la démence paranoide simple et
mence précoce, est sans doute une des plus importantes acquisitions
cliniques
de] ces derniers temps, mais il a, selon l'aute
elon l'auteur,une trop grande tendance à vouloir élcr- gir le cadre
clinique
de la démence précoce ; et cette tendance l'a a
général possible. ,1. Si';GLAS. XV111. Recherches statistiques et
cliniques
sur le suicide chez les alcooliques ; par LORRN
ulation s'est élevée de 580 en 1896 à 686 en 1905 : au point de vue
clinique
les admissions sont rangées sous trois grandes
niement plus difficile. Cela explique, me semble-t il, pourquoi, en
clinique
, on a si rarement recours à l'ergographe, et, q
ues éléments de dia- gnostic. Or, quand il s'agit de diagnostic, la
clinique
ne rcculepas devant un examen minutieux et déli
tes. 421 1 PSYCHOLOGIE. Un vaste champ d'études s'ouvre donc en
clinique
. L'examen des paramètres des courbes des neuras
Iu ? li"tell1elll après l'exposé du Parallèle en queslion. 426
CLINIQUE
MENTALE bel (Sarthe), le 22 mai 1889 ; entrée à
d'épilepsie. Ecolage : l'enfant est d'une nullité complète. 432
CLINIQUE
MENTALE. les mouvements : assis, debout, en ava
itale. 433 Tableau comparatif du poids et de la taille. , 434
CLINIQUE
MENIALE. cg. ; puis à partir du 4 juin la dose
Entre l'extrémité antérieure de l'hélix et la branche infé- 438
CLINIQUE
MENTALE. rieure de l'anthélix, existe dans cett
aitement par la glande thyroïde. Cott ? pèse alors 24 k. 4 ! 40 -
CLINIQUE
. MENTALE. 500 et mesure 1 mètre 17. L'administr
taille pendant le troisième tl ait ! 11/el, t thyroïdien. ii2
CLINIQUE
MENTALE. surtout avec ses compagnes. Elle a fai
ce semestre, l'enfant a encore gagné un cenli- mètre. 11111, '¡
CLINIQUE
MENTALE. de septembre. On suspend alors le trai
le 1/3 moyen, foyers de congestion avec râles très fins. z in
CLINIQUE
MENTALE. La respiration est superficielle, rapi
u. 8 juillet. Aggravation, soif intense, Cott.. demande à ii8
CLINIQUE
MENTALE. boire 1/4 d'heure encore avant sa mort
isseaux courent à Archives, 2* série, 1900, t. XXII. 2 .) - 100
clinique
Mentale. sa surface et semblent l'envelopper d'
initie de LaloucLLe aLLcignamL presque le sommet des lobes. 452
CLINIQUE
MENTALE. Abdomen. Pas de liquide à l'ouverture
une tante morte de méningite, une soeur de tuberculose. 4 : J't
CLINIQUE
MENTALE. II. Vers la fin de la grossesse, au dé
s en plus, le phénomène du genou qui luisem- ble lié fréquemment en
clinique
,ne se manifeste pas ; il convient donc de les d
res et respiratoires d'origine otiquo ou nasale s'ohsencntsomenl en
clinique
. L'angoisse est parfois la conséquence des (rou
ntrée. Leptoméningite aiguë suppurée diffuse, prouvée parle tableau
clinique
et la ponction lombaire (liquide séro-pu- rulen
r la production des abcès cérébelleux otogè- nes. Au point de vue
clinique
cette observation est un cas d'amélio- ration m
els que présente au triple point de vue pathogénique, anatomique el
clinique
la méningite oto- gène en ce qui concerne surto
ment au niveau du bord alvéolaire et présentent bien les caractères
cliniques
de cette lésion. Sur le côté gauche et à peu pr
des lésions de leploméningite dif- fuse. Certaines particularités
cliniques
montrent l'influence du rhu- matisme dans l'ori
i l'influence curieuse des surmenages locaux. La véritable analogie
clinique
entre le rhumatisme chronique et la paralysie a
Vol. XXII. Juillet 1891. N" 64 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE Hospice de la S1L.I ? fItIItC. M. le p
RÉDITÉ NERVEUSE, · Leçon recueillie par Georges GUINON, ' Chef de
clinique
. Sommaire. Progrès réalisés dans la connaissanc
vient chaque jour un motif d'étonnement, a Archives, t. XXII. 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. pris- une place importante dans la cl
. XXII. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. pris- une place importante dans la
clinique
des hôpitaux de Palis, où l'on a appris à conna
-uns. Je vous renverrai d'abord à l'article de mon aucien chef de
clinique
, M. P. Marie, aujourd'hui médecin des hô- pitau
x, a observé plus de 20 cas d'hystérie mule dans le seul service de
clinique
générale dirigé par M. le professeur Pitres % d
eur Pitres si t hôpital ,Sainl-Imlré clc Bordeaux, '1'11. 1890. 4
CLINIQUE
NERVEUSE. chester ont beaucoup contribué faire
e. Il faut être, cela se conçoit, en possession d'un grand matériel
clinique
, tant général que spécial pour observer journel
out, c'est le reflet d'une attitude préalable, d'une résolution "
CLINIQUE
NERVEUSE. prise a priori qui pourra rendre diff
ile peut-être l'ap- préciation véritablement scientifique des faits
cliniques
. Attendons patiemment que de ce côté la lumière
rendre, jevous l'ai dit, un cas banal; seulement, vous le savez, la
clinique
attentive trouve à peu près toujours à signaler
oncours de causes provocatrices diverses à démontrer que, ainsi 8
CLINIQUE
NERVEUSE. que je le soutiens depuis longtemps,
ans Fig. 1. Anesthésie dans le domaine du facial inférieur. ' -10
CLINIQUE
NERVEUSE. les deux yeux, sans scotome central.
t rentre plus vraisemblable- ment dans celui de l'alcoolisme. '12
CLINIQUE
NERVEUSE. Maintenant c'est sur les caractères d
l lectures on panalysis, etc. 1° édition. Loiulon, 186, p. 20. li
CLINIQUE
NERVEUSE. souvent tordue, enroulée sur elle-mêm
lùp., 1890. J Chantemesse. sou. ucérl. cles h(ili., 1890. 16 () '
CLINIQUE
NERVEUSE. chez l'homme. Il faisait remarquer qu
i que M. Gilles de la Tourette avait, alors qu'il était mon chef de
clinique
, pu- blié déjà un travail sur la superposition
se produisent jamais bien nettement. .\1\CI11HS, L. XXII. 2 18
CLINIQUE
NERVEUSE. Passons maintenant à l'autre point qu
usc aux yeux verts » comme l'appelle une chanson de carrefour. 20
CLINIQUE
NERVEUSE. Il fut soigné comme blessé à l'hôpita
'a plus de grandes attaques, mais seulement de petits vertiges 22
CLINIQUE
NERVEUSE. qui le prennent quelquefois sur les r
rts qui sont inhérents, paraît- il, à la profession de tonnelier.
CLINIQUE
MENTALE NOTE SUR LE DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNA
nsultation externe de la Salpêtrière, le 17 dé- cembre 1888. 26 #
CLINIQUE
MENTALE. Antécédents héréditaires. - Mère, mort
et remonte dano la gorge jusque dessous la langue, - Comme elle 28
CLINIQUE
MENTALE. n'a plus de pensée, il y en a un qui l
ons psycho-sensorielles, intéresse les centres sensoricls-corti- 30
CLINIQUE
MENTALE. eaux. J'ai déjà rapporté dans des étud
n son entier, et l'on se trouve aujourd'hui en présence d'un type
clinique
parfaitement défini, à symptômes précis et quasi
âges différents des animaux, ou celui d'une faute de l'observation
clinique
et de la recherche anatomique ? La première sup
l'Ecole pratique des Hautes-Etudes. · I. L'étude expérimentale et
clinique
que les Italiens ont faite de l'épilepsie corti
es circonscrits, comme dans l'épi- lepsie expérimentale et la forme
clinique
de l'épilepsie partielle; 20 ces convulsions, a
brale, ainsi qu'on le suppose d'ordinaire ? Seppilli, dans une note
clinique
publiée en 1888, a cité quatre cas dans lesquel
jackso- nienne exclusivement motrice) : la démonstration anatomo-
clinique
est faite. Dans le second cas, ces phénomènes ser
o-palpé- braux. Unverricht, dans ses Recherches expérimentales et
cliniques
sur l'épilepsie ('1883), avait montré aussi qu'
ches faites par Danillo 1 A. Pitres. Etude sur quelques équivalents
cliniques
de l'épilepsie partielle ou jacksonienne. - Ite
ticale, reparaissent, avec plus de netteté, dans les observations
cliniques
recueillies par Seppilli. Quant au siège des lési
ielle ; il peut être d'abord 1 Charcot et Pitres.-Etude critique et
clinique
de la doctrine des locali- sations motrices, 18
époque, quoique avec moins de puissance, porté sur le terrain de la
clinique
les résultats des études nouvelles sur les locali
de l'épilepsie générale. Qu'enseignent maintenant les observations
cliniques
re- cueillies par Seppilli relativement à la pa
courants aux ganglions infra-cor- ticaux 2. Dans une observation
clinique
, suivie d'autopsie, Toma- ' Th. Ziehen. Ueber d
le l'indépendance et la succession des accès. Donc, au point de vue
clinique
aussi, la zone exci- ' B. Tomaschewski. Zur Fra
é et la diffusion de l'accès 1. Pour être applicable à tous les cas
cliniques
possibles, la théorie corticale de l'épi- lepsi
ière. Les ganglions opto-striés étaient normaux. Des considérations
cliniques
et anatomo-pathologiques aux- quelles pourrait
E PROGRESSIVE; par SEEUSMUELLER. (Neurol. Centralbl., 1889.) Type
clinique
de poliomyélite chronique avec polioencéphalite
UTION A L'ÉTUDE DE l'épilepsie JACKSO- N1ENNE ET DE ses équivalents
cliniques
; par L. LOEWENFELD. (Arch. f. Psych., XXI, 1, 2
h) pour arriver au long et substantiel travail de Loewenfeld. Types
cliniques
divers de l'épi- lepsie partielle (douze observ
e la moelle); par G. Rosso- LIMO. (Arch.f. Psych., XXI, 3.) Etude
clinique
et anatomopathologique consciencieuse, avec pla
ECK.. (Arch. f. Psych., XXI, 3.) ? Voici une autopsie, sans étude
clinique
préalable, où l'on voit : Archives, t. XXII. 9
rimentations antérieures. P. IERAV-1L. Xi. Contribution .1 L'ÉCUDl3
clinique
et AiV.ITOMO-P.1THOLOO1QUE DE LA NÉVRITE ALCOOL
riques ; légère dégénérescence des muscles. Observation IL Allures
cliniques
de l'ataxie locomotrice progressive : douleurs en
'expérimentation (voyez Al'chives de Neurologie, t. XIX, p. 270) la
clinique
. Cette seconde partie du mémoire (voy. Archives
as possible de déve- lopper dans un compte rendu concis les détails
cliniques
et ana- tomiques de ces cas, ainsi que les conc
eur Kojewnikof fait remarquer l'intérêt de la question en ce que la
clinique
des maladies nerveuses est éclairée à l'électri
ère ». Ce travail est fondé sur ses recherches antérieures dans les
cliniques
de Charcot et de Westphal et une nouvelle obser
folie; elle tend à démontrer que dans la multiplicité des for- mes
cliniques
en aliénation mentale, l'élément individuel joue
aient d'après l'auteur moins des causes que des effets. Les types
cliniques
sont : 1° La neurasthénie féminine par suite de
nt deux éléments que l'on trouve souvent en présence sur le terrain
clinique
; tout en conservant leurs caractères propres,
a été ouvert le lundi 22 juin 1891, à une heure précise, à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne), rue Cabanis ? à Paris. CONGRÈS
nde et pour raisons de-santé à M. le docteur Pierret, professeur de
clinique
de maladies men- tales. M. le docteur Weill, ag
agrégé, est chargé, du 1er avril au31 oc- tobre 1891, d'un cours de
clinique
des maladies mentales. , Faculté DE médecine D'
- Lyon, 1891, Association typo- graphique. Magnan (V.). - Leçons
cliniques
sur les maladies mentales (Le délire chronique
Prix : 3 fr. 50 ; pour nos abonnés, 2 fr. 75. Magnan (V.). Leçons
cliniques
sur les maladies mentales, faites à l'Asile cli
(V.). Leçons cliniques sur les maladies mentales, faites à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne). Recueillies et publiées par Briand
- 701. Vol. XXII. Septembre 1891. N" 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE SUR UN CAS DE PARALYSIE RADICULAIRE DE
ls je fais allusion, 1 5, mai 1891. ' Archives, t. XXII. 11 162
CLINIQUE
NERVEUSE. ne sont pas rares, ils réclament une
re qui s'accentue trois semaines plus tard, quand survient de 164
CLINIQUE
NERVEUSE. la raideur du membre. Bientôt la main
on de dégénération de l'éminence thénar et de quelques autres 166
CLINIQUE
NERVEUSE. petits muscles de la main; les contra
e, la pupille en est plus petite, la face est aplatie du même 168
CLINIQUE
NERVEUSE. côté. Ces symptômes ne sont pas excep
euse, Dnitsch. arch. f. Kli2z. Ile(l. Vol. 17" fasc. 3 et i.) 170
CLINIQUE
NERVEUSE. cédez -moi qu'ici la zone d'anesthési
sa.branche cutanée interne. - Cire, ciroâf flexe. C, cubital. 172
CLINIQUE
NERVEUSE. innervation purement motrice ; 3° au
ita- tion latente, d'inflammation lente, d'où résulte la fra- 174
CLINIQUE
NERVEUSE. gilité de ce côté du corps vertébral.
dienne. . Nouvelle iconographie de la Salpêtrière. 1888-89. 176
CLINIQUE
NERVEUSE. J'espère vous avoir montré, par cette
essivement le lobule paracentral droit, Archives, t. XXII. 12 178
CLINIQUE
NERVEUSE. puis pénétra dans les troisième et qu
e pus sort suffisamment par la plaie; l'introduction d'un drain 180
CLINIQUE
NERVEUSE. placé avec les plus grandes précautio
de l'appétit. Depuis deux jours, le malade est atteint d'hémi i 182
CLINIQUE
NERVEUSE. plégie gauche, et parle avec beaucoup
, scissure perpendiculaire interne. - 7, scissure calcanne. ' 184
CLINIQUE
NERVEUSE. et très intimes à la faulx du cerveau
ules. Ce travail pathologique doit correspondre à la crise du 186
CLINIQUE
NERVEUSE. '22 novembre, date de la paralysie de
fronto-pariétale, devient motrice, et correspond, d'arrière en 188
CLINIQUE
NERVEUSE. avant, au centre des mouvements des m
gique qui seule peut-être pourrait la trancher fait défaut, et la
clinique
nous paraît insuffisante dans l'étude d'affection
, non seulement sur la physiologie expérimentale, mais aussi sur la
clinique
et l'anatomie patholo- gique. Cependant, même
n, il y a aussi V organe le plus faible. D'autre part, que donne la
clinique
? Dans un premier cas, l'on a affaire, et c'est
dire que les pseudo-paralysies alcoo- liques sont repoussées par la
clinique
et que l'alcoolisme chronique conduit habituell
lontaires et, au premier rang, l'alcoolisme. Les premiers symptômes
cliniques
de la para- lysie générale correspondent à une
. Il repousse toute assimilation. M. Mairet rappelle les caractères
cliniques
qui résultent de l'al- coolisme concomitant à l
a parole pour rappeler que l'on observe en SOCIÉTÉS SAVANTES. 239
clinique
le passage insensible de l'alcoolisme chronique à
lésions alcooliques, en dépit de leurs antécédents et des symptômes
cliniques
précités. De ces recherches nécropsiques l'aute
jet de cette communication rentre dans la catégorie des documents
cliniques
et statistiques relatifs à l'étiologie de la para
us du dément sénile que du dément paralytique (tant au point de vue
clinique
qu'au point de vue anatomique). M. Magnan exp
do-paralysies générales qui offrent un moyen pratique de classer en
cliniques
des affections d'un dia- gnostic délicat sans p
confirmée par l'au- topsie ou diagnostiquée sûrement par un examen
clinique
bien fait, observé des troubles vésicaux. Dans
ures. Voyez le l eurol. Centralbl : de 1800. M. SIEUERLING. Etude
clinique
et anatomique sur la syphilis de la moelle. Voy
asile de Dorpal. Ces observations se décomposent, au point - de vue
clinique
, en huit groupes : SOCIÉTÉS SAVANTES. 279 9 à
infectieuse. Quelle a été l'action de l'influenza sur l'atti- tude
clinique
ou somatique du complexus pathogène ? Toutes me
érit complètement. Elle exerce aujourd'hui ses fonc- tions dans une
clinique
chirurgicale privée. Discussion. M. ScHUELE se
Evidemment il n'y a rien là de la porencéphalie ni au point de vue
clinique
ni au point de vue anatomique. Discussion. Mi)l
destructives du cerveau et Sapilli (d'Imola), faisant l'application
clinique
de cette méthode. BIBLIOGRAPHIE. 287 7 A pr
ntre de la vision dans la région pariéto-occipitale; les recherches
cliniques
de Sapilli sont venues confirmer ces expé- rien
f ; - à la 20 classe : M. le Dr DunUloN, médecin en chef de l'Asile
clinique
(Sainte-Anne); à la classe exceptionnelle : M.
créé) et maintenu dans la 2° classe ;M. le Dr ROUILLARD, chef de la
clinique
des maladies mentales, médecin-adjoint à l'asile
A. Storck. j Fournier (A.). - L'llérédité syphilitique. (Leçons
cliniques
recueillies et rédigées par le D' P. POnTALIEn.
nés : 2 fr. 75. Bureaux du Progrès médical. TOULOUSE (Ed.). - Etude
clinique
sur la mélancolie sénile chez la femme. Brochur
- - 001. Vol. XXII. Octobre 1891. N, 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE
QUE NERVEUSE ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ'; DE la
clinique
DE H. LE professeur CHARCOT) PAR Georges Guig
nique DE H. LE professeur CHARCOT) PAR Georges Guignon, Chef de
clinique
. A. SOUQUES, Interne (médaille d'or) des hôpi
deux termes s diabète et glycosurie. Archives, t. XXII. 20 306
CLINIQUE
NERVEUSE. l'urine de certains tabétiques. Dans
e nom de glyco-- surie d'origine tabétique. Ce sont Jà des formes
cliniques
du tabes et du diabète indiscutables, parfaitem
ut confirmée par les recherches ultérieures de MM. Landouzy [Leçons
cliniques
de la Charité, 1882), Rosenstein 2, P. Marie et
t/'ie (J'Î ! 'chow's .9rclt., XXIX DI ? 1885, p. 2( ! ) . 308 ' '
CLINIQUE
NERVEUSE. On avait donc, avant Oppenheim, signa
et nous pourrons du reste les appuyer sur une série d'observations
cliniques
. Dans un leçon récente', notre maitre, M. le pr
ue. (Archiv. de Neurol., t. XIX, p. 305, 1890.) . - .. 4 310 ,' .
CLINIQUE
NERVEUSE. placer ud second. Dans celui-ci il s'
s inflammatoires et gangreneux des diabétiques . Paris, 1861. 312
CLINIQUE
NERVEUSE. tiques un assez grand nombre étaient
ante observation de Lèjroux. La voici résumée : TABLEAU III 314
CLINIQUE
NERVEUSE. TABLEAU VI : . X... 70 ans. Epileps
ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 315 TABLEAU X' 316
CLINIQUE
NERVEUSE. TABLEAU XIV ASSOCIATION DU TABES AV
enier. - Diabète et hystérie. (Archiv. génér. de méd., 1888.) 318 .
CLINIQUE
NERVEUSE. reste fournir ici un exemple de celle
s devons encore à M. le professeur Charcot 2 : - TABLEAU XV 320
CLINIQUE
NERVEUSE. TABLEAU XVII ASSOCIATION DU TABES A
s de ce malade de la façon suivante : ARCHIVES, t. XXII. 21 323
CLINIQUE
NERVEUSE. TABLEAU XXI ASSOCIATION DU TABES AV
ce. (Prix Civrieux, 1883, et Annales méd. psych., 1881, p. 29.) 324
CLINIQUE
NERVEUSE. ASSOCIATION DU TABES, ETC. haut que M
.1 pieu /on the ncurolic Iheory of goût. il, 1880, t. 111, p. 1.)
CLINIQUE
MENTALE DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUT
chés; plus d'un attend encore sa solution définitive que, seule, la
clinique
pourra donner. « C'est à la statistique, disait
de) du Dictionnaire ' Ann. ? aéd. psychol" 1887, VI, p. 302. 326
CLINIQUE
MENTALE. de Dechambre, par le Dr A. Ritti. Auss
ol., 1878, XX, p. 117, et, dans le même volume, p. 208. '- Études
cliniques
, II, passim; p. 112; obs., 7, 8, 10, etc. , DES
signaler la transformation possible du délire de persécution 328
CLINIQUE
MENTALE. en délire des grandeurs. Mais il n'a j
ication de Sérieux 2. Séglas était entré dans cette voie : dans ses
cliniques
de la Salpêtrière, il discute le diagnostic des
ution systématisés, dont il décrit plusieurs variétés 3. ' Leçons
cliniques
sur les maladies mentales, Paris, 1891. * Le Dé
ypes morbides. ' 1890, YII, n°' 2 et 3 (sept. et nov.). ..J 330
CLINIQUE
MENTALE. Ce n'est pas l'hallucination de l'ouïe
s idées de persécution. Art. Folie, du Diction, de Dechambre. 332
CLINIQUE
MENTALE. III. C'est assurément l'une des partic
Société médico-psychologique. Voir ans., sept. 1887. p. 292. 334
CLINIQUE
MENTALE. pose à nous et malgré nous d'une façon
e expliquer l'ap- parition des idées de grandeur', il reste ce fait
clinique
, que beaucoup de persécutés, à un moment donné,
rovoque en duel, ne sort plus qu'armé, et annonce qu'il fera un 336
CLINIQUE
MENTALE. exemple. C'est alors (1873) qu'il fut
e provoquer en duel. C'est à l'occasion Archives, t. XXII. 22 338
CLINIQUE
MENTALE. de ces démarches que la maladie parut
d'exaltés. Lui-même a toujours été d'un caractère bizarre, mais 340
CLINIQUE
MENTALE. d'une intelligence remarquable. Il a é
it dans cette ville pour y recueillir des documents. Puis aban- 342
CLINIQUE
MENTALE. donnant cette idée, il s'installa à Ei
les premières observations; les idées religieuses se sont déve- 344
CLINIQUE
MENTALE. loppées parallèlement à elles, se fort
mais par une pseudo-démence, qui, offrant tous les caractères 346
CLINIQUE
NERVEUSE. extérieurs de la démence, en diffère
ment du cerveau, etc.) : j'en ai rencontré des cas. ' (A suivre.)
CLINIQUE
NERVEUSE IIEMIATROPHIE FACIALE PROGRESSIVE; P
phie progressive d'une moitié de la face était aussi le symp- tôme
clinique
le plus éminent. Depuis lors, la soi-disant hém
aso-moteurs dont maintes fois elle est accompagnée, tout le tableau
clinique
se réduit à une affection du nerf sym- pathique
ases of hemiatrophia facialis. (St-Barthol. Hosp. Rep., XVIII.) 348
CLINIQUE
NERVEUSE. enfance, s'est toujours bien portée,
e détermine pas avec une rigueur suffisante le caractère du tableau
clinique
. En effet, la connaissance même superficielle d
ès rapide dans les derniers mois sont dignes d'être signalés. 350
CLINIQUE
NERVEUSE. n'avons qu'à indiquer les matériaux,
. Ce processus ne diffère ni par son étiologie ni par son caractère
clinique
de ce qu'on observe également dans les autres p
en aiiatonio-pathologiqtie insuffisant, sont sans importance. 382
CLINIQUE
NERVEUSE. épileptique; de pareilles attaques re
oilà comment s'explique l'évolution plus ou moins rapide du tableau
clinique
, d'une part, et, d'autre part, ses particularit
ticipation de ce nerf soit moins évi- Archives, t. XXII. 23 354 '
CLINIQUE
NERVEUSE. dente, le tableau clinique est, en be
Archives, t. XXII. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE. dente, le tableau
clinique
est, en beaucoup de points, semblable à celui q
d'un membre, l'atrophie de la langue, etc., et traite les tableaux
cliniques
correspondants dans des chapitres séparés, selo
raître. Elle n'a aucune raison d'être dans la science exacte. 386
CLINIQUE
NERVEUSE. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. DES1ME. - He
sorte le résumé d'une leçon faite par M. le professeur Charcot à la
clinique
de la Salpêtrière le 14 mars 1887, leçon à laqu
is, issu d'une famille de meuniers solides. Rien d'héréditaire, 358
clinique
NERVEUSE. d'autre part aucune maladie antérieur
gions autres que celles qui sont atteintes chez notre malade. 360
CLINIQUE
NERVEUSE. L'analyse attentive des symptômes nou
it au dépôt, où il serait resté deux ou trois jours, puis à l'Asile
clinique
sur le certificat du D1' Garnier portant : c Ep
eurs sont dispersés dans les cordons médullaires. Au point de vue
clinique
, ce pigeon ne présentait pas de troubles de la
R. (Jahrbuech. f. Psychiat., IX. 1 et 2.) Sur 1,500 aliénés de la
clinique
psychiatrique de Vienne (six ans 1 Voyez Archiv
. f. Psych. IX, 1 et 2.) Trente et une observations empruntées à la
clinique
psychiatri- que de Vienne ou de Dobran. A la su
s sont connus, et que l'épilepsie consécu- tive a eu pour complexus
clinique
le tableau morbide classique. On n'observe, ni
ds des asiles ressemblant plutôt aux hôpi- taux. P. S. XII. Etude
clinique
sur la mélancolie sénile chez la femme; . par l
icultés presque insurmontables si l'on veut se livrer à une analyse
clinique
plus approfondie et donner à l'administration,
y en a eu, à Berlin, 147. La plupart des chefs de service dans les
cliniques
attribuent ces suicides à l'abus croissant du s
; Faucher, médecin de l'asile de la Charité; Pierret, professeur de
clinique
mentale ; sup- pléant, Dr Fabre, médecin de l'a
Aix;Boubila, médecin de l'asile de Marseille; mairet, professeur de
clinique
mentale à la Faculté ; suppléant, Dr Maunier, m
ar Minet, 440 ; Les aliénés criminels, par Allaman, lit ; - Etude
clinique
sur la mé- lancolie sénile chez la femme, par
science un très grand service le jour où il a soumis à une étude
clinique
rigoureuse l'aphasie des hystériques. Les carac
ns chercher à mettre en relief et l'individualité et l'importance
cliniques
, n'est parfois qu'un dérivé, un aboutissant de
une note qu'a bien voulu nous adres- ser M. Capitan, ancien chef de
clinique
de M. Sée, que le malade fut d'abord considéré
e la place dominante et pour ainsi dire exclusive dans le tableau
clinique
. Nosoloiquemeut la distinction n'a peut-être qu
distinction n'a peut-être qu'un intérêt secondaire; au point de vue
clinique
et dia- gnostique, elle nous semble en avoir un
ité de la langue (parésie, déviation spasmodique, tremblement). '
CLINIQUE
NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS
pellier) '. Recueillies et publiées par le Dr G. RAUZIEH, Chef du
clinique
médicale '. Il est entré tout récemment dans le
u'elle a été la première 1 Leçons faites du 3 au lt mars 1890. 28
CLINIQUE
nerveuse. en date dans le service, et, en outre
t article Parali/sie du Dictionnaire encyclopédique, p. 560. ' 30
clinique
NERVEUSE. marche par exemple ; par conséquent i
e mâle avec astasie-abasie, in Montpellier médical, mars 1889. 32
CLINIQUE
NERVEUSE. - - rythmiques, dans des muscles déte
eaucoup du paramyoclonus, au point que cer- Archives, t. XX. 3 34
CLINIQUE
NERVEUSE. ;ains auteurs ont voulu l'identifier
rière, a consacré au diagnostic des tics avec l'hystérie, une leçon
clinique
dans la Semaine médicale de 1886 (n° 37) et plu
e, résumée d'après les notes qui m'ont été fournies par mon chef de
clinique
, M. Rau- zier : . Le père de la malade est rh
. Enfin, comme terme ultime et actuel à cette symptomatologie' 36
CLINIQUE
NERVEUSE. variée, sont survenus les mouvements
paralysie choréique. L'enfant est arrivé avec une hémiparésie 38
CLINIQUE
NERVEUSE. très accentuée dont la nature ne pouv
entrent pas encore dans la termino- logie usuelle de l'enseignement
clinique
et qui résument le langage habituel, heureuseme
On prétend qu'il existe des transitions insensibles entre ces 42
CLINIQUE
NERVEUSE. stigmates atténués et les véritables
ésagréable. Tel autre est obligé de répéter 2,3, 10 fois le même 14
CLINIQUE
NERVEUSE. mouvement, de tourner dix fois le bo
re chez un épileptique, il y a quelqueintérêtàindi- quer le tableau
clinique
présenté par le sujet atteint simulta- - nément
ns et opter pour un mal de Pott. G. D. IV. Contribution A l'étude
CLINIQUE
DES TUMEURS DU cervelet; par les Drs BERNHEm et
ans) permet de penser à ce diagnostic sans qu'on ait de certitudes
cliniques
, ni d'éléments microscopiques concluants. P. KE
13OETTIG8R. (Arch. PS1jch. XXI, 2.) Mémoire intéressant par l'étude
clinique
, anatomo-pathologique, et critique d'une observ
aire précoce. C'est le pivot qui peut servir de base à une division
clinique
distinguant, suivant l'évolution, des formes de
r ZACHER. (Arch. f. Psych. XVIII, 1-2.) Mémoire donnant la relation
clinique
, atiatomopatliologique et histologique de treiz
psychoses; par .1. WAGNOE. (J,¡h1'büch. ? Pychiut., VII, 1-2.) La
clinique
enseigne qu'il arrive souvent qu'une maladie men-
primerie du Midi. 1889. Ce travail est le résumé de quelques leçons
cliniques
faites par' l'auteur sur la chorée molle. Il y
hebdomadaire de médecine et de chirurgie.) A l'occasion des études
cliniques
récentes consacrées à la syrin- gomyélie, et do
, malgré les différences qu'elles peuvent présenter au point de vue
clinique
, elles ont une pathogénie commune. Qu'on ail af
de les rappeler. Connus superficiellement jusqu'ici au point de vue
clinique
, M. Féré a eu le°nrérite de les démontrer avec
i est fait, mais encore ce qu'il y a à faire. - P. S. X. Etudes
cliniques
sur les maladies nerveuses et mentales; par le
ysies générales, sur leur diagnostic différentiel, sur les variétés
cliniques
de la paralysie générale; puis son étude de bib
r la dissertation. Le maximum des points sera de 20; 3° Une épreuve
clinique
sur deux malades aliénés. Il sera accordé 30 mi
prohibition ne s'étend pas aux démonstrations qui se font dans les
cliniques
, sans autres spectateurs que les médecins et ét
eurs que les médecins et étudiants en médecine; mais l'en- trée des
cliniques
est interdite à tout individu n'appartenant pas à
cientifiques. NÉCROLOGIE.- M. le Dr Maia BETTENCOURT, professeur de
clinique
psychiatrique à la faculté de médecine de Bhid;
de médecine de Bhid; M. le Dr Via- GNUS Huss, ancien professeur de
clinique
interne à la faculté de médecine de Stockholm,
LtOPIILQUE DANS LE DOMAINE DU POPLITÉE) Par Ceorges GUINON, chef de
clinique
à la Salpètrière, etls'nLL. PARMENTIKR, interne
professeur Charcot a présentées et analysées dans son enseignement
clinique
. Nous ne nous attarderons pas à décrire la dist
tion de compression survenue dans le bassin, bien que les symptômes
cliniques
soient absolument les mêmes. Enfin elle est en
nous rapportons plus loin l'histoire ont fait le sujet d'une leçon
clinique
de M. le professeur Charcot'. A la suite de cet
servation. Ces cinq malades font tous partie soit du service, de la
clinique
, soit de la policlinique de M. le professeur Ch
d'ailleurs confirmer complètement les résultais de l'investigation
clinique
. Les muscles tibial antérieur et extenseur comm
fesseur Charcot lorsqu'il présenta ce malade dans une de ses leçons
cliniques
. ' Du groupement de tous ces faits que nous ven
présence d'une névrite avec atrophie dé- générative des muscles..
CLINIQUE
NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS
pellier ) . Recueillies et publiées par le Dr G. Rnuzien, Chef de
clinique
médicale . II. Nous arrivons maintenant à la
e et alerte, mais elle ' Voy. Arch. de Neuool., t. XX, p. 27. 188
CLINIQUE
NERVEUSE. n'accuse aucun phénomène nerveux bien
minute, 48 fois la main droite et 36 fois la main gauche à sa 190
CLINIQUE
NERVEUSE. bouche, sans que le tremblement const
es facultés intellectuelles et parfois à la démence complète. 192
CLINIQUE
NERVEUSE. On a beaucoup discuté sur la nature d
ser, et quelle est sa signification ? Archives, t. XX. 13 3 194 -
CLINIQUE
NERVEUSE. Je n'ai nullement l'intention de vous
né, on voit bientôt l'organe se dévier involontairement de la 196
CLINIQUE
NERVEUSE. direction indiquée. Cette manoeuvre e
ents constitue un troisième type dont notre cas démontre la réalité
clinique
. Cette variété séméiologique pourrait être appe
ns cette modalité symptromatique. Voici, en effet, les carac- tères
cliniques
du tremblement sénile , d'après Démange, qui l'
nt sur l'oreiller. 11 est nul également pen- dant le sommeil. 198
CLINIQUE
NERVEUSE. Mais, si l'on fait asseoir le malade
la. Revue de Médecine.}], conclut que le tremblement dit sénile 200
CLINIQUE
NERVEUSE. n'est point lié à la sénilité. S'il e
Les tremblements trépidatoires sont habituellement localisés à 202
CLINIQUE
NERVEUSE. un membre inférieur. Ils sont constit
ments hystériques (1890, n° 1 et suiv.)... , , , .. - 1 ' 304 . -
CLINIQUE
NERVEUSE. lations par seconde, comme Chambard e
un grand intérêt la lecture d'un mémoire de M. Sacaze, interne à la
clinique
des vieillards, surles diverses pathogénies du tr
Dans la paralysie agitante, les choses paraissent aussi se' 206 '
CLINIQUE
NERVEUSE.' r. passer différemment. Au mois de j
pétées, portant sur l'urine de deux parkinsonniens appartenant à la
clinique
des vieillards, que cette urine, com- parée à c
on. considère le fond morbide; mais les formes symptomatiques 208
CLINIQUE
NERVEUSE. sont variées à l'excès, mobiles, fuga
glutie pendant le jour, n'est plus avalée Archives, t. XX. 14 210
CLINIQUE
NERVEUSE. pendant le sommeil, alors que la volo
duré, dont on alternera l'emploi avec celui du chlorure d'or. 212
CLINIQUE
NERVEUSE. DES PARALYSIES CONSÉCUTIVES A L'EMPOI
ervations sont trop peu . nombreuses et trop incomplètes, l'analyse
clinique
des symptômes fait défaut dans la plupart des c
reaux. - Leç. clin, de la Pitié. (Ballet. 31ëd., 30 déc. 1888.) 214
CLINIQUE
NERVEUSE. recueilli une trentaine environ; un p
. - Comhy. Cécité cl hémiplégie droite (France : )Id., 1SS3). 216 6
CLINIQUE
NERVEUSE. premières observations sont dues à Bo
de Médec. interne de Berlin (Sem. déclic., 16 janvier 1889.) 218
CLINIQUE
NERVEUSE. la fesse et en ce point une plaque ro
s diminuée. Contractilité galvanique : DELTOÏDE ANTÉRIEUR. '220
CLINIQUE
NERVEUSE. devenu hémiplégique à la suite d'une
ft, juin 1882.) 3 Lancereaux, in Thèse de Simon, Paris, 1883. 223
CLINIQUE
NERVEUSE. mais ce ne sont pas elles qui ont pro
r l'oxyde de carbone (Archiv /ür Psychiatrie, Bd. I. S. 260). 224
CLINIQUE
NERVEUSE. du cerveau est presque la règle dans
entaires péri-axiles sert de base aujour- Archives, t. XX. 15 226
CLINIQUE
NERVEUSE. d'hui à la théorie périphérique de la
même y avoir une diminution du ' Simon. - Thèse, Paris, 1883. 228
CLINIQUE
NERVEUSE. - nombre des globules, une anémie vra
ed, C01'1'esp, blalt cité dans Wirchow /«/M'M6e;-icA ? 1868). 230
CLINIQUE
NERVEUSE. - PARALYSIES. présenta à la suite d'u
liénés de la Seine. M. le professeur Charcot a démontré par l'étude
clinique
et expérimentale des paralysies hystéro-traumat
degré par un processus d'auto-suggestion (Char- cot). L'observation
clinique
et surtout l'expérimentation sur les sujets en
de l'excita- bilité musculaire, ce qui ne nuit en rien à la valeur
clinique
de l'allure de ces réflexes dans des conditions
dit M. Caspari, infiniment fréquente. L'auteur en fournit un résumé
clinique
qui est le fruit da l'observation de plusieurs
XXI. LES PSEUDOHALLUC1NATIONS ET LES considérations CRITIQUES ET
CLINIQUES
DE VICT. KANDINSEY SUR LES HALLUCINATIONS SENSORI
le. L'hérédité donne cependant à un paralytique général un cachet
clinique
: avant d'être franchement malade, le paralytique
sans troubles psychiques, puis finalement, longtemps après, tableau
clinique
de la para- lysie générale. Le premier cas seul
e nerveux central, par F. TUCZEK. (Arch. f. Psych, XVIII, 2.) Suite
clinique
et anatomopathologique de l'épidémie de Fran- k
ILLARD lit un travail sur la statistique et le fonctionnement de la
clinique
de l'Asile Sainte-Anne et fait remarquer la diffi
u côté droit qui présente plusieurs parti- cularités anatomiques et
cliniques
intéressantes. L'hémisphère gauche du cerveau d
ainsi qu'à M. Sakaki pour son rapport intéressant relativement à sa
clinique
officielle de Tokio. Il exalte les mérites de f
ter communique à la Société sept nouvelles observations prises à la
clinique
de Mendel ou empruntées à la clientèle de M. G.
serions volontiers tenté de les intituler : Introduction à l'étude
clinique
de la neuropathologie. Et encore conviendrait-i
ations thérapeutiques. C'est la dissection méthodique du substratum
clinique
. Puis, l'expé- rience encyclopédique de M. Char
r la dissertation. Le maximum des points sera de 20. 3° Une épreuve
clinique
sur deux malades aliénés. Il sera accordé trent
os abonnés 4 fr. BOUP\EVILLE, SOLLIER et PILLIET (A.). - Recherches
cliniques
et théra- peutiques sur l'épilepsie, l'hystérie
BIBLIOGRAPHIQUE- Garnier (P.) La folie à Paris. Etude statistique,
clinique
médico- z légale. Avec une préface de J.-C. Bar
. Prix : 3 fr. 50. Pour nos abonnés. 2 fr. 75 SEVESTRE. - Etudes de
clinique
infantile. Syphilis héréditaire pré- coce, lary
)mp. 990. Vol. XX. Novembre 1890. N" 60 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE DE LA MIGRAINE OPIITHÂLMIQUE HYSTÉRIQU
IGRAINE OPIITHÂLMIQUE HYSTÉRIQUE; Par J. BÀBINSKI, Ancien chef de
clinique
de la Faculté à la Salpêtrière, Médecin des hôp
joue cette névrose dans la neuro-patholo- Archives, t. XX. 20 306
CLINIQUE
NERVEUSE. gie. Cette évolution, progressivement
ies et hypéresthésies hystériques se manifestent par des caractères
cliniques
beaucoup plus fixes et bien moins soumis aux va
arcot, publiées par Bourneville, t. III, p. 249 et suivantes. 308
CLINIQUE
NERVEUSE. pêtrière, d'agrandir sans cesse et sa
ché à une névrose autre que l'hystérie, on peut, à bon droit, 310
CLINIQUE
NERVEUSE. porter, même dans ce cas, le diagnost
ient à cette névrose, quelques caractères particuliers qu'une 312
CLINIQUE
NERVEUSE. analyse plus rigoureuse permettra un
eau. - La nutrition dans l'hy térie. (Progrès médical, 1890.) 314
CLINIQUE
NERVEUSE. loppent avec rapidité, mais non souda
e organique du système nerveux, on obtient souvent une repro- 316
CLINIQUE
NERVEUSE. duction qui peut paraître parfaite à
t il s'agit. On cherche, par exemple, à faire reproduire les signes
cliniques
de l'hémiplégie faciale périphérique, soit en m
sme, par Babinski (Archives et nelll'ol., 1889, nos 49 et 50. 318
CLINIQUE
NERVEUSE. nant sans difficulté, en signalant si
nt : la périphérie est formée par une ligne eu zigzags, faisant 320
CLINIQUE
NERVEUSE. un tour incomplet, une sorte de roue
renseignements plus précis sur les caractères de son scotome. 324
CLINIQUE
NERVEUSE. Observation III. - Jeune fille dgée d
produire ; elles apparaissaient tous les huit jours, aussi bien 326
CLINIQUE
NERVEUSE. le jour que la nuit, puis tous les qu
p. 202) et dans un mémoire, de MM. Marie et Guinon, sur les formes
cliniques
de la myopathie progressive (Revue de Médecine
yait plus que la moitié droite des objets qu'elle fixait, et en 328
CLINIQUE
NERVEUSE. même temps du côté gauche elle aperce
isuel est un des stigmates les plus communs de cette névrose. 330
CLINIQUE
NERVEUSE. sentés par ces malades pour qu'il ne
- nogène. Enfin, dans l'OBSERVATION IV, voici les arguments 332
CLINIQUE
NERVEUSE. qu'on peut invoquer : 1° Les attaques
e sens, à la Salpêtrière, par M. Parinaud, sur plusieurs cen- 334
CLINIQUE
NERVEUSE. DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE. taines d
nvolution de l'ourlet. » - (A suivre.) PHYSIOLOGIE RECHERCHES
CLINIQUES
SUR LA PSYCHOPHYSIQUE ÉTUDE SUR LA PERCEPTIBILI
Par Maurice MENDELSSOHN et F.-C. 11ULLEI1-LYER. A.. - Recherches
cliniques
SUR la perceptibilité DIF- FÉRENTIELLE DU sens
la VUE chez l'homme sain ET MALADE ' . III. Observations et faits
cliniques
. Avant d'aborder la discussion de faits qui se
éunis dans le service de M. le professeur Charcot à la Salpêtrière (
Clinique
, infirmerie, bâtiments) ainsi (1) Voy. t. XIV,
s rapports entre les phénomènes psycho-physiques et les symptômes
cliniques
dans les différentes maladies des centres nerve
roit, OG -- oeil gauche, YB vision binocu- laire. Les malades de la
clinique
sont des hommes, d'autres malades sont pour la
d'aborder la discussion de faits qui se dégagent de nos expériences
cliniques
, nous allons exposer ici les résultats des rech
Valeur absolue de la perceptibilité différentielle. Nos recherches
cliniques
montrent que la percepti- bilité différentielle
de des ombres chez un nommé Lip...tz atteint d'hystéro-épilepsie (
Clinique
n° 6). Comme pour l'oeil normal, on voit éga- l
cusés ; mais, quant à savoir si l'inverse Archives, t. XX. 25 386
CLINIQUE
MENTALE. a lieu, c'est une question dont la sol
s facilement la détermina- tion de troubles chromatiques faibles.
CLINIQUE
MENTALE FOLIE PUERPÉRALE; AMNÉSIE; ASTASIE ET A
ure, qu'elle a été, dans une existence antérieure, un des juges 388
CLINIQUE
MENTALE. de l'Inquisition, et que les souffranc
Dubois, puis quinze jours après, elle fut conduite il l'hôpital 390
CLINIQUE
MENTALE. Tenon. Là, elle s'ennuyait beaucoup de
es fosses temporales sont très profondes, le front très étroit. 392
CLINIQUE
MENTALE. jambes, depuis la tubérosité du tibia
» moi aussi je l'entends tous les soirs frapper chez moi. » 394 .
CLINIQUE
MENTALE. Comme nous l'avons dit, son mari est u
près la mort de son premier mari, elle reprit son métier de : J96 .
CLINIQUE
MENTALE. reperceuse. Elle ne sait ni où, ni com
au sensorium. Or, chez notre ' Archives de Neurologie, 1888. 398
CLINIQUE
MENTALE. malade, les altérations profondes de l
perdu le souvenir de la cou- leur et de ce qui y était écrit. 400
CLINIQUE
MENTALE. Ces faits prennent encore bien plus d'
. Quand cela était-il ? Hier. (Inexact.) Aucmvra, I. XX, 26 402
CLINIQUE
MENTALE. Quel jour sommes-nous ? Lundi, puisque
le est très attachée. Si nous lui'faisions lire notre nom, nous 404
CLINIQUE
mentale. lui donnions en même temps l'espérance
rine des localisations, n'avait aucune base solide. Au point de vue
clinique
cependant, ils pré- sentaient continuellement d
en dehors de la théorie de la localisation ; et les observateurs
cliniques
, comme Bouillaud lui-même, Andral et d'autres sus
ysiologie expéri- mentale 1. Buuillaud 2 rassemblé certains faits
cliniques
qui semblent. indiquer un rapport entre des lés
ons de Broca ont été depuis amplement confirmées par les recherches
cliniques
et pa- thologiques et expliquées par l'expérime
malades; variétés d'aspects statistiques anato- mopathologiques, ou
cliniques
de la question. P. KERAVAL. LI. DE l'action D
el, une sorte d'hypermétropie peuvent nuire à la netteté du tableau
clinique
; il faut aussi savoir distinguer le scolome névr
e Lombroso propose d'adopter. P. K. LU. Communications PUISÉES A la
CLINIQUE
psychiatrique DE PRAGUE; par A. Pack. (Jah1'büc
de types abstraits, artificiels, mais d'individus malades; elle est
clinique
. P. K. LIV. CONTRIBUTIONS cliniques A la connai
d'individus malades; elle est clinique. P. K. LIV. CONTRIBUTIONS
cliniques
A la connaissance de l'affaiblissement général
istorique de la question; le quatrième est spécialement dévolu à la
clinique
et rempli de la description de ces faits intére
il constitue une bonne mise au point de cette véri- table nouveauté
clinique
. Paul BLOCQ. XXI. Springende Thrombose der Extr
ecine DE NAl'iCY. M. LANCLOIS est chargé du cours complémentaire de
clinique
des malades mentales. Distinctions honorifiques
nos abonnés 4 fr. BOUKNEVILLE, SOLDER et Pilliet (A.). - Recherches
cliniques
et théra- peutiques sur l'épilepsie, l'hystérie
nés. 2 fr. 75 BULLETIN bibliographique. 463 SEVESTRE. - Etudes de
clinique
infantile. Syphilis héréditaire pré- coce, lary
ion des personnes chez les ? , par Alt, 259 ; - Statistique de la
clinique
d ? de Sainte-Anne, par liouillard, 275 ; - la
é. 121 ; - manuel d'anthropométrie, par Benediht, t, 125 ; études
cliniques
sur les maladies nerveuses et mentales, et le
ubérance (Tubercule de la), par Bruns, 80. Psychiatrie, cas de la
clinique
de- de Prague, par Pick, 439. Psychiqui : (Fa
RCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MJI. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Sie-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Sie-Anne). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
uillet 1895. N° 101 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE.
CLINIQUE
médicale DE l'Hôpital SAINT-ÉLOI DE VIONTPELLIER.
VATION ET AUTOPSIE; PAR L. GALA. VIELLE, et H. VILLARD, Chef de
clinique
intérimaire Interne des hôpitaux à la Faculté d
même substance grise sur une assez grande étendue. Les phénomènes
cliniques
qui ont révélé la présence de cette production
cularités anatomo-pathologiques, bien plus que sur les carac- tères
cliniques
que nous insisterons, soit dans l'observation e
cerveau lui-même, soit dans la cavité cranienne. Quant à la marche
clinique
, elle nous paraît trop classique pour que nous
ans les résultats expérimentaux vient donc s'ajouter à l'analogie
clinique
. Ici comme dans l'éclampsie puerpérale n'est-il
e l'accès paroxystique est généralement pré- ' A. Voisin. Recherche
clinique
sur le bromure de potassium, 18G6. DE L'INTOXIC
is dans une note il ajoute que depuis qu'il a rédigé cette analyse,
clinique
et ses con- clusions anatomiques, certains symp
leur affection. Krafft-Ebing a fait voir, par la seule observation
clinique
, que chez les fous périodiques la maladie est p
es nerveux sont très variés et ne réalisent que rare- ment l'aspect
clinique
d'une maladie déterminée (neurasthénie, hystéri
rasthénie revêt le plus souvent la forme hypocondriaque; le tableau
clinique
est parfois modifié par l'existence de troubles
que d'une ménin- gite cervicale, laquelle a la plus grande analogie
clinique
avec la pachyméningite cervicale hypertrophique
signes de réaction de dégénérescence qui sont leurs manifestations
cliniques
et qui rendent le cas anormal. C. XII. ARTHROPA
ent dans les tabes dits sensitifs. M. Brissaud en donne des preuves
cliniques
, en présentant plusieurs malades dont les obser
tabès avec la paralysie générale. 91. B. BIBLIOGRAPHIE. I. Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie; par le Dr Gilles
. Dans la préface que le professeur Charcot a consacrée au Traité
clinique
et Thérapeutique de 1'11ystél'ie, par le Dr Gille
avait poussé M. Charcot à faire partie du même tout des phénomènes
cliniques
aussi différents les uns des autres que les con
été relevée dans 17 cas p. 100. M. Pierson a utilisé les matériaux
cliniques
de son établissement pour apporter sa contribut
nstruction publique vient d'autoriser le Dr Rou- hinovitch, chef de
clinique
à Sainte-Anne, à faire des conférences sur l'al
es a été consigné dans un rapport dont nous allons donner la partie
clinique
et les conclusions. Ce n'est pas, disons-le tou
iennent lieu ? Du reste cette question, à reprendre au point de vue
clinique
et physiologique, est toute secondaire, pour le
iminution DE fonction DES organes DES SENS) A la lumière DES études
CLINIQUES
ET expérimentales; par W. DE B8CHTEREW. (Neurol
. (Nouvelle iconogr. de la Salpêtrière, 1894, n° 3.) Considérations
cliniques
et physiologiques sur la station et la marche c
ces sur les animaux d'une part, cor- roborées par cinq observations
cliniques
suivies d'examen histo- logiques complets concl
r la mort, elle n'a guère été inférieure à cinq ans. Les caractères
cliniques
de la maladie ont été tels qu'on les a décrits
u'on n'a pas encore différencié les unes des autres bien des formes
cliniques
vésaniques illégitimement réunies. Et puis l'on
une de ces deux circonstances, c'est l'une ou l'autre de ces formes
cliniques
qui se montre le plus souvent ? C'est que le fact
la réaction parti- culière à chaque individu embrouille les aspects
cliniques
. Tel supportera bien l'alcool, qui sombrera à l
- 795. Vol. XXX. Septembre 1895. N° 103 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA TUBERCUL
SE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE; Par le D' L. HASKOVEC, Assistant à la
Clinique
psychiatrique tchèque de Prague. La tuberculose
ère et de ses mala- dies, Paris, 1827. Archives, t. XXX. 12 178
CLINIQUE
NERVEUSE. fuleuse du rachis. » Olivier dit que
Klinik der Rüclcezzmarlcslcranlcheitezz, 1874,1, Dd., p. 473. 180 .
CLINIQUE
NERVEUSE. nique, elle se manifeste soit sous le
la méningite et méningomyélite tubercu- leuse, tant au point de vue
clinique
qu'au point de vue anato- mique. Williams s rap
te compliquée de méningite basale et, jugeant d'après les symptômes
cliniques
, croit que les enveloppes rachidiennes sont plu
formes de leptomyélites tuberculeuses. (Revue de méd., 1886.) 182
CLINIQUE
NERVEUSE. Hellich' a décrit chez un homme de qu
tuber- culose nodulaire de la moelle, présentant au point de vue
clinique
les symptômes d'une myélite chronique. Dans son
-6.) LA TUBERCULOSE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 183 d'examiner dans la
clinique
de notre maître très regretté et très illustre,
ments. Je remercie vivement mon ami, M. le Dr Dutil, ancien chef de
clinique
, qui a bien voulu mettre à ma disposition les p
pièces anatomiques et qui m'a communiqué les résultats de l'examen
clinique
. Observation. Mm. P..., vingt-six ans, sans pro
rès complète des membres inférieurs. La malade est incapable de 184
CLINIQUE
NERVEUSE. soulever ses jambes au-dessus du plan
e. III. Une portion prise sur la limite qui sépare la F1g,6. 1 86
CLINIQUE
NERVEUSE. moelle cervicale de la moelle dorsale
la surface entière du cordon latéral droit parsemée de petites 188
CLINIQUE
NERVEUSE. agglomérations de leucocytes qui sont
s une autre coupe, on trouve, sur le côté externe des Fig. 8. 190
CLINIQUE
NERVEUSE. racines antérieures droites, un tuber
D. Partie lombaire. On trouve seulement dans cette partie une 192
CLINIQUE
NERVEUSE. légère augmentation des noyaux et des
rculisation de la moelle. En récapitulant la marche des symptômes
cliniques
. et en les comparant avec les résultats anatomi
des lésions autour du canal central. Archives, t. XXX. 13 194 .
CLINIQUE
NERVEUSE. nodulaire de la moelle, toujours coex
s carie des ver- tèbres, combinée avec la myélite transverse. 196
CLINIQUE
NERVEUSE. La tuberculose peut envahir toutes le
(Voir Voisenet, loc. cit., et Raymond, loc. cil.) Au point de vue
clinique
, la tuberculose nodulaire de la moelle se prése
lente. Les cas subaigus seule- ment se ressemblent au point de vue
clinique
. Le malade qui est déjà atteint de tuberculose
s tuberculeux en quantité considérable. Voir Hellich, loc. eti. 198
CLINIQUE
NERVEUSE. l'aspect clinique est si différent et
idérable. Voir Hellich, loc. eti. 198 CLINIQUE NERVEUSE. l'aspect
clinique
est si différent et, d'autre part, pourquoi il
rouvées sur les méninges expliquent suffisamment tous les symptômes
cliniques
. Les deux cas dont il est question sont, au poi
cliniques. Les deux cas dont il est question sont, au point de vue
clinique
, en accord très apparent avec ceux de la tuberc
quelconque. De cette manière, on peut espérer qu'à l'avenir l'étude
clinique
de la tuberculose nodu- laire de la moelle sera
extrémités inférieures et sont très exagérés; ils se montrent 1 200
CLINIQUE
NERVEUSE. apparents même spontanément. - 17. Il
chronicité du proces- sus morbide, comme le prouve aussi la marche
clinique
. La moelle a été certainement atteinte en 1886,
enn man sich auf die makros- kopische Untersuchung beschrà,nkt. *
CLINIQUE
MENTALE. PSYCHOSES SUR UN FOND DE DÉGÉNÉRESCENC
, atteindre parfois un âge avancé sans qu'aucun accident men- 202
CLINIQUE
MENTALE. tal grave vienne attirer l'attention.
2, une prédisposition faible, d'où netteté moins grande du tableau
clinique
. Les deux observations que nous rapporterons ic
n sur laquelle on trouvera les renseignements bibliographiques et
cliniques
les plus complets dans la thèse récente de notre
les cliniquement quand l'état intellectuel leur ' Magnan. -- Leçons
cliniques
et recherches sur les centres nerveux, . 113 ?
quelque ampleur. C'est en effet moins le détail du délire, sa forme
clinique
, qui offre ici de l'intérêt que l'âge auquel on
AVIII, en donnant des dates exactes sans la moindre hésitation; 204
CLINIQUE
MENTALE. elle exprime les idées les plus sensée
, janvier, il y eut chez elle un dîner de famille, et qu'elle y 206
CLINIQUE
MENTALE. a fait peut-être quelques excès de vin
t suivie d'exécution, fait qui n'est pas ici sans importance. 208
CLINIQUE
MENTALE. Si nous ne nous attachons qu'à l'évolu
cé- dents, les deux tentatives de suicide ont complété l'ensemble
clinique
. Si l'on synthétise tous ces faits, on obtient en
éfend un certain temps; la malade disait Archives, t. XXX. 14 210
CLINIQUE
MENTALE. parfois : « Ah merci Catherine, Cather
veut se réfugier ; son excitation augmentant, on la place à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne), dans le service de M. Magnan. Pe
squ'en 1891, en effet, notre malade, comme la précédente, z) 1 1 1)
CLINIQUE
MENTALE. était restée saine d'esprit ; aucun in
chez l'autre, que leur histoire présente quelque intérêt, au moins
clinique
. Enfin nous ferons remarquer que le trait le pl
s ferons remarquer que le trait le plus saillant dans ces histoires
cliniques
est la forme hallucinatoire qu'a revêtu le déli
es Facultés de province n'ont pas encore, comme celle de Paris, une
clinique
spécialement consacrée à l'étude des maladies n
é de médecine; le D''Tissié (de Bordeaux), et Roubinovitch, chef de
clinique
à la Faculté de médecine de Paris, sont nommés
tain nombre, avant d'essayer de résoudre les questions multiples de
clinique
et de doctrine qu'ils soulèvent. Chez ce malade
ues-uns seulement de ces centres sont excités ou inhibés le tableau
clinique
sera incomplet et fruste et de même qu'il existe
de cette explication se fera peut-être physiologique- ment. Mais la
clinique
et l'anatomie pathologique sont encore peu expl
. Ce sont là des observations physiologiques de haute portée que la
clinique
a pu corroborer dans un petit nombre de cas. Qu
lhyroïdisation expérimentale, pourrait expliquer aussi certains cas
cliniques
où l'on a vu les symptômes du myxoedème succéde
a eu en outre de l'exophtalmie. Ces symptômes rappellent le tableau
clinique
de la maladie de Basedow sauf l'augmentation de
ns employé chez un SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 malade du service de la
Clinique
des maladies mentales le trai- tement préconisé
Elle n'a jamais cessé d'être en puissance d'hystérie et les signes
cliniques
qu'elle présente encore aujourd'hui permettent
et aux manifestations délirantes. Il y a là un groupement de faits
cliniques
où l'hystérie joue le rôle pré- pondérant. On r
t en défaut. M. GLEY, à ce propos, vient confirmer les observations
cliniques
de M. Babinski par des faits d'expérimentation
-Béarn). -Je crois devoir appeler l'attention du Congrès sur un cas
clinique
que j'ai observé récem- ment. 11 s'agit d'une m
iques. M. Vallon a, systématiquement, pendant deux ans, à l'Asile
clinique
, essayé d'endormir des aliénés, jamais il ne réus
logramme d'animal tuent. ' M. Jolfroy décrit ensuite la physionomie
clinique
de l'action de ces corps; les convulsions dues
roblème : existe-t-il des caractères anato- miques, étiologiques ou
cliniques
; qui permettent d'affirmer l'exis- tence de la
s. Mais il y a d'autres causes que la syphilis. Parmi les symptômes
cliniques
, aucun n'est pathognomonique. Il faut séparer
e générale typique deux formes qui s'en distinguent au point de vue
clinique
et anatomique : 1° l'en- céphalite sous-cortica
t la subs- tance des hémisphères plus que l'écorce. Au point de vue
clinique
, symptômes de lésions en foyer (l'auteur a obse
- nuiie, et parfois une dégénérescence des reins. Au point de vue
clinique
. on observe une variabilité des symptômes, un éta
e trouver une délimitation de la paralysie générale au point de vue
clinique
. Parmi les formes qui doivent être séparées de
. Discussion : M. Binswanger. - On peut observer dans cette forme
clinique
des idées délirantes et des états hallucinatoires
per à la faveur de l'altération vasculaire qui caractérise la forme
clinique
qui vient d'être décrite. z M. Siotr. - Ces mal
ereuses par l'Aca- démie de Médecine. BouR'<E\iLLE. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
mp. - 05. Vol. XXX. Octobre 1895. N° 104 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. ÉTUDE SUR LA \fÉNI\GO-11YL,LITE DIFFU
Par le Dur NAGEOTTE, Chef des travaux d'anatomie pathologique de la
Clinique
des maladies nerveuses à la Salpêtrière '. Le
dans un certain : groupe de maladies nerveuses chroniques, dont la
clinique
. nous montre Travail du laboratoire de M. le P'
il du laboratoire de M. le P' RAYMOND. Archives, t. XXX. " 18 274
CLINIQUE
NERVEUSE. les rapports particulièrement étroits
est couvert de granulations fines. Le cerveau est peu atrophié. 276
CLINIQUE
NERVEUSE. Les méninges molles, oedémateuses et
triques, dont les ondulations, loin d'être parallèles, circons- 278
CLINIQUE
NERVEUSE. crivent par leur juxtaposition, une s
estent bien colorées ; c'est ainsi qu'on peut voir Fig. 10. , 280
CLINIQUE
NERVEUSE. 3, 4, 5 noyaux colorés sur une coupe
moelle et localisées à ce niveau presque exclusivement sur les 282
CLINIQUE
NERVEUSE. méninges, ne représentent qu'une évol
es. Antécédents personnels. Blennorrhagie à dix-sept ans, pas 284
CLINIQUE
NERVEUSE. d'histoire de syphilis Marié en 1882,
rès fines. Dans la région cervicale elles sont moins malades. 286
CLINIQUE
NERVEUSE. Les cornes postérieures, bien que pri
lébite; j7EL'ÎLLLI('I'1 ! 0. - lG'9Yt(C0.2,' ? lillB el éosine. 288
CLINIQUE
NERVEUSE. éléments nobles, sont le siège, surto
djonction de méningite spinale et traces Archives, t. XXX. 19 290
CLINIQUE
NERVEUSE. manifestes de méningo-encéphalite . L
vical, la dégénérescence est absolue dans la moitié postérieure 292
CLINIQUE
NERVEUSE du cordon de Goll; la moitié antérieur
te il tendance t ! Odulait'e.7f<;n)n<o.t ? i;;cc<(W)f. 294
CLINIQUE
NERVEUSE. ont leurs parois infiltrées; cette lé
quer qu'elle est séparée de la méninge, dans presque toute son 296
CLINIQUE
NERVEUSE. étendue, par une mince couche de fibr
ingite; lésions des capillaires. - J/émaloxyline et éosine. ' 298
CLINIQUE
NERVEUSE. intégrante du processus de méningo-my
eut concevoir à priori qu'elle aurait pu amener des complications
cliniques
très appréciables, si elle avait été autrement lo
ue à toute la moelle, constituée comme chez nos tabétiques. 300 .
CLINIQUE
NERVEUSE. Si l'on rapproche dé ces faits la pet
là évidemment sa tendance. On pourrait s'étonner de voir une 302
CLINIQUE
NERVEUSE. inflammation garder si longtemps des
ait précédé le tabes. Il ne faut d'ailleurs pas trop compter sur la
clinique
pour nous aider sur ce point, car l'observation
e de savoir si elle seule est capable de lui donner naissance. La
clinique
nous montre bien que 90 p. 100 des tabétiques et
ite vasculaire diffuse peut -jouer dans le tabes. Au point de vue
clinique
, il ne nous est pas possible de distinguer les sy
clinique, il ne nous est pas possible de distinguer les symp- 304
CLINIQUE
NERVEUSE. tomes qui lui appartiennent au milieu
e de l'élément noble, 'entraîner des complications ana- tomiques et
cliniques
considérables. La preuve en est dans le cas déc
unique lui donne naissance ; en tout cas il est certain, de par la
clinique
, que dans la grande majorité des cas c'est de l
au même âge, vingt-six ans, et de la même façon. Au point de vue
clinique
, il y a une grande similitude de symptômes entre
ns dégénératives. Pourtant, comment expliquer l'analogie du tableau
clinique
? le cervelet est-il touché dans la maladie de
trouble psychique isolé : elles peuvent se manifester sous la forme
clinique
d'une épilepsie sensorielle surajoutée à'une ? '"
à-dire du tabes dorsal spasmodique de Charcot. Les considérations
cliniques
et anatomiques tirées des cas de Krafft Ebing e
anneau fibreux pachyméningitique sur la moelle épinière, Le tableau
clinique
diffère de celui de la 36 SOCIÉTÉS SAVANTES.
.syringomyéliques secondaires. Mais, dans ces cas, aux symptômes
cliniques
de la syringomyélie s'ajoutent des phénomènes ins
s'agit là d'hydromyélie et cela ne correspond nul- lement aux faits
cliniques
que l'on s'accorde à classer sous le nom de syr
ment de la névroglie néoplasiée; 2° quant à la genèse des symptômes
cliniques
connus sous le nom de dissociation syringomyéli
à l'étude du chlorhydrate d'apocodérzie; par M. le Dr Toy, chef de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de Lyon. Il
aient être suspects, il publiera cinq observations recueillies à la
Clinique
de la Salpêtrière dont deux furent suivies d'auto
issements destinés aux incurables (1811), Reil, alors professeur de
clinique
interne à Berlin, déclare que ces asiles doiven
En même temps que s'organisait à Leipzig et à Berlin l'enseignement
clinique
des maladies mentales, Nasse fondait à Bonn en
un an. Dans les villes universitaires, cet hôpital devait servir de
clinique
de psychiatrie '. Les vues émises par Griesinge
reau d'admission, d'hôpital de traitement, et, le cas échéant, de
clinique
de psychiatrie. Les autres, plus vastes, installé
que dans les asiles ordinaires (59,79 d'aliénés curables à l'asile
clinique
de Koenigsberg). Il en conclut que le public ma
inue à Brème, et L. Meyer organise en'1877, à Marbourg, une section
clinique
de surveillance. Il en est de même à l'asile de
Wiesbaden, et tout récemment par M. Kraepelin, qui a organisé à la
clinique
de Heidelberg, une section de surveillance cont
us de liberté. Les asiles de Marburg (1876), de Dalldorf (1880); la
clinique
de Halle (1891); l'asile de Herzberge (Ber- lin
riphérique. Pineles donne quatre observations nouvelles prises à la
clinique
de la faculté de médecine de Vienne. Les deux p
héorique sur les localisalions. De l'examen comparé des symp- tômes
cliniques
et des lésions, il tire les conclusions qui parai
nt sus au furieux et le tuent. P. K. XLII. ETUDES statistiques ET
CLINIQUES
POUR SERVIR A la connaissance DE LA PARALYSIE G
alcool. L'auteur se place sur le terrain de la physiologie et de la
clinique
. C'est bien la question de l'alcool qu'il enten
tion physiologique de l'alcool s'expliquent une série de phénomènes
cliniques
: l'ivresse, la fureur alcoolique, les actes cr
La suppression de ces boissons a donné d'excellents résultats à la
clinique
de Heidelberg, non seule- ment dans l'épilepsie
ue. Peut-être ces faits sont-ils en rapport avec certaines variétés
cliniques
de la maladie. Si le fait se confirme de l'atroph
Th. P. 1891, Steinheil.) C'est un travail de recherches, à la fois'
cliniques
et anatomo- pathologiques. Etudiant la fréquenc
hez l'auteur. School for fublemin- dord. BOURF.vILLF., Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
et un petit laboratoire où se feraient les analyses chimiques de la
clinique
courante et où seraient déposés les appareils d
sies, amyotrophies, troubles de la sensibilité), présente une forme
clinique
bien définie. Il est essentiellement caractéris
t en grande abondance révèle un rapport biologiqne entre la forme
clinique
et leur présence dans le sang, en ce sens qu'ils
and il est de courte durée, non seulement parce que l'observation
clinique
attentive montre toujours la préexistence d'une p
nés, au moment d'une rechute, quelle que soit d'ail- leurs la forme
clinique
de la psychose, seuls, à l'insu de tous, sans a
tique; par le Dr P. SOLLIER. - Intéressante observation du syndrome
clinique
décrit par Kor- sakoff sous le nom de psychose
ment du tra- vail de l'auteur que l'élément passionnel est un signe
clinique
dont il faut tenir plus grand compte, lorsqu'il
.) E. B. 474 l1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. LTI1. Considérations
cliniques
SUR l'étiologie ET la nature DE l'épilepsie tar
remière partie de son travail, l'auteur apporte de nou- veaux faits
cliniques
à l'appui de ses idées sur la folie blennorrha-
élément infectieux des écoulements purulents non gonococciques ? La
clinique
répond affirmativement, car elle est bien connu
lose des centres nerveux, que de véritables néoplasmes. Leur allure
clinique
, leur structure histologique font soupçonner un
sychiatrie. Le malade est mort de pneumonie deux ans après l'examen
clinique
de Lissauer. Aucune modification ne s'était pro-
que sur la lésion qui pouvait être admise comme cause du syn- drome
clinique
, avait-il supposé l'existence d'un foyer situé à
M. Wernicke (de Breslau). Sur les psychoses à forme anxieuse. z La
clinique
exisie la description d'un groupe spécial de psyc
chose à forme anxieuse n'est que le premier stade d'une autre forme
clinique
qui se greffe sur la première au cours de la co
rable. Les hallucinations et l'anxiété paraissent, dans cette forme
clinique
, être dans un rapport de dépendance inverse par
buveurs sur le lac de Constance, et par le Dr Fùrer, assistant à la
clinique
psychia- trique de Heidelherg. Ces deux travaux
AEHR a recherché le signe du cubital chez trente tabé- tiques de la
clinique
de la Charité. Il ne l'a constaté que dans la m
présente des préparations d'un cas de Rolioencéphalite observé à la
clinique
de la Charité. En outre des hémorragies habitue
ULOUSE. (Société d'édit. scientif., 1890.) M. Ed. Toulouse, chef de
clinique
des maladies mentales de la Faculté de médecine
aquelle on n'a pas de mesure; il avoue néanmoins qu'au point de vue
clinique
les types de M. Magnan diffèrent nettement des
nnelle des médecins. (Dr F. Meschlde. Leçon d'ouverture faite ci la
clinique
psychiatrique de l'Université de Konigsberg, 29
cessoire et de l ? par Turner et Bulloch, 154. HYSTÉRIE. Traité
clinique
et théra- peutique de l ? par Gilles de la To
DU TRONC CAUSÉE PAR LA SCIATIQUE; Par le Dr J. BABINSKI, clief de
clinique
de la Faculté de médecine il la-Salpêtrière.
depuis, nous avons plusieurs fois vu M. Charcot, dans ses leçons
cliniques
, annoncer à distance chez les malades présentan
eut déterminer son degré de fréquence. M. Charcot insiste, dans ses
cliniques
, sur l'importance, en neuropathologie, de ce ge
tasie ET DE l'abasie. 25 5 diverses reprises le sujet de ses leçons
cliniques
. Ce sont, du reste, ces leçons mêmes, jointes a
e la coordination volontaire,' c'est-à-dire du sens musculaire ; en
clinique
elle se distingue par les résultats négatifs de
parler du cas dont il s'agit. On s'en tient à la diffé- renciation
clinique
rigoureuse du type morbide et à son étude appro
r M. Miliotti. M. Charcot y établit formellement les ca- ractères
cliniques
de cette affection en même temps qu'il en esqui
ser aucune trace. Mais je ne pus donner aucune raison d'une forme
clinique
aussi étrange. Sur un lit, on voyait un jeune enf
. Observation X. (Communiquée par mon ami le Dr BABINSKI, chef de
clinique
de la Faculté.) Mm0 C..., âgée de vingt-deux an
nt d'amélioration sensible dans l'état de la' malade. (A suivre.)
CLINIQUE
NERVEUSE DES ÉPHIDROSES DE LA FACE; Par M. PA
branche qui ait été dans ces dernières années étudiée et mer- 52
CLINIQUE
NERVEUSE. veilleusement élucidée, c'est assurém
variés qu'envisageait avant eux sans les pouvoir expliquer l'école
clinique
de 1830. Aujourd'hui les points principaux sont
nces fon- damentales. Nous terminerons enfin en discutant le 51 1
CLINIQUE
NERVEUSE. diagnostic de la lésion qui chez notr
nq ans cependant il aurait eu une typhlite. Il y a un an, il est 56
CLINIQUE
NERVEUSE. tombé d'une échelle sur le coude : il
eur appréciable du cou ni du thorax. Les urines sont normales. 58
CLINIQUE
NERVEUSE. L'état général est bon. D... mange bi
enté et sont dues à une névralgie intercostale du côté droit.) 60
CLINIQUE
NERVEUSE. lit. Passons maintenant en revue le
marqué des parois avec dégénérescence graisseuse de leur con- 62
CLINIQUE
NERVEUSE. tenu. En somme sclérose ot dégénéresc
veines étaient inégalement dilatées par places. La plupart des 64
CLINIQUE
NERVEUSE. cellules ganglionnaires ne présentaie
es variations successives de diamètre pu- Ancurves, t. XV. a 66 .
CLINIQUE
NERVEUSE. pillaire viendraient corroborer cette
emarqué qu'il ait fait avant de mourir le moindre mouve- ment. 68
CLINIQUE
NERVEUSE. Autopsie. A l'ouverture du thorax on
s excito-sudorales qui accompagnent le facial ou le trijumeau. 70
CLINIQUE
NERVEUSE. On connaît plusieurs exemples d'hypér
u'il mettait du sel sur le côté correspondant de sa langue qui 72
CLINIQUE
NERVEUSE. était excoriée. Hartmann rappelle l'o
ordre de faits, c'est une émotion, une excitation psychique 74 1,
CLINIQUE
NERVEUSE. qui déterminent l'éphidrose. Parfois
l. XIV, Il"' 10 et il, p 55 et 23à, juillet et septembre 1887. 76 .
CLINIQUE
NERVEUSE. tion symptomatique entre les différen
en haut directe- ment, d'abord à droite, puis enfin à gauche. 78
CLINIQUE
NERVEUSE. Période de stertor. Décomposition de
2 P M Il M M '1 : 1 a o e2 m en M rm 80
CLINIQUE
NERVEUSE. DE l'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. Poids. 187
istre de l'intérieur. Nous, soussignés, J. Charcot, professeur de
clinique
des ma- ladies nerveuses à la faculté de médeci
ne de Paris, officier de la Légion d'honneur ; DUPRÉ, professeur de
clinique
médicale à la faculté de médecine de Montpellie
ateur, officier de la Légion d'honneur; PIERRrT (A.), professeur de
clinique
des maladies mentales à la faculté de médecine
S ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE Par GILLES DE LA TOUHËTTE Chefde
clinique
des maladies du S&tèIllL nerveux. I. « Un
n lit dans le Marteau des Sorciers qu'une femme s'alla dé- ' Etudes
cliniques
sur les maladies des femmes, 1817, 1). 197. 7'a
., 1., p. 61. 3 De mul. morb. llb. XXXVIII, obs. 35, 36. * Traite
clinique
et thérapeutique de l'hystéiie, 1859. DES ATTAQ
ep- tique et de ses principales variétés. Th. Paris, 1879. - Etudes
cliniques
sur la grande hystérie ou Ill/siéra-épilepsie,
évrose. Nous ne I nions pas pour cela le bien-fondé au point de vue
clinique
de I ces diverses appellations, mais nous croyo
é atteint de fièvre récurrente en février 1884; on l'apportait à la
clinique
le H juin 1884; il mourait le 9 juillet dans le
congrès aura lieu à Strasbourg, à raison de l'intérêt qu'offre la
clinique
psychiatrique nouvellement installée. Secrétaires
. assez rares, sont loin d'expliquer rationnellement les phénomènes
cliniques
. C'est Bourneville et ICundrat' qui ont fourni
n de polioencéphalitc qui correspondrait, d'après lui, au complexus
clinique
observé. Or Kast a observé les faits suivants :
nce, de la contradic- tion même des lésions et de leur localisation
clinique
dans le présent ou dans l'avenir, les observati
isation clinique dans le présent ou dans l'avenir, les observations
cliniques
actuelles relatives à la dyslexie conduisent in
fesseur de la faculté de médecine de Paris chargé de l'enseignement
clinique
des maladies mentales; un directeur du ministèr
ux aliénés (1805); - Du detirium tremens, etc. (1807); - Recherches
cliniques
et statistiques sur la transmission hérédi- tai
ici presque exclusivement dans un seul membre. Malgré le tableau
clinique
simulant une affection périphérique, nous n'avo
que celle des cas précédents, explique parfaitement les symptômes
cliniques
. Des altérations trophiques existent proba- ble
ec les symptômes fondamentaux de la maladie, contribue au tableau
clinique
de notre observation en lui prêtant ses traits
r, on sait que la paralysie hystérique se présente sous deux formes
cliniques
typiques qui, au premier abord, semblent séparé
e-aba- sie, dont nous avons essayé de déterminer les carac- tères
cliniques
. Il est utile, au préalable, de rappeler ici qu
tonome en quelque sorte, on comprend que le syndrome se présente en
clinique
parfaitement limité et indépendant de toute imm
n qu'il se produise dans le syndrome astasie-abasie, des variétés
cliniques
et physiologiques nombreuses, en DE L'ASTASIE e
e impuissance relative, dont l'incoordination est la tra- duction
clinique
. C'est de cette façon, du moins, que suivant no
forme objective ? Il n'est pas douteux, d'après les faits d'ordre
clinique
qui forment la substance de notre travail, que
e résolue sans doute bientôt à l'aide d'observations appropriées.
CLINIQUE
NERVEUSE DES ÉPHIDROS1 : S DE LA FACE ' ; Par
sudoraux, dans leurs expériences sur le sciatique du chat. Déjà en
clinique
, Eulembourg avait différencié les nerfs vascula
lure, lorsqu'on trouve sur un côté de la face et du cou ce syndrôme
clinique
, rou- geur, hyperthermie hypéridrose et myosis
es excito-sud. de la face. C. R. Acad. des sciences, 1879. z'18 8
CLINIQUE
NERVEUSE. fibres homologues des deux derniers g
ir l'observation de Raymond et (Iieviie de 22zé(leciiie, 18S4.) -20
CLINIQUE
NERVEUSE. rappeler les recherches de M. Pierret
n effet, montré qu'après avoir excité le ganglion cervical su- LI
CLINIQUE
NERVEUSE. périeur et premier thoracique, l'élec
t, il faut se garder d'y cher- cher l'explication de tous les faits
cliniques
. S'il en est qui se trouvent éclairés par telle
ent exagéré d'éléments fibreux étranglant les éléments nerveux. 2
CLINIQUE
NERVEUSE. Mais il est probable que, dans ces de
rvical peuvent déterminer une éphidrose faciale. Celle-ci répond en
clinique
à deux types : 1° syndrome, éphidrose, myosis,
iales restent stationnaires et qu'on en a Archives, t. XV. 15 226
CLINIQUE
NERVEUSE. signalé qui, après plusieurs années,
et 41, p. 5j et 235, juillet et septembre 1887; vol. XV, p. 75. 228
CLINIQUE
NERVEUSE. automatiques que l'on observe si fréq
z Grand-père et Grand'mère paternels pas de détails. - Grand- 230
CLINIQUE
NERVEUSE. père maternel, mort d'une tumeur abdo
ale droite est peut-être un peu plus saillante que la gauche. 232
CLINIQUE
NERVEUSE. gées ; manquent : deux petites molair
La sensibilité cutanée avait disparu, le réflexe tendineux 234
CLINIQUE
NERVEUSE. rotulien était conservé sauf de suite
ri. Ce cri ne s'est pas renouvelé jusqu'à présent. T. R. 39°. 236
CLINIQUE
NERVEUSE. 16" accès. En tout semblable au précé
heure après : 4'1° ; une heure après : 39°, ? . ! % ig. 22) 238 '
CLINIQUE
NERVEUSE Poids. - 1886. Janvier. 57 kil. I. -
qui, quoique bien développée est par suite très irrégulière et 240
CLINIQUE
NERVEUSE. mal délimitée du lobe temporal. -Tout
terpariétale, à la scissure parallèle. Archives, t. XV. G G . 242
CLINIQUE
NERVEUSE. La presque totalité du lobule pariéta
before he fell in a lit. » ((;owers, On Epilepsg, p. 121.) : 2M"
CLINIQUE
NERVEUSE. montre la marche de la température da
her dans le lit de camp, comme si c'élait un véri- table lit. 246
CLINIQUE
NERVEUSE. Observation XLIII. -Père, mort plzllh
. Du traitement de l'épilepsie; Paris, 1882, obs. X, p. 97. ' 248
CLINIQUE
NERVEUSE. Nous avons ici affaire à un cas d'aut
(service de 31. Bourneville) et y est décédé le 15 avril 188. 250
CLINIQUE
NERVEUSE. L'observation de ce malade a déjà été
n. Inaugural. Dissertation. Ber- lin, 1867. Observ. 1, p. 24. 2S2
CLINIQUE
NERVEUSE. été atteint d'aucune maladie en dehor
t de maladie ainsi caractérisée se rapproche par sa signification
clinique
de la paralysie générale avec ou sans idées de gr
; 2° une autre liée à de l'arzé-m mie cérébrale comme on le voit en
clinique
d'après l'amélio- ration de la Catatonie marcha
, être liés à la marche de la névrose vaso-motrice. Au point de vue
clinique
, cette forme de Wahnsinn peut se di- viser en C
atatonie seule. Tout en voulant rester exclusivement sur le terrain
clinique
et même « empirique », il s'aventure aussi dans
TTAQUES DU SOMMEIL HYSTÉRIQUE3; Par GILLES DE LA TOURETTE Chef de
clinique
des maladies du sleIl1C : fier% eux. III. Il
ctions et, nous plaçant uniquement, comme toujours, au point de vue
clinique
, nous distinguerons deux groupes de faits : ceu
nt - et M. Charcot en a montré un fait indubitable dans une récente
clinique
nous ajouterons qu'elle présente des caractères
que l'anesthésie sensorielle ' Etude anatomique , physiologique et
clinique
sur ? tf'n ! : c/t0)'e'e, l'hé- mianesthésie et
lus souvent. Il. - Les diverses affections ou mieux les symptômes
cliniques
que nous venons de passer en revue, sont de beau-
lequel elle repose, indemne de toute tare dégénérative. Mais, en
clinique
, la distinction ne semble pas être aussi absolue
dromes épisodiques des héréditaires. D'ailleurs, dans les lésions
cliniques
de M. Magnan et dans les thèses faites sous son
eptiques de caractère varié. M. Ma- gnan, lui-même, dans ses leçons
cliniques
sur l'épilepsie résu- mées par M. Briand cite l
e au 31 décembre 624 malades (310 H., 314 F. et 4 lits vacants). 3°
Clinique
: Ma- lades présents au 1" janvier 1887. 152 (1
x de vous annoncer qu'aucun des symptômes qui ont figuré au tableau
clinique
si net et si saillant du malade, à savoir : les
.). Histoire d'une hystérique hypnolisable. (Contribution à l'étude
clinique
des caractères somatiques fixes des attaques de
Y, IIOp. - 388. Vol. XV. Mai 1888. N" 45 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES (symptôme
e en font une espèce morbide parfaitement Archives, L. XV. 22 338
CLINIQUE
NERVEUSE. distincte'. » Pour lui, la spécificit
esure, ceux de l'ataxie locomotrice pro- gressive. - Trousseau. -
Clinique
médicale de l'Hôtel-Dieu, t. II. Axeiifeld. Art
e encyclopédique des Sciences médicales. 1877, t. VII, p. 69. 340
CLINIQUE
NERVEUSE. écrivait ces lignes on est parvenu à
i. Ce71ti-alblait sur Nerucnkeillacnde, von Erlenmeyer, 1881. 342
CLINIQUE
NERVEUSE. des émotions résultant de la vie en c
gé cette erreur et à diverses reprises j'ai montré ce malade à ma
clinique
comme un exemple d'ataxie confirmée. Aussi ai-j
ngt ans, deux blennorrhagies sans gravite. Il affirme qu'il n'a 344
CLINIQUE
NERVEUSE. jamais eu de chancres. Pendant la gue
'amour. Vers le mois d'août les érections devinrent incomplètes 346
CLINIQUE
NERVEUSE. et inefficaces, mais il y avait de fr
it beaucoup de peine à se diriger dans l'usine, au milieu des 348
CLINIQUE
NERVEUSE. machines, des foyers et de la fonte e
diennes qui paraissent tout à fait saines. Pas d'épaississement 350
CLINIQUE
NERVEUSE. de la pie-mère. Pas de néo-membranes
ération organique de la moelle, ni des racines rachidiennes,- 352
CLINIQUE
NERVEUSE. ni des nerfs périphériques. A peine t
n- ke-ankheilen, t. VIII, 1833) ; J. Babinski, Etude analonzique et
clinique
sur la sclérose en plaques (Th. doct. Paris, 18
d (V2,chows Archiv., Il·1 108, 1887), etc. Ancmves, t. XV. 23 354
CLINIQUE
NERVEUSE. plaques ou de tabes, quoiqu'on ne tro
herché à démontrer, en res- tant exclusivement sur le terrain de la
clinique
, que dans toutes ces paralysies faciales, connu
et la tradition, est en contradiction flagrante avec l'observation
clinique
. Si cette doctrine, qui consiste à mettre au pr
lysie faciale, sont purement secondaires et qu'elles se trou- 356
CLINIQUE
NERVEUSE. vent entièrement subordonnées à ce fa
nt aussi -les enseignements qui se dégagent pour nous des documents
cliniques
dont l'exposé va suivre. Observation I. L...
mais eu d'attaques de nerfs, ni de perte de connaissance; ? ni- 358
CLINIQUE
NERVEUSE. graines fréquentes. Mariée depuis dix
es sans être, à vrai dire, douloureuses; pas d'a- nestliésie. 360
CLINIQUE
NERVEUSE. L'hémiplégie faciale date du mois d'o
ion dans une maison de santé, où elle resta pendant trois mois. 362
CLINIQUE
NERVEUSE. Antécédents personnels : Irrégulièrem
uche sont paralysés, les réactions électriques sont normales. 364
CLINIQUE
NERVEUSE. En dehors de la valeur que les antécé
sans affection nerveuse ; père rhumatisant mort d'une affection 366
CLINIQUE
NERVEUSE. cardiaque. Grand-père maternel aurait
oïncident fréquemment avec les maladies du système nerveux et 368
CLINIQUE
NERVEUSE. leur combinaison avec les névropathie
ise en pleine lumière, c'est la paralysie Archives, t. XV. 24 370
CLINIQUE
NERVEUSE. faciale se montrant sans interruption
tervention, sans autre levier, elle peut faire éclore le mal. 372
CLINIQUE
NERVEUSE. Dans cette étude sur l'éliologie de l
ts de paralysie de la septième paire, on retrouve toujours, ' 374
CLINIQUE
NERVEUSE. soit les grandes névroses, comme l'ép
lvanique et faradique. Le même auteur relate un autre cas qui 376
CLINIQUE
NERVEUSE. avait les apparences d'une forme grav
riphéri- ques, un certain nombre d'hémiplégies de la septième 378
CLINIQUE
NERVEUSE. paire dont le point de départ semble
ne peuvent atténuer en rien la valeur des arguments et des preuves
cliniques
qu'il nous a été donné de produire dans le cour
7; vol. XV, n°' 43 et 44, p. 75 et 227, janvier et mars 1888. 380
CLINIQUE
NERVEUSE. de porter un diagnostic rétrospectif.
essofls de la moyenne. De plus la mère parle mal le français. 382
CLINIQUE
NERVEUSE. Rougeole vers trois ans, puis beaucou
M' z 1 m M a 5 DE l'épilepsie PROCURSIVE. 383 ' * 386
CLINIQUE
NERVEUSE. - On ne peut le faire parler, ni lui
roueâtre dans la cavité péricardique. La pointe du coeur est 388
CLINIQUE
NERVEUSE. formée par le ventricule gauche surto
divisent presque entièrement, l'un même, médian, atteint' son 390
CLINIQUE
NERVEUSE. bord postérieur ; il semble en ce cas
un peu chagrinées. Les scissures sont profondes et sinueuses. 392
CLINIQUE
NERVEUSE. - DE l'épilepsie PROCURSIVE. La circo
s malade. ment. (trad. franc, de Doumic, 1865.) 9 More). - Etudes
cliniques
, t. Il, p. 27.'j et suiv. 292, 293. LA. CATATON
sprit (trad. franc, de Germont, 1883, p. 4 ï8.) * Ritti. - Traité
clinique
de la folie à double forme, 1883, Obs. XI, XII,
' Morel. Traité des mal, ment., 1860. Note de la page 191 et Etudes
cliniques
, t. 2 p. 178. 2 Guislain. -Loc. cit. 3 Morel.
cliniques, t. 2 p. 178. 2 Guislain. -Loc. cit. 3 Morel. Traité
clinique
des maladies mentales, 1860, p. 191. 4.\lichéa.
ces phénomènes, et en les considérant au point de vue pure- ment
clinique
, ils n'ont pas, à notre avis, l'importance que
, ital. per le mal. nerv., sep- tembre 1887.) , 3 Morel. - Eludes
cliniques
, t. 1, et Traité des mal. ment., p. 713. à Tanz
complet qui se termine par guérison ou démence. » C'est là un fait
clinique
incontes- table, signalé d'ailleurs depuis long
mond. Loc. cit. ' More). - Traité des mat. ment., p. 489, et Études
cliniques
, t. II, p. 257. 3 Griesinger. - Loc. cit., p.
olomew's Hospital Reports, vol. IX, p. 130, 1873); - Dulmont, Etude
clinique
sur l'athétose, 1878; - Cliffort-Albutt (Med. Tin
. Zeitsch. f. Psych., XLIII, 3). Sur 539 malades hommes entrés à la
Clinique
deLaipzig pendant les années in et 1885, il y a
14 syphilitiques. Il n'existe pas, d'après la statistique, de forme
clinique
particu- lière de paralysie générale syphilitiq
on argumentation, s'est placé sur un excellent terrain, celui de la
clinique
, et il nous donne- le résultat de son observati
s, ce qui du reste est fort heureux, voué fatalement à la folie. La
clinique
, sous ce rapport, fournit même des exemples très
dont les racines sont déjà très profondes ? Voilà, ce que dit la
clinique
et conséquemment l'observation VIII ainsi complét
'associer à du strabisme ou du bégaiement. Après cette discussion
clinique
, M. Séglas cherche à mettre en contradiction le
ar M. Legrain que le délire chronique peut se mon- ' Magnan. Leçons
cliniques
sur l'épilepsie recueillies et publiées par M.
écutées deviendraient ambitieuses. C'est précisé- ment parce que la
clinique
nous permet de reconnaître un groupe déterminé
des grandeurs. Ce délire d'énormité peut aboutir dans des cas très
cliniques
à de véritables idées de grandeur; l'apposition
vons encore en présence des mêmes difficultés, nous avons un groupe
clinique
, la mégalomanie, qui réunit des sujets ' A Fovi
linique, la mégalomanie, qui réunit des sujets ' A Foville. - Etude
clinique
de la folie avec prédominance d'idées de grande
uté qui ne change rien au fond de la maladie. Dans une discussion
clinique
, je ne puis assurément répondre que par les fai
deurs et nous pourrions ajouter un délire de persécution, mais la
clinique
nous enseigne, et c'est par là que je termine, qu
par M.le professeur Pitres (de Bor- deaux). C'est dire que le côté
clinique
de la doctrine localisatrice est loin d'avoir é
ie est consa- crée à l'exposé des principaux faits expérimentaux et
cliniques
accumulés dans ces dernières années et relatifs
Ferrier, etc., et montre, grâce à M. Charcot, l'intervention de la
clinique
qui vient confirmer pleinement les recherches p
par les lésions destructives, localisées, du cerveau; mais ici la
clinique
ne doit pas céder le pas à l'expérimentation, car
s texte. Paris, 1888. Librairie 0. Berthier. SCIIULI (H.). - Traité
clinique
des maladies mentales, 3e éclitioll (1886). Tra
coprolalie. P..., femme L..., âgée de cinquante ans entre à l'asile
clinique
(Sainte-Anne), le 30 octobre 1891. La mère ét
prononcer. L... (Berthe), âgée de trente et un an, entre à l'asile
clinique
(Ste-Anne) le 11 avril 1885. Son père est mort
sseur dans un collège, âgé de trente et un ans, est entré à l'asile
clinique
(Sainte-Anne), le 23 février 1891. Sa mère, név
crâne des tiraillements qui diminuent par la coupe ' Magnan. Etude
clinique
sur les impulsions et les actes des aliénés. (R
ter. Doute. R... (Jean), âgé de cinquante-deux ans, entre à l'asile
clinique
(Sainte-Anne), pour la troisième fois, le 20 oc
onstant), garçon de magasin, âgé de trente-six ans, entre à l'asile
clinique
(Sainte-Anne), le 2 novembre 1891. On ne sait r
ie. M..., femme H..., âgée de cinquante-deux ans, entre à l'asile
clinique
(Sainte-Anne), le 19 mars 1885. Bizarre, extrav
USE SUBAIGUE DE DUCHENNE. (DE BOULOGNE) REPRÉSENTE-T-ELLE UN TYPE
CLINIQUE
DISTINCT DE MYÉLITE DIFFUSE ? J. o '1 1 , ,,»,t
part de myélopathie. On y rencontre en effet : -1° le syn- drome,
clinique
de la paralysie générale spinale anté- rieure s
a moelle.' Vulpian, d'ailleurs; ne nie pas complètement l'existence
clinique
de la paralysie générale spinale diffuse subaig
ainsi que l'ensemble, la distribution et la symétrie des symptômes
cliniques
, rappellent de trop près l'analogie qui existe
cas comme un type de paralysie générale spinale diffuse subaiguë.
CLINIQUE
NERVEUSE. CLINIQUE DES Maladies DU système nerv
e paralysie générale spinale diffuse subaiguë. CLINIQUE NERVEUSE.
CLINIQUE
DES Maladies DU système nerveux. M. CHARC01'. L
ces, si tant est ' Voy. Archives de Neurologie, n° 69, p. 323. 30
CLINIQUE
NERVEUSE. que l'on en puisse faire de décisives
. 1 Gilles de la Tourette. Traité de l'hystérie, 1891, p. 552. 32
CLINIQUE
NERVEUSE. j'ai contre elle; elle avait absolume
l'abasie. (Archives de Neurologie, 1888.) Archives, t. XXIV. 3 34
CLINIQUE
NERVEUSE. servir de ses jambes, il ne sait plus
al dans le trai- tement des maladies nerveuses, 1810, p. 12. 36 .
CLINIQUE
NERVEUSE. moins complets chez quelques malades,
e. Il nous faut considérer dans la mémoire des opérations plus 38
CLINIQUE
NERVEUSE. élémentaires : la première de toutes
ans un certain état où il retrouve les souvenirs cherchés. Cette 40
CLINIQUE
NERVEUSE. . Mais, quand il s'agit de l'amnésie
ne lui rend pas ses souvenirs, mais qui montre leur existence. 42
CLINIQUE
NERVEUSE Sion l'interroge directement, si je lu
mbulismes, etc., dont elles semblent n'avoii aucune mémoire. . 44
clinique
nerveuse. qu'une sorte de synthèse réunisse les
sion tel ou tel cas particulier. Pourquoi donc, par exemple, 46 .
CLINIQUE
NERVEUSE. chez les malades qui n'ont pas des am
ge un certain nombre d'observa- tions tout à fait analogues. 48 .
CLINIQUE
NERVEUSE. et blancs Elle n'avait pas plus à la
1f. Paul Richer signalé, le premier je crois, ce phénomène : Etudes
cliniques
sur la grande hystérie, 1885, p. 707, mais il l'a
bsolument conforme à cette description. Archives, t. XXIV. 4 50
CLINIQUE
NERVEUSE. images, quand elle a lieu, amène des
a période de sommeil qui suit la crise, que telle personne est 52
CLINIQUE
NERVEUSE. venue près d'elle, que son père l'a e
double personnalité. (Revue scientifique, 1888, t. I, p. 616.) 54
CLINIQUE
NERVEUSE. - L'AMNÉSIE HYSTÉRIQUE. mémoire est r
faut seulement l'intégrité des voies de communication AC et ACB. La
clinique
indique les espèces morbides suivantes : 1° Per
e à copier, sans en comprendre le sens. Conclusion. Sixième forme
clinique
de Lichtheim ' : interrup- tion des faisceaux n
es toxiques vraies. L'une d'elles est la rage humaine; le complexus
clinique
de cette maladie pré- sente une évolution dont
ossible de ne pas être frappé de ces contrastes quand on visite une
clinique
psychiatrique ou un asile d'aliénés pour la pre-
uffisamment pour qu'ils puissent vivre au dehors. M. MEYNERT. Les
cliniques
psychiatriques doivent jouir'd'une certaine lib
iel de l'enseignement. Il n'est pas pas possible de soustraire à la
clinique
les cas chroni- ques ; d'ailleurs le pronostic
bles qui ont guéri. » Tous les cas doivent pouvoir figurer dans une
clinique
. Il faut aussi qu'elle soit ratta- chée à une s
exemple les obsessions neurasthéniques. M. de IRAFFT-1 : BI11G. Une
clinique
psychiatrique doit présenter à l'auditeur tous
RT. La question me parait résolue si l'on décide de compléter toute
clinique
psychiatrique par une clinique de mala- dies ne
ue si l'on décide de compléter toute clinique psychiatrique par une
clinique
de mala- dies nerveuses. M. de KRAFFT-EBING.
sitions formulées par les congrès, à côté des sections intitulées :
clinique
interne, clinique d'accouchements, clinique chi
par les congrès, à côté des sections intitulées : clinique interne,
clinique
d'accouchements, clinique chirurgicale, figure un
s sections intitulées : clinique interne, clinique d'accouchements,
clinique
chirurgicale, figure une qua- trième clinique i
ique d'accouchements, clinique chirurgicale, figure une qua- trième
clinique
indépendante, sous le nom de clinique psychia-
icale, figure une qua- trième clinique indépendante, sous le nom de
clinique
psychia- trique. Adopté. M. le Président prop
s délirants a diminué de plus de moitié à l'asile d'aliénés et à la
clinique
psychiatrique de Breslau. M. OEBEAE. En maint
pitalisation passagère d'épileptiques vivant au dehors, avec poli-
clinique
. Des consultations verbales, ou par correspondanc
bien du pasteur et de l'instituteur que du personnel subalterne. La
clinique
et l'anatomie pathologique sont, comme chacun s
arole au cours de la discussion en analysant certains des symptômes
cliniques
de cette observation et les indi- cations théra
rès la ponction on a eu recours au drainage. - 1 Giraldès. Leçons
cliniques
sur les maladies chirurgicales des en- fants, r
l ne put dire « Papa et Maman qu'à un an et demi. Il fut admis à la
clinique
dans cet état, on lui fit une fois une ponction
e livre est connu. Il présente, ainsi que chacun sait l'image de la
clinique
(imaginem belli) avec toutes ses surprises et ses
dire en un mot, complétés par cette introduction merveilleuse à la
clinique
neuro pathologique, par cette clinique pratique
troduction merveilleuse à la clinique neuro pathologique, par cette
clinique
pratique enseignée par l'exemple. Desfigures, t
à ce volume. ' P. KERAVAL. IV. Contribution à l'étude anatomique et
clinique
de l'acromégalie; par le Dr G. Duchbsneau. Th.
Lyon. J.-B. Baillière, Paris, 1892. L'auteur nous expose l'histoire
clinique
et anatomique d'un cas observé par lui, qui dif
n observé vaut mieux que cent étudiés superficiellement. P. S. V.
Clinique
des maladies du système nerveux; par M. le profes
cquises à un cas particulier c'est le génie médical, dans son cadre
clinique
; l'esprit de généralisation qui permet d'en ext
ns qui nous venaient à la lecture de cette nouvelle série de leçons
cliniques
. Elles se présenteront sans nul doute à l'espri
uence provocatrice de la syphilis sur certaines névroses, des types
cliniques
ainsi déter- minés, et des difficultés de diagn
en outre, la surveillance des archives qui sont déposées à l'asile
Clinique
. ART. 8. Les ressources de la Société se compos
de la Salpêtrière. - M. le Dr Aug. Voisin a repris ses conférences
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses, le dima
cérébrale prit un essor nouveau. C'est par son esprit génial que la
clinique
des maladies mentales prit une direc- tion tout
eorges GmNON. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BouRNEVILLE. - Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie l'hystérie et
: 6 fr.; pour nos abonnés, prix : 4 fr. BOURNEVILLE. - Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'hysthérie et l'idiotie.
s médical. Pour les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). -
Clinique
des maladies du système nerveux de la Salpêtriè
-90 et 1890-91, publiés sous la direction de Georges GmNON, chef de
clinique
, avec la collaboration de MM. GILLES de la TOUR
, avait le privilège d'être sur le champ répété. 1 Magnan. Leçons
cliniques
sur les maladies mentales. Paris, 1891, p. 171.
complète de jour. 3 Deux attaques complètes de jour. (A suivre.)
CLINIQUE
NERVEUSE L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. CONTRIBUTIO
ifférents auteurs, a le défaut d'indiquer simplement une des formes
cliniques
, assez variables, selon lesquelles l'amblyopie
transitoire plus largement, d'en subordonner les différentes formes
cliniques
aux connaissances de la- physiopathologie des c
d'en esquisser la physiopathologie, d'après nos connaissances 204
CLINIQUE
NERVEUSE. actuelles sur les centres de la visio
uelle forme, nous croyons préférable d'énumérer d'abord les types
cliniques
de l'amblyopie transitoire, à l'aide de quelques
ses rapports avec les différentes maladies nerveuses. 1er. FORMES
CLINIQUES
DE l'amblyopie transitoire. A la vérité, la cla
a Société d'ophtalm, de Paris, séance du 1" juil- let 1890. - 206
clinique
nerveuse. côté de la vision, peut voir, par sui
i dans son ouvrage de 1877 (16), nous semble très importante. 208
CLINIQUE
nerveuse.' Plusieurs cas d'amblyopie transitoir
erne la véritable hémiopie transitoire. Archives, t. XXIV. 14 210
CLINIQUE
NERVEUSE. nue de même après des excès, se prolo
est toute la journée souffrante. Pesanteur dans la tête et les 212
CLINIQUE
nerveuse. yeux, surtout lorsqu'une crise l'a pr
IFFÉ- RENTES maladies NERVEUSES. - Les principales névropa- 214 .
clinique
NERVEUSE. thies auxquelles peut se rattacher l'
au livre de M. Bouveret, et surtout à celui de) ! . Levillain. ' y6
CLINIQUE
NERVEUSE. sique sur la neurasthénie, indique co
d'une zone hystérogène dûment constatée, et dont la pression 218
clinique
NERVEUSE. suffit pour déterminer l'accès, la di
es douloureux; et dans ceux-ci l'analyse, en déterminant la formule
clinique
qui parait être pathogno- monique', permettrait
ait être exempt de migraine; d'autre part, les données de la chimie
clinique
sur l'hystérie ne sont pas encore si complètes
pas de rétrécissement concentrique permanent du champ visuel. 220 .
CLINIQUE
NERVEUSE. devient prédominante, même sans que l
il conserve toute sa lucidité d'esprit. Un jour on le conduit à la
clinique
pendant sa crise, qui s'était déclarée vers une
s de longues attaques de migraine ophtalmique et d'épilepsie 222.
CLINIQUE
NERVEUSE. partielle ou complète. En outre, Raul
en en lumière, nous nous servirons surtout de quelques observations
cliniques
, la plupart inédites, recueillies à la Salpêtri
je m'empresse de lui en adresser ici tous mes remerciements. 224
CLINIQUE
NERVEUSE. il se lève pour mieux y résister et e
ises d'amblyopie transitoire non accoru ARCHIVES, t. XXIV. 15 226
CLINIQUE
NERVEUSE. pagnées de migraines, mais suivies de
partie inférieure et droite du champ visuel des deux yeux (même 228
clinique
NERVEUSE en les fermant l'un ou l'autre) lui se
as publiés jusqu'à présent, et entre autres par deux observations
cliniques
très démonstratives deM.Lemos(47).Dans la seconde
Ce fait, que l'épilepsie sensitive puisse ouvrir le syndrome 230 .
CLINIQUE
NERVEUSE. de la paralysie générale, et, non com
les du côté opposé du corps. - Ce fut sans le secours de toute base
clinique
ou expérimentale, que s'établit la doctrine des
tation comparée, pas plus que la part respec- tive qui revient à la
clinique
ou à la physiologie dans ces décou- vertes. C'e
e compte des contradictions apparentes des résultats de la médecine
clinique
et des faits expé- rimentaux obtenus sur des an
, il est aisé par l'excitation électrique, de reproduire les phases
cliniques
de l'accès d'épilepsie, telles que convulsions
e ce soit toujours la cause première de l'affection. Les recherches
cliniques
ont en effet démontré que l'épilepsie peut enco
labyrinthe des maladies cérébrales, au milieu duquel l'observation
clinique
, aban- donnée à ses propres forces, était incap
ur de Loir-et-Cher, et de M. Bouchereau, médecin en chef de l'Asile
clinique
. M. Sainserre, préfet de Loir-et Cher, a souhai
mnation, de possession ou d'immortalité, et il en résulte un tabeau
clinique
particulier : mais bien souvent cette combinaison
de Cotard, M. Camuset montre qu'il en est d'autres dont le tableau
clinique
est différent. Sans aucun doute; mais est-ce un
de faire constater l'absence de ses organes, etc. Les caractères
cliniques
de ce délire sont tout à fait différents de ceu
ement des cas de mélancolie avec délire des négations dont l'aspect
clinique
et l'évolution diffèrent plus ou Archives, t. X
eut se rencontrer en dehors de la mélan- colie, avec des caractères
cliniques
tout différents. Certains cas sembleraient cons
bsolument légitime et conforme à la SOCIÉTÉS SAVANTES. 291 vérité
clinique
. Parmi les mélancolies il est des formes anxieuse
es anxieuses, communes, curables, et d'aulres présentant le tableau
clinique
de Cotard, raves, incurables en général, se ter
onnés sur son histoire pathologique. Or la plupart des observations
cliniques
, pour être complète», utiles, comportent la rel
t dans le public des journaux des observations, des faits de leçons
cliniques
destinées au seul public médical. M. Ronux. - 1
à Bicêtre la ferme de Sainte-Anne ou s'élève aujourd'hui l'Asile
Clinique
. Des malades y habitaient; d'autres y étaient env
des imbéciles. Sauf les séniles, dont il faudrait faire le portrait
clinique
et qui ne devraient pas être admis un instant d
r par l'une quelconque de ses expressions motrices. Les deux formes
cliniques
que je viens de décrire ont été jusqu'à présent
ion sur une question qui ne ressortit pas de la pathologie et de la
clinique
mentale, a pour but d'encouiager les médecins d
ltats immédiats pour servir de guide dans les autres cas. Dans la
clinique
des médecins et chirurgiens de Saint-Louis, d'avr
r le Dr Joseph RANSOHOFF, professeur d'anatomie et de chi- rurgie
clinique
à l'académie médicale d'Ohio. (The Médical News
brochure est une apologie justifiée de Laënnec comme professeur de
clinique
. L'auteur y publie deux lettres du savant médec
e son diagnostic, de sa valeur séméiologique tant au point de vue
clinique
pur, qu'au point de vue médico-légal. Certes un
xclut pas la recherche, est exposée cette im- portante myélopathie;
clinique
et anatomie-pathologique ont également bénéfici
e collaborateur et ami, M. Gilles DE la Tour- nETTE, ancien chef de
clinique
de M. le professeur Charcot, vient d'être nommé
d'être nommé officier d'Académie. Faculté DE médecine DE PARIS, -
Clinique
de pathologie mentale et des maladies de l'encé
e l'encéphale. M. Gilbert Ballet, agrégé, a été chargé du cours, de
clinique
de pathologie mentale et des mala- dies de l'en
.-B. CHARCOT. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BOURNEVILLE. - Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
x : 6 fr.; pour nos abonnés, prix : 4 fr. BounNEViLLE. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'hystérie et l'idiotie.
rès médical. Pour les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.).
Clinique
des maladies du système nerveux de la Salpêtriè
90 et 1890-91, publiés sous la direction de Georges GUINON, chef de
clinique
, avec la collaboration de MM. Gilles DE la TOUR
permis d'insister sur un syndrome fort intéressant au point de vue
clinique
, l'obsession et l'impulsion n'ayant pour objet
L ENTRE L'HYS- TÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU; Notes
cliniques
recueillies par le D' F. GHILARDUCCI, , de Fivi
e ces deux groupes les symptômes similaires ont une physio- nomie
clinique
spéciale; ils ont même un développement, une év
plus grande partie des cas d'établir le diagnostic. 4 Travail de la
clinique
de M. le professeur CHARCOT. 388 pathologie ner
souvenir de la généreuse hospitalité qu'il nous a accordée dans sa
clinique
ne finira qu'avec notre vie.-Je saisis avec emp
pressement cette occasion pour remercier vivement M. Dutil, chef de
clinique
, dont l'expérience consommée m'a été très utile
ssante; on y trouve à une certaine période de son évolution un type
clinique
parfait d'épilepsie sensilive : engour- disseme
s'associer à toutes les ma- ladies organiques. C'est là un point de
clinique
bien illustré par mon éminent maître et sur leq
voluent alors chacune pour son compte en gardant leur individualité
clinique
. C'était bien de cette façon que l'on avait int
à cause de l'Exposition, 1 Pitres. Etudes sur quelques équivalents
cliniques
de l'épilepsie partielle. (Revue de Médecine, p
ns sa première ' L'amnésie hystérique est à présent l'objet dans la
clinique
de M. Charcot d'une étude très approfondie. Par
cissement a persisté pendant tout le temps passé par Cha... dans la
clinique
(douze jours), et pen- dant cette période le ma
is que ses effets immédiats ont eu de l'influence sur les modalités
cliniques
ultérieures de la névrose. Même sous ce rapport
ica-allolise in Riforma medica, 1891, n° 177. * Charcot. - Leçons
cliniques
sur les maladies du système nerveux, recueillie
ltérations localisées dans tel ou tel centre nerveux. (A suivre.)
CLINIQUE
NERVEUSE. L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE ? 1 contrib
être ' goy. Arch. de Nei41,ol., n° 72, sept. 1892, p. 203. 424 4
CLINIQUE
NERVEUSE. réfléchie sous forme d'incitation vas
nce appréciable entre le fond de l'oeil des deux côtés. " . 426 .
CLINIQUE
NERVEUSE. moteur dans le cerveau, par excitatio
t rentrer, il nous semble, dans l'ordre des hallucinations. 428 .
CLINIQUE
NERVEUSE. En effet, rien ne s'oppose à cette ma
st-à-dire liée à la perte de la mémoire (graphique) des mots. 430 .
CLINIQUE
NERVEUSE. mots (pied de la circonvolution de Br
énitale), très bien représentée par le schéma de Charcot. , 432 -
CLINIQUE
NERVEUSE. mique donné à la presque unanimité, p
mp visuel qu'une véritable hémiopie ! Archives, t. XXIV. ' 28 434
CLINIQUE
NERVEUSE. simplement prédisposés au trouble du
e scintillant) confirme qu'il s'agit de spasme vaso-moteur. 436 .
CLINIQUE
NERVEUSE. Nous savons, en effet, que le spasme
es dans les maladies de l'encéphale. Paris, 1880, p. 357-358. 438
CLINIQUE
NERVEUSE. Et tout cela, même sans migraine et a
otale ou partielle, est en accord avec quelques autres observations
cliniques
mises de côté comme non expliquées par Charcot
l'oeil. ' 'Observations de Hosch, Wernicke, Forster, etc.. 440 .
CLINIQUE
NERVEUSE. puisque les cas de migraine vulgaire
t plus ou moins intenses et étendues dans la moitié du crâne. 442
CLINIQUE
NERVEUSE. L'accès de migraine est souvent suivi
lésions organiques) plusieurs particularités qui établissent 444
CLINIQUE
NERVEUSE. entre elle et les faits expérimentaux
ade le repos en décubitus horizontal avec occlusion des yeux. 446
CLINIQUE
NERVEUSE. Souvent le bromure de potassium ou de
t chir., 1878.) L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 447 î 18. Baron. - Etude
clinique
sur les troubles de la vue chez les hystériques
et du cerveau. (Rec. d'opht., novembre 1889 et janvier 1890.) 448
CLINIQUE
NERVEUSE. 43. Babinski. De la migraine ophtalmi
international de Berlin, 1891.) 48. Gilles de la Tourelle. - Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie. (Vol. 1, Hystér
ladies nerveuses (sémiologie et nosdiagtic). Paris, 1892, p. 131.
CLINIQUE
DES maladies DU système NERVEUX. - M. CHARCOT.
e femme, dont je vous parlais dernière- Archives, t. XXIV. 29 450
CLINIQUE
NERVEUSE. ment, a vu, une fois dans sa vie, un
ilosophique, 1888, I, 224.) , ! Automatisme psychologique, 203. 452
CLINIQUE
NERVEUSE. vous montrer quelques exemples sont f
phénomènes dans l'Automatisme psychologique, 1889, p. 200. 454 .
CLINIQUE
NERVEUSE. rement, chez une personne normale, ce
cet acte, disons-nous, et je pense que cette action est en rap- 456
CLINIQUE
NERVEUSE. port avec mon caractère, mes sentimen
suggestion. Je répète cela, car c'est capital, nous avons tous mis
CLINIQUE
NERVEUSE. des habitudes, des souvenirs, des ass
e plus de la faiblesse de l'attention chez les hystériques. ' 460
CLINIQUE
NERVEUSE. lisent, elles n'ont jamais l'esprit à
dées fixes. (Revue philosophique, 1891, t. I, p. 258 et 384.) 462
CLINIQUE
NERVEUSE. prétation des symptômes, mais sur le
irconstances dernières l'ont faite. Ces deux catégories d'actes 464
CLINIQUE
NERVEUSE. existent toujours en nous, et notre s
uite d'une suggestion. Une expérience Archives, t. XXIV. 30 466 '
CLINIQUE
NERVEUSE. curieuse, faite autrefois sur la mala
mp de conscience. Voir Automatisme psychologique, 1880, p. 185. 468
CLINIQUE
NERVEUSE. haut point, Un peu grâce àmoije le di
avec toutes sortes d'autres faits, en l'analysant comme un symptôme
clinique
, nous croyons être fidèle à la méthode qui a fa
s cas que l'expert sera heureux de pouvoir abriter ses incertitudes
cliniques
derrière une conclusion mitigée d'irresponsabil
es intellectuels qui n'est point conforme aux enseignements de la
clinique
. Le premier ne peut rien prouver ou plutôt milite
tif gagnait l'axe du nerf. Cette localisation rapprochée de l'étude
clinique
permet de conclure à une amblyopie nicotinique
aiguë prend, après une durée de dix mois, un aspect scléreux. La
clinique
vient à l'appui de cette opinion. La myélite chro
ré un schéma artificiel des maladies de la moelle, on a sacrifié la
clinique
à l'analyse anatomique des états cadavériques e
EBOVE. Rueff, éditeur. - Prix : 3 fr. 50. BOURNEVILLE. - Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
x : 4 fr. Aux bureaux du Progrès médical. BoURNEvILLE. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'hystérie et l'idiotie.
s médical. Pour les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). -
Clinique
des maladies du système nerveux de la Salpêtriè
0 et 1890-91, publiés sous la direction de Georges Guignon, chef de
clinique
, avec la collaboration de MM. GILLES DE la TOUR
mentales, par J. Shaw, 137 ; Leçons du mardi, par Charcot, 138; -
Clinique
des maladies du système nerveux, par Charcot,
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTEME NERVEUX Imp. Vve Lourdo
es, Paris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA /O \ SALPÊTRIÈRE \
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX FONDÉE PAR LE
LES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE DE MÉDECIN DES HÔPITAUX LA
CLINIQUE
ANCIEN CHEF DE CLINIQUE ALBERT LONDE DIRECTEU
F DU LABORATOIRE DE MÉDECIN DES HÔPITAUX LA CLINIQUE ANCIEN CHEF DE
CLINIQUE
ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHI
Professeur Fournier). Parmi les nombreux malades qui fréquentent la
Clinique
des maladies cutanées et syphilitiques de l'hôp
dont l'anatomie pathologique est presque tout à faire, mais dont la
clinique
peut être nettement établie ainsi qu'il suit. Déb
revêtent le plus sou- vent la forme de paraplégies ont des allures
cliniques
beaucoup plus va- riées que la forme commune de
ourd'hui nous sommes bien fixés sur leurs allures et leur évolution
clinique
. Mais nous n'en saurions dire autant en ce qui
tomie pathologique. GILLES de la TOURETTE. HUDELO, Ancien chef de
clinique
des maladies Chef de clinique des maladies du s
e la TOURETTE. HUDELO, Ancien chef de clinique des maladies Chef de
clinique
des maladies du système nerveux. cutanées et sy
e leçon publiée en mars 1885, M. le professeur Charcot, par l'étude
clinique
de plusieurs cas rassemblés dans son service^ mon
eorges Guinon. Contribution à l'élude de quelques-unes des for- mes
cliniques
de la myopathie progressive primitive ; paralysie
capulo-humérale de Landouzy-Déjérine, identité résultant de l'étude
clinique
, de l'évolution, de l'hérédité, de la familiali
ges Guinon, mémoire cité, page 836), mais seulement au point de vue
clinique
. Or aucun cas de ce genre n'avait encore été décr
'oppose, il me semble, à ce que l'on (1) Voir à ce sujet : Charcot,
Clinique
des maladies du système nerveux ; leçons du pro-
atation est précisément faite d'une façon Certaine, au point de vue
clinique
, dans le cas de M. Brissaud et dans lé 20 NOUVE
tre observation II, penser à une lésion cérébrale affectant le type
clinique
de l'hémiplégie spasmodique infantile et comment
il y a dissociation et isolement des divers phénomènes du syndrome
clinique
habituel. « Il peut arriver, dit M. Charcot (1) t
us venons de rapporter, nous sommes loin évi- demment d'un syndrome
clinique
qu'on puisse rapprocher de l'hémiplégie spasmod
t à constater pour comprendre parfaite- ment les diverses modalités
cliniques
de l'aphasie, c'est l'indépendance re- lative,
sceptibilité. M. G. Ballet a donné le premier une bonne description
clinique
du bégaiement hystérique (2) ; ses observations s
longtemps que l'expérimentation physiologique, s'ai- dant des faits
cliniques
et de l'embryologie, a permis de suivre le trajet
ésion possible de l'écorce cérébrale. Ce qui n'est pas très rare en
clinique
, c'est de voir certains sujets et en particulie
FÛ55ÉDÉ NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Hôpital Necker.
Clinique
chirurgicale (t) ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NER
insuffisante pour entraîner le mouvement. Pour terminer cet examen
clinique
, nous nous assurons que le malade n'offre aucun
ctions in- complètes des nerfs est bien démontrée par l'observation
clinique
et par l'expérimentation sur les animaux, et si
bsolue et complète dans la maladie de Morvan. Mais les observations
cliniques
ont montré depuis que la dissociation pouvait a
s au point de vue médical, trouveront ces faits développés dans une
clinique
de M. Char- cot publiée dans la Gazette hebdoma
d'un nerf dans un moignon d'amputé. A. LE DENTU, Professeur de
clinique
chirurgicale. Clinique médicale de l'Université
non d'amputé. A. LE DENTU, Professeur de clinique chirurgicale.
Clinique
médicale de l'Université de Genève. TROIS CAS D
t. 1, 1888, Pl. X. Dr L. REVILTIOD, Dr H. AUDEOUD, Professeur de
Clinique
médicale à l'Université de Genève. leur assistant
Genève. leur assistant. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE ÉTUDE
CLINIQUE
ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire
ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la
Clinique
des Maladies du Système nerveux (t) En présen
Ladreit de La Carrière 2), Zambaco (3) ont traité surtout la partie
clinique
de la question. Depuis cette époque, la connais
rt el Lion, Archives gén. de médecine, 1889. (8) Lancereaux, Leçons
cliniques
, 1892. 88 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
rtent la très grande majorité des cas de syphilis médullaire que la
clinique
met journellement sous nos yeux. Les tumeurs go
alisations dans les altérations médullaires et dans les symptô- mes
cliniques
qui les traduisent. C'est donc à un même proces
i n'ont pas été conservées. (A suivre.) H. Lanlr, Interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux. DE L'HYSTÉRIE
centres corticaux), il est indispensable de marquer la sépara- tion
clinique
entre les paralysies périphériques et les paralys
104 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Deux ordres de faits
cliniques
peuvent être utilisés pour cela. La para- lysie
s crâniennes. Nous avons insisté de préférence sur leurs caractères
cliniques
qui sont, même au point de vue de la localisati
X (inédite). , Communiquée par M. le D K.1LT, médecin-adjoint il la
Clinique
ophtalmologique des Quinze- Vingts. Ptosis ps
qui en sont la conséquence offrent, nous l'a- vons dit, un tableau
clinique
très différent. Les unes en effet, celles qui r
on moins sérieuses, et certes, plus importantes, dans le diagnostic
clinique
de cette affection ? L'erreur est surtout facil
accrocher aux barreaux du lit; mais sur l'ordre sé- vère du chef de
clinique
, elle se décide à marcher et avance en effet fort
te à l'origine vascu- laire des autres lésions de l'encéphale. La
clinique
vient confirmer cette division dans la majorité d
tres types par son origine, sa nature et certains de ses caractères
cliniques
. C'est à ce type que M. Marie croit devoir rattac
res et abdominaux sont nor- maux. Examen électrique pratiqué à la
clinique
de M. le Professeur Bergonié par M. Regnier.
ine (1); dès lors, convaincus que les seules ressources de l'examen
clinique
étaient insuffisantes à éclaircir ce cas, nous
la syringomyélie au point de donner le change, môme après un examen
clinique
des plus complets. Il en a été publié un certai
Pitres. Leçons sur les anesthésies hystérique, Bordeaux 1887. Leçons
cliniques
sur l'hystérie et l'hypnotisme 1891. Charcot. L
tres, J. SABRAZÈS, Doyen de la Faculté .. Cher du laboratoire de la
Clinique
. de médecine de Bordeaux. NOTE SUR UN CAS D'I
l'ayons recherchée attentivement (2). - P. Londe Interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux. (1) Bacakakis,
. 221, traduct. Dutil). DE LA MËMNGO-MYËLITE SYPHILITIQUE ÉTUDE
CLINIQUE
ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire
ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la
Clinique
des Maladies du Système nerveux (Suite) (I).
erons que cette forme anatomique correspond le plus souvent au type
clinique
de la myélite transverse dorsale, c'est-à-dire qu
tés très nombreuses dans l'intensité des symp- tômes et l'évolution
clinique
. Le sujet étant ainsi nettement délimité nous s
I nous paraissent de nature à donner une (1) LANCEREAUX, Leçons de
clinique
médicale (Paris, 1892). DE LA MÉNINGO-MYÉLITB S
es nerveux de leur malade. (A suivre.) II. Lancr, Interne de la
clinique
des maladies du système nerveux. Le gérant : Lo
les symptômes principaux de cette maladie et peut servir de modèle
clinique
. On lui donne la dénomination de démence apathi
affectent l'écorce cérébrale. Cette conclusion fondée sur les faits
cliniques
est bien conforme à celle que M. Schütz avait tir
On peut donc admettre que la démence apathique, dont les caractères
cliniques
sont l'affaiblissement et la privation des foncti
ès, toujours la môme figure. Chaque année, on oint se présentera la
clinique
de pauvres diables misérablement vêtus. Leur fa
constamment par le besoin de voyager, d'aller de ville en ville, de
clinique
en clinique, à la recherche d'un traitement nou
par le besoin de voyager, d'aller de ville en ville, de clinique en
clinique
, à la recherche d'un traitement nouveau, d'un rem
aître alors que le Juif-Errant de la Légende, et le Juif-Errant des
cliniques
ne sont qu'un seul et même type : un névro- pat
(A suivre) IIENRY MEME DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE ÉTUDE
CLINIQUE
ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire
ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la
Clinique
des Maladies du Système nerveux (Suite) (1).
re, cette observation diffère des deux précédentes. Au point de vue
clinique
, les accidents médullaires se montrent à une époq
t celte évolution particulière se traduit souvent très nettement en
clinique
. Les méninges rachidiennes sont intéressées ici
it être question, en l'étal actuel, de décrire chacune des for- mes
cliniques
de la syphilis médullaire en regard d'une forme a
, ainsi que nous le verrons dans la suite, il est de certains types
cliniques
, aujourd'hui bien connus, qui se reproduisent s
ngourdissements dans les membres. M. le professeur Charcot dans une
clinique
toute récente à la Salpê- trière (1), montrait
en et tout spécialement d'un des nerfs moteurs de l'oeil. (1) Cette
clinique
a été publiée depuis (Médecine moderne, 17 juin 1
brale localisée a la base principalement. Mais voici que le tableau
clinique
se transforme, et que la maladie entre dans une
e par le M. le prof. Charcot ; le malade a fait l'objet d'une leçon
clinique
il la Salpêtrière). . Syphilis certaine (plaque
ive- ment bénins, disparaître sans laisser de traces; et le tableau
clinique
se rapporter à un moment donné, à une affection
dit-elle est bien portant. Son dernier accouchement a eu lieu il la
Clinique
delà rue d'Assas d'une fa- çon absolument norma
inière ont contribué pour une large part à l'édification de ce type
clinique
de la myélite transverse. Ce n'est point là tou
s syphilitiques graves. (A suivre.) H. Lamy, Ancien interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux. SUR UNE ESQUIS
ntre tous, il attira l'attention de Rayer qui le prit comme chef de
clinique
. Rayer occupait alors la situation pré- pondéra
le savent, un malade, une série de malades, en recueille l'histoire
clinique
avec une précision incom- parable, accumule les
rmé, il l'avait fait à bon escient après des études approfondies de
clinique
et de laboratoire. Qui lui a ja- mais démontré
rose. Combien de fois, alors que j'étais son interne ou son chef de
clinique
, n'ai-je pas entendu dire au courant d'une disc
matin, jour de grande leçon (le vendredi il en faisait une autre de
clinique
extemporanée), il revoyait une dernière fois le
pièce microscopique qu'il apportait à l'appui de sa démonstra- tion
clinique
. De même, décrivant les grandes attaques hystériq
- Gilles de la TOURETTE. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE ÉTUDE
CLINIQUE
ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire
ÉTUDE CLINIQUE ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la
Clinique
des Maladies , du Système nerveux (Suite et fin
e forme de paralysies syphilitiques répond, avons-nous dit, au type
clinique
de la myélite tralmerse dorsale telle que nous la
rveuse que la localisation d'une lésion en régit les manifestations
cliniques
bien plutôt que la na- lure de celle-ci ? Tou
ues bien plutôt que la na- lure de celle-ci ? Toutefois l'analyse
clinique
ne saurait être faite de trop près ici ; et, ne
que les paraplégies syphilitiques le plus communément observées en
clinique
lui paraissaient présenter des caractères assez
dans la règle d'impuissance sexuelle. Tel esten résumé le tableau
clinique
de la paralysie spinale syphilitique d'Erb. L'a
mais il re- connaît qu'elle est souvent combinée à d'autres formes
cliniques
de la sy- philis spinale ou cérébro-spinale. En
gager des autres com- plexus plus ou moins analogues une des formes
cliniques
incontestable- ment les plus fréquentes de para
du côté opposé (syndrome de Brown-Séquard ébauché). Un tel ensemble
clinique
doit faire soupçonner et rechercher avec soin l
ocié, soit dans le passé soit dans le présent, à des particularités
cliniques
de peu d'importance en apparence, mais qui n'en
ntenterons de prouver, par une observation nouvelle, que le tableau
clinique
de la paraplégie sy- philitique de Erb peut se
la syphilis médullaire. Sans vouloir envisager ici ces divers types
cliniques
qui se relient entre eux par des transitions inse
observations de paraplégie syphilitique qui se rappor- tent au type
clinique
envisagé ici. En voici une du même genre que no
s avons pu observer le malade, nous avions sous les yeux un tableau
clinique
très analogue à celui du tabès dorsal spasmodiq
olution des différents symptômes n'est pas changé ; mais le tableau
clinique
est singu- lièrement plus accentué. Les trouble
s de la malade de Julliard (1). M. Lancereaux (), dans ses Leçons
cliniques
, a récemment appelé l'atten- tion sur ces forme
rmes (1) Julliard (loc. cil., page 50). (2) LANCEREAUX. Leçons de
clinique
médicale, Paris, 1892, p. 213. 270 NOUVELLE ICO
coup les plus importantes et les plus fréquentes des manifestations
cliniques
de la mé- ningo-myélite syphilitique. Il est ce
ns paralysie à proprement parler (1). Ces variantes dans le tableau
clinique
sont évidemment en relation avec l'étendue, la pr
), un autre à Brasch (3), deux à Eisenlohr (4). Bien que le tableau
clinique
, dans ces cas, ait rappelé à s'y méprendre celu
ment écarté. Il est hors de doute que ces particularités du tableau
clinique
tiennent à la localisation fortuite des lésions
s, dans les formes les plus com- munes, se présentent sous l'aspect
clinique
d'une myélite transverse dor- sale de moyenne g
longtemps émis des doutes sur ce point. II. LAMY, Interne de la
clinique
des maladies du système nerveux. LE JUIF-ERRANT
pré- sentait à la Salpêtrière où il a été admis dans le service de
clinique
. Il faisait vraiment peine à voir; déguenillé,
vation nous a été communiquée par notre ami M. le Dr Dutil, chef de
clinique
à la Salpêtrière que nous remercions Lien vivemen
êtant M. Charcot tous les jours dans le service, ou bien le chef de
clinique
, les internes, les externes ; heureux quand il po
uée par notre excellent ami M. le Dr Georges Guinon, ancien chef de
clinique
à la Salpêtrière. La seconde partie (1893) nous
l'occasion jusqu'ici de publier leurs résul- tats. Comme chef de
clinique
de M. Lau{enaner j'ai eu la bonne fortune d'é-
rt de thème à ma communication ayant déjà passé par tous les stades
cliniques
de son développement. En décrivant séparément F
doivent être regardés, dans l'appréciation de ce cas, comme l'effet
clinique
général d'une seule et même maladie. Le tableau
s indiquerons ceux qui ont été solidement éta- blis au point de vue
clinique
. Ces troubles comprennent des modifications de
à tout le squelette ou principalement aux côtes, enfin les entités
cliniques
et anatomo-pathologiques telles que l'otématome
n, se basant sur des considérations théoriques et sur l'observation
clinique
de trois cas d'affection simultanée de psychose e
a maladie cérébrale et la lésion des articulations. Au point de vue
clinique
, cette communication est trop incomplète et trop
ine de l'otématome chez les aliénés; et cependant, les observations
cliniques
et anatol1lo-patho]ogi- ques récentes démontren
r cette affection à une lésion de la moelle épinière, les symptômes
cliniques
propres à ce genre de lésions faisant défaut. C
nature sont-elles ? c'est ce que l'avenir nous apprendra. L'examen
clinique
des cas analogues et l'étude attentive du tableau
enfaits de sa première cure. Elle repartira alors vers de nouvelles
cliniques
, et recommencera à vagabonder d'un médecin à l'
ssié, Les aliénés voyageurs, 0. Doin, 1887. (2) E. Duponchel, Elude
clinique
et méd. légale. - Des impulsions morbides Il la
s pour cela les honnir. Et il faut avoir pour les Juifs-Errants des
cliniques
, un peu de cette pitié des bourgeois de Bruxell
ntier de la main de Renaudot est notre premier traité de diagnostic
clinique
, débarassé des préjugés d'alors et du rationali
renciers pour les sciences dites accessoires, un Laboratoire et une
Clinique
. Mais un tel succès devait rencontrer des jalou
philanthrope du XVIIe siè- cle. GEORGES GUINON, Ancien chef de
Clinique
a la Salpêtrière. NOUVELLE Iconographie DE la S
rayeur causée par la vue d'un homme épileptique. Trousseau, dans sa
clinique
, rapporte une observation de paralysie faciale
ion et l'auteur l'a étayée sur de nombreux documents empruntés à la
clinique
. La paralysie faciale dite a frigore ne fait pa
de l'esprit : elles nous ont été suggérées par l'étude des .faits
cliniques
. Nos observations sont au nombre de 17. Ce ne s
c'est-à-dire neuf mois après le début de la paralysie. Les faits
cliniques
que nous venons de relater nous paraissent suff
est sans cesse démentie par les faits. PSYCHOPHYSIQUE RECHERCHES
CLINIQUES
SUR LA PSYCHOPHYSIQUE : ÉTUDE SUR LA PERCEPTIBI
hodes positives de l'observation médicale. ' Travail du laboratoire
clinique
de M. le professeur Charcot à la Salpê- trière.
exacte partie de la psycho- logie, n'a pas encore pris pied dans la
clinique
et, au moment où nous avons entrepris les reche
É LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE 49 née 1886, dans le laboratoire
clinique
de M. Charcot à la Salpêtrière, une série de re
e et revendiquer pour cette science le même droit de cité dans la
clinique
, que la physiologie pathologique y a conquis dé
en particulier dans les maladies du système nerveux. (A suivre.)
CLINIQUE
NERVEUSE DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE1; Par BOUR
Voy. Archives de Neurologie, vol. XIII, no 39, mai 1887, p. 321. 56
clinique
nerveuse. coordonnés ! de Romberg, etc., etc.,
ralysie agitante. 1 Tulpius. 06 ! e''M. naéd. Amsterdam, 1672. 58
CLINIQUE
NERVEUSE. Dans sa Pratiqzieden2édecine spéciale
x, 1742, p. 2. 3 Welsch. Deet7c ? <i. Iena, 1719, p. 26-27. 60
CLINIQUE
NERVEUSE. Les cas de Sauvages et de Gaubius, de
, s'étant ' Journal de Hureland, juin 1811, vol. XXXII, p. 88. 62
CLINIQUE
NERVEUSE. refroidi à l'âge de dix ans, avait ét
sorte que, le 18 février 1822, il fut obligé d'entrer à l'institut
clinique
de Berlin. Voici quel était' son état : Taill
' Lau. Hufeland's Journal, vol. L, vu, décembre, p. 61, 1823. 64
CLINIQUE
NERVEUSE. le tenait pendant quelque temps, il l
ine, 182,ï, ao année, t. VIlI, p. 385-t01.) Ancmves, t. XIV. 5 66
CLINIQUE
NERVEUSE. publiques; il resta, malgré l'usage d
; mais Roth, puis Berger ont publié l'observation com. plète. 68
CLINIQUE
NERVEUSE. ne se détournant ni à droite ni à gau
ve, en soutenant qu'il n'y avait pas lieu de considérer cette forme
clinique
comme appartenant à l'épi- lepsie. » ' Bérard
< ? ? nous aurons lieu plus tard, au chapitre de l'Anatomie 70
CLINIQUE
NERVEUSE. pathologique, de revenir sur ce cas e
uement. Depuis l'apparition de la chorée, l'épilepsie ne s'est 72 .
CLINIQUE
NERVEUSE. en rien modifiée ; la menstruation a
' Salgues. Revue nzédico-chirurgicale de Paris, 1827, p. 168. 74
CLINIQUE
NERVEUSE. mois, suspension, d'ailleurs, dont la
Hammond 2 relate deux observations dans son Traité. ' Trousseau.
Clinique
médicale de l'HGtel-Dieu. 4e édition, 1873, t.
té des maladies nerveuses; traduction française, 1876, p. 785. 76
CLINIQUE
NERVEUSE. Observation XVIII. - Accès ordinaires
. Dans un autre cas, il s'agissait d'une petite fille amenée à ma
clinique
de l'hôpital Bellevue pendant l'été de 1869. Elle
raensystems, 4, 2.) Unregelmdssige Formai der anfcïlle, p. 2 il. 78
CLINIQUE
NERVEUSE. - DE L'ÉPILEPSIE. ment un cas d'épile
f, dans sa Physiologie des muscles et des nerfs, Trousseau dans ses
Cliniques
sur l'ataxie locomotrice, émettent sur le sens
résultat ou le prodnit de la contraction musculaire; l'observation
clinique
m'a démontré que cette sensation est un phénomè
xiques rentrent- elles dans le même cadre. Mais comme les symptômes
cliniques
dé- pendent non pas du processus pathologique,
ment dans les livres classiques, quoiqu'on ait publié des histoires
cliniques
à différentes époques depuis le Dr Lettsom, il
nom du candidat récompensé et proclame lauréat M. Pichou, chef de
clinique
à Sainte-Anne. Eloge de Moreau (de Tours). La f
dissimule pas d'ailleurs que, considéré isolement, chacun des faits
cliniques
et anatomo-pathogiques sur lesquels son diagnosti
apport M. KOJEVNIKOFF aborde l'intéressante question d'enseignement
clinique
des maladies mentales. Sa communication est int
les. Sa communication est intitulée ainsi : Sur la construction des
cliniques
psychiatriques en général et de celle de Moscou
. Après avoir indiqué les conditions auxquelles doit satisfaire une
clinique
universitaire spécialement consacrée à l'enseig
l'enseignement de la patho- logie mentale, l'auteur s'arrête sur la
clinique
de Moscou qui vient d'êtreconstruite avec des r
oprié- taire, 1-1 Morozoff. Il vaut mieux, dit-il, avoir une petite
clinique
mais bien appropriée qu'un hospice ordinaire mê
mais bien appropriée qu'un hospice ordinaire même très grand. Cette
clinique
doit être en communication intime avec les autres
Cette clinique doit être en communication intime avec les autres
cliniques
aussi bien à cause des rapports qui unissent ta p
use de la facilité qu'on aurait dans ce cas de fréquenter plusieurs
cliniques
à la fois sans perdre inutilement son temps. El
s hospices du département et de la ville. Une annexe spéciale de la
clinique
doit être réser- vée pour le placement prélimin
de l'examen des aliénés. Toutes ces conditions sont remplies par la
clinique
de Moscou. A cette communication M. Kowalewsky
a fait observer que dans les facultés de province qui n'ont pas de
cliniques
psychiatriques à part, il faudrait imposer aux
nel et non criminel est l'effet d'un simple hasard. Au point de vue
clinique
aucune distinction ne saurait être établie entr
érience pratique qu'on ac- quiert seulement en travaillant dans les
cliniques
et les maisons d'aliénés, considérant, en somme
rganes des sens et les zones hystérogènes des muqueuses. Recherches
cliniques
. Volume in-8- de 182 pages. - Prix : 3 fr. - Pari
is d'insister sur certaines monoplégies partielles dont les allures
cliniques
sont assez spéciales, encore incomplètement con
ques du membre su- périeur, afin d'être bien fixé sur leurs allures
cliniques
. Les monoplégies complètes du bras et de l'avan
Traumatisme et névropathie, 1886. . Méchin. Contribution à l'étude
clinique
des monoplégies bra- chiales hystériques. Thèse
sité du choc joue en réa- lité un rôle secondaire, et que les faits
cliniques
nous montrent la monoplégie brachiale succédant
mportance. Les modifications dans la perception des couleurs, signe
clinique
moins facile- ment palpable, mais très topique
mand, ne serait-ce que pour faire voir les lacunes, au point de vue
clinique
, d'une éducation mé- dicale basée exclusivement
les autres hypo- thèses ne s'adaptent pas mieux aux particularités
cliniques
de ce cas. Ainsi, il ne peut être question d'un
iveau des exsudats inflam- matoires. Il serait facile, au nom de la
clinique
et de l'anato- 202 PATHOLOGIE NERVEUSE. mie p
que nous sommes moins prompts, en France, à tirer des conclusions
cliniques
. II. Rendu. PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES SUR
qui ne sont pas de taille à supporter « le combat pour la vie ».
CLINIQUE
NERVEUSE DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE' ; Par BOU
vol. XIII, n 39, mai 1887, p. 321, et vol. XIV, n" 40, p. 55. 236
CLINIQUE
NERVEUSE. " vingt et un ans d'une pneumonie ; -
lt;¡ue, dans la rue, t'accès n'était pas précédé de course. 238
CLINIQUE
NERVEUSE. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 239 leur
aussi des scènes de colère à éprouver de son mari, ce qui lui 240
CLINIQUE
NERVEUSE. était d'autant plus sensible qu'elle
une portion de la circonvolution qui est indurée, blanche, for- 244
CLINIQUE
NERVEUSE. mant un léger relief; même hypertroph
on tant sur le rapport moral vis-à-vis des enfants de son âge 246
CLINIQUE
NERVEUSE. que sous le rapport des dégâts matéri
re et qu'elle a pu apprendre le catéchisme. Elle a appris à 248
CLINIQUE
NERVEUSE. coudre et à tricoter, mais est incapa
Un cousin germain du côté paternel est atteint d'épilepsie.] 250
CLINIQUE
NERVEUSE. Consanguinité : le père et le mère du
gts ans, est tout à fait valide et possède encore ses facultés. 252
CLINIQUE
NERVEUSE. 4 septembre. Purgatif. G. 3 capsules
xiste une ecchymose; elle est mince, mais s'enlève facilement 256
CLINIQUE
NERVEUSE. sans entraîner de substance grise, si
un pli de passage maigre, à niveau, à la Archives, t. XIV. 17 238
CLINIQUE
NERVEUSE. circonvolution du corps calleux. Le l
quer la première scissure temporo-occipitale avec la seconde. 260
CLINIQUE
NERVEUSE. Lobe frontal. - La scissure calloso-m
sionnable, très colérique, elle l'est devenue de plus en plus 262 .
CLINIQUE
NERVEUSE. par les ennuis que lui a causé son ma
tres. On ne croit pas qu'il ait eu la rougeole; il semblerait 264
CLINIQUE
NERVEUSE. avoir eu la rubéole ? Coqueluche pend
a- riétale ascendante, 12 centimètres. Longueur de ce dernier 266
CLINIQUE
NERVEUSE. point à l'extrémité postérieure du lo
OORE. L'auteur attire l'attention de ses auditeurs dans une leçon
clinique
, sur certains troubles nerveux qu'il a observés c
t » de même qu'à la « Charité » de Berlin et dans beaucoup d'autres
cliniques
européennes. La camisole, a dit cet orateur, do
léments de médecine suggestive, hyp- notisme et suggestion. - Faits
cliniques
. - Volume in-18 de 306 pages. - Prix : 4 ir. -
Iscii-Wall, BAUMGAItTEN, hILLIET, Couriurien et BKICON. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, ? hystérie et
sssr, un ? Vol. XIV. Octobre 1887. N" 42 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE HISTOIRE DUNE HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE
USE HISTOIRE DUNE HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE (contribution A l'étude
clinique
DES caractères SOI1TIQUES fixes DES attaques DE
uées CHEZ LES hystériques); Par les Drs J. GRASSET, professeur de
Clinique
médicale, et A. BROUSSE, professeur agrégé à la
er. Parmi les points encore incomplètement élucidés de l'histoire
clinique
de l'hypnotisme, il en est un qui a un intérêt
pres- que continue depuis trois ans. Archives, t. XIV. 21 322 )
CLINIQUE
nerveuse. C'est incontestablement M. Charcot qu
mais fort abondantes, ayant une durée de quatre à cinq jours et 321
CLINIQUE
nerveuse. s'accompagnant de violentes coliques
uence morale s'exerce avec la plus grande facilité. Le même 1 Notes
cliniques
sur ? ty ! <c''o-e ! 7qM ! e. (Gaz. hebd. des
! e. (Gaz. hebd. des Se. naéd. de Montpellier, 1886, p. 122.) 326
CLINIQUE
NERVEUSE. effet est produit par l'influence de
tre le 4 juin 1884 à l'Hôtel-Dieu Saint-Eloi, dans le service de la
Clinique
médicale, dirigé alors par M. le professeur agr
alternativement en pronation et en supination ; de nouveau les 328
CLINIQUE
NERVEUSE. bras s'élèvent au-dessus de la tête,
cacher sous son traversin et de la rendre le lende- main au chef de
clinique
; elle exécute bien la première par- tie de l'or
jour, son caractère capricieux ne lui permettant que difficile- 330
CLINIQUE
NERVEUSE. ment de se plier à la discipline de l
er, M. Mosséla faisant venir de temps en temps au laboratoire de la
clinique
: on apprend ainsi qu'elle a toujours des métrorr
jeudi suivant, 4, à 3 heures et demie du soir, au laboratoire de la
clinique
. Le 4, elle arrive à l'heure fixée et à l'endro
. Pendant quelle est endormie, nous lui ordonnons de revenir à la
clinique
le 6 novembre, mais auparavant de se rendre le ma
ent de venir ; ne sachant pas l'adresse de M. Grasset, elle l'a 332
CLINIQUE
NERVEUSE. demandée, on lui a dit, rue Basse, 6,
ore endormie, la malade rappelle que lors de sa dernière venue à la
clinique
, on lui a donné rendez-vous pour le 6 novembre
arrive, à l'heure qui lui avait été désignée, au laboratoire de la
clinique
. Dès son arrivée, elle tombe endormie comme d'hab
donné de revenir le 5 décembre. Le 24, elle vient spontanément à la
clinique
pour nous consul- ter : depuis deux jours, la v
decins qui l'ont vu ont constaté les mêmes phénomènes que nous. 334
CLINIQUE
NERVEUSE. Ce n'est que le 30 mai 1885 que nous
ps, F... se décide à rentrer le 24 novembre 1886 dans le service de
Clinique
médicale de M. le.professeur Grasset'. Elle a
exécuter mais n'en ' Rédigé d'après les notes du Dr Sarda, chef de
clinique
. 336 CLINIQUE NERVEUSE. exécute aucun. Cela s
'en ' Rédigé d'après les notes du Dr Sarda, chef de clinique. 336
CLINIQUE
NERVEUSE. exécute aucun. Cela se comprend facil
Quelques jours après, nous appliquons un Archives, t. XIV. 22 338
CLINIQUE
NERVEUSE. hypnoscope semblable, mais non aimant
rière), Richer (Traité de l'ligst6,ro- épilepsie) et Pitres {Leçons
cliniques
de 1885), ne sont pas très fréquentes et leur d
toniques dans la face et les membres et des signes de congés- 340
CLINIQUE
NERVEUSE. tion cérébrale avec gêne de la respir
culiers. Il vaut mieux énoncer dans chaque cas la caractéristique
clinique
de l'attaque de sommeil. Ainsi chez F... il y a
Ainsi chez F... il y a des attaques de sommeil avec contrac- 342
CLINIQUE
NERVEUSE. tures fixes généralisées, conservatio
deux degrés. En dehors de ces deux types d'attaques, qui sont 344
CLINIQUE
NERVEUSE. de beaucoup les plus fréquentes, nous
tanée de notre malade n'est pas absolument banale dans son histoire
clinique
. Passons maintenant à l'étude de la névrose pro
lade ne rentre pas du tout dans le cadre du grand hypnotisme, 346
CLINIQUE
NERVEUSE. magistralement étudié et décrit à la
qué, telle qu'elle la présente, ne peut être assimilée ni à la z8
CLINIQUE
NERVEUSE. catalepsie, ni à la léthargie, ni au
ntal. Pour la motililé, il y a des contractures fixes qui im- 350
CLINIQUE
NERVEUSE. mobilisent le corps et qui ne rappell
es malades de Paris, F... a des stigmates moteurs, des caractères
cliniques
somatiques fixes, autres que ceux qu'on lui sug
ù la placer, comme pierre d'attente pour les faits analogues que la
clinique
pourra révéler ulté- rieurement ? Une premièr
cisme ou le nervosisme simple). Chez les premiers, le sommeil 352
CLINIQUE
NERVEUSE. provoqué peut s'accompagner de phénom
-même que nous avons publiée ci-dessus. PSYCHOPHYSIQUE RECHERCHES
CLINIQUES
SUR LA PSYCHOPIIYSIQUE ÉTUDE SUR L\ PERCEPTIBIL
Nous avons examiné jusqu'à ce jour environ deux cents malades à la
clinique
de M. Charcot à la Salpê- trière. Afin d'éviter
le quatrième, de parésie, le cinquième, d'un ensemble de symptômes
cliniques
, qui encore aujourd'hui porte le nom d'atrophie
rra et Curiosa, et ne trouve pas possible de donner une description
clinique
bien définie, de ces formes et de les diagnosti
NERVEUSE. nous avons dû renoncer à essayer de peindre le tableau
clinique
, correspondant à quelqu'une des formes ana- tom
Si d'un côté, les cadres anatomiques restaient vides de documents
cliniques
correspondants, d'un autre côté, on rencontrait
ion et par la marche de la maladie, correspondait aux symp- tômes
cliniques
de son malade. Le cas du professeur Schultze ",
us laissons de côté les altérations cérébrales et les symp- tômes
cliniques
correspondants, nous voyons en ce qui concerne
dans l'espace de deux ans et demi. Remalc (1884.) 19 décrit un fait
clinique
de gliomatose centrale, carac- térisée par la p
ns anatomiques, Schultze donna en 1885, une description de deux cas
cliniques
présentant avec un complexus symptomatique qui
ais attirer votre atten- tion. Mais d'abord toutes les observations
cliniques
citées par nous, se rapportent à un groupe peu
e peu consi- DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 375 dérable à symptômes
cliniques
nettement accusés, dont le diagnostic semblait
malgré l'état incomplet de nos connaissances actuel- les du tableau
clinique
de la maladie. D'un autre côté, parmi des cas p
et de syringomyélie; et dans cinq observations il peint le tableau
clinique
caractéristique qui nous intéresse en ce moment
ction de ce genre, et réunit ainsi un grand nombre d'observations
cliniques
. Pour notre part, ayant affaire surtout à des n
ULLAIRE. 377 trouve assez d'observations se rapportant aux formes
cliniques
d'apparences les plus variées, décrites à cause
u, retrouver encore dans la littérature médicale des observations
cliniques
, d'autres cas qui avaient été perdus, dans lesq
ons pour but, de classer (peut-être provisoirement), sous une forme
clinique
type, le plus grand nombre des cas de la maladi
hérapeutique de cette affec- tion. ' Je rapporte mes observations
cliniques
, quelques- unes en résume, d'autres succinctes,
abcès, les tumeurs, les traumatismes de l'encéphale, etc.. L'aspect
clinique
est toujours le même malgré la diversité des co
intensité jusqu'à obtenir la tétanisation. P. 13LOCQ, VIII. Etude
clinique
de la céphalée neurasthénique ; par G. LAFossE.
affections. Aussi M. Lafosse s'est-il cru en droit de créer un type
clinique
, qu'il appelle la céphalée neurasthénique. Aprè
résumé de toutes les observations de neurasthénie recueillies à la
clinique
des maladies nerveuses pendant l'année 1886. Ce
ne névrite périphérique. P. B. 420 BIBLIOGRAPHIE. X. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
mettent la désinfection immé- diate du linge sale. Dans la partie
clinique
, signalons un très remarquable travail de MM. B
rmi les autres cas intéressants suivis d'autopsie dont l'his- toire
clinique
est ici rapportée, plusieurs ont trait à des idio
démoniaques dans l'art, par Charcot et Richer, 126 ; re- cherches
cliniques
et thérapeuti- ques sur l'épilepsie, l'hystérie
on des prix à l'école' d'infir- miers et d'infirmières de l'asile
clinique
(Sainte-Anne), 412. TABLE DES AUTEURS ET DES
sio de CASTRO, Professeur de Physiologie à la Faculté Professeur de
Clinique
médicale à la de médecine de Rio de Janeiro, Fa
de et de Gougerot, du sénilisme de Ciauri et de tant d'autres types
cliniques
encore, le problème des dystrophies mono et plu
hies mono et pluriglandulaires a fourni l'occasion d'investigations
cliniques
, anthropologiques, morphologiques, bio-chimique
e dimensions insignifiantes. Etat mental enfantin. (.4 suivre.)
CLINIQUE
PSYCIIIATIiIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GENÈVE Profe
n'a pu déceler de lésions orga- niques, si bien qu'au point de vue
clinique
ces attitudes sont purement fonctionnelles. A
ettait à lui seul d'affirmer l'origine organique des manifestations
cliniques
souvent passagères. Quelle est la pathogénie de
T MALADIE DE RECKUNGHAUSEN PAR Aloysio de CASTRO, Professeur de
Clinique
médicale à la Faculté de Rio de Janeiro. Nous a
A cette époque nous avons appelé l'attention sur cette association
clinique
; et l'évolution des éludes endocrinologiques de
ull de la Soudière (3) ont discuté la question de cette association
clinique
particu- lière et en citant les observations pu
sonisme. J'ai rassemblé tous ces cas pour plusieurs raisons : 1° En
clinique
, ces cas forment une chaîne ininterrompue : entre
ttention concentrée sur la fonction musculaire même. Répétons qu'en
clinique
tous ces cas forment une série ininterrompue av
cherches. Depuis un certain temps, je me suis occupé d'études de
clinique
expé- rimentale sur la pression des carotides c
emps une psychopathie. En mai de la même année, a été amené à notre
clinique
.Voici en quel état il s'est présenté. Physiquem
du réflexe rotu- lien. Pendant les 18 jours qu'il est resté dans ma
clinique
, il n'a présenté qu'une légère mélancolie pour
importe de bien connaître. Avant de distinguer les différents types
cliniques
, il est utile de décrire l'attitude de la main
es ettrophi- ques caractéristiques. On doit distinguer deux types
cliniques
: A. Les paralysies complètes. B. Les paralys
alysies incomplètes des nerfs médian et cubital réalisent des types
cliniques
variés : les schémas que nous publions en donnero
ent un aperçu suffi- samment exact. Nous considérerons cinq types
cliniques
principaux : PREMIER TYPE. - Le type le plus fr
retiendrons seize de ces observations. Leur lien est grossièrement
clinique
et morphologique. Il limite ces petits troubles m
s comme signes des troubles moteurs d'ordre réflexe. A. Physionomie
clinique
spéciale. - A ce point de vue, nous constatons
° et 90 ; à la face pal- (1) Henri MEIGE et Mme BÉNISTY, Les signes
cliniques
des lésions de l'appareil sym- pathique et de l
me, grosse congestion locale, etc.), soit simplement par les signes
cliniques
(pouls filiforme, pression artérielle diminuée,
l'humérus) ; tous les autres signes de paralysie radiale complète,
cliniques
et électriques ; on trouva un nerf dont les deu
Marie et MineBéiiis[y dans leur article capital sur L'individualité
clinique
des nerfs périphériques (1). La règle n'est p
multanéité sont autant d'anomalies qui nous semblent rendre le fait
clinique
intéressant en lui-même. Nous ne pouvons malheu
e la macro- dactylie acquise se présente avec une tout autre allure
clinique
, avec d'autres troubles associés, ne répondant
IQUES DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES PAR G. ETIENNE, Professeur de
Clinique
médicale à la Faculté de médecine de Nancy. Dep
ations est cependant intéressant au point de vue épidémiologique et
clinique
. Elles appartiennent à deux groupes, le premier
ébuts d'une partie des observations. Voici d'abord les observations
cliniques
. Observation I. Lav... Paul, 37 ans, infirmie
de la plus extrême gravité, et posant les plus troublants problèmes
cliniques
: à 11 heures, cet homme est arrivé à l'hô- pit
ies sembleraient ainsi présenter parfois une certaine individualité
clinique
. Je n'insisterai pas ici sur le diagnostic à la
(observation D'UN cas mortel) PAR Karl PETREN Professeur à la
Clinique
médicale de l'Université de Lund (Suède). A dif
intoxication mercurielle. Il y a quelques années, j'ai observé à la
clinique
un cas, où le problème du diagnostic différentiel
suis revenu à mon observation déjà un peu ancienne avec le tableau
clinique
d'une polynévrite. Bien que la question du dia-
te mercurielle. Observation. N. F..., homme de 23 ans. Entré à la
clinique
médicale d'Upsal (où j'étais DE LA POLYNÉVRITE
4 ou 5 in- jections, la dernière deux semaines avant l'entrée à la
clinique
. Le malade raconte que depuis un mois il a des
ne semaine, il prend de l'iodure de potassium. Etat à l'entrée à la
clinique
. Il se plaint de douleurs des jambes. On ne tro
e. La température n'a pas dépassé 37°5. Le malade est sorti de la
clinique
le 8 août et depuis il est traité chez lui. Il
e mercure (3 injec- tions) ( ? ). . 18. Le malade est revenu à la
clinique
. Les douleurs des jambes ne sont pas diminuées.
de Babinski,. 5 septembre. Pas d'albumine. 6. - Dès l'entrée à la
clinique
, le sommeil a été très mauvais. Les douleurs au
ique qui pouvait expliquer le développement de cette cachexie. A la
clinique
, nous avons observé une stomatite ; cependant ce
lle n'a été que léger, et il est bientôt passé spontanément. A la
clinique
encore les symptômes d'une néphrite sont apparus,
qui est due à une intoxication mercurielle. D'ailleurs le tableau
clinique
a été dominé surtout par les symptômes du côté
e, mais je me contenterai de citer très brièvement les observations
cliniques
qui peuvent contribuer à mettre en lumière cett
tions, il y en a où on retrouve un trait corres- pondant au tableau
clinique
: Oppenheim (symptômes le plus développés aux m
lières, il faut se de- mander s'il ne peut, en ces cas d'un tableau
clinique
différent du type ordinaire, s'agir d'une autre
curielle, mais des symptômes qui correspondent très bien au tableau
clinique
d'une polynévrite (obs. 142). Si l'on veut acce
consi- dérable d'albumine dans les urines et d'ailleurs le tableau
clinique
d'une poly- névrite avec douleurs très vives da
le et de Vernesco) où les symptômes ont bien correspondu au tableau
clinique
d'une polynévrite, mais ils n'ont envahi que les
ents sur la forme de mercure qui a été employée avant l'entrée à la
clinique
. Comme les injections n'ont été faites qu'une f
vation, je m'en occuperai en quelques mots. Le malade est venu à la
clinique
à cause de douleurs fortes aux jambes. Il pouva
de syphilis, il y avait trois mois. Mes collègues, de service à la
clinique
, cette fois ont hésité pour l'explica- tion des
rielle. Comme les douleurs étaient le phénomène dominant du tableau
clinique
cette fois et comme il n'y avait pas d'autres sym
t du malade avait empiré pendant le traitement mercuriel donné à la
clinique
, mes collè- gues l'ont arrêté (déjà avant que j
- gues l'ont arrêté (déjà avant que j'eusse repris mon service à la
clinique
le 1er septembre après les vacances). Je ne p
ne autre conclusion qu'à celle-ci, que le traitement mercuriel à la
clinique
a été un facteur qui a contribué à l'issue mor-
DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 249 du malade à la
clinique
. D'un autre côté, j'espère que la revue des ob-
d ment dis., vol. 25, p. 594, 1898. Gilles DE la TOURETTE. - Formes
cliniques
et traitement des myélites syphilitiques, Paris
liner klin. Wochenschrift, 1905, p. 1019 ; 1912, p. 105. RAYMOND. -
Clinique
des maladies du système nerveux, 4* série. Paris,
te syphilitique amyotrophique n, sou- vent pure dans son expression
clinique
, simule d'autres fois la sclérose latérale amyo
il. DIPLÉGIE FACIALE PAR J. BAUMEL, et G. LARDENNOIS, Chef de
Clinique
médicale Chirurgien des hôpitaux à l'Université
hie acquise ne semblent non plus très sembla- bles ni par leur côté
clinique
ni par leur côté pathogénétique. Nous n'in- sis
e côté droit, 11 cas du côté droit pour 9 du côté gauche. SERVICE
CLINIQUE
DU PROF. AUSTREGESIGO, RIO-DE-JANEIRO SUR UN CA
ENDES, et MONTE-SERRA, Assistant surnuméraire, ancien Interne de la
Clinique
. neurologique, de la Faculté de Médecine de
thique. Ainsi conçue, cette théorie trouve son appui dans les faits
cliniques
. C'est ainsi que nous voyons non seulement le s
une réalité, chaque jour mieux confirmée par la présence des faits
cliniques
jusqu'alors mal observés. Parmi nous, la maladi
. - Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1899 et 1903. RAYMOKD.
Clinique
de maladies du système nerveux. G. BALLET. - Jo
can Journal of the medical Sciences, 1902. AUS'IREGES1LU. - Travaux
cliniques
, Rio-de-Janeiro. Lemos ToRRs. Thèse de Rio-de-J
UR QUELQUES CAS D'HÉMIMÉUE PAR Aloysio de CASTRO, Professeur de
Clinique
médicale à la Faculté de médecine de Rio-de-Janei
ssi. Revue des se. psy- chol., 1913, Il, année ; BENON (B.), Traité
clinique
et médico-légal des troubles psy- chiques et né
e spasmodique (PI. LV). R... Marie, âgée de 10 ans, est entrée à la
Clinique
Infantile le 24 janvier 1917. Elle est née à la
rontale ou région de Broca. / ' L'enfant a été transférée dans la
Clinique
de Chirurgie pour une,appendicite, Elle a été o
circulation. Elle nous avait été amenée pour la première fois à la
Clinique
Infantile, elle était alors âgée de 9 ans, c'étai
ontale. (1) \'oy, Revue neurologique, 1912, 2" semestre, p. ".19.
CLINIQUE
MÉDICALE DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE LUND Méde
UR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES, Par R ' Sven INGVAR, interne à la
clinique
médicale. - 4p La ponction lombaire de Quinck
moderne, lorsqu'il s'agit d'une étude approfondie de la pathologie
clinique
du système nerveux, a de beaucoup élargi lecham
de la ponction lombaire se généra- lise dans les méthodes d'examen'
cliniques
, que la littérature devient de plus en plus ric
ette étude est basée sur quelques cas, que nous avons observés à la
clinique
interne de M. le professeur Karl Pétren, lesquels
ennent compléter la collection. . 1'0 Observation I. Diagnostic
clinique
: Néphrite interstitielle chronique avec urémie.
bandelette optique droite. E. R..., domestique, 34 ans, entrée à la
clinique
médicale le 22 novembre 191 't. - La malade a
dresse. Pas de convulsions. Température : 37°o. - Est entrée à la
clinique
le 22 novembre à 3 heures. Femme de constitutio
impossible durant la plus grande partie du séjour de la malade à la
clinique
, par l'interven- tion des règles. L'épanchement
r être suivi du coma qui a amené la mort. Du reste, les symptômes
cliniques
ont tous trouvé leur explication. Il n'est pas
a suite. Obseuvation III. E. W..., mariée, 53 ans. - Diagnostic
clinique
: Néphrite chronique interstitielle. Hémorragie c
ne gauche avec hémorragie méningée sous-arachnoïdienue. Entrée à la
clinique
le 8 décembre 1915. La patiente semble avoir ét
IV. E. L..., employé de chemin de fer, âgé de 37 ans. Diagnostic
clinique
: Hémorragie cérébrale. Diagnostic pathologique
uent deux hémorra- gies d'âge différent, parallèle du développement
clinique
de la maladie. Les contractures généralisées de
traversant l'épendymé, inonde le système ventriculaire. Le tableau
clinique
dé contractures généralisées avec des convulsions
e la pathogénèse de la catastrophe léthale. Pendant son séjour à la
clinique
, on a cru qu'il s'agissait d'une néphrite inter
idant avec le début d'une période menstruelle. La symptomatologie
clinique
des hémorragies méningées est le mieux étudié d
aire). A ce sujet, il faut étudier à fond 338 INGVAR . le tableau
clinique
et toute l'allure de la maladie pour arriver à un
IQUE Auaénr (Jean). - Les hémorragies méningées. Revue étiologique,
clinique
et diagnos- tique. Thèse de Paris, 1912. Bauh
pupille (1) André Odoul, Les syndromes oculo-sympallcignes : types
cliniques
. Thèse 1910, fil 408, 66 p. (2) Laignel-Lavas
; ce qui est. fruste dans ces syndromes, ce n'est pas l'expression
clinique
, c'est la cause nerveuse qui ne peut être mise
ui ne peut être mise en évidence que par des recherches minutieuses
cliniques
et électriques. L'étiologie de ces cas est asse
lles-ci s'ankylosent, sedéfonment, s'élargissent, prennent l'aspect
clinique
du rhumatisme chronique. La radiographie montre e
èse des troubles obser- vés peut être mise en lumière par un examen
clinique
plus soigneux et par les nouvelles méthodes d'é
sibles. En tous cas, cette hyperesthésie constitue la constatation,
clinique
fondamentale du syndrome, celle qui empêche l'e
ons, syndrome fruste d'irritation qui n'a, d'autre part, comme base
clinique
qu'un phénomène subjectif, la douleur. 1° La dé
révélaient aucune lésion. Ces constata- tions corroborent la donnée
clinique
que fournit l'hyperslhésie des troncs nerveux à
nouspamis. sent donc avoir une existence démontrée. Au point de vue
clinique
, ils rappellent avec atténuation ce que l'on vo
nous voyons disparaître cette anomalie, la coexistence de symptômes
cliniques
impor- tants avec des réactions électriques nor
é musculaire à la percussion. Nos observa- tions ont une expression
clinique
beaucoup plus atténuée. Ce qui domine, ce sont
s'agit de phénomènes de même nature se présentant sous deux aspects
cliniques
différents. Il est par conséquent légi time de
blablement d'ailleurs tous les intermédiaires entre ces deux formes
cliniques
extrêmes, c'est ce que l'avenir nous apprendra.
ation des réactions électriques par les méthodes classiques. Aspect
clinique
du syndrome Babinski ? romeal. La participation
exe radial, il est peut-être un peu moins fort à gauche. L'examen
clinique
ne révèle aucune lésion qui soit susceptible de r
r les méthodes ordinaires ne révèle, malgré l'importance des signes
cliniques
, que des symptômes insigni- fiants. Tous les mu
et au niveau du médian détermine une sensation douloureuse, preuve
clinique
de l'atteinte nerveuse. Î . Il n'a pu être prat
oculo-cardiaque. Comme nous allons le voir dans la suite, les faits
cliniques
que nous apportons contribuent à confirmer sur
lyse bibliographique au point et nous devons nous borner à l'exposé
clinique
. Nous tenterons à l'occasion du diagnostic de d
ychiatrique où nous avons fait les constatation suivantes. Examen
clinique
. L'attitude du malade attire l'attention : au rep
ionnent régulièrement. Nous aurons épuisé le malade au point de vue
clinique
lorsque nous aurons signaléune certaine tristes
syndrome de Marie et le sien. Devant nous cantonner sur le terrain
clinique
? Nous ne signalerons que pour mémoire la lèpre
uveaux documents nous permettant de juger légitime, au point de vue
clinique
, l'isolement d'un type nouveau de névrite hyper-
plus complète de la question avec des documents histo- logiques et
cliniques
nouveaux. (1) Déjerine, Revue de médecine, 1896
ées ayant évolué sous la forme de la daclylite spécifique, syndrome
clinique
bien différent de celui que nous présentons. Ce
solument identique pour toutes les articulations, et les caractères
cliniques
généraux sont les mêmes : hydarthrose, indolence,
se distingue net- tement de la tumeur blanche de par le seul examen
clinique
: à l'hydar- throse qui évolue depuis six ans.n
rose fut pour chacune des articulations la première mani- festation
clinique
, et actuellement encore constitue le symptôme dom
te, cette polyarthropathie syphilitique tertiaire constitue un type
clinique
offrant une certaine individualité, qui méritera
et Aloysio de CASTRO, Professeur de Physiologie de la Professeur de
Clinique
médicale de la Faculté de médecine de Rio-de-Ja
ssociation on secondairement, et ainsi se créent d'autres modalités
cliniques
il côté des types de dystrophie génito-glandula
ri-glandulaires) hypophysaire V Dans ces différents schémas types
cliniques
, que certains caractères cons- tants permettent
ritable « lipoïdémie ». Des études ultérieures, expé- rimentales et
cliniques
, nous éclaireront définitivement sur ce point.
ons dans la suite en --quel sens elles se procèdent selon les types
cliniques
différents. 396 SOUZA ET DE CASTRO En rapport
avoir signalé les éléments sur lesquels s'appuie la caractérisation
clinique
générale des types différents, nous passerons mai
type infantile pour désigner d'un mot plus bref les cas où l'aspect
clinique
est d'infantilisme. Il est nécessaire d'établir
400 SOUZA ET DE CASTRO la glande génitale peut avoir dans ce type
clinique
, ainsi que nous le soutenons également dans le
crétion interne du-testicule, l'auteur cité conclut : « Les raisons
cliniques
et expérimentales que j'ai invoquées plus haut me
ande génitale, on peut admettre avec Souques trois principaux types
cliniques
: a) infantilisme prépubère; b) infantilisme pu
e nous défen- dons. Il s'agissait d'un sujet présentant le syndrome
clinique
de l'infan- tilisme thyroïdien, selon les trava
yroïdien, selon les travaux de Brissaud et IL Meige. Comme l'examen
clinique
du malade n'avait pas réussi par la palpation à v
attu. Ainsi au Congrès, réuni à Lyon en 1911, défendant l'autonomie
clinique
de l'infantilisme régressif, ces observateurs s
s que lorsqu'elle est seule intéressée, elle ne réalise pas le type
clinique
de l'infantilisme tardif, mais bien le tableau
e l'on peut constater. Somme toute, dans la constitution de ce type
clinique
, la dysorchidie, qu'elle soit primitive ou seco
ons de distinguer un infan- (1) Cordier et Rebattu, Sur l'autonomie
clinique
el la pathogénie de l'infantilisme régressif :
99, p. 93 et suiv., et M. SOURDEL, Contribution à l'étude analo- mo
clinique
des syndromes pluriglandulaires. Pav., 1912, p. 5
andes. Une telle conception est selon nous contredite par les faits
cliniques
, appuyés sur la vérification des lésions et des
malies endocrines, en attendant que les pro- grès de la'séméiologie
clinique
et Uistopathologique des glandes à sécrétion in
nom de geroderma genilo-dys- trophica, ont signalé en 1897 un type
clinique
, subordonné, comme - l'indiquait le nom proposé
nce, et qui forment une triade très caractéristique de cette espèce
clinique
: hyperdistensibilité héréditaire des doigts et
camptocor- mie ou de plicature du tronc. Il en existe deux variétés
cliniques
: l'une, pure et isolée, l'autre, associée à un
traumatique, à une rétraction des muscles psoas, etc... L'exa- men
clinique
(qui montre que, dans le décubitus horizontal, le
s certains cas de camptocormie. Nous n'avons, en effet, aucun moyen
clinique
de distinguer la simulation de l'hystérie. « S'
'évapore incontinent. Et il nous fait une leçon de pathogénie et de
clinique
, nous apprenant que les blessures du cerveau pe
ES D'UNE NOUVELLE TRYPANOSOMTASE 3 accompagnent résulte un syndrome
clinique
presque toujours de grande intensité et très bi
ar le TI ? pa1l0soma Cruzi. i CHAGAS mine l'apparition des signes
cliniques
d'une méllingo-encéphalite aiguë, rapidement mo
sus voisins. Des observations que nous possédons jusqu'ici, des cas
cliniques
de cette nature, résulte l'extrême gravité du p
de diplégie cérébrale sont, presque toujours, accompagnés de signes
cliniques
de la paralysie pseudo-bulbaire. Celle-ci se pr
olumineux, nous n'avons jamais observé^ dans les différentes formes
cliniques
de la main- (i chagas die, pas même dans cell
nt, nous sem- hie-t-il, moins d'un dixième de l'ensemble des formes
cliniques
dans les- quelles nous divisons la maladie. L
tais de cet examen anatomique. viennent confirmer les données de la
clinique
et en vérifier tous points de notre diagnostic. I
nos pièces de laboratoire, les cerveaux de deux malades dont l'état
clinique
a été très soigneusement observé. Les lésions q
combinée sénile. Les renseignements que nous possédons sur son état
clinique
ne laissent rien à désirer, car cet homme était
os- sible d'expliquer, dans une certaine mesure, les manifestations
cliniques
que nous avons observées chez notre malade. Il
ard, il nous semble que l'oedème fu- gace expliquerait ce phénomène
clinique
mieux que toute autre cause. La prochaine quest
u l'occasion d'observer, il y a quelques années, et dont l'histoire
clinique
se superpose exactement à celle de la malade dont
ibue également à faciliter la distinction entre les divers tableaux
cliniques
souvent très compliqués, à l'époque du processu
Vers la fin de 1910, après avoir été mis en obser- vation dans une
clinique
à l'étranger pendant un mois, le malade subit la
e l'appendice xyphoïde, jusqu'aux pieds inclusivement. Le tableau
clinique
(6 mois après le commencement de la maladie) pr
ité ainsi que le rôle prépondérant dans le développement du tableau
clinique
des douleurs persistantes au côté droit, à type
orythmie et ary- thmie). Dans l'ensemble des symptômes du tableau
clinique
, avant le traitement, les phénomènes principaux
oedème au haut de l'endroit comprimé. Dans l'évolution du tableau
clinique
après le traitement, en dehors de la persistanc
'ensemble des symptômes indiqués formant progressivement un tableau
clinique
en tout pareil au cours de la maladie avant l'opé
uleurs ont joué un rôle secondaire dans le développement du tableau
clinique
et dans le cours de la maladie, pourquoi elles n'
fèces. Tel est dans les termes généraux le développement du tableau
clinique
d'une maladie de la moelle, par laquelle passe
de nous (1) a récemment fixé les limites d'un nouveau groupe- ment
clinique
où l'interprétation passionnée, opposée à ['inter
udice, et, comme l'un de nous le montrera prochainement, les formes
cliniques
en sont fournies par l'association avec d'autre
infantilisme hypophysaire. Il importe auparavant d'étudier les cas
cliniques
et les résultats expé- rimentaux qui viennent c
ilisme hy- pophysaire. Nous citerons, successivement : 1° Les cas
cliniques
sans contrôle histologique; 2° Les cas clinique
ent : 1° Les cas cliniques sans contrôle histologique; 2° Les cas
cliniques
avec contrôle histologique ; 3° Les faits expér
s avec contrôle histologique ; 3° Les faits expérimentaux. I. Cas
cliniques
sans CONTRÔLE histologique. Cas de 7A</io. F
ale avec atrophie optique. 76 SOUQUES ET STEPIIEN CHAUVET II. Cas
CLINIQUES
avec contrôle IIISTOLOGIQUE. Cas de Bartels. -
étermine le syndrome infantilisme ' ? Il semble, de par les données
cliniques
et expérimentales, qu'il faille mettre en cause
l. du syst. nerv., 1892, p. 363). . (2) G. de la TOURKTTE, Etudes
cliniques
et physiologiques sur la marclie, Paris, 1885 (
de Kny (1888) ont même été présentées sous le titre : « Sur un type
clinique
voisin du paramyoclonus multiplex » Morvan est
e. Quant à présent nous devons seulement constater les faits que la
clinique
nous impose. Dans le groupe des myoclonies symp
surprendre et à reconnaître ; mais tous les médecins ont vu des cas
cliniques
où elle est bien évidente. En outre, les liqueu
ypercinésies des lies qui ont aujour- d'hui une autre signification
clinique
. D'un autre côté, le cadre symptô- malique des
z. medica lombarda, 1859. TONASSI. il Morgani, 1864. Trousseau. -
Clinique
médicale de l'Hôtel-Dieu, 1865. SpniriG. Chorée
Aa5Al.(IIVGO. - La riforma medica, 1892, p. 41t. BRISSACU. - Leçons
cliniques
, 1893. Schultze. Deutsche Zeit. f. Nervenk, 189
été anat., avril 1895. Raymond Leçon du 15 février 1895, vol. 1 des
Cliniques
des maladies du Syst. nerveux. LucAno. - Rev.
jour ; il l'a vu vieillir sans changement no- table dans le tableau
clinique
. Antécédents. - Nous tenons les renseignements
purement narratives, nous ont permis de poser certains diagnostics
cliniques
et de faire la critique d'affirmations contradi
J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). R. UNIVERSITÉ DE PARME. -
CLINIQUE
MÉDICALE dirigée par M. le prof. A. limn. ACH
rof. A. limn. ACHONDROPLASIE ET CHONDROHYPOPLAS11; , CONTRIBUTION
CLINIQUE
PAR FERRUCCIO RAVENNA Chef de clinique, pri
PLAS11; , CONTRIBUTION CLINIQUE PAR FERRUCCIO RAVENNA Chef de
clinique
, privat-docent de Pathologie interne. Ce n'est
nterne. Ce n'est pas un grand intérêt qu'offrirait une contribution
clinique
à la question de l'achondroplasie si elle se bo
nombreuses observations d'achondroplasiques accompagnées d'examens
cliniques
très minutieux. Du côté morphologique on ne pou
s formes typiques, il y en a d'autres déjà décrites dont le tableau
clinique
est beaucoup moins complet et caractéristique, ou
ervé. Voici, sans m'étendre plus longuement, l'histoire el l'examen
clinique
au complet de mon premier sujet. Observation
e légère, de laquelle on pourra aisément passer à d'autres tableaux
cliniques
, où les signes d'achondroplasie sont si peu pro
que ces sujets sonl atteints d'achondroplasie. Seulement un examen
clinique
et radioscopique très diligent et précis peut p
un examen histologique. Toutefois, faute de celui-ci, les arguments
cliniques
peuvent fournir de solides présomptions. Chez F
aine ressemblance, d'autant plus qu'il s'agit encore d'observations
cliniques
sans examen anatomique. Du reste, quoique la co
ports entre l'hypophyse et l'acromégalie soit débattue, les données
cliniques
el expérimentales s'accordent pour faire admett
a cause à l'une plutôt qu'à l'autre de ces glandes ; ni les examens
cliniques
, ni les examens histologiques n'ont pu jusqu'ic
NTRIBUTION A L'ÉLUDE DE L'ACHONDROPLASIE C.PARHON Professeur de
clinique
des maladies nerveuses et men- tales à la Fac
essante à plusieurs points de vue. D'abord au point de vue purement
clinique
on peut observer cer- taines variations, compli
ître et dont on devra- chercher la raison. Toujours au point de vue
clinique
il est intéressant d'étudier l'état psy- chique
Le but de ce travail est d'apporter quelques modestes contributions
cliniques
et anatomo-palhologiques à l'étude de l'achondrop
mentaires. ' (Le malade prétend qu'il a fait l'objet d'une leçon
clinique
du Professeur Stricker, dé.Breslau). OBSERVAT
aussi cet examen. Nous donnerons d'abord un résumé de l'observation
clinique
de ce malade. N. R., 57 ans (en 1905). Les pare
UN cas d'achondroplasie PAR a J. BAUMEL et J. MARGAROT Chefs de
clinique
à la Faculté de médecine de Montpellier. La pat
'achondroplasie est encore incertaine. Cependant, malgré son aspect
clinique
spécial qui lui donne une place à part dans le
ile d'accorder au syndrome présenté par la malade une individualité
clinique
précise, il est plus malaisé d'en déterminer l'ét
plasie, on obtient un complexus, symptomatique ayant les caractères
cliniques
de l'atéliose. Ce dernier 208 BAUMEL ET MARGARO
EC SYMPTOMES BULBAIRES PAR le P' PUBLIO CIUFFINI Assistant à la
Clinique
Royale Médicale. C'est un fait maintenant connu
à de remarquables diffi- cultés. J'ai toutefois jugé utile l'étude
clinique
du casque j'ai observé, soit pour la riche symp
e de l'encé- phale. Je commence par l'exposition de l'observation
clinique
: Observation Di M. Costantino, de 8 ans, ent
ion clinique : Observation Di M. Costantino, de 8 ans, entra à la
Clinique
le 26 mai 1912, prove- nant d'Otricoli. Le père
tête, ni de vertige. C'est dans ces conditions qu'il fut porté à la
Clinique
neuropathologique, où fut pratiqué l'examen obj
en pratiqué le 26 mai fait constater à la charge du crâne les notes
cliniques
, pas très marquées, de l'hydrocéphalie chroniqu
éjà nommés ont complètement disparu. Le 29 juin un rigoureux examen
clinique
permet de constater le retour aux conditions no
alement absents. ' Si actuellement, étant donnés la symptomalologie
clinique
, le cours, la guérison du petit malade, grâce a
d'elles ne pouvait donner suffisamment raison de la symptomatologie
clinique
. La première idée fut que nous nous trouvions e
lui, était aphone et avait un spasme de la phonation. Le tableau
clinique
ne pourrait donc être plus ressemblant à celui pr
rté- brale et du tronc basilaire, peut produire une symptomatologie
clinique
telle qu'elle ressemble sur divers points à cel
tion, au contraire, bien dif- férente par l'évolution des symptômes
cliniques
, il manquait en outre stase papillaire, céphala
aider, et ils y aidèrent de fait, d'accord avec la symptomatologie
clinique
spéciale du cas, à exclure le néoplasme pour le
iguë ascendante (forme de Lan- dry), qui a beaucoup de ressemblance
clinique
avec la polynévrite.pouvait à cause de cela s'e
a été atteint d'infection mala- rienne. Cependant, au point de vue
clinique
, on n'avait, de cette dernière, les caractérist
dernières atteintes. Cet ensemble de raisons et de considérations
cliniques
m'entraîne à ad- mettre le diagnostic exposé pl
breux. Peu d'autres considérations me sont permises au point de vue
clinique
. Les troubles de la parole et les symptômes cér
ur de physique médicale L. NOVÉ-JOSSERAND, Chef de laboratoire de
clinique
a la faculté de médecine de Lyon. Dans la cli
laboratoire de clinique a la faculté de médecine de Lyon. Dans la
clinique
du Prof. G. Roque, nous avons observé le cas suiv
ostic de névrite peut par- faitement être accepté. Considérations
cliniques
. Ce malade présente une paralysie du mou- vemen
s non plus, une paralysie d'origine cérébrale corticale. Le tableau
clinique
qu'a tracé des paralysies corticales du pouce L
e névrites multiples. Thèse de OETTINGEII, Paris, 1885. (2) Etude
clinique
des formes atténuées de la paralysie alcoolique :
trois moelles dorsales, appartenant à trois malades dont l'histoire
clinique
est cilée plus loin. Après avoir traité nos moe
amen microscopique, nous ex- poserons d'abord brièvement l'histoire
clinique
de nos trois malades. Premier cas. M. N..., jui
che à gauche. Hémi- (1) Pour la description détaillée de l'histoire
clinique
de ce cas, req. Neurolog. Cen tralblatt, 1908,
out à fait particu- lier grâce à leurs relations avec ies histoires
cliniques
. Le maximum de lésions nous le trouvons dans le
des (gliomes, gliosarcomes, tubercules) (1). Les premiers symptômes
cliniques
de la maladie se sont déclarés quatre mois avan
propres cas. Ceci est tout naturel, puisque la durée de la période
clinique
de la maladie ne peut pas nous donner l'expressio
l'éclosion d'un grand nombre de travaux. De toutes parts, des faits
cliniques
bien observés ont été apportés. On a pu indivi-
ule, basées sur l'expérimentation, les constatations histologiques,
cliniques
et anatomo-pathologiques, nous per- mettent de
inition préalable, car il n'ex- prime pas, de lui-même, le symptôme
clinique
important que présente le sujet; 2° et surtout
d'une manière uniforme, mais peuvent réaliser de véritables formes
cliniques
. En ce qui concerne nos deux cas, par exem- ple
tions sont nécessaires pour mieux pré- ciser ces diverses modalités
cliniques
. Les cas de gigantisme eunuchoïde pU ? dus à de
e testiculaire pur on passe ainsi à un syndrome pluriglandulaire.
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (Hôpital PATEI.
ioration de toutes les deux. i Raymond (6) présente, dans une leçon
clinique
, un nouveau cas, observé également par Jeanselm
(2), il s'agit d'une femme de 59 ans, qui avait été reçue, dans la
clinique
d'Erb, 4 ans auparavant, avec le diagnostic de
ir noté des modifications du corps thyroïde appréciables à l'examen
clinique
des malades. (1) L. Liciitwitz, Ueber einen Fai
is, Raymond, Grasset et Brissaud ont insisté longuement, dans leurs
cliniques
, sur les rapports étroits de la sclérodermie avec
n de notre travail, et abordons directement notre sujet par l'élude
clinique
et radiologique d'un cas de sclérodermie généra
pothèse. Divers points sont à prendre en considération dans l'étude
clinique
de notre cas : nous toucherons d'abord quelques
arait donc démontré, soit parle côté expérimental, soit par le côté
clinique
, que les altérations thyroï- diennes peuvent re
die de Recklinghausen, de même dans un cas de Profichet le syndrome
clinique
de Recklinghausen pouvait être discuté. Mais pl
e calcium, mêlé à de la substance cornée. Le résultat de cet examen
clinique
est donc très intéressant et nous montre commen
r Brissaud (1) avait attiré l'attention dans ses magistrales leçons
cliniques
. Ce cas est en outre intéressant au point de vu
bue il des morsures de chien. La malade entre dans le service de la
Clinique
médicale pour des phéno- 310 O BACALOGLU ET PAR
étation exacte et complète. BIBLIOGRAPHIE 1. Brissaud. - Leçons
cliniques
, 1899. 2. GAUCIIEII. - Etiologie du mtilign, Re
surface el en profondeur (1). Observation 1 (PI. LI) (2). Examen
clinique
. - Cécile B. Fourn., âgée de 27 ans, entre le 12
aucune trace de lésion. Observation II (PI. XLIX, L) (1). Examen
clinique
. Antoinette Ch.... âgée de 33 ans, entre salle Vu
la première fois, cinq ans après le début des accidents, le tableau
clinique
était celui de l'aphasie motrice de Broca- ; el
thénie, s'associer à d'au- tres états morbides, créant des tableaux
cliniques
complexes. Voici un exemple d'byperstbénie chez
ustement sa tante. Seule la mas- turbation s'est ajoutée au tableau
clinique
vers l'âge de 8 à 10 ans. Durant des heures ent
: il danse, saute, rit, chante, crie, se masturbe, etc. Le tableau
clinique
surajouté à l'idiotie est uniquement constitué
Boulogne) a décrit avec une remarquable préci- sion les caractères
cliniques
de cette contracture tardive. Les muscles du cô
ge, Babinski, etc., nous ont fait connaître les curieuses modalités
cliniques
. Or, nous avons remarqué que, dans un certain nom
vit très régu- lièrement trois fois par semaine pendant 7 mois à la
clinique
de M. le profes- seur Bergonié. A la suite de c
facial primitif. (1) Henry Meige, Le spasme facial, ses caractères
cliniques
distinctifs, Revue neu- rologique, 30 octobre 1
sifs port-paralytiques de la face, malgré la différence des aspects
cliniques
sous lesquels ils se montrent, se rangent par con
nvulsives faciales et les mou- vements des paupières, que l'analyse
clinique
permettait déjà d'affirmer dans la première obs
alade n'a pu être pratiqué, mais, d'après M. André-Thomas, l'aspect
clinique
était celui de l'hémispasme secondaire à une pa
à la phase dite de contracture. Cette contracture se mani- feste en
clinique
par une hypertonicité permanente qui entraîne les
PLES DU CERVEAU ET DES MÉNINGES PAR Ur.KAUZiER, Professeur de
clinique
médicale J. BAUMEL, Chef de clinique ae la
Ur.KAUZiER, Professeur de clinique médicale J. BAUMEL, Chef de
clinique
ae la Faculté ae meaecme ae Montpellier. Obse
ne antérieure. Le symptôme le plus important relevé dans l'histoire
clinique
que nous venons de rapporter est sans contredit
tic rigoureusement exact était impossible à atteindre par l'analyse
clinique
seule. Notons que, parmi les moyens thérapeutiq
avons recherché dans les publications de Bourne- ville (recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
on- forme au casque nous avons observé. Voici d'abord l'observation
clinique
(résumée) : Guerr..... Valentin, né en 1908,
us importants est l'infantilisme, dont on avait, au nom de la seule
clinique
, isolé plusieurs modalités assez tranchées, et
omplète de la question. (3) J. Grasset, Traité de physio-palhologie
clinique
, 1910, t. 1, p. 630. DIABÈTE INSIPIDE ET INFANT
métaboliques à type de diabète insipide. Certaines particu- larités
cliniques
, et notamment cette coexistence de diabète insipi
cas, par analogie avec les données positives d'autres observations
cliniques
analogues. La description de M. Burnier, celle
s citent à l'appui de leur observation personnelle six observations
cliniques
dont l'analogie, contrairement à ce qui distingue
mémoire, ainsi que dans le précédent, une bibliographie des travaux
cliniques
, anatomo-pathologi- ques et expéiimenlaux conce
e diabète juvénile et d'in- fantilisme). A côté de ces cas purement
cliniques
, ils en rangent neuf autres avec contrôle anato
t par une aciion mal dé- terminée sur le rein. Or, certains faits
cliniques
, en harmonie avec ces expériences sur le rôle d
une acromégalie typique ; mais ce sont deux cas d'ordre pure- ment
clinique
qui appellent par conséquent quelques réserves. C
nous occupe qu'en l'espèce il est plus probable, de par l'évolution
clinique
, que la tuberculose pu ? - - monaire est venue
ardif, Journ. de médecine interne, novembre 1910. (32) BAHRAHIN, La
clinique
, 21 octobre 1911. (33) SCllilLLEH, Supplément.
r il la Faculté de Médecine de Rio de Janeiro. Dans nos services de
clinique
les cas d'atrophie musculaire ne sont pas rares
trique des muscles atrophiés, fait par le Il Silva, assistant de la
clinique
, a donné une diminution de l'excitation galvaniqu
ns du système nerveux furent plus tard vérifiées. Tous les signes
cliniques
, donnés pour distinguer les amyotrophies protop
es dont elle forme la continuation. Pour finir, revenons au tableau
clinique
du cas donné el prononçons nous sur l'origine d
général, jouent à ce qui parait non le dernier rôle dans le tableau
clinique
de la démence précoce. Même le grossissement extr
yndromes ou de vraies maladies, présente toujours un gros inté- rêt
clinique
, même dans les cas où de tels syndromes et de tel
mp; Cie, Editeurs ACROMÉGALIE ET TABES 471 i sortes de phénomènes
cliniques
: des symptômes acromégaliques et des symptômes
ons que présentent leurs pieds et qui semblent répondre à des types
cliniques
bien différents (Pl. LXXII). Chez le premier ma
une réaction de dégénérescence. Assez différente par ses caractères
cliniques
nous semble être la défor- mation du pied que p
ue pratiqué par M. Bourguignon vient à l'appui de ces constatations
cliniques
: il montre à droite des traces de réaction de
après une démonstration faite le 26 janvier 1913 devant l'Association
clinique
à Rotterdam. (2) Nouvelle Iconographie de la
rganes génitaux de ce genre de malades. 482 BOCKS i TABLEAU
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (Hôpital PANTEU
ation diffuse des méninges, sans pouvoir - du moins au point de vue
clinique
- déterminer aucune espèce de localisation. -Dans
avec absence de lymphocytose. Nous passons maintenant à l'histoire
clinique
des quatre malades que nous avons eu ^occasion
pu épuiser avec ces quatre malades presque toutes les possibilités
cliniques
et pathogéniques du syndrome. En effet la major
te qu'il était complète- ment guéri après 3 mois. Au point de vue
clinique
, nous nous trouvons donc presque toujours en fa
de céphato-rachidien dans les néo- plasmes rachidiens. Le tableau
clinique
du quatrième malade n'indique nullement une com
pas uniformément attirés, de sorte que, en général, à chaque cadre
clinique
correspond une composition déterminée du liquide
ogène dans les espaces sous-arachnoïdiens, considérant les données "
cliniques
et (1) Dernièrement Nonne a communiqué à la Soc
se ». En effet, basé sur des arguments physiologiques, chimiques et
cliniques
, il conclut que le syndrome de la xantochromie et
ES MATIÈRES Achondroplasie et cllOndrohl/poplasie, contri- bulton
clinique
, par Ravenna, 157. - (Nouvelle contribution), p
l3nontEr" 397 Chondrohypoplasie (Achondroplasie et . Contributron
clinique
), pur Ravenna, 157. Coagulation massive du liqu
ide Parme). Achon- droplasie et chondrohypoplasie. Contri- bution
clinique
. 157 Rebattu J.1 et Gravier (L.) (de Lyon). Gi-
rohypoplasie (Ravenna), XXIV à XXVI. Achondroplasie, contribution
clinique
(Parhon et SCHUNDA), XXVII â XXXIII. Achondro
de l'année passée ce qu'ont été nos leçons du mardi. Essentiellement
cliniques
, elles ne changeront pas de caractère cette année
ulu 1 que ce soient justement ceux-ci surtout qui fréquentent les
cliniques
delà Salpêtrière et en face d'eux je ne sens aucu
ncé que je vais faire de ce qui me reste à dire concernant l'histoire
clinique
de cette malade. Je vous rappellerai que notre
ormation, je vous engage à consulter un mémoire de mon ancien chef de
clinique
M. le docteur Babinski, où la question est traité
dica. T. II, p. I. De ischiade nervosa. — Na-poli 1827). L'histoire
clinique
de l'afíection dont il s'agit n'a pas après Cotug
uelque fût leur siège sans reconnaître suffisamment ce que l'histoire
clinique
de chacune d'elles possède de spécial, et on peut
gitime, et nécessaire, trop oubliée parfois cependant, cle la méthode
clinique
dans toutes les questions de ce genre. Il a bien
traumatisme qui marque le début de la seconde partie de son histoire
clinique
. Donc, il y a cinq mois, en déchargeant un wago
gourdi, somnolent et vous aurez réuni un certain nombre de caractères
cliniques
qui révèlent suffisamment chez notre malade l'exi
e et l'hystérie d'origine traumatique se séparent par aucun caractère
clinique
fondamental de celles qui ont été déterminées par
ssayer maintenant de compléter par quelques interrogations l'histoire
clinique
de notre sujet. A la mère : Votre enfant a-t-el
r par exemple la fabrication du caoutchouc vulcanisé. L'hygiène et la
clinique
ont à s'occuper de ces industries en raison de ce
osés aux vapeurs qu'il dégage, une intoxication se traduisant dans la
clinique
par des caractères vraiment particuliers et qui p
messieurs, je crois devoir vous en prévenir immédiatement : l'analyse
clinique
ne nous conduira pas à trouver exactement ce que
core de rechercher avec minutie la présence d'une série de caractères
cliniques
concomitants de l'impuissance motrice, qui seuls
nous allons tout à l'heure chercher la justification dans l'histoire
clinique
de notre malade, expliquera de plus comment, par
t insensible à toutes les excitations auxquelles les assistants de la
clinique
le soumettait. Evidemment c'est le syndrome de Br
ianeslhésie croisée, déterminé avec le plus grand soin les caractères
cliniques
. Il lui a été facile ensuite de montrer que ces c
spinale) — plusieurs des données qui vont suivre sont empruntées à la
clinique
de l'homme, postérieure, sur ce point, aux études
sonno). La malade, lorsque je l'ai présentée dans cette occasion à la
clinique
, dormait déjà depuis sept jours ; elle a continué
lter les documents que je viens d'indiquer ; et j'en arrive à l'étude
clinique
régulière des phénomènes qui s'offrent en ce mome
as d'un employé de télégraphe qui a fait l'objet d'une -de mes leçons
cliniques
(T. III, 2e leçon). Chez ce malade qui.lui aussi,
eu près tous les deux jours au service électro-thérapique annexé à la
clinique
. La situation, sans doute, s'améliore peu à peu
ions qui s'y rattachent n'ont pas encore pénétré suffisamment dans la
clinique
. J'ai eu, en effet, Messieurs, plusieurs fois l'o
ement, un sujet fort singulier, fort original et qui, au point de vue
clinique
, ofïre un cas complexe assez difficile à débrouil
la paralysie alcoolique. Pour ne pas entrer à propos des caractères
cliniques
de cette espèce de paralysie, dans une descriptio
neuropathique. Tout ce que nous avançons là repose sur nombre défaits
cliniques
en ce qui concerne l'influence de l'alcool ; on p
s et nous pouvons affirmer qu'elles portent avec elles des caractères
cliniques
tellement précis qu'on ne saurait hésiter un inst
nt. Tels sont les trois grands éléments pathologiques que l'analyse
clinique
nous conduit à distinguer chez notre malade. Vo
allation dans cet hospice de la consultation externe et du service de
clinique
, notre matériel d'observations, en ce qui concern
t nuit et jour, sans cesse ni sans trêve. Voici d'ailleurs l'histoire
clinique
de la maladie telle qu'elle s'est déroulée depuis
t sur la demande de sa mère le malade est admis dans les salles de la
Clinique
. Les difficultés qui se sont produites un instant
servées. Après l'âge de 12 ou 14 ans, il se produit dans l'histoire
clinique
de la chorée une évolution fort remarquable, car
grossesse. C'est à juste titre que la chorée de la grossesse porte en
clinique
un renom fâcheux, non pas qu'il s'agisse là d'une
vulgaire qui est en jeu, aggravée par les conditions de la grossesse.(
Clinique
de la Charité p. 476). Les deux seuls cas de chor
les vésaniques. On pourrait formuler ces résultats de l'observation
clinique
en disant que ce sont, chez l'adulte, les chorées
es d'une lésion quelconque appréciable par nos moyens d'investigation
clinique
. La plupart des auteurs qui se sont occupés de la
notre pauvre malade. J'en viens maintenant à compléter son histoire
clinique
antérieure aux phénomènes actuels, par quelques d
èse nerveuse s'associent volontiers l'une avec l'autre pour créer, en
clinique
, les combinaisons les plus variées, sans qu'on pu
e le rétrécissement se montre le plus prononcé. 1. Le service de la
Clinique
, à la Salpêtrière comprend environ 160 épileptiqu
rme assez accentuée, assez typique,pour devenir l'objet d'une analyse
clinique
. M. V...lois est âgé de cinquante-six ans. Il e
voir, àpropos d'un cas qu'il m'a communiqué et que j'ai présenté à la
clinique
de l'an passé (leçons du mardi ; Policlinique 188
surtout les cas typiques, il n'en est pas tout à fait de même dans la
clinique
où ce sont principalement les cas anormaux par qu
s ou types morbides, offrent, dans la combinaison de leurs caractères
cliniques
une véritable fixité, une originalité réelle qui
e, là part qui lui revient légitimement. La voie des investigations
cliniques
était désormais toute tracée. L'examen de la se
placés en mesure d'apprécier comme il convient l'intérêt des détails
cliniques
qui vont, chemin faisant, se dérouler devant vous
ade a été admise à la Salpêtrière en mars 1888, dans le service de la
Clinique
. Il s'agit chez elle d'attaques de grande hystéri
s ne sont point confondus cependant et qu'il est permis par l'analyse
clinique
de faire la part de chacun des deux groupes. Qu
s, et ils constituent même jusqu'à un certain point un des caractères
cliniques
de la maladie. Ils peuvent se produire, vous le s
esque chaque année une fois, l'occasion de présenter B...otà la leçon
clinique
comme un exemple de paraplégie par mal de Pott su
us conseille la lecture attentive, il s'appuie, dis-je, sur des faits
cliniques
probants (1). La plupart des chirurgiens, en effe
'est là une particularité reconnue depuis longtemps par l'observation
clinique
, et qui établit un contraste avec ce qui a lieu d
ainsi que vous allez le voir, un examen plus attentif des phénomènes
cliniques
devait nous conduire à reconnaître que la part de
je vous l'ai bien souvent fait remarquer, constitue un des caractères
cliniques
les plus intéressants des paralysies hystéro-trau
toute difformité, constitue suivant les auteurs (2) un des caractères
cliniques
du mal de Pott. D'après la description donnée p
névropathiques actuelles. Il conviendra aussi de compléter le tableau
clinique
par l'exposé de quelques nouveaux traits. Je vo
sées chez un jeune maçon âgé de vingt-cinq ans que j'ai présenté â la
Clinique
il y a deux ans (1) ; ce jeune homme était devenu
s poursuivons depuis trois mois environ, ici, dans le service de - la
Clinique
, d'un traitement, nouveau pour nous, de l'ataxie
à la thérapeutique — à la hauteur de nos connaissances anatomiques et
cliniques
et c'est à juste titre, hélas I que la maladie en
nom. Je leur dois également d'avoir bien voulu nous aider mon chef de
clinique
, M. Gilles de la Tourrette et moi, de leurs conse
Je vous l'ai présenté en effet.une fois déjà, cette année même, à la
clinique
(Leçon du mardi 13 novembre 1888) ; mais alors, n
ps que j'ai appelé l'attention sur la nécessité de bien distinguer en
clinique
le vertige ab aure Isesa, à crises distinctes, de
rs et avril 1887. 2. Leçons du mardi, 1887-88, p. 378. Ces traits
cliniques
qui caractérisent le tremblement de la maladie de
il aurait appris à connaître les dégradations que peut subir le type
clinique
qu'il a découvert,et il se serait placé en mesure
aractères qui sont maintenant entre nos mains. En réalité, l'histoire
clinique
de la maladie de Basedow devait subir la même évo
u moins ou grande partie. Il s'agit d'une thèse intitulée : « Etude
Clinique
sur le goitre exophtalmique», soutenue à la Facul
ssieurs, rien qu'à entendre la rapide énumération des quelques traits
cliniques
que je viens de relever à l'instant, ceux d'entre
. La suppression isolée de chacune de ces mémoires est représentée en
clinique
par autant de formes de l'aphasie, à savoir : l'a
te de la grande attaque hystéro-épileptique, non: 1. Richer. Éludes
cliniques
sur la grande Hystérie, 2e édition, 188 , p. 245.
ux un jeune garçon âgé de 12 ans que j'ai dans le temps présenté à la
clinique
. C'est le petit hypnotisme sans doute qu'ils obte
tredisons pas ; mais d'un autre côté, n'est-il pas clair qu'une étude
clinique
approfondie, et par conséquent nullement à la por
omme partout ailleurs. J'ai reçu ces jours-ci dans le service de la
clinique
un groupe de cinq cas bien propres à justifier le
uisitions les plus récentes à la fois et les plus envahissantes de la
clinique
(1). I. Mais ce sont là des questions sur lesqu
e D' Parinaud, pour l'année 1888, par Morax, externe du service de la
clinique
). In Archives de Neurologie, 1889, p. 436. cica
e l'ancien « nervosisme» et qu'il a fait pénétrer dans le cadre de la
clinique
neuropathologique où il occupe actuellement une l
amille. l'occasion de relever plus d'une fois en étudiant les faits
cliniques
qu'il nous reste à examiner. Que dire de notre
nerveux qui ouvrirent la scène. Quelques jours plus tard, le tableau
clinique
était constaté tel que nous pouvons l'étudier auj
tation alimentaire ; et il est à remarquer, car c'est là un caractère
clinique
important que cette régurgitation se fait sans na
environ que ces vomissements ont été observés clans le service de la
clinique
(du 13 décembre au 17 janvier) on a plusieurs foi
pour en venir à ce point, de bien établir au préalable les caractères
cliniques
de cette contracture et de préciser les circonsta
e est donc hystérique? Cela certes n'est pas douteux : les caractères
cliniques
de la contracture, survenue épisodiquement parle
ernière leçon : il s'agissait, vous ne l'avez pas oublié, de la forme
clinique
complexe que je vous proposais de désigner par le
mendée toutefois, et il nous est possible d'en étudier les caractères
cliniques
qui sont fort accentués et fort significatifs.
point de vue de la psychologie pathologique qu'au point de vue de la
clinique
, sont exactement les mêmes chez l'homme hystériqu
tout à l'heure et pour le moment, j'en reviens, à l'exposé des faits
cliniques
. Donc l'accès du 15 mars 1887, le premier de to
d'être relevé, tant au point de vue psychologique qu'au point de vue
clinique
. Il se retrouve, si j'en juge d'après quelques ob
ncore, une fois de plus, vous le voyez, par l'ensemble des phénomènes
cliniques
, Il ne me reste plus, pour terminer la tâche qu
er en passant comme devant figurer sur l'ar-rière-plan dansle tableau
clinique
que j'ai voulu placer sous vos yeux toute une col
osé d'adopter pour le caractériser. 1. Paris. Doin 1887. 2. Etude
clinique
et médico-légale. Des impulsions morbides à la dé
e; après cela, nous pourrons entreprendre avec plus de profit l'étude
clinique
du cas de notre malade. I L'existence possibl
la brusque cessation des accidents constituent également un caractère
clinique
prédominant. C'est ici le lieu de relever que,
t cette période, et cette circonstance contribue, avec les caractères
cliniques
si originaux que présentent ces crises considérée
ur mettre en relief avec une admirable sagacité les grands caractères
cliniques
de ces crises. C'était en 1842, c'est-à-dire à
rme typique. Il semble que lorsqu'on est en présence de cette forme
clinique
si accentuée, si originale, on ne puisse en aucun
elle sorte que, malgré la confiance absolue que j'ai dans la sévérité
clinique
de M. Leyden, mon impression est, après la lectur
que je vous l'ai fait remarquer bien des fois, il faut s'attendre en
clinique
à voir les descriptions toujours un peu artificie
oir, ont, dès le commencement, joué un rôle important dans l'histoire
clinique
de notre sujet. Je fais allusion ici à une hype
e présentait à la Salpêtrière où il a été admis dans le service de la
clinique
. Il faisait vraiment peine à voir; déguenillé,
est un exemple de plus à citer parmi ceux qui montrent qu'une analyse
clinique
délicate a souvent le pouvoir de dégager des fait
vous trouverez exposée et discutée dans le compte rendu de mes leçons
cliniques
de cette année-là, publiées en langue italienne p
es de l'abasie ou de l'astasie ne se manifestent pas toujours dans la
clinique
sous le même aspect; à cet égard il y a à considé
variétés sans doute fort nombreuses qui pourront se présenter dans la
clinique
. Abasie . . a. Paralytique ou Parétique. As
à la Société médicale des hôpitaux par M. Rendu est, au point de vue
clinique
, particulièrement intéressante à consulter. Les p
et dont l'incoordination abasique sera en quelque sorte la traduction
clinique
. C'est ainsi que dans ce domaine où l'élément psy
te ans, que nous avons admise à la Salpétrière, dans le service de la
clinique
le 20 février dernier, c'est-à-dire il y a une vi
ègue M. le docteur Briand, pour en faire le sujet d'une démonstration
clinique
. Donc, l'étude de la paraplégie en question va
ut-être retrouverons-nous dans l'étude plus minutieuse des phénomènes
cliniques
présentés par notre malade, quelques nouveaux tra
J'ai insisté sur le rôle important que jouent ces rétractions dans la
clinique
des paralysies alcooliques, dans une leçon que le
es. Nous voilà donc déjà, par la seule considération des phénomènes
cliniques
, amenés à conclure que, suivant toute vraisemblan
e paraplégie alcoolique. Mais peut-être, en poursuivant notre analyse
clinique
, rencontrerons-nous encore de nouveaux documents
é que nous venons de relever, nous avons de quoi compléter le tableau
clinique
de la paralysie alcoolique. C'est bien d'elle qu'
sieurs, faire passer sous vos yeux, pour les soumettre à votre examen
clinique
, deux malheureuses créatures bien dignes d'excite
e est la raison pour laquelle il est venu demander son admission à la
Clinique
. Voici du reste son histoire : son père avait p
avant d'entrer dans les détails, je dois vous prévenir que l'histoire
clinique
de notre homme figure déjà dans la science deux f
effet les lésions qu'on peut rencontrer clans les cas qui portent en
clinique
cette dénomination d'atrophie musculaire progress
mes amyotrophiques se trouveront en quelque sorte surajoutés, dans la
clinique
, à ceux de la maladie spinale primitive. On com
, non pas comme espèces distinctes à mon avis, mais bien comme formes
cliniques
intéressantes à considérer séparément, le type ju
ie infantile, Thèse de Genève 1886. — Sattler. Contribution à l'étude
clinique
de quelques accidents spinaux consécutifs à la te
la leçon a été recueillie par M. Dutil, interne dans le service de la
Clinique
. Venons à son histoire personnelle. Il avait 7
chirurgien major assisté dans l'observation d'un médecin attaché à la
clinique
d'Heidelberg, et le sujet un grenadier de l'armée
remier rang les paralysies. Mais quels sont exactement les caractères
cliniques
de ces paralysies des foudroyés ou kerauno-paraly
le cas pouvait nous intéresser. Il a été admis dans le service de la
clinique
le 22 mai, c'est-à-dire seize jours après la fulg
n peut juger, au moment même où il a ressenti le choc. Ses caractères
cliniques
, en effet, nous le verrons dans un instant, conco
concordants pour qu'on puisse relever un certain nombre de caractères
cliniques
qui paraissent propres à ce genre de paralysies.
peu scrupuleux, vous le voyez, dans le choix des moyens de recherche
clinique
. Il espérait se convaincre, paraît-il, et convain
e faits qui sortent évidemment du cadre. En portant l'investigation
clinique
en dehors de la sphère des membres,nous avons rec
et vous aurez rassemblé une collection de faits dont la signification
clinique
ne saurait vous échapper. Evidemment, nos derni
it de la fulguration, ne porte pas avec elle, dans ses manifestations
cliniques
, de marques vraiment spéciales, capables de dénon
vement et de la sensibilité dans la main. Le malade est sorti de la
clinique
, guéri, quatre mois seulement après. A l'époque o
s intéressante observation est restée fort incomplète au point de vue
clinique
. Pourquoi n'avoir pas recherché l'anesthésie par
ers fort communément orduriers, et vous aurez accumulé des caractères
cliniques
tellement particuliers qu'ils paraissent devoir p
s tics; B, chorée chronique. (Communiqués par M. Dutil, interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux.) vements invol
phénomènes qui s'y rattachent ne se manifestent pas toujours dans la
clinique
sous le même aspect et, à cet égard, il y a, ajou
été ces jours-ci admis dans le service. Vous voyez comment des faits
cliniques
, qu'on croyait des plus rares, semblent tendre à
i le syndrome abasie, et de chercher à en déterminer la signification
clinique
, si possible. Pour ce faire, il nous faut exposer
dante. Mais je ne voudrais pas insister plus longuement sur ce fait
clinique
, dont l'intérêt principal est qu'il nous conduit
la marche considérés en eux-mêmes et indépendamment des autres faits
cliniques
qui s'y observent, le cas de notre homme, en ce q
mples d'une maladie organique spinale nouvellement introduite dans la
clinique
neuropathologique, où elle devra désormais occupe
é la Syringomyélie (1). Je viens de dire que l'introduction dans la
clinique
de la maladie en question était de date toute réc
bles fonctionnels ou organiques qui, lorsqu'ils se présentent dans la
clinique
, permettent d'annoncer l'existence de 1. « Syri
désormais la feront reconnaître de tous, de communiquer enfin la vie
clinique
et nosographique à tout un groupe de phénomènes q
de la Société médicale des hôpitaux (22 février 1889), les caractères
cliniques
, aujourd'hui devenus classiques, de la syringomyé
avitaire, ne viendront pas, quelque jour, figurera leur tour, dans la
clinique
. Il est même fort vraisemblable qu'il en sera ain
sous l'aspect de la paraplégie cervicale qu'elle se présente dans la
clinique
. Elle peut aussi envahir le bulbe où elle reste l
t lentement progressive ; mais, autant qu'on en peut juger d'après la
clinique
qui fait constater dans l'évolution du mal des ha
fondements hypothétiques, trouveront leur justification dans l'exposé
clinique
. II Le plus souvent, les symptômes d'atrophie
périphériques. Ces troubles trophiques sont vulgaires dans l'histoire
clinique
de la syringomyélie ; ils offrent, en particulier
ie spasmodique venir se surajouter en proportions diverses au tableau
clinique
propre à la syringomyélie et embarrasser peut-êtr
ommaire que j'ai tenu à vous présenter de l'histoire nosographique et
clinique
de la syringomyélie, il.me reste à vous dire un m
agi. Il est vrai que ces erreurs datent de l'époque où les caractères
cliniques
de celle-ci étaient à peu près complètement ignor
plus ou moins vives, constam 1. M. Gharcot a récemment montré à la
clinique
un nommé Schwei..,.ei-, autrefois traité par Duch
e crois utile de placer sous vos yeux, pour les soumettre à l'analyse
clinique
deux malades chez lesquels vous trouverez présent
n a, à juste titre,fait jouer un rôle capital dans la caractéristique
clinique
de la syringomyélie ne lui appartient cependant p
is reléguée parmi les cas rares, elle devra désormais occuper dans la
clinique
une large place ; car, incontestablement, les sta
es que nous avions constatés pendant son séjour dans le service de la
Clinique
. Il a toujours des attaques, une ou deux par sema
Il est difficile, en vérité, de ne pas reconnaître dans l'histoire
clinique
du cas de railway-spine qui précède, l'associatio
éjà existante. Celle-ci a précédé un moment celle-là. La dissociation
clinique
des deux névroses lorsqu'elles se combinent ainsi
de l'idée relativement fausse que l'on se fait en général du tabieau
clinique
de l'hystérie chez la femme. Chez le mâle, en eff
ritablement aucun qui ne soit connu déjà comme appartenant au tableau
clinique
, soit de la neurasthénie, soit de l'hystérie. L
2. Extrait d'un travail publié par M. Dutil, interne du service de la
clinique
à la Salpê-trière. dans la GazelteMédicale du sam
re 1889. 3. Leçon de M. Charcot recueillie par M. Babinski, chef de
clinique
et publiée par le Bulletin médical ; mars 1887, p
acon d'ammoniaque. Le 9 août au matin, s'adressant aux élèves de la
clinique
, M. Ballet déclare en présence du malade, de faço
Classe ouvrière (Pronostic des maladies nerveuses dans la), 261.
Clinique
(de la Méthode), 25. Combemale, 94. Commissur
LEGON S Leçon d'ouverture. Sommaire. — Création de la chaire de
clinique
des maladies du système nerveux. — Moyens d'étude
nt aujourd'hui, non sans une réelle émotion, je l'avoue, la chaire de
clinique
des maladies du système nerveux, mes premières pa
position pour nos recherches pathologiques et pour notre enseignement
clinique
. Les services que peuvent rendre les études et
t faits dans ces conditions ne sont certes pas à dédaigner. Les types
cliniques
s'offrent à l'observation représentés par de nomb
s. Ces malades ne se refusent pas, tant s'en faut, aux démonstrations
cliniques
. Ils comprennent que plus ils sont minutieusement
officiellement confié. Comme par le passé, ^s'agira surtout ici de
clinique
, ou, autrement dit, de pratique. C'est dire que n
décrite depuis longtemps par Cruveilhier, put être rapportée au type
clinique
. Néanmoins, quelques auteurs continuaient à pen
évroses, et que, là aussi, on doit chercher à compléter l'observation
clinique
en pensant anatomiquement et physiologiquement.
'hystérie. Voilà un élément que nous rencontrons à chaque pas dans la
clinique
de cette névrose et qui jette, il n'y a pas à se
ant, la juridiction suprême devra toujours appartenir à l'observation
clinique
. Par cette déclaration, je me place sous le pat
trophie musculaire rhumatismale. Thèse de 1873. — J. Paget, Leçons de
clinique
chirurgicale. Trad. Petit, 1877. — E. Valtat, D
De Vatrophie musculaire consécutive aux maladies articulaires (étude
clinique
et expérimentale), Thèse de 1877. — Darde, Des at
lus intéressant, tant au point de vue pathologique qu'au point de vue
clinique
. Le clinicien doit en effet être prévenu de cet
à adopter ces dénominations. fiestera à déterminer la signification
clinique
de cette réaction. Venons-en au traitement du m
cles de la face chez une hystérique. — Simulation. Le service de la
clinique
renferme, en ce moment, quelques cas fort intéres
aint-Pétersbourg, âgée de quinze ans, non réglée, qui fréquente notre
clinique
depuis environ six semaines. Elle est venue cherc
e l'arthrite sèche est le subslratum anato-mique de toutes ces formes
cliniques
; mais, à chacune d'elles répond une modification
ce sujet, il me reste à vous montrer que, 1. Dubrueil. — Leçons de
clinique
chirurgicale, Montpellier, 1880, p. 5. ainsi qu
on analogue à celle du rhumatisme chronique (fig. 40). Un élève de la
clinique
de la II. C'en est assez sur les contractures s
cette leçon, de vous entretenir d'un jeune garçon qui fréquente notre
clinique
, depuis quelques semaines, et qui présente une sé
anesthésie, phénomène qui occupe une place importante dans l'histoire
clinique
de l'hystérie et qui se rencontre assez communéme
emarquable, et par le soin 1. Bourneville et d'Ollier. — Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
le moyen de la démasquer. On ne saurait évidemment, dans les études
cliniques
relatives à l'hystérie, s'entourer de trop de gar
er ses nuits assis sur une chaise, et nous aurons complété un tableau
clinique
qui pourrait s'appliquer parfaitement à un cas de
eux qui président à l'érection et à l'éjaculalion. Eh bien, les faits
cliniques
établissent que, chez noire malade, ces deux cent
ettez-moi, Messieurs, de vous faire quelques remarques relatives à la
clinique
du cancer vertébral : 1° Il est rarement primit
utérus, etc. 4° Les douleurs pseudo-névralgiques sont la révélation
clinique
la plus habituelle du cancer vertébral. Mais, il
eurs, de vous rappeler en quelques mots les caractères anatomiques et
cliniques
de cette affection, tels que je les ai esquissés
des leçons qui vont suivre, d'entreprendre avec vous quelques études
cliniques
relatives à l'aphasie i. C'est vous dire que nous
s exceptionnellement favorables à l'analyse physiologique. L'exposé
clinique
de l'un de ces cas fera l'objet de la leçon d'auj
Trousseau, Kussmaul, Magnan, etc. — Etudes de 16 observations. — Cas
cliniques
. — Cas suivis d'autopsies. — Localisation. — Fréq
ateurs dans l'étude, encore peu vulgarisée parmi nous, de cette forme
clinique
. Notre cas, ajoutai-je, se distingue de la plupar
naître ». Une des observations dont Trousseau parle dans une de ses
cliniques
4 appartient à cette catégorie. «Yoici, dit ce gr
ue, p. 43', T. I, 1838. 4. Peter. — De l'aphasie a'après les leçons
cliniques
du professeur Trousseau (In. Arch. gén. deméd., 1
doit d'avoir relevé que la cécité des mots peut se présenter dans la
clinique
, pour ainsi dire, à l'état d'isolement, et qu'ell
stion plus loin, et deux autres bien détaillées, mais bornées au côté
clinique
: Tune appartient à M. Armaignac 4, l'autre à M.
es mots dans Vaphasie. jrhèse de Paris, 1881. 4. Armaignac. — Revue
clinique
du Sud-Ouest, 1882. .5. Bertholle. — Asyllabie
16, qui viennent d'être signalées, fournissent, en ce qui concerne la
clinique
de la cécité verbale quelques enseignements qui n
troisième à MM. d'Heilly et Chantemesse3. Malheureusement, l'histoire
clinique
de tous ces cas a laissé à désirer, parce que la
l'existence d'un phénomène qui joue un rôle important dans l'histoire
clinique
de notre cas ; je veux parler du phénomène de l'h
st-à-dire la région du lobule pariétal inférieur, les deux phénomènes
cliniques
devraient à peu près toujours se montrer associés
'une lésion de la bandelette; il pourrait bien être un des caractères
cliniques
de l'hémianopsie de cause cérébrale. Pour en fi
nd soin par M. le Dr Parinaud, dans le cabinet ophthalmologique de la
clinique
: Pas de lésions oculaires ni de troubles fonctio
t, dans mes dernières leçons sur Y aphasie1, me fondant sur l'analyse
clinique
d'un certain nombre de cas appropriés, je me suis
la myopathie progressive primitive. Messieurs, Les hasards de la
clinique
ont fait que nous trouvons en ce moment rassemblé
avail de MM. Marie et Guinon, intitulé : Sur quelques-unes des formes
cliniques
de la myopathie progressive primitive. (Revue de
un instant à mon enseignement d'il y a 10 ans. La dénomination toute
clinique
d'atrophie musculaire progressive comprend, disio
ette classe d'amyotrophies spinales, qu'il est généralement facile en
clinique
de rattacher aux maladies dont elles dépendent. E
itives sont plus nombreuses et plus variées dans leurs manifestations
cliniques
qu'on ne l'avait soupçonné tout d'abord. Mais c
artiste en neuro-nosographie, s'éloigne tellement, par ses caractères
cliniques
, des amyotrophies progressives spinales, que rare
L'affection dont il est atteint et qui revêt chez lui les caractères
cliniques
de la paralysie myosclérosique de Duchenne, a déb
moins, elle n'existe pas, ainsi que me l'a fait remarquer mon chef de
clinique
, M. Marie, que cette particularité avaitfrappé. C
ion de volume des muscles ne saute Kj. il. aux yeux. Le seul fait
clinique
dominant chez lui, par conséquent, c'est la dimin
cause non spinale. Nous voici donc déjà en présence de trois formes
cliniques
, à savoir : la paralysie pseudo-hypertrophique, l
fillette, en effet, fut placée dans une des salles de femmes de notre
Clinique
; les deux garçons s'en furent dans l'unique salle
ois déjà, c'est que nous possédons actuellement dans le service de la
clinique
une collection vraiment remarquable de malades, q
t, a pu rassembler 218 cas du même genre dont 9 appartiennent à notre
clinique
l. L'hystérie mâle n'est donc pas, tant s'en fa
est l'idée relativement fausse que l'on se fait en général du tableau
clinique
de cette névrose chez la femme. Chez le mâle, en
de notre leçon d'aujourd'hui. Nous allons procéder par démonstration
clinique
, en étudiant ensemble, avec quelques détails, un
itions que Rig... a été admis à la Salpêtrière, dans le service de la
clinique
, et, à son entrée, nous constatons l'état suivant
t typique, j'y relèverai encore quelques particularités que l'analyse
clinique
vous a fait reconnaître. En premier lieu, je si
e dans les cas précédents, chez trois autres malades du service de la
clinique
. DIX-NEUVIÈME LEÇON A propos de six cas d'hys
s, comme je l'ai fait l'autre jour, surtout par voie de démonstration
clinique
. Notre matériel d'hystériques mâles est loin d'êt
jà. Le nommé Mar..., âgé de 16 ans, est entré dans le service de la
clinique
, le 29 avril 1884, c'est-à-dire il y a un on. Il
y..., maçon, âgé de 22 ans, est entré à la Salpêtrière, service de la
clinique
, le 24 mars 1885. Il est né à la campagne, aux en
près régulièrement toutes les nuits. Lors de l'entrée du malade à la
clinique
de la Salpêtrière, on constate ce qui suit: anest
Elle a été, d'ailleurs, l'an passé, de la part de mon ancien chef de
clinique
, M. le Dr Ballet, actuellement médecin des hôpita
ment complet de de la monoplégie que P... entra dans le service de la
clinique
, à la Salpêlrière. Nous rétablissions alors les a
antécédents tels que je viens de vous les dire et, de plus, un examen
clinique
minutieux nous fournissait les résultats que voic
préter le cas comme un exemple d'hystérie. D'ailleurs, les caractères
cliniques
de la monoplégie, son origine traumatique elle-mê
rare ; qu'elle peut, par conséquent, se présenter, çà et là, dans la
clinique
vulgaire où seuls des préjugés d'un autre âge pou
ues 2. Messieurs, La leçon d'aujourd'hui sera consacrée à l'étude
clinique
d'un cas de monoplégie brachiale droite, survenue
r qu'elles existent 1. Leçon recueillie par M. P. Marie, chef de la
clinique
, et G. Guinon, interne du service. 2. Leçon fai
profession de cocher de fiacre et qui est entré dans le service de la
clinique
le 15 avril dernier. L'affection remonte à plus d
eurs, en dehors de ce qui concerne la monoplégie, bien d'autres faits
cliniques
très ntéressanls; mais ils ne frappent pas les ye
r minutieusement et dont nous connaissons actuellement les caractères
cliniques
? Relève-t-elle d'une lésion plus ou moins grave d
ration, sur l'étendue 1. Leçon recueillie par MM. Marie, chef de la
clinique
, et G. Guinon, interne du service. et sur le mo
i complète et aussi durable 1. Çharcot et Titres, Elude critique et
clinique
de la doctrine des localisations motrices dans Vé
est démontré après tant d'autres faits relevés par mon ancien chef de
clinique
, M. le Dr Ballet, dans sa dissertation inaugurale
ue. Mais je tiens à vous faire remarquer, qu'en somme, les caractères
cliniques
de la monoplégie de Porcz... ne diffèrent pas de
faire appel à toute une série d'épreuves et d'arguments qu'une étude
clinique
attentive et minutieuse pouvait seule fournir. C'
e, vous allez le constater bientôt, par un grand nombre de caractères
cliniques
communs qui rendent souvent le diagnostic très di
un excellent travail où sont traités leur étiologie, leurs caractères
cliniques
, ainsi que les moyens de traitement qu'il faut le
réalise en effet, objectivement, s'offrant ainsi à nos investigations
cliniques
. J'ajouterai, et c'est là un point qui nous int
dont il nous faut à présent déterminer minutieusement les caractères
cliniques
; car peut-être cette monoplégie est-elle assimil
in, la perte totale du sens musculaire. Or, Messieurs, ces caractères
cliniques
, vous le reconnaissez immédiatement, sont exactem
'intimité des phénomènes. 1. Leçon recueillie par M. Marie, chef de
clinique
, et G. Guinon, interne du service. Pour en veni
ccessives, reproduit jusque dans les moindres détails, les caractères
cliniques
que présente la monoplégie de notre malade Porcz_
dessein chez nos hystériques, sont, en ce qui concerne les caractères
cliniques
, non pas seulement comparables entre elles, mais,
s haut degré et se présente alors avec tout l'ensemble des caractères
cliniques
que vous savez. Ainsi la ressemblance entre les
attitude du malade ; forme de la fesse et du pli fessier. — Analogies
cliniques
considérables avec la vraie coxalgie organique. —
affection of Joints, 3e lecture. London, 1867. — Sir Paget, Leçons de
clinique
chirurgicale. Trad, du Dr L.-II. Petit. 3e leçon,
crois utile, en matière d'introduction, et pour rendre notre analyse
clinique
plus facile, de vous rappeler au préalable très s
s à grands cris une intervention 1. M.-A.-C. Robert, Conférences de
clinique
chirurgicale, recueillies par le Dr Doumic. Chap.
notre malade, il s'agit de la hanche. Voici les principaux caractères
cliniques
de ces arthralgies signalés par les auteurs, qui,
elevés par quelques auteurs' comme présentant une certaine importance
clinique
. En réalité, ce contraste entre les deux fesses
udrez l'appeler. Cette forme mixte existe-t-elle en réalité dans la
clinique
? Oui, très certainement, et peut-être est-elle mê
a présidé à son développement. Yoici, en quelques mots, l'histoire
clinique
de ce malade : C'est un homme de 30 ans, nommé Du
ue décrivait récemment le professeur Verneuil, dans une de ses leçons
cliniques
. Ici, à la suite d'une contusion toujours intense
travaux. Je me bornerai seulement à relever que, parmi les caractères
cliniques
qui distinguent la contracture signalée par M. Yo
lle appréciable cérébrale ou spinale, à l'aide de certains caractères
cliniques
. C'est ainsi, par exemple, que, dans les premiers
de récentes études dont les résultats ont été exposés par mon chef de
clinique
, M. le Dr Babinski, d'abord dans le Progrès médic
par le traumatisme et comparable à tous égards, quant aux caractères
cliniques
et au mécanisme, aux monoplégies hystéro- traumal
es recherches que nous avons entreprises à cet égard, à propos du cas
clinique
que nous venons d'étudier, nous ont convaincu que
27 hommes), les uns actuellement en traitement, dans le service de la
clinique
, les autres fréquentant la consultation externe.
réflexes. Par ce côté, comme, du reste, par l'ensemble des caractères
cliniques
, la contracture provoquée chez les hystériques à
es contrastes et, partant, de mettre en pleine lumière les caractères
cliniques
distinctifs des deux ordres d'affections. Somma
me hystérique et en font 1. Voir I'Appendice V, p. 483. un groupe
clinique
vraiment autonome, original, reconnais-sablé entr
grandes chances d'erreur. Si j'insiste encore une fois sur ce fait
clinique
, c'est parce que les muets hystériques, plus enco
ieu. Il fut placé là sous la direction de M. le Dr Capitan, chef de
clinique
de la Faculté qui nous a donné les renseignements
° Sa respiration 1. Observation recueillie par M. Babinski, chef de
clinique
de la Faculté. 2. Voir Leçon XXV, p. 414 et Seq
calisation puisse, chez divers sujets, se traduire par des phénomènes
cliniques
différents, suivant qu'il s'agira d'individus app
térie. Tous ces malades ont été présentés par M. Charcot à ses leçons
cliniques
. Un travail ultérieur comprendra l'exposé complet
pitaux du 12 janvier 1886). répondent aux caractères de ce syndrome
clinique
. L'histoire du fils de Crésus, rempli de perfecti
t, son indépendance ne saurait être mise en doule. Rappelant que la
clinique
était arrivée à isolerjm,alre élé-men tsjoujûteur
r base l'indépendance de ces centres vis-à-vis les uns des autres. La
clinique
d'ailleurs, ici comme toujours, fournit des argum
RE LEÇON. leçon d'ouverture. Sommaire. — Création de la chaire de
clinique
des maladies du système nerveux. — Moyens d'étude
Trousseau, Kussmaul, Magnan, etc. — Etudes de 16 observations. — Cas
cliniques
. Cas suivis d'autopsies. — Localisation. — Fréque
attitude du malade; forme de la fesse et du pli fessier. — Analogies
cliniques
considérables avec la vraie coxalgie organique. —
, 357, 392, 393, 402. Système nerveux (Organisation de la chaire de
clinique
des maladies du), i. T Tic non douloureux de
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE E LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX Imp. Vvc LouRno
tignolles, 33, Paris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIEE SOUS LA
L RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE ' ANCIEN CHEF DE
CLINIQUE
ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHI
ès bien établis et qui, autant que le permet de dire l'expé- rience
clinique
, n'a que fort peu de chance de devenir autre chos
vasculaires, l'autre doit être imputée à la méthode elle- même. La
clinique
et l'expérimentation nous enseignent que la suspe
était traitée à la TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 35
clinique
duDl' Motschoutko-\sky. Elle nous a dit av oir re
. Encyclop. des Sci. Méd. art. Névroses. (2) Loc. cit. (3) Traité
clinique
des maladies du système nerveux, (4) Bail, Mala
ns le visage; ils ont le délire sitôt qu'ils ferment les (1) Traité
clinique
des maladies du système nerveux, page 495. - ·
quement, comme hystérique, parce quela malade entra dans le service
clinique
attaquée d'une pneumonie migra- trice. La malad
gnolles, Paris. - NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE ('Cli \\'.111, DE LA CLIN
ÊTRIÈRE ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE ('Cli \\'.111, DE LA
CLINIQUE
DES MALADIES SERVEUSES, SERVICE DE M. LE l'1t01 ?
pages 561-566). (3) Ollivier. Chorée el alhélose double. (Leçons
cliniques
sur les maladies des enfants, 1889, page 165).
ella. Athetosis bilalemlis. (Centralblatt f. Xcrvenli, 1881). ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 59 malades de Massalongo
A l'Occasion DE la Parole VVE BABÉ & CIVE ÉDITEURS ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATIIÉTOSE DOUBLE. Gl le travail avec des
mouvements athétosiques des doigts deviennent plus forts. Ce- ÉTUDE
CLINIQUE
SI" ! \ I : ATn(>TOS1 : Dot 63 pendant il ne
rrégulière, involontaire, exagérée et puissante en apparence. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 65 qu'ils offraient quel
thèse de Paris, 1888-89). (2) Audry, Athélose double, 1892. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR 1,'A'IUlel'OSF DOUBLE. (j7 Un certain nombr
es bras (1) Warner, l3ritis)z /IIpd.j01ll'/lal, sept. 1883. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. dans la même direction,
re. Nous avons déjà signalé l'influence des mouvements volon- ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATUÉTOSE DOUBLE. 71 taires sur les convul
RCHE DANS L'ATHÉTOSE DOUBLE VVE BABÉ & C'E ÉDITEURS ÉTUDE
CLiNIQUE
SUR L'ATUÉTOSE DOUBLE. 73 Grand'mère maternelle
; ils se fléchissent soit dans toute leur articulation, soit ÉTUDE
CLINIQUE
SUR LATHÉTOSE DOUBLE. 75 isolément. Mémo lenteu
rtes. Les bras assez forts. M. P. Richer, chef de laboratoire de la
clinique
des maladies nerveuses, a exa- miné notre malad
t les suivantes : La taille est égale à peu de choses près. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR T.'ATII1;TOS); DOUBLE. 77 Déformations du t
n question de celui des malades atteints de chorée intense. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR 1,'ATnÉTOSE DOUBLE. 79 Oulmont nous expliqu
uence bien accessoire et bien effacée. Mais revenant sur le terrain
clinique
nous constatons que les malades sont atteints à
movements in childl'ell (Brain, V.X, an- née 1887, p. 237). ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 81 Nous verrons encore c
d with epilepsy (British, Med. Journ., London 1879, p. 81). ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATIIÉTOSE DOUBLE. 88 formation crânienne,
CHE DANS L'ATHETOSE DOUBLE V°ç BABE & Cive ÉDITEURS ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHËTOSE DOUBLE. 83 terne de la Salpêtriè
t se confondent avec les convulsions de l'enfance et qu'on ne ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 87 peut avoir recours qu
disparition graduelle. (A suivre) E. Huet, Ancien interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux. Nouvelle icono
début du l'abcs ataxique. ( Leçon recueillie par A. Dutil, chef de
clinique
). Messieurs, Je veux aujourd'hui appeler vot
sur un cas qui nous a beau- coup préoccupé, ces jours-ci . L'étude
clinique
que nous allons en faire avec vous, vous intére
réambule, quelques observations sur certains points de l'his- toire
clinique
et nosographique du tabes considéré en général.
variées repré- sentent, schématiquement, pour ainsi dire, toute la
clinique
du tabes. v 9 122 NOUVELLE iconographie de la
exes rotuliens ; 4° la parésie vésicale, qui constituent le tableau
clinique
de la période préataxique. Mais, Messieurs, il n'
dans l'es- pèce ce chapitre est très chargé. Alors les difficultés
cliniques
commencent. Or, retenez bien ceci, il n'est auc
té jusqu'au 20 janvier, jour de son admission dans le service de la
clinique
. C'est pendant son séjour à l'hôpital Tenon qu'il
Robertson tout comme chez notre homme. Il y a ainsi dans l'histoire
clinique
du faites quelques groupements de symptômes, qu
nt les lésions anatomiques qui se traduisent par les manifestations
cliniques
que nous venons d'étudier. Vous en jugerez vous-m
iologique considérable. Cette question n'intéresse pas seulement la
clinique
. Cas particulier des rapports qui unissent l'ét
ujet précédent. L'un et l'autre malade ont fait l'objet d'une leçon
clinique
de M. Char- cot dans le courant de cette année.
ÈRE. autre genre de déviations, ressemblant davantage, comme aspect
clinique
, il ce qu'on trouve dans la syringomyélie et la
de leur importance, nous donnerons un court résumé des observations
cliniques
de Pitres et Vaillard et de Kroenig. Elles prés
ons qui précèdent sont succinctes en ce qui concerne les caractères
cliniques
des lésions rachidiennes. Le mode de début est in
Les faits de Kroenig sont plus complètement étudiés au point de vue
clinique
; ils paraissent ressortir a des cas de fractures
les qui existaient à n'en pas douter dans les observations purement
cliniques
de Kroenig, rentrent dans la catégorie des trou
minance ? Un dessin de M. P. ficher, qui ligure dans le musée de la
clinique
des maladies nerveuses, et qui représente une f
un exemple. Mais c'est un mémoire de M. Babinski (1), alors chef de
clinique
il la Salpètrière, qui, en 1888, attire l'atten
oire dans les cas très prononcés. I IALLIUN, Ancien Interne de la
Clinique
îles maladies du système nerveux. CONTRIBUTION
térieurs de la cuisse. (A suivre) E. HUET, Ancien interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux. ÉTUDE CLINIQUE
ien interne de la Clinique des maladies du système nerveux. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE D
tème nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
DES MALADIES NERVEUSES, SERVICE DE M. LE PROrr CH
Il paraît d'après cela qu'il n'y a pas un rapport bien net ni ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 187 bien constant entre
se font pas avec les moelleux comme clans la chorée chroni- 1 ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 189 que ; au lieu de s'a
; sur trois de mes malades parmi lesquels, ceux dont l'observation
clinique
et anatomo-pathologique m'a été si aimablement co
de la chirurgie moderne, paraissent nous encourager à la dis- ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 191 cussion d'une interv
centrique, en un mot c'est la folie musculaire des auteurs.. 'ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 193 Aux membres inférieu
nts volontaires ; elles sont très appréciables aussi dans les ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 195 muscles de la face s
multiplo, (Riforma medica et Bull. de clin., Milans, 1886). ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 197 de diminuer ou même
Le (1) Gilles de la Tourette, Arch. Neurol., 1884 et 1885. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 199 pouce en adduction v
ription de cet auteur; le cas a été communiqué en 1890 à la Société
clinique
par notre ami Lebon, alors notre collègue dans
variétés de scoliose sciatique. Un sujet entre dans le service de la
clinique
dans le courant de l'année dernière, pour une d
e, dont nous avons communiqué récemment l'observation il la Société
clinique
(2), présentait au contraire, à un degré très lég
ntenterons de quelques remarques. On peut, de l'identité des formes
cliniques
, conclure avec beaucoup de probabilité à l'iden
vérification pos- sible des théories par la comparaison des formes
cliniques
de déviations névropathiques les unes avec les
cine générale provisoirement créé dans cet hospice et rattaché à la
Clinique
des maladies nerveuses, un exemple intéressant de
nique insuffisam- ment justifiée. HALLION, Ancien interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux. NOTE SUR QUELQ
lvani- ques de muscles normaux recueillie sur un autre malade de la
clinique
(homme hystérique). Les deux premières lignes r
é ces troubles de la contractilité musculaire sur un ma- lade de la
Clinique
de la Salpètrière, qui a été l'objet d'un cours d
agnostic de maladie de Thomsen. - E. HUET, Ancien interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux. ÉTUDE CLINIQ
ien interne de la Clinique des maladies du système nerveux. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE D
tème nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
DES MALADIES NERVEUSES. SERVICE DE M. LE PROF'' C
ois, le sujet frappe à coups répétés sur un objet imaginaire, ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 253 imitant le geste des
toujours dans le tabes dorsal spasmodique ; s'ils s'observent ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 255 par hasard quelquefo
int noire avis, el nous croyons que c'esl possible de prouver ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 257 que les mouvements i
ne et l'autre maladie, il nous semble qu'il existe, au point de vue
clinique
entre les unes et les autres, des différences a
w, 1876. (2) Revue de médecine, 1887. (3) Cité par Audry. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 259 Ce sont les mouvemen
auteurs ont notes dans les antécédents, des malades atteints ÉTUDE
CLINIQUE
sur l'athétose DOUBLE. 261 d'affections nerveus
herches. A ma demande, M. Gilles de la Tourette, mon ancien chef de
clinique
, voulut bien continuer à surveiller les expérie
es excitations électriques. GILLES DE la TOURETTE, Ancien chef de
clinique
des maladies du système nerveux. DEUX CAS D'ANO
rbide ; elle n'est plus à l'heure actuelle qu'une forme, qu'un type
clinique
de la syringomyélie. Les deux autopsies de MM.
nt inébranlables. A. SOUQUES, Ancien interne, médaille d'or de la
clinique
des maladies du système nerveux. ÉTUDE CLINIQ
daille d'or de la clinique des maladies du système nerveux. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE D
tème nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
DES MALADIES NERVEUSES. SERVICE DE M. LE PROF'' C
nelle appréciable. (1) Voyez les numéros 2, 3 et 4, 1892. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 393 Presque tous les aut
cependant la façon de voir des auteurs qui se sont préoccupés ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 295 de la question et do
la tête qui pourrait faire croire à la maladie de Friedreich. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 297 Membres supérieurs.
as d'abord et surtout le gauche se tournaient. Sommeil bon. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 290 Pas de bronchite. Pa
saisir un objet il fait la même manière que la main droite. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 301 On arrive à fixer l'
latéraux, on ne trouve trace ni sur la moelle, de sclérose. ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 303 Parole nulle, mais l
ion en dedans. Les orteils sont légèrement fléchis. Même rai- ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 305 deur et même émaciat
raphique suivant en don- nera l'indication. (N. D. L. R.) e ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATUËTOSE DOUBLE. 307 CONCLUSIONS. 1° L'
opposition le nom de mou- vements athétoïdes. 3° Au point de vue
clinique
les mouvements athétoïdes se distingueront des
v. Heine. Spinale Kinderloehmung Monographie, 1865. Henoch. Leçons
cliniques
sur les maladies des enfants. C. H. Hughes. A uni
acl. of the obsl. Soc. of London, 1863). Loevenfeld. Ein Fall ÉTUDE
CLINIQUE
SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 309 multipler Neuritis m
., 1878). Ollivier, prof. agrégé. Chorée et athétose double (Leçons
cliniques
sur les maladies des enfants, 1889). W. Osier. Th
The Journal of Nerv. and ment. Diseuse N.-Y.). - P. Oulmont. Étude
clinique
sur l'athétose (Thèse de Paris, 1878). De l'ath
and ment. Disease, N.-Y., 1891). Raymond. Étude anat., physiol. et
clinique
sur l'hémichorée (Thèse de Paris, 1876). Remak.
fixée sur la branche B. PAUL BICHER, Chef du laboratoire de la
Clinique
des maladies du système nerveux. Le gérant :
des un cas complexe d'hystérie qui simulait à s'y méprendre le type
clinique
spécial de l'hémiplégie spas- modique infantile
des autres. Ce mode de répartition des lé- sions domine le tableau
clinique
et commande les symptômes. S'agit-t-il de lésio
les plus justement appréciés restent encore l'honneur de la vieille
clinique
française et que le Traité clinique et théra- p
encore l'honneur de la vieille clinique française et que le Traité
clinique
et théra- peutique de l'hystérie de Briquet, pa
de la Tourette et qu'il a consignées avec tant d'art dans son Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie. Il ressort de s
es leçons magistra- les de M. le professeur Charcot, les Recherches
cliniques
de Bourneville et de ses divers collaborateurs
n compte et en maints endroits de ses Conférences thérapeutiques et
cliniques
, on peut le trouver enrichi d'intéressants et nou
son de dire plus haut que la question de l'hys- (1) Briquet, Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, p. 90. MALADIES
fois bien curieuses (1) ». M. le professeur Pitres, dans ses Leçons
cliniques
, consacre une courte étude à ce qu'il appelle «
en (1) Id. Bulletin médical, 30 juillet 1890. (2) Pitres. Leçons
cliniques
sur l'hystérie, 1891, t. I, p. 37. 338 NOUVELLE
on ou la nature des symptô- mes. Elles correspondent à des variétés
cliniques
mal définies, et non pas à des espèces nosologi
roses, et que, là aussi, on doit chercher à compléter l'observation
clinique
, en pensant anatomiquement et physio- logiqueme
tose hystérique. Plus (1) Achard, Thèse Paris, 1887. (2) Charcot,
Clinique
des malad. du syst. nerv. G. Guinon, 1892, t. 1,
du, 1889, loco citato. (8) Pitres, Progrès médical, 1889, et Leçons
cliniques
sur l'hystérie, 1891. (9) Charcot, Clin, des ma
LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. par M. Rochon-Duvignaud, chef de
clinique
de M. Panas, qui nous a remis la note suivante
suivants : 1° Par quels signes notre malade se rapproche du type
clinique
de l'hé- miplégie spasmodique infantile, avec l
syndrome hystérique. Les signes qui plaidaient en faveur du type
clinique
de l'hémiplégie spas- modique.infantile, tel qu
cette erreur, et par quels signes notre malade s'éloignait du type
clinique
de l'hémiplégie spasmodique infantile. Les si
* A. ORREGO Luco, Directeur de l'Ecole de médecine et professeur de
Clinique
des maladies du système nerveux : l Santiago (C
gré efficace dans l'hyperémie des poumons ; j'en donnerai l'épreuve
clinique
plus loin. Dans son trajet à travers la cavité
rate, de la matrice, etc. .. Nous passons maintenant aux preuves
cliniques
qui justifient les lignes précédentes et aux in
s que contiennent mes publications russes. J'ai commencé mes études
cliniques
sur la faradisation vaso-constrictrice thérapeu
ce physiologique n'est pas aussi prononcé que dans nos observations
cliniques
. Il en ressort qu'il est plus facile de provoquer
e l'anatomie pathologique justifie son opinion. Mais quelques faits
cliniques
ne sont pas en accord avec l'hypothèse de l'ill
upérer leur fonction. Cette supposition est d'accord avec les faits
cliniques
. On voit en effet la contracture tardive dans l
ations et les cautérisations. J'affirme en m'appuyant sur des faits
cliniques
que la faradisation de la région claviculaire e
ements qu'elle comportait. PAUL Richer, Chef du Laboratoire de la
Clinique
des maladies du système nerveux. (1) Parmenti
LE & CI" ÉDITEURS TABLE DES MATIÈRES Athétose double (Etude
clinique
sur 1' ), 1 par Michaïlowski, 57, 183, 251, 292
gagner à être étudié scientifiquement, dans les hôpitaux ou dans les
cliniques
particulières, par des hommes ayant donné des gag
e des expériences que j*ai faites à ce sujet : Le 9 juin 1888, à la
clinique
de M. le Dr Liébeault, j'endors Mme M..., très bo
e faisant mention que pour mémoire des études de Ch. West, des Leçons
cliniques
d'Henoch sur les maladies de l'enfance, ainsi que
eaucoup de personnes qui n'ont jamais été (1) J. Simon, Conférences
cliniques
sur les maladies des enfants. (2) Bourdin, Les
tient pas aux tribunaux de décider si le (1) James pajet, Leçons de
clinique
chirurgicale. — Traduction de L. H. Petit, p. 246
Georce] Simon. NOUVELLES Hospice de la Salpêtrière. — Court de
clinique
des maladies du système nerveux : M. le professeu
dredi, à 9 heures. Cours libre. — M le Dr Edgar Bérillon fait a- sa
clinique
. 40 bis, rue de Rivoli, les jeudis à 4 heures, un
sa clinique. 40 bis, rue de Rivoli, les jeudis à 4 heures, une leçqn
clinique
sur les applications thérapeutiques de l'hypnotis
'est absurde ! » Je doute que les hypnotiseurs qui opèrent dans les
cliniques
arrivent jamais à produire des résultats plus com
ent parler, c'est à titre de phénomène pathologique, de manifestation
clinique
, de symptôme, qu'elle se produit, et c'est comme
plaintes qui ont pu déjà frapper son oreille, soit les manifestations
cliniques
dont le hasard l'a rendu témoin. Eh bien, avec
e ans, l'autre de treize, se présentent quinze jours consécutifs à la
clinique
d'Eross, se plaignant, celle-ci de douleurs tempo
G. Burckhardt.— Neufchâtel. broch. in-8°, 1888. Traité pratique et
clinique
d'hydrothérapie, par Duval. médecin en chef de l'
ouverons pas de» analogies qui corroborent encore cette assertion. La
clinique
serait évidemment la contre-épreuve désirable, et
ntal particulier qui, sous le rapport psvchologiquc, phvsiologique et
clinique
, se rapproche indubitablement des psychoses, et q
aug., p. «3, l88l. Paris. diagnostic étant bien établi. la marche
clinique
n'évolue jamais d'une manière spontanée et rapide
ar le Dr E. Monin. — 0. Doin, in-12, 1888, Études expérimentales et
cliniques
sur la tuberculose publiées sous la direction de
ins moments de l'intolérance gastrique. > Lûrman, assistant à la
clinique
de Kiel. a publié le cas d'une jeune fille de vin
rdit la pratique de l'hypnotisme aux savants, aux médecins dans leurs
cliniques
et dans leurs leçons. C'est a ce point de vue q
dans la veille et le somnambulisme. Dans une de ses récentes leçons
cliniques
de l'hôpital Necker, M. le LV Gilbert Ballet vien
séquence de celle-là. Mais ce sont là questions d'ordre exclusivement
clinique
; le diagnostic posé, l'origine du mal spécifiée,
e celles que nous venons d'analyser. Ici, les considérations d'ordre,
clinique
s'erlacent. La physiologie, l'hygiène, puis la pé
(0 Dklasuuvi. Traite de Vifiteftie. p. an; 1854. Paris. (i) Gow»i,
Clinique
de tf/ôfital national des épiieptiquet à Londret
national des épiieptiquet à Londret (3) Liciaxq du > v v : ; 1,
Clinique
de la Salpétrier; 'Cir des hôpitaux, 1S8*, p. 407
trand commença ses investigations à Stockholm, après avoir visité les
cliniques
de Nancy. Aujourd'hui, sa statistique porte sur 7
souffrant de céphalalgie; de ce nombre, 05 furent guéris. Dans notre
clinique
, la proportion n'est pas si avantageuse. J'ai eu
s n'a pas très bien réussi dans les cas de neurasthénie : à notre
clinique
, une grande partie des malades sont atteints de c
ésence d'un nombreux auditoire d'étudiants et de médecins, ses leçons
cliniques
sur les maladies du système nerveux. Conforméme
(ort intéressants sur l'hypnotisme, dont les applications faites à la
clinique
de la Salpctrière diffèrent Je celles qu'ont rapp
ants, a la même heure, M. le professeur Ball commencera le cours de
clinique
des maladies mentales, le dimanche 11 novembre
u'elle oppose la moindre résistance. Cela posé, je prie mon chef de
clinique
de l'endormir et de lui suggérer que je serai de
cours pratique de chimie et de micrographie médicales, appliqué à la
clinique
, à l'hygiène et à la thérapeutique. J Il trai
omnambulisme, la suggestion a causé du mieux. N'a pas été ramené à ma
clinique
. J'ai eu quelques raisons de croire qu'il a été g
is ne rentre plus. cours et conférences /attaque de sommeil Leçon
clinique
de M. Ic professeur Ciuscot Recueillie par M. le
e de M. Ic professeur Ciuscot Recueillie par M. le D' Bcrikj, chef de
clinique
adjoint. J'ni fait apporter devant vous une fem
en repos. NOUVELLES M. Mairet, agrégé, est nommé professeur de
clinique
des maladie» mentale* ci nerveuses à la Faculté d
ellier. Faccltk de «koïcine dk Nascr. — M. Bernheiro, professeur de
clinique
médicale, membre du Conseil general des Facultés,
onne de ces deux termes par l'observation des faiis physiologiques et
cliniques
. Pour qu'une impression sensorielle devienne co
que. Le cas s'étant présenté à l'Hôpital maritime, dans la salle de
clinique
médicale, les faits que nous publions eurent pour
trées dans nos hôpitaux. Pendant ses derniers séjours, les chefs de
clinique
ont consigné sur sa feuille l'histoire détaillée
ies paralysées. M. le docteur Cunéo, médecin en chef, professeur de
clinique
médicale à l'école de Toulon, après avoir, à notr
ronique à forrae. (1) Nous reproduisons les termes de la feuille de
clinique
, sans préjuger en r;« des constatations histologi
uble nutritif, peu accusé, du reste. Réflexions. — De l'observation
clinique
publiée antérieurement extenso ex brièvement
suggestion presque aniauroiiquc, avec les signes ophtalmoscopiques et
cliniques
de l'atrophie grise progressive. Inversement, l
de chaque semestre, aussi bien qu'aux travaux pratiques et aux leçons
cliniques
. A la fin de chaque semestre, l'étudiant est tenu
subir ce second examen, il leur laut fréquenter un certain temps les
cliniques
et les laboratoires spéciaux; puis ils font conna
se en France, et particulièrement h Paris, où il existe une chaire de
clinique
des maladies nerveuses et une chaire de clinique
existe une chaire de clinique des maladies nerveuses et une chaire de
clinique
des maladies mentales, en Russie l'enseignement d
nement ne commencera que l'année prochaine (1888-1889). A Karkoff, la
clinique
des maladies mentales et nerveuses se trouve dans
ppartenant au docteur Platonoff; il n'existe pjs encore de service de
clinique
à l'Université. La nouvelle clinique des maladies
'existe pjs encore de service de clinique à l'Université. La nouvelle
clinique
des maladies mentales et nerveuses à Moscou vient
les frais des constructions et de l'ameublement (400.000 francs). La
clinique
porte le nom de clinique Morosoff. {A suivre?)
ons et de l'ameublement (400.000 francs). La clinique porte le nom de
clinique
Morosoff. {A suivre?) RECUEIL DE FAITS SURD
, est l'effet d'un acte inhibàoire. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE
Clinique
de» maladies nerveuses. M. le docteur Bérillon,
pnotisme, commencera le jeudi 21 février, à dix heures du matin, à la
Clinique
des maladies nerveuses, 55, rue Saint-Andrc-des-A
maladies nerveuses, 55, rue Saint-Andrc-des-Arts, une série de leçons
cliniques
sur les applications de l'hypnotisme a la thérape
tation de leur carte. Des consultations gratuites sont données à la
clinique
les mardis, jeudis, vendredis, de dix heures à
tanatomie pathologique, éclairée et comme vivifiée par l'observatioi
clinique
, tandis que celle de M. BrowD-Scquard sera surtou
artements, 36 fr.; étranger, 08 fr. ".• NOUVELLES Des conférence»
cliniques
auront lieu à lHôtel-Dîeu. dans le laboratoire da
facile sur les sujets susceptibles de les produire repose sur l'étude
clinique
la plus circonspecte, sont le témoignage de l'inf
iés jusqu'à ce jour, que j'ai contrôlés cent fois dans mes recherches
cliniques
, et qui offrent toutes les garanties d'une rigour
ont été construits sous la direction de M. Kojewnîkoff, professeur de
clinique
des maladies mentales et nerveuses a Moscou. Ces
res et même confortables. Le bâtiment est entouré d'un grand parc. La
clinique
contient cinquante lits, ce qui est suttsant pour
est suttsant pour l'enseignement des maladies nerveuses. Une autre
clinique
, encore en construction, se trouve à Saint-Péters
euses ; cet hôpital contient trois cents lits. L'organisation des
cliniques
, dans les Facultés russes. diffère complètement d
dans les Facultés russes. diffère complètement de l'organisation des
cliniques
de la Faculté de médecine de Paris. Les hôpitau
e utilité pour les leçons. les démonstrations et les recherches de la
clinique
, ils sont évacués dans Icsautrcs hôpitaux, pour l
pour leur traitement ultérieur. Les vacances sont générales dans les
cliniques
de la Faculté; elles commencent le 20 mai. et à c
niques de la Faculté; elles commencent le 20 mai. et à cette date les
cliniques
sont fermée*, les malades sont dirigés sur les hô
et leurs aides sont libres jusau au 20 3oût. date de l'ouverture des
cliniques
. Cette évacuation des cliniques et ces vacances o
u au 20 3oût. date de l'ouverture des cliniques. Cette évacuation des
cliniques
et ces vacances ont été établies dans un but écon
ls faisaient des démarches dans le but d'obtenir la non-fermeture des
cliniques
pendant l'été. Pour les cliniques autres que cell
but d'obtenir la non-fermeture des cliniques pendant l'été. Pour les
cliniques
autres que celles des maladies du système nerveux
éjà, d'ailleurs, un progrès a cet égard a été réalisé à Moscou, où la
clinique
des maladies mentales et nerveuses est restée ouv
s a affirmé que cet exemple serait suivi peu à peu et que la nouvelle
clinique
du quartier de Viborg ne sera pas fermée pendant
les vacances. 11 faut remarquer pourtant que, malgré la fermeture des
cliniques
, on travaille beaucoup dans les laboratoires .1;
ents, même pendant les vacances, ainsi que j'ai pu m'en assurer. La
clinique
la plus importante, en Russie, en matière d'ensei
eures. Comme complément de l'enseignement donné * l'intérieur de la
clinique
ont lieu, deux fois par semaine, des consultation
e quatrième et de cinquième année. Trois docents sont attachés â !a
clinique
des maladies mentales et ncr- veuses, ils som
ils choisissent eux-mêmes. Tout ce qui est relatif à l'enseignement
clinique
: salles des malades, amphithéâtres des cours, la
à l'étudiant des pertes de temps considérables. Les professeurs de
clinique
des maladies mentales et nerveuses dans les Facul
rveuses, en Russie, ce sont les laboratoires annexés aux services des
cliniques
. Chaque clinique des maladies mentales et nerveus
, ce sont les laboratoires annexés aux services des cliniques. Chaque
clinique
des maladies mentales et nerveuses possède un vas
re faites dans le champ d'investigations qu'offrent les malades de la
clinique
. Ces laboratoires sont composés d'un certain nomb
s laboratoires, j'ai joint ù mon rapport le plan du laboratoire de la
clinique
du professeur Kojcw-nikolf. Quoique l'enseignem
ssie, toutes les Facultés d'une même Université, ainsi que toutes les
cliniques
, se trouvent réunies dans le même édifice. La nou
liniques, se trouvent réunies dans le même édifice. La nou- velle
clinique
du quartier de Viborg, à Saint-Pétersbourg, fait
x deux Facultés de médecine et de sciences. Mais les laboratoire* des
cliniques
sont exclusivement réserves aux services de ces c
atoire* des cliniques sont exclusivement réserves aux services de ces
cliniques
, à l'enseignement et aux travaux des étudiant* en
ignement, et des plus précieux : [ !• Le Messager de la Psychiatrie
clinique
et légale et de la .\europatho-togie, sous la dir
u dix-neuvième siècle. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Enseignement
clinique
de 1 hypnotisme. Le jeudi ¿1 mai, a dix heures,
Le jeudi ¿1 mai, a dix heures, le docteur Be'rillon a inauguré à la
clinique
des maladies nerveuses, rue Saint-André-des-Arts,
adies nerveuses, rue Saint-André-des-Arts, 5?. la série de ses leçons
cliniques
sur les applications thérapeutiques de l'hypnotis
maladies nerveuses, que le l>" Bérillon a cru devoir fonder cette
clinique
. Le grand nombre des malades qui viennent spontan
brillants résultat!, a fait entrer plusieurs malades. Après un examen
clinique
complet destiné à prouver l'indication de la sugg
quel-ques applications de la suggestion à la pédiatrie. Les leçons
cliniques
ont lieu tous tes jeudis, à dix heures; elles son
ées aux médecins et aux étudiants qui veulent s'initier à la pratique
clinique
de l'hypnotisme. — E. C. Association médicale m
ucrin, Vjgouroux, Barazer et Tar-gowla. Hospice de h Salpétrikre. —
Clinique
des maladies nerivuscs. — m. le professeur Charco
— m. le professeur Charcot fait les mardis, a 9 heures 1/2, une leçon
clinique
sur les maladies du système nerveux. Les vendredi
vendredis, à g heures 1/3, examen des malades. Asile Sainte-Aune. —
Clinique
des maladies mentales. — m. le professeur Balen f
m. le professeur Balen fait, les dimanches et les jeudis, des leçons
cliniques
sur les maladies mentales. Hôpital de la Charit
t le jeudi matin, dans son laboratoire de la Charité, des conférences
cliniques
sur l'iivpnctisme expérimental. Cours libre. —
onférences cliniques sur l'iivpnctisme expérimental. Cours libre. —
Clinique
des maladies nerveuses. 55, rue Saint-Andrc-des-A
— M. le D' Bérillon fait tous les jeudis, à. 10 heures 1/2, une leçon
clinique
sur les applications de l'hypnotisme et de la sug
che 10 mars, en présence d'un nombreux auditoire, une série de leçons
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses. Dans la
me. Paralysies hystéro-traumatiques. Dans une des récentes leçons
cliniques
faites avec tant d'autorité, à la Salpciricre, pa
a réussi de tout point. » NOUVELLES Hospice: de la Salpêtrière. —
Clinique
des maladies neveuses. — M. le professeur Charcot
le professeur Charcot fait les vendredis, à 9. heures 1/2, une leçon
clinique
sur les maladies du système nerveux. Asile Sain
clinique sur les maladies du système nerveux. Asile Sainte-Anne. —
Clinique
des maladies mentales. — Clinique des maladies me
ème nerveux. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales. —
Clinique
des maladies mentales. — M. le professeur Balen f
M. le professeur Balen fait, les dimanches et les jeudis, des leçons
cliniques
sur les maladies mentales. Hopital de la Charit
t le jeudi matin, dans son laboratoire de la Charité, des conférences
cliniques
sûr l'hypnotisme expérimental. Cours libre — Cl
conférences cliniques sûr l'hypnotisme expérimental. Cours libre —
Clinique
des maladies nerveuses, 55. rue Saint-André-des-A
.— M. le Dr Berillon fait tous les jeudis, a 10 heures 1/2. une leçon
clinique
sur les applications de 1 hypnotisme et de la sug
uguste Voisin fait, le dimanche, à 9 h. 1/2 du matin, des coaférences
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses. Congrès
bleue, 7. REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE
CLINIQUE
MÉDICALE DE L'HOPITAL SÀ1ST-ELOI DE MONTPELLIER
té à votre connaissance une série de faits observés, les uns. dans la
clinique
, les autres (déjà nombreux aujourd'hui), en dehor
(1) Histoire d'une hystérique hypnotisable ; contribution à l'étude
clinique
doc phénomènes somaiiques rixe* de l'hypnotisme.
Pareille proportion n'est pas, à mon avis, en rapport avec la réalité
clinique
des choses. Quelques citations vous démontreron
e attention, et qui retrouve ici une application directe : Jamais, en
clinique
, deux observations faites par defl hommes égaleme
nfluences locales, pour essayer de trouver ce terrain de conciliation
clinique
et pour rechercher, sans parti pris, ce qu'il y a
lières. Voilà, je crois, où se trouve la vérité ; telle est la note
clinique
juste. — Je vous indique aujourd'hui mon sentimen
théories sont trop absolues, qu'il existe un terrain de conciliation
clinique
. Examinons d'abord la première série d'objectio
cliniqoe de Paris. La malade dont je désire entretenir la Société
clinique
ne présente pas dans sa famille d'antécédents ner
professeur Bail. Marie femme C..., âgée de Sa ans, est entrée à la
Clinique
des maladies mentales le 3o janvier dernier. Ce
e à Sainte-Anne sans qu'elle s'en doutât. » Depuis qu'elle est à la
Clinique
, Mme C... a lait preuve du plus exécrable caractè
rait que les questions se rapportant aux applications physiologiques,
cliniques
et médico-légales de l'hypnotisme, et il serait s
psie auxquelles la malade était sujette depuis de longues années.
CLINIQUE
MÉDICALE DE L'HOPITAL SAtNT-ÉLOI DE MONTPELLIER
j'énonce formellement, ressort avec une netteté parlaite (1) Leçon
clinique
sur un cas d'hystérie mâle avec astasie-abasie (M
rer pour l'hypnotisme de Nancy une infériorité contraire à la réalité
clinique
. LES OUVRAGES DE REICHENBACH Plus on avance d
ront reparties en trois groupes : i» Applications thérapeutiques et
cliniques
de l'hypnotisme et de la suggestion ; a* Applic
. Brigands et magnétiseurs, 63. Charité et dégradation sociale. 93.
Clinique
des maladies nerveuses. 454. Colère (pression art
nt (l'astuce chez l'), par Collineau. 25, 60, 80, 122. Enseignement
clinique
de l'hypnotisme. 285. Epileptiques (pression ar
. MGNtIN \ Membre de l'Académie de médecine. 1 Médecin de l'Asile
clinique
(Ste-Anne). I 1> l'il (l 1 ? à -% Professe
Asile clinique (Ste-Anne). I 1> l'il (l 1 ? à -% Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Faculté de
suivante, nous a paru digne d'intérêt comme contribution à l'élude
clinique
des oedèmes dans la paralysie générale. A... Ju
dans la paralysie générale (Thèse Paris, 1884). 16) Ukhissey. Elude
clinique
sur les troubles trophiques dans la paralysie g
altérations du centre vaso-moteur dans la pathogénie et l'évolution
clinique
de la maladie. Klippel et Dumas ont signalé les
tical ou sous- cortical du foyer) par C. E. van V ALKENB URG, de la
clinique
de Monakow, à Zurich (Neurol. Centralbl, XXV, f
é verbale ; par SCII1VARTZ (L'Encéphale, 1906, n° 6.) Observation
clinique
avec autopsie. XVIII. Les aphasies musicales ;
alp. 1906, n° 4.) , Charcot est le premier à avoir établi les bases
cliniques
des amu- sies : il l'a fait dans cinq leçons qu
onnelles de ces centres,les amusies présentent les mêmes va- riétés
cliniques
que les aphasies : comme pour celles-ci d'ailleur
t et au début les centres de projection. F. TISSOT X. Observation
clinique
et anatomo-pathologique des yeux d'une paralyti
BussARD : Des sorties provisoires à titre d'essai, au point de vue
clinique
, législatif et administratif. Le placement des
reproche, avec quelque malice, de n'a- voir pas indiqué les moyens
cliniques
d'apprécier la norma- lité ou la maladie des ne
és de la même entité morbide. Ces deux auteurs tracèrent le tableau
clinique
de la nouvelle ma- ladie, en fixèrent l'étiolog
ie de Kraepelin est la seule qui cadre avec les faits d'observation
clinique
. On ne peut faire qu'un seul reproche au nom de
, de Pa à la zone, motrice corticale. Nervosisme thyroïdien. Formes
cliniques
; , par les Drs Léopold Lève et H. DE ROTHSCHIL
imen- tation animale, le thyroïdisme alimentaire chez l'homme, la
clinique
, permettent de rattacher l'état de santé à la mal
Cette définition doit être exclusive- ment basée sur des caractères
cliniques
. J'ai pensé qu'il y avait lieu d'établir une cl
atiques, se distinguent des troubles du second groupe et aucun fait
clinique
ne permet de rattacher ces deux groupes l'un à
élevons un peu au-dessus des faits bruts, de l'atmosphère purement
clinique
, afin de les envi- sager non seulement au point
tits vaisseaux et les capillaires de l'écorce. Certains symp- tômes
cliniques
et certains faits anatomiques la font distin- g
alysie générale avec laquelle on peut la confon- dre. Les symptômes
cliniques
principaux de la syphilis céré- brale diffuse s
affection. M. L. LÉvi. - J'ai grande tendance, comme des exemples
cliniques
m'en ont fOL rni la preuve, à m3 ranger à l'opini
courants alternatifs : les faits de labo- ratoire peuvent avoir en
clinique
humaine une sanction pra- tique. llyosclérose
s de donner ce nom, qui synthétise les grands caractères anatomo-
cliniques
de l'affection, à la maladie entrevue par M. Hayo
énomène des orteils. M. Noïca (de Bucarest) apporte une observation
clinique
à l'ap- pui de son opinion émise antérieurement
Vol. II. 3e Série. Septembre 1907. N° 9 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE Les auras visuelles des épileptiques ;
es. Thèse de Paris, 1885. Archives, 3' série, 1907, L. II. 12 178
clinique
nerveuse. entre une demi-heure avant l'accès et
79. (2) Axenfeld et 1 IUCIL112U. - Traité des névroses, 1883. 180
CLINIQUE
nerveuse. ce serait même le rouge,la seule coul
siN. - Art. Epilepsie du Dictionnaire Jaccoud. (5) BAL7,. Leçons de
clinique
mentale. (6) M.\nxAx. Leçons sur l'cpilcpsic.
ons de clinique mentale. (6) M.\nxAx. Leçons sur l'cpilcpsic. 182
CLINIQUE
NERVEUSE. au début de ses' attaques les'objets-
de quelques instants, il tombait, perdant connaissance. Dans ses
cliniques
à l'Infirmerie du Dépôt, Paul Gar- nier insista
comme « si le temps se. faisait sombre ». La malade.se trouve 184
CLINIQUE
NERVEUSE. alors dans une sorte de- crépuscule,
émence précoce ; Pah riche, barbé, WICKERSHEIMER. La conception
clinique
de la démence précoce,telle du moins qu'elle es
rbide en appuyant sur des données certaines ce que cette conception
clinique
pou- vait avoir de hardi et de discutable. Il
il pourrait être question dans nombre d'observations de syndromes
cliniques
catatoniformes plutôt que de catatonie véri- ta
n'a rien à voir avec les lésions démentielles. D'après le résumé
clinique
des observations étudiées par nous on s'aperçoi
e nous avons cités, nous voyons que sur un total de 22 observations
cliniques
on en trouve 7 dont la cause de mort n'est pas
pour la- quelle il sera cccordé quatre heures ; - 2° Une épreuve
clinique
sur deux malades d'un service d'alié- nés. Le c
nés pour laquelle il sera accordé deux heures ; 5° Une épreuve de
clinique
médicale ordinaire portant sur un ma- lade. Il
es copies, désigne les services où doivent être subies les épreuves
cliniques
, fixe le choix des ma- lades qui seront l'objet
Le confrère d'Ilollander écrivait 1 écemment que la visite de la
clinique
de Ivraepelin à Munich, l'avait frappé par le fai
ctions délirantes, par la fixité régionale et l'absence d'évolution
clinique
du syndrome. De l'influence exercée par les sel
hez les neurasthéniques vrais, chez ces malades nombreux et de type
clinique
très net, qui présentent, à la suite d'une into
orteur : Dr 1,AIGNr--L-LkVASTINE (Pa- ris). 2° Diagnostic et formes
cliniques
des névralgies. Rap- pqrteur : Dr VERGER (Borde
areils sont complètement d'accord avec les faits obser- vés dans la
clinique
psychiatrique ; plus les parents s'alcoolisent,
ente ans, par mon excellent Maître, M. le Docteur V. Magnan (Leçons
Cliniques
sur les Maladies Mentales) ; ces expériences fu-
. Les accidents nerveux présentés par ce malade réalisent le type
clinique
de beaucoup le plus fréquemment observé, la forme
au fond une maladie du neurone moteur périphérique avec des ty- pes
cliniques
différents. G. C. XXIV.- Coexistence d'un rétré
vent mettre sur la piste du diagnostic. Pour lui, le vrai caractère
clinique
, qui doit, d'après les observations publiées at
familles, souvent l'insuffisance des médecins peu au courant de la
clinique
de l'enfance anormale, ne connaissant pas ou ne
n : Vol. II. 3'Série. Octobre 1907. N 10 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE z Contribution à l'étude des perversion
ne autre femme ; mais les Archives, 3° série, 1907, t. II. 17 258
CLINIQUE
MENTALE. rapports sexuels de son mari avec une
de déve- loppement du sens génésique doivent être considérés, 260
clinique
mentale.- certainement, comme un stigmate psych
science ou à la « faiblesse de ses nerfs» de laquelle profitent 262
CLINIQUE
MENTALE les hommes; une autre fois elle dit qu'
e et d'un caractère très précis (l'aspect d'un homme excité). 264
CLINIQUE
MENTALE. Par conséquent, l'anomalie décrite ci-
tandis que la coquetterie pa- thologique fétichiste a le caractère
clinique
bien indé- pendant et est intimement liée, comm
observations à propos de coquetterie pathologique dans mes « Leçons
cliniques
sur les maladies nerveuses et mentales Il. Var-
nerveuses et mentales Il. Var- sovie 1901, p. 482 (en russe.) 266
CLINIQUE
MENTALE sons d'admettre que cette « bizarrerie
un vif désir secret de les garrotter ou de les mettre aux fers. 268
CLINIQUE
MENTALE. A partir de cette époque, selon l'expr
La représentation des parties sexuelles de la femme en géné- 270
CLINIQUE
MENTALE. rai produit chez notre malade un senti
sa- tisfaction complète de ses tendances sadistiques : le ré- 272
CLINIQUE
MENTALE. sultat était tout à fait analogue à la
i est tout à fait analogue à Archives, série, 1907, 1. II. 1S 274
CLINIQUE
MENTALE. l'acte d'accouplement d'un homme avec
com- pagne et lui ayant déjà une fois ligoté les mains, il se zig
CLINIQUE
MENTALE. disait que cette fois-ci il serait plu
pas seulement de l'activité de quelques titulaires d'une chaire de
clinique
mentale ; il est, est-il besoin d'y insister da
les. C'est beaucoup plus naturellement encore la simple et banale
clinique
de l'aliénation, qui, sous peine de végéter dan
sais bien que l'on me répondra que ce sont là des pro- fesseurs de
clinique
, et que, pour la plupart ils n'appar- tiennent
uation ne changera pas ? Qui ne souhaiterait de voir les chaires de
clinique
mentale occupées toutes par des méde- cins du c
du reste, en dehors de l'exemple déjà réalisé des pro- fesseurs de
cliniques
, n'avons nous pas les titulaires des quartiers
méningite cérébro-spinale purulente ; Par le D' D. l'AGIlATONI {
Clinique
psychiatrique de Genève) Parmi les complication
fut renouvelée avec le même succès dans le dos. M. P AMART.- A le
clinique
du Dr Bérillon, toutes les fois qu'un malade es
e Saint- Yon ; Vice-président , M. le Dr Vallon, médecin de l'Asile
clinique
(Sainte-Anne) ; Secrétaire-trésorier, M. le Dr
. joint de l'asile de Pienefeu ; Vurpas, médecin adjoint, chef de
clinique
à la Faculté de Paris. Les membres du comité él
dans les asiles publics d'aliénés du département de la Seine. Asile
clinique
, asiles de Vaucluse, Ville-Evrard, Villejuif et
li janvier 1 ! ils, à une heure précise, il sera ouvert, à l'asile
clinique
, rue Cahanis no 1, à Paris, un Concours pour la n
Vol. II. 3= Série. Novembre 1907. N° Il ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE; , Sur un cas de délire à deux avec mod
elle, crut se rétablir ne Archives, 3' série. 1907, t. II. 21 322
CLINIQUE
mentale falsifiant des titres frappés d'opposit
manucure et peut-être autre chose encore, quand se présenta Mme 324
CLINIQUE
MENTALE. Granet, qui, après quelques mots lui d
cherchions d'où pouvait venir cet espionnage, nous ne savions 326
CLINIQUE
MENTALE. rien, nous pensions que cela finirait.
rs 1904, elle trouye un emploi chez une jeune femme, qui reçoit z28
CLINIQUE
MENTALE des messieurs et à qui elle tire quelqu
reviens de la chasse »,' aussitôt ses doutes disparaissent, le 330
CLINIQUE
MENTALE. coffre-fort est bien à elle. De telles
s, ce qui n'a d'ailleurs nullement amoindri leur influence. 332
CLINIQUE
MENTALE. Accessoirement, ils sont intervenus da
ai été autrefois domestique chez un chirurgien des hôpitaux, il 334
CLINIQUE
MENTALE. était peut-être avec ces gens. » Dix j
le sien sans auxiliaire, que tout au plus Marie Forel l'a ai- 336
CLINIQUE
MENTALE. dée à en mieux prendre conscience, à l
t pas non plus l'écho Archives, 3° série, 1907, l. 11. 22 338 ' '
CLINIQUE
MENTALE. de la pensée ni le langage des choses.
à la peinture de moeurs presque autant qu'à la psychia- trie. 8o
CLINIQUE
MENTALE., V. Il nous reste à dire quelques mo
Le lecteur se rappelle sans doute que durant sa période de nar- 342
CLINIQUE
MENTALE. cose, notre malade u cru se sentir opé
Lors de notre premier entretien, il était admis que le Comte de 344
CLINIQUE
MENTALE. Cambert avait soudoyé des individus da
ns un certain état de doute au sujet de ses tourments passés. 346
CLINIQUE
MENTALE. r a Je me trompe peut-être, on peut se
ur le délire d'interprétation, qu'ils considè- rent comme une forme
clinique
spéciale. Nous avons eu l'occasion, durant notr
s en rapportons ici une observation, que nous avons prise à l'Asile
Clinique
. Observation, Idées délirantes de persécution ;
progressive. ' Louise K., veuve D ? âgée de 34 ans, entre à l'Asile
clinique
le 26 juillet 1907 ; elle a exercé les diverses
s. En dehors de la débilité mentale qui n'est pas un diagnos- tic
clinique
, mais un diagnostic étiologique, nous élimine-
jà admise par Goldflam, s'accorderait tout à fait avec l'expérience
clinique
qui démontre la fréquence du phé- nomène électr
serait, d'après S., radicalement distincte, au double point de vue
clinique
et anatomique, de l'idiotie de Sachs. Chez deux
té ; ce dernier facteur résulte des deux autres mais son importance
clinique
est telle qu'il peut nous frapper d'une manière
r paru dans l'Encéphale 1907, n° 3 et où l'auteur expose les effets
cliniques
et les désordres anato- miques que peut produir
moteur. L. WAIIL. XLII. Hyperesthésie en pathologie générale et en
clinique
; par M. LEVEN. (Bull. méd., n° 19, 1907.) De
u système nerveux. Il y a lieu de tenir compte de ces phénomènes en
clinique
ce qui est assez générale- ment négligé aujourd
tale de la moelle qui la détermine n'est presque jamais réalisée en
clinique
. C'est donc sur- tout des formes partielles, at
Encéphale 1907, n° 7.) . Revue générale où les auteurs font l'étude
clinique
,anatomo-pa- thologique et pathogénique des troi
érison par l'hypno Lisrne. F. TISSOT. LIX. Contribution à l'étude
clinique
de l'équivalent épilep- tique (manie transitoir
sie sensorielle accompagnée d'anarthrie. F. TISSOT. LXII. - Etude
clinique
et anatomo-pathologique d'un cas de sclé- rose
ettra cependant de faire remar- quer que cet essai de démonstration
clinique
, comme l'appelle Mairet, ne réfute nullement le
r cette lâche, deux suppléants : 1. le 1)1' J.cc2urn ancien chef de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médecine
Orthopédie : Dr GOURDON. FAITS DIVERS Hospice de la Salpêtrière.
Clinique
des maladies du système nerveux. M. le Professe
ses leçons de neuropathologie avec démons- trations anatomiques et
cliniques
, le mardi 7 janvier 1908 à 4 'heures (amphithéâ
cliniques, le mardi 7 janvier 1908 à 4 'heures (amphithéâtre de la
Clinique
de la Salpêtrière). Le Dur Jules Voisin commenc
de la Salpêtrière). Le Dur Jules Voisin commencera ses conférences
cliniques
sur les mala- dies mentales et nerveuses, spéci
Vol. II. 3- Série. Décembre 1907. N° 12 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE Empoisonnement par les homards conserv
naces : d'abord de ,\Clll\ï : S, 3' 3" série, 100T, 1. Il. 2G 402
CLINIQUE
NERVEUSE. nature alimentaire puis bilieux et en
si prononcé que sa lettre était très difficile il lire) ; les 401 i
clinique
Nerveuse. paresthésies des mains et des pieds,
reusement, ne se dis- tingue pas par sa plénitude et son exactitude
cliniques
, n'est pas néanmoins dépourvue d'intérêt. Quant
les douleurs et les paresthésies locales, les troubles objec- 40S
CLINIQUE
NERVEUSE. tifs locaux de la sensibilité, de la
venons d'énumérer appa- raissent dans notre cas comme un complément
clinique
de l'acronévrite et tous ces symptômes ont quel
amen), au moment où l'amélioration a commencé, le même carac- 410
CLINIQUE
NERVEUSE. tère partiel persistait toujours ; 8
filets ner- veux dont l'affection est démontrée par les symptômes
cliniques
dans notre cas. Dans ce cas, simultanément, son
ement et la sensation de direction de ce mouvement pissociees). 412
CLINIQUE
NERVEUSE. cipalement certaines petites branches
tral. « L'ataxie aiguë » en soi n'est pas, sans doute, une forme
clinique
déterminée, au contraire, ce n'est qu'un symptô
opter le diagnostic de l'ataxie polyizévritique aiguë. La connexion
clinique
étroite qui existe entre l'ataxie généralisée e
iguë dans notre cas doit être exclue aussi à cause du carac- tère
clinique
de l'ataxie même et à cause de l'abolition grad
e aigu) associée à l'acronévrite des mains et des pieds. Au tableau
clinique
particulier de la polynévrite cor- respond auss
ière. Cliniquement, le lien étiologique existant entre la po- 41u
CLINIQUE
rttvLUSC. lynévritc et l'empoisonnement aigu pa
géné- ral et surtout de l'intoxication par les huîtres. Les faits
cliniques
qui concernent l'empoisonnement par les homards
de llléd. ci de fJll(/r11l. militaires, 1886, v. 9, p. 11. , 416
CLINIQUE
NERVEUSE. consommés frais, soit par les conserv
as les plus légers de gastro-entérite simple jusqu'aux ta- bleaux
cliniques
graves, rappelant la dysenterie et le choléra.
'est épanché en petite quantité dans l'intestin grêle. Le tableau
clinique
de l'empoisonnement aigu chez notre malade prés
eût été si grave que les médecins craignirent pour sa vie. Ce signe
clinique
très important, cette particularité de la march
t l'hémorrhagie intestinale qui se présente comme une particularité
clinique
de lagastro- entérite aiguë infectieuse dans no
oxications, 1961, p. 360. . Archives, 3" série, 1907, t. Il. 7 ho
CLINIQUE
NERVEUSE. poisonnement non par les homards frai
de convulsions ; pas de rhumatismes, pas de chorée ; pas de 4' ? 0
clinique
nerveuse. fièvre typhoïde ; aucun indice de syp
s ont duré 36 heures. C'est à la suite de ces convulsions que li 22
CLINIQUE
NERVEUSE. l'enfant aurait eu de la paraplégie;
es de sommeil. Epilepsie ; tableau des accès et dos vertiges. 424
CLINIQUE
NERVEUSE. normale ; les selles sont régulières,
M > r R. 1 P M - 4 t5 C. M .r, et c 12c
CLINIQUE
NERVEUSE. Face allongée, pas de cicatrices. Arc
pousse un cri plaintif et ses membres supérieurs et inférieurs 4 ?
CLINIQUE
NERVEUSE. sont animés de violentes secousses cl
atteignant la tempé- rature ambiante 9 heures après la mort. 430
CLINIQUE
nerveuse. en forme de grosse amande allongée, p
s et 188 vertiges. La coexistence des accès et des vertiges - t32
clinique
nerveuse. semble lui faire perdre le peu d'inte
grand nombre de cas. Archives. 3- série, 1PC7, t. II. 28 434
CLINIQUE
NERVEUSE. Dans d'autres cas, après cette périod
respectivement consa- crées à la sémiologie générale, aux « formes
cliniques
de la folie » et à l'étude médico-légale des ét
ns aux états extrêmes ; ils n'ont pas non plus méconnu les parentés
cliniques
des accès pour lesquels on emploie aujourd'hui
accablement insurmontable du moi font partie essentielle du tableau
clinique
: pas de confusion ; erreurs senso- rielles rar
es trois formes classiques et l'on mentionne seulement les parentés
cliniques
, la multiplicité des symptômes et la variété d'
e, fournissait 70 à 80 pour cent de la population des asiles et des
cliniques
, et qui maintenant ne comprend guère que le cen
ettent en relief l'im- portance de la numération dans les cas où la
clinique
et un exa- men imparfait du liquide céphalo-rac
rs de suite, 3, 4, 5 ou 6, suivant la gravité des cas, l'expérience
clinique
ayant montré l'efficacité de cette facon de pro
sition à des troubles mentaux, surtout de prévoir vers quelle forme
clinique
celle-ci évoluera. Jusqu'ici, en effet, c'est s
alades atteints d'idioties à des degrés divers. Des cons- tatations
cliniques
comme aussi des recherches expérimentales, -il
alluci- nations.dans la P.G. justifie la distinction de deux formes
cliniques
de-cette maladie : la forme sensorielle et la f
s nécessitent plus particulièrement l'intervention de la compétence
clinique
du médecin. Rejeter la sociétés savantes. 467
adjoints ayant subi avec succès le concours d'adjuvat, les chefs de
clinique
de pathologie mentale et des maladies de l'encé-
mentale. pour laquelle il sera accordé quatre heures 2° Une épreuve
clinique
sur deux malades d'un service d'aliénés. Le can
énés. pour laquelle il sera accordé deux heures ; 5° Une épreuve de
clinique
médicale ordinaire, portant sur un malade. Il s
es copies, désigne les services où doivent ètre subies les épreuves
cliniques
, fixe le choix des malades qui seront l'objet d
al ; il convient donc de demander aux pouvoirs publics : 1" que des
cliniques
psychiatriques largement organisées permet- ten
ar Bohin, p, 379. 1 IVl'EHES111 É'IE cn pathologie générale et en
clinique
, par Le\'en, p, 378. 1 Ivrao'r csnrL. 1.' --
ons. Crâniens. Voir fractures . NEltVOSIS\1E thyroïdien. Formes
cliniques
, pm'L. Lévi et 1 I. de Rothschild, p. 1 t 1. '
amyotrophique à début tardif, par Rossi et Roussy, p. 168. Etude,
clinique
et anatomo-pathologique d'un cas de en plaque
opti- que de -. par Dupuys-Du- tcmps, p. 167. Yeux. Observation
clinique
et anatomo-pathologique des d'une paralytique
depuis peu d'années, a fait son appari- tion dans le domaine de la
clinique
et de la pathologie, engage dans une large mesu
point qu'il n'y a plus entre celle-ci et celle-là de diffé- ronces
cliniques
appréciables. La gravité de la maladie est telle
tation de la malade (régime lacté pres- que exclusif). L'histoire
clinique
de cette malade est donc des plus caractéristique
i tous les cas que nous fournissent journellement les hasards de la
clinique
? Chez tel malade c'est à peine si la thyroïde
rations épithéliales,la maladie se manifeste par autant de variétés
cliniques
? Cette question de l'infantilisme partiel nous
une synthèse dont la nature n'est pas coutumière. Pas davantage la
clinique
n'est coutumière des synthèses ou des schémas p
synthèses ou des schémas pathologiques. D'ailleurs, la nature et la
clinique
(c'est tout un) sont versatiles et quelquefois mo
ème s'ajoute à la dystrophie préexistante. La complexité du tableau
clinique
ne permet plus de reconnaître la part de responsa
n'est pas rare cependant de noter par intervalles, dans le tableau
clinique
si varié de la paralysie générale, quelques sym
ant « non, non, faut pas les lever ». HOSPICE DE LA SALPÈTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX SUR UN CAS DE R
D, et M. L. BABONNEIX, Professeur à la Faculté de médecine. Chef de
clinique
de la Faculté. L'histoire des affections vertéb
assiques décrivaient minutieuse- ment les caractères anatomiques et
cliniques
du mal de Pott ; ils mon- traient en détail com
e la Salpêtrière (1), M. Forestier a tenté d'isoler un nouveau type
clinique
qui, par quelques points, pourrait être rapproché
gation plus ou moins accentuée vers la dure-mère. ' Entre ce type
clinique
, dont l'existence d'ailleurs a été contestée (Ver
de n'est pas une rhumati- sante ; elle ne présente aucun des signes
cliniques
décrits par M. Fores- tier ; elle accuse par co
n° 2, p. 8S, 100, mars- avril 1904. ' (2) VfipfI00aEN, Les formes
cliniques
du rhumatisme chronique, Congrès de Liège, 1905
s cas ! Nous admettrons donc que,de par l'anatomie comme- de par la
clinique
, notre observation mérite d'être considérée comme
ent restreint, en les mettant en comparaison avec les autres formes
cliniques
des maladies dites familiales ou d'évolution, on
avoir, croyons- nous, quelque intérêt documentaire : Observation
clinique
. D... Pernette, née en 1836. Antécédents héré
t en partie transformé en tissu réticulé. Résumé de L'OBSERVATION
clinique
. - Pas d'antécédents héréditaires. Déséquilibre
examen histologique d'un des cas qui avaient servi à la description
clinique
de Charcot et Marie. Les lésions sont complexes
ujets jeunes, ainsi qu'il le prouvait dans une nouvelle observation
clinique
(2). Des lésions des nerfs périphériques (hyper
mises au premier rang et démontrer l'origine spinale de celle forme
clinique
. Inversement, des observations comparables à ce
d'autres que montrer une nouvelle forme de passage à côté des types
cliniques
que l'on croyait autrefois nettement distincts
ension des plus variables qui expliquent la multiplicité des formes
cliniques
. Pour ne citer que les cas résumés plus haut et o
e et progressive, absence de syphilis dans les antécédents l'aspect
clinique
n'était cependant pas le même chez chacun d'eux
hez chacun d'eux, M. Crouzon fut amené à en dégager plusieurs types
cliniques
. C'est ainsi qu'il décrit un type parélo-spasmo
et, enfin, un type ataxo-cérébello-spasmodique dans lequel l'aspect
clinique
particulier présenté par deux malades était donné
PHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 67 du cervelet, la forme
clinique
qui nous occupe ne laisse pas de subsister avec
d'un certain intérêt de donner ici, en même temps que l'observation
clinique
de notre cas, le résumé de celles des deux autr
s diversités existent entre elles, celles-ci concernent des détails
cliniques
d'ordre secondaire. Les symptômes principaux, c
entée par les malades et qui caractérisent pour ainsi dire l'aspect
clinique
sont les mêmes chez les trois malades, ainsi qu
ns les obser- tions d'atrophies cérébelleuses. Dans l'observatibn
clinique
il est dit que le malade présentait une démarch
gue à celles de notre cas s'observent souvent sans se manifester en
clinique
par aucun symptôme, ne sont pas sans nous laisser
ur les rapports qui peuvent exister entre ces lésions et les signes
cliniques
d'ordre secondaire qu'on retrouve dans le tableau
signes cliniques d'ordre secondaire qu'on retrouve dans le tableau
clinique
de notre cas en dehors de ceux appartenant au s
de donner lieu à un syndrome cérébel- i leux ont un certain intérêt
clinique
et anatomique pour la pathologie nerveuse en gé
DE NEUROLOGIE DE PARIS (SÉANCE DU 6 DÉCEMBRE 1906) [Travail de la
Clinique
des maladies nerveuses, à la Salpêtrière ) OSTÉ
ment surtout au niveau du tibia droit les constatations de l'examen
clinique
(Pl. XI). )1 On voit en effet très nettement la
articulaires et périarticulaires, et qui présentent les caractères
cliniques
de tuméfaction globuleuse et d'ankylose. Comme le
leur et par une élévation de la température locale. Dans quel cadre
clinique
devons-nous ranger ces déformations squelet- ti
iresque de l'hyper- trophie vraie des extrémités. ? Si le tableau
clinique
des malformations squelettiques de cette malade
elle rentrer dans le cadre de la syphilis osseuse ? Au point de vue
clinique
, ces déformations ostéo-articulaires, font pens
essus ostéo- articulaire syphilitique, se rattachant par son aspect
clinique
au syndrome défor- mant que l'on désigne sous-l
émise par Gerdy, puis par Cruveilhier. Charcot, qui créait alors la
clinique
nerveuse, se trouvait chaque jour aux prises av
orphologique normale ont trouvé immé- diatement leur application en
clinique
: elles ont servi à élucider les causes des ano
orme humaine n'a pas suffi pour faire découvrir plus vite des types
cliniques
aujourd'hui partout reconnus, comme l'acromé- g
nelongue a payé d'exemple en préconisant un procédé d'investigation
clinique
dont il a pu enregistrer les bienfaits et qui est
tion se fait sans effort du cada- vre au vivant, de l'anatomie à la
clinique
(PI. XIII à XVIII). Que semblable transition so
endant nier, nous le verrons, que si au point de vue étiologique et
clinique
de nombreux faits ont été apportés à l'appui de c
héoriques tirées de la pathologie générale et d'après des analogies
cliniques
et surtout étiologiques que cette analogie anatom
iterons, qu'il existe des observations prouvant, que ces deux types
cliniques
peuvent se retrouver chez diverses personnes d'un
me et elles relèvent des mêmes processus anatomiques. Observation
clinique
. Bois..., âgé de 30 ans, entré à l'hospice de Bic
as il semble donc exister une concordance parfaite entre le tableau
clinique
particulier, donné par l'association aussi nette
ques ti- rées de la pathologie générale, appuyées sur l'observation
clinique
et l'étude anatomique,ont amené des tentatives
andes analogies, des identités même pourrait-on dire, étiologiques,
cliniques
et anatomiques. Strümpell (1), en 1884, frappé
s et anatomiques. Strümpell (1), en 1884, frappé par les caractères
cliniques
de certaine forme de l'hémiplégie cérébrale inf
gie cérébrale infantile, fut amené à penser qu'à ces particularités
cliniques
devait correspondre aussi un processus anatomi-
us généralisés qu'ils ne le sont ultérieurement. De ces analogies
cliniques
Strümpell fut amené à considérer sa variété d'h
ne motrice de l'encéphale est le siège de l'affection dans la forme
clinique
d'hémiplégie cérébrale infan- tile dont il est
stion, résiderait pour cet auteur non seulement dans les phénomènes
cliniques
(distribution de la paralysie, crises épileptifor
deux affections ; pour Pierre Marie l'analogie n'est pas seulement
clinique
(pour le mode de début et l'évolution), et anatom
brale infantile et précisément de la forme ayant les particularités
cliniques
déjà men- tionnées, et il propose le nom d'encé
si entre elles une analogie étiologique qui, avec les ressemblances
cliniques
de début et d'évolution relevées par Vizioli, S
en faveur de la doctrine de ces auteurs. Les liens étiologiques et
cliniques
de ces deux affections trouvent leur meilleure
nfirmation et dans les observations qui prouvent que ces deux types
cliniques
peuvent se retrouver chez diverses personnes de l
mes paralytiques qui chez deux d'en- tre eux affectèrent le tableau
clinique
de la paralysie spinale infantile, chez le troi
t pas d'une manière aussi frappante la juxta- position des tableaux
cliniques
, avec leurs caractères distinctifs si tran- ché
e faiblesse du réflexe rotulien gauche était la seule manifestation
clinique
de la poliomyélite. ' Dans le cas de Williams (
e paralysie cérébrale infantile, n'est pas seulement étiologique et
clinique
, mais aussi anatomique; la lésion primitive éta
hémorragique, analogue à celle de l'adulte, dont l'étiolo- gie, la
clinique
et l'anatomie pathologique nous est aujourd'hui c
localisés dans la zone motrice, auraient pu donner lieu au tableau
clinique
de la paralysie cérébrale infantile. Il est inu
analogue à celle de l'adulte. Il existe des rapports étiologiques,
cliniques
et anatomiques entre les diverses formes d'encé
ysie cérébrale infantile, des analogies étiologiques (infection) et
cliniques
(pour le début et révolution), qui trouvent leur
Professeur agrégé à la Faculté de médecine de Nancy, chargé de la
Clinique
des maladies des vieillards. OBSERVATION 1 (1)
araît pas douteuse, et cette affirmation est basée sur l'impression
clinique
que nous ont laissée toute une série de faits voi
s. Dans deux cas que nous avons eu l'occasion de suivre, l'as- pect
clinique
ressemblait vraiment beaucoup aux cas de trophoed
e absolument du trophoedèmes et par sa fuga- cité et par son aspect
clinique
, au moins dans un cas très remarquable, à local
lui-même périodique. (t) HAUSHALTEH, ETIENNE, L. SDLLMANN et Tmnx.
Cliniques
iconographiques, 1900, obs. 124, PI. 31, fig. 1
n 1891, alors que j'étais chargé de la consultation ex- terne de la
clinique
du professeur Heydenreich. , Observation II E
me chronique, en même temps que nous com- prenons ses ressemblances
cliniques
avec l'aspect des autres oedèmes chroniques, de
edèmes familiaux de Meige, le mécanisme d'établissement et l'aspect
clinique
sont assez semblables pour exiger que ces deux gr
E CONGÉNITAL (1) PAR E. LONG ' (de Genève). ' 1 L'observation
clinique
du cas sur lequel nous avons pu faire cet examen
sèques ; et nous rappelons que le Dr Rapin dit dans son observation
clinique
que la malade, lingère de profession, ma- niait
te sur coupes microscopiques sériées, présente un intérêt à la fois
clinique
et anatomique. L'intérêt clinique de ce cas,
, présente un intérêt à la fois clinique et anatomique. L'intérêt
clinique
de ce cas, dû à l'association très rare d'une par
pur.Nous chercherons à les faire ressortir à la suite de l'histoire
clinique
et de l'étude anatomique que nous allons exposer.
nique et de l'étude anatomique que nous allons exposer. Observation
CLINIQUE
. Moi...mécanicien, âgé de 57 ans,entre à l'hosp
profondes (3°, 4e, 5e couches). 196 ROSSI ET ROUSSY Résumé. 1°
Clinique
. - Chez un homme, syphilitique, âgé de 32 ans, es
r est avant tout intéressant pai reté. Si en effet les observations
cliniques
ou anatomo-cliniques ue syn- drome de Weber son
l'association morbide en question. Rudnieur (1) admet pour son cas
clinique
l'un ou l'autre de ces*méca- nismes pathogéniqu
e l'oblitération de l'artère cérébrale postérieure. Une observation
clinique
analogue a été rapportée par Joffroy (3) ; chez
uer l'hémianopsie à la lésion de la bandelette optique dans le fait
clinique
qu'il rapporte et dans lequel l'association morbi
e. Le manque de renseignements précis à ce sujet dans l'observation
clinique
est regrettable, car nous trouvons remplies dans
de la bandelette optique. De. même, il n'existe pas dans l'histoire
clinique
de notre malade de renseignements sur l'état de
dans la Revue de Médecine, j'ai exposé très sommairement les faits
cliniques
que j'ai constatés chez 260 scaphandriers malad
processus myélitique. L'examen de cinq moelles et l'étude des faits
cliniques
se trouvent en harmonie avec cette inter- préta
ux dans la substance même. Les lésions anatomiques et les symptômes
cliniques
nous prouvent qu'il s'agit de myélite chez les
it, les lésions médullaires passent à la sclérose, et les symptômes
cliniques
de la myé- lite aux symptômes de la paraplégie
profonds de la sensibilité objective. HOSPICE DE LA Salpêtrière
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX MYOPATHIE PSEUD
s a paru intéressant de revenir sur quelques points de son histoire
clinique
, en particulier d'insister sur les données que no
s apportons ici concerne un malade de 44 ans présentant le syndrome
clinique
d'infantilisme vrai, d'infantilisme thyroï- die
, n'était apparu aucun des caractères sexuels secondaires. L'examen
clinique
du malade ne permettant pas de déceler, par la pa
les colorations afin de pouvoir affirmer qu'elles n'existaient pas.
CLINIQUE
OPHTALMOLOGIQUE DE LA FACULTÉ DE BORDEAUX MYDRI
AUX MYDRIASE HYSTÉRIQUE PAR Ch. LAFON ET M. TEULIÈRES Chef de
clinique
, Interne des hôpitaux. Nous avons eu la bonne f
ion. Observation Albert R..., âgé de 34 ans, horloger, vient a la
clinique
le 19 mars 1907 pour une mydriase droite. Il
ns que dans les cas de mydriase paralytique. Ici encore, ce tableau
clinique
ne répond pas à celui que nous avons observé.
ous connaissons bien ces deux for- mes, que l'on observe souvent en
clinique
, et qu'il est facile d'étudier par l'expériment
TROPHIQUES INTENSES, par F. RAYMOND et P. LEJONNE Professeur de
Clinique
Chef de clinique des Maladies du Système Nerveu
ES, par F. RAYMOND et P. LEJONNE Professeur de Clinique Chef de
clinique
des Maladies du Système Nerveux à la Salpêtrièr
i accentuée; celle association fait le principal intérêt de l'étude
clinique
que nous entreprenons ici. ? Observation. ' L
s et de la corde vocale du même côté. En face d'un pareil tableau
clinique
, qui a évolué peu à peu, sournoi- sement, et a
des erreurs. Un point particulièrement intéressant dans le tableau
clinique
présenté par F..., c'est l'intensité des troubl
t articulaires qu'il faut faire jouer le prin- cipal rôle. L'examen
clinique
, confirmé par la radiographie, montre qu'il 1 n
une façon absolument rigoureuse à ce sujet (12), toutefois l'examen
clinique
combiné avec la radiographie nous donne des résul
ettent pas encore les recherches anatomiques entreprises jusqu'ici.
CLINIQUE
PSYOUATHIQUE DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS
intraventriculaire et veineux. Il n'est peut-être pas sans intérêt
clinique
de rappeler que le bras et la jambe droite du m
prosecteur provisoire à la Faculté. CHAPITRE PREMIER L'histoire
clinique
du sujet hémimèle dont nous publions ici la disse
e à l'Académie de médecine de Turin en 1905 (1). Voici l'histoire
clinique
de ce cas que nous devons à l'extrême obli- gea
lique à gauche. En présence de ces symptômes, on pose le diagnostic
clinique
de sténose du cardia, probablement de nature sp
omo-pathotogique, puisqu'elle échappe très facilement au diagnostic
clinique
. Seulement dans trois cas : cas de Haybaum, de
l'appui de l'examen radiologique. Nous retrouvons dans l'histoire
clinique
de ces trois cas les mêmes symptômes qu'on a co
l'hôpital, on aurait pu de cette façon compléter mieux son histoire
clinique
et tenter l'endoscopie de l'oesophage. De tou
cin de l'asile d'aliénés de Port-Arthur, actuellement Médecin de la
clinique
des maladies du système nerveux à ICie(f. A par
onne, que le cervelet sénile n'a pas à proprement parler d'histoire
clinique
, que son anatomie pathologique est à faire. San
. (2) Thomas, thèse de Paris, 1897 : Le cervelet, élude anatomique,
clinique
et ylzysiolo- gique, Ch. vi, p. 159, Observatio
tomique, clinique et ylzysiolo- gique, Ch. vi, p. 159, Observations
cliniques
, atrophie, sclérose. (3) LÉRI, loc. cit., p. 41
silaire rend difficile leur embolie.» Cependant Andral (5), dans sa
Clinique
médicale, développe treize observations de (1)
inique médicale, développe treize observations de (1) CATOLA, Etude
clinique
et anatomo-pathologique sur les lacunes de désint
ine de Bouchard et Brissaud, 2' édition, t. IX, p. 399. (5) ANDRAL,
Clinique
^ médicale, t. V, Maladies de l'encéphale. SUR L
e et l'étendue de ces lésions cérébelleuses dans le cas de syndrome
clinique
sénile, permettent de mieux comprendre sinon d'ex
bles de l'équilibration ne sont pas négligeables dans les symptômes
cliniques
de la sénilité cérébrale ; que les vertiges en fo
urs de l'encéphale, le cas se distingue par quelques particularités
cliniques
qui seront soulignées, chemin faisant. Bér...
nt il nous a été impos- ble de reconstituer entièrement l'évolution
clinique
,en raison de l'affaiblissement intellectuel de
pographie des lésions. Nous ne trouvons d'autres causes au syndrome
clinique
observé, que des lacunes de désintégration mult
ndrome pseudo-bulbaire sont céré- brales, et M. Raymond a, dans ses
Cliniques
(tome V, p. 332), publié une autopsie où les la
lbaire apoplectiforme : il existe, d'ailleurs, entre les deux types
cliniques
, de nombreuses formes intermédiaires. Du fait
d'interpréter la genèse de ce phénomène pathologique. OBSERVATION
CLINIQUE
. Dans les antécédents du malade, maçon de son é
ociété de Neurologie par MM. Raymond et G, Guillain (6), le tableau
clinique
était le suivant. Au bras droit il existait une
rmale et nullement désordonnée. Ainsi que le montrait déjà l'examen
clinique
, il s'agit ici d'un cas de syringomyélie classi
z notre malade en effet, de même que l'éruption dans cet autre type
clinique
, la teinte ecchymotique générale et surtout les p
asie est une affection aujourd'hui bien connue tant dans son aspect
clinique
que dans ses caractères anatomiques, grâce aux no
artie quelconque. Et il ne s'est fait aucune trépanation dans notre
clinique
, sans que nous utilisions, et avec les meilleur
r les défauts de cet appa- reil, particulièrement sensibles dans la
clinique
et qui rendent les recher- ches longues et minu
ative, l'emploi de l'encéphalomètre est absolument impossible. A la
clinique
ce défaut a une grande importance. Ces deux inc
à égale distance du front et de l'occiput. (2) Pour les travaux de
clinique
nous croyons qu'il est suffisant de se servir de
ré de la tête figurant comme élément presque essen- tiel du tableau
clinique
ne peut s'expliquer par une dystrophie du carti-
eaucoup écrit sur l'acromégalie, et nous possédons tellement de cas
cliniques
que la description d'un nouveau cas serait superf
ne pas formuler d'hypothèses ; il suffit de faire remarquer ce fait
clinique
insolite, lequel pourrait nous conduire à admettr
égalie et le gigantisme, rapports qui ont été établis par les faits
cliniques
et par les résultats de l'observation de l'anatom
lie, mérite d'être signalée ; elle contribue à compléter l'histoire
clinique
de la maladie de Pierre Marie. .SUR UN NOUVEAU
su conjonctif sous-cutané. Toutes ces formes représentent des types
cliniques
séparés, quoique liés par des cas de passage. M
hyroïde et son absence ou ses troubles nous expliqueront le tableau
clinique
complet ou à peu près de l'insuffisance thyroïdie
age opératoire ». LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL (HISTOIRE
clinique
ET thérapeutique). PAR HENRY MEIGE. Voici b
convulsifs reste encore entourée de difficultés. De nouveaux faits
cliniques
aideront peut-être à les résoudre, et, dans le
nt, dit-on, les meilleures ; et c'est vrai, même pour les histoires
cliniques
. Or, celle qui suit est longue, très longue Dan
que, dans le cas particulier, le malade a été un bon collaborateur
clinique
. Il a été enfin un collaborateur thérapeutique
s après la cessation de ce traitement. 16 décembre 1902. - Examen
clinique
. Au premier coup d'oeil le sterno-masloïdien dr
considérés, peut-être à tort, comme se- condaires. Une observation
clinique
ne doit pas se limiter à la recher- che et à l'
omène on a recours à des faits d'ordre physiologique, anatomique et
clinique
. MM. Bordier et Frenkel 14.j disent que dans un
le tronc du troisième nerf cérébral. On a rapporté aussi des cas
cliniques
pour confirmer ce qui avait été vu par Mendel.
héréditaire (5p1.),437. INFROIT, VOISIN et Macé de Lépinay. Élude
clinique
et radiographique d'un cas de dnostose cleïdo-c
11"III"e (1 pl.), 238. Voisin, Macé de 1 EPIN \ et Infroit. Etude
clinique
et radiogiaptiique il un cas de dysostose cleid
ar ANGLADE et Cal- mettes, 357. Dysostose cléido-crânienne (Etwle
clinique
el nariographrque) (4 pl.), par' Voisin, Macé
- LINIO, 431. TOI.a. ol" mental (les péripéties d'un). Histuire
clinique
et thérapeutique (3 fig.), par HENHY Meige, 461
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DR E LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX 4740. - Imprime
MoTTEnoz, directeurs. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA
AUL RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE ANCIEN CHEF DE
CLINIQUE
ALBERT LONDE GEORGES GUINON DIRECTEUR DU SERV
RT LONDE GEORGES GUINON DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHIQUE CHEF DE
CLINIQUE
PAUL BLOCQ. CHEF DES TRAVAUX ANATOMO-PATHOLOG
rvice de M. le professeur Charcot et ont fait l'objet de ses leçons
cliniques
. Le premier d'entre eux est un exemple typique de
les trophiques depuis que le malade est entré dans le service de la
Clinique
. Voici en quoi ils consistent : , Tous les mo
Cliiiiqlie des .. Ancien maladies du système nerveux. interne do la
Clinique
. RHUMATISME ARTICULAIRE. CHRONIQUE DÉFORMANT
us de l'os de la pommette. PAUL RICfIER Chef du laboratoire de la
Clinique
des maladies du système nerveux. CONTRIBUTION A
la Clinique des maladies du système nerveux. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES I L'existence
notre tâche en nous aidant de ses conseils dans ce travail fait à la
Clinique
des maladies du système nerveux. 28 NOUVELLE
4. Ormerod. British médical journal, décembre 1887, p. 1216. ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 29 Nous pourrions
oscillations lentes, dit encore textuellement : 1. Briquet. Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, p. 478. 2. Char
la Société médicalé des hôpitaux de Paris (12 avril 1889). ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 31 ce nous semble
sont très rapides, véritablement vibratoires. Entre ces deux ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 33 modalités extr
existe parmi les hystériques trembleurs un certain nombres de types
cliniques
assez bien tranchés. Nous essayerons de les met
t constater maintes fois chez quelques hystériques du service de la
Clinique
. Par contre, il y a des sujets chez lesquels ce
e qui- frappe dès l'abord. Qu'il soit debout ou assis, il est ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 35 agité d'une tr
Mais les malades ne sont nullement gênés dans l'accomplisse- ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 37 ment des autre
est pas le seul. Chez une hystérique dont l'observation a été ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 39 rapportée par
e do M. Londc, chef du laboratoire do photographie du service de la
Clinique
, qui a bien voulu nous prêter le concours préci
du serment) : oscillations de 9 à 1; ? par seconde (Hacq..) ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 41 l'attitude du
aralysie générale. Fie. 23. Trace VU. \Ial,mlie'Je Basedow. ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 43 contraire, dan
atre ans, chauffeur de locomotives, est entré dans le service de la
Clinique
le 17 avril 1889. Antécédents héréditaires. - L
ts dans les membres. A. DUTIL, (A suivre.) Ancien interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux. LA QUEUE DES
inions un peu particulières. Lorsqu'on les rencontre dans les faits
cliniques
, les auteurs, décrivant par exemple l'hystérie co
es Leçons sur les maladies du système nerveux, et dans ces archives
cliniques
incomparables qui s'appellent les Leçons du mar
aussi ces ecchymoses spontanées dont nous avons esquissé l'histoire
clinique
. Qu'on relise les épidémies de possession, chemin
d'une hystérie locale. Un exemple puisé dans nos observations de la
Clinique
rendra mieux notre pensée. Une grosse fille de
çons du mardi (loc. ci ? ), 1888-1889, p. 9.1, et ibid., p. 175. 2.
Clinique
médicale, t. 11, 1875, p. 3t : l. 72 NOUVELLE I
tat mental des hystériques. Gilles DE la TOURETTE, Anrien Chef de
clinique
des maladies du système nerveux. UN CAS DE CARC
e ce fait. M. le professeur Charcot a fait voir clans ses. leçons
cliniques
une colonne lombaire cancéreuse dont nous repro
ans, couturière, est entrée à la Salpêtrière dans le service de la
clinique
des maladies du système nerveux, le 1 février 189
dece cas,parun simple raisonnement. Quoi qu'il en soit, l'évolution
clinique
est ici bien caractéristique et ne permet point
et les tremblements sym- plomatiques, th. 1876. - P. Oulmont, Elude
clinique
sur l'athétose, titi. 1878. - P. Marie, Art. Hé
iculaires des fléchisseurs et des extenseurs CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite,) Vers
r droit. A l'exploration dynamométrique on obtient en effet : ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMI1LEMENTS HYSTÉRIQUES. 89' d'aslasie-ab
s subintrantes, quelquefois plus; elle apparaissent générale- ÉTUDE
CLiNIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 91 ment le soir,
7 août, attaque à 8 heures. Depuis son entrée dans le service de la
Clinique
, l'état du malade, en dépit du traitement auque
profession d'artiste dra- matique, est entré dans le service de la
Clinique
, le 10 mai 1889. Antécédents héréditaires. - Se
coup que quelque chose lui montait il la gorge, il étouffait. ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 93 Quelques insta
aujourd'hui « depuis huit mois ». A. Dutil, Ancien interne de la
Clinique
des maladies du système norvew. (A suivre.) U
es de Vienne et de Munich. GILLES DE la TOURNETTE, Ancien Chef de
clinique
des maladies du système nerveux. Le gérant : Em
ns laquelle M. le professeur Charcot présenta aux audi- teurs de la
Clinique
la malade qui fait l'objet de notre première ob
rcot. Trois d'entre elles ont été recueillies dans le service de la
Clinique
. Nous pouvons en conclure, en nous basant surto
mestique, est entrée le 7 août 1888, à la Sapêtrière, service de la
Clinique
des maladies du système nerveux. Antécédents
consultation de la Salpêtrière et fut admise dans le service de la
Clinique
. Actuellement, le phénomène prédominant est le
hystérique proprement dit. GILLES DE la TOURETTE, 11UET, GUINON,
Clinique
des maladies du système nerveux. UN CAS DE M T
ivi sont loin de répondre complètement, pour la plupart, au tableau
clinique
qu'en a tracé Kahlbaum lui- même, et l'on est e
e M..., dix-neuf ans, se présente à la con- sultation externe de la
Clinique
des maladies du système nerveux, avril 1890.
, âgée de trente ans, employée, se présente à la consultation de la
Clinique
des maladies du système nerveux, au mois de mai
PAUL SOLLIER, A. SOUQUES, Interna ah) Satpctriere. Interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux. MODIFICATION
0 mars 1889, un très grand nombre de malades se sont présentés à la
Clinique
des maladies du système nerveux pour être trait
nous avons déjà formulées. GILLES DE la TOURETTE, Ancien chef de
Clinique
des maladies du système nerveux. DEUX BAS-RELIE
s à la polynévrite qui revêtent jusqu'à un certain point l'appareil
clinique
de la paralysie spinale aiguë. D'autre part, il
naires. Le cas qu'on vient de lire est indiscutable au point de vue
clinique
comme au point de vue anatomique. L'existence e
es à gauche qu'à droite. Nous n'insisterons pas sur le diagnostic
clinique
à propos de cette observation. Il nous suffira
n fait resté jusqu'ici sans pareil, comme netteté dans l'expression
clinique
, et comme netteté dans les résultats fournis pa
tion qu'on va lire, est malheureusement incomplète, au point de vue
clinique
, mais elle ne laisse rien à désirer au point de
'observation qui suit a trait à une malade rencontrée par nous à la
clinique
de M. de Lapersonne à l'hôpital Saint-Sauveur (Se
revêtir alors une marche plus rapide. ' Dr IL SUR111ONT, Chef de
Clinique
à la Faculté de médecine de Lille. NOTE SUR LA
tions aucun rapport de cause à effet. - GEORGES Guinon, Chef de
clinique
des maladies du système nerveux. ÉTUDE PHYSIOLO
se de l'emphysème pulmonaire est en accord parfait avec les données
cliniques
, puisqu'une inspiration forcée, prolongée, peut L
affection du système nerveux, et les observations recueillies à la
Clinique
de la Salpêtrière que nous exposons dans le pré
NE. 187 point de vue anatomique qu'au point de vue expérimental. La
clinique
est du reste d'accord avec l'anatomie et l'expé
'étude des cas complexes, rappelons en quelques mots les caractères
cliniques
de l'ophthalmoplégie externe. D'ordinaire, les
r croit à une lésion centrale nucléaire. GEORGES GUIGNON, Chef de
clinique
à la Salpêtrière. (A suivre.) ENIILE PAHMENTÏ
dites, nous ne pouvons tirer un parti suffisant des quelques notes
cliniques
qui nous ont été remises sur la malade qui a fa
ABES ET DISSOCIATION SYRINGOMYÉLIQUE DE LA SENSIBILITÉ L'histoire
clinique
que nous rapportons est celle d'un malade atteint
question sans vouloir la résoudre. Er. PAUMENTIER, Interne de la
Clinique
des maladies du syslème nerveux NOTE SUR UN CAS
agnostic qui a été porté par M. le professeur Charcot dans la leçon
clinique
qu'il a consacrée à l'examen de cette malade et à
lhallllologilllte Chef de Clillit1110 des maladies nerveuses, de la
clinique
des maladies nerveuses. SUR DEUX CAS DE GUÉRISO
it soupçonner, rechercher et découvrir. M. Babinski alors chef de
clinique
à laSalpêtriére, ajoutant trois nou- velles obs
lle qu'il a constaté cette affection la première fois en 1878, à la
clinique
chirurgicale de Liège, qu'il en a vu à cette ép
décembre, le malade rentre à la Salpêtrière, dans le service de la
clinique
. Etat actuel. - Jeune homme de taille élevée (1
ré primitif. ' 1 Le 6 février 1890, il est renvoyé du service de la
clinique
pour cause de désordre dans la salle. Sa déviat
discuter. Nous avons hâte d'exposer brièvement quelques réflexions
cliniques
. L'observation I que nous avons rapportée avec
oratoire de M. le professeur Charcot - (Suite el fini) L'histoire
clinique
si soigneusement recueillie par M. le professeur
e. Rappelons que cet éminent clinicien fait reposer le dia- gnostic
clinique
de cette dernière forme sur les bases suivantes :
d'une myopa- thie primitive, au sens attribué à ce mot : l'histoire
clinique
, comme la distribution anatomique des lésions p
galement des cas présentant avec les premiers une certaine analogie
clinique
, et dans lesquels on ne peut déceler d'altérati
faits présentent-ils entre eux d'autres rapports que les analogies
cliniques
que nous avons signalées ? A cet égard, l'étude d
a été mise en évidence par un ensemble de faits d'ordre anatomique,
clinique
et expérimental. On sait, au point de vue anato
intéresse, que la participation des centres corticaux au complexus
clinique
a été attestée dans toutes les observations de
de quelques atrophies, d'autre part la constance des manifestations
cliniques
d'ordre cérébral dans le tableau de cette varié
2. En résumé : 1° Il existe des formes morbides dont l'expression
clinique
corres- pond exactement à la maladie décrite pa
raux dont la participation au processus est attestée par les signes
cliniques
jouent un rôle pathogène dans les cas de ce gen
n de cette rareté relative et surtout de certaines particu- larités
cliniques
intéressantes que nous rapportons l'observation q
dessins sont dus à l'obligeance de M. Escat, externe du service de la
Clinique
. Fie. ï 4. 284 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
on étiologie, de son siège, de son évolution et de ses carac- tères
cliniques
. Il y a vingt ans, premier accès éléphantiasiqu
édente a trait à un cas d'éléphantiasis intéressant au point de vue
clinique
. Comme dans de nombreux exemples, les condition
pèce de conclusion. . A. Souques, Interne (médaille d'or) de la
Clinique
des maladies du système nerveux. 1. Résilier, l
s son mémoire donne la suite de l'observation). La malade quitta la
clinique
médicale de Berne avec la mention « état absolu
S..., cocher, âgé de trente ans, se présente le G juillet 1803 il la
clinique
des Quinze-Vingts, l'oeil fixe, immobile, regar
Ce malade est nettement rhumatisant et a déjà les 1. Uuboys, Bull,
clinique
des Quinze-Xingls, 1883, p. 125. DE L'01'II'l'1
de la parole, gêne des mouvements de la langue. Elle est reçue à la
clinique
le G mai. Ptosis double accusé, moins cependa
les extenseurs des mains, faiblesse des jambes. La malade quitte la
clinique
. (.(Evidemment, elleest morte de paralysie bul-
s allons analyser de façon il bien mettre en lumière les caractères
cliniques
et différentiels de cette intéressante affectio
Travaux anatomo-pathologiquea Chef du Service photographique de la
Clinique
des maladies du système nerveux. NOUVELLE ICONO
r Gilles de la Tourette, Huet, Guinon, 97 (Contribution à l'étude
clinique
des trem- blements -), par A. Dutil, 27, 87.
COT l'UI31lCE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Mcmlire de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Sle- : lnne). F. RAYMOND Professeur de cli
cin de l'Asile clinique (Sle- : lnne). F. RAYMOND Professeur de
clinique
' des maladies du système nerveux à la Facu
s. 1895 Vol. XXIX. Janvier 1895. ? 95. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE
s névroses vaso-motrices des extrémités. Archives, t. XXIX. - 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. A. IL EST CERTAINE FORME DE MALADIE D
Sous l'influence des disputes qui se répétaient entre elle et son 4
CLINIQUE
NERVEUSE. mari, son caractère impressionnable s
accomplit bien. Il existe quelques craquements dans les genoux. 6
CLINIQUE
NERVEUSE. Réflectivité. Les réflexes patellaire
La première séance eut lieu le 1er avril ; les séances d'abord 8
CLINIQUE
NERVEUSE. rapprochées, tous les jours ou tous l
rise le plus souvent de syncope locale, rarement d'asphyxie. , 10
CLINIQUE
NERVEUSE. En outre, à l'état de veille, la mala
rendues régulières des menstrues revenant 2 fois par mois.... 12
CLINIQUE
NERVEUSE. FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE.
phénomènes vaso-moteurs : sueurs abondantes, oedème de la face. 14
CLINIQUE
NERVEUSE. rie légère persistante. Les crises de
e Médecine, t. V, p. 510. 3 De Saint-Germain, th. Paris, 1893. 16
CLINIQUE
NERVEUSE. débute l'asphyxie locale des extrémit
tra inver- sement pendant l'hypnose. (À suiv ? ,e.) (A suivre.)
CLINIQUE
MENTALE. ASILE CLINIQUE (s AINTE- ANNE) . M. MA
t l'hypnose. (À suiv ? ,e.) (A suivre.) CLINIQUE MENTALE. ASILE
CLINIQUE
(s AINTE- ANNE) . M. MAGNAN. DES DÉLIRES SYSTÉM
rs, Deux malades vont nous permettre de donner une consécra- tion
clinique
à cette esquisse didactique de la période des g
Leçon recueillie par M. le D' Pécharman. Archives, t. XXIX. 2 18
CLINIQUE
MENTALE.. plus en plus étroite : Spirites ; mar
litière. Elle est la victime de l'optimisme et il y a des opli- 20
CLINIQUE
MENTALE. mistes partout; elle se plaint de faib
e charbonnière avec une sorte de fronde qu'elle a fabriquée avec 22
CLINIQUE
MENTALE. un fragment d'obus; elle gifle des gam
la ses idées de vengeance; dès qu'elle sera proclamée, elle fera 24
CLINIQUE
MENTALE. passer la loi sur le divorce; fatiguée
alorische Verivirrlheit) ' Voir Archives de Neurologie, n" 94. 26
CLINIQUE
MENTALE. présenteavec la primoere Yerrücktlteit
r par des allégories les sensations morbides qu'ils éprouvent. 28
CLINIQUE
MENTALE. La Paranoia, au contraire, toujours d'
de même que dans le délire systématique chronique, il s'effec- 30
CLINIQUE
MENTALE. tue souvent des rémissions et des exac
sonnalité, une interprétation pathologique et élaboration mor- 5
CLINIQUE
MENTALE. bide des impressions externes et inter
ons en s'appuyant à la fois sur l'anatomie normale et sur les faits
cliniques
dans lesquels il y a lésion limitée de la moelle
ier les contradictions qui existent encore entre les différents cas
cliniques
d'hémiopie pour établir le siège cortical exact d
ES. 51 d'idiots. Fritsch. Mélancolie irritable. DFSOELDEit. Etude
clinique
d'une observation de tumeur de la protubérance. L
dence de M. WERNicKE. ' M. Wernicke présente quatorze malades de sa
clinique
; les deux premiers constituent des exemples d'i
de compte an début cer- tains facteurs étiologiques. L'observation
clinique
nous montre, à mon sens, assez souvent l'additi
le Dr Magnan, médecin en chef du service de l'admission de l'asile
clinique
; M. Gérard, économe de l'asile de BULLETIN BIBL
195 Vol. XXIX.. Février 1895., > ? 96 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE QUELQUES OBSERVATIONS DU TROUBLE DE L
éd. des Hôpitaux, 17 novembre 1893. , . Archives, t. XXIX. 6 82 )
CLINIQUE
NERVEUSE. Observation I. Del..., soixante-sept
tense et le plus douloureux retentissement. Pendant quinze jours 84
CLINIQUE
NERVEUSE. après cette révolution, j'eus de viol
de cinq minutes de suite, et encore ne peut-il répéter cet exer- 86
CLINIQUE
NERVEUSE. cice plusieurs fois en un jour sans é
infiniment moins marqués que chez le sujet précédent : M. M... 88
CLINIQUE
NERVEUSE. était simplement contraint de se repo
s de la vascularisation cutanée prédominent beaucoup à gauche. 90
CLINIQUE
nerveuse. Atrophie de la cuisse et de la jambe
sta plus tard à nouveau, sous l'in- fluence d'un refroidissement.
CLINIQUE
MENTALE. LES DÉLIRES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉ
it, s'ap- peler de la confusion mentale. Meynert, dans ses leçons
cliniques
sur la psychiatrie (en '1890) consacre au sujet
890) consacre au sujet qui nous occupe de longues pages d'a- nalyse
clinique
et théorique. Il prétend établir l'existence d'un
conscience, subit 1 Voir Archives de Neurologie, 11°' 91, Ou. 92
CLINIQUE
MENTALE. les perceptions sans les comprendre. L
cfa·onisc'e p ? ,imoe7,e Verrücklheil), Meynert adopte les opinions
cliniques
deSnell, Sanderet Westphal. Ici iln'y a pas d'a
préparation morale, ni sans réllexion préalables, il ne tend pas 94
CLINIQUE
MENTALE. à rien expliquer comme dans la mélanco
un produit du travail intellectuel, tombés en désuétude. Quand 96
CLINIQUE
MENTALE. l'obnubilation de la conscience est lé
issipe le plus souvent peu à peu. Elle se Archives, t. XXIX. 7 98
CLINIQUE
MENTALE. montre exclusivement chez les hérédita
tant, et c'est pourquoi les auteurs ont décrit des accès de ! 00
CLINIQUE
MENTALE. confusion mentale qu'ils ont divisés e
adie, sont éclairés par sa cause. L'intérêt n'est pas exclusivement
clinique
: La pathogé- nie de la maladie de Raynaud pour
eule cause visible des accidents céré- braux. D'après les symptômes
cliniques
on peut se demander si les malades succombèrent
WOOLICOMBE. (British Médical Journal, 23 juin 1884.) Observation
clinique
suivie d'autopsie avec examen histologique. La
Observation clinique suivie d'autopsie avec examen histologique. La
clinique
confirme les données déjà exposées sur le sujet p
ologie infectieuse DE L'HYSTÉRIE, par le professeur Grasset; leçons
cliniques
recueillies et publiées par le Dr GALAVIERLE. (
é et spé- cialement l'hérédité névropathique. En maintenant l'unité
clinique
de l'hystérie, on peut bien admettre des types
ant l'unité clinique de l'hystérie, on peut bien admettre des types
cliniques
divers. « Il est impossible de nier que l'hysté
t en s'aggravant et elle mourut dans l'espace de deux ans. L'aspect
clinique
était celui d'une sclérose combinée. Les lésion
st syphilitique. P. S. XXV. NÉVRITE diabétique avec UNE DESCRIPTION
CLINIQUE
ET ANAT0310- pathologique DE TROIS cas DE PSEUD
diabète insipide est rare chez les hystériques femmes. Le tableau
clinique
de la polyurie hystérique est d'une grande simp
e Morvan. Or, on voit que, même si on se place au seul point de vue
clinique
, l'identité n'est pas parfaite entre la maladie
SE. 133 ne fournit pas plus les éléments de certitude que refuse la
clinique
: le bacille de Hansen n'a pu être démontré dan
rmie, à la maladie de Raynaud; il s'agit de savoir si la similitude
clinique
doit, dès aujourd'hui, entraîner la notion d'iden
nelle, d'une hématomyélie. Au point de vue 134 SOCIÉTÉS savantes.
clinique
, il ne manquait aucun des symptômes de l'hématomy
s la paralysie générale. M. LEGR.11N. Il parait ressortir des faits
cliniques
que les ictus épileptiformes, dont l'esprit est
ent indiqué, mais nous avons aussi montré que, tant au point de vue
clinique
, qu'au point de vue théorique, il n'y avait pas
ire un groupe à part. Il y a au contraire entre les divers tableaux
cliniques
de la paranoïa des rapports étroits, d'ailleurs
confusion mentale. Il serait à désirer qu'on établit les élé- ments
cliniques
de ces deux formes. Le même travail est encor S
pour arriver à s'entendre, il faudrait étiqueter les obser- vations
cliniques
qui servent de canevas à la description d'ensembl
qui est le cas le plus fréquent) ou non. M. Cramer. Communication
clinique
. L'analgésie du cubital à la pression soit dans
résidence DE M. GERSTENBERG. M. Bruns. Présentations anatomiques et
cliniques
. - Voici d'abord une fillette de deux ans et de
les bien connaître. Mon éducation se fit d'abord bien plus par la
clinique
, par l'observation, que par la lecture des ouvrag
ar une curieuse coïncidence, elle donnait une sorte de consécration
clinique
aux travaux que notre ami Magnan poursuivait al
l'un avec les ressources du laboratoire, l'autre avec l'observation
clinique
, arrivaient au même résultat. A ce moment, M.
aractères d'aucune maladie mentale connue, n'ont pas d'analogues en
clinique
. Certains propos de l'inculpé pourraient faire
VI, interne des hôpitaux de Paris. ni. Y a-t-il au point de vue
clinique
dans la maladie de Ray- naud hystérique des car
ibreux périarticulaire et une rétraction tendineuse. Si les faits
cliniques
indiscutables ne sont pas assez nom- breux pour
aensc., 1892. l'ixarsewsky. Gazella Lekai,ska, 1891. Féré, etc. '
Clinique
des maladies du système nerveux, t. I, 1892. '
s, ce ne sont pas des individualités propres, mais la signification
clinique
d'un grand nombre d'états patholo- giques susce
r la cause immédiate de l'affec- tion et de procurer la guérison.
CLINIQUE
MENTALE. LES DÉLIRES PLUS OU MOINS COHÉRENTS DÉ
imerait toute ' Voir Archives de Neurologie, n°' 94, 95, z. , 188
CLINIQUE
MENTALE. équivoque. Mais il nous paraît préféra
par M. Magnan concernant des faits exceptionnels (Christian) 190
CLINIQUE
MENTALE. C'est aussi l'avis de M. Bail qui crit
, qui doit être attribuée à l'épuisement rapide et brusque du 192
CLINIQUE
MENTALE. système nerveux central (très souvent
Amadei et Tonnini présentent la classification suivante : -. 194
CLINIQUE
MENTALE. ' DE LA PARANOÏA. 195 quant à la par
- tion satisfaisant par sa forme essentielle aux nécessités de la
clinique
. Le tableau de la classification nouvelle de M.
hamp ses manières de voir. ' Kours psichiatrii. Moscou, 1893. 196
CLINIQUE
MENTALE. PREMIÈRE CLASSE. DÉSORDRES PSYCHIQUE
PSYCHIQUES, SYMPTOMATIQUES ET ÉPHÉMÈRES. DE LA PARANOÏA. 197 198
CLINIQUE
MENTALE. - DE LA PARANOÏA. 199 Dans la grande
ciation d'idées incorrectes; il en résulte des assemblages sem- 200
CLINIQUE
MENTALE. blables à des idées fausses (superstit
omparaison DU béribéri avec LA névrite ALC00- LIQUE au POINT DE vue
clinique
; par le Dr DE SACEUDA. La confusion entre la po
ces agents toxiques serait en rapport avec les diffé- rentes formes
cliniques
de la paralysie générale. Quant aux paralysies
nutrition de ces cellules et donne lieu à la production de composés
cliniques
qui jouent le rôle de véritables toxines. Dans
S'appuyant sur un certain nombre de considérations théoriques et
cliniques
, l'auteur établit dans cette note que, dans l'éta
es et dans les actes, agitation incessante, insomnie, le diagnostic
clinique
ne laissait pas que d'offrir de grandes difficu
rapports avec la folie n'avaient pas été établis par l'observation
clinique
, bien qu'il soit depuis longtemps démontré que
aractère moteur constituent le symptôme le plus saillant du tableau
clinique
et dirigent la scène pathologique. Ce sont ces
age à comprendre avec les agités les infirmes. M. ICItD;PELI1.-A la
clinique
deux quartiers de surveillance sont utilisés pe
que le médecin rompe avec l'apologie physiologique de l'alcool; la
clinique
psychiatrique nous apprend d'une façon indiscut
tômes, l'évolution psychologique (folie des négations) et la marche
clinique
. Dans un chapitre des plus intéressants, il en
s est un des rares aliénistes qui cherche, grâce aux lumières de la
clinique
, le mécanisme psycho- logique des délires. C'es
délirants est, du reste, expo- sée depuis longtemps dans les leçons
cliniques
de M. le professeur Pierret et dans les nombreu
asile de Saint-Robert); Charon (asile de Bailleul); Toulouse (asile
clinique
); Anglade (asile de Braqueville). M. le Dr KÉRA
endant il y a inversion des phosphates. (Analyse suivante). , 274
CLINIQUE
j MENTALE. se,présente,sous,forme d'un magma ou
- sième, quia pour caractère apparent une manifestation symp- 276
CLINIQUE
MENTALE. tomalique suraiguë.' Nous y rencontron
ons qui domine, et, avec elle, le plus ordinairement déjà, ij2.18 8
CLINIQUE
MENTALE. .,une incohérence obnubilant'la consci
li- '"miner'la notion du délire chronique de Magnan ? " " ' ' 280
CLINIQUE
MENTALE. .L'étude de la bibliographie démontre
ême à une période avancée, fort avancée, de celle-ci; en pareil 2 8
CLINIQUE
''MENTALE. cas, la' confusion"" mentale- revêt
en effet que, pour établir les dénomi- nations et fixer les entités
cliniques
, les auteurs s'appuient, qui sur l'association
tomatologie correspo,ndant,à,,la,,vâriété.desllésiols., Depuis, 284
CLINIQUE
mentale. on a pu déterminer cliniquement et mic
noïa, de même que de celles de la manie et de la mélancolie. 386 t»
CLINIQUE
.} MENTALE.* r De même, également que les maladi
permanentes' et lucmatioiis.1'' ' '" '' "'constantes. ' ? '' 288
CLINIQUE
MENTALE. PARANOÏAS .mélancolie manie Fureur r
er l'état de la terminologie appuyée par le gros des considérations
cliniques
qui vont de pair avec les termes adoptés. Du
ussions, on ne tardera pas à s'apercevoir d'une certaine hésitation
clinique
. C'est cette même hésitation qui s'était déjà m
suivantes : PSYCHOSES FONCTIONNELLES SIMPLES. (3 GROUPES.) 290
CLINIQUE
MENTALE. BIBLIOGRAPHIE. «ESTPIL1L. Allgemeine
. - La Paranoia. Archives de Neurologie, 1887, p. 65. MoREL. Etudes
cliniques
, 1852. MOREL. Traité des maladies mentales, 186
1852. MOREL. Traité des maladies mentales, 1860. Fo1'ILLE. Elude
clinique
sur la folie avec prédominance de délire des gr
ues dans la démence paralytique; par le Dr Hoyt. , . r. Une étude
clinique
et auatomo-pathologique des troubles va : o- RE
entité morbide dans un système de classification basé sur les faits
cliniques
. (American journal of insanily, 1894.) E. L3 : i
ARCHIVES ' DE - NEUROLOGIE w j-j j"-i ; t ? , 1 .r ? Y, ? 4" - '
CLINIQUE
NERVEUSE' ! il, ' ' *' ;. ,o .. , ", UN CAS
efforts pour conserver et accroître là vieille réputation de'l'a
clinique
. " " " ' ul , " "l " ',l , , 1 1 Mon maître M.
n mot d'une hémia- nopsie hystérique. Archives, t. XXIX. 22 338
clinique
NERVEUSE. I. Ce symptôme aurait été signalé i
' Déjerine et Vialet. -Société de Biologie, 28 juillet 1894. 340
CLINIQUE
NERVEUSE. donc en opposition avec la plupart de
er des hémorragies utérines considérables au moment de '342 1 ? ( 1
CLINIQUE
NERVEUSE. ·E é,5 ? épôques. Inquiet de ces hémo
ais il faut le constater tel - . -1' 1 1 xi Fig. 1 ? . ",Il 344
CLINIQUE
NERVEUSE. qu'il est. Nous avons donc affaire à
e hypoesthésie. 3 r 9p3 ? r'· ? ^^a1ucs d'hjpcrcslhesic. n % 346 -
CLINIQUE
NERVEUSE. facilement que les sons très violents
ée fixe. (Revue philosophique, février 1894, p. 147.) 348 3ti, .,
CLINIQUE
NERVEUSE. ,, . de phénomènes oculairestrèsivari
hique; 1887, I, 467.) 3 Archives de Neurologie, mai 1892. 350 ' '
CLINIQUE
NERVEUSE. ' -- pour déterminer définitivement l
champ t isuc) subconscient. .. (T < fn ? . -1 v 1.1 1 -1 352 '
CLINIQUE
NERVEUSE. ' gulier qui préside à sa-1 formation
champ visuel pour la couleur rouge. YÎ111 a ? t t ' i . * 354 fl
CLINIQUE
, NERVEUSE. » , raître, telle., personne,, tel ,
ait de la suggestion et de l'idée fixe. Depuis que l'on examine 358
CLINIQUE
NERVEUSE. l'hémiopie de Justine, il me semble q
peuvent»; cependant servir.bien, que leur précision suffisante. en
clinique
ne soit,pas w ',1U^| J X ? ? p· · r uc *v.'x "&
poussées et arriver à cette même démence terminale; mais ce tableau
clinique
du tabès spasmo- dique, de la diplégie cérébral
. 377 évidemment des spasmodiques au plus haut degré; leur aspect
clinique
tout à fait frappant et caractéristique fait pens
la Salpêtrière le 19 janvier 1894, ont montré des cas où le tableau
clinique
de la diplégie cérébrale apparaissait tardiveme
E MENTALE. . La moelle entière fut examinée ; d'après les symptômes
cliniques
et l'état de la capsule interne ainsi que des p
forme est liée à des hydro- pisies ventriculaires. Au point de vu--
clinique
je crois qu'on peut faire le diagnostic de l'ét
ES. M. LIEBiANN. Cleorée et aliénation mentale. M. TnoMSEN. Elude
clinique
sur l'obsession. Cinq observations montrent que
avaux publiés en Allemagne et dans les autres pays. C'est une étude
clinique
des plus complètes ; elle contribuera à dissipe
tômes fondamentaux et des symptômes secondaires dont la description
clinique
, dit Ziehen (Nezar. Centrnlbl., 15 mars 1895) con
'ellesuccède à l'épi- lepsie, le saturnisme, etc... Au point de vue
clinique
, cette dis- tinction nous paraît d'une importan
és, tantôt, c'est le trouble mental qui prédomine dans le tableau
clinique
, la confusion ou le ralentissement intellectuel e
ivre du Dr Chaslin est une monographie très com- plète et une étude
clinique
très approfondie, édifiée sur de nom- breux doc
des asiles de Bicêtre et de la Salpêtrière depuis 1878 ; a l'asile
Clinique
depuis 1882, et des écoles dans les trois autres
ourd'hui, et qui compte de nombreux défenseurs. Du reste, les faits
cliniques
et l'étude de l'hérédité ne peuvent guère laiss
t organe; l'appétit disparaît, la bouche est amère et pâteuse. La
clinique
nous montre que bientôt les manifestattons convul
ie parue dans les Archives d'électricité médicale expérimentales et
cliniques
et intitulée : La Résistance des nerfs et leur
, 17 mai 1894). ' Archives d'électricité médicale expérimentales et
cliniques
, n° 24, déc. 1874. REVUE d'électrothérapie. 4
'auto-conduction décrite par M. d'Arsonval. Voici leurs conclusions
cliniques
qui viennent con- firmer les découvertes du sav
. A ce résultat, n'ont pas peu contribué, depuis 1860, les cours et
cliniques
psychiatriques orga- nisés dans des universités
ns les uni- versités. C'est en 1859 que Balinski ouvrit la première
clinique
480 bibliographie. psychiatrique russe à l'ac
on de tous les cas, mais une hypothèse que justifient d'une part la
clinique
et l'expérimentation et d'autre part l'insuf- f
ntale ne peut pas être donnée expérimentalement, mais l'observation
clinique
nous donne les plus grandes présomptions; 5° ou
malades valides. M. Legrain parce qu'il n'apportait pas de preuves
cliniques
, n'a pas eu la bonne fortune de persuader ses c
tre de l'Intérieur, Signé : Leygues. Nouvelles constructions pour
cliniques
psychiatriques; par 13>ECEn. (Cenlralbl. f.
; par 13>ECEn. (Cenlralbl. f. Nervenheilk. N. F. V. 1894.) Une
clinique
doit : 1° traiter les cas récents; 2° surveiller
e de près l'agité comme s'il s'agissait d'un accouchement. En toute
clinique
, il faut un médecin par dix à douze malades. La
. En toute clinique, il faut un médecin par dix à douze malades. La
clinique
de Wurzbourg a pour qua- rante à soixante malad
ARIA. DE QUELQUES QUESTIONS d'organisation ET DE construction DES
cliniques
psychiatriques ; par Riéger. (Centralbl. f. Nerve
I. La question préjudicielle' est la question d'argent. Pour qu'une
clinique
ait beaucoup de malades, il faut que ce soit l'Et
e budget de l'enseignement. Il n'est pas bon que le directeur de la
clinique
c'est-à-dire le pro- fesseur ait de vastes char
ment scientifique, partout. Aussi l'Etat doit-il venir en aide à la
clinique
qui servira, par un juste retour, à l'examen de
lar Réânier, 380; - et aliénation mentale, par Lieb- mann, 402.
Cliniques
psychiatriques, par Rie- ger, 495. Colonie de
Derode, 201. Obsessions, théorie des , par Grashey, 39,ï; étude
clinique
de l' -, par Tlomson, 102. OEdème angionervou
TIQUE NEUROLOGIQUE 1 COLLABORATEURS D' O, CROUPON, ancien chef de
clinique
de la Faculté. D' G. DELAMARE, ancien préparate
taux.. - .. D' Et HUET, chef du laboratoire d'électrothérapie de la
clinique
des maladies nerveuses à la Salpêtrière. D''
didactiques de Neurologie, elles ne reproduisent réellement pas la
clinique
elle-même, avec toutes ses surprises, avec l'infi
pour lui- même, ainsi que pour la place qu'il tient dans le tableau
clinique
de telle ou telle affection; et par cela même i
telle espèce botanique. Les choses vont quelque peu différemment en
clinique
; il n'existe pas encore de machine dont on puis
t celte conception a été exécutée. Voilà pour les méthodes d'examen
clinique
, tant au point de vue de la Neurologie générale
nts qui peuvent être utiles, non seulement pour poser le diagnostic
clinique
d'une maladie nerveuse, mais encore pour en pos
notions psychiatriques a* YIII PRÉFACE. indispensables pour la
clinique
journalière, et aussi tous les renseignements n
e. D'autre part, M. Huet, chef du service éfectrothérapique de la
Clinique
de la Salpêtrière, dans une importante contributi
tôme hémianopsie. Nous ver- rons ensuite quels sont les aspects
cliniques
variables de ce sym- ptôme suivant le siège
associés, peut, suivant le siège des lésions, présenter des aspects
cliniques
multiples. La nature, variable également, des l
produire est. elle aussi, susceptible d'apporter des modifications
cliniques
. II importe au plus haut point de les bien conn
volumi- neuses, à de gros tubercules, qui provoquent les symptômes
cliniques
de la tumeur cérébrale; elle peut aussi produir
rs à elle et en rechercher l'existence, non seulement par un examen
clinique
méticuleux du malade, mais encore par tous les
d'elles fait défaut dans le muscle paralysé (Voir à la suite Aspect
clinique
des paralysies) . Aspects cliniques suivant le
ralysé (Voir à la suite Aspect clinique des paralysies) . Aspects
cliniques
suivant le siège DE la lésion. Diagnostic du si
sont pas encore exactement déterminés; cependant, les constatations
cliniques
jointes à des recherches physiologiques ont per
s ou chute de la paupière supérieure se pré- sente sous des aspects
cliniques
variés, il peut être unilatéral ou bilaté- ral,
nes myopathies progressives (fig. 60). Diagnostic du siège. Aspects
cliniques
variables suivant le siège. Du mésocéphale à la
es fonctions de l'écorce cérébrale. Diagnostic de la cause. Aspects
cliniques
variables suivant la cause. - Étiologie. - Les
tinu dans certains cas, il est intermittent dans d'autres. L'aspect
clinique
du nystagmus nie semble trop variable pour que la
n motrice; les réflexes rotuliens disparais- sent. C'est le tableau
clinique
de la maladie de Friedreich. Le nystagmus de 1'
ets sécréteurs centrifuges. Mais c'est la une simple opinion que la
clinique
n'a point encore bien contrôlée. Elle est d'ail
des. degrés très divers, et il n'y a qu'une lointaine ressemblance
clinique
entre le malade qui ne se doute pas de sa surdi
aite ensemble est basée sur environ 70 cas auatomo-patboiogiques ou
cliniques
et sur 44 cas où il y eut intervention. Ce qui
l'l1l'r. On trouvera ailleurs l'analomic pathologique et l'histoire
clinique
de ces complications; rappelons seulement ici q
rél1exe passe par la moelle, par un centre réflexe otu-sltinal. En
clinique
, il n'est pas rare de voir une otite unilatéral
ques résultats intéressants, mais qui n'avaient pu pénétrer dans la
clinique
journalière. Il a donné lieu récem- ment à une
marquable rapport de Lannois et Chavanne (de Lyon) sur les « formes
cliniques
du syndrome de Ménière » ; cet important travail
émontré, par ses très intéressantes constatations expérimentales et
cliniques
, que cette der- 1. Bii31îsKi. Sur les mouvement
. 48. Vertige voltaïque (d'après Zimmern, Eléments d'.Éleél1'olhémpie
clinique
), a) Les deux pôles d'un appareil galvanique so
le pôle, négatif, ces deux actions s'additionnant dans la recherche
clinique
habi- tuelle, l'action répulsive du pôle négati
es expériences par les importantes remarques déjà faites par lui en
clinique
humaine, remar- ques qui ont donné aux modifica
ïque subit une perturbation analogue à celle qui a été constatée en
clinique
humaine. (Babinski. Soc. de hiot., H mars l ! )
vertige n'est qu'un élément accessoire dans l'ensemble 'du tableau
clinique
, de la maladie infectieuse. 4° Le vertige n'est
amphibologie n'est encore intervenue. D'autre part, au point de vue
clinique
, il n'est, aucun avantage à vouloir séparer les
état d'assoupissement spécial qui lui est consécutif. Description
clinique
de l'apoplexie. -L'apoplexie est un accident so
ue est. connue dans l'ictus laryngé, extrêmement brève. Description
clinique
du coma. Les pages précédentes où, dans une mêm
la sclérose en plaques. Ces troubles font aussi partie du syndrome
clinique
du pouls lent permanent. Enfin, la grande crise
point de départ. INSOMNIE L'insomnie présente plusieurs modalités
cliniques
: ou bien le som- meil larde à venir, ou bien l
degré plus ou moins accusé d'aphasie de Wernicke, réalise l'aspect
clinique
complexe du syndrome connu sous le nom d'aphasi
Ce mode d'investiga- tion des fonctions psychiques n'est nullement
clinique
. Ainsi que le dit- fort justement Séglas, comme
t. On étu- diera leurs écrits. Dans les laboratoires et élans les
cliniques
spéciales, on peut compléter 1 examen des alién
des aliénés est indispensable pour préciser le diagnostic des types
cliniques
en psychiatrie. Il est impossible, dans , LES A
es modalités de la conduite des aliénés, sur les différentes formes
cliniques
de la pathologie men- tale. - 1° Actes concer
ladies infectieuses intercurrentes donnent souvent peu de symptômes
cliniques
appréciables, elles restent latentes et les démen
ouvent un début. brusque et sont cura- bles. Elles se présentent en
clinique
sous différentes modalités. Dans l'amnésie syst
les idées obsédantes ou obsessions. Les obsessions se présentent en
clinique
avec des caractères très nets qui permettent to
ation ont, à cause de cet état démentiel et de l'amnésie, un aspect
clinique
spécial ; les déments séniles ont plus de sensi
s la mélancolie, sont alors sou- vent prédominantes dans le tableau
clinique
et réalisent une forme spé- ciale de cette affe
moyen âge des cas nombreux de démonopathie; aujourd'hui ces formes
cliniques
de la paranoïa sont beaucoup plus rares. Les th
IES par le D' CROUZON On désigne sous le nom d idiotie un tableau
clinique
caractérisé par un déficit ou une absence des f
us passerons ensuite en revue les variétés d'idioties basées sur la
clinique
, sur l'étiologie et i anatomie pathologique. Pa
e cardiaque congénitale; avec cyanose chez un idiot mongol (Société
clinique
de Londre's, avril - 1&98). , Variétés, d
s cas où la paralysie générale' infantile' a pu prendre les allures
cliniques
de l'idiotie. Tel est le cas de Toulouse et Mar
logique de l'étude de la sensibilité, comme méthode d'investigation
clinique
, se conçoit donc d'elle-même. L'apparition de n
es nerfs spécialement affectés aux sensations doloriques. Les faits
cliniques
de dissociation de la sensibilité observés chez
la moelle est loin cependant d'être absolue, et de nom- breux faits
cliniques
ou expérimentaux viennent l'infirmer. Aussi voyon
sensibilité générale n'ont de raison d'être que dans l'observation
clinique
. CHAPITRE I. z TROUBLES DE LA SENSIBILITE OBJ
UR LA RECHERCHE DES TROUBLES . DE LA SENSIBILITÉ . - La recherche
clinique
des troubles de la sensibilité, si facile qu'elle
ée. L'emploi de ces appareils est souvent inutile, dans nn examen
clinique
; il est préférable de se contenter des résulta
vé. La recherche des cercles de. Weber a une grande importance en
clinique
; elle permet, dans les cas ou les sensibilités
prix élevé l'ont qu'ils ne sont guère employés dans les recherches
cliniques
courantes. Dans certaines affections du système
perçues séparément. Aussi est-il naturel que lors- qu'on observe en
clinique
la prolongation des sensations, on doive éga- l
Moiclioukovsky. leclttercw, etc.), dont l'usage est peu fréquent en
clinique
. Lorsqu on constate en une région du corps une
on ettem intensité avec les troubles tactiles. Il arrive parfois en
clinique
, dans la syringomyélie par exemple, (pie la sen
e pour les autres sensibilités superficielles, on peut observer, en
clinique
, soit de la diminution (tlterlno-hypoesthésie), s
ait à souhaiter qu'il fùt plus souvent employé dans' les recherches
cliniques
/ Dans les cas d'analgésie, la sensibilité élect
ement due il la sensibilité articulaire. Il n'existe pas de moyen
clinique
pour étudier isolément la sensibilité articulai
; elle s'observe dans les névrites. D'autres fois, au contraire, en
clinique
on peut rencontrer de t'anesthesic des troncs ner
t à fait indépendant. 11 est arrivé à ce résultat par l'observation
clinique
en constatant chez un certain nombre de malades
distinctes de sensibilité qui peuvent être nettement dissociées en
clinique
. Pour Strümpell, la sensi- bilité à la pression
égion à explorer; cette méthode élémentaire suffit ordinairement en
clinique
. Pour obtenir plus de précision, on se sert d'a
tions chirurgicales. L'application de la sensibilité osseuse à la
clinique
est de notion récente (Egger, '189') : -. Dej
de la sensibilité osseuse ou vibratoire s'observent fréquemment en
clinique
; tantôt elles marchent de pair avec les troubl
le terme de sens, musculaire reste le plus communément employé en -
clinique
, et sous ce nom on doit comprendre les quatre n
tre ces sensations locales. On recherche la notion de position en
clinique
, en faisant fermer les yeux aux malades et en i
ont guère susceptibles d'être appréciées par les moyens employés en
clinique
. Par contre la notion du poids est, facile à étud
es en foyer. Séméiologie. La perte du sens musculaire accompagne en
clinique
la perte des sensibilités profondes (articulair
s ce sens que le terme de sens stéréognostique doit être employé en
clinique
. Certains auteurs cependant, considérant avec l
ment une division aussi schématique est difficilement applicable en
clinique
, d'autant plus que l'on peut ad- mettre que Y a
description des altérations sensitives que l'on peut rencontrer en
clinique
au cours des différentes affections du svstème
udier les altérations sensitives susceptibles d'être rencontrées en
clinique
: '1" dans les affections de ['encéphale (hémi-
plus admise au- jourd'hui, et cela pour les raisons anatomiques et
cliniques
suivantes : 1° La participation des sens spécia
t carrefour sensitif devait être abandonnée; il existe en effet, en
clinique
, des cas de lésions du segment postérieur de la
encore fort mal connues. L'hémianesthésie thalamique présente, en
clinique
, très sensiblement les mêmes caractères que les
organique à type cérébral (corticale ou centrale) offre souvent en
clinique
de grosses difficultés; celles-ci s'expliquent
anesthésie d'origine protubérantielle l'ait enfin partie du tableau
clinique
du « syndrome prolubéranliel supérieur » de Raymo
otilité. L'hémiplégie sensitive spinale ne revêt pas fréquemment en
clinique
une disposition topographique aussi schématique
qu'à celles de la moelle épinière, mais comme le plus sou- vent, en
clinique
, lésions médullaires et radiculaires marchent de
ent ils existent seuls (paralysie radi- culaire sensitive pure). La
clinique
montre que, s'il est possible de conslater des
racines soient prises en même temps et constituent ainsi des types
cliniques
reconnus aujour- d'hui comme classiques. I. P
uniradiculaire. Les paralysies com- plexes sont très fréquentes en
clinique
; l'anesthésie, de même que la paralysie motric
paralysies radiculaires du plexus lombaire, ou sacré s'observent en
clinique
, soit à la suite de violents traumatismes porta
onné ' [ROUSSY.] : 540 - ' ' - . ? . SÉNStBmiTE. .; ? : ' "' en
clinique
par une lésion intéressant. les segments, de la m
ns la sé- méiotogie de la sensibilité. Mais il faut remarquer qu'en
clinique
les para- lysies radiculaires sensitives 100ubo
ntéressée ? 3° Racines et moelle sont -elles prises ensemble ? En
clinique
, la solution de ces différents problèmes est loin
aractérisées par la dégénérescence des éléments nerveux. - Formes
cliniques
. De même que pour les névrites, on peut classer
liniques. De même que pour les névrites, on peut classer les formes
cliniques
des radiculites, suivant leur topographie régiona
c et le traitement est incontestable. Valeur séméiologique. L'étude
clinique
des radiculites est impor- [ROUSSY.] 54G " ..
raphiques %de troubles sensitifs susceptibles d'être rencontrées en
clinique
, suivant que tel ou telnerf crânien ou rachidien
elèvent dune lésion organique du système nerveux. Ils revê- tent en
clinique
des caractères particuliers qui permettent de fai
naître enfin les TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 557 signes
cliniques
particuliers aux troubles sensitifs hystériques,
? ïcs</tës ! e. C'est elle qu'on observe le plus fréquemment en
clinique
. Les troubles moteurs affectent le plus habitue
statation de ces laits pourrait avoir des applications pratiques en
clinique
et constituerait une méthode qui servirait à déte
tômes sensitifs ou moteurs, elles concourent à compléter le tableau
clinique
d'un grand nombre d'affections du système nerve
dans un grand nombre d'affections; aussi sa valeur séméiologique en
clinique
est-elle grande. Nous n'avons il envisager ici
. En se basant sur leur nature pathogénique et sur leurs caractères
cliniques
, on peut les diviser en deux groupes distincts
courent à orienter dans une direction déterminée les investigations
cliniques
. Nous ne faisons ([ne signaler ici, pour les él
aud, les dysesthésies prennent une place importante dans le tableau
clinique
; elles sont ordinairement le [ROUSSY.] fit.47
uses ou toxiques; dans les névralgies. Elles font partie du tableau
clinique
de l'affection dite méralgie paresthésique (Roth)
s névralgies ne constituent pas des maladies; ce sont des syndromes
cliniques
caractérisés par des douleurs continues et paroxy
issent avoir sur les nerfs une action susceptible de se traduire en
clinique
par le syndrome névralgie. - le donnerai plus l
ar le syndrome névralgie. - le donnerai plus loin quelques tableaux
cliniques
schématiques des névralgies les plus fréquemmen
ption répond plus souvent à un schéma anatomique qu'à 1 une réalité
clinique
. Les troubles de la sensibilité objective, obse
. NOSOQRAPHIE SCHÉMATIQUE DES PRINCIPALES NÉVRALGIES OBSERVÉES EN
CLINIQUE
NÉVRALGIE DU TRIJUMEAU La névralgie du trijum
l'qupnoe du zona dans la névralgie intercostale. Parmi les variétés
cliniques
des névralgies intercostales, on peut citer Yép
ilr'o-scrotale; il faut dans cette affection distinguer deux formes
cliniques
: tantôt il s'agit d'une névralgie des branches
scrotales ou labiales, des névralgies fmo-perïa/cs. Dans une forme
clinique
spéciale ces névral- gies génitales sont accomp
se fatigue très facilement. On a opposé l'une à l'autre deux formes
cliniques
: la sciatique- névralgie et la sciatique-névri
nerf de la troisième paire du côté de l'hëmicrànie, c'est la forme
clinique
encore appelée; paralysie oculo-motrice périodi
ur les détails du traitement de chacune des névralgies observées en
clinique
. Les résul- tais du traitement des névralgies p
embres supérieurs. Nous examinerons les réflexes les plus usuels en
clinique
, et nous prendrons connue type de notre descripti
XES DANS LES MALADIES A) Abolition des réflexes. - Dans la pratique
clinique
, l'abo- lition des réflexes a une valeur bien d
nce qui contribue il donner a la maladie de hricclreicll cet aspect
clinique
singulier consistant dans une sorte de mélange
e diabétique, dans laquelle l'abolition des réflexes donne l'aspect
clinique
connu sous le nom de pseudo-tabes diabétique. C
r successivement la valeur semiologique de chacune de ces modalités
cliniques
. 1" Exagération des réflexes des membres inféri
calisée aux muscles fléchisseurs et au muscle pectine. Ce tableau
clinique
s'oppose à celui de la myélite transverse syphili
a neurologie et une des plus importantes acquisitions récentes delà
clinique
. Signe de l'éventail. Plusieurs années après la
t : 111. Hémiplégie cérébrale infantile. Au point de vue purement
clinique
, il y aurait lieu de distinguer Y hémiplégie ré
e dans celle des adultes, et elle lui parut avoir une signification
clinique
de même ordre que l'abduction réflexe. Phénom
membre inférieur et supérieur du côté gauche était le seul symptôme
clinique
, en l'absence de syphilis, le diagnostic de cet
phéno- mène n'a rien de constant. Paraplégie flasque. Le tableau
clinique
est ici tout différent de ce que nous avions re
ratique, on se gardera de vouloir les faire cadrer avec l'évolution
clinique
d'un malade étudié. La ponction lombaire ne déc
rvicale hYPl'1't¡,oplâqlll'. Cette affection présente un syn- drome
clinique
caractérisé par une tétraplégie. La paralysie est
0 f1'ro y . Nous sommes amenés ainsi il nous préoccuper du tableau
clinique
de la compression par tumeur intra-lnédallairc,
sensi- bilité. La syringomyélie proprement dite présente un tableau
clinique
des plus nets. Les membres inférieurs présenten
yélites syphilitiques. La syphilis médullaire présente des tableaux
cliniques
variables. Comme dans le mal de Pott, la moelle
tes transverses chroniques. Les types le plus souvent rencontrés en
clinique
sont du reste d'origine syphilitique, et l'on p
le diagnostic de polio- myélite ou de polynévrite. Un tel problème
clinique
est peu ardu sans doute en des cas aussi antino
e. Cette atrophie est et demeure une des principales manifestations
cliniques
de tout un groupe d'affections de causes diverses
issance véritable. On peut définir cette affection, au point de vue
clinique
, un tabès débutant dans le jeune âge; Du tab.es
s froid, luxa- tions, séquestres, etc. Dans la plupart des tableaux
cliniques
, il est le plus souvent difficile de préciser c
riétale ascendante à la zone motrice. De toutes ces constatations
cliniques
et expérimentales, il me semble résulter que l'
rase sa concep- tion des centres corticaux du cerveau : « De par la
clinique
et de parla physiologie les centres corticaux s
LAIRE MOTRICE Les lésions de la moelle se traduisent fréquemment eh
clinique
par le syndrome paraplégie dont les modalités c
équemment eh clinique par le syndrome paraplégie dont les modalités
cliniques
, différentes suivant la cause, l'étendue et la
mitées uniquement à un segment de membre. On ne rencontre jamais en
clinique
une atrophie , TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. 599 m
le Klumpkc a toujours vu la contraction du grand pectoral. Le cas
clinique
de Rose a la valeur aussi d'une véritable expérie
sies radiculaires du plexus brachial. Paris, 11)01). Il existe eu
clinique
trois variétés principales de paralysies radicu-
e brachial antérieur, le long supinateur. Presque toujours l'examen
clinique
et surtout l'examen électrique permettent de con-
radiculaire totale n'est pas la variété le plus souvent observée en
clinique
. Kilo est le plus f'réquem- ment consécutive il
segment inférieur du plexus. Ces paralysies sont très fréquentes en
clinique
, elles ne se prêtent pas à une description didact
ec facilité des paralysies du type e radiculaire. Quelques formes
cliniques
parmi les pai alysies radiculaires du plexus br
insi que les troubles des racines basses soient presque toujours en
clinique
moins prononcés, passagers et réparables. Dan
schématiques de paralysie motrice ne se rencontrent pas toujours en
clinique
, de même les types schématiques de paralysie se
que les troubles moteurs, ils sont moins durables. Ces faits que la
clinique
montre, nos expériences les expliquent. En effe
iques ont quitté la racine. Chez les enfants très jeunes l'examen
clinique
est difficile. C'est sur- tout en excitant la p
sensibilité que le diagnostic de ces para- lysies peut se faire on
clinique
. On trouvera daiis le tableau que j'ai reprodui
aloinistes, ne s'observe jamais; le syndrome hémiplégie traduit, en
clinique
les lésions même limitées de la capsule interne
RANIENS La paralysie faciale périphérique présente plusieurs formes
cliniques
dépendant du siège de la lésion. La paralysie f
a lésion siège au-dessus du ganglion géniculé on observe le tableau
clinique
précédent, il l'exception toutefois des trouble
iale a (rigore, qui est la forme la plus habituellement observée en
clinique
, il s'agit vraisemblablement d'une névrite infe
bulbaires. On pourrait d'ailleurs schématiser les différents types
cliniques
des paralysies de la branche motrice du trijume
rice du trijumeau, de même que l'on schématise les différents types
cliniques
des paralysies faciales et décrire ainsi des pa
as précisée, car la paralysie isolée de ce nerf ne s'observe pas en
clinique
, il est lésé en général en même temps que le pn
orable , la guérison complète survient toujours. Parmi les formes
cliniques
de la paralysie radiale, une des plus inté- res
lités à la douleur et au contact : témoins ces malades de certaines
cliniques
laryngologiques qui se laissent toucher sans di
LÉRI.] progressive comprend la pseudo-hypertrophie dans son tableau
clinique
ordinaire et dans sa dénomination même. Aussi,
ressive spinale, ne doit être admise que pour conserver un syndrome
clinique
, différencié seulement de la paralysie vraie pa
ration des paralysies et des amyotrophies d'origine spinale. FORMES
CLINIQUES
. - CLASSIFICATION - L'atrophie musculaire est u
moyens actuels d'investigation. Comme, d'autre part, aucun symptôme
clinique
ne permet d'affirmer avec certitude que les voi
dinairement, en myopalhiques, myélopathiques et neurotiques. FORMES
CLINIQUES
. CLASSIFICATION'. 665 Les diverses atrophies mu
s atrophies musculaires présentent des différences et des ensembles
cliniques
qui nous paraissent pouvoir servir de base à une
aire. L'amyotrophie progressive de l'adulte peut être le seul signe
clinique
d'une maladie, ces cas sont tout il fait except
is une entité morbide compacte et indi- vise ; c'était l'expression
clinique
de l'inflammation systématique des cornes antér
rvé un cas où les muscles respirateurs ont paru atteints à l'examen
clinique
, mais Landouzy et Dejerine font des réserves sur
OPUIE CIIARCO'I'-11AII11 ? gaz Variétés. Les signes différentiels
cliniques
de l'atrophie Charcot-Marie et de l'atrophie We
tait qu'une variété de l'amyotrophie Charcot- Marie : les symptômes
cliniques
que nous venons d'énumérer sont am- plement suf
e plus souvent l'amyotrophie n'est qu'un symp- tôme dans un tableau
clinique
: les signes associés montrent que d'autres par
déterminer parfois de véritables mouvements involontaires. L'examen
clinique
ne révèle, à aucun moment de l'évolution, aucune
IIG\\I ? iIIAV. Le syndrome d'Aran-Duchenne l'ait partie du tableau
clinique
habituel de la sclérose latérale amyotrophique,
otre opinion (') a été basée sur plusieurs examens anatomiques et
cliniques
personnels et sur la lecture des observations a
à la séreuse méningée sa véritable importance.. Plusieurs signes
cliniques
différentiels avaient été donnés de la méningo-
nous croyons avec Pierre Marie que son existence en tant qu'entité
clinique
ne doit pas encore être acceptée sans quelques
si est-ce l'amyotrophie qui prend dans la sy, 1111) toiiit t ologie
clinique
l'importance prépondérante ; et, comme elle a t
ouvent comme une névrite généralisée; la similitude de ces tableaux
cliniques
, l'appareil fébrile ordinaire du début font pen
agit d'un nerf mixte) se paralysent, puis s'atrophient : le tableau
clinique
est complet en un ou deux mois. Plus rarement l
an-Duchenne chez lequel le traitement a confirmé la relation que la
clinique
tendait à établir entre la syphilis et l'amyotr
ttitudes vicieuses. [A. LÉRI.] TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS
CLINIQUES
DES ATROPHIES MUSCULAIRES I. ATROPHIES MUSCUL
as de troubles du développement. TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS
CLINIQUES
. 755 2. Variétés analomo- cliniques : . 1. Ty
LEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS CLINIQUES. 755 2. Variétés analomo-
cliniques
: . 1. Type Charcot-Marie : 2" enfance; début p
la diminution considérable de la contractilité musculaire. VARIÉTÉS
CLINIQUES
L'hypertrophie musculaire vraie est aussi rare
), toute une série de faits dissemblables tant parleur localisation
clinique
que par leur étiologie et leur pathogenic. Cert
ur que le muscle apparaisse clinique- ment hypertrophié : aussi, en
clinique
, l'hypertTophie musculaire préa- trophique est
Les indications histologiques que nous avons ajoutées à notre étude
clinique
nous ont semblé indispensables pour montrer ce qu
ppenheim, Brissaud, Dejerine; elle est ap- puyée sur les recherches
cliniques
et anatomo- pathologiques de ces auteurs et sur
des tabéti- ques ; nous étudierons ensuite rapidement les variétés
cliniques
que l'on peut observer suivant la cause et le s
fs périphériques : elles déterminent ainsi l'apparition de tableaux
cliniques
fort semblables au tabes et dont l'ataxie fait, p
ne provoquent pas d'ataxie ou que l'ataxie n'entre dans le tableau
clinique
que d'une façon tout à fait accessoire et minim
s); dans ce cas, les symptômes oculaires font défaut, et le tableau
clinique
évolue beaucoup plus rapidement que le tabes.
signe de Romberg, abolition des réflexes, qui réalisent un tableau
clinique
très semblable à celui du tabes : on admet géné
uide, se met il nager. L'Iiémiat;iYie ne fait pas partie du tableau
clinique
habituel de l'hémi- plégie cérébrale infantile;
raux, l'incoordination cérébelleuse se pré- sente sous deux aspects
cliniques
très différents : A) La titubation céré- helleu
ons à y revenir. Quant à la titubation elle-même, si ses caractères
cliniques
ont été parfaitement décrits par Duchenne de Bo
A. LÉRI.] 782 INCOORDINATIONS. TABLEAU DES CARACTÈRES ET VARIÉTÉS
CLINIQUES
DES INCOORDINATIONS 1 (Perte de l'harmonie en
e synergie des muscles des différents segments du corps. Variétés
cliniques
: a) Grande asynergie : démarche asynergiquc ty
aire; puis, groupant les signes mor- bides conformément aux données
cliniques
usuelles, nous décrirons les syndromes bulbaire
Cheyne-Stokes : cela est fort rare à la vérité. Évolution et formes
cliniques
. Certains malades présentent surtout des troubl
extension et sa systé- matisation justifient une individualisation
clinique
. Myasthénies épisodiques. -Nous rangerons dans
me banale) et hypertrophiques (forme Thom- sen). Toutes ces entités
cliniques
semblent être des variétés d'une ma- ladie cong
d -nombre de maladies, n'ont pas d'unité, complète dans leur allure
clinique
et empruntent divers caractères à leurs condition
ne thérapeutique d'urgence. A cet égard, des diffé- rences d'allure
clinique
, de pronostic et d'indications thérapeutiques n
ONVULSIVES. - 825 confirmée, on les reconnaît facilement aux signes
cliniques
concomitants, céphalalgie, contracture, strabis
onvulsives, l'épilepsic et l'hystérie, d'une série de circonstances
cliniques
où le praticien pourra être fort embarrassé. Da
gistrement du tremblement est le complément néces- saire de l'élude
clinique
qu'on en a fait; nous n'entrerons pas ici dans le
mblement hystérique a fait l'objet des éludes de Charcot (leçons de
clinique
). Il a fait l'objet d'une clinique de Rendu, et
des éludes de Charcot (leçons de clinique). Il a fait l'objet d'une
clinique
de Rendu, et enfin il est le sujet de la thèse in
pas aujourd'hui spécialement à telles ou telles de ces moda- lités
cliniques
, mais ne sert qu'à désigner le symptôme commun il
symptôme commun il toutes ces affections et d'autres particularités
cliniques
ont servi à diffé- rencier chacun des types mor
rcherons enfin à donner il chacune des chorées ses caractéristiques
cliniques
. Description. La chorée est caractérisée avant
anifester suivant les deux formes différentes, et les deux tableaux
cliniques
que nous venons de décrire, nous voulons parler
esi B,UiO.NrÇEIX. Société médicale des Hôpitaux, 1904. - DIEULAPOY.
Clinique
médicale de l'Hôtel-Dieu. LÉAuTlL Thèse de Pari
ce syndrome à sa véritable cause, et c'est par l'élude des tableaux
cliniques
qui vont suivre que l'on pourra faire cette dif
n. Diagnostic de la variété des chorées. La chorée varie d'aspect
clinique
suivant l'âge du sujet qui en est atteint, ou, po
cours de la chorée chronique et même peut la précéder. Le tableau
clinique
est celui d'une chorée, mais différente par les p
édité nerveuse que s'observent ces myoclonies, M. Ray- mond (Leçons
cliniques
, 1 rI' série) a montré que toutes les myoclonies
ainsi dire schématique. Nous aurons il tracer les caractéristiques
cliniques
des deux grandes variétés d athetose, nous voul
vons déjà signalées. Avant d'aborder la description de ces variétés
cliniques
, nous pouvons nous baser sur les caractères gén
lons cependant donner une rapide description de chacun de ces types
cliniques
. - 1. Athétose double. L'athétose double est li
uvements ; nous nous contenterons de décrire les principaux aspects
cliniques
qui se rencontrent dans t'athetose double. Le mal
ance; aussi, comme 1. BRISS,\VD. Tics et spasmes de la face. Leçons
cliniques
, 1895. 2. MEME et TcNn ? Les tics et leur trait
ue chez certains hystériques et idiots, ou bien ils forment un type
clinique
tout à fait spécial (« rythmies » de Cruchet).
t. lnrtAseT. Congrès de Grenoble, 1902. [A. LÉRI ] 886 VARIÉTÉS
CLINIQUES
. qu'ils sont ou paraissent plus ou moins volont
l'influence d'une altération accidentelle des neurones. VARIÉTÉS
CLINIQUES
Les variétés cliniques des tics s'étendent il l
tion accidentelle des neurones. VARIÉTÉS CLINIQUES Les variétés
cliniques
des tics s'étendent il l'infini et sont très souv
r altération des fonctions de succion, de [A. LÉRi.] 888 VARIÉTÉS
CLINIQUES
. mastication, de déglutition, de phonation, de
ychique. Il a relaté plusieurs cas de spasme du cou ayant un aspect
clinique
identique à celui du torticolis mental et dépenda
torticolis spasmodiques, d'après leur cause et d'après leur aspect
clinique
. Il distingue : des torticolis névralgiques et de
al périphérique post-piral y tique. Revive iieiii-ol., Idem. Formes
cliniques
des tics unilatéraux de la face. Congrès des alié
re préférable, il est le seul qui ne préjuge en rien ni de la forme
clinique
des troubles moteurs ni de leur pathogénie : or
aits aussi disparates dans leur pathogénie que dans leur expression
clinique
, il s'agit d'un syndrome aux limites encore peu
[A. LÉRI.] 'OO CRAMPES FONCTIONNELLES ET PROFESSIONNELLES. ÉTUDE
CLINIQUE
ET PATHOGÉNIQUE La « crampe des écrivains » est
de l'épaule, etc., rendront récriture tout aussi impossible' ÉTUDE
CLINIQUE
ET P : 1'l'110Gi;1(ltiF. 901 1 que celle des fl
e Bordeaux, 1 Uo;j. 5. Dkstaisac. lieu. neltl"ill.,1 (JO 1. ÉTUDE
CLINIQUE
ET PATIIOGÉNIQUE. 90 ? tic du pied. HaskovccC)
u professionnel. Aussi pensons-nous que si, dans ses manifestations
cliniques
multiples, la crampe des écrivains peut être tr
facilement par la suggestion, méritent une place à part. - ÉTUDE
CLINIQUE
ET PATHOGÉNIQUE. flou les cas, le pronostic et
ais ces cas sont encore d'ordinaire fort malaisés à différencier en
clinique
. B) Crampes professionnelles diverses. Les cram
très- variées; tout ce que nous venons de dire à propos de l'étude
clinique
et pathogénique de la crampe des écrivains s'ap
lade atteint de tabes que nous avons pris comme type de description
clinique
. C'est il Levden (18C5) et surtout il Frenkel (
une dys- trophie glandulaire, peut-être thyroïdienne ? Le tableau
clinique
de la maladie de Dercum est assez variable pour
de névralgie, vraie, par congestion intense de l'organe. Le tableau
clinique
n'est pas toujours aussi sombre, et on voit des
duites depuis Lallemand et Trousseau, elle repose sur une erreur de
clinique
; les corpuscules, le nuage floconneux ainsi déc
une syncope peut même survenir dans ces conditions. Le diagnostic
clinique
du symptôme est rarement facile. 11 est plus dé
insi une zone hystérogène à l'épigastre. Un certain nombre de types
cliniques
sont faciles à distinguer dans ce groupe. Le vo
onne et le pouls régulier. Dans certains cas au contraire, l'allure
clinique
est exagérée, l'allure trop tapageuse; un malad
a. Tympanite. - En général, le météorisme ne prend pas une allure
clinique
aussi aiguë que celle précédemment décrite, et le
t J.-Ch. Roux) chez lequel des phobies viennent aggraver le tableau
clinique
. Ce neurasthénique dégénéré, phobique, nous fourn
pures, sans phénomènes démentiels, tantôt il fait partie du tableau
clinique
d'une psychopathie. Gâtisme et maladies non d
e et maladies non démentielles. Le conta est à coup sur le syndrome
clinique
le plus fréquemment accompagné de gâtisme. Nous
toujours la simplicité [A LÉRI.] 1014 . SÉMÉIOLOGIE DE LA MAIN.
clinique
qui en permettrait un diagnostic immédiat : des d
ce relative de ces déformations complexes, il est souvent facile en
clinique
. jusqu'à une période plus ou moins tardive, de
es acromégaliques. 01 ! -observe d'ailleurs tous les intermédiaires
cliniques
entre le géant infantile dont le développement
t hippocratique. Bien qu'elles ne cons- iituent pas des entités
cliniques
, mais de sim- ples symptômes, cer- taines dif
x, qui peut présenter les mêmes déformations des mains à l'examen
clinique
, mais dont les déterminations étiologiques so
1. P. Marie et A. Liini. he rapport du Pr Teissier sur « les formes
cliniques
du rhumatisme chronique u. Congrès de médecine.
ou bleus des hystériques ne sont nullement un symptôme d'un entité
clinique
; ils sont toujours provoqués par des manoeuvre
é, on n'admet plus guère que la maladie de Morvan soit une entité
clinique
; les cas doivent en être répartis entre deux
e exagération des réflexes et une extension des orteils; le tableau
clinique
simule alors une sclérose latérale amyotrophiqu
d généralement aux autres segments du membre. L'ensemble du tableau
clinique
est très caracté- ristique. P ! I.\TlQUE : OE
combinaisons cli- niques principales. A. PIEDS-BOTS a) Variétés
cliniques
. Les pieds-bots sont congénitaux ou acquis; dan
es caractères différentiels de ces pieds-bols n'ont pas toujours en
clinique
une netteté absolue : ainsi, la plupart sont asse
tions fibreuses ou les déformations osseuses aient modifié l'aspect
clinique
. Les cas typiques s'observent dans les lésions
rmes, elles peuvent être très variées. [il. LERI.] ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
- par le Dr MOUTIER L'Anthropométrie est l'ét
ntre les chiffres précédents. ... ' Ce chapitre est essentiellement
clinique
. Nous ne nous occuperons que des mensurations l
ns encore un conseil important; un chiffre en soi ne ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. -1061 signifie rien, el cela parce que les var
de relever les dimensions des [F. JI1OUTIER] 1062 ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. membres, des diamètres transverses du thorax,
? Indice ('('1' 1 : 1 /(111(' = 15 ? 1.111.. lo3 ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. 10671 Ce chiffre : 2. Hi. qui est l'indice, n'
ogique de commencer l'étude suivante par l'examen du corps, mais en
clinique
, ce que le médecin désire mensurer le plus souv
chir au compas serré cette plus [F. MOUTIER.] 1064 ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. grande largeur-, et si la mensuration est bien
abaissé chez les infantiles. Mastoïdien et accru en ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. lOlï'3 même temps, il traduit ' un faible déve
des yeux (Manouvrier), . - [F. MOUTIER.] - 1066 . ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. - on met la branche supérieure bien horizontal
n classe comme suit les. sujets examinés. (Broca). ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. 1067 diminuer de deux unités les indices obt
e la taille les influencent fort peu. ' ' 1070 , ' ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. - repère, l'ongle marque la limite. On y place
loppement anormal des muscles masticateurs. fOi2 . ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. - , ' L'opération se résume alors en une addit
t pas la longueur réelle de l'os, mais Jbien la Ion- ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. 1075 gucur, les proportions des formes et des
ur des malléoles internes. 68 [F. MOUTIER.] 1074 ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. Les diamètres suivants sont à noter. 131-acr
iaque à l'autre, sur la lèvre externe de la crête. ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. 1075 Quant au D. bitrochantérien, il convient
cale de la toise. TRONC A TAILLE =100 (FHHË) J 07G ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. De l'examen de ces chiffres, on conclut que la
les D. thoraciques donnent, d'après Topinard : . .ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. 1077 7 Rapportés à la taille = 100, les diamèt
nous donnent (Bertillon), chez des hommes : . )078 ANTHROPOMÉTRIE
CLINIQUE
. H convient de noter le poids du sujet. On pe
aphie des articulations. ' GIGANTISME. 1051 Infantilisme. Le type
clinique
étudié se rencontre surtout chez l'iiomme. Nous
, des épiphyses. Quoi qu'il en .oi ? ke·aisté à coup sur deux types
cliniques
différents, et nous ne chercherons pas plus lon
nt la plagiocéphalie, l'ac1'o- et l'oxcéplzalie. (V. Anthropométrie
clinique
.) La micro- et Y hydrocéphalie .sont encore des t
ure et la taille, la jambe et l'avant-bras, etc. (Y. Anthropométrie
clinique
), les anomalies des aponévroses (Féré), du nomb
les dents sont retardées, la croissance est pénible et l'en- semble
clinique
se traduit par le mot infantilisme ; quelquefois
moins éloignés pendant plusieurs années; cela dépendra de la forme
clinique
et de l'évolution du cas observé. Le traitement
ts employés varieront suivant l'âge de l'enfant et suivant la forme
clinique
de la syphilis. Des recherches récentes sont
o-spinale. Méthode cryoscopique de Bard. -Bard a proposé un procédé
clinique
de détermination de l'isotonicité du liquide cé
ntité et de pression) peuvent être soupçonnées non seulement par la
clinique
(signes d'hypertension intra- cranienne) mais e
ndaires. le syndrome inflammatoire ressemble étrangement au tableau
clinique
de la maladie du sommeil qui, à côté de lésions
ite mor- bifique. Dans le dessein de serrer de plus près la réalité
clinique
, nous allons, maintenant, passer en revue les d
ylvienne et rhomboïdale; nous rechercherons s'il existe un syndrome
clinique
de l'épendymite médullaire et, après avoir consac
en tour), de cécité, de surdi-mutité, d'idiotie ('). Les symptômes
cliniques
imposent le diagnostic d'hydrocéphalie. La ponc
lIutcliinson : en l'absence de commémoratifs précis ou de stigmates
cliniques
nets, on ne manquera pas d'utiliser la réaction d
à démontrer la provenance épendymaire et à établir une distinction
clinique
entre cette hydrocéphalie et les autres hydrocé
ie. Lorsque le liquide ventriculaire est, malgré les pressentiments
cliniques
, rose, rouge ou ocreux et qu'il ne s'agit pas d
ux leucocytes poly et mononucléaires (Delamare et Merle). Rare en
clinique
humaine où l'on ne rencontre guère que des épen-
(Cushing et Sladen, Fischer). Épendymite pseudo-suppurative, à type
clinique
d'abcès cérébral. L'invasion est assez brutale
obiclue. On ne peut s'empêcher d'insister sur le singulier paradoxe
clinique
qui veut que certaines épendymites séreuses se
rois ou quatre mois et aboutit à une idiotie complète. Ce tableau
clinique
ne diffère de celui d'une méningite que par des
oscopie et par la cytologie du liquide céphalo-rachidien. Ce type
clinique
qui parait résulter plutôt des épendymites séreus
eil cas, se présente naturellement à l'esprit. * Ependymite à forme
clinique
de tumeur cérébrale.- Le syndrome pseudo-tumora
mois /après les premiers symptômes. 11 est probable que ce tableau
clinique
encore très rudimentaire ne manquera pas de se
que les épendymites suppurées peuvent donner naissance à un tableau
clinique
assez semblable. Le début, il est vrai, a été p
tance blanche sont susceptibles de donner naissance il un comptexus
clinique
analogue. La paraplégie de la dourine s'expliqu
l soit possible de leur attribuer, sans hésitation, une conséquence
clinique
aussi importante. Il est, par contre, possible
certains syndromes syringomyéliques sont véritablement l'expression
clinique
, tardive d'une hydromyélie toxi-infectieuse, lent
tres nerveux voisins et, par conséquent, présenter une physionomie-
clinique
différente suivant qu'elles sont céré- branles,
sèches SYNDROMES VENTRICULAIRES. Util peuvent avoir une histoire
clinique
, les épendymites cérébrales restent frustes ou
ux moyen d'investigation, susceptible non de suppléer au diagnostic
clinique
, mais de lui faire suite en le complétant. Les
ssus irradiés. 1 t I. RADIODIAGNOSTIC t (Emploi des rayons X en
clinique
neurologique). A. GÉNÉRALITÉS , 1" Classifica
ble dans ces différents cas pour permettre d'en faire le diagnostic
clinique
; la radio- graphie lui viendra puissamment en a
erveau : si le trait de fracture a été préalablement reconnu par la
clinique
ou par la radio- graphie et si son siège corres
abcès est, généralement trop volumineux déjà pour que le diagnostic
clinique
n ait encore pu être fait. La constatation de c
toutes les apparences d'un spina veutosa : récidive et même aspect
clinique
six mois après sur le 1° métatarsien ; récidive n
gnale de même une forme articulaire 1J\'l"labl;tiqup ayant l'aspect
clinique
de l'hydarthrose, un début brusque, et présenta
d'ailleurs, le radiodiagnostic ne fait que confirmer un diagnostic
clinique
.facile : il s'agit de déformations portant pri
ire ; à une polyarthrite, et présentant des analo- gies à la fois
cliniques
et radiologi- ques avec l'achondroplasie vraie.
NERVEUX par E. HUET ' Chef dit Service d'Élcclrothérapie de la
Clinique
des .Maladies du système nerveux a ta la Salpètii
eurs ou de piles. On pr ? ff¡ ? NI(;.lJ. les accumulateurs pour des
cliniques
ou pour des inst<d ! a<n)s< ? <jr'<
es constatations fournies par l'examen des malades. Au point de vue
clinique
nous aurons à distinguer la manière dont se compo
n de la DR qu'il est im- portant de connaître pour les applications
cliniques
. Période initiale de la DR. Avant d'aboutir à l
ésions plus ou moins prononcées des nerfs et qu'on peut observer en
clinique
dans certains cas, par exemple à la suite de lési
es de l'électro-diagnostic des autres données fournies par l'examen
clinique
, on peut souvent formuler un diagnostic précis.
erritoires nerveux périphériques atteints, et les autres conditions
cliniques
et étio- logiques doivent intervenir pour perme
tance du corps et en retirer les indications qu'elle peut donner en
clinique
, nous croyons important de chercher à se placer
vec les courants faradiques n'a-t-il pas été utilisé jusqu'alors en
clinique
. Modifications de la résistance galvanique dans
lire, troubles ataxo-adynann- ques, principalement, dans les formes
cliniques
dites cérébrales de ces maladies (lièvre typhoï
des dé- générés et aliénés, 1005. Anosmie, 148. Anthropométrie
clinique
, 1060. In- struments, 1061. Termes employés,
ie hystérique, traitement électrique 1551. Apoplexie. Description
clinique
, 177. et coma, I 77. - Diagnostic différentiel,
éfinition, 657. Signes, 658. Diagnostic différentiel, 661. Formes
cliniques
, classification, 662. Tableau de classification
eau de classification, 66-lui. Tableau des caractères et variétés
cliniques
des atrophies musculaires, 752. Traitement des
ude des nerfs périphériques, Il-) 72. 1572. . Coma. Description
clinique
, 182. Dia- gnostic différentiel, 185. Ponction
. - fonctionnelles el pro- /e.M : OK71e/M. Définition, 899. Étude
clinique
, 900. Diagnoslic avec les tics, 894. Traitement
ive à type d'abcès cérébral. pseudoméningilique, 1151·. - à forme
clinique
de tumeur cérébrale, 1155. I : pendymo-choroïdi
. d'origine vasculaire, 745. Tableau des caractères et va- riétés
cliniques
des hypertrophies mus- culaires, 749. Hypoaco
777. - dans les névroses, 781. Tableau des caractères et variétés
cliniques
des incoordinations, 782. - Traitement par la r
ification du diagnostic, 68. - Diagnostic du siège, 68. - Aspects
cliniques
suivant le siège de la lésion. Paralysie d'un m
omène des orteils, 452. - Examen du malade. Description et formes
cliniques
, 486. - Classification, 491. - Diagnostic diffé
raphie radicu- laire. Radiculites. Causes, 544. Lésions. Formes
cliniques
. Valeur séméiologique, 545. - Réaction de dégén
vue du pronostic, 12151. Radiodiagnostic. Emploi des rayons \ en
clinique
neurologique. Généralités. Classification des c
, Anatomie et Physiologie pathologiques, Séméiologie, Patho- logie,
Clinique
, Psychiatrie, Médecine légale, Thérapeutique) par
s fidèles et les plus perfectionnés. Sa collection de photographies
cliniques
et microscopiques est peut-être unique en son g
ences précises, mais ils peuvent être constatés par l'obser- vation
clinique
la plus simple. Les hystériques, marchent, cour
on sait, extrêmement contestables, mais de sim- ples constatations
cliniques
, les piqûres ne saignent pas, les pincements mê
méde- cins et les psychologues sur l'état mental des hystériques.
CLINIQUE
NERVEUSE, QUELQUES CONSIDERATIONS POUR UNE ÉTUD
voulu, il cette époque, me confier le soin de faire une étude 30
CLINIQUE
NERVEUSE. comparative des paralysies motrices o
paralysies motrices organiques, d'ailleurs généralement admises. La
clinique
nerveuse reconnaît deux sortes de para- lysies
s. » La différence essentielle de ces deux sortes de paralysies, en
clinique
, est la suivante : La paralysie périphéro-spina
brales par sa plus grande aptitude à la.dissociation, présente 32
CLINIQUE
NERVEUSE. cependant toujours le caractère d'une
que qui se rattache à la dernière. Bien que très importants dans la
clinique
, ces signes n'ont pas la portée théorique qu'il
a cuisse, de la jambe, etc., et on peut assez souvent retrouver, en
clinique
, ces paralysies isolées, en contradiction avec
nce, la jambe doit ètre traînée en masse. AucatvES, t. XXVI. 3 34
CLINIQUE
NERVEUSE. organique, elle reproduit l'aphasie m
ralysie hystérique peut, au contraire, fort bien réaliser, comme la
clinique
le montre chaque jour. Elle affecte par exemple
elle ténacité la sensibilité persiste en cas de lésion nerveuse. 36
CLINIQUE
NERVEUSE. Si. l'on sectionne un nerf périphériq
ie de projection et celle de représentation. De même, chaque détail
clinique
de la paralysie de représentation peut trouver
ersa nous pouvons déduire la construction du cerveau des caractères
cliniques
des paralysies. Nous croyons à un parallélisme
mon étude critique sur l'aphasie, parce qu'il ne s'agit pas de 38
CLINIQUE
NERVEUSE. centres séparés, mais d'un territoire
e. Les associations remarquables qu'on observe si souvent dans la
clinique
des paralysies corticales : aphasie motrice et
es fibres du nerf optique dans le chiasma; elle en est l'expression
clinique
, comme tous les détails des paralysies cérébral
omme tous les détails des paralysies cérébrales sont l'expres- sion
clinique
d'un fait anatomique. Comme il ne peut y avoir
it la vraie et comme elle trouve son expression dans les caractères
cliniques
des paralysies cérébrales, il est évidem- ment
niers numéros des Archives de Neurologie ; les paralysies hys- 40
CLINIQUE
NERVEUSE. tériques en donnent la preuve aussi b
ffective est effacée. Alors la conception du bras existe dans le 42
CLINIQUE
NERVEUSE. substratum matériel, mais elle n'est
st la seule théorie qui puisse correspondre en même temps aux faits
cliniques
et aux constatations anatomo-pathologiques. Qua
es de Neurologie. Revues analy- tiques, n° 66.) En résumé le type
clinique
de la maladie se compose ainsi qu'il suit : ver
con- sécutif du système artériel. J.-B. CHARCOT. XXI. Observation
CLINIQUE
ET ANATOMO-PATIJOLOGIQUE D'UN cas DE POLlOM1ÉL
e en photogravure : malheu- reusement il manque, dans l'observation
clinique
, quelques détails importants. L'autopsie et les
, Kojevnikof, Rossolimo et Korsakof qui, se basant sur l'expérience
clinique
, réfutent l'hypothèse du rapporteur et trou- ve
f. - BIBLIOGRAPHIE. I. Aliénation mentale syphilitique. - Leçoils
cliniques
, par Mairet. (Montpellier, 1893.) L'auteur di
'au terme folie. L'aliénation mentale syphilitique a pour critérium
clinique
les troubles moteurs et sensitifs de la syphili
on ou la situation politique et sociale, 1849 ; - De l'enseignemedt
clinique
dans les hôpitaux, 1858; De l'hallucination au
874 ; Du double caractère des phénomènes psy- chiques, 1877 ; De la
clinique
à domicile et de l'enseignement qui s'y rattach
des maladies mentales ayant pour double base la psycho- logie et la
clinique
, 1877 ; Distribution des prix à l'école des enf
LIOGRAPHIQUE. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Bourneville. - Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
s classiques de la sensibilité. Le diagnostic, égaré par un tableau
clinique
insolite, a mené à une intervention chirurgical
contracture généralisée ont emporté le malade. Les particularités
cliniques
et les résultats de l'examen ana- tomique, inté
xistence de l'une ou l'autre de ces affections parce que le tableau
clinique
que j'avais sous les yeux s'écartait par plusie
ne anomalie ou plutôt un symptôme qui ne rentre pas dans le tableau
clinique
, tel qu'on l'avait entrevu tout d'abord; je veu
ltats expérimentaux il faut mettre en parallèle ceux fournis par la
clinique
, qui sont plus en- courageants. La célèbre obse
plique la'parésie et la contracture intense qui a dominé le tableau
clinique
uri' moment donné. C'est cette con- tracture qu
ouva à l'autopsie les lésions de la syringomyélie ? Les seuls faits
cliniques
qui pendant la'vie avaient pu faire songer un "
deux' affections comme très' t voisines au fond, bien que d'aspect
clinique
un'peu" différent ? toute la différence se born
'une agraphie d'origine sensorielle,* caractérisée' au point de vue
clinique
par la perte de'tous les modes' de l'écriture e
"'lI (n ? f1 Í- ,(l'I(I') f . ri r I., CRANIECTOMIE LI"\IIl ? leçon
clinique
faite , à , l'hôpital du ,.conilà d'Arapahoe, l
iJ t . 1 , \ 1 -..., i , , ! ( j...., c J ' ' 'un' ' 'XlI'TRoÍs cas
cliniques
; par Clarke. 1 annn.t`a ·n --i ' " w I ifi il'
poir' d'amélioration.' 1\1 : Clarke 'publie à ce propos trois' cas'
cliniques
intéressants,'où le'résultat afété tout différe
ées sur l'anatomie, l'embryologie, la patho- logie et l'observation
clinique
, m'out convaincu que dans la microcé- phalie no
usqu'à la fin de l'année scolaire 1892-1893, aide du laboratoire de
clinique
des maladies mentales, en remplacement de M. Cham
ements suivants : Concours 1893-1895. Faire l'étude pathogénique et
clinique
des névroses traumatiques. Prix : 600 francs. C
cours 1891-4894 ? Prix fondé par un anonyme. Elucider par des faits
cliniques
, et au besoin par des expériences, la pathogénie
anc de port, au secrétariat de l'Académie, à Bruxelles. Chaire DE
clinique
des maladies mentales. La Faculté de méde- cine
en première ligne, notre ami M. Joffroy, agrégé, pour la chaire de
clinique
des maladies mentales laissée vacante parle déc
aste Renaudot. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BOURNEVILLE. 7{ec/Mrc/tM
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
9 celles qu'il a faites sur l'importance de la thermométrie dans la
clinique
des maladies des vieillards =, et faisons remar
là d'une branche des sciences médicales qui n'a pas l'attrait de la
clinique
, Lpar exemple, il sut attirer et retenir à son
il con- vient, quant à présent, de s'attacher à saisir les signes
cliniques
, les caractères physiologiques facilement ap- p
En 1882, le but poursuivi par le Maître est réalisé. Une chaire de
clinique
des maladies nerveuses est créée pour lui, à la
vroses et que, là aussi, on peut chercher à compléter l'observation
clinique
en pensant anatomiquement et physiologiquement
elle épinière, d'autres travaux sur l'aphasie au point de vue de la
clinique
et de la psychologie physiologique, sur l'layst
malades, de séméiologie et de diagnostic ', et les deux volumes. de
Clinique
des mala- dies du système nerveux qui réunissen
scienti- fiques ». Ajoutons enfin que la plupart de ses leçons de
clinique
se terminent par un exposé du traitement'. M. C
liés dans les autres journaux. Revue de médecine : Étude antique et
clinique
de la doctrine des localisations motrices dans
on artérielle probablement d'origine syphilitique (1891) ; Formes
cliniques
des névrites périphériques (1892). Tribune médi
ology and Electricity », en 1874 ; Membre honoraire de la Société
clinique
de Londres, en 1874; Membre correspondant de la
nus par ces aliénistes, car ce mémoire est un travail exclusivement
clinique
destiné à faire connaître ce qu'une longue et m
dans quatre cas, mais il ne sait pas encore les résultats. (Société
clinique
de Londres, 26 fév. 1892, d'après The Lancet, d
ances : MM. Colin, médecin de l'asile de Lafond, et Pactet, chef de
clinique
des maladies men- tales à la Faculté de Paris.
irecte et médiate par les toxines qu'ils sécrètent; au point de vue
clinique
, elles peuvent se présenter à deux moments diff
la mi- sère et l'hygiène défectueuse, etc., etc. Au point de vue
clinique
, on rencontre dans tous ces cas le même ensembl
qui ne diffèrent qu'en intensité. La maladie revêt toujours le type
clinique
décrit sous Je nom de con- fusion mentale primi
M. LEGRAIN appelle plus particulièrement l'attention sur le rôle
clinique
de la question et cherche à établir d'une part qu
rophique. Cliniquement, la maladie s'est présentée, au point de vue
clinique
, sous la forme de la confusion mentale avec dél
rappelle le cas de ce malade mort d'étranglement interne à l'Asile
clinique
, pour lequel une enquête fut faite, un autre al
tion d'une statue du savant psychiatre dans la salle de cours de sa
clinique
il l'hôpi- tal général. Ce Comité fera des prop
raits organiques, la transfusion nerveuse. Physiologie, indications
cliniques
et thérapeutiques. Technique. Volume in-18 de 282
m.p, 993. Vol. XXVI. Octobre 1893. N" 80 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. CONTRIBUTION A L'ETUDE DES TUMEURS DU
ompression cérébrale. Voici cette observation, qui, au point de vue
clinique
, a été d'une régularité et d'une simplicité pre
'une simplicité presque schématiques : Ancull'Es, t. XXVI. 18 274
CLINIQUE
NERVEUSE. 0 S ERVATION. Céphalalgie violente av
sur son compte, on porte le diagnostic de tumeur cérébrale. Les 76
CLINIQUE
NERVEUSE. troubles de l'équilibre et les symptô
ongement en arrière dans la circonvolution crètée, sa cavité. 278
CLINIQUE
NERVEUSE. substance blanche : c'est un prolonge
oupe pratiquée suivant la ligne ce' des (lgtll'es 13 et 1 L 580 -
CLINIQUE
NERVEUSE. coupes après durcissement prolongé da
ionnaires reconnaissables à leur volume énorme, à leurs pro- 282 . ,
CLINIQUE
NERVEUSE. longements nombreux, à leur protoplas
rait s'effectuer. ' 11'1 .Il.... ,,1. 'i : o dll ,1(l Á}\ Y"" 2o4
CLINIQUE
NERVEUSE. 4 . 19.11 ` . ` 1/ · t > - " fi. '
picrocarmin et hématoxyline. (Immers. 1/10, Vérick, oc.) 1 286 "
CLINIQUE
NERVEUSE. ; ' ceaux parcourent le tissu dans to
au collodion; hématoxyline et éosine. (Obj. 7, Vérick, oc. 3.) '288
CLINIQUE
NERVEUSE. l'aplatissement subi par le centre bl
lusion au collodion; coloration de Pal. (Grandeur naturelle.) 290
CLINIQUE
NERVEUSE. . de coupes colorées par la méthode é
es fibres tangentielles des couches superficielle et moyenne. 292
CLINIQUE
NERVEUSE. assez mal fournies. Dans la par- ti
cune sorte. Quelques stigmates d'hystérie ne jouent dans le tableau
clinique
qu'un rôle très effacé. La mort survient au bou
ion des fibres à myéline tangentielle. D'autre part, la subs- t 294
CLINIQUE
NERVEUSE. tance blanche du lobe frontal droit e
ur une coupe horizontale. (Soc. méd. des 116 ? 24 juin 1892.) 296
CLINIQUE
NERVEUSE. dois ajouter qu'à l'état, normal, ain
tangentielles de l'écorce de l'hémisphère droit. (Loc. cit.) 298 1
CLINIQUE
NERVEUSE. petites tumeurs renferment quelquefoi
a- lors aucune anomalie psychique, me portent à croire' qu'il 300
CLINIQUE
NERVEUSE. s'agit d'une tumeur primitivement dév
deux catégo- ries : 1° les alcooliques vrais, présentant les signes
cliniques
de l'in- toxication aiguë ou chronique (tremble
n des systèmes mus- culaire et vasculaire; 7° de nombreuses preuves
cliniques
nous montrent qu'une alimentation très fortemen
fférentes de myélite chronique peuvent se traduire par le complexus
clinique
de la paralysie spinale spasmodique. Mais cela
inés et par suite, qu'il ne soit pos- sible d'établir, des variétés
cliniques
. La sclérose multicolaire de la moelle peut, du
et le diagnostic qui repose en réalité sur le concert de l'analyse
clinique
et des altérations correspondantes localisées e
ns combinées de certains cordons de la moelle produisent un tableau
clinique
constant, qu'il y a par exemple affection combi
aques purement spi- '- nale. Celle-ci ne représente qu'un complexus
clinique
correspon- dant au tableau morbide des autres c
on de même nature. C'est pourquoi j'ai voulu démontrer le caractère
clinique
des déviations, de la langue et de la face d'ori-
1° La maladie des tics convulsifs doit occuper en tant que forme
clinique
, une place distincte.. · 2° On ne doit pas conf
é, la maladie des tics convulsifs et la myoclonie sont trois formes
cliniques
distinctes. ' Cette communication a été l'objet
ofesseur Charcot a .déjà plusieurs fois attiré l'attention dans ses
cliniques
et dont l'histoire, est encore peu connue. , -
toujours .« la même figure. Chaque année, on voit se présenter à la
clinique
« de la Salpêtrière de pauvres diables misérabl
CES BULBO-PROTUBÉRANTIELLES PAR MSI. H. ROYET J. COLLET Chef de
clinique
des maladies mentales Préparateur du cours de Pat
'autopsie d'un ma- lade, du service du Dr Garel, dont l'observation
clinique
a été publiée par l'un de nous', alors son inte
Archives, t. XXVI. 23 3ü4 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des symptômes
cliniques
de la maladie et des lésions bulbo- protubérant
Ce cas et celui que nous publions ici offrent tant au point de vue
clinique
qu'au point de vue anatomo-patholo- gique de tr
que nous faisions remarquer en terminant l'exposé de l'observation
clinique
, ne relevaient d'aucune lésion médullaire, et c
blié par M. Pierret et le nôtre, se retrouvent sur le terrain de la
clinique
. Dans les deux cas, longue durée de la maladie;
- Bulletin de la Société Anatomique. Mai et janvier 1862. 8 Andral.
Clinique
médicale. Appendice, p. 37. Menzel,. - Loc. cit
Par MM. François BOISSIER et GEORGEs LACHAUX, Internes à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne). I. Souvent les tribunaux ont j
es, le malade a déjà fait un long séjour à l'Admis- sion de l'Asile
clinique
. Le petit drame avait eu lieu dans une rue peu
gnes ont été écrites par B... le jour même de son arrivée à l'Asile
clinique
. II était encore alors dominé par la crainte d'un
lement les dégénérés lucides coupables de tels actes. Leur histoire
clinique
et psychologique est encore la même que celle d
n'être jamais surpris, et ce n'est pas ce qui l'a conduit à l'Asile
clinique
. Jules T... a continué à s'alcooliser, et progr
tal science. Juillet 1890.) Après des considérations historiques et
cliniques
dans lesquelles, faute de place, il nous est im
v. f. Psychiat., XXIII, 23.) A. Première série de quinze cas (étude
clinique
et anatomo- pathologique). Etude de la topograp
elation des altérations anatomiques de la moelle avec les symptômes
cliniques
. Relation des parties des cordons postérieurs l
des parties des cordons postérieurs lésés avec chacun des symptômes
cliniques
. C'est à la moelle seule qu'il convient de ratt
ce, âgée de cinquante-quatre ans, soignée pendant plus d'un an à la
Clinique
psychiatrique de Moscou. L'anamnèse dénote l'in
es relatives à cette forme, le rapporteur présente une malade de sa
clinique
, âgée de quatre ans et demi, sans tare hérédita
mes et demi deux fois par jour. Le 19 janvier, la malade entra à la
clinique
des enfants. Sous l'ac- tion du bromure de sodi
résente à la Société deux malades qui se trouvent actuellement à la
clinique
psychiatrique de Moscou ; ces malades offrent d
la moelle épinière ne suffit pas pour expliquer tous les phénomènes
cliniques
. Le D''Minor fait remarquer que, faute de donné
extenso dans les Archiv. f. Psychiat. 1. Discussion. M. REM.\K. La
clinique
a fourni à M. Moeli une para- lysie unilatérale
e souvent, dans la pratique, de rattacher tel ou tel cas observé en
clinique
à l'une des formes de Krafft-Ebing. Quant à la
ndi 27 novembre 1893, à une heure précise, il sera ouvert à l'Asile
Clinique
, rue Cabanis, n° i, à Paris, un concours pour l
rne titu- laire en pharmacie vacanter au le' juillet 1894 à l'Asile
Clinique
, aux Asiles de Vaucluse, Ville-Evrard, et Ville
t1 ! ri. Vol. XXVI. Décembre 1893. N- 82 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE PERSÉCUTÉS AUTO -ACCUSATEURS ET PERSÉCU
i- cation, de vous présenter un mémoire détaillé sur les variétés
cliniques
du délire des persécutions. Notre but est plus mo
rir quelques particu- larités dignes d'intérêt. I C'est un fait
clinique
aujourd'hui bien connu que le délire des perséc
ession de la Roclielle, août 1893.) Aitcilivus, t. XXVI. 28 434
clinique
mentale. idées de persécution. Les idées de per
s, je n'ai rien dit de semblable. Si, si ! j'ai bien entendu. 436
CLINIQUE
mentale. 1 Ces phrases que vous m'attribuez, le
s pratiquées sur elle nous ont donné les résultats suivants : 438
CLINIQUE
MENTALE. Ces caractères sont reliés à une origi
u début, elle ne comprenait rien à tout cela ; ce sont les voix 440
CLINIQUE
MENTALE. - qui lui ont donné la raison de ces m
tu vois des flammes de feu, c'est qu'on allume des allumettes 442
CLINIQUE
MENTALE. devant mes yeux; si l'on me tue, tu mo
es de persécution. C4 ! Mt. médic. psch. janv. 1893, p. 111.) 444
CLINIQUE
MENTALE. avec elle qu'on arrive à lui faire res
&., janv. t893, p. 112.) R Houbinowitch. ( Ibid., p. 98.) 446
CLINIQUE
MENTALE. nous a pu observer deux cas semblables
ours à la suggestion à l'état de veille, qui fournit d'excel- 448 '
CLINIQUE
MENTALE. lents résutats, en donnant aux divers
s hôpitaux de Paris, 11 nov. 1892.) , Archives, t. XXVI. 29 450
CLINIQUE
MENTALE. sans bégaiement qu'on lui donne à boir
se faisait qu'avec peine, d'autant qu'il existait une faiblesse 432
CLINIQUE
MENTALE. musculaire très marquée dans les deux
omme avait fini par copier sa difformité, son sterno-mastoïdien 4S4
CLINIQUE
MENTALE. s'étant subitement contracture. Un aut
uliste, qu'elle était allée consulter dans cette circonstance. li56
CLINIQUE
MENTALE. langue, nécessaires pour l'articulatio
malade et dans une séance de cinq minutes je fais disparaitre 458
CLINIQUE
MENTALE. immédiatement les troubles psychiques.
dicament quelconque très anodin, de l'eau avec un peu de sirop 460
CLINIQUE
MENTALE. 'd'écorces, mais en ayant soin de reno
tion dans le n° de janvier 1893 des Archives de Neu- rologie. 462
CLINIQUE
MENTALE. par son grand âge, les membres inférie
fficace que dans l'hystérie, que partout ailleurs ses résultats 464
CLINIQUE
MENTALE. étaient nuls ou à peu près nuls, que s
acent instantanément et le résultat est Archives, t. XXVI. 30 466
CLINIQUE
MENTALE. durable, la neurasthénie, elle, n'est
trophie mais pas d'atrophie, les éminences thénar et hypothénar 468
CLINIQUE
MENTALE. ont conservé leur relief. Pas d'amaigr
ndis ma suggestion aux douleurs et à la marche et le résultat 470 0
CLINIQUE
MENTALE. fut complet. Les douleurs que les poin
affections par cette médication psychique. Je dirai également qu'en
clinique
men- tale l'hypnotisme n'est d'aucun secours. T
s de bons résultats. Depuis quelque temps j'en arrive même à ne 472
CLINIQUE
MENTALE. plus prendre la peine d'endormir mes s
théniques toujours en quête, comme nous le savons, de trouver 474'
CLINIQUE
MENTALE. un remède aux souffrances qu'ils endur
ns spinaux des modifications biologiques,' probablement ! de nature
clinique
, qui exercent une influence trophique sur les f
t . ,i i ' >* 1 » XLIX. Examens du sens olfactif au point DE vue
clinique
; par il " r N. SAVELIEw. (11'eterolog. Centralb
omique.' ''Puis, il 'en'rapporte'une'forme associée au tabès; étude
clinique
et`taâatomo-paiholoa;qe; prépa- râtions ët déss
logie de ces diplégiesl. Il avoue qu'elles ne forment qu' une unité
clinique
provisoire et ne présentent pas une unité anato
tuberculeuse ; par E. RIBEROLLES. (Extrait de la Revue générale de
clinique
et de thérapeutique, 3 mai 1893.) Cette courte
, par Liebmann, 155; aperçu sur la systéma- tique au point de vue
clinique
, par Neisser, 318; un cas de associée à la ch
tch; 201 ? r o, nv OLFACTn ? ' Examens..dusehs) ? au point de vue
clinique
llar5aveliér, . 482.q '1- . '¡ : : : ) r t ? b
l'UISL11·,E SOUS LA DIRECTION DE bl3l. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales a la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie - dctncdccme Médecin de l'Asile
clinique
(SIe-Anne). F. RAYMOND I'ofescur de cliniqu
Médecin de l'Asile clinique (SIe-Anne). F. RAYMOND I'ofescur de
clinique
des m.dlltlies du système nerveux à L Faèul
ntir, à manipuler, i-E. Régis. - Pessimisme et neurasthénie (leçons
cliniques
), thèse de Reneurel, Bordeaux, 1896. '12 PATH
de les appuyer sur l'étude expérimentale des réflexes vaso- 26 .
CLINIQUE
MENTALE. moteurs dans la série des divers états
il était comme un cristal transparent, ne s'appartenant plus, 1)8
clinique
mentale. n'ayant plus un mouvement de libre (dé
aliénation mentale dans les cam- pagnes, p. 166. 3 Magnan. Leçons
cliniques
, p. 2G9. 30 CLINIQUE MENTALE. Une autre malad
les cam- pagnes, p. 166. 3 Magnan. Leçons cliniques, p. 2G9. 30
CLINIQUE
MENTALE. Une autre malade de M. Magnan, rapport
p. 6. ' V. Théâtre sacré des Céve.ines, Londres, 1707, in-12. 32
CLINIQUE
MENTALE. « Ces théomanes, dit .Montgeron (théom
. 4 De la volonté, p. 131-132. Archives, 2° série, t. III. 3 34
CLINIQUE
MENTALE. a L'extase, suivant saint Martin, a po
ation étiologique des mala- dies mentales présente un grand intérêt
clinique
, l'auteur divise, pour son étude, les maladies
nantes, il faut encore considérer le terrain. Dans les observations
cliniques
données par Wernicke l'auteur n'a pas séparé l'
épressive D'UNE folie cyclique; par le D' UMBERTO Steffani, aide de
clinique
des maladies mentales à l'Université de Padoue.
S'; par le D'' V. Parant. Parmi les tremblements qui intéressent la
clinique
des mala- dies mentales, celui de la langue des
x. La constatation de ce Lemblement, intéressante au point de vue
clinique
, présente aussi son imporlance au point de vue du
nulations. En somme il existe dans ce cas une combinaison de signes
cliniques
avec des modifications du système nerveux centr
ionomie de lapériode finale. On pourrait donc établir deux variétés
cliniques
dans la para- lysie générale à son déclin. L'un
Théophile Roussel. MARCEL Briand. BIBLIOGRAPHIE. 1. Des variétés
cliniques
de la folie en France et en Allemagne; par J. R
conte la lé- gende de la tour de Babel ; comme Babel, en effet, la
clinique
psychiatrique est gênée dans son essor par la c
ents, des classifications dissemblables sont appliqués à des unités
cliniques
identiques ou analogues. M. Roubinovitch a entrep
eu aisé qui consiste à rapprocher, à comparer les diverses variétés
cliniques
de la folie telles qu'elles sont décrites en Fran
latter, de Baie, au xvni0 siècle, inaugure le goût de l'observation
clinique
dans le domaine de l'aliénation mentale et par
gonisme du sensualisme et de l'animisme. La méthode d'observation
clinique
et anatomique donna lieu en France aux travaux
e ne se guider que sui les trois principes suivants : l'évo- lution
clinique
, l'étiologie et l'anatomie pathologique. A l'appu
et de Sclrüle. M. Roubinovitch aborde alors l'étude des variétés
cliniques
alle- mandes et cherche leurs équivalents dans
vue, cotte sérieuse critique qui parallèlement aborde les variétés
cliniques
de la folie eu France et en Allemagne, se basant
aire est appliqué uniformément à Montelupo, sans distinction de cas
cliniques
: il n'y a ni réfectoire, ni salles de réunion.
aliénés criminels en deux catégories repose cependant sur une base
clinique
. D'une part, l'aliéné qui a commis un crime sou
paient des impôts. A la colonie sera établi un centre de recherches
cliniques
et patholo- giques sur l'épilepsie. (Annales mé
cin directeur d'un asile public d'aliénés ou par un pro- fesseur de
clinique
psychiatrique. § 6. L'admission dans un asile p
decin qui par la fréquentation prolongée d'un asile public ou d'une
clinique
psychiatrique universitaire, a acquis les conna
ologie avec les résultats de l'expérimentation physiologique, de la
clinique
et de l'anatomie pathologique. Mais il révoque en
nce ascendante de la moelle; étude anatomo- pathologique sans étude
clinique
. Nombreuses gravures. Carcino- nome occupant la
jumeau et grossissent à mesure que l'on s'élève veis le cerveau. La
clinique
ayant paru indiquer que le ruban de Reil contie
n Manuel inscrit sous le n° 2, et M. le D1' Ed. Tou- louse, chef de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de mé- decin
prix est dé- cerné à MM. les Drs Roubinovitch et Toulouse, chefs de
clinique
à l'Asile Sainte-Anne, Paris, auteurs du mémoir
on honorable est accordée à llIll. les J. Toy et Th. Taty, chefs de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médecine
y a pas d'é- pilepsie essentielle. L'épilepsie n'est qu'un syndrome
clinique
qui peut être sous la dépendance de facteurs di
consécutives aux opérations gyné- cologiques qui entrent à l'Asile
clinique
ou se rendent aux consultations de l'Asile. (B.
llectuels. Il établit, dans un parallèle à la fois psychologique et
clinique
, que,. comme le neurasthénique, le pessi- miste
enri Meunier, dans un travail fort remarquable, en se basant sur la
clinique
et sur l'anatomie pathologique et en s'aidant d
ion de se développer librement sur le terrain qui lui est livré. En
clinique
: 4° la localisation de l'infection (unilatéralit
liénés, a été noumé professeur ordinaire de psychiatrie (théorie et
clinique
), en remplacement de M. le professeur Olivet. d
et hallucination obsédante. (Comm. à la Soc. méd. psych., in Leçons
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses, p. 107,
ublement de la per- sonnalité dans la folie systématique, in Leçons
cliniques
, etc., p. 563 et Ann. méd. psych., juillet-août
ependant l'interprétation (erronée à notre avis) de l'auteur. 176
CLINIQUE
MENTALE. sourds-muets spécialement pour l'étude
har- monie avec les diverses formes de leur langage particulier.
CLINIQUE
MENTALE. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES A ÉVOLUTION
des maladies mentales, p. 155. Archives, 2° série, t. III. 12 178
CLINIQUE
MENTALE. natoires d'un côté, c'est dans le côté
cidents, non seulement chez lui mais chez toute la famille. 180 .
CLINIQUE
MENTALE. Cette fois, grâce aux conseils du Méde
lle manque. Tout ce qu'on peut dire en restant sur le terrain de la
clinique
, c'est que les malades qui ont une hérédité trè
isible peut ' Binet et Ferré. - Sensations et mouvements. , 182 .
CLINIQUE
MENTALE. alors me faire parler et agir. C'est a
nous venons de le voir, ces syndromes peuvent s'observer à 184 .
CLINIQUE
MENTALE. l'état permanent et incorporés à un dé
génito- spinal excité. DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 185 L'aspect
clinique
est alors très analogue à celui des possé- dés
t l'hémisphère céré- bral gauche, fournit l'explication du syndrome
clinique
: état de mal convulsif, hémiplégie et idiotie,
données d'ordre et d'origine pure- ment scientifiques, mais dont la
clinique
est venue confirmer l'exactitude. Il faut d'abo
lève d'une dégénérescence des éléments nerveux). L'observation tant
clinique
que nécroscopique d'un grand nombre de cas a mo
OTTE. (Journ. de Neurologie et d'Hypnologie, juillet 1896.) Leçon
clinique
consacrée à l'examen des principaux remèdes et
. Sollier correspond bien en réalité à un type, ce n'est qu'un type
clinique
d'un des nombreux intermédiaires qui sépa- rent
ur déduit que si la paralysie générale correspond bien à une entité
clinique
, beaucoup de cas « limites » se présentent avec
cusé ne permit de découvrir aucune donnée se rapportant à une forme
clinique
quel- conque d'aliénation mentale. La pensée de
tion. En somme, la maladie dont il s'agit possède une physionomie
clinique
suffisamment nette pour que M. Sachs désire lui v
maladie, l'expérience des choses médicales et les méthodes d'examen
clinique
sont nécessaires. De simples témoignages ne peu
s. Le pronostic était déjà à ce moment fort sombre, mais le tableau
clinique
ne présentait pas (comme l'a dit M. Weber) d'an
phie accentuée de presque tous les nerfs craniens. Au point de vue
clinique
on avait voté une marche lente des symptômes dont
ychiques ayant débuté cinq ans auparavant, et présentant le tableau
clinique
de la démence secondaire. En novembre 1895 l'ét
ns quelques formes de troubles mentaux, par Clarkee; - Observations
cliniques
sur l'usage de la glande thyroïde dans l'alié-
vent être améliorés et même guéris. 1\IAG : >AN (V.). - Leçons
cliniques
SUI' les maladies mentales, faites à l'Asile cl
.). - Leçons cliniques SUI' les maladies mentales, faites à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne), 1 ecuellhes et publiées par le 1)'
CLE, Parla. Vol. III. Avril 1897. N° 16. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE. DGS TROUBLGS DU GOUT I : T DG L'ODO)t
s auteurs dans leurs traités : Archives, 2e série, 1. HT. 17 î 58
CLINIQUE
NERVEUSE. Vulpian 1, dans son traité des maladi
Le docteur de Mas- sary 8 dans sa thèse récente indique les leçons
cliniques
du professeur Raymond comme contenant quelques
? 18S6, n<" 43 et li, cité par de Mas- sary dans sa thèse. 2GO
CLINIQUE
NERVEUSE. moment un tabétique percevait une ode
lus préciser, qu'il s'agit lit de symp- lûmes souvent rencontrés en
clinique
. Symptômes. Pour plus de clarté et pour abréger
élire de persécution des tabétiques.) B. Sensibilité générale. 26
CLINIQUE
NERVEUSE. Abolition du réflexe olfactif. Dimi
ueuses. Une telle distinction, d'ail- leurs quelquefois réalisée en
clinique
, est surtout avantageuse pour la description di
que relativement peu ou pas du tout au cours de leurs coryzas. z
CLINIQUE
NERVEUSE. Du côté du goût les réflexes sont dif
l'aura précédant l'éternuement par accès et ce sont ses bran- 266
CLINIQUE
NERVEUSE. ches de la pituitaire qui sont intére
its, de rapprocher de ces troubles l'état physique de la langue 268
CLINIQUE
NERVEUSE. et l'état des fonctions digestives. I
decine mentale. Blois, 1893, et la thèse de M. Rogipr (Lyon). 270
CLINIQUE
NERVEUSE. complet : l'hallucination est présent
i- culièrement sujets aux pervertions du goût et de l'odorat. 272
CLINIQUE
NERVEUSE. Marche des symptômes. Les troubles du
ses. Dans un cas il y avait en Archives, 2e série, t. III. 18 274
CLINIQUE
NERVEUSE. outre une soif intense et une polyuri
ès qui d'ailleurs n'avait jamais laissé aucun doute au point de vue
clinique
. Les glandes salivaires ont été trouvées énorme
re ner- Fig. il, - Ganglions d'Andersch (glosso-phal'yngien). 276
CLINIQUE
NERVEUSE. veux. Des deux côtés ces fibres sont
s s 1 w Iz r-13 m N 5 *D S I 1 ec z 278
CLINIQUE
NERVEUSE. peuvent-elles expliquer les symptômes
grité de la nutrition de la pituitaire ou de la muqueuse lin- 280
CLINIQUE
NERVEUSE. guale sont des conditions indispensab
des myélites va en se retrécissant depuis les nouvelles recherches
cliniques
et anatomo-pathologiques. Les paraplégies aiguë
à l'aide d'injections de morphine : l'animal a présenté le tableau
clinique
du tabès; à l'autopsie on a trouvé une dégénéra
n du processus dégénératif. Ce fait est d'ac- cord avec les données
cliniques
qui montrent que par exemple la marche du tabes
s-mêmes de date peu éloignée. Pas de' microorganismes. Le tableau
clinique
et l'examen histologique montrent que -dans ce
hystérie infantile. Rapporteur : M. le D1' Rézy, chargé du cours de
clinique
infantile à la Faculté de médecine de Toulouse.
ponsabilité partielle. Rapporteur : M. le Dr de Boeck, chargé de la
clinique
de psychiatrie à l'hôpital Saint-Jean, Bruxelle
MAUX ET PATHOLOGIQUES ; Par te'D' Serge SOUKUANOFF, Médecin de la
clinique
psychiatrique de Moscou. Nos connaissances de l
ravail de la consultation externe et du laboratoire de chimie de la
clinique
des maladies du système nerveux de la Salpêtrière
leurs artificielles. Il s'agit d'une femme qui s'est présentée à la
clinique
des maladies du système nerveux de la Salpêtriè
ésultats intéressants que nous publions à la suite de l'observation
clinique
. La nommée Jeanne B... âgée de trente-deux ans.
on du fonctionne- ment des centres moteurs s'accorde avec les faits
cliniques
. On sait que chez l'homme tous les mouvements n
viennent soutenir ni la physiologie expérimentale, ni la médecine
clinique
. Tout se résout par une question de degré pour l'
ire (méningite). La rétraction de la fontanelle a une grande valeur
clinique
; elle se rattache souvent à une diminution des
il se rallie à l'opinion de Régis, et pense avec lui que les faits
cliniques
récents, tels que les rémissions, la paralysie
l, pour symptômes prodromiques, des troubles neurasthéniques : à la
clinique
des maladies mentales de Heidelberg, sur cent-
e série de cas dans lesquels, malgré une analyse précise du tableau
clinique
, il n'est pas possible, du moins à l'aide de no
unis à d'autres, aient une signi- fication spéciale au point de vue
clinique
. Parmi les symptômes qui ont été le plus étudié
ore citer la paralysie générale. Il y a trois ans, se trouvait à la
Clinique
un homme pré- sentant de la façon la plus nette
a Clinique un homme pré- sentant de la façon la plus nette l'aspect
clinique
de la paranoïa : délire de persécution systémat
le cours des six dernières années, se présentent tous sous l'aspect
clinique
de manifestations hystériques survenues chez de
psychoses épileptiques que celles qui correspondent à un des types
cliniques
aujourd'hui bien établis et qui sont développées
ileptlyues et SOCIÉTÉS SAVANTES. 391 équivalents. Au point de vue
clinique
, on observe surtout des états de stupeur ou de
uteur, après avoir insisté sur la nécessité de délimiter des formes
cliniques
en se basant surtout sur le pronostic, déclare qu
n plus porté à considérer la catatonie de Kahlbaum comme une entité
clinique
réelle. Sans doute le diagnostic est souvent di
ns les grandes villes. M. FURSTNEll. Dans les asiles urbains et les
cliniques
le personnel est peu stable : à Strasbourg, par
ce qu'on fait pour les anciens militaires. M. ËMMiNGHAus. Dans les
cliniques
, on n'a pas à se préoccuper de cette question :
rescence colloïde qu'il a observés, ce sont présentés sous l'aspect
clinique
d'une tumeur cérébrale ou de la paralysie général
as de tumeur cérébrale. - En général les médecins qui s'occupent de
clinique
interne ont, plus que les aliénistes, l'occasio
e ait déterminé chez eux des troubles psychiques. Au point de vue
clinique
, on a observé chez les sujets certaines manifesta
sbourg, dans lesquels des apoplexies répétées ont réalisé une forme
clinique
analogue à la paralysie générale. La plupart de
une lésion accessoire. Au point de vue du diagnostic différentiel
clinique
, il faut citer, comme signes importants, les re
e générale d'une part, et la démence sénile de l'autre, une forme
clinique
bien caractérisée, la démence apoplectique, qui d
intérieur de la galerie, ainsi que cela vient d'être fait à l'Asile
Clinique
dans les nouvelles cellules du pavillon Leuret.
du dernier type de cellule, approuvée par la Com- mission à l'Asile
Clinique
. L'Administration a tenu, pour l'élabo- ration
lésions expliquent suivant le point où elles prédominent les formes
cliniques
très variées qui ont été observées depuis les q
ie subite du cerveau peut provo- quer une attaque épileptique. La
clinique
de son côté fournit des arguments nombreux retrou
e une attaque épilep- tique, il est difficile de ne pas accorder la
clinique
avec l'expéri- mentation ; d'autant plus que l'
. Cette théorie peut donc tout expliquer, tout en s'appuyant sur la
clinique
et sur l'expérimentation. En résumé, quelle que
alcooliques (23 mars); M. le or TOULOUSE, médecin-adjoint à l'Asile
Clinique
, bulletin bibliographique. 431 est nommé avec
« Sains 1). BULLETIN, BIBLIOGRAPHIQUE. Ballet (G.) - Leçons de
clinique
médicale (Psychoses et affections nerveuses). -
aris, 1891. - Librairie 0. Doin. Boncoui ! (G.-P.) - Considérations
cliniques
et lliérapeuliques sur les pleurésies purulente
2 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Granet (J.) et 1'cnEt (V.). - Leçons de
clinique
médicale faites il l'Itô- pital Saint-Lloi de M
a et Bonfigli. Leonardo Vasard], Milano, 1886. 2 II. Schule. Traité
clinique
des maladies mentales. Traduction Dagonet et Du
Duhamel. Paris, Lecrosnier et Babé, 1888. 3 Krafft-Ebing. - Traité
clinique
de psychiatrie, 5° édition. Traduction E. Laure
ossible de dé- duire des faits exposés quelques résultats utiles en
clinique
. Tous mes malades étant des hommes, c'est à la
ue, dans l'épuisement, dans le marasme total. Mais la phy- sionomie
clinique
de son affection était bien spéciale. Après avo
variété méconnue. Il me reste maintenant à montrer les applications
cliniques
que me semblent comporter les chiffres et les f
l, d'après ces données, établir deux grandes variétés dans l'aspect
clinique
de la paralysie générale à son déclin : une pre
tomie pathologique nous donnera sans doute l'explication de ce fait
clinique
, qu'il n'est pas indifférent pour le médecin de
sumer de la façon suivante : ce cas fournit une exacte contrepartie
clinique
du cas primitivement publié par Landry et prése
s de Landry et avec quelques cas ultérieurs en ce que les symptômes
cliniques
sont imputables à des lésions très étendues, in
e il parait impossible de distinguer, à l'aide des seuls phénomènes
cliniques
les divers types de lésions. R. DE Musgrave-Cla
rticulièrement, que le nombre des cas de neurasthénie, traités à la
clinique
d11e]singfors, augmenta consi- dérablement aprè
chives, 2e série, t. III. 30 466 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la
clinique
médicale d'Helsingfors, démontrant qu'il n'y avai
localisation qui explique exactement les deux facteurs du syndrome
clinique
, à savoir l'hé- miplégie droite et la paralysie
ec la peau blanche, les jambes enflées, et présenta tous les signes
cliniques
d'une anémie pernicieuse. L'examen de ce cas,
tabès, tabès spasmodique, syringo- myélie. P. RBLLAY. LXXX. Faits
CLINIQUES
ET AN.1T0)10-l'.1TIIOLOGIQUES pour SERVIR A la
états dépressifs de concentration, d'expecta- tion) dans le tableau
clinique
de la neurasthénie. 1° D'après l'opinion unanim
éorie de S. Freud qui pro- pose de détacher complètement du tableau
clinique
de la neuras- thénie le complexus symptomatique
l Sérieux. BIBLIOGRAPHIE. X. Contribution à l'étude anatomique et
clinique
du Tabès dorsalis, par le Dr Cl. Philippe (avec
Le chapitre iv traite des conclusions générales et des applications
cliniques
. L'auteur fait une étude synthétique des syndrome
(sensitifs, sensoriels, moteurs, trophiques), d'après des documents
cliniques
puisés dans le service de M. le professeur Raym
'évolution de la maladie tabétique est polymorphe; ce polymorphisme
clinique
s'accorde avec le polymorphisme des localisatio
délires systématisés dans les diverses psychoses, faites à l'Asile
Clinique
par V. Magnan, recueillies et publiées par le D
Londres, 1897. Jar- rold and sons. Boun\c\ [1.1.1 : , Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
'acide phosphorique dans la - cyclique, par Stettam, 39. Variétés
cliniques
de la - en France et en Allemagne, par Ilou-
urés, la dure-mère mise à nu. Il guérit. Dupuytren le présenta à sa
clinique
un an après sa grave blessure (Vidal, de Cassis),
le plus grand soin : ce sont les preuves anatomiques et les preuves
cliniques
. Preuves anatomiques. a). Lésions constatées il
a chaudière en ébullition, et fut apporté couvert de brûlures, à la
clinique
du professeur Ehrmann. Il y mourut de tétanos.
ment, au cours d'une étude à la fois ana- tomique, expérimentale et
clinique
, sur les origines centrales du nerf optique et
connu. Ils s'étaient proposé de rechercher si l'examen des faits
cliniques
confirme, ou contredit les résultats expériment
à la théorie des centres psychomoteurs de l'écorce, au point de vue
clinique
, les Leçons de Charcot sur les localisations da
localisations céré- brales. Tout était à refaire. Sur quarante cas
cliniques
, accompagnés d'un examen anatomo-pathologique,
urent donc aussi amenés à conclure, sur le terrain de l'observation
clinique
et de l'examen anatomo-patho- logique, que les
s. « Nous ne pouvons dissimuler, ajoutaient-ils, qu'on rencontre en
clinique
un grand nombre de faits négatifs relativement
iques, comme nous l'avons noté chez les chiens. Biais l'observation
clinique
n'appuie en rien ce mode d'explication : les af
ions encéphaliques malades. Puis, comme on rencontre des variétés
cliniques
qui s'écartent des formes con- nues, il n'est p
expériences, d'ailleurs en si profond accord avec les observations
cliniques
. C'est grâce à ces recherches des physiologiste
lement ces deux formes de réactions ner- veuses. Les observations
cliniques
et anatomo-patholo- giques établissaient-elles
dédaigne pas les ré- sultats de la physiologie expérimentale, de la
clinique
et de l'anatomie pathologique, et qui invoque s
basilaires de l'audition, assez bien connus aujourd'hui. L'étude
clinique
et anatomo-pathologique du centre cortical de l
s que Ferrier ou Nothnagel, Seppilli n'a pu trouver une observation
clinique
décisive de surdité par lésion corticale du lob
les à l'expression des idées. » Voilà ce que la physiologie et la
clinique
ont trouvé touchant les fonctions et les rappor
eur livre en langue italienne; mais, si l'on remarque que la partie
clinique
et anatomo-pathologique du travail de Seppilli,
dans l'étude expérimentale et ana- Silvio Venturi a publié une note
clinique
intéressante sur l'Audition chez les épileptiqu
x ruminants, qu'aux singes anthropoïdes et à l'homme. (A suivre.)
CLINIQUE
NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET 1 ? XPÉit LES
thropoïdes et à l'homme. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES
CLINIQUES
ET 1 ? XPÉit LES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
été hiedico-psychalogique de Paris. III. Patuogénie. Si la partie
clinique
de ces accidents était une terre 1 Voir Archive
ssion pour n'être démasquées qu'au moment de la décompression. La
clinique
de ces accidents ne concorde nullement avec Ann
série, t. I, p. 2Íl-27 ! J 1851. 1. Archives, t. XVIII. 6 8 : l
CLINIQUE
NERVEUSE. cette théorie : on a certes été frapp
bablement pour qu'elle devînt inoffensive de la pratiquer avec 84
CLINIQUE
NERVEUSE. une grande lenteur, beaucoup plus len
l expose ainsi : « L'accroissement de pression du milieu nm- 86 .
CLINIQUE
NERVEUSE. biant produit son maximum d'effet sur
sque et sur l'iiijec- lion d'air dans le artères. Nancy, 1879. 88
CLINIQUE
NERVEUSE. brisant les petits vaisseaux, et prod
st peut-être pas la seule ni la véritable cause de ces hémorrha- 90
CLINIQUE
NERVEUSE. gie8, ou du moins d'un certain nombre
s du travail dans l'air com- primé des plongeurs à scaphandre. 92
CLINIQUE
NERVEUSE. Il est vraiment curieux de trouver ce
édecins. » ' Cette hypothèse de l'influence funeste des gaz du Ut
CLINIQUE
NERVEUSE. sang puissamment combattue par le tra
comme chez les sept autres. » Tout naturellement, et pour être 96
CLINIQUE
NERVEUSE. conséquent avec lui-même, notre savan
ts vaisseaux de la conjonctive injectés; Archives, t. XVIII. 7 98
CLINIQUE
NERVEUSE. même à l'oeil nu, on voit des bullett
bués les accidents que nous avons déjà si longuement décrits ? La
clinique
déjà seule suffit simplement à y répondre : c'e
e : c'est bien le dégagement de gaz dans le système artériel ')02
CLINIQUE
NERVEUSE. qui est la cause prochaine, immédiate
telle ou telle région, ces accidents revêtent telle ou telle forme
clinique
. Les expériences de Paul Bert, de Feltz, de A.
CIDENTS PAR L'EMPLOI CES SCAPHANDRES. 103 pas oublié que le tableau
clinique
d'un certain nombre de mes observations contien
la cause directe et immédiate des accidents en ques- tion. Or la
clinique
, à qui il faut toujours laisser dire le dernier
La pathologie expérimentale vient à son tour confirmer ce que la
clinique
a fait si justement observer. Par une réflexion
ion suivante : ' Sociél. de biol., 187a, iio 1. page 58. , '104
CLINIQUE
NERVEUSE. « A dose très forte, l'injection d'ai
par ' Gaz hebd. de méd. et de chir., t. XII, 21 série, 1875. '106
CLINIQUE
NERVEUSE. distension, chose dont la possibilité
est pour bien peu de chose dans les accidents en question. Or, la
clinique
, non moins que l'expérience établis- sent d'une
ression, il se combine avec l'hémoglobine et, à des pressions 108
CLINIQUE
NERVEUSE. plus élevées, la proportion de l'oxyg
UES TRAITÉS PAR LA SUSPENSION; Par GILLES DE LA TOURETTE, chef de
clinique
, et S.-C. L.1OU1).IhIS, externe de la Clinique
LA TOURETTE, chef de clinique, et S.-C. L.1OU1).IhIS, externe de la
Clinique
des malades du système nerveux. Dans sa Policli
tion obtenue ayant acheté un appareil et n'ayant plus été revu à la
clinique
Observation I. - Model, cinquante-un ans. - A n
discussion et des observations soit inédites, soit empruntées à la
clinique
du professeur Charcot ou à ses élèves. Toutes c
masquée, plus insaisissable. Avec un grand nombre d'obser- vations
cliniques
à l'appui, tirées des travaux de Pinel, Legrand d
odifications sur les phéno- mènes de la vie psychique. Les exemples
cliniques
prouvent, en effet, d'une façon formelle, que s
organes des sens, et les zones htéroèrlPS des muqueuses; recherches
clinique
*; par le Dr L. Lichtviiz (Paris 1887). Dans c
r. BOUR : 'OEVILLE, COlllt]3AtIF,.N, RAOULT et SaLUER. - Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
ui suivent ont, d'ailleurs, été publiés à la suite des observations
cliniques
correspondantes dans les Bul- letins de la Soci
; ils seront indiqués chacun à sa place. N'ayant pas fait d'étude
clinique
, et apportant sim- plement quelques faits, nous
TIA\ Médecin de la Maison nationale de Cliaretitoti. V. Preuves
cliniques
. et). Troubles des facultés intellectuelles (ar
père il faut se rattacher pour avoir chance de trouver la vérité.
CLINIQUE
NERVEUSE. RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALE
avoir chance de trouver la vérité. CLINIQUE NERVEUSE. RECHERCHES
CLINIQUES
ET EXPÉRIMENTALES SUR LES ACCI- DENTS SURVENANT
6; n° 49, p. 22 j n° 50, p. 225; n° 51, p. 392; n° 52, p. 80. 208
CLINIQUE
NERVEUSE. tenant, nous entrons en plein dans l'
pour nous du moins, une importance vraiment incom- parable, est la
clinique
, l'observation chez l'homme, et l'autre qui con
ant la décompression tant de gaz au point de faire éclater : 21'2
CLINIQUE
NERVEUSE. l'accident. Le nombre des immersions
te évi- dence aussi que la seule et unique cause de, cet ac cl Il
CLINIQUE
NERVEUSE. cident est la durée prolongée du séjo
ne heure. A preuve nous insérons le passage suivant de son histoire
clinique
: « Il avait fait plusieurs immersions à la mêm
t par l'emploi des scaphandres sont dus à la durée du séjour. 216
CLINIQUE
NERVEUSE. Pour surcroît de preuves de ce fait n
t les résultats concordent parfaitement bien avec les données de la
clinique
. Je me contenterai de rapporter les suivantes,
mersion que les accidents sont survenus. Les accidents de nos 218
CLINIQUE
NERVEUSE. chiens doivent donc être directement
ne peut être question du nombre des immersions comme cause de 220
CLINIQUE
NERVEUSE. l'accident, car c'est à la suite de l
s. Elle est, en outre, d'une très grande fréquence. Ce nouvel 222
CLINIQUE
NERVEUSE. élément étiologique c'est le nombre d
uccessives. y). Accident de /'Observation XI. - La seule et 14 t.
CLINIQUE
NERVEUSE. unique cause de cet accident est le n
à une profondeur de 22 à 24 brasses, Archives, t. XVI 11. 15 226
CLINIQUE
NERVEUSE. la durée du séjour n'ayant pas dépass
tra- vail sans accident. Etant donné en outre que ce plon- 238 8
CLINIQUE
NERVEUSE. geur était parfaitement bien portant,
us venons d'étudier, agissent, nous l'avons déjà démontré, en 280
CLINIQUE
NERVEUSE. favorisant le développement de l'agen
nutes et avec une rapidité de décompression tout à fait égale 232
CLINIQUE
NERVEUSE. en durée à celle de l'immersion qui a
lmonaire; ce sont les accidents des Observations XXIX et LXI. 234
CLINIQUE
NERVEUSE. a). Accident de /'Observation XXIX. C
ttaqué. Pour finir avec les causes qui agissent en s'opposant 236
CLINIQUE
NERVEUSE. à l'élimination de l'excès des gaz de
eu lieu. Encore bien moins peut-on considérer dans l'étiolo- 1238
CLINIQUE
NERVEUSE. gie de ces accidents les causes qui a
e- vons appeler l'attention sur deux faits d'une haute importance
clinique
: si l'on étudie un peu à fond le tableau précé
qu'il n'y a pas du tout de relation entre les différentes formes
cliniques
de ces accidents et les conditions causales de
les mêmes éléments étiologiques pouvant donner lieu à des formes
cliniques
les plus différentes; cela indique qu'il n'y a
séjour, décompression brusque et il est attaqué; notons bien 240
CLINIQUE
NERVEUSE. qu'il est déjà antérieurement descend
is pour montrer d'une ma- nière péremptoire la puissance de ce fait
clinique
, il suffit de rapporter l'observation suivante
u bout desquelles son esto- AIICIIIVC<, t. XVI11. 16 .) If il,
CLINIQUE
NERVEUSE. mac se gonfla faisant saillie; en mêm
les divers individus que chez la même personne. 1 Le second fait
clinique
c'est une prédiposition incon- testable à être
les explorations furent faites en trois directions différentes. La
clinique
des maladies internes, traitant le myxoedème mê
ièvement les donnéespubliées parlesauteurs, savoir : 1° les données
cliniques
sur les symptômes du myx- oedème; po les donnée
t, par William Gull', qui, en l'an 1873, rapporta devant la Société
clinique
de Londres l'histoire de cinq cas de cette mala
sique chez une femme. Depuis lors parut une quantité d'observations
cliniques
du myxoedème, que nous tàcherons de rapporter e
me où le malade se remit entièrement. Voici toutes les descriptions
cliniques
que je connais. II. A l'époque où le myxoedème
n tout onze observations, dont dix numérotées, à l'appui de l'étude
clinique
. P. ICEaavaL. IX. LES psychoses dans LES pénite
LES psychoses dans LES pénitenciers, au POINT DE vue étiole- GIQUE,
clinique
, MÉDICO-LGAL; par ICoIN(All3. Zeitsch. f. Psych.,
ications thérapeu- tiques doit être introduit dans le programme des
cliniques
de psychiatrie et des connaissances en la matiè
e qu'il appelle les symp- tômes procéduriers font partie du tableau
clinique
de l'hystérie. Un ouvrier traumatisé conserve s
après durcissement et on la décrira en détail. M. S1GMERLING. Etude
clinique
et statistique sur la paralysie pro- gressive c
oLOGOE. DARio l\IARIGLÎANO, directeur de l'asile d'aliénés et de la
clinique
psychiatrique de Gênes. - THÉODORE ])moN ancien
ecteur de l'asile d'aliénés de Saint-Nicolas et médecin enchef à la
clinique
des maladies mentales. 0. WELLER" directeur de
: 4 fr. nOURlOEVILI.E, COURB.\RlEN, IIAOULT ET Sollier. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'epilepsie, l'hystérie e
our nos abonnés, i fr. 0 RADZISZE\VSKI (St.). Quelques observations
cliniques
. (Anoplitalniie, pustule maligne et gangrène sp
r M. le D' Paul BLOCQ, Chef des travam anatomo-palholo¡{iques de la
Clinique
des maladies du svstemc uerveuc. Constituée p
ogénique un grand intérêt pour le-pathologiste et au point de vue
clinique
une non moindre valeur pour le médecin. M. le p
érence, néoplasme etc. Aussi s'expliquerait-on que ce même appareil
clinique
soit susceptible de se montrer au cours de mala
t la parenté avec la migraine ophtalmique est établie tant par la
clinique
que par la thérapeutique. Ce n'est que six mois
à indiquer. Le syndrome peut, par son ingérence dans le ta- bleau
clinique
, donner lieu à de notables difficultés de diagn
ne migraineuse, il deviendra très malaisé de déter- miner la valeur
clinique
de ce symptôme, connaissant ces rapports de la
y avoir beaucoup de doutes à cet égard. En effet : au point de vue
clinique
, les connexions qui existent entre les phénomèn
Je quatre ans. On pourra se reporter aux détails de son observation
clinique
, qui a été publiée. Il était atteint de convuls
tait des accidents à leur début; ce qui concorde avec l'observation
clinique
. On peut donc ainsi saisir le stade de néoforma
ions nous en servir pour échafauder les hypothèses applicables à la
clinique
et entreprendre d'écrire l'his- toire de l'anat
, faits bien démontrés depuis les expériences et les observations
cliniques
d'Aronsohn et de Sachs, de Girard, d'Ott et Col
ale observés dans un cas d'hémiplégie motrice droite, l'observation
clinique
et anatomo-pathologique qu'ils rapportent n'est
et du cerveau. En somme, les résultats de la physio- logie et de la
clinique
seraient jusqu'ici plus favo- rables aux vues d
i se perpétue dans l'idée, dénuée de tout fondement expérimental ou
clinique
, de ces « centres psychiques », admis encore pa
t point ' C'est ce qui vient d'être encore vérifié au point de vue
clinique
. V. Horsley, Clinwat observations during the ya
ne manière spéciale, à la région rolan- dique, si elle est utile en
clinique
, ne lui paraît pas fondée au point de vue physi
la lésion. Ces résultats expérimentaux concordent avec les faits
cliniques
. Chez l'homme, en effet, les troubles de la mot
erveau, qui servent de fondement aux célèbres Recherches analomo-
cliniques
qu'il a publiées sur ce sujet, et que nous avons
onformation du tissu. Après avoir étudié plus profondément l'aspect
clinique
du mxyaedème et les phénomènes cliniques qui l'
plus profondément l'aspect clinique du mxyaedème et les phénomènes
cliniques
qui l'accompagnent, le professeur Virchow trouv
mes honorables collègues sur mon travail. Jusqu'à présent l'étude
clinique
et expérimentale du myxoedème nous démontre son
la maladie de Basedow et le myxoe- dème, en analysant les symptômes
cliniques
do ces deux maladies, nous ne saurions les éloi
89, p. 149). ' Bournlvillk. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. NOTES
cliniques
SUR LES HÉIIORRHAGIES dans L1 paralysie GÉNÉ- R
récision la cause de la mort ; dans ce cas, en effet, l'observation
clinique
conduisait naturellement à admettre la suffocatio
font entièrement défaut. Le troisième type présente au point de vue
clinique
la forme générale de la respiration de Cheyne-S
ulter quelque confusion de cette svnonvmie inexacte. Le phénomène
clinique
décrit par l'auteur est le suivant : la respira
ant la vie, cette tumeur n'avait décelé sa présence par aucun signe
clinique
, sans doute parce qu'elle n'intéressait le cerv
modification; quarante-neuf furent améliorés ; cinq moururent à la
clinique
; vingt-quatre guérirent. Et cepen- dant, la bib
ndouzy et Déjerine). Ces quatre groupes sont empreints de syndromes
cliniques
univoques; môme localisation du processus morbi
ne, Landouzy et Déjerine, Zimmerlin, Scbulize). De même que l'unité
clinique
, l'unité anatomo-pathologique semble faite. Les
paralysie bulbaire aiguë. L'auteur, après avoir fait la description
clinique
de son malade, insiste sur la difficulté de dis
s son mode, ni da.is sa compositio n à chaque séance. Une analyse
clinique
consciencieuse a révélé que les accidents con-
trie cra- iiiucéphalique (méthode, instrumentation) à l'usage de la
clinique
, de remanie avec le concours de l'auteur par le
de Neurologie » auront pour objets principaux la nosographie et la
clinique
; mais elles offriront une large place aux reche
ation, les procédés des sciences physiques adaptés aux choses de la
clinique
viennent offrir leur concours à l'observation p
ophone est un instrument nouvellement employé dans les explorations
cliniques
. L'un de nous a inventé un appareil de ce genre
effets sont atténués par une contraction maximum de ces muscles.
CLINIQUE
MENTALE DE LA COEXISTENCE DE PLUSIEURS DÉLIRES
Par le Dur MAGNAN, médecin de l'asile Sainte-Anne. ' I. Les faits
cliniques
, en aliénation mentale, ne s'offrent pas toujou
plus complexes, mais l'espèce nosologique elle-même peut, 4 50
CLINIQUE
MENTALE. dans certaines circonstances, se prése
alcoolique. Ce n'est point là une hypothèse, c'est bien une réalité
clinique
, curieuse assurément, mais qui n'est pas rare e
de montrer dans mes leçons. Une analyse attentive de cette synthèse
clinique
per- met de faire la part de chacun des trois é
e spéciale. II. Pour aller du simple au composé, des faits qui 52
CLINIQUE
MENTALE. s'imposent à tous, aux observations qu
s les troubles toxiques. L'épileptique, en effet, qui s'al- 54 le
CLINIQUE
MENTALE. coolise présente peu à peu les signes
pleine conscience. A 26 ans, après plusieurs attaques épilep- 56
CLINIQUE
MENTALE. tiques, se développe un accès maniaque
de délire alcoolique très différent de l'accès dipsomaniaque. 58
CLINIQUE
MENTALE. Le dipsomane, avant de boire, se trouv
l'estomac se serre et l'impulsion à boire se développe. L'analyse
clinique
chez cette malade, permet donc de voir trois ét
s n'offrent pas, on le voit, de difficultés très grandes, l'analyse
clinique
réclame un peu plus d'attention lorsqu'il s'agi
gique tracée par les ascendants. La grand'mère paternelle était 60
CLINIQUE
mentale. mélancolique, le grand-père paternel s
lancolique, pendant lequel elle exprime des idées mystiques ; 62
CLINIQUE
MENTALE. elle avale des épingles et cherche à s
ue l'analyse en devient des plus simples. Pour compléter le tableau
clinique
, il eût été nécessaire de déterminer l'antécéde
deux maladies, ils peuvent même ne pas présenter de dis- B1· li,
CLINIQUE
MENTALE. positions névropathiques. Quelquefois
rien perdu de leurs caractères pénibles et désa- gréables. 5 66
CLINIQUE
MENTALE. Les trois états pathologiques, folie é
l'injurie, on la menace, elle se croit poursuivie; tout brûle 68
CLINIQUE
MENTALE. dans sa maison, elle se sent entourée
symptomatiques propres. Mais il n'en est pas toujours ainsi, et la
clinique
mentale ne s'offre pas constamment à nous avec
r, fré- quentant les malades de plus longue date, il nous sera 70
CLINIQUE
MENTALE. facile de nous rendre compte de l'infl
- sente, à un centimètre de chaque commissure, .une encoche de 72
CLINIQUE
MENTALE. 4 à 5 millimètres environ, sorte d'esq
- sentée par deux lames indépendantes l'une de l'autre et très 74
CLINIQUE
MENTALE. obliquement disposées, à peine plus la
jambes, des taches bleues qui ont disparu sous l'influence des 76
CLINIQUE
MENTALE. bains sulfureux.-Aucun accident nerveu
. Traces méningitiques très prononcées. Rien à l'auscultation. 78
CLINIQUE
MENTALE. - La tête est dans l'extension, bien q
r toute sa longueur. - Le lobe paracentral est irrégulier; son 80
CLINIQUE
MENTALE. sillon est vertical et séparé jusqu'au
tte observation alors que nous remplacions M. Delasiauve. 6 82 -
CLINIQUE
MENTALE. Rensei{JneJ'iJfrrs(OU1'n1'sp(ll' sa mè
ils sont toujours de médiocre intensité. Elle ne prend que des 84
CLINIQUE
MENTALE. aliments liquides. Tendance à l'assoup
avril. Vingt-huit petits accès. T. R. 37°. Soir : T. R. 37°,2. 86
CLINIQUE
MENTALE. 26 aur<7.La malade est prise d'un a
e et la PL. III ont été dessinées par notre ami, M. E. Brissaud. 88
CLINIQUE
mentale. Hémisphère cérébral droit. Même aspect
symptômes et le traitement de l'épilepsie hémiplégique. * * Notes
cliniques
sur l'épilepsie partielle (Iconogr. phologr. de l
. anatomique, juillet 1876 ; Gaz. médicale, 1876, p. 595 et 610. 90
CLINIQUE
MENTALE. comparable à celui de l'épilepsie comm
LICH, (traduction Labadie-Lagrave), Paris. - Essais de Thermométrie
clinique
; par Da COSTA ALVanEVCa, (édi- tion française).
logie'pure. La note de M. Broca eut donc le mérite d'appliquer à la
clinique
un mode d'exploration cérébrale nouveau dans se
de température céphalique. I. Avant d'en arriver à des applications
cliniques
, la thermo- métrie de la tête avait attiré l'at
llèle avec celles des cliniciens, on peut dire que les applications
cliniques
de la thermométrie cépha- lique étaient nulles
de la périphérie du crâne. Dans ses Recherches de .The2,2noînétî,ie
clinique
générale, M. Da Costa Alvarenga a recherché la
clusions de notre travail. DE LA THERMOMETRIE CEPHALIQUE. 105
clinique
cérébrale quand il donnait en 1877 : d'une part,
raison des divergences observées : on est habitué, en thermométrie
clinique
, à ne tenir aucun compte de la température exté
té par M. P. Bert, Soc. Biol., janvier 1879.) Au point de vue de la
clinique
cérébrale, nous en trouvons des applications da
éricain. Il y a donc là une idée nouvelle, originale, véritablement
clinique
, et le travail de M. Amidon peut être considéré
es adversaires des localisations cérébrales. Et cependant les faits
cliniques
que nous rapportions dans les pages précédentes
e qu'il s'agit là d'une méthode nouvelle qui appelle des recherches
cliniques
nom- breuses, et doit par conséquent être prise
bercule au niveau du noyau de la sixième paire. Cette observation
clinique
portales auteurs à étudier à nouveau les dispos
fibres motrices n'a lieu qu'en dessous du bulbe. L'expérience et la
clinique
semblent d'ail- leurs confirmer cette manière d
e B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE I. Leçon D'OUVERTURE DU COURS DE
CLINIQUE
DES maladies mentales ; par M. le professeur BA
ales ; par M. le professeur BALL. En ouvrant la série de ses leçons
cliniques
M. Ball a voulu faire connaître d'abord les vue
é- sumé est loin de renseigner sur les tendances du professeur de
clinique
des maladies mentales. Quand il parle de la néces
, car il se plaît à chercher « plus haut et plus loin » que dans la
clinique
, c'est-à-dire dans la philosophie, les ori- gin
ons se réduisent au respect des ancêtres, au culte de l'observation
clinique
et au scepticisme. Le respect des ancêtres est
t louable, et encore faut-il s'en défier. Le culte de l'observation
clinique
ne vaut, comme tous les cultes, que par l'espri
ette déclaration est fort naturelle dans la bouche du professeur de
clinique
, mais elle ne remplace pas l'exposé de principe
s et descen- 164 BIBLIOGRAPHIE. dantes de la moelle, dont le type
clinique
a été primitivement donné par M. Charcot à prop
me oculaires étant donnés, quelle sera leur valeur séméiologique en
clinique
céré- brale, quels sont les faits publiés sur l
re constaté ? La thèse, faite dans ce sens ou selon tout autre plan
clinique
, eût coûté moins de travail à l'auteur et eût,
existe, à un degré plus ou moins marqué, chez l'homme sain. En
clinique
, on fait ordinairement apparaître le ré- flexe
i , 1 f , -i ¡ , lr' ! I)T j, (fIW 1 f Id '* ^1 j, J,rujqb ^ ?
CLINIQUE
MENTALE 00 'nb' .1) .Jlf )1 ''11'1 " j'¡j' o'
suspendu'. » i Journal de médecine mentale, 1861, p. 110-111. 214
CLINIQUE
MENTALE. Telle est la démence. Parmi les causes
n intensité, soit en étendue, et cela, bien que, 1 au point de vue'
clinique
, on n'eût pas observé de dif- férences bien sen
nfant était âgée de 10 ans, lorsqu'on s'aperçut qu'elle se 216 ,, ,
CLINIQUE
; MENTALE. , 3,j trouvait malade') temps,en tem
e », aurait été malade un * TpjTiaj)"5 J1 ¡T3 'i 1,1 ii- 4L 220 ,
CLINIQUE
MENTALE. *,«. ? .h 220 il 9b 19 <¡fl1 : jfjO
220 , CLINIQUE MENTALE. *,«. ? .h 220 il 9b 19 <¡fl1 : jfjOfi
CLINIQUE
C91 dlh/o -ta J'1;ç¡I¡¡fll ? 1' 1 ? HJD an; n'é
a thèse de M. A. Leroy : De l'état de mal épileptique, p. 18. 224
CLINIQUE
MENTALE. qu'elle a succombé à un état de mal le
. Mort le 26 mai. - Voici qu'elle a été la marche des accès : 226
CLINIQUE
mentale. Cervelet et isthme. Poids : 1 0 gr.
ment aux approches de ses règles des étourdissements de quel- 228
CLINIQUE
MENTALE. ques secondes de durée; la mémoire s'a
notre malade, est né à terme : au deuxième mois de cette der- 230
CLINIQUE
MENTALE. nière grossesse, la mère eut une fraye
; 257 en 1878 ; 406 en 1879 et 102 dans les 40 premiers jours 232
CLINIQUE
MENTALE. de 1880. Ajoutons que T.. avait des ve
complet. Des lignes tracées sur le ventre avec l'ongle rou- 234 i
CLINIQUE
MENTALE. gissent et deviennent très apparentes
vellent en moyenne 7 ou 8 fois par jour : le malade tombe or- 236
CLINIQUE
MENTALE. dinaircmcnt sur la face; il est agité
t plus volumineuse que la droite, qui est filiforme. 1;s23g r ' .
clinique
mentale. lIJp Au niveau de. l'hexagone, la comm
olution des symptômes complexes auxquels sont sujets les épi- 240
CLINIQUE
MENTALE. leptiques de cette sorte. D'autre part
qu'elles s'adressent à des faits, tels que^ceux dont la description
clinique
précède; car la, technique de l'histologie céré
es élastiques qui semblent englobées dans la couche la 16 242 ?
CLINIQUE
MENTALE. T ' plus superficielle de' la' substan
a été reconnu par nous sur quelques points de l'écorce grise, 244
CLINIQUE
MENTALE. JI 1 11 loti 1."J "T '¡"<;Jf. Ht J.
ssance des faits signalés dans le "fl'J() Tg.u i; ,"1 ,p .lÜ 26 ô
CLINIQUE
MENTALE. , - .. 211f1f' IStJ "11 'r.y ) ? twr'.
s transparente et moins condensée que la substance corticale. 2t8
CLINIQUE
MENTALE. o ? TII ! 1'Q'.IdTtt5l iLIr11f¡ : cla
ra- mifiés est considérablement plus restreint que celui 250 . r.
CLINIQUE
'MENTALE./ , aa des éléments araignéespropremen
de suivre attentivement, ne laissent aucun doute à cet égard. 256
CLINIQUE
'mentale. EXPLICATION DES PLANCHES PLANCnE V
etc. Mais, ce qui est plus important, c'est la haute signification
clinique
reconnue par M. Burq; le premier a deux symptôm
intéresse pour l'instant dans son mémoire, c'est non pas la partie
clinique
, composée de 82 observations, mais MÉTALLOSCOPI
us avons pris soin d'établir leur réelle existence par des tableaux
cliniques
aussi complets que possible. C'est précisémen
rapport direct avec les muscles. XIII. Recherches expérimentales ET
cliniques
sur L'ANES- THÉSIE PRODUITE par LES lésions DES
ique prendront a. pareils faits le jour où, ^ 1fne,p,bl.. seryation
clinique
. précise; pol< ? sèjoindré un protocole d'au-
;,¡t ... .> \5/ 4-i £ v j- oïl-if et e> ibôn^ol^ q XIX. NOTES
CLINIQUES
[Sur la,, névralgie ,sciatique .causée gi iirii
779) ? trois cas'deiCirillo (1803), r u9-¡ p : s;J.de Lallemand (La
clinique
de Montpellier, 1 8'i-3) un" cas de Lacombe [Un
tion 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. grand nombre de faits
cliniques
et pathologiques », dit M. Amidon, en débutant;
rlaobl <J'li ? I'1 fro ].1\) ,iniJl, tLm ,.rl,han XXVIL,rETUDErf,
CLINIQUE
SUR-,L'ABOLITION. DU RI·'LEX>;,TINDZ- - a' N
-j 1 ' ' t . li , 11 Il ,rp 1 (1 ... r .. , j . XXX. Observations
CLINIQUES
SUR LES variations DE TEMPÉ- ! » RATURE, LE DÉCUB
V. ETUDE CLINIQUE SUR QUELQUES POINTS DE LA LYPEMANIE ; ' XV. Etude
clinique
sur quelques points À de , la 1, par M. H. Mabi
dre sa position vicieuse. Le malade a été montré un mois après à la
clinique
du. docteur Seguin ; il marchait sans peine ; l
e. 333 XI. Suture du NERF médian DIVISÉ; par le Dr 11ULRE. [Société
clinique
de Londres, et the Lancet, février 1880, p. 288
tes, ne considérer la température céphalique que comme une donnée
clinique
intéressante et parfois utile plutôt que comme un
rties anesthésiées; ces recherches sont le 1 Etudes de thermométrie
clinique
dans l'hémorrhagie cérébrale et dans quelques a
res maladies de l'encéphale. Thèse de Paris, 1870, n° 213. 2 Etudes
cliniques
et thermométriques sur les maladies du système
erveux, pour laquelle il sera accordé trois heures ; 2° une épreuve
clinique
commune sur un malade. Il sera accordé au candi
ion devant le Jury après cinq minutes de réflexion ; 3° une épreuve
clinique
sur les maladies mentales : un seul malade. Il
rapport sera faite au début de la séance suivante ; 5° une épreuve
clinique
sur deux malades d'un service d'aliénés. Le can
l suit : Pour la première épreuve écrite, 30 points. Pour l'épreuve
clinique
commune, 20 points. Pour l'épreuve cli- nique s
points. Pour la deuxième épreuve écrite, 30 points. Pour l'épreuve
clinique
sur deux malades, 30 points. Asile DE BLOis.
ecine, est,provi-1. soirement délégué dans les fonctions de chef de
clinique
de patho- logie mentale eu remplacement de AL'
islain. Clô- ture du Concours 4 °= mars 1882. Etablir par des faits
cliniques
les relations existant entre les lésions cadavé
la méningite tuberculeuse, mais il manquait cependant au tableau
clinique
, le vomissement, la constipation opiniâtre, l'a
professionnelle ni à une insolation ou à un trau- matisme. 1- ,
CLINIQUE
MENTALE Il CONTRIBUTION. A L'ETUDE DE L'IDIOTIE
ant à la Pl. IV, dessinée avec le plus grand soin par M. Leuba. 392
CLINIQUE
MENTALE. Observation IV. ATROPHIE CEREBRALE :
lais, assez large, médio- crement profond, parait symétrique. 394
CLINIQUE
MENTALE. , 1 Les oreilles sont longues ; leur p
atrophiées, réduites à un, deux ou trois millimètres de largeur 396
CLINIQUE
mentale. diminuée notablement de hauteur. Ce fo
jours, des convulsions qui prédominaient dans le côté droit. 398
CLINIQUE
MENTALE. 15 jours , et les convulsions repriren
e communicante antérieure est double; les autres artères sont 400
CLINIQUE
MENTALE. normales, ainsi que les différentes pa
le correspondant, beaucoup plus volumineuse que les par- 26 402
CLINIQUE
MENTALE. ties similaires gauches. L'oreillette
de 6 millimètres. (Dubrueil. - Anomalies artérielles, p. 23). 404
CLINIQUE
MENTALE. Sur le bord droit du tronc pulmonaire,
la Soc. anat., 1880, p. 1, et Progrès médical, 1880, p. 163. 406
CLINIQUE
MENTALE. rha,gie dans le lobe frontal de l'hémi
ull, de la Société médicale de la Suisse romande, 1875, p. 375. 408
CLINIQUE
MENTALE. cerveau, dontparle également Strümpell
aque à 4 0/0. Or, ce que les coupes, colorées au picrocarmin, 410
CLINIQUE
MENTALE. nous ont permis de constater, peut se
hro- nique, très lent, dont le point de départ réside dans la 412
CLINIQUE
MENTALE. névroglie de la substance grise cortic
n. La méthode habituellement employée par M. Charcot dans l'étude
clinique
de l'achromatopsie est, on le voit, celle connue
considérations anatomo-physiologiques, rapprochées de quelques cas
cliniques
, avec autopsie, dans lesquels les mala- des aff
tronc nerveux. R. BL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XL. Tableau
CLINIQUE
DES dégénérations secondaires DES faisceaux CÉR
sme des contractures tardives. Il n'envisage d'ailleurs que le côté
clinique
de l'affection, et tout 442 REVUE DE pathologie
outenue par M. Hitzig. Elle est fon- dée, dans le domaine des faits
cliniques
, sur les observations évidemment très nombreuse
é, devenus hyperexcitables. M. Charcot a fait voir, dans ses leçons
cliniques
de la Salpêtrière, plusieurs femmes hémiplégiqu
racture a frappé également le membre inférieur et le membre supé-
Clinique
de la Charité, p. 562. REVUE DE PATHOLOGIE NERV
ps leur existence nous enseigne que, si elles ont déterminé le type
clinique
de la chorée izei4- 452 REVUE DE PATHOLOGIE NER
Schultz, les observations de deux malades qui présentaient le type
clinique
complet de la sclérose latérale primitive, et à
et l'arrêt de la ma- ladie à deux reprises indiquerait qu'une forme
clinique
grave est compatible avec des lésions peu avanc
ympans tout à fait normaux. Ces deux cas concordent avec le tableau
clinique
tracé par Voltolini, Toynbee et von Troeltsch.
la forme et le siège exceptionnel de cette tumeur. Au point de vue
clinique
, on peut remarquer les variations qu'ont subies
mbaire et cérébelleux, appellations qui représenteraient des formes
cliniques
bien définies, l'auteur insiste sur les divers
le docteur Ley. Il rapporte aussi un cas de tétanie, cité dans les
cliniques
de Trous- seau. Remarquant alors que, dans ces
des écrivains qui, chez les neurosthéniques, affecterait une forme
clinique
particulière, caractérisée par des sensations d
gitation, le12mai ; au milieu de juin, on constate chez lui le type
clinique
complet de la paralysie générale. Le 25 janvier 1
atégorie des folies avec conscience ». H. D'O. XXXVIII. UNE LEÇON
CLINIQUE
SUR la paralysie générale; par A.-E. MACDONALD.
d, 7 février 1880.) L'auteur donne dans cette leçon une description
clinique
complète de la paralysie générale en présentant
temps sur les circonvolutions psychiques et motrices. M. XL. NOTE
CLINIQUE
SUR UN mouvement anormal QU'ON OBSERVE CHEZ QUE
septembre 1880.) 486 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XLIII. Archives
CLINIQUES
.- 1 Observation de AI. Régis : folie circulaire
ysie générale. (Annales médico-psycholog ., sept. 1880.) XLIV. La
CLINIQUE
DES maladies mentales ET la psychologie ; par M
es », et il a entrepris de démontrer l'impossibilité de faire de la
clinique
en aliénation mentale sans avoir recours à la p
ent hystériques. (Annales méd.-psych., nov. 1880.) XLVI. Archives
CLINIQUES
. 1° Observation de Lélut : Manie aiguë sans alt
tus intermédio-latéral. La deuxième partie est consacrée aux études
cliniques
: M. Brissaud n'admet pas l'existence des hémip
êtrière, et M. Deny prendra la place de médecin-adjoint de Bicêtre.
CLINIQUE
des maladies mentales. Concours pour un emploi de
CLINIQUE des maladies mentales. Concours pour un emploi de chef de
clinique
titulaire. - Ce concours a eu lieu à la Faculté l
t fait reconnaître, et nous terminerons par quelques considérations
cliniques
et anatomo- pathologiques. Sur la face intern
40 (lui) t4libiliJ-JJ un concernent. L'anatomie pathologique,, la.
clinique
, - Oi) '3'iUO 8-M ? ? Jj't Lvt.Li 2 'G0m ? i 1
tant d'efforts expérimentaux eU ° J . V 91 "Of0>' ' ttU lBr«0
cliniques
, est compris dans la masse, ganglionnaire de ,
e sous-cutané et l'embolie graisseuse ressort de trois autres faits
cliniques
corroborés par les preuves ana- tomiques ; deux
ès son entrée, tandis qu'elle racontait les détails de son histoire
clinique
, elle s'écria : « Oh ! mère, que pensez-vous que
: telles sont les réflexions de M. Stenger. P. K. LXXVIII. Leçons
CLINIQUES
SUR LES tumeurs INTR.1-CRANIENNES par Bïrom Bra
minés. Le docteur Sch. fait ressortir la corrélation des phénomènes
cliniques
et ana- tomiques avec les études de Ferrier (at
si s'additionner pour en déterminer une. L'ensemble de ces facteurs
cliniques
etpatho- géniques émane de 2 observations publi
envisagées parl Dr Schmidt, lui permettent de caractériser le type
clinique
, dans ces con- ditions, par une phase prodromiq
de trente-six ans qui présenta successi- vement les manifestations
cliniques
de la sclérose cérébrospi- nale -.tremblements,
algré l'intégrité évidente du poumon. P. K. LIV. CONTRIBUTIONS A la
CLINIQUE
DES maladies mentales; par le Dr ARNOLD PICK, m
ych. u. ! 1'ervenlcrarrk., 1880.) Il s'agit de décider de la valeur
clinique
et nosographique des accès d'agitation périodiq
ment toutes ces questions, mais n'en résout aucune. LXI. Archives
cliniques
. (Ami. Méd. Psych., janvier 188t.) Paralysie gé
bord un éloge du chloral qui, depuis dix ans, subit l'épreuve de la
clinique
. Mais on croyait qu'il ne s'éta- blissait pas d
pathogénie des illusions et des hallucinations. 2° Nouvelles études
cliniques
sur le délire des grandeurs : alcoolisme expans
eurologie, ïVI. Ilâmmônd a 'réuni une sérié'de mémoires et'de'faits
cliniques
intéressants, '' dot"nous' rendrons compte dans
de la pratique ^personnelle des auteurs, 'et' le compte rendu de la
clinique
? j ' ' ? Il 'I1rft.. i'i ? .'f ï ' '11\., £ 1',
sage successivement le /" point de vue physiologique et celui de la
clinique
. L'étude do l'embolie cérébrale est faite au mo
pérature s'élevait. Ce travail est donc intéressant au point de vue
clinique
et en particulier à celui de la pathologie ment
ns le travail de M. Descosse qui porte surtout sur les phénomènes
cliniques
(probablement névritiques) observés après des lés
ier me tenait- il au, courant de ses projets d'avenir. A ses éludes
clinique
», (31 se» travaux de laboratoire, il voulait aj
énales, le goitre exophthalmique et les autres maladies du cerveau.
Clinique
: 1° Folie à double forme ; 2° L'influence des
M. nIOTTE1'; -fréso7'ier : M. J. RoDYNS. Asile Sainte-Anne ; leçons
cliniques
M. Magnan a recommencé ses leçons cliniques sur
le Sainte-Anne ; leçons cliniques M. Magnan a recommencé ses leçons
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses le diman
redis suivants, à la même heure. Hospice de la Salpélrié7'e; leçons
cliniques
.-1\L A. VOISIN a commencé le dimanche 30 janvie
er, à 9heures 1/2 du matin, ses conférences 648' ` FAITS 'DIVERS.
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses, et les co
en chef à l'asile d'aliénés; est transféré dans la nouvelle' chaire
clinique
^ (Décret duO, décembre,t880) ? ,(f, ? .'J' ,;¡
directeur médecin de l'asile d'Armentières, est chargé du cours'de
clinique
dès mata- ) " ...... "t' ? f, "1" ° l" .......0
fr.), (12 janvier 1881). Asile de Bnoa. - M. leur Brun, chef de la
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médecine
lière et CIe, 108, bou- levard Saint-Germain. Rtcuen (J.). Etudes
cliniques
sur l'hystéro-épilepsie ou grande lzys- térie,
randi (traitement de l'éclamp- sie par le), par Hunt, 620. Leçons
cliniques
de Bail, 1 ? de .tagnon, Voisin, 617. Législa
ns cas de céphalalgie réflexes, par Read, 616. Lypémanie (étude
clinique
sur la), par Mabille, 148. Lypémanie, par ill
âniennes du pont de Varole (syphilis), par Stenger, 588 ; (leçons
cliniques
sur les), par B. Bramwell, SS9. Ursulines (Ep
ille, nous le louons surtout de la peine qu'il a prise de visiter une
clinique
de l'hypnotisme avant d'en parler et de ne pas av
la Salpêtriere. — Le docteur Augnite VoUin reprendra ses conférence*
clinique
», »ur les maladie» mentale» et nerveuse», le dima
lon fait ton» Ici samedis, de 10 heur» à 11 heure» i,ï do matin, à la
clinique
de» maladie» nerveuse». 55. rue Seint-André-de*-A
55. rue Seint-André-de*-Art*, une leçon pratique sur le» applications
clinique
» et medieo-leg.les de l'bypaoti»»-*. Ce» leçon» s
ion psychique de la suggestion. Hier encore, dans une de ses leçons
cliniques
, M. Bernheim ne démontrait-il pas victorieusement
STOIRE ET DANS LE PRÉSENT Par le Docteur E. REGIS. Ancien chef de
clinique
de la Faculté, Médecin de la Maison de Santé de
ées anthropologiques de la nouvelle école, soit au point de vue de la
clinique
proprement dite Anthropologiquement, cette étud
logique pour être tout à fait exacte et c'est ici. comme ailleurs, la
clinique
seule qui offre le véritable terrain d'appui. En
in pied: mais la plupart n'attendent (1) Dr A. Journire, Recherches
cliniques
sur le délire hypoconériaque, p. 19. Thèse. Paris
ON Depuis quelques mois nous avons eu l'occasion d'observer à notre
clinique
un assez grand nombre de malades chez lesquels le
inuant l'étude de ces monomanics. comme on les (1) Leçon faite à la
clinique
des maladies neveuse ,rue Saint-André-des-Arts,55
suivre.) REVUE CRITIQUE LA FOLIE A PARIS (1) Etude statistique,
clinique
et médico-légrale Par le Docteur Paul garnier
es d'aliénation, le Dr P. Garnier groupe un grand nombre de documents
cliniques
choisis avec le plus grand soin et marqués de par
ologiques fort remarquables. Poursuivant ses études et observations
cliniques
, l'auteur démontre que la sphère génitale n'échap
gal les questions consacrées dans la deuxième partie à la description
clinique
. Sans vouloir faire autre chose que d'eflleurer
. Pour I'ovate. Jet sciences. Parit. 1&s9. FAHZI (E.), (aide de
clinique
de M. le profe*seur Monelli) : Ricerche termo-ele
ins exclusifs que le professeur de Vienne, nous pensons, nous, que la
clinique
et l'anatomie pathologique doivent se prêter un m
atteinte de syringomyélie nettement caractérisée se présente á notre
clinique
. Entre autres symptômes, elle accuse depuis deux
domine tout. L'alcool crée la tendance dipsoma- 1. Leçon faite à la
clinique
des maladies, nerveuses, rue Saint-André des Ars,
éveil. Depuis lors, elle a été hypnotisée à plusieurs reprises â la
clinique
. Sons l'influence des suggestions son état nerv
tes ces manifestations variées qui font autant d'espèces d epilepsies
cliniques
. M. Feré n'en a pas. pour cela, négligé cet aut
vre une description très complète et détaillée des différentes formes
cliniques
du syndrome épileptique. Ce syndrome se présent
és du syndrome épileptique convulsif ordinaire. Toutes ces variétés
cliniques
dont la symptomatologie apparente est Si diverse,
sorlissent à l'hystérie. Cette année, une série de leçons faites â la
clinique
de Montpellier par le professeur Grasset (2) sur
oslic. Au lit de chacun de ses deux mala-des, le savant professeur de
Clinique
médicale de Montpellier, s'y est évertué. Chez
t à la genèse de l'hystérie. Revenons seulement aux deux observations
cliniques
sur lesquelles repose l'expose des vues générales
ris). -- Il est parmi les diverses psychoses systématisées une espèce
clinique
qui, par sa nature, son début, son évolution et s
es variétés, nous devons, pour nous conformer aux enseignements de la
clinique
, proposer la division suivante : Astasie- abast
idérables qui existent entre ces deux moda- lités au point de rue
clinique
pur. je me contenterai de faire observer au point
e le compte-rendu des résultats obtenus par eux. de 1887 à 1889. à la
Clinique
de psychothérapie suggestive d'Amsterdam. Leurs s
nal reposent sur des observations personnelles recueillies dans notre
Clinique
des maladies nerveuses uniquement consacrée â la
Âgée de vingt-quatre ans. demoiselle de magasin, est envoyée à notre
clinique
, le 20 mars 1890, par le docteur Dubousquet-Labor
spasme hystérique Mlle D..., âgée de vingt ans. se présente à noire
clinique
le 26 mars 1889, Elle y est adressée par le docte
ns succès, un grand nombre de traitements. Lorsqu'elle vient à la
clinique
, outre son blépharospasme hystérique dont le débu
ingomyélie Mlle Sch.... âgée de 24 ans. brocheuse, se présente à la
clinique
le 24 février 1882, pour y être traitée d'une atr
ctuelle a frappé d étonnement les médecins qui nous assistent à notre
clinique
. Il importe de noter que le vitíligo a disparu
ois séances de suggestion. Chez un malade de 18 ans, adressée a notre
clinique
par le Dr Moutie de Paris, l'incontiuence cédait
PITRES '(de Bordeaux) Leçon recueillie par M. Dr Emile Bilot, chef de
clinique
.(1) Un évènement tragique s'est produit tout de
rs, ce que nous enseigne sur ce point l'observation directe des faits
cliniques
. II 8ur les cent malades dont nous avons recu
eux contre laquelle témoignent à la fois le bon sens et l'observation
clinique
. Les hystériques sont très souvent mobiles, fanta
ant oublia d'appuyer ses arguments sur quelques faits ou observations
cliniques
. Il faisait ainsi la part belle et rendait la v
ter à une crise d'hystérie. Les médecins qui suivent assidûment notre
clinique
, où un nombre relativement considérable de malade
rté par plusieurs des médecins les plus compétents. 6e plus, dans une
clinique
ou les malades sont soumis a l'examen d'un certai
soit cre: un asile spécial pour es aliénés criminels. » NOUVELLES
CLINIQUE
DES MALADIES NERVEUSES, 55. Rue Saint André dis A
llion commencera le samedi 25 octobre à 16 h. 1/2 une série de leçon»
cliniques
sur applications de 'l'hypnotisme et de la sugg
s continuera les. Samedis suivants à la même heure. On s'inscrit à la
clinique
, 55 rue St André des Arts. Les consultations gr
s envoyons cette lettre â tous ceux de nos confrères qui ont suivi la
clinique
de Nancy, bien persuadés qu'ils accueilleront ave
és ultérieurement dans ces deux catégories. La première observation
clinique
détaillée qui rentre sans conteste dans le délire
qui démontrent nettement, une fois de plus. la complète indépendance
clinique
de la folie du doute et du délire du toucher. L
uni sous la rubrique Zwangsvorstellungen une vrai macédoine de formes
cliniques
, voudrait qu'on en sortit la folie du doute (das
t dans une série d'études très remar-ejoable. (i) Les diverses formes
cliniques
des obsessions et des impulsions décrites par les
n distinctes. Et Falret ajoute qu'il faut admettre, comme une variété
clinique
, méritant une descrip, cription à part, la folie
même plus loin et nous demanderons que l'on sépare, en deux variétés
cliniques
distinctes, la folie du doute et le délire du tou
ni versilo de Turin a. celle de Gènes, et qui occupe les chaires de
clinique
des maladies mentales et d'anthropologie, accueil
ce, ils sodi toujours instructifs à rappeler. 1 NOUVELLES Cours —
CLINIQUES
DES MALADIES DU SYSTÉME NERVEUX. —M. le professeu
frères qui depuis plusieurs années m'ont i";dt l'honneur de suivre ma
clinique
. Si vous avez vu un Seul fait qui atteste un inco
à la suggestion ce qui est dû à l'inncité. c'est commettre une erreur
clinique
contre laquelle proteste ma longue expérience. Pa
estination et les autres au déterminisme (l) Leçons professées à la
clinique
des maladies nerveuses, 55, rue Saint-André-des A
oureusement à la réalité. Dernièrement encore, dans une de ses leçons
cliniques
de la Salpêtrière. M. Charot avait l'occasion" de
eut être que M. Magnan ne parait disposé à l'accorder, comme variétés
cliniques
, dans la folie des dégénérés héréditaires. Les ob
convient, dès lors, â mon avis, de leur conserver, au point de vue
clinique
, une importance qui n'est pas suffisamment reconn
ême heure. Cours libres — Psychiatrie et neurologie. — applications
cliniques
de l'hypnotisme. docteur BÉRILLON. — Le samedi à
cliniques de l'hypnotisme. docteur BÉRILLON. — Le samedi à 10 heures (
clinique
des maladies nerveuses, 55 rue st André des Arts.
n cette occurence, la nécessité de livrer la bataille. Sur le terrain
clinique
et thérapeutique, clic a gardé ses positions. Ell
éfère m'arréter et laisser 1 qui de droit le soin de tirer, des faits
cliniques
sur lesquels je viens d'appeler votre attention,
polémiques odieuses. C'est un traité à la fois théorique. pratique et
clinique
. On y trouve l'explication des phénomènes, l'indi
r les produire, et la relation détaillée de plus de cent observations
cliniques
, véritable trésor. Je n'en dirai mot. A chacun pr
rères qui, depuis plusieurs années, m'ont fait l'honneur de suivre ma
clinique
. Si vous avez un seul fait qui atteste un inconve
à la suggestion ce qui est du à l'innéité, c'est commettre une erreur
clinique
contre laquelle proteste ma longue expérience. Pa
nous avions eu à préciser an point de vue scientifique les caractère*
cliniques
dn sommeil provoqué chez Gabrielle Bompard, de no
bien graves, et notre très distingue collègue de la Revue générale de
clinique
et de thérapeutique appuie sur de nombreux argume
Russie, en Autriche el partout ailleurs, choix des chefs ou aides de
clinique
(docteurs en médecine) par les chefs de service.
x, l'anatomie pathologique, la bactériologie, la pro-pédeutique el la
clinique
, la thérapeutique expérimentale et clinique, etc.
, la pro-pédeutique el la clinique, la thérapeutique expérimentale et
clinique
, etc. 4° Rerutement des médecins, chirurgiens e
ient se consacrer a renseignement, et utiliser les énormes ressources
clinique
» mises à leur disposition Ainsi, la médecine prat
ra les jeudis suivants, à la même heure. Hôpital Saint-Antoine. —
Clinique
médicale.— M. le Dr Brissaud. Conférences cliniqu
l Saint-Antoine. — Clinique médicale.— M. le Dr Brissaud. Conférences
cliniques
tous les mercredis, à neuf heures trois quarts.
ois quarts. Cours libre.— Psychiatrie et Neurologîe. — Applications
cliniques
de l'hypnotisme. — M. le Dr Bérillon. — Le same
es de l'hypnotisme. — M. le Dr Bérillon. — Le samedi, à dix heures (
Clinique
des maladies nerveuses, 55, rue Saint-André-des-A
se fait fort de suggestionner les 9/10 des malades de son service de
clinique
(2) : tuberculeux, brightiques, rhumatisants, etc
8° 1801, passim et particulièrement Leçon IX. (2) M. Bitot, chef de
clinique
de M. le prof. Pitres, de Bordeaux, écrit (Note s
et Potain. qui ont leur service à l'hôpital à titre de professeur de
clinique
à la Faculté, conserveront ce service tant qu'ils
né en 1828, et M. Le Fort, né en 1829, étant tous deux professeurs de
clinique
à la Faculté, peuvent garder leurs services penda
nt intenter une action contre le Dr Carlier. BIBLIOGRAPHIE Études
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses. — Les Ali
et la médecine légale des aliénés. Le premier volume, consacré à la
clinique
, renferme les articles suivants : Principes à sui
un état pathologique provoqué; 2° Qu'aux points de vue chimique et
clinique
, l'hypnotisme et l'hystérie ont de nombreux liens
ations instinctives qui livrent l'homme, (1) Leçons professées a la
Clinique
des maladies nerveuses, 55, rue Saim-André-dcs-Ar
iquement établis jusqu'à ce jour. A tous ceux qui voudront visiter ma
clinique
, je m'engage à démontrer expérimentalement la vér
nus d'étudier les malfaiteurs dans les prisons, transformées ainsi en
cliniques
de criminologie. C'est le vœu de M. Lacassagne et
de Paris, a fait à l'Hospice des Enfants assistés, dans le service de
clinique
de M. le professeur Grancher, une leçon sor les a
es suivantes: Psychologie physiologique et pathologique. Applications
cliniques
de l' Hypnotisme. Le Dr Bérillon commencera ce
médecin adjoint de l'asile de Bailleul. Hospice de la Salêtrière. —
Clinique
de» maledite nerveuses : N. Charcot, mardi, à 9
es mouvements du bras, M. Von Winivarter, mon collègue, professeur de
clinique
chirurgicale, le lui (I) G. Chaigneau. — Etude
ue j'ai constatés à Nancy, chez le docteur Bernheim, el à Paris, à la
clinique
du docteur Bérillon. J'ai choisi quelques-uns de
t de les renier, au moins en thèse générale. Nous voici à la partie
clinique
proprement dite, la symptomatologie et le diagnos
ur étude. Cest de cette série de symptômes et de leurs combinaisons
cliniques
variées que vient la diversité des formes cliniqu
eurs combinaisons cliniques variées que vient la diversité des formes
cliniques
de la neurasthénie qui constituent la forme céréb
et suivant: Psychologie physiologique et pathologique. — Applications
cliniques
de l'hypnotisme. Il continuera le cours les samed
heures à midi. Les médecins et les élèves régulièrement inscrits à la
clinique
j sont exercés à la pratique de l'hypnotisme et d
4, rue Antoine-Dubois. Paris, 1891. Radziszewski (D* S.). — Études
Cliniques
et Bactériologiques, in-S", 66 pages. — Olller-He
e n'est que cela, et ceux-là qui voudront suivre quelques jours notre
clinique
, en seront vite convaincus. Beaucoup de médecin
prend à devenir maître du sujet. En procédant ainsi, j'arrive, à ma
clinique
, à hypnotiser presque tous les malades, indiffére
gorie que nous voulons étudier. M. Magnan a insisté dans ses leçons
cliniques
sur les troubles fonctionnels relevant de la désé
it-il pas qu'on lui demande de jouer une (1) Leçon» professée* à la
Clinique
de» maladies nerveascs, 55. rue Saint-André-de»-A
le professeur Chabcot (1). M. le professeur Charcot a examiné à sa
clinique
deux malades extrêmement intéressantes au point d
t suivant : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications
cliniques
de l'hypnotisme. La leçon du mardi 19 mai sera
n commencera, le dimanche 24 mai, à 9 heures 1/2, une série de leçons
clinique
* sur les Maladies mentales. — 11 continuera son c
l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales.
Clinique
de psyco-THerapeutihique suggestive de Bruxelles.
ve de Bruxelles. — M. le Dr Peelers vient de fonder, â Bruxelles, une
clinique
destinée anx applications cliniques de la suggest
vient de fonder, â Bruxelles, une clinique destinée anx applications
cliniques
de la suggestion hypnotique. Ecole paratique de
herches expérimentales sur l'hypnotisme et à l'étude des applications
cliniques
de cette science. — Des consultations gratuite; o
heures à midi. Les médecins et tes élèves régulièrement inscrits à la
Clinique
y sont exercés à la pratique de l'hypnotisme et d
tention de prendre un repos bien mérité et de fermer, cette année, la
clinique
de psychothérapie où tant de praticiens sont venu
e reconnaissance. L'appel adressé aux médecins qui avaient suivi la
clinique
de M. Liébeault était signé par plusieurs de nos
ans la matinée, ils ont assisté à l'hôpital civil, dans le service de
clinique
de la Faculté, à une démonstration des doctrines
de Malines. — Dr Bartholeme, de Liège. — Dr Peeters, directeur de la
Clinique
psycho-thérapique de Bruxelles. Brésil : Dr Joa
O'Turreil, de Dublin. Hollande : Dr Van Renterghem, directeur de la
Clinique
psycho-thérapique d'Amsterdam. — Dr Van Eeden, d'
omnambulique provoqué. Le traité : De la Suggestion, du professeur de
clinique
médicale de Nancy; ses savantes : Leçon* clinique
n, du professeur de clinique médicale de Nancy; ses savantes : Leçon*
cliniques
sur ta psychothérapie, ont vulgarisé la doctrine
de la première heure qui — soit en expérimentant, soil en ouvrant des
cliniques
de thérapeutique suggestive, ainsi que l'a fait M
x, etc., etc. L'examen de la vision, pratiqué par le Dr Kalt, chef de
clinique
de la Faculté, fait constater une amblyopie due à
t intellectuel, culte idéal, exagéré, où n'entre (1) Maosax. Leçon*
clinique
* sur le délire chronique à étolulion systématique
troubles, et de ne pas confondre sous un même nom des malades que la
Clinique
nous montre foncièrement dissemblables. De cett
M. Auguste Voisin a consacre La seconde partie de sa première leçon
clinique
à l'étudo expérimentale des suggestions criminell
mencé le dimanche 31 mai, à neuf heures et demie, une série de leçons
cliniques
sur les Maladies mentales. — Il continuera son co
l'application de l'hypnotisme au traitement des maladies mentales.
Clinique
db psycho-thbbapectiqub suggestive db Bruxelles.
les. Clinique db psycho-thbbapectiqub suggestive db Bruxelles. — La
clinique
dirigée par M. le Dr Peelers est destinée aux app
a clinique dirigée par M. le Dr Peelers est destinée aux applications
cliniques
de la suggestion hypnotique. Clinique db psycho
st destinée aux applications cliniques de la suggestion hypnotique.
Clinique
db psycho-thbrapbutiqub suggestive d'Amsterdam. —
ique. Clinique db psycho-thbrapbutiqub suggestive d'Amsterdam. — La
clinique
d'Amsterdam, dirigée par Mil. les Drt Van Renterg
herches expérimentales sur l'hypnotisme et à l'étude des applications
cliniques
de cette science. — Des consultations gratuites o
heures à midi. Les médecins et les élèves régulièrement inscrits à la
clinique
y sont exercés à la pratique de l'hypnotisme et d
naturel, avec pre- diction et lucidité, par A. Forel, 359. Études
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses, 254. Ex
r l'hypnotisme, par Bugney, 180. Folie à Paris : étude statistique,
clinique
et médico-légale, par Paul Garnie r, 52. Folie
le prof. Brissaud (et sans en tout cas la né- gliger) les variétés
cliniques
de l'infantilisme. 30 MAGALHAES LEMOS par l'â
que des dégénérés. J'ai émis cette opinion en l'étayant sur un cas
clinique
que je crois assez démonstratif, et j'ai été he
; et il y a lieu d'en prendre note dans l'ex- plication du tableau
clinique
que le gigantisme présente dans chaque cas part
énérale. Nous avons eu l'occasion d'étudier, au double point de vue
clinique
et anatomo-pathologique, plusieurs cas (l'ostéo
UTION A L'ÉTUDE DE L'OSTÉOMALACIE 47 Moebius (6) cite l'observation
clinique
d'une femme de 48 ans ayant eu 4 grossesses et
oint de vue de l'état du corps thyroïde, 33 cas d'ostéomalacie à la
Clinique
du Professeur llofmeier (il Wurzburg), et voici
réactions de la moelle osseuse dans les différentes modifi- cations
cliniques
ou expérimentales de l'équilibre endocrinique.
oïdectomisés. D'autres auteurs tels que Rise) (160) au point de vue
clinique
, Mac Callum et Voegtelin, Frouin (161) ont conf
lus- sation der Bande nach vorne. 2. 1)upuytre\. Leçons orales de
clinique
chirurgicale, t. I, p. 164, Paris, 1832. 3. Mu.
èse de Paris, 1904, n- 425. 23. I)EI.13FT. Carpus curvus, Leçons de
clinique
chirurgicale, Paris, 1899, p. 161. 24. JACOULET
ue nous avons observé nous-mème à l'hôpital de S.-Spirito. Histoire
clinique
. Antonio Caso, âgé de trente ans, né à Sinescola
a observée qu'une seule fois sur 10.000 malades des hôpitaux et des
cliniques
, et Fort éga- lement une seule fois sur ' ! 1..
résentations de malades à la Société de Psychiatrie et à la Societé
clinique
de Médecine mentale. Nous avons eu l'occasion d
critique de la Presbyophrénie, Avant d'envisager les applications
cliniques
de cette conception noso- logique nouvelle, il
t qu'en psychiatrie, on ne peut établir de rapport entre le tableau
clinique
et l'étiologie, que dans les cas où des formes
le tableau clinique et l'étiologie, que dans les cas où des formes
cliniques
bien nettes se manifestent couramment à la suite
te du fait que nous pouvons rencontrer exac- tement le même tableau
clinique
, sans polynévrite. Un cas de ce genre m'est rap
des psy- choses symptomatiques ou d'inanition, présente un tableau
clinique
analogue à celui de la psycho-polynévrite ; mai
que, relève de cette étiologie. Vous vous souve- nez que ce tableau
clinique
, dans ses traits importants, ressemble à celui de
la sénilité; il lui assigne, comme à une entité morbide, des formes
cliniques
, une évolution propre et un diagnos- tic différ
ion, et de la mé- moire en général. « Nous désignerons ce tableau
clinique
très particulier, sous le nom de pres- ,hyopUré
disparaître et, par le retour de la lucidité, reproduire le tableau
clinique
antérieur. «D'autre part,dans la presbyophrénie
ce simple et stupide. « De temps il autre, on voit aussi le tableau
clinique
de la presbyophrénie durer des années, à peu pr
et de Kraepelin sur la Presbyophrénie. Kraepelin, dans le tableau
clinique
qu'il trace de la Presbyophrénie, isole donc, p
byophrénie, pour Kraepe- lin, n'est plus, semble-t-il, qu'une forme
clinique
de la démence sénile, non une affection autonom
es élèves, ont, à leur tour, insisté sur la confor- mité du tableau
clinique
de la Presbyophrénie avec la symptomatologie de
auteurs,se présente fréquemment, mais non toujours, comme une forme
clinique
de la psychose de Korsakoff, et, en règle géné-
association morbide est d'ailleurs conforme aux enseignements de la
clinique
qui démontre les grandes analogies qui existent e
(2) offre, avec le syndrome psycbopotynévritique, les ressemblances
cliniques
les plus frappantes : amnésie continue, désorient
sénile sont, l'une et l'autre, susceptibles de réaliser le tableau
clinique
de la Presbyophrénie. Voilà donc la synthèse no
ne entité morbide, a été considérée, tour à à lour, comme une forme
clinique
de la démence sénile ou de la psychose de Korsa
, et permettant de l'isoler comme « une affection cérébrale au sens
clinique
et anatomique », ces sphu;rolrichi auraient été
de l'expérience, tombent et dispa- raissent. Par contre, les faits
cliniques
communs aux diverses descriptions se dégagent e
prétendent plus, semble-t-il, qu'à décrire les lésions d'une forme
clinique
et non d'une entité morbide. La conception de
tité morbide. La conception de Kraepelin, la Presbyophrénie forme
clinique
delà dé- mence sénile, réunit, en Allemagne et
tainement heureuse, et relativement originale, à l'étude des formes
cliniques
de la démence sénile. Celte conception est, en
Au lieu de restreindre le diagnostic de Presbyophrénie, à une forme
clinique
de la démence sénile, on peut observer au contr
rsakoff, par exemple, que dans la démence sénile ; et si le tableau
clinique
d'ensemble est différent, dans les deux affection
r trop vite, et comme de parti pris, le tableau morbide à une forme
clinique
de la démence sénile. Transformée en syndrome,
thologique d'une entité morbide esl possible, si celle d'une forme
clinique
, quelque différenciée soit-elle, est très conte
byophrénie doit, logiquement, perdre son nom ; en effet, le tableau
clinique
, n'étant plus spécial à une variété de démence
Camus) (1). Mais la notion de syndrome une fois dégagée, l'analyse
clinique
peut être poussée encore plus loin et s'appliqu
on et de la confabulation, et de préciser les différentes modalités
cliniques
de celle confabulation. L'amnésie de fixation e
Discussion de la communication de MM. Brissot et Hamel. Société de
clinique
mentale, 18 juillet 1910. O. (2) Trenel et LI8E
enel et LI8EIIT, Paralysie générale sénile el piesbyophrénie. Société
clinique
de médecine mentale, 18 juillet 1910. (3) Kli
sent. Cette désorientation allopsychique peut être le seul résultat
clinique
de l'amnésie de fixation. Les cas sont fréquent
ctivité mythique du sujet. Pour préciser davantage les conditions
cliniques
de la fabulation, il y a intérêt, croyons-nous,
chez les amnésiques de fixation, essayons d'analyser les modalités
cliniques
par- ticulières de cette fabulation ; tâchons d
ence (entre 30 et 40 ans). Dans d'autres cas, on observe le tableau
clinique
du Puérilisme, décrit par Dupré (1) et qui se r
constitutionnel. De l'analyse de nos observations, un dernier fait
clinique
se dégage : c'est la croyance presque constante
à réaliser sesassociations d'idées. El, dès lors, la signification
clinique
du syndrome se trouve précisée. Le sujet 1 est
t électivemeut sur la mémoire et l'imagination. Cette signification
clinique
est d'autant plus intéressante que l'apparente
« presbyophrénique » dans son mécanisme psychologique, ses variétés
cliniques
ou ses conséquences médico-légales, son princip
sensibilité objective. En se basant exclusivement sur des symptômes
cliniques
et sur l'évolu- tion de la maladie, M. P. Marie
la publication du premier article de M. P. Marie, les observations
cliniques
ont été nombreuses, mais les au- topsies, par c
e et dans la jambe droite. S'est fait traiter pendant l'an 1903 à la
clinique
privée du Dr Kourdumoil à Moscou. Il est malade
l'immobilité du dos. La malade est morte le 14 mai 1905. Diagnostic
clinique
: tabes dorsalis, spondylose rhizomélique. L'hi
ler mars 1909. Il séjourna à l'hôpital pendant 29 jours. Diagnostic
clinique
: Spondylose rhizomélique. Tuberculosis pulmonum.
l. 1. Observation XVI. A. S..., 19ans,élëvedecollège,admisdaus la
clinique
privée du Dr Kotirdumoff le 19 mars 1902. Le ma
rapport réciproque de ces deux symptômes constitue tout le tableau
clinique
de la maladie. 7° Le début de la maladie peut ê
ure de ces dernières. Dans toutes les autres observations, l'examen
clinique
n'a permis de déceler aucune exostose. 20° No
toutes les autres observations, le système nerveux, au point de vue
clinique
et anatomique, ne présente aucun trouble objectif
nte à plusieurs points de vue ; il s'agit d'un des malades de notre
clinique
, chez qui nous avons observé une arthropathie d
ÉE 141 pelle, à Page de 48 ans. Trois mois avant son entrée à notre
clinique
, étant allé, comme d'ordinaire, s'asseoir à un
ant ce temps, ne s'est pas élevée à plus de 37 5. Il est entré à la
clinique
le 9 avril 1910, avec 38°, pouls 115, et un étal
sur les principaux organes eL sur le système nerveux. L'observation
clinique
de celle malade a été publiée ici même par M. P
morragies pourraient expliquer les variations rapides des symptômes
cliniques
. On distingue, dans le tableau clinique de l'ap
ions rapides des symptômes cliniques. On distingue, dans le tableau
clinique
de l'apoplexie, les symptômes initiaux des rési
rd la paralysie fut si forte qu'elle domina complètement le tableau
clinique
. On sait que l'on a déjà cherché à expliquer le
RATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 1 si 1 notre observation X qui se rend en
clinique
hémiplégique et à peu près aveugle. Pourtant ce
point de vue médical, car il renferme une foule de rensei- gnements
cliniques
et thérapeutiques. Il ne peut, à noire avis, avoi
onne pour la vérole une liste de synonymes qui n'ont point cours en
clinique
(4) et dont un. petit nombre se trouvent aussi
me âge. ' J'ai eu l'occasion d'en observer deux cas dont l'histoire
clinique
est obscure et présente des lacunes. Ce sont de
urquoi la plupart d'entre eux ne ne sont manifestés par aucun signe
clinique
appréciable et ont permis une longue survie.
de tendance a envahir les espaces sous-arachnoïdiens. L'histoire
clinique
est très obscure. Le diagnostic n'a pas été fait
e BOVERI, Pnvat-docent à la Faculté de Médecine de Pavie. Chef de
Clinique
On sait que la syringomyélie est, parmi les mal
ble de noter la grande variété de ces troubles dans leur expression
clinique
. La main type Morvan, la main chéiromégalique d
ait été placé, et voici les notes prises au moment où il était à la
clinique
. 2o juillet 1891. Renseignements fournis par le
ttitudes cataleptiques. (1) Quelques jours avant son entrée dans la
clinique
Charcot, il avait manifesté à un premier examen
tienté. Ne pa- rait pas halluciné. Fin septembre 1891. Sort de la
clinique
Charcot. 25 mars 1892. - Après avoir travaillé
uel, il ne semble pas qu'il puisse y avoir d'hésitation. Le tableau
clinique
, dans son ensemble, est très caractéris- tique
t se rencontrer dans des affections mentales diverses.C'est un fait
clinique
sur lequel nous avons insisté il y a déjà plus
ait particulier, comme d'ailleurs les détails principaux du tableau
clinique
, se retrouvaient, depuis le début de la maladie
ntrent aussi toute la complexité de cette ques- tion de nosographie
clinique
. Ce sont ces considérations qui ont amené certa
és rappelle beaucoup nos propres observations. Ce sont là des faits
cliniques
dont il importe de tenir compte ; car ils peuve
lonne vertébrale. Sur le tableau ci-après sont réunies les variétés
cliniques
les plus proches de la spondylose rhizomélique.
forme dernière avec celle de la spondylose rhizomélique. Les signes
cliniques
différentiels sont : l'aplatissement de la lord
liférante. Lipome arborescent;. Ces déformations, au point t de vue
clinique
, produisent tout un ensemble de symptômes : une i
Spondylose myopathique. - Le professeur Senator et Cassirer, de la
clinique
d'Oppenheim de Berlin ont décrit des cas d'immobi
l satisfaisant. Tous ces symptômes, bien que constituant un tableau
clinique
particulier, rappellent de très près la formed'
t-être, pourront être utiles, à ceux qui aborderont ces pro- blèmes
cliniques
: Voici notre observation : 314 MOSSÉ Obser
s diverses affections. Il semble donc qu'il représente une modalité
clinique
atypique qui reste encore à préciser et à classer
d'un classement et d'une interprétation difficiles au point de vue
clinique
comme au point de vue pathogénique. Il y aurait
! part à : cause de la description souvent insuffisante de la forme
clinique
de la maladie. C'est la psychose maniaque dépre
se (le Paris, 1908. 10. GRAGE. Münch. Med. Woch., 1905. '1 ri
CLINIQUE
DES MALADIES NERVEUSES DE ROMPE Directeur : Pro
G. FUMAROLA Assistant. t. Dans la salle de visite annexée à la
clinique
des maladies nerveuses dont le directeur est le
éristiques spéciales qui méritent d'être mises en lumière. Histoire
clinique
. E. Attilio, âgé de 27 ans, cordonnier. Il a son
é de Babinski-Jarkowski. LE MECANISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE ÉTUDE
CLINIQUE
P\R NOICA (de llllC31'csl). Il nous sembl
imiter le terrain des recherches aux troubles que l'on a décrits en
clinique
sous ce nom ; car, si nous avons l'intention d'
it-il, à l'expérimentation électro-physiologique et à l'observation
clinique
, arrivait à cette conclusion que généralement, po
ste avec une corser- vation de la force musculaire, (A suivre),
CLINIQUE
DES MALADIES NERVEUSES DE L'UNiVERSiTÉ DE MOSCOU
euré en observation pendant de longues années dans le service de la
Clinique
des maladies nerveuses de l'Université de Moscou.
inale. Le tableau anatomique correspondant à une telle complication
clinique
se montra, comme on s'y attendait, extrêmement
cription systématique et complète du cas considéré au point de vue
clinique
et au point de vue anatomique. Je n'envisagerai q
alade remplit à elle seule plusieurs cahiers d'obser- vations de la
Clinique
; le professeur Roth et plusieurs de ses assistan
atrophies de la moelle et de l'encéphale ; à plus forte raison, la
clinique
serait-elle incapable de grouper un syndrome quel
ACULTÉ DE MÉDECINE DE LYON UN NOUVEAU CAS D'ACHONDROPLASIE (ÉTUDE
CLINIQUE
ET radiographique), 1 PAR J. REBATTU, Che
(ÉTUDE CLINIQUE ET radiographique), 1 PAR J. REBATTU, Chef de
clinique
médicale adjoint à la Faculté de Lyon. Depuis q
GIQUE ? PAR ' J. EUZIÈRE et J. DELMAS Professeur agrégé Chef de
clinique
à la Faculté de médecine de Montpellier. Le p
ue son instruction et son état de fesseur Vires, chargé du cours de
clinique
; nous remercions ce dernier d'avoir bien voulu
ÉGRESSIF OU TARDIF PAR Victor CORDIER et Jean REBATTU Cller. de
Clinique
adjointe a la Faculté de médecine de Lyon. I. H
oedème. Enfin ils esti- maient que l'édification d'une telle entité
clinique
était prématurée, et que, plus sagement, on pou
e de l'infan-. tilisme de Gandy. Nous croyons à son individualité
clinique
, et nous tenterons d'en déga- ger les symptômes
en particulier celle de Karakascheff qui ne com- porte aucune étude
clinique
, mais simplement des résultats d'autopsie. Enfi
réent pas de troubles comparables. Bref, ni l'expérimentation ni la
clinique
ne nous fournissent d'élé- ments assez probants
ations thyroïdiennes. 111. Diagnostic. Reste à situer ce syndrome
clinique
, à déterminer sa place au milieu des types anal
quer le fémi- nisme des castrés. IV. Pathogénie. La description
clinique
, la classification et la dénomination même du s
u contraire, l'infantilisme régressif a véritablement une autonomie
clinique
, s'il mérite d'être isolé de la famille des « syn
rement, et dans lesquels aucun symptôme saillant ne domine la scène
clinique
et ne lui imprime une allure particulière. An
anger dans ce groupe si compréhen- sif, des syndromes d'une netteté
clinique
incontestable, sous le prétexte qu'à l'autopsie
la surrénale, de l'hypophyse, qui, tout en modifiant un peu le type
clinique
, doivent le faire rentrer dans le gi- ron des s
à une interprétation pathogénique et nullement à une descrip- tion
clinique
. D. Le second point à débattre est le suivant :
l d'une dysor- chidie ou d'une dysthyroïdie ? L'étude anatomique et
clinique
nous a en effet permis de mettre au premier pla
ression des érections et l'atrophie testiculaire ouvrirent la scène
clinique
dans le cas de Sainton et Dupré. La lésion tes-
embres, une légère infériorité intellectuelle et morale. Le tableau
clinique
ne rappelle en rien celui de l'infantilisme myxcc
i d'après une vingtaine d'observations complètes. Au point de vue
clinique
, cet infantilisme régressif ou de Gandy appa- r
ituée que par un protocole d'autopsie et ne comporte pas d'histoire
clinique
. Quant aux autres, nous les avons résumées, 'et
tomatique : ainsi l'on pourra mieux comparer entre eux les tableaux
cliniques
relatés par les auteurs, retrouver plus facilem
e à l'Hôtel-Dieu dans le service du professeur Courmont, enfin à la
clinique
médicale du professeur Roque. Cinq frères et so
rmal. Pas de dyschromatopsie (Examen obligeant du Dr Genet, chef de
clinique
oph- talmologique). 1 - Urines sans sucre ni
Lyon Médical, 1°r janvier 1911. Cordier et Rebattu. De l'autonomie
clinique
de l'infantilisme régressif. Congrès français d
ves internationales de chirurgie, 1903, p. 81. Dupré Les caractères
cliniques
de l'insuffisance tesaculuire. Thèse de Paris, 19
NDULAIRE INTERNE TI1YR0-TESTICUL0- SURRÉNALE NOUVELLE OBSERVATION
CLINIQUE
ET ANATOMIQUE. Par MM, Ii. GOUGEROT et A. GY
OMIQUE. Par MM, Ii. GOUGEROT et A. GY Professeur agrégé Chef de
clinique
à la Faculté de Médecine de Paris. Le syndrom
erot en 1907 et il servit àces auteurs pour donner la démonstration
clinique
et anatomique de l'existence des syndromes d'in
aire interne (endocrinienne), il faut comprendre tous les syndromes
cliniques
dus à l'insuffisance asso- ciée de plusieurs gl
lésion de chacune d'elles » (clade et Gougerot). La démonstration
clinique
et anatomique de cetteconception a été donnée p
athologie générale »en mai 1908. « Le premier détaillait l'histoire
clinique
de ce syndrome, et insistait sur la multiplicit
Insut finance ]1l", {glandulaire endocrinienne. Individualisa- tion
clinique
-.la, mémoire) : Confirmation analomique des fait
a- tion clinique -.la, mémoire) : Confirmation analomique des faits
cliniques
: observations anatomique et Itis/uloyi'lue 2'
le malade avait le même habitus, le même faciès ; les ressemblances
cliniques
sont si frappantes qu'on pourrait confondre les
ont donné la preuve anatomo-clinique. Nouvelle OBSERVATION ANATI,fO
clinique
d'insuffisance PLURIGLANDULA1RE interne TLIYRUï
ncréas, du rein. L'observation est démonstrative, car l'observation
clinique
a été suivie de longs mois et l'autopsie a pu ê
autopsie pratiquée 28 heures après la mort confirme le dia- gnostic
clinique
en montrant des lésionsthyroïdiennes,testiculaire
yse... L'autopsie et l'examen histologique confirment le diagnostic
clinique
, les altérations pluriglandulaires étant plus mar
ulaires étant plus mar- quées encore que ne le laissait supposer la
clinique
. La pathogénie et l'étiologie de ce syndrome se
urréna 1 ; elle confirme entièrement nos conclusions de 1907 : « La
clinique
et l'a- natomie pathologique, disions-nous avec
luriglandulaire interne qui est pathogénique apparaît conforme à la
clinique
, à l'analomie pathologique, à la pathologie gén
hologie générale. « Telle est la conception qui se dégage des faits
cliniques
et anatom; - ques. « Avec la conception des i
êné par les interprétations pathogéni- ques, sans forcer les cadres
cliniques
, ni changer les définitions classiques des term
- gées : 1° L'anomalie doit-elle être considérée comme une entité
clinique
et pathologique sui generis ? 2° La microméli
r compte dans l'évaluation de l'incapacité professionnelle. Faits
cliniques
. Observation I (publiée dans la thèse de Sans)
e est complète, l'impotence est absolue. Nous portons le diagnostic
clinique
de luxation ancienne du semi-lunaire, diagnostic
t accord avec l'exa- men aux rayons X. * .... Dans ce cas, la
clinique
a réalisé une véritable expérience de labora- t
'attribuer à ces deux ordres de lésions une origine identique. La
clinique
, l'expérimentation, l'anatomie pathologique ayant
écanisme de l'ataxie. Malheureusement pour cette théorie, des faits
cliniques
sont survenus après et dernièrement c'est Egger q
coordonner les faits et à les développer à l'aide de mes documents
cliniques
, anatomiques et radiologiques, sans toutefois p
vaste. groupement des faits pathologiques qui constituent toute la
clinique
, je vais essayer de prendre des éléments différ
e soit donc permis de me borner à une simple exposition de synthèse
clinique
. Je me propose d'étudier ici le syndrome oxycép
ystro- phie lymphatique 1)olyylatîdztl(tire. On verra, par l'exposé
clinique
de tous les cas étudiés par moi, que dans le sy
pluriglandulaire. Il est curieux de voir à présent comment ce type
clinique
de l'oxycé- phalie, si étendu en réalité, est r
ans le tableau que nous désirons bien mettre en lumière, c'est à la
clinique
qu'il faut s'adresser si l'on veut reconstituer d
eurs alle- mands du nom de Thurmschædel ou crâne en tour. Ce type
clinique
, caractérisé par une lésion des nerfs optiques el
raité d'ophtalmologie de Graefe Soemisch, établir nettement le type
clinique
. En France et en Italie les premiers travaux pa
n relative de la vision dans l'oxycéphalie présente comme caractère
clinique
important qu'il est utile de bien retenir. Au p
é de Neurologie de Paris (1), sur des recherches radiographiques et
cliniques
que je poursuis depuis quelque temps sur l'o,Tycé
ital ophtalmologi- que de la Ville où le Dr Perrod, assistant de la
clinique
, fit un examen complet de l'acuité visuelle et
ino-pharynx pratiqué par le Profes- seur Gradenigo, Directeur de la
Clinique
otoiatrique de Turin : Nez. - Il existe un cert
ge et très courtoise qu'il m'a donnée en m'aidant dans mes recherches
cliniques
sur les aveugles de son service. , z 2 BERTOL
à l'hypertension cérébrale. Le Professeur Raymond, Directeur de la
Clinique
ophtalmique de Turin le vit à son tour en consult
isuelle. Voici les résultats de \ 'examen du rhinopharynx fait à la
clinique
otorhino- laryngologique de Turin : Nez : il
i, l'hydrocéphalie et l'oxycéphalie, tout en étant deux syn- dromes
cliniques
parfaitement différents, dépendent tous les deux
de prodromique d'hypertension endo-cranienne. En effet, l'évolution
clinique
de l'oxycéphalie est ahso- lument analogue à ce
e initiale. Les raisons qui m'ont conduit à celle constatation sont
cliniques
et ana- tomiques : Cliniquement j'ai constaté q
hitique, et non seulement ce fait est démontré par mes observations
cliniques
ou anatomiques, mais aussi par la tendance qu'il
parler du rachitisme. J'étais en train de rassembler mes documents
cliniques
et anatomiques sur cet argument, lorsque je pri
catégoriques, mais il a eu le mérite, à mon avis, d'aborder le côté
clinique
de la question, et il a constaté la dialhèse ra
nclut en disanl que, ni dans les commémoratifs. ni dans l'évolution
clinique
, on ne peut trouver aucune infection qui ait un
iathèse rachitique donc est constante dans \'oxycéphalie et ce fait
clinique
, joint aux considérations anatomiques que j'ai dé
t Goldstein, dans un travail intéressant (2), ont relaté l'histoire
clinique
de deux cas suivis d'autopsie chez lesquels l'h
inophiles et vaisseaux dilatés) pemet- taient de mettre le syndrome
clinique
sous la dépendance de l'altération hypophysaire
était très intéressant de contribuer à la compréhension de l'allure
clinique
de ce tableau morbide, il fallait relever comment
uel était très rétréci à l'oeil gauche (côté nasal). Les phénomènes
cliniques
que nous venons d'exposer nous ontconduit au di
n publiant ce cas, je me propose surtout de signaler la coexistence
clinique
de la neurofibromatose généralisée avec l'acromég
é des manifestations du processus dystro- phique. D'autre part la
clinique
a maintes fois démontré l'origine pluriglandu-
s deux cas précédents ajoutés à celui dont nous publions l'histoire
clinique
prouvent que, loin de constituer une éventualité
l'autopsie nous fournissait les pièces d'une tuberculose banale.
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX DE L'HOP1TAL PA
rnie, qui n'est pas satisfai- sant, trouve cependant son utilité en
clinique
. Depuis quelques années, on tend à isoler du gr
ement à l'hôpital. Le malade accepte d'entrer dans le service de la
clinique
des maladies nerveuses de l'hôpital Pantélimon,
uant à s'aggraver, son père l'amène à Bucarest dans le ser- vice de
clinique
des maladies nerveuses, le 2 octobre 1910. Etat
différents processus pathologiques qui donnent naissance au tableau
clinique
d'une tumeur cérébrale, et nous nous limiterons
ie nerveuse, une oeuvre de syn- thèse qui tend à faire de ces types
cliniques
et des variétés intermédiaires les formes syndr
nsibilité, sans nystagmus ni déformations squelettiques. Discussion
clinique
. Il ne peut être ici question de tabès : outre qu
t, elles el les formes de transition qui les relient, des modalités
cliniques
d'un même processus nosologique inté- ressant l
ffisants dès presque la naissance. (TRAVAIL DU LABORATOIRE ET DE LA
CLINIQUE
DU PROFESSEUR ROCQUE A LYON.) DE LA CONSERVAT
UES TABÉTIQUES l'III MM. J. CHALIER, L. NOVÉ-JOSSERAND, chef de
clinique
. chef des travaux d'anatomie pathologique. C'es
ue considérable ; sa recherche n'est jamais négligée dans un examen
clinique
tant soit peu approfondi ; et l'on pourrait s'éto
ne s'avisait de remarquer qu'elle semble justifiée par l'expérience
clinique
. Celle-ci montre en effet que le signe de Westp
récocité du signe, Erb dit l'avoir trouvé dans des cas où le début (
clinique
, sans doute) du Labes ne remontait pas à plus d
n qu'il se trouve des circonstances où nos moyens d'in- vestigation
clinique
ne nous donnent pas la mesure exacte, mais seule-
t leurs causes, ces lésions prennent part sans doute il ,1 la scène
clinique
. Mais dans quelle mesure ? Sont-elles nécessaires
de Sabbatsberg. et D' Harald FROEDERSTROM Chef de service à la
clinique
de psychiatrie de l'Asile de Konradsberg aocx
séparerait les lobes temporal et occipital. Tant par l'évolution
clinique
de la maladie que par la détermination approxim
ions de l'hémisphère intéressé. Cependant, le tableau des symptômes
cliniques
semble prouver que le processus des- tructeur a
DERSTROM L'examen des oreilles auquel s'est livré le Dr Boivie à la
Clinique
d'au- rologie de l'Hôpital de Sabbatsberg démon
qu'il s'agit de pertes de substance cérébrale réelles. L'expérience
clinique
tend prouver que dans ces cas l'alexie aussi es
tre a-t-elle ses racines dans sa naissance même ? III. - Histoire
clinique
. Hérédité. - Louis-Victor A..., a une hérédité
t. Nous nous contenterons d'ajouter qu'au cours de son séjour il la
Clinique
, le malade est devenu un peu plus calme. Touj
es,et la majorité des auteurs sont arrivés à s'entendre sur un type
clinique
défini. C'est un nanisme caractérisé par le racco
imaux (rhizoméliques) alors le tronc reste normal ; au point de vue
clinique
, par un trouble d'ossifica- tion enchondrale, u
genou. Il y a en outre des signes qui ne font pas partie du tableau
clinique
de l'acliondroplasie : l'absence de soudure des
RE BLANCHE ET MÉLANIQUE A TYPE « PIE » PAR Jean ANGLADA Chef de
clinique
médicale à l'Université de Montpellier. L'obser
s donnons ici deux photographies ne comportera pas déconsidérations
cliniques
très étendues. Cet homme fit t un séjour rapide
d'ensemble. Il ressemble étrangement à ces malades dont l'histoire
clinique
est publiée (dans la race noire) sous le titre
du malade ne nous l'a pas permis. Si l'on résume les particularités
cliniques
qui sont fournies par cet état pathologique on
lus exactement. Il est certain qu'il manque ici certains éléments
cliniques
et bactério- logiques nets pour prouver cette h
hée à une affection déterminée, tabès ignoré par exemple. Un examen
clinique
complet suffit ici à montrer l'ori- gine pathol
ectivité en est, au jour où elle est constatée, la seule expression
clinique
, soit que l'affection ait toujours été et doive
xe achilléen ou le réflexe rotulien. Dans quelques cas, uu examen
clinique
complet décèle une affection organique du systè
l'absence des réflexes acliilléens et rotuliens dans les cas où la
clinique
ne suffit pas à la révéler. Ces réflexes ne man
compte dans l'observation scientifique, l'expertise médicale, et la
clinique
. Après avoir constaté la nullité d'un réflexe e
il faut rechercher, par l'étude des antécé- dents et par un examen
clinique
complet, les causes possibles d'irréflec- tivit
'être préci- sés, nous les avons étudiés : ' Par l'examen direct,
clinique
. Par la radioscopie et la radiographie. Exame
'une petite quantité de liquide que nous avait déjà révélé l'examen
clinique
et une ponction explora- trice. L'autre répon
r davantage. Donc, en résumé, l'examen radioscopique comme l'examen
clinique
nous révèle une cage thomcique remontant jusqu'
as sur les lésions des organes qui con- firment pleinement l'examen
clinique
,' ne voulant étudier que la disposition du sque
de nous demander si celle triade symptomatique, véritable syndrome
clinique
que l'on remarque quelquefois chez des su- jets
ol. de Paris, 1905. 9. R. Voisin, Macé DE LÉPINAY et Infroit. Etude
clinique
et radiographique d'un cas de dysostose cléido
e myxcedèma. Revue internationale de thérapeutique, 1908, et Leçons
cliniques
. 42. MARINESCO, PAR liON et l\hl'OEA, Contribut
nués de tout désir de se faire remarquer. Bien que les observations
cliniques
manquent complètement pour toute la durée de la
re les plus grandes différences qu'elles présentent au point de vue
clinique
; seule- ment, le tableau des symptômes de l'un
ITIQUE (second cas SUIVI d'autopsie) PAR E. LONG. Observation
clinique
(1). Brandt Lucien, né en 1848, monteur de boit
lé- gers troubles parétiques de la main droite, relevés à l'examen
clinique
antérieur, se sont aggravés. L'opposition incom
ion graisseuse dans les muscles examinés. Résumé DE l'observation
clinique
. - Début de l'atrophie musculaire à l'âge de 53
ime abord difficile à classer. Elle se rapproche par ses caractères
cliniques
d'une série d'obser- vations attribuées à l'amy
sion duquel il existe un certain nom- bre de documents. DOCUMENTS
cliniques
Les mémoires de Charcot et Marie (1886), de Too
tents et d'inten- sité variable. Par droit de priorité, cette forme
clinique
est restée clas- sique et a sa place dans les o
rs le fait a été confirmé à plusieurs reprises. De ces observations
cliniques
la première, celle d'Eulenburg (début de l'atro
lus intéressanls encore que , parla juxtaposition de deux modalités
cliniques
dans une môme famille. Un des sujets est attein
a même époque, a été publiée dans la thèse de Ilânel (2) l'histoire
clinique
d'une famille présentant 22 cas d'atrophie muscul
log. Central- blatt, 1901, p. ' ! 73. 294 LONG Ces observations
cliniques
(1), et d'autres que nous retrouverons avec les
fin d'en déduire une formule anatomique correspon- dant à un groupe
clinique
nettement défini. Deux problèmes, notamment, on
s opinions très divergentes. Les lésions essentielles de ces formes
cliniques
sont-elles spinales ou périphériques ? Doit-on y
ow (2). - Cette observation ne comportait d'autres ren- seignements
cliniques
que ceux du caractère héréditaire de l'atrophie
t de faire des réserves sur la valeur globale de ces observa- tions
cliniques
dépourvues d'examen histologique. La topographie
phie neurotique, est en réalité une myopathie de par ses caractères
cliniques
et anatomiques. 3° Les observations de névrite
oncs nerveux, appréciable à la palpation, et qui constitue un signe
clinique
de grande importance. Mais nous rappelons que n
n dans laquelle cette hypertrophie faisait défaut en tant que signe
clinique
; or les .coupes histologiques montraient dans de
du tissu conjonctif intra-fasciculaire. Nous reproduisons le résumé
clinique
el anatomique de cette obser- vation : Femme
perpo- sable à celle que nous publions aujourd'hui. Au point de vue
clinique
, il faut noter avec le cas actuel (Brandi) la p
s trouvées ont été ob- servées à plusieurs reprises dans des formes
cliniques
limitées, comme les nôtres, à des désordres tro
que leur anatomie pathologique, aussi bien que leurs manifestations
cliniques
, sont essentiellement varia- bles. Ainsi, dans
MATOSE SECONDAIRE PAR ANDRÉ-THOMAS et J. JUMENTIÉ. Observation
clinique
. - D... Charles, maître d'hôtel, âgé de 51 ans, e
Charles, maître d'hôtel, âgé de 51 ans, entre dans le service de la
Clinique
des maladies nerveuses le 21 juillet 1911 pour
PROGRESSIVE HÉMILA TÉRALE (TYPE h'AClO-SCAPULO HUVIH;RAL Etude
clinique
, PAR le P' G. MINGAZZINI, Professeur de cli
IH;RAL Etude clinique, PAR le P' G. MINGAZZINI, Professeur de
clinique
des maladies nerveuses à l'Université de Rome.
ndre enfance, il m'a semblé qu'il était bon d'en publier l'histoire
clinique
. Observation. Battiata Andréa, âgé de 16 ans,
ophie progressive de la face (et du corps), puisque les différences
cliniques
entre cette maladie et celle de notre sujet son
res et nombreuses. Au contraire, le malade nous fournit un syndrome
clinique
qui corres- pond (au point de vue de l'évolutio
é de Neurologie un malade qui offrait de très grandes ressemblances
cliniques
avec une ma- ladie de Paget localisée à la jamb
droite ? s'agit- il d'une ostéopathie traumatique ayant même aspect
clinique
et radiogra- phique qu'une maladie de Paget loc
fl..éqLlence relative, l'importance et l'autonomie de cette entilé
clinique
. Dans l'intervalle et surtout depuis lors, on e
n qu'ils en soient en réalité fort différents, même au point de vue
clinique
. Nous n'avons en effet eu en vue jusqu'ici que
our établir ensuite,' par un certain nombre d'observations purement
cliniques
, la fréquence relative du type auquel elles se
malheureusement pas vu le malade nous-mêmes, et les renseignements
cliniques
qui nous ont été fournis sont très succincts. Le
donc, dans l'enfance et dans l'adolescence l'apparition du tableau
clinique
de la carie des vertèbres se marque avant tout
le mal de Pott sans gibbosité, lâche de distinguer plusieurs formes
cliniques
principales de l'affection et d'en compléter la
squ'à un certain point ce fait que si du vivant du sujet le tableau
clinique
peut don- ner des symptômes très caractéristiqu
ns en parallèle les changements histo-pathologiques avec le tableau
clinique
dans sa marche initiale et dans sa période de dév
nes de com- pression. Si nous représentons l'ensemble des symptômes
cliniques
obser- vés lors du passage du malade à l'hôpita
vieillards atteints de tuberculose vertébrale. Sur 15 observations
cliniques
d'Alquier, vérifiées ensuite par l'autopsie, le
nce continue de gibbosité, ont mis en évidence dans l'ob- servation
clinique
des symptômes tels que l'atrophie des muscles de
poser. Dans le cours subséquent de la maladie, alors que le tableau
clinique
pouvait suggérer l'idée d'un processus comprima
BILATÉRALE DU RÉFLEXE DU RADIUS PAR C. PASTINE (Assistant à la
Clinique
Médicale du Pr. E. Alaregliano, à Gênes) Le cas
no, à Gênes) Le cas que nous publions présente plusieurs caractères
cliniques
et ana- tomiques intéressants, autant qu'on peu
Ce trouble date de l'année dernière. Le malade est entré dans la
Clinique
médicale de Gênes, section du Profes- seur Barl
re du rhumatisme chronique de la colonne ver- tébrale, des variétés
cliniques
et anatomiques indépendantes les unes des autre
s, d'après les auteurs, sont trop connus. Une étude très détaillée,
clinique
et histologique, a été récemment consacrée à cet
de Neurologie de Lewandowsky, une très intéressante différenciation
clinique
et anatomique entre la spondylose rhizomélique
rre Marie et A. Léri, Nouv. Icon., 1906, n° 1 ; A. Léri, Diagnostic
clinique
et anatomique des maladies tcn7tlosanEes de la co
lonne vertébrale, Iteview of Neurology and Psychiatry, 1908. . La
Clinique
, 1908, nos 40 et 41 ; llandbucla der Neurologie,
(2) Nous prions M. le Professeur V. Maragliano, radiologiste de la
Clinique
et de l'hôpital, d'agréer tous nos remerciement
u'il s'agit d'un sujet du sexe féminin, ce qui constitue une rareté
clinique
. II. La longue durée de la maladie, qui a embra
ndante. Grosse augmentation de l'albumine ra- chidienne. Histoire
clinique
. Elle comprend deux parts : Une hémiparésie dro
re des artérioles. Observation III Sur ce cas, les renseignements
cliniques
manquent, le malade n'ayant pas rrc. 8. - Obs.
ans chez un syphilitique avec Wassermann positif, sans autre signe
clinique
de syphilis des centres nerveux. Observation VI
'éminence tbénar et hypothénar et les muscles interosseux. L'examen
clinique
a été confirmé par l'examen électrique dû à l'obl
arquables par leur constance, permettant d'individualiser une forme
clinique
d'amyotrophie isolée non progressive. Ce sont :
de nos cas anatomo-cliniques, dans S sur G de nos cas exclusivement
cliniques
. Les 2 cas où l'amyotrophie est manifestement b
ressive et diffuse des lésions achèvera de dissocier les 2 tableaux
cliniques
. L'atteinte globale de la main est loin d'aille
ype se rattachent nos 3 cas anatomo-cliniques et 4 sur 6 de nos cas
cliniques
. Le type thénar peut être pur. C'est à lui que
emple. L'erreur est d'ailleurs facile à éviter par le simple examen
clinique
. Nous arrivons maintenant aux éléments variable
ibilité. Ces troubles manquent également dans nos (i cas uniquement
cliniques
. Par contre les troubles de la sensibilité subj
niques. Elles existent égale- ment dans 4 sur 6 de nos cas purement
cliniques
. Quant à l'étude des réflexes, elle est quelque
par son siège, ses réactions électriques, son évolution, une enfilé
clinique
parfaitement définie. De tels faits n'ont pas
liniques, 2 sont d'origine sûrement syphilitique. . Parmi nos 6 cas
cliniques
, 3 présentent des signes de syphilis nerveuse.
emblée soupçonnée, et reconnue par les procédés ordinaires : examen
clinique
général, procédés de laboratoire (ponction lomb
ons de néphrite subaiguë. Voilà les grands traits de celte histoire
clinique
, en voici le compte-rendu détaillé. Observati
dans le coma. (1) DucuasSNEAu, Contribution à l'élude analomique et
clinique
de l'acromégalie et en particulier d'une forme
ions rénales. Comment donc pourtant concilier la gravité du tableau
clinique
avec la faible rétention uréique dans le sang ?
médecin en phef de l'Hospice Marcoutza. C. PARHON, Professeur de
Clinique
des Maladies Nerveuses et Mentales à la Faculté d
'infantilisme, mais chez ces derniers il (t) L. BARRAQUER, Histoire
clinique
d'un cas d'atrophie du tissu cellulo-adipeux, L
e chez beaucoup de femmes et qui s'individualise parfois en un type
clinique
,voisin de celui que nous présentons aujourd'hui
t l'étiologie de l'affection qui nous occupe, elle répond à un type
clinique
qu'on ne saurait confondre avec : . Les lipomes
t multiples; et bien que, dans ces dernières années les études tant
cliniques
qu'auatomo- pathologiques aient multiplié les e
l aliéné. Sa fille a des vertiges épileptiques. 1 Tliébeault. Etude
clinique
sur le tremblement sénile. (Thèse, 1S82.) '- G.
llaudsley. -- Pathologie de l'esprit, p. 2\6. 2 Bouvier. -- Leçons
cliniques
sur les maladies chroniques de l'appareil locom
pe des écrivains. (Progrès médical, 1577, p. 546.) = Duelos. Eludes
cliniques
pour servira l'histoire des convulsions de l'en
gnz. Zeitsch. f. psych., Bd. 3 3 H., 1871.) 9 Pli. Rey. - Consid.
cliniques
sur quelques cas d'ataxie locomotrice dans l'al
ale. (Ann. méd. psych., 187 ? lie série, t. XIV.) 3 Gruet. - Etudes
cliniques
sur les troubles intellectuels dans l'ataxie lo
. M. Charcot professe depuis longtemps que l'hérédité 'Trousseau,
Clinique
nzécl. de t'lIJ ! el-Dtell de Paris, 4c édit., 18
éroses péri-vasculaires) ; Par MM. les D" G. BALLET, ancien chef de
clinique
des maladies du système nerveux à la Faculté de
é de Paris, et L. MINOR, de Moscou. fCi.tr,til du laboratoire de la
clinique
des maladies du système 11er' cm..) I. Une pa
loppent et évoluent isolément dans les conditions habituelles de la
clinique
. Mais peuvent-elles se combiner et se trouver r
y arrête. Un cas récemment observé par nous dans le service de la
clinique
des maladies du système nerveux, et que nous av
nous contenterons de renvoyer à ce travail. VI. Considérations
cliniques
. SJnahtomalologie des lé- sions combinées des c
cordons postérieurs et laté- raux, quelles sont les manifestations
cliniques
prédo- minantes, celles qui ressortissent aux p
antes, cas dans lesquels, en dépit de cette propagation, le tableau
clinique
est resté celui de l'ataxie locomotrice la plus
ède, qu'on ne saurait éta- blir de loi uniforme au sujet du tableau
clinique
que présentent des scléroses diffusées aux deux
cal, 1880, p. 949; Ibid., 1882, p. 6'.3; Ibid., 1883, et Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
ent quelque analogie, ils doivent, au point de vue physiologique et
clinique
être absolument distin- gués l'un de l'autre.
oins, les symptômes de l'épilepsie partielle. Sans doute le tableau
clinique
s'est ultérieurement modifié; on a vu apparaîtr
mittante. Dans les deux cas, on se trouvait en pré- sence d'un type
clinique
nouveau. L'avenir a donné raison à ceux qui inc
malade actuellement en cours d'ob- servation dans le service de la
clinique
des maladies du système nerveux, à la Salpêtriè
s plus tard. s'efforça de prouver dans ses Études expérimentales et
cliniques
sur les traumatismes cérébraux, que les cas de
at en phar- macie. Le concours s'est ouvert le 10 courant à l'asile
clinique
(Ste-Anne). Les membres du jury étaient : MM. B
ident ; Vialla, pharmacien do Bicêlre; Buurduelot, pharmacien de la
clinique
d'accouchements; Quesneville, pharmacien de Sai
rie Masson. Leven (11.). -Esloznac et cerveau. Etude physiologique,
clinique
et thérapeutique. Un volume in-8° de 257 pages.
aussi, il faut bien le dire, par l'observation de quelques faits
cliniques
, à étendre à l'insula le territoire du langage.
de la Société anatomique, 1874), très intéres- sant au point de vue
clinique
. Mais le fait n'est pas en- core hors de contes
ervations nouvelles ont paru : celle de Kirchoff, re- cueillie à la
clinique
du professeur Quincke, à Berne, et publiée dans
rchhoff, dans les Archiv de Psychiatrie, Bd. XL, et recueillie à la
Clinique
de Berne, dans le service du professeur Quincke
sous-jacent à la frontale ascendante) se traduisent par le syndrome
clinique
de la paralysie labio-glosso-laryngée. Le fai
hoires ». Les lésions de ce faisceau, qui donnent lieu au tableau
clinique
de la paralysie glosso-labiée, sont le plus sou
? 1879, pp : : i;3 à 557.) > W . Fleury. Traité thérapeutique et
clinique
d'hydrothérapie, 4a 6dit. 1875, p. 1055. ..I n
ons entre l'hystérie et le 7-hu- matisme. Thèse, 1808. · 3 leude.
Clinique
médicale de l'Hôtel-Dieu de Roveza, 187'" p. 123.
ier. prat., t. III, 1865, p. 645, 662, 664.) N. Guéneau de Mussy. -
Clinique
médicale, t. I, p. 293. - J. Simon. - Gaz. hebd
tte articulaire$. M. Fouqué, dans sa thèse % rap- 1 Charcot. Leçons
cliniques
sur les maladies des vieillards, 2e édit., 1874
maladies des vieillards, 2e édit., 1874, p. 65. - ' Troûsseau. -
Clinique
de l'Hôtel-Dieu, t. III, p. 365. 3 FouqUH. Elud
ûsseau. - Clinique de l'Hôtel-Dieu, t. III, p. 365. 3 FouqUH. Elude
clinique
sur quelques spasmes d'origine lujstè- rique. T
urnal of Neurology and psychology, 1883, t. II, p. 144. , Graves.
Clinique
médicale. Trad. Jaccoud, 1871, t I, p. 612. 3 C
anifes- tations se transforme : ! t ou s'excitent réciproquement.
CLINIQUE
NERVEUSE DE L'11G111.1'l'ltOl'Illh : DE LA LANG
TABES DORSAL ATAX1QUE; Par le Der GILBERT BALLET, ancien chef de
clinique
de la Faculté. L'atrophie de certains groupes m
ot. Leçons sur lre maladies du système nerveux, t Il, p. 233. 192
CLINIQUE
NERVEUSE. non plus que la marche pour ainsi dir
ance du 12 juin 1875, il ! Pruqrès médical. L. t. VII. 13 19 le
CLINIQUE
Nh¡t\ BUSB. minence thénar de la main droite. C
he devint raide et augmenta notablement de volume ; mais cotte 19
CLINIQUE
NEUN EUl11. f ? ' ? "'J ? h.1 -¡ ! dt.-... tu
ur l'epilepsie, etc., compte rendu il service on 4881, p. 67. 200
CLINIQUE
NERVEUSE. être une manifestation courante de l'
e de l'ataxie, ne doit plus être envisagée comme une pure curiosité
clinique
. Les deux faits qui suivent présentent, avec ce
la langue du côté gauche, dont il existe, dans la collection de la
clinique
, un beau dessin que nous avons fait reproduire
ommuniqués à M. Blum par M. Charcot avaient été recueillis. 202 2 .
CLINIQUE
NERVEUSE. artistiques très développées; lui-mêm
atrophiée représente Fig. z. Amyotrophie de la main gauche. 20t
CLINIQUE
NERVEUSE. une sorte de petit croissant, circons
ngue, loin de rétrocéder, continua à progresser. En l'absence 206
CLINIQUE
NERVEUSE. de toute trace de syphilis ancienne,
. Or, l'hémiatrophie linguale ne se voit pas très fré- quemment en
clinique
, et les affections susceptibles de la produire
rke. - A treuluc on the cleseases of the longue London, 1873. 208
CLINIQUE
? LR%EUS1 ? unilatérale de la langue, et Clarke
bès dorsalis. Thèse de Pans, 1876. .lucutvr.s, L. Vil. I i : 10
CLINIQUE
NERVEUSE. tabes, c'est de les rapprocher des ph
e Naples), dans la Iteueatre clmslca e <et'ap<M<tca. 212
CLINIQUE
NERVEUSE. les limites du système sensitif, pour
ur. Cette dernière proposition trouve sa démonstration dans l'étude
clinique
des malades atteints de paralysie, et dans quel
des muscles de la langue (Trousseau), sans parler de celles 21 lé
CLINIQUE
NERVEUSE. des muscles oculaires qui sont de not
surviennent dans des conditions analogues, revêtent des caractères
cliniques
identiques; il est dès lors naturel de penser q
potences fonctionnelles permanentes des muscles des yeux. Les faits
cliniques
d'ailleurs plaident ici dans le même sens que l
que a démontré qu'il en était ainsi de la lésion; l'explora- tion
clinique
attentive établira, nous en avons la con- victi
état mental et des convulsions générales, dont 1 F. Guyon. - Leçons
cliniques
sur les maladies des voies urinaires, 1881, p.
s l'espèce à croire à la nature infectieuse de la maladie. Remarque
clinique
: la violence et la durée de la névralgie conco
par l'exposé de recherches expérimentales personnelles et de faits
cliniques
iné- dits. Nous insisterons principalement sur
par la pré- sence de phénomènes précurseurs : en outre, le tableau
clinique
y est moins uniforme. On y retrouve comme accid
de fer, complètent l'ensemble patho- logique. - Après cet exposé
clinique
, l'auteur passe en revue les moyens thérapeutiq
saient que tous pou- vaient devenir dangereux à un moment donné; la
clinique
nous montre que cette opinion est trop exclusiv
QUET. Thèse de Paris, 1883. Estomac et cerveau (étude physiologique
clinique
et thérapeutique), par Leven. (llasson, 1884.)
K". unp. - 384. Vol VII. Mai 1884. Nu 21 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE ' ; ,H ¡ 1 4f' ? L^. -PERTE DE LA VISIO
imple exposé des faits,' sans autre but que de déterminer la valeur
clinique
du symp- tôme et sa place en pathologie mentale
ître, M. le professeur Charcot, et Archives, l. VU. I ! 1 foi 290
CLINIQUE
mentale. publiée par M. Bernard, dans le Progrè
ppelé, il y a quelques semaines, auprès d'un homme d'une 292 -) '
CLINIQUE
MENTALE. quarantaine d'années, dont l'état ment
rprétation maladive du phénomène. Malheu- reusement, les recherches
cliniques
propres à élucider ce problème sont fort diffic
secours qu'y ont trouvé les mystiques. Parmi les philosophes, 294
CLINIQUE
MENTALE. Aug. Comte' a attaché la plus grande i
ES. les membres et le facial inférieur du côté gauche, en- semble
clinique
qui rappelle jusqu'à un certain point celui de
publier l'observation sui- vante, malgré l'insuffisance du tableau
clinique
de la ma- ladie et l'absence totale d'un minuti
désordre dénutrition des parties sous- jacentes et, au point de vue
clinique
, par des maux de tête et des troubles dans les
ous y avons constatée ne pouvait rester ina- perçue dans le tableau
clinique
de la maladie, ce qui estévident parla distensi
s un certain degré de tension du muscle et de son tendon. Les faits
cliniques
n'imposent aucunement l'hypothèse d'un processu
moire est consacrée à l'anatomie pathologique du tabes dorsalis. La
clinique
nous apprend, dit l'au- teur, que cette affecti
, névrite optique spécifique). Mais il n'existe aucune différence
clinique
ou anatomique entre le tabes ordinaire et le tabe
Psych., III, 3.) Il est des cas dans lesquels, bien que l'examen
clinique
con- clue à l'existence d'une lésion en foyer,
- chement au point de vue anatamo-pathologique et au point de vue
clinique
. Les divergences symptomatiques qui caractérisent
'autre plus petit sur les points douloureux. Il ressort des données
cliniques
et des expériences physiologiques que la direct
guments en faveur de l'opinion que c'est là une forme de transition
clinique
et ana- tomique entre la myélite parenchymateus
hode sans préjudice des régimes et médications indiqués par l'élude
clinique
. Les quatre observations rapportées témoignent de
e générale, que, depuis quatre ans, il s'est ouvert trois nouvelles
cliniques
de mé- decine mentale (Heidelberg, 1879; Bonn,
s supérieures de Fribourg et Koenigsberg ont institué des leçons de
clinique
psychiatrique. Seules, les universités de Giessen
, les universités de Giessen, Kiel, Rostock manquent d'enseignement
clinique
de cet ordre, et il est probable qu'une décisio
es examens, ils fussent astreints à fréquenter pendant six mois une
clinique
médico-psy- chologique. En ce qui a trait au pl
hondriaques. Chez un quatrième malade non aliéné, actuellement à la
clinique
, on notait, avec la parésie de tous les muscles d
l'absence du phé- nomène du genou chez les paralysés généraux de la
clinique
du professeur allemand (20 p. 100). Sur ces tre
sie de trois des autres, dont SOCIETES SAVANTES. 3(;j celui de la
clinique
, sont venus appuyer les propositions précé- den
n crû : Un homme de trente ans, observé par lui plusieurs fois à sa
clinique
en -1$70-71, mou- rait un an plus tard des suit
ucoup trop d'importance aux cellules ; il en appelle aux phénomènes
cliniques
qui, pour lui, traduisent moins des lésions cel
e Baillarger (Annales médico-psychologiques, 1835 et 1882. Archives
cliniques
, 1861) ; mais il s'agit d'un simple examen macr
cessus anatomo-pathologiques ne puissent se traduire par le tableau
clinique
de la paralysie générale, mais le rapport est e
swanger entre les groupes de petites cellules et les manifestations
cliniques
de la paralysie générale. Mais l'origine de ces
ntenir les malades en ob- servation pendantunmois, pour des raisons
cliniques
et financières que nous allons voir développées
u délire. Ce dernier groupe est le plus important au point de vue
clinique
, car il comprend non seulement des alcooliques av
Giuseppe GnnnEmso, Milan, 1883. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. 1197 Etude
clinique
et expérimentale sur la vision mentale; par Gnoui
la vision mentale; par Gnoui- GNEAU. Thèse de Paris, 1883. Etude
clinique
et expérimentale sur l'acétonémie ; par DE GENRES
'épilepsie pleurétique; par RorERT. Thèse de Pa- ris, 1884. Etude
clinique
sur une forme de contracture infantile intéressan
ke a su utiliser les matériaux dont il dispose pour un enseignement
clinique
. Les leçons ont lieu le dimanche. Malheureuseme
moins qu'il n'ait rempli pendant deux ans les fonctions de chef de
clinique
des maladies mentales, nommé au concours dans une
laces de médecins chefs de service parce que le nombre des chefs de
clinique
est à peu près égal à celui des vacances qui se p
égal à celui des vacances qui se produi- sent ; 2° que les chefs de
clinique
de médecine et de chirurgie, bien qu'ayant subi
e, bien qu'ayant subi des épreuves semblables à celles du chef de
clinique
mentale, n'en sont pas moins obligés de subir de
eux ans; tous les médecins adjoints des asiles et tous les chefs de
clinique
des maladies mentales relevant d'une Faculté de
auront rempli les fonctions de médecin-adjoint auront été chefs de
clinique
, nommés au concours auprès d'une chaire de maladi
; le jury déterminera le temps accordé pour la rédaction). 3° Leçon
clinique
de 20 minutes sur deux malades aliénés (après 10
SALPÊTRIÈRE. 1° Epreuve écrite (3 heures), 30 points. 2° Epreuve
clinique
sur un malade atteint d'une maladie ordinaire (
es d'examen; 20 minutes pour la leçon orale), 20 points. 3" Epreuve
clinique
sur les maladies mentales; un seul malade (20 mi-
édaction du rapport et de la consultation), 30 points. 50 Epreuve
clinique
sur deux malades aliénés (1S minutes pour cha-
r la dissertation), 30 points. MÉDECINS DES HÔPITAUX. 1.0 Epreuve
clinique
sur un malade (10 minutes d'examen, 15 minutes
écrite sur un sujet de pathologie (3 heures), 30 points. 5a Epreuve
clinique
sur deux malades (20 minutes pour l'examen des
couragera sérieuse- ment les jeunes gens à se livrer aux recherches
cliniques
, aux tra- vaux de laboratoire; en un mot,à fair
Ir.; pour nos abonnés, 2 fr. 50. Bourneville et D'OLIER. Recherches
cliniques
et thêmpniliques sur l'épilepsie, l'hystérie et
24 avril 1882. Brochure in-so de 24 pages. Ritti (Ant.). - Traité
clinique
de la folie à double forme. (Folie cir- culaire
. Delahaye et E. Lecrosmer. Prix : 3 fr. 50. Hetvnor (H.). Notes de
clinique
médicale (huitième année). Brochure in-8" de 28
t cette dernière désignation trop étendue pour exprimer la nature
clinique
des phénomènes qu'ils étudient. Ceux-ci sont to
é de faire de la fantaisie. C. GOLGI'. » (La fin prochainement .)
CLINIQUE
NERVEUSE SUR L'ASTASIE-ABASIEI; Par le D' TIl
délia am- bulatisne. (Gazetta degli ospitali, n° 76, p. 605.) 60
CLINIQUE
NERVEUSE Mais jusque-là toutes ces observations
isehen Klinik zu Jhia. '' Moebius. Ueber Astasie-abasie, 1889. 62
clinique
NERVEUSE continue à marcher très bien à cloche-
mélioration notable, et en mai, la station et la marche sont re- 64
CLINIQUE
NERVEUSE devenues possibles, quoique toujours s
de L..., lorsqu'il a été présenté par M. le professeur Charcot à la
clinique
de la Salpêtrière, n'était plus atteint, que d'
oco citato. - ? Loco citato. Loco citato. ARCHERS, t. XaI. 5 66
CLINIQUE
nerveuse. maître de musique et compositeur de 3
stincts a été depuis confirmée par des recherches physiologiques et
cliniques
, et j'ai la satisfaction de penser que les erre
nt en partie à la situation assignée à ces centres par les méthodes
cliniques
et expérimentales les plus dignes de confiance.
autant qu'on en peut juger par les expériences et les observations
cliniques
, esten faveur de l'hy- pothèse que les autres f
thérapeutique en 1886 par MM. A. Cahn et E. IIeppe, assistants à la
clinique
de Kusmaiil, ils l'ont désignée sous le nom d'a
deux de ces malades : mais il n'existe, dit M. Zacher, aucun signe
clinique
qui caractérise la paralysie géné- rale syphili
les particularités qui s'en dégagent, M. Werner obtient un dossier
clinique
de 45 observations soigneu- sement analysées. I
Wagner. (Jahrbttch. . Psych., VIII, 1, 2.) D'une analyse éminemment
clinique
des faits connus rapprochés de cinq observation
circonscrite en train de devenir diffuse. Intégrité macroscopique,
clinique
, et microscopique du système nerveux, artérite de
ère de voir sur la névrose traumatique. Il en a observé 24 cas à la
clinique
du professeur Erb. 11 les divise en trois group
éalisés par ce mé- decin si remarquablement doué pour l'observation
clinique
. Du BIBLIOGRAPHIE. 143 premier volume, je dét
autres d'ordre synthétique. Les premiers comprennent ses recherches
cliniques
et anatomo-patho- logiques, les seconds ses vig
ois partie ? la plus belle comme la plus incontestée, est la partie
clinique
. Elle embrasse treize mémoires dont six réalisè
en inspirer dans leur thérapeutique. Des sept autres publications
cliniques
qui enrichissent ce second volume, une a trait
cté. Gilles DE la TOULtETTE. BIBLIOGRAPHIE.. 151 III. Leçons de
clinique
médicale faites à l'hôpital de la Pitié; par LA
ne saurait ne pas reconnaître les grandes qua- lités d'observation
clinique
qui font de ce volume un recueil de faits des p
erce avec tant d'autorité et de compétence. (Lyon médical.) Asile
Clinique
(Sainte-Anne) M. Magnan a repris dans l'Am- phi
M. Magnan a repris dans l'Am- phithéâtre de l'admission, ses leçons
cliniques
, les dimanches et mercredis, à la même heure. L
. le Dr Rabow est nommé professeur extraordinaire de psychiatrie et
clinique
psychiatrique à Lausanne. Il existait autrefois
os abonnés ' 4 fr. Bourneville, SOLLIER et Pilliet (A.). Recherches
cliniques
et thera- peutiques sur l'épilepsie, l'hystérie
pages. Prix : 8 fr. Pour nos abonnés 6 fr. Grasset (J.). Leçons de
clinique
médicale faites a l'hôpital Saint-Eloi de Montp
trop. - lit 1 Vol. XXI. Mars 1891. Nu 62 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE DE L'INFLUENCE DES CENTRES TROPHIQUES
sécrétoires. ' Leçon du 8 août 1890. Archives, t. XXI. 11 '162
CLINIQUE
NERVEUSE. Vous avez constaté chez un de nos mal
plaques du tégument, très voisines les unes des autres, super- 164
CLINIQUE
NERVEUSE. N 1 posées, à la face interne du tibi
est qu'apparente ; du moins elle ne répond qu'à une variation 166
CLINIQUE
NERVEUSE. d'intensité des phénomènes rparétique
un remar- quable ouvrage, va nous renseigner sur ce point. - 168
CLINIQUE
NERVEUSE. , Le relief en question s'appelle le
teuse. C'était un zona, représenté par deux groupes Fig. 1 i. 170
CLINIQUE
nerveuse : r importants de vésicules, dont l'un
ont les origines radiculaires peuvent être encore plus étroite- 172
CLINIQUE
NERVEUSE. ment circonscrites entre la deuxième
jamais, ainsi que l'a fait remarquer M. Charcot, au cours de 174
CLINIQUE
NERVEUSE. la paralysie alcoolique. C'est d'abor
les symp- ' Consultera ce sujet une bonne thèse de Boisvert : Elude
clinique
des formes atténuées de la paralysie alcoolique
teints de'paralysie radiale, comment, en effet, expliquer l'in- 176
CLINIQUE
NERVEUSE. tégrité presque constante du muscle l
La découverte des téphromyélites antérieures, dont le carac- tère
clinique
fondamental est la paralysie amyotrophique permit
. Lorsqu'on se trouve en présence d'un Archives, t. XXI. 12 2 178
CLINIQUE
NERVEUSE. de ces faits singuliers de polynévrit
rites, et l'autopsie démontre, dans un certain nombre de cas, 180 1
CLINIQUE
NERVEUSE. que les cellules des cornes antérieur
simple » » La même démonstration ressort, au point de vue purement
clinique
, des notions qui nous ont été fournies par M. C
autre expérience, qui par bien des côtés est assimilable à un fait
clinique
, plaide dans le même sens : « Lorsque, dit M. R
381, et Déroche. - Tu. Paris, 1870 (Des amyotrophies réflexes). 182
CLINIQUE
NERVEUSE. CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE. Quoi
onsidérables qui existent entre ces deux modalités, au point de vue
clinique
pur, je me contenterai de faire remar- quer, au
faits dus à la méthode expérimentale et à l'observation anatomo-
clinique
, elle s'est maintenue à égale distance des doc-
ement opposés. De sorle que l'on ne peut pas dire que l'observation
clinique
donne un appui absolu à la théorie qui veut que
t) de cette région qui atteint surtout le pli courbe. La discussion
clinique
est particulièrement à lire. L'auteur groupe en
t les faits du mémoire. Il existe, d'après M. Freund, trois espèces
cliniques
1° une aphasie optiqne avec hémianopsie concomi
ue. - Tableau statistique de cent observations et neuf descriptions
cliniques
. Planches à l'appui. III. Allure clinique des t
ons et neuf descriptions cliniques. Planches à l'appui. III. Allure
clinique
des troubles de la vue. Champ visuel. Vingt-qua
hements bibliographiques , d'enseignements anatomo-pathologiques et
cliniques
. Nous en résumons l'essen- tiel. Les altérati
tralbl., 1889.) L'observation, qui laisse à désirer au point de vue
clinique
, n'en impose pas moins le diagnostic sus-désign
cathétomètre OPTIQUE craniométrique; par M. CENE- DIKT. - RÉSULTATS
CLINIQUES
DE LA CRANIOMÉTRIE ET DE LA CÉPHA- LOMÉTRIE; pa
A V AL. XXIII. Contribution A la connaissance ET A la signification
CLINIQUE
DE la réaction IDIOMUSCULAIRE EN bourrelet ou c
autopsie. , P. K. XXV. QUELQUES MOTS D'ANATOMIE pathologique ET DE
CLINIQUE
SUR LES TRACTUS CONDUCTEURS DES IMAGES VISUELLE
emande : la malade était-elle gauchère ? C'est ce que l'observation
clinique
laisse dans l'ombre. II. - Dans le second cas,
liser d'une façon exacte le siège de la tumeur d'après les données
cliniques
, qui, il faut bien le reconnaître, harmonisaient
ermédiaire d'une cérébration directrice. Paul BLOCQ. VIII. Etudes
cliniques
et bactériologiques; par St. Radziszewski. (Par
ans l'urémie et dans la fièvre typhoïde. Paul BLOCQ. X. Leçons de
clinique
médicale; par H. Rendu. Paris, 1890. 0. Doin, é
et, surtout, exagéré par les mouvements volontaires, une discussion
clinique
du diagnostic montre que l'hystérie est en jeu.
leur marche, et aux symptômes concomitants. En résumé, les leçons
cliniques
de M. Rendu tiennent amplement les promesses de
semblent accaparer les efforts des travailleurs au détriment de la
clinique
. Paul BLOcQ. XI. Hypnotisme et Croyances ancien
a la classe exceptionnelle, M. le Dr Taule, directeur de l'asile
clinique
(Sainte-Anne) ; à la 1 '° classe, M. je Dr Briand
Maine- et-Loire, est compris dans la 2° classe. Travaux A l'asile
clinique
(Sainte-Anne). -Dans sa séance du 29 décembre d
1 s'y construirait des maisons qui dimi- nueraient le service de la
clinique
et seraient une source inces- sante de désagrém
du cerveau, à la physiologie des syndromes de la folie, à l'analyse
clinique
des vésanies et à l'exa- men judicieux des form
......... . 1 fr. Bourneville, SOLLIEn et PILLiET (A.). Recherches
cliniques
et théra- peutiques sur l'épilepsie, l'hystérie
tmp. - 3 ! H. Vol. XXI. Mai 1891. N" 63 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE Hospice DE la SALPÈ1RIÈRE. - M. LE PRo
ille de dix-huit ans dont le cas m'a paru offrir un certain intérêt
clinique
. Vous vous souvenez sans doute que cette jeune
fille se ' Leçon du 24 février 1891. Archives, t. XXI. 2l 322 )
CLINIQUE
NERVEUSE. plaignait d'avoir, depuis quelques an
. NKa<., mars 1877. 3 Gubler. Gazette hebdom., n° 6, 1859. 324
CLINIQUE
NERVEUSE. l'observation de Gubler est la premiè
siégeant dans le pédoncule cérébral gauche avait amené le syndrome
clinique
en question. 11 va sans dire qu'une lésion situ
1 cliniquement par le syndrome de Weber, c'est-à-dire 1 Amiral. -
Clinique
méd., Paris, 1840, 4° édit., t. V, p. 320. ' Gi
chenne. Electrisation localisée. Paris, 1SG1, 2° édit., p. 376. 326
CLINIQUE
NERVEUSE. par une paralysie alterne de l'oculo
lésion). Pour connaître, Messieurs, les raisons de ce syn- drome
clinique
, il est nécessaire de faire intervenir l'auatom
arait animer un des muscles de l'oeil, et, d'autre part, le 328 8
CLINIQUE
NERVEUSE. trajet intrapédonculaire des fibres q
cérébral droit. Gazelte >néd. de Pars, n° 7, p. 555, 1870. 330
CLINIQUE
NERVEUSE. mination qui aura encore ici, comme d
ésion qui déterminent la nature et le nombre des manifesta- tions
cliniques
. ' J'en ai fini, Messieurs, avec ces notions qu
elles me paraissaient indis- pensables comme introduction à l'étude
clinique
qu'il nous reste à entreprendre. Elles m'ont du
des syndromes de Weber et de Alillard-Gubler; d'au- tres variétés
cliniques
, mais ce ne sont en général 332 CLINIQUE NERVEU
er; d'au- tres variétés cliniques, mais ce ne sont en général 332
CLINIQUE
NERVEUSE. que des variétés de ces deux types fo
ppli- quait de ce côté. Cette hémiplégie droite, vous dis-je, 3H4
CLINIQUE
NERVEUSE. a guéri complètement sans laisser auc
entuant lorsque le malade fait effort pour ouvrir son oeil et 336
CLINIQUE
NERVEUSE. que, quand on cherche à la relever de
la Salpêtrière, 1889, p. 1 tO et 118. Archives, t. XXI. ' il 338
CLINIQUE
NERVEUSE. , nombre de photographies anciennes d
née du côté intéressé. C'est là un caractère que mon ancien chef de
clinique
, M. Gilles de la Tourette', a parfaitement mis
cou chez les hystériques. [Nouvelle Ico- nogr., 1889, p. 107. 340
CLINIQUE
NERVEUSE. sommes donc en possession de plus de
fin de cette longue histoire. Vous voyez, Messieurs, quelle est en
clinique
gé- nérale l'importance d'une connaissance appr
is longtemps de « crises gastralgirlues e qui s'accompagnent de 342
CLINIQUE
NERVEUSE. sensation de strangulation et d'étouf
démar- che des hémiplégiques hystériques (démarche de Todd). 344
CLINIQUE
NERVEUSE. Pendant cette longue période hémiplég
SSIONNELLE DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE; . Par Georges GUINON, chef de
clinique
des maladies nerveuses, et SOPHIE WOLTKE (d'Ode
il me re- vient, M. Z... (Il s'agit de divers internes ou chefs de
clinique
de M. le professeur Charcot.) Ah ! là, là ! pou
Déjà avant nos recherches, M. le professeur Charcot dans une leçon
clinique
avait montré qu'en s'adressant au sens de l'ouï
professeur Pitres, de Bordeaux, vient de fane tout récemment, à sa
clinique
de l'hôpital St-André, une leçon sur le mustism
pas tout à fait les mêmes habitudes de procéder dans l'observation
clinique
. M. Chervin voit un malade dé- labré et cela lu
emblerait que M. Chervin connaisse mal cette maladie et les aspects
cliniques
multiples sous lesquels elle se présente ; sans
rée dans le langage courant. Ceux qui sont au fait des choses de la
clinique
savent ce qu'elle signifie. Et c'est là la qualit
aux Leçon V. Monsieur LE Président, Messieurs, Les recherches
cliniques
et pathologiques semblent montrer que dans leur
eindre que par des méthodes qui entraînent une plus ou 1 Recherches
cliniques
et expérimentales sur l'hémianestésie de cause
non seulement avec l'hémisphère du même côté, mais il y a des faits
cliniques
qui sont difficiles à expliquer autrement qu'en
gauche et le goût du côté droit de la langue.) - Il y a peu de cas
cliniques
et pathologiques, relativement en faveur de la
au. Ce sujet demande donc de nouvelles recher- ches. Il y a des cas
cliniques
qui sont en faveur du rapport direct de la nari
dans les pyramides des deux côtés. Ces faits comme les observations
cliniques
chez l'homme montrent que, même pour les membre
ana Lissa 6, ont essayé de mon- trer, par l'examen des observations
cliniques
de maladie céré- brale, que les centres moteurs
utes ces considérations, il ré- sulte qu'un examen des observations
cliniques
puisées indistincte- ment à toutes les sources
es. Dans une intéressante communication intitulée : Contributions
cliniques
sur la mélancolie, faite à Berlin, le professeur
à Berlin, le professeur Mendel propose une classification des types
cliniques
de la mélancolie fondée sur les considérations
en (de Giesen), qui le premier a publié les pre- mières expériences
cliniques
sur la digestion stomacale dans les maladies me
Daniiet s'est proposé d'étudier pour en tracer uue sorte de tableau
clinique
et pour montrer qu'il n'est pas une espèce part
mêmes idées que M. Magnan, croit devoir admettre comme une variété
clinique
méritant une description à part, la folie du do
a- lescence. Tandis que les psychoses fébriles offrent un tableau
clinique
assez monotone, on voit les psychoses de la con
sychoses de la convalescence présenter une grande variété d'aspects
cliniques
. Dans ces dernières, la prédispo- sition indivi
une affection fébrile algue, de bien distinguer quelle est la forme
clinique
de la psy- chose. D 13r.m. REVUE DE PATHOLOGI
jour où le choc traumatique l'a rompu. P. K. XXXVIII. Contributions
cliniques
A la mélancolie; par E. MENDFL (Allg. Zeitsch.
uents dans l'épilepsie, au saut, par exemple. Un autre malade de la
clinique
du professeur Pick présente ce même type de cur
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. 437 à l'avantage des dernières. La genèse
clinique
du délire, quel qu'il soit, consiste dans la vi
bres musculaires. Chaque espèce d'atrophie musculaire a son tableau
clinique
et son substratum anatomo-pathologique propre;
es d'atrophies musculaires qui diffèrent aussi bien au point de vue
clinique
qu'au point de vue anatomopathologique. La prem
lésion de la région motrice de l'écorce cérébrale. Au point de vue
clinique
, les atrophies musculaires d'origine cérébrale pe
à d'autres amyotrophies progressives. L'analyse des particularités
cliniques
de l'atrophie musculaire progressive jointes au
lique fondé sur de nombreuses observations personnelles. Le tableau
clinique
de la paralysie alcoolique se caractérise par u
rable de travaux consacrés à l'étude de ces formes, leurs limites
cliniques
dans la série des autres psychoses n'ont pas enco
gnifie confusion, démence. Après avoir décrit brièvement le tableau
clinique
de la folie aiguë M. Roasvxorr a proposé d'en d
très variables d'ordre physique qui donnent à l'ensemble du tableau
clinique
un aspect multicolore. La marche de la confusio
être acceptés par les aliénistes qu'après avoir été vérifiés par la
clinique
. M. Dounaovmr considère le terme dysnoia comme
où. la lésion cérébrale étant absolument la même, les phé- nomènes
cliniques
sont excessivement variables selon leur dépen-
e les jeunes sujets dont il vient de parler présentaient le tableau
clinique
de la confusion aiguë, d'amentia. Quant à la pr
orski prouve, au contraire, la dépendance com- plète des phénomènes
cliniques
de la localisation et de la propa- gation du pr
veau. La psychiatrie con- temporaine doit ramener toutes les formes
cliniques
sur le terrain anatomo-physiologique ; son succ
qu'il constitue unebonne mise nu point de cette véritable nouveauté
clinique
. PAUL BLOC( ? . VARIA ASILE DES ALCOOLIQUES E
300; - Etude de psycho-physio- logie par Slgaud, 301 ; - études
cliniques
et bactériologiques, par RadziszenskI, 301 ; -
301 ; - Lavage de l'organisme humain, par Sahli, 302; - Leçons de
clinique
médi- cale par Rendu 302 ; -Hypnotisme et cro
ier avec vous quelques points peu connus de l'his-toire anatomique et
clinique
de l'ataxie locomotrice progres-sive. C'est surto
e de l'ataxie locomotrice progres-sive. C'est surtout au point de vue
clinique
que je compte me placer dans ces entretiens. On
rnes antérieures. On sait encore que la majorité des cas, désignés en
clinique
sous le nom atrophie musculaire progressive, se r
où les douleurs fulgurantes composent à elles seules tout le tableau
clinique
, sans accompagnement d'incoordination motrice ; a
on parviendra, tôt ou tard, — par la comparaison attentive des faits
cliniques
, avec les résul-tats microscopiques, — à reconnaî
r suffiront pour vous mettre à même d'appré-cier tout le parti que la
clinique
peut tirer des études anatomi-mes délicates, diri
nus ou insuffisamment connus, — je le crois du moins, — de l'histoire
clinique
de l'a-taxie locomotrice progressive. Si les ca
ème cérébro-spinal, et il y a lieu de distinguer, dans la description
clinique
des deux affections : 1° des symptômes spinaux ;
ecevoir la désignation de période dincoordination motrice, le tableau
clinique
se compose, en premier lieu, des symptômes de la
eules toute la maladie. Quelques symptômes signalés dans le tableau
clinique
de l'alcoolisme chronique rappellent la descripti
tômes. — Différences qui la séparent de l'amaurose tabétique. — Faits
cliniques
démontrant l'importance des signes fournis par l'
à la lésion de ces mêmes nerfs dans la sclérose en sortir l'intérêt
clinique
qui s'attache à leur étude, —peuvent précéder par
ssi, offrent des particularités très-dignes d'intérêt au point de vue
clinique
— ils permettraient de diagnostiquer l'ataxie ou
n grise de ce même nerf chez les tabétiques. Recherchons donc dans la
clinique
des données plus décisives. épaisseur. — Pour c
vos yeux l'intérêt qui s'attache à l'étude ophthalmoscopique dans la
clinique
des maladies des centres nerveux. Je ne saurais d
'arthropathie des ataxiques évolue, au contraire, avec des caractères
cliniques
tout spéciaux, comme vous allez le reconnaître, e
des faits analogues *. Envisageons tout d'abord, Messieurs, le côté
clinique
. M. Bail, auquel on doit plusieurs travaux import
l'Hôtel-Dieu qui a été, de la part de M. Bail', le sujet d'une leçon
clinique
intéressante, fait exception à la règle. Sixièm
qu'il s'agisse là d'une arthrite sèche ; mais, de par les caractères
cliniques
, je main-tiens que cette arthrite sèche est toute
ttention, l'arthropathie des ataxiques, comme un fait pathologique et
clinique
d'une réelle valeur. En ce qui concerne le premie
es, voire même des tumeurs parasitaires, etc. Au point de vue de la
clinique
, ces lésions, d'origines si variées,doivent êtr
ne, les lésions dont il s'agit ont parfois une histoire anatomique et
clinique
qui leur est propre. Or, c'est surtout cette hist
sont des plus vulgaires, et, par conséquent, au premier rang dans la
clinique
usuelle. La carie vertébrale ou mal de Pott, le c
cer verté-bral se présente cependant assez fréquemment encore dans la
clinique
. Nous le rencontrons assez souvent à la Salpêtriè
bres nerveuses dans la moelle, ne s'observent presque jamais, dans la
clinique
, complète-ment isolés. A peu près toujours, il s'
ie. C'est là une circon-stance capable de devenir l'occasion, dans la
clinique
, d'une foule d'erreurs qu'il faut s'efforcer d'év
descendre dans le concret et montrer l'intérêt qui s'attache dans la
clinique
à l'étude de ces symptômes. Nous les exami-nerons
dire, dans l'espèce, le fait de la compression des nerfs est, pour la
clinique
, beaucoup plus intéressant que ne Test le fait de
est là une particularité re-connue depuis longtemps par l'observation
clinique
et qui éta-blit un contraste avec ce qui a lieu d
à présent, mieux que toute autre, les faits révélés par l'observation
clinique
. Ainsi que je vous le disais tout à l'heure, da
ique qui leur a donné naissance. Pendant longtemps, au point de vue
clinique
, l'intérêt a été surtout chirurgical, car la sect
d. chir. Transact. 1839, t. XXXII, p. 141. 2 Un cas, recueilli à la
clinique
d'Oppolzer par M. Schott, et un autre cas observé
s, constituant pour ainsi dire, pendant ce temps, la seule révélation
clinique
de l'affection spinale. a) Vous n'ignorez pas q
es trois premières dorsales. Un fait recueilli par M. E. Rollet, à la
clinique
d'Oppolzer3, est, dans l'espèce, particulièrement
point, parce qu'il n'a pas encore été, que je sache, l'objet d'études
cliniques
suffi-santes. Les seuls faits à relever pour le c
irer de la connais-sance des faits que nous avons enregistrés dans la
clinique
des maladies de la moelle épinière. Je me vois fo
cusées, sont, ainsi que je vous l'avais fait pressentir, le caractère
clinique
prédominant des maladies qui composent le groupe
de quelques auteurs allemands) par un ensemble imposant de caractères
cliniques
et nécroscopiques. Qu'il me suffise pour le momen
ont il s'agit, ne serait pas, tant s'en faut absolument rare, dans la
clinique
de l'adulte 1. Le pronostic, cependant, ainsi q
visu. Quant à l'absence, constamment relevée dans les observa-tions
cliniques
, de troubles durables de la sensibilité cutanée,
ve spinale protopathique (Type Duchenne-Aran). Sommaire. — Variétés
cliniques
des cas désignés sous le nom d'atrophie muscu lai
endra cette appellation sont aujourd'hui encore souvent confondues en
clinique
sous la dénomination commune d'atrophie muscu-lai
es lésions spinales qu'on peut rencontrer dans les cas qui portent en
clinique
cette dénomination d'atrophie musculaire progress
i, de longue date, a commencé, en se pla-çant surtout au point de vue
clinique
, ce travail d'épuration. Les jalons, posés par ce
nosographiques fondamentaux, c'en est assez. Messieurs, pour le côté
clinique
. Nous avons recueilli, chemin faisant, des matéri
squelles l'amyotrophie progressive se serait montrée conforme au type
clinique
Duchcnne-Aran, sans l'accompagne-ment des lésions
rois m'en être assuré, des observations qui pèchent, soit par le côté
clinique
, soit parle côté analomique. Eu égard à ce dernie
t, dans ce groupe, une individualité qui, en raison de son importance
clinique
, — à la vérité jusqu'ici à peu près méconnue, — e
rconstance que je ne man-querai pas de mettre en relief dans l'exposé
clinique
, à savoir que l'atrophie musculaire, dans la form
a caractérisent anatomiquement. Aujourd'hui, elle a pris rang dans la
clinique
usuelle. En outre des faits qui me sont propres
eul coup. Ainsi, autant qu'on peut en juger par les révélations de la
clinique
, elle intéresse tout d'abord le département qui e
re séance, j'ai essayé de prouver, en me fondant sur les données delà
clinique
, que, dans la sclé-rose latérale amyotrophique, l
systématique, et fait pressentir des varia-tions dans les phénomènes
cliniques
. Cependant, je le répète, l'ensemble symptomatiqu
, jusqu'à ce jour, n'a pas la place qui lui re-vient de droit dans la
clinique
usuelle. Pourquoi ? Je ne saurais le dire, car le
s le nom de crises gastriques, à propos de l'ataxie locomotrice. La
clinique
, d'après ce qui précède, désigne pour ce type une
ssi chez l'adulte. Quoi qu'il en soit, il y a lieu, au point du vue
clinique
, d'y distinguer deux périodes, reconnues du reste
de M. Duchenne). Je ne puisque renvoyer, pour ce qui concerne le côté
clinique
, aux travaux que je viens de citer. Relativement
si l'on peut ainsi dire, du même pas, dans une étroite connexion, la
clinique
et l'anatomie pathologique. Il me paraît opportun
complexes, celles-ci pouvant être, à leur tour, à l'aide de l'analyse
clinique
, décomposées en leurs éléments constitutifs. L'
a pas sans doute à être nettement déterminé et à prendre rang dans la
clinique
usuelle ; 2° les zones radiculaires postérieures
s antérieures i, a été anatomiquement constatée et dans lesquelles la
clinique
avait, pendant la vie, révélé l'existence de symp
e tabès spasmodique n'a encore d'existence réelle que dans le domaine
clinique
, ainsi que cela a eu lieu d'ailleurs pendant long
groupe hétérogène, sous le nom de myélite chronique et que l'analyse
clinique
, éclairée par l'anatomie pathologique, tend chaqu
cette description, j'aurai à chaque pas, devant les yeux, l'his-toire
clinique
de l'ataxie locomotrice, qui nous servira en quel
lution ; leur isolement surtout, d'où résulte la monotonie du tableau
clinique
si particulière à la maladie, devra être envisagé
dont je me suis appliqué dans le temps à faire ressortir l'importance
clinique
, et dont l'intérêt, dans la catégorie que nous en
l me reste, en dernier lieu, à signaler les rapports de res-semblance
clinique
qui, dans certains cas, peuvent exister entre le
parfois, faire défaut. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le tableau
clinique
de la sclérose en plaques se trouve dans certains
aires !. Sommaire. — Préambule. — Point de vue théorique. — Réalité
clinique
des paraplégies urinaires. — Définition. — Les fa
en général, à établir sur des observations régu-lières les caractères
cliniques
et anatomo-pathologiques de ces affections spinal
Vous pressentez, par ce qui précède, que c'est sur le ter-rain de la
clinique
et de l'anatomie pathologique que je vou-drais vo
e coïncidence fortuite. Mais, lorsqu'on veut spécifier les caractères
cliniques
ou ana-tomiques de ces paraplégies et indiquer le
eux-là. 11 n'en est plus de même pour ce qui concerne les carac-tères
cliniques
. Ils diffèrent radicalement, ainsi que je vous l'
rimental mettra quelque jour sur la voie de l'inter-prétation du fait
clinique
. IV. 11 existe, ainsi queje vous l'ai annoncé
Pendant longtemps, la malade Afin de ne point surcharger un tableau
clinique
déjà fort complexe, j'ai négligé à dessein de vou
ions tracées de main de maître par Trousseau en divers endroits de la
Clinique
médi-cale de lHôtel-Dieu (t. II, p. 28 ; t. III,
adie de Ménière ne soient pas rares, tant s'en faut, au moins dans la
clinique
civile, ils sont à peu près toujours méconnus, ra
Je n'entrerai pas dans de longs développements à propos de l'histoire
clinique
de ce cas ; vous pouvez la lire dans le Progrès m
et suivants, octobre), a confirmé ce point qui intéresse à la fois la
clinique
et la physiologie pathologique. Quant au vertig
ost-hémiplégique. Sommaire. — Hémichorée post-hémiplégique. — Faits
cliniques
. — Trou-bles de la sensibilité générale et spécia
The American Journal of the med. Sciences, oct. 1874, 342. 2 Leçons
cliniques
sur les maladies du système nerveux, t. I, 1884,
t la ligne de conduite que je me suis tracée en repre-nant ces leçons
cliniques
— que je voudrais comparer en quel-que sorte aux
'hémichorée. Une analyse anatomo-pathologique délicate, guidée par la
clinique
, parviendra peut-être quelque jour à circonscrire
ucher du doigt cer-taines particularités qu'offre souvent cette forme
clinique
de la syphilis cérébrale. Mais j'aurai surtout à
cereaux dans son Traité de la syphilis s. Malheureuse-ment, les faits
cliniques
que ces figures sont destinées à illus-trer laiss
tbeaucoup à désirer. En dehors de l'épilepsie partielle, des formes
cliniques
très diverses de la syphilis cérébrale peuvent re
La décharge sera suivie d'un épuisement mo-mentané dont la traduction
clinique
est la paralysie tempo-raire avec flaccidité, qui
eu l'occasion d'observer quelques faits se rattachant à ce même type
clinique
: tout récem-ment en recherchant ce qui pouvait av
épileptiformes n'ont plus re-paru. » Dans ses dernières conférences
cliniques
de la Salpêtrière (décembre 1870), M. Charcot est
récemment observés par lui et qui appartiennent évidemment au groupe
clinique
dont il s'agit. Yoici l'exposé sommaire de ces de
(Voyez : Leçon XI, p. 212). On retrouvera les principaux caractères
cliniques
qui per-mettent de reconnaître pendant la vie l'a
t d'être relatée reproduit assez exactement les principaux caractères
cliniques
que nous avons assignés à l'atrophie musculaire s
qui ne sauraient modifier en rien d'es-sentiel l'ensemble du tableau
clinique
. Il nous faut montrer maintenant que l'étude de
bservation que je vais rapporter dans ses détails se rattache au type
clinique
créé par M. Duchenne(de Boulogne) sous le nom de
ant.la vie, l'é-paule gauche était le seul point du corps où l'examen
clinique
pûtconstater une atrophie partielle quelque peu p
on physiologique. Mais, il n'est nullement certain que tous les faits
cliniques
auxquels cette dénomina-tion peut être prêtée soi
ce de M. Bergeron, à la suite d'une maladie intercurrente. L'histoire
clinique
du petit malade dont il s'agit est bien con-nue :
dans la station verticale 3. Je renvoie pour ce qui concerne le côté
clinique
1 Bulletins et mémoires de la Société médicale
ccessoire. Cette première phase paraît répondre à la première période
clinique
signalée par tous les observateurs, période dans
pour plus de détails : Raymond. — Etude anatomique, physiologi-que et
clinique
de Vhêmichorée, etc., p. 69. — Bourneville et Reg
tômes. — Différences qui la séparent de l'amaurose tabétique. — Faits
cliniques
démontrant l'impor-tance des signes fournis par l
e spinale protopathique. (type duchenne-aran). Sommaire. — Variétés
cliniques
des cas désignés sous le nom d'atrophie muscu-lai
rinaires. Sommaire. — Préambule. —Point de vue théorique. — Réalité
clinique
des paraplégies urinaires. — Définition. — Les fa
OST-HÉMIPLÉGIQUE. Sommaire. — Hémichorée post-hémiplégique. — Faits
cliniques
. — Trou-bles de la sensibilité générale et spécia
,62, 396. — Fréquence, 63, 69. — Epo-que d'apparition, 8, 69. — Faits
cliniques
, 64, 366. — Température, 67. — Formes et symptôme
s-trique, 311. — De Ménière, 3 9, 350, 409. — Laryngé, 407. — Faits
cliniques
, 407, 409. — Causes : affections la-ryngo-bronchi
V. MAC.NIXN Membre de l'Académie de médecine. Médecin de l'Asile
clinique
(Ste-Anne). I-- ITllES Professeur de clinique
Médecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). I-- ITllES Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Faculté de
rmes 1907 Vol. I. Janvier 1907. Ne 1 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE Contribution à l'étude de l'oeil chez l
ile d'Amiens Médecin aide-major de 1" classe, ancien assistant de
clinique
ophtalmologique. Contrôler les résultats des no
s de ses conseils autorisés. Nos recherches ont porté dans le champ
clinique
mis à notre disposition sur toutes les catégori
es, au moins au bout de quel- AnctnvLC, 3° séria, 1907, t. I. 1 2
CLINIQUE
MENTALE. ques-unes, des renseignements exacts e
ations de lajvue. - Ous. 122. Fig. 2. O. G. Elal de dépression. 4
CLINIQUE
MENTALE. tique du trouble hallucinatoire, porta
G. Hallucination della vue. OBS. 67. Fin. 7. - Etal dépressif. 8
CLINIQUE
MENTALE. générale. a. Etats mélancoliques délir
(fig. 11,'et 12). , Ons. 17. FIG. 11. OBs. 17. FIG. 12. 12
CLINIQUE
MENTALE. Le tracé il pris le 15 septembre repré
7). ). - OBs. 117. Fac. 16. 0. G. OBS. 117. Fir. 17. O. G. 16
CLINIQUE
MENTALE. Le tracé 16, pris le 20 octobre, est p
ques heures à vingt-quatre Archives, 3' série, 1907, t. I. 2 18
CLINIQUE
MENTALE. heures les ascensions de l'agitation.
con- traire, nous avons trouvé des vaisseaux un peu fins, mais 30
CLINIQUE
MENTALE, ces différences de calibre pourraient
au- cune autre modification se soit produite du côté de la pa- 32
CLINIQUE
MENTALE. pille. Enfin, presque toujours, en mêm
ous avons noté la déco- Archives, 3' série. 107, L. XXIII. - 3 34
CLINIQUE
MENTALE loration du segment externe et le bord
champ visuel se traduit par un élargissement global. Conclusions
CLINIQUES
. - Il serait évidemment té- méraire de chercher
méraire de chercher à tirer des faits qui précèdent des conclusions
cliniques
définitives ; et nous n'avons pas la prétention
remar- quer que, chez le plus grand nombre d'aliénés que nous 36
CLINIQUE
MENTALE. avons examinés, et en particulier dans
dans des cas d'inter- mittences irrégulières, où aucun autre signe
clinique
ne laissait entrevoir une modification prochain
chez les paralytiques généraux. Obezrénié psychiatrii, 1900. - 3S
CLINIQUE
MENTALE. SANE NI (de). Nouvelles recherches et
Les délires ambulatoires et les fugues » p. 592. Grasset, Leçons de
clinique
médicale, ? série (1895-98) p. 137. LES FUGUES
nts au point de vue social n'a ' pas eu d'importance pratique. 40
CLINIQUE
MENTALE. Pour ètrejuste, M. Tissié a parlé des
motif ». Si tous nos malades partent et vagabondent sans motif, 42
CLINIQUE
MENTALE. étudier des vagabonds d'habitude avec
es malades et qu'on peut les rattacher individuellement à des types
cliniques
connus. Charcot qui avait remarqué que l'hystér
eureux de pouvoir lui témoigner ici toute ma reconnaissance. 44 f
CLINIQUE
MENTALE. liques ne sont pas des fugues. Les fug
alysée par P. Keraval in Arch. Neur. 2° s. XII, 1901, lr. 130, 46
CLINIQUE
MENTALE. ans maladie infectieuse indéterminée a
ue spécial de la présence de l'indoxyl dans l'urine et de sa valeur
clinique
; par Arthur A. D. TowSED. (The Journal of Ment
ie double; par lcHa&n. (Bullelcn médical, n° 28, 1906.) Leçon
clinique
de l'hôpital Tenon. Un sujet présente de la para-
Il n'est pas facile dans ce cas dont l'auteur publie l'observation
clinique
d'expliquer la perte soudaine et bilatérale de la
ner dans des hôpitaux spéciaux. R. de Musgrave-Clay. ,\ IV.' Note
clinique
sur un cas de constipation rebelle causée ^"par
vec tous ses détails dans le numéro d'octobre 1904. Il.- Une note
clinique
sur l'automatisme alcoolique; par W. C. Sulliva
r soit positive soit néga- tive. R. DE nIUSGItAVE-CLAY. III. Note
clinique
sur un cas de manie aiguë pour servir à l'histo
universellement connue dans les rues de Londres. IX. Observations
cliniques
de psychose de KoRsAKow; par J. ToTE. (The Jour
vif intérêt des neuropathologues. Une masse de documents venant des
cliniques
concernant ce mal et son jumeau, le tabes dorsa
discours d'étudier la « para- noïa » sa situation en tant qu'entité
clinique
, ses rapports avec 'les autres troubles mentaux
du traitement des malades qui guérissent. Il s'occupe ensuite des
cliniques
psychiatriques et des asiles, et espère que le
consti- tuer, à l'autopsie. le principal caractère diagnostique.
Clinique
: 1° l'âge moyen lors de l'entrée à l'asile est d
qu'elles résu- men les points les plus importants de l'observation
clinique
elle- même que nous ne pouvons reproduire dans
veux de l'ordre le plus élevé et le plus vulnérable. Un autre point
clinique
curieux, c'est que, environ un an avant l'entré
connaître qu'il est des cas de pathologie nerveuse où le diagnostic
clinique
est à peu près impossible. R. de Musgrave CLAY.
era peut-être' exaucer leurs \ ceux. Bernard P. » ? *" IV, - Leçons
cliniques
sur les maladies nerveuses et mentales, par le
eprésente comme une monographie entière de cette intéressante forme
clinique
. , L'auteur donne beaucoup de détails surtout p
opathiques déterminés, qu'on doit strictement distinguer des formes
cliniques
, c'est-à-dire des maladies mentales ; l'auteur
pertise psychiatrique ne doit présenter « rien d'autre qu'une leçon
clinique
bien exposée dans les termes les plus simples et
e physiologique du tronc cérébral étudiée au moyen de l'observation
clinique
», repré- sente non seulement les meilleurs mat
ur s'initiera l'appréciation purement scientifi- que des phénomènes
cliniques
.. Les trois leçons suivantes sont consacrées à
de fixer la forme fondamentale. Alexandre AQUMAN, Assistant à la
Clinique
des Maladies nerveuses et mentales (Varsovie).
a faculté de médecine de \ancy ; Vallon, médecin en chef de l'asile
clinique
(Sainte Anne) ; Girma, directeur médecin à l'as
3 et 34, qui terminent la section, sont de pure forme (A suivre.)
CLINIQUE
MENTALE Les fugues dans les psychoses et les dé
(1) Voir Archives de Neurologie, n° 1, janvier 1901, page 38. ) 122
CLINIQUE
MENTALE. sentent des accès légers de manie dans
froides aux deux mains « lesjambes glacées jusqu'aux genoux o 124
CLINIQUE
MENTALE. la tête congestionnée, les yeux brilla
2° Quelque temps après, il part de Paris à 2 hem es de l'après- 126
CLINIQUE
MENTALE midi, se rend à la gare Saint-Lazare, p
dit une mort prochaine. Interné à nouveau pendant' deux mois. 128
CLINIQUE
MENTALE. Rentré chez lui, il reste inactif, se
tant qu'il n'a pas exécuté Aucun-ES, 3' série, 1007, t. 1. 9 130
clinique
mentale. l'acte dont il a l'idée. Il cède tout
lyti- que générale, entrée il l'asile de Vauclusc au mois de 132.
CLINIQUE
MENTALE. mai 1904 et dont Mlle la doctoresse C.
stations simples des formes névrosiques jusqu'aux diver- ses formes
cliniques
, parmi lesquelles il faut citer la maladie de T
ense qu'il faut distinguer dans ces divers cas plusieurs catégories
cliniques
. / 1° Représentations obsédantes h1,llni/¡ xtoi
n nom personnel et au nom de M. DOUTRT : BEN7-E, les particularités
cliniques
et anatomo-pa- thologiques présentées par un dé
voir ainsi déblayé le terrain, 1. Grasset tenle une dé- monslration
clinique
de la demi-folie. Il rappelle d'abord Trélat, e
dont ai. Parant a déjà dit qu'elle ne cor- respond pas aux notions
cliniques
de la psychiatrie, est suivie de l'analyse des
nes. 2° Maison de santé du Dr Parant : Dr Parant; pas d'interne. 3°
Clinique
d'observation à l'hospice de la Grave, à Toulou
X... ; 2 internes. SAVOIE (Haute-). -Pas d'asile. SEINE. 1° Asile
clinique
: Directeur, AI. Guillot ; Médecins en chefs, D
TET,médecin en chef à Villejuif, DAGONET, médecin en chef a l'Asile
clinique
(Sainte-Anne), promus à la classe exceptionnell
Prix ...»-. 4 fr. Pour nos abonnés 3 fr. BOURNEVILLE. Recherches
cliniques
et thérapeu- tiques sur l'épilepsie, l'hystérie
mpris les d'eux volumes des LEÇONS DU MARDI, et les deux volumes de
CLINIQUES
des maladies du système nerveux sont vendues au
courte durée : un mois, dit la loi. Or je prétends, et l'expérience
clinique
le démontré, qu'un aliéné d'ordinaire agité peu
. La conception à laquelle nous a conduit l'observation des faits
cliniques
peut s'exposer par une comparaison. L'équilibre t
le-même une va- riété ù hyperthyroidie secondaire. IX. Conception
clinique
, anatomique et pathologique des idioties méning
anatomique et pathologique des idioties méningitiques. Observations
cliniques
et anatomo-pa- thologiques ; par Al. PRLI.IZZI.
1905, Vol. XXXI, fasc. III, IV.) Ou peut distinguer au point de vue
clinique
trois formes clini- ques de l'idiotie : une for
etc., Toutes ces variétés correspondent certainement à des formes
cliniques
et anatomiques variées. Au point de vue clinique,
ment à des formes cliniques et anatomiques variées. Au point de vue
clinique
, l'idiotie méningitique peut être congénitale,o
recherches ci-dessus analysées. J. S. XI. - Etude nosographique et
clinique
des infantilismes ; par 11. Santé de SYNCT;S.([
ixtes ou combinés ; 5° pathogénie des infantilismes ; 6° conception
clinique
fondamentale des infantilismes : 7° diagnotics
s professeurs des facultés de mé- decine, chargés de l'enseignement
clinique
des maladies mentales, qui sont de droit médeci
ans les Asiles publics d'aliénés du département de la Seine : Asile
Clinique
, Asiles de Vaucluse, Ville-Evrard, Villejuif, M
la conduite immédiate à tenir par le médecin en présence d'un cas
clinique
urgent de médecine, de chirurgie ou d'obstétrique
on. Vol. 1. 3e Série. Avril 1907. No 4 ARCHIVES DE ..NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE Formes mélancoliques de la démence préc
ctuellement que cette opi- nion ne correspond pas il tous les faits
cliniques
et qu'il y a des maladies mentales dont le débu
et la dépression morale. Archives. 3° sério, 1007, l I. 18 '274
clinique
mentale. En étudiant ces états dépressifs prodr
soires et variables. Ces phénomènes secon- daires revotent l'aspect
clinique
de toutes les psychoses aiguës. Ainsi, on renco
s dans la démence pré- coce. Thèse de Paris, 1 <.JO : ; , . 76
CLINIQUE
MENTALE. ' 3 cas : confusions mentales. 2 cas
précoce ; on l'y trouve à tous les degrés et sous tous les aspects
cliniques
. On peut rencontrer sur une série de malades di
que c'est d'elles que dépendent toutes les modalités et les nuances
cliniques
de la période prodromique. Les dill'érences de
la démence précoce. <Presse\médicale, 19 jan\ ier 1907). - 278
CLINIQUE
MENTALE telligence. Les épreuves de Masselon (1
ui se plaignent spontanément se prêtent plus facilement il l'examen
clinique
. Il faut alors les écouter parler et analyser l
écoces. Mais pour être sur du diagnostic, il faut faire des examens
cliniques
répétés, on peut même dire qu'il est impossible
période. (1) Iiltmr. Maladies de la pérsoll11alité, page. 01. 282
CLINIQUE
MENTALE Idées de négation. Les idées de négatio
n'ont aucune valeur diagnostique. Pourtant leur étude m'a a 28 i
CLINIQUE
MENTALE. , permis de distinguer certains caract
t de stu- peur. L'auteur met en évidence avec beaucoup de finesse
clinique
une série de nuances spéciales il la démence pr
'obligeance de \IU. Lwo(l' et 13cnon. (1) Lo= cit , p. 277. , 280
CLINIQUE
MENTALE. Résumé : Anxiété extrême. Prédominance
lirants n'uni laissé aucun souvenir dans son esprit, elle reste 288
CLINIQUE
MENTALE. comme obnubilée el inconsciente de son
empereur a parlé de lui. Archives, 3' série, 1007, t. I. , 19 290
CLINIQUE
MENTALE. A son entrée, le malade n'est pas du t
e monde sera heureux quand il sera mort. l'en- dant son séjour à la
clinique
, il l'l"te dans un état de dépression prolonde-
. Ces phases de dépression sont interrompues brusquement par ? ü2
CLINIQUE
MENTALE. des impulsions violente.11 s'est jeté
l'écorce motrice vraie est un de ceux qui, à en juger par les faits
cliniques
et anatomo-patlhologiques, est facilement attei
s de la Fondation Vallée : la 2e partie plus technique, comprend la
clinique
, la thérapeutique et l'anatomie pathologique. N
mon diffus; complications abdominales de la fièvre typhoïde. Formes
cliniques
de la variole ; fractures de côtes. Diagnos- ti
Jacques iiouBINOVITGII, médecin de la Sal- pêfrière ancien chef de
clinique
de la faculté de médecine de Paris, expert près
hiron. Vo'. 1. 3e Série. Mai 1907, ? S 5 ARCHIVES DE-NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE Hystérie et sommeil ( \ \ <\ \ /l
, I élixAlcan,15J7, 2 vol. Archives, 3* série, 1007, t. 1. 23 354
CLINIQUE
NERVEUSE. mieux que tout ce que je pourrais en
ne. s'agit pas d'aboulie, mais de distraction. Le malade est 356
CLINIQUE
NERVEUSE. paralysé parce qu'il est distrait. Il
son bras, ainsi que la volonté et le désir de le récupérer ; 358
CLINIQUE
NERVEUSE. ou,si elle est le résultat d'une abou
le siège du trouble hystérique - capabled'expliquer à la fois 300
clinique
nerveuse. les manifestations 'somatiques et psy
;)7. In 131bIioLl. de philos, contemporaine, Paris, (' ..llcan. 362
CLINIQUE
NERVEUSE. représentation. C'est ce qui arrive d
lèle avec la théorie psychologique, ou plutôt avec les inter- 3G4
CLINIQUE
NERVEUSE. prétations psychologiques multiples q
de l'in- somnie complète des grandes hystériques à manifesta- 366
CLINIQUE
NERVEUSE. tions multiples et surtout viscérales
ans l'ordre' même de la vie du sujet, et cela ramène tous les 268
CLINIQUE
NERVEUSE. événements que l'on a vus se dérouler
recteur d'établisse- ment ; les loisirs que lui laissent le service
clinique
peu- vent être fructueusement employés à faire
PRÉ et Camus. (L'Encéphale, 1000, n° 5.) Observation dont l'intérêt
clinique
réside dans l'association d'un état onirique tr
choses consécutives aux méningites cérébro- spinales est une vérité
clinique
admise par tout le monde, mais à laquelle manqu
elle, il semble, que la classifica- tion d'Ireland, qui est surtout
clinique
et étiologique, demeure la plus commode. 2" I
ctivement le même. Clouston a dit que la tendance pathologique et
clinique
la plus forte de toute forme de maladie mentale
ssus parallèle de dissolution psychique et physique, ayant l'aspect
clinique
décrit par Sankey ; on verra aussi que nous n'a-
ile étaient déjà tuberculeux quand ils y sont entrés. Les symptômes
cliniques
et les signes physiques de la tuberculose pulmo
s la race Juive. Th. Paris 1907, par le Dr VULFING- LUER. L'étude
clinique
de la pathologie nerveuse et mentale des Juifs
de Saint- Venant (Pas-de-Calais) ; Dupouv,main- tenu comme chef de
clinique
des maladies mentales à l'Asile cli- nique (Sei
à 10 heures (section Ilamhuteau) une nouvelle série de conférences
cliniques
sur les maladies mentales elles continuera les
IIRON. Vol. 1. 3e Série. Juin 1907. N° 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE Hystérie et sommeil (Théorie physiol
ties de l'écorce cérébrale. A;cames, 3° série, 1907, t. I. 29 450
CLINIQUE
NERVEUSE. modification de la sensibilité object
s cérébraux sont avant tout des centres dynamiques. Leur siège, 452
clinique
NERVEUSE. Les phénomènes psychiques de l'hystér
ca- (1) Voir : L'hystérie et son traitement». F. Alcan, 19ùl. 454
CLINIQUE
NERVEUSE. nothérapie. C'est alors qu'on assiste
gi- lambules, et que les réactions provoquées par ces excita- 456
CLINIQUE
nerveuse. tions locales dans des cas de trouble
oi consiste le sommeil pour reconnaître qu'il dort, et savoir 458
CLINIQUE
NERVEUSE. comment le réveiller. Et s'il se réve
l'état d'arrêt se traduit à un moment donné par des manifes- 460
CLINIQUE
NERVEUSE. tations fonctionnelles, d'ordre génér
je les fais (1) « Les troubles de la mémoire a ? HuPff, 1893. 462
CLINIQUE
NERVEUSE. disparaître en me bornant simplement
e du sommeil cérébral spécial à l'hystérie, et que, au point de vue
clinique
, l'assimila- tion de ces deux états de sommeil
ce (1) Les Phénomènes d'autoscopie ». Paris, F. Alcan, 1903. 461
CLINIQUE
NERVEUSE. fut une surprise pour moi de voir des
à cette manière de voir. Archives. 3' série 1907, t. I. 30 466
CLINIQUE
NERVEUSE. En résumé, la théorie physiologique q
a seule qui repose sur l'expérimentation en mê- me temps que sur la
clinique
. Elle consiste essentielle- ment en ceci : l'hy
le-ci apprend à écrire. · Grasset (J.).-Plan d'une physiopathologie
clinique
des centres nerveux, Montpellier médical, XIX,
s des abcès. « Il est intéressant de rapprocher la double évolution
clinique
des accidents de la double évplution anatomi- q
t revêtir, en'.l'absence de toute lésion méningée, une ex- pression
clinique
que l'on qualifie de méningitique, alors qu'elle
e manifestation du rachitisme tardif. F. T. . XXXIV. Quelques notes
cliniques
sur les analyses d'urine et leurs résultats ; p
TOMIE ET' DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 493 XXXVIL-La signification
clinique
de l'indoxyl dans Purine;par M. Lewis C. Bruce.
lus la durée d'un processus pathologique que sa cause et son aspect
clinique
qui modifie l'histologie du cortex. F. TISSOT.
te chronique diffuse, peu connue parce que confondue avec des types
cliniques
voisins (rhumatisme chronique, sclérose médulai
ne proli- fération de tissu conjonctive-adipeux. Les particularités
cliniques
et anatomiques de cette affection la différenci
te, est une cause de grandes difficultés du diagnostic ou d'erreurs
cliniques
, tous les syndromes de compres- sion de la moel
ssionnée avec laquelle ce médecin aliéniste, si at- taché à l'étude
clinique
de la paralysie générale, de l'épilepsie de l'h
autres peuvent être améliorés et même guéris suivant les modalités
cliniques
; les uns doivent être traités dans des interna
éprrs- .sion mélancolique. Voir Psychose. Automatisme. Une note
clinique
sur l'- alcoolique ; par Sulli- van, p. 63.
is- - l'ment; par Lionec Dauriae, ]J, 2 ! J. Constipation. Noie
clinique
sur un cas dercbcUccauseepar une accumulation
cial de la présence de l'in- doxyl dans l'urine et de sa va- leur
clinique
; par '1'0\\ mend, p. 50. Dercum. Un cas de m
- massive ; par Féré, p. 144. -- Voir Ilémor- rhagies. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'- : par Bourneville,
as d'- amauro- tique de famille ; par Burnet, 'p. 145. Conception
clinique
, anatomique et pathologique de méningitiques.
ue, anatomique et pathologique de méningitiques. Observa- tions
cliniques
et anatomo- pathologiques ; par Pellizzi, p.
NDUSTRIE. Voir Alcoolisme. Infantilisme. Etude nosogra- phique et
clinique
des ; par Sante de Sanctis, p. 249. el dégéné
. 65. Langage. De la confusion du : par Kéraval, p. 148. Leçons
cliniques
sur les maladies nerveuses et mentales ; par
un idiot épileptique ; par Ilamel et Wahl, p. 148. Manie. Note
clinique
sur un cas de aiguë pour servir à l'his- toir
ir Sérum. Réactions nerveuses. Voir "[dl/p- falioLL. Recherches
cliniques
. Voir Epi- lepsie. RECKLINGHAUSEX. Un cas de
ues à la pré- sence de ; par Weber, p. 488. Urine. Quelques notes
cliniques
sur les analyses d'- et leurs résultats ; par
s. C'est alors qu'il créa, en 1888, rue Saint-André-des-Arts, 55, une
clinique
de psychothérapie, la première fondée à Paris, de
tion répondait tellement à un besoin, que bientôt on vit affluer à la
clinique
de la rue Saint-André-des-Arts, non seulement les
cet enseignement, M. le Dr Bérillon dut transférer ses services de sa
clinique
au n° 49 de la rue Saint-André-des-Arts, dans l'h
largit et, sous le titre d'Institut Psycho-physiologique de Paris, la
clinique
devient à la fois une véritable école pratique de
ypnotisme employé comme méthode d'investigation psychologique ; 2° la
clinique
des maladies nerveuses et mentales ; 3° la pédago
; 2° la clinique des maladies nerveuses et mentales ; 3° la pédagogie
clinique
; 4° tous les procédés d'analyse et de psychométri
oubles dynamiques du système nerveux, quelles qu'en soient les formes
cliniques
et les complications d'ordre somatique ou d'ordre
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiquesde l'hypnotisme.Il est secondé dan
et pédagogiquesde l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
HYPNOTISME AGENT THÉRAPEUTIQUE par M. le Dr Desplats, Professeur de
clinique
médicale a la Faculté libre de Lille. C'est, en
illante attention quelques réflexions personnelles sur la psychologie
clinique
et thérapeutique de ces troubles, dont la palhogé
ntôt cette théorie psycho-biologique des phobies, pardes observations
cliniques
, sans oublier la contre-épreuve thérapeutique qu'
iatres, on étudie les faits à la lumière impartiale de la psychologie
clinique
et thérapeutique, on en vient à regarder les phob
o-physiologique de Paris, Fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dûpemaire neurologique et
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé danssesdémonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenbcrg, Lajoie, et d
section. Les réceptions organisées au Club des chasseurs et dans les
cliniques
ont été des plus cordiales et laisseront aux memb
er que nous avons admiré, sans réserves, l'organisation des nouvelles
cliniques
de Neurologie (professeur Kojénikofî) et de Psych
, comme l'affirmait récemment M. le Pr Joffroy dans une de ses leçons
cliniques
à Sainte-Anne, nous affirmons par contre que l'hy
lié en 1888 les Emotions chei les hypnotiques et, en 1889, les Leçons
cliniques
sur tes principaux phénomènes de l'hypnotisme), s
crites et auxquelles on a donné le nom de corpus Luysii. Son Traité
clinique
et pratique des maladies mentales (1881) avait ét
e s'était résigné qu'avec peine à abandonner le champ de bataille, sa
clinique
hospitalière. On peut dire que ce laborieux est
. Les Neorologistes russes et français. M. Raymond, professeur de
clinique
des maladies nerveuses à la Faculté de médecine d
o-physiologique do Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses [dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'éléj par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme.11 est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.11 est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Paul Parez, Rchns. et dans ses démo
a, en outre, en 1895, sur une jeune personne, autrefois endormie à la
clinique
de M. Liébeault, retrouvé, après dis années, l'em
rier, la résolution -de se faire soigner. Il vient, dans ce but, à la
Clinique
des maladies nerveuses, qui est annexée à l'Insti
ent. Le jour même où Fernand F.... vient pour la première fois à la
Clinique
, on lui fait fixer quelques instants un fauteuil
e jeudi suivant. En effet, un certain jeudi, il n'a pas pu venir à la
clinique
, et quinze jours se sont écoulés sans qu'il fût s
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses [dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pedagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pedagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Paul Farez, Rehns, et dans ses
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Paul Farez, Hehns, et dans ses démo
udi 25 novembre, à l'Institut psychophysiologique, des démonstrations
cliniques
de phonendoscopie. M. le docteur Dagincourtù fa
udi 2 décembre, à l'Institut psycho-physiologique, des démonstrations
cliniques
de radioscopie et de radiographie. Conférences
t Dumontpallier). Cette conférence sera accompagnée de démonstrations
cliniques
expérimentales et de projections à la lumière oxy
rsité de Berlin. — M. le Dr Roncati est nommé professeur ordinaire do
clinique
psychiatrique à la Faculté de Bologne. — M. le Dr
ère communication, sur un terrain inattaquable, celui de la pédagogie
clinique
. Tel fut le sentiment qui nous inspira dans la ré
ous ne craignons pas de dire que ce sont nos expériences de pédagogie
clinique
, entreprises en 1886 et poursuivies par nous sans
ité consciente. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. PÉDAGOGIE PSYCHOLOGIQUE ET
CLINIQUE
1* Bérillox. — De la suggestion envisagée au po
'émotion. SuggestibLUtè à l'état de veille et dans l'hypnose. Faits
cliniques
. Par ie docteur Bocnnoa, de K-ira (Oise). « L
qui revient à l'usage du miscros-cope dans les travaux de la médecine
clinique
. C'est à lui que nous devons la première descri
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM.WoIf, Paul Farez, Faure, et dans ses démon
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations
cliniques
de psychothérapie, de démonstrations expérimental
érimentales et de présentations d'appareils. Faculté de Médecine. —
Cliniques
des maladies nerveuses: M. le professeur Raymond,
fesseur Raymond, les mardis et vendredis, à 9 h. 1/2 (Salpétrière).
Clinique
des maladies mentales : M. le professeur Joffroy,
t nne malade, suivie depuis trois ans et traitée actuellement à notre
clinique
, par mon collaborateur et ami, le Dr P. Valentin,
re des expériences de laboratoire est close ; l'ère de la psychologie
clinique
et thérapeutique promet d'être féconde. DISCUSS
si bien associer le culte de la philologie à celui de la psychologie
clinique
et thérapeutique, s'était mis dans le cas d'être
l'aulo-suggcstion et tous les appareils appliqués dans un service de
clinique
chirurgicale n'avaient déterminé aucune améliorat
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladiesnerveuses (dispensaire neurologique et
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Paul Farez, Faure, et dans ses démo
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations
cliniques
de psychothérapie, de démonstrations expérimental
. Delhœuf n'était peut-être pas son Idéal I a Or, j'ai obtenu, à la
clinique
de M. Liébeault, un résultat tout contraire. Fais
une employé de commerce, très bon somnambule, que j'ai rencontré à la
clinique
de M. Liébeault, et avec qui j'ai pu, Tannée préc
vous ! Vous volerez (aj ! » Quelques jours plus tard, M. F..., à la
clinique
qu'il fréquentait depuis longtemps, raconta, sans
dérations tout autres, nous regrettons de ne pas avoir la statistique
clinique
du traitement Barberini, car, bien qu'on en ait d
) ; aussitôt après commença l'opération, en présence des élèves de ma
clinique
; le malade ne donnait pas le moindre signe de do
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiquesde l'hypnotisme.Il est secondé dan
et pédagogiquesde l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les D'* Henry Lemesle.F. La-raya, Coatarm
t suivant : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications
cliniques
de l'hypnotisme. Co Cours commencera lu mardi 1
ence, de la sagesse avec laquelle Mesnet poursuivait ses observations
cliniques
. Dans ce travail se révèle la science profonde
, pour s'exercer, les différents moyens employés aujourd'hui dans les
cliniques
modernes. Ici interviennent les grimoires, manu
ppartements secrets d'un mage du quinzième siècle, rappelant assez la
clinique
de nos psychotérapeutes, mais avec des engins plu
ations de M. Jules Bois les évocations du diable par les sujets de la
clinique
. La suggestion dans l'état d'hypnose en fait tous
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'élude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses {dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les D™ Henry Lemesle.F. La- raya, Coa
de l'hypnotisme. Suggestion. Auto-hypnotisât ion. 2e Partie : Etude
clinique
et médico-légale de l'hypnotisme et de la suggest
ggestion. 3e Partie : L'hypnotisme et la suggestion au point de vue
clinique
. Psychothérapie. 4e Partie : Etats médianiques.
ypnose. 13 avril : (Congé de Pâques.) 20 avril: Hystérie. Etude
clinique
de. l'éjal mental des hystériques. L'hystérie e
ecine (amphithéâtre Cruvcilbier), un cours libre sur les applications
cliniques
et thérapeutiques de l'hypnotisme. II le contin
s générales sur la valeur de l'hypnotisme comme moyen d'Investigation
clinique
et comme agent thérapeutique. — L'hypnotisme et l
de présentations d'appareils. Il sera complété par des démonstrations
cliniques
à l'Institut psycho-physiologique, 49, rue Saint-
comme médecin hypnotiseur. Il installa à la rue de Bellevue, n°4, une
clinique
gratuite où l'on n'ordonnait pas de remèdes, mais
r de commandement suivi d'obéissance passive, qu'elle avail subi à la
clinique
de M le D' Liéheault. Me trouvant de ¦passage à S
Janet, ne sont pas assez avancées pour donner la raison des symptômes
cliniques
, et nous disons simplement que, pour le moment, c
l, etc., — en un mot, dans toute l'étendue du domaine de la pédagogie
clinique
, de l'orthopédie mentale et de l'hygiène morale (
logie physiologique. Trentième anniversaire de la fondation de la
clinique
des maladies mentales à Saint-Pétersbourg. A ce
uverts et contiendront: 1° Les plans et photographies des asiles et
cliniques
neurologiques ou psychiatriques; les photographie
t autres préparations anatomiques. 3° Les appareils usités dans les
cliniques
spéciales. 4° Les documents concernant l'histoi
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'élude des applications
cliniques
, médico-légales el psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie el un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladie» nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par M M. les D" Henry Lemcsle.F. La-raya, Coatarm
era comme paralysé. » Or, il advint que la malade, en revenant à la
clinique
, se plaignit d'avoir ressenti un engourdissement
eçues au Congrès seront divisées en quatre groupes : P Applications
cliniques
et thérapeutiques de l'hypnotisme et de la sugges
ppréciés, vient d'entreprendre la publication d'un important « Manuel
clinique
de Neuropathologie ». Ce manuel est en cours d'im
'hypnotisme ; son but a été de montrer par de nombreuses observations
cliniques
toute l'importance d'un agent thérapeutique qui j
iculier l'état actuel de la thérapeutique psychique d'après des faits
cliniques
observes chez MM. Aug. Voisin, Berheim, Forel, vo
o-physiologique de paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
rie maladies nerveuses (dispensaire neurologique
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les D" Henry Leincsje, F, La-raya. Coatar
Année psychologique (1'), 341. Anniversaire de la fondation de la
clinique
des maladies mentales à Saint Pétersbourg, 349.
les), 93. Oraisons et conjurations, 221. Pédagogie psychologique et
clinique
(index bibliographique), 167. Pédugogie suggest
DEUX MOIS PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE
CLINIQUE
IDES MALADIES MENTALES A. FOURN1ER PROFESSE
UR DE CLINIQUE IDES MALADIES MENTALES A. FOURN1ER PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR
t-Germain (6e) 1904 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA.
ui vous en mon- treront les différents degrés et les divers aspects
cliniques
. L'histoire de ces (1) Leçon faite à la Salpêtr
us avez pu voir, parmi les nombreux parkinsoniens qui viennent à la
clinique
, et que je vous ai présentés à mes leçons du mard
rai-je pas davantage. Mais je désire, en terminant ce rapide exposé
clinique
, vous présenter rapidement un dernier malade, q
rt avec l'absence de cachexie. OBs. IL Femme de 37 ans ; diagnostic
clinique
: paralysie générale, atro- phie des nerfs opti
paralysie générale, atro- phie des nerfs optiques. L'observation
clinique
ayant été égarée, je n'ai pu savoir si les réflex
ce de M. P. Marie à l'hospice de Bicètre. Résumé de l'observation
clinique
: Père syphilitique, serait mort ataxique. Le m
cédent. Ce malade fut le premier chez lequel on fit le diagnos- tic
clinique
de sclérose combinée tabétique. - Cas. II. - Dé
que de P. Marie et Guillain, 1 FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX.
CLINIQUE
DE M. LE PROFESSEUR A. PITRES, ETUDE GRAPHIQUE
s'ac- cordent à leur reconnaître ; leur exploration a pris place en
clinique
à côté de celle des réflexes tendineux. Nos r
nous parait encore légitime au double point de vue physiologique et
clinique
. Nous allons essayer de le démontrer physiologi
es graphiques, nous réser- vant de faire plus tard la démonstration
clinique
. ' 1 La reproduction graphique des trois mouv
xplique pourquoi les auteurs, se ba- sant sur la simple observation
clinique
, ont pu affirmer que le réflexe des orteils se
du pied peut donner un certain nombre de renseignements utiles à la
clinique
. Les empreintes prises dans la station peuvent
embres inférieurs, th. Lyon, 1901. (2) Gilles DE la TOURETTE, Etude
clinique
et physiologique sur la marche, th. 1886. (3)
de sciatiques avec scoliose au contraire très fréquents. La forme
clinique
de cette sciatique offre également, une particula
hives générales de médecine, juillet 1901) est d'une part leur type
clinique
, d'autre part leur étiologie. Au point de vue
pe clinique, d'autre part leur étiologie. Au point de vue du type
clinique
ces 3 malades permettent de fixer l'iconographi
anté- rieurement des arthropathies des membres ayant les caractères
cliniques
2 1) forestier du rhumatisme diathésique suba
is cas'de spondylose sont intéressants tant au point de(mlét4, type
clinique
qu'au point de vue de l'étiologie. <1""< :
t une question de milieu où l'on observe. Au point de vue du type
clinique
, ces trois cas présentent également plusieurs p
cure. L'évolution de.la spondylose rhumatismale est encore un point
clinique
que ces 3 cas mettent bien en évidence. Le proc
articulations du spondyle. Aux autres points de vue pathogénique,
clinique
, il serait intéressant de la comparer avec les
ons normales. Sur le conseil du Dr S. Soukhanoff, assistant de la
clinique
psychia- trique de Moscou, nous avons entrepris
MOELLE PAR RAPPORT AU CERVELET, PAR Edmond CORNU Interne à la
Clinique
des maladies mentales de la Faculté de Lyon. Le
s de la Faculté de Lyon. Le cas dont nous rapportons ici l'histoire
clinique
et anatomo-patho- logique nous a semblé intéres
envoyée à l'Asile de Bron où elle est admise dans le service de la
Clinique
des Maladies mentales. Son certificat d'entrée po
out le névraxe. Nous appellerons l'attention sur les particularités
cliniques
de l'affection et nous essaierons de montrer co
ble symptomatique présentant plus d'un trait commun avec le tableau
clinique
des états démentiels or- ganiques. Nous ne retr
uses et de symptômes relevant d'une lésion en foyer. Cette analogie
clinique
totale et non plus seule- ment la ressemblance
Yoliclinico, 15 juillet 1897. 120 CORNU présente avec le tableau
clinique
de la paralysie générale progressive, il réside
té Brouardel, 1902. (3) Iconographie de la Salpêtrière, 1901. (4)
Cliniques
3e série), p. 110 ; Thomas, Le Cervelet (Thèse, P
s du syst. nerveux, p. 185. (2) Progrès médical, 1880. (3) Traité
clinique
du syst. nerveux. (4) l\1ediz-Jarhbücher, 1865.
trajet de ces fibres au delà du noyau rouge. Quoi qu'il en soit, la
clinique
confirme ces constatations : dans les lésions a
) montrent l'importance de ces lésions secondaires dans l'évolution
clinique
des tumeurs de l'encéphale et décrivent non seu
familial avait manqué. Charcot (4), la même année, dans ses leçons
cliniques
du mardi, présente deux malades atteints de malad
ble de déceler le moindre caractère familial. Raymond (5), dans ses
cliniques
, en rapporte trois cas sur cinq malades. Ladame
emps avant la mort, elle avait changé de type, (1) PETIT, Journ. de
clinique
inf., 30 juin 1898. (2) VnnIOT, Journ. de clini
PETIT, Journ. de clinique inf., 30 juin 1898. (2) VnnIOT, Journ. de
clinique
inf., 1898. (3) PIIILIPPS et OBERTIIUR, Revue n
e d'une série de causes insuffisamment élucidées par la recher- che
clinique
, nous observons que les maladies mentales présent
ent à la perfection. Toutes les maladies soignées dans les autres
cliniques
sont liées pres- que toujours à une certaine im
ive. z - 144 BIANCHINI TABLEAU III. - Proportion entre les formes
cliniques
totales et les travailleurs. ERGOTHÉRAPIE ET
T PSYCHOTHÉRAPIE 145 TABLEAU V. Femmes. Proportion entre les formes
cliniques
et les travailleurs. 146 BIANCHINI TABLEAU
oir qu'une importance secondaire à l'égard du critère exclusivement
clinique
qui forme la base de l'ergothérapie. Le médecin
ent des aliénés. CONCLUSIONS . Au-dessus des méthodes strictement
cliniques
, savoir d'intervention médi- camenteuse directe
t des artistes. Sur quelques points même, nos constatations d'ordre
clinique
venaient donner un appui scientifique à certain
e, il s'est trouvé un homme pour observer et reproduire ces détails
cliniques
, dont plusieurs apparaissent pour la première foi
elles, pas plus que chez le possédé de Reichenau, des carac- tères
cliniques
précis comme chez celui de la miniature du Mont-C
iature du Mont-Cassin, et par contre, nous y rencontrons des traits
cliniques
qui ne repaîtront qu'à l'époque de la Renaissance
qu'il a des chances de s'acromégaliser avec le temps. L'observation
clinique
et la radiographie soit d'accord pour confir- m
uons ainsi comment il a pu être atteint de glycosurie, alors que la
clinique
et l'expérimentation s'accordent pour montrer l
ES (Loeper et Cromjm). Masson & CI', Éditeurs TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
MÉDICALE DE L'HOTEL-DIEU SERVICE DE M. LE PROFE
es vasomoteurs et trophiques observés par eux dans l'hémiplégie. La
clinique
nous fournit donc de nombreux exemples d'oedème
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU THOPHOEDËME PAR PAUL SAINTON; Chef de
clinique
. ET ROGER VOISIN, Interne à l'Hôpital Beauj
e jeune fille qui a fait plusieurs années après l'objet d'une leçon
clinique
du Professeur Debove. Prothon, Rapin, Ilerlooli
encore incer- taines, nous réclamons pour elle la valeur d'un fait
clinique
peu commun. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE 111. LE P
ction. Les travaux sur le tabes s'accumulent, les procédés d'examen
clinique
et anatomo-pathologique se perfectionnent, des
tel brouhaha, il y avait quelque témérité à essayer de faire de la
clinique
. Au milieu de ce fleuve humain aux vagues sautil-
prouva tout naturellement le désir de faire connaître les richesses
cliniques
et iconographiques accumulées depuis de longues
signalé à la Neurologie. Gilles de la Tourelle était alors chef de
clinique
. Il s'offrit pour annexer à cette documentation i
s'offrit pour annexer à cette documentation imagée les observations
cliniques
et les travaux anatomo-pathologiques correspond
arque une date dans l'histoire de la Neuropathologie est son Traité
clinique
et théra- peutique de l'Hystérie, d'après l'ens
amment déterminés, soit parce que les descriptions pathologiques et
cliniques
n'en sont pas assez connues, ou que son diagnos
à Paris, Wiesbaden,Buenos- Ayres et Montévidéo. Voici l'histoire
clinique
de ce cas : N. N... est une fille de 35 ans, cé
aire, un repos, (1) Le professeur Ilaymond, dans un de ses exemples
cliniques
, indique le procédé suivant : Quand les yeux du
ale du moteur oculaire commun. Ceci s'accorde avec mes observations
cliniques
. (Hevista Médica de l'Uruguay, Jacqueca oftalmo-
t le traitement le plus efficace. HOSPICE DE LA SLPI;'T1t11;tiE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . PARALYSIE DES
, âgé de 33 ans, sellier, vient consulter, en novem- bre 1903, à la
clinique
des maladies nerveuses à la Salpêtrière pour une
x est allongé. La radiographie confirme les données fournies par la
clinique
, en mettant en évidence : 1° l'allongement du 2
ent, ne peut être résolue que sur la voie des nombreuses recherches
cliniques
suivies d'autopsies. Le cas que nous voulons ra
Nous nous permettons de donner ici un court résumé de l'observation
clinique
et de l'examen radiologique du frère aîné et de
nakow particulièrement réduit en volume. Voilà,enfin, l'observation
clinique
du frère cadet des deux précédents, de Luis Han
oyaux, ne présentent pas anomalies. En comparant les observations
cliniques
de ces trois membres de la UNE FORME D'HÉRÉDO-A
analogues. Il nous semble qu'il faut, en présence de ces symptômes
cliniques
et de ces données anatomiques, envisager ces tr
nombre des autopsies n'est point une excep- tion. Au point de vue
clinique
nous savons que la. scoliose et l'attitude patho-
était combinée avec une sorte de myopathie. En comparant ces faits
cliniques
avec les données anatomiques citées plus haut,
ité des muscles. Loin de constituer une règle dans le développement
clinique
et dans les autopsies de l'ataxie héréditaire,
genouillé (1) De Gnosz, Soc. hong. des sc. nature., 10r mars 1898.
Clinique
ophtalmol., 10 sep- tembre 1899 et Congrès d'Ut
ptique, les cellules multipolaires de la rétine. Quelques remarques
cliniques
et ophtalmoscopiques que nous avions faites ant
rétine. Nos constatations anatomiques confirment en somme ce que la
clinique
et l'examen ophtalmoscopique nous avaient permi
nière dont travaillent les ma- lades affectés de différentes formes
cliniques
et l'application de ceux qui sont affligés de d
ffligée ; ainsi elle est persuadée que la police se présentera à la
clinique
à son premier appel, que « In police répondra d
es fluc- tuations pendant tout le temps que la malade séjourne à la
clinique
jusqu'au 18 juin 1903. Malgré la réserve de la
n niant énergiquement son mal, il de- mande à être interné dans une
clinique
psychiatrique où il espère échapper à ses ennem
première fois. L'expérience du régime du travail introduit dans les
cliniques
psychiatriques permet actuellement de considére
autour d'elle. Depuis avril 1883 à mai 1804 elle est internée à la
clinique
de l'arrondissement de Kazan. Rendue à la liber
enricus Hondius en 1640. Charcot l'a commenté et reproduit dans ses
Cliniques
(t. 1, p. 158), puis avec Paul Richer dans les
e torticolis enfin, peut-être torticolis mental - voilà de la bonne
clinique
en image. S'agit-il de chorée de Sydenham ? On
ée N° 5 Septembre-Octobre UNIVERSITÉ DE MONTPELLIER TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
MÉDICALE DE M, LE PROFESSEUR GRASSET SPASME BIL
AL . DES MUSCLES DU COU ET DE LA FACE PAR M. GAUSSEL, Chef de
clinique
médicale à la Faculté de Montpellier. Les spasm
muscles innervés par le facial n'interve- naient pas. Le tableau
clinique
présenté par notre malade ne saurait être confond
notre article. Nous avons peu de choses à ajouter à l'obser- vation
clinique
, à laquelle nous prions de se reporter. L'état du
tes au niveau des muscles, nous paraissent expliquer les caractères
cliniques
assez parti- culiers de notre observation. L'
porté du vivant du malade ; mais surtout il explique les caractères
cliniques
si particuliers de l'observation ; en effet, la r
une place à une forme plus rare il est vrai, mais donc l'existence
clinique
et anatomique nous parait établie, la forme scl
dans un certain nombre de cas le début d'un processus que l'examen
clinique
n'avait pas encore laissé supposer. Nous avons
lle était fort peu marquée malgré une disparition (1) L'observation
clinique
de ces malades a été publiée dans notre travail :
s malades a été publiée dans notre travail : Cécité et Tabes. Étude
clinique
, 1904. Nouvelle Iconographie de la SALPêTRIèRE
expli- que la persistance si longue, qui nous a frappé dans l'étude
clinique
, de l'état c demi-voyant », l'état qui permet a
e trouvent connrmésetexpii- quéspar l'examen anatomique. A la phase
clinique
d'évolution aiguë cor- respond la phase anatomi
concentrique inégal ou le rétrécissement en secteurs. A la phase
clinique
d'évolution chronique correspond la phase anato-
s d'arrêt, presque de réparation, que d'un pro- cessus évolutif. La
clinique
répond à ces constatations, et nous avons pu vo
médullaires, nous avons pu- blié (1), il y a deux ans, la relation
clinique
et histologique d'un cas qui nous parut établir
ue de syringomyélie que nous avons pu étudiera fond au point de vue
clinique
et anatomique nous met en mesure de revenir sur c
gomyélie elle-même. Etudions d'abord le résumé de cette observation
clinique
et les résultats de l'examen histologique (2).
inique et les résultats de l'examen histologique (2). Observation
clinique
. ' Dlme Poclr ? cardeuse,entrée à la Salpêtrièr
atteignant et pénétrant la corne antérieure , (1) Cette observation
clinique
a été relatée déjà à propos des troubles de la se
comprendre la physiologie pathologique de la plupart des symptômes
cliniques
. La clinique nous montre un état spasmodique, u
physiologie pathologique de la plupart des symptômes cliniques. La
clinique
nous montre un état spasmodique, une exagération
postérieures sous-jacentes. En somme il n'y a ni dans l'observation
clinique
, ni dans l'ensemble et l'as- 382 TUOMAS ET HAUS
en tirer. Discussion générale. Voilà donc une observation que la
clinique
et l'aspect macroscopique des lé- sions permett
e du processus qui évoluera sous le type hydro ou syringomyélie. La
clinique
même est invoquée à l'appui de cette thèse et,
bien de syringomyélie authentique qu'il s'agit et ces observations
cliniques
sont-elles valables dans la discussion d'un pro-
idée qu'on peut se faire de la syringomyélie. Dénuée de spécificité
clinique
, elle perd aussi toute spécificité anatomique e
not, Saint-Dizier (Haute-Marne). 17e ANNÉE N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE
CLINIQUE
DES MALADIES MENTALES {ASILE DE SAIN1E-AN};E)
CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX (1) A. JOFFROY Professeur de la
Clinique
des Maladies Mentales. Messieurs, Il y a plus
quelques-uns des nombreux malades qui ont servi à la démonslration
clinique
des troubles de la parole, de la lecture et de l'
s la paralysie générale. Aussi, comme nous faisons avant tout de la
clinique
, vais-je attirer votre attention sur les troubles
s qui nous permet de comprendre la grande variabilité des symptômes
cliniques
. Mais revenons à l'examen direct des malades.
pu de plus examiner les différents nerfs et muscles. L'observation
clinique
et anatomique du malade vaut, ce nous semble, d
ue celle de droite, ce qui répondait parfaitement aux constatations
cliniques
. Ces foyers avaient absolument l'aspect des foy
pour leur propre compte, leur participation à la genèse du syndrome
clinique
a été assurément tout à fait accessoire ; on en e
prédominante à gauche, répondait entièrement à la sympto- matologie
clinique
. Ce cas démontre donc d'une façon indubitable la
6nitale de la ma- ladie de Thomsen. J'ai, cet hiver. dans une leçon
clinique
, montré à la fois aux élèves le malade en quest
indiscutable l'existence de la myotonie alrophique au point de vue
clinique
et même au point de vue anatomo-pathologique.
du courant. Il me semble inutile d'insister davantage sur l'intérêt
clinique
des faits que je viens de rapporter. Ils établi
évident entre la myo- tomie et la myopathie et sont un bon argument
clinique
en faveur de la nature myopathique de la maladi
omplet, les stigmates hystériques qu'on recherche habituellement en
clinique
. On constate en différents points des cicatrice
trophiques est la signature de graves altérations des neurones. La
clinique
précède ici l'anatomie-patholo- giqueet la conf
i l'anatomie-patholo- giqueet la confirme. (1) P. HÉRissEY, Elude
clinique
sur les troubles trophiques dans la paralysie gén
ÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL, EN PARTICULIER CHEZ LE CHEVAL (1). ÉTUDE
CLINIQUE
PAR FERNAND RUDLER, Médecin-major de 2o cla
nu à Pau, 1-1 août 1004 (présentée par M. Henry Meige). Cette étude
clinique
fait partie d'un travail d'ensemble sur la « Dé
é des dégénérescences de l'espèce humaine, f 857 ; - Magnan, Leçons
cliniques
, sur les maladies mentales, 1882-1891 ; Magnan et
alement du cheval. Nous n'envisageons, dans ce travail, que l'étude
clinique
de ces stigmates, et nous exposerons successive
De l'examen morphologique chez les aliénés et les idiots »i Leçons
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses. Salpètr.
e cheval d'ordre anatomique, physiologique et psychique. L'histoire
clinique
des équidés dégénérés offre une identité parfai
des stigmates de dégénéres- cence du cheval intéresse à la fois la
clinique
à qui elle apporte des faits nouveaux de pathol
Des stigmates physiques psychologiques et psychiques de la),étude
clinique
, par Run>;R et CIIOMEL, 471. Démence précoce
générescence chez l'animal, en parti- culier chez le cheval ; étude
clinique
,471. Cornu. Un cas de tumeur cérébrale à form
générescence chez l'animal, en par- ticulier chez le cheval ; étude
clinique
, 471. RYDRL. Sur l'anatomie pathologique d'un
aréville, More ! l'avait cité dans le deuxième volume de ses Etudes
cliniques
. Renaudin, qui a suivi la maladie après eux, le
'est résignée et elle se croit guérie. Sa conversation me prouve 26
CLINIQUE
NERVEUSE. importante a été vaguement constatée.
le ressort, .trait distinctif, des données de notre nomenclature.
CLINIQUE
NERVEUSE NOTE SUR L'ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉ
entre l'affaiblissement musculaire et la véritable paralysie. 28
CLINIQUE
NERVEUSE. J'ai fait depuis quelques années de n
ré- brale. Je me proposais en les commençant d'étudier les signes
cliniques
des altérations bilatérales de la moelle, qui,
les chiffres sont notablement moins élevés ; la moyenne est : 30
CLINIQUE
NERVEUSE. Hémiplégies, droites. ÉTAT DES 1·'O
DES 1·'OKCGS CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 3t Hémiplégies gauches . 32
CLINIQUE
NERVEUSE. Des observations résumées dans les ta
l de la façon suivante. Pendant la période apoplectique, toute 34
CLINIQUE
NERVEUSE. exploration dynamométrique est imposs
hémi- plégié est tellement variable qu'il n'y a aucun avantage 36
CLINIQUE
NERVEUSE. à établir des moyennes pour les compa
embres d'un côté du corps obéissent imparfaitement aux incita- 38
CLINIQUE
NERVEUSE. tions volontaires. Ils peuvent, il es
DANS LES CAS DE LÉSIONS CÉRÉBRALES; Par Gilbert BALLET, Chef de
clinique
à la Faculté de médecine. BIBLIOGRAPHIE : 1.
ses fonctions et ses maladies. G. Ballet, Recherches anatomiques et
cliniques
sur le faisceau sensitif et les troubles de la
Quand nous avons abordé la question, on savait déjà par les faits
cliniques
et expérimentaux que le faisceau sensitif occupe
ns avaient été formulées avant que nous ayons trouvé dans les faits
cliniques
leur confirmation. Ceci dit, afin d'éviter l'ac
se- conde, après l'étude attentive d'un assez grand nombre de cas
cliniques
. Nouspensons, en effet, que la zone corticale sen
le, consécutive aux lé- sions de la capsule interne, les caractères
cliniques
qu'elle af- fecte, les conditions pathogéniques
Turck (1859), Charcot (187-2), Magnan (1873) dans le domaine de la
clinique
, de Veyssière (1873), et de Raymond (1876) sur
faits, en conciliant, comme nous l'avons montré, les particularités
cliniques
avec les détails anatomiques. Les observations
absolue dans laquelle nous nous trouvons relativement aux relations
cliniques
entre les altérations de l'écorce et les troubl
tions auditives et visuelles. On voit donc que sur le terrain de la
clinique
, les localisa- teurs n'ont pu jusqu'à ce jour f
oins la conclusion qui res- sort pour nous de l'étude anatomique et
clinique
que nous avons poursuivie. REVUE DE PATHOLOGI
SYMP- TOMES de .LA paralysie progressive; par BECHËTRÈW. [Gazelle
clinique
hebdomadaire [russe), 1881, n°S 8-10.) L'auteur
e), 1881, n°S 8-10.) L'auteur rapporte l'histoire d'un malade de la
clinique
de M. le professeur Mierzejewsky, qui présenta
le professeur Mierzejewsky, qui présenta pendant la vie le tableau
clinique
de la paralysie générale, avec quelques parti-
ique) isolés et de la combinaison de la névrose avec un des types
cliniques
connus (mélancolie, folie systématique, paralysie
des injections de morphine, s'appelle le morphinisme. Le tableau
clinique
du morphinisme est vaste, car, d'ordi- naire, t
qui, quelques jours après un accès de delirium tremens, sort de la
clinique
soi-disant guéri. Seul, un traitement de long
(10 obser- vations à l'appui). Il n'y aurait d'ailleurs aucun signe
clinique
différentiel entre ces formes nécroscopiques, l
les voit-on sévir au delà de trente ans, revêtant, quelque masque
clinique
qu'ils assument, et ils les adoptent tous, une ex
t sous la forme de la mélancolie anxieuse. Tel est aussi l'aspect
clinique
de ceux de la convalescence en rapport avec l'ané
, à la genèse des phénomènes nerveux, c'est encore à la distinction
clinique
qu'il convient d'avoir recours alors que les RE
accident d'ailleurs passager. L'évo- lution de toutes ces modalités
cliniques
ne dépasse pas d'habi- tude quelques heures à u
mois à un an .et même davantage en 38 p. 100 des faits. Les entités
cliniques
obser- vées se ramènent aux quatre rubriques sy
. L'ignorance où l'on est de la nature et des causes de cette forme
clinique
explique 116 G SOCIÉTÉS SAVANTES. l'impossibi
ons des circonvolu- tions temporales, inclinerait, si les résultats
cliniques
n'y contredi- saient pas, à penser à un trouble
édecin en chef de l'a- sile d'aliénés et professeur chargé du cours
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médecine
(1879). L. Lagar- delle avait inauguré à Niarseille des conférences
cliniques
sur les maladies mentales. Statue DE Pu. Pine
sultats analogues renversés, en trois électrisations successives.
CLINIQUE
MENTALE DU DÉLIRE DES NÉGATIONS; - . Par M. C
ns délirantes et ses hallucinations, et qu'il en est arrivé à 156
CLINIQUE
MENTALE. vivre dans un monde imaginaire, mais s
ala- dives plus profondes où réside la différence essentielle 158
CLINIQUE
MENTALE. entre les persécutés et les autres mél
hoses -CI travers le même prisme qu'autrefois ». (J. Falret.) 160
CLINIQUE
MENTALE. Dans ces cas légers, il existe déjà co
ulier la croyance eu Dieu, disparaissent souvent, quelquefois 161
CLINIQUE
MENTALE. de très bonne heure. Griesinger a sign
-et, i ... 1 , , ,> , partout des flammes, des incendies. 166
CLINIQUE
MENTALE. L'état hallucinatoire 'des mélancoliqu
où de ruine moins intense, choisissent dans leurs aliments : 168
CLINIQUE
MENTALE. ils ne mangent que du pain sec par pén
de ce travail, ou peut dire que le délire des négations est' I 70
CLINIQUE
MENTALE. DU DEHRb DES NÉGATIONS. un état de chr
délits et les crimes. Il suivre.) PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES
CLINIQUES
SUR LA FRÉQUENCE DES MALADIES SEXUELLES CHEZ LE
SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES; Par le Dr S. DANILLO, médecin (le la
Clinique
de Samt-Pétershourg. L'influence des affections
Leçons orales sur les p/t;e'(0a</tte.s', 1880. J. Falret. Leçons
cliniques
sur les maladies mentales, 18G4. larcl. Sur la
dans les maladies utérines. Thèse de Paris, 1880. 3 Boyé. - Essai
clinique
sur les rapports des troubles génitaux à la folie
observées dans les autopsies. D'après mes propres recherches' à la
Clinique
des maladies mentales de mon maître, M. le prof
par les altérations des organes sexuels. , v "" - Les recherches
cliniques
des autres auteurs sur, cette question sont trè
aginal. La forme de la maladie mentale est définie par l'exa- men
clinique
de la malade et les données des feuilles d'obse
dier les malades de la Salpêtrière et de l'asile Sainte-Anne [asile
clinique
). RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FOLIE AVEC CONSCI
alpêtrière et de l'asile Sainte-Anne [asile clinique). RECHERCHES
CLINIQUES
SUR LA FOLIE AVEC CONSCIENCE; Par le D E. MARAX
os avait été râpé. Le grand tro- 1 Ch. Féré. Étude expérimentale et
clinique
sur quelques fractures du bassin. (Progrès médi
; l'autre naturel, intelligible, simplement faux. Au point de vue
clinique
, il admet trois formes, selon que les conceptions
la lypémanie (délire d'antoaccusation, plaintes, etc.). Le tableau
clinique
doit être complété par les symptômes nerveux ou
tude nuageuse des définitions sur la connaissance au regard du fait
clinique
précis que traduit l'expression perdre connaiss
ansférer la bibliothèque de la Société dans la salle de cours de la
clinique
psychiatrique de l'hôpital général, de la rendr
ncée sur la stupeur, à la lumière d'une observation recueillie à la
clinique
de MEYNERT. La publication en sera effectuée in
ges souvent éloquentes et toujours em- preintes d'un profond esprit
clinique
; et dans les additions consi- dérables que les
tranger qu'en France pouvaient lui fournir. Toutes les observations
cliniques
, toutes les théories physiologiques, toutes les
erdrier. Thèse de Paris, 1882. L'auteur conclut de ses recherches
cliniques
et expérimentales que les lésions absolument lo
vancée ou des indurations plus ou moins marquées. Cn. F. V. Etude
clinique
sur l'absinthisme chronique; par L. Gautier. Th
raphie photographique de la Salpêtrière et M. Riche dans ses Eludes
cliniques
de /ti/s<ët'o-] ! 7epSM n'avaient observé ces
des paralysies ré/fees; par OLLIGn. Tlièse de Paris, 1882. Etude
clinique
sur les troubles intellectuels dans l'ataxie loco
e de 1*hémori,h(igie i ? iéninqée expéi,ime ? îtale avec déductions
cliniques
; par P.-N. BoNNOT. Thèse de Paris, 1882. FAITS
douches aux malades du dehors qui vont a la consultation de l'asile
clinique
(asile Sainte-Anne) et de l'hôpi- tal Cochin, a
Pt. III. Vol. IV. Novembre 1882. N" 12. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE ÉTUDE CLINIQUE DU VERTIGE DE àlÉNIÈRE
bre 1882. N" 12. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE
CLINIQUE
DU VERTIGE DE àlÉNIÈRE DANS SES RAPPORTS AVEC L
re. Il ne perd pas connaissance; à peine Archives, L IV. 18 - 27'
CLINIQUE
NERVEUSE. t-il quelques secondes de surprise et
Les thèses de Voury, de Bonnenfarit, de Lhuissier et de Léo, les
cliniques
de M. Charcot; l'éludé récente de MM. Féré et D
escriptions de pièces et j'ai dit que ce travail est abso- . Jument
clinique
. On sait au reste combien sont incom- plètes et
preuve de la multiplicité et de Fa différence des lésions 276 ô .
CLINIQUE
NERVEUSE. étiologiques dans ces cas qui n'entra
er- vateurs, et ils ont conclu qu'il fallait chercher ailleurs 27
CLINIQUE
NERVEUSE, la solution de la* question, à moins
ez l'homme. On sait les expé- riences dé P. Bert sur les lapins. La
clinique
montre DU .VERTIGE DE 111L\I);RE. 279 les con
si que, au moyen d'une poire à air, en poussant le tympan et, 280
CLINIQUE
NERVEUSE. tout l'appareil conducteur du son ver
ère est satisfaisante, car il existe un- trop grand nombre de faits
cliniques
DU VERTIGE DE MÉNIÈRE. 281 où l'on n'a pu avo
dans son intensité, quand on, change l'état;, de tension, par 282
CLINIQUE
NERVEUSE. influence, de l'appareil de transmiss
fenêtres ovale et ronde et de la platine de l'étrier. (A suivre.)
CLINIQUE
MENTALE DU DÉLIRE DES NÉGATIONS (Suite)1; Par
mariée, mère de famille, est placée le 12 juin 18G3 à la maison 38t
CLINIQUE
MENTALE. de santé de Vanves, après avoir fait p
es. M"° S... prétend que personne ne meurt plus, que personne 286
CLINIQUE
MENTALE. ne se marie plus, que personne ne nait
mars 1880, nouvel accès, début assez rapide, préoccupations; 288
CLINIQUE
MENTALE. relatives à des questions d'argent, pe
'a pas de testicules, il faut le tuer. Aucun e*, L IV. l'.l 290
CLINIQUE
MENTALE. Deuxième catégorie. i , Observation
ncertitude de la démarche,inégalité pupillaire.. , ? y ,rsn,l 229
CLINIQUE
MENTALE. Ces symptômes de paralysie générait !
ution se concentrèrent sur la personne de son gendre ; elle j 1.. .
CLINIQUE
MENTALE. répétait pendant des heures entières :
121, 407 et stiiv. Traite- ment moral, p. 274, 281. Mobel. Etudes
cliniques
, t. II, p. 37 et M 8. > Macario. Annales ? n
? KedtCO-psyc/t0o ? y : fes, 8o2, t. IV, p. 1 46. ' Petit. Archives
cliniques
, p. 59. Miciiéa. Du délire /t ? /poc/t07td<'
s son esprit cette, grotesque image. Toutes ces obsessions, dont la
clinique
, fournit des exemples si variés, ne sont après
faits ne saurait donc être négligée, puisque en dehors de l'intérêt
clinique
il s'agit d'éclai- rer la justice et de défendr
de toutes ces recherches. A notre tour, pour compléter cette étude
clinique
et pour bien montrer que la forme des obsession
ns répugance à cette même boîte pour son déjeuner. " (Magnan. Etude
clinique
sur les impulsions et les actes des aliénés. Le
s, mais bien un moyen indispensable pour compléter ses observations
cliniques
, contrôler l'interpré- tation des phénomènes pa
eut dire si fréquemment, chez les diabétiques, est surtout utile en
clinique
. C'est sur leur des- cription que nous nous arr
culaire'dont Marchai (de Calvi) a le premier montré toute la valeur
clinique
. Elle ne dépend pas de l'amaigrissement muscula
de ces paralysies, c'est qu'elles sont souvent incomplètes. Dans sa
Clinique
de 1'llôtel-,Oieit de liouen, M. Leudet cite un
de lassitude pour l'époque d'apparition, la fréquence et la valeur
clinique
. On les observe surtout aux membres inférieurs,
le plus près de la vérité. Voici à cet égard, la statistique de la
clinique
de Galozowsky, d'après Kiwatkowski. i Kiwatkows
ts des sensations douloureuses de cette région, de nombreux faits
cliniques
les constatent tant que la destruction n'a pas fa
rois heures seront accordées pour cette rédaction) ; 2° une épreuve
clinique
consistant dans l'examen de deux malades, chois
l sera ouvert à cette faculté un concours pour une place de chef de
clinique
des maladies mentales. Concours POUR l'internat
sur l'ly- giène des), par Pomponne, 26 'i . Aliénées (recherches
cliniques
sur la fréquence des maladies sexuel- les che
on au bout de trois ans d'un accès de - ). 391. llénière (Etude
clinique
du vertige de dans ses rapports avec les lési
as de lésions cérébrales, par Ballet, 67. Sexuelles (recherches
cliniques
sur la fréquence des maladies chez les aliéné
de veille ne lui furent d'aucune utilité. Traitement.— Il vint à la
clinique
de M. le Ur Dérillon en Février 1899. — ? l'exame
ssive cl ou bout de six séances notre malade put tout seul venir à la
clinique
et même se promener sur les grands boulevards. Da
des agents, il lui sembla qu'il sortait d'un rôvo. Dans ses leçons
cliniques
, M. Magnan insiste sur les troubles fonctionnels
e guérie par suggestion pnr M. lo D' t*niil Fahcu. Les recherches
cliniques
ont prouvé depuis longtemps que la plupart des ma
o—physiologique de Paris, fondé en 1880 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme.!! est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.!! est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les D" Henry Lemcsle, Vlavïanos, Faure, W
ité n'acceptera que des communications se rapportant aux applications
cliniques
, médico-légales, psycho* physiologiques, pédagogi
s communications seront divisées en quatre groupes: 1. Applications
cliniques
et thérapeutiques de l'hypnotisme et de la sugges
ine d'Athènes. Hollande. M. le Dr Van Kentërghem, directeur de la
clinique
psychothérapique, à Amsterdam. Italie. MM. le
ce délire a une symp-tomatologie très nette; ce qui domine le tableau
clinique
, c'est une croyance morbide dans l'adultère de l'
) reparut comme la première fois. C'est alors que la malade vint k la
clinique
du D'Bérillon, le 8 juin. J'ai pensé aussitôt à
rares et nous n'avons pas pu en voir un seul pendant son séjour à la
Clinique
. Après cette troisième séance nous l'avons perdue
encore à la Salpétriere où elle est entrée cn 1879. J'ai été chef de
clinique
de Charcot, de 1885 à 1887; c'est vous dire que j
L'hémianesthésie d'origine cérébrale se présente avec des caractères
cliniques
qui permettent de ne pas la confondre avec l'hémi
sa destinée, le menant vers ses découvertes futures. Un jour, à la
clinique
, le maître du jeune Liébeault provoqua chez un ma
la s'est fait sans tapage, sans réclame, dans le silence d'une petite
clinique
de pauvres, par la seule magie d'une volonté fort
uxième période s'épanouit, que nous pouvons appeler la première Ecole
clinique
française du XIX* siècle. I'1 11 La première
mière Ecole clinique française du XIX* siècle. I'1 11 La première
Clinique
française avait été fondée à Montpellier par Baum
résentée par Charles-Louis Dumas. A Paris, le premier professeur de
clinique
médicale est Cor-visart. Ce grand médecin fait co
ue et peu répandue, même en Autriche. En même temps, il fonde l'élude
clinique
des/page> page n="106"> maladies du cœu
m domine et personnifie, en quelque sorte, toute cette première École
clinique
. Une découverte comme ceile de l'auscultation s
nec, dont l'œuvre anatomopatho-logique n'est pas inférieure à l'œuvre
clinique
; les deux se complétant sans se nuire et se dével
cette unité de la tuberculose que Laônnec avait établie, au nom ds la
clinique
et de l'anatomie pathologique? Enfin, Messieurs
it d'autant. C'est là l'œuvre que nous appellerons la. deuxième Ecole
clinique
du XIXmu siècle, quatrième période de notre histo
Dès le début, l'anatomie pathologique parut être un danger pour la
clinique
: l'abus qu'on en fit, et qui en dénatura la vale
est encore aujourd'hui. Ils ont merveilleusement appliqué l'analyse
clinique
et la méthode anatomoclinique, ils ont dégagé et
quemcnt. Je n'hésite donc pas â dire que, dans cette deuxième École
clinique
qui constitue notre quatrième période, Andral est
f de la première période (application de l'anatomic pathologique à la
clinique
), Trousseau le chef delà deuxième (séméio-logie e
la psychologie expérimentale; 2e Applications de l'hypnotisme à la
clinique
et à la thérapeutique (hypno-diagnostic et psycho
nt, presque de parti pris, cette infinie variété de faits qu'offre la
clinique
médicale. (1) Après quelques autres en France,
psychothérapie et un laboratoire do psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavianos, Faure, W
et de psychologie. — M. le Dr Bériilon reprendra s.>n enseignement
clinique
de l'hypnologie et de la psychologie, le jeudi 2?
psychologie, le jeudi 2? Octobre courant, u 10 heures et demie, à la
clinique
des maladies nerveuse», 49, rue Saint-André-des-A
s pratiques pour les recherches de psychologie dans les asiles ot les
cliniques
, rapporteur: Dr Ferrari; 20 Rapports entre les
physiologie humaine ; c'est la sûreté impeccable de ses observations
cliniques
, préparant à la fols le cadre et les éléments d'u
. D'après The Lancet. M. W. 11. Bermett a cité, dans une conférence
clinique
tenue à Saint-George's Hospital, deux cas très pr
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavîanos, Lapinski
e et do psychologie. — M. le Df Bérillon reprendra son enseignen: :nt
clinique
de l'hypnologie et de la psychologie, le jeudi 26
psychologie, le jeudi 26 Octobre L-ourant, à 10 heures et demie, à la
clinique
des maladies nerveuses, 49, rue Saint-André-des-A
r Charles Bixet-Sanglé. L'histoire est à la sociologie ce qu'est la
clinique
à la pathologie. Après avoir essayé de faire œuvr
o-physiologique do Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie ¦expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
:v.édecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. XI est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. XI est secondé dans se-, demonstrations
cliniques
par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavïanos, Lapinski
gie et de psychologie. — M. le Dr Bérillon reprendra son enseignement
clinique
de l'hypnologie et de la psychologie, le jeudi 14
psychologie, le jeudi 14 Décembre courant, à 10 heures et demie, à la
clinique
des maladies nerveuses, 49, rue Saint-André-dcs-A
e. Lo lendemain de la communication de Velpeau, Azam, assîstantà la
clinique
de Trousseau, lui demanda s'il avait connaissance
C'est par là que la psychométrie peut rendre de précieux services en
clinique
mentale et nerveuse, aussi bien qu'en psychologie
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légaleset physiologiques de l'hypnotisme^
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses [dispensairo neurologique e
de médecine (aemosirc d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogique de l'hypnotisme. Il est secondé da
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations
cliniques
de psychothérapie, de démonstrations expérimental
ne. Un médecin espagnol, le Dr Abdon Sanchez Herrero, professeur de
clinique
médicale à la Faculté de médecine de Valladolid,
s. M. BnitiLLOx. — H y a quelques années, j'ai moi-même étudié â ma
clinique
le secours que pourraient nous apporter les narco
une syncope mortelle. Et puis, lorsque les malades viennent duns une
clinique
ou duns le cabinet du médecin, peut-on être sûr q
aucune discussion, je désire rapporter uncertain nombre de documents
cliniques
. Obs. I. — "Mlle Alice D..., 20 ans, modiste, i
e proposé uu suicide commun./page> page n="245"> A l'examen
clinique
, je trouve une hypertrophie notable des ganglions
eut-être est-on en mesure do le démontrer non seulement par des faits
cliniques
mais encore expérimenta! cm en t./page> page
eptocoque ou le bacille deNicolaîer? D'autre part, les nombreux faits
cliniques
personnels et autres que j'ai rapportés ne sont p
s maladies mentales me semble à piéscnt ressortir nettement des faits
cliniques
d'abord, ensuite des analogies décisives qu'on ne
érents faits précis, je désire encore examiner brièvement deux points
cliniques
assez curieux : 1° comment évolue la folie chez l
ton, dont j'ai cilé plus haut une observation, a fait une description
clinique
spéciale complète de l'aliénation mentale des pht
uberculose pulmonaire./page> page n="252"> Quant aux formes
cliniques
des psychoses chez les tuberculeux, il est diffic
s communications seront divisées en quatre groupes: 1. Applications
cliniques
et thérapeutiques de l'hypnotisme et de la sugges
o-physiologique do Paris, fondé en 1839 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l'hypno-/pag
psychothérapie et un laboratoire do psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispeiisaire neurologique-
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il eslsecondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme. Il eslsecondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavianos, Lapinski
seront accompagnée:* cic présentations de malades, de démonstration?
clinique
* de psychothérapie, de démonstra--tlons expérimen
e, a été inspirée par le Dr Babinski dont elle reflète l'enseignement
clinique
. L'appréciation des symptômes subjectifs est fort
pentier s'est attaché à mettre en lumière en s'appuyant sur des faits
cliniques
, thérapeutiques et statistiques. Voici les conclu
conirac-/page> page n="282"> turcs musculaires. Le tableau
clinique
reproduit celui de l'épilepsie jacksonienne; en o
communications seront divisées en quatre groupes : 1. Applications
cliniques
et thérapeutiques d'hypnotisme et de la suggestio
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques dcl'hypno-n'épr
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavianos, Lapinski
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations
cliniques
de psychothérapie, de démonstrations expérimental
1899, p. 395. — Cf. :iussi : P. Marie et R-ibinson. Sur un syndrom-j
clinique
et urologique se montrant dan* le liiabète et car
communications seront divisées en quatre groupes : 1. Applications
cliniques
et thérapeutiques d'hypnotisme et de la suggestio
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses [dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavianos, Lapinski
le. Salpetrière. — M. le professeur Raymond reprendra ses leçons de
clinique
des maladies du système nerveux le mardi 20 mars
dépend d'une idée obsédante. (1) Présentation de malades faite à la
Clinique
des maladies du système nerveux, à lo Salpetrière
is l'examen anatomo-pathologique est venu confirmer les données de la
clinique
et c'est â juste titre que la maladie de Jules Vo
communications seront divisées en quatre groupes : 1. Applications
cliniques
et thérapeutiques d'hypnotisme et de la suggestio
dent du comité, M. le docteur Chauvet, le plue ancien de ses chefs de
clinique
, M. Lépine a dit qu'en mettant sous ses yeux l'im
ses élèves avaient sans doute voulu l'encourager à mener de front la
clinique
et l'expérimentation. Cette association, à laquel
formé de longues générations d'élèves; c'est le riche matériel de la
clinique
lyonnaise qu'il a utilisé dans ses nombreuses pub
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les D" Henry Lemesle, Vlavïanos, Lapinski
ouillée, Pierre Janet, Vogl. — Les laboratoires de psychologie et les
cliniques
d'hypnologie. — La technique de l'hypnotisme expé
es actions psycho-mécaniques, etc.. — Organisation et outillage d'une
clinique
de psychothérapie et d'hypnothérapic. Vendredi 25
Babinski, médecin à l'hôpital de la Pitié, reprendra ses conférences
cliniques
sur les maladies du système nerveux, samedi 28 av
grand nombre d'états nerveux. La durée des séances de sommeil à notre
clinique
est d'environ une heure. Les malades considèrent
Si nous nous bornions à faire la suggestion à l'état de veille, notre
clinique
serait bientôt désertée. Ce que les malades vienn
es, ayant un impérieux besoin {1} Présentation de malade faite à la
Clinique
ùc* mnladios du système nerveux, à la Salpétriere
e menu le tableau symptoniatologîque, M. Voisin, àl'nide do l'analyse
clinique
, a fait d'une manière complète et lumineuse, le d
nseignements auprès d'un maître si clair, si méthodique, dont le sens
clinique
est si sûr et si précis. Règlement du deuxième
communications seront divisées en quatre groupes : 1. Applications
cliniques
et thérapeutiques d'hypnotisme et de la suggestio
es malades que nous avons observés appartenaient aux différents types
cliniques
de la folie ; sans entrer dans l'étude raisonnée
ût pour la morphine. Discussion. Tanzi (Palerme). — En 1889, à la
clinique
psychiatrique de Génes, j'ai eu recours à l'emplo
par le lavage de l'estomac. M. Bianchi (Naples). — Au point de vue
clinique
il me parait important de faire la distinction en
morphinistes et les morphinomanes présente un intérêt au point de vue
clinique
; elle n'en n'a aucun au point de vue thérapeuti
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
urbations psychiques, cela tient à ce que les difficultés de l'examen
clinique
résultent de l'instabilité môme de l'état mental
t heureusement un caractère transitoire, comme dans le cas du chef de
clinique
et de l'interne de Trousseau qui éprouvèrent de l
ci actuellement. Il existe en effet, à l'hôpital Saint-Sauveur, une
clinique
ophtalmologique, une consultation spéciale pour l
gie et de laryngologie existent également, ainsi que plusieurs autres
cliniques
libres; mais rien jusqu'ici n'avait été fait pour
lté de médecine. Il y créa aussi, après Baillarger, un enseignement
clinique
qu'ont suivi des élèves devenus maitres à leur to
our, tels que Billod, Ch. Bernard, Morel, Lasègue, etc. ; cette phase
clinique
de sa vie scientifique fut la période la plus act
ecin, et il a prouvé que les craintes conçues par les adversaires des
cliniques
, relativement à la présence des visiteurs dans le
s défavorablement influencés par les divers faits qui composent une
Clinique
qu'on ne le supposerait au premier abord, et il s
lle était en même temps doucement suggestive. C'est dans ses leçons
cliniques
que Falret a développé ses idées sur la non-exist
d'hui a conquis principalement sa fortune scientifique par les leçons
cliniques
qu'il a faites à la Salpé-trière sur les maladies
s et de beaucoup de médecins influents. C'est dans cet enseignement
clinique
continué pendant 20 ans et suivi assidûment par d
ous tous les maladies mentales par une méthode précise, fondée sur la
clinique
et l'anatomie pathologique associées. Baillarge
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
permettra la dissociation et le réduira à la valeur d'une expression
clinique
; il n'en est pas moins vrai que ce type a une per
ntes, qui en s'isolant ou en se prolongeant, prennent dans le tableau
clinique
la place exclusive ou au moins, prépondérante.
conscience dans la genèse des phénomènes hystériques ; 2° Relations
cliniques
et psychologiques entre l'hystérie et la dégénére
de certains délires ; 6° Y a-t-il une manie hystérique ? Caractères
cliniques
, formes diverses. Relations avec les attaques et
ie avec la folie manquerait de base et perdrait à la fois son intérêt
clinique
et psychologique, si on n'avait au préalable préc
Jolly 12 traite la même question en s'appuyant sur une démonstration
clinique
. II suggère aussi avec succès à une patiente, l'é
tisme. Un médecin américain, le Dr Alfred Warthin, démonstrateur de
clinique
médicale à l'Université de Michîgan, a eu l'idée
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
née écoulée. Comme on peut le voir dans les rapports mensuels de la
clinique
hypnothérapeutique de la Charité de Paris, instal
s leurs expériences. Nous-mêmes, chaque année, nous traitons, à notre
clinique
, des centaines de malades atteints d'affections n
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
re. L'enseignement comprendra les cours suivants ; « Applications
cliniques
de l'hypnotisme et de la suggestion », M. le D' B
ereaux, de Paris, et M. le professeur Lépine, de Lyon. De la valeur
clinique
du chimisme stomacal. — Rapporteurs : MM. les pro
on du 9 juillet 1894, receuillie par M. E. Vénot, interne du service (
clinique
de M. le professeur Pitres. — Hôpital Saint-André
VII. Craignant que vous n'ayez pas saisi tout l'intérêt d'expériences
cliniques
très nombreuses, pratiquées au jour le jour, parf
ogie et de psychologie, fondée en 1889, pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
ublics d'aliénés, commencera, le jeudi 1" décembre, à 10 h. i/2, à sa
clinique
, 49, rue Saint-André-des-Arts, une série de leçon
uera les jeudis suivants, à 10 h. 1/2. Faculté de Paris. — Cours de
clinique
des maladies du système nerveux. — M. le professe
u système nerveux. — M. le professeur lîaymond a commencé le cours de
clinique
des maladies du système nerveux, le vendredi 16 n
tinuera les mardis et vendredis suivants, à la même heure, Cours de
clinique
des maladies mentales. — M. le professeur Joffroy
Ed. Brissaud et G. Ballet font, pendant le semestre d'hiver, un cours
clinique
de pathologie nerveuse. Les leçons ont lieu, le d
circonstances empêchent le malade de suivre un tel traitement. Des
cliniques
de psycho-thérapie devront être fondées d'abord d
on du 9 juillet 1894, recueillie par M. E. Vénot, interne du service,
clinique
de M. le professeur Pitres (Hôpital St-André de B
matin, Louise G... par la fixation du regard; et, comme notre chef de
clinique
M. le Dr Sabrazès, avait pratiqué la veille, dans
ce, n'avaient jamais cessé de se ronger les ongles. Les indications
cliniques
de l'Hypnotisme par M. le professeur Morselli,
vembre, M. Raymond, successeur de M. Charcot, a inauguré son cours de
clinique
des maladies nerveuses à la Faculté de médecine d
s destinées. Au sortir de l'internat, en 1853, il fut nommé chef de
clinique
auprès du professeur Pîorry. En 1856, il concoura
autres branches des sciences biologiques. En possession de matériaux
cliniques
, il se borna, pendant une série d'années, à vulga
ser les données acquises après de longues années sur le terrain de la
clinique
. C'est pourquoi Charcot n'hésita pas à recourir à
sa doctrine en même temps que la démonstration de la suprématie de la
clinique
sur l'expérimentation pathologique — où l'étude d
Conformément à un vœu maintes fois exprimé par Charcot, une chaire de
clinique
des maladies du système nerveux fut créée à la Sa
gérer leur valeur. Il a introduit en France l'usage de lathermométrie
clinique
et, l'un des premiers, il a contribué â faire con
s représentants des hommes qui ont fait ou complété leurs études à la
clinique
de la Salpétrière et qui répandent, de par le mon
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
ous les jeudis à dix heures et demie, des leçons sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. M. le Dr !.. \
Bethlem Hospital de Londres, un cours très suivi sur les applications
cliniques
de l'hypnotisme. Ecole des hautes-études. — Psy
e homme de science. M. le Dr Liébeault a formé plus d'élèves, dans sa
clinique
particulière à Nancy, que beaucoup des professeur
Hodez ; Paul Richer, lauréat de l'Institut, chef de laboratoire à la
clinique
des maladies nerveuses; Saint-Hilaire, médecin de
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypno-tism
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
ous les jeudis à dix heures et demie, des leçons sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Ecole des Haut
, professeur agrégé, médecin de la Salpétrière, a commencé ses leçons
cliniques
sur les maladies nerveuses le jeudi 24 janvier, à
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'élude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
ous les jeudis à dix heures et demie, des leçons sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Cours a l'Ecol
t suivant : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications
cliniques
de l'hypnotisme. Ce cours commencera le lundi 29
vendredis suivants à la même heure. Faculté de médecine de Paris. —
Clinique
de pathologie mentale, M. Joffroy, mercredi et sa
mentale, M. Joffroy, mercredi et samedi à 9 heures (asile Ste-Anne).—
Clinique
de maladies du système nerveux, M. Raymond, mardi
» indiquait déjà un savoir étendu; En 1865, il était nommé chef de
clinique
de la Faculté et il publiait en 1868 un ouvrage s
alcools », avec le Dr Audigé en 1889. Et en 1878-1883, des leçons de
clinique
thérapeutique. Tous ces travaux lui ouvraient l
eurs dans l'hypnose avec le concours de M. F. Fraipont, professeur de
clinique
obstétricale à l'Université de Liège, et jamais l
'être son élève, il ne vous livrait pas seulement sa vaste expérience
clinique
et son érudition, il vous ouvrait son cœur, son a
s dans le Midi pour étudier à Lourdes ce que je pourrais appeler la
clinique
de Lourdes. Je rencontrai, d'abord à Saint-Jean
Pour revenir au livre de M. Boissarie, où il est aussi question de la
clinique
de Lourdes, j'y vois bien la composition du burea
. aucune n'est valable. Si j'avais l'honneur d'être à la tête d'une
clinique
comme celle de Lourdes, je voudrais convaincre le
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
ous les jeudis à dix heures et demie, des leçons sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Cours a l'Ecol
t suivant : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications
cliniques
de l'hypnotisme. Ce cours commencera le lundi 29
t les raisons qui m'ont déterminé à publier dans The Lancet les faits
cliniques
d'un cas, déjà entouré d'une auréole romanesque,
es règles reviennent régulièrement. Voici donc brièvement les faits
cliniques
de ce cas. Une jeune fille, vue par moi en avril
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
ous les jeudis à dix heures et demie, des leçons sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Sorbonne. — M.
ecine, (amphithéâtre Cruvelhier), un cours libre sur les applications
cliniques
et médico-légales de Vhypnotisme. Il le continuer
— Valeur de l'hypnotisme comme moyen d'Investigation psychologique et
clinique
. 2° Etude physiologique de l'hypnotisme. — Les
déontologie. n. D. — Le cours sera complété par des démonstrations
cliniques
a l'Institut ps.vcho-plivsio-logique, 49, rue Sal
igoureuses de contrôle possible. Justement, il venait de sortir de ma
clinique
un vieillard, M. F.., ancien notaire, qui ne manq
d'une indisposition. Mais, quand quelque temps après il reparut à ma
clinique
, il eut hâte de me raconter que le jeune N.... qu
ancy. Après avoir fait l'exposé des erreurs auxquelles nous expose la
clinique
lorsqu'elle se borne à l'exploration des organes,
organes, il a conclu en démontrant la nécessité de joindre à l'examen
clinique
, tel qu'il est pratiqué habituellement, une étude
ur, il devient, dans un grand nombre de cas, un moyen d'investigation
clinique
des plus précieux, capable de faciliter le diagno
Barrier, professeurs à l'Ecole dentaire, Lowenthal et Loup, chefs de
clinique
, Delaunay et Billebaut, démonstrateurs, etc., etc
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'élude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
s les jeudis à cinq heures, des leçons pratiques sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il sera assisté
decine (amphithéâtre Cruvelhier), un cours libre sur les applications
cliniques
et médico-légales de l'hypnotisme. Il le continue
ique assez rare et dont la description seule est intéressante pour la
clinique
. Il y a trois ans, Charcot préparait un cours q
certains cas, les idées fixes, ne me semble pas une simple curiosité
clinique
. Cette étude est importante à bien des points de
t, directeurs de la Province Médicale, de l'Assistance, du Journal de
Clinique
et Thérapeutique infantiles, et des Archives géné
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
jeudis à cinq heures, par des leçons pratiques sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est assisté d
elbœuf, 225. 260. Hypnose prolongée. 34?. Hypnotisme (les indications
cliniques
de 1'), par Morselli. 180. Hypnotisme obtenu pa
Inauguration des bustes de Baillarger et de Falret, 59. Indications
cliniques
de l'hypnotisme (les), 180. Influence des imp
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE ? LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX z ? -Imprimerie
Motteroz, directeurs. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA
AUL RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE ANCIEN CHEF DE
CLINIQUE
ALBERT LONDE GEORGES GUINON DIRECTEUR DU SERV
RT LONDE GEORGES GUINON DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHIQUE CHEF DE
CLINIQUE
PAUL BLOCQ CHEF DES TRAVAUX ANATOMO-PAT110LOG
nt encore livrés aux hypothèses. En ne considérant même que le côté
clinique
, on pourra encore écrire -de nombreux volumes s
roses, et que, là aussi, on doit chercher à compléter l'observation
clinique
, en pensant anatomiquement et physiologiquement
lateurs ; c'est le nom sous lequel nous pouvons désigner ces formes
cliniques
de la névrose. On conçoit donc que, dans ces co
cultés puissent être considérables. Deux cas peuventse présenter en
clinique
; tantôt le malade présente des stigmates actuel
'affection spinale le moindre vestige orga- nique, la moindre trace
clinique
? C'est une affirmation qu'il serait bien impru
cause banale. Et ici le raisonnement est en parfait accord avec la
clinique
; il est bien difficile de concevoir la disparit
atomo-pathologiques, se donner la représentation mentale des formes
cliniques
de la sclé- rose en plaques. Il suffit, pour ce
là, il y a lésion.. Et en attendant le contrôle de l'histologie, la
clinique
a un rôle prépondérant à remplir; elle doit const
aujourd'hui six ans; il est entré l'an dernier dans le service de la
clinique
pour des attaques d'hystérie. L'autre qui est n
serait en droit, mais alors seulement, de créer une nouvelle entité
clinique
. Nous croyons, pour notre part, que le cadre de
rale. La maladie dont il s'agit rentre certainement, par son aspect
clinique
, dans le cadre des scléroses en plaques dissémi
blement anormal ou plutôt de ces mouvements tremblants, on fit à la
clinique
d'Eichhorst le diagnostic non de sclérose en plaq
qués par la seule névrose hystérique. OBS. XIX (Rendu, in Leçons de
clinique
médicale, 1890, t. II, p. 500). - Un homme de c
e en plaques anomale. A. SOUQUES, Interne (Médaille d'or) de la
Clinique
des maladies dusystemcnervou'c. (A suivre.) 1
e, en eflet, sont multiples, et elles cadrent bien avec le syndrome
clinique
que nous venons d'analyser. Nous ferons remarquer
us silence, nous contentant de la dire en quelques mots, l'histoire
clinique
de chacune d'elles, fort chargée en général en ce
ée en 1886 dans le servicede M. le professeur Charcot. Son histoire
clinique
est des plus chargées. Outre tous les stigmates
it percevoir. GEORGES GUI\0\, SOI'IIIE WoLTKE (D'ODESSA), Chef de
clinique
des maladies nerveuses. Docteur en médecine. Le
éphaliles, limitées ou diffuses, rappelant plus ou moins le tableau
clinique
de ! a paralysie générale de l'adulte; ce sont le
YSTÉRIQUE LECROSNIER & BASÉ ÉDITEURS CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite') 1) En
ier type de tremblement hystérique qui, en raison de ses caractères
cliniques
et graphiques, de ses analogies étroites avec c
aurait toujours suffire à elle seule pour indiquer leur physionomie
clinique
. Et cela est particulièrement vrai pour cette c
ne l'est le degré de rapidité des oscillations. Ce sont eux qui, en
clinique
, impriment à chaque espèce de tremblement son a
re, son aspect particuliers. Or, on conçoit aisément que tous ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 109 ces caractère
à l'état de repos. Les hystériques trembleurs qui répondent au type
clinique
que nous avons en vue sont constamment agités,
ovoqué par un mouvement t intentionnel du membre supérieur. ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 111 membres, le c
ue au tremblement de la sclérose en plaques. La confusion est ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 113 dès lors poss
e, Loc. cit. 4. Charcot, Progrès médical, G septembre 1890. ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 115 mulé son opin
s plus on sera conduit à reconnaître que la très grande majo- ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 117 rite de ces t
demeura trois mois et demi. Pendant ce second séjour à l'hô- ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 11J pital, il eut
roît. Il en est de même lorsque le malade accomplit un morve- ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 121 ment volontai
z lui une foule de détails qui sont évidemment étrangers au tableau
clinique
que présente le tremblement de la sclérose en p
us a été communiquée très obligeamment par notre ami Bitot, chef de
clinique
médicale à la Faculté de Bordeaux). M. X ? deJ.
ce malade figure résumée dans la note de Mi Rendu, loc. cil. ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 123 Les jours sui
le seul cas de tremblement hystérique localisé aux deux mem- ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1M bres inférieur
emblement de la sclérose en plaques, est une variété rarement ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 127 observée. Nou
jusqu'à plus ample informé, tenus en légitime sus- picion. ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 129 L'absence du
lement de la sclérose en plaques. A.DUTIL, Ancien interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux. (A suivre.)
alysies hystériques, Thèse de Paris, 1852, p. 34. 3. Leyden, Traité
clinique
des maladies de la moelle épinière. Traduction pa
iblie. Expérience III. Henriette R..., treize ans, est entrée il la
clinique
pour un pied bot hystérique guéri actuellement.
r la voie du diagnostic. A. SOUQUES, Interne (Médaille d'or) de
Clinique
des m<t1",dic., du sstème nerveux. (il suivr
s, fille d'un artisan de Nudcrsthof, près Wit- tenberg, entrée à la
Clinique
des maladies nerveuses le 16 janvier 1889. Elle
tes jusqu'à présent. GEORGES GUINON, EMILE PARlIIENTIEI1, Chef de
clinique
à la Salpêtrière. Intorno (médaille d'or des hôpi
e la région mentonnière, ces caractères sont CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES (Suite et (iu')
nous venons de citer en leur appliquant le procédé d'interprétation
clinique
dont s'est servi M. Oppenheim, nous aurions pu bâ
été au nombre de 14. 10 sont morts la plupart jeunes, 2 avec ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 181 des convulsio
semble alors qu'elle a dans la poitrine une grosse boule qui ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1M l'étouffé ; c'
enir, quand elle se rendait à pied de sa salle au laboratoire de la
clinique
.. Peu à peu les forces revenaient dans les memb
usculaire affaibli. » A. Souques et J.-B. Charcot, internes de la
clinique
des maladies du système nerveux. 1. Charcot, Le
de la clinique des maladies du système nerveux. 1. Charcot, Leçons
cliniques
sur les maladies des vieillards, 2' édit. Paris,
2. Charpentier, Annales médico-psychologiques, décembre 1881. ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 191 que sa jambe
que nous avions constatés pendant son séjour dans le service de la
clinique
. Il a toujours des attaques, une ou deux par se
blement s'apaisa et disparut. Quelques jours après il reparut ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 189 une chute dan
it accentué de même que la céphalée constrictive ; il sentait ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1S7 Au sortir de
ssus de souche névropathique. A l'âge de dix-huit ans, il fit ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 185 Les réflexes
s prodromes qui avaient marqué le début de la première crise. ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 199 nique rendent
ans un couvent. Aussitôt la malade se tourmente, cela la cha- ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 197 sauce, il pou
ours persisté depuis. Le 6 juin, Cah... entre dans le service de la
clinique
. État du malade (le 10 juin 1889). Le sujet est
té des aspects sous lesquels ils peuvent se présenter en cli- ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 19 ? Motilité. Le
aume de la main lournéc en dehors. Il avait toute sa connais- ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 193 de nouveau, p
. Il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel notamment. ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 201 grine beaucou
t le membre supérieur, s'éteignent souvent après une série de ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 203 quelques légè
rès une séance d'électrisation ou d'aimantation, tantôt après ÉTUDE
CLINIQUE
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 20j suggestion (b
nos malades n'étant hypnotisable. A. DUTIL, Ancien interne de la
Clinique
des maladies du svalème nerveux. DE L'EXAMEN
se que nous avons moins de (1) Ces leçons sont extraites d'un cours
clinique
élémentaire sur l'examen général des aliénés, f
quer cet examen et qui pourront il l'occasion vous servir autant en
clinique
qu'en médecine légale. De tous les modes d'in
ur la question qui nous occupe dans la collection de ses recherches
cliniques
sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie'. D'
dans cet exposé en (1) More), Traité des dégénérescences et Eludes
cliniques
. (2) Morselli, Semejolica délie malattie mental
rière jusqu'à la nuque. Nous n'avons à nous occuper dans cet examen
clinique
que de la voûte du crâne, la base étant inacces
nes des déformations crâniennes les plus fréquentes au point de vue
clinique
. 1. l3cuuncvillc et Sullicr, Progrès médical, i
lite inférieure et supérieure et d'une poliomyélite. Sortie de la
clinique
le 26 mai. Elle avait eu le jour précédent une
taient M. le Dr Vigouroux, chef du service cloctrotliérapiquc de la
clinique
des maladies nerveuses à la Salpêtrière. 1. D
calisation de ces lésions anatomiques établit seule les différences
cliniques
. OBS. XXXVII. - Tabès avec ophthalmoplégie (Jam
ommença il devenir mauvaise deux ou trois ans avant son entrée à la
clinique
. Il eut successive- ment un ptosis droit et gau
ectique avec convulsions généralisées. C'est alors qu'il entra à la
clinique
des maladies nerveuses où l'on constata ce qui
une nouvelle observation, ce qui fait au total sept cas. L'histoire
clinique
de cette affection peut se résumer ainsi. Les m
ssement inflammatoire. GEORGES GUiNON, EMILE PARN);NT1ER, Chef de
clinique
a la Salpêtrière. Interne (médaille d'or des hôpi
ces morbides distinctes; ne s'agissait-il pas plutôt de deux formes
cliniques
d'une même espèce nosologique ? Les avis étaien
notre maître, M. le professeur Charcot, vientd'en donner la preuve
clinique
, à propos d'un malade qu'il a présenté à ses audi
évidence leurs analogies, réduit à néant les soi-disant différences
cliniques
et anatomo-pathologiques, montre en 1. Joffroy
lie et conclut en ces termes : « Il est devenu clair que, de par la
clinique
comme de par l'anatomie pathologique, syringomy
nt et habile qui a su la faire sortir du chaos et lui donner la vie
clinique
. Je vous proposerai, en conséquence, d'appliquer
s fondamentaux. La présence, la prédominance même dans le tableau
clinique
des panaris analgésiques ne change rien au fond d
myélie type Morvan 2. A. Souques, Interne (Médaille d'or) de la
Clinique
des maladies du système nervoux. 1. FonrniCI',
utahenorrlaagica(Kojewnilcofi9). Le 23 février 1886 entrait à notre
clinique
Victor G..., coiffeur, âgé de qua- rante et un
u malade empira de plus en plus, le 23 février, il fut apporté à la
clinique
dans l'état suivant : État actuel. Le malade es
-Aran (poliomyélite antérieure chronique), tantôt avec ceux du type
clinique
de la paralysie spinale antérieure subaiguë. 1
eut être précisée. , GEORGES GUINON, EMILE PARMENTIEH, 1 Clief de
clinique
^à li Salpdtcière. Interne (médaille d'or des hôpi
e glosso- labié. Ces. XXXI (inédite) (Extrait des registres de la
Clinique
). Jeanne R...zé, dix-neuf ans et demi, entre da
tous les méfaits. Ons. XLIII (inédite) (Extrait des registres de la
clinique
). Lucie D......ville, dix-neuf ans, domestique.
dans les mains. Entrée le 20 février au soir dans le service de la
clinique
, elle avait le lendemain une attaque que l'on p
tière. Ce sont là des faits qui se présentent assez souvent dans la
clinique
, et qui donnent lieu à des méprises appelées à
diagnostic certain. Ons. XLV (inédite) (Extrait du Registre de la
Clinique
). - Angel... D..., vingt-sept ans, piqueuse de
s, piqueuse de bottines, enlre le 4 juin 1887 dans le service de la
Clinique
. Antécédents. - Rougeole et scarlatine pendant
ynolds. (A suivre.) A. Souques, Interne (Médaille d'or) de la
Clinique
des maladies du système nerveux. NOUVELLE Icono
auteur donne la photographie d'un garçon de douze ans, observé à la
clinique
de Zurich, porteur d'un thorax infun- dibulifor
hez Doin, éditeur. N. D. L. Il. 2. M. Charcot, dans ses conférences
cliniques
(1878), a le premier employé la dénomina- tion
tracture, in Gaz-, méd. de Paris, °-9 juillet 1882. Brunet, Elude
clinique
et physiologique de l'état d'opportunité de contr
athèse de contracture, in Progr. méd ? 188G, p. 835. Pitres, Leçons
cliniques
sur l'hystérie, 1891, t. 1", p. 377. DIATHÈSE D
ermanents de l'hystérie. PAUL Richer, Chef du laboratoire de la
Clinique
des maladies du système nerveux. NOTE SUR L'A
us rarement de l' oCltlo-motetl1' externe. " 1. Nuthnagel, Traité
clinique
du diagnostic des maladies de l'encéphale. Traduc
bacillaire. A. SOUQUES, Interne (médaille d'or) du service de la
Clinique
des maladies du système nCl'\Cl1'1 : . 1. Par
. Barié, Bullet. de la Soc. méd. des hôp., 1886. 5. Chameau, Formes
cliniques
et palllOg. de la fièvre hystérique. Th. de Paris
hystérique. Je sais que nulle part ni moi ni mon excellent chef de
clinique
, M. Oulmont, n'avons trouvé de plaque d'anesthé
sais que la malade a eu la syphilis et que vous tous et mon chef de
clinique
lui-même croyez à une paraplégie syphilitique (pu
considérer séparément les deux ordres de faits qui se présentent en
clinique
, à savoir : 1° les paraplégies hystériques avec s
certain nombre d'affections morbides qui peuvent offrir un tableau
clinique
analogue à celui de la maladie de Duchenne. C'est
'est pas exceptionnel, et qu'il mérite bien de constituer une forme
clinique
spéciale. Dans tous les cas, quel que soit son de
loco- motrice progressive, Paris, 18G4, p. 57. 6. Leyden, Traité
clinique
des maladies de la moelle. Traduct. française, 18
e tabétique de mille manières, on aura constitué autant de variétés
cliniques
du tabes. Ici les symptômes se dégradent ou s'e
e doctrine que nous n'avons pas à envisager ici. C'est le seul côté
clinique
qui nous intéresse, et, à ce point de vue, la l
ières années ayant jeté un jour tout nouveau sur les manifestations
cliniques
de la névrose'. Il ne nous reste plus maintenan
reilles lésions n'avaient donné lieu durant la vie à aucun symptôme
clinique
. Siemerling veut bien attribuer en majeure part
ales du système nerveux central ne se tra- duisent pas forcément en
clinique
par des signes révélateurs. D'autre pari, une m
xemple. En effet, nous observons en ce moment dans le service de la
clinique
deux myopathiques chez les- quels la coexistenc
u types mor- bides offrent, dans la combinaison de leurs caractères
cliniques
, une 1. Levy, Aciiies tdrttliclres Irresein (Al
léro-t3bétiques» comportent quelques considé- rations théoriques et
cliniques
que nous ne pouvons passer sous silence et qui
es analogues. Nous devons toutefois faire remarquer que l'existence
clinique
des syndromes hystériques simulateurs du tabes
AMYOTROPIHQUES SIMULATEURS DES AMYOTROPHIES SPINALES Les formules
cliniques
ne sont ni immuables ni absolues. Dans la grand
e une des manifestations de l'hystérie. M. Babinski ', son clief de
clinique
d'alors, s'attacha à l'étude de cette question
, .i13 ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans ses leçons
cliniques
du premier semestre de l'année 1889-1 890, M. l
de l'année 1886, elle entre à la Salpêtrière, dans le service de la
Clinique
, où nous l'avons vue durant quelques mois. C'ét
vingt-quatre ans, tailleur de pierre. Voilà assurément une histoire
clinique
franchement hystérique. L'amyotrophie ne peut r
accidents ; elle ne saurait résister à la lecture de l'observation
clinique
pas plus qu'aux divers arguments que nous venon
pas à considérer ici. Nous rappel- lerons simplement que la « phase
clinique
» de la syringomyélie est due il Schùltxoet il K
s 1882, la reconnurent sur le vivant et en tracèrent les caractères
cliniques
. La thèse récente de M. Brühl ren- ferme un his
'est jamais inévitable. A. Souques, Interne (Médaille d'or) de la
Clinique
des maladies du système nerveux. 9 : Fabre, Nou
e des maladies du système nerveux. 9 : Fabre, Nouveaux 1%ral/nr. de
clinique
lIIéd. L'hystérie viscérale. Paris, 1S83. 2. \1
, mcW., 11 octobre 1890). Leçon re- cueillie par G. Guinun, chef de
clinique
. 5. 'frinüanan, 1)e l'oedèllle hystérique. Thès
favorables opposent des faits négatifs, aux preuves anatomiques et
cliniques
de l'action réelle qu'exerce la suspension leur
de l'action réelle qu'exerce la suspension leurs propres recherches
cliniques
et anatomiques qui tendent à démon- trer que l'
pondre; si, actuel- lement, nousne sommes pas assez riches en faits
cliniques
pour donner à la suspension une place nettement
fesseur Charcot (2). Les malades qui se sont mis au traitement à sa
clinique
étaient au nombre de ! 14. Dès les premiers jou
, il suffira de se rappeler due le D` Charcot, malgré les richesses
cliniques
qu'il aé sa disposition,n'apu l'observer. Quelq
l'oedème hieu,parl ! oix, G5. Hystériques (Contribution à l'élude
clinique
des tremblements -), ), par Dutil, 107, 179.
PUBLICATIONS DU PROGRÉS MEDICAL HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX M. le Profe
et 1890-91 et publiés sous la direction de GEORGES GUINON chef de
clinique
Avec la collaboration de MM. Blocq, Souques et
collaboration de MM. Blocq, Souques et J.-B. Charcot, internes de la
Clinique
. TOME ii PARIS aux bureaux du PROGRÈS MÉD
Je suis convaincu qu'il y a là, pour nous, une source d'instruction
clinique
dont nous ne devons pas nous éloigner avant d'y a
re d'autopsie qu'elle a été faite. Il a suffi d'une bonne observation
clinique
suivie d'une bonne autopsie, entre les mains d'un
de Neurol. 1883, p. 273. (2) Charcot et Pitres. — Etude critique et
clinique
de la doctrine des localisations, etc.. Revue de
e ces connaissances ne sont en quelque sorte que la synthèse de faits
cliniques
contrôlés par les résultats anatomo-pathologiques
e, car, particulièrement dans les faits de syphilis, les observations
cliniques
semblent plus fréquentes ; je me rappelle en avoi
, loc. cit. (5) Dérignao, in (Jharcot et Pitres : Essai critique et
clinique
de la doctrine des localisations. — 1883, p. 52 d
ort belle observation publiée par M. Rendu dans son recueil de leçons
cliniques
(1). Deux monoplégies crurales, vous le compren
encéphalique qui a déterminé l'issue fatale. (I) Rendu. — Leçons de
clinique
médicale. — Tome II,p.4Q0, Paris, 1890. Que peu
son de la localisation étroite et bien limitée signalée par letableau
clinique
, ne pourrait-onpas songer, dans quelques cas, à l
-même, il vient apporter, en raison de la régularité de l'observation
clinique
et de la limitation étroite de l'unique lésion né
tre a bien souvent, depuis plusieurs années, montrées dans ses leçons
cliniques
au point de vue des phénomènes du grand hypnotism
sous silence, nous contentant de la dire en quelques mots, l'histoire
clinique
de chacune d'elles, fort chargée en général en ce
ans, entrée en 1886 dans le service de M. le P* Charcot. Son histoire
clinique
est des plus chargées. Outre tous les stigmates q
ond, il me revient, M. Z... (Il s'agit de divers internes ou chefs de
clinique
de M. le Pr Oharcot.) Ah ! là, là 1 pourquoi so
Déjà, avant nos recherches, M. le professeur Charcot dans une leçon
clinique
avait montré qu'en s'adressant au sens de l'ouïe
discontinuités de la vie psychique normale. C'est pourquoi les signes
cliniques
offriront actuellement plus de prise pour entrepr
sée en détails. (G. G.) Nous exposons, en premier lieu, la division
clinique
que vient de formuler M. Charcot, car il nous ser
ociées de l'attaque, la période (1) Paul Blocq. — Revue générale de
clinique
et de théra peutique, 1889, p. 768. des attitud
me nerveux, 1S80, t. I, p. 373 et 432. — Voir aussi P. Richer. Etudes
cliniques
sur la grande hystérie ou hystéro-épilepsie, 1885
particulier sur la forme délirante de l'attaque (1). Dans ses leçons
cliniques
, M. Charcot avait fait remarquer maintes fois com
sa consultation de la ville. Néanmoins, M. Dutil, alors interne de la
clinique
des maladies nerveuses, fut prendre son observati
nt observées et dont la recherche est faite moins systématiquement en
clinique
. Les unes peuvent être produites par quelque circ
Ses idées sur ce sujet furent exposées par lui dans plusieurs leçons
cliniques
de cette même année. C'est en nous inspirant de c
4 ans, entrée le 24 janvier 1888 à la Salpêtrière, dans le service de
clinique
des maladies du système nerveux (1). Antécédent
M. Huet, qui l'a recueillie en 1888, alors qu'il était interne de la
clinique
de M. Charcot. Nous lui adressons nos meilleurs r
et ne revenait plus que par accès. Elle resta dans le service de la
clinique
jusqu'au mois de juillet 1887. A cette époque, el
e heure et demie, pendant laquelle (1) Il s'agit d'anciens chefs de
clinique
ou internes de M. le Pr Charcot, qu'elle a connus
x... » Il est bon de faire remarquer qu'il y avait dans le service de
clinique
, au moment où nous commençâmes nos expériences, u
ssionnelles de la grande attaque hystérique (1) P. Richer. — Etudes
cliniques
sur la grande hystérie ou hystéro-èpilepsie. 2e é
uand ceux-ci ont puisé les éléments de leurs travaux dans un matériel
clinique
tout à fait étranger à la Salpêtrière? Dans cet o
façon de réagir tant en paroles qu'en actions à (1) Pitres. —Leçons
cliniques
sur l'hystérie et l'hypnotisme, 1891, II, p. 287.
C'est presque la reproduction de la formule de (1) Briquet.— Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, Paris, 1853, p. 4
runte à un travail que vient de publier mon ancien interne et chef de
clinique
M. Ballet, actuellement agrégé de la Faculté, et
u service actuel, mais elle décline les noms des internes et chefs de
clinique
qui se sont succédé de 1880 à 1885. Elle ne sai
e dans leur étude nous n'en sommes encore qu'à la phase d'observation
clinique
. Au point de vue nosographique, mon opinion est q
enter le somnambulisme hystérique. Mais ce n'est pas le seul aspect
clinique
que peut revêtir la troisième phase de l'attaque
, et que l'on n'avait point consulté l'élément mémoire, qui, clans la
clinique
courante, constitue le meilleur, pour ne pas dire
rmettant de conclure à l'identité des deux phénomènes. Des recherches
cliniques
nouvelles, dirigées systématiquement dans ce sens
é à entreprendre avec l'aide de Mlle S. Feinkind, élève du service de
clinique
de M. Charcot, seraient nécessaires pour arriver
le mois de mars 1890. Elle est encore actuellement dans le service de
clinique
. Ces deux malades ont été présentées à diverses r
ont été présentées à diverses reprises par M. Oharcot dans ses leçons
cliniques
(1) et c'est d'après son enseignement et aidé de
parmi les nombreux médecins étrangers qui fréquentaient le service de
clinique
, se trouvait un homme, qui s'était présenté à nou
et qui ont été décrits plusieurs fois par M. Charcot dans ses leçons
cliniques
(1) et ont fait l'objet d'un travail de MM. Marie
rière même elle ne connaît pas M. Féré, M. Ballet (interne et chef de
clinique
à l'hospice avant 1885). Elle a connu un peu M. M
85). Elle a connu un peu M. Marie, en 1885, alors qu'il était chef de
clinique
, mais point auparavant. Inutile de dire qu'elle c
aît et se rappelle bien la succession des divers internes et chefs de
clinique
de M. Charcot. Il en est de même pour les malad
s et moi ! » Elle connaît bien M. Ballet : « C'est l'ancien chef de
clinique
. Maintenant c'est M. Marie qui est chef de cliniq
l'ancien chef de clinique. Maintenant c'est M. Marie qui est chef de
clinique
..., tiens ! où donc est-il?... il est sans doute
d pas non plus pour un autre individu ignorant (1) Pitres. — Leçons
cliniques
sur l'hystérie et l'hypnotisme. Paris, 1891, t. I
ie : morceau d'attaque hystérique transformée. Messieurs, L'étude
clinique
à laquelle nous allons nous livrer dans la leçon
sforme souvent et que cette transformation peut revêtir des modalités
cliniques
très différentes. Vous savez que le somnambulisme
ent établi (1) Par MM. Georges Guinon" et A. Souques. Travail de la
Clinique
de M. le professeur Charcot, publié dans les numé
ous le nom de glycosurie d'origine tabétique. Ce sont là des formes
cliniques
du tabès et du diabète indiscutables, parfaitemen
fut confirmée par les recherches ultérieures de MM. Landouzy [Leçons
cliniques
de la Chanté, 1882), Rosenstein2, P. Marie et Geo
r, et nous pourrons du reste les appuyer sur une série d'observations
cliniques
. Dans une leçon récente \ notre maître, M. le p
ons que nous allons rapporter ont été recueillies par nous, soit à la
clinique
, soit dans la clientèle privée de M. le professeu
une altération appréciable. Depuis son entrée dans le service de la
clinique
, le malade a été soumis au régime et au traitemen
parfaitement établie. Elle repose du reste sur ce fait d'observation
clinique
que les juifs sont particulièrement atteints de m
morrhagie du cerveau, suivie de ramollissement1 »? (1) Trousseau. —
Clinique
méd., 5° édit., t. II, p. 812. Savage ne déclar
e en citer des exemples personnels. Mais nous voulons faire une place
clinique
aux cas d'association, qui la méritent bien. Da
gnent chacune de nos observations. Deux cas peuvent se présenter en
clinique
: tantôt au cours d'un diabète authentique, survi
tités distinctes sont en jeu, ou bien une seule. C'est là un problème
clinique
dont la solution exacte intéresse à la fois le pr
elèvent du vrai tabès ou du pseudo-tabes diabétique. Mais le problème
clinique
se présente en outre sous cette seconde face : Et
l faut s'adresser pour arriver à la probabilité, sinon à la certitude
clinique
. La glycosurie diabétique s'accompagne générale
haut. Nous voici en mesure de répondre aux diverses exigences de la
clinique
. En fait, le problème doit être posé et résolu de
, la marche à suivre pour arriver à la solution de ce double problème
clinique
. Nous nous croyons, en conséqueuce, pleinement au
s de MM. Desnos (5), Féréol (6) et Hallo-peau (7). Mais cette forme
clinique
do la paralysie de ce nerf a été surtout parfaite
é surtout parfaitement étudiée par M. Graux (8), tant au point de vue
clinique
qu'au point de vue anatomique et physiologique. A
ulaire commun. Les examens microscopiques ont montré qu'à des faits
cliniques
ainsi caractérisés correspondaient, en effet, des
Si elle en diffère sur quelques points peu importants au point de vue
clinique
, elle lui correspond exactement au point de vue a
que dans le cas précédent, on peut dire cependant que les deux faits
cliniques
sont à peu près identiques. Obsebvation. — Para
2 ans, typographe, entre à l'hospice de la Salpêtrière, service de la
clinique
des maladies du système nerveux, au mois de janvi
ud, qui avait envoyé ce malade à la Salpêtrière après l'avoir vu à sa
clinique
particulière, au commencement de janvier 1890. A
ffre, de plus, certaines particularités intéressantes au point de vue
clinique
dont peuvent rendre compte, à notre avis, les dét
Dans une leçon publiée en mars 1885, M. le P1 Charcot, par l'étude
clinique
de plusieurs cas rassemblés dans son service, mon
Georges Guinon. — Contribution à l'étude de quelques-unes des formes
cliniques
de la myopathie progressive primitive ; paralysie
apulo-humé-mérale de Landouzy-Dejerine, identité résultant de l'étude
clinique
, de l'évolution, de l'hérédité, de la familialité
orges Guinon, mémoire cité, page 836), mais seulement au point de vue
clinique
. Or, aucun cas de ce genre n'avait encore été déc
{Arch . géh. de méd., juillet 1891). (2) Voir à ce sujet : Charcot.
Clinique
des maladies du système nerveux; leçons du profes
statation est précisément faite d'une façon certaine, au point de vue
clinique
, dans le cas de M. Brissaud et dans le mien. On e
opathiques de toutes formes, actuellement présents dans le service de
clinique
de notre maître, M. le Pr Charcot, nous l'avons o
phiques musculaires qui constituent la myopathie progressive. Etude
clinique
sur l'aura de l'accès épileptique (1). On sait
en le malade, au moment où il est sous le coup de (1) Travail de la
clinique
de M. le Pr ChâRCOT, par Georges Guinon et Raïchl
tériques qu'il a observés, alors qu'il avait l'honneur d'être chef de
clinique
de M. le Pr Charcot, l'un de nous ne l'a vue manq
ions bien sincèrement, tant à sa policlinique que dans son service de
clinique
, à la Sal-pêtrière. Sur ces soixante et onze cas,
l nous avons entendu plusieurs fois M. le Pr Charcot, dans ses leçons
cliniques
, attirer l'attention. C'est la sensation de coliq
tion du mardi, constitue l'une des parties les plus importantes de la
clinique
de M. le Pr Charcot à la Salpêtrière. Il comprend
lupart du temps les malades intéressants qui font le sujet des leçons
cliniques
de M. Charcot, une fois qu'il les a admis à l'hos
important d'études pour tous les médecins et étudiants attachés à la
clinique
. En effet, on voit plus là en quelques semaines q
ermet à tous de profiter de ces nom (1) Par Georges Guinon, chef de
clinique
(Inédit). (2) Voir à ce sujet la préface de M.
e sa leçon du jour. Une fois la leçon finie, vient le tour du chef de
clinique
, qui, aidé de quelques externes du service, finit
ivers services annexes qui sont de première nécessité au point de vue
clinique
et thérapeutique. La plupart des cas de tabès, de
e ou des renseignements d'é-lectro-diagnostic d'un intérêt capital en
clinique
. On ne saurait trop, insister sur l'importance
saurait trop, insister sur l'importance de ces branches annexes de la
clinique
et sur les services nombreux qu'elles rendent tou
malades nouveaux. Parmi ces derniers, 60 appartenaient au service de
clinique
de l'hospice; il restait donc 167 malades venant
rcourir les statistiques de M. Gellé pour se rendre un (1) Gellé..—
Clinique
otologique annexe du service de M. le Pr Charcot;
on suivante : (1) P. Marie et Azoulay. — Consultation externe de la
clinique
des maladies du système nerveux ; 1er semestre 18
le Pr Charcot insiste souvent sur ces considérations dans ses leçons
cliniques
(1) et je suis heureux de pouvoir apporter ici qu
sidérable qu'a acquise aujourd'hui le service de policlinique dans la
clinique
neuropathologique de M. le Pr Charcot à la Salpê-
es maladies des centres nerveux (2). Messieurs, Les hasards de la
clinique
ont réuni dans le service un certain nombre de fa
lé, peut, sans changer de caractère nosographique et de signification
clinique
, se présenter sous des formes très variées, très
fortune, — et aussi dans le paramyoclonus multiplex, dont mon chef de
clinique
M. Marie vous présentait naguère un beau spécimen
Il y a donc à établir ici une importante distinction nosographique et
clinique
sur laquelle j'appelle toute votre attention. L
vail de MM. Georges Guinon et A. Souques). . . . 384 XXXVI. Etude
clinique
sur l'aura de l'accès épileptique. (Travail de
M. le Pr Charcot à la Salpêtrière, 430 ; Organisation de la —, 431 ;
Cliniques
annexes de la —, 432; Nombre des malades traités
es ses promesses. xix 1 HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
ET DU LABORATOIRE DE il. LE PROFESSEUR RAYMOND.
ET DIAGNOSTIC) PAR L. ALQUIER Chef des travaux anatomiques à la
Clinique
des Maladies Nerveuses. Au cours du mal de Pott
nous nous proposons d'exposer succinctement les principales formes
cliniques
des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gib
dont chacune d'elles peut être la cause. § 1. Principales formes
cliniques
. Il serait extrêmement important de pouvoir éta
ne saurait, à l'heure actuelle, tenter une classification anatomo--
clinique
basée sur les observations publiées, celles-ci ét
lésions, suivant les progrès de la maladie, il faudrait des examens
cliniques
aussi rapprochés que possible de la mort du sujet
iser les accidents nerveux du mal de Pott, d'après leur seul aspect
clinique
, en 3 groupes : 1° Cas avec signes de compressi
ne s'exercer qu'au-dessus de la localisation indiquée par l'examen
clinique
. La rétention des urines permettait, tout au moin
retenir ; ils permettent de concevoir un grand nombre de modalités
cliniques
plus ou moins difficiles à interpréter, pouvant r
otre malade. § 2. - Diagnostic. Tel sont les principaux aspects
cliniques
des troubles nerveux dans le mal de Pott; ils p
ce nous est donc de conclure que, si dans bien des cas, une analyse
clinique
minutieuse permet d'arriver à diagnostiquer le ma
« affection singulière caractérisée essentiellement au point de vue
clinique
par une ankylose à peu près complète de la colonn
is droit de cité dans les traités classiques. Mais, en dehors de la
clinique
, l'étude de la spondylose n'a guère pro- gressé
génique elles ont dû s'appuyer uniquement, en dehors de l'évolution
clinique
, sur des données étiologiques. II ' Or Ntiolo
aumatiques, il n'y avait qu'un pas. Aussi, malgré les différen- ces
cliniques
, symptomatiques et évolutives, très nettes, certa
justifiée cette hypothèse, nous nous appuyions sur des ar- guments
cliniques
et anatomiques. Cliniquement, nous avions pu co
la friabilité osseuse, et ce n'est que par des déductions de faits
cliniques
et de faits anatomiques que nous avions pu être
justifiaient pleinement et expliquaient ce que, d'après des examens
cliniques
, nous avions supposé en 1899 (1) : « La cyphose
cessus différent tant au point de vue anatomique qu'au point de vue
clinique
, et nous avons eu la vive satis- faction de voi
s ; et, au sur et à mesure qu'on approfondit son étude, le problème
clinique
, loin de s'éclaircir et de se simplifier, sembl
NÉRESCENCE PSYCHIQUE 53 insister dans ce travail en étudiant un cas
clinique
dans lequel elle s'im- pose à première vue : j'
e à type infantile, qu'on ne saurait pas nier sans forcer les faits
cliniques
. Si je ne me trompe, cetle association morbide
LISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 65 vais pousser plus loin l'étude
clinique
du malade au point de vue des asso- ciations mo
certaine valeur. « Etpuis, dit M. Brissaud, se rapportant à un cas
clinique
de Hertoghe, jugeons, par les résultats du traite
é aux membres hypertrophiés correspon- dent parfaitement au tableau
clinique
de cette maladie remarquable. Le peau des jambe
alement. La faiblesse musculaire considérable appartient au tableau
clinique
de l'acromégalie et le muscle du coeur semble par
... dans la groupe des acromégalies, lors même que toute altération
clinique
de la figure et du crâne manquent. Mais nous dist
ue de la figure et du crâne manquent. Mais nous distinguons dans la
clinique
des cas typiques et atypiques : les premiers prév
encontre la croissance anormale, plutôt excessive, car l'expérience
clinique
, l'observation des malades a déjà démontré cela.
rations dans la fonction de l'autre : l'expérience et l'observation
clinique
nous ont appris cela. Si on détruit ou enlève c
isme n'est pas tout à fait incompréhensible. , Enfin l'expérience
clinique
nous apprend que l'acromégalie, maladie de Ba-
ies du cerveau . Paris, 1816. (2) Ballet, Recherches analomiques et
cliniques
sur le faisceau semitif, etc., Th. Paris, 1881.
éral, des scolioses avec gibbosité très accusée dominant le tableau
clinique
, constituée avec une rapidité spéciale, et que
qui compo- sent cet os, ce muscle, ce nerf, etc. et au point de vue
clinique
sans aucun autre trouble fonctionnel que ceux q
on dé- crit des états pathologiques assez analogues au point de vue
clinique
et caractérisés essentiellement parun développe
ve et ces lésions pathologiques des nerfs ajoutés à d'autres signes
cliniques
décrits (1) Le morceau du nerf enlevé, a été mi
ose, type dermato-fibreux, et non de neuro-fibro-sarcomatose. (Voir
clinique
de M. le Pr Raymond,in Revue internat, de méd.
et sous-cutanées multiples (3), plus curieux encore par son allure
clinique
puisqu'à l'ovariotomie succéda la diminu- tion
à des encéphalopathies histologiquement diffuses, dont l'expression
clinique
trahit le caractère général et la nature toxique.
rdres de lésions successives, mais différentes, éclaire l'évolution
clinique
en deux temps d'une encéphalopathie complexe à fo
ques centraux. Il est intéressant de rapprocher la double évolution
clinique
des acci- dents, de la double évolution anatomi
outes les séreuses cérébrales chez un sujet qui a offert le tableau
clinique
classique de la méningo-bacillose. Cette consta
uvent revêtir,en l'absence de toute lésion méningée, une expression
clinique
que l'on qualifie ordinairement de mé- ningitiq
n clas- sique de l'histoire des abcès cérébraux, c'est le caractère
clinique
presque latent de cette double lésion centrale,
l'hémisphère gauche. Cette évolution en deux temps des accidents
cliniques
s'éclaire par les constatations nécroptiques qu
s nécroptiques qui permettent de superposer aux deux actes de drame
clinique
les deux étapes du processus anatomique. CLINIQ
actes de drame clinique les deux étapes du processus anatomique.
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS
us tard sur ce mécanisme. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
ET DU LABORATOIRE DU PROFESSEUR RAYMOND. ÉTUDE
onique diffuse dont nous voulons exposer aujourd'hui les caractères
cliniques
et anatomiques. Pour n'être pas exceptionnelle,
beaucoup attiré l'attention des médecins. Confondue avec des types
cliniques
assez voisins, il«est vrai, au point de vue objec
on la trouve dans ce fait que les auteurs qui ont constaté ce type
clinique
l'ont classé d'emblée dans (1) P. LEJONNE et J,
e de cause myopathique. Si cette paraplégie dont la caractéristique
clinique
est de s'accompagner de rétractions musculo-ten
r les modifications dans les fonctions organiques ». Si le syndrome
clinique
décrit par Empis devait rester, les conclusions
nous venons de parler, mais cependant en raison de leurs caractères
cliniques
très spéciaux, de leur évolution et des lésions
à une crise d'asystolie. La durée de la maladie fut de (1) Jaccoud,
Clinique
de la Charité. PARAPLÉGIES PAR RÉTRACTION CHEZ
s'il ne s'agissait pas là d'un syndrome spécial par sa physionnomie
clinique
et ses lésions. Depuis, nous avons continué ces
ue nos malades étaient indemnes de toute tare rhumatismale. Étude
clinique
(Pl. XLI). C'est à un âge très avancé que début
ste en pleine connaissance à sa déchéance progressive. Diagnostic
clinique
. Le diagnostic des paraplégies qui s'accompa- g
férencient donc de la manière la plus complète ce syndrome anatomo-
clinique
d'une part des paraplégies dont la cause revient
la cachexie démentielle sans avoir jamais présenté le moindre signe
clinique
de tabes dorsal. , A l'autopsie, l'examen de la
CLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS PAR GIUNIO CATOLA Assistant à la
Clinique
psychiatrique de Florence. L'opinion prédominan
u'à un certain point, le nom de sclérose diffuse. « Au point de vue
clinique
, cette forme morbide se distingue également par
s paraît pas suffisamment concluante pour en dé- montrer la réalité
clinique
. » Dans sa critique Ladame considère ce cas com
reparu. Pas de céphalalgie. Dans les jours qui suivent le tableau
clinique
s'aggrave de nouveau. z Le malade se trouve dan
es plaques de la sclérose multiple légitime. Dans ce cas le tableau
clinique
était dominé par une paraplégie spasmo- dique q
égitime. Sans vouloir aborder ici la discussion sur les différences
cliniques
exis- tant entre la myélite syphilitique dissém
aut penser que ces symptômes peuvent ne pas figurer dans le tableau
clinique
de la syphilis spinale, ce qui rend alors extrê
ysio- logie normale et pathologique, 1885. 3. Etude anatomique et
clinique
sur la sclérose en plaques, Paris, 1885. 4. BAL
ervations de Charcot. On avait déjà nettement défini la psychologie
clinique
des aphasies, leur anatomie pathologique et leu
comme un simple épiphénomène de cette dernière, et manque d'intérêt
clinique
: le sujet qui ne parle pas, ne chante pas ; celu
sérieux pour l'individu. C'est pourquoi, les premières observations
cliniques
se rapportent à des sujets musicalement éduqués
tous les vers. En 4883-4884., Charcot posa définitivement les bases
cliniques
des aphasies musicales ; ce fait mérite qu'on s
'étude minutieuse de Charcot, attribuent à Knoblauch l'instauration
clinique
des amusies. Blocq lui-même, disciple de Charco
juin, 20 juin,. 27 juin), traçant les grandes lignes de son tableau
clinique
. Ces leçons, publiées en Italie par Miliotti, son
(2) fut le premier qui se décida à unifier et classifier ces faits
cliniques
, et en ajouta d'autres non encore observés, mais
ore observés, mais qui, logi- quement, devaient compléter le groupe
clinique
des amusies, d'après ce que l'on savait déjà de
n des désordres du langage musical. Cet auteur distingue six formes
cliniques
: 1° L'amusie motrice (ou aphémie musicale) : l
usicale : impossibilité d'exécution instrumentale. Ce tableau, plus
clinique
que celui de Knoblauch, fut adopté par Blocq et
io- logie de ce trouble. En se basant sur de nouvelles observations
cliniques
, il compléta la description des amusies, en les
c un son guttural, etc. Dans notre service de l'hôpital Saint-Roch (
clinique
du professeur Ramos Mejia) nous avons . pu pers
stériques sont les premières ayant été l'objet d'une sérieuse étude
clinique
(2).. Dans les amusies pures les fonctions du l
canisme des apha- sies et des amusies. VII. Nouvelle nomenclature
clinique
. Les amusies peuvent cliniquement se présenter
Elle est claire et simple ; nous l'adopterons dans toute la partie
clinique
de cette monographie. 1° La perturbation du lan
l'amusie est incomplète. On comprend que ces types se combinent en
clinique
, et que les varié- tés suivantes peuvent en rés
n absolue. Par ces exemples on peut facilement induire le caractère
clinique
des autres types mentionnés dans la nomenclatur
r l'examen du langage musical. Ballet (1) recommande, pour l'examen
clinique
de la parole chez les aphasiques l'étude des hu
t les traces d'illustres névro- logistes et psychologues. Les faits
cliniques
sont nombreux, et permet- tent des inductions b
ne seule nouvelle forme de dissociation du langage musical, dans la
clinique
neuropathologique de l'hôpital Saint- Roch, à B
Neuropatologia. Rome, 15 Luglio, 1897. 380 1NGEGNIEROS Ce groupe
clinique
comprendrait aussi certains cas de verve, d'imagi
- bides, etc. 382 11VGEGNIEItOS De nos jours, ce sont les faits
cliniques
qui sont appelés à résoudre les nombreuses inco
si- cale. Sur ces bases claires et certaines, nous ferons l'étude
clinique
des trou- bles du langage musical d' origine hy
nt,les recher- ches entreprises à ce sujet, tànt expérimentales que
cliniques
n'ont pas abouti. Cependant, on sait que de tel
P. PARISOT ET ' G. ETIENNE Professeur à la Faculté de Chargé de la
Clinique
des maladies médecine de Nancy. des vieillards.
le rhu- matisme noueux, d'où l'intérêt d'en indiquer les caractères
cliniques
. La fréquence de cette déformation dans un'hosp
illard bien conservé, déjà signalé comme ne présentant pas l'aspect
clinique
rapporté (fig. 4, PI. LVI) : on voit que les ex
ophie n'est pas un rhumatisme déformant. Le diagnostic différentiel
clinique
se base : 1° Sur l'aspect clinique ; notre défo
nt. Le diagnostic différentiel clinique se base : 1° Sur l'aspect
clinique
; notre déformation ne s'accompagne d'aucune dé
ochainement- contrôler. UNIVERSITÉ DE MONTPELLIER TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
DE M. PROFESSEUR GRASSET. UN CAS D'ACROMÉGALIE
DE L'HYPOPHYSE ET DE LA SELLE TURCIQUE. PAR , GAUSSEL. Chef de
clinique
médicale à l'Université de Montpellier. Bien qu
xistence d'une lésion du corps pituitaire doit être soupçon- née en
clinique
et doit être recherchée à l'autopsie. Elle nous a
été faites les préparations. Voici d'abord le résumé de l'histoire
clinique
du malade : Le nommé Etienne R..., âgé de 69 an
issant s'améliorer ce malade est envoyé un matin au laboratoire des
cliniques
pour y être radiographié et photographié, mais
e et des lésions pleuro-pulmonaires (vérification des constatations
cliniques
). Du côté du crâne les lésions sont plus intére
t fait à l'âge adulte Il s'agissait donc bien d'un acromégalique.
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE BUDAPEST SERVI
ON A L'ÉTUDE DE L'OSSIFICATION . par CHARLES HUDOVERNIG Chef de
clinique
psychatrique à Budapest. En 1903 j'ai publié da
erfonction de l'hy- pophyse. Un grand nombre de faits dans l'examen
clinique
de Charles II... viennent à l'appui de cette op
arités bien con- nues de l'ossification. Un grand nombre de faits
cliniques
et anatomo-pathologiques prouve que la croissan
nnes de ces cartilages sont déjà complètement ossifiés. Les faits
cliniques
et le résultat de la radiographie prouvent donc q
une année de médecine, vous entriez finalement, en 1878, dans cette
clinique
de la Salpêtrière où vous deviez passer tant d'an
ivant le mot de Térence, sont dignes de notre intérêt. Vos Etudes
cliniques
sur la grande hystérie (1881), puis votre livre s
t de Charcot : « On fait le diagnostic sur ces statuettes. » Chaque
clinique
devrait en posséder la série, tant est péné- tr
a Faculté de Médecine Professeur du Laboratoire de- de Bucarest. la
Clinique
des maladies nerveuses. La question de la régén
atrice de la moelle sectionnée. HOPITAL DES ENFANTS MALADES ÉTUDE
CLINIQUE
ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE D'UN CAS DE POLIOMYÉLIT
ALE D'HOFFMANN) PAR 1\ P. ARMAND-DELILLE, G. BOUDET, Chef de la
clinique
à l'Hôpital Interne des hôpitaux. des Enfants M
e et de nature familiale, quatre cas dont t il donne la description
clinique
; dans l'un d'entre eux, il a pu l'aire l'autops
bsolument semblables à celles que nous avons observées, l'évolution
clinique
fut très analogue, mais l'affection débuta plus
s faudrait signaler aussi celui de Mya et Luisada, mais bien que la
clinique
donne des symptômes très analogues à ceux des cas
congenila di Oppenheim. UNIVERSITÉ DE MONTPELLIER TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
DE M. LE PROFESSEUR GRASSET. SYRINGOMYÉLIE OU L
ET. SYRINGOMYÉLIE OU LÈPRE PAR ' GAUSSEL, et A. LÉVY, Chef de
clinique
à l'Université de .. Externe des hôpitaux. Mont
élie et la lèpre anesthésique est souvent assez délicat pour que la
clinique
ne puisse à elle seule trancher la ques- tion.
e rapporter à une névrite tépreusetesaccidents nerveux constatés en
clinique
. Nous avons eu l'occasion de voir traiter dans
ation biopsique, il nous a paru intéressant de rapporter l'histoire
clinique
de ce cas, en joignant à notre exposé des photo
lié un cas semblable (1). M. le professeur Raymond, dans une de ses
cliniques
(2), mettant en re- lief ces cas où l'épilepsie
r cérébelleuse et épilepsie. Congrès de Limoges, 1901. (2) RAYMOND,
Clinique
des maladies du système nerveux, 1897-1898, ; 3'
ation suivante nous a été procuré par M. Pécard,chef des travaux de
clinique
à l'École d'Alfort. Observation. - Chien de tai
s systèmes appartenant surtout au côté droit. mu 31 TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
DU PROFESSEUR RAYMOND A LA SALPÊTRIÈRE. ? DYSTROP
ans profession. Sa mère l'a amenée consul- ter le 5 juin 1906, à la
clinique
des maladies nerveuses, à la Salpêtrière, pour
aucun symptôme anormal. Le pouls est à 90°. Il n'existe aucun signe
clinique
de chloro-anémie. ' L'examen du sang fournit le
rrons aux travaux publiés par l'un de nous sur ce sujet. Le tableau
clinique
est celui d'un ataxique atrophique avec cypho-sco
nsibilité peuvent être très accusés et c'est encore là un caractère
clinique
de cette affection que nous tenons à mettre en
n est de même de la puissance génitale. Cesontlà des particularités
cliniques
importantes que nous avons déjà signalées autre
ive de l'enfance, Revue de Médecine, novembre 1896. (3) F. Raymond,
Clinique
des maladies du système nerveux, t. 6, p. 184.
VRITE INTEhSTITIELLE HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 507
cliniques
sont donc suffisamment tranchées pour que les deu
une démarcation très nette entre elles deux. Récemment, dans ses
Cliniques
de 1903, Raymond,se ralliant aux idées de Bernh
onsistance des nerfs ne peut être considérée comme telle, les faits
cliniques
montrent qu'elle est inexacte. La scission s'im
cela parce que l'observation de Virchow est sommaire aupoint devue
clinique
et que l'autopsie a été faite à une époque où l
les observations de Friedreich compor- tent quelques particularités
cliniques
, telles que la pseudohyperlrophie des muscles d
ans les muscles des mem- bres supérieurs, qui s'écartent du tableau
clinique
ordinaire à la maladie. C'est cependant en s'ap
de la moelle.- L'observation de Dubreuilh (1), qui au point de vue
clinique
rentre tout à fait dans le cadre de la maladie, d
terminer, nous attirerons l'attention sur quelques particu- larités
cliniques
. Chez notre malade l'atrophie musculaire avait ga
RVEUSES ' PAR ) L. ALQUIER, , Chef des travaux anatomiques à la
Clinique
des Maladies nerveuses. Pour expliquer les acci
faites dans ces 15 cas. ' Pour me rapprocher le plus possible de la
clinique
et afin de ne rien préjuger des lésions, je div
I. - Mal de Pott dorsal. Cas. I (cas 880 du Laboratoire). Evolution
clinique
en 2 ans et 4 mois. Compression osseuse nette.
espondant aux racines malades. Ces deux faits présentent un intérêt
clinique
sur lequel nous n'insiste- rons pas. Anatomiq
es masses lardacées. Il n'y a donc pas concordance absolue entre la
clinique
et l'anatomie pathologique : l'englobement des
rsales, et cepen- dant, il n'y avait dans ce cas, aucun autre signe
clinique
de compres- sion du plexus brachial inférieur,
ment défaut dans les observations IX et XI, et pourtant l'évolution
clinique
n'avait duré que mois environ pour l'observation
la 4e, une ménin- gite cérébro-spinale terminale, ayant les allures
cliniques
de la méningite tuberculeuse, vient compliquer
itées à une partie seulement de l'épaisseur des corps vertébraux.
CLINIQUE
MEDICALE DE LAENNEC SERVICE DE : 11. LE PROFESS
- GÉNÉRESCENCE MÉDULLAIRE PAR 1 M. LAIGNEL-LAVASTINE. Chef de
clinique
La rareté des autopsies dans les cas d'hémiasyn
nce relative de ce syndrome morbide, ne sont pas très nombreux ; la
clinique
explique leur origine nerveuse par certains arg
phénomènes nerveux : l'anatomie pathologique a confirmé les notions
cliniques
en constatant l'existence de lésions dans la su
en, d'après ces faits, peut être considérée comme une manifestation
clinique
de la syringomiélie. Il nous est permis, pourta
assification d'une grande quantité de syndromes plus théoriques que
cliniques
, n'ont pas fait allusion à la possibilité d'une
fait des progrès, on trouve l'explication anatomi- que du phénomène
clinique
. Sans doute, lorsqu'il s'agit des régions dont
nfirmation nouvelle et une application plus générale. Aux arguments
cliniques
déjà cités à son appui : familialité, hérédité
nnaissance de l'artério-sclérose médullaire dans ses manifestations
cliniques
et anatomo-pathologiques, en particulier pour c
qui correspond au faisceau pyramidal direct ? La physiologie et la
clinique
nous enseignent que contraire- ment à ce qui se
nait le prix Montyon pour un mémoire sur le même sujet. Nommé chef de
clinique
à la Faculté. Il collaborait aux deux éditions de
chef de clinique à la Faculté. Il collaborait aux deux éditions de la
clinique
médicale de l'Hôtel-Dicu de Paris du professeur T
De 1876à 1886, il faisait à l'hôpital de la Pitié des conférences de
clinique
médicale sur Les applications de l'hypnotisme à t
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
urs à l'Ecole pra- tique par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
ur de la méthode connue sous le nom de phonendoscopie, par la Société
clinique
des praticiens et par le Syndicat général des méd
ns reconnu MM. les Drs Boisleux, secrétaire général de la Société
clinique
des praticiens, Cornet, secrétaire général du Syn
decins de Paris et de la Seine. Jouin, ancien président de la Société
clinique
, Bilhaut, chirurgien de l'hôpital international,
dial et surtout les renseignements dont ils ont besoin. Le Bureau des
cliniques
, à l'organisation duquel travaille depuis un an e
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
Charles Richet est né à Paris, le 26 Août i85o. Fils du professeur de
clinique
chirurgicale A. Richet, bien connu de la générati
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'élude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypno-
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
complote. Peu à peu ses yeux se reposent avec complaisance sur cette
clinique
de l'assassinat, et il va s'assimilant tacitement
ière vue toute idée de tumeur maligne ou de tuberculose. A l'examen
clinique
, je constate un degré moyen de dilatation avec pt
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladiesnerveuses [dispensaire neurologique et
son cours à l'Ecole pratique par des conférences surles applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. II est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. II est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations
cliniques
de psychothérapie, de démonstrations expérimental
'apparition de l'état d'hypnose. Après avoir constaté par un examen
clinique
les modifications survenues sous la seule influen
application de la méthode graphique, fournie par l'association de la
clinique
et de l'intervention hypnotique, permet de déduir
rsonnes témoins de ces expériences, entre autres M. W., interne de la
clinique
du docteur Bérillon. M. \V. était venu chez moi,
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypno-
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiquesde l'hypnotismcll est secondé dans
es et pédagogiquesde l'hypnotismcll est secondé danssesdémonstrations
cliniques
par MM.Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et da
d'aliénés, commencera le jeudi 3 décembre, à 10 heures et demie, à sa
clinique
. 49, rue Saint-André-des-Arts, un cours pratique
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations
cliniques
de psychothérapie, de démonstrations expérimental
olonté, les lundis à 3 heures et les vendredis à 3 h. 1/4, salle 5.
Clinique
nationale des Quinze-Vingts. — Le concours pour u
nationale des Quinze-Vingts. — Le concours pour une place de chef de
clinique
s'est terminé par la nomination de M. le Dr Darie
nze-Vingts. Cet article est destiné à montrer par quelques exemples
cliniques
le parti qu'on peut tirer de la suggestion thérap
le jour de la nuit. Quand la malade se présente à notre examen, à la
clinique
nationale des Quinze-Vingts, elle reconnaît une v
o-physiologique de Paris, fpndé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
iénés, a commencé le jeudi 3 décembre, à 10 heures et demie, à sa
clinique
, 49, rue Saint-André-des-Arts, un cours pratique
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations
cliniques
de psychothérapie, de démonstrations expérimental
que. C'est le dosage de cette médication qui nécessite la création de
cliniques
de psychothérapie dans lesquelles les médecins et
es Voisin, à la Salpétrière. L'auteur y étudie les différentes phases
cliniques
de l'épilepsie, et rapporte les expériences qu'il
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
d'aliénés, a commencé le jeudi 3 décembre, à 10 heures et demie, à sa
clinique
, 49, rue Saint-André-des-Arts, un cours pratique
le traitement fut interrompu. Depuis il me consulta fréquemment à ma
clinique
. J'appris un jour, par les journaux, qu'il venait
morphinomanie réside dans une intoxication accompagnée de phénomènes
cliniques
; pour les autres, morphinomanie ou morphinisme o
e s'y être souvent livré plusieurs fois dans la journée. A l'examen
clinique
, je note de la bronchite chronique légère, avec s
ar mon excellent confrère et ami M. le Dr Alfred Jean, ancien chef de
clinique
Je la Faculté, en présence de M. le Dr Eid, du Ca
par un pasteur inspiré, ou que, plus moderne, il se soumette dans une
clinique
de psychothérapie à l'action scientifique et rati
e sur « les Psychoses do la ménopause », M. Nordau traçait le tableau
clinique
connu des troubles mentaux accompagnant souvent l
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques dé l'hypno-
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
Investigation psychologique. — Les laboratoires de psychologie et les
cliniques
de psychothérapie. — Interprétation des phénomène
r et l'inhibition. Samedi 10 Avril. — La pédagogie psychologique et
clinique
. — Le traitement psycho-mécanique des habitudes a
Charles Verdin, constructeur. II sera complété par des démonstrations
cliniques
à l'institut psycho-physiologique, 49, rue Saint-
d'aliénés, a commencé le jeudi 3 décembre, à 10 heures et demie, à sa
clinique
, 49, vue Saint-André-des-Arts, un cours pratique
es seront accompagnées de présentations de malades, de démonstrations
cliniques
de psychothérapie, de démonstrations expérimental
Babinski, médecin de l'hôpiial de la Pitié, a repris ses conférences
cliniques
sur les maladies du système nerveux, samedi 20 fé
matiez minérale; M. Bérillon: Psychologie physiologique, applications
cliniques
de l'hypnotisme. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Df
éris par la suggestion hypnotique Par M. DE Bourgon, Ancien chef de
clinique
aux Quinze-Vingts. Chirurgien-chef du service d'o
thèses physiologiques, voici, sans plus long préambule, l'observation
clinique
de deux cas de blépharospasme tonique bilatér
mental propre aux hystériques, et je n'insisterai pas sur cette étude
clinique
, me contentant de dire que j'eus la bonne fortune
es quinze jours. Observation II.— J'ai décrit trop en détail le cas
clinique
d'Eugénie B... pour ne pas tracer en]quelques mot
s'est maintenue. Considérations théoriques. — Ces deux observations
cliniques
sont intéressantes, ce me semble, à plusieurs poi
Arch. oph. da. Lisboa, mai-juin 1882.) Gille de la Tourettb. — Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, Tome 1, p. 390
née, le professeur étudie l'hypnotisme envisagé dans ses applications
cliniques
et thérapeutiques ; l'année suivante, le cours es
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
sychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme.11 est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.11 est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Lagelouze, Harlenberg, Lajoie, et d
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé da
t pédagogiques de l'hypnotisme.Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
. Suggestion. Auto-hypnotlsation. 3e Partie. — Etude médico-légale,
clinique
, thérapeutique de l'hypnotisme et de la suggestio
re à ces braves gens l'aumône d'une consultation à domicile. L'examen
clinique
, hématologique et bactériologique le conduit au d
de la conscience, a fini par reconstituer de toutes pièces le tableau
clinique
des lésions qui avaient rendu la castration néces
les premiers jours du mois prochain. * * * Telle est l'histoire
clinique
de cette malade. Elle nous montre l'évolution pro
ans lesquelles il n'est pas de retour complet à la santé. Pédagogie
clinique
: Deux cas de pusillanimité traités avec succès p
Novembre 1896, l'enfant Marius G., âgé de 12 ans, fut adressé à notre
clinique
par M. le docteur Manouvrier, professeur à l'Ecol
l se montra absolument réfractaire. On insista pour qu'il revint à la
clinique
trois fois par semaine. Au bout d'un mois, s'étan
son état inspirait de sérieuses inquiétudes. Quand on l'amena à la
clinique
, il se mita pousser des gémissements et on s'appl
ar notre confrère M. Albin Rousselet. REVUE BIBLIOGRAPHIQUE Étude
clinique
sur le dynamisme psychique (Thèse, Nancy, 1897)
partie de l'ouvrage de M. Aimé. Elles sont déduites de l'observation
clinique
, qui permet de classer de cette façon le psycho-d
qui, préparant le terrain, il ouvre l'accès. Trois grands chapitres
cliniques
, bourrés de faits commentés, démontrent la vérité
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé
dagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dansses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
. Suggestion. Auto-hypnotisation. 3e Partie. — Etude médico-légale,
clinique
, thérapeutique de l'hypnotisme et de la suggestio
), autant d'individualités. Néanmoins, pratiquement au point de vue
clinique
, les individualités sont groupables. D'unefaçon g
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiquesde l'hypnotisme.11 est secondé dan
et pédagogiquesde l'hypnotisme.11 est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. Wolf, Lagelouze, Hartenberg, Lajoie, et d
ce de la Salpètrière. — Le dr Auguste Voisin a repris ses conférences
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses, le jeudi
à la même heure. Plusieurs leçons seront consacrées aux applications
cliniques
de l'hypnotisme. Corps de santé de la marine. —
Rochefort (la) par Albin Rousselet, 349. Dynamisme psychique (étude
clinique
sur le), par le Dr H. Aimé, de Nancy, 350.
(quelques observations sur les), par le Dr Gélineau, 51. Pédagogie
clinique
: deux cas de pusillanimité traités avec succès p
gage articulé. Pour apprécier comme il convient les observations
cliniques
qui se rapportent aux faits anatomo-patholo- gi
veloppent sur cet espace. II. Interrogeons maintenant les faits
cliniques
sur le bien fondé de la description qui précède
ctorat en médecine, Paris, 1879. 1 E. Gintrac. Cours théorique et
clinique
de pathologie interne et de thérapie médicale.
ète sur la partie blanche adjacente, mais elle 1 Cours théorique et
clinique
de pathologie interne et de thérapie médi- cale
lle conduit à une divergence forcée dans l'interprétation des faits
cliniques
. Ainsi, pour nous, dans l'observation de M. Die
tant considéré par nous comme une base solide, tant sous le rapport
clinique
qu'au point de vue anatomique, tout fait quelco
erche du centre du langage articulé, Broca le plaça, par droit de
clinique
et d'anatomo-pathologie, dans l'écorce du pied
e interne. 3, Fond de la. scissure précentrale. 4, Lentille. 22
CLINIQUE
MENTALE. 5, Avant-mur. F, S, Ligne fornicato-
rfs optiques. 7'. c, Ti,igone cérébral. V. m, Ventricule moyen.
CLINIQUE
MENTALE 1NCURABILITÉ ET GUÉRISONS TARDIVES EN A
ropos du divorce, ont mis à l'ordre du jour une importante question
clinique
, celle de la valeur des uérisons tardives et du
s à l'état absolument normal. La prédisposition, en effet, - 2 se
CLINIQUE
MENTALE. loin de s'épuiser en fomentant des dés
les au- tres variétés, l'application, par exemple, des principes
cliniques
si sages formulés par Guislain facilitera la di
ine de M. le D' Luys ne se trouve-t-elle pas en dé- saccord avec la
clinique
? Les choses sont loin de mar- cher toujours co
tré dans les services publics de ces vieuxmalades, aliénés de- 26
CLINIQUE
MENTALE. puis vingt ou vingt-cinq ans et frappé
justifierait le divorce, avec celle que je crois plus conforme à la
clinique
, il serait in- dispensable d'en diagnostiquer a
érigé en principe, quand il s'agit d'une loi comme le divorce. 28
CLINIQUE
MENTALE. Seuls, les signes perçus par raisonnem
vigueur de l'intelligence, ni la même fraîcheur de sentiments. 30
CLINIQUE
MENTALE. J'ai passé en revue la prédisposition,
ie aiguë que la famille attribueàdes Archives, t. VIII. 3 34 liez
CLINIQUE
MENTALE. chagrins domestiques. L'agitation surv
crits, apparurent de nouveau pour faire place, en février, aune 36
CLINIQUE
MENTALE. DE L'ALIÉNATION MENTALE. amélioration
nature à jeter un peu de lumière sur la pathogénie 1 Duclos. Études
cliniques
sur les convulsions de l'enfance. Thèse, 1847.
t au point de vue de l'hérédité. Thèse de Lyoii, 1883. à Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
nvulsions chez les femmes enceintes,etc. 1824 P. 16. 3 Trousseau.
Clinique
méd. 4e édit., 1873, t. II, p. 197. à C. Handfi
rchison. Brit. nied. Journ., 1876, t. II, p. 6. 3 Hervietix. Traité
clinique
et pratique des maladies puerpérales; suites de
Eclampsioe. (Ziemssen, t. XIV, 1878, p. 306. 3 Bourneville. Éludes
cliniques
et thermométriques sur les maladies du système
ilepsie ne doivent pas seulement être rapprochées par des analogies
cliniques
(Vogel, Jacque- mier, Rosenthal', etc.); mais q
effet, souventse développer chez des sujets 1 Iloseiitlitl. Traité
clinique
des maladies du système nerveux. Édit. Ir0.nÇ.,
s percep- tions auditives transmises par l'autre oreille. Intégrité
clinique
et anatomique de l'oreille droite. Intégrité an
Ka S Z) constituerait dans les paralysies atrophiques un symptôme
clinique
de bon présage en ce sens qu'elle indique avec ce
ive; par llll. 11EA7E- JEWSKY et FIILIZKY. (Messuger de Psychiatrie
clinique
et légale et de 1(t Neitiol)ttlhologie (russes)
cine et de chirurgie pratiques, t. LUI, 188 ? .) Dans cette leçon
clinique
, l'auteur rapporte : 4 quelques exemples d'idio
r a la loi DE 1838; {France médicale, t. I, 1a82.) Dans une leçon
clinique
faite à l'hospice de la Salpêtrière, 11. Voisin
tablissement d'aliénés complet, aménagé pour l'enseigne- ment de la
clinique
; le terrain et les plans sont déjà prêts. Tou-
nce blanche ne subit point de changement T. KAHN. III. Observations
cliniques
sur l'emploi des injections hypodermiques de st
deux médecins-adjoints. Le di- recteur actuel fait un enseignement
clinique
de psychiatrie à l'établissement; chaque semest
(116,4-,g fr.. P. Kéraval. (A suivre.) BIBLIOGRAPHIE 1. Leçons
cliniques
sur les maladies du système nerveux; par Thomas
as besoin qu'un malade présente dans toute son extension le tableau
clinique
de l'ataxie BIBLIOGRAPHIE. 119 locomotrice, q
utent encore à la clarté de cet ouvrage. P. Marie. II. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
ra par là de l'intérêt que peut offrir une étude basée sur l'examen
clinique
et anatomique d'un grand nombre d'observations
: il était l'auteur d'une excellente thèse ayant pour titre : Etude
clinique
sur le pouls lent permanent avec attaques syncopa
le De Villernin, membre de l'Aca- démie de médecine, professeur de
clinique
médicale à l'école d'application de médecine et
- 784. Vol. VIII. Septembre 1884. N" 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A FORME D'ÉPIL
tat de mal i : PILEI'TIFOIillE Par le Dr Gilbert BALLET, ex-chef de
clinique
de la Faculté, et Gaston CRESIIIN, interne des
eux et à mettre en relief leur valeur. Archives, t. VU). l. 9 130
CLINIQUE
NERVEUSE. Quaud l'hystérie revêt la physionomie
é de la face ou à l'un des membres. Dans le premier cas, le tableau
clinique
était celui de l'épilep- sie jacksonnienne à fo
ez les individus atteints de lésion cérébrale 1 P. nicher. - Eludes
cliniques
sur l'hi/aléro-épilepsie, p. 293. A maintes rep
été décrits et comparés à ceux de l'épilepsie (Bourneville). 132
CLINIQUE
NERVEUSE. corticale. Mais l'examen attentif et
sse quelquefois sortir la langue. L Fig. 1 ? Phase tonique. 13V
CLINIQUE
nerveuse. A droite, le membre supérieur rigide
on drap; mais elle ne prononce aucune parole. Ces hallucina- 13f;
CLINIQUE
NERVEUSE. tions durent de cinq à dix minutes. A
ous étions occupés a rédiger ce mémoire, notre ami P.Marie, chef de
clinique
de la faculté, observait dans' le 'service1 rie -
n'approche pas, on le voit, de celui relevé dans le casde Rosa. 138
CLINIQUE
NERVEUSE. pour le blanc et les couleurs. Les au
tre que quelques jours plus tard). Une seule particularité, iio 0
CLINIQUE
NERVEUSE. capitale à la vérité, différenciait c
mométrique. Dans les deux cas, on se trouvait en présence d'un type
clinique
nouveau. L'avenir a donné raison à ceux qui inc
taques'revêtent le plus souvent, Archives, t. VIII. 10 " -· 146
CLINIQUE
nerveuse. chez Foisn..., les caractères que nou
et le : nôubrefds accès constituant chaque série.,( ? r - 1 1 14S
CLINIQUE
NERVEUSE. Il est une autre particularité à rele
Voir aussi Bulletins de la Société anatomique, novembre 1882. .150
CLINIQUE
NERVEUSE. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. cas'.dijuesr
ANATOMIE PATHOLOGIQUE. y 08 Iwqi a^n 9 c Observation' XII (Peter,
clinique
de Trousseau.) aaot 'woo 1 193 m f Femme de q
vésanies. Avant de rapporter les quelques observations prises à sa
clinique
, nous avons cru devoir retracer les points sail
tion délit .'E930T'3n ? K "'oiwie Ir li -33 , . 1 1 Magnan. Leçon
clinique
. (Joiii-iial de n4édecine,ci-tiqlitili-,zggz"e,
oise), âgée de qua- rante-cinq ans, entre pour la seconde'fois'à la
clinique
; de l'admission, avec le certificat suivant : «
gagé des autres formes delà vésanie, et, en simplifiant le problème
clinique
, il a réalisé un progrès consi- dérable dans l'
e médecine, 9883'). · , .. r .. t ..\ vren·, z Etude, critique et
clinique
de la doctrine des localisations motrices dans
qui existe entre la théorie qui vient d'être exposée et le tableau
clinique
de la para- lysie générale. - R. M. C. r ' '
6mes"6pinions sur la pâ- ralysie1 générale alcoolique.JSoii tableau
clinique
ne correspond pas : a' 'celui db là'paralysiélg
ho-sl;i ter- f miner pan l'appréciation jsuivante. Au point de vue.
clinique
, lés 8 symptômes, de paralysie, générale, se mo
encore, la démence arrive et la mort a lieu au milieu du tableau
clinique
de la paralysie générale. Autopsie. Adhérences co
cile à comprendre que celle du lombo-sacré. Ch. F. . VIII. Etudes
cliniques
de JV ? n'opt</t0ote; par José Armangué y Tu
nerveux pour laquelle il sera accordé trois heures; 2° une épreuve
clinique
commune sur un malade. 11 sera accordé au candi
ion devant le jury, après cinq minutes de réflexion; 3° une épreuve
clinique
sur les maladies mentales : un seul malade. Il
u rapport sera faite au début de la séance suivante; 51 une épreuve
clinique
sur deux malades d'un service d'aliénés. - Le c
l suit : Pour la première épreuve écrite, 30 points. Pour l'épreuve
clinique
commune, 20 points. Pour l'épreuve clinique sur
points. Pour l'épreuve clinique commune, 20 points. Pour l'épreuve
clinique
sur les maladies mentales, à un seul malade, 20
points. Pour la deuxième épreuve écrite, 30 points. Pour l'épreuve
clinique
sur deux malades, 30 points. Un Fou. - Le Dr C,
W.-C. ' Boukxevillc, Boorteu, Borrvame, Leflaive et Z Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'él)ilepsie, l'hystérie et
- 884. Vol. VIII, Novembre 1884. Nu 24. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUS MALADIF. DU THOMSEN ET PARALYSIE PSEUDO
llarie, Revue de nid- decine 1881,. Archives, t. VIII. 18 8 37t
CLINIQUE
NERVEUSE. dont l'apparence est plutôt un peu gr
vrent que lentement et difficilement, tandis que les bras et 376
CLINIQUE
NERVEUSE. l'avant-bras sont contracturés. Le sp
ÉTAT DE MAL' ÉPILEPTIFORME)1 J Par le D' Gilbert BALLET, ex-chef de
clinique
de la Faculté, et Gaston CRESPIN, interne des h
sement très accusé du champ visuel (Fig. 8, 8, a et b). ' . , 280
CLINIQUE
NERVEUSE. III. Points douloureux. Les seuls poi
as de convulsion clo Fig. 9. - Attaque de Rosa G...(Oss.I.) 282
CLINIQUE
NERVEUSE. nique, pas de contractions imprimant
atérale ou bilatérale, pratiquée avec la main ou à l'aide de 281 le
CLINIQUE
NERVEUSE. la ceinture compressive, a toujours é
Dans une seule matinée, on a vu le manège du membre supérieur 288
CLINIQUE
NERVEUSE. gauche se reproduire six fois de suit
hôpitaux. Observation V. (Communiquée par M. E. BRISSAUD, chef de
clinique
de la Faculté.) Epilepsie Jacksonnieeîne de natur
époque, elles reviennent environ toutes ARCHIVES, t. V111. 19 290
CLINIQUE
NERVEUSE. les cinq à huit minutes; elles sont p
Puis la malade fond en larmes, gémit quelques instants et est 292
CLINIQUE
NERVEUSE. ' prise aussitôt après d'un fou rire.
ervalles, empiètent les unes sur les autres, de façon que les 29t
CLINIQUE
NERVEUSE. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. diverses pér
sont des symptômes de paralysie générale qui constituent le tableau
clinique
; la marche typique aboutit en deux années à une
ues n'ont pas été examinés. L'une d'elles est, en fait de complexus
clinique
, un exemple de paralysie ascendante aiguë ayant
ssent pas être absolument parallèles à l'im- portance des symptômes
cliniques
de* déficit; qu'enfin c'est le mi- croscope qui
-Arch. f. Psych., llV, 2.) - L'observationprésentéeapour caractères
cliniques
: un affai- blissement croissant, suivi d'atrop
galement du côté le moins affecté (côté gauche). Deux circonstances
cliniques
plaide- deraientau contraire en faveur de la fo
n, qui concerne un homme de cinduante-cinq ans,rit, au point de vue
clinique
, dans la mobilité et le vague des accidents sym
re, nous reproduirons simplement ses conclusions : Il l'observation
clinique
ne nous fournit que peu ou point de raisons de
ffections mentales évoluant côte à côte, chacun suivant la modalité
clinique
qui lui est propre et en dehors de toute subord
té est laissée aux concurrents pour étendre selon les hasards de la
clinique
, leur étude à l'observation des délires com- pl
sur les faisceaux pyramidaux. L'auteur croit, tant au point de vue
clinique
qu'au point de vue anatomique, que la désignati
AEUILER (de Fribourg) montre des photographies d'une ma- lade de sa
clinique
atteinte de maladie de Basedow qui présentait,
(de Stuttgart). Sur la dyslexie. Il a observé cinq fois un complexe
clinique
dans lequel le symptôme prédominant, le symptôm
ommsen pense que les phénomènes d'excitation observés dans l'emploi
clinique
de ces essences (du camphre, par exemple) dépen
albuminurie transitoire dans les états convulsifs. Une malade de la
clinique
de Fribourg était en proie à des accès répétés
ion pupillaire. Du 10 au 16 octobre 1883, se développe le complexus
clinique
de l'ophthal- moplégie externe complète, abouti
n conséquence divers processus seraient la cause des manifestations
cliniques
. 11f.11tosES place sous les yeux des membres de
onsables de l'hémianopsie, aux symptômes périmétriques décrits ? La
clinique
a parlé. L'anatomie et la physiologie patho- lo
effet, l'évolution des psychose, dont il s'agit ici, représente la
clinique
pure, ou du moins cette partie de la clinique s
it ici, représente la clinique pure, ou du moins cette partie de la
clinique
sur laquelle M. Arndt base sa classification, p
ui sont consignées ne laisse échapper aucune variélé, aucune feinte
clinique
. Nous regrettons simplement que l'auteur n'ait pa
nouvelle variété d'état de mal), 129, 277. Epilepsie (recherches
cliniques
et tliét-apeiititlues sui- l' - 1'livs- térie
aralytiques gé- néraux), par Tuczek, 336. Neuropathotogie (études
cliniques
de), par Armangué Y Tuset (An. Marie), 268.
ut fait prévoir que. sans cependant sortir du domaine positif de la 1
clinique
et de la médecine légale, elles présenteront un g
ur le conseil de leur propre médecin, viennent frapper à la porte des
cliniques
de psychothérapie. C'est d'abord la légion des hy
. M. le docteur Babinski, invité par M. le professeur Charcot, à la
clinique
des maladies nerveuses, à exposer les doctrines p
anes-thésies, tous le» symptômes, en un mot, qui dominent le tableau
clinique
de l'hystérie. Or, la suggestion, à elle-seule. s
jets aurait une violente attaque de nerfs avant de frapper le chef de
clinique
avec une arme supposée, les spectateurs ont pu co
Souhaitons que bientôt la même entente puisse se faire sur le terrain
clinique
et thérapeutique. chronique et correspondance
herches expérimentales sur l'hypnotisme cl à l'étude dos applications
cliniques
de cette science. — Des consultations gratuites o
heures à midi. Les médecins et les élèves régulièrement inscrits à la
clinique
y sont exercés à la pratique de l'hypnotisme et d
ste Voisin continue le dimanche, à neuf heures et demie, ses leçons
cliniques
sur les Maladies mentales. M. Voisin fait, pend
des maladies mentales. cours. — M. le Dr Léglas a commencé un cours
clinique
sur les Maladies mentales. Ce cours a lieu tous l
p de Mars. (1) J.-B. Baillière, Paris, 1891, I fr. — Une nouvelle
clinique
de maladies mentales et nerveuses vient d'être in
Levé, 17, rue Cassette. Paris. 1891. Bonamaison (Dr I..). — Annales
cliniques
de l'Institut hydrothérapique de Saint-Didier (Va
, professeur et doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux. — Leçons
cliniques
sur l'Hystérie et l'Hypnotisme faites ù l'hôpital
SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE Fondée en 1889, pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'Hypnotisme
re de 72 et je ne les avais nullement choisis. Chargé d'un service de
clinique
interne, mes malades (tuberculeux, emphysémateux,
autres du même genre. M. Bouveret y fait preuve d'un sens crilique et
clinique
très développé, et on voit qu'il connaît à fond l
0 appartenaient à la classe des prolétaires et furent soignés dans ma
clinique
. Ceux-ci appartenaient, en moyenne, à la classe p
rtune, ne pouvaient payer l'honoraire de mes consultations. Dans ma
clinique
, la moyenne des susceptibles à l'hypnose, fut de
qu'à 83 à 8i % Des premiers 150 malades exclusivement traités dans ma
clinique
, il n'y en eut que trois absolument réfraclaires;
alades dans le même espace de lemps. La différence du chiffre de ma
clinique
et de ma clientèle privée, je crois pouvoir l'att
il y en a eu, à Berlin, 147. La plupart des chefs de servico dans les
cliniques
attribuent ces suicides à l'abus croissant du sch
es dites de laboratoire, c'est-à-dire faites dans des hôpitaux ou des
cliniques
sur des sujets habitués à être hypnotisés, ne pro
n a prit d'avance la résolution. Chez les malades des hôpitaux ou des
cliniques
qui, en raison de la confiance qu'ils ont en l'ex
ut à rencontre de certaines idées particulières bien invétérées. A ma
clinique
de La Haye, je soigne beaucoup d'Israélites attei
heures, commencera une série de leçons pratiques sur les applications
cliniques
de l'hypnotisme et sur les travaux récents de psy
é si célèbre de Boerhaarepour arrêter la contagion des crises dans sa
clinique
. Mais ce qui m'ouvrit définitivement les yeux, c'
t que la pratique civile ne lui fournit guère autant de succès que la
clinique
hospitalière. Pourquoi? Parce que le client instr
le de Nancy (page 37 et suivantes), que ce moyen m'avait réussi, à la
clinique
de M. Li.'beault. auprès de deux clientes qui se
sont produites sans faire mention du moindre contrôle expérimental et
clinique
, et sans démontrer qu'il a pris des précautions c
. L'hypnotisme et tes états analogues; Paris, 1S87. (S) fumes. Études
cliniques
sur Chuttéro-epilepsie; Paris, pag. W4. (1) UlL
ntractures des hystériques à rétat de veille présentent des modalités
cliniques
, qui correspondent aux diverses variétés qu'on ob
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée â l'Institut ps
s les samedis, à 10 heures, des leçons pratiques sur les applications
cliniques
de l'hypnotisme el eur (et travaux récents de pey
ution littéraire dans tes rapporte avec l'état social et politique.
Clinique
psycho-thérapique de La Haye (Lange Voorhont). —
nt). — M. IeDr a. de Joug fait pendant le semestre d'hiver des leçons
cliniques
sur 1 "hypnotisme. Clinique de psycho-thérapeut
pendant le semestre d'hiver des leçons cliniques sur 1 "hypnotisme.
Clinique
de psycho-thérapeutique suggestive d'Amsterdam. —
ive d'Amsterdam. — MM. les Dn Van Henierghem et Van Eeicn font à leur
clinique
un cour* permanent de psjcho-lhcrapie. Istitut
s'est rendu à Nancy que pour assister à une séance d'hypnotisme à la
clinique
du docteur Bernheim. NÉCROLOGIE M. Félix Héme
....., âgé de trente-trois ans, voyageur de commerce, vient à notre
clinique
(1). 11 marche appuyé sur deux cannes. Il présent
l'incoordination motrice caractéristique du tcites dorsalis. L'examen
clinique
révèle les particularités suivantes : Le malade n
en portants. En 1884, il a eu une fièvre typhoïde pour laquelle (I)
Clinique
des maladies nerveuses, 49, rue Saint-André-des-A
t toujours désignée sous le nom de tabès. Si nous résumons le tableau
clinique
présenté par le malade lorsque nous l'avons exami
uvai encore amélioré. Mon collègue, le Dr Lajoie, et les élèves de la
clinique
avaient continué les suggestions pendant mon abse
ccasion de l'examiner alors qu'il venait pour les premières fois à la
clinique
de la rue Saint-André-des-Arts. Or, à cette époqu
asme. Même le Dr Pitres, dans son dernier ouvrage si complet : Leçons
cliniques
sur l'Hystérie et l'Hypnotisme, tombe dans l'erre
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'élude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
s les samedis, à 10 heures, des leçons pratiques sur les applications
cliniques
de l'hypnotisme et sur Us travaux re-centode psyc
gique. Asile Sainte-Anne. — M. le professeur Bail fait son cours de
clinique
des maladies mentales,à l'asile Sainte-Anne, les
— M. Magnan a repris, dans l'amphithéâtre de l'admission, ses leçons
cliniques
, les dimanches et mercredis, à 10 heures. Les con
a Société d'bypnologic, fondée en 1891, pour l'élude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
19, rue Hautefeuille, Paris, 1891.) Gilles de La Tourette. — Traité
clinique
et thérapeutique de Vhystérie fSalpétrière). (U
infraction punissable. La loi va même plus loin : un professeur de
clinique
ne pourra plus, sans se mettre en contravention,
nd nombre de fois, soit à la campagne, soit à la ville, et dans notre
clinique
. Nous étant approché d'un enfant, sans lui avoir
ent quelconque Je dis à l'enfant B..., âgé de onze ans, traité à la
clinique
pour une incon- linca ce d'urine, qu'il csl arr
entant C...t âgé de douze ans, se présente pour la première fois à la
clinique
le 15 octobre. À brûle-pourpoint, je lui dis : e
ie intelligente et noté à l'école eomrae un bon élève, est amené à la
clinique
pour une incontinence nocturne d'urine. M. Zakrev
n un mol à la dipsomanie morphinique, qui ue se rencontre pas dans la
clinique
. L'ancienne dénomination a donc été conservée.
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
s les samedis, à 10 heures, des leçons pratiques sur les applications
cliniques
de (hypnotisme et sur Us travaux récents de psych
ique à la pédiatrie et à la pédagogie. Hospice de la Salpêtrière. —
Clinique
des maladies du système nerveux. — M. le professe
neurasthénie Par M. le professeur BERNHEIM, de Nancy. L'histoire
clinique
que je veux retracer devant vous présente un gran
je trouve déjà le mot névrosthénie employé pour désigner cet ensemble
clinique
dans le Traité de pathologie interne de Mofineret
moibide dont il est question; c'est qu'il avait voulu décrire un état
clinique
sans faire d'hypothèse d'interprétation patbogéni
mot sur une hypothèse physiologique mais sur une série d'observations
cliniques
; c'est que, en effet, il ne faut pas croire, par
t venue plus tard et elle n'a fait que confirmer la justesse de» vues
cliniques
du praticien de New-York. Je ne puis exposer ic
ne unité morbide, aujourd'hui incontestable. J'ajoute que la valeur
clinique
du type neurasthénie n'est pas moins nettement dé
ais il ne faut pas faire dégénérer la discussion en étendant le cadre
clinique
, déjà si étendu, de la neurasthénie ; pour ma par
im dans la série de Béard. Il n'en possède ni l'étiologic ni l'allure
clinique
; il se rapprocherait beaucoup plus, de l'hystérie
Béard a décrite, c'est la Vénus de Milo de cet habile statuaire de la
clinique
; elle est aussi incontestable que celle du Louvr
eprésente sont puissamment justifiés par l'observation éliologique el
clinique
des malades auxquels on prétend l'appliquer. Sé
site encore à reconnaître l'intérêt qu'ils présentent au point de vue
clinique
et thérapeutique. RECUEIL DE FAITS Note sur u
ut un matin qu'elle pleurait du sang. Mais donnons d'abord l'histoire
clinique
. Nous verrons ensuite à discuter les faits. Obs
- physiologique de Paris, fonde en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légal et et psychologiques de l'hypnotism
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une
clinique
de maladies nerveu*** est annexée a l'Institut ps
rits sont admis à y assister. Le samedi, à dix heures et demie, ltçou
clinique
. Hospice db la Salpêtrière— MM. les Dn Joffroy
Hôpital Lariboisière. — M. le D' F. Raymond a repris ses conférences
clinique
* a l'hôpital Lariboisière, le samedi, à dix heure
assez curieux, se développant sur le tégument externe, bien connu des
cliniques
spéciales soit de dermatologie, soit de maladies
Baumgarlen. (12) Paul Raymond. : Remarques anatomo-pathologiques et
cliniques
sur l'eut dermo-graphique de la peau. Communicati
ques sur l'eut dermo-graphique de la peau. Communication a la Société
clinique
de Paris, 1890. avait raison jusqu'à un certain
. de G. et E. Darin, I880, p. 162. (6) Bazin : Leçons théoriques et
cliniques
sur les affections génériques de la peau, L. 2, p
catalepsie, te somnambulisme sont des états distincts dont la réalité
clinique
ne saurait être légitimement contestée. Mais ces
inence presque complète. Il y avait plusieurs mois (1) Pnus. Leçons
clinique
* sur ChytUric et thypnotiiou. Paria, t. I. p. q
r provoquer les manifestations du grand hypnotisme n'a réussi. A la
clinique
, pendant qu'elle dort, je décris devant elle les
pprenant que son père venait de se casser la jambe. Elle revient à la
clinique
le 22 septembre, se plaignant d'une gastralgie, m
éristiques du grand hypnotisme cl elle peut servir à la démonstration
clinique
des périodes décrites à U Salpétrière. Obs. V.
lement ceci : Deux écoles ayant leurs autorités, leurs savants, leurs
cliniques
, leurs partisans convaincus et leurs adversaires
atique de la Faculté de Médecine, un cours libre sur les applications
cliniques
et tnèdico-Ugales de l'hypnotisme, et le continue
a Cours : Psychologie physiologique et pathologique, — Applications
cliniques
e.' médico-légales de Chypnotisme. I. La psycholo
M. Joûroy s'est fait l'interprète des agrégés; M. Dutil, des chefs de
clinique
; enfin M. le professeur Corail, sénateur, dans un
ne pourrait l'endormir, excepté mes deux amis el moi, se rendit à la
clinique
de M. Liébcaull. Ce dernier, sur son désir, leva
ère observation. — Bel... P..., mulôtre, vient nous consulter à notre
clinique
particulière pour un abcès du maxillaire supérieu
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médieo-Iégales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiant* un enseignement pratique permanent. Une
clinique
de maladies nerveu*e» est annexée à l'Institut ps
nscrits sont admis à y assister. «amedl, à dix heures et demie, leçon
clinique
. cocas libre. — M. le D' Bérillon, licencié en
cine (amphithéâtre Cruveilhier}, un cours libre sur les application)»
clinique
* et médico-légales -te l'hypnotisme, et le contin
ndances toutes naturelles chez l'inculpée. El je le répète, ce que la
clinique
médico-légale nous a appris su sujet des voleurs
té prises dans une clientèle appartenant à la société et non dans une
clinique
; j'ai donc été forcé de me contenter des découve
nésie rétrograde et antérograde. — Leçon de M. le professeur Chakcot (
clinique
de la Salpêtrière). M. le professeur Charcot a
d'an cas des plus rares, mais aussi de» plus curieux au point de vue
clinique
comme au point de vue psychologique; nous entrero
eu plus circonstanciés que nous le faisons d'habitude dans ces revues
cliniques
, car ce cas est complexe et «on exposition est un
on dans le ca* que je viens de vous rapporter est un* nouvel argument
clinique
en faveur de leur façon de voir. VARIÉTÉS Les
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une
clinique
de maladies nerveuses esi annexée a l'Institut ps
rits sont admis à y assister. Le samedi, à dix heures et demie, leçon
clinique
. Le Dr Bérillon fera, à partir do samedi 14 mai
relatives au cervelet. Salpétrière. — MM. les Dr A. Dutil, chef do
clinique
, et Paul Blocq, chef des travaux anaiomo-patholog
travaux anaiomo-pathologiques. commenceront à la Salpetrière un cours
clinique
sur tes maladies du système nerveux, a partir du
rses. Les archives des procès de sorcellerie renferment mie véritable
clinique
fossile des affections du système nerveux. Lorsqu
ène, dont nous avons déjà cité un cas, est bien connu dans l'histoire
clinique
des maladies nerveuses; on l'appelle coprotafie).
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
x médecins et aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
rits sont admis à y assister. Le samedi, à dix heures et demie, leçon
clinique
, Salpbtrièrb. — M. le Dr Auguste Voisin commenc
s et nerveuses. Plusieurs leçons seront consacrées aux applications
cliniques
de l'hypnotique. Clinique médicale de l'Univers
eçons seront consacrées aux applications cliniques de l'hypnotique.
Clinique
médicale de l'Université de Palerme. — M. le prof
l'Université de Palerme. — M. le professeur Lugatto, direcieur de la
Clinique
médicale de Païenne, a fait, le 26 mars 1S92, dan
icale de Païenne, a fait, le 26 mars 1S92, dans l'am-phithéâtre de la
Clinique
chirurgicale de l'hôpital de la Conception, une c
ur les maladies des vieillards. Ce vo-lume se compose : 1° Des Leçons
cliniques
sur les mala-dies des vieillards et les maladies
6, et recueillies par M. B. Bail; — 2° des Leçons sur la thermométrie
clinique
dans les maladies des vieil-lards, faites en 1869
out enseignement théorique. Nous ne négligerons pas toutefois le côté
clinique
, et nous espérons bien pouvoir vous mon-trer, au
leur rôle, en tant qu'il s'agit d'observation 1. « Les observations
cliniques
recueillies de nos jours ne sont supérieures aux
s animée, plus vivante, et tend à se fondre plus étroite-ment avec la
clinique
. Et cependant, messieurs, devant un trouble fon
l me serait facile de vous prou-ver qu'en combinant les données de la
clinique
avec celles que nous fournissent l'anatomie et l'
erfectionnée par l'intervention des procédés nouveaux, l'ob-servation
clinique
doit s'allier aux sciences générales et se rappro
tardée et comme stéréotypée. » Béhier, Le-çon d'ouverture du cours de
clinique
médicale,^. 19, Paris 1867, 2. H. Ilorn — Darst
n des méthodes fran-çaises et leur intervention dans le domaine de la
clinique
. Puis ce fut le tour de Tanatomie pathologique, b
telligence collective de l'espèce ne s'endort jamais » 1. Leçons de
clinique
médicale, traduction du Dr Jaccoud, 1.1. p. 53, 1
llez assister sont destinées à faire passer devant vos yeux les faits
cliniques
les plus in-téressants, que présente à notre obse
s-unes cependant ont connu des jours meilleurs. Au point de vue de la
clinique
médicale, qui seule doit fixer notre attention, e
que nous trouvons les matériaux qui nous serviront à faire l'histoire
clinique
des affections de l'âge sénile. La seconde catégo
aître que si la pathologie de l'enfance se prête à des considérations
cliniques
d'un ordre spécial, et qu'il est indispensable de
combler ; cependant, à l'époque où il écrivait son Traité de médecine
clinique
, l'hospice de la Salpétrière avait déjà reçu l'or
24. — Fischer. Tractatus de senio. 1766. 2. Pinel. — Traité de méd.
clinique
. Paris, 1815. Introduction, p. xiij. 3. Landré-
et asile et qui devront fixer votre attention plus tard. Les leçons
cliniques
faites à la Salpétrière par Rostan, vers 1830, eu
de Gillette (2), sur les maladies des vieillards, ainsi que le Traité
clinique
publié en 1854 par M. Du-rand-Fardel. Nous pourri
nous ferons de nombreux emprunts. Le premier est le volumineux Traité
clinique
des maladies des vieil-lards, dû à la plume de M.
du Saint-Esprit, à Nuremberg. Le second est un Recueil d'observations
cliniques
, rédigé par M. le docteur Me/t-tenheimer, à l'hos
resque tous ces écrits sont de date récente et appartien- 1. Etudes
cliniques
sur les maladies des vieillards (Journal de médec
vieillards. — Qu'est-ce que la fièvre ?— Importance delà thermométrie
clinique
. — Du frisson chez les vieil-lards. — Courbes de
e cette étude, en nous maintenant exclusive-ment sur le terrain de la
clinique
. Non seulement il existe pour le vieillard des
aissons de côté ces cas peu fréquents pour n'envisager que ceux de la
clinique
or-dinaire, nous sommes amenés à reconnaître qu'e
éfinitivement nos idées à cet égard. Nous avons nommé la thermométrie
clinique
. Bien que les critiques ne lui aient pas été épar
temps n'est pas loin où son emploi sera généralement répandu dans la
clinique
usuelle. On dit que le célèbre Hollandais Swamm
lusion bien des fois, parce qu'on l'observe très fré-quemment dans la
clinique
du vieillard ; c'est qu'au moment même où la peau
is, ceux surtout de Roger (1844), ont fait pressentir toute la portée
clinique
de ce moyen d'investigation. Toutefois, "c'est en
sprung, de Traube, de Michaël, de Wunderlich surtout, la thermométrie
clinique
a subi une transformation radicale. Il ne s'agiss
nt on pouvairétablir que ces tracés ont une réelle importance dans la
clinique
; qu'ils permettent, — mieux peut-être que tout a
llards placés sous notre direction dans cet hospice, les observations
cliniques
dont il s'agit ; on s'était généralement borné, j
us montrer tout le parti qu'on peut tirer de la thermo-métrie dans la
clinique
des vieillards. 11 est à peine néces-saire de rap
marquées, pendant un certain nombre de jours, constitue un caractère
clinique
important de la pneumonie lobaire, surtout dans V
pporter à ce que nous obser-vons à la Salpôtrière. Aussi l'importance
clinique
de ce fait ne saurait être exagérée, surtout lors
urs, je crois vous avoir montré toute l'importance de la thermométrie
clinique
dans l'étude des maladies des vieillards, et l'ut
ens appliquaient à la goutte, est fondée en réalité sur l'observation
clinique
; nous retrouvons dans l'étude rigoureuse des f
péra-tions chimiques très délicates, qui ne sont pas du domaine de la
clinique
. 11 est un procédé plus simple et d'une applica
ique a pour effet de faire disparaître l'acide urique. L'importance
clinique
de ce procédé est aisée à comprendre : c'est, cla
l.Todd.—Praclical remarks on Gout. Londres 1443,p. 45. — Trousseau.
Clinique
méd. de l'Hôtel-Dieu, t. III, p. 328. simultané
certain nombre de considérations, dont l'importance, au point de vue
clinique
, ne saurait être contestée : 1° Remarquons d'ab
od a su montrer tout le parti qu'on en pouvait tirer, sous le rapport
clinique
. Ces petits dépôts siègent en général sur le re
e la pathologie comparée puisse vous paraître un peu étrangère à la
clinique
, il ne faut point vous étonner de l'importance qu
t supporter le moindre bruit. Ici, messieurs, se termine l'histoire
clinique
de la goutte ré-gulière. Cette forme de lamaladie
vues d'ensemble, et peu soucieux d'analyser minutieusement les faits
cliniques
, les médecins des siècles passés ont eu toujours
es qui l'en séparent. Mais, avant de descendre sur le terrain de la
clinique
pour aborder la description des faits particulier
e peuvent déterminer les divers phénomènes qui constituent l'histoire
clinique
de cette affec-tion ; en un mot, nous chercherons
vons dans les auteurs modernes, pour se convaincre qu'au point de vue
clinique
, la goutte est toujours restée fidèle à son type
es données de la physiologie de celles que nous fournit l'observation
clinique
. Il ne faut pas d'ailleurs nous flatter d'obtenir
ière et le vin, ce qui est d'accord avec les données de l'observation
clinique
. 1. Beneke, Nord See Bad.. 1855, p. 85. — Genth
ses lésions. — Modifications qui correspondent aux principales formes
cliniques
de la maladie. Messieurs, Après avoir approfo
ous avons eu déjà l'occasion de citer. C'est donc une véritable étude
clinique
que nous allons entre-prendre ici, et j'aurai sou
ule et même source. Il est toutefois indispensable, au point de vue
clinique
, d'étudier séparément les principales variétés du
nous aurons l'occa-sion, dans la suite, de légitimer au point de vue
clinique
la séparation de ce types particuliers. Nous no
cales ; nous poursuivrons ces recherches au double point de vue de la
clinique
et de l'anatomie pathologique, mais en in-sistant
rmes qu'elle peut revêtir se distinguent surtout par leurs caractères
cliniques
, et présentent, sous le rapport des altérations l
s il existe de nombreuses modifications à cet égard, suivant la forme
clinique
du rhumatisme qu'on en-visage et suivant quelques
mes de comparaison des cas subaigus, qui établissent, au point de vue
clinique
comme au point de vue anatomique, une transition
loin de s'exclure réciproquement. Cependant, quelques particularités
cliniques
et l'influence décisive du traitement spécifique,
normal. Nous croyons avoir établi : 1° l'unité des diverses formes
cliniques
du rhumatisme articulaire chronique au point de v
aire aigu. Nous voulons, en effet, soute- nir dans le domaine de la
clinique
le parallèle que nous avons institué, sous le rap
de vue anatomique, et que nous allons bientôt étudier au point de vue
clinique
, sja^loin de consti-tuer exclusivement le rhumati
ieurs, comme nous l'avons vu pour la goutte. Enfin, l'un des traits
cliniques
les plus essentiels de cette affection est la mob
nne lieu à des embolies capillaires. C'est là un côté essentiellement
clinique
de la question, et un côté tout nouveau, bien qu'
ucune oblitération dans les artères de la base (1). 1. Trousseau. —
Clinique
médicale de l'Hôtel-Dieu, t. II, p. 587. — Bou-ch
les faits se sont mul-tipliés. Il y a quelques années, dans une leçon
clinique
, Beau faisait ressortir, chez une jeune fille, la
nt l'objet de son éludes: mais il est temps d'aborder le poiutdevue
clinique
, et de placer sous vos yeux l'appareil symptomati
es cas, ne parviennent pas à guérir. DEUXIÈME PARTIE Thermométrie
clinique
dans les maladies des vieillards. PREMIÈRE LEGÓ
llards. PREMIÈRE LEGÓN De l'importance de la thermométrie dans la
clinique
des vieillards. Sommaire. — Préliminaires. — Di
rienter au milieu des écueils sans nombre qui s'offrent à lui dans la
clinique
des vieillards. Il n'est plus nécessaire aujour
urd'hui de dépenser beaucoup d'éloquence en faveur de la thermométrie
clinique
; la mé-thode a fait son chemin, et elle s'est ré
exclusivement propre aux re-cherches scientifiques. La thermométrie
clinique
, est, vous le savez, un moyen physique d'explorat
r s'élève au-delà du taux normal, que l'importance de la thermométrie
clinique
peut être aisément mise en relief; il est cependa
s courbes axillaire et rectale, se rencontre très fréquemment dans la
clinique
des sujets âgés. Telle est la raison principale
au-dessous du taux normal. — Mes-sieurs, il est dans la thermométrie
clinique
un certain nom-bre de faits fondamentaux dont la
fièvre. DEUXIÈME LEÇON De l'importance de la thermométrie dans la
clinique
des vieillards (Suite). Sommaire. — Caractères
(Fig. 25). Fig. 25. Tout à l'heure, je ferai ressortir l'utilité
clinique
de la ther-mométrie dans les faits de ce genre ;
une con-firmation, ils pourraient être utilement rapprochés des faits
cliniques
. TROISIÈME LEÇON De l'importance de la thermo
iques. TROISIÈME LEÇON De l'importance de la thermométrie dans la
clinique
des vieillards Sommaire. — Abaissement do la te
ties sphacélées peuvent être une source d'in-fection. C'est ce que la
clinique
avait reconnu déjà ; mais l'expérience de Kussmau
underlieh (1), auxquels on doit une remarquable étude-sur ce point de
clinique
parmi nous trop négligé (2). Mais le syndrome col
tir tout l'intérêt qui s'attache aux études thermomé-triques clans la
clinique
en général et dans celle des vieil-lards en parti
trou-vions, et nous avons recueilli un certain nombre d'observations
cliniques
et nécroscopiques, qui font la base de notre trav
le rhumatisme ; thèse soutenue en 1813. — Chomel et Requin. Leçons de
clinique
médicale, t. II, 1837. — Bouillaud. Nosoyraphie m
Hayliartli l'ait évidemment allusion aux mêmes cas dans son Histoire
clinique
des nodosités des jointures (2). Le début habit
qui me paraissent propres à éclairer plu-sieurs points de l'histoire
clinique
et nécroscopique de la goutte proprement dite ; j
ssent au contraire, devoir tenir une place importante dans l'histoire
clinique
de la goutte. En effet, d'après les recherches de
urates en grande abondance. Tels sont les caractères anatomiques et
cliniques
sur les-quels s'appuie le docteur Todd pour diffé
écrits inédits de C. Hillier Parry (3), recueil riche d'ob-servations
cliniques
intéressantes, et qui révèlent presque tou-jours
le. plusieurs exemples (On Gout, p. 545); Trousseau en cite un cas (
Clinique
médicale, t. III, p. 375). «Fonctions utérines.
supérieures, ne se distin-guent pas essentiellement, au point de vue
clinique
, de celles qui se produisent si communément dans
., S. 604), 0' Ferrai (Provincial Journal, 6 feb. 1849) et Trousseau (
Clinique
médicale de VHôtel-Dieu, t. III. p. 345), ont ins
. H. Parry, London, 1825, t. I, p. 243), recueil riche d'observations
cliniques
inté-ressantes, et qui révèlent presque toujours
un individu atteint de paralysie saturnine se trouve dans les leçons
cliniques
du même auteur, sur les maladies du sys-tème nerv
m-bre desquels prédominent les urates et l'acide urique. (Trous-seau,
Clinique
médicale, t. III, p. 351, 1865) (p. 333). Influ
s, un fait inté-ressant rapporté par le docteur Todd, dans ses Leçons
cliniques
sur les maladies des voies urinaires (loc. cit.,
a été reproduit avec quelques détails complémentaires dans les leçons
cliniques
du docteur Todd {Clinical lectures on paralysis
er que M. Garrod n'ait pas étayé cette assertion par des observations
cliniques
détaillées, car c'est à peine s'il existe, dans l
nique. — Gazette médicale de Paris, 1864, n° 36, 38, 39. — Trousseau,
Clinique
médicale, t. III, p. 391, 1895. — Vergely, Essai
affection organique du cœur. — Il y a quelques années, dans une leçon
clinique
(Gazette des hôpitaux, 19 juillet 1864), M. Beau
es aiguës, subai-guës et chroniques du rhumatisme. — Des observations
cliniques
assez nombreuses me portent au contraire à penser
ase biliaire, de la gravelle urique et de la goalie. —? L'observation
clinique
démontre que la lithiase bi-liaire coexiste assez
'histoire a été rap-portée par M. Traube (de Berlin), dans une de ses
cliniques
(Berliner klinisch. Wochenschr., 27 nov. 1865, u°
de latéralité), tantôt et alternativement l'un ou l'autre de ces 1.
Clinique
médicale de l'Hôtel-Dieu de Paris, 4e édition, t.
eillards. — Qu'est-ce que la fièvre ? — Importance de la thermométrie
clinique
. — Du frisson chez les vieillards. — Courbes de t
s lésions. — Modifications qui correspondent aux principales formes
cliniques
de la maladie.......................,..........
. . ,...........................272 DEUXIÈME PARTIE Thermométrie
clinique
dans les maladies des vieillards. PREMIÈRE LEÇO
....293 DEUXIÈME LEÇON DE l'IMPORTANCE DE la THERMOMÉTRIE dans LA
CLINIQUE
DES VIEILLARDS (Sllite). Caractères thermiques
.. 272 TROISIEME LEÇON de l'importance de la thermométrie dans la
clinique
des vieillards. Abaissement de la température c
avec le rhumatisme articulaire aigu, 178; — unité des diverses formes
cliniques
, 191 ; — cardiopathies dans le —, 211 ; — pleurés
affections or-ganiques ou fonctionnelles du cœur, 340 Thermomètrie
clinique
, 26 ; — son im-portance chez le vieillard, 292, 3
microscopique, 401 ; siège, 56, 420 ; — volume, 420 ; — caractères
cliniques
, 83 ; — con-sistance, 421 ; — mode d'apparition,
ité n’acceptera que des communications se rapportant aux applications
cliniques
, médico-légales, psycho-phvsiologiques, pédagogiq
communications seront divisées en quatre groupes : 1. Applications
cliniques
et thérapeutiques d’hypnotisme et de la suggestio
renforcer les suggestions précédentes; par un artifice enseigné à la
clinique
du Dr Bérillon, pour remplacer l’idée obsédante e
sent, affirmer ce diagnostic (I) Présentation de malade faite :i la
Clinique
des maladies du système nerveux, h la Salpûtrièr*
obtenus par le sommeil hypnotique! Il y a quelques jours, venait à la
clinique
de M. le Dr Bérillon une jeune fille, hystérique
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les Dr* Henry Lemesle, Iiellemanière, Wat
ière. — M. le Dr Jules Voisin, fait tous les jeudis, à 10 heures, une
clinique
sur les maladies mentales et neigeuses. Société
(de Melbourne) s’est placé sur le terrain de l'expé-périence et delà
clinique
. Ainsi qu’il l’a expliqué dans une communication
e manqua pas de se présenter au Dr Legrain et qui est allé aussi à la
clinique
du Dr Bérillon faire ses offres de service. Il
u réveil, ne s'est pas reconnue; elle n'aurait rien su de (1) Leçon
clinique
û la Salpétriêre. ce qui s’était passé si on
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications
cliniques
, médico-légales et phj-siologiques de l’hypnotism
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les Dr* Henry Lemesle, Bellemanière, Watt
1828, successivement externe, interne, lauréat des hôpitaux, chef de
clinique
, médecin de la Pitié dès 1806, Dumontpallier fut
me, chaque année, de 1876 à 1886, il (it sur ce sujet des conférences
cliniques
devant un nombreux Dumontpallier auditoire. L
peu commune, il fut externe en 1870, second interne en 1872, chef de
clinique
de !a Faculté en 1877, médecin des hôpi-teauxen 1
i fera époque ; on peut en juger par la lecture des quatre volumes de
Clinique
déjà publiés, lesquels sont des monuments d’érudi
publiés, lesquels sont des monuments d’érudition impeccable, de sens
clinique
, de critique sagace, de synthèse compréhensive et
enseignement permanent de tout ce qui relève de l hypno-logie. A sa
clinique
de la rue Saint-André-des-Arls, il lait des merve
l'hypnotisme, améliorés ou définitivement guéris. Il y a plus ; cette
clinique
est une véritable Ecole de Psychothérapie, où de
iébeault et son école, numéro de novembre 1808. «ire à la modeste
clinique
de la rue de Bellevue. Le professeur rie la Facul
endant un, deux, trois jours, (1) Présentation de malade faite à la
Clinique
des maladies du «ystômo nerveux* la Salpétricrc.
lement accueillis et même fêtés. Le professeur Raymond, son chef de
clinique
, et les chefs des différents laboratoires, nous o
différents laboratoires, nous ont fait les honneurs du service de la
clinique
et de ses dépendances, avec une bonne grâce et un
ancien interne des hôpitaux, Paris. M. le Dr Raymond, professeur de
clinique
des maladies nerveuses à la Faculté de Paris. M
professeur à la faculté de Jassy. M. le Dr Marinesco, professeur de
clinique
des maladies nerveuses à la faculté de Bukarest.
ses à la faculté de Bukarest. M. le DrThomas Tonesco, professeur de
clinique
à la faculté de Bukarest, délégué du gouvernement
us le nom significatif de psychothérapie. Les recherches de pédagogie
clinique
entreprises en 188G, et poursuivies sans relâche
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l’hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d'été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l’hypnotisme. II.est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. II.est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les Df‘ Henry Lemesle, Bellemanière, Watt
s international de Moscou. On doit à Korsakoff l'organisation de la
Clinique
psychiatrique de Moscou, un traité complet de psy
tats obtenus par le docteur F. van ÏCedcr. et par moi-même dans notre
clinique
de psychothérapie d’Amsterdam pendant les deux pr
e avec M. Van Eedcn à Amsterdam (15 Août 1887), nous avions fondé une
clinique
pour le traitement des maladies nerveuses par la
a nomination, sous condition que l’Etat mettrait à sa disposition une
clinique
ad hoc. Cette promesse cependant ne fut pas rem
t les honneurs du titre alors que le gouvernement en le privant d’une
clinique
le mettait dans l’impossibilité de donner un ense
orbé par les exigences de l’enseignement, de la direction de ses deux
cliniques
, de ses expérimentations psychologiques, il ne lu
Ziehen et Winkler, le docteur P. Bierens de Haan a cr é à Utrecht une
clinique
de psychothérapie et s'abstient dans le traitemen
aisir de vous annoncer que le 1er Novembre dernier les services de ma
clinique
ont été transférés dans un hôtel expressément bât
ma, la Neerlande septentrionale. w * 4 Depuis la création de la
clinique
de psychothérapie d’Amsterdam jusqu’à ce jour, tr
le sont devenus les amis d’aujourd’hui. Les malades qui affluent à ma
clinique
en sont le témoignge vivant puisque pour une gran
e ne pouvait toucher certains objets, en particulier des (1 j Leçon
clinique
faite à la Salpfitrière. couteaux. Leur conta
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l’hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les D" Ilenry Lemesle, Bellemaniere, Watt
udis suivants à dix heures. — Il sera secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les Dr‘ Ilenri Lemesle, Bellema-nière, Ja
, scs instruments, scs plaques microscopiques ; et M. Cestan, chef de
clinique
, avec une bonne grâce vraiment méritoire, donne à
à la guérison, ainsi que nous l’a démontré le docteur Voisin dans sa
clinique
? Voici, par exemple, une jeune fille en proie à d
l’étude d'une léthargique comme celle de Thenclles à un simple examen
clinique
. De même les fameux jeûneurs Succi et Merlatti
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l’hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé dans ses démonsh*ations
cliniques
par MM. les D* Henry Lemesle, Bellemanière, Watea
ypnotisme employé comme méthode d'investigation psychologique ; 2* la
clinique
des maladies nerveuses et mentales : 3° la pédago
; 2* la clinique des maladies nerveuses et mentales : 3° la pédagogie
clinique
; 4* tous les procédés d'analyse et de psychométri
gastro-intestinale. — (Troisième chapitre du même mémoire. (Archives
cliniques
de Bordeaux, 1899. n# 9 et 10). — La psychose é
es de Bordeaux, 1899. n# 9 et 10). — La psychose éclamptique, leçon
clinique
. (Revue mensuelle de Gynécologie, d'obstétrique e
de médecine. Aucun n’avait plus de titre à cette distinction. Chef de
clinique
et collaborateur de Charcot, il est celui qui a é
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l'hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les Dri Henry Lemesle, Bellemanière, Wate
Bdil. de J.-B. Th. Baumes, 1846, t. H. p. 65. (2; IintQGgr : Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, Paris, 1859. (3
ision et de la clarté que grâce à deux hommes, dont l’un a apporté en
clinique
la sagacité du psychologue, et dont l’autre a abo
de San Paulo (Brésil). Parmi les nombreux malades qui viennent à la
clinique
de l’institut psycho-physiologique de Paris, fond
Voici dans quel état se trouvait cette malade, lorsqu’elle vint à la
clinique
, le 20 novembre 1900: Frayeurs de tous les instan
son cerveau, le calme, la confiance dans les procédés suivis dans la
clinique
. Après le réveil, nous prenons des renseignements
t Paul Farez. Mme D... n’a jamais manqué à aucune des séances de la
clinique
, soit mardi, jeudi et samedi. Toujours nous la
ersuasion et à la suggestion. (1) Présentation de malade faite à la
clinique
des maiaüies du systùoie nerveux à la Salpétrière
rmé contre un arrêt de la cour (1) Présentation de malade faite» la
clinique
dea maladies du tyslèioo nerveux à la Salpêtrière
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l’hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses [dispensaire :neurologique
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les Dr* Henry Lemesle, Bellemanicre, Wate
libre sur : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications
cliniques
de l'hypnotisme. Le Dr Bérillon étudiera spéciale
crise hystérique franchement (t) Présentation de malode fniie à la
Clinique
des maladies du système nerveux, h la Salpôtrière
clonus multiplex, par M. !e D*- V. P. PanvouCHINE, Conférence de la
Clinique
neurologique de Kajait, 10 janvier 1809. - En 1
n cas d’hystérie grave, par M. le I> E.-A. GuiZE, Conférence de la
Clinique
neurologique de Saint-Pétersbourg, 21 janvier 189
hologie nerveuse, mais d’ « exposer la méthode à suivre dans l'examen
clinique
du malade et la façon de grouper les symptômes po
ces, analyser les troubles morbides, déterminer leur véritable valeur
clinique
, les faire converger vers un diagnostic anatomiqu
ins hypothétiques, bourré de faits, de statistiques et d'observations
cliniques
, se répartit en sept chapitres ainsi intitulés :
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l’hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine (semestre d’été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de l’hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les Dr* llenry Lemesle, Bellemanière,
libre sur : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications
cliniques
de l’hypnotisme. Le Dr Bérillon étudiera spéciale
a suggestion. N. B. — Le cours sera complété par des démonstrations
cliniques
à l’Ir.stitut psycho-physiologique, 49, rue St-An
us limpides du monde, l’éminent médecin de Sainte-Anne, professeur de
Clinique
des maladies mentales à la Faculté, donne à qui l
o-physiologique de Paris, fondé en 1889 pour l’étude des applications
cliniques
, médico-légales et physiologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
de médecine semestre d’été) par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de 1 hypnotisme. Il est secondé d
pédagogiques de 1 hypnotisme. Il est secondé dans ses démonstrations
cliniques
par MM. les Dr* Iienry Lemesle, Bellemanière, Wat
libre sur : Psychologie physiologique et pathologique. — Applications
cliniques
de l’hypnotisme. Le Dr Bérillon étudiera spéciale
a suggestion. N. B. — Le cours sera complété par des démonstrations
cliniques
à l’institut psycho-physiologique, 49, rue St-And
A l'appui de cette manière de voir, l’auteur relate six observations
cliniques
des plus concluantes. Elles concernent des enfant
les lésions du système nemeux dans la paralysie diphtérique. Chef de
clinique
en 1879 à l’hôpital de la Charité, il était nommé
ies qu’il a plus spécialement étudiées. Il fit de nombreuses études
cliniques
et anatomiques sur l’aphasie, sur les localisatio
l’histoire de la médecine, et qu’il occupe bientôt une des chaires de
clinique
médicale pour laquelle ses aptitudes et sa valeur
S LA DIRECTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE
CLINIQUE
PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE D
RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE
CLINIQUE
PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIE
OURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES DES MALADIES MENTALES DES MALADIES
GÉ A LA FACULTÉ DIRECTEUR Honore DU LABORATOIRE DE DE MÉDECINE LA
CLINIQUE
MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE DIRECTEUR D
'anévrysme des artères de la base du cerveau n'ont point d'histoire
clinique
. Ils ne sont découverts le plus souvent que sur l
précède offre un très grand intérêt, non seulement au point de vue
clinique
, mais aussi et surtout quant aux lésions anatomo-
uite de la compression. La (1) D. H. Reinhold (méd. assistant de la
clinique
médicale de Fribourg-en-Brisgau), Beilraege Hur
ions anatomiques offrent un intérêt aussi grand que les symptô- mes
cliniques
. Plusieurs auteurs ont étudié récemment les consé
le sensorielle du (1) ANDRé (Thomas, Le cervelet (étude anatomique,
clinique
et pathologique). Paris, 1897. (2) L. EDINGER
eaux qu'il nous a été donné d'étudier chez ce malade. Observation
clinique
. Antécédents héréditaires. - Père mort de fièvr
ion ne réside pas seulement dans ce fait qu'elle réalise le tableau
clinique
, aussi complet que possible de la « neu- rofibr
andes lignes bien connu aujourd'hui et l'un de nous dans ses leçons
cliniques
de l'Il6tel- Dieu, a suffisamment insisté sur l
ns cliniques de l'Il6tel- Dieu, a suffisamment insisté sur l'allure
clinique
de celte affection pour que nous puissions nous
liniquement, il s'agit donc d'une neurofibromatose acquise. Ce fait
clinique
répond-il à la réalité, et ne peut-on pas, eu éga
ait tous ses maux; elle aurait joué le même (1) P. Maiiie, Leçon de
clinique
médicale, Masson, 1890. NEUROFIBROMATOSE GÉNÉRA
a- tion du tibia droit en lame de sabre. Dans une autre observation
clinique
de JGANSGL111G (2), il s'agissait d'une femme d
ant à l'unité originelle toutes les manifestations anato- miques et
cliniques
de la polyfibromatose, faisant de la polyfibromat
erveuse de la fibromatose -qui réalise l'uni té patlio('éiiiqtie et
clinique
de l'affection désignée, sous le nom de « neurofi
888, nous croyons avoir suffisamment mis en évidence les caractères
cliniques
et anatomo-patho- logiques de cette affection.
RIÈRE) UN CAS D'ANOREXIE HYSTERIQUE PAR GEORGES GASNE Chef de
clinique
à la Salpêtrière. Il est toujours intéressant d
par- fois jusqu'à des menaces d'asphyxie. Quelquefois le tableau
clinique
est bien moins dramatique : il s'agit alors, so
aité des névroses, 1883. p. 1020. 13. GILLES de la Tourette. Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, III, p. 344.
ue et thérapeutique de l'hystérie, III, p. 344. 14. ANDHÉ. Précis
clinique
des maladies du système nerveux, 1895, p. 65. 1
nnant, les nodules indurés de volume variable que décelait l'examen
clinique
. Le stroma de la tumeur est conjonctif et infil
pomateuse plus ou moins considérable. L'im- possibilité de l'examen
clinique
de la face postérieure de la colonne, masquée p
esseur à la Faculté de Médecine de Montevideo. J'ai observé dans ma
clinique
de Montévidéo (Hôpital de la cas dont les trait
on avait toujours essayé dans les observations ce travail d'analyse
clinique
, ce sujet serait certainement moins obscur qu'i
la durée du coma aurait atteint plusieurs mois; mais l'observation
clinique
est si résumée qu'on ne sait pas au juste s'il
malade paraît la contredire. Un mois avant l'examen pra- tiqué à ma
clinique
la vue était subjectivement intacte. Elle a comme
être absolue. Une dernière réflexion. On se rappellera que l'examen
clinique
n'a pas montré la moindre trace de paralysie oc
ifs ou négatifs de tumeur de la fosse moyenne. Or dans notre cas,la
clinique
permettait d'affirmer que la tumeur, s'il y en
d'autres signes imposent. Si le fait est connu, rarement un exemple
clinique
l'aura établi d'une façon plus nette. C'est à c
enter ces quelques réflexions. FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX (
Clinique
de il. LE l'ROI·'ESSEUIIPITItES LES OSTÉO-ARTHR
s ses leçons, il fixait, d'une façon presque définitive, la formule
clinique
et anatomique de cette complication de l'ataxie l
s les attitudes que leur impriment les lésions vertébrales. L'étude
clinique
de- ces faits est complète, mais elle n'est sui
ractures de la colonne vertébrale ». Il donne un résumé de l'examen
clinique
des cinq malades, groupe les traits essentiels
eich. Il cite un dessin de P. Richer qui figure dans le musée de la
clinique
des maladies nerveuses, représentant une tabétiqu
égende porte « fracture des vertèbres ». L'absence de tout document
clinique
se rapportant à cet image rend ce diagnostic osé,
opathies de la colonne vertébrale dans le tabes : deux observations
cliniques
avec autopsie, de Pitres el Vaillard, et trois ca
ations cliniques avec autopsie, de Pitres el Vaillard, et trois cas
cliniques
de 1\.1'03- nig. Devant ce nombre infime, tous
musée de la Salpêtrière. La deuxième série renferme les do- cuments
cliniques
sans contrôle anatomo-pathologique direct ; dans
le dessin de la scolastique de P. Pitres. II A. - Observations
cliniques
avec autopsie. La première observation que nous
spé- rités. L'observation précédente manque totalement de détails
cliniques
. Il nous a été impossible de retrouver la trace
et aucune nouvelle manifestation n'était venue s'ajouter au tableau
clinique
précédent, lorsque, en janvier 1898, la ma- lad
nt facilement. (A suivre.) FACULTÉ DE MÉDECINE DE MONTPELLIER. (
CLINIQUE
DE M. LE P' GRASSET). LES AR TRHOPATHIIJS TABÉT
IIJS TABÉTIQUES ET LA RADIOGRAPHIE, PAR LE D' GIBERT, Chef de
clinique
médicale à l'Université de Montpellier. La radi
s elles ont dominé par leur brutalité et leur monstruosité la scène
clinique
. C'est pour leurs arthropathies que nos sujets
ouve dans un territoire médullaire voisin de l'appareil sensitif.
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE LA
PÊTRIÈRE. LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE, PAR R. CESTAN, Chef de
Clinique
des maladies du Système Nerveux. A l'heure actu
années et de nombreux travaux nous ont appris aussi bien le tableau
clinique
que les détails histologiques des dif- férentes
ole pour l'axe cérébro-spinal ; d'ailleurs, la bénignité du tableau
clinique
des manifestations périphériques que fait souve
lle (Service de M. le professeur Raymond, à la Salpêtrière). Résumé
clinique
: Syphilis ,grave le 1. cr mai 4899, apparition d
De l'examen de ces malades dont nous venons de rapporter l'histoire
clinique
, une constatation se dégage aussitôt, la diversit
nalgésie totale au cours de la période secondaire et sa description
clinique
ne permet pas de rattacher cette analgésie à un
les lésions anatomiques de radiculile syphili- tique et le tableau
clinique
qui en découle sont très différents de ceux de
ions névritiques, nous trouvons cependant trop complexes l'histoire
clinique
des deux malades de Taylor et Sorrentino pour l
n de documents suffisanls et in- discutables pour tracer le tableau
clinique
de la polynévrite syphilitique ? Rien ne serait
té du problème pathogénique à tel point, qu'avant toute description
clinique
, il nous parait indispensable d'élucider le poi
tion du problème palhogénique doit être exclusivement demandée à la
clinique
. Or le tableau clinique est souvent complexe. A
nique doit être exclusivement demandée à la clinique. Or le tableau
clinique
est souvent complexe. Avant l'apparition des tr
nous sera dès mainte- nant possible de tracer rapidement l'histoire
clinique
de la polynévrite^ syphilitique. Les troubles
baiguës ou chroniques (Thèse de Poussard). Il n'existe pas un signe
clinique
certain pour trancher la question, cependant da
int délicat de pathogénie et démontré qu'il n'existait pas de signe
clinique
différentiel ni dans la physionomie des trouble
orance sur leur formule histologique ; cependant leur phy- sionomie
clinique
ne paraissant pas différer essentiellement de cel
toxiques et infectieuses, il est à présumer que cette ressemblance
clinique
doit avoir pour substratum une ressemblance ana-
E SEGMENTAIRE (G. Gasne et G. GioV/ntH M : ¡S50n A CI Fditll\l"
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
le. Aussi il nous a paru intéressant de rapporter brièvement ce cas
clinique
. Il s'agit d'une femme de soixante-trois ans d'
adiographie dans l'interprétation de ce cas dont les manifestations
cliniques
peuvent être considérées comme rares et d'un di
lipome sus-claviculaire survenu chez une femme de 27 ans. L'aspect
clinique
était celui d'un volumineux lipome dans le- que
de Rehns nous devons signaler : 3 cas observés par Péan, Leçons de
clinique
chirurgicale, t. IX, page 1089, et Tribune médica
l'homme et qui est remarquable par la cons- tance de ses caractères
cliniques
. Une malade de M. Lejars présente toute- fois l
prochée de celle de Grosch. Son point de départ est histologique et
clinique
: l'histologie démontre, dit-il, entre les dépô
cellules adipeuses isolées, disposées en traînées ; d'autre part la
clinique
constate la coexistence fréquente de la polysar
tique. Il invoque à son appui un certain nombre de parti- cularités
cliniques
; mais, fait curieux à constater, plusieurs sont
le Prof. Ilayem est d'ail- leurs revenu sur son opinion et dans la
Clinique
médicale de l'hôpital St-Antoine (Masson et Cie
ins nombreux. Cette constatation a été faite soit par l'exploration
clinique
(1) soit au cours des opérations. Ainsi, chez l
ontrent l'anatomie pathologique, l'étiologie et surtout l'évolution
clinique
. Pour nous, les productions lipomateuses ont po
it des expériences cadavériques destinées à rendre compte des faits
cliniques
. Nous avons consigné ces expériences et dessiné
sauf au premier, aux différents points de vue de l'étiologie, de la
clinique
et de la pathologie, nous y ajouterons quelques
choc. Ces considérations nous ramènent précisément à l'observation
clinique
. On peut en effet constater que de nombreuses hém
nts associés, comme celui qui est décrit dans l'observation III. La
clinique
offre naturellement toutes les variétés d'inten
t lire et écrire aussi bien qu'avant son accident. ~ Enfin l'examen
clinique
des autres appareils n'a révélé rien d'anormal.
Bordeaux. Les photographies ont été prises dans le laboratoire des
cliniques
par M. le Dr SABRAZÈs (Pl. XXXVI, b,c,d). Jules
du sang a été pratiqué par ]II. le D S(ibi@azès,au laboratoire des
cliniques
, le H novembre 1899, le malade étant à ieun. L'
ance d'un garçon et d'une fille. FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX (
clinique
DE M. LE professeur Pitres) LES OS'rÉ0-ARTIIROP
JEAN ABADIE Interne des hôpitaux de Bordeaux. II OBSERVATIONS
CLINIQUES
SANS AUTOPSIES. En tête de cette deuxième série
t quatre observations per- sonnelles. Nous avons joint à l'histoire
clinique
et à la description des déviations vertébrales
alpêtrière, n° 2, 1900, p. ne. (2) Gilles de la Touiiette, Eludes
cliniques
et physiologiques sur la marche. La 294 GILLES
ns d'atrophie du cervelet qui présentent les plus grandes analogies
cliniques
mais qui diffèrent sensiblement les unes des au
la voix très nasonnée. Il est inutile d'insister sur les analogies
cliniques
qui rapprochent ces deux observations ; le diag
observer un malade atteint de la même affection, dont l'observation
clinique
et l'examen anatomique ont été rapportés par l'
es nystagmiformes, l'exagération des réflexes complètent le tableau
clinique
qui rentre dans le cadre du syndrome cérébelleux
davantage animée d'oscillations de large amplitude. A cet ensemble
clinique
si singulier correspondent chez notre premier m
trophie cérébelleuse est une affection assez rare, le type anatomo-
clinique
que nous venons de rapporter l'est encore bien da
e peu de celle qui fait le sujet du travail actuel, au point de vue
clinique
par un léger degré d'ataxie (1) LAN\OIS et Pavi
), Arndt (14-). Thomas (obs. V) (G) présentent de grandes analogies
cliniques
et anato- miques avec les observations précéden
; cependant il existe entre elles quelques différences anatomiques,
cliniques
et étiologiques. La malade de Menzel présentait
séquent que pour le malade de Menzel et^bien que les renseignements
cliniques
sur les différents membre(fua famille soient as
4 J. DEJERINE ET A. THOMAS quelques différences d'ordre anatomique,
clinique
et étiologique que nous avons signalées nous em
cause de l'atrophie ; alors malgré quelques nuances anatomiques et
cliniques
cette observation se placerait à côté des nôtres,
aser; si certaines analogies dans la symptomatologie ou l'évolution
clinique
permettent un rapprochement, il ne saurait être m
lérotiques suffit à différencier les unes et les autres. L'histoire
clinique
et les lésions anatomiques comprises dans ces d
ion de Miura peut être rapprochée de celle de Nonne : les analogies
cliniques
et anatomiques sont frappantes, l'hérédité et le
sont nettement signalés ; elles diffèrent cependant au point de vue
clinique
par l'état des réflexes patellaires qui sont exag
ouer un rôle important (obs. de Spiller). En réalité, le diagnostic
clinique
des atrophies cérébelleuses entre elles est des
d'autre part rien dans ses antécédents personnels, dans l'évolution
clinique
ou dans l'exa- men anatomique ne permet d'envis
des grandes analogies symptomatiques et de quelques particularités
cliniques
, il nous a paru intéressant de la reproduire.
ation anatomique nous semble la meilleure parce que le même tableau
clinique
et peut-être les mêmes données étiologiques leu
'atrophie du cervelet ; d'après Londe, il y a des cas où le tableau
clinique
réduit de part et d'autre (maladie de Friedreic
h, qu'il compare tant au point de vue anatomique qu'au point de vue
clinique
. Les mêmes troubles de l'é- quilibration qui le
iste trois types principaux : le type (t) Dejerine et Thomas, Elude
clinique
et anatomique des accidents nerveux déve- loppé
, 1891. (3) Euoea, Troubles vestibulaires. Etude physiologique et
clinique
. Revue interna- tionale de Rhin. otoi. Laryngol
quarante-sept cas. Il ne nous est pas possible d'en tirer un signe
clinique
quant au siège de la lésion, car nous n'avons t
raiment pas suf- fisant pour proposer cette coïncidence comme signe
clinique
. Hutchinson explique cette dilatation de la pup
ups donnés à cette place sont ceux que l'on constate fréquemment en
clinique
. Sur chaque figure, on voit que l'ébranlement se
ntrée demeurait intacte ; elle ne tomba que plus tard. ' Le tableau
clinique
que peuvent présenter les blessures du cerveau pa
poser le diagnostic du trajet de la balle, en l'inférant des signes
cliniques
observés, du point d'entrée du projectile et en
sang et de substance cérébrale. Mais, en s'aidant de l'observation
clinique
et des rayons X on peut déduire le trajet, à peu
temporal à la place où la bandelette optique en sort. Ce diagnostic
clinique
correspond à la situation de la cicatrice.... à
e n'est pas loin d'être lésé. Voilà qui corres- pond bien aux faits
cliniques
. La figure VII, PI. LUI, représente une coupe d
auche) assez semblables à la précédente,sont l'image fidèle des cas
cliniques
déjà cités et correspondent exactement au diagn
e bas en haut. Les résultats obtenus ne correspondent pas aux faits
cliniques
, cependant, on pourra constater sur la figure 1
reproduisent les photographies, faites au laboratoire du service de
clinique
de la Salpêtrière. 11 nous a paru intéressant d
CHVOSPEIC, Wiener klin. Wochenschrift, 2nov. 1899, n 441, p. 1086.
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
ASNE. Le malade dont je rapporte ici l'observation présente un type
clinique
qui me paraît unique jusqu'à présent dans les a
à donner telle que je l'ai recueillie à son entrée au service de la
clinique
des maladies nerveuses, l'histoire de ce singulie
prendre place. Observation. C... Louis, âgé de Il ans, entre à la
clinique
des maladies des enfants dans le service de M.
analogies telles qu'elles peuvent contribuer à une rapide esquisse
clinique
et servir de base à quelques conclusions anatom
ues. Mais pour légitimer cette division et pour prouver l'existence
clinique
de cette deuxième catégorie, il donne un dessin s
toujours alors cette dernière. Décrire par conséquent un seul type
clinique
de compensation vertébrale des lésions localisé
oivent rendre fréquentes. En raison de l'insuffisance des détails
cliniques
, nous ne saurions les décrire avec quelque exac
3e Année N° 5. Septembre-Octobre FACULTÉ DE MÉDECINE DE BUDAPEST (
CLINIQUE
DE M. LE PROFESSEUR LAUFENAUER) UN CAS DE P
AIRE SUPÉRIEURE CHRONO Par R Charles HUDOVERNIG, Assistant à la
clinique
des maladies du système nerveux de Budapest.
évié au dehors. C'est l'état de cet oeil qui a amené la malade à la
clinique
; du reste elle jouit d'une santé excellente ; el
ons ne se manifeste- ront plus unilatéralement. LABORATOIRE DE LA
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE MOSCOU. CONT
F et F. GEIER, Privat-docent à la Faculté de médecine Médecin de la
clinique
psychiatrique de Moscou. de Moscou. L'anatomi
il n'y avait point de dégénérescence nette. En comparant le tableau
clinique
avec les données histopatholoiques, Starlinger
somme c'est un fait qui présente un certain intérêt au point de vue
clinique
non seulement par la localisation alterne des deu
a trente ans par Charcot est déjà riche de documents anatomiques et
cliniques
de tout genre. Si l'observation suivante nous a
terprétation sont intéressants à rapprocher des données de l'examen
clinique
. La Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière n'a
la Salpètrière, au laboratoire de photogra- phie du D' Londe, à la
clinique
de M. le professeur Raymond. L'examen des clich
la capsule et les ligaments. * Le rapprochement des constatations
cliniques
et des révélations radio- graphiques est ici fo
des Pis Brissaud et Grasset, on est en droit* au nom de l'ana- lyse
clinique
, de distinguer dans la symptomatologie si riche e
ens d'union, est pour nous suffisamment démontrée par l'observation
clinique
: ces modifications précoces sont assurément de
ppenheim, qui voient dans les arthropathies du tabès une résultante
clinique
de névrites périphériques dont la fréquence est s
lle, en général et dans ce cas particulier, la majo- rité des faits
cliniques
et anatomiques, nous ne pouvons cependant prend
terme même de son affection, parcourir différentes éta- pes que la
clinique
nous a appris à désigner sous le nom de période d
s molles, suivant le mode que nous avons déjà appris à connaître en
clinique
. Dans cette longue explication de la genèse des
s des os longs. Nous avons ainsi la raison pathogénique d'une série
clinique
dont nous n'avons pu faire cependant la preuve
22 décembre 1895 dans une bataille. Transporté aussitôt après à la
clinique
, il s'assit pendant quelques instants sur le ba
V. Ficher, Deutsche medicinische Wochenschrift, n° 52, 1898. A la
clinique
royale de Breslau se présenta un ouvrier de 35 an
e manière général s'était affaibli. La recherche et l'observation
cliniques
confirmèrent ces dires. La faiblesse de la main
sur le temporal gauche . Hémiplégie droite avec aphasie. Leçons de
clinique
chirurgicale, 8° sér., Paris, p. 577. ' 1888. 1
ffisant. Je dois pourtant ajouter que lorsqu'on compare les données
cliniques
des observations de. myélite aiguë avec l'exame
llak et Kepmner. On trouve souvent incriminés dans les observations
cliniques
, surtout dans la phase prébactérienne de la myé
te aiguë par le fait que la maladie, après avoir réalisé le tableau
clinique
de la myélite aiguë, a pris une marche subaiguë
ve de classification que nous nous sommes attachés. Au point de vue
clinique
, on peut les diviser en : a) paralysies isolées
on du nombre considérable de mus- cles atteints et des physionomies
cliniques
variées qui peuvent dépendre du degré plus ou m
n (1889), de Vossius (1892) apportent chacune quelque particularité
clinique
intéressante : nous signalerons surtout celles de
ment une tante d'un malade était atteinte de strabisme. Description
clinique
(1). Les parents qui accompagnent les jeunes ma
Schenkl, 1er et 3e cas de Gourfein). Telles sont les considérations
cliniques
concernant l'état de l'oeil dans 17 cas d'ophta
tique, nous nous sommes surtout attachés à faire une classification
clinique
. Elle peut se résumer dans la proposition suivant
is une place à part dans la pathologie, en raison de sa physionomie
clinique
bien spé- ciale et vraiment curieuse. UNE OBS
des faits à laquelle il s'est livré pour arriver à isoler la forme
clinique
du trophoe- dème chronique héréditaire. Je me c
l'existence de tumeurs adénoïdes du pharynx nasal. Dans ses [leçons
cliniques
. M. le professeur Charcot insiste sur la présence
re l'observation rigoureuse tics fails. Or. actuellement, les examens
cliniques
portant Mir plusieurs rentables d'onychophagcs no
t seulement les ongles, Les six enfants me sont amenés â la fois à la
clinique
de la rue Saiul-André-des-Arls. Les quatre petite
hahiliules'.' Un cas de somnambulisme. M. Charcol a montré, à sa
clinique
, une malade présentant un état de somnambulisme s
nce dédaigneuse que les modernistes apportent n l'étude des symptômes
cliniques
, devenus pour eux terre-à-terre, surannés, vieux-
hysiologique de Paris, fondé en lSî'l psiur l'étutle des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hvpnolisme
relèvent de l'hvpno-tisme el de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
i, à dix heures et demie. par M. le Dr Bérillon. sur les applications
cliniques
de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. M. le
e des professeurs a dressé la liste de présentation pour la chaire de
clinique
des maladies mentales, vacante par suite du décès
de la méthode expérimentale se relromc a chaque page dans les Eludes
cliniques
sur la grande hystérie. Dans In préface de ce liv
o-phvsîologiquc de Paris; fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
relèvent de l'hypno tisme et de la psveliologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
i, à dix heures et demie, par M. le Dr Bérîllon. sur h-s applications
cliniques
de la suggestion et de Chypnotisme, etc. M. le
sombre, lu lèvre dédaigneuse, se levait et prenait la parole dans su
clinique
de lu Salpétrîère dont il avait su faire le rende
tes les enceintes comme dans celles des congres saventsou celles îles
cliniques
étrangères, qu'il se plaisait à visiter. L'œuvr
l'Aeadémie de mède, cine en 1873. il fut nommé ru 1886 professeur de
clinique
des mala-dies nerveuses, chaire créée spécialemen
M. Cloquet. Charcitl laisse un hiurd bagage seieutifique. Outre ses
Cliniques
des maladies du système nerveux, ses travaux publ
sommeil profond des dormeurs ordinaires. J'ai vu. dans leur lit. à la
clinique
de ce professeur, des malades donnant de ce somme
o-phvsiologiquc de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques île l'hypnotism
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
, à dix heures et demie, par M. le Dr Bérillion, sur les applications
cliniques
de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Une sér
, etc. Une série de leçons commencera le 5 octobre. Ou s'inscrit à la
Clinique
. M. Ie Dr J.-O. Jcunîngs fera le samedi des dém
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
i relèvent de l' hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
, à dix heures et demie, par M. le Dr liérillon, sur les applications
cliniques
de Ut suggestion et île Chypnotîsinc, etc. Une sé
, etc. Une série de leçons commencera le 19 octobre-On s'inscrit à la
Clinique
. M. le D'J.-O. Jennings fem le samedi des démon
Le savant médecin de la Salpétrière a écrit un livre essentiellement
clinique
. C'est l'enseignement au lit du malade, fixé dans
MawroukAKis. Permettez-moi de vous présenter une malade venue à la
clinique
du Dr Bérillou le 15 juin, pour nous consulter po
aiment dignes de remarque. Chaque annuée. on voit se présenter à la
clinique
de pauvres diables misérablement vêtus; leur face
r le besoin de se déplacer, d aller de ville en ville, de rliuique en
clinique
, à la recherche d'un traitement inconnu, d'un rem
vous tenir nu courant des détails de l'organisation à Bruxelles d'une
clinique
de psycholhéraphïe. Il y a deux ans je vous ava
suggestion était solidement basée sur les faits nombreux vus â votre
clinique
et it celle de M. Bernheim et aussi sur beaucoup
tiera la pratique de la psychothérapie sont également assistants à la
clinique
. Parmi mes premiers élèves se trouve M. le Df Ver
e j'ai eu l'honneur d'être, pendant six mois, l'élève assidu de votre
clinique
et de vos leçons, je n'ai pas perdu mon temps.
s stéréotypés d'incrédulité, nous saurons faire reconnaître la valeur
clinique
«le la psychothérapie. Pour terminer cette corr
pie. Pour terminer cette correspondance, je vous rappelle que notre
clinique
est libéralement ouverte aux médecins qui désiren
t chargé pendant l'année 1802-93. de la suppléance et de la chaire de
clinique
des maladies nerveuses. M. le Dr Wogislaw Soubo
o-phvsiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
i, à dix heures et demie, par M. le Dr Bérillon, sur les applications
cliniques
de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Ou s'in
cliniques de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Ou s'inscrit à la
Clinique
. M. le DrJ.-0. Jennings fera le samedi des démo
le D' Morîcourt. ancien interne des hôpitaux de Paris, ancien chef de
clinique
du docteur Burq. recommencera ses conférences cli
ancien chef de clinique du docteur Burq. recommencera ses conférences
cliniques
sur le traitement des maladies nerveuses et du di
érapie, le dimanche 5 novembre, de neuf heures à dix heures, à sa
clinique
, 9. rue de Chanaleilles. et les continuera tous l
s'est éclairée des lumières de l'observation. Les enseignements de la
clinique
battant en brèche le merveilleux, nous ont appris
rop bon observateur pour ne pas en tirer parti. Aussi dans ses leçons
cliniques
il ne négligeait pas de payer lui-même son tribal
obtenir une guérison. discussion M. A. ir Jonc (de la Haye).—A ma
clinique
psychothérapique de la Haye, je reçois un nombre
o-physiologique de Paris, fondé eu 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée s l'Institut ps
i, à dix heures et demie, par M. le D- Bérillon, sur les applications
cliniques
de la suggestion et de riiypnolisme, etc. Série d
me, etc. Série de leçons commencera le 25 novembre. On s'inscrit à la
Clinique
. M. le Dr J.-O. Jenuîngs fera le samedi des dém
— M. Magnan a repris, dans l'Amphi-théâtre de l'admission, ses leçons
cliniques
, et les continuera les lundis et samedis à quatre
». Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet reprendra ses leçons
cliniques
sur la pathologie mentale et nerveuse, â l'hôpita
1 juin 1893). Arnaud (K.-L.). — I.a folie à deux, ses diverses formes
cliniques
(Ann. médieo- psvchol.. t. XVII, 7e série. 3. 1
ation personnelle. Ce faisant, il a eu cent fois raison, parce que la
clinique
lui a révélé un grand nombre de phénomènes qui to
récisément ce soin qu'a prît M. Mesnet de se maintenir sur le terrain
clinique
et de se mettre en garde contre toute interprétat
évélation. Cette dernière publication, au double point de vue de la
clinique
et de la médecine légale, fixe, et cela d'une man
ont soif de ht vérité. Comment ne serait-on pas frappé de I exposé
clinique
qui est donné du somnambulisme spontané, que pers
timidement s la Société de biologie le» résultats de mes expériences
cliniques
sur l'action des agents physiques chez les hystér
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée â l'Institut ps
i, à dix heures et demie, par M. le Dr Bèrillon. sur les applications
cliniques
de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Série d
me, etc. Série de leçons commencera le 25 novembre. On s'inscrit à la
Clinique
. M. le Dr J.-0. Jennings fera le samedi des dém
le samedi des démonstrations pratiques d'électro-physiologie. Asile
clinique
(Sainte-Aune). — Maladies nerveuses et mentales.
née, sur les délires systématisés dans Us diverses psychoses. Asili
clinique
. — Cours de cliniqur des maladies mentales et des
cine mentale en quinze leçons sera fait par M. le Dr I'actet, chef de
clinique
. Hôpital Saist-Astoise. — Pathologie mentale et
thologie mentale et nerveuse. — M. Gilbert Ballet a repris ses leçons
cliniques
sur la pathologie mentale et nerveuse, à l'hôpita
moderne (in-8». 36 pages. Alais. 1892). . Bourneville. — Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie. l'hystérie et
ent la prétention de discuter les opinions existantes au point de vue
clinique
. Ce qui me parait avoir une très grande portée
enkran-kheiten. III Baad. 2 Heft. 1872. (2) legrand du saulle Etude
clinique
sur ta peur des espaces. Paris. 1878. (3) Après
ables révélations, qu'il a eu grand soin de les établir sur des bases
cliniques
indiscutables, bases qui sont exposées avec de gr
ntre malade. Mlle Gabriclle H..., atteinte d'hvstérie. qu venait à la
clinique
«lepuîs déjà un mois et qu'on croyait comme réfra
t pour les faire rire. Je bu lai w la responsabilité de l'observation
clinique
. Plaie d'arme blanche. — Je me porterais plus v
o-physiologique de Paris, fondé en 189l pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
i relèvent de l' hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
i, à dix heures et demie, par M. le dr Bérillon, sur les applications
cliniques
de la suggestion et de l'hypnotisme, etc. Série d
me, etc. Série de leçons commencera le 25 novembre. On s'inscrit à la
Clinique
. M. le Dr J.-O. Jennings fera le samedi des dém
s libre de pathologie nerveuse et de psychiatrie sur les applications
cliniques
de Chypno-tisme, et le continuera les lundis et l
x de Munich, tome VI, par le ï)r L. Friedrich, ancien assistant de la
clinique
du professeur Zicmssen, de Munich. Voici les co
est basé sur vingt observations de malades traités par l'auteur â La
clinique
, d'après ma méthode, dit-il expressément; et me v
ette opinon l'exemple de Mlle H....qui se trouve en ce moment dans la
clinique
de notre savant secrétaire M. le Dr Bérillon : ay
t observés, mais encore sont expliqués par les expériences physiques,
cliniques
ou autres. Ceux qui nous restent à étudier son co
Paris, le client s'en alla consulter un antre médecin ancien chef de
clinique
de Bouillaud, qui se crut obligé de Invertir qu'i
» allé cher, le II' V... pareeque je savais qn'il a été cotre ehel de
clinique
¦ Bouillaud lui répondit en sonrianl : • Calignla
-physiologiquc île Paris, fonde en 1891 pour l'élude des applications
cliniques
, médico-légales cl psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l hypnotisme el de In psychologie physìologiquc. une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à I Institut ps
n de lu consultation des maladies nerveuses. L'installation de sa
clinique
est très confortable. M, le professeur Morselli y
s libre de pathologie nerveuse es de psychiatrie sur les applications
cliniques
de l'hypno-tisme, et le continuera les lundis et
de Paris — M. Itayiunnd vient d'être nommé professeur à. la chaire de
Clinique
des maladies du système nerveux en remplacement d
t célèbres et qui devaient ouvrir la voie à de nouvelles applications
cliniques
: chacun se rappelle les belles expériences sur l
vec une logique troublante, à l'asile d'aliénés ou tout au moins à la
clinique
de psychiatrie. Est-ce à dire que toutes les affi
nces que dans les familles térntologiques ou pathologiques. Des faits
cliniques
cl expérimentaux semblent indiquer que l'on peut,
hophysiologique de Paris, fonda en 1891 pour l'étude des applications
clinique
*, médico-légales et psychologiques de l'hypnotism
ui relèvent de l'hypnotisme et do la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée â l'Institut ps
a Salpêtriére. — Le Docteur Auguste Voisin, reprendra ses conférences
cliniques
sur les maladies et les affections nerveuses, le
'été et surtout pendant les temps sombres et pluvieux. Elle vint a la
clinique
, le 15 août 1893; une amélioration évidente se ma
l n'a pas eu une crise épileptique. La troisième fois qu'il vînt a la
clinique
de M. le D' Bérillon, une de nos malades a eu une
tives inlructucuscs d'extraction, vint, au bout de douze heures, à la
clinique
; on lui tit immédiatement l'œsophagotomie extern
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude dc« applications
cliniques
. médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et do la psychologie psysiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses est annexée à l'Institut ps
a Salpetriére. - Le docteur Auguste Voisin a repris ses conférences
cliniques
sur les maladies et les affections nerveuses , le
s .Ma même heure quelques leçons seront consacrées aux applications
cliniques
a l'hypnotisme. Académie des sciences. — l'Acad
ies. 1886 Vol. XI. Janvier 1885. N" 31 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE DES MANIFESTATIONS \IF11NGITIQUES ET C
ure infectieuse. Cette opinion s'impose, au point de vue purement
clinique
, par le seul fait des allures mobiles de la ma-
s oreillons va se localiser sur les séreuses Archives, t. XI. 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. articulaires ou cardiaques, chez tel
onguement sur ces faits en raison des indécisions de la description
clinique
et de l'absence de constations anatomo-patholog
compliqués d'accidents cérébraux (Bull. de Thérap., mai, É884). 4
CLINIQUE
NERVEUSE. Behr rapporte le fait d'un homme qui,
e- ment après une nuit tranquille et un sommeil profond. La leçon
clinique
de Trousseau', si remarquable et si souvent cit
, t. XXI, 1856, p. 29n. à Trousseau. - Arch. géit. de méd., 1854 et
Clinique
de l'Hdtel-Diezi, 1, p. 252, 5e édition. MANI
se de Paris, 1875, Laveran. Art. Oreillons in dict. Decliambre. 6
CLINIQUE
NERVEUSE. trop longue pour le lecteur et qu'on
é- 1 Janson-Zuède. Ann. de la Soc. méd.-ch. de Liège, mai 1884. 8
CLINIQUE
NERVEUSE. vulsifs, etc.), les accidents s'amend
. Le corps est dans la résolution, mais on constate facilement 10
CLINIQUE
NERVEUSE. une paralysie absolue du mouvement da
mot de métastase, qui suffisait aux anciens auteurs, n'est en 12
CLINIQUE
NERVEUSE. somme qu'une étiquette qui ne peut no
rieur de a circonvolution frontale ascendante droite et n'a 14 le
CLINIQUE
NERVEUSE. entraîné qu'une hémiplégie faciale ga
ET PARALYSIE OCULAIRE A RETOUR PÉRIODIQUE, CONSTITUANT UN SYNDROME
CLINIQUE
SPÉCIAL; Par II. PARINAUD et P. MARIE. L'affe
le professeur Charcot que nous avons eu l'occasion de voir et 16
CLINIQUE
NERVEUSE. d'étudier la malade dont nous publion
ux symptômes, la névralgie et la paralysie AIHI3,.t, XI. 2 t8 : .
CLINIQUE
NERVEUSE. des'muscles de l'oeil ; ou verra que,
4m : alen. Nous n'avons pas eu ce recueil à notre disposition. 20
CLINIQUE
NERVEUSE. interné et inférieur, immobilité pupi
ischer Oculomotorius-Lcthmung. Berl. Klin. Woch., 1885, no 40. 22
CLINIQUE
NERVEUSE. ' - L'emploi du courant constant aura
nous semble peu probable étant donné l'âge de la malade. ' . , 24
CLINIQUE
NERVEUSE. celles-ci (1 ou fois par an, tous les
tosis, se reis ? Wiener Med. lvoclieîischr., 25 avril. 1885. 26 -
CLINIQUE
NERVEUSE. montrèrent de la mydriase, l'absence
re et - chez lequel une double névrite optique, de la céphalée 28
CLINIQUE
NERVEUSE. avec vomissements et d'autres symptôm
examinée. Réflexions. Nous nous bornerons, rapprochant des faits
cliniques
les altérations cadavériques, aux remarques sui-
s frontales, nous en avons observé : 1 G. Le Blat. Rech. anatom. et
cliniques
sur le faisceau sensitif. DES ZONES cérébrales
l'exagération de ce réflexe, qui accompagne d'ordinaire le syndrome
clinique
des para- 1 Voy. les travaux de Pitres, Issarti
aire, quelques remarques nous paraissent utiles sur la traduc- tion
clinique
des faits anatomiques. L'apoplexie d'emblée est
pathogénique- ment l'urémie ? Est-ce autre chose qu'une expression
clinique
? Abstraction faite de toutes les théories, don
nature dont nous avons formé notre première catégorie. II. FORMES
CLINIQUES
DU COMA DIABÉTIQUE I. Coma diabétique simple ou
mis d'en faire des formes distinctes. La constitution de variétés
cliniques
, au point de vue de la marche des accidents, es
sych., XV, 2.) Deux observations très intéressantes au point de vue
clinique
, avec discussion analytique, critique, et diagn
n accompagnée - à' autopsie et d'analyse histolo- gique. Caractères
cliniques
. Marche ascendante de la paraly- sie ; troubles
spéciale aussi bien au point de vue anatomique qu'au point de vue
clinique
dans son étiologie, ses symptômes, son évolution.
liques, la sclérose multiloculaire, la névrose de Weatphal (tableau
clinique
de la dégénéres- cence grise cérébro-spinale sa
orielle dans les affections qui évoluent en pré- sentant le tableau
clinique
d'une affection en foyer cérébro-spinale multil
t d'ordinaire qu'un rôle secondaire. M. 11dI3LB.UM. Sur une forme
clinique
de la folie morale. L'hébéphrénie de l'auteur r
des violences de leurs gardiens. Par conséquent, au point de vue
clinique
comme au point de vue histologique, rien ne dém
cherait comme variétés les autres formes morbides que l'observation
clinique
ne révèle. En conséquence, M. Lefebvre proposai
ngrès, en présence des faits d'ordre anatomique, phy- siologique et
clinique
, qui démontrent l'utilité de recherches à faire
Enfin une proposition de M. l3r.nemhn, tendantà l'établissement de
cliniques
criminalistes dans les prisons pour servir à l'éd
N" 32. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE CONSIDÉRATIONS
CLINIQUES
A PROPOS D'UN CAS D'ALIÉNA- TION MENTALE INTIME
al. D'abord plus généralisé, ainsi que l'indique la physio- nomie
clinique
de l'aliénation mentale, il se localise davanta
par l'oreille externe, revêtant ainsi, ce me semble, la modalité
clinique
d'un abcès sous-piriostfque de la région tempor
e perversions sensorielles que, m'appuyant sur la physiologie et la
clinique
, j'ai dési- gnées ailleurs ' sous le nom d'illu
nt de l'aliénation mentale; en présence de l'absence d'observations
cliniques
, suffisamment précises, démontrant la tendance
que les méningites catar- rhales sont connues et que l'observation
clinique
affirme leur existence; il y a longtemps que St
ou SCLÉROSE POSTËRO-LATËRALE DE LA MOELLE (CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
CLINIQUE
DES MYÉLITES MIXTES) ; Par le professeur GRASSE
ions sont complexes, et sur les modifications qu'apporte au tableau
clinique
habituel des lésions simples la combinaison de
. DU TARES COMBINÉ. 157 groupes on a caractérisé les grands types
cliniques
, comme l'ataxie locomotrice progressive, la scl
cher de les grouper entre eux et de constituer ainsi quelques types
cliniques
nouveaux. Ce travail ne peut qu'être utile s'il
t avec pru- dence et basé sur les seules données de l'observation
clinique
. L'heure nous paraît venue de commencer cette é
s séparer de l'Ecole française, pour admettre l'existence d'un type
clinique
bien défini, distinct des autres myélites, que
eut pas confondre avec la masse des lésions diffuses; c'est ce type
clinique
que nous proposons d'appeler tabès combiné. D'a
fin la nécessité de mieux étudier ces faits, au double point de vue
clinique
et anatomique. Dans son livre' paru bientôt apr
onomie propre du tabes se dégageait de plus en plus dans le tableau
clinique
. » A la même époque cependant, Raymond' publie
induisent de la non- systématisation des lésions à la non-existence
clinique
du type morbide, et ils dissocient et éparpille
. C'est du reste un travail beaucoup plus ana- tomopaihotogique que
clinique
, mais qui marque une étape importante dans l'hi
étudiés au point de vue anatomo-pathologique, qu'au point de vue
clinique
. Presque tous les mémoires cités dans notre His
TOLOGIE. Pour donner immédiatement une idée d'ensemble du tableau
clinique
du tabes combiné, je vais d'abord résumer l'his
ies. Après cette courte introduction, je passe aux considérations
cliniques
et pathologiques de mon travail, qui s'appuient s
lle peut, avec quelques améliorations, ser- vir pour l'enseignement
clinique
. (Ce diagramme fut montré à la Société le jour
autres. En ce qui concerne les théories purement hypothétiques nu
cliniques
touchant le trajet des fibres optiques, la plus
stre maître n'a pas été confirmée parles résultats de l'observation
clinique
et de l'examen anatomo-pathologique. Je ne conn
tout au moins, n'est en opposition avec aucun fait physiologique ou
clinique
. L'analyse d'un pareil mémoire n'est guère poss
s usages thcrapeuliques ; 2- édit., Paris, 1875. 2 Petrovitz. Elude
clinique
du bromure de camphre ; thèse de Mont- pellier,
malade ; par J. Donath (Arch. f. Psych., XV, 3). Travail fait à la
clinique
des maladies nerveuses de la Charité de Berlin.
de la discussion.) M. Cotard rend hommage à la vérité des tableaux
cliniques
présentés par MM. Falret etMagnan; mais il crit
mner les subdivisions à l'infini, qui sont en contradiction avec la
clinique
, mais il importe aussi de ne pas créer de group
thode chi- noise combinée à la balnéothérapie et au massage. A la
clinique
de l'université (Daigaku) de Tôkiô, il n'existe,
lement les malades dans une chambre à part, afin deles exhiber à la
clinique
. Au reste, on projette d'effectuer, surtout dan
te; l'auteur n'en a observé que deux cas, en près de deux ans, à la
clinique
du professeur Belz; il s'agissait, dans ces deu
es phases de la maladie ou pour chacune de ces phases, quand l'état
clinique
variait. La conclusion est que, à l'exception d
urgicalement au niveau de la dépression. Ren- seignements pris à la
clinique
de Francfort. Douleurs occipitales continues ex
bes. (En allemand.) Il existe des guérisons complètes (dans le sens
clinique
du mot) de cette maladie; mais on ne saurait en
éfinition de ces termes. C'est à l'expérimentation rapprochée de la
clinique
qu'il appartient de faire cesser le vague, de bie
tués par l'atrophie et l'hypertrophie faciales unilatérales, formes
cliniques
pures, à rapprocher des mêmes accidents portant
d'une bande adjacente à la périphérie postérieure. Au point de vue
clinique
, dans trois observations, on constate de l'héré
pandus sur toute l'écorce; on peut, malgré la netteté des symptômes
cliniques
, trouver des cellules nerveuses complètement in
ophie des nerfs optiques avee du tabès . L'association du complexus
clinique
en question et du tabès est du reste sujette à
, tantôt les troubles de la parole. Forel a, sur cette constatation
clinique
, basé sa division de la paralysie générale en t
atoires. Durée totale de la maladie : neuf mois environ. Diagnostic
clinique
. Lésion des cordons postérieurs consécutive à l
laiterie. Dépenses : 200,000 marks (2o0,000 fr.). Royaume de Saxe.
Clinique
psychiatrique de Leip : ;ig. On t'agrandit par
partageront l'hospitalisation des aliénés. 2° La construction d'une
clinique
psychiatrique à l'Université de Fribourg. On y
és passent parle Bureau d'admission des asiles, annexe de l'asile
Clinique
(Sainte-Anne). Voici quel a été le mouvement de l
ure peuvent être produites par la diphthérie. Toutefois la marche
clinique
des accidents observés chez le malade offre une
'IITP\0'l'IS111.; Par le Dr Euxest JENDKASSIK Assistant de la lr0
clinique
médicale de Buda-Pest - Si on compare les expér
SCLÉROSE POSTÉRO-LATÉRALE DE LA MOELLE 1 (contribution A l'étude
clinique
DES myélites mixtes); Par le professeur GRASSET
oires de malades ne peuvent que donner une idée générale du tableau
clinique
du tabes com- biné. Mais elles ne peuvent pas s
intéressante faite par Kahler et Pick, mais sans aucune observation
clinique
. Nous pouvons donc dire, en somme, que dans tou
ique. Voilà donc un premier élément établi pour la cons- titution
clinique
du type « tabes combiné » ; c'est l'élément « t
symptôme du tabes spasmo- dique. On peut donc dire, déjà de par la
clinique
, que ces cas appartiennent à un type spécial, q
e la prévenue devait être aussi nettement établie. Les recherches
cliniques
ont été plus spécialement dirigées par M. le pr
e qu'elles reproduisent tous les points importants de l'observation
clinique
. La congestion cérébrale idiopathique, terminée
nce de liquide sous-arachnoidien) concordaient avec les symptômes
cliniques
, et pourraient être considérés comme favorables à
aiguë, il convient de distraire un groupe qui constitue une entité
clinique
et pathologique bien définie. 2° Ce groupe est
lusions qu'elles paraissent comporter. R. M. C. XXI. Observations
cliniques
sur LE sang des aliénés ; par S. Ru- THERFORD A
omorphine dans certains troubles nerveux; parle Dl E. Weil, chef de
clinique
médicale (Lyozz 7nétl., 1884, t. XLYII.) Il res
uences qu'elle comporte nécessaire- ment. P. CHASLIN. III. Etudes
cliniques
sur la grande hystérie ou hysléro-épilepsie ; par
celte question si neuve et si importante. Charpentier. IV. Etude
clinique
sur les aliénés héréditaires. (Thèse de doctorat)
mortuum destiné à recueillir tous les faits inclassables. En bonne
clinique
, quand on est en présence de faits qu'on ne peu
subir la contagion du sui- cide. Ca. 1 . VI. Etude anatomique et
clinique
sur la sclérose en plaques; par le Dr J. Babins
il d'apporter de nouveaux documents pour l'histoire anato- mique et
clinique
de cette affection. La première partie de cette
méthode de M. Weigert. Dans la deuxième partie consacrée à ['étude
clinique
, l'auteur, après avoir résumé brièvement l'état
sont toujours secondaires. Elles se présentent avec des caractères
cliniques
assez variables ; tantôt, comme dans la forme c
o-<a&M/'par LEVAL-PICQUECHEF. (Thèse de Paris, 1885.) Études
cliniques
et physiologiques sur les muscles ; par Gilles DE
le professeur Trousseau dont il publia presque toutes les leçons
cliniques
. Il fut l'un des fondateurs de la Société de méde
e, 1875; Etudes mé- dico-légales sur les épileptiques, 1877; -Etude
clinique
sur la peur des espaces (agoraphobie), 1878; Si
s. Paris, 1896. Librairie J.-B. Bailhère et lits. SAuny (H.). Etude
clinique
sur la folie héréditaire (Les dégénérés). Broch
100. Hypnotisme (de l'), par Jendrassik, 358. Hystérie (études
cliniques
sur la grande), par Richer, 152. Hystérie et
algie et paralysie - à retour périodique, constituant un syndrome
clinique
spécial, par Yarinautl et Marie, 15. Oreillon
par Souza Leite, 216. Sclérose en plaques (étude anato- mique et
clinique
sur la), par Babinsky, 455. Sclérose latérale
des Écoles. 1883 Vol. V. Janvier 1883. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE SPASME MUSCULAIRE AU DÉBUT DES MOUVEME
-e jour non décrit en France) ; -> Par Gilbert BALLET, chef de
clinique
de la Famille, cL Pierre MARIE, interne des hôp
tudier chez uu étranger qui eu est atteint, A)H.HI\'HS, l. V. 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. probablement depuis son enfance, et q
d'abord saisie de raideur en flexion, puis quand cette raideur 4
CLINIQUE
NERVEUSE. a cessé, c'est la jambe droite qui à
de celle obtenue comparativement chez un individu sain avec les 8
CLINIQUE
NERVEUSE. mêmes appareils. Nous avons alors a
de deux minutes et cette fois le spasme ne s'est plus montré. 10
CLINIQUE
NERVEUSE. Dans le tracé que nous venons d'analy
ns trouvé un certain nombre do renseigne- ments bibliographiques et
cliniques
qu'il nous a paru utile de rapprocher du fait q
e mettaient a fonctionner convenablement. Leyden, dans ses Leçons
cliniques
sur les maladies de la moelle, (trad. franc., p
la peau on amenait des contractions musculaires toniques ; de 12
CLINIQUE
NERVEUSE. môme avec les excitations mécaniques
ole n'est nullement embarrassée. Etat psychique normal. Les 1 Il.
CLINIQUE
NERVEUSE. Muscles- des extrémités inférieures s
rait à l'âge de sept ans, le père est très affirmatif sur ce i (i
CLINIQUE
NERVEUSE. point; elle serait survenue après une
t telle qu'il est facile, dès aujourd'hui, d'en tracer le tableau
clinique
. Et tout d'abord, au point de vue de étiologie,
ui n'est pas prévenu sur ce sujet, puisque son observation est 20
CLINIQUE
NERVEUSE. une des premières sinon la première c
, dans l'obser- vation de Thomsen, nous voyons que deux de ses 22
CLINIQUE
NERVEUSE. ' oncles, qui présentaient les raideu
a qua- lification de paralysie spinale spasmodique hypertro- 2 1.
CLINIQUE
NERVEUSE. Me que propose Seeligmùller, car elle
ussi, nous avons cherché à faire dans ces quel- ques pages. ÉTUDE
CLINIQUE
DU VERTIGE DE : 1(I : NII : RE D1\S SES RAPPORT
ronde; car cette tension exagérée de tout l'appareil amène une 26
CLINIQUE
NERVEUSE.. diminution brusque d'intensité du so
te du mouve- ment d'avaler, tantôt après un éternuement, ou un 28
CLINIQUE
NERVEUSE. accès de toux; tantôt après un bâille
truction des trompes ; scélérose auriculaire ; montre entendue 30
CLINIQUE
NERVEUSE. à gauche collée au méat, et non perçu
; épreuve des pressions à gauche, au premier coup, extinction 32
CLINIQUE
NERVEUSE. nette du son du diapason posé sur le
bilité excessive au bruit et le vertige sont Archives, t. V. 3 34
CLINIQUE
NERVEUSE. facilement associés et dus à une lési
; mais douleur frontale vive. Voilà cinq jours que cela dure. 36
CLINIQUE
NERVEUSE. L'audition de la montre est excellent
ions du son qu'elles produisent, ont suivi les phases diverses 38
CLINIQUE
NERVEUSE. de l'affection, et des états organiqu
de vertige spontané. (il suivre.) PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES
CLINIQUES
SUR LA FOLIE AVEC CONSCIENCE'; Par le D' E. MAR
que je n'ai pas à approfondir dans ces recherches exclusive- ment
cliniques
. Les délires sont généralement divisés en délir
intenir avec une lésion isolée de l'intellect. Il est toutefois, en
clinique
, un fait avéré, c'est la prédominance des délir
ues fruste; par C. Bouicli, interne des hôpitaux. Le hasard de la
clinique
amena à l'hospice de Bicetrc, dans les salles d
rfois faire défaut. -Ainsi, pour ne citer qu'un exemple, le tableau
clinique
se trouve, dans certains cas, réduit, à peu de
es à type classique, qu'appuyé aussi sur l'ensemble de l'appa- reil
clinique
qu'on avait en présence, on porta le diagnostic :
par l'autopsie. C'est une malade qui a été présentée dans sa leçon
clinique
du 23 dé- cembre 1877. Voici en résumé son hist
ablir l'existence d'une sclérose multiloculaire, dont la traduction
clinique
a pris le masque des formes appelées frustes par
Lateau ou la stigmatisée belge, Paris, 1875, et dans les Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'hystérie et l'épilep- s
nts et ses frèresetsoeurss'occupentounon d'elle; tel est le tableau
clinique
de cette enfant de un an à cinq ans environ. Il
t et limitée au cer- veau ; elle démontra la réalité des assertions
cliniques
, du moins en ce qui concerne l'examen macroscop
mais bien une sensation odorante phosphorée; même constata- tion
clinique
quand l'anesthésie du trijumeau permet l'appli-
ophie des éléments nerveux) témoigneraient que, dès la régression
clinique
, il ne s'est point effectué de nouvelle destructi
lontairement à ne pas tuer sa mère. Tel est, en raccourci le fait
clinique
et médico-légal qui me préoccupe en ce moment.
essoires, qu'on parvient à cons- tituer devant le juré une histoire
clinique
où tout s'enchaîne. Dans ces conditions le jury
ire du mot, il y a eu des obsessions qui ont bien aussi leur valeur
clinique
. M. Falret. Au point de vue scientifique, nous
tribués par Stark à la suppression des accès d'épi- lepsie. Étude
clinique
sur la myélite arsenicale, par AI. Seguin. Ce tra
E. imp. 183. Vol. V. Mars 1883. N" 14. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES
tions, elle peut intéresser encore le cor- Archives, t. V. 10 146
CLINIQUE
NERVEUSE. don nerveux dans son trajet intra-cér
e nécessité, la pathologie le confirme, en nous montrant des formes
cliniques
qui répondent à la lésion de ces centres de coo
et montrent tout ce qu'il y a à faire dans cette voie et combien la
clinique
, l'anatomie et la physiologie sont appelées à b
VEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 147 ces travaux a été dans l'observation
clinique
. En 1858, la paralysie conjuguée latérale a été
é observée que sur le chat; mais elle rend si bien compte des faits
cliniques
, qu'il n'est point douteux qu'elle soit la même
ologie, 28 juin 1879) a signalé un nouveau filet nerveux, qui 148
CLINIQUE
NERVEUSE. du noyau de la sixième paire va se re
ret, de Hitzig, Ferrier, Munck, ainsi que par les obser- vations
cliniques
de Landouzy et Grasset; mais on ne sait rien de
bien connus, on distinguera plus facilement les formes atté- 150
CLINIQUE
NERVEUSE. nuées ou plus complexes. Le diagnosti
c) Mouvements de convergence ; . c Mouvements de divergence. 152
CLINIQUE
NERVEUSE. A. Mouvements parallèles horizontaux.
nt moins prononcés à droite, et que la contraction des muscles 15le
CLINIQUE
NERVEUSE. s'accompagne de tressaillements qui n
cinquante-quatre ans. Service de M. Raymond (hospice d'Ivry). 156
CLINIQUE
NERVEUSE. Symptômes oculaires. Impossibilité de
t paralysé, par exemple, lorsque l'on fait regarder à gauche, 158
CLINIQUE
NERVEUSE. l'oeil droit sain se dévie brusquemen
pas cinquante-deux ou cinquante-quatre à la minute. Il existe 160
CLINIQUE
NERVEUSE. un peu d'albumine dans les urines; pa
gauche, qui s'est reproduit plusieurs fois Archives, t. V. 11 162
CLINIQUE
NERVEUSE. depuis huit jours et a laissé un cert
nt in- tellectuel et à l'impotence fonctionnelle des muscles. 164
CLINIQUE
NERVEUSE. L'ophthalmoscope révèle l'existence d
te ans (Service de M. CHARCOT., salle Duchenne, de Boulogne). 166
CLINIQUE
NERVEUSE. Symptômes oculaires. Diplopie pendant
et s'accompagnent de quelques saccades ; mais leur amplitude 168
CLINIQUE
NERVEUSE. est normale dans toutes les direction
en que l'erreur soit probablement fréquente. Je l'ai moi-même 170
CLINIQUE
NERVEUSE. commise, ainsi que j'ai pu m'en conva
ine l'existence d'un nerf spécial dit aer'de l'espace, annexé 172
CLINIQUE
NERVEUSE. au nerf auditif, dont la lésion produ
és dans leurs rapports, de manière à produire du strabisme. ÉTUDE
CLINIQUE
DU VERTIGE DE \II : NIIaiI : D 1\S SES RAPPORTS
oir les Archives de Neurologie, no 12, p. 273, et 13, 1). 24. 17'l-
CLINIQUE
NERVEUSE. sans que le reste de la chaîne des os
pendant lesquelles le vertige ne la quitte pas. Chose curieuse, 176
CLINIQUE
NERVEUSE. elle a remarqué qu'au plus fort de sa
qui perçoit l'extinction brusque du son ARCHIVES, t. V. 12 ) 178
CLINIQUE
NERVEUSE. crânien tandis que l'observateur cons
le méat auditif causait immédiatement l'extinction de l'audi- 180
Clinique
nerveuse. tion du son du diapason frontal, et a
t incapable de faire un pas; assourdi par le bourdonnement en 182
CLINIQUE
NERVEUSE. jet de vapeur. S'il bouge, il se sent
é artificiellement vingt-deux fois sur ces cinquante-trois 184 le
CLINIQUE
NERVEUSE. malades. Sur les trente et un cas, où
t l'action des pressions centripètes ont pu être enregistrés. 186
CLINIQUE
NERVEUSE. On doit conclure, malgré l'énorme dif
liquide sanguin à l'état sain, se trouve dans l'impossibilité 188
CLINIQUE
NERVEUSE. de se prêter à en recevoir un surcroî
es de certains vertiges. Aux congestifs, j'ai donné avec suc- 190
CLINIQUE
NERVEUSE. ces la médication émétique; à la plup
e, Leloir, etc., ont révélé plusieurs particularités anatomiques et
cliniques
du plus haut intérêt. Mais il est évident qu'il
est évident qu'il reste encore beaucoup à faire. Les hasards de la
clinique
nous ayant permis de recueillir dans le courant
ts volontaires du côté droit. Le 25 il semble sortir Renseignements
cliniques
communiqués par M. Doche, interne du service.
ptions de zona de siège et d'âge diffé- rents, mais sur l'évolution
clinique
desquelles nous ne possé- dons aucun renseignem
n appréciable. En résumé, sur le cadavre d'un sujet dont l'histoire
clinique
218 pathologie nerveuse. J0 nous est malheu
leix, Calmeil, Hasse, Cliristian, etc.). Au point de vue purement
clinique
, il s'agit évidemment ici d'une méningite tuber
ère très 'Voir les Archives de Neurologie, n" 13, p. 66. 2 Etudes
cliniques
sur l'hystéro-épilepsie, p. 212. ' D L'tII3TGIt
delà Salpêtrière de MM. Bourneville et Regnard ou dans mes Etudes
cliniques
sur V hystéro-épilepsie. L'intérêt capital que pr
préciation d'hommes fort honorables, du reste, mais incompétents en
clinique
médicale ? M. Motet. Je ne me plaindrai jamais
z by \V. S. Plavfaiii. London, 1883. Recherches expérimentales et
cliniques
sur les atrophies des membres dans les affectio
cal ; par 6 ERIG UD. Thèse de Paris, 1882. Contribution à l'étude
clinique
des tumeurs de la région temporale; par Bottez.
rtaines maladies mentales ; par Rabec Thèse de Paris, 1881. Etude
clinique
et physiologique de l'opportunité de contracture
conseil d'admi- nistration. Nominations. M. le Dr Vallon chef de
clinique
de la chaire des maladies mentales à la Faculté
ésions du lobule paracentral.) Par le. D' Gilbert BALLET, Chef de
clinique
à la Faculté de médecine. Lors de la publicatio
frontales et pariétales ascendantes. 11 n'est pas très fréquent en
clinique
d'observer des monoplégies des membres inférieu
illie, l'année 'r lt ') 1 ' 1 1 t 4 à 1 Recherches analomiques et
cliniques
sur le faisceau sensilif et les troubles de la
l'étendue du lobt'ile paî,ace2 ? li,al; lrar\1VI. E. 13.mc, chef de
clinique
de lafarulté et Du Castel, chef des travaux ana
ert Th...., âgé de vingt-sept ans,'conducteur d'omnibus, entre à la
clinique
médicale de l'hôpital Nccker, salle Saint-Luc,
i Gèsundheilsdienst im Fcldzug gegen Daite- mark, 186-j. 2 Eludes
cliniques
sur les localisations corticales. Thèse de Paris,
u, - ! it-]il')fjot p;h ii/i ? i0o(|Jol. )t)')[t ! ' renseignements
cliniques
fournis par M. Priolcau, interne du service. DE
J'. t lit .<»,....' /i.- .i ? - 1 i, ' ..n n ." ''.'...,« ? ,,n,
cliniques
suivants. Les accès exerceraient par leur répétit
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -3jl sympathique après lésion cérébrale
clinique
(Nothnagel in Vir- claow's Archiv, t. LXVIII) e
·t I· ? , ! L : t 1 . m· ,il 1, r Une malade, observée par lui a la
clinique
de nI. le professeur Panas et bien/connue des n
es. Exagération des réflexes tendineux, delà 'T... a été revue à la
clinique
du professeur Panas, qui a pu, le 20 novembre 1
oeur, des reins, du cerveau), exigent la lecture des considérations
cliniques
par lesquelles l'auteur rattache la série des a
lète de paralysie générale ayant en oliti e 1)1'éSelzté 1c syndrome
clinique
de la paralysie spinale spasmodique, sans que l
racines a subi la destruction. » Quoi qu'il en soit des phénomènes
cliniques
, la 'lésion des cordons postérieurs,' palpable,
ines, utéro-ovariennes, nova- riennes ou tubaires, sans que l'étude
clinique
, défaits consciencieu- sement analysés lui aiti
entrerJ'dâns flesl détails1 nous'' résumerons les particularités :
cliniques
que`J111 ? Krafft=1 ! Jbinbâr relevées.dans l'e
'd'une'coïncidence fortuite. M. Westphal fait remarquer les allures
cliniques
des symptômes; c'est bien là du » ' . ' . / 1
s de psychopathie succédant aux blessures de la lêle. L'observation
clinique
permet seule d'établir des groupes. M. Furstner
ns dans l'écorce des reins (dépôts blancs et granulations). L'étude
clinique
avait permis de noter une insuffisance intellec-
fièvre hectique, coma. Mort le 26. C'est alors, sans que l'examen
clinique
ait pu le faire prévoir, que l'autopsie démontre
ations intellectuelles de l'hystérie, de la folie hystérique, de la
clinique
médico-légale de cet état morbide, et de son diag
de M. Legrand du Saulle sur la res- ponsabilité des hystériques. En
clinique
, trois degrés d'hystérie : hystérie légère, hys
'ouvrage que nous venons d'essayer d'analyser. Cn.uo'ETOEn. Étude
clinique
sur le tremblement sénile ; par CIL-L-l. 'fllnr.l
s sujets dont l'autopsie n'est pas rapportée. Charpentier. Traité
clinique
de la folie à double forme (folie circulaire, dél
, qui d'ailleurs n'a guère pu encore être étudiée. Cil. F. Leçons
cliniques
sur l'Épilepsie; par SI. V. Magnan, recueillies e
grès médical. Ces leçons, au nombre de six, contiennent un exposé
clinique
très complet de l'épilepsie; mais elles sont pl
coursde ce travail contribuent à lui donner un caractère éminemment
clinique
et rendent sa lecture des plus attachantes. DE'
décédé le 20 mars 1883, à l'âge de soixante-sept ans. Professeur de
clinique
médicale à la Faculté et médecin en chef del'infi
rir à l'âge de soixante et un ans. SI. le Ur Arthaud, professeur de
clinique
des maladies men- tales à la Faculté de médecin
liardt, 370; - et mala- dies de l'estomac, 398. Epilepsie (leçons
cliniques
sur l'), par Slagnan, 415. Epileptiques (soll
crose des canaux semi-circulaires, 239. Vertige de Meniere (étude
clinique
du) dans ses rapports avec les lésions des fe
se influence des étu-des anatomo-pathologiques sur les affaires de la
clinique
se fait le mieux sentir. C'est, en effet, sur le
omie normale, la physiologie expérimentale et enfin par l'observation
clinique
appuyée sur l'examen métho-dique et minutieux des
rechercher en se fondant, non plus sur l'expérimentation, mais sur la
clinique
et sur l'anatomie pathologique, l'existence dans
ébraux. — Lobule para-central. — Circonvolutions ascendantes. — Faits
cliniques
et expérimentaux relatifs au développement des ce
dans les maladies chez l'homme. — Nécessité d'une bonne observa-tion
clinique
et d'une autopsie régulière. Histoire naturelle
onditions fondamentales sont les suivantes : Io une bonne observation
clinique
recueil-lie, autant que possible, à la lumière de
emiers pas par l'expéri-mentation chez les animaux et éclairée par la
clinique
, l'ana-tomie pathologique est parvenue chez l'hom
s symptomatiques ou syndromes qui leur ont fait prendre place dans la
clinique
, et ainsi ont été constituées, dans la pathologie
nce des lésions vasculaires, ne le cèdent en rien par leur importance
clinique
, à ceux qui surviennent dans les parties superfic
u'il en soit, les seules localisations de ce genre, acces-sibles à la
clinique
, sont ici encore, comme pour le cas du ramollisse
viens de signaler à votre attention se rencontre fréquemment dans la
clinique
de l'hémorrhagie intra-cérébrale ; elle crée, vou
ie pure. C. Le moment est donc venu de faire intervenir les preuves
cliniques
et anatomo-pathologiques. Aujourd'hui, les argu-m
nkheiten, 2° As ft. Stuttgart, 1875. (3) R. Veyssière. — Recherches
cliniques
et expérimentales sur l'hémia-nesihésie de cause
it défaut. Cesdonnées,fournies , par l'anatomie patholo-' gique et la
clinique
, offrent incontestable-ment par elles-mêmes ; et
roposition non-seulement sur des faits d'a-natomie pathologique et de
clinique
, mais encore sur des faits d'expérimentation. J'a
Permettez-moi tout d'abord de résumer en quelques mots les caractères
cliniques
de cette espèce d'hémianesthésie que je vous ai p
lace. Vous savez comment l'existence, tantde fois constatée dans ta
clinique
, de ce singulier phénomène, a depuis longtemps su
eur trajet profond, intra-cérébral (en L 0 G, L 0 D) ? A mon sens, la
clinique
et l'anatomie pathologique contredisent cette ass
forme très simple les faits assez complexes révélés par l'observation
clinique
. ONZIÈME LEÇON Origine des parties cérébrales
ière, dans l'épaisseur des lobes occipitaux et sphénoïdaux. Les faits
cliniques
conduisent à supposer qu'il s'y mêle aussi des fi
tuel des choses, je ne vois pas commentées cas divers, révélés par la
clinique
, peuvent être anatomique-ment expliqués dans l'hy
fois, qu'elle s'adapte assez bien aux faits relevés par l'observation
clinique
chez l'homme; j'ajouterai qu'elle n'est en rien c
leurs, donne des résultats conformes à ceux fournis par l'observation
clinique
, en mon-trant que les excitations partielles du n
atérale. Cette assimilation peut être poursuivie sur le terrain de la
clinique
. On sait, en effet, que l'impuis-sance motrice, u
er fut, par les recherches de MM. Bourdon et Luys, rap-portée au type
clinique
. Mais quelques auteurs pensaient en-core que l'af
onnelle. Pour éclairer la question, c'est ici le lieu d'interroger la
clinique
. L'obser- (1) Intervention de l'acide osmique.
e pathologique, c'est, mettant à profit les données de l'ob-servation
clinique
et s'éclairant des données expérimentales, établi
core l'anatomie pathologique mise au service de la nosologie et de la
clinique
, appliquée, en un mot, à la solution de tous les
e anatomique normale, mise eu relief par l'anatomie patholo gique, la
clinique
et l'anatomie de développement. Recherches de P
hysiologiquement, ces mêmes régions que l'anatomie pathologique et la
clinique
ont déjà mises en relief. Cette démonstration,
l'anatomie pathologique pure ; il s'y rattache un en-semble de faits
cliniques
qui les rendent dignes de toute l'at-tention des
autonomie réelle, et il s'y rattache quelque-fois toute une histoire
clinique
qui se surajoute à l'histoire de la maladie origi
pliquées que nous avons jusqu'ici pour-suivies. C'est donc l'aspect
clinique
des dégénérations secondaires que nous allons mai
herches expérimentales. Nous pouvons maintenant aborder avec fruit la
clinique
des dégônérations secondaires, ONZIÈME LEÇON
ose d'envisager aujourd'hui les dégénérations secondaires par le côté
clinique
. Autrement dit, je vais essa-yer de vous présente
ncore le clonus du pied. Mais c'est là un signe qui appartient à la
clinique
française. Dès 1863, ainsi qu'en témoignent des o
EÇON De la contracture tardive des hémiplégiques et de ses variétés
cliniques
. Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent
rdre réflexe ; c'est un réflexe spinal, et déjà quelques observations
cliniques
permettraient de le prévoir. Ainsi, M. Erb a fait
précieuses que peut fournir au point de vue même de l'interprétation
clinique
, l'analyse graphique de ces contractions musculai
EÇON De la contracture tardive des hémiplégiques et de ses variétés
cliniques
. Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent
tance grise par deux sys-tèmes diastaltiques distincts. L'observation
clinique
démon-tre, en effet, que si ces deux modes d'acti
ons de ces cellules. — Elles sont de nature irritative. -- Phénomènes
cliniques
: actes réflexes. — Théo-ries relatives à la path
ellerai après cela comment, me fondant sur des considérations d'ordre
clinique
, j'ai été amené à vous faire remarquer que les di
la paraplégie spasmodique peut assez fréquemment se présenter dans la
clinique
sous une forme qui pendant bien longtemps n'a pas
aractère particulier de bon nombre de ces cas qui affectent dans la
clinique
cette forme de la paralysie spasmodique ; et j'ai
yélite transverse syphilitique ou autre, il est clair que l'autonomie
clinique
n'est qu'une apparence. La question n'est donc
e pratique, et dont vous trouverez maintes fois l'application dans la
clinique
des maladies cérébro-spinales. I. 1° Notre at
ant, Messieurs, il existe et il n'est pas rare de ren-contrer dans la
clinique
un certain nombre de cas où les symptômes de la p
, pour le moment, de considérer l'affection exclusivement par le côté
clinique
. D'abord, nous devons relever, ainsi qu'on deva
a-ladie particulière, le tabès dorsalspasmodique. 1° La description
clinique
peut être tracée d'ailleurs enquel-quesmots. Lama
viens de dire que le tabès spasmodique n'a encore d'exis-tence qu'en
clinique
et que si, en réalité, comme je le crois, il s'ag
de réellement la signification qui leur a été donnée. _ Par le côté
clinique
, ce sont des cas de myélite vulgaire par compress
uis plu aie reconnaître hautement, à l'occasion d'un cas présentée ma
clinique
comme un exemple de tabès spasmodique. L'au-topsi
de ce groupe, ainsi qu'on pouvait le prévoir, se présen-tent dans la
clinique
avec un certain nombre de traits com-muns et prop
ieures systématiques renferme des affections qui appartiennent à la
clinique
jour-nalière, et auxquelles le médecin doit s'int
par la forme d'amyotrophie dont Aran et Duchenne ont tracé le tableau
clinique
et à laquelle ils ont donné le nom d'atrophie mus
ns dans sa première période, que M. Charcot, en inaugurant ses leçons
cliniques
de cette année, a cru devoir présenter un exemple
mptôme morbide d'une importance réelle, tant au point de vue purement
clinique
qu'au point de vue de la théorie phy-siologique.
e que M. Charcot avait signalé, en 1874, comme étant la détermination
clinique
d'une lésion médul-laire, caractérisée par une sc
es si nombreuses et si variées des affections qu'on rencontre dans la
clinique
des centres nerveux. L'ar-rangement, l'enchaîneme
sur lesquels repose la description de M. Charcot. Aussi, les signes
cliniques
et anatomiques qui donnent à la sclérose latérale
appui de la même thèse, les observations sans autopsie, où le tableau
clinique
est tellement ressemblant, que le diagnostic ne s
bré-gée vient d'être rapportée, sont, à part la durée de l'évolu-tion
clinique
, de tous points semblables à l'observation de la
ieux ; ils doivent même être consultes avec fruit, comme des exemples
cliniques
de para-lysie spasmodique, où l'ensemble des symp
tre rempli par MM. Pick et Kahler, dans l'observation dont la par-tie
clinique
a été résumée plus haut: « Dans la partie externe
M. Charcot(Pick). On le voit, tout concourt à confirmer l'autonomie
clinique
et anatomo-pathologique de la sclérose latérale a
7), M. Charcot, re-venant sur les conditions anatomo-pathologiques et
cliniques
de l'hémianesthésie sensitivo-sensorielle produit
lyopie croisée. A l'appui de cette proposition, voici une observation
clinique
assez démonstrative pour se passer de commentaire
tirée vers la gauche. Le malade fut alors admis dans le service de
clinique
de la Salpêtrière où Ton constata les symptômes s
ébraux. — Lobule para-central. — Circonvolutions ascendantes. — Faits
cliniques
et expérimentaux relatifs au développement des ce
dans les maladies chez l'homme. — Nécessité d'une bonne observa-tion
clinique
et d'une autopsie régulière. Histoire naturelle
e anatomique normale, mise en relief par l'anatomie patholo-gique, la
clinique
et l'anatomie de développement. Recherches de P
N. DE la contracture tardive des hémiplégiques et de ses variétés
cliniques
. Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent
N. De la contracture tardive des hémiplégiques et de ses variétés
cliniques
. Sommaire. — Influences diverses qui exagèrent
ons de ces cellules. — Elles sont de nature irritative. -- Phénomènes
cliniques
: actes réflexes. — Théo-ries relatives à la path
lite antérieure, 340 ; — — systématiques, 379 ; — leurs ca-ractères
cliniques
, 380 et suiv. ; — aigus et subaigus, 383 ; — ch
e anatomique normale, mise en relief par l'anatomie patholo-gique, la
clinique
et l'anatomie de développement, 191 et suiv. ; —
IICOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maindies mentales à la Faculté de médec
Y. MAGNAN 1 Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
· (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de clin
ecin de l'Asile clinique · (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
t la paralysie générale. Mais, sur ce point, l'étude statistique et
clinique
a devancé de beaucoup l'étude anatomique, et -l
a marche et l'évolution de ces lésions médullaires; au point de vue
clinique
le tableau change du tout au tout suivant que l
ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 3 luer sous les allures
cliniques
d'une atrophie musculaire pro- gressive : c'est
n- céphalite interstitielle peuvent donner naissance à un tableau
clinique
qui ressemble d'une façon frappante à celui de la
utopsie, je joindrai le résumé de deux autres observations purement
cliniques
, qui sont intéressantes au point .de vue de la
AU POINT DE VUE . NOSOGRAHIQUE; , Par Paul SOLLIER, - Clief de
clinique
adjoint des maladies mentales à la l'acuité. . i
qu'ils distinguent entre ce - deux termes extrêmes au point de vue
clinique
. Tout en me conformant à cet usage dans mon liv
est d'insister sur cette différence radicale, en m'appuyant sur la
clinique
et l'anatomie patholo- gique. , ' In Bibl. de
ts au' point de vue' psyçhoJ.ogiqüè`et'sociâl ? Sôus lé.râpport f i
clinique
et anatomo-pathblogique la distihctionn'est pa's'
, tant au point de vue psychologique'1 et social qu'au point de vue
clinique
et anatomo7patnologiqùe. Jusqu'à ce qu'on ait a
M ? i 1 ab a fil B. IX. La folie A DEUX,'< ses . diverses formes
cliniques
; ti i-itun : 'tpar le Dr L. Z ? ') b - Mettan
rit.' «.t t'"iu-( . ;il 1 ? tL "n ,,uo>ti-'ii' ,Au point de, vue
clinique
on peut considérer trois formes de folie à deux
omprenne, à côté des grands asiles, les nombreux asiles privés, les
cliniques
et les petits asiles de l'Etat' : C'est ce que
,.... - , . ? rl ordinaires par un certain nombre de particularités
cliniques
, mises . en relief par Cotard, sous le nom'de d
dans'un asile. C'est ce qui fut fait. Le prévenu a préféré l'Asile
clinique
à' la prison. ' ' t - . ? -,^.~,-.... ? -il ' '
question très controversée, il apporte à sa solution des documents
cliniques
importants; il est de ceux qui instruisent et i
ceux qui instruisent et intéressent. Paul Sérieux. IL Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et
la partie sans contredit la plus attrayante de' l'ouvrage'la partie
clinique
, qui, sous forme de recueil d'observations, ren
l'année 1892 : ) comprennent1' toutes "> une 'série'de' types-1
cliniques
? les plus inté ? ressants,' depuis*" l'idiotie
unnn -.» Il 4cln.s ? 1 'La''marche, )'évo)ution''deees divers types
cliniques
sont étudiées'" avec le plus grand soin à l'aid
a Société DE médecine mentale DE BELGIQUE. Première question. Etude
clinique
des maladies mentales transitoires ou permanent
) départementale d'infirmiers et d'infirmières,- annexée àl'Asile £
clinique
: Lllea été inauguréenle 14. février 1882, par-
vention de 1.000 francs dans le même but. ' FAITS DIVERS. Asile
clinique
(Sainte-Anne). Maladies nerveuses ci mentales.
ur les délires systématisés dans les diverses psychoses. Cours de
clinique
des maladies mentales et des maladies de l'en-
l'en- céphale. M. le professeur JoFFROY. Amphithéâtre de l'asile
Clinique
, les mercredis et samedis, à 9 heures trois quart
ine mentale en quinze leçons sera fait par M. le De Pactet, chef de
clinique
. On est prié de s'inscrire à l'Asile clinique.
le De Pactet, chef de clinique. On est prié de s'inscrire à l'Asile
clinique
. Hôpital S.11NT-A : TOiNE. Pathologie mentale e
thologie mentale et nerveuse. M. Gilbert Ballet a repris ses leçons
cliniques
sur la pathologie mentale et nerveuse, à l'hôpi
es appréciables ? Si l'on s'en tient exclusivement aux observations
cliniques
,, on inclinera vers la négative, . attendu que
irritation mécanique. '' ' ! '' aM -' " ' 6° Quant aux conséquences
cliniques
de la mésopérineurite, elles sont actuellement
la place qui lui con-t vient logiquement, dans les ca- dres de la
clinique
et de l'ana- li,to'mie,, patholocique,2tels6,q
ecteur; à- uneide- mesjquo.. .. p , r ? i, ft r -1 . ! conférences,
cliniques
de l'an dernier. (Paralysie. générale chez l'ig
* PATHOLOGIE NERVEUSE. - ·"ITnÎlstt la' femme, 'Revue générale de
clinique
et de thérapeutique, 1893). De plus, la malade.
ma ) tn ,r· 5Y ). D'ailleurs, rien n'est variable comme l'évolution
clinique
de la syphilis cérébrale ; mais sur ce sujet il
sur la Syphilis du cerveau, livre empreint d'une si grandet science
clinique
. Les symptômes douloureux du début, puis les pa
post-fébriles quelconques, c'est le polymorphisme de'leurs tableaux
cliniques
. La proportion ' des modalités mentales est ain
. .j)' i . - ' . , <h. XXXVIII. Contribution A la connaissance
CLINIQUE
DU délire de jalousie chez l'homme; par R. \VER
que périodique; par KAuscH. (Archiv. f. Psychiat., XXIV, 3.) Type
clinique
assez rare, dont voici un nouvel exemple. Concl
, si on donne à ce terme de maladie mentale la signification que la
clinique
lui reconnaît. L'hystérique en effet, grâce à l
onc mieux laisser à l'expression de maladie mentale son ancien sens
clinique
, et dire que les travaux récents sur l'hystérie
sont lésées alors que généralement elles sont épar- gnées. L'étude
clinique
de la poliomyélite antérieure chronique est exc
rétaire du Comité; le D1' Georges Guinon, ancien interne et chef de
clinique
de M. Charcot, secré- taire de la Commission ex
de M. Charcot; Aug. Dreyfus; te Dr Dutil, ancien interne et chef de
clinique
de M. Charcot; le D'' Feré, ancien interne de M
es hôpitaux ; le Dr Parinaud, chef du service ophtalmologique de la
clinique
de M. Charcot; le Dr Parmentier, ancien interne d
ien ministre du commerce; le Dr Souques, ancien interne, chef de la
clinique
de 11. Charcot ; Vallery-Radot, homme de lettre
- 291 i G Vol. XXVII. Mars 1894.. ? 85 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENTALE UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ; Par V
plus important de ce qu'on appelle les héréditaires, si bien qu'en
clinique
mentale les deux termes sont souvent pris comme
plane sur ces affections (les maladies Archives, t. XXVII. il 1G2
CLINIQUE
MENTALE. mentales), on en cache plus soigneusem
azaum, notre malade ne s'étant jamais livré 1 cette pratique. 164
CLINIQUE
MENTALE. 1 des filles ou même de leur parler de
de ce qui est arrivé : je vous certifie qu'il n'y a pas ' f - 166
CLINIQUE
MENTALE. de ma faute ». -Nous aurions donc gran
nerveuse, prédominance tantôt d'un centre tantôt d'un autre, et en
clinique
mentale, déséquilibré n'est-il pas synonyme de
er- mettait évidemment de donner à son enfant une instruction 168
CLINIQUE
MENTALE. " soignée.' » Nous trouvons là l'indic
son délire, qu'on voit son visage s'animer en parlant de la 170' .
CLINIQUE
MENTALE. haute personnalité, il devient rouge,
ir. Mais nous croyons qu'en insistant on découvrirait chez lu 172
CLINIQUE
MENTALE. bien d'autres stigmates de cette natur
ui, étant donnée l'intensité de sa prédisposition héréditaire, '174
CLINIQUE
MENTALE. TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. auront vi
les -héréditaires; mais c'est à 141 : Manan'1-' qu'on doit l'étude
clinique
'db"gmatiqùé'1dé< ce point de'la psy ? chiat
tale; des 'doctrines généï : âles'aûsavânt'irlédeciri rde'l'Asile"'
clinique
^ et e est en meconformant''de'm6nieux aux'theo
par les anam- iïestiquës",lâ,déjénérëscencé `qûeilescircoristanëés
cliniques
avaiènt; rendue 1. évidente ? Certains, yrppôme
tard confirmer toutes' les propositions-* déduites de' l'ana- lyse
clinique
, constitue,' malgré les apparences; un cas normal
3n ? dn .ltlas £ j j'oj '.j'T f M XXIII. PARAIYSIE AGIT1NTE. ETUDE
clinique
ET : 1NAT0110-PATIIOLOGIQUE ,f ? t avec le- RÉ3
i il'o'ter; souvent ecra enieiit,, la,p IÏ o-p 1 ia ut,ie. L'examen
clinique
au sang a ) "k J'l..91 t ? t -' '*I"'d*ii'uti6* '
cas réside' presque tout entier dans l'autopsie, car l'observation
clinique
fait4à peu près complètement défaut. >jL g9j
o-pathologique et de sa rareté, bien plutôt qu'à cause de sa valeur^
clinique
; car. le .diagnostic, avant l'autopsie, était
ait-il plus tracé de sang ? ? ,il ' '' ' ' , it, Au point de' vue
clinique
, il s'agissait de deux cas de paralysie général
ipliqùé),leidéfautf.de, concordance entre les lésions et le tableau
clinique
, et surtout la conservation ou la faible atteinte
des différents viscères. Cela résulte'du fait. z que les symptômes
cliniques
de, l'infection commencent à se mani- festerseu
e, mais sans caractère progressif. P. K. IL Notes DE thérapeutique.
clinique
dans LEStII : ILADIES mentales ; par AUGRISANI.
riginal et son seul but. est. de ·guider,les débutants dans l'étude
clinique
des affections nerveuses.i,^.vz,lt 10 ? 'd Lpjtt
, .i'jjUÙK. In 9) ' ! 1'pi ''Ce travailtest consacré à,, l'étude -
clinique
d'une -observation' que lai plupart des symptôm
asile;enfin : icettetconsultation externe deviendrait, une sorte de
clinique
, très=profitable à l'ensei- gnement,,etoù} lest
? i^'L.; . r.' in ? ? depuis un certain nombre'd'années à 1 asile,
Clinique
, à Bicêtre ? 1" 1 1 Jijzo -' t 1 i. Wn 4, Jeu4·
e la législation pénale. FACULTÉ DE médecine de paris. La chaire de
clinique
des mala- dies'du système nerveux de la Faculté
e de Paris, vient enfin d'être déclarée vacante. : '' .. .. 1 ?
Clinique
des maladies mentales (Asile clinique). Le person
rée vacante. : '' .. .. 1 ? Clinique des maladies mentales (Asile
clinique
). Le personnel auxiliaire du laboratoire de cli
entales (Asile clinique). Le personnel auxiliaire du laboratoire de
clinique
des maladies mentales de- la Faculté de médecin
maux. La physiologie a longtemps eu la prétention de régenter la
clinique
. Elle n'y a aucun droit. Ses méthodes ne sont pas
ÉRÉBRALES. 51 au contraire, affermies. Nous croyons toujours que la
clinique
doit rester autonome. La physiologie peut lui c
fi61t 81 $'r6(Ta' .in,- ' "-,«.>, · Par MM.iV. PRAUTOIS, chef de
clinique
médicale à la faculté de Nancy, Par 1M.IV*l et
'- Lion faiblement alçâliye, a tété> faite, au. Laboratoire.'des
cliniques
par M.' le peofesseûr'âgréélGuérin : ,Sa;consti
Il nous paraît superflu d'insister sur l'insuffisance des détails
cliniques
de ces observations. En pareille circonstance,
^l Sftl, O , ff Ol " ' ,' ln .O bw . XLVII1. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
clinique
des rapports DE L IMPALUDISMI* 1 et de L'ALCOOL
'i393.) p ar .-C. SULLI ? 4 lîa en , 'avril'1893.)- L'observation
clinique
.du malade montre nettement que 'la per- versio
nservation : . deux facultés donl l'absence constitue un caractère,
clinique
de l'idiotie-(Sollier).a, 'Par ces tentatives p
la région sotts-thalanzi- que, dû à M. le Dr Mabain, assistant'dë'
clinique
médicale à l'Uni- versité de Liège, dont le nom
fr. Pour nos abonnés, 1 fr. 50. - Grasset (.T.). Les vieux dogmes
cliniques
devant loi pathologie microbienne . Brochure in
imp. 494' * Vol. XXVII. Mai 1894. N° 87 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
mentale SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VE
le de Belgique, séance d'avril 1894. Archives, t. XXVII. 21 322
CLINIQUE
MENTALE. mois d'idées de persécution très activ
itation ne faisant ) qu'augmenter nécessite l'internement à l'asile
clinique
(Sainte- Anne), le 15 mai 1891. Elle y séjourne
le est tranquille, réservée et a conscience de la période ; q loi ·
CLINIQUE
MENTALE. f ., ,T>, délirante qu'elle vient d
? f. t ! ? "' : >^»ai ? j · .n )6 ! > - < * 330 1 - 1 " '
CLINIQUE
MENTALE.'^ j '·- *&' "Typ intelligente... v
; ne, croyons'pas- devoir insister sur le - -'3d4 ' '- 1 1 ' ! j-r'
clinique
-mentale. '" "' '" * '7"' ? diagnostic de paral
ale. '" "' '" * '7"' ? diagnostic de paralysie générale. L'histoire
clinique
de la malade est .par elle-même- suffisamment ?
lesquelles' il' nous faut insister par suite de leur grand intérêt
clinique
mous voulons parler de l'apparition,. au. cours
ilrcot- Dcbovc 1892. j'fil - 1 ' " ? l ' " 1' ." 336 T3 s ? a 3 :
CLINIQUE
, mentale.^ ,tJ T"· 5% 0 l'articulation des mots
la langue qui semble au sujet , Archives, t. XXVII. 22 - 338 y ,
CLINIQUE
MENTALE. 0 >- ,a ,Lt SIU2 être le siège des
sychiatrie; t; XLIX, p.° lf3-159.' Berlin 1892. 342* · * · > ? ?
CLINIQUE
MENTALE. "\" Il -' iet, ^ -3 s'agit d'épilepsie
'é'n4"'a'r"rlë'r'e dti"'é*'e'ntre' dù' là'X'y'nx'. Les observations
cliniques
confirment ces données expérimen- tales e5'Rapp
d'origine cérébrale. (Revue de médecine, 1882.) 340 ^ .. < , ...[
CLINIQUE
MENTALE ? r ? JTt3 - t. - - - .. ? le' r >j.
diqûes et'du pied'des fr : ômtalès 1 : L : . `m' 1.1 ` De ces'faits
cliniques
et expérimentaux ^on, peut conclure a l'existen
iés ''par (notre, rmaitre ? M ! Magnan ? Dans- sesvdernièrés leçons
cliniques
, M. Magnan a montré, en effet" qu'au '"début de
cal, 29 no- vembre 1893.) ,}» ..e ? -i % ? > . t - lui ? 3tJ'O
CLINIQUE
MENTALE.. l'amélioration augmentait; à'deux rep
ensé, Dieu, je suis coupable.... mettez-moi au cachot. » Ce tableau
clinique
n'est pas sans analogie avec les faits observés
ix, de Loudun, de Lou- viers, au double point'de vue étiologiqùe et
clinique
; la seule différence'appréciable qui puisse la
te maladie et qu'il est préférable de, lui, laisseï- encore son nom
clinique
. En 1 ce , qui concerne la lésion primitive de
ijj ja'[.ie)n." *i>aq L'auteur, appliquant ces distinctions à la
clinique
, rapporte plu- sieurs observations détaillées,
a photographie. Les faits tirés de l'hypnotisme et de l'observation
clinique
des hémi- plégiques permettent de penser qu'il
passer leurs examens, à fréquenter pendant six mois au moins ? une
clinique
psychiatrique et introduire dans les examens en
sités," celles dé Bruxeltes, de Liège et de Louvain,' possèdent une
clinique
psychiatrique. L'organisaton de ces trois clini
,' possèdent une clinique psychiatrique. L'organisaton de ces trois
cliniques
psychiatrique serait des plus défectueuses; elles
ectée aux né- cropsies. z M. Francotte se plaint en outre que les
cliniques
psychiatriques sont délaissées par les étudiant
nt, usant de cette autorisation, ont subi un' examen'spécial sur la
clinique
psychiatrique et ont obtenu le certificat const
r M. Francotte, que le cer- SOUSCRII'T10N' CiLIRCOT. 399 tincatde
clinique
.psychiatrique constituât un litre sérieux pour
men par exemple, avant la thèse, l'assiduité duement constatée à la
clinique
des maladies mentales, durant au moins un mois.
jeudi 15 mars, la Faculté de médecine a présenté, pour la chaire de
clinique
des maladies nerveuses laissée ivacante par la
imn. - 494 Vol. XXVII. Juin 1894. N° 88 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE , SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE A
. (Bulletin médical du 11 juin 1893.) Archives, t. XXVII. 26 2.
CLINIQUE
NERVEUSE. -, , Ir Y. -1. M. V..., quarante-troi
squ'au leude- " ? » ? '" .. ''>}> lî>"' t 1JJW 404 ;5 "·
CLINIQUE
NERVEUSE. ' ! " a" ' ' ,,l- 'Al, -*', <iu .
é les résultats suivants : r=nwb..r ,of;m)uf)T i ? 408 .'r'r ? ;-3.
CLINIQUE
NERVEUSE. viîâilàa ^ICYOA^W q -Le trouble menta
on. En d'autres termes, et pour adopter le langage , 1 A,,1.3;, o ?
CLINIQUE
,NERVEUSE. "· ,Y ? ? du jour, .il. s'agirait. d'un
1 : Charcot. - Le,rons du mardi, 1888-1889, p : 3é0. 412 'il;,), 3,
CLINIQUE
NERVEUSE ? q leurs vives, brûlantes, se produis
decine et de Chirurgie pratique, 10 avril 1894. ' ' ` " > 1G G ,
CLINIQUE
NERVEUSE. * : y ? . se passeraient pas toujours
evant de l'une ou l'autre affection, 4'u'il ? a'p'pàrtient" à",Ia ?
clinique
de.'déterminer, en faisant la, part es symptôme
ION DU MUSCLE . pP ? s " ' > M ' t, Dans ce travail, fait à la
clinique
électrothérapique de M. le pro- fesseur Bergoni
iculier ? Quatre cent'cinquante1 aliénées ont été examinées à Iéna (
clinique
psychopathique)sous ce rapport. 'Voici ce qu'on
es de les renseigner, les uns à tous les points de vue (anatomique,
clinique
, thérapeutique et pédagogique), les autre's"plu
haque service comportait jusqu'ici un médecin en chef et un chef de
clinique
; on y ajoute maintenant un interne (assistant)
par lllenereul,' 380. a ·- ? IMPALUDISME, contribution'a' l'étude
clinique
de' 1'4 *- et"de l'alcoo- llsme, par Marandon d
,.t e 4 e .»,. w· . - Mi. '" Kleptomanie, contribution à l'étude
clinique
de la ? par, Boissier et Lachaux, 379HFs. T°° '
cation-,^ des'^', par lirnbius, 39; note sur,. 6 la téràpeutiqtie
clinique
'dans les - , par Augrisani,, 225 ? , ? yrr,t·
ribution àl'étude de la -, par,Bernhardt, 189; des manifestations
cliniques
de la -, ? par Schlesinger, 191 ;, - ou dys- tr
ions. Le Professeur RAYMOND a tenu à perpétuer la tradition de la
Clinique
des maladies du système nerveux en continuant à o
u passé que dési- reuse de témoigner son attachement permanent à la
Clinique
. Grâce au Professeur JOFFROY, qui a si largemen
ement à la publication des travaux de neurologie illustrés d'images
cliniques
ou analomi- ques, cette Revue fait aussi bon ac
un plus grand nombre de travailleurs. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. MALADIE DE FRI
HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE \1) PAR F. RAYMOND, Professeur de
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. Messieurs, P
liée par M. CHARTIER, interne des Hôpitaux. (2) Professeur RAYMOND,
Clinique
des maladies du système nerveux, ! r série, p. Õ2
ui ne s'observe pas dans le regard vers le haut. Tel est le tableau
clinique
de Louise V... Vous avez pu remarquer qu'elle n
sont d'une intensité absolument variable. Ces différentes modalités
cliniques
pourront sans doute trouver leur explication da
fes- seur Senator, de Berlin, se plaçant à un point de vue purement
clinique
, soutenait que la maladie de Friedreich devait
nt par des différences essen- 16 Ô RAYMOND tielles anatomiques et
cliniques
, une affection dont P. Marie a donné la premièr
croscopiques du cervelet dans deux cas récemment étudiés dans cette
clinique
, qui nous amènera, dans notre prochaine leçon,
RSE, SEGMENTAIRE, DORSOLOMBAIRE GAUCHE, MÉTATIfAUIIIATIQUE. FORME
CLINIQUE
CURABLE. Fracture DU PIED DROIT. Quatorze MOIS
t la longue liste des travaux sur les névrites ascendantes, l'étude
clinique
et expérimentale de la moelle des amputés et des
se dont les symptô- mes spinaux sont en quelque sorte la traduction
clinique
». Si l'on s'est beaucoup occupé du tabès métat
ons chroniques de la moelle en particulier. C'est donc là une forme
clinique
bien réelle,bien spéciale sur laquelle cepen- d
ne Meningeate Blutung herbei- gefuhrt sein. » Heureusement l'examen
clinique
démontre qu'il s'agissait plu- tôt d'un hémator
mé par l'expérimentation (Ilayem, Soc. de Biologie, 1873) et par la
clinique
(Chauffard, Froin et Boidin, Formes curables des
9. (2) Grasset (de Montpellier), Revue neurologique, novembre 1902.
Clinique
médicale, Leçon XIV. 30 RÉVILLIOD A Heidelb
la Société de Neurologie de Paris. Séance du 3 novembre 1904. (2)
Clinique
de la Pitié, 6 janvier 1885. 32 SCHERB les si
s notions d'anatomie comparée, et sur quelques expériences et faits
cliniques
, a émis l'opinion que le vermis et les hémisphère
ter l'étude et le classement des formes plus ou moins complexes. En
clinique
il est rare en effet de se trouver en présence
olidarité fonctionnelle mise en lumière par les recherches anatomo-
cliniques
. De plus les lésions peuvent intéresser soit les
trajet, soit les fibres de projection. De là ces nombreuses formes
cliniques
observées chaque jour, de là l'existence de var
98, nds 21, 22, 24, 26, 28, 31. L'Aphasie amnésique et ses variétés
cliniques
. APHASIE AMNÉSIQUE 37 comprend ce qu'on dit;
insula, la capsule externe, l'avant-mur (PI. V, B). Au point de vue
clinique
nous relevons dans l'observation les points sui-
l en soit, il est un point intéressant à relever dans l'observation
clinique
, c'est la di- minution progressive et la dispos
semble-t-il ressortir autant de l'étude étiologique que de l'examen
clinique
, ce sont des déformations relevant uniquement d'u
rencontrer chez le vieillard. Après avoir procédé à la description
clinique
des malades dont nous nous occupons ici, il con
ns leurs grandes lignes les mensurations sont conformes aux données
cliniques
, et d'accord avec ce que nous donnera plus loin l
iniment plus rares (1). Les résultats sont d'accord avec l'examen
clinique
, on a bien affaire à un tho- rax tourmenté, irr
duite. Ceci encore une fois confirme et explique ensemble ce que la
clinique
et les mensurations nous avaient fait entrevoir (
x unités conventionnelles. 78 MOCQUOT ET MOUTIER nées de l'examen
clinique
et en général le maximum des altérations indiquée
idération anatomo-pathologique, il est très aisé par le seul examen
clinique
de distinguer de l'ostéite déformante le syndro
emment très différents de ceux que nous avons envisagés. L'histoire
clinique
de l'ostéoporose sénile se résumait en un seul sy
nnaires (5). En somme, il est bien évident que tant au point de vue
clinique
qu'au point (1) DEBOVE, De l'ostéoporose progre
malades ont eu des fractures du col. C'est surtout au point de vue
clinique
que Durand Fardel étudie certaines déforma- tio
ar les anciens auteurs, chez les- quels on retrouve notés des faits
cliniques
absolument semblables à ceux dont j'ai entrepri
male et morbide. Le témoignage des anciens auteurs et l'observation
clinique
s'accordent donc pour démontrer l'existence, pa
durable, sans étiologie occasionnelle saisissable, dans le tableau
clinique
des démences organiques. Ces deux séries de cas
de figurer dans cette Revue d'art et de médecine, où l'observation
clinique
trouve dans le document plastique la vérité et
en que s'effacèrent chez elle progressivement les trails du tableau
clinique
. Aujourd'hui, la malade, absolument démente, es
A. Marie insistait sur la fréquence et l'intérêt de cette modalité
clinique
de la démence sénile. J'ai indiqué ailleurs (
indiqué ailleurs (1) les différents aspects que confère au tableau
clinique
des démences en général, la combinaison, dans le
-A9arne). 18e Année N° 2 Mars-Avril IIOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE.
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX MALADIE DE FRIE
CÉRÉBELLEUSE (1)1 [suite et fin), PAR F.RAYMOND Professeur de
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. Messieurs, D
leuse, un certain nombre d'observations reliées par leurs analogies
cliniques
, et devant toutes relever d'un même substratum
onne vertébrale. Pour résumer, je peux ainsi synthétiser le tableau
clinique
de ce ma- lade. Désordres de la marche assez
progressive, mais peut présenter des rémissions. » Or, ce tableau
clinique
n'est pas, vous le voyez, Messieurs, directement
assement nosologique, elles ont eu l'avantage de nous montrer qu'en
clinique
, il n'existait pas de démarcation entre les deu
vous reparlerai tout à l'heure el que j'ai déjà présentée dans mes
Cliniques
de 1897 (2), Mélie F..., dont la soeur, atteint
Messieurs, ces faits vous démontrent nettement l'insuffisance de la
clinique
seule pour la classification exacte des formes hy
ique, 1903, Deux autopsies de maladie de Friedreich. (2) RAYMOND,
Cliniques
, 3e série. NOUTIILLE Iconographie DE la Salpêtr
Miura qui puisse être rapprochée de celle de Nonne au point de vue
clinique
, et qui, comme cette dernière, présentait à l'exa
elleux direct, principalement dans la région cervicale. L'évolution
clinique
des malades de Klippel et Durante pouvait déjà
sa relation est faite tout au long dans le troisième volume de mes
cliniques
. Il s'agissait donc d'une jeune femme, Mélie F.
ration. C'est une ataxie famaliale dutypeFriedreich au point de vue
clinique
, réalisant le tableau morbide de cette affectio
des lésions, pas plus qu'elle n'est ressortie de ses manifestations
cliniques
. Il semble donc bien difficile, à l'heure actue
est venu combler le fossé qui semblait les séparer et les modalités
cliniques
différentes se trouvent tou- tes reliées aujour
différentes avaient exercé leur action. Nous ne toucherons le côté
clinique
de nos observations qu'en tant qu'il présente un
8 ans, avait présenté jusque dans les moindres détails le ta- bleau
clinique
d'une épilepsie essentielle et que nous avions ét
jusque-là. Nous nous permettons d'intercaler ici quelques remarques
cliniques
: il est hors de doute que les hallucinations d
me. D'accord avec cela absence de démence prononcée dans le tableau
clinique
. OSERVATION IV. K... Fritz est né en 1881. Sa m
ta alors de troubles de la marche qui nécessitèrent son entrée à la
clinique
médicale de Berne (déc. 1895). On constata que
perdent bientôt dans la tumeur (Fig. 8). Certains des phénomènes
cliniques
notés trouvent sans difficultés leur explicatio
t rien d'anormal. Si nous cherchons à nous expliquer les phénomènes
cliniques
, nous remar- quons immédiatement qu'il y a là t
ce de cette dégénérescence* allant jusqu'à la destruction totale.
CLINIQUE
DU PROFESSEUR GRAZIADEI, HOPITAL 1JAURIZIANO, TUR
ive. Ce syndrome particulier, remarquable par la fixité de son type
clinique
, était déterminé, dans les trois cas de MM. Ray
160 GRUNER ET BERTOLOTTI qui peuvent servir à bien établir son type
clinique
et sa localisation anatomique. Tout d'abord,
te médicale de Nantes, 1899, ne 29, p. 227. (4) It.wwo;vo, Leçons
cliniques
des maladies du système nerveux, VIe série, 1903.
insenlohr, etc.). Enfin, chaque fois que pendant la vie, le tableau
clinique
fut dominé par les paralysies oculaires, on vit
aussi le pied du pédoncule gauche. L'anatomie pathologique et la
clinique
ont bien prouvé l'existence de paralysies parti
ricules latéraux et le canal de l'épendyme. En étudiant l'évolution
clinique
des symptômes présentés par le malade, nous avo
SURRÉNALES PAR GILBERT BALLET et LAIGNEL-LAVASTINE. Le tableau
clinique
de l'acromégalie est aujourd'hui bien fixé dans s
- leurs été déjà exprimée par Schupfer qui, se basant sur des faits
cliniques
et expérimentaux, montre que les lésions destru
CAS d'acromégalie 191 Celle hypothèse expliquerait les coexistences
cliniques
d'acromégalie et de goitre exophtalmique (1), d
ental sont aujourd'hui connus, de même que leurs relations anatomo-
cliniques
. La thyroïde normale dans l'acromégalie est assez
le, et Groenouw en donne une courte description, mais les documents
cliniques
que nous avons pu recueillir dans la littératur
rtie après avoir dé- montré et documenté dans la première les liens
cliniques
étroits existant entre les trois formes en ques
erons de la donner.Nous nous poserons comme but d'établir les liens
cliniques
qui existent entre les trois formes morbides :
lexus lombo-sacré. Charcot en a montré de nombreux exem- ples à ses
cliniques
. Ballet, Babinski, S. Texier, Lamy, Souques, Hall
'hui, on admet couramment, avec M. Brissaud,qu'il existe deux types
cliniques
: la scoliose croisée, dans laquelle le tronc s'i
surtout aux sciatiques spasmodiques. , Il existe un troisième type
clinique
, moins connu que les précédents, décrit sous le
important que dans le cas précédent. ' Dans le 3e cas, où syndromes
cliniques
paralytique et tabétique ont évolué rapidement
tituer une idée plus large faisant des affections nerveuses, que la
clinique
distingue, de simples syndromes à correspondanc
e, le rein, forme une unité réactionnelle que l'étude des processus
cliniques
, cicatriciels, a fragmentée à l'excès, mais qui
érébelleux gauche, méningo-encéphalite diffuse subaiguë. 1° Étude
clinique
. Il s'agit d'un chien cocker âgé de 2 ans 1/2 au
S DANS UN CAS D HÉMIPLÉGIE DE L'ADULTE PAR A. GAUSSEL Chef de
clinique
médicale à la Faculté de Montpellier. La contra
e ont des caractères or- dinairement bien tranchés, et une histoire
clinique
nettement définie. Nous avons eu l'occasion d'o
modification ne s'est produite dans son état. Telle est l'histoire
clinique
de notre malade. Il s'agit en somme d'une femme
dents. Or,non seulement l'étude soigneuse de la malade (observation
clinique
, essais thérapeutiques infruc- tueux, en partic
de toute étiologie saisissable, par l'ensem- ble de ses caractères
cliniques
et évolutifs, par sa terminaison mortelle même,
le diffère des cas précédents par deux moments, deux particularités
cliniques
importantes. La première est cette sorte de con
traste qui existe entre le caractère spinal diffus de l'évo- lution
clinique
et la nature bulbaire des accidents ultimes ; la
squels on trouvera l'indication très complète de tous les documents
cliniques
et anatomiques : OPPENHEim, Die niyasienische P
expression presque purement myélopathique. La seconde particularité
clinique
est l'existence de cette hypotonie qui représen
celle de la peau voisine. Diagnostic. Nous avons vu les caractères
cliniques
de l'oedème de Quinke ; comment le diagnostique
nke aux mains, aux pieds, aux paupières. Cassirer (13) a vu dans la
clinique
d'Oppen- heim deux malades acroparesthésiques p
s une même famille » a été observée (Apert) (12). Au point de vue
clinique
les rapports intimes entre les deux formes me s
ssons part la question de la pathogénie. Mais au point de vue de la
clinique
, les liens entre l'oedème de Quinke et le trophoe
nes aux autres. Pour ce qui concerne les caractères étiologiques et
cliniques
, nous avons vu allant de l'urticaire à l'aedème
: hémifacies succulenta ». A présent, avec ce bagage d'observations
cliniques
et anatomiques, nous pouvons aborder l'argument
ion des chlorures dans les oedèmes néphritiques). Notre observation
clinique
expérimentale que l'introduction, même en grande
atique, l'oedème. Mais à la théorie de Cohnstein, de nombreux faits
cliniques
et expéri- mentaux s'opposent. Si l'augmentatio
précéder très souvent le trophoedème, ni les analogies et les liens
cliniques
que Meige lui-même avait vus avec la maladie de
ire, à savoir sur le tissu conjenctif. La conclusion de notre étude
clinique
des trois formes morbides en parole ' a été qu'
l'urticaire paludique. Annal, de dermat., 1882. 52. DBSCHnmrs. - La
clinique
ophtalm., 10 août 1898. 53. FOLLET. - Thèse de
as aient été constatés dans une même famille. Malgré les recherches
cliniques
, histologiques et chimiques, mal- gré les nombr
pathogénie de cette curieuse maladie. Nous apportons l'observation
clinique
de trois cas nouveaux. Nos trois malades appart
e, t. III, p. 52, 1880. 3. HUCHARD ET Binet, Bulletin de la Société
clinique
de Paris, 1882. 4. RoGiEn, Thèse Paris, 1884.
février 1895 ; Loire médicale, ma r s 189 19. Dubreuilh, Archives
cliniques
de Bordeaux, 1895, IV, p. 44. 20. Gilles de la
uillet 1901. 26. Cadet, Thèse Paris, octobre 1901. 27. DIEULAFOY,
Clinique
Hôtel-Dieu, 170 leçon, 1902 ; Manuel de pathologi
renseignements très exacts, complétés par plu- sieurs observations
cliniques
. 1° Le peaucier est intact. 2" Les insertions
dont souffrait également une autre soeur qui est morte. Le tableau
clinique
présenté par ces malades ne se couvre exactement
eurologie, séance du 2 mars 1905. Ils ont fait le sujet d'une leçon
clinique
du dimanche (Hôtel-Dieu, avril 1905). NOUVELL
er l'idée d'une sclérose en pla ques familiale ou plutôt du tableau
clinique
que MM. Cestan et Guillain ont essayé d'isoler
pasmodique familiale. C'est avec ce dernier syndrome que le tableau
clinique
de Henri et de Jeanne II... a le plus de ressem
emander maintenant à quelle lésion anatomique correspond ce tableau
clinique
. Ici, le souvenir du tabes dorsal spasmodi- que
ment peut faire penser à une affection 'spasmodique. ' Le tableau
clinique
présenté par nos malades, tout en se superposant
anatomique trop précis, sans être absolument exact au point de vue
clinique
. Distinguer entre cette forme et la forme parap
nc être bon,au point de vue purement pratique, de décrire des types
cliniques
définis,il faut se rappeler que ceux-ci n'ont pas
s tics des spasmes, que l'hémispasme facial présente des caractères
cliniques
qui lui sont spéciaux', qui sont étrangers à la s
tion doit être maintenant posée. L'hémispasme avec les carac- tères
cliniques
particuliers que je viens de passer en revue reco
caractérisant un ralentissement évident de la nutrition, expression
clinique
de neuro-arthritisme n'étant pas d'ailleurs propr
be en position vicieuse. Telles sont les principales considérations
cliniques
auxquelles prête le torticolis hystériqne. Il e
ux, à la mensuration aussi bien qu'à l'oeil. De toute notre étude
clinique
ressortait cette donnée générale que l'attitude
du développement embryon- naire. Mais, par suite des progrès de la
clinique
et surtout de nos connaissances anatomo-patholo
ce qui n'a pas peu contri- bué à rendre singulièrement complexes la
clinique
et surtout l'anatomie patho- logique de cette m
d'achondroplasie, une affection bien distincte dont les caractères
cliniques
étaient : la micromélie, les lésions du crâne,
des lésions observées dans les différents cas. Si, au point de vue
clinique
, ces cas présentent certaines analogies, les ex
rales. Comme ces variétés reposent non seulement sur des caractères
cliniques
propres, mais aussi sur des lésions histologiqu
qui persiste lui donne une physionomie spéciale. A. Symptomatologie
clinique
. 1° Nouveau-né. - L'aspect clinique de l'enfant
spéciale. A. Symptomatologie clinique. 1° Nouveau-né. - L'aspect
clinique
de l'enfant achondroplasique est aujour- d'hui
naître les lésions sura- joutées qui compliquent parfois le tableau
clinique
et seraient susceptibles de dérouter un observa
sceptibles de dérouter un observateur non prévenu. Les caractères
cliniques
essentiels de l'achondroplasie sont, non pas le n
oyenne, était la meilleure élève de la classe. 3° Adulte. - L'étude
clinique
de l'achondroplasie chez l'adolescent et l'adul
ent le rachitisme et le myxoedème, peuvent donner lieu à cet aspect
clinique
. L'ossification se complète peu à peu, mais len
, offrent des caractères plus pathognomoniques que les seuls signes
cliniques
qui peuvent être réalisés, au moins en partie, pa
dro- plasie en y faisant rentrer des cas ayant des caractères, tant
cliniques
qu'histo- logiques, parfois opposés les uns aux
hies osseuses et cherchent à établir leurs caractères différentiels
cliniques
et histologiques. Nous n'avons pas à décider s'
rie si l'examen histologique avait été pratiqué. A. Au point de vue
clinique
ces enfants sont, en général, également des lIl
térieur. IV DIAGNOSTIC Pris isolément, les principaux symptômes
cliniques
qui caractérisent l'aclrou- droplasie ne sont p
e siège de prédilection est les côtes, existent avant tout symptôme
clinique
(Kassovitz, Spillmann). L'absence de signes A c
s'agissait de rachitisme type. 518 PORAK ET DURANTE Le diagnostic
clinique
du nain rachitique s'établira sur l'aspect généra
térin. Ces derniers, il est vrai, se dis- tinguaient par un tableau
clinique
généralement incomplet et des caractères partic
ormaux et 26 rachitiques (89,7 0/0). En se basant sur les symptômes
cliniques
seuls, Schwarz relève 80 0/0 de rachitiques ; Fay
vérifié histologique- 1 ment qu'il ne donne pas toujours le tableau
clinique
classique et peut entraîner, } en particulier,
uvera l'élé- ment essentiel du diagnostic, mais dans les caractères
cliniques
et surtout histologiques. Il est, à vrai dire
pas, en effet, pousser singulièrement loin la simplification de la
clinique
que de réunir de parti pris tous les faits dont l
entiel est difficile ? ` ? Dans le cas particulier, le diagnostic
clinique
est, croyons-nous, toujours possible en se basa
ique plus habituellement infectieuse. 6° Possédant des caractères
cliniques
propres et relevant de lésions his- tologiques
e des autres formes de nanisme et lui ont donné une indivi- dualité
clinique
. Chez notre malade nous trouvons tous les caractè
ière. Et si l'on se donne la peine d'analyser un peu les caractères
cliniques
de ces troubles de la croissance, on voit tout de
rie, 1903. In CAAUETTE. Thèse. 20. L. VILAIltr-CA]31CIIE. - Etude
clinique
de l'achondroplasie. Thèse de Paris, 1902 21. M
tantes. - Si nous nous rappelons les données que l'expérience et la
clinique
nous fournissent à propos de la syndactylie et
ux, respiration difficile. Le malade meurt le lende- main. Résumé
CLINIQUE
. Raideur progressive dans les jambes, tremblement
i est de même ordre), on a cru pouvoir indiquer quelques caractères
cliniques
propres à l'atrophie myélopathique syphili- tiq
u'on ne saurait exagérer : ils démontrent avec évidence que le type
clinique
de l'atrophie musculaire myélopathique Aran-Duc
ale se traduit par des signes indiscutables. Sans doute, le tableau
clinique
n'est pas complet; certains signes font défaut; o
e, c'est-à-dire dès le début même de la méningite. Les observations
cliniques
nous appren- nent, en effet, que dans le cours
onnées ana tomiques, d'autre part sur les données physiologiques et
cliniques
, nous som- mes en droit de considérer les phéno
. A la vérité, tous n'étaient pas mé- decins de leur vivant, et les
Cliniques
rudimentaires d'alors étaient sans doute fermée
n ont confirmé tout d'abord une don- née établie par les recherches
cliniques
et anatomo-patholobiques, à savoir l'affinité t
Médecine, 1901. (3) Latour, Des exostoses infectieuses, recherclies
cliniques
et expérimentales. Thèse de Lyon, 1900. 634 L
ditairement prédisposés. 11 est un dernier chapitre de l'histoire
clinique
de la maladie exostosi- que qu'il nous resterai
écieuse bibliothèque annexée à l'Institut dont il a la direction.
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE GENÈVE PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE
E ET HÉRÉDITAIRE (I) PAR J. CHAILLOUS et P. PAGNIEZ. Le tableau
clinique
de l'ophtalmoplégie congénitale est aujourd'hui
nt encore assez rares pour justifier la publication de l'his- toire
clinique
d'une famille que nous avons pu étudier à la cons
e spécifique de l'ophtalmoplégie que nous étudions. Au point de vue
clinique
, il est à remarquer que les paralysies oculai-
noyaux moteurs de l'oeil. A ne s'en tenir qu'aux arguments d'ordre
clinique
en ce qui concerne nos observations, le carac-
trophies sont essentiellement conventionnelles. Le nombre des types
cliniques
est vraiment excessif et il est bien peu de cas r
, segmen- laire, dorso-lombaire gauche, onélatrau- matique, forme
clinique
curable (6 fig.), par RÉVILLIOD, 17. Sclérose
verse segmentaire, dorso-lombaire gau- che, métatraumatique ; forme
clinique
curable (6 fig.), 17. Ruiler. Sainl-Pantaléon
. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEU
EUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR
t-Germain (6e) 1903 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
MÉDICALE .DE GENÈVE (Professeur L. Bard). L'A
s radiographiques. Pendant un séjour de quelques semaines fait à la
clinique
de M. le professeur Bard, j'ai pu suivre un cas
il. Je suis aussi fort reconnaissant à M. G. Humbert, interne de la
clinique
, qui m'a fourni les détails de l'observation et
très peu accusé. Le malade était tuberculeux. De par ces éléments
cliniques
, on pouvait penser à établir une analogie entre
nd d'un succès, certain d'ailleurs. C'est qu'en effet si les signes
cliniques
de l'aci-o-oyanose chronique hypertrophiante pe
de rhumatisme tubercu- leux, dont le polymorphisme et la fréquence
clinique
ont été bien mises en lumière récemment par le
à des points de vue différents elle n'en garde pas moins son unité
clinique
et symptomatique. Mais quant à l'interprétati
Rev. génér. Sem. médic., 1900, p. 1). (2) LMMDE, loc. cil., p. 4.
CLINIQUE
MÉDICALE DE L'IFOPITAL SAINT-ÉLOI, DE VIONTPELLlE
MfATROPHI FACIALE PROGRESSIVE PAR CALMETTE, ET , PAGES, Chef de
clinique
médicale. interne des hôpitaux. Observation.
le célèbre Otto Schwann qui vivait en s'exhibant dans les diverses
cliniques
et en vendant la pho- tographie de ses deux pro
o-spinal ; c'est cette théorie qu'a exposée Brissaud dans une belle
clinique
sur les trophonévroses céphaliques. Quelle es
n nerveuse doit être transportée de la périphérie dans les centres.
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
UIS ET PROGRESSIF PAR J. A. SICARD, LAIGNEL LA.VASTINE, chef de
clinique
Interne à la Salpêtrière. Parmi les nombreuse
mes chroniques classiques, ceux sanctionnés depuis longtemps par la
clinique
et qui sont sous la dépen- dance directe des ca
ro- gressive a débuté il y a plus de deux ans. Tel est le tableau
clinique
. Quel diagnostic nosologique porter ? : ' Il ne
ens musculaire telle qu'elle res- sort des travaux expérimentaux et
cliniques
de ces dernières années. J'ai longtemps hésité
psychologie ne doit ses progrès qu'à ceux de la physiologie, de la
clinique
, de l'anatomo-pathologie. Elle a devancé depuis
et GEORGES GUILLAJN. Professeur agrégé, Médecin de Bicêtre Chef de
clinique
à l'hospice Ste-Anne Nous avons observé, au cou
s par M. Dejerine qui a bien voulu nous communiquer son observation
clinique
. Nous sommes très heureux d'adresser à M. Dejer
l'autopsie, nous ne voulons pas essayer d'interpréter les symptômes
cliniques
par les résultats anatomiques. Toutefois nous fer
ARDIVE A FORME CINLB10-SPINAL>;, PAR RICHON Ancien Chef de
clinique
médicale. La syphilis héréditaire, précoce ou t
tion étiologique nous fasse complè- tement défaut et que l'histoire
clinique
abrégée nous donne des rensei- gnements insuffi
dans les membres. Le malade mourut trois ans et demi après le début
clinique
de la maladie (juillet 1901). Autopsie. - Symph
e- mander : Quelle est la nature du processus d'après Y évolution
clinique
, el sur- tout d'après les caractères anatomique
hie des circonvolutions atteintes, et paral- lèlement les symptômes
cliniques
d'irritation corticale, puis d'hémiplégie. Les
caractéristiques avec toutes les divergences secondaires, fatales en
clinique
et que nous voudrions noter rapidement. Si no
les lésions tuberculeuses des centres nerveux. A défaut de signes
cliniques
, le diagnostic peut être établi avec cer- titud
leurs ma- nifestations. D'autres exemples suggèrent au point de vue
clinique
la même comparaison (2). L'évolution complète
ffisantes. L'apparition, au sein des amyotrophies de quelques types
cliniques
nouveaux : amyotrophie Charcot-Marie ^atrophie
er, dans leur enseignemenl, le retour à la théo- rie uniciste. La
clinique
donne de plus en plus raison aux partisans de la
forcenl, chaque jour l'union de tous les types (1) Brissaud, Leçons
cliniques
, t. I. (2) RAYMOND, Leçons cliniques. MYOPATH
s types (1) Brissaud, Leçons cliniques, t. I. (2) RAYMOND, Leçons
cliniques
. MYOPATHIE ATROP111QUE PROGRESSIVE 109 d'amyo
ns de myopathie, bien classiques par l'ensemble de leurs caractères
cliniques
,mais auxquelles s'ajoutent des symptômes qui im
nage des myopathies. On l'a ren- contré souvent dans les deux types
cliniques
que nous citons plus haut. De plus, il manque s
uvés dans des atrophies d'autre nature. Bref, dans bien des cas, la
clinique
a révélé des anomalies symptomati- ques un peu
bjectifs et subjectifs de la sensibilité. L'ensemble des caractères
cliniques
impose bien dans ce cas le diagnos- tic de myop
bsence de contractions fibrillaires forment un faisceau d'arguments
cliniques
en faveur de celte affection. Il est vrai qu'il
s malades 116 LANNOIS ET POROT cités par Brissaud dans ses Leçons
cliniques
avait des douleurs vives, atro- ces, généralisé
ractère mixte; mal- gré ses anomalies, nous lui gardons l'étiquette
clinique
de myopathie. Comme le fait remarquer Brissaud,
disparates une nouvelle répartition plus conformeaux données de la
clinique
et de l'anatomie pathologique ». FACULTÉ DE MÉD
à droite. L'examen des yeux pratiqué par M. C. Fromaget, ex-chef de
clinique
d'oph- talmologie, a donné les résultats suivan
xistence du tabès et de stigmates d'hérédo-syphilis. Les caractères
cliniques
de ce ta- bes rappellent le tableau du tabes in
TE NÉOPLASIQUE PAR MM. P. SPILLMANN et L. HOCHE Professeur de
clinique
médicale Chef des travaux d'anatomie pathologique
produisirent dans le membre inférieur gauche. La malade entre à la
clinique
le 21 novembre 1898. C'est une fille de con- st
ion de cette lésion méritent quelques considérations anatomiques et
cliniques
. - Considérations anatomiques. Nous avons vu
ent par le tissu névroglique néoplasique lui-même. Considérations
cliniques
. Les lésions médullaires étant connues, il nous
étant connues, il nous est loisible de reprendre un à un les signes
cliniques
et de chercher il les rapporter à leur cause pr
us pouvons ajouter celles-ci : 1° La tumeur a d'après l'évolution
clinique
débuté vers les racines C : . 'III et D.I. 2"
de l'hôpital Tenon le 29 mai 1902, à l'âge de 36 ans. Son histoire
clinique
a été publiée par nos collègues dans la Nouvelle
, 1888, p. 251 et 1889, p. 235. (4) DUCNESNEAU, Etude anatomique et
clinique
de l'acromégalie, Thèse de Lyon, 1891-1892. (
rre Roy, Glycosurie el hypophyse. Arch. gén. de méd., 5 mai 1903.
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE BUDAPEST (SERV
UX (1), PAR Charles HUDOVERNIG, et Uros Pétry POPOVITS, Chef de
clinique
. Interne. Dans son travail Sur le Gigantisme, p
hyse, dont l'importance physiologique aussi bien que les phénomènes
cliniques
causés par ses altérations pathologiques, échappe
rps similaire au sucre se sont seulement rencontrées. Les symptômes
cliniques
ne démontrent pas avec certitude l'agrandissement
et peut-être aussi des or- ganes génitaux. Si de nombreux rapports
cliniques
et pathologiques ten- dent à prouver que la cro
-Marne). Un accouchement simiesque. 17° Année N° 4 Juillet-Août
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (HOSPICE DE LA
er, à propos de deux malades qui ont été présen- tés récemment à la
clinique
de la Salpêtrière, un problème de diagnostic et
sibilité profonde des muscles : c'est le contraire de la conception
clinique
d'une contracture hystérique. Les paralysies et
es corticaux correspondants, et, dans les deux cas, la constatation
clinique
d'anesthésie. Enfin, dernière remarque, il n'es
, mais qui ont cepen- dant une grande fréquence et une grande unité
clinique
. Ce sont les symptômes de la psychasthénie, név
dans les urines élimine, indépendamment de la différence de tableau
clinique
, l'idée de névrite des diabétiques. L'irrégular
teurs de l'épaule et rotateurs du bras répond mieux à l'observation
clinique
. Les antécé- dents héréditaires du malade, son
rte pas moins d'établir entre ces deux affections une dis- tinction
clinique
aussi nette que possible. Les spasmes fonctionn
type Bl·issa2ld, sont aujourd'hui bien connus (1). C'est une forme
clinique
dont les exemples se montrent cha- que jour plu
dans le sens de la largeur totale. FACULTÉ DE MEDECINE DEjLYON
CLINIQUE
DU PROFESSEUR JABOULAY ARTHROPATHIE NERVEUSE TR
IE NERVEUSE TRAITÉE PAR LA RÉSECTION PAR Maurice PATEL, Chef de
clinique
chirurgicale. ET Paul CAVAILLON, Interne de
ever au sujet de cette observa- tion, soit au point de vue purement
clinique
, soit au point de vue chirur- gical ; ce sont s
tes de lésions est encore des plus discutées. I. De tous les signes
cliniques
décrits dans cette observation on peut conclure
s acci- dents infectieux et thermiques arrivent é, dominer la scène
clinique
et à 262 PATEL ET CAVA1LLO1V " . imposer l'in
umière. Il est vrai que Babinski a singulièrement diminué la valeur
clinique
de ce signe depuis qu'il a montré sa fréquence ch
(Na- geotte), nous ne pouvons pas nous contenter d'un simple examen
clinique
pour accepter ou rejeter les formes de tabes et
inie, d'autant que Klippel préfère la définir : « ..... un syndrome
clinique
commun à des toxines diverses, en- traînant des
ofesseur Brissaud, qui avec tant de bienveillance m'a admis dans sa
clinique
et dans son laboratoire, et m'a permis la publi
EC (de Piaâue). J'ai publié dans les Archives bohèmes de médecine
clinique
(t. III) un cas d'hystérie et un cas de névrast
t précisés, et que les malades étaient soumis à un véritable examen
clinique
. On recherchait surtout chez eux l'existence de
infil- tration graisseuse dissociant les faisceaux. . Observation
clinique
. Grâce à une heureuse coïncidence, nous avons p
neuses ; enfin par l'existence de fibres divisées en Y. L'évolution
clinique
, cette ébauche de tissu plexiforme, ces tubes e
ratiquer qu'une seule au- topsie chez une malade dont l'observation
clinique
se trouve dans la thèse de Chenais (1). Cette f
oco cilalo, Obs. XIII. 360 MAURICE DIDE tude de cette distinction
clinique
très importante. D'autre part, la stupeur catat
EL et qui disparaît au pâturage ne saurait répondre à la définition
clinique
du tic : trouble psychomoteur. Un tic de léchag
n outre excès d'intensité des con- tractions musculaires. L'étude
clinique
établira à quelle catégorie de troubles moteurs a
MM. Séglas, Henry Meige et Feindel, est confirmée, au point de vue
clinique
et étiologique, par un cas de stéréotypie humaine
ues, troubles de réflec- tivité, etc., stigmates physiques. Étude
CLINIQUE
. . 1. Phénomènes moteurs. - Le cheval atteint d
typies » (3). Nous ne voudrions pas pousser plus loin les analogies
cliniques
entre les mouvements stéréotypés des chevaux lé
me et de subconscience des actes moteurs des animaux, l'observation
clinique
autorise du moins cette tentative d'interprétat
que nous avons faites sur le cheval, que les plus grandes analogies
cliniques
et étio- logiques existent entre les stéréotypi
nt de l'Université de Moscou. ET Jean WEDENSKY, Médecin de la
Clinique
psychiatrique de Moscou. Le délire alcoolique
ces malades avaient eu des accès de delirium tremens. Le tableau
clinique
du délire alcoolique continu au début se développ
a été mentionnée par le professeur S. S. Korsakoff dans les examens
cliniques
des malades; S. S. Korsakoff pensait que les ma-
être fondé sur des bases solides. Si le malade présente le tableau
clinique
de delirium tremens avec prédominance des hallu
re d'une manière très prononcée de cette der- nière par son tableau
clinique
, par son cours et par son pronostic. La littéra
eurs ou paranoïa alcoolique ». A.-F. Erlitzky (3) dans ses « Leçons
cliniques
sur les maladies mentales », sans examiner le d
e légale, 1900, t.II, Moscou (en russe). (3) A.-F. ERLITZKY, Leçons
cliniques
sur les maladies mentales, Saint-Pétersbourg, 1
maladie susnommée (lésion de l'appareil auditif) et dans le tableau
clinique
(caractère différent des hallucinations, existe
s anglais, il faut indiquer Clouston (2), parlant dans ses « Leçons
Cliniques
» de la possibilité pour le delirium tremens, sur
ous forme de folie partielle. Passant à l'analyse du matériel de la
Clinique
Psychiatrique de Moscou concernant le délire al
al, nous trouvons que sur 4813 malades psychiques, enregistrés à la
Clinique
Psychiatrique de Moscou, depuis 1887 jusqu'au 1
ne; il faut remarquer que quelques-uns de ces malades ont visité la
Clinique
pendant bien des années. La plus grande majorit
ces malades (1) Magnan, L'alcoolisme, 1874. (2) CLOUSTON, Leçons
cliniques
sur les maladies mentales, Traduction russe. Sain
ET WEDENSKY par rapport à la totalité des malades psychiques de la
Clinique
Psychia- trique (4813), pour définir la fréquen
fel P. Gannoucllkille. Ces auteurs, se basant sur le matériel de la
Clinique
Psychiatrique de Moscou, ont pu établir que la pr
B. Gannouchkine et S. A. Soukhaiiof (`2), étudiant la signification
clinique
de la contraction idio-musculaire dans les mala
ins états hallucinatoires. (1) A. Bernstein, Sur la signification
clinique
de la contraction idio-musculaire chez les alié
IlKINE et S. SOUKHANOFF, Contribution à l'étude de la signification
clinique
de la contraction idio-musculaire dans les maladi
raction idio-musculaire dans les maladies mentales, Journal (russe)
clinique
, 1901, no 5. LE MAILLOT DE L'ENFANT D'APRÈS L
scientifiques qu'elle a publiés, la collection de ses photographies
cliniques
et microscopiques, ses articles d'histoire et d
ues chez le chef de l'Ecole de la Salpêtrière. A côté des documents
cliniques
, il sut faire une place aux oeuvres d'art dans
rateur de Charcot, M. Paul Richer, publia, à la suite de ses Eludes
cliniques
sur la Grande Hystérie (2), un appendice (15fi pa
ait Charcot, celle qui orne depuis plus de vingt ans les murs de la
Clinique
de la Salpêtrière, et que tant d'étrangers ont pu
AVEC ALIÉNATION MENTALE TRANSITOIRE ; par le I)rll. BLAISE, chef de
clinique
a la Faculté de médecine de Montpellier. 'Y')
0. DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 61 24 octobre 1873, à la société
clinique
de Londres, est basé sur cinq cas observés par
de déterminer la nature et les lésions anatomiques de ce syndrome
clinique
. Les malades de Gull ne présentaient d'ailleurs
s d'étudier les lésions anatomiques. C'est toujours le même tableau
clinique
. Mais il ressort de l'examen nécroscopique que
es ou des lépreux. Et cependant rien de semblable ne s'observe en
clinique
. Il y a mieux, les malades atteints de myxoedèm
liatif. Le 12 novembre 1880, Dyce Duckworth présente à la Société
clinique
de Londres, une note sur deux nou- veaux cas de
l'état cachectique de la malade. Dans la même séance de la Société
clinique
de Lon- dres, M. Maddon parle d'un cas qu'il a
olution de Broca. L'ana- tomie pathologique, aidée et guidée par la
clinique
, l'a établi ; et, récemment, l'étude du somnamb
M. Peter, où les lésions corres- pondent exactement aux phénomènes
cliniques
observés pen- dautla vie : l'anomalie n'était q
r les cas oùles auteurs, comme M. Farte, s'appuient sur des faits
cliniques
seulement, sans avoir les pièces anatomiques en
elTedz'cal Sciences, n° de janvier 1881.) / Cette étude historique,
clinique
et expérimentale se termine par les conclusions
n ne trouve pas, à l'appui de son, existence, une seule observation
clinique
complète; mais comme on a observé l'amaurose sy
rique elprali- '< que des maladies mentales'; cours "donné à la,
clinique
des établissements d'aliénés' à Gand, t par z %
uera une monomanie ou une monophrénie. Replacé sur le terrain de la
clinique
, il se montre, comme toujours, observateur plei
ions de malades on ne peut plus heureuses. Au nombre des tableaux
cliniques
les plus réussis et les plus vrais, il faut cit
s (thèse de Paris, 1881). De la contraction idio-nztscul(ii),e en
clinique
; par D. L B13É, (thèse de Paris, 1881). Rech
re de travaux scientifiques parmi lesquels nous citerons son Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, 48,ï0. M. le Dr
ALIÉNATION MENTALE TRANSITOIRE ' ; 1; Par la D H. BIAISE, chef de
clinique
u la Faculté de médecine de Montpellier. Nous
lingère, âgée de trente-quatre ans et née à Montpellier, entre à la
clinique
des vieillards (service de M. Grasset), au mois
philitiques, on avait institué, quelque temps après son entrée à la
clinique
, un traitement spécifique. Pendant environ troi
is les documents sont encore insuffisants pour édifier une histoire
clinique
complète. Cependant, les observations nouvelles
enses progrès réalisés par le microscope, n'est-on pas obligé, en
clinique
mentale, d'invoquer à chaque pas l'alté- ration
è- rement les idées émises par notre savant maître dans une leçon
clinique
faite à l'occasion de notre malade. 31. le prof
uu t`uua pulUieruua p`uclt,`tnu- `uenl. (1'ote cle la eclactaou.)
CLINIQUE
NERVEUSE \Ol'RS I'O(;lt aCR\'Ili .1 L'lll : i'l
e sait pas reconnaître même les lettres, il est difficile d'ap- 164
CLINIQUE
NERVEUSE. précier au juste son acuité visuelle
x mains, regarde fixement, demande « à boire, à boire », tou- 166
CLINIQUE
NERVEUSE. jours sans avoir repris ses sens, com
rnhkique, t, t, 187f,, p G. 11f1. I I ; I. lll. ISn, p. l'.i. 168
CLINIQUE
NERVEUSE. applique un vésicatoire volant large
t ? fpo ? N'yMec ? N/- f/)' ! <'rf,lS7C-)8 ! iO,t.),Uet)n. 170
CLINIQUE
NERVEUSE. il est impossible d'après ces deux fa
ant enfant, elle a eu des douleurs de croissance. 1 Briquet. Traité
clinique
rt thérapeutique de <'Av ! /f')';f, )Mf., DE
jonctive sans provoquer aucun réflexe, ni mouvement des pau- 172
CLINIQUE
NERVEUSE. pières ou de l'oeil, ni sécrétion de
convolutions voisines. Aussi ne connait-on pas encore les symptômes
cliniques
qui répondent aux lésions du lobule de l'insula
jours. Il serait difficile, en présence de cette pénurie de données
cliniques
, d'affirmer s'il s'agit dans ce cas d'épilepsie
rdieu. Étude médico-légale sur la folie, Paris, 1880. Morel. Éludes
cliniques
.- ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRIQUES. 195 d'une hyst
et demi jusqu'à dix ans et demi une cépha- Jules Simon. Conférences
cliniques
et thérapeutiques sur les mala- dies des enfant
Gueneau de Mussy. Erotisme de la ménopause. (Gaz. hebd,, 1870, et
Clinique
médicale, t. 11, 343; Paris, 1875. 14 210 REV
érer comme microcéphales, c'est-à-dire comme idiots au point de vue
clinique
, que les individus pré- sentant une atrésie pro
sur les aliénés criminels. M. CHRISTIAN, se plaçant sur le terrain
clinique
, ne veut pas revenir sur les objections qui ont
uve aucun embarras à être de l'avis de M. Christian au point de vue
clinique
, mais en me plaçant comme le fait le magistrat
hebdomadaire de 1877 et 78), fait ressortir les différen- ciations
cliniques
de ces deux observations. Elles ont de commun l
y (de Strasbourg). Par les recherches entreprises sur ce sujet à la
clinique
du professeur, M. Lehmann se proposait de contr
cérébrale passagère, qui, éphémère, échappe à nos in- vestigations
cliniques
. Quant aux troubles de la vue d'une durée quelc
perception, hallucinations). Aussi doit-il avouer que le symptôme
clinique
en question est extrêmement rare à l'état de pure
u pneumogastrique ? Est-ce à l'anémie du bulbe ? Ca. F. VI. Etude
clinique
sur la névralgie iléo-lombaire symptomatique des
passage montre que, depuis longtemps, on a remarqué deux phénomènes
cliniques
souvent signalés par nous, à savoir l'haleine f
TEINTURIER. FAITS DIVERS Faculté DE médecine DE Paris. Chaire de
clinique
des maladies nerveuses. Par arrêté, en date du
ltes, il est créé, à la Faculté de médecine de Paris, une chaire de
clinique
des maladies du système nerveux. Par un autre d
médecine de Paris, est transféré, sur sa demande, dans la chaire de
clinique
des maladies du système nerveux. Faculté de méd
^, 1881, Barth et C"=. Breslau. Bourneville et d'Ouïr. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
lau, imp. Gen, Ursuli- nerstrasse, iiù 1. LELOIR (H.). Recherches
cliniques
et anatomo-palhologiques sur les affections cut
umsx, imp. -382. Vol. III. Mai 1882. ? 9 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE UN CAS D'IIG111LÈSION DE LA MOELLE ÉPI
peres- thésie plus ou moins étendue au-dessus de la zone 18 27t
CLINIQUE
NERVEUSE. anesthésique ; 5° élévation absolue o
-même ; et en J876, dans une thèse intitulée Contribution à l'étude
clinique
des lésions unilatérales de la moelle épinière,
moelle. Les causes qui sont susceptibles d'engendrer le ta- bleau
clinique
tracé par M. Brown-Séquard sont très variées ;
u mamelon sont hyperosthésiés : la piqûre superficielle d'une 276
CLINIQUE
NERVEUSE. épingle est douloureusement ressentie
ne est normale (1,500 gr.). Le pouls est toujours irrégulier. 278
CLINIQUE
NERVEUSE. Le 20 mars, le retour des fonctions m
nducteurs spéciaux pour chaque mode spécial de sensibilité. 280 '
CLINIQUE
NERVEUSE. La paralysie vaso-motrice avait les m
e survenir le neuvième jour, n'a- différé ni par ses carac- tères
cliniques
, ni par sa localisation, des arthro- pathies re
bé à une nouvelle attaque de rhumatisme compliqué de pleurésie 2812
CLINIQUE
NERVEUSE. s'étend non seulement à la peau et au
nverse de celui suivant lequel elles l'ont recouvrée; mais le 28 il
CLINIQUE
NERVEUSE. l'insensibilité revient d'abord sur u
ionnels de la vision par les lésions cérébrales. Paris, 18S9. 286
CLINIQUE
NERVEUSE. est diminuée. Cette dysesthésie peut,
récie, tantôt dilatée ; 31. Gowers, dans son traité tout Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'leystéro-épileysee et l'h
éi-ie, 1876, p 120, 157; et Iconogi-. de la Stilpét-zèi-e. 2 Etudes
cliniques
sur ? ty<M;'0-3 ! p ? e, 1881, p. 38. 288 cl
. 2 Etudes cliniques sur ? ty<M;'0-3 ! p ? e, 1881, p. 38. 288
clinique
nerveuse. récent, manque de clarté et de précis
t tout à fait caractéristiques dans l'hystéro-épilepsie, 19 290
CLINIQUE
NERVEUSE. quand j'aurai dit qu'ils sont netteme
l lueination. 1 Ch. Féré. Société de biologie, décembre 1SS1. 292
CLINIQUE
NERVEUSE. Nous sommes parti de cette idée pour
e. il, 1('ieuer med. 1l'oclemsck., 1J60, u 3 : .> ct 33. 2M se
CLINIQUE
NERVEUSE. une irritation du centre oculo-pupill
. 328. - 1liéoiie physiologique de l'hallucination, 1881, p. 8. 296
CLINIQUE
NERVEUSE. du globe oculaire, ce même dédoubleme
ambridge, 1878. (Bi-ilish. med Journ. August 28, 1878, p 329. 298
CLINIQUE
NERVEUSE. sujets, dont le caractère particulier
sse. Le travail a commencé dans la nuit du t9 au 20 novembre, 300
CLINIQUE
NERVEUSE. vers neuf heures et demie du soir. Qu
l'épine et à 2 centimètres en dessous de la ligne bi-iliaque. 302
CLINIQUE
NERVEUSE. Le 20 décembre, les points douloureux
e des sensations dont nous venons de parler, est suivie d'une 30t
clinique
nerveuse. attaque de contracture analogue aux p
qu'il permettait d'ar- 1 Progrès médical, 1878, p. 993. 20 306
CLINIQUE
NERVEUSE. rèter l'attaque aussi longtemps que l
ue gauche, en place. (D'après une photographie de M. Loreau.) 308
clinique
nerveuse. considérable pour se rendre maître d'
n nombre de classes différant les unes des autres par des symptômes
cliniques
et par des lésions anatomo-patho- logiques. A c
l'idiotie (Archives de neurologie, t. 1, p. 69, 391), et Recherches
cliniques
et </tn'6). sur l'epilepsie, l'hystérie l'id
mentation ne peut que servir à guider et à corroborer l'observation
clinique
. Les faits tirés de la pathologie humaine sont
ésion manque de précision. Si nous considérons l'ensemble des faits
cliniques
dans les- quels nous trouvons des défauts visue
diqué ailleurs '. Lorsqu'il s'agit d'amblyopie cérébrale, les faits
cliniques
purs ont presque la même valeur que les faits s
sion qui produit les autres symptômes cérébraux. Les faits purement
cliniques
d'hémianopsie qui peuvent, comme l'amblyopie, s
possible que la syphilis puisse imiter l'ataxie; mais les symptômes
cliniques
du tabes syphilitique ou non syphilitique sont
me. Mais il ne faut pas s'attendre à y rencontrer de nouveaux faits
cliniques
ou expérimentaux, attendu que l'oeuvre entière
idences des lésions dans un certain nombre de cas, où les relations
cliniques
présentaient une analogie étroite, sinon une id
ital cl celui de l'oeil dans le lobe frontal. » E. li. XIII. Etudes
cliniques
sur ? M/4<d ! 'o-t'pepStC ou grande hystérie;
robabilités en fa\eur ou non d'une corrélation entre lès phénomènes
cliniques
et les lésions. s'agissait,en second lieu, de d
ellules pyramidales. (\111. 13oucliard et Sommer.) La corrélation
clinique
avec localisation spéciale une fois établie, l'
t en juger, par son anatomie pathologique. Cu. F. XVII..RM/iO'c/tes
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie ; par Martial
es enveloppes ; 1r Emm. 13c thèse de Paiis, 1881. 1. Considérations
cliniques
sur la folie épileptique et particulièrement sur
gramme des concours. foi2élé2)a, un anonyme. Elucider par des faits
cliniques
et au besoin par des expériences la et la théra
e du), har Bauney, 3r"i. Cervelet (atrophie du), 360. Chaire de
clinique
des maladies du système nerveux, 268. Cloree
at mental des), par Hucbard, 187. 111'SLet'O-i'1111el1Sle (étmlcs
cliniques
suri'),par Richer, 371 ; - (notes llour servi
aussi bien qu'à l'hôpital et de me cantonner dans le domaine de la
clinique
. Je ferai passer devant vous un certain nombre
surtout de vous enseigner la sémiologie qui est le fondement de la
clinique
. J'estime que les erreurs de diagnostic provienne
l'état mono-symp- tomatique ce signe ne semble pas avoir de valeur
clinique
. Il n'en a pas non plus quand il coïncide avec
flexes tendineux est, comme vous le savez, une pratique courante en
clinique
neurologique; il est essentiel, en effet, de co
is que l'on veut résoudre le problème qui se présente si souvent en
clinique
, de distinguer des manifestations hysté- riques
r confiance. Il QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR L'INTERROGATOIRE EN
CLINIQUE
ET LES SYMPTOMES SUBJECTIFS. [J. Babinski.] C
re entretien avec lui, il a de temps en temps des INTERROGATOIRE EN
CLINIQUE
ET SYMPTÔMES Sf7/ ! JSCV7FS 17 7 sursauts occas
cas où la tromperie serait singulièrement aisée : INTERROGATOIRE EN
CLINIQUE
ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS 19 tel sujet atteint au
'avaient pas encore été soumis à des examens ocu- INTERROGATOIRE EN
CLINIQUE
ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS si laires. Nous n'avons
ès tout ce qui lui avait été dit par les médecins INTERROGATOIRE EN
CLINIQUE
ET SYMPTÔMES SUBJECTIFS 23 appelés à la soigner
ratifs. Mais ce que j'ai dit s'applique à toutes les branches de la
clinique
, entre lesquelles, d'ailleurs, il n'y a pas de cl
cette relation était soit incontestablement établie par l'ensemble
clinique
ou par un examen nécroscopique ultérieur, soit tr
ante. Nous aurons à revenir sur ce fait et à montrer son importance
clinique
à propos de « l'inversion du réflexe du radius
ullaires avec une approximation suffisante pour les exigences de la
clinique
. On trouvera groupées dans le tableau ci-dessou
boli. La gravité de pareilles erreurs est proportionnée à la valeur
clinique
du symptôme en question. L'erreur qui consiste
ge; nous préférons une classification moins physiologique mais plus
clinique
, semble-t-il. Au point de vue qui nous occupe
plusieurs départements, demeure indéfiniment la seule manifestation
clinique
du tabès. D'autres formes de la maladie se trad
nes, par une abolition des réflexes tendineux ; 2" des observations
cliniques
où les réflexes tendineux et la sensibilité s'a
tion idio-musculaire. 64 SEMIOLOGIE ' ' Toutes ces manifestations
cliniques
que nous venons de décrire per- mettent nous y
tension réflexe du gros orteil. En se plaçant au point de vue de la
clinique
, je crois qu'il est préférable de dissocier ces
uels ils peuvent s'associer ou se disso- cier ont une signification
clinique
qu'il me parait intéressant d'indiquer. Dans le
une dégéné- ration du faisceau pyramidal ; l'autre a des analogies
cliniques
avec la rigidité de la maladie de Wilson(') ; e
c'est, du moins, ce qui semble ressortir des observations anatomo-
cliniques
recueillies jusqu'à ce jour. Je reviens à la cl
s anatomo- cliniques recueillies jusqu'à ce jour. Je reviens à la
clinique
. La rigidité musculaire de cette forme de para-
La question me paraît donc définitivement jugée. Au point de vue
clinique
, il était essentiel de la résoudre, et c'est pour
orté généralement, même chez un sujet jeune atteint d'hé- (') Leçon
clinique
faite à l'hôpital de la Pitié. 92 SÉMIOLOGIE
comme capable d'engendrer des paralysies identiques au point de vue
clinique
à celles qui dépendent d'une lésion de l'encéph
n de leur localisation spéciale, présentent quelques particularités
cliniques
relatives à la motilité, qui contribuent encore
s occupant l'hémisphère droit ? VIII RÉFLEXES DE DÉFENSE. ÉTUDE
CLINIQUE
rJ. Babinski.] Publié dans la Revue Neurologi
dans une série de communications, contribué à pré- ciser la valeur
clinique
des réflexes de défense et j'ai cherché à tirer d
irer de leur étude des indications pratiques : c'est sur ce terrain
clinique
que je veux rester dans cet article, mettant ab
uestion n'a, du reste, qu'une importance secondaire au point de vue
clinique
) et je considé- rerai les réflexes de défense p
es, il nous a été possible d'établir plu- sieurs fois un diagnostic
clinique
de tumeur extra-dure-mérienne. Depuis le début
pou- voir dire que la question est fort simple en ce qui regarde la
clinique
, les moyens qu'il faut employer pour mettre en
n des plus communs et l'on a couramment l'occasion de l'observer en
clinique
. On le constate ordinairement chez des malades
ur ce qui vient d'être dit, des médecins encore peu expérimentés en
clinique
neurologique et n'ayant pas la vision précise d
e d'être d'une exploration très facile et d'avoir une grande valeur
clinique
puisqu'il décèle l'existence d'une perturbation d
de la triple flexion. Mais envisageant la question du point de vue
clinique
et, comme je l'ai dit dans mon travail sur les
'il y a de mystique à se cantonner dans le domaine de l'observation
clinique
; j'aurai plutôt mérité le reproche d'être « te
cité autrefois, à l'appui de mon.opinion, une Observation anatomo-
clinique
relatée par Dejerine, Lévi-Valensi et Long(') : i
ent occupés, j'ai cherché d'abord à faire une description des faits
cliniques
suffisante pour bien délimiter mon sujet. Je croi
es anglais et les ont inspirés dans leurs interprétations des faits
cliniques
observés. Le nom de Philipson, collaborateur de
de relation directe, constante entre la gravité des manifestations
cliniques
et la dégénération descendante secondaire. Une
paraplégie, celle en extension et celle en flexion, des caractères
cliniques
distinctifs, au milieu desquels les réflexes de d
anatomo-cliniques recueillies jusqu'à ce jour. « Je reviens à la
clinique
. La rigidité musculaire de cette forme de para-
nts de vue, cette conception pathogénique cadre avec la description
clinique
que j'ai faite antérieurement de la paraplégie en
proposons d'établir dans cette étude, c'est que la distinction, en
clinique
, entre les mouvements réflexes et les mouvements
énomène que nous venons de décrire a, selon nous, une signification
clinique
de quelque importance. Cette réapparition de la
e tra- vail, la description des phénomènes que l'on observe dans la
clinique
humaine ; toutefois, il nous a paru indispensab
eloppement dans des cas où l'hypotonie, telle qu'on la recherche en
clinique
, faisait complètement défaut. Nous ne saurions ad
ASYNERGIE CÉRÉBELLEUSE. Nous avons été conduit par l'observation
clinique
à rassembler, sous la dénomination d'asynergie
lité des troubles observés chez l'animal à une période donnée. En
clinique
humaine le terme ataxie a été pris dans des accep
imparfaite- ment. Il est à désirer qu'à l'avenir les descriptions
cliniques
, et particulière- ment en ce qui concerne ladit
eut, dans certaines conditions exceptionnelles, reproduire l'aspect
clinique
de l'ataxie locomotrice. « Au préalable, écri
tendu, que de la sensibilité consciente telle qu'on la recherche en
clinique
, car comment déceler des troubles de sensibilit
vés chez les cérébelleux diffèrent essentiellement dans leur aspect
clinique
et dans leur mécanisme pathogénique de ceux qui
nimal exé- cutait des actes compensateurs venant changer le tableau
clinique
. Il rechercha « les modifications que subit l'a
t la section des racines postérieures. Il reconnait dans le tableau
clinique
présenté par le chien, outre les symptômes qu'i
qui ont été soumis à la réfrigération. C'est à l'étude des faits
cliniques
que M. Bordier s'attache surtout. Il a observé,
erse : il a conduit quelques observateurs à dénier toute importance
clinique
à la lenteur de la secousse quand elle disparaît
e à ce qu'on publie de préférence les observations où le diagnostic
clinique
a été vérifié par l'examen pratiqué à l'autopsie
x prati- ciens qui ne sont pas familiarisés avec les finesses de la
clinique
neuro- logique et de la chirurgie crânienne.
le spasme musculaire. Si maintenant on considère que les caractères
cliniques
du spasme du cou chez le malade que je vous pré
al et des exostoses ostéogé- niques. Voici, résumée, son histoire
clinique
: C... Emile a 17 ans 1/2. Antécédents hérédita
sistèrent et se compliquèrent d'un procolis. (1) Voir Kirmisson, la
Clinique
, rer mars igia. Attitude scoliotique provoquée pa
, regarde la cuisse par sa (') Les photographies de l'article de la
Clinique
montrent que le membre supérieur avait, il y -a a
est atteint, d'une part, d'un torticolis ayant tous les caractères
cliniques
du torticolis dit mental, d'autre part, de mouv
texte de la Revue neurologique, la relation des différents examens
cliniques
, de spécialités, de laboratoire et des tests biol
refois, sur deux ordres d'arguments, les uns théoriques, les autres
cliniques
. En ce qui concerne les arguments de la Ire cat
ulbaires unilatérales. Nous allons exposer les faits anatomiques et
cliniques
, en partie nou- veaux, qu'il nous a été donné d
ire du côté opposé. Les faits anatomiques s'adaptent bien aux faits
cliniques
. L'hémianes- thésie droite doit être sous la dé
se inaugurale (t885) à la sclérose en plaques : Etude anatomique et
clinique
sur la sclérose en plaques (i vol., 15o pages, ch
érieurs, de paraplégie spasmodique, qui se distingue par son aspect
clinique
et ses caractères anatomiques. Voici d'abord l'
es autres, on doit remarquer que les trois malades, au point de vue
clinique
, à côté de quelques particularités individuelle
ant encore la déformation. Il y a lieu de rechercher si cette forme
clinique
de paralysie spasmo- dique correspond à un état
tout au plus que partiellement altérés (2). (1) Etude anatomique et
clinique
sur la sclérose en plaques, par J. Babinski. Thès
ire ressortir les qualités, je la mettrai en parallèle avec le type
clinique
décrit par Erb sous la dénomination de paraplég
eut être liée à des processus anatomiques variés, constitue un type
clinique
qu'il est permis d'opposer, à certains égards, au
lié dans la Revue Neurologique, n° 12, décembre 1921. L'observation
clinique
que nous rapportons est celle d'une malade de d
osseuse. En terminant, nous ferons remarquer que cette observation
clinique
met en évidence l'indépendance de la sécrétion
l ressort qu'il y a intérêt à rechercher systématique- ment dans la
clinique
des maladies nerveuses le réflexe du tendon d'A
ysionomie des crises gastriques tabétiques, en dehors de tout signe
clinique
et biologi- que de tabes ; 2° Les caractères
tieuse, parce que les troubles oculaires présentent les caractères
cliniques
appartenant à cette névrite. Parinaud a obser
nalogies pouvant induire en erreur, se distingue par des caractères
cliniques
bien tranchés du tabes, ainsi que du pseudo-tab
xer, en réunissant de nombreuses observations, le type ou les types
cliniques
que peut revêtir le rétrécissement du champ vis
suel. Dans la quarantaine d'observations qui forment notre matériel
clinique
, nous constatons que dans la grande majorité de
. Du rétrécissement hémiopique du champ visuel chez les tabétiques (
Clinique
ophtalmologique, igo2). Kahler. Les symptômes p
ltats de cet examen anatomique viennent confirmer les données de la
clinique
et en vérifier tous points de notre diagnostic. I
ions de la moelle sont déjà très étendues, et si, grâce aux données
cliniques
anciennes jointes à celles qui ont été récemmen
y préalablement fondue. Le Dr Géraudel, chef du laboratoire de la
clinique
du Pr Vaquez, a bien voulu examiner la pièce. V
ges de la notocorde. Le Dr Herrenschmidt, chef du laboratoire de la
clinique
du Par Delbet, après avoir examiné les préparat
pas sur la concordance entre les données fournies par l'exploration
clinique
(niveau de l'anesthésie, niveau de la zone des
e du 15 décembre ig2 ('). Nous rapportons aujourd'hui l'observation
clinique
de cette malade et nous chercherons à interprét
re des constatations anatomiques, cherchons à interpréter les faits
cliniques
observés. Ces faits peuvent être divisés en deux
union ou par les traits qui leur sont propres, réalisent un tableau
clinique
spécial. Lorsqu'elles sont arrivées à un terme
ence des mouvements spasmodiques. On pourrait appeler cette variété
clinique
: paraplégie spasmodique, type « extension-flexio
n de la moelle échappent à cette définition ; mais là où ce tableau
clinique
se trouve réalisé la compression ne sau- rait g
ntra-médullaire, soit à une pachymé- ningite limitée, où le tableau
clinique
paraissait semblable à celui des (') J. Babinsk
tion doit être maintenant posée. L'hémispasme avec les carac- tères
cliniques
particuliers que je viens de passer en revue reco
'est tout bonnement une question d'observation et d'expérimentation
cliniques
. Je prévois une objection que l'on pourrait me
e, c'est que j'ai observé au préalable d'autres cas ayant un aspect
clinique
identique et tout à fait spécial, que j'ai pu rep
paravant observé des cas de monoplégie ayant les mêmes carac- tères
cliniques
, qu'il nous a été possible de guérir exclusivemen
un cas, par persuasion, et que l'on démontre qu'il a des caractères
cliniques
spéciaux, distinctifs ; on sera ensuite, mais a
devoir vous rappeler certaines défini- nitions plus théoriques que
cliniques
qui ont été proposées. Selon Moëbius, on peut r
si l'on veut rester dans le domaine des faits, sur le terrain de la
clinique
, ce sont les manifestations hystériques seules qu
tiel de l'hémiplégie organique et de l'hémiplégie hystérique. Leçon
clinique
faite par J. Babinski à la Pitié (Gazette des Hôp
abord abstraction de toute idée théorique, se placer sur le terrain
clinique
. Quand disons-nous qu'un individu est hypnotisé ?
la Salpêtrière, où j'eus l'honneur d'être de 1885 à 1887 le chef de
clinique
de Charcot, je fus, à mes débuts, imprégné des id
mais cette impuissance tient peut-être à ce que nos investigations
cliniques
n'ont pas été encore assez pénétrantes, et il e
stériques en apparence spontanés n'a jamais été niée; l'observation
clinique
l'établit avec une telle évidence qu'une pareil
ives hystériques ». Toutefois, s'appuyant sur certains carac- tères
cliniques
et sur l'étude « des moyens de provoquer et de fa
nombre de neurologistes, et que je crois solidement fondées sur la
clinique
et la logique. Pour ce motif, j'ai cru devoir p
avec Charpentier, Jarkowski et Plichet, et qui, par certains côtés
cliniques
, éveillent l'idée de phénomènes hystériques, dont
rte le nom qu'on leur donne pourvu qu'on sache par quels caractères
cliniques
ils se dis- tinguent). Il ne me paraît pas néce
ques que j'ai connues il la Salpê- trière alors que j'étais chef de
clinique
, et que j'ai pu suivre durant des années. 52(
le service du professeur Pitres, en quatre années, dans une salle de
clinique
générale de 38 lits, passaient 22 cas d'hystéri
i que nous sommes avertis, l'hystérie a à peu près disparu de notre
clinique
hospitalière, pour se réduire à un substratum men
s déjà suffisamment expliqués à cet égard. ' Quelle signification
clinique
convient-il de leur attribuer ? Ils ont exacte-
ofonde, ni de la réflectivité, ni de la vaso-motricité. Aucun signe
clinique
ne permet de les distinguer des contractions vo
groupe de faits assez nombreux qui . se présentent sous des aspects
cliniques
particuliers, et qui ont une véritable autonomi
e même de chacun des éléments constituants. Il en résulte des types
cliniques
divers qui, malgré leurs dissemblances, paraiss
suivirent; la thèse inaugurale de Valtat C) qui comprend une étude
clinique
, une étude expérimentale et un historique détai
atrophie musculaire consécutive aux maladies des articulations (Etude
clinique
et expérimentale), Thèse, Paris, 1872. (1) J.
ces descriptions plu- sieurs des éléments fondamentaux du syndrome
clinique
que nous étudions : l'atrophie musculaire avec
e nerveux. Voici ce que A. Pitres écrivait en 1891, dans ses Leçons
cliniques
sur l'hystérie à propos d'un malade atteint d'a
e la secousse musculaire obtenue par percussion et sa signification
clinique
(étude par la méthode graphique), Société de Neur
e de dégager au milieu des diversités symptomatiques quelques types
cliniques
qui s'imposent à l'attention : la paralysie amy
aphique, vient confirmer le résultat de nom- breuses investigations
cliniques
, elle montre que la lenteur de la secousse musc
la secousse musculaire obtenue par per- cussion et sa signification
clinique
(élude par la méthode graphique). Société de Neur
de Neurologie, 2 mars Ig 1 G. C) G. Guillain et J.-A. Barré, Forme
clinique
de la névrite ascendante. Presse Médicale, 3 avri
que nous avions vu nous-même à la Salpêtrière. Nos hystériques de la
Clinique
Charcot qui présentaient une hémi-anesthésie cl
u membre blessé. Dans le cas que nous venons de relater le problème
clinique
était extrêmement simple ; il était très facile
t de les étudier à l'état d'isolement, il ne faut pas oublier qu'en
clinique
les faits sont ordinairement moins simples et l
aut pas se croire tenu à formuler un diagnostic simple. Le problème
clinique
consiste ordinairement à discerner les divers é
is longtemps frappés et dont nous avons cherché à faire une analyse
clinique
précise, dénote, d'une manière évidente, l'entrée
re cependant de faire des réserves sur l'assimilation de ce tableau
clinique
à ce que l'on observe en expérimentation : dans c
culato ? 're sur le fonctionnement de l'appareil musculaire. L'étude
clinique
nous a montré que les perturbations vaso-motric
à première vue, y avoir une certaine contradiction entre les faits
cliniques
que nous observons et les faits expérimentaux pui
diminuent progressive- ment d'étendue. Ainsi donc, dans les faits
cliniques
étudiés par nous, l'amplitude de la secousse mu
rturbation. » A la lumière de ces données physiologiques, les faits
cliniques
sur les- quels nous avons attiré l'attention s'
ant de terminer cette étude de pathogénie. Quelques-unes des formes
cliniques
: main figée, main d'accoucheur, acro- contract
ndant qu'il s'agissait d'un cas de méningite. C'est surtout l'étude
clinique
des malades des observations I, II, III, IV, V,
stée obscure. Il s'agissait probablement de méningites dont l'étude
clinique
aidée par l'examen cytologique n'a pas permis d
cifique, contrastent trop avec la lenteur habituelle de l'évolution
clinique
des névrites dues à une ménin- gite syphilitiqu
normale et pathologique, 15 février 1885). 13. Ktude anatomique et
clinique
sur la sclérose en plaques (Thèse, Paris, 1885, c
février 1888). 22. De la paralysie pyocyanique. Etude anatomique et
clinique
(en collaboration avec Charrin. Id., io mars 18
ociété de Neurologie, 4 mars 1915). 217. Réflexes de défense. Etude
clinique
(Revue neurologique, 15 mars 1 9 1 5). 218. Név
cembre 192/1). 28r. Quelques considérations sur l'interrogatoire en
clinique
et les symptômes sub- jectifs (Reunion neurolog
decine légale 3 Il. Quelques considérations sur l'interrogatoire en
clinique
et les symptômes subjectifs 15 DEUXIÈME PARTI
sie) .... , ................ 112 2 VIII. Réflexes de défense. Etude
clinique
115 IX. - Réflexes de défense 126 w X. - Sur
OGIE PATHOLOGIE NERVEUSE COMMOTION DE LA MOELLE éPINIèRE 'ETUDE
CLINIQUE
ET CRITIQUE Par les Drs L. DTJMÉNIL, professeur
'ETUDE CLINIQUE ET CRITIQUE Par les Drs L. DTJMÉNIL, professeur de
clinique
chirurgicate à l'École de médecine, et PEfEL, c
e à la place de la cellule qu'un amas de granu- lationsjaunâtres.
CLINIQUE
NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARAC
x connu. 3 Bouteille. Traité de la chorée, iSI8. Avant-propos. 20
CLINIQUE
NERVEUSE. 1818, de grands progrès ont été accom
. Qu'il nous soit per- mis dès maintenant de citer ce passage de la
Clinique
médicale' : « Ces tics sont en quelques cas acc
ées laryngées ou diaplcrcrmatilzles peuvent constituer 1 Trousseau.
Clinique
médicale de l'Hilel-Dieil, t. II, Se édit., p.
inique médicale de l'Hilel-Dieil, t. II, Se édit., p. 267-268. 22
CLINIQUE
NERVEUSE. tout le tic. Ce sont, non seulementun
ne croons pas qu'il existe d'autres documents importants sur 2t. le
CLINIQUE
NERVEUSE. 013SLIRVITION' I. Première partie :
personnes présentes de la société. L'explication qu'elle donne - 26
CLINIQUE
NERVEUSE. de la préférence que sa langue, dans
ment les jambes, surtout la droite, se fléchissent et se redres- 28
CLINIQUE
NERVEUSE. sent alternativement, le pied droit v
orduriers, mais il est encore écholalique; si on l'appelle dans 30
CLINIQUE
NERVEUSE. la rue, il ne manque que rarement de
niques, le séjour à la campagne, où l'enfant a passé huit mois 32
CLINIQUE
NERVEUSE. consécutifs, a paru avoir d'abord un
se. Dès l'âge de huit à neuf ans, sans cause appréciable, sont 3t
CLINIQUE
NERVEUSE. survenus des mouvements involontaires
fièvre muqueuse dont il a souffert à l'âge de treize ans et qui 36
CLINIQUE
NERVEUSE. a duré environ quinze jours autant qu
plissent parfaitement : il est peu avancé au point de vue des 3S
CLINIQUE
NERVEUSE. études que ses nombreux séjours à la
déjà disparu : le malade n'avait plus qu'un tic, qui consistait 40
CLINIQUE
NERVEUSE. dans un clignement d'yeux très fréque
muscles de la face, des épaules et du tronc. Mais assez souvent 42
CLINIQUE
NERVEUSE. DE L'INCOORDINATION MOTRICE. les seco
) ? Klin. Wochens- chrijt, nos et 9, 9867). 2Rosentlial. - Traité
clinique
des maladies du système nerveux, trad. de Luban
Arch. f. Psych., XIV, 2.) Les auteurs essaient de tracer le tableau
clinique
de la forme anatomo-pathologique en question, à
'atteinte de la substance blanche, elle est secondaire et le masque
clinique
correspondant ne présente pas, après la destruc
ératite neuro-paralytiqne en général, à la lumière de l'observation
clinique
. Or, la clinique montre que la théorie de sa ge
alytiqne en général, à la lumière de l'observation clinique. Or, la
clinique
montre que la théorie de sa genèse mécanique, p
r des conférences spéciales. P. K. XI. Recherches expérimentales ET
cliniques
sur l'épilepsie; par Unveriucht. (Arch. f. Psyc
ants; 240 Quant à la marche des convulsions, les acquisitions de la
clinique
ac- tuelle s'accordent avec nos expériences; ou
sont intéressés sur l'autre moitié du corps, n'a pas d'analogue en
clinique
. Ce n'est que pour l'appareil musculaire de la
lisme subaigu ». Cette distinction est importante au point de vue
clinique
. MAHCEL Briand. IX- CONGRÈS DES NEUROLOGUES ET
es récentes de Bercer. L'auteur vient d'en observer un exemple à sa
clinique
(autopsie). On les distingue de la vraie paraly
ite, tantôt congénitale, tantôt (rarement) acquise. Au point de vue
clinique
, d'après les observations connues jusqu'ici, on
ue; plus tard, il réunit tousles dessins optitttatmoscopiques de la
clinique
médicale riche surtout en hystériques. On conço
muscles du squelette, mais il n'existe pas de fait physiologique ou
clinique
qui laisse le moins du monde supposer l'existen
x par une charge modérée, on rend le tonus évident. Les arguments
cliniques
invoqués contre l'identité du réflexe tendineux
ième ven- tricule. Discussion : .' M. J.ILST110WIT7. Le tableau
clinique
des cysticerques est encore assez vague; bien d
sticerques peuvent occuper l'encéphale sans engendrer de phénomènes
cliniques
caractéristiques. MM. Loeiir et Zinn remettent
insi que Seliuelu (Dysphrénie névralgique), après avoir observé, en
clinique
, les sensations pathologiques, arrive à ce résu
ilbrand (Wiesbaden, 1884). Ce travail n'est pas seulement une étude
clinique
, comme son titre semble l'indiquer; il est même
de M. Witbrand constitue une synthèse assez exacte des gros faits
cliniques
et qu'elle introduit un certain ordre dans des co
méthode d'ailleurs est excellente, car il n'est pas douteux que la
clinique
doive servir très efficace- ment la physiologie
origine bulbaire, le Dr Semmola (de Naples) signale un nouveau type
clinique
de maladie du coeur dont il fait la description
ical de L8S3,p, 57, li seconde partie (le ces nouveaux fragments de
clinique
médicale. Elle traite des t7ao7MCfyy ? 0 ? HO
nommé directeur de l'asile Sainte-Anne. M. le D Gilson, chef de la
clinique
de pathologie mentale, médecin-adjoint à l'asil
djoint à l'asile Sainte-Anne, est appelé à remplir, dans la section
clinique
dudit asile, toutes les obligations imposées aux
nat des asiles (bourse de voyage) a eu lieu le 3 novembre à l'asile
clinique
Sainte-Anne. Le sujet tiré était : Estomac (anato
opto-strié (anatomie et physio- logie); de l'hémiplégie. L'épreuve
clinique
a eu lieu le mercredi suivant. -nI. Victor Véta
rade. 1 il FAITS DIVERS. llo,i,icp, de la SvLi'ÈraifeuE. Cours de
clinique
des maladies du ! ! )/s<entC) ! erue ! <j ?
) ! erue ! <j ? AL le professeur Cuvrcot a commencé les cours de
clinique
des maladies du système nerveux, le vendredi 14
des maladies mentales. M. le professeur BALL a commencé le cours de
clinique
des maladies mentales, le dimanche 9 novembre à
E CLI\IQI : I : FI' CIiITI(ll : ^ Parles D L.DUIÉ\IL, professeur de
clinique
cllirurgicale à l'École de médecine, et PETEL,
Archives, t. IX. 10 0 t 16 6 pathologie nerveuse. l'observation
clinique
établit l'analogie avec les faits de la catégor
leur nombre et par l'auto- rité des hommes qui les ont observés.
CLINIQUE
NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARAC
- même et tombe; mais il ne perd jamais connaissance, n'urine 160
CLINIQUE
NERVEUSE. jamais ; màisinui arrive ilê'se'mcird
es syllabes. Archives, t. IX. 1 1 RÉSUMÉ ANALYTIQUE DE NEUF 164
CLINIQUE
NERVEUSE. I. Les cas que nous avons observés
ropatlcique. (Archives de Neurologie, 1884, janvier et mars.) 166
CLINIQUE
NERVEUSE. Obs. VIII. Le père a un tic non doulo
t, le faisaient sauter à sept ou huit pieds de la place qu'il 168
CLINIQUE
nerveuse. occupait lorsqu'il était debout, ou l
ent d'un sommeil de plomb dont il était très difficile de les 170
CLINIQUE
NERVEUSE. tirer. Il est fort probable que l'éno
ctions générales ne pussent être altérées, mais comme elle 172 -)
CLINIQUE
NERVEUSE. s'établit peu à peu, progressivement,
à combien le diagnostic diffé- rentiel s'en trouvera éclairé. 174
CLINIQUE
NERVEUSE. § IL I. Les symptômes que nous avon
le besoin presque irrésistible de répéter un mot, un bout de 176
CLINIQUE
NERVEUSE. phrase qui venaient de me frapper dav
ozcah ordinaire; un malade s'approche delui, L. L. 1\.. - 1"2 178
CLINIQUE
NERVEUSE. et essaye d'imiter une de ses contors
l'ins- tar du cook, à bercer dans ses bras un billot de bois. 180
CLINIQUE
NERVEUSE. Puis ce matelot jeta son billot sur u
rement, cette coprolalie est éga- lement des plus manifestes. 183
CLINIQUE
nerveuse. à son service ; aussitôt, tout en fai
ement compter le lieutenant de vaisseau, cité par M. Laurent, 184
clinique
nerveuse. et deux autres observations, ce qui n
à fait complète, radicale : la maladie sommeille, elle n'est 186
CLINIQUE
NERVEUSE. pas disparue. Toujours il reste des s
s parler 1 V. Archives de Neurologie, juillet 1881, p. 68-75. 188
CLINIQUE
NERVEUSE. avaient trait à l'affection que nous
yons rap- portés des symptômes très analogues à ceux que nous 190
CLINIQUE
NERVEUSE. avons décrits est due à M. O'Brien, u
uelle celui-ci a soutenu l'identité avec le jumping de Beard. 192
CLINIQUE
NERVEUSE. autant de fois qu'on les répétait...
e nous avons fait de la maladie. L'individu : xcmvta, t. 1\. 13 191
CLINIQUE
NERVEUSE. qu'elle atteint n'est pas menacé dans
r hasard notre malade a une secousse, il jettera son verre au 196
CLINIQUE
NERVEUSE. loin, mais il faut que cette secousse
chorée ; dans celle-ci, les divers muscles phonateurs ou res- 198
CLINIQUE
NERVEUSE. pirateurs peuvent être affectés , et
ont échoué. Une seule méthode a paru amender les symptômes et 200
CLINIQUE
NERVEUSE. amener ces périodes de rémission si f
rdu au point de vue de l'intelligence. Bien d'autres particularités
cliniques
très intéressantes pourraient encore être relev
de la vision, l'hémianop- des troubles DE la vision. 223 sie. La
clinique
humaine au contraire, nous démontre que si on p
rapporter quelques nouvelles observations avec autopsie. La partie
clinique
de la première figure déjà dans notre précédent
leaz nerven systeii. (drch. f. ps;/cA., Bd. XV, H. 2. 2 La partie
clinique
est résumée d'après l'observation de AI. Bernard
nommée Carpenlier cinquante-deux ans, admise salle Du- 1 La partie
clinique
de cette observation est résumée d'après îles noi
nous offre à relever deux points intéres- sants : Au point de vue
clinique
, elle présente une particularité importante qui
amblyopie d'origine cérébrale est nette- ment établie par des faits
cliniques
et anatumo-pathologiques. Elle reconnaît ordina
e de ce travail a trait à des observations anatomo-pathologiques et
cliniques
, pris chez l'homme. Elle n'est pas encore entiè
. f. Psych., XIV, 3.) Aux cas déjà signalés ' témoignant du tableau
clinique
de la dégénérescence grise cérébro-spinale mult
1'liyper-ènèse du tissu conjonctif fibrillaire. Les manifestations
cliniques
qui émanent de la lésion combinée des cordons p
nversion du sens génital; par Tarnowsky. (Messager de psy- chidtrie
clinique
et légale et de Neuropathologie, par Mierze- je
Le travail du professeur Tarnowsky est très 1 elle en observations
cliniques
, les unes personnelles d'autres em- pruntées à
l'appui de ses subdi- visions du premier groupe offrent un intérêt
clinique
tout parti- culier. Tel est, par exemple le mal
alent psychique d'un accès épileptique. Il cite à l'appui les faits
cliniques
suivants : Le premier(observation de Tarnowsky)
s, nous le répétons, l'alcoolisme dominait en maître sur le terrain
clinique
; il servit à expliquer la sénilité prématurée.
, 48, 4, 3. 8Ranke. - Compte-rendu des opérations pratiquées à la
clinique
chi- )-Mt-.9 : ca<e(<e Groningen. (Arch.
tique améliora la dé- marche. Weltrubsky1 (1882) entreprit, dans la
clinique
du professeur Lussenbauer, toute une série de t
3 ETUDE CLINIQUE ET CRITIQUE Par les D" L. DUMÉNIL, professeur de
clinique
clirurgicale a l'École de médecine, et PETEL, c
THÉRAPEUTIQUE. sant, nous relèverons brièvement les particularités
cliniques
les plus intéressantes. Observation XVIL Epil
ités principales de cette observation très curieuse au point de vue
clinique
et au point de vue anatomo- pathologique. 0 a
ai eu l'occasion d'observer cette année, est en 1 f3ecVterew. Essai
clinique
sur la température dans quelques formes de mala
ue ont porté sur trois groupes de maladies fonc- ' ' Magnan. Leçons
cliniques
sur l'alcoolisme. (Gazette des hôpitaux, 10, 17
e manière de voir n'est pas, selon M. Rosenbach, conforme aux faits
cliniques
. Il avance qu'une analyse attentive des idées d
ement que ces noms désignent une forme morbide qui, au point de vue
clinique
, constitue un groupe limité parmi les psychoses
ie des nerfs optiques. Le matériel d'observa- tion a été puisé à la
clinique
de Schoeler; il se chiffre par 154 cas. Il est
ornes antérieures. Rien aux cordons antéro-latéraux. Le complexus
clinique
rappelle les faits de syringomyélie. Présentati
ogie du tabes. Quatre-vingt-six cas ont élé rassemblés par lui à la
clinique
des maladies nerveuses de la Charité de Berlin
hilis) sans compter d'autres facteurs inconnus, et que le complexus
clinique
est incapable de nous indiquer quelle est la la
phique assez étendu termine ce volume. P. Marie. XIII. Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie e
le, etc.; la seconde est exclusivement constituée par des documents
cliniques
. Dans la première partie, M. Bourneville et ses
ille et Bricon, 320. Epilepsie, hystérie et idiotie (re- cherches
cliniques
et thérapeu- tiques sur), par Bourneville, Bo
. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE
CLINIQUE
IDES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSE
UR DE CLINIQUE IDES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR
RE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE DIRECTEUR HONre DU LABORATOIRE DE LA
CLINIQUE
GILLES DE la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
NERVEUSE DE 11. LE PROFESSEUR RAYMOND ( z CON
CLINIQUE NERVEUSE DE 11. LE PROFESSEUR RAYMOND ( z CONTRIBUTION
CLINIQUE
A L'ÉTUDE TOPOGRAPHIE DES ATROPHIES MUSCULAIRES
S MUSCULAIRES MYÉLOPATHIQUES par MM. K. UNSIAN ancien chef de
clinique
E. HUET Directeur des Laboratoires de la Cl
ncien chef de clinique E. HUET Directeur des Laboratoires de la
Clinique
Charcot. Depuis 1898, les localisations spinale
res du plexus brachial à la syringomyélie. Mais dès 189o les leçons
cliniques
du professeur Brissaud attiraient l'at- tention
ine ilsembledoncpréférablede recourir encore à cettemélhodeanatomo-
clinique
qui a fait découvrir les localisations cérébrales
istologique. Or, selon Déjerine (Séméiologie du système nerveux) la
clinique
n'a jamais montré chez l'homme un cas d'atrophi
e la corne antérieure. Nous croyons utile de résumer ici l'histoire
clinique
de deux malades, dont l'observation a déjà été
seul groupement cellulaire d'un segment médullaire. Au pointde vue
clinique
, ces foyers destructifs déterminent des paralysie
orter l'observation suivante de paralysie infantile recueillie à la
Clinique
Charcot dans le service de notre maître le prof
groupements voisins. Or nous avons voulu faire simple- ment oeuvre
clinique
et pratique. On a pu croire à un moment que la di
nt radicu- laire. Une importante conséquence se dégage de ces faits
cliniques
: la seule topographie des atrophies musculaire
les plus frappants. La Pl. V réunit plusieurs de ces particularités
cliniques
. A. Face d'un myopathique chez lequel existait
Pierre Marie. Revue neurologique 1901. (2) Pierre Marie. Leçons de
clinique
médicale, 1896. (3) Voy. Brsssaun.Leçons sur le
ype facio-scapulo-hnméral de Landouzy et Déje- rine d'autres formes
cliniques
: type juvénile d'Erb, types de Leyden- Môbius,
mment des cas qui retracent bien dans ses grandes lignes le tableau
clinique
de la myopathie atrophique pro- gressive,mais a
membre inférieur droit. Rentrée en Suisse, elle fut soignée à la
clinique
chirurgicale de Lausanne où le diagnostic de co
nifestement le résultat de l'exercice musculaire prolongé. L'examen
clinique
du coeur, des reins, du tube digestif et de ses a
TRACTIONS FAMILIALES - PAR - R. CESTAN, LEJONNE, Ancien chef de
clinique
à la Salpétrière. Interne des hôpitaux. [Travai
de clinique à la Salpétrière. Interne des hôpitaux. [Travail de la
Clinique
nerveuse de la Salpêtrière) En même temps que s
u professeur Grasset. Les deux cas que nous publions, observés à la
clinique
de notre maître le professeur Raymond, nous ont p
ulu se charger M. Huet, chef du laboratoire d'électrothérapie de la
clinique
Charcot. Membres inférieurs. « Les résultats
ue de l'amplitude des contractions » (Muet) : 1 - Mais l'histoire
clinique
de ces myopathies présente cependant un "gros i
degré de rétraction musculaire, quelle que soit d'ailleurs le type
clinique
de la myopathie, juvénile ou tardive, types Ley
udié cette pseudo-contracture. Plusieurs malades myopathiques de la
clinique
Charcot nous en offrent des exemples : c'est un
dont le professeur Grasset a rapporté l'observation dans ses leçons
cliniques
. D'ailleurs, l'histoire de sa maladie nous prou
e que dans quelques années les deux frères ne présentent un tableau
clinique
identique, avec des déformations aussi accentué
ain degré de rétraction des avant-bras sur le bras. B. - 0135. dans
clinique
de Grasset, 1891 (Obs. du Dr Bourguet). Jean N.
erre Marie. Observation (Planche IX). Célédonia de Vaz entre à ma
clinique
de la Caridad le 28 mars 1901 et oc- cupe le li
6 ans, qui aurait eu largement le temps de déve- lopper son tableau
clinique
. Serait-ce par hasard une polynévrite ? En tout
er l'étiquette de « type Charcot-Marie )) Au reste, au point de vue
clinique
, on sera très souvent obligé de se passer de l'at
Observation B. L... cuisinier, âgé de 37 ans, est entré dans notre
clinique
le 12 janvier 1901 ; marié, a 3 enfants vivants
ition. L'atrophie des fibres, qu'on a supposé se basant sur l'étude
clinique
, était démontrée pour la première fois par l'ex
circons- tance seule, sans parler d'autres considérations vraiment
cliniques
, fait éloigner toute idée, sauf la seule possib
ute-Marne ) 5e Année N° 2. Mars-Avril HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX sun LES AFFECTI
éde- cins. En m'inspirant de considérations d'ordre essentiellement
clinique
, j'avais proposé de fixer cette limite entre le
l, j'avais étéguidépar des considérations d'or- dre essentiellement
clinique
. Aussi bien, les lésions du cône terminal consi
la capsule (1) Nous avons consacré un travail d'ensemble à l'étude
clinique
et anatomique des lacunes cérébrales : Cf. Jean
n observe dans les parois artérielles : (1) Ilucii,&Ri), Traité
clinique
des maladies du coeue, et des vaisseaux. LACUNE
umen- taire, artistique, et morphologique de Il. Meige, les .éludes
cliniques
nous ont révélé l'existence de différents types
ses élio- logiques, répondent la pluralité et le mélange des effets
cliniques
. L'observation que nous rapportons est un docum
sé pat- deux phases successives : une phase anatomique et une phase
clinique
. La première, presque entièrement due aux anato
as est, du reste, curieux et comporte quelques commentaires d'ordre
clinique
et pathogé- nique. Le voici, en détail : Pom.
OME DE LITTLE 139 Raymond et Cestan ont montré que si les symptômes
cliniques
offrent des points communs, la lésion anatomiqu
ion anormale des cellules motrices de la moelle. Pour la faci- lité
clinique
, on avait fait de la maladiedeLittle une affectio
nt dans de très étroites conditions d'équi- libre physiologique. La
clinique
nous montre tous les jours que l'intelligence e
sterai point sur les localisations douloureuses : elles abondent en
clinique
. Partout où s'éveille une sensibilité, elle est l
itoire psychique donné, et on en connaît des exemples réalisés par la
clinique
. . Mais les choses n'ont pas cette brutalité sy
e d'attitude ( ? ) (l),nous le renvoyons aux faits expérimentaux ou
cliniques
si nombreux qui montrent que la faculté de loca
ption de forme se main- tieudra.On a beaucoup confondu dans l'étude
clinique
du sens stéréognostique la conscience d'une ana
dit-il, je l'ai posée et résolue à l'aide de plusieurs observations
cliniques
dont trois avec autopsie. Les conclusions sont on
nt (p. 6) : « Or,selon Dejerine (Sémiologie du système nerveux), la
clinique
n'a jamais montré chez l'homme un cas d'a- trop
QUES 183 Notre but était principalement d'apporter une contribution
clinique
à la topographie des atrophies musculaires myél
tatations anatomiques, nous sommes restés avant tout sur le terrain
clinique
, mais nous avons cherché à en rapprocher les do
r un trajet direct des cellules motrices de la corne antérieure; la
clinique
a montré à M. Dejerine et à nous-mêmes que des
de l'Académie de médecine, Directeur honoraire du laboratoire de la
clinique
de la Salpêtrière. De tout temps l'examen des u
de gliome circonscrit remar- quable surtout par cette particularité
clinique
que bien qu'il ait altéré profondément la 3e ci
imait le pied dela3e frontale,et qui depar sa nature et l'évolution
clinique
de l'affection, parait s'être développée assez
juin 1900, la sage-femme de la commune de X... amenait à Nancy à la
clinique
des maladies des enfants une petite fille « monst
ed droit) était normale. Pendant les fk semaines de son séjour à la
clinique
, la petite Z... fut nourrie au biberon, avec to
'AKATHISIE (Raymond et Pierre Janet). HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX LE SYNDROME PSY
chirurgical, notant et relevant simple- ment quelques observations
cliniques
. Le côtéanatomo-chirurgical a cons- titué en ef
III, pages 37-65. En dehors de quelques renseignements sur le passé
clinique
des sujets que nous avons nous-mêmes pu recueil
s actuelle- ment de traces visibles de cette affection. Un examen
clinique
minutieux ne revèle maintenant rien d'anormal, si
FROIT ET REITZ plus fréquente que celle du tibia, et ses caractères
cliniques
seraient or- dinairement les suivants : l - L
8). UN CAS D'LUNT1CI-1TS11C FAMILIAL PAR PAUL SAINTON Chef de
clinique
adjoint à la Faculté de médecine de Paris. Les
avec elle était évidente. (1) Ce malade a fait l'objet d'une leçon
clinique
du Professeur Debove (Médecine Moderne, 4 mai 1
phie de la Salpêtrière qui pourra donner l'interprétation du « fait
clinique
» que nous apportons et qui offre, pen- sons no
nt pas aussi com- plets que l'eût exigé l'importance des phénomènes
cliniques
et des cons- (1) Société de Neurologie de Paris
paralysie de certains centres sensoriels ont dominé tout le tableau
clinique
. Il s'agissait d'un homme âgé de 41 ans, à inte
tive des régions antérieures, donnèrent l'explication des symptômes
cliniques
. Voici d'ailleurs le relevé topographique des lés
ce blanche (lésion de Baillarger). Le connaissance de cette variété
clinique
et anatomo-pathologique de la paralysie général
in, 1874. DÉMENCE PRÉCOCE ET CATATONIE 331 En raison de sa marche
clinique
, de sa symptomatologie spéciale, la catatonie e
spéciale, la catatonie est considérée par Kahlbaum comme une entité
clinique
spéciale qu'il oppose à la paralysie générale.
de maladies mentales; 2° il ne constitue jamais à lui seul un cadre
clinique
; il n'est pas toute la maladie et occupe seuleme
p d'analogie avec l'hébéphrénie. Il se peut que les progrès de la
clinique
psychiatrique nous amènent dans l'avenir à modi
ste à côté d'autres éléments qui donnent au syndrome sa physionomie
clinique
spéciale. Une autre opinion, qui a le plus gé
ires, démence sénile, para- lysie générale, hystérie, c'est un fait
clinique
désormais acquis. Nous y avons déjà insisté, da
s offrent dans leur évolution et leur symptomatologie, avec le type
clinique
dont cet auteur avait voulu faire une entité mo
double coïncidence ne constitue-t-elle pas comme la démonstra- tion
clinique
de la théorie de Kroepelin qui considère la catat
a démence précoce, la variété catatonique. 1° Il est encore un fait
clinique
que ces observations mettent bien en évidence.
i diffé- rents se trouve déjà mise en évidence par les observations
cliniques
qui, comme les précédentes, nous montrent leur
s très marqués nous a paru rendre plus insoluble encore le problème
clinique
, déjà si complexe, qui s'était posé devant nous.
resta pendant six mois. Pen- dant ce long séjour dans le service de
clinique
chirurgicale, il subit plusieurs opérations ave
més par M. le Dr De- moulin, chirurgien des hôpitaux, alors chef de
clinique
à l'Hôtel-Dieu. De 1895 à 1902, D..., ayant émi
ême sur les données de l'anatomie pathologique. Mais certains faits
cliniques
bien connus tendent à établir qu'il existe réelle
197. Le gérant : P. Bouchez. 160 Année N° 5. SEPTEMBRE-OCTOBRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX £ HOSPICE DE LA
ALE DANS LA MALADIE DE PARKINSON ra Il J. A. SIGARD Chef de
Clinique
et L. ALQUIER Interne des Hôpitaux. Ayant
LQUIER Interne des Hôpitaux. Ayant eu 1 occasion d observer, a la
Clinique
cle la oalpetnere, un-- - certain nombre de cas
arcot, par M. Londe, et que l'on peut voir dans la collection de la
Clinique
de là Salpêtrière. Enfin, il existe, au Musée C
adie de Parkinson, et qui puisse expliquer ces déviations. L'examen
clinique
ne permet pas de soup- çonner une affection oss
orbides différents. Malgré sa physionomie bien spéciale, le tableau
clinique
offert par nos malades, rappelle par certains t
geur remontant jusqu'à mi-jambe. Dans l'état actuel, cet ensemble
clinique
pourrait être pris, à un exa- men superficiel,
dictée. M. Raymond fait la même remarque dans un cas de Friedreich (
Cliniques
, t896-9' ? , p. 352). (4) Il y a aussi des mo
qui) se décide à venir à Toulouse, pour se faire traiter. Examen
clinique
. - Vig. est d'une taille au-dessous de la moyenne
402 DESTARAC - On peut prévoir d'ailleurs le moment où les types
cliniques
, déjà isolés dans la classe des maladies hérédi
us, des contractions fibrillaires qui ne font pas partie du tableau
clinique
des névrites et nous porteraient plutôt à mettr
présentent cependant la plus grande ressem- blance au point de vue
clinique
. Pour notre part, en l'absence de constatations
es qui se présentent tout d'abord comme extrêmement atrophiées : la
clinique
laisse cependant soupçonner un tel contraste; l
DE L'AMYOTROPHIE TYPE CHARCOT MARIE ? TAU Paul SAINTON Chef de
Clinique
à la Faculté de Médecine de Paris. Dans le prem
e, il est vrai, la confirmation de l'autopsie ; mais les caractères
cliniques
de la maladie sont assez nets, pour que l'on pu
enot, Saint-Dizier (lïie-Mrne). 16" Année N° 6. Novembre-Décembre
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
s l'acception restreinte que je viens de spécifier. Premier exemple
CLINIQUE
. La malade en question, une nommée Maria F...,
rappeler ce que nous savons, de par les don- nées de l'observation
clinique
, relativement à la superposition des centres mo
à l'administration interne de la noix vomique. Troisième exemple
clinique
. Voici un troisième malade, dont le cas est à m
n syndrome lié à une lésion bulbaire uni- latérale, dont les traits
cliniques
essentiels sont des vertiges, une hémi- plégie
e malade est mort très peu de temps après l'apparition des troubles
cliniques
. Or il existe des lésions déjà anciennes, général
foyers de mortification dont dépendent exclusive- ment les troubles
cliniques
qui ont été observés, et c'est au mode spécial
tion anatomo-patlrologique nous paraît s'adapter aux particularités
cliniques
. Nous avons déjà indiqué précédemment'comment o
aires, la voie médiane et la voie latérale, cadre bien avec ce fait
clinique
que la sensibilité était atteinte dans presque
obscur, ni de décrire à nouveau le symptôme asynergie, pour l'étude
clinique
duquel nous renvoyons aux travaux antérieurs de
i n'est pas sans permettre une déduction importante au point de vue
clinique
. Il en résulte, en effet, que le syndrome céréb
effet, que le syndrome cérébelleux, tout en conservant son intérêt
clinique
, ne doit pas toujours être considéré comme synony
ire de l'atrophie démontre qu'on ne doit pas considérer le syndrome
clinique
cérébelleux comme étant tou- jours le représent
représentant d'une lésion primitive du cervelet. LABORATOIRE DE LA
CLINIQUE
PSYCHIATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE MOSCOU. SUR
conservés dans les muséums, n'étant pas accompagnés de descriptions
cliniques
, il est assez difficile de déterminer l'âge des
es. Testicules petits. Marche de la maladie. - Le malade resta à la
clinique
du 24 mai 1894 au 23 septembre 1896, date de sa
sorte de classification des nains dans l'art (1), d'après les types
cliniques
observés de nos jours : nains rachitiques, myxo
ar CESTAN et HULT, 182. Atrophie muscu'aire myélupatltique (Elude
clinique
de la topographie). (1 (¡g. 4 pl.), par Cestax
l. en pholocollogr. 8 dessins), 201. CESTAX et HUET. Contribution
clinique
à l'é- tude de la topographie des atrophies mus
ARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de
clinique
des maladies mentales à la Faculté de médec
V. MAGNAN Membre de l'Académie de médecine Médecin de l'Asile
clinique
(Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de cliniq
édecin de l'Asile clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux à la Facult
891 au 24 décembre 1893, Delannoy a été placé quatre fois à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne), comme aliéné. Pendant son dernie
ai dù rêve-, nir à pied à Paris. En arrivant je suis allé à l'Asile
Clinique
pour toucher mon pécule. M. Quesneville a envoy
le D' M. KLIPPEL. Chef de laboratoire de la Faculté de médecine. (
Clinique
du professeur Joffroy.) La question du début de
ême lorsque les malades ont présenté depuis peu de temps des signes
cliniques
et qu'ils viennent à succomber une affection in
ue nous allons décrire chez des sujets n'ayant présenté aucun signe
clinique
. Nous avons déjà eu l'occasion d'étudier cette
rs avec évidence comme une première phase tandis qu'au point de vue
clinique
, elle a évolué silencieuse- ment. Elle se renco
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. La surdi-mutité au point DE vue
clinique
; par James KERR Love. (British médical journal,
u avancé relativement, l'extension en ait pu produire des symptômes
cliniques
accentués. Une tumeur cérébelleuse les 1 Nous c
par Rolleston dans les deux numéros de Mars. , A. M. X. Archives
cliniques
. (dondon Clinical Society.) l. Observation de S
rée. R. 11. C. XX. Trépanation dans un cas d'épilepsie; observation
clinique
) ; par T. DUNCAN GREEi'\LEES. (The Journal of M
s les articles originaux).7fA't)'c/t/f'M de Pathologie, de Médecine
clinique
el de Bactériologie publieront : I. Des travaux o
American Médical .'ioc;'a/;o< ! 7'<'M. SÉGLAS (J.). Leçons
cliniques
sur les maladies mentales et nerveuses (Salpêtr
lS8EY, tmp. - 1 ? 5. Vol. I. Février 1896. N° 2 ARCHIVES DE NEU
CLINIQUE
MENT^ ? Asile CLINIQUE (SAINTE-ANNE . PROFESSEU
l. I. Février 1896. N° 2 ARCHIVES DE NEU CLINIQUE MENT^ ? Asile
CLINIQUE
(SAINTE-ANNE . PROFESSEUR JOFFROY. LES HALLUCIN
ONS UNILATÉRALES ; LEÇON recueillie par EDOUARD TOULOUSE, Chef de
clinique
, médecin de l'Asile Sainte-Anne. Sommaire : I.
nements excellents, peut-être même Archives, 2e série, t. 1. 7 98
CLINIQUE
MENTALE. trop optimistes, ont eu pour rejetons
- ficile à un observateur de localiser des phénomènes de ce 100 '
CLINIQUE
MENTALE. genre dans l'oeil droit ou dans l'oeil
comme une erreur de l'activité cérébrale qui s'est manifestée 102
CLINIQUE
MENTALE. tout à fait en dehors des conditions h
s. Ouvrage cité, p. 68 et smv. 1 Bail. Encéphale, 1892, p. 1. 104
CLINIQUE
MENTALE. ces deux ordres de phénomènes morbides
. Analysé in Neurologisclies Cen- tralblall, 1889, p. 22. ' . 106
CLINIQUE
MENTALE. mais il y a lieu de se demander par qu
XI, p. 256. ' Hughes Bennett. The Lancel, 1889, t. I, p. 674. 108
CLINIQUE
MENTALE. auras sensorielles unilatérales peuven
nt conservé la forme pyramidale ou triangulaire et possédant '112
CLINIQUE
MENTALE. un noyau à contours nets; elles ont de
ons morbides dans le grand appareil nerveux de contrôle. Des signes
cliniques
indéniables montrent que c'est ce système qui e
cusées des nerfs~périphériques, et qu'il ne manquait pas de preuves
cliniques
pour démontrer que l'apparition de ces lésions
rares, dont Bevan Lewis a pu dire qu'ils témoignent par leur allure
clinique
de l'analogie bien nette, sinon de l'identité d
ons sensorielles internes et externes. XXIV. Contribution A l'étude
clinique
DES idées obsédantes ET DES états psychiques an
re qu'il y a parallélisme dans les cas de stupeur; 3o les symptômes
cliniques
sont pleinement en rapport avec la possibilité
comme une intoxication plutôt que comme une infection. Le tableau
clinique
du délire initial des typhiques, présente de no
uvent oublier que les hôpitaux de Paris leur offrent des ressources
cliniques
considé- rables, et qu'ils y trouveront des maî
rage et la nourriture, un traitement annuel de 800 francs à l'asile
clinique
(Sainte- Anne), de 1,000 francs à la Préfecture
de l'asile proprement dit, et deux assistants pour le service de la
clinique
de psychiatrie (300 malades). A Niet- leben il
r près de 1,500 malades (1895). , 'Il convient de mettre à part les
cliniques
de psychiatrie dont voici l'effectif : BIBLIO
L DANS LA POLYNÉVRITE; Par le D' SERGE SOUKIIANOFF, Médecin de la
Clinique
psychiatrique de Moscou. Peu de temps après que
re et en partie du bulbe. Le malade âgé de vingt-un ans, entre à la
clinique
psychia- trique de Moscou, le 26 mars de l'anné
eux mois avant l'entrée du 182 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. malade à la
clinique
psychiatrique, les personnes qui l'entouraient
fut obligé de garderie lit. Un mois et demi avant son entrée à la
clinique
psychiatrique il cessa de boire. Etat présent.
épond pas toujours également. Les jours suivants de son séjour à la
clinique
psychiatrique, les phénomènes paralytiques s'ag
t une percussion. ' Après quelques jours de l'entrée du malade à la
clinique
, on trouva dans sa pituite les bacilles de Koch
et du bulbe et aussi des parties situées plus haut, les symptômes
cliniques
du côté du cerveau (les vomissements et l'état me
ivement peu, mais.la névrite multiple est accompagnée des symptômes
cliniques
caractéristiques pour la lésion du cerveau. P
DE; , Par M. YVON, (Travail du laboratoire de thérapeutique de la
Clinique
des maladies nerveuses.) L'action et l'efficaci
ont il s'agit avait quarante-trois ans en 1877 ; les renseignements
cliniques
que l'on a pu obtenir sont assez maigres; ils n
étude de leurs conditions étiologiques respectives. Au point de vue
clinique
, il est impossible de méconnaître que certaines a
ux de l'intestin. P. K. XXI. DE la craniotonoscopie ET DE sa valeur
clinique
; par W. lIIULIANJ131f. (Neurolog. Ceatnal6l.,
râne. Des expériences établies par l'auteur et rapprochées d'études
cliniques
ont indiqué à M. Murawjetf que la craniotonosco
e 1,100 francs dans les asiles extra-muros, de 800 francs à l'asile
clinique
(Sainte-Anne) où la plupart n'arrivent que la d
Y, imp. - 396. Vol. I. Avril 1896. N° 4. ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
MENT DÉMENCE VÉSANIQDE, RAMOLLISSEMENT DU CER
e que le ramollissement cérébel- ARCHIVES, 2° série, t. I. 17 258
CLINIQUE
mentale. Jeux est encore plus rare, et il ajout
la dure-mère. Celle-ci incisée donne issue à environ 00 grammes 260
CLINIQUE
MENTALE. de sang rouge provenant des artères ca
la base du thorax appuyée et comprimée sur les poings. Les signes
cliniques
et anatomo-pathologiques indiquent que dans not
c les observations'de Bourneville qui, dans ses remarquables Eludes
cliniques
et thermométriques sur les maladies du système
deux crises d'affaiblissement de la respiration. Tel est le résumé
clinique
de ce cas qui a commencé par une paralysie unil
saillantes a droite qu'à gauche. Rapprochons maintenant les faits
cliniques
des faits anato- miques. Cliniquernent : dévelo
d'assurer, la station. Passant de la physiologie expérimentale à la
clinique
, l'auteur recherche dans quelle mesure les fait
tale à la clinique, l'auteur recherche dans quelle mesure les faits
cliniques
s'accordent avec les faits expérimentaux, et po
auche et le lobe moyen dans cas. Au point de vue des manifestations
cliniques
, les quatre grands symptômes que l'on a coutume
velet. R. DE MUSGRAVE CLAY. XLVIII. La syphilis cérébrale : étude
clinique
; par Léo STIEGLITZ. (The New-York Médical Journ
très probable pour le second. L'auleur insiste sur les différences
cliniques
et anatomo-patho- logiques, par lesquelles ses
le cerveau peuvent participer aux lésions comme le démontre l'étude
clinique
et. microscopique des deux cas en question. Ada
laes et qui s'anastomosent avec les rameaux terminaux du iacial. La
clinique
montre du reste qu'en l'espèce, le facial n'est p
les deux syndromes à la même source, de reconnaître dans le tableau
clinique
com- plexe et polymorphe une seule maladie, une
i.. * : . : III. Les névroses traumatiques. Etude pathologique et
clinique
; par le Dr CROCQ fils. (In-8°, 1896, Société d
ement un in- térêt énorme à deux points de vue bien différents : la
clinique
et la médecine légale. « Les troubles nerveux
Valparaiso, 1894. - Imprenta y litografia central. ' R.1Y3(OND. -
Clinique
des maladies du système nerveux. - Hospice de l
e a provoqués se contre-balancent. Dans les cas durables le tableau
clinique
et l'anatomie pathologique de l'oedème présente
volue avec des symptômes graves adynamiques et l' ' tous les signes
cliniques
classiques. La température reste au-dessus de 4
nt au cours de la maladie indiquent une étroite relation, à la fois
clinique
et pathologique, avec la forme d'affection médu
ez les nègres elle atteint 40 à 45 p. 100. D'autre part le registre
clinique
de l'asile montre que la tuberculose revêt, che
on directe de l'intensité du ver- tige; 3° Jneh' quc.les : .çause's
cliniques
du vertige soient de nature très diverse, elles
ccord avec les données expérimentales et on fournit une explication
clinique
satisfaisante quand on considère le vertige com
e qui n'échappera à personne.. R. \1.-C. XXXII. SUR les relations
cliniques
ET pathologiques DE la paralysie générale des a
à aucun point de vue une maladie spécifique, mais bien une variété
clinique
d'encéphalite chronique diffuse intersti- tiell
nation de paralysie générale comme désignant suffisam- ment un type
clinique
bien accusé ; mais en comparant cette maladie a
urs ont agi simultanément, et l'auteur développe, d'après les faits
cliniques
observés, les raisons qui le conduisent à admet
début, du mode de la marche ultérieure. C'est bien affaire d'espèce
clinique
et non de nosographie. P. K. XLVI. Partie supér
chéma, de ces rapports au point de vue anatomique, physiologique et
clinique
. Les troubles ampullaires sont intéressants à c
on réflexe issue de l'appareil ampullaire, et téaliser les tableaux
cliniques
les plus complexes. Il faut donc, en présence d
fs et moteurs, dont l'inté- grité était, d'ailleurs, prouvée par la
clinique
, et cependant elles sont identiques avec celles
égénérescence du nerf optique et de l'oculomoteur gauches. L'examen
clinique
ayant fait con- stater une paralysie complète d
oculaire. 404 SOCIÉTÉS SAVANTES. Discussion : M. BENNECICE. A la
clinique
du professeur Binswanger (Iéna), il est mort, d
açon à per- mettre cette surveillance. C'est ce qui a été fait à la
clinique
de Wurtzbourg. Quant à M. Hoppe, après avoir co
iraE (1. Steinheil, éditeur, Paris, 1895). L'auteur, dans une étude
clinique
très documentée, passe en revue les délires tox
896. Société d'édi- tions scientifiques. Grasset (.1.). Leçons de
clinique
médicale faites t't l'hôpital Sainl- Éloi de Mo
DÉGÉNÉRESCENCES I'ar le D' A1. KLIPPEL, Chef de laboratoire de la
Clinique
des maladies mentales. La pathologie a générale
est l'exposé de leçons que nous avons faites en février 1896, à la
Clinique
de notre maître, le professeur Jolfroy. Nous somm
° les deux neurones sont dégénérés simultanément. Un type morbide
clinique
correspond très particulièrement à chacune de c
à chacune de ces éventualités. Chacun de ces types a été décrit en
clinique
comme évoluant isolément bien avant qu'on con-
est qu'en raison de cette doctrine chacune de ces grandes modalités
cliniques
correspond justement à la lésion isolée ou comb
trépidation épileptoïde et de la contracture. Ce grand syn- drome
clinique
est le résultat de toutes Jes affections qui fr
orne antérieure au muscle, donnent lieu, de leur côté, à un tableau
clinique
dont les lignes ne sont pas moins connues et pr
édents soient LES NEURONES. 429 .ésés l'un et l'autre, le tableau
clinique
sera encore différent et nous fournira le trois
oisième des grands syndromes moteurs que nous montre chaque jour la
clinique
, celui de la sclérose latérale amyotrophique. O
lus le professeur JoITroy a fait sur le même sujet plusieurs leçons
cliniques
(1891, 1893 et 1896) à l'Asile clinique (Sainte-
ême sujet plusieurs leçons cliniques (1891, 1893 et 1896) à l'Asile
clinique
(Sainte- Anne). LES NEURONES.. 433 Sans dou
e plus apparent. Mais en somme cela n'a qu'un intérêt relatif. La
clinique
a déjà cherché à mettre en opposition le tabès
paréso-analgésie des extrémités supérieures n'était qu'une variété
clinique
de la syringomyélie. MM. A. Joffroy et Achard,
ervice et ils ont confirmé notre diagnostic. 1 Grasset, - Leçons de
clinique
médicale, 11° s6ne, MontpeUier et Paris, 1896.
i.i'U. di pat. nerv. et ment., fasc. 2, 1896.) XCII. Observations
CLINIQUES
ET anatomo-pathologiques relatives A un cas peu
ue, à son extension, à l'augmentation de la paralysie, aux variétés
cliniques
, au traitement. Il semble que le processus anat
xcessif du système nerveux. La forme anatomique comme les symptômes
cliniques
sont, dans tous les cas, identiques et par suit
cas les distin- guer en l'absence d'un critérium bactériologique ou
clinique
.- Le point de départ du processus anatomique pa
s que l'extension de la civilisation entraîne avec elle. Les formes
cliniques
sont très variables, mais il est difficile de l
it pas être faite avec routine, mais doit se modeler sur chaque cas
clinique
. J. S. LXIII. LE choléra CHEZ LES aliénés; par
ue, infectieux comme la syphilis, etc. J. S. LXVI. LES caractères
cliniques
différentiels ENTRE la paralysie générale syphi
ontre. L'astasie-abasie est fréquente, mais chaque cas a son allure
clinique
spéciale. On observe surtout des formes paralyt
ériques chez l'enfant et chez l'adulte. M. BOULER. Considérations
cliniques
sur les rapports de la syphilis et des maladies
s psychi- ques provoqués par l'alcool, est de 15 p. 100. Les formes
cliniques
observées sont les suivantes : paranoia, démenc
ie, t. LII, fasc. 3.) P. SÉRIEUX. BIBLIOGRAPHIE. XII. Leçons de
clinique
médicale; par le professeur J. Grasset, de Mont
rofesseur Grasset a eu l'heureuse inspiration de publier les leçons
cliniques
qu'il a faites à l'hôpital Saint-Eloi, de novembr
le professeur Grasset expose en une succession de leçons le tableau
clinique
de l'hystérie chez l'homme et de la neurasthéni
sion. A propos de deux obser- vations, M. Grasset établit un groupe
clinique
qu'il caractérise ainsi : maladie infectieuse a
onostic de 1' par hémorragie cérébrale, par Barrs, 49. Archives
cliniques
, 47. Arriérés. Enfants par Jiourne- ville, 17
ique. par Crocq, 309. Neurones par Khppel, 417. Obsédantes. Etude
clinique
des idées -, par Thomsen, 143. Obsession. Ten
ections chro- niques des reins, par Bristowe, 311, 351. Relations
cliniques
et pathologiques de la-, pai-Fari-ar. - assoc
actères d'une loi psychologique : Lorsqu'on amène deux enfants à ma
clinique
(frères ou sœurs ou enfants de la même école), je
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
ours à l'Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. MM. les DrsVal
ine-Inférieure), est désigné pour remplacer M. le Dr Pactet à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne). Belgique. — Une souscription est
tiques. Le Dr Cramer, d'Eberswalde, est nommé médecin en chef de la
clinique
psychiatrique de Göttingue et va s'établir Privat
année. — n» 2. Août 1895. LA SUGGESTION THÉRAPEUTIQUE conférence
CLINIQUE
Par M. le Professeur Bernheim. Ce petit jeune h
m'aperçois que l'enfant résiste. Déjà la veille au soir, mon chef de
clinique
n'était pas arrivé à l'endormir. Il cherche à rou
é d'une façon si merveilleuse les douleurs abdominales, notre chef de
clinique
a essayé en vain d'endormir le malade. Le lendema
é. Dans les cas de contracture hystérique, il est de règle, à notre
clinique
, de malaxer les muscles contracturés en même temp
ent de l'ataxie locomotrice. M. Bérillon (Paris). — Des expériences
cliniques
que nous avons instituées résulte la démonstratio
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'élude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
ours à l'Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applications
cliniques
cl pédagogiques de l'hypnotisme. MM. les Drs Va
ONTRE-SUGGESTION La suggestion thérapeutique. Deuxième conférence
clinique
, par M- le professeur Bersiieiu, de Nancy. Pour
itivement sa douleur. Voici l'autre jeune homme, qui est entré à la
clinique
le 8 décembre. Confiseur, âgé de 17 ans, il est m
nes d'auto-suggestion. Terrassier, âgé de 26 ans, il est entré à la
clinique
le 17 novembre, malade depuis quinze jours. L'aff
physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude . des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses [dispensaire neurologique e
ours à l'Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. MM. les D" Val
chure iii-8», 31 pages. Paris, 1895. D' Edmond Chaumier. — Etude de
clinique
infantile. Brochure in-4*4. 36 pages. Tourangelle
E SUGGESTIVE DANS LES AFFECTIONS PULMONAIRES Troisième conférence
clinique
sur la suggestion thérapeutique Par le Professe
attention dans une thèse qu'un de mes élèves, M. Lorber, a faite à la
clinique
. Quelquefois c'est une vraie névropathie douloure
menté progressivement, surtout depuis trois ans. Elle est entrée à la
clinique
le 24 octobre dernier, le quatrième jour d'une pn
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
ui relèvent de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une
clinique
de maladies nerveuses {dispensaire neurologique e
ours à l'Ecole pratique par des leçons pratiques sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
nécessaire par les confusions incessantes que nous observons dans la
clinique
. Quand j'ai, dans un autre travail (1) cherché au
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
férence sur L'éducation intégrale du cerveau. Faculté de Médecine :
Clinique
des maladies du système nerveux,— M. le professeu
du système nerveux,— M. le professeur Raymond a commencé le cours de
clinique
des maladies du système nerveux le vendredi 15 no
et le continuera les vendredis et mardis suivants, à la même heure.
Clinique
des maladies mentales et des maladies de l'encéph
ies de l'encéphale. — M. le professeur Joffroy a commencé le cours de
clinique
des maladies mentales le samedi 9 novembre 1895,
sais de cette façon afin de pouvoir amener la malade à se rendre à ma
Clinique
de gymnastique médicale et, pour cela, de travers
suggestion renforcée par un parfum, je parvins à la faire venir à ma
Clinique
. Je pus alors commencer le véritable trailement,
si bien qu'elle n'avait plus peur. Mlle P... suit régulièrement la
Clinique
, où elle m'est devenue une aide précieuse pour le
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
conférence sur : l'œil névropathique. Hospice de la Salpêtrière. —
Clinique
des maladies du système nerveux. — M. Raymond. Le
M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon
clinique
sur les maladies nerveuses tous les jeudis à S b.
ir du 5 décembre. Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon
clinique
sur les maladies nerveuses, le dimanche à 10 heur
rologiste le plus éminent de la Russie. On lui doit la création de la
clinique
des maladies nerveuses et mentales, d'un musée ne
n, pas plus que d'auto-suggestion... Plus tard, après ma visite aux
cliniques
de Nancy, quand j'ai vu les merveilleux résultats
, sous la direction de M. W. Bechterew, professeur et directeur de la
Clinique
des maladies mentales et nerveuses à Saint-Péters
d'hypnologie, sous la direction de M. Xavier Francotte, professeur de
clinique
neurologique et psychiatrique à l'Université de L
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses [dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
onférence sur : L'œil nèvropathique. _ Hospice de la SalpÈtrière. —
Clinique
des maladies du système nerveux. — M. Raymond. Le
M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon
clinique
sur les maladies nerveuses tous les jeudis à 5 h.
heures du matin. Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon
clinique
sur les maladies nerveuses, le dimanche, à 10 heu
le dimanche, à 10 heures. M. Richer, ancien chef du laboratoire de
clinique
des maladies du système nerveux à la Faculté de m
f honoraire dudit laboratoire ( Arr. du 3 Janv. 1896.) La Société
clinique
des Praticiens de France a renouvelé son bureau p
res de Liège. Pendant son traitement, il est venu plusieurs fois à la
clinique
de M. le professeur von Winiwarter, et les élèves
connaissent pas. Mes élèves et les médecins qui ont vu ces faits à ma
clinique
les obtiennent les mêmes dans d'autres cliniques
ont vu ces faits à ma clinique les obtiennent les mêmes dans d'autres
cliniques
ou dans la clientèle privée. Voici maintenant l
s un historique rapide de la question, l'auteur étudie les caractères
cliniques
des pseudo-angines qu'il divise en pseudo-angines
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
e conférence sur : Vœil névropathique. Hospice de la Salpètriére. —
Clinique
des maladies du système nerveux. M. Raymond. Les
M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon
clinique
sur les maladies nerveuses tous les jeudis à 5 h.
rmission et de n'obéir qu'à vos seules suggestions. Au point de vue
clinique
, ce cas nous prouve l'influence salutaire que peu
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques dc l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
t suivant : Psychologie physiologique et pathologique- — Applications
cliniques
et médico-légales de VhypnoÎisme. M. le Dr Béri
e de pages, d'un style sobre, clair et précis, les réflexions d'ordre
clinique
et thérapeutique que lui suggèrent un certain nom
de sommeil, une nutrition insuffisante. Le substratum des symptômes
cliniques
est évidemment le trouble grave de l'activité chi
este incomplète par suite du manque de sommeil. Quant aux symptômes
cliniques
, ce sont les phénomènes d'entraves qui prédominen
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'élude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications
cliniques
et pédagogiques dc l'hypnotisme. Pendant le sem
apeutique psychique a étudié l'hypnotisme comme moyen d'investigation
clinique
et comme agent thérapeutique. Un grand nombre de
utique psychique. — L'hypnotisme envisagé comme moyen d'investigation
clinique
et comme agent thérapeutique. — Les états analogu
médico-légnl. X. B. —Le cours sera complété par des démonstrations
cliniques
à l'Institut psycho-physiologique, 49, rue Saint-
iai mon excellent confrère et mon ami, le Dr Trousseau, médecin de la
Clinique
des Quinze-Vingts, de venir examiner avec moi ce
e pratique de la Faculté de Médecine, l'enseignement qu'il donne à sa
Clinique
et les démonstrations expérimentales qu'il y fait
rêves sur les actes accomplis à l'état de veille. Le hasard de la
clinique
me conduisit, il y a dix ans, en 1886, devant le
attache à son nom, en est une preuve nouvelle et indubitable. Si la
clinique
ne doit s'inquiéter que des phénomènes extérieurs
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
psychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférence sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
je priai M. le professeur Pinard de la prendre dans son service, à la
Clinique
Baudeloque, en lui demandant de consentir à me la
nie psychique et obsession. — Traitement par la suggestion. Leçon
clinique
par M. le Prof* Raymosd médecin de la Salpétrière
o-physiologique de Paris, fondé en 1891 pour l'étude des applications
cliniques
, médico-légales et psychologiques de l'hypnotisme
sychothérapie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une
clinique
de maladies nerveuses (dispensaire neurologique e
son cours à l'Ecole pratique par des conférences sur les applications
cliniques
et pédagogiques de l'hypnotisme. Pendant le sem
tographies). Hospice de la Salpètrière. — M. Auguste Voisin. Leçons
cliniques
tous les jeudis, à 10 heures (section Rambuleau),
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX Imp. Vve Lourdo
S LA DIRECTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE
CLINIQUE
PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE D
RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE
CLINIQUE
PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIE
OURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES DES MALADIES MENTALES DES MALADIES
EUR DU LABORATOIRE DE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE LA
CLINIQUE
DE PARIS MÉDECIN DES HÔPITAUX . ALBERT LONDE
n'a pas de représentant plus autorisé que le nouveau professeur de
clinique
des Maladies du Système NCl'Oell.1 ! . L'Ic01tO-
artenant à la même École,, M. A. Joffroy, titulaire de la chaire de
clinique
des Maladies Mentales à laquelle l'ont porté le
GATION DES DEUX NERFS CIRCONFLEXES par F. RAYMOND Professeur de
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. 1 Leçon faite
lpêtrière, le 23 novembre 1894, recueillie par A. SOUQUES Chef de
Clinique
. Messieurs, J'ai l'intention de soumettre auj
de l'entrée de ce malade dans le service, M. Souques, mon' chef de
clinique
, a constaté l'existence d'une paralysie deltoïdie
dia- gnostic se trouve, d'ailleurs, corroboré par les données de la
clinique
. La paralysie motrice, chez notre malade, s'acc
ale d'une pareille monoplégie bidel- toïdienne. Tous les caractères
cliniques
que nous avons relevés, chemin faisant, chez no
nt en novembre 1893, accompagné de sa mère, à la consultation de la
Clinique
des maladies cutanées et syphilitiques, hôpital
ÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE '> PAR - A. JOFFROY, PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES MENTALES. L'étude des relations du
mp- tômes de la myélite chronique précèdent l'apparition du tableau
clinique
de la paralysie générale. « Il existe certainem
chenne eut donné à l'ataxie locomotrice pro- gressive son autonomie
clinique
, confirmée^ .bientôt par l'anatomie. patho- log
thieu ont apporté à l'appui de cetle manière de voir quelques faits
cliniques
. D'autre part M. Ballet et moi, nous avons sout
se systématique du système psycho-mo- teur, donnant lieu au tableau
clinique
de la démence paralytique pure ou paralysie gén
nombre de symptômes communs qui figurent à la fois dans le tableau
clinique
du tabes et de la paralysie gé- nérale, invoqua
e du tabes et de la paralysie gé- nérale, invoquant aussi les faits
cliniques
dans lesquels paralysie géné- rale et tabes s'a
faites sur la paralysie générale et j'ai pu citer plu- sieurs faits
cliniques
ou anatomiques faisant voir la question sous ce j
rvations qu'un certain nombre, et probablement la plupart des faits
cliniques
considérés jusqu'alors comme des associations d
CZVTKOWSKI, Professeur des maladies du système nerveux à l'Institut
clinique
de St-Pétersbourg. Dans le nombre des méthodes
Dans le nombre des méthodes malheureusement inexactes des exa- mens
cliniques
, rentrent également les méthodes d'examen de tous
ction, cet appareil n'est pres- que nulle part employé, ni dans les
cliniques
, ni dans la clientèle privée. A l'aide du coura
ngle a de nouveau repris son ancienne place d'honneur, même dansdes
cliniques
dans lesquelles on cherche à tra-' - duire en c
cherche à tra-' - duire en chiffres tous les 'résultais d'un examen
clinique
. On peut natu- rellement dans beaucoup de cas o
de l'idéal que nous cherchons pour nos méthodes physiques d'examen
clinique
. Môme un de nos appareils 46 NOUVELLE ICONOGRAP
me un de nos appareils 46 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
cliniques
le plus précis, le thermomètre, donne aussi des i
qui craignent la douleur. SUR L'I,PIDIlYIlC SKIN DISE A SE. ÉTUDE
CLINIQUE
ET IIISTOLOGIQUE PAR . THOMAS D. SAVILL Méd
. SAVILL Médecin en chef de Paddington Infirmary (Londres). Étude
clinique
. Le nommé George Cookson, âgé de 49 ans, fut ad
X NERFS CIRCONFLEXES. - PAR A. SOUQUES et J.-B. CHARCOT Chef de
Clinique
des maladies Interne de la Clinique des maladies
OUQUES et J.-B. CHARCOT Chef de Clinique des maladies Interne de la
Clinique
des maladies du système nerveux du système nerv
ervi de thème, que nous allons relater, en nous bornant aux détails
cliniques
du cas et renvoyant, pour tout ce qui concerne
cé par des organes génitaux d'enfant. A ces exemples fournis par la
clinique
, comparons les oeuvres d'art. Les Hermaphrodite
OS DE DEUX CAS DE CES AFFECTIONS . PAR F. RAYMOND Professeur de
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. Leçons faites
uche. , t 1 Voici, en quelques mots, les principales particularités
cliniques
cons- tatées à cette époque parM. Barth et l'un
nouvelles depuis. \ Vous voyez, Messieurs, que les deux tableaux
cliniques
que je , viens de vous tracer ont enlre eux des
e poplité externe. * Ce qui, en somme, constitue la caractéristique
clinique
de ces deux cas, c'est la coexistence de troubl
i secondaires ainsi que Clarcot l'a démontré (1). - (1) CIIARCOT,
Clinique
des maladies du système nerveux, t. I, p. 179.
ômique s'impose, avant que j'aborde cette étude de pathologie et de
clinique
. Je le ferai aussi concis que possi- ble, en ne
es qui constituent le canal rachidien. ' Au point de vue de l'étude
clinique
que nous allons entreprendre au- jourd'hui, il
la dure-mère. Peu importe d'ailleurs au pointde vue de notre étude
clinique
(1). En résumé, au renflement lombaire, qui s'é
préliminaires anatomiques. Je vais aborder mainte- nant l'histoire
clinique
des affections de la queue de cheval el, du cône
ée d'en- semble très complète des éléments qui composent le tableau
clinique
des affections de la queue de cheval. Cela di
vation de Charcot, qui a fait l'objet d'une très intéressante leçon
clinique
, et où, selon toute vraisemblance, un foyer de
Comme j'ai à coeur' de me placer à un point de vue essentiellement
clinique
, j'envisagerai d'a- bord les faits que vous ave
nt de nouveaux faits. Watson (4) s'exprime ainsi qu'il suit dans sa
Clinique
médicale : « Les chirurgiens connaissent bien l
a peau ou plus particulièrement du mamelon, signe si pré- cieux, en
clinique
, des tumeurs malignes du sein. Nous ne connaiss
cutané, son irritation suffise pour 1'llyperestliésier. L'histoire
clinique
de notre malade semble le prouver, et dès lors, d
ÈRE HÉMATOMYÉLIE DU CONE TERMINAL par F.RAYMOND Professeur de
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. Leçon faite à
la Salpêtrière, le 24 mai 1895, recueillie par A. Souques Chef de
Clinique
. Messieurs, Dans mes leçons du semestre derni
s sciatiques et honteux internes, puisse reproduire le même tableau
clinique
. Dans celle seconde hypothèse, il s'agirait d'une
s que je viens de vous rappeler amènerait fa- tulemcllt le syndrome
clinique
en question et ne produirait que ce syn- drome.
rieures de la moelle épinière et, plus encore, par les observations
cliniques
qui démon- trent que les modifications trophiqu
de l'eczéma chronique, j'ai chargé le Dr Nikolski, assistant de ma
clinique
, d'examiner avec le plus grand soin l'état du sys
te, attendu que cette coïncidence se rencon- (t) Leloir, Recherches
cliniques
e<atta<OH ! o-jM ? 0o ? tM.'w les affection
la sensibilité est normale, et que, d'autre part, les observations
cliniques
démontrent clairement que les soins les' plus m
) z PAR Madame Anna GOUKOVSKY, d'Odessa (Russie) {Travail de la
Clinique
médicale de Genève. Prof. LLON REVILLIOn). Les
jouter la paralysie alterne de la VIe paire qui a été observée à la
clinique
de Genève et qui figure dans sa collection de pho
l'hypoglosse peut t (1) Dublin, Med. Journ. 1918. Nolhnagel, Traité
clinique
de diagnostic des maladies de l'r.rzcr'phale. T
N (D'après les notes recueillies par le Dr Audeoud, assistant de la
clinique
). J... figé de 60 ans, sans antécédents morbide
îné la mort le 22 février 1891. ' - , ' \ (1) C'est l'usage à' la
clinique
de Genève de représenter l'ouverture pupillaire p
é anatomique vient donc confirmer les données fournies par l'examen
clinique
. Il s'agissait en effet d'un foyer de ramollissem
malade dont l'un de nous, avec M. Mag- delaine, a donné l'histoire
clinique
dans le numéro de janvier 1894 de la Nouvelle I
aissance provoquera désormais, nous l'espérons, l'examen minutieux (
clinique
et anatomique) du système nerveux jusqu'alors ass
ère le 14 Juin 1895 et recueillie par M. le Dr A. Souques Chef de
clinique
. Messieurs, / Le petit malade, qui est assis
ion originelle, il me semble nécessaire de vous exposer l'évolution
clinique
des accidents. La connaissance de ces données e
ose ? Encore que l'apparition insidieuse et progressive du syndrome
clinique
plaide pour l'existence du ramollissement, je n
mée par des recherches anatomiques nouvelles. Dans tous les cas, la
clinique
plaide pour l'indépendance rela- tive des centr
vons eu récemment l'occasion d'observer une femme dont l'his- toire
clinique
est susceptible croyons-nous de jeter un certain
on, une certaine gêne dans les (1) Gilles DE 1..\ TOU1SSTTE, Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, 2e partie, il,
cture des extrémités ou tétanie. Th. Paris, 18 : ;2. (4) Trousseau,
Clinique
méd. de l'Hôtel-Dieu, éd. de 1862, p. 112. 278
nt l'ohservation a été recueillie par M. Lamy, ancien interne de la
Clinique
(5). Et si, à la vérité, d'autres faits de téta
lin. Wochens., 1892, p. i ? li.) (4) Gilles liE la Tourette, Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie, 2'' partie, t.
e âgé de 20 ans dont nous désirons aujourd'hui rapporter l'histoire
clinique
in extenso, renvoyant à la leçon précitée de no
le Vieux ou le Drôle Peintre flamand (1530-1569).. Abandonnant la
clinique
du féroce Doyen de Ronse, où gémissent tant de
le D' J. NAGEOTTE, chef des travaux d'anatomie pathologique à la
Clinique
de la Salpêtrière. Les deux observations qui su
ors que nous avions l'honneur d'être son interne. Les hasards de la
clinique
réunissaient ainsi sous nos yeux deux cas dont
t ces deux cas calqués l'un sur l'autre, aussi bien au point de vue
clinique
qu'au point de vue anatomique. Ces ressemblance
très remarquables et dont l'étude est instructive. Au point de vue
clinique
, sans parler de l'absence de commémoratifs chez
e extrême de la série, variée à l'infini, des formes anatomiques et
cliniques
de cette affection. A l'autre extrémité de la s
t isché- ? nique. (1) Soi tas, Contribution à l'élude anatomique et
clinique
des paralysies spinales syphilitiques, th. de P
il l'écrit lui-même à propos de son 4° accès. (1) Duponchel, Elude
clinique
et médico-légale des impulsions morbides à la déa
s de cette maladie, et l'on peut l'appliquer à presque tous les cas
cliniques
. Dans l'ensemble, les sujets atteints de maladi
les différences d'ordre secondaire inhérentes à la variété des cas
cliniques
, il y a lieu de pousser plus à fond l'analyse d
e, 1880, p. 165. · (3) Voy. le remarquable travail sur les formes
cliniques
et le diagnostic de la mala- die de Parkinson d
ée depuis 3 ans à la Salpêtrière, nous a paru représenter le schéma
clinique
presque parfait de la maladie de Parkinson. D
stoire que nous a obligeamment communiquée M. Dufour, interne de la
clinique
. Observation. Gell, journalière, âgée de 58 ans
11. Il ne faut pas oublier cependant que dans certai- nes formes
cliniques
des maladies de Parkinson, le tronc et la tête
Salpêtrière, OH ? qui a souvent servi autrefois aux démonstrations
cliniques
de M. le profes- seurCharcot. Sur les photograp
ntrent que l'acétophénone n'est pas un hypno- tique. Nos recherches
cliniques
nous donnent donc des résultats aussi négatifs
ément d'appréciation directe lui ferait défaut. Les hasards de la
clinique
m'ont mis à même depuis deux ans d'exa- miner c
llera ses crimes. Quoi qu'il en soit de ces considérations, un fait
clinique
reste indéniable : les pyromanes se recrutent p
s la folie systématisée dans les ouvrages de Morel. Dans ses Etudes
cliniques
3 (1852), il donne des obser- vations de la tra
Vochenschr... 1876. ' LasÈuB- Arch. demed., 1852. ' Morel. Etudes
cliniques
1852, t. 1, p. 163 à 106 et 363 à 367. à Morel.
ec lacune dans la première circonvolution temporale gauche. Détails
cliniques
, aiiatoilio-palliologiques , microscopiques (t
x, rats, chiens, etc.), ainsi que sur une analyse de certains faits
cliniques
, pense devoir affirmer que les couches optiques
terno de la couche optique. Quant à la sphère visuelle de Munck, la
clinique
et l'anatomie pathologique sem- blent indiquer
allons essayer de résumer. Du délire chronique.-111. P. Gan,cn. En
clinique
mentale, comme en pathologie ordinaire, il exis
cin dn Saint- Yen, reprise et développée avec une si grande rigueur
clinique
par Ai. Magnan, n'est point universellement acc
, quel que soit le point de vue pathogénique auquel on se place, la
clinique
,.elle, nous autorise pleinement à englober, en
la menace d'un nouveau paroxysme. Combien différent, est le tableau
clinique
, lorsque, nous aban- donnons les dégénérés héré
e chef-d'oeuvre d'analyse de psychologie morbide et d'obser- vation
clinique
. Un complexus symptomatique tiré des groupes co
un point de vue généralisateur, une conception que l'observation
clinique
légitime et qui ne peut être que féconde en résul
sur la population des individus non séquestrés. M. BIN3WANGeR. A la
clinique
de Iéna, il est très rare, quand on fouille les
la terminologie de ces districts corticaux, l'a- bondance des faits
cliniques
chez l'homme me parait si chargée, ils sont en
t aux objections de M. de Gudden, elles n'empêchent pas les faits
cliniques
. ' Voyez Kussmaul {Stoerïmgen der spreche) ; Ch
losophie et du droit. M. Witkowski. Contribution à la psychiatrie
clinique
. Il y a neuf ans, appuyé sur la statistique, je
l trace-ensuite une étude d'ensemble sur la sympto- matologie et la
clinique
de l'albuminurie transitoire (chap. Il), ainsi
lades ordinaires. On ne leur applique pas les règles communes de la
clinique
; on ne les traite ni de la même manière, ni dan
: à partir du 4°= no- vembre 4886. M. le Dr RUEFF, ancien chef de
clinique
adjoint de la Faculté de Paris, est nommé deuxi
titien interne de l'asile de Bron, est nommé pour deux ans, chef de
clinique
des maladies mentales à la Faculté mixte de méd
pa succes- sivement et avec distinction la fonction d'assistant des
cliniques
médicales du collège, de premier assistant de l
tant des cliniques médicales du collège, de premier assistant de la
clinique
du DT Séguin, de professeur de clinique médical
de premier assistant de la clinique du DT Séguin, de professeur de
clinique
médicale àla même école. Il s'appliqua spéciale
ilité dans le tabès. Prix de l'hygiène de l'Enfance. 1837 - Etude
clinique
sur l'athrepsie. Prix Lefèvre. 1887 De la mél
se de voyage (2,000 fr.) a été accordée à M. le Dr PicaHON,'chef de
clinique
de la Faculté. Les candidats ont eu à traiter l
e et l'agraphie. Si l'on se place à un point de vue exclusivement
clinique
, on peut être tenté de repousser ce morcel- lem
e d'elles est relativement rare; 2° dans un même fait, le tableau
clinique
peut varier d'un instant à l'autre, au point qu
propositions précé- dentes, est-on en droit de condamner l'analyse
clinique
et physiologique qui a permis de distinguer les
elles ont pour but, non pas de séparer les uns des autres des faits
cliniques
dont les analogies sont évidentes, mais de mieu
utile de pousser plus loin qu'on ne l'a fait généralement l'analyse
clinique
, et de distinguer, par exemple, dans chacun des
ndromes devenus classiques de l'aphasie, un certain nombre de types
cliniques
plus simples et non moins faciles à. caractéris
o- rique ; il faut partir des faits eux-mêmes, de l'ob- servation
clinique
, chercher des formes, des types bien distincts
actuel est l'étude et l'interprétation d'un certain nombre de faits
cliniques
appartenant à la surdité verbale. D'après M.
considérations, je définirai donc la surdité verbale : « Une forme
clinique
de l'aphasie qui consiste dans l'impossibilité
1 G. l3alltt. - Loc, cil., p. Ci. 182 PATHOLOGIE NERVEUSE. nalyse
clinique
peut distinguer un certain nombre de syndromes
des images orales, et, dans tous les cas, elle constitue une forme
clinique
spéciale. On peut même y distinguer deux variét
M SM)' <e /'at ! ceaM MKS/< ? 'Voir G. Ballet. Rech. anat. et
cliniques
sur le faisceau sensitif, 1881, et Cli. l'Wé. T
à cette conception, il devient bien facile de s'expliquer les faits
cliniques
de surdité verbale, avec répétition brute des m
ntre de Broca, io, et par la voie iod, ia parole est répétée; 200
CLINIQUE
NERVEUSE. cette parole ne sera pas comprise s'i
a saisie nettement et comprise par la voie Paefmo IV. (A suivre.)
CLINIQUE
NERVEUSE UN CAS DE PARAMYOCLONUS MULTIPLE; Pa
tré le 18 novembre 1886 dans le service de= maladies nerveuses delà
clinique
de l'Université à Helsing- fors. Son père, mort
Voici ce que nous avons noté de l'état du malade à son entrée a la
clinique
: Constitution vigoureuse, muscles bien développé
ire tenir au malade un objet à la main en étendant le bras ; il 202
CLINIQUE
NERVEUSE. arrive quelquefois que l'objet est fo
flexes tendineux, et en particulier aux réflexes rotuliens, ils 204
CLINIQUE
NERVEUSE. étaient évidemment plutôt diminués. M
ue l'intensité des secousses est en raison directe de leur fré- 206
CLINIQUE
NERVEUSE. quence et qu'il arrive quelquefois qu
nt, ' Loc. cit. 'Revue de Médecine, janvier 1886, p. 71. 1. 208
CLINIQUE
NERVEUSE. comme le veut Remak, être rapportés a
tographique des hôpitaux, 1869, p. 153, 161. Etudes de thermométrie
clinique
dans l'hémorrhagie cérébrale et dans quelques mal
tschi,ifl, n'" 43 et 44, oct. 1886. . Archives, t. XIII. 14 210 '
CLINIQUE
NER4'I· : USE. de pathologie, de ncurotogie, de
ulier qu'un petit nombre d'expériences : ce sont celles-là seu- 212
CLINIQUE
NERVEUSE. lementque parait connaître M. Witkows
ière.. DE LA TEMPERATURE CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 2)3 3 - 21 le
CLINIQUE
NERVEUSE. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS 1/ÉPI
. Voici d'abord le tableau des cas de la première catégorie : 216
CLINIQUE
NERVEUSE.TEMPERATURE DANS L'ÉPILEPSIE. UN CAS D
yer. En somme, cette observation réalise presque, au point de vue
clinique
, un schéma du genre, et c'est plus à cet égard
ce fait que le malade a conscience de son état '. Quant à la nature
clinique
de ces délires, Morselli et Buccola les placent
s n'existe pas plus que la mégalomanie. Ce ne sont plus des entités
cliniques
irréductibles; ils ne sont l'un et l'autre que
cette expres- sion, il ne fallait pas prétendre désigner une unité
clinique
là où il n'y a qu'une phase déterminée d'une vé
ce n'est pas se mettre en désaccord avec les principes d'une saine
clinique
; c'est simplement consacrer le fait capital de
révélé et, quand on réfléchit après coup, on ne voit aucun symptôme
clinique
qui l'eût pu dénoncer. 11 est vrai que le malad
pathologique de la Salpêtrière, et la création du cours officiel de
clinique
des mala- dies nerveuses que par son énergie, s
iénés de l'empereur Alexandre III, méd.-dir. : M. Niki- foroff ; 5°
Clinique
des maladies mentales de l'Académie médico-chir
contagion nerveuse; par KREUSER. Le Dl Kreuser rapporte l'histoire
clinique
d'une famille qui fournit un curieux exemple de
r, irap. 387. Vol. XIII. Mai 1887. N" 39 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE; Par BOURN
ologique, qu'elle semble devoir être Archives, t. XIII. 21 322 -)
clinique
nerveuse. classée parmi les épilepsies symptoma
lace l'épilepsie vulgaire. Cette succession possible des phénomènes
cliniques
explique pour- quoi les auteurs ont considéré l
nière évasion : vagabondage, tentative de vol. Arrestation, 3 2 si
CLINIQUE
NERVEUSE. Condamnation à un an et un jour d'emp
volontaire ; pas de folie. L'intelligence et la mémoire n'au- 326
CLINIQUE
NERVEUSE. raient pas diminué. Il ne serait pas
écouvrable. Méat légèrement étroit. Poils abondants à l'anuc. 328
CLINIQUE
NERVEUSE. pendant trois ou quatre jours de suit
ales. 27 août. Hier Grandid... a dérobé une chaîne d'acier au 330
CLINIQUE
NERVEUSE. malade Mart ? et, comme celui-ci la r
uelques instants, la face est pâle et la physionomie hébétée. 332
CLINIQUE
NERVEUSE. Il parait ne pas s'être rendu compte
a Sûreté il couchait dans le dortoir du préau, et qu'il en pro- 331
CLINIQUE
NERVEUSE. fitait pour se livrer à des actes de
des torchons (Grand... avait conservé lesbandesdont on enve- 336
CLINIQUE
NERVEUSE. loppait une de ses jambes contusionné
dressa à M. Grévy la requête suivante : Archives, t. XIII. 22 338
CLINIQUE
nerveuse. Monsieur le Président, ' Je viens s
mblement bilatéral de la tète et d'un bourdonnement résultant 342
CLINIQUE
NERVEUSE. du tremblement labial; frottement de
; premiers accès huit jours plus tard; convulsions limitées à 344
CLINIQUE
NERVEUSE. gauche. Excès de boisson. Deux tentat
s et fort. Il aurait commencé à parler vers huit à dix mois ; 346
CLINIQUE
NERVEUSE. parole courante dans le cours de la s
rillon sous le pied. Pas d'onanisme, pas de rapports sexuels. 348
CLINIQUE
NERVEUSE Durant l'interrogatoire de sa mère, co
e mesure par suite de la constitution vasculaire de l'organe. 350
clinique
NERVEUSE. fauteuil; aussitôt le membre inférieu
rois secondes tout est ter- miné. Les pupilles sont dilatées. 352
CLINIQUE
NERVEUSE. Il s'écoule quelques minutes, puis Va
épilepsie observées chez 'ce malade. ARCIIIVES, t. XIII. 23 354
clinique
mentale. CAS DE MÉLANCOLIE AVEC STUPEUR. 355
circonvolu- Baillarner. Annales médico-psychologiques, 1S 13. 356
CLINIQUE
MENTALE. tions splaéuo-occiilales. (Cette obser
c intermittences cardiaques et oedème des membres inférieurs. 358
CLINIQUE
MENTALE, 29 Janvier. On supprime les injections
raideur musculaire est la même. Mais le visage a un peu chan- 360
CLINIQUE
MENTALE. gé d'aspect. Il est légèrement coloré,
t maintenue. Le malade répond de temps en temps aux questions 362
CLINIQUE
MENTALE. qu'on lui pose. Mange le plus souvent
- touraient et qui avaient été posés là depuis sa maladie : 36'(-
CLINIQUE
MENTALE. L'amélioration mentale du sujet, coïnc
ître que par la multiplicité de cas semblables. ' Luys. - ri-aile
clinique
et pratique des maladies illeilltiles, 1881. 36
s pourraient surgir. PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE
CLINIQUE
DE LA SURDITÉ VERBALE (Suite 1) Par le Dr il.
(Suite 1) Par le Dr il. ARNAUD (de la Jasse). VI. Quelques faits
cliniques
que j'ai eu l'occasion d'observer m'ont conduit
ent articulés dans une langue in- connue. C'est par l'observation
clinique
quej'ai été conduit 380 PATHOLOGIE NERVEUSE.
e cette preuve irré- cusable, j'ai dû me contenter de l'observation
clinique
et de la physiologie pathologique. En admettant
commode de fixer facilement dans la mémoire les dif- férents types
cliniques
de la surdité des mots, je vais, en terminant,
ux et de Leudet, qui, en 1865, non seulement tracèrent un tableau
clinique
de ces paralysies, auquel il restait peu de cho
chez, des sujets héréditairement tarés. ' ''Ach. Foville. - Elude
clinique
sur la folie avec prédominance du délire des gr
ême auteur est revenu sur ce sujet et l'a développé dans ses leçons
cliniques
ou dans les discussions sur la folie héréditair
son en est que le processus ne datait que de trois mois. - Obs. IV.
Clinique
. Anatomie pathologique. Histologie. D'abord une
ons d'encéphalite granulo-tubéreuse étudiées au double point de vue
clinique
et anatomopathoiogique. Les anamnestiques décèl
(Obs. I) témoigne d'un foyer bulbaire en rapport avec les accidents
cliniques
relatés. Les auteurs insistent sur le diagnosti
alades ; Fr., persécuté depuis vingt ans, « présenté dans plusieurs
cliniques
comme type de persécuté » qui n'a ja- mais eu a
mme « type de persécuté sans idées ambitieuses », M. Régis, chef de
clinique
de M. Bail, publiait l'observation très complèt
nt au groupé des héréditaires dégénérés. M. décrit dans ses cours
cliniques
le délire des persécu- tions comme une espèce n
avec discernement et prudence ». R. XXII. Contribution tt l'étude
clinique
de la méningite tuberculeuse à forme de deliriu
ne, 172 ; de la Société médico- psychologique, 318. Psychiatrie
clinique
, par Wit- kowski, 114. Psychoses consécutives
ments à distance), par J. Voi- sin, 94. Surdité verbale (étude
clinique
), par Arnaud, ')77, 366. Surveillance (instal
. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEU
EUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR
LITIQUES PAR PAUL RICHER DIRECTEUR Honte DU LABORATOIRE DE LA
CLINIQUE
GILLES DE la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA
rd Saint-Germain 1897 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU srSTtMEEREU. (HOSPICE DE LA SAL
LE 1 (SYNDROME DE BROWN-SÉQUARD) par F. RAYMOND Professeur de
Clinique
des Maladies du Système Nerveux à la Salpêtrièr
ie, au point de vue de la médecine légale, et au point de vue de la
clinique
pure. Pour ne pas laisser votre curiosité en su
a jambe gauche. Vous voilà au courant de toutes les circonstances
cliniques
du cas. N'avez-vous pas été frappés, messieurs,
TS . par PAUL RICHER Directeur honoraire du Laboratoire de la
Clinique
des Maladies du Système nerveux, à la Salpêtrière
MËL1L CHEZ UN FILS DE SYPHILITIQUE par G. GASNE Interne de la
Clinique
des Maladies du Système Nerveux, . il la Salpêt
lésions spécifiques. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX X UN CAS D'HÉ
E. par ALBERT LONDE Directeur du service photographique de la
Clinique
des Maladies du Système Nerveux, à la Salpêtrière
ats que l'on peut légitimement espérer au point de vue chirurgical,
clinique
et même thérapeutique ; qu'il nous suffise d'in
ux, avec une exactitude que les procédés ordinaires d'investigation
clinique
ne permettent pas d'obtenir. Et, s'il y a lieu
ma- nifestations diffuses. On ne peut attendre d'elles un syndrome
clinique
aussi remarquablemenlprécisque celui qui décèle
ne symptomatologie essentiellement ca- pricieuse, et leurs variétés
cliniques
ne restent pas cantonnées dans l'un ou l'autre
mer l'existence d'un néoplasme qu'en vertu d'une cer- taine logique
clinique
toujours sujette à caution, nous n'arrivions pas
n de ses bouts et produisait des réactions vaso-motrices. Les faits
cliniques
d'oedème des mains au décours des affections spin
on qu'on doit efl'acer les différences qui existent entre des types
cliniques
nettement caractérisés; mais au point de vue pa
des variations de la température du 'milieu ambiant. (A suivre.)
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX UN CAS DE CONTR
S DU TRONC PAUL RICHER Directeur honoraire du Laboratoire de la
clinique
. ET A. SOUQUES Chef du Laboratoire de la
ire de la clinique. ET A. SOUQUES Chef du Laboratoire de la
clinique
. La contracture hystérique des muscles du tronc
fO'TiAUMATIQU¡'; DES MUSCLES DU TRONC. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX UN CAS D'OSTÉ
iques du côté des os ». Depuis, M. Pic (1) de Lyon, au point de vue
clinique
, a pensé que l'ostéite de Paget était une dystrop
rs de la maladie de Paget. Reste à remarquer l'absence de symptômes
cliniques
d'ordre nerveux (hormis les douleurs localisées
ie qui ne modifie pas la forme générale de l'os. (1) Démange, Étude
clinique
et ttnatomo-palhologique sur la vieillesse. Paris
nique. En 1888, celui-ci confiait à l'un de nous, alors son chef de
clinique
, le soin d'expé- rimenter dans son service le n
procurait cette importante technique. TRAVAIL DU LABORATOIRE DES
CLINIQUES
DE LA FACULTÉ DE BORDEAUX. NOTE - SUR LES
MAINE PAR J. SABRAZÈS et C. CABANNES Agrégé de médecine Chef de
clinique
à la Faculté de Bordeaux. On pensait autrefoi
s de l'Institut Pasteur, 1892. (2) D. S. Ramon y Cajal. Loc. cit.
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. (HOSPICE DE LA
ROME DE BROWN-SEQUARD) (Suite) . PAR F. RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies' du système nerveux. II Messieur
ystème nerveux. II Messieurs, Les questions que soulève le côté
clinique
de cette étude sont multi- ples. La première, d
t vous allez bien vite saisir l'intérêt est relative à l'expression
clinique
: chez l'homme, victime d'un attentat, comme ch
aux faits de 6 grou- pes. Il est vrai que dans ce cas l'expression
clinique
s'est notablement écartée du schéma du syndrome
lié- misection de la moelle siégeait à ce même niveau. L'expression
clinique
différait du syndrome de Brown-Sequard en ce qu
les sensitifs et sur les troubles moteurs. A vrai dire l'expression
clinique
, dans son ensemble, différait assez notablement d
edans et à gauche de la protubérance occipitale externe; expression
clinique
probablement différente du syn- drome de Brown-
hui de trente-six ans, présentent cette infir- (1) Leçons orales de
clinique
chirurgicale, faites à l'Hôtel-Dieu de Paris par
duisante qu'elle paraisse à première vue. (1) JACCOUD, Leçons de
Clinique
médicale faites à l'hôpital de la Ckct·ité,1867.
nt parmi les stigmates tératologiques. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA
CLINIQUE
DES MALADIES 1 DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE
erne lauréat des Hôpitaux Directeur du service photographique de la
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. A propos d'u
dies nerveuses. Paris, 1895, p. 22;i. (2) Gilbert Ballet. Leçons de
clinique
médicale. Paris, 1897, p. 404. MAIN SUCCULENTE
yélie compliquée de pachyméningite. J'arrive maintenant à l'étude
clinique
de l'atrophie musculaire telle qu'elle résulte
les-mêmes présentant un as- pect dissemblable. En appliquant à la
clinique
les données de l'anatomie pathologique qui m'on
in de prédicateur. J'ai dit intégrité relative, parce que les faits
cliniques
nous montrent que ces muscles quoique atrophiés c
e ? A ce point de vue on n'aura qu'à interroger la méthode anatomo-
clinique
. Depuis les premiers travaux de Charcot et Joffro
u'on ait observé la main de prédicateur. On voit donc que les faits
cliniques
et l'anatomie pathologique ne sont pas très fav
le précèdent fascicule, page 200. 10° Année N 4 Juillet-Août 1897
CLINIQUE
MEDICALE DE L'HOPITAL SAINT-ÉLOI DE 110NTPELLIE1.
(SPASME polygonal POST-PROFESSIONNEL) PAR Le Pr GRASSET Leçons
cliniques
recueillies et publiées (1) PAR LE D' VEDEL,
ns cliniques recueillies et publiées (1) PAR LE D' VEDEL, chef de
clinique
. Messieurs, Au n° 32 de notre salle Fouquet e
gauche. C'est là un spasme du cou, à forme spéciale, dont l'analyse
clinique
est déjà intéressante et dont l'observation pri
ui ont tous ces caractères : parole volontaire, écri- (1) Leçons de
clinique
médit, 3e série, 1er rase., 1896. Des diverses va
s de clinique médit, 3e série, 1er rase., 1896. Des diverses variétés
cliniques
de l'aphasie, p. 5 et De l'automatisme psycholo
pourriez certainement pas vous en tenir là. Les faits d'observation
clinique
eux-mêmes qui dominent les doctrines et leur surv
ces. On peut cependant rester enfant totalement, corps et (1) Leçon
clinique
faite à l'Hôpital Saint-Antoine. DE L'INFANTILI
s adultes ; et MM. Mar- fan et L. Guinon concluaient que le tableau
clinique
du myxoedème spontané des adultes peut s'observ
hyreopriva. Lais- sez le mot et retenez la chose. Un des caractères
cliniques
les plus frappants de l'infantilisme c'est l'ar
totale du corps thy- roïde. Or il semble, d'après les indications
cliniques
et physiologiques, qu'on peut dès à présent les
ommée B..., âgée de 15 ans, se présente au mois d'octobre 1890 à la
Clinique
de M. le professeur Spillmann. Nous ne relevons
e présente en février 1896 à la consul- tation externe annexée à la
clinique
de M. le professeur Spillmann, at- teinte d'une
ensitives et motrices dans la moelle épinière et leurs applications
cliniques
. Semaine médicale, 1896, p. 259. Meissner. - Ue
s nous ont semblé trop nombreuses pour répondre à des faits qui, en
clinique
, se présentent toujours sous le même aspect, et
, recueillis un à un, n'é- taient pas dus aux hasards heureux de la
clinique
, nous avons, du 20 au 24 mars 1897, recueilli à
ie est un peu déconcertante et semble en contradiction avec les cas
cliniques
observés. Cependant rien n'est impossible à ce ge
de goître qui s'accompagne d'un facies aisément re- connaissable en
clinique
, et dont l'étrangeté aurait pu attirer l'attentio
r, St-Dizier (Haute-Marne). 10e Année N° 5 SEPTEMBRE-OCTOBRE 1897
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. (HOSPICE DE LA
ROWN-SEQUARD) (Suite et fin.) (i) PAR F.RAYMOND Professeur de
clinique
des maladies du système nerveux ? - -- III Me
y a lieu de soupçonner l'existence d'une hémisection, l'expression
clinique
est dominée par ce double trait fondamental : hém
ompression ; déductions pratiques. Il est un point, relatif au côté
clinique
de la question, qui mérite de fixer notre atten-
vec le fait que nous tenons à la fois de l'expérimentation et de la
clinique
: apparition d'une hémi-anesthésie croisée, à l
, être définie dans les termes suivants : L'expérimentation et la
clinique
nous apprennent qu'une hémisection de la moelle
hèses, qui nous sont imposées par des don- nées expérimentales et
cliniques
d'un caractère irrécusable, appellent 1 des r
z l'homme, vous avez été frappés, Messieurs, de ce que l'expression
clinique
est sujette à des variantes nom- breuses, qui p
ervice de M. Marie à l'Hôtel-Dieu en mai 1894. Il fut présenté à la
Clinique
. Au mois de janvier 1895, le malade rentra chez
. - Dr SM"T, Un cas de purpura hémol'1'ha.r¡ique par choc moral. La
Clinique
, Bruxelles, 1888, p. loi. (3) J. IIoTCmxsor, Ar
LXXXIX, p. 94. (5) DUDOIS-IL1VE\ITII, Dermatoses par choc moral. La
Clinique
, Bruxelles, 1888, p. 164. - CHUYL, Affection cu
IONS DE LA CELLULE NERVEUSE PAR SERGE SOUKHANOFF, Médecin de la
clinique
psychiatrique de Moscou. Il s'est produit,ces d
pique par la méthode de Marchi et par celle de Nissl. Observation
CLINIQUE
. Le malade M., âgé de 28 ans, entra à la cliniq
sl. Observation CLINIQUE. Le malade M., âgé de 28 ans, entra à la
clinique
psychiatrique de Moscou le 19 mars 1897. Il y
la température. L'examen des yeux pendant le séjour du malade à la
clinique
, fait par le docteur Golowine, révéla l'existen
zier (Hte-Marne). Fin. 5. 100 Année N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE 1897
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
TRIE DU CORPS CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE (f) F. RAYMOND Professeur de
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. PAR ET P
ET PIERRE JANET. Directeur du laboratoire de Psychologie de la
Clinique
. Voici l'histoire d'une jeune fille, Fa..., âgé
d'apparence rhumatoïde Il PAR R PAUL LONDE Ancien Interne de la
Clinique
des Maladies Nerveuses. Quand Charcot démontra
pathie, qui est exclusivement de nature nerveuse par ses caractères
cliniques
(Charcot la décrivit d'abord sans l'aide de l'ana
t. Il nous a paru intéressant de tenter une classification purement
clinique
qui aura peut-être l'avantage de faire ressorti
n (1) Leçons sur les maladies nerveuses, tS9o, p. 313. (2) Traité
clinique
des maladies du système nerveux (trad. de LuBAisK
nutile de dire qu'il n'y a aucun rapport entre la cause et la forme
clinique
. Les formes de l'arthropathie consécutive à une
affectées, etc., etc. Quant à la nature des arthropathies l'examen
clinique
ne peut les dif- férencier des diverses formes
ant mais non ex- clusif. L'existence de formes éliologiques et même
cliniques
n'infirme pas encore la théorie de l'unité. v
inconnu, se trouvait rapidement détruit. (2) RAYMOND, Voir Leçons
cliniques
, ire série. - BUZZARD, Clinical lectures on di-
ie de Brodie, où la contraction musculaire est le fait essentiel.
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
MÉDIUS ET INDEX DE LA MAIN GAUCHE PAR R. CESTAN. Interne de la
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. Le développeme
ion lorsque parut dans cette revue (juillet et août 1897, n° 4) une
clinique
du professeur Grasset sur un spasme poly- gonal
incipaux caractères de la maladie. La comparaison de la description
clinique
au- jourd'hui bien précisée avec les signes rep
t anciens pourraient rivaliser en exactitude avec les photographies
cliniques
que l'on fait aujourd'hui. On pourrait évidemme
s de l'Art, en se basant uniquement sur les données de l'inspection
clinique
. Certains signes ne constituent que des présomp
tracturée dont les doigts forment une griffe conforme il la réalité
clinique
de la Lèpre. Derrière lui, un second malade, le
re du XVe siècle un tableau plus précis et plus complet du syndrome
clinique
de la paralysie faciale ? . Ce n'est pas tout.
côté, avec participation du facial supérieur : c'est là un ensemble
clinique
assez rare. Mais l'ar- tiste n'était pas tenu d
exécutée par un artiste peu exercé aux difficultés de l'observation
clinique
, surtout lorsqu'il s'agit d'une oeuvre de date
l'attitude sont presque pathognomoniques. Et à la vérité, ce type
clinique
est assez saisissant pour avoir pu frapper un p
és, pourrait devenir un jour le siège d'un ensei-gnement théorique et
clinique
vraiment utile (1). Sans doute, Messieurs, le c
ganisés en vue des investigations scientifiques et de l'ensei-gnement
clinique
, nous posséderons àParis, je n'hésite pas à le di
n'ignorez pas que de grands progrès ont été accomplis dans l'histoire
clinique
des paralysies sous l'influence des tra-vaux de M
ment à la suite de la lésion d'un nerf sont, ainsi que l'ex-ploration
clinique
l'a souvent démontré, le premier terme d'une séri
ième jour, dans les muscles frappés de paralysie (3). L'observation
clinique
démontre, vousnel'ignorezpas, qu'en 1. W. Erb.
somme, du parallèle que nous venons de vous présenter, que les faits
cliniques
, observés cependant avec le plusgrand soin, sont,
ences relatives aux sec-tions de nerfs chez les animaux, tandis qu'en
clinique
, suivant la méthode de M. Duchenne, l'exploration
les paralysies par lésions des nerfs que nous offre ordinai-rement la
clinique
et les paralysies qu'on détermine chez l'ani- 1
, en un mot, toute la série des phénomènes que dévoile l'obser-vation
clinique
dans les cas qui nous occupent. L'affaiblisseme
par l'enchaînementhabituel des phénomènes révé-lés par l'observation
clinique
, cette altération delà fibre con-tractile, manife
ve avec laquelle elle est quelquefois confondue, bien à tort, dans la
clinique
. La première se sépare cependant nette-ment de la
er, pour le moment à enregistrer les faits tels que nous les offre la
clinique
éclairée par l'anatomie pathologique et à constat
de la peau, à laquelle revient un rôle très important dans l'histoire
clinique
d'un bon nombre de maladies du cer-veau et de la
tées soit séparément, soit simul-tanément, il en résulte que, dans la
clinique
, le décubitus aigu et l'atrophie musculaire aiguë
Séquard, et dont j'ai fait connaître les caractères anatomiques et
cliniques
, appartient, si je ne me trompe, à cette même cat
athésique. Ainsi, tout en reconnaissant l'exactitude des descriptions
cliniques
de M. Alison, je ne saurais souscrire à la théori
rdinaire des hémiplégiques (Cas d'Hubert. Voir Bourne-ville. — Études
cliniques
et thermométriques sur les maladies du système ne
de la coexistence de ces manifestations articulaires. Les caractères
cliniques
, qui rendraient facilement reconnaissables lesârt
née a trouvé beaucoup d'incrédules. Un mot d'abord sur les caractères
cliniques
de Y arthropathie des ataxiques (1). ci se mont
eu soin de faire remarquer, en effet, me fondant sur des observations
cliniques
, bien des fois répé-tées, que l'affection articul
e musculaire progressive des arthropathies, qui, par leurs caractères
cliniques
, se rappro-chent beaucoup de l'arthropathie des a
e l'amyotrophie dans la majorité des cas qu'on désigne d'habitude, en
clinique
, sous le nom d'artrophie musculaire progressive.
t M. Guéneau de Mussy l'a fait remarquer avec justesse dans une leçon
clinique
publiée récemment par la Gazette des Hôpitaux (
les deux affections qui doivent faire l'objet de nos premières études
cliniques
, la paralysie agitante et la sclé-rose en plaques
raiment de la paralysie agitante ou avait-on sous les yeux le tableau
clinique
de la sclérose en plaques ? Le fait est parfaitem
ées, on ne sait trop pourquoi, dans la version adoptée, dans sa leçon
clinique
, par Trousseau. Les considérations qui précèden
te pas, pour l'instant sur ce sujet, j'ai hâte de terminer l'histoire
clinique
de la paralysie agitante, en vous exposant ce que
de la sclérose en plaques. A côté, vous pourrez lire les observations
cliniques
auxquelles elles se rat-tachent. Jeprofite de cet
ouvrage dans les hôpitaux de Paris, ne re-late à ce propos aucun fait
clinique
. Même aujourd'hui, je ne crois pas que la scléros
proposant d'insister plus tard sur ceux quicontiennent des dé-tails
cliniques
. Aux renseignements que nous donneront les au-teu
de siège motivent des divisions importantes que nous retrouve-rons en
clinique
. Tantôt les plaques occupent exclusivement la moe
Messieurs, nous avons hâte de laisser l'anatomie pathologique pour la
clinique
, et de vous montrer par quel appareil de symptôme
rsité d'aspect de la sclérose en plaques disséminées, au point de vue
clinique
.— Causes d'erreurs de diagnostic. Examen cliniq
, au point de vue clinique.— Causes d'erreurs de diagnostic. Examen
clinique
d'un cas de sclérose en plaques. — Du tremblement
omme, n'est pas rare, ait échappé durant un temps si long à l'analyse
clinique
. Hien n'est plus simple cependant, j'espère vou
ignaler en premier lieu la diversité d'aspects sous lesquels, dans la
clinique
, il est pos-sible de la rencontrer; c'est là, en
de la sclérose en plaques, était venu le visiter dans le service de
clinique
dont il est actuellement chargé. Pour lui faire h
pas à déclarer que sa dissertation marque un progrès sérieux dans la
clinique
des maladies chroniques du système nerveux. Dan
e phénomène que j'ai été conduit à considérer comme un des caractères
cliniques
les plus importants de la sclérose en plaques cér
que, avant la publication des travaux qui l'ont fait admettre dans la
clinique
usuelle, la sclérose en plaques a été quelquefois
naître d'abord. En ce qui concerne ce point particulier, l'histoire
clinique
de Mlle V... a été traversée par certains acciden
ne se sont pas produites, jusqu'ici, chez Mlle V,.., dont l'histoire
clinique
est d'ailleurs si complèteàbeaucoupd'égards; mais
sions. Mais, en somme, toutes tes variétés de forme que l'observation
clinique
a fait reconnaître, — je ne veux envisager ici qu
es eompl., t. IX, p. 91). — Voyez aussi Charcot. — Leç.sur la thermo.
clinique
, publiées par Joffroy. (Gaz. hebd., 1869, p. 32i,
, 742, 821 et Œuvres compl. t. VII, p. 293). — Bon rue ville : Études
cliniques
et thermométriques sur les maladies du système ne
te le type normal, celui que nous rencontrons le plus souvent dans la
clinique
. La sclérose multiloculaire cérébro-spinale acc
'ne Routier, qui, durant plus de quinze mois, figura, vers 1810, à la
clinique
du professeur Leroux. Le malade avait offert d'ab
a été publié récemment par M. Paget dans les Bulletins de la Société
clinique
de Londres (3). Bien que l'anurie fût absolue, le
à entreprendre la réhabilitation de l'ischurie hystérique comme fait
clinique
réel. Les mêmes acci-dents, du reste, devaient re
t de la précédente leçon a été publiée in-extenso dans nos Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie,
erger, je crois qu'il est péremptoirement 1. Briquel (P.). — Traité
clinique
et thérapeutique de l'hystérie. Paris, 1859. dé
ésie hystéri-que qui méritent tout notre intérêt, tantau point de vue
clinique
qu'au point de vue de la théorie, heëmembranes mu
L'hémianesthésie, telle qu'elle vient d'être décrite, est, dans la
clinique
de l'hystérie, un symptôme d'autant plus impor-ta
doctrine qui invoque d'ailleurs à lafois les données de l'observation
clinique
et celles fournies par l'expérimentation chez les
e résolue d'une manière définitive qu'à l'aide de bonnes observations
cliniques
, auxquelles viendra s'adjoindre le contrôle d'étu
soin de la chercher. Voici sur quoi je me fonde. Il existe dans la
clinique
des maladies organiques des centres nerveux un ap
sthésie d'ori-gine encéphalique, ont trouvé une nouvelle confirmation
clinique
dans un cas que nous avons recueilli dans le serv
les expériences faites chez les animaux par M. Veyssièrc. (Recherches
cliniques
el expérimentales sur Vhémianesthésie de cause cé
éré-brale. (Paris, 1874. — Ce travail contient aussi des observations
cliniques
intéressantes.) (Note de la 2e édition.) (B.).
mbre. Conclusion au point de vue de la thérapeutique. —Observations
cliniques
. Messieurs, Par la dénomination assez pittore
t un qui, en raison du rôle prédominant qu'à mon sens il joue dans la
clinique
de certaines formes de l'hystérie me paraît mérit
voir que Brodie, qui, le premier peut-être, a reconnu tout l'intérêt
clinique
de l'étude de Vhystérie locale, ne traite pas d'u
e senspratique des chirurgiens anglais soit attiré par les dificultés
cliniques
que présentent les symptômes locaux de l'hystérie
cer-tain degré de gonflement de l'abdomen, et vous aurez l'ensem-ble
clinique
de la fausse péritonite, — spurious peritonitis d
yélite. Vous n'ignorez pas qu'en pathologie expérimentale ces faits
cliniques
trouvent jusqu'à un certain point leur interpréta
ade dans le Progrès médical (Nos 16-33, 1874), et dans nos Recherches
cliniques
el thérapeut. sur l'épilepsie et l'hystérie, p. 1
n IX, p. 275. — On trouvera son histoire complète dans nos Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur Vépilepsie et Vhystérie, p
i, Messieurs, rien déplus simple, je le répète, que l'in-terprétation
clinique
de ces deux cas, en ce qui concerne le diagnostic
ignalerai encore une particularité fort intéressante, au point de vue
clinique
: chez cette jeune malade, les atta-ques hystériq
eptique. —Elat de mal hystéro-épileptique : ses phases. — Caractè-res
cliniques
de l'état de mal hystéro-épileptique. — Gravité d
Observation de Wunderlich. Messieurs, Dans la courte description
clinique
que je vous ai donnée à propos de chacune des mal
l exemple, le parti qu'on peut tirer de ce mode d'exploration dans la
clinique
des maladies du système nerveux. Ce n'est pas,
avons déjà parlé de cette malade, p. 342. 2. Bourneville. — Études
cliniques
et thermo-métriques sur les maladies du système n
gnée tout au long, jusqu'à la date du 26 ma;'.s 1872, dans nos Études
cliniques
et thermom. sur les maladies du système nerveux.
sansprêliminaires, sans préambule enenirantde plein pied dans l'étude
clinique
, qui est d'ailleurs l'objet prin-cipal que nous p
illeurs fort bien portante, est âgée de 19 ans à peine ; son histoire
clinique
antérieure est cepen-dant déjàfort longue, fort a
ui a eu lieu il y a 2 ans, n'a modifié en rien d'essentiel le tableau
clinique
. Les paroxys-mes convulsifs et les phénomes locau
évidemment à cette catégorie. Il relève, avec raison, 1. Recherches
cliniques
et thérap. sur l'épilepsie et l'hystérie et Icono
e observation (Planches VII et VIII.) Dans l'une de ses conférences
cliniques
de l'an dernier à la Salpêtriere, M. Charcot a fa
pe, et ces combinaisons trouvent chaque jour leur réalisation dans la
clinique
. Il est bien entendu que ces troubles visuels d
s cas, vulgaires. Une combinaison très intéressante au point de vue
clinique
et que M. Charcot a rencontrée plusieurs fois est
, l'achromatopsie est absolue pour les 1. Bourneville. — Recherches
cliniques
et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie,
rsité d'aspect de la sclérose en plaques disséminées, au point de vue
clinique
. — Causes d'erreurs de diagnostic. Examen clini
au point de vue clinique. — Causes d'erreurs de diagnostic. Examen
clinique
d'un cas de sclérose en plaques. — Du tremblement
'un membre. Conclusion au point de vue thérapeutique.— Observations
cliniques
. . . 320 DOUZIÈME LEÇON de la contracture hys
ptique. — Etat de mal hystéro-épileptique ; ses phases. — Caractè-res
cliniques
de l'état de mal hystéro-épileptique. — Gravité d
orique, 113; — mode de début, note, 113; — lésions, 120; — caractères
cliniques
, 119. Articulations (Affections trophiques des)
304, 321, 394, 3%. — Fréquence, 321. — Historique, 321. — Carac-tères
cliniques
,324.— Lésions ana-tomiques de l'ovaire, 329. — Co
— Lésions ana-tomiques de l'ovaire, 329. — Con-clusions, 338. — Faits
cliniques
, 340, 346, 373. Hystérie (V. Epidémie, Hémianes
Simulation, 281. — Elle diffère de l'ischurie calculeuse, 283. — Fait
clinique
. 285. — Tracé indicatif des vo-missements et des
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE i : LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX 3873. - Imprime
es, B, rue Mignon, 2. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA
AUL RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE ANCIEN CHEF DE
CLINIQUE
ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHI
n, je me bornerai dans ce tra- vail à un simple exposé de documents
cliniques
. Aussi est-ce sous le titre qu'on a lu, qui ne
et un ans, femme de ménage, venue il la consultation externe de la
Clinique
en janvier 1888. Antécédents héréditaires. Son
e côté droit. Que si maintenant nous coordonnons en une description
clinique
les traits primordiaux fournis par le tableau s
le et comparativement avec les précédents, des points de similitude
clinique
importants à relever, ainsi que des par- ticula
t rappeler à cette, occasion que M. Joffroy.1 a-rapporté des- faits
cliniques
analogues; et a montré, entré autres, qu'après un
hysiologie, 1879. 2. Cette observation a été présentée à la Société
clinique
à la séance du 8 novembre 1888. 1 : ! NOUVELLE
examen anatomique, du moins presque indé- niables par l'exploration
clinique
, névrites unilatérales à l'appari- tion desquel
s et les précédentes où l'affection se présente avec des caractères
cliniques
semblables, mais cette fois symétrique. Si l'affe
semble, en conséquence, qu'elles forment, grâce à leurs caractères
cliniques
et à leur évolution toujours semblables, un vér
s toutefois les inductions que nous paraît autoriser la seule étude
clinique
sur la nature de ces faits. Il semble bien qu'o
. C'est pourquoi, quelque caractéristique que paraisse le tableau
clinique
si uniforme dans chacune de nos observations, nou
dans 1 es cadres nosographiques. PAUL BLOCQ, Ancien interne de la
clinique
des maladies du s)slème nervoux. 1. Contribut
ès, il n'était pas difficile de découvrir des différences 1. Etudes
cliniques
sur la grande hystérie. 2. Les Démoniaques dans
rapportés. Notre ami, M. le docteur Gilles de la Tourette, chef de
clinique
des maladies du système nerveux à la Salpêtrièr
he. Amélioration progressive. Marie D..., dix ans, est entrée il la
clinique
des maladies du sytème ner- veux, service de M.
ve dans la commu- nication de MM. Haddcn et Ball,lIlce à la Société
clinique
de Londres, 1888.) FIG. 15 (Obs. XII). 16 NOU
tanés de la face, des mains et des pieds. - Communiqué à la Société
clinique
de Londres le 23 janvier 1885. Clinical Societg
écrétiou de la sueur; pas d'aneslhésie. - A la séance de la Société
clinique
de Londres, le 13 avril 1888, MM. IIadden et Ba
cas, le fait vaut la peine d'être signalé. Pendant son séjour à la
clinique
, la malade eut deux accès de migraine avec vomi
re connaître, avec le mode opératoire, M. le D Onanoff, élève de la
Clinique
, son compagnon de voyage. Le traitement a été m
raitement a été mis en oeuvre par M. Gilles de la Tourette, chef de
clinique
, qui a surveillé toutes les opérations et recueil
de la leçon du 15 janvier 1889, par M. Gilles de la Tourette, chef de
clinique
. - Cet article a paru dans le Progrei médical,
us n'insisterons pas sur les résultats jusqu'à présent obtenus à la
Clinique
, résultats consignés dans la leçon que nous avons
é, être totalement inoffensif. » GILLES DE la TOURETTE, , Chef de
clinique
des maladies du système nerveux. NOTE SUR UNE A
a Salpêtrière, au mois de novembre 1887, nos fonc- tions de chef de
clinique
de M. le professeur Charcot, nous avons trouvé
tions hystéri- ques des muscles oculaires2, M. le Dr Borel, chef de
clinique
de 1. Archives d'ophtalmologie, iioveml)re-déce
ode d'investigation qui peut permettre de déterminer si un syndrome
clinique
est oui ou non sous la dépendance de l'hystérie
.-itl. Charcot, Spasme glosso-labié unilatéral des hystériques. Leçon
clinique
in Semaine médicale, 2 février 1887. 2. Cette
e nous attarderons nous pas à tracer plus complètement l'his- toire
clinique
et thérapeutique du blépharospasme. Nous avons bi
OLOGIQUE DE l'acromégalie l Après avoir rapporté les observations
cliniques
et étudié les symp- tômes et les caractères par
s nets ni moins stables que ceux qui la distinguent au point de vue
clinique
. Autopsie de l'Observation V (Saucerotte). -A l
ans le chaos ; autant au point de vue anatomique qu'au point de vue
clinique
elle a perdu son autonomie. Mais même pour ceux q
e générale (Ann. méd. psych., 1882, t. 1111, p. 230). ' 4, Traité
clinique
des maladies mentales, p. 3.t3, 5. Charcot et r
rps tiennent, on le sait, une place fort importante dans le tableau
clinique
de la maladie de Par- kinson. Peu d'affections
n paralytique agitant qu'il présenta, l'an dernier, dans une de ses
cliniques
du mardi '. Il proposa de la désigner sous le n
a été présentée par M. Charcot à ses ; auditeurs dans la conférence
clinique
du 19 juillet. Il s'agit d'un cas de paralysie
itude qui aient été jusqu'ici mentionnés. A. Dutil, Interne de la
Clinique
des maladies du 5%stèitic nerveux. DE LA SUPERP
rvée sur Lelog... chez une jeune Russe admise dans le service de la
Clinique
, en 18882, pour une contracture des muscles de
eux autres qui, à notre avis, présentent également, au point de vue
clinique
, pour le diagnostic différentiel, un intérêt de p
la sensibilité articulaire. N'aura-t-on pas, alors que l'évolution
clinique
a été douteuse, un bon point de repère pour le
le plus grand bien des malades. Gilles DE la TOURETTE, Clii-f de
clinique
deb maladies du système nerveux. Il. 11 A.AT0
tribut de respectueuse admiration. GILLES DE la TOURETTE, Chef de
clinique
des maladies du système ne) ? )t\. Le gérant :
équente 1. Spasme ¡(losso-lauié unilatéral des hystériques. - Leçon
clinique
in Semaine médi- cale, 2 février 1887. 2. De
somnambulique, et je me contenterai de donner le résumé du tableau
clinique
que j'ai tracé de la forme cérébrale dans le tr
tractures d'appréhension ou d'adaptation. Peut-être au point de vue
clinique
y a-t-il similitude complète ; en tous les cas,
ion pendant le sommeil. PAUL RICI3ER, Chef du laboratoire de la
Clinique
dés maladies du système nerveux, . SUR UN CAS D
détails morphologiques. PAUL RICIIER, Chef du laboratoire de 1.»
Clinique
de* maladies du ytemc nonvu-c ANATOMIE PATHOLOG
senti au musée de Bolognc, ce qui explique l'absence (l'observation
clinique
et d'examen des viscères, , ANATOMIE PATHOLOGIQ
e époque de l'existence, et nous observons encore en ce moment à la
Clinique
une femme de soixante-dix ans, Aurél... qui, depu
égie cérébrale. Cette dernière hypothèse doit être éliminée, car la
clinique
nous a appris depuis longtemps que l'hémorragie
irconstance des eschares du « decubitus acutus » 'ï 1 . 1. hludes
cliniques
et physiologiques sur la marche. - La marche dans
-t ! . Charcot. Spasme -Iosso-lahié unilatéral des hystériques. Leçon
clinique
in Semaine médicale, 2 lévrier 1887. Brissaud e
ons en citer des exemples. C'est en 1886 que M. Babinski, chef de
clinique
, suivant en cela l'en- seignement de M. le prof
egarde à proprement parler l'atrophie musculaire. Dans ses Leçons
cliniques
du premier semestre de l'année 1. G'atroa muscu
grandes attaques et hypnotisable, a séjourné dans le service de la
Clinique
pendant 2 ans, en 1879 et 1880; 1 hystérique à
rès un assez long séjour à 131eêtre est entré dans le service de la
Clinique
, le 0 juin 1889. Il était, alors comme aujourd'
on. Elle était déjà entrée à la Sal- pêlrière dans le service de la
Clinique
. Aussitôt elle remarqua au niveau de l'éminence
de M. le professeur Damaschino l. En 1883, A. Fabre9, professeur de
clinique
à l'Ecole de Marseille, qui connaît parfaitemen
.. et Obs. II) qui, avec les pré- cédents, constitueront l'ensemble
clinique
sur lequel devra s'asseoir la description de l'
érie (Gazette des hôpitaux, 1888, p. 561). 2. Nouveaux Fragments de
clinique
médicale. - L'hystérie viscérale. Paris, Delahaye
que tous les autres réunis... Il s'appe- lait ? .. Il a été chef de
clinique
à la Pitié, je ne sais où, je ne me rappelle plus
avec la névrose. GILLES DE la Tourette, A. DUTIL, Ancien chef de
Clinique
Interne de la Cliniquc deamaladic, du système n
un travail publié en 1888 nous nous efforcions de tracer l'histoire
clinique
des attaques de sommeil hystérique. Les faits q
état de mal de sommeil au contraire, rien qui indique le réveil. La
clinique
a donc tout à gagner à posséder un procédé perm
sa Leçon du 5 février, d'occuper un rang de première importance en
clinique
, n'est pas le simple fait d'une dénu- trition b
ts obtenus. GILLES DE la TOURETTE, H. CATHELINEAU, Ancien chef de
clinique
des maladies nerveuses. Chef du laboratoire de ch
2. ]tact. De la chorée chronique. Th. Paris, 1889, p. 174. 3. Étude
clinique
sur la fièvre du goitre exophtalmique et, compara
ppelaient d'autres recherches. Nous avions, dans les salles de la
Clinique
, trois malades atteintes de goitre exophtalmiqu
exemple. Gilles DE la touretTe, II. C.1TIIEL1NEAU, Ancien chef de
Clinique
des maladie* Chef du laboratoire de l'1limÏt' d
a été présenté par M. le professeur Charcot dans une de ses Leçons
cliniques
du mois de novembre 1889. M. Charcot fit alor
on électrique. Gilles DE la Tourette, ZAGUEL1111N\ Ancien chef de
Clinique
Externe de la Clinique. des maladies du système
DE la Tourette, ZAGUEL1111N\ Ancien chef de Clinique Externe de la
Clinique
. des maladies du système ncrvcuc. j 0 L'HYSTÉ
ptôme de son affection. » GILLES DE la Tourette, Ancien chef de
Clinique
des maladies du ssstème nerveux. ANATOMIE PATHO
es. 1883 Vol. VI. Juillet 1883. N° 16, ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS; Par
ont rencontrées sur la plupart des points. Archives, t. VI. 1 2
CLINIQUE
NERVEUSE. jusqu'alors l'attention des auteurs.
ie persista. Je lui prescrivis alors une dose de 1 gramme 50 de 4
CLINIQUE
NERVEUSE. chloral, le soir, au moment de se cou
s nous reprimes les douches froides aussitôt que la guérison du 8
CLINIQUE
NERVEUSE. genou nous parut suffisamment consoli
propre, l'enfant n'en persista pas moins dans ses études, et il 12
clinique
nerveuse. eut neuf nominations à la distributio
s douleurs n'ont pas cessé pendant cette interruption, et que 14 le
CLINIQUE
NERVEUSE. l'enfant est plein d'ardeur pour ses
blier notre travail prochainement, avec les nombreuses observations
cliniques
qui nous ont amené précisément il ces conclusio
ducation sociale et privée, morale et physique. ' More). - Etudes
cliniques
. Traité théorique et pratique des maladies ment
mentale,. ou, physique.ll\Iorellpurtant;;c1pnt, l' ex pé ! L rience
clinique
était; si vaste, ^-présenté; ce fait» comme 1,
ésa U*Iqties,héréd 1 taires; il' en a. donné, i dans L ses 1Étllde1
cliniques
,¡,plu-) ! . sieurs] exemples;^ dont un'; très
dance' quand' on lui 'parle. Voilà, réalisé devant nous, un exemple
clinique
des plus instructifs, surtout lorsqu'on vient à
18'-1 ntf, ! f l' "+ 1 -, i 1 . v o, '1 t) ..r- ? r,.J RECHERCHES
CLINIQUES
SUR LA FOLIE AVEC CONSCIENCE'; rw r;1 t il- --
urs, si, abandonnant, pour quelques - instants le terrain purement-
clinique
sur, lequel mous nous sommes placé jusqu'à prés
: La seconde, où la question sera examinée surtout au point de vue
clinique
, le sera ultérieurement. 1 ¡ M.rMài : çaé'ci
lt; ? U ? ) ? L examen histologique a confirme les prévisions de la
clinique
., )n ? m ? n)f",P .rfr)9'7'ir » . ! t n, fn I»
se faite par lui au Congrès dé' Bàac en '1881'. ]1 complète l'étude
clinique
de.1l\I. Siemens* et relate les i · I 1 ·,·- ll
seconde, }(3 ? iÓFn'ys antérieures cd )Í\1lI).9lIe..c,rvical'JJ¡La
clinique
.et. la pnysiologierperme,tient.deicroire/que de
des localisations; par, exemple, choisir de. préférence les'faits;
cliniques
simples et,' autant que, possible,, observés, 4
fficiels que, dans l'observation directe de la.nature et qu'un fait
clinique
bien constaté par des-, témoins impartiaux; àt
ue'de la'Salpé' trière, 1. III, ! P,] 1149. - P. B.icher ? Etudes.*
cliniques
sûr la* grande hystérie, iu-8^, 158t. , i" ' a
dico-légales. Il veut des épreuves orales et la fréquentation d'une
clinique
, conformément aux décisions de la Commission co
chondriaque des idées délirantes serve au fond à déterminer le rang
clinique
de la psychose. Enfin, la mélancolie dite hypoc
f 1 f -¡'"J , 1 ," l ! )J) M, ' ! \1EYNERT présente un malade de sa
clinique
'et* montre qu'il agrémenté* une 'prétendue 'pe
j-V-i '. j ? y'»*/ 0)3 '(.», M. Meynert présente deux malades de sa
clinique
: ui5csiÿté- ressantd aphasie; un cas de démenc
e temps qui peut-être n'est pas loin, nous posséderons, des entités
cliniques
de l'idiotie en correspon- dance avec les,modal
" f" 1 ,1f,I'¡t, Il P Ii. Le délire chronique, son évolution (étude
clinique
) ; par, GÉRENTE. Thèse de Paris, 1883. ;" ? ( ?
on de M. le professeur J. Mierzejewski, porte le nom de Messager de
clinique
mentale et nerveuse (Wiestuick psyckiatrii, nervo
ns faites à l'asile Sainte-Anne, 1881. (Inédites.) 'More ! . Eludes
cliniques
, etc., t. I, p. 163 et sni"" 362 etsoiv. 3 Magn
élirant, * même arrivé à la période de systématisation. Ces faits
cliniques
ont leur importance au point de vue de cer- tai
; et l'on saura toujours alors le reconnaître derrière chaque cas
clinique
particulier. Or, nous estimons qu'une étude cli
e chaque cas clinique particulier. Or, nous estimons qu'une étude
clinique
attentive pourra distinguer toujours, parmi ses
hives de Neurologie, ! f 14, p. 191, et il- 15, p. 290. Observation
clinique
résumée d'après les notes recueillies par M. Pr
isseur du derme et du tissu cellulo- 1 Résumé d'après l'observation
clinique
communiquée par M. le pro- fesseur Vergely. 1
sser à notre travail le caractère d'un simple recueil de faits. .
CLINIQUE
NERVEUSE DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS'; Par
a maladie, nous le constaterons de même 'v. o· " ic, 1,. 1. 20 1.
CLINIQUE
nerveuse. pour le siège et la nature de la doul
Chaque fois qu'il s'agit de troubles purement fonctionnels. - 306
CLINIQUE
NERVEUSE. S'il était bien démontré que les modi
s maladies de l'enfance. Jules Simon. Conférences thérapeutiques et
cliniques
sur les mala- dies de l'enfance, p. 110. Fous
ance, p. 110. Foussagrives. - Hygiène de l'enfance. . 2 Gossclin.
Clinique
chirurgicale de la Charité, t. le. 3 Bouchard.
ard. - Des maladies par ralentissenzent de la nutrition, p. 37. 208
CLINIQUE
NERVEUSE. nifester à cet âge entre l'apport nut
peut pas encore s'appliquer à l'étude. Archives, t. VI. 14 210
CLINIQUE
NERVEUSE. nuer leurs études, et ils le peuvent,
tempes; ils n'accusaient point de douleur au front. Ils- ,)Il) 2
CLINIQUE
NERVEUSE. ne pouvaient ni écrire, ni lire, ni s
ade du Dr Blache. M. Bucquoy nous audit avoir constaté les 31t le
CLINIQUE
NERVEUSE. bons effets des eaux de Saint-Nectair
ore de temps en temps au traitement pour assurer sa guérison. 216
CLINIQUE
NERVEUSE. CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. Les observa
NCE GRISE, AVEC EPILEPSIE PARTIELLE (Jacksonienne) COMME SYNDROME
CLINIQUE
; par M. S.-F. D.\nlLLO. (Laboratoire delà Clini
COMME SYNDROME CLINIQUE; par M. S.-F. D.\nlLLO. (Laboratoire delà
Clinique
des maladies du système nerveux de M. CHARCOT.)
nes pathologiques susmentionnés. N'ayant pas à nous occuper de la
clinique
de ce cas, nous nous bornerons à en mentionner
- gner sous le nom placé en tète de notre mémoire ? Comme données
cliniques
, les faits principaux sont les sui- vants : , ,
endant les attaques. : La dernière série d'attaques a commencé à la
clinique
, le 19 octobre 1882, par les phénomènes déjà én
données notées par M. Féré sur le cahier anatomo-pathologique de la
clinique
, d'où nous les reproduisons, sont les suivantes
nde rapi- dité et l'enfant ne tarda pas à offrir tous les symptômes
cliniques
de l'idiotie complète : parole embarrassée, mém
symptômes et sa marche. Cependant, nous préférons réserver l'étude
clinique
pour la seconde partie de notre travail; où les
itifs, moteurs, trophiques,se rencontrent dans les deux moda- lités
cliniques
; toutes deux peuvent aboutir aux mêmes termi- n
anifestée chez le produit. M. LEGRAKD du Saulle rapporte l'histoire
clinique
d'une petite fille qui, à la suite d'une fièvre
maladie dans l'ancienne littérature japonaise), qu'au point de vue
clinique
et anatomo-pathologique ; l'auteur rapporte un
adolescence (maximum de fréquence, t3 à 2 : i ans). Au point de vuc
clinique
, l'auteur distingue quatre formes de kak-kè : u
dans un cas, ' la regarde comme secondaire. D'ailleurs, l'aspect'^
clinique
! dé'1 la maladie'accuse bien' sa- naturé''péri
uérison a toujours eu lieu rapidement (27 jours à l'hôpital, 8 à la
clinique
). Les malades ont été pansés d'après les règles l
aculté de médecine de Paris. - Le concours pour la place de chef de
clinique
des maladies du système nerveux vient de se ter-
s, à cette occasion, qu'il existe depuis plusieurs années à l'asile
clinique
Sainte-Anne et à la Salpêtrière, et enfin que, à
Projets, plans, modèles relatifs à la construction des asiles, des
cliniques
psychiatriques, des sections pour idiots, pour ag
BIBLIOGRAPHIQUE. t BOUR-NLVILLL, Bowamc et \1'mLr ? mé. Recherches
cliniques
et lhéra- peittiqîtes sur l'épilepsie, l'hystér
fr. Paris. Vol. VI. Novembre 1883. N" 18 ARCHIVES DE NEUROLOGIE
CLINIQUE
NERVEUSE AFFECTIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DU
elles n'étaient pas Fq. 3. Artliropa- thie du niecl droit. 308
CLINIQUE
NERVEUSE. seules en jeu, et que les os aussi de
técédents héréditaires l'existence d'une tante et d'un oncle 312 '
CLINIQUE
NERVEUSE. maternels aliénés. Elle-même n'a jama
t. Sensation de constriction thoracique en cuirasse, s'exa- 31 Id
CLINIQUE
NERVEUSE. gérant par moments. Rarement elle se
ienne permît de soupçonner des altérations plus complexes, l'examen
clinique
des faits ne suf- fisait pas, à lui seul, à éta
ndre longtemps la solution de la question. Un cas analogue : 1 ¡¡
CLINIQUE
NERVEUSE. à ceux que nous venons de relater s'é
3 '" 11- n - .J U,¡ ? U J o : : J o : : J fI') ta lEg 318
CLINIQUE
j'OEI{YEUS[ ! . Nous n'insisterons pas longueme
lan- gage oral s'effectue pas à pas; chaque jour son réper- 33(i
CLINIQUE
MENTALE. toire s'enrichit d'expressions nouvell
devient à l'instant plein de sens et rigoureusement conséquent.
CLINIQUE
MENTALE DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES DE CARAC
st qu'en effet, ce syndrome, qu'on l'envisage au point de vue de la
clinique
, de la physiologie patho- logique, de l'histoir
héa. Du délire des sensations, p. 106. Archives, t. VI. 2*2 338 .
CLINIQUE
mentale. du dédoublement et de l'indépendance f
on inquiète par les mots : « Je n'ai jamais eu de chance» . 31O '
CLINIQUE
MENTALE. A vingt-six ans, le délire s'accuse; l
la- die ; l'hémisphère droit répondant au côté gauche dis- 312' '
CLINIQUE
MENTALE. posé à la joie et faisant presque enti
iscours orduriers et l'on par- lait des obscénités du diable. 344
CLINIQUE
MENTALE. Ce malade adonné à l'absinthe a présen
lcoolique et de leur traitement. Paris, 1874, p. 68 et 255. 3 if,
CLINIQUE
MENTALE. chez tous les trois, nous voyons comme
nation se poursuit, si c'est la paupière gauche P. Richer. - Etudes
cliniques
sur ? t)/f)'o-p ! 7e;M ! e, 1882. : 1 Í8 CLINIQ
ans quelle région de l'hémisphère doit-on les localiser ? ` ? 350
CLINIQUE
MENTALE. Lorsque M. Baillarger1 publia son rema
les de Fritsch, d'Hitzig2 de Ferriez, de Munck°, et depuis que la
clinique
étayée par l'anatomie pathologique est venue pr
nis par la physiologie expérimentale en faveur de cette théorie, la
clinique
vient tous les jours ajouter de nouvelles preuv
cine, 1882.) 1 Fritsch. Wiener ltlcdlcinische Presse, 1880. 352
CLINIQUE
MENTALE. (service de Meynert) et le mien' qui d
iels de l'écorce qu'il faut les rattacher. AncmVES; t. VI. 23 354
CLINIQUE
MENTALE. Dans un travail sur les hallucinations
tisme de l'hystérie corroborent de tout point les résul- tats de la
clinique
. RECUEIL DE FAITS CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE A1
. le P' A. KOJEWNIKOFF (de Moscou). Le 7 septembre 1880, entra à la
clinique
des maladies ner- veuses Wassily Mennschof, cor
S DE SCLÉROSE LATÉRALE ASIY0TR0FHIQUE. 359 Le malade est resté à la
clinique
à peu près un mois (il eri est sorti le 18 octo
s étaient devenus un peu plus libres. Bientôt après la sortie de la
clinique
, le dérangement dans les mouvements redevint le
eil, il se vit obligé, le 22 septembre 1881, d'entrer derechef à la
clinique
des maladies nerveuses. Etal actuel (22 septe
qui était, du reste, en harmonie complète avec les manifestations
cliniques
. La substance grise du bulbe était de même tout à
males et en nombre complet. A la suite de l'examen des phénomènes
cliniques
et anato- rnopathologiqucs que présentait notre
onnes latérales seules. Pendant le second séjour de Mennschof il la
Clinique
, lorsque l'atrophie des muscles de la main se déc
sincère reconnaissance à M. leur Wladimir Rolh, mon ancien chef de
clinique
, qui a bien voulu m'aider dans ce travail. Mo
dans - 3 1 Voir aussi : lîounieville et Bounaire. - lleche/'ches
cliniques
et thé- rupeutiqucs sur l'épilepsie, l'hystérie
Psych. Il. Nervenk. XIII, 3.) Après un résumé historique des faits
cliniques
prouvant que les malades avaient conscience de
xtrême; à ce moment, dévination conjuguée desyeux en haut. Le stade
clinique
entraîne une dilatation forte mais non plus exa
MENDEL,. (Neurol. Centrnlbl., 1882.) Observation dont le tableau
clinique
était tel que le diagnostic porté fut : mélanco
finir avec ce mot qui ne veut rien dire et qui constitue une erreur
clinique
. On est paraly- tique ou on ne l'est pas. Il y
à ce moment l'accès convulsif (équivalent psychique). Confirmation
clinique
ultérieure. L'auteur rapproche de ces deux obse
ésenter rien de particulier quant à l'étiologie, offrent un tableau
clinique
précis, à raison de la netteté de la pathogénie
diabète, en se basant sur la physiologie, l'anatomie pathologie, la
clinique
. La théorie gastro-intestinale, sans être suffisa
avec les données actuelles de l'anatomie pathologique et même de la
clinique
. M. Dreyfous montre que si l'illustre physiolog
che à un ralentisse- ment de la nutrition, reposent sur des données
cliniques
et étiolo- giques de la plus haute valeur : pou
gie et une anatomie pathologique toujours la môme pour une modalité
clinique
déterminée. Certains auteurs sont déjà entrés d
cluse, situés en dehors Paris. Nécrologie. M. PARROT, professeur de
clinique
des maladies des enfants, est décédé le ;¡ août
e de la substance grise avec épilepsie partielle comme syn- drome
clinique
, par Danillo, 217. Encéphalopathie saturnine, 1
SALPETRIERE FONDÉE par J. M. CHARCOT . F. RAYMOND PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOU
E NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE A. JOFFROY PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEU
EUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES CUTANEES ET SYPHILITIQUES PAR
L'ACADÉMIE DE MÉDECINE DIRECTEUR H0 ! <" DU LABORATOIRE DE LA
CLINIQUE
GILLES DE la TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA
t-Germain 1899 NOUVELLE ICONOGRAPHIE'^* DE LA SALPÊTRIÈRE -
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTEME NERVEUX. (HOSPICE DE LA
E). POLYNÉVRITE ET POLIOMYÉLITE PAR F. RAYMOND, Professeur de
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. Messieurs, L
ne de jours. Voici l'étal présent, qui a été relevé par mon chef de
clinique
M.Gasne, le 29 septembre, jour de l'entrée du m
nsultation, soutenu par deux personnes. A première vue, mon chef de
clinique
a été frappé de l'immobilité des traits de la f
re. * .... - Depuis le 29 septembre, date de son entrée dans la
clinique
, le malade a été traité par l'électrisation et
cas de X... diffère, néanmoins par certains côtés, des divers types
cliniques
de myopathie décrits jusqu'à ce jour. Il ne resse
ignement on a cru devoir décrire des types nettement déterminés, la
clinique
nous apprend que l'on observe tous les jours de
aire progressive. II n'eu est rien. En même temps que l'observation
clinique
des faits devient plus attentive et plus précis
use, Paris, 1893. TROIS CAS D'ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 23 dans notre
clinique
aux mois de février et de mars 1898 (la première
ù se trouvent condensées les données des antécédents et de l'examen
clinique
. Nom. Olga S. (2e enfant). Michel S. Nicolas S.
rigé droite. Cette diplopie fut - également consta- tée dans la
clinique
de M. le prof. Ko- . jewnikow en 1895 , (le
ces au sujet de la symptomatologie de la Maladie de Marie. xn 3
CLINIQUE
DERM0-SYPIIILIGRAPI11QUE DE NAPLES LE SYNDROME
T LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR TOMMASI DE AMICIS Professeur à la
Clinique
dermo-syphiligraphique de Naples. Histoire clin
Professeur à la Clinique dermo-syphiligraphique de Naples. Histoire
clinique
. Antécédents. Pierre, 3 ans, fils de Innocent e
Du' W. Weidengammer, qui m'a aidé de ses conseils. LABORATOIRE DES
CLINIQUES
DE L'UNIVERSITÉ DE BORDEAUX DOCUMENTS CLINIQU
LABORATOIRE DES CLINIQUES DE L'UNIVERSITÉ DE BORDEAUX DOCUMENTS
CLINIQUES
ET NrOM'0-rMZ.OGQ ! 7J ? S A VEC I'110T 05T RI;
P,vrs 1111. SABRAZÈS ET BRENGUES Agrégé, Chef du laboratoire des
Cliniques
Assistant du laboratoire des Cliniques de l'Uni
grégé, Chef du laboratoire des Cliniques Assistant du laboratoire des
Cliniques
de l'Université de Bordeaux. Observation. G
a eu une maladie grave (1) Les particularités intéressantes d'ordre
clinique
et anatomo-pathologique de cette observation so
ière inférieure et les joues. L'examen des yeux a été pratiqué à la
clinique
ophtalmologique de M. le professeur Badal par M.
Médecin de l'Hôpital Saint-Antoine. Messieurs, Beaucoup de faits
cliniques
et, en particulier, des faits empruntés à l'his
nce des de1'111alo-neill'oses ou trophonévroses cutanées. (1) Leçon
clinique
extraite pour la Nouvelle Iconographie de la Salp
r rapport à l'axe du tronc et des membres, il faut admettre - et la
clinique
en fail foi que ces départements super- posés s
Cette question, je la réserve provisoirement, mais les observations
cliniques
prépareront d'elles-mêmes la réponse. 11 suffit
appliqué à démontrer cette différence par des faits anatomiques et
cliniques
. 74 E. BRISSAUD gros l'ensemble des faits con
resse toujours d'établir ses classifications d'après les caractères
cliniques
les plus apparents, a distingué trois formes prin
t d'une hyperplasie systématisée. Et maintenant, au point de vue
clinique
, quels sont les attributs de la trophonévrose c
on de la syphilis des parents n'ayant pu être acquise. Toutefois la
clinique
montrant les phénomènes pathologiques améliorés
arfaite intégrité des tissus dans leur voisinage. LABORATOIRE DES
CLINIQUES
DE LA FACULTE DE BORDEAUX. ATROPHIE MUSCULAIRE
; tendance la trépidation épileptoïde des deux c8- tés. Histoire
clinique
. V... Alfred, Age de 27 ans, exerçant le métier d
eur éry- thémateuse de la conjonctive qui nécessita son entrée à la
clinique
ophtalmo- logique de M. le Professeur Badal. Le
pothèse, mais elle nous est suggérée par l'interprétation des faits
cliniques
et expérimentaux les plus récents relatifs à la
QUE - PAR PIERRE BONNIER. On a presque totalement abandonné, en
clinique
, le terme de tabès dorsal. Ces mots ne peuvent
ment déterminé tabès sans ataxie, ce mot tabes reste insuffisant en
clinique
, car il ne nous indi- que que* le genre de l'af
II y aurait dans ce cas une si vive différenciation des caractères
cliniques
, selon le siège plus ou moins élevé de la lésion
la moelle ne se retrouveront pas dans le cerveau, sous une formule
clinique
corres- pondant à l'extrême variation morpholog
eil labyrinthique, conducteurs et centres. En effet cette recherche
clinique
et anatomo-pathologique peut se faire en dehors
que celle de n'importe quel appareil spinal ; - parce que enfin la
clinique
nous montre qu'aucun appareil n'est plus constamm
je pense qu'il sera difficile de se refuser à admettre l'existence
clinique
d'un labes Iabyrinlhique net- tement défini, et
s de l'anatomie normale et pathologique, de la physiologie et de la
clinique
. Anatomie. De tous les ganglions crâniens, aucu
LABYRINTHIQUE 135 ditifs tiennent relativement peu de place dans la
clinique
nerveuse. Les troubles labyrinthiques tiendront
que soit la théorie pa- thogénique ; et nous verrons dans la partie
clinique
de cette étude qu'en donnantà la symptomatologi
du sens des attitudes segmentaires. On le confond communément, en
clinique
, avec le problématique et mal défini sens muscu
dire l'incapacité de se tenir immobile, correctement droit ; or, la
clinique
nous montre que ces oscillations autour de la v
sculaire, ce qu'on appelle le sens musculaire dans les observations
cliniques
? Comment, on cherche à placer le malade dans une
à se re- prendre pour suivre ce mouvement qu'il ne connaît plus.
Clinique
. Dans la première observation de tabes du mémoire
que ces deux signes, sans être infaillibles, ont une grande valeur
clinique
d'u- sage. , Ce nystagmus peut devancer et mê
pourrons systématiser et classer les anatomies individuelles que la
clinique
nous force à tout instant de considérer comme t
réflexe issue de l'appareil ampullaire, et réa- liser les tableaux
cliniques
les plus complexes, parfois durables. Il faut d
'une si grande vogue au XVIe siècle, dans les Pays-Bas. L'étrange
clinique
du « doyen de Ronse », c'est le nom que porte s
bandonne, épuisé, aux soins d'une aide, infirmière de cette étrange
clinique
, grosse femme à coiffe blanche qui noue à tour de
ize cas. Somme toute, celte paralysie isolée constitue une rareté
clinique
. Du- (1) Velpeau, Anatomie chirurg., 1835, p. 3
et F, pl. XXVII). Camille P..., 7 ans. Vue il la consultation de la
clinique
infantile le 4e avril 1898. Père bien portant,
dermie congéni- tale ne présente pas d'ailleurs la même physionomie
clinique
que les faits de Neumann et de Cruse. A ces 5
C, pl. 11VI). - Augustine D..., 11 ans, vue à la consultation de la
Clinique
infantile le 29 mars 1898. Père 58 ans, journal
été publiées à l'étran- ger. Elles ne font que confirmer la réalité
clinique
de la description des premiers auteurs. Jusqu'à
phie type Claa·cot-ltaie et pour tracer il grands traits le tableau
clinique
et analomo-palbologique de la maladie. Ces cons
les peintres du mal d'amour ont mis en évidence certains caraclères
cliniques
de la chlorose. Et nous entendons par chlorose,
acher aux funestes conséquences du mal 1 d'amour. Dans l'histoire
clinique
de la chlorose, on décrit longuement Jes trou-
avons vu que l'oeil du peintre avait su percevoir plus d'un détail
clinique
, plus d'une nuance psychologique, qui témoignen
Dr E. HERTOGHE, d'Anvers. Je me propose de faire la description
clinique
de ce qu'on appellera le mY : l'oedèllle fruste
(2) Cette monographie fait partie de la collection des Monographies
cliniques
sur les questions nouvelles en médecine, chirur
de l'examen du système nerveux était peu avancée : au point de vue
clinique
, les symp- tômes signalés chez les malades ne s
ie : aucun doute ne peut être élevé sur la légitimité du diagnostic
clinique
. Voici le résumé des lésions qui ont été consta
ue les symptômes observés chez le malade offraient, au point de vue
clinique
, des différences vraiment trop grandes avec ceu
de l'amyotrophie Charcot-Marie sont des plus évidentes, son tahleau
clinique
est aussi caractéristique. Depuis quelques années
uté dans l'adolescence. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ÉTUDE SUR LES
érant : P. Bouchez. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne).
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
E NOTE SUR DEUX TICS DU PIED PAR F. RAYMOND. Professeur de la
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. ET PIERRE
ET PIERRE JANET. Directeur du Laboratoire de Psychologie de la
Clinique
. Nous avons déjà, à plusieurs reprises, insisté
es et idées fixes, 11,-ch, IV, p. 5. FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY
CLINIQUE
DE 111. LE PROFESSEUR .S7/7\W. SUR LES ATROPHIE
es; il ne peut y avoir syringomyélie, la principale caractéristique
clinique
manquant ; et d'ailleurs l'autopsie a tranché- la
12e212e. Pravel... Just..., 25 ans, employé de commerce, entre à la
clinique
le 22 juin 1891 (PI. LXI, fig. C). ATROPHIES
nce médicale continue. , Le 1 avril 18S)5, Geof... se présente à la
clinique
, montrant une tumeur grosse comme une tête de f
s anciennes. 25 octobre. Le malade absolument impotent, rentre à la
clinique
. L'atrophie musculaire est au maximum, état squ
(1) Etudiant ici l'atrophie musculaire myélopathique au point de vue
clinique
, je renvoie aux figures reproduisant ces lésion
ir de famille, qui, mieux que toute autre base, constitue un groupe
clinique
bien défini. Que la syringomyélie, que d'autres
- pes cellulaires des cornes antérieures, lui empruntent son aspect
clinique
, cela s'observe ; mais il n'en reste pas moins
oint de vue général, ils constituent t une seule maladie. ni 26
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA S
alade que nous allons examiner nous four- nira le motif d'une étude
clinique
intéressante. Il appartient en effet à un group
... . Nous n'avons pas cru devoir développer plus cette observation
clinique
qui somme toute peut se résumer facilement. Il
qu'elle avait diminué de volume. A son entrée dans le service de la
clinique
, plusieurs mois après le traumatisme, on constata
a amené la production d'atrophies musculaires ayant des caractères
cliniques
(1) VALTAT, De l'atrophie musculaire consécutiv
tre malade pour rappeler rapidement la nature et la symptomatologie
clinique
des atrophies musculaires réflexes. Chez un ma-
ux, goitreuse elle-même). Le Pr Joffroy (14) fait en 1895 une leçon
clinique
sur une femme de 58 ans, acromégalique depuis 4
Revue de médecine, 1889. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ETUDE SUR LES
intéresse toutes les manières de la sensibilité. D'un autre celé la
clinique
aidée par l'anatomie pathologique montre que le
héorie des amnésies partielles n'explique pas. Après une discussion
clinique
approfondie, M. Pitres montre combien sont rare
récemment deux cas d'aphasie amnésique avec paraphasie : leur étude
clinique
, que l'état mental des malades n'a malheureusemen
Luys) avec agramma- (i) Pitres, L'aphasie amnésique el ses variétés
cliniques
. Progrès médical, n 21 et sq., 1S98. 11 I 2U
remière temporale, lésion qui ne répond sinon à aucun des symptômes
cliniques
enregistrés, car il y a un léger af- faiblissem
s faits sur les figures établies par M. Gruzelle. Au point de vue
clinique
nous ferons les remarques suivantes : La malade
u- tres causes de cachexie oedémateuse. D'ailleurs les caractères
cliniques
de l'enflure, sa dureté, son indo- lence, sa ré
ences de l'éléphantiasis tropical. Et précisément un des caractères
cliniques
de l'éléphantiasis, qu'il soit tropical ou de nos
vé dans les cas d'élé- phantiasis nostras, on admet que le syndrome
clinique
de la maladie peut être réalisé par un autre ag
dans cette catégorie que nous allons trouver bientôt des caractères
cliniques
com- parables à ceux que nous avons observés.
HENHY MEIGE l'acromégalie, tout en présentant certaines apparences
cliniques
de l'une et l'autre de ces affections. Ce cas
pourrait conservée. Tout récemment, Duckworth présenté à la Société
clinique
de Londres (13 janvier 1899) une jeune fille de
UE HÉRÉDITAIRE 471 t A tous ces exemples, où parfois les caractères
cliniques
, et en particu- lier la localisation de l'oedèm
é aux pieds et aux jambes, et s'arrêtant au genou. Les caractères
cliniques
de cette affection sont résumés ainsi : 1° Elle
mais paraissant appartenir au même groupe nosographique. Les faits
cliniques
démontrent qu'il existe un oedème chronique, blan
snos, Iligier, Milroy et nous-même (1). IV En présence de faits
cliniques
encore fort clairsemés, toute discussion sur le
nous n'insisterons pas davantage. * .. Quelques rapprochements
cliniques
peuvent avoir leur utilité. Le tropltaedème éta
médecine, 1894, p. 757. FACULTÉ DE MÉDECINE DE BORDEAUX DOCUMENTS
CLINIQUES
AVEC PIIOTOSTÉRÉOGRAPH1ES SYRINGOMYÉLIE AVEC
icl' (Haute-Marne),' TABLE DES AUTEURS 503 tomo-pathologique et
clinique
de l'amyo- trophie Charcot-Marie (13 phot.), 20
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX IX ¡"'p. G. S
. CHARCOT PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY
IQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES MENTALES A. FOURNIES PROFESSEU
EUR DE CLINIQUE DES MALADIES MENTALES A. FOURNIES PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES CUTANÉES ET SYPHILITIQUES . PA
TIQUES . PAR PAUL RICHER DIRECTEUR HONre DU LABORATOIRE DE LA
CLINIQUE
GILLES DE LA TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA
la Salpêtrière. Leçon recueillie parle Dur J.-B. CHARCOT Chef de
Clinique
. , Messieurs. La malade, qui va faire l'objet
de l'observation relevés par M. Souques qui était alors mon chef de
clinique
, ceux sur lesquels je désire attirer spécialement
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Reportons-nous donc au tableau
clinique
que nous avions devant nous à l'époque dont je
e chronique peut être écartée rien qu'en tenant compte des éléments
cliniques
et étiologiques du cas et des caractè- res de l
ypothèse d'une syringomyélie cadre parfaitement avec manifestations
cliniques
que nous relevons chez cette femme et.avec l'év
st une affection essentiel- lementpolymorphe quant à son expression
clinique
. J'ai insisté là-dessus dans une de mes leçons
r un peu; je vais donc passer en revue les principaux. L'histoire
clinique
de la syringomyélie date d'une dizaine d'années à
xemple de syringo- myélie, depuis qu'on est fixé sur les caractères
cliniques
el anatomo-pa- thologiques de celle affection.
AVEC CONSERVATION DES RÉFLEXES. PAR E. LENOBLE , Interne de la
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. Observation. L
ngite basilaire ou gomme. Nous ne relevons en effet dans l'histoire
clinique
de V..... aucun signe précis de la participation
ollègue Nageolle, chef du laboratoire d'anatomie pathologique de la
clinique
, (1) Ostwalt, Chorio-rétinites und ihre Bez. zu
à Moscou. Dans le courant des deux dernières années, pour l'examen
clinique
de nos malades, nous nous sommes servi du Clono
en propre à l'homme et à la femme est fait conformément à la vérité
clinique
; les attributs sexuels sont toujours peu accent
forme pathologique ; elle nous a fourni, aussi bien au point de vue
clinique
qu'au point de vue anatomidne, des indications du
ome physiologique complexe, constaté au lit du malade (1). Résumé
clinique
: Début aJ1oJ1lectifo1'1ne. Syndrome de Brozvtt-S
ulaires ne paraissent pas atrophiées. ' En présence de ce tableau
clinique
, et en se basant sur la limite de la paralysie,
ans notre cas. A ces faits matériels s'ajoutent des raisons d'ordre
clinique
, qui sans être aussi positives, n'en ont pas moin
ses faits. IL Considérations PHYSIOLOGIQUES. . Notre diagnostic
clinique
, basé sur l'analyse des symptômes nerveux prése
aire se superpose schématiquement à l'anatomie pathologique et à la
clinique
. Mais nous ne devons pas laisser dans l'ombre u
la substance grise elle-même. Or si nous rapprochons les symptômes
cliniques
des faits anatomiques, nous croyons que tout s'
conditions, n'ont vécu que quelques jours ou quelques semaines. La
clinique
n'a presque rien à voir avec ces faits qui comp
s vivants nés à terme ou avant terme, présentant les manifestations
cliniques
d'une syphilis congénitale de la moelle épinièr
83 philis avec lésions cutanées et bronchiques, sans autres détails
cliniques
. On notait, au niveau de l'entrecroisement des
nt la mère présentait des accidents secondaires. Pas de description
clinique
. L'autopsie montre une augmentation de volume d
à un enfant de 25 jours né d'une mère syphilitique. Pas de détails
cliniques
. Rien macroscopiquement, si ce n'est un affaiss
psie, des manifestations viscérales, osseuses ou autres. Les signes
cliniques
font donc complètement défaut. Laissant de cô
succombé à la syphilis congénitale et dont M. Iludelo (1), chef de
clinique
du professeur Fournier, a donné une excellente in
ants, nés avant terme ou à terme et pre- sentant des manifestations
cliniques
se rapportant à la syphilis congénitale de la m
e, ce qui ne laissera pas, on le comprend, de rendre-la description
clinique
malaisée. Les discussions même ne feront pas dé
ituelle de ses localisations anatomiques et de ses mani- festations
cliniques
classe généralement dans les maladies de la moell
is, pour le diagnostic, il ne saurait en être de même. Le ta- bleau
clinique
est nettement celui de la sclérose cérébrale (ave
orvo semble indéniable, il ne s'en- suit pas, d'après les symptômes
cliniques
observés, que les accidents doi- vent être attr
de Jürgens que nous avons réservé (loc. cit.), bien que l'ensemble
clinique
soit ici un peu différent. ' Il s'agit d'un e
rant de la discussion nous dispensera de chercher à établir un type
clinique
des manifestations que nous venons d'étudier. C
s comme signes de la possession démoniaque. (1) PAUL Richer, Etudes
cliniques
sur la grande hystérie. Appendice, 2e partie. Par
de nystag- mus ? etc., et l'on pourra concevoir combien le tableau
clinique
sera varié malgré l'air de famille que les suje
u moins généralisée aux 4 membres 'qui constitue la caractéristique
clinique
du syndrome de Little. 1 L'observa lion I de
rigides par la paralysie. , .. · En somme, actuellement, l'aspect
clinique
est celui d'une paraplégie spasmodique sans par
processus qui affecte la moelle épinière. La variété des symptômes
cliniques
augmente de plus en plus et rend difficiles les
es que la syphilis. Le cycle anatomique est alors complet. Le champ
clinique
s'en élargi davantage et, sous ce rap- portai n
et surtout tardive, ne diffère pas sensiblement, dans ses for- mes
cliniques
, des expressions si Variées delà syphilis acquise
lité, au moins du côté gauche. Bartlelt (2) communique à la Société
clinique
de Londres,le 12 novem- bre 1869, l'observation
tte instructive observation, dont, nous l'avons dit, l'expres- sion
clinique
a surtout trait à des manifestations cérébrales,
récidives (alternati- ves de guérison et de paralysie) et l'absence
clinique
de symptômes céré- In'aux. -^ . - z « Cette f
uel la science est redevable d'un très important travail, à la fois
clinique
et anatonio-pathologique, sur la sy- philis méd
re exclusivement médullaire et l'affection revêt en outre un type '
clinique
qu'il n'est pas souvent donné d'observer. OBs.
- sertses ou autres qui ne permettaient guère la survie. Les signes
cliniques
font donc complètement défaut. Les lésions qu
INIÈRE 151 Si l'enfant touché congénitalement survit, les symptômes
cliniques
ap- paraissent. Ceux-ci sont le plus souvent do
lombo-sacrée. Dans ces cas de syphilis précoce ou tardive les types
cliniques
devien- nent beaucoup plus variés que dans la s
que la syphilis. Le cycle anatomique est alors com- plet. Le champ
clinique
s'en élargit davantage et, sous ce rapport, il
indice de la généralisation initiale du processus, dans ses formes
cliniques
la syphilis héréditaire précoce et surtout tard
ndex a donc, contrairement à ce que pouvait faire supposer l'examen
clinique
, ses trois phalanges, la première étant rentrée
(2), Ilielil (3), Mc Cready (li.), Liiele (5), Kocli (6)1; variétés
cliniques
, ostéites secondaires à des lésions des parties m
celle d'un petit malade présenté à la consul- tation externe de la
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. Notre maître,
s d'une circonstance, un sérieux embarras pour faire rentrer un cas
clinique
, observé à loisir et avec toutes les ressources
res fonctionnels. De tous les procédés d'examen dont on dispose, en
clinique
un seul est applicable aux oeuvres d'art : l'in
e. Les documents du passé cadrent bien sur ce point avec la réalité
clinique
. La vie des nains nous fait connaître les nombr
r FRENKEL de IIeiden (Suisse). et MAURICE FAURE Interne de la
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. Nous nous pr
ons. \ A cette analyse physique et chimique, succède une discussion
clinique
très serrée des différents symptômes présentés
des Batignolles, Paris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
CLINIQUE
MÉDICALE DE L'lIOPITAG SAINT-ÉLOI DE MONTPELLIER
phique de la peau, des muscles, des os), par LE Pr GRASSET. Leçon
clinique
faite le 16 novembre 1890, recueillie et publiée
le 16 novembre 1890, recueillie et publiée par le Dr VEDEL, chef de
clinique
. Messieurs, Je vous présente, en passant, une
T TREMBLEMENT lÉlYl7UE DE LA LANGUE PAR R J.-B. CHARCOT Chef de
clinique
à la Salpêtrière. ET HENRI DUFOUR - Ancie
Enfin nous signalerons aussi pour plus loin en tirer une déduction
clinique
le fait plus récent de Vlorton Prince (5), où exi
ette incoordination de la langue. « Dans ses nouvelles recherches
cliniques
et analomiques, dit Pierret, sur l'ataxie locom
raité des maladies de la moelle. (2) Barré, Cotitribulion à l'élude
clinique
de l'arthropathie chez les ataxiques. Thèse Par
, 1893. (8) Chipault, Arthropatlzies nerveuses. Traité de Chirurgie
clinique
et opératoire, t. 111, 189G. (9) R. Verhoogen
ALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR G. GASNE. Interne de la
clinique
des maladies du système nerveux. M. Gilles de l
y- philis avec lésions cutanées et bronchiques, sans autres détails
cliniques
. « On notait au niveau del'entrecrpisement des
: UNI ! peint en 1678. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE L
ux de Paris, 1896, no 241 p. 56, et no 26, p. 93. (3) F. Raymond,
Clinique
des maladies du système nerveux, ire série, Paris
ée scolaire, je vous ai longuement entretenu des diverses modalités
cliniques
de la polynévrite alcoolique. Je vous ai montré
ALES DE la SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR G. GASNE, Interne de la
Clinique
des Maladies du Système nerveux. (Suite et fin.
ET DE LA MALADIE DE RAYNAUD PAR GABRIEL DELAMARE Externe de la
Clinique
des Maladies du Système nerveux. Il a paru inté
Observation 1 (H ! Jstél'igue ? ). * Marie B..., 18 ans, vient à la
clinique
des maladies du système nerveux pour des lésion
t pas parasitaire [nous devons à l'obligeance de M. Gastou, chef de
clinique
du professeur Fournier, la certitude de cette aff
L'ACROMÉGALIE PAR Le Dr A. SOUQUES. 1 Chef de laboratoire de la
Clinique
des Maladies du Système nerveux, à la Salpêtriè
P. Marie, Thèse de Paris, 1890, p. 49. - (2) P. Marie, Leçons de
clinique
médicale (Hôtel-Dieu, 1S91-1S95), Paris, tS96,
PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL RECHERCHES
CLINIQUES
ET THÉRAPEUTIQUES SUR . L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉR
, les places manquant à Bicêtre et le bureau d'admission de l'Asile
clinique
étant encombré, de môme nous avons accepté, san
à titre de placements volontaires, au bureau d'admission de l'Asile
clinique
, et il demande à la Commission d'émettre le voe
n seulement d'encombrer de nouveau le bureau d'admission de l'Asile
clinique
, mesure contre laquelle le Con- seil général et
y fussent plus admis. Le Conseil n'entend pas qu'on créée à l'Asile
clinique
, un service permanent d'enfants : mais il admet
s quartiers d'enfants seront au complet, M. le Directeur de l'Asile
clinique
inscrira sur un registre les demandes de placem
ntaires. LXXI toutefois faire observer à M. le Directeur de l'Asile
clinique
que la Commission ne saurait admettre qu'aucun
iles extérieurs, où l'air est pur et vivifiant, plutôt qu'à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne) ou à la Salpêtrière. M. BAILLY.
e aux transferts. III. Placements volontaires d'enfants à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne). Ajournement de l'avis de la Com-
ville relative- ment aux placements volontaires d'enfants à l'Asile
clinique
(Sainte-Anne). M. BOURNEVILLE Dans la discuss
sition, à la séance du 12 mars dernier, M. le Directeur de l'asile
clinique
et notre collègue M. Bailly ont présenté des obse
ission, à titre de placement volontaire, M. le Directeur de l'Asile
clinique
inscrirait les demandes et aviserait à tour de
éfecture du Police d'où elle a été dirigée le même jour sur l'Asile
clinique
où elle n'n séjourné que vingt-quatre heures. L
M. le Directeur de Bicêtre de demander à M. le Directeur de l'Asile
clinique
s'il y avait, des cas de diphtérie, soit à l'as
ite épidémie de diphtérie, ni au domicile de l'enfant, ni à l'Agile
clinique
, ni dans la commune de Gentilly, ni à la fondat
s appris que la voiture qui sert au transport des aliénés à l'Asile
clinique
était désinfectée toutes les semaines en été, m
ovembre. Or, cette voiture fait non seulement le service de l'agile
clinique
, mais sert encore aux enfants que l'on conduit
pouvaient être admis directement au bureau d'admission de l'Asile
clinique
et envoyés, dans les vingt-quatre heures, dans
seront reçus comme par le passé au bureau d'admission de l'Asile
clinique
. Un prospectus mentionnant les pièces à pro- du
acements volontaires d'enfants se font comme par le passé à l'Asile
clinique
. Le relevé des placements d'enfants que je me s
s de lits vacants. Ce jour-là, faites établir un registre à l'Asile
clinique
où l'on inscrira les demandes de placement d'en
aurons de la place. L'Administration fera même installer à l'Asile
clinique
un registre d'inscription des demandes qui lui
recteur déclare que les enfants continueront à être reçus à l'asile
clinique
, au sur et à mesure des vacvnces dans les servi
es ont été refusés catégoriquement par M. le Direc- teur de l'agile
clinique
, ainsi que le démontre absolument la statistiqu
ienne pratique : l'admission des placements volontaires à l'Asile
clinique
. Le vote de ma proposition ne saurait donc consti
çus, par placements volontaires, au bureau d'admission de l'Asile
Clinique
, où ils ne feraient que passer, pour être envoyés
une placé comme aliéné dans mon service à Bicêtre venant de l'asile
clinique
avait deux ans et cinq jours (Lob., né à Pontoi
éfecture de Police, et leur transfert de cette infirmerie à l'Asile
clinique
. ; , Un extrait du procès-verbal concernant ces
inconvénients signalés au sujet du transfert des enfants à l'asile
clinique
en même temps que les adultes, M. le Préfet de
transport des aliénés, de l'Infirmerie spéciale du Dépôt à l'Asile
clinique
, lors delà visite que la commission a faite au
de police etleur mode de transport de cette infirme- rie à l'Asile
clinique
. En réponse à cette communication, j-e me borne
nt lier..., et un adulte; il est parti à quatre heures pour l'Asile
clinique
. La voiture contenait deux enfants placés dans
les gardiens. Quand il a fallu le des- cendre de voiture à l'Asile
clinique
, il a proféré les injures les plus grossières.
ait des coups de poing dans la porte. B... est parti pour l'Asile
clinique
à six heures du soir et a été placé dans une des
ant que l'Administration facilitât les placements directs à l'Asile
clinique
, nous cherchions à améliorer le Dépôt en diminu
, de l'infirmerie du Dépôt près la Préfecture de police, iL l'Asile
clinique
(Sainte-Anne), Snr la proposition de M. le D' Fal
ons résultats et de rendre des servi- .ces. DEUXIÈME PARTIE p
CLINIQUE
BOURN6YILLE, Bicêtre, 1591. 1 Deux nouvelles
it au dépôt, où il serait resté deux ou trois jours, puis à l'Asile
clinique
sur le certificat du Dr Garnier portant : c Epi
physiologie pathologiques, et qu'il termine par quelques remarques
cliniques
dont la plus importante vise les modifications
à l'occa- sion d'un fait incomplet, de mettre en doute une notion
clinique
qui s'appuie sur des faits très nombreux. II.
et Société anatomique, t869, p. 152. ' (2) Éludes de thermométrie
clinique
dans l'hémorrlragie cérébrale et dans quelques
s maladies de l'encéphale. Thèse de Paris, 1870, p. 108. (3) Éludes
cliniques
et thermométriques sur les maladies du système ne
wski(L,),- De (a fièvre épileptique et de quelques autres questions
cliniques
concernant l'épilepsie. (Berline¡' Klin. Wochensc
and ils ont cessé. » Nous n'avons pas à refaire' ici la description
clinique
de l'état de mal ; nous devons nous borner a'l'
que le clitoris. Hymen boursouflé. 8 juin. Al'arrivée de l'Asile
clinique
(Ste-Anne), état typhoï- de très prononcé.- Bou
sa fille fut envoyée le même jour au bureau d'admission de l'Asile
clinique
. Peu après elle fut tranférée à l'asile de Vill
tte observation pourra être rapprochée utile- ment, au point de vue
clinique
, de quelques autres publiées précédemment par l
t offrirait les autres caractères du diabète. , Roger (Recherches
cliniques
sur les maladies de l'enfance, t. Il, p. 510j a
bout d'une quinzaine de jours il (1) Barthez et A. Sanné. - Traité
clinique
et pratique des maladies des. enfants. 3"" édit
MENTS DE LA TÈTE ET DES YEUX, PAR R M. CHIRAY, Ancien chef de
Clinique
de la Faculté La physiologie pathologique de la
ocratique et l'ostéopathie hypertrophiante, il n'existe aucun signe
clinique
différentiel, et des erreurs ont été commises par
ur de Turin, Docent-privé à la Faculté. Depuis quelques années la
clinique
et le laboratoire se sont associés pour étudier
égaliques et que tout t dernièrement le docteur Rozabal, aide de la
clinique
médicale de Madrid, a publié l'observation de d
sionnelles surajoutées. Nous allons commencer par l'exposé d'un cas
clinique
du plus haut intérêt et nous croyons qu'il soit
ntés et assez friables. Examen du fond de l'oeil (Dr Grignolo de la
clinique
ophtalmologique de Turin) : Rétinite pigmenta
graphie du crâne vient confirmer exactement les données de l'examen
clinique
. On remarque au pre- mier abord un degré très p
est encore possible de constater que dans plusieurs cas le tableau
clinique
de l'insuffisance pitnitaire ne cor- respond pa
tavo ARTOM' * Privat-Docent à l'Université de Rome ' Assistant à la
clinique
Neuropathologique Le spasme facial, dont la pat
tile dans cette distinction, nous en faisons l'objet de cette étude
clinique
. Observation. Joseph B..., âgé de 12 ans, éco
estion anato- mique n'est pas résolue, la question physiologique et
clinique
ne donne pas lieu à discussion. En admettant do
s cas, décrits sous le nom de pseudo-sclérose, qui dans leur aspect
clinique
offrent beaucoup de caractères communs avec les
et Fontaine au Congrès de Bruxelles (2). Il semble toujours que la
clinique
, en associant ces phénomènes somatiques à des tro
défaut de la photographie, le dessin est venu d7abord en miss â la
clinique
, témoins les illustrations des ouvrages médicara
. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). LABORATOIRE DE LA
CLINIQUE
MÉDICALE DE GE : (Professeur I. L. BAIID) @ S
e paraplégie en flexion qui ont pu être l'objet d'une double étude,
clinique
et anatomique est encore restreint, et ce fait do
ense cet auteur,quelles jouent un certain rôle dans la constitution
clinique
delà forme de paraplégie dont nous nous occupon
anquille, mais seulement lorsqu'elle avait un appui. Des épreuves
cliniques
démontrèrent que les mouvements cessaient lorsque
d'ordre su- périeur ont produit un(réaction positive. Et surtout la
clinique
nous dit liés clairement que l'insuffisance lab
du système périphéri- que ; je crois ce sujet, les meilleurs types
cliniques
qui offrent le plus fréquemment l'inslahililé s
n rapport très intime les connaissances dérivées de l'obser- vation
clinique
avec celles qui ressortent de l'expérimentation.
s eux, Touth (1) Conférence faite à l'hd,itn Saint-An'oine, dans la
clinique
de M. le professeur Chauffard, le 30 avril 1914
- sant, de rappeler les plus importants, concernant soit l'histoire
clinique
, soit 1 histoire anatomique de cette affection.
t se faire, en effet, par les (1) MASHANKA : Contribution ù l'élude
clinique
de l'amyotrophie Charcot-Marie, Thèse Paris, 19
uis l'enfance. Celle amyotrophie peut se présenter sous des aspects
cliniques
divers. A côlé de la forme classique que je vie
famille citée par Hanel. - Je ne mentionnerai à côté de ces formes
cliniques
, déterminées par le siège initial ou par l'arrê
du premier qu'il faut le placer. Les différences qu'on trouve en
clinique
enlre'l'amyotrophie Charcot- Marie et la névrit
t de névrite hypertrophique, ils présentent de telles dissemblances
cliniques
qu'on ne conçoit guère qu'on puisse confondre de
s en fa- veur de l'unité de ces deux affections ? Leurs différences
cliniques
, dit-on, ne tiendraient qu'à des'variations fam
myotro- phie Charcot-Marie où. sans qu'il y ait li.%1)ei-li-ol)liie
clinique
des nerfs, l'examen hislologique révélerait des
ce travail, il nous parait utile d'exposer quelques considérations
cliniques
, lesquelles nous ont été suggérées de par nos c
le fonctionnement purement automatique de ce noyau. Quanta l'aspect
clinique
si différent que revêt chacun de ces troubles d
t choréiformes, les tremble- ments post-hémiplégiques, etc. ÉTUDE
CLINIQUE
, RADIOLOGIQUE ET BIOLOGIQUE D'UN CAS D'ACROMÉGA
mparable par conséquent aux énormes glycosuries que l'on observe en
clinique
dans le diabète dit hypophysaire. De plus, sur
lo-rachidien d'un acromégalique. ETUUE D'UN cas d'acromégalie 239
clinique
,. et, à ce titre, celui de notre malade sollicite
réaction endocranienne et par suite en raison de la symptomatologie
clinique
, la très grande probabilité d'une hypertrophie
mènes hystériques eux-mêmes, tels qu'ils nous sont présentés par la
clinique
, en envisageant surtout leur mécanisme intime.
insi dans la physiologie l'incertitude est aussi grande que dans la
clinique
. Il me semble que l'état actuel du problème de
as, on pourrait pensera une poliomyélite antérieure isolée; mais la
clinique
montre souvent la participation des méninges et
des lésions diffuses analogues aux précédentes. Aussi, au nom de la
clinique
et au nom de l'anatomie pathologique, est-on au
musculaire progressive Aran-Duchenne, qui répondent aux deux types
cliniques
pré- (1) LmouoE, Les atrophies musculaires prog
GMENTAIRE, DORSO-LOMBAIRE GAUCHE, 1111 : TATRAUtV9ATIQUL. . FORME
CLINIQUE
CURABLE - Par le Professeur Léon RÉVILLIOD
verse, segmentaire, dorso- lombaire gauche mélatrazcnzatique. Forme
clinique
curable. - Fracture du pied droit, limais plus ta
oite étant plus proéminente que la gauche, etc. Mme X... reste à la
clinique
Dubois jusqu'au 20 décembre, soutenue par la pr
pu être formulé par la grande autorité d'autres praticiens. Puis la
clinique
, qui constate que jamais deux faits ne se ressemb
roubles produits par l'insuffisance de l'hypophyse se traduisent en
clinique
par le syndrome hypophysaire adiposo-génital (Lau
faciliter l'exposition de notre cas, nous reproduisons en résumé la
clinique
et la palhogénèse de celle dystrophie, en renvoya
inique, nous ajouterons, après ce que nous avons dit dans l'aperçu
clinique
du syndrome, que parmi vingt tumeurs constatées
tions. Lss troubles morphologiques sont ici la dominante du tableau
clinique
. La taille est normale, il n'y a pas d'asymétri
if, il y avait encore une autre grande catégorie, où les phénomènes
cliniques
ne permettaient pas de diagnosti- quer autre ch
cas, il est encore très difficile maintenant de fixer, sur une base
clinique
, quel est l'organe malade. Nous rencontrons que
s long, presque toujours possible, en s'appuyant sur des recherches
cliniques
, de fixer la cause primitive de la maladie et,
s donnons l'étiquette « épilepsie » et que, d'après les symp- tûmes
cliniques
, nous désignons sous le nom d' « épilepsie essent
-, ce groupe renferme cependant deux maladies qui, au point de vue
clinique
, se ressemblent parfaitement et qui, pourtant,
ont absolument différentes l'une de l'autre et qui, au point de vue
clinique
, se ressemblent parfaitement : d'une part, un pro
quelques glandes à sécrétion interne. Grâce à de nombreux matériaux
cliniques
que j'ai pu contrôler, pendant longtemps, je me s
t il n'est pas encore possible, lout au moins sur une base purement
clinique
, de séparer ces deux groupes. Voyons com- ment
as d'épilepsie sans symptômes de foyer et que, comme les phénomènes
cliniques
pas plus que le cours ultérieur de la maladie n
ostique. Comme on l'a dit déjà à plusieurs reprises, les phénomènes
cliniques
ne 378 1 BOLTEN nous aident en rien ; seuleme
a dure-mère). Et pour- ' tant, en ne considérant que les phénomènes
cliniques
et non l'anamnèse, ces deux cas ressemblent com
de syphilis congénitale, il reste donc 40 cas qui, au point de vue
clinique
, s'imposaient comme épilepsie essen- PATHOGÉNIE
rébrales. Et contre ces 40 cas pour lesquels, sur une base purement
clinique
, on ne pouvait porter d'autre diagnostic - pour
autre, bien qu'elles se res- semblent beaucoup par leurs phénomènes
cliniques
. Il faudra, d'abord, se rendre compte de ce fai
nt, avant de pouvoir attribuer leur véritable valeur aux phénomènes
cliniques
. Quoi qu'il en soit, on est conduit à admettre
ous le permet, à l'examen plus détaillé de l'origine des phénomènes
cliniques
, tant dans l'épilepsie essentielle que dans l'épi
lentit donc le métabolisme des albuminoïdes. Une simple observation
clinique
peut le prouver : Napy a trouvé dans des cas de p
que la méthode d'Abderhalden est encore tout à fait impraticable en
clinique
. On pourrait dire la même chose de la teneur en
epsie est donc la suite des troubles thy- 394 BOLTEN roïdiens. La
clinique
confirme cela : on a constaté, à plusieurs repris
tatait alors des symptômes tant d'épilepsie que de tétanie. Ces cas
cliniques
, dans lesquels, à la suite de thyroïdeclomie, s
ïdes, comme facteur étiologique. Vraiment, nous pouvons dire que la
clinique
, les recherches microsco- piques et mes expérie
oïdes dans l'épilepsie essenlielle comme démontrée nettement par la
clinique
, par des recherches microscopiques anitomo-pathol
dulaire comme aljuuant du traite- ment bromure dans l'épilepsie. La
Clinique
, 26 avril 1912. CLAUDE (II.) et SCIiMlEIlGELD (
s le vaste cadre des maladies fonctionnelles, par leurs difficultés
cliniques
, les névroses se posent, sous le point de vue éti
nel, névrose, etc. ; quant à moi je préfère, pour ma nomenclature
clinique
personnelle, l'expression susdite. Caractères.
es névroses », et Lajgnol- Lavastine créa, pour éclaircir l'analyse
clinique
, lessyniliatlio5Qs, qui font partie du cadre de
ux. En résumé le nervosisme abdominal présente comme manifestations
cliniques
prédo- minantes la débilité digestive, la diath
ons endogènes et exogènes. Dans ma leçon inaugurale de la chaire de
clinique
des maladies ner- veuses, j'ai formulé la loi s
s. Messieurs, ce résumé est une systématisation des faits acquis en
clinique
et uniformisés par moi. C'est un concept nosologi
s notions que j'ai résumées dans un autre travail sur les réactions
cliniques
élé- mentaires du système nerveux général, et q
e la trophicité, etc,, mais je mets en rel ief les plus communes en
clinique
, et qu'à chaque pas l'on rencontre. N'importe q
toutes les autres indications curatrices. Contre l'épilepsie, la
clinique
thérapeutique s'est montrée moins effi- cace, p
abord, le pronostic semblait sombre. En conclusion : . Il y a en
clinique
des étals nerveux qui ne peuvent être classés dan
r à des accidents dystliéniques périodiques. (1) BENON (R.), Traité
clinique
et médico-légal des troubles psychiques et névros
cromégalie (Dystrophies giganliques sans -), par ADDA, 90. (Elude
clinique
, radiologique et biologi- que d'un casd'-), par
e, segmen- taire, dorso-lombaire gauche, métatrau- matique, forme
clinique
curable, par Révilliod, 307. Souvent femme va
mouvements de la tête et des yeux, 1. CLUZET et Lf : vr (L.). Etude
clinique
, radio- logique et biologique d'un cas d'acromé
4 TABLE DES AUTEURS dorso-lombaire gauche, métatraumatique, forme
clinique
curable, 307. BOU131NOVITCII et REGNAULT DE LA
S LA DIRECTION DE F. RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE
CLINIQUE
PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE D
RAYMOND A. JOFFROY A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE
CLINIQUE
PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES .MALADI
OURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE
CLINIQUE
DES MALADIES DES .MALADIES MENTALES DES MALADIE
FACULTÉ DE MÉDECINE DIRECTEUR HONre DU LABORATOIRE DE DE PARIS LA
CLINIQUE
MÉDECIN DES HÔPITAUX . ALBERT LONDE DIRECTEUR
EBER AVEC HÉMIOPIE PERMANENTE PAR A. JOFFROY Professeur de la
Clinique
des Maladies Mentales. Leçon recueillie par MM.
tandis qu'à gauche ils étaient interrompus (1) Mme Anna Goukowsky (
Clinique
du professeur llevilliod). Un nouveau type d'hé-
lui de facial, ou de moteur oculaire externe, et si au point de vue
clinique
les différen- ces sont plus accusées, c'est sim
atiqué par leD" Sau- vineau, chef des travaux ophtalmologiques à la
clinique
de St-Anne. « Paralysie du releveur de la paupi
acun donné naissance à un foyer distinct de ramollissement. L'étude
clinique
peut établir la probabilité d'un tel diagnostic,
GILLES DE LA TOURETTE ET GEORGES GASNE Professeur agrégé, Chef de
clinique
Médecin des hôpitaux. à la Salpêtrière. Dans
er jusqu'à deux centimètres. Nous rappellerons que nos observations
cliniques
faites à l'aide d'un appareil spécial, poursuiv
'hui une nouvelle série d'observations faites dans le service de la
Clinique
des maladies du système nerveux la Salpêtrière du
des aperçus nouveaux sont sortis des mémorables recherches anatomo-
cliniques
et expérimentales faites dans ce domaine. En pr
eau s'est énormément agrandi par la découverte de ses équi- valents
cliniques
et des épilepsies aiguës. En ce qui concerne la
roduit, et qu'en conséquence il faut rejeter de cette étude, ce cas
clinique
mérite d'être relaie, parce que la tumeur, de f
es centres- moteurs corticaux chez l'homme. (2) NOT11riAGEL, Traité
clinique
du diagnostic des maladies de l'encéphale, p. 404
appliqués sans contrôle la pathologie humaine ». « Seuls les faits
cliniques
, dit à son tour Nolhnagel, ont une importance p
s paralysies corticales avec les ataxies a bien l'air d'une méprise
clinique
. Mais, vouloir attribuer ces paralysies à t'ane
x conclusions de Luciani, on peut opposer les ensei- gnemenls de la
clinique
, qui nous apprend que les lésions des circonvo-
atomiquement et physiologiquement séparés des centres sensitifs. La
clinique
nous apprend encoreque les per- turbations de l
, Leçons sur les maladies nerveuses, p. 5.i2, (2) Nothnagel, Traité
clinique
du diagnostic des maladies de l'encéphale, p. 438
ur ne sont point nombreuses, et rien qu'à ce point de vue notre cas
clinique
a déjà une certaine valeur ; mais les condition
ues de grand mal. La physiologie expérimentale est d'accord avec la
clinique
en démon- trant que l'excitation électrique de
r l'étude des anomalies digitales (1). Ce procédé d'inves- tigation
clinique
, permet d'élucider aujourd'hui, rapidement et exa
ÉOGNOSTIQUE-ET CENTRES D'ASSOCIATION PAR GEORGES GASNE, Chef de
clinique
à la Salpêtrière. L'hystérie réalise parfois de
ntaire. Certes il est difficile de tirer d'un fait d'ordre purement
clinique
un argument en faveur d'une thèse anatomique. I
A LA VARIOLE, CHEZ UN FELLAH PAR J. B. CHARCOT. Ancien chef de
clinique
de la Faculté. Assouan, 17 janvier 1898. Etan
orsalis et constitue souvent un symptôme précoce. Cependant les cas
cliniques
, où ce signe a fait défaut, sont loin d'être rare
omotrice (thèse de Paris, 1881). Si CQ. ACHARD ET L. LÉVI tions
cliniques
à la loi do Westphal sont fréquentes. On peut dir
PAR A. LINDETREM Prat. agrégé à l'Université St-Wladimir de la
Clinique
dermatologique du Pr Stoukovensloff (Kiew). L'é
ient incomplets. Ce n'est que tout récemment, en amassant les faits
cliniques
dont on puisse faire des déductions sur l'étiol
A. Polotebnoff, qui durant toute sa pratique comme professeur de la
clinique
, cherchait à re- cueillir un matériel précieux
etE. Wilson lui-même dut en convenir. Les nom- breuses observations
cliniques
parlent en faveur de cette opinion car on trouv
modifications, qui ont été solidement établies par ces observations
cliniques
. Dans tous les traités des maladies de la peau
de Jacquet. Remesolf décrit en détails un cas de lichen ruber de la
clinique
du professeur A. Polotebnoff qui est instructif
s'inlé- ressant qu'au côté morphologique du lichen ruber. Dans la
clinique
de feu le professeur M. Stoukovenkoff nous avons
lution des explorations ultérieures. En nous basant sur les faits
cliniques
, nous sommes bien persuadés que dans un avenir
thyroïdes. « Or il semble, dit M. Brissaud, d'après les indications
cliniques
et physiologiques qu'on peut dès à présent mett
nomination « d'ossification des apo- névroses dorsales ». Dans la
clinique
de son maître de Dusch, Munchmeyer observa, pen-
e basant sur une série de traits typiques anatomo- pathologiques et
cliniques
qu'offrent tous ces faits et qu'il a retrouvés
on congénitale et d'un agent provocateur immédiat spécial. Par la
clinique
, il arrive à des données iiia Loiiio-pi [Ilo 1 oc
chmeyer et Nicoladoni tiraient leurs conclu- sions des observations
cliniques
et des autopsies de Testelin et Dambressi et de
que nous venons de décrire, sont surtout distincts au point de vue
clinique
; anatomiquement, ils n'ont pas de limites aussi
A. WEIL ET J. NISSIM sont déjà assez avancées, et cela, parce qu'en
clinique
les différentes pério- des deviennent plus obtu
tes, une copie fidèle d'un modèle vivant pris dans le service de la
Clinique
des Ma- ladies du Système Nerveux, à la Salpêtr
apportée tout au long par M. le Pr Ray- mond dans une de ses leçons
cliniques
de la Salpêtrière (1). Nous la ré- sumerons trè
SES ÉPILEPTIFORMES CONCOMITANTES PAR M. LOUIS SPILLMANN Aide de
clinique
à la Faculté de Médecine de Nancy. L'histoire d
it d'une jeune fille de 16 ans, observée le 5 avril 1884 à la poli-
clinique
. C'est une nerveuse, présentant, ainsi que sa mèr
ture inflammatoire de l'affection. Munchmeyer, en s'appuyanl sur la
clinique
, admit qu'il s'agissait d'une inflammation chro
et huit ans, d'autres, au contraire, voient les premiers phénomènes
cliniques
se manifester il )'age de quinze, seize et dix-
e quinze, seize et dix-huit ans. Il existe même des cas où ce début
clinique
se fait à une époque beaucoup plus tardive, à v
e du début, nous paraissent intéressants à relever. Au point de vue
clinique
, nous avons noté des douleurs fulgurantes. Cela
nalées dans un certain nombre d'observations. D'ailleurs Char- cot (
Cliniques
1888) les admettait hien que rares, et depuis, d'
à début tardif. Th. de Paris, 1898. (2) Id. (3) BE7.oLD, Elude
clinique
sur la Maladie de Friedreich. Th. Elangen, 1894.
seur, Saint-Dizier (Haute-Maine) il° Année N° 4 Juillet-Août 1898
CLINIQUE
DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX, (HOSPICE DE LA
SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET PAR R F. RAYMOND Professeur de
Clinique
des Maladies du Système Nerveux. Messieurs, J
rs cérébrales. Ce sera pour moi l'occasion d'entreprendre une étude
clinique
des localisa- tions cérébrales. Cette étude doi
G,doit figurer dans le IIIe vo- lume, actuellement sous presse, des
Cliniques
des maladies du système nerveux du Pr RAMOxn. P
AS DE TUMEUR DU CERVELET (F. Raymond.) l3Wr,ut du IIl° volume des
Cliniques
des Maladies du Système nerveux. SUR UN CAS DE
cines inférieures des trijumeaux.- 10, faisceaux pyramidaux (Raymond,
Cliniques
des maladies du système nerveux, t. 111) - 22
is longuement étendu sur les opérations palliatives (I) F. Raymond,
Clinique
des maladies du système nerveux. Deuxième série,
PEAU. ALGÉSIMÉTRIE PAR MOCZUTKOWSKY, Professeur à l'Institut
Clinique
de Saint-Pétersbourg. En septembre 1894, dans l
smettre la sensation de la douleur (nerf sympathique). Les moyens
cliniques
et physiologiques usités pour examiner les sensa-
vec la profondeur de la lésion ont une grande importance. Le fait
clinique
que quelques degrés de la sensibilité calorique o
et 2) donne seulement quel- ques indications indispensables pour la
clinique
. Pour mes déductions j'utilisais un autre dessi
LES IIL`R1;D0-S7 PIIILITI[1UES il t PAR EDMOND FOURNIER Chef de
Clinique
à l'tlùpital Saint-Louis. Les dystrophies crâni
ter de droite à gauche une portion du globe crânien. Mieux.que la
clinique
, l'anatomie pathologique rend parfois compte de
ible d'hérédo-syphilis. Or, celle question, d'essence exclusivement
clinique
, me parait devoir être résolue par l'affirmativ
(3) Manuel pratique des maladies de l'enfance, 1880. (i) Recherches
cliniques
sur les maladies de l'enfance, 1883, t. II, p. 63
u (1) « C'est le malade dont j'ai raconté 1 histoire dans une leçon
clinique
(Des ostéites tMMO-c;'att : 6 ? : Ke d'origine
litique. Thèse de Paris, 1896. V. Obs. V, X, XVII, etc. (2) Leçon
clinique
de l'Hôpital Saint-Louis. ATROPHIE DES CENTRES
comparable dans les deux cas. Ce qui déjà facilitera la distinction
clinique
, c'est l'exis- tence, dans l'aplasie d'origine
osseuse, semblent devoir être rapportés les deux grands phénomènes
cliniques
de la spondylose rhizomélique : la soudure, et
l'autopsie d'une fillette de aus, dont il avait retracé l'histoire
clinique
à la même Société en 1895. C'était alors une enfa
s, infections, intoxications, hérédité, consanguinité ? L'en- quête
clinique
ne relève qu'une seule fois une chute sans gravit
ntisme, de l'acromégalie et de l'hérnihypertrophie faciale. » ÉTUDE
CLINIQUE
ET 1'.\TI ! OGl ? iIQUE DES CAS ACQUIS. CONCLUS
ative aux conditions de leur développement. Quand les commémoratifs
cliniques
autorisent à mettre en cause le tri- jumeau, l'
our l'accueil sympathique et cordial que nous avons rencontré dans sa
clinique
et 111JI. V. Weidengallllller et S. SavkpanoIT
ONUMENT Professeur RAYMOND, successeur de Charcot dans la chaire de
Clinique
des Maladies du Système Nerveux à la Salpèlrièr
hologie du système nerveux, il observa dans le silence avec un sens
clinique
merveilleux. Puis par la parole, par des démons
e M. le professeur RAYMOND, successeur de Charcot dans la chaire de
Clinique
des Maladies du Système Nerveux, el la Salpêtri
de cette doctrine. Au service de l3ouillaud, de Dax, de 13roca, la
clinique
, c'est-a-dire la simple observa- tion des malad
érigea en système l'application de cette méthode appelée ana- tomo-
clinique
, parce qu'elle consiste essentiellement à recherc
de la physiologie, il était l'un des premiers à les appliquer à la
clinique
. Il était mû par la passion obstinée et ardente d
s audi- teurs. Assurément, les faits tirés de l'anatomie ou de la
clinique
doivent être étu- diés séparément, par des méth
n et le poumon restent de véritables modèles. Sans perdre de vue la
clinique
, il n'en développait pas moins avec tous leurs
ctions logiques et la synthèse qu'il en tirait. La création de la
clinique
de la Salpêtrière laissait vacante la chaire qu'i
as de paralysie périphérique du nerf spinal, conclut de leur examen
clinique
que la partie de la branche externe du spinal,
t, en outre, sur le terrain de la pathologie expérimentale et de la
clinique
. Nous avons relaté, en effet, les travaux de Re
apèze, il est nécessaire d'analyser et d'interpréter les caractères
cliniques
de cette para- lysie. Ces caractères se tirent
du trapèze) qui, par sa fréquence, son mécanisme et ses caractères
cliniques
, mérite une place spéciale dans le cadre des pa
he Journ. of mental se, 1897, XLIII, p. 321). (2) J. OousE, Etude
clinique
du eceter dans la chorée, th. Paris, 189 î Favier
e forme primitive de dyspnée, qui, parmi celles qui sont expression
clinique
de l'hystérie, la caractérise plus particulièreme
e aussi curieuse que complexe que nous avons pu observer dans notre
clinique
de La Caridad et qui a fait le sujet d'une leço
aut bien chercher ailleurs l'explication de ces apparents paradoxes
cliniques
. Quelle est donc l'origine de cette déconcertan
ée en apparence de la pleurésie diaphragmatique, comme expres- sion
clinique
de la congestion pleuro-pulmonaire ? Cela serait
son cours pour se porter au se- cours de la cliente de son chef de
clinique
. A peine a-t-il examiné la malade que Lasègue
, pour fixer le souvenir d'une préparation microscopique, enfin, en
clinique
, pour faire ressortir telle ou telle anomalie mor
malisalion de la lllOCllc, s\lIthl'C" ('111111 toutes ses créations
cliniques
. Les cas particuliers se fusionnent à ses CIlX.
i 1l1OYCli de traduire sa pensée. De même qu'au cours de ses leçons
cliniques
on le voyait parfois remplacer la parole par la
ce de ceux qui ont lancée. Cbarcot faisait comparaître à ses leçons
cliniques
toits les malades qui en étaient l'objet. Paral
'analoinicpure, d'histologie normale ou pathologique, d'observation
clinique
" ou d'un chapitre de nosographie, toujours une
ts figurés du passé ? Quelle intéres- sante collection de documents
cliniques
en images ! Ainsi pensa Charcot, et. de concert
par des lectures préalables. Et de même qu'il n'abordait une leçon
clinique
qu'après une longue docu- mentation, de même, e
ureuse observation de. l'espèce humaine qu'il appliquait, lui, a la
clinique
. El, chez le comédien, il goûtait le naturalisme
huit ans, venait de ter- miner son internat et d'être nommé chef de
clinique
. Un soir, assisté d'un de ses collègues, docteu
roquis à la plume, fait en 1875, par E. BRISSAUD, alors externe de la
Clinique
. Masson et Ce, Éditeurs. nient, s'écria-l-il,
ux causes qui l'ont provoquée ; enfin tournant les yeux du côté de la
clinique
, il faut encore déterminer, autant que possible,
que là aussi, comme dans l'atrophie aiguë, on observe des phénomènes
cliniques
se rapportant au syndrome ictère grave. Yaurai so
ir suivi dans la première partie de sa thèse. A défaut d'observations
cliniques
suffisamment nombreuses, on a pro-cédé par la mét
parenchymateuses (2). M. Hirtz, cependant, m'a dit avoir observé à la
clinique
de Strasbourg un cas où un épileptique, soumis du
es maladies du foie, nous a été révélé tout d'abord par l'observation
clinique
. Les observations dont il s'agit ont conduit natu
donc, d'après cela, à deux catégories distinctes : Io faits d'ordres
clinique
et nécroscopique ; 2° faits observés chez les ani
ôt à Tordre expérimental. Io Avant d'entrer dans l'exposé des faits
cliniques
, je crois devoir commencer par un mot d'historiqu
cas dans lesquels, autant qu'on en peut juger d'après les phéno-mèmes
cliniques
, le foie n'est pas le siège de lésions organi-que
s frappants encore que les précé-dents. D'après la relation des faits
cliniques
et surtont d'après les autopsies, il y a lieu de
ies du foie 7 en ce qui a trait particulièrement à la détermination
clinique
et nécroscopique, toutes les garanties, désirable
que le foie présentait une certaine augmentation de volume. Le trait
clinique
caractéristique consiste en une fièvre intermitte
, très significatives déjàpar elles-mêmes, fournies par l'observation
clinique
et l'anatomie pathologique combinées. ONZIÈME L
n est généralement considérée à juste titre comme une des révélations
cliniques
de cette espèce d'uricémie. Dans quelques cas, le
ysiologie expérimentale ont eu leur réalisation dans le domaine de la
clinique
. Un médecin dis-tingué des hôpitaux de Lyon, M. C
ve de parenchyme hépatique. L'expérience — il s'agit d'une expérience
clinique
— a consisté à faire prendre aux malades de 300 à
i l'on peut ainsi par-ler, la lithiase biliaire de tous ses attributs
cliniques
, en cher-chant à établir entre autres que, dans l
Du reste, la colique hépatique est loin d'être la seule révé-lation
clinique
de la lithiase biliaire. Celle-ci possède un do-m
la colique hépatique calcúlense. C'est, je le répète, la révélation
clinique
, pour ainsi dire vulgaire, du passage dans les vo
on qui n'embrasse pas moins de trois années. Vous comprenez que, en
clinique
, si l'on n'était pas prévenu de ces aspects si di
n, par ce fait même qu'ils n'ont pas exactement la même signification
clinique
. II. Les détails dans lesquels je suis entré,
existé de jaunisse. Je mentionnerai encore un fait consigné dans la
Clinique
de Trousseau ({). Dans ce cas, les coliques hépat
furcation, est la distension du (1) Voyez : Durand-Fardel. — Traité
clinique
et pratique des maladies des vieillards, p. 785 ;
à, vous le comprenez, une circonstance qui peut être utilisée dans la
clinique
pour le diagnostic. La sur-face du foie est lisse
ondus avec les abcès de l'infection purulente, ont un certain intérêt
clinique
. Quand ils sont superficiels, ils peuvent être le
es deux espèces de fièvre n'ont pas abso-lument la même signification
clinique
; mais il n'est pas douteux qu'elles ne se rattach
son, loc. cit. (2) Gazette hebdom. de méd. et de chir., 1859. (3)
Clinique
médicale. (4) Soc. anal., 1852, p. 466. dans
ngiocholite primitive, la plus intéressante peut-être au point de vue
clinique
et qui a été décrite par M. Virchow (2). Elle con
temps et pourtant, il est loin d'être dénué d'intérêt au point de vue
clinique
. A. Les premières études régulières, relativeme
très méthodique et présenté au point de vue surtout des applications
cliniques
dans l'ouvrage de M. Murchison (loc. cit.,n. 340)
irrhose, qui est considérée comme un type du genre. 6° Un caractère
clinique
de ces inflammations qui mérite d'être relevé, c'
logique sur lequel j'appelle votre attention est représenté dans la
clinique
d'une manière assez imposante. Il comprend, en ef
ulgaire autant par les caractères ana-tomiques que par les caractères
cliniques
. Un changement analogue, dont je vous ai entreten
difications dans l'intensité de l'ictère si souvent observées dans la
clinique
. Voilà donc une forme particulière d'obstructio
nalée dans la description anatomo-pathologïque, reparaît dans l'étude
clinique
avec ses caractères spéciaux : la forme, le volum
exemples, l'utilité des notions anatomo-pathologiques dans les études
cliniques
. 4° Nous avons mentionné, parmi les caractères
ement que M. Paul Ollivier (1), se fondant surtout sur les caractères
cliniques
, a émis l'avis qu'il existe une forme de cirrhose
ondé sur l'intime rapprochement des données anato-mo-pathologiques et
cliniques
. La cirrhose hypertrophique, quant à présent, p
ue j'ai laissé entrevoir — jouent un rôle prédominant dans l'histoire
clinique
de la cirrhose atrophique et méritent par suite
rquables tant au point de vue anatomo-pathologique qu'au point de vue
clinique
, su-bies par le système porte abdominal sous l'in
ns ; — C. granuleux ; — C. cireux ; — C. épithéliaux. Signification
clinique
des cylindres urinaires. Vue d'ensemble de la m
est fort importante et elle enlève beaucoup de valeur à la recherche
clinique
des cylindres, puisque ceux dont il impor-terait
tration des diurétiques. C'est dire qu'ils n'ont pas, au point de vue
clinique
, une grande importance. c) Après ce que j'ai di
écède, il me reste peu de chose à ajouter concernant la signification
clinique
des diverses formes de cylindres urinaires. Je me
i aux remarques suivantes : 1° D'une manière générale, l'importance
clinique
des cylin-dres urinaires a été fort exagérée. Ce
vous indiquer, dans un aperçu sommaire, les caractères anatomiques et
cliniques
qui distinguent ces espèces dont je vous présente
, outre les faits anatomo-patholo-giques, un argument tiré du domaine
clinique
, argument très significatif à mon sens, et qui mé
s exception, des hydropisies à une époque quelconque de leur histoire
clinique
; au contraire, la majorité de ceux qui succomben
déjà (1) Medico-ohir. Transaction , 1859, p. 156. au point de vue
clinique
(1861); M. Dickinson, dont le traité sur la patho
Grâce ; ce travail,1 à la fois critique et fondé sur des observations
cliniques
et anafo-miques personnelles, a été publié dans l
seux; —Rein gras granuleux; — Petit rein gras granuleux. Caractères
cliniques
: — Mode de début et circonstances étiologiques. —
éphrite parenchyma-teuse, deux formes bien distinctes au point de vue
clinique
: Io une forme aiguë ; 2° une forme chronique. Je
démarcation tranchée. Cette démarcation subsiste sur le terrain de la
clinique
. À. Le début de la forme de maladie de Bright,
nt dire que la lésion du gros rein blanc avec toutes ses conséquences
cliniques
, a souvent pour point de départ la scarlatine, da
des sur des coupes du rein. — Caractères macroscopiques. Phénomènes
cliniques
— Diagnostic fondé sur des considérations extrins
nuleux, l'autre par le gros rein blanc se séparent autant par le côté
clinique
que sous le rapport anatomo-pathologi-que. Je ter
rai d'une façon très sommaire) les principaux phénomènes qui, dans la
clinique
, conduisent à reconnaître l'altération amyloïde d
xemples de ce genre. Tout récemment encore le Journal hebdomadaire de
clinique
de Berlin (1) publiait un cas fort intéressant d'
es cardiaques et dont je vous parlais dans notre dernière réunion. La
clinique
montre, qu'en pareil cas, la quantité des urines
'urine est rare, plus l'albumine y est abondante. D'un autre côté, la
clinique
établit aussi une relation très étroite dans l'ap
Contradiction apparente des phé-nomènes expérimentaux avec les faits
cliniques
. — Polyurie albumineuse dans la néphrite insterst
clusion parait être tout d'abord en opposition avec ce qu'enseigne la
clinique
, dans le cas delà néphrite interstitielle, par ex
x. Cet ensemble de conditions se rencontre très vulgairement dans •la
clinique
, ainsi que nous le verrons tout à l'heure. Ces
s l'expérience d'Overbeck se trouvent fréquemment reproduites dans la
clinique
la plus vulgaire. Il s'agit des mo-difications de
ins ; — C. granuleux ; — C. cireux; — G. épithéliaux. Signification
clinique
des cylindres urinaires. Vue d'ensemble de la m
seux: —Rein gras granuleux; — Petit rein gras granuleux. Caractères
cliniques
: — Mode de début et circonstances étiologiques.
des sur des coupes du rein. — Caractères macroscopiques. Phénomènes
cliniques
— Diagnostic fondé sur des considérations extrins
Contradiction apparente des phé-nomènes expérimentaux avec les faits
cliniques
. — Polyurie albumineuse dans la néphrite insterst
pression et de la vi-tesse sur l'albuminurie, 429, 435; — Exemples
cliniques
de cette in-fluence, 435, 441 ; — Théorie ana-tom
s acecessoires, 375. — Ap-parences macroscopiques, 379. —? Caractères
cliniques
, 382. Rein blanc .Gros Gros rein lisse, rein de
IE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICAL' RECHERCHES
CLINIQUES
ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'ÉPILEPSIE, L'HYSTÉRIE
n- fant ; . « 4° Conduire le malade, avec ces pièces, à l'Asile
clinique
(Sainte-Annel, rue Cahanis, n" 1, le matin de 9
peut placer directement les aliénés, adultes ou enfants, à l'Asile
clinique
. Mais c'est surtout l'Administration qui est co
bution. Citons encore, comme relevant plus particulièrement de la
clinique
, les mémoires que nous avons faits ensemble : De
déclarant que « le bromure d'or était 1. Bourneville. - Recherches
cliniques
el thérapeutiques sur l'épilepsie. compte rendu
i le ter mai. Tableau des accès et des vertiges DEUXIEME PARTIE
Clinique
et Anatomie pathologique. Bourneville, Bicêtre,
du cer- veau ( ? ) ; 7° Idiotie symptomatique de méningite ou 52
CLINIQUE
. de méningo-encéphalite chronique (idiotie méni
es observations qui ont servi de base à nos premiers travaux : 54
clinique
. dans trois autres cas, l'autopsie du cou n'a p
etit- Vendol. (2) Emmet Holt. - L'indication a été égarée. ' 5G
clinique
. ivrognesse consommée est en traitement pour un
] Mère, 51 ans, passementière, assez grande, sobre, intelii- 5S .
clinique
. gence moyenne, caractère doux, aucun accident
Elle n'a jamais eu de tics ni d'onanisme, ni de vers, ni de co
CLINIQUE
. gourme. Quelque temps après sa chute, elle aur
Circonférence au niveau de l'appendice typhoïde 52 cent. 05. gaz
CLINIQUE
. L'épaule gauche est un peu plus saillante et p
alion n'offrent rien de particulier. Pouls petit, régulier à 72. 64
CLINIQUE
. Digestion. - W... mange seule, se sert de la f
ILLE, Bicêtre., 18S9. 5 Fig. 2. - W..., à 14 ans (mai 1839). G6
CLINIQUE
. n'ont pas grossi; le pénil est glabre, ainsi q
dimensions de la tête et des membres prises en 1887 et 1889. ' 68
CLINIQUE
. IDIOTIE myxoedémateuse. 69 te1'lwlle morte a
divers sens, mais aujourd'hui, elle se tient assez bien. Durant 70
clinique
.' * les premières années, la tête et la langue
serait sortie vers vingt mois. Fig. G. - ... ..., en 1889. 72
CLINIQUE
. Le cou est gros et court. - Le tronc serait as
achy- dermiqcce : physionomie typique, cheveux brun-roux; per- 74
CLINIQUE
. sistance cle la fontanelle antérieure ; gonfle
aliments, ni eau, ni lait (jeûnes). Si on le faisait boire de 76
CLINIQUE
. force, il vomissait. - Il a bavé jusqu'à 18 mo
s. - Le front a 4 cen- Fig. 9. - l3our..., F., il ans et demi. 78
CLINIQUE
. timètres à peine de hauteur; il est étroit, dé
rien de particulier. Fig. 10. - 13our..., F., à 4 ans et demi. 80
CLINIQUE
. Il tient bien la cuiller et la fourchette, mai
ner à cette simple indication. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1889. 6 82
CLINIQUE
. Voici maintenant l'histoire de la soeur de cet
is congénital, un peu saillant, d'un centimètre de diamètre. 84
CLINIQUE
. IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 85 Le dos et le ve
sance). (Fig. 11 et 12). Fig. 12. - Bour..., 5..., à six mois. 86
CLINIQUE
. L'enfant tette bien, ne vomit pas, est sujette
Absence complète de glande thyroïde. - Persistance du thymus. ' i
CLINIQUE
. Cab... Marie-Pauline, néeà Sedan, le 29 juille
paupières restaient constamment collées. ,- Elle a eu quelques 90
CLINIQUE
. croûtes d'impétigo sur les tempes, de l'eczéma
heveux bruns et fins. Fig. 14. - Cab..., à 6 ans et 10 mois. 92
CLINIQUE
. taires, qui sont comme aplaties en avant. En h
o l'ombilic . 16 cent. Fi[j. 16. - Cab..., à 6 ans et lU mois. 94
CLINIQUE
. Les membres supérieurs sont gros et courts; le
) Des adhérences semblables ont été notées dans plusieurs cas. 9u '
CLINIQUE
. rien de particulier. Il en est de même de la c
n observe chez les nouveau-nés 130UIINEVILLE, Bicélre, 1889. 7 98
CLINIQUE
. très gras. - Le muscle sous-jacent est divisé
de Villejuif. Résultats pour cent grammes de substance (1) : 100
CLINIQUE
. une arrière-grand'mère maternelle qui a succom
ont gros, courts et offrent d'habitude des incurvations rachU 104
CLINIQUE
. tiques. Leurs articulations sont parfois noueu
n qu'âgé de 32 ans, la fontanelle antérieure persiste encore. lOG
CLINIQUE
. Maladies terminales. Les malades dont nous a
(expériences de Schiff) (2). w En résumé, les faits fournis par la
clinique
médicale et par la clinique chirurgicale, ainsi
w En résumé, les faits fournis par la clinique médicale et par la
clinique
chirurgicale, ainsi que les expériences des phy
de M. Horsley et de M. Schiff, dans notre premier mémoire. 108 .
CLINIQUE
. ces malades et leur absence chez les autres de
Mémoire sur le Goitre et le Crétinisme ; Paris, 1851, p. 59. 1110
CLINIQUE
. Los vagues notions d'anatomie pathologique que
nuées. Absence de désirs vénériens, pas d'onanisme, pudeur. 112
CLINIQUE
. Crétinisme. Idiotie m¡j.\ : oedumateusc. R
ui suivent ont, d'ailleurs, été publiés à la suite des observations
cliniques
correspondantes dans les Bul- letins de la Soci
ils seront indiqués chacun à sa place; . N'ayant pas fait d'étude
clinique
, et apportant sim- plement quelques faits, nous
Je quatre ans. On pourra se reporter aux détails de son observation
clinique
, qui a été publiée. Il était atteint de convuls
tait des accidents à leur début; ce qui concorde avec l'observation
clinique
. On peut donc ainsi saisir le stade de néoforma
ions nous en servir pour échafauder les hypothèses applicables à la
clinique
et entreprendre d'écrire l'his- toire de l'anat
i-journée. De là, il a été expédié au bureau d'admission de l'Asile
clinique
, puis à Bicêtre. Envoyé en congèle 1er juillet,
crotoxine.................................... 33 TROISIÈME PARTIE
CLINIQUE
ET ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 1. De t'idiotie )TH/A
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